Des milices et des morts, la Côte d’Ivoire au bord du gouffre
13:31 22.10.2020 Par Roland Klohi
La tension est particulièrement vive en Côte d’Ivoire, à moins de dix jours d’une élection présidentielle dont l’opposition demande instamment le report. Dans plusieurs villes du pays, des heurts ont occasionné des morts et de nombreux blessés. Une situation qui fait craindre un conflit meurtrier similaire à celui de 2011, voire une guerre civile.
Avec les mots d’ordre de désobéissance civile et de boycott de la campagne électorale lancés par l’opposition, la Côte d’Ivoire est plus que jamais en ébullition. Le pays semble basculer chaque jour un peu plus vers un nouveau conflit armé, de l’ampleur de la crise postélectorale de 2010-2011 qui avait, selon des chiffres officiels, occasionné plus de 3.000 morts. En cause, la candidature controversée du Président sortant, Alassane Ouattara, pour un troisième mandat, et la «partialité» des institutions chargées de superviser et de valider le vote.
Côte d’Ivoire: Le scrutin de 2020 porte les «germes de la guerre», un report «s’impose»
Tant l’opposition que des organisations de la société civile sont unanimes sur la nécessité d’un report de la présidentielle, prévue le 31 octobre, et la tenue d’un dialogue avec le pouvoir –impérativement sous la supervision d’une médiation internationale– afin de garantir un scrutin «crédible, transparent et inclusif».
Pour Samba David, coordonnateur de la Coalition des indignés de Côte d'Ivoire (CICI, société civile) interrogé par Sputnik, «il est souhaitable qu’il y ait un dialogue pré-électoral afin d’éviter d’en arriver à un dialogue post-crise électorale». «Des deux, le premier est de loin le plus facile à mener quand on sait d’avance que le second, qui interviendrait au chevet de nombreux morts, impliquerait beaucoup de rancœurs», a-t-il expliqué.
Des violences meurtrières en cours
Pour espérer obtenir gain de cause à leurs revendications, les partis d’opposition ont notamment appelé leurs militants à «manifester par tous les moyens légaux». Cependant, depuis le 16 octobre, dans plusieurs villes du pays, ces protestations ont dégénéré en de violents affrontements qui ont parfois pris une tournure intercommunautaire. À ce jour, le bilan officiel reste encore à établir mais des sources concordantes de la société civile dénombrent déjà une dizaine de morts et près d’une centaine de blessés.
L’opposition attribue cette escalade de violence à des «miliciens du régime Ouattara convoyés de manière méthodique et organisée dans des localités ciblées pour semer la mort et la désolation avec la complicité passive des forces de défense et de sécurité», d’après Affi N’Guessan, un des leaders de l’opposition.
La connivence entre civils armés et éléments des forces de l’ordre a déjà été relevée par des ONG internationales comme Amnesty International et Crisis Group qui, dans un rapport publié fin septembre, a dénoncé «l’utilisation particulièrement inquiétante de supplétifs par certains segments de l’appareil de sécurité».
«Ces jeunes hommes armés ont été recrutés parmi la petite délinquance abidjanaise pour effrayer ou attaquer, y compris à l’arme blanche, des manifestants de l’opposition», avait précisé Crisis Group dans son rapport.
Samba David, qui a lui-même été victime en septembre d’une agression à l’arme blanche [il a été poignardé à son bureau par des hommes non identifiés, ndlr], raconte: «J'ai été personnellement à Bonoua [ville située à 60 km à l’est d’Abidjan, où un manifestant a été tué par balles le 19 octobre, ndlr] et Dabou [ville à 50 km à l’ouest d’Abidjan, qui a enregistré ces derniers jours au moins sept morts et où un couvre-feu est instauré du 21 au 25 octobre, ndlr]. Le constat est flagrant: il s’agit de groupuscules armés –que nous qualifions de milices à la solde d'Alassane Ouattara, parfois appuyées par les forces de l’ordre– convoyés depuis Abidjan vers des villes de l’intérieur, pour essayer d’intimider les populations, voire semer le chaos. Nous enregistrons actuellement plus d’une dizaine de morts, c’est une situation inacceptable.»
Dans un communiqué du 21 octobre, le gouvernement ivoirien a indiqué qu’à la suite «d’allégations de la présence de forces parallèles sur les lieux des manifestations, des investigations sont en cours en vue de rechercher et interpeller ceux qui commettent personnellement ces actes ainsi que ceux qui incitent à les commettre pour leur faire subir la rigueur des lois pénales».
Les «microbes» sont des bandes de jeunes ultraviolents qui terrorisent certains quartiers d’Abidjan et que l’opposition présente comme étant instrumentalisés par le pouvoir.
Une guerre civile est-elle possible ?
Pour Samba David, on ne peut pas, en dépit des tensions actuelles, «considérer que le spectre de la guerre civile plane sur la Côte d’Ivoire».
«Il ne peut pas y avoir de guerre civile dans ce pays parce que les conditions ne sont pas réunies, le brassage socioculturel ne le permet pas. C'est plutôt le pouvoir en place qui tente de faire croire que cette éventualité pointe à l’horizon pour briser la contestation contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara», a déclaré ce leader de la société civile.
Comme en témoignent de nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux, les acteurs des affrontements de ces derniers jours étaient équipés le plus souvent de gourdins et d’armes blanches (machettes et couteaux).
Mais lors d’un entretien accordé en mai dernier à Sputnik, Victorien N’Tayé, secrétaire général de la section ivoirienne du Réseau d'action sur les armes légères en Afrique de l'Ouest (Rasalao-CI), évoquant le risque d'un conflit armé en Côte d'Ivoire en 2020, avait souligné la «menace sérieuse» qui pesait sur le pays, à savoir les milliers d’armes légères et de petit calibre (ALPC) en circulation mais que «personne n’est véritablement en mesure de quantifier».
La prolifération de ces ALPC, avait-il expliqué, résulte en grande partie de la crise militaro-politique des années 2000 au cours de laquelle presque toutes les localités du pays ont connu une circulation d’armes.
«Vu la prolifération et la circulation des armes, la fin justifiant les moyens, les uns et les autres peuvent à tout moment s’en servir pour en découdre», avait prévenu Victorien N’Tayé.
Le 14 septembre dernier, le Conseil constitutionnel a rejeté 40 dossiers de candidature pour la présidentielle du 31 octobre (dont ceux de l’ancien chef d’État Laurent Gbagbo et de l’ex-Premier ministre Guillaume Soro) pour ne retenir que quatre candidats –dont le Président sortant Alassane Ouattara qui brigue un troisième mandat controversé.
Depuis, la situation sociopolitique, déjà délétère en Côte d’Ivoire, s’est considérablement dégradée.
En effet, préalablement à tout scrutin, les leaders de l’opposition exigent le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara qu’ils jugent «anticonstitutionnelle», la dissolution du Conseil constitutionnel pour le remplacer par une «juridiction véritablement impartiale», la dissolution de la Commission électorale indépendante (CEI, la structure chargée d’organiser les élections) «inféodée au parti au pouvoir», l’audit international des listes électorales, la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, et le retour sécurisé de tous les exilés.
Laurent Gbagbo, président de la République du 26 octobre 2000, a été victime d'une éviction 'internationale' par la mafia et incarcéré auprès de la Cour pénale internationale à La Haye (Pays-Bas), il est acquitté par les juges de première instance en janvier 2019 ; dans l’attente d'un éventuel second procès, il vit en Belgique et ne peut se rendre dans un autre pays qu'avec l'accord de celui-ci !
Dans ce pays en or qu'est la Côte d'Ivoire vivent plus de 50 % d'immigrés ! et, c'est l'un d'eux qui a pris le pouvoir par les armes et est 'président' non élu qui assume le pouvoir depuis !
Pourquoi cet écartement du président légitime Laurent Gbagbo ? Parce qu'il était l'ami du président libyen Mouammar Kadhafi qui a donné à l'Afrique les moyens d'avoir SON satellite de télécommunications sans passer obligatoirement par un satellite étranger qui ruinait le pays ! Le 25 septembre 2020, la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples récuse l’exclusion de Laurent Gbagbo de l’élection présidentielle ivoirienne de 2020. Elle ordonne également à l'État ivoirien de « prendre toutes mesures nécessaires en vue de lever immédiatement tous les obstacles » qui empêchent Laurent Gbagbo de participer au scrutin. Mais la dictature en place l'empêche.
Nous aurons bientôt des vaccins - à cause de la science, pas de la politique
22 octobre 2020 par Gregory J. Rummo.
Une semaine après les attaques terroristes du 11 septembre, des enveloppes contenant une poudre blanche ont commencé à apparaître à des endroits aléatoires dans quatre États; parmi eux, un bureau de presse en Floride, le bureau de Washington D.C. du leader de la majorité au Sénat de l'époque, Tom Daschle, NBC News et le New York Post. La poudre blanche s'est avérée être des spores d'anthrax, conçues pour être facilement dispersées et inhalées - une arme de bioterrorisme potentiellement mortelle.
Les infections à charbon sont traitées avec des antibiotiques. Il y en a deux qui sont les plus efficaces; ciprofloxacine et doxycycline. À l'époque, j'étais PDG d'une petite société pharmaceutique qui représentait des fabricants d'API étrangers aux États-Unis. Nous avions une large clientèle nationale à laquelle nous avons commercialisé des dizaines d'agents anti-infectieux, y compris des antibiotiques. La doxycycline en faisait partie.
Nous avions travaillé avec Zenith Laboratories, un fabricant de produits pharmaceutiques génériques du sud de la Floride (qui fait actuellement partie de Teva Pharmaceuticals) pour approuver notre doxycycline à utiliser dans ses formulations. Normalement, le délai pour que la FDA approuve un médicament, même une copie générique d'un médicament existant (ce que la doxycycline était), est bien supérieur à un an et souvent deux.
Mais c'était différent. Les États-Unis étaient confrontés à une crise sous la forme d'une attaque potentielle de bioterrorisme. La réponse du gouvernement fédéral à l'anthrax est rapidement devenue une urgence nationale. Zenith Laboratories, avec d’autres fabricants, a remporté un contrat pour la fourniture de comprimés et de capsules au stock national stratégique du ministère de la Défense. En moins d'un mois, la Food and Drug Administration a accordé une autorisation d'utilisation d'urgence et du jour au lendemain, nous sommes devenus des fournisseurs agréés de doxycycline.
Heureusement, l'anthrax n'est jamais devenu la menace bioterroriste que beaucoup craignaient. Cinq personnes sont décédées après avoir été en contact avec des enveloppes contaminées par les spores qui avaient été livrées par le système postal.
La réponse coordonnée de notre gouvernement en 2001 pour faire pression sur les fabricants de médicaments et sa propre Food and Drug Administration afin d’accélérer l’approbation d’un traitement salvateur pour une arme de bioterrorisme présente une étrange similitude avec la crise sanitaire nationale dans laquelle nous nous trouvons.
