- ENTREE de SECOURS -



jeudi 15 octobre 2020

L’imposante montée en puissance nucléaire de la Chine

Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse.


Par Michel Gay.

15 OCTOBRE 2020


Le futur Quatorzième Plan quinquennal chinois prévoit que l’imposant programme électronucléaire continuera de se développer en Chine.

CENT GW NUCLÉAIRES EN CHINE POUR 2025

La China Nuclear Energy Association (CNEA) a récemment publié un Livre bleu intitulé Le rapport sur le développement de l’énergie nucléaire en Chine pour l’année 2020.

Fin 2019, le parc nucléaire chinois était doté de 47 réacteurs en exploitation, représentant une puissance installée de 49 gigawatts (GW), en augmentation de près de 10 % par rapport à l’année précédente. Il faut y ajouter 13 réacteurs en construction pour une puissance de 14 GW, record mondial du nombre de réacteurs en construction.

La puissance totale des réacteurs en exploitation et en construction représente près de 63 GW.

La Chine se situe pour le moment à la troisième place mondiale pour la puissance nucléaire installée, derrière les États-Unis et la France.

La production d’électricité d’origine nucléaire frôle les 350 térawattheures (TWh) en 2019, soit une augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente. Elle approche la production d’électricité nucléaire française (400 TWh) qui est pourtant la deuxième au monde après celle des États-Unis.

La production d’électricité nucléaire chinoise représente aujourd’hui presque, ou seulement 5 % de toute sa production d’électricité encore essentiellement issue du charbon soit environ 70 %.

DEUX-CENTS GW EN 2035

Le Livre bleu chinois souligne que le nucléaire jouera un rôle important dans le remplacement des énergies fossiles en Chine. Il prévoit six à huit nouveaux réacteurs chaque année pendant le Quatorzième Plan quinquennal et dans le programme de long terme.

Ainsi, fin 2020, le parc nucléaire chinois sera doté de 51 réacteurs en exploitation et de 17 en construction, représentant respectivement une puissance installée de 52 GW et de 19 GW.

En 2025 et au rythme actuel, le parc en service aura une puissance installée de 70 GW, dépassant celui de la France qui est de 61 GW aujourd’hui après la fermeture politique de Fessenheim. Et 30 GW seront en construction, soit au total 100 GW, ce qui représente une augmentation de près de 60 % par rapport à l’année 2019.

Enfin, en 2035, il est prévu une puissance nucléaire en service et en construction de 200 GW.

UNE MONTÉE EN PUISSANCE TOUS AZIMUTS DU NUCLÉAIRE

La Chine va prendre une place croissante dans le paysage nucléaire international et faire émerger des technologies innovantes dont elle fera bénéficier son industrie grâce à la dynamique des écosystèmes scientifiques voisins comme le numérique.

Les réacteurs de troisième génération tels que le Hualong 1, dont la mise en service devrait débuter fin 2020, et le CAP1400 équiperont majoritairement les nouvelles centrales nucléaires chinoises.

La Chine a annoncé le 4 septembre le chargement du combustible dans le réacteur tête de série Hualong-1 de Fuqing-5, à peine 64 mois après avoir coulé le premier béton.

Ce pays ne se contente plus de construire et d’exploiter des réacteurs conçus à l’étranger : en s’inspirant des technologies françaises et américaines il a acquis une maturité technologique et industrielle qui lui permet dorénavant de concevoir et construire des réacteurs dans des délais qu’aucun pays ne réussit plus à atteindre.

Ainsi, sans attendre le retour d’expérience du démarrage du premier réacteur Hualong-1, la Chine a officiellement ouvert la voie à la construction de ces nouveaux réacteurs dont 12 sont en construction ou autorisés. La Chine veut s’appuyer dorénavant sur cette technologie domestique, appelée à devenir le nouveau standard pour le parc nucléaire chinois. Le coût de ces réacteurs est annoncé autour de 4,5 milliards d’euros pour un délai de construction de 60 mois, largement inférieur au coût annoncé des autres réacteurs de troisième génération dans le monde.

L’arrivée d’un quatrième opérateur nucléaire en Chine (Huaneng après CNNC, CGN et SPIC) confirme la forte volonté chinoise d’accélérer le développement de son parc nucléaire et de favoriser la construction nationale afin d’accroître son indépendance dans un contexte de montée continue des tensions avec les États-Unis. Le taux de localisation annoncé est supérieur à 95 % pour le dernier réacteur de Tianwan 5 mis en service ce mois-ci, en octobre 2020.

De plus, la Chine continue à promouvoir la diversification des usages du nucléaire par la production de chaleur industrielle et urbaine avec de petits réacteurs SMR (Small Modular Reactor), notamment à l’intérieur des terres. Plusieurs réacteurs de démonstration SMR sont prévus pour le chauffage urbain et comme centrales électriques flottantes.

Elle étudie aussi l’utilisation de la chaleur des grands réacteurs électrogènes (exemple du chauffage urbain opéré à partir des réacteurs AP1000 de Haiyang), y compris sur les projets de réacteurs chinois neufs comme le CAP1400.

EN EUROPE ET EN FRANCE

Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse dans les domaines de l’enrichissement de l’uranium, des assemblages de combustible nucléaire, du retraitement, de l’entreposage, et du stockage géologique du combustible usé.

Dans ce contexte, il sera difficile pour la France et l’Europe de maintenir leur avance technologique. Développer des coopérations avec ses grands acteurs et une présence sur le marché chinois devraient faire partie des priorités des autorités pour profiter d’un effet d’entraînement et éviter le décrochage technologique.

La Chine sera le leader mondial dans tous les domaines nucléaires dans 15 ans, et peut-être même avant.

https://www.contrepoints.org/2020/10/15/382175-limposante-montee-en-puissance-nucleaire-de-la-chine 

70 commentaires:

  1. Reconfinements locaux : en mesurons-nous les conséquences ?

    Emmanuel Macron a choisi le « couvre-feu » pour les zones les plus touchées. Quelles en seront les conséquences ?


    Par Jonathan Frickert.
    15 OCTOBRE 2020


    Nous connaissions les vents d’ouest, Jean Castex a inventé le vent d’est. Difficile de ne pas y voir l’illustration d’un gouvernement avançant à contre-courant, car après Nice et Marseille le mois dernier, les restrictions touchent désormais l’ouest du Midi. Montpellier et Toulouse sont ainsi à leur tour touchés par de nouvelles restrictions après avoir été placés en zone d’alerte maximale ce mardi.

    Si hier, c’était la carte des contaminations que beaucoup scrutaient, comme les avancées de l’ennemi en temps de guerre, c’est bien l’avancée du nombre de territoires touchés par des restrictions qui frappe aujourd’hui les esprits, atteignant désormais l’ouest du pays. Des avancées qui rappellent largement les lignes ennemies des grands conflits militaires, à la manière du « nous sommes en guerre » assené en mars par le chef de l’État, alors que le pays se préparait à être confiné durant près de deux mois.

    Une perspective funeste, que Jean Castex évoquait dès lundi sur France Info, et qui a été confirmée par le chef de l’État hier soir lors d’un entretien télévisé : pour tenter d’endiguer l’épidémie, Emmanuel Macron a choisi le « couvre-feu » pour les zones les plus touchées.

    Difficile de ne pas s’inquiéter de ces mesures de reconfinements localisés lorsqu’on connaît leur inefficacité et surtout les conséquences d’un confinement national dont les démembrements locaux n’inspirent guère d’optimisme.

    UNE HÉSITATION DÉSORMAIS COUTUMIÈRE

    « On sait ce qui va se passer dans les 15 jours », a asséné le Premier ministre, quelques secondes seulement après avoir reconnu que les services de l’État ont été incapables de prédire l’ampleur de ce qui s’apparente désormais à une deuxième vague.

    Ayant échoué dans sa stratégie d’endiguement associant dépistage et traçage, notamment en raison du flop complet de l’application StopCovid dont une nouvelle version sera présentée le 22 octobre, mais qu’il avoue lui-même ne pas avoir téléchargé, le Premier ministre a mené un nouveau conseil de défense et de sécurité nationale cette semaine, basé sur les données récoltées ce lundi afin de mettre en œuvre les nouvelles annonces dès ce week-end, et notamment des reconfinements localisés dans les zones les plus touchées.

    Le Premier ministre a toutefois reconnu qu’il lui était impossible de restreindre les espaces privés, en particulier depuis la décision du Conseil constitutionnel du 11 mai dans laquelle les Sages ont exclu les locaux à usage d’habitation du champ des restrictions, mais pas les baptêmes, enterrements et autres événements religieux restreints sur la Côte d’Azur et qui, sans être juridiquement des espaces privés, concernent les familles dans l’intimité de leur pratique religieuse.

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  2. À l’appui de ses déclarations, Jean Castex a notamment rappelé que la crise allait encore durer plusieurs mois, tout en oubliant d’évoquer qu’il s’agit en réalité de l’objectif des autorités depuis le début de l’épidémie.

    En effet, difficile de ne pas se souvenir de l’appel du gouvernement en février et mars à un comportement permettant « d’aplatir la courbe », sous-entendu de permettre de lisser dans le temps le nombre de cas afin de soulager nos services sanitaires.

    Tel est bel et bien le cœur de ces restrictions que la soutenabilité de notre système de santé justifie en grande partie, sans pour autant parvenir aux résultats escomptés.

    DES MESURES INUTILES

    Parmi les mesures décidées : des couvre-feux à compter de 21 heures jusqu’à 6 heures dans les principaux foyers de contamination (la région Île-de-France et les métropoles de Grenoble, Lille, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Étienne et Toulouse), avec toujours le même ciblage des bars et restaurants, jugés responsables de nombreuses contaminations.

    Pourtant, l’impact de ces lieux sur la propagation du virus n’est en rien démontré. Comme le notait le docteur en épidémiologie Pascal Crépey dans la Voix du Nord, « On n’a pas d’étude épidémiologique sur ces lieux », les études publiées se limitant à une distinction entre sphère privée et sphère professionnelle, dans laquelle les bars et restaurants sont en fin de podium, largement derrière l’industrie alimentaire et les transports, mais à quasi-égalité avec l’administration publique ou les activités sportives.

    De quoi renforcer l’idée que l’équilibre entre l’efficacité sanitaire et la limitation des freins économiques et sociaux est loin d’être trouvé, renforçant l’opinion selon laquelle la seule solution est une fermeture totale de tous les lieux recevant du public. Au regard des conséquences des mesures déjà prises depuis mars, cette perspective est impossible, aussi bien moralement qu’économiquement et surtout socialement.

    DES COUVRE-FEUX, PAS DE CONFINEMENT TOTAL

    Blocage des recrutements, hausse du chômage, baisse historique du produit intérieur brut, augmentation du déficit et de la dette publique qui ferait même pâlir un keynésien… si les conséquences économiques sont largement rappelées depuis six mois, d’autres effets des mesures de restriction et de confinement sont largement passés sous le tapis.

    Pourtant, les conséquences sociales et psychologiques de ces limitations sont loin d’être négligeables.

    Des conséquences bien comprises et notamment par le Conseil d’État. Fin mars, il a été saisi d’un référé-liberté par plusieurs syndicats de médecins qui estimaient les mesures gouvernementales trop laxistes et portant atteinte au droit à la vie. Ces organisations syndicales exigeaient un confinement total incluant une interdiction de sortie et un ravitaillement des populations.

    Ce recours a été rejeté par la juridiction administrative en partie pour des questions de moyens humains et matériels à mettre en œuvre, mais également au nom de la santé. Dans son ordonnance du 22 mars, le Conseil d’État a ainsi rappelé le risque pour la santé mentale des Français que représenterait un confinement d’une telle intensité.

    UNE EXPLOSION DE LA PAUVRETÉ

    En effet, le confinement ainsi que les différentes mesures de restrictions qui ont depuis suivi se focalisent sur une limitation des interactions sociales et de l’activité physique, en particulier après la polémique relative à la pratique du jogging en mars dernier.

    Depuis cette époque, plusieurs études ont montré les conséquences sociales et psychologiques de ces mesures.

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  3. Il en est ainsi de l’explosion de la pauvreté dans l’Hexagone. L’économie d’un pays étant sa santé, lorsque celle-ci s’effondre, le reste fait de même. On le voit tous dans nos vies et c’est particulièrement vrai ici, puisque depuis février, un million de Français ont basculé dans la pauvreté.

    LE CONFINEMENT EST UNE VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE

    À cette hausse de la détresse sociale succède une hausse des violences, psychologiques d’une part, avec par exemple une augmentation des revenge porn, mais également un renforcement des violences physiques et notamment du fléau des violences conjugales qui ont ainsi augmenté de 30 % à la fin du mois de mars.

    Sur le plan psychologique, certains psychiatres notent les conséquences d’un isolement déjà massif chez certaines catégories de population comme les personnes âgées, d’autant plus impactées que principales victimes du virus.

    Si les défenseurs de la liberté promeuvent celle-ci pour des raisons morales ou d’efficacité, la nécessité psychologique et biologique de liberté s’est manifestée encore une fois durement durant le confinement. De la même manière que l’univers carcéral, par la privation de liberté qu’il induit, crée des troubles psychiatriques notoires, la privation de liberté que constitue le confinement provoque à son tour un certain nombre de problèmes de cet ordre.

    Comme le notait la psychologue clinicienne Johanna Rozenblum en juin dernier, l’obligation « de rester à domicile n’est naturel pour personne », la liberté étant un besoin pour chaque individu, et en particulier celle consistant à avoir des relations sociales.

    Le confinement est en cela parfaitement antinaturel, frappant de plein fouet à la fois le besoin de liberté et celui d’être entouré.

    Dans le même sens, Libération constatait le mois dernier l’augmentation des cas d’insomnie et d’épisodes anxieux liés à l’épidémie.

    À cela s’ajoutent des conséquences interpersonnelles que chacun constate sans que personne ne puisse vraiment les évaluer : tous les jours, en menant tout simplement votre vie, il est possible, voire même très probable, que vous fréquentiez des personnes positives au Covid, sans naturellement qu’elles en soient conscientes.

    Renforcée par les rappels récurrents du gouvernement, cela renforce l’idée qu’il faille se méfier de tout le monde. S’il est régulièrement reproché à tort aux défenseurs de la liberté de vouloir créer des individus asociaux, la réalité saute une nouvelle fois aux yeux lorsqu’on voit la société de défiance que nous prépare l’actuel gouvernement.

    UN DÉPEÇAGE INUTILE DE LA VIE SOCIALE

    En voulant lisser dans le temps le nombre de patients en réanimation, le gouvernement procède à un dépeçage en règle de la vie économique et sociale de ce pays, avec des conséquences que beaucoup ne parviennent pas encore à mesurer.

    Entre tenter d’avoir une vie normale tout en appliquant strictement certaines précautions dans nos rapports aux autres et restreindre la vie économique et sociale, le choix de gestion relève d’un choix de société sans précédent, dépassant largement les limites de l’Hexagone voire du continent européen, l’actuelle campagne présidentielle américaine se jouant aujourd’hui largement sur la question.

    Dans ce sens, et à moins de deux ans de la prochaine élection présidentielle française, et si tant est que celle-ci soit maintenue au regard de la situation sanitaire du pays, la question électoraliste est loin d’être dénuée d’intérêt.

    L’élection présidentielle étant affaire d’incarnation, il y a fort à parier que la cacophonie qui frappe l’exécutif soit également liée à l’image de mauvais gestionnaire collant désormais à la peau du président de la République, de la même manière que l’actuel locataire de la Maison Blanche, auparavant incarnation d’un rêve américain perdu, se retrouve désormais être celle des affres de la crise sanitaire.

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  4. Reste à savoir comment Emmanuel Macron parviendra à se débarrasser de cette image durant les 18 mois qui nous séparent de la prochaine élection présidentielle.

    https://www.contrepoints.org/2020/10/15/382179-reconfinements-locaux-en-mesurons-nous-les-consequences

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  5. Les Français devront se munir d'une attestation pour se déplacer dès 21h
    Plusieurs pays européens vivent une recrudescence des cas positifs au Covid-19 et prennent de nouvelles mesures restrictives pour éviter la propagation du virus.

    De l'Irlande du nord qui se barricade à la France qui instaure un couvre-feu nocturne jamais vu depuis la 2e guerre mondiale, tour d'horizon des pratiques étatiques visant à protéger la population.


    Ordre chronologique
    Mise à jour automatique
    Jeudi, 15.10.2020


    Le ministre de l'Economie prend la parole
    Bruno Le Maire commence par assurer qu'il mesure "la douche froide" pour le secteur de l'hôtellerie et garantit que tout sera fait pour limiter l'impact économique. "Toutes les entreprises de moins de 50 salariés ayant perdu 50% de leur chiffre d'affaires pourront bénéficier du fonds de solidarité à hauteur de 1500 euros par mois pour peur qu'elles soient dans le périmètre du couvre-feu".

    Un nouveau protocole pour travailler
    Les autorités françaises ont défini un nouveau protocole pour les organisations de travail et encouragent vivement le télétravail "à chaque fois que cela est possible". La France assure avoir un protocole de chômage partiel "le plus solide d'Europe" et évoque les différentes aides financières qui vont pouvoir se poursuivre afin de limiter l'impact de la crise sur l'économie réelle.

    14:21
    Après l'intervention du ministre de l'Intérieur, le premier ministre reprend la parole pour détailler les mesures. Par exemple, six à table maximum, dans les restaurants comme dans la sphère privée.

    14:19
    12'000 policiers mobilisés
    Douze mille policiers seront mobilisés pour la seule surveillance de l'observation du couvre-feu. Il faudra non seulement se munir de son attestation de déplacement mais également du justificatif. Par exemple pour une infirmière, sa carte professionnelle. Les sanctions sont énoncées, comme les amendes qui commencent à 135 euros et la prison éventuelle pour les multi-récidivistes.

    Certains établissements échapperont à la fermeture à 21h: les restaurants qui assurent la livraison à domicile, par exemple. Dans les zones de couvre-feu, des règles plus strictes s'appliqueront en journée comme les débits de boisson et les salles de sports. Les universités et établissements du supérieur appliqueront un taux d'occupation équivalant à 50% du taux habituel.

    Comme durant le confinement, certains déplacements seront permis. Pour travailler, pour prendre un vol, pour vous rendre auprès d'un proche en situation de dépendance ou encore pour sortir votre animal de compagnie, dit encore Jean Castex.

    14:13
    C'est dans le but de réduire les interactions dans la sphère privée que le couvre-feu pour 9 agglomérations, comme annoncé hier, a été instauré. Et de rappeler les 9 agglomérations en question. Tous les lieux publics seront fermés dès 21 heures et jusqu'à 6h.

    "Toutes ces mesures ont porté leurs fruits. Nous sommes parvenus au bon point de l'équilibre. Je relève que la rentrée scolaire s'est bien passée. Mais une zone de risque très élevée apparaît la plus difficile à maîtriser". Et de citer les réunions de famille, dans le cadre privé où nous nous relâchons, dit en substance le premier ministre Jean Castex.

    14:09
    Le premier ministre français estime que la vraie stratégie pour endiguer la deuxième vague est le freinage de l'épidémie par les gestes barrières et de préférer des mesures localisées, ville par ville, plutôt que nationales.

    14:07
    La conférence de presse de Jean Castex
    Le premier ministre français s'exprime dès à présent pour détailler les mesures annoncées par le chef de l'Etat hier soir.

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  6. 12:57
    Quarantaines à Nidwald, Uri et dans les Grisons
    Des infections au coronavirus dans plusieurs discothèques le week-end dernier entraîne la mise en quarantaine d’environ 700 personnes dans les cantons de Nidwald et d’Uri. A Brigels (GR), 73 participants d’un camp des Unions chrétiennes (UC) à Brigels (GR) se sont retrouvés dans la même situation début octobre.

    La moitié des participants du camp organisé par les UC de Rapperswil-Jona (SG) ont été infectés au coronavirus, indique jeudi Felix Furrer, porte-parole des UC suisses. Il confirme une information révélée par la Linth-Zeitung. La période de quarantaine s’est achevée sans développement sévère de la maladie, précise-t-il.

    Traçage incomplet à Nidwald...

    Dans le canton de Nidwald, une jeune personne infectée au coronavirus a fréquenté une discothèque à Wolfenschiessen et un centre de jeunesse à Stans vendredi et samedi soir. Les 400 autres personnes qui s’y trouvaient également ont été envoyées en quarantaine après que la personne concernée été testée positive au Covid-19, indique le département cantonal de la santé.

    ...et dans le canton d’Uri

    En terres uranaises, deux personnes infectées ont entraîné la mise en quarantaine de 300 clients et du personnel de deux boîtes de nuit à Altdorf.

    12:34
    La dégradation de la situation en Suisse
    La Suisse fait face à une augmentation très forte des cas de coronavirus. La situation se dégrade plus rapidement qu’ailleurs, a prévenu jeudi le ministre de la santé Alain Berset devant la presse.

    La situation se dégrade plus rapidement qu’ailleurs, selon Berset
    Le conseiller fédéral Alain Berset s’est exprimé jeudi sur les mesures de sécurité sanitaire face à la pandémie. (Vidéo: Keystone)

    Augmentation plus forte qu'ailleurs, en Suisse
    La Suisse fait face à une augmentation très forte des cas de coronavirus. La situation se dégrade plus rapidement qu’ailleurs, a prévenu jeudi le ministre de la santé Alain Berset devant la presse.

