Agoravox
dim., 18 oct. 2020 18:54 UTC
Alors que les journaux publient les scores quotidiens de contaminations et les records toutes catégories de générations spontanées de foyers d'infections qui défient les exorcistes médiatiques, les médecins de quartiers, eux, constatent l'apparition massive de cas de dépressions et de crises d'angoisse.
L'inquiétude et l'anxiété sont des réactions normales à des événements qui créent des niveaux élevés d'incertitude, en particulier lorsque ces événements touchent à des aspects cruciaux de nos conditions de vie, comme le travail, les ressources, le logement, l'éducation et la santé ( la nôtre et celle de nos proches).
Plus les conséquences sociales et économiques des « mesures d'exception » gouvernementales s'aggraveront, plus les effets à long terme sur la santé mentale seront préoccupants, et il faut s'attendre en ce domaine à une augmentation notable des problèmes persistants qui nécessiteront une prise en charge, un soutien et un suivi.
Paradoxalement, la détresse émotionnelle de longue durée est rarement la conséquence de conflits armés, même chez les combattants, ou de bouleversements politiques radicaux, alors qu'on observe toujours une augmentation des problèmes de santé mentale et des suicides après les crises économiques majeures (comme le krach financier de 1929 ou celui de 2008) et les périodes d'austérité qui les suivent. Or, pandémie ou pas, la destruction de secteurs économiques entiers touchant en particulier les TPE et PME aura forcément des conséquences économiques durables et les pertes d'emplois à grande échelle dans les mois à venir.
Ces perspectives sombres risquent de fragiliser la trame du tissu social qui sous-tend tout l'édifice d'une nation. Les problèmes de santé mentale empiètent sur tous les aspects de la vie. Ils affectent la capacité à apprendre, à travailler, à nouer et à entretenir des relations.
Les médias alertent les téléspectateurs sur le risque de saturation des services hospitaliers à cause d'un deuxième vague du virus, mais rien n'est dit sur la dégradation psychique de la population. Pourtant, une augmentation importante de la demande en matière de prise en charge de ces pathologies risque d'exercer une pression fatale sur les services de santé mentale déjà sollicités et sous-financés. Les coûts directs et indirects d'une augmentation des problèmes de santé mentale sont considérables. Faut-il attendre que cette crise-là devienne grave pour mettre en place un soutien dans les écoles, les lieux de travail et les quartiers ?
Les conséquences sociales et économiques des mesures liées au confinement et à ses suites révèlent et exacerbent les inégalités existantes et les facteurs connus déterminants dans la déstabilisation de l'équilibre mental s'aggravent : chômage, insécurité de l'emploi, difficulté à se chauffer et se nourrir correctement, la violence familiale.
Ceux qui sont déjà désavantagés, ceux qui ont déjà des problèmes de santé mentale plus ou moins graves, ceux qui sont socialement isolés marginalisés et isolés seront les plus durement touchés, et c'est particulièrement vrai pour les jeunes. Si les restrictions sociales, les fermetures d'écoles et la bérézina des examens ont eu un impact sur l'ensemble de la population, pour de nombreux jeunes vivant dans des ménages défavorisés, ces impacts sont aggravés par le manque d'accès aux ordinateurs et à un Internet à haut débit fiable, par des conditions de logement exiguës et par des tensions familiales liées à la pauvreté, à l'insécurité de l'emploi des parents, etc.
Les problèmes de santé mentale qui se développent pendant l'enfance et l'adolescence persistent à l'âge adulte, avec des effets profonds sur l'éducation, le travail et les relations. Une forte augmentation des problèmes de santé mentale chez les jeunes se répercutera désormais dans les années à venir, creusant davantage les inégalités.
L'idéologie libérale à l'origine des réductions budgétaires drastiques et les politiques de privatisation des services de santé qui qui se sont succédées sans discontinuer au cours des 40 dernières années ont laissé le pays dépourvu pour répondre efficacement aux situations de détresse qui ne manqueront pas d'accompagner la crise économique qui s'annonce. Le rétablissement des infrastructures de leur prise en charge doit-il être laissé aux bénévoles et aux organismes de bienfaisance. La réponse apportée à cette question est liée au choix de société de chacun, mais justement, prévenir une crise grave de santé mentale généralisée signifie anticiper sur la catégorie dans laquelle nous projetons notre propre avenir : rêve ou cauchemar ?
La prochaine pandémie sera mentale, et il n'y aura pas de vaccin.
