- ENTREE de SECOURS -



dimanche 1 novembre 2020

DE GRÉ OU DE FORCE - Philippe Duclos, Julien Boisselier, Marie Desgranges

 Filiale de la Générale financière d'Investissement (GFI), Medic-Hall, une entreprise de matériel médical, emploie neuf vendeurs. Dans le cadre de la restructuration du groupe, la direction a décidé de se séparer d'eux, sans pour autant leur verser d'indemnités de licenciement. Pour cela, l'entreprise a fait appel à Sébastien Jalabier, un spécialiste du dégraissage, qui s'engage à les faire démissionner en recourant à divers moyens de pressions : traque de la faute professionnelle, humiliations, brimades, tâches ingrates... Le dimanche soir, Jalabier contacte ses neuf futures victimes - Philippe, Vincent, Nora, Max, Joseph, Corinne, Charles, Sophie et Maïté - et les somme de se présenter, le lendemain matin, à la maison mère. Parqués au sous-sol de l'immeuble, dans un local sinistre et sans fenêtres, les employés de Medic-Hall écoutent, stupéfaits, le discours de Jalabier : la GFI souhaite se diversifier, aussi, Medic-Hall est-elle vouée à disparaître. Il incite les uns à se battre pour un hypothétique poste de commercial à pourvoir au sein de la société, les autres à chercher du travail ailleurs... L'après-midi, Vincent est réprimandé pour avoir utilisé le téléphone du bureau à des fins privées. Le coût de ses communications lui sera désormais facturé...

https://www.youtube.com/watch?v=Mi_Lf4Jf9W0

50 commentaires:

  1. Le «Monsieur Covid» (appellation sputniknews) suédois s’exprime sur sa stratégie sans masques et sans confinement


    12:10 01.11.2020
    Par Alexandre Sutherland


    Sans masques et sans confinement, la Suède présente un taux élevé de mortalité et fait face, comme un peu partout en Europe, à une deuxième vague de l’épidémie. Anders Tegnell, épidémiologiste et responsable de la lutte contre le Covid, a défendu sa stratégie auprès de L’Express.

    Contrairement à ses voisins européens, la Suède a refusé de confiner sa population et n’a même pas recommandé le port du masque, préférant se concentrer sur les gestes barrières et la distanciation sociale. Elle présente désormais un taux de mortalité supérieur à ceux des pays scandinaves et à celui de la France. Le «Monsieur Covid» suédois, Anders Tegnell, affirme pourtant que son pays a «réussi» face au virus.

    «Nous avons pu continuer à rester en contact avec les autres, tout en étant très prudents. Nous voulions des mesures acceptables dans la durée par le plus grand monde», explique-t-il à L’Express.

    En Suède, la grande majorité des établissements scolaires, restaurants, bars, commerces, ont pu rester ouverts depuis le mois de mars, parfois soumis à des restrictions locales ajustées selon la situation.

    L’épidémiologiste estime que cette stratégie «crée une sorte de calme» et rend plus facile la communication auprès de la population. Il déplore toutefois un certain «relâchement» chez les jeunes, qui ont naturellement peu respecté les mesures de distanciation lors de leurs activités festives. Comme l’indique L’Express, les contaminations ont bondi de 70% en une semaine dans le pays.

    Mais le spécialiste estime que le principal indicateur n’est pas le nombre de cas mais l’occupation des lits en soins intensifs. À ce niveau, il assure que la situation «reste sous contrôle», puisque il y a dix fois moins de patients hospitalisés qu’en avril.

    Expliquer le taux de mortalité

    La Suède ne peut pas non plus se targuer de son taux de mortalité
    Suède : 58 décès pour 100.000 habitants (0,00058 %),
    qui est supérieur à ses voisins scandinaves et même plus élevé que celui de la
    France : 52 pour 100.000 habitants (0,00052 %)

    Anders Tegnell reconnaît que «les maisons de retraite et les Ehpad ont montré des signes de faiblesse beaucoup plus importants que ce que nous avions anticipé». Selon lui, la moitié des morts comptabilisés se trouvaient dans ce type d’établissements, lesquels sont davantage du ressort des communes.

    Confinement local

    Depuis lundi 23 octobre, des mesures de confinement peuvent être introduites à un niveau local. Elles resteront toutefois des lignes directrices et non des exigences et ne seront donc pas soumises à des amendes. Il sera par exemple demandé aux habitants d’éviter au maximum les transports, les lieux de loisirs et de culture ou encore les centres commerciaux.

    https://fr.sputniknews.com/europe/202011011044665528-le-monsieur-covid-suedois-sexprime-sur-sa-strategie-sans-masques-et-sans-confinement/

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  2. Une brasserie berlinoise met Angela Merkel sur une liste noire


    11:35 01.11.2020
    Par Victor Koulakov


    Le secteur de la restauration allemande est particulièrement touché par les mesures prises pour contenir l’épidémie. Les propriétaires d'un établissement berlinois réputé ont ainsi imposé des «sanctions» aux hauts responsables politiques: ils ne les serviront plus, y compris Angela Merkel.

    La brasserie berlinoise Ständige Vertretung ne servira plus Angela Merkel et d'autres hauts responsables politiques, ont annoncé ses propriétaires Jörn Peter Brinkmann et Jan Philipp Bubinger dans un message vidéo publié sur Facebook.

    La fermeture forcée des établissements gastronomiques, malgré les mesures d'hygiène importantes mises en place par le secteur, ont mis en colère les restaurateurs. D'autant plus qu'une étude de l'Institut Robert Koch, responsable du contrôle et de la lutte contre les maladies, indique que les chances d'infection dans ces endroits ne dépassaient pas les 3%.

    Selon MM. Brinkmann et Bubinger, le gouvernement ne s'est pas préparé à la deuxième vague de l’épidémie.

    «Le gouvernement fédéral n'a pas réussi à utiliser son temps depuis avril pour préparer la population et l'économie pour l'hiver et la deuxième vague», affirment-ils.

    Selon eux, de nombreuses personnalités politiques fréquentaient Ständige Vertretung.
    «Certains de ces hommes politiques ont décidé de fermer à nouveau les restaurants, de nous interdire de travailler. Nous les mettons tous sur une liste noire. La chancelière Angela Merkel, le ministre des Finances Olaf Scholz , le Premier ministre bavarois Markus Söder et le maire de Berlin Michal Müller ne sont pas les bienvenus», ont-ils indiqué en appelant leurs collègues à se joindre à l’interdiction.

    Des mesures «dures» à partir du 2 novembre

    Le 28 octobre, Angela Merkel a annoncé des mesures de reconfinement à partir du 2 novembre en affirmant que l'inaction conduirait à l'effondrement du système de santé allemand.

    «Ce sont des mesures dures», a souligné la chancelière, ajoutant que pendant deux semaines les autorités passeraient en revue l'efficacité de chacune de leurs décisions.

    Les mesures comprennent la fermeture des bars, restaurants, théâtres et cinémas. Les écoles, les crèches et les magasins resteront ouverts, mais la distanciation sociale sera rigoureusement observée en leur sein.

    https://fr.sputniknews.com/europe/202011011044665467-une-brasserie-berlinoise-met-angela-merkel-sur-une-liste-noire-/

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    1. Quoi cela veut dire ? Cela veut dire que les allemands DEVRONT utiliser LE remède (hydroxycholoquine) pour sauver des milliers de personnes et non d'écouter les non-scientifiques qui gouvernent.

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  3. Des baigneurs bravant le confinement à Marseille sanctionnés par les CRS


    11:34 01.11.2020
    Par Alexandre Sutherland


    Des dizaines de policiers et de CRS ont conjointement mené une opération de contrôle du respect des mesures de confinement à Marseille, relate Le Parisien. Sur la plage des Catalans, nombre sont ceux qui voulaient profiter du week-end malgré l’interdiction de se déplacer sans raison à plus d’un kilomètre de chez soi.

    Depuis vendredi, le nouveau confinement impose aux Français de signer des dérogations pour faire leurs courses, aller chez le médecin ou prendre l’air une heure, mais à moins d’un kilomètre de chez eux. À Marseille, une opération lancée samedi par la préfecture a sanctionné de nombreux habitants qui ne respectaient pas ces règles en se promenant sur les plages ou au centre-ville, rapporte Le Parisien.

    «On a dressé une vingtaine de contraventions à 135 euros», dévoile un policier auprès du quotidien. «Des gens qui n'avaient pas d'attestation dérogatoire, d'autres qui habitent à plus d'un kilomètre ou qui avaient dépassé l'heure».

    Accompagnés de CRS, les policiers ont patrouillé sur les plages, notamment celle des Catalans, mais aussi dans d’autres quartiers du centre. «Je comprends qu'il faille faire attention, mais ça fait quand même drôle de voir des CRS avec des fusils pour contrôler une simple plage», témoigne une habitante qui se trouvait là légalement.

    D’autres n’ont pas la chance d’habiter à proximité d’une plage, d’un parc, d’un jardin, et trouvent déjà le temps long. «Je ne peux plus travailler et là je viens d'apprendre que je ne peux pas venir à la plage non plus. Qu'est-ce qu'il faut que je fasse, que je regarde des séries toute la journée?», se plaint un restaurateur dont l’établissement a dû fermer totalement ses portes.

    Une majorité de citoyens respecte les consignes

    Le préfet de police des Bouches-du-Rhône, Emmanuel Barbe, a confirmé que les contrôles aléatoires allaient se poursuivre aux alentours de la cité phocéenne. «L'immense majorité des Marseillais et des professionnels respectent les consignes, et je sais que c'est dur pour les commerçants. Nous n'avons pas d'état d'âme à verbaliser rapidement ceux qui ne respectent pas les règles», indique-t-il au Parisien.

    https://fr.sputniknews.com/faits_divers/202011011044665447-des-baigneurs-bravant-le-confinement-a-marseille-sanctionnes-par-les-crs/

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    1. (...) l’interdiction de se déplacer sans raison à plus d’un kilomètre de chez soi. (...)

      La vertmarq fait une rafle au Med'div !

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  4. Ce géant chinois détrône Apple de la troisième place des fabricants mondiaux de smartphones


    14:14 01.11.2020
    Par Anna Dedkova


    Au troisième trimestre 2020, le géant de la technologie chinois Xiaomi a dépassé Apple sur le marché des smartphones. De son côté, Samsung trône de nouveau en haut du classement avec des chiffres impressionnants.

    Dans le monde des smartphones, le troisième trimestre 2020 a été marqué par quelques bouleversements. En cause: Xiaomi et Apple se sont livrés à une bataille pour décrocher leur place dans le top 3 des ventes de smartphones.

