Comment la Chine a-t-elle réussi à relancer son économie ?
18:35 02.11.2020 Par Jean-Baptiste Mendes
Si la Chine avait la première confiné son économie avec un recul de sa croissance au premier trimestre à 6,8%, sa pire performance depuis l'ère maoïste, elle serait également le premier pays à sortir de la crise sanitaire et économique. Décryptage approfondi avec Jean-François Di Meglio, président d’Asia Centre.
L’activité du secteur manufacturier en Chine du mois d’octobre a atteint un niveau record depuis dix ans sous l’effet de la demande intérieure, selon les conclusions d’une enquête privée. Après les chiffres publiés le 19 octobre d’une croissance du pays au troisième trimestre évaluée à 4,9%, la dynamique de l’économie chinoise semble s’être tout à fait remise des conséquences de la crise sanitaire. À tel point que Pékin devrait être le seul pays du G20 à parvenir à une croissance positive en 2020, que le Fonds monétaire international (FMI) estime à 1,9%. Oui, car l’embellie de l’été pour les Européens aura été de courte durée avant un automne noir, ravagé par la deuxième vague. Après l’un des plus gros reculs hebdomadaires depuis mars à la Bourse de Paris, l’exécutif français a annoncé le 30 octobre prévoir une contraction du PIB de 11% sur l’ensemble de l’année 2020, contre -10% prévu jusqu’alors. Alors que la France comptabilise plus de 35.000 victimes du Covid-19 et que les États-Unis en déplorent 230.934, la Chine accuse pour le moment moins de 5.000 décès et les rares cas encore détectés proviennent de l’étranger.
L’absence de deuxième vague en Chine
Souffrant d’une image écornée en Occident du fait de l’origine du coronavirus, du traitement des Ouïghours, de la répression à Hong-Kong et de l’agressivité de ses diplomates, la Chine a pourtant réussi à tirer son épingle du jeu sur le plan sanitaire et économique. Interrogé par Sputnik, Jean-François Di Meglio, président de l’institut de recherche Asia Centre, estime qu’un des facteurs les plus déterminants de ce rebond chinois est l’absence de deuxième vague.
«Tous les pays connaissent plusieurs vagues de pandémie. Et il est objectif, il n’y a rien à dire, on ne peut absolument pas contester cela. La Chine ne connaît pas de deuxième vague de pandémie, ce qui explique aussi considérablement le rebond. C’est aussi une limite parce que s’il n’y a pas de deuxième vague de pandémie, si on est dans un monde normal, finalement le rebond devrait être plus élevé que 4%. Ce chiffre nous montre simplement que l’économie chinoise reste extrêmement dépendante de tout ce qui se passe dans le reste du monde.»
La relance de l’activité a été permise en Chine grâce à des «confinements stricts, des tests de dépistage à grande échelle et un suivi des cas contacts», a relevé pour l'AFP l'analyste Ting Lu, de la banque d'affaires Nomura. 55 jours de confinement ont été imposés en France contre 90 jours en Chine, notamment à Wuhan, rappelle Di Meglio.
Ensuite, il s’agit d’un «rebond logique» car «tous les pays connaissent un rebond après la première vague», parvenant à un seuil qui va la rapprocher de son niveau antérieur poursuit ce dernier. Ainsi, la France s'attend à un rebond de 16% de son PIB, de même que les États-Unis qui voient leur croissance atteindre 7,4%, au troisième trimestre, par rapport au deuxième. Troisième facteur pointé par le spécialiste, «l’avance par rapport aux autres pays touchés par la pandémie», qu’il évalue à deux mois:
«La pandémie a été reconnue le 23 janvier en Chine. Il faut rappeler que le confinement en France date du 16 mars. Il y a systématiquement une avance qu’on évalue à deux mois de tout ce qui se passe en Chine par rapport à ce qui se passe dans les autres pays.»
Le président d’Asia Centre évoque pour Sputnik des facteurs supplémentaires de ce rebond, spécifiques à la Chine.
Digitalisation et étatisation, les deux mamelles de la Chine
Dans un long article, France 24 s’interroge sur le gonflement relatif des chiffres officiels et remet en cause leur transparence, citant la spécialiste de l’économie chinoise Mary-Françoise Renard, «car on ne sait pas comment précisément elles sont construites».
Une incertitude qui ne contredit pas toutefois la tendance selon laquelle l’économie chinoise «tourne à nouveau». La reprise de la consommation intérieure est un indice relevé par Jean-François Di Meglio qui indique celle-ci est fortement «digitalisée». Représentant un «accélérateur de rebond», «la digitalisation considérable de l’économie chinoise» a permis de faire face plus rapidement à la crise, contrairement aux économies occidentales plus dépendantes de la consommation:
«En termes de consommation, l’économie chinoise est ventilée très différemment de la nôtre. C’est une économie avant tout d’investissement, dans laquelle la consommation représente entre 20 et 30% de la croissance, par opposition à 50-60% chez nous, et où la consommation ne représente pas 30% du PIB alors que chez nous, ça peut être 60- 70 %.»
Autre raison décisive, le poids de l’État dans l’économie chinoise. Depuis la crise, en Occident, l’État a tenté de reprendre la maîtrise de l’économie, avec l’injection massive de liquidités, des subventions massives aux secteurs en difficultés, avec l’exemple du chômage partiel en France.
«En Chine, l’État est déjà présent dans l’économie. Donc il dispose de tous les leviers pour relancer l’économie et il le fait.»
Il cite ainsi d’importants programmes d’investissements et de grands travaux. Mais attention, il s’agit pour la Chine de chiffres «légèrement inférieurs à ce qu’on aurait pu attendre», relève le président d’Asia Centre, qui s’attendait à 5,5% de croissance au troisième trimestre. Car ce qui est une force dans cette crise, l’étatisation et la planification, lui donnent «une capacité à réagir» mais cela peut devenir une limite. En effet, cela ne lui procure pas non plus «une élasticité aussi forte que ce que l’on peut observer dans l’économie américaine».
Alors que l’instabilité économique règne à l’échelle internationale, la Chine tente à son tour de modifier son «modèle de développement économique», selon les vœux formés par le Comité central du Parti communiste chinois (PCC), réuni autour du Président Xi Jinping. Le 14e plan quinquennal (2021-25) adopté fin octobre met ainsi l'accent sur la consommation intérieure et l'autonomie technologique après avoir longtemps misé sur les investissements lourds notamment dans les infrastructures et les exportations. Des déclarations qui restent au stade des «intentions» pour François Di Meglio qui note le retour à l’économie chinoise telle qu’elle était en 2015:
«Ce qu’on observe aux 2e et 3e trimestres, par opposition à tout ce qui avait précédé immédiatement à la pandémie, c’est un retour à une forme d’économie chinoise semblable à ce qu’on avait il y a 4 ou 5 ans, c’est-à-dire une machine à exporter, avec une très forte part des exportations dans la croissance. Évidemment pas en direction des USA comme c’était le cas auparavant, avec la guerre commerciale, mais des exportations vers l’Union européenne et vers toute l’Asie.»
COMMENT LE CONFINEMENT 2 VA VOUS POURRIR LA VIE, ET TOUT SAVOIR POUR VOUS EN SORTIR !
par CHARLES SANNAT 02/11/2020
Le confinement 2 coûtera à l'Etat 15 milliards d'euros.
Les confinements se suivent, mais… ne se ressemblent pas !
Hier notre premier ministre a parlé, y compris avec un langage corporel fleuri, la photo illustrant cet article étant réalisée sans trucage, notre Castex national devant prendre, à mon avis, quelques petites leçons de rattrapage à moins que ce soit un message subliminal volontaire adressé à certains ! Les commerces resteront fermés ! Fermez le ban !
En clair ? Un confinement plus léger la semaine, les écoles ouvertes, plus dur le week-end et avec une durée nettement plus longue. C’est donc à un confinement long qu’il faut se préparer, et à des pénuries non pas alimentaires mais sur les produits non essentiels que vous ne pourrez plus acheter d’ici mardi même dans les grandes surfaces, en attendant les restrictions pour le e-commerce… et les pénuries car tout le monde va se jeter sur les achats en ligne jusqu’à épuisement des stocks et saturation des services de livraisons !
Ré-ouvrir les écoles rendra inévitablement la baisse du nombre de cas beaucoup plus lente que lors de la première vague. Laisser les écoles ouvertes répond à un impératif social et économique, et puis l’Etat ne supporte pas que les enfants soient uniquement entre les mains de leurs parents qui ne maîtrisent pas toujours l’art du bien-penser que seule l’Education nationale sait transmettre à nos petites têtes blondes et brunes. Cela ne répond évidemment pas du tout à une réalité sanitaire, qui pourrait bien vite venir se rappeler à nos bien-aimés mamamouchis qui nous juraient encore la main sur le cœur la semaine dernière… qu’il n’y aurait jamais de second confinement !!
Enfin, ce second repli sur nous aura des conséquences économiques désastreuses pour l’ensemble de nos concitoyens. L’Etat paiera certes… Mais l’Etat c’est vous et moi, et l’Etat ne pourra pas sauver toutes les entreprises, tous les postes et pour toujours. Plus ce second confinement va durer plus les faillites seront nombreuses, sans oublier les saisonniers qui ne sont pas recrutés et qui du coup par définition ne peuvent pas bénéficier du chômage partiel.
Toutes mes analyses explications et conseils pour vous préparer dans cette vidéo.
Je vous souhaite un bon visionnage, et un bon confinement 2, prenez grand soin de vous.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
RAYONS NON ESSENTIELS FERMÉS : LES FRANÇAIS PUNIS, AMAZON SE FROTTE LES MAINS
par PAOLO GAROSCIO 02/11/2020
Le chiffre d'affaires d'Amazon au deuxième trimestre 2020 a augmenté de 40 %.
Plusieurs dizaines de maires de France ont pris, durant les premiers jours du confinement 2, des arrêtés municipaux autorisant les commerces des centres-villes à ouvrir malgré la situation sanitaire. Une véritable fronde qui a contraint le gouvernement à réagir… ne faisant que des perdants. Désormais, les rayons non alimentaires des grandes surfaces seront fermés… à moins qu’une nouvelle fronde ne s’organise.
Les courses des Français encore plus compliquées
Si les arrêtés municipaux pris par une cinquantaine de maires de France n’étaient, dans les faits, que symboliques, un arrêté municipal ne pouvant pas aller à l’encontre d’un décret, ils auront eu l’effet escompté… ou plutôt son exact inverse. Alors que les maires de France demandaient la réouverture des magasins de centres-villes, ils auront réussi à punir les Français.
La logique des maires était simple et compréhensible : pourquoi les Français pourraient acheter de la décoration de Noël en grande surface et pas dans les petits commerces ? Jean Castex leur a donc répondu : « J'ai décidé d'ajouter une disposition interdisant, dans les grandes surfaces, la vente des produits qui ne peuvent pas être vendus dans les commerces de proximité », a-t-il déclaré lors d’un entretien accordé au JT de TF1, dimanche 1er novembre 2020.
Tout le monde est puni, en somme : les petits commerces restent fermés, les grandes surfaces devront fermer leurs rayons non essentiels dès mardi 3 novembre 2020, comme elles avaient déjà fermé les rayons livres, et les Français voient leurs courses se compliquer encore plus.
Une nouvelle fronde : celle des supermarchés ?
Après l’annonce du Premier ministre, c’est une autre fronde qui semble s’organiser : celle des grandes surfaces. Dès dimanche, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) a déclaré que la décision « manque de justification sanitaire » et qu’elle serait « techniquement très difficile à mettre en œuvre dans de nombreux magasins », par exemple lorsque les rayons sont mélangés.
Ainsi, les grandes surfaces jugent qu’il faudrait, au contraire, travailler dans l’autre sens et « privilégier une réouverture progressive des petits commerces, sur rendez-vous, accompagnée de mesures de contrôle accrues des jauges actuelles dans les magasins », ce qui ne serait toutefois toujours pas équitable par rapport aux supermarchés. Prendre « rendez-vous » pour acheter certains produits, ça ne donnera pas envie aux Français de se déplacer.
Amazon se frotte les mains : le grand gagnant, c’est lui
L’annonce de Jean Castex va toutefois plaire à un secteur : le e-commerce, et en particulier le géant Amazon. Sans possibilité d’acheter nulle part leurs produits non essentiels, les Français vont massivement se tourner vers la marketplace américaine. Cette dernière peut en effet continuer de vendre les produits non essentiels… et continuer de les livrer.
La FCD s’en inquiète d’ailleurs : elle a jugé que la décision de fermer les rayons non essentiels va entraîner « une totale distorsion de concurrence avec Amazon, au détriment une nouvelle fois du commerce physique ». Cadeaux de Noël, déco, vêtements… comme lors du premier confinement, et même plus étant donné qu’on est en période de Noël, Amazon va exploser des records de vente. Autant de chiffre d’affaires qui n’entrera désormais ni dans les caisses des petits commerces, ni dans celles des grandes surfaces.
Le chiffre d'affaires de la branche Amazon Web Services (AWS) a progressé de 29 % sur un an.
Belle performance pour Amazon : sur le trimestre s’étant achevé le 30 septembre 2020, le bénéfice net de la firme américaine ressort à 6,3 milliards de dollars contre 2,1 milliards à la même période en 2019, soit une hausse de 296 %.
Amazon a beaucoup de cordes à son arc
Télétravail, engouement pour des loisirs à la maison, volonté d’éviter les commerces physiques… : le très diversifié business model d’Amazon profite pleinement du contexte actuel. Sur le trimestre s’étant achevé le 30 septembre 2020, le chiffre d’affaires d’Amazon a progressé de 37% pour culminer à 96,1 milliards de dollars, contre 70 milliards à la même époque en 2019. Le bénéfice net, quant à lui, a triplé : 6,3 milliards de dollars contre 2,1 milliards au troisième trimestre 2019.
Les ventes de produits physiques (hors Étas-Unis) ont représenté 59,3 milliards de dollars contre 42,6 milliards de dollars il y a un an aux États-Unis, et 25,1 milliards de dollars contre 18,3 milliards de dollars il y a un an dans le reste des pays. Nul doute que l’épidémie de Covid-19 contribue à renforcer le positionnement d’Amazon : confinements dans certains pays, volonté d’éviter les magasins physiques par prudence dans d’autres… le commerce électronique en ressort gagnant. Et de tous les acteurs du marché, c’est celui qui a le plus large éventail de produits, les meilleurs prix et les meilleurs délais de livraison qui gagne.
La branche Amazon Web Services profite pleinement du contexte actuel
Le fait que les gens passent plus de temps chez eux a également bénéficié à Amazon. Il faut savoir qu’un grand nombre de sites et services en ligne utilisent les services de stockage de données que propose la branche Amazon Web Services (AWS). Quand vous visitez un site sur Internet, il y a de fortes chances que ses données soient stockées sur AWS, c’est donc les serveurs Amazon que vous sollicitez… même si son contenu n’a rien à voir avec le géant américain. Au troisième trimestre 2020, le chiffre d’affaires d’AWS s'est établi à 11,6 milliards de dollars, contre 8,9 milliards un an plus tôt.
Au quatrième trimestre 2020, Amazon compte bien vendre encore plus : le marché est invité à s’attendre à un chiffre d’affaires compris entre 112 et 121 milliards de dollars. Le bénéfice net, quand à lui, devrait chuter pour ressortir entre 1 et 4,5 milliards de dollars. Une fourchette aussi large est le témoignage de la grande incertitude qui règne au sujet des derniers mois de l’année.
Aller séjourner quelques jours sur la Lune ? Pas pour moi !
le 2 novembre 2020
Le Lunar Lander chinois Chang’E4 a effectué les premières mesures disponibles du taux de radiations au niveau du sol lunaire et c’est loin d’être rassurant. Outre les rayons cosmiques de haute énergie et les particules ionisées du vent solaire le sol émet également des photons gamma et des neutrons provenant de la collision des rayonnements cosmique et solaire avec la matière du sol lunaire. On ignore quel peut être l’effet à long terme – quelques jours ou quelques semaines – sur un être humain de ces rayonnements car leur nature est très largement distribuée entre des protons (noyaux d’hydrogène) des rayonnements alpha solaires (noyaux d’hélium) et d’autres éléments plus lourds et très énergétiques potentiellement dévastateurs. Les mesures ont été exprimées en Gray, c’est-à-dire en Joules par kilo. L’énergie est plus communément exprimée pour ces rayonnements en multiples d’électron-volt (eV).
- voir photo sur site -
Les détecteurs installés à bord du Chang’E4 donnent une mesure directe en Gray estimée par la pénétration du rayonnement global dans une série de cônes de silicium situés à l’extérieur du Lander (flèche rouge sur l’illustration) et connectés à l’entrée de photomultiplicateurs montés en coïncidence. Le corps humain n’étant pas constitué de 100 % de silicium les mesures obtenues permettent d’obtenir alors des Sievert (Sv ou Joule/kg de matière vivante). Le Lander est équipé de 5 paires de détecteurs afin d’obtenir une mesure précise de la pénétration des rayonnements et de leur énergie. Le Lander a ainsi envoyé à la Terre des résultats convertis ensuite en microSievert/heure, c’est-à-dire en langage plus compréhensible la dose de radiations reçue au niveau du Lander.
Les résultats des mesures sont les suivants. Pour les particules d’origine galactique et ionisées la dose équivalente est de 57 microSievert/heure à laquelle il faut ajouter 13 microSievert/heure de rayonnement neutre provenant du sol lunaire et du Soleil (rayons gamma et neutrons). Par jour de 24 heures (jour terrestre, le « jour » lunaire étant de 28 jours terrestres) le rayonnement total reçu est alors proche de 1700 microSieverts. Les rayonnements solaire et galactique arrivant sur le sol lunaire sont 2,6 fois plus élevés que celui reçu par l’extérieur de la station spatiale internationale (ISS) en raison du fait que l’ISS est en partie protégée des rayons cosmiques par les très hautes couches de l’atmosphère. De plus les rayonnements galactiques sont mal déviés lorsque le Soleil traverse une période de faible activité magnétique. Les mesures effectuées par le Chang’E4 sont donc dans la limite supérieure des doses pouvant être reçues par un être humain compte tenu du fait que la protection corporelle constituée par un scaphandre est incapable d’arrêter ces rayonnements. Les habitacles hypothétiquement transportés sur la Lune devront ainsi être impérativement enfouis sous d’épaisses couches de régolithe, la poussière recouvrant le sol lunaire … pas pour moi !
RETRAIT DU MANCOZÈBE - « On met en péril notre capacité à produire »
29.10.20
La probabilité d’apparition de souches résistantes sera donc beaucoup plus importante dès l’arrêt effectif du mancozèbe.
Alors que le retrait du mancozèbe vient d’être validé au niveau européen, le collectif Sauvons les fruits et légumes de France alerte sur les conséquences de cette décision au niveau technique et économique.
Lors d’un vote le 23 octobre 2020, le Comité permanent des végétaux, des animaux, des denrées alimentaires et de l’alimentation animale de l’Union européenne (Scopaff) s’est prononcé pour le non-renouvellement du mancozèbe, fongicide largement utilisé sur les productions de fruits et légumes. Ce produit était notamment utilisé sur les pommiers (pour lutter contre la tavelure).
CAMPAGNE 2020-2021 - La production de laitue recule, les prix se maintiennent
28.10.20
Entre mai et septembre, les prix à la production restent similaires à ceux des années précédentes et la production est en baisse.
Le recul des surfaces et les pertes de productions attendues dans la plupart des régions productrices font pencher pour une baisse de la production de laitue sur la campagne 2020-2021, selon les estimations au 1er octobre 2020. Malgré la baisse de l’offre, les prix se maintiennent à des niveaux moyens.
La production de laitue de la saison 2020-2021 atteindraient 510,3 millions de têtes, soit un recul de 1% sur un an, et de 8% par rapport à la moyenne des cinq dernières saisons, a noté Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, dans sa note d’Infos rapides diffusée le 22 octobre 2020.
Faut dire qu'à 10 cts la tête de salade et au prix des impôts, taxes, eau d'arrosage (qui coule aux rivières et fleuves et va se perdre en mers), engrais et de la main-d'œuvre...
Covid : Castex démasque le totalitarisme sous prétexte sanitaire
Lundi 2 novembre 2020
Hier soir, le Gouvernement français a officiellement déclaré le totalitarisme sous prétexte sanitaire : il ne peut plus y avoir d'espace privé ; tout espace, même et surtout le domicile à l'heure du reconfinement, est occupé par le masque. Tout comme il ne peut plus y a voir de classes d'âge épargnées : dès 6 ans, les enfants doivent avoir le visage barricadé, leur individualité ne doit pouvoir se construire, ils doivent être écrasés et formatés - "pour leur bien". Le fanatisme qui s'épanouit aujourd'hui, notamment en France, montre bien à quel point le virus n'est qu'un prétexte. Un prétexte pour changer de société, pour changer d'homme, pour déshumaniser. Il ne reste que la résistance, à chaque instant, chaque jour. Notre vie est à ce prix.
Chers amis, oui, il y a des virus - quelle surprise ! Non pas un virus, mais bien des virus. Il y en a toujours eu et il y en aura toujours. Mais ce qui se passe autour de ce pauvre Covid, maintenu à l'ordre du jour par une propagande globale et des complicités intérieures, est parfaitement inédit. Et n'a rien à voir avec le sanitaire - "l'optimisation" de la médecine continue, les statistiques de l'hépatite n'intéressent pas les médias (alors qu'elles rendraient jaloux notre petit Covid). Et si l'on pense à la Suède, qui sans masque ni confinement, n'a quasiment plus de décès liés au coronavirus, l'on est en droit de s'interroger sérieusement sur l'utilité sanitaire des mesures radicales imposées en France.
Car c'est officiel, depuis hier soir, le Gouvernement l'a annoncé au 20h de TF1 : le totalitarisme - sanitaire - est décrété. Totalitarisme, car aucun espace privé ne peut échapper au dogme. Et le Premier ministre l'a affirmé, soutenu sur BFM par l'ancien directeur de la Santé (qui est quand même une prison, pour le rappeler) : le masque devrait être porté à la maison. Et par les enfants.
Même la journaliste, un peu surprise, de demander : et on fait comment pour les repas ? La réponse est simple, cinglante, fanatique à souhait :
"On n'est pas obligés de tous manger en même temps. C'est un bouleversement..., a-t-il concédé. Mais si on ne contrôle pas ça, on ne va pas arriver à concilier notre obligation éducative et malgré tout, ralentir cette épidémie, pour éviter des malades et des morts et limiter la casse économique et sociale. Il faut dire aux jeunes qu'ils doivent garder le masque à la maison."
Bref, le modèle d'isolement carcéral a de l'avenir dans ce nouveau monde. Et pour cela, il est fondamental de prendre en main dès le plus jeune âge la population, pour qu'elle s'habitue aux nouvelles règles du jeu, qu'elle considère un comportement pathologique comme une norme. Et ce sera possible grâce à l'imposition du port du masque dès 6 ans - avec la déconstruction de la personnalité qui s'en suit. Donc, la création d'une génération faible psychiquement, intellectuellement réduite au minimum et socialement impossible à intégrer.
Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". (...) Mais quel sera l'impact de cette mesure, qui entrera en vigueur dès la rentrée prochaine fixée au 2 novembre ? Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". Une chose qui devrait rassurer bon nombre de parents.
Le spécialiste ajoute toutefois : "Tout l'apprentissage de décodage des émotions ou des affects, ce qui se lit sur les mimiques, va être complètement décalé. Le visage a une importance qui va au-delà d'une simple partie du corps. C'est quand même le lien à l'autre. Cela risque d'affecter la qualité de relation que les enfants vont pouvoir construire avec autrui".
"Je pense que ça impactera le type de personnalité qu'on est en train de construire, mais aussi les modes de relation avec les autres et une partie de leurs apprentissages. Les structures de pensée elles-mêmes seront forcément modifiées. Dans quelles mesures ? Pour l'instant, on ne le sait pas, c'est difficile à évaluer, mais ça va changer nos jeunes gens", conclut le psychologue clinicien.
En Russie, avec une certaine hésitation, discrètement encore, le masque est recommandé dans les ascenseurs. Ce ne sera pas plus contrôlable qu'au domicile en France, que les repas séparés, chacun dans son coin. Plus de communication humaine, plus de famille, il sera possible de discuter d'une pièce à l'autre sur les réseaux sociaux, entre deux séances virtuelles de psychothérapie de groupe pour gérer l'isolement et d'un yoga sur smartphone, seul, chez soi. Car, à moins de mettre en place une milice sanitaire (tout est encore possible), qui aura le droit d'entrer dans nos domiciles, cela ressort de la propagande, d'un rapport de faiblesse : ils ne sont pas (encore) assez fort pour l'imposer dans la réalité, tout dépend de votre faiblesse. Ils ont déjà gagné l'espace de l'école, il ne reste plus que votre maison. Votre forteresse. La question étant bien de savoir qui est le plus faible.
