- ENTREE de SECOURS -



mercredi 28 octobre 2020

Hydrogène : j’y ai cru !


 L’hydrogène est fondamental dans la chimie industrielle, mais la « civilisation hydrogène » est un piège dangereux pour l’Europe toute entière.


28 OCTOBRE 2020 

Par Michel Gay.


« L’hydrogène, j’y ai cru ! » s’exclame dans son dernier livre « L’utopie hydrogène » le professeur Samuel Furfari, ingénieur-chimiste, qui a travaillé 36 ans dans le domaine de l’énergie et de l’environnement à la Commission européenne.

L’hydrogène est, et restera, fondamental dans la chimie industrielle. Mais il y a longtemps qu’il a compris que la « civilisation hydrogène » soutenue par le gourou du gotha Jérémy Rifkin ne menait nulle part et, pire, que c’était un piège dangereux pour l’Europe toute entière.

UNE ILLUSOIRE STRATÉGIE HYDROGÈNE

En juin 2020, l’Allemagne a annoncé une « stratégie hydrogène » ridicule. Etrangement, le mois suivant la Commission européenne lui emboite le pas en copiant l’Allemagne qui mène la danse de la folle transition énergétique européenne avec son « EnergieWende ».

Cette incroyable stratégie hydrogène n’aurait-elle d’autre but que de sauver l’EnergieWende ?

Un plan de relance européen avec des centaines de milliards d’euros à la clé est annoncé. Tous les chasseurs de subventions se frottent les mains devant ce pactole et rivalisent d’ingéniosité pour accaparer à leur profit cet argent « gratuit » qui coutera cher aux prochaines générations.

Samuel Furfari se désole de constater que la Commission européenne néglige l’expérience de ses propres fonctionnaires, ainsi que 50 ans de recherche européenne antérieure, pour se lancer dans une voie déjà connue pour être sans issue.

Les médias, toujours friands de science-fiction écologique, ont donné un écho favorable, et même parfois enthousiaste, à la résolution du Parlement européen relançant une stupide « stratégie hydrogène » le 20 janvier 2020, tandis que certains experts de la Commission européenne faisaient part de leur dépit en privé.

Le mot « juste » y figure 15 fois pour mieux masquer son injustice sociale et le mot « financement » y figure 47 fois pour mieux signifier son coût… en filigrane.

L’IGNORANCE DE LA CHIMIE


Samuel Furfari explique pourquoi cette stratégie hydrogène relève du « n’importe quoi » par ignorance de la chimie. Et il le sait d’autant mieux qu’il a cru aussi un moment à l’illusion hydrogène « énergie » avant de comprendre que c’était une impasse.

Il explique en 160 pages dans « L’utopie hydrogène » (également disponible en anglais) pourquoi tous les rêves sur l’hydrogène (et sur les biocarburants) sont voués à l’échec parce que fondés sur une idéologie politique ignorant la science. Pourtant, certains politiciens de haut rang comme l’Allemande Angela Merkel (physicienne) ont été des scientifiques.

Mais la puissance de la politique (qui pour certains consistent à faire rêver et à enchanter par le mensonge) prévaut sur la science…

L’auteur montre, page après page, en se fondant sur les échecs des expériences passées depuis au moins 40 ans, que l’utilisation de l’hydrogène pour stocker de l’électricité, ou en produire, ou comme carburant dans les transports est une totale ineptie.

Il s’étonne aussi que les décideurs d’aussi ridicules « stratégies » ne soient pas alertés par leurs administrations respectives.

UNE ERREUR ASSUMÉE ?

Samuel Furfari se demande si cette illusion collective n’est pas une erreur assumée par certains politiciens cyniques  pour couvrir une autre erreur antérieure : celle du développement à marche forcée des énergies renouvelables intermittentes, poussée par l’Allemagne,… pour favoriser le gaz !

Et cette erreur stratégique ruineuse pour les populations européennes actuelles et futures est d’autant plus facile à commettre et à « assumer » que les responsables de cette gabegie ne seront plus aux commandes quand elle deviendra manifeste pour tous !

C’est pourquoi le premier chapitre de son livre destiné à démonter l’illusion hydrogène s’intitule « J’y ai cru ! » et que le dernier se conclut par « La course vers nulle part ».

https://www.contrepoints.org/2020/10/28/383075-hydrogene-jy-ai-cru

61 commentaires:

  1. Des médecins espagnols organisent leur premier retrait en 25 ans pour protester contre le nouvel ordre du gouvernement COVID-19


    par Tyler Durden
    Mer 28/10/2020 - 04:15


    Des médecins de toute l'Espagne sont sortis mardi dans ce que les médias ont appelé la première grève médicale à secouer le pays en 25 ans.

    Alors que la pandémie de coronavirus fait rage dans toute l'Espagne, où le ministère de la Santé a signalé mardi 18.418 nouveaux cas quotidiens supplémentaires, les médecins commencent la grève, qui a été appelée au mépris du dernier ordre d'urgence du Premier ministre Pedro Sanchez, qui a été mis en œuvre dimanche.

    L'ordonnance oblige les médecins et les infirmières à se présenter à l'une des missions qui pourraient leur être confiées par le gouvernement pendant l'état d'urgence, qui pourrait durer des mois.

    Les médecins se sont plaints que la nouvelle loi violait leurs droits et compromettait la qualité des soins pour les patients, car les médecins finiraient par travailler dans un domaine dans lequel ils n'étaient pas spécialisés.

    La grève se poursuivra indéfiniment, les médecins devant continuer à faire grève le dernier mardi de chaque mois jusqu'à ce qu'un accord soit conclu.

    Pour la première fois, 200 000 nouveaux cas ont été confirmés en Espagne au cours des deux semaines précédentes, et les cas mardi étaient en hausse de 33% par rapport à la semaine précédente. Et au cours des dernières 24 heures, 267 autres personnes sont mortes.

    "Le ministère de la Santé ne nous a même pas donné la dignité d'une réunion pour essayer de nous amener à annuler la grève", a-t-il déclaré au journal de santé espagnol iSanidad.

    Les hôpitaux espagnols abritent près de 16 700 patients actifs COVID-19, soit plus de 600 par rapport à lundi, un quart de toutes les unités de soins intensifs du pays étant utilisées pour traiter les personnes atteintes d'une maladie infectieuse.

    Les grèves des médecins en Espagne font suite à des manifestations similaires en Inde au cours des premiers mois de la pandémie, alors que les médecins faisaient face à un harcèlement sans précédent de la part du public.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/spanish-doctors-stage-first-walkout-25-years-protest-governments-new-covid-19-order

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  2. Les droits des minorités


    par Tyler Durden
    Mar 27/10/2020 - 22:45
    Rédigé par Robert Wright via l'American Institute for Economic Research,


    Ne sommes-nous pas tous d’accord pour dire que les gouvernements ne peuvent pas opprimer constitutionnellement les minorités ou blâmer les victimes ? Et que des personnes privées ou des organisations qui le font sont appelées à juste titre par le nom d'une partie du corps puante que nous possédons tous ?

    Pourtant, chaque nouveau groupe minoritaire qui arrive en souffre. Les dernières personnes à ressentir la colère du gouvernement et les membres impudiques de la société sont les survivants de Covid-19, des individus qui ont été testés positifs et qui ont vécu. Avec la récente flambée des cas et des taux de survie toujours plus élevés, leurs rangs grossissent chaque jour, mais leur oppression reste palpable.

    Alors que tout le monde a déploré les quelque 225000 morts avec / de Covid en Amérique jusqu'à présent, les 8 millions de survivants et plus résident dans une sorte de Limbo entre le paradis de la normalité et l'enfer habité par le reste d'entre nous. (Ceux qui n'ont pas encore été infectés ou, comme moi, soupçonnent une infection mais ne peuvent pas le prouver parce qu'ils sont tombés malades avant que des tests à grande échelle ne soient disponibles, ou parce qu'ils sont restés asymptomatiques ou presque, constituent une minorité différente.)

    Alarmiste affirme le contraire, la grande majorité des survivants de Covid-19 ne contracteront plus le virus, de si tôt de toute façon, et ne le transmettront pas à d'autres. Ils sont plus des héros qu'autre chose, mais les médias (m) ass les traitent comme des parias - littéralement, car la plupart proviennent de nos castes inférieures, ressemblant à des serfs, composées de personnes apparemment inessentielles effectuant des tâches essentielles au nom de leurs supérieurs putatifs.

    Mais notre caste politique n'en a pas encore fini avec eux. Par simple opportunité, les mandats de distanciation sociale s'appliquent aux survivants de Covid-19 ainsi qu'à la grande masse de ceux qui n'ont pas encore été (putativement) nettoyés par un épisode de la maladie.

    Mis à part toute la bataille politique entre les signataires de la déclaration de Great Barrington et le truc de John Snow, il n'y a pas de justice à forcer des yutes innocents et des survivants héroïques de la pire pandémie depuis un demi-siècle à porter un masque ou à renoncer à boire, face à- faire face à l'éducation, à la musique en direct, aux sports et au théâtre, etc. C'est clairement inconstitutionnel. Je pense que toute l'approche du verrouillage est inconstitutionnelle, mais aucune différence d'interprétation ne s'applique à ceux qui ne peuvent pas tomber malades ou propager le virus dang!

    Vous pourriez penser: "Je n'ai pas attrapé le virus, donc je m'en fiche que les droits de 8 millions d'Américains soient bafoués." Eh bien, vous devriez vous en soucier, car le précédent établi en ce moment est celui où les gouvernements peuvent forcer la fermeture d'entreprises et appliquer des lois somptuaires (consommation, y compris l'habillement) sans aucun prétexte de santé publique. Ils ne veulent pas l'admettre pour le moment, mais à l'avenir, peut-être pas si lointain, un fonctionnaire du gouvernement justifiera un acte arbitraire en indiquant le traitement des survivants de Covid-19 dans cette pandémie. «Eh bien, nous [un euphémisme pour dépouiller les libertés civiles des personnes] qui ne posait aucun risque pour la santé en 2020, alors pourquoi ne pouvons-nous pas le faire maintenant? Il y a un précédent. »

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  3. Mais ne vous méprenez pas, je ne pense pas que l’oppression des héros de Covid-19 consiste à créer ce précédent; il s'agit simplement d'opportunité. Accorder la liberté à certains tout en la refusant à d'autres romprait l'emprise de plus en plus hésitante de nos dirigeants les plus autoritaires sur le pouvoir. Certains citoyens répondraient en affichant des règles de distanciation sociale, affirmant que «s'il peut se passer de masque (aller dans un bar, etc.), moi aussi.» D'autres obtiendraient délibérément Covid-19 afin de pouvoir retrouver légalement leur liberté après avoir survécu, comme le font presque tous ceux qui ne sont pas anciens ou obèses. Je ne vois pas de problème avec de telles actions volontaires. Certains perdront la loterie et mourront, les plus grands héros de tous, mais il est clair que les folies de mars sont derrière nous et même la plupart des hospitalisés survivront, surtout s'ils ne sont pas placés sur les machines à mort, alias les respirateurs, que les médecins et les politiciens ont autrefois revendiqués. étaient désespérément nécessaires.

    Et rassurez-vous, les survivants de Covid-19 ont des droits constitutionnels, mais en tant que petite minorité partout, ils ne sont pas un bloc de vote cet automne, donc aucun politicien ne s'en soucie. Pour cette raison, je dois admettre que je ne suis pas aussi fan du célèbre Federalist # 10 de James Madison que jadis. C'était celle où Jemmy soutenait qu'une plus grande république pouvait repousser plus facilement les factions et les majorités tyranniques qu'une petite république, ceteris paribus bien sûr.

    Cette affirmation paraît particulièrement risible aujourd'hui:

    «Dans un second temps, comme chaque représentant sera choisi par un plus grand nombre de citoyens dans la grande que dans la petite république, il sera plus difficile aux candidats indignes de pratiquer avec succès les arts vicieux par lesquels les élections sont trop souvent menées; et les suffrages du peuple étant plus libres, seront plus susceptibles de se concentrer sur les hommes qui possèdent le mérite le plus attrayant et les caractères les plus diffus et établis.

    Si la moitié de la boue que les candidats au Sénat américain David Perdue (Éléphant) et Jon Ossoff (Âne) se sont lancés sur les ondes publiques est vraie, les Géorgiens devraient les sortir tous les deux de la grange et se sauver eux-mêmes. embarras d'avoir l'un de ces mécréants les représenter à DC! De nombreuses autres «races» opposent également des candidats au mérite douteux. Quel que soit le candidat qui remporte une élection donnée, le peuple américain perd parce qu'il en vient à être dirigé par des coquins au lieu d'hommes d'État.

    Madison avait raison de dire qu '«une rage pour le papier-monnaie, pour une abolition des dettes, pour un partage égal des biens, ou pour tout autre projet inapproprié ou mauvais, sera moins susceptible de pénétrer l'ensemble du corps de l'Union qu'un membre particulier de il." Mais que se passe-t-il lorsqu'un projet inapproprié et pervers consomme une grande partie du pays? Bon nombre des contrôles que Madison et les autres rédacteurs ont incorporés à la Constitution sont devenus fragiles, voire sans valeur.

    Au fur et à mesure que le pouvoir des politiciens a augmenté, le pouvoir de les restreindre a diminué. Les deux lignes se sont croisées en 2020 et une désintégration rapide de certains contrôles restants importants semble imminente. Les bulletins de vote n'étant plus secrets (et donc à nouveau aliénables) dans de nombreux États, le collège électoral assiégé et l'indépendance de la Cour suprême menacée, les minorités tremblent d'inquiétude. Sauf désunion ou retour aux droits des États, la seule vraie question est maintenant de savoir qui sera la prochaine minorité ? En plus de nos héroïques survivants de Covid-19.

    https://www.zerohedge.com/political/minority-rights

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    1. QU'EST-CE QUE SONT 'LE PORT DU MASQUE' ET LE 'CONFINEMENT' ?

      La valeur limite d'exposition [au gaz carbonique en masque ou en logis fermé] est de 3 % sur une durée de quinze minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d'autant plus graves que la teneur en gaz carbonique augmente. Ainsi, à 2 % de gaz carbonique dans l'air, l'amplitude respiratoire augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s'accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c'est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès.

      Les humains passent de plus en plus de temps en atmosphère confinée (environ 80-90 % du temps dans un bâtiment ou un véhicule). Selon l'ANSES et divers acteurs en France, le taux de gaz carbonique dans l'air intérieur des bâtiments (lié à l'occupation humaine ou animale et à la présence d'installations de combustion), pondéré par le renouvellement de l'air, est « habituellement compris entre 350 et 2 500 ppm environ »

      Lors des matchs de hockey sur glace, le gaz carbonique augmente de 92 à 262 ppm lors d'un match (surtout joué par des hommes adultes). Au centre de la patinoire, le taux de gaz carbonique dépasse les 1000 ppm à chaque match (seuil max. recommandé par l'Institut norvégien de la santé publique).

      Les taux de gaz carbonique sont généralement plus élevés dans les zones urbaines et dans les habitations (jusqu'à dix fois le niveau de fond).

      Voir:

      Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

      vendredi 9 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html

      Notez aussi que le SEUL remède au 'corona' l'hydroxychloroquine a été interdite d'emploi !!!!

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  4. Réflexions sur la politique « covidienne » de la France


    le 28 octobre 2020


    Ce n’est plus une surprise pour les Français mais également pour de nombreux pays du monde de constater que les pays occidentaux « les plus riches » ont été les plus affectés par l’épidémie de SARS-CoV-2. Les deux exceptions en nombre de cas et nombre de morts sont le Brésil et l’Inde, deux pays où l’économie informelle est telle que tout confinement ou toute mesure dite de distanciation n’ont pu être mis en place au risque de ruiner l’économie. L’illustration ci-dessous est révélatrice : les pays les plus touchés par la pandémie se trouvent en Europe, hors USA, et par ordre décroissant la France, l’Espagne, la Grande-Bretagne, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas et la République tchèque. Que s’est-il passé dans ces pays ? C’est simple, très simple, les dirigeants politiques, conseillés par des personnalités incompétentes qui suivaient à la lettre les recommandations de l’OMS, ont fait n’importe quoi parce que les recommandations de cet organisme onusien s’appuyaient sur les projections délirantes d’un certain Neil Fergusson lien sur ce blog) dont le manque de probité scientifique n’est même plus à démontrer. Le Président français parla d’immunité de groupe au début de la mise en place du confinement très strict qui ruina l’économie du pays. Il ne savait pas de quoi il parlait et ce n’est certainement pas en confinant toute la population que cette immunité de groupe pouvait être atteinte.