    C'est le constructeur chinois qui en est sorti vainqueur avec un total de 47,1 millions de téléphones (pour 13,5% de parts de marché) contre 43,2 millions pour la marque à la pomme (12,4 % de parts de marché). Les résultats du dernier trimestre ont été révélés par trois firmes d’analyse: International Data Corporation (IDC), Counterpoint et Canalys.

    Selon IDC, la société américaine a expédié 41,6 millions d'iPhone au troisième trimestre, en baisse de plus de 10% d'une année sur l'autre. Les données de Counterpoint ne différent que légèrement, mais Canalys estime le nombre d'expéditions à 43,2 millions. Cependant, les données des trois entreprises ont montré qu'Apple était derrière Xiaomi.

    Le succès expliqué

    Le succès de Xiaomi a été en partie dû aux problèmes de son concurrent national, Huawei, lequel a perdu sa couronne de plus important fabricant de smartphones au monde au profit de Samsung sous la pression croissante des sanctions américaines.

    «Il y avait une symétrie au troisième trimestre, Xiaomi ayant ajouté 14,5 millions d'unités et Huawei en perdant 15,1 millions. En Europe, un champ de bataille clé, les expéditions de Huawei, ont chuté de 25% tandis que celles de Xiaomi ont augmenté de 88%», a déclaré Mo Jia, analyste chez Canalys.

    Samsung a expédié environ 80 millions de smartphones, selon les données, tandis que Huawei en a envoyés environ 30 millions de moins au troisième trimestre. La marque sud-coréenne occupe désormais la première place dans ce classement.

    Le nouvel iPhone améliora-t-il la situation ?

    La domination de Xiaomi risque toutefois d’être de courte durée. Apple pourrait récupérer sa troisième position au quatrième trimestre 2020, notamment avec le lancement des iPhone 12, 12 mini, 12 Pro et 12 Pro Max en novembre.

    https://fr.sputniknews.com/societe/202011011044666010-ce-geant-chinois-detrone-apple-de-la-troisieme-place-des-fabricants-mondiauxde-smartphones/

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  5. Les banquiers de l'ANZ s'agenouillent devant le dieu du carbone, trahissent les agriculteurs et les mineurs australiens - «ne méritent pas une licence bancaire»


    November 1st, 2020


    Comment encenser des industries entières à la ANZ

    Les banquiers d’ANZ ont déclaré cette semaine qu’ils s’efforçaient vraiment de sauver la Terre, même si les Australiens n’ont pas voté pour.

    Ils ont déclaré que certaines entreprises respectueuses de la loi n'étaient pas dignes de leurs prêts, et des milliers d'Australiens de l'industrie sidérurgique, de l'agriculture et de la fabrication sont furieux. La banque dit maintenant à ses clients que les paiements d'intérêts ne suffisent pas et que ceux qui détiennent 50% ou plus de leurs activités dans le charbon doivent se diversifier. Ils pourraient bien se diversifier dès la sortie d'ANZ - un boycott est en cours de discussion. Et pour les actionnaires, ce lissage semble être une manière stupide de perdre des clients. Mais en Australie, c’est pire que ça.

    Le droit de gagner des intérêts en prêtant de l'argent qu'ils n'ont généralement pas (en créant du papier-monnaie à partir de rien) est un cadeau magnifique qui leur est accordé par une licence bancaire australienne. C’est une machine à gagner de l’argent perpétuelle, accordée par un groupe gouvernemental appelé APRA. ANZ est l'une des quatre grandes banques d'Australie. Il est censé fournir un service essentiel et, en retour, l'APRA le protège en utilisant le pouvoir de l'État pour chasser tout nouveau concurrent du ranch et l'emprisonner pour contrefaçon. Il incombe donc à ANZ de servir tous les clients australiens respectueux de la loi de la même manière, et de ne pas faire de discrimination fondée sur des croyances religieuses en matière de contrôle météorologique.

    - voir pavé sur site -

    Ne regardez pas maintenant, ANZ vend des crédits carbone

    Plutôt que de sauver la planète, la passion d'ANZ pour le climat ressemble à un plan extorsionné pour enrichir ANZ. Pour tordre le couteau, il semble que l'ANZ ait envoyé une note aux clients expliquant qu'elle développerait sa propre entreprise tout en les «aidant» à réduire le carbone en leur vendant des crédits de carbone et en leur donnant des conseils sur la façon de gagner de l'argent avec le grand carbone crédit ponzi eux-mêmes. ANZ appelle cela pratique, Ian appelle cela de la bâtarde.

    Crédits bancaires, ANZ Get Rich Quick Scheme on Carbon

    ANZ explique comment les clients contraints de «se diversifier» peuvent acheter des crédits carbone à… ANZ
    Ian W écrit à nouveau à l'ensemble du conseil d'administration de l'ANZ (et à la majeure partie du parlement australien).

    «Les actes de bâtardise… ne méritent pas une licence bancaire»
    Une très bonne soirée à vous ANZ Board,

    Je suis un actionnaire de longue date de votre banque et un partisan passionné de l'industrie, des mines et de l'agriculture australiennes.

    Avec la récente annonce anti-charbon de votre banque - qui attaque tous les Australiens impliqués dans la sidérurgie, la fusion d'aluminium, la transformation des aliments, la fabrication, les plastiques, les engrais, les explosifs, la fusion d'autres métaux et l'agriculture, il est clair pour moi en tant qu'actionnaire que la direction d'ANZ Le groupe a perdu l'intrigue - et doit être immédiatement démis de ses fonctions par le Conseil.

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  6. Votre banque a une arrogance et un mépris extrêmes pour les véritables actionnaires et le peuple australien - incarnée parfaitement par le fait qu'à la suite de notre conversation téléphonique et de plusieurs courriels, Shayne Elliott bloque maintenant mes courriels et refuse de parler.

    Il n'a pas le droit de traiter les véritables actionnaires avec un tel mépris - même s'il n'est pas d'accord avec 99% de ce que j'ai à dire. Quelqu'un doit lui dire que des milliers d'actionnaires authentiques comme nous possèdent la foutue Banque et il travaille pour nous! Veuillez transmettre cet e-mail à Shayne Elliott, car ce pays ne peut pas avoir de chefs de direction d'organisations comme votre banque détruisant nos entreprises et notre avenir.

    Maintenant, nous, dans l'industrie sidérurgique australienne, comprenons parfaitement ce qu'est la fausse signalisation de vertu et nous comprenons pourquoi l'ANZ est engagée exactement dans cela. C'est parce que la Banque a, est et peut à l'avenir faire une fortune absolue en arnaquant des Australiens innocents grâce à des activités de recherche de rente, notamment le commerce du carbone et le financement des énergies renouvelables. Deuxièmement, c'est parce que la direction d'ANZ va simplement à l'eau lorsqu'elle est confrontée à des militants écologistes sauvages au siège social et lorsque la pression est exercée par des organisations financées en partie à l'étranger comme Market Forces et l'Australian Conservation Foundation.

    Vous voyez, ANZ, nous savons - que vous savez - que le concept de changement climatique induit par l'homme est vivement contesté scientifiquement - et en fait que la nation la plus puissante du monde libre en ce moment a rejeté Paris - et la nation la plus puissante du monde. le monde non libre n'est pas non plus lié par Paris - en utilisant le concept bulldust d'être une nation «en développement».

    Qui a installé une direction si faible et sans courage dans la banque ANZ qu'elle attaque toutes nos entreprises juste pour apaiser quelques militants sauvages financés à l'étranger? Le conseil d'administration de l'ANZ doit démettre immédiatement tout dirigeant de la Banque s'il vous plaît.

    Un lien ci-dessous de l'ABC décrit la politique folle et récemment publiée d'ANZ - et les liens supplémentaires ci-dessous décrivent exactement ce que l'ANZ a fait avec vos clients au cours des dernières années.

    Avec ce comportement constant de la Banque, vous vous attendez à ce que nous pensions que vos objectifs en matière d'énergies renouvelables sont honorables !!!! ?????

    Quelqu'un du conseil d'administration d'ANZ pourrait-il me contacter, Shayne Elliott isn

    Quelqu'un du conseil d'administration d'ANZ pourrait-il me contacter, Shayne Elliott n'est pas un jeu pour parler et cela doit être discuté avec un être humain au plus haut niveau de la Banque.

    Le moment est maintenant propice pour chacun des cent mille personnes de l'industrie sidérurgique australienne, tous ceux qui sont associés à la fusion d'autres métaux, à la fabrication du papier, à l'exploitation minière, à la fabrication de produits alimentaires et à l'agriculture pour boycotter totalement la banque ANZ.
    Les actes de bâtardise, comme l'ANZ vient d'exécuter, ne méritent rien de moins !

    Morrison devrait retirer la licence d'exploitation de la banque ANZ.
    J'ai hâte d'être contacté, merci et meilleures salutations,
    Ian W
    Ian a utilement inclus des liens montrant que "Sauver la planète" ne correspond pas au modèle de comportement d'ANZ:
    Quel est le problème avec la surfacturation, le blanchiment et l’arnaque de quelques clients en vue de sauver la Terre ?

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  7. Thomas Brookes - Victime d'ANZ | Histoires de victimes de la banque | Réforme bancaire maintenant Australie

    Le PDG d'ANZ, Shayne Elliott, admet enfin que les documents qu'ils ont utilisés dans un tribunal ont été «modifiés» (belle description de banque souple pour faux) et présente des excuses sans réserve pour 20 ans de faute abusive. Mais alors ne donne aucune autre explication, ni n'offre une compensation financière appropriée, et propose à la place un petit geste symbolique «paiement de bonne volonté».

    ANZ admet un comportement 'injuste et contraire à l'éthique' envers les clients ruraux à la commission royale d'enquête bancaire - NZ Herald

    La commission a également entendu une affaire impliquant Arthur et Rhonda Cheesman, ainsi que leur fils Reuben et sa femme Katrina, qui dirigeaient une ferme dans l'ouest de Victoria.

    Carolyn Thomson - Victime d'ANZ (blanchiment d'argent) | Histoires de victimes de la banque | Réforme bancaire maintenant Australie

    Le blanchiment d'argent n'est pas seulement une spécialité de l'ABC. La Commission royale devrait enquêter sur les autres banques concernant les violations de la Loi anti-blanchiment. Carolyn Thomson a des preuves très claires que sa banque, ANZ, a enfreint la Loi. Pourquoi aucune des agences ne fait quoi que ce soit à ce sujet? Cela n'est pas acceptable et montre que les activités criminelles sont cuites dans les banques.

    La banque ANZ paiera 682 millions de dollars aux clients qu'elle a arnaqués en 10 ans | Actualités Australie | Le gardien

    ANZ dit qu'il faudra un coup de 682 millions de dollars cette année pour indemniser les clients qu'il a escroqués au cours de la dernière décennie, ajoutant à une facture de remédiation qui a déjà grimpé dans les milliards ...

