Le projet diabolique du Forum économique mondial : « Réinitialiser le futur du monde du travail »
Peter Koenig, Global Research Sott.net ven., 13 nov. 2020 18:38 UTC
Le Forum économique mondial (FEM) vient de publier (octobre 2020) un livre blanc intitulé "Réinitialiser le futur du monde du travail - dans un Monde Post-Covid".
Great reset
Réinitialiser le futur du monde du travail : Disruption et Renouveau dans un Monde Post-COVID
Ce document de 31 pages se lit comme un schéma directeur sur la manière "d'exécuter" - parce que ce serait une exécution (ou une mise en œuvre) - « Covid-19 - The Great Reset » (juillet 2020) par Klaus Schwab, fondateur et PDG du FEM (depuis sa fondation en 1974) et son associé Thierry Malleret.
Ils appellent "Réinitialiser le futur" un Livre Blanc, ce qui signifie que ce n'est pas tout à fait une version définitive. Il s'agit d'une sorte d'ébauche, un ballon d'essai, pour mesurer les réactions des gens. Il se lit en effet comme le conte d'un exécuteur. Beaucoup de gens ne le liront probablement pas - ils n'ont pas conscience de son existence. S'ils le faisaient, ils prendraient les armes et combattraient ce tout dernier projet totalitaire, offert au monde par le FME.
Il promet un avenir effrayant à plus de 80 % de la population (survivante). Le roman "1984" de George Orwell se lit comme une fantaisie bénigne par rapport à ce que le FME a en tête pour l'humanité.
Le délai est de dix ans. D'ici 2030, l'agenda 2021-2030 des Nations Unies devrait être mis en œuvre.
Mesures prévues pour les entreprises en réponse au COVID-19 :
Une accélération des processus de travail numérisés, conduisant à ce que 84% de tous les processus de travail soient numériques, ou virtuels / en vidéo-conférences.
83 % des personnes devront travailler à distance - c'est-à-dire plus d'interaction entre collègues - distanciation sociale absolue, séparation de l'humanité du contact humain.
Environ 50 % de toutes les tâches sont prévues pour être automatisées - en d'autres termes, l'apport humain sera considérablement réduit, même en travaillant à distance.
Accélérer la numérisation de la formation et de la reconversion (par exemple, les fournisseurs de technologies éducatives) - 42 % de la formation ou de la reconversion seront numérisés, en d'autres termes, aucun contact humain - tout se fera par ordinateur, par l'intelligence artificielle (IA) et par des algorithmes.
Accélérer la mise en œuvre des programmes de perfectionnement / reconversion - 35 % des compétences sont prévues pour être "remaniées" - c'est-à-dire qu'une partie des compétences existantes sont prévues pour être abandonnées - déclarées caduques.
Accélérer les transformations organisationnelles en cours (par exemple la restructuration) - 34 % des structures organisationnelles actuelles devraient être "restructurées" - ou, en d'autres termes, les structures organisationnelles existantes seront déclarées obsolètes - pour faire place à de nouveaux ensembles de cadres organisationnels, des structures numériques qui puissent permettre un contrôle maximal de toutes les activités.
Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches - cela devrait toucher 30 % de la main-d'œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes - très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du "salaire de base universel" ou du "revenu de base" également prévu - un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. - Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système - un système numérique, sur lequel vous n'avez aucun contrôle.
Réduire temporairement la main-d'œuvre - cette mesure devrait toucher 28 % de la population. Il s'agit d'un chiffre de chômage supplémentaire déguisé, car le "temporaire" ne reviendra jamais à plein temps.
Réduire définitivement la main-d'œuvre : 13 % de la main-d'œuvre est réduite de façon permanente.
Augmentation temporaire de la main-d'œuvre : 5 % - il n'y a aucune référence au type de main-d'œuvre - probablement une main-d'œuvre non qualifiée qui, tôt ou tard, sera également remplacée par l'automatisation, par l'IA et la robotisation du lieu du travail.
Aucune mesure spécifique mise en œuvre : 4 % - cela signifie-t-il qu'à peine 4 % des gens resteront épargnés ? De l'algorithme aux nouveaux lieux de travail orientés vers l'IA ? - Aussi petit et insignifiant que soit ce chiffre, cela ressemble à un "vœu pieux", qui ne se réalisera jamais.
Augmentation permanente de la main-d'œuvre : 1 % seulement est prévu comme "augmentation permanente de la main-d'œuvre". Cela n'est bien sûr même pas de l'ordre du cosmétique. Il s'agit d'une plaisanterie.
C'est ce qui est mis en avant, à savoir le processus concret de mise en œuvre du Grand Reset.
Le Grande Reset prévoit également, un système de crédit, par lequel toutes les dettes personnelles seraient "effacées" - contre la remise de tous les biens personnels à un organe ou une agence administrative - qui pourrait éventuellement être le FMI.
Ainsi, vous ne posséderiez rien - et vous seriez heureux. Car tous vos besoins seront couverts.
- voir clip sur site -
-- Commentaire : La vidéo originale, hébergée par Facebook, se trouve sur cette page du site du FME. --
De plus, il ne devrait pas vous venir à l'esprit d'être en désaccord avec le système, car - à ce jour, chacun d'entre vous a été vacciné contre le covid et a reçu une nanopuce - de sorte qu'avec la 5G et bientôt la 6G, votre esprit peut être lu et influencé.
S'il vous plait, n'appelez pas cela une théorie du complot. Il s'agit d'un livre blanc, un "rapport qui fait autorité" du FME.
La DARPA - Defense Advanced Research Projects Agency, fait partie du Pentagone - et a développé la technologie il y a des années. Ce n'est qu'une question de temps pour la mettre en œuvre. Et elle sera mise en œuvre si nous, le peuple, ne protestons pas - la désobéissance civile massive est de rigueur - et ce, le plus tôt sera le mieux.
Plus nous attendrons pour agir, plus nous serons comme des somnambules dans cette catastrophe humaine absolue.
Les relations sociales et humaines se voient éviscérées.
Cela présente plusieurs avantages pour cette nouvelle approche "totalitaire" du FME à l'égard de l'humanité - pour contrôler l'humanité.
- "Nous, le peuple", ne pouvons pas nous rebeller, nous n'avons plus de cohésion entre nous.
- "Nous, le peuple", seront joués les uns contre les autres - et il existe un contrôle numérique absolu sur l'humanité - exécuté par une petite super-élite.
- Nous n'avons pas accès à ce contrôle numérique - il est bien au-delà de notre portée. L'idée est que nous allons progressivement grandir avec - ceux d'entre nous qui pourraient survivre. D'ici une génération environ, il devrait devenir la nouvelle norme.
"L'angle de survie" est un aspect qui n'est mentionné directement ni dans le Grand Reset, ni dans le "Guide de mise en œuvre" - c'est-à-dire dans le Livre blanc "Réinitialiser le futur du monde du travail dans un Monde Post-Covid".
Bill Gates, les Rockefeller, Kissinger et autres, n'ont jamais caché leur ferme conviction que le monde est surpeuplé et que le nombre de personnes doit être littéralement réduit. Nous avons affaire à des eugénistes.
Une méthode parfaite pour réduire la population mondiale, ce sont les programmes de vaccination initiés par Bill Gates et soutenus par l'OMS. Des scandales liés à de tels programmes de vaccination désastreux entraînant la mort d'enfants ont été enregistrés en Inde (dans les années 1990), au Kenya (2014 et après) et dans d'autres parties du monde.
Voir également un TedTalk très révélateur de Bill Gates de février 2010, "Innover vers le zéro carbone", à peu près au moment où le "Rapport Rockefeller 2010" a été publié - le même rapport qui nous a donné jusqu'à présent, le "Scénario des étapes de confinement" - que nous vivons maintenant. À peine le monde a-t-il protesté, que le monde entier - 193 pays membres des Nations unies - a été coopté ou contraint de suivre cette abjecte violation des droits de l'homme à l'échelle mondiale.
Ce que les deux rapports, "Le Grand Reset" et le "Réinitialiser le futur du monde du travail", omettent de mentionner, c'est qui va faire appliquer ces nouvelles règles draconiennes ? - Il s'agit soi-disant des mêmes forces qui sont maintenant formées pour la guerre urbaine et la répression des émeutes et des troubles sociaux - ce sont la police et l'armée.
Une partie de notre Organisation populaire de désobéissance civile se concentrera sur la manière de parler, d'éduquer et d'informer la police et l'armée de ce à quoi elles serviront pour cette petite élite, et sur le fait qu'en fin de compte, ce sont aussi des êtres humains, comme nous tous, et qu'elles ont donc intérêt à se tenir debout pour défendre le peuple, l'humanité. Il faut faire la même chose pour les enseignants et le personnel médical - l'information, la vérité sans entrave.
C'est là que réside le défi. Si nous réussissons, le jeu est terminé. Mais la route est longue.
La désinformation médiatique est brutale et puissante et difficile à contredire pour "nous", sans un budget important pour la contre-propagande, et en tant que groupe de personnes, qui est de plus en plus divisé par les médias eux-mêmes. Le port obligatoire du masque et la distanciation sociale - a déjà fait de nous des ennemis de ce que nous étions, des collègues, des amis, même au sein des familles.
Ce même diktat a réussi à créer des clivages, des divisions et des discordes au sein de nos sociétés.
Ne pas avoir peur - mais mettre en pièces le "Resetting the Future of Work Agenda" et le "The Great Reset" - avec une alternative humaine qui supprimerait des organisations comme le FME, et des agences cooptées des Nations Unies, comme l'OMS, l'UNICEF, l'OMC, la Banque Mondiale, le FMI - et peut-être même l'ensemble du système des Nations Unies. Les dirigeants politiques et d'entreprises qui sont à l'origine de ce projet doivent être exposés. Les principes fondamentaux du droit international, y compris ceux de Nuremberg, doivent être appliqués.
A propos de l'auteur
Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l'environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque Mondiale et à l'Organisation Mondiale de la Santé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne telles que Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO) et bien d'autres encore. Il est l'auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed, une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque Mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! - Essais de la Résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation à Montréal (CRG). Source : Peter Koenig, Global Research - Traduction Sott.net
Le site du Le Forum économique mondial : https://www.weforum.org/
-- Commentaire :
Le monde futur du FME fait penser aux inscriptions sur le Georgia Guidestones :
(1) Maintenez l'humanité en dessous de 500 millions d'individus en perpétuel équilibre avec la nature.
(2) Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité
(3) Unissez l'humanité avec une nouvelle langue mondiale.
(4) Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.
(5) Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
(6) Laissez toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
(7) Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.
(8) Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.
(9) Faites primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini.
(10) Ne soyez pas un cancer sur la terre, laissez une place à la nature.
Pour le "Grand Reset", voir également l'article lié : La « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial bénéficie à l'industrie alimentaire et prépare l'enfer pour les populations --
Une étude britannique sur la santé a révélé 26 000 décès «supplémentaires» non liés au COVID à la maison au milieu des verrouillages
Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 05:45
La BBC a récemment publié des statistiques choquantes concernant la santé au Royaume-Uni, mais qui ne surprendront peut-être pas les critiques qui ont averti que des verrouillages nationaux de grande envergure entraîneraient d'autres effets indésirables invisibles:
Par rapport aux années normales, il y a eu plus de décès à domicile dus à un certain nombre de causes majeures, y compris les cancers et les maladies respiratoires, au cours des six derniers mois.
La dernière analyse publiée par le Bureau britannique des statistiques nationales a révélé que plus de 26 000 décès «supplémentaires» sont survenus dans des maisons privées cette année, alors que les décès à l'hôpital ont été plus faibles que d'habitude.
"Plus d'hommes que la normale meurent à la maison d'une maladie cardiaque en Angleterre et au Pays de Galles, et plus de femmes meurent de démence et d'Alzheimer, selon les chiffres", indique le rapport.
- voir graphique sur site - Image de fichier via DW / Picture-Alliance
Les chiffres avaient été publiés juste avant que les responsables européens en Allemagne, en France et en Italie envisagent des mesures prolongées 'sévères' qui pourraient durer jusqu'à quatre à cinq mois, comme l'Allemagne serait maintenant en train de réfléchir.
Le rapport de la BBC a en outre cité les groupes caritatifs d'Alzheimer comme déplorant l'impact négatif caché «déchirant» et dévastateur des ordonnances de maintien à la maison et des mesures de distanciation sociale, en particulier sur les hommes âgés.
Les décès attribuables à la démence et à la maladie d'Alzheimer à domicile sont sur une trajectoire ascendante majeure tout en étant à la baisse dans les hôpitaux, ce qui suggère fortement que plus de personnes atteintes de maladies potentiellement mortelles mais traitables évitent simplement les services médicaux professionnels par peur du COVID-19 ou peut-être par peur de violer les mesures de distanciation sociale ou les interdictions de voyager.
Le rapport a révélé que les décès à l'hôpital liés à la démence étaient en baisse de 40% en Angleterre et de 25% au Pays de Galles.
- voir graphique sur site -
L'Office britannique des statistiques nationales a en outre constaté que les maladies cardiaques font des ravages chez les hommes à un moment donné, tous les yeux sont rivés sur la flambée des coronavirus:
Entre mars et septembre 2020, il y a eu 24387 décès de plus en Angleterre que prévu dans les maisons privées et 1644 au Pays de Galles. La grande majorité n'impliquait pas Covid-19.
Parmi ceux-ci, 1 705 hommes supplémentaires sont morts d'une maladie cardiaque à la maison en Angleterre - 25 % de plus que la normale.
Au Pays de Galles, il y a eu une augmentation similaire du nombre d'hommes décédant d'une maladie cardiaque à la maison, de 22,7 %.
Et encore une fois, les décès dans les hôpitaux dus à des conditions aussi importantes non liées au coronavirus sont sensiblement en baisse.
- voir graphique sur site -
Les mesures de verrouillage actuelles de l'Angleterre en place depuis le début ce mois-ci jusqu'au 2 décembre comprennent les suivantes:
Les restaurants, pubs et bars fermeront, à l'exception des plats à emporter et des livraisons. Tous les lieux de loisirs et de divertissement et la plupart des magasins non essentiels seront fermés. Le public sera invité à travailler à domicile si possible et les voyages intérieurs, sauf à des fins essentielles, seront mal vus.
Les écoles, universités et collèges resteront ouverts, ainsi que le secteur de la construction et de la fabrication. Il sera interdit à différents ménages de se mélanger à l'intérieur des maisons. Les gens ne pourront quitter la maison que pour quelques raisons, y compris l'exercice. Les tribunaux et le Parlement resteront ouverts. Les services religieux seront également arrêtés. Les voyages internationaux, en dehors des affaires, doivent également être mis en attente. Les matchs de la Premier League anglaise continueront d'être joués.
Les mesures ont été mises en place alors que les chiffres de l'ONS étaient disponibles depuis la mi et la fin octobre, et ont montré une flambée des décès non-COVID remontant à avril et mai, ce qui était au plus fort de l'épidémie au Royaume-Uni.
Malgré les données fiables montrant l'augmentation rapide des maladies potentiellement traitables qui ont conduit à des décès non liés au COVID, les dirigeants européens dans l'ensemble semblent déterminés à réimposer des restrictions et des verrouillages généraux contre les coronavirus, ce qui comprend actuellement la fermeture des pubs, des restaurants et des lieux de nuit, mais dans la plupart place a cessé de fermer des écoles.
Un médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque
John C. A. Manley Mondialisation.ca sam., 14 nov. 2020 21:52 UTC
« Un groupe poursuit le maire de Tulsa, G.T. Bynum, et le directeur exécutif du département de la santé de Tulsa, Bruce Dart, affirmant que le mandat de la ville en matière de masques est préjudiciable aux personnes en bonne santé », rapporte l'Activist Post. Le groupe comprend des propriétaires d'entreprises et deux médecins qui « demandent à la ville d'abroger immédiatement le mandat de port de masques qui a été adopté par le conseil municipal le mois dernier. »
child maskLors d'une conférence de presse, l'optométriste Robert Zoellner a déclaré :
« ...le facteur peur doit reculer. Cette idée que je ne veux pas vous donner quelque chose que je ne sais même pas que j'ai est presque au point de devenir ridicule. Faisons preuve de bon sens ».
Le Dr James Meehan, médecin, a ensuite averti que le port du masque comporte « des risques bien connus » qui ont été bien étudiés et qui ne sont pas abordés dans l'analyse des risques.
« Je vois des patients qui ont des éruptions faciales, des infections fongiques, des infections bactériennes. Les rapports de mes collègues, dans le monde entier, suggèrent que les pneumonies bactériennes sont en augmentation.
Pourquoi cela pourrait-il être le cas ? Parce que des membres du public non formés portent des masques médicaux, de manière répétée... de façon non stérile... Ils sont en train d'être contaminés. Ils les retirent de leur siège de voiture, du rétroviseur, de leur poche, de leur comptoir, et ils réappliquent un masque qui devrait être porté frais et stérile à chaque fois. »
Le Dr Meehan ajoute :
« De nouvelles recherches montrent que les masques en tissu pourraient augmenter l'aérosolisation du virus du SRAS-COV-2 dans l'environnement, entraînant une transmission accrue de la maladie... » En conclusion, le Dr Meehan déclare :
« En février et mars, on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu'est-ce qui a changé ? La science n'a pas changé. La politique a changé. C'est une question de conformité. Ce n'est pas une question de science... Notre opposition utilise des études d'observation rétrospectives de bas niveau qui ne devraient pas servir de base à une décision médicale de cette nature. »
Source : Medical Doctor Warns that "Bacterial Pneumonias Are on the Rise" from Mask Wearing, le 9 octobre 2020. Traduit par Maya pour Mondialisation.ca.
Liquidation - Emmanuel Macron et le saint-simonisme
Sott.net dim., 15 nov. 2020 21:14 UTC Liquidation, Emmanuel Macron et le saint-simonisme
Au XIX e siècle, le Saint-simonisme invente la société libérale et individualiste du bonheur régie par l'élite. Depuis 2017, Emmanuel Macron en a fait son programme. Du coup, tout s'éclaire de ses intentions, de ses actions et de ses échecs. Un pamphlet où la pensée le dispute à la formule. Quasi inconnu des Français deux ans avant d'être élu à la présidence de la République, Emmanuel Macron ne vient pourtant pas de nulle part.
Il se rattache clairement à un courant progressiste remontant au xixe siècle, le saint-simonisme, qui, à l'époque, promouvait la résorption du politique dans l'économie, l'attribution du pouvoir aux experts et aux scientifiques, le dépassement des cadres traditionnels et la fusion des identités par l'abolition des frontières, l'intégration européenne et la globalisation financière. Ce lien étroit avec le saint-simonisme éclaire les choix politiques de l'actuel Président de la République.
Plongeant dans le passé pour mieux décrire notre avenir, Frédéric Rouvillois dévoile ainsi le sens caché du macronisme : sa volonté de liquider les réalités anciennes afin de leur substituer, sur tous les plans, un « nouveau monde » fluide, ouvert, sans identités ni barrières, afin que rien ne vienne gêner le mouvement perpétuel des individus et des biens qu'exige la mondialisation. Voici, amplifié par la gestion erratique de la pandémie qui a frappé la planète et dérouté la France, un dernier inventaire avant liquidation.
Liquidation - Emmanuel Macron et le saint-simonisme, parution 24 septembre 2020
Extraits :
Arrivé à ce stade, surgit une interrogation supplémentaire : est-ce Emmanuel Macron, champion de ce monde nouveau, qui l'interprète et le façonne suivant le modèle saint-simonien, ou bien est-ce ce monde nouveau qui lui impose une telle vision des choses ? L'œuf ou la poule ? Toujours est-il que la conjonction est frappante, et qu'elle explique en partie l'impensable victoire du candidat Macron à l'élection présidentielle de 2017, sans-doute imputable au fait qu'il était alors le seul représentant authentique et affiché de ce monde nouveau. Le seul à être en osmose avec sa logique et ses aspirations : comme le notait peu après Olivier Mongin, « le président n'est pas seulement un chanceux qui a su occuper une place sur un mode inattendu32 », bénéficiant de la désertion de Hollande, de l'auto-ringardisation de Hamon, des casseroles dorées de Fillon et des maladresses de Marine Le Pen. Si « ce jeune homme si parfait33 » l'a emporté, c'est qu'il représentait si parfaitement « ce monde qui vient34 », ce monde qu'il annonce, et dont il est parvenu à faire croire aux Français qu'ils n'avaient « aucune raison de le redouter » : ce monde qui serait le seul souhaitable, mais aussi le seul possible. Au fond, commente Brice Couturier, en votant pour Macron en 2017, « le pays met enfin son idéologie » - ou du moins ses choix électoraux - « au diapason de ses mœurs35 ». Et de ce qu'il pense être ses intérêts.
Cette hypothèse - celle d'une influence profonde du saint-simonisme sur Emmanuel Macron -, il faut maintenant l'établir sur pièces, en confrontant le contenu de la « matrice » aux faits et gestes du Président, l'objectif étant d'éclairer ainsi ce que le futur Président, dans son livre-programme de 2016, a lui-même qualifié de « révolution ».
En 1817, Saint-Simon annonçait : « Nous entrons dans une révolution commune à toute l'espèce humaine84. » Celle dont Emmanuel Macron se fait le prophète se veut-elle aussi globale : car il s'agit d'une révolution à la fois anthropologique, politique, sociale et même quasi-religieuse, qui tend à remodeler l'homme en le réunifiant, la société en la rationalisant, les valeurs en les subordonnant à l'idée de Progrès, au principe des droits de l'homme et au rêve d'un âge d'or. Une révolution qui prétend assurer le bonheur de tous - et notamment, pour reprendre la formule saint-simonienne, « la prospérité matérielle, intellectuelle et spirituelle des plus nombreux et des plus pauvres », mais on doit se demander si elle ne débouchera pas, en définitive, sur une paradoxale (et fort inquiétante) utopie des très riches...
Une révolution, enfin, qui se propose de « liquider » le vieux monde, aux deux sens du terme : le rendre liquide, fluide, mobile, sans rien qui attache, qui ancre ou qui ralentisse le flux permanent des êtres et des choses, érigé en valeur suprême.
Et pour cela, dissoudre, sur tous les plans, ce qui pourrait bloquer ou faire obstacle au mouvement universel : autrement dit, liquider le vieux monde, qui était précisément structuré autour de ces repères, de ces frontières, de ces murs, que l'on ne franchissait que sous certaines conditions et dans certaines limites.
Au total, tel est le sens la « révolution » pour laquelle on entend prendre appui sur la matrice saint-simonienne : éliminer en liquéfiant, et, réciproquement, liquider pour rendre liquide.
Une liste de 10 000 morts ayant votés pour Biden dans le Michigan émerge
Sott.net dim., 15 nov. 2020 09:48 UTC
- voir la liste sur site -
« J'ai transmis cette information à votre équipe. J'ai maintenant en ma possession la liste complète des près de 10 000 électeurs décédés qui ont voté pour Biden ici dans le Michigan. L'équipe Trump a maintenant la liste complète ! Ce n'est qu'un échantillon pour vous tous. »
Le Général français Dominique Delawarde s'exprime sur les élections américaines, leur contexte et la possibilité d'une fraude
Sott.net dim., 15 nov. 2020 12:43 UTC
Ancien chef « Situation-Renseignement-Guerre électronique » à l'État-major interarmées de planification opérationnelle, officier de l'Armée de Terre et ancien élève de l'École Spéciale Militaire de Saint-Cyr, le général Delawarde a porté l'uniforme de septembre 1959 à mars 2005.
Le général Delawarde a fait l'essentiel de sa carrière dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère. C'est aussi un spécialiste de la gestion et de la formation des personnels, qui a tenu un poste important de responsable des officiers de liaison français aux États-Unis, pays dans lequel il vit une partie de l'année depuis son départ du service actif.
Le général Delawarde était à Sarajevo, au plus fort de la crise balkanique, durant l'hiver 1994-1995, alors qu'à la tête du 7e bataillon de chasseurs alpins il devait garantir un cordon ombilical vital à la ville assiégée en tenant le mont Igman.
Voici sa lettre écrite le 14 novembre dernier à propos des élections américaines, toujours en cours...
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Mes chers amis,
Nombre d'entre vous m'ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l'élection présidentielle américaine. Ma double casquette d'expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m'a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :
1 - Y-a-t-il eu fraude électorale et l'hypothèse d'un coup d'état visant à inverser le résultat de l'élection est -elle crédible ?
2 - Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.
Je vais m'efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.
Conflits d'intérêt de l'auteur ?
Il est important pour chacun d'entre vous de savoir, avant d'entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d'intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.
Ma réponse est non. J'ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998, époque dont je garde un excellent souvenir. J'ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J'ai visité 46 des 50 états de l'Union. La « Meritorius Service Medal » US m'a été remise à l'été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d'aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).
Si ma sévérité s'exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s'adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d'autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.
Je suis devenu très réservé, voire hostile à l'OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions.
Mon expérience du renseignement m'a conduit à n'accorder qu'une crédibilité de plus en plus faible à l'énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.
Je n'apprécie pas l'action et/ou « l'influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.
L'auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.
Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine
Depuis l'échec de Hillary Clinton à l'élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l'iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en moindre proportion, chez les républicains.
A la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant :
« Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte ont une histoire, une culture et un héritage qu'elles chérissent et qui méritent d'être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer... »
Il a ajouté quelques secondes après :
« Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d'état avisés font toujours passer l'intérêt de leur propre pays en premier. L'avenir n'appartient pas aux mondialistes, l'avenir appartient aux patriotes. L'avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».
Chacun peut comprendre qu'un tel discours puisse susciter l'adhésion d'une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu'en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)..... Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15 % est une immense surprise, comme en 2016.
Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l'état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l'action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.
Le président Trump, de son côté, n'est ni stupide, ni seul. Il dispose d'un très fort soutien populaire, d'une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l'Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l'écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l'instant...) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement ...). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l'état profond et des démocrates de le destituer (L'affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ..... parce qu'elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l'opinion publique US ont fini par s'en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019... )
Par ailleurs Trump est lucide lorsqu'il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S'il y a une chose que j'ai faite au cours de mon mandat, c'est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias. » Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.