    - voir carte sur site -

    En effet, le confinement eut pour effet d’enrayer la dispersion du virus et cette dispersion naturelle dont l’effet aurait été d’atteindre une immunité de groupe n’eut pas lieu, elle a tout simplement été reportée à plus tard. Nul ne sait quelle aurait été en France l’évolution de l’épidémie sans confinement comme cela avait été le choix de la Suède et dans une moindre mesure de l’Allemagne, la Suède ayant été sauvagement critiquée pour sa gestion, le mauvais élève de l’OMS. Il se trouve qu’aujourd’hui la Suède n’aura même pas besoin de faire vacciner sa population car l’immunité de groupe a été largement atteinte !

    Comme je l’ai écrit dans un autre billet sur ce blog la Chine a découvert la bi-thérapie hydroxychloroquine + azithromycine à la suite d’études réalisées avec le virus SARS-CoV-1 et l’a systématiquement appliquée à la population dès l’apparition de signes de fièvre, coronavirus ou pas, puisque ces deux produits, aux posologies préconisées, ne présentent aucun danger pour les malades. Ce traitement curatif si le malade est traité précocement a été utilisé à Marseille avec le succès global que l’on sait bien que des malades aient vu leur état s’aggraver pour diverses raisons, en particulier leur âge avancé assorti de comorbidités des toutes les façons fatales. Je rappelle ici que l’âge médian des personnes décédés du SARS-CoV-2 est de 82 ans en France.

    Les autorités politiques françaises ont adopté dès le début une attitude franchement hostile à la bi-thérapie utilisée à Marseille en suivant – il valait mieux qu’elles se couvrent – les recommandations de l’OMS, un organisme gangrené par la corruption active du lobby pharmaceutique international. Et comme de nombreux décideurs politiques français, dont en particulier le conseil scientifique de pacotille mis en place à l’occasion de cette épidémie, sont également corrompus par ce même lobby de la pharmacie alors l’hydroxychloroquine a été déclarée vénéneuse voire létale et ainsi interdite.

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  5. Le Ministre de la santé du Sénégal ne s’est pas privé de critiquer les politiciens français, se demandant si la population sénégalaise devait suivre à la lettre les recommandations du gouvernement français sachant que la malaria est endémique dans son pays. Il faut ajouter que les autorités françaises se sont également ridiculisées dans tous les pays francophones d’Afrique sub-sahélienne au sujet de l’hydroxychloroquine et ceci d’autant plus que de nombreux étudiants-chercheurs de ces pays africains francophones viennent faire leurs études à l’IHU de Marseille ! Enfin, cerise sur le gâteau, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a accordé une autorisation pour le Remdesivir (Gilead) pour traiter à titre préventif et curatif la grippe à SARS-CoV-2 alors que cette molécule est très coûteuse, deux cent fois plus que l’hydroxychloroquine, et provoque des lésions rénales irréversibles. Dans le même document cette agence a tout simplement interdit la vente et la prescription de l’hydroxychloroquine pour traiter le SARS-CoV-2. La seule motivation sous-jacente à ces décisions est qu’une boite de ce dérivé de la chloroquine coûte moins cher qu’un paquet de cigarettes, alors que le Remdesivir … seul son prix extravagant est efficace pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques et leurs actionnaires.

    Après toutes les décisions contradictoires prises lors de la première vague de grippe à SARS-CoV-2 et les dernières turpitudes de l’une des administrations gouvernementales françaises il est tout à fait normal que la population se trouve aujourd’hui au bord de la révolte : le gouvernement français, globalement corrompu, est intellectuellement aux abonnés absents, la population n’accorde plus sa confiance au pouvoir politique et des évènements incontrôlables pourraient précipiter une situation contre laquelle le pouvoir n’aura plus de moyens de contrôle sinon un bain de sang. Les clowneries du Président français à propos de la Turquie risqueraient bien de coûter très cher à tous les Français et indépendamment du SARS-CoV-2 aggraver encore plus violemment la crise sociale française …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/29/nouvelles-du-coronavirus-japon-et-chine/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/23/covid-19-neil-ferguson-le-lyssenko-liberal/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/28/reflexions-sur-la-politique-covidienne-de-la-france/

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  6. Ne pas opposer une explication anxiogène à la propagande de la peur


    Philippe Huysmans
    Mondialisation.ca
    mar., 27 oct. 2020 15:23 UTC


    En mars 2019 démarrait la crise du coronavirus, que dis-je, la pandémie de covid191. Presque aussitôt la machine à terroriser s'est mise en branle pour nous servir un discours toujours plus anxiogène, toujours plus contradictoire.

    caverneD'abord les masques étaient interdits, puis ils sont devenus obligatoires, et vous aurez remarqué qu'à aucun moment vous n'aurez eu le choix d'en porter un ou non. Vous pourriez croire qu'il s'agissait là d'erreurs de communication ou tout simplement d'une impréparation des gouvernements à faire face à une urgence sanitaire mais il n'en est rien.

    C'est volontairement qu'on a arrosé la population d'informations terrifiantes et contradictoires, pour maintenir les gens dans un état de sidération :

    Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez.

    Hannah Arendt

    Cela n'a pas empêché les plus éveillés de commencer rapidement à se poser des questions, puis, ayant surmonté leurs propres inquiétudes par la raison, ils se sont logiquement mis en devoir de tenter d'éveiller leurs contemporains de l'espèce de transe morbide dans laquelle ils étaient plongés.

    Il faut comprendre que si la peur, et particulièrement la peur de la mort est un puissant moteur s'agissant d'imposer un pouvoir toujours plus totalitaire, son action est essentiellement négative, et paralysante. Instinctivement, l'être humain soumis à pareil stress le ressentira comme une agression, et deviendra agressif à son tour. C'est la raison pour laquelle le gouvernement, au moment d'imposer tant et plus de mesures coercitives, insiste bien sur le fait que c'est à son corps défendant, et que si on en est là, c'est parce que la population n'a pas respecté les mesures précédentes. Il ne suffit plus de terroriser désormais, encore faut-il en rejeter la responsabilité sur les victimes elles-mêmes. On canalise les velléités de révolte par la culpabilisation.

    Éviter la confrontation d'idées également anxiogènes

    Ceux qui sont éveillés le savent bien, il est des plus difficiles de convaincre parfois même nos proches du bienfondé de nos analyses, de les sortir du cauchemar éveillé dans lequel ils sont plongés malgré eux. Je ne compte plus les témoignages que j'ai reçus en ce sens, et essentiellement, ils nous disent tous la même chose. Dès qu'on essaie de leur ouvrir les yeux sur la réalité, les gens se braquent, et plus vous insisterez, plus la réaction risque d'être violente.

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  7. Pourquoi ? Eh bien c'est très simple, c'est parce que l'explication que vous leur donnez est encore nettement plus terrifiante que la propagande elle-même. Elle est de nature à faire s'effondrer le système de croyance sur lequel la personne a fondé la plupart de son existence. À la limite, vous risquez juste de les faire décompenser brutalement et de les plonger dans la détresse psychologique aiguë.

    Pour comprendre ceci, plaçons-nous d'un point de vue purement objectif, dans la contemplation de deux objets que sont, d'une part, la propagande anxiogène, et de l'autre, le point de vue d'un éveillé. Imaginez que le moutruche auquel vous vous adressez aura tout aussi difficile à accepter votre point de vue que vous en auriez à accepter l'idée que le point de vue donné par les médias serait le bon. C'est juste irréconciliable sans un travail préalable de prise de conscience, et que vous le vouliez ou non, ce travail doit être accompli par votre interlocuteur lui-même. C'est un cheminement personnel, et il peut être plus ou moins long selon le vécu et le caractère de la personne.

    Semer les graines

    Une manière simple de contourner le problème, et de permettre aux gens de s'éveiller par eux-mêmes est de semer dans leur esprit les graines de l'analyse critique, et pour cela, quoi de mieux que de démontrer, par un exemple simple, que tel ou tel point de la propagande est manifestement faux. On peut passer par l'humour, et la mise en exergue du caractère saugrenu voire totalement improbable des déclarations officielles, ou s'attacher à un simple point technique impossible à contredire.

    Il faut à tout prix éviter de se laisser entraîner dans un mille-feuilles argumentatif qui mêlera rapidement des arguments scientifiques sur lesquels vous n'avez aucune prise. Eh oui, si les médecins parviennent à ne pas être d'accord entre eux, comment pourriez-vous espérer convaincre qui que ce soit que votre point de vue serait le bon? Ainsi, plutôt que de rentrer dans une discussion stérile sur les bienfaits ou pas de l'hydroxychloroquine, on pourra se contenter de faire remarquer, preuve à l'appui, qu'il existe quand même plus d'une centaine d'études scientifiques à l'heure actuelle qui attestent de son efficacité clinique, et que parmi les études disant le contraire, au moins deux ont été rétractées après s'être avérées des bidonnages grossiers. Ce sont des faits, et les faits sont têtus.

    De même vous éviterez habilement d'utiliser les hochets opportunément agités par le pouvoir et les médias à la botte pour vous embobiner. Ainsi, si l'on vous parle de « cas », souvenez-vous que le nombre de cas positif détectés augmente mécaniquement avec le nombre de tests réalisés et que le taux de positivité de ces tests dépend énormément du nombre de cycles d'amplifications réalisés : toutes choses sur lesquelles le gouvernement peut aisément jouer comme avec des variables d'ajustement.

    Ainsi, si vous voulez parler statistiques, veiller à n'utiliser que des chiffres que le gouvernement ne pourrait pas caviarder, comme par exemple le nombre de morts, toutes causes confondues, sur une période donnée. Les chiffres sont des alliés solides.

    Veillez à sourcer vos affirmations systématiquement, en allant chercher de préférence les informations sur les sites des médias mainstream eux-mêmes ou directement auprès des administrations ou organisations internationales (ECDC, CDC, INSEE, StatBel, OMS...).

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  8. Rompre la spirale de la peur

    Souvenez-vous que les personnes que vous vous attachez à réveiller sont, avant tout, terrorisées. La peur a aboli leur jugement, et ils seraient bien en peine de produire un raisonnement articulé, étant directement contrôlés non plus par leur intellect mais bien par leur cerveau reptilien. Ils sont en mode flee or fight, et plus exactement maintenus dans la prostration à coup d'injonctions paradoxales.

    Ainsi la première chose à faire est de rassurer, de prouver par les faits que le covid n'a strictement rien de plus dangereux qu'une grippe saisonnière, et que l'âge médian des décès est autour de 84 ans, soit bien au-delà de l'espérance de vie qui est de 82 ans. Et que la plupart de ceux qui sont décédés sont morts non pas du covid, mais avec le covid, principalement en raison de leur grand âge et des comorbidités dont ils souffraient préalablement. Le CDC avait reconnu que sur l'ensemble des décès attribués au covid aux États-Unis, seuls 6% d'entre eux avaient pu être attribués au seul covid19 2.

    Sortir de l'emprise de la terreur est la première étape, indispensable à toute prise de conscience ultérieure, la condition sine qua non pour retrouver sa capacité d'analyse, et finalement, sa souveraineté. En tant que cible du terrorisme d'État vous devenez vous-même un sujet, un objet qu'on peut manipuler à sa guise. Aussitôt que vous refusez la peur, vous redevenez libre, émancipé de la tutelle mortifère.

    Pour terminer sur une note positive, on peut affirmer sans crainte que si des millions de personnes sur la planète se sont éveillées à la réalité, et sont sorties de la caverne de Platon pour contempler le monde au grand jour, je crois que vous seriez bien en peine de trouver une seule personne qui aurait fait le cheminement inverse.

    Notes

    Pandémie de Sars-Cov-2 dont on sait aujourd'hui qu'il n'est pas plus létal qu'une grippe ordinaire, avec cet avantage qu'il ne touche que les sujets les plus âgés et non les jeunes enfants comme dans le cas de la grippe.

    Comorbidités : Le tableau 3 montre les types de problèmes de santé et les causes contributives mentionnés en conjonction avec les décès liés à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Pour 6% des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque condition ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupes d'âge.

    https://fr.sott.net/article/36217-Ne-pas-opposer-une-explication-anxiogene-a-la-propagande-de-la-peur

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  9. L'Europe à l'aube de nouveaux verrouillages alors que Bruxelles élabore des restrictions paneuropéennes: mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Mer, 28/10/2020 - 08:39


    Résumé:

    Bruxelles pour discuter de mesures à l'échelle de l'UE
    L'Allemagne prépare le retour au verrouillage partiel
    La France envisage de nouvelles mesures
    La République tchèque et la Pologne subissent de nouveaux records
    Les cas au Texas voient le plus grand bond en 2 mois
    La Chine continentale signale 42 autres cas
    BoJo fait face à la pression pour un nouveau verrouillage
    Le groupe de travail britannique sur les vaccins met en garde: préparez-vous à des vaccins imparfaits

    * * *

    Le battement de tambour des économies européennes revenant vers le verrouillage s'est intensifié mercredi matin après que la chancelière allemande Angela Merkel a poussé à des restrictions plus fortes sur les mouvements et les contacts, y compris la fermeture de bars, restaurants, gymnases et autres entreprises non essentielles jusqu'à la fin novembre.

    Cela survient alors que l'Italie et l'Espagne imposent leurs restrictions nationales les plus strictes depuis la fin du verrouillage, tandis que la France, qui s'est fortement appuyée sur des restrictions localisées visant les zones métropolitaines les plus touchées, pèse sur un retour potentiel au verrouillage, le président Emmanuel Macron étant apparemment favorable à un. -Retour mensuel des fermetures d'entreprises non essentielles.

    La France, largement considérée comme l'épicentre de l'Europe puisqu'elle a enregistré plus de 50 000 nouveaux cas par jour au cours du week-end, a signalé 523 nouveaux décès, dont 235 dans des maisons de retraite médicalisées et d'autres établissements gouvernementaux, le nombre total de décès le plus élevé depuis avril.

    Parmi les plus petites économies d'Europe occidentale, les Pays-Bas, la Belgique et le Danemark sont tous aux prises avec des épidémies qui font rage bien au-delà de leurs niveaux printaniers. La Belgique, siège de l'UE, est devenue le pays le plus touché du bloc.

    Merkel s'est engagée à faire tout son possible pour éviter d'imposer un autre verrouillage aussi strict que celui qui a martelé la plus grande économie d'Europe au deuxième trimestre. Les dernières mesures - qui entreraient en vigueur le 4 novembre - sont conçues pour endiguer la propagation de la maladie tout en permettant largement la poursuite de l'activité, bien qu'elles soient susceptibles de provoquer des protestations de la part de groupes industriels et de citoyens déjà las de ce qu'ils voient. comme intrusion du gouvernement dans leur vie privée. Elle devrait se joindre aux pourparlers avec les dirigeants locaux des 16 États allemands mercredi pour discuter des nouvelles mesures proposées. Selon un projet vu par Reuters, Merkel veut garder les écoles et les crèches ouvertes, tandis que beaucoup d'autres fermeraient.

    Grâce à la flambée du nombre de cas aux États-Unis et en Europe, le nombre de cas dans le monde a dépassé les 44 millions mercredi matin, selon Johns Hopkins, tandis que le nombre de décès dans le monde était de 1168568. Dans le monde entier, plus de 450 000 nouveaux cas ont été signalés hier.

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  10. Les actions européennes ont naturellement été secouées par l'accélération étonnamment rapide du virus au cours de la semaine dernière, et les contrats à terme sur actions américaines ont indiqué une ouverture plus faible.

    Déjà, cependant, les dernières restrictions de l'Allemagne provoquent un retour de bâton avec le vice-président de la chambre basse du parlement allemand pour déclarer à la radio nationale qu'il ne suivra pas les nouvelles règles. Le pays a vu les nouveaux cas augmenter mercredi d'un record de 14 964 pour un total de 464 239.

    Dans le même temps, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devrait publier un ensemble de propositions plus tard mercredi avant une conférence téléphonique jeudi avec les dirigeants de l'UE. Charles Michel, son homologue au Conseil européen des dirigeants de l'UE, a appelé à des mesures renforcées à l'échelle du bloc, notamment pour renforcer les capacités de test et le déploiement des vaccins une fois qu'ils sont prêts.

    Voici quelques nouvelles de la nuit et du mercredi matin:

    Cas du Texas +7 055, soit la plus forte augmentation quotidienne en plus de 2 mois et décès +81 (Newswires / Twitter).