Tout médicament, qu'il s'agisse d'un antibiotique, d'un cocktail d'anticorps monoclonaux ou d'un vaccin, passe par un processus scientifique rigoureux bien avant de tomber entre les mains des régulateurs gouvernementaux, sans parler des politiciens. Le développement de médicaments commence par un modèle de conception conceptuelle suivi de la recherche, de l'ingénierie, de la fabrication à petite échelle et de plusieurs phases de test; généralement d'abord chez les animaux, puis chez les humains. Les échecs sont courants à chaque étape de ce processus. Selon certaines estimations, plus de 90 % des médicaments n'arrivent jamais sur le marché. La sécurité et l’efficacité doivent être démontrées par le fabricant avant que la FDA n’approuve l’utilisation de tout médicament auprès du grand public.
Ce que l’on sait actuellement sur les deux principaux vaccins à ARNm candidats - Pfizer et Moderna Inc. -, c’est qu’ils montrent leur innocuité et leur efficacité aux derniers stades des essais cliniques de phase III.
Des participants comme moi ont reçu les première et deuxième injections de rappel et ont fourni des échantillons de sang aux chercheurs. Il n’est pas exagéré de croire que nous aurons des vaccins contre les coronavirus approuvés dans le cadre de l’autorisation d’urgence de la FDA dès le mois prochain pour distribution, à tout le moins, aux travailleurs de la santé et aux personnes les plus à risque de morbidité grave.
Ce n’est pas de la politique mais, en fait, le résultat de la science - beaucoup de science - et la honte pour les politiciens qui continuent de faire de cette question une question de tout sauf.
Gregory J. Rummo is a Lecturer of Chemistry at Palm Beach Atlantic University and a Contributing Writer for The Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. He is the former CEO of New Chemic US Inc and patient 001 in Moderna’s mRNA-1273 Phase 3 trial currently being conducted at the Palm Beach Research Center in West Palm Beach, FL. The views expressed in his columns are his own.
Le président français Macron menace un embargo dévastateur sur l'électricité contre la Grande-Bretagne obsédée par les énergies renouvelables
21 octobre 2020
h / t JoNova; La Grande-Bretagne est peut-être sur le point de payer un lourd tribut pour sa course folle pour les énergies renouvelables et sa négligence en matière d'autosuffisance énergétique. Alors que les négociations sur le Brexit entrent dans l'impasse, la France menace d'embargo sur les importations britanniques désespérément nécessaires d'électricité expédiable produite par les réacteurs nucléaires français, à moins que la Grande-Bretagne ne cède définitivement les droits de pêche dans les eaux territoriales britanniques à l'UE.
Macron dans une punition ultime pour le Brexit avec la menace de dévaster le Royaume-Uni avec un blocus énergétique
Par OLI SMITH PUBLIÉ: 00:46, Lun, 19 Oct 2020
Emmanuel Macron a réagi avec fureur aux affirmations de Boris Johnson selon lesquelles les négociations commerciales sont «terminées» entre le Royaume-Uni et l'UE. M. Macron a joué dur dans les pourparlers sur la pêche, insistant jeudi sur le fait que les pêcheurs français «ne seraient pas sacrifiés» au nom d'un accord. Cependant, si le Royaume-Uni quitte l'UE sans accord, les pêcheurs français pourraient être bannis des eaux britanniques.
En réponse, le président français a signalé que l'UE lancerait un embargo énergétique dévastateur contre le Royaume-Uni à moins que Boris Johnson ne cède sur la pêche.
À la suite du sommet de l'UE à Bruxelles vendredi, M. Macron a déclaré à la radio française que si le Royaume-Uni n'autorisait pas les pêcheurs français dans ses eaux, l'UE devrait bloquer l'approvisionnement énergétique du Royaume-Uni sur le marché européen.
…
En savoir plus: https://www.express.co.uk/news/politics/1349210/Brexit-news-Emmanuel-Macron-France-fisheries-energy-blockade-threat-EU-punishment-vn/
Cette vulnérabilité au chantage énergétique français est un désastre du propre de la Grande-Bretagne.
Pendant plus d'une décennie, les politiciens britanniques se sont tournés vers les verts radicaux, en pénalisant les opérateurs britanniques de générateurs dispatchables fiables avec des taxes sur le carbone et des subventions pour les investisseurs renouvelables.
Tant que la France était prête à soutenir la mascarade verte de la Grande-Bretagne en envoyant son électricité en Grande-Bretagne, tout le monde était heureux. Mais maintenant que la fantaisie verte se dissipe, la Grande-Bretagne est peut-être sur le point d'apprendre à ses dépens pourquoi une énergie fiable est importante.
GOOGLE, VERS UN DÉMANTÈLEMENT ? LES LOIS ANTITRUST ACTIVÉES AUX ETATS-UNIS !
par CHARLES SANNAT 22/10/2020
En 2019, le chiffre d'affaires de Google s'élevait à 136,8 milliards de dollars
Le 8 octobre dernier je vous parlais dans un article d’un rapport des députés américains (démocrates) qui avaient une furieuse envie de démanteler les GAFA qui prenaient trop de place.
Quelques jours plus tard, l’offensive est désormais lancée, avec Google qui fait l’objet d’une enquête pour abus de position dominante comme on dirait chez nous.
Aux Etats-Unis on appelle cela l’activation des lois antitrust, et là-bas, il ne fait jamais être bon être un « trust » !
La plainte déposée contre Google accuse la société d’avoir injustement fait de son moteur de recherche l’outil par défaut sur une gamme d’appareils et de plates-formes, rendant impossible la concurrence pour ses concurrents.
On pourrait se dire que ce ne sera qu’un coup d’épée dans l’eau, pourtant de très nombreux experts disent qu’il se dégage un très rare consensus politique à Washington sur la limitation du pouvoir des titans et autres géants de la Silicon Valley et que nous pourrions être à un tournant majeur du pouvoir laissé à ces très, très grandes entreprises.
Dans un document de 64 pages déposé mardi par le DoJ (Department Of Justice), il est écrit que Google avait protégé la position dominante de son moteur de recherche en dépensant des dizaines de milliards de dollars chaque année pour exclure ses rivaux d’importants canaux de distribution tels que les smartphones et les navigateurs Web. Google est également accusé d’avoir conclu des contrats restrictifs pour exclure des concurrents.
Par exemple, ses paiements à Apple étaient si importants, selon le DoJ, qu’ils représentaient jusqu’à un cinquième des revenus de la société à la pomme. Selon les éléments fournis pour le procès, un employé senior d’Apple a écrit à son homologue Google en 2018 : « Notre vision est que nous travaillons comme si nous formions une seule entreprise ».
Terriblement gênant pour les deux entreprises.
Une unité politique
David Cicilline, le président démocrate du sous-comité antitrust de la Chambre des représentants, a qualifié le déclenchement de ces poursuites comme « tardif ». Josh Hawley, le sénateur républicain du Missouri, a déclaré qu’il s’agissait de « l’affaire antitrust la plus importante en une génération ».
L’unité inhabituelle entre les partis suggère non seulement que l’affaire Google continuera, quel que soit le vainqueur en novembre, mais que le secteur de la technologie continuera de faire l’objet d’un examen plus rigoureux.
Les enquêteurs fédéraux et étatiques cherchent également à intenter des poursuites contre Apple, Amazon et Facebook, ce n’est probablement que le début des malheurs juridiques du secteur.
« Nous sommes arrivés à un point d’inflexion », a déclaré Joel Mitnick, partenaire antitrust chez Cadwalader. « Il est difficile de voir que ces entreprises sortent de cette époque sans subir de changement ».
Les députés américains recommandent le démantèlement des GAFA
Les GAFA seront démantelées et leur puissance réduite, car si nous prenons l’exemple d’Amazon, cette entreprise crée par exemple plus de problèmes qu’elle ne peut réussir à en résoudre. Les effets d’Amazon vont jusqu’à provoquer une nouvelle vague de destructions des commerces de centres-villes.
Au passage ces affaires montrent à quel point le politique prime toujours sur l’économique. Toujours. Encore faut-il ne pas abdiquer son pourvoir politique.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Peut-il y avoir une opposition à la libre entreprise ? Pourquoi un épicier serait-il montré du doigt s'il mettait en bout de console une marque inconnue plutôt qu'une 'grande marque' ? Pourquoi un livreur de pizzas devrait-il cessé son travail de transporteur accusé de faire faire la faillite d'autres commerçants ? Chaque consommateur est parfaitement libre d'aller là où il veut et, s'il fait des économies d'aller chez l'un plutôt que chez l'autre ses économies profiteront à qui ?
Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie
16:36 22.10.2020 Par Anna Borissova
Accusé d'espionnage et de vol de documents appartenant à l'État par la justice américaine, Edward Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie, a annoncé ce 22 octobre à Sputnik son avocat.
L'ancien employé contractuel de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) Edward Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie, a confié à Sputnik son avocat Anatoli Koutcherena.
Il précise que la législation russe permettait à l’ex-agent d'obtenir une carte de résident permanent.
M.Koutcherena indique que la procédure de renouvellement de son permis de séjour a été retardée par l’épidémie de coronavirus, mais «la réponse a été reçue», ajoutant qu’Edward Snowden se sent bien.
Affaire Snowden
Auparavant, Donald Trump avait déclaré qu'il examinerait sérieusement la situation de l’ex-consultant de la NSA et son éventuelle grâce. Mais la direction de la Commission des forces armées de la Chambre des représentants des États-Unis a qualifié cette déclaration du Président américain de «grave erreur».
Le lanceur d'alerte avait livré au Washington Post et au Guardian des informations classifiées sur les programmes de surveillance des services de renseignement américains et britanniques sur Internet en 2013.
Face aux accusations d'espionnage et de vol de documents appartenant à l'État par la justice américaine, Edward Snowden s'est réfugié en Russie la même année. À condition qu'il cesse son activité visant son pays natal, la Russie lui avait proposé un asile temporaire d’un an. En 2014, il a reçu un permis de séjour de trois ans prorogé de trois ans en 2017.
Récit d’une brève escapade dans la péninsule ibérique
le 22 octobre 2020
Après une année de privation de voyages aériens j’ai goûté à nouveau aux joies de ce type de déplacement. Depuis les îles Canaries on n’a pas trop le choix et en tant que résident permanent le prix d’un voyage dans la péninsule défie toute concurrence, alors autant en profiter. Pendant le vol de trois heures vers Barcelone, telle ne fut pas ma surprise de constater que l’aéronef survolait le territoire marocain, un fait nouveau qui m’a permis de découvrir que le désert marocain était ponctué d’une intense activité minière. L’arrivée à l’aéroport de Barcelone m’a déprimé. Cet endroit habituellement peuplé d’une incroyable foule cosmopolite était vide, les boutiques en grande majorité fermées, les bars à tapas et les restaurants également fermés, l’horreur ! Je pris ensuite un vol pour Alicante et même impression mortifère dans cet aéroport.
