NE PORTEZ PAS DE MASQUES INUTILES ! IL N'EST PAS INSCRIT SUR L'EMBALLAGE QUE LE MASQUE QUE VOUS PORTEZ EST ANTI-MICROBES ou ANTI-VIRUS !! Car ce serait une escroquerie de faire passer un anti-poussières de chantier pour un anti-microbes !
Il eut été plus simple de faire porter uniquement une visière afin de pouvoir respirer
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RAPPEL: Nous respirons TOUTES & TOUS chaque minute (AVEC ou SANS masque) 200 000 nano-particules (microbes & virus) et 2 millions en activité physique.
Soit quelques milliards chaque heure et plus encore (avec 150 000 zéros) depuis notre naissance !
ET NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S ! Çà alors !!
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Les masques disponibles ont un maillage de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 micron à 0,5 micron !
C'est-à-dire que ces masques n'EMPÊCHENT PAS les microbes corona d'être inspirés ou expirés !
Effectivement un masque de 3 millième de millimètre ne peut obstruer des microbes de 6 à 30 fois plus petits !
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ATTENTION-ATTENTION ! Actuellement le gouvernement français distribue des masques blancs (après les masques bleus dits 'chirurgicaux' au maillage large) avec (c'est écrit sur l'emballage): Maillage de 3 microns !
Soit l'équivalent du FFP2 avec valve d'expulsion/N95.
Or, ces masques blancs NE COMPORTENT PAS de valve d'expiration ! D'où les dangers de suffocation, 30 % d'oxygène en moins = maux de tête et pertes de mémoire irremplaçables ! De plus: ces masques refoulent le gaz carbonique que vous ré-inspirez !
Ces masques ne doivent PAS être portés !
Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
RépondreSupprimerSott.net
jeu., 08 oct. 2020 06:06 UTC
C'est l'un des billets les plus importants que j'aie jamais rédigés, alors je vous invite à le lire. J'ai retranscrit les extraits les plus marquants du récent et très urgent message vidéo du Dr Margarite Griesz-Brisson, qui a été traduit de l'allemand en anglais par Claudia Stauber.
https://www.youtube.com/watch?v=pd22FGeuyog
Vidéo originelle du Dr Griesz-Brisson
Le Dr Margarite Griesz-Brisson, docteur en médecine, est neurologue consultante et neurophysiologiste, titulaire d'un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité. Voici ce qu'elle a à dire sur les masques et leurs effets sur notre cerveau :
« La réinhalation de l'air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en gaz carbonique. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d'oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l'hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène - elles ne peuvent pas survivre.
Les symptômes d'alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction - qui sont des réactions du système cognitif.
Cependant, lorsque vous souffrez d'une privation chronique d'oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.
Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd'hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.
Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l'air que vous venez d'expirer, mais il n'en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s'amplifient à mesure que votre privation d'oxygène se poursuit.
Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l'oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.
Je ne porte pas de masque, j'ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m'occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au gaz carbonique.
Il n'existe pas d'exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d'oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s'il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus
Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d'une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l'enfant, ou de l'adolescent, a soif d'oxygène. Plus l'organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d'oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.
RépondreSupprimerPriver le cerveau d'un enfant ou d'un adolescent d'oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d'oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés.
L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Nous n'avons pas besoin d'étude clinique pour le savoir. C'est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d'oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue.
En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n'est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu'il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.
Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n'avions pas besoin des masques ».
Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d'affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des questions concernant la santé d'une population entière ? S'il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller.
Je sais à quel point le manque d'oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d'oxygène endommage tous les organes.
Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s'opposer avec véhémence au confinement et d'y mettre fin - dès le début.
Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doivent-ils sérieusement prouver que la privation d'oxygène est nocif pour tous ? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales représentent-ils ?
Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ? Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l'empêchent pas ?
Il ne s'agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé. Il s'agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n'ai pas peur.
Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air. L'impératif à l'heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons - pas les médias. Nous sommes responsables de ce que nous faisons - pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé - pas l'Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays - pas le gouvernement. »
RépondreSupprimerComment: Il n'existe pas de preuves scientifiques de l'efficacité des masques contre la transmission des virus par voie aérienne, mais il existe des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque.
https://fr.sott.net/article/36152-Une-neurologue-allemande-met-en-garde-contre-le-port-du-masque-La-privation-d-oxygene-provoque-des-dommages-neurologiques-irreversibles
Republié sur:
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
Simple ! DEMANDEZ A VOTRE MÉDECIN, PHARMACIEN ou AGENT HOSPITALIER si votre masque est anti-virus ou anti-microbe (corona) !
SupprimerEn cas de mensonge de leur part ils ou elles seraient rayé(e)s par le Conseil de l'Ordre.
Pourquoi IL NE PEUT exister de masque anti-microbe ou anti-virus ? Parce que le maillage devrait être trop fin et empêcherait complètement la circulation de l'air ! (équivalent à un sac en plastique !)
Maillage FFP2 ou N95:
[OOOOOOOO.OOOOOOOO]
Ci-dessus le microbe est représenté par un point.
Les 'O' montrent l'espace entre les mailles.
Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 18/10/2020 - 08:45
Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.
De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.
Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement ? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules ?
- voir photo sur site -
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
Les taches sont trop petites pour être vues
Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.
Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.
Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.
AVEC ou SANS masque vous respirez:
Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns
Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:
Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ
À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.
Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.
RépondreSupprimerSmoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt
Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.
Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.
À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.
Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:
- voir clip sur site -
Quelle est la principale chose à retenir de tout cela ?
Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.
https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19
Smoking Gun: Le test COVID de Fauci States présente un défaut fatal; Confession de l'expert d'experts «bien-aimé»
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
7 novembre 2020
OK allons y. Pistolet fumant. Cagnotte.
Directement de la bouche du cheval. D'après l'homme, on nous dit qu'il est l'expert COVID numéro un dans le pays. Ce que dit Fauci est une vérité en or.
Eh bien, qu'en est-il de CECI ?
16 juillet 2020, podcast, «Cette semaine en virologie»: Tony Fauci tient à dire que le test PCR COVID est inutile et trompeur lorsque le test est exécuté à «35 cycles ou plus». Un résultat positif, indiquant une infection, ne peut être accepté ni cru.
Voici, en techno-parler, un extrait de la citation clé de Fauci (commençant à environ 4 minutes [1]):
«… Si vous obtenez [effectuez le test à] un seuil de cycle de 35 ou plus… les chances qu'il soit fiable pour la réplication [aka précis] sont minuscules… vous ne pouvez presque jamais cultiver le virus [détecter un résultat vraiment positif] à partir d'un 37 cycle de seuil… même 36… »
Chaque «cycle» du test est un bond en avant dans l'amplification et le grossissement de l'échantillon de test prélevé sur le patient.
Trop de cycles, et le test révélera toutes sortes de données non pertinentes qui seront interprétées à tort comme pertinentes.
C'est ce qu'on appelle un faux positif.
Ce que Fauci n'a pas dit sur la vidéo, c'est: la FDA, qui autorise le test pour un usage public, recommande que le test soit exécuté jusqu'à 40 cycles. Pas 35.
Par conséquent, tous les laboratoires aux États-Unis qui suivent les directives de la FDA participent sciemment ou non à la fraude. Fraude à un niveau monstrueux, parce que…
Des millions d'Américains se font dire qu'ils sont infectés par le virus sur la base d'un faux résultat positif, et…
Le nombre total de cas de COVID en Amérique - qui est basé sur le test - est une fausseté flagrante.
Les verrouillages et autres mesures de contention sont basés sur ces numéros de cas frauduleux.
Permettez-moi de revenir en arrière et de recommencer. Fauci dit que le test est inutile lorsqu'il est exécuté à 35 cycles ou plus. La FDA dit exécuter le test jusqu'à 40 cycles, afin de déterminer si le virus est là. C'est le crime en un mot.
Si quelqu'un à la Maison Blanche a quelques cellules cérébrales à frotter, ramassez un porte-voix géant et commencez à révéler la vérité au peuple américain.
«Bonjour, Amérique, vous avez été trompé, menti, escroqué et emmené pour une course dévastatrice. Sur la base de fausses données scientifiques, le pays a été verrouillé. »
Si quelqu'un au Congrès fait fonctionner quelques cellules cérébrales, faites participer Fauci à une audience télévisée et, en dix minutes, fabriquez du hachis à partir de la fausse science qui a conduit à cette attaque odieuse et puante contre l'économie américaine et ses citoyens.
Très bien, voici deux éléments de preuve pour ce que j’ai écrit ci-dessus. Tout d'abord, nous avons une citation du CDC sur le site Web de la FDA, dans un document intitulé [2]: «CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel for Emergency Use Only.» Voir page 35. Ce document porte la mention «En vigueur: 13/07/20». Cela signifie que, même si le virus est désigné par son ancien nom, le document est toujours pertinent à partir de juillet 2020. «Pour une utilisation d'urgence uniquement» fait référence au fait que la FDA a certifié le test PCR dans une catégorie traditionnelle appelée « Autorisation d'utilisation d'urgence. »
RépondreSupprimerFDA: «… un échantillon est considéré comme positif pour le 2019-nCoV [virus] si toutes les courbes de croissance du seuil du cycle 2019-nCoV (N1, N2) franchissent la ligne de seuil dans les 40,00 cycles (<40,00 Ct).»
Naturellement, BEAUCOUP de laboratoires de test lisant cette directive concluraient: «Eh bien, pour voir si le virus est présent chez un patient, nous devrions exécuter le test jusqu'à 40 cycles. C'est le conseil officiel. »
Ensuite, nous avons un article du New York Times (29 août / mis à jour le 17 septembre) intitulé: «Votre test de coronavirus est positif. Peut-être que ça ne devrait pas l'être. " [3] Voici des citations d'argent:
«La plupart des tests fixent la limite à 40 [cycles]. Quelques-uns à 37 ans. »
"Fixer la limite" signifierait généralement: "Nous allons examiner jusqu'à 40 cycles pour voir si le virus est là."
The Times: «Ce nombre de cycles d'amplification nécessaire pour trouver le virus, appelé seuil de cycle, n'est jamais inclus dans les résultats envoyés aux médecins et aux patients atteints de coronavirus…»
Boom. C’est la capsuleuse, la grande finale. Les laboratoires ne révèlent pas ou ne révèlent pas leur complicité dans ce crime.
Obtenez l'image ?
J'espere.
Si un avocat ne veut pas aller au tribunal avec tout cela, ou si un juge ne fait pas attention et ne voit pas la lumière, il devrait être démis de ses fonctions et envoyé dans l'Arctique pour vendre de la neige.
SOURCES:
[1] https://youtu.be/a_Vy6fgaBPE?t=260
[2] https://www.fda.gov/media/134922/download
[3] nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/jon-rappoport/smoking-gun-fauci-states-covid-test-has-fatal-flaw-confession-from-the-beloved-expert-of-experts/
COVID-19 : ET SI, FINALEMENT, L'IBUPROFÈNE N'ÉTAIT PAS DANGEREUX ?
RépondreSupprimerpar PERRINE DE ROBIEN
06/11/2020
En mars-avril, les ventes d'AINS ont chuté de 80%.
Plusieurs études montrent que les anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène n’apporteraient finalement pas de risque supplémentaire de décès » lorsqu’on en prend pour soigner le Covid-19.
L’ibuprofène aggrave-t-il vraiment les symptômes du Covid-19 ?
Les médecins et la communauté scientifique naviguent plus ou moins à vue avec le Covid-19. Ils peuvent d’ailleurs revenir sur certaines décisions. C’est le cas pour les enfants qui, au départ étaient « très contagieux » puis « plus du tout » et maintenant « peut-être que oui quand même ». Un rétropédalage qui concerne aussi l’ibuprofène.
