15:01 26.11.2020
Le garde des Sceaux, Éric Dupont-Moretti, a annoncé que le gouvernement envisageait de créer un «délit d'écocide» pour sanctionner les atteintes à l'environnement, dont l'auteur pourra encourir une peine de prison et une amende.
Le gouvernement français va créer un «délit d'écocide» en vue de sanctionner les atteintes graves à l'environnement, ont annoncé les ministres de la Transition écologique Barbara Pompili et de la Justice Éric Dupont-Moretti.
Il s’agit d’un nouveau délit et non crime comme l'avaient souhaité les 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat, mise en place dans le but de proposer des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, ont souligné les deux responsables gouvernementaux dans une interview conjointe au JDD.
«A l'enthousiasme citoyen qui s'est exprimé doit succéder une traduction juridique dans le code pénal», a expliqué le garde des Sceaux, ajoutant que «nous allons créer un délit général de pollution».
Quant au coût, les pénalités seront modulées en fonction de l'intentionnalité de l'auteur et les peines encourues vont de trois à dix ans d'emprisonnement, a-t-il relevé, notant que les amendes iront de leur côté de 375.000 à 4,5 millions d'euros.
Un autre délit
Un deuxième délit de «mise en danger de l'environnement» devrait aussi voir le jour, avec des sanctions qui pourront s'appliquer y compris quand la pollution n'a pas encore eu lieu, en vue de pénaliser la mise en danger délibérée de l'environnement par des violations délibérées d'une obligation, a souligné M.Dupond-Moretti.
La peine encourue dans ce sas cas est d'un an de prison et de 100.000 euros d'amende.
«C'est en fait la traduction, en des termes juridiques précis, de ce que demandaient les promoteurs historiques de la reconnaissance de l'écocide», a souligné Mme Pompili.
«Les 150 citoyens défendaient cette mesure très forte symboliquement portant sur toutes les atteintes à l'environnement. Dès le départ, le Président leur avait indiqué aux citoyens que la rédaction proposée pour l'écocide ne pouvait être retenue telle quelle», a-t-elle rappelé.
La Convention citoyenne pour le climat, initiative inédite en France ayant pour vocation de donner la parole aux citoyens pour accélérer la lutte contre le changement climatique, a été constituée en octobre 2019 sur demande du premier ministre de l’époque Edouard Philippe. Elle a regroupé 150 citoyens tirés au sort qui ont soumis 149 propositions au président Emmanuel Macron, qui s'est engagé à en reprendre 146.
Qu'est-ce qui est appelé 'pollution' ?
RépondreSupprimerC'est - par exemple - prendre quelque chose au sol ou dans la terre, de le regarder, de le casser, le mélanger avec quelque chose d'autre ramassé sur Terre (et non sur la lune) et puis de le consommer et de le déféquer ou de le reposer sur terre quelques secondes ou minutes après !
Faire du feu, c'est émettre de la fumée dont la totalité des gaz vont se recycler immédiatement.
Faire bouillir de l'eau c'est émettre de la vapeur d'eau: gaz à effet de serre.
Respirer c'est émettre du gaz carbonique.
Péter c'est émettre du méthane.
Je rappelle que TOUS les gaz se recyclent immédiatement et que le magma est le plus gros émetteur de gaz (des milliards de milliards de fois plus que tous les humains réunis !). Il nous fabrique l'oxygène (aussi pour la vie marine) et tous les autres gaz jusqu'aux plus toxiques. Ils sont émis depuis les millions (milliards ?)de sources chaudes qui tapissent les planchers maritimes & océaniques (chaleurs emportées par les courants et qui réchauffent le littoral ou, directement, font fondre les glaciers des pôles en les détachant de leurs bases). Ils sortent aussi par les volcans terrestres.
Si les gaz ne se recyclaient pas la vie ne serait même pas apparue sur Terre !
C'est pourquoi parler de 'pollution' comme du manque d'eau !!! est une escroquerie de plus ajoutée à la dictature anti-scientifiques.
Pour ce qui est du prix de l'eau, là aussi il y a escroquerie car, l'eau sort gratuitement des sources. L'eau n'a nullement besoin de 'stations d'épuration' car, l'eau sale qui s'en va à la mer (où les poissons chient dedans) s'infiltre continuellement aux planchers maritimes & océaniques vers le magma (boule ferrique incandescente au centre de notre planète) où elle est chauffée/brûlée et remonte en couloirs souterrains (proche d'où elle est entrée) ou vers des galeries vers les nappes phréatiques et les sources de montagnes.
Elle joue le rôle (copié sur elle) des cafetières électrique où l'eau est chauffée et remonte dans un tube pour retomber sur le marc de café. Idem pour les chaudières de chauffage central.
C'est pourquoi aussi 'la mer ne peut monter' !! L'eau que nous buvons chaque jour a déjà été crachée, suée, pissée des milliards de fois !
L'eau sale des océans est donc bouillie et remonte en vapeurs vers ses destinations.
Comment obtenir de l'eau propre avec de l'eau sale (noire, urines, etc) ?
Prendre une boite d'eau sale et la poser au centre d'une poêle sur le feu. Y mettre dessus une grande boite ou marmiton retourné posé à l'intérieur de la poêle.
L'eau bout et s'évapore en créant des gouttelettes qui vont ruisseler aux parois intérieures du marmiton et remplir la poêle.
Cette eau est pure, claire, sans odeur, sans couleur et sans bactéries !
Il est donc parfaitement inutile de vouloir 'seconder' la nature en dépensant inutilement de l'argent quand le magma fait çà pour nous gratuitement !
Standard&Poor analyse le futur énergétique de l’Europe : il n’y a de place pour aucun optimisme …
RépondreSupprimerle 26 novembre 2020
La transition énergétique « propre » de l’Union européenne « laisse de côté un certain nombre de technologies éprouvées » dans une approche qui est « plus une économie politique qu’une économie de marché », a déclaré cette semaine un analyste du cabinet S&P Global Ratings Infrastructure and Utilities. (Les brefs commentaires et ajouts de mon cru figurent entre parenthèses et en caractères italiques).
S’adressant aux journalistes le 16 novembre 2020, avant la conférence annuelle de l’agence de notation sur les infrastructures et les services publics, Pierre Georges, directeur principal de EMEA Utilities (producteurs d’électricité de la zone Europe-Moyen-Orient-Afrique), a déclaré que la part de la capacité nucléaire dans le mix énergétique du bloc européen devrait baisser de 32 GW d’ici 2030 par rapport à son niveau de 2018. Il s’agit du chiffre net de S&P pour l’UE et le Royaume-Uni, (qui comprend la mise en service de la centrale nucléaire de Mochovce en Slovaquie sur cette période (2020)). L’Allemagne, l’Espagne et la Belgique – qui ont toutes des plans de sortie du nucléaire – représentaient respectivement 9,5 GW, 7,1 GW et 5,8 GW de capacité nucléaire à la fin 2018. Le chiffre de 32 GW est une baisse de capacité légèrement plus rapide que celle projetée dans le scénario le plus bas du rapport sur le combustible nucléaire de l’Association nucléaire mondiale.
Interrogé sur l’avenir de la nouvelle construction nucléaire en Europe, Pierre Georges a déclaré : « Mis à part les développements des nouvelles technologies, des points d’interrogation planent sur les perspectives du secteur nucléaire en Europe datant d’avant la pandémie et celles-ci persistent ». Le parc de réacteurs vieillissant à travers l’Europe atteint sa 40e année dans de nombreux pays, a-t-il déclaré, et le démantèlement de ces centrales est « inévitable ». Les nouveaux projets de construction au Royaume-Uni, en Hongrie et en Pologne ne mettront pas de nouvelles capacités en ligne avant 2030, a-t-il ajouté (hors EPRs d’Olkiluoto et de Flamanville).
Le manque de nouvelles unités va au-delà de la question de l’acceptation publique du nucléaire, a-t-il dit, et des problèmes de la chaîne d’approvisionnement (et de la gestion des déchets). Le savoir-faire et l’expertise disparaissent lentement mais sûrement, il faut donc vraiment relancer une nouvelle industrie pour y arriver dans les décennies à venir. Les perspectives pour les petits réacteurs modulaires pourraient être meilleures que pour les usines à grande échelle, a-t-il dit, et celles-ci pourraient éventuellement faire partie du secteur de la production d’hydrogène.
Choix technologiques
RépondreSupprimerLa croissance des énergies renouvelables n’a pas été affectée par la pandémie en raison d’un renforcement des signaux politiques nationaux et européens, a-t-il déclaré. Les moteurs politiques de cette année comprennent le fonds de relance de 750 milliards d’euros de la Commission européenne. L’objectif de l’UE est une réduction de 55% ou plus des émissions d’ici 2030 et de la neutralité carbone d’ici 2050, en matière d’hydrogène vert capacité d’électrolyse de 6 GW d’ici 2024 et de 40 GW d’ici 2030 (à l’évidence cela relève du rêve 6GW = 7 réacteurs nucléaires type Fessenheim), l’Allemagne portant ses objectifs éoliens offshore à 20 GW d’ici 2030 et 40 GW d’ici 2040, et le Royaume-Uni (qui ne fait plus partie de l’Union européenne) augmentant son objectif éolien offshore en 2030 de 30 GW à 40 GW. Mais les ambitions gouvernementales pour le « net zéro » se déroulent dans un environnement macro-économique « fragile », a-t-il dit, et de nouveaux modèles d’investissement devront être définis.
Il y a la question autour du « bon choix » de technologie, a-t-il dit, car « une technologie appliquée trop rapidement peut être dangereuse voire mortelle, mais aller trop lentement ne nous permettra pas d’atteindre les objectifs zéro carbone ». (Pierre Georges n’a pas précisé ce qu’était dans son esprit une technologie mortelle : mortelle en terme de vie humaine ou mortelle pour l’économie ?) « La transition énergétique de l’UE laisse de côté un certain nombre de technologies éprouvées par le passé, ce qui impliquera une adaptation plus drastique. C’est le cas des acteurs des énergies fossiles – charbon, pétrole et gaz – et dans une certaine mesure l’industrie nucléaire ». Il a été demandé à Pierre Georges s’il y avait un décalage entre les projections de l’Agence internationale de l’énergie (IEA) et d’autres organisations selon lesquelles le nucléaire doit être inclus dans la transition énergétique propre si le monde veut atteindre les objectifs de réduction des émissions de carbone, et le fait que la taxonomie de l’UE sur la finance durable néglige le rôle de l’énergie nucléaire. Il a déclaré à ce sujet : « Le nucléaire est bien sûr une technologie proche du zéro carbone qui pourrait avoir un rôle à jouer. Les questions qui se posent aujourd’hui sont qu’il faut trouver le bon modèle [de financement]. La France, qui est le pays le plus exposé lorsque il s’agit du nucléaire retarde toute réponse sur le « nouveau » nucléaire jusqu’au prochain mandat présidentiel et vous pouvez voir que c’est un sujet hautement sensible politiquement. Mais c’est aussi très rationnel, étant donné l’incapacité jusqu’à présent à achever les projets existants, que ce soit avec Olkiluoto-3 en Finlande ou Flamanville en France. Regardez ces deux projets et posez-vous la question suivante : pouvons-nous effectivement construire un nouveau cycle d’investissement pour le nucléaire alors qu’il est tout à fait évident qu’il existe aujourd’hui des faiblesses techniques et d’expertise dans l’industrie ? » (Les deux EPRs du site chinois de Taishan dont la construction a commencé en 2009 ont été connectés au réseau respectivement en 2018 et 2019, ce détail n’a pas échappé à Pierre Georges qui en a conclu qu’il n’y avait plus d’expertise dans ce domaine industriel en Europe. Les prochaines unités construites en Europe le seront par la Chine ou la Russie). Les prévisions de l’IEA ont une vision globale et prennent ainsi en compte les chaînes d’approvisionnement nucléaire en Russie et en Chine, où les pipelines d’investissement sont plus certains et l’expertise dans le nucléaire « ne s’est jamais éteinte ».
La voie vers une économie nette zéro carbone présente aux services publics un certain nombre de défis technologiques dans la mesure où le secteur de l’électricité est « encore en phase de R&D pour que la décarbonisation se produise », a-t-il déclaré. Ces défis incluent le développement de technologies de production de l’hydrogène et de capture du carbone et l’intégration de la numérisation (difficile de comprendre de quoi il s’agit, les « smart-grids » peut-être, encore une vue de l’esprit : on ne pilote pas la consommation électrique d’un logement comme on pilote la consommation d’un pays tout entier). Un autre défi, non seulement dans le secteur des producteurs d’électricité mais aussi dans le pétrole et le gaz, est d’adopter une approche stratégique de la gouvernance environnementale, sociale et d’entreprise en ligne avec la transition vers l’énergie propre. Un autre défi consiste à déplacer l’accent mis dans la réglementation des préoccupations sur le maintien des industries très grosses consommatrices d’électricité et donc à l’incitation des opérateurs de réseau et des développeurs d’infrastructures à faire les investissements nécessaires. (De ce fait il est prévisible que dans quelques années seulement il n’y aura plus de sidérurgie ni de production d’aluminium en Europe et l’industrie chimique sera gravement pénalisée).
RépondreSupprimerLa vie après COVID
La voie de la reprise après la pandémie de coronavirus « reste cahotique » mais le rebond des économies dans les États membres de l’UE après la première vague de verrouillage a été plus fort que prévu, a déclaré Georges. Selon S&P, le PIB de la zone euro dans son ensemble a baissé cette année de 7,4% par rapport à son niveau de 2019, mais devrait augmenter de 6,1% en 2021. À titre de comparaison, les variations des PIB des États-Unis et de la Chine ont été respectivement, -4% et + 2,1% cette année et devraient augmenter de 3,9% et 6,9% l’an prochain (Ah bon ! chacun ses prévisions mais je serais beaucoup plus pessimiste. Exemple : le Japon n’a jamais confiné le pays et l’activité économique et industrielle n’a pas cessé comme c’est encore le cas dans certains pays européens. Pourtant l’économie japonaise s’est contracté de 5 % sur les 9 premiers mois de 2020 simplement en raison du ralentissement de l’économie de ses pays clients, c’est-à-dire des facteurs extérieurs au Japon). « La situation favorable est susceptible de perdurer et, de plus, le monde financier fait également pression pour une économie plus verte visant à construire un portefeuille de prêts dans le développement durable et l’innovation verte. Les investisseurs qui s’intéressent à l’Europe intègrent de plus en plus les facteurs énergétiques dans leur analyse et leurs choix d’investissement », a-t-il déclaré. « Cela change progressivement les stratégies des entreprises qui y intègrent de plus en plus le cadre énergétique ».
Sur ce que la pandémie COVID-19 signifie pour la transition énergétique, Georges a déclaré que les infrastructures énergétiques entrent dans une décennie d ‘« investissement de super-cycle ». « C’est formidable, mais qu’arrive-t-il à la chaîne d’approvisionnement et à la clientèle, qui ne bénéficient pas de la même manière dans leur cœur de métier, et sont peut-être un peu démunis pour faire face à cette croissance ? Le secteur des services publics aura toujours un bilan assez serré et Il faudra trouver un équilibre avec les opportunités d’investissement élevées. C’est vraiment ce dont nous aurons besoin pour saisir pleinement les prochaines mises à jour de la stratégie découlant du secteur de l’énergie pour nous assurer que cette combinaison de croissance élevée et de bilans contraints puisse fonctionner ensemble ». La nouvelle situation créée par la pandémie a conduit à des « messages contrastés » sur les infrastructures, a-t-il déclaré. « Nous voyons d’un côté que le COVID-19 affecte certains secteurs du monde des infrastructures, comme les aéroports et les transports en général. D’un autre côté, les considérations environnementales, la lutte contre le changement climatique et l’assouplissement des restrictions budgétaires donnent un énorme coup de pouce aux besoins en infrastructures, ouvrant la voie à une décennie de super-cycle d’investissement à partir des infrastructures vertes à une époque de coût du capital historiquement bas ».
RépondreSupprimerS&P prévoit que les investissements dans les énergies renouvelables « augmenteront massivement » dans le monde et qu’il y aura « quatre fois plus de solaire, trois fois plus d’éolien terrestre et trois fois plus d’éolien offshore » d’ici 2030. Dans l’UE et au Royaume-Uni, cela va provoquer un changement de paradigme, a déclaré Georges, avec une capacité installée d’énergie renouvelable augmentant de 50% d’ici 2025 par rapport aux niveaux de 2018. « Nous pensons que les réseaux électriques se développeront le plus pour connecter et intégrer les énergies renouvelables, tandis que les réseaux de gaz ont plus d’incertitudes dans une économie décarbonée, et nous voyons leurs perspectives à long terme dépendant de la montée en puissance de l’hydrogène. L’intégration de la numérisation nécessitera une mise à niveau de l’infrastructure de base existante, ce qui nécessitera des investissements massifs », a-t-il déclaré.