Lors de mon séjour chez une de mes nièces je fis une découverte stupéfiante : l’un de mes petits-neveux, en classe terminale et ayant déjà largement perdu son année scolaire 2019-2020 conclue par un blanc-seing pour accéder à l’ultime année précédant son entrée à l’université, travaillait en grande partie « à la maison », distanciation sociale oblige. Je m’explique : pour respecter un certain espace dit de sécurité dans les salles de classes, malgré le port obligatoire du masque, les élèves ne vont à l’école qu’un jour sur deux, c’est-à-dire une semaine de trois jours à l’école et la semaine suivante avec deux jours seulement à l’école. À la maison l’élève est livré à lui-même et il doit se battre sur un petit ordinateur avec son téléphone portable en complément pour écouter le cours transmis en différé par le professeur et consulter un résumé écrit du dit cours.
L’élève, en l’occurence mon petit-neveu, doit rédiger des devoirs dont l’énoncé manque souvent de clarté. Ces devoirs sur papier sont rendus au professeur le jour suivant. Lors de mon séjour j’étais presque le bienvenu car cet enfant était confronté à des cours et des devoirs de chimie et il restait encore quelque part enfouis dans mes neurones vieillissants de vagues notions de chimie. J’ai tout de même constaté que la notion d’orbitales avait l’air de faire partie du quotidien pour mon petit-neveu alors que « de mon temps » cette notion n’avait été abordée qu’en deuxième année d’université. J’ai cru comprendre que l’enseignement de la chimie pour des élèves de classe de terminale avait été rendu parfaitement ésotérique avec une couche de physique quantique qui n’avait pas, à ce stade, vraiment lieu d’être. Curieuse évolution …
La conséquence alarmante de l’épidémie de SARS-CoV-2 sur toute une génération d’écoliers se fera sentir à l’entrée à l’université. En effet, le passage de la première à la terminale a permis l’acquisition de « points » pris en compte pour l’accès à l’université mais le barème d’entrée, compte tenu de la dévalorisation du passage de première à la terminale, a été relevé. Cette modification obligera ainsi les élèves actuellement en classe terminale à obtenir les meilleures notes possibles pour accéder à des études supérieures, pour mon petit-neveu en l’occurence la faculté de médecine pour s’orienter vers l’odontologie. On peut prédire que beaucoup de ces écoliers se retrouveront dans quelques années soit tout simplement chômeurs soit résignés à exercer un métier qu’ils n’avaient pas souhaité. L’avenir me paraît bien incertain pour ces quelques dizaines de millions d’adolescents européens …
Plus de la moitié des PME européennes pourraient faire faillite dans les 12 mois, selon McKinsey & Co
23:01 22.10.2020 Par Daria Petliaeva
Sur fond de pandémie, plus de 50% des petites et moyennes entreprises européennes envisagent une faillite au cours des 12 mois à venir, à en croire les résultats du sondage de McKinsey & Co paru le 22 octobre. La crise liée au nouveau coronavirus a diminué les revenus de 70% d’entre elles, est-il précisé.
Parmi les entreprises européennes qui ont jusqu’ici survécu à la crise liée à la pandémie de Covid-19, plus de la moitié estiment ne pas pouvoir rester à flot au cours des 12 mois à venir, met en lumière un sondage publié le 22 octobre par McKinsey & Co.
«Plus de la moitié estimaient que leur entreprise ne survivrait peut-être pas plus de 12 mois, malgré le fait que 20 % des entreprises participant au sondage avaient déjà profité de diverses formes d'aide gouvernementale visant à atténuer leurs difficultés financières», est-il précisé.
Le sondage, dont le but était de montrer à quel point «la prospérité» des entreprises en Europe est touchée par le Covid-19, a été mené en août auprès de plus de 2.200 petites et moyennes entreprises dans cinq pays européens: en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne et au Royaume-Uni.
Chute des revenus
La crainte des sociétés de ne pas pouvoir rembourser leurs prêts est une autre manifestation de ce pessimisme du milieu d’affaires européen quant à son avenir.
«Une entreprise sur cinq craignait de ne pas rembourser ses prêts et de devoir licencier des employés, tandis que 28 % avaient peur de devoir annuler leur projets de croissance», détaille McKinsey & Co. Qui plus est, à cause de la pandémie, les revenus de 70 % des entreprises sondées ont diminué, entraînant de graves répercussions.
L’ampleur des pertes varie en fonction des pays et mesures prises par leurs gouvernements respectifs. Ainsi, ce sont les entreprises espagnoles et italiennes qui semblent avoir le plus souffert, 33 % et 30 % d’entre elles ayant respectivement annoncé que leur revenus avaient «beaucoup diminué», un chiffre qui s'élève à 27 % côté français et 23 % en Allemagne, à en croire le sondage.
Le virus qui n’est pas là, le séquençage génétique et le tour de magie
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 23 octobre 2020
Récemment, j’ai écrit une série d’articles révélant que l’existence du virus SARS-CoV-2 n’est pas prouvée.
J’ai cité des documents clés du CDC et d’étude qui confessent «le virus n’est pas disponible». Ce qui est comme une entreprise de glace disant qu'elle n'a pas accès à l'eau. [1] [2] [3] [4] [5]
J'ai publié des citations de l'article majeur du Dr Tom Cowan [6] exposant comment les auteurs de revues CDC «assemblent» l'idée d'un virus à partir de séquences pavées qu'ils ASSUMENT de faire partie du SARS-CoV-2. (Ci-dessous, je réimprime mon article sur les découvertes choquantes du Dr Cowan.)
Maintenant, je veux faire des commentaires généraux sur les inconvénients, le jeu, l'agitation.
Le public et la plupart des professionnels de la santé sont impressionnés par l'ensemble du concept de séquençage génétique. Ils acceptent le processus comme un saint des saints. Si les chercheurs de leur laboratoire prétendent avoir «séquencé le virus», le virus doit exister. Comment sa structure génétique aurait-elle pu être découverte autrement?
Bien sûr, le virus n’a pas besoin d’exister du tout. Nous parlons d'une illusion. La magie de la scène.
Et si on pouvait le forcer à expliquer son tour, le magicien dirait:
«Remarquez, je commence par un fragment d'ARN qui, je suppose, fait partie d'un nouveau virus plus grand. Mon hypothèse n’est pas prouvée. Je fais simplement la réclamation.
«Ensuite, je présente la structure génétique de ce petit fragment d'ARN, et je découvre que j'ai besoin de beaucoup plus d'informations génétiques pour remplir la séquence de tout le virus.»
«Ce n’est pas vraiment une découverte. Je savais déjà que j'aurais besoin de beaucoup plus. La question est: où vais-je obtenir ces informations supplémentaires? »
«La réponse est: à partir de bases de données. Ces bases contiennent des kilomètres de séquences qui ont déjà été établies - à tort ou à raison. Séquences d’autres virus. »
«Quelles séquences dois-je choisir? Je fais des suppositions. Je fais des hypothèses. En fait, je choisis en fonction d'une histoire qui a déjà été tracée. Dans ce cas, une histoire sur un membre de la famille des coronavirus. C'est vrai. J'ai toujours su ce que j'allais chercher. En fait, ce premier morceau d'ARN avec lequel j'ai commencé? J'aurais pu sélectionner toutes sortes d'autres morceaux d'ARN, mais j'ai choisi celui-là parce qu'il semblait appartenir à la famille des coronavirus.
«Est-ce que toute cette affaire ressemble à une opération de Lego ou de bricolage? Et bien ça l'est. Je n'ai jamais de spécimen physique du virus. Je n'isole jamais le prétendu virus de tout le matériel qui l'entoure. Je suppose ou je prétends simplement que le virus est là-dedans. "
«Quoi qu'il en soit, je sélectionne maintenant toutes sortes de séquences génétiques dans l'énorme base de données. Et j'accroche les séquences ensemble, COMME SI elles étaient déjà connectées et réelles et attendaient que je les trouve. Ils ne l’étaient pas, mais je prétends qu’ils l’étaient. »
«Cette prétention est la clé. C’est comme vendre à une ventouse une carte menant à une mine d’argent perdue. Il n'y a jamais eu de carte. L'escroc l'a bricolé à partir de morceaux d'autres anciennes cartes d'un territoire dans les montagnes du Colorado. La carte semble réelle. Ça a l'air entier. Mais ça n'a jamais été complet.
«LA SÉQUENCE GÉNÉTIQUE DU VIRUS est cette carte. Il est conçu pour ressembler à un long code qui était là depuis le début. Mais ce n’était pas le cas. Ce n’est pas le cas. »
«Chaque bon tour de magie fonctionne de cette façon. Le magicien fait croire au public qu'il effectue une opération en douceur. Mais ce n’est pas le cas. Il fait toutes sortes de détours. Il met la main dans sa manche et en sort une carte. Il palpe cette carte pour que personne ne la voie. Il glisse la carte dans le paquet de son autre main. Et pendant tout ce temps, il parle avec confiance et fait d'autres gestes pour distraire le public. "
«Le but de cette astuce est d'inspirer la crainte. Dans le laboratoire, le même principe s'applique. Les chercheurs SEMBLENT trouver une longue séquence génétique du virus entier. Étonnant."
«Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Pas de loin.
«Et remarquez une autre chose très importante. En laboratoire, nous sommes en train de reconstituer et de bricoler le modèle - le code - d'un virus. Nous n'avons pas à nous occuper de gènes réels. Ce que nous faisons est tout au niveau de la construction IDÉATIONNELLE. Nous connectons DATA. Voilà donc un autre niveau du truc. Nous n’enchaînons pas des morceaux de matériau. Nous rassemblons des éléments de données provenant de bases de données génétiques. Ce serait comme se tenir sur scène devant un public et faire un tour de carte très intelligent sans avoir un jeu de cartes en premier lieu. Maintenant, C’est un truc pour les âges. »
Avec tout cela, je pense, lisez mon précédent article sur les découvertes choquantes du Dr Tom Cowan:
Le Dr Tom Cowan explore le virus COVID inventé par pure absurdité
—Cowan analyse encore un autre document clé publié par le CDC, dans leur journal, Emerging Infectious Diseases: «Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States» -
par Jon Rappoport 19 octobre 2020
Les coups continuent à venir. Le CDC a utilisé un processus informatique arbitraire «bricoler-jouet» pour inventer une description du virus. Le virus que personne n'a prouvé existe. Telle est la conclusion fondamentale du Dr Tom Cowan.