Commentaire : Pas de vaccin mais des bons et gros médicaments. Encore une fois ... devinez qui va augmenter son revenu ?
https://fr.sott.net/article/36186-La-prochaine-pandemie-sera-mentale
Il est inutile d'augmenter le nombre de lits dans les hôpitaux car il manque de personnels pour s'en occuper !
RépondreSupprimerUne neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
RépondreSupprimerSott.net
jeu., 08 oct. 2020 06:06 UTC
C'est l'un des billets les plus importants que j'aie jamais rédigés, alors je vous invite à le lire. J'ai retranscrit les extraits les plus marquants du récent et très urgent message vidéo du Dr Margarite Griesz-Brisson, qui a été traduit de l'allemand en anglais par Claudia Stauber.
https://www.youtube.com/watch?v=pd22FGeuyog
Vidéo originelle du Dr Griesz-Brisson
Le Dr Margarite Griesz-Brisson, docteur en médecine, est neurologue consultante et neurophysiologiste, titulaire d'un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité. Voici ce qu'elle a à dire sur les masques et leurs effets sur notre cerveau :
« La réinhalation de l'air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en gaz carbonique. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d'oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l'hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène - elles ne peuvent pas survivre.
Les symptômes d'alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction - qui sont des réactions du système cognitif.
Cependant, lorsque vous souffrez d'une privation chronique d'oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.
Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd'hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.
Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l'air que vous venez d'expirer, mais il n'en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s'amplifient à mesure que votre privation d'oxygène se poursuit.
Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l'oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.
Je ne porte pas de masque, j'ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m'occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au gaz carbonique.
Il n'existe pas d'exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d'oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s'il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.
Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d'une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l'enfant, ou de l'adolescent, a soif d'oxygène. Plus l'organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d'oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.
RépondreSupprimerPriver le cerveau d'un enfant ou d'un adolescent d'oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d'oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés.
L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Nous n'avons pas besoin d'étude clinique pour le savoir. C'est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d'oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue.
En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n'est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu'il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.
Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n'avions pas besoin des masques ».
Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d'affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des questions concernant la santé d'une population entière ? S'il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller.
Je sais à quel point le manque d'oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d'oxygène endommage tous les organes.
Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s'opposer avec véhémence au confinement et d'y mettre fin - dès le début.
Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doivent-ils sérieusement prouver que la privation d'oxygène est nocif pour tous ? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales représentent-ils ?
Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ? Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l'empêchent pas ?
Il ne s'agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé. Il s'agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n'ai pas peur.
Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air. L'impératif à l'heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons - pas les médias. Nous sommes responsables de ce que nous faisons - pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé - pas l'Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays - pas le gouvernement. »
RépondreSupprimerComment: Il n'existe pas de preuves scientifiques de l'efficacité des masques contre la transmission des virus par voie aérienne, mais il existe des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque.
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/36152-Une-neurologue-allemande-met-en-garde-contre-le-port-du-masque-La-privation-d-oxygene-provoque-des-dommages-neurologiques-irreversibles
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
Occident : un gouvernement fantôme dirige des criminels
RépondreSupprimerL.I.E.S.I.
dim., 18 oct. 2020 21:19 UTC
Avec la dette ils ont bien l'intention d'achever l'ancien monde. Et ce sont bien les banques centrales qui sont à la manœuvre de cette entreprise inique. Leur virus est utilisé comme un catalyseur pour accélérer la transformation du paysage et l'imposition d'un univers concentrationnaire à ciel ouvert.
Il y a un avantage à tout cela : ils sont engagés dans un processus sans retour et ils vont mettre le monde à feu et à sang. Comment vont-ils gérer ce chaos ? Le vaccin à venir qui doit contrôler les gens et en tuer un certain nombre sera insuffisant pour contenir la haine. Quand on a tout perdu on n'a plus rien à perdre.
Les guignols et les traîtres placés à la tête des gouvernements, au nom du cartel de la Haute finance, n'ont visiblement pas compris qu'un certain nombre d'entre eux seront tués comme l'a été Kadhafi. Oui, cela va être un terrible jeu de massacre...
En attendant ? Les déficits doivent encore PLUS exploser parce qu'il n'y a justement plus de retour en arrière possible. Les troupes du Malin sont élancées vers un futur qu'elles pensent contrôler et rester maîtresses de l'avenir. Elles se pensent intelligentes avec toute la cohorte de dirigeants qui ont mis le doigt dans le complot inique. Un Nicolas Sarkozy disait, il y a quelques années, que l'on ne pourrait plus arrêter le Nouvel Ordre Mondial. Ils ne peuvent plus rien faire d'autre d'accélérer, mais... pour heurter le Mur que le Bon Dieu a établi dans sa sagesse... et qui se traduira par les conséquences de leur stratégie.