« Les défis incluent le fait que cette transition énergétique est une économie politique par opposition à l’économie de marché que nous connaissons bien. Elle découlera de l’efficacité énergétique ainsi que de la décarbonisation et de l’électrification de l’économie. Ces défis seront coûteux et nécessiteront un consensus de la part de tous les gouvernements ». (Quand on sait que les gouvernements et les entreprises rémunèrent les agence de notation et d’analyses pour qu’elles leur présentent de telles divagations on ne peut qu’être figé d’effroi. Première question : comment les pays européens produiront-ils massivement de l’hydrogène, 6 GW d’ici 2024 et 40 GW d’ici 2030, 40 GW représentant 22 fois la capacité de la totalité de la centrale nucléaire de Fessenheim, 2 réacteurs de 0,9 Gwe, maintenant fermée et destinée à la ferraille. J’ignore quelles sont les qualifications du staff de S&P mais il est évident que cette institution a viré vers l’écolo-gauchisme pur et dur pour oser déclarer un tel tissu d’inepties).
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/26/standardpoor-analyse-le-futur-energetique-de-leurope-il-ny-a-de-place-pour-aucun-optimisme/
Le Kraken est sorti en Géorgie et au Michigan
RépondreSupprimerNovember 26th, 2020
Sidney Powell a abandonné les cas de bombes en Géorgie et au Michigan
Ces affaires poursuivent spécifiquement les agents de l’État. En Géorgie, ils s'en prennent au gouverneur, Brian Kemp, et au secrétaire d'État, Brad Raffensberger. Au Michigan, c'est aussi le gouverneur, Gretchen Whitmer et le secrétaire d'État, Jocelyn Benson.
«Le stratagème et l'artifice de frauder visaient à manipuler illégalement et frauduleusement le décompte des voix pour s'assurer de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.»
John Solomon sur JustTheNews
Le procès de Powell (Géorgie) contenait diverses allégations, notamment les suivantes:
Au moins 96 600 bulletins de vote par correspondance ont été demandés et comptés, mais ils n'ont jamais été enregistrés comme étant retournés aux commissions électorales de comté par l'électeur. "Ainsi, au minimum, 96 600 votes doivent être ignorés", a déclaré le procès.
Kemp et Raffensperger «se sont précipités pour acheter des machines à voter et des logiciels Dominion en 2019 pour l'élection présidentielle de 2020» sans diligence raisonnable et sans souci de sécurité.
«Il existe des preuves matérielles incontestables que les normes de sécurité physique des machines à voter et du logiciel ont été enfreintes et que les machines ont été connectées à Internet en violation des normes professionnelles et des lois fédérales et étatiques.
Les employés électoraux du comté de Fulton ont invoqué une fuite d'eau pour évacuer les observateurs du scrutin et les travailleurs pendant plusieurs heures le soir des élections, alors même que «plusieurs employés électoraux sont restés sans surveillance et sans contestation à travailler aux ordinateurs des machines de tabulation de vote jusqu'à 1h00 du matin.
Les responsables de l'État dans un accord avec les partis démocrates ont apporté des modifications aux procédures électorales qui violaient à la fois la loi de l'État et la Constitution américaine.
Lisez les combinaisons en entier sur le site de Sidney Powells:
Le Kraken est sorti sur le Michigan !
Le Kraken est sorti en Géorgie !
Il y a des agents de la Chine et de l'Iran:
Comme expliqué et démontré dans la déclaration expurgée ci-jointe d'un ancien analyste du renseignement électronique sous 305th Military Intelligence ayant de l'expérience dans la collecte de renseignements électroniques sur le système de missiles SAM, le logiciel Dominion a été consulté par des agents agissant au nom de la Chine et de l'Iran afin de surveiller et de manipuler les élections, y compris l'élection générale américaine la plus récente en 2020. Cette déclaration comprend en outre une copie des dossiers de brevets de Dominion Systems dans lesquels Eric Coomer est répertorié comme le premier des inventeurs de Dominion Voting Systems. (Voir ci-joint en tant que pièce 8, copie de l'affidavit du témoin expurgé, 17 pages, 23 novembre 2020).
RépondreSupprimerCela commence par le renseignement américain, implique Dominion et a transféré des centaines de milliers de votes de Trump à Biden:
L'expert Navid Keshavarez-Nia explique que les services de renseignement américains avaient développé des outils pour infiltrer les systèmes de vote étrangers, y compris Dominion. Il déclare que le logiciel de Dominion est vulnérable à la manipulation des données par des moyens non autorisés et que les données électorales peuvent être modifiées dans tous les États du champ de bataille. Il conclut que des centaines de milliers de voix exprimées pour le président Trump lors des élections générales de 2020 ont été transférées à l'ancien vice-président Biden. (Exh.26).
L'expert Navid Keshavarz-Nia - est un cybersécurité de haut niveau qui a dirigé ou travaillé avec la CIA, la NSA et le FBI, etc. Dans un article de septembre 2020, le NY Times le félicite en disant: «ceux qui ont travaillé avec lui a dit, [il] «a toujours été la personne la plus intelligente de la pièce».
Des conduites d'eau éclatées, qui n'ont pas éclaté, ont aidé à dégager la pièce
Une conduite d'eau éclatée qui a dégagé la salle de comptage s'est avérée être, tout au plus, une toilette débordant dans un autre bâtiment.
Il a été largement rapporté que «à 19 heures. mercredi, les responsables des élections du comté de Fulton ont déclaré que 30 000 bulletins de vote absents n'avaient pas été traités en raison d'une rupture de tuyau. »31 Les responsables ont rassuré les électeurs sur le fait qu'aucun des bulletins de vote n'avait été endommagé et que l'eau avait été rapidement nettoyée. Mais l'urgence a retardé les responsables du traitement des bulletins de vote entre 5 h 30 et 9 h 30.
Les plaignants ont appris que l'affirmation concernant «une fuite d'eau affectant la salle où les bulletins de vote des absents ont été comptés» n'était pas vraie. La seule fuite d'eau qui a dû être réparée à la State Farm Arena du 3 au 5 novembre était un débordement de toilettes survenu plus tôt le 3 novembre. être renvoyé à la maison. » Néanmoins, six (6) premières personnes, puis trois (3) personnes sont restées jusqu'à 1 h 05 à travailler sur les ordinateurs.
Plus à venir sur celui-là, sans aucun doute. L'histoire vous attend….
https://joannenova.com.au/2020/11/the-kraken-is-released-on-georgia-and-michigan/#more-74432
S'il y avait une justice indépendante les votes sur 'machines-à-voter' ne seraient pas pris en compte. Mais, comme les USA ne sont pas une Démocratie mais une république...
Supprimer"La fraude a été exécutée par de nombreux moyens": Sidney Powell "libère Kraken" avec deux procès au Michigan, en Géorgie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 07:12
Sidney Powell a finalement publié le Kraken - déposant deux poursuites dans le Michigan et en Géorgie mercredi soir, alléguant des stratagèmes massifs pour truquer l'élection de Joe Biden.
En Géorgie, Powell affirme dans une plainte de 104 pages déposée devant le tribunal de district américain d'Atlanta que le but du stratagème était "de manipuler illégalement et frauduleusement le décompte des voix pour s'assurer de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis".
"Le bourrage à l'ancienne des bulletins de vote" a été "amplifié et rendu pratiquement invisible par des logiciels créés et gérés par des acteurs nationaux et étrangers dans ce but précis", poursuit le procès, ajoutant que "des anomalies mathématiques et statistiques atteignant le niveau des impossibilités, comme le montrent les affidavits de plusieurs témoins, la documentation et les témoignages d'experts témoignent de ce stratagème dans tout l'État de Géorgie. "
"Ce stratagème et cet artifice de fraude ont affecté des dizaines de milliers de voix rien qu'en Géorgie et ont" truqué "l'élection en Géorgie pour Joe Biden."
Selon Just the News, les allégations de Powell incluent que:
Au moins 96 600 bulletins de vote par correspondance ont été demandés et comptés, mais ils n'ont jamais été enregistrés comme étant retournés aux commissions électorales de comté par l'électeur. "Ainsi, au minimum, 96 600 votes doivent être ignorés", a déclaré le procès.
Kemp et Raffensperger "se sont précipités dans l'achat de machines à voter et de logiciels Dominion en 2019 pour l'élection présidentielle de 2020" sans diligence raisonnable et sans souci de sécurité.
«Il existe des preuves physiques incontestables que les normes de sécurité physique des machines à voter et du logiciel ont été violées, et que les machines ont été connectées à Internet en violation des normes professionnelles et des lois étatiques et fédérales.
Les employés électoraux du comté de Fulton ont invoqué une fuite d'eau pour évacuer les observateurs du scrutin et les travailleurs pendant plusieurs heures le soir des élections, alors même que «plusieurs employés électoraux sont restés sans surveillance et sans contestation à travailler aux ordinateurs des machines de tabulation jusqu'à 1h00 du matin.
Les responsables de l'État dans un accord avec les partis démocrates ont apporté des modifications aux procédures électorales qui violaient à la fois la loi de l'État et la Constitution américaine.
RépondreSupprimerLe procès demande plus d'une douzaine de recours, y compris une injonction bloquant les résultats certifiés de l'État - dans lesquels Biden a 'gagné' par 12000 voix - d'être transmis au collège électoral.
La poursuite de Powell exige également un audit où les signatures sont appariées, la saisie de diverses machines électorales et la vidéosurveillance à partir des zones de dépouillement.
Dans le Michigan, Powell a déposé une plainte de 75 pages visant à annuler les résultats de l'élection, affirmant que «des centaines de milliers de bulletins de vote illégaux, inéligibles, en double ou purement fictifs» rendus possibles par une «fraude électorale massive» ont facilité la victoire de Biden dans le Etat.
"Le stratagème et l'artifice de frauder visaient à manipuler illégalement et frauduleusement le décompte des voix pour fabriquer une élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis", allègue le procès, ajoutant que le stratagème le plus troublant, insidieux et flagrant »Impliquait« une adaptation systémique du «bourrage de scrutin» à l'ancienne. »
Comme le note Mimi Ngyuen Ly de The Epoch Times:
La plainte alléguait «une gamme de conduite particulièrement flagrante» dans le comté de Wayne et la ville de Detroit et une conduite similaire dans tout l'État, qu'elle attribuait aux directives des responsables électoraux de l'État du Michigan. Il a noté que «le même schéma de fraude électorale et de fraude électorale s'est produit dans tous les États swing avec seulement des variations mineures» en Pennsylvanie, en Arizona et au Wisconsin.
La plainte citait des témoins oculaires et des experts pour affirmer qu'il y avait suffisamment de bulletins de vote identifiés pour annuler et inverser les résultats des élections. Il a également déclaré que les résultats de l'élection ne pouvaient pas être invoqués parce que l'ensemble du processus électoral était «criblé de fraude, d'illégalité et d'impossibilité statistique».
La poursuite a affirmé que le logiciel et le matériel électoraux de Dominion Voting Systems utilisés par le Michigan Board of State Canvassers ont contribué à faciliter la fraude.
«Les systèmes Dominion dérivent du logiciel conçu par Smartmatic Corporation, qui est devenue Sequoia aux États-Unis», lit-on dans la plainte.
«Smartmatic et Dominion ont été fondés par des oligarques et des dictateurs étrangers pour assurer le bourrage informatisé des bulletins de vote et la manipulation des votes à tous les niveaux nécessaires pour que le dictateur vénézuélien Hugo Chavez ne perde jamais une autre élection», a-t-il ajouté, citant l'affidavit d'un dénonciateur alléguant que le logiciel Smartmatic a été utilisé pour manipuler les élections vénézuéliennes en faveur de Chavez.
RépondreSupprimer«Une exigence fondamentale de la conception du logiciel Smartmatic finalement adoptée par Dominion pour les élections du Michigan était la capacité du logiciel à cacher sa manipulation des votes de tout audit», alléguait la plainte.
La plainte citait un ancien analyste du renseignement électronique du 305e bataillon de renseignement militaire, qui a déclaré que le logiciel Dominion était accessible par des agents agissant au nom de la Chine et de l'Iran pour surveiller et manipuler les élections, y compris les élections générales américaines de 2020.
Une autre partie de la plainte indiquait qu'un ancien expert du renseignement militaire américain avait analysé le système logiciel du Dominion et conclu que le système et le logiciel «étaient certainement compromis par des acteurs voyous, tels que l'Iran et la Chine».
«En utilisant des serveurs et des employés connectés à des acteurs malhonnêtes et à des influences étrangères hostiles combinées à de nombreuses informations d’identification facilement identifiables, Dominion a par négligence permis à des adversaires étrangers d’accéder aux données et leur a volontairement donné accès à leur infrastructure afin de surveiller et de manipuler les élections, y compris la plus récente en 2020 », indique le dossier.
https://www.zerohedge.com/political/fraud-was-executed-many-means-sidney-powell-releases-kraken-dual-lawsuits-michigan
Compte tenu que les fraudes portaient à soutenir le parti de Biden, Donald Trump demeure donc président des Etats-Unis, sauf si un tribunal honnête annule l'élection et qu'elle soit recommencée sur papiers uniquement.
SupprimerNotons au passage que les amis de la fraude (The shit list) se sont vite fait connaître en félicitant Biden !!!
Giuliani et Trump ont réussi 'un enfer d'une audience' sur la fraude électorale en Pennsylvanie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 03:55
Mise à jour (1747ET): L'audience étant terminée, les gens commentent à quel point les témoins ont été crédibles et bien parlés pour décrire la fraude électorale en Pennsylvanie.
Plus de l'avocat et expert politique Mike Cernovich:
https://twitter.com/Cernovich/status/1331712816613519360?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1331712816613519360%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.zerohedge.com%2Fpolitical%2Fwatch-live-pennsylvania-legislature-giuliani-hold-public-hearing-2020-election
* * *
Mise à jour (14 h 45 HE): Le président Trump s'est joint à l'audience de l'AP par téléphone et a été immédiatement sur l'infraction, disant que "c'est une élection que nous avons gagnée facilement. Nous l'avons gagnée par beaucoup. Cette élection doit être inversée."
«Ce que nous avons vu le 3 novembre, ce n'était pas les États-Unis d'Amérique. Les démocrates ont triché. C'était une élection frauduleuse. Ce serait très facile pour moi d'attendre 4 ans et de réessayer. Nous ne pouvons pas attendre 4 ans. Ne soyez pas intimidé par ces personnes. Ils n'aiment pas notre pays! "
«Ils ont gardé les observateurs du scrutin dans des stylos à Philadelphie, puis ils les ont jetés hors du bâtiment. On ne pouvait rien voir sur ces caméras. Ils auraient pu jouer à un match de baseball.»
"C'est une honte que cela arrive à notre pays. Nous avons obtenu 11 millions de voix de plus qu'il y a 4 ans. À 22 heures du soir, nous étions en avance. Tout le monde sait que nous l'avons gagné. Le monde entier nous regarde. Nous pouvons '. t laissez-les s'en tirer. Nous avons plus de votes que d'électeurs! "
Trump termine ses remarques en disant à Giuliani par haut-parleur:
"Cela va être votre couronnement parce que vous sauvez notre pays."
Les témoins commencent:
https://twitter.com/DineshDSouza?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1331682207484801024%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.zerohedge.com%2Fpolitical%2Fwatch-live-pennsylvania-legislature-giuliani-hold-public-hearing-2020-election
* * *
À la demande du sénateur de Pennsylvanie Doug Mastriano (à droite), le Comité des politiques de la majorité du Sénat de l'État tient une audience publique pour discuter des problèmes électoraux et des irrégularités à 12h30 HE.
RépondreSupprimerL'ancien maire de New York et l'actuel avocat de Trump, Rudy Giuliani, comparaîtront. Le président Trump devait le rejoindre, pour annuler après le diagnostic Covid-19 du conseiller Boris Epshteyn.
Via la diffusion du côté droit:
"Les élections sont un principe fondamental de notre démocratie - malheureusement, les Pennsylvaniens ont perdu confiance dans le système électoral", a déclaré Mastriano, qui a récemment appelé à la démission de la secrétaire du département d'État Kathy Boockvar pour négligence et incompétence. "C'est inadmissible."
«Au cours des dernières semaines, j'ai entendu des milliers de Pennsylvaniens parler de problèmes rencontrés lors des urnes, d'irrégularités dans le système de vote par correspondance et de préoccupations quant à savoir si leur vote a été compté», a déclaré Mastriano. "Nous devons corriger ces problèmes pour restaurer la foi en notre république."
- voir clip sur site:
https://www.zerohedge.com/political/watch-live-pennsylvania-legislature-giuliani-hold-public-hearing-2020-election
Vaccin obligatoire pour prendre l’avion: «Quel intérêt pour une maladie qui a un taux de mortalité de 0,05%?»