    La banque ANZ poursuivie en justice par l'ASIC pour frais
    Le chien de garde a déclaré que la banque avait pris conscience du risque qu'elle n'avait peut-être pas le droit de facturer les frais à la mi-2011 après avoir discuté avec le cabinet d'avocats Blake Dawson, qui est maintenant Ashurst.

    L'ANZ en Australie surfacture 3,4 millions de clients

    International Investment London Forum 2020. Le premier Forum International Investment London examinera la direction de l'industrie, les défis et opportunités pour l'industrie dans la région, et comment les conseillers, courtiers et fournisseurs de produits s'adaptent aux changements politiques et réglementaires. aura lieu le jeudi 30 avril au South Place Hotel, Londres.

    ASIC poursuit ANZ pour avoir escroqué des clients - afr.com

    L'ASIC a déclaré que lorsque la banque a avoué, elle n'a identifié qu'environ la moitié des transactions déloyales et n'a pas qualifié la conduite de significative. Il allègue qu'il s'agissait d'une violation de la Loi sur les corporations ...
    L'ANZ a limogé 200 banquiers cette année pour faute | Interne du milieu des affaires

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  8. La commission royale a qualifié les actions des quatre grandes banques - y compris de facturer les services non fournis - de malhonnêtes et de résultat de cupidité. Elliott est le troisième PDG de la banque à…

    ANZ versera plus de 700 millions de dollars de prêts à des projets de charbon thermique d'ici 2024, révèle un document divulgué - ABC News

    La deuxième banque d’Australie prévoit de réduire ses prêts aux projets de charbon thermique de 75 % au cours des cinq prochaines années, soit environ 700 millions de dollars, révèle un document divulgué.

    http://joannenova.com.au/2020/11/anz-bankers-kneel-to-carbon-god-betray-australian-farmers-miners-dont-deserve-a-banking-licence/#more-73809

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  9. Supermarché«Tous les rayons des produits qui ne sont pas essentiels doivent être fermés», selon Bruno Le Maire


    jour 18:16 01.11.2020
    Par Ekaterina Yanson


    Alors que de nouvelles annonces doivent être faites ce dimanche soir par le Premier ministre, celui de l’Économie a estimé qu'afin de «rétablir l'équité» avec les petits commerces, la fermeture des rayons de produits non essentiels pourrait être décidée dans les grandes surfaces.

    Bruno Le Maire a affirmé sur BFM TV qu'il allait avec Jean Castex prendre les décisions nécessaires dans les prochaines heures pour «rétablir l'équité entre les petits commerces et les grandes surfaces».

    La première exigence, c'est que la jauge des personnes admises en même temps dans un magasin «soit respectée dans les grandes surfaces», ou même durcie, les flux incontrôlables des clients pressés n’étant pas «bons pour la circulation du virus», a expliqué le ministre de l’Économie.

    Une autre mesure qui fait l'objet des discussions avec le chef du gouvernement, présent ce soir au 20h00 de TF1, est la fermeture dans les grandes surfaces «des rayons de produits qui ne sont pas de première nécessité». Selon le gouvernement, elle permettrait de «ralentir la circulation du virus».

    Si la situation sanitaire ne s'aggrave pas, les autorités pourraient permettre d'ici le 12 novembre de «rouvrir un certain nombre de commerces», a indiqué le ministre.

    «Maires irresponsables»

    Enfin, Bruno Le Maire a fustigé les «arrêtés contraires aux décisions prises par l’État» qu'émettent des «maires irresponsables».

    Ils «pensent qu'ils soutiennent les commerçants. En réalité, ils menacent la santé des Français», a-t-il conclu.

    https://fr.sputniknews.com/economie/202011011044666692-tous-les-rayons-des-produits-qui-ne-sont-pas-essentiels-doivent-etre-fermes-selon-bruno-le-maire/

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    1. Quelque chose qui se casse ? La colle... Y a plus !
      Robinet qui fuit ? Des joints y en a plus
      Un vêtements, des lacets, un tournevis ? Y a pas !

      Au fait... il reste quoi ?
      RIEN ! Il y en a qui ont fait la queue depuis 4h du matin, sont rentrés et ont chargés !

      La débilité qui gouverne !

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  10. Des manifestations anti-lockdown éclatent dans toute l'Espagne alors que l'état d'urgence se prolonge


    par Tyler Durden
    Dim., 11/01/2020 - 12:00


    Des troubles sociaux ont éclaté dans les villes espagnoles pour la deuxième nuit consécutive samedi après la décision du gouvernement de prolonger l'état d'urgence de six mois en réponse à la deuxième vague d'infections au COVID-19.

    Des manifestants anti-lockdown ont inondé les rues de Madrid et de Barcelone samedi soir. Au moins 32 personnes ont été arrêtées et 12 blessées lorsque les manifestations sont devenues violentes avec la police à Madrid. D'autres manifestations ont eu lieu à Malaga, Vitoria, Valence, Santander et Burgos, a rapporté RT News.

    Samedi soir, le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a appelé au calme alors que les violentes manifestations s'intensifiaient. Il a tweeté:

    "Ce n'est qu'à partir de la responsabilité, de l'unité et du sacrifice que nous pourrons vaincre la pandémie qui ravage tous les pays. Le comportement violent et irrationnel des groupes minoritaires est intolérable. Ce n'est pas la voie."

    La prorogation de l'état d'urgence national intervient alors que les cas d'infection à coronavirus, samedi seulement, ont dépassé 26000, l'un des totaux les plus élevés depuis le début de la pandémie.

    "L'anarchie" était la meilleure façon de décrire les événements chaotiques de Madrid, a tweeté Insider Paper.

    RT New a déclaré: "des manifestants se sont affrontés avec la police dans la capitale de Madrid, vandalisant des distributeurs automatiques de billets, et cassant et brûlant des poubelles dans le centre-ville".

    Pendant ce temps, à Barcelone, les manifestants anti-lockdown étaient mécontents du couvre-feu national et de la façon dont il continuerait à écraser l'économie.

    L'Espagne reste l'un des pays d'Europe les plus durement touchés par la pandémie virale. Les frustrations augmentent parmi les Européens alors que les cas de virus continuent d'augmenter et que d'autres pays mettent en œuvre leurs propres verrouillages.

    Alors que les Européens prennent à nouveau des mesures draconiennes pour limiter la propagation du virus, ce ne pourrait être qu'une question de temps avant que des verrouillages ne se produisent aux États-Unis - cela ne conviendrait évidemment pas aux Américains.

    https://www.zerohedge.com/political/anti-lockdown-protests-erupt-across-spain-state-emergency-extended

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    1. Le monde est infecté par les FAUSSES nouvelles du FAUX microbe corona !
      La dictature est mondiale et touche tous les pays afin que l'inquiétude déprime et tue le plus d'habitants possible !

      TOUT est fait pour empêcher les gens de vivre !

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  11. La production mondiale de vin diminue pour la deuxième année alors que l'industrie est écrasée par le virus


    par Tyler Durden
    Dim., 11/01/2020 - 08:45


    L'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) a publié son rapport sur la production mondiale de vin, avertissant qu'après l'année de production élevée de 2018, pour la deuxième année consécutive, le volume de production de vin sera inférieur à la moyenne, en raison des faibles volumes d'Amérique du Sud et d'Europe. plafonds de production à la suite du ralentissement induit par le virus qui a paralysé les ventes.

    Lors d'un appel zoom, le directeur général de l'OIV, Paul Roca, a déclaré que le ralentissement mondial induit par le virus avait entraîné une baisse des prix du vin, une baisse de la production et une demande réduite.

    Roca a déclaré que la pandémie a aggravé les tensions géopolitiques et, dans certaines régions, conduit à des droits de douane et à une baisse du commerce international. Il a déclaré que les verrouillages et autres mesures de distanciation sociale limitaient le flux de marchandises à travers les villes et les villes, tout en gênant les flux sur une base internationale, ajoutant que la perturbation entraînait un désordre dans les canaux de distribution, une production limitée dans les installations de vinification et entraînait également inventaire construit.

    «La situation diffère d'un pays à l'autre en fonction de la durée des mesures de verrouillage, des habitudes de consommation de la population et de l'élasticité de la substitution entre le vin et les autres boissons, mais aussi de la pertinence du canal régulier ou du niveau de développement du canal de commerce électronique ," il a dit.

    L'OIV estime que la production mondiale de vin en 2020 sera d'environ 253,9 millions et 262,2 millions d'hectolitres, avec une estimation moyenne à 258 millions d'hectolitres. Comme le souligne l'OIV dans la diapositive ci-dessous:

    "Après la production exceptionnellement élevée de 2018, pour la deuxième année consécutive, la production mondiale de vin devrait être inférieure à la moyenne."

    - voir graphique sur site -

    En termes d'approvisionnement, Roca a déclaré que la situation actuelle n'était pas entièrement une "mauvaise nouvelle" étant donné l'abondance des stocks mondiaux:

    "Ce n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour le secteur étant donné le contexte actuel, où les stocks de vin sont encore relativement élevés et où les tensions géopolitiques, le changement climatique et la pandémie de COVID-19 génèrent un degré élevé de volatilité et d'incertitude sur les marchés mondiaux du vin", il a dit.

    L'OIV a déclaré que l'Europe avait des conditions de croissance souhaitables mais que la production était restée inférieure à la moyenne, les producteurs et les gouvernements ayant limité la production pendant la pandémie de virus. La France a récolté 20% de raisins en moins cette année en raison de l'effondrement des ventes. Les attentes des trois plus grands producteurs de vin du monde - l'Italie, la France et l'Espagne - auront une production d'environ 159 millions d'hectolitres, en hausse de 5% par rapport aux niveaux de 2019, mais toujours en dessous de la moyenne.

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  12. - voir graphique sur site -

    En ce qui concerne la région viticole de l'hémisphère sud, la production totale pourrait baisser de 8% à partir de 2019 pour s'établir à 49 millions d'hectolitres. Les baisses les plus importantes ont été observées en Argentine (-17% en glissement annuel), au Chili (-13%) et en Australie (-11%).

    - voir graphique sur site -

    Aux États-Unis, les estimations de production pour l'année 2020 sont d'environ 24,7 millions d'hectolitres, en hausse de 1% en glissement annuel, mais l'OIV note que les prévisions pourraient être fortement révisées en raison des incendies de forêt dans la Napa Valley, en Californie.

    - voir graphique sur site -

    Les 15 principales exportations par volume et valeur

    - voir graphique sur site -

    Voici la conférence de presse complète de l'OIV

    Pour résumer, l'industrie mondiale du vin était déjà sous pression avant 2020, la pandémie de virus n'a fait qu'empirer les choses.

    https://www.zerohedge.com/markets/global-wine-production-slumps-second-year-industry-crushed-virus

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    1. Les dictateurs ont leurs caves pleines et les buffets complets !

