- ENTREE de SECOURS -



mardi 27 octobre 2020

Follow The Science - 1.2 Million COVID Deaths Edition













par Tyler Durden

Mar, 27/10/2020 - 08:48

Rédigé par Mark Jeftovic via OutOfTheCave.io,


Ce message était à l'origine mon commentaire à une personne sur Facebook, que quelqu'un a ensuite supprimé. Cette personne jette à plusieurs reprises le chiffre de 1,2 million de décès dans le monde et je l'ai finalement perdu et lui ai posté une réponse après qu'il ait réprimandé les gens pour «répandre de la désinformation et ne pas écouter la science». Il a en fait dit aux personnes contestant l'hystérie de la deuxième vague de «se taire et d'écouter le gouvernement et la science».

Comme l'un de mes économistes préférés de tous les temps, Thomas Sowell, dirait…. «Oh mon Dieu, par où commencer ?»

1 million ou 1,2 million de morts dans le monde sonne comme un grand nombre et à lui seul, vous pouvez l'utiliser pour faire taire les «Covidiots», c'est-à-dire jusqu'à ce que vous le regardiez réellement.

Pour commencer, regrouper un nombre, n'importe quel nombre isolé n'a pas de sens. Pour qu'un nombre ait une quelconque pertinence, pour quoi que ce soit, il doit faire partie d'un ensemble de données ou faire partie d'une comparaison significative.

Si nous prenons les 1,2 million de décès COVID dans le monde, en face (plus à ce sujet ci-dessous), la question évidente devient alors «est-ce bon ou mauvais?»

Le signal le plus utile que nous pouvons obtenir d'un bilan mondial de décès COVID est de savoir comment il se compare à ce que l'on appelle globalement les «taux absolus de mortalité», qui sont simplement le taux de tous les décès de toutes causes.


Source https://ourworldindata.org/excess-mortality-covid Vous pouvez choisir différents pays. Le Canada n'était pas une option, mais la plupart des courbes se ressemblent.

À partir des graphiques, nous pouvons clairement le voir, il y avait beaucoup de surmortalité en mars et avril, puis, comme toutes les autres mesures significatives autour du coronavirus, il diminue radicalement et commence à se stabiliser, avec une légère hausse saisonnière alors que nous nous dirigeons. en hiver.

Fait intéressant, dans la Suède «sans verrouillage», il s'avère que leur nombre absolu de morts est bien inférieur à ce que l'on pourrait penser:

Source: https://www.statista.com/statistics/525353/sweden-number-of-deaths/

Il pourrait éventuellement baisser d'ici la fin de l'année, mais sinon, il ne sera pas beaucoup plus élevé. Pas aussi élevé que, disons, les États-Unis ou l'Angleterre.

Si l'objectif est de réduire le nombre de décès, il existe un moyen beaucoup plus simple de le faire

Malheureusement, beaucoup de gens meurent chaque jour, et je suis sûr que vous avez vu des mèmes sur les réseaux sociaux sur le nombre de personnes qui meurent d'autres causes comme la tuberculose (1,4 million en 2019) que le COVID-19.

Aux États-Unis, où le nombre de morts du COVID est actuellement de 225K, on ​​estime que la faute professionnelle médicale tue 250K Américains par an.

Mais un nombre encore plus grand, selon l'OMS, est que l'abus d'alcool tue 3 millions de personnes par an, et ce nombre augmentera sûrement encore cette année compte tenu de la flambée massive de la maladie mentale, de la violence domestique, de la maltraitance des enfants, de la dépression et du suicide causé par les verrouillages.

S'il s'agit de sauver des vies, nous pourrions littéralement ramener à zéro ces décès liés à l'alcool, en l'éteignant comme un simple interrupteur en instituant une interdiction mondiale de l'alcool. On pourrait le faire demain. Devrions nous ? Les vies que nous sauvons peuvent inclure les vôtres.

En fait, si nous interdisions l'alcool, nous pourrions laisser le coronavirus fonctionner et être encore en avance de près de 2 millions de décès évitables par an, à condition que le COVID-19 continue avec la même intensité qu'il se déroulait en mars et avril, ce qui n'est clairement pas le cas (voir ci-dessous) .

Bien sûr, personne n’aurait sérieusement pensé à cela, et ils pourraient probablement articuler une logique décente sur les raisons pour lesquelles nous ne devrions pas le faire.

Mais ils peuvent le rejeter sans considérer à quel point l'approche de verrouillage visant à réduire les décès dus au COVID est analogue à une interdiction mondiale de l'alcool pour éliminer les décès liés à l'alcool. D'autant que nous savons aussi qu'une grande partie des décès dus aux coronavirus meurent avec le COVID-19 et de nombreuses autres comorbidités * que de celui-ci (cependant, voir ma note de bas de page à ce sujet à la fin de cet article).

En ce sens, le carnage lié à l'alcool est très similaire. Rares sont les alcooliques qui se boivent à mort. Comparativement, plus de personnes se suicident (et d'autres) dans des accidents de voiture, se suicident ou détruisent généralement leur foie, leur cœur, leurs reins, leur cerveau ou s'épuisent généralement si bas que presque tout le reste les achever.

Hystérie de la seconde vague

Le nombre de cas augmente clairement à nouveau dans le monde, c'est vrai et nous avons des tonnes de données pour le suivre. Avec lui, viennent les craintes de la redoutable «deuxième vague» de décès.

Dans la grippe espagnole de 1918, souvent citée, le gros des décès est survenu dans la deuxième vague. Cependant, la grippe espagnole était une pandémie très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. Celui-ci a attaqué les gens dès les premières années de la courbe des âges dans la force de l'âge:

Source: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3734171/

Les scientifiques pensent que la nature de cette souche a provoqué des «tempêtes de cytokines», le phénomène où le système immunitaire réagit de manière excessive et s'attaque lui-même. Dans une tournure perverse du destin, cela a rendu la population dotée du système immunitaire le plus fort plus vulnérable à la grippe.

Contraste avec le COVID-19 où personne ne conteste que les membres les plus vulnérables de la population sont les personnes âgées et celles qui ont des conditions médicales sous-jacentes qui les rendent immuno-compromises. En ce sens, comparer 1918 à COVID-19 n'est ni précis ni utile.

Source: https://www.statista.com/chart/20860/coronavirus-fatality-rate-by-age/

Alors, gardez cela à l'esprit lorsque j'ai indiqué dans le graphique ci-dessous comment se déroule la deuxième vague du coronavirus en ce qui concerne le nombre de cas par rapport aux décès:

Note de bas de page sur les comorbidités

(* Le nombre que vous voyez beaucoup regroupé est de 94 % de tous les décès dus au COVID-19 avaient des comorbidités. Ce nombre ne tient pas compte des données du CDC selon lesquelles seulement 6% des décès répertorient uniquement le COVID-19 comme une morue. Si vous regardez les données du CDC sur les comorbidités, le plus important représentant près de la moitié de tous les décès, en particulier chez les personnes âgées, est la pneumonie et la grippe. Je pense qu'il est inexact de simplement éliminer tous ces cas et de les rejeter comme comorbidités, car c'est une des formes les plus courantes de manifestation des virus respiratoires. Mais cela dit, les données, quand on considère les comorbidités et le manque de précision avec lequel le COVID est ajouté à la morue, tout cela signifie que le numéro de titre pour les décès est la limite supérieure. Ils ne sont pas 'pas plus haut, et ils sont probablement à toutes fins pratiques, plus bas). Deuxième vague d'hystérie pour «se taire et écouter le gouvernement et la science».

En tant que l'un de mes économistes préférés de tous les temps, ThomaScientists pense que la nature de cette souche a provoqué des «tempêtes de cytokines», le phénomène où le système immunitaire réagit de manière excessive et s'attaque à lui-même. Dans une tournure perverse du destin, cela a rendu la population dotée du système immunitaire le plus fort plus vulnérable à la grippe.

Contraste avec le COVID-19 où personne ne conteste que les membres les plus vulnérables de la population sont les personnes âgées et celles qui ont des conditions médicales sous-jacentes qui les rendent immuno-compromises. En ce sens, comparer 1918 à COVID-19 n'est ni précis ni utile.

Alors, gardez cela à l'esprit lorsque j'ai indiqué dans le graphique ci-dessous comment se déroule la deuxième vague du coronavirus en ce qui concerne le nombre de cas par rapport aux décès:

Si nous étions dans un dépassement de décès de la deuxième vague de style 1918, nous le verrions dans les données. Comme je l'ai souligné dans mon article précédent, les données ci-dessus proviennent de la province de l'Ontario, mais à peu près tous les graphiques des régions subissant une deuxième vague dans le nombre de cas, se ressemblent. Les décès sont sur le plancher (ce «pic» dans le décompte des décès était une correction des données où ils ont pris les données précédemment manquées des 90 jours précédents, et les ont tous ajoutés à 2 points de données), mais le nombre de cas augmente, car sont le nombre de tests.

À l'heure actuelle, la pente du nombre de cas dépasse de loin la pente des décès.

Pour que les morts arrivent n'importe où près du scénario de la Seconde Vague de 1918, la pente de la ligne de mortalité doit maintenant décoller dans une ligne presque verticale. Dans l’interview d’Ivor Cummins, il a mentionné le travail du Dr Sunetra Gupta indiquant que le COVID semble s’éteindre quand il touche 20 % de la population (mais je ne trouve pas la citation). Si c'est vrai, il est difficile d'envisager un scénario où cela est mathématiquement possible.

Si ce n'est pas vrai, et que nous sommes sur le point de connaître une deuxième vague de décès, il serait impossible de se produire sans le voir dans les données et pour le moment, toutes les données montrent partout une augmentation modérée avec saisonnalité, ou un agrégée, diminution globale des décès.

Tout cela devrait être une bonne nouvelle, mais pour une raison quelconque, les gens deviennent très contrariés lorsque vous essayez de les guider. Je suis ouvert à toutes les objections ou contre-points fondés sur la logique, les données et la science sur les points où je me trompe, sachant que «LA FERMETURE ET ÉCOUTEZ LE GOUVERNEMENT ET LA SCIENCE» n’est pas logique, scientifique ou axée sur les données contre argument.

Que faire ensuite.

Je terminerais par deux exercices de lecture supplémentaires, l’un, j’allais regarder et signer la déclaration de Great Barrington et deux, j’examinerais la comparaison de la déclaration de Great Barrington avec ce que l’on appelle «le mémorandum de John Snow».

Note de bas de page sur les comorbidités

(* Le nombre que vous voyez beaucoup regroupé est de 94 % de tous les décès dus au COVID-19 avaient des comorbidités. Ce nombre ne tient pas compte des données du CDC selon lesquelles seulement 6% des décès répertorient uniquement le COVID-19 comme une morue. Si vous regardez les données du CDC sur les comorbidités, le plus important représentant près de la moitié de tous les décès, en particulier chez les personnes âgées, est la pneumonie et la grippe. Je pense qu'il est inexact de simplement éliminer tous ces cas et de les rejeter comme comorbidités, car c'est une des formes les plus courantes de manifestation des virus respiratoires. Mais cela dit, les données, quand on considère les comorbidités et le manque de précision avec lequel le COVID est ajouté à la morue, tout cela signifie que le numéro de titre pour les décès est la limite supérieure. Ils ne sont pas pas plus élevé, et ils le sont probablement à toutes fins pratiques, inférieurs).

https://www.zerohedge.com/medical/follow-science-12-million-covid-deaths-edition

30 commentaires:

  1. « La liberté d’inexpression » d’Anne-Sophie Chazaud
    Un ouvrage de réflexion parfaitement bienvenu, sur un sujet plus que jamais d’actualité.