RépondreSupprimer18:31 26.11.2020
Par Fabien Buzzanca
Plusieurs compagnies aériennes envisagent d’exiger une preuve de vaccination contre le Covid-19 avant de pouvoir monter dans leurs avions. Pour maître Thibault Mercier, membre du cercle Droit & liberté, une telle demande pourrait causer des problèmes juridiques et serait infondée.
«Nous envisageons de changer nos conditions d’utilisation à destination des voyageurs internationaux pour leur dire que nous demanderons aux gens de se faire vacciner avant de pouvoir monter à bord de l’avion.» Cette déclaration d’Alan Joyce, PDG de la compagnie aérienne australienne Qantas, fait grand bruit depuis quelques jours dans le milieu de l’aviation.
Alors que des géants de la biotechnologie tels que Pfizer, Moderna, Sanofi ou Astrazeneca ainsi que des pays comme la Russie et la Chine ont récemment annoncé des résultats de phase 3 sur leurs vaccins contre le Covid-19 –avec pour certains des taux d’efficacité de plus de 90%–, la question de la vaccination massive des populations se pose de plus en plus. Lors de son allocution à la nation du 24 novembre, Emmanuel Macron a donné quelques précieuses informations: «Des vaccins seront disponibles dès fin décembre–début janvier, une seconde génération arrivera au printemps. C’est une formidable lueur d’espoir. La vaccination se fera dans un cadre transparent et, soyons clairs, elle ne sera pas obligatoire.»
L’exigence de Qantas est-elle légale?
Paris prend donc le parti de laisser le choix aux Français. Sera-ce le cas partout? Le PDG de la compagnie aérienne australienne Qantas semble faire le pari inverse et prédit que la vaccination obligatoire se généralisera dans le transport aérien. D’après lui, les gouvernements et les compagnies réfléchissent à l’instauration de carnets électroniques de vaccination. «Après avoir parlé avec mes collègues des autres entreprises aériennes du monde entier, je pense que ce sera une chose courante», explique Alan Joyce.
«Je ne sais pas si c’est légal en Australie, mais je doute fort que cela le soit au niveau mondial. Cela me semble compliqué pour ce PDG d’imposer à ses clients la présentation d’un certificat de vaccination. Ce serait une discrimination», explique au micro de Sputnik l’avocat Thibault Mercier, membre du cercle Droit & liberté et militant pour les libertés individuelles.
RépondreSupprimerThierry Mazoyer, du cabinet Chevrier et spécialisé dans le droit aérien, note pour sa part auprès de LCI que les compagnies sont dans le droit de «mettre à jour leurs conditions générales de transport» et «exiger» une preuve de vaccination. «Si un pays exige que sa population soit vaccinée, les voyageurs n’auront de toute façon pas le choix et les transporteurs devront s’assurer que leurs passagers auront eux aussi reçu un vaccin», ajoute-t-il.
Un argument avec lequel est en partie d’accord Thibault Mercier:
«Si une telle demande est faite, cela sera à l’échelle d’un pays. L’Australie, par exemple, imposerait la vaccination pour entrer sur son territoire. Et cela ne serait plus une question de compagnie aérienne. Peut-être qu’elle ne serait même pas chargée de la vérification.»
L’avocat rappelle que certains pays africains demandent un certificat de vaccination contre la fièvre jaune pour entrer sur leur territoire, de même que plusieurs nations exigent une preuve de non-contamination par le virus du sida pour obtenir un visa.
«Ce ne serait pas nouveau d’imposer un vaccin pour entrer dans un pays. La question est la suivante: quel intérêt pour une maladie qui a un taux de mortalité de 0,05%? Le Covid est une infection plutôt bénigne sur le plan physique», assure maître Mercier.
Pour le moment, la sortie d’Alan Joyce n’en reste qu’au stade de la déclaration. «À notre connaissance, aucune politique spécifique d’une compagnie aérienne membre de Star Alliance n’a encore été annoncée, mais nous suivons de près la situation qui évolue rapidement», a décrété pour sa part un porte-parole de Star Alliance, qui regroupe 26 compagnies aériennes, cité par Euronews. «Il est probable que de plus en plus de compagnies aériennes dans le monde adoptent une telle politique», a-t-il ajouté.
Certaines compagnies prudentes
RépondreSupprimerUne autre solution est à l’étude: le «passeport Covid». Sera-t-il bientôt essentiel dans sa liste de voyage? Al Jazeera s’est posé la question et rapporte que l’Association internationale du transport aérien (IATA) réfléchit à une «application mobile qui aidera les voyageurs à prouver leur absence de contamination».
RTL évoque «la mise en place d’un "passeport santé", qui centraliserait numériquement les données des passagers sur le Covid-19». «Il pourrait récapituler les tests réalisés. Pour l’heure, 170 aéroports du monde entier se disent prêts à reconnaître ce système», ajoute le média. Le forum de Davos, cible du documentaire controversé Hold-up, plaide quant à lui pour une solution déjà testée à Londres: le passeport médical numérique.
Plusieurs compagnies aériennes font preuve de prudence quant au vaccin. C’est notamment le cas de Korean Air. «Nous n’avons aucun projet concret à annoncer à ce stade au sujet du vaccin car il est toujours en train d’être développé et il faudra du temps pour qu’il soit distribué», a expliqué un responsable à l’AFP. Même son de cloche du côté de Japan Airlines qui a affirmé que, pour le moment, elle n’avait pas comme projet d’exiger de ses clients étrangers qu’ils se fassent vacciner.
La compagnie aérienne nippone préfère demander à ses «passagers de suivre les règles de leur pays de destination, comme le fait de se faire tester». Du côté du champion Air France, RTL note que le fleuron français «attend d’abord les décisions gouvernementales». «À ce stade, il n’est pas possible de déterminer les conditions précises qui régiront le transport des clients une fois que le vaccin sera disponible», a expliqué un porte-parole d’Air France à Euronews.
«En droit français, il faudrait qu’une loi soit prise pour imposer un vaccin afin de prendre l’avion. En l’état actuel du droit, il me semble impossible de refuser un service à un client sur une discrimination basée sur sa non-vaccination contre le Covid», analyse Thibault Mercier.
Thierry Mazoyer soulève un autre problème auprès de LCI: «Si certaines compagnies le demandent, les voyageurs risquent en effet de se tourner vers les concurrents, plus permissifs et qui ne rendront pas obligatoire le vaccin.» Certains semblent déjà vouloir s’engouffrer dans la brèche. Ainsi, un porte-parole de Ryanair a expliqué à Euronews qu’«aucun certificat de vaccination ne sera exigé pour les vols court-courriers dans l’UE». «Dans le cadre du régime de libre circulation de l’UE, nous pensons que les restrictions de quarantaine seront levées au printemps 2021, une fois que des vaccins efficaces seront disponibles pour protéger les groupes à haut risque contre le Covid-19», a-t-il détaillé. Discours semblable pour EasyJet qui a déclaré au Financial Times que la compagnie n’imposerait pas de vaccination sur ses vols.
De quoi faire jouer la concurrence dans un secteur qui a subi un choc historique en 2020 avec un chiffre d’affaires en baisse de plus de 60 %. «Les frontières doivent être rouvertes sans mesures de quarantaine pour que les passagers puissent à nouveau prendre l’avion. Les compagnies vont devoir continuer à puiser dans leurs liquidités au moins jusqu’au quatrième trimestre 2021, il n’y a donc pas de temps à perdre» pour la réouverture des frontières, a alerté Alexandre de Juniac, président de l’IATA.
RépondreSupprimerAvec ou sans vaccin, telle est la question.
«Tout ceci n’est qu’un effet d’annonce. Pour le moment, aucun vaccin n’a été mis sur le marché», rappelle Thibault Mercier.
Seuls les riches (non vaccinés) peuvent partir en avion personnel tandis que 5 à 30 % des personnes vaccinées crèveront sur la passerelle d'embarquement
SupprimerSciences Po Paris«Cancel culture»: la nouvelle inquisition fait rage à l’université
RépondreSupprimer18:30 26.11.2020
Par Victor Lefebvre
La culture du bannissement importée des États-Unis et l’islamogauchisme sont-ils en train de gangréner le monde intellectuel et universitaire ? Le député LR Julien Aubert, qui demande au président de l’Assemblée nationale de créer une mission d’information sur les «dérives intellectuelles et idéologiques» dans les universités, répond à Sputnik.
«Ce qu’on appelle l’islamogauchisme fait des ravages. Il fait des ravages à l’université, il fait des ravages quand l’UNEF cède à ce type de choses […] Ces gens-là favorisent une idéologie qui ensuite, de loin en loin, mène au pire.»
La phrase n’est pas d’Éric Zemmour, mais de Jean-Michel Blanquer. C’était le 22 octobre dernier sur l’antenne d’Europe 1. Le ministre de l’Éducation nationale entendait alors dénoncer ce qu’il nommait les «complices intellectuels» de l’assassinat du professeur Samuel Paty, commis une semaine auparavant.
En écho à cette préoccupation, dans un courrier adressé ce mercredi 25 novembre à Richard Ferrand, Président de l’Assemblée nationale, les deux députés «Les Républicains» Julien Aubert et Damien Abad demandent «la création d’une mission d’information sur les dérives intellectuelles idéologiques dans les milieux universitaires.»
Les deux élus de droite s’inquiètent ainsi de «l’importation depuis les États-Unis d’une “cancel culture” qui désigne la volonté de réduire au silence dans l’espace public tous ceux qui portent des paroles ou un comportement jugés “offensants”», ainsi que de «l’existence de courants “islamogauchistes” puissants dans l’enseignement supérieur.»
«Des idéologues en décalage absolu»
Interrogé par Sputnik, Julien Aubert explique le sens de cette requête par le fait que «le sectarisme se développe de plus en plus à l’université». Il en veut pour preuve «ces professeurs qui se sont fait barrer la route de telle ou telle université».
«Dans le domaine de la culture de l’annulation, il s’agit de cours obsessionnellement centrés sur les thématiques de race, de colonialisme ou de genre. C’est l’imposition aux professeurs d’utiliser l’écriture inclusive, ou encore la mise au placard ou le musellement d’opinions dissidentes», avance le député LR Julien Aubert au micro de Sputnik.
RépondreSupprimerDans le communiqué, les deux parlementaires citent ainsi «l’impossibilité de faire des conférences dans les instituts d’études politiques et les universités.» En janvier dernier, le directeur de Sciences Po Lille, Pierre Mathiot, avait par exemple interdit la présence du directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune, invité pour une conférence sur l’état de la droite. Le motif invoqué: une condamnation en 2015 de l’hebdomadaire après la publication d’un dossier sur les Roms. La conférence avait finalement été annulée, au grand dam des organisateurs, qui dénonçaient à l’époque une décision «hypocrite».
Quelques mois plus tôt, c’était le philosophe Alain Finkielkraut qui faisait les frais de cette volonté de censure. La scène se déroulait déjà à Sciences Po, à Paris cette fois. En avril 2019, l’auteur de L’Identité malheureuse (Éd. Stock), invité par l’association souverainiste «Critique de la raison européenne», n’avait pu s’exprimer que sous haute protection policière. Un groupe d’étudiants d’extrême gauche avait ainsi appelé à «boycotter» l’intellectuel, accusé de propager un «discours xénophobe».
Julien Aubert considère que de telles pratiques menacent de «tuer l’université» à terme. Pour l’élu du Vaucluse, la censure, qu’elle vienne d’en haut ou qu’elle s’exerce par la pression des associations et des syndicats étudiants, peut très vite mener à «l’endoctrinement des esprits», voire à l’autocensure:
«Ceux qui sortent des universités risquent d’être des idéologues en décalage absolu par rapport aux attentes de la société. Le risque est également de faire fuir les professeurs et les élèves qui ne partageraient pas cette idéologie, par peur d’être muselés.»
Mais d’où nous vient cette pratique de «cancel culture», qui signifie littéralement «culture du bannissement» ou «culture de l’annulation» et qui voudrait qu’une voix non autorisée ou discordante devrait être mise au ban, voire totalement interdite? Popularisée avec le mouvement #MeToo en 2017, la «cancel culture» n’est-elle qu’une forme d’excommunication remise au goût du jour?
«Courant de pensée à la Frankenstein»
Dans une tribune publiée en août dernier sur le site de Marianne, plusieurs intellectuels de gauche dénonçaient cette «méthode importée des États-Unis, qui consiste à essayer de détruire l’existence d’une personnalité qui aurait tenu des propos offensants du point de vue de certains.»
«Nous sommes heureux et fiers de vivre dans un pays où, contrairement aux États-Unis, le débat d’idées reste fondé sur l’échange d’arguments, et non pas sur des tirs croisés d’appels à “effacer” (to cancel) celui qui exprime une opinion différente», poursuivent ces derniers.
RépondreSupprimerJulien Aubert, qui cite cette tribune dans son courrier adressé au Président de l’Assemblée nationale, souscrit totalement à cette analyse:
«Il y a un courant de pensée à la Frankenstein entre une gauche altermondialiste, qui s’inspire de ce qui se passe sur les campus américains, et les mouvements plutôt conservateurs fondamentalistes, qui se rejoignent effectivement. Nous importons en France des combats plaqués sur l’espace culturel américain qui possède une histoire et des références différentes.»
Récemment, Bari Weiss, l’ancienne responsable des pages opinions du New York Times, tentait d’expliquer la montée des revendications identitaires aux États-Unis.
«Fatwas numériques»: au Canada, des professeurs jugés racistes harcelés et intimidés
Dans un entretien au Point le 19 novembre, celle qui a claqué la porte du prestigieux quotidien américain, qu’elle accuse de «dérive sectaire», souligne que le recul des religions dans les sociétés libérales occidentales laisse un vide que certains peinent à combler. «Il existe plusieurs interprétations, même si aucune n’est entièrement satisfaisante. L’une, qu’on ne soulignera jamais assez, est la mort de la religion et la façon dont la politique a pris sa place. Comment expliquer autrement le désir zélé de purger le monde des hérétiques, de ruiner la carrière de quelqu’un à cause d’un mauvais tweet ?»
Mise à l’index, excommunication, chasse aux sorcières, délation: les nouveaux militants antiracistes ressemblent en effet à s’y méprendre aux inquisiteurs du Moyen-Âge en France et en Europe. De là à parler de «Parti Dévot Global», pour reprendre une expression chère à l’écrivain Philippe Muray ?
De son côté, Julien Aubert diagnostique ce qu’il appelle une «quête de sens» et un besoin de «radicalité»:
«C’est une réaction à une forme de matérialisme consumériste, que certains appelleraient bourgeois ou occidental. La perte d’intégration de la culture judéo-chrétienne, pas seulement religieuse d’ailleurs, peut expliquer ce phénomène. Cette jeunesse, en quête de radicalité, va puiser ses références dans des combats qui lui semblent clairs et manichéens», théorise Julien Aubert
Le gouvernement prend-il la mesure de ce basculement idéologique au sein du milieu universitaire ? En juin dernier, Emmanuel Macron confiait son inquiétude face au mouvement de protestation contre les violences policières et le racisme. Les secousses de l’affaire George Floyd se faisaient alors sentir dans le pays et le Président craignait des débordements étudiants. «Le monde universitaire a été coupable. Il a encouragé l’ethnicisation de la question sociale en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. Cela revient à casser la République en deux», confiait-il alors en off au Monde.
RépondreSupprimerQuand on l’interroge à ce sujet, Julien Aubert se montre sceptique:
«La classe politique sent confusément ce basculement, mais ne l’accepte pas forcément. C’est l’idée qu’il ne faut pas punir, mais sans cesse expliquer, être pédagogue, aller vers l’autre, etc. Or, il faut diagnostiquer et caractériser le mal dans sa profondeur. Il faut établir les convergences: l’islamogauchisme et la culture de l’annulation sont-ils propagés par les mêmes personnes? Ces deux types de dérives produisent en tout cas un résultat identique: l’ostracisme. Personnellement, je ne suis pas certain que le gouvernement soit prêt à renverser certains sacro-saints tabous», conclut-il.
«Great Reset»: pour les décideurs, le Covid-19 serait «l’une de leurs rares chances de laisser un impact»
RépondreSupprimer15:32 26.11.2020
Par Rachel Marsden
Le «Great reset» (grande réinitialisation) est-il un projet bien réel, évoqué par les décideurs mondiaux dans le contexte de la crise sanitaire, ou un simple fantasme de complotiste ? Décryptage de Joël Ruet, économiste au CNRS et président du think tank The Bridge Tank, au micro de Rachel Marsden.
La «grande réinitialisation» –ou «Great reset»– n’est-elle qu’une folle théorie complotiste ? Si tel était bien le cas, alors pourquoi cette notion apparaît-elle si souvent dans la bouche de ceux qui sont censés être crédibles?
