- ENTREE de SECOURS -



jeudi 1 octobre 2020

L'enfer arrive : le CovidPass, la nouvelle prison 2.0

Ema Krusi
mer., 30 sept. 2020 19:19 UTC


Début mai, je vous disais en vidéo que je refusais les tests COVID car ils pouvaient être liés à une identité numérique qui était déjà en cours. J'ai été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream.

Je vous disais aussi que ces tests n'étaient pas fiables. J'ai été traitée de complotiste dans la presse et les médias mainstream.

Quelques mois plus tard, nous nous retrouvons dans un monde qui marche sur la tête: alors qu'il existe des traitements pour guérir du COVID, les autorités font la sourde oreille et misent tout sur le vaccin COVID à venir.

Les discours anxiogènes des médias dominants sont plus que jamais des rengaines d'absurdités: le nombre de cas est relevé quotidiennement et ne reflète pas la situation dans les hôpitaux. Les gros titres continuent d'affoler les masses, et pendant ce temps, la technologie s'installe sournoisement dans nos quotidiens avec des Applications liberticides que nous n'aurions jamais acceptées si nous avions dû voter.

La démocratie est entrain de s'envoler comme une ancienne utopie au profit de la fascination technologique. Quant à la presse et aux médias mainstream, ils continuent d'être les caisses de résonance des autorités alors que leur rôle premier est de vous informer. Au lieu de cela, ils se sont rangé du côté du manche. Mais le plus grave, ce n'est même plus leur abandon du peuple mais la réalité qui se dessine sans que personne n'en parle. Alors ? C'est vraiment ça, votre héritage pour vos enfants ?


10 commentaires:

  1. Rappelons que nous respirons TOUTES & TOUS (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique.
    Ainsi, nous avons TOUTES & TOUS respiré du corona ! D'où l'attention portée sur les 'tests' qui vous feront afficher 'positif' ou 'négatif' à la tête du client qui veut entrer en magasins, se promener chez lui ou voyager loin !

    Cela ne fait plus de doute que la nano-particule n'est PAS extraterrestre (il arrive des tonnes de poussières de l'espace sur Terre chaque jour) mais bien créée en laboratoires afin d'être ciblée et de vous cibler (selon vos humeurs politiques, religieuses ou simplement que vous osez parler de Démocratie !).

    Heureux les habitants des jungles qui n'auront de téléphone !

    RépondreSupprimer
  2. Et ce n'est qu'un début : Amazon introduit le paiement sans contact avec la paume de la main


    20Minutes
    mer., 30 sept. 2020 12:43 UTC


    La paume à la place de la carte bancaire : Amazon a dévoilé mardi une technologie biométrique sans contact pour permettre aux clients de payer en magasin d'un simple mouvement de la main.

    hyjuCe service, intitulé Amazon One, sera dans un premier temps déployé dans deux des supérettes Amazon Go situées à Seattle, le siège de la compagnie.

    Le groupe de Jeff Bezos compte ajouter la technologie à ses autres épiceries aux États-Unis (à Chicago, San Francisco et New York, en plus des autres points de vente à Seattle) et la vendre à des magasins tiers mais n'a pas annoncé de potentiel partenaire. La chaîne de supermarchés haut de gamme Whole Foods Market, rachetée en 2017 par Amazon, pourrait aussi se voir équipée de ce nouveau système de paiement à l'avenir.

    Signature unique

    « Dans la plupart des espaces commerciaux, Amazon One pourrait devenir un moyen de paiement alternatif ou une option carte de fidélité avec un appareil à la caisse aux côtés du système de paiement traditionnel », explique dans un article de blog Dilip Kumar, vice-président des ventes au détail et des technologies chez Amazon. Kumar indique aussi qu'Amazon One pourrait être utilisé pour l'entrée du public dans les stades ou l'accès au lieu de travail pour les employés.

    Décrite par Amazon comme « rapide, fiable et sûre », la technologie utilise des algorithmes faits sur mesure à partir d'une image de la main afin de créer une « signature unique avec la paume. » Les clients souhaitant s'inscrire doivent disposer d'un numéro de téléphone portable et d'une carte bancaire, mais un compte Amazon n'est pas nécessaire.

    Stockage dans le Cloud

    « Nous prenons au sérieux la sécurité des données et le respect de la vie privée et toute donnée sensible est traitée en accord avec nos politiques de longue date », assure Amazon. Le géant du commerce en ligne insiste notamment sur le fait que les images des paumes ne seront pas stockées sur les appareils Amazon One mais chiffrées et envoyées vers des espaces sécurisés dans le Cloud".