Souvenez-vous, au début le la pandémie de coronavirus, la Direction générale de la santé avait publié un avertissement qui indiquait que l’ibuprofène et autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ne devaient pas être prescrits aux patients atteints du Covid-19. Ils étaient alors accusés d’aggraver les symptômes au lieu de les améliorer. Pour faire baisser la fièvre, il était alors conseillé de prendre du paracétamol.
Pas de « risque supplémentaire de décès » lorsqu’on prend de l’ibuprofène
Résultat, en mars-avril, les ventes d’AINS ont chuté de 80%, au plus grand dam des laboratoires. Pourtant, il est probable que l’Advil, le Nurofen et autres médicaments à base d’ibuprofène soient de nouveau vendus en quantités plus importantes. Près d’une dizaine d’études montrent, selon Nicholas Moore, directeur général de la plateforme Bordeaux Pharmaco-Epidémiologie « qu’il n’y a pas de risque supplémentaire de décès » lorsqu’on prend de l’ibuprofène et que l’on est malade du Covid-19 rapporte 20 Minutes.
Il semblerait que cette méfiance à l’égard de l’ibuprofène soit une exception française. Nul autre pays n’aurait alerté sur ses dangers concernant son utilisation contre le coronavirus. Par ailleurs, en mai 2020, l’OMS a ajouté cet AINS dans ses recommandations pour traiter la fièvre et les douleurs liées au Covid-19. Reste à savoir si d’autres médicaments, jugés inutiles actuellement pour traiter le coronavirus, retourneront en grâce.
http://www.economiematin.fr/news-ibuprofene-dangereux-coronavirus
La feuille de route de la COVID-19 : Vers un chaos économique mondial et une destruction de la société
RépondreSupprimerMichel Chossudovsky
Mondialisation.ca
ven., 06 nov. 2020 23:31 UTC
Petites modifications le 16 octobre 2020.Il est maintenant confirmé que le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR) utilisé pour estimer les cas positifs au COVID-19 est discutable. Il ne permet pas de détecter ou d'identifier le virus. Ce qu'il détecte, ce sont des particules ou des fragments du virus.
gens
Si ces statistiques officielles erronées utilisées pour "mesurer" la propagation du virus sont dénuées de sens, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours
PCR- Positif n'implique pas que le COVID-19 soit positif. Les statistiques dérivées du test PCR ne mesurent pas correctement les « cas confirmés ». Le test PCR ne fournit pas les statistiques requises (par les décideurs politiques et les autorités sanitaires nationales) pour évaluer le nombre de personnes infectées. De plus, selon le CDC, « une infection [COVID-19] positive » pourrait être le résultat d'une « co-infection avec d'autres virus... L'agent détecté peut ne pas être la cause de la maladie ».
Si ces statistiques officielles utilisées pour « mesurer » la propagation de l'infection virale sont imparfaites, elles ont néanmoins été utilisées pour soutenir la campagne de peur et de désinformation en cours.
Le test PCR étant défaillants en tant que moyen d'identification de la propagation du virus, les décisions importantes prises par l'OMS et les gouvernements nationaux depuis fin janvier 2020 (étayées par des statistiques erronées) sont potentiellement invalides.
En outre, des rapports officiels, dont celui de l'OMS, confirment que le COVID-19 n'est pas un virus mortel, mais qu'il présente des caractéristiques similaires à celles de la grippe saisonnière.
L'objectif de cet article est d'examiner comment ces décisions de grande envergure, invariablement basées sur des concepts non valables et des statistiques erronées, ont contribué à un état de chaos économique, social et politique dans le monde entier, menant au blocage et à la fermeture de 190 économies nationales des États membres des Nations unies le 11 mars 2020. Seuls trois pays, dont le Bélarus, le Nicaragua et la Suède, ont refusé de fermer leur économie nationale.
Ce qui nous frappe dans cette analyse est le fait que des décisions majeures ont été prises dès le début, le 30 janvier 2020, alors que le nombre de cas positifs enregistrés était excessivement faible.
Le verrouillage ainsi que la fermeture des économies nationales dans le monde entier le 11 mars 2020 ont été présentés comme un moyen de faire face au « virus tueur » et de « sauver des vies ». Amplement documentés, les impacts ont conduit à un chômage de masse et à la pauvreté dans le monde entier.
La feuille de route vers le chaos économique et la destruction de la société
RépondreSupprimer18 octobre 2019. Exercice de simulation de pandémie 201
Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par l'OMS, le même nom que celui adopté lors de l'exercice de simulation du 18 octobre 2019 201 sous les auspices de la John Hopkins Bloomberg School of Health, Centre for Heath Security (un événement sponsorisé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial)(Evénement 201)
Le 7 janvier 2020 : Les autorités chinoises ont « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports officiels) a été isolé le 7 janvier 2020.
Du 20 au 24 janvier : Réunions du Forum économique mondial à Davos. Le rôle des puissants intérêts financiers
Des intérêts financiers dominants, des fondations milliardaires et des institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l'urgence de santé publique de l'OMS (PHEIC). La décision n'a pas été prise par l'OMS.
Dans la semaine qui a précédé cette décision historique de l'OMS. La PHEIC a fait l'objet de « consultations » lors du Forum économique mondial (FEM), à Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l'OMS, le Dr. Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l'OMS le 30 janvier ?
Y avait-il un conflit d'intérêt tel que défini par l'OMS ? Le plus grand donateur de l'OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui, avec le FEM et la CEPI [Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies], avait déjà annoncé à Davos le développement d'un vaccin COVID-19 avant le lancement historique du PHEIC le 30 janvier.
Le 28 janvier 2020 : Le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a confirmé que le nouveau virus Corona avait été isolé. À ce jour, le processus d'identification du virus n'a pas été rendu public.
Le 30 janvier 2020 : L'urgence de santé publique de portée internationale de l'OMS (PHEIC)
La première étape de cette crise a été lancée par l'OMS le 30 janvier. Bien qu'elle n'ait pas été officiellement désignée comme « pandémie », elle a néanmoins contribué à mener la campagne de peur.
Dès le début, les estimations des « cas positifs confirmés » ont fait partie d'un « jeu de chiffres ».
Dans certains cas, les statistiques n'ont tout simplement pas été mentionnées et dans d'autres cas, les chiffres ont été gonflés en vue de créer la panique.
Le nombre de « cas confirmés » basés sur des estimations erronées (PCR) utilisées pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement faible.
La population mondiale hors Chine est de l'ordre de 6,4 milliards. Le 30 janvier 2020, il y en avait en dehors de la Chine :
83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d'entre eux n'avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS, 30 janvier 2020).
Le 29 janvier 2020, la veille du lancement du PHEI (enregistré par l'OMS), il y avait 5 cas aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France, 4 en Allemagne.
RépondreSupprimerIl n'y avait pas de « base scientifique » pour justifier le lancement d'une urgence de santé publique mondiale
............USA : 5
.....CANADA : 3
......FRANCE : 4
ALLEMAGNE: 4
Capture d’écran de la table de l’OMS, 29 janvier 2020,
Un jour avant la décision de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique mondiale.
Ces chiffres ridiculement bas (non mentionnés par les médias) ont été utilisés pour mener une campagne de peur mondiale.
Le 31 janvier 2020 : Décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine
Alors que l'OMS « [n'a] recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce », les cinq cas dits « confirmés » aux États-Unis ont suffi à « justifier » la décision du président Trump, le 31 janvier, de suspendre les voyages aériens vers la Chine tout en précipitant une campagne de haine contre les personnes d'origine chinoises dans tout le monde occidental.
Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des marchandises ainsi qu'à des restrictions mondiales sur les voyages aériens.
Et ces « cas confirmés » erronés étaient pour la plupart des cas utilisant le test RT-PCR standard.
Alors que la Chine a signalé un total de 75 567 cas de COVID-19, (le 20 février) les cas confirmés en dehors de la Chine étaient terriblement bas et les statistiques basées en grande partie sur le test PCR utilisé pour confirmer la « propagation mondiale du virus » étaient pour le moins discutables. En outre, sur les 75 567 cas recensés en Chine, un pourcentage important s'est rétabli. Et les médias n'ont pas reconnu ces chiffres.
Le jour de la conférence de presse historique du Dr. Tedros (20 février 2020), le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était de 1073, dont 621 étaient des passagers et des membres d'équipage du navire de croisière Diamond Princess (échoué dans les eaux territoriales japonaises).
D'un point de vue statistique, la décision de l'OMS indiquant une possible « propagation du virus dans le monde entier » n'a pas de sens.
Le 20 février, 57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess, ce qui n'est guère représentatif d'une « tendance statistique » mondiale. L'histoire officielle est la suivante :
Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif pour le nouveau coronavirus le 30 janvier.
Il aurait voyagé le 10 janvier, à Shenzhen en Chine continentale (qui borde les nouveaux territoires de Hong Kong).
La Diamond Princess est arrivée à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur. Voir l'étude du NCBI.
De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau.
RépondreSupprimerTous les passagers et l'équipage du Diamond Princess ont passé le test PCR.
Le nombre de cas confirmés est passé à 691 le 23 février.
Du point de vue de l'évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne tiennent pas debout. Sans les données du Diamond Princess, les cas dits confirmés dans le monde hors de Chine le 2 février auraient été de l'ordre de 452, sur une population de 6,4 milliards.
Examinez le graphique de l'OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés à bord du Diamond Princess (transport international) (qui est arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leur chambre pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et l'équipage ont passé le test RT-PCR (qui ne détecte ni n'identifie le Covid-19).
Il va sans dire que ces soi-disant données ont été le fer de lance de la campagne de peur et de l'effondrement des marchés financiers au cours du mois de février. (voir la section ci-dessous)
- voir graphiques sur site -
La crise financière de février 2020. La crise du Coronavirus de 2020
Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020.
Le 20 février 2020 : Lors d'une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure de l'Europe centrale) lors d'un briefing à Genève, le directeur général de l'OMS. Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu'il était
« inquiet que la possibilité de contenir l'épidémie de coronavirus se « resserre » [closing]...
« Je crois que la possibilité est toujours là, mais qu'elle est restreinte. »
Ces déclarations « de choc et d'effroi » ont contribué à renforcer la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.
- voir graphique sur site -
Données de l'OMS enregistrées en février 2020, au début de la crise financière dite de Covid
Officiellement, 1073 cas dans le monde entier.
En excluant le Diamond Princess, 452 cas dits « confirmés » dans le monde en dehors de la Chine, pour une population de 6,4 milliards d'habitants, enregistrés par l'OMS le 20 février, 15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni. (février 2020).
Un nombre plus important de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l'OMS) et en Italie (enregistré par les autorités nationales).
La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronées), a préparé le terrain pour l'effondrement financier de février, déclenché par des informations privilégiées, des connaissances préalables, le commerce des produits dérivés, la vente à découvert et une multitude d'opérations de fonds spéculatifs.
Quiconque avait connaissance (information privilégiée) de la déclaration du 20 février du directeur général de l'OMS aurait récolté des gains monétaires importants.
RépondreSupprimerY avait-il un conflit d'intérêts ? L'OMS reçoit des fonds de la Fondation Gates. Et Bill Gates a « 60 % de ses actifs investis dans des actions [y compris des actions et des fonds indiciels] », selon un rapport de CNBC de septembre 2019.
Le krash boursier initié le 20 février dernier, appelé « krash boursier du coronavirus 2020« , a été classé comme :
« la chute des marchés boursiers mondiaux la plus rapide de l'histoire financière, et le krash le plus dévastateur depuis celui de Wall Street en 1929 ».
La cause du krash financier était (selon les analystes), V. Le Virus. La propagation du virus en dehors de la Chine.