Par exemple, Justin Trudeau a évoqué le concept par vidéoconférence plus tôt ce mois-ci lors d’une réunion des Nations unies, qualifiant la pandémie de Covid-19 d’«opportunité de réinitialisation». Trudeau a ajouté: «C’est notre chance d’accélérer nos efforts prépandémiques pour réinventer des systèmes économiques qui répondent réellement aux défis mondiaux tels que l’extrême pauvreté, les inégalités et les changements climatiques.»
Le terme lui-même apparaît également en bonne place sur le site Web du Forum économique mondial de Davos. Mais pourquoi ? Comment le concept est-il né ? Dissimule-t-il un programme secret… ou pas? Joël Ruet, économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et président du think tank The Bridge Tank, réagit à l’intérêt que représente la crise sanitaire pour les dirigeants mondiaux:
«Il y a finalement quelque chose d’assez rare qui est un désordre mondial et qui permet peut-être éventuellement de bouger les lignes.»
Joël Ruet explique en quoi le chaos créé par la pandémie est vu comme une occasion par certains:
«Les décideurs savent bien qu’ils décident de moins en moins et qu’en tout cas, les discours, la prise de parole ou la mise en place de grandes mesures ont une incidence, une portée réelle très faible. Et donc ils savent que les grands moments de désordre, les grands bouleversements, sont potentiellement l’une de leurs rares chances de laisser un impact et que les choses changent un peu. Il faut de grands désordres pour que les choses changent un peu.»
Mais qui sont précisément ces décideurs ? Qui définit le programme du Forum économique mondial de Davos ? Le président du think tank The Bridge Tank répond:
«Il y a une notion de contribution, c’est un club. Vous êtes ou n’êtes pas membre du club, et vous êtes membre du club quand vous financez un ticket de 100.000 dollars ou plus pour contribuer à la formation des programmes. C’est une fondation richement dotée. Plus vous êtes contributeur, plus vous êtes écouté. Les contributeurs sont essentiellement les grandes entreprises… Le cœur du club, c’est les grandes entreprises.»
"Zero Masks And Zero Concern": les fêtes souterraines font rage à Los Angeles au mépris des restrictions COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 13:45
Les cas de COVID-19 continuant de grimper dans le comté de Los Angeles - forçant les bars, les restaurants et les boîtes de nuit à fermer leurs portes pour rester en conformité avec les mandats de l'État, 'des fêtes clandestines avec des centaines de personnes continuent à avoir lieu chaque week-end', selon FoxLA, qui mène une enquête secrète depuis plusieurs mois.
Alors que le nombre de cas de coronavirus continue d'augmenter et que nous sommes confrontés à des restrictions plus strictes, ce sont les restaurants qui en paient le prix. Les propriétaires de restaurants ont exprimé la crainte que l'interdiction des repas en plein air, qui a débuté mercredi soir, puisse les mettre définitivement en faillite.
Cependant, les preuves montrent que ce sont les fêtes privées et les grands rassemblements qui alimentent la propagation. Et jusqu'à présent, rien n'a pu le ralentir.
Mercredi soir à Beverly Hills, quelques heures à peine avant l'interdiction des repas en plein air pour les restaurants du comté de LA, SkyFOX participait à un grand rassemblement avec des dizaines de personnes rassemblées. Le type de rassemblement des responsables de la santé n'a pas pu s'arrêter. -FoxLA
Selon le rapport, rien que le week-end dernier, ils ont été témoins de "masses de jeunes gens entassés dans une fête à la maison comme des sardines buvant, dansant, ne pratiquant pas la distanciation sociale", avec "zéro masque et zéro souci".
"Les fêtards se sont dispersés lorsque des coups de feu ont retenti devant nos caméras."
Les enquêteurs de Fox11 ont également vu des flics se présenter dans une maison de Pomona, parler avec quelqu'un, puis partir simplement en voiture. Plus tard dans la soirée, le même flic est revenu une deuxième fois, a parlé avec un jeune homme de la maison - qui riait - puis est reparti. Le flic est sorti une troisième fois alors que la fête se terminait, et n'a rien fait alors que la foule «se répandait dans les rues».
À Van Nuys, une autre 'grande fête avait lieu' après avoir été promue sur les réseaux sociaux.
"Lieu différent mais même histoire: pas de masques, pas de distanciation sociale. Une scène qui ferait grimacer tout responsable de la santé."
https://www.zerohedge.com/medical/zero-masks-and-zero-concern-underground-parties-rage-los-angeles-defiance-covid-19
Biden: les Américains doivent 'renoncer' aux traditions des fêtes cette année
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 11:40
Alors que les dirigeants démocrates à travers le pays ignorent avec arrogance leurs propres restrictions COVID-19 (encore et encore et encore), leur chef - Joe Biden - a demandé aux Américains de «renoncer» aux traditions de vacances cette année.
Dans un discours monotone de la veille de Thanksgiving sur un fond jaune de "Bureau du président élu" (un bureau qui n'existe pas réellement), le président élu présomptif a déclaré que chaque Américain avait "la responsabilité" de prendre le coronavirus au sérieux et de "redoubler nos efforts", efforts pour lutter contre la maladie.
"Cette année, nous demandons aux Américains de renoncer à tant de traditions qui ont longtemps fait de ces vacances", a déclaré Biden, avant d'exhorter les gens à limiter les voyages et à pratiquer la distanciation sociale pour réduire le risque d'exposition - notant que lui et sa femme Jill Biden le feront et passeront Thanksgiving avec leur fille et leur gendre, tandis que leurs autres enfants feront leur propre truc "en petits groupes" (qui peuvent inclure des putes et du crack).
"Je sais combien il est difficile de renoncer aux traditions familiales", a ajouté Biden. "Mais c'est tellement important. Notre pays est au milieu d'une flambée dramatique des cas. Nous enregistrons maintenant en moyenne 160 000 nouveaux cas par jour."
https://www.zerohedge.com/political/biden-americans-need-forgo-holiday-traditions-year
La dictature se met en place... jusqu'à la révolution !
SupprimerDéconfinement partiel: «Inconsciemment, le gouvernement entretient la psychose»
RépondreSupprimer19:45 26.11.2020
Par Adrien Peltier
Tour à tour, Jean Castex et ses ministres ont détaillé devant les caméras, ce jeudi 26 novembre, les nouvelles modalités de la phase 1 d’un déconfinement «progressif» annoncé l’avant-veille par le Président de la République. Un florilège de décisions «incompréhensibles et arbitraires», estime Jean-Loup Bonnamy, philosophe, au micro de Sputnik.
«Il est prématuré de parler de déconfinement». «Une stratégie qui repose sur des principes simples»: des phrases qui sont devenues des marottes de Premier ministre, qu’il s’agisse de Jean Castex ou avant lui d’Édouard Philippe.
Une fois encore, le mot d’ordre est la prudence: même si «les premiers résultats sont là» et que «les efforts des Français paient», l’heure n’est pas au relâchement. Un entre-deux qui ne satisfait guère Jean-Loup Bonnamy, agrégé de philosophie et coauteur de l’essai Quand la psychose fait dérailler le monde (Éd. Gallimard), manifeste contre la mise à l’arrêt irrationnelle du monde entier:
«Ces actions sont d’une part insuffisantes, mais aussi inutiles pour certaines. La France n’a toujours pas de vraie stratégie sanitaire pour gérer le déconfinement. Il faudrait mettre en place des campagnes de dépistage de masse, ciblées en priorité pour les personnes à risque et les identifier puis les tester et les prendre en charge le plus tôt possible», assène-t-il d’emblée au micro de Sputnik.
Une identification qui serait rendue possible par «le Big Data de la sécurité sociale», selon lui. Mais une stratégie qui n’est toujours pas mise en place, faisant alors peser le risque d’un troisième confinement.
Alternant ses prises de parole avec celles du ministre de la Santé, du ministre délégué aux PME, de la ministre de la Culture ou encore de la ministre du Travail, Jean Castex a affirmé «que le temps est venu d’alléger les contraintes, mais qu’en cas de relâchement, la situation pourrait s’aggraver». «Chacun doit continuer à respecter les règles», a-t-il poursuivi.
Le Premier ministre a affirmé une nouvelle fois que les bars et restaurants, «lieux de contamination élevés», resteront fermés jusqu’au 20 janvier. Ils seront accompagnés financièrement, avec une attention individualisée, territoire par territoire, promet-il, annonçant que 2021 sera l’année de la gastronomie française. Comme en guise de réparation pour les établissements qui auront survécu jusque-là.
Des mesures en «rupture avec la réalité»
RépondreSupprimerUn nouveau refus de rouvrir les restaurants «incompréhensible» et «disproportionné», selon Jean-Loup Bonnamy. Et si la réouverture des commerces le réjouit, la jauge portée à 8 m² par client lui «paraît quand même un peu délirante», d’autant plus qu’un couple ne compterait que pour une seule personne. Tout comme l’évolution de la limite «un kilomètre et une heure» à celle des «20 km et trois heures», la limite de 30 personnes dans les lieux de culte et la fermeture des universités jusqu’en février. Que dire alors des stations de ski qui seront accessibles, mais dont les remontées mécaniques et les équipements collectifs seront fermés? Des critères bureaucratiques qui manqueraient de «pertinence».
«Je ne suis pas du tout dans une vision complotiste, mais, inconsciemment, le gouvernement entretient cette psychose qui répond à une demande des citoyens que la peur commande. Ce qui caractérise la psychose, c’est la rupture avec la réalité, or avec ces mesures, je vois plusieurs ruptures», juge Jean-Loup Bonnamy.
Une «aberration»? Castex donne les détails du fonctionnement des stations de ski à Noël
Heureusement, certaines décisions semblent tout de même plus rationnelles à Jean-Loup Bonnamy. Notamment, le choix de maintenir les tests aux frontières et l’interdiction des grands rassemblements, qui représenteraient le risque de contamination le plus élevé. Le gouvernement précisera la semaine prochaine sa stratégie «tester, alerter, protéger, soigner». Peut-être se rapprochera-t-elle du triptyque «tester, isoler, traiter» préconisé par le philosophe dans son essai, ainsi que par de nombreux médecins.
https://site-aux-cookies-espions-et-virus
Emprisonné chez soi pour y mourir faute de soin, vaccins mortels, masques mortels et tests RT-PCR MENTEURS et VOULUS car portés à 50 cycles montrent des rhumes (corona) attrapés l'an dernier avec microbes morts affichés 'corona' qui font des FAUX POSITIFS !
SupprimerLa Dictature En Marche.
ON NE FAIT PAS LA SCIENCE, ON LA DÉCOUVRE.
La course au vaccin n’aboutira pas à une véritable stratégie vaccinale, selon l’OT-Med
RépondreSupprimer22:27 26.11.2020
Par Zlata Tikhaya
Pour la co-fondatrice de l’Observatoire de la Transparence dans les politiques du Médicament, il faut sortir de la logique de concurrence au niveau des vaccins anti-Covid pour les utiliser de manière complémentaire. Car «une course au vaccin, ça ne fait pas une stratégie vaccinale», rapporte Franceinfo.
Emmanuel Macron a annoncé, lors de son allocution télévisée mardi 24 novembre, le début d'une vaste campagne de vaccination qui devrait avoir lieu entre fin décembre 2020 et début janvier 2021.
Pourtant, pour la co-fondatrice de l’Observatoire de la Transparence dans les politiques du Médicament (OT-Med), Pauline Londeix, la compétition des vaccinations n’aboutira pas à une stratégie vaccinale capable d’assurer la santé publique.
«On a l’impression que le gouvernement est constamment dans la réaction autour de cette stratégie vaccinale, parce qu’une course au vaccin, ça ne fait pas une stratégie vaccinale», lance-t-elle ce mercredi 25 novembre sur Franceinfo.
Qu’est-ce que c’est qu’une véritable stratégie vaccinale ?
Pauline Londeix propose d’étudier la possibilité d’utiliser les vaccins qui existent de façon complémentaire. Pour cela, des experts de différentes spécialités devraient faire des recherches sur leur complémentarité «et donc décider de la stratégie vaccinale», explique-t-elle à Franceinfo.
«On peut comparer les vaccins: quelles sont leurs spécificités, quelles sont potentiellement leurs complémentarités? Et c’est ça qui peut permettre ensuite de dire: "Nous, la France, qui avons déjà investi plusieurs centaines de millions d’euros, nous souhaitons utiliser ces vaccins de telle ou telle cette façon"», conclut la co-fondatrice de l’OT-Med.
Le rhume est un corona. Or, des rhumes nous en avons tous eu, notre organisme s'en est défendu. C'est pourquoi nous qui respirons (avec ou sans masque) 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique, avons toutes et tous respiré du corona
Supprimerdepuis notre naissance ET NOUS N'EN SOMMES PAS MORTS !!
Le pouvoir est une illusion, le contrôle est une façade
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 23:15
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Cette dernière année, dans de nombreux pays, le public est bombardé de leçons de pouvoir et de contrôle qui ont été oubliées pendant des générations. Je pense que la majorité des Occidentaux en particulier se sont longtemps cru «à l'abri» du gouvernement totalitaire, de la micro-gestion collectiviste et du cultisme communiste. Ils pensaient que nous avions dépassé les cauchemars du 20e siècle. Ils pensaient que le «nouveau monde» allait être plus utopique et que la liberté nous honorerait naturellement avec le progrès technologique.
Bien sûr, au fond de l’inconscient de chacun, il y a la peur que les bons moments ne soient une illusion et que la dystopie soit juste derrière un mince vernis de stabilité économique et de faux optimisme, mais la plupart des gens ne pensent pas vraiment que de telles catastrophes se produiront de leur vivant. Nous sommes maintenant au milieu d'une pandémie délibérément exagérée, de verrouillages nationaux stricts, de troubles civils, d'émeutes, d'une censure technologique agressive, d'une censure gouvernementale intrusive, d'une dette sans précédent des entreprises et du Trésor, d'un stimulus stagflationniste de la banque centrale et de l'effondrement de bulles financières massives. Pourtant, je n’ai toujours pas l’impression que de nombreux citoyens comprennent vraiment l’ampleur du danger; ils croient toujours que la situation va se guérir d'elle-même sans aucun effort ni grand sacrifice de leur part.
C'est la première leçon de pouvoir: des sociétés entières peuvent être facilement influencées lorsqu'elles souffrent d'illusions selon lesquelles les mauvais moments seront éphémères et que les gouvernements les garderont en sécurité quoi qu'il arrive.
C'est un modèle historiquement prouvé que les gouvernements ont tendance à CRÉER des problèmes au lieu de les résoudre, et c'est parce que la dynamique du pouvoir du gouvernement ne change jamais. Les politiciens pour lesquels nous «votons» ne contrôlent pas, les élites qui financent leurs campagnes et qui imprègnent leurs cabinets sont aux commandes. Les représentants politiques vont et viennent, mais les élites de l'establishment ne partent jamais. Par conséquent, les problèmes auxquels notre société est confrontée resteront; ils sont le résultat direct de la structure de pouvoir subversive et perpétuelle qui sert les intérêts d'une minorité choisie plutôt que le public. Le déclin de notre société dans la tyrannie ne s'arrêtera pas tant que cette structure de pouvoir et les personnes qui la sous-tendent ne seront pas effacées.
Ce serait en fait une chose simple à réaliser si suffisamment de personnes acceptaient la vérité et agissaient. Les élites, les mondialistes, l'establishment, le «nouvel ordre mondial», peu importe ce que vous voulez appeler cette organisation de marchands de pouvoir, n'est qu'un ensemble de psychopathes et de parasites pour la plupart faibles et faibles. Ils sont complètement à découvert; ils proclament fièrement régulièrement leurs affiliations et leurs intentions par le biais de leurs institutions hôtes, du Council on Foreign Relations à Tavistock en passant par Bilderberg en passant par le Forum économique mondial, le FMI, la Banque des règlements internationaux, la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller, la Open Society Foundation, etc. Il y a très peu de choses cachées à propos de ces personnes.
Mais c'est aussi une triste réalité que la plupart des gens doivent toucher le fond avant d'accepter l'idée qu'ils ne peuvent pas compter sur le système corrompu pour les sauver du mal. Et tant qu'ils continueront à avoir la foi aveugle que le système se corrigera, ils n'agiront jamais. Les élites opèrent au grand jour en toute impunité car elles savent que les êtres humains sont plus susceptibles de demander de l’aide au système qu’ils ne le sont pour régler un problème par eux-mêmes. Si quelqu'un devait éteindre ce fantasme de masse unique, les élites seraient parties demain.
RépondreSupprimerLa deuxième leçon du pouvoir est que la perception du consentement crée un consentement légitime. Pour le dire autrement - Quand les gens croient que leurs pairs et leurs voisins ont accepté un certain niveau de tyrannie, ils l’accepteront aussi souvent pour ne pas se démarquer ou attirer l’attention sur eux-mêmes comme «aberrants». Les personnes en quête de pouvoir n'ont qu'à créer l'illusion d'un consentement de masse. Même lorsque la majorité des gens sont contre eux, la perception de la conformité peut parfois submerger la logique.