L'article du CDC [7] a été découvert par Sally Fallon Morrell. Son co-auteur, le Dr Cowan, étoffe la fraude. L’article de Cowan s’intitule «Seules les cellules de singe empoisonnées ont développé le virus.» [6]
Dr Cowan: «[L'article de la revue CDC] a été publié en juin 2020 [publication originale, mars 2020]. Le but de l'article était pour un groupe d'environ 20 virologues de décrire l'état de la science de l'isolement, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SRAS-CoV-2, et de partager ces informations avec d'autres scientifiques pour leurs propres recherches. Une lecture approfondie et attentive de cet article important révèle des résultats choquants. »
«Premièrement, dans la section intitulée« Séquençage du génome entier », nous constatons qu’au lieu d’avoir isolé le virus et de séquencer le génome de bout en bout, ils ont trouvé 37 paires de bases à partir d’échantillons non purifiés à l’aide de sondes PCR. Cela signifie qu'ils ont en fait examiné 37 des quelque 30 000 paires de bases que l'on prétend être le génome du virus intact. Ils ont ensuite pris ces 37 segments et les ont mis dans un programme informatique, qui a rempli le reste des paires de bases.
En d'autres termes, le séquençage du virus SARS-CoV-2 a été fait par hypothèse et inférence arbitraire. Si c'est de la science, un pingouin est un vaisseau spatial.
Cowan: «Pour moi, cette étape de génération informatique constitue une fraude scientifique. Voici une équivalence: un groupe de chercheurs prétend avoir trouvé une licorne parce qu'ils ont trouvé un morceau de sabot, un cheveu d'une queue et un bout de corne. Ils ajoutent ensuite ces informations dans un ordinateur et les programment pour recréer la licorne, et ils prétendent ensuite que cette recréation d'ordinateur est la vraie licorne. Bien sûr, ils n’avaient jamais vu une licorne et n’auraient donc pas pu examiner sa constitution génétique pour comparer leurs échantillons avec les cheveux, les sabots et la corne de la licorne. »
«Les chercheurs affirment qu’ils ont décidé quel est le véritable génome du SRAS-CoV-2 par« consensus », un peu comme un vote. Encore une fois, différents programmes informatiques proposeront différentes versions de la «licorne» imaginaire, afin qu'ils se réunissent en groupe et décident quelle est la vraie licorne imaginaire. "
Comme je l’ai dit [5], la «découverte» du «nouveau virus» était en fait la création d’une HISTOIRE PRÉ-DÉTERMINÉE SUR UN VIRUS. Rien de réel ou de crédible à ce sujet.
Mais une fois que le modèle officiel est établi, d'autres le suivent consciencieusement.
Le Dr Cowan découvre plus de folie dans l'article du journal CDC. En utilisant le nouveau virus ASSUMED, dans un ÉTAT NON ISOLÉ, les chercheurs tentent de prouver qu'il est nocif en l'injectant sur plusieurs types de cellules différents en laboratoire:
Cowan: «La véritable découverte à succès dans cette étude vient plus tard, une découverte si choquante que j'ai dû la lire plusieurs fois avant de pouvoir croire ce que je lisais. Permettez-moi de citer le passage intact: "
«'Par conséquent, nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires de primates et humaines communes, y compris les cellules d'adénocarcinome humain (A549), les cellules hépatiques humaines (HUH 7.0) et les cellules rénales embryonnaires humaines (HEK -293T). En plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe]. … Chaque lignée cellulaire a été inoculée à une multiplicité d'infection élevée et examinée 24h après l'infection. Aucun CPE n'a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [de singe], qui ont augmenté de plus de 10 à la 7e puissance 24 h après l'infection. En revanche, HUH 7.0 et 293T n'ont montré qu'une réplication virale modeste, et les cellules A549 [cellules humaines] étaient incompatibles avec l'infection par le SRAS CoV-2 ».»
«Que signifie réellement ce langage et pourquoi est-ce la déclaration la plus choquante de la communauté virologique? Lorsque les virologues tentent de prouver l’infection, ils disposent de trois «hôtes» ou modèles possibles sur lesquels ils peuvent effectuer des tests… »
«La troisième méthode utilisée par les virologues pour prouver l'infection et la pathogénicité - la méthode sur laquelle ils s'appuient le plus - est l'inoculation de solutions, selon eux, contenant le virus sur une variété de cultures de tissus. Comme je l’ai souligné à maintes reprises, il n’a jamais été démontré qu’une telle inoculation tue (lyse) le tissu, à moins que le tissu ne soit d’abord affamé et empoisonné. »
«La chose choquante à propos de la citation ci-dessus [journal CDC] est que, en utilisant leurs propres méthodes, les virologues ont découvert que les solutions contenant le SRAS-CoV-2 - même en grande quantité - n'étaient PAS, je le répète, NON infectieuses pour l'un des trois humains. cultures de tissus qu'ils ont testées. En clair, cela signifie qu’ils ont prouvé, selon leurs conditions, que ce «nouveau coronavirus» n’est pas infectieux pour les êtres humains. Il est UNIQUEMENT infectieux pour les cellules rénales de singe, et seulement alors lorsque vous ajoutez deux médicaments puissants (gentamicine et amphotéricine), connus pour être toxiques pour les reins, au mélange. »
«Mes amis, lisez ceci encore et encore. Ces virologues, publiés par le CDC, ont fait une preuve claire, selon leurs termes, montrant que le virus SARS-CoV-2 est inoffensif pour l'homme. C'est la seule conclusion possible, mais malheureusement, ce résultat n'est même pas mentionné dans leur conclusion. Ils disent simplement qu'ils peuvent fournir des stocks de virus cultivés uniquement sur des cellules Vero de singe, merci d'être venus. "
Alors d'abord… utilisez un processus de séquençage génétique qui consiste à concocter, à partir d'un programme informatique arbitraire…
L'existence et la structure du «nouveau virus»…
Et puis, en prenant une soupe qui, selon les chercheurs, contient le virus, à l'état non isolé, injectez la soupe dans plusieurs types de cellules du laboratoire ...
Et découvrez que la cible principale - les cellules humaines - ne sont pas infectées par le virus imaginaire.
Et après cette bonne journée de travail, éloignez-vous et prétendez que rien d’étrange ou d’auto-incriminant ne s’est produit.
Et oh oui, verrouillez la planète sur la base de cette «science».
Naturellement, nous devons prendre un vaccin toxique qui empêche la non-infection par le non-virus.
Un virus menace les courgettes, melons et concombres
Un virus qui occasionne des dégâts notamment sur les cultures de courgettes, melons et concombre vient d’être repéré en France pour la première fois.
Dans un communiqué du 21 octobre 2020 le ministère de l’Agriculture et de l’alimentation indique que le virus Tomato leaf curl New Delhi virus (ToLCNDV), présent dans certains pays européens (Espagne, Italie, Portugal, Grèce…) venait d’être détecté pour la première fois en France.
Le ministère indique que ce virus est connu en Europe « pour les dommages qu’il peut causer aux cultures de courgettes, de concombres et de melons ». En Inde, il est extrêmement virulent sur les cultures de tomates », ajoute le communiqué.
Les symptômes foliaires donnent l’alerte
La contamination a été repérée sur des parcelles de courgette, en Occitanie et en Paca, « dans des établissements de production et de revente de semences, sur des parcelles non destinées à la production de semences commerciales, et chez des agriculteurs ».
Le ministère explique que ce sont des symptômes foliaires qui ont conduit les services régionaux chargés de la protection des végétaux du ministère de l’Agriculture à effectuer des prélèvements, « pour confirmer officiellement la présence de l’organisme nuisible ». Ce virus étant un « organisme de quarantaine » il fait l’objet d’une « lutte obligatoire au titre de la réglementation européenne relative à la santé des végétaux ».
Destruction des plants contaminés
Dans les zones ou le virus a été détecté, le ministère de l’Agriculture précise que « des mesures conservatoires ont été mises en œuvre afin d’empêcher toute dissémination du virus par les outils de taille ou par l’intermédiaire de son insecte vecteur, l’aleurode Bemisia tabaci, une petite mouche blanche ». Les plants vont être détruits « selon un protocole sécurisé » et « sous contrôle des services de l’État dans les parcelles contaminées ».
Pour le ministère de l’Agriculture, l’éradication de ce virus est l’objectif à atteindre. Afin de déterminer l’origine de la contamination, une enquête est actuellement menée. De plus, « une surveillance renforcée sera mise en œuvre pour la prochaine campagne culturale afin de confirmer l’éradication du virus sur notre territoire », souligne le communiqué. Le ministère précise que ce virus « ne présente aucun risque pour la santé humaine ».
L'aleurode (comme la noctuelle) est une petite mite blanche ou crème qui pond aux bouquets de jeunes pousses. Les vers microscopique éclosent et pénètrent immédiatement dans la plante et en filètent les branches.
Un plant de tomate de 2 m de haut meurt en 3 jours et, cet insecte s'attaque aux autres plantes !
Il est donc obligatoire d'utiliser un produit de traitement systémique pour tuer le vers dans la plante ou dans le fruit (Fertiligène. Seul produit systémique).
Mais, le 'gouvernement' a demandé à ce que les produits systémiques soient supprimés des rayons !
Interdiction d'utiliser des remèdes contre les maladies !!
C'est ainsi que peu à peu dans le monde vont être supprimés des marchés ce légume exceptionnel (le plus consommé après la pomme de terre) qui est la tomate !
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RECTIFICATION IMPORTANTE:
Le titre de l'article c'est : 'Un virus menace les courgettes, melons et concombres'. Or, il ne s'agit pas d'un virus mais d'un insecte BIEN VIVANT LUI ! Mais, les journalistes - et les politiciens - (qui ne sont pas des scientifiques) parlent sans savoir.
Un virus est une poussière nanométrique qui peut être de plusieurs ordres: - Poussière neutre (terre, charbon, etc) - Poussière métallique a) neutre (fer, etc) b) poussière irradiante (de type radioactive/cancer), c) Poussière aimantée (elles attirent, se groupent, se collent ensemble et peuvent obstruer des vaisseaux sanguins).
Un virus ne peut donc être tué ! Donc, l'emploi de vaccin ou d'antibiotiques est donc inutile.
A ne pas confondre avec les microbes (appelés aussi bactéries). Un microbe est vivant. Il se détruit avec des vaccins ou des antibiotiques.
Des milices et des morts, la Côte d’Ivoire au bord du gouffre
RépondreSupprimer13:31 22.10.2020
Par Roland Klohi
La tension est particulièrement vive en Côte d’Ivoire, à moins de dix jours d’une élection présidentielle dont l’opposition demande instamment le report. Dans plusieurs villes du pays, des heurts ont occasionné des morts et de nombreux blessés. Une situation qui fait craindre un conflit meurtrier similaire à celui de 2011, voire une guerre civile.
Avec les mots d’ordre de désobéissance civile et de boycott de la campagne électorale lancés par l’opposition, la Côte d’Ivoire est plus que jamais en ébullition. Le pays semble basculer chaque jour un peu plus vers un nouveau conflit armé, de l’ampleur de la crise postélectorale de 2010-2011 qui avait, selon des chiffres officiels, occasionné plus de 3.000 morts. En cause, la candidature controversée du Président sortant, Alassane Ouattara, pour un troisième mandat, et la «partialité» des institutions chargées de superviser et de valider le vote.