    Le gouverneur de New York, Cuomo, chercherait à maintenir 95% des États-Unis hors de New York en raison du COVID-19 après avoir inclus la Californie dans la liste des 39 États qui nécessiteraient des quarantaines. Ailleurs, le gouverneur de l'Illinois a annoncé la suspension des repas en salle à Chicago à partir de vendredi (Newswires).

    Les cas en Belgique ont augmenté de 13 571 et que les hospitalisations au COVID-19 en Belgique devraient dépasser le pic de la première vague dans les 24 heures (Newswires / Twitter).

    Le nombre total de cas en Inde est sur le point de franchir la barre des 8 millions alors que le pays signale 43 893 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, contre 36 470 la veille. Le nombre de morts dans le pays a augmenté de 508 à 120 010 (Source: Nikkei).

    La Chine continentale a signalé 42 nouveaux cas de COVID-19 mardi, le bilan quotidien le plus élevé en plus de deux mois en raison d'une augmentation des infections dans la région du nord-ouest du Xinjiang (Source: Nikkei).

    Le Premier ministre britannique Johnson ferait pression pour un nouveau verrouillage alors que le gouvernement suppose une deuxième vague plus meurtrière, avec un pic plus bas mais plus long attendu pour les décès dus au COVID-19 (Source: The Telegraph).

    La présidente du groupe de travail britannique sur les vaccins, Kate Bingham, a déclaré que la première génération de vaccins COVID-19 serait probablement imparfaite et que les gens devraient être préparés que les vaccins pourraient ne pas prévenir l'infection mais plutôt atténuer les symptômes, tout en suggérant que les vaccins pourraient ne pas fonctionner pour tout le monde ou pendant longtemps. période (Source: The Lancet).

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/europe-cusp-new-lockdowns-brussels-plots-pan-eu-restrictions-live-updates

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  11. Covid : pourquoi la politique du tout répressif sanitaire est inutile

    Le rebond actuel est sérieux, mais pour l’instant 10 fois moins que la vague du printemps.


    28 OCTOBRE 2020
    Par Olivier Maurice.


    L’OMS vient de publier une synthèse des très nombreuses publications sur les valeurs épidémiologiques du Covid-19.

    Cette étude, réalisée par John Ioannidis, médecin et chercheur à Stanford est passée quasiment inaperçue dans l’actualité assez bouleversée de ces dernières semaines. Elle mérite cependant qu’on s’y arrête, tant les chiffres qu’elle donne éclairent d’un jour nouveau la crise sanitaire que traverse une bonne partie de la planète et que résume parfaitement la dernière phrase de sa conclusion :

    « The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. » : la mortalité induite par le virus se révèle bien plus basse que les estimations réalisée auparavant.

    Et par « bien plus basse », il faut comprendre une sacrée différence : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis.

    10 mois après le début de l’épidémie, on peut estimer qu’au pire, le Covid tue 14 fois moins que ce qu’il avait été estimé au début de l’épidémie.

    10 mois après le début de l’épidémie, l’OMS publie un rapport qui indique clairement que les autorités sanitaires ont clairement surréagi et grandement surestimé la dangerosité du virus.

    Ces erreurs passées seraient dues à deux facteurs :

    La méconnaissance des modes de transmission du virus et en particulier le chiffre extrêmement élevé de cas asymptomatiques.
    La capacité à prendre en charge les patients qui avait été niée au début de l’épidémie.

    CHANGEMENT DE CAP

    On se doutait bien que le vent commençait à tourner dans les instances sanitaires internationales qui avaient commencé début du mois à dénoncer le rapport coût bénéfice des confinements et qui ont depuis émis des recommandations bien plus nuancées qu’auparavant sur la politique de prévention.

    C’est clairement un changement de cap à 180° dont il s’agit.

    Là où l’OMS encourageait auparavant de mettre tout en œuvre pour protéger les populations et ralentir la progression de l’épidémie, elle se contente maintenant de mettre en garde les autorités locales contre les risques de la stratégie inverse : celle de l’immunité collective, en argumentant que pour l’instant, les connaissances scientifiques n’étaient pas suffisantes pour garantir le caractère éthique d’une telle stratégie.

    Mais surtout, en ce qui concerne les mesures radicales de confinement, couvre-feu, restrictions de mouvement, etc… l’OMS les conseille en dernier recours maintenant du plus fort que le permet ce changement de cap radical, expliquant qu’elles n’ont de sens que pour permettre aux pays de gagner le temps nécessaire pour mettre en place la nouvelle stratégie sanitaire recommandée : tester, isoler et soigner.

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  12. LES CHIFFRES

    L’étude publiée par l’OMS indique un IFR (Infection Fatality Rate ou taux de mortalité des patients affectés) de 0,23% et de 0,05% pour les moins de 70 ans.

    Les premiers rapports provenant des autorités chinoises indiquaient un taux de mortalité de 3,4%, chiffre supérieur à celui de l’épidémie de grippe espagnole de 1918.

    Les différentes projections qui ont suivi, incluant les divers scénarios de confinement et de retardement de l’épidémie, tablaient sur la possibilité de réduire le taux de mortalité suite à la mise en place des mesures hygiénistes, aux alentours de 1%, ce qui situait le Covid à un facteur 10 des grosses épidémies de grippe.

    Le chiffre actuel indique que le Covid serait deux fois plus mortel qu’une grosse grippe.

    Et c’est sans compter les progrès thérapeutiques qui peuvent être mis en place afin de réduire encore ce chiffre.

    Cette simple mathématique invalide totalement la stratégie de confinement qui ne peut avoir, on le comprend rapidement, quasiment aucun impact sur un chiffre épidémiologique aussi bas : le cas sévère, voire critique étant clairement l’exception et non la règle.

    Par ailleurs, ces chiffres indiquent également une extrêmement forte présence de cas asymptomatiques, le taux de mortalité constaté chez les patients présentant des symptômes étant quant à lui 10 fois plus élevé.

    RAPPROCHEMENT AVEC LA SITUATION EN FRANCE

    Ramené à la population Française, ces chiffres signifient que 14 millions de Français auraient été contaminés à ce jours et que le nombre de contaminations quotidiennes au plus fort du pic épidémique de mars-avril a dû frôler les 1 million par jour.

    Ils expliquent aussi pourquoi les 40 000 (ou 20 000 il y a 10 jours) cas positifs relevés actuellement conduisent à un peu plus d’une centaine de décès quotidiens. On retrouve effectivement un ratio de l’ordre de grandeur de celui donné par l’OMS, sachant que le nombre de cas testés positifs et forcement inférieur à celui de cas positifs réels.

    Ils signifient également que le scénario de l’immunité collective à 60% se solderait par environ 100 000 décès (sachant qu’il y en a eu environ 35 000 au printemps), et un peu moins du double pour un scénario d’immunité totale.

    Environ 20% de la population Française a semble-t-il été infectées à ce jour, sans doute deux à trois fois plus dans les grands foyers d’infection du printemps, sans doute également plus chez les plus jeunes, chez qui les tests relèvent les plus fort nombre de cas positifs.

    Ces chiffres semblent donc bien réalistes et permettent enfin de faire un lien entre les diverses observations et de répondre aux questions incessantes depuis le début de l’épidémie. La situation est sérieuse, mais elle l’est largement moins que le niveau d’alarmisme et de catastrophisme qui domine actuellement.

    Le rebond actuel est sérieux, mais pour l’instant 10 fois moins que la vague du printemps.

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  13. DYNAMIQUE ÉPIDÉMIQUE

    En plus des données épidémiologiques sur la mortalité, l’OMS a également mis à jour d’autres informations sur les modalités de transmission de la maladie.

    La maladie semble se transmettre selon deux modes principaux : une transmission « silencieuse » par porteurs asymptomatiques (environ 9 personnes sur 10) qui ont 25% de chance de contaminer une autre personne et une transmission « explosive » par des « super-contaminateurs » très peu nombreux mais qui sont capables de contaminer un nombre très important (de la dizaine à plusieurs milliers) de personnes.

    Ce modèle de contamination expliquerait pourquoi la maladie se comporte de façon endémique dans les zones à faible densité de population et provoque des vagues ou pics épidémiques dans les zones fortement peuplées.

    Elle explique surtout pourquoi les mesures sanitaires prises n’ont aucun effet sur l’épidémie et qu’il est indispensable que la France change le plus rapidement possible de cap et prennent en compte les recommandations de l’OMS.

    En plus d’être extrêmement néfaste pour l’économie et d’avoir un prix social et même sanitaire incroyable, non seulement la politique actuelle est inutile, mais elle est totalement contre-productive parce qu’elle n’isole pas les super contaminateurs, ne protège pas les personnes à risque et surtout parce qu’elle ne fait que ralentir la propagation silencieuse et ainsi augmenter le risque futur d’explosion.

    CHANGER DE POLITIQUE SANITAIRE

    Comme l’indique l’OMS, la stratégie à suivre consiste à détecter, et surtout à isoler et à soigner les personnes infectées.

    A les soigner, non pas du virus, mais en tant que patient en mauvaise santé. On sait en effet que les personnes présentant d’autres problèmes médicaux sont les plus à risque. Il est donc indispensable de prendre en charge ces personnes le plus tôt possible, afin de les surveiller et d’améliorer leur état de santé global afin de leur donner le maximum de chance de passer cette épreuve qui, même pour les cas symptomatiques, reste « gérable » dans 95% des cas.

    A les isoler, parce que les super-contaminateurs se situent chez les personnes symptomatiques et que les chiffres montrent que la contamination « silencieuse » est quasiment impossible à éviter.

    En faisant le choix de confiner la population plutôt que de déclencher un plan de réorganisation de l’hôpital et des services de santé afin d’accueillir et de soigner les malades, en suivant une politique l’hygiéniste centrée sur les actions prophylactiques, en limitant les soins au paracétamol et aux soins palliatifs, les autorités sanitaires Françaises ont fait totalement fausse route.

    Mais surtout, en laissant une partie du corps médical propager l’idée que la responsabilité du développement de l’épidémie était due au mauvais comportement des Français, en ne faisant pas l’analyse profonde de la réelle dimension de l’épidémie et en privilégiant les scénarios catastrophistes, elles ont grandement failli et fait preuve d’un amateurisme et d’un manque de discernement inexcusable.

    A un niveau supérieur, en engageant la France dans une guerre contre le virus qui n’avait aucune raison d’être, mais surtout en la maintenant et en se laissant berner par le chant des vendeurs de panique, le gouvernement Français à une responsabilité immense dans le désastre économique, social, politique et également sanitaire qu’il a créé.

    La question maintenant est de savoir qui arrêtera la machine folle qui semble lancée à toute allure dans la mauvaise direction, à l’heure des rumeurs d’un nouveau confinement, d’annonce de nouvelles mesures hygiénistes et alors que d’un autre côté, des voix se lèvent de plus en plus pour contester ces mesures autoritaires aveugles.

    https://www.contrepoints.org/2020/10/28/383092-covid-pourquoi-la-politique-du-tout-repressif-sanitaire-est-inutile

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    1. Voir dessin:

      http://traitportrait.blogspot.com/2020/10/mobil-homme.html

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  14. Victoire du dauphin d’Evo Morales en Bolivie: «Il est difficile pour les États-Unis de refaire le même coup deux fois»


    12:45 28.10.2020
    Par Rachel Marsden


    Luis Arce, candidat de la gauche en Bolivie, a battu de loin ceux du centre et de la droite proaméricaine. Décryptage de cette victoire par Jean-Louis Martin, économiste et ancien responsable des pays émergents et de la recherche macroéconomique au Crédit Agricole, pour le Désordre mondial.

    Un an après les élections en Bolivie, contestées au point de provoquer le départ du Président élu et la mise en place de l’un de ces Présidents par intérim soutenus par l’Organisation des États américains (dont le siège est à Washington), le pays a enfin choisi un nouveau Président.

    Il n’est autre que le dauphin de l’ancien Président de gauche, Evo Morales. La police et l’armée avaient exigé la démission de ce dernier il y a un an, provoquant sa fuite au Mexique. Le 12 novembre, Jeanine Añez, une politicienne de l’opposition, s’est déclarée Présidente par intérim. Il est difficile de ne pas faire de parallèle avec Juan Guaido au Venezuela.

    La grosse différence est que le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, a félicité le nouveau Président, Luis Arce, qui a remporté 55 % des voix, contre 29 % pour le candidat centriste et seulement 14 % pour le leader de la contestation proaméricaine.

    Que signifie cette victoire ? Et quel lien avec des remarques faites par Elon Musk, le PDG de Tesla et de SpaceX, au sujet de la Bolivie ?

    Jean-Louis Martin, économiste et ancien responsable des pays émergents et de la recherche macroéconomique au Crédit Agricole, explique pourquoi le gouvernement américain a rapidement reconnu le résultat des urnes:

    «Je pense qu’il est difficile pour les États-Unis de refaire le même coup deux fois. La deuxième chose, c’est qu’Evo Morales n’est plus là et que les élections se sont quand même passées dans des conditions moins controversées que la dernière fois.

    En particulier, le candidat Luis Arce était absolument indiscutable puisqu’il n’y avait pas eu besoin de modification de la Constitution pour qu’il se présente. Une autre chose qui a sans doute joué dans la reconnaissance par les États-Unis, c’est que le principal candidat de l’opposition en Bolivie, Carlos Mesa, a très rapidement reconnu la victoire de Luis Arce, donc il était difficile aux États-Unis de dire non encore une fois.»

    Martin analyse la victoire de la gauche, un phénomène qui ne serait pas particulièrement idéologique, mais plutôt le résultat d’un rejet du gouvernement proaméricain en place:

    «C’était l’extrême droite latino-américaine dans toute sa splendeur, qui n’avait pour souci que de maintenir l’ordre, y compris en faisant donner la troupe et qui n’avait pas le moindre début de préoccupation pour l’essentiel de la population. Elle était là pour protéger les intérêts de la classe dominante.»

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  15. Et enfin, comment expliquer les remarques du patron de Tesla, Elon Musk, envers la Bolivie, lorsqu’il a dit sur Twitter que les États-Unis feraient des coups d’État à leur guise dans ce pays ? L’ancien responsable des pays émergents et de la recherche macroéconomique au Crédit Agricole y voit une raison économique:

    «La Bolivie dispose des principales réserves de lithium mondiales –qui est un composant tout à fait indispensable dans la production de batteries–, entre 25 à 30 % des réserves mondiales de lithium et qui sont d’ailleurs pour le moment assez peu exploitées. C’est-à-dire les principaux producteurs de lithium sont l’Australie, la Chine et le Chili. Et la Bolivie est assez loin derrière. Mais elle possède la principale réserve.»

    https://fr.sputniknews.com/international/202010281044643799-victoire-du-dauphin-devo-morales-en-bolivie-il-est-difficile-pour-les-etats-unis-de-refaire-le-meme/

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    1. Notons que les substitutifs de 'socialisme' inondent la planète car il y a 1000 socialisme différents selon les États comme 1000 capitalismes.
      Tous les États du monde sont à la fois socialistes (en commun) et capitalistes (réserve et service de la monnaie).
      Il faut donc se méfier des étiquettes cavalières.

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  16. L'ouragan Zeta vise la côte de la Louisiane mercredi après-midi


    par Tyler Durden
    Mer, 28/10/2020 - 09:25


    L'ouragan Zeta, la 27e tempête nommée d'une saison cyclonique très active dans l'Atlantique, vise la côte sud-est de la Louisiane mercredi après-midi.

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    À 5 h HE, le National Hurricane Center (NHC) a signalé que Zeta était à environ 355 miles au sud-sud-ouest de la Nouvelle-Orléans, Lousiana, se déplaçant à environ 15 mph, avec des vents maximum soutenus d'environ 85 mph.

    - voir carte sur site -

    Le NHC s'attend à une onde de tempête potentiellement mortelle pour les zones situées le long de la côte nord du golfe du Mexique d'ici mercredi après-midi, avec les plus fortes inondations autour de l'embouchure de la rivière des Perles et de Dauphin Island, en Alabama.

    - voir carte sur site -

    Des conditions d'ouragan sont attendues plus tard dans la journée pour "des parties de la zone d'alerte aux ouragans entre Morgan City, en Louisiane et la frontière Mississippi / Alabama", a déclaré le NHC. Des vents destructeurs et des pannes d'électricité généralisées sont probables pour le sud-est du Mississippi et le sud et le centre de l'Alabama alors que Zeta se déplace vers l'intérieur des terres.

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    Des pluies torrentielles sont attendues sur la côte centrale du golfe des États-Unis, dans la vallée du Tennessee, dans la vallée de l'Ohio, du sud au centre des Appalaches et dans les États du centre de l'Atlantique jusqu'à la fin de cette semaine.