Et le chantage se porte à merveille : si vous ne suivez pas nos diktats, ça va durer longtemps ...
Cela fait des mois que ça dure. Au printemps, déjà, l'on expliquait aux populations qu'il fallait juste faire un petit effort. Les gens ont fait un grand effort. Et rien ne change. Car il y aura toujours un virus qui traîne, parce que les gens tomberont toujours malades, parce que chaque jour il meurt 1700 personnes en France en moyenne, parce qu'il y aura toujours des pics de virus saisonniers. Ce pouvoir global est encore trop faible pour dire ouvertement que c'est une nouvelle réalité, que cela n'a rien de temporaire, car c'est la seule réalité, inhumaine, qui permette leur pouvoir. Qui permette ce qui ressemble de plus en plus à coups d'Etat mondial.
Plus vous accepterez ces mesures ubuesques, plus longtemps ça durera. Car vous vous affaiblirez autant que vous renforcerez ce mouvement.
L’économie vue à travers les lunettes des bureaucrates
Ces représentants politiques, des bureaucrates hors sol, font preuve tout à la fois de méconnaissance de l’économie et d’un populisme intellectuel écœurant.
Par Laurent Sailly. 2 NOVEMBRE 2020
Les bureaucrates publics, membres du gouvernement et autre Commissaire au plan y compris, comme leurs homologues du secteur privé, n’ont de l’économie qu’une vision excel faite de chiffres et statistiques. Vision cartésienne rassurante puisque les chiffres ne mentiraient pas, mais fausse car le facteur essentiel d’une économie est l’humain.
Ainsi, on encourage les entreprises à se tourner vers le télétravail et la numérisation, sans s’interroger sur la réalisation d’un tel vœu dans tel ou tel domaine ou tel et tel secteur ou le niveau d’équipement de telle ou telle société.
Force est de constater que les bureaucrates parasitent la création de richesse et sa libre circulation dans l’économie en inventant des règles souvent absurdes, toujours néfastes.
LE FLÉAU DE LA BUREAUCRATIE
Pourtant, les responsables politiques annoncent régulièrement des simplifications administratives. Or, dans les faits, on observe un accroissement du volume des normes contraignantes inversement proportionnel à l’intensité des appels à la déréglementation.
On y parle de « libre-échange », de « marché libre », mais en fait, on met en place un vaste système administratif bureaucratique.
Ce fléau bureaucratique n’est malheureusement pas une prérogative du secteur public. Ainsi, dans le secteur privé, le management pléthorique des grandes entreprises s’apparente à une monstrueuse administration.
Les entreprises privées sont devenues bureaucratiques, voire davantage que le secteur public.
Bureaucrates publics ou bureaucrates privés, leurs objectifs semblent les mêmes.
D’abord, il s’agit de capter des revenus. Ainsi, le moindre manquement à l’une des règles édictées par les ronds-de-cuir permet de facturer le client sous forme de contravention.
Par exemple, dans les banques, les agences voient leur compte de résultat ponctionné de multiples amendes (défaut de conformité d’un dossier, pénalités à la suite du déclenchement d’une alarme, retard dans la transmission d’un client débiteur au recouvrement…) obligeant l’agence sanctionnée à surperformer pour atteindre ses objectifs annuels !
Ensuite, il s’agit pour ces bureaucrates de justifier leur existence. La multiplication de normes farfelues permet à ces hommes et ces femmes d’affirmer leur utilité, quitte à saper le travail des autres.
Enfin, ce qui caractérise les bureaucrates, notamment français, c’est leur formation. Public ou privé, et particulièrement pour les banques, ils sont originaires d’un même sérail : l’inspection des finances.
LA FRANCE EST UNE GIGANTESQUE BUREAUCRATIE
La République française est devenue une gigantesque et impitoyable bureaucratie étatique, avec à sa tête un chef. Emmanuel Macron est le prototype du bureaucrate déshumanisé. Bien sûr intelligent, il a vite compris que le Français de base, vous et moi, ne vivait pas que pour le travail, mais aussi pour les loisirs, l’amour, les contacts humains.
Sa dernière allocution de mercredi marque ce changement de ton. Cependant, chassez le bureaucrate et il revient au galop, il n’a pas vu combien de commerçants de centre-ville ont pu se sentir brutalisés par la fermeture de leurs commerces car n’étant pas essentiels à la vie de la Nation !
Ces représentants politiques hors sol font preuve tout à la fois de méconnaissance de l’économie et d’un populisme intellectuel écœurant.
Il est vrai que ceux-ci n’ont jamais mis les pieds dans une vraie entreprise, et seraient bien embarrassés pour analyser le bilan de celle-ci. Ces gens-là parlent de tout sauf d’économie réelle et passent beaucoup de temps à développer une novlangue économique démagogique (dernier en date le PIB ressenti créé deux ans après le fameux pouvoir d’achat ressenti).
LE TÉLÉTRAVAIL POUR TOUS, VRAIMENT ?
S’il fallait une autre preuve du caractère hors sol des mesures bureaucratiques, la volonté de l’exécutif d’amener les salariés qui le peuvent à travailler à distance et d’accompagner les entreprises qui le veulent à s’équiper d’outils digitaux (numérisation), illustre parfaitement le décalage de nos dirigeants.
Selon le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari, 40 % des Français peuvent télétravailler. Cette déclaration suit le discours de Jean Castex, le Premier ministre, pour qui « toutes les fonctions qui peuvent être télétravaillées doivent l’être 5 jours sur 5 ».
Ayant dirigé des agences bancaires pendant 20 ans je peux témoigner que s’il devient systématique, le télétravail ou toute autre sorte de travail à distance empêche de repérer les signaux de faiblesse de l’entité ou d’un collaborateur.
Là encore, on oublie que le résultat d’une entreprise n’est pas que la somme de travaux individuels, mais celui d’une équipe qui a besoin d’interagir physiquement.
De plus, concernant les outils numériques, la réalité sur le terrain varie énormément d’une entreprise à une autre, même si elles font le même poids sur un secteur économique identique.
En tout cas, le ralentissement de l’activité économique venant réduire les marges, celles-ci ne trouveront pas la capacité d’investissement nécessaire au rattrapage de leur retard.
Ces deux millions de petits patrons qui voient se profiler un nouvel arrêt de l’activité économique sont les derniers survivants d’un monde où certains choisissaient de vivre de leur travail, en prenant le risque d’être libres.
Mais comment faire vivre cette liberté dans un monde, un pays, où les manettes sont tenues par des bureaucrates totalitaires voire crypto-marxistes ! Les technocrates ne sont pas prêts à lâcher la barre pour imposer l’omnipotence de la protection et de l’aversion au risque dans la société française.
L’État n’est pas capable d’évaluer les dégâts irrémédiables qu’il est en train de produire. Et s’il suivait les conseils qu’il prodigue aux grandes surfaces et aux commerçants ? Si l’État se concentrait sur l’essentiel de ses missions ?
Par Frédéric Mas. 2 NOVEMBRE 2020
Les Français verront la fin du confinement s’ils se tiennent tranquilles. Quelle sera la date exacte de la fin d’un reconfinement que certains spécialistes estiment déjà être un échec ? Et qui dit échec, dit prolongation des mesures autoritaires et restrictions plus vives encore des libertés publiques au-delà des dates annoncées par les pouvoirs publics.
Olivier Véran lui-même ne semble pas optimiste face à un virus qui se joue des prévisions des experts.
PLUS DE PLANISME ET PLUS D’ÉTAT
François Bayrou, fraîchement nommé Haut-commissaire au Plan, envisage même la permanence de la crise Covid comme un horizon possible. Il faut peut-être apprendre à se résigner, à vivre confiné, dans un contexte de relations sociales, économiques et humaines appauvries.
Pour gérer cette nouvelle situation, l’homme de l’État en appelle bien entendu à plus d’État : « Il nous faut reconstruire un État garant de l’intérêt général, capable de prendre en compte les évolutions de la mondialisation et les dégâts qu’elle a causés. » nous confie-t-on dans un communiqué en date du 28 octobre.
Et les dégâts occasionnés par le parasitisme bureaucratique qui est en train d’éteindre toute activité économique libre dans le pays ? C’est prévu dans le grand plan pour réorganiser la société française depuis son ministère ?
Si le reconfinement échoue, ce sera de la faute des Français, pas de ses dirigeants. Le paternalisme du gouvernement comme de ses auxiliaires scientifiques a aussi pour but de s’exonérer de toute responsabilité dans la conduite des opérations d’un reconfinement trop général et trop absolu pour atteindre ses buts.
Si demain l’économie s’effondre, la faute retombera non pas sur les décisions absurdes de l’administration et de son gouvernement qui naviguent à vue, mais sur l’ensemble du pays qui n’a pas suivi ses directives à la lettre. Des directives floues, changeantes, minutieuses sur l’accessoire et très vague sur l’essentiel, mais que le citoyen-administré se doit de suivre pour ne pas se faire envoyer au coin avec une amende de 135 euros. Des directives qui sont en train d’organiser l’appauvrissement généralisé au nom du statu quo de la bureaucratie sanitaire.
Il faut pénaliser tous les commerces pour être certain que la récession s’installe durablement. Selon la nomenclatura qui nous gouverne, il fallait fermer les commerces non essentiels, et donc définir ce qui est essentiel ou pas. Le livre est-il essentiel pour vivre par temps de pandémie ?
Pour faire taire les critiques, le gouvernement a choisi de fermer uniformément tous les commerces, petits et gros, désormais condamnés à ne vendre que des produits de « première nécessité », cette première nécessité étant définie par l’administration elle-même, au débotté.
Vous pouvez acheter du savon et du papier hygiénique mais vous n’avez pas le droit d’acheter de livres ni de journaux. Les autres ont obligation de faire leur transition vers le numérique ou le télétravail : l’État est désormais en charge de l’innovation dans votre boite, comme il organise vos soirées, votre vie sociale et ce qui est essentiel pour vous ou non.
Seulement, fermer ces commerces, c’est à la fois pousser les Français vers le chômage et interrompre la production d’une multitude de biens et de services que les consommateurs comme les producteurs jugent utiles.
Après avoir interdit la vente des livres en boutique, l’État qui il y a quelques semaines encore trouvait 100 milliards pour « relancer l’économie » est en train de la plomber avec une minutie fascinante… et désespérante. On sent que les « sous-préfets de relance » vont avoir du pain sur la planche les prochaines semaines.
LA BUREAUCRATIE S’EMBALLE
La machine folle à produire des papiers, des règlements et des interdictions s’emballe. C’est que la bureaucratie publique fait ce qu’elle sait faire pour le mieux : demander des attestations de sortie, obliger de porter le masque dès 6 ans, produire des circulaires, proposer des classements de produits de première nécessité avec des commissions, des fonctionnaires et des sous-comités affectés à la consommation pour dire ce que le citoyen ordinaire a le droit de faire ou de ne pas faire. Et comme les règles changent chaque semaine, le travail ne manque pas.
Tout est fait pour que le confinement soit vécu comme une prison. Les Français sont condamnés au chômage ou au travail sans pouvoir se reposer sur leur famille ou sans pouvoir se changer les idées. Réduit à ses fonctions productive et nutritive essentielles, le citoyen est désormais une sorte d’enfant convalescent condamné à se morfondre en attendant que ses tuteurs politiques et médicaux se mettent d’accord pour lui rendre ses jouets et sa liberté. Et le pire dans tout ça ? Les gouvernés sont totalement prêts à la servitude, et acceptent de bonne grâce le confinement.
On en vient à se demander si le but des pouvoirs publics n’est pas de punir un peuple qui ne prend pas suffisamment au sérieux ses recommandations médicales et disciplinaires. Mais la folie régulatrice qui a fait fermer les boutiques n’a pas encore fait interdire Amazon, qui profite encore à trop de Français.
Parce qu’elle bénéficie des absurdités réglementaires d’un État français qui a réduit au silence ses concurrents directs, l’entreprise américaine cristallise aujourd’hui tous les ressentiments. Comme pour le livre hier, la somme des intérêts coalisés contre le géant américain pourrait avoir raison de l’e-commerce pendant la période d’exception sanitaire.
Aujourd’hui, les maires, les collectivités locales et le sénat se mobilisent pour défendre la disparition des commerces indépendants qui font vivre le tissu social partout sur le territoire. Qui défendra demain Amazon ? Qui défendra les entreprises d’e-commerce ?
L’État n’est pas capable d’évaluer les dégâts irrémédiables qu’il est en train de produire. Et s’il suivait les conseils qu’il prodigue aux grandes surfaces et aux commerçants ? Si l’État se concentrait sur l’essentiel de ses missions, en particulier en matière de sécurité, secteur dans lequel il est totalement défaillant depuis plus de 50 ans ? Si les citoyens se dégageaient un peu de son joug pour éviter la misère qu’il est en train de programmer pour le pays ? Il est temps de sortir de la culture de la servilité.
Véran : Français, obéissez ou le Père Noël ne passera pas !
Noël « ne sera pas une fête normale » a dit Olivier Véran. L’intrusion de l’Etat dans nos vies n’a plus aucune limite.
2 NOVEMBRE 2020 Par Margot Arold.
« Plus on respecte le confinement, moins il sera long » a dit Olivier Véran ce dimanche dans le JDD. Dit autrement cela signifie « si tu es sage tu auras du dessert ». Ou encore : « Comme vous n’avez pas été sages vous allez écoper de deux mois de plus » :
« Si le confinement n’est pas bien respecté, il faudra prendre des mesures complémentaires. »
LES MENACES
Dans son annonce du 14 octobre, Emmanuel Macron disait vouloir responsabiliser plutôt qu’infantiliser. Et pourtant, la communication du gouvernement s’acharne à nous brandir la carotte et nous menacer du bâton. Une méthode éducative plus appropriée aux ânes qu’aux adultes.
Car les propos d’Olivier Véran sont clairs : le confinement sera réduit si on le respecte (vœu pieux), tout peut arriver dans le cas contraire. « Tout », car « prendre des mesures complémentaires » est un euphémisme quand on en est au stade du confinement et de la fermeture de certains commerces.
LES FRANÇAIS OBTEMPÈRENT
Ainsi, nous sommes passés des masques inutiles aux verbalisations si on n’en porte pas. Les Français sont sympas, ils obtempèrent. Ils portent leur masque consciencieusement, même dehors, même en été. Jusqu’ici tout va bien.
À l’automne, couvre-feu. Les Français sont sympas, ils obtempèrent. Jusqu’ici tout va bien.
Puis est arrivée l’interdiction de subvenir à ses propres besoins par le fruit de son travail : fermeture de certains commerces dits « non essentiels ».
Les Français sont sympas. Ils maugréent un peu mais obéissent. Jusqu’ici tout va bien.
Ils s’enferment sur demande, vont (ou ne vont pas) au travail, utilisent des bus et des métros bondés, alors que leur atmosphère confinée est pire que tout. C’est même Olivier Véran qui le dit.
Jusqu’ici tout va bien. Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin (de la servitude) ?
NOËL : L’INTERVENTION DE L’ÉTAT N’A PLUS DE LIMITE
Nouvelle étape, donc : Noël, dans le privé, dans votre propriété privée, dans le cercle intime :
« Nous cherchons à créer les conditions pour vivre un Noël le moins contraignant possible. Hélas, comme ailleurs dans le monde, ce ne sera pas une fête normale.
C’est difficile d’envisager de grandes soirées pour le réveillon du 31 cette année.
Mais notre but est que la pression épidémique retombe pour qu’on puisse faire des courses à temps, se préparer dans la joie, pour que soient créées les conditions permettant aux familles de se retrouver. »
Le choix des mots n’est pas anodin : « nous cherchons à créer », « notre but », « créer les conditions » – deux fois !) « pour permettre ». Tout un programme constructiviste pour fabriquer une société « qu’on pourrait conduire comme on le ferait d’une quelconque machine » comme le dit Pascal Salin.
L’argument du pays voisin qui ne fait pas mieux est savoureux : d’abord parce que pour l’instant, il est faux. Notre pays a choisi un des modes les plus sévères d’Europe pour sa gestion sanitaire. Ensuite ce n’est pas parce que d’autres font mal que cela dédouane de sa propre responsabilité a emboîter le pas.
NOËL « NE SERA PAS UNE FÊTE NORMALE »
Pour rappel, nous parlons bien ici des fêtes de fin d’année. Celles qui se déroulent en privé, chez soi, et où l’État projette d’intervenir pour que tout s’y passe à sa convenance.
L’État a prévu d’agir sur Noël. D’un claquement de doigts, il a pu faire enfermer la population, faire fermer les commerces, il a pu mettre à l’arrêt l’économie. Il a pu interdire l’accès aux livres. Puisque jusqu’ici, tout va bien. L’étape suivante paraît logique : entrer encore un peu plus dans nos modes de vie.
La gestion bureaucratique du pays est devenue frénétique, impossible de s’arrêter à l’espace public, l’ogre étatique a faim de contrôle et ne rencontre aucun obstacle.
Le Père Noël ne passera probablement pas. Ou les Français doivent commencer à prendre conscience que l’intrusion se fait plus insistante et feront massivement le choix de conserver leur liberté, leur vie privée, qui n’appartiennent qu’à eux et ne peuvent être décidées par quiconque. Sauf s’il considèrent encore que « jusqu’ici, tout va bien »…
Le Président Macron et les chiffres approximatifs du Covid
Les Français gobent tout ce qu’on leur dit, ce sera encore le cas. En profiter pour manipuler des chiffres qu’ils ne pourront vérifier n’est pas à la hauteur d’un grand chef d’État.
Par Gérard Maudrux. 2 NOVEMBRE 2020
Jeudi 29 octobre, la démonstration de notre Président a été claire, exposant bien les raisons conduisant à ses décisions de mi-confinement, mi couvre-feu. Je suis toutefois choqué par ses chiffres : quand on est sûr de soi, point besoin de manipuler les chiffres pour convaincre, sinon c’est un aveu de faiblesse.
LE NOMBRE DE DÉCÈS… FAUX
Cela a très mal commencé : « Hier, 527 de nos compatriotes sont décédés du Covid-19 ». Notre président avait pourtant les chiffres des dernières 24 heures, de 14 heures à 14 heures : 244 décès. Le jour précédent ? 288.
La presse annonçait pour l’avant-veille 523 décès, car aux 288 étaient venus s’ajouter ceux en Ehpad, cumul de 4 ou 5 jours. Emmanuel Macron ne pouvait ignorer cela, il a donc doublé ce chiffre volontairement.
Personnellement, j’aurais donné le bon chiffre, en précisant qu’il correspondait à des patients contaminés il y a trois semaines, et que comme nous avions actuellement deux fois plus de cas, ce chiffre des décès allait vite doubler, dépassant 500, et plus si rien n’était fait.
Même résultat, mais plus honnête et plus crédible car ne pouvant être critiqué dès le lendemain et semant le trouble. Heureusement que la presse est bien intentionnée.
3000 EN RÉANIMATION, LA MOITIÉ DE NOS CAPACITÉS ?
« Hier, nous avons dénombré près de 3000 personnes en réanimation, soit plus de la moitié des capacités nationales ».
Quand on annonce ensuite 9000 lits de réanimation alors que 12 000 étaient annoncés il y a quelques semaines par le ministre de la Santé, là encore on joue sur le fait que les Français sont de plus en plus mauvais en calcul : 3000, c’est 30 % de 9000, 25 % de 12 000, et non 50 à 60 %.
Le discours pouvait se passer de jouer sur l’incapacité des Français à calculer. Depuis 4 mois, le nombre de lits disponibles change tous les 15 jours.
En vérité, à 500 près, il sera sans doute du même ordre qu’en avril-mai. Et il a oublié de nous parler des 10 000 respirateurs commandés en avril, ce qui devrait pourtant nous sortir de l’impasse…
Toujours pour faire peur est évoquée la possibilité de 400 000 décès. C’est le chiffre qui a été le plus critiqué. Personnellement je serai moins sévère, car avec ce Covid qui déjoue tous les pronostics, même venant des plus compétents, tout est possible.
J’aurais simplement évité d’évoquer ce nombre, d’autant plus qu’il ne correspond pas à ce qui est arrivé dans les pays n’ayant pas confiné lors de la première vague.
7000 MÉDECINS ET INFIRMIERS FORMÉS ?
« Nous avons aussi formé près de 7000 infirmiers et médecins pour pouvoir travailler en réanimation… Un effort colossal de formation a été fait. »
Là, grosse surprise ! Même notre ministre de la Santé n’était pas informé ! Il y a peu encore, quand lui était reproché le nombre de lits, il répondait que le problème n’était pas les lits mais le personnel pour les faire fonctionner. Manifestement il ne savait pas que 7000 professionnels avaient été formés. Le ministère de la Santé pas au courant de cet effort colossal ? Quelle coordination !
Alors j’ai cherché où, quand, comment, combien. Je n’ai pas été le seul, nombre de journaux ont fait de même, sans trouver. Ils ont interrogé les premiers concernés : les syndicats d’infirmiers, l’Ordre, la société des médecins anesthésistes, etc.
L’un ne savait pas, l’autre a répondu très diplomatiquement : « ils ont sans doute bénéficié… », ou « ce sont certainement des infirmiers qui… ». Aucun n’affirme avec détails. Toutefois, certains ont pu ou dû recevoir une formation théorique de 14 heures après la première vague au titre de la formation professionnelle et à l’initiative de certains directeurs prévoyants, sans directives officielles, alors que le président évoque 5 années de formation nécessaire.
Une note du ministère de la Santé datée du 17 juillet évalue à 16 800 le besoin pour 12 000 lits, et selon Le Figaro, qui le tient de la DGS, ni celle-ci, ni le ministère n’ont les éléments pour savoir combien d’embauches ont été faites depuis la première vague.
Les enquêtes sur le terrain depuis cette annonce sont tout autres.
À Annecy, « des gens sont partis, des postes ne sont pas pourvus, l’absentéisme n’est pas remplacé, il manque deux infirmiers dans le service pour ce soir. »
Pour Sud Santé d’Angers : « Nous abordons cette deuxième vague avec moins de personnel que lors de la première. »
Et quand Macron dit que « nous avons les stocks de médicaments, les respirateurs, les masques, les blouses et les gants, tout le matériel nécessaire parce que nous avons appris de nos insuffisances, de nos manques durant la première vague », ce n’est pas ce que disent cette semaine des directeurs d’ARS, notamment de Paris Ile-de-France : « Nous n’avons pas de réserves ».
À la Pitié-Salpêtrière, on souligne qu’« il n’y a pas de marge, l’hôpital fonctionne en flux tendu. »
Même chose dans le secteur libéral : en septembre on a demandé aux professionnels de constituer à leurs frais leurs propres stocks de matériel, et les pharmacies ont été autorisées à leur délivrer encore des masques en octobre, « jusqu’à épuisement des stocks ».
Cette annonce de 7000 formations et de réserves suffisantes me rappelle sa première intervention télévisée en mars : en regardant les Français droit dans les yeux, il leur a dit « dès demain je fais livrer des masques à la moitié des médecins, le reste sous 48 heures », sachant qu’il n’en n’avait pas. Et deux mois plus tard les médecins attendaient toujours, s’organisant dans la débrouille permanente.
Les « 8 milliards par an investis dans l’hôpital », ce n’est pas aujourd’hui, c’est pour demain. Combien pour le secteur libéral, qui assume toujours plus de la moitié des soins ?
Les Français gobent tout ce qu’on leur dit, ce sera encore le cas. En profiter pour manipuler des chiffres qu’ils ne pourront pas vérifier n’est pas à la hauteur d’un grand chef d’État. C’est devenu une constante chez nos élites, et c’est quelque part un peu méprisant à l’égard de ceux qui n’ont pas les mêmes capacités. J’ai pu constater que c’était une marque de fabrication de la plupart des énarques.
SUR LE FOND, DES MESURES INSUFFISANTES, INAPPROPRIÉES
Maintenant, sur le fond des mesures, je me suis déjà exprimé la veille du discours, et elles ne sont pas ce que j’espérais.
Je proposais une action ciblée sur les principales causes de clusters, informations des brigades Covid non exploitées, pour réduire la diffusion du virus et mettre le paquet sur la réanimation pour encaisser la vague sans confiner, reconnaissant que des mois avaient été perdus.
Cinquante à 100 millions d’euros pour 10 000 lits mobiles supplémentaires, pour passer à 20 000, réutilisables à chaque épidémie dans les années à venir permettent également de diminuer les lits fixes, et donc de faire des économies ; à comparer aux 15 milliards de coût estimé du second confinement, voire 20 milliards.