Côte d’Ivoire: Le scrutin de 2020 porte les «germes de la guerre», un report «s’impose»
Tant l’opposition que des organisations de la société civile sont unanimes sur la nécessité d’un report de la présidentielle, prévue le 31 octobre, et la tenue d’un dialogue avec le pouvoir –impérativement sous la supervision d’une médiation internationale– afin de garantir un scrutin «crédible, transparent et inclusif».
Pour Samba David, coordonnateur de la Coalition des indignés de Côte d'Ivoire (CICI, société civile) interrogé par Sputnik, «il est souhaitable qu’il y ait un dialogue pré-électoral afin d’éviter d’en arriver à un dialogue post-crise électorale». «Des deux, le premier est de loin le plus facile à mener quand on sait d’avance que le second, qui interviendrait au chevet de nombreux morts, impliquerait beaucoup de rancœurs», a-t-il expliqué.
Des violences meurtrières en cours
Pour espérer obtenir gain de cause à leurs revendications, les partis d’opposition ont notamment appelé leurs militants à «manifester par tous les moyens légaux». Cependant, depuis le 16 octobre, dans plusieurs villes du pays, ces protestations ont dégénéré en de violents affrontements qui ont parfois pris une tournure intercommunautaire. À ce jour, le bilan officiel reste encore à établir mais des sources concordantes de la société civile dénombrent déjà une dizaine de morts et près d’une centaine de blessés.
L’opposition attribue cette escalade de violence à des «miliciens du régime Ouattara convoyés de manière méthodique et organisée dans des localités ciblées pour semer la mort et la désolation avec la complicité passive des forces de défense et de sécurité», d’après Affi N’Guessan, un des leaders de l’opposition.
La connivence entre civils armés et éléments des forces de l’ordre a déjà été relevée par des ONG internationales comme Amnesty International et Crisis Group qui, dans un rapport publié fin septembre, a dénoncé «l’utilisation particulièrement inquiétante de supplétifs par certains segments de l’appareil de sécurité».
«Ces jeunes hommes armés ont été recrutés parmi la petite délinquance abidjanaise pour effrayer ou attaquer, y compris à l’arme blanche, des manifestants de l’opposition», avait précisé Crisis Group dans son rapport.
Samba David, qui a lui-même été victime en septembre d’une agression à l’arme blanche [il a été poignardé à son bureau par des hommes non identifiés, ndlr], raconte: «J'ai été personnellement à Bonoua [ville située à 60 km à l’est d’Abidjan, où un manifestant a été tué par balles le 19 octobre, ndlr] et Dabou [ville à 50 km à l’ouest d’Abidjan, qui a enregistré ces derniers jours au moins sept morts et où un couvre-feu est instauré du 21 au 25 octobre, ndlr]. Le constat est flagrant: il s’agit de groupuscules armés –que nous qualifions de milices à la solde d'Alassane Ouattara, parfois appuyées par les forces de l’ordre– convoyés depuis Abidjan vers des villes de l’intérieur, pour essayer d’intimider les populations, voire semer le chaos. Nous enregistrons actuellement plus d’une dizaine de morts, c’est une situation inacceptable.»
RépondreSupprimerDans un communiqué du 21 octobre, le gouvernement ivoirien a indiqué qu’à la suite «d’allégations de la présence de forces parallèles sur les lieux des manifestations, des investigations sont en cours en vue de rechercher et interpeller ceux qui commettent personnellement ces actes ainsi que ceux qui incitent à les commettre pour leur faire subir la rigueur des lois pénales».
Les «microbes» sont des bandes de jeunes ultraviolents qui terrorisent certains quartiers d’Abidjan et que l’opposition présente comme étant instrumentalisés par le pouvoir.
Une guerre civile est-elle possible ?
Pour Samba David, on ne peut pas, en dépit des tensions actuelles, «considérer que le spectre de la guerre civile plane sur la Côte d’Ivoire».
«Il ne peut pas y avoir de guerre civile dans ce pays parce que les conditions ne sont pas réunies, le brassage socioculturel ne le permet pas. C'est plutôt le pouvoir en place qui tente de faire croire que cette éventualité pointe à l’horizon pour briser la contestation contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara», a déclaré ce leader de la société civile.
Comme en témoignent de nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux, les acteurs des affrontements de ces derniers jours étaient équipés le plus souvent de gourdins et d’armes blanches (machettes et couteaux).
Mais lors d’un entretien accordé en mai dernier à Sputnik, Victorien N’Tayé, secrétaire général de la section ivoirienne du Réseau d'action sur les armes légères en Afrique de l'Ouest (Rasalao-CI), évoquant le risque d'un conflit armé en Côte d'Ivoire en 2020, avait souligné la «menace sérieuse» qui pesait sur le pays, à savoir les milliers d’armes légères et de petit calibre (ALPC) en circulation mais que «personne n’est véritablement en mesure de quantifier».
La prolifération de ces ALPC, avait-il expliqué, résulte en grande partie de la crise militaro-politique des années 2000 au cours de laquelle presque toutes les localités du pays ont connu une circulation d’armes.
«Vu la prolifération et la circulation des armes, la fin justifiant les moyens, les uns et les autres peuvent à tout moment s’en servir pour en découdre», avait prévenu Victorien N’Tayé.
Le 14 septembre dernier, le Conseil constitutionnel a rejeté 40 dossiers de candidature pour la présidentielle du 31 octobre (dont ceux de l’ancien chef d’État Laurent Gbagbo et de l’ex-Premier ministre Guillaume Soro) pour ne retenir que quatre candidats –dont le Président sortant Alassane Ouattara qui brigue un troisième mandat controversé.
Depuis, la situation sociopolitique, déjà délétère en Côte d’Ivoire, s’est considérablement dégradée.
RépondreSupprimerEn effet, préalablement à tout scrutin, les leaders de l’opposition exigent le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara qu’ils jugent «anticonstitutionnelle», la dissolution du Conseil constitutionnel pour le remplacer par une «juridiction véritablement impartiale», la dissolution de la Commission électorale indépendante (CEI, la structure chargée d’organiser les élections) «inféodée au parti au pouvoir», l’audit international des listes électorales, la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, et le retour sécurisé de tous les exilés.
https://fr.sputniknews.com/afrique/202010221044615662-des-milices-et-des-morts-la-cote-divoire-au-bord-du-gouffre/
Laurent Gbagbo, président de la République du 26 octobre 2000, a été victime d'une éviction 'internationale' par la mafia et incarcéré auprès de la Cour pénale internationale à La Haye (Pays-Bas), il est acquitté par les juges de première instance en janvier 2019 ; dans l’attente d'un éventuel second procès, il vit en Belgique et ne peut se rendre dans un autre pays qu'avec l'accord de celui-ci !
SupprimerDans ce pays en or qu'est la Côte d'Ivoire vivent plus de 50 % d'immigrés ! et, c'est l'un d'eux qui a pris le pouvoir par les armes et est 'président' non élu qui assume le pouvoir depuis !
Pourquoi cet écartement du président légitime Laurent Gbagbo ? Parce qu'il était l'ami du président libyen Mouammar Kadhafi qui a donné à l'Afrique les moyens d'avoir SON satellite de télécommunications sans passer obligatoirement par un satellite étranger qui ruinait le pays !
Le 25 septembre 2020, la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples récuse l’exclusion de Laurent Gbagbo de l’élection présidentielle ivoirienne de 2020. Elle ordonne également à l'État ivoirien de « prendre toutes mesures nécessaires en vue de lever immédiatement tous les obstacles » qui empêchent Laurent Gbagbo de participer au scrutin. Mais la dictature en place l'empêche.
Nous aurons bientôt des vaccins - à cause de la science, pas de la politique
RépondreSupprimer22 octobre 2020
par Gregory J. Rummo.
Une semaine après les attaques terroristes du 11 septembre, des enveloppes contenant une poudre blanche ont commencé à apparaître à des endroits aléatoires dans quatre États; parmi eux, un bureau de presse en Floride, le bureau de Washington D.C. du leader de la majorité au Sénat de l'époque, Tom Daschle, NBC News et le New York Post. La poudre blanche s'est avérée être des spores d'anthrax, conçues pour être facilement dispersées et inhalées - une arme de bioterrorisme potentiellement mortelle.
Les infections à charbon sont traitées avec des antibiotiques. Il y en a deux qui sont les plus efficaces; ciprofloxacine et doxycycline. À l'époque, j'étais PDG d'une petite société pharmaceutique qui représentait des fabricants d'API étrangers aux États-Unis. Nous avions une large clientèle nationale à laquelle nous avons commercialisé des dizaines d'agents anti-infectieux, y compris des antibiotiques. La doxycycline en faisait partie.
Nous avions travaillé avec Zenith Laboratories, un fabricant de produits pharmaceutiques génériques du sud de la Floride (qui fait actuellement partie de Teva Pharmaceuticals) pour approuver notre doxycycline à utiliser dans ses formulations. Normalement, le délai pour que la FDA approuve un médicament, même une copie générique d'un médicament existant (ce que la doxycycline était), est bien supérieur à un an et souvent deux.
Mais c'était différent. Les États-Unis étaient confrontés à une crise sous la forme d'une attaque potentielle de bioterrorisme. La réponse du gouvernement fédéral à l'anthrax est rapidement devenue une urgence nationale. Zenith Laboratories, avec d’autres fabricants, a remporté un contrat pour la fourniture de comprimés et de capsules au stock national stratégique du ministère de la Défense. En moins d'un mois, la Food and Drug Administration a accordé une autorisation d'utilisation d'urgence et du jour au lendemain, nous sommes devenus des fournisseurs agréés de doxycycline.
Heureusement, l'anthrax n'est jamais devenu la menace bioterroriste que beaucoup craignaient. Cinq personnes sont décédées après avoir été en contact avec des enveloppes contaminées par les spores qui avaient été livrées par le système postal.
La réponse coordonnée de notre gouvernement en 2001 pour faire pression sur les fabricants de médicaments et sa propre Food and Drug Administration afin d’accélérer l’approbation d’un traitement salvateur pour une arme de bioterrorisme présente une étrange similitude avec la crise sanitaire nationale dans laquelle nous nous trouvons.
Tout médicament, qu'il s'agisse d'un antibiotique, d'un cocktail d'anticorps monoclonaux ou d'un vaccin, passe par un processus scientifique rigoureux bien avant de tomber entre les mains des régulateurs gouvernementaux, sans parler des politiciens. Le développement de médicaments commence par un modèle de conception conceptuelle suivi de la recherche, de l'ingénierie, de la fabrication à petite échelle et de plusieurs phases de test; généralement d'abord chez les animaux, puis chez les humains. Les échecs sont courants à chaque étape de ce processus. Selon certaines estimations, plus de 90 % des médicaments n'arrivent jamais sur le marché. La sécurité et l’efficacité doivent être démontrées par le fabricant avant que la FDA n’approuve l’utilisation de tout médicament auprès du grand public.
RépondreSupprimerCe que l’on sait actuellement sur les deux principaux vaccins à ARNm candidats - Pfizer et Moderna Inc. -, c’est qu’ils montrent leur innocuité et leur efficacité aux derniers stades des essais cliniques de phase III.