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    Avant l'arrivée de Zeta, une poignée de sociétés énergétiques ont lancé lundi des plans d'évacuation des travailleurs des plates-formes offshore du golfe du Mexique.

    Si Zeta touche terre en Louisiane, ce serait la cinquième tempête nommée cette saison, avec les précédents atterrissages effectués par Cristobal, Laura, Marco et Delta.

    https://www.zerohedge.com/commodities/hurricane-zeta-takes-aim-louisiana-coast-wednesday-afternoon

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  17. * Un froid étonnant et une neige inhabituelle en début de saison… "Zeta" arrivera plus tard dans le sud-est de la Louisiane *


    Charles Rotter
    28 octobre 2020


    Les températures étaient de 30 à 50 degrés sous la normale tard lundi dans une zone étendue du Dakota au Texas et à l'ouest des Rocheuses. Carte gracieuseté de weathermodels.com, NOAA

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    Message d'invité par Paul Dorian

    Alors que la scène tropicale du bassin atlantique reste active, une explosion dans l'Arctique continue d'apporter un froid record dans certaines parties de l'ouest et du centre des États-Unis ainsi que des accumulations de neige inhabituelles en début de saison. Pendant ce temps, la tempête tropicale «Zeta» entre maintenant dans le golfe du Mexique après une brève rencontre avec la région de la péninsule du Yucatan au Mexique et il est fort probable qu'elle reviendra au statut d'ouragan (catégorie 1) plus tard dans la journée, puis touchera terre plus tard demain dans le sud-est. Louisiane. Les restes de «Zeta» se combineront avec une forte dépression de niveau supérieur maintenant au-dessus du sud-ouest des États-Unis pour générer un événement pluvieux important dans la vallée du Tennessee, dans la région médio-atlantique et au nord-est des États-Unis de jeudi à début vendredi. Vendredi, suffisamment d'air froid sera enveloppé dans le système puissant pour provoquer le passage à la neige et entraîner les premières neiges de la saison pour certaines parties du nord-est des États-Unis. Tout cela sera suivi d'un Halloween froid samedi avec des températures de quelque quinze degrés sous la normale dans le centre de l'Atlantique et le nord-est des États-Unis.


    De nombreuses températures record ou presque record le lundi 26 octobre dans le centre et l'ouest des États-Unis. Dans de nombreux endroits, la température la plus basse jamais enregistrée pour le mois d'octobre a été observée. Carte gracieuseté de coolwx.com, NOAA

    Une incroyable neige froide et inhabituelle

    Le froid arctique a été historique ces derniers jours dans certaines parties de l'ouest et du centre des États-Unis, certains records de basse température de longue date ayant été complètement annihilés. En fait, tard lundi, les températures étaient jusqu'à 30 à 50 degrés sous la normale dans une zone étendue s'étendant des Dakotas au Texas ainsi qu'à l'ouest à travers les Rocheuses.

    - voir carte sur site -

    De nombreuses températures record ou presque record le mardi 27 octobre dans le centre et l'ouest des États-Unis. Dans de nombreux endroits, la température la plus basse jamais enregistrée pour le mois d'octobre a été observée. Carte gracieuseté de coolwx.com, NOAA

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  18. Un exemple du froid extrême a eu lieu à Denver, dans le Colorado, lundi, où la température élevée a culminé à 15 ° F. Ce n'était pas seulement la température la plus froide jamais enregistrée à Denver au cours du mois d'octobre, elle a complètement brisé le précédent record quotidien du 26 octobre en divisant par deux les 31 ° F (0,5°C) relativement «doux» établis en 1923. Les records à Denver vont tout le chemin vers 1872 (c.-à-d. 142 ans) et la température la plus froide antérieure en octobre était de 18 ° F (-7,7°C). La basse température à Denver ce matin était un record de 8 ° F. Un autre exemple de froid extrême s'est produit à Bozeman, dans le Montana, où plus tôt dans la journée, la température basse enregistrée était de -20 ° F (-28,8°C), soit 31 degrés en dessous du record précédent de + 11 ° F. Enfin, le froid étonnant dans les Rocheuses présentait une basse température plus tôt aujourd'hui de -26 ° F (-32°C) à Laramie, Wyoming qui, si elle était vérifiée, non seulement battrait le record mensuel du mois d'octobre de 8 degrés, mais égalerait la température la plus froide. pour n'importe quel jour de novembre.

    En termes de neige, les accumulations seront importantes au cours des 36 prochaines heures environ dans certaines parties du Nouveau-Mexique et du Texas avec plus d'un demi-pied à certains endroits en plus de ce qui a déjà été reçu. Il y a eu jusqu'à un pied et demi observé hier dans certaines régions des Rocheuses du Colorado. Plus tôt dans cette longue vague de froid, il y avait une accumulation impressionnante de neige dans une zone s'étendant de l'intérieur du nord-ouest aux plaines du nord. Par exemple, Great Falls, dans le Montana, a connu son «jour» le plus enneigé au mois d'octobre et aussi son plus grand total de chutes de neige sur «deux jours». À Alexandrie, au Minnesota, les chutes de neige de ce mois en ont déjà fait le plus grand nombre jamais atteint pour le mois d'octobre.

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    La tempête tropicale «Zeta» est susceptible de toucher terre tard demain dans la partie sud-est de la Louisiane - peut-être en tant qu'ouragan de catégorie 1. Carte gracieuseté de NOAA / NHC

    Tempête tropicale «Zeta»… événement de pluie important… menace de neige accumulée vendredi dans le nord-est des États-Unis

    Alors que l'ouest et le centre des États-Unis connaissent un froid et de la neige inhabituels, le bassin de l'Atlantique est toujours en activité tropicale. «Zeta» est désormais classée comme tempête tropicale après s'être légèrement affaiblie pendant la nuit en rencontrant la partie nord-est de la péninsule du Yucatan au Mexique. Ce système tropical entre maintenant dans le golfe du Mexique et reviendra probablement au statut d'ouragan de catégorie 1 plus tard dans la journée en se déplaçant sur les eaux encore relativement chaudes. D'ici demain, "Zeta" touchera probablement terre dans la partie sud-est de la Louisiane - probablement en tant qu'ouragan de catégorie 1. Cela fera le 6ème coup direct de la saison tropicale dans l'état de Louisiane et «Zeta» a mis 2020 dans le livre des records en faisant correspondre la saison 2005 pour le plus grand nombre de tempêtes nommées dans une année donnée. Alors que le nombre de tempêtes nommées peut maintenant être égal, la force des tempêtes en 2005 était en moyenne nettement plus élevée que cette année. Sur les 27 tempêtes nommées jusqu'à présent en 2020, seules quatre ont atteint le statut d'ouragan majeur (c'est-à-dire de catégorie 3 ou plus) alors qu'en 2005, il y avait sept majeures, également un record.

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  19. - voir carte sur site -

    Un événement de pluie important arrive dans la vallée du Tennessee, au centre de l'Atlantique et au nord-est des États-Unis de jeudi à vendredi avec la combinaison des restes de «Zeta» et d'une forte dépression de niveau supérieur. Carte gracieuseté de NOAA / WPC

    Après avoir touché terre, les restes de «Zeta» tourneront vers le nord-est et se combineront avec une forte dépression de niveau supérieur maintenant au-dessus du sud-ouest des États-Unis pour générer un puissant système de tempêtes et un événement de pluie important dans la vallée du Tennessee, la région médio-atlantique et le nord-est des États-Unis. Du jeudi au vendredi. À la fin de jeudi soir et tôt vendredi matin, cette puissante tempête sera probablement située au large de la côte médio-atlantique et une masse d'air froid commencera à s'enrouler. Par conséquent, il y a de fortes chances que certaines des plus hautes altitudes, Les sections intérieures du nord-est des États-Unis (p. ex., Poconos, Catskills, Hudson Valley) connaissent un passage de la pluie à la neige avec des accumulations certainement sur la table. En fait, la neige peut s'accumuler tout le long du littoral du sud de la Nouvelle-Angleterre et des flocons sont possibles aussi loin au sud et à l'est que New York.

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    L'accumulation de neige est en effet une possibilité vendredi dans certaines parties du nord-est des États-Unis, comme le montre la prévision du modèle 06Z Euro. Carte gracieuseté de Weather Bell Analytics, ECMWF

    Premier gel possible et un Halloween froid dans le centre de l'Atlantique / nord-est des États-Unis

    Après le départ de la tempête, il deviendra assez froid vendredi soir dans le centre de l'Atlantique et le nord-est des États-Unis avec les premières températures basses sous le point de congélation possibles - même dans le couloir DC-Philly-New York. Si, en fait, samedi apporte le premier gel de la saison, cela marquera la saison de croissance la plus courte dans certaines régions (par exemple, Chester County, PA: source Paul Callahan, Twitter) depuis 2002 à 174 jours entre les gelées. Samedi, les températures pourraient très bien être en moyenne une quinzaine de degrés sous la normale dans le centre de l'Atlantique et le nord-est des États-Unis, ce qui en fera une période assez froide pour les tricheurs alors que nous terminons le mois d'octobre. En fait, les températures pourraient en fait plonger dans les chiffres à un chiffre dans le sud de l'État de New York tôt samedi, où il pourrait y avoir une chute de neige décente sur le sol.

    Une dernière remarque, c'est le week-end pour revenir en arrière dès le dimanche matin tôt, le 1er novembre.

    Meteorologist Paul Dorian

    Perspecta, Inc.

    perspectaweather.com

    https://wattsupwiththat.com/2020/10/28/astonishing-cold-and-unusual-early-season-snowzeta-to-make-landfall-later-in-southeastern-louisiana/

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  20. Ivan Rioufol met en garde contre une «insurrection civique» et quitte le plateau face à Pascal Praud en colère - vidéo


    14:59 28.10.2020
    Par Maria Balareva


    En plein direct de «L’heure des pros» sur CNews, le chroniqueur Ivan Rioufol a défendu la possibilité d’une «insurrection civique» contre les mesures de restriction. Ceci a mis en colère le présentateur Pascal Praud. La joute qui s’en est suivie a provoqué le brusque départ du plateau du chroniqueur.

    Des tensions ont éclaté sur le plateau de «L’heure des pros» sur CNews le 27 octobre entre deux chroniqueurs de l’émission et le présentateur Pascal Praud. Lui et ses invités se sont notamment penchés sur les éventuelles mesures de restriction attendues ce mercredi soir dans des annonces d’Emmanuel Macron.

    Pascal Praud est revenu sur ses propos datant d’il y a deux semaines, lorsqu’il avait qualifié une possible introduction d’un couvre-feu comme «de la com» qui «ne sert à rien».

    «Cher Jérôme», a-t-il lancé face au chroniqueur Jérôme Béglé. «Je vous avais dit il y a 15 jours que le couvre-feu ne servirait à rien. À rien. Je vous l'ai dit, à l'arrivée, tout cela ne sert à rien. Je vous le dis, on reconfinera, cela ne servira encore à rien»! Tu peux prendre toutes les mesures, t'as une épidémie qui arrive!»

    M.Béglé n’a pas tardé à contester ces propos en lançant qu’«on ne peut pas dire que le confinement ne sert à rien».

    «Taisez-vous!»

    Ensuite, Ivan Rioufol, journaliste, éditorialiste et essayiste français, a pris la parole devant le présentateur.

    «Méfiez-vous de cette insurrection civique qui monte», a lancé M.Rioufol en provoquant le mécontentement de Pascal Praud:
    «Cela fait quatre fois que vous le dîtes! On dirait que vous la souhaitez!» s’est emporté ce dernier avant de recevoir une réponse immédiate:

    «Presque! Ce serait une preuve de vitalité démocratique pour montrer que le peuple ne peut pas systématiquement se laisser dicter des décisions qui sont des décisions autocratiques.»

    Le ton est monté. Pascal Praud a considéré que si son interlocuteur veut «l'insurrection civique», c’est qu’il est «fou quand même», puisqu’on ne dit pas «cela sur un plateau de télévision».

    «Je dis ce que je veux, taisez-vous!» s’est exclamé Ivan Rioufol.
    Face à la réplique de M.Praud qui ne pouvait pas «tolérer cela», le chroniqueur s’est levé et a quitté brusquement le plateau de télévision.

    Malgré l’invitation du présentateur à revenir, celui-ci s’est définitivement éclipsé.

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  21. Situation sanitaire en France

    Face à la recrudescence des cas de contamination dans l’Hexagone, Emmanuel Macron devrait annoncer de nouvelles mesures visant à endiguer l’épidémie dans la soirée du 28 octobre. D'après différentes sources d’information, le gouvernement privilégie l’option d’un reconfinement général plus souple que celui de la première vague.

    Selon le bilan de Santé publique France, le pays a enregistré le 27 octobre 33.417 nouveaux cas contre 26.771 la veille, soit un total de 1.198.695 cas depuis le début de l'épidémie. Avec 523 décès supplémentaires, la France compte 35.541 personnes décédées des suites du Covid-19.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010281044644274-ivan-rioufol-appelle-a-une-insurrection-civique-en-france-et-quitte-le-plateau-face-a-pascal-praud/

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    1. (...) «Je vous avais dit il y a 15 jours que le couvre-feu ne servirait à rien. À rien. Je vous l'ai dit, à l'arrivée, tout cela ne sert à rien. Je vous le dis, on reconfinera, cela ne servira encore à rien»! (...)

      Et pourtant ! Il sert à TUER des gens ! Il y a plus de morts emprisonnés chez eux qu'à l'extérieur.
      L'emprisonnement (s'il y a) doit se faire FENÊTRES OUVERTES ! Car, l'augmentation de gaz carbonique en vase clos arrive à tuer. Pareillement que le gaz carbonique expiré à l'intérieur d'un masque et qui est ré-inspiré !

      Il s'agit à d'une mise en garde incontestable par aucun scientifique.

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  22. «Vous me prenez pour un imbécile ?» : l'échange tendu entre Raoult et Pujadas sur le coronavirus


    28 oct. 2020, 10:31


    Interrogé par David Pujadas, le Professeur Didier Raoult a mis en cause une gestion selon lui catastrophiste de la pandémie de Covid-19, tout en affirmant «ne pas être Nostradamus».

    Invité sur la chaîne d'information en continu LCI dans la soirée du 27 octobre 2020, le Professeur Didier Raoult a affirmé lors d'un échange relativement tendu avec David Pujadas «ne pas manier la peur pour effrayer les gens» et a mis en cause l'«erreur dramatique» commise dans la gestion de la pandémie de Covid-19 qui serait selon lui la «dramatisation perpétuelle». Il a critiqué le principe du confinement généralisé en ces termes : «Qu'est-ce qu'on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu'il y a des virus dehors ? Vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés !»

    Il a ajouté à sa critique du confinement – dont il affirme «ne pas pas être sûr qu'il avait une efficacité» – une défense de la fermeture des frontières dans la lutte contre le coronavirus.

    Mis en cause par le journaliste sur les erreurs d'appréciations qu'il a pu commettre, le directeur de l'Institut hospitalier universitaire en maladies infectieuses de Marseille lui a répondu sans ambages : «Si vous voulez me donner une leçon sur le coronavirus… vous êtes ridicule. Je dis toujours ce qu’il se passe. Parmi tous les imbéciles qui prédisent, il y en a toujours un qui a raison. Je suis très triste pour vous que vous soyez désespéré. Moi je regarde paisiblement pendant que vous, vous vous excitez sur ce que j’ai pu dire ou pas dire». «Vous croyez pas me couillonner comme ça ?» Tout en affirmant «ne pas être Nostradamus» et «dire toujours ce qui se passe au moment où ça se passe», Didier Raoult a reconnu ne pas avoir pu prédire «qu’une population qui avait vu passer une épidémie puisse faire, dans les trois mois qui suivent, une autre épidémie».

    L'infectiologue marseillais a également rappelé ne pas être un politique : «Je suis un scientifique donc j’ai trop d’interrogations pour prendre des décisions simples de nature sociale». Il s'en est alors pris aux méthodes de David Pujadas, qu'il a accusé de lui «répéter dix fois les mêmes choses». «Vous croyez pas me couillonner comme ça ?» lui a-t-il demandé, ajoutant : «Vous me prenez pour un imbécile ?». Selon les chiffres des autorités sanitaires, 523 nouveaux décès ont été répertoriés le 27 octobre des suites du Covid-19 en France, portant le total des victimes dans l'Hexagone à 35 541 depuis le début de la pandémie. Didier Raoult faisait partie des observateurs qui remettaient en cause la possibilité d'un rebond de l'épidémie, à ses débuts.

    https://francais.rt.com/france/80066-vous-me-prenez-pour-imbecile-echange-tendu-raoult-pujadas-coronavirus-covid-19

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  23. CONFINEMENT 2. PRÉPAREZ LE PQ ET LES RAVIOLIS !


    par CHARLES SANNAT
    28/10/2020


    Les ventes de papier toilette sont en hausse de 20%.