    27 OCTOBRE 2020
    Par Johan Rivalland.


    La liberté d’expression est régulièrement attaquée. Si l’actualité récente l’a montré une fois de plus dans toute son horreur et son caractère extrême, ce n’est hélas pas un sujet nouveau. Et la censure est bel et bien plus que jamais manifeste ici et là, pas seulement sous la forme la plus évidente, mais également la plus insidieuse, même mue par les bonnes intentions.

    C’est pourquoi le titre de l’ouvrage de la philosophe Anne-Sophie Chazaud est très bien vu. Car en définitive, il est tout à fait évocateur de parler de liberté « d’inexpression » lorsque, de fait, tant d’esprits que l’on pourrait qualifier de totalitaires – et sans qu’ils le ressentent généralement comme tel – entendent faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux ou ainsi qu’ils voudraient qu’on pense.

    Réduisant la liberté d’expression à une apparence, et conduisant de fait à rester le plus inexpressif possible dans l’énonciation de ses idées.

    LES CENSURES MILITANTES

    Il ne nous a pas échappé que nous vivons dans une période de régression préoccupante, dans laquelle la censure prend de nombreuses formes. Parmi celles-ci, on trouve depuis quelques années les censures militantes. Pas seulement l’œuvre de fanatiques qui, de Charlie Hebdo à Samuel Paty, s’octroient le droit d’ôter la vie à ceux dont le mode d’expression ne leur convient pas.

    Mais aussi tous ceux – de plus en plus nombreux – qui en appellent à des suppressions de conférences universitaires, d’expositions, de spectacles, de sorties d’ouvrages, de films, et d’autres modes d’expression dont on n’aurait pas imaginé qu’on en viendrait à les réprimer de manière aussi incroyable et régressive. Sans oublier les déboulonnages de statues.

    Anne-Sophie Chazaud revient ainsi, entre autres, sur le cas de cette pièce de théâtre antique, Les Suppliantes d’Eschyle, dont la représentation à la Sorbonne en mars 2019 fut entravée par des activistes hargneux et violents de manière complètement ahurissante et inapropriée. Prétendant défendre de manière parfaitement absurde une position anti-raciste et anti-esclavagiste là où cela n’avait nullement lieu d’être.

    Tout se passe désormais comme si la culture n’avait plus pour but que de ramener l’individu libre dans le bercail de ses appartenances identitaires fantasmées, nombrilistes, dans le néant de ses revendications sectorielles et atomisées. Le virage droit-de-l’hommiste, terra-novien, qui substitue au peuple une foultitude de minorités […] correspond, culturellement, au moment où, politiquement, la gauche a abandonné le peuple, lui préférant une clientèle […] Quant à toute une immense partie de la droite, elle a depuis longtemps sombré et abdiqué le domaine culturel, hantée à l’idée d’être en permanence accusée de fascisme et autres relents nauséabonds.

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  2. Dénonciations, délations, intellectuels jetés en pâture sans autre forme de procès à la vindicte populaire, et autres formes de terreur dignes des procès staliniens ou des auto-critiques maoïstes, sont devenus le lot commun de tous ces militants extrémistes qui aspirent à une certaine pureté morale, mais dont les fantasmes et anachronismes ne font que transformer en totalitarisme.

    Les divers exemples que développe Anne-Sophie Chazaud dans son essai démontrent à quel point on n’aboutit qu’à des formes irrépressibles de néant et de régression. Voire d’autocensure, la pression de ces gardiens de la vertu conduisant à des formes « d’aberrations moralisantes et de grotesques tripatouillages » d’œuvres, comme dans le cas de l’opéra Carmen revisité par le metteur en scène Leo Muscato, mais pas seulement, puisque c’est l’ensemble de la presse et de l’édition qui, aujourd’hui, vit sous le règne (et la terreur) de l’autocensure.

    Autant de situations qui ne font qu’aboutir à l’état d’une culture (et de la liberté) en péril. Car il faut lire le livre pour mieux se rendre compte, à travers la multitude d’exemples édifiants de ces méthodes dignes de l’Inquisition qui sont présentés, de la gravité de la situation.

    J’ignorais par exemple moi-même l’existence et l’importance de ces « comités de contrôle » qu’évoque l’auteur, véritables censeurs (souvent engagés et idéologisés) du processus éditorial, y compris dans les éditions pour la jeunesse. Des procédés dignes de la Révolution culturelle chinoise, comme le titrait un article de Charlie Hebdo à propos des États-Unis, le cœur de ces pratiques provenant de là-bas, à l’instar de la Cancel culture ou des Sleeping Giants.

    Quand ce n’est pas purement et simplement le langage qui est touché, comme dans le cas de L’Oréal qui avait enlevé le mot « blanc » de ses packagings.

    Il s’agit ici de la censure par le contrôle de la langue qui subit tous les affronts et charcutages militants : effacement de certains mots, euphémisation, novlangue, écriture inclusive, réécriture sont autant d’armes contrôlant l’expression afin de contraindre l’expression et lui imposer un moule. Dans la même veine délirante visant à tordre le réel en tordant la langue, la décision du New York Times d’écrire désormais « Noir » avec une majuscule et « blanc » avec une minuscule, afin de complaire aux activistes militants, traduit cette soumission délirante aux pressions idéologiques, jusqu’au burlesque.

    PAS DE LIBERTÉ POUR LES ENNEMIS DE LA LIBERTÉ
    Cette célèbre formule de Saint-Just sert de point d’appui à la deuxième partie de l’ouvrage, consacrée à une généalogie de la morale contemporaine. C’est-à-dire la réponse à la question : qu’est-ce qui nous a mené là ?

    Raisons historiques et idéologiques, tyrannie des minorités et privatisation de la censure, instrumentalisation de la justice, sont les trois grands points relevés et étudiés par Anne-Sophie Chazaud.

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  3. Dérives de la Révolution française, perversions issues des lois mémorielles, victimisation des minorités, harcèlement judiciaire, nombreux sont les exemples qui permettent à l’auteur d’aborder ces questions. Sur ce dernier point, elle revient au passage sur la question du blasphème et des caricatures, mais aussi des effets parfois pervers des réseaux sociaux.

    … Tout discours critique ou hostile à l’islam en tant que religion étant dès lors considéré comme une atteinte aux musulmans eux-mêmes, la réhabilitation du délit de blasphème devient possible et le terme « islamophobie » en est l’outil à peine dissimulé […] L’effet de ces actions militantes répétées aux allures de guerre d’usure n’est pas nécessairement de gagner les procès, mais de produire une sorte de censure par intimidation et étouffement, voire par autocensure préventive, d’autant qu’une frange non négligeable d’une certaine gauche sert assez volontiers d’idiote utile quand elle ne devance pas tout simplement l’appel avec zèle.

    Ce qui n’est pas non plus une raison pour généraliser et systématiser des pratiques pour lesquelles existent déjà des garde-fous.

    C’est donc par le biais de ces excès que les pouvoirs constitués se sont attaqués à l’espace inédit de liberté que constituent les réseaux sociaux au plan démocratique, les résumant bien souvent pour ce faire à l’image stéréotypée d’un vaste espace d’extension du domaine de la haine et de l’ignorance, le plus sûr moyen de tuer son chien étant toujours de l’accuser d’avoir la rage.

    LA CENSURE POLITIQUE

    La troisième et dernière partie de l’ouvrage est consacrée à la censure politique, sous ses différentes formes. Des lâchetés électoralistes, comme dans l’affaire Mila, à la loi Avia, particulièrement liberticide et inquisitrice dans son esprit, en passant par les censures algorithmiques ou arbitraires qui ont déjà lieu et dont elle présente plusieurs exemples, Anne-Sophie Chazaud montre en quoi la liberté d’expression, y compris sur les réseaux sociaux, fait partie des principes démocratiques et n’est pas toujours moins vertueuse que ne l’est la parole politique dans ses versions officielles.

    Par ailleurs, la notion de médias engagés, de blogs informatifs, proposant une information indépendante des circuits traditionnels ou venant d’autres horizons, fera elle aussi l’objet d’une critique et d’une tentative de décrédibilisation par d’autres moyens : que l’on partage ou non les points de vue initiaux (l’information n’a pas à être neutre : elle se doit d’être scrupuleuse dans sa démonstration des faits, ce qui est très différent), tous les canaux d’information qui permettent de renouveler le rapport des citoyens à l’analyse des faits et à la réflexion, au débat, devraient être par principe encouragés, et c’est précisément la multiplicité de ces points de vue, parfois engagés, qui permet de dégager une représentation éclairée s’approchant de la vérité.

    Plus incroyable encore, le décret du 3 août 2017 relatif aux « provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire » investit carrément l’espace privé, intime des individus, traquant l’expression déviante, qu’elle soit sincère, ironique ou de second degré.

    Charmante société qui contraindra chacun à se méfier de tous y compris de ses proches, ce qui n’est pas sans évoquer les systèmes totalitaires dans lesquels on incite systématiquement les enfants à dénoncer leurs parents ou inversement, sans parler des voisins, ce qui, pour le coup, permettrait de renouer avec une solide et experte tradition nationale de la délation…

    Anne-Sophie Chazaud, La liberté d’inexpression – Nouvelles formes de la censure contemporaine, L’artilleur, septembre 2020, 208 pages.

    https://www.contrepoints.org/2020/10/27/382892-la-liberte-dinexpression-danne-sophie-chazaud

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  4. Les taux de grippe saisonnière plongent, les 'experts' déconcertants qui ont prédit un 'super-insecte' mortel


    par Tyler Durden
    Mar 27/10/2020 - 13:42


    Vous vous souvenez quand le Dr Fauci a annoncé des milliers de morts supplémentaires cet automne en raison d'une combinaison étonnante de COVID-19 et de la grippe ?

    Jusqu'à présent, au moins, il semble que ces avertissements étaient à peu près aussi exagérés que les premières projections prévoyant des millions de décès, car, au lieu de cela, alors que le COVID-19 fait un retour formidable, la grippe ne se propage tout simplement pas comme avant, car raisons qui ne sont pas encore claires pour les virologues qui étudient la question.

    Dans une récente chronique de sa nouvelle entreprise, Just the News, le journaliste John Solomon l'a souligné, citant des données du propre suivi hebdomadaire de la grippe du CDC.

    Ce n'est pas seulement un problème pour les États-Unis. L'OMS a reconnu que les niveaux de grippe restent faibles dans le monde.

    «Globalement, l'activité grippale est restée à des niveaux inférieurs aux prévisions pour cette période de l'année», a écrit l'OMS plus tôt ce mois-ci, «bien qu'une augmentation des détections ait été signalée dans certains pays». "Dans les zones tempérées de l'hémisphère sud", a poursuivi l'organisation, "la saison grippale est restée basse ou inférieure à la valeur de référence. Malgré la poursuite ou même l'augmentation des tests de dépistage de la grippe dans certains pays de l'hémisphère sud, très peu de détections de grippe ont été signalées."