Des participants comme moi ont reçu les première et deuxième injections de rappel et ont fourni des échantillons de sang aux chercheurs. Il n’est pas exagéré de croire que nous aurons des vaccins contre les coronavirus approuvés dans le cadre de l’autorisation d’urgence de la FDA dès le mois prochain pour distribution, à tout le moins, aux travailleurs de la santé et aux personnes les plus à risque de morbidité grave.
Ce n’est pas de la politique mais, en fait, le résultat de la science - beaucoup de science - et la honte pour les politiciens qui continuent de faire de cette question une question de tout sauf.
Gregory J. Rummo is a Lecturer of Chemistry at Palm Beach Atlantic University and a Contributing Writer for The Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. He is the former CEO of New Chemic US Inc and patient 001 in Moderna’s mRNA-1273 Phase 3 trial currently being conducted at the Palm Beach Research Center in West Palm Beach, FL. The views expressed in his columns are his own.
https://wattsupwiththat.com/2020/10/22/we-will-have-vaccines-soon-because-of-science-not-politics/
Le président français Macron menace un embargo dévastateur sur l'électricité contre la Grande-Bretagne obsédée par les énergies renouvelables
RépondreSupprimer21 octobre 2020
h / t JoNova; La Grande-Bretagne est peut-être sur le point de payer un lourd tribut pour sa course folle pour les énergies renouvelables et sa négligence en matière d'autosuffisance énergétique. Alors que les négociations sur le Brexit entrent dans l'impasse, la France menace d'embargo sur les importations britanniques désespérément nécessaires d'électricité expédiable produite par les réacteurs nucléaires français, à moins que la Grande-Bretagne ne cède définitivement les droits de pêche dans les eaux territoriales britanniques à l'UE.
Macron dans une punition ultime pour le Brexit avec la menace de dévaster le Royaume-Uni avec un blocus énergétique
Par OLI SMITH
PUBLIÉ: 00:46, Lun, 19 Oct 2020
Emmanuel Macron a réagi avec fureur aux affirmations de Boris Johnson selon lesquelles les négociations commerciales sont «terminées» entre le Royaume-Uni et l'UE. M. Macron a joué dur dans les pourparlers sur la pêche, insistant jeudi sur le fait que les pêcheurs français «ne seraient pas sacrifiés» au nom d'un accord. Cependant, si le Royaume-Uni quitte l'UE sans accord, les pêcheurs français pourraient être bannis des eaux britanniques.
En réponse, le président français a signalé que l'UE lancerait un embargo énergétique dévastateur contre le Royaume-Uni à moins que Boris Johnson ne cède sur la pêche.
À la suite du sommet de l'UE à Bruxelles vendredi, M. Macron a déclaré à la radio française que si le Royaume-Uni n'autorisait pas les pêcheurs français dans ses eaux, l'UE devrait bloquer l'approvisionnement énergétique du Royaume-Uni sur le marché européen.
…
En savoir plus: https://www.express.co.uk/news/politics/1349210/Brexit-news-Emmanuel-Macron-France-fisheries-energy-blockade-threat-EU-punishment-vn/
Cette vulnérabilité au chantage énergétique français est un désastre du propre de la Grande-Bretagne.
Pendant plus d'une décennie, les politiciens britanniques se sont tournés vers les verts radicaux, en pénalisant les opérateurs britanniques de générateurs dispatchables fiables avec des taxes sur le carbone et des subventions pour les investisseurs renouvelables.
Tant que la France était prête à soutenir la mascarade verte de la Grande-Bretagne en envoyant son électricité en Grande-Bretagne, tout le monde était heureux. Mais maintenant que la fantaisie verte se dissipe, la Grande-Bretagne est peut-être sur le point d'apprendre à ses dépens pourquoi une énergie fiable est importante.
https://wattsupwiththat.com/2020/10/21/french-president-macron-threatens-a-devastating-electricity-embargo-against-renewables-obsessed-britain/
GOOGLE, VERS UN DÉMANTÈLEMENT ? LES LOIS ANTITRUST ACTIVÉES AUX ETATS-UNIS !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
22/10/2020
En 2019, le chiffre d'affaires de Google s'élevait à 136,8 milliards de dollars
Le 8 octobre dernier je vous parlais dans un article d’un rapport des députés américains (démocrates) qui avaient une furieuse envie de démanteler les GAFA qui prenaient trop de place.
Quelques jours plus tard, l’offensive est désormais lancée, avec Google qui fait l’objet d’une enquête pour abus de position dominante comme on dirait chez nous.
Aux Etats-Unis on appelle cela l’activation des lois antitrust, et là-bas, il ne fait jamais être bon être un « trust » !
La plainte déposée contre Google accuse la société d’avoir injustement fait de son moteur de recherche l’outil par défaut sur une gamme d’appareils et de plates-formes, rendant impossible la concurrence pour ses concurrents.
On pourrait se dire que ce ne sera qu’un coup d’épée dans l’eau, pourtant de très nombreux experts disent qu’il se dégage un très rare consensus politique à Washington sur la limitation du pouvoir des titans et autres géants de la Silicon Valley et que nous pourrions être à un tournant majeur du pouvoir laissé à ces très, très grandes entreprises.
Dans un document de 64 pages déposé mardi par le DoJ (Department Of Justice), il est écrit que Google avait protégé la position dominante de son moteur de recherche en dépensant des dizaines de milliards de dollars chaque année pour exclure ses rivaux d’importants canaux de distribution tels que les smartphones et les navigateurs Web. Google est également accusé d’avoir conclu des contrats restrictifs pour exclure des concurrents.
Par exemple, ses paiements à Apple étaient si importants, selon le DoJ, qu’ils représentaient jusqu’à un cinquième des revenus de la société à la pomme. Selon les éléments fournis pour le procès, un employé senior d’Apple a écrit à son homologue Google en 2018 : « Notre vision est que nous travaillons comme si nous formions une seule entreprise ».
Terriblement gênant pour les deux entreprises.
Une unité politique
David Cicilline, le président démocrate du sous-comité antitrust de la Chambre des représentants, a qualifié le déclenchement de ces poursuites comme « tardif ». Josh Hawley, le sénateur républicain du Missouri, a déclaré qu’il s’agissait de « l’affaire antitrust la plus importante en une génération ».
L’unité inhabituelle entre les partis suggère non seulement que l’affaire Google continuera, quel que soit le vainqueur en novembre, mais que le secteur de la technologie continuera de faire l’objet d’un examen plus rigoureux.
Les enquêteurs fédéraux et étatiques cherchent également à intenter des poursuites contre Apple, Amazon et Facebook, ce n’est probablement que le début des malheurs juridiques du secteur.
« Nous sommes arrivés à un point d’inflexion », a déclaré Joel Mitnick, partenaire antitrust chez Cadwalader. « Il est difficile de voir que ces entreprises sortent de cette époque sans subir de changement ».
Les députés américains recommandent le démantèlement des GAFA
RépondreSupprimerLes GAFA seront démantelées et leur puissance réduite, car si nous prenons l’exemple d’Amazon, cette entreprise crée par exemple plus de problèmes qu’elle ne peut réussir à en résoudre. Les effets d’Amazon vont jusqu’à provoquer une nouvelle vague de destructions des commerces de centres-villes.
Au passage ces affaires montrent à quel point le politique prime toujours sur l’économique. Toujours. Encore faut-il ne pas abdiquer son pourvoir politique.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-google-antitrust-enquete-usa-risque-demantelement-gafa-geant-sannat
Peut-il y avoir une opposition à la libre entreprise ? Pourquoi un épicier serait-il montré du doigt s'il mettait en bout de console une marque inconnue plutôt qu'une 'grande marque' ? Pourquoi un livreur de pizzas devrait-il cessé son travail de transporteur accusé de faire faire la faillite d'autres commerçants ?
SupprimerChaque consommateur est parfaitement libre d'aller là où il veut et, s'il fait des économies d'aller chez l'un plutôt que chez l'autre ses économies profiteront à qui ?
Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie
RépondreSupprimer16:36 22.10.2020
Par Anna Borissova
Accusé d'espionnage et de vol de documents appartenant à l'État par la justice américaine, Edward Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie, a annoncé ce 22 octobre à Sputnik son avocat.
L'ancien employé contractuel de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) Edward Snowden a obtenu un permis de séjour permanent en Russie, a confié à Sputnik son avocat Anatoli Koutcherena.
Il précise que la législation russe permettait à l’ex-agent d'obtenir une carte de résident permanent.
M.Koutcherena indique que la procédure de renouvellement de son permis de séjour a été retardée par l’épidémie de coronavirus, mais «la réponse a été reçue», ajoutant qu’Edward Snowden se sent bien.
Affaire Snowden
Auparavant, Donald Trump avait déclaré qu'il examinerait sérieusement la situation de l’ex-consultant de la NSA et son éventuelle grâce. Mais la direction de la Commission des forces armées de la Chambre des représentants des États-Unis a qualifié cette déclaration du Président américain de «grave erreur».
Le lanceur d'alerte avait livré au Washington Post et au Guardian des informations classifiées sur les programmes de surveillance des services de renseignement américains et britanniques sur Internet en 2013.
Face aux accusations d'espionnage et de vol de documents appartenant à l'État par la justice américaine, Edward Snowden s'est réfugié en Russie la même année. À condition qu'il cesse son activité visant son pays natal, la Russie lui avait proposé un asile temporaire d’un an. En 2014, il a reçu un permis de séjour de trois ans prorogé de trois ans en 2017.
https://fr.sputniknews.com/international/202010221044617390-snowden-a-obtenu-un-permis-de-sejour-permanent-en-russie/
Récit d’une brève escapade dans la péninsule ibérique
RépondreSupprimerle 22 octobre 2020
Après une année de privation de voyages aériens j’ai goûté à nouveau aux joies de ce type de déplacement. Depuis les îles Canaries on n’a pas trop le choix et en tant que résident permanent le prix d’un voyage dans la péninsule défie toute concurrence, alors autant en profiter. Pendant le vol de trois heures vers Barcelone, telle ne fut pas ma surprise de constater que l’aéronef survolait le territoire marocain, un fait nouveau qui m’a permis de découvrir que le désert marocain était ponctué d’une intense activité minière. L’arrivée à l’aéroport de Barcelone m’a déprimé. Cet endroit habituellement peuplé d’une incroyable foule cosmopolite était vide, les boutiques en grande majorité fermées, les bars à tapas et les restaurants également fermés, l’horreur ! Je pris ensuite un vol pour Alicante et même impression mortifère dans cet aéroport.