Le contrôle est généralement réalisé passivement sans force. Parfois, vous n’avez même pas besoin de la menace de la force; il suffit parfois d'inspirer la peur de se démarquer dans la foule.
Par exemple, la pandémie a été utilisée au cours des six derniers mois comme un outil pour créer un tel récit. Les «règles» de port de masque sont particulièrement insidieuses car elles évoquent des illusions de conformité et de soumission. «Tout le monde» porte un masque, donc tout le monde doit soutenir la tyrannie médicale. Le port de masque est une farce complète en ce qui concerne la science réelle de la virologie et de la propagation virale. Le CDC ne recommande toujours pas les masques en tissu à leurs propres employés et leur permet uniquement d'utiliser des masques filtrés N95. Une étude danoise récente et censurée confirme la réalité selon laquelle les masques sont pour la plupart inutiles.
Les règles strictes sur les masques en tissu n'ont rien fait pour arrêter de nouvelles pics d'infections dans plusieurs pays et États américains. Le fait que dans de nombreux endroits les masques soient nécessaires À L'EXTÉRIEUR malgré des preuves scientifiques sans fin montrant que la lumière UV et le plein air tuent les micro-organismes, y compris les virus, montre que la réponse de verrouillage n'a rien à voir avec la science ou avec le sauvetage de vies. C'est une question de contrôle.
Nous pouvons prendre en compte tous les facteurs logiques, mais, pour beaucoup de gens, s'ils voient d'autres porter des masques, ils porteront eux aussi un masque simplement parce qu'ils ont peur d'être jugés sur ce qu'ils perçoivent comme étant la majorité. La réalité est qu'une majorité de gens portent les masques à contrecœur, et ils les enlèveraient demain s'ils savaient que d'autres personnes feraient de même.
C'est pourquoi les médias grand public poussent le masque portant de la propagande tous les jours, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Les journalistes d'information se tiennent au coin des rues ou dans des parcs en plein air et portent des masques devant la caméra. Les politiciens portent des masques même lorsqu'ils sont filmés chez eux. Les célébrités et les entreprises essaient de vendre l'idée que le port d'un masque est «cool». Hé, si vous ne portez pas de masque, vous pourriez mettre en danger des centaines ou des milliers d’autres personnes et tuer leurs grand-mères, non ?
Les masques ne font rien. Ils ne parviennent à rien en termes d'arrêter la propagation du virus ou de sauver des vies. C'est un fait mis en évidence par le nombre même d'infections que l'établissement soutient comme justification des masques. Mais si les élites de l'establishment par la propagande peuvent vous convaincre de porter un masque tous les jours, cela leur ouvre la porte en dictant de nombreux autres aspects de votre vie. Les masques ne sont qu'une porte d'entrée vers des mandats plus destructeurs.
RépondreSupprimerLa solution à ce type de tyrannie est d'arrêter de se soucier de ce que pensent les autres, surtout lorsque les faits sont de votre côté. Dans la ville où je vis, la grande majorité des gens ont dit non aux restrictions de masque. Si quelqu'un veut porter un masque parce qu'il pense qu'il le protégera, c'est très bien. Mais personne ne va nous dire que nous devons les porter «pour notre bien». Cela dit, même si j'étais la SEULE personne à ne pas porter de masque en ville, je m'en fiche si cela dérangeait les autres. Votre credo doit être «essayez de me forcer à porter un masque et regardez ce qui se passe…»
La troisième leçon de pouvoir est que la force ne mène au contrôle que si vous répondez par la soumission. Un groupe de personnes peut vous battre ou même vous tuer, mais ils ne peuvent pas vous forcer à vous conformer si vous ne craignez pas pour votre propre vie.
Je trouve que l’usage de la force par les tyrans repose sur l’hypothèse que les personnes qu’ils cherchent à contrôler ne riposteront pas efficacement. Dès que les gens ripostent efficacement, le tyran est choqué. La plupart des tyrans accèdent au pouvoir, non pas parce qu'ils ont remporté plusieurs batailles et maîtrisé leurs adversaires, mais parce qu'ils n'ont jamais eu à se battre en premier lieu. Ou bien, ils gagnent une poignée de batailles faciles, souvent organisées pour paraître plus victorieuses qu'elles ne l'étaient vraiment, puis utilisent ces victoires médiocres comme un moyen de terrifier toute opposition future pour qu'elle ne se batte pas. Les tyrans commencent à croire à leurs propres mensonges et à présumer leur propre invincibilité.
Les prédateurs ne recherchent pas des cibles difficiles, ils recherchent des cibles faibles. La solution aux tyrans est que les cibles difficiles les recherchent et les frappent au milieu de leur confiance. Lorsque les prédateurs sont ripostés, ils ont l'habitude de s'enfuir.
Mais cela nécessite des gens qui ne vivent pas dans la peur de ce qui pourrait arriver lorsqu'ils ripostent. Le concept de sacrifier le confort (ou bien pire) ne peut pas être un problème. La peur disparaît lorsqu'une personne se bat pour quelque chose de plus que lui-même. Il ne s’agit pas toujours de survie personnelle, parfois de survie des générations futures ou de survie d’un ensemble de principes. Au fur et à mesure que cette peur disparaît, l'illusion de contrôle sur laquelle s'appuient les tyrans disparaît également.
La quatrième leçon de pouvoir est que les idéaux découlent de la conscience humaine ou non. Et s'ils ne le font pas, alors ce ne sont pas des idéaux qui méritent d'être adoptés ou de se battre. La conscience de la personne moyenne n'est pas aussi ambiguë et changeante que l'établissement voudrait vous le faire croire. Une part du lion des êtres humains fonctionne sur un certain ensemble de morales et de principes inhérents qui sont universellement partagés; ils n'ont pas besoin d'apprendre ces principes, ils sont nés en les connaissant. Si ces règles n'étaient pas ancrées dans notre psychisme, notre espèce se serait auto-détruite il y a des milliers d'années.
RépondreSupprimerLes élites de l'establishment aimeraient que vous croyiez que tous les idéaux sont le produit de l'environnement, et que ceux qui contrôlent l'environnement contrôlent la morale des gens par extension. Ceci est un mensonge. Des valeurs telles que la liberté existent même dans les environnements les plus oppressifs, et les gens la recherchent même lorsque le risque est énorme. L'empathie est également inhérente à la plupart d'entre nous, mais un certain pourcentage de personnes naissent sans en avoir la capacité. Le VRAI combat au milieu de toute lutte pour le pouvoir est le combat entre ceux qui sont nés avec conscience, valeurs et empathie, et ceux qui sont nés sans ces caractéristiques fondamentales.
Les tyrans psychopathes veulent désespérément prouver que toutes les autres personnes sont tout aussi dépourvues d'humanité et d'âme qu'elles le sont. Ils veulent prouver que la voix de la conscience qui nous guide est un masque que nous portons pour prétendre que nous ne sommes pas le mal au fond. Le contrôle vient de l'idée erronée que nous dépendons de notre environnement pour nous dire qui nous sommes en tant qu'individus. Le contrôle vient de l'idée que la morale est relative et que les principes sont des constructions sociales.
La conscience est inhérente, mais c'est aussi un choix. Vous avez le libre arbitre de l'écouter ou de l'ignorer. Si un tyran peut vous convaincre d'ignorer la voix de votre propre conscience, le seul autre guide dans la vie est votre environnement. Et, si ce tyran domine tous les aspects de votre environnement, alors il a maintenant le pouvoir de réécrire votre code moral, au moins temporairement. Vous pouvez être amené à faire des choses terribles que vous ne feriez pas autrement, ou à soutenir des causes et des idéologies destructrices que vous ne soutiendriez pas autrement.
Le pouvoir totalitaire ultime est le pouvoir de faire oublier aux gens leur propre voix intérieure. L'outil ultime contre le mal est d'écouter cette voix et de ne pas avoir peur des conséquences supposées.
La question de la façade du pouvoir est sur le point de devenir la question déterminante de notre époque alors que l'establishment élitiste accélère son programme pour un plus grand contrôle centralisé de nos vies. La vérité qu'ils ne veulent pas que vous compreniez, c'est qu'ils n'ont aucun pouvoir. Ils n'ont rien. Nous pourrions défier leurs mandats à tout moment. Nous pourrions les supprimer demain si nous le voulions. Ils ne sont d'aucune utilité pour l'humanité, ils ne servent aucun but valable. Ils ne cherchent qu'à se nourrir comme des vampires des masses et à réaliser leurs fantasmes dérangés de conquête. Tôt ou tard, ils devront être traités - Le plus tôt sera le mieux.
https://www.zerohedge.com/political/power-illusion-control-facade
Pour Thanksgiving, le gouvernement nous donne des conseils sexuels COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 21:00
Rédigé par Jim Bovard via The Libertarian Institute,
Les politiciens et les petits tsars ont annulé Thanksgiving à travers le pays. Qu'est-ce que les services gouvernementaux de santé ont offert au lieu d'une réunion de famille? Des conseils idiots sans fin pour des «rapports sexuels protégés» pendant le COVID.
Le ministère de la Santé du Vermont a capturé la philosophie de nombreux services de santé à travers le pays: «Les décisions concernant le sexe et la sexualité doivent être équilibrées avec la santé personnelle et publique.» La superstar fédérale de COVID, Anthony Fauci, a reflété ce jugement lorsqu'il a déclaré en avril que ceux qui rencontrent des inconnus pour des relations sexuelles via Tinder ou d'autres applications de rencontres ont le droit de faire leur «choix concernant un risque». De nombreux responsables gouvernementaux ont été beaucoup plus tolérants, voire encourageants, à l'égard des relations sexuelles à risque pendant la pandémie tout en supprimant sans merci d'autres relations sociales et économiques.
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, est un héros primé aux Emmy Awards de la pandémie COVID, quels que soient les dix mille New-Yorkais âgés décédés après avoir ordonné aux maisons de retraite d'admettre des patients COVID. Les restrictions sans fin de Cuomo ont été stimulées par son opinion selon laquelle «le gouvernement peut être une force pour le bien», comme l’a récemment noté un profil new-yorkais.
Alors que Cuomo a condamné avec véhémence les synagogues qui ont désobéi à ses ordres de se disperser, d'autres fonctionnaires de New York donnent leur bénédiction à un comportement imprudent, même selon les normes «réveillées». Le département de la santé de New York a recommandé aux personnes qui organisent des orgies de «limiter la taille de votre liste d'invités. Gardez-le intime. Les directives ne spécifient pas tout à fait le terme «toit», mais il est clairement sous-entendu: «Choisissez des espaces plus grands, plus ouverts et bien ventilés.»
Le Dr Demetre Daskalakis, commissaire adjoint à la santé de la ville de New York, se vante: «Notre département de la santé a une très bonne réputation d'être très positif sur le plan sexuel.» Alors que les flics de New York ont violemment agressé des gens pour ne pas porter de masque facial, le gouvernement de la ville a officiellement sanctionné les «trous de gloire». Le service de santé de Big Apple a exhorté les gens à «faire preuve de créativité avec… des barrières physiques, comme des murs, qui permettent les contacts sexuels tout en empêchant les contacts étroits en face à face».
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, est devenu tristement célèbre pour sa liste bizarre d'interdictions de Thanksgiving pour lutter contre le COVID. Mais la pandémie a débouché sur d'autres bizarreries officielles dans le Golden State.
RépondreSupprimerLe ministère de la Santé publique de San Francisco a pris des mesures préventives pour redéfinir la «disparition prématurée». Les bureaucrates locaux ont déclaré: «Plus vite peut être mieux. Plus nous sommes à moins de 1,80 mètre de quelqu'un, plus le risque est grand. » Les services de santé vont-ils passer à l'étape suivante, en promouvant l'imagerie de l'ère révolutionnaire célébrant le retour du «Minute Man»?
Dans le cadre de ses recommandations pour «naviguer dans le paysage de l'amour», les bureaucrates de San Francisco ont exhorté à «adopter des pensées sales. Et nettoyez les surfaces. » Le guide insiste sur l'importance de nettoyer les «jouets partagés», en particulier lors du passage de «colliers» et articles similaires d'un corps à un autre. Le département a également noté: «En ce qui concerne le risque de COVID-19, il vaut mieux à l'extérieur qu'à l'intérieur.» Étant donné que le gouvernement local autorise déjà les sans-abri à effectuer toute autre fonction corporelle sur Market Street, l'ajout de la copulation pourrait ne pas changer beaucoup le paysage local.
Le Fenway Health Center, un «centre de santé communautaire agréé par le gouvernement fédéral», a donné de mauvaises nouvelles aux Bostoniens aux prises avec des difficultés spatiales: «En utilisant la recommandation de distance sociale de 6 pieds, le sexe oral peut encore vous exposer au risque de COVID.» Bizarrement, le Fenway Center exhorte les gens à NE PAS porter de masque pendant les branchements: «Laissez l'équipement de protection aux professionnels de la santé et à ceux qui ont le virus.»
Le département de la santé d'Austin, au Texas, a alerté les résidents locaux: «Le COVID-19 a été trouvé dans les matières fécales. Évitez les activités qui pourraient permettre au virus des matières fécales de pénétrer dans votre bouche. » À l'ère du COVID, «Eat shit and die» est passé d'une raillerie juvénile à un avertissement sanitaire inquiétant du gouvernement. Des avertissements similaires sur les dangers du «anulingus» sont apparus dans d'autres recommandations du département de la santé.
Le service de santé de la ville de Milwaukee conseille: «La masturbation ne propage pas le COVID-19, surtout si vous vous lavez les mains (et les jouets sexuels) avec du savon et de l'eau pendant au moins 20 secondes avant et après les rapports sexuels.» Mais si vous vous lavez les mains pendant 15 secondes seulement, alors «Rona gagne. En fait, s'il faut dire aux gens de se laver les mains après avoir pris leur plaisir, ils sont probablement au-delà de la rédemption. En outre, les prophylactiques d'après-match ont-elles un sens après une performance en solo ?
De nombreuses autres agences gouvernementales sont devenues des pom-pom girls pour l'autonomie, comme s'il y avait un besoin urgent pour les autorités de spécifier comment des centaines de millions d'Américains devraient se défouler. Au dernier rapport, l'Organisation mondiale de la santé n'avait pas encore ajouté la masturbation à sa liste des cinq actes héroïques, bien qu'elle puisse bientôt se qualifier pour une mention honorable #ThanksHealthHeroes.
RépondreSupprimerDe la même manière que les politiciens se sont focalisés myopiquement sur les risques de transmission de COVID pour justifier l'infliction de vastes dommages collatéraux à l'économie, les départements de la santé proposent des recommandations qui pourraient éviter la transmission de COVID, mais qui pourraient être ruineuses. Au lieu de rencontrer des partenaires sexuels en ligne, le service de santé de la ville de New York recommande: "Les dates de vidéo, les sextos, les plates-formes de fans sur abonnement, les« soirées Zoom »sexy ou les salons de discussion peuvent être des options pour vous." D'autres services de santé ont fait des recommandations similaires.
Alors peut-être inviter Jeffrey Toobin à votre soirée Zoom? (Toobin a été renvoyé après s'être masturbé lors d'un appel de zoom du New Yorker.) Beaucoup de «bavardoirs» recommandés par les bureaucrates sont pleins de jailbait, d'agents de la police et du FBI qui se font passer pour des gens qui se font passer pour des mineurs ou d'autres délits. Peut-être que quelqu'un devrait interroger Jeff Bezos sur ses photos d'un milliard de dollars envoyées par courrier électronique de ses parties intimes? L'Agence de sécurité nationale et les gouvernements étrangers aspirent une énorme quantité d'activités en ligne; tout ce que les gens révèlent à un groupe de personnes en ligne pourrait facilement figurer dans leur dossier.
Depuis le début de la pandémie, les politiciens ont revendiqué une prérogative de micro-gérer la vie des citoyens avec un décret sans scrupules après l'autre. Par exemple, le gouverneur de Pennsylvanie, Tom Wolf, a décrété le 17 novembre que les gens doivent porter des masques dans leur propre maison chaque fois que quelqu'un rend visite à une personne qui ne vit pas dans cette maison. Lundi, le gouverneur Wolf a interdit toutes les ventes d'alcool dans les bars et les restaurants la veille de Thanksgiving - un décret complètement arbitraire qui sème le chaos et ne fera rien pour faire disparaître COVID.
Wolf n’oserait jamais interdire le sexe en dehors du mariage, mais d’une manière ou d’une autre, les politiciens ont capturé le droit d’étrangler presque tous les autres aspects de la vie des gens. Mais une «exemption de copulation» à l'annulation de facto COVID de la Déclaration des droits n'a aucun sens. Les gens méritent autant de liberté pour boire de la bière Rolling Rock rance la veille de Thanksgiving que pour lancer les dés de Philly pour une friandise Tinder Thanksgiving. Lorsque les politiciens sont autorisés à annuler sélectivement la liberté, les injustices ne seront dépassées que par les absurdités.
https://www.zerohedge.com/political/thanksgiving-government-gifts-us-covid-19-sex-advice
Petit à petit, tout doucement, la dictature mondiale recule. Elle vient de se rendre compte qu'elle a en face d'elle 7 milliards de personnes plus intelligentes qu'elle !