    En Suisse
    L’ensemble de la population est appelée à prendre ses responsabilités face au coronavirus: tous doivent respecter les règles d’hygiène et de distanciation sociale. Les cantons également font leur part, a rappelé jeudi le président de la Confédrence des directeurs cantonaux Christian Rathgeb.

    Ils ont pris des mesures très importantes. Genève et Zurich notamment ont ajusté les mesures. Mais la pandémie ne peut être tenue en échec qu’ensemble. Sans l’aide de la population, le but ne sera pas atteint, a lancé M. Rathgeb lors d’une conférence de presse commune avec le Conseil fédéral. Le but est d’éviter à tout prix un nouveau confinement.

    A Londres
    Les neuf millions d’habitants de Londres ne pourront plus rencontrer amis et famille à l’intérieur, a annoncé jeudi le maire de Londres Sadiq Khan, le gouvernement s’apprêtant à relever d’un cran le niveau d’alerte dans la capitale britannique face à la propagation du coronavirus.

    En Allemagne
    L’Allemagne a comptabilisé 6638 cas de coronavirus en 24 heures, un record pour le pays depuis l’éclatement de la pandémie de Covid-19, selon des données officielles publiées jeudi. Cette information est intervenue quelques heures seulement après l’annonce de nouvelles restrictions dans les 16 Etats régionaux, visant justement à empêcher la résurgence de la pandémie.

    La chancelière Angela Merkel a annoncé mercredi soir à l’issue d’une réunion avec les responsables des 16 Etats régionaux l’introduction de nouvelles mesures plus restrictives.

    En France
    Quelque 20 millions de Français vont être concernés à partir de samedi par ce couvre-feu en vigueur de 21 heures à 6 heures. La France n’avait pas connu un couvre-feu d’une telle ampleur depuis la Seconde Guerre mondiale.

    Le Premier ministre, Jean Castex, accompagné de plusieurs ministres, doit détailler ces nouvelles mesures lors d’une conférence de presse à 14 heures.

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  7. Aux Pays-Bas
    Les Pays-Bas vont être soumis à un «confinement partiel» à partir de mercredi pour tenter de freiner la poussée de la pandémie de Covid-19, a annoncé mardi le Premier ministre Mark Rutte. Cette mesure prévoit notamment la fermeture des bars et des restaurants.

    Après des mois de refus du port du masque, M. Rutte a finalement décidé de le rendre obligatoire dans tous les espaces clos pour les plus de 13 ans.

    Schaffhouse serre la vis
    Schaffhouse introduit l’obligation générale de porter un masque dans les commerces. Il devient le 13e canton à prendre cette décision. A Schwyz, on limite cette obligation aux situations ne garantissant pas la distance et aux évènements dépassant 50 personnes.

    Italie
    De son côté, l’Italie a annoncé mardi également de nouvelles mesures de restriction dans l’espace public et privé destinées à contrôler la résurgence de la pandémie dans un pays qui dénombre plus de 36'000 morts.

    Le décret, signé par le Premier ministre Giuseppe Conte pour 30 jours, interdit notamment aux bars et restaurants de servir des clients non assis après 21 heures. Il interdit les fêtes et célébrations à l’extérieur comme dans les lieux fermés et limite à six le nombre d’invités à domicile.

    Royaume-Uni
    Au Royaume-Uni, où le virus est reparti en flèche, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé lundi fermer les pubs à Liverpool et réactiver trois hôpitaux de campagne mis en place au printemps.

    Mardi, 13.10.2020
    Homogénéisation des règles dans l'UE
    Les ministres des Affaires européennes ont adopté mardi des critères communs pour les restrictions de voyage dans l’UE, pour tenter de mettre fin à la cacophonie engendrée par la pandémie de Covid-19, qui connaît une reprise inquiétante sur le continent. Une cartographie commune pour définir les zones à risque au sein de l’UE qui nécessitent une quarantaine a été définie le 13 octobre.

    https://www.lematin.ch/story/l-europe-tente-d-endiguer-la-2e-vague-de-contaminations-607710268154

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  8. Le chef de l'équipe des vaccins de l'Université d'Oxford déclare que les masques faciaux, la distance sociale se poursuivra jusqu'à l'été prochain


    par Tyler Durden
    Jeu, 15/10/2020 - 03:30
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Le chef de l'équipe de vaccination contre le coronavirus de l'Université d'Oxford a déclaré mardi que rien n'allait revenir à la normale avant au moins l'été prochain.

    Le professeur Andrew Pollard a déclaré que les masques faciaux et les règles de distanciation sociale ne disparaîtraient pas de sitôt, déclarant qu'un vaccin est encore dans des mois et ne serait de toute façon disponible que pour les travailleurs clés pendant la première phase de son déploiement.

    «La vie ne sera pas revenue à la normale avant l'été au plus tôt. Nous aurons peut-être besoin de masques jusqu'en juillet », a déclaré Pollard lors d'un séminaire en ligne avec des anciens d'Oxford.

    «Si nous nous retrouvons avec un vaccin efficace pour prévenir la maladie, c’est de loin le meilleur moyen de contrôler le virus. Mais à moyen terme, nous aurons encore besoin de meilleurs traitements », a ajouté le professeur.

    «Quand la vie revient-elle à la normale ? Même si nous avions suffisamment de vaccins pour tout le monde, à mon avis, il est peu probable que nous soyons très rapidement dans une position où les règles de distance physique peuvent simplement être abandonnées », a-t-il ajouté.

    Les politiciens et les conseillers en santé des gouvernements ont répété à plusieurs reprises que des mesures strictes devront rester en place jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible.

    «Tant que nous n’aurons pas un niveau élevé d’immunité au sein de la population afin que nous puissions arrêter le virus afin que les personnes les plus vulnérables soient immunisées, il y aura un risque. Au départ, nous allons être dans une position où le port de masque et la distanciation sociale ne changent pas », a répété Pollard.

    «Ce n'est que lorsqu'il y aura une forte baisse des cas graves que les gouvernements se sentiront en mesure d'assouplir ces mesures. Il s'agit d'un virus très facilement transmissible », a-t-il ajouté.

    En mai, les scientifiques ont exprimé des doutes sur l'efficacité du vaccin contre le coronavirus d'Oxford, après que tous les singes utilisés dans les tests initiaux aient contracté plus tard un coronavirus.

    Alors que les financements affluent dans les essais de vaccins, d'autres recherches sur les traitements contre les coronavirus ont pratiquement été ignorées, bien que certains scientifiques prétendent avoir découvert des anticorps capables de bloquer complètement le COVID-19 ou de neutraliser efficacement le virus.

    https://www.zerohedge.com/medical/head-oxford-university-vaccine-team-says-face-masks-social-distancing-will-continue-until

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    Réponses
    1. Nous savons que le port du masque durant plus de 20 mn occasionne IRRÉMÉDIABLEMENT des pertes de mémoire et, qu'en l'an 2021 90 % de la population mondiale portera un masque nuit & jour et ne saura ni dire son nom ni son adresse !

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  9. Le directeur de l'OMS pour l'Europe déclare que les gouvernements devraient cesser d'appliquer les verrouillages


    par Tyler Durden
    Jeu, 15/10/2020 - 06:00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Le directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé pour l’Europe, Hans Kluge, a déclaré que les gouvernements devraient cesser d’appliquer les verrouillages, sauf en «dernier recours», car l’impact sur d’autres domaines de la santé et du bien-être mental est plus dommageable.

    Dans une interview accordée à Euro News, Kluge a mis en garde contre l'imposition de davantage de verrouillages à moins qu'ils ne soient «absolument nécessaires».

    «Il dit que les dommages causés à d'autres domaines de la santé, à la santé mentale, à la violence domestique, aux écoles et au traitement du cancer sont trop importants», a tweeté le journaliste Darren McCaffrey.

    L’avertissement de Kluge correspond à celui de l’envoyé spécial de l’OMS sur le COVID-19, le Dr David Nabarro, qui a récemment déclaré au Spectator dans une interview que les dirigeants du monde devraient cesser d’imposer des verrouillages comme réaction réflexe, car ils rendent «les pauvres beaucoup plus pauvres».

    Cela résonne également avec de nombreux autres experts qui ont désespérément tenté d'avertir les gouvernements que les verrouillages finiront par tuer plus de personnes que le virus lui-même, mais ont été largement ignorés.

    Le ministre allemand de la coopération économique et du développement, Gerd Muller, a récemment averti que les verrouillages du COVID-19 entraîneraient «l'une des plus grandes» crises de faim et de pauvreté de l'histoire.

    «Nous prévoyons 400 000 décès supplémentaires dus au paludisme et au VIH cette année sur le seul continent africain», a déclaré Muller, ajoutant qu '«un demi-million d'autres mourront de la tuberculose».

    Les commentaires de Muller sont arrivés des mois après qu'une étude divulguée de l'intérieur du ministère allemand de l'Intérieur a révélé que l'impact du verrouillage du pays pourrait finir par tuer plus de personnes que le coronavirus en raison des victimes d'autres maladies graves ne recevant pas de traitement.

    Une autre étude a révélé que les verrouillages «détruiront au moins sept fois plus d'années de vie humaine» qu'ils n'en sauvent.

    Le professeur Richard Sullivan a également averti qu'il y aurait plus de décès par cancer au Royaume-Uni que de décès par coronavirus totaux en raison de la restriction de l'accès des personnes aux dépistages et au traitement en raison du verrouillage.

    Ses commentaires ont été repris par Peter Nilsson, professeur suédois de médecine interne et d'épidémiologie à l'Université de Lund, qui a déclaré: «Il est si important de comprendre que les décès du COVID-19 seront bien inférieurs aux décès causés par le verrouillage de la société lorsque l'économie est ruiné.

    Selon le professeur Karol Sikora, un oncologue consultant du NHS, il pourrait y avoir 50 000 décès supplémentaires dus au cancer en raison de la suspension des dépistages de routine pendant le verrouillage au Royaume-Uni.

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  10. Les experts ont également averti qu'il y aurait 1,4 million de décès dans le monde dus à des infections tuberculeuses non traitées en raison du verrouillage.

    Comme nous l’avons souligné précédemment, un consortium d’analystes de données en Afrique du Sud a constaté que les conséquences économiques du verrouillage du pays entraîneraient 29 fois plus de décès que le coronavirus lui-même.

    * * *

    À l'ère de la censure de masse dans la Silicon Valley, il est essentiel que nous restions en contact. J'ai besoin que vous vous inscriviez à ma newsletter gratuite ici. De plus, j'ai un besoin urgent de votre soutien financier ici.

    https://www.zerohedge.com/medical/who-europe-director-says-governments-should-stop-enforcing-lockdowns

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  11. «Bienvenue en Absurdie»: l’annonce d’un couvre-feu par Macron fait réagir


    13:11 15.10.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    La mise en place d’un couvre-feu de 21h à 6h dans neuf métropoles françaises suscite de nombreuses réactions au sein de la classe politique. Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ou encore Guillaume Peltier, pour qui «on nage en absurdie», ne soutiennent pas la mesure tout de même saluée pas certains.

    La classe politique française critique dans sa majorité l'introduction d’un couvre-feu nocturne en Île-de-France et dans huit autres métropoles à partir de samedi.

    «On nage en absurdie: couvre-feu la nuit mais métro le jour; métropoles fermées mais vacances pour tous à la campagne», s’exclame sur Twitter le vice-président du groupe LR Guillaume Peltier.

    «60 % des contaminations ont lieu au travail ou à l’école»

    Pour le patron LFI Jean-Luc Mélenchon, «60 % des contaminations ont lieu au travail ou à l’école ou à l’université entre 8 heures et 19 heures».

    «Bienvenue en Absurdie», écrit-il à son tour.

    Le ministre de la Santé Olivier Véran a réagi plus tard à la publication de M.Mélenchon, lui expliquant qu’il «confond(ait) clusters et diagnostics», rappelant que «60 % des clusters, ça signifie 10 % des contaminations identifiées».


    «Impréparation et manque de cohérence»

    La chef de file RN Marine Le Pen souligne quant à elle «la déception [qui, ndlr] doit être vive chez les soignants, qui n’ont entendu aucune annonce pour les soulager en personnels et en matériel».

    «Impréparation et manque de cohérence», telle était la réaction du président du Parti socialiste Olivier Faure.

    Soutien d’Éric Ciotti

    Cependant, plusieurs autres personnalités soutiennent la mesure introduite, comme le député LR Éric Ciotti.

    «Je salue le couvre-feu annoncé par le Président de la République. Une mesure forte et indispensable pour faire reculer le virus», indique-t-il sur Twitter.

    Par ailleurs, la maire de Paris Anne Hidalgo appelle à «rester unis et appliquer les mesures annoncées par le président de la République, même si elles sont dures» face à «la forte circulation du Covid-19 en France et à Paris».

    Un couvre-feu de 21h à 6h

    Mercredi soir, le Président français a décrété un couvre-feu total à Paris et dans sa région, «où le virus circule très activement», ainsi que dans les métropoles de Lille, Grenoble, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Toulouse et Saint-Étienne.

    Les villes qui concentrent 20 millions d'habitants sont les plus touchées par la reprise de l'épidémie depuis la rentrée et le gouvernement prévoit d'étendre la mesure jusqu'au 1er décembre si le Parlement l'autorise.

    https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202010151044578881-bienvenue-en-absurdie-lannonce-dun-couvre-feu-par-macron-fait-reagir/

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  12. Le virus qui n’y est pas a un effet hypnotique


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    15 octobre 2020


    J'ai écrit plusieurs articles récents documentant le fait que le virus COVID est absent en action. [1] [2] [3] [4]

    Et quand je dis manquant, je parle de deux aveux MAJEURS, à la fois du CDC et d'un groupe d'auteurs d'études en Europe… et dans chaque cas, ces personnes étaient en train de rassembler des instructions sur la façon de réaliser la PCR diagnostique testez ce virus. Le virus qu’ils ont dit ne pas avoir.

    Ils ne l’avaient pas parce qu’ils ne pouvaient pas l’obtenir.

    Ils n’ont pas pu l’obtenir parce que personne ne l’avait.

    En d'autres termes, l'existence du virus COVID n'est pas prouvée.

    Maintenant, je veux souligner trois facteurs qui produisent un effet hypnotique. Même en l'absence du virus, ces facteurs semblent indiquer que le virus «doit exister». Je ne parle pas des déclarations du gouvernement ou des médias, qui sont évidentes.

    UN: les scientifiques et les agences de santé publique affirment avoir ISOLÉ le virus.

    Il n'y a aucune raison de les croire. Le terme «isolement» est jeté partout comme un politicien jette autour du terme «le peuple».

    L'isolement d'un virus DEVRAIT signifier qu'il est séparé de tout le matériel génétique, cellulaire, microbien et déchet qui l'entoure. Mais ne présumez pas, lorsque les professionnels parlent ou écrivent, que c'est ce qu'ils veulent dire. Ne présumez pas cela.

    Par exemple, ils signifient souvent: «Nous avons le virus dans une assiette du laboratoire. La soupe dans le plat contient des cellules humaines, des produits chimiques, des médicaments et d'autres matières. Cependant, nous savons que le virus est là et se développe, car il tue les cellules humaines… »

    Faux. Il y a plus que suffisamment de substance non virale dans la soupe qui pourrait tuer les cellules. Et évidemment, «le virus» dans le plat est entouré de ce mélange de matière. C'est loin d'être isolé.

    Et, comme je l'ai documenté dans un article précédent, si le CDC, l'une des plus grandes agences de santé publique au monde, ne pouvait pas attraper le virus, à partir de juillet de cette année, et l'a admis par écrit… «le virus »N'est pas isolé.

    DEUX: Cet effet hypnotique touche certains des professionnels médicaux et scientifiques les plus brillants, qui défient autrement toutes sortes de dogmes médicaux. C'est: «La séquence génétique du virus est bien établie. De nombreuses études le confirment.

    Et bien certainement. Si des experts ont cartographié la structure génétique du virus, le virus doit exister. Droit ?

    Faux. La séquence est INFERIEE. Il est supposé.

    Déduit de quoi ? La séquence génétique pourrait être bricolée à partir de plusieurs sources: le matériel non séparé «dans le plat du laboratoire»; un ou plusieurs morceaux d'ARN qui ont été arbitrairement choisis comme «indices pertinents»; un ou plusieurs morceaux d'ARN synthétique qui, là encore, ont été choisis arbitrairement selon un biais en faveur d'un certain type de virus.

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  13. Un biais ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Je vais t'expliquer. Lorsque quelques dizaines de personnes à Wuhan sont tombées malades, en 2019, il y avait un million de façons dont les chercheurs auraient pu aller, pour essayer de comprendre la cause.

    Bien sûr, comme je l’ai écrit, ils auraient pu regarder par les fenêtres et observer l’horrible pollution atmosphérique qui planait au-dessus de la ville, et se rendre compte que ces «cas inexpliqués» de pneumonie avaient une origine ridiculement simple. [5] Mais non.

    Les chercheurs ont opté, comme ils le font toujours, pour un «nouveau virus». Et, ils ont choisi, sans la moindre preuve, de «rechercher» un germe de la famille des coronavirus. C'était l'histoire pré-planifiée. C'était le parti pris.

    À partir de là, les dés ont été jetés. Le «séquençage génétique» impliquait de bricoler, par hypothèse et inférence, un collage d'INFORMATIONS, en code, ce qui satisferait le scénario prédéfini.

    Ils ont ASSEMBLÉ une séquence génétique qui correspondait à ce qu'ils recherchaient: un coronavirus.

    N'imaginez pas que le séquençage génétique est effectué par des personnes qui regardent directement un virus à travers un microscope cosmique et notent les noms de rangées de gènes assis côte à côte comme des voitures dans un parking de supermarché.

    TROIS: L'autre facteur hypnotique est le test PCR. «Si le test existe pour détecter le virus, le virus doit exister.»

    Faux. Le test - qui a des défauts irréparables et fatals, comme je l’ai documenté - fonctionne, au mieux, à partir d’un fragment d’ARN supposé provenir du virus. Si le test semble identifier ce fragment comme «pertinent», le résultat du test indique que la personne est «infectée».

    Les gens croient que le test doit avoir un sens. Et la seule chose que cela pourrait signifier est: il trouve le virus dans une personne, ou le virus n’est pas dans le corps de cette personne. Mais de toute façon, le virus est réel.

    Faux.

    Le pont est empilé. Le jeu est truqué. Bienvenue dans l'état médical profond.

    Comme dans toute opération vraiment profonde, seul un petit nombre de professionnels d'élite comprennent les inconvénients de base. Les autres sont aveugles et tolérants. Certains sont volontairement aveugles. Ils voient la vérité dans un éclair de perspicacité, puis ils se taisent.

    Cependant, dans ce «paysage COVID» fou, les esprits et les portes s'ouvrent. La brume hypnotique s'estompe. La vérité sort. Les médecins, les scientifiques, les journalistes et les membres du public découvrent et rejettent le Big Con.

    SOURCES:

    [1] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/08/the-smoking-gun-where-is-the-coronavirus-the-cdc-says-it-isnt-available/

    [2] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/09/covid-the-virus-that-isnt-there-the-root-fraud-exposed/

    [3] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/12/the-fake-coronavirus-and-the-missing-study-the-secret-in-plain-sight/

    [4] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/13/yet-another-case-of-the-missing-virus-they-lied-and-locked-down-the-world/

    [5] https://blog.nomorefakenews.com/tag/wuhan/

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/the-virus-that-isnt-there-has-a-hypnotic-effect/

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    1. Effectivement, le 'coronavirus' n'existe pas mais c'est le nom donné à un fantôme, une sorte dieu invisible qui est maudit.
      Car, l'astuce est archi-simple ! Nous respirons toutes & tous 200 000 virus ou microbes par minute et 2 millions en activité physique. Donc là, n'importe qui qui a un microscope aura le choix !

      Et, comme ils ne savent pas lequel est infectieux (primo ils ont parlé d'un 'virus', puis, secundo ont finalement avoué que ce n'était pas un virus mais un microbe ! Donc, bien vivant au contraire d'un virus !), ils désignent n'importe lequel qui a gagné le tour de France ou la Traversée de l'Atlantique en solitaire et voilà ! Miss France est élue !

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  14. Ce qui se cache derrière la messagerie mixte de verrouillage de l’OMS


    14 octobre 2020
    Par Stacey Rudin


    La semaine dernière, dans un écart majeur par rapport à des mois de messages pro-lockdown, l'envoyé britannique auprès de l'OMS, le Dr David Nabarro, a appelé les dirigeants mondiaux à cesser de verrouiller leurs pays et leurs économies en tant que «méthode principale» de contrôle du COVID19. «Je tiens à le répéter: à l’Organisation mondiale de la santé, nous ne préconisons pas les verrouillages comme principal moyen de contrôle de ce virus», a déclaré le Dr Nabarro au Spectator.

    «La seule fois où nous pensons qu'un verrouillage est justifié, c'est pour vous donner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos agents de santé qui sont épuisés, mais dans l'ensemble, nous préférons ne pas le faire.» La position du Dr Nabarro s’aligne sur la Déclaration de Great Barrington, dont il a parlé favorablement, dans laquelle 30 000 scientifiques et experts en santé publique se sont associés pour préconiser un retour immédiat à une vie normale pour les personnes à faible risque. Nabarro et les milliers de signataires de la Déclaration estiment que cette approche minimisera la mortalité globale et réduira le fardeau disproportionné des verrouillages sur la classe ouvrière et les défavorisés.

