- ENTREE de SECOURS -



mercredi 11 novembre 2020

Pourquoi meurt-on du COVID-19 ?

 Pr Didier Raoult - Pr Stéphanie Gentile

IHU Marseille

mar., 10 nov. 2020 21:37 UTC

https://fr.sott.net/article/36264-Pourquoi-meurt-on-du-COVID-19

60 commentaires:

  1. Voir aussi:

    Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'

    Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD) qui a travaillé dans un laboratoire de référence de l'OMS et a fui son poste à l'Université de Hong Kong, a publié un deuxième rapport co-écrit, alléguant que le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, n'a pas seulement été créé dans un laboratoire de Wuhan, c'est une «arme biologique sans restriction» qui a été intentionnellement libérée.

    https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-unrestricted-bioweapon-whistleblower-releases-second-paper-alleging-large-scale

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  2. Le Japon enregistre un taux de suicides record sur fond de pandémie


    11:52 11.11.2020
    Par Zlata Tikhaya


    Selon les données préliminaires de la police, le nombre de suicides au Japon a augmenté pour le quatrième mois consécutif, enregistrant le chiffre le plus haut depuis plus de cinq ans. Cette tendance est attribuée à l'impact économique de la pandémie de coronavirus.

    En pleine pandémie de coronavirus, son impact sur les comportements suicidaires est au cœur des préoccupations. Or, au Japon, le nombre des suicides a augmenté en octobre pour atteindre son plus haut niveau depuis plus de cinq ans, selon les données préliminaires de la police, publiées mardi 10 novembre.

    L'impact économique et l’anxiété que suscite la pandémie chez une partie de la population auraient poussé un nombre croissant de gens à mettre fin à leurs jours.

    Plus de suicides que de décès des suites du Covid-19

    Ainsi, selon les données de l'Agence nationale de la police, le nombre total de suicides pour le mois d'octobre était de 2.153, soit une augmentation de plus de 300 par rapport au mois précédent. C’est également une hausse de 39,9 % par rapport au même mois de l'année précédente.

    Les conséquences du Covid-19 au Japon ont ainsi fait plus de morts que le virus lui-même qui a provoqué moins de 2.000 décès.

    Les femmes sont les plus touchées

    Ayant étudié les comportements suicidaires selon le genre et la classe d’âge, l'Agence nationale de la police a constaté qu’au Japon les femmes se suicidaient plus que les hommes. En octobre, 851 victimes étaient des femmes, soit une augmentation de 82,6% par rapport au même mois en 2019. Le nombre de suicides d’hommes a augmenté de 21,3%.

    En effet, les femmes, qui occupaient des emplois non-permanents dans le commerce de détail ou les services, ont été touchées de manière disproportionnée par les pertes d’emplois.

    Les jeunes et les enfants font également partie des groupes à haut risque. Depuis la réouverture des écoles en juin, suite à une fermeture de trois mois, les autorités ont constaté une augmentation des cas de stress et d'intimidation.

    Spécificités culturelles et sociales

    Le suicide est un «fléau social» pour le pays du Soleil-Levant, qui a l'un des taux les plus élevés des pays développés. Le phénomène est en partie expliqué par des réalités sociologiques et culturelles spécifiques: le Japon est traditionnellement un pays où l’expression des émotions reste compliquée, la pression sociale forte, l’anxiété poussant un nombre croissant de personnes à mettre fin à leurs jours.

    Dans le contexte de la pandémie, les mesures restrictives imposées auraient aggravé le problème. Le ministère de la Santé et du Bien-être a appelé les citoyens à ne pas souffrir seuls, et le gouvernement a alloué des fonds supplémentaires pour des centres de traitement spéciaux et des groupes de soutien.

    https://fr.sputniknews.com/international/202011111044753386-le-japon-enregistre-un-taux-de-suicides-record-sur-fond-de-pandemie/

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  3. SARS-CoV-2: jusqu’à quand on va nous prendre pour des veaux ?


    le 11 novembre 2020


    J’habite dans une province espagnole où aucun couvre-feu ni confinement n’a été mis en place. Seul le port du masque reste obligatoire dans la rue et les espaces publics et commerciaux. L’interdiction de fumer dans la rue a été maintenue et c’est une bonne décision puisque la propreté de trottoirs s’est améliorée. Il est également interdit de fumer lorsque l’on est assis à une terrasse de café. J’ignore où en est l’augmentation du nombre de « cas », phénomène qui est devenu le nouvel outil pervers de manipulation des populations dans de nombreux pays occidentaux et de privation de leurs libertés fondamentales. Les gouvernements, aux ordres de l’OMS, organisme onusien lui-même aux ordres du lobby international de l’industrie pharmaceutique, ont décidé de mesures liberticides contraires à la constitution des Etats mais également contraires aux instances supranationales comme le Conseil de l’Europe. Et pourtant personne ne proteste, tous les citoyens, transformés en moutons ou en veaux, courbent le dos et restent silencieux en attendant un traitement contre le SARS-CoV-2 ou un vaccin nécessairement mis au point à la hâte en raison du caractère récent de cette grippe.

    La grande nouvelle est l’imminence de la disponibilité d’un ou plusieurs vaccins. Les firmes Pfizer et BioNTech ont été mentionnées mais nulle part dans la presse occidentale ne sont cités les progrès réalisés par les laboratoires russes et chinois ou encore japonais dans ce domaine. Les médias répandent donc bien des informations comme le leur ordonne l’OMS c’est-à-dire privilégier les firmes pharmaceutiques occidentales. Comment les deux firmes pharmaceutiques mentionnées ci-dessus ont-elles testé l’efficacité de leurs vaccins ? Probablement en suivant l’apparition d’anticorps dirigés contre l’antigène d’origine virale utilisé pour confectionner le vaccin. Quel est cet (ou ces) antigène et comment a-t-il été produit ? S’agit-il de protéines virales produites in vitro et conditionnées pour être injectées ou s’agit-il d’ARN messager codant pour cette ou ces protéines virales injecté au candidat au vaccin ? Dans ce dernier cas il y a un gros problème : s’agit-il de modifier génétiquement des êtres humains ? Encore des questions sans réponse. Pourtant les moutons et les veaux semblent apercevoir de loin un frémissement de début d’amélioration de leurs conditions de vie devenues inhumaines à la suite des mesures draconiennes prises par les gouvernements, mesures qui frisent celles mises en place par des régimes totalitaires passés. À quand la création de camps de rééducation dans nos bonnes vielles démocraties occidentales pour les récalcitrants ? En ce qui me concerne je refuserai de me faire vacciner avec un produit (ARN messager) qui modifie mon patrimoine génétique …

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  4. Et pourtant tout ce bruit pour rien alors que le SARS-CoV-2 a fait moins de victimes en France que les grippes saisonnières de 2014-2015, 1974-1975, 1968-1969 ou 1962-1963 en données brutes non corrigées de l’augmentation de la population. Les fraudes quasiment imposées aux hôpitaux et aux médecins de ville pour classer les morts avec le label « Covid-19 » n’ont pas suffi à augmenter cette statistique pour faire avaler la pilule amère des mesures socialement (et économiquement) restrictives par la population laborieuse qui s’appauvrit inexorablement, ayant perdu la force de bêler ou meugler tels les moutons et les veaux qu’ils sont devenus. Et comme toute la population est terrorisée par le SARS-CoV-2 alors elle va se soumettre à un test RT-PCR sans imaginer un instant que chaque test rapporte 75 euros aux laboratoires pharmaceutiques ou à leurs filiales spécialisées dans la manufacture de réactifs de laboratoire, 75 euros prélevés sur les impôts qu’ils paient et ces impôts ne pourront qu’augmenter au cours des années à venir. Ces braves citoyens réduits à l’état d’animaux d’élevage sont devenus incapables de raisonner.

    Et pourtant tout ce bruit pour rien alors qu’il existe un traitement efficace mis au point par les Chinois et largement étudié au sein de l’IHU de Marseille en France pour traiter les patients atteints par le SARS-CoV-2 au stade précoce de la maladie. Les problèmes très préoccupants montés de toute pièce par ces mêmes laboratoires pharmaceutiques qui font la pluie et le beau temps à l’OMS mais également au sein des gouvernements des pays occidentaux est que ce traitement n’entre pas dans le cadre des essais dits randomisés en double-aveugle contre un placebo, protocole lui-même mis en place par ces laboratoires pharmaceutiques pour valider une nouvelle molécule. Or le traitement préventif et pouvant être généralisé dans une campagne de prophylaxie générale pour éteindre l’épidémie fait appel à deux molécules qui ne coûtent rien, ne sont protégées par aucun brevet, sont connues depuis des dizaines d’années et leurs effets secondaires parfaitement identifiés puisqu’elles ont été utilisées par des milliards de personnes dans le monde. Envisager de demander à des médecins hospitaliers d’imaginer mettre en place un essai randomisé en double-aveugle avec des malades dont ces médecins savent qu’ils peuvent mourir par manque de soins adéquats au plus fort de l’épidémie de SARS-CoV-2 aurait été tout simplement criminel : la non-assistance à personne en danger de mort est un crime, c’est pourtant l’argument qu’ont avancé en France les autorités sanitaires, le fameux (et fumeux) conseil scientifique dont s’était entouré le Président Macron pour interdire l’utilisation de l’hydroxychloroquine hors AMM pour sauver des patients. Ce produit, si on respecte la posologie, est anodin et utilisé quotidiennement par des milliards de personnes dans le monde en prophylaxie de la malaria. J’ai moi-même utilisé la chloroquine pendant plusieurs années lorsque je résidais au Vanuatu et je suis toujours en vie. La toxicité de l’hydroxychloroquine classée comme poison par la Ministre de la santé n’était qu’un reflet des ordres qu’elle avait reçu du lobby pharmaceutique et son successeur ne fait pas mieux.

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  5. Le Docteur Harvey A. Risch de l’Université de Yale a dirigé deux études statistiques collectant tous les résultats émanant des cliniques et hôpitaux de par le monde au sujet du traitement du SARS-CoV-2 par l’hydroxychloroquine et d’autres molécules dont le Remdesivir et ses conclusions sont sans appel : l’hydroxychloroquine associée à d’autres molécules connues depuis des décennies est efficace pour traiter la maladie provoquée par le SARS-CoV-2 ajoutant qu’aucun effet secondaire sérieux n’est à déplorer en particulier des arythmies cardiaques, le danger mortel qu’avait mis en avant l’ex-ministre française de la santé. Donc, pour résumer, cette grippe (oui ! Je persiste et signe en affirmant qu’il s’agit d’une grippe) peut être circonscrite par un traitement efficace et dénué de tout danger à condition que celui-ci soit appliqué précocement. Pour évaluer le caractère précoce de cette grippe, outre les signes cliniques que n’importe quel médecin de ville peut reconnaître il y a le dépistage à l’aide de thermomètres infra-rouge qui ne coûtent que 30 euros la pièce. En cas de fièvre il est alors conseillé de se soumettre à un test RT-PCR si celui-ci ne comporte pas plus de 25 cycles d’amplification, la norme appliquée en Allemagne, et alors le traitement préconisé par l’IHU de Marseille fait disparaître la charge virale après un délai d’une semaine. Les deux études dirigées par le Docteur Risch prouvent que cette approche est satisfaisante et que le confinement, l’arrêt total de l’économie, le port obligatoire du masque et toutes autres sortes de fantaisies sont inutiles et plus important encore, si cette approche rationnelle était adoptée massivement alors cette grippe disparaîtrait d’elle-même.

    C’est trop demander aux politiciens corrompus par le lobby des laboratoires pharmaceutiques : ils ne pensent pas au bien-être des populations dont ils ont la charge, ils sont surtout occupés par l’épaisseur de leur porte-feuille tout en prenant des mesures telles que jamais on ne pourra leur reprocher quoi que que ce soit puisqu’ils appliquent à la lettre le sinistre principe de précaution. Voilà où en sont les démocraties occidentales, affligeant !

    Sources : https://doi.org/10.1101/2020.09.30.20204693 et https://doi.org/10.1016/j.amjmed.2020.07.003

    https://jacqueshenry.wordpress.com

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  6. 200 avocats et juristes appellent "au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects"


    Redaction
    Le journal du Dimanche
    dim., 08 nov. 2020 08:29 UTC


    Voici la tribune des 200 avocats et juristes appelant au déconfinement : "Alors qu'il y a quelques jours encore il n'était 'pas question de reconfiner', Emmanuel Macron a finalement annoncé ce que beaucoup craignaient : la mise en place d'un nouveau confinement général et forcé. Nous, avocats et juristes de toutes spécialités et de tous territoires de France, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d'expression, manifestons notre indignation face à l'injustice de cette mesure.

    Des dizaines d'avocats, professeurs de droit et juristes ont signé un appel piloté par les avocats Thibault Mercier et René Boustany, co-fondateurs du Cercle Droit et liberté, pour mettre fin au confinement des forces vives du pays.

    Après la sidération passée du premier confinement, nous pensons qu'un tel consentement aux violations de nos libertés et de nos modes de vies n'est ni viable ni légitime et que cette mise sous cloche de l'ensemble des Français aura des effets collatéraux majeurs qui seront plus délétères que le virus lui-même.

    Ayant tout autant à cœur de défendre la vie que les thuriféraires du confinement, nous refusons le mauvais rôle qui nous est assigné et la fausse morale que l'on nous oppose.

    Nous rejoignons bien sûr l'avis du Président de la République qui a déclaré que rien n'était 'plus important que la vie humaine', mais nous pensons que le confinement général relève d'une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l'OMS, 'un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité'. Protéger la vie implique donc de prendre en compte l'ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.

    Nous comprenons la colère et les inquiétudes des médecins et personnels de santé et demandons au Gouvernement de leur apporter les moyens nécessaires à l'exercice de leurs professions. Alors que le soutien aux hôpitaux aurait dû être la priorité de l'exécutif ces six derniers mois, ce dernier s'est laissé déborder et préfère brandir la menace d'un effondrement du système de santé lui permettant d'imposer des mesures qu'il qualifie arbitrairement d'ultime recours pour ne pas avoir à étudier d'autres options, qui existent pourtant. C'est ainsi faire offense aux médecins et aux Français en laissant croire qu'ils ne sont pas en mesure de gérer la crise que nous traversons.

    Par la mise à l'arrêt d'une bonne partie du pays, le Gouvernement sacrifie les plus courageux d'entre les nôtres : les entrepreneurs, les indépendants, les artisans ceux qui ont pris des risques pour investir et créer, donnant à ce pays couleur et vie, ainsi que leurs salariés. Pourtant la misère humaine et sociale qui découlera de ce reconfinement (faillites, dépressions, suicides, pauvreté, troubles psychologiques, renoncements aux soins) entraînera elle aussi de nombreux morts, mais forcément moins visibles à court terme... Si des mesures de soutien ont bien été annoncées, ces dernières ont été prises au prix d'un endettement inédit de notre pays, qui ruinera, demain, et nos enfants et les marges de manœuvres politiques de notre Nation.

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  7. Si nous sommes en guerre comme l'a déclaré maintes fois l'exécutif, c'est de courage dont nous avons besoin et non d'une gouvernance par la peur qui nous pousse à la culpabilisation moralisatrice et à l'acceptation du pire par la crainte. Cette crainte étant d'ailleurs souvent irrationnelle : rappelons que l'âge médian des décès est de 84 ans selon les dernières statistiques de Santé Publique France. Contraindre à l'inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre, tout sursaut est une bien curieuse manière de mener un combat !

    Nous nous inquiétons ainsi du devenir de cette société du risque zéro qui serait prête à ne plus vivre pour ne pas mourir et sacrifier pratiquement tout, ses conditions normales de vie, les rapports sociaux, le travail, et même les amitiés, les affects et les convictions politiques et religieuses, à la menace de se contaminer.

    En tant que juristes nous alertons également tout particulièrement sur la torsion du droit que justifierait la lutte contre la pandémie. Tout état d'exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive.

    Ainsi notre droit est désormais soumis à l'injonction technico-scientifique des médecins et du Conseil scientifique qui imposent leur vision de spécialistes au détriment d'une vision politique plus globale qui se doit de mettre en balance différents intérêts. Et la santé de devenir une obligation juridique à remplir à tout prix...

    Rappelant que l'OMS a souligné les effets délétères du confinement et nous fondant notamment sur les travaux de l'Institut des droits de l'homme des avocats européens et l'Institut des droits de l'homme du barreau de Paris, nous estimons que le confinement forcé général est disproportionné dans son atteinte à nos libertés publiques, injuste, contraire au bien commun et donc illégal. Le Gouvernement se doit d'adapter ses mesures pour protéger les personnes fragiles et celles exposées aux formes les plus graves de la pandémie sans sacrifier l'ensemble des citoyens qui permettent aux pays de survivre.

    Nous joignant à de nombreux entrepreneurs et maires de communes ayant tiré la sonnette d'alarme, nous demandons donc à l'exécutif de permettre le déconfinement des forces vives de notre pays et aux élites de tous bords de faire entendre leurs voix pour protester contre ces mesures qui toucheront le plus durement nos plus humbles concitoyens."

    https://fr.sott.net/article/36263-200-avocats-et-juristes-appellent-au-deconfinement-et-a-defendre-la-vie-sous-tous-ses-aspects

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  8. Pour le mondialiste Klaus Schwab, après le COVID le monde ne reviendra « jamais » à la normale


    Paul Joseph Watson, Summit News
    Sott.net
    mer., 11 nov. 2020 11:39 UTC


    Dans son livre "Covid-19 : The Great Reset", le mondialiste du Forum économique mondial Klaus Schwab affirme que le monde ne reviendra "jamais" à la normale, bien qu'il admette que le coronavirus "ne constitue pas une nouvelle menace existentielle".

    James Delingpole de Breitbart dévoile comment Klaus Schwab est encore plus explicite dans son livre sur le plan de l'élite pour exploiter la pandémie de COVID que dans ses déclarations publiques.

    Schwab a continuellement fait pression pour que COVID soit exploitée afin de promouvoir un nouvel ordre mondial, affirmant que "le moment historique est venu non seulement de combattre le... virus mais aussi de façonner le système... pour l'ère post-corona".

    Cependant, il va plus loin dans son livre, en précisant que l'élite financière ne permettra jamais à la vie de revenir à la normale, suggérant que les verrouillages roulants et autres restrictions deviendront permanents.