La campagne de peur du « virus tueur », associée aux « avertissements » opportuns du Dr Tedros sur la nécessité de mettre en place une pandémie mondiale, a servi de manière indélébile les intérêts des spéculateurs institutionnels et des fonds spéculatifs de Wall Street. Le krach financier a entraîné un changement majeur dans la distribution de la richesse monétaire. (voir l'analyse ci-dessous)
Dans la semaine qui a suivi l'annonce de l'OMS les 20 et 21 février, le Dow Jones s'est effondré de 12 % (CNBC, 28 février 2020). Selon les analystes, la chute du DJIA a été le résultat de la propagation mondiale du virus. Une déclaration absurde en contradiction avec le (petit) nombre d'estimations positives de COVID-19 de l'OMS, dont la plupart étaient basées sur le test PCR défaillants.
Le lundi 24 février, lors de la réouverture des marchés boursiers, il y a eu une chute sans précédent du Dow Jones, attribuable aux « dangers imminents » que « la Covid se répandait dans le monde entier, créant des incertitudes sur les marchés financiers« .
Les actions ont fortement chuté le lundi ( 24 février), le nombre de cas de coronavirus en dehors de la Chine ayant augmenté, alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial prolongé de la propagation du virus. Le Dow Jones Industrial Average a clôturé en baisse de 1 031,61 points, soit 3,56%, à 27 960,80. » (CNBC) (c'est nous qui soulignons)
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Dow Jones Industrial Average Décembre 2019 – Mars 2020
Le 24 février également, M. Trump a demandé une aide d'urgence de 1,25 milliard de dollars.
aserSelon la BBC, les marchés boursiers mondiaux ont connu de fortes baisses « en raison des inquiétudes concernant l'impact économique du virus », ce qui laisse entendre que le virus était « la « main » invisible responsable du déclin des marchés financiers ».
Le COVID-19 a été identifié de justesse comme le catalyseur du krach financier.
Qui était derrière ce catalyseur ? Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l'incertitude sur les marchés financiers ?
Le 11 mars 2020 : La pandémie de COVID-19, le verrouillage et la fermeture de 190 économies nationales
Le directeur général de l'OMS avait préparé le terrain lors de sa conférence de presse du 21 février. « le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L'OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».
Le 11 mars 2020: l'OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale alors qu'il y avait 18 000 cas confirmés et 4291 décès sur une population mondiale hors Chine de l'ordre de 6,4 milliards de personnes. Que vous disent ces « statistiques » ?
RépondreSupprimerImmédiatement après l'annonce faite par l'OMS le 11 mars, la campagne de peur est passée à la vitesse supérieure. Comme dans le cas de l'accident des 20 et 21 février, la déclaration du 11 mars du directeur général de l'OMS avait préparé le terrain. Les marchés boursiers se sont effondrés dans le monde entier. Le lendemain matin, le Dow (DJIA) a chuté de 9,99 % (une baisse de 2 352,60 pour clôturer à 21 200,62). Le jeudi noir, 12 mars 2020, a été « la pire journée du Dow » depuis 1987. Un transfert massif de richesse financière avait eu lieu en faveur des milliardaires étasuniens.
Des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations unies. Les politiciens sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée en tant que moyen de lutte contre le virus ?
Sans précédent dans l'histoire, appliquée presque simultanément dans un grand nombre de pays, des secteurs entiers de l'économie mondiale ont été déstabilisés. Des petites et moyennes entreprises ont été acculées à la faillite. Le chômage et la pauvreté sévissent.
Dans certains pays, des famines ont éclaté. Les conséquences sociales de ces mesures sont dévastatrices. Les impacts sanitaires (mortalité, morbidité) de ces mesures, y compris la déstabilisation du système de santé national (dans de nombreux pays), dépassent de loin ceux attribués à COVID-19.
Enrichissement des milliardaires. L'appropriation et la redistribution des richesses
La richesse des milliardaires a augmenté de façon spectaculaire depuis le début du mois de février. Il existe trois phases distinctes, directement liées à la crise du coronavirus, chacune étant marquée par des changements majeurs dans la distribution de la richesse mondiale.
La crise financière, qui a débuté le 20 février, a entraîné une redistribution spectaculaire de la richesse monétaire et de la propriété des actifs financiers. La connaissance du marché, l'information privilégiée et le commerce spéculatif ont joué un rôle clé. Le Dr Tedros a-t-il eu connaissance de la déclaration du 20 février de l'OMS ?
Le 11 mars, le verrouillage et la fermeture des économies nationales de 190 États membres de l'ONU ont déclenché la faillite d'entreprises et de PME dans le monde entier. L'événement du 11 mars a également été marqué par la chute des marchés boursiers dans le monde entier, à partir du jeudi noir du 12 mars 2020.
La troisième étape de l'enrichissement des milliardaires concerne la mise en œuvre de la « deuxième vague » qui consiste à déclencher une nouvelle vague de faillites.
La redistribution des richesses en faveur de la classe milliardaire est confirmée par une étude d'IPS relative à la fermeture de l'économie mondiale.
La richesse combinée des milliardaires étasuniens a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars 2020, soit une augmentation de plus de 28 %. (Cette estimation ne tient pas compte de l'augmentation de la richesse au cours de la période précédant le 18 mars, qui a été marquée par une série de krachs boursiers).
Le 18 mars 2020, les milliardaires étasuniens avaient une richesse combinée de 2 947 milliards de dollars. Le 8 octobre, leur richesse a atteint 3,8 billions de dollars (3,798 milliards de dollars pour être exact).
RépondreSupprimerAu niveau mondial, les milliardaires sont les grands gagnants de la pandémie COVID-19. Selon un récent rapport de l'UBS, les quelque 2 189 milliardaires du monde entier disposent désormais de 10,2 billions de dollars. Il s'agit d'une augmentation estimée à 1,5 billion de dollars pendant la pandémie si l'on considère les données de l'UBS et de Forbes concernant les milliardaires à partir de 2019.
Le tableau ci-dessous indique l'augmentation de la richesse personnelle des cinq milliardaires étasuniens les plus riches (18 mars - 17 juin 2020). (Non indiquée dans le tableau, la richesse des milliardaires étasuniens a encore augmenté de 266 milliards de dollars de juin à octobre 2020).
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Réfléchissons maintenant brièvement à la deuxième vague qui est maintenant imposée à des millions de personnes.
La deuxième vague
Septembre-octobre 2020. L'établissement financier a demandé aux gouvernements de mettre en œuvre ce qui équivaut à un deuxième programme de faillite en utilisant le prétexte et la justification que le nombre de cas positifs de COVID-19 avait augmenté.
Selon toute vraisemblance, cette deuxième vague conduira à un nouveau processus d'appropriation et de concentration des richesses.
Parallèlement, on observe une tendance à des formes de gouvernement totalitaires.
Toutes les formes d'activité sociale sont touchées, y compris les réunions familiales, les mariages et les enterrements, les rassemblements publics, sans parler de la fermeture d'écoles, d'universités, de musées, de manifestations sportives et culturelles. Des mesures d'État policier sont désormais appliquées pour faire respecter la loi. Et les gens acceptent !
Au début de la deuxième vague, le processus de reporter la réouverture de l'économie mondiale contribuera de manière significative à la destruction des petites et moyennes entreprises (régionales et locales) dans le monde entier, tout en précipitant la faillite de secteurs entiers de l'économie mondiale, notamment les compagnies aériennes, les chaînes d'hôtels et l'industrie touristique. Cela entraînera à son tour l'appropriation de biens réels par de puissants intérêts financiers.
La campagne de peur est une fois de plus passée à la vitesse supérieure.
Les statistiques officielles basées sur des estimations erronées et manipulées de cas positifs COVDI-19 dits « confirmés » constituent la base même pour justifier ces mesures diaboliques.
V-virus [COVID-19] est présenté comme la menace. Mais le virus n'a pas d'impact direct sur les variables économiques clés.
Les enjeux sont sans précédent : Il s'agit d'un programme néolibéral mondial mené par des gouvernements corrompus au nom de le pouvoir financier (establishment).
Le bon sens nous dit que la fermeture de l'économie mondiale détruit la vie des gens.
RépondreSupprimerPerturber la campagne de peur constitue le premier pas vers le renversement de la tendance.
ANNEXE
Le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR)
Le test standard utilisé pour détecter/identifier le SRAS-2 dans le monde entier est le test Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel (RT-PCR), qui est utilisé pour estimer et tabuler le nombre de cas confirmés positifs de Covid-19. (Ce n'est pas le seul test utilisé. Les observations ci-dessous concernent uniquement la PCR standard).
Selon le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel, qui a inventé le test PCR :
« La PCR détecte un très petit segment de l'acide nucléique qui fait partie d'un virus lui-même. Le fragment spécifique détecté est déterminé par le choix quelque peu arbitraire des amorces d'ADN utilisées qui deviennent les extrémités du fragment amplifié ».
Le test PCR n'a jamais été destiné à identifier le virus.
Le test PCR standard appliqué en relation avec le Covid-19 ne détecte ni n'identifie le virus. Ce qu'il détecte, ce sont des fragments de plusieurs virus, selon le Dr B. Stadler, immunologiste suisse renommé. Selon le Dr Pascal Sacré, « ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus entier ».
« Fragments de virus positifs » ne signifie pas « positifs pour le SRAS-2« (ou Covid-19 positif).
Ce que les gouvernements ont fait, c'est donner au test PCR positif une étiquette unique, à savoir « Covid-19 »
Une fois que le label Covid-19 Positive est établi et accepté, il est alors soumis à de nombreuses formes de manipulation, sans parler de la falsification des certificats de décès.
Voici les critères du CDC qui reconnaît fermement qu'une « infection positive [COVID-19] » peut être le résultat d'une « co-infection avec d'autres virus... L'agent détecté ne peut pas être la cause de la maladie« .
Les critères et lignes directrices confirmés par le CDC concernant le « Panel de diagnostic du CDC 2019-Nouveau Coronavirus (2019-nCoV) » sont les suivants (à lire attentivement) :
Les résultats concernent l'identification de l'ARN du 2019-nCoV. L'ARN du 2019-nCoV est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l'infection. Des résultats positifs indiquent une infection active par le 2019-nCoV mais n'excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection avec d'autres virus. L'agent détecté peut ne pas être la cause précise de la maladie. Les laboratoires des États-Unis et de ses territoires sont tenus de signaler tous les résultats positifs aux autorités de santé publique compétentes.
Les résultats négatifs n'excluent pas une infection par le 2019-nCoV et ne doivent pas servir de base unique pour le traitement ou d'autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être associés aux observations cliniques, aux antécédents du patient et aux informations épidémiologiques.
https://fr.sott.net/article/36249-La-feuille-de-route-de-la-COVID-19-Vers-un-chaos-economique-mondial-et-une-destruction-de-la-societe
Le grand reset, le nouvel ordre mondial : qui sera concerné ?
RépondreSupprimerle 7 novembre 2020
Ces commentaires sont une suite de l’article de Peter Koenig. Le rêve des « hommes de Davos », en d’autres termes du Forum Économique Mondial (WEF), d’imposer au monde entier une gouvernance globale ne se réalisera pas si des pays, importants économiquement, refusent d’accepter des lois et des systèmes de gouvernance qui leur sont étrangers ou imposés par des étrangers. Chaque pays a une histoire qui lui est propre, chaque pays vit avec ses coutumes et il est difficile d’imaginer qu’un pays comme le Vietnam, avec ses 96 millions d’habitants, puisse accepter que des représentants de l’intelligentsia internationale viennent leur imposer un autre modèle politique et social. Le Vietnam n’a pas oublié la guerre que lui imposa les Etats-Unis, le premier pays concerné par l’élaboration de la mise en place de cette gouvernance mondiale.