Le lendemain j’ai eu la satisfaction de lire les propos d’un réanimateur d’un grand hôpital parisien, faisant remarquer que les cinq médecins réanimateurs du service, assistés d’autant de médecins assistants rapidement formés en cas de crise, permettaient de décupler (je dirais doubler) leur capacité. Il en est de même pour le reste du personnel.
Macron a dit aux Français qu’il fallait 10 ans pour former un médecin réanimateur. Oui, si on triche en ajoutant toute la formation initiale du médecin avant spécialisation. Mais pour former un assistant en cas de crise, peu de jours suffisent, et certainement pas dix années. C’est donc possible.
Prenez un médecin sachant lire un ECG, en une demie journée vous lui apprenez :
les constantes à surveiller, pourquoi et comment ; l’effet des 5 ou 6 médicaments utilisés sur ces constantes ; les débits d’un pousse-seringue et le réglage d’un respirateur. Et vous avez un assistant.
Certes, il ne sera pas apte à prendre les décisions de traitements et mesures, ce qu’on ne lui demande pas, mais il sera capable de les surveiller sous la tutelle d’un patron qui pourra ainsi traiter deux fois plus de patients que lorsqu’il était seul. Et c’est la même chose à chaque échelon.
N’oublions pas aussi tous les anesthésistes non réanimateurs, infirmiers et infirmières anesthésistes, encore plus aptes et disponibles, car qui dit Plan blanc déclenché dans tous les hôpitaux, dit arrêt de toutes les activités non vitales, et de nombreux personnels disponibles.
Rappelez-vous les témoignages d’urgentistes embarrassés d’être applaudis quotidiennement car travaillant dans des services vides pendant l’épidémie.
La France bloque l’accès aux produits non essentiels
Dans un entretien dimanche au 20h de TF1, Jean Castex a annoncé que les grandes surfaces ouvertes devront bloquer l’accès aux rayons de produits non essentiels dès mardi.
dimanche 1 novembre 2020
Le Premier ministre Jean Castex a exhorté les Français dimanche au respect du confinement, «indispensable» pour en sortir au plus vite. Il a annoncé la fermeture des rayons non essentiels dans les grandes surfaces pour apaiser la colère des petits commerces.
«Les Français râlent, les Français sont dans la difficulté» et «je comprends la lassitude de nos concitoyens, je comprends les difficultés des uns et des autres», a déclaré Jean Castex au 20h00 de TF1. Mais il faut que «nous soyons extrêmement vigilants, que nous respections ce confinement: il en va de la survie de l’économie, il en va de notre santé collective», a-t-il ajouté.
«Mieux vous respecterez les règles aujourd’hui (...), plus vite nous pourrons en sortir», a encore insisté le Premier ministre. Il a évoqué la fin du confinement prévue pour l’instant le 1er décembre «s’il a, comme nous l’espérons, produit ses effets».
Dans un entretien au Journal du dimanche (JDD), le ministre de la Santé Olivier Véran avait déjà prévenu que quelle que soit la situation Noël cette année «ne sera pas une fête normale». Selon l’épidémiologiste Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique qui guide le gouvernement, il faudrait deux mois de confinement pour freiner drastiquement la circulation du virus, ce qui prolongerait les restrictions à la période des fêtes de fin d’année.
Dimanche, le nombre de malades du Covid-19 en réanimation et soins intensifs – une donnée cruciale à surveiller pour éviter un engorgement des hôpitaux – a dépassé les 3500, à 3569, avec 289 nouvelles admissions en 24 heures.
La colère ne faiblit pas
Du côté des petits commerçants, la colère ne faiblit pas. Avec ce nouveau confinement, les restaurants, bars et commerces jugés «non essentiels» doivent garder le rideau baissé. A quelques semaines des fêtes de fin d’année, les petits commerces qui vendent jouets ou livres dénoncent la concurrence déloyale des grandes surfaces – autorisées à rester ouvertes – et des plateformes en ligne, dont Amazon.
Face à cette bronca des commerçants et de nombreux maires, «nous ne reviendrons pas sur les mesures annoncées, c’est beaucoup trop tôt», a répondu le Premier ministre. Toutefois, il a annoncé la fermeture à partir de mardi des rayons non essentiels dans les grandes surfaces. Une décision qui risque de mécontenter la grande distribution, dont la fédération avait fait part quelques heures plus tôt de sa «totale incompréhension» et de son «opposition» à une fermeture des rayons non alimentaires.
La fronde des petits commerces est soutenue par des maires de plusieurs villes petites et moyennes qui ont pris des arrêtés autorisant l’ouverture des commerces non alimentaires sur leur commune. Des «maires irresponsables» qui «menacent la santé des Français», pour le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.
Pour ce nouveau confinement, dont les modalités seront revues tous les 15 jours en fonction de l’évolution des indicateurs sanitaires, on ne peut «prendre l’air» que pendant une heure maximum et dans un rayon d’un kilomètre autour de son domicile. Les dérogations permettent aussi d’aller faire ses courses, d’aller chez le médecin ou d’amener ses enfants à l’école.
Combat idéologique
Jean Castex s’est aussi exprimé sur TF1 au sujet des différentes attaques islamistes qui ont eu lieu en France dernièrement. «Ce combat, il est idéologique: l’ennemi cherche d’abord à nous diviser en répandant la haine et la violence, à fracturer la communauté nationale», a averti le chef du gouvernement français.
«Je veux ici dénoncer toutes les compromissions qu›il y a eu pendant trop d’années, les justifications à cet islamisme radical: ‹Nous devrions nous autoflageller, regretter la colonisation’, je ne sais quoi encore», a-t-il ajouté. «La première façon de gagner une guerre, c'est que la communauté nationale soit soudée, soit unie, soit fière de nos racines, de notre identité, de notre République, de notre liberté. Il faut gagner le combat idéologique», a-t-il jugé.
«C’est fini, plus aucune complaisance d’intellectuels, de partis politiques, il faut que nous soyons tous unis sur la base de nos valeurs, sur la base de notre histoire», a-t-il insisté. Le chef du gouvernement a annoncé de nouvelles dissolutions prochaines d’»associations paravents» et des opérations contre «des fausses mosquées (...) des écoles clandestines». «Nous devons impérativement renforcer notre législation, surtout le moyen d'action pour faire face" à la haine sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment admis que les verrouillages causaient plus de mal que de bien. Suite à cette annonce, on aurait pu s'attendre à ce que les politiciens américains mettent immédiatement fin aux verrouillages. Après tout, les déclarations de l’OMS sont considérées comme infaillibles, à tel point que les sites de réseaux sociaux réduisent au silence tous ceux qui osent défier la grande et puissante OMS. Pourtant, les gouverneurs, les maires et d’autres responsables gouvernementaux à travers le pays ignorent la position anti-verrouillage de l’OMS.
Au lieu d'admettre que les verrouillages étaient une erreur, de nombreux membres de la classe politique, qui comprend un nombre inquiétant de professionnels de la santé dont les positions et le prestige dépendent du gouvernement, affirment que nous ne pouvons pas revenir à la normale tant qu'un vaccin contre le coronavirus n'est pas largement utilisé. Cela suggère que les personnes parmi la majorité des Américains qui ne souhaitent pas être vaccinés resteront sous clé ou seront forcées de se faire vacciner contre leur volonté.
L'attaque contre notre liberté ne prendra pas fin avec le déploiement et l'utilisation d'un vaccin. Moncef Slaoui, le conseiller en chef de l'opération Warp Speed ??de l'administration Trump, un «partenariat public-privé» chargé de produire et de livrer un vaccin contre le coronavirus, a déclaré que ceux qui reçoivent un vaccin seront surveillés par des «systèmes de suivi incroyablement précis. " Slaoui a également indiqué que les géants de la technologie Google et Oracle aideront le gouvernement à garder un œil sur les personnes vaccinées. Ainsi, le programme de vaccination entraînera une augmentation de la surveillance gouvernementale!
Slaoui n'est que le dernier «expert» à approuver le fait de forcer le peuple américain à renoncer à ses quelques restes de vie privée pour arrêter le coronavirus. Le Dr Anthony Fauci et Bill Gates ont exhorté le développement d'un certificat numérique pour les personnes vaccinées contre le coronavirus. Les personnes sans certificat verraient leur liberté sévèrement restreinte.
Ceux qui pensent que le nouveau système de surveillance sera limité au coronavirus doivent se rappeler que les numéros de sécurité sociale n'étaient censés être utilisés que pour administrer le programme de sécurité sociale. Ils devraient également considérer que l’élargissement des écoutes téléphoniques sans mandat par la loi PATRIOT était censé se limiter à arrêter les terroristes. Cependant, ces pouvoirs ont été utilisés à des fins très diverses. Chaque fois que le gouvernement reçoit le pouvoir d'abuser de nos droits pour une raison, il l'utilisera inévitablement pour abuser de nos droits pour d'autres raisons également.
Le certificat numérique de Fauci et Gates pourrait, et sera probablement, élargi pour inclure la preuve que les individus ont reçu une variété d'autres vaccins et traitements médicaux. Le certificat numérique pourrait même s’étendre à la surveillance des choix de mode de vie d’une personne au motif que les mauvaises habitudes la rendent plus vulnérable aux maladies.
Le certificat numérique pourrait également être lié au programme REAL ID pour refuser aux personnes qui n'ont pas été vaccinées le droit de voyager. Il pourrait également être combiné avec un futur système obligatoire E-Verify pour refuser aux personnes non vaccinées le droit d'occuper un emploi. Ceux qui considèrent cette «paranoïa» devraient considérer que la Grande-Bretagne développe déjà un passeport covid.
La liberté perdue dans la «guerre contre le covid» ne sera pas volontairement rendue lorsque la menace de coronavirus prendra fin - en supposant que le gouvernement arrête jamais de déplacer les poteaux d'objectif et déclare que la menace de coronavirus est terminée. Au lieu de cela, le peuple doit être prêt à reprendre sa liberté aux politiciens. Heureusement, nous avons encore la capacité de le faire par les moyens pacifiques d'éduquer nos concitoyens et de faire pression sur nos élus pour qu'ils inversent la voie. Nous devons tous faire ce que nous pouvons pour utiliser ces outils pacifiques avant d'être dans un «hiver sombre» d'autoritarisme.
L'immunité avant la vaccination détermine l'efficacité des vaccins
Par Bill Sardi 3 novembre 2020
Les graphiques montrant l'efficacité des vaccins induisent en erreur (voir le graphique ci-dessous). En chiffres précis (non relatifs), les vaccins ne sont que marginalement efficaces.
Les vaccins contre le coronavirus COVID-19 mis sur le marché en urgence sont testés de manière limitée pour leur capacité à apaiser les symptômes bénins de l'infection et il n'y a aucun moyen de savoir s'ils préviennent l'infection, ralentissent la propagation ou réduisent les taux de mortalité de ce coronavirus parfois mortel.
L'immunité pré-vaccinale est le meilleur indicateur de l'efficacité du vaccin. La médecine moderne ne fait littéralement rien pour améliorer l'immunité avant la vaccination si ce n'est d'ajouter des adjuvants toxiques aux vaccins.
Le recours aux tests d'anticorps, considérés comme la référence en matière d'efficacité de laboratoire (non clinique) des vaccins, est imparfait. On sait depuis 1986 que les lymphocytes T zinc-dépendants produits dans le thymus sont primordiaux pour la production d'immunité, et non d'anticorps. Il n'est pas surprenant d'apprendre qu'un anticorps-médicament n'a pas réussi à réprimer les infections au COVID-19.
En utilisant les cellules T comme indicateur, la plupart des populations humaines sont déjà immunisées contre l'infection au COVID-19 même si elles n'ont pas été exposées à ce nouveau virus nouvellement muté. La soi-disant «immunité collective» existe déjà. La vaccination obligatoire représente un traitement excessif.
Au fur et à mesure que les populations humaines sont libérées des verrouillages, les taux d'infection augmenteraient, donnant la fausse impression que les taux d'infection sont à la hausse en raison de la sortie de la cellule. Le test PCR utilisé pour détecter le COVID-19 n'est pas en corrélation avec l'infectiosité. Le test PCR ne peut pas être validé par culture virale dans une boîte de laboratoire, l'étalon-or pour la confirmation de l'infection. Fait frappant, la mortalité n'augmente pas à mesure que les taux de dépistage augmentent. Les taux de mortalité n'augmentent pas non plus avec la libération des verrouillages. Les stratégies de santé basées sur des estimations, des algorithmes et une modélisation statistique ne sont pas de véritables comptages corporels. De nombreuses personnes meurent prématurément des mesures de verrouillage elles-mêmes.
La saison des coronavirus s'étend de décembre à avril. Toute augmentation signalée des décès en raison de l'ouverture des sociétés est probablement liée à l'approche des augmentations saisonnières / hivernales proportionnelles aux faibles niveaux de vitamine D du soleil. D'un point de vue thérapeutique, une fois atteints du COVID-19, 5 % des résidents âgés fragiles des maisons de retraite sont décédés, contre seulement 44,4 % à qui on a administré de la vitamine D.
Les décès dus à la grippe sont surestimés. Les Centers for Disease Control distribuent un chiffre de 36 000 décès par an dus à la grippe. Mais les données de l'American Lung Association révèlent des décès liés à la grippe aussi bas que quelques centaines en un an aux États-Unis (voir le graphique ci-dessous). On pense que les décès surévalués servent à promouvoir les campagnes de vaccination.
Le groupe Cochrane, un réseau mondial de chercheurs indépendants, analyse la validité des preuves scientifiques. En 2018, le groupe Cochrane a publié une analyse de huit essais cliniques impliquant plus de 5000 participants âgés dans le but de déterminer si la vaccination prévient la grippe. L'analyse a révélé que 6 % des personnes âgées non vaccinées (on leur avait administré un vaccin placebo) avaient la grippe comparativement à 2,4% des personnes vaccinées (58% de risque relatif réduit).
Le problème est que 94% des personnes âgées de cette étude n'ont pas contracté la grippe. Ainsi, le succès des programmes de vaccination massifs visant à vacciner des millions de personnes pour éviter à quelques personnes d'attraper la grippe est limité dès le départ. Trente (30) personnes doivent être vaccinées pour éviter qu'une personne ne présente les symptômes de la grippe.
Ainsi, au mieux, les vaccins contre la grippe ne peuvent être efficaces qu'à 3,3% pour prévenir la grippe. Le CDC «annoncera» que des études comme celle-ci indiquent que les vaccins contre la grippe sont efficaces à 58% (réduction de 6,0% à 2,4% des cas de grippe). Donc, en chiffres concrets, le public est amené à croire à tort que 58 personnes sur 100 seront protégées contre la grippe si elles sont vaccinées. Cette idée est trompeuse. En fait, 6 personnes sur 100 contractent la grippe et 2,4 sur 100 contractent la grippe si elles sont vaccinées; 94 personnes sur 100 ne reçoivent aucun avantage de la vaccination parce qu'elles restent en bonne santé et non infectées, probablement parce que leur système immunitaire empêche toute infection des voies respiratoires.
- voir tableau sur site -
Le vaccin antigrippal à distance sauve des vies
La probabilité que la vaccination contre la grippe réduise le risque de décès est encore plus faible. Dans cette étude portant sur 5000 personnes âgées, le décès est survenu chez 1 personne sur 177 ayant reçu un vaccin inactif (placebo) et 1 sur 184 qui a reçu le vaccin contre la grippe. Ainsi, 5,6 personnes âgées sur 10 000 contracteraient la grippe et seraient hospitalisées et mourraient si elles n'étaient pas vaccinées et 5,4 personnes âgées sur 10 000 contracteraient la grippe et mourraient si elles étaient vaccinées.
Une analyse de 75 études publiées par le groupe Cochrane a conclu qu'il existe une incertitude quant à l'innocuité et à l'efficacité de la vaccination contre la grippe chez les personnes âgées.
En 2016, le groupe Cochrane a publié une étude portant sur 12742 travailleurs de la santé qui s'occupent d'adultes âgés en établissement (de plus de 60 ans). Les évaluateurs Cochrane ont conclu que la vaccination des travailleurs de la santé avait peu d'effet sur le nombre de résidents âgés qui ont développé une grippe confirmée en laboratoire.
L'immunité pré-vaccinale est un prédicateur de l'efficacité du vaccin
Une étude publiée en 2015 montre que l'immunité pré-vaccinale était le meilleur prédicteur que la vaccination préviendrait la grippe; 66,3 % des adultes de plus de 50 ans vaccinés n'ont pas développé une immunité adéquate.
Quelle est la leçon à emporter ? Le maintien du système immunitaire est primordial.
Selon les évaluations conventionnelles des niveaux d'immunité dans les populations en général, il n'y a pas suffisamment d'anticorps dirigés contre le coronavirus COVID-19 pour produire une immunité collective. Les populations mondiales doivent alors attendre un vaccin homologué. Mais les anticorps ne sont pas la mesure ultime de l'immunité.
«Le taux de mortalité est davantage le résultat de la préparation immunitaire ou non de votre population que de la souche particulière du virus.»
- Denis Rancourt, PhD, Association des libertés civiles de l'Ontario
La plupart des populations humaines sont déjà immunisées
Les anticorps ne sont pas considérés comme une mesure fiable de l'immunité. Un certain nombre d'études montrent maintenant que 20 à 50 % des personnes sans exposition connue au COVID-19 présentent déjà une immunité contre ce virus. Cela suggère que la vaccination n'aurait presque aucun sens pour autant que la moitié de la population.
Seule une minorité de personnes présentent des anticorps contre le COVID-19. Mais les cellules mémoire T (dépendantes du zinc), produites dans le thymus, préexistent et sont prêtes à prévenir l'infection au COVID-19 chez 20 à 50% des sujets.
Exposition à une infection à une maladie NON !
Cela signifie que «l'exposition n'entraîne pas nécessairement une infection, et l'infection ne conduit pas nécessairement à la maladie, et la maladie ne produit pas nécessairement des anticorps détectables», indique un rapport intitulé «COVID-19: de nombreuses personnes ont-elles une immunité préexistante?, Dans le British Medical Journal (BMJ).
Par conséquent, le pourcentage d'une population nécessaire pour produire une immunité collective est bien plus faible lorsqu'une partie significative est incapable de transmettre le virus, révèle le rapport du BMJ.
Un immunologiste déclare: «Si vous supprimez le verrouillage, vous devriez voir une augmentation immédiate et proportionnée des cas (et des décès), mais cela ne s'est pas produit. C'est juste un fait !"
En Suède, une étude révèle que 60 % des membres de la famille des patients infectés produisaient des anticorps tandis que 90 % avaient une activité de lymphocytes T.
Les lymphocytes T obtiennent enfin de la publicité
Le rapport du BMJ déplore que les lymphocytes T aient reçu "peu d'attention" dans les médias d'information. Les lymphocytes T facilitent également une immunité durable.
Les chercheurs reconnaissent que grâce à la vaccination, on espère que la stimulation des anticorps et des lymphocytes T induira une immunité protectrice.
Apparemment, de nombreuses personnes sont déjà immunisées. L'idée de la vaccination obligatoire semble être un sur-traitement massif compte tenu de ces réalités.
Les autorités de santé publique et les politiciens sont pré-engagés dans la vaccination, ont déjà pré-acheté des milliards de dollars de ces vaccins et sont prématurément et excessivement déterminés à les utiliser indépendamment de ces faits. Le stockage des vaccins non éprouvés a déjà commencé parce que les politiciens les ont prépayés.
Les vaccins précipités sur le marché peuvent ne pas sauver des vies
L'enquêteur Peter Doshi, s'exprimant dans un autre volume du British Medical Journal, a déclaré qu'aucun des essais de vaccins contre le coronavirus COVID-19 n'est conçu pour prouver si ces piqûres d'aiguille réduisent la probabilité de maladie, d'hospitalisation ou de décès. Aucun des essais en cours n'est conçu pour déterminer si les vaccins interrompent la transmission du virus.
- voir tableau sur site -
Doshi dit qu'une étude peut simplement montrer qu'un vaccin réduit un symptôme tel qu'une toux chronique et obtenir un permis d'exercice, sans réduire la transmission, l'hospitalisation ou le décès.
En fait, ces découvertes sur le COVID-19 suggèrent que toute l'industrie des vaccins est soutenue par l'ignorance scientifique de l'immunité des lymphocytes T.
Le fait de savoir que l'immunité des lymphocytes T dépend du zinc, un oligo-élément, suggère que le public peut se protéger contre tous les virus et autres menaces de maladies infectieuses avec un remède préventif peu coûteux et non problématique à portée de main.
Le zinc avec la vitamine D freine (normalise) la réponse immunitaire pour contrecarrer une réponse immunitaire (auto-immune) hyperactive.
Des pastilles de zinc correctement dosées, prises 5 fois par jour, de préférence avec un ionophore de zinc comme la quercétine pour faciliter l'entrée dans les cellules infectées, conviennent en cas de maux de gorge, de fièvre, de toux chronique et d'essoufflement.
Un rapport faisant autorité intitulé «Les cellules T sont les superstars dans la lutte contre le COVID-19», publié à Children's Health Defense, cite Carsten Geisler, un éminent chercheur de l'Université de Copenhague, pour dire: «Quand une cellule T est exposée à un agent pathogène étranger , il étend un dispositif de signalisation ou «antenne» connu sous le nom de récepteur de la vitamine D, avec lequel il recherche la vitamine D », et s'il y a un taux de vitamine D insuffisant,« ils ne commenceront même pas à se mobiliser ».
En d'autres termes, une quantité adéquate de vitamine D est d'une importance cruciale pour l'activation des lymphocytes T à partir de leur état naïf inactif.
Autre leçon: le resvératrol, une molécule de vin rouge, se lie à et active le récepteur de la vitamine D, une porte d'entrée de la vitamine D dans les cellules.
Très peu ou aucune des informations fournies ici parvient aux masses. Les autorités de santé publique sont uniquement engagées dans la vaccination. Il serait préférable d’accéder à la défense de la santé des enfants de Robert F. Kennedy Jr. et au Centre national d’information sur les vaccins pour obtenir des informations précises sur les maladies infectieuses et les vaccins.
Si vous envisagez la vaccination, qui deviendra LE problème majeur auquel seront confrontées les populations après le formulaire de consentement / refus du vaccin COVID-19 modèle P de cet auteur est disponible auprès de Knowledge of Health, Inc. Les bénéfices vont au fonds de défense du consentement au vaccin de la National Health Federation. Deux exemplaires du formulaire de consentement / refus de 18 pages sont disponibles pour 12,95 $ (frais de port inclus). Le formulaire de consentement peut être commandé en ligne à www.covid19consent.com ou en envoyant un chèque ou un mandat de 12,95 $, à l'ordre de Knowledge of Health, Inc., 1502 Foothill Blvd, Suite 103, La Verne, California 91750.
(...) Fait frappant, la mortalité n'augmente pas à mesure que les taux de dépistage augmentent. Les taux de mortalité n'augmentent pas non plus avec la libération des verrouillages. (...)
Merci Dr Ron Paul. Le test PCR utilisé pour détecter le COVID-19 n'est pas en corrélation avec l'infectiosité. Le test PCR ne peut pas être validé par culture virale dans une boîte de laboratoire, l'étalon-or pour la confirmation de l'infection.
Effectivement, nous respirons toutes & tous 200 000 microbes ou virus par minute. Donc, lors de tests, les laborantins ont le choix ! Et donc, comme ils ont 100 % de chance de trouver un corona respiré dans toutes les personnes testées, ils crient Hourra ! Mais... mais la personne porteuse... ne meurt pas ! Refuse même de mourir ! Çà alors ! Comme toutes autres, cette personne a depuis sa naissance respiré des milliards de milliards de milliards (etc, etc) de microbes (vivants) ou des virus (poussière métallique) et, son organisme a combattu et a gagné ! A gagné sans vaccin, sans remède.
Les programmes de tests de vaccins Covid-19 défectueux chez Moderna, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca
Par Gary G. Kohls, MD 3 novembre 2020
Il ne semble pas y avoir beaucoup de différence entre les protocoles de test des dizaines de sociétés pharmaceutiques qui travaillent sur le développement d'un vaccin contre le virus du SRAS insaisissable (et donc douteux) qui n'a pas encore été isolé en laboratoire, encore moins été cultivées de manière reproductible dans des cultures de tissus vivants.
Les preuves de l'existence du nouveau virus SARS-CoV-2 chez un patient donné ont été principalement supposées dans la pandémie présumée actuelle qui reposait sur des tests avec les kits de test PCR tout aussi douteux qui ont été fabriqués par un certain nombre de survols. -des tenues de nuit qui fabriquent des kits de test peu fiables.