    "Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale", écrit Schwab.

    "La réponse courte est : jamais. Rien ne reviendra jamais au sens "brisé" de la normalité qui prévalait avant la crise, car la pandémie de coronavirus marque un point d'inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale".

    Le mondialiste fait cette affirmation tout en admettant que la menace posée par le COVID est faible par rapport aux pandémies précédentes.

    "Contrairement à certaines épidémies passées, le COVID-19 ne constitue pas une nouvelle menace existentielle", écrit-il.
    Schwab explique clairement que la "quatrième révolution industrielle" ou "Le Grand Reset" va fondamentalement changer la façon dont le monde fonctionne.

    « Des changements radicaux d'une telle importance sont à venir que certains experts les ont qualifiés d'ère "avant coronavirus" (BC) (Before Coronavirus) et "après coronavirus" (AC) (After Coronavirus). Nous continuerons à être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements - en se combinant les uns aux autres, ils provoqueront des conséquences de second, troisième, quatrième ordre et même plus, des effets en cascade et des résultats imprévus », écrit-il.

    Comme l'explique James Delingpole dans sa chronique, "Le Grand Reset" ne représente qu'un réaménagement de l'ancien programme mondialiste qui a bégayé au cours de la dernière décennie.

    À savoir, un régime dictatorial technocratique par une petite élite, le "green new deal", l'abolition progressive de la propriété privée, un salaire minimum garanti qui verra les emplois remplacés par des robots, une répression des libertés individuelles et une limitation de la liberté de mouvement.

    Comme nous l'avons souligné précédemment, l'idée que le monde ne reviendra jamais à la normale après la fin de la campagne électorale est défendue par l'establishment dans tous les domaines.

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  9. Un haut responsable de l'armée américaine a déclaré que le port du masque et la distanciation sociale deviendront permanents, tandis que le rédacteur en chef de la sécurité internationale de CNN, Nick Paton Walsh, a affirmé que le port obligatoire du masque deviendra "permanent", "juste une partie de la vie", et que le public devra "s'y faire".
    Source : Summit News - Traduction Sott.net

    -- Commentaire : Pour des détails sur le régime dictatorial, lire le focus : Covid-21 — Cette feuille de route correspond-elle vraiment au plan canadien du NOM pour 2021 ? À vous de décider...

    Garder aussi à l'esprit que la diffusion de ces informations peut faire partie d'une opération psychologique destinée à démoraliser les gens pour faire passer l'idée que le plan est inéluctable.

    Lire : Ne tombez pas dans le piège de cette opération psychologique ! Biden n'est pas officiellement le président élu, du moins pas encore... --

    https://fr.sott.net/article/36267-Pour-le-mondialiste-Klaus-Schwab-apres-le-COVID-le-monde-ne-reviendra-jamais-a-la-normale

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    1. Effectivement, nous respirons actuellement plus de 200 000 microbes et virus par minute et 2 millions en activité physique soit quelques milliards par jours et des milliards avec 150 zéros depuis notre naissance !

      ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS !! Ca alors !!

      Ainsi, avec les 'tests' RT-PCR ils nous montrent que nous en avons (au moins un !) dans nos poumons qui les combattent et les exterminent immédiatement depuis notre naissance. Cela suffit pour nous faire afficher 'positif' ! voire incarcéré avant d'être passé au four !

      Avec cette avalanche d'immigrés qui continuent d'affluer la disparition de millions d'autochtones ne se verra même pas !
      Qui va se soucier de la disparition (parti en vacances ?) du voisin ?!

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  10. Coronavirus : un journaliste raconte son traitement à l'hydroxychloroquine


    france bleu
    mar., 22 sept. 2020 21:55 UTC


    Paul Molga, journaliste pour Les Echos à Marseille, a été testé positif à la Covid-19 il y a 10 jours. Souffrant de violents symptômes, il a décidé de suivre le traitement controversé préconisé par le Professeur Raoult. Il raconte la maladie et les effets du traitement, presque immédiats.

    Paul Molga avec le traitement préconisé par le Professeur Didier Raoult. - Paul Molga

    C'est le 13 septembre que Paul Molga, journaliste pour Les Echos à Marseille, a ressenti les premiers symptômes de la Covid-19 : "Grosse fatigue, mal de tête, violentes courbatures, frissons. C'est quelque chose de nouveau dans l'organisme, ce n'est pas vraiment une grippe, c'est plus violent que ça. On se sent habité, par des êtres, des virus qui sont inconnus du corps." Très vite, Paul se rend à l'IHU Méditerranée Infection pour faire le test. Le diagnostic tombe et après une batterie d'examens, les médecins lui proposent de suivre le traitement du Professeur Didier Raoult.

    Le mercredi 16 septembre, médicaments sur la table, Paul peut commencer le traitement : azythromycine une fois par jour pendant cinq jours, hydroxychloroquine trois fois par jour associée à du zinc. Et les effets sont très rapides.

    "Mercredi soir, je prends les premiers médicaments. Jeudi matin, je sens que la charge virale a déjà diminué et la plupart des symptômes se sont atténués." - Paul Molga

    Au fil des jours, Paul se sent de mieux en mieux. Dès le vendredi, il a même la sensation de ne plus ressentir de symptôme. Mais il doit tout de même poursuivre le traitement pendant 10 jours. Un traitement parfois plébiscité, parfois très critiqué, notamment dans le milieu médical. Début juin, l'essai clinique britannique Recovery concluait même que l'hydroxychloroquine ne montrait "pas d'effet bénéfique" pour les malades de la Covid-19.

    Paul Molga assure qu'avant de le suivre il n'était "ni anti ni pro Raoult". Il a voulu tester pour se soigner : "Ce qui m'étonne, c'est la violence qu'on fait subir à ce traitement et à l'hydroxychloroquine. On a quand même parlé de poison alors que c'est un médicament dont on connaît les effets depuis 70 ans, il y a plusieurs continents qui en prennent régulièrement. On n'a pas parlé de taux de mortalité associé à la prise de médicament."

    En tant que journaliste il reconnaît avoir été curieux de tester ce que certains appellent "la potion du druide". "J'avais entendu, comme beaucoup, des témoignages de malades qui guérissaient du protocole Raoult."

    "C'est ma vérité, ce n'est pas une vérité absolue. Moi j'ai pu le tester, je vois les effets et je vois aussi les gens qui n'ont pas pris de traitement et dont les symptômes traînent des semaines, voire des mois."

    Ce mardi 22 septembre, donc un peu plus d'une semaine après les premiers symptômes, Paul Molga se sent mieux, il ose même prononcer le mot "guérison" : "Je n'ai plus aucun symptôme."

    https://fr.sott.net/article/36265-Coronavirus-un-journaliste-raconte-son-traitement-a-l-hydroxychloroquine

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  11. Certaines personnes recherchaient «Punition pour fraude électorale» * avant * l'élection


    November 11th, 2020


    C'est presque comme si certaines personnes envisageaient de faire quelque chose d'un peu méchant?
    Au Caldron Pool, quelqu'un a remarqué que les recherches sur «Election Fraud Punishment» avaient une tendance élevée à la fin octobre dans le Michigan, la Pennsylvanie et l'Arizona.

    Recherche le pic de la «répression de la fraude électorale» dans l'Arizona, le Michigan et la Pennsylvanie quelques jours avant l'élection
    Selon Google Trends, les recherches sur la «répression de la fraude électorale» ont atteint un sommet dans trois États importants avant l'élection présidentielle américaine de 2020.

    - voir graphique sur site -

    Recherche sur la répression de la fraude électorale sur Google Trends

    Je note que Google Machine affiche des résultats différents maintenant, mais ce post circule depuis quelques jours. Si Google est prêt à supprimer les rassemblements de Hunter Biden Laptop et MAGA, quelles sont quelques tendances révisées?

    Quelqu'un a ces adresses IP.

    https://joannenova.com.au/2020/11/some-people-were-searching-election-fraud-punishment-before-the-election/

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  12. Un vaccin à 90% apparaît comme par magie deux jours après la déclaration de victoire de Biden


    November 11th, 2020


    Trump avait raison, mais Biden obtient la gloire
    Pfizer a retardé la découverte dans ce qui semble être un petit pari politique

    Tout au long, on nous a dit qu'un vaccin «d'ici octobre» était peu probable et qu'une efficacité de 50 à 60% serait acceptable. Le 16 septembre, Trump a déclaré qu '"un vaccin contre le COVID-19 pourrait être prêt dans trois ou quatre semaines." Probablement parce qu'il attendait ces résultats ou d'autres comme eux. Le 18 septembre, Biden a déclaré qu'il était irrationnel: «L'idée qu'il y aura un vaccin et que tout ira bien demain - ce n'est tout simplement pas rationnel, pas raisonnable», et le Medical Swamp a soutenu Biden.

    Mais le Dr Moncef Slaoui, le conseiller scientifique en chef de l'opération Warp Speed, a déclaré qu'un vaccin d'ici octobre était peu probable. Tout comme le Dr Anthony Fauci, le membre le plus éminent et le plus populaire du groupe de travail sur les coronavirus de la Maison Blanche. Au lieu de cela, l'annonce du vaccin est intervenue six jours après les élections, car les votes sont toujours en cours de décompte dans certaines régions du pays.

    Le 10 novembre, les marchés ont explosé avec les nouvelles de Pfizer sur les vaccins.

    La vérité était que Pfizer n'allait jamais annoncer des nouvelles sur les vaccins susceptibles de changer la donne avant les élections. C’est parce qu’ils ont modifié la date limite initiale pour l’analyse intermédiaire en octobre et se sont cachés tous les résultats jusqu’au 4 novembre. Et nous les croyons quand ils disent qu’ils n’ont pas regardé?

    Un responsable de WhiteHouse a déclaré à RealClear Politics: "C'est un scandale." "Ils n'ont intentionnellement pas examiné les données lors de leur planification initiale", a déclaré la source à RCP. «Et cela aurait probablement été annoncé en octobre s'ils l'avaient regardé comme initialement prévu.»

    La déclaration faisait référence à la décision prise par la société pharmaceutique fin octobre de renoncer à une première analyse intermédiaire. Au lieu de cela, comme le journal industriel STAT l'a rapporté pour la première fois, Pfizer a commencé l'analyse du vaccin d'essai le mercredi après le jour du scrutin.

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  13. Pfizer prend le gâteau pour une politique mesquine

    Pfizer a même fait tout son possible pour dire qu'ils ne faisaient pas partie de l'opération Warp Speed, ce que les médias ont rapporté avec satisfaction. Mais en fait, eux et leur partenaire allemand ont un accord pour collecter 2 milliards de dollars auprès de l'opération Warp Speed ​​lors de la livraison, ce qu'ils ont admis le lendemain. C'est donc un succès de Trump (en supposant que cela fonctionne vraiment). Combien d'agences de presse le diront au monde?

    Pfizer s'est distancé de M. Trump et de l'opération Warp Speed. Dans une interview dimanche, Kathrin Jansen, vice-présidente senior et responsable de la recherche et du développement de vaccins chez Pfizer, a déclaré: «Nous n'avons jamais fait partie du Warp Speed», ajoutant: «nous n'avons jamais pris d'argent du gouvernement américain. , ou de n'importe qui. »

    Lundi, une porte-parole de Pfizer a précisé que la société faisait partie de l'opération Warp Speed ​​en tant que fournisseur d'un vaccin potentiel contre le coronavirus.

    S'il est vrai que Pfizer et BioNTech avaient travaillé sur un vaccin toute l'année avant que les entreprises ne concluent leur accord avec le gouvernement américain en juillet, un accord de 1,95 milliard de dollars est néanmoins une incitation importante à continuer.

    –Carl Zimmer et Katie Thomas, NY Times

    Pour être encore plus mesquin, le président élu non vérifié Biden a reçu la nouvelle avant le président américain.

    Le pari politique de Pfizers pourrait être annulé
    Pfizer veut que le public lui fasse confiance, mais il est prêt à jouer à des jeux partisans. Covid était un gros problème pour de nombreux électeurs américains et il est clair que si la nouvelle avait été publiée avant les élections, elle aurait aidé Trump et blessé Biden. Encore une fois - le marais fait tout sauf mettre en avant de bonnes politiques, afin de faire basculer les chances.

    Mais à l'heure actuelle, dix autres vaccins sont déjà en phase d'essais tardifs dans le monde, et avec seulement quelques mois de données derrière celui de Pfizer, il est possible que le vaccin Pfizer ne protège pas longtemps les gens et ne fonctionne pas bien dans les personnes de plus de 65 ans ou chez les jeunes enfants. Ce ne sont encore que des résultats provisoires basés sur 94 infections. Il y a beaucoup de concurrence et d’autres choix peuvent être tout aussi bons. Si, comme le dit Mike Pompeo, «ce sera une transition en douceur vers un deuxième mandat de Trump», alors le comportement de Pfizer pourrait coûter cher.

    Pourquoi Pfizer a-t-il pris ce risque ? Peut-être que quelqu'un a chuchoté à l'oreille du PDG en octobre qu'il «savait» quel serait le résultat des élections et Pfizer voulait s'attirer les faveurs. Ou peut-être que le PDG d'une grande entreprise multinationale de haute technologie était assez stupide pour croire tous les sondages ?

    https://joannenova.com.au/2020/11/90-vaccine-magically-appears-two-days-after-biden-declares-win/

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  14. Marche pour Trump, d'autres rassemblements MAGA que Twitter ne veut pas que vous sachiez


    November 11th, 2020


    StopTheSteal a annoncé un Massive Pro Trump Rally ce samedi à Washington DC. Puis les mentions de celui-ci ont disparu sur Internet. Puisque Twitter, fier promoteur des émeutes démocrates, censure le Massive Pro Trump Rally, je me sens obligé de partager cela et vous devriez le faire aussi. C'est une question de liberté d'expression.

    Nous sommes dans une guerre de l’information. Ce que les collectivistes veulent, c'est que les fans de Trump regardent leurs nouvelles filtrées, se sentent démoralisés et se soumettent au nouvel ordre. Ce dont ils ont le plus peur, ce sont 70 millions de fans de Trump qui s'organisent et qui se retrouvent dans les rues avec leurs chapeaux rouges MAGA.

    RSVP à StopTheSteal.US

    Il y a aussi des rassemblements dans de nombreux autres États. Voir StopTheSteal pour plus de détails.

    Marche pour Trump, protestation, samedi 14 novembre 2020
    Dis-le à tes amis.

    Imaginez l'effet si les principaux médias informaient les gens que cela allait arriver?

    La droite a un besoin urgent de consolider de nouvelles voies de communication. Inscrivez-vous aux newsletters et aux listes. Rejoignez Parler et Gab. Vérifiez Bitchute. Partagez des e-mails avec des amis. Et portez le chapeau MAGA si vous pouvez le faire sans danger. Dans certains endroits, il est déjà trop risqué de porter le chapeau - mais ce ne serait pas le cas si beaucoup de gens le portaient. L'antidote à la censure et à la répression est

    Quoi que vous fassiez, n’attendez pas d’entendre parler des prochains rassemblements par le biais de vos médias locaux. Ils sont trop occupés à applaudir que la Chine, l’UE et l’ONU attendent avec impatience des accords plus amicaux avec Joe Biden. Ils le feraient, n'est-ce pas? C'est leur aveu que Trump a remporté des accords plus difficiles avec eux.

    https://joannenova.com.au/2020/11/march-for-trump-other-maga-rallies-that-twitter-dont-want-you-to-know-about/

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  15. Joe Biden ne compte pas assez de voix pour devenir Président US, estime RealClearPolitics


    16:39 11.11.2020
    Par Irina Dmitrieva


    Le candidat démocrate à la présidentielle US, Joe Biden, ne dispose pas d’assez de voix pour remporter l’élection, d’après les calculs du site RealClearPolitics, cités par l'avocat du Président Trump, Rudy Giuliani, sur Twitter.

    Le site RealClearPolitics a déduit 20 votes de la Pennsylvanie des résultats préliminaires de Joe Biden, lui faisant perdre sa position de leader à la présidentielle aux États-Unis, a affirmé mardi 10 novembre Rudy Giuliani, avocat du Président sortant Donald Trump, sur Twitter.

    Comme on peut le voir sur le tableau interactif publié par RealClearPolitics, le candidat démocrate compte actuellement 259 voix, soit 11 de moins que nécessaire pour gagner. Son rival Donald Trump, détient toujours 214 voix. Tout comme l'Alaska, l'Arizona, la Géorgie et la Caroline du Nord, la Pennsylvanie est donc considérée comme un État «indécis».

    Tom Bevan, co-fondateur et président de RealClearPolitics, a démenti la déclaration de Rudy Giuliani, indiquant sur Twitter que le site n’avait «jamais déduit» de voix de la Pennsylvanie et que rien n’avait changé.

    Pour le moment, 97 % des votes ont été comptabilisés en Pennsylvanie. Joe Biden y reste en tête avec 49,8 %, Trump recueillant 49,1 % des suffrages.

    Vers un résultat contesté de la présidentielle US?

    L’élection présidentielle s’est tenue aux États-Unis le 3 novembre. Les résultats officiels du vote de certains États sont toujours inconnus.

    Donald Trump s’est proclamé vainqueur avant d’accuser les Démocrates d'essayer de «voler l’élection». L’équipe de campagne du Président sortant a l'intention d'exiger un recomptage.

    Dans le même temps, selon les calculs des principales chaînes de télévision américaines, le candidat démocrate Joe Biden est en tête. Ce dernier a également annoncé avoir remporté l'élection.

    https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202011111044754310-joe-biden-ne-compte-pas-assez-de-voix-pour-devenir-president-us-estime-realclearpolitics/

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  16. La Géorgie annonce un recomptage manuel alors que les marges minces de rasoir persistent


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 10:49


    Mise à jour (1130ET): Voici le secrétaire d'État de l'AG Raffensperger qui fait l'annonce.

    Raffensperger a déclaré que «l'audit manuel» comté par comté serait terminé avant la date limite de certification, le 20 novembre, jour où les électeurs des États seront certifiés.

    * * *

    Alors que le président Trump et son dossier de campagne intentent des poursuites dans le Michigan donnant le «faux récit» que le président Trump aurait peut-être remporté (ou du moins n'a pas encore définitivement perdu) le vote du 3 novembre après tout, le secrétaire d'État de Géorgie a vient d'annoncer qu'il y aura un recomptage manuel de tous les votes.