En effet, Washington n’acceptera jamais que le dollar US soit rétrogradé au rang de monnaie nationale. Or les plans du WEF font la part belle à une monnaie internationale qui ne sera pas nécessairement adossée au dollar US. Le Vietnam se trouve dans le nouvel épicentre économique mondial qui compte, sans englober l’Inde, le Pakistan, le Myanmar et le Bangladesh, 2180 millions de personnes. Les pays leaders de cet ensemble sont la Chine, la Corée, le Japon et Taïwan. Les autres entités nationales majeures de cet ensemble sont, donc, le Vietnam, la Thaïlande avec 66 millions d’habitants, l’Indonésie (270 millions), les Philippines (109 millions), la Malaise (32 millions, ensemble auquel il faut ajouter Singapour. C’est dans cette zone que les affaires se développent et attirent des volumes gigantesques de capitaux. Les investisseurs ont compris que le plan du WEF ne concerne finalement que l’Europe, les USA et peut-être le Canada et l’Australie. Ce dernier pays s’orientera naturellement vers le nouveau pole économique extrême-oriental quelle que soit l’attitude écolo-gauchiste du gouvernement actuel de Canberra qui veut bannir les exportations de charbon et de minerai de fer vers la Chine, la Corée et le Japon parce que ce n’est pas « green ».
Il ne faut pas oublier dans cette description du nouveau pole de croissance mondiale la Russie. Ce pays fait en effet partie de cette zone, géographiquement parlant, et compte bien jouer un rôle économique important ne se limitant pas à la seule Chine. Les immenses étendues sibériennes qui jouxtent la Chine font déjà l’objet d’une implantation économique chinoise très dynamique dans des villes comme Vladivostok, Khabarovsk ou encore Irkutsk et Yakutsk. La Chine et les autres pays énumérés ci-dessus représentent des marchés immenses pour la Russie. L’erreur majeure de l’Europe a été de se détourner de la Russie en se pliant aux contraintes politiques imposées par Washington et cette erreur stratégique conduira l’Europe à sa perte. D’ailleurs l’Europe n’est-elle pas déjà en ruine ?
Le fait que les investisseurs transfèrent massivement des capitaux dans ces pays de l’Extrême-Orient signifie clairement que l’Europe est en état de mort cérébrale pour reprendre un mot du Président français au sujet de l’OTAN. À la suite de la chute du mur de Berlin les Européens, plutôt que de suivre comme des moutons les Américains, auraient été beaucoup plus avisés d’exiger la dissolution de l’OTAN. La Commission européenne n’a plus aucun pouvoir de décision, tout se passe dans le bâtiment d’à côté : le siège du QG de l’OTAN à Bruxelles. L’OTAN a tellement asservi l’Union européenne que celle-ci a été entrainée dans des conflits qui n’avaient rien à voir avec sa propre sécurité, je pense à l’Irak, à l’Afghanistan, au Kosovo, à la Syrie et à la Libye. De plus l’Europe a accepté le déploiement de l’armée américaine jusqu’aux frontières ouest de la Russie alors que ce pays n’a plus aucune visée territoriale depuis la chute du rideau de fer. À ce sujet l’attitude de la Chancelière Merkel est presque caricatural ! Elle veut bien du gaz russe (NordStream II) mais dans le même temps elle garde en elle une rancoeur irréductible à l’encontre de l’URSS qui, selon elle, lui a pourri sa jeunesse en RDA. C’est une raison que l’on pourrait dire épidermique de la position d’Angela Merkel qui se plie aux désirs des Américains au sujet de la Russie en ce qui concerne la défense de l’Europe. Au risque de me répéter dans ces lignes la Russie n’alimente aucune idée d’hégémonie sur l’Europe : elle est déjà tournée vers l’Extrême-Orient.
RépondreSupprimerLe cas de la Crimée est exemplaire de l’incohérence totale de la politique européenne sur la scène internationale. Inutile de rappeler l’incroyable scandale du vol MH17 dont le dossier a été totalement occulté par les Pays-Bas sur ordre de l’OTAN ni des ingérences de l’Europe au côté de la CIA à Kiev. Mais le plus scandaleux encore est l’attitude de l’Europe face à la soi-disant annexion de la Crimée par la Russie. Ce sont les habitants de cette péninsule qui ont décidé, et non pas Moscou, de quitter l’Ukraine. Il faut dire que l’attitude de l’Europe dans cet événement n’est pas reluisante : l’Europe a accepté l’annexion par le Maroc du Sahara Occidental ainsi que l’annexion de Mayotte par la France, deux situations qui n’ont jamais été reconnues par les Nations-Unies, faut-il le rappeler. Pourquoi encore une fois deux poids, deux mesures ? Parce que l’OTAN est derrière tout cela et son but est de préparer une confrontation de l’Europe avec la Russie qui se moque bien de ce conglomérat hétéroclite de pays qui n’arrivent pas à s’entendre sauf pour la taille des cornichons ou le diamètre des pommes, et encore …
Donc l’Europe, le ventre mou du monde, est mûre pour accepter sans protester une gouvernance supranationale selon les objectifs du WEF avec pour guide suprême le président d’un groupe d’oligarques apatrides. L’instrumentalisation et la gestion de la pandémie de SARS-CoV-2 par les pays européens révèle clairement leur soumission ce projet. La Suède et le Professeur Didier Raoult en France jouent les trouble-fait et tous les médias acquis au projet du WEF n’ont eu de cesse de ternir leur image : dans cette histoire de SARS-CoV-2 on n’est plus à un scandale près. En conclusion les démocraties européennes et l’Amérique du Nord n’ont plus d’avenir, ce qui n’est pas le cas du reste du monde et certainement pas le cas de la zone économique extrême-orientale.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/07/le-grand-reset-le-nouvel-ordre-mondial-qui-sera-concerne/
Angleterre : affrontements entre la police et des manifestants anti-confinement
RépondreSupprimer6 nov. 2020, 12:16
Des échauffourées avec la police y ont éclaté. Le 5 novembre, lors de la première soirée d'un confinement prévu jusqu'au 2 décembre, des manifestants opposés au retour des mesures anti-Covid se sont réunis dans les rues de Londres, Manchester et Liverpool.
Comme en France, le confinement anglais n'autorise la sortie du domicile que pour des raisons essentielles telles que le travail, l'éducation, les achats ou les soins médicaux. Les rassemblements de plus de deux personnes provenant de ménages différents - à l'extérieur comme à l'intérieur - sont interdits, à quelques exceptions près.
A Londres, les Anonymous contre le confinement
A Londres, plusieurs centaines de personnes portant des masques de Guy Fawkes ont tenté de se rassembler à Trafalgar Square pour la marche annuelle du Million de masques («Million mask march», aussi connue sous le nom d’Opération Vendetta) en violation des règles du confinement. Cette marche anticapitaliste est organisée chaque année par le groupe hacktiviste Anonymous depuis 2013 et dénonce les multinationales, la corruption, la brutalité policière et le racisme systémique.
Cette année, ses rangs ont été renforcés par des opposants au confinement visant à lutter contre la propagation du Covid-19. Les manifestants ont été accueillis par un imposant cordon de police. Plusieurs d’entre eux ont été interpellés à la suite d'échauffourées. Après avoir été repoussée de Trafalgar Square, la manifestation a continué sur Oxford street, toute proche.
Tout en annonçant avoir procédé à plus de 100 arrestations, la Metropolitan Police de Londres a affirmé sur Twitter que sa priorité était d’assurer la sécurité des Londoniens : «Des foules de personnes ont choisi d'ignorer les nouvelles réglementations, de se comporter de manière irresponsable et de se réunir de manière dangereuse.» A Manchester, la grogne des étudiants
Des étudiants de l'Université de Manchester se sont attaqués aux barrières métalliques installées dès le premier jour du reconfinement - une décision pour laquelle les instances dirigeantes de l'université auraient présenté leurs excuses. De nombreux étudiants sont déjà isolés depuis des semaines, la plupart des cours étant proposés en ligne malgré des frais de scolarité annuels de 9 000 £ (environ 10 000 €).
Sur ces images filmées le 5 novembre, des étudiants se réjouissent de la chute des barrières clôturant la résidence universitaire de Fallowfield.
A Liverpool, des manifestants contre le «contrôle par la peur»
A Liverpool, plusieurs centaines de manifestants anti-confinement se sont réunis devant le Saint George's Hall vers 18h30 heure locale, selon le Liverpool Echo. L'événement s'est soldé par trois arrestations et 13 amendes. Des panneaux portant le slogan «Danger - Vous êtes conditionnés à voir votre liberté comme de l'égoïsme!» étaient visibles dans la foule. Un manifestant interrogé par Ruptly s’est dit «inquiet pour [ses] enfants». «La peur est un excellent moyen de contrôle», a-t-il assuré.
RépondreSupprimerLes manifestations anti-confinement se multiplient à travers l'Europe. Ces derniers jours, certaines ont eu lieu à Paris et Toulouse, ainsi qu'à Florence, Milan, Rome, Madrid, ou encore Barcelone. Le Royaume-Uni est confronté, comme plusieurs pays européens, à une hausse des cas et des décès liés au coronavirus ces derniers jours. Le Covid-19 y a fait plus de 48 000 morts depuis le début de la pandémie.
https://francais.rt.com/international/80498-angleterre-affrontements-entre-police-manifestants-anti-confinements
Covid : les petits commerçants manifestent à Toulouse contre l'interruption forcée de leur activité
RépondreSupprimer7 nov. 2020, 08:17
Un «die-in», c'est-à-dire une simulation de la mort, a été organisé à Toulouse par les petits commerçants qui protestaient contre les mesures de restrictions et de fermetures les visant. Ils entendent alerter les pouvoirs publics sur leur situation.
Le 6 novembre 2020 à Toulouse, un millier de petits commerçants, selon France Bleu, ont répondu à l'appel d'organisations de petites et moyennes entreprises en Haute-Garonne, telles que la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH) locale et la Fédération des commerçants et artisans toulousains.
Au cours de cet événement déclaré en préfecture, et au cours duquel les distances étaient respectées, les participants ont symbolisé leur mort économique avec un «die-in» sur la place du Capitole. En cause, l'interruption forcée de leur activité du fait du reconfinement décidé par l'exécutif pour tenter d'endiguer la pandémie de Covid-19 qui a présenté une évolution inquiétante au cours des dernières semaines en France.
Parmi les manifestants se trouvaient des coiffeurs, des libraires ou encore des restaurateurs.
Un site internet aux couleurs sombres, intitulé «02112020» – 2 novembre, en rapport avec le Jour des morts – a également été créé pour alerter l'opinion publique et le pouvoir sur le sort de plusieurs professions menacées par les restrictions sanitaires prises par les autorités, en particulier dans le cadre du reconfinement.
Nous sommes tous essentiels, nous sommes tous sinistrés «Agences d’hôtesses, agences événementielles, artistes, bars, clubs sportifs, discothèques, hôtels, lieux de réception, prestataires techniques, producteurs de spectacles, restaurants, salles de sport, salles de spectacles, sociétés de sécurité, techniciens, traiteurs...
Tous touchés par l’impact économique de cette crise sanitaire, nous sommes tous en danger de mort et les aides annoncées par l’Etat ne sont pas arrivées jusqu’à nous», est-il notamment écrit sur la plateforme. «Nous avons décidé de lancer un mouvement symbolique en cette Journée des morts et avons besoin de chacun d’entre vous, dirigeants et salariés de toutes ces filières impactées», ajoute le site qui a ajourné au 6 novembre sa première mobilisation «par respect et en mémoire aux victimes de l’attentat de Nice».
«Nous sommes tous essentiels, nous sommes tous sinistrés», pouvait-on d'ailleurs lire sur un écran géant installé face aux participants de la mobilisation à Toulouse, qui chutaient au sol les uns après les autres à l'annonce de leur secteur d'activité. En quelques minutes, selon l'AFP, un grand voile noir, représenté par des centaines de parapluies, a ensuite recouvert la place du Capitole, au son de voix du ténor et ancien rugbyman Omar Hasan.