C'est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d'une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d'autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.
Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l'opinion ?
Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d'ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l'état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l'adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l'on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s'ils se soumettent et/ou s'autocensurent. On se trouve aujourd'hui dans une situation de « guerre de l'information » électorale. Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s'informer correctement.
Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n'ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l'image du président Trump dans l'opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l'élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l'élection était « pliée » et qu'une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l'exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C'est Trump qui l'a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu'ils ne relevaient pas de la marge d'erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et ... éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l'Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l'élection, ont révélé l'ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.
L'Hypothèse d'une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?
Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d'indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s'y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n'interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu'il sera vraiment connu.
Voici les éléments qui me font douter de l'honnêteté du scrutin.
Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l'UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu'ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n'en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)
Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n'est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ....
Pour la première fois dans l'histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42 % des électeurs qui se sont exprimés l'ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.
Le vote par correspondance a d'ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu'il était jugé propice à la fraude électorale. Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd'hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l'opportunité « Covid ». Auraient-ils l'intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?...
Prétendre aujourd'hui qu'il n'y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n'est tout simplement pas crédible.
Sans reprendre à mon compte l'ensemble des fraudes dénoncées par les républicains, et énumérées dans cet article « États-Unis: La Tempête qui arrive (Enquêtes sur les Fraudes Électorales US) », je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.
Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d'entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n'étant pas, sur un clavier d'ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l'erreur involontaire paraît bien étrange... Elle ajoute avoir été notifiée de l'erreur 20 minutes plus tard et l'avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu'un s'est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu'elle était volontaire...)
C'est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions : Combien « d'erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? Combien « d'erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?
Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l'écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l'Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?
J'observe que, dans cette marge de 1 %, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L'Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.
Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l'avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l'arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.
Vous l'aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1 %. Il est infiniment peu probable qu'il n'y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu'on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu'il s'agit d'autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu'il s'appelle Trump, donnaient l'image d'une « médiocre'atie », mais doit-elle devenir aussi une média'cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu'il faut penser, sur tous les sujets ?
Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.
Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l'Europe et la France ?
Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu'il n'a plus toute sa tête (il sera dans sa 79e année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s'il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C'est d'ailleurs cet entourage qui l'aura aidé à l'emporter, c'est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.
Parce qu'il est d'obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d'une hégémonie absolue des USA sur la planète. L'étude approfondie de cet entourage (biographies, ascendances, réseaux et communauté d'appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s'attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d'Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s'ils n'existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l'a toujours fait dans le passé, pour l'aider à justifier ses ingérences.
Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).
Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s'empare de la maison blanche, des tendances inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021... et le sang se remettre à couler... L'OTAN n'a toujours pas compris qu'elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.
La mauvaise nouvelle est qu'une administration Biden chercherait aussi à impliquer l'OTAN, le Royaume Uni, la France et l'Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.
La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l'égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.
La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d'autre de l'Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15 % de voix de plus qu'en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d'États et s'approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes...
Carte du vote 2020 avec les votes pour Trump en rouge et les votes pour Biden en bleu :
- voir la carte des Etats-Unis sur site -
Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n'importe quoi dans ces conditions d'autant que l'économie US est en berne et la dette abyssal.
Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l'Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu'on le veuille ou non, sinistrés.
Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s'occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s'ingérer partout dans les affaires d'états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).
Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s'étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu'on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d'observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine...
Dominique Delawarde
Source de l'article publié le 14 novembre 2020 : Réseau International
-- Commentaire : Voir aussi les articles liés : Une liste de 10 000 morts ayant votés pour Biden dans le Michigan émerge Dans tous les États, les données de la nuit des élections montrent que des MILLIONS de votes sont passés de Trump à Biden ou ont été « perdus » Giuliani : 650 000 votes ont été comptés illégalement à Philadelphie et à Pittsburgh Trump dépose une injonction d'urgence dans le Michigan pour fraude ; demande de recomptage sur les machines Dominion « défectueuses » La politique étrangère de Joe Biden Premier coup de semonce : La Géorgie annonce un « recomptage manuel complet » et un « audit » des votes pour les élections de 2020 Ne tombez pas dans le piège de cette opération psychologique ! Biden n'est pas officiellement le président élu, du moins pas encore... Mise en évidence de la fraude aux élections US par la loi de Benford Confessions sur la fraude électorale : « J'étais passé maître dans l'art de truquer les bulletins de vote par correspondance » Elections US : Fraude à tous les étages « démon-crades » --
Covid-19 : le nombre de Français atteints de troubles dépressifs a presque doublé en un mois
14 nov. 2020, 14:47
Conséquence du reconfinement et du stress engendré par l'épidémie de coronavirus, le nombre de Français se déclarant atteints de troubles dépressifs est passé de 11% à 21% entre fin septembre et début novembre 2020, selon Santé Publique France.
D'après l'étude CoviPrev publiée dans le point épidémiologique hebdomadaire de Santé Publique France du 12 novembre, la part des Français se déclarant victimes de troubles dépressifs est passée de 11% à 21% entre la fin septembre et le moment où l'étude a été réalisée (4 au 6 novembre).
Le constat de l'agence placée sous la tutelle du ministère de la Santé est sans appel : «La santé mentale des Français s’est significativement dégradée entre fin septembre et début novembre avec une augmentation importante des états dépressifs pour l’ensemble de la population.» Une hausse déjà observée lors du précédent bulletin et qui touche particulièrement les jeunes (+16 points chez les 18-24 ans et +15 points chez les 25-34 ans), les inactifs (+15 points) et les personnes déclarant une situation financière très difficile (+14 points).
Ce sont ces dernières qui demeurent les plus touchées, car les états dépressifs concernent 35% des personnes déclarant une situation financière très difficile, contre seulement 14% pour celles déclarant une bonne situation financière. Une conséquence du confinement et de la crise liés au Covid-19
Selon l'étude, les sentiments les plus associés à ces troubles dépressifs sont l'isolement et la solitude, puis l’inquiétude vis-à-vis des conséquences du confinement sur la situation économique et financière, le fait que les proches adoptent moins les mesures de prévention, mais aussi de se sentir vulnérable au risque d’infection par le coronavirus.
Confrontée à cette face cachée de l'épidémie et de ses conséquences, Santé Publique France rappelle qu’il est important de ne pas rester seul. Des dispositifs en ligne existent, qui proposent à toute personne en détresse psychologique une écoute, un accompagnement et une orientation selon la nature des difficultés et besoins exprimés (le numéro national gratuit 0 800 130 000 est disponible 24h/24 et 7 jours/7, ainsi qu'une page ressource «santé mentale et Covid»). Le 13 novembre, le nombre de nouveaux cas confirmés de Covid-19 en 24h poursuivait sa décroissance (23 794), tandis que le nombre de décès liés à ce nouveau coronavirus s'élevait à 43 892.
Notre État policier COVID veut aussi vous éloigner de Thanksgiving et de Noël
15 novembre 2020 par Michael Snyder
Ne nous en ont-ils pas déjà assez enlevé ? Les verrouillages profondément oppressifs qui ont été institués plus tôt cette année nous ont plongés dans la pire récession économique depuis la Grande Dépression des années 1930, ont provoqué l'annulation de milliers et de milliers d'événements importants et ont fait monter en flèche le taux de suicide. Une fois ces verrouillages levés, le peuple américain a été grandement soulagé, mais maintenant notre État policier COVID est de retour pour plus. Comme je l'ai documenté au cours des derniers jours, de nouveaux verrouillages sont institués dans tout le pays en ce moment, et même nos vacances les plus chères sont ciblées.
Permettez-moi de commencer par parler d’une interview que Jake Tapper de CNN vient de mener avec Anthony Fauci. La plupart des Américains avaient supposé qu’une fois qu’un vaccin était largement distribué, nous n’aurions plus besoin de masques ou de distanciation sociale.
Eh bien, selon Fauci, ce n'est pas du tout le cas ...
Jake Tapper a déclaré: «Une fois que quelqu'un a été vacciné… Une fois le processus terminé, cela signifie-t-il qu'ils peuvent enlever leur masque, ne plus avoir à se distancer socialement et vivre leur vie comme avant ?»
Fauci a déclaré: «Je recommanderais que ce ne soit pas le cas. Je vous recommande d'avoir une zone de protection supplémentaire. De toute évidence, avec un vaccin efficace à plus de 90 %, vous pourriez vous sentir beaucoup plus confiant, mais je recommanderais aux gens de ne pas abandonner toutes les mesures de santé publique simplement parce que vous avez été vacciné. "
Comme je l'ai averti à plusieurs reprises à mes lecteurs, ils ont l'intention de changer la façon dont nous vivons en permanence.
Au cours de cette même interview, ils discutaient d'un calendrier pour la distribution des vaccins, et Tapper a laissé échapper ceci: «Noël ne sera probablement pas possible.»
En d'autres termes, les Américains ne devraient pas prévoir de passer un Noël normal cette année car on s'attend à ce que nous restions à la maison, que nous portions des masques et que nous éloignions les membres de notre famille élargie.
Bien sûr, Thanksgiving est beaucoup plus proche que Noël, et nos seigneurs COVID nous disent que nous ne pouvons pas non plus avoir un Thanksgiving normal. Par exemple, c'est ce que dit le chef du CDC…
Le directeur des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, Robert Redfield, a tenu un appel avec les gouverneurs du pays mardi. CNN a obtenu l'audio du chat, dans lequel Redfield a déclaré: «Ce que nous considérons comme la menace croissante en ce moment est en fait l'acquisition d'une infection par le biais de petits rassemblements familiaux ... En particulier à l'approche de Thanksgiving, nous pensons qu'il est vraiment important de souligner la vigilance ces mesures d’atténuation continues dans le cadre familial. »
Inutile de dire que nombre de nos hauts responsables politiques vont se conformer aux directives que nos «autorités sanitaires» ont émises. Par exemple, la maire de Chicago, Lori Lightfoot, a émis de nouvelles restrictions pour la ville de Chicago qui commencent lundi…
La commande, qui commence lundi, s'étend aux festivités de Thanksgiving. Les résidents sont «fortement conseillés» de ne pas avoir d'invités chez eux en dehors des travailleurs essentiels - même de la famille et des amis proches.
«Chicago a atteint un point critique dans la deuxième vague de COVID-19, exigeant que nous entreprenions cet effort multiforme et complet pour arrêter le virus dans son élan», a déclaré la maire Lori Lightfoot dans le communiqué.
Au moins, l’ordre de Lightfoot n’est pas aussi draconien que le mandat que le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a ordonné à tous les Californiens de suivre ce Thanksgiving.
Si vous pouvez le croire, Newsom a décidé de limiter Thanksgiving à un «événement en plein air» de deux heures…
Des célébrités se sont tournées vers les réseaux sociaux pour critiquer la répression de Thanksgiving «ridiculement inapplicable» du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui interdit le chant et les cris et limite les vacances à un événement en plein air de deux heures.
«Si ma tante vient, puis-je lui jeter une tranche de dinde par la fenêtre ?» Se moquait l’acteur Rob Schneider en faisant exploser «l’empereur Newsom».
La bonne nouvelle est que le peuple américain en a assez de se voir retirer ses droits et commence à se battre contre des restrictions absurdes comme celles-ci.
La mauvaise nouvelle est que les nouveaux verrouillages qui sont institués partout aux États-Unis vont inévitablement écraser à nouveau notre économie.
S'ils durent assez longtemps, certaines industries peuvent être presque entièrement détruites. Par exemple, avant même ces nouveaux verrouillages, on nous disait que ce serait un miracle si la moitié des hôtels de New York survivent à cette pandémie…
Selon Vijay Dandapani, directeur général de l’Hotel Association of New York, si la moitié des 640 hôtels de la ville survivent, ce sera un «grand» résultat. Bien que les taux d'occupation se soient rétablis de leur pire point d'avril, où le taux d'occupation était en baisse de plus de 60% sur un an, ils restent 20% inférieurs à ceux du même mois en 2019, un niveau qui signifie qu'une grande partie de la dette qui soutient les propriétés sera dépréciée (c'est-à-dire par défaut). Si New York impose une nouvelle série de verrouillages draconiens, cela ne fera qu'empirer.
Mais bien sûr, certaines entreprises sont en plein essor pendant cette période.
Par exemple, les psychologues et les thérapeutes sont extrêmement occupés à traiter ceux qui «se sentent seuls et déprimés»…
Les affaires sont en plein essor pour Maria Mir. Dans des circonstances normales, elle prend peu de temps en novembre et décembre; les vacances sont sa saison chargée. Mais nous sommes en 2020. Rien n'est normal. Et tout le monde semble avoir besoin d'elle à la fois.
Mir est un thérapeute matrimonial et familial agréé. Elle a l'habitude que les patients se sentent seuls et déprimés à l'approche de Thanksgiving et de Noël. Mais «cette période particulière est différente», dit-elle. «Même les personnes qui ne se sont pas senties seules dans le passé ressentent maintenant cet isolement.» C'est encore un autre exemple qui montre que les élections comptent vraiment.
Pendant des années, le peuple américain a voté pour des monstres du contrôle psychotique dans tout le pays, et nous ne devrions donc pas être surpris qu'ils agissent en fait comme des monstres du contrôle psychotique pendant une crise majeure.
On nous dit que ce sera un très «hiver sombre», et tout comme nous l'avons vu plus tôt cette année, de nombreux Américains s'approvisionnent fébrilement en nourriture et autres produits de base…
Les craintes que l'augmentation du nombre de cas encouragent les gens à acheter en gros et à s'approvisionner en produits de base ont incité les grandes chaînes d'épicerie à prendre des mesures préventives et à limiter les achats.
Kroger, la plus grande chaîne d'épicerie aux États-Unis, a imposé des limites d'achat sur des produits essentiels tels que le papier hygiénique, les serviettes en papier, les lingettes désinfectantes et le savon pour les mains, selon Fox Business.
Si vous ne l'avez pas déjà fait, je vous encourage vivement à vous approvisionner également.
Ce sont des temps tellement incertains et j'ai le sentiment que les choses vont devenir encore plus folles dans les semaines à venir.
Si le nombre de cas continue d'augmenter, les restrictions qui nous sont imposées vont tout simplement devenir encore plus lourdes, et il semble définitivement que nous sommes dans un début très difficile en 2021.
PARIS : HAUSSE DES FRAIS DE NOTAIRE ET STATIONNEMENT DEUX-ROUES PAYANT ?
par PAOLO GAROSCIO 16/11/2020
Anne Hidalgo compte augmenter les frais de notaires de 0,3%.
Voilà qui ne va pas aider Anne Hidalgo à améliorer son image auprès des Parisiens, nombreux étant ceux qui n’apprécient pas les réformes écologiques de la maire de gauche. Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, publié le 15 novembre 2020, elle dévoile une série de mesures qui vont à l’encontre de son propre programme de campagne. Plusieurs augmentations sont prévues, notamment au niveau des frais de notaire.
Les deux-roues vont payer leur stationnement
Jusque-là, les deux-roues, qui se comptent par dizaines de milliers dans la Capitale, avaient un avantage sur les voitures : outre réussir à trouver une place facilement, parfois sur les trottoirs ce qui est illégal, ils ne payaient pas leur stationnement. Une véritable économie d’échelle, surtout pour les salariés qui se rendent au travail tous les jours. Mais ce temps risque d’être bientôt révolu.
Anne Hidalgo et son équipe compte en effet instaurer le stationnement payant pour les scooters, les motos et l’ensemble des deux roues motorisés, révèle Le Parisien. Interrogé, David Belliard, adjoint écologiste en charge des déplacements, explique que si rien n’est encore décidé, « la décision définitive sera prise dans les prochaines semaines, sans doute début janvier ».
Avec près de 100.000 deux-roues qui circulent tous les jours dans la Capitale, la manne financière est énorme… et la mairie de Paris a besoin d’argent. Fortement endettée, la situation s’est dégradée avec la crise de la Covid-19.
Des hausses de taxes en pagaille à Paris
Le stationnement payant des deux-roues n’est pas la seule piste que la municipalité a en tête pour renflouer les caisses : alors qu’elle avait promis que les taxes n’augmenteraient pas, Anne Hidalgo semble être revenue sur cette promesse de campagne… et pas de manière anecdotique.
Pour commencer, une hausse de la taxe de séjour sur les locations AirBnb est envisagée : une mauvaise nouvelle pour le tourisme, mis à mal par la crise sanitaire et qui risque de mettre plusieurs années à retrouver son niveau d’avant-crise. D’autant plus que désormais, il est possible d’augmenter cette taxe de séjour pour les meublés touristiques de 2,30 à 4,10 euros maximum, souligne Le Parisien.
Autre augmentation : la taxe d’habitation pour les résidences secondaires qui risque d’exploser. Le surplus de taxe à payer pour les propriétaires de ces maisons passerait de 60 % aujourd’hui à 100 %…
Enfin, et pour le coup ça risque de freiner un marché immobilier qui commence à montrer des signes de ralentissement, les DMTO (Droits de Mutation à Titre Onéreux), mieux connus sous le nom de « frais de notaire », grimperaient de 0,3 % passant de 4,5 % à 4,8 %. Une hausse relativement légère, mais vu le prix de l’immobilier dans la Capitale, les montants sont conséquents.
Conseiller Trump COVID: "La seule façon dont cela s'arrête est si les gens se lèvent"
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 09:14 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le Dr Scott Atlas, membre éminent du groupe de travail du président Trump sur les coronavirus, a annoncé dimanche que «la seule façon dont cela s'arrête est si les gens se soulèvent.»
Atlas répondait au décret d'un nouveau verrouillage par le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer.
Atlas a tweeté un fil avec l'annonce de Whitmer et un graphique réalisé par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Michigan mettant en évidence ce qui sera autorisé à rester ouvert et ce qui sera forcé de fermer.
Atlas a encouragé les gens du Michigan à «se lever» et a ajouté: «Vous obtenez ce que vous acceptez. #FreedomMatters #StepUp »:
Les gauchistes ont immédiatement accusé le médecin d’encourager la violence et de «mettre en danger» la vie de Whitmer:
Atlas a précisé qu'il n'avait jamais approuvé la violence d'aucune sorte:
Whitmer a répondu à Atlas lors d'une interview avec CNN, déclarant: «Nous savons que la Maison Blanche aime nous distinguer ici dans le Michigan - moi en particulier. Je ne vais pas être victime d'intimidation pour ne pas suivre des scientifiques et des professionnels de la santé réputés. "
C’est à cause des militaires que l’énergie nucléaire civile est dangereuse !
le 16 novembre 2020
Demandez à quelqu’un pourquoi il est contre les OGMs, d’une manière générale il n’en sait rien. Si vous lui dites que la vaccination contre le SARS-CoV-2 à l’aide d’ARN messager viral transformera tous les hommes en OGMs il croira que c’est une blague de mauvais goût, et pourtant c’est la triste vérité. Demandez à une personne pourquoi elle est opposée à l’énergie nucléaire civile et de préciser ses arguments. Elle balbutiera et ne saura pas trop quoi répondre si ce n’est que c’est dangereux tout en ignorant totalement l’aspect dangereux de l’énergie nucléaire en comparaison d’autres sources d’énergie. Dans ces deux cas emblématiques qui agitent l’opinion il y a une ressemblance frappante : les gens sont pour ou contre telle ou telle nouvelle technologie et qu’ils soient pour ou contre, ni les uns ni les autres ne connaissent vraiment les raisons qui ont motivé leur prise de position devenue avec le temps immuable. Ils ont cru à un moment donné, dont ils ne se souviennent plus, que l’énergie nucléaire était dangereuse comme ils ont cru aussi que les OGMs étaient une invention mauvaise pour la nature. À de très rares exceptions ces personnes n’ont pas pris la peine de faire l’effort basique de se documenter. Avec Internet c’est facile, il n’est plus nécessaire d’aller musarder dans une bibliothèque universitaire pour trouver un ouvrage confus qui exposera en détail le fonctionnement d’un réacteur nucléaire ou le cheminement complexe permettant d’aboutir à une plante génétiquement modifiée. Encore faut-il décider de se documenter objectivement et cela demande un réel effort auquel peu de personnes acceptent de se plier.
Pour l’énergie nucléaire la situation émotionnelle est trop souvent prédominante et il est malheureusement nécessaire d’admettre que si l’atome n’avait pas été en premier lieu utilisé par les militaires pour confectionner des armes de destruction massive l’énergie nucléaire à usage civil aurait été parfaitement admise par l’opinion et serait probablement aujourd’hui la source d’électricité la plus répandue dans le monde, du moins dans les pays pouvant se le permettre sur le plan technologique et financier. Si la bombe atomique n’avait jamais existé, une sorte d’utilisation déviante de la fission nucléaire, il y a bien longtemps qu’on ne brûlerait plus un seul kilo de charbon ou un seul litre de pétrole pour produire de l’électricité. Il y a eu malheureusement l’intervention des militaires et c’est à eux qu’incombe la responsabilité d’avoir rendu l’énergie nucléaire aussi impopulaire. Tout a commencé avec le premier essai nucléaire « Trinity » au Nouveau-Mexique, le 16 juillet 1945, prélude aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki au Japon, l’aboutissement du projet Manhattan. Voici donc le récit de Satya Vatti, une journaliste de BreakThroug News qui vit à Albuquerque dans ce même Etat du Nouveau-Mexique qui démontre la dangerosité du nucléaire militaire.
Les victimes du premier test nucléaire sur le sol américain, 75 ans après, cherchent toujours réparation auprès de la justice.
«Ils pensaient que le monde touchait à sa fin», explique Genoveva Peralta Purcella (12 novembre 2020).
Le 16 juillet 1945, la toute première bombe nucléaire a été testée au Nouveau-Mexique, dans le sud-ouest des États-Unis. La détonation portait le nom de code « Trinity ». C’est le jour qui scellerait le sort de nombreux Américains vivant dans les environs pour les générations à venir. À soixante-dix miles (75 kilomètres) de ce qui est devenu connu sous le nom de Ground Zero – le site d’essai de Trinity – la famille de Genoveva vivait dans un ranch juste à l’extérieur du village de Capitan au Nouveau-Mexique. Genoveva est née l’année suivant l’explosion. Maintenant âgée de 74 ans, elle raconte solennellement comment sa famille se souvient du jour qui allait changer leur vie à jamais. Les sœurs de Genoveva étaient venues rendre visite à leur père et à leur mère enceinte au ranch. À précisément 5 h 30, à l’aube, le ciel s’est soudainement assombri. N’ayant pas d’autre point de référence, ils ont confondu les rugissements et les grondements anormalement forts dans le ciel pour du tonnerre. La maison entière a commencé à trembler. Effrayée, la famille s’est blottie dans un coin.
Lorsque le ciel s’est dégagé, son père est sorti de la maison et il a remarqué qu’il était d’un coup recouvert d’une poudre blanche. La poudre était partout et couvrait tout autour de lui. Rien n’y échappait, ni les vaches que la famille avait élevées, ni les légumes du jardin, ni l’eau de pluie qu’ils stockaient en l’absence d’eau courante. Comme d’autres familles qui ont vécu cette expérience, la famille de Genoveva a balayé la poudre et consommé ses légumes et l’eau stockée. L’explosion a produit tellement d’énergie qu’elle a incinéré tout ce qu’elle avait atteint et a formé une boule de feu qui s’est élevée à plus de 12 kilomètres dans l’atmosphère. Cette boule de feu a créé des cendres qui sont retombées comme de la neige sur les communautés entourant le site de l’explosion. Les gens ne le savaient pas alors, mais ces cendres qui couvraient des milliers de kilomètres carrés étaient les retombées radioactives de l’explosion.
L’effroi a saisi les communautés du bassin de Tularosa qui ont soit été témoins, soit ont vécu le phénomène qu’elles ne pouvaient pas comprendre. Pendant ce temps, la réaction immédiate du personnel du projet Manhattan, qui a créé la bombe, a été « de la surprise, de la joie et un grand soulagement ».
Paul Pino, le cousin de Genoveva, né neuf ans après l’explosion de Trinity, dit que sa famille, qui vivait à 33 miles (55 kilomètres) du site de l’explosion, comptait parmi les nombreuses personnes qui ignoraient ce qui s’était passé ce jour-là. Dans les jours et les mois qui ont précédé l’explosion, les responsables du gouvernement américain n’ont informé aucunes des personne vivant dans la région du test imminent d’une bombe nucléaire. Personne dans le bassin de Tularosa n’a été évacué en lieu sûr. Le lendemain de l’essai nucléaire, les responsables ont commencé à construire un faux récit dans la conscience de la nation : la région était isolée et inhabitée. Et pourtant, des dizaines de milliers de personnes vivaient dans le bassin de Tularosa en 1945. Pendant longtemps, les habitants du bassin ont cru que l’explosion était celle d’un dépôt de munitions. « Le gouvernement nous a menti », a déclaré Pino.
Il faut 24 000 ans pour que la moitié de ce qui reste du plutonium radioactif utilisé dans la bombe Trinity se désintègre. Les habitants de la région ont inhalé et ingéré des particules radioactives pendant 75 ans en raison de la contamination environnementale. Les personnes au pouvoir refusent d’accepter leur responsabilité et de prendre des mesures correctives. À ce jour, il n’y a eu aucun effort de nettoyage.
L’exposition aux radiations a causé des taux élevés de cancers agressifs, de maladies thyroïdiennes, de mortalité infantile et d’autres anomalies de santé dans des générations de familles dans la région du bassin de Tularosa. L’ampleur de l’impact sur la santé ne peut être déterminée avec précision car les études épidémiologiques à long terme n’ont été entreprises que récemment. Les résultats des dernières études de recherche du National Cancer Institute ont été publiés en septembre 2020 dans la revue Health Physics.