    La décision n'est pas inattendue, le secrétaire d'État de Géorgie, Brad Raffensperger, a averti les journalistes la semaine dernière que l'État procéderait probablement à un recomptage étant donné la marge infime entre l'ancien vice-président Joe Biden et le président Trump. Il a de nouveau promis qu'un:

    Au dernier contrôle, Joe Biden vient tout juste de devancer le président Trump dans l'État de Peach.

    C'est juste le dernier rappel que le MSM a peut-être sauté le pistolet en déclarant que les questions du GOP sur le décompte étaient complètement sans fondement, comme le NYT l'a rapporté sur sa première page.

    Peut-être que c'est, en fait, l'inverse ?

    Quel que soit le résultat, il convient toujours de noter, ne serait-ce que pour souligner que les sentiments flous de certitude de l'Amérique, qui ont été crédités dans une certaine mesure pour avoir contribué à propulser les marchés plus haut à la suite des élections, pourraient être déplacés.

    https://www.zerohedge.com/political/georgia-announces-hand-recount-razor-thin-margins-persist

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  17. McEnany dévoile 234 pages d'affidavits alléguant des irrégularités électorales au Michigan


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 13:45
    Rédigé par Mimi Nguyen Ly via The Epoch Times,


    L'attachée de presse de la Maison Blanche, Kayleigh McEnany, a annoncé mardi soir 234 pages de ce qu'elle a déclaré être des affidavits sous serment alléguant des irrégularités électorales dans un comté du Michigan.

    McEnany est apparue aux côtés de la présidente du Comité national républicain Ronna McDaniel sur «Hannity» de Fox News, où elle a partagé plusieurs allégations énumérées dans les affidavits - déclarations faites sous peine de parjure - du comté de Wayne.

    «Nous continuons d’entendre le battement de tambour de« où sont les preuves ? »Ici même, Sean, 234 pages d’affidavits sous serment, ce sont de vraies personnes, de vraies allégations, signées avec des notaires», a déclaré McEnany.

    «Ils allèguent - c'est un comté, Wayne County, Michigan - ils disent qu'il y a eu un lot de bulletins de vote où 60 % avaient la même signature», a-t-elle déclaré à l'animateur Sean Hannity.

    «Ils disent que 35 bulletins de vote n'avaient pas de registre des électeurs, mais qu'ils ont quand même été comptés, que 50 bulletins de vote ont été exécutés plusieurs fois à travers une machine de tabulation.»


    McEnany a également partagé les détails d'un autre affidavit dans lequel une femme a allégué que «son fils était décédé mais avait néanmoins voté d'une manière ou d'une autre».

    «Ce sont l'une des nombreuses allégations dans un comté, et un comté pas moins, où les observateurs du scrutin ont été dans de nombreux cas menacés de harcèlement racial, ils ont été mis à l'écart et les challengers démocrates distribuaient des documents, comment distraire le GOP challengers », a-t-elle poursuivi.

    «Celles-ci sont réelles et quiconque se soucie de la transparence et de l’intégrité du système devrait souhaiter que cela se poursuive jusqu’à la phase de découverte.»

    Lundi, la campagne de réélection du président Donald Trump a déposé une plainte devant le tribunal du comté de Wayne pour fraude électorale dans les procédures de dépouillement. Le procès allègue que les responsables électoraux du comté ont autorisé divers traitements frauduleux des votes, notamment en disant aux agents du scrutin d'annuler les bulletins de vote et de ne pas vérifier les signatures sur les bulletins de vote par correspondance. Plusieurs témoins ont déposé des affidavits sous serment attestant de prétendues fraudes électorales. Les plaignants, deux challengers du scrutin, demandent une ordonnance d'interdiction temporaire du dépouillement. L'affaire est pendante.

    Tard mardi, la campagne Trump a annoncé le dépôt d'un procès devant le tribunal de district des États-Unis dans le district ouest du Michigan qui allègue des irrégularités et des violations électorales omniprésentes dans le comté de Wayne et sollicite un examen du logiciel Dominion Voting qui a causé des problèmes dans plusieurs États.

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  18. Un certain nombre de médias ont déclaré le candidat démocrate Joe Biden président élu le 7 novembre après avoir projeté des victoires pour lui en Pennsylvanie et au Nevada, le plaçant au-dessus du seuil de 270 voix électorales, bien que le décompte des voix ne soit pas terminé dans ces États. Le décompte des voix se poursuit également en Géorgie et en Arizona. La Géorgie et le Wisconsin auront des recomptages des votes, où les résultats ont initialement donné une avance à Biden.

    Trump a allégué une fraude électorale et a déclaré que toute déclaration de victoire était prématurée, sa campagne ayant lancé de multiples contestations judiciaires en Pennsylvanie, au Wisconsin, en Géorgie, en Arizona, au Nevada et au Michigan. Le président a déclaré mardi que sa campagne progressait et a déclaré qu'il serait finalement déclaré vainqueur des élections de 2020.

    McDaniel a déclaré à Hannity que la campagne Trump avait reçu 11000 rapports d'incident et avait compilé au moins 500 affidavits de témoins dans divers États.

    «C'est un long processus et les gens doivent être patients. Les médias n'arrêtent pas de dire «où sont les preuves, où sont les preuves», car ils ne nous laissent pas le temps de les montrer », a-t-elle déclaré.

    «Mais même les preuves que nous avançons, ils décident« oh nous n'allons pas le signaler »ou« nous allons rompre les conférences de presse »et nous ne voulons pas entendre ces 500 personnes. qui ont signé des affidavits parlant de ce qu’ils ont vu avec cette élection. »

    Les commentaires de McDaniel interviennent après que Fox News, tard lundi, ait rapidement interrompu la diffusion d'un briefing de la campagne Trump, après que McEnany ait semblé alléguer que le Parti démocrate avait été impliqué dans la fraude électorale. Le point de vente a affirmé que McEnany n'avait pas de détails pour étayer ses allégations.

    The Epoch Times n’appelle pas la course tant que les batailles juridiques ne sont pas résolues, que tous les résultats sont certifiés et que les votes du collège électoral sont exprimés.

    https://www.zerohedge.com/political/mcenany-unveils-234-pages-affidavits-alleging-election-irregularities-michigan

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  19. D'une manière ou d'une autre, la vie en Amérique sera la même après cela ...


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 12:34
    Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    Comment diable sera-t-il possible pour l'Amérique d'avoir un avenir radieux alors qu'environ la moitié du pays aura l'impression que les élections lui ont été volées, quel que soit le résultat final ? Il n’y aura tout simplement pas de retour à la situation des quatre dernières années. En ce moment, des dizaines de millions de partisans de Trump pensent que les démocrates ont volé l'élection. Mais si les tribunaux sont d'accord avec l'équipe juridique de Trump et que Trump finit par obtenir un deuxième mandat, des dizaines de millions de partisans de Biden seront convaincus que les républicains ont volé l'élection. Quoi qu'il en soit, nous allons être une nation pleine de gens profondément en colère.

    À l'heure actuelle, les médias traditionnels supposent que Biden sera président. Mais la réalité est que nous allons nous retrouver avec Donald Trump ou Kamala Harris à la Maison Blanche. Même si Biden est inauguré, sa condition physique qui se détériore rapidement ne lui permettra pas de servir très longtemps. Que ce soit une question d'années, de mois ou de jours, tout le monde sait qu'une administration Biden ne sera simplement qu'un pont vers une administration Harris.

    Si les contestations judiciaires de Trump n'aboutissent pas et que Biden sort finalement victorieux, les partisans de Trump devraient en fait prier très fort pour la santé de Biden, car les choses iront en fait bien pire pour eux sous une administration Harris. Je crois que Biden essaiera au moins de maintenir la façade selon laquelle il tente d '«unifier» la nation, mais une fois qu'il sera hors de vue, Harris n'hésitera pas à faire tomber le marteau sur son opposition.

    Harris a été classée membre la plus libérale du Sénat américain pendant son séjour là-bas. Oui, cela la rend encore plus libérale que Bernie Sanders. Et quand elle était procureure générale de Californie, elle a montré à quel point elle peut parfois être impitoyable.

    Lors des élections générales, elle a essayé de montrer un côté plus doux, mais cela n'a vraiment trompé personne. Nous nous souvenons tous des politiques d'extrême gauche qu'elle a adoptées lors de sa course malheureuse à la présidence, et son bilan en tant que procureure générale de Californie démontre clairement ses tendances autoritaires.

    Bien sûr, de nombreux partisans de Trump espèrent qu'une administration Harris ne se matérialisera jamais parce que Trump remporte un deuxième mandat. Et sans aucun doute, c'est certainement possible. Mardi soir, l'attachée de presse de la Maison Blanche, Kayleigh McEnany, a montré à Sean Hannity une pile de 234 pages d'affidavits sous serment de personnes ayant témoigné avoir été témoins de fraudes électorales dans leurs États. Chaque jour, de plus en plus de preuves d'irrégularités de vote continuent d'apparaître, et je suis convaincu qu'il y aura plus de bombes demain.

    Mais le temps presse. Comme je l'ai mentionné plus tôt aujourd'hui, le Collège électoral va voter le 14 décembre, et tout différend concernant la sélection des électeurs doit être réglé d'ici le 8 décembre.

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  20. Cela signifie donc que l'équipe juridique de Trump a moins d'un mois pour inverser les résultats dans suffisamment d'États pour donner la victoire à Trump, et cela va être une tâche extrêmement difficile.

    Mais pour un instant, supposons que l’équipe juridique de Trump réussisse.

    Pensez-vous que la gauche va simplement reculer et accepter pacifiquement quatre années supplémentaires de Trump ?

    Mettez-vous simplement à leur place. Les médias traditionnels leur ont répété à maintes reprises qu'ils avaient remporté les élections légitimement et qu'il n'y avait «absolument aucune preuve» de fraude électorale. Lorsque les grands réseaux d'information ont appelé à l'élection de Biden, ils ont ri, ils ont pleuré et ils ont dansé dans les rues. Pour beaucoup à gauche, c'était comme si Noël, leurs anniversaires et le 4 juillet étaient arrivés d'un seul coup.

    Pouvez-vous imaginer à quel point ils vont ressentir de la fureur si l’équipe juridique de Trump est capable de basculer État après État et de faire basculer le résultat final dans l’autre sens ?

    Il suffirait certainement de convaincre nombre d’entre eux qu’une solution pacifique n’est plus possible. Je crois que nous verrons de la violence dans nos rues de façon permanente à partir de maintenant, et ce serait bien pire que n'importe lequel des troubles civils dont nous avons été témoins jusqu'à présent.

    Comme je l'ai dit, il est impossible de revenir à la façon dont les choses étaient avant.

    Soit une administration Biden sera un pont vers une administration Harris d'extrême gauche absolument impitoyable, soit un deuxième mandat pour Trump amènera la gauche à aller absolument bezerk.

    Je ne vois aucune autre option pour le moment.

    Le faites vous ?

    Dans l'état actuel des choses, nous ne savons toujours pas qui va gagner. Selon la Constitution américaine, c'est le collège électoral qui élit le président, et cette élection n'aura pas lieu avant le 14 décembre.

    Personne ne devrait donc encore revendiquer le titre de «président élu». Vous ne pouvez pas être un «président élu» si l’élection n’a même pas eu lieu.

    Oui, si nous arrivons au 8 décembre et que Joe Biden est toujours en tête du décompte des voix dans les États qu'il dirige actuellement, il semblera que le temps sera écoulé pour la campagne Trump.

    Mais 234 pages d’affidavits sous serment ne sont pas à se moquer, et je suis sûr que l’équipe juridique de Trump travaille jour et nuit pour découvrir encore plus de preuves de fraude potentielle.

    Il faudrait le plus grand miracle juridique de l'histoire des élections américaines pour que Trump y parvienne, mais c'est certainement toujours possible.

    À l'heure actuelle, nous jouons toujours à un jeu d'attente. La plupart des partisans de Trump pensent toujours que Trump finira par gagner, et la plupart des partisans de Biden sont absolument convaincus qu'ils ont cette élection dans le sac.

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  21. Mais une fois que les votes auront été exprimés par le collège électoral, il n'y aura plus de retour en arrière, et la pure horreur de ce qui s'est passé commencera à se répandre dans environ la moitié du pays.

    Quel que soit le résultat, les années à venir seront incroyablement douloureuses alors que notre société se désagrège littéralement aux coutures tout autour de nous.

    Après tout ce qui a déjà eu lieu, personne ne pourra «nous rassembler», et la vie en Amérique ne sera plus jamais la même.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/one-way-or-other-life-america-will-be-same-after

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    1. C'est difficile parce que les républicains sont complices de l'escroquerie des élections et ne s'en sont pas privé durant 4 ans à mettre des bâtons dans les roues parce que Donald Trump n'est pas membre du parti et s'est fait de lui-même !

      Sans parti, c'est pour çà que les Américains l'ont choisi en 2016 ! Et... peut-être aussi que son score était proche des 90 % !

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  22. La Deutsche Bank propose une taxe privilège de 5 % pour le travail à domicile


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 12:10


    À un moment où la Fed monétise déjà tout le déficit budgétaire américain grâce à l'argent des hélicoptères, suscitant des discussions sur l'utilité de la fiscalité, et où une administration Biden est sur le point d'essayer au moins d'annuler la plupart des réductions d'impôts de Trump, la dernière ce que la population veut entendre, c'est encore plus d'impôts.

    Pourtant, dans une "proposition modeste" de la Deutsche Bank, la banque soutient qu'en cette période de fermetures covid omniprésentes, "ceux qui peuvent travailler à domicile (WFH) reçoivent des avantages financiers directs et indirects et devraient être taxés afin de faciliter la transition. processus pour ceux qui ont été soudainement déplacés. "

    En d'autres termes, l'argument dit que travailler dans un bureau est en quelque sorte punitif, et puisque la FMH pendant la pandémie conduit à "de nombreux avantages" en résultant "se déconnecter de la société face à face" une taxe de 5 % pour chaque jour de la FMH "ne laisserait pas la personne moyenne dans une situation pire que si elle travaillait au bureau." La banque estime qu'une telle taxe pourrait rapporter 49 milliards de dollars par an aux États-Unis, 20 milliards d'euros en Allemagne et 7 milliards de livres au Royaume-Uni. "Cela peut financer des subventions pour les travailleurs les moins payés qui ne peuvent généralement pas travailler à domicile."

    Dans le rapport rédigé par le stratège de la DB comme Tumpleman, il soutient que la popularité de la WFH augmentait avant même la pandémie: «entre 2005 et 2018, la technologie Internet a alimenté une augmentation de 173 % du nombre d'Américains qui travaillaient régulièrement à domicile. est vrai que la proportion globale de personnes travaillant à domicile avant la pandémie était encore faible, à 5,4 % sur la base des données du recensement, mais la croissance était encore bien en avance sur la croissance de la population active globale. "

    Naturellement, les fermetures de covid ont dynamisé cette croissance et, par conséquent, la proportion d'Américains qui travaillaient à domicile a été multipliée par dix pour atteindre 56 % pendant la pandémie. Beaucoup de ces personnes continueront à travailler à distance pendant un certain temps. En effet, les deux tiers des organisations affirment qu'au moins les trois quarts de leur personnel peuvent travailler efficacement à domicile, selon S&P Global Markets. Pendant ce temps, une enquête de la DB montre qu'après la fin de la pandémie, plus de la moitié des personnes qui ont essayé la WFH veulent la poursuivre en permanence pendant deux à trois jours par semaine.

    Ce changement soudain vers la FMH signifie que, pour la première fois dans l'histoire, "un grand nombre de personnes se sont déconnectées du monde du face-à-face et mènent encore une vie économique complète" comme si c'était en quelque sorte une mauvaise chose.

    Cela devient de plus en plus fou: la banque affirme que travailler dans le confort de sa propre maison entraîne de nombreux avantages financiers, notamment:

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  23. - économies financières sur les dépenses telles que les déplacements, le déjeuner, les vêtements et le nettoyage.

    - économies indirectes par le biais de la socialisation et d'autres dépenses qui auraient été engagées si un travailleur avait été au bureau.

    - avantages intangibles du travail à domicile, comme une plus grande sécurité d'emploi, plus de commodité et de flexibilité.

    Il y a aussi l'avantage d'une sécurité supplémentaire.

    Comme s'il était difficile de trouver quelqu'un qui s'assoit également devant un ordinateur toute la journée au Bangladesh et qui possède exactement les mêmes compétences, mais qui travaillerait pour une fraction du salaire.

    Pourtant, les personnes qui travaillent à distance sont, selon DB, l'équivalent des parasites sociaux car elles «contribuent moins à l'infrastructure de l'économie tout en en bénéficiant», prolongeant potentiellement le ralentissement de la croissance nationale. En d'autres termes, le simple fait de travailler à domicile vous rend coupable de ne pas soutenir l'économie !

    Cela, selon Templeman, "est un gros problème pour l'économie car il a fallu des décennies et des siècles pour mettre en place l'infrastructure commerciale et économique plus large qui soutient le travail en face à face. Si une grande quantité d'actifs est redondante, le malaise économique sera prolongé. "

    En bref, ceux qui n'ont pas réussi à développer les compétences appropriées et sont "contraints" de travailler dans la société - principalement des employés d'entreprises de services - et qui n'ont pas pu refuser de s'instruire et de se former pour pouvoir "profiter" des avantages du travail les travaux à domicile, qui consistent incidemment à rester assis devant un ordinateur pendant des heures et, dans certains cas notables, à se masturber devant une conférence téléphonique zoom, doivent être récompensés financièrement par tous ceux qui ont la chance de ne pas avoir à travailler en public.

    Bien qu'il soit facile de rire et de simplement balayer cette idée comme une autre proposition de politique ridicule d'une banque dont l'existence même serait très remise en question s'il n'y avait pas eu plusieurs séries de sauvetages généreux financés par les contribuables, car il s'agit encore d'un autre grossièrement socialiste. proposition nous craignons qu'elle ait une très forte probabilité de passage non seulement en Europe mais aussi aux États-Unis, surtout si les démocrates parviennent à tirer un balayage de la «vague bleue» en Géorgie en janvier.