    Les usagers auront également la possibilité de demander que les données associées à Amazon One soient supprimées, directement depuis l'appareil ou via un site Internet dédié.

    Pour Doug Stephens, spécialiste de l'évolution des modes de consommation et fondateur de la société de conseil Retail Prophet, « la biométrique en tant que pièce d'identité ou moyen de paiement a toujours eu énormément de sens ». « La question est de savoir si Amazon réussira à normaliser notre relation avec elle ou s'il trahira notre confiance ? », s'interroge l'expert sur Twitter.

    RépondreSupprimer
  3. -- Commentaire : On oublie de nous dire que ceci fera partie de la « nouvelle normalité », que l'idée de la « micro-chip » va apparaître comme étant fantastique et efficace, une nouvelle technologie sans laquelle nous ne pourrons pas survivre... Peu à peu, mais assez vite quand même. En fait trop vite. Pour que nous ne puissions pas réagir.

    Une société entièrement contrôlée par l'intelligence artificielle et notre existence contrôlée par des machines ne sont donc plus du domaine de la science-fiction. Et ceci n'est qu'un début. --

    https://fr.sott.net/article/36124-Et-ce-n-est-qu-un-debut-Amazon-introduit-le-paiement-sans-contact-avec-la-paume-de-la-main

    RépondreSupprimer
  4. Pourquoi la tempête Alex attendue en France est-elle qualifiée de «bombe météorologique» ?


    17:04 01.10.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    La tempête Alex est attendue en milieu de la nuit de jeudi à vendredi dans le nord-ouest du pays. Pour plusieurs spécialistes, il s’agit d’une véritable «bombe météorologique».

    À l'approche de la tempête Alex, attendue en milieu de nuit prochaine, quatre départements en France ont été placés jeudi en vigilance orange et un en alerte rouge par Météo France.

    Une dépression qui «se creuse très rapidement»

    Les spécialistes météo qualifient la tempête de «bombe météorologique» à cause de la rapidité avec laquelle elle va se former, selon la Chaîne Météo.

    «Sous l'influence d'un puissant courant jet d'altitude et d'une descente d'air froid sur le proche Atlantique, une dépression venue mercredi du sud du Groenland se creuse très rapidement ce jeudi après-midi à l’entrée du golfe de Gascogne avant de remonter vers le sud de la Bretagne ce soir puis le nord de la région vendredi matin».

    Durant cette intensification, les pressions baisseront très fortement jusqu’à 30 hectopascals en 12 heures, ajoute la Chaîne Météo.

    Quels sont les départements les plus impactés ?

    Parmi les zones qui devraient être les plus impactées figurent la Loire-Atlantique, le Morbihan, notamment le pays de Vannes, Quiberon et les îles du Ponant, Groix, Houat, Hoedic. «Dans ces zones-là, on pourrait atteindre des rafales de 150 à 160 km/h. Ce qu'on ne retrouve qu'une fois tous les 10 ou 20 ans», a annoncé à France 3 Steven Tual de Météo Bretagne.

    «C'est une masse d'air très froid qui descend directement du pôle et qui va venir booster la dépression. Il se trouve que le courant jet est en phase. Il y a donc tous les ingrédients pour créer une explosion de cette dépression et ce sera dans le golfe du Morbihan», ajoute M.Tual.

    Le Finistère, les Côtes-d'Armor, l'Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique ont été placés en vigilance orange pour vent violent et / ou pluie-inondation. Le Morbihan est en alerte rouge en raison du caractère exceptionnel de cette tempête.

    https://fr.sputniknews.com/faits_divers/202010011044510714-pourquoi-la-tempete-alex-attendue-en-france-est-elle-qualifiee-de-bombe-meteorologique/

    RépondreSupprimer
  5. Pollution, travail des enfants, eau : la face sombre des batteries de voitures électriques


    Étienne Goetz
    Les Echos
    mar., 22 sept. 2020 09:00 UTC


    Nickel, mine Les voitures électriques ne sont pas la panacée en matière environnementale. La fabrication de batteries nécessite de grandes quantités de nickel, de cobalt et de lithium. Or l'extraction de ces métaux n'est pas toujours très verte, ni très éthique.

    Mais le conducteur qui a choisi de rouler électrique oublie parfois que pour remplacer l'or noir, il faut des quantités colossales de métaux dont l'extraction n'est pas toujours très verte ni éthique.

    Tesla en quête de nickel

    Le patron de Tesla Elon Musk a jeté un pavé dans la mare lors d'une conférence avec des analystes fin août en promettant un « contrat géant » à la société capable de lui fournir du nickel propre en quantité suffisante. Méconnu du grand public, le nickel est l'un des trois métaux stars des batteries aux côtés du lithium et du cobalt. Il augmente la puissance, donne de l'autonomie et permet de diminuer les quantités de cobalt, mais son extraction est loin d'être neutre.