    Normalement, si j’ai bien fait mon travail, vous ne serez pas étonné par les annonces du président Macron ce soir à la télé car vous faites partie de ceux qui ont été prévenus, que cette crise sanitaire allait être durable et s’inscrire dans une dynamique en yo-yo et dans le temps long. De la même manière qu’après la pluie vient le beau temps, après le confinement vient le déconfinement, puis le reconfinement.

    En Italie, cela chauffe entre la population et la police.

    Ce sera vraisemblablement le cas aussi en France et cette situation de tension est très compréhensible.

    Les confinements et les restrictions imposées ont pour conséquences d’empêcher de biens braves gens de gagner leur vie dignement. Ils pourraient l’accepter si l’épidémie était grave.

    Le problème de fond est une dissonance cognitive majeure et cela va poser de gros problèmes !!
    Monsieur le cafetier, Monsieur le coiffeur, Madame la commerçante, vous tous qui bossez, je vous promets la misère pour lutter contre le virus !

    D’accord Monsieur le Président mais votre virus c’est combien de morts ?

    0.4 %…

    Haaa…. c’est po beaucoup.

    Et les morts ils ont quel âge ?

    85 ans !

    Haaa…. c’est beaucoup.

    Voilà le noeud du problème.

    Un terrible noeud.

    Soit c’est grave et les gens peuvent comprendre la nécessité de restrictions terribles, soit, ils ne comprennent pas et ce sera la révolte dans une France déjà tirraillée par de terribles et profondes pulsions de mort.

    Comment voulez-vous comprendre que c’est grave si on vous explique que c’est 0.4 % de mortalité avec que des gens de plus de 80 ans ?

    Impossible.

    Il va falloir couper ce noeud du mensonge !
    La vérité libère.

    Nous allons au devant d’affrontements violents, car aucune épidémie de 0.4 % de taux de létalité ne mérite objectivement ces restrictions.

    Il y a donc deux possibilités. Pas 10.

    Il n’y en a que deux.

    Soit c’est très grave et l’on nous ment pour éviter que l’on panique.

    Soit ce n’est pas grave du tout et on nous ment pour d’autres raisons.

    Dans les deux cas, vous remarquerez qu’il n’y a qu’une seule certitude.

    On nous ment.

    Mais… le moment où la vérité va éclater approche, et les violences en Italie en particulier, mais ce n’est pas le seul pays ou cela se passe sont un bien mauvais présage pour notre pays.

    Stockez PQ et raviolis !
    Ce n’est pas moi qui le dit c’est Michel Edouard Leclerc, qui explique que les ventes de papier toilette sont en hausse de 20 % et les ventes de pates explosent de 30 % !

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  24. Confinement : risque de pénurie alimentaire ? Je confirme :
    1/ les consommateurs depuis une semaine se jettent à nouveau sur les pâtes (+30 %) et le papier WC (+20 %).
    2/ pas de panique, il y a du stock partout.
    Ne rejouons pas mars 2020 ! #COVID19france #confinement2

    ? Michel-Edouard Leclerc (@Leclerc_MEL) October 27, 2020

    Prenez bien soin de vous mes amis, nous entrons dans les heures les plus sombres d’une année qui restera gravée dans nos mémoires. Prenez bien soin de vous, de vos proches et soyez prudents, ce n’est que le début.

    Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-reconfinement-france-penurie-magasins-achat-quotidien-sannat

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    1. Quand vous ressortirez de chez vous ce sera les pieds devant.

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  25. POUR LE MEDEF, UN RECONFINEMENT CE SERAIT L'ÉCROULEMENT DE L'ÉCONOMIE !


    par CHARLES SANNAT
    27/10/2020


    Bercy prévoit désormais une récession de 10% en France en 2020.

    Après vous avoir alerté pendant des semaines sur la seconde vague et la stratégie « stop and go » ou du confinement en « Yo-Yo », nous y sommes. Et même les plus sceptiques seront obligés de reconnaître, non pas la réalité de la maladie, puisque nous avons les « cenéqunegripetistes » d’un côté et les « portonsnosmasquesquandmêmistes » de l’autre mais au moins la réalité de ce qui arrive à savoir qu’ils soient d’accord ou pas, ils se prennent 135 euros d’amende dans le cadre d’un couvreu-feu de plus en plus vaste et étendu. Je vous ai « presque » tout dit et annoncé des différentes phases. Evidemment, ce n’est pas terminé. Ceux qui veulent comprendre et lire entre les lignes comprendront. Ceux qui ne veulent pas, et bien, je leur souhaite tout le meilleur.

    De la même manière que quelqu’un a dit « et pourtant elle tourne », malgré les critiques et les commentaires pas toujours très sympathiques, je peux vous le dire…. « et pourtant on va reconfiner ».

    Nous allons reconfiner. Un peu, beaucoup, moyennement, seulement le week-end, en laissant les écoles ouvertes idéalement et en les fermant à l’ultime moment, mais nous allons reconfiner. Ce n’est qu’une question de temps, de jours, peut-être même avant la rentrée scolaire de la fin de nos vacances de la Toussaint. Peu importe le nom donné à cette seconde phase. Le mot confinement sera peut-être même savamment évité, mais c’est de la sémantique pour neuneus. Dans les faits, les mesures de restrictions sociales seront à nouveau très fortes et pas drôles du tout.

    Du côté du MEDEF ce n’est pas la panique mais presque !

    Un reconfinement provoquerait un « écroulement de l’économie » française, alerte le patronat
    Voici les propos tenu par le patron du Medef et rapporté par le journal 20 Minutes.

    « Si on reconfine totalement comme en mars, on va vers un écroulement de l’économie française, on risque de ne pas s’en remettre » a averti lundi le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, qui estime qu’il ne s’agira pas seulement d’une « récession de 10 % » en 2020.

    Interrogé par la radio RMC, il a expliqué que l’économie se portait bien en mars lors du premier confinement, donc « les entreprises ont résisté au choc ». « Mais là les organismes sont affaiblis », a-t-il ajouté. Il a cependant nuancé ses propos en affirmant que : « les marchés ont une capacité de rebond incroyable, mais on va aller dans quelque chose de très, très dur ».

    Après l’instauration d’un couvre-feu qui concerne deux tiers des Français, les demandes, de la part de médecins et d’élus, se multiplient pour reconfiner, plus ou moins strictement, le territoire. Pour Geoffroy Roux de Bézieux, l’idée que la situation va se dégrader est bien présente dans l’esprit des ménages, qui ont déjà réduit leur consommation.

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  26. Il interpelle également sur le fait que les entreprises sont déjà « très endettées. Si on reconfine de manière généralisée, les entrepreneurs de TPE et PME ne vont pas recourir à nouveau à un PGE », les prêts garantis par l’Etat mis en place pour soutenir la trésorerie des sociétés en difficulté. « Il y a plusieurs mois très difficiles à passer mais il faut tenir, en trouvant un équilibre entre économie et santé », a conclu le président du Medef, convaincu que cet équilibre doit permettre de continuer à travailler ».

    Un confinement éco-compatible ?
    Le souhait est louable de trouver un mode de confinement éco-compatible, éco, pour économie, pas pour écologie, mais vous aviez compris.

    Sauf, que le virus se fiche comme d’une guigne de nos économies et qu’il ne va pas changer son comportement pour préserver nos économies.

    Si nous voulons maîtriser le nombre de morts et rendre les choses supportables, alors nous serons contraints à un moment de fermer une grande partie de l’économie.

    L’épidémie diminuera très fortement d’intensité.

    Puis, nous déconfinerons à nouveau et l’épidémie repartira jusqu’à ce que nous ayons un traitement ou un vaccin. Je l’ai déjà dit 100 fois.

    Les PGE, qui sont les prêts garantis par l’Etat, ne seront jamais remboursés par les entreprises. Il faudra non seulement les transformer en subvention, mais en plus il faudra remettre à la poche pour éviter un effondrement de tout notre tissu de PME-PMI.

    Notre endettement va encore bondir.

    La BCE monétisera nos déficits car il n’y aura pas le choix.

    Nous verserons encore plus de sous aux plus précaires, et c’est très bien. Cela préfigurera le futur revenu universel.

    Puis nous irons jusqu’au bout de la logique de destruction de nos monnaies.

    Puis nous ferons un grand reset.

    Et vous dans tout cela ?
    Et bien soit vous serez ruiné, soit vous subirez, soit vous comprenez bien la dynamique à l’œuvre, le timing, les possibilités de protections patrimoniales qui s’offrent à vous, vous décidez, et prenez des mesures forcément audacieuses et vous avez une chance d’en sortir sans trop de casse. Si vous ne savez pas comment vous y prendre, alors abonnez-vous à ma lettre STRATEGIES, vous aurez accès à presque 60 dossiers, des centaines de pages d’analyse, de conseils et de stratégies de protection patrimoniale. J’en profite pour redire à tous les abonnés, que le dossier sur « Immobilier le choc de la transition » est bien en ligne dans vos espaces lecteurs en téléchargement. Bonne lecture !

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-medef-reconfinement-ecroulement-economie-risque-france-sannat

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    1. Pour le consommateur lamda la chute de l'économie c'est plus de sou, pour le consommateur qui réfléchit cela veut dire que, les entreprises d'embouteillages et conserveries sont fermées et vident leur maigre stock, et que LA FAMINE MONDIALE EST A VENIR !

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  27. Herbicide vs pesticide: comment ces termes sont utilisés


    Par Michelle Miller,
    Farm Babehttp: //www.thefarmbabe.com
    27 octobre 2020


    «Pesticide» est un terme large qui couvre une variété de produits chimiques synthétiques et organiques, y compris les herbicides, utilisés pour gérer la production agricole

    Les médias sociaux peuvent être un outil incroyable et très amusant, mais comme d'habitude, il peut également y avoir beaucoup de désinformation - et les idées fausses courantes peuvent se propager facilement. L'un des plus courants que j'entends concerne les termes «herbicide» et «pesticide» - en les séparant généralement en deux catégories distinctes. Il semble que trop de gens ne réalisent pas que les herbicides sont considérés comme un type de pesticide. Tous les herbicides sont des pesticides, mais tous les pesticides ne sont pas des herbicides.

    Il est probable que certaines personnes ne considèrent que le terme «pesticide» s’agissant de la gestion des insectes, mais ce serait une interprétation incorrecte de ce terme, en particulier aux États-Unis et au Canada.

    Le mot «pesticide» vient des mots latins pestis (#scourge) et carder, qui signifie «tuer», et «pesticide» est un terme générique qui couvre tous les différents types de produits chimiques synthétiques et organiques utilisés pour contrôler les problèmes des agriculteurs et propriétaires aussi bien. Les herbicides sont conçus pour tuer les mauvaises herbes, et il existe plusieurs autres types de «cides». Par exemple:

    Les herbicides tuent les mauvaises herbes
    Les insecticides tuent les insectes
    Les parasiticides tuent les parasites
    Les fongicides tuent les champignons
    Les rodenticides sont pour les rongeurs
    Les bactéricides sont pour les bactéries
    Les larvicides sont pour les larves
    Ce sont tous considérés comme des pesticides, y compris les herbicides. Mais souvent, les gens comprennent ce fait incorrect, alors maintenant vous le savez !

    Lorsque les agriculteurs appliquent des produits chimiques, ils doivent souvent détenir des licences, des certifications et suivre une formation continue pour postuler. Cette vidéo des Peterson Farm Brothers fait un excellent travail pour expliquer comment cela est fait. Et cette vidéo montre à quel point on en utilise souvent peu. La quantité, la fréquence d'application et le mode d'action contribuent tous à l'impact et à l'efficacité, et les seuils appropriés sont déterminés par l'Agence américaine de protection de l'environnement.

    - voir clip sur site -

    Les cultures des agriculteurs sont souvent testées pour leur sécurité, et les pesticides (également appelés produits de protection des cultures) passent par des décennies de recherche pour garantir leur efficacité et leur sécurité. Les agriculteurs veulent en utiliser le moins possible car leur application peut être très coûteuse et longue. Parfois même, les agriculteurs biologiques et conventionnels n'appliquent aucune protection des cultures aux champs.

    Les types de produits utilisés dans une ferme peuvent déterminer si une ferme est conventionnelle ou biologique (car le biologique a certaines restrictions en place), mais ils n'indiquent pas nécessairement si une ferme serait appelée «régénérative», un mot à la mode plus moderne pour lequel il n'y a pas de définition communément acceptée.

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  28. Ainsi, lorsque vous pensez aux produits chimiques agricoles, sachez que les agriculteurs ont de très nombreux défis à relever, sinon les rendements peuvent parfois tomber rapidement à zéro. Cela peut s'appliquer aux produits plus importants tels que le maïs et le soja, ou aux cultures spéciales telles que les pommes, les tomates ou la laitue. De plus, d'un point de vue cosmétique, les gens ne veulent pas acheter de produits malsains malades ou infestés d'insectes. Comment obtenir des produits parfaits ? Souvent, des produits chimiques sont utilisés, ce qui est fait depuis des milliers d'années - certaines sources indiquent que leur utilisation remonte à 4 500 ans.

    Qu'ils soient naturels, synthétiques ou intégrés à la graine, nous devrions être reconnaissants des outils de la boîte à outils (lorsqu'ils sont utilisés de manière responsable) pour nous assurer que le monde est bien nourri. Ils sont également utilisés en production biologique! Parfois, dans des cas comme celui de la tordeuse du rat à Hawaï, les pesticides chimiques peuvent sauver des vies.

    L'une de mes analogies préférées en matière d'utilisation agrochimique est que les plantes sont vivantes et nous aussi. Nous avons besoin de produits chimiques pour survivre - et tout est fait de produits chimiques! L'écran solaire est fait de composés chimiques pour nous protéger du soleil. Nous avons besoin d'un insectifuge pour nous protéger des piqûres d'insectes. Nous avons besoin de médicaments, de nourriture et de nutriments pour survivre. Alors faites les plantes! Les êtres vivants ont besoin de protection, et il appartient aux agriculteurs de faire ce qu’ils font de mieux et de protéger leurs cultures, tout comme nous nous protégerions en tant qu’êtres vivants.

    Michelle Miller, the Farm Babe, est une agricultrice, conférencière et écrivaine qui travaille depuis des années dans les cultures en ligne, les bovins de boucherie et les moutons. Elle croit que l'éducation est essentielle pour combler le fossé entre les agriculteurs et les consommateurs.

    https://www.agdaily.com/crops/herbicides-vs-pesticides-how-terms-are-used/

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    1. 99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes

      dimanche 2 décembre 2018

      https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html

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  29. La production de laitue recule, les prix se maintiennent

    Entre mai et septembre, les prix à la production restent similaires à ceux des années précédentes et la production est en baisse.

    Le recul des surfaces et les pertes de productions attendues dans la plupart des régions productrices font pencher pour une baisse de la production de laitue sur la campagne 2020-2021, selon les estimations au 1er octobre 2020. Malgré la baisse de l’offre, les prix se maintiennent à des niveaux moyens.

    La production de laitue de la saison 2020-2021 atteindraient 510,3 millions de têtes, soit un recul de 1% sur un an, et de 8% par rapport à la moyenne des cinq dernières saisons, a noté Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, dans sa note d’Infos rapides diffusée le 22 octobre 2020. En cause, la baisse de l’assolement et les mauvaises conditions climatiques qui provoquent des pertes de rendements.

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    1. à 10 cts d'€/la tête de salade revendue à... 1 € quand ce n'est pas 2 € !!!

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  30. Les semenciers réclament de nouvelles techniques génétiques


    En France, tous les travaux de recherche des semenciers se font donc « en sélection conventionnelle », en cherchant des sources de tolérance, de résistance, « par croisement »

    La culture de semences OGM est interdite dans l’Union européenne. Or, face à la concurrence, les semenciers européens veulent pousser Bruxelles à revoir sa directive.

    Après le feu vert argentin au premier blé OGM jamais conçu, les semenciers européens aimeraient utiliser des outils de sélection génétique plus rapides. Et ce, pour adapter les plantes au changement climatique et à la sécheresse. Sauf que cela reste interdit dans l’Union européenne.