Les statistiques d’incidence et de décès des «cas» de la pandémie présumée actuelle doivent donc également être considérées comme douteuses car l’inventeur du test PCR a affirmé à plusieurs reprises que son test NE PEUT PAS être utilisé à des fins de diagnostic.
Cependant, la «sagesse conventionnelle» fortement encouragée par Big Pharma / Big Media dit que si le test PCR s'avère positif (même si l'individu PCR positif est totalement asymptomatique, il portait toujours les masques et n'a jamais développé de symptômes de Covid) que le sujet doit être considéré comme si contagieux qu'il doit être mis en quarantaine pendant des semaines. Si le sujet ne se conforme pas à l'ordonnance de mise en quarantaine, il ou elle peut - dans certaines juridictions - être arrêté et emprisonné.
Ce qui devrait préoccuper les gens qui pensent, c'est le fait que certaines de ces sociétés pharmaceutiques (sans oublier que de nombreux fabricants de kits de test PCR) ne sont en fait que des «start-ups» - comme les National Institutes of Health (et Anthony Fauci) la société de vaccins préférée Moderna, dont l'activité ne concerne que le développement de vaccins - pas la fabrication.
Pourtant, Moderna est profondément impliqué dans la course à l'approbation de la FDA, et le cours de son action a explosé dans l'espoir de pouvoir masser suffisamment les résultats de ses tests pour faire approuver son vaccin Covid-19 (ou au moins obtenir une autorisation d'utilisation d'urgence [EUA]) par la FDA).
Malgré son cours de bourse extrêmement élevé (67 dollars par action au 30 octobre 2020), Moderna n'a pas encore gagné un sou de la vente de l'un de ses rares vaccins expérimentaux. Il n'est pas surprenant qu'il ait développé son protocole pour tester son vaccin Covid-19 expérimental à 2 doses qui est essentiellement le même que les protocoles annoncés des vaccins Covid-19 de Johnson & Johnson, AstraZeneca et Pfizer chez la moitié des quelque 30000 volontaires qui ils ont accumulé seront injectés avec deux doses de son vaccin actif (dont chacune contient des ingrédients incertains pour être sûrs). L'autre moitié sera injectée avec un placebo. (Il est intéressant de noter que dans le passé, certaines sociétés de test de vaccins ont ajouté un ingrédient toxique pour les tissus qui causera vraisemblablement des symptômes au site d'injection afin que le groupe placebo ne sache pas s'il a reçu le vaccin ou non.)
Il y aurait un certain nombre de sociétés pharmaceutiques en démarrage et établies dans le monde entier qui tentent également d'être le prochain vendeur de vaccins contre les blocages sur la planète, mais AUCUNE d'entre elles, et encore moins les quatre sociétés de vaccins expérimentaux énumérées ci-dessous, n'ont suivait des méthodes ancestrales de test de ses médicaments expérimentaux et de ses vaccins sur des animaux de laboratoire, une grave violation du protocole qui est devenue la «nouvelle norme» afin de se conformer à l'opération Warp Speed ??du président Trump, programme que Trump a poussé afin de produire un vaccin - n'importe quel vaccin - avant que sa candidature ne soit décidée !!
Bien entendu, la procédure accélérée (ou «court-circuit») des études normales sur l'innocuité et l'efficacité des vaccins a été condamnée par tous les scientifiques éthiques qui n'ont pas de «conflits d'intérêts» économiques ou professionnels qui garantissent des résultats rentables du dangereux les positions pseudoscientifiques pro-vaccinales que Big Pharma a adoptées comme celles de l'administration Trump et du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID et de la FDA au cours des 10 derniers mois.
L'autorisation d'utilisation conditionnelle, provisoire et d'urgence (EUA) de la FDA déjà compromise par l'entreprise est susceptible d'être accordée même si les données présentées aux commissions de réglementation de la FDA sont erronées et / ou statistiquement insignifiantes - ce qui signifie que le vaccin n'a pas été avérée sûre et efficace, en particulier à long terme, ce qui, par définition, ne peut être évalué en toute sécurité pendant de nombreuses années. Malheureusement, les membres de la plupart des commissions «de réglementation» classiques sont souvent des sociétés qui ont des arrière-pensées.
Il y a 30 000 volontaires dans les groupes d’étude de chaque société pharmaceutique et ce sont essentiellement des volontaires en bonne santé, d’âge moyen, enthousiastes et «patriotiques». La moitié des 30 000 personnes recevront une injection d'une série de deux vaccins immunologiquement actifs. Les 15 000 autres membres du groupe recevront deux injections d'un placebo censé être immunologiquement inactif. Aucun des 30 000 personnes ne sera informé du groupe auquel ils appartiennent.
Les quelque 30 000 cobayes humains au total qui se sont inscrits à l'étude Moderna seront surveillés jusqu'à ce que 53 dérisoires des 30 000 volontaires obtiennent des résultats de test PCR positifs (et très douteux)! Les 53 peuvent ne pas avoir - et ne développeront peut-être jamais - les signes et symptômes du SRAS pour qu'ils soient inclus dans l'étude!
Bien sûr, les tests PCR faux positifs sont extrêmement courants et peuvent arriver à n'importe qui, en particulier aux personnes qui ont eu un rhume, souvent causé par de simples coronavirus bénins.
Les concepteurs de l'étude Moderna - tout comme les autres sociétés pharmaceutiques qui sont dans la course - soutiendront que leur étude devrait être considérée comme pertinente, rapportable à la FDA comme preuve théorique d'efficacité, mais ils ne peuvent pas prétendre que leur vaccin est sûr ou efficace. long terme.
Cependant, ces études à court terme ne peuvent être utilisées que partiellement pour l'innocuité et l'efficacité à court terme si 13 ou moins des 53 «cas» positifs à la PCR se sont produits dans la population vaccinée alors qu'en même temps 40 ou plus de la PCR positive Des «cas» sont survenus dans le groupe placebo. Ce qui ne sera pas discuté sera le fait que plus de 14 900 du groupe placebo et du groupe vacciné n’ont pas non plus présenté de tests PCR positifs pour les symptômes du Covid-19 !
Il est tout à fait approprié que les sceptiques légitimes des agences américaines de réglementation des médicaments et des vaccins cooptées par les Big Pharma se posent la question: «Quel genre de science indésirable influencée par les Big Pharma et orientée vers le profit se cache derrière les études approuvées à la hâte par les goûts du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID et de la FDA, évidemment cooptés?
Il est également tout à fait approprié pour le public d'avoir des informations complètes sur le type d'influence coercitive pro-vaccin provenant de personnes nommées par Trump comme son directeur HHS (et non médecin) Alex Azar, qui est entré dans l'administration de Trump à partir de 2 millions de dollars. par an poste de PDG chez Big Pharma / Big Vaccine géant Eli Lilly. Azar fait également partie de l'opération Warp Speed ??de Trump, qui est à l'origine de l'accélération du développement de vaccins, qui sera certainement un désastre.
Il y aura sûrement des conclusions douteuses venant de toutes les autres sociétés pharmaceutiques dont la fiabilité est prouvée et qui sont dans la course pour développer un vaccin autorisé à usage d'urgence qui n'aura pas été prouvé pour être sûr ou efficace à long terme - mais sera certainement inabordable. .
De manière suspecte, le principal partenaire d'investissement de la start-up Moderna est en fait l'organisme de réglementation et de financement du gouvernement américain appelé National Institutes of Health (y compris le CDC et le NIAID), qui aurait une participation financière de 50% dans l'entreprise.
On peut supposer que - étant donné le système capitaliste corrompu qui a complètement pris le contrôle de notre nation - que chaque actionnaire de Moderna (même nos bureaucraties gouvernementales) fera tout ce qu'il peut pour promouvoir ses produits.
On doit soupçonner également que ces agences gouvernementales et leurs copains dans le monde de l'entreprise font tout ce qu'ils peuvent pour empêcher le mouton de remarquer les points de données les plus importants dans les études discutées.
Et l’une de ces informations est qu’au moins 29 800 des 30 000 volontaires participant aux essais de vaccins de Moderna ne seront probablement pas infectés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. Ce qui pourrait facilement se produire à long terme, c'est qu'un nombre important des 15 000 personnes du groupe vacciné risquent de développer des maladies chroniques invalidantes telles que des maladies auto-immunes.
Qu'en est-il des essais de vaccins de Pfizer, Johnson & Johnson, AstraZeneca, et. Al.?
Les autres réalités statistiques importantes qui ne seront pas soulignées dans les revues médicales contrôlées par l'entreprise (ou les médias contrôlés par l'entreprise) sont les concepts d '«efficacité réelle des vaccins» et d' «efficacité relative des vaccins», qui s'apparentent volontairement à la même chose. La réduction du risque réel (RAA) et la réduction du risque relatif (RRR) qui sont souvent ignorées dans les essais d'efficacité des médicaments.
Pour Moderna, 13 tests PCR positifs dans le bras vaccinal de 15 000 membres de leur essai 13/15 000 = 0,00086) est un point de données choisi arbitrairement qui, comparé à l'essai placebo, peut représenter une sorte de signification. 0,00086 est un nombre évidemment minuscule qui équivaut à un pourcentage de 0,086%.
Et 40 tests PCR positifs ou plus dans le groupe placebo de Moderna de 15 000 sujets (40/15 000 = 0,0027) représentent également un pourcentage minuscule de 0,27%. En soustrayant 0,086% de 0,27%, vous obtiendrez le bénéfice minuscule «réel» d’être vacciné (0,086%) avec le vaccin potentiellement toxique de Moderna par rapport au placebo présumé inoffensif.
Cependant, les chiffres d'efficacité du vaccin «relatifs» faussement gonflés signifient que dans le calcul des résultats de Moderna, on prend la fraction 13/40 (qui = 0,325 en termes décimaux, et qui est de 32,5% en termes de pourcentage. Les mathématiciens de la société, selon la méthode standard du calcul de la réduction du risque relatif (RRR), soustrait 0,325 de «1», ce qui donne un nombre décimal de 0,675 (qui, en pourcentage, est de 67,5%).
Ainsi, les statisticiens de Moderna - qui peuvent, par ailleurs, détenir des actions de l'entreprise - rapporteront alors à ses patrons au siège social le taux d'efficacité «relative» de 67,5%, que les patrons recevront comme positif, alors qu'il s'agit en fait d'un figure quand il est mis en parallèle avec l'indice d'efficacité réel du vaccin de 0,184.
Notez que l’essai de vaccin expérimental de Pfizer utilise également le nombre de positivité PCR de 32 dans le groupe 30 000, 25 dans le groupe placebo 15 000 et 7 dans le groupe 15 000 vaccins comme points de départ de l’analyse statistique.
En utilisant ces chiffres, les statisticiens de Pfizer rapportent en fait les chiffres faussement gonflés de la réduction du risque relatif / de l'efficacité relative des vaccins (plutôt que les chiffres de la réduction réelle du risque (ARR) au corps de presse et aux professionnels de la santé américains faciles à propager, sur lesquels on peut compter pour rapporter. - encore et encore - les avantages exagérés pour leurs auditeurs, téléspectateurs et patients.
Comme on pouvait s'y attendre, Johnson & Johnson utilise également la même supercherie mathématique que l'autre Gang of Four, en utilisant comme points de rupture arbitraires de positivité de la PCR les nombres suivants: 77 tests positifs à la PCR parmi le groupe total de 30 000; 59 tests PCR positifs dans le groupe placebo de 15 000 personnes et 17 tests PCR positifs dans le groupe vacciné 15 000 personnes.
AstraZeneca fait de même, en utilisant simplement des nombres légèrement différents de positivité PCR: 50 dans le groupe 30 000, 38 dans le groupe 15 000 placebo et 12 dans le groupe 15 000 vaccinés.
Ce que nous semblons avoir est bien exprimé dans ma version de la célèbre citation de Mark Twain: «Il y a 3 (ou 4) types de mensonges: les mensonges, les damnés mensonges, les statistiques et les statistiques de Covid».
Il est certain que si un trop grand nombre de personnes meurent en hôpitaux, on dira "Les hôpitaux de la mort". Tandis que si elles crèvent chez elles on dira qu'elles sont tombées de leur chaises, qu'elles se sont suicidées ou qu'elles traînaient un cancer, etc.
D'où l'intérêt de l'emprisonnement à domicile avec (ne rigolez pas je l'ai entendu !) qu'il faut... porter un masque à la maison !!! et ne pas manger ensemble mais à des horaires différents ! Imaginez aussi un couple 2 enfants, la femme dort au lit, le mari au canapé, le garçon dans le couloir et la fille dans la baignoire ! HAHAHAHA !
PRODUITS NON-ESSENTIELS RETIRÉS DE LA VENTE : CE SERA MERCREDI 4 NOVEMBRE 2020
par PAOLO GAROSCIO 03/11/2020
Le chiffre d'affaires d'Amazon au deuxième trimestre 2020 a augmenté de 40%.
Vivement critiquée, à la fois par les consommateurs, les commerçants et les associations, la décision du gouvernement censée rétablir l’équité entre grandes surfaces et petits commerces sera bel-et-bien appliquée. Sauf que, délais administratifs obligent, les Français ont gagné un jour de répit. Explications.
Produits non-essentiels et rayons fermés : une mesure reportée d’un jour Lorsque Jean Castex a annoncé, dimanche 1er novembre 2020, que les rayons de produits non-essentiels dans les supermarchés devaient être condamnés pour que les grandes surfaces ne puissent pas vendre ce que les petits commerçants fermés ne peuvent pas vendre, il avait donné 24 heures aux concernés pour s’organiser. L’interdiction de vendre des produits non-essentiels devait entrer en vigueur mardi 3 novembre 2020.
Finalement, ce ne sera pas le cas. Si le gouvernement n’est pas revenu sur sa décision malgré les nombreuses critiques, il aura dû composer avec l’administration : impossible de publier le décret qui fixe la liste officielle des produits interdits à la vente durant le confinement avant… mardi 3 novembre 2020.
Sans cette liste, les magasins ne peuvent pas s’organiser, et sans décret la liste n’a aucune valeur juridique même si le gouvernement l’a fournie aux enseignes. Un décret n’entrant en vigueur que le lendemain de sa publication, c’est simple : la mesure n’entrera en vigueur que le 4 novembre 2020.
Le gouvernement critiqué car Amazon sera le grand gagnant D’une manière générale, la décision de fermer les commerces de proximité et les rayons non-essentiels a été mal comprise et mal perçue. Les consommateurs ne comprennent pas la logique, les associations s’indignent.
C’est le cas de l’UFC-Que Choisir : son président, Alain Bazot, a estimé le 2 novembre 2020 que « le critère de 'biens essentiels' au lieu de celui de la capacité à réguler les flux, assurer de la distanciation, etc. manque de pertinence au-delà du fait qu'il est arbitraire ».
Comme les petits commerçants et la grande distribution, il craint en outre que cette décision ne soit « une autoroute pour les plateformes de e-commerce, à commencer par les GAFAM, particulièrement Amazon ». Les sites de e-commerce, dont le géant américain, n’ont en effet aucune interdiction de vendre les produits non-essentiels : du maquillage ua gros électroménager en passant par les vêtements, les Français pourraient être fortement tentés d’acheter en ligne ce qu’ils ne peuvent plus trouver ailleurs.
RAYONS FERMÉS : CE QUE VOUS NE TROUVEREZ PLUS EN GRANDE SURFACE (NI AILLEURS)
par QUITTERIE DESJOBERT 02/11/2020
71% acceptent l'hypothèse d'un confinement pendant les fêtes de fin d'année.
Dès mardi 3 novembre 2020, de nombreux rayons seront indisponibles à la vente dans les supermarchés. Une décision annoncée dimanche 1er novembre par le Premier ministre Jean Castex afin d'empêcher la concurrence déloyale entre les commerçants fermés et les grandes enseignes.
Adieu maquillage, jeux et électroménager
Les rayons proposant dans produits non-essentiels devront être retirés de la vente dans les supermarchés dès mardi 3 novembre 2020. Cette annonce faite par le Premier ministre Jean Castex, dimanche soir sur TF1, concerne notamment les rayons de vente de maquillages, de vêtements, de jouets et d'électroménagers des supermarchés français, afin d'atténuer la concurrence déloyale avec les petits commerçants forcés de fermer pendant le confinement.
De nouveaux rayons vont rejoindre ceux de la culture, comme aussi celui des jouets. Depuis quelques jours, la Fédération des Commerces spécialistes des Jouets et des Produits de l'Enfant demandaient instamment la fermeture de ces rayons dans les supermarchés à sept semaines de Noël. Les rayons bijouteries, fleurs, vêtements, maquillage et électroménager seront également indisponibles à la vente dès mardi 3 novembre.
La politique du moins
Cette décision loin d'affaiblir la grogne des commerçants y ajoutent celles des commerces de grandes distributions qui dans une vision commune y voit la porte ouverte aux géants d'Internet comme Amazon, qui publie des chiffres de bénéfices exceptionnels. Pour le troisième trimestre de 2020, les bénéfices de la firme américaine atteignent 6,3 milliards de dollars, soit une hausse de 296 % en comparaison à 2019.
Pour Jacques Creyssel, délégué général de la fédération de la grande distribution (FCD), cette décision du gouvernement de fermer plus au lieu de rouvrir plus est une solution « perdant-perdant » pour les commerces français. Durant la semaine, le ministère de l'Économie devrait recevoir les différentes fédérations de commerçants afin de réfléchir à la possibilité d'une réouverture le 12 novembre 2020.
Dire que les produits de maquillage, d'hygiène, d"électroménager ou des vêtements renferment plus de microbes que les produits alimentaires est un retard culturel de trisomique-à-piquer !
La cause la plus critiquée de la perte de valeur de la monnaie est la planche à billets, c’est-à-dire le plus souvent, l’activité d’un État consistant à imprimer des billets au fur et à mesure de ses besoins sans corrélation avec ses rentrées réelles d’impôts ou autres taxes. Comme on l’a vu plus haut, la vraie monnaie est générée par l’économie réelle.
Cette explication n’a plus cours aujourd’hui, avec l’autonomie des banques centrales et la disparition progressive des billets au grand regret des monétaristes champions de la distribution d’argent par hélicoptère.
Sans fausse monnaie car telle pouvait être qualifiée la monnaie créée par la planche à billets, la valeur de la monnaie peut cependant être perturbée, inflation ou déflation, mais il importe de pouvoir distinguer ce qui est une variation représentative de la valeur des choses de ce qui est une perturbation de cette représentation.
Si le pétrole augmente, la valeur de la monnaie baisse, mais c’est une traduction normale de la représentation des prix.
De même on peut avoir un enchaînement inflationniste du fait d’une augmentation généralisée des salaires à la suite d’un mouvement social, qui entraîne une augmentation du prix des produits. La valeur de la monnaie baisse, ce qui est une représentation correcte de la valeur moyenne des prix. Cette mécanique peut devenir une spirale infernale, si le système monétaire n’y met pas fin. Soit le pouvoir politique prend une mesure qui compense cette augmentation de salaires en diminuant par exemple des dépenses militaires permettant une diminution d’impôt et il n’y a pas d’incidence sur la valeur de la monnaie, soit elle n’en prend pas et l’augmentation de salaire est un leurre compte de tenu de l’augmentation du prix des produits et la monnaie ainsi dévaluée ne représente plus la valeur des choses mais représente la perturbation de la décision socio-politique. L’introduction de l’euro empêche les gouvernements de se lancer dans ces politiques irresponsables car la monnaie ne pouvant plus être le moyen de tromper les revendications par de fausses augmentations s’y lancer revient à tuer les entreprises se trouvant dans le secteur concurrentiel européen.
On peut avoir une augmentation de productivité qui entraîne une baisse du prix des produits et donc une augmentation réelle de la valeur de la monnaie.
Si la planche à billets n’existe plus, elle est remplacée par le déficit budgétaire, mécanisme qui perturbe l’évaluation de la valeur de la monnaie par le transfert social inclus dans les prix alliés au déficit budgétaire et au financement de celui-ci par le système monétaire.
Lorsque nous avons un déficit budgétaire, cela veut dire que les impôts n’ont pas été suffisants pour couvrir les charges communes et, que cet impôt ait été à la charge des entreprises ou à celle des consommateurs, les prix des biens vendus sont sous-évalués et la valeur de la monnaie surévaluée. Cette constatation est étonnante car elle veut dire que la monnaie est surévaluée en France contrairement à l’Allemagne alors que c’est la même monnaie. Ceci s’explique facilement par le fait que les prix sont indirectement subventionnés en France par le couple transferts sociaux/déficit budgétaire qui augmente tous les ans la dette.
Dans le produit national, une partie des prix ne dépend pas du marché, c’est celle qui correspond aux impôts de fonctionnement soit (30% ?) du produit national ? Cette partie est relativement linéaire. Mais surtout elle n’a pas de système de fixation de prix libre.
Une partie est sous prix dirigés et correspond à plus ou moins 30%. Le reste, le marché libre, ne correspond qu’à 40% de l’activité globale. (C’est la part sur laquelle il y a le moins de confrontations sociales.)
Cette situation aide à une certaine inélasticité globale des prix.
Lorsque le secteur public se lance dans une croissance de ses investissements sans endettement externe, cela se traduit obligatoirement par une baisse du pouvoir d’achat, soit par une baisse du service public, soit par une croissance d’impôt qui pénalise la dépense sur le marché. Le seul investissement qui serait positif serait celui qui utilise de manière productive des chômeurs, mais on ne voit pas lequel serait possible.
L’inflation peut être due à une augmentation des prix ou à une baisse de valeur de la monnaie elle-même. La banque centrale ne peut jouer que sur la valeur de la monnaie, pas sur celle des prix, il est donc absurde et dangereux de lui donner une mission sur l’inflation, car elle doit peser sur la valeur de la monnaie pour corriger l’évolution des prix, ce qui est malsain parce que pour compenser une augmentation des prix consensuelle, on va altérer la valeur de la monnaie.
La banque centrale ne doit s’occuper que de la valeur propre de la monnaie, la dérive des prix est un problème de l’économie réelle, ce n’est pas un problème monétaire. La monnaie n’y joue que le rôle de thermomètre et il ne faut surtout pas altérer le thermomètre.
Jouer sur le thermomètre ne peut avoir qu’un effet psychologique, comme si le médecin déréglait le thermomètre pour redonner le moral au malade (ou pour se redonner le moral). Cela ne peut faire partie de ses méthodes thérapeutiques de détruire son thermomètre.
Si l’argent avancé par la banque centrale est remboursé, il n’y aura pas de perte de valeur de la monnaie. Ceci devrait être réalisé par les banques commerciales qui prêtent l’argent et supporteront la perte en cas de défaillance des emprunteurs. Ainsi la banque centrale est sûre de récupérer sa mise.
L’emprunt d’un État faisant partie de la zone euro est considéré comme extrêmement sûr même si l’État a une dette considérable. Les prêteurs considèrent que l’État pourra toujours se retourner contre le contribuable. Le prêteur en dernier recours n’est pas la banque centrale, ce n’est pas l’État, c’est le contribuable.
Comment la Chine a-t-elle réussi à relancer son économie ?
RépondreSupprimer18:35 02.11.2020
Par Jean-Baptiste Mendes
Si la Chine avait la première confiné son économie avec un recul de sa croissance au premier trimestre à 6,8%, sa pire performance depuis l'ère maoïste, elle serait également le premier pays à sortir de la crise sanitaire et économique. Décryptage approfondi avec Jean-François Di Meglio, président d’Asia Centre.
L’activité du secteur manufacturier en Chine du mois d’octobre a atteint un niveau record depuis dix ans sous l’effet de la demande intérieure, selon les conclusions d’une enquête privée. Après les chiffres publiés le 19 octobre d’une croissance du pays au troisième trimestre évaluée à 4,9%, la dynamique de l’économie chinoise semble s’être tout à fait remise des conséquences de la crise sanitaire. À tel point que Pékin devrait être le seul pays du G20 à parvenir à une croissance positive en 2020, que le Fonds monétaire international (FMI) estime à 1,9%. Oui, car l’embellie de l’été pour les Européens aura été de courte durée avant un automne noir, ravagé par la deuxième vague. Après l’un des plus gros reculs hebdomadaires depuis mars à la Bourse de Paris, l’exécutif français a annoncé le 30 octobre prévoir une contraction du PIB de 11% sur l’ensemble de l’année 2020, contre -10% prévu jusqu’alors. Alors que la France comptabilise plus de 35.000 victimes du Covid-19 et que les États-Unis en déplorent 230.934, la Chine accuse pour le moment moins de 5.000 décès et les rares cas encore détectés proviennent de l’étranger.