« Nous étions 10 et maintenant, un seul survit », a déclaré Genoveva en parlant d’elle-même. Elle a perdu tous les membres de sa famille à cause de cancers. Dans un pays sans soins de santé universels, l’endettement des dépenses médicales a entraîné la ruine économique des communautés proches du site de Trinity. « Toute la douleur et ces souffrances que nous avons dû endurer, et pas un soupçon d’aide du gouvernement », dit Pino, et « pendant ce temps, ce gouvernement a dépensé des milliers de milliards pour les armes nucléaires ». L’histoire de Genoveva n’est pas exceptionnelle. C’est l’histoire de dizaines de milliers de familles aux États-Unis.
Plus de 1 000 essais de bombes nucléaires ont été effectués aux États-Unis entre 1945 et 1992. Un total de 100 essais hors sol ont été effectués sur le site d’essai du Nevada de 1951 à 1962. Les vents ont transporté des retombées radioactives sur des milliers de kilomètres. Des centaines de millions de personnes vivant aux États-Unis ont été exposées à des niveaux de rayonnement variables au fil des ans, sans qu’ils en aient été informés. Le Nouveau-Mexique était sous le vent du site d’essai du Nevada, et les gens qui y vivaient ont continué à être exposés à la radioactivité pendant des décennies après l’exposition initiale pendant l’essai nucléaire de Trinity.
Les habitants des communautés touchées ont fondé le Consortium des Downwinders (personnes se trouvant « sous le vent » du Nevada) du bassin de Tularosa en 2005 pour lutter pour obtenir justice pour les survivants et leurs descendants. Tina Cordova, l’un des cofondateurs du groupe, a été choquée d’apprendre que quelques-uns des États touchés voisins du Nouveau-Mexique recevaient une compensation financière en vertu de la loi sur la compensation de l’exposition aux radiations depuis 1990. Les communautés du Nouveau-Mexique, cependant, ont été exclues des clauses de cette loi. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi, Cordova a répondu : « C’est la question à un milliard de dollars. Je pense que nous sommes exclus parce que nous sommes principalement des Hispaniques mexicains, des Autochtones et des Latinos. Nous sommes des minorités et nous sommes pauvres ». Cordova elle-même est la quatrième génération de sa famille à avoir un cancer. Elle s’est jointe à d’autres comme elle pour éduquer et organiser les communautés affectées, pour lutter afin d’établir la vérité. « Dans leur précipitation [du gouvernement] pour bombarder le Japon, nous avons été sacrifiés dans le processus. Nous avons été enrôlés au service de notre pays, sans le savoir, ne le voulant pas, et nous restons toujours sans compensation.
Un autre avocat de Trump harcelé alors que les défis électoraux traversent les tribunaux
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 12:00
Quelques jours après qu'un cabinet d'avocats représentant la campagne Trump s'est retiré de l'affaire à la suite d'une campagne de pression du projet anti-Trump Lincoln pour les 'annuler', un autre avocat de Trump a déclaré qu'elle était harcelée pour son implication dans l'affaire.
L'avocate de Philadelphie, Linda Kerns, a déclaré dimanche dans un dossier judiciaire qu'un avocat du cabinet d'avocats Kirkland & Ellis à Washington lui avait laissé un message vocal d'une minute qui «allait à l'encontre des normes de conduite professionnelle». Il convient de noter que Kirkland & Ellis représente la secrétaire d'État de l'AP Kathy Boockvar, une défenderesse dans l'affaire.
«Depuis que cette affaire a été déposée, l'avocat soussigné a fait l'objet d'un harcèlement continu sous la forme de courriers électroniques abusifs, d'appels téléphoniques, de menaces physiques et économiques et même d'accusations de trahison - le tout pour avoir représenté la campagne du président des États-Unis. .. " a écrit Kerns dans son dossier.
«Le 14 novembre 2020 à 8 h 43, un avocat de Kirkland & Ellis a laissé un message vocal d'une minute pour l'avocat soussigné. Le message vocal ... parle de lui-même et, par toute mesure, va à l'encontre des normes de conduite professionnelle.
L'avocat de Kirkland & Ellis dans l'affaire a d'abord tenté de suggérer que ce n'était pas l'un de leurs employés qui avait téléphoné - avant de finalement l'admettre. Ils ont ensuite 'excusé la conduite en disant que l'avocat (qui travaille dans le même bureau) ne travaille pas sur cette affaire ou dans un litige', tout en convenant que l'appel était 'discourtois'.
Comme l'écrit le constitutionnaliste Jonathan Turley sur JonathanTurley.org à propos des efforts visant à 'annuler' les avocats de Trump:
Dans les 24 heures suivant le déclenchement des élections, les médias et un ensemble d'analystes juridiques n'ont déclaré aucune preuve de fraude électorale pour changer le résultat. Le problème était que nous n’avions même pas vu les documents ou les preuves de la campagne Trump. Alors que les avocats de Trump ont commencé à déposer des plaintes, alléguant tout, des électeurs décédés à l'authentification biaisée, la solution est devenue claire: se débarrasser des avocats. Pas d'avocats, pas de cas, pas de Trump.
Ce qui est le plus troublant, c'est que cet effort est dirigé ou encouragé par des avocats. Prenez le chroniqueur du Washington Post Randall Eliason, qui a acquis une notoriété en soutenant un éventail de théories sur la destitution ou les poursuites pénales contre Trump, y compris une interprétation de corruption rejetée depuis longtemps par la Cour suprême et non adoptée même par le Comité judiciaire de la Chambre, avide de destitution. Eliason a écrit une colonne: "Oui, il est juste de s'attaquer aux cabinets d'avocats de Trump." (Tout semble juste si la cible ultime est Trump.) Eliason a ignoré l'idée qu'attaquer les avocats d'une personne, plutôt que ses positions, est hors de propos: «Le droit est une profession, mais ces méga-cabinets sont aussi de grandes entreprises. Comme toute entreprise, ils peuvent être tenus responsables par le public - et par leurs autres clients. "
Cependant, la loi ne ressemble à aucune autre entreprise. Les avocats parlent pour d'autres, y compris certains des moins populaires parmi nous. J'ai représenté des clients allant des juges, des membres du Congrès et des dénonciateurs aux espions, aux terroristes et aux polygames. Beaucoup étaient détestés par le public, qui exigeait que je sois renvoyé de ma faculté de droit - mais je n'ai jamais vu une telle campagne menée par des avocats contre des avocats.
Notre système juridique fonctionne mieux lorsque des avocats compétents présentent des cas à des juges impartiaux. Dans ce cas, quelque 72 millions d'Américains ont voté pour Trump, et beaucoup pensent que les changements dans le processus - en particulier l'augmentation massive du vote par correspondance - ont miné l'intégrité de l'élection. C'est pourquoi ces affaires sont importantes: la foi en nos systèmes juridiques et politiques dépend d'un accès équitable et d'une représentation devant les tribunaux.
Comme par le passé, il existe une symbiose inquiétante entre les médias et les militants se nourrissant les uns des autres. Lorsque Biden était considéré comme le vainqueur probable, les théories des irrégularités de vote sont instantanément devenues des «théories du complot». Des groupes comme le Lincoln Project ont ciblé les cabinets d'avocats et lancé une campagne pour forcer les avocats à abandonner Trump en tant que client.
Cet effort a conduit Twitter à bloquer le projet Lincoln pour avoir ciblé des avocats individuels de Trump dans un tweet (accompagné d'un emoji en forme de crâne et d'os croisés) jugé menaçant et abusif. Cela ne faisait que ravir le projet Lincoln. Il aurait rejoint les démocrates pour cibler des cabinets d'avocats comme Porter, Wright, Morris & Arthur et menacer ses avocats de ruine professionnelle. Il a affirmé que toute entreprise travaillant pour Trump sur un litige électoral faisait partie d'une «attaque dangereuse contre notre démocratie». Tenter de dépouiller les gens de leurs conseils, bien sûr, est la véritable attaque contre notre démocratie - et cela a fonctionné: le cabinet a cédé et s’est retiré, affirmant que la pression avait provoqué des luttes internes et au moins la démission d’un avocat.
D'autres campagnes ont ciblé des avocats individuels et ce que l'on appelait autrefois les «compagnons de route» pendant la période McCarthy. Après les élections, la représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-N.Y.) A appelé les libéraux à rassembler des listes d'ennemis de ces «complices» de l'administration Trump. (Ironiquement, la première entrée d'un substitut de Bernie Sanders était les républicains qui ont fondé le projet Lincoln). L'ancien porte-parole d'Obama, Hari Sevugan, a fièrement tweeté: «Le personnel de WH commence à chercher du travail. Les employeurs qui les envisagent devraient savoir qu'il y a des conséquences à engager quiconque a aidé Trump à attaquer les valeurs américaines.
Cependant, l'effort pour intimider les avocats représentant Trump ou sa campagne n'est pas une question de vengeance. C'est une question d'assurance. Même si le succès de ces défis est faible et en diminution, les opposants ne veulent pas risquer un contrôle judiciaire du vote. Les campagnes sur les réseaux sociaux ont ciblé les clients de cabinets comme Jones Day, tandis que le Lincoln Project a promis 500 000 $ pour faire de la vie de ces avocats un véritable enfer. C'est le genre de tactique utilisée par Antifa et d'autres militants pour «déplatformer» les orateurs ou harceler des individus chez eux.
Trump est très impopulaire auprès de nombreux Américains - et de pratiquement tous les médias - il est donc populaire de harceler quiconque le soutient ou le représente. C'est la justice populaire qui vise le système judiciaire lui-même. Pourtant, des avocats comme Eliason applaudissent cet effort.
Eliason justifie un tel harcèlement en affirmant que la campagne Trump et les groupes républicains «ont intenté des poursuites judiciaires qui semblent contenir des allégations de fraude sans fondement et qui cherchent à faire rejeter les votes légaux». Notez le mot «apparaissent». Eliason ne savait pas quand il a écrit la chronique parce qu'il n'a pas vu les preuves. Moi non plus. Nous n'avons commencé à voir des preuves sous-jacentes (ou leur absence) que cette semaine alors que les tribunaux tenaient des audiences sur les motions en instance. C'est la différence entre vouloir que quelque chose soit vrai et savoir que quelque chose est vrai. C'est généralement ce que les tribunaux déterminent.
Pourtant, il y a peu de patience pour discuter, et encore moins plaider, ces questions juridiques. Vendredi, j'ai discuté de ces défis, y compris un district du Michigan où des milliers de votes Trump ont été initialement comptés comme des votes Biden; le district a utilisé le même logiciel de vote qui a fait l'objet de nombreux débats nationaux. Bien que j'explique que le décompte erroné résulte d'une erreur humaine et de «rien de néfaste», la question demeure de savoir si ces nouveaux systèmes ou logiciels pourraient être vulnérables aux erreurs humaines. Bien que j'aie déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de problèmes systémiques, le professeur de droit du Colorado, Paul Campos, m'a dénoncé comme étant un «négateur de l'Holocauste» qui devrait être renvoyé.
Notamment, la personne la plus minée par ces efforts est Joe Biden. Plutôt que d'appeler à un examen transparent de ces affaires pour affirmer sa légitimité en tant que président élu, ses partisans harcèlent les avocats et mènent une campagne hystérique de représailles. C'est une tournure ironique: pendant des années, beaucoup d'entre nous se sont émerveillés de la culpabilité de Trump dans ses efforts pour intimider les accusateurs et saborder l'enquête sur la Russie. La meilleure chose pour Trump aurait été de soutenir une enquête complète et ouverte. De même, il n'y a actuellement aucune preuve convaincante de fraude électorale systémique, et la meilleure chose pour Biden serait de soutenir une enquête complète et ouverte. Les menaces et la couverture médiatique biaisée ne font qu'aggraver les soupçons des électeurs de Trump.
Il existe une alternative. Nous pouvons tous convenir que chaque vote doit être compté et que chaque cas de vote doit être entendu. Nos systèmes politiques et juridiques exigent tous deux un acte de foi - et cette crise de foi est maintenant passée du système politique au système juridique. Les tribunaux sont censés être là où la raison transcende la rage qui règne à l'extérieur du palais de justice. Cependant, il faut toujours des avocats.
"Non, c'est Trump": le vérificateur du recomptage de la Géorgie affirme que plusieurs bulletins de vote de Trump ont été frauduleusement appelés à Biden
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 20:25
Un observateur du recomptage du GOP en Géorgie affirme que plusieurs bulletins de vote enregistrés comme Biden étaient en fait des votes pour Trump, et les travailleurs chargés du recomptage se sont mis en colère lorsqu'il a rapporté ce qui se passait aux responsables électoraux.
- voir doc sur site -
L'initié a déclaré à Project Veritas: "La deuxième personne était censée vérifier correctement, trois fois en trois minutes, elle a appelé Biden", ajoutant: "Le deuxième auditeur l'a attrapé et elle a dit:" Non, c'est Trump. ""
"Maintenant, c'est juste pendant que je me tiens là. Alors, est-ce que le deuxième vérificateur le rattrape à chaque fois ? Mais cette dame en trois fois en trois minutes de 2:09 à 2:12, elle s'est trompée trois fois." "Il a continué, ajoutant "Ils appelaient leurs patrons. Ils me montraient du doigt ..."
Regarder:
- voir doc sur site -
Plus tôt dans la journée, le secrétaire d'État de Géorgie, Brad Raffensperger, a riposté contre les allégations selon lesquelles il aurait facilité un dépouillement injuste et illégal. Il a également été accusé d'avoir tenté d'ignorer complètement le recomptage manuel et, au départ, "voulait simplement rescanner les codes à barres et en finir".
par Tyler Durden Mar 17/11/2020 - 00:00 Rédigé par Matthew Ehret via le blog The Saker,
Dans son article sur la politique étrangère d'avril 2020, Biden déclare qu'il renversera le bilan embarrassant de Trump en matière de politique étrangère en tenant tête à la fois à la Chine, à la Russie et aux autres nations totalitaires qui représentent le triple fléau de «l'autoritarisme, du nationalisme et de l'illibéralisme» et «une fois les États-Unis mènent davantage le monde ».
Biden est allé plus loin en promettant de réparer le tort que Trump a fait à l'OTAN en renforçant le corps militaire, en étendant son influence au Pacifique (qui ressemble beaucoup à la doctrine Esper / Pompeo pour le Pacifique), et a même exigé que l'OTAN aille plus fort. sur la Russie déclarant que «le Kremlin craint une OTAN forte, l'alliance politique militaire la plus efficace de l'histoire moderne».
Compte tenu du bilan politique de près de 45 ans de Biden soutenant chaque intervention militaire de l'histoire américaine, s'opposant à la déségrégation, faisant l'éloge du sénateur pro-KKK Strom Thurmond, adoptant des projets de loi incarcérant à vie les petits trafiquants de drogue au nom du complexe industriel des prisons à main-d'œuvre bon marché et soutenant le rampant croissance de Wall Street, de Big Pharma et de l'État de surveillance dirigé par Big Tech, nous devrions réfléchir à deux fois avant de célébrer l'entrée possible de cet homme dans les couloirs du plus haut bureau des États-Unis.
L'appel de Biden au renouvellement de l'alliance de l'OTAN en opposition à la Russie et à la Chine, son soutien à l'inversion des appels de Trump à la réduction militaire au Moyen-Orient et son soutien à l'extension de l'OTAN dans le Pacifique mélangés à son bilan de toute une vie, nous obligent à nous demander si Glen Greenwald avait raison lorsqu'il a quitté l'Intercept le 1er novembre en disant:
«Si Biden gagne, ce sera la structure du pouvoir: un parti démocratique pleinement uni avec les néoconservateurs, les agents de Bush / Cheney, la CIA / FBI / NSA Wall Street et la Silicon Valley: se présentant comme la seule protection contre le fascisme. Et une grande partie de la gauche continuera à marcher derrière elle.
Il s'avère que l'avertissement de Greenwald était absolument pertinent, car l'ensemble de l'appareil de renseignement, de la Big Tech et du complexe des médias grand public qui a désespérément travaillé pour évincer le président Trump pendant 4 ans et mène actuellement une vaste opération de fraude électorale au moment où cela est écrit, a donné son un soutien total au récit de «l'inévitable d'une présidence Biden».
Dans un article du 11 novembre d'Antiwar.com intitulé Biden's Pentagon Transition Team Members Funded by the Arms Industry, le journaliste Dave DeCamp démontre que sur les 23 membres de l'équipe de transition du Pentagone de Biden, plus d'un tiers sont directement liés à l'OTAN et au complexe militaro-industriel.
Alors que des faits continuent d'émerger de la structure corrompue de l'État profond qui domine totalement l'hologramme gériatrique connu sous le nom de Joe Biden, il est devenu évident que même les quelques remarques positives faites par Biden en faveur du renouvellement du traité START avec la Russie ont peu de poids.
Ignorant le danger très réel d'une nouvelle guerre civile en raison du fait que l'un ou l'autre de ces résultats se verra refuser sa légitimité par la moitié de la nation, la question doit être posée: si Trump est remplacé par une présidence Biden le 20 janvier, que sera les effets à la fois sur la stabilité mondiale et les relations américano-russes-chinoises ?
Il est bon que Biden soutienne le renouvellement de START, mais une majorité croissante de pays optent pour une alliance multipolaire fondée sur la défense de la souveraineté nationale, le droit d'utiliser le protectionnisme et la construction de mégaprojets à grande échelle tels que la nouvelle route de la soie, Route de la soie polaire, exploration spatiale avancée et corridor de transport nord-sud.
Les mesures très protectionnistes qui ont permis aux États-Unis (et à toutes les nations du monde d'ailleurs) de construire leur base industrielle et leur souveraineté économique sont directement attaquées par Biden qui réclame «la suppression des barrières commerciales et la résistance au dangereux glissement mondial vers le protectionnisme» (ce qu'il va jusqu'à affirmer sans preuve "a causé la grande dépression" et "conduit à la Seconde Guerre mondiale").
Attaquant Trump pour avoir été doux envers l'Initiative impériale chinoise de la ceinture et de la route qui, selon Biden, n'est qu'un «sous-traitant de la pollution vers d'autres pays en finançant des milliards de dollars de projets d'énergie fossile sale», Biden demande alors: «qui écrit les règles qui régissent Commerce ?" et répond: "Les États-Unis, et non la Chine, devraient diriger cet effort."
Au-delà des plans de réduction des émissions de carbone et des investissements dans les technologies de l’information (IA, 5G, calcul quantique), il y a très peu de «perspectives de développement» de Biden qui mettent les États-Unis en harmonie avec ce consensus multipolaire. Son programme de soutien à la réduction des émissions de carbone de l'Amérique à zéro net d'ici 2050, comme indiqué par le Green New Deal et Great Reset à Davos, pourrait apparaître à première vue comme pro-infrastructure, prétendant «créer 10 millions de nouveaux emplois», mais le la réalité lors d'une inspection plus approfondie est très différente.
Les types de projets de développement à grande échelle axés sur la BRI qui transforment maintenant plus de la moitié du monde qui opère de plus en plus sous un paradigme bancaire complètement différent dominé par les États-Unis, sont basés sur une industrie lourde à forte intensité de capital, l'utilisation de combustibles fossiles et également l'énergie nucléaire.
Sans ces sources d’énergie, la Nouvelle Route de la Soie et ses projets frères ne pourraient jamais fonctionner (tout comme le doppelganger anti-BRI OSOWOG de Modi a prouvé un échec total à la fois scientifiquement et économiquement).
Le genre de «révolution de l'énergie verte» que les technocrates de Davos qui dirigent Biden veulent imposer au monde pourrait créer des emplois à court terme, mais une fois les panneaux solaires et les moulins à vent construits, la qualité de l'énergie disponible pour les nations est assez stupide pour entrer dans cette cage étouffera à jamais leur capacité à soutenir leurs populations et leur potentiel de croissance. Bref, c'est un mirage vert occultant un design très laid.
En opposition à ce programme de dépeuplement, la tendance de Trump à soutenir l'exploration spatiale, à relancer le protectionnisme pour reconstruire la fabrication perdue des États-Unis et à soutenir les programmes d'infrastructure à grande échelle dans la résolution des conflits à l'étranger (y compris son soutien à la construction du rail dans l'Arctique, du rail en Serbie et au Kosovo, nucléaire puissance en Afrique du Sud et en Pologne, etc.) est certainement synergique avec le système multipolaire dirigé par la Russie et la Chine et met indéniablement les États-Unis en harmonie avec ses propres meilleures traditions.
De plus, le report par Trump des groupes révolutionnaires de la «société civile» de couleur à Hong Kong et en Biélorussie lui a valu de nombreux ennemis des deux côtés de l'île pro-Soros tout en soutenant le concept de souveraineté nationale, qui étaient des étapes majeures vers la stabilité et l'établissement de la confiance avec les nations de le monde qui exige que sa souveraineté soit respectée comme indiqué dans la Charte des Nations Unies elle-même.
Comparez cela avec la déclaration de Biden selon laquelle nous devons "nous tenir aux côtés de la société civile russe qui s'est bravement opposée au système autoritaire kleptocratique du président Vladimir Poutine" et à l'appel de Biden pour accueillir "un sommet mondial pour la démocratie" mettant en vedette "des organisations de la société civile du monde entier. monde qui se trouve en première ligne de la démocratie », y compris« le secteur privé, les entreprises technologiques et les géants des médias sociaux ».
Ce sont les mêmes «géants de la grande technologie et des médias» qui ont donné leur plein soutien à l'imposition de Biden à la présidence et qui ont également été utilisés pour renverser des gouvernements élus au niveau national dans des opérations de changement de régime révolutionnaire de couleur pendant des décennies. Ce sont les mêmes réseaux qui ont supprimé toute preuve de fraude électorale systémique lors des élections américaines de 2020 et attisent les feux d'une nouvelle guerre civile potentielle et d'un changement de régime à l'intérieur de la république elle-même.
Quoi qu'il en soit, les semaines et les mois à venir seront caractérisés par des batailles féroces qui façonneront le résultat de l'histoire mondiale.
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 23:20 Rédigé par Edward Curtin via Off-Guardian.org,
«Ouais, comme [dans] une église. Église du bon arnaqueur. » - Fast Eddie Felson (Paul Newman) dans The Hustler
À la fin de la pièce classique d’Henrik Ibsen, Une maison de poupée, Nora, l’épouse lésée, quitte la maison de son mari et toutes les illusions qui ont soutenu son mariage de mensonges. Elle préfère la liberté à la fantaisie. Elle ne sera plus jouée avec comme une poupée mais tentera de devenir une femme libre - singulière.
«Il y a une autre tâche que je dois entreprendre en premier. Je dois essayer de m'éduquer », dit-elle à son mari Torvald, un homme complètement incapable de comprendre la programmation sociale qui a fait de lui l'esclave de la société.
Lorsque Nora ferme la porte de la maison de la poupée derrière elle, le son est comme un coup de marteau de liberté. Pour quiconque a vu la pièce, même en connaissant le résultat à l'avance, ce son est profond. Cela continue de résonner. Il interroge sa conscience.
L’écho demande: Vivez-vous à l’intérieur de la maison de poupée américaine où une vaste tapisserie de mensonges, de mauvaise foi et de grâce bon marché vous maintient en cage dans le confort, alors que vous répétez les habitudes qui vous ont été inculquées ?
Dans cette maison de propagande de poupées dans laquelle l’Amérique a été convertie, bon nombre de nos hypothèses de base sont totalement illusoires.
Les Américains qui ont voté pour Trump ou Biden aux élections de 2020 sont comme des clones de Torvald. Ils refusent d'ouvrir cette porte pour pouvoir la fermer derrière eux.
Ils vivent dans la maison de la poupée - tous les 146 millions d’entre eux. Comme Torvald, ils sont réconfortés. Ils sont programmés et propagés, embrassant l'illusion que le système électoral n'est pas structuré et contrôlé pour s'assurer qu'aucun changement significatif ne peut se produire, quel que soit le président. C'est une triste réalité promue comme démocratie.
Ils bavarderont et donneront toutes sortes de raisons pour lesquelles ils ont voté, et pour qui, et comment si vous ne votez pas, vous n’avez pas le droit de râler, et comment c’est ce droit sacré de vote qui rend la démocratie grande, bla bla bla. Tout cela n’a aucun sens. Car les États-Unis ne sont pas une démocratie; c'est une oligarchie dirigée par les riches pour les riches.
Ce n'est pas un grand secret. Tout le monde sait que c'est vrai; sait que le système électoral est purement show-business avec l'extravagance présidentielle qui attire beaucoup d'argent des lobbyistes d'entreprise, des banquiers d'investissement, des sociétés de cartes de crédit, des avocats, des dirigeants d'entreprises et de fonds spéculatifs, des honchos de la Silicon Valley, des groupes de réflexion, des joueurs de Wall Street, des millionnaires, des milliardaires, et. Al. Biden et Trump ont dépensé plus de 3 milliards de dollars pour l'élection. Ils appartiennent aux gens de l'argent.
Tous deux sont des vieillards aux histoires longues et honteuses. Une enquête rapide montrera comment les riches ont énormément profité de leur mandat. Il n'y a pas un seul indice qu'ils pourraient changer et avoir une conversion miraculeuse pendant leur mandat futur, comme JFK. Ni le courage ni l'intelligence. Ce ne sont nulle part des hommes qui craignent carrément le sort auquel John Kennedy a été confronté lorsqu'il s'est retourné contre la CIA et la machine de guerre. Ils rejoignent la société lâche de Johnson, Ford, Carter, Reagan G.H.W. Bush, Clinton, George W. Bush et Obama. Ils ont tous reçu le message envoyé des rues de Dallas en 1963: vous ne voulez pas mourir, n'est-ce pas ?
Posez-vous la question: le pouvoir de l'État de guerre oligarchique et permanent avec ses réseaux de propagande et d'espionnage, son vaste appareil de renseignement, a-t-il augmenté ou diminué au cours du dernier demi-siècle ? Qui gagne la bataille, le peuple ou les élites dirigeantes ? La réponse est évidente.
Peu importe que le président ait été Trump ou Bill Clinton, Ronald Reagan ou George W. Bush, Barack Obama ou George H. W. Bush, Richard Nixon, Gerald Ford ou Jimmy Carter. Le pouvoir de l'État de sécurité nationale a grandi sous eux tous et chacun est laissé à gémir et à se demander pourquoi.