    L’Europe bloque sur les OGM

    « On travaille sur toutes les espèces que nous sélectionnons, à contrer les conséquences du changement climatique, à la fois la sécheresse et également les nouveaux ravageurs qui apparaissent à cause du changement », explique François Desprez, président du semencier nordiste Florimond-Desprez.

    Feu vert au blé transgénique en Argentine (10/10/2020)

    Ce semencier a mis à disposition de son partenaire argentin Bioceres ses « lignées conventionnelles de blé pour qu’il les transforme, en y incorporant un trait génétique de résistance ». Ainsi, il a permis à Bioceres de proposer sur le marché le premier OGM de blé mondial.

    Mais sauf exception, la culture de semences issues de ce procédé de transgénèse est interdite en Europe. Elle consiste à introduire un gène extérieur à la plante.

    Quelles options face à l’interdiction des OGM ?

    En France, tous les travaux de recherche des semenciers se font donc « en sélection conventionnelle », en cherchant des sources de tolérance, de résistance, « par croisement », explique François Desprez, également président de l’interprofession des semences en France, le Gnis.

    Ce type de sélection variétale classique prend du temps : sept à dix ans pour mettre au point une nouvelle variété. D’où un intérêt croissant pour de nouvelles techniques dites de mutagénèse dirigée, qui consistent, contrairement aux OGM, non pas à introduire un gène extérieur, mais à modifier directement le génome de la plante.

    Cette technique est rendue accessible par la mise au point d’outils comme les ciseaux moléculaires Crispr/Cas9, qui ont valu récemment le prix Nobel de chimie à la Française Emmanuelle Charpentier et à l’Américaine Jennifer Doudna.

    Les antis-OGM ripostent

    Or, en juillet 2018, la Cour de Justice européenne a déjà objecté que tout organisme issu de ces nouvelles techniques relève aussi des OGM, et doit donc être soumis aux mêmes règles. Un avis auquel s’est rangé en France le Conseil d’État en février dernier.

    Deux mois après l’échéance du délai accordé à l’État pour adapter la législation française, les opposants aux OGM et aux techniques d’édition du génome ont de nouveau saisi le Conseil d’État.

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  31. Le Conseil d’Etat devra se pencher sur les OGM (14/10/2020)

    « On demande des astreintes jusqu’à ce que le gouvernement applique ces décisions », a indiqué Guy Kastler, du syndicat agricole Confédération paysanne, opposé aux OGM comme aux nouvelles techniques, à l’origine de cette dernière saisine.

    « Quand on travaille au niveau de la cellule, on provoque tout un tas de recombinaisons génétiques qui ne se font pas en respectant les lois naturelles de l’évolution », affirme Guy Kastler, craignant des risques pour la santé et l’environnement.

    Rouvrir la directive OGM ?

    Le ministère de l’Agriculture se défend de tout immobilisme et affirme que « devant un risque potentiel de contentieux au niveau européen », le gouvernement a lui aussi sollicité l’avis du Conseil d’État sur les modalités d’exécution de sa décision.

    Pour sortir de l’imbroglio juridique, « à l’avenir, le débat de la profession semencière va peut-être être de rouvrir la directive européenne sur les OGM pour repréciser les choses », estime Daniel Jacquemond, dirigeant de Vilmorin & Cie, quatrième semencier mondial.

    « Une grande partie de ces technologies n’ont rien à voir sur le plan scientifique avec les OGM », assure-t-il, en regrettant qu’elles soient « interdites sur le végétal » (par la décision de la Cour de Justice, NDLR), alors qu’elles sont jugées « extraordinaires » pour « travailler sur l’humain », à résoudre des maladies rares notamment.

    « Pas de relance sans les biotechnologies » (15/09/2020)

    « Si la société veut moins de produits chimiques, il ne faut pas qu’elle tue l’outil qui peut lui apporter des alternatives aux produits chimiques en permettant de développer plus vite des semences plus résistantes aux maladies, à la sécheresse ou aux insectes » résume un autre grand semencier européen, qui requiert l’anonymat.

    Si la décision de l’État français est encore inconnue, le ministre de l’Agriculture semble avoir une idée claire du sujet : « je ne suis absolument pas opposé aux nouvelles technologies, mais alors absolument pas », a déclaré en juillet 2020 Julien Denormandie devant la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale, en privilégiant une « approche de santé ».

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    1. Sachant que plus de 80% des fruits & légumes sont importés...

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  32. Les sénateurs examinent le projet de loi sur les néonicotinoïdes


    Le ministre de l’Agriculture a souligné l’adoption, en commission des affaires économiques du Sénat, de trois amendements qui « viennent utilement compléter le dispositif ».

    Le processus de validation du projet de loi portant sur l’utilisation dérogatoire des néonicotinoïdes sur betteraves continue. Au cours du débat en séance plénière au Sénat, qui a débuté le 27 octobre 2020 en fin d’après-midi, 22 amendements doivent être discutés.

    « Il n’y a pas d’alternative d’échelle, qu’elle soit économique, agronomique ou chimique », a affirmé Julien Denormandie, le ministre de l’Agriculture, en ouverture du débat au Sénat le 27 octobre 2020 sur le projet de texte autorisant l’utilisation dérogatoire des néonicotinoïdes sur betteraves.

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  33. Une clause pour lutter contre les recours abusifs


    Les notaires du Morbihan intègrent depuis juin une clause aux avant-contrats de vente immobilière prévenir les conflits de voisinage.

    Dans le Morbihan, lors des transactions immobilières, les notaires intègrent depuis juin une clause pour prévenir les conflits de voisinage. Cette mesure doit être étendue aux autres départements bretons et à la Loire-Atlantique.

    Moteur du tracteur, odeurs de lisier, boue sur la route, bruit du chariot élévateur du chantier ostréicole, sirène de bateau… Le Morbihan, comme d’autres départements ruraux qui accueillent de nouveaux résidents, constate chaque année un accroissement déraisonnable du nombre de plaintes pour des nuisances sonores, olfactives, visuelles.

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  34. De moins en moins d’agricultrices

    Si vous êtes un agriculteur de sexe masculin, de plus de 50 ans et n’employant aucun salarié, vous faites partie du profil type identifié par l’Insee sur l’année 2019.

    L’Insee a publié ce 23 octobre 2020 une étude qui indique que trois quarts des agriculteurs sont des hommes et qu’ils sont 55 % à avoir plus de 50 ans.

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  35. Les principales réactions du monde économique à l'allocution d'Emmanuel Macron


    07:03 29.10.2020
    Par AFP


    Emmanuel Macron a annoncé le 28 octobre un reconfinement d'une durée minimale d'un mois pour tenter d'endiguer la deuxième vague de l'épidémie de coronavirus. Voici les premières réactions d'organisations patronales et syndicales.
    Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef:

    «Ce reconfinement va coûter au pays entre 50 et 75 milliards d'euros de PIB et provoquer des dégâts économiques et humains considérables.
    Il nous faut une vraie concertation avec les professionnels concernés, et principalement les commerçants, pour qu'on puisse définir des protocoles permettant leur réouverture dès le 9 novembre.

    Ce n'est pas dans les commerces que se fait la contamination mais dans la sphère privée et pourtant ce sont eux qui sont pénalisés. Je comprends leur désarroi et leur colère.

    Il est impératif de tracer une perspective. On ne peut pas se permettre de confiner et déconfiner tous les trois mois. Le virus est là pour longtemps. Il faut imaginer dès maintenant une façon de vivre et travailler avec.»

    François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) à l'AFP:

    «Ce que nous a dit Emmanuel Macron, ça existe déjà. Le fonds de solidarité qui monte à 10.000 euros ça existe déjà. Pour le moment, rien de nouveau malheureusement pour les entreprises qui vont être fortement impactées.

    J'attends vraiment qu'on règle le problème des loyers, qu'on fasse en sorte que leurs pertes d'activité puissent être compensées, parce qu'il n'y aura pas d'autre alternative que d'aller au tribunal de commerce.

    Économiquement c'est une mise à mort quelque part, s'il n'y a pas un plan de soutien à la hauteur des efforts qu'on leur demande (...). Nous attendons maintenant des éléments précis pour être rassurés.»
    Commission exécutive de la CFDT:

    «La gravité de la situation nécessite la responsabilité de chacun et le respect des mesures annoncées. Tout doit être mis en oeuvre pour freiner l'épidémie et permettre aux équipes soignantes d'accomplir leurs missions.

    Depuis huit mois, nous traversons une période totalement inédite. Les travailleurs n'en sont nullement responsables. Ils ne doivent pas en être les premières victimes. Les dispositifs destinés à protéger les emplois et les revenus et à sauver les compétences d'une crise économique dont l'échéance est incertaine, doivent être tous reconduits sans exception. Le télétravail doit être généralisé partout où c'est possible.

    Les personnes les plus précaires, celles qui ont basculé ou sont sur le point de basculer dans la pauvreté, doivent être davantage aidées et accompagnées. Le versement de primes ponctuelles, aussi important soit-il, n'est pas suffisant. La CFDT réitère sa demande d'augmentation des minima sociaux et d'ouverture du RSA aux moins de 25 ans.»

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  36. L'Union des entreprises de proximité (U2P) (artisans, professions libérales et petits commerçants):

    Les mesures présentées mercredi sont «peu compréhensibles et dangereuses pour tout un pan de l'économie».
    «Comment justifier la décision unilatérale de fermer de très nombreuses entreprises alors que (...) l'essentiel de l'amplification de la pandémie provient de la sphère privée?». «Nous sommes en train de perdre les trois principaux moteurs nécessaires à la vie des entreprises: confiance, activité et visibilité», a alerté son président Laurent Munerot.

    Roland Héguy, président de l'Umih (Union des métiers des industries de l'hôtellerie), le principal syndicat de l'hôtellerie, à l'AFP:

    «L'épidémie et l'économie sont hors de contrôle. Les bars et restaurants sont montrés du doigt, on a l'impression que ce sont nous qui propageons l'épidémie. À partir de ce week-end des milliers de commerçants n'auront plus un euro de recette mais toujours des charges fixes. 30% de nos entreprises risquent de ne pas survivre.

    [Sur les aides annoncées] On veut surtout une mise en oeuvre immédiate. On ne peut pas annoncer des aides tous les 15 jours, alors qu'on a déjà perdu beaucoup de temps, sur le paiement des loyers par exemple. Un chef d'entreprise doit pouvoir connaître les aides qu'il aura fin novembre, décembre et jusqu'à la fin de la situation sanitaire pour décider s'il continue son activité.»

    Emmanuel Le Roch, délégué général de la Fédération pour l'urbanisme et le développement du commerce spécialisé, à l'AFP:

    «On est moins choqués qu'au mois de mars, mais on avait quand même un espoir que les mesures mises en place pour protéger les clients nous permettent de rester ouverts, notamment car les mois de novembre et décembre sont très importants pour l'activité.

    La question est vraiment celle de la survie. La vitesse des aides va générer la confiance nécessaire pour se donner les meilleures chances de ne pas mourir. On ne peut pas sacrifier aux difficultés actuelles des gens qui seront demain paupérisés, et potentiellement pour longtemps».

    Didier Chenet, président du Groupement National des Indépendants (GNI) à l'AFP:

    «Le choc est très dur. Il faut changer de méthode. Dans un brouillard tel que celui-là, il nous faut plus que jamais des mesures concrètes (...) qui s'inscrivent dans le temps et qui soient appliquées immédiatement. Le problème des loyers doit être réglé dès la semaine prochaine.

    Je pense que les ministres (Bruno Le Maire et Alain Griset, NDLR) mouillent la chemise, mais derrière l'administration (de Bercy) ne suit pas et nous met même des bâtons dans les roues. Il faut que la politique reprenne le pouvoir face à la technocratie.»
    Jacques Creyssel, patron de la Fédération du commerce et de la distribution (FCD), à l'AFP:

    «Il s'agit de mesures très difficiles pour le commerce, et beaucoup vont malheureusement être obligés de fermer à un moment essentiel de l'année, en pleine préparation de Noël et après deux années où cette période avait été extrêmement compliquée. On espère que la petite lueur d'espoir que le Président a apportée en fin de discours pourra se concrétiser...»

    https://fr.sputniknews.com/france/202010291044646989-les-principales-reactions-du-monde-economique-a-lallocution-demmanuel-macron/

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    1. (...) Depuis huit mois, nous traversons une période totalement inédite. (...)

      Âh çà oui pour être inédite elle est inédite !!
      JAMAIS dans l'histoire du monde le Peuple n'a été emprisonné chez lui et obligé de porter un masque afin qu'en respirant son gaz carbonique expiré dans le masque il ait des maux de tête, vertige, perte de connaissance et de mémoire irréparable !
      La concentration excessive de gaz carbonique tue !

      C'est pourquoi la dictature totalitaire vous ordonne de crever ! Bill Gates a dit "Il ne faut que 500 000 personnes sur Terre" ! Il suffit donc de déclarer une FAUSSE épidémie (grippette) comme étant très très dangereuse pour éliminer 6 milliards 500 000 millions de personnes. Ne demeurerons que les enfants privés de masque de mort qui seront confiés aux pédophiles au pouvoir dans le monde !

      - Votre machine à laver et votre frigo sont en panne ? Désolé ! Toutes les entreprises de pièces détachées sont fermées ! Hahaha !

      - Votre chaudière est en panne alors qu'il fait cet hiver -30°C dehors ? Hahaha ! Désolé ! La dictature suprême interdit la combustion de mazout, de bois ou de gaz ! Branchez-vous vite à l'éolienne ! Hahahaha !

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  37. Les infirmières représentaient 36,3% de toutes les hospitalisations de travailleurs de la santé au COVID-19 ce printemps: étude CDC


    par Tyler Durden
    Mer 28/10/2020 - 22:05

    La preuve continue à émerger que les infirmières, qui sont généralement la première ligne d'aide dans tout milieu hospitalier, sont les plus touchées par l'épidémie de Covid parmi les travailleurs de la santé.

    Plus de 33 % de tous les travailleurs de la santé qui ont été hospitalisés pour Covid-19 entre mars et mai se sont avérés occuper des postes liés aux soins infirmiers, selon un nouveau rapport de Becker's Hospital Review, citant une analyse du CDC.

    En général, les travailleurs de la santé ont représenté environ 6% du total des adultes hospitalisés en raison de Covid. 36,3% de ces hospitalisations étaient des infirmières ou des infirmières auxiliaires certifiées.

    L'analyse du CDC a porté sur 6 760 hospitalisations dans 13 États, dont New York, l'Ohio et la Californie. Il a également révélé que 90% des travailleurs de la santé hospitalisés en raison de Covid-19 avaient des conditions sous-jacentes, telles que l'obésité.

    28% des personnes hospitalisées ont été admises à l'ICE et 15,8% ont nécessité une ventilation invasive. 4,2% des personnes admises sont décédées pendant l'hospitalisation. L'analyse n'a pas différencié si les travailleurs de la santé ont attrapé Covid-19 dans le cadre de leurs tâches professionnelles ou au sein de leurs communautés respectives.

    Le CDC a déclaré: "Les travailleurs de la santé peuvent avoir une maladie grave associée au COVID-19, soulignant le besoin de prévention et de contrôle continus des infections dans les milieux de soins de santé ainsi que des efforts d'atténuation communautaires pour réduire la transmission."

    - voir graphique sur site -

    Et bien que l'étude ne prenne pas en compte la rémunération associée au fait d'être infirmière, nous sommes prêts à parier qu'ils ne sont guère rémunérés de manière appropriée pour les risques qu'ils ont pris à travers le pays.

    Rappelez-vous, il y a des mois, c'était un problème que nous avions signalé avec les EMT. Nous avons noté que beaucoup quittaient leur emploi en «nombres alarmants» parce que la pandémie de Covid l'avait rendue écrasante et ne valait pas le salaire subalterne qu'ils gagnaient.

    Robert Baer, un EMT à New York qui était autrefois l'un des premiers intervenants le 11 septembre, a déclaré à CBS il y a plusieurs mois: "Je savais que cela me tuerait probablement si j'allais là-bas et que j'avais plusieurs expositions - et je ne le suis pas un poulet. J'adore le travail, mais mes médecins me disaient que je ne devrais pas aller sur le terrain, que c'était très dangereux. "

    Il devait être déployé à l'hôpital d'Elmhurst dans le Queens en mars, mais a décidé que ses risques étaient trop élevés et, à la place, a quitté son emploi. À la suite de la réponse du 11 septembre, il souffre d'asthme, de bronchite chronique et d'apnée du sommeil qui le mettent à un risque plus élevé de Covid.