En attendant ? Nous n'avons rien vu de la grande misère qui va s'abattre sur ce monde apostat. Car les peuples ont aussi une lourde responsabilité dans cette affaire. Ils refusent de se convertir et préfèrent suivre les menteurs de la politique et leurs agences de communication que l'on appelle les experts. Ils refusent de regarder la vérité en face et de se dresser face à elle.
Ils s'adressent à des agences d'informations qui suivent deux principes : propagande et désinformation. Tout est fait pour induire en erreur. Tout ce qui a trait à la vérité est systématiquement traduit comme mensonge et complotisme. Une seule chose compte : la solution finale concoctée par les patrons des banques centrales, ce fameux cartel dont beaucoup de gens ont parlé depuis 1913. Ainsi se vérifie ce que disait un Rothschild : celui qui contrôle l'argent a fini par contrôler le monde. C'est aussi simple que cela.
Pour garder leur pouvoir sur les peuples et ne pas devenir leur cible, ils commencent à monter les gens les uns contre les autres. Les groupes Noirs de grand pays occidentaux sont spécialement manipulés pour projeter un programme déjà exécuté en Afrique du Sud.
C'est d'autant plus facile quand la vérité n'est plus éternelle mais qu'elle est devenue subjective. Les Américains ont déjà été confronté à des émeutes que beaucoup considèrent encore à jour comme accidentelles. Ce n'est qu'un début de ce qui va détruire ce pays avant l'arrivée d'un autre élément dont nous parlerons dans la Lettre des prophéties.
Pourquoi les oligarchies impliquées dans la destruction du monde chrétien ont-elles planqué de la nourriture dans certaines parties du monde où il n'y a pas d'humains ? Parce qu'elles prévoient de susciter des révoltes, des guerres civiles et amplifier ce chaos avec les famines.
RépondreSupprimerLisez bien le numéro de la lettre LIESI du 15 octobre. Il y a des clés de lecture très concrètes. Ils veulent un effondrement total du système pour qu'ils puissent en émettre un nouveau, qui leur sera bénéfique, mais avec très peu de gens restant... Bien sûr, ils espèrent régir le nouveau système monétaire avec une nouvelle monnaie numérique. Tout cela ne pourra voir le jour qu'avec une sorte de régime tyrannique.
https://fr.sott.net/article/36187-Occident-un-gouvernement-fantome-dirige-des-criminels
Le menteur prend, en toutes choses, ses interlocuteurs pour des cons.
RépondreSupprimerlundi, 19 octobre 2020 09:29
Il ne faut pas oublier ce théorème si l’on veut comprendre l’attitude de nos hommes de l’Etat pour qui le mensonge est l’outil de communication de tous les instants en toutes situations.
Ainsi, allaient-ils sanctionner le professeur décapité qu’ils vénèrent aujourd’hui ?
Oui, c’est un fait, qu’ils ne peuvent réfuter, pourtant ils le font.
Il ne faut jamais avoir déposé une plainte contre un fonctionnaire déviant pour ne pas savoir que le procureur de la république les classe toujours sans suite, sauf en matière sexuelle. Ici le procureur a poursuivi.
Le professeur s’est retrouvé au commissariat. Pour sa défense il a cru bon de déposer une plainte en diffamation à son tour. Effet beaucoup plus dévastateur pour la suite mortelle que les réseaux sociaux accusés par les hommes de l’Etat.
Mensonge ordinaire pour eux qui ont aujourd’hui le culot de surfer sur le racisme pour proposer le Panthéon à celui qu’ils s’apprêtaient à poursuivre en justice, qu’un simple d’esprit, crédule et manipulé par leurs semblables, a assassiné en se suicidant.
J’ajouterai, et ce sera mon dernier avis sur cette affaire, ce professeur remplit-il sa mission lorsque, abordant le sujet de la liberté d’expression, de conscience, il propose à ceux qui ont le plus besoin de son cours – les intoxiqués par la religion musulmane – de quitter la classe ? Evidemment non. Alors un peu de pudeur. L’horreur de sa mort, évidemment inacceptable, ne peut pas le transformer en héros de la nation.
Plus généralement.