L’absence de deuxième vague en Chine
Souffrant d’une image écornée en Occident du fait de l’origine du coronavirus, du traitement des Ouïghours, de la répression à Hong-Kong et de l’agressivité de ses diplomates, la Chine a pourtant réussi à tirer son épingle du jeu sur le plan sanitaire et économique. Interrogé par Sputnik, Jean-François Di Meglio, président de l’institut de recherche Asia Centre, estime qu’un des facteurs les plus déterminants de ce rebond chinois est l’absence de deuxième vague.
«Tous les pays connaissent plusieurs vagues de pandémie. Et il est objectif, il n’y a rien à dire, on ne peut absolument pas contester cela. La Chine ne connaît pas de deuxième vague de pandémie, ce qui explique aussi considérablement le rebond. C’est aussi une limite parce que s’il n’y a pas de deuxième vague de pandémie, si on est dans un monde normal, finalement le rebond devrait être plus élevé que 4%. Ce chiffre nous montre simplement que l’économie chinoise reste extrêmement dépendante de tout ce qui se passe dans le reste du monde.»
La relance de l’activité a été permise en Chine grâce à des «confinements stricts, des tests de dépistage à grande échelle et un suivi des cas contacts», a relevé pour l'AFP l'analyste Ting Lu, de la banque d'affaires Nomura. 55 jours de confinement ont été imposés en France contre 90 jours en Chine, notamment à Wuhan, rappelle Di Meglio.
Ensuite, il s’agit d’un «rebond logique» car «tous les pays connaissent un rebond après la première vague», parvenant à un seuil qui va la rapprocher de son niveau antérieur poursuit ce dernier. Ainsi, la France s'attend à un rebond de 16% de son PIB, de même que les États-Unis qui voient leur croissance atteindre 7,4%, au troisième trimestre, par rapport au deuxième. Troisième facteur pointé par le spécialiste, «l’avance par rapport aux autres pays touchés par la pandémie», qu’il évalue à deux mois:
RépondreSupprimer«La pandémie a été reconnue le 23 janvier en Chine. Il faut rappeler que le confinement en France date du 16 mars. Il y a systématiquement une avance qu’on évalue à deux mois de tout ce qui se passe en Chine par rapport à ce qui se passe dans les autres pays.»
Le président d’Asia Centre évoque pour Sputnik des facteurs supplémentaires de ce rebond, spécifiques à la Chine.
Digitalisation et étatisation, les deux mamelles de la Chine
Dans un long article, France 24 s’interroge sur le gonflement relatif des chiffres officiels et remet en cause leur transparence, citant la spécialiste de l’économie chinoise Mary-Françoise Renard, «car on ne sait pas comment précisément elles sont construites».
Une incertitude qui ne contredit pas toutefois la tendance selon laquelle l’économie chinoise «tourne à nouveau». La reprise de la consommation intérieure est un indice relevé par Jean-François Di Meglio qui indique celle-ci est fortement «digitalisée». Représentant un «accélérateur de rebond», «la digitalisation considérable de l’économie chinoise» a permis de faire face plus rapidement à la crise, contrairement aux économies occidentales plus dépendantes de la consommation:
«En termes de consommation, l’économie chinoise est ventilée très différemment de la nôtre. C’est une économie avant tout d’investissement, dans laquelle la consommation représente entre 20 et 30% de la croissance, par opposition à 50-60% chez nous, et où la consommation ne représente pas 30% du PIB alors que chez nous, ça peut être 60- 70 %.»
Autre raison décisive, le poids de l’État dans l’économie chinoise. Depuis la crise, en Occident, l’État a tenté de reprendre la maîtrise de l’économie, avec l’injection massive de liquidités, des subventions massives aux secteurs en difficultés, avec l’exemple du chômage partiel en France.
«En Chine, l’État est déjà présent dans l’économie. Donc il dispose de tous les leviers pour relancer l’économie et il le fait.»
Il cite ainsi d’importants programmes d’investissements et de grands travaux. Mais attention, il s’agit pour la Chine de chiffres «légèrement inférieurs à ce qu’on aurait pu attendre», relève le président d’Asia Centre, qui s’attendait à 5,5% de croissance au troisième trimestre. Car ce qui est une force dans cette crise, l’étatisation et la planification, lui donnent «une capacité à réagir» mais cela peut devenir une limite. En effet, cela ne lui procure pas non plus «une élasticité aussi forte que ce que l’on peut observer dans l’économie américaine».
Alors que l’instabilité économique règne à l’échelle internationale, la Chine tente à son tour de modifier son «modèle de développement économique», selon les vœux formés par le Comité central du Parti communiste chinois (PCC), réuni autour du Président Xi Jinping. Le 14e plan quinquennal (2021-25) adopté fin octobre met ainsi l'accent sur la consommation intérieure et l'autonomie technologique après avoir longtemps misé sur les investissements lourds notamment dans les infrastructures et les exportations. Des déclarations qui restent au stade des «intentions» pour François Di Meglio qui note le retour à l’économie chinoise telle qu’elle était en 2015:
RépondreSupprimer«Ce qu’on observe aux 2e et 3e trimestres, par opposition à tout ce qui avait précédé immédiatement à la pandémie, c’est un retour à une forme d’économie chinoise semblable à ce qu’on avait il y a 4 ou 5 ans, c’est-à-dire une machine à exporter, avec une très forte part des exportations dans la croissance. Évidemment pas en direction des USA comme c’était le cas auparavant, avec la guerre commerciale, mais des exportations vers l’Union européenne et vers toute l’Asie.»
https://fr.sputniknews.com/international/202011021044670631-comment-la-chine-a-t-elle-reussi-a-relancer-son-economie/
COMMENT LE CONFINEMENT 2 VA VOUS POURRIR LA VIE, ET TOUT SAVOIR POUR VOUS EN SORTIR !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
02/11/2020
Le confinement 2 coûtera à l'Etat 15 milliards d'euros.
Les confinements se suivent, mais… ne se ressemblent pas !
Hier notre premier ministre a parlé, y compris avec un langage corporel fleuri, la photo illustrant cet article étant réalisée sans trucage, notre Castex national devant prendre, à mon avis, quelques petites leçons de rattrapage à moins que ce soit un message subliminal volontaire adressé à certains ! Les commerces resteront fermés ! Fermez le ban !
En clair ? Un confinement plus léger la semaine, les écoles ouvertes, plus dur le week-end et avec une durée nettement plus longue. C’est donc à un confinement long qu’il faut se préparer, et à des pénuries non pas alimentaires mais sur les produits non essentiels que vous ne pourrez plus acheter d’ici mardi même dans les grandes surfaces, en attendant les restrictions pour le e-commerce… et les pénuries car tout le monde va se jeter sur les achats en ligne jusqu’à épuisement des stocks et saturation des services de livraisons !
Ré-ouvrir les écoles rendra inévitablement la baisse du nombre de cas beaucoup plus lente que lors de la première vague. Laisser les écoles ouvertes répond à un impératif social et économique, et puis l’Etat ne supporte pas que les enfants soient uniquement entre les mains de leurs parents qui ne maîtrisent pas toujours l’art du bien-penser que seule l’Education nationale sait transmettre à nos petites têtes blondes et brunes. Cela ne répond évidemment pas du tout à une réalité sanitaire, qui pourrait bien vite venir se rappeler à nos bien-aimés mamamouchis qui nous juraient encore la main sur le cœur la semaine dernière… qu’il n’y aurait jamais de second confinement !!
Enfin, ce second repli sur nous aura des conséquences économiques désastreuses pour l’ensemble de nos concitoyens. L’Etat paiera certes… Mais l’Etat c’est vous et moi, et l’Etat ne pourra pas sauver toutes les entreprises, tous les postes et pour toujours. Plus ce second confinement va durer plus les faillites seront nombreuses, sans oublier les saisonniers qui ne sont pas recrutés et qui du coup par définition ne peuvent pas bénéficier du chômage partiel.
Toutes mes analyses explications et conseils pour vous préparer dans cette vidéo.
Je vous souhaite un bon visionnage, et un bon confinement 2, prenez grand soin de vous.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-vie-quotidien-confinement2-conseils-solutions-sannat
RAYONS NON ESSENTIELS FERMÉS : LES FRANÇAIS PUNIS, AMAZON SE FROTTE LES MAINS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
02/11/2020
Le chiffre d'affaires d'Amazon au deuxième trimestre 2020 a augmenté de 40 %.
Plusieurs dizaines de maires de France ont pris, durant les premiers jours du confinement 2, des arrêtés municipaux autorisant les commerces des centres-villes à ouvrir malgré la situation sanitaire. Une véritable fronde qui a contraint le gouvernement à réagir… ne faisant que des perdants. Désormais, les rayons non alimentaires des grandes surfaces seront fermés… à moins qu’une nouvelle fronde ne s’organise.
Les courses des Français encore plus compliquées
Si les arrêtés municipaux pris par une cinquantaine de maires de France n’étaient, dans les faits, que symboliques, un arrêté municipal ne pouvant pas aller à l’encontre d’un décret, ils auront eu l’effet escompté… ou plutôt son exact inverse. Alors que les maires de France demandaient la réouverture des magasins de centres-villes, ils auront réussi à punir les Français.
La logique des maires était simple et compréhensible : pourquoi les Français pourraient acheter de la décoration de Noël en grande surface et pas dans les petits commerces ? Jean Castex leur a donc répondu : « J'ai décidé d'ajouter une disposition interdisant, dans les grandes surfaces, la vente des produits qui ne peuvent pas être vendus dans les commerces de proximité », a-t-il déclaré lors d’un entretien accordé au JT de TF1, dimanche 1er novembre 2020.
Tout le monde est puni, en somme : les petits commerces restent fermés, les grandes surfaces devront fermer leurs rayons non essentiels dès mardi 3 novembre 2020, comme elles avaient déjà fermé les rayons livres, et les Français voient leurs courses se compliquer encore plus.
Une nouvelle fronde : celle des supermarchés ?
Après l’annonce du Premier ministre, c’est une autre fronde qui semble s’organiser : celle des grandes surfaces. Dès dimanche, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) a déclaré que la décision « manque de justification sanitaire » et qu’elle serait « techniquement très difficile à mettre en œuvre dans de nombreux magasins », par exemple lorsque les rayons sont mélangés.
Ainsi, les grandes surfaces jugent qu’il faudrait, au contraire, travailler dans l’autre sens et « privilégier une réouverture progressive des petits commerces, sur rendez-vous, accompagnée de mesures de contrôle accrues des jauges actuelles dans les magasins », ce qui ne serait toutefois toujours pas équitable par rapport aux supermarchés. Prendre « rendez-vous » pour acheter certains produits, ça ne donnera pas envie aux Français de se déplacer.
Amazon se frotte les mains : le grand gagnant, c’est lui
L’annonce de Jean Castex va toutefois plaire à un secteur : le e-commerce, et en particulier le géant Amazon. Sans possibilité d’acheter nulle part leurs produits non essentiels, les Français vont massivement se tourner vers la marketplace américaine. Cette dernière peut en effet continuer de vendre les produits non essentiels… et continuer de les livrer.
La FCD s’en inquiète d’ailleurs : elle a jugé que la décision de fermer les rayons non essentiels va entraîner « une totale distorsion de concurrence avec Amazon, au détriment une nouvelle fois du commerce physique ». Cadeaux de Noël, déco, vêtements… comme lors du premier confinement, et même plus étant donné qu’on est en période de Noël, Amazon va exploser des records de vente. Autant de chiffre d’affaires qui n’entrera désormais ni dans les caisses des petits commerces, ni dans celles des grandes surfaces.
http://www.economiematin.fr/news-femreture-rayons-grande-surface-confinement-petit-commerce-amazon
AMAZON : LE BÉNÉFICE NET A TRIPLÉ
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
02/11/2020
Le chiffre d'affaires de la branche Amazon Web Services (AWS) a progressé de 29 % sur un an.
Belle performance pour Amazon : sur le trimestre s’étant achevé le 30 septembre 2020, le bénéfice net de la firme américaine ressort à 6,3 milliards de dollars contre 2,1 milliards à la même période en 2019, soit une hausse de 296 %.
Amazon a beaucoup de cordes à son arc
Télétravail, engouement pour des loisirs à la maison, volonté d’éviter les commerces physiques… : le très diversifié business model d’Amazon profite pleinement du contexte actuel. Sur le trimestre s’étant achevé le 30 septembre 2020, le chiffre d’affaires d’Amazon a progressé de 37% pour culminer à 96,1 milliards de dollars, contre 70 milliards à la même époque en 2019. Le bénéfice net, quant à lui, a triplé : 6,3 milliards de dollars contre 2,1 milliards au troisième trimestre 2019.
Les ventes de produits physiques (hors Étas-Unis) ont représenté 59,3 milliards de dollars contre 42,6 milliards de dollars il y a un an aux États-Unis, et 25,1 milliards de dollars contre 18,3 milliards de dollars il y a un an dans le reste des pays. Nul doute que l’épidémie de Covid-19 contribue à renforcer le positionnement d’Amazon : confinements dans certains pays, volonté d’éviter les magasins physiques par prudence dans d’autres… le commerce électronique en ressort gagnant. Et de tous les acteurs du marché, c’est celui qui a le plus large éventail de produits, les meilleurs prix et les meilleurs délais de livraison qui gagne.
La branche Amazon Web Services profite pleinement du contexte actuel
Le fait que les gens passent plus de temps chez eux a également bénéficié à Amazon. Il faut savoir qu’un grand nombre de sites et services en ligne utilisent les services de stockage de données que propose la branche Amazon Web Services (AWS). Quand vous visitez un site sur Internet, il y a de fortes chances que ses données soient stockées sur AWS, c’est donc les serveurs Amazon que vous sollicitez… même si son contenu n’a rien à voir avec le géant américain. Au troisième trimestre 2020, le chiffre d’affaires d’AWS s'est établi à 11,6 milliards de dollars, contre 8,9 milliards un an plus tôt.
Au quatrième trimestre 2020, Amazon compte bien vendre encore plus : le marché est invité à s’attendre à un chiffre d’affaires compris entre 112 et 121 milliards de dollars. Le bénéfice net, quand à lui, devrait chuter pour ressortir entre 1 et 4,5 milliards de dollars. Une fourchette aussi large est le témoignage de la grande incertitude qui règne au sujet des derniers mois de l’année.
http://www.economiematin.fr/news-amazon-benefice-chiffre-affaires-troisieme-trimestre-2020
Aller séjourner quelques jours sur la Lune ? Pas pour moi !
RépondreSupprimerle 2 novembre 2020
Le Lunar Lander chinois Chang’E4 a effectué les premières mesures disponibles du taux de radiations au niveau du sol lunaire et c’est loin d’être rassurant. Outre les rayons cosmiques de haute énergie et les particules ionisées du vent solaire le sol émet également des photons gamma et des neutrons provenant de la collision des rayonnements cosmique et solaire avec la matière du sol lunaire. On ignore quel peut être l’effet à long terme – quelques jours ou quelques semaines – sur un être humain de ces rayonnements car leur nature est très largement distribuée entre des protons (noyaux d’hydrogène) des rayonnements alpha solaires (noyaux d’hélium) et d’autres éléments plus lourds et très énergétiques potentiellement dévastateurs. Les mesures ont été exprimées en Gray, c’est-à-dire en Joules par kilo. L’énergie est plus communément exprimée pour ces rayonnements en multiples d’électron-volt (eV).
- voir photo sur site -
Les détecteurs installés à bord du Chang’E4 donnent une mesure directe en Gray estimée par la pénétration du rayonnement global dans une série de cônes de silicium situés à l’extérieur du Lander (flèche rouge sur l’illustration) et connectés à l’entrée de photomultiplicateurs montés en coïncidence. Le corps humain n’étant pas constitué de 100 % de silicium les mesures obtenues permettent d’obtenir alors des Sievert (Sv ou Joule/kg de matière vivante). Le Lander est équipé de 5 paires de détecteurs afin d’obtenir une mesure précise de la pénétration des rayonnements et de leur énergie. Le Lander a ainsi envoyé à la Terre des résultats convertis ensuite en microSievert/heure, c’est-à-dire en langage plus compréhensible la dose de radiations reçue au niveau du Lander.
Les résultats des mesures sont les suivants. Pour les particules d’origine galactique et ionisées la dose équivalente est de 57 microSievert/heure à laquelle il faut ajouter 13 microSievert/heure de rayonnement neutre provenant du sol lunaire et du Soleil (rayons gamma et neutrons). Par jour de 24 heures (jour terrestre, le « jour » lunaire étant de 28 jours terrestres) le rayonnement total reçu est alors proche de 1700 microSieverts. Les rayonnements solaire et galactique arrivant sur le sol lunaire sont 2,6 fois plus élevés que celui reçu par l’extérieur de la station spatiale internationale (ISS) en raison du fait que l’ISS est en partie protégée des rayons cosmiques par les très hautes couches de l’atmosphère. De plus les rayonnements galactiques sont mal déviés lorsque le Soleil traverse une période de faible activité magnétique. Les mesures effectuées par le Chang’E4 sont donc dans la limite supérieure des doses pouvant être reçues par un être humain compte tenu du fait que la protection corporelle constituée par un scaphandre est incapable d’arrêter ces rayonnements. Les habitacles hypothétiquement transportés sur la Lune devront ainsi être impérativement enfouis sous d’épaisses couches de régolithe, la poussière recouvrant le sol lunaire … pas pour moi !
Source : ScienceAdvances du 28 septembre 2020
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/02/aller-sejourner-quelques-jours-sur-la-lune-pas-pour-moi/
RETRAIT DU MANCOZÈBE - « On met en péril notre capacité à produire »
RépondreSupprimer29.10.20
La probabilité d’apparition de souches résistantes sera donc beaucoup plus importante dès l’arrêt effectif du mancozèbe.
Alors que le retrait du mancozèbe vient d’être validé au niveau européen, le collectif Sauvons les fruits et légumes de France alerte sur les conséquences de cette décision au niveau technique et économique.
Lors d’un vote le 23 octobre 2020, le Comité permanent des végétaux, des animaux, des denrées alimentaires et de l’alimentation animale de l’Union européenne (Scopaff) s’est prononcé pour le non-renouvellement du mancozèbe, fongicide largement utilisé sur les productions de fruits et légumes. Ce produit était notamment utilisé sur les pommiers (pour lutter contre la tavelure).
Sans remède contre les maladies des plantes, les cultures disparaissent face à la famine à venir.
SupprimerCAMPAGNE 2020-2021 - La production de laitue recule, les prix se maintiennent
RépondreSupprimer28.10.20
Entre mai et septembre, les prix à la production restent similaires à ceux des années précédentes et la production est en baisse.
Le recul des surfaces et les pertes de productions attendues dans la plupart des régions productrices font pencher pour une baisse de la production de laitue sur la campagne 2020-2021, selon les estimations au 1er octobre 2020. Malgré la baisse de l’offre, les prix se maintiennent à des niveaux moyens.
La production de laitue de la saison 2020-2021 atteindraient 510,3 millions de têtes, soit un recul de 1% sur un an, et de 8% par rapport à la moyenne des cinq dernières saisons, a noté Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, dans sa note d’Infos rapides diffusée le 22 octobre 2020.
Faut dire qu'à 10 cts la tête de salade et au prix des impôts, taxes, eau d'arrosage (qui coule aux rivières et fleuves et va se perdre en mers), engrais et de la main-d'œuvre...
SupprimerCovid : Castex démasque le totalitarisme sous prétexte sanitaire
RépondreSupprimerLundi 2 novembre 2020
Hier soir, le Gouvernement français a officiellement déclaré le totalitarisme sous prétexte sanitaire : il ne peut plus y avoir d'espace privé ; tout espace, même et surtout le domicile à l'heure du reconfinement, est occupé par le masque. Tout comme il ne peut plus y a voir de classes d'âge épargnées : dès 6 ans, les enfants doivent avoir le visage barricadé, leur individualité ne doit pouvoir se construire, ils doivent être écrasés et formatés - "pour leur bien". Le fanatisme qui s'épanouit aujourd'hui, notamment en France, montre bien à quel point le virus n'est qu'un prétexte. Un prétexte pour changer de société, pour changer d'homme, pour déshumaniser. Il ne reste que la résistance, à chaque instant, chaque jour. Notre vie est à ce prix.
Chers amis, oui, il y a des virus - quelle surprise ! Non pas un virus, mais bien des virus. Il y en a toujours eu et il y en aura toujours. Mais ce qui se passe autour de ce pauvre Covid, maintenu à l'ordre du jour par une propagande globale et des complicités intérieures, est parfaitement inédit. Et n'a rien à voir avec le sanitaire - "l'optimisation" de la médecine continue, les statistiques de l'hépatite n'intéressent pas les médias (alors qu'elles rendraient jaloux notre petit Covid). Et si l'on pense à la Suède, qui sans masque ni confinement, n'a quasiment plus de décès liés au coronavirus, l'on est en droit de s'interroger sérieusement sur l'utilité sanitaire des mesures radicales imposées en France.
Car c'est officiel, depuis hier soir, le Gouvernement l'a annoncé au 20h de TF1 : le totalitarisme - sanitaire - est décrété. Totalitarisme, car aucun espace privé ne peut échapper au dogme. Et le Premier ministre l'a affirmé, soutenu sur BFM par l'ancien directeur de la Santé (qui est quand même une prison, pour le rappeler) : le masque devrait être porté à la maison. Et par les enfants.
Même la journaliste, un peu surprise, de demander : et on fait comment pour les repas ? La réponse est simple, cinglante, fanatique à souhait :
"On n'est pas obligés de tous manger en même temps. C'est un bouleversement..., a-t-il concédé. Mais si on ne contrôle pas ça, on ne va pas arriver à concilier notre obligation éducative et malgré tout, ralentir cette épidémie, pour éviter des malades et des morts et limiter la casse économique et sociale. Il faut dire aux jeunes qu'ils doivent garder le masque à la maison."
Bref, le modèle d'isolement carcéral a de l'avenir dans ce nouveau monde. Et pour cela, il est fondamental de prendre en main dès le plus jeune âge la population, pour qu'elle s'habitue aux nouvelles règles du jeu, qu'elle considère un comportement pathologique comme une norme. Et ce sera possible grâce à l'imposition du port du masque dès 6 ans - avec la déconstruction de la personnalité qui s'en suit. Donc, la création d'une génération faible psychiquement, intellectuellement réduite au minimum et socialement impossible à intégrer.
Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". (...) Mais quel sera l'impact de cette mesure, qui entrera en vigueur dès la rentrée prochaine fixée au 2 novembre ? Pour Patrick-Ange Raoult, psychologue clinicien et membre du bureau du Syndicat national des psychologues (SNP), "la plupart des enfants vont s'y adapter". Une chose qui devrait rassurer bon nombre de parents.
RépondreSupprimerLe spécialiste ajoute toutefois : "Tout l'apprentissage de décodage des émotions ou des affects, ce qui se lit sur les mimiques, va être complètement décalé. Le visage a une importance qui va au-delà d'une simple partie du corps. C'est quand même le lien à l'autre. Cela risque d'affecter la qualité de relation que les enfants vont pouvoir construire avec autrui".
"Je pense que ça impactera le type de personnalité qu'on est en train de construire, mais aussi les modes de relation avec les autres et une partie de leurs apprentissages. Les structures de pensée elles-mêmes seront forcément modifiées. Dans quelles mesures ? Pour l'instant, on ne le sait pas, c'est difficile à évaluer, mais ça va changer nos jeunes gens", conclut le psychologue clinicien.
En Russie, avec une certaine hésitation, discrètement encore, le masque est recommandé dans les ascenseurs. Ce ne sera pas plus contrôlable qu'au domicile en France, que les repas séparés, chacun dans son coin. Plus de communication humaine, plus de famille, il sera possible de discuter d'une pièce à l'autre sur les réseaux sociaux, entre deux séances virtuelles de psychothérapie de groupe pour gérer l'isolement et d'un yoga sur smartphone, seul, chez soi. Car, à moins de mettre en place une milice sanitaire (tout est encore possible), qui aura le droit d'entrer dans nos domiciles, cela ressort de la propagande, d'un rapport de faiblesse : ils ne sont pas (encore) assez fort pour l'imposer dans la réalité, tout dépend de votre faiblesse. Ils ont déjà gagné l'espace de l'école, il ne reste plus que votre maison. Votre forteresse. La question étant bien de savoir qui est le plus faible.
Et le chantage se porte à merveille : si vous ne suivez pas nos diktats, ça va durer longtemps ...
Cela fait des mois que ça dure. Au printemps, déjà, l'on expliquait aux populations qu'il fallait juste faire un petit effort. Les gens ont fait un grand effort. Et rien ne change. Car il y aura toujours un virus qui traîne, parce que les gens tomberont toujours malades, parce que chaque jour il meurt 1700 personnes en France en moyenne, parce qu'il y aura toujours des pics de virus saisonniers. Ce pouvoir global est encore trop faible pour dire ouvertement que c'est une nouvelle réalité, que cela n'a rien de temporaire, car c'est la seule réalité, inhumaine, qui permette leur pouvoir. Qui permette ce qui ressemble de plus en plus à coups d'Etat mondial.