SupprimerNul ne peut combattre la vérité ! Nul ne pourra jamais l'effacer !
YouTube tente de faire taire l'Institut Mises
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/11/2020 - 18:20
Par Jeff Diest de l'Institut Mises
YouTube, la plate-forme vidéo dominante appartenant à Google, a décidé hier de supprimer une vidéo de l'Institut Mises. Cette décision dure apparemment pour toute l'éternité, ne peut faire l'objet d'un appel auprès d'un humain réel, et s'accompagne de cet avertissement amical: "Parce que c'est la première fois, ce n'est qu'un avertissement. Si cela se reproduit, votre chaîne recevra un avertissement et vous gagnerez. Je ne peux pas faire des choses comme mettre en ligne, publier ou diffuser en direct pendant 1 semaine. "
La vidéo, une conférence de Tom Woods intitulée "The Covid Cult" avec plus de 1,5 million de vues, a été enregistrée lors de notre événement en direct au Texas il y a deux semaines. Cela a remis en question le récit officiel entourant le coronavirus, en particulier en ce qui concerne les mandats de masque. La conférence de Woods a présenté plusieurs graphiques montrant une augmentation des «cas» de Covid dans plusieurs villes et pays peu de temps après l'imposition de règles de masque, démontrant comment ces règles ont apparemment peu d'effet sur le ralentissement de la transmission du virus.
Le discours n'était rien de moins qu'un tour de force sincère contre les terribles verrouillages et la pseudoscience qui sévissent dans le débat sur Covid, et un appel à réexaminer les compromis et les priorités. C'était, comme vous pouvez l'imaginer, un mélange de données inattaquables combinées à la forte prescription de notre ami Tom pour la liberté et le choix personnel plutôt que des décrets d'État centralisés.
En d'autres termes, YouTube n'avait aucune entreprise terrestre pour le supprimer. Ce genre de discours me semble la meilleure et la plus importante utilisation de YouTube, sa fonction la plus importante.
Le «Big Digital», comme le professeur Michael Rectenwald appelle les entreprises technologiques, sont devenus des «gouvernements»: des entreprises soi-disant privées transformées en instruments de pouvoir d'État et de discours d'État. Ce processus sordide est différent pour chaque entreprise (certaines sont plus complices que d'autres, quelques-uns sont héroïquement non conformes) mais il implique un mélange de financement de démarrage précoce; les relations et les contrats avec les agences étatiques, notamment en matière de défense et de surveillance; et des campagnes de propagande au service des récits d'État. Rectenwald explique ce phénomène dans son propre discours récent intitulé "The Google Election":
En bref, Google, Facebook et autres ne sont pas strictement des entités du secteur privé; ce sont des gouvernements au sens que j'ai donné à ce terme. Ce sont des extensions et des appareils de l'État. En outre, ces plates-formes sont des gouvernements ayant un intérêt particulier pour la croissance et l'extension de la gouvernementalité elle-même. Cela inclut la promotion de tous les types de classes d'identité «subordonnées» et nouvellement créées qu'ils peuvent trouver ou créer, car ces catégories «en danger» nécessitent la reconnaissance et la protection de l'État. Ainsi, la circonférence de l’État continue de s’élargir. Le Big Digital est partisan des intérêts et de la croissance de l'État. Il fait non seulement affaire avec les statistes, mais partage également leurs valeurs. Cela aide à donner un sens à son penchant de gauche et à leur préférence pour les démocrates de l'État profond. Le gauchisme est l'étatisme.
Nous encourageons les lecteurs à considérer l'intégralité du discours de Rectenwald et son livre qui donne à réfléchir Google Archipelago pour son traitement approfondi des faits et des réalités derrière les entreprises technologiques et l'État américain. Il ne s’agit pas d’alarmisme ou de complot, mais d’exemples documentés de la manière dont Google, Facebook, YouTube, Twitter, Instagram, LinkedIn et d’autres participent activement - y compris financièrement - à une fusion du pouvoir des entreprises et de l’État.
RépondreSupprimerVoilà donc le vrai fascisme. Big Digital - ce que l'écrivain Ilana Mercer appelle «Deep Tech» - n'est pas un ensemble d'entreprises privées au sens où nous le pensons. Ce sont des partenaires du gouvernement fédéral, engagés envers le service idéologique dans le cadre de leur propre résultat net.
Heureusement, l'appel ricanant à «construire vos propres plates-formes» est en train d'être répondu. Des entreprises comme Bitchute et LBRY (sa plate-forme vidéo est Odysee) continuent d'héberger du contenu de l'Institut Mises et promettent de continuer à le faire. En fait, vous pouvez voir le discours interdit du Dr Woods à ces sources respectives ici et ici.
Les diseurs de vérité comptent plus que jamais. L'heure est venue de créer nos propres institutions et plateformes, c'est précisément pourquoi l'Institut Mises existe.
https://www.zerohedge.com/markets/youtube-attempts-silence-mises-institute
Le cas définitif prouvant que Donald Trump a remporté l'élection 🇺🇲️
RépondreSupprimer25 novembre 2020
Si Joe Biden a pris la tête du Michigan et du Wisconsin a été le moment où la dynamique de la course présidentielle a changé, c'est peut-être le moment où la dynamique change à nouveau.
Une nouvelle analyse approfondie et accablante qui vient d'être publiée remet en question la légitimité de cette période critique et montre à quel point le retour de Joe Biden était complètement ridicule et farfelu au Michigan, au Wisconsin et en Géorgie. Il signale quatre décharges individuelles de votes critiques pour la «victoire» de Joe Biden dans ces États et montre, de manière convaincante, que leurs ratios de votes Biden par rapport aux votes Trump étaient profondément anormaux par rapport à d'autres décharges dans ces États et à pratiquement tous les autres décharges de votes à travers le pays. .
Le rapport est rédigé dans un langage sec et académique, rempli de graphiques, de notes de bas de page et de diverses haies, mais ses implications ne pourraient être plus évidentes. En effet, si les auteurs étaient moins tièdes, ils l'auraient peut-être assez intitulé:
La victoire de Joe Biden n’était pas légitime. Et maintenant, nous pouvons le prouver.
Parce que c’est exactement ce que fait le rapport. Il examine les données électorales et montre ce à quoi beaucoup s'attendraient: les États et les villes qui ont connu les circonstances les plus suspectes le soir des élections et le lendemain sont précisément là où l'analyse signale des anomalies extrêmes.
Résumé et contexte du rapport
Cela commence par le contexte du Michigan et du Wisconsin - les fameux «pics de vote» qui étaient manifestement ridicules et ont fondamentalement changé à la fois la réalité électorale et le récit. Le rapport nous rappelle les infâmes pics de vote au Michigan et au Wisconsin.
Michigan
- voir graphique sur site -
Wisconsin:
- voir graphique sur site -
Le rapport est basé sur une analyse de la différence entre les mises à jour successives dans chaque état, chacune d’elles étant appelée «mises à jour de vote». Dans le discours en ligne, on parle souvent de «vidage de votes» ou de «lots de votes».
Il les examine à travers les États et, contrôlant la taille d'un État et son degré de démocratie, effectue les opérations suivantes:
Définit mathématiquement ce qu'est un «pic de vote»
RépondreSupprimerMontre à quel point ceux-ci sont rares
Montre comment, pendant une période de cinq heures, quatre pics de vote particulièrement extrêmes sont arrivés en faveur de Joe Biden
Montre à quel point ils ont été cruciaux pour l'élection de Joe Biden dans le MI, le WI et l'AG
Plus accablant, montre comment Joe Biden aurait probablement perdu ces États - et les élections - si ces derniers n'étaient que plus «pointus» que 99% de tous les dépotoirs de vote
Le rapport décrit une mesure pour montrer la relation entre le nombre de votes que Biden gagne (ou perd par) dans un vidage de votes donné, et comment il a réussi en tant que ratio de votes de Trump dans ce vidage de votes, tout en contrôlant la taille et la politique. maigre d'un état. Il normalise ainsi les données entre les États, permettant des comparaisons de pommes à pommes. La principale raison mathématique pour laquelle ces pics de votes sont anormaux est que pour chaque grand vidage de votes favorisant fortement Biden dans un domaine donné, vous vous attendriez également à avoir des vidages de votes plus petits dans le même domaine qui le favorisent par des marges similaires. Citant le rapport:
La crédibilité de ces mises à jour repose sur l'hypothèse que la ou les deux parties de l'État les plus favorables à Biden (peut-être par type de scrutin) ont été entièrement comptées dans ces deux lots. S'il n'est pas possible de montrer que les bulletins de vote comptés pendant ces pics étaient qualitativement différents de toutes les autres mises à jour de vote au Michigan, alors les résultats sont probablement trop extrêmes selon plusieurs dimensions pour être acceptés à leur valeur nominale. [Intégrité du vote]
Il décrit ensuite comment la même logique s'applique également aux autres mises à jour. Les gros bulletins de vote qui favorisent fortement un candidat ont du sens, s'il y en a aussi de plus petits qui favorisent davantage le candidat. Le processus de «standardisation» utilisé par les chercheurs ici prend en charge cela, et montre comment les points vers le haut et à droite du graphique sont les vidages de votes les plus «co-extrêmes», dans la langue du rapport:
- voir graphique sur site -
Cette ligne noire pointillée en haut correspond au 99,5e centile. En d'autres termes, seulement un point sur deux cents le dépasse. Les quatre dépotoirs en question sont tous égaux ou supérieurs au 99,92e centile. Avec ces ratios, s'ils étaient au 99e centile seulement, ils seraient chacun tirés vers le bas au milieu des trois lignes indiquées. De manière critique, ils représentent plus que la marge de victoire dans les trois États, et donc quarante-deux votes électoraux, et avec eux, la présidence.
Comprendre cela
L'analyse est incroyablement dense mais contient plusieurs points clés, dont les Patriots américains doivent se souvenir dans les jours et semaines à venir. Les points les plus importants sont:
Quatre des sept dépotoirs les plus extrêmes ont décidé de l'élection de Joe Biden. Cela seul est bizarre et va fondamentalement à l'encontre de son récit d'augmentations modérées dans les zones suburbaines et périurbaines. De plus, la distribution est «à queue lourde» et ces vidages de votes sont beaucoup plus «coextrêmes» que même les points autour du 99,5e centile (la ligne noire en pointillé dans le graphique ci-dessus).
RépondreSupprimerCes quatre vidages de votes étaient quantifiablement beaucoup plus extrêmes que pratiquement tous les autres vidages de votes, seuls quelques autres étant aussi extrêmes dans leur aberration par rapport au modèle inverse observé ailleurs.
La probabilité que ces trois États (GA, WI, MI) soient si bien représentés au sommet de la distribution est d'un peu plus de 1%. Et quand vous tenez compte du fait qu'un vidage de votes en GA est le 9e point le plus extrême, les chances que ces trois États aient cinq des dix premiers dépotoirs de vote les plus extrêmes tombent à seulement 0,00337%. De toute évidence, il y a quelque chose de différent dans ces États que d'autres, y compris d'autres États bleus, ou même d'autres États du Midwest où une population urbaine d'un bleu profond compense le reste rouge de l'État (par exemple l'Illinois, le Minnesota), ou des États comme le Colorado, le Texas, ou Oregon, où les zones urbaines sont également beaucoup plus démocratiques que le reste de l'État.
Ces pics de vote se sont tous produits au cours de la même période de cinq heures. Le Wisconsin et le Michigan ont tous deux passé environ dix-huit heures à compter les votes, et le décompte a duré plusieurs jours en Géorgie. Nous avons appris depuis que l'histoire de «l'éclatement de la pipe» dans la Géorgie d'un bleu profond n'a jamais été vraie.
Cette période de cinq heures reste une période de grande controverse sur la manière dont le dépouillement des votes a été «arrêté». Récemment, nous avons appris que l'histoire d'un «éclatement de pipe» en Géorgie n'était en fait pas vraie. Combinez cela avec les résultats présentés dans cet article, et une image évidente apparaît: dans les trois États, le décompte a été «arrêté» pour couvrir la fraude électorale à l'échelle de centaines de milliers de votes qui ont été libérés au milieu de la nuit, en espérant que peu le remarqueraient.
Le fardeau de la preuve incombe désormais à Joe Biden, Kamala Harris, le parti démocrate et leurs divers agents de la machine urbaine de défendre ces résultats comme étant légitimes. Les circonstances sur le terrain dans ces États étaient suspectes depuis des semaines et justifiaient une enquête à part entière. Nous avons maintenant le calcul pour confirmer nos soupçons. Ce rapport, dans des phrases sinueuses et dans un langage couvert, nous montre à tous: la «victoire» électorale de Joe Biden reposait sur un processus de comptage frauduleux en pleine nuit.
Les médias n'ont aucun intérêt à couvrir cela et tentent effectivement de le supprimer. Une tentative de recherche sur Google des «circonscriptions qui ont arrêté le décompte» le montre clairement. Le vol de cette élection, perpétré en pleine nuit dans plusieurs États, n'a pu se produire que grâce à l'assistance extraordinaire apportée aux démocrates par les grands médias et les grandes technologies. Néanmoins, grâce à ce qui semble être un groupe anonyme de chercheurs, nous pouvons affirmer définitivement ce que nous savions depuis le début:
Le président Donald J. Trump est le vainqueur légitime de cette élection. Les législateurs des États républicains du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie doivent refuser de siéger les électeurs de Joe Biden jusqu'à ce qu'un audit médico-légal complet ait été effectué.
N'abandonnez jamais. Ne cèdez jamais. Et ne concédez jamais.
https://www.revolver.news/2020/11/definitive-case-proves-donald-trump-won-election/
Restrictions de Thanksgiving COVID et «grande réinitialisation»
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
27 novembre 2020
International Man: Thanksgiving et les fêtes de fin d'année sont arrivés. L'hystérie COVID a justifié une nouvelle vague de restrictions gouvernementales.
De nombreux gouverneurs et maires ordonnent aux citoyens de «rester chez eux» et d'annuler leurs projets traditionnels.
S'agit-il d'une «nouvelle normalité» dans laquelle les responsables locaux se sentent encouragés à dicter de plus en plus ce que les gens peuvent faire chez eux ?
Doug Casey: Il n'y a pas beaucoup de questions à ce sujet. Tout d'abord, permettez-moi d'attirer votre attention sur un élément fondamental important: le type de personnes qui entrent au gouvernement. Peu importe qu’il s’agisse du gouvernement national, de l’État, du comté ou de la ville.
C’est le genre de personnes qui pensent savoir ce qui est le mieux pour les autres et qui aiment les diriger. Ils voient le virus comme une excellente occasion de se faire connaître et de se consolider au pouvoir. Ils veulent déconstruire l'Amérique. L'expression «reconstruire en mieux» est utilisée non seulement par les gens du nouveau régime Biden, mais par les gens du monde entier.
Ces personnes voient l'hystérie COVID comme une excuse pour une «grande réinitialisation». Ils ne décrivent pas exactement ce que pourraient être les éléments de la Grande Réinitialisation, mais ils entrent dans les mêmes notes que celles chantées par les personnes qui se rendent au Forum économique mondial de Davos. Ils encouragent un grand changement dans le monde en général et en Amérique en particulier.
Il semble que le monde est prêt pour cela; cependant, c’est pour les mêmes raisons que Biden a remporté l’élection. J'ai énuméré six facteurs pour lesquels je pensais que Biden gagnerait dans notre interview il y a quelques mois: l'hystérie virale, un effondrement économique imminent, des données démographiques négatives, l'effondrement moral de l'ordre ancien et l'État profond, et, bien sûr, la triche. - ce qui était essentiel à court terme. Il ne fait aucun doute que des temps orageux sont à venir.
Nous nous dirigeons vers un grand pas en avant - pour reprendre une phrase de Mao - au pouvoir de l’État. Des impôts beaucoup plus élevés, une inflation beaucoup plus élevée, beaucoup plus de réglementation, une forte baisse du niveau de vie général et une bonne mesure du chaos social.
International Man: Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, est l'un des exemples les plus extrêmes de ce voyage de puissance dystopique.
Récemment, il a publié une liste de neuf exigences obligatoires pour les rassemblements sociaux de Thanksgiving. La liste ridicule comprend des choses comme «pas plus de trois ménages» à Thanksgiving, des masques obligatoires en tout temps sauf lorsque vous mangez et pas de plats familiaux partagés pour les invités.
RépondreSupprimerL'hystérie COVID a-t-elle généré une nouvelle menace politique sérieuse pour les libertés individuelles?
Doug Casey: Il semble que le monde imite le film dystopique, V pour Vendetta, dans lequel un virus a joué un rôle majeur.