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  38. Oren Barzilay, président de la section locale 2507 du FDNY-EMS, représentant les médecins de la ville de New York, a noté qu'environ 60 ambulanciers avaient quitté le département au cours des 4 derniers mois. Beaucoup de ceux qui partent à la retraite ont plus de 50 ans.

    Barzilay a déclaré: "Certaines personnes aiment terminer 30 ans de travail afin de maximiser leur pension, mais j'ai remarqué une tendance ces dernières semaines selon laquelle ils ne sont plus vraiment préoccupés par cela. Dès qu'ils atteignent leur admissibilité, ce qui est 25 ans, ils partent. "

    "Ils voient les risques associés à l'emploi et aux bas salaires, et cela n'en vaut tout simplement pas la peine", a poursuivi Barzilay. Les EMT commencent à seulement 30 000 $ par an à New York et paient le dessus à environ 50 000 $. À l'échelle nationale, l'emploi ne paie que 38 830 $ par année en moyenne.

    https://www.zerohedge.com/markets/nurses-were-363-all-covid-19-healthcare-worker-hospitalizations-spring-cdc-study

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  39. La maladie infectieuse n'est-elle qu'un jeu de coquille ?
    Un virus Corona Cold n'est peut-être pas la cause du COVID-19


    Par Bill Sardi
    29 octobre 2020


    Comment la médecine moderne s'en sort-elle en disant qu'il existe un nouveau coronavirus (virus du rhume) nouvellement muté qui est mortel et qui se propage dans le monde entier contre lequel nous n'avons aucune immunité et dit ensuite que la grippe a disparu en même temps? Le COVID-19 est-il vraiment juste la grippe?

    Il est maintenant révélé que la grippe a presque disparu (baisse de 98%) en cette année de pandémie COVID-19. Et pas seulement ici aux États-Unis Selon un rapport paru dans le DAILY MAIL, il n'y a eu que 12 cas de grippe au Chili entre avril et octobre (7000 cas de grippe ont été signalés l'année précédente). En Afrique du Sud, les cas de grippe ont littéralement disparu.

    Un virologue dit qu'il n'y a pas de confusion entre un virus de la grippe et un virus du rhume. Au microscope, "un fragment de matériel génétique d'un coronavirus ressemble à des spaghettis, tandis que le matériel génétique de la grippe ressemble à 8 morceaux de pâtes penne." Il n'y a donc pas de confusion dans le laboratoire. Seulement à l'extérieur du laboratoire.

    Les cas de cancer du poumon ont également diminué de 75 %. Ou le cancer du poumon était-il simplement codé COVID-19 ?

    Bien qu'il existe encore des campagnes d'information publiques qui exhortent le public à se faire vacciner contre la grippe cette année du COVID-19, elles sont malhonnêtes. La grippe a disparu! Apparemment, le rhume (dont les coronavirus sont un type de virus du rhume) a entraîné la disparition de la grippe.

    Lequel est venu en premier: le rhume ou la grippe?

    Comme le montre une étude menée à Yale sur 13 000 cas admis à l'hôpital pour détresse respiratoire, personne n'a jamais eu un rhume et la grippe en même temps.

    Les immunologistes affirment qu'il y a «une interférence entre les rhumes (rhinovirus) et la grippe A. Eh bien, un peu. La première infection active le système immunitaire et évite certainement toute autre infection virale.

    L'exemple des pro-biotiques et des pré-biotiques

    Ceci est démontré avec les probiotiques (Acidophilus / Bifidus), vendus dans les magasins de santé. Sachez que le tube digestif humain comprend ~ 70% du système immunitaire humain.

    Selon un rapport publié par l'Association scientifique internationale pour les probiotiques et les prébiotiques, les pro-biotiques comme l'acidophilus ne se répliquent pas et ne colonisent pas (restent) comme les graines de graminées pour fabriquer des bactéries plus amicales. Les pro-biotiques sont des bactéries non pathogènes qui activent de manière transitoire une réponse immunitaire. Cependant, les probiotiques ne réduisent que légèrement le risque de rhume et de grippe. Les probiotiques réduisent légèrement l'incidence et la gravité des rhumes.

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  40. Alors que les pré-biotiques comme le resvératrol, molécule de vin rouge, qui favorisent la croissance de bactéries saines dans le tube digestif, inhibent également la réplication des virus. Le resvératrol et la quercétine, deux molécules présentes dans le raisin et en plus grande concentration dans le vin, inhibent fortement la croissance des virus A & B à la plus faible concentration testée (bien sûr, ce n'est pas une excuse pour sur-imbiber).

    En passant, s'il existe de meilleures façons de gérer le stress mental posé par la propagation d'une souche mutée potentiellement mortelle de coronavirus que de boire de l'alcool, la consommation qui est à un niveau record, le vin semble être la boisson préférentielle de choix. pendant la pandémie de verrouillage COVID-19.

    Une astuce statistique

    Pour en revenir à l'acte de disparition de la grippe, il y a en fait une astuce statistique en cours. Certaines années précédentes, il y avait si peu de décès causés par la grippe (seulement 257 décès dus à la grippe aux États-Unis en 2001, selon l'American Lung Association (44970 selon le CDC) et seulement 727 décès dus à la grippe en 2002, selon l'American Lung Association (18945, selon l'American Lung Association). Je compare illogiquement les cas aux décès, mais vous voyez l'idée. Sous quelle coquille de noix se cache le vrai virus de la grippe?

    L '«acte de disparition» de la grippe a été causé par de faux chiffres utilisés à des fins de comparaison. Dans ce jeu de coquille, il n'y a jamais eu de cas de grippe, ou seulement quelques cas de grippe confirmés en laboratoire.

    La disparition des cas de grippe saisonnière et des décès, confirmée par un rapport des Centers for Disease Control (voir également le graphique en bas) est en grande partie un phénomène statistique.

    Non expliqué par le verrouillage ou les masques faciaux

    Ah, disent les critiques, la grippe a disparu à cause de l'éloignement social et des masques faciaux. Vraiment, ces pratiques peuvent-elles distinguer la grippe du COVID-19? La distanciation sociale, l'utilisation de masques faciaux et le confinement de la population ne pourraient pas être responsables de ce déclin car il ne s'agit pas de mesures spécifiques à la grippe (les cas de virus COVID-19 ont augmenté au cours de la même période) et ne font que retarder, et non prévenir, les maladies infectieuses.

    Finalement, vous obtenez COVID-19, peu importe comment vous vous en cachez. Le Dr Johan Giesecke déclare: «Tout le monde sera exposé au COVID-19 sera infecté, mais nous ne le voyons pas car il se propage presque toujours des personnes plus jeunes avec des symptômes faibles ou inexistants à d'autres personnes qui auront des symptômes légers.»

    Mais l'humanité ne succombe peut-être pas à la grippe ou à un coronavirus. Comme expliqué dans un rapport précédent, nous sommes malades et mourons d'un système immunitaire affaibli causé par une baisse de la vitamine D du soleil pendant les mois d'hiver lorsque les humains se regroupent et n'exposent pas leur peau aux rayons UV du soleil produisant de la vitamine D. . Bien que ce ne soit pas la seule carence en nutriments qui déclenche une maladie pulmonaire dans la pandémie actuelle, comme les lecteurs l'apprendront plus tard dans ce rapport.

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  41. La saisonnalité des infections à coronavirus reste inexpliquée

    Le CDC n'offre aucune explication sur la saisonnalité des épidémies de grippe et de rhume. Les virus étaient toujours là. La vitamine D va et vient lorsque l’axe de la Terre s’éloigne du soleil pendant les mois d’hiver dans l’hémisphère nord. La saison des coronavirus va de novembre à avril.

    L'humanité a subi un lavage de cerveau en pensant qu'elle avait une «carence en vaccin», pas une carence en vitamines.

    Ou le COVID-19 est-il réellement TB ?

    Pour des raisons non expliquées par les Centers for Disease Control, les cas de coronavirus COVID-19 sont concentrés dans les États du nord (manque de vitamine D dans les climats nordiques ?) Et en Californie, au Texas, en Floride et à New York, où il y a des taux élevés d'un autre infection pulmonaire, tuberculose.

    Le COVID-19 est saisonnier, tout comme la tuberculose. Les deux maladies présentent des symptômes similaires. La tuberculose et le COVID-19 sont traités avec les mêmes médicaments (azithromycine, hydroxychloroquine). Le risque de COVID-19 est réduit par la vaccination avec le vaccin antituberculeux. Et il existe une incitation financière pour les hôpitaux à reclassifier les cas de tuberculose comme COVID-19.

    Les cas de tuberculose sont-ils simplement recodés à des fins de facturation d'assurance en COVID-19 qui est remboursé à un taux plus élevé? Lorsque les données sur la tuberculose à partir de 2020 sont compilées et rapportées l'année prochaine, et si on constate une baisse drastique des cas de tuberculose, ce serait une preuve que les cas de tuberculose pourraient avoir été reclassés en COVID-19. N'oublions pas que la grippe espagnole de 1918 a été plus tard trouvée être une tuberculose, non causée par un virus.

    La baisse des cas de grippe peut également être due à l'utilisation de remèdes naturels par les populations humaines (vitamines C, D, oligo-éléments zinc).

    Alors précisément, qu'est-ce qui cause le COVID-19 ?

    Le COVID-19 produit des symptômes similaires à ceux de la grippe et de la tuberculose, mais il existe une symptomologie et une pathologie uniques: perte d'odorat (anosmie), très répandue dans les cas de COVID-19, mais pas tellement dans d'autres pathologies pulmonaires; symptômes silencieux, mais se terminant par des poumons cicatrisés (fibrose); problèmes de coagulation sanguine; lésions cutanées (éruptions cutanées, urticaire, aberrations de type varicelle; fatigue prolongée (faible thyroïde); délire (confusion mentale); faible taux d'oxygène dans le sang, mauvaise circulation («COVID orteils»), faible taux de testostérone.

    Tous ces symptômes de la maladie sont liés à une pénurie de l'oligo-élément zinc

    Pénurie de zinc et COVID19

    Cet auteur a présenté un rapport montrant que pratiquement tous les symptômes du COVID-19 sont les mêmes produits par une carence en zinc.

    Une perte d'appétit accompagnée d'une perte de poids est fréquemment rapportée chez les patients atteints de COVID-19 (le zinc est souvent le premier remède utilisé pour traiter l'anorexie). Même le délire, signalé chez les personnes souffrant de COVID-19, peut devenir évident lorsque les niveaux de zinc sont faibles. Idem pour la survenue d'une mauvaise circulation sanguine («orteils COVID»), problèmes de peau, nausées, chute de cheveux.

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  42. En lisant tout cela, beaucoup ont choisi involontairement une surdose de zinc, ce qui provoque une partie de la même symptomologie. Alors, suivez les suggestions de dosage.

    Dosage de zinc

    Il existe un équilibre entre le zinc et le cuivre. Le Dr Ananda Prasad, autorité régnante sur la nutrition du zinc, dit que les humains peuvent prendre jusqu'à 40 milligrammes de zinc supplémentaire sans induire une pénurie de cuivre. Je suggère 30 mg de zinc provenant de suppléments pour adultes étant donné que le régime fournit ~ 10 mg / jour.

    Pourquoi COVID-19 frappe les personnes âgées; le zinc à nouveau

    Une raison possible pour laquelle le COVID-19 frappe les personnes âgées est que le zinc est mal absorbé par les personnes âgées, notamment parce que le zinc est nécessaire à la production d'acide chlorhydrique, qui est nécessaire pour absorber la plupart des vitamines B-C hydrosolubles. La vitamine B6 facilite l'absorption et l'utilisation du zinc.

    Une fois absorbé dans la circulation sanguine, le zinc est lié à une protéine (métallothionéine) qui le rend temporairement indisponible. La co-supplémentation en sélénium libère du zinc de la métallothionéine.

    Le coronavirus absent: les exosomes

    Qu'est-ce qui pourrait causer une pénurie massive de zinc qui est présumée être causée par un virus spécieux? Je dis spécieux parce qu'il y a des critiques qui démontrent de manière convaincante et graphique que COVID-19 est en réalité une minuscule vésicule appelée exosome qui transporte les signaux cellulaires que les virus envoient aux cellules environnantes. La confusion entre virus et exosomes n'est pas nouvelle. Il est apparu dès 2003 dans la littérature médicale. Les exosomes facilitent à tout le moins le transport des protéines virales dans tout l'organisme.

    Pourquoi ce coronavirus COVID-19 induit-il une carence en zinc contrairement à tout autre virus ?

    Peut-être parce que ce n’est pas un virus.

    Le némésis le plus évident du zinc est l'arsenic.

    Il a été démontré que l'arsenic diminue les taux de zinc dans le sérum sanguin (-64 %) et les taux de sélénium intestinal (-30 %).

    L'arsenic fait partie de la chaîne alimentaire, des puits d'eau contaminés aux aliments riches en arsenic. L'intoxication à l'arsenic produit plusieurs des mêmes symptômes que la carence en zinc et le COVID-19. L'exposition à une carence en arsenic ou en zinc est considérée comme cliniquement synonyme. Une pénurie marginale de zinc alimentaire peut sensibiliser le microbiome (bactéries intestinales) à l'exposition à l'arsenic.

    Il ne faut pas oublier que l'arsenic était largement utilisé comme insecticide au début des années 1900, à l'époque de la grippe espagnole. Alors que des doses faibles d'arsenic sont tolérées par les agences de santé publique, il a été constaté que l'arsenic à des doses de 10 à 100 parties par milliard (10 à 100 microgrammes) compromet la réponse immunitaire innée des poumons des souris de laboratoire.

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  43. L'arsenic lié organiquement n'est pas aussi toxique que l'arsenic lié de manière inorganique, comme dans l'eau potable.

    L'EPA (Environmental Protection Agency) limite le niveau maximal d'arsenic autorisé dans l'eau potable américaine à 10 microgrammes par litre (ìg / L), soit 10 parties par milliard (ppb).

    Le poisson, les crustacés, la viande, la volaille et les céréales peuvent être des sources diététiques d'arsenic. Dans les fruits de mer, l'arsenic se présente principalement sous sa forme organique moins toxique.

    L'arsenic est signalé à des niveaux relativement élevés dans le riz. C'est à cause de la molécule de liaison aux minéraux (chélatante) dans le son de riz appelée IP6 (inositol hexaphosphate, acide phytique AKA ou phytate). L'arsenic est si étroitement lié à cette molécule de son de riz qu'il ne présente que peu ou pas de risque pour la santé, l'IP6 étant le chélateur minéral de la nature (key-lay-tor). Certaines noix santé looney veulent en fait tremper le riz pour éliminer l'IP6. IP6 rend l'arsenic lié organiquement, le rendant inoffensif.

    L'exposition à l'arsenic est associée à une exacerbation des infections grippales. Les chercheurs pensent que l'arsenic conduit à une sensibilité à la grippe A (H1N1).

    L'arsenic peut également inactiver les enzymes dépendant du sélénium. Le sélénium est important dans la désintoxication de l'arsenic.

    Risque accumulé

    L'arsenic est stocké dans les cheveux, les ongles, la peau, les os et les dents. L'apport quotidien d'arsenic peut être conforme aux directives de consommation toxique, mais il peut s'agir d'arsenic accumulé qui pose éventuellement des problèmes.

    Les lésions cutanées causées par l'arsenic surviennent environ 10 ans après une exposition chronique.

    Arsenic environnemental

    L'arsenic est largement utilisé dans le glyphosate désherbant. On rapporte que le glyphosate contient de 600 à 1 200 parties par milliard d'arsenic, contre 0,17 partie par milliard, ce qui causerait une intoxication chronique. On pense que l'arsenic est inerte dans ce désherbant et ne figure donc pas sur les étiquettes des produits.

    Même avec l'utilisation de glyphosate avec son arsenic caché, ce désherbant n'était pas une source aussi puissante de ce minéral toxique dans la chaîne alimentaire jusqu'à ce que les agriculteurs commencent à inonder les cultures avec du glyphosate chargé d'arsenic pour amorcer leur récolte.

    Le président de Moms Across America, Zen Hunnicutt, informe que 1,4 milliard de livres de glyphosate sont pulvérisées sur nos aliments. Ils ne se lavent pas. Et croyez-le ou non, le glyphosate chargé d'arsenic se trouve même dans les vaccins.