    Jusqu'à présent, une taxe de la WFH a simplement été introduite par une poignée de stratèges de Wall Street; cependant, une fois que cette idée sera plus populaire, attendez-vous à une vague de soutien pour l'idée qui conduira rapidement à une autre taxe.

    Ci-dessous, nous republions le billet de la Deutsche Bank dans son intégralité car il s'agit clairement d'un plan pour ce qui est à venir:

    Une taxe sur le travail à domicile, par Luke Templeman

    Pendant des années, nous avons eu besoin d'une taxe sur les travailleurs à distance - covid vient de le rendre évident. Tout simplement, notre système économique n'est pas conçu pour faire face à des personnes qui peuvent se déconnecter de la société en face à face. Ceux qui peuvent bénéficier de la FMH reçoivent des avantages financiers directs et indirects et devraient être taxés afin de faciliter le processus de transition pour ceux qui ont été soudainement déplacés.

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  24. La popularité de la FMH augmentait avant même la pandémie. Entre 2005 et 2018, la technologie Internet a alimenté une augmentation de 173 % du nombre d'Américains qui travaillaient régulièrement à domicile1. Il est vrai que la proportion globale de personnes travaillant à domicile avant la pandémie était encore faible, à 5,4 % sur la base des données du recensement, mais la croissance était encore bien en avance sur la croissance de la population active globale.

    Covid a dynamisé cette croissance. Pendant la pandémie, la proportion d'Américains qui travaillaient à domicile a été multipliée par dix pour atteindre 56 %. Au Royaume-Uni, il y a eu une multiplication par sept pour atteindre 47 %. Beaucoup de ces personnes continueront à travailler à distance pendant un certain temps. En effet, les deux tiers des organisations affirment qu'au moins les trois quarts de leur personnel peuvent travailler efficacement à domicile, selon S&P Global Markets. Pendant ce temps, une enquête DB montre qu'après le passage de la pandémie, plus de la moitié des personnes qui ont essayé la WFH veulent la poursuivre en permanence pendant deux à trois jours par semaine.

    - voir graphique sur site -

    Le passage soudain à la FMH signifie que, pour la première fois dans l'histoire, un grand nombre de personnes se sont déconnectées du monde en face à face tout en menant encore une vie économique complète. Cela signifie que les travailleurs à distance contribuent moins à l'infrastructure de l'économie tout en bénéficiant de ses avantages.

    C'est un gros problème pour l'économie, car il a fallu des décennies et des siècles pour mettre en place l'infrastructure commerciale et économique plus large qui soutient le travail en face à face. Si une grande partie des actifs est redondante, le malaise économique se prolongera.

    La FMH est financièrement gratifiante

    La FMH offre des économies financières directes sur les dépenses telles que les déplacements, le déjeuner, les vêtements et le nettoyage. Ajoutez à cela les économies indirectes par le biais de la socialisation perdue et d'autres dépenses qui auraient été engagées si un travailleur avait été au bureau. Ensuite, il y a les avantages intangibles du travail à domicile, comme une plus grande sécurité d'emploi, plus de commodité et de flexibilité. Il y a aussi l'avantage d'une sécurité supplémentaire. Les gains nouvellement découverts du travail à domicile, à la fois tangibles et intangibles, ont tous une valeur. Et ils dépassent généralement les coûts. Ces derniers se présentent principalement sous la forme d'un stress mental supplémentaire lié à la jonglerie entre le travail et les enfants et à faire face à une configuration imparfaite du bureau à domicile. Ces coûts ne doivent pas être sous-estimés, cependant, ils pâlissent généralement par rapport aux gains. C'est pourquoi la grande majorité des travailleurs à domicile souhaitent continuer à travailler à distance, au moins à temps partiel, une fois la pandémie passée.

    - voir graphique sur site -

    Premièrement, la taxe ne s'appliquera qu'en dehors des périodes où le gouvernement conseille aux gens de travailler à domicile (bien entendu, les travailleurs indépendants et les personnes à faible revenu peuvent être exclus). La taxe elle-même sera payée par l'employeur s'il ne fournit pas à un travailleur un bureau permanent. Si tel est le cas et que le membre du personnel choisit de travailler à domicile, l'employé paiera la taxe sur son salaire pour chaque jour de travail à domicile. Cela peut être vérifié en coordonnant les voyages de l'entreprise et les systèmes technologiques.

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  25. Le taux d'imposition ? Ceux qui peuvent travailler à domicile ont tendance à avoir des revenus supérieurs à la moyenne. Si nous supposons que le salaire moyen d'une personne qui choisit de travailler à domicile aux États-Unis est de 55 000 $, une taxe de 5 % équivaut à un peu plus de 10 $ par jour ouvrable. C'est à peu près le montant qu'un employé de bureau pourrait dépenser pour les trajets domicile-travail, le déjeuner, la lessive, etc. Une taxe à ce taux ne les rendra pas plus mal lotis que s'ils avaient choisi d'aller au bureau. Si nous appliquons le même taux d'imposition aux travailleurs au Royaume-Uni avec un salaire moyen supposé de la WFH de 35 000 £, cela revient à un peu moins de 7 £ par jour. En Allemagne, un salaire de la FMH de 40 000 € entraîne une taxe d'un peu plus de 7,50 € par jour.

    Une taxe à ce niveau signifie que ni les entreprises ni les particuliers ne seront plus mal lotis. En fait, les entreprises seront peut-être bien mieux loties, car les économies réalisées grâce à la réduction des effectifs de leur bureau compenseront largement le coût de la taxe de la FMH qu'elles encourront.

    De combien la taxe augmentera-t-elle ?

    D'abord les États-Unis. Sur les 104 millions d'Américains qui travaillent à plein temps, la moitié travaillait à domicile pendant la pandémie. C'est une augmentation par rapport aux 5,4 % qui travaillaient déjà à domicile avant la pandémie. Sur ces 45 % supplémentaires, notre enquête montre que les trois quarts veulent travailler à domicile dans une certaine mesure après le covid, 16 % voulant un jour par semaine, 33 % deux jours, 19 % trois jours, 4% quatre jours, et 4 % cinq jours.

    En ajoutant cela, il pourrait y avoir 4,2 milliards de nouveaux jours chaque année à travailler à domicile après la publication. Avec 394 millions de jours supplémentaires pour les employés à temps partiel et à plein temps qui travaillent déjà à domicile et qui ne sont pas indépendants, cela donne 4,6 milliards de jours à la FMH par an. Avec un salaire moyen de 55 000 dollars et un taux d'imposition de 5%, la taxe de la FMH augmentera de 48 milliards de dollars par an. Le même calcul au Royaume-Uni et en Allemagne (en utilisant les données de la FMH spécifiques au pays et les niveaux de salaire supposés ci-dessus) aboutit à une prise d'impôt de 6,9 milliards de livres et 15,9 milliards d'euros respectivement.

    Que peut faire le gouvernement avec cet argent ?

    Aux États-Unis, les 48 milliards de dollars récoltés pourraient permettre une subvention de 1 500 dollars aux 29 millions de travailleurs qui ne peuvent pas travailler à domicile et qui gagnent moins de 30 000 dollars par an (à l'exclusion de ceux qui reçoivent des pourboires). Beaucoup de ces personnes sont celles qui ont assumé les risques pour la santé du travail pendant la pandémie et qui sont bien plus «essentielles» que ne le suggère leur niveau de salaire.

    De même, en Allemagne, les 15,9 milliards d'euros levés pourraient financer une subvention de 1 500 euros aux 12 % les plus pauvres du pays qui ont un niveau de vie équivalent à 12 600 euros (après ajustement en fonction de la taille de leur ménage). De même, au Royaume-Uni, les 6,9 milliards de livres sterling récoltées pourraient fournir une subvention de 2 000 £ aux 12 % des personnes âgées de plus de 25 ans qui travaillent pour le salaire minimum. Bien entendu, le montant exact de la subvention pourrait être basé sur un système de réduction asymétrique.

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  26. Certains argumenteront contre la taxe. Ils diront que l'engagement dans l'économie est un choix personnel et qu'ils ne devraient pas être pénalisés pour avoir pris cette décision. Pourtant, ces gens doivent se rappeler que les gouvernements ont toujours rétrogradé les impôts en fonction de l'environnement social. Considérez que dans les siècles passés, alors qu'il était socialement désagréable au Royaume-Uni d'introduire un impôt sur le revenu, le gouvernement a mis en place une taxe sur les fenêtres. À mesure que la société changeait, la taxe sur les fenêtres a été abolie et, finalement, un impôt sur le revenu a été introduit. De la même manière, alors que notre société actuelle évolue vers un état de «déconnexion humaine», notre système fiscal doit évoluer avec elle.

    Mieux encore, une taxe de la FMH ne subventionne pas simplement des entreprises qui n'ont pas d'avenir à long terme. Si, par exemple, une sandwicherie en centre-ville n'est plus nécessaire, il n'est pas logique que le gouvernement soutienne l'entreprise à moyen terme. Mais il est logique de soutenir la masse de personnes qui ont été soudainement déplacées par des forces indépendantes de leur volonté. Beaucoup devront accepter des emplois mal rémunérés pendant qu'ils se recyclent ou décident de leur prochaine étape dans la vie. D'un point de vue personnel et économique, il est logique que ces personnes reçoivent un coup de main. Il est également logique de reconnaître que les travailleurs essentiels qui assument un risque de risque de bas salaires. Ceux qui ont la chance d’être en mesure de se «déconnecter» de l’économie face à face le leur doivent.

    https://www.zerohedge.com/markets/deutsche-bank-proposes-5-work-home-tax

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    1. Faut le lire pour le croire !!

      Ils mettent en avant le manque à gagner des pompistes et garagistes car les gens roulent moins ! Ainsi que les péages sur autoroutes et, pourquoi temps qu'on y est: une baisse de récolte des radars en bordure de route !!
      Ajoutons-y le peut-être principal c'est que le nombre de cambriolages à domicile a forcément baissé car les propriétaires osent rester chez eux !

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  27. Le monde du Covid s'installe dans la durée ... et dans le totalitarisme


    Mercredi 11 novembre 2020


    Quelle chance de voir ce qu'est un monde progressiste ! Qui aurait pensé, il y a un an de cela, que nous serions docilement plus ou moins coincés à domicile, en tout cas culpabilisés dès que l'on met un nez insolent dehors, libre, au grand air, alors qu'il n'y aurait pas de nécessité impérieuse de ne pas s'autoconfiner ? Qui aurait pensé qu'il deviendrait criminel de voir ses proches, de faire des bisous à sa grand-mère, de chahuter avec ses frères et soeurs ? Qui aurait oser imaginer des prétentieux affirmer sur les plateaux-télés que Noel et Nouvel An doivent être remis dans les cartons de l'Ancien monde, du monde libre, puisqu'ils sont devenus des "clusters" désormais et que le confinement est lui le mode normal et permanent d'existence ? En France, on joue carte ouverte, à Moscou et en Russie on tente une version adoucie, mais l'enjeu est le même : mettre à mort la civilisation dans laquelle nous avons grandi et favoriser l'impasse de ce nouveau monde, inhumain. Inhumain dans le sens direct du terme, puisque l'Homme n'y a plus sa place, puisqu'il n'est qu'un danger pour l'autre et pour soi, puisqu'en toute logique il doit donc en disparaître dans son humanité et n'être qu'un sac de molécules hermétiquement fermé par le nombril. Ce que je me demande, c'est ce qu'il faudra encore pour qu'une force politique puisse regrouper les mécontentements individuels. Car de ce côté, c'est la grande pénurie ...

    Ne vous faites pas d'illusions, les mesures liberticides qui sont adoptées dans nos pays ne sont pas temporaires. Au printemps encore, nos dirigeants faisaient semblant de nous expliquer, la main sur le coeur, la larme hésitante au bord de la paupière, le regard empathique et la voix légèrement tremblotante - juste ce qu'il faut, pas plus pour ne pas surjouer la scène de la compassion et du sacrifice nécessaire du peuple pour la Grande Guerre sanitaire - que c'était temporaire. Il faut faire un effort un moment et tout rentrera dans l'ordre. Ensuite, au début de l'automne, il semblait qu'un vaccin aussi rapide que miraculeux allait sauver l'humanité des virus, il fallait donc faire encore un effort en attendant.

    Maintenant, le temps de l'effort est terminé, celui de l'adaptation forcée est arrivé.

    L'état d'urgence sanitaire, le couvre-feu, le confinement, le masque obligatoire (bientôt même au domicile), la destruction des services publics de l'enseignement, de la justice ou de la médecine - paradoxalement au nom d'une survie biologique se voient partout à des degrés divers. Une économie de proximité, qui doit passer son chemin ou se défaire dans le numérique et dans les transnationales. Chaque pays adapte plus ou moins en fonction du niveau de soumission de la population, mais tout est orienté vers le même but : la transformation de la société par la mise à mort de la résistance collective et individuelle, du fonctionnement normal des institutions réduites à un rôle répressif et de l'économie nationale pour faire plier et les Etats, dont le déficit explose, et les individus mis en situation de survie et ayant d'autres problèmes plus urgents, que réfléchir sereinement à ce qui se passe.

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  28. Ainsi, le référent temporel change. En France, l'état d'urgence sanitaire (sauf sursaut du Conseil constitutionnel), dont on ne sort pas, va être prolongé jusqu'au 16 février 2021 et le régime transitoire de sortie jusqu'au 1er avril 2021. A Moscou, alors que la propagande fin du monde prend une ampleur à faire pâlir d'envie (ou d'horreur) la Pravda, le maire de Moscou a adopté des mesures locales, sans contrôle ni parlementaire, ni fédéral, ni judiciaire, jusqu'au 15 janvier 2021. Certes, formellement il n'y a ni confinement, ni port du masque obligatoire dans le rue, ni couvre-feu comme en France, mais, pour l'essentiel, les écoles et les universités moscovites passent obligatoirement à distance (et il recommande au Gouvernement in fine de faire pareil, oubliant la hiérarchie des normes), tout ferme à 23h, les QR Codes pour aller dans des établissements le jour sont fortement "recommandés", il est fortement recommandé aux écoliers et étudiants d'être en isolement, les personnes âgées de plus de 65 ans également et leurs cartes de transport gratuites ou à tarif réduit sont suspendues. C'est une version allégée de ce qui se passe en France, même si les associations de restaurateur ont déjà annoncé qu'avec les QR Codes la fréquentation a baissé et qu'à ce rythme-là c'est environ 50% des établissements qui peuvent fermer d'ici la fin de l'année - la vente à distance ne compense rien, finalement.

    C'est fait pour durer. En France, c'est annoncé plus clairement. Oubliez le mot de "déconfinement", vous êtes à la maison et restez-y. De toute manière, vous n'avez plus d'argent pour sortir et l'on vous a aidé en réduisant les possibilités de sortir.


    Cela d'autant plus que dans le monde du Covid, le travail à distance doit être la norme, même s'il est beaucoup moins efficace, comme l'a constaté - avec surprise - le très politiquement correcte et progressiste dirigeant de la banque russe VEB, Igor Chouvalov. Pour lui, il n'y a pas dans sa banque de personnes qu'il ne soit pas nécessaire de faire sortir du travail à distance, car il est constamment nécessaire de communiquer, de se voir, d'échanger. A juste titre, il souligne que nous ne sommes pas prêts à travailler réellement à distance, pas seulement du point de vue technologique, mais humain. Sans même parler du manque d'efficacité du travail à distance, qui ne peut être qu'un moyen exceptionnel :

    "C'est très bien qu'il existe, quand il est impossible de se réunir. Mais ce n'est pas la même énergie, ni la même réactivité que nous avions avant ce régime. Beaucoup disent "Je travaille même plus". C'est vrai et je le vois moi-même : on organise beaucoup de conférences, on fatigue, mais je ne peux pas dire qu'il y ait plus de résultats."

    Et la crise économique qui s'intensifie quasiment dans tous les pays n'est pas sans rappeler les heures sombres de notre histoire. En Russie, la Cour des comptes annonce le risque d'un déficit incontrôlable des budgets des régions, même Moscou lance des obligations pour compenser son budget. Et la gestion globalisée du Covid, qui a déjà coûté très cher à nos économies nationales, ne va pas améliorer la situation dans les mois qui viennent.

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  29. Mais au-delà des considérations socio-économiques, l'attaque contre les symboles et les valeurs de nos sociétés, étiquetées "anciennes" donc dépassées, n'est pas sans alerter. Les messes en France sont suspendues à des temps meilleurs, manifestement lorsque la population aura renié le Christ et que sans Dieu, tout sera permis. Surtout le pire. C'est le seul intérêt que cela présente. Ainsi, les délais de restriction couvrent les fêtes de Noel et de Nouvel An, nos repères civilisationnels doivent être détruits.

    Je cite :
    Mais pour certains invités de BFM TV, la question est totue tranchée : "Moi, si je devais avoir un avis purement scientifique et rationnel, je dirais plutôt d'annuler Noël et d'annuler la Saint-Sylvestre sans hésiter en fait", a ainsi estimé le médecin Julien Lenglet, qui voit les fêtes de fin d'année comme "un cluster national, géant, intergénérationnel qui est à l'origine d'une potentielle troisième vague, sans ambiguïté", tout en ajoutant que les Français n'ont pas cette "discipline collective" pour respecter les gestes-barrières dans la sphère privée, selon lui.
    Bien plus que le virus, car grande chance pour ces progressistes il y aura toujours des virus, le fond du problème semble être l'Homme. L'Homme vivant, sociable, familiale. Qu'il faut transformer en sac de molécules fermé par un nombril hermétique, sac rangé entre quatre murs avant d'être rangé entre quatre planches.

    En attendant, "l'optimisation" des hôpitaux continue, les patients ont droit à des consulations virtuelles d'une qualité sans surprise, près de 100 000 lits ont été fermés entre 1993 et 2018, et en pleine crise les suppressions, et de postes et de lits, ne sont pas remises en cause, notamment dans l'Est. Dans l'Union européenne, la France est l'un des pays les plus désindustrialisé avec la fermeture de 2 500 000 d'emplois industriels depuis 1970 ... au profit des multinationales, qui sont particulièrement présentes en France, et des délocalisations. Et le Covid, avec pourtant la fermeture sélective des frontières qui avait assez naïvement provoqué l'attente d'une relance de la production intérieure, ne change rien à la donne, Renault, par exemple, va produire en Chine un véhicule électrique ... destiné à la France.