Prendre la population pour des cons, se prendre pour un génie, n’est-ce pas la marque de fabrique de toute dictature, de tout abus de pouvoir ? N’est-ce pas le contraire de la démocratie, du respect de l’autre ? Si, évidemment.
Nous sommes effectivement sous dictature.
A ce sujet, Michel Georgel pose des questions dans son dernier billet qui m’ont interpellé.
En effet, l’INSEE rapporte qu’entre le 1?? mai et le 5 octobre 2020, c’est 247 613 décès qui ont été enregistrés en France à la date du 16 octobre, soit 1 % de plus qu’en 2019. Soit 2.476 de morts supplémentaires, et non 33.000. Donc, sur les 33.000 attribués au COVID, 30.500 seraient morts sans le COVID.
Il n’est pas ridicule d’imaginer que les 2.476 décès supplémentaires de 2020 ont été victimes des dysfonctionnements des hôpitaux et des HEPAD.
Donc, il n’y a pas d’épidémie particulière.
Il faut reconnaître que cela fait bizarre. Il faut se pincer pour le croire, et encore…et pourtant…
Je n’adhère à aucune théorie du complot volontariste, mais je crois aux grandes tendances qui s’imposent du fait d’intérêts — ou d’idées — dominants et synergiques, qui dictent une conduite majoritaire qui peut donner l’impression d’un complot, que des opportunistes adoptent et que des escrocs s’attribuent effectivement au titre de complot, ou vision politique, ou religion, etc …
RépondreSupprimerJe propose une analyse avec toute la prudence d’usage en pareil cas.
L’économie se cherche depuis quelques années, sans que personne ne comprenne très bien d’où viendrait le mal ni quel il serait exactement. Les avis à ce sujet sont très divergents.
Soudain, début 2020, une fraction importante de la population cesse de travailler, est confinée.
Et… l’économie ne se porte pas plus mal…
D’où la question : le travail de toutes ces personnes arrêtées était-il utile ? La réponse pourrait-être : non.
Mais alors, il faudrait admettre que notre société peut parfaitement fonctionner avec une énorme masse d’inactifs.
Oui mais, ces inactifs ne sont supportables que s’ils n’entravent pas le travail des actifs et s’ils ne réclament pas une part trop importante des revenus de ceux qui travaillent et produisent des richesses.
L’apparition soudaine d’un nouveau virus, très agressif mais peu mortel pour les personnes en bonne santé, génère l’effroi s’il est l’objet d’une surinformation.
Cet effroi permet de sortir du marché du travail une grande partie des inutiles, qui sont eux-mêmes demandeurs et se précipitent vers toutes les cases possibles à ce sujet : télétravail, diminution des dépenses personnelles, départ à la campagne, etc…
Jusque-là tout va bien.
Pour parfaire l’opération, il suffit de mettre en place quelques détails :
– D’abord, la fausse monnaie, pour indemniser les naufragés du travail, sur laquelle on s’accordera entre initiés de l’économie.
– Ensuite, il faut que ceux qui entravaient l’économie naturellement, les fonctionnaires, soient mis hors de course.
– Et enfin, il faut que les oisifs, ceux qui ne travaillent plus, ne profitent pas de leur temps libre pour imaginer on ne sait quelle utopie mortifère à l’économie, pour cela il faut les habituer à vivre chez eux, avec le moins de contact possible, attachés uniquement à leurs écrans.
Il me semble que tout cela colle assez bien avec ce qui se déroule sous nos yeux, que l’étape cruciale de la modification de nos vies par la robotique est peut -être en train de se dérouler incognito.
Alors il faut admettre que les acteurs économiques vont gagner en richesse et en liberté, que ceux qui se sont, ou ont été, exclus de l’économie seront certes inactifs mais en contrepartie surveillés comme le lait sur le feu, donc verront leurs libertés se réduire comme peau de chagrin.
Tout cela n’est qu’une hypothèse…
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/le-menteur-prend-en-toutes-choses-ses-interlocuteurs-pour-des-cons.html
PÉNURIE DE MÉDICAMENTS : L'IMPORTANCE DES STOCKS DE SÉCURITÉ EN QUESTION
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
19/10/2020
Selon un rapport du Sénat, la période moyenne de pénuries de médicaments est de 14 semaines.
Alors que la préparation du décret encadrant les obligations des industriels en matière de constitution de stocks de sécurité de « médicaments d’intérêt thérapeutique majeur » se poursuit, les associations de malades appellent l’exécutif à fixer l’importance de ce stock à 4 mois et non pas 2.