    Le jour après que Nabarro a fait ses remarques, le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, l'a catégoriquement contredit, déclarant que la levée des verrouillages serait une recette pour «des infections, des souffrances et la mort inutiles». Tedros affirme que l'immunité collective ne peut être obtenue «en toute sécurité» que par la vaccination, une conclusion fondée sur l'hypothèse effrayante que le développement d'un vaccin sûr et efficace est garanti, et sur la prémisse douteuse que les infections naturelles peuvent être retenues «tant qu'elles prend »pour préparer et distribuer le vaccin. Cependant, selon Tedros, il n'y a pas d'autre moyen: «permettre à un virus dangereux que nous ne comprenons pas entièrement de fonctionner librement est tout simplement contraire à l'éthique. Ce n’est pas une option. »

    Il est difficile de concilier cette position avec les données des États et des nations qui ne se sont pas verrouillés pour COVID19. Par exemple, la mortalité toutes causes confondues en Suède est en moyenne pour 2020 - incroyablement, la nation avait une mortalité par habitant plus élevée il y a à peine cinq ans, une année où il n'y avait pas de pandémie. Ce fait indéniable et facilement vérifiable est choquant à la lumière de la décimation des économies mondiales sur le principe «d'arrêter» un agent pathogène «hautement mortel». Loin d'être «contraire à l'éthique», permettre au virus de «fonctionner librement» a produit un bien meilleur résultat que des verrouillages stricts tels que ceux imposés en Argentine et au Pérou - pourtant Tedros ignore cela. La question est: pourquoi?

    La voie tracée par la Chine vers le Directeur général de l'OMS

    En 2017, Nabarro et Tedros ont concouru pour le poste de directeur général de l'OMS. Pour la première fois, le poste a été pourvu par un vote direct des Etats membres, et non par le Conseil exécutif de l'OMS. La candidature de Tedros a été embourbée dans plusieurs scandales. Les Éthiopiens et les citoyens du monde inquiets ont plaidé auprès des pays qui ont voté pour rejeter Tedros parce qu'il était un représentant d'un régime politique répressif qui avait contribué à construire et à maintenir un État de surveillance avec un manque total de transparence gouvernementale. Les critiques ont souligné que Tedros était «à l'aise avec le secret des États autocratiques» - une caractéristique qui pourrait faire des ravages dans le monde s'il assumait une position de pouvoir au sein de l'OMS.

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  15. Tedros a également été critiqué pour son rôle dans la couverture des épidémies de choléra alors qu'il était ministre éthiopien de la Santé de 2005 à 2012. Tedros a rejeté sommairement la plainte, soulevée par l'un des conseillers de Nabarro, la comparant à la réouverture de l'enquête de James B. Comey sur Hillary Clinton. serveur de messagerie privé quelques jours avant l'élection présidentielle de 2016. Il a également attribué des motifs raciaux et élitistes à son accusateur, affirmant que «Dr. Les partisans de Nabarro ont une «mentalité coloniale typique visant à gagner à tout prix et à discréditer un candidat d’un pays en développement». »

    Cependant, les faits incontestés montrent un ministre de la Santé qui fait l’une des deux choses suivantes: négliger grossièrement le dépistage du choléra, ou donner la priorité à l’économie de son pays à la protection des gens contre le choléra. Tedros a affirmé que les épidémies de ce qu'il a appelé «diarrhée aqueuse aiguë» en 2006, 2009 et 2011 n'étaient pas du choléra, bien qu'il ne puisse pas produire de test excluant le pathogène mortel, et la Somalie et le Kenya voisins ont révélé que le choléra était la cause de leur propre éclosions simultanées. Tedros a affirmé que les tests dans son pays étaient «trop difficiles», mais cela a été démenti par le fait que des experts extérieurs ont pu tester et trouver la bactérie cholérique dans des échantillons de selles. Le dépistage des bactéries du choléra est simple et prend moins de deux jours. Il est difficile de comprendre pourquoi des experts extérieurs et d'autres pays pourraient faire des tests alors que le gouvernement éthiopien ne le pourrait pas.

    Le choléra peut tuer une personne en aussi peu que cinq heures. L’annonce d’épidémies de choléra peut avoir un impact rapide et dévastateur sur l’économie d’un pays, de sorte que les pays africains ne déclarent parfois pas d’urgence de choléra même s’ils savent pertinemment qu’ils en ont une. Lors de l'épidémie de 2006, par exemple, l'Éthiopie «n'a pas partagé les résultats des tests de laboratoire depuis [le début de l'épidémie]» car «cela peut entraîner de graves pertes économiques, en particulier en termes de commerce international et de tourisme», a déclaré Kebba O. Jaiteh , spécialiste des urgences en Éthiopie auprès de l'OMS.

    Lors des précédentes épidémies de choléra en Éthiopie (ou «diarrhée aqueuse aiguë», selon qui vous croyez), The Guardian et le Washington Post ont enquêté et signalé que les responsables éthiopiens «faisaient pression sur les agences d'aide pour éviter d'utiliser le mot« choléra »et ne pas signaler le nombre de personnes touchées. » Les recherches de Human Rights Watch ont révélé que le gouvernement éthiopien «faisait pression sur ses agents de santé pour qu’ils évitent toute mention du choléra, ce qui pourrait nuire à l’image du pays et dissuader les touristes». Malgré cette accumulation de preuves, Tedros a maintenu son démenti, empêchant la livraison de l'aide à l'Éthiopie: l'ONU ne peut pas agir sans autorisation et sans déclaration d'épidémie.

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  16. Les vaccins ne sont pas non plus disponibles lorsqu'un pays ne déclare pas d'épidémie de choléra, de sorte que Tedros a refusé à ses compatriotes cette option même lorsque leurs voisins en Somalie et au Kenya l'ont reçue. Cela semble avoir échappé à l’attention du Dr Seth Berkley, PDG de Gavi, l’alliance du vaccin, qui a salué «l’engagement» de Tedros en faveur de la santé humaine et de la vaccination: «L’engagement de Tedros en faveur de la vaccination est clair. . . Son travail avec Gavi en tant que ministre éthiopien de la Santé a contribué à faire passer la proportion d'enfants touchés par les vaccins de moins de la moitié à plus des deux tiers. » Parmi les autres défenseurs de Tedros figuraient l'ancien directeur du CDC Tom Frieden, qui a été nommé par Barack Obama à la tête de l'Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies. Frieden a fait l'éloge de Tedros comme étant «un excellent choix pour diriger l'OMS» et est aujourd'hui d'accord avec Tedros sur les verrouillages, les masques et la distanciation sociale.

    Le soutien le plus fort et le plus important de Tedros tout au long de ces controverses n’était pas un individu, mais un gouvernement: la Chine. Comme l'a décrit un écrivain d'opinion de la presse indienne, «la Chine a soutenu Tedros». L'apathie américaine dans le domaine de la santé publique a permis à la Chine de «coloniser» la santé mondiale:

    L'une des raisons pour lesquelles Tedros s'est échappé de tant de copinage effronté est que l'Amérique ne prête que peu ou pas d'attention à la santé publique mondiale, sauf à verser de l'argent en tant que papa de sucre ... La Chine a lancé un programme de colonisation de la santé mondiale et a gagné parce que l'Amérique n'a pas Je pense que c'était assez important. Les Chinois ont tiré parti de leurs investissements à travers l'Afrique pour forcer l'Union africaine à soutenir Tedros, [et] ont également amené le Pakistan à retirer son candidat qui s'opposait à lui, selon des sources. . . Les références diplomatiques de l’Inde ont aidé à dissimuler le passé louche de Tedros et le fait que son principal soutien était une dictature communiste.

    «J'ai votre dos, et vous avez le mien»: Tedros soutient la stratégie chinoise de «répression» COVID19

    Avance rapide vers l'épidémie de COVID-19. Début 2020, Tedros s'est donné beaucoup de mal pour féliciter la Chine pour sa réponse au «nouveau coronavirus». Le 30 janvier, l'OMS a publié une déclaration faisant l'éloge de la réponse de la Chine, soulignant «l'engagement de transparence» du gouvernement chinois et ses efforts pour «enquêter» et «contenir» l'épidémie. Le communiqué déclare que la nouvelle stratégie de «verrouillage» de la Chine - dans laquelle le dictateur Xi Jinping a soudé des gens dans leurs appartements au nom de la «lutte contre la maladie» - est «bonne non seulement pour ce pays mais aussi pour le reste du monde». Tedros a enchaîné avec un tweet: «La Chine est en train d'établir une nouvelle norme pour la riposte à l'épidémie.» Au cours de cette période, des centaines de milliers de publications sur les médias sociaux remontant plus tard à la Chine ont loué le verrouillage et critiqué et ridiculisé les dirigeants mondiaux qui n'ont pas suivi.

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  17. Les éloges retentissants de l'OMS à l'égard de la Chine se sont poursuivis en février 2020, lorsqu'elle a convoqué un «Forum mondial de recherche et d'innovation» sur le nouveau coronavirus pour étudier «l'origine du virus, l'histoire naturelle, la transmission, le diagnostic, la prévention et le contrôle des infections», entre autres des choses. Le 24 février, la mission conjointe du groupe a tenu une conférence de presse pour rendre compte de ses conclusions, au cours de laquelle elle a déclaré: «il ne fait aucun doute que l'approche audacieuse de la Chine face à la propagation rapide de ce nouvel agent pathogène respiratoire a changé le cours de ce qui était un -escalade et continue d'être une épidémie mortelle. La base déclarée de cette déclaration sans équivoque sur l'efficacité des verrouillages était la suivante:

    Et il y a quelques autres graphiques ... voici l'épidémie qui s'est produite dans tout le pays en bas. Voici à quoi ressemblait l'épidémie en dehors du Hubei. Voici les zones du Hubei en dehors de Wuhan. Et puis le dernier est Wuhan. Et vous pouvez voir que c'est une courbe beaucoup plus plate que les autres. Et c’est ce qui se passe lorsque vous avez une action agressive qui change la forme que vous attendez d’une épidémie de maladie infectieuse.

    C'est extrêmement important pour la Chine, mais c'est extrêmement important pour le reste du monde, où ce virus que vous avez vu ces derniers jours en profite pour exploser dans certains contextes. Et ce n'était pas facile parce que ce que je n'ai pas mentionné sur cette diapositive, c'est que chacune de ces lignes représente une énorme décision des décideurs politiques et des politiciens de ce pays et des dirigeants de changer la forme avec de grandes mesures telles que, vous savez, la suspension des voyages, les avis de rester à la maison et d'autres mesures extrêmement difficiles; prendre des décisions sur, mais aussi faire suivre une population. Et c’est pourquoi, encore une fois, le rôle de l’individu ici en Chine est également si important.

    La conclusion de la Mission conjointe selon laquelle les actions de la Chine «ont fonctionné» est une représentation parfaite de l’erreur logique classique post hoc ergo propter hoc: en latin, «cela s’est passé après, donc cela a été causé par». S'il est en effet possible qu'une courbe «plus plate» à Wuhan puisse être attribuée à des mandats gouvernementaux, il existe des possibilités égales ou supérieures: premièrement, les protocoles de test différaient; deuxièmement, la Chine a simplement été témoin de l'évolution naturelle de ce «nouveau» pathogène. Ce dernier est particulièrement probable car il n'y avait pas de référence avec laquelle comparer les épicurves proposés.

    Il devrait être évident que la simple délivrance de mandats gouvernementaux ne signifie pas automatiquement qu'ils ont été efficaces - cela est particulièrement vrai ici, puisque la communauté scientifique mondiale avait auparavant envisagé et rejeté les quarantaines à grande échelle comme méthode de contrôle des épidémies. Les virus respiratoires ne se propagent jamais uniformément dans les pays, les provinces ou les États, il était donc imprudent de conclure que la variance notée de la propagation - qui encore une fois, ne pouvait être qu'une erreur d'enregistrement due à des aberrations de test - était tout sauf naturelle. facteurs. Il était criminel de conclure sommairement sur cette preuve que les actions draconiennes du gouvernement chinois ont conduit à un «résultat favorable», puis d’utiliser cette conclusion manifestement illogique pour vendre des verrouillages au reste du monde. Mais c’est exactement ce que l’OMS a fait.

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  18. La Chine n’a pas abordé ce nouveau virus avec une ancienne stratégie pour une maladie ou une autre maladie. Elle a développé sa propre approche face à une nouvelle maladie et a extraordinairement renversé cette maladie avec des stratégies que la plupart des pays du monde ne pensaient pas pouvoir fonctionner ... Ce que la Chine a démontré, c'est que vous devez le faire. Si vous le faites, vous pouvez sauver des vies et prévenir des milliers de cas de maladie très difficile.

    La Mission conjointe a répété cette affirmation - «les verrouillages fonctionnent, ils peuvent et sauvent des vies» - de différentes manières tout au long de sa conférence de presse, rappelant à l'esprit les paroles d'un célèbre propagandiste du nom de Joseph Goebbels: «répéter un mensonge assez souvent et cela devient vérité." La recherche montre que cet effet d'illusion de vérité «fonctionne aussi bien pour les éléments connus que pour les éléments inconnus, ce qui suggère que les connaissances antérieures n'empêcheront pas la répétition d'influencer nos jugements de plausibilité.» Nos parents n'ont jamais entendu parler du verrouillage, et ont compris et accepté que les humains ne peuvent malheureusement pas «arrêter» une maladie infectieuse hautement contagieuse comme la grippe - même avec un vaccin - mais soudainement, la majeure partie de la planète se comportait comme si ce n'était pas seulement une mission raisonnable, mais quelque chose pour lequel il était rationnel et souhaitable de sacrifier la vie sociale, les relations, les sourires, les entreprises et les études au service de.

    À la tête de l'OMS, Tedros a sans aucun doute joué un rôle clé dans la création de cette perception.

    Grâce aux nombreuses expériences individuelles de verrouillage dans le monde entier, nous savons maintenant qu'il avait complètement tort: aucun verrouillage n'a jamais été nécessaire pour «aplatir la courbe» - en fait, les verrouillages ont dopé la courbe.

    L’épicourbe de la Suède sans verrouillage était beaucoup plus plat que dans de nombreuses régions où le verrouillage était serré, notamment New York, l’Italie et l’Espagne. Bien que cela puisse être expliqué de manière adéquate par le rasoir de Hanlon, il est très intéressant que la Mission conjointe ait pris grand soin de protéger les intérêts commerciaux et de voyage de la Chine, bien qu’elle préconise des verrouillages simultanés pour d’autres pays:

    Et cela nous amène à ce que je pense être l'une des recommandations les plus importantes que nous pourrions faire pour remettre la Chine sur pied après cette crise. Le monde a besoin de l'expérience et du matériel de la Chine pour réussir à lutter contre cette maladie à coronavirus. La Chine a le plus d'expérience au monde avec cette maladie, et c'est le seul pays à avoir inversé de graves flambées à grande échelle. Mais si les pays créent des barrières entre eux et la Chine en termes de voyages ou de commerce, cela ne fera que compromettre la capacité de chacun d’y parvenir. Et ce type de mesures doit être tout ce qui va au-delà de ce qui a été recommandé par le comité du RSI, doit être réévalué, car le risque de la Chine diminue et ce que la Chine doit ajouter à la réponse mondiale augmente rapidement.

    La communauté des droits de l'homme n'a pas partagé cet enthousiasme pour la Chine, son verrouillage draconien ou son offre «d'aider» d'autres nations à lutter contre le virus. Le 2 février, The Guardian a publié un article d’opinion rédigé par un défenseur des droits de l’homme décrivant les graves violations des droits humains du lock-out et affirmant que l’OMS avait rompu son propre engagement en faveur des «droits de l’homme et de la santé» en louant la Chine. L’engagement de l’OMS se lit en partie:

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  19. Les droits de l'homme sont universels et inaliénables. Ils s'appliquent également, à tous, partout, sans distinction. Les normes des droits de l'homme - à l'alimentation, à la santé, à l'éducation, à la protection contre la torture, les traitements inhumains ou dégradants - sont également interdépendantes. L'amélioration d'un droit facilite l'avancement des autres. De même, la privation d'un droit affecte négativement les autres.

    Pour protéger ces droits humains «universels et inaliénables» pendant une urgence de santé publique, le droit international exige que les restrictions aux droits humains soient fondées sur la légalité, la nécessité, la proportionnalité et fondées sur des preuves. De même, les Principes de Syracuse - dans lesquels les Nations Unies décrivent un pacte international global sur les droits civils et politiques - stipulent que les restrictions aux droits et libertés au nom de la santé publique doivent être strictement nécessaires et les moins intrusives disponibles pour atteindre leur objectif:

    Dans l'exercice de ses droits et libertés, chacun est soumis uniquement aux limitations déterminées par la loi dans le seul but d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et de satisfaire aux justes exigences de la moralité et de l'ordre public. et le bien-être général dans une société démocratique.

    «Lockdown» va bien au-delà de ces frontières fondamentales des droits humains. Il est maintenant prouvé qu'ils ne font que nuire aux sociétés - ils aggravent même les résultats du COVID19. Lorsque The Economist a analysé toutes les épidémies enregistrées depuis 1960, il a conclu que «les démocraties connaissent des taux de mortalité par épidémie inférieurs à ceux de leurs homologues non démocratiques». Cette constatation est vraie à tous les niveaux de revenu.

    Tedros ne s'est pas aligné sur les démocraties et leurs principes fondamentaux mais sur une dictature autocratique, la même dictature qui l'a aidé à prendre le pouvoir au sein de l'OMS. Ensemble, utilisant des erreurs logiques et de la pseudo-science, ils ont trahi le droit international régissant les droits de l’homme, les principes énoncés par l’OMS, et ont commis des crimes contre l’humanité à grande échelle. Devrions-nous continuer à écouter Tedros, ou devrions-nous nous tourner vers le Dr Nabarro, un autre expert qualifié qui - comme les milliers de personnes qui ont signé la Déclaration de Great Barrington - demande instamment un retour aux normes démocratiques comme nécessaire pour minimiser les souffrances humaines?

    «Les lock-out n'ont qu'une seule conséquence que vous ne devez jamais, jamais rabaisser, et qui rend les pauvres beaucoup plus pauvres. Regardez ce qui est arrivé aux petits exploitants du monde entier. Regardez ce qui arrive aux niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien avoir un doublement de la pauvreté dans le monde d'ici l'année prochaine. » - Dr David Nabarro

    Il n’est plus possible d’ignorer la longue histoire de Tedros Adhanom Ghebreyesus avec des régimes autocratiques répressifs, y compris la Chine. Quelle que soit la motivation derrière son plaidoyer pour des verrouillages continus, les données invalident sa position sans équivoque. Les verrouillages ne sauvent pas des vies - les verrouillages tuent. Le règne de la tyrannie doit prendre fin, immédiatement et pour toujours, avec une restauration complète des droits et privilèges de chaque citoyen individuel pour choisir le niveau de risque qu'il acceptera en tant que membre respectueux des lois d'une société démocratique qui fonctionne.

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  20. QUI, quoi, où et pourquoi ? Nous n’avons pas encore toutes les réponses, mais nous savons que le directeur général de l’OMS est du mauvais côté du débat sur le verrouillage.

    -

    Cet article a été republié avec l'autorisation de l'American Institute for Economic Research.

    -----------------------

    Stacey Rudin

    Stacey Rudin est écrivain, activiste, leader communautaire, bénévole et ancien plaideur actif dans le mouvement populaire pour s'assurer que les futures pandémies sont gérées conformément aux lignes directrices établies en matière de santé publique.

    https://www.intellectualtakeout.org/what-s-behind-the-who-s-lockdown-mixed-messaging/

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    1. (...) Dans l'exercice de ses droits et libertés, chacun est soumis uniquement aux limitations déterminées par la loi dans le seul but d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et de satisfaire aux justes exigences de la moralité et de l'ordre public. et le bien-être général dans une société démocratique. (...)

      Oui mais, comme il n'existe QU'UN SEUL PAYS AU MONDE EN DÉMOCRATIE.... (La Suisse)

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  21. La majorité sont déjà immunisés contre le SRAS-CoV-2


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    15 octobre 2020


    Plus il y a de données disponibles sur le SRAS-CoV-2, plus il devient évident que la réponse à cette pandémie a été excessivement exagérée. Les statistiques de mortalité1,2,3,4,5,6,7 provenant de sources multiples, calculées de différentes manières, montrent que le risque de mourir du COVID-19 est inférieur à votre risque de mourir de la grippe conventionnelle, du moins si vous avez moins de 60 ans.

    Dans l'ensemble, les données8,9 montrent également que la mortalité globale toutes causes confondues est restée stable cette année et ne s'écarte pas de la norme. En d'autres termes, le COVID-19 n'a pas tué plus de population qu'il n'en serait de toute façon mort au cours d'une année donnée.

    Plusieurs études suggèrent également que l'immunité contre l'infection par le SRAS-CoV-2 est beaucoup plus répandue que quiconque ne l'imaginait, et que le seuil d'immunité collective est bien inférieur aux estimations précédentes.

    La plupart sont déjà immunisés contre l'infection par le SRAS-CoV-2

    Les études soutenant l'affirmation selon laquelle une immunité généralisée contre le SRAS-CoV-2 existe déjà comprennent:

    • Cell, juin 202010,11 - Cette étude a révélé que 70 % des échantillons de patients qui s'étaient rétablis de cas bénins de COVID-19 avaient une résistance au SRAS-CoV-2 au niveau des lymphocytes T. Surtout, 40 % à 60 % des personnes qui n'avaient pas été exposées au SRAS-CoV-2 avaient également une résistance au virus au niveau des lymphocytes T.