    Bref, ce nouveau monde, qui se dessine, froid, inhumain, cachant le cynisme derrière un voile de rationnel, la barbarisation derrière le culte technologique, prend ses racines dans nos choix politiques antérieurs, il n'est que la radicalisation de nos erreurs passées. Mais aucune force politique, ni en France ni ailleurs, n'émerge aujourd'hui pour proposer une voie alternative. En ce sens, ce monde est véritablement global, avec tout le totalitarisme que cela suppose.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/le-monde-du-covid-sinstalle-dans-la.html

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  30. Ce fut une erreur de fermer des écoles, une étude au Royaume-Uni cède


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 02:00
    Rédigé par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,


    Le 12 mars 2020, la note de service est sortie de la plume de Carter Mecher, expert en bioterrorisme pour conseiller l'Administration des anciens combattants. Il a été envoyé aux responsables de la santé publique et à d'autres personnes de partout au pays. Fermez les écoles. Appuyez sur la gâchette maintenant. Et c'est arrivé, et avec cela, les libertés civiques que nous avons longtemps tenues pour acquises - la liberté de voyager, de gérer des entreprises, d'aller au cinéma, même de quitter nos maisons - ont été supprimées.

    Ils ont fermé les écoles. Puis c'était comme des dominos tombant, un par un. Les entreprises ont dû fermer pour que les gens puissent surveiller les enfants à la maison. Les centres commerciaux ont dû fermer car sinon les enfants se rassembleraient simplement là-bas. Les églises aussi. Les lieux de divertissement étaient fermés. Même les parcs sont fermés. Les ordres de rester à la maison découlaient de la fermeture des écoles. À bien des égards, toute la légitimité du verrouillage reposait sur le mérite de la fermeture de l'école.

    Un petit groupe de scientifiques pro-lockdown a applaudi, alors que leur rêve vieux de dix ans et demi de mener une telle expérience sociale devenait enfin une réalité.

    Les fermetures d'écoles ont eu un effet disproportionné sur les femmes qui travaillent. Ils ont quitté leur travail pour s'occuper des enfants, essayant de les aider à naviguer dans le nouveau monde étrange des salles de classe Zoom et à faire des devoirs par e-mail. Les hommes ont continué à occuper des emplois en tant que principaux soutiens de famille.

    Comme le rapporte le Washington Post:

    La récession pandémique [lockdowns] a été surnommée une «séance de femmes» parce qu'elle a fait bien plus mal aux femmes qu'aux hommes. La proportion de femmes qui travaillent ou recherchent du travail est tombée au niveau le plus bas depuis 1988, anéantissant des décennies de gains durement disputés sur le lieu de travail.

    Vendredi, le rapport sur l’emploi du Département du travail a montré que l’économie avait récupéré un peu plus de la moitié des emplois perdus en mars et avril, mais la situation reste désastreuse pour les femmes. Selon les données du Département du travail, 2,2 millions de femmes travaillent ou recherchent un emploi de moins qu'en janvier, contre 1,5 million d'hommes de moins.

    En neuf mois de cet enfer, on pourrait supposer qu'il y aurait eu un test clair pour savoir si et dans quelle mesure les conséquences graves de la capture du virus étaient vraiment associées à la fréquentation scolaire. Il est enfin arrivé et les nouvelles ne sont pas bonnes pour les lockdowners.

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  31. Il est désormais évident (et ce depuis février) que presque aucun enfant n'est menacé par le virus. Le gradient âge / santé du virus affecte presque exclusivement les personnes âgées présentant des comorbidités. Les enfants auraient peut-être aidé à atteindre de bons objectifs de santé publique et à épuiser le virus, plutôt que de perdre presque une année complète de scolarité de qualité jusqu'à présent, sans parler du traumatisme des masques obligatoires et d'apprendre que leurs amis sont potentiellement pathogènes. porter des ennemis.

    Les enfants auraient été bien mais qu'en est-il du personnel et des adultes ? Est-ce que le fait d'enfermer les enfants dans des maisons protège vraiment les gens et réduit-il la contagiosité et la mortalité associées au SRAS-CoV-2 ? Comment tester cela ? Un moyen simple pourrait examiner la différence des résultats de la maladie entre les environnements domestiques dans lesquels les enfants sont présents et ceux où ils ne le sont pas.

    Cela semble être un test évident. Enfin, une telle étude est apparue, telle que publiée par la prestigieuse revue médicale Medxriv: «Association entre la vie avec des enfants et les résultats de COVID-19: une étude de cohorte OpenSAFELY de 12 millions d'adultes en Angleterre.»

    Il s'agit de la plus grande étude jamais menée (35 auteurs) sur le risque de Covid chez les adultes par contact avec des enfants, et elle a une conclusion pas si surprenante, du moins pour ceux qui ont suivi la science jusqu'à présent.

    Il n'a révélé aucune augmentation des issues graves liées à Covid chez les adultes vivant avec des enfants. Il a démontré une légère augmentation des infections mais sans mauvais résultats. En fait, l'étude a démontré moins de décès associés aux adultes vivant avec des enfants à la maison qu'à la maison sans enfants.

    Pour citer directement l'étude:

    Il s'agit de la première étude basée sur la population visant à déterminer si le risque d'infection par le SRAS-CoV-2 enregistrée et les issues graves du COVID-19 diffèrent entre les adultes vivant dans des ménages avec et sans enfants d'âge scolaire pendant la pandémie britannique. Nos résultats montrent que pour les adultes vivant avec des enfants, il n'y a aucune preuve d'un risque accru de conséquences graves du COVID-19, bien qu'il puisse y avoir un risque légèrement accru d'infection par le SRAS-CoV-2 enregistrée pour les adultes en âge de travailler vivant avec des enfants âgés de 12 ans à 18 ans. Les adultes en âge de travailler vivant avec des enfants de 0 à 11 ans ont un risque plus faible de décès par COVID-19 par rapport aux adultes vivant sans enfants, la taille de l'effet étant comparable à leur moindre risque de décès quelle qu'en soit la cause. Nous n'avons observé aucun changement cohérent du risque d'infection enregistrée par le SRAS-CoV-2 et des issues graves du COVID-19 en comparant les périodes avant et après la fermeture de l'école.

    Qu'est-ce que cela implique ?

    Nos résultats ne démontrent aucune preuve de préjudice grave du COVID-19 aux adultes en contact étroit avec des enfants, par rapport à ceux vivant dans des ménages sans enfants. Cela a des implications pour déterminer le rapport bénéfice-préjudice des enfants scolarisés dans la pandémie de COVID-19.

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  32. Le libellé semble un peu abstrait, conforme au genre de ce style d'écriture. Pour le dire en anglais, la peur des mauvais résultats de Covid n'a jamais été une bonne raison pour fermer les écoles. Ce qui veut dire: c'était une énorme erreur. Il est choquant de considérer ce qui a été perdu, comment les enfants ont été traités, à quel point les parents qui ont payé tant d’impôts ou de scolarité dans les écoles privées sont brutalisés. C'est un vol non seulement d'argent mais aussi d'éducation et de bonne vie.

    L’AIER a généralement souscrit à la demande de John Ioannidis à partir de la mi-mars. Ces politiques ont été mises en place sans aucune preuve solide qu'elles atténueraient le virus ou amélioreraient les résultats médicaux.

    Dès le départ, les lock-out étaient une politique en quête de justification. Au cours de tous ces mois, aucun n’est venu. Et nous voyons seulement maintenant les recherches solides prouvant que les sceptiques avaient raison depuis le début. La seule question maintenant est de savoir si et quand les «experts» qui ont produit cet étonnant échec admettront leur erreur. La réponse est peut-être: lorsque les médias commencent à en parler.

    https://www.zerohedge.com/medical/it-was-mistake-close-schools-uk-study-concedes

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  33. Le renseignement tchèque assure qu’un «conflit global» à l’échelle planétaire est en «préparation»



    20:01 11.11.2020
    Par Zlata Tikhaya


    Le rapport annuel du renseignement militaire tchèque pour 2019 a mis en garde contre un risque de conflit à grande échelle. Ses auteurs ont averti que le manque de dialogue «traditionnel» ainsi que l’utilisation des technologies de pointe à des fins militaires pourraient conduire à une guerre dans le cyberespace ou dans les airs.

    À l’heure où les rivalités sont aggravées par la course aux technologies, l'hypothèse d'une Troisième Guerre mondiale fait plus que jamais débat. Les auteurs du rapport annuel sur les activités du renseignement militaire tchèque pour 2019 n’ont pas exclu une telle possibilité.

    «Un éventuel conflit de nature globale, vers lequel se dirige le monde, est dans sa phase de préparation», constate le document. «Les esprits de ceux qui seront capables et désireux de s'y engager sont en train de se former, et peu à peu, les moyens techniques avec lesquels elle peut être menée sont en cours de développement.»

    Un manque de dialogue à l’origine d’un conflit éventuel

    Le renseignement militaire tchèque a pointé du doigt la polarisation croissante des intérêts et des opinions, ainsi qu’une baisse de l'importance du droit international, comme étant à l’origine de la transformation de l’ordre mondial en cours aujourd’hui.

    «Il y avait [en 2019] un manque de dialogue standard [sur le plan international], tandis que la confrontation en tant que moyen de résoudre des contradictions croissantes était de plus en plus courante», déplorent les auteurs. Le rôle des institutions internationales, des alliances militaires, des accords de désarmement ou des garanties qu'ils avaient déclarées a été remis en question.»

    Comme conséquences, d’après les auteurs du rapport, les rivalités entre les États-Unis, la Chine et la Russie se sont accrues, ce qui a un impact extrêmement négatif sur les autres États.

    Les technologies de pointe comme arme à double tranchant

    Selon les services de renseignement tchèques, les technologies de pointe pourraient représenter un danger particulier, car elles peuvent également être utilisées à des fins militaires.

    Ainsi, les auteurs ont fait état de deux «lieux» où une Troisième Guerre mondiale pourrait se dérouler: le cyberespace et les airs. Ces derniers sont également concernés du fait qu’il est désormais possible de convertir des drones civils en appareils de combat.

    «Il n'est pas trop tard»

    Pour le renseignement tchèque, il n'est pas trop tard pour renverser les tendances destructrices. Les auteurs du rapport invitent à utiliser un grand potentiel créatif afin d’élaborer des approches communes sur les défis mondiaux.

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  34. «Si nous ne sommes pas capables de prévoir et d'évaluer les conséquences [négatives] de nos propres actions, des instructions ou des ordres erronés peuvent générer des processus qui conduiront à notre destruction mutuelle», conclut le rapport.

    https://fr.sputniknews.com/international/202011111044754676-le-renseignement-tcheque-assure-quun-conflit-global-a-lechelle-planetaire-est-en-preparation/

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  35. Jean Castex Pour sa conférence du 12 novembre, Jean Castex n’aurait pas «de bonnes nouvelles» pour les Français


    18:48 11.11.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    Afin de sauver les fêtes de fin d’année, Jean Castex n’aurait pas l’intention d’annoncer la réouverture des commerces non essentiels lors de sa conférence de presse du 12 novembre, rapporte Europe 1.

    Jeudi 12 novembre, le Premier ministre français prendra la parole lors d'une conférence de presse. Il s’agit d’un premier point d’étape «très attendu», car Jean Castex avait indiqué qu'en fonction de l'évolution des chiffres de l'épidémie du Covid-19, les commerces non essentiels pourraient être rouverts, indique Europe 1.

    Fêter Noël dans des conditions «les plus normales possibles»

    Néanmoins, toujours selon des informations d’Europe 1, il n’y a «pas d'assouplissement en vue».

    «Sauf coup de théâtre de dernière minute», le Premier ministre ne devrait pas avoir «de bonnes nouvelles» pour les Français. L’objectif assumé est de permettre à tout le monde de fêter Noël dans des conditions «les plus normales possibles».

    Contrôles au sein des entreprises

    Outre l’absence d’annonce concernant les commerces non-essentiels, M.Castex pourrait déclarer des contrôles au sein des entreprises afin de vérifier si les salariés travaillent tous de chez eux quand cela est possible.

    Finalement, le Premier ministre devrait annoncer la fermeture des lycées et de certains collèges.

    «Gilets jaunes puissance 100»

    Invité d’Europe 1 ce 11 novembre, Raymond Soubie, spécialiste des politiques sociales et ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, a alerté sur le fait que la crise sanitaire pourrait conduire à un conflit social. «Si tous les commerçants se disent, comme des Gilets jaunes puissance 100, qu'ils ne savent pas de quoi sera fait leur avenir, il y a un risque», a-t-il souligné.

    https://fr.sputniknews.com/france/202011111044754490-pour-sa-conference-du-12-novembre-jean-castex-naurait-pas-de-bonnes-nouvelles-pour-les-francais/

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    1. Une merde c'est une merde !

      Les chiens ne font pas des chats !

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  36. La solution nucléaire de Rolls-Royce pour créer 6.000 emplois


    20:29 11.11.2020
    Par Ekaterina Yanson


    Le géant britannique Rolls-Royce compte obtenir le soutien du gouvernement pour mettre au point 16 mini-centrales nucléaires qui permettront de créer des milliers d'emplois.

    Rolls-Royce, qui dirige un consortium travaillant à la conception d'une centrale nucléaire à faible coût, a annoncé le 11 novembre son projet de 16 minuscules de ces projets.

    Chacune d'une puissance de 440MW, les mini-centrales nucléaires devraient être construites sur une période de 20 ans, indique le groupe dans un communiqué. Il s'agit donc de générer assez d'électricité pour alimenter une ville de 450.000 foyers pendant 60 ans, est-il précisé.

    Le PDG par intérim du consortium, Tom Samson, «propose au Royaume-Uni une solution nationale dans l'énergie nucléaire pour la première fois en une génération». Selon Rolls-Royce, son projet ouvre la voie à un État neutre en carbone en 2050, ainsi qu permettra de donner un coup de fouet à l'économie des régions hors de la capitale.

    Création d’emplois

    En cinq ans, l'entreprise industrielle connue pour ses moteurs entend y créer 6.000 emplois et quelque 34.000 emplois d'ici le milieu des années 2030.

    Il reste encore à solliciter le soutien du gouvernement, qui a alloué l'an dernier 18 millions de livres pour la conception des SMR (small modula reactors, soit petits réacteurs modulaires) que Rolls-Royce conçoit pour des sous-marins militaires.

    Les employés seront recherchés notamment pour la fabrication et l'assemblage des centrales ou pour la chaîne d'approvisionnement.

    À l'échelle internationale

    Plus tôt cette semaine, deux nouveaux accords -avec les États-Unis et avec la République tchèque- ont été annoncés. Ainsi, le géant américain de l'énergie, Exelon Generation, se servira de son expérience opérationnelle pour aider Rolls-Royce dans le développement des mini-centrales au Royaume-Uni.

    En outre, l'entité électrique tchèque CEZ s'engage à voir comment intégrer les SMR dans son programme national.

    La Turquie travaille également sur une étude de faisabilité pour un usage domestique, ainsi que sur une éventuelle production conjointe de centrales électriques afin de soutenir sa propre croissance économique, constate Rolls-Royce dans le communiqué.

    https://fr.sputniknews.com/economie/202011111044755517-la-solution-nucleaire-de-rolls-royce-pour-creer-6000-emplois/

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  37. Nous rendons hommage aux anciens combattants en prévenant l'itinérance et le suicide


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 23:00
    Rédigé par Brendan Cushing-Daniels et Christopher R. Fee via RealClearPolitics.com,


    Nous espérons que la nouvelle administration fera de l'honneur de nos anciens combattants une priorité, pas seulement aujourd'hui mais tout au long de l'année. Le président Dwight D. Eisenhower a créé la Journée des anciens combattants pour montrer le même engagement envers les anciens combattants qu'il a montré à nos troupes pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Nos anciens combattants sont nos citoyens les plus nobles. Pourtant, trop de ceux qui ont contribué à préserver nos libertés se retrouvent sans abri ou, plus tragiquement, se suicident.

    Il y a deux ans, John Scott Hannon, vétéran décoré de 23 ans et ancien commandant de peloton de premier rang des Navy SEAL, est décédé de sa propre main des suites de ses blessures invisibles de guerre. Nous aimerions pouvoir dire qu'il s'agissait d'un cas isolé, mais le fait est que parmi ceux qui ont servi, le suicide est plus meurtrier que le champ de bataille.

    Au cours des 14 dernières années, près de 18 000 Américains sont morts en service actif dans l'armée. Au cours de cette période, 73 000 anciens combattants se sont suicidés. De plus, les anciens combattants qui étaient sans abri à tout moment de leur vie étaient 75% plus susceptibles de mourir par suicide que les autres anciens combattants. Plus des deux tiers des anciens combattants qui se sont suicidés n'ont eu aucun contact récent avec le département américain des Anciens Combattants (VA). Cette proportion est certainement beaucoup plus élevée pour les anciens combattants sans abri.

    La prévention du suicide est la principale priorité clinique de l'AV, qui a demandé 76 millions de dollars supplémentaires pour la prévention du suicide dans l'année à venir. Ses efforts, ainsi que ceux du Département américain du logement et du développement urbain, réduisent le suicide et améliorent la stabilité du logement.

    En 2018, l'AV a introduit le dépistage universel du risque de suicide dans tous les établissements de soins primaires, évaluant près de 4 millions d'anciens combattants au cours des deux premières années. Il est peu probable que les vétérans, en particulier ceux qui vivent l'itinérance, s'engagent dans des thérapies nécessitant des visites régulières, de sorte que l'AV a lancé un programme d'intervention de 20 à 40 minutes pour développer des stratégies d'adaptation et réduire l'accès aux méthodes de suicide potentielles comme les armes à feu et les médicaments.

    Les premiers résultats sont prometteurs. Dans les six mois suivant l'intervention, les anciens combattants sont 45% moins susceptibles de tenter de se suicider que les anciens combattants qui sont simplement référés aux soins de suivi. Au cours des quatre dernières années, des études montrent que les anciens combattants sans-abri qui ont utilisé au moins un programme pour sans-abri étaient 20% moins susceptibles que les autres anciens combattants sans-abri de se suicider.