Si ce n’est pas ce virus, qui est banal pour tout le monde sauf les personnes très âgées ou très malades, il y aura un autre virus. En plus de la grippe saisonnière, environ chaque décennie, il y a quelque chose de nouveau - la grippe de Hong Kong, la grippe asiatique, la grippe porcine, la grippe aviaire, le SRAS ... tous à peu près aussi mortels que le COVID, et aucun d'entre eux n'est comparable à distance à la grippe espagnole de 1918. Aucun d'entre eux, même la grippe espagnole, n'a eu de graves conséquences économiques. Cette grippe n'est grave qu'à cause de l'hystérie qui l'entoure.
Conséquences? Les tests seront obligatoires et vous aurez besoin d'un passeport santé. À un moment donné, cela peut inclure une puce, comme votre chien. Ce qui me choque, c'est que la personne moyenne est tout à fait d'accord. Tout le monde est un «Karen» aujourd'hui. Ils font honte aux gens qui ne portent pas leurs masques, malgré le fait que les masques ont peu ou pas de valeur. Les masques, la distanciation sociale, les verrouillages et le non-rassemblement causent d'immenses dommages à la société à tous les niveaux - sur le plan sanitaire, social et financier. Ce non-sens rompt le tissu social partout. C’est extrêmement dangereux.
Le fait est que les gens recherchent des conseils du gouvernement - et non des scientifiques indépendants, qui sont «annulés» et démantelés. C'est plus grave que l'hystérie qui a commencé avec le 11 septembre, qui est en cours. L'hystérie COVID peut être comparée au mieux aux procès des sorcières de Salem, au canular d'invasion martienne d'Orson Wells ou à une prédiction de fin du monde dans un culte religieux.
International Man: California's Governor Newsom a récemment été arrêté dans l'un des restaurants les plus chics de cet État pour avoir enfreint les règles exactes qu'il a imposées à tout le monde.
Lorsqu'on lui a demandé de commenter, il a dit que c'était «une erreur de jugement».
Que pensez-vous des politiciens comme Newsom et d’autres qui révèlent que les verrouillages sont «pour vous et pas pour moi»?
Doug Casey: Je ne pense pas qu’il y ait de remède pour cela. Vous devez vous rappeler que la Californie élit des politiciens insensés depuis des décennies maintenant, les uns après les autres, chacun pire que l’avant. Pourquoi cette tendance devrait-elle changer? Les électeurs obtiennent clairement ce qu'ils veulent.
En fait, la tendance s'accélère vers des dirigeants plus autoritaires à tous les niveaux. La peur régit la psyché publique. Et quand les gens ont peur - qu'il s'agisse du virus, des turbulences économiques, d'un ennemi étranger ou national, ou de cent autres choses - ils veulent «un leadership fort». Les politiciens élus sont devenus une aristocratie élue, une nouvelle classe dirigeante. Et ils aiment ça.
La meilleure chose qui puisse arriver à la Californie est qu'elle se divise en plusieurs États.
Le sud de la Californie autour de Los Angeles est une culture; San Francisco et Oakland sont une autre culture. Dans l'extrême nord - des endroits comme les comtés de Humboldt, Trinity, Siskiyou - sont à nouveau des cultures totalement différentes. Les zones agricoles sont encore une autre culture. Il n’ya absolument aucune raison pour que la Californie soit un seul État. Le diviser serait un moyen de limiter les dégâts.
RépondreSupprimerMais cela ne se produira pas pour de nombreuses raisons. Bien entendu, comme je l’ai déjà souligné, la meilleure chose qui puisse arriver aux États-Unis à ce stade est de se diviser en plusieurs pays différents.
Les politiciens comme Gavin Newsom vivent dans leurs propres silos. Ils sont comme la royauté médiévale. Ils ne savent pas et ne se soucient pas vraiment de ce que font les petits, tant que les petits paient leurs impôts et font ce qu'on leur dit.
La plèbe est tellement endoctrinée et intimidée qu’elle est heureuse de payer ses impôts et de suivre les ordres. On leur dit que c’est le coût de la civilisation, alors qu’en réalité, c’est un signe de la non-civilisation du monde et de la différence entre les États-Unis et les idées qui ont autrefois rendu l’Amérique unique. Je ne vois aucune solution car les tendances restent en mouvement jusqu'à ce qu'elles atteignent un point de crise.
Une crise arrive, et à ce moment-là, tout peut arriver. De manière générale, lorsque vous avez une crise due à des moments difficiles, les choses empirent généralement, car les menteurs et les accros du pouvoir les plus agressifs prennent le contrôle. Je ne suis donc pas très optimiste quant à l’avenir à court terme.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/doug-casey/covid-thanksgiving-restrictions-and-the-great-reset/
Ce que PERSONNE ne dit sur les verrouillages
RépondreSupprimerCorbett
24/11/2020
Si vous préconisez le verrouillage, vous êtes complice de la rupture des familles. Vous êtes complice d’infliger des souffrances indicibles à des millions de personnes dans le monde. Vous êtes complice de jeter les plus pauvres et les plus vulnérables de nos sociétés dans une pauvreté encore plus criante. Vous êtes complice de meurtre.
TRANSCRIPTION
Il s'agit de James Corbett de corbettreport.com.
En 2006, une lycéenne de 15 ans d'Albuquerque, au Nouveau-Mexique, a remporté la troisième place au salon des sciences et de l'ingénierie Intel pour son projet sur le ralentissement de la propagation d'un agent pathogène infectieux lors d'une urgence pandémique. À l'aide d'une simulation informatique qu'elle a développée avec l'aide de son père, elle a fait valoir que pour ralentir la propagation de la maladie, les gouvernements devraient mettre en œuvre des fermetures d'écoles, garder les enfants à la maison et renforcer la distanciation sociale.
Incroyablement, ce projet d'expo-sciences de troisième place au secondaire peut être directement lié aux politiques de verrouillage mises en œuvre par les gouvernements du monde entier aujourd'hui. Vous voyez, ce père avec lequel elle a développé sa simulation informatique n'était pas un père passionné, mais un chercheur senior aux laboratoires nationaux de Sandia qui travaillait à l'époque sur des plans d'intervention d'urgence en cas de pandémie pour le département américain de la sécurité intérieure. Sa proposition de mettre en œuvre des fermetures d’écoles et, le cas échéant, des fermetures de lieux de travail en cas d’urgence pandémique a été élaborée au moins en partie en réponse au projet de lycée de sa fille.
Maintenant, ceux qui prônent le verrouillage ont vu la destruction et la mort que ces politiques ont provoquées cette année et nous vivons cela en ce moment. Non seulement les gens sont privés de leurs moyens de subsistance et contraints à une pauvreté extrême en conséquence directe de ces fermetures, mais maintenant la vérité indéniable est que si vous prônez des verrouillages, vous préconisez qu'une partie de la population soit condamnée à mort.
Ce n'est plus discutable. Il est même ouvertement admis - bien que des mois trop tard par l'Organisation mondiale de la santé.
DAVID NABARRO: Je veux le répéter: nous, à l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas les verrouillages comme principal moyen de contrôle de ce virus. [. . .] Nous pourrions bien avoir un doublement de la pauvreté dans le monde au début de l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile parce que les enfants ne reçoivent pas de repas à l’école et que leurs parents et les familles pauvres n’en ont pas les moyens.
Il s'agit en fait d'une terrible et horrible catastrophe mondiale. Et donc nous faisons vraiment appel à tous les leaders mondiaux: arrêtez d'utiliser le verrouillage comme méthode de contrôle principale. Développez de meilleurs systèmes pour le faire. Travaillez ensemble et apprenez les uns des autres. Mais rappelez-vous, les verrouillages n'ont qu'une seule conséquence que vous ne devez jamais, jamais rabaisser, et qui rend les pauvres beaucoup plus pauvres.
SOURCE: La semaine en 60 minutes # 6
RépondreSupprimerC'est à ce stade que, sans aucun doute, on m'attendra à ce que je produise les données pour étayer l'observation non controversée selon laquelle les verrouillages tuent, même si ces données ne feront précisément rien pour pénétrer la conscience de ceux qui ont déjà décidé que ils occupent une position morale élevée pour préconiser le verrouillage de milliards de personnes dans le monde en tant que prisonniers dans leurs propres maisons. Mais persévérez, je le ferai.
Je citerai, par exemple, la lettre signée par des centaines de médecins qualifiant les verrouillages eux-mêmes d '«incident faisant des victimes massives» et exhortant les politiciens à mettre fin aux fermetures.
Je mentionnerai les recherches qui montrent que des milliers de personnes mourront à cause des retards dans les traitements de chirurgie du cancer en raison des arrêts médicaux.
Je signalerai les recherches du Well-Being Trust montrant que 75 000 Américains devraient mourir de désespoir - y compris l’abus d’alcool et de drogues et le suicide - cette année seulement à la suite des verrouillages.
Je mentionnerai les recherches de The Lancet montrant que 265 millions de personnes devraient être plongées dans une insécurité alimentaire grave à la suite de ces verrouillages.
Je mentionnerai même la recherche montrant que 125 000 enfants devraient mourir de malnutrition à la suite de ces confinements.
Mais, comme je l'ai dit, aucun de ces décès n'aura d'importance pour ceux qui ont déjà décidé qu'ils avaient raison et vertueux de préconiser le verrouillage de vastes pans de la population humaine à l'intérieur de leurs propres maisons pour mourir de faim au nom du ralentissement de la propagation d'un maladie dont même les épidémiologistes qui se sont trompés sur tout cette année nous disent qu'elle tuera moins d'un pour cent des personnes infectées.
Oui, ralentir la propagation, ne pas arrêter la propagation. Il n'a jamais été question d'arrêter une pandémie. Même les partisans du verrouillage n'ont jamais préconisé cela. Mais d'une manière ou d'une autre, cela a été oublié et «15 jours pour aplatir la courbe» s'est transformé en une carte blanche sans fin pour l'État de biosécurité pour mettre en œuvre un certain nombre de politiques draconiennes sur sa population, un certain nombre de politiques sur la liste de contrôle de la volonté. être dictateur. Non seulement enfermer les gens à l'intérieur de leurs propres maisons, mais une surveillance constante de la population grâce aux applications de recherche des contacts et de suivi qui sont de plus en plus mises en œuvre dans le monde entier, et, inévitablement, les propositions visant à rendre obligatoire les vaccins expérimentaux que les agents de l'État injecteront de force dans les gens contre leur volonté.
Ceci est inacceptable.
Nous ne pouvons pas permettre que cela dure.
Si nous abandonnons ce droit le plus fondamental - le droit de sortir de chez nous - alors nous abandonnons notre humanité elle-même. Une partie importante de ce qui fait de nous des humains nous est enlevée au nom de l'arrêt de la propagation du COVID-19.
Mais il y a de bonnes nouvelles pour ceux qui ont réussi à conserver leur santé mentale au temps de la folie. Nous n'avons pas besoin d'un plan compliqué pour renverser ce programme. Nous n'avons pas besoin de suppléance spéciale ni de demander la permission du gouvernement. Nous n'avons pas besoin de rejoindre un parti politique en particulier ni même un mouvement de protestation en particulier.
Tout ce que nous avons à faire est de désobéir à ces «ordres» illégaux.
RépondreSupprimerCASSIE ZERVOS: Les manifestants anti-lockdown persistants ont déclaré qu'ils n'oublieraient pas les mesures strictes de 112 jours de Melbourne alors qu'ils se dirigeaient vers le Parlement. Ils portaient des pancartes disant «Ne faites pas confiance au gouvernement» et scandaient pour que la police se joigne à eux dans leur rassemblement.
SOURCE: La manifestation contre le verrouillage anti-COVID de Melbourne tourne à la laideur devant le Parlement
PROPRIÉTAIRE D'ENTREPRISE: J'ai perdu des amis qui se sont suicidés. J'ai vu des clients mourir parce qu'ils avaient perdu leur gagne-pain.
INSPECTEUR DE SANTÉ: Je suis désolé d'entendre cela.
PROPRIÉTAIRE D'ENTREPRISE: Je sais que vous l'êtes et je ne suis qu'un - je vous demande de faire preuve de compassion pour les gars.
SOURCE: Les propriétaires d'entreprise de Buffalo, New York résistent aux ordonnances de verrouillage de Cuomo
ASHLEY DRIEMEYER: Peut-il nous arrêter tous? Parce que, d'après ce que je comprends, dans ce domaine, nous nous unissons tous et nous nous opposons à notre gouverneur.
SOURCE: le propriétaire d'un restaurant de l'Illinois défiera les nouvelles restrictions de l'État
[CROWD BANGS POTS AND PANS PENDANT PROTEST]
SOURCE: Manifestations au Danemark - Loi sur les épidémies et vaccins obligatoires - EPIDEMILOV
PROPRIÉTAIRES D'ENTREPRISE: Sortez! Sortez! Sortez! Sortez! Sortez!
SOURCE: Les propriétaires d'entreprise de Buffalo, New York résistent aux ordonnances de verrouillage de Cuomo
Si vous avez réussi à conserver votre santé mentale pendant cette période de folie généralisée, je vous applaudis et je tiens à vous assurer que vous n'êtes pas seul. De très nombreuses personnes à travers le monde défient les ordres. Ils protestent contre ces verrouillages. Ils se lèvent. Ils désobéissent.
Mais bien sûr, la presse contrôlée par l’entreprise ne veut pas que vous sachiez que la désobéissance est une option sur la table et elle ne rendra pas compte de cela. Mais la désobéissance est une option. Ouvrez votre entreprise. Quittez votre maison. Ne demandez pas la permission. Désobéir.
À ceux qui plaident toujours pour les fermetures, je vous encourage à le faire face à ces parents qui ont perdu leurs enfants adolescents en raison du suicide en conséquence directe des fermetures et à leur dire que la mort de leur enfant n'a pas d'importance car elle n'était pas répertorié comme étant dû au COVID-19. Ou faites-le face aux dizaines de milliers d'autres qui ont déjà perdu des êtres chers en conséquence directe de ces fermetures ou aux centaines de milliers d'autres qui mourront tant que ces verrouillages dureront.
Si vous préconisez le verrouillage, vous êtes complice de la rupture des familles. Vous êtes complice d’infliger des souffrances indicibles à des millions de personnes dans le monde. Vous êtes complice de jeter les plus pauvres et les plus vulnérables de nos sociétés dans une pauvreté encore plus criante. Vous êtes complice de meurtre.
Une ligne est franchie en ce moment. De quel côté de l'histoire êtes-vous? Prenez votre décision maintenant et faites-la avec sagesse, car vos actions pendant ces périodes ne seront pas oubliées.
Tu étais prévenu.
This is James Corbett of corbettreport.com.
https://www.corbettreport.com/lockdowns/
«Fox News est mort pour moi»: Trump retweete le jab de l’acteur au US News Network
RépondreSupprimer27 novembre 2020
En août, le président Donald Trump a tweeté que Fox News était «pire que les fausses nouvelles CNN», recommandant aux abonnés de «tourner leur cadran» vers le réseau OANN, qui, avec Newsmax, a remis en question à plusieurs reprises le projet du démocrate Joe Biden gagner aux élections du 3 novembre.
Le président Donald Trump a retweeté une vidéo dans laquelle l'acteur américain Randy Quaid est vu en train de réciter l'un des précédents tweets de POTUS visant Fox News.
L'acteur de l'Independence Day, qui est un fervent partisan de Trump, a publié le clip sur sa page Twitter au début du mois, écrivant également en majuscules: «Il est temps de rendre [la droite] OAN [One America News] et Newsmax riches. Fox [News] est mort pour moi ».
«Les cotes de jour de Fox News se sont complètement effondrées. Le week-end est encore pire. Très triste de voir cela se produire, mais ils ont oublié ce qui les a fait réussir, ce qui les a amenés là-bas. Ils ont oublié la Golden Goose. La plus grande différence entre les élections de 2016 et 2020 a été Fox News », a déclaré Trump, âgé de 70 ans, d'une voix inquiétante, avec des lumières rouges et vertes clignotant en arrière-plan.
Le président a à plusieurs reprises fait la promotion d'OANN et de Newsmax sur Fox News, qui a été critiqué par Trump comme n'étant pas suffisamment fidèle et qui a été le premier média à projeter la victoire du démocrate Joe Biden aux élections du 3 novembre.
Le retweet de POTUS a suivi sa réponse à la série de tweets de Quaid mardi, lorsque l'acteur oscarisé a affirmé que les Américains avaient «perdu confiance dans le système» qui élit leurs dirigeants.
«79 millions d'Américains pensent que les élections ont été truquées, les résultats frauduleux. Nous avons besoin d'un nouveau vote en personne uniquement sur papier, en particulier dans les États où des irrégularités flagrantes se sont produites. Aucune précision, aucune démocratie! Argumenta Quaid.