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  13. 'Le Grand Escape' de Paris: des images montrent des heures record de trafic sur la grille avant le verrouillage


    par Tyler Durden
    Dim, 11/01/2020 - 07:35


    Des images virales en provenance de France montrent ce que les rapports décrivaient comme des centaines de kilomètres d'embouteillages dans la capitale française à la fin de cette semaine, juste au moment où un deuxième verrouillage national mandaté par Macron est entré en vigueur vendredi.

    La nouvelle mesure de verrouillage est entrée en vigueur vendredi à minuit avec un couvre-feu à 21 heures, qui oblige tous les résidents à rester à la maison autrement que pour un travail essentiel ou des raisons médicales. Il semble que quelques heures avant que le verrouillage ne devienne actif, les Parisiens se sont précipités pour sortir de la ville, comme l'a montré une vidéo virale. Les ordonnances de séjour à la maison ont été émises pour être en vigueur pendant un mois - au moins jusqu'au 1er décembre.

    Les médias français ont qualifié les embouteillages de records, une tendance également observée dans d'autres grandes villes comme Lyon et Bordeaux.

    Voici comment The Independent a résumé la situation chaotique de jeudi soir à vendredi:

    À minuit, heure parisienne, les gens ont reçu l'ordre de rester chez eux, sauf pour un travail essentiel ou des raisons médicales, ce qui a conduit de nombreuses personnes à déménager dans des zones plus rurales pour attendre le verrouillage d'un mois, a rapporté la BBC.

    La vidéo publiée sur Twitter montrait des flux interminables de phares rampants sur chaque route dans toutes les directions. Il y avait aussi des rapports de restaurants remplis de convives profitant d'un dernier repas pour le moment.

    Il a également été probablement exacerbé par de nombreuses personnes qui tentaient simultanément de retourner dans leurs résidences étant donné que cette semaine est un congé scolaire qui se termine dimanche avec la Toussaint catholique.

    Des restaurants, des bars et des lieux de nuit ont également été rapportés pleins et débordants alors que de nombreux Parisiens ont tenté de glisser dans leur dernière soirée pendant un mois.

    Macron en faisant l'annonce initiale mercredi a déclaré que la France devait "freiner brutalement" pour éviter d'être "submergée par l'accélération de l'épidémie". La France est actuellement le cinquième pays le plus infecté avec plus de 1,3 million de cas de COVID-19 à ce jour.

    Plusieurs rapports ont cité Le Parisien local comme rapportant qu '"il y avait plus de 700 km de trafic dans la ville à 18 heures".

    https://www.zerohedge.com/political/le-grand-escape-paris-lockdown-stunning-footage-shows-highway-gridlock-miles

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    1. La grande évasion ! Les gens fuient la folie mise en place d'emprisonnement forcé qui pourrait durer toute la vie !

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  14. Castex annonce de nouvelles mesures restrictives concernant les grandes surfaces


    21:29 01.11.2020


    Jean Castex a annoncé la fermeture des rayons non essentiels dans les grandes surfaces dans le cadre des mesures destinées à ralentir la circulation du Covid-19 en France.

    La vente par la grande distribution de produits déjà concernés par les mesures de fermeture des commerces de proximité liées au confinement sera interdite à partir de mardi 3 novembre, a annoncé ce dimanche 1er novembre le Premier ministre français.

    «J'ai décidé, dans le décret qui régit le confinement, d'ajouter une disposition, qui entrera en vigueur mardi matin, interdisant la vente des produits qui ne peuvent pas être vendus, qui sont d'ores et déjà interdits dans les commerces de proximité, dans les grandes surfaces», a indiqué le chef du gouvernement sur TF1.

    Cette mesure vise à répondre aux protestations de nombreux commerçants face aux inégalités de traitement dont ils s'estiment victimes depuis l'entrée en vigueur vendredi 30 octobre des nouvelles mesures de lutte contre l'épidémie de Covid-19.

    Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a déclaré plus tôt ce dimanche sur BFM TV qu'il allait prendre les décisions nécessaires avec M.Castex dans les prochaines heures pour «rétablir l'équité entre les petits commerces et les grandes surfaces».

    Le Premier ministre dit avoir reçu l'ensemble des professionnels du secteur ce dimanche. Il a insisté qu'il n'annonçait «pas ces mesures pour embêter les Français, mais pour les protéger».

    «Il s'agit de lutter contre une épidémie qui a pris des proportions dramatiques. Nos services de réanimation seront saturés d'ici 15 jours, si nous n'agissons pas. La logique du confinement, c'est de limiter au maximum les possibilités de sortir, de se croiser», estime-t-il.
    20 milliards supplémentaires

    Selon le Premier ministre, le gouvernement entend aider les secteurs qui seront fermés tout en maintenant les mesures restrictives en vigueur.

    «Nous ne reviendrons pas sur les mesures annoncées. Mais nous allons voter 20 milliards de crédits supplémentaires, pour venir au secours des secteurs que l'on ferme [...]. Le Président de la République a dit qu'on ferait un point dans 15 jours [...], pour voir si la situation s'améliore et comment on peut sortir de cette situation. C'est la conciliation des impératifs économiques et des impératifs sanitaires», a ajouté M.Castex.

    M.Le Maire avait précédemment évoqué la possibilité de permettre de «rouvrir un certain nombre de commerces» d'ici le 12 novembre si la situation sanitaire ne s'aggrave pas.

    https://fr.sputniknews.com/politique-francaise/202011011044667155-castex-annonce-de-nouvelles-mesures-restrictives-concernant-les-grandes-surfaces/

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    1. (...) Jean Castex a annoncé la fermeture des rayons non essentiels dans les grandes surfaces dans le cadre des mesures destinées à ralentir la circulation du Covid-19 en France. (...)

      Le retard mental de certain ne fait plus de doute ! Ils sont atteints ! et veulent partager leur dernier neurone !

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  15. Rencontrez l'homme qui pense que les robots sont le seul moyen de rendre la fabrication américaine encore plus performante


    par Tyler Durden
    Dim., 11/01/2020 - 22:30


    Le fait de ramener la fabrication aux États-Unis a été l'un des principaux enjeux de la campagne électorale cette année. Malgré le fait que le président Trump a lancé l'idée en 2016 et a rapatrié la fabrication (ou du moins essayé de le faire) pendant la majeure partie de son mandat, Joe Biden tente maintenant également de faire campagne sur la question.

    Nous nous demandons si l'un ou l'autre des candidats a envisagé l'automatisation qui sera probablement nécessaire pour un large retour de la fabrication aux États-Unis.

    Un homme qui l'a définitivement est Arnold Kamler, surtout connu pour être l'homme derrière Kent Bicycles. Il pense que le seul moyen pour la fabrication de revenir aux États-Unis en force, ce sera par l'utilisation de la robotique. Son entreprise emploie 150 personnes dans une usine en Caroline du Sud, mais réalise toujours l'essentiel de sa fabrication à Taiwan et en Chine.

    Kamler a déclaré à Bloomberg que s'il souhaitait potentiellement multiplier par quatre sa production aux États-Unis, il ne recevait pas d'aide du gouvernement américain. Il affirme que les mesures prises par le président Trump et les promesses faites par Joe Biden - à la fois en matière de taxes et de tarifs - ne l'aident tout simplement pas. Ce qui l'aiderait, cependant, c'est l'automatisation.

    Il a déclaré: «Tout le monde des deux côtés aime faire de grandes annonces de taxes et de tarifs - cela n'aide pas. La toute première chose que le gouvernement américain devrait faire est d'aider les entreprises américaines à s'automatiser. »

    Il a déclaré à propos des tarifs: «Nous sommes passés des mois à expédier beaucoup de vélos et à perdre de l'argent. Maintenant, les affaires sont follement bonnes. »

    Et il a raison. Les États-Unis ont "l'un des taux d'automatisation les plus bas parmi les plus grandes puissances industrielles du monde", selon Bloomberg.

    Alors que les États-Unis étaient une puissance industrielle il y a des décennies, la fabrication et les coûts qui y sont liés ont évolué. Au lieu de rêver de l'ancien temps, les législateurs et les chefs d'entreprise devraient adopter un nouveau modèle de production hybride impliquant davantage de robotique.

    C'est ce que fait Kamler. Alors que les travailleurs humains assemblent des vélos en enfilant des câbles de frein ou en installant des chaînes, les machines sont chargées de peindre les cadres de vélo.

    Il a commenté: «Si nous voulons fabriquer des bicyclettes à grande échelle, nous avons besoin de beaucoup plus d’automatisation. Nous ne pouvons tout simplement pas le faire comme nous le faisions il y a des années. »

    Kamler vise à automatiser encore plus son processus et, ironiquement, dit qu'il devra embaucher plus de travailleurs pour superviser la robotique qu'il a l'intention d'acheter. Le Manufacturing Institute, qui représente les cadres de l'industrie, montre que Kamler est représentatif d'une tendance plus large. 75% des fabricants prévoient d'augmenter les investissements technologiques dans les «usines intelligentes» au cours de l'année prochaine.

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  16. Carolyn Lee de TMI a déclaré: «L'un des principaux avantages de l'automatisation est qu'elle remplace les tâches répétitives ou physiquement éprouvantes, ce qui permet aux gens de se concentrer sur des tâches qui nécessitent des compétences humaines et de la créativité et de créer encore plus d'emplois en cours de route.»

    Elle dit qu'il y a environ 400 000 nouveaux postes à pourvoir dans le secteur de l'équipement de fabrication et que 4,6 millions de nouveaux postes similaires devront être pourvus d'ici 2028.

    https://www.zerohedge.com/technology/meet-man-who-thinks-robots-are-only-way-make-american-manufacturing-great-again

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    1. Comme pour la communication (3G, 4, 5, 6G) l'on demande à la machine d'aller de plus en plus vite.
      Un robot qui travaille en Chine est au MÊME COÛT de l'heure que partout ailleurs dans le monde !
      Mais (car il y a un 'mais' !), certaines dictatures de merde vont jusqu'à taxer... les robots ! D'où le prix plus élevé des voitures, des ordinateurs, des cafetières électrique, frigos, etc, etc que partout ailleurs.

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  17. INDUSTRIE 4.0 : ET L'HUMAIN DANS TOUT ÇA ?


    par JANICK VILLANNEAU
    02/11/2020


    L'automatisation, chez une PME, coûte entre 4.000 et 15.000 dollars.

    Dès 1936, Charlie Chaplin moquait, dans son film Les Temps modernes, notre rapport à la technologie et aux machines qui ne donnaient à l’Homme qu’un rôle d’exécutant. Si le taylorisme et le fordisme ont fait leur temps, remplacés par de nouvelles formes d’organisation du travail où l’outillage était cette fois-ci au service de l’humain, dans l’industrie 4.0, les machines se parlent entre elles, les lignes robotisées sont interconnectées pour une meilleure productivité et les opérations logistiques s’autogèrent.