Pendant tout ce temps, la maison de poupée est devenue de plus en plus sophistiquée et puissante. Il s'agit maintenant essentiellement d'une prison électronique qui est «reconstruite mieux». La nouvelle guerre froide actuellement menée contre la Russie et la Chine est une affaire bipartite, tout comme le jeu de confiance joué par le gouvernement secret destiné à créer une conscience fracturée dans la population par le biais de ses sténographes des médias de masse. Trump et ses partisans d'un côté de la médaille; démocrates libéraux de l'autre.
Seuls ceux soutenus par les riches courtiers du pouvoir sont élus aux États-Unis. Ensuite, une fois élus, il est temps de récupérer. Les paumes sont graissées. Tout le monde sait que c'est vrai. Cela s'appelle la corruption. Alors, pourquoi quelqu'un, qui s'oppose à une oligarchie politique corrompue, voterait-il, à moins de voter de conscience pour un candidat tiers condamné ?
Leonard Cohen l'a dit vrai avec «Everybody Knows»:
Tout le monde sait que les dés sont chargés Tout le monde roule avec les doigts croisés Tout le monde sait que la guerre est finie Tout le monde sait que les bons gars ont perdu Tout le monde sait que le combat a été réglé Les pauvres restent pauvres, les riches deviennent riches Voilà comment ça se passe Tout le monde sait Tout le monde sait que le bateau fuit Tout le monde sait que le capitaine a menti Tout le monde a ce sentiment brisé Comme leur père ou leur chien vient de mourir
Et pourtant, tous ceux qui ont voté pour les deux hommes soutenus par les propriétaires très riches du pays savaient ce qu'ils faisaient, à moins qu'ils ne vivent sous un rocher et ne sortent tous les quatre ans pour voter. Peut-être étaient-ils en train d'acheter de la farce pour la dinde de Thanksgiving, afin qu'ils puissent rendre grâce pour la farce (farce: latin: farce).
Ils ont leurs raisons. Maintenant, les gens de Biden célèbrent, tout comme les partisans de Trump l'ont fait en 2016. Je peux entendre des feux d'artifice se déclencher au moment où j'écris ici dans une ville où plus de 90 % ont voté pour Biden et détestent Trump avec une passion plus intense que ce pour quoi ils auraient jamais pu travailler. un amant ou un conjoint méprisé. C'est une psychose de masse. C’est presque drôle.
Au moins, nous nous sommes débarrassés de Trump, disent-ils. Personne ne peut être pire. Ils pensent que c'est logique. Comme Torvald, ils ne peuvent pas commencer à comprendre pourquoi quiconque voudrait quitter la maison de la poupée, comment quelqu'un pourrait refuser de jouer à un jeu dans lequel les dés sont chargés. Ils nieront qu'ils sont dans la maison de la poupée tout en sachant que les dés sont chargés et lancent toujours le dé, sans se soucier que leur choix - que ce soit Tweedledee ou Tweedledum - entraînera la mort et l'appauvrissement de tant de personnes, ce qui est le résultat final de régime oligarchique au pays et impérialisme à l’étranger.
Orwell a appelé ce Double Pensée:
La double pensée signifie le pouvoir de maintenir simultanément deux croyances contradictoires dans son esprit et de les accepter toutes les deux…. Dire des mensonges délibérés en y croyant réellement, oublier tout fait devenu gênant, puis, quand cela redevient nécessaire, le tirer de l'oubli aussi longtemps qu'il le faut, nier l'existence de la réalité objective et tout en tenant compte de la réalité que l'on nie - tout cela est indispensable.
Et tandis que dans Nineteen Eighty-Four Doublethink est appris par tous les membres du Parti «et certainement par tous ceux qui sont intelligents aussi bien qu'orthodoxes», aujourd'hui aux USA, il a été maîtrisé même par les soi-disant non intelligents.
Vivre aux États-Unis, c'est vivre dans l'Église du bon arnaqueur.
Les gens demandent souvent: que pouvons-nous faire pour améliorer le pays ? Tu propose quoi ?
Un enfant pourrait répondre à cette question: ne votez pas si vous savez que les deux prétendants sont soutenus par les élites super riches, ce que certains appellent l'État profond. Ce qu'ils sont bien sûr. Tout le monde sait.
Les soi-disant gauche et droite se disputent constamment pour savoir qui soutenir. C’est un pseudo-débat conçu pour permettre aux gens de penser que leur vote compte; que le jeu n’est pas truqué. C'est enfoncé dans la tête des enfants dès leur plus jeune âge. Soyez reconnaissant, remerciez de vivre dans une démocratie où le vote est autorisé et où votre choix est aussi important qu'un milliardaire comme Bill Gates, Jeff Bezos ou Charles Koch. Dans l'isoloir, nous sommes tous égaux.
Les mythes meurent dur. Celui-ci ne fait jamais:
Votre voix, vos espoirs et vos rêves définiront notre destin américain. Et votre courage, votre bonté et votre amour nous guideront à jamais tout au long du chemin. - Donald Trump, 20 janvier 2017
La campagne étant terminée, il est temps de mettre la colère et la rhétorique dure derrière nous et de se rassembler en tant que nation. Il est temps pour l’Amérique de s’unir. Et pour guérir. - Joe Biden, 7 novembre 2020
Par-dessus tout, le moment est venu pour nous de renouveler notre foi en nous-mêmes et en Amérique. Ces dernières années, cette foi a été remise en question. » - Richard Nixon, 20 janvier 1973
Votre voix - notre foi - il est temps de s'unir et de guérir.
Demandez aux Vietnamiens, aux Irakiens, aux Syriens, aux Afghans, aux Libyens, aux Palestiniens, et al. Ils chantent une mélodie différente, qu'on n'entend pas dans l'église du bon arnaqueur.
Après avoir fait campagne pour le candidat à la présidentielle perdant en 1972, j’ai failli étouffer en entendant le discours inaugural de Richard Nixon en janvier 1973. Accroché au mythe américain de l’année précédente, j’avais fait campagne pour un véritable démocrate anti-guerre, le sénateur George McGovern.
La guerre contre le Vietnam faisait toujours rage et Nixon, qui avait été élu pour la première fois en 1968 en tant que «candidat à la paix», succédant au précédent «candidat à la paix» Lyndon Baines Johnson, a néanmoins été élu à une écrasante majorité, malgré les allégations du Watergate apparaissant dans les mois précédant l'élection. . Nixon a remporté quarante-neuf États contre celui de McGovern - le Massachusetts, où je vivais.
C'était un glissement de terrain. Je me suis senti malade, je me suis réveillé, je me suis levé et j'ai quitté la maison de poupée.
«La propagande est le véritable remède à la solitude», écrivait le sociologue français Jacques Ellul en 1965 dans Propaganda:
Cela correspond au besoin de partager, d'être membre d'une communauté, de se perdre dans un groupe, d'embrasser une idéologie collective qui mettra fin à la solitude…. Cela correspond aussi à des besoins profonds et constants, plus développés aujourd'hui peut-être que jamais: le besoin de croire et d'obéir, de créer et d'entendre des fables, de communiquer dans le langage des mythes.
Dans un pays où la solitude est répandue, la volonté de croire et le pouvoir de la pensée positive sont bien plus puissants que la volonté de vérité. Contrairement à Nora, qui savait que lorsqu'elle quittait la maison de poupée, elle choisissait la solitude de l'âme solitaire, les Américains préfèrent les mythes qui les poussent à agir par habitude pour se perdre dans le groupe.
C'est le cas malgré le fait que dans l'Église du bon arnaqueur, lorsque vous jouez au jeu, vous perdez. Nous sommes tous américains et votre vote compte et George Washington n'a jamais dit de mensonge.
Le secrétaire d'État géorgien dénonce des 'llégations sans fondement' concernant des asymétries de signatures, le Dominion
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 18:50
Le secrétaire d'État de Géorgie Brad Raffensperger, un républicain, a critiqué lundi des accusations 'sans fondement' émanant du président Trump et de ses alliés, y compris le sénateur Lindsey Graham (R-SC), mettant en doute la validité des bulletins de vote exprimés dans l'État, selon le Washington Post.
Dans une large interview sur les élections de 2020, Raffensperger a exprimé son exaspération face à une série d'allégations sans fondement provenant de Trump et de ses alliés concernant l'intégrité des résultats de la Géorgie, y compris des affirmations selon lesquelles Dominion Voting Systems, le fabricant de machines à voter de Géorgie basé au Colorado, est une entreprise «de gauche» liée au Venezuela qui a organisé des milliers de votes Trump pour ne pas être comptés. -Washington Post
«À part vous mettre en colère, c'est aussi très décevant», a déclaré Raffensperger, qui affirme que lui et sa femme ont reçu des menaces de mort ces derniers jours. "en particulier lorsqu'il s'agit de personnes de mon côté de l'allée. Tous ceux qui y travaillent doivent élever leur discours. Nous devons être réfléchis et prudents dans ce que nous disons", at-il ajouté.
Bien que le Post ne le traite pas directement, la question centrale concernant les bulletins de vote est un 'décret de consentement' de mars promulgué par Raffensperger et approuvé par le gouverneur Brian Kemp, permettant de 'guérir' les bulletins de vote portant des signatures qui ne correspondent pas aux registres de l'État, mais seulement à travers un processus compliqué. Auparavant, les bulletins de vote non concordants étaient invalides.
Raffensperger a été accusé dans un nouveau procès de 'unilatéralement, et sans l'approbation ou la direction de l'Assemblée générale de Géorgie', modifiant le processus de traitement des bulletins de vote par correspondance - autorité qui appartient à la législature et non au secrétaire d'État ou à la magistrature, qui invaliderait donc les bulletins de vote absents mal comptés.
Pendant ce temps, le président Trump a encore annulé le recomptage en cours de la Géorgie d'environ cinq millions de voix, tweetant lundi que sans le 'match de signature très important', le recomptage est 'SANS SIGNIFICATION'.
Et selon Paul Sperry de RealClearPolitics, Raffensperger ne voulait pas effectuer un recomptage manuel au départ, mais "voulait simplement rescanner les codes à barres et en finir avec cela."
Pendant ce temps, Raffensperger a déclaré qu '«il n'y a actuellement aucune preuve crédible que la fraude a eu lieu à une échelle suffisamment large pour affecter le résultat de l'élection», et que le recomptage en cours «confirmera» les résultats du décompte initial. Il dit également que cela «prouvera l'exactitude des machines Dominion», certains comtés ayant déjà signalé que leurs comptes manuels correspondent exactement aux chiffres des machines.
Cela dit, un recomptage dans un comté de Géorgie a déjà révélé un nombre disproportionné de votes Trump.
Surveillance du Sénat: 'plus de 600 000' électeurs en Géorgie ont demandé des bulletins de vote par la poste pour le second tour de janvier
par Tyler Durden Lun, 16/11/2020 - 17:50
Le 5 janvier, deux courses au second tour en Géorgie pourraient décider si les républicains conserveraient le contrôle du Sénat, dont la perte aurait de graves implications pour les Américains - de la hausse des impôts, aux soins de santé, en passant par d'autres points à l'ordre du jour démocrates qu'un Sénat contrôlé par le GOP aurait autrement bloquer pendant au moins les deux prochaines années.
"Plus de 600 000 Géorgiens ont demandé leurs bulletins de vote par correspondance pour le second tour des élections du 5 janvier", a écrit Stacey Abrams, candidat au poste de gouverneur de Géorgie qui n'a toujours pas concédé.
Abrams a inclus un lien que les Géorgiens peuvent utiliser pour demander un vote par correspondance pour le second tour de janvier entre le sénateur Kelly Loeffler (R-GA) et Raphael Warnock (D-GA), ainsi que le sénateur David Perdue (R-GA) et son challenger démocrate Jon Ossoff.
La semaine dernière, Abrams a ciblé «un étudiant de Géorgie» dans une tentative de sensibilisation pour leur faire demander des bulletins de vote par la poste avant le second tour des élections. Pendant ce temps, Perdue et Loeffler ont collecté des tas d'argent pour leurs campagnes de second tour - qui pourraient être parmi les plus coûteuses de l'histoire.
La précipitation pour encourager les bulletins de vote par correspondance survient au milieu de sérieuses questions sur l'intégrité de l'élection générale de cette année, des défis auxquels les tribunaux sont maintenant en train de se frayer un chemin dans une tentative du président Trump et de ses alliés d'annuler les résultats dans des États clés au sujet des revendications fraude électorale généralisée.
En Géorgie, Loeffler et Perdue ont appelé le secrétaire d'État de Géorgie Brad Raffensperger à démissionner pour mauvaise gestion présumée de l'élection.
"La gestion des élections en Géorgie est devenue une gêne pour notre Etat. Les Géorgiens sont indignés, et à juste titre", ont déclaré les deux républicains dans une lettre commune. "Nous avons été clairs depuis le début: chaque vote légal émis doit être compté. Tout vote illégal ne doit pas. Et il doit y avoir transparence et uniformité dans le processus de dépouillement. Ce n'est pas difficile. Ce n'est pas partisan. C'est américain. "
Le vote électoral: plus vous regardez profondément, plus cela empire
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 17 novembre 2020
Dans cet article, je vais parler de deux sociétés, Dominion et ES&S. Je conseillerais aux enquêteurs de ne pas dormir sur ES&S.
Je ne vais pas répéter toutes les accusations portées contre Dominion Voting Systems. Mais regardez ce qui s'est passé au Texas, lorsque le secrétaire d'État a fait effectuer une analyse à l'automne 2019.
Le rapport s'intitulait «Examen du système de vote Dominion Voting Systems Democracy Suite 5.5-A». [1] Il a été préparé par James Sneeringer, Ph.D. Représentant du procureur général du Texas.
Le diable est dans les détails, alors les voici:
«Les résultats de l'arbitrage peuvent être perdus. Lors de l'examen [précédent] de janvier, lors de l'adjudication des bulletins de vote lors de l'élection test, un des représentants du Dominion a commis une série d'erreurs qui ont fait perdre la totalité des résultats de l'arbitrage. Nous n'avons pas revu ce problème lors de cet examen, mais le système de sélection est inchangé, donc cette vulnérabilité est toujours présente. Recommandation: La certification [l'approbation du système Dominion] devrait être refusée. »
«L'installation est complexe, sujette aux erreurs et fastidieuse. J'ai compté 184 étapes dans leur manuel d'installation avant de décider d'estimer les étapes restantes. J'estime qu'un total d'environ 500 étapes sont nécessaires pour installer le logiciel. Je n'ai pas compté les étapes qui disaient simplement quelque chose comme «Cliquez sur OK» ou «Cliquez sur Suivant». Ce manuel d'installation fait 412 pages avec 23 pages supplémentaires de présentation - contenu, listes de figures, etc. Recommandation: la certification devrait être refusé.
«Test de vote. Lors de notre test de vote, nous avons découvert que certains noms de partis et le texte de la proposition n'étaient pas affichés et qu'un scanner n'acceptait pas certains bulletins de vote. Tout cela s'est avéré être des erreurs commises par le Dominion lors de la mise en place du test standard d'élection utilisé par le secrétaire d'État. Dans le cas du scanner, il avait été accidentellement configuré pour ne pas accepter les bulletins de vote marqués par machine. Les autres problèmes ont été causés par le fait de laisser certains champs vides lors de la configuration des élections, ce que le logiciel EMS ne devrait pas autoriser, ou du moins mettre en évidence. Recommandation: la certification doit être refusée. »
«Message trompeur. Les dispositifs de marquage des bulletins de vote informaient à tort les électeurs qu'ils déposaient leurs bulletins de vote alors qu'en fait ils ne faisaient que les imprimer. Les bulletins de vote ne sont pas comptés tant qu'ils n'ont pas été scannés sur un autre appareil. Recommandation: la certification doit être refusée. »
«Vulnérabilité du port USB. Le dispositif de marquage des bulletins de vote ICX a un voyant lumineux sur le dessus pour montrer aux employés du scrutin quand le bureau est en cours d'utilisation. Cette lumière est connectée par un port USB. Lorsque le téléphone de Brian Mechler a été connecté au port USB, l’ICX a scanné les fichiers sur son téléphone et ne s'est pas plaint, bien que Dominion ait montré plus tard que l’événement était consigné. Lorsqu'une clé USB contenant des fichiers était insérée, l'ICX se plaignait parfois et parfois non, apparemment en fonction du contenu de la clé USB et si elle était présente lors de la première mise sous tension de l'ICX ou insérée plus tard.
Conclusion finale de l’examinateur: «Je ne peux pas recommander la certification. Les systèmes informatiques devraient être conçus pour prévenir ou détecter les erreurs humaines chaque fois que possible et minimiser les conséquences des erreurs humaines et des pannes d'équipement. Au lieu de cela, la Democracy Suite 5.5-A est fragile et sujette aux erreurs. À mon avis, il ne devrait pas être certifié pour une utilisation au Texas. "
Si cela ne laisse pas réfléchir, rien ne le fera.
Nous nous tournons maintenant vers ES&S, une autre société de machines à voter utilisée aux États-Unis. Il a une longue expérience. La source ici est un article de PROPUBLICA, «Le marché des machines à voter est cassé. Cette société y a prospéré », [2] daté du 28 octobre 2019, par Jessica Huseman. Extraits clés:
«En Géorgie, où la course au poste de gouverneur avait suscité l'intérêt national au milieu des préoccupations concernant l'intégrité des élections, la technologie appartenant à ES & S était utilisée lorsque plus de 150 000 électeurs n'ont inexplicablement pas voté pour le lieutenant-gouverneur. En partie parce que les anciennes machines gérées par ES & S ne produisaient pas de sauvegardes papier, il n'était pas clair si des erreurs mécaniques ou humaines étaient à blâmer. Les litiges entourant le vote perdurent à ce jour. »
«En Indiana, les systèmes ES&S étaient en proie à des incidents au niveau local. Dans le comté de Johnson, par exemple, les toutes nouvelles machines de l’entreprise ont échoué de telle sorte qu’il était difficile de savoir si certaines personnes avaient voté plus d’une fois. »
«Le vote en 2006 à Sarasota, en Floride… Là, les machines ES&S ont perdu environ 18 000 voix; on ne sait toujours pas pourquoi. La perte était bien plus que la marge de victoire, et un procès a suivi qui a finalement peu résolu. La société a déclaré dans un communiqué que divers tests effectués sur ses machines étayaient son affirmation selon laquelle les appareils n'étaient pas en faute, mais le comté a fini par annuler ses relations avec l'entreprise peu de temps après.
«Malgré de telles difficultés, ES&S - basée à Omaha, Nebraska, et employant environ 500 personnes - contrôle environ 50 % du marché du système électoral du pays, dit la société, ce qui signifie que quelque 70 millions d'Américains votent en utilisant les équipements de l'entreprise.
«Un examen ProPublica de l'ES&S montre qu'il s'est battu avec acharnement pour conserver sa domination face aux controverses répétées. La société a la réputation, tant parmi ses concurrents que parmi les responsables électoraux, d’aller régulièrement devant les tribunaux lorsqu'elle ne parvient pas à remporter des contrats ou les fait retirer, poursuivant les juridictions électorales, les rivaux, les défenseurs d'une plus grande sécurité électorale et autres.
«ES&S dépose de nombreux procès. En mai 2016, par exemple, ES&S a poursuivi en vain le Colorado pour sa décision d'acheter du matériel de vote uniforme dans tout l'État après que l'État est passé à un système de vote par correspondance. La société a également poursuivi le comté du Colorado pour ce problème, et elle a également perdu ces affaires.
«Dans le Wisconsin, après les élections nationales de 2016, ES&S a intenté une action en justice pour empêcher Jill Stein, candidate du Parti vert à la présidence, d'obtenir des informations sur ses machines qui auraient pu l'aider dans sa candidature à un recomptage. Un juge a rejeté l'argument d'ES&S selon lequel se soumettre à la demande de Stein compromettrait sa technologie propriétaire. »
«ES&S a également menacé de poursuites judiciaires contre des militants des droits de vote. En 2018, il a averti qu'il poursuivrait Audit USA - une petite organisation à but non lucratif qui milite pour la sécurité électorale - pour avoir publié les manuels de l'entreprise pour les scanners en ligne (ce n'est pas le cas). La même année, la société a déclaré à plusieurs reprises qu'elle engagerait des poursuites contre des chercheurs en sécurité qui ont acheté de vieilles machines ES&S et ont tenté de les pirater lors d'une conférence sur la cybersécurité. La société a également envoyé des lettres à ses propres clients, leur indiquant qu’elle les poursuivrait s’ils participaient à de telles conférences ou fournissaient des équipements ES&S aux événements. »
COMMENT AIMEZ-VOUS TOUT CELA ?
Je terminerai pour l'instant avec des extraits d'un article du Penseur américain de Jay Valentine, «Big Data to the Rescue: The Electoral College Meets Data Pattern», [3] 13 novembre 2020:
«Voici le résumé: pour que les élections dans de nombreuses circonscriptions se déroulent comme elles l’ont fait, Biden devrait lancer une pièce de monnaie 1 000 fois et avoir des têtes à chaque fois. Nous n’avons pas fini ici. »
«Il devrait aussi le faire encore et encore, par dizaines, peut-être des centaines de circonscriptions.
«Bienvenue dans l'analyse de Big Data.»
«La fraude industrielle est toujours découverte avec l'analyse statistique… La fraude industrielle est plutôt cool car de l'extérieur, elle est invisible…»
«Lorsqu'elle est soumise à une analyse statistique par rapport à des modèles connus, la fraude industrielle se démarque comme un dinosaure marchant dans un champ de beurre d'arachide. C'est indéniable. »
«Une telle analyse est-elle une preuve ?»
«Oui, c'est la preuve qu'il y a une anomalie d'une telle ampleur qu'elle doit être étudiée. Et ce n’est pas difficile. N'oubliez pas que toutes les données dont vous avez besoin pour effectuer l'analyse sont des données de vote après coup. Vous n’avez pas besoin de voir un seul bulletin de vote. »
«… Vous avez juste besoin de savoir que dans les quartiers après quartiers, il existe un schéma indéniable selon lequel plus les gens votent pour Trump plutôt que Biden, plus le nombre de votes de Trump est élevé, plus les machines à compter vont de Trump à Biden.
«Le modèle [du vote-retournement] ne peut être réalisé que par des machines, comme un ordinateur. Il y a trop de transactions, avec une ligne trop droite, à travers trop de circonscriptions, pour être les gars avec les urnes qui arrivent au milieu de la nuit. Ce sont des fraudes supplémentaires. »
MAIS BIEN SÛR, RIEN D'ÉTRANGE NE S'EST PASSÉ LORS DE L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2020. AUCUNE RAISON D'ENQUÊTER. REGARDEZ JUSTE LES RÉSEAUX DE NOUVELLES. ILS VOUS DIRONT QUE BIDEN EST LE PRESIDENT. TOUT VA BIEN. RETOURNE TE COUCHER. VOS MAÎTRES SONT EN CHARGE.
Le projet diabolique du Forum économique mondial : « Réinitialiser le futur du monde du travail »
RépondreSupprimerPeter Koenig, Global Research
Sott.net
ven., 13 nov. 2020 18:38 UTC
Le Forum économique mondial (FEM) vient de publier (octobre 2020) un livre blanc intitulé "Réinitialiser le futur du monde du travail - dans un Monde Post-Covid".
Great reset
Réinitialiser le futur du monde du travail :
Disruption et Renouveau dans un Monde Post-COVID
Ce document de 31 pages se lit comme un schéma directeur sur la manière "d'exécuter" - parce que ce serait une exécution (ou une mise en œuvre) - « Covid-19 - The Great Reset » (juillet 2020) par Klaus Schwab, fondateur et PDG du FEM (depuis sa fondation en 1974) et son associé Thierry Malleret.
Ils appellent "Réinitialiser le futur" un Livre Blanc, ce qui signifie que ce n'est pas tout à fait une version définitive. Il s'agit d'une sorte d'ébauche, un ballon d'essai, pour mesurer les réactions des gens. Il se lit en effet comme le conte d'un exécuteur. Beaucoup de gens ne le liront probablement pas - ils n'ont pas conscience de son existence. S'ils le faisaient, ils prendraient les armes et combattraient ce tout dernier projet totalitaire, offert au monde par le FME.
Il promet un avenir effrayant à plus de 80 % de la population (survivante). Le roman "1984" de George Orwell se lit comme une fantaisie bénigne par rapport à ce que le FME a en tête pour l'humanité.
Le délai est de dix ans. D'ici 2030, l'agenda 2021-2030 des Nations Unies devrait être mis en œuvre.
Mesures prévues pour les entreprises en réponse au COVID-19 :
Une accélération des processus de travail numérisés, conduisant à ce que 84% de tous les processus de travail soient numériques, ou virtuels / en vidéo-conférences.
83 % des personnes devront travailler à distance - c'est-à-dire plus d'interaction entre collègues - distanciation sociale absolue, séparation de l'humanité du contact humain.
Environ 50 % de toutes les tâches sont prévues pour être automatisées - en d'autres termes, l'apport humain sera considérablement réduit, même en travaillant à distance.
Accélérer la numérisation de la formation et de la reconversion (par exemple, les fournisseurs de technologies éducatives) - 42 % de la formation ou de la reconversion seront numérisés, en d'autres termes, aucun contact humain - tout se fera par ordinateur, par l'intelligence artificielle (IA) et par des algorithmes.
Accélérer la mise en œuvre des programmes de perfectionnement / reconversion - 35 % des compétences sont prévues pour être "remaniées" - c'est-à-dire qu'une partie des compétences existantes sont prévues pour être abandonnées - déclarées caduques.
Accélérer les transformations organisationnelles en cours (par exemple la restructuration) - 34 % des structures organisationnelles actuelles devraient être "restructurées" - ou, en d'autres termes, les structures organisationnelles existantes seront déclarées obsolètes - pour faire place à de nouveaux ensembles de cadres organisationnels, des structures numériques qui puissent permettre un contrôle maximal de toutes les activités.
Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches - cela devrait toucher 30 % de la main-d'œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes - très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du "salaire de base universel" ou du "revenu de base" également prévu - un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. - Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système - un système numérique, sur lequel vous n'avez aucun contrôle.
RépondreSupprimerRéduire temporairement la main-d'œuvre - cette mesure devrait toucher 28 % de la population. Il s'agit d'un chiffre de chômage supplémentaire déguisé, car le "temporaire" ne reviendra jamais à plein temps.
Réduire définitivement la main-d'œuvre : 13 % de la main-d'œuvre est réduite de façon permanente.
Augmentation temporaire de la main-d'œuvre : 5 % - il n'y a aucune référence au type de main-d'œuvre - probablement une main-d'œuvre non qualifiée qui, tôt ou tard, sera également remplacée par l'automatisation, par l'IA et la robotisation du lieu du travail.
Aucune mesure spécifique mise en œuvre : 4 % - cela signifie-t-il qu'à peine 4 % des gens resteront épargnés ? De l'algorithme aux nouveaux lieux de travail orientés vers l'IA ? - Aussi petit et insignifiant que soit ce chiffre, cela ressemble à un "vœu pieux", qui ne se réalisera jamais.
Augmentation permanente de la main-d'œuvre : 1 % seulement est prévu comme "augmentation permanente de la main-d'œuvre". Cela n'est bien sûr même pas de l'ordre du cosmétique. Il s'agit d'une plaisanterie.
C'est ce qui est mis en avant, à savoir le processus concret de mise en œuvre du Grand Reset.
Le Grande Reset prévoit également, un système de crédit, par lequel toutes les dettes personnelles seraient "effacées" - contre la remise de tous les biens personnels à un organe ou une agence administrative - qui pourrait éventuellement être le FMI.
Ainsi, vous ne posséderiez rien - et vous seriez heureux. Car tous vos besoins seront couverts.
- voir clip sur site -
-- Commentaire : La vidéo originale, hébergée par Facebook, se trouve sur cette page du site du FME. --
De plus, il ne devrait pas vous venir à l'esprit d'être en désaccord avec le système, car - à ce jour, chacun d'entre vous a été vacciné contre le covid et a reçu une nanopuce - de sorte qu'avec la 5G et bientôt la 6G, votre esprit peut être lu et influencé.
S'il vous plait, n'appelez pas cela une théorie du complot. Il s'agit d'un livre blanc, un "rapport qui fait autorité" du FME.
La DARPA - Defense Advanced Research Projects Agency, fait partie du Pentagone - et a développé la technologie il y a des années. Ce n'est qu'une question de temps pour la mettre en œuvre. Et elle sera mise en œuvre si nous, le peuple, ne protestons pas - la désobéissance civile massive est de rigueur - et ce, le plus tôt sera le mieux.
Plus nous attendrons pour agir, plus nous serons comme des somnambules dans cette catastrophe humaine absolue.
*
Les relations sociales et humaines se voient éviscérées.
RépondreSupprimerCela présente plusieurs avantages pour cette nouvelle approche "totalitaire" du FME à l'égard de l'humanité - pour contrôler l'humanité.
- "Nous, le peuple", ne pouvons pas nous rebeller, nous n'avons plus de cohésion entre nous.
- "Nous, le peuple", seront joués les uns contre les autres - et il existe un contrôle numérique absolu sur l'humanité - exécuté par une petite super-élite.
- Nous n'avons pas accès à ce contrôle numérique - il est bien au-delà de notre portée. L'idée est que nous allons progressivement grandir avec - ceux d'entre nous qui pourraient survivre. D'ici une génération environ, il devrait devenir la nouvelle norme.
"L'angle de survie" est un aspect qui n'est mentionné directement ni dans le Grand Reset, ni dans le "Guide de mise en œuvre" - c'est-à-dire dans le Livre blanc "Réinitialiser le futur du monde du travail dans un Monde Post-Covid".
Bill Gates, les Rockefeller, Kissinger et autres, n'ont jamais caché leur ferme conviction que le monde est surpeuplé et que le nombre de personnes doit être littéralement réduit. Nous avons affaire à des eugénistes.
Une méthode parfaite pour réduire la population mondiale, ce sont les programmes de vaccination initiés par Bill Gates et soutenus par l'OMS. Des scandales liés à de tels programmes de vaccination désastreux entraînant la mort d'enfants ont été enregistrés en Inde (dans les années 1990), au Kenya (2014 et après) et dans d'autres parties du monde.
Voir également un TedTalk très révélateur de Bill Gates de février 2010, "Innover vers le zéro carbone", à peu près au moment où le "Rapport Rockefeller 2010" a été publié - le même rapport qui nous a donné jusqu'à présent, le "Scénario des étapes de confinement" - que nous vivons maintenant. À peine le monde a-t-il protesté, que le monde entier - 193 pays membres des Nations unies - a été coopté ou contraint de suivre cette abjecte violation des droits de l'homme à l'échelle mondiale.
Ce que les deux rapports, "Le Grand Reset" et le "Réinitialiser le futur du monde du travail", omettent de mentionner, c'est qui va faire appliquer ces nouvelles règles draconiennes ? - Il s'agit soi-disant des mêmes forces qui sont maintenant formées pour la guerre urbaine et la répression des émeutes et des troubles sociaux - ce sont la police et l'armée.
Une partie de notre Organisation populaire de désobéissance civile se concentrera sur la manière de parler, d'éduquer et d'informer la police et l'armée de ce à quoi elles serviront pour cette petite élite, et sur le fait qu'en fin de compte, ce sont aussi des êtres humains, comme nous tous, et qu'elles ont donc intérêt à se tenir debout pour défendre le peuple, l'humanité. Il faut faire la même chose pour les enseignants et le personnel médical - l'information, la vérité sans entrave.
C'est là que réside le défi. Si nous réussissons, le jeu est terminé. Mais la route est longue.
La désinformation médiatique est brutale et puissante et difficile à contredire pour "nous", sans un budget important pour la contre-propagande, et en tant que groupe de personnes, qui est de plus en plus divisé par les médias eux-mêmes. Le port obligatoire du masque et la distanciation sociale - a déjà fait de nous des ennemis de ce que nous étions, des collègues, des amis, même au sein des familles.
RépondreSupprimerCe même diktat a réussi à créer des clivages, des divisions et des discordes au sein de nos sociétés.
Ne pas avoir peur - mais mettre en pièces le "Resetting the Future of Work Agenda" et le "The Great Reset" - avec une alternative humaine qui supprimerait des organisations comme le FME, et des agences cooptées des Nations Unies, comme l'OMS, l'UNICEF, l'OMC, la Banque Mondiale, le FMI - et peut-être même l'ensemble du système des Nations Unies. Les dirigeants politiques et d'entreprises qui sont à l'origine de ce projet doivent être exposés. Les principes fondamentaux du droit international, y compris ceux de Nuremberg, doivent être appliqués.
A propos de l'auteur
Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l'environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque Mondiale et à l'Organisation Mondiale de la Santé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne telles que Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO) et bien d'autres encore. Il est l'auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed, une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque Mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! - Essais de la Résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation à Montréal (CRG).
Source : Peter Koenig, Global Research - Traduction Sott.net
Le site du Le Forum économique mondial : https://www.weforum.org/
-- Commentaire :
Le monde futur du FME fait penser aux inscriptions sur le Georgia Guidestones :
(1) Maintenez l'humanité en dessous de 500 millions d'individus en perpétuel équilibre avec la nature.
(2) Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité
(3) Unissez l'humanité avec une nouvelle langue mondiale.
(4) Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.
(5) Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
(6) Laissez toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
(7) Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.
(8) Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.
(9) Faites primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini.
(10) Ne soyez pas un cancer sur la terre, laissez une place à la nature.
Pour le "Grand Reset", voir également l'article lié : La « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial bénéficie à l'industrie alimentaire et prépare l'enfer pour les populations --
https://fr.sott.net/article/36297-Le-projet-diabolique-du-Forum-economique-mondial-Reinitialiser-le-futur-du-monde-du-travail
Une étude britannique sur la santé a révélé 26 000 décès «supplémentaires» non liés au COVID à la maison au milieu des verrouillages
RépondreSupprimerTyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 05:45
La BBC a récemment publié des statistiques choquantes concernant la santé au Royaume-Uni, mais qui ne surprendront peut-être pas les critiques qui ont averti que des verrouillages nationaux de grande envergure entraîneraient d'autres effets indésirables invisibles:
Par rapport aux années normales, il y a eu plus de décès à domicile dus à un certain nombre de causes majeures, y compris les cancers et les maladies respiratoires, au cours des six derniers mois.
La dernière analyse publiée par le Bureau britannique des statistiques nationales a révélé que plus de 26 000 décès «supplémentaires» sont survenus dans des maisons privées cette année, alors que les décès à l'hôpital ont été plus faibles que d'habitude.
"Plus d'hommes que la normale meurent à la maison d'une maladie cardiaque en Angleterre et au Pays de Galles, et plus de femmes meurent de démence et d'Alzheimer, selon les chiffres", indique le rapport.
- voir graphique sur site -
Image de fichier via DW / Picture-Alliance
Les chiffres avaient été publiés juste avant que les responsables européens en Allemagne, en France et en Italie envisagent des mesures prolongées 'sévères' qui pourraient durer jusqu'à quatre à cinq mois, comme l'Allemagne serait maintenant en train de réfléchir.
Le rapport de la BBC a en outre cité les groupes caritatifs d'Alzheimer comme déplorant l'impact négatif caché «déchirant» et dévastateur des ordonnances de maintien à la maison et des mesures de distanciation sociale, en particulier sur les hommes âgés.
Les décès attribuables à la démence et à la maladie d'Alzheimer à domicile sont sur une trajectoire ascendante majeure tout en étant à la baisse dans les hôpitaux, ce qui suggère fortement que plus de personnes atteintes de maladies potentiellement mortelles mais traitables évitent simplement les services médicaux professionnels par peur du COVID-19 ou peut-être par peur de violer les mesures de distanciation sociale ou les interdictions de voyager.
Le rapport a révélé que les décès à l'hôpital liés à la démence étaient en baisse de 40% en Angleterre et de 25% au Pays de Galles.
- voir graphique sur site -
L'Office britannique des statistiques nationales a en outre constaté que les maladies cardiaques font des ravages chez les hommes à un moment donné, tous les yeux sont rivés sur la flambée des coronavirus:
Entre mars et septembre 2020, il y a eu 24387 décès de plus en Angleterre que prévu dans les maisons privées et 1644 au Pays de Galles. La grande majorité n'impliquait pas Covid-19.
Parmi ceux-ci, 1 705 hommes supplémentaires sont morts d'une maladie cardiaque à la maison en Angleterre - 25 % de plus que la normale.
Au Pays de Galles, il y a eu une augmentation similaire du nombre d'hommes décédant d'une maladie cardiaque à la maison, de 22,7 %.
RépondreSupprimerEt encore une fois, les décès dans les hôpitaux dus à des conditions aussi importantes non liées au coronavirus sont sensiblement en baisse.
- voir graphique sur site -
Les mesures de verrouillage actuelles de l'Angleterre en place depuis le début ce mois-ci jusqu'au 2 décembre comprennent les suivantes:
Les restaurants, pubs et bars fermeront, à l'exception des plats à emporter et des livraisons.
Tous les lieux de loisirs et de divertissement et la plupart des magasins non essentiels seront fermés.
Le public sera invité à travailler à domicile si possible et les voyages intérieurs, sauf à des fins essentielles, seront mal vus.
Les écoles, universités et collèges resteront ouverts, ainsi que le secteur de la construction et de la fabrication.
Il sera interdit à différents ménages de se mélanger à l'intérieur des maisons.
Les gens ne pourront quitter la maison que pour quelques raisons, y compris l'exercice.
Les tribunaux et le Parlement resteront ouverts.
Les services religieux seront également arrêtés.
Les voyages internationaux, en dehors des affaires, doivent également être mis en attente.
Les matchs de la Premier League anglaise continueront d'être joués.
Les mesures ont été mises en place alors que les chiffres de l'ONS étaient disponibles depuis la mi et la fin octobre, et ont montré une flambée des décès non-COVID remontant à avril et mai, ce qui était au plus fort de l'épidémie au Royaume-Uni.
Malgré les données fiables montrant l'augmentation rapide des maladies potentiellement traitables qui ont conduit à des décès non liés au COVID, les dirigeants européens dans l'ensemble semblent déterminés à réimposer des restrictions et des verrouillages généraux contre les coronavirus, ce qui comprend actuellement la fermeture des pubs, des restaurants et des lieux de nuit, mais dans la plupart place a cessé de fermer des écoles.
https://www.zerohedge.com/medical/new-uk-health-figures-find-26000-extra-non-covid-deaths-home-amid-lockdowns
Un médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque
RépondreSupprimerJohn C. A. Manley
Mondialisation.ca
sam., 14 nov. 2020 21:52 UTC
« Un groupe poursuit le maire de Tulsa, G.T. Bynum, et le directeur exécutif du département de la santé de Tulsa, Bruce Dart, affirmant que le mandat de la ville en matière de masques est préjudiciable aux personnes en bonne santé », rapporte l'Activist Post. Le groupe comprend des propriétaires d'entreprises et deux médecins qui « demandent à la ville d'abroger immédiatement le mandat de port de masques qui a été adopté par le conseil municipal le mois dernier. »
child maskLors d'une conférence de presse, l'optométriste Robert Zoellner a déclaré :
« ...le facteur peur doit reculer. Cette idée que je ne veux pas vous donner quelque chose que je ne sais même pas que j'ai est presque au point de devenir ridicule. Faisons preuve de bon sens ».
Le Dr James Meehan, médecin, a ensuite averti que le port du masque comporte « des risques bien connus » qui ont été bien étudiés et qui ne sont pas abordés dans l'analyse des risques.
« Je vois des patients qui ont des éruptions faciales, des infections fongiques, des infections bactériennes. Les rapports de mes collègues, dans le monde entier, suggèrent que les pneumonies bactériennes sont en augmentation.
Pourquoi cela pourrait-il être le cas ? Parce que des membres du public non formés portent des masques médicaux, de manière répétée... de façon non stérile... Ils sont en train d'être contaminés. Ils les retirent de leur siège de voiture, du rétroviseur, de leur poche, de leur comptoir, et ils réappliquent un masque qui devrait être porté frais et stérile à chaque fois. »
Le Dr Meehan ajoute :
« De nouvelles recherches montrent que les masques en tissu pourraient augmenter l'aérosolisation du virus du SRAS-COV-2 dans l'environnement, entraînant une transmission accrue de la maladie... »
En conclusion, le Dr Meehan déclare :
« En février et mars, on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu'est-ce qui a changé ? La science n'a pas changé. La politique a changé. C'est une question de conformité. Ce n'est pas une question de science... Notre opposition utilise des études d'observation rétrospectives de bas niveau qui ne devraient pas servir de base à une décision médicale de cette nature. »
Source : Medical Doctor Warns that "Bacterial Pneumonias Are on the Rise" from Mask Wearing, le 9 octobre 2020.
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca.
https://fr.sott.net/article/36293-Un-medecin-previent-que-les-pneumonies-bacteriennes-sont-en-augmentation-a-cause-du-port-du-masque
Liquidation - Emmanuel Macron et le saint-simonisme
RépondreSupprimerSott.net
dim., 15 nov. 2020 21:14 UTC
Liquidation, Emmanuel Macron et le saint-simonisme
Au XIX e siècle, le Saint-simonisme invente la société libérale et individualiste du bonheur régie par l'élite. Depuis 2017, Emmanuel Macron en a fait son programme. Du coup, tout s'éclaire de ses intentions, de ses actions et de ses échecs. Un pamphlet où la pensée le dispute à la formule. Quasi inconnu des Français deux ans avant d'être élu à la présidence de la République, Emmanuel Macron ne vient pourtant pas de nulle part.
Il se rattache clairement à un courant progressiste remontant au xixe siècle, le saint-simonisme, qui, à l'époque, promouvait la résorption du politique dans l'économie, l'attribution du pouvoir aux experts et aux scientifiques, le dépassement des cadres traditionnels et la fusion des identités par l'abolition des frontières, l'intégration européenne et la globalisation financière. Ce lien étroit avec le saint-simonisme éclaire les choix politiques de l'actuel Président de la République.
Plongeant dans le passé pour mieux décrire notre avenir, Frédéric Rouvillois dévoile ainsi le sens caché du macronisme : sa volonté de liquider les réalités anciennes afin de leur substituer, sur tous les plans, un « nouveau monde » fluide, ouvert, sans identités ni barrières, afin que rien ne vienne gêner le mouvement perpétuel des individus et des biens qu'exige la mondialisation. Voici, amplifié par la gestion erratique de la pandémie qui a frappé la planète et dérouté la France, un dernier inventaire avant liquidation.
Liquidation - Emmanuel Macron et le saint-simonisme, parution 24 septembre 2020
Extraits :
Arrivé à ce stade, surgit une interrogation supplémentaire : est-ce Emmanuel Macron, champion de ce monde nouveau, qui l'interprète et le façonne suivant le modèle saint-simonien, ou bien est-ce ce monde nouveau qui lui impose une telle vision des choses ? L'œuf ou la poule ? Toujours est-il que la conjonction est frappante, et qu'elle explique en partie l'impensable victoire du candidat Macron à l'élection présidentielle de 2017, sans-doute imputable au fait qu'il était alors le seul représentant authentique et affiché de ce monde nouveau. Le seul à être en osmose avec sa logique et ses aspirations : comme le notait peu après Olivier Mongin, « le président n'est pas seulement un chanceux qui a su occuper une place sur un mode inattendu32 », bénéficiant de la désertion de Hollande, de l'auto-ringardisation de Hamon, des casseroles dorées de Fillon et des maladresses de Marine Le Pen. Si « ce jeune homme si parfait33 » l'a emporté, c'est qu'il représentait si parfaitement « ce monde qui vient34 », ce monde qu'il annonce, et dont il est parvenu à faire croire aux Français qu'ils n'avaient « aucune raison de le redouter » : ce monde qui serait le seul souhaitable, mais aussi le seul possible. Au fond, commente Brice Couturier, en votant pour Macron en 2017, « le pays met enfin son idéologie » - ou du moins ses choix électoraux - « au diapason de ses mœurs35 ». Et de ce qu'il pense être ses intérêts.
[...]
En marche pour liquider le vieux monde
RépondreSupprimerCette hypothèse - celle d'une influence profonde du saint-simonisme sur Emmanuel Macron -, il faut maintenant l'établir sur pièces, en confrontant le contenu de la « matrice » aux faits et gestes du Président, l'objectif étant d'éclairer ainsi ce que le futur Président, dans son livre-programme de 2016, a lui-même qualifié de « révolution ».
En 1817, Saint-Simon annonçait : « Nous entrons dans une révolution commune à toute l'espèce humaine84. » Celle dont Emmanuel Macron se fait le prophète se veut-elle aussi globale : car il s'agit d'une révolution à la fois anthropologique, politique, sociale et même quasi-religieuse, qui tend à remodeler l'homme en le réunifiant, la société en la rationalisant, les valeurs en les subordonnant à l'idée de Progrès, au principe des droits de l'homme et au rêve d'un âge d'or. Une révolution qui prétend assurer le bonheur de tous - et notamment, pour reprendre la formule saint-simonienne, « la prospérité matérielle, intellectuelle et spirituelle des plus nombreux et des plus pauvres », mais on doit se demander si elle ne débouchera pas, en définitive, sur une paradoxale (et fort inquiétante) utopie des très riches...
Une révolution, enfin, qui se propose de « liquider » le vieux monde, aux deux sens du terme : le rendre liquide, fluide, mobile, sans rien qui attache, qui ancre ou qui ralentisse le flux permanent des êtres et des choses, érigé en valeur suprême.
Et pour cela, dissoudre, sur tous les plans, ce qui pourrait bloquer ou faire obstacle au mouvement universel : autrement dit, liquider le vieux monde, qui était précisément structuré autour de ces repères, de ces frontières, de ces murs, que l'on ne franchissait que sous certaines conditions et dans certaines limites.
Au total, tel est le sens la « révolution » pour laquelle on entend prendre appui sur la matrice saint-simonienne : éliminer en liquéfiant, et, réciproquement, liquider pour rendre liquide.
https://fr.sott.net/article/36298-Liquidation-Emmanuel-Macron-et-le-saint-simonisme
Une liste de 10 000 morts ayant votés pour Biden dans le Michigan émerge
RépondreSupprimerSott.net
dim., 15 nov. 2020 09:48 UTC
- voir la liste sur site -
« J'ai transmis cette information à votre équipe. J'ai maintenant en ma possession la liste complète des près de 10 000 électeurs décédés qui ont voté pour Biden ici dans le Michigan. L'équipe Trump a maintenant la liste complète ! Ce n'est qu'un échantillon pour vous tous. »
Mike Detmer - Michigan Patriot
https://fr.sott.net/article/36292-Une-liste-de-10-000-morts-ayant-votes-pour-Biden-dans-le-Michigan-emerge
Le Général français Dominique Delawarde s'exprime sur les élections américaines, leur contexte et la possibilité d'une fraude
RépondreSupprimerSott.net
dim., 15 nov. 2020 12:43 UTC
Ancien chef « Situation-Renseignement-Guerre électronique » à l'État-major interarmées de planification opérationnelle, officier de l'Armée de Terre et ancien élève de l'École Spéciale Militaire de Saint-Cyr, le général Delawarde a porté l'uniforme de septembre 1959 à mars 2005.
Le général Delawarde a fait l'essentiel de sa carrière dans les chasseurs alpins et la Légion étrangère. C'est aussi un spécialiste de la gestion et de la formation des personnels, qui a tenu un poste important de responsable des officiers de liaison français aux États-Unis, pays dans lequel il vit une partie de l'année depuis son départ du service actif.
Le général Delawarde était à Sarajevo, au plus fort de la crise balkanique, durant l'hiver 1994-1995, alors qu'à la tête du 7e bataillon de chasseurs alpins il devait garantir un cordon ombilical vital à la ville assiégée en tenant le mont Igman.
Voici sa lettre écrite le 14 novembre dernier à propos des élections américaines, toujours en cours...
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Mes chers amis,
Nombre d'entre vous m'ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l'élection présidentielle américaine. Ma double casquette d'expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m'a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :
1 - Y-a-t-il eu fraude électorale et l'hypothèse d'un coup d'état visant à inverser le résultat de l'élection est -elle crédible ?
2 - Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.
Je vais m'efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.
Conflits d'intérêt de l'auteur ?
Il est important pour chacun d'entre vous de savoir, avant d'entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d'intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.
Ma réponse est non. J'ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998, époque dont je garde un excellent souvenir. J'ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J'ai visité 46 des 50 états de l'Union. La « Meritorius Service Medal » US m'a été remise à l'été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d'aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).
Si ma sévérité s'exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s'adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d'autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.
RépondreSupprimerJe suis devenu très réservé, voire hostile à l'OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions.
Mon expérience du renseignement m'a conduit à n'accorder qu'une crédibilité de plus en plus faible à l'énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.
Je n'apprécie pas l'action et/ou « l'influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.
L'auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.
Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine
Depuis l'échec de Hillary Clinton à l'élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l'iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en moindre proportion, chez les républicains.
A la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant :
« Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte ont une histoire, une culture et un héritage qu'elles chérissent et qui méritent d'être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer... »
Il a ajouté quelques secondes après :
« Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d'état avisés font toujours passer l'intérêt de leur propre pays en premier. L'avenir n'appartient pas aux mondialistes, l'avenir appartient aux patriotes. L'avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».
Chacun peut comprendre qu'un tel discours puisse susciter l'adhésion d'une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu'en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)..... Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15 % est une immense surprise, comme en 2016.
Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l'état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l'action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.
RépondreSupprimerLe président Trump, de son côté, n'est ni stupide, ni seul. Il dispose d'un très fort soutien populaire, d'une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l'Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l'écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l'instant...) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement ...). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l'état profond et des démocrates de le destituer (L'affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ..... parce qu'elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l'opinion publique US ont fini par s'en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019... )
Par ailleurs Trump est lucide lorsqu'il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord :
« S'il y a une chose que j'ai faite au cours de mon mandat, c'est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias. »
Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.
C'est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d'une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d'autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.
Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l'opinion ?
Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d'ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l'état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l'adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l'on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s'ils se soumettent et/ou s'autocensurent. On se trouve aujourd'hui dans une situation de « guerre de l'information » électorale. Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s'informer correctement.
Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n'ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l'image du président Trump dans l'opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l'élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l'élection était « pliée » et qu'une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l'exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C'est Trump qui l'a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu'ils ne relevaient pas de la marge d'erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et ... éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l'Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l'élection, ont révélé l'ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.
RépondreSupprimerL'Hypothèse d'une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?
Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d'indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s'y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n'interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu'il sera vraiment connu.
Voici les éléments qui me font douter de l'honnêteté du scrutin.
Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l'UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu'ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n'en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)
Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n'est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ....
Pour la première fois dans l'histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42 % des électeurs qui se sont exprimés l'ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.
Le vote par correspondance a d'ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu'il était jugé propice à la fraude électorale. Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd'hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l'opportunité « Covid ». Auraient-ils l'intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?...
Prétendre aujourd'hui qu'il n'y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n'est tout simplement pas crédible.
RépondreSupprimerSans reprendre à mon compte l'ensemble des fraudes dénoncées par les républicains, et énumérées dans cet article « États-Unis: La Tempête qui arrive (Enquêtes sur les Fraudes Électorales US) », je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.
Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d'entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n'étant pas, sur un clavier d'ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l'erreur involontaire paraît bien étrange... Elle ajoute avoir été notifiée de l'erreur 20 minutes plus tard et l'avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu'un s'est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu'elle était volontaire...)
C'est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :
Combien « d'erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ?
Combien « d'erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ?
Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?
Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l'écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l'Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?
J'observe que, dans cette marge de 1 %, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L'Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.
Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l'avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l'arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.