«C'est une démarche principalement symbolique pour illustrer le grand écart entre les déclarations du président de la République et ce qui se passe de facto sur le terrain», affirme Samuel Cette, président de la CPME 31, auprès de l'AFP. A Annecy (Haute-Savoie), plus de 400 commerces, d'après l'AFP, ont apposé sur leur vitrine une affichette «A vendre» avec le numéro non pas d'une agence, mais de l'Elysée, pour alerter sur la mise en danger de leurs entreprises.
https://francais.rt.com/france/80524-covid-petits-commercants-manifestent-toulouse-interruption-forcee-activite
Vers la réouverture des concessions automobiles pour ne pas «fermer les hauts fourneaux» ?
RépondreSupprimer6 nov. 2020, 20:21
Rouvrir les concessions automobiles pour éviter de «contaminer» toute la filière ? C’est ce qu'a semblé justifier la ministre déléguée à l’Industrie, à quelques heures d’une importante réunion avec les représentants de l'industrie automobile.
La ministre déléguée à l’Industrie, Agnès Pannier-Runacher, a jeté un pavé dans la mare en évoquant, à mots couverts, la réouverture totale des concessions automobiles dans le cadre du reconfinement, le 6 novembre sur le plateau de CNEWS.
Lire aussi Petits commerces «non-essentiels» restés ouverts : Béziers et Perpignan recadrés par la justice
«Nous réunissons aujourd’hui l’ensemble de la filière de l'automobile, et nous avons une réunion spéciale avec les concessionnaires pour faire en sorte qu’ils continuent à travailler», venait-elle d’annoncer quand la journaliste Laurence Ferrari lui a demandé s’il était question de nouvelles mesures d’aide.
La ministre a alors offert une explication semblant justifier la réouverture des concessions automobiles, en faisant le lien avec l’activité de la sidérurgie nationale : «Un truc tout simple. Un concessionnaire qui ferme, [...] ça veut dire que le producteur arrête de produire et [que] toute la filière est contaminée jusqu’aux hauts-fourneaux de Fos et de Dunkerque.»
Il n’est pas question de fermer les hauts fourneaux de Fos et de Dunkerque parce que les concessionnaires ne peuvent pas rendre les clés des voitures Et d’ajouter : «Il n’est pas question de fermer les hauts fourneaux de Fos et de Dunkerque parce que les concessionnaires ne peuvent pas rendre les clés des voitures.»
En réalité, ils le peuvent comme beaucoup d’autres commerces autorisés à pratiquer le «cliquer et collecter», qui passe par des commandes préalables réalisées en ligne. Mais Luc Chatel, président de PFA, l’organisation de la filière automobile, a annoncé il y a quelques jours une chute des ventes de voitures neuves.
Quant aux véhicules d’occasion que les acheteurs ont en général envie de voir avant la transaction, Marc Bruschet, du Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), expliquait la veille à l’AFP : «Les showrooms sont fermés ! Cela peut reprendre à la réouverture des concessions […] Cela dépendra du contexte sanitaire et du climat des concessions.»
https://francais.rt.com/economie/80518-vers-reouverture-concessions-automobiles-pour-ne-pas-fermer-hauts-fourneaux
Les prostituées de presse se ridiculisent en essayant de dissimuler la fraude électorale des démocrates
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
7 novembre 2020
Il est amusant de voir les prostituées de la presse tenter de dissimuler la fraude électorale des démocrates. Voici un exemple de la BBC achetée et payée dont la «Reality Check Team» s'est engagée à «vérifier» la «rumeur» d'une décharge soudaine de 138 000 bulletins de vote pour Biden dans le Michigan aux petites heures du matin alors que personne était en train de regarder.
La BBC affirme qu'il s'agissait d'une «erreur de saisie de données» qui a été corrigée. L'«erreur de saisie de données» n'a pas été corrigée, si c'était le cas, jusqu'à ce qu'elle devienne un problème. Comment la BBC sait-elle que le bond soudain des votes pour Biden n'était pas une fraude qui, une fois révélée, a été expliquée par des fonctionnaires véreux comme une «erreur de saisie de données».
Notez également que la même chose s'est produite dans le Wisconsin voisin à peu près au même moment. Nous avons donc eu deux «erreurs de saisie de données» simultanées dans deux États contestés critiques qui ont effacé l'avance de Trump ? Quelle est la probabilité ?
Notez également que la correction de «l'erreur de saisie de données» n'a pas entraîné la réapparition de l'avance de Trump. Alors, comment l'erreur a-t-elle été corrigée ?
Cela montre à quel point les presstituts sont complètement stupides qu'ils rapportent qu'une erreur de saisie de données qui a effacé l'avance de Trump a été «corrigée» mais que l'avance est restée effacée !
Pourquoi un service de presse britannique a-t-il une «équipe de vérification des faits» pour protéger un parti politique américain ? La campagne contre l'Amérique rouge est-elle organisée à l'échelle mondiale ?
Notez deux autres modèles de vote anormaux. Dans les États critiques, les votes démocrates pour les sénateurs ne correspondent pas aux votes pour Biden, et malgré ce qui semble être un taux de participation démocrate record, les démocrates ont perdu des sièges lors des élections ! Qu'est-ce qui explique l'absence de vote «down the ticket» dans le vote de la Chambre des démocrates et du Sénat ? La fraude lors du vote Biden est une réponse évidente.
Le meilleur de Paul Craig Roberts
https://www.lewrockwell.com/2020/11/paul-craig-roberts/press-prostitutes-make-fools-of-themselves-trying-to-cover-up-vote-fraud-for-democrats/
Escobar: Banana Follies - La mère de toutes les révolutions de couleur
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 11/06/2020 - 23:40
Rédigé par Pepe Escobar via The Asia Times,
Un exercice de jeu de la révolution de la couleur indigène parfaite, du nom de code Blue, a été divulgué par un important groupe de réflexion établi dans les terres impériales qui a conçu le concept de révolution de couleur.
Toutes les informations divulguées ici sur le jeu de Blue n'ont pas été déclassifiées. Cela pourrait bien susciter une réponse sévère de l'État profond, même si un scénario similaire a été joué par une équipe appelée Transition Integrity Project.
Les deux scénarios devraient être qualifiés de programmation prédictive - l'État profond préparant le grand public, à l'avance, à la manière exacte dont les choses se dérouleront.
Les règles standard du livre de jeu de la révolution des couleurs commencent généralement dans la capitale de l'État-nation X, au cours d'un cycle électoral, les «rebelles» luttant contre la liberté bénéficiant du plein soutien des médias nationaux et internationaux.
Le bleu concerne une élection présidentielle dans l'Hégémon. Dans l'exercice de jeu, le président sortant, nommé Buffoon, a été peint en rouge. Le challenger, nommé Corpse, était peint en bleu.
Blue - l'exercice - est monté d'un cran car, par rapport à ses prédécesseurs, le point de départ n'était pas une simple insurrection, mais une pandémie. Pas de pandémie, mais une pandémie mondiale vraiment grave, très grave, avec un taux de mortalité par infection explosif de moins de 1%.
Par une heureuse coïncidence, la pandémie mortelle a permis aux opérateurs bleus de promouvoir les bulletins de vote par correspondance comme la procédure de vote la plus sûre et la plus éloignée socialement.
Cela est lié à une série de sondages prédisant une victoire presque inévitable des bleus aux élections - même une vague bleue.
Le principe est simple: abattre l'économie et dégonfler un président en exercice dont la mission déclarée est de conduire une économie en plein essor. En tandem, convaincre l'opinion publique que se rendre aux urnes constitue un danger pour la santé.
Le comité de production bleu ne prend aucun risque, annonçant publiquement qu'il contesterait tout résultat qui contredit le résultat préemballé: la victoire finale de Blue dans un organisme de démocratie décalé, anachronique et anti-direct appelé le «collège électoral».
Si Red gagne d'une manière ou d'une autre, Bleu attendra que chaque vote soit compté et dûment plaidé à chaque niveau de juridiction. S'appuyant sur un soutien médiatique massif et un marketing des médias sociaux propulsé à des niveaux de saturation, Blue proclame que «en aucun cas» Red serait autorisé à déclarer la victoire.
Compte à rebours pour voter magique
Le jour des élections arrive. Le dépouillement des votes se déroule sans heurts - comptage postal, décompte des jours d'élection, comptage à la minute près - mais surtout en faveur de Red, en particulier dans trois États toujours essentiels pour capturer la présidence. Le rouge est également en tête dans ce qui est qualifié d '«états oscillants».
Mais alors, tout comme un réseau de télévision appelle prématurément un État rouge supposé assuré pour Bleu, tous les décomptes de votes s'arrêtent avant minuit dans les principales zones urbaines des principaux États swing sous les gouverneurs bleus, avec Red en tête.
RépondreSupprimerLes opérateurs bleus arrêtent de compter pour vérifier si leur scénario vers une victoire bleue peut se dérouler sans apporter de bulletins de vote par correspondance. Leur mécanisme préféré est de fabriquer la «volonté du peuple» en entretenant une illusion d'équité.
Pourtant, ils peuvent toujours compter, comme le Plan B, sur des bulletins de vote par correspondance urbains, chauds et froids, jusqu'à ce que Blue couine dans deux états de swing particulièrement clés que Red avait empochés lors d'une élection précédente.
C’est ce qui se passe. À partir de 2 heures du matin, et plus tard dans la nuit, entrez un lot de votes «magiques» dans ces deux états clés. L '«ajustement» soudain et vertical à la hausse inclut le cas d'un lot de plus de 130 000 votes pro-bleus exprimés dans un comté aux côtés de pas un seul vote pro-rouge - un miracle statistique des proportions du Saint-Esprit.
Le bourrage des urnes est une arnaque typique appliquée dans les déclinaisons de la révolution des couleurs de Banana Republic. Les opérateurs bleus utilisent la méthode éprouvée appliquée au marché à terme de l'or, lorsqu'une baisse soudaine des shorts nus fait baisser le prix de l'or, protégeant ainsi le dollar américain.
Les opérateurs bleus parient que l'alliance médias grand public / Big Tech conformes ne remettra pas en question le fait que, à l'improviste, le vote basculerait vers le bleu dans une marge de 2 contre 3 ou 3 contre 4.
Ils parient qu'aucune question ne sera posée sur la manière dont une tendance positive de 2% à 5% en faveur de Red dans quelques États s'est transformée en une tendance de 0,5% à 1,4% en faveur de Blue vers 4 heures du matin.
Et que cet écart se produit dans deux états oscillants presque simultanément.
Et que certaines circonscriptions obtiennent plus de votes présidentiels que d'électeurs inscrits.
Et que dans les États swing, le nombre de votes extra mystérieux pour Blue dépasse de loin les votes exprimés pour les candidats au Sénat dans ces États, alors que le bilan montre que les totaux des billets à la baisse sont traditionnellement proches.
Et ce taux de participation dans l'un de ces États serait de 89,25%.
Le lendemain du jour du scrutin, il y a de vagues explications selon lesquelles l’une des éventuelles décharges de votes n’était qu’une «erreur d’écriture», alors que dans un autre État contesté, il n’y a aucune justification pour accepter des bulletins de vote sans cachet de la poste.
Les opérateurs bleus se détendent parce que l'alliance médias grand public / Big Tech écrase chaque plainte comme des «théories du complot».
La contre-révolution rouge
Les deux candidats à la présidentielle n'aident pas exactement leurs propres cas.
Codename Corpse, dans un glissement freudien, avait révélé que son parti avait mis en place le stratagème de fraude le plus vaste et le plus «diversifié» jamais créé.