    L'itinérance est un prédicteur clé du suicide chez les vétérans, mais la bonne nouvelle est que les programmes fonctionnent. Entre 2010 et 2017, 600000 anciens combattants et leurs familles ont été logés ou empêchés de devenir sans-abri.

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  38. Bien que nous applaudissions ces efforts, il reste encore beaucoup de travail à faire, et chaque jour, pas seulement à l'occasion de la Journée des anciens combattants.

    Le Commandant John Scott Hannon Veterans Mental Health Care Improvement Act of 2019 est assis sur le bureau du président en attendant sa signature. Entre autres choses, cette législation ordonne à l'AV de créer une description de poste spécifique à ce problème pour les conseillers en santé mentale, élargit le financement de la prévention du suicide et améliore l'accès à la thérapie cognitivo-comportementale.

    Le commandant Hannon est né d'une vie au service du pays auprès de parents servant dans le corps diplomatique. Ses propres blessures de guerre, finalement mortelles et invisibles, ont animé son combat pour des services de santé mentale pour tous les anciens combattants. La Journée des anciens combattants est le moment opportun pour nous de réfléchir aux sacrifices de tous les militaires et pour nous réengager à fournir aux anciens combattants les soins qu'ils méritent à leur retour à la maison.

    Pour reprendre les mots d’Ike, «Souvenons-nous solennellement des sacrifices de tous ceux qui ont combattu si vaillamment, sur les mers, dans les airs et sur les côtes étrangères, pour préserver notre héritage de liberté.» Mais ce jour-là et tous les deux jours, laissons les Américains «rendre un hommage approprié» à nos anciens combattants en leur fournissant le logement, les ressources et les systèmes de soutien dont ils ont besoin et qu'ils méritent.

    Signer la loi n’accomplira pas tout cela, mais ce serait un geste de bonne foi et un petit pas dans la bonne direction.

    https://www.zerohedge.com/political/we-honor-veterans-preventing-homelessness-suicide

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  39. Whitehead: Mettre fin à la guerre du gouvernement contre les vétérans militaires américains


    par Tyler Durden
    Mer, 11/11/2020 - 18:20
    Rédigé par John Whitehead via The Rutherford Institute,


    «Pour les soldats ... rentrer à la maison est plus mortel que d'être au combat.»
    - Brené Brown, professeur de recherche à l'Université de Houston

    L'élection présidentielle de 2020 est peut-être terminée, mais rien n'a vraiment changé.

    Le gouvernement américain constitue toujours la plus grande menace pour nos libertés.

    Plus que le terrorisme, plus que l'extrémisme domestique, plus que la violence armée et le crime organisé, encore plus que la menace perçue posée par un seul politicien, le gouvernement américain reste une plus grande menace pour la vie, la liberté et les biens de ses citoyens que n'importe lequel des les soi-disant dangers dont le gouvernement prétend nous protéger.

    Cette menace est particulièrement prononcée pour les vétérans militaires américains, en particulier pour cette partie de la population qui exerce son droit du premier amendement à dénoncer les actes répréhensibles du gouvernement.

    Considérez: nous élevons nos jeunes sur un régime régulier de militarisme et de guerre, nous les vendons sur l'idée que défendre la liberté à l'étranger en servant dans l'armée est leur devoir patriotique, puis quand ils rentrent chez eux, meurtris et marqués par la bataille et engagés à défendre leurs libertés à la maison, nous les traitons souvent comme des criminels simplement pour avoir exercé ces droits pour lesquels ils ont risqué leur vie.

    Le gouvernement a même un nom pour sa guerre contre les vétérans américains: l’opération Vigilant Eagle.

    Comme indiqué pour la première fois par le Wall Street Journal, ce programme du Département de la sécurité intérieure (DHS) suit les anciens combattants qui reviennent d'Irak et d'Afghanistan et les caractérise comme des extrémistes et des menaces terroristes potentielles nationales, car ils peuvent être «mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de guerre."

    Associé aux rapports doubles du DHS sur «l'extrémisme» de droite et de gauche, qui définissent largement les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes «qui sont principalement antigouvernementaux, rejetant l'autorité fédérale en faveur de l'État ou des autorités locales, ou rejetant entièrement l'autorité gouvernementale», ces tactiques sont de mauvais augure pour quiconque est perçu comme opposé au gouvernement.

    Pourtant, le gouvernement ne cible pas seulement les individus qui expriment leur mécontentement, mais vise les individus entraînés à la guerre militaire.

    Ne vous laissez pas berner par le fait que le DHS est devenu extrêmement silencieux au sujet de l’opération Vigilant Eagle.

    Là où il y a de la fumée, il y a forcément du feu.

    Et les efforts du gouvernement pour cibler les vétérans militaires dont les opinions peuvent être perçues comme «anti-gouvernementales» montrent clairement que quelque chose se prépare.

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  40. Ces dernières années, les militaires et les militaires se sont retrouvés de plus en plus visés par la surveillance, la censure, menacés d'incarcération ou d'engagement involontaire, étiquetés comme extrémistes et / ou malades mentaux, et privés de leurs droits au deuxième amendement.

    À la lumière des efforts du gouvernement pour jeter les bases de la militarisation des données biomédicales du public et prédire qui pourrait constituer une menace pour la sécurité publique sur la base des données des capteurs de santé mentale (un moyen pratique de pénaliser certains comportements sociaux «inacceptables»), rencontre avec la police pourrait devenir encore plus meurtrière, surtout si les personnes impliquées souffrent d'une maladie mentale ou d'un handicap associé à une formation militaire.

    Incroyablement, dans le cadre d'une proposition examinée par l'administration Trump, une nouvelle agence gouvernementale HARPA (un pendant de la santé de la branche de recherche et développement du Pentagone DARPA) prendra l'initiative d'identifier et de cibler les «signes» de maladie mentale ou d'inclinations violentes parmi la population en utilisant l'intelligence artificielle pour collecter des données d'Apple Watches, Fitbits, Amazon Echo et Google Home.

    Ces tactiques ne sont pas vraiment nouvelles.

    À plusieurs reprises au cours de l'histoire, dans les régimes totalitaires, ces gouvernements ont déclaré des dissidents malades mentaux et inaptes à la société afin de les affaiblir.

    Comme le fait remarquer l'auteur lauréate du prix Pulitzer Anne Applebaum dans Gulag: A History: «L'exil des prisonniers vers un lieu éloigné, où ils peuvent 'payer leur dette envers la société', se rendre utiles et ne pas contaminer les autres avec leurs idées ou leur criminel actes, est une pratique aussi ancienne que la civilisation elle-même. Les dirigeants de la Rome antique et de la Grèce ont envoyé leurs dissidents dans des colonies éloignées. Socrate a préféré la mort au tourment de l'exil d'Athènes. Le poète Ovide a été exilé dans un port fétide de la mer Noire.

    Par exemple, les fonctionnaires du gouvernement de l'Union soviétique de l'époque de la guerre froide utilisaient souvent les hôpitaux psychiatriques comme prisons afin d'isoler les prisonniers politiques du reste de la société, de discréditer leurs idées et de les briser physiquement et mentalement par l'utilisation de chocs électriques, de drogues et diverses procédures médicales.

    Insistant sur le fait que «les idées sur une lutte pour la vérité et la justice sont formées par des personnalités à la structure paranoïaque», la communauté psychiatrique est même allée jusqu'à fournir au gouvernement un diagnostic approprié pour enfermer ces militants orientés vers la liberté.

    En plus de déclarer les dissidents politiques mentalement malsains, les responsables russes ont également utilisé un processus administratif pour traiter avec des personnes considérées comme une mauvaise influence sur les autres ou les fauteurs de troubles.

    L'auteur George Kennan décrit un processus dans lequel:

    La personne odieuse ne peut être coupable d'aucun crime. . . mais si, de l'avis des autorités locales, sa présence dans un lieu particulier est «préjudiciable à l'ordre public» ou «incompatible avec la tranquillité publique», il peut être arrêté sans mandat, peut être détenu de deux semaines à deux ans de prison, et peut alors être déplacé par la force vers tout autre endroit dans les limites de l'empire et y être mis sous surveillance policière pour une période de un à dix ans. L'exil administratif - qui ne nécessitait ni procès ni procédure de condamnation - était une punition idéale non seulement pour les fauteurs de troubles en tant que tels, mais aussi pour les opposants politiques au régime.

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  41. Semble familier ?

    Cette pratique séculaire par laquelle les régimes despotiques éliminent leurs critiques ou leurs adversaires potentiels en les déclarant malades mentaux et en les enfermant dans des services psychiatriques pendant de longues périodes est une pratique courante dans la Chine actuelle.

    Ce qui est particulièrement déconcertant, cependant, c'est la façon dont cette pratique d'élimination ou de sape des critiques potentiels, y compris des vétérans militaires, se produit de plus en plus fréquemment aux États-Unis.

    N'oubliez pas que la Loi sur l'autorisation de la défense nationale (NDAA) a ouvert la porte au gouvernement pour détenir en tant que menace à la sécurité nationale toute personne considérée comme un fauteur de troubles. Selon les directives du gouvernement pour identifier les extrémistes nationaux - un mot utilisé de manière interchangeable avec les terroristes - techniquement, quiconque exerce ses droits du premier amendement afin de critiquer le gouvernement est admissible.

    Il ne faut plus beaucoup de temps pour être signalé comme potentiellement anti-gouvernemental dans une base de données gouvernementale quelque part - Main Core, par exemple - qui identifie et suit les individus qui ne sont pas enclins à marcher en suivant les diktats du gouvernement.

    En fait, comme le rapporte le Washington Post, les communautés sont cartographiées et les résidents attribuent un score de menace à code couleur - vert, jaune ou rouge - afin que la police soit avertie de l'inclination potentielle d'une personne à être un fauteur de troubles selon qu'elle a eu ou non un problème de carrière dans l'armée, a publié un commentaire perçu comme menaçant sur Facebook, souffrez d'un problème de santé particulier ou connaissez quelqu'un qui connaît quelqu'un qui aurait pu commettre un crime.

    Le cas de Brandon Raub est un excellent exemple de l'opération Vigilant Eagle en action.

    Raub, un marin décoré de 26 ans, s'est en fait retrouvé interrogé par des agents du gouvernement à propos de ses opinions sur la corruption du gouvernement, arrêté sans avertissement, qualifié de malade mental pour avoir souscrit à des opinions soi-disant «conspiratrices» sur le gouvernement, détenu contre son Will dans un service psychiatrique pour avoir soutenu ses opinions et isolé de sa famille, de ses amis et de ses avocats.

    Le 16 août 2012, un essaim d'agents de la police locale, des services secrets et du FBI est arrivé au domicile de Raub en Virginie, demandant à lui parler des publications qu'il avait faites sur sa page Facebook composée de paroles de chansons, d'opinions politiques et de dialogues utilisés dans un jeu de cartes virtuel à suspense politique.

    Parmi les messages cités comme gênants figuraient les paroles d’une chanson d’un groupe de rap et les opinions de Raub, de plus en plus partagées par un certain nombre d’américains, selon lesquelles les attentats terroristes du 11 septembre étaient un travail d’intérieur.

    Après une brève conversation et sans fournir aucune explication, en levant des charges contre Raub ou en lui lisant ses droits, Raub a ensuite été menotté et transporté au siège de la police, puis dans un centre médical, où il a été détenu contre son gré en raison de Les publications sur Facebook étaient «de nature terroriste».

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  42. Des spectateurs outrés ont filmé l'arrestation et posté les images sur YouTube, où elles sont rapidement devenues virales. Pendant ce temps, lors d'une audience du tribunal kangourou qui a fait la sourde oreille aux explications de Raub sur le fait que ses publications sur Facebook étaient lues hors de leur contexte, Raub a été condamné à une peine supplémentaire de 30 jours d'emprisonnement dans un service psychiatrique.

    Heureusement, le Rutherford Institute est venu en aide à Raub, ce qui, combiné à une attention médiatique accrue, a provoqué sa libération et a peut-être aidé à empêcher Raub de «disparaître» avec succès par le gouvernement.

    Même ainsi, quelques jours après que Raub ait été saisi et détenu de force dans un service psychiatrique de VA, des reportages ont commencé à faire surface d'autres vétérans ayant des expériences similaires.

    Le «trouble oppositionnel de défi» (ODD) est un autre diagnostic utilisé contre les anciens combattants qui contestent le statu quo. Comme l'explique le journaliste Anthony Martin, un diagnostic ODD

    «Indique que la personne présente des« symptômes »tels que la remise en question de l’autorité, le refus de suivre les instructions, l’entêtement, le refus d’accompagner la foule et la pratique de désobéir ou d’ignorer les ordres. Les personnes peuvent également recevoir une telle étiquette si elles sont considérées comme des libres penseurs, des non-conformistes ou des individus qui se méfient d'un gouvernement important et centralisé… À une certaine époque, le protocole accepté parmi les professionnels de la santé mentale était de réserver le diagnostic de trouble oppositionnel de défi aux enfants ou aux adolescents qui ont fait preuve d'un défi incontrôlable envers leurs parents et leurs enseignants.

    Franchement, compte tenu de la pertinence de ma personnalité et de mon service militaire dans les forces armées américaines avec cette description du «trouble oppositionnel de provocation», je suis sûr qu'il y a un dossier quelque part avec mon nom dessus.

    Que le gouvernement utilise l'accusation de maladie mentale comme moyen d'immobiliser (et de désarmer) ces anciens combattants est diabolique. D'un seul coup de plume de magistrat, ces anciens combattants sont déclarés malades mentaux, enfermés contre leur gré et privés de leurs droits constitutionnels.

    S'il était simplement classé comme «anti-gouvernemental», ce serait une chose.

    Malheureusement, toute personne ayant une formation et une formation militaires est également considérée comme une menace accrue pour la sécurité par les policiers qui sont formés pour tirer d'abord et poser des questions plus tard.

    Nourrissant cette perception des anciens combattants comme des bombes à retardement nécessitant une intervention, le ministère de la Justice a lancé un programme pilote en 2012 visant à former les équipes SWAT à faire face aux affrontements impliquant des vétérans de combat hautement qualifiés et souvent lourdement armés.

    Le résultat ?

    Les rencontres de la police avec des vétérans militaires dégénèrent souvent très rapidement en une situation explosive et mortelle, en particulier lorsque des équipes SWAT sont impliquées.

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  43. Par exemple, Jose Guerena, un marine qui a servi dans deux tournées en Irak, a été tué après qu'une équipe SWAT de l'Arizona a ouvert la porte de sa maison lors d'un raid de drogue erroné et a ouvert le feu. Pensant que sa maison était envahie par des criminels, Guerena a dit à sa femme et à son enfant de se cacher dans un placard, a saisi une arme à feu et a attendu dans le couloir pour affronter les intrus. Il n'a jamais tiré avec son arme. En fait, la sécurité était toujours sur son arme quand il a été tué. Cependant, les officiers du SWAT, moins retenus, ont tiré 70 cartouches sur Guerena - 23 de ces balles sont entrées en contact. Hormis ses antécédents militaires, Guerena n'avait pas d'antécédents judiciaires et la police n'a rien trouvé d'illégal à son domicile.

    John Edward Chesney, un vétéran du Vietnam de 62 ans, a été tué par une équipe du SWAT qui aurait répondu à un appel disant que le vétéran de l'armée se tenait dans la fenêtre de son appartement de San Diego en agitant ce qui ressemblait à un fusil semi-automatique. Les agents du SWAT ont verrouillé la rue de Chesney, pris position autour de sa maison et tiré 12 coups sur la fenêtre de l’appartement de Chesney. Il s'est avéré que l'arme que Chesney aurait pointée sur la police depuis trois étages était un «faux fusil d'assaut réaliste».

    La rencontre de Ramon Hooks avec une équipe SWAT de Houston ne s'est pas terminée aussi tragiquement, mais elle aurait très facilement pu. Hooks, un vétéran de la guerre en Irak âgé de 25 ans, utilisait une carabine à air comprimé pour s'entraîner à la cible à l'extérieur lorsqu'un agent de la sécurité intérieure, qui aurait fait du shopping dans la région, l'a signalé comme un tireur actif. Il ne fallut pas longtemps avant que le quartier calme ne soit transformé en zone de guerre, avec des dizaines de voitures de police, un véhicule blindé et des policiers lourdement armés. Hooks a été arrêté, ses plombs pour carabine à air comprimé et son pistolet jouet confisqués et des accusations ont été déposées contre lui pour «méfait criminel».

    Étant donné que le gouvernement considère de plus en plus les anciens combattants comme de potentiels terroristes nationaux, cela fait réfléchir à deux fois les programmes gouvernementaux encourageant les anciens combattants à inclure une désignation d'ancien combattant sur leur permis de conduire et leur carte d'identité.

    Salué par les politiciens comme un moyen de «faciliter l'accès des anciens combattants aux remises des détaillants, des restaurants, des hôtels et des vendeurs de l'État», il permettra également au gouvernement d'identifier et de cibler les anciens combattants qui osent contester le status quo.

    Rappelez-vous: personne n'est épargné dans un État policier.

    Finalement, comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, nous subissons tous le même sort.

    Il va de soi que si le gouvernement ne peut pas être dérangé de respecter son mandat constitutionnel de respecter les droits des citoyens - que ce soit le droit de ne pas être soumis à la surveillance et à la censure du gouvernement, le droit à une procédure régulière et à des audiences équitables, le droit de être à l'abri des fouilles à nu en bordure de route et de la police militarisée, ou du droit de se rassembler pacifiquement et de manifester et d'exercer notre droit à la liberté d'expression - alors pourquoi devrait-on s'attendre à ce que le gouvernement traite les anciens combattants de notre pays avec respect et dignité ?

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  44. Il est temps de mettre fin à la guerre du gouvernement contre le peuple américain, y compris les anciens combattants.

    Il est certain que les anciens combattants ont suffisamment de blessures de guerre physiques et psychologiques à surmonter sans ajouter le gouvernement au mélange. Bien que les États-Unis comptent plus de 20 millions d'anciens combattants qui ont servi dans la Seconde Guerre mondiale jusqu'à nos jours, un grand nombre d'anciens combattants sont appauvris, au chômage, traumatisés mentalement et physiquement, aux prises avec la dépression, le suicide et le stress conjugal, les sans-abri, soumis à des sous -par traitement dans les cliniques et les hôpitaux, et laissés pour moisir pendant que leurs papiers s'empilent dans les bureaux de l'Administration des anciens combattants.