    Et l’Homme dans tout ça ? N’aurait-il plus qu’un rôle de grand gendarme, quelque peu dépassé par l’intelligence des machines eux-mêmes ? Sommes-nous réellement en train de perdre le contrôle ? Il est temps de remettre l’humain au cœur de l’industrie 4.0.

    Quand les technologies changent la donne

    C’est un fait : l’industrie 4.0 redistribue les cartes et modifie l’organisation hiérarchique du travail. Grâce à l’automatisation d’un certain nombre de tâches, les marges d’erreur se réduisent, les cadences augmentent et la productivité est meilleure. Aujourd’hui au sein d’une usine, si l’on fait abstraction des emplois les plus qualifiés (conception, R&D, informatique par exemple), la production est le plus souvent effectuée dans des ateliers sur des lignes plus ou moins automatisés, surveillés soit par les opérateurs ou par des techniciens de maintenance qui s’occupent de corriger les problèmes les plus urgents.

    L’Intelligence Artificielle (IA) permet de trier et d’analyser une masse importante de données, et de faire émerger les problèmes, grâce au principe de « Machine Learning ». La Réalité Mixte améliore les conditions de travail des opérateurs qualifiés en réduisant les risques qualités. Les véhicules à guidage automatique (AGV) ou les exosquelettes réduisent quant à eux les risques associés aux troubles musculo-squelettiques. Nous pouvons donc dire que ces technologies, toutes numériques, couplées ou non à l’IA, à la robotique ou à l’IIoT (Internet Industriel des Objets) améliorent la qualité du travail mais aussi la qualité de vie au travail. Relativement complexes dans leur mise en production et leur appropriation, elles font évoluer la nature du travail humain et poussent les opérateurs à monter en compétences, car il faut savoir réparer, programmer et comprendre une machine pour en tirer tous les bénéfices. Et demain ? Quand les machines seront complètement autonomes, quel sera le rôle de l’Homme ? Nous n’y sommes pas encore mais l’échéance se rapproche.

    Et si nous étions déjà allés trop loin ?

    Le débat n’est pas de savoir si l’on doit ou non remettre en cause le progrès. La question aujourd’hui est celle de la subordination des machines aux Hommes, et des Hommes aux machines ! Dans le cas de certaines technologies, comme la réalité mixte, les robots industriels (cobots) ou encore les exosquelettes, l’Homme reste en maîtrise complète. Mais lorsqu’il s’agit d’IA, le risque de perte de contrôle est réel.

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  18. Quand on voit qu’au Japon1, depuis 2018 les gestes de certains opérateurs sont surveillés par des systèmes vidéo et analysés, que dans les entrepôts d’Amazon l’IA qui prévoit les commandes et gère les stocks, « dirige » les employés à travers les rayons, ou qu’aux États-Unis2, des milliers d’individus travaillent dans des conditions précaires pour améliorer l’apprentissage des IA et les aider à être plus performantes, la question du cercle vertueux se pose. Force est de constater que les dérives existent et que la performance des outils prend parfois le pas sur les conditions de travail des Hommes. Mais n’oublions pas que les échecs de l’industrie 4.0 sont souvent le résultat de mauvaises décisions humaines en amont.

    Évolution de la cohabitation de l’homme et des machines

    Pas de panique : la vision apocalyptique d’un monde où l’Homme ne serait que l’esclave des machines n’est pas réaliste. Il ne s’agit pas de renoncer au progrès technologique, mais bien pour l’humain de trouver sa place dans ce nouveau système. Les nouvelles technologies apportent avec elles de nouvelles problématiques. Il n’y a pas aujourd’hui de perte de contrôle, le rôle de l’Homme restant prépondérant. Dans l’usine du futur, des imprévus, des pannes et des dysfonctionnements ont toujours lieu, et l’homme est gestionnaire du parc d’intelligence des machines. Il surveille, résout les problèmes, répare, fait évoluer et surtout, il prend les décisions critiques.

    Si l’IA prémâche la réflexion analytique en faisant émerger les données les plus sensibles, elle n’est qu’un outil pour l’Homme qui garde son plein pouvoir décisionnel : l’IA permet d’agir plus rapidement. C’est encore et toujours lui qui paramètre, nourrit et forme également l’IA. Tant qu’on ne lui accorde pas cette capacité de prise de décision – si tant est qu’elle en soit capable – la place de l’humain restera centrale. Dans ce contexte, la technologie permet aux Hommes de prendre de la hauteur. Et si la nature du travail évolue, certaines qualités humaines comme l’empathie, l’adaptabilité3 ou la créativité ne sont pas prêtes d’être dépassées par les machines. La cohabitation entre l’Homme et les machines se transforme ainsi en collaboration gagnant-gagnant.

    Des technologies qui boostent la réactivité… et la relocalisation ?

    D’un point de vue global, les technologies 4.0 bousculent aussi l’ordre établi en termes de compétitivité. Les délocalisations massives, encouragées par la présence d’une main-d’œuvre toujours moins coûteuse, n’auront plus lieu d’être dans le cas d’usines plus automatisées. Le savoir-faire d’opérateurs qualifiés in situ aura tendance à être revalorisé. Si l’on ajoute à cela les problématiques de résilience de la chaine logistique - que la crise du Covid-19 n’a fait que mettre en exergue - nous pouvons affirmer que l’Industrie 4.0 peut jouer en faveur d’une relocalisation plus en accord avec les démarches responsables des entreprises du 21ème siècle.

    Restons sur nos gardes mais rassurons-nous dans l’immédiat : l’Homme conserve une place de choix et reste LA force de proposition dans tout projet d’amélioration continue industrielle. Il revient aux Industriels d’utiliser ces technologies dans des contextes porteurs d’améliorations des conditions de travail : ce n’est pas la machine qui prend la décision stratégique et/ou économique de son utilisation, aussi le danger d’aliénation aux machines ne se rapprochera pas. En dehors du cadre industriel, il s’agit également de confiance, dans l’État cette fois-ci, pour apporter un cadre législatif et réglementaire adapté. Pour le reste, reportons-nous à l’affirmation du philosophe Michel Serres « Les nouvelles technologies nous condamnent à devenir intelligents », et ce, sur tous les plans.

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  19. 1 Comment Panasonic réinvente le Kaizen pour créer son usine modèle de l’industrie du futur – l’Usine Nouvelle, 02/11/18

    2 Cash investigation enquête sur les travailleurs de l’ombre de l’industrie numérique –Le Figaro, 24/09/19

    3 Surprise, surprise: Mercedes to replace robots by… humans – LinkedIn, 01/03/2016

    http://www.economiematin.fr/news-industrie-humain-evolution-decision-futur-technologie-villanneau

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    1. Ne faisons pas de la science-fiction ! La révolte des cafetières électrique ou celle des frigos ou des machines à laver ne se fera pas !

      Oui mais... toutes ces machines marchent à... l'électricité !! ÊH OUI ! Et, sans électricité (c'est ce qui se profile !!): zéro robot, zéro ordinateur et vive la Chine avec ses centrales nucléaire !

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  20. L'Oregon est sur le point de décriminaliser l'héroïne, la cocaïne et le LSD


    par Tyler Durden
    Dim., 11/01/2020 - 20:30

    Dans un mouvement dont nous sommes sûrs qu'il n'aura pas de répercussions négatives sur la qualité de vie de l'État à l'avenir, l'Oregon semble être le premier État des États-Unis à décriminaliser les «drogues dures» comme l'héroïne, la cocaïne et le LSD.

    Cette décision pourrait s'inscrire dans le cadre d'une mesure de vote sur laquelle les électeurs décideront le jour du scrutin.

    L'initiative, appelée Mesure 110, pourrait «changer radicalement» le système judiciaire de l'État, a noté ABC News. Ceux qui sont pris avec des drogues dures auraient maintenant la possibilité de payer une amende de 100 $ ou de fréquenter de nouveaux centres de récupération, payés avec les taxes sur les ventes au détail de marijuana.

    En vertu de la nouvelle mesure, la possession de moins de 1 gramme d'héroïne ou de méthadone, 2 grammes de cocaïne, 12 grammes de psilocybine, 40 doses de LSD, d'oxycodone ou de méthadone et 1 gramme de MDMA seraient tous décriminalisés.

    Des pays comme le Portugal, les Pays-Bas et la Suisse ont déjà mis en œuvre des décriminalisations similaires. À Portgual, le changement n'a vu «aucune poussée» de la consommation de nouvelles drogues. En effet, les décès liés à la drogue ont diminué tandis que le nombre de personnes traitées pour toxicomanie dans le pays a augmenté de 20% entre 2001 et 2008. Ensuite, le nombre s'est stabilisé.

    Le Conseil des chefs de secrétariat des Nations Unies pour la coordination a annoncé en 2019 qu'il «promouvrait également des alternatives à la condamnation et à la punition dans les cas appropriés, y compris la dépénalisation de la possession de drogue à des fins personnelles» afin de «lutter contre la surpopulation carcérale et la surincarcération des personnes accusées de crimes liés à la drogue. . »

    La nouvelle mesure proposée dans l'Oregon a le soutien de "l'Oregon Nurses Association, la section de l'Oregon de l'American College of Physicians et de l'Oregon Academy of Family Physicians", selon ABC.

    Les groupes affirment que: "Punir les gens pour usage de drogues et toxicomanie est coûteux et n'a pas fonctionné. Plus de traitement pour toxicomanie, pas de punition, est une meilleure approche."

    De l'autre côté de l'argument se trouvent 24 procureurs de district, qui affirment que la mesure «décriminalise imprudemment la possession des types de drogues les plus dangereux (et) conduira à une augmentation de l'acceptabilité des drogues dangereuses».

    Le procureur du district du comté de Multnomah, Mike Schmidt, a répliqué: «Des lois sur les drogues malavisées ont créé de profondes disparités dans le système judiciaire. Arrêter des personnes dépendantes est une punition cruelle, car cela les gifle avec un casier judiciaire permanent qui peut ruiner des vies.

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  21. Jimmy Jones, directeur exécutif de Mid-Willamette Valley Community Action, un groupe qui vient en aide aux sans-abri, a déclaré: «Chaque fois que cela se produit, non seulement cet individu entre dans le système de justice pénale, mais cela nous complique la tâche, back-end, pour loger n'importe lequel de ces gens parce que beaucoup de propriétaires ne toucheront pas les gens avec des antécédents criminels récents. "

    Il a poursuivi: "Ils ne toucheront pas les gens avec des accusations de possession."