    Selon les auteurs, cela suggère qu'il existe une «reconnaissance croisée des cellules T entre les coronavirus circulants du« rhume »et le SRAS-CoV-2.» En d'autres termes, si vous vous êtes remis d'un rhume causé par un coronavirus particulier, votre système immunitaire humorale peut s'activer lorsque vous rencontrez le SRAS-CoV-2, vous rendant ainsi résistant au COVID-19.

    • Nature Immunology, septembre 202012 - Cette étude allemande a été initialement publiée sur un serveur de pré-impression en juin 2020 sous le titre «Les épitopes de cellules T du SRAS-CoV-2 définissent la reconnaissance des cellules T hétérologues et induites par COVID-19.» 13

    Il est maintenant publié dans le numéro de septembre 2020 de Nature Immunology avec le titre légèrement modifié, «Les peptides dérivés du SRAS-CoV-2 définissent la reconnaissance des cellules T hétérologues et induites par COVID-19.» 14 Tout comme l'étude sur les cellules ci-dessus, cette enquête a également a constaté que:

    «Les peptides SRAS-CoV-2 à réactivité croisée ont révélé des réponses cellulaires T préexistantes chez 81 % des individus non exposés et ont validé la similitude avec les coronavirus du rhume communs, fournissant une base fonctionnelle pour l'immunité hétérologue dans l'infection par le SRAS-CoV-2.»

    En d'autres termes, même parmi ceux qui n'étaient pas exposés, 81 % étaient résistants ou immunisés à l'infection par le SRAS-CoV-2. Le terme «immunité hétérologue» fait référence à l’immunité qui se développe contre un pathogène donné après que vous ayez été exposé à un pathogène non identique.

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  22. En règle générale, cela se produit lorsque les virus sont suffisamment similaires ou issus d'espèces étroitement apparentées. Dans ce cas, le SRAS-CoV-2 semble être suffisamment similaire aux coronavirus qui causent le rhume, de sorte que si vous avez été exposé à l'un de ces coronavirus, votre système immunitaire est également capable de lutter contre le SRAS-CoV-2.

    • The Lancet Microbe, septembre 202015,16 - Cette étude a révélé que l'infection à rhinovirus, responsable du rhume, prévenait en grande partie l'infection grippale concomitante en déclenchant la production d'interféron antiviral naturel.

    Les chercheurs pensent que le virus du rhume pourrait également aider à se protéger contre l'infection par le SRAS-CoV-2. L'interféron fait partie de votre réponse immunitaire précoce et ses effets protecteurs durent au moins cinq jours, selon les chercheurs. La co-auteure Dr Ellen Foxman a déclaré à UPI: 17

    «L’infection par le virus du rhume a protégé les cellules de l’infection par un virus plus dangereux, le virus de la grippe, et [cela] est survenu parce que le rhume a activé les défenses antivirales générales du corps.

    Cela peut expliquer pourquoi la saison de la grippe, en hiver, survient généralement après la saison du rhume, en automne, et pourquoi très peu de personnes ont les deux virus en même temps. Nos résultats montrent que les interactions entre virus peuvent être une force motrice importante pour déterminer comment et quand les virus se propagent dans une population.

    Étant donné que chaque virus est différent, nous ne savons toujours pas comment la saison froide commune aura un impact sur la propagation du COVID-19, mais nous savons maintenant que nous devrions surveiller ces interactions.

    • Nature, juillet 202018,19,20 - Initialement publiée sur un serveur de pré-impression en mai 2020,21, cette étude singapourienne a été publiée dans le numéro de juillet 2020 de Nature.22 Ici, ils ont constaté que les rhumes communs causés par les bétacoronavirus OC43 et HKU1 pourraient vous rendre plus résistant à l'infection par le SRAS-CoV-2 et que l'immunité qui en résulte pourrait potentiellement durer longtemps.

    Les patients qui se sont rétablis d'une infection par le SRAS en 2003 avaient encore une réactivité des lymphocytes T à la protéine N du SRAS-CoV maintenant, 17 ans plus tard. Ces patients avaient également une forte réactivité croisée à la protéine N du SRAS-CoV-2.

    Les auteurs suggèrent que si vous avez vaincu un rhume causé par un bêtacoronavirus OC43 ou HKU1 dans le passé, vous pourriez avoir 50/50 de chances d'avoir des lymphocytes T défensifs capables de reconnaître et d'aider à se défendre contre le SRAS-CoV-2. Selon les auteurs:

    «Ces découvertes démontrent que les cellules T spécifiques du virus induites par une infection par les bétacoronavirus durent longtemps, soutenant l'idée que les patients atteints de COVID-19 développeront une immunité à long terme contre les cellules T.

    Nos découvertes soulèvent également la possibilité que les cellules T de longue durée générées après une infection par des virus apparentés puissent être en mesure de protéger contre ou de modifier la pathologie causée par une infection par le SRAS-CoV-2. »

    • Cell Août 202023,24 - Cette étude suédoise, initialement publiée sur un serveur de pré-impression en juin 202025 et maintenant publiée dans le numéro d'octobre 2020 de la revue Cell, 26 a révélé que les cellules T mémoire spécifiques au SRAS-CoV-2 fournissent probablement de longues terme de protection immunitaire contre le COVID-19. D'après les auteurs: 27

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  23. «Les cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 en phase aiguë présentaient un phénotype cytotoxique hautement activé qui était en corrélation avec divers marqueurs cliniques de la gravité de la maladie, tandis que les cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 en phase de convalescence étaient polyfonctionnelles et présentaient un type de tige phénotype de la mémoire.

    Surtout, les cellules T spécifiques du SRAS-CoV-2 étaient détectables chez les membres de la famille exposés aux anticorps séronégatifs et les convalescents ayant des antécédents de COVID-19 asymptomatique et léger.

    Notre ensemble de données collectif montre que le SRAS-CoV-2 déclenche des réponses de lymphocytes T mémoire largement dirigées et fonctionnellement remplies, ce qui suggère qu'une exposition naturelle ou une infection peut empêcher des épisodes récurrents de COVID-19 sévère.

    Immunité innée et adaptative

    Il est important de comprendre que vous disposez de deux types d’immunité. Votre système immunitaire inné est préparé et prêt à attaquer les envahisseurs étrangers à tout moment et constitue votre première ligne de défense. En revanche, votre système immunitaire adaptatif, 28, «se souvient» d'une exposition antérieure à un agent pathogène et réagit lorsqu'un vieil ennemi est reconnu.

    Votre système immunitaire adaptatif est divisé en deux bras: l'immunité humorale (cellules B) et l'immunité à médiation cellulaire (cellules T). Les cellules B et les cellules T sont fabriquées selon les besoins à partir de cellules souches spécialisées. Les graphiques ci-dessous proviennent de mon rapport sur la vitamine D et vous aideront à comprendre les composants de ces systèmes et leur calendrier.

    Si vous n'avez jamais été exposé à une maladie mais que vous recevez des anticorps d'une personne malade et rétablie, vous pouvez acquérir une immunité humorale contre cette maladie. Votre système immunitaire humoral peut également intervenir en cas de réactivité croisée avec un autre pathogène très similaire.

    Comme vous pouvez le voir dans la liste ci-dessus, dans le cas du COVID-19, des preuves29 suggèrent que l'exposition à d'autres coronavirus qui causent le rhume peut conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2.

    D'un autre côté, il existe un phénomène connu sous le nom d'interférence virale, où l'exposition à un virus vous rend plus vulnérable à un autre virus. Surtout, la recherche30 a révélé que ceux qui avaient reçu le vaccin contre la grippe étaient 36% plus sensibles à l'infection à coronavirus.

    Les modèles mathématiques ajoutent la prise en charge d'une immunité généralisée

    S'il est vrai qu'une majorité a déjà une certaine immunité contre le COVID-19 en raison d'une exposition précédente à d'autres coronavirus, alors nous avons probablement déjà atteint le seuil d'immunité collective et vacciné tous les humains sur la planète (ou à proximité) ne sera pas nécessaire.

    L'idée selon laquelle l'immunité collective peut déjà avoir été obtenue dans la plupart des pays vient de la part des statisticiens travaillant avec des modèles mathématiques. En juin 2020, Freddie Sayers, rédacteur en chef de UnHerd, a interviewé31 le professeur Karl Friston, un statisticien qui revendique l'immunité contre le SRAS-CoV-2, dans le monde, pourrait atteindre 80%, comme indiqué dans l'interview vidéo ci-dessus.

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  24. Friston est crédité d'avoir inventé une technique de cartographie statistique paramétrique qui est maintenant la norme pour comprendre l'imagerie cérébrale. Lorsque la pandémie a éclaté, il a commencé à appliquer cette méthode d'analyse (qu'il appelle «modélisation causale dynamique») aux données COVID-19, en proposant un modèle qui prédit des taux de mortalité bien inférieurs à ceux des modèles précédents.

    La raison en est que la «population sensible efficace», c'est-à-dire ceux qui ne sont pas déjà immunisés contre le COVID-19 et donc à risque d'infection, n'a jamais été à 100%. Tout au plus, il était de 50 % et très probablement seulement d'environ 20 %.

    Le modèle de Friston vaporise efficacement les affirmations selon lesquelles la distanciation sociale est nécessaire, car une fois que des comportements sensés tels que rester à la maison en cas de maladie y sont entrés, l'effet positif des efforts de verrouillage sur «l'aplatissement de la courbe» disparaît tout simplement. Selon toute vraisemblance, les verrouillages mondiaux étaient totalement inutiles et ne devraient certainement pas continuer, ni maintenant ni à l'avenir.

    Des signes d'immunité collective émergent en Suède

    Un pays qui a résisté à la tendance mondiale au verrouillage a été la Suède, et elle semble maintenant avoir une longueur d'avance sur la plupart des autres pays en termes d'immunité collective, tout en ayant un nombre de morts très similaire à celui des pays qui ont détruit leur économie et sacrifié la population. la santé mentale au nom du contrôle des infections.

    Anders Tegnell, l'épidémiologiste en chef chargé de la réponse suédoise au coronavirus, a déclaré32 qu'il ne pense pas que la Suède connaîtra une deuxième vague avec une contagion généralisée, car le pays connaît une baisse rapide des tests positifs, indiquant que l'immunité collective a été atteinte.33

    Il a déclaré au Guardian34 que l'objectif principal était toujours simplement de ralentir la propagation pour éviter de surcharger les services médicaux. L'intention n'a jamais été d'empêcher complètement l'infection de se propager, ce qui s'est avéré impossible.

    C'était en fait le plan original à peu près partout. Mais alors que la Suède s'en tenait à l'objectif initial et, à la mi-septembre, affichait des taux d'infection toujours bas, 35 autres pays ont des plans de réponse tordus pour empêcher complètement la transmission de l'infection, même parmi ceux pour qui le risque d'une telle infection est en voie de disparition, comme les enfants d’âge scolaire.

    Les deux graphiques de The Guardian, 36 ci-dessous, montrent le taux d’infection et les décès par million de la Suède, par rapport à d’autres pays qui ont appliqué des règles de verrouillage plus strictes.

    Seuil d'immunité du troupeau probablement inférieur à 50%

    Comme indiqué dans «Immunité collective« en avance sur le calendrier »», les experts ont initialement estimé que 70% de la population ou plus devraient être immunisés avant que l’immunité collective ne soit obtenue. Aujourd'hui, plus d'une douzaine de scientifiques affirment que le seuil d'immunité du troupeau est probablement inférieur à 50 %.

    Comme indiqué précédemment, si cela est vrai - et comme vous pouvez le voir par les études examinées, il semble qu'une majorité ait un certain niveau d'immunité - alors le besoin d'un vaccin disparaît plus ou moins.

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  25. L'immunité du troupeau est calculée en utilisant le nombre de reproduction, ou R-rien (R0), qui est le nombre estimé de nouvelles infections pouvant survenir chez une personne infectée.37 R0 inférieur à 1 (avec R1 signifiant qu'une personne infectée devrait infecter une autre personne) indique que les cas sont en baisse tandis que R0 au-dessus de 1 suggère que les cas sont à la hausse.

    Cependant, c’est loin d’être une science exacte, car la vulnérabilité d’une personne à l’infection varie en fonction de nombreux facteurs, notamment sa santé, son âge et ses contacts au sein d’une communauté. Les calculs R0 initiaux du seuil d’immunité du troupeau du COVID-19 étaient basés sur des hypothèses selon lesquelles tout le monde a la même sensibilité et se mélangerait au hasard avec d’autres dans la communauté.

    «Cela ne se produit pas dans la vraie vie», a déclaré le Dr Saad Omer, directeur du Yale Institute for Global Health, au New York Times38. «L'immunité collective peut varier d'un groupe à l'autre et d'une sous-population à l'autre», voire code postal. Lorsque des scénarios du monde réel sont pris en compte dans l'équation, le seuil d'immunité du troupeau diminue considérablement, certains experts affirmant qu'il pourrait être aussi bas que 10 % à 20 %.

    L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages d'obtenir l'immunité collective est de permettre à ceux qui courent un risque minimal de mort de vivre normalement leur vie pour développer une immunité contre le coronavirus grâce à une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux qui sont les plus à risque. ~ Déclaration de Great Barrington

    Des chercheurs d'Oxford, de Virginia Tech et de la Liverpool School of Tropical Medicine font partie de ceux qui ont trouvé39,40 lorsque les variations individuelles de sensibilité et d'exposition sont prises en compte, le seuil d'immunité du troupeau descend en dessous de 10 %.

    La source de nouvelles indépendante Off-Guardian a également cité41 des données du comté de Stockholm, en Suède, qui montrent un seuil d'immunité collective de 17 %, 42 ainsi qu'un essai du professeur de l'Université Brown, le Dr Andrew Bostom, qui a noté: 43

    «Le Dr Gomes, chercheur principal, de la Liverpool School of Tropical Medicine, et ses collègues ont conclu:« L'immunité naturellement acquise contre le SRAS-CoV-2 peut placer les populations au-dessus du seuil d'immunité du troupeau une fois que 10 à 20 % de ses individus sont immunisé. "44

    Des calculs séparés de HIT [seuil d'immunité du troupeau] de 9 %, 45 10-20 %, 46 17 %, 47 et 43 % 48,49 - chacun sensiblement en dessous de la valeur dogmatiquement affirmée de ~ 70 % 50 - ont été rapportés par les enquêteurs de Tel -Aviv University, Oxford University, University College of London et Stockholm University, respectivement. »

    La déclaration demande instamment la mise en œuvre d'une approche d'immunité collective

    Dans l'ensemble, il y a de nombreuses raisons de soupçonner que les verrouillages continus, la distanciation sociale et les mandats de masque sont totalement inutiles et ne modifieront pas de manière significative le cours de cette maladie pandémique, ni le décompte final des décès.

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  26. Comme l'a rapporté British Sky News, 51 7 octobre 2020, de nombreux scientifiques respectés appellent maintenant à une approche d'immunité collective face à la pandémie, ce qui signifie que les gouvernements devraient permettre aux personnes qui ne présentent pas de risque significatif de maladie grave COVID-19 de revenir à la normale la vie. Selon l'article: 52

    «La soi-disant déclaration de Great Barrington, signée par des experts renommés des universités d'Oxford, Nottingham, Édimbourg, Exeter, Cambridge, Sussex et York, suggère l'immunité collective comme une voie à suivre.

    La déclaration déclare: `` L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages d'obtenir l'immunité collective, est de permettre à ceux qui courent un risque minimal de mort de vivre normalement leur vie pour renforcer l'immunité contre le coronavirus grâce à une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux-ci. qui sont les plus à risque. Nous appelons cela une protection ciblée. »

    La déclaration souligne que les politiques de verrouillage actuelles ont «des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme» qui entraîneront à l'avenir une surmortalité, principalement parmi les jeunes et la classe ouvrière.

    Sources and References

    1 CDC.gov August 26, 2020
    2 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352
    3 Greek Reporter June 27, 2020
    4 Washington Examiner July 2, 2020
    5 FEE.org July 2, 2020
    6, 9 Technical Report June 2020 DOI: 10.13140/RG.2.24350.77125
    7, 8 YouTube, SARS-CoV-2 and the rise of medical technocracy, Lee Merritt, MD, aprox 8 minutes in (Lie No. 1: Death Risk)
    10 Cell June 25, 2020; 181(7): 1489-1501.E15
    11 Wall Street Journal June 12, 2020 (Archived)
    12, 14 Nature Immunology September 30, 2020 DOI: 10.1038/s41590-020-00808-x
    13 Immunology Virology June 17, 2020 DOI: 10.21203/rs.3.rs-35331/v1
    15 The Lancet Microbe September 4, 2020 DOI: 10.1016/S2666-5247(20)30114-2
    16, 17 UPI September 4, 2020
    18, 22 Nature July 15, 2020; 584: 457-462
    19 Daily Mail June 12, 2020
    20 Science Times June 12, 2020
    21 Biorxiv preprint DOI: 10.1101/2020.05.26.115832 (PDF)
    23, 26, 27 Cell October 1, 2020; 183(1): 158-168.E14
    24 BBC July 1, 2020
    25 BioRxiv June 29, 2020 DOI: 10.1101/2020.06.29.174888
    28 Khan Academy, Adaptive Immunity
    29 Cell May 14, 2020 DOI: 10.1016/j.cell.2020.05.015
    30 Vaccine January 10, 2020; 38(2): 350-354
    31 Unherd.com June 4, 2020
    32 Metro August 24, 2020
    33 The Sun August 24, 2020
    34 The Guardian September 22, 2020
    35, 36 The Guardian September 16, 2020
    37, 38 The New York Times April 23, 2020
    39, 44 medRxiv May 21, 2020 DOI: 10.1101/2020.04.27.20081893 (PDF)
    40, 41 Off-Guardian July 7, 2020
    42, 47 medRxiv May 22, 2020 DOI: 10.1102/2020.05.19.20104596 (PDF)
    43 Andrewbostom.org September 2020
    45 medRxiv September 10, 2020 DOI: 10.1101/2020.09.06.20189290
    46 medRxiv August 31, 2020 DOI: 10.1101/2020.07.23.20160762
    48 Cornell University arXiv.org May 6, 2020
    49 Science August 14, 2020; 369(6505): 846-849
    50 Immunity May 19, 2020; 52(5): 737–741
    51, 52 Sky News October 7, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/joseph-mercola/majority-are-already-immune-against-sars-cov-2/

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    1. L'immunité contre un virus n'existe pas ! Because que les scientifiques ont rectifié les propos tenus par les journalistes & politiciens qui parlaient sans savoir de ce qu'est un virus.

      Il n'y a PAS de virus de grippe (comme c'est le cas présent) mais l'attaque d'un MICROBE. Un microbe (appelé aussi bactérie quand elle fait du bien et microbe quand il fait du mal) se combat avec des antibiotiques. Tandis qu'un virus (nano-particule NON-VIVANTE) est une poussière.

      (Ne traitez pas votre ordinateur attaqué au virus avec des antibiotiques !).

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  27. Comment les centres commerciaux meurent (lentement, puis tout à la fois)


    par Tyler Durden
    Mer, 10/14/2020 - 13:00
    Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk,


    300 centres commerciaux de classe B aux États-Unis meurent lentement.

    Comment les centres commerciaux meurent
    Bloomberg discute du Crystal Mall à Waterford dans le Connecticut comme un exemple du sort d'un centre commercial typique de classe B, n'importe où, aux États-Unis.

    Dans l'ensemble, jusqu'à 25000 magasins pourraient fermer aux États-Unis cette année, principalement dans des centres commerciaux, selon Coresight. Cela démolirait le précédent record d'environ 9800 fermetures, établi en 2019.

    Entre les faillites, les propriétaires en difficulté, les fermetures de magasins et les postes vacants existants, au moins la moitié de la superficie de Crystal Mall est désormais menacée. Et des centaines d'autres centres commerciaux B à travers le pays sont dans le même bateau.

    Emplacements des centres commerciaux de classe B


    L'image principale est un composite que j'ai créé à partir d'un graphique Bloomberg interactif.

    Six détaillants du centre commercial ont déposé leur bilan au cours des trois dernières années.

    Les détaillants tels que Macys, les magasins d'arbres de Noël, etc. (hachurés en noir et blanc) n'ont pas dit qu'ils quittaient le centre commercial de Waterford, mais ils ont annoncé des fermetures.

    Avec déjà 35 vitrines vacantes, le centre commercial semble condamné.

    Le même sort attend des centaines de centres commerciaux similaires à travers le pays.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/how-malls-die-slowly-then-all-once

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  28. La flambée des coûts alimentaires fait grimper les prix des producteurs en septembre


    par Tyler Durden
    Mer, 14/10/2020 - 08:39


    Après le mélange d'hier pour les prix à la consommation (voitures d'occasion flambée, ralentissement des loyers / abris), les prix à la production devraient revenir à une inflation très modeste en glissement annuel en septembre (et après 5 mois consécutifs de déflation), et dans l'ensemble, un PPI a été imprimé plus chaud que attendu.

    La demande finale de PPI a augmenté de 0,4% MoM (le double de l'exp + 0,2%), ce qui a fait grimper le PPI de 0,4% en glissement annuel (contre les attentes d'une hausse de 0,2%) - la première impression inflationniste depuis mars ...