    "Dans les zones tempérées de l'hémisphère sud", a poursuivi l'organisation, "la saison grippale est restée basse ou inférieure à la valeur de référence. Malgré la poursuite ou même l'augmentation des tests de dépistage de la grippe dans certains pays de l'hémisphère sud, très peu de détections de grippe ont été signalées."

    Certains ont cité les restrictions de distanciation sociale en cours comme l'une des raisons pour lesquelles les chiffres de la grippe sont en si forte baisse.

    «Il semble que les taux soient plus bas», a déclaré Phyllis Kanki, professeur de maladies infectieuses à l'université de Harvard, T.H. Chan School of Public Health, a déclaré Just the News. "Je pense que les mesures d'atténuation COVID sont susceptibles d'abaisser les niveaux. Certaines de ces mesures d'atténuation peuvent avoir été particulièrement efficaces pour les groupes à haut risque de grippe, comme les personnes âgées et immunodéprimées."

    Peut-être que de nombreuses personnes qui pensent avoir le COVID-19 supposent simplement qu'elles ont la grippe après avoir été testées négatives pour le COVID-19, ce qui réduit le nombre officiel.

    Néanmoins, un scientifique du CDC a soutenu qu'il y avait "plus de questions que de réponses".

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/seasonal-flu-rates-plunge-baffling-experts-who-predicted-deadly-superbug

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    Réponses
    1. La pire des choses qui puisse passer c'est 1°) le 'confinement' (expression conne pour désigner l'emprisonnement à domicile), 2°) le terme asymptomatique pour désigner que la personne n'a pas de symptôme MAIS - MALGRÉ QU'ELLE SOIT EN TRÈS BONNE SANTE - ELLE EST DÉSIGNÉE COMME ÉTANT UNE PERSONNE MALADE QUI S'IGNORE !!

      Ainsi, à la faveur des 'tests' PCR réalisés, alors que TOUTES personnes respirent 200 000 nano-particules par minute et 2 millions en activité physique, voici que l'on va trouver des nano-particules (respirées des milliards de fois par jour depuis votre naissance) des nano-sujets qui sont: staphylocoque, grippe, 'corona' ou toutes sortes de matières respirées (et défendues par notre organisme depuis notre naissance) de celles qui pourraient être expansives !

      Encore 'pire' (?) le contrôle aux frontières !! Ainsi, seuls les poumons sont analysés alors que nous avons des millions de microbes en cheveux, vêtements, bagages, voitures, avions, trains, bateaux, etc qui ne sont pas susceptibles de sonner aux portillons !!! (HAHAHAHA !)

      Notez aussi que l'emprisonnement (liberté conditionnelle) porte à faire croire que les microbes (noctambules) nommés 'corona' n'attaquent qu'après 21 h et avant 6 h du matin !

      Je parle de microbes (bactéries) donc vivants et non de virus qui ne le sont (les virus sont des poussières). Notez bien que les merdias continuent d'employer ce nom de 'virus' (HAHAHAHA !) car çà fait plus peur que d'employer le mot 'microbe' !

      C'est la chienlit complète !

      En plus, vous aurez peut-être droit à la grippe saisonnière qui sera diagnostiquée 'corona' comme à toutes personnes décédées du cancer, suicide, diabète, accident de la route, etc, etc ! (5000€ pour l'hôpital et 3000 pour le médecin qui vous aura tamponné la norme obligatoire !)

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  5. Covid-19: au Québec, bras de fer entre les salles de sport et le gouvernement


    18:57 27.10.2020
    Par Jérôme Blanchet-Gravel


    Au Québec, le gouvernement a prolongé les mesures de confinement qui étaient censées prendre fin. Mais, signe d’une grogne croissante, des propriétaires de salles de sport ont annoncé qu’ils rouvriraient leurs portes malgré l’interdiction. Selon Jonathan Poirier, copropriétaire d’un gymnase, le jeu n’en vaut toutefois pas la chandelle. Entrevue.

    C’est un uppercut pour tous ceux qui espéraient une reprise complète de l’activité économique au Québec.

    Le gouvernement provincial vient en effet de prolonger jusqu’au 23 novembre les mesures de confinement qui étaient censées prendre fin le 28 octobre dans toutes les zones rouges de la province, c’est-à-dire celles jugées les plus touchées. Le Premier ministre québécois, François Legault, en a fait l’annonce à l’occasion d’une conférence de presse spéciale:

    «C’est le temps pour le peuple québécois de se serrer les coudes plus que jamais. Notre destin est lié, on est lié les un aux autres plus que jamais dans l’histoire du Québec», a-t-il solennellement déclaré.

    Les bars, restaurants, théâtres, cinémas et salles de spectacle resteront donc fermés dans ces régions jusqu’à nouvel ordre. Les villes de Montréal et Québec étaient déjà identifiées comme à haut risque depuis plusieurs semaines.

    Peu importe les règles, des salles de sport veulent rouvrir

    Pourtant, certains acteurs économiques ont décidé de muscler leur réponse face aux mesures sanitaires: le matin même de cette conférence de presse très attendue, les directions de 200 salles de sport ont annoncé que leurs établissements rouvriraient leurs portes même si le gouvernement décidait de reconduire son dispositif anti-Covid-19.

    «Le 29 octobre prochain, nous ouvrirons nos salles de sport dans toutes les régions du Québec afin de redevenir le partenaire de la santé des Québécois et des Québécoises. Toutes les mesures sanitaires en vigueur seront respectées. Si le gouvernement d’ici là est en mesure de nous prouver, à l’aide d’études, que nous sommes une source d’éclosion, nous ferons marche arrière», est-il écrit dans le communiqué.

    Du côté des propriétaires de salles de sport, c’est le dilemme. Selon Jonathan Poirier, copropriétaire du gymnase CrossFit Chateauguay situé dans la grande région de Montréal, tous les propriétaires de salles de sport ne sont pas favorables à cette initiative, bien qu’une grande majorité d’entre eux jugent exagérées les mesures du gouvernement Legault.

    «Personnellement, je me vois mal fermer mon gym [salle de sport, ndlr], surtout compte tenu qu’une grande partie de ma clientèle est composée de policiers. Ce serait assez paradoxal de demander à des policiers de ne pas respecter la loi […] En revanche, aucune étude ne prouve que les salles de sport sont à l’origine de la contamination. Dès le départ, nous avons pris des mesures très solides pour nous assurer de la sécurité de nos membres», affirme Jonathan Poirier en entrevue avec Sputnik.

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  6. Même si 50 % des Québécois voteraient actuellement pour la Coalition Avenir Québec –le parti du Premier ministre Legault–, la satisfaction à l’égard du gouvernement en ce qui concerne la gestion du Covid-19 a beaucoup diminué depuis le début de la pandémie, selon un sondage de la firme CROP. 39 % des répondants se déclarent maintenant «peu ou pas satisfaits» de la réponse de Québec alors qu’ils étaient seulement 10 % à déclarer la même chose en avril. À la mi-juillet, 30 % des Québécois se disaient «peu ou pas satisfaits» de la gestion de la crise.

    Gestion de la pandémie: le soutien au gouvernement Legault en chute libre ?

    Comme la plupart des entreprises affectées financièrement par les mesures sanitaires, les gymnases peuvent réclamer une aide financière d’urgence aux niveaux fédéral et/ou provincial, mais certaines d’entre elles ne répondent pas aux critères établis, explique Jonathan Poirier. Les aides financières accordées varient également en fonction des revenus enregistrés précédemment et du nombre d’employés.

    «La grande majorité des petits gyms comme le mien ont des revenus annuels inférieurs à ceux établis par le fédéral à l’occasion du premier confinement. Il y a des restrictions […] Je ne parlerais pas toujours de faillite directe, puisque plusieurs propriétaires de gyms ont d’autres occupations, mais dans plusieurs cas, c’est certain que les pertes financières sont considérables», déplore-t-il.

    Dans tous les cas, selon le copropriétaire du gymnase CrossFit Chateauguay, la population commence à ressentir les impacts psychologiques des mesures de confinement:

    «Quand on a annoncé la deuxième fermeture, j’ai souvent vu des gens qui entraient au gym et qui se mettaient à pleurer. Les gens étaient bien conscients que le confinement allait durer plus de temps qu’annoncé et qu’ils allaient perdre en quelque sorte leur deuxième foyer, leur deuxième famille. La seconde fermeture des gyms n’aurait jamais dû arriver», tranche l’entrepreneur à notre micro.

    Le Premier ministre Legault a confirmé en conférence de presse «qu’il y aura des amendes» distribuées aux propriétaires de salles de sport refusant de se plier aux mesures sanitaires. Selon Jonathan Poirier, si le fait d’enfreindre la loi devrait dissuader des propriétaires de rouvrir leurs établissements, c’est surtout la perspective de «voir leurs gyms être stigmatisés» qui devrait les inquiéter:
    «Le regroupement de gyms dont mon établissement fait partie, CrossFit Affiliés, est contre la désobéissance civile, ce qui ne nous empêche pas d’être favorables à la réouverture des gyms. […] Recevoir une amende c’est une chose, mais le pire est peut-être de voir son gym être pointé du doigt dans les journaux et sur les réseaux sociaux. On a vu le traitement que certains avaient réservé à des gens accusés de ne pas avoir respecté les mesures. Ce n’est pas quelque chose de souhaitable pour notre image», observe le copropriétaire.

    En date du 26 octobre, 6.153 personnes sont décédées au Québec de complications attribuées au Covid-19.

    https://fr.sputniknews.com/canada/202010271044640497-covid-19-au-quebec-bras-de-fer-entre-les-salles-de-sport-et-le-gouvernement/

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  7. SPORTS DE COMBATS : LES ACCIDENTS CHEZ LES 10-18 ANS SONT TROP FRÉQUENTS


    par PERRINE DE ROBIEN
    27/10/2020


    En 2 ans, 1.340 passages aux urgences relevant d'un sport de combat ont été dénombrés chez les 10-18 ans.

    Selon une enquête de Santé publique France, les accidents de sports de combat sont trop fréquents chez les 10-18 ans. Ils peuvent provoquer des commotions cérébrales susceptibles d’entraîner une perte de connaissance ainsi que des séquelles plus lourdes pouvant avoir des conséquences sur le développement de l'enfant.

    Sports de combat : des commotions cérébrales à l’origine de pertes de connaissance et de séquelles

    Pour rester en bonne santé, un enfant doit pratiquer des activités physiques. Cependant, certains sports autorisés en France chez les mineurs sont dangereux. C’est le cas des sports de combat avec « KO » qui peuvent provoquer des commotions cérébrales. Elles sont parfois à l'origine de pertes de connaissance mais aussi de séquelles et de complications somatiques susceptibles d’avoir des conséquences sur le développement de l'enfant, son parcours scolaire et ses apprentissages.

    Réalisée à la demande de la Direction générale de la santé, une étude de Santé publique France décrit, chez les enfants âgés de 10 à 18 ans, les accidents survenant lors de la pratique de sports de combat et la fréquence des commotions cérébrales survenues lors de cette pratique sportive. Cette enquête repose sur l'enregistrement exhaustif des recours aux urgences pour accident de la vie courante (AcVC) dans dix hôpitaux en France. Cela signifie que les accidentés ne passant pas par les urgences ne sont pas comptabilisés.