Plus vous accepterez ces mesures ubuesques, plus longtemps ça durera. Car vous vous affaiblirez autant que vous renforcerez ce mouvement.
http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/covid-castex-demasque-le-totalitarisme.html
L’économie vue à travers les lunettes des bureaucrates
RépondreSupprimerCes représentants politiques, des bureaucrates hors sol, font preuve tout à la fois de méconnaissance de l’économie et d’un populisme intellectuel écœurant.
Par Laurent Sailly.
2 NOVEMBRE 2020
Les bureaucrates publics, membres du gouvernement et autre Commissaire au plan y compris, comme leurs homologues du secteur privé, n’ont de l’économie qu’une vision excel faite de chiffres et statistiques. Vision cartésienne rassurante puisque les chiffres ne mentiraient pas, mais fausse car le facteur essentiel d’une économie est l’humain.
Ainsi, on encourage les entreprises à se tourner vers le télétravail et la numérisation, sans s’interroger sur la réalisation d’un tel vœu dans tel ou tel domaine ou tel et tel secteur ou le niveau d’équipement de telle ou telle société.
Force est de constater que les bureaucrates parasitent la création de richesse et sa libre circulation dans l’économie en inventant des règles souvent absurdes, toujours néfastes.
LE FLÉAU DE LA BUREAUCRATIE
Pourtant, les responsables politiques annoncent régulièrement des simplifications administratives. Or, dans les faits, on observe un accroissement du volume des normes contraignantes inversement proportionnel à l’intensité des appels à la déréglementation.
On y parle de « libre-échange », de « marché libre », mais en fait, on met en place un vaste système administratif bureaucratique.
Ce fléau bureaucratique n’est malheureusement pas une prérogative du secteur public. Ainsi, dans le secteur privé, le management pléthorique des grandes entreprises s’apparente à une monstrueuse administration.
Les entreprises privées sont devenues bureaucratiques, voire davantage que le secteur public.
Bureaucrates publics ou bureaucrates privés, leurs objectifs semblent les mêmes.
LES OBJECTIFS DES BUREAUCRATES
RépondreSupprimerD’abord, il s’agit de capter des revenus. Ainsi, le moindre manquement à l’une des règles édictées par les ronds-de-cuir permet de facturer le client sous forme de contravention.
Par exemple, dans les banques, les agences voient leur compte de résultat ponctionné de multiples amendes (défaut de conformité d’un dossier, pénalités à la suite du déclenchement d’une alarme, retard dans la transmission d’un client débiteur au recouvrement…) obligeant l’agence sanctionnée à surperformer pour atteindre ses objectifs annuels !
Ensuite, il s’agit pour ces bureaucrates de justifier leur existence. La multiplication de normes farfelues permet à ces hommes et ces femmes d’affirmer leur utilité, quitte à saper le travail des autres.
Enfin, ce qui caractérise les bureaucrates, notamment français, c’est leur formation. Public ou privé, et particulièrement pour les banques, ils sont originaires d’un même sérail : l’inspection des finances.
LA FRANCE EST UNE GIGANTESQUE BUREAUCRATIE
La République française est devenue une gigantesque et impitoyable bureaucratie étatique, avec à sa tête un chef. Emmanuel Macron est le prototype du bureaucrate déshumanisé. Bien sûr intelligent, il a vite compris que le Français de base, vous et moi, ne vivait pas que pour le travail, mais aussi pour les loisirs, l’amour, les contacts humains.
Sa dernière allocution de mercredi marque ce changement de ton. Cependant, chassez le bureaucrate et il revient au galop, il n’a pas vu combien de commerçants de centre-ville ont pu se sentir brutalisés par la fermeture de leurs commerces car n’étant pas essentiels à la vie de la Nation !
Ces représentants politiques hors sol font preuve tout à la fois de méconnaissance de l’économie et d’un populisme intellectuel écœurant.
Il est vrai que ceux-ci n’ont jamais mis les pieds dans une vraie entreprise, et seraient bien embarrassés pour analyser le bilan de celle-ci. Ces gens-là parlent de tout sauf d’économie réelle et passent beaucoup de temps à développer une novlangue économique démagogique (dernier en date le PIB ressenti créé deux ans après le fameux pouvoir d’achat ressenti).
LE TÉLÉTRAVAIL POUR TOUS, VRAIMENT ?
S’il fallait une autre preuve du caractère hors sol des mesures bureaucratiques, la volonté de l’exécutif d’amener les salariés qui le peuvent à travailler à distance et d’accompagner les entreprises qui le veulent à s’équiper d’outils digitaux (numérisation), illustre parfaitement le décalage de nos dirigeants.
Selon le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari, 40 % des Français peuvent télétravailler. Cette déclaration suit le discours de Jean Castex, le Premier ministre, pour qui « toutes les fonctions qui peuvent être télétravaillées doivent l’être 5 jours sur 5 ».
Ayant dirigé des agences bancaires pendant 20 ans je peux témoigner que s’il devient systématique, le télétravail ou toute autre sorte de travail à distance empêche de repérer les signaux de faiblesse de l’entité ou d’un collaborateur.
RépondreSupprimerLà encore, on oublie que le résultat d’une entreprise n’est pas que la somme de travaux individuels, mais celui d’une équipe qui a besoin d’interagir physiquement.
De plus, concernant les outils numériques, la réalité sur le terrain varie énormément d’une entreprise à une autre, même si elles font le même poids sur un secteur économique identique.
En tout cas, le ralentissement de l’activité économique venant réduire les marges, celles-ci ne trouveront pas la capacité d’investissement nécessaire au rattrapage de leur retard.
Ces deux millions de petits patrons qui voient se profiler un nouvel arrêt de l’activité économique sont les derniers survivants d’un monde où certains choisissaient de vivre de leur travail, en prenant le risque d’être libres.
Mais comment faire vivre cette liberté dans un monde, un pays, où les manettes sont tenues par des bureaucrates totalitaires voire crypto-marxistes ! Les technocrates ne sont pas prêts à lâcher la barre pour imposer l’omnipotence de la protection et de l’aversion au risque dans la société française.
https://www.contrepoints.org/2020/11/02/383430-leconomie-vue-a-travers-les-lunettes-des-bureaucrates
Le confinement devient punitif
RépondreSupprimerL’État n’est pas capable d’évaluer les dégâts irrémédiables qu’il est en train de produire. Et s’il suivait les conseils qu’il prodigue aux grandes surfaces et aux commerçants ? Si l’État se concentrait sur l’essentiel de ses missions ?
Par Frédéric Mas.
2 NOVEMBRE 2020
Les Français verront la fin du confinement s’ils se tiennent tranquilles. Quelle sera la date exacte de la fin d’un reconfinement que certains spécialistes estiment déjà être un échec ? Et qui dit échec, dit prolongation des mesures autoritaires et restrictions plus vives encore des libertés publiques au-delà des dates annoncées par les pouvoirs publics.
Olivier Véran lui-même ne semble pas optimiste face à un virus qui se joue des prévisions des experts.
PLUS DE PLANISME ET PLUS D’ÉTAT
François Bayrou, fraîchement nommé Haut-commissaire au Plan, envisage même la permanence de la crise Covid comme un horizon possible. Il faut peut-être apprendre à se résigner, à vivre confiné, dans un contexte de relations sociales, économiques et humaines appauvries.
Pour gérer cette nouvelle situation, l’homme de l’État en appelle bien entendu à plus d’État : « Il nous faut reconstruire un État garant de l’intérêt général, capable de prendre en compte les évolutions de la mondialisation et les dégâts qu’elle a causés. » nous confie-t-on dans un communiqué en date du 28 octobre.
Et les dégâts occasionnés par le parasitisme bureaucratique qui est en train d’éteindre toute activité économique libre dans le pays ? C’est prévu dans le grand plan pour réorganiser la société française depuis son ministère ?
Si le reconfinement échoue, ce sera de la faute des Français, pas de ses dirigeants. Le paternalisme du gouvernement comme de ses auxiliaires scientifiques a aussi pour but de s’exonérer de toute responsabilité dans la conduite des opérations d’un reconfinement trop général et trop absolu pour atteindre ses buts.
Si demain l’économie s’effondre, la faute retombera non pas sur les décisions absurdes de l’administration et de son gouvernement qui naviguent à vue, mais sur l’ensemble du pays qui n’a pas suivi ses directives à la lettre. Des directives floues, changeantes, minutieuses sur l’accessoire et très vague sur l’essentiel, mais que le citoyen-administré se doit de suivre pour ne pas se faire envoyer au coin avec une amende de 135 euros. Des directives qui sont en train d’organiser l’appauvrissement généralisé au nom du statu quo de la bureaucratie sanitaire.
PÉNALISER LE COMMERCE
RépondreSupprimerIl faut pénaliser tous les commerces pour être certain que la récession s’installe durablement. Selon la nomenclatura qui nous gouverne, il fallait fermer les commerces non essentiels, et donc définir ce qui est essentiel ou pas. Le livre est-il essentiel pour vivre par temps de pandémie ?
Pour faire taire les critiques, le gouvernement a choisi de fermer uniformément tous les commerces, petits et gros, désormais condamnés à ne vendre que des produits de « première nécessité », cette première nécessité étant définie par l’administration elle-même, au débotté.
Vous pouvez acheter du savon et du papier hygiénique mais vous n’avez pas le droit d’acheter de livres ni de journaux. Les autres ont obligation de faire leur transition vers le numérique ou le télétravail : l’État est désormais en charge de l’innovation dans votre boite, comme il organise vos soirées, votre vie sociale et ce qui est essentiel pour vous ou non.
Seulement, fermer ces commerces, c’est à la fois pousser les Français vers le chômage et interrompre la production d’une multitude de biens et de services que les consommateurs comme les producteurs jugent utiles.
Après avoir interdit la vente des livres en boutique, l’État qui il y a quelques semaines encore trouvait 100 milliards pour « relancer l’économie » est en train de la plomber avec une minutie fascinante… et désespérante. On sent que les « sous-préfets de relance » vont avoir du pain sur la planche les prochaines semaines.
LA BUREAUCRATIE S’EMBALLE
La machine folle à produire des papiers, des règlements et des interdictions s’emballe. C’est que la bureaucratie publique fait ce qu’elle sait faire pour le mieux : demander des attestations de sortie, obliger de porter le masque dès 6 ans, produire des circulaires, proposer des classements de produits de première nécessité avec des commissions, des fonctionnaires et des sous-comités affectés à la consommation pour dire ce que le citoyen ordinaire a le droit de faire ou de ne pas faire. Et comme les règles changent chaque semaine, le travail ne manque pas.
Tout est fait pour que le confinement soit vécu comme une prison. Les Français sont condamnés au chômage ou au travail sans pouvoir se reposer sur leur famille ou sans pouvoir se changer les idées. Réduit à ses fonctions productive et nutritive essentielles, le citoyen est désormais une sorte d’enfant convalescent condamné à se morfondre en attendant que ses tuteurs politiques et médicaux se mettent d’accord pour lui rendre ses jouets et sa liberté. Et le pire dans tout ça ? Les gouvernés sont totalement prêts à la servitude, et acceptent de bonne grâce le confinement.
On en vient à se demander si le but des pouvoirs publics n’est pas de punir un peuple qui ne prend pas suffisamment au sérieux ses recommandations médicales et disciplinaires. Mais la folie régulatrice qui a fait fermer les boutiques n’a pas encore fait interdire Amazon, qui profite encore à trop de Français.
VA-T-ON INTERDIRE AMAZON ?
RépondreSupprimerParce qu’elle bénéficie des absurdités réglementaires d’un État français qui a réduit au silence ses concurrents directs, l’entreprise américaine cristallise aujourd’hui tous les ressentiments. Comme pour le livre hier, la somme des intérêts coalisés contre le géant américain pourrait avoir raison de l’e-commerce pendant la période d’exception sanitaire.
Aujourd’hui, les maires, les collectivités locales et le sénat se mobilisent pour défendre la disparition des commerces indépendants qui font vivre le tissu social partout sur le territoire. Qui défendra demain Amazon ? Qui défendra les entreprises d’e-commerce ?
L’État n’est pas capable d’évaluer les dégâts irrémédiables qu’il est en train de produire. Et s’il suivait les conseils qu’il prodigue aux grandes surfaces et aux commerçants ? Si l’État se concentrait sur l’essentiel de ses missions, en particulier en matière de sécurité, secteur dans lequel il est totalement défaillant depuis plus de 50 ans ? Si les citoyens se dégageaient un peu de son joug pour éviter la misère qu’il est en train de programmer pour le pays ? Il est temps de sortir de la culture de la servilité.
https://www.contrepoints.org/2020/11/02/383498-le-confinement-devient-punitif
Véran : Français, obéissez ou le Père Noël ne passera pas !
RépondreSupprimerNoël « ne sera pas une fête normale » a dit Olivier Véran. L’intrusion de l’Etat dans nos vies n’a plus aucune limite.
2 NOVEMBRE 2020
Par Margot Arold.
« Plus on respecte le confinement, moins il sera long » a dit Olivier Véran ce dimanche dans le JDD. Dit autrement cela signifie « si tu es sage tu auras du dessert ». Ou encore : « Comme vous n’avez pas été sages vous allez écoper de deux mois de plus » :
« Si le confinement n’est pas bien respecté, il faudra prendre des mesures complémentaires. »
LES MENACES
Dans son annonce du 14 octobre, Emmanuel Macron disait vouloir responsabiliser plutôt qu’infantiliser. Et pourtant, la communication du gouvernement s’acharne à nous brandir la carotte et nous menacer du bâton. Une méthode éducative plus appropriée aux ânes qu’aux adultes.
Car les propos d’Olivier Véran sont clairs : le confinement sera réduit si on le respecte (vœu pieux), tout peut arriver dans le cas contraire. « Tout », car « prendre des mesures complémentaires » est un euphémisme quand on en est au stade du confinement et de la fermeture de certains commerces.
LES FRANÇAIS OBTEMPÈRENT
Ainsi, nous sommes passés des masques inutiles aux verbalisations si on n’en porte pas. Les Français sont sympas, ils obtempèrent. Ils portent leur masque consciencieusement, même dehors, même en été. Jusqu’ici tout va bien.
À l’automne, couvre-feu. Les Français sont sympas, ils obtempèrent. Jusqu’ici tout va bien.
Puis est arrivée l’interdiction de subvenir à ses propres besoins par le fruit de son travail : fermeture de certains commerces dits « non essentiels ».
Les Français sont sympas. Ils maugréent un peu mais obéissent. Jusqu’ici tout va bien.
Ils s’enferment sur demande, vont (ou ne vont pas) au travail, utilisent des bus et des métros bondés, alors que leur atmosphère confinée est pire que tout. C’est même Olivier Véran qui le dit.
Jusqu’ici tout va bien. Alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin (de la servitude) ?
NOËL : L’INTERVENTION DE L’ÉTAT N’A PLUS DE LIMITE
RépondreSupprimerNouvelle étape, donc : Noël, dans le privé, dans votre propriété privée, dans le cercle intime :
« Nous cherchons à créer les conditions pour vivre un Noël le moins contraignant possible. Hélas, comme ailleurs dans le monde, ce ne sera pas une fête normale.
C’est difficile d’envisager de grandes soirées pour le réveillon du 31 cette année.
Mais notre but est que la pression épidémique retombe pour qu’on puisse faire des courses à temps, se préparer dans la joie, pour que soient créées les conditions permettant aux familles de se retrouver. »
Le choix des mots n’est pas anodin : « nous cherchons à créer », « notre but », « créer les conditions » – deux fois !) « pour permettre ». Tout un programme constructiviste pour fabriquer une société « qu’on pourrait conduire comme on le ferait d’une quelconque machine » comme le dit Pascal Salin.
L’argument du pays voisin qui ne fait pas mieux est savoureux : d’abord parce que pour l’instant, il est faux. Notre pays a choisi un des modes les plus sévères d’Europe pour sa gestion sanitaire. Ensuite ce n’est pas parce que d’autres font mal que cela dédouane de sa propre responsabilité a emboîter le pas.
NOËL « NE SERA PAS UNE FÊTE NORMALE »
Pour rappel, nous parlons bien ici des fêtes de fin d’année. Celles qui se déroulent en privé, chez soi, et où l’État projette d’intervenir pour que tout s’y passe à sa convenance.
L’État a prévu d’agir sur Noël. D’un claquement de doigts, il a pu faire enfermer la population, faire fermer les commerces, il a pu mettre à l’arrêt l’économie. Il a pu interdire l’accès aux livres. Puisque jusqu’ici, tout va bien. L’étape suivante paraît logique : entrer encore un peu plus dans nos modes de vie.
La gestion bureaucratique du pays est devenue frénétique, impossible de s’arrêter à l’espace public, l’ogre étatique a faim de contrôle et ne rencontre aucun obstacle.
Le Père Noël ne passera probablement pas. Ou les Français doivent commencer à prendre conscience que l’intrusion se fait plus insistante et feront massivement le choix de conserver leur liberté, leur vie privée, qui n’appartiennent qu’à eux et ne peuvent être décidées par quiconque. Sauf s’il considèrent encore que « jusqu’ici, tout va bien »…
https://www.contrepoints.org/2020/11/02/383424-francais-obeissez-ou-le-pere-noel-ne-passera-pas
Le Président Macron et les chiffres approximatifs du Covid
RépondreSupprimerLes Français gobent tout ce qu’on leur dit, ce sera encore le cas. En profiter pour manipuler des chiffres qu’ils ne pourront vérifier n’est pas à la hauteur d’un grand chef d’État.
Par Gérard Maudrux.
2 NOVEMBRE 2020
Jeudi 29 octobre, la démonstration de notre Président a été claire, exposant bien les raisons conduisant à ses décisions de mi-confinement, mi couvre-feu. Je suis toutefois choqué par ses chiffres : quand on est sûr de soi, point besoin de manipuler les chiffres pour convaincre, sinon c’est un aveu de faiblesse.
LE NOMBRE DE DÉCÈS… FAUX
Cela a très mal commencé : « Hier, 527 de nos compatriotes sont décédés du Covid-19 ». Notre président avait pourtant les chiffres des dernières 24 heures, de 14 heures à 14 heures : 244 décès. Le jour précédent ? 288.
La presse annonçait pour l’avant-veille 523 décès, car aux 288 étaient venus s’ajouter ceux en Ehpad, cumul de 4 ou 5 jours. Emmanuel Macron ne pouvait ignorer cela, il a donc doublé ce chiffre volontairement.
Personnellement, j’aurais donné le bon chiffre, en précisant qu’il correspondait à des patients contaminés il y a trois semaines, et que comme nous avions actuellement deux fois plus de cas, ce chiffre des décès allait vite doubler, dépassant 500, et plus si rien n’était fait.
Même résultat, mais plus honnête et plus crédible car ne pouvant être critiqué dès le lendemain et semant le trouble. Heureusement que la presse est bien intentionnée.
3000 EN RÉANIMATION, LA MOITIÉ DE NOS CAPACITÉS ?
« Hier, nous avons dénombré près de 3000 personnes en réanimation, soit plus de la moitié des capacités nationales ».
Quand on annonce ensuite 9000 lits de réanimation alors que 12 000 étaient annoncés il y a quelques semaines par le ministre de la Santé, là encore on joue sur le fait que les Français sont de plus en plus mauvais en calcul : 3000, c’est 30 % de 9000, 25 % de 12 000, et non 50 à 60 %.
Le discours pouvait se passer de jouer sur l’incapacité des Français à calculer. Depuis 4 mois, le nombre de lits disponibles change tous les 15 jours.
En vérité, à 500 près, il sera sans doute du même ordre qu’en avril-mai. Et il a oublié de nous parler des 10 000 respirateurs commandés en avril, ce qui devrait pourtant nous sortir de l’impasse…
400 000 MORTS POSSIBLES ?
RépondreSupprimerToujours pour faire peur est évoquée la possibilité de 400 000 décès. C’est le chiffre qui a été le plus critiqué. Personnellement je serai moins sévère, car avec ce Covid qui déjoue tous les pronostics, même venant des plus compétents, tout est possible.
J’aurais simplement évité d’évoquer ce nombre, d’autant plus qu’il ne correspond pas à ce qui est arrivé dans les pays n’ayant pas confiné lors de la première vague.
7000 MÉDECINS ET INFIRMIERS FORMÉS ?
« Nous avons aussi formé près de 7000 infirmiers et médecins pour pouvoir travailler en réanimation… Un effort colossal de formation a été fait. »
Là, grosse surprise ! Même notre ministre de la Santé n’était pas informé ! Il y a peu encore, quand lui était reproché le nombre de lits, il répondait que le problème n’était pas les lits mais le personnel pour les faire fonctionner. Manifestement il ne savait pas que 7000 professionnels avaient été formés. Le ministère de la Santé pas au courant de cet effort colossal ? Quelle coordination !
Alors j’ai cherché où, quand, comment, combien. Je n’ai pas été le seul, nombre de journaux ont fait de même, sans trouver. Ils ont interrogé les premiers concernés : les syndicats d’infirmiers, l’Ordre, la société des médecins anesthésistes, etc.
L’un ne savait pas, l’autre a répondu très diplomatiquement : « ils ont sans doute bénéficié… », ou « ce sont certainement des infirmiers qui… ». Aucun n’affirme avec détails. Toutefois, certains ont pu ou dû recevoir une formation théorique de 14 heures après la première vague au titre de la formation professionnelle et à l’initiative de certains directeurs prévoyants, sans directives officielles, alors que le président évoque 5 années de formation nécessaire.
Une note du ministère de la Santé datée du 17 juillet évalue à 16 800 le besoin pour 12 000 lits, et selon Le Figaro, qui le tient de la DGS, ni celle-ci, ni le ministère n’ont les éléments pour savoir combien d’embauches ont été faites depuis la première vague.
Les enquêtes sur le terrain depuis cette annonce sont tout autres.
À Annecy, « des gens sont partis, des postes ne sont pas pourvus, l’absentéisme n’est pas remplacé, il manque deux infirmiers dans le service pour ce soir. »
Pour Sud Santé d’Angers : « Nous abordons cette deuxième vague avec moins de personnel que lors de la première. »
Et quand Macron dit que « nous avons les stocks de médicaments, les respirateurs, les masques, les blouses et les gants, tout le matériel nécessaire parce que nous avons appris de nos insuffisances, de nos manques durant la première vague », ce n’est pas ce que disent cette semaine des directeurs d’ARS, notamment de Paris Ile-de-France : « Nous n’avons pas de réserves ».
À la Pitié-Salpêtrière, on souligne qu’« il n’y a pas de marge, l’hôpital fonctionne en flux tendu. »
Même chose dans le secteur libéral : en septembre on a demandé aux professionnels de constituer à leurs frais leurs propres stocks de matériel, et les pharmacies ont été autorisées à leur délivrer encore des masques en octobre, « jusqu’à épuisement des stocks ».
Cette annonce de 7000 formations et de réserves suffisantes me rappelle sa première intervention télévisée en mars : en regardant les Français droit dans les yeux, il leur a dit « dès demain je fais livrer des masques à la moitié des médecins, le reste sous 48 heures », sachant qu’il n’en n’avait pas. Et deux mois plus tard les médecins attendaient toujours, s’organisant dans la débrouille permanente.
RépondreSupprimerLes « 8 milliards par an investis dans l’hôpital », ce n’est pas aujourd’hui, c’est pour demain. Combien pour le secteur libéral, qui assume toujours plus de la moitié des soins ?
Les Français gobent tout ce qu’on leur dit, ce sera encore le cas. En profiter pour manipuler des chiffres qu’ils ne pourront pas vérifier n’est pas à la hauteur d’un grand chef d’État. C’est devenu une constante chez nos élites, et c’est quelque part un peu méprisant à l’égard de ceux qui n’ont pas les mêmes capacités. J’ai pu constater que c’était une marque de fabrication de la plupart des énarques.
SUR LE FOND, DES MESURES INSUFFISANTES, INAPPROPRIÉES
Maintenant, sur le fond des mesures, je me suis déjà exprimé la veille du discours, et elles ne sont pas ce que j’espérais.
Je proposais une action ciblée sur les principales causes de clusters, informations des brigades Covid non exploitées, pour réduire la diffusion du virus et mettre le paquet sur la réanimation pour encaisser la vague sans confiner, reconnaissant que des mois avaient été perdus.
Cinquante à 100 millions d’euros pour 10 000 lits mobiles supplémentaires, pour passer à 20 000, réutilisables à chaque épidémie dans les années à venir permettent également de diminuer les lits fixes, et donc de faire des économies ; à comparer aux 15 milliards de coût estimé du second confinement, voire 20 milliards.