    Alors maintenant, les propriétaires ne sauront tout simplement pas quand leurs locataires ont un problème de drogue dure. Ça devrait arranger les choses, Jimmy.

    https://www.zerohedge.com/medical/oregon-verge-decriminalizing-heroin-cocaine-and-lsd

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    1. Un plein de fait et 1 kg de coke offert !
      4 paquets de lessive achetés: 1 kg de coke offert !

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  22. Même histoire, décennie différente: comment la définition de l’OMS d’une pandémie mondiale profite aux grandes entreprises pharmaceutiques

    Lorsque l’OMS a élargi sa définition de la pandémie mondiale en 2009, les fabricants de vaccins H1N1 en ont profité aux dépens des contribuables. Les fabricants de vaccins COVID récolteront probablement encore plus d'avantages.


    Par Jeremy Loffredo
    Défense de la santé des enfants
    2 novembre 2020


    Dans les années précédant 2009, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a travaillé aux côtés des fabricants de vaccins, à savoir GlaxoSmithKline (GSK), pour garantir que les pays européens et africains concluent des contrats pour vacciner leurs citoyens en cas de pandémie mondiale de grippe imprévue.

    Ces contrats dormants, ou «contrats dormants», stipulaient que si une pandémie mondiale se produisait, elle déclencherait les contrats, certaines sociétés pharmaceutiques fabriqueraient des vaccins contre la grippe et les gouvernements respectifs paieraient les fabricants de vaccins.

    Le 11 juin 2009, la Directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, a déclaré que la grippe porcine H1N1 était une pandémie mondiale, déclenchant les contrats dormants et mettant l'industrie pharmaceutique et des vaccins à la vitesse supérieure.

    Chan a pu faire cette déclaration sur la base de la définition officielle de l'OMS d'une pandémie, qui a été mise à jour juste un mois avant de déclarer la pandémie H1N1 - l'OMS a supprimé sa définition de pandémie du site Web de l'organisation et l'a remplacée par une nouvelle définition plus flexible.

    Selon la nouvelle définition, l'OMS n'exigeait plus que quiconque meure d'une maladie avant que l'organisation puisse déclarer une pandémie. La nouvelle définition stipulait seulement que les infections étaient géographiquement répandues.

    Au moment où l'OMS a déclaré que la grippe porcine H1N1 était une pandémie, seules 144 personnes dans le monde étaient mortes de l'infection. Comme l'explique Wolfgang Wodarg, alors président de l'Assemblée parlementaire du Comité de la santé du Conseil de l'Europe:

    «L'OMS avait une définition d'une pandémie, qu'elle définissait comme un virus avec une mortalité élevée et une morbidité élevée. Et en 2009, ils ont soudainement abandonné ces deux caractéristiques, sans rien dire sur la gravité ou la mortalité. »

    L’OMS n’est pas seule responsable de la décision de déclarer le H1N1 pandémie. Les responsables de l'OMS ont consulté un groupe d'urgence de 160 scientifiques au sein du Comité du Règlement sanitaire international. Bien que l'identité de ces scientifiques ne soit pas connue du public à l'époque, une enquête du British Medical Journal de 2010 a révélé que de nombreux membres du comité qui ont voté pour déclarer le H1N1 pandémique avaient des liens financiers avec les fabricants de vaccins contre la grippe, y compris GSK.

    La déclaration du H1N1 en tant que pandémie a lancé pour 18 milliards de dollars de contrats de vaccination contre la grippe «dormants» et a permis à GSK de diffuser son vaccin, Pandemrix, dans des pays du monde entier.

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  23. Le vaccin Pandemrix a provoqué des réactions neurologiques indésirables sévères, tout au long de la vie, y compris la narcolepsie et la cataplexie (la perte soudaine et brève du tonus musculaire volontaire déclenchée par de fortes émotions), chez au moins 1 300 enfants à travers l'Europe. Il est possible que davantage d’enfants aient été blessés, car on estime que seuls 10 % des effets indésirables sont signalés par le biais des systèmes nationaux de notification des effets indésirables.

    Selon Reuters et d’autres articles de presse, les chercheurs ont estimé que le coupable des blessures causées par le vaccin GSK H1N1 était l’adjuvant AS03 de GSK, ajouté au vaccin pour stimuler une puissante réponse immunitaire.

    En Allemagne, la controverse a éclaté lorsque le journal allemand Der Spiegel a annoncé que les hauts responsables politiques et les employés du gouvernement allaient recevoir Celvapan, le vaccin sans adjuvant H1N1 de Baxter, même si le gouvernement faisait la promotion publique du Pandemrix de GSK.

    Selon une enquête du British Medical Journal, les propres rapports de sécurité internes de GSK ont montré que GSK était au courant des problèmes de sécurité liés à Pandemrix, mais ne les a jamais révélés au public. Le point de données le plus alarmant était une multiplication par cinq du nombre de décès parmi les personnes ayant reçu Pandemrix, par rapport aux personnes ayant reçu des vaccins contre la grippe porcine H1N1 qui ne contenaient pas d’adjuvant.

    Les poursuites contre le fabricant de médicaments ont commencé à s'accumuler, mais les contribuables ont fini par payer la facture de millions de dommages-intérêts - parce que les contrats de vaccins dormants incluaient une indemnité légale complète pour les fabricants de vaccins.

    La panique qui a entouré la grippe porcine H1N1 et la précipitation qui a suivi pour se faire vacciner était en partie motivée par des modèles gonflés et largement diffusés qui prédisaient à tort que des milliers et des milliers de personnes mourraient de la grippe.

    Ces modèles ont été fournis par le professeur Neil Ferguson et son équipe de chercheurs de l’Imperial College d’Oxford. Le groupe de Ferguson a conseillé au gouvernement britannique de se préparer à au moins 65 000 morts. À la fin de la pandémie, la grippe porcine H1N1 avait coûté la vie à seulement 457 personnes.

    Paul Flynn, vice-président du Comité européen de la santé du Conseil de l’Europe, a déclaré à propos de la débâcle de la grippe porcine H1N1: «Le monde a été soumis à un coup de grâce par l’avidité des sociétés pharmaceutiques.»

    Onze ans plus tard, le 11 mars 2020, l'OMS, s'appuyant sur la même définition atténuée d'une pandémie, a déclaré que le COVID-19 était une pandémie mondiale.

    De nombreux gouvernements ont basé leurs politiques de prévention contre le COVID-19, y compris les fermetures et verrouillages des frontières, sur des modèles informatiques conçus par Ferguson et son équipe à Oxford, malgré les inexactitudes exponentielles du modèle qu'il avait fourni pendant la pandémie H1N1.

    Les modèles de Ferguson prévoyaient que plus de 2,2 millions d'Américains mourraient du COVID-19. À ce jour, environ 229 000 sont décédés.

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  24. L’Imperial College d’Oxford a reçu plus de 180 millions de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates, faisant du plus grand bailleur de fonds autoproclamé de vaccins au monde la deuxième source de financement de l’Imperial College d’Oxford.

    L’Imperial College d’Oxford a également des liens financiers avec une organisation fondée et financée par la Fondation Gates, GAVI the Vaccine Alliance, un partenariat public-privé pour la santé mondiale axé sur un accès accru aux vaccins.

    Moncef Slaoui, le scientifique en chef chargé des efforts américains pour trouver un vaccin COVID-19, maintenant connu sous le nom d’Opération Warp Speed, était le président des vaccins de GSK en 2009. Slaoui a supervisé le développement et les tests de sécurité du H1N1 Pandemrix de GSK.

    En juillet 2020, Sanofi et GSK ont conclu un accord de 2,1 milliards de dollars pour fournir aux États-Unis 100 millions de doses de leur vaccin. Le partenariat est une collaboration entre un vaccin antigrippal Sanofi modifié et l’adjuvant AS03 de GSK, le même composé qui serait responsable d’avoir causé des lésions cérébrales permanentes chez au moins 1 300 enfants européens lors de la grippe porcine H1N1.

    Si l’histoire se répète et que le vaccin COVID de GSK a des effets néfastes, les contribuables - et non le fabricant de vaccins - seront à nouveau à la merci des dommages. En effet, en mars 2020, le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a publié une déclaration en vertu du Public Readiness and Emergency Preparedness Act, ou PREP Act, qui élargit l'immunité des fabricants de vaccins COVID, les protégeant «contre toute réclamation de perte causée par, résultant de, se rapportant à ou résultant de la fabrication, de la distribution, de l'administration ou de l'utilisation de contre-mesures médicales », y compris les vaccins.

    Ces nouvelles protections s'ajoutent à celles déjà accordées aux fabricants de vaccins en vertu de la National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) de 1986. Le but de NCVIA est d'éliminer la responsabilité financière potentielle des fabricants de vaccins face aux réclamations pour blessures liées aux vaccins.

    Inscrivez-vous gratuitement aux nouvelles et mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la défense de la santé des enfants. CHD planifie de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans un effort pour défendre la santé de nos enfants et obtenir justice pour ceux qui sont déjà blessés. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

    https://www.lewrockwell.com/2020/11/no_author/same-story-different-decade-how-whos-definition-of-a-global-pandemic-benefits-big-pharma/

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  25. NOËL ET LE JOUR DE L'AN NE SERONT PAS « NORMAUX » EN 2020


    par PAOLO GAROSCIO
    02/11/2020


    En 2018, 20 % des Français sont partis durant les vacances de Noël.

    C’est la question que tout le monde se pose, après une année 2020 on ne peut plus dramatique : qu’en sera-t-il de Noël et des célébrations du Jour de l’an, alors que la population française est confinée au moins jusqu’au 1er décembre 2020 ? Simple : ils ne seront pas « normaux ». Le gouvernement prépare les Français au pire : le confinement à Noël.

    Noël 2020 sera contraignant, a minima

    Interrogé par le Journal du Dimanche le 1er novembre 2020, Olivier Véran, ministre de la Santé, n’a pas voulu donner de faux espoirs aux Français : Noël 2020 « ne sera pas une fête normale », a-t-il déclaré. Et ce n’est pas la première fois que le gouvernement prévient la population que les célébrations de fin d’année ne se dérouleront pas comme d’habitude. De quoi faire de Noël 2020 la suite logique du reste de cette année catastrophique.

    Si le gouvernement ne s’avance pas sur un possible confinement prolongé jusqu’à Noël, cela dépendra de la situation sanitaire, Olivier Véran prévoit qu’il sera a minima contraignant : « nous cherchons à créer les conditions pour vivre un Noël le moins contraignant possible », a-t-il déclaré au JDD. Pas sûr que le gouvernement y parvienne.

    Pas de « grandes soirées » le 31 décembre 2020

    Conscient que les Français n’attendent désormais plus que Noël pour essayer de passer quelques heures en famille, se retrouver pour celles et ceux qui n’ont pas pu se voir, se recueillir pour celles et ceux qui ont perdu des proches, la gouvernement fait son possible : « notre but est que la pression épidémique retombe pour qu’on puisse faire des courses à temps, se préparer dans la joie, pour que soient crées les conditions permettant aux familles de se retrouver ».