Médicaments d’intérêt thérapeutique majeur : pour un stock de sécurité de 4 mois
Les situations de tension ou de rupture de stock de médicaments se sont multipliées en 2020. Pour remédier à ce problème, en décembre 2019, un ensemble de mesures étaient votées par le parlement dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale. Parmi ces mesures, l’obligation pour les industriels de constituer des stocks de sécurité. Mais, bien qu’inscrite dans la loi, cette mesure n’est toujours pas opérationnelle. Et pour cause : le décret d’application n’a toujours pas été publié.
À l’heure où ce décret se prépare, les associations de patients appellent l’exécutif à imposer aux industriels le maintien d’un stock conséquent. L’Union nationale des associations agréées d’usagers du système de santé (France Assos Santé), qui regroupe 72 associations de patients, prône un stock de 4 mois.
Ne pas ranger toutes les maladies dans le même panier
« L’obligation pour les industriels d’assurer un approvisionnement approprié et continu est inscrite au Code de la santé publique », fait valoir France Assos Santé. En plus, on sait que l’étendue moyenne des pénuries sur les « médicaments d’intérêt thérapeutique majeur » est de plus de 3 mois : 14 semaines en moyenne plus exactement, selon le rapport du Sénat du 2 octobre 2018.
Pour l’association France Parkinson, la fixation du stock de sécurité à deux mois (comme l’envisagerait l’exécutif, d’après les informations des associations) est également préjudiciable dans la durée, car on sait que le nombre de personnes atteintes de Parkinson ne fait que progresser, et qu’il va probablement doubler d’ici à 2040. Pour l’association, ranger toutes maladies dans le même panier serait donc une erreur.
http://www.economiematin.fr/news-penurie-medicaments-stocks-securite-mois-duree-decret
FACE AU COVID-19, LA MACHINE DE GUERRE US
RépondreSupprimerpar PHILIPPE GIRARD
19/10/2020
C'est le nombre de personnes testées positives Covid-19 aux
États-Unis, début octobre
En s’appuyant sur la puissance de ses agences et sur des partenariats public-privé, le gouvernement américain a mobilisé des moyens colossaux pour la recherche contre le Covid-19. Les laboratoires liés au Département de la Défense (DoE), en particulier, sont à l’origine d’avancées prometteuses.
Au 5 octobre 2020, quelque 7,5 millions de personnes ont été testées positives au Covid-19 aux Etats-Unis et près de 210 000 sont décédées de cette maladie, selon les données de l’université américaine Johns Hopkins (1). Aujourd’hui, si la situation reste préoccupante, elle semble néanmoins s’être stabilisée, certes à un niveau élevé. Les nouveaux cas oscillent entre 40 000 et 50 000 par jour, et les USA déplorent toujours, début octobre, autour de 800 décès chaque jour. Si l’Europe craint aujourd’hui une deuxième vague (2), les Etats-Unis ne semblent pas encore être complètement sortis de la première.
Alors que le Covid-19 se propageait dans le pays, les institutions américaines ont mobilisé des moyens massifs pour lutter contre l’épidémie. Toute la puissance de feu des ministères et des agences américaines a été mise à contribution. Le gouvernement US a notamment dépensé au moins 10,9 milliards de dollars dans le développement de vaccins, en commandant plus de 800 millions de doses à plusieurs laboratoires (3). La stratégie américaine pour trouver un vaccin contre le SARS-CoV-2 s’appuie sur des partenariats public-privé et les grands laboratoires sont soutenus par une politique volontariste de la Maison-Blanche baptisée « Warp speed » (« A la vitesse de l’éclair »), visant à « fournir un vaccin à tous les Américains d’ici la fin de l’année » en accélérant tous les processus, de la conception aux tests.
En effet, selon la mission pour la Science et la Technologie de l’Ambassade de France aux Etats-Unis, le pays dispose de « l’un des écosystèmes scientifiques les plus performants de la planète » (4). Sylvette Tourmente, directrice du bureau Amérique du Nord du CNRS (5), explique notamment le rôle clé de certaines entités fédérales : « La FDA (Food and Drug Administration) garantit la sécurité des approvisionnements et doit approuver les éventuels traitements et vaccins. La NSF (National Science Foundation) met en place des programmes de modélisation de la propagation du Covid-19. Le DoE (Department of Energy) met à disposition des supercalculateurs et l’EPA (Environmental Protection Agency) finance la recherche sur la contamination environnementale ».