RépondreSupprimerNon seulement Corpse est sur le point d'être étudié pour un schéma informatique loufoque. Il s'agit d'un patient atteint de démence de stade 2 avec un profil qui disparaît rapidement - maintenu à peine fonctionnel par les médicaments, ce qui ne peut empêcher son esprit de s'éteindre lentement.
Codename Buffoon, fidèle à son instinct, fait preuve de préemption, déclarant toute l'élection une fraude mais sans offrir une arme fumante. Il est dûment démystifié par l'alliance médias grand public / Big Tech pour avoir répandu de «fausses allégations».
Tout cela se passe alors qu'un opérateur rusé, vieux et amer n'a pas seulement déclaré que le seul scénario admissible était une victoire bleue; elle s'était déjà positionnée pour un poste de haute sécurité.
Blue propose également des jeux dans lesquels Red s'engagerait immédiatement dans une voie unique: un régiment, une armée d'avocats exigeant l'accès à chaque liste d'enregistrement pour nettoyer, examiner et vérifier chaque bulletin de vote par la poste, un processus d'analyse médico-légale de facto.
Pourtant, Blue ne peut pas prévoir combien de faux bulletins de vote seront dévoilés lors des recomptages.
Alors que Corpse est sur le point de déclarer la victoire, Buffoon regarde le long match, prêt à porter le tout jusqu'à la Cour suprême.
La machine rouge l'avait déjà joué - car elle était pleinement consciente de la façon dont l'opération Blue serait jouée.
La contre-révolution rouge a le potentiel d'échouer stratégiquement Bleu.
Il s'agit d'une attaque à trois volets - avec Red utilisant le Comité judiciaire, le Sénat et le procureur général, tous sous l'autorité du nom de code Buffoon jusqu'au jour de l'inauguration. Le jeu final après une bataille juridique vicieuse est de renverser Blue.
Les principaux opérateurs de Red ont la possibilité de créer une commission du Sénat, ou un avocat spécial, à la demande du Comité judiciaire, qui sera nommé par le ministère de la Justice pour enquêter sur le cadavre.
Dans l'intervalle, deux votes du collège électoral, à un mois d'intervalle, sont nécessaires pour certifier le vainqueur de la présidentielle.
Ces votes auront lieu au milieu d'une et peut-être deux enquêtes axées sur le cadavre. Tout État représenté au collège électoral peut s'opposer à l'approbation d'un cadavre faisant l'objet d'une enquête; dans ce cas, il est illégal pour cet État de permettre à ses électeurs de certifier les résultats présidentiels de l’État.
Le cadavre peut même être mis en accusation par son propre parti, en vertu du 25e amendement, en raison de son déclin mental irréversible.
Le chaos qui en résulterait devrait être résolu par la Cour suprême de tendance rouge. Pas exactement le résultat favorisé par Blue.
La maison gagne toujours
RépondreSupprimerLe cœur du problème est que ce jeu de réflexion transcende à la fois le rouge et le bleu. Tout tourne autour du jeu final du Deep State.
Il n'y a rien de tel qu'une énorme psy ops intégrée dans un théâtre sur le thème de la WWE sous le signe de Divide and Rule pour opposer la foule à la foule, la moitié de la foule se rebellant contre ce qu'elle perçoit comme un gouvernement illégitime. Les 0,00001% étudient confortablement le carnage non seulement métaphorique d'en haut.
Même si l'État Profond, utilisant ses sbires bleus, n'aurait jamais permis au nom de code Buffoon de l'emporter, encore une fois, Divide and Rule domestique pourrait être considéré comme le résultat le moins désastreux pour le monde dans son ensemble.
Un contexte de guerre civile détourne en théorie l'État Profond du bombardement de plus de latitudes du Sud dans la mascarade dystopique de «démocratie» qu'il est en train de promulguer.
Et pourtant, une impasse nationale de l'Empire du Chaos pourrait bien encourager davantage d'aventures à l'étranger en tant que diversion nécessaire pour relier la pièce.
Et c’est la beauté de l’exercice de jeu Blue: la Maison gagne, d’une manière ou d’une autre.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/escobar-banana-follies-mother-all-color-revolutions
Le refroidissement global nous tuera tous¨!
RépondreSupprimer5 novembre 2020
Par Andy May
Comme le montre Angus McFarlane dans un article Web wattsupwiththat.com de 2018 bien documenté (McFarlane, 2018), environ 65 % des articles sur le climat évalués par des pairs, qui offraient une opinion, publiés entre 1965 et 1979, prédisaient que le refroidissement mondial observé à l'époque continuerait. Il fait référence et est soutenu par un article Notrickszone.com de Kenneth Richard (Richard, 2016).
Les tentatives pour effacer la «peur du refroidissement global» d'Internet par le célèbre William Connolley, qui a réécrit 5 428 articles de Wikipédia dans une vaine tentative de changer l'histoire, ont échoué. Comme l'explique James Delingpole dans The Telegraph, Connolley a systématiquement transformé Wikipédia en une machine de défense du réchauffement climatique créée par l'homme (Delingpole, 2009). Il a réécrit des articles sur le réchauffement climatique, l'effet de serre, les modèles climatiques et le refroidissement global. Il a essayé d'effacer la période chaude médiévale et le petit âge glaciaire. Dans les pages Wikipédia, il a saccagé de célèbres climatologues qui étaient sceptiques sur le réchauffement climatique causé par l'homme comme Richard Lindzen, Fred Singer, Willie Soon et Sallie Baliunas. Il a également empêché les gens de corriger ses mensonges.
William Connolley est ami avec Michael Mann et son équipe de hockey, qui comprend Phil Jones et Raymond Bradley. Il est également co-fondateur du site alarmiste Realclimate.org. De toute évidence, Connolley s'est assuré que Mann et Bradley recevaient des éloges élogieux sur Wikipédia jusqu'à ce qu'il soit renvoyé en 2009 et démis de ses fonctions d'administrateur de Wikipédia (Delingpole, 2009).
Nous ne sommes pas surpris que Connolley apparaisse en tant que co-auteur de l'article évalué par des pairs, «Le mythe du consensus scientifique mondial sur le refroidissement des années 1970» dans BAMS, écrit par Thomas Peterson, William Connolley et John Fleck (Peterson, Connolley, & Fleck, 2008). Le papier est absurde et n'a fait aucune différence parce que les faits sont des choses tenaces. Le fait que le document ait été approuvé par les pairs illustre à quel point la science du climat est devenue corrompue. Le papier commence par ceci:
«Il n'y avait pas de consensus scientifique dans les années 1970 sur le fait que la Terre se dirigeait vers une ère glaciaire imminente. En effet, la possibilité d'un réchauffement anthropique dominait même alors la littérature évaluée par les pairs. (Peterson, Connolley et Fleck, 2008)
- voir graphique sur site -
Figure 1. Le UK Met Office Hadley Center et le Climatic Research Unit (CRU) de l'Université d'East Anglia pour la reconstruction de la température moyenne mondiale depuis 1850. Il montre, comme d'autres reconstructions, un refroidissement global d'environ 0,09 ° C (0,16 ° F) de 1944 à 1977.
La peur du refroidissement mondial des années 1960 et 1970 existait bel et bien, les climatologues et le public craignaient que la tendance mondiale au refroidissement, qui a commencé dans les années 1940 (voir Figure 1), se poursuive et que le monde devienne très froid, voire revienne à une période glaciaire comme celle qui s'est terminée il y a environ 11 700 ans au début de l'Holocène.
The Peterson et coll. papier choisit soigneusement 71 articles et prétend que seuls sept articles entre 1965 et 1979 étaient en désaccord avec la position «consensuelle» selon laquelle le réchauffement climatique se produirait à l'avenir. Ils en ont trouvé 20 qui adoptaient une position neutre et 44 qui étaient d'accord avec le consensus sur le réchauffement climatique. Mais le monde se refroidissait à l'époque et le faisait depuis 1944. Kenneth Richard a fait des recherches sur ce point et a étendu la période de 1960 à 1989. Richard a trouvé 285 articles qui n'étaient pas d'accord avec la position «consensuelle» selon laquelle le réchauffement climatique se produirait à l'avenir (Richard, 2016 ).
RépondreSupprimerSur ces 285 articles, 156 discutaient du refroidissement depuis 1940 et prévoyaient un refroidissement futur. Sept ont essayé de montrer que le gaz carbonique pouvait être à l'origine du refroidissement. Une liste complète des articles peut être téléchargée à partir du message de Kenneth Richard. Les alarmistes ont truqué les chiffres pour montrer un consensus de 97 % selon lequel l'homme était à l'origine du réchauffement climatique, puis ils ont truqué le consensus sur le refroidissement mondial de la même manière.
Angus McFarlane a pris les bases de données créées par Kenneth Richard et Peterson, et al., Les a fusionnées (il y avait 16 doublons) et a ensuite effectué une recherche indépendante. Il a trouvé deux autres documents pertinents qui ne figuraient pas déjà dans l'une des deux bases de données. Ensuite, il a éliminé les articles qui étaient en dehors de l'original Peterson et al. période 1965-1979.
La base de données de McFarlane est plus petite que celle de Richard et ne contient que 190 articles pertinents, mais c'est 119 de plus que Peterson et al. trouvé et il couvre la même période. L'examen des articles par McFarlane a révélé que 86 prédisaient un refroidissement futur, 58 étaient neutres et 46 prévoyaient un réchauffement. Sur les 86 papiers de refroidissement, 30 prédisaient une éventuelle nouvelle «ère glaciaire». Strictement parlant, nous sommes dans une ère glaciaire, ce qu'ils signifient est une nouvelle période glaciaire où la glace avance à un nouveau maximum majeur comme il y a 19 000 ans dans le dernier maximum glaciaire majeur. Les 86 papiers de refroidissement représentent 45 % du total. Si nous ignorons les papiers neutres, comme John Cook, et al. (Cook, et al., 2013) dans son étude de consensus à 97%, les papiers refroidissants représentent 65% des papiers qui ont émis une opinion. En utilisant les règles de Cook, nous pouvons confortablement affirmer qu’il y a eu un consensus mondial sur le refroidissement en 1979.
Cependant, une fois que la tendance au refroidissement du milieu du XXe siècle s'est inversée et est devenue une tendance au réchauffement, il n'a pas fallu longtemps pour que le «consensus» s'inverse également. La tendance de la température de surface mondiale s'est transformée en réchauffement (environ 0,017 ° C / an comme le montre le graphique) vers 1977, et les articles sur le climat examinés par des pairs de 1977 à 1979 sont passés à un rapport de 52 % majorité des papiers chauffants, ignorant les papiers neutres. Au cours des années 80, les journaux sont rapidement passés au pro-réchauffement.
La presse du milieu des années 70 a rapporté qu'un consensus de climatologues pensait que le monde se refroidissait et que le refroidissement se poursuivrait (Struck, 2014). Des articles sur le consensus de refroidissement ont été publiés dans Newsweek, Time, le New York Times et le National Geographic. Une histoire marquante de Peter Gwynne dans Newsweek le 28 avril 1975 était typique (Gwynne, 1975). Il s'intitulait «The Cooling World». Dans le style surchauffé de Newsweek, l'article commence par: "Il y a des signes inquiétants que les conditions météorologiques de la Terre ont commencé à changer radicalement." Plus loin dans l'article, Gwynne explique à bout de souffle: «… le climat de la terre semble se refroidir. … Et les famines qui en résulteraient pourraient être catastrophiques. » Les sources citées par Gwynne incluent la National Academy of Sciences, Murray Mitchell (NOAA), George Kukla (Columbia University), James McQuigg (NOAA’s Center for Climatic and Environmental Assessment) (Gwynne, 1975).