Vous l'aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1 %. Il est infiniment peu probable qu'il n'y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu'on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu'il s'agit d'autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu'il s'appelle Trump, donnaient l'image d'une « médiocre'atie », mais doit-elle devenir aussi une média'cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu'il faut penser, sur tous les sujets ?
Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.
RépondreSupprimerSi le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l'Europe et la France ?
Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu'il n'a plus toute sa tête (il sera dans sa 79e année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s'il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C'est d'ailleurs cet entourage qui l'aura aidé à l'emporter, c'est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.
Parce qu'il est d'obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d'une hégémonie absolue des USA sur la planète. L'étude approfondie de cet entourage (biographies, ascendances, réseaux et communauté d'appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s'attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d'Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s'ils n'existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l'a toujours fait dans le passé, pour l'aider à justifier ses ingérences.
Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).
Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s'empare de la maison blanche, des tendances inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021... et le sang se remettre à couler... L'OTAN n'a toujours pas compris qu'elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.
La mauvaise nouvelle est qu'une administration Biden chercherait aussi à impliquer l'OTAN, le Royaume Uni, la France et l'Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.
La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l'égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.
La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d'autre de l'Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15 % de voix de plus qu'en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d'États et s'approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes...
Carte du vote 2020 avec les votes pour Trump en rouge et les votes pour Biden en bleu :
RépondreSupprimer- voir la carte des Etats-Unis sur site -
Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n'importe quoi dans ces conditions d'autant que l'économie US est en berne et la dette abyssal.
Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l'Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu'on le veuille ou non, sinistrés.
Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s'occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s'ingérer partout dans les affaires d'états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).
Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s'étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu'on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d'observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine...
Dominique Delawarde
Source de l'article publié le 14 novembre 2020 : Réseau International
-- Commentaire : Voir aussi les articles liés :
Une liste de 10 000 morts ayant votés pour Biden dans le Michigan émerge
Dans tous les États, les données de la nuit des élections montrent que des MILLIONS de votes sont passés de Trump à Biden ou ont été « perdus »
Giuliani : 650 000 votes ont été comptés illégalement à Philadelphie et à Pittsburgh
Trump dépose une injonction d'urgence dans le Michigan pour fraude ; demande de recomptage sur les machines Dominion « défectueuses »
La politique étrangère de Joe Biden
Premier coup de semonce : La Géorgie annonce un « recomptage manuel complet » et un « audit » des votes pour les élections de 2020
Ne tombez pas dans le piège de cette opération psychologique ! Biden n'est pas officiellement le président élu, du moins pas encore...
Mise en évidence de la fraude aux élections US par la loi de Benford
Confessions sur la fraude électorale : « J'étais passé maître dans l'art de truquer les bulletins de vote par correspondance »
Elections US : Fraude à tous les étages « démon-crades » --
https://fr.sott.net/article/36296-Le-General-francais-Dominique-Delawardes-exprime-sur-les-elections-americaines-leur-contexte-et-la-possibilite-d-une-fraude
La SEULE solution est l'emploi de l'EMP.
SupprimerSophie Marceau et Carla Bruni font la promotion du documentaire Hold-up
RépondreSupprimerSott.net
dim., 15 nov. 2020 11:02 UTC
La star aux 495 000 abonnés Instagram a posté un message avec la photo du documentaire et ce légende :
Sophie Marceau
« Ils » nous appellent inutiles...
Carla Bruni-Sarkozy a « liké » la publication de la comédienne et Christophe Willem a lui salué son « courage ».
Sophie Marceau, Hold-up, Instagram Le lien Instagram : https://www.instagram.com/p/CHcitvHleBG/
-- Commentaire : Voir aussi : Le producteur de « Hold-Up » encourage la diffusion gratuite de son documentaire - Les liens --
https://fr.sott.net/article/36294-Sophie-Marceau-et-Carla-Bruni-font-la-promotion-du-documentaire-Hold-up
Bravo Sophie !
SupprimerCovid-19 : le nombre de Français atteints de troubles dépressifs a presque doublé en un mois
RépondreSupprimer14 nov. 2020, 14:47
Conséquence du reconfinement et du stress engendré par l'épidémie de coronavirus, le nombre de Français se déclarant atteints de troubles dépressifs est passé de 11% à 21% entre fin septembre et début novembre 2020, selon Santé Publique France.
D'après l'étude CoviPrev publiée dans le point épidémiologique hebdomadaire de Santé Publique France du 12 novembre, la part des Français se déclarant victimes de troubles dépressifs est passée de 11% à 21% entre la fin septembre et le moment où l'étude a été réalisée (4 au 6 novembre).
Le constat de l'agence placée sous la tutelle du ministère de la Santé est sans appel : «La santé mentale des Français s’est significativement dégradée entre fin septembre et début novembre avec une augmentation importante des états dépressifs pour l’ensemble de la population.» Une hausse déjà observée lors du précédent bulletin et qui touche particulièrement les jeunes (+16 points chez les 18-24 ans et +15 points chez les 25-34 ans), les inactifs (+15 points) et les personnes déclarant une situation financière très difficile (+14 points).
Ce sont ces dernières qui demeurent les plus touchées, car les états dépressifs concernent 35% des personnes déclarant une situation financière très difficile, contre seulement 14% pour celles déclarant une bonne situation financière. Une conséquence du confinement et de la crise liés au Covid-19
Selon l'étude, les sentiments les plus associés à ces troubles dépressifs sont l'isolement et la solitude, puis l’inquiétude vis-à-vis des conséquences du confinement sur la situation économique et financière, le fait que les proches adoptent moins les mesures de prévention, mais aussi de se sentir vulnérable au risque d’infection par le coronavirus.
Confrontée à cette face cachée de l'épidémie et de ses conséquences, Santé Publique France rappelle qu’il est important de ne pas rester seul. Des dispositifs en ligne existent, qui proposent à toute personne en détresse psychologique une écoute, un accompagnement et une orientation selon la nature des difficultés et besoins exprimés (le numéro national gratuit 0 800 130 000 est disponible 24h/24 et 7 jours/7, ainsi qu'une page ressource «santé mentale et Covid»). Le 13 novembre, le nombre de nouveaux cas confirmés de Covid-19 en 24h poursuivait sa décroissance (23 794), tandis que le nombre de décès liés à ce nouveau coronavirus s'élevait à 43 892.
https://francais.rt.com/france/80731-covid-19-nombre-francais-atteints-troubles-depressifs-double-mois
Notre État policier COVID veut aussi vous éloigner de Thanksgiving et de Noël
RépondreSupprimer15 novembre 2020
par Michael Snyder
Ne nous en ont-ils pas déjà assez enlevé ? Les verrouillages profondément oppressifs qui ont été institués plus tôt cette année nous ont plongés dans la pire récession économique depuis la Grande Dépression des années 1930, ont provoqué l'annulation de milliers et de milliers d'événements importants et ont fait monter en flèche le taux de suicide. Une fois ces verrouillages levés, le peuple américain a été grandement soulagé, mais maintenant notre État policier COVID est de retour pour plus. Comme je l'ai documenté au cours des derniers jours, de nouveaux verrouillages sont institués dans tout le pays en ce moment, et même nos vacances les plus chères sont ciblées.
Permettez-moi de commencer par parler d’une interview que Jake Tapper de CNN vient de mener avec Anthony Fauci. La plupart des Américains avaient supposé qu’une fois qu’un vaccin était largement distribué, nous n’aurions plus besoin de masques ou de distanciation sociale.
Eh bien, selon Fauci, ce n'est pas du tout le cas ...
Jake Tapper a déclaré: «Une fois que quelqu'un a été vacciné… Une fois le processus terminé, cela signifie-t-il qu'ils peuvent enlever leur masque, ne plus avoir à se distancer socialement et vivre leur vie comme avant ?»
Fauci a déclaré: «Je recommanderais que ce ne soit pas le cas. Je vous recommande d'avoir une zone de protection supplémentaire. De toute évidence, avec un vaccin efficace à plus de 90 %, vous pourriez vous sentir beaucoup plus confiant, mais je recommanderais aux gens de ne pas abandonner toutes les mesures de santé publique simplement parce que vous avez été vacciné. "
Comme je l'ai averti à plusieurs reprises à mes lecteurs, ils ont l'intention de changer la façon dont nous vivons en permanence.
Au cours de cette même interview, ils discutaient d'un calendrier pour la distribution des vaccins, et Tapper a laissé échapper ceci: «Noël ne sera probablement pas possible.»
En d'autres termes, les Américains ne devraient pas prévoir de passer un Noël normal cette année car on s'attend à ce que nous restions à la maison, que nous portions des masques et que nous éloignions les membres de notre famille élargie.
Bien sûr, Thanksgiving est beaucoup plus proche que Noël, et nos seigneurs COVID nous disent que nous ne pouvons pas non plus avoir un Thanksgiving normal. Par exemple, c'est ce que dit le chef du CDC…
Le directeur des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, Robert Redfield, a tenu un appel avec les gouverneurs du pays mardi. CNN a obtenu l'audio du chat, dans lequel Redfield a déclaré: «Ce que nous considérons comme la menace croissante en ce moment est en fait l'acquisition d'une infection par le biais de petits rassemblements familiaux ... En particulier à l'approche de Thanksgiving, nous pensons qu'il est vraiment important de souligner la vigilance ces mesures d’atténuation continues dans le cadre familial. »
RépondreSupprimerInutile de dire que nombre de nos hauts responsables politiques vont se conformer aux directives que nos «autorités sanitaires» ont émises. Par exemple, la maire de Chicago, Lori Lightfoot, a émis de nouvelles restrictions pour la ville de Chicago qui commencent lundi…
La commande, qui commence lundi, s'étend aux festivités de Thanksgiving. Les résidents sont «fortement conseillés» de ne pas avoir d'invités chez eux en dehors des travailleurs essentiels - même de la famille et des amis proches.
«Chicago a atteint un point critique dans la deuxième vague de COVID-19, exigeant que nous entreprenions cet effort multiforme et complet pour arrêter le virus dans son élan», a déclaré la maire Lori Lightfoot dans le communiqué.
Au moins, l’ordre de Lightfoot n’est pas aussi draconien que le mandat que le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a ordonné à tous les Californiens de suivre ce Thanksgiving.
Si vous pouvez le croire, Newsom a décidé de limiter Thanksgiving à un «événement en plein air» de deux heures…
Des célébrités se sont tournées vers les réseaux sociaux pour critiquer la répression de Thanksgiving «ridiculement inapplicable» du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui interdit le chant et les cris et limite les vacances à un événement en plein air de deux heures.
«Si ma tante vient, puis-je lui jeter une tranche de dinde par la fenêtre ?» Se moquait l’acteur Rob Schneider en faisant exploser «l’empereur Newsom».
La bonne nouvelle est que le peuple américain en a assez de se voir retirer ses droits et commence à se battre contre des restrictions absurdes comme celles-ci.
La mauvaise nouvelle est que les nouveaux verrouillages qui sont institués partout aux États-Unis vont inévitablement écraser à nouveau notre économie.
S'ils durent assez longtemps, certaines industries peuvent être presque entièrement détruites. Par exemple, avant même ces nouveaux verrouillages, on nous disait que ce serait un miracle si la moitié des hôtels de New York survivent à cette pandémie…
Selon Vijay Dandapani, directeur général de l’Hotel Association of New York, si la moitié des 640 hôtels de la ville survivent, ce sera un «grand» résultat. Bien que les taux d'occupation se soient rétablis de leur pire point d'avril, où le taux d'occupation était en baisse de plus de 60% sur un an, ils restent 20% inférieurs à ceux du même mois en 2019, un niveau qui signifie qu'une grande partie de la dette qui soutient les propriétés sera dépréciée (c'est-à-dire par défaut). Si New York impose une nouvelle série de verrouillages draconiens, cela ne fera qu'empirer.
Mais bien sûr, certaines entreprises sont en plein essor pendant cette période.
Par exemple, les psychologues et les thérapeutes sont extrêmement occupés à traiter ceux qui «se sentent seuls et déprimés»…
Les affaires sont en plein essor pour Maria Mir. Dans des circonstances normales, elle prend peu de temps en novembre et décembre; les vacances sont sa saison chargée. Mais nous sommes en 2020. Rien n'est normal. Et tout le monde semble avoir besoin d'elle à la fois.
RépondreSupprimerMir est un thérapeute matrimonial et familial agréé. Elle a l'habitude que les patients se sentent seuls et déprimés à l'approche de Thanksgiving et de Noël. Mais «cette période particulière est différente», dit-elle. «Même les personnes qui ne se sont pas senties seules dans le passé ressentent maintenant cet isolement.»
C'est encore un autre exemple qui montre que les élections comptent vraiment.
Pendant des années, le peuple américain a voté pour des monstres du contrôle psychotique dans tout le pays, et nous ne devrions donc pas être surpris qu'ils agissent en fait comme des monstres du contrôle psychotique pendant une crise majeure.
On nous dit que ce sera un très «hiver sombre», et tout comme nous l'avons vu plus tôt cette année, de nombreux Américains s'approvisionnent fébrilement en nourriture et autres produits de base…
Les craintes que l'augmentation du nombre de cas encouragent les gens à acheter en gros et à s'approvisionner en produits de base ont incité les grandes chaînes d'épicerie à prendre des mesures préventives et à limiter les achats.
Kroger, la plus grande chaîne d'épicerie aux États-Unis, a imposé des limites d'achat sur des produits essentiels tels que le papier hygiénique, les serviettes en papier, les lingettes désinfectantes et le savon pour les mains, selon Fox Business.
Si vous ne l'avez pas déjà fait, je vous encourage vivement à vous approvisionner également.
Ce sont des temps tellement incertains et j'ai le sentiment que les choses vont devenir encore plus folles dans les semaines à venir.
Si le nombre de cas continue d'augmenter, les restrictions qui nous sont imposées vont tout simplement devenir encore plus lourdes, et il semble définitivement que nous sommes dans un début très difficile en 2021.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/our-covid-police-state-wants-to-take-thanksgiving-and-christmas-away-from-you-too
PARIS : HAUSSE DES FRAIS DE NOTAIRE ET STATIONNEMENT DEUX-ROUES PAYANT ?
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
16/11/2020
Anne Hidalgo compte augmenter les frais de notaires de 0,3%.
Voilà qui ne va pas aider Anne Hidalgo à améliorer son image auprès des Parisiens, nombreux étant ceux qui n’apprécient pas les réformes écologiques de la maire de gauche. Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, publié le 15 novembre 2020, elle dévoile une série de mesures qui vont à l’encontre de son propre programme de campagne. Plusieurs augmentations sont prévues, notamment au niveau des frais de notaire.
Les deux-roues vont payer leur stationnement
Jusque-là, les deux-roues, qui se comptent par dizaines de milliers dans la Capitale, avaient un avantage sur les voitures : outre réussir à trouver une place facilement, parfois sur les trottoirs ce qui est illégal, ils ne payaient pas leur stationnement. Une véritable économie d’échelle, surtout pour les salariés qui se rendent au travail tous les jours. Mais ce temps risque d’être bientôt révolu.
Anne Hidalgo et son équipe compte en effet instaurer le stationnement payant pour les scooters, les motos et l’ensemble des deux roues motorisés, révèle Le Parisien. Interrogé, David Belliard, adjoint écologiste en charge des déplacements, explique que si rien n’est encore décidé, « la décision définitive sera prise dans les prochaines semaines, sans doute début janvier ».
Avec près de 100.000 deux-roues qui circulent tous les jours dans la Capitale, la manne financière est énorme… et la mairie de Paris a besoin d’argent. Fortement endettée, la situation s’est dégradée avec la crise de la Covid-19.
Des hausses de taxes en pagaille à Paris
Le stationnement payant des deux-roues n’est pas la seule piste que la municipalité a en tête pour renflouer les caisses : alors qu’elle avait promis que les taxes n’augmenteraient pas, Anne Hidalgo semble être revenue sur cette promesse de campagne… et pas de manière anecdotique.
Pour commencer, une hausse de la taxe de séjour sur les locations AirBnb est envisagée : une mauvaise nouvelle pour le tourisme, mis à mal par la crise sanitaire et qui risque de mettre plusieurs années à retrouver son niveau d’avant-crise. D’autant plus que désormais, il est possible d’augmenter cette taxe de séjour pour les meublés touristiques de 2,30 à 4,10 euros maximum, souligne Le Parisien.
Autre augmentation : la taxe d’habitation pour les résidences secondaires qui risque d’exploser. Le surplus de taxe à payer pour les propriétaires de ces maisons passerait de 60 % aujourd’hui à 100 %…
Enfin, et pour le coup ça risque de freiner un marché immobilier qui commence à montrer des signes de ralentissement, les DMTO (Droits de Mutation à Titre Onéreux), mieux connus sous le nom de « frais de notaire », grimperaient de 0,3 % passant de 4,5 % à 4,8 %. Une hausse relativement légère, mais vu le prix de l’immobilier dans la Capitale, les montants sont conséquents.
http://www.economiematin.fr/news-paris-hidalgo-hausse-taxes-airbnb-frais-notaire-stationnement-deux-roues
Origine du Sars-cov-2, brevet/scoop, actu 2e vague covid-19 & traitements. Alexandra Henrion-Caude
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=3jhLNKXprDk
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Alexandra Henrion-Caude : "L’épidémie à ce jour ne justifie pas une urgence sanitaire nationale"
Interview du 15 Novembre 2020
- 49:07 Certificat de complaisance !
- 51:00 46 €/pour un test PCR et si positif + 30 € (76€)
https://www.youtube.com/watch?v=M7s38PJ9wzc
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On vous dit tout sur les MASQUES
https://www.youtube.com/watch?v=hw2wOHLFfZU
voir aussi:
Bactéries dévoreuses de plastique : quelles solutions ?
https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/bacteries-bacteries-devoreuses-plastique-solutions-9812/
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COVID19 : L’épidémie est terminée ?
https://www.youtube.com/watch?v=6C1JuPim4cw
Conseiller Trump COVID: "La seule façon dont cela s'arrête est si les gens se lèvent"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 09:14
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le Dr Scott Atlas, membre éminent du groupe de travail du président Trump sur les coronavirus, a annoncé dimanche que «la seule façon dont cela s'arrête est si les gens se soulèvent.»
Atlas répondait au décret d'un nouveau verrouillage par le gouverneur démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer.
Atlas a tweeté un fil avec l'annonce de Whitmer et un graphique réalisé par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Michigan mettant en évidence ce qui sera autorisé à rester ouvert et ce qui sera forcé de fermer.
Atlas a encouragé les gens du Michigan à «se lever» et a ajouté: «Vous obtenez ce que vous acceptez. #FreedomMatters #StepUp »:
Les gauchistes ont immédiatement accusé le médecin d’encourager la violence et de «mettre en danger» la vie de Whitmer:
Atlas a précisé qu'il n'avait jamais approuvé la violence d'aucune sorte:
Whitmer a répondu à Atlas lors d'une interview avec CNN, déclarant: «Nous savons que la Maison Blanche aime nous distinguer ici dans le Michigan - moi en particulier. Je ne vais pas être victime d'intimidation pour ne pas suivre des scientifiques et des professionnels de la santé réputés. "
https://www.zerohedge.com/markets/trump-covid-adviser-only-way-stops-if-people-rise
Bravo le Dr Scott Atlas !
SupprimerC’est à cause des militaires que l’énergie nucléaire civile est dangereuse !
RépondreSupprimerle 16 novembre 2020
Demandez à quelqu’un pourquoi il est contre les OGMs, d’une manière générale il n’en sait rien. Si vous lui dites que la vaccination contre le SARS-CoV-2 à l’aide d’ARN messager viral transformera tous les hommes en OGMs il croira que c’est une blague de mauvais goût, et pourtant c’est la triste vérité. Demandez à une personne pourquoi elle est opposée à l’énergie nucléaire civile et de préciser ses arguments. Elle balbutiera et ne saura pas trop quoi répondre si ce n’est que c’est dangereux tout en ignorant totalement l’aspect dangereux de l’énergie nucléaire en comparaison d’autres sources d’énergie. Dans ces deux cas emblématiques qui agitent l’opinion il y a une ressemblance frappante : les gens sont pour ou contre telle ou telle nouvelle technologie et qu’ils soient pour ou contre, ni les uns ni les autres ne connaissent vraiment les raisons qui ont motivé leur prise de position devenue avec le temps immuable. Ils ont cru à un moment donné, dont ils ne se souviennent plus, que l’énergie nucléaire était dangereuse comme ils ont cru aussi que les OGMs étaient une invention mauvaise pour la nature. À de très rares exceptions ces personnes n’ont pas pris la peine de faire l’effort basique de se documenter. Avec Internet c’est facile, il n’est plus nécessaire d’aller musarder dans une bibliothèque universitaire pour trouver un ouvrage confus qui exposera en détail le fonctionnement d’un réacteur nucléaire ou le cheminement complexe permettant d’aboutir à une plante génétiquement modifiée. Encore faut-il décider de se documenter objectivement et cela demande un réel effort auquel peu de personnes acceptent de se plier.
Pour l’énergie nucléaire la situation émotionnelle est trop souvent prédominante et il est malheureusement nécessaire d’admettre que si l’atome n’avait pas été en premier lieu utilisé par les militaires pour confectionner des armes de destruction massive l’énergie nucléaire à usage civil aurait été parfaitement admise par l’opinion et serait probablement aujourd’hui la source d’électricité la plus répandue dans le monde, du moins dans les pays pouvant se le permettre sur le plan technologique et financier. Si la bombe atomique n’avait jamais existé, une sorte d’utilisation déviante de la fission nucléaire, il y a bien longtemps qu’on ne brûlerait plus un seul kilo de charbon ou un seul litre de pétrole pour produire de l’électricité. Il y a eu malheureusement l’intervention des militaires et c’est à eux qu’incombe la responsabilité d’avoir rendu l’énergie nucléaire aussi impopulaire. Tout a commencé avec le premier essai nucléaire « Trinity » au Nouveau-Mexique, le 16 juillet 1945, prélude aux bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki au Japon, l’aboutissement du projet Manhattan. Voici donc le récit de Satya Vatti, une journaliste de BreakThroug News qui vit à Albuquerque dans ce même Etat du Nouveau-Mexique qui démontre la dangerosité du nucléaire militaire.
Les victimes du premier test nucléaire sur le sol américain, 75 ans après, cherchent toujours réparation auprès de la justice.
«Ils pensaient que le monde touchait à sa fin», explique Genoveva Peralta Purcella (12 novembre 2020).
Le 16 juillet 1945, la toute première bombe nucléaire a été testée au Nouveau-Mexique, dans le sud-ouest des États-Unis. La détonation portait le nom de code « Trinity ». C’est le jour qui scellerait le sort de nombreux Américains vivant dans les environs pour les générations à venir. À soixante-dix miles (75 kilomètres) de ce qui est devenu connu sous le nom de Ground Zero – le site d’essai de Trinity – la famille de Genoveva vivait dans un ranch juste à l’extérieur du village de Capitan au Nouveau-Mexique. Genoveva est née l’année suivant l’explosion. Maintenant âgée de 74 ans, elle raconte solennellement comment sa famille se souvient du jour qui allait changer leur vie à jamais. Les sœurs de Genoveva étaient venues rendre visite à leur père et à leur mère enceinte au ranch. À précisément 5 h 30, à l’aube, le ciel s’est soudainement assombri. N’ayant pas d’autre point de référence, ils ont confondu les rugissements et les grondements anormalement forts dans le ciel pour du tonnerre. La maison entière a commencé à trembler. Effrayée, la famille s’est blottie dans un coin.
RépondreSupprimerLorsque le ciel s’est dégagé, son père est sorti de la maison et il a remarqué qu’il était d’un coup recouvert d’une poudre blanche. La poudre était partout et couvrait tout autour de lui. Rien n’y échappait, ni les vaches que la famille avait élevées, ni les légumes du jardin, ni l’eau de pluie qu’ils stockaient en l’absence d’eau courante. Comme d’autres familles qui ont vécu cette expérience, la famille de Genoveva a balayé la poudre et consommé ses légumes et l’eau stockée. L’explosion a produit tellement d’énergie qu’elle a incinéré tout ce qu’elle avait atteint et a formé une boule de feu qui s’est élevée à plus de 12 kilomètres dans l’atmosphère. Cette boule de feu a créé des cendres qui sont retombées comme de la neige sur les communautés entourant le site de l’explosion. Les gens ne le savaient pas alors, mais ces cendres qui couvraient des milliers de kilomètres carrés étaient les retombées radioactives de l’explosion.
L’effroi a saisi les communautés du bassin de Tularosa qui ont soit été témoins, soit ont vécu le phénomène qu’elles ne pouvaient pas comprendre. Pendant ce temps, la réaction immédiate du personnel du projet Manhattan, qui a créé la bombe, a été « de la surprise, de la joie et un grand soulagement ».
Paul Pino, le cousin de Genoveva, né neuf ans après l’explosion de Trinity, dit que sa famille, qui vivait à 33 miles (55 kilomètres) du site de l’explosion, comptait parmi les nombreuses personnes qui ignoraient ce qui s’était passé ce jour-là. Dans les jours et les mois qui ont précédé l’explosion, les responsables du gouvernement américain n’ont informé aucunes des personne vivant dans la région du test imminent d’une bombe nucléaire. Personne dans le bassin de Tularosa n’a été évacué en lieu sûr. Le lendemain de l’essai nucléaire, les responsables ont commencé à construire un faux récit dans la conscience de la nation : la région était isolée et inhabitée. Et pourtant, des dizaines de milliers de personnes vivaient dans le bassin de Tularosa en 1945. Pendant longtemps, les habitants du bassin ont cru que l’explosion était celle d’un dépôt de munitions. « Le gouvernement nous a menti », a déclaré Pino.
Il faut 24 000 ans pour que la moitié de ce qui reste du plutonium radioactif utilisé dans la bombe Trinity se désintègre. Les habitants de la région ont inhalé et ingéré des particules radioactives pendant 75 ans en raison de la contamination environnementale. Les personnes au pouvoir refusent d’accepter leur responsabilité et de prendre des mesures correctives. À ce jour, il n’y a eu aucun effort de nettoyage.