Le lendemain j’ai eu la satisfaction de lire les propos d’un réanimateur d’un grand hôpital parisien, faisant remarquer que les cinq médecins réanimateurs du service, assistés d’autant de médecins assistants rapidement formés en cas de crise, permettaient de décupler (je dirais doubler) leur capacité. Il en est de même pour le reste du personnel.
Macron a dit aux Français qu’il fallait 10 ans pour former un médecin réanimateur. Oui, si on triche en ajoutant toute la formation initiale du médecin avant spécialisation. Mais pour former un assistant en cas de crise, peu de jours suffisent, et certainement pas dix années. C’est donc possible.
Prenez un médecin sachant lire un ECG, en une demie journée vous lui apprenez :
les constantes à surveiller, pourquoi et comment ;
l’effet des 5 ou 6 médicaments utilisés sur ces constantes ;
les débits d’un pousse-seringue et le réglage d’un respirateur.
Et vous avez un assistant.
Certes, il ne sera pas apte à prendre les décisions de traitements et mesures, ce qu’on ne lui demande pas, mais il sera capable de les surveiller sous la tutelle d’un patron qui pourra ainsi traiter deux fois plus de patients que lorsqu’il était seul. Et c’est la même chose à chaque échelon.
N’oublions pas aussi tous les anesthésistes non réanimateurs, infirmiers et infirmières anesthésistes, encore plus aptes et disponibles, car qui dit Plan blanc déclenché dans tous les hôpitaux, dit arrêt de toutes les activités non vitales, et de nombreux personnels disponibles.
Rappelez-vous les témoignages d’urgentistes embarrassés d’être applaudis quotidiennement car travaillant dans des services vides pendant l’épidémie.
https://www.contrepoints.org/2020/11/02/383440-le-president-macron-et-les-chiffres-approximatifs-du-covid
La France bloque l’accès aux produits non essentiels
RépondreSupprimerDans un entretien dimanche au 20h de TF1, Jean Castex a annoncé que les grandes surfaces ouvertes devront bloquer l’accès aux rayons de produits non essentiels dès mardi.
dimanche 1 novembre 2020
Le Premier ministre Jean Castex a exhorté les Français dimanche au respect du confinement, «indispensable» pour en sortir au plus vite. Il a annoncé la fermeture des rayons non essentiels dans les grandes surfaces pour apaiser la colère des petits commerces.
«Les Français râlent, les Français sont dans la difficulté» et «je comprends la lassitude de nos concitoyens, je comprends les difficultés des uns et des autres», a déclaré Jean Castex au 20h00 de TF1. Mais il faut que «nous soyons extrêmement vigilants, que nous respections ce confinement: il en va de la survie de l’économie, il en va de notre santé collective», a-t-il ajouté.
«Mieux vous respecterez les règles aujourd’hui (...), plus vite nous pourrons en sortir», a encore insisté le Premier ministre. Il a évoqué la fin du confinement prévue pour l’instant le 1er décembre «s’il a, comme nous l’espérons, produit ses effets».
Dans un entretien au Journal du dimanche (JDD), le ministre de la Santé Olivier Véran avait déjà prévenu que quelle que soit la situation Noël cette année «ne sera pas une fête normale». Selon l’épidémiologiste Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique qui guide le gouvernement, il faudrait deux mois de confinement pour freiner drastiquement la circulation du virus, ce qui prolongerait les restrictions à la période des fêtes de fin d’année.
Dimanche, le nombre de malades du Covid-19 en réanimation et soins intensifs – une donnée cruciale à surveiller pour éviter un engorgement des hôpitaux – a dépassé les 3500, à 3569, avec 289 nouvelles admissions en 24 heures.
La colère ne faiblit pas
Du côté des petits commerçants, la colère ne faiblit pas. Avec ce nouveau confinement, les restaurants, bars et commerces jugés «non essentiels» doivent garder le rideau baissé. A quelques semaines des fêtes de fin d’année, les petits commerces qui vendent jouets ou livres dénoncent la concurrence déloyale des grandes surfaces – autorisées à rester ouvertes – et des plateformes en ligne, dont Amazon.
Face à cette bronca des commerçants et de nombreux maires, «nous ne reviendrons pas sur les mesures annoncées, c’est beaucoup trop tôt», a répondu le Premier ministre. Toutefois, il a annoncé la fermeture à partir de mardi des rayons non essentiels dans les grandes surfaces. Une décision qui risque de mécontenter la grande distribution, dont la fédération avait fait part quelques heures plus tôt de sa «totale incompréhension» et de son «opposition» à une fermeture des rayons non alimentaires.
La fronde des petits commerces est soutenue par des maires de plusieurs villes petites et moyennes qui ont pris des arrêtés autorisant l’ouverture des commerces non alimentaires sur leur commune. Des «maires irresponsables» qui «menacent la santé des Français», pour le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.
RépondreSupprimerPour ce nouveau confinement, dont les modalités seront revues tous les 15 jours en fonction de l’évolution des indicateurs sanitaires, on ne peut «prendre l’air» que pendant une heure maximum et dans un rayon d’un kilomètre autour de son domicile. Les dérogations permettent aussi d’aller faire ses courses, d’aller chez le médecin ou d’amener ses enfants à l’école.
Combat idéologique
Jean Castex s’est aussi exprimé sur TF1 au sujet des différentes attaques islamistes qui ont eu lieu en France dernièrement. «Ce combat, il est idéologique: l’ennemi cherche d’abord à nous diviser en répandant la haine et la violence, à fracturer la communauté nationale», a averti le chef du gouvernement français.
«Je veux ici dénoncer toutes les compromissions qu›il y a eu pendant trop d’années, les justifications à cet islamisme radical: ‹Nous devrions nous autoflageller, regretter la colonisation’, je ne sais quoi encore», a-t-il ajouté. «La première façon de gagner une guerre, c'est que la communauté nationale soit soudée, soit unie, soit fière de nos racines, de notre identité, de notre République, de notre liberté. Il faut gagner le combat idéologique», a-t-il jugé.
«C’est fini, plus aucune complaisance d’intellectuels, de partis politiques, il faut que nous soyons tous unis sur la base de nos valeurs, sur la base de notre histoire», a-t-il insisté. Le chef du gouvernement a annoncé de nouvelles dissolutions prochaines d’»associations paravents» et des opérations contre «des fausses mosquées (...) des écoles clandestines». «Nous devons impérativement renforcer notre législation, surtout le moyen d'action pour faire face" à la haine sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.
https://www.lematin.ch/story/lacces-aux-rayons-non-essentiels-sera-bloque-447320938334
Pas de vaccin contre la tyrannie
RépondreSupprimerPar Ron Paul
Institut Ron Paul
3 novembre 2020
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment admis que les verrouillages causaient plus de mal que de bien. Suite à cette annonce, on aurait pu s'attendre à ce que les politiciens américains mettent immédiatement fin aux verrouillages. Après tout, les déclarations de l’OMS sont considérées comme infaillibles, à tel point que les sites de réseaux sociaux réduisent au silence tous ceux qui osent défier la grande et puissante OMS. Pourtant, les gouverneurs, les maires et d’autres responsables gouvernementaux à travers le pays ignorent la position anti-verrouillage de l’OMS.
Au lieu d'admettre que les verrouillages étaient une erreur, de nombreux membres de la classe politique, qui comprend un nombre inquiétant de professionnels de la santé dont les positions et le prestige dépendent du gouvernement, affirment que nous ne pouvons pas revenir à la normale tant qu'un vaccin contre le coronavirus n'est pas largement utilisé. Cela suggère que les personnes parmi la majorité des Américains qui ne souhaitent pas être vaccinés resteront sous clé ou seront forcées de se faire vacciner contre leur volonté.
L'attaque contre notre liberté ne prendra pas fin avec le déploiement et l'utilisation d'un vaccin. Moncef Slaoui, le conseiller en chef de l'opération Warp Speed ??de l'administration Trump, un «partenariat public-privé» chargé de produire et de livrer un vaccin contre le coronavirus, a déclaré que ceux qui reçoivent un vaccin seront surveillés par des «systèmes de suivi incroyablement précis. " Slaoui a également indiqué que les géants de la technologie Google et Oracle aideront le gouvernement à garder un œil sur les personnes vaccinées. Ainsi, le programme de vaccination entraînera une augmentation de la surveillance gouvernementale!
Slaoui n'est que le dernier «expert» à approuver le fait de forcer le peuple américain à renoncer à ses quelques restes de vie privée pour arrêter le coronavirus. Le Dr Anthony Fauci et Bill Gates ont exhorté le développement d'un certificat numérique pour les personnes vaccinées contre le coronavirus. Les personnes sans certificat verraient leur liberté sévèrement restreinte.
Ceux qui pensent que le nouveau système de surveillance sera limité au coronavirus doivent se rappeler que les numéros de sécurité sociale n'étaient censés être utilisés que pour administrer le programme de sécurité sociale. Ils devraient également considérer que l’élargissement des écoutes téléphoniques sans mandat par la loi PATRIOT était censé se limiter à arrêter les terroristes. Cependant, ces pouvoirs ont été utilisés à des fins très diverses. Chaque fois que le gouvernement reçoit le pouvoir d'abuser de nos droits pour une raison, il l'utilisera inévitablement pour abuser de nos droits pour d'autres raisons également.
Le certificat numérique de Fauci et Gates pourrait, et sera probablement, élargi pour inclure la preuve que les individus ont reçu une variété d'autres vaccins et traitements médicaux. Le certificat numérique pourrait même s’étendre à la surveillance des choix de mode de vie d’une personne au motif que les mauvaises habitudes la rendent plus vulnérable aux maladies.
Le certificat numérique pourrait également être lié au programme REAL ID pour refuser aux personnes qui n'ont pas été vaccinées le droit de voyager. Il pourrait également être combiné avec un futur système obligatoire E-Verify pour refuser aux personnes non vaccinées le droit d'occuper un emploi. Ceux qui considèrent cette «paranoïa» devraient considérer que la Grande-Bretagne développe déjà un passeport covid.
RépondreSupprimerLa liberté perdue dans la «guerre contre le covid» ne sera pas volontairement rendue lorsque la menace de coronavirus prendra fin - en supposant que le gouvernement arrête jamais de déplacer les poteaux d'objectif et déclare que la menace de coronavirus est terminée. Au lieu de cela, le peuple doit être prêt à reprendre sa liberté aux politiciens. Heureusement, nous avons encore la capacité de le faire par les moyens pacifiques d'éduquer nos concitoyens et de faire pression sur nos élus pour qu'ils inversent la voie. Nous devons tous faire ce que nous pouvons pour utiliser ces outils pacifiques avant d'être dans un «hiver sombre» d'autoritarisme.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/ron-paul/no-vaccine-for-tyranny/
L'immunité avant la vaccination détermine l'efficacité des vaccins
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
3 novembre 2020
Les graphiques montrant l'efficacité des vaccins induisent en erreur (voir le graphique ci-dessous). En chiffres précis (non relatifs), les vaccins ne sont que marginalement efficaces.
Les vaccins contre le coronavirus COVID-19 mis sur le marché en urgence sont testés de manière limitée pour leur capacité à apaiser les symptômes bénins de l'infection et il n'y a aucun moyen de savoir s'ils préviennent l'infection, ralentissent la propagation ou réduisent les taux de mortalité de ce coronavirus parfois mortel.
L'immunité pré-vaccinale est le meilleur indicateur de l'efficacité du vaccin. La médecine moderne ne fait littéralement rien pour améliorer l'immunité avant la vaccination si ce n'est d'ajouter des adjuvants toxiques aux vaccins.
Le recours aux tests d'anticorps, considérés comme la référence en matière d'efficacité de laboratoire (non clinique) des vaccins, est imparfait. On sait depuis 1986 que les lymphocytes T zinc-dépendants produits dans le thymus sont primordiaux pour la production d'immunité, et non d'anticorps. Il n'est pas surprenant d'apprendre qu'un anticorps-médicament n'a pas réussi à réprimer les infections au COVID-19.
En utilisant les cellules T comme indicateur, la plupart des populations humaines sont déjà immunisées contre l'infection au COVID-19 même si elles n'ont pas été exposées à ce nouveau virus nouvellement muté. La soi-disant «immunité collective» existe déjà. La vaccination obligatoire représente un traitement excessif.
Au fur et à mesure que les populations humaines sont libérées des verrouillages, les taux d'infection augmenteraient, donnant la fausse impression que les taux d'infection sont à la hausse en raison de la sortie de la cellule. Le test PCR utilisé pour détecter le COVID-19 n'est pas en corrélation avec l'infectiosité. Le test PCR ne peut pas être validé par culture virale dans une boîte de laboratoire, l'étalon-or pour la confirmation de l'infection. Fait frappant, la mortalité n'augmente pas à mesure que les taux de dépistage augmentent. Les taux de mortalité n'augmentent pas non plus avec la libération des verrouillages. Les stratégies de santé basées sur des estimations, des algorithmes et une modélisation statistique ne sont pas de véritables comptages corporels. De nombreuses personnes meurent prématurément des mesures de verrouillage elles-mêmes.
La saison des coronavirus s'étend de décembre à avril. Toute augmentation signalée des décès en raison de l'ouverture des sociétés est probablement liée à l'approche des augmentations saisonnières / hivernales proportionnelles aux faibles niveaux de vitamine D du soleil. D'un point de vue thérapeutique, une fois atteints du COVID-19, 5 % des résidents âgés fragiles des maisons de retraite sont décédés, contre seulement 44,4 % à qui on a administré de la vitamine D.
Les décès dus à la grippe sont surestimés. Les Centers for Disease Control distribuent un chiffre de 36 000 décès par an dus à la grippe. Mais les données de l'American Lung Association révèlent des décès liés à la grippe aussi bas que quelques centaines en un an aux États-Unis (voir le graphique ci-dessous). On pense que les décès surévalués servent à promouvoir les campagnes de vaccination.
Le groupe Cochrane, un réseau mondial de chercheurs indépendants, analyse la validité des preuves scientifiques. En 2018, le groupe Cochrane a publié une analyse de huit essais cliniques impliquant plus de 5000 participants âgés dans le but de déterminer si la vaccination prévient la grippe. L'analyse a révélé que 6 % des personnes âgées non vaccinées (on leur avait administré un vaccin placebo) avaient la grippe comparativement à 2,4% des personnes vaccinées (58% de risque relatif réduit).
RépondreSupprimerLe problème est que 94% des personnes âgées de cette étude n'ont pas contracté la grippe. Ainsi, le succès des programmes de vaccination massifs visant à vacciner des millions de personnes pour éviter à quelques personnes d'attraper la grippe est limité dès le départ. Trente (30) personnes doivent être vaccinées pour éviter qu'une personne ne présente les symptômes de la grippe.
Ainsi, au mieux, les vaccins contre la grippe ne peuvent être efficaces qu'à 3,3% pour prévenir la grippe. Le CDC «annoncera» que des études comme celle-ci indiquent que les vaccins contre la grippe sont efficaces à 58% (réduction de 6,0% à 2,4% des cas de grippe). Donc, en chiffres concrets, le public est amené à croire à tort que 58 personnes sur 100 seront protégées contre la grippe si elles sont vaccinées. Cette idée est trompeuse. En fait, 6 personnes sur 100 contractent la grippe et 2,4 sur 100 contractent la grippe si elles sont vaccinées; 94 personnes sur 100 ne reçoivent aucun avantage de la vaccination parce qu'elles restent en bonne santé et non infectées, probablement parce que leur système immunitaire empêche toute infection des voies respiratoires.
- voir tableau sur site -
Le vaccin antigrippal à distance sauve des vies
La probabilité que la vaccination contre la grippe réduise le risque de décès est encore plus faible. Dans cette étude portant sur 5000 personnes âgées, le décès est survenu chez 1 personne sur 177 ayant reçu un vaccin inactif (placebo) et 1 sur 184 qui a reçu le vaccin contre la grippe. Ainsi, 5,6 personnes âgées sur 10 000 contracteraient la grippe et seraient hospitalisées et mourraient si elles n'étaient pas vaccinées et 5,4 personnes âgées sur 10 000 contracteraient la grippe et mourraient si elles étaient vaccinées.
Une analyse de 75 études publiées par le groupe Cochrane a conclu qu'il existe une incertitude quant à l'innocuité et à l'efficacité de la vaccination contre la grippe chez les personnes âgées.
En 2016, le groupe Cochrane a publié une étude portant sur 12742 travailleurs de la santé qui s'occupent d'adultes âgés en établissement (de plus de 60 ans). Les évaluateurs Cochrane ont conclu que la vaccination des travailleurs de la santé avait peu d'effet sur le nombre de résidents âgés qui ont développé une grippe confirmée en laboratoire.
L'immunité pré-vaccinale est un prédicateur de l'efficacité du vaccin
Une étude publiée en 2015 montre que l'immunité pré-vaccinale était le meilleur prédicteur que la vaccination préviendrait la grippe; 66,3 % des adultes de plus de 50 ans vaccinés n'ont pas développé une immunité adéquate.
Quelle est la leçon à emporter ? Le maintien du système immunitaire est primordial.
Selon les évaluations conventionnelles des niveaux d'immunité dans les populations en général, il n'y a pas suffisamment d'anticorps dirigés contre le coronavirus COVID-19 pour produire une immunité collective. Les populations mondiales doivent alors attendre un vaccin homologué. Mais les anticorps ne sont pas la mesure ultime de l'immunité.
RépondreSupprimer«Le taux de mortalité est davantage le résultat de la préparation immunitaire ou non de votre population que de la souche particulière du virus.»
- Denis Rancourt, PhD, Association des libertés civiles de l'Ontario
La plupart des populations humaines sont déjà immunisées
Les anticorps ne sont pas considérés comme une mesure fiable de l'immunité. Un certain nombre d'études montrent maintenant que 20 à 50 % des personnes sans exposition connue au COVID-19 présentent déjà une immunité contre ce virus. Cela suggère que la vaccination n'aurait presque aucun sens pour autant que la moitié de la population.
Seule une minorité de personnes présentent des anticorps contre le COVID-19. Mais les cellules mémoire T (dépendantes du zinc), produites dans le thymus, préexistent et sont prêtes à prévenir l'infection au COVID-19 chez 20 à 50% des sujets.
Exposition à une infection à une maladie NON !
Cela signifie que «l'exposition n'entraîne pas nécessairement une infection, et l'infection ne conduit pas nécessairement à la maladie, et la maladie ne produit pas nécessairement des anticorps détectables», indique un rapport intitulé «COVID-19: de nombreuses personnes ont-elles une immunité préexistante?, Dans le British Medical Journal (BMJ).
Par conséquent, le pourcentage d'une population nécessaire pour produire une immunité collective est bien plus faible lorsqu'une partie significative est incapable de transmettre le virus, révèle le rapport du BMJ.
Un immunologiste déclare: «Si vous supprimez le verrouillage, vous devriez voir une augmentation immédiate et proportionnée des cas (et des décès), mais cela ne s'est pas produit. C'est juste un fait !"
En Suède, une étude révèle que 60 % des membres de la famille des patients infectés produisaient des anticorps tandis que 90 % avaient une activité de lymphocytes T.
Les lymphocytes T obtiennent enfin de la publicité
Le rapport du BMJ déplore que les lymphocytes T aient reçu "peu d'attention" dans les médias d'information. Les lymphocytes T facilitent également une immunité durable.
Les chercheurs reconnaissent que grâce à la vaccination, on espère que la stimulation des anticorps et des lymphocytes T induira une immunité protectrice.
Apparemment, de nombreuses personnes sont déjà immunisées. L'idée de la vaccination obligatoire semble être un sur-traitement massif compte tenu de ces réalités.
Les autorités de santé publique et les politiciens sont pré-engagés dans la vaccination, ont déjà pré-acheté des milliards de dollars de ces vaccins et sont prématurément et excessivement déterminés à les utiliser indépendamment de ces faits. Le stockage des vaccins non éprouvés a déjà commencé parce que les politiciens les ont prépayés.
Les vaccins précipités sur le marché peuvent ne pas sauver des vies
RépondreSupprimerL'enquêteur Peter Doshi, s'exprimant dans un autre volume du British Medical Journal, a déclaré qu'aucun des essais de vaccins contre le coronavirus COVID-19 n'est conçu pour prouver si ces piqûres d'aiguille réduisent la probabilité de maladie, d'hospitalisation ou de décès. Aucun des essais en cours n'est conçu pour déterminer si les vaccins interrompent la transmission du virus.
- voir tableau sur site -
Doshi dit qu'une étude peut simplement montrer qu'un vaccin réduit un symptôme tel qu'une toux chronique et obtenir un permis d'exercice, sans réduire la transmission, l'hospitalisation ou le décès.
En fait, ces découvertes sur le COVID-19 suggèrent que toute l'industrie des vaccins est soutenue par l'ignorance scientifique de l'immunité des lymphocytes T.
Le fait de savoir que l'immunité des lymphocytes T dépend du zinc, un oligo-élément, suggère que le public peut se protéger contre tous les virus et autres menaces de maladies infectieuses avec un remède préventif peu coûteux et non problématique à portée de main.
Le zinc avec la vitamine D freine (normalise) la réponse immunitaire pour contrecarrer une réponse immunitaire (auto-immune) hyperactive.
Des pastilles de zinc correctement dosées, prises 5 fois par jour, de préférence avec un ionophore de zinc comme la quercétine pour faciliter l'entrée dans les cellules infectées, conviennent en cas de maux de gorge, de fièvre, de toux chronique et d'essoufflement.
Un rapport faisant autorité intitulé «Les cellules T sont les superstars dans la lutte contre le COVID-19», publié à Children's Health Defense, cite Carsten Geisler, un éminent chercheur de l'Université de Copenhague, pour dire: «Quand une cellule T est exposée à un agent pathogène étranger , il étend un dispositif de signalisation ou «antenne» connu sous le nom de récepteur de la vitamine D, avec lequel il recherche la vitamine D », et s'il y a un taux de vitamine D insuffisant,« ils ne commenceront même pas à se mobiliser ».
En d'autres termes, une quantité adéquate de vitamine D est d'une importance cruciale pour l'activation des lymphocytes T à partir de leur état naïf inactif.
Autre leçon: le resvératrol, une molécule de vin rouge, se lie à et active le récepteur de la vitamine D, une porte d'entrée de la vitamine D dans les cellules.
Très peu ou aucune des informations fournies ici parvient aux masses. Les autorités de santé publique sont uniquement engagées dans la vaccination. Il serait préférable d’accéder à la défense de la santé des enfants de Robert F. Kennedy Jr. et au Centre national d’information sur les vaccins pour obtenir des informations précises sur les maladies infectieuses et les vaccins.
Si vous envisagez la vaccination, qui deviendra LE problème majeur auquel seront confrontées les populations après le formulaire de consentement / refus du vaccin COVID-19 modèle P de cet auteur est disponible auprès de Knowledge of Health, Inc. Les bénéfices vont au fonds de défense du consentement au vaccin de la National Health Federation. Deux exemplaires du formulaire de consentement / refus de 18 pages sont disponibles pour 12,95 $ (frais de port inclus). Le formulaire de consentement peut être commandé en ligne à www.covid19consent.com ou en envoyant un chèque ou un mandat de 12,95 $, à l'ordre de Knowledge of Health, Inc., 1502 Foothill Blvd, Suite 103, La Verne, California 91750.
- voir tableau sur site -
https://www.lewrockwell.com/2020/11/no_author/pre-vaccination-immunity-determines-effectiveness-of-vaccines/
Supprimer(...) Fait frappant, la mortalité n'augmente pas à mesure que les taux de dépistage augmentent. Les taux de mortalité n'augmentent pas non plus avec la libération des verrouillages. (...)
Merci Dr Ron Paul. Le test PCR utilisé pour détecter le COVID-19 n'est pas en corrélation avec l'infectiosité. Le test PCR ne peut pas être validé par culture virale dans une boîte de laboratoire, l'étalon-or pour la confirmation de l'infection.
Effectivement, nous respirons toutes & tous 200 000 microbes ou virus par minute. Donc, lors de tests, les laborantins ont le choix ! Et donc, comme ils ont 100 % de chance de trouver un corona respiré dans toutes les personnes testées, ils crient Hourra ! Mais... mais la personne porteuse... ne meurt pas ! Refuse même de mourir ! Çà alors ! Comme toutes autres, cette personne a depuis sa naissance respiré des milliards de milliards de milliards (etc, etc) de microbes (vivants) ou des virus (poussière métallique) et, son organisme a combattu et a gagné !
A gagné sans vaccin, sans remède.