RépondreSupprimerGeorge Kukla de l'Université de Columbia et de l'Observatoire de la Terre Lamont-Doherty n'a pas changé sa vision d'une tendance au refroidissement mondial à long terme, comme l'ont fait beaucoup de ses collègues. Quand il est malheureusement décédé le 31 mai 2014, il croyait toujours qu'une nouvelle période glaciaire massive commencerait dans le futur, peut-être dans 5 000 ans. Javier Vinós, dans son article de blog sur «La prochaine glaciation» (Vinós, 2018) prédit que la prochaine glaciation majeure commencera dans 1 500 à 2 500 ans. Il est heureux que les deux prédictions soient loin dans le futur.
Lorsque la prochaine période de refroidissement mondial commencera, comme elle le fera inévitablement, les climatologues rédigeront-ils davantage d'articles sur le refroidissement mondial ? Pourquoi devrions-nous croire les climatologues qui disent que le monde se réchauffe dangereusement maintenant, alors qu'il y a à peine 50 ou 60 ans, ils disaient qu'il se refroidissait dangereusement ? Une question raisonnable. Quelle preuve directe est apparue qui les a convaincus d'inverser le cours ? Nous avions un consensus sur le refroidissement lorsque le monde se refroidissait, maintenant nous avons un consensus sur le réchauffement et le monde se réchauffe. Est-ce tout ce qu'il y a à faire ? Les deux sont des hypothèses, qu'est-ce qui les fait devenir des faits ou des théories ?
Les hypothèses sont des idées spéculatives. Un vrai scientifique demande: «Est-ce vrai ? Dites-moi pourquoi vous pensez cela. Un processus scientifique rigoureux doit être utilisé pour démontrer pourquoi les événements observés, tels que le réchauffement climatique ou le refroidissement global, se produisent. Montrer qu'ils sont potentiellement dangereux demande encore plus de travail.
Le consensus est une chose politique. Le public forme une opinion consensuelle, puis vote et adopte des lois ou des règles qui reflètent l'opinion. En science, nous formons d'abord une hypothèse ou une idée qui explique un phénomène naturel observé, tel que le réchauffement ou le refroidissement. La prochaine étape consiste à tenter de le réfuter. Si nous échouons, l'idée survit. Nous publions ce que nous avons fait, et d'autres tentent de réfuter l'idée, s'ils échouent à la réfuter, elle survit. Une fois que cela a suffisamment duré, l'idée devient une théorie. Une théorie scientifique survit simplement, elle n'est jamais prouvée, elle doit toujours être soumise à des tests.
Nous avons mentionné ci-dessus que sept des articles examinés par Angus McFarlane et Kenneth Richard suggéraient que le gaz carbonique pourrait causer un refroidissement global. Un bon exemple est l'article de Sherwood Idso, publié en 1984 dans le Journal of Climatology. Le document s'intitule «Et si l'augmentation du gaz carbonique atmosphérique avait un effet de serre inverse ?» (Idso, 1984). Idso suppose que le gaz carbonique supplémentaire encouragera les plantes à se déplacer dans des zones plus arides, car le gaz carbonique supplémentaire amène les plantes à utiliser moins d'eau par livre de croissance. Idso pense que cela pourrait modifier l’albédo (réflectivité) de la Terre de manière à abaisser les températures. De la même manière, Richard Lindzen et Yong-Sang Choi ont émis l'hypothèse que du gaz carbonique supplémentaire augmenterait l'humidité dans les tropiques et donc la couverture nuageuse (Lindzen et Choi, 2011). De très petits changements dans la couverture nuageuse moyenne peuvent avoir un effet rafraîchissant important pendant la journée.
RépondreSupprimerPeter Webster présente une discussion intéressante du travail de Sherwood Idso dans son article sur le changement climatique, «La controverse sur le gaz carbonique et le climat: quelques commentaires personnels sur deux publications récentes» (Webster, 1984). Outre une discussion intéressante sur les émotions impliquées dans le débat sur le changement climatique causé par l'homme, nous pouvons voir à partir de la discussion de Webster et de l'article d'Idso, à quel point nous en savons peu sur l'impact du gaz carbonique supplémentaire dans le monde réel. De minuscules changements dans l’albédo de la Terre, qu’ils soient dus à la couverture nuageuse ou à la répartition des plantes, peuvent faire une énorme différence.
Les estimations empiriques de l'ECS (le changement de température de l'air dû au doublement de la concentration de gaz carbonique) n'ont jamais concordé avec les calculs théoriques des modèles climatiques. Les valeurs empiriques (comme celles d'Idso ou de Lindzen et Choi) représentent normalement environ la moitié des estimations du modèle et peuvent être négatives, comme celles d'Idso. Cela est probablement dû au fait que les modèles manquent quelque chose et que de futurs changements d'albédo dus à l'évolution de la couverture nuageuse et végétale sont probablement des candidats.
Cet article est condensé et modifié à partir de mon nouveau livre, Politics and Climate Change: A History.
https://wattsupwiththat.com/2020/11/05/global-cooling-will-kill-us-all/
Hmm. Un modèle étrange de votes Biden échoue à un premier test facile de fraude fiscale
RépondreSupprimerNovember 7th, 2020
Red Flag quelqu'un ?
Les contrôleurs fiscaux utilisent la loi de Benford pour détecter les fraudes. Ils examinent les premiers chiffres des données sur le revenu et déterminent à quelle fréquence les différents chiffres apparaissent. Si les dépôts sont aléatoires, nous verrons beaucoup de un, et moins de tous les autres nombres dans un ordre ordonné. Deux seraient le deuxième plus probable, trois le troisième…. et ainsi de suite jusqu'à neuf heures. S'il y avait beaucoup de sept, disons, le vérificateur fiscal commencera à chasser là-bas.
Donc, si la circonscription appelle les résultats du scrutin, il y a un certain modèle auquel nous nous attendons à ce qu’ils arrivent, et c’est le modèle que nous voyons pour chaque candidat,… sauf Joe R.Biden et Kamala D. Harris.
Pour une raison ou une autre, leurs résultats à Chicago, Milwalkee et Allegheny étaient tous plus touffus, 2, 3 ou même 5 étant parmi les plus courants pour les résultats des bulletins de vote ? Bientôt, quelqu'un (ou 500 personnes) fera un test et verra si les électeurs de Biden et Harris étaient plus agités dans tous les districts ou simplement dans les États qui importaient aux démocrates.
Vous n’avez pas besoin d’un diplôme en statistiques, regardez simplement les graphiques.
- voir graphiques sur site -
Crédit à Smoking Gun of Democrat Cheating, par vbmoneyspender. Merci aux graphiques de «cjph8914» sur Github. Et expliqué dans un fil Twitter par StatsguyPhD qui note les valeurs p respectives dans leur gloire à 16 chiffres:
Biden 1.5076774999383611e-27 (notez le «e»)
Trump 0.00048111250713426005
Statsguyphd décrit sèchement cette différence comme «extrême» et dit: «Ce qui est indéniable, c'est que la fréquence des premiers chiffres du total des votes de Biden est extrêmement anormale par rapport à celle de Trump. "
Joe Biden doit donc trouver des raisons convaincantes sur les raisons pour lesquelles ces nombres d'électeurs grumeleux se regroupent comme ils le font. Les lecteurs voudront peut-être les aider ci-dessous en imaginant les meilleures excuses auxquelles ils peuvent penser pour expliquer ces modèles.
Les électeurs démocrates de Chicago votent-ils par classe de 30 ?
- voir graphiques sur site -
Vote frauduleux Chicago Wards
- voir graphiques sur site -
Vote frauduleux Chicago Wards
- voir graphiques sur site -
Vote frauduleux Chicago Wards
- voir graphiques sur site -
Ou est-ce que ces grappes laissent la marque de la taille des paquets distribués par le grand patron des gréeurs de vote ?
Statsguyphd publie ici tout son code et ses pensées.
RépondreSupprimerIl ajoute: «L’inconvénient de cette analyse est qu’il existe un meilleur test pour la qualité de l’ajustement de Benford. Il s'agit de la version Watson du test Cramer von Mises (U2). Vous pouvez lire pourquoi c'est mieux ici à
Lesperance, M., Reed, W. J., Stephens, M. A., Tsao, C. et Wilton, B. (2016). Évaluation de la conformité à la loi de Benford: tests de qualité d’ajustement et intervalles de confiance simultanés. PLoS ONE, 11 (3). doi.org/10.1371/journa… »
http://joannenova.com.au/2020/11/biden-votes-pattern-fails-an-easy-first-test-for-tax-fraud/#more-73978
Les scientifiques prouvent qu'aucune lunette ne permet aux personnes daltoniennes de percevoir les couleurs
RépondreSupprimer6 NOVEMBRE 2020
par l'Université de Grenade
Les chercheurs de l'UGR qui ont mené cette étude sur le daltonisme.
Ce travail fait partie d'un axe de recherche entrepris par le Département d'Optique de l'Université de Grenade (UGR) en Espagne pour analyser l'efficacité de diverses aides commercialisées comme améliorant ostensiblement la vision des couleurs chez les personnes daltoniennes.
En 2018 et 2019, l'équipe de recherche a démontré l'inefficacité de deux de ces produits: les lunettes Cx-65 d'EnChroma et les lunettes 02 Amp Oxy-Iso de VINO. Aucun des deux n'a amélioré la vision des couleurs des personnes daltoniennes.
Rien qu'en Espagne, il y a près de 2 millions de daltoniens (un homme sur 12 et une femme sur 200) qui peinent à discerner les différentes couleurs. En raison de cette capacité réduite à distinguer certaines couleurs, ils éprouvent une gamme de difficultés au quotidien et cela les empêche également de postuler à des emplois dans certaines professions - par exemple, ils sont exclus de la qualité de conducteur de train, de pilote, de policier, les pompiers, etc.
Cinq scientifiques de l'Université de Grenade (UGR), dans leurs recherches en cours sur cette question, ont modélisé par ordinateur près de 100000 filtres de couleur différents (plutôt que de tester des filtres déjà commercialisés par diverses sociétés, telles que EnChroma ou VINO, qui vendent "lunettes pour les daltoniens"). À l'aide de ces modèles informatiques, ils ont étudié lequel des filtres augmenterait le nombre de couleurs que les personnes daltoniennes pourraient percevoir et quel serait leur effet sur les résultats de deux tests couramment utilisés pour diagnostiquer le daltonisme (le test Ishihara et le test Farnsworth-Munsell 100 Hue).
Parmi les filtres qu'ils ont modélisés, les scientifiques ont également inclus des objectifs avec un filtre de couleur vendus par les sociétés précitées VINO et EnChroma. Ces lentilles ont reçu une attention médiatique considérable ces dernières années, avec des vidéos virales qui ont inondé les réseaux sociaux montrant des daltoniens submergés d'émotion lorsqu'ils essayaient de telles lunettes pour la première fois.
Les résultats de la recherche ont montré que, bien que certains filtres augmentent le nombre de couleurs discernables, l'amélioration est négligeable et l'augmentation ne permet pas aux personnes daltoniennes de percevoir la même gamme de couleurs que les sujets normaux. Il a également été constaté qu'aucun de ces filtres ne passerait le test Ishihara ou le test Farnsworth-Munsell 100 Hue, ce dernier étant très fiable pour évaluer la vision des couleurs chez l'homme.
Ces résultats confortent l'hypothèse que, malgré le succès apparent des campagnes marketing mises en place par les entreprises qui vendent ce type de lunettes, ces filtres ne permettront jamais aux daltoniens de jouir d'un degré de perception similaire dans leur vision à celui des individus ayant perception normale des couleurs.
Les résultats ont récemment été publiés dans la revue scientifique Sensors.
https://medicalxpress.com/news/2020-11-scientists-glasses-enable-color-blind-people.html
Livres interdits à la vente : et si le pays des Lumières touchait le fond ?