Lors de mon séjour chez une de mes nièces je fis une découverte stupéfiante : l’un de mes petits-neveux, en classe terminale et ayant déjà largement perdu son année scolaire 2019-2020 conclue par un blanc-seing pour accéder à l’ultime année précédant son entrée à l’université, travaillait en grande partie « à la maison », distanciation sociale oblige. Je m’explique : pour respecter un certain espace dit de sécurité dans les salles de classes, malgré le port obligatoire du masque, les élèves ne vont à l’école qu’un jour sur deux, c’est-à-dire une semaine de trois jours à l’école et la semaine suivante avec deux jours seulement à l’école. À la maison l’élève est livré à lui-même et il doit se battre sur un petit ordinateur avec son téléphone portable en complément pour écouter le cours transmis en différé par le professeur et consulter un résumé écrit du dit cours.
L’élève, en l’occurence mon petit-neveu, doit rédiger des devoirs dont l’énoncé manque souvent de clarté. Ces devoirs sur papier sont rendus au professeur le jour suivant. Lors de mon séjour j’étais presque le bienvenu car cet enfant était confronté à des cours et des devoirs de chimie et il restait encore quelque part enfouis dans mes neurones vieillissants de vagues notions de chimie. J’ai tout de même constaté que la notion d’orbitales avait l’air de faire partie du quotidien pour mon petit-neveu alors que « de mon temps » cette notion n’avait été abordée qu’en deuxième année d’université. J’ai cru comprendre que l’enseignement de la chimie pour des élèves de classe de terminale avait été rendu parfaitement ésotérique avec une couche de physique quantique qui n’avait pas, à ce stade, vraiment lieu d’être. Curieuse évolution …
La conséquence alarmante de l’épidémie de SARS-CoV-2 sur toute une génération d’écoliers se fera sentir à l’entrée à l’université. En effet, le passage de la première à la terminale a permis l’acquisition de « points » pris en compte pour l’accès à l’université mais le barème d’entrée, compte tenu de la dévalorisation du passage de première à la terminale, a été relevé. Cette modification obligera ainsi les élèves actuellement en classe terminale à obtenir les meilleures notes possibles pour accéder à des études supérieures, pour mon petit-neveu en l’occurence la faculté de médecine pour s’orienter vers l’odontologie. On peut prédire que beaucoup de ces écoliers se retrouveront dans quelques années soit tout simplement chômeurs soit résignés à exercer un métier qu’ils n’avaient pas souhaité. L’avenir me paraît bien incertain pour ces quelques dizaines de millions d’adolescents européens …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/22/recit-dune-breve-escapade-dans-la-peninsule-iberique/
Plus de la moitié des PME européennes pourraient faire faillite dans les 12 mois, selon McKinsey & Co
RépondreSupprimer23:01 22.10.2020
Par Daria Petliaeva
Sur fond de pandémie, plus de 50% des petites et moyennes entreprises européennes envisagent une faillite au cours des 12 mois à venir, à en croire les résultats du sondage de McKinsey & Co paru le 22 octobre. La crise liée au nouveau coronavirus a diminué les revenus de 70% d’entre elles, est-il précisé.
Parmi les entreprises européennes qui ont jusqu’ici survécu à la crise liée à la pandémie de Covid-19, plus de la moitié estiment ne pas pouvoir rester à flot au cours des 12 mois à venir, met en lumière un sondage publié le 22 octobre par McKinsey & Co.
«Plus de la moitié estimaient que leur entreprise ne survivrait peut-être pas plus de 12 mois, malgré le fait que 20 % des entreprises participant au sondage avaient déjà profité de diverses formes d'aide gouvernementale visant à atténuer leurs difficultés financières», est-il précisé.
Le sondage, dont le but était de montrer à quel point «la prospérité» des entreprises en Europe est touchée par le Covid-19, a été mené en août auprès de plus de 2.200 petites et moyennes entreprises dans cinq pays européens: en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne et au Royaume-Uni.
Chute des revenus
La crainte des sociétés de ne pas pouvoir rembourser leurs prêts est une autre manifestation de ce pessimisme du milieu d’affaires européen quant à son avenir.
«Une entreprise sur cinq craignait de ne pas rembourser ses prêts et de devoir licencier des employés, tandis que 28 % avaient peur de devoir annuler leur projets de croissance», détaille McKinsey & Co.
Qui plus est, à cause de la pandémie, les revenus de 70 % des entreprises sondées ont diminué, entraînant de graves répercussions.
L’ampleur des pertes varie en fonction des pays et mesures prises par leurs gouvernements respectifs. Ainsi, ce sont les entreprises espagnoles et italiennes qui semblent avoir le plus souffert, 33 % et 30 % d’entre elles ayant respectivement annoncé que leur revenus avaient «beaucoup diminué», un chiffre qui s'élève à 27 % côté français et 23 % en Allemagne, à en croire le sondage.
https://fr.sputniknews.com/economie/202010221044619996-plus-de-la-moitie-des-pme-europeennes-pourraient-faire-faillite-dans-les-12-mois-selon-mckinsey--co/
En France le nombre de magasins et d'entreprises en ZI qui sont fermés dépasse largement les '50 %' !
SupprimerLe virus qui n’est pas là, le séquençage génétique et le tour de magie
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
23 octobre 2020
Récemment, j’ai écrit une série d’articles révélant que l’existence du virus SARS-CoV-2 n’est pas prouvée.
J’ai cité des documents clés du CDC et d’étude qui confessent «le virus n’est pas disponible». Ce qui est comme une entreprise de glace disant qu'elle n'a pas accès à l'eau. [1] [2] [3] [4] [5]
J'ai publié des citations de l'article majeur du Dr Tom Cowan [6] exposant comment les auteurs de revues CDC «assemblent» l'idée d'un virus à partir de séquences pavées qu'ils ASSUMENT de faire partie du SARS-CoV-2. (Ci-dessous, je réimprime mon article sur les découvertes choquantes du Dr Cowan.)
Maintenant, je veux faire des commentaires généraux sur les inconvénients, le jeu, l'agitation.
Le public et la plupart des professionnels de la santé sont impressionnés par l'ensemble du concept de séquençage génétique. Ils acceptent le processus comme un saint des saints. Si les chercheurs de leur laboratoire prétendent avoir «séquencé le virus», le virus doit exister. Comment sa structure génétique aurait-elle pu être découverte autrement?
Bien sûr, le virus n’a pas besoin d’exister du tout. Nous parlons d'une illusion. La magie de la scène.
Et si on pouvait le forcer à expliquer son tour, le magicien dirait:
«Remarquez, je commence par un fragment d'ARN qui, je suppose, fait partie d'un nouveau virus plus grand. Mon hypothèse n’est pas prouvée. Je fais simplement la réclamation.
«Ensuite, je présente la structure génétique de ce petit fragment d'ARN, et je découvre que j'ai besoin de beaucoup plus d'informations génétiques pour remplir la séquence de tout le virus.»
«Ce n’est pas vraiment une découverte. Je savais déjà que j'aurais besoin de beaucoup plus. La question est: où vais-je obtenir ces informations supplémentaires? »
«La réponse est: à partir de bases de données. Ces bases contiennent des kilomètres de séquences qui ont déjà été établies - à tort ou à raison. Séquences d’autres virus. »
«Quelles séquences dois-je choisir? Je fais des suppositions. Je fais des hypothèses. En fait, je choisis en fonction d'une histoire qui a déjà été tracée. Dans ce cas, une histoire sur un membre de la famille des coronavirus. C'est vrai. J'ai toujours su ce que j'allais chercher. En fait, ce premier morceau d'ARN avec lequel j'ai commencé? J'aurais pu sélectionner toutes sortes d'autres morceaux d'ARN, mais j'ai choisi celui-là parce qu'il semblait appartenir à la famille des coronavirus.
«Est-ce que toute cette affaire ressemble à une opération de Lego ou de bricolage? Et bien ça l'est. Je n'ai jamais de spécimen physique du virus. Je n'isole jamais le prétendu virus de tout le matériel qui l'entoure. Je suppose ou je prétends simplement que le virus est là-dedans. "
«Quoi qu'il en soit, je sélectionne maintenant toutes sortes de séquences génétiques dans l'énorme base de données. Et j'accroche les séquences ensemble, COMME SI elles étaient déjà connectées et réelles et attendaient que je les trouve. Ils ne l’étaient pas, mais je prétends qu’ils l’étaient. »
«Cette prétention est la clé. C’est comme vendre à une ventouse une carte menant à une mine d’argent perdue. Il n'y a jamais eu de carte. L'escroc l'a bricolé à partir de morceaux d'autres anciennes cartes d'un territoire dans les montagnes du Colorado. La carte semble réelle. Ça a l'air entier. Mais ça n'a jamais été complet.
RépondreSupprimer«LA SÉQUENCE GÉNÉTIQUE DU VIRUS est cette carte. Il est conçu pour ressembler à un long code qui était là depuis le début. Mais ce n’était pas le cas. Ce n’est pas le cas. »
«Chaque bon tour de magie fonctionne de cette façon. Le magicien fait croire au public qu'il effectue une opération en douceur. Mais ce n’est pas le cas. Il fait toutes sortes de détours. Il met la main dans sa manche et en sort une carte. Il palpe cette carte pour que personne ne la voie. Il glisse la carte dans le paquet de son autre main. Et pendant tout ce temps, il parle avec confiance et fait d'autres gestes pour distraire le public. "
«Le but de cette astuce est d'inspirer la crainte. Dans le laboratoire, le même principe s'applique. Les chercheurs SEMBLENT trouver une longue séquence génétique du virus entier. Étonnant."
«Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Pas de loin.
«Et remarquez une autre chose très importante. En laboratoire, nous sommes en train de reconstituer et de bricoler le modèle - le code - d'un virus. Nous n'avons pas à nous occuper de gènes réels. Ce que nous faisons est tout au niveau de la construction IDÉATIONNELLE. Nous connectons DATA. Voilà donc un autre niveau du truc. Nous n’enchaînons pas des morceaux de matériau. Nous rassemblons des éléments de données provenant de bases de données génétiques. Ce serait comme se tenir sur scène devant un public et faire un tour de carte très intelligent sans avoir un jeu de cartes en premier lieu. Maintenant, C’est un truc pour les âges. »
Avec tout cela, je pense, lisez mon précédent article sur les découvertes choquantes du Dr Tom Cowan:
Le Dr Tom Cowan explore le virus COVID inventé par pure absurdité
—Cowan analyse encore un autre document clé publié par le CDC, dans leur journal, Emerging Infectious Diseases: «Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States» -
par Jon Rappoport
19 octobre 2020
Les coups continuent à venir. Le CDC a utilisé un processus informatique arbitraire «bricoler-jouet» pour inventer une description du virus. Le virus que personne n'a prouvé existe. Telle est la conclusion fondamentale du Dr Tom Cowan.