L’exposition aux radiations a causé des taux élevés de cancers agressifs, de maladies thyroïdiennes, de mortalité infantile et d’autres anomalies de santé dans des générations de familles dans la région du bassin de Tularosa. L’ampleur de l’impact sur la santé ne peut être déterminée avec précision car les études épidémiologiques à long terme n’ont été entreprises que récemment. Les résultats des dernières études de recherche du National Cancer Institute ont été publiés en septembre 2020 dans la revue Health Physics.
RépondreSupprimer« Nous étions 10 et maintenant, un seul survit », a déclaré Genoveva en parlant d’elle-même. Elle a perdu tous les membres de sa famille à cause de cancers. Dans un pays sans soins de santé universels, l’endettement des dépenses médicales a entraîné la ruine économique des communautés proches du site de Trinity. « Toute la douleur et ces souffrances que nous avons dû endurer, et pas un soupçon d’aide du gouvernement », dit Pino, et « pendant ce temps, ce gouvernement a dépensé des milliers de milliards pour les armes nucléaires ». L’histoire de Genoveva n’est pas exceptionnelle. C’est l’histoire de dizaines de milliers de familles aux États-Unis.
Plus de 1 000 essais de bombes nucléaires ont été effectués aux États-Unis entre 1945 et 1992. Un total de 100 essais hors sol ont été effectués sur le site d’essai du Nevada de 1951 à 1962. Les vents ont transporté des retombées radioactives sur des milliers de kilomètres. Des centaines de millions de personnes vivant aux États-Unis ont été exposées à des niveaux de rayonnement variables au fil des ans, sans qu’ils en aient été informés. Le Nouveau-Mexique était sous le vent du site d’essai du Nevada, et les gens qui y vivaient ont continué à être exposés à la radioactivité pendant des décennies après l’exposition initiale pendant l’essai nucléaire de Trinity.
Les habitants des communautés touchées ont fondé le Consortium des Downwinders (personnes se trouvant « sous le vent » du Nevada) du bassin de Tularosa en 2005 pour lutter pour obtenir justice pour les survivants et leurs descendants. Tina Cordova, l’un des cofondateurs du groupe, a été choquée d’apprendre que quelques-uns des États touchés voisins du Nouveau-Mexique recevaient une compensation financière en vertu de la loi sur la compensation de l’exposition aux radiations depuis 1990. Les communautés du Nouveau-Mexique, cependant, ont été exclues des clauses de cette loi. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi, Cordova a répondu : « C’est la question à un milliard de dollars. Je pense que nous sommes exclus parce que nous sommes principalement des Hispaniques mexicains, des Autochtones et des Latinos. Nous sommes des minorités et nous sommes pauvres ». Cordova elle-même est la quatrième génération de sa famille à avoir un cancer. Elle s’est jointe à d’autres comme elle pour éduquer et organiser les communautés affectées, pour lutter afin d’établir la vérité. « Dans leur précipitation [du gouvernement] pour bombarder le Japon, nous avons été sacrifiés dans le processus. Nous avons été enrôlés au service de notre pays, sans le savoir, ne le voulant pas, et nous restons toujours sans compensation.
Liens. https://en.wikipedia.org/wiki/Trinity_%28nuclear_test%29
Trinity: “The most significant hazard of the entire Manhattan Project”
https://www.osti.gov/opennet/manhattan-project-history/Events/1945/trinity.htm
- voir doc sur site -
https://eu.detroitnews.com/story/news/nation/2015/07/16/trinity-test-anniversary/30233105/
https://www.atomicheritage.org/history/trinity-test-1945
https://dceg.cancer.gov/research/how-we-study/exposure-assessment/trinity
https://www.trinitydownwinders.com/
http://www.radiationexposurecompensationact.com/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/16/cest-a-cause-des-militaires-que-lenergie-nucleaire-civile-est-dangereuse/
Un autre avocat de Trump harcelé alors que les défis électoraux traversent les tribunaux
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 12:00
Quelques jours après qu'un cabinet d'avocats représentant la campagne Trump s'est retiré de l'affaire à la suite d'une campagne de pression du projet anti-Trump Lincoln pour les 'annuler', un autre avocat de Trump a déclaré qu'elle était harcelée pour son implication dans l'affaire.
L'avocate de Philadelphie, Linda Kerns, a déclaré dimanche dans un dossier judiciaire qu'un avocat du cabinet d'avocats Kirkland & Ellis à Washington lui avait laissé un message vocal d'une minute qui «allait à l'encontre des normes de conduite professionnelle». Il convient de noter que Kirkland & Ellis représente la secrétaire d'État de l'AP Kathy Boockvar, une défenderesse dans l'affaire.
«Depuis que cette affaire a été déposée, l'avocat soussigné a fait l'objet d'un harcèlement continu sous la forme de courriers électroniques abusifs, d'appels téléphoniques, de menaces physiques et économiques et même d'accusations de trahison - le tout pour avoir représenté la campagne du président des États-Unis. .. " a écrit Kerns dans son dossier.
«Le 14 novembre 2020 à 8 h 43, un avocat de Kirkland & Ellis a laissé un message vocal d'une minute pour l'avocat soussigné. Le message vocal ... parle de lui-même et, par toute mesure, va à l'encontre des normes de conduite professionnelle.
L'avocat de Kirkland & Ellis dans l'affaire a d'abord tenté de suggérer que ce n'était pas l'un de leurs employés qui avait téléphoné - avant de finalement l'admettre. Ils ont ensuite 'excusé la conduite en disant que l'avocat (qui travaille dans le même bureau) ne travaille pas sur cette affaire ou dans un litige', tout en convenant que l'appel était 'discourtois'.
Comme l'écrit le constitutionnaliste Jonathan Turley sur JonathanTurley.org à propos des efforts visant à 'annuler' les avocats de Trump:
Dans les 24 heures suivant le déclenchement des élections, les médias et un ensemble d'analystes juridiques n'ont déclaré aucune preuve de fraude électorale pour changer le résultat. Le problème était que nous n’avions même pas vu les documents ou les preuves de la campagne Trump. Alors que les avocats de Trump ont commencé à déposer des plaintes, alléguant tout, des électeurs décédés à l'authentification biaisée, la solution est devenue claire: se débarrasser des avocats. Pas d'avocats, pas de cas, pas de Trump.
Ce qui est le plus troublant, c'est que cet effort est dirigé ou encouragé par des avocats. Prenez le chroniqueur du Washington Post Randall Eliason, qui a acquis une notoriété en soutenant un éventail de théories sur la destitution ou les poursuites pénales contre Trump, y compris une interprétation de corruption rejetée depuis longtemps par la Cour suprême et non adoptée même par le Comité judiciaire de la Chambre, avide de destitution. Eliason a écrit une colonne: "Oui, il est juste de s'attaquer aux cabinets d'avocats de Trump." (Tout semble juste si la cible ultime est Trump.) Eliason a ignoré l'idée qu'attaquer les avocats d'une personne, plutôt que ses positions, est hors de propos: «Le droit est une profession, mais ces méga-cabinets sont aussi de grandes entreprises. Comme toute entreprise, ils peuvent être tenus responsables par le public - et par leurs autres clients. "
Cependant, la loi ne ressemble à aucune autre entreprise. Les avocats parlent pour d'autres, y compris certains des moins populaires parmi nous. J'ai représenté des clients allant des juges, des membres du Congrès et des dénonciateurs aux espions, aux terroristes et aux polygames. Beaucoup étaient détestés par le public, qui exigeait que je sois renvoyé de ma faculté de droit - mais je n'ai jamais vu une telle campagne menée par des avocats contre des avocats.
RépondreSupprimerNotre système juridique fonctionne mieux lorsque des avocats compétents présentent des cas à des juges impartiaux. Dans ce cas, quelque 72 millions d'Américains ont voté pour Trump, et beaucoup pensent que les changements dans le processus - en particulier l'augmentation massive du vote par correspondance - ont miné l'intégrité de l'élection. C'est pourquoi ces affaires sont importantes: la foi en nos systèmes juridiques et politiques dépend d'un accès équitable et d'une représentation devant les tribunaux.
Comme par le passé, il existe une symbiose inquiétante entre les médias et les militants se nourrissant les uns des autres. Lorsque Biden était considéré comme le vainqueur probable, les théories des irrégularités de vote sont instantanément devenues des «théories du complot». Des groupes comme le Lincoln Project ont ciblé les cabinets d'avocats et lancé une campagne pour forcer les avocats à abandonner Trump en tant que client.
Cet effort a conduit Twitter à bloquer le projet Lincoln pour avoir ciblé des avocats individuels de Trump dans un tweet (accompagné d'un emoji en forme de crâne et d'os croisés) jugé menaçant et abusif. Cela ne faisait que ravir le projet Lincoln. Il aurait rejoint les démocrates pour cibler des cabinets d'avocats comme Porter, Wright, Morris & Arthur et menacer ses avocats de ruine professionnelle. Il a affirmé que toute entreprise travaillant pour Trump sur un litige électoral faisait partie d'une «attaque dangereuse contre notre démocratie». Tenter de dépouiller les gens de leurs conseils, bien sûr, est la véritable attaque contre notre démocratie - et cela a fonctionné: le cabinet a cédé et s’est retiré, affirmant que la pression avait provoqué des luttes internes et au moins la démission d’un avocat.
D'autres campagnes ont ciblé des avocats individuels et ce que l'on appelait autrefois les «compagnons de route» pendant la période McCarthy. Après les élections, la représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-N.Y.) A appelé les libéraux à rassembler des listes d'ennemis de ces «complices» de l'administration Trump. (Ironiquement, la première entrée d'un substitut de Bernie Sanders était les républicains qui ont fondé le projet Lincoln). L'ancien porte-parole d'Obama, Hari Sevugan, a fièrement tweeté: «Le personnel de WH commence à chercher du travail. Les employeurs qui les envisagent devraient savoir qu'il y a des conséquences à engager quiconque a aidé Trump à attaquer les valeurs américaines.
Cependant, l'effort pour intimider les avocats représentant Trump ou sa campagne n'est pas une question de vengeance. C'est une question d'assurance. Même si le succès de ces défis est faible et en diminution, les opposants ne veulent pas risquer un contrôle judiciaire du vote. Les campagnes sur les réseaux sociaux ont ciblé les clients de cabinets comme Jones Day, tandis que le Lincoln Project a promis 500 000 $ pour faire de la vie de ces avocats un véritable enfer. C'est le genre de tactique utilisée par Antifa et d'autres militants pour «déplatformer» les orateurs ou harceler des individus chez eux.
Trump est très impopulaire auprès de nombreux Américains - et de pratiquement tous les médias - il est donc populaire de harceler quiconque le soutient ou le représente. C'est la justice populaire qui vise le système judiciaire lui-même. Pourtant, des avocats comme Eliason applaudissent cet effort.
RépondreSupprimerEliason justifie un tel harcèlement en affirmant que la campagne Trump et les groupes républicains «ont intenté des poursuites judiciaires qui semblent contenir des allégations de fraude sans fondement et qui cherchent à faire rejeter les votes légaux». Notez le mot «apparaissent». Eliason ne savait pas quand il a écrit la chronique parce qu'il n'a pas vu les preuves. Moi non plus. Nous n'avons commencé à voir des preuves sous-jacentes (ou leur absence) que cette semaine alors que les tribunaux tenaient des audiences sur les motions en instance. C'est la différence entre vouloir que quelque chose soit vrai et savoir que quelque chose est vrai. C'est généralement ce que les tribunaux déterminent.
Pourtant, il y a peu de patience pour discuter, et encore moins plaider, ces questions juridiques. Vendredi, j'ai discuté de ces défis, y compris un district du Michigan où des milliers de votes Trump ont été initialement comptés comme des votes Biden; le district a utilisé le même logiciel de vote qui a fait l'objet de nombreux débats nationaux. Bien que j'explique que le décompte erroné résulte d'une erreur humaine et de «rien de néfaste», la question demeure de savoir si ces nouveaux systèmes ou logiciels pourraient être vulnérables aux erreurs humaines. Bien que j'aie déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de problèmes systémiques, le professeur de droit du Colorado, Paul Campos, m'a dénoncé comme étant un «négateur de l'Holocauste» qui devrait être renvoyé.
Notamment, la personne la plus minée par ces efforts est Joe Biden. Plutôt que d'appeler à un examen transparent de ces affaires pour affirmer sa légitimité en tant que président élu, ses partisans harcèlent les avocats et mènent une campagne hystérique de représailles. C'est une tournure ironique: pendant des années, beaucoup d'entre nous se sont émerveillés de la culpabilité de Trump dans ses efforts pour intimider les accusateurs et saborder l'enquête sur la Russie. La meilleure chose pour Trump aurait été de soutenir une enquête complète et ouverte. De même, il n'y a actuellement aucune preuve convaincante de fraude électorale systémique, et la meilleure chose pour Biden serait de soutenir une enquête complète et ouverte. Les menaces et la couverture médiatique biaisée ne font qu'aggraver les soupçons des électeurs de Trump.
Il existe une alternative. Nous pouvons tous convenir que chaque vote doit être compté et que chaque cas de vote doit être entendu. Nos systèmes politiques et juridiques exigent tous deux un acte de foi - et cette crise de foi est maintenant passée du système politique au système juridique. Les tribunaux sont censés être là où la raison transcende la rage qui règne à l'extérieur du palais de justice. Cependant, il faut toujours des avocats.
https://www.zerohedge.com/political/another-trump-attorney-harassed-election-challenges-move-through-courts
"Non, c'est Trump": le vérificateur du recomptage de la Géorgie affirme que plusieurs bulletins de vote de Trump ont été frauduleusement appelés à Biden
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 20:25
Un observateur du recomptage du GOP en Géorgie affirme que plusieurs bulletins de vote enregistrés comme Biden étaient en fait des votes pour Trump, et les travailleurs chargés du recomptage se sont mis en colère lorsqu'il a rapporté ce qui se passait aux responsables électoraux.
- voir doc sur site -
L'initié a déclaré à Project Veritas: "La deuxième personne était censée vérifier correctement, trois fois en trois minutes, elle a appelé Biden", ajoutant: "Le deuxième auditeur l'a attrapé et elle a dit:" Non, c'est Trump. ""
"Maintenant, c'est juste pendant que je me tiens là. Alors, est-ce que le deuxième vérificateur le rattrape à chaque fois ? Mais cette dame en trois fois en trois minutes de 2:09 à 2:12, elle s'est trompée trois fois." "Il a continué, ajoutant "Ils appelaient leurs patrons. Ils me montraient du doigt ..."
Regarder:
- voir doc sur site -
Plus tôt dans la journée, le secrétaire d'État de Géorgie, Brad Raffensperger, a riposté contre les allégations selon lesquelles il aurait facilité un dépouillement injuste et illégal. Il a également été accusé d'avoir tenté d'ignorer complètement le recomptage manuel et, au départ, "voulait simplement rescanner les codes à barres et en finir".
https://www.zerohedge.com/political/no-trump-georgia-recount-auditor-claims-multiple-trump-ballots-fraudulently-called-biden
À qui l'ordre mondial ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 17/11/2020 - 00:00
Rédigé par Matthew Ehret via le blog The Saker,
Dans son article sur la politique étrangère d'avril 2020, Biden déclare qu'il renversera le bilan embarrassant de Trump en matière de politique étrangère en tenant tête à la fois à la Chine, à la Russie et aux autres nations totalitaires qui représentent le triple fléau de «l'autoritarisme, du nationalisme et de l'illibéralisme» et «une fois les États-Unis mènent davantage le monde ».
Biden est allé plus loin en promettant de réparer le tort que Trump a fait à l'OTAN en renforçant le corps militaire, en étendant son influence au Pacifique (qui ressemble beaucoup à la doctrine Esper / Pompeo pour le Pacifique), et a même exigé que l'OTAN aille plus fort. sur la Russie déclarant que «le Kremlin craint une OTAN forte, l'alliance politique militaire la plus efficace de l'histoire moderne».
Compte tenu du bilan politique de près de 45 ans de Biden soutenant chaque intervention militaire de l'histoire américaine, s'opposant à la déségrégation, faisant l'éloge du sénateur pro-KKK Strom Thurmond, adoptant des projets de loi incarcérant à vie les petits trafiquants de drogue au nom du complexe industriel des prisons à main-d'œuvre bon marché et soutenant le rampant croissance de Wall Street, de Big Pharma et de l'État de surveillance dirigé par Big Tech, nous devrions réfléchir à deux fois avant de célébrer l'entrée possible de cet homme dans les couloirs du plus haut bureau des États-Unis.
L'appel de Biden au renouvellement de l'alliance de l'OTAN en opposition à la Russie et à la Chine, son soutien à l'inversion des appels de Trump à la réduction militaire au Moyen-Orient et son soutien à l'extension de l'OTAN dans le Pacifique mélangés à son bilan de toute une vie, nous obligent à nous demander si Glen Greenwald avait raison lorsqu'il a quitté l'Intercept le 1er novembre en disant:
«Si Biden gagne, ce sera la structure du pouvoir: un parti démocratique pleinement uni avec les néoconservateurs, les agents de Bush / Cheney, la CIA / FBI / NSA Wall Street et la Silicon Valley: se présentant comme la seule protection contre le fascisme. Et une grande partie de la gauche continuera à marcher derrière elle.
Il s'avère que l'avertissement de Greenwald était absolument pertinent, car l'ensemble de l'appareil de renseignement, de la Big Tech et du complexe des médias grand public qui a désespérément travaillé pour évincer le président Trump pendant 4 ans et mène actuellement une vaste opération de fraude électorale au moment où cela est écrit, a donné son un soutien total au récit de «l'inévitable d'une présidence Biden».
Dans un article du 11 novembre d'Antiwar.com intitulé Biden's Pentagon Transition Team Members Funded by the Arms Industry, le journaliste Dave DeCamp démontre que sur les 23 membres de l'équipe de transition du Pentagone de Biden, plus d'un tiers sont directement liés à l'OTAN et au complexe militaro-industriel.
Alors que des faits continuent d'émerger de la structure corrompue de l'État profond qui domine totalement l'hologramme gériatrique connu sous le nom de Joe Biden, il est devenu évident que même les quelques remarques positives faites par Biden en faveur du renouvellement du traité START avec la Russie ont peu de poids.
Ignorant le danger très réel d'une nouvelle guerre civile en raison du fait que l'un ou l'autre de ces résultats se verra refuser sa légitimité par la moitié de la nation, la question doit être posée: si Trump est remplacé par une présidence Biden le 20 janvier, que sera les effets à la fois sur la stabilité mondiale et les relations américano-russes-chinoises ?
RépondreSupprimerIl est bon que Biden soutienne le renouvellement de START, mais une majorité croissante de pays optent pour une alliance multipolaire fondée sur la défense de la souveraineté nationale, le droit d'utiliser le protectionnisme et la construction de mégaprojets à grande échelle tels que la nouvelle route de la soie, Route de la soie polaire, exploration spatiale avancée et corridor de transport nord-sud.
Les mesures très protectionnistes qui ont permis aux États-Unis (et à toutes les nations du monde d'ailleurs) de construire leur base industrielle et leur souveraineté économique sont directement attaquées par Biden qui réclame «la suppression des barrières commerciales et la résistance au dangereux glissement mondial vers le protectionnisme» (ce qu'il va jusqu'à affirmer sans preuve "a causé la grande dépression" et "conduit à la Seconde Guerre mondiale").
Attaquant Trump pour avoir été doux envers l'Initiative impériale chinoise de la ceinture et de la route qui, selon Biden, n'est qu'un «sous-traitant de la pollution vers d'autres pays en finançant des milliards de dollars de projets d'énergie fossile sale», Biden demande alors: «qui écrit les règles qui régissent Commerce ?" et répond: "Les États-Unis, et non la Chine, devraient diriger cet effort."
Au-delà des plans de réduction des émissions de carbone et des investissements dans les technologies de l’information (IA, 5G, calcul quantique), il y a très peu de «perspectives de développement» de Biden qui mettent les États-Unis en harmonie avec ce consensus multipolaire. Son programme de soutien à la réduction des émissions de carbone de l'Amérique à zéro net d'ici 2050, comme indiqué par le Green New Deal et Great Reset à Davos, pourrait apparaître à première vue comme pro-infrastructure, prétendant «créer 10 millions de nouveaux emplois», mais le la réalité lors d'une inspection plus approfondie est très différente.
Les types de projets de développement à grande échelle axés sur la BRI qui transforment maintenant plus de la moitié du monde qui opère de plus en plus sous un paradigme bancaire complètement différent dominé par les États-Unis, sont basés sur une industrie lourde à forte intensité de capital, l'utilisation de combustibles fossiles et également l'énergie nucléaire.
Sans ces sources d’énergie, la Nouvelle Route de la Soie et ses projets frères ne pourraient jamais fonctionner (tout comme le doppelganger anti-BRI OSOWOG de Modi a prouvé un échec total à la fois scientifiquement et économiquement).
Le genre de «révolution de l'énergie verte» que les technocrates de Davos qui dirigent Biden veulent imposer au monde pourrait créer des emplois à court terme, mais une fois les panneaux solaires et les moulins à vent construits, la qualité de l'énergie disponible pour les nations est assez stupide pour entrer dans cette cage étouffera à jamais leur capacité à soutenir leurs populations et leur potentiel de croissance. Bref, c'est un mirage vert occultant un design très laid.
En opposition à ce programme de dépeuplement, la tendance de Trump à soutenir l'exploration spatiale, à relancer le protectionnisme pour reconstruire la fabrication perdue des États-Unis et à soutenir les programmes d'infrastructure à grande échelle dans la résolution des conflits à l'étranger (y compris son soutien à la construction du rail dans l'Arctique, du rail en Serbie et au Kosovo, nucléaire puissance en Afrique du Sud et en Pologne, etc.) est certainement synergique avec le système multipolaire dirigé par la Russie et la Chine et met indéniablement les États-Unis en harmonie avec ses propres meilleures traditions.
RépondreSupprimerDe plus, le report par Trump des groupes révolutionnaires de la «société civile» de couleur à Hong Kong et en Biélorussie lui a valu de nombreux ennemis des deux côtés de l'île pro-Soros tout en soutenant le concept de souveraineté nationale, qui étaient des étapes majeures vers la stabilité et l'établissement de la confiance avec les nations de le monde qui exige que sa souveraineté soit respectée comme indiqué dans la Charte des Nations Unies elle-même.
Comparez cela avec la déclaration de Biden selon laquelle nous devons "nous tenir aux côtés de la société civile russe qui s'est bravement opposée au système autoritaire kleptocratique du président Vladimir Poutine" et à l'appel de Biden pour accueillir "un sommet mondial pour la démocratie" mettant en vedette "des organisations de la société civile du monde entier. monde qui se trouve en première ligne de la démocratie », y compris« le secteur privé, les entreprises technologiques et les géants des médias sociaux ».
Ce sont les mêmes «géants de la grande technologie et des médias» qui ont donné leur plein soutien à l'imposition de Biden à la présidence et qui ont également été utilisés pour renverser des gouvernements élus au niveau national dans des opérations de changement de régime révolutionnaire de couleur pendant des décennies. Ce sont les mêmes réseaux qui ont supprimé toute preuve de fraude électorale systémique lors des élections américaines de 2020 et attisent les feux d'une nouvelle guerre civile potentielle et d'un changement de régime à l'intérieur de la république elle-même.
Quoi qu'il en soit, les semaines et les mois à venir seront caractérisés par des batailles féroces qui façonneront le résultat de l'histoire mondiale.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/whose-world-order
Tout le monde sait que le combat a été corrigé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 23:20
Rédigé par Edward Curtin via Off-Guardian.org,
«Ouais, comme [dans] une église. Église du bon arnaqueur. »
- Fast Eddie Felson (Paul Newman) dans The Hustler
À la fin de la pièce classique d’Henrik Ibsen, Une maison de poupée, Nora, l’épouse lésée, quitte la maison de son mari et toutes les illusions qui ont soutenu son mariage de mensonges. Elle préfère la liberté à la fantaisie. Elle ne sera plus jouée avec comme une poupée mais tentera de devenir une femme libre - singulière.
«Il y a une autre tâche que je dois entreprendre en premier. Je dois essayer de m'éduquer », dit-elle à son mari Torvald, un homme complètement incapable de comprendre la programmation sociale qui a fait de lui l'esclave de la société.
Lorsque Nora ferme la porte de la maison de la poupée derrière elle, le son est comme un coup de marteau de liberté. Pour quiconque a vu la pièce, même en connaissant le résultat à l'avance, ce son est profond. Cela continue de résonner. Il interroge sa conscience.
L’écho demande: Vivez-vous à l’intérieur de la maison de poupée américaine où une vaste tapisserie de mensonges, de mauvaise foi et de grâce bon marché vous maintient en cage dans le confort, alors que vous répétez les habitudes qui vous ont été inculquées ?
Dans cette maison de propagande de poupées dans laquelle l’Amérique a été convertie, bon nombre de nos hypothèses de base sont totalement illusoires.
Les Américains qui ont voté pour Trump ou Biden aux élections de 2020 sont comme des clones de Torvald. Ils refusent d'ouvrir cette porte pour pouvoir la fermer derrière eux.
Ils vivent dans la maison de la poupée - tous les 146 millions d’entre eux. Comme Torvald, ils sont réconfortés. Ils sont programmés et propagés, embrassant l'illusion que le système électoral n'est pas structuré et contrôlé pour s'assurer qu'aucun changement significatif ne peut se produire, quel que soit le président. C'est une triste réalité promue comme démocratie.
Ils bavarderont et donneront toutes sortes de raisons pour lesquelles ils ont voté, et pour qui, et comment si vous ne votez pas, vous n’avez pas le droit de râler, et comment c’est ce droit sacré de vote qui rend la démocratie grande, bla bla bla. Tout cela n’a aucun sens. Car les États-Unis ne sont pas une démocratie; c'est une oligarchie dirigée par les riches pour les riches.