    - voir graphique sur site -

    Source: Bloomberg

    C'est le PPI YoY le plus élevé depuis février (pré-COVID).

    Alors que les coûts de l'énergie sont inférieurs (-0,3% MoM, -11,4% sur un an), les coûts de la nourriture sont le principal moteur supplémentaire de l'impression inflationniste plus chaude que prévu, augmentant de 1,2% MoM (+ 13,3% sur un an).

    - voir graphique sur site -

    Certainement rien ici pour caler La pression inflationniste continue de la Fed.

    https://www.zerohedge.com/markets/soaring-food-costs-send-producer-prices-higher-september

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  29. L'Université de Californie dépense 800 000 $ pour essayer de fermer un journal étudiant satirique, échoue


    par Tyler Durden
    Mer, 14/10/2020 - 10:55
    Rédigé par GQ Pan via The Epoch Times,


    La tentative infructueuse de l’Université de Californie de fermer une publication étudiante satirique sur les «espaces sûrs» et les «avertissements déclencheurs» a débouché sur des frais juridiques de plus de 800 000 $.

    Au centre du différend juridique se trouvait un article de novembre 2015 de The Koala, un journal étudiant satirique de l'Université de Californie à San Diego (UCSD), connu pour avoir publié des articles avec un humour grossier et des insultes racistes. L'article, intitulé «UCSD dévoile un nouvel espace dangereux sur le campus», se moquait de l'idée que les étudiants avaient besoin d'un «espace sûr» sur le campus en suggérant que l'université devrait également respecter les besoins de certains étudiants pour avoir un «espace dangereux».

    Dans la foulée, le gouvernement étudiant de l'UCSD a dénoncé The Koala pour «le langage offensant et blessant qu'il choisit de publier» et, en représailles, a refusé le financement à tous les médias étudiants.

    Le Koala a ensuite intenté une action en justice du premier amendement en 2016, arguant que l'université retenait des fonds pour censurer leur discours.

    Un juge fédéral a rejeté le procès en 2017, mais la Cour d'appel du 9ème circuit a annulé la décision en 2019, reconnaissant le changement de la politique de financement de l'UCSD comme un moyen d'empêcher The Koala de supprimer sa liberté d'expression.

    Le Koala et l’UCSD ont réglé l’affaire le mois dernier, l’université versant au journal 12 000 dollars et 150 000 dollars de plus pour couvrir les frais d’avocat. Selon une demande de dossiers publics de la Foundation for Individual Rights in Education (FIRE), un groupe de défense du premier amendement, l'Université de Californie avait dépensé 662 317 dollars supplémentaires pour ses propres avocats.

    Tout au long de la bataille juridique de 4 ans, l'université a embauché différents cabinets d'avocats qui facturent généralement cinq chiffres pour leurs services. Les dossiers suggèrent que la première facture provenait de Schiff Hardin de Chicago, qui soumettrait 30 factures supplémentaires de 2016 à octobre 2020, allant de moins de 100 USD à 110 000 USD. Il y avait également une facture d'Orrick, Herrington & Sutcliffe en novembre 2019 pour plus de 150000 $.

    En revanche, le financement initialement alloué à The Koala n'était que de 450 dollars.

    «Pour ceux qui font le suivi à la maison, c'est juste au nord de 1 820 fois le montant d'argent. Le Koala a été refusé en raison du changement de financement inconstitutionnel», a écrit Adam Steinbaugh de FIRE.

    «Si la parole n’est pas gratuite, cela coûtera un joli sou aux contribuables et aux étudiants qui paient les frais de scolarité.»

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  30. Depuis 2015, de nombreux collèges et universités ont désigné des espaces sûrs où les étudiants pourraient se rendre pour échapper au stress des idées controversées. D'autres, notamment l'Université de Chicago, ont rejeté le concept, estimant que les étudiants devraient apprendre à naviguer à travers des sujets controversés plutôt que de les éviter.

    «Notre engagement en faveur de la liberté académique signifie que nous ne soutenons pas les soi-disant« avertissements déclencheurs », nous n'annulons pas les orateurs invités parce que leurs sujets pourraient être controversés, et nous ne tolérons pas la création d'espaces de sécurité intellectuels où les individus peuvent se retirer à partir d'idées et de perspectives en contradiction avec les leurs », lire une lettre à la promotion UChicago de 2020 (pdf).

    https://www.zerohedge.com/political/california-university-spends-800000-trying-shut-down-satirical-student-newspaper-fails

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  31. R est le rocher qui brise l'effet de serre


    Par Chuck Wikman
    15 octobre 2020


    L'effet de serre est désespérément en contradiction avec la science fondamentale. La science dit que tous les gaz réagissent de la même manière lorsqu'ils sont chauffés. Les théoriciens de la serre disent que non, certains gaz agissent différemment. Je soutiens que l'effet de serre est tout bosh. Laisse-moi expliquer.

    L'effet de serre prétend que la présence d'un gaz à effet de serre, disons le gaz carbonique, élève la température de l'air au-dessus de ce qu'elle serait si elle était remplacée par, disons, de l'oxygène. Les partisans affirment que l'air est un mélange de gaz, certains sont les gaz à effet de serre, le gaz carbonique, la vapeur d'eau et le méthane. La plupart ne sont pas des gaz à effet de serre. Ce sont l'azote, l'oxygène et l'argon. Il est également affirmé que sans les traces de gaz à effet de serre, la température moyenne de la Terre à 59 ° F chuterait à 0 ° F. Nous gelerions solidement et la vie serait difficile. Des choses terribles arriveraient à notre monde si ces gaz augmentaient beaucoup.

    D'autres planètes de notre système solaire avec une atmosphère épaisse comme notre propre planète ont des gaz complètement différents. Des sondes spatiales ont découvert que Vénus dans les années 1960 avait une atmosphère 92 fois plus lourde que celle de la Terre et composée à 96 % de gaz carbonique. Il avait également une température incroyablement plus élevée que supposée, suffisamment chaude pour faire fondre le plomb et l'étain. Cela a conduit l'astronome Carl Sagan à affirmer en 1961 qu'il était victime d'un «effet de serre incontrôlable». Cela a été réfuté par le scientifique Robert Ian Holmes en 2018. Holmes a démontré de manière convaincante que la température de surface apparemment élevée de Vénus pouvait être entièrement expliquée sans l'effet de serre. Il l'a fait en montrant que sa température atmosphérique était entièrement expliquée par la simple arithmétique de sa masse, de sa densité et de sa pression. La composition de l’atmosphère de Vénus n’a joué aucun rôle. Il aurait pu être composé d'air comme celui de la Terre avec le même résultat: il n'y a pas besoin d'un «effet de serre incontrôlable». Pour ce faire, Holmes a utilisé une équation simple que la plupart des étudiants en chimie ou en physique au lycée reconnaîtraient. Cela s'appelle l'équation d'état. Comment une équation aussi fondamentale et la théorie qui la sous-tend peuvent-elles être négligées pendant si longtemps ? Sagan avait un doctorat dans une science qui utilise cela dans l'évolution des étoiles et pourquoi elles brillent la nuit. Comment aurait-il pu oublier cela ? Chaque fois que quelque chose d'irrationnel se produit, la politique suspecte est derrière elle.

    LE RÔLE CLÉ DU NOMBRE R

    Holmes a utilisé des données d'observation pour réfuter les affirmations de Sagan et d'autres sur l'effet de serre opérant sur Vénus. Une approche différente sera prise ici en utilisant les mesures très précises à partir de données expérimentales prises au fil des années sur les gaz communs de notre atmosphère pour tester l'effet de serre. Je le ferai sans aucune théorie élaborée, simplement en utilisant une simple arithmétique et quelques concepts de base de la science au lycée.

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  32. Le fait que tous les gaz agissent de la même manière lorsqu'ils sont chauffés signifie ceci en science: la quantité d'énergie ou de travail nécessaire pour chauffer un gaz est un nombre qui ne change jamais sa valeur pour une quantité unitaire de ce gaz pour chaque degré de température élevé. La science appelle ce nombre constant, R. C'est une fraction qui peut être représentée comme ceci:

    - voir graphique sur site -

    Vous pouvez penser à R comme étant l'abréviation de Réponse de tout gaz au chauffage. Il a une valeur numérique précise acceptée par les scientifiques et il s'agit de cette longue décimale, R = 8,31446261815324. Les unités utilisées avec lui sont les joules pour le numérateur et 1 mole et 1 degré Kelvin pour le dénominateur car il s'agit d'une fraction comme on peut le voir ci-dessus. Pour ce qui suit, mettez de côté tous ces détails sur les unités inconnues de joule, mole et degré Kelvin. Concentrez-vous simplement sur les sept premiers chiffres de R uniquement, 8,314 462. En fait, il existe des différences entre les gaz lorsque nous les mesurons. Ainsi, les valeurs expérimentales de R que nous obtenons pour chaque gaz individuel seront différentes des autres.

    La question à laquelle nous voulons répondre est de savoir dans quelle mesure ils diffèrent. Les défenseurs de l’effet de serre ont-ils raison de dire qu’il existe des différences significatives dans la réponse de chaque gaz au chauffage qui mettent ou non notre planète en péril?

    VÉRIFIER SI TOUS LES GAZ RÉPONDENT AU CHAUFFAGE ÉGALEMENT - À L'AIDE DE R

    Ce qui nous préoccupe, ce sont les différences de valeur de R pour les gaz à effet de serre par rapport aux gaz non à effet de serre. Si l’effet de serre est vrai, nous devrions trouver une valeur significativement plus faible pour la valeur R du gaz carbonique que pour l’oxygène, l’azote et l’argon. Pourquoi une valeur inférieure et non supérieure ? L'idée est que le gaz carbonique pour la même quantité d'énergie créera une température plus élevée que, par exemple, l'oxygène. C'est une autre façon de dire que le gaz carbonique est plus efficace, qu'il faut moins d'énergie ou de travail pour obtenir la même augmentation de température d'un degré que l'oxygène. Ainsi, le numérateur que vous voyez dans l'image ci-dessus est plus petit pour le dioxyde de carbone que pour l'oxygène pour cette raison même. Ainsi, la valeur R pour le gaz carbonique doit être PLUS PETITE que pour l'oxygène puisque le numérateur est plus petit. Il doit en être de même pour la vapeur d'eau et le méthane: ils doivent également avoir des valeurs R nettement plus faibles.

    Ce que je vais vous donner, c'est la valeur expérimentale de R pour chaque gaz dans notre atmosphère. Chaque valeur expérimentale est complètement indifférente à l'affirmation de tout scientifique sur la réalité, quelle que soit sa renommée ou son éminence. Il provient d'une mesure en laboratoire avec un appareil extrêmement précis appelé calorimètre. Parce qu'ils ne sont pas parfaits, les calorimètres ont une erreur expérimentale, qui seule devrait entraîner une légère variation des résultats d'un gaz à l'autre. Ce que nous recherchons, encore une fois, ce sont des différences significatives, pas de petites choses.

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  33. La science s'est développée au cours des premières décennies du 20e siècle, des mesures progressivement plus sensibles de trois aspects des gaz qui jouent un rôle dans la détermination de la valeur de chaque gaz pour R. Ceux-ci sont appelés Cp et Cv et M. Le premier est connu sous le nom de chaleur spécifique d'un gaz. à pression constante, donc le c et le p dans le surnom ci-dessus. La seconde est connue sous le nom de chaleur spécifique d'un gaz à volume constant, d'où le c et le v dans son surnom. M signifie la quantité d'un gaz appelé masse molaire. Vous n'avez pas besoin de comprendre ces concepts compliqués, mais simplement qu'ils vous donnent R lorsqu'ils sont utilisés.

    Voici l'arithmétique: prenez Cp et soustrayez Cv. Multipliez ensuite cp - cv fois M et la réponse est égale à R. Cette formule simple s’appelle la loi de Mayer, du nom du physicien qui l’a trouvée. Vous n'avez pas besoin de comprendre comment et pourquoi cette loi est vraie, mais simplement qu'en science elle est considérée comme vraie. Pour sa dérivation, allez ici. Pour rendre cela plus visible, je vais montrer un tableau où chaque gaz est indiqué sur une ligne avec la différence entre ces deux (Cp - Cv), puis la valeur M du gaz. À la fin de la ligne se trouve le R de ce gaz. Voici. Je vais d'abord montrer les soi-disant gaz à effet de serre, puis les gaz non à effet de serre. Sur la dernière ligne, je vais vous montrer les valeurs expérimentales pour l'air. Rappelez-vous, R = 8,314462. Voici la source des données du tableau. Voir le tableau A-1.

    - voir graphique sur site -

    Avez-vous remarqué quelque chose de particulier à propos du soi-disant méchant, le gaz carbonique ? Je ne. Cela ressemble à de l'oxygène, de l'argon et de l'azote. Idem pour la vapeur d'eau et le méthane. Vous devrez aller à la troisième décimale pour voir toute différence par rapport à la valeur théoriquement exacte. Étant donné que les données ont une précision de quatre positions, nous ne pouvons être sûrs que de trois décimales à droite du chiffre 8 dans le tableau pour la valeur de R. Notez que les valeurs de la troisième décimale varient de 3 à 5 pour les six gaz. La moyenne des six est de 8,314. Ainsi, le R pour tous ces gaz est d'environ 8,314. La plus petite valeur R était pour l'argon et l'oxygène. Les deux avaient le plus grand «effet de serre», 0,001 de moins que l'air. Même si l’air remplaçait à 100%, cela n’aurait pas d’effet mesurable sur la température moyenne de notre planète. Le gaz carbonique avait une valeur R supérieure à l'air, pas moins. Une déconnexion majeure ici, inexplicable par les théoriciens de la serre. Les petites différences entre les gaz atmosphériques courants reflètent ce que la science veut dire quand elle dit que tous se ressemblent en réponse au chauffage. La question est donc de savoir pourquoi tout ce méfait sur le gaz carbonique ?

    Bottom line: Le gaz carbonique atteint la même température que l'oxygène, l'azote et l'argon lorsque les mêmes quantités de chaque gaz sont comparées à la même énergie lorsqu'ils sont testés dans des conditions de laboratoire contrôlées et précises. Les fanatiques des serres insistent pour que le dioxyde de carbone atteigne une température plus élevée dans ces conditions. Toute petite augmentation est dévastatrice. Si vous regardez leurs papiers, ils ne corroborent jamais leur affirmation, ils supposent simplement que c'est vrai. Tout cela est du bluff et des affirmations crues. Les données expérimentales montrent que notre atmosphère est insensible au dioxyde de carbone, à la vapeur d'eau et au méthane.

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  34. LES GAZ À EFFET DE SERRE N'EXISTENT PAS

    Je viens de présenter des données expérimentales qui disent que les gaz à effet de serre n'augmentent PAS la température de l'air plus qu'autre chose. R dit qu'il ne peut pas. Une augmentation d'un degré de la température résultera du même apport d'énergie dans le dioxyde de carbone que tout autre gaz dans l'air, ni plus, ni moins. C'est le même résultat que Robert Ian Holmes a trouvé pour les données d'observation prises à partir de Vénus, ou de l'une des autres planètes avec des atmosphères épaisses, telles que Jupiter. Pour ceux d'entre vous qui ont un penchant scientifique, je vous exhorte à consulter ses essais scientifiques en ligne. Ils sont lisibles et fournissent beaucoup d'histoire qui complète l'histoire.

    - voir graphique sur site -

    Maintenant, une brève note sur quelque chose mentionné au sujet de notre planète étant 59 degrés plus chaude qu'elle ne le devrait. Donc, si l'effet de serre ne fonctionne pas, qu'est-ce qui cause cette chose ? La réponse est simple. Le poids de notre atmosphère provoque ce réchauffement de 59 degrés. Si vous vous enfoncez profondément dans une mine, vous remarquerez que l'air devient plus chaud à mesure que vous allez plus loin. Pas de lumière du soleil là-bas, donc aucun effet de serre ne pourrait fonctionner même s'il fonctionnait comme prévu. La plus grande profondeur d'air crée une colonne d'air plus lourde qu'à la surface, ce qui fait monter la température à mesure que vous descendez. Ce phénomène est ce qui cause le «taux de déchéance» ou le refroidissement observé lorsque l'on monte une montagne ou le réchauffement en descendant une montagne.

    Les mêmes lois des gaz qui sous-tendent R s'appliquent partout, c'est pourquoi elles sont utilisées en astronomie pour expliquer les températures stellaires et l'évolution des étoiles. Souvenez-vous qu'il n'y a pas de pape en science. Les gens sont libres de choisir la proposition qu'ils souhaitent croire. Certaines personnes n'essaient pas de tester leurs propositions. Ils recherchent plutôt simplement des choses qui affirment ou soutiennent leurs revendications. Cela peut convenir au début d'une enquête sur une certaine intuition. Il n'est pas raisonnable en science d'affirmer une proposition sans chercher la preuve que son exact contraire est vrai à la place. Revenez sur ce qui a été fait ici. J'ai pris l'argument de Sagan, j'ai trouvé son exact contraire, le dioxyde de carbone n'est pas différent de tout autre gaz, puis j'ai soumis cela à un test empirique où il pouvait être trouvé faux. Des preuves puissantes de nature très précise et exacte ont été présentées. La limite de l'erreur expérimentale était une précision à quatre chiffres comme indiqué dans le tableau et elle n'a PAS été rejetée comme fausse. Cela rend l’hypothèse non examinée de Sagan de 1961 fausse dès le départ.

    LES SCIENTIFIQUES NE DEVRAIENT PAS ESSAYER D'AFFIRMER SEULEMENT LEURS PROPOSITIONS

    En tant que scientifique, il n'aurait pas dû faire cela. Je suis également très curieux de savoir pourquoi les rédacteurs de son article de 1961 sur la science n'ont pas soulevé de questions sur son affirmation non étayée. Après tout, Sagan s'est donné beaucoup de mal pour réfuter avec des faits et des données les propositions controversées de Fred Hoyle et d'autres. Il ne le fait pas avec sa propre thèse énoncée dans la troisième colonne, en haut de la page 855. Pourquoi a-t-il été accordé une telle latitude par les arbitres de cette célèbre revue ?

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  35. Guy Callendar était un prédécesseur de Sagan qui était préoccupé par l'effet de réchauffement du dioxyde de carbone. À partir de 1938 et jusqu'en 1961, les articles de Callendar ont mis l'accent sur l'histoire des effets radiatifs du dioxyde de carbone. Là encore, il s'agit de rechercher la confirmation d'une théorie, plutôt que de rechercher des preuves étayant son contraire. Ironiquement, le père de Callendar, Hugh Callendar, avait été le pionnier d’un calorimètre à flux extrêmement sensible qui permettait aux scientifiques de mesurer très précisément les chaleurs spécifiques des gaz dans les années 1920 et 1930. J'ai un manuel de science de 1932, par exemple, et son tableau de valeurs a une précision à trois endroits pour les chaleurs spécifiques de gaz énumérées dans mon tableau ci-dessus. Ainsi, les preuves ne manquaient pas, même en 1932, que l’effet de réchauffement du gaz carbonique de Callendar se serait avéré faux et rejeté. Il ne l'a pas cherché, donc il ne l'a pas vu.

    Pour ces deux hommes, l’analyse critique est réservée aux arguments des autres, et non quand ils préconisent quelque chose. Ego s'implique dans le plaidoyer et souvent, la politique s'installe aussi. Je crois que c'est ce qui est arrivé à Sagan. L'ego et la politique de gauche l'aveuglaient, même s'il exhortait fréquemment les étudiants en sciences à faire exactement le contraire. C'était trop irrésistible. Callendar a cherché une explication des périodes glaciaires et a trouvé le gaz carbonique comme coupable. Il a également découvert que nous aidions la cause à en prévenir une en l'accumulant dans l'atmosphère de nos activités. Un défenseur voyait le gaz carbonique comme une aubaine pour la planète et ses occupants, l'autre le voyait comme le fléau. Ni l'un ni l'autre n'était scientifique, mais plutôt les partisans d'une proposition erronée. Les deux ont été financés par des subventions gouvernementales lors de courants politiques amicaux.

    Le plus triste de tout cela, c’est l’utilisation maintenant cynique par notre gouvernement fédéral des mécanismes de financement scientifique pour contrecarrer les études critiques sur les changements climatiques. Essayez simplement d'obtenir une subvention NSF contredisant l'effet de serre. Le gouvernement n'est pas un organisme neutre cherchant à financer la vérité. Elle a ses propres intérêts politiques très souvent antagoniques au public qui finance ses méfaits. Ils utilisent nos deniers publics pour financer des modèles scientifiques du changement climatique fondés sur des associations entre l'accumulation de gaz carbonique et les changements de température. Eh bien, les modèles ne sont pas des données ni un substitut à l'analyse critique. L'ensemble de l'appareil est basé sur l'hypothèse, jamais testée, que les gaz à effet de serre existent, et il va le rester quelle que soit la direction que soufflent les vents politiques.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/r-is-the-rock-that-shatters-the-greenhouse-effect/

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    1. (...) Si vous vous enfoncez profondément dans une mine, vous remarquerez que l'air devient plus chaud à mesure que vous allez plus loin. (...)

      Le lac Baïkal (Russie) a 1637 m de profondeur et, cela m'étonnerai qu'il y fasse plus chaud qu'en surface !
      La chaleur au fond des mines provient UNIQUEMENT de la proximité magmatique.