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  44. Retour à la tuberculose

    Revenons un instant à la tuberculose, une maladie pulmonaire infectieuse répandue qui serait causée par une mycobactérie. La mortalité due à la tuberculose est augmentée par l'exposition à l'arsenic. Les taux sériques de zinc et de sélénium sont plus faibles chez les patients atteints de tuberculose. Cela a été rapporté dès 1924. Historiquement, l'arsenic à méga dose était en fait utilisé pour traiter la tuberculose. Mais il est maintenant rapporté que l'arsenic inorganique (non lié) dans l'eau potable augmente le risque de cas actifs (non dormants) de tuberculose.

    En ce qui concerne les oligo-éléments mentionnés ci-dessus, les souris carencées en sélénium développent une inflammation pulmonaire plus nocive après avoir été infectées par des virus de la grippe (vaccination). Les entérovirus paralysants nerveux (virus intestinaux) sont plus fréquents en cas de carence en sélénium.

    Symptômes gastriques: le COVID-19 est-il un entérovirus ?

    Il n'est pas rare que les patients atteints de COVID-19 se plaignent de symptômes gastriques. Une carence en zinc induite par l'arsenic peut induire des effets secondaires gastriques.

    On se demande comment le COVID-19 se propage. Les Centers for Disease Control ont semé la confusion à ce sujet, affirmant qu'il peut être transmis de la main à la bouche, puis plus tard uniquement par transmission par aérosol d'un poumon infecté à un poumon non infecté. Peut-être ni l'un ni l'autre.

    Veuillez lire mon rapport de 2013 sur les virus et l'arsenic et vous pourriez commencer à croire que le COVID-19 est un entérovirus et non un virus du rhume.

    Les entérovirus pénètrent dans le corps par le tractus gastro-intestinal et s'y développent. Les entérovirus peuvent provoquer des symptômes de maladies infectieuses similaires au rhume. Dans certains cas, les entérovirus provoquent de graves problèmes respiratoires.

    Conclusion

    Les empreintes digitales de l'arsenic et du zinc sont partout sur le COVID-19, l'une en tant qu'initiateur, l'autre en tant que remède. Par implication, l'un de ces deux minéraux est LA cause de l'infection au COVID-19, et l'autre son antidote.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/is-infectious-disease-just-a-shell-game/

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  45. Le vrai visage du mal


    Par Bionic Mosquito
    29 octobre 2020


    Les Dodgers ont remporté les World Series hier soir. Deux images dureront. Tout d'abord, Magic Johnson était présent - copropriétaire et ancien grand joueur de basket. De plus, il y a près de 30 ans, il a été testé positif au VIH - la comorbidité ultime, comme on nous l'a dit.

    Eh bien, il n’avait pas de distance antisociale et il ne portait pas de masque. Ici, dans cette vidéo, vous le voyez entouré d'autres personnes - probablement des propriétaires et des dirigeants de Dodger - dont aucun ne porte de masque.

    Ensuite, il y a Justin Turner, le joueur de troisième but des Dodgers. Un de leurs vrais frappeurs d'embrayage, il a été tiré en huitième manche, aucune explication donnée. Ensuite, nous lisons ceci, à propos de la célébration d'après-match, sur le terrain, non sociale des Dodgers:

    Les Dodgers de Los Angeles ont remporté la Série mondiale mardi soir et dans les instants qui ont suivi, le monde a appris que Justin Turner, le joueur de troisième but de l'équipe et pouls du club-house, avait contracté le coronavirus. Turner a été invité à isoler. Il n'a pas respecté. Il a marché sur le terrain, où ses coéquipiers célébraient leur victoire 3-1 contre les Rays de Tampa Bay lors du sixième match, et s'est joint. Il a enlevé son masque pour poser pour des photos avec sa femme, qu'il a embrassée.

    Si cela ne suffit pas, et toujours sans masque:

    Il s’est planté au sol alors que l’équipe se réunissait pour une photo commémorant le premier championnat des Dodgers en 32 ans. À sa droite, Dave Roberts, le manager des Dodgers, qui, il y a 10 ans, a reçu un diagnostic de lymphome hodgkinien. À la gauche de Turner, brillant, se trouvait le trophée des World Series.

    Lymphome de Hodgkin.

    Mais vous n’avez pas le droit d’aller au travail, vous n’avez pas le droit de vous faire couper les cheveux, vous n’êtes pas autorisé à ouvrir votre boutique, vous n’êtes pas autorisé à aller à l’église. Et le peu de choses que vous êtes autorisé à faire doit être fait avec un masque à six pieds.

    Conclusion

    Ils auraient vraiment dû arrêter le match et annuler les World Series avec le test positif de Turner. Ensuite, nous aurions pu déclencher les émeutes une semaine plus tôt.

    Réimprimé avec l'autorisation de Bionic Mosquito.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/bionic-mosquito/the-true-face-of-evil/

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  46. L'histoire du virus: briser les chaînes de la civilisation médicale


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    29 octobre 2020


    De la même manière que la CIA a inventé des ennemis étrangers qui nous ont obligés à faire la guerre, il y a des gens qui ont inventé des histoires de germes effrayants qui exigent un traitement médical et une prévention. Les conteurs savent que parmi le public, beaucoup de gens VEULENT le germe, en ont besoin et même l'aiment. Oui, j'adore ça, après qu'un conditionnement suffisant les a aidés sur le chemin de l'abandon.

    L'opération COVID vise à engloutir toute la civilisation dans un cauchemar médical absurde et faux.

    L'opération a ses racines dans la «modification» des citoyens pour qu'ils acceptent les diktats médicaux.

    Il existe de nombreux types de diktats de ce type, et il faudrait des volumes pour les explorer tous. Ici, je présente un ensemble de chiffres du US National Center for Health Statistics, une division du CDC, couvrant l'année 2018:

    Pourcentage d'adultes qui ont eu des contacts avec un professionnel de la santé: 84,3 %.

    Pourcentage d'enfants qui ont eu des contacts avec un professionnel de la santé: 93,6%.

    Nombre de visites chez le médecin (2016): 883,7 millions.

    Voici une autre estimation connexe: selon la US National Alliance on Mental Illness, au cours d'une année récente, «plus de 25 % des étudiants ont été diagnostiqués ou traités par un professionnel pour un problème de santé mentale…»

    Essayez de comprendre comment ce taux d'exposition sans précédent aux médecins façonne l'esprit des Américains. Rendez-vous, tests, diagnostics, conseils, commandes, ordonnances, médicaments et vaccins, suivis, références à des spécialistes.

    Ces seuls facteurs - sans parler des effets toxiques des traitements, ou des publicités médicales mur à mur et autre propagande - s'ajoutent à une civilisation médicale.

    Compte tenu de cette réalité, comment pensez-vous que les gens vont réagir quand on leur dit qu'il y a une pandémie et qu'ils doivent suivre les ordres ?

    Après cent ans de médecine Rockefeller… nouvelle normalité ? Nous vivons sous la nouvelle normalité depuis longtemps.

    Selon vous, combien d'ordonnances de médicaments sont rédigées aux États-Unis chaque année ? Selon statista.com, «on estime qu'en 2019, 4,38 milliards d'ordonnances au détail seront exécutées à travers les États-Unis.»

    Beaucoup, beaucoup de gens acceptent la civilisation médicale omniprésente sans réfléchir ni s'arrêter. C’est «juste la façon dont les choses sont».

    Les prétendues pandémies sont un bras de la civilisation médicale. Mais maintenant, nous avons atteint un point où The Medical est une porte d'entrée dans un Brave New World technocratique.

    Cette tentative de transition est lancée de la fondation du conditionnement à vie du public aux médecins et à tout ce que ces médecins ordonnent et représentent.

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  47. Contrôle de l'esprit par excellence.

    Deux groupes importants de personnes - les politiciens et les journalistes - opèrent de manière biaisée dans leurs décisions, car eux aussi ont été formés pour se placer sous la garde de médecins en permanence. Vont-ils déchirer ce câblage dur de leur propre expérience lorsque le caoutchouc rencontre la route, lorsqu'ils sont confrontés à des questions professionnelles sur la crédibilité médicale ? Non. Ils vont se ranger du côté des CDC, de l’OMS et des experts universitaires.

    Ce que je décris dans cet article va au-delà de l’acceptation de la «science» comme paradigme dominant. Ce conditionnement est profondément personnel et profondément ancré dans l'esprit des personnes qui marchent péniblement sur la sombre voie des soins médicaux depuis la petite enfance. Des soins médicaux pour chaque soi-disant «symptôme».

    J'ai passé de nombreuses heures à exposer les effets mortels et mutilants des médicaments sur la population. Encore une fois, je parle ici simplement du lien étroit entre le patient éternel et le médecin.

    En ce sens, dire à une personne dévouée d'enlever son masque lui dit de détruire ce qu'il croit être une bouée de sauvetage profonde, sans laquelle il pourrait très bien se noyer.

    Les dirigeants de la civilisation médicale veulent que nous nous inclinions devant le germe. Ils veulent que nous bavions comme les chiens de Pavlov, quand ils sonnent la cloche signalant la présence d’un «nouveau virus». Notre nourriture prévue, dans ce cas, est censée être un traitement. Mesures de traitement et de confinement.

    Une déclaration d'indépendance médicale est certainement nécessaire. «Quand, au cours d'événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les groupes médicaux qui les ont reliés à une autorité sanitaire… chaque fois qu'une forme de médecine devient destructrice… c'est le droit du peuple de la modifier ou de l'abolir. »

    Sous le titre «de tels principes», une déclaration indiquerait clairement que chaque personne a le droit naturel de rejeter la fausse foi dans le germe, en sa puissance et en son existence même.

    Que ceux qui craignent le germe, ou le veulent, s'y accrochent comme une idole, s'ils le doivent, s'ils refusent d'être dissuadés. Le reste d'entre nous suivra notre chemin, en sécurité dans notre liberté de l'idolâtrie, sachant que la civilisation médicalisée est un tyran, construit sans notre consentement.

    Garder la liberté est maintenant le grand défi.

    Les verrouillages mondiaux, présents et futurs; les fermetures d'entreprises; les faillites; les ruptures familiales, les suicides et les toxicomanies qui en résultent; l'expansion de la pauvreté, de la faim, de la famine; la désolation de villes autrefois grandes - sur quelle base toutes ces destructions ont-elles été lancées ?

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  48. Une histoire sur un virus.

    Alors pardonnez-moi si je continue d'attaquer cette histoire. Si je continue à souligner des trous béants dans cette histoire. Ma position de base est la suivante: je rejette la rhétorique sectaire qui sort des laboratoires. Il est séparé du monde des êtres humains. Il vise à revendiquer la propriété de notre corps, de notre esprit et de notre âme. Par une abstraction empilée sur une autre, ses partisans ont jalonné une cause qui est anti-vie. Avec les données qu'ils tirent et inventent de leurs sérums et de leur séquençage, ils ont mis en place une prison dans laquelle nous sommes censés être des machines biologiques qui ne font que réagir aux stimuli des microbes.

    Rejetez cette non-réalité folle.

    La configuration et les inconvénients sont clairs: «Nous disons qu'il y a un virus mortel en liberté. Nous le décrivons et le promouvons. Nous gérons le jeu et établissons les règles. Nous disons que vous n'êtes pas protégé sauf si nous vous protégeons par des mesures de traitement et de confinement. On peut ergoter sur les traitements. Nous pouvons ergoter sur le degré de confinement, où et quand et dans quelles circonstances, puisque nous définissons les circonstances; et nous pouvons assouplir et resserrer les règles à notre discrétion. Mais en fin de compte, nous sommes les vendeurs et vous êtes les acheteurs. Vous achetez notre histoire. Nous sommes une raquette de protection. Vous nous donnez votre vie ou nous vous fermons. Et devine quoi? L'un ou l'autre de ces choix produit le même résultat. Tu piges?"

    Donc, quand j'entends quelqu'un dire, en effet, CETTE mesure de confinement est nécessaire et efficace, mais celle-ci est peu efficace, et CE pays a bien fait en adoptant un MODÈLE MOINS RESTRICTIF, et UN CONFINEMENT INTELLIGENT SERAIT COMME CELA, je sais que cette personne a acheté assez de l'histoire pour maintenir l'arnaque de base; et les planificateurs d'élite gagnent.

    La guerre est longue. Ils ne doivent pas gagner.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/the-virus-story-breaking-the-chains-of-medical-civilization/

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    1. Vous n'avez des provisions que pour 3 mois ? Hahahaha ! Dans 90 jours vous êtes mort.

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  49. CONFINEMENT 2 : TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR, CE QUI EST AUTORISÉ, CE QUI CHANGE...


    par PAOLO GAROSCIO
    29/10/2020


    100% de la population française sera confinée.

    C’était attendu, c’est désormais une réalité : les Français sont reconfinés. Lors de son allocution, Emmanuel Macron a expliqué en quoi le confinement, malgré tout craint, était aujourd’hui la seule solution viable pour faire face à la pandémie de la Covid-19. Mais par rapport au premier confinement du printemps 2020, il y a quelques changements.

    Les Français devront se cloîtrer chez eux… ou pas
    Le principe du Confinement 2 est le même que celui du Confinement 1 (et sera le même en cas de Confinement 3, bien évidemment) : les Français sont « invités », pour ne pas dire contraints, de rester chez eux.

    Pour sortir, il leur faudra imprimer ou télécharger la désormais célèbre « Attestation dérogatoire » et justifier de leurs déplacements. Bref, rien de nouveau à l’horizon, vous savez comment ça marche. Mais quelles sorties sont autorisées ?

    C’est là le premier changement par rapport au Confinement 1 : durant le Confinement 2, vous avez plus de possibilité de sortie.

    Naturellement, le télétravail est de nouveau la norme « partout où c’est possible » a précisé le Président, mais le travail continue, plus qu’au Printemps. Moyennant une attestation d’employeur et l’attestation dérogatoire, les trajets « domicile-travail » sont autorisés. On notera qu’Emmanuel Macron a annoncé que l’activité économique ne sera pas autant à l’arrêt qu’au Printemps, évoquant notamment les chantiers BTP ou encore les usines qui ne fermeront pas.

    Si vous avez un enfant, par ailleurs, vous avez de la chance : vous pouvez l’accompagner à l’école et aller le chercher. Les crèches, écoles, collèges et lycées restent en effet ouverts, ce qui permettra de soulager les parents et de leur permettre de continuer de travailler. Inversement, si vous êtes étudiant dans le supérieur, pas de chance : le universités ferment et basculent en cours à distance.

    Les rendez-vous médicaux sont toujours autorisés et, nouveauté, les visites dans les Ehpad aussi...

    Tout ce qui est fermé en France
    Le Confinement 2, comme le Confinement 1, entraîne la fermeture de nombreux établissements : tous les commerces dits « non essentiels » vont donc baisser le rideau. Cela concerne les commerces mais également les coiffeurs, les instituts de beauté… bref, comme au Printemps. Et bien évidemment les restaurants et cafés sont fermés.

    Néanmoins, le Président a annoncé que plus de services resteraient ouverts, notamment dans l’administration, là aussi pour que l’économie tourne le plus possible. La liste n’a pas été détaillée mais le sera dans les jours à venir.

    On ne voit pas ses amis et sa famille… sauf pour les enterrements
    Moments à fort risque de propagation du virus, tous les rassemblements publics et privés sont interdits sur tout le territoire, du moins en principe. On ne voit pas les amis et on ne se déplace pas pour rendre visite aux parents (sauf motif impérieux, bien évidemment)… donc on reste sagement en famille.

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  50. Seul exception : les enterrements. Emmanuel Macron a précisé qu’ils seront autorisés, alors que durant le Confinement 1 c’était beaucoup plus compliqué. Mais on peut supposer que, pour autant, pas question d’avoir 100 personnes à l’enterrement.

    On se déplace, mais pas trop loin
    Les déplacements, en cas de dérogation, sont limités à la seule région de résidence. Une tolérance est prévue pour le retour des vacances de la Toussaint, qui se terminent le week-end du 31 octobre 2020, après quoi la règle sera stricte.

    Au niveau international, les frontières restent ouvertes au sein de l’UE, fermées pour ce qui est des frontières extérieures, afin de permettre aux Français se trouvant à l’étranger de rentrer. Rien n’a été spécifié pour les travailleurs frontaliers.

    Quand commence le Confinement 2 ?

    Sur ce point, Emmanuel Macron a été très clair : les Français seront confinés pour une durée de plus de 4 semaines. Le confinement entrera en vigueur jeudi 29 octobre 2020 à minuit pour se terminer le 1er décembre 2020, s'il n'est pas prolongé d'ici-là.

    http://www.economiematin.fr/news-confinement-autorisation-deplacement-decision-sante-macron-crise-covid

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