    Au moins 60000 anciens combattants sont morts par suicide entre 2008 et 2017.

    En moyenne, 6 000 anciens combattants se suicident chaque année, et les chiffres sont à la hausse.

    Le sort des anciens combattants aujourd'hui - et leur traitement aux mains du gouvernement américain - reste le signe de la honte de l'Amérique.

    Alors, voici une suggestion: si vous voulez vraiment faire quelque chose pour montrer votre respect et votre appréciation pour les anciens combattants de la nation, pourquoi ne pas sauter les défilés et les drapeaux et aller plutôt exercer vos droits - les libertés que ces anciens combattants ont juré de protéger - en repousser la tyrannie du gouvernement.

    Il est temps que le reste de la nation fasse sa part pour sauvegarder les libertés que nous tenons trop souvent pour acquises.

    La liberté n'est pas gratuite.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whitehead-end-governments-war-americas-military-veterans

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    1. Afin de faire accepter ces vérités qui nous sont aujourd'hui communes, le cinéma s'est engouffré dans ce qu'ils ont inventé comme étant de la psychopathie. Vous savez ? le gars super souriant, la meuf qui doit être 'miss quelque-chose', LA super-canon bref, dans un film, il ou elle avance avec un grand sourire au lèvres puis sort un couteau ou un flingue et abat n'importe qui en conservant le sourire. Vous avez toutes et tous vu cela au cinéma. C'est une invention qui ne tient pas debout mais qui sert à gérer la réalité de ce qui se passe en coulisse avec les ministres et chefs d'États qui reçoivent leurs ordres des 'hommes de l'ombre' d'appliquer le plan prévu.

      La dure réalité c'est ceux qui reviennent de guerres. Ils ne se l'imaginaient pas comme çà. Ils sont dégoutés de la vie tant ils ont vu de cadavres de morceaux de cadavres ou abattus des enfants, des femmes et des hommes.

      Ceux qui donnent les ordres eux ne tuent pas. Ils font tuer ! C'est çà qui les libère du poids des morts ramassés à la pelle mécanique et poussés dans la fosse commune. Ils sont loin, refusent de voir les images. Les rapports ne doivent qu'être succins. Brefs. C'est fait.

      Aujourd'hui, le groupe de criminels-en-chefs parle de faire table-rase de ce 'trop de monde' (intelligent, trop intelligent, trop intelligent pour eux). Alors ils inventent, suggèrent, proposent et choisissent une épidémie qu'ils appelleront pandémie (dès le départ ! çà fait plus peur !), puis, parleront de 'virus' ! Parce que le mot 'virus' fait plus peur que le mot 'microbe' ! Puis (comme ils sont cons de naissance) parleront de vaccin anti-virus ! HAHAHAHA ! Un 'vaccin anti-virus' !! HAHAHAHA ! Alors qu'un virus est UNE POUSSIÈRE ! C'est-à-dire NON-VIVANT et donc NE PEUT PAS ÊTRE TUÉ ! Tandis qu'un microbe lui il est vivant. Mais çà fait rien, le message est diffusé par les merdias du monde entier ! TOUS doivent parler de virus ! TOUS ! Même si il n'y a aucun mort de l'avoir respiré ou juste quelques-uns. Faut grossir le chiffre ! On va donc faire passer tous les morts de vieillesse, d'accidents de la route, cancer, diabète, suicides, pour des mort du corona ! Et tac ! Çà marche !

      Mais ils ne sont pas tous morts ! Merde ! Comment on fait ?

      Faut leur dire de porter des masques ! Même si un masque anti-microbe ne peut pas être fabriqué, faut leur dire d'en porter ! Mais comme les anti-poussières bleus et blancs ne tuaient personne fallait resserrer les mailles ! Faire des mailles à 3 microns comme celles des FFP2 ou N95, sauf que ces 'nouveaux masques blancs 3 microns'... n'ont PAS de valve d'expiration !

      T'en mets un tu t'étouffes ! T'es mort.

      Et, comme les microbes corona passent à dix mille entre les mailles, on dira qu'ils sont morts du corona !

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  45. La révélation du vaccin COVID coule comme une pierre; Disparaît


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    12 novembre 2020


    Dans les grands médias, certaines histoires gagnent du terrain. Les trompettes continuent de sonner pendant un certain temps avant de disparaître.

    D'autres histoires sont ponctuelles. Quelques-uns d'entre eux frappent fort. Leurs implications - si quelqu'un s'arrête pour y penser - sont puissantes. Alors… rien.

    «Attendez, n’allez-vous pas donner suite à cela ? Vous ne voyez pas ce que cela signifie ? »

    Apparemment non, parce que… silence de mort. «Par ailleurs, le gouverneur a perdu sa perruche de compagnie pendant une heure. Son chef de cabinet l'a trouvé en train de faire une sieste dans un tiroir du bureau… »

    Les one-offs fonctionnent comme des teasers. Vous voulez certainement en savoir plus, mais vous n'en obtenez jamais plus.

    Au fil des ans, j’ai essayé d’en assurer le suivi. Le journaliste ou l'éditeur a un ensemble de réponses standard: "Nous n'avons pas reçu beaucoup de commentaires." «Nous l'avons couvert.» "C'est maintenant une vieille nouvelle." "Il n'y avait rien d'autre à découvrir."

    Oh, mais c'était là.

    Il y a quelques semaines, j'en ai fait un one-off. L'analyse et le commentaire étaient les miens, mais l'histoire était un article d'opinion dans le New York Times. Le Times l'a appelé un article d'opinion pour adoucir son coup. Je soupçonnais qu'il disparaîtrait, et c'est le cas.

    Sa signification et son implication étaient trop fortes. Ce serait un grand embarras pour la Maison Blanche, le programme de vaccin Warp Speed COVID, les fabricants de vaccins, le groupe de travail sur les coronavirus et les chercheurs sur les vaccins.

    Et l'embarras ne serait que le début de leur problème.

    Alors… la voici à nouveau. Le one-off disparu, de retour aux affaires:

    Les essais cliniques du vaccin COVID sont voués à l'échec; défaut de conception fatal; L'article d'opinion du NY Times expose les trois principaux essais cliniques. [2]

    Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint de la revue médicale BMJ, et Eric Topol, professeur de médecine moléculaire à Scripps Research, ont écrit un article d'opinion dévastateur du NY Times sur les essais cliniques en cours sur le vaccin COVID.

    Ils révèlent la faille fatale des grands essais Pfizer, AstraZeneca et Moderna.

    22 septembre, The Times: "Ces essais de coronavirus ne répondent pas à la seule question que nous devons savoir" [1]:

    «Si vous deviez approuver un vaccin contre le coronavirus, en approuveriez-vous un dont vous ne connaissiez que les personnes protégées uniquement contre la forme la plus bénigne de Covid-19, ou qui empêcherait ses complications graves ?»

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  46. «La réponse est évidente. Vous voudriez vous protéger contre les pires cas. »

    «Mais ce n’est pas ainsi que les entreprises qui testent trois des principaux candidats vaccins contre le coronavirus, Moderna, Pfizer et AstraZeneca, dont l’essai américain est suspendu, abordent le problème.»

    «Selon les protocoles de leurs études, qu'ils ont publiés à la fin de la semaine dernière, un vaccin pourrait répondre aux critères de réussite des entreprises s'il réduisait le risque de Covid-19 léger, mais il n'a jamais été démontré qu'il réduisait les formes modérées ou sévères de la maladie. , ou le risque d'hospitalisation, d'admissions en unité de soins intensifs ou de décès. »

    «Dire qu'un vaccin fonctionne devrait signifier que la plupart des gens ne courent plus le risque de tomber gravement malades. Ce n’est pas ce que ces essais vont déterminer. »

    Cela signifie que ces essais cliniques sont morts dans l'eau.

    Les essais sont conçus pour montrer leur efficacité dans la prévention des cas bénins de COVID, dont personne ne devrait se soucier, car les cas bénins suivent naturellement leur cours et ne causent aucun dommage. IL N'Y A PAS BESOIN D'UN VACCIN QUI ÉVITE LES CAS DOUX.

    Là. C’est le NY Times unique. Ma pièce analysant cela a duré beaucoup plus longtemps, mais vous obtenez l'essentiel:

    Les principaux essais cliniques de vaccins sont inutiles, non pertinents, trompeurs et trompeurs.

    Mais maintenant, c'est bien pire. Parce que Pfizer vient d'annoncer que son vaccin est presque prêt. Titre de CNBC, 9 novembre: «Pfizer et BioNTech disent que le vaccin Covid est efficace à plus de 90 % -« grand jour pour la science et l’humanité »» [3].

    Et pas un coup d'œil sur le NY Times ponctuel. C’est parti, comme si cela n’avait jamais été le cas.

    Le groupe de travail de Trump sur les coronavirus connaît la vérité. Le nouveau groupe de travail de Biden, qui attend dans les coulisses, connaît la vérité. Mais ils s'en moquent. Ce sont des criminels. Ils vendraient une voiture avec un réservoir d'essence prêt à exploser à un client avec de l'argent.

    Mais vous vous en souciez, car vous pouvez lire et réfléchir.

    Vous pouvez élever l'enfer.

    Maintenant, au cas où quelqu'un voudrait savoir POURQUOI les principaux essais cliniques du vaccin COVID sont conçus uniquement pour prévenir les cas bénins de COVID, je vais vous expliquer.

    Un fabricant de vaccins suppose qu'au cours de l'essai clinique, quelques-uns des 30 000 volontaires vont «attraper le COVID-19».

    Ils le supposent parce que «le virus est partout», en ce qui les concerne. Donc, il tombera des nuages ??et infectera quelques-uns des volontaires.

    Le chiffre magique est 150. Lorsque ce nombre de volontaires «attrape COVID», tout s'arrête. L'essai clinique s'arrête.

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  47. À ce stade, le fabricant de vaccins espère que la plupart des volontaires qui ont «été infectés» font partie du groupe placebo. Ils n’ont pas reçu le vrai vaccin; ils ont reçu l'injection placebo d'eau salée.

    Alors le fabricant de vaccins peut dire avec fierté: «Vous voyez ? Les volontaires qui ont attrapé le COVID-19? La plupart d’entre eux n’ont pas reçu le vaccin. Ils n’étaient pas protégés. Les volontaires qui ont reçu le vrai vaccin n’ont pas attrapé le COVID. Le vaccin les a protégés.

    En fait, le nombre divisé que les fabricants de vaccins recherchent est de 50 et 100. Si 50 personnes du groupe vacciné attrapent le COVID et que 100 personnes du groupe placebo attrapent le COVID, le vaccin serait efficace à 50%. Et c’est tout ce dont le fabricant de vaccins a besoin pour obtenir l’approbation de la FDA pour le vaccin.

    Mais attendez. Examinons de plus près cette idée de "capturer COVID". De quoi parlent-ils vraiment? Comment définissent-ils cela? Réclamer un volontaire dans l'essai clinique attrapé COVID ajoute à quoi?

    Cela correspond-il à une définition minimale du COVID-19 - une toux, ou des frissons et de la fièvre ? Ou cela signifie-t-il un cas grave - une pneumonie grave ?

    Nous arrivons maintenant au facteur caché, au secret, à la source de tout le jeu de la con.

    Vous voyez, le fabricant de vaccins commence avec 30 000 volontaires SAINS. Donc, s'ils attendaient que 150 d'entre eux contractent une pneumonie grave, un cas grave de COVID, combien de temps pensez-vous que cela prendrait? Cinq ans? Dix ans?

    Le fabricant de vaccins ne peut probablement pas attendre aussi longtemps.

    Ces 150 cas de COVID recherchés par le fabricant de vaccins seraient bénins. Juste une toux. Ou des frissons et de la fièvre. Ce scénario ne prendrait que quelques mois à se développer. Et faites-y face, les frissons, la toux et la fièvre ne sont pas uniques au COVID. N'importe qui peut souffrir de ces symptômes.

    PAR CONSÉQUENT, L'ENSEMBLE DE L'ESSAI CLINIQUE EST CONÇU, EN AVANT, POUR TROUVER 150 CAS DE «COVIDE» DOUX, SANS SIGNIFICATION ET AUTO-MÉDICAMENT.

    De quoi, personne ne se soucie. Personne ne devrait s'en soucier.

    Mais, comme nous le voyons, Pfizer revendique son essai clinique du vaccin comme un jalon dans l'histoire humaine.

    Et C’est l’histoire de l’unique que le NY Times ne pensait pas mériter un deuxième coup d’œil.

    Parce qu’ils sont si stupides? Non, ils ne sont pas si stupides.

    Ce sont des criminels.

    Et le gouvernement veut que vous preniez le vaccin expérimental COVID, dont «l’efficacité» a été conçue pour éviter que rien ne vaille la peine de perdre une nuit de sommeil.

    La seule inquiétude concerne les effets indésirables du vaccin, sur lesquels j’ai beaucoup écrit. Ces effets incluent, en fonction du contenu du flacon, une altération permanente de votre constitution génétique ou une cascade auto-immune, dans laquelle le corps s’attaque.

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  48. SOURCES:

    [1] nytimes.com/2020/09/22/opinion/covid-vaccine-coronavirus.html

    [2] https://blog.nomorefakenews.com/2020/09/24/covid-vaccine-clinical-trials-doomed-to-fail-fatal-design-flaw/

    [3] https://www.cnbc.com/2020/11/09/covid-vaccine-pfizer-drug-is-more-than-90percent-effective-in-preventing-infection.html

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/11/jon-rappoport/covid-vaccine-revelation-sinks-like-a-stone-disappears/

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  49. Fauci versus médecins et sciences de première ligne: faute professionnelle en cas de pandémie


    Par Joel S. Hirschhorn
    La revue Unz
    12 novembre 2020


    Les Américains souffrent et meurent inutilement dans cette pandémie. Les médecins de première ligne sont prêts et disposés à utiliser un remède efficace à domicile / en ambulatoire. Mais ils sont bloqués parce que leur liberté médicale a été écrasée. Le Dr Anthony Fauci s'est assuré que le gouvernement ne s'attaquait à la pandémie de COVID-19 que par le contrôle de la contagion et le traitement hospitalier. Il manque ce que d'autres pays ont poursuivi: un traitement précoce à domicile / ambulatoire pour empêcher les personnes présentant des symptômes et / ou un résultat de test positif de quitter l'hôpital. C'est pourquoi ils ont des taux de mortalité beaucoup plus bas.

    La collusion entre le Fauci et les médias de gauche bloquent l'information et l'accès à un cocktail d'hydroxychloroquine s'est avéré sûr et efficace par certains médecins courageux offrant un traitement à domicile. Contre son image très positive créée par les médias de gauche, cet article explore en profondeur qui est vraiment Fauci et ce qu'il a fait. Plutôt que de suivre la science et de poursuivre une stratégie complète de santé publique, il a gravement nui aux Américains. Lui seul, on le montrera, représente au moins la moitié des décès aux États-Unis.

    1. La lutte pour HCQ basée sur une bonne science est vaincue par le gouvernement contrôlé par le Fauci et les préjugés médiatiques contre HCQ. Il a tué la liberté médicale. La plus grande erreur de Fauci, en fait une faute professionnelle, est l'accent qu'il met sur le contrôle de la contagion et les victimes hospitalisées du virus. Il a obstinément refusé de reconnaître une montagne de preuves prouvant à la maison, les actions ambulatoires des médecins maintiennent les gens bien et hors de l'hôpital. Voici des exemples de données importantes.

    Dans les pays où l'utilisation précoce du HCQ est largement répandue, le taux de mortalité est inférieur de 71% à celui de ces pays, comme les États-Unis, où son utilisation a été limitée par le gouvernement. Près de 600 000 personnes ont été sauvées dans le monde. Les données impliquent une économie de plus de 150 000 vies aux États-Unis, un chiffre qui augmentera à mesure que le nombre de décès, malheureusement, continue d'augmenter sans l'utilisation de HCQ à domicile / en ambulatoire.

    Récemment, le Dr Harvey Risch a déclaré: «La plupart ou la plupart des 220 000 décès aux États-Unis à ce jour auraient pu être évités grâce à une utilisation généralisée du HCQ que la FDA a bloquée. C'est la FDA qui est responsable de ces décès, pas le président. » Mais Fauci est le pouvoir derrière le trône, dictant les actions de la FDA.

    Le médecin de première ligne Brian Tyson a déclaré qu'il avait guéri plus de 1 900 patients, et a déclaré qu'entre 75 et 80% des plus de 200 000 décès à ce jour auraient pu être évités en utilisant HCQ!

    Un livre blanc du Dr Simone Gold a conclu: «Ce que nous savons, c'est que 70 000 à 100 000 vies américaines en excès ont été perdues en raison du manque d'accès au HCQ.» Le meilleur site Web pour aider les gens à obtenir le remède prouvé de soins à domicile précoce est America Front Line Doctors.

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  50. Le Dr Zev Zelenko, un pionnier dans l'utilisation d'un cocktail HCQ, y compris du zinc, qui réduit les hospitalisations de 84%, a lancé une pétition en octobre, nommant Fauci et d'autres responsables gouvernementaux qui ont bloqué l'utilisation du HCQ en mars, notant: est mort inutilement. Rendons des traitements vitaux disponibles et mettons fin à la pandémie. Traduisons ces criminels en justice. » Cette pétition fonctionnera-t-elle? Pas probable.

    Un autre effort de pétition des meilleurs médecins du Texas en juillet, ainsi qu'une demande directe à la FDA de débloquer l'accès au HCQ, a échoué. Cela a été souligné: «À un niveau statistiquement significatif, l'hydroxychloroquine à usage précoce seule a été associée à une réduction de 51% du taux de mortalité des patients atteints de COVID recevant une cure d'hydroxychloroquine précoce de cinq jours.»

    Un procès intenté par l'Association des médecins et chirurgiens américains contre la FDA vise à libérer le stock fédéral HCQ. Cela fait le point: «Ils se soucient plus de leur pouvoir sur le stock de HCQ que des vies perdues quotidiennement sans y avoir accès. Aussi: «Les pays étrangers ont maintenu leurs taux de mortalité bien inférieurs - parfois 90% inférieurs - au taux des États-Unis, en encourageant l’utilisation du HCQ.»