      Tous les gaz (sur toutes les planètes de l'univers) sont fabriqués par le magma. Tous ces gaz expulsés se recyclent continuellement. Sur Terre les gaz se recyclent à la fois dans l'atmosphère et dans ses eaux. Le gaz carbonique est absorbé par le phytoplancton à la surface des eaux de mers, océans, lacs, rivières, flaques d'eau, etc) qui le transforme en nano-particule de carbone (charbon).

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  36. Le grand exode californien


    Par Andrew Moran
    Mises.org
    15 octobre 2020


    L'auteur allemand Franz Kafka a écrit dans The Metamorphosis: «Il y a une quantité infinie d'espoir dans l'univers… mais pas pour nous.» L'écrivain légendaire aurait tout aussi bien pu écrire sur l'état de Californie, un désert progressiste qui personnifie tout ce qui ne va pas avec l'orthodoxie de gauche. Au milieu du XIXe siècle, lorsqu'il est devenu un État, des dizaines de milliers de personnes se sont dirigées vers l'ouest. Aujourd'hui, ceux qui ont un minimum de jugement et de respect pour leur portefeuille se dirigent n'importe où qui ne s'appelle pas la Californie, tentant de fuir la mauvaise gestion incompétente du gouverneur Gavin Newsom et de ses amis démocrates à Sacramento sur tous les sujets, de l'économie aux libertés civiles.

    L'exode: une introduction

    La Californie est peut-être l'État le plus peuplé de l'Union, mais il pourrait se transformer en capitale de l'exode de l'Amérique. Le Golden State a connu un décrochage de sa population, passant légèrement de 39,96 millions à 39,78 millions au deuxième semestre 2019, selon le ministère des Finances.

    La croissance a ralenti près de zéro ou même diminué dans la plupart des comtés côtiers. La région de la baie de San Francisco a progressé et les comtés à l'est de Los Angeles ont connu une croissance modeste. Cependant, le comté de Los Angeles a expulsé des résidents pour la deuxième année consécutive en 2019. On ne sait pas à quel point la baisse de population est grave à la suite de la pandémie de coronavirus et des hausses fiscales proposées par le gouvernement de l'État.

    Contrairement au mythe sur Internet, ce ne sont pas seulement les salariés à revenu élevé qui font leurs valises et disent au revoir à Newsom. Des études, dont une de l'Institut des politiques publiques de Californie et une autre de l'Empire Center for Public Policy, ont révélé que les ménages les plus pauvres sont plus susceptibles de fuir que leurs homologues aisés. Mais compte tenu du maintien de l'ordre proposé ou promulgué, il est prudent de dire que les riches n'ont aucune raison d'être laissés pour compte.

    California Nightmarin »

    En août, les démocrates de Californie ont proposé une augmentation significative des impôts sur les riches. La législation de l'Assemblée prévoit de relever le taux d'imposition le plus élevé à 16,8 %, rétroactivement à janvier de cette année. Cela porterait le taux maximal à 14,3 % pour les ménages gagnant plus de 1 million de dollars, 16,3 % sur un revenu supérieur à 2 millions de dollars et 16,8 % sur un revenu supérieur à 5 millions de dollars. Un projet de loi distinct imposerait une taxe de 0,4 % sur les actifs dépassant 30 millions de dollars.

    Bien que cela soit dommageable pour l'économie et que cela puisse être considéré comme isolé pour les riches, tout ce que fait la Californie fait mal et continuera de blesser tout le monde.

    Newsom a récemment signé un décret mettant fin à la vente de toutes les voitures à essence d'ici 2035. L'OE permettra toujours à ces voitures d'être détenues et vendues sur le marché des voitures d'occasion, mais la mesure poussera certainement les consommateurs à passer à la marché des véhicules électriques subventionnés.

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  37. Dans un communiqué, Newsom a également approuvé une interdiction de la fracturation pétrolière. Cependant, au lieu de prendre des mesures exécutives, il a exhorté l'Assemblée législative de Californie à adopter des interdictions ou des restrictions sur la fracturation hydraulique. Cela pourrait avoir un impact sur les plus de 360 000 personnes qui travaillent dans le secteur pétrolier et gazier.

    Bien qu'elle soit l'une des juridictions les plus riches du monde, la Californie reflète le Venezuela en subissant des pannes de courant continu. Pour la première fois en près de vingt ans, la Californie lance des pannes de courant planifiées, ce qui incite le gouverneur à admettre que l'État devait «se dégriser» au sujet des sources d'énergie renouvelables qui n'offrent pas suffisamment d'électricité pour des millions d'habitants en période de pointe.

    Bien que les politiciens locaux de gauche et la presse grand public fassent allusion aux incendies de forêt généralisés comme preuve du changement climatique, ce sont des années de négligence grave qui ont contribué à la catastrophe. Comme l'a écrit Liberty Nation en janvier 2019:

    La plupart des forêts sont englouties dans des arbres morts. Les jeunes arbres sont écrasés ensemble et consomment l'eau dont les vieux arbres ont besoin, ce qui les fait endurer une infestation de ravageurs et une glissade abrupte à mort. Ce qui est nécessaire, c'est l'éclaircie, qui peut être effectuée par des entreprises forestières privées.

    Non seulement la Californie connaît des pénuries d'électricité, mais elle souffre également d'une pénurie d'eau induite par le gouvernement. L'État a autorisé l'eau douce propre à voyager des rivières dans l'océan Pacifique, refusant de consommer la ressource naturelle dans le cadre des efforts visant à apaiser les fanatiques verts. L'autre problème est que les agriculteurs sont exemptés des restrictions d'eau et ne paient pas les prix du marché. Et pourtant, les résidents peuvent faire face à des amendes allant jusqu'à 500 $ par jour s'ils prennent une longue douche.

    La Californie a même ciblé les pigistes dans le cadre des croisades des politiciens pour les sauver de la vile exploitation du marché libre. L'année dernière, le gouverneur a signé la loi AB5, un projet de loi qui obligerait les entreprises à reclasser les pigistes et les travailleurs occasionnels en tant qu'employés à temps plein. Le travail organisé a célébré, mais les ouvriers ont été scandalisés - et avec raison. Immédiatement après l'adoption de la loi, les entreprises ont abandonné leurs pigistes, tandis que les pigistes professionnels ont perdu des milliers de dollars de revenus. L'État a légèrement pivoté, mais au lieu de céder totalement l'erreur de ses manières, les législateurs insistent sur le fait qu'AB5 est génial.

    Malgré un énorme déficit budgétaire et une crise des retraites, l'État élabore un plan de réparation de l'esclavage.

    Et, pire, tout cela s'ajoute à la pléthore de restrictions sur les coronavirus que Newsom et ses amis au niveau local ont introduites au cours des six derniers mois.

    La liste des gâchis, des maladresses et des ratés peut aller aussi longtemps que la file d'attente jusqu'à la porte de sortie.

    #DontCalifornieMyArizona

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  38. La situation en Californie a eu un effet boule de neige. Chaque prescription progressive qui a fait plus de mal que de bien a transformé la boule de neige en avalanche, conduisant les gens à la sortie la plus proche. Ils veulent descendre du train ultraleftiste et trouver des pâturages plus verts. De nombreuses personnalités éminentes font leurs adieux ou se plaignent de la situation. Ben Shapiro et l'équipe du Daily Wire ont fait leurs valises et se dirigent vers Nashville. Joe Rogan a attrapé son chapeau de cow-boy et son approvisionnement en DMT et s'est réfugié au Texas. La superstar des Dodgers de Los Angeles, Mookie Betts, a déclaré que les taux d'imposition étaient fous. Serez-vous le prochain ? Si vous avez des vues de gauche et que vous voyagez au Texas ou en Arkansas, n'oubliez pas de vous souvenir du hashtag #DontCaliforniaMyArizona.

    Originally published by Liberty Nation.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/no_author/the-great-california-exodus/

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    1. L'argent volé aux riches est gaspillé dans des programmes inutiles d'énergies dites 'gratuites' et d'aides aux populations immigrées !

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  39. ET SI LES USA DEVENAIENT UNE DEMOCRATIE ?

    Et si nous ignorons le gouvernement ?


    Judge Andrew P. Napolitano
    15 octobre 2020


    Et si nous recommençons tous à reprendre une vie normale maintenant que le gouvernement dit que le pire de la pandémie est derrière nous ? Et si nous faisions tous des choix conscients de nous déplacer comme avant ou de rester à l'abri, sur la base de notre propre exercice de notre propre libre arbitre éclairé et non sur la base de décrets gouvernementaux ? Et si chacun de nous décide s'il est plus sain de respirer de l'air frais de l'extérieur ou de l'air recyclé sous un masque ?

    Et si nous prenions nous-mêmes ces décisions en grand nombre ?

    Et si les décrets des gouverneurs n’ont pas vraiment force de loi ? Et si les gouverneurs avaient pris le pouvoir de nous dire comment vivre à partir de rien ou de lois d'état inconstitutionnelles et dépassées ?

    Et s’il était profondément inconstitutionnel pour une législature d’État de confier ses pouvoirs législatifs au gouverneur de l’État ? Et si, lorsque cela se produit, tous les décrets des gouverneurs fondés sur cette tentative de passage du pouvoir sont nuls et non avenus ? Et si nous nous comportions simplement d'une manière qui montre que nous comprenons que ces décrets sont illégaux ?

    Et si les athlètes des lycées et des collèges pratiquaient leurs sports d'automne sans tenir compte des décrets du gouverneur ? Et si les surintendants des écoles publiques et les présidents des collèges et universités ouvraient des espaces extérieurs pour que les gens décident eux-mêmes s'ils veulent rester à la maison ou venir regarder un match de football ou un match de football ?

    Et si la police, dont beaucoup ont des enfants d'âge scolaire et universitaire, encourageait les athlètes et se joignait aux observateurs à ces jeux ? Et s'ils le font malgré les ordres de leurs supérieurs parce que ces ordres sont illégaux et qu'ils savent qu'il est illégal d'obéir à un ordre illégal ?

    Et si les restaurants servaient toute leur clientèle et que les gens étaient si heureux que les restaurants étaient à nouveau bondés ? Et si les restaurateurs et les clients faisaient eux-mêmes ces choix ?

    Et si les petites entreprises empruntaient de l'argent aux banques - avec des liquidités parce que les taux d'intérêt sont artificiellement bas - et utilisaient ces fonds pour redémarrer leurs activités ? Et si les clients de ces entreprises choisissent de les fréquenter ? Et si les centres commerciaux rouvraient et permettaient aux gens de marcher partout où ils voulaient les amener ?

    Et si les pompiers, la police, les SMU et les travailleurs de la santé se joignaient tous à une exposition massive de la liberté personnelle dans notre société autrefois libre? Et si les gouverneurs qui nous ont retenus perdent tellement de soutien que seuls les gens qu'ils ont effrayés à mort les écoutent ? Et si cette résurgence de la liberté élevait nos esprits, nous réunissait en tant que nation et était un pas vers la réalisation de nos droits à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur ?

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  40. Et si - comme l'écrivait Thomas Jefferson dans la Déclaration d'indépendance - nos droits à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur étaient inaliénables ? Et si un droit inaliénable ne pouvait être enlevé dans une société libre que pour avoir violé les droits d'autrui, et seulement après une condamnation par un jury équitable ? Et si un droit inaliénable - parfois appelé droit naturel - ne peut pas moralement, constitutionnellement ou légalement être supprimé par un décret gouvernemental ou par une loi ou même par un référendum ?

    Et si les droits inaliénables faisaient partie intégrante de l’humanité de chaque personne ?

    Et si tout le but d'un pouvoir judiciaire indépendant était d'être antidémocratique ? Et si son but est de préserver et de protéger la vie, la liberté, la propriété et la recherche du bonheur de ceux que le gouvernement cible parce qu'il les hait ou les craint ?

    Et si la vie, la liberté et la recherche du bonheur n'étaient pas seulement les rêveries de Jefferson pour un peuple libre, mais étaient les valeurs morales, constitutionnelles et juridiques fondamentales de l'Amérique, établies en 1776, renouvelées chaque fois qu'un employé du gouvernement - du concierge au président - prêtait serment du bureau, et sont le fondement de toutes les lois américaines ?

    Et si le droit de chacun à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur était le choix de chacun quant à l’exercice et à la poursuite de ces droits ?

    Et si nous avions d'autres droits inaliénables tels que la liberté d'expression, le droit de se rassembler pacifiquement, le droit de culte, le droit de voyager et de se défendre, le droit à l'équité du gouvernement, le droit de prendre des risques, le droit le droit de posséder et de jouir de la propriété, et le droit d'être laissé seul ?

    Et si les fonctionnaires se joignaient à une désobéissance civile massive des règles locales et étatiques régissant le comportement personnel sur la propriété privée ? Et si les gouverneurs qui nous contrôlaient se rendaient compte qu’ils n’ont aucun soutien réel et qu’ils sont donc devenus édentés ?

    Et si, lorsque le gouvernement ne parvient pas à protéger les droits inaliénables, nous l'ignorons tout simplement ?

    Et si ignorer le gouvernement était une chimère ? Et si la plupart des gens avaient peur du gouvernement ? Et si seulement quelques membres du gouvernement prenaient au sérieux le langage élevé selon lequel le gouvernement tire tous ses justes pouvoirs du consentement des gouvernés ?

    Et si le gouvernement utilise la force pour appliquer ses décrets illégaux ? Et si le gouvernement utilisait chaque crise pour étendre son pouvoir ? Et si, lorsque la crise passe, le gouvernement conserve le pouvoir qu'il a pris pendant la crise ? Et si l'histoire du gouvernement américain était celle de la croissance du pouvoir gouvernemental et de la diminution de la liberté personnelle ?

    Et si nous ignorons le gouvernement à nos risques et périls ? Et si, lorsque le gouvernement bafoue nos droits, nous les modifions ou les abolissons ? Et si le moment était venu de le faire ? Et si cette heure était arrivée ? Et si - comme l'écrivait Jefferson - lorsque les gens craignent le gouvernement, il y avait une tyrannie ? Et si quand le gouvernement craint le peuple, il y a liberté ?

    Reprinted with the author’s permission.

    http://www.judgenap.com/post/what-if-we-ignore-the-government

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  41. Doug Casey: "Cela va être un pour les records"


    Par Doug Casey
    Homme international
    15 octobre 2020


    Ce n'est pas parce que la société vit des troubles que votre vie personnelle doit le faire. Et une dépression n’a pas à être déprimante. La plus grande partie de la vraie richesse dans le monde existera toujours - elle changera simplement de propriété.

    Qu'est-ce qu'une dépression?

    Nous sommes maintenant à la fin d’une expansion économique très longue, mais à bien des égards très faible et artificielle. Dans le même temps, nous avons eu l’un des marchés boursiers haussiers les plus solides de l’histoire. Les deux sont le résultat de billions de nouveaux dollars créés au cours de la dernière décennie. À l'heure actuelle, très peu de gens sont prêts à envisager la possibilité de périodes difficiles, sans parler de la Grande Dépression.

    Mais, aussi pervers que cela puisse paraître, c'est le meilleur moment pour y réfléchir. L'économie américaine est un château de cartes, construit sur des sables mouvants, avec un tsunami en route. J'exhorte tout le monde à lire sur le sujet. Pour le moment, je n’évoquerai que brièvement la nature des dépressions. Il existe au moins trois bonnes définitions du terme:

    Une période pendant laquelle le niveau de vie de la plupart des gens baisse considérablement.
    Une période pendant laquelle les distorsions et les mauvaises affectations de capital sont liquidées.
    Une période de temps où le cycle économique culmine.
    En utilisant la première définition, toute catastrophe naturelle peut provoquer une dépression. Vous pouvez donc vivre au-dessus de vos moyens assez longtemps. Mais le pire type de dépression n'a pas seulement des effets économiques, mais des causes économiques. C’est là que les définitions 2 et 3 entrent en jeu.

    Qu'est-ce qui peut provoquer des distorsions dans le fonctionnement du marché, poussant les gens à faire des choses qu'ils jugeraient autrement déraisonnables ou non rentables? Seule l'action gouvernementale, c'est-à-dire la coercition. Cela prend la forme de réglementation, de taxes et d'inflation monétaire.

    Toujours sous de nobles prétextes, le gouvernement incite constamment, directement et indirectement, les gens à acheter et à vendre des choses qu'ils ne feraient pas autrement, à faire des choses qu'ils préfèrent ne pas faire et à investir dans des choses qui n'ont aucun sens.

    Ces mauvaises affectations de capital réduisent subtilement le niveau de vie général d’une société, mais le grave problème survient lorsque de telles mauvaises affectations s’accumulent à un degré insoutenable et que la réalité les contraint à la liquidation. Il en résulte des entreprises en faillite, des dettes en souffrance et des chômeurs.

    Le cycle économique est principalement causé par l'inflation des devises, qui est aujourd'hui accomplie par la monétisation de la dette publique via le système bancaire; essentiellement, lorsque le gouvernement enregistre un déficit, la Réserve fédérale achète sa dette et crédite le compte du gouvernement auprès d’une banque commerciale en dollars. L'utilisation de la presse à imprimer pour créer de la nouvelle monnaie est largement dépassée dans le monde électronique d'aujourd'hui.

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  42. Quoi qu'il en soit, l'inflation envoie de faux signaux aux hommes d'affaires (en particulier à ceux qui reçoivent de l'argent tôt, car il filtre à travers l'économie), les faisant surestimer la demande pour leurs produits. Cela les amène à embaucher plus de travailleurs et à faire des investissements en capital, souvent avec de l'argent emprunté. C'est ce qu'on appelle «stimuler l'économie».

    Gonfler la monnaie peut en fait faire baisser les taux d'intérêt pendant un certain temps, car le prix de la monnaie (intérêt) est abaissé par l'augmentation de l'offre de monnaie. Cela amène les gens à épargner moins et à emprunter plus, tout comme les Américains le font depuis des années. Une grande partie de cet argent nouvellement créé va dans le marché boursier, ce qui la fait monter.

    Tout semble plutôt bon, jusqu'à ce que les prix de détail commencent à augmenter en conséquence retardée de l'augmentation de la masse monétaire et que les taux d'intérêt montent en flèche pour refléter la dépréciation de la monnaie.

    C’est à ce moment que les entreprises commencent à échouer. Les stocks tombent. Les prix des obligations s'effondrent. Un grand nombre de travailleurs perdent leur emploi.

    Plutôt que de laisser le marché s'ajuster, le gouvernement recommence généralement le processus avec un nouveau «plan de relance» plus large. Plus cela se produit souvent, plus les distorsions dans la façon dont les gens consomment et investissent sont profondément enracinées, et plus la dépression éventuelle est méchante.

    C'est pourquoi je prédis que la plus grande dépression sera… enfin… plus grande. Ce sera l'un pour les livres des records. Bien différent, beaucoup plus durable et bien pire que le désagrément de 1929-1946.

    Reproduit avec la permission d'International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/doug-casey/doug-casey-this-is-going-to-be-one-for-the-record-books/

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    1. Mais pourquoi donc serait-on à 'la fin d'une expansion économique' alors que nous sommes tous les jours de plus en plus nombreux à bouffer et que ce ne sont pas tous les ménages du monde qui possèdent une machine à laver ou à café ?!
      Qu'importe si tout çà c'est fabriqué par des robots ! (esclaves top model !), suffit de les faire passer à la caisse et de voir ce que la pute a ramené à son maquereau !
      Oui mais là interviennent des lois qui interdiraient la présence (parfois trop voyante) des souteneurs-protecteurs tous bons pères de famille qui s'occupent de leurs enfants !

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  43. Massacre dans les villes


    Steve Sailer
    14 octobre 2020


    Les voix de l'establishment admettent enfin, à contrecœur, que les meurtres et les fusillades ont augmenté de façon spectaculaire en 2020. Mais les raisons, ils conviennent tous, sont immensément compliquées et plutôt ennuyeuses.

    Peut-être, pensent-ils, que cela a quelque chose à voir avec les verrouillages ? Ou il pourrait y avoir un certain nombre d'autres facteurs en interaction subtile. Qui peut le dire? En tout cas, cette montée mystérieuse de la violence est au-delà de la compréhension, et encore moins du contrôle, des politiciens. Par exemple, FiveThirtyEight de Nate Silver a titré:

    Trump ne sait pas pourquoi la criminalité augmente ou diminue. Biden non plus. Ou tout autre politicien.

    … Nous ne savons pas vraiment pourquoi la criminalité a augmenté cette année. Pour être honnête, nous ne savons pas vraiment pourquoi la criminalité augmente… eh bien, jamais. Nous ne savons pas non plus comment la faire baisser à long terme.

    Il n’ya donc aucune raison de considérer l’augmentation soudaine des massacres dans les villes lors du vote cet automne. Le crime n'est pas quelque chose de menaçant immédiatement comme le changement climatique où le vote compte. Au lieu de cela, la montée et la chute de la criminalité est un processus vaste et mystérieux, qui rappelle la dérive continentale dans son inévitabilité, que les politiques publiques et l’opinion des médias ne pourraient probablement pas affecter. En effet, ne préférez-vous pas lire un tweet scandaleux de Trump que cette flambée géante intensément ennuyeuse de coups de feu?

    Sérieusement, la fusillade actuelle dans nos villes est l'un des phénomènes les plus simples et les plus flagrants de l'histoire des sciences sociales.