    Des accidents trop fréquents pour les sports de combat

    De 2016 à 2018, 1.340 passages aux urgences relevant d’un sport de combat (judo/jiu-jitsu, boxe, lutte, karaté, kickboxing) ont été dénombrés chez les 10-18 ans. Ce chiffre représente 1,6% des passages dus aux accidents de la vie courante. L’enquête révèle que le taux d’hospitalisations pour accidents de sport de combat est comparable au taux d’hospitalisations tous sports confondus.

    Pour 4 % de l'ensemble des accidents de sports de combat chez les 10-18 ans, un traumatisme crânien a été diagnostiqué dont 96 % avec une commotion cérébrale. La conclusion de Santé publique France est sans appel : « les accidents de sports de combat, au vu des conséquences qu’ils peuvent avoir, sont trop fréquents chez les 10-18 ans ».

    http://www.economiematin.fr/news-accidents-frequents-sports-combat

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  8. Didier Raoult: «C’est quelque chose que je ne prédisais pas»


    22:40 27.10.2020
    Par Ivan Dubrovin


    Le professeur Didier Raoult, qui par le passé s’est exprimé à plusieurs reprises sur une deuxième vague de coronavirus en en minimisant souvent les risques, a déclaré ce mardi 27 octobre sur LCI qu’il n’avait pas prévu la situation actuelle. Il a tout de même insisté sur le fait qu’il ne prédisait jamais rien.

    Alors que ces dernières semaines la France a connu une hausse importante du nombre de cas de Covid-19, avec un triste record dimanche dernier où les médecins ont enregistré 52.010 nouvelles contaminations, le professeur Didier Raoult a essayé d’expliquer sur LCI pourquoi la situation épidémique actuelle ne correspondait pas à ses pronostics.

    Il a insisté sur le fait que son évaluation de l’épidémie n’était pas erronée et qu’elle prenait toujours en compte la situation au moment donné.

    «Pourquoi croyez-vous qu'on m'écoute ? C'est parce que je dis toujours ce qui se passe au moment où ça se passe. Je ne fais pas de prédiction. Je prends les gens qui prédisent pour des sorciers. [...] Quand les gens me demandent ce qui se passe, je commence toujours par dire je ne sais pas», a-t-il indiqué.

    Quant à ce qui se passait actuellement dans le pays, l’infectiologue a expliqué qu’il s’agissait d’un nouveau modèle de déroulement d’une infection respiratoire.

    «Ce que je n’avais jamais vu et que donc je ne prédisais pas, c’est qu’une population qui avait vu passer une épidémie puisse faire, dans les trois mois qui suivent, une autre épidémie. C’est quelque chose que je ne prédisais pas, qui n’a jamais été vu dans les infections virales respiratoires qui est quelque chose de nouveau et qui est expliqué par le fait qu’il y a des variants qui sont résistants à l’immunité acquise pour le premier variant », a-t-il ajouté.

    Ses évaluations précédentes

    Le professeur Didier Raoult s’est exprimé à plusieurs reprises sur une deuxième vague de coronavirus. Par exemple, en avril dernier, il avait signalé que les données scientifiques déjà accumulées privilégiaient plutôt le scénario d’une courbe en cloche, un cycle classique d’épidémie qui exclut la perspective d’un rebond.

    Puis, au mois de mai, le spécialiste des maladies infectieuses et directeur de l’IHU de Marseille a rejeté l’hypothèse d’une seconde vague de coronavirus en la qualifiant de «science-fictionnelle».

    «On peut avoir de l’imagination sur tout, mais c’est de la science-fiction. J’ai l’opinion que si vous voulez des infections respiratoires dans lesquelles il y a des secondes vagues, il n’y en a pas. Donc je ne vois pas pourquoi il y en aurait pour celle-là», avait-il détaillé à l’époque.

    https://fr.sputniknews.com/france/202010271044641621-didier-raoult-cest-quelque-chose-que-je-ne-predisais-pas/

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    1. Dès lors qu'il s'agit d'une arme fabriquée:

      Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'

      jeudi 8 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html

      ...ils peuvent donc s'en servir autant de fois qu'ils veulent et qu'ils peuvent SURTOUT après avoir supprimé l'hydrochloroquine dans le monde (qui a sauvé plus de 60 millions de personnes jusqu'à ce jour !), il faut donc s'attendre à ce qu'en l'interdiction de ce remède (comme celui de vaccins gratuits) ce chiffre de 60 millions prenne vite un zéro de plus !

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  9. Un reconfinement est-il envisagé par le gouvernement français ?


    22:21 27.10.2020
    Par Julia Belyakova


    Pour lutter contre la féroce recrudescence du coronavirus en France, le gouvernement est en train d’étudier le durcissement des mesures sanitaires partout dans le pays, y compris dans les régions où le virus circule peu. Cela pourrait aller jusqu’au reconfinement qui toutefois, ne devrait pas être aussi strict que celui du printemps, selon BFM TV.

    Alors que la deuxième vague de Covid-19 est en pleine ascension en France, le gouvernement considère l’option d’un reconfinement national mais plus souple que celui du printemps, fait savoir BFM TV.

    La recrudescence du virus ces derniers jours pousse l’exécutif à étudier divers scénarios possibles pour l'école, le travail et la vie sociale. Selon la chaîne, Emmanuel Macron, qui doit prendre la parole ce mercredi 28 octobre, annoncera les nouvelles mesures qui attendent les Français.

    Selon un conseiller ministériel cité par le média «le virus flambe partout, il faut des mesures nationales». Il a également qualifié le couvre-feu récemment établi de «connerie», car «les gens décalent et ne changent pas leurs habitudes», soulignant que cette mesure ne semblait pas suffisante pour lutter contre la propagation en France.

    Il estime que, malgré le risque d’être confronté dans les régions où le virus circule peu, le gouvernement pourrait gagner en lisibilité en adoptant une «nationalisation de la stratégie».

    BFM TV détaille que selon ses informations, aucune date n’est encore évoquée en ce qui concerne la mise en place de nouvelles mesures.

    Quels domaines seraient affectés par les nouvelles mesures?

    Toutefois, si ce reconfinement devait être décidé, il ne devrait pas être aussi strict que celui du printemps. Notamment, la chaîne précise qu’il n’affecterait pas les services publics et les activités stratégiques, alors que les restaurants et bars pourraient être fermés. En ce qui concerne les écoles, «l'exécutif souhaiterait que les écoles maternelles, élémentaires, collèges et lycées restent ouverts, souhaitant lutter contre le décrochage scolaire et permettre aux parents de continuer à travailler», précise BFM TV. Néanmoins, le tout numérique à distance devrait être privilégié pour les universités, ainsi que le renforcement du télétravail.

    Les mesures restrictives concernant la circulation sur le territoire sont toujours à l’étude, conclut le média.

    https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202010271044641505-un-reconfinement-est-il-envisage-par-le-gouvernement-francais/

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  10. LA SUÈDE, EXEMPLE D'EFFICACITÉ SANITAIRE ET ÉCONOMIQUE DE LA DÉMOCRATIE


    par GÉRARD DELÉPINE
    28/10/2020


    Bercy s'attend à une récession de 11 % en France en 2020.

    Les chiffres de l’OMS confirment que le confinement aveugle et autoritaire est une catastrophe. La Suède et les Pays -Bas constituent de bons exemples pour le démontrer.

    En mai et juin, nous signalions dans plusieurs tribunes, sur économie-matin (1), que les pays qui n’ont pas confiné leurs peuples, affichaient des résultats sanitaires globaux et des prévisions économiques bien meilleures que les nôtres.

    Depuis cette période, le conseil scientifique et le gouvernement n’ont pas cessé de vanter le confinement aveugle qui « aurait arrêté l’épidémie », et « sauvé 60000 français » tandis que les médias pratiquaient le Suède bashing (2) pour la punir de n’avoir pas appliqué les prescriptions de N. Ferguson.

    Que de mensonges pour tenter de justifier la plus grande débâcle française depuis 1940. Car ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de l’état pitoyable actuel de la France, mais seulement le confinement et les mesures prétendument sanitaires que nous subissons toujours. Et plus elles durent, plus les dégâts sanitaires, sociaux et économiques s’aggravent.

    Les comparaisons de l’évolution de la Suède et des Pays-Bas par rapport aux prévisions de l’Imperial College et aux résultats sanitaires et économiques des grands pays du sud de l’Europe qui ont confiné à l’aveugle, permettent de vérifier la valeur des prédictions de Ferguson et d’évaluer les effets catastrophiques du verrouillage.

    Pertinence des prédictions de Ferguson (3)

    Ferguson avait prédit que si la Suède ne confinait pas, elle compterait 70000 morts de Covid19 (4). La Suède n’a pas confiné. L’épidémie est terminée en Suède après 5922 décès comptabilisés au 21/10/2020 5. Soit une surestimation de 1200 %.

    Anchor Ferguson avait également prédit qu’en l’absence de confinement, les Pays-Bas pleureraient 100 000 victimes ; les néerlandais ont refusé le confinement et n’en comptaient que 6804 au 21 octobre. Soit une surestimation de 1400 %.

    Ces surestimations considérables des risques constituent une constante des prédictions de Ferguson ainsi que le montrent ses prédictions précédentes sur la fièvre aphteuse, la maladie de la vache folle, la grippe H1N1, l’Ebola.

    Ferguson surestime aussi l’efficacité du confinement qu’il a proposé.

    Le désastre belge

    Il avait prédit que, si elle confinait, la Belgique limiterait le nombre de ses victimes à 3300 au 7 mai. La Belgique a confiné plus sévèrement que la France et en comptait 8339 le 7 mai (6). Au 18 octobre 2020 (7) la Belgique se retrouve le pays européen avec le plus fort taux de mortalité attribuée au Covid19 (10413 morts, soit une mortalité de 897/million)

    L’inefficacité du confinement aveugle sur la vitesse et la durée de l’épidémie

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  11. Que ce soit en France ou dans les pays voisins qui ont eu le malheur de l’imposer à leurs populations, les données rapportées par l’OMS (covid19 situation report) prouvent que les prédictions et la conclusion de Ferguson (8) étaient fausses : dans tous les pays adeptes du seul confinement aveugle, l’analyse des tendances observées avec recherche de point d’inversion de tendance, montre que la vitesse de contamination n’a jamais été diminuée par le confinement.(9) (10)

    En France, avant le confinement, le temps de doublement du nombre de contaminés atteignait 5 jours ; après le 17 mars et pendant les 18 jours, il est resté parfaitement stable. Comme le temps d’incubation de la maladie est de 5 jours, si le confinement avait été efficace un ralentissement de l’épidémie aurait dû apparaître dès le 8 -10ème jour, ce qui n’a pas été le cas.

    Ce n’est qu’après 18 jours que le nombre de contaminations a diminué, en même temps qu’il diminuait dans les autres pays voisins, qu’ils aient ou non imposé le confinement.

    - voir graphique sur site -

    La comparaison du début des épidémies en Belgique et aux Pays-Bas montre même que le confinement belge a accéléré et aggravé nettement l’épidémie :

    - voir graphique sur site -

    L’Allemagne qui n’a pas utilisé cette méthode moyenâgeuse, mais pratiqué la « quarantaine », isolant les infectés de la population saine, a mieux ralenti l’épidémie que ceux qui ont confiné à l’aveugle.