Le rôle majeur du ministère de l’Energie
RépondreSupprimerLe département de l’Énergie (Department of Energy, ou DoE) joue en particulier un rôle majeur dans le dispositif US de lutte contre le Covid-19. Dans le cadre de son programme pluridisciplinaire de recherche biologique et environnementale, le DoE a développé un outil puissant qui permet de répondre spécifiquement au Covid-19 : le Laboratoire virtuel national de biotechnologie (NVBL), un consortium des 17 laboratoires nationaux du DoE, chacun disposant de compétences fortes en rapport avec les menaces posées par le Covid-19 (6). Le NVBL a notamment développé une expertise de premier plan dans la découverte de la structure des protéines – étape indispensable pour les cibler – et dans la super-informatique pour simuler des milliards d’interactions potentielles entre des médicaments et des cibles.
Grâce aux équipements de pointe de ses laboratoires (sources de rayons X et de neutrons, cryo-microscopes électroniques, etc.), le DoE a contribué à élucider de nombreuses structures des 30 protéines du SARS-CoV-2. Des structures qui permettent de prédire quels types de médicaments peuvent être efficaces et comment ils peuvent être modifiés pour augmenter leur activité. La résolution de la structure des anticorps liés à la protéine virale Spike permet également de mieux comprendre comment ils neutralisent l'infection (7).
Les ressources informatiques à haute performance des laboratoires du DoE, qui font notamment appel à l'intelligence artificielle et à différents outils très sophistiqués de simulation moléculaire et de modélisation, fournissent également des informations pour étudier rapidement des médicaments existants en vue de développer des antiviraux et des vaccins. Les superordinateurs de plusieurs laboratoires nationaux du DoE ont ainsi permis de créer une bibliothèque virtuelle des quelque 5 milliards de produits chimiques connus et les cribler ensuite par des simulations informatiques de liaison moléculaire aux structures des protéines du coronavirus. Un processus qui a permis de sélectionner expérimentalement environ 1 000 médicaments potentiels (8).
La NVBL travaille également sur le séquençage génomique des variantes du virus à partir d’un grand nombre d'échantillons de patients, sur les goulets d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement en masques chirurgicaux et en respirateurs, ou encore sur le transport et les mécanismes de transmission du virus.
Des résultats prometteurs
Les scientifiques du DoE ont déjà obtenu certains résultats prometteurs. Après avoir décrit la structure de la protéine Nsp15 du coronavirus, l’Argonne National Lab a ainsi prédit que le médicament Tipiracil, approuvé par la FDA, inhiberait l’activité de cette protéine, ce qui s’est vérifié (9). Cette molécule ayant montré une activité antivirale limitée dans les essais, des modifications sont à l’étude pour améliorer son efficacité.
Plus intéressant encore, après avoir testé quelque 1 900 composés déjà approuvés pour un autre usage ou à un stade avancé de développement clinique, des chercheurs de l’université de Chicago ont montré que le masitinib, un médicament initialement développé comme inhibiteur de la tyrosine-kinase pour le traitement du cancer, bloquait la réplication du virus SARS-CoV-2 (10). Avec la cristallographie aux rayons X, l’Argonne National Lab a pu identifier son mode d’action : le masitinib se lie au site actif d’une enzyme cruciale pour la reproduction du virus appelée protéase 3CLpro, bloquant ainsi son activité. Pour les chercheurs US, le masitinib constitue donc « un candidat solide pour les essais cliniques visant à traiter l’infection par le SARS-CoV-2 ». « La double action antivirale et anti-inflammatoire du masitinib constitue une approche très intéressante pour lutter contre les infections sévères au Covid-19 », a ainsi déclaré le professeur Savas Tay, de l’université de Chicago, l’un des auteurs de l’étude (11).
RépondreSupprimerUne autre protéase du coronavirus, appelée PLpro, retient également l’attention des chercheurs. Le laboratoire d’Argonne a résolu la structure de cette protéine, tandis que l’université de Chicago a conçu des inhibiteurs de cette enzyme et des tests biochimiques pour évaluer les candidats médicaments (12). D’autres composés antiviraux potentiels ont aussi été identifiés par le projet de simulation moléculaire du NVBL (13). Autant d’exemples, parmi d’autres, qui illustrent l’apport considérable du ministère de l’énergie US et la puissance de frappe américaine dans la recherche de solutions thérapeutiques contre le Covid-19.
http://www.economiematin.fr/news-face-au-covid-19-la-machine-de-guerre-us