    Considérez ce graphique du Chicago Tribune des fusillades (c'est-à-dire le nombre de personnes tuées ou blessées par balles) dans la Windy City:

    - voir graphique sur site -

    Malgré l'étrangeté des verrouillages de coronavirus qui ont commencé en mars, 2020 avait été une année assez normale pour les fusillades à Chicago jusqu'à la fin mai. Pourtant, remarquez le pli soudain après le Memorial Day dans la ligne bleue représentant le nombre total de ceux qui ont été abattus jusqu'à présent cette année. En une seule semaine à la fin du mois de mai, Chicago est passée à une nouvelle pente plus violente.

    Jusqu'au 26 mai 2020, Chicago avait vu 15 % de plus de victimes par balle depuis le début de l'année par rapport à 2019. Mais du 27 mai au 5 octobre, les fusillades ont augmenté de 74 % par rapport à 2019.

    Est-ce qu'il s'est passé quelque chose fin mai qui a encouragé les criminels et découragé les flics ? Les journalistes de données semblent perplexes lorsqu'ils essaient de repenser aussi loin. Mais, comme vous vous en souvenez peut-être (c'était dans les nouvelles à l'époque), George Floyd est mort en garde à vue le 25 mai, et trois jours plus tard, le maire démocrate de Minneapolis a laissé des émeutiers incendier un poste de police. De là, les pillages et les émeutes se sont répandus dans tout le pays alors que la presse et les universités louaient les manifestants pour la plupart pacifiques.

    De même, voici le graphique du NYPD des victimes par balles à New York avec 2019 en rouge et 2020 en jaune:

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  44. - voir graphique sur site -

    Une fois de plus, 2020 se déroulait étrangement comme 2019 malgré le nombre de morts élevé que NYC avait absorbé début avril à cause de la pandémie.

    New York, qui a probablement été la grande ville la mieux surveillée d'Amérique au cours de ce siècle, n'a pas connu une augmentation des fusillades aussi rapidement que Chicago. Mais ensuite, au cours de la première semaine de juin 2020, les coups de feu se sont intensifiés puis ont explosé au cours de la deuxième semaine du mois, au moment des funérailles époustouflantes de Floyd, avec 72 victimes contre 14 la même semaine de 2019.

    À la fin du mois de mai, les tournages en 2020 avaient augmenté de 18 % par rapport à 2019 à New York. Mais de juin à septembre, le nombre de tués ou de blessés a été de 156 % plus élevé que l'an dernier.

    "Ne préférez-vous pas lire un tweet scandaleux de Trump plutôt que cette flambée géante intensément ennuyeuse de coups de feu ?"

    Les tendances nationales ont été similaires à celles de Chicago et de New York. Selon la liste de Wikipédia des fusillades de masse (qu’elle définit comme quatre blessés ou tués ou plus), le nombre de personnes frappées lors de fusillades de masse a augmenté de 14 % par rapport à l’année dernière jusqu’à la fin du mois de mai. Mais de juin à septembre, le nombre de victimes de fusillades de masse a augmenté de 61 %, passant de 1005 en 2019 à 1621 pendant l'été de George.

    Une bonne nouvelle est que l’objectif des tireurs de masse a été pire en 2020 qu’en 2019, avec un ratio blessé / tué plus élevé. L'une des raisons est que les fusillades de masse dans des écoles et des églises très meurtrières sont passées de dix à ce stade en 2019 à seulement deux cette année, sans doute en partie parce que les écoles et les églises ont si souvent été fermées à cause du virus.

    Une autre cause est que même plus qu'en 2019, lorsque les Noirs, à 13,4 % de la population, représentaient 55,9 % de tous les auteurs de meurtre dans les statistiques récemment publiées du FBI, les Noirs semblent avoir été responsables de la plupart des fusillades de masse au cours de l'été de George.

    (Soit dit en passant, la part des Noirs dans le total des meurtres en 2019, 56 %, représente environ le double de la part des Noirs tués par la police, qui est estimée entre 1/4 et 1/3. Ce deux contre un ratio offre certainement une perspective utile sur l'obsession médiatique de cette année pour les meurtres de noirs par la police, mais vous n'êtes pas censé le savoir.)

    Il existe un rapport de Pareto révélateur qui peut vous aider à discerner entre les deux types de fusillades de masse. Si vous voyez un bilan tel que huit morts et deux blessés, le tireur de masse était probablement un monstre non noir voulant ses quinze minutes d'infamie. En revanche, un résultat de tirs de masse beaucoup plus courant, comme deux morts et huit blessés, suggère que le tireur était un homme noir en colère contre quelqu'un qui l'a dissuadé et, pour le moment, ne se souciait pas du nombre de spectateurs à la fête de quartier qu'il a envoyé en essayant. pour le tuer.

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  45. Ainsi, à en juger par le ratio élevé de blessés / tués de 2020, les tirs de masse commis par des Noirs semblent augmenter cette année.

    Le nombre total d'homicides (avec n'importe quelle arme) a également augmenté. Écrivant dans le New York Times fin septembre, Jeff Asher a rapporté:

    Dans l'ensemble, dans 59 villes où les données sur les meurtres sont disponibles au moins jusqu'en juillet de cette année, le meurtre est en hausse de 28 % par rapport à la période correspondante en 2019.

    C’est une augmentation de 28 % depuis le début de l’année, de sorte que l’augmentation des meurtres au cours de l’histoire raciale de cet été est probablement considérablement plus élevée.

    Et une nouvelle analyse du Washington Post a révélé que si la criminalité en juillet était en baisse dans les quartiers à majorité blanche,

    Dans les quartiers à majorité noire, le taux de violence est resté relativement stable alors que les ordonnances de rester à la maison étaient en vigueur, mais a augmenté de façon spectaculaire après la levée des ordonnances, atteignant un sommet de 133 crimes pour 100 000 habitants en juillet, le niveau le plus élevé des trois dernières années. .

    Le Post tente de faire passer cette preuve solide d'un «effet Minneapolis» comme ayant quelque chose à voir avec les négationnistes du coronavirus laissant les Noirs hors de verrouillage. (Que sommes-nous censés faire, garder les quartiers noirs en résidence surveillée pour toujours ?)

    Mais en réalité, c'est le Floyd Frenzy qui a tellement fait monter la violence. Une analyse des tendances de la criminalité dans vingt villes par le criminologue Richard Rosenfeld du Council on Criminal Justice a révélé que le modèle habituel du Memorial Day était le point d'inflexion: le moment de la poussée de meurtre correspond étroitement à celui de Floyd Fury. Rien de bien différent des taux d'homicides en 2020 jusqu'à la fin du Memorial Day:

    Le modèle a estimé une rupture structurelle vers la fin mai 2020, après quoi le taux d'homicides a augmenté de 37 % jusqu'à la fin juin.

    Rosenfeld a rapporté que les voies de fait graves (celles commises avec une arme mortelle ou qui menacent autrement de graves blessures corporelles) ont également augmenté au même moment:

    Le modèle a estimé une rupture structurelle dans la série vers la fin de mai 2020. (Rappelez-vous que le modèle de rupture structurelle ajuste l'estimation pour les effets saisonniers.) Le taux d'agression aggravée a augmenté de 35 % de fin mai à fin juin 2020.

    Rosenfeld était un sceptique éminent de l '«effet Ferguson» - l'augmentation de 22,9 % des meurtres de 2014 à 2016 qui a suivi la montée de Black Lives Matter après la fusillade de la police à Ferguson, dans le Missouri, sur Michael Brown en août 2014 - jusqu'aux données car son existence est devenue écrasante. Rosenfeld écrit maintenant:

    il est instructif de comparer la récente reprise avec l'augmentation qui s'est produite il y a cinq ans au milieu d'une période similaire de protestation généralisée contre la violence policière. Les homicides et les crimes violents non mortels ont augmenté en 2015 et 2016 à la suite des manifestations contre la brutalité policière à Ferguson, MO, Baltimore, Chicago et ailleurs dans le pays.

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  46. Rosenfeld propose deux versions de l'effet Ferguson (et maintenant Minneapolis):

    Le premier relie la violence à la «dé-police», un recul des forces de l'ordre. La seconde renverse essentiellement cette explication et relie la violence à la «dé-légitimation», postulant que les communautés, les communautés de couleur défavorisées en particulier, se sont éloignées encore plus de la police en raison d'un abus de confiance et d'une perte de confiance. En raison de la légitimité réduite de la police, moins de gens ont signalé des crimes à la police ou ont coopéré à des enquêtes, et plus engagés dans la justice de rue pour régler les différends….

    Mais je pense que je peux unir ses deux explications en une seule question fondamentale: qui sont perçus comme les bons et qui sont les méchants - la police ou les criminels ?

    De Ferguson à l'élection de Donald Trump (qui a suivi la fusillade terroriste BLM de juillet 2016 contre quatorze policiers de Dallas), des éléments de premier plan de l'establishment se sont joints à la classe inférieure pour proclamer un récit dans lequel chaque flic est un criminel et tous les pécheurs saints.

    Les médias se sont temporairement calmés à propos du BLM après novembre 2016. Sous l'administration anti-crime Trump, le taux national de meurtres a légèrement baissé. Mais début mai 2020, la presse avait décidé que la mort du rôdeur Ahmaud Arbery serait utile pour faire tomber Trump. Puis, lorsque George Floyd, abuseur de fentanyl, a expiré en garde à vue le jour du Souvenir, la presse a été prête à pousser les jeunes fous dans les rues pour le «compte racial».

    Pour être clair, la plupart des fusillades progressives n'ont pas eu lieu pendant les manifestations pour la plupart pacifiques. Au lieu de cela, les hosannas de louange consacrés aux lowlifes comme Arbery, Floyd, Rayshard Brooks et Jacob Blake ont réécrit le scénario de base de la société civile sur qui sont les bons et qui sont les méchants.

    Peut-être que mon point de vue le plus important est que l’Amérique régresse régulièrement vers la façon de penser d’un garçon de 6 ans. Pire encore, nous supposons de plus en plus que vous pouvez distinguer les bons des méchants par la couleur de leur peau.

    Les progressistes anglo-américains se sont une fois vantés de distinguer la bonté ou la méchanceté des individus en tenant compte de leur comportement en vertu de la primauté du droit. Dans les mots de 1861 du théoricien juridique britannique Henry James Sumner Maine: «… le mouvement des sociétés progressistes a jusqu'à présent été un mouvement du statut au contrat», le «statut» ayant traditionnellement été largement défini par qui étaient vos ancêtres (nobles, roturiers , esclave, intouchable, ou ainsi de suite).

    Mais maintenant, nous revenons vers un sentimentalisme identitaire discret: par exemple, vous êtes maintenant censé être capable de dire d'un coup d'œil que ces escrocs qui résistent à l'arrestation sont vraiment les bons, malgré leur comportement, parce qu'ils sont noirs.

    Il n'est pas surprenant que la police ait réagi aux calomnies de l'establishment pour avoir fait leur travail en ne faisant pas leur travail. La police est intrinsèquement politique (comme son nom l'indique). Les flics font ce que les politiciens les soutiennent. Si les politiciens actuels ne sont pas d'humeur à défendre la police pour avoir appliqué les lois que d'autres politiciens ont adoptées dans le passé, les flics iront chercher un autre beignet.

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  47. À l’inverse, l’élément criminel a répondu à l’énorme manifestation d’inquiétude et de soutien des médias nationaux en se sentant encore plus en droit de faire tout ce qu’ils voulaient, comme organiser des funérailles et des barbecues.

    Vous pourriez penser que les tirs déchaînés de cet été dans les quartiers noirs sont une bonne preuve que la presse devrait être plus prudente en disant aux Noirs qu’ils devraient être furieux. Mais les Noirs sont de plus en plus les vaches sacrées des États-Unis, donc pratiquement personne n’ose souligner les vérités évidentes sur ce qui se passe réellement en 2020.

    Heureusement, l'homicide interracial n'est pas si courant aux États-Unis. Bien qu'il y ait apparemment eu une tendance inquiétante à ce que certains Noirs s'en prennent au racisme aléatoire envers les Blancs cette année, comme le récent coup de poing du vénérable acteur de comédie Rick Moranis alors qu'il marchait dans la rue, en général, les races ont appris à rester à l'écart. les cheveux de l'autre.

    En 2019, parmi les meurtres dans lesquels les auteurs ont été inculpés et la race des victimes enregistrée, dans 84 % des meurtres, le délinquant et la victime appartenaient au même groupe racial, tel que défini largement par le FBI en utilisant seulement trois catégories: les Noirs, les Blancs (y compris 93% des Hispaniques) et autres (Asiatiques, Indiens d'Amérique, Insulaires du Pacifique, etc.).

    De ces 16 % de tous les meurtres qui étaient interraciaux, les noirs étaient les délinquants dans 62 % selon les mesures du FBI.

    C’est un pourcentage élevé pour un groupe à peine plus d’un huitième de la population. Mais là encore, les Noirs représentaient également 49 % des auteurs de meurtres intraraciaux. Le principal problème de la criminalité américaine est moins que les noirs tuent beaucoup de non-noirs en particulier que les noirs tuent beaucoup d'êtres humains en général.

    Mais alors que les victimes de meurtre, pour la plupart noires, paient le prix le plus élevé pour le taux élevé de meurtre noir, et que les spectateurs noirs paient des prix substantiels pour avoir à vivre autour de l'homicide, nous payons tous des coûts indirects: comme avoir de «mauvais» quartiers et coûteux » «bons» quartiers, un système de justice pénale coûteux, des orgies périodiques de culpabilité blanche, des émeutes, la pourriture morale causée par la nécessité de ne pas dire la vérité sur les meurtres de noirs, etc.

    De toute évidence, la meilleure solution serait que les Noirs se comportent mieux, mais même Donald Trump n'ose pas appeler à cette solution gagnant-gagnant. (Dans ses meilleurs moments, Barack Obama parlait parfois vaguement dans cette direction générale, mais dans la crise de 2014-2016, il ne pouvait s'empêcher d'attiser imprudemment la rage noire qui a fait abattre tant de policiers à Dallas.)

    Il reste extrêmement imprudent pour les élites américaines de faire la morale aux Noirs sur la façon dont ils devraient être encore plus en colère qu'ils ne le sont déjà. En 2019, les Noirs étaient 8,2 fois plus susceptibles par habitant d'être des délinquants pour meurtre que les non-noirs (ce qui, remarquablement, est encore pire que l'écart de meurtre entre hommes et femmes de 7,6 fois).

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  48. Avec toute l'incitation médiatique à la rage raciale toujours en cours, Dieu seul sait quel sera ce ratio cette année.

    Et qu'en est-il de l'avenir ? En déchaînant le crime, les idéologies libérales comparables des années 1960 ont causé des dommages à nos villes qui ont mis des générations à se réparer. Est-ce trop demander que nous ayons une discussion publique honnête sur ce que l'establishment inflige à l'Amérique urbaine ?

    https://www.takimag.com/article/slaughter-in-the-cities/

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    1. Steve Sailer est au pauvre crétin qui ne tient compte de la motivation des meurtres !
      La police n'interroge t-elle pas les criminels arrêtés ?

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  49. Une autre féministe libérale blanche stupide se ridiculise


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    15 octobre 2020


    Mary Bucholtz est professeur et présidente du département Linguistis de l'Université de Californie à Santa Barbara. Elle a déclaré que tous les Américains blancs, y compris elle-même, étaient racistes. En effet, elle affirme que l'Amérique souffre d'une pandémie de suprématie blanche.

    Voyons maintenant, si les Américains blancs sont des racistes suprémacistes blancs, pourquoi ont-ils laissé leur pays blanc se remplir de personnes de couleur et réduire le pourcentage de blancs de la population de près de 100 % à 60 % et en baisse ?

    Les racistes blancs voteraient-ils dans une loi sur l'immigration qui empêche essentiellement les Blancs d'entrer et remplit le pays de Noirs ?

    Les suprémacistes blancs imposeraient-ils une action positive contre les Blancs afin d'élever les Noirs ?

    Les racistes suprémacistes blancs éliraient-ils un président noir ?

    Apparemment, ces questions sont trop profondes pour la faculté et l'administration de l'Université de Californie.

    Vous pouvez lire l’argumentation de Mary Bucholtz, handicapée par le QI, ici: (voir post ci-dessous).

    https://www.strategic-culture.org/news/2020/10/09/i-am-white-therefore-racist-declares-liberal-professor-in-latest-proof-us-academics-fueling-racial-tensions/

    https://www.lewrockwell.com/%3Fpending-article%3Danother-dumb-white-liberal-feminist-makes-a-fool-of-herself

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  50. Je suis blanc, donc un raciste déclare un professeur libéral, dans la dernière preuve que les universitaires américains alimentent les tensions raciales


    Pont Robert
    9 octobre 2020


    Dans le dernier signe que l'esprit du milieu universitaire américain a été détourné par la gauche, une professeure de l'Université de Californie-Santa Barbara s'est décrite comme «une Américaine blanche» qui est donc «par définition raciste».

    Dans une conférence webinaire intitulée «Undoing White Supremacy in the Language Disciplines», Mary Bucholtz, professeure et directrice du département de linguistique de l'Université de Californie à Santa Barbara, a annoncé à la population majoritairement blanche américaine que la suprématie blanche «est un système que les Blancs ont construit pour opprimer tout le monde. »

    «En tant qu'Américain blanc, je suis par définition raciste», dit Bucholtz à l'ouverture de son discours, comme l'a rapporté Campus Reform. «Ne laissez personne vous dire le contraire. Je sais qu'il y a ce genre de rhétorique des Blancs aux États-Unis rejetant l'étiquette de racisme, mais je pense que nous devons le reconnaître et faire mieux.

    Fidèle à l'esprit contagieux de l'époque, la professeure a ensuite qualifié la «suprématie blanche» aux États-Unis de «pandémie ou… de maladie», mais quelques minutes plus tard dans la discussion, elle s'est contredite, affirmant que «la suprématie blanche n'est pas une maladie, c'est un choix… un système que les Blancs ont construit pour opprimer tout le monde.

    Comme il va de soi lorsqu'on discute du fléau du «racisme systémique» qui est censé étrangler la vie hors de l'Amérique, peu de preuves sont nécessaires pour étayer cette affirmation. Lorsque Bucholtz parle de la suprématie blanche aux États-Unis comme d'une «pandémie», elle dit qu'elle «ne parle pas métaphoriquement», mais où en est exactement la preuve ? Bucholtz souligne «des problèmes de vie ou de mort, comme Covid-19 et les actes effroyables et continus de violence policière et de meurtre» pour étayer cette affirmation très sérieuse.

    En ce qui concerne l'épidémie de coronavirus à travers les États-Unis, il est très difficile d'examiner les statistiques de décès et d'établir le lien avec le fait que le coronavirus est en quelque sorte une construction de la suprématie blanche. Dans tous les États, à l'exception du Mississippi, la population blanche a été touchée de manière disproportionnée par le virus. En Californie, par exemple, sur 14 615 décès, 29 % ont été attribués aux Blancs, 8 % à la communauté noire et 47 % aux Latino-américains; à New York, sur 28 669 décès, les chiffres étaient respectivement de 31, 22 et 24.

    En ce qui concerne la mention de «violence policière et meurtre», c'est sans aucun doute une source de préoccupation majeure pour la communauté noire, comme en témoigne le récent meurtre de George Floyd dans les rues de Minneapolis par un flic blanc. Pourtant, tout comme Covid, la population blanche souffre également de décès et de blessures dus à l'utilisation excessive de la force de police. En septembre de cette année, sur 721 tirs mortels de civils par la police, 287 appartenaient à la communauté blanche, tandis que 142 étaient représentatifs des Noirs. Même si l'on considère la différence par habitant entre les populations noires et blanches, il semblerait que le nombre total de fusillades policières suggère que quelque chose de plus que le «racisme systémique» est en jeu. Pourquoi ces professeurs libéraux ne discutent-ils jamais de la possibilité que la violence policière soit symptomatique d'une mauvaise formation et de forces surmenées ?

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  51. En attendant, s'il était effectivement vrai que l'Amérique était un foyer de xénophobes violents et racistes, comme Black Lives Matter voudrait nous le faire croire, on s'attendrait à voir des preuves de ce comportement dans les rues ainsi que dans les statistiques. Mais ce n’est pas là. En fait, la violence entre Noirs et Noirs est la véritable menace existentielle pour les Noirs américains. Selon les dernières statistiques du FBI sur le sujet, 90,1 % des victimes noires d’homicide ont été tuées par d’autres Noirs (d’ailleurs, 83,5 % des Blancs ont été tués par d’autres Blancs).

    Ces dernières remarques non fondées d'un membre du milieu universitaire montrent que le campus universitaire, imprégné de radicalisme de justice sociale, est devenu la serre d'idées sauvages et extrémistes, qui ne correspondent pas à un lieu appelé réalité, mais plutôt animé - un peu comme les licornes , elfes, Sasquatch et autres chimères similaires - dans l'imagination fertile des professeurs libéraux.

    En conclusion, la caractérisation profondément imparfaite de la société américaine par le professeur Bucholtz est une tendance extrêmement dangereuse qui a infiltré tous les niveaux du monde universitaire à un tel point que même la déclaration sans équivoque «2 + 2 = 4» «empeste le patriarcat suprémaciste blanc», pour citer Brooklyn Professeur de mathématiques au collège, Laurie Rubel.