    Pour autant, Noël se fera en petit comité, tout comme le Réveillon : « il est difficile d’envisager de grandes soirées ». Et pour cause : le risque de Noël et du Jour de l’an est celui de créer des millions de clusters en quelques jours, alors que les règles sanitaires et les gestes barrières sont peu respectés en famille et entre amis…. Et donc de devoir reconfiner une troisième fois les Français par la suite.

    http://www.economiematin.fr/news-noel-fete-reveillon-2020-confinement-coronavirus-alerte

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  26. Tollé les réseaux sociaux après les propos polémiques de Castex au sujet de la colonisation


    2 nov. 2020, 07:11


    Le Premier ministre Jean Castex s'est demandé si la France devait s'«autoflageller, regretter la colonisation, je ne sais quoi encore». Des propos qui ont déclenché une polémique sur les réseaux sociaux. Jean Castex a dénoncé le 1er octobre 2020 les «compromissions pendant trop d'années» avec l'islamisme radical et a demandé à la «communauté nationale» d'être «unie et fière» de ses valeurs pour mener le «combat idéologique» contre cet ennemi.

    «Le combat, il est idéologique : l'ennemi cherche d'abord à nous diviser en répandant la haine et la violence, à fracturer la communauté nationale», a averti le chef du gouvernement, invité du 20 heures de TF1. Lire aussi Des militants de la LDNA pénètrent dans les locaux de Valeurs actuelles et promettent de revenir C'est fini, plus aucune complaisance d'intellectuels, de partis politiques, il faut que nous soyons tous unis sur la base de nos valeurs, sur la base de notre histoire «Je veux ici dénoncer toutes les compromissions qu'il y a eu pendant trop d'années, les justifications à cet islamisme radical : nous devrions nous autoflageller, regretter la colonisation, je ne sais quoi encore ?», a-t-il ajouté.

    «La première façon de gagner une guerre, c'est que la communauté nationale soit soudée, soit unie, soit fière de nos racines, de notre identité, de notre République, de notre liberté, il faut gagner le combat idéologique», a jugé le Premier ministre. «C'est fini, plus aucune complaisance d'intellectuels, de partis politiques, il faut que nous soyons tous unis sur la base de nos valeurs, sur la base de notre histoire», a-t-il insisté.

    Une polémique est née sur les réseaux sociaux Ces propos n'ont pas manqué d'engendrer une polémique sur les réseaux sociaux. Ainsi, le député européen de Place publique, Raphael Gluksmann, a estimé sur Twitter que «les temps [étaient] trop graves pour ce genre de bouillie mentale au sommet de l’Etat». Le journaliste et présentateur de l'émission La France oubliée sur RT France Didier Maïsto s'est demandé si la colonisation n'était plus «comme le disait Macron "un crime contre l’humanité"».

    La militante féministe Caroline De Hass a jugé «terrifiant» les propos du Premier ministre. «Pour le Premier ministre Jean Castex, regretter notre colonisation serait une justification de l’islamisme radical», s'est offusqué le journaliste Claude Askolovitch. Le maire de Chalon-sur-Saône et vice-président national du parti Les Republicains, Gilles Platret a salué les propos du Premier ministre tout en pointant l'incohérence qui «règne au sommet de l’Etat». Les propos de Jean Castex semblent en effet contredire les déclarations d'Emmanuel Macron à Alger le 13 février 2017. Le candidat d'En Marche ! avait affirmé que la colonisation était «un crime contre l'humanité», provoquant un tollé notamment à droite.

    Dans un entretien au journal Le Point intitulé «Ce que je suis», le président de la République, alors candidat à la présidentielle, avait auparavant estimé qu’il y avait eu à la fois «des éléments de civilisation et des éléments de barbarie» dans la colonisation de l'Algérie. «Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un Etat, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation», avait déclaré l’ancien ministre de l’Economie dans cette interview publiée le 23 novembre 2016.

    https://francais.rt.com/france/80261-tolle-reseaux-sociaux-apres-propos-polemiques-castex-colonisation

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    1. Ce ne sont certes pas les 'évangélistes' qui ont éduqué les africains bien au contraire mais, ils ont introduit les religions là où elles n'existaient pas. Et, qui dit religion dit guerres. Car toutes les guerres sont des guerres de religions.

      Mais, quand un crétin-trisomique parle de 'nous' il parle uniquement des dictateurs en place depuis Charlemagne jusqu'à Napoléon en passant par la monarchie et la république. Donc: AUCUN français ne doit se sentir visé quant à ce qu'aurait fait ou pu faire un de ses lointains descendants !

      Par contre il existe bien une colonisation de nos libertés par les criminels qui emprisonnent, volent et tuent le premier qui sort de chez lui !

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  27. Le confinement ou le mythe de l’apprenti sorcier


    par Ariel Beresniak
    1 nov. 2020


    Pour le docteur en médecine Ariel Beresniak, le confinement décidé par l'exécutif français n'a pas de fondement scientifique, mais pourrait s'expliquer par la volonté des dirigeants de minimiser leurs responsabilités, ou par leur désir de dominer. Ariel Beresniak, docteur en médecine, spécialiste en santé publique et médecine sociale, docteur en mathématiques appliquées, habilité à diriger des recherches, professeur invité à l’Université russe d’économie Plekhanov.
    Auteur d’ouvrages notamment d'Economie de la Santé (Elsevier-Masson), Comprendre la pharmacoeconomie (John Libbey), Dictionnaire raisonné des entreprises du médicament (Flammarion) et Dictionnaire d’Economie de la Santé (Masson). L’étude des mythes éclaire souvent les comportements humains. Le mythe de l’apprenti sorcier, décrit originellement par le Grec Lucien de Samosate au IIe siècle avant d’être popularisé par Goethe, met en scène un apprenti scribe qui trouve le moyen d’animer un balai. Tenté d’en obtenir plus, le scribe transforme le balai en serviteur, celui-ci devient si zélé qu’il en est incontrôlable, ce qui provoque une catastrophe.

    Il aurait été utile que les dirigeants des pays occidentaux se souviennent de ce mythe, à plus forte raison s’ils n’ont pas une grande expérience du pouvoir. Des références du XXe siècle leur sont certainement plus familières ; il semble que les déterminants des totalitarismes relatés dans les romans 1984 et La Ferme des animaux de Georges Orwell aient été parfaitement compris et intégrés. Une véritable novlangue a ainsi été créée à l’orée de la pandémie de coronavirus. Le terme anglo-saxon «cluster» remplace notre terme français «foyer», permettant de lui adjoindre une aura plus mystérieuse.

    Les mots «confinement /déconfinement» ont débarqué de nulle part dans notre néo-vocabulaire sanitaire, apportant une nuance de châtiment collectif. Les résultats virologiques positifs, qu’ils soient confirmés vrais ou faux, qui concernent des personnes saines, asymptomatiques ou malades, deviennent de façon indifférenciée des «cas» dont le nombre «explose».

    Les contestataires de la théorie officielle «alarmiste» sont estampillés avec dédain par le sobriquet «assuristes». Le pistage des clients des bars et restaurants, ainsi que les applications mobiles de traçage des contacts, sont les instruments de Big Brother. Le principe n’a pas changé : plus on réduit les finesses du langage et plus on accentue la surveillance, moins les citoyens sont capables de réfléchir et de contester, ne raisonnant plus qu’avec les réflexes archaïques de leur cerveau reptilien (peur, survie, manger, dormir).

    Le «Comité scientifique» s’apparente volontiers aux commissions créées par le personnage du cochon qui est au pouvoir dans l’œuvre La Ferme des animaux. Ces scientifiques choisis par le chef de l’Etat pour le conseiller sur l’épidémie, sans avoir à passer par les commissions officielles, comme le Haut conseil de la Santé publique, ont certainement de réelles compétences dans leur domaine spécifique.

    En revanche, ils n’ont aucune crédibilité scientifique dans l’étude de la dynamique des épidémies et de l’évaluation des mesures de santé publique contre les pandémies à virus respiratoires. Les «avis» de ce comité sont mal justifiés, mal référencés, et apparaissent influencés par les différents niveaux d’aversion au risque des membres. C’est ainsi que sans disposer d’aucune preuve d’efficacité, le «confinement» généralisé de la population a été recommandé par ce comité de façon péremptoire comme la mesure soi-disant la plus efficace pour lutter contre le coronavirus.

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  28. Ces déclarations relèvent plus du catéchisme que de la science, c’est-à-dire de réponses toutes faites à des questions toutes faites. Si le grand public a découvert au printemps 2020 l’existence de la notion de confinement de la population comme un moyen de lutte contre les épidémies, il faut admettre que la communauté scientifique l’a découverte en même temps ! Il existe de nombreux travaux scientifiques évaluant les réponses aux épidémies, rapports nationaux, européens, et internationaux, de préparation au risque épidémique des virus respiratoires, mais en aucun cas le concept de confinement généralisé d’une population n’a été publié, étudié, ni même évoqué, encore moins évalué par une quelconque recherche.

    Le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade Dans l’esprit du public, le concept de «confinement» se confond avec celui «d’isolement». Ces deux notions n’ont pourtant rien à voir. Le principe de l’isolement repose sur la mise à l’écart, pendant la période de contagiosité, de patients dont le diagnostic de pathologie transmissible a été formellement confirmé. Or le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade.

    De ce fait, un membre de la famille contaminé contaminera inexorablement les autres membres du foyer avec qui il est confiné. Preuve en est : les épidémies survenues à bord du paquebot de croisière Diamond Princess et du porte-avion Charles-de-Gaulle. L’événement ayant frappé ce dernier constitue la meilleure démonstration expérimentale de l’absurdité du principe du confinement d’une population pour lutter contre une épidémie. Sur 1 766 marins confinés de fait à bord du navire, 1081 ont été contaminés à partir d’une poignée de militaires asymptomatiques rentrés de permission, dont 1 046 malades, soit 61% de la population totale du navire.

    La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population. Elle a préservé son économie et s’est contentée de contenir de façon hermétique l’épicentre de l’épidémie dans la ville de Wuhan. Une réponse pertinente des pays occidentaux aurait été d’interdire les arrivées de Chine dès janvier 2020, et non d’accepter la venue en Europe d’avions entiers de voyageurs chinois, ou de rapatrier des ressortissants européens de Wuhan, qui ont disséminé l’épidémie en Europe. L’Italie a bien tenté d’interdire l’arrivée des vols directs en provenance de la Chine, mais curieusement pas l’arrivée des passagers ayant utilisé des vols indirects.