«Écoutez-vous les républicains? Trump a répondu, remerciant également l'acteur pour «avoir travaillé dur pour nettoyer la puanteur du canular électoral de 2020».
YouTube suspend OANN pour la désinformation présumée du COVID-19
Cela s'est produit lorsque YouTube a suspendu OANN de télécharger du contenu pendant une semaine pour avoir prétendument propagé de la désinformation sur le nouveau coronavirus. Ce n'était pas immédiatement clair ce que la vidéo d'OANN disait spécifiquement à propos du COVID-19 qui a poussé YouTube à décider de suspendre la chaîne.
En outre, la plate-forme de partage de vidéos, qui avait été précédemment choisie par Trump pour atteindre ses électeurs potentiels pendant la campagne électorale de 2020, a suspendu la participation d'OANN à son programme de monétisation.
Les développements ont été précédés par POTUS autorisant la General Services Administration (GSA) à entamer la transition du pouvoir vers l'équipe Biden.
Dans le même temps, Trump a réitéré dans un tweet qu'il ne concéderait pas la victoire projetée de Biden en raison de la fraude électorale présumée et a promis de continuer à se battre pour annuler les résultats des élections du 3 novembre.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/no_author/fox-news-is-dead-to-me-trump-retweets-actors-jab-at-us-news-network/
Pas de vérité
RépondreSupprimerPar Bionic Mosquito
27 novembre 2020
Nous vivons certainement à une époque post-vérité. Ce terme, post-vérité, est apparemment venu au premier plan pendant le Brexit et Trump, décrivant vraisemblablement comment ces deux épisodes ont réussi, via la vérité «post». Nous pouvons essentiellement voir que l'Occident - et surtout, les États-Unis - est divisé en deux camps qui croient clairement que l'autre vit dans un monde de post-vérité. Appelez ces mensonges.
Porte de la Russie, Ukraine, mise en accusation, ordinateurs portables Biden, Covid, Fondation Clinton, machines à voter, camions de 4 heures du matin. Ce ne sont que les quatre dernières années. Nous avons chacun une vérité sur chacun d'eux; nous ne pouvons pas tous avoir raison.
Certains épisodes sont étudiés, d'autres non. Pourquoi ?
Paul VanderKlay a récemment réalisé une vidéo sur le développement communautaire. Il a ouvert avec une diapositive, demandant:
Les élections américaines étaient-elles propres ?
Les États-Unis et le Royaume-Uni obtiennent-ils leur réponse COVID correctement ?
Comment devrions-nous considérer le changement climatique?
Comment pouvons-nous savoir ?
J'ai répondu:
Simple: Cui Bono. Qui en profite ? Le pouvoir et autorité décentralisés ? Ceux qui sont au pouvoir veulent plus de pouvoir; ceux qui contrôlent veulent plus de contrôle. C'est une façon de connaître la vérité sur chacun de ces sujets.
Ceux qui veulent plus de puissance et de contrôle ne veulent pas plus de puissance et de contrôle pour mon bénéfice ou celui de quiconque écoute ces vidéos ou commente ici.
Les dirigeants politiques et les chefs d'entreprise préfèrent le pouvoir centralisé. La vérité n'est pas pertinente dans cette poursuite. Si des mensonges sont nécessaires dans cette poursuite, ils mentiront. Nous voyons le mariage de ces deux dans cette cause.
Mais les mensonges sont toujours nécessaires dans cette quête de centralisation du pouvoir. Un nombre insuffisant permettra un autoritarisme accru sans se nourrir de mensonges.
Ni les médias ni le ministère de la Justice n'agissent dans leur rôle approprié - rechercher la vérité dans la poursuite de la justice.
Lorsque l'Union soviétique s'est effondrée, elle l'a fait de manière relativement pacifique. Peut-être que la plupart des habitants de l'Union soviétique savaient qu'ils étaient nourris de mensonges, donc pas de conflit.
Je ne pense pas que l’Occident aura autant de chance. Chaque côté est convaincu que l'autre ment. Ni l'un ni l'autre ne peut lâcher prise.
Pas de vérité, pas de justice, pas de paix.
Reprinted with permission from Bionic Mosquito.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/bionic-mosquito/no-truth/
Échaudés, les Suédois refusent le vaccin contre le Covid
RépondreSupprimerVen.27 Nov.2020
Le peuple scandinave s’était fait vacciner contre le H1N1 en 2009, à l’appel du gouvernement. Les effets secondaires, comme la narcolepsie, l’ont refroidi.
Un vaccin développé à la hâte ? Plus question. Comme des centaines de jeunes compatriotes, Meissa Chebbi est narcoleptique depuis une vaste campagne contre le H1N1 qui, onze ans plus tard, entame la confiance des Suédois envers les antidotes contre le Covid-19.
«Je ne recommencerai jamais» de prendre un vaccin développé en urgence, «sauf si vous devez absolument le prendre, en danger de mort», dit à l’AFP la jeune Suédoise de 21 ans. «J’attendrai cinq ans, quand on connaîtra les risques», affirme l’étudiante.
En 2009, les autorités sanitaires locales ont appelé les Suédois à se faire – volontairement – vacciner contre la grippe porcine, avec le Pandemrix produit par le laboratoire britannique GlaxoSmithKline.
Plus de 60 % de la population – près de six millions de personnes – avait répondu à l’appel, un record mondial, dans un pays où aucun vaccin n’est pourtant obligatoire.
Mais comme Meissa, des centaines de personnes, principalement des enfants et des jeunes adultes, ont développé une narcolepsie du fait d’un effet secondaire du vaccin. En cause: un adjuvant dont le rôle était de démultiplier l’effet immunitaire.
«Ca a détruit ma vie», explique Meissa, qui avait onze ans à l’époque. «Je m’endors tout le temps, dans toutes les situations et à des moments inappropriés: à table, lors d’entretiens d’embauche, pendant des discours, des séminaires, à l’université. Je me suis endormie au travail, dans des bus, partout...», énumère la jeune résidente d’Örebro, dans le centre de la Suède.
Moins de 50 % de volontaires
Près de 440 plaintes sur 702 ont fait l’objet d’une indemnisation par le Fonds d’assurance pharmaceutique, qui a déboursé au total 100 millions de couronnes, environ 10,6 millions de francs.
Anders Tegnell, l’épidémiologiste en chef et figure de la stratégie controversée de la Suède contre le Covid-19, faisait partie du groupe d’experts du conseil sanitaire qui a appelé à la vaccination de masse en 2009-2010.
«Bien sûr la décision aurait été complètement différente si nous avions connu les effets secondaires. Mais ils étaient complètement inconnus, une surprise pour tout le monde», affirme-t-il à l’AFP.
«Il y a eu un consensus international depuis des années sur le fait que la vaccination était la meilleure chose à faire durant une pandémie et que c’était la seule solution à long terme», plaide le médecin.
RépondreSupprimerLe cas suédois illustre la difficulté des gouvernements à mener des campagnes de vaccination, dans un contexte de doute voire de défiance dans de nombreux pays, mais aussi face à un besoin urgent de cesser une pandémie qui paralyse le monde entier.
Pour Babis Stefanides, un Stockholmois de 36 ans, c’est tout vu: elle ne prendra pas de vaccin contre le Covid-19. «Il y a juste trop d’interrogations», affirme-t-elle. Selon un récent sondage de l’institut Novus, plus d’un quart (26 %) des Suédois sont dans son cas et 28 % sont indécis. Moins d’un sur deux (46 %) prévoient de se faire injecter un des nouveaux vaccins contre le Covid-19, promis pour début 2021.
«Ne pas humilier»
Pour le directeur de l’Autorité sanitaire suédoise, Johan Carlson, il faudrait que 60 à 70% de ses compatriotes prennent l’antidote pour stopper l’épidémie. «Tout le monde doit bien réfléchir et décider. Généralement en Suède, la plupart des gens se font vacciner», a-t-il relevé à la télévision dimanche.
Même sans aucun vaccin obligatoire, la Suède peut en effet se targuer d’afficher des taux de vaccination volontaire chez les enfants qui dépassent 90 %.
Hannah Laine, une assistante sociale de 37 ans, compte elle bien se faire vacciner, avec son mari mais aussi leurs trois enfants. «Nous devons assumer notre responsabilité morale envers les personnes âgées et les malades. Nous le prendrons, peut-être pas dans notre intérêt mais dans celui de la société», dit-elle à l’AFP.
Un argument contesté par Elisabeth Widell, présidente de l’Association suédoise de narcolepsie. Selon elle, les autorités n’ont pas eu tort de viser une vaccination de masse en 2009, mais elles ont trop appelé au sens de la solidarité des Suédois, souvent soucieux de suivre les consignes officielles.
«Il ne faut pas critiquer ou humilier les gens qui choisissent de ne pas se faire vacciner. Si ce n’est pas obligatoire, le choix est libre», plaide la responsable associative.
https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544
EFFETS VACCINS:
SupprimerLa narcolepsie et aussi le syndrome de Guillain-Barré est une atteinte des nerfs périphériques !!
caractérisée par une faiblesse voire une paralysie progressive, débutant le plus souvent au niveau des jambes et remontant parfois jusqu’à atteindre les muscles de la respiration puis les nerfs de la tête et du cou. Ce syndrome est aussi appelé polyradiculonévrite aiguë inflammatoire, ou encore polyradiculonévrite aiguë post-infectieuse car il survient souvent après une infection. Dans la majorité des cas, les personnes atteintes récupèrent leurs capacités physiques au bout de 6 à 12 mois.
Une étude néerlandaise consiste à exposer des centaines de personnes au COVID-19 pour tester l'efficacité des vaccins
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 27/11/2020 - 02:45
Que disait le président Trump sur le fait de ne pas laisser le remède être plus douloureux que la maladie ?
Le dernier groupe de scientifiques intrépides à tester les limites de la virologie et de l'éthique médicale appartient au Centre médical universitaire de Leiden aux Pays-Bas. Une équipe de chercheurs néerlandais a déjà recruté une équipe de plus de 240 volontaires pour ce que l'on appelle une étude «défi humain».
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le concept, une étude de «défi» consiste à exposer délibérément des sujets - des animaux, ou (dans ce cas) des volontaires humains - au virus pour tester l'efficacité de divers vaccins candidats.
On pourrait appeler cela une «épreuve par le feu».
Jusqu'à présent, Moderna et Pfizer ont fait la une des journaux affirmant que leurs vaccins étaient efficaces à 95 %. Seul le temps nous dira si ces vaccins préviennent réellement l'infection chez 19 receveurs sur 20. Pendant ce temps, «l'erreur de dosage» qui a conduit AstraZenaca et Oxford à proposer des évaluations contradictoires de son vaccin adénovirus-vecteur en fonction des différents schémas posologiques n'est que l'une des lacunes de l'essai. Il a également été révélé que les meilleures données du vaccin ont été glanées auprès d'un groupe de patients exclusivement plus jeunes, ce qui signifie que les patients plus âgés et plus vulnérables peuvent de toute façon risquer de voir des infections graves se développer.
Le plan de «l'étude de défi» est soutenu par une organisation appelée 1Day Sooner, qui se consacre - comme son nom l'indique - à accélérer la recherche d'un vaccin efficace contre le COVID-19. Les installations de quarantaine à Londres ont déjà été réservées par le groupe, qui a déclaré qu'il s'attendait à ce que les essais commencent en janvier - à condition que les régulateurs accordent leur bénédiction.
Le développement et l'administration de vaccins étant toujours une perspective lointaine pour des millions d'Américains, l'administration Trump a promis de commencer à vacciner les travailleurs de la santé et les patients les plus vulnérables d'ici la mi-décembre.
Les responsables ont déclaré que les vaccins commenceraient à être expédiés des heures après que la FDA ait accordé l'approbation d'utilisation d'urgence à Pfizer et / ou Moderna. Les marchés semblent avoir déjà internalisé ce résultat, comme en témoigne la clôture du record du Dow hier.
RépondreSupprimer1Day Sooner a des alliés dans le domaine de la biotechnologie qui sont prêts à fournir l'équipement dont l'entreprise aurait besoin pour mener l'étude. Une entreprise britannique de biotechnologie a déclaré le mois dernier qu'elle était déjà en pourparlers avancés avec HMG sur l'autorisation de créer et de fournir des souches du virus pour ce qui serait une étude révolutionnaire.
Bien que Reuters ne l'ait pas nommée dans la version de son rapport publiée en ligne, la société de biotechnologie mentionnée ci-dessus semble être Open Orphan, une entreprise britannique qui, selon un utilisateur de Twitter, "est la seule entreprise au monde à proposer un modèle d'étude de défi humain commercial. pour Covid 19. "
Selon un communiqué de presse publié en octobre, Open Orphan travaille déjà avec deux institutions britanniques sur une étude de «défi» utilisant le plan d'Orphan. Les résultats sont attendus d'ici mai. À ce stade, alors que les plus grandes économies devraient avoir un quasi-monopole sur la première vague de produits vaccinaux, une étude comme celle-ci qui pourrait accélérer le développement d'autres approches vaccinales plus traditionnelles pourrait être extrêmement précieuse.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/dutch-study-involves-exposing-hundreds-people-covid-19-test-effectiveness-vaccines
Ce sont les meilleurs (et les pires) endroits où vivre à l'ère du coronavirus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu 26/11/2020 - 20:30
La pandémie de coronavirus a révélé les lacunes du système mondial de soins de santé, tout en montrant comment les économies des pays développés et en développement pourraient démontrer de telles réponses inattendues. La petite Corée du Sud a réussi à supprimer le virus grâce à des tests et des traçages de masse. Les États-Unis, quant à eux, ont enregistré le plus de décès, tandis que la Chine a déjà vacciné plus d'un million de personnes avant même que son principal effort de vaccination ne soit approuvé.
Avec autant de variables en jeu, Bloomberg a tenté de développer un classement pour les pays qui ont le mieux fait face à l'épidémie de coronavirus. Tout en analysant les chiffres, les journalistes ont posé des questions telles que "où étaient les meilleurs endroits où être pendant la pandémie de coronavirus ? et «où le virus a-t-il été traité le plus efficacement ?
- voir tableau sur site -
Les classements étaient basés sur deux grandes catégories, le statut COVID et la qualité de vie. De plus, Bloomberg a présenté ce qu'il a appelé les «scores du classement de la résilience Covid» pour les économies, qui prétendaient mesurer la résistance d'une économie donnée aux perturbations causées par le coronavirus. Il y avait 10 paramètres clés: de la croissance des cas de virus au taux de mortalité global, en passant par les capacités de test et, surtout, si le pays avait réussi à obtenir des accords d'approvisionnement pour les vaccins COVID-19 qui sont sur le point d'arriver sur le marché dans l'ouest.
Sans surprise (c'est Bloomberg, après tout), les trois premiers arrivants étaient la Nouvelle-Zélande à la première place (le pays a utilisé un verrouillage économique extrêmement coûteux pour annuler quelques flambées légères), le Japon en deuxième (le pays a connu remarquablement peu de cas et de décès malgré la lenteur perçue par le Japon dans la mise en œuvre des mesures pour empêcher la propagation du virus, et enfin Taiwan, qui a été saluée comme l'une des approches les plus efficaces pour lutter contre le virus.
Pour essayer de simplifier les choses, Bloomberg a maintenu le classement des économies avec un PIB d'au moins 200 milliards de dollars. Selon Bloomberg, les trois plus performants ont tous pris des mesures concrètes précoces pour endiguer la propagation du virus.
- voir tableau sur site -
Ironiquement, Bloomberg a noté que le contrôle des frontières était un élément essentiel des stratégies des pays les plus réussis, à commencer par la décision de Pékin de délimiter la province du Hubei et la ville de Wuhan.
Voici le classement complet, gracieuseté de Bloomberg:
- voir tableau sur site -
Enfin, Bloomberg a souligné que les pays autoritaires ont généralement surpassé les démocraties comme les États-Unis et le Royaume-Uni. Et bien que des verrouillages aient été déployés dans le monde entier avec des résultats mitigés, Bloomberg a affirmé qu'il n'y avait rien de plus efficace que lorsque les citoyens ont confiance dans les autorités et leurs conseils. Lorsque cela se produit - et Bloomberg cite le Japon et la Suède en exemple - les verrouillages ne sont pas nécessaires pour endiguer la flambée des cas.
Mais alors que les États-Unis ont pris du retard dans plusieurs aspects de leur réponse au virus, ils sont en tête du nombre d'accords de vaccins qu'ils ont conclus.
En fin de compte, celui qui aura les vaccins sera probablement dans la meilleure position pour aller de l'avant.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/these-are-best-and-worst-places-live-during-coronavirus-era
Résultat des courses: Aucun pays n'a vacciné sa population (faute de vaccin) et, comme l'emprisonnement à domicile est un leurre qui tue plus de monde que d'être libre de sortir, les tableaux montrent donc que c'est un hasard et que des peuples sont plus résistants au rhume 'corona' que d'autres et que les 'autorités' ne remplaceront jamais la science.
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