    - voir graphique sur site -

    De même, l’analyse de la cinétique du recul de l’épidémie dans les principaux pays européens atteints ne montre aucun bénéfice en intensité, ni en rapidité de l’épidémie dans les pays qui ont sévèrement confiné par rapport aux Pays -Bas non confinés.

    Inefficacité du confinement aveugle sur la mortalité .

    Globalement, les 5 grands pays européens qui ont confiné leurs populations à l’aveugle (sans séparer les infectés des autres) se classent tous (avec la Suède) dans le top 6 européen des plus fortes mortalités attribuées au Covid19 : Belgique : 898/M, Espagne : 722/M, GB : 643/M, Italie : 604/M, Suède :586/M, France : 509/M, Pays-Bas : 394/M.

    Le confinement aveugle n’apporte donc aucun avantage sur la mortalité Covid bien au contraire.

    Balance avantages/ risques catastrophique du confinement
    En médecine, un traitement ou une mesure sanitaire ne doit jamais être décidée en n’envisageant que ses avantages potentiels sur la maladie cible, mais doit aussi prendre en compte ses complications propres, balance Avantages/Risques.

    Lorsque le président et les autorités de santé publique a ordonné aux gens de rester chez eux, ils n'ont parlé que des avantages qu’ils en espéraient : en évitant les contacts, nous ralentirions la propagation du nouveau coronavirus (11) . Ils auraient dû ajouter :

    « malheureusement, le confinement fera plusieurs milliers de victimes collatérales du fait de l’arrêt de traitement de cancer, d’autres maladies chroniques, de suicides, etc. ».

    Les victimes collatérales du confinement

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  12. Certains malades aigus sont déjà morts du confinement ; ainsi une étude de l’Inserm et du Samu montre que le confinement a été suivi d‘une diminution de 50% des prises en charge pour arrêt cardiaque ; les disparus des urgences n’ont pas osé venir à l’hôpital et sont vraisemblablement morts chez eux ; quant à ceux qui été amenés à l’hôpital, leurs chances de récupération ont été diminué par deux. Même constatation pour les accidents vasculaires cérébraux. A l’échelle du pays, ces urgences vitales non traitées représentent de l’ordre de 3000 à 5000 décès prématurés.

    Les retards de soins imposés par le plan blanc ont touché les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, leur modification suboptimale ou leur prolongation aveugle sans consultation permettant de les adapter. Compte tenu de l’extrême fréquence de ces pathologies chroniques (20 millions d’après le professeur Grimaldi(12) ), ces retards sont potentiellement responsables de dizaines de milliers de décès non comptabilisés pour l’instant.

    Les nouveaux malades n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades. Depuis le début du confinement, 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués et ne l’ont pas été.

    Jean-Yves Blay du centre d'oncologie Léon Bérard de Lyon s’alarme : « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer ”, « ces estimations sont même plutôt optimistes ; les Anglais ont des projections allant jusqu'à 40.000 patients décédés en excès .”

    Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid. L’ensemble de ces victimes collatérales du confinement est estimé actuellement de 25 000 à 30 000.

    La deuxième vague est psychiatrique

    Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte lescomplications psychologiques du confinement et en particulier le surplus des maltraitances familiales, des troubles psychiques et des suicides(13) (14) liés à l’entretien permanent de la panique par le gouvernement et les médias, l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage (15). Le bilan sanitaire du confinement aveugle va s’aggraver avec le temps et largement dépasser la mortalité attribuée au Covid19.

    Le tsunami économique du confinement : 12O MILLIARDS EUROS

    Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques, les huit semaines de confinement ont diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros impactant principalement les transports, l’hébergement, la restauration, la construction, les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du trop lent rétablissement de la croissance, ralenti par la persistance et l’aggravation périodique des mesures prétendument sanitaires tel que le couvre- feu, la perte globale de PIB dépassera les 10 points de PIB en 2020. L’OCDE prévoit que la France pourrait connaître une récession de 11,4 à 14,1 % de son PIB en 2020 (16). C’est en France que la crise économique pourrait être la plus forte du monde.

    La balance Avantages/risques du confinement aveugle est donc très défavorable

    - voir graphique sur site -

    La Suède tire les bénéfices d’une politique médicale traditionnelle basée sur la confiance en ses citoyens

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  13. Contrairement au gouvernement français, la Suède a fait examiner le rapport 9 de Ferguson par ses experts qui ont réfuté ses conclusions qu’ils jugeaient exagérées.

    En avril, l'épidémiologiste suédois Anders Tegnell a expliqué au magazine Nature qu’il estimait le COVID-19 « n'est pas une maladie qui peut être arrêtée ou éradiquée ». Aucun confinement n’a été envisagé.

    Les autorités sanitaires ont simplement diffusé des recommandations à la population et aux professionnels des transports, de la restauration et du spectacle. Les écoles sont restées ouvertes. « Fermeture, verrouillage, fermeture des frontières - rien n'a de base scientifique historique ", a déclaré Tegnell directeur du département chargé des épidémies. « Nous avons examiné un certain nombre de pays de l’Union européenne pour voir s’ils avaient publié une analyse des effets de ces mesures avant qu’elles ne soient lancées, et nous n’en avons vu presque aucune ».

    Au 20 octobre 2020, la mortalité suédoise globale attribuée au Covid19 (586/ million d’habitants dont 50 % dans les Ehpad) est supérieure de 11 % à celle de la France (515/million), mais très inférieure à celles de la Belgique, l’Italie, et de l’Espagne et la mortalité quotidienne suédoise reste proche de zéro depuis 3 mois, contrairement à beaucoup d’autres états européens adepte du confinement.

    Surtout l’absence de victimes collatérales du confinement, de retard scolaire, de blocage sociétal lui confèrent un bénéfice considérable sur nous.

    Le non-confinement de la population suédoise a limité les conséquences économiques .

    Au deuxième trimestre, le PIB de la Suède a chuté de 8,6% (17), ce qui est nettement inférieur aux baisses observées dans les pays confinés sévèrement comme en Espagne (18,5%), Portugal (14,1%), et France (13,8%).

    Sur l’année 2020, la perte en PIB suédois est estimée à 3 à 5 % contre 11 à 14 % en France .

    La Norvège regrette courageusement son confinement

    La Norvège a enregistré moins de décès directs de Covid19 que la Suède, mais l’Institut norvégien de santé publique a publié fin mai une étude 18 montrant que le confinement n’en était vraisemblablement pas responsable (19).

    L’agence statistique norvégienne a également calculé les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves, freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ». De plus, en deux mois de blocage, le PIB norvégien a perdu 11% environ et les autorités espèrent limiter les pertes à environ 5 % sur l’ensemble de l’année 2020. C’est sur ces données que le premier ministre norvégien Erna Solberg vient courageusement de reconnaitre qu’elle aurait dû suivre l’exemple de ses voisins suédois et a regretté publiquement les contraintes sanitaires qu’elle a imposées (20).

    L’OMS rappelle que le confinement ne fait qu’apporter la misère
    Le confinement doit être une mesure de dernier recours, a déclaré récemment David Nabarro (21) responsable de la COVID-19 à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sur le site du magazine britannique The Spectator.

    « Le confinement a des conséquences que vous ne devez jamais minimiser, celle de rendre les gens pauvres, beaucoup plus pauvres. »

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  14. « Nous pensons qu’il est possible de conserver intacte notre vie économique et sociale, avec un haut degré d’organisation du gouvernement et une implication de la population.

    Le confinement ne doit pas être le moyen principal de contrôle de la pandémie, nous préférons l’éviter. Nous avons vu le taux de pauvreté doubler, et il va y avoir deux fois plus d’enfants qui vont souffrir de malnutrition, parce qu’ils n’ont plus de repas à l’école ».

    Le déni démocratique du confinement français

    Les résultats remarquables de Taiwan sur le Covid19 ont montré que la démocratie et la libre circulation des informations sont essentielles pour combattre efficacement l'épidémie de coronavirus.

    Ainsi que l’a rappelé le ministre de la santé taiwanais : « dans les pays autoritaires, les responsables locaux cachent la vérité au gouvernement central pour éviter les reproches, et le gouvernement central ment également à son peuple pour détourner les critiques du public au début d'une épidémie. En conséquence, les mesures de contrôle de la maladie sont retardées et finalement inefficaces ».

    Le comportement de nos gouvernants a été et est celui d’un pays autoritaire. Tout au long de l’épidémie, le gouvernement a menti à la population, décrédibilisant l’expertise officielle et la parole de l’état.

    L’éditorial du Dagens Nyheter suédois soulignait dans l’édition du 21 avril 2020 : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera ».

    L’ONU critique les mesures d’urgence pour supprimer les droits humains
    Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’ONU ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.

    « Certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence car elle offre des raccourcis ». « Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ».

    Oui, La Suède, les Pays-Bas, comme Taiwan, la Corée et le Japon et bien d’autres pays nous rappellent que l’exercice démocratique du pouvoir est nécessaire à la sécurité sanitaire et économique d’un peuple . Il est temps que nos représentants se montrent dignes de la Nation du siècle des lumières, des Droits de l’Homme et du Citoyen et de notre devise Liberté.

    1 http://www.economiematin.fr/news-suede-liberte-confinement-echec-difference-france-coronavirus-strategie-delepine

    2 CBS News : « La Suède devient un exemple de la façon de ne pas gérer le COVID-1 9. » L'Université de Virginie : « L’absence de verrouillage a augmenté les décès dus au COVID-19 en Suède. », le New York Times : « La Suède tente un nouveau statut: l'État de Paria» et tout récemment The time « La réponse suédoise au COVID-19 est un désastre. » …

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  15. 3 Imperial College Response Team report 9 https://www.imperial.ac.uk/media/imperial-college/medicine/mrc-gida/2020-03-16-COVID19-Report-9.pdf

    4 Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on Swedish healthcare capacity https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf

    5 D’après les données publiées par l’OMS le 22/10 /2020

    6 D’après l’OMS covid situation report 108 https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200507covid-19-sitrep-108.pdf?sfvrsn=44cc8ed8_2

    7 Covid19/OMS/20201020-weekly-epi-update-10 www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20201020-weekly-epi-update-10.pdf

    8 Rapport 9 de l’Imperial College : « Seul le confinement total de la population peut arrêter l’épidémie »

    9 Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics Ensenada Center for Scientific Research, Ensenada, BC medRxiv preprint April 24, 2020

    10 Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics Ensenada Center for Scientific Research, Ensenada, BC medRxiv preprint April 24, 2020

    11 Espoir malheureusement démenti par les faits ainsi que nous l’avons vu précédemment

    12 Pr Grimaldi 20 millions de malades chroniques en France : France- info 27 3 2017

    13 Midi libre du 13 avril rapporte les cas d’une infirmière toulousaine, d’un médecin rémois qui ont clairement indiqué que la peur du covid était la raison de leur acte et de Thomas Schäfer, ministre des Finances du Land de Hesse chargé de la gestion de la crise.