L'article du CDC [7] a été découvert par Sally Fallon Morrell. Son co-auteur, le Dr Cowan, étoffe la fraude. L’article de Cowan s’intitule «Seules les cellules de singe empoisonnées ont développé le virus.» [6]
Dr Cowan: «[L'article de la revue CDC] a été publié en juin 2020 [publication originale, mars 2020]. Le but de l'article était pour un groupe d'environ 20 virologues de décrire l'état de la science de l'isolement, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SRAS-CoV-2, et de partager ces informations avec d'autres scientifiques pour leurs propres recherches. Une lecture approfondie et attentive de cet article important révèle des résultats choquants. »
«Premièrement, dans la section intitulée« Séquençage du génome entier », nous constatons qu’au lieu d’avoir isolé le virus et de séquencer le génome de bout en bout, ils ont trouvé 37 paires de bases à partir d’échantillons non purifiés à l’aide de sondes PCR. Cela signifie qu'ils ont en fait examiné 37 des quelque 30 000 paires de bases que l'on prétend être le génome du virus intact. Ils ont ensuite pris ces 37 segments et les ont mis dans un programme informatique, qui a rempli le reste des paires de bases.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, le séquençage du virus SARS-CoV-2 a été fait par hypothèse et inférence arbitraire. Si c'est de la science, un pingouin est un vaisseau spatial.
Cowan: «Pour moi, cette étape de génération informatique constitue une fraude scientifique. Voici une équivalence: un groupe de chercheurs prétend avoir trouvé une licorne parce qu'ils ont trouvé un morceau de sabot, un cheveu d'une queue et un bout de corne. Ils ajoutent ensuite ces informations dans un ordinateur et les programment pour recréer la licorne, et ils prétendent ensuite que cette recréation d'ordinateur est la vraie licorne. Bien sûr, ils n’avaient jamais vu une licorne et n’auraient donc pas pu examiner sa constitution génétique pour comparer leurs échantillons avec les cheveux, les sabots et la corne de la licorne. »
«Les chercheurs affirment qu’ils ont décidé quel est le véritable génome du SRAS-CoV-2 par« consensus », un peu comme un vote. Encore une fois, différents programmes informatiques proposeront différentes versions de la «licorne» imaginaire, afin qu'ils se réunissent en groupe et décident quelle est la vraie licorne imaginaire. "
Comme je l’ai dit [5], la «découverte» du «nouveau virus» était en fait la création d’une HISTOIRE PRÉ-DÉTERMINÉE SUR UN VIRUS. Rien de réel ou de crédible à ce sujet.
Mais une fois que le modèle officiel est établi, d'autres le suivent consciencieusement.
Le Dr Cowan découvre plus de folie dans l'article du journal CDC. En utilisant le nouveau virus ASSUMED, dans un ÉTAT NON ISOLÉ, les chercheurs tentent de prouver qu'il est nocif en l'injectant sur plusieurs types de cellules différents en laboratoire:
Cowan: «La véritable découverte à succès dans cette étude vient plus tard, une découverte si choquante que j'ai dû la lire plusieurs fois avant de pouvoir croire ce que je lisais. Permettez-moi de citer le passage intact: "
«'Par conséquent, nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires de primates et humaines communes, y compris les cellules d'adénocarcinome humain (A549), les cellules hépatiques humaines (HUH 7.0) et les cellules rénales embryonnaires humaines (HEK -293T). En plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe]. … Chaque lignée cellulaire a été inoculée à une multiplicité d'infection élevée et examinée 24h après l'infection. Aucun CPE n'a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [de singe], qui ont augmenté de plus de 10 à la 7e puissance 24 h après l'infection. En revanche, HUH 7.0 et 293T n'ont montré qu'une réplication virale modeste, et les cellules A549 [cellules humaines] étaient incompatibles avec l'infection par le SRAS CoV-2 ».»
«Que signifie réellement ce langage et pourquoi est-ce la déclaration la plus choquante de la communauté virologique? Lorsque les virologues tentent de prouver l’infection, ils disposent de trois «hôtes» ou modèles possibles sur lesquels ils peuvent effectuer des tests… »
«La troisième méthode utilisée par les virologues pour prouver l'infection et la pathogénicité - la méthode sur laquelle ils s'appuient le plus - est l'inoculation de solutions, selon eux, contenant le virus sur une variété de cultures de tissus. Comme je l’ai souligné à maintes reprises, il n’a jamais été démontré qu’une telle inoculation tue (lyse) le tissu, à moins que le tissu ne soit d’abord affamé et empoisonné. »
RépondreSupprimer«La chose choquante à propos de la citation ci-dessus [journal CDC] est que, en utilisant leurs propres méthodes, les virologues ont découvert que les solutions contenant le SRAS-CoV-2 - même en grande quantité - n'étaient PAS, je le répète, NON infectieuses pour l'un des trois humains. cultures de tissus qu'ils ont testées. En clair, cela signifie qu’ils ont prouvé, selon leurs conditions, que ce «nouveau coronavirus» n’est pas infectieux pour les êtres humains. Il est UNIQUEMENT infectieux pour les cellules rénales de singe, et seulement alors lorsque vous ajoutez deux médicaments puissants (gentamicine et amphotéricine), connus pour être toxiques pour les reins, au mélange. »
«Mes amis, lisez ceci encore et encore. Ces virologues, publiés par le CDC, ont fait une preuve claire, selon leurs termes, montrant que le virus SARS-CoV-2 est inoffensif pour l'homme. C'est la seule conclusion possible, mais malheureusement, ce résultat n'est même pas mentionné dans leur conclusion. Ils disent simplement qu'ils peuvent fournir des stocks de virus cultivés uniquement sur des cellules Vero de singe, merci d'être venus. "
Alors d'abord… utilisez un processus de séquençage génétique qui consiste à concocter, à partir d'un programme informatique arbitraire…
L'existence et la structure du «nouveau virus»…
Et puis, en prenant une soupe qui, selon les chercheurs, contient le virus, à l'état non isolé, injectez la soupe dans plusieurs types de cellules du laboratoire ...
Et découvrez que la cible principale - les cellules humaines - ne sont pas infectées par le virus imaginaire.
Et après cette bonne journée de travail, éloignez-vous et prétendez que rien d’étrange ou d’auto-incriminant ne s’est produit.
Et oh oui, verrouillez la planète sur la base de cette «science».
Naturellement, nous devons prendre un vaccin toxique qui empêche la non-infection par le non-virus.
SOURCES:
[1] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/08/the-smoking-gun-where-is-the-coronavirus-the-cdc-says-it-isnt-available/
[2] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/09/covid-the-virus-that-isnt-there-the-root-fraud-exposed/
[3] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/12/the-fake-coronavirus-and-the-missing-study-the-secret-in-plain-sight/
[4] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/13/yet-another-case-of-the-missing-virus-they-lied-and-locked-down-the-world/
[5] https://blog.nomorefakenews.com/2020/10/15/if-the-virus-isnt-there-why-do-they-believe-it-is/
[6] https://drtomcowan.com/only-poisoned-monkey-kidney-cells-grew-the-virus/
[7] https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/6/20-0516_article
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/the-virus-that-isnt-there-genetic-sequencing-and-the-magic-trick/
Un virus menace les courgettes, melons et concombres
RépondreSupprimerUn virus qui occasionne des dégâts notamment sur les cultures de courgettes, melons et concombre vient d’être repéré en France pour la première fois.
Dans un communiqué du 21 octobre 2020 le ministère de l’Agriculture et de l’alimentation indique que le virus Tomato leaf curl New Delhi virus (ToLCNDV), présent dans certains pays européens (Espagne, Italie, Portugal, Grèce…) venait d’être détecté pour la première fois en France.
Le ministère indique que ce virus est connu en Europe « pour les dommages qu’il peut causer aux cultures de courgettes, de concombres et de melons ». En Inde, il est extrêmement virulent sur les cultures de tomates », ajoute le communiqué.
Les symptômes foliaires donnent l’alerte
La contamination a été repérée sur des parcelles de courgette, en Occitanie et en Paca, « dans des établissements de production et de revente de semences, sur des parcelles non destinées à la production de semences commerciales, et chez des agriculteurs ».
Le ministère explique que ce sont des symptômes foliaires qui ont conduit les services régionaux chargés de la protection des végétaux du ministère de l’Agriculture à effectuer des prélèvements, « pour confirmer officiellement la présence de l’organisme nuisible ». Ce virus étant un « organisme de quarantaine » il fait l’objet d’une « lutte obligatoire au titre de la réglementation européenne relative à la santé des végétaux ».
Destruction des plants contaminés
Dans les zones ou le virus a été détecté, le ministère de l’Agriculture précise que « des mesures conservatoires ont été mises en œuvre afin d’empêcher toute dissémination du virus par les outils de taille ou par l’intermédiaire de son insecte vecteur, l’aleurode Bemisia tabaci, une petite mouche blanche ». Les plants vont être détruits « selon un protocole sécurisé » et « sous contrôle des services de l’État dans les parcelles contaminées ».
Pour le ministère de l’Agriculture, l’éradication de ce virus est l’objectif à atteindre. Afin de déterminer l’origine de la contamination, une enquête est actuellement menée. De plus, « une surveillance renforcée sera mise en œuvre pour la prochaine campagne culturale afin de confirmer l’éradication du virus sur notre territoire », souligne le communiqué. Le ministère précise que ce virus « ne présente aucun risque pour la santé humaine ».
Marie-Astrid Batut
https://www.lafranceagricole.fr/actualites/cultures/sanitaire-un-virus-menace-les-courgettes-melons-et-concombres-1,15,3713067653.html
L'aleurode (comme la noctuelle) est une petite mite blanche ou crème qui pond aux bouquets de jeunes pousses. Les vers microscopique éclosent et pénètrent immédiatement dans la plante et en filètent les branches.
SupprimerUn plant de tomate de 2 m de haut meurt en 3 jours et, cet insecte s'attaque aux autres plantes !
Il est donc obligatoire d'utiliser un produit de traitement systémique pour tuer le vers dans la plante ou dans le fruit (Fertiligène. Seul produit systémique).
Mais, le 'gouvernement' a demandé à ce que les produits systémiques soient supprimés des rayons !
Interdiction d'utiliser des remèdes contre les maladies !!
C'est ainsi que peu à peu dans le monde vont être supprimés des marchés ce légume exceptionnel (le plus consommé après la pomme de terre) qui est la tomate !
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RECTIFICATION IMPORTANTE:
Le titre de l'article c'est : 'Un virus menace les courgettes, melons et concombres'. Or, il ne s'agit pas d'un virus mais d'un insecte BIEN VIVANT LUI !
Mais, les journalistes - et les politiciens - (qui ne sont pas des scientifiques) parlent sans savoir.
Un virus est une poussière nanométrique qui peut être de plusieurs ordres:
- Poussière neutre (terre, charbon, etc)
- Poussière métallique
a) neutre (fer, etc)
b) poussière irradiante (de type radioactive/cancer),
c) Poussière aimantée (elles attirent, se groupent, se collent ensemble et peuvent obstruer des vaisseaux sanguins).
Un virus ne peut donc être tué ! Donc, l'emploi de vaccin ou d'antibiotiques est donc inutile.
A ne pas confondre avec les microbes (appelés aussi bactéries). Un microbe est vivant. Il se détruit avec des vaccins ou des antibiotiques.