    Dans le même temps, même les gardiens de la grammaire anglaise appropriée ou les compositeurs de musique classique n’ont pas été épargnés par l’insigne jaune de «suprématie blanche». Bien que peu de gens suggèrent que les Blancs n'ont pas commis de crimes graves contre l'humanité à des périodes particulières de son histoire, cela signifie-t-il que toutes ses contributions culturelles et sociales devraient être jetées à la poubelle? Non seulement cela écarterait tous les progrès considérables que les Blancs, avec les Noirs, ont accomplis sur le front de la liberté civile, mais cela néglige aussi impardonnablement le simple fait que les États-Unis - pour le meilleur ou pour le pire, le temps le dira - est l'un les nations les plus multiculturelles du monde. Ce que des professeurs ultra-libéraux comme Mary Bucholtz ne parviennent pas à expliquer, c'est comment l'Amérique aurait pu devenir si intensément diversifiée si elle n'était habitée que par des xénophobes suprémacistes blancs qui traînent les doigts, haïssent la race.

    Je suggérerais que les milliers de professeurs libéraux qui sont maintenant au service de l'affirmation à moitié cuite que l'Amérique est un chaudron de racisme prennent un congé sabbatique bien nécessaire de leurs tours de lierre déconnectées pour vérifier la réalité. Leurs idées infondées, qui poussent les relations raciales au point de rupture, sont devenues la véritable maladie de la société américaine.

    https://www.strategic-culture.org/news/2020/10/09/i-am-white-therefore-racist-declares-liberal-professor-in-latest-proof-us-academics-fueling-racial-tensions/

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    1. Bizarre qu'aucune des personnes qui publie des articles n'ait eut l'indiscrétion de demander au personnes bronzées de montrer leurs intérieurs de mains ! Ils sont blancs ! Cà alors !! Mais comment ce fait-se ??!
      Because qu'à l'origine tous les humains étaient de couleur blanche et, que des personnes aient immigrées vers des pays ensoleillés où (à poil) leur peau s'est bronzée ! Sauf, sauf à l'intérieur des mains ! Cà alors !

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  52. BidenGate se brise: Facebook et Twitter censurent la Maison Blanche comme «dangereuse», mais FBI AWOL


    October 15th, 2020


    Difficile de dire ce qui est plus gros dans la surprise d'octobre. Joe Biden se fait prendre en train de mentir dans un prétendu scandale pay-for-play, Facebook et Twitter font une censure politique nue pour influencer les élections américaines dans une «guerre civile numérique», ou que le FBI a reçu toutes les informations l'année dernière et ne l'a pas fait dis une chose.

    Tout ce que les démocrates accusaient Trump de faire, ils le faisaient apparemment eux-mêmes.

    Le comité judiciaire de la Chambre des États-Unis publie l'intégralité du courrier électronique ukrainien secret de Hunter Biden
    Nouvelles de Michael Smith:

    Hunter Biden a présenté son père, alors vice-président Joe Biden, à un haut dirigeant d'une entreprise énergétique ukrainienne moins d'un an avant que l'ancien Biden ne fasse pression sur les fonctionnaires du gouvernement ukrainien pour qu'ils licencient un procureur qui enquêtait sur la société, selon des courriels obtenus par La poste.

    Joe Biden dit qu'il «n'a jamais parlé à mon fils de ses relations commerciales à l'étranger».

    Donald Trump dans le NY Post: Vice-président Biden, vous devez des excuses au peuple américain parce qu'il s'avère que vous êtes un politicien corrompu »…« La famille Biden a traité la vice-présidence comme une société à but lucratif, volant dans le monde entier, collectant des millions de dollars en Chine, en Ukraine, en Russie et dans d’autres pays. »

    Trump a déclaré que le reportage indiquait cependant que «Joe Biden a menti de manière flagrante sur son implication dans les relations commerciales corrompues de son fils.» "Ces e-mails montrent que l'affirmation répétée de Biden selon laquelle il n'a jamais parlé à Hunter de ses relations commerciales était un mensonge complet", a déclaré Trump. «Il essaie de dissimuler un énorme scandale de rémunération pour jouer au cœur de sa vice-présidence.»

    "Hunter était payé pour avoir accès à son père vice-président, qui a été spécifiquement chargé de l'Ukraine et de la Russie", a déclaré Trump. «C’est une famille corrompue. Joe Biden incarne les mondialistes égoïstes et corrompus qui sont devenus riches et puissants à vos dépens. "

    Radioactif ? Facebook ne laissera même pas le NY Post, un grand journal américain, partager son propre article

    Facebook a sauté si vite qu'ils ont arrêté sa propagation avant que leurs propres «fact-checkers» ne trouvent même une raison:

    Facebook a réduit la diffusion d'un article du New York Post contenant des informations explosives indiquant que - contrairement à ses démentis précédents - Joe Biden aurait rencontré un conseiller du conseil d'administration de Burisma alors qu'il était vice-président, organisé par son fils Hunter, qui était puis travaillant comme lobbyiste pour l'entreprise. Twitter a emboîté le pas peu de temps après, qualifiant les liens vers l'histoire de «dangereux».

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  53. Les e-mails ont été trouvés sur un ordinateur déposé pour réparation il y a 18 mois. Le service n'a jamais été payé ou l'ordinateur portable récupéré. L'atelier de réparation ne pouvait pas dire qui a déposé le portable, mais il avait un autocollant de la Fondation Beau Biden, et après tout, le contenu comprend des e-mails de et vers Hunter et même des films qui semblent le montrer dans une intime très compromettante. " action. Le propriétaire a alerté le FBI qui l'a saisi en décembre dernier, mais n'a apparemment rien fait d'autre. L'atelier de réparation a conservé une copie du disque dur et l'a donnée à Rudy Giuliani. Apparemment, il y a beaucoup plus à venir.

    L'ABC dit que l'authenticité est contestée mais n'a aucune information d'autres ad homs contre Steve Bannon ou Guiliani. Jusqu'à présent, le camp de Biden n'a pas contesté le fait que les courriels étaient réels, ni le FBI. La campagne de Biden fait référence à une récente enquête du Sénat dirigée par les républicains qui n'a trouvé «aucune preuve d'actes répréhensibles de la part de M. Biden à l'égard de l'Ukraine». Bien que de toute évidence, cette enquête ne contenait pas ces e-mails.

    Joe Biden, poste de New York, e-mails, greffe, corruption, titres, censure.
    Des choses «dangereuses» à voir trois semaines avant les élections américaines.
    Les médias Legacy pensent que cette censure est si louable qu'ils l'utilisent comme preuve que les e-mails de BidenGate n'ont aucun sens. Voici MSNBC "lutte pour la liberté d'expression":

    Et maintenant, nous avons l'article du mercredi, qui est si mince que Twitter a empêché les gens d'y accéder ou de le partager. Même Facebook, peu connu pour ses actions rapides, ralentit la diffusion de l’histoire sur sa plate-forme.

    «Pas connu pour une action rapide» en effet. Facebook était heureux de permettre aux gens de promouvoir toute allégation sans fondement au sujet de Donald Trump. C’est censé être une plate-forme, pas un éditeur.

    Les acteurs: La société gazière ukrainienne est «Bursima». Vadym Pozharskyi est conseiller au conseil d'administration de Burisma. Il a approché Hunter Biden (le fils de Joe) en 2014 "demandant à Hunter" des conseils sur la façon dont vous pourriez utiliser votre influence ". Hunter a obtenu un emploi chez Bursima pour 50 000 $ par mois, voire plus.

    Les nouveaux e-mails sont très riches et montrent que Pojarski remercie Hunter de l'avoir invité à DC «lui donnant l'occasion de rencontrer votre père et de passer [sic] du temps ensemble».

    Moins de huit mois après que Pozharskyi ait remercié Hunter Biden pour la présentation de son père, le vice-président de l'époque [Biden] a certes fait pression sur le président ukrainien Petro Porochenko et le Premier ministre Arseniy Yatsenyuk pour qu'ils se débarrassent du procureur général Viktor Shokin en menaçant de retenir un milliard de dollars Garantie de prêt américaine lors d'un voyage en décembre 2015 à Kiev.

    «Je les ai regardés et je leur ai dit: je pars dans six heures. Si le procureur n’est pas licencié, vous n’obtenez pas l’argent », s’est vanté tristement Biden devant le Council on Foreign Relations en 2018.« Eh bien, fils de pute. Il s'est fait virer."

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  54. Facebook n'est qu'un bras des démocrates:
    Sohrab Amhari, NY Post: Si le problème est «peu fiable», pourquoi les médias sociaux n’ont-ils jamais bloqué les histoires anti-Trump ?

    «Andy Stone, membre du p.r. de Facebook », a déclaré:« Nous réduisons la distribution [de l'article] sur notre plate-forme. » Avant de rejoindre le géant des médias sociaux, Stone a travaillé pour la sénatrice démocrate Barbara Boxer et le comité de campagne du Congrès démocrate, mais il a insisté sur le fait que l'action de Facebook faisait «partie de notre processus standard pour réduire la propagation de la désinformation». Droite."

    Twitter décrit les allégations contre Biden comme «dangereuses». (Peut-être dangereux pour Twitter?)

    Twitter verrouille l'attachée de presse de WhiteHouse, Kayleigh McEnany, pour avoir partagé l'histoire. Même le bureau du leader du monde libre n'a pas de liberté d'expression.

    Twitter et Facebook n’ont pas seulement un intérêt direct à faire élire le Big Gov corrompu, c’est pratiquement leur modèle commercial. La dernière chose que veulent les géants de la technologie, c'est «Drain The Swamp Trump» pour être réélu:

    D'Air Force One avant le rassemblement, Trump a tweeté qu'il voulait abroger la protection des entreprises en vertu de l'article 230 de la loi sur la décence des communications, pour avoir fonctionné en tant qu'éditeurs plutôt qu'en tant qu'hôtes neutres de contenu tiers.

    Trump menace leur racket de protection du grand gouvernement, et une affaire antitrust pourrait les briser.

    Big Tech et Big Media censurent les scientifiques sceptiques depuis des années. Maintenant, ils censurent les principaux médias et même The Whitehouse. Tant qu'ils le font, partager les nouvelles censurées n'est qu'une annonce de service public.

    Qu'est-ce que la science sans la liberté d'expression….

    Et où était le FBI ?

    h/t David E, BruceC, Another Ian, Orson, Ian Hilliar and HelenD.

    http://joannenova.com.au/2020/10/bidengate-facebook-twitter-censor-the-whitehouse-as-unsafe-but-fbi-awol/

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  55. La stupidité des classements ESG des investissements


    le 15 octobre 2020


    Il existe deux unités de la firme japonaise Toray en France, l’une à Lacq et l’autre à Saint-Maurice de Beynost dans l’Ain. Ces unités assurent une petite partie très spécialisée de la production de Toray. Pour comprendre le titre de ce billet il est nécessaire de situer la firme japonaise Toray. C’est le premier producteur mondial de fibres de carbone et le premier producteur de fibres textiles du Japon. Outre ces productions Toray est également le premier producteur de membranes pour osmose inverse, une technique utilisées dans de nombreux process chimiques et aussi, ce qui est plus connu du grand public, par les usines de dessalage de l’eau de mer. L’un des autres centres d’intérêt de cette firme est la mise au point et la production encore anecdotique de membranes spéciales pour les condensateurs électriques de forte puissance ainsi que d’autres équipements inclus dans les installations électriques permettant de transformer du courant continu en courant alternatif, ce que l’on appelle des onduleurs. Dans ce cas il s’agit d’onduleurs de puissance dont l’usage est prometteur en raison du développement des énergies renouvelables. Enfin Toray est impliqué dans la santé et la pharmacie par l’intermédiaire de plusieurs filiales.

    L’une des usines situées en France intéresse les investisseurs car les productions sont innovantes et susceptibles de se développer à l’avenir. Or l’unité située dans le département de l’Ain produit des matériaux composites incluant des fibres de carbone et également d’autres produits spéciaux. Bien que le marché des matériaux composites soit très large, depuis l’aéronautique jusqu’à des pièces banales pour véhicules électriques certains clients de cette unité de production sont également impliqués dans l’industrie de l’armement et c’est là que le bât blesse. Les commissions d’examen des investissements de fonds financiers ont décrété que pour cette unité de production ces investissements n’étaient pas susceptibles d’être pris en considération car ils ne satisfaisaient pas aux critères ESG, critères dont j’ai mentionné l’existence dans deux billets sur ce blog il y a quelques semaines. La direction générale de Toray a naturellement trouvé cette décision inappropriée (pour ne pas dire stupide) et a déploré que des investisseurs européens ne puissent pas investir dans ses unités françaises mais également européennes.

    En effet, les matériaux composites, créneau dans lequel Toray est le leader mondial, sont utilisés par exemple largement dans l’industrie automobile. Sans vouloir paraître un oiseau de mauvaise augure il se pourrait que toute la production de matériaux composites destinée à cette industrie ne réponde plus aux critères ESG puisque les écolo-gauchistes veulent que ces véhicules disparaissent le plus vite possible … Sans investissements et sans innovation une entreprise est condamnée à disparaître. C’est peut-être le but de ces critères ESG, une élucubration de malades mentaux totalement déconnectés de la réalité du monde industriel, qui ne consiste qu’à accélérer les fermetures d’entreprises à la pointe de la technologie avec des chômeurs en plus et la paupérisation de régions entières. Et naturellement le gouvernement français, infesté de l’intérieur par ces mêmes écolo-gauchistes ne réagira pas puisqu’il a besoin de leur soutien pour de basses raisons électoralistes. Pour l’anecdote il est risible de mentionner que les équipements vestimentaires de protection de la police ressemblant à des écailles de pangolin sont fabriqués avec des matériaux composites contenant des fibres de carbone … Affaire à suivre.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/15/la-stupidite-des-classements-esg-des-investissements/

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  56. Le risque d'exposition au COVID-19 sur les avions est 'pratiquement inexistant' lorsqu'ils sont masqués, selon une étude
    Il a été mené par le ministère de la Défense et United Airlines.


    Par Gio Benitez et Sam Sweeney
    15 octobre 2020, 14:06


    Une expérience montre les risques de voyager en avion masqué

    Une étude historique du ministère de la Défense et de United Airlines a mené 300 tests en plus de six mois avec des mannequins en vol pour examiner la propagation possible de gouttelettes.

    United Airlines affirme que le risque d'exposition au COVID-19 à bord de son avion est "pratiquement inexistant" après qu'une nouvelle étude a révélé que lorsque des masques sont portés, il n'y a que 0,003% de chances que les particules d'un passager puissent pénétrer dans l'espace respiratoire du passager assis À côté d'eux.

    L'étude, menée par le ministère de la Défense en partenariat avec United Airlines, a été publiée jeudi. Ils ont effectué 300 tests en un peu plus de six mois avec un mannequin dans un avion United.

    - voir photo de l'entreposage des passagers en avion -

    PHOTO: Le département américain de la Défense a publié mercredi une étude sur le flux d'air dans la cabine selon laquelle lorsqu'un passager est assis et porte un masque, seulement 0,001% des particules d'air infectées pourraient pénétrer dans sa zone de respiration.

    Le département américain de la Défense a publié mercredi une étude sur la circulation de l'air dans la cabine selon laquelle lorsqu'un passager est assis et porte un masque, seulement 0,001% des particules d'air infectées peuvent pénétrer dans sa zone de respiration.

    Le mannequin était équipé d'un générateur d'aérosol qui permettait aux techniciens de reproduire la respiration et la toux. Chaque test a libéré 180 millions de particules - équivalent au nombre de particules qui seraient produites par des milliers de toux. Ils ont étudié la façon dont les particules du mannequin se déplaçaient à l'intérieur de la cabine avec un masque allumé et éteint.

    Les tests supposaient que le vol était complètement complet avec des techniciens plaçant des capteurs dans les sièges, les cuisines et le pont à réaction pour représenter les autres passagers de l'avion.

    "99,99 % de ces particules ont quitté l'intérieur de l'avion dans les six minutes", a déclaré Josh Earnest, directeur de la communication chez United Airlines, à ABC News. "Cela indique qu'être à bord d'un avion est l'espace public intérieur le plus sûr, en raison de la configuration unique à l'intérieur d'un avion qui comprend une ventilation agressive, beaucoup de circulation d'air."

    Fin septembre, les PDG des grandes compagnies aériennes américaines ont déclaré que leurs employés signalaient des taux d'infection COVID-19 inférieurs à ceux du grand public.

    "Chez United, mais aussi chez nos grands concurrents, nos agents de bord ont des taux d'infection COVID inférieurs à ceux de la population générale, ce qui est l'un des multiples points de données qui témoignent de la sécurité à bord des avions", a déclaré le PDG de United Airlines, Scott Kirby, lors d'un Politico un événement.

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  57. La semaine dernière, l'Association du transport aérien international (IATA) a publié de nouvelles recherches, affirmant que le risque de contracter le virus dans un avion semble être "dans la même catégorie que d'être frappé par la foudre".

    - voir photo de l'entreposage des passagers en avion -

    PHOTO: Le département américain de la Défense a publié mercredi une étude sur le flux d'air dans la cabine selon laquelle lorsqu'un passager est assis et porte un masque, seulement 0,001% des particules d'air infectées pourraient pénétrer dans sa zone de respiration.

    Le département américain de la Défense a publié mercredi une étude sur la circulation de l'air dans la cabine selon laquelle lorsqu'un passager est assis et porte un masque, seulement 0,001% des particules d'air infectées peuvent pénétrer dans sa zone de respiration.

    Parmi 1,2 milliard de voyageurs, l'IATA n'a trouvé que 44 cas publiés de transmission potentielle en vol. La plupart de ces 44 cas sont survenus dans les premiers jours de la pandémie lorsque les masques n'étaient pas nécessaires.

    Le transport aérien est toujours en baisse d'environ 70% par rapport à l'année dernière, mais il y a eu une hausse depuis le printemps. Plus tôt cette semaine, la Transportation Security Administration (TSA) a contrôlé près d'un million de personnes dans les aéroports américains - le nombre le plus élevé de l'agence depuis la mi-mars.

    "Nous assistons à une reprise, mais nous avons un long chemin à parcourir", a déclaré Earnest. «Et même avec toutes ces informations prometteuses sur la sécurité du transport aérien et certains des progrès que nous réalisons en termes de mise en œuvre d'un régime de test, nous reconnaissons que nous ne serons pas loin de revenir à la normale tant que nous avoir un vaccin largement distribué et administré. "

    https://abcnews.go.com/Politics/risk-covid-19-exposure-planes-virtually-nonexistent-masked/story?id=73616599&cid=clicksource_4380645_7_three_posts_card_hed

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    1. Les passagers sont enfermés dans des cases de parcage aux cloisons aveugles d'1,50 m de haut ! Personne ne peut parler à son voisin !

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  58. HAHAHAHAHA ! La 'International Pédésstory'

    À 8h30 ce matin, heure du Québec et 14h30 heure de Rome, le pape François va signer le PACTE MONDIAL DE L'ÉDUCATION (mise en place de la nouvelle religion mondiale)


    jeudi 15 octobre 2020


    «Essayons ensemble de trouver des solutions, d'initier des processus de transformation sans peur et d'envisager l'avenir avec espoir. J'invite chacun à être un protagoniste de cette alliance, en prenant un engagement personnel et communautaire pour cultiver ensemble le rêve d'un humanisme solidaire, répondant aux attentes de l'homme et au dessein de Dieu» (Message du pape pour le lancement du Pacte éducatif).

    https://www.youtube.com/watch?v=KlCcbsQxoHw&feature=share

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/10/a-8h30-ce-matin-heure-du-quebec-et.html

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  59. Castex précise quels déplacements seront autorisés pendant le couvre-feu


    15:07 15.10.2020
    Par Anna Dedkova


    Déplacements professionnels, voyages, visites chez des proches en situation de dépendance et promenades avec un animal de compagnie seront autorisés pendant le couvre-feu de 21h à 6h, a annoncé le Premier ministre Jean Castex lors d'une conférence de presse.

    Accompagné des ministres de la Santé, de l’Intérieur, de l’Économie et du Travail, le Premier ministre a détaillé lors d’une conférence de presse les annonces faites hier par Emmanuel Macron sur le couvre-feu et les autres mesures sanitaires.

    Jean Castex a notamment donné des précisions sur les modalités des couvre-feux.

    «À partir de 21h, chacun devra être chez soi et, sauf exception, tous les commerces ou services publics recevant du public devront être fermés. Certains déplacements seront autorisés, comme lors du confinement», a-t-il déclaré.
    Certains déplacements seront toutefois autorisés:

    sortir pour des raisons de santé (se rendre chez le médecin, à l'hôpital, à la pharmacie de garde)
    promener un animal de compagnie
    aller ou revenir du travail
    voir un proche en situation de dépendance
    prendre un train qui part à 21h ou sortir d’un train qui arrive après 21h
    La deuxième vague

    Faisant écho aux propos du Président de la République, le Premier ministre a évoqué le ralentissement de la propagation du virus lors de la première moitié de septembre. Depuis, il y a «une accélération soudaine et spectaculaire», admet-il. «La deuxième vague de l’épidémie est arrivée.»

    Le dispositif policier déployé lors du couvre-feu

    «12.000 policiers et gendarmes seront, chaque nuit entre 21 heures et 6 heures, spécialement chargés de faire vérifier effectivement les interdictions évoquées», a déclaré à son tour le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
    L’attestation pourra être écrite «sur un papier libre, notamment pour les personnes les plus âgées ou les gens qui n’ont pas d’imprimante ou de photocopieuse à disposition immédiatement».

    De nouvelles mesures ont été également annoncées pour les zones où le couvre-feu ne s'applique pas.

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