    La biodiversité marine menacée

    « Pour le nickel, le risque environnemental majeur, c'est la gestion des résidus », rappelle Samuel Dufay, directeur environnement chez Eramet. En Indonésie, où se situent les principaux gisements pouvant répondre à la hausse de la demande, les opérateurs miniers, chinois pour beaucoup, n'hésitent pas à se débarrasser de ces déchets en les envoyant tout simplement au fond de la mer. Ce mélange de terre, d'eau et de fer met en danger la biodiversité marine et menace les coraux, alertent les ONG.

    Pour son projet à Weda Bay, le groupe français exclut donc cette approche. « Il faut préserver la réputation de toute la chaîne de valeur, sinon l'industrie automobile va revivre le dieselgate », prévient Samuel Dufay.

    Le manque de partenariats

    Une solution serait de stocker les résidus avec un barrage minier, mais l'édifice serait trop difficile à sécuriser dans un pays avec des tremblements de terre et une pluviométrie intense. Eramet privilégie donc une troisième option, plus chère, celle du stockage à sec : les résidus sont pressés jusqu'à devenir des plaques de terres qui seront ensuite entreposées et revégétalisées pour limiter les risques d'érosion.

    Le principal problème est que les montants à investir sont colossaux. Les projets nickel sont très gourmands en capital : il faut compter 1,5 milliard de dollars contre 500 millions pour un projet lithium ou cobalt. Les groupes miniers cherchent donc à nouer des partenariats avec des industriels. Eramet discute ainsi avec Tesla et d'autres constructeurs. Des négociations compliquées. « On a du mal à passer à l'étape suivante et à sécuriser des partenariats de long terme », concède Pierre-Alain Gautier, le directeur de la stratégie. Le constructeur américain, comme ses concurrents, préfère se contenter de contrats d'achats de long terme plutôt que de soutenir les projets des groupes miniers.

    RépondreSupprimer
  6. Risque de réputation

    A côté du nickel, le cobalt est l'autre terrain miné de la décarbonation des transports. Produit à 60 % en République démocratique du Congo (RDC), le métal est associé au travail d'enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour à peine 2 dollars par jour. Les acteurs du secteur multiplient donc les initiatives pour améliorer les conditions de travail et redorer l'image de leur minerai.

    Créée par Fairphone, une start-up néerlandaise de smartphones éthiques, la Fair Cobalt Alliance (FCA) vise à sécuriser les mines artisanales, qui représentent environ 10 % de la production actuelle, et éradiquer le travail d'enfants. Même s'il n'exploite pas ce genre de mines, le géant suisse Glencore a apporté son soutien à cette alliance, tout comme Tesla.

    L'or blanc et l'eau

    « Le risque de réputation devient un risque commercial », analyse Adam McCarthy de l'Institut du Cobalt. Particulièrement exposés à l'opinion publique, les fabricants de smartphones et les constructeurs automobiles cherchent de plus en plus à se passer du cobalt dans leurs appareils.

    Reste le dernier ingrédient majeur des batteries, le lithium, qui épuise un peu plus les ressources hydriques de régions déjà en manque d'eau. La problématique est sensible dans le « triangle du lithium » à cheval sur le Chili, la Bolivie et l'Argentine. L'or blanc est obtenu sur des lacs salés asséchés en faisant évaporer la saumure pompée dans la roche. Des solutions existent, mais elles ont un coût. Pour économiser l'eau, Eramet a développé pour son projet en Argentine, suspendu du fait de l'instabilité politique, une technique de captation du lithium moins gourmande permettant de réinjecter la saumure.

    https://fr.sott.net/article/36117-Pollution-travail-des-enfants-eau-la-face-sombre-des-batteries-de-voitures-electriques

    RépondreSupprimer
  7. CH2: Plus de façons de regarder !

    Par Craig Rucker
    30 septembre 2020


    Climate Hustle 2 a un impact. Tant de gens nous disent à quel point ils sont fatigués du torrent incessant d'exagérations et de mensonges purs et simples que les militants du réchauffement climatique poussent à travers un média trop conforme.

    Climate Hustle 2 est l'antidote.

    Achetez Climate Hustle 2 sur DVD ou Blu-Ray. Écoutez ce film révolutionnaire en ligne pour une location de 48 heures ou achetez-le pour la vie.

    - voir carte sur site -

    Consultez la carte qui a terrifié les arnaqueurs du climat. CH2 a maintenant été vu dans plus de 97 pays !