    14 P Mesmer Au Japon, le coronavirus à l’origine d’une nouvelle épidémie de suicides Le Monde 16 octobre 2020 https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/10/16/au-japon-le-coronavirus-a-l-origine-d-une-nouvelle-epidemie-de-suicides_6056298_4500055.html

    15 Nathalie Samson, Chômeurs : "Un risque de suicide deux fois plus élevé" L’express 21/09/2018 7

    16 P.L avec AFP L'OCDE TABLE SUR UNE RÉCESSION DE 11,4% EN FRANCE EN 2020 SANS SECONDE VAGUE DE L'ÉPIDÉMIE 10/06/2020 BFM https://www.bfmtv.com/economie/l-ocde-table-sur-une-recession-de-11-4-en-france-en-2020-sans-seconde-vague-de-l-epidemie_AN-202006100125.html

    17 D’après CNBC

    18 COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-om-risiko-og-respons-2020-05-05.pdf

    19 D Dewitte Norvège : ‘Le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19’Business AM 28/5/2020

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  16. Anchor 20 Premier ministre norvégien Erna Solberg le 27 mai à la télévision d’état : « J'ai probablement pris de nombreuses décisions par peur" « La fermeture des écoles n’était peut-être pas nécessaire ».

    21 https://francais.rt.com/international/79652-covid-19-oms-pointe-consequences-nefaste-confinement

    http://www.economiematin.fr/news-suede-coronavirus-gestion-crise-exemple-democratie-efficacite-delepine

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  17. Le coronavirus manquant: pourquoi je ne suis pas surpris


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    28 octobre 2020


    Comme mes lecteurs le savent, j’ai exposé le fait que personne n’a prouvé que le virus SARS-CoV-2 existe. J'ai exposé le fait dans un certain nombre d'articles, abordant la question sous plusieurs angles. [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8]

    Je ne suis pas surpris de ce que j’ai trouvé. Je pourrais offrir BEAUCOUP de raisons pour mon manque de surprise. Dans cet article, je ne citerai qu'une seule raison. Un cas antérieur avec des caractéristiques similaires.

    Ce cas est étonnant car: il a été exposé dans la presse grand public; de nombreux médias alternatifs n'ont pas reconnu les implications; la plupart des journalistes indépendants ont rarement, voire jamais, mentionné le scandale.

    C’est comme si on craignait de faire face à la fraude au-delà d’un certain niveau d ’« acceptabilité ».

    «Oui, nous pouvons dénoncer cette fraude et celle-là, mais l’autre là-bas… ne la touchez pas. Il fait trop chaud, c'est trop gros. Faisons semblant que cela ne s'est pas produit. Passons à autre chose et passons à autre chose… »

    Et avec cela, je vous ramène à l'été 2009. Le monde était en proie à une pandémie appelée grippe porcine, causée par le virus H1N1.

    Le CDC signalait des milliers de cas en Amérique. Un nouveau vaccin avait été mis en production précipitamment.

    Mais derrière le rideau, quelque chose n'allait pas. En fait, le CDC avait STOPPÉ les cas de comptage. Comment cela pourrait-il être ? La tâche principale de l’agence était de signaler les décès et les maladies. Et à la suite de leur arrêt, comment le CDC pourrait-il prétendre savoir qu'il y avait des milliers de cas de grippe porcine aux États-Unis ?

    Ces questions ont intrigué une journaliste d'investigation vedette de CBS, Sharyl Attkisson. Elle a fouillé et a découvert pourquoi le CDC avait arrêté de compter les cas.

    Voici, à partir d'un entretien que j'ai mené avec elle, il y a plusieurs années, son explication:

    Rappoport: En 2009, vous avez dirigé la couverture de la soi-disant pandémie de grippe porcine. Vous avez découvert qu'à l'été 2009, les Centers for Disease Control, ignorant leur mandat fédéral, ont [secrètement] cessé de compter les cas de grippe porcine en Amérique. Pourtant, ils ont continué à susciter la peur de la «pandémie», sans avoir aucune mesure réelle de son impact. N'est-ce pas une autre enquête de votre part qui a été fermée ? N'y avait-il pas plus à découvrir ?

    Attkisson: Les implications de l'histoire étaient encore pires que cela. Nous avons découvert grâce à nos efforts FOI qu'avant que les CDC arrêtent mystérieusement de compter les cas de grippe porcine, ils avaient appris que presque aucun des cas qu'ils avaient comptés comme grippe porcine n'était en fait la grippe porcine ou toute autre forme de grippe! L'intérêt pour l'histoire d'un cadre de [CBS] était très enthousiaste. Il a dit que c'était «l'histoire la plus originale» qu'il avait vue sur toute l'épidémie de grippe porcine. Mais d'autres ont poussé à l'arrêter [après sa publication sur le site Web de CBS News [9]] et, à la fin, aucune émission [de nouvelles télévisées de CBS] n'a voulu y toucher. Nous avons diffusé de nombreuses histoires véhiculant l'idée d'une épidémie, mais pas celle qui jetterait un éclairage original et nouveau sur tout le battage médiatique. C'était juste, précis, légalement approuvé et une sacrée histoire. Le CDC gardant secrètes les vraies statistiques sur la grippe porcine, cela signifiait que de nombreux membres du public ont pris et donné à leurs enfants un vaccin expérimental qui n'était peut-être pas nécessaire.

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  18. —Fin de l'extrait d'entretien—

    Les analyses de routine en laboratoire d'échantillons de tissus des patients les plus susceptibles de grippe porcine revenaient, dans le pourcentage écrasant de cas, avec: AUCUN SIGNE DE GRIPPE PORCINE OU TOUT AUTRE TYPE DE GRIPPE.

    L’article d’Attkisson sur ce scandale, publié sur le site de CBS News, y languit. L'étape suivante, plus importante, la diffusion de l'histoire aux nouvelles télévisées de CBS, a été franchie. Pas d'entente. Et CBS a mis fin à toute enquête future sur le sujet. L’article d’Attkisson est mort sur la vigne. Aucun autre grand média au monde n'a repris son article et l'a suivi plus profondément dans le terrier du lapin.

    Ces échantillons de test provenant de «patients atteints de grippe porcine» étaient en cours d'analyse dans des laboratoires d'État dans tout le pays. L'analyse recherchait le virus H1N1, la cause présumée de la grippe porcine. Quels que soient les types de tests de laboratoire effectués, ils revenaient négatifs.

    En d’autres termes, le virus n’était pas là. Il manquait.

    Toute la pandémie, aux États-Unis, reposait sur un virus absent.

    Il existe des différences importantes entre la grippe porcine et les débâcles COVID. Mais vous voyez l'idée. Où est le virus ?

    Il y a des répliques à l'histoire de la grippe porcine. L’une d’entre elles est la suivante: les biologistes moléculaires traditionnels, les généticiens, les spécialistes des maladies infectieuses et les experts en santé publique n’ont pas été dissuadés le moins du monde par les révélations de Sharyl Attkisson. Ces professionnels ne sont pas retournés à la planche à dessin. Ils n'ont pas remis en question leurs propres méthodes. Ils n'ont jamais remis en question leur capacité à découvrir ou à isoler un nouveau virus. Ils sont restés inébranlables dans leurs préjugés.

    Cela s'appelle un indice.

    Voici un autre indice. Environ trois semaines après la publication de l’article d’Attkisson par CBS, le CDC - l’agence qu’Attkisson avait exposé - a décidé de doubler et de dire un nouveau mensonge fantastique.

    Le 12 novembre 2009, WebMD a publié ce mensonge du CDC: «De façon choquante, 14 à 34 millions de résidents américains - la meilleure estimation du CDC est de 22 millions - ont contracté la grippe porcine H1N1 le 17 octobre [2009].» («22 millions de cas de grippe porcine aux États-Unis», [10] par Daniel J. DeNoon).

    22 MILLIONS de cas. Basé sur rien. Basé sur un virus qui n’était pas là.

    SOURCES:

    [1] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/08/the-smoking-gun-where-is-the-coronavirus-the-cdc-says-it-isnt-available/

    [2] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/09/covid-the-virus-that-isnt-there-the-root-fraud-exposed/

    [3] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/12/the-fake-coronavirus-and-the-missing-study-the-secret-in-plain-sight/

    [4] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/13/yet-another-case-of-the-missing-virus-they-lied-and-locked-down-the-world/

    [5] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/15/if-the-virus-isnt-there-why-do-they-believe-it-is/

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  19. [6] http://blog.nomorefakenews.com/2020/10/19/dr-tom-cowan-explores-the-covid-virus-invented-out-of-sheer-nonsense/

    [7] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/22/the-virus-that-isnt-there-genetic-sequencing-and-the-magic-trick/

    [8] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/26/the-missing-virus-answering-critics-objections/

    [9] https://www.cbsnews.com/news/swine-flu-cases-overestimated/

    [10] https://www.webmd.com/cold-and-flu/news/20091112/over-22-million-in-us-had-h1n1-swine-flu#1

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/the-missing-coronavirus-why-im-not-surprised/

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  20. Comment les essais de vaccins COVID-19 sont truqués


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    28 octobre 2020


    Il y a eu beaucoup de discussions ces derniers temps sur la question de savoir si le vaccin COVID-19 accéléré sera en fait sûr et efficace. Alors que les fabricants de vaccins insistent sur le fait que tout vaccin arrivant sur le marché aura subi des tests rigoureux, la façon dont les protocoles d'essai sont conçus suggère que ces vaccins peuvent laisser beaucoup à désirer.

    Comme indiqué1 par William Haseltine, contributeur de Forbes, ancien professeur à la Harvard Medical School et à la Harvard School of Public Health, tandis que Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson ont tous publié leurs protocoles d'essais de vaccins dans un rare étalage de transparence, les protocoles soulèvent des inquiétudes surprenantes.

    En un mot, la conception des essais est telle que les vaccins obtiendront une note de passage même si leur efficacité est minime. Bien sûr, nous devons également tenir compte des effets secondaires des vaccins et j’ai également écrit plusieurs articles sur les préoccupations croissantes en matière de sécurité.

    Essais de vaccins COVID-19 truqués pour réussir le test d'efficacité

    Comme l'a noté Haseltine, la prévention de l'infection serait généralement un critère critique de tout essai de vaccin. En d'autres termes, vous voulez vous assurer que lorsque vous prenez le vaccin, votre risque d'infection est considérablement réduit.

    Cependant, en ce qui concerne le vaccin COVID-19, il est choquant de constater que la prévention de l'infection n'est pas un critère de succès dans aucun de ces essais. Le seul critère pour un vaccin COVID-19 réussi est une réduction des symptômes du COVID-19, et même dans ce cas, la réduction requise est minime.

    «Nous attendons tous un vaccin efficace pour prévenir les maladies graves en cas d'infection. Trois des protocoles de vaccination - Moderna, Pfizer et AstraZeneca - n'exigent pas que leur vaccin prévienne une maladie grave mais seulement qu'ils préviennent des symptômes modérés qui peuvent être aussi légers que la toux ou des maux de tête », écrit Haseltine, 2 ajoutant:

    «Les sociétés pharmaceutiques ont l'intention de faire des essais allant de 30 000 à 60 000 participants. Cette échelle d'étude serait suffisante pour tester l'efficacité du vaccin.