    De nombreux Chinois installés dans le Nord de l’Italie pour travailler dans le secteur de la confection, ont ainsi pu rentrer de leurs congés du Nouvel an chinois en étant porteurs du virus… La fermeture des frontières aux voyageurs provenant de Chine aurait été une des réponses adéquates pour éviter d’importer l’épidémie sur le sol européen. Il en existe d’autres. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France Les mesures de distanciation sociale sont des interventions classiques de santé publique contre les épidémies respiratoires, comme la fermeture des écoles et l’arrêt des transports publics.

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  29. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France. Probablement, ces décisions sont prises pour ne pas remettre en question des années de propagande idéologique contre les véhicules individuels. Quoi qu’il en soit, et contrairement à la communication officielle reprise clé en main par la grande majorité des médias, les mesures de distanciation sociale ne permettent pas de diminuer le nombre de malades et de décès.

    Elles ne font que décaler la date du pic épidémique pour mieux étaler dans le temps les ressources du système de santé. L’aire sous la courbe étant la même, le nombre de malades et de décès sont équivalents. Prétendre que le confinement aurait permis d’éviter 3,1 millions de morts dans 11 pays européens, comme le suggère une étude de l’Imperial College de Londres, relève d’un discours digne d’un télévangéliste.

    L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien Avant de colporter ces prévisions cataclysmiques pour justifier son rôle, le «Conseil scientifique» devrait se souvenir qu’un virus ne se répand pas de manière multiplicative mais selon une courbe ascendante de propagation qui lui est propre, pour spontanément diminuer après un «pic», quelles que soient les mesures prises.

    L’étude des courbes de morbidité et de mortalité en Suède (pays qui n’a jamais imposé de confinement à sa population), en est la meilleure démonstration. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien. Pourquoi la courbe baisse-t-elle spontanément avec ou sans confinement ? Pourquoi n’augmente-t-elle pas indéfiniment comme le postulent les modélisations de l’Imperial College de Londres et de l’Institut Pasteur ? La réponse est qu’un virus dépend intimement de son environnement écologique, climatique, biologique…

    Ces facteurs pluriels constituent un écosystème formé d’innombrables cofacteurs inconnus impactant le comportement des virus. Le rôle des cofacteurs et de l’environnement a été particulièrement étudié pour le virus Epstein-Barr, car ce virus est responsable de deux pathologies très distinctes selon son environnement : une simple angine en Europe (la mononucléose infectieuse) et un cancer en Afrique (le lymphome de Burkitt).

    En ce qui concerne l’action sur la mortalité, les mesures efficaces sont la création de nouvelles unités de soins intensifs ainsi que l’amélioration du niveau d’équipement de ces unités par des respirateurs dits «invasifs» et des machines d’oxygénation du sang extracorporelles (ECMO). L’importance du développement des ECMO est régulièrement soulevée pour réduire la mortalité des épidémies de grippe et donc du Covid-19, mais reste encore de nos jours l’apanage de quelques centres spécialisés.

    Ce qui ne manque pas de créer des conflits entre les familles des malades pour avoir accès à ces machines qui permettent de survivre aux détresses respiratoires les plus sévères. Faut-il encore que les patients puissent supporter la réanimation, ce qui n’est pas le cas des personnes très âgées, souffrant d’autres pathologies sévères et constituant les principales victimes du Covid.

    Un patient de 85 ans malade d’un cancer métastasé pourra ainsi être admis en réanimation s’il a été détecté positif au coronavirus et considéré «mort du Covid» s’il décède, quelle que soit la cause du décès. Les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes

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  30. C’est la raison pour laquelle il importe de toujours bien définir les critères de suivi épidémiologique et de mettre les chiffres en perspective. Se contenter de lister les nombres de morts et de «cas» sans définir de quoi il s’agit - comme semble s’en être fait une spécialité le directeur général de la Santé - ne sert qu’à apeurer la population (ce qui peut être un objectif en soi).

    Il convient au contraire de mettre en perspective les courbes en les comparant dans le temps et dans l’espace et d’étudier s’il y a des variations d’espérance de vie avant et pendant l’épidémie, et des différences de mortalité annuelle. Or il apparaît que les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes.

    Le marasme économique profond que subit actuellement la nation du fait de l’assignation à résidence de la population est la catastrophe de l’apprenti sorcier. Sans aucune justification scientifique, ni de preuve préalable d’efficacité, cette décision arbitraire a pourtant été prise par un pouvoir exécutif inexpérimenté pour la deuxième fois en une année, en créant une catastrophe économique et sociale à court, moyen et long terme.

    Présentée comme la «seule» solution en attendant le «vaccin», il y a fort à parier que la population risque de vivre sous cloche encore quelques années. Rappelons qu’en 2009, la France a commandé 94 millions de vaccins contre la grippe H1N1, mais que 5 millions de personnes seulement ont été vaccinées. Les épidémies de rougeole et de méningite existent à ce jour dans le monde, alors que leurs vaccins existent depuis longtemps, sont efficaces et bien tolérés à long terme (ce qui ne pourra être confirmé pour les futurs vaccins contre le coronavirus que par le recul acquis sur plusieurs années).

    Au-delà de la disponibilité du vaccin, l’organisation de la vaccination de la population est un exercice extrêmement difficile et long, voire récurrent si les vaccins doivent s’adapter aux mutations et recombinaisons des coronavirus. Sans justifications scientifiques et médicales, deux raisons persistent pouvant expliquer le choix coercitif du pouvoir exécutif de confiner l’ensemble de la population : La minimisation de la responsabilité du décideur : une victime identifiée du Covid, mise en scène par des images terrifiantes de soins intensifs, a plus de valeur pour les autorités qu’une victime collatérale des conséquences du confinement non encore identifiées.

    La puissance publique favorise ainsi systématiquement les actions et investissements qui réduisent sa responsabilité, quitte à détruire le tissu économique et social. La jouissance du pouvoir : l’amour du pouvoir, le plaisir de régner, le désir de dominer, procurent une légitimité illusoire à des comportements aberrants qui se nourrissent de mensonges hygiénistes.

    Le chef de l’Etat tend à imaginer le monde comme un théâtre scolaire sur la scène duquel le premier rôle lui est attribué. La représentation d’une réalité binaire associée à une caution technique de son «Comité scientifique» conforte son désir en lui procurant une légitimité. De nos jours, notre société est imaginée à l’image du corps. Elle est le «corps» social. Le chef de l’Etat se considère comme le thérapeute de ce corps : il le protège contre les «agressions», il le soigne de ses maux «quoi qu’il en coûte», il surveille sa tension (les contestations sociales).

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  31. Le discours du chef de l’Etat emprunte délibérément ses mots à la médecine. Il en fait régulièrement des métaphores qui transportent le sens du verbe «soigner» aux verbes «gouverner» et «gérer». Le chef est, comme l’indique son nom, la tête de ce corps social. Ce n’est donc pas un hasard si en cas de crise, le chef de l’Etat est tenté d'imposer une anesthésie générale, voire des purges et des saignées pour ne pas lui-même risquer d’être remis en question. Le déluge est un autre mythe racontant comment les dieux se fâchent et corrigent leurs créatures ! Les «jeunes» se sont-ils mal comportés dans les parcs ou dans les bars ?

    La punition collective de la fermeture généralisée des parcs, plages, forêts, montagnes, bars et restaurants s’apparente à la purge et à la saignée. Il suffit ensuite de valoriser la souffrance et le sacrifice du peuple en les justifiant par la «science» représentée par «Le» comité scientifique et les regardant comme régénérateurs en vue des lendemains qui chantent, en attendant les surlendemains qui déchantent.

    https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-sorcier-ariel-beresniak

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    1. Rappelons que la prison portative (masque) prive le condamné de 30 % d'oxygène et l'oblige à re-respirer le gaz carbonique expiré !
      Idem en prison à domicile où des téléspectateurs-trisomiques vont jusqu'à fermer portes & fenêtres afin que baisse l'oxygène et s'accumule le gaz carbonique !
      Le défaut d'oxygène occasionne des maux de tête et des pertes de mémoire irréversibles !

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  32. Le loup n’est plus une espèce protégée aux États-Unis


    30.10.20


    Les populations de loups seront désormais contrôlées localement, par chaque État fédéré.

    Le service de protection de la faune et de la flore américain, Fish and Wildlife Service, a annoncé le 29 octobre 2020 avoir retiré le loup commun de la liste des espèces protégées. Cette mesure prendra effet 60 jours après sa publication au registre fédéral.

    « Selon les meilleures données scientifiques et commerciales, les populations de loups communs, ou loups gris (Canis lupus) des 48 États du continent américain [hors Alaska et Hawaï] ne rentrent plus dans les critères d’espèce en danger », a déclaré le Fish and Wildlife Service, service de protection de la faune sauvage américain, le 29 octobre 2020.

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    1. Contrairement à d'autres pays (européens) les élevages et cultures sont préservées.
      Les corbeaux anéantissent des hectares de maïs mais... qui va tirer du corbeau ? Pour l'instant, seuls les sangliers & chevreuils devraient être abattus (en France).

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  33. France - Les stocks de céréales revus en baisse de 10 millions de tonnes

    30.10.20

    Sur un an, la hausse attendue des stocks de blé, d’orge, de sorgho, d’avoine et de seigle ne compensent pas l’importante baisse en maïs.

    Le Conseil international des céréales a ajusté à la hausse la consommation mondiale des céréales en 2020-2021 par rapport à ses estimations de septembre. Couplées à une production et des stocks d’ouverture attendus en baisse, ces nouvelles estimations tendent le bilan mondial.

    Dans ses prévisions du mois d’octobre, le Conseil international des céréales (CIC) a revu à la baisse d’un million de tonnes (Mt) la production mondiale de céréales (blé et céréales secondaires) pour 2020-2021, à 2 226 Mt. Cela résulte de « la réduction des perspectives de production de maïs (principalement dans l’UE, l’Ukraine et les USA) »

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    1. Les animaux... respirent comme nous (200 000 microbes ou virus par minute) sans qu'ils ne soient emprisonnés.

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  34. BELGIQUE - La grande distribution a soif de foncier


    30.10.20


    Le groupe Colruyt veut investir dans du foncier et le faire exploiter pour assurer l’approvisionnement de ses rayons.

    Colruyt group a annoncé fin septembre un projet d’investissement qui a secoué les campagnes belges. Le leader de la grande distribution a manifesté son intérêt d’exploiter des terres agricoles, mais aussi d’en acquérir. Cette intention a créé une onde de choc auprès des agriculteurs, qui estiment que le groupe va augmenter la pression sur un marché foncier déjà très tendu.

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    1. Comme pour le marché des carburants (où les grandes surfaces s'en foutent de vendre sans bénéfices), arrivent de 'nouveaux exploitants' qui tendent à rabaisser les prix de vente avec des productions hors bénéfice !

      Quand il n'y a plus de concurrence, les prix sont 'à la tête du client' !

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