    Dans certains pays, il y a une discussion vigoureuse sur le changement climatique, tandis que dans d'autres le débat a été complètement étouffé. "Finalement!" Tant de personnes nous le disent. «Enfin, un film qui brouille les mythes climatiques et expose les faits!»

    Ce film est important.

    https://www.cfact.org/2020/09/30/ch2-more-ways-to-watch/

    RépondreSupprimer
  8. Les autorités madrilènes refusent d'appliquer le confinement décrété par le gouvernement espagnol


    1 oct. 2020, 12:23


    Après l'annonce du gouvernement espagnol d'un nouveau plan de lutte contre le Covid-19 prévoyant des restrictions pour toute la région de Madrid, dont un reconfinement partiel, les autorités madrilènes ont annoncé leur refus de l'appliquer.

    Après un bras de fer de deux semaines avec le gouvernement central espagnol (Parti socialiste ouvrier espagnol, de gauche), l'exécutif régional madrilène (Parti populaire, de droite) a annoncé le 30 septembre son refus d'appliquer le nouveau plan conçu pour contenir la propagation du Covid-19, dans lequel les réunions seraient limitées à six personnes, les commerces devant fermer à 22h et les restaurants à 23h.

    Présenté le même jour par le gouvernement de Pedro Sanchez, le plan prévoit d'étendre à toute la capitale les mesures déjà en vigueur depuis une semaine dans les zones de la région les plus touchées par le virus. Il contiendra également des mesures de confinement partiel en cas de dépassement de certains seuils (taux de contamination, taux d'occupation des hôpitaux, etc.), interdisant de fait à tous les habitants de Madrid d'entrer ou de sortir de la ville sauf, par exemple, pour aller travailler, chez le médecin ou emmener les enfants à l'école.

    Outre la capitale et ses trois millions d'habitants, neuf communes de la périphérie doivent être concernées par ces restrictions car elles remplissent les trois critères requis : un taux de contamination supérieur à 500 pour 100 000 habitants sur les deux dernières semaines, un taux d'occupation des unités de soins intensifs supérieur à 35% et un taux de positivité aux tests de dépistage PCR supérieur à 10%.

    Madrid estime que le plan du gouvernement n'est «pas valide juridiquement»

    «Nous sommes parvenus [...] à un accord [sur ce texte] approuvé à une large majorité» par les régions, compétentes en matière de santé, a déclaré le ministre espagnol de la Santé Salvador Illa devant la presse, le 30 septembre. Cependant, la région madrilène, qui a voté contre le plan, a annoncé dans la foulée son refus de l'appliquer, estimant qu'il était «illégal», faute d'unanimité, avant de promettre un recours en justice si le gouvernement insistait pour le mettre en œuvre, d'après Courrier International.

    L'accord n'est «pas valide juridiquement», s'est empressé d'indiquer le conseiller à la Santé de Madrid, Enrique Ruiz Escudero, dont l'exécutif était pourtant parvenu le 29 septembre au soir à un accord de principe avec l'Etat. Il a également accusé le gouvernement de ne pas être «loyal» envers la région, avant d'assurer que les habitants ne «comprendraient pas» l'instauration d'un nouveau confinement, selon le quotidien ABC.

    Malgré le refus de Madrid et d'autres régions, ces mesures «doivent être effectives» une fois le décret publié au Journal officiel «dans les prochains jours», a fait savoir Salvador Illa, qualifiant par la même occasion la situation de «complexe et inquiétante» dans cette région.

    RépondreSupprimer
  9. La région de Madrid «avait affirmé qu'il y avait un accord, et ce n'est pas à moi de dire pourquoi ils ont changé d'avis», a déclaré le ministre espagnol de la Santé, cité par la radio Cadena Ser. Et d'ajouter : «Mais je ne peux imaginer qu'une décision collégiale concernant la santé publique ne soit pas appliquée par la communauté de Madrid», qui représente 43,7% des nouveaux cas de Covid-19 du pays. Enrique Ruiz Escudero a lui, au contraire, évoqué «de premiers signaux montrant que nous entrons dans une situation qui s'améliore» dans la capitale, et que la seconde vague est «en voie d'être contrôlée», selon le quotidien ABC.

    En France, les annonces gouvernementales relatives à la fermeture anticipée des bars à 22h à Paris, et à la fermeture totale pour deux semaines des bars et restaurants à Aix-en-Provence et Marseille ont provoqué la colère de nombreux patrons d'établissements, mais aussi d'élus locaux et de citoyens.

    https://francais.rt.com/international/79294-autorites-madrilenes-refusent-appliquer-confinement-decrete-par-gouvernement-espagnol

    RépondreSupprimer