    La première surprise trouvée après une lecture plus approfondie des protocoles révèle que chaque étude a l'intention de compléter des analyses intermédiaires et primaires qui incluent tout au plus 164 participants. Ces entreprises ont probablement l'intention de demander une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la Food and Drug Administration (FDA) avec juste leurs résultats préliminaires limités. »

    Pour obtenir une note «de passage» dans l'analyse intermédiaire limitée, un vaccin doit montrer une efficacité de 70%. Cependant, encore une fois, cela ne signifie pas que cela préviendra l'infection chez 7 personnes sur 10. Comme l'explique Haseltine: 3

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  21. «Pour Moderna, l'analyse intermédiaire initiale sera basée sur les résultats de l'infection de seulement 53 personnes. Le jugement rendu dans l'analyse intermédiaire dépend de la différence du nombre de personnes présentant des symptômes… dans le groupe vacciné par rapport au groupe non vacciné. La marge de succès de Moderna est que 13 ou moins de ces 53 personnes développent des symptômes, contre 40 ou plus dans leur groupe témoin. "

    Les autres fabricants de vaccins fondent leurs résultats sur un protocole similaire, où seul un nombre limité de participants vaccinés sont exposés au virus pour évaluer l'étendue de leurs symptômes.

    L'analyse intermédiaire de Johnson & Johnson comprendra les résultats de 77 vaccinés qui ont été infectés par le SRAS-CoV-2, et si moins de 18 d'entre eux développent des symptômes de COVID-19, contre 59 dans le groupe témoin, le vaccin sera considéré réussi.

    Dans le cas d’AstraZeneca, l’analyse intermédiaire comprend 50 vaccinés. Le vaccin sera un succès si 12 ou moins développent des symptômes après une exposition au SRAS-CoV-2, contre 19 dans le groupe témoin de 25 personnes.

    L'analyse intermédiaire de Pfizer est la plus petite du groupe, avec seulement 32 vaccinés. Leur marge de réussite est de sept receveurs de vaccin ou moins développant des symptômes, comparativement à 25 dans le groupe témoin. Dans l'analyse principale, l'efficacité est fixée à environ 60%, et tout au plus, 164 volontaires seront inclus dans cette analyse.

    Ce qui est particulièrement préoccupant, c'est que ceux qui reçoivent le vaccin dans ces essais sont des personnes jeunes et en bonne santé qui ne courent pas vraiment un risque élevé de mourir du COVID-19. Cela rend les résultats de ces essais très discutables dans la population beaucoup plus vulnérable des personnes âgées.

    Les essais testent simplement la réduction des symptômes courants du rhume

    Comme si cela ne soulevait pas assez les sourcils, la qualification minimale pour un «cas de COVID-19» se résume à un seul test PCR positif et à un ou deux symptômes légers, tels que maux de tête, fièvre, toux ou nausées légères. Comme l'a noté Haseltine, «C'est loin d'être suffisant.»

    Tout ce qu'ils font, c'est tester pour voir si ce vaccin COVID-19 minimisera les symptômes du rhume. Ils ne garantissent pas réellement que le vaccin préviendra les complications graves du COVID-19. L’essai de Johnson & Johnson est le seul qui nécessite au moins cinq cas graves de COVID-19 pour être inclus dans l’analyse intermédiaire.

    «L'une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l'infection. Si quelqu'un prend ce vaccin, est-il beaucoup moins susceptible d'être infecté par le virus ?

    Ces essais se concentrent tous clairement sur l'élimination des symptômes du COVID-19, et non sur les infections elles-mêmes. L'infection asymptomatique est répertoriée comme un objectif secondaire dans ces essais alors qu'elle devrait être d'une importance critique.

    Il semble que toutes les sociétés pharmaceutiques supposent que le vaccin ne préviendra jamais l'infection. Leurs critères d'approbation sont la différence de symptômes entre un groupe témoin infecté et un groupe vacciné infecté. Ils ne mesurent pas la différence entre l'infection et la non-infection comme motivation principale », écrit Haseltine.4

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  22. La maladie grave et la mort sont également des objectifs secondaires dans ces essais, et aucun d'entre eux n'inclut l'échec à prévenir l'hospitalisation ou le décès comme un obstacle important au succès. Le bon sens qui disparaît de plus en plus nous dit que si le vaccin ne peut pas réduire l'infection, l'hospitalisation ou le décès, il ne peut pas mettre fin à la pandémie, ce qui signifie que tous ceux qui prennent le vaccin le feront en vain.

    Certains essais de vaccins COVID-19 n'utilisent pas de placebos inertes

    En plus de tout cela, certains essais de vaccins COVID-19 utilisent d'autres vaccins comme «placebo» plutôt que des substances véritablement biologiquement inertes telles que le sérum physiologique, ce qui permet effectivement de masquer beaucoup plus facilement les effets secondaires du vaccin. Alors que Moderna utilise un placebo en solution saline5, AstraZeneca utilise un vaccin antiméningococcique injecté plutôt qu'un véritable placebo.6

    Une autre façon pour AstraZeneca de masquer les effets secondaires potentiels consiste à administrer le vaccin avec certains médicaments. Dans l'un de ses bras d'étude, les sujets reçoivent de l'acétaminophène toutes les six heures pendant les 24 premières heures après l'inoculation. Le réducteur de douleur et de fièvre pourrait potentiellement masquer et minimiser les effets secondaires tels que douleur, fièvre, maux de tête ou malaise général.

    En plus de masquer les effets secondaires, il est largement reconnu parmi les médecins alphabétisés en médecine naturelle que l'utilisation d'acétaminophène lors d'infections virales aiguës n'est pas une stratégie judicieuse car elle altère la réponse immunitaire pour combattre l'infection.

    Tel que rapporté par Wired: 7

    «Le communiqué de presse pour… les résultats des essais de vaccins d’Oxford décrit une fréquence accrue des« effets secondaires mineurs »parmi les participants. Un regard sur le papier réel, cependant, révèle qu'il s'agit d'une rotation marketing ...

    Oui, les réactions légères étaient beaucoup plus fréquentes que les pires. Mais les préjudices modérés ou graves - définis comme étant suffisamment graves pour interférer avec la vie quotidienne ou nécessitant des soins médicaux - étaient également courants.

    Environ un tiers des personnes vaccinées avec le vaccin COVID-19 sans acétaminophène ont présenté des frissons modérés ou sévères, de la fatigue, des maux de tête, des malaises et / ou de la fièvre.

    Près de 10 pour cent avaient une fièvre d'au moins 100,4 degrés, et un peu plus d'un quart des douleurs musculaires modérées ou sévères. C'est beaucoup, dans un groupe de personnes jeunes et en bonne santé - et l'acétaminophène n'a pas beaucoup aidé pour la plupart de ces problèmes. "

    Deux essais suspendus en raison de problèmes de sécurité

    Le 6 septembre 2020, AstraZeneca a suspendu son essai de vaccin de phase 3 en raison d'une «réaction indésirable grave et inattendue soupçonnée» chez un participant britannique.8,9 La société n'a pas initialement divulgué la nature de l'effet indésirable, mais il a depuis été révélé le volontaire a développé une inflammation sévère de la moelle épinière, connue sous le nom de myélite transverse.10,11

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  23. Le 12 septembre 2020, l'Autorité britannique de réglementation de la santé des médicaments a donné le feu vert à AstraZeneca pour reprendre son essai de phase 3 au Royaume-Uni, après qu'un examen indépendant a jugé qu'il était `` sûr de le faire '' .12,13 Selon un porte-parole d'AstraZeneca, le l'incident était un cas de sclérose en plaques non diagnostiquée.14

    Quelques jours plus tard, le 19 septembre 2020, le New York Times a rapporté15 qu'un deuxième cas de myélite transverse s'était produit dans l'essai AstraZeneca. Selon un expert consulté par le NYT, l'événement représentait un «schéma dangereux» et qu'une troisième incidence pourrait interrompre indéfiniment l'essai de vaccin.

    AstraZeneca, cependant, affirme que les deux cas sont «peu susceptibles d'être associés au vaccin», et qu'il n'y a «pas suffisamment de preuves pour dire avec certitude que les maladies étaient ou n'étaient pas liées au vaccin.» 16 21 octobre 2020, c'était a rapporté17 que l'un des volontaires de l'essai brésilien d'AstraZeneca était décédé des complications du COVID-19, mais que l'essai se poursuivrait quand même.

    Le 12 octobre 2020, Johnson & Johnson a interrompu son procès en raison d'une «maladie inexpliquée» chez l'un de ses participants.18,19 Comme AstraZeneca, Johnson & Johnson a gardé le silence sur les détails de la maladie, en disant: «il est important d'avoir tous les faits avant de partager des informations supplémentaires. »

    Les effets secondaires sont monnaie courante

    Le fait que davantage d'essais n'aient pas été interrompus est surprenant compte tenu du taux d'effets secondaires20 survenant chez des volontaires en parfaite santé. Comme indiqué dans «Gates tente de justifier les effets secondaires du vaccin accéléré», après la première des deux doses du vaccin Moderna COVID-19, 80% des participants de phase 1 recevant la dose de 100 microgrammes (mcg) ont développé des effets secondaires systémiques. 21

    Après la deuxième dose, 100% ont rapporté des effets secondaires allant de la fatigue (80%), des frissons (80%), des maux de tête (60%) et des myalgies ou des douleurs musculaires (53%).

    Malgré cela, la dose de 100 mcg a finalement été choisie pour passer aux essais de phase 3.22 Dans le groupe recevant la dose la plus élevée, qui a reçu 250 mcg, 100% des participants ont souffert d'effets secondaires après la première et la deuxième dose.23 Trois des 14 participants (21%) du groupe 250 mcg ont subi «un ou plusieurs événements graves».

    Un rapport du 1er octobre 202024 de CNBC passe en revue les expériences de cinq participants aux essais de vaccins SRAS-CoV-2 de Moderna et Pfizer. L’un des participants à l’essai vaccinal de Pfizer «s’est réveillé avec des frissons, tremblant si fort qu’il a craqué une dent après avoir pris la deuxième dose.»

    Un participant à l'essai Moderna a déclaré à CNBC qu'il avait une fièvre légère et qu'il se sentait «sous le temps» pendant plusieurs jours après sa première injection. Huit heures après sa deuxième injection, il était «alité avec une fièvre supérieure à 101, des tremblements, des frissons, un mal de tête violent et un essoufflement. Il a dit que la douleur dans son bras, là où il a reçu l’injection, ressemblait à un «œuf d’oie sur mon épaule». Il a à peine dormi cette nuit-là, enregistrant que sa température était supérieure à 100 degrés pendant cinq heures. »25

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  24. Deux autres ont signalé des effets secondaires similaires et un troisième a averti que vous auriez besoin de prendre un jour de congé après le deuxième coup. CNBC a également noté que «au fur et à mesure que les entreprises progressaient dans les essais cliniques, plusieurs fabricants de vaccins ont abandonné leurs doses les plus élevées à la suite de rapports faisant état de réactions plus graves».

    Certains vaccins COVID-19 pourraient-ils augmenter le risque de sida ?

    Fait troublant, un groupe de chercheurs s'inquiète maintenant du fait que certains candidats vaccins COVID-19 pourraient exposer certaines personnes à un risque plus élevé de contracter le VIH, le virus qui cause le sida.26,27,28

    Prenant comme exemple la tentative ratée de créer un vaccin anti-VIH, les chercheurs expliquent29 que l'adénovirus génétiquement modifié, Ad5, utilisé dans les essais de vaccin anti-VIH, est le même que celui utilisé actuellement dans quatre candidats COVID-19 étudiés aux États-Unis, en Russie. et le Pakistan.