Les programmes de tests de vaccins Covid-19 défectueux chez Moderna, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca
RépondreSupprimerPar Gary G. Kohls, MD
3 novembre 2020
Il ne semble pas y avoir beaucoup de différence entre les protocoles de test des dizaines de sociétés pharmaceutiques qui travaillent sur le développement d'un vaccin contre le virus du SRAS insaisissable (et donc douteux) qui n'a pas encore été isolé en laboratoire, encore moins été cultivées de manière reproductible dans des cultures de tissus vivants.
Les preuves de l'existence du nouveau virus SARS-CoV-2 chez un patient donné ont été principalement supposées dans la pandémie présumée actuelle qui reposait sur des tests avec les kits de test PCR tout aussi douteux qui ont été fabriqués par un certain nombre de survols. -des tenues de nuit qui fabriquent des kits de test peu fiables.
Les statistiques d’incidence et de décès des «cas» de la pandémie présumée actuelle doivent donc également être considérées comme douteuses car l’inventeur du test PCR a affirmé à plusieurs reprises que son test NE PEUT PAS être utilisé à des fins de diagnostic.
Cependant, la «sagesse conventionnelle» fortement encouragée par Big Pharma / Big Media dit que si le test PCR s'avère positif (même si l'individu PCR positif est totalement asymptomatique, il portait toujours les masques et n'a jamais développé de symptômes de Covid) que le sujet doit être considéré comme si contagieux qu'il doit être mis en quarantaine pendant des semaines. Si le sujet ne se conforme pas à l'ordonnance de mise en quarantaine, il ou elle peut - dans certaines juridictions - être arrêté et emprisonné.
Ce qui devrait préoccuper les gens qui pensent, c'est le fait que certaines de ces sociétés pharmaceutiques (sans oublier que de nombreux fabricants de kits de test PCR) ne sont en fait que des «start-ups» - comme les National Institutes of Health (et Anthony Fauci) la société de vaccins préférée Moderna, dont l'activité ne concerne que le développement de vaccins - pas la fabrication.
Pourtant, Moderna est profondément impliqué dans la course à l'approbation de la FDA, et le cours de son action a explosé dans l'espoir de pouvoir masser suffisamment les résultats de ses tests pour faire approuver son vaccin Covid-19 (ou au moins obtenir une autorisation d'utilisation d'urgence [EUA]) par la FDA).
Malgré son cours de bourse extrêmement élevé (67 dollars par action au 30 octobre 2020), Moderna n'a pas encore gagné un sou de la vente de l'un de ses rares vaccins expérimentaux. Il n'est pas surprenant qu'il ait développé son protocole pour tester son vaccin Covid-19 expérimental à 2 doses qui est essentiellement le même que les protocoles annoncés des vaccins Covid-19 de Johnson & Johnson, AstraZeneca et Pfizer chez la moitié des quelque 30000 volontaires qui ils ont accumulé seront injectés avec deux doses de son vaccin actif (dont chacune contient des ingrédients incertains pour être sûrs). L'autre moitié sera injectée avec un placebo. (Il est intéressant de noter que dans le passé, certaines sociétés de test de vaccins ont ajouté un ingrédient toxique pour les tissus qui causera vraisemblablement des symptômes au site d'injection afin que le groupe placebo ne sache pas s'il a reçu le vaccin ou non.)
Il y aurait un certain nombre de sociétés pharmaceutiques en démarrage et établies dans le monde entier qui tentent également d'être le prochain vendeur de vaccins contre les blocages sur la planète, mais AUCUNE d'entre elles, et encore moins les quatre sociétés de vaccins expérimentaux énumérées ci-dessous, n'ont suivait des méthodes ancestrales de test de ses médicaments expérimentaux et de ses vaccins sur des animaux de laboratoire, une grave violation du protocole qui est devenue la «nouvelle norme» afin de se conformer à l'opération Warp Speed ??du président Trump, programme que Trump a poussé afin de produire un vaccin - n'importe quel vaccin - avant que sa candidature ne soit décidée !!
RépondreSupprimerBien entendu, la procédure accélérée (ou «court-circuit») des études normales sur l'innocuité et l'efficacité des vaccins a été condamnée par tous les scientifiques éthiques qui n'ont pas de «conflits d'intérêts» économiques ou professionnels qui garantissent des résultats rentables du dangereux les positions pseudoscientifiques pro-vaccinales que Big Pharma a adoptées comme celles de l'administration Trump et du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID et de la FDA au cours des 10 derniers mois.
L'autorisation d'utilisation conditionnelle, provisoire et d'urgence (EUA) de la FDA déjà compromise par l'entreprise est susceptible d'être accordée même si les données présentées aux commissions de réglementation de la FDA sont erronées et / ou statistiquement insignifiantes - ce qui signifie que le vaccin n'a pas été avérée sûre et efficace, en particulier à long terme, ce qui, par définition, ne peut être évalué en toute sécurité pendant de nombreuses années. Malheureusement, les membres de la plupart des commissions «de réglementation» classiques sont souvent des sociétés qui ont des arrière-pensées.
Il y a 30 000 volontaires dans les groupes d’étude de chaque société pharmaceutique et ce sont essentiellement des volontaires en bonne santé, d’âge moyen, enthousiastes et «patriotiques». La moitié des 30 000 personnes recevront une injection d'une série de deux vaccins immunologiquement actifs. Les 15 000 autres membres du groupe recevront deux injections d'un placebo censé être immunologiquement inactif. Aucun des 30 000 personnes ne sera informé du groupe auquel ils appartiennent.
Les quelque 30 000 cobayes humains au total qui se sont inscrits à l'étude Moderna seront surveillés jusqu'à ce que 53 dérisoires des 30 000 volontaires obtiennent des résultats de test PCR positifs (et très douteux)! Les 53 peuvent ne pas avoir - et ne développeront peut-être jamais - les signes et symptômes du SRAS pour qu'ils soient inclus dans l'étude!
Bien sûr, les tests PCR faux positifs sont extrêmement courants et peuvent arriver à n'importe qui, en particulier aux personnes qui ont eu un rhume, souvent causé par de simples coronavirus bénins.
Les concepteurs de l'étude Moderna - tout comme les autres sociétés pharmaceutiques qui sont dans la course - soutiendront que leur étude devrait être considérée comme pertinente, rapportable à la FDA comme preuve théorique d'efficacité, mais ils ne peuvent pas prétendre que leur vaccin est sûr ou efficace. long terme.
Cependant, ces études à court terme ne peuvent être utilisées que partiellement pour l'innocuité et l'efficacité à court terme si 13 ou moins des 53 «cas» positifs à la PCR se sont produits dans la population vaccinée alors qu'en même temps 40 ou plus de la PCR positive Des «cas» sont survenus dans le groupe placebo. Ce qui ne sera pas discuté sera le fait que plus de 14 900 du groupe placebo et du groupe vacciné n’ont pas non plus présenté de tests PCR positifs pour les symptômes du Covid-19 !
Il est tout à fait approprié que les sceptiques légitimes des agences américaines de réglementation des médicaments et des vaccins cooptées par les Big Pharma se posent la question: «Quel genre de science indésirable influencée par les Big Pharma et orientée vers le profit se cache derrière les études approuvées à la hâte par les goûts du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID et de la FDA, évidemment cooptés?
RépondreSupprimerIl est également tout à fait approprié pour le public d'avoir des informations complètes sur le type d'influence coercitive pro-vaccin provenant de personnes nommées par Trump comme son directeur HHS (et non médecin) Alex Azar, qui est entré dans l'administration de Trump à partir de 2 millions de dollars. par an poste de PDG chez Big Pharma / Big Vaccine géant Eli Lilly. Azar fait également partie de l'opération Warp Speed ??de Trump, qui est à l'origine de l'accélération du développement de vaccins, qui sera certainement un désastre.
Il y aura sûrement des conclusions douteuses venant de toutes les autres sociétés pharmaceutiques dont la fiabilité est prouvée et qui sont dans la course pour développer un vaccin autorisé à usage d'urgence qui n'aura pas été prouvé pour être sûr ou efficace à long terme - mais sera certainement inabordable. .
De manière suspecte, le principal partenaire d'investissement de la start-up Moderna est en fait l'organisme de réglementation et de financement du gouvernement américain appelé National Institutes of Health (y compris le CDC et le NIAID), qui aurait une participation financière de 50% dans l'entreprise.
On peut supposer que - étant donné le système capitaliste corrompu qui a complètement pris le contrôle de notre nation - que chaque actionnaire de Moderna (même nos bureaucraties gouvernementales) fera tout ce qu'il peut pour promouvoir ses produits.
On doit soupçonner également que ces agences gouvernementales et leurs copains dans le monde de l'entreprise font tout ce qu'ils peuvent pour empêcher le mouton de remarquer les points de données les plus importants dans les études discutées.
Et l’une de ces informations est qu’au moins 29 800 des 30 000 volontaires participant aux essais de vaccins de Moderna ne seront probablement pas infectés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. Ce qui pourrait facilement se produire à long terme, c'est qu'un nombre important des 15 000 personnes du groupe vacciné risquent de développer des maladies chroniques invalidantes telles que des maladies auto-immunes.
Qu'en est-il des essais de vaccins de Pfizer, Johnson & Johnson, AstraZeneca, et. Al.?
Les autres réalités statistiques importantes qui ne seront pas soulignées dans les revues médicales contrôlées par l'entreprise (ou les médias contrôlés par l'entreprise) sont les concepts d '«efficacité réelle des vaccins» et d' «efficacité relative des vaccins», qui s'apparentent volontairement à la même chose. La réduction du risque réel (RAA) et la réduction du risque relatif (RRR) qui sont souvent ignorées dans les essais d'efficacité des médicaments.
Pour Moderna, 13 tests PCR positifs dans le bras vaccinal de 15 000 membres de leur essai 13/15 000 = 0,00086) est un point de données choisi arbitrairement qui, comparé à l'essai placebo, peut représenter une sorte de signification. 0,00086 est un nombre évidemment minuscule qui équivaut à un pourcentage de 0,086%.
Et 40 tests PCR positifs ou plus dans le groupe placebo de Moderna de 15 000 sujets (40/15 000 = 0,0027) représentent également un pourcentage minuscule de 0,27%. En soustrayant 0,086% de 0,27%, vous obtiendrez le bénéfice minuscule «réel» d’être vacciné (0,086%) avec le vaccin potentiellement toxique de Moderna par rapport au placebo présumé inoffensif.
RépondreSupprimerCependant, les chiffres d'efficacité du vaccin «relatifs» faussement gonflés signifient que dans le calcul des résultats de Moderna, on prend la fraction 13/40 (qui = 0,325 en termes décimaux, et qui est de 32,5% en termes de pourcentage. Les mathématiciens de la société, selon la méthode standard du calcul de la réduction du risque relatif (RRR), soustrait 0,325 de «1», ce qui donne un nombre décimal de 0,675 (qui, en pourcentage, est de 67,5%).
Ainsi, les statisticiens de Moderna - qui peuvent, par ailleurs, détenir des actions de l'entreprise - rapporteront alors à ses patrons au siège social le taux d'efficacité «relative» de 67,5%, que les patrons recevront comme positif, alors qu'il s'agit en fait d'un figure quand il est mis en parallèle avec l'indice d'efficacité réel du vaccin de 0,184.
Notez que l’essai de vaccin expérimental de Pfizer utilise également le nombre de positivité PCR de 32 dans le groupe 30 000, 25 dans le groupe placebo 15 000 et 7 dans le groupe 15 000 vaccins comme points de départ de l’analyse statistique.
En utilisant ces chiffres, les statisticiens de Pfizer rapportent en fait les chiffres faussement gonflés de la réduction du risque relatif / de l'efficacité relative des vaccins (plutôt que les chiffres de la réduction réelle du risque (ARR) au corps de presse et aux professionnels de la santé américains faciles à propager, sur lesquels on peut compter pour rapporter. - encore et encore - les avantages exagérés pour leurs auditeurs, téléspectateurs et patients.
Comme on pouvait s'y attendre, Johnson & Johnson utilise également la même supercherie mathématique que l'autre Gang of Four, en utilisant comme points de rupture arbitraires de positivité de la PCR les nombres suivants: 77 tests positifs à la PCR parmi le groupe total de 30 000; 59 tests PCR positifs dans le groupe placebo de 15 000 personnes et 17 tests PCR positifs dans le groupe vacciné 15 000 personnes.
AstraZeneca fait de même, en utilisant simplement des nombres légèrement différents de positivité PCR: 50 dans le groupe 30 000, 38 dans le groupe 15 000 placebo et 12 dans le groupe 15 000 vaccinés.
Ce que nous semblons avoir est bien exprimé dans ma version de la célèbre citation de Mark Twain: «Il y a 3 (ou 4) types de mensonges: les mensonges, les damnés mensonges, les statistiques et les statistiques de Covid».
Discuter.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/gary-g-kohls/the-flawed-covid-19-vaccine-testing-programs-at-moderna-pfizer-johnson-johnson-and-astrazeneca/
SupprimerIl est certain que si un trop grand nombre de personnes meurent en hôpitaux, on dira "Les hôpitaux de la mort". Tandis que si elles crèvent chez elles on dira qu'elles sont tombées de leur chaises, qu'elles se sont suicidées ou qu'elles traînaient un cancer, etc.
D'où l'intérêt de l'emprisonnement à domicile avec (ne rigolez pas je l'ai entendu !) qu'il faut... porter un masque à la maison !!! et ne pas manger ensemble mais à des horaires différents !
Imaginez aussi un couple 2 enfants, la femme dort au lit, le mari au canapé, le garçon dans le couloir et la fille dans la baignoire ! HAHAHAHA !
PRODUITS NON-ESSENTIELS RETIRÉS DE LA VENTE : CE SERA MERCREDI 4 NOVEMBRE 2020
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
03/11/2020
Le chiffre d'affaires d'Amazon au deuxième trimestre 2020 a augmenté de 40%.
Vivement critiquée, à la fois par les consommateurs, les commerçants et les associations, la décision du gouvernement censée rétablir l’équité entre grandes surfaces et petits commerces sera bel-et-bien appliquée. Sauf que, délais administratifs obligent, les Français ont gagné un jour de répit. Explications.
Produits non-essentiels et rayons fermés : une mesure reportée d’un jour
Lorsque Jean Castex a annoncé, dimanche 1er novembre 2020, que les rayons de produits non-essentiels dans les supermarchés devaient être condamnés pour que les grandes surfaces ne puissent pas vendre ce que les petits commerçants fermés ne peuvent pas vendre, il avait donné 24 heures aux concernés pour s’organiser. L’interdiction de vendre des produits non-essentiels devait entrer en vigueur mardi 3 novembre 2020.
Finalement, ce ne sera pas le cas. Si le gouvernement n’est pas revenu sur sa décision malgré les nombreuses critiques, il aura dû composer avec l’administration : impossible de publier le décret qui fixe la liste officielle des produits interdits à la vente durant le confinement avant… mardi 3 novembre 2020.
Sans cette liste, les magasins ne peuvent pas s’organiser, et sans décret la liste n’a aucune valeur juridique même si le gouvernement l’a fournie aux enseignes. Un décret n’entrant en vigueur que le lendemain de sa publication, c’est simple : la mesure n’entrera en vigueur que le 4 novembre 2020.
Le gouvernement critiqué car Amazon sera le grand gagnant
D’une manière générale, la décision de fermer les commerces de proximité et les rayons non-essentiels a été mal comprise et mal perçue. Les consommateurs ne comprennent pas la logique, les associations s’indignent.
C’est le cas de l’UFC-Que Choisir : son président, Alain Bazot, a estimé le 2 novembre 2020 que « le critère de 'biens essentiels' au lieu de celui de la capacité à réguler les flux, assurer de la distanciation, etc. manque de pertinence au-delà du fait qu'il est arbitraire ».
Comme les petits commerçants et la grande distribution, il craint en outre que cette décision ne soit « une autoroute pour les plateformes de e-commerce, à commencer par les GAFAM, particulièrement Amazon ». Les sites de e-commerce, dont le géant américain, n’ont en effet aucune interdiction de vendre les produits non-essentiels : du maquillage ua gros électroménager en passant par les vêtements, les Français pourraient être fortement tentés d’acheter en ligne ce qu’ils ne peuvent plus trouver ailleurs.
http://www.economiematin.fr/news-produit-non-essentiel-retrait-vente-magasins-gouvernement-confinement
La gueule des dictateurs qui n'est pas essentielle devrait être fermée depuis longtemps !
SupprimerLe plus grave est qu'ils ne SONT PAS des scientifiques pas plus que leurs merdes de journalistes mais se disent être au-dessus des scientifiques !!!
RAYONS FERMÉS : CE QUE VOUS NE TROUVEREZ PLUS EN GRANDE SURFACE (NI AILLEURS)
RépondreSupprimerpar QUITTERIE DESJOBERT
02/11/2020
71% acceptent l'hypothèse d'un confinement pendant les fêtes de fin d'année.
Dès mardi 3 novembre 2020, de nombreux rayons seront indisponibles à la vente dans les supermarchés. Une décision annoncée dimanche 1er novembre par le Premier ministre Jean Castex afin d'empêcher la concurrence déloyale entre les commerçants fermés et les grandes enseignes.
Adieu maquillage, jeux et électroménager
Les rayons proposant dans produits non-essentiels devront être retirés de la vente dans les supermarchés dès mardi 3 novembre 2020. Cette annonce faite par le Premier ministre Jean Castex, dimanche soir sur TF1, concerne notamment les rayons de vente de maquillages, de vêtements, de jouets et d'électroménagers des supermarchés français, afin d'atténuer la concurrence déloyale avec les petits commerçants forcés de fermer pendant le confinement.
De nouveaux rayons vont rejoindre ceux de la culture, comme aussi celui des jouets. Depuis quelques jours, la Fédération des Commerces spécialistes des Jouets et des Produits de l'Enfant demandaient instamment la fermeture de ces rayons dans les supermarchés à sept semaines de Noël. Les rayons bijouteries, fleurs, vêtements, maquillage et électroménager seront également indisponibles à la vente dès mardi 3 novembre.
La politique du moins
Cette décision loin d'affaiblir la grogne des commerçants y ajoutent celles des commerces de grandes distributions qui dans une vision commune y voit la porte ouverte aux géants d'Internet comme Amazon, qui publie des chiffres de bénéfices exceptionnels. Pour le troisième trimestre de 2020, les bénéfices de la firme américaine atteignent 6,3 milliards de dollars, soit une hausse de 296 % en comparaison à 2019.
Pour Jacques Creyssel, délégué général de la fédération de la grande distribution (FCD), cette décision du gouvernement de fermer plus au lieu de rouvrir plus est une solution « perdant-perdant » pour les commerces français. Durant la semaine, le ministère de l'Économie devrait recevoir les différentes fédérations de commerçants afin de réfléchir à la possibilité d'une réouverture le 12 novembre 2020.
http://www.economiematin.fr/news-rayons-fermes-grandes-surfaces-covid-19-reconfinement
SupprimerDire que les produits de maquillage, d'hygiène, d"électroménager ou des vêtements renferment plus de microbes que les produits alimentaires est un retard culturel de trisomique-à-piquer !
LA MONNAIE, INDICATEUR DES PRIX (EXTRAIT)
RépondreSupprimerpar FRANÇOIS DE COINCY
03/11/2020
La cause la plus critiquée de la perte de valeur de la monnaie est la planche à billets, c’est-à-dire le plus souvent, l’activité d’un État consistant à imprimer des billets au fur et à mesure de ses besoins sans corrélation avec ses rentrées réelles d’impôts ou autres taxes. Comme on l’a vu plus haut, la vraie monnaie est générée par l’économie réelle.
Cette explication n’a plus cours aujourd’hui, avec l’autonomie des banques centrales et la disparition progressive des billets au grand regret des monétaristes champions de la distribution d’argent par hélicoptère.
Sans fausse monnaie car telle pouvait être qualifiée la monnaie créée par la planche à billets, la valeur de la monnaie peut cependant être perturbée, inflation ou déflation, mais il importe de pouvoir distinguer ce qui est une variation représentative de la valeur des choses de ce qui est une perturbation de cette représentation.
Si le pétrole augmente, la valeur de la monnaie baisse, mais c’est une traduction normale de la représentation des prix.
De même on peut avoir un enchaînement inflationniste du fait d’une augmentation généralisée des salaires à la suite d’un mouvement social, qui entraîne une augmentation du prix des produits. La valeur de la monnaie baisse, ce qui est une représentation correcte de la valeur moyenne des prix. Cette mécanique peut devenir une spirale infernale, si le système monétaire n’y met pas fin. Soit le pouvoir politique prend une mesure qui compense cette augmentation de salaires en diminuant par exemple des dépenses militaires permettant une diminution d’impôt et il n’y a pas d’incidence sur la valeur de la monnaie, soit elle n’en prend pas et l’augmentation de salaire est un leurre compte de tenu de l’augmentation du prix des produits et la monnaie ainsi dévaluée ne représente plus la valeur des choses mais représente la perturbation de la décision socio-politique. L’introduction de l’euro empêche les gouvernements de se lancer dans ces politiques irresponsables car la monnaie ne pouvant plus être le moyen de tromper les revendications par de fausses augmentations s’y lancer revient à tuer les entreprises se trouvant dans le secteur concurrentiel européen.
On peut avoir une augmentation de productivité qui entraîne une baisse du prix des produits et donc une augmentation réelle de la valeur de la monnaie.
Si la planche à billets n’existe plus, elle est remplacée par le déficit budgétaire, mécanisme qui perturbe l’évaluation de la valeur de la monnaie par le transfert social inclus dans les prix alliés au déficit budgétaire et au financement de celui-ci par le système monétaire.
Lorsque nous avons un déficit budgétaire, cela veut dire que les impôts n’ont pas été suffisants pour couvrir les charges communes et, que cet impôt ait été à la charge des entreprises ou à celle des consommateurs, les prix des biens vendus sont sous-évalués et la valeur de la monnaie surévaluée. Cette constatation est étonnante car elle veut dire que la monnaie est surévaluée en France contrairement à l’Allemagne alors que c’est la même monnaie. Ceci s’explique facilement par le fait que les prix sont indirectement subventionnés en France par le couple transferts sociaux/déficit budgétaire qui augmente tous les ans la dette.
Dans le produit national, une partie des prix ne dépend pas du marché, c’est celle qui correspond aux impôts de fonctionnement soit (30% ?) du produit national ? Cette partie est relativement linéaire. Mais surtout elle n’a pas de système de fixation de prix libre.
RépondreSupprimerUne partie est sous prix dirigés et correspond à plus ou moins 30%. Le reste, le marché libre, ne correspond qu’à 40% de l’activité globale. (C’est la part sur laquelle il y a le moins de confrontations sociales.)
Cette situation aide à une certaine inélasticité globale des prix.
Lorsque le secteur public se lance dans une croissance de ses investissements sans endettement externe, cela se traduit obligatoirement par une baisse du pouvoir d’achat, soit par une baisse du service public, soit par une croissance d’impôt qui pénalise la dépense sur le marché. Le seul investissement qui serait positif serait celui qui utilise de manière productive des chômeurs, mais on ne voit pas lequel serait possible.
L’inflation peut être due à une augmentation des prix ou à une baisse de valeur de la monnaie elle-même. La banque centrale ne peut jouer que sur la valeur de la monnaie, pas sur celle des prix, il est donc absurde et dangereux de lui donner une mission sur l’inflation, car elle doit peser sur la valeur de la monnaie pour corriger l’évolution des prix, ce qui est malsain parce que pour compenser une augmentation des prix consensuelle, on va altérer la valeur de la monnaie.
La banque centrale ne doit s’occuper que de la valeur propre de la monnaie, la dérive des prix est un problème de l’économie réelle, ce n’est pas un problème monétaire. La monnaie n’y joue que le rôle de thermomètre et il ne faut surtout pas altérer le thermomètre.
Jouer sur le thermomètre ne peut avoir qu’un effet psychologique, comme si le médecin déréglait le thermomètre pour redonner le moral au malade (ou pour se redonner le moral). Cela ne peut faire partie de ses méthodes thérapeutiques de détruire son thermomètre.
Si l’argent avancé par la banque centrale est remboursé, il n’y aura pas de perte de valeur de la monnaie. Ceci devrait être réalisé par les banques commerciales qui prêtent l’argent et supporteront la perte en cas de défaillance des emprunteurs. Ainsi la banque centrale est sûre de récupérer sa mise.
L’emprunt d’un État faisant partie de la zone euro est considéré comme extrêmement sûr même si l’État a une dette considérable. Les prêteurs considèrent que l’État pourra toujours se retourner contre le contribuable. Le prêteur en dernier recours n’est pas la banque centrale, ce n’est pas l’État, c’est le contribuable.
http://www.economiematin.fr/news-monnaie-representation-prix-economie-valeur-monetaire-banques-centrales