    Et ce groupe a publié l'excellent «A Guide to Home-Based COVID Treatment» qui englobe l'utilisation précoce d'un cocktail HCQ. Il souligne ce point clé: «Le zinc est essentiel. Cela aide à empêcher le virus de se multiplier. L'hydroxychloroquine est le transporteur qui amène le zinc DANS les cellules pour faire son travail. » Un autre point clé: «Pendant les dix jours que les défendeurs ont mis pour déposer leur mémoire d'opposition, pour la plupart non substantiel, environ 10 000 autres Américains sont morts sans avoir accès en temps opportun à HCQ.» D'autres médicaments qui peuvent également être utilisés tôt comprennent: l'ivermectine, la bromhexine, le faviprivir, le bamlanivimab, les antibiotiques et les stéroïdes.

    Pour une utilisation précoce du HCQ, 155 études ont montré une réduction de 64 pour cent des impacts viraux négatifs, des hospitalisations ou des décès. Les premières études de traitement sont efficaces à 100 %.

    Mais Fauci s'en tire sans réfuter des données spécifiques. Et a empêché le stock fédéral de HCQ d'être utilisé par les médecins de première ligne. Dans un article récent du Fauci, cette déclaration sape son affirmation persistante selon laquelle seuls les essais cliniques randomisés peuvent prouver que HCQ est sûr et efficace, une opinion qui a été complètement démystifiée: «Les études observationnelles ont des limites substantielles mais peuvent être instructives. Beaucoup d'entre eux prennent en charge l'utilisation de HCQ.

    L'éminent Dr Peter McCullough a bien compris: «HCQ a été désigné comme un football politique au début du printemps. … L’opposition [du Fauci] est devenue un cri de ralliement de l ’« Hydroxy Hysteria »des médias traditionnels de gauche. La politisation du HCQ est une tragédie permanente.» Il a obtenu le COVID-19 et a utilisé HCQ dans le cadre de son protocole de traitement.

    Le NIH déclare officiellement qu'il «ne recommande aucune thérapie antivirale ou immunomodulatrice spécifique pour le traitement du COVID-19» pour les patients non hospitalisés. Cela met les médecins dans une position terrible qui veulent utiliser ce qui fonctionne. De plus, plus de 40 commissions et gouverneurs des licences médicales et pharmaceutiques d'État interdisent aux médecins de prescrire du HCQ et aux patients de l'obtenir.

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  51. Les Américains doivent comprendre que les soins à domicile / ambulatoires sont l’élément clé manquant dans la gestion par le gouvernement de la pandémie du COVID-19. Ils doivent transférer leur confiance aux médecins de première ligne qui ont une arme contre le virus, comme l’a proclamé la dernière activité des médecins de première ligne américains.

    La norme économique a examiné en profondeur le HCQ et a conclu: «En déformant systématiquement l’efficacité et la sécurité du HCQ à des fins politiques, ses opposants ont privé des dizaines de milliers d’américains d’un traitement potentiellement vital et risquent encore plus dans les mois et les années à venir. Les membres des médias d'information, de la communauté de la santé publique et des organismes de réglementation doivent cesser de politiser l'utilisation de ce médicament… Le fardeau de la preuve est respecté. HCQ devrait être plus largement recommandé, prescrit et promu pour traiter le COVID-19 dès maintenant.

    Le point principal concernant toutes ces données et conclusions est qu'il existe des preuves substantielles du côté de l'utilisation de HCQ et que le mème médiatisé selon lequel Fauci est un expert de confiance est un non-sens. Dans son essai «Comment le culte des experts ruine la science», Pacha Kamyshev a fait cette observation astucieuse: «Le débat sur HCQ amène les deux parties à penser que l'autre tue des gens. Il se trouve qu'un côté a raison. L'histoire ne jugera pas très bien ceux qui se sont trompés sur ce point. Pour être clair comme du cristal: Fauci a tort. Mais tant qu'il l'emporte, plus de gens meurent chaque jour inutilement.

    2. En mettant l'accent sur le contrôle de la contagion, Fauci encourage continuellement la peur, l'anxiété et la perte de libertés du public en encourageant les masques et les verrouillages. Bien que nécessaire dans une certaine mesure, il n'a même pas réussi à mettre fin à la pandémie. Une analyse perspicace dit tout dans son titre: «L'Italie a fait tout ce que Fauci recommande. Maintenant, ils ont un nombre de virus presque record. » Le New England Journal of Medicine a attiré l'attention lorsqu'il a déclaré en mai: «le port d'un masque à l'extérieur des établissements de soins de santé n'offre que peu de protection, voire aucune, contre les infections… le masquage universel n'est pas à lui seul une panacée… les masques jouent un rôle symbolique.» Toujours en mai, concernant le port des masques, Fauci a déclaré: «Je pense que nous devrions le recommander.» Mais en octobre, dès que le candidat Biden a parlé d'un mandat national pour les masques, le Fauci a déclaré que ce serait une «excellente idée» d'avoir un mandat de masque national. Fauci n'est pas seulement un outil de gauche; c'est un gauchiste. En outre, Fauci a également déclaré que les droits des États constitutionnels contribuaient à expliquer pourquoi la pandémie n’était pas surmontée.

    3. Il est proche de grandes sociétés pharmaceutiques qui veulent gagner des milliards de dollars en vendant des médicaments, des vaccins et des traitements. Exemple: Il pousse le remdesivir, un médicament coûteux pour les patients hospitalisés, tout en ignorant les soins à domicile / ambulatoires utilisant des médicaments génériques bon marché. Cela peut rapporter des milliards de dollars à Gilead. Le gouvernement a consacré au moins 70,5 millions de dollars de deniers publics à son développement. Il a obtenu le médicament approuvé avant que les tests habituels de phase 3 ne soient terminés, et a payé pour l'essai clinique. De manière significative, le comité consultatif du NIH qui a examiné le remdesivir pour la FDA comptait, parmi 54 membres du comité scientifique 18, des liens financiers avec des sociétés pharmaceutiques.

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  52. Une étude récente de l'OMS a produit des résultats négatifs pour ce médicament. Science Magazine a fait un examen approfondi du remdesivir. Conformément à toutes ses conclusions, le résultat final des essais jusqu'à présent est qu'il n'y a tout simplement pas assez de preuves que le remdesivir fonctionne, déclare Jason Pogue, président de la Society of Infectious Diseases Pharmacists.

    Un examen détaillé du remdesivir a conclu: «Lorsque vous considérez que Fauci, en tant que directeur du NIAID, a un intérêt direct dans le développement du remdesivir, et que c'est lui qui a déclaré les résultats comme étant« très significatifs », cela suggère certainement que lui aussi devrait déclarer un conflit d’intérêts dans le sort de remdesivir. Il est maintenant entièrement approuvé pour un usage hospitalier malgré de nombreuses preuves à son encontre.

    4. Fauci le semeur de peur fournit rarement des faits, des chiffres et des détails spécifiques pertinents. Il est un maître des généralités et du langage de couverture. Il insiste régulièrement sur le nombre de cas en hausse, mais pas sur le nombre de taux de mortalité en baisse, car de nombreuses personnes guérissent naturellement et de meilleurs traitements hospitaliers réduisent les décès. Judy Mikovits, qui a travaillé au NIH pendant de nombreuses années, a mis en garde:, ce que Fauci «dit est une propagande absolue».

    Fauci est brillant dans l'utilisation d'un langage doux pour donner un coup dur. Récemment, il a déclaré à une conférence d'experts en maladies infectieuses que la pandémie de covid était pire aux États-Unis en raison d'un échec à éviter les foules. Premièrement, au moins 20 pays ont un taux de mortalité plus élevé par nombre de cas confirmés. Deuxièmement, les Américains ont des problèmes de santé sous-jacents plus graves, tels que l'obésité. problèmes cardiaques et diabète, souvent avec un accès limité aux soins de santé.

    Lors d'une autre conférence, Fauci a souligné qu'il était «absolument essentiel» d'avoir une transparence totale, critiquant subtilement le président Trump pour avoir déclaré qu'au début de la pandémie, il ne voulait pas paniquer tout le monde. Pourtant, très tôt, Fauci a déclaré que le port de masques n'était pas nécessaire. Plus tard, il a déclaré qu'il avait peur à l'origine de rendre difficile l'obtention de masques pour les prestataires de soins de santé de première ligne. Donc, son manque de transparence était correct.

    5. En tant que mondialiste, il n'a pas condamné la Chine pour avoir intentionnellement créé la pandémie mondiale ou l'Organisation mondiale de la santé pour ses nombreux échecs. Fauci a eu une longue relation avec la Chine et l'OMS. Avec un budget annuel de près de 6 milliards de dollars, il a canalisé de l'argent pour aider à créer le laboratoire chinois de Wuhan qui a produit COVID-19 (7,4 millions de dollars). Au début de la pandémie, il a salué les efforts de riposte de la Chine que l’OMS a défendus et la transparence de la Chine, mais cela n’a pas résisté à un examen minutieux. En tant que fonctionnaire fédéral, il n'a pas toujours fait passer son pays avant les intérêts de la Chine et de l'OMS.

    6. Fauci est un narcissique égoïste, maintenant un nom familier. Il profite de chaque occasion pour garder son nom omniprésent. C'est ainsi qu'il maintient le pouvoir. Il est d'avis sur tous les aspects de la vie, comme conseiller aux Américains de ne pas célébrer Thanksgiving en famille. L'employé fédéral le mieux payé - 417 608 $ contre 400 000 $ pour le président - gagne également beaucoup d'argent, légalement, par d'autres moyens. Ken McCarthy a révélé: «L’Albany Medical Center lui a donné un demi-million de dollars pour« l’innovation scientifique ». Maintenant, il se trouve que le Albany Medical Center vit grâce aux subventions du NIH.»

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  53. 7. Il se fait passer pour un responsable de la santé publique, mais ne reconnaît pas pleinement tous les impacts négatifs des actions qu'il préconise. En particulier, il ignore les nombreux impacts négatifs sur la santé des contrôles de contagion, en particulier les verrouillages qui nuisent gravement à la société et à l'économie américaines. Fauci n'est pas non plus un épidémiologiste. Médecin de formation, il est un super-bureaucrate qui a largement supplanté le CDC, le Surgeon General et la FDA. Une nouvelle enquête a révélé son pouvoir de contrôler si un vaccin est approuvé ou non. Il a noté «Dr. Anthony Fauci verra les données d'essais de vaccins financés par le gouvernement avant la FDA. »

    8. Il est la quintessence d'un agent de l'État profond. Bien que membre du groupe de travail sur la pandémie de la Maison Blanche, il sape de manière subversive les efforts des médecins de première ligne et du président. Lors d'une longue interview sur CBS 60 Minutes, il s'est plaint d'avoir des contraintes de la Maison Blanche sur les apparitions dans les médias. Sur 6o minutes! Il s'est opposé à ce que les événements de la Maison Blanche ne soient pas sécuritaires. Mais il n'a pas condamné les nombreuses manifestations de rue et les émeutes de gauche [la vie des noirs compte] dans de nombreuses villes avec un nombre énorme de personnes sans masque à proximité les unes des autres.

    Fauci a récemment estimé que la reprise des rassemblements en personne par le président Trump «demandait des ennuis». Mais une analyse récente a révélé qu '«il n'y a aucune preuve vérifiable pour montrer que les rassemblements de Trump ont significativement augmenté la propagation de Covid-19.» Emma Coltonput Fauci sur place en lui faisant refuser de critiquer une grande marche des femmes comme un événement de propagation de virus, contrairement à son commentaire largement répandu critiquant un événement plutôt petit à la Maison Blanche.

    Lors d'une récente conférence, le Dr Fauci a déclaré que les premiers vaccins COVID-19 viseront à réduire les symptômes mais pas nécessairement à prévenir l'infection. Cela mine l’accent mis par le président Trump sur l’utilisation des vaccins ainsi que l’intérêt du public pour l’utilisation d’un vaccin.

    Fauci a récemment déclaré: "Ce sera facilement la fin de 2021 et peut-être même l'année prochaine avant que nous commencions à avoir des semblants de normalité." Cela mine la position positive du président Trump et ne peut pas faire du bien au public.

    9. Avec son énorme budget annuel de près de 6 milliards de dollars, il distribue environ 4 milliards de dollars par an à des personnes et groupes extérieurs. De nombreux médecins et épidémiologistes ont des opinions professionnelles très divergentes. Mais ils craignent de parler de Fauci et de perdre leur soutien financier. Plusieurs médecins de première ligne ont envoyé une lettre détaillée en août avec de nombreuses questions sérieuses, mais Fauci n'a pas répondu. L'un de ces médecins a observé que «l'interrogatoire rigoureux du Dr Fauci avec les défis de ses pairs ne s'est jamais produit. Les opinions du Dr Fauci restent non seulement incontestées, mais celles qui ont des opinions opposées sont censurées. »

    10. Ne vous laissez pas berner par le comportement de son grand-père. Reconnaissez qu'il est un collaborateur subversif de la campagne médiatique de gauche contre le président Trump. Pire encore, en tant que médecin, il a manqué à son serment de ne pas nuire. Tous les jours, les médias traditionnels traitent Fauci comme une divinité, mais il y a eu quelques critiques avec des observations sages, principalement dans les médias conservateurs. Ces opinions vont à l'encontre de la propagande des médias traditionnels

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  54. Jim Hoft a déclaré: "Depuis le début de cette pandémie, Fauci a été complètement erroné et inexact dans ses prédictions et son traitement du virus COVID-19 chinois."

    Brent Smith a posé la bonne question: «Comment le Dr Anthony Fauci a-t-il encore un emploi? Il fait partie de l'État profond de Inside-the-Beltway et a tenté de saper le président depuis qu'il a été élevé au poste de Docteur COVID Know-it-All. "

    Thomas Lifson a fait cette sage observation: «La suppression de l'utilisation de l'hydroxychloroquine en association avec le zinc pour traiter le COVID-19 représente le plus grand scandale de santé publique depuis l'étude Tuskegee.»

    Stacey Lennox a correctement noté: «Tous les traitements ambulatoires possibles de HCQ aux corticostéroïdes inhalés ont été supprimés ou ignorés par le NIH et la FDA et le Dr Fauci en particulier. Ce rejet du traitement ambulatoire précoce est inacceptable, tout comme la suppression et la mise au silence des cliniciens qui ont des données d'observation à partager sur les soins aux patients réels.

    Au sujet de l'arrêt de l'utilisation du HCQ par la FDA, le Dr Kristin Held, président de l'Association américaine des médecins et chirurgiens, a déclaré que cela «avait contribué à l'augmentation des cas de COVID et des décès…. Qui porte la responsabilité d'un tel mal? … Dr. Fauci nous a laissé tomber. Nous n'étions pas préparés et la préparation était sa responsabilité. On ne peut plus lui faire confiance.

    Mais tous ces efforts de révélation de la vérité n'ont, jusqu'à présent, pas réussi à amener le Fauci, la FDA et les NIH dans une nouvelle position, débloquant l'utilisation du HCQ pour une utilisation précoce à domicile / ambulatoire. La preuve de cet échec est que le 1er novembre, juste avant l'élection présidentielle, le Washington Post a publié un article d'une page entière avec le titre «Fauci offre une évaluation directe de ce qui nous attend aux États-Unis». Dans ce document, Fauci a fait l'éloge de l'approche de Biden sur celle de Trump, révélant à nouveau l'engagement de gauche de Fauci.

    Le lendemain, le Washington Post a publié un autre article d'une page entière sur la Maison-Blanche, contournant la FDA pour distribuer HCQ à partir du stock national. Ce n'est qu'à la fin de l'histoire qu'une attention limitée est accordée aux médecins utilisant HCQ pour traiter les patients COVID-19, y compris 400000 prescriptions pour HCQ de mai à août. Dans le même temps, un autre article du Washington Post sur l'éventuel licenciement de Fauci après l'élection présidentielle ne le justifie pas sur la base de son échec à sauver des vies. Les trois articles manquent le point critique. Le traitement précoce à domicile / ambulatoire, tel qu'il est utilisé avec succès dans certains pays, est absent de la stratégie officielle du gouvernement-Fauci. Ceci est vaincu par la politique, pas par la science. Le licenciement de Fauci ouvrirait-il la porte à cette approche manquante?

    Une lettre à l'éditeur envoyée à la poste par trois éminents médecins a fait cette observation importante: «Maintenant, Fauci est l'architecte de 200 000 morts inutiles du COVID-19, alors qu'il poussait l'approbation du remdesivir maintenant discrédité en lardant ses comités d'examen avec les membres démesurés ayant des liens économiques avec son fabricant. Il existe des médicaments cliniquement établis pour traiter le COVID-19 immédiatement lorsqu'il devient symptomatique: hydroxychloroquine, ivermectine, bromhexine, faviprivir, bamlanivimab, antibiotiques, stéroïdes, zinc, vitamines, par intermittence. Mais Fauci n'a pas dirigé les essais randomisés du NIH sur l'utilisation précoce de ces médicaments. Au lieu de cela, il a joué des millions de vies sur une stratégie d'hospitalisation tardive avec remdesivir et le reste d'entre nous se réfugiant sur place dans la peur, attendant d'être sauvé par un vaccin COVID-19 d'efficacité inconnue.

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  55. Besoin de plus de preuves que la bataille pro-HCQ est perdue ? La veille du premier article du Post, une publication médicale contenait un article d'un médecin senior aux références irréprochables faisant valoir que les études sur le HCQ «démontraient de manière concluante le manque d'efficacité du médicament».

    En somme, les Américains, y compris les politiciens, cessent de faire confiance au Fauci si sauver des vies et prévenir les hospitalisations est primordial. Comprenez qu'il a réduit la liberté médicale, empêchant les médecins d'utiliser leur meilleur jugement pour garder les patients en bonne santé et hors de l'hôpital. Suivez la science. Arrêtez de suivre Fauci. Restez avec cette question: combien d'autres mourront inutilement faute de recevoir le traitement disponible et éprouvé ? Ne restez pas coincé sur stupide.

    Reprinted with permission from The Unz Review.

    https://www.lewrockwell.com/2020/11/no_author/fauci-versus-frontline-doctors-and-science-pandemic-malpractice/

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