    Au moment de l'échec du vaccin contre le VIH, les scientifiques étaient incapables d'identifier la raison exacte pour laquelle Ad5 semblait augmenter le risque de VIH; c'est tout simplement inexplicablement arrivé. Fait intéressant, le Dr Anthony Fauci était l'auteur principal de l'étude sur le VIH30, dans laquelle il s'est demandé «si le problème s'étend à certains ou à tous les autres vecteurs recombinants actuellement en développement ou à d'autres vaccins à base de vecteurs».

    En réfléchissant à cette question, les chercheurs disent avoir décidé de rendre publique cette information maintenant, car les vaccins Ad5 contre COVID-19 pourraient bientôt être testés dans des populations à forte prévalence du VIH, et ils estiment que le consentement éclairé sur le risque de VIH / SIDA devrait être dans le cadre des études cliniques sur le COVID-19.

    Le vaccin COVID-19 sera-t-il obligatoire ?

    Selon un sondage de septembre 202031, seuls 51% des Américains ont déclaré qu'ils recevraient «certainement ou probablement» le vaccin COVID-19 à sa sortie. Une autre enquête32 a révélé que seulement 44% prendraient le vaccin de première génération même s'ils étaient payés 100 $. L'hésitation croissante à l'égard des vaccins a été déplorée dans un article du 1er octobre 202033 du New England Journal of Medicine, et la réponse, suggère l'article, est de le rendre obligatoire pour tous.

    Et, pour inciter à la conformité, les auteurs recommandent d'appliquer des sanctions sévères en cas de non-respect, telles que la suspension de l'emploi et / ou l'assignation à résidence.

    Un article 34 du 19 octobre 2020 de la radio publique du Wisconsin avertit également que si des précédents existent, les employeurs peuvent avoir le droit de forcer les travailleurs à se faire vacciner. Les exceptions potentielles pourraient inclure certains problèmes médicaux, des objections religieuses de bonne foi et certains contrats syndicaux qui interdisent les exigences en matière de vaccins.

    L'Opération Warp Speed ??a récemment sélectionné Walgreens et CVS comme partenaires à l'échelle nationale dans l'effort de distribution de vaccins à venir35. et le personnel, une fois disponible.

    Les soi-disant «passeports santé» deviennent également une réalité. L'Irlande, par exemple, a déjà commencé son procès national. L'initiative Health Passport Ireland utilise une application pour suivre et afficher les résultats des tests COVID-19. Le statut vaccinal sera ajouté une fois qu'un vaccin sera disponible.

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  25. Des sommes d'argent incalculables sont également consacrées à des programmes visant à étiqueter, suivre et retracer la population humaine au nom de la santé et de la sécurité publiques. Selon un article36 de la revue JAMA, les coûts cumulatifs estimés de la pandémie COVID-19 liés à la perte de production et à la réduction de la santé s'élèvent à plus de 16 billions de dollars aux États-Unis seulement, soit environ 90% de notre produit intérieur brut annuel.

    «Pour cette raison, les politiques qui peuvent réduire considérablement la propagation du SRAS-CoV-2 ont une énorme valeur sociale», affirme l'article. Cependant, les règles de test, de traçage et d’isolement, qui sont toutes promues dans cet article, ont également un prix, et c’est un prix que toute personne sensée rejetterait, à savoir la perte de la vie privée et de la liberté.

    Comme le rapporte37 The Last American Vagabond, les gouvernements vendent notre liberté au nom de la santé publique. Voulons-nous vraiment vivre dans un «état de biosécurité»? Ces stratégies de vol de liberté nous sont vendues comme le chemin du retour à la normalité, mais la réalité sera tout sauf normale.

    Comme détaillé dans «La prise de contrôle mondiale est en cours», la pandémie et la réponse mondiale qui y est apportée sont loin d'être accidentelles. Dans une très grande majorité, les preuves indiquent qu'il fait partie d'un programme beaucoup plus vaste pour mettre en œuvre les dernières étapes d'une prise de contrôle technocratique.

    J'ai également couvert divers aspects de ce programme mondialiste dans «Symptômes COVID du pouvoir: les milliardaires de la technologie récoltent l'humanité», «Les milliardaires de la technologie visent une monnaie mondiale», «Le professeur de Harvard expose le capitalisme de surveillance», «Comment la technocratie médicale a rendu la plandémie possible »Et« US Surveillance Bill 6666: The Devil in the Details ».

    La pandémie COVID-19 a considérablement élargi le fossé économique entre les gens moyens et l'élite riche, 38,39 et continuer sur la voie que nous suivons actuellement ne fera qu'aggraver cette disparité, pas mieux.

    Le plan mondialiste ne consiste pas à créer un monde meilleur pour l’individu moyen, il consiste à nous asservir afin que nous ne puissions pas rejeter ou même résister à ce qui va finalement arriver. Les vaccinations forcées ne sont qu'un aspect du plan auquel il faut résister à tout prix.

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  26. Sources and References

    1, 2, 3, 4 Forbes September 23, 2020
    5 Henryford.com Moderna COVE Vaccine Study
    6, 7 Wired July 21, 2020
    8, 12 AstraZeneca September 12, 2020
    9 STAT News September 8, 2020
    10 KHN September 14, 2020
    11 New York Times September 8, 2020 (Archived)
    13 STAT News September 12, 2020
    14 En.as.com September 21, 2020
    15 The New York Times September 19, 2020 (Archived)
    16 Covid19vaccinetrial.co.uk Participant Information Sheet (PDF)
    17 Reuters October 21, 2020
    18 JnJ.com
    19 Channel3000 October 19, 2020
    20 Observer October 20, 2020
    21 NEJM July 14, 2020 DOI: 10.1056/NEJMoa2022483
    22 Neurology Live July 16, 2020
    23 Reporter.am July 14, 2020
    24, 25 CNBC October 4, 2020
    26, 29 The Lancet October 19, 2020
    27 Forbes October 20, 2020
    28 Science October 19, 2020
    30 Science April 4, 2014; 344(6179): 49-51
    31 CIDRAP September 18, 2020
    32 Axios September 24-27, 2020
    33 NEJM 2020; 383:1296-1299
    34 Wisconsin Public Radio October 19, 2020
    35 Defense.gov October 17, 2020
    36 JAMA 2020;324(15):1495-1496
    37 The Last American Vagabond October 13, 2020
    38 The Nation October 5, 2020
    39 The Guardian October 6, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/joseph-mercola/how-covid-19-vaccine-trials-are-rigged/

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  27. Le gouvernement de l'Illinois met fin aux repas à l'intérieur dans les 2/3 de l'État alors que le froid hivernal se profile


    par Tyler Durden
    Mar 27/10/2020 - 17:45


    Après avoir imposé lundi des restrictions plus strictes dans la banlieue du comté de Cook et dans la région peuplée de l'est métropolitain (la partie de l'Illinois qui comprend la banlieue de Saint-Louis) lundi, le gouverneur de l'Illinois JB Pritzker a imposé des restrictions tout aussi sévères à la ville de Chicago, augmentant le nombre de régions confrontées aux mesures les plus restrictives à 7 sur 11.

    À partir du vendredi, les repas à l'intérieur seront fermés ainsi que le service de bar et les rassemblements privés seront limités à 25.

    Puisque nous parlons de Chicago fin octobre, il est probable que peu de gens seront prêts à braver le froid pour manger à l'extérieur dans une tente à deux côtés (puisque, comme le ministère de la santé l'a précisé hier, une tente à quatre côtés à l'extérieur est considérée comme une tente").

    La ville a connu une augmentation soutenue des hospitalisations au COVID-19 et de son taux de positivité au test COVID-19, rapportant deux fois plus d'hospitalisations par semaine qu'il y a un mois.

    Chicago a un taux de positivité de 7,8 %, contre 6,7 % une semaine plus tôt.

    - voir graphique sur site -

    La semaine dernière, la maire de Chicago, Lori Lightfoot, a ordonné la fermeture des tavernes traditionnelles et des tavernes de brasserie qui ne servent pas de nourriture, et a demandé aux résidents de limiter les rassemblements à seulement 6 personnes. Cela a marqué un renversement par rapport aux réouvertures qu'elle avait autorisées le mois dernier.

    Et à l'approche des fêtes de fin d'année, le maire et le gouverneur menacent des restrictions plus sévères si la situation ne s'améliore pas.

    Avec 7 régions sur 11, qui abritent 8 millions d'habitants, soit 2/3 de la population de l'État, verront bientôt leurs réouvertures économiques annulées.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/illinois-gov-ends-indoor-dining-across-23rds-state-winter-cold-looms

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  28. Avis de recherche de l'OMS : La grippe semble avoir disparu avec l'apparition du Covid


    Karine Bechet-Golovko
    Russie Politics
    lun., 26 oct. 2020 17:33 UTC


    Quelqu'un l'aurait-il aperçue ? Car l'OMS est très inquiète : depuis l'apparition du Covid (les dates concordent), la grippe a disparu de nos belles contrées. C'est inquiétant, elle qui était toujours là pour nous accompagner en automne, cette ombre éternelle des feuilles mortes, n'apparaît plus dans les statistiques de l'OMS.

    Certains affirment qu'elle a été kidnappée par les pouvoirs publics et déguisée en Covid, d'autres que le kidnapper est le Covid lui-même au nom justement de l'OMS. Bref, l'on s'y perd et on l'a perdue. Mais elle me manque. C'est pourquoi je lance cet appel désespéré : si vous la voyez passer, signalez sa présence ! Nous avons déjà payé une rançon assez forte, nous vivions beaucoup mieux avec elle !

    Alors que les mesures liberticides deviennent monnaie courante dans le monde, que l'humain est pris pour cible d'un système totalitaire technologiquement orienté ; alors que nous sommes relayés dans les bas-fonds de l'existence animale (ne pas penser, manger, dormir, travailler) - avec une exception pour la consommation ; alors que la vie est censée se réduire à des colonnes dans des bases de données à vendre au plus offrant ; alors que tout cela a lieu "pour notre bien", car, Ô mon Dieu, le Covid est à nos portes et va nous détruire (donc autant se détruire soi-même), il se trouve ... que la grippe a disparu. Selon les données de l'OMS. Qui note officiellement la "baisse".

    Franchement dans l'hémisphère Nord :

    Avec quelques résidus dans l'hémisphère Sud :

    Rendez-nous notre bonne veille grippe ! Nous étions habitués à elle, elle était habituée à nous. Il était possible d'éternuer dans la rue sans risquer la lapidation, on avait le droit de prendre nos grands-parents dans nos bras et de leur faire de bisous; on avait le droit de faire la fête, d'avoir des amis et non pas des abonnés; on pouvait tranquillement feuilleter les livres dans les librairies; on pouvait surtout voir le visage de nos voisins, leur sourire et ne pas voir en lui un danger potentiel.

    Il semblerait que la grippe ait été travestie en Covid, beaucoup plus agressif - socialement. Ce que d'ailleurs confirment publiquement certains médecins : maintenant, tout est étiqueté "coronavirus".

    https://fr.sott.net/article/36214-Avis-de-recherche-de-l-OMS-La-grippe-semble-avoir-disparu-avec-l-apparition-du-Covid

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