Ce n'est pas un grand secret. Tout le monde sait que c'est vrai; sait que le système électoral est purement show-business avec l'extravagance présidentielle qui attire beaucoup d'argent des lobbyistes d'entreprise, des banquiers d'investissement, des sociétés de cartes de crédit, des avocats, des dirigeants d'entreprises et de fonds spéculatifs, des honchos de la Silicon Valley, des groupes de réflexion, des joueurs de Wall Street, des millionnaires, des milliardaires, et. Al. Biden et Trump ont dépensé plus de 3 milliards de dollars pour l'élection. Ils appartiennent aux gens de l'argent.
Tous deux sont des vieillards aux histoires longues et honteuses. Une enquête rapide montrera comment les riches ont énormément profité de leur mandat. Il n'y a pas un seul indice qu'ils pourraient changer et avoir une conversion miraculeuse pendant leur mandat futur, comme JFK. Ni le courage ni l'intelligence. Ce ne sont nulle part des hommes qui craignent carrément le sort auquel John Kennedy a été confronté lorsqu'il s'est retourné contre la CIA et la machine de guerre. Ils rejoignent la société lâche de Johnson, Ford, Carter, Reagan G.H.W. Bush, Clinton, George W. Bush et Obama. Ils ont tous reçu le message envoyé des rues de Dallas en 1963: vous ne voulez pas mourir, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerPosez-vous la question: le pouvoir de l'État de guerre oligarchique et permanent avec ses réseaux de propagande et d'espionnage, son vaste appareil de renseignement, a-t-il augmenté ou diminué au cours du dernier demi-siècle ? Qui gagne la bataille, le peuple ou les élites dirigeantes ? La réponse est évidente.
Peu importe que le président ait été Trump ou Bill Clinton, Ronald Reagan ou George W. Bush, Barack Obama ou George H. W. Bush, Richard Nixon, Gerald Ford ou Jimmy Carter. Le pouvoir de l'État de sécurité nationale a grandi sous eux tous et chacun est laissé à gémir et à se demander pourquoi.
Pendant tout ce temps, la maison de poupée est devenue de plus en plus sophistiquée et puissante. Il s'agit maintenant essentiellement d'une prison électronique qui est «reconstruite mieux». La nouvelle guerre froide actuellement menée contre la Russie et la Chine est une affaire bipartite, tout comme le jeu de confiance joué par le gouvernement secret destiné à créer une conscience fracturée dans la population par le biais de ses sténographes des médias de masse. Trump et ses partisans d'un côté de la médaille; démocrates libéraux de l'autre.
Seuls ceux soutenus par les riches courtiers du pouvoir sont élus aux États-Unis. Ensuite, une fois élus, il est temps de récupérer. Les paumes sont graissées. Tout le monde sait que c'est vrai. Cela s'appelle la corruption. Alors, pourquoi quelqu'un, qui s'oppose à une oligarchie politique corrompue, voterait-il, à moins de voter de conscience pour un candidat tiers condamné ?
Leonard Cohen l'a dit vrai avec «Everybody Knows»:
Tout le monde sait que les dés sont chargés
Tout le monde roule avec les doigts croisés
Tout le monde sait que la guerre est finie
Tout le monde sait que les bons gars ont perdu
Tout le monde sait que le combat a été réglé
Les pauvres restent pauvres, les riches deviennent riches
Voilà comment ça se passe
Tout le monde sait
Tout le monde sait que le bateau fuit
Tout le monde sait que le capitaine a menti
Tout le monde a ce sentiment brisé
Comme leur père ou leur chien vient de mourir
Et pourtant, tous ceux qui ont voté pour les deux hommes soutenus par les propriétaires très riches du pays savaient ce qu'ils faisaient, à moins qu'ils ne vivent sous un rocher et ne sortent tous les quatre ans pour voter. Peut-être étaient-ils en train d'acheter de la farce pour la dinde de Thanksgiving, afin qu'ils puissent rendre grâce pour la farce (farce: latin: farce).
Ils ont leurs raisons. Maintenant, les gens de Biden célèbrent, tout comme les partisans de Trump l'ont fait en 2016. Je peux entendre des feux d'artifice se déclencher au moment où j'écris ici dans une ville où plus de 90 % ont voté pour Biden et détestent Trump avec une passion plus intense que ce pour quoi ils auraient jamais pu travailler. un amant ou un conjoint méprisé. C'est une psychose de masse. C’est presque drôle.
Au moins, nous nous sommes débarrassés de Trump, disent-ils. Personne ne peut être pire. Ils pensent que c'est logique. Comme Torvald, ils ne peuvent pas commencer à comprendre pourquoi quiconque voudrait quitter la maison de la poupée, comment quelqu'un pourrait refuser de jouer à un jeu dans lequel les dés sont chargés. Ils nieront qu'ils sont dans la maison de la poupée tout en sachant que les dés sont chargés et lancent toujours le dé, sans se soucier que leur choix - que ce soit Tweedledee ou Tweedledum - entraînera la mort et l'appauvrissement de tant de personnes, ce qui est le résultat final de régime oligarchique au pays et impérialisme à l’étranger.
RépondreSupprimerOrwell a appelé ce Double Pensée:
La double pensée signifie le pouvoir de maintenir simultanément deux croyances contradictoires dans son esprit et de les accepter toutes les deux…. Dire des mensonges délibérés en y croyant réellement, oublier tout fait devenu gênant, puis, quand cela redevient nécessaire, le tirer de l'oubli aussi longtemps qu'il le faut, nier l'existence de la réalité objective et tout en tenant compte de la réalité que l'on nie - tout cela est indispensable.
Et tandis que dans Nineteen Eighty-Four Doublethink est appris par tous les membres du Parti «et certainement par tous ceux qui sont intelligents aussi bien qu'orthodoxes», aujourd'hui aux USA, il a été maîtrisé même par les soi-disant non intelligents.
Vivre aux États-Unis, c'est vivre dans l'Église du bon arnaqueur.
Les gens demandent souvent: que pouvons-nous faire pour améliorer le pays ? Tu propose quoi ?
Un enfant pourrait répondre à cette question: ne votez pas si vous savez que les deux prétendants sont soutenus par les élites super riches, ce que certains appellent l'État profond. Ce qu'ils sont bien sûr. Tout le monde sait.
Les soi-disant gauche et droite se disputent constamment pour savoir qui soutenir. C’est un pseudo-débat conçu pour permettre aux gens de penser que leur vote compte; que le jeu n’est pas truqué. C'est enfoncé dans la tête des enfants dès leur plus jeune âge. Soyez reconnaissant, remerciez de vivre dans une démocratie où le vote est autorisé et où votre choix est aussi important qu'un milliardaire comme Bill Gates, Jeff Bezos ou Charles Koch. Dans l'isoloir, nous sommes tous égaux.
Les mythes meurent dur. Celui-ci ne fait jamais:
Votre voix, vos espoirs et vos rêves définiront notre destin américain. Et votre courage, votre bonté et votre amour nous guideront à jamais tout au long du chemin.
- Donald Trump, 20 janvier 2017
La campagne étant terminée, il est temps de mettre la colère et la rhétorique dure derrière nous et de se rassembler en tant que nation. Il est temps pour l’Amérique de s’unir. Et pour guérir.
- Joe Biden, 7 novembre 2020
Par-dessus tout, le moment est venu pour nous de renouveler notre foi en nous-mêmes et en Amérique. Ces dernières années, cette foi a été remise en question. »
- Richard Nixon, 20 janvier 1973
Votre voix - notre foi - il est temps de s'unir et de guérir.
Demandez aux Vietnamiens, aux Irakiens, aux Syriens, aux Afghans, aux Libyens, aux Palestiniens, et al. Ils chantent une mélodie différente, qu'on n'entend pas dans l'église du bon arnaqueur.
Après avoir fait campagne pour le candidat à la présidentielle perdant en 1972, j’ai failli étouffer en entendant le discours inaugural de Richard Nixon en janvier 1973. Accroché au mythe américain de l’année précédente, j’avais fait campagne pour un véritable démocrate anti-guerre, le sénateur George McGovern.
RépondreSupprimerLa guerre contre le Vietnam faisait toujours rage et Nixon, qui avait été élu pour la première fois en 1968 en tant que «candidat à la paix», succédant au précédent «candidat à la paix» Lyndon Baines Johnson, a néanmoins été élu à une écrasante majorité, malgré les allégations du Watergate apparaissant dans les mois précédant l'élection. . Nixon a remporté quarante-neuf États contre celui de McGovern - le Massachusetts, où je vivais.
C'était un glissement de terrain. Je me suis senti malade, je me suis réveillé, je me suis levé et j'ai quitté la maison de poupée.
«La propagande est le véritable remède à la solitude», écrivait le sociologue français Jacques Ellul en 1965 dans Propaganda:
Cela correspond au besoin de partager, d'être membre d'une communauté, de se perdre dans un groupe, d'embrasser une idéologie collective qui mettra fin à la solitude…. Cela correspond aussi à des besoins profonds et constants, plus développés aujourd'hui peut-être que jamais: le besoin de croire et d'obéir, de créer et d'entendre des fables, de communiquer dans le langage des mythes.
Dans un pays où la solitude est répandue, la volonté de croire et le pouvoir de la pensée positive sont bien plus puissants que la volonté de vérité. Contrairement à Nora, qui savait que lorsqu'elle quittait la maison de poupée, elle choisissait la solitude de l'âme solitaire, les Américains préfèrent les mythes qui les poussent à agir par habitude pour se perdre dans le groupe.
C'est le cas malgré le fait que dans l'Église du bon arnaqueur, lorsque vous jouez au jeu, vous perdez. Nous sommes tous américains et votre vote compte et George Washington n'a jamais dit de mensonge.
https://www.zerohedge.com/political/everybody-knows-fight-was-fixed
SupprimerTant que la Démocratie sera refusée par les Américains ils conserveront cette vieille dictature républicaine, monarchique et impériale.
Le secrétaire d'État géorgien dénonce des 'llégations sans fondement' concernant des asymétries de signatures, le Dominion
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 18:50
Le secrétaire d'État de Géorgie Brad Raffensperger, un républicain, a critiqué lundi des accusations 'sans fondement' émanant du président Trump et de ses alliés, y compris le sénateur Lindsey Graham (R-SC), mettant en doute la validité des bulletins de vote exprimés dans l'État, selon le Washington Post.
Dans une large interview sur les élections de 2020, Raffensperger a exprimé son exaspération face à une série d'allégations sans fondement provenant de Trump et de ses alliés concernant l'intégrité des résultats de la Géorgie, y compris des affirmations selon lesquelles Dominion Voting Systems, le fabricant de machines à voter de Géorgie basé au Colorado, est une entreprise «de gauche» liée au Venezuela qui a organisé des milliers de votes Trump pour ne pas être comptés. -Washington Post
«À part vous mettre en colère, c'est aussi très décevant», a déclaré Raffensperger, qui affirme que lui et sa femme ont reçu des menaces de mort ces derniers jours. "en particulier lorsqu'il s'agit de personnes de mon côté de l'allée. Tous ceux qui y travaillent doivent élever leur discours. Nous devons être réfléchis et prudents dans ce que nous disons", at-il ajouté.
Bien que le Post ne le traite pas directement, la question centrale concernant les bulletins de vote est un 'décret de consentement' de mars promulgué par Raffensperger et approuvé par le gouverneur Brian Kemp, permettant de 'guérir' les bulletins de vote portant des signatures qui ne correspondent pas aux registres de l'État, mais seulement à travers un processus compliqué. Auparavant, les bulletins de vote non concordants étaient invalides.
Raffensperger a été accusé dans un nouveau procès de 'unilatéralement, et sans l'approbation ou la direction de l'Assemblée générale de Géorgie', modifiant le processus de traitement des bulletins de vote par correspondance - autorité qui appartient à la législature et non au secrétaire d'État ou à la magistrature, qui invaliderait donc les bulletins de vote absents mal comptés.
Pendant ce temps, le président Trump a encore annulé le recomptage en cours de la Géorgie d'environ cinq millions de voix, tweetant lundi que sans le 'match de signature très important', le recomptage est 'SANS SIGNIFICATION'.
Et selon Paul Sperry de RealClearPolitics, Raffensperger ne voulait pas effectuer un recomptage manuel au départ, mais "voulait simplement rescanner les codes à barres et en finir avec cela."
Pendant ce temps, Raffensperger a déclaré qu '«il n'y a actuellement aucune preuve crédible que la fraude a eu lieu à une échelle suffisamment large pour affecter le résultat de l'élection», et que le recomptage en cours «confirmera» les résultats du décompte initial. Il dit également que cela «prouvera l'exactitude des machines Dominion», certains comtés ayant déjà signalé que leurs comptes manuels correspondent exactement aux chiffres des machines.
Cela dit, un recomptage dans un comté de Géorgie a déjà révélé un nombre disproportionné de votes Trump.
https://www.zerohedge.com/political/georgia-secretary-state-lashes-out-over-baseless-allegations-concerning-election
Surveillance du Sénat: 'plus de 600 000' électeurs en Géorgie ont demandé des bulletins de vote par la poste pour le second tour de janvier
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 17:50
Le 5 janvier, deux courses au second tour en Géorgie pourraient décider si les républicains conserveraient le contrôle du Sénat, dont la perte aurait de graves implications pour les Américains - de la hausse des impôts, aux soins de santé, en passant par d'autres points à l'ordre du jour démocrates qu'un Sénat contrôlé par le GOP aurait autrement bloquer pendant au moins les deux prochaines années.
"Plus de 600 000 Géorgiens ont demandé leurs bulletins de vote par correspondance pour le second tour des élections du 5 janvier", a écrit Stacey Abrams, candidat au poste de gouverneur de Géorgie qui n'a toujours pas concédé.
Abrams a inclus un lien que les Géorgiens peuvent utiliser pour demander un vote par correspondance pour le second tour de janvier entre le sénateur Kelly Loeffler (R-GA) et Raphael Warnock (D-GA), ainsi que le sénateur David Perdue (R-GA) et son challenger démocrate Jon Ossoff.
La semaine dernière, Abrams a ciblé «un étudiant de Géorgie» dans une tentative de sensibilisation pour leur faire demander des bulletins de vote par la poste avant le second tour des élections. Pendant ce temps, Perdue et Loeffler ont collecté des tas d'argent pour leurs campagnes de second tour - qui pourraient être parmi les plus coûteuses de l'histoire.
La précipitation pour encourager les bulletins de vote par correspondance survient au milieu de sérieuses questions sur l'intégrité de l'élection générale de cette année, des défis auxquels les tribunaux sont maintenant en train de se frayer un chemin dans une tentative du président Trump et de ses alliés d'annuler les résultats dans des États clés au sujet des revendications fraude électorale généralisée.
En Géorgie, Loeffler et Perdue ont appelé le secrétaire d'État de Géorgie Brad Raffensperger à démissionner pour mauvaise gestion présumée de l'élection.
"La gestion des élections en Géorgie est devenue une gêne pour notre Etat. Les Géorgiens sont indignés, et à juste titre", ont déclaré les deux républicains dans une lettre commune. "Nous avons été clairs depuis le début: chaque vote légal émis doit être compté. Tout vote illégal ne doit pas. Et il doit y avoir transparence et uniformité dans le processus de dépouillement. Ce n'est pas difficile. Ce n'est pas partisan. C'est américain. "
https://www.zerohedge.com/political/senate-watch-more-600000-voters-georgia-have-requested-mail-ballots-january-runoff
La fraude n'EST PAS DISCUTABLE mais seulement achetable.
SupprimerLe vote électoral: plus vous regardez profondément, plus cela empire
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
17 novembre 2020
Dans cet article, je vais parler de deux sociétés, Dominion et ES&S. Je conseillerais aux enquêteurs de ne pas dormir sur ES&S.
Je ne vais pas répéter toutes les accusations portées contre Dominion Voting Systems. Mais regardez ce qui s'est passé au Texas, lorsque le secrétaire d'État a fait effectuer une analyse à l'automne 2019.
Le rapport s'intitulait «Examen du système de vote Dominion Voting Systems Democracy Suite 5.5-A». [1] Il a été préparé par James Sneeringer, Ph.D. Représentant du procureur général du Texas.
Le diable est dans les détails, alors les voici:
«Les résultats de l'arbitrage peuvent être perdus. Lors de l'examen [précédent] de janvier, lors de l'adjudication des bulletins de vote lors de l'élection test, un des représentants du Dominion a commis une série d'erreurs qui ont fait perdre la totalité des résultats de l'arbitrage. Nous n'avons pas revu ce problème lors de cet examen, mais le système de sélection est inchangé, donc cette vulnérabilité est toujours présente. Recommandation: La certification [l'approbation du système Dominion] devrait être refusée. »
«L'installation est complexe, sujette aux erreurs et fastidieuse. J'ai compté 184 étapes dans leur manuel d'installation avant de décider d'estimer les étapes restantes. J'estime qu'un total d'environ 500 étapes sont nécessaires pour installer le logiciel. Je n'ai pas compté les étapes qui disaient simplement quelque chose comme «Cliquez sur OK» ou «Cliquez sur Suivant». Ce manuel d'installation fait 412 pages avec 23 pages supplémentaires de présentation - contenu, listes de figures, etc. Recommandation: la certification devrait être refusé.
«Test de vote. Lors de notre test de vote, nous avons découvert que certains noms de partis et le texte de la proposition n'étaient pas affichés et qu'un scanner n'acceptait pas certains bulletins de vote. Tout cela s'est avéré être des erreurs commises par le Dominion lors de la mise en place du test standard d'élection utilisé par le secrétaire d'État. Dans le cas du scanner, il avait été accidentellement configuré pour ne pas accepter les bulletins de vote marqués par machine. Les autres problèmes ont été causés par le fait de laisser certains champs vides lors de la configuration des élections, ce que le logiciel EMS ne devrait pas autoriser, ou du moins mettre en évidence. Recommandation: la certification doit être refusée. »
«Message trompeur. Les dispositifs de marquage des bulletins de vote informaient à tort les électeurs qu'ils déposaient leurs bulletins de vote alors qu'en fait ils ne faisaient que les imprimer. Les bulletins de vote ne sont pas comptés tant qu'ils n'ont pas été scannés sur un autre appareil. Recommandation: la certification doit être refusée. »
«Vulnérabilité du port USB. Le dispositif de marquage des bulletins de vote ICX a un voyant lumineux sur le dessus pour montrer aux employés du scrutin quand le bureau est en cours d'utilisation. Cette lumière est connectée par un port USB. Lorsque le téléphone de Brian Mechler a été connecté au port USB, l’ICX a scanné les fichiers sur son téléphone et ne s'est pas plaint, bien que Dominion ait montré plus tard que l’événement était consigné. Lorsqu'une clé USB contenant des fichiers était insérée, l'ICX se plaignait parfois et parfois non, apparemment en fonction du contenu de la clé USB et si elle était présente lors de la première mise sous tension de l'ICX ou insérée plus tard.
Conclusion finale de l’examinateur: «Je ne peux pas recommander la certification. Les systèmes informatiques devraient être conçus pour prévenir ou détecter les erreurs humaines chaque fois que possible et minimiser les conséquences des erreurs humaines et des pannes d'équipement. Au lieu de cela, la Democracy Suite 5.5-A est fragile et sujette aux erreurs. À mon avis, il ne devrait pas être certifié pour une utilisation au Texas. "
RépondreSupprimerSi cela ne laisse pas réfléchir, rien ne le fera.
Nous nous tournons maintenant vers ES&S, une autre société de machines à voter utilisée aux États-Unis. Il a une longue expérience. La source ici est un article de PROPUBLICA, «Le marché des machines à voter est cassé. Cette société y a prospéré », [2] daté du 28 octobre 2019, par Jessica Huseman. Extraits clés:
«En Géorgie, où la course au poste de gouverneur avait suscité l'intérêt national au milieu des préoccupations concernant l'intégrité des élections, la technologie appartenant à ES & S était utilisée lorsque plus de 150 000 électeurs n'ont inexplicablement pas voté pour le lieutenant-gouverneur. En partie parce que les anciennes machines gérées par ES & S ne produisaient pas de sauvegardes papier, il n'était pas clair si des erreurs mécaniques ou humaines étaient à blâmer. Les litiges entourant le vote perdurent à ce jour. »
«En Indiana, les systèmes ES&S étaient en proie à des incidents au niveau local. Dans le comté de Johnson, par exemple, les toutes nouvelles machines de l’entreprise ont échoué de telle sorte qu’il était difficile de savoir si certaines personnes avaient voté plus d’une fois. »
«Le vote en 2006 à Sarasota, en Floride… Là, les machines ES&S ont perdu environ 18 000 voix; on ne sait toujours pas pourquoi. La perte était bien plus que la marge de victoire, et un procès a suivi qui a finalement peu résolu. La société a déclaré dans un communiqué que divers tests effectués sur ses machines étayaient son affirmation selon laquelle les appareils n'étaient pas en faute, mais le comté a fini par annuler ses relations avec l'entreprise peu de temps après.
«Malgré de telles difficultés, ES&S - basée à Omaha, Nebraska, et employant environ 500 personnes - contrôle environ 50 % du marché du système électoral du pays, dit la société, ce qui signifie que quelque 70 millions d'Américains votent en utilisant les équipements de l'entreprise.
«Un examen ProPublica de l'ES&S montre qu'il s'est battu avec acharnement pour conserver sa domination face aux controverses répétées. La société a la réputation, tant parmi ses concurrents que parmi les responsables électoraux, d’aller régulièrement devant les tribunaux lorsqu'elle ne parvient pas à remporter des contrats ou les fait retirer, poursuivant les juridictions électorales, les rivaux, les défenseurs d'une plus grande sécurité électorale et autres.
«ES&S dépose de nombreux procès. En mai 2016, par exemple, ES&S a poursuivi en vain le Colorado pour sa décision d'acheter du matériel de vote uniforme dans tout l'État après que l'État est passé à un système de vote par correspondance. La société a également poursuivi le comté du Colorado pour ce problème, et elle a également perdu ces affaires.
«Dans le Wisconsin, après les élections nationales de 2016, ES&S a intenté une action en justice pour empêcher Jill Stein, candidate du Parti vert à la présidence, d'obtenir des informations sur ses machines qui auraient pu l'aider dans sa candidature à un recomptage. Un juge a rejeté l'argument d'ES&S selon lequel se soumettre à la demande de Stein compromettrait sa technologie propriétaire. »
«ES&S a également menacé de poursuites judiciaires contre des militants des droits de vote. En 2018, il a averti qu'il poursuivrait Audit USA - une petite organisation à but non lucratif qui milite pour la sécurité électorale - pour avoir publié les manuels de l'entreprise pour les scanners en ligne (ce n'est pas le cas). La même année, la société a déclaré à plusieurs reprises qu'elle engagerait des poursuites contre des chercheurs en sécurité qui ont acheté de vieilles machines ES&S et ont tenté de les pirater lors d'une conférence sur la cybersécurité. La société a également envoyé des lettres à ses propres clients, leur indiquant qu’elle les poursuivrait s’ils participaient à de telles conférences ou fournissaient des équipements ES&S aux événements. »
RépondreSupprimerCOMMENT AIMEZ-VOUS TOUT CELA ?
Je terminerai pour l'instant avec des extraits d'un article du Penseur américain de Jay Valentine, «Big Data to the Rescue: The Electoral College Meets Data Pattern», [3] 13 novembre 2020:
«Voici le résumé: pour que les élections dans de nombreuses circonscriptions se déroulent comme elles l’ont fait, Biden devrait lancer une pièce de monnaie 1 000 fois et avoir des têtes à chaque fois. Nous n’avons pas fini ici. »
«Il devrait aussi le faire encore et encore, par dizaines, peut-être des centaines de circonscriptions.
«Bienvenue dans l'analyse de Big Data.»
«La fraude industrielle est toujours découverte avec l'analyse statistique… La fraude industrielle est plutôt cool car de l'extérieur, elle est invisible…»
«Lorsqu'elle est soumise à une analyse statistique par rapport à des modèles connus, la fraude industrielle se démarque comme un dinosaure marchant dans un champ de beurre d'arachide. C'est indéniable. »
«Une telle analyse est-elle une preuve ?»
«Oui, c'est la preuve qu'il y a une anomalie d'une telle ampleur qu'elle doit être étudiée. Et ce n’est pas difficile. N'oubliez pas que toutes les données dont vous avez besoin pour effectuer l'analyse sont des données de vote après coup. Vous n’avez pas besoin de voir un seul bulletin de vote. »
«… Vous avez juste besoin de savoir que dans les quartiers après quartiers, il existe un schéma indéniable selon lequel plus les gens votent pour Trump plutôt que Biden, plus le nombre de votes de Trump est élevé, plus les machines à compter vont de Trump à Biden.
«Le modèle [du vote-retournement] ne peut être réalisé que par des machines, comme un ordinateur. Il y a trop de transactions, avec une ligne trop droite, à travers trop de circonscriptions, pour être les gars avec les urnes qui arrivent au milieu de la nuit. Ce sont des fraudes supplémentaires. »
MAIS BIEN SÛR, RIEN D'ÉTRANGE NE S'EST PASSÉ LORS DE L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2020. AUCUNE RAISON D'ENQUÊTER. REGARDEZ JUSTE LES RÉSEAUX DE NOUVELLES. ILS VOUS DIRONT QUE BIDEN EST LE PRESIDENT. TOUT VA BIEN. RETOURNE TE COUCHER. VOS MAÎTRES SONT EN CHARGE.
SOURCES:
RépondreSupprimer[1] https://www.sos.texas.gov/elections/forms/sysexam/oct2019-sneeringer.pdf
[2] https://www.propublica.org/article/the-market-for-voting-machines-is-broken-this-company-has-thrived-in-it
[3] https://www.americanthinker.com/articles/2020/11/big_data_to_the_rescue_the_electoral_college_meets_data_pattern_science.html
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/jon-rappoport/the-election-vote-the-deeper-you-look-the-worse-it-gets/