RépondreSupprimerLa France, pays des lumières, de la littérature reine, de la langue de Molière vient de réussir le prodige d’interdire à sa population d’acheter des livres.
Par Doriane de Lestrange.
6 NOVEMBRE 2020
Si l’on nous avait dit, à la sortie du premier confinement, que les gouvernants français n’avaient pas tiré de leur manche toutes les idées absurdes qu’ils avaient eues, nous ne l’aurions pas cru. Et pourtant…
On semble toucher le fond. La France, pays des Lumières, de la littérature reine, de la langue de Molière, vient de réussir le prodige d’interdire à sa population d’acheter des livres.
Alors qu’à l’heure du reconfinement, le gouvernement Castex a décidé de fermer tous les commerces jugés non essentiels, contrairement aux sacro-saints magasins de bricolage, les libraires ont été informés que les produits qu’ils vendent ne sont pas essentiels.
Et comme il aurait été trop intelligent de s’arrêter en si bon chemin, pourquoi ne pas décider de rendre inaccessibles les rayons culturels des grandes surfaces restées ouvertes ? Eh bien, c’est désormais chose faite.
L’année 2020 est donc celle qui aura vu sacrifiées les libertés fondamentales les plus primaires. Nous ne reviendrons pas ici sur celles d’aller et venir, se réunir, ou encore pratiquer sa religion, largement bafouées depuis désormais plus de six mois.
Mais la lecture… Qui aurait cru qu’un jour ceux qui doivent leurs postes à nos bulletins de vote nous la retireraient ?
Alors, bien entendu, on nous explique. On nous démontre, à nous peuple d’ignorants, que laisser les hypermarchés vendre des livres, c’est tuer les petits libraires au motif de la concurrence déloyale. Car, oui, la mort des librairies n’est évidemment pas le fait des politiques qui les obligent à fermer leurs portes, mais bien la responsabilité de la vile et sournoise grande distribution…
N’évoquons même pas Amazon, chef de file de tous les démons de la mondialisation d’ailleurs facilitée par ceux-là même dont nous parlons ici.
Alors oui, nous y sommes. Nous sommes dans cette époque où les concepts juridico-économiques prennent le pas sur le bon sens, sacrifié sur l’autel de la sottise et de la pleutrerie politicienne. Les décisions absurdes et gesticulations en tout genre d’une caste décidément déconnectée du réel et engoncée dans son mépris des petites gens.
Tant que l’on peut s’abrutir devant le poste de télévision, suivre les aventures de Koh-Lanta ou des candidats de The Voice en se gavant de malbouffe et en fumant allègrement du tabac dont la vente ne risque pas de se voir interdite pour raison sanitaire… Et pourtant, en 2017, les Français déclaraient lire environ 20 livres par an.
RépondreSupprimerEt pendant ce temps-là, outre Quiévrain, nos voisins belges s’illustrent par la raison et l’intelligence en considérant que les librairies font bien partie des commerces essentiels. Christian Carpentier, porte-parole de David Clarinval, ministre des classes moyennes, des indépendants et des PME de préciser qu’il est nécessaire « d’aider les gens à tenir le coup en passant le temps de manière intelligente ».
Si Victor Hugo s’était exilé à Bruxelles pour écrire, peut-être les Français devront-ils s’y réfugier pour lire !
https://www.contrepoints.org/2020/11/06/383683-livres-interdits-a-la-vente-et-si-le-pays-des-lumieres-touchait-le-fond
Le logiciel «Glitch» dans le Michigan a donné à tort des milliers de votes à Biden; Jusqu'à 47 comtés compromis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 11/07/2020 - 07:55
Un logiciel utilisé pour compiler les votes exprimés dans 47 comtés du Michigan a donné à tort 6000 voix à Joe Biden dans le comté d'Anterim, selon la présidente du GOP, Laura Cox.
"Dans le comté d'Antrim, les bulletins de vote ont été comptés pour les démocrates qui étaient destinés aux républicains, ce qui a provoqué un changement de 6 000 voix contre nos candidats. Le greffier du comté s'est manifesté et a déclaré que" le logiciel de tabulation a échoué et a provoqué une erreur de calcul du vote ". Depuis lors, nous avons découvert que les 47 comtés utilisaient le même logiciel au même titre », a-t-elle déclaré, ajoutant:« Le comté d'Antrim devait compter tous les bulletins de vote, et ces comtés qui utilisaient le logiciel doivent examiner de près leurs résultats pour écarts similaires. "
Il convient de noter que Trump a remporté le comté d'Antrim en 2016 avec 62% des voix contre 33% pour Hillary Clinton.
Regarder:
Pendant ce temps, dans le comté d'Oakland, au Michigan, un autre problème informatique a été découvert, ce qui a donné une victoire contrariée à la démocrate Melanie Hartman. Une fois qu'elle a été fixée, sa victoire a été annulée et le titulaire Adam Kochenderfer a été déclaré vainqueur.
Selon le Detroit Free Press, les responsables enquêtent sur l'erreur.
Tom McMillin, ancien législateur du comté d'Oakland et membre du State Board of Education, a déclaré qu'il avait remarqué des irrégularités dans le total des votes du comté d'Antrim mardi soir, alors qu'il vérifiait les retours des candidats du Board of Education.
Dans certains circonscriptions, mais pas dans tous, Biden et d'autres candidats démocrates ont eu beaucoup plus de voix que la normale, a déclaré McMillin.
«Ça avait juste l'air bizarre», dit-il. "Les deux tiers des cantons avaient l'air vraiment en désordre."
"Apparemment, il y a eu un problème technique à Rochester Hills. Et donc, j'ai fini par gagner par un peu plus de 1 100 voix", a déclaré Kochenderfer. Selon le Free Press, "la marge était de 1 127 voix, pour être exact. Cela lui a donné une part de 51,67 % du total (avec 48,23 % allant à son adversaire, Hartman)."
"Je suis très reconnaissant aux officiels qui ont détecté l'erreur, mais nous devons nous assurer que nous détectons ces problèmes, ou les empêchons entièrement", a ajouté Kochenderfer.
L'ancienne (?) Porte-parole de la Maison Blanche Kayleigh McEnany a tweeté vendredi sur les 'irrégularités' du Michigan:
Le procureur général de l'Utah, Sean Reyes, a déclaré que les élections avaient été 'compromises' 'et prend un congé personnel pour aider la campagne Trump à enquêter.
Fait vraiment réfléchir ...
https://www.zerohedge.com/political/software-glitch-michigan-erroneously-gave-1000s-votes-biden-47-counties-compromised
Dans 30 États, un système informatique réputé défectueux comptabilise les votes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 11/07/2020 - 10:40
Mise à jour (1100ET): Plus bas dans le terrier du `` système de vote Domminion '', Politico rapporte qu'un problème technologique qui a interrompu le vote dans deux comtés de Géorgie mardi matin a été causé par un fournisseur qui a téléchargé une mise à jour sur ses machines électorales la nuit précédente, un a déclaré le superviseur des élections du comté.
Les électeurs n'ont pas été en mesure de voter par machine pendant quelques heures dans les comtés de Morgan et de Spalding après que les appareils électroniques se sont écrasés, ont déclaré des responsables de l'État. En réponse aux retards, le juge de la Cour supérieure W. Fletcher Sams a prolongé le vote jusqu'à 23 h.
Les comtés utilisent des machines à voter fabriquées par Dominion Voting Systems et des carnets de vote électroniques - utilisés pour inscrire les électeurs - fabriqués par KnowInk.
- voir post sur site -
Ni Dominion ni KnowInk n'ont répondu à une demande de commentaire. Un porte-parole du bureau du secrétaire d’État n’a pas non plus répondu aux questions de suivi sur qui a téléchargé le jeu de données et s’il avait été examiné et testé par quiconque au préalable.
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Mise à jour (1045ET): Probablement rien ...
- voir post sur site -
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Comme l'a expliqué Andrea Widburg de American Thinker plus tôt, lorsque Kyle Becker a entendu parler du programme informatique «glitchy» dans le comté d'Antrim, au Michigan, celui qui tentait de donner 6 000 votes Trump à Biden, il a commencé à faire des recherches sur le système. Il a fini par trouver une quantité incroyable d'informations très dérangeantes. Le système Dominion est connu depuis un certain temps pour être défectueux, mais 28 États l'utilisent. Cet article est une compilation des informations de Becker, à la fois dans ses propres tweets et dans le tweet d'une autre personne, sur ce qui se passe avec ce système:
- voir post sur site -
Ce prochain tweet est censuré car, même si Becker ne déclare que des faits, Twitter veut que vous sachiez que les faits n'ont pas d'importance. Assurez-vous de cliquer pour lire son tweet. Twitter est maléfique, mais il possède effectivement la place publique:
Je recommande généralement le fil Twitter de Becker. Il a quelques observations intéressantes sur les anomalies étranges de l'élection. Voici juste deux exemples:
- voir post sur site -
Ce que je trouve le plus troublant, c'est l'impunité avec laquelle les démocrates jouent le système. Ils n’essaient même pas de couvrir leurs traces. Ils sont sûrs à 100% qu'il n'y aura aucune conséquence pour leurs actions. Ils savent que les médias, qui devraient être un chien de garde au nom des citoyens américains, sont en fait une branche du parti démocrate qui fera tout le nécessaire pour couvrir les crimes électoraux démocrates.
https://www.zerohedge.com/political/30-states-computer-system-known-be-defective-tallying-votes
L'infirmière du NHS démissionne publiquement et fait exploser la politique de verrouillage COVID
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 11/07/2020 - 09:20
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Une infirmière du NHS en Grande-Bretagne a démissionné publiquement en portant son uniforme avant de libérer le nombre réel de patients COVID dans son hôpital et de dénoncer la politique de verrouillage désastreuse du gouvernement.
Toute l'Angleterre est officiellement entrée dans le lock-out 2.0 aujourd'hui malgré de nombreux experts avertissant que les verrouillages finiront par tuer plus de personnes que le coronavirus lui-même.
Une vidéo de Cornwall montre une infirmière en uniforme prononçant un discours expliquant pourquoi elle a décidé de démissionner de son travail.
«Je n’ai pas besoin de l’uniforme pour prouver que je travaille pour eux, mais aujourd’hui, je démissionne publiquement», a-t-elle déclaré.
L'infirmière a ensuite révélé comment elle avait reçu un courriel de ses patrons exigeant une explication sur les raisons pour lesquelles elle critiquait la politique officielle du COVID et que les gens la «dénonçaient».
«Malheureusement, je ne peux plus mentir», a déclaré l'infirmière, expliquant comment elle a pris une capture d'écran des données internes de l'hôpital montrant qu'il n'y avait que trois personnes dans trois hôpitaux de la région infectées par le COVID.
Le nombre total de décès dans ces trois hôpitaux au cours des 7 derniers mois n'est que de 76 personnes, soit environ 10 décès par mois, selon l'infirmière, qui s'est demandé pourquoi il était nécessaire pour sa région de se mettre en lock-out compte tenu de ces chiffres rares.
«J’ai décidé que cela ne servait à rien, je suis allé à l’encontre des règles du NHS, j’ai partagé des informations confidentielles que les gens ont besoin de voir», a déclaré l’infirmière, ajoutant que d’autres médecins et infirmières essayaient de s’exprimer.
Comme nous l'avons souligné précédemment, l'application d'un nouveau verrouillage entraînera probablement des mesures d'application plus draconiennes.
Une femme de Skipton a été menacée d'une visite de la police pour ne pas avoir téléchargé l'application NHS COVID «track and trace», tandis qu'une autre femme au Pays de Galles a été interrogée par la police pour savoir si l'achat de crème anglaise comptait comme un «achat essentiel».
https://www.zerohedge.com/political/nhs-nurse-publicly-resigns-blasts-covid-lockdown-policy