Hydroxychloroquine: le professeur Raoult est-il victime d’un acharnement ?
11:55 14.11.2020 Par Maxime Perrotin
Didier Raoult, professeur incontournable dans la crise du Covid-19, est poursuivi pour «charlatanisme» par l'Ordre des médecins. En cause: la promotion de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité n’aurait pas été prouvée. Parallèlement, le Remdesivir, dont l’efficacité n’a pourtant pas été non plus prouvée, a été massivement acheté par les Européens.
Le professeur Didier Raoult perdra-t-il son droit d’exercer ? Le 12 novembre, le Parisien confirmait une information Paris-Match selon laquelle le Conseil national de l'Ordre des médecins avait lancé une mesure disciplinaire à l’encontre du célèbre microbiologiste consécutivement à une plainte, en juillet, de la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF). En cause, la promotion de son traitement contre le coronavirus, à base d’hydroxychloroquine, d’azithromycine et de zinc, dont l’efficacité n’aurait pas été prouvée.
Un argument déjà employé fin octobre par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) contre une demande du professeur Raoult, formulée au mois d’août, d’octroyer une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) afin d’élargir la prescription de l’hydroxychloroquine au traitement du Covid-19. «À ce jour, les données disponibles, très hétérogènes et inégales, ne permettent pas de présager d'un bénéfice de l'hydroxychloroquine, seule ou en association, pour le traitement ou la prévention de la maladie Covid-19», développait dans son refus le directeur de l’agence publique. Une contre-attaque consécutive à son audition à l’Assemblée nationale ?
Une réponse «absolument déraisonnable sur le plan du raisonnement scientifique», avait réagi dans une vidéo publiée début novembre sur son compte Twitter le professeur Raoult. Ce dernier dénonçait une «décision personnelle». L’infectiologue renvoyait alors vers la «littérature» que constituent les 160 études disponibles sur le site de l’IHU, déclarant que pas moins de 85 d’entre elles montreraient un bénéfice à employer contre le Covid-19 un traitement comprenant de l’hydoxychloroquine.
«La mortalité est divisée par deux» dans les Ephad […]. On passe d’une mortalité globale de 27 % […] là où on ne traite pas à 13%, lorsque l’on traite. C’est la moitié, on ne peut pas dire que cela n’existe pas !», assène le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection à Marseille. Aussi annonce-t-il son intention de faire appel devant le Conseil d’État de ce refus de l’ANSM ainsi que d’«attaquer» son directeur. « Je considère qu’il joue un jeu qui est dangereux pour la santé des Français», accuse-t-il.
Faut-il y voir un lien entre ces menaces et les poursuites dont il fait à présent l’objet ? L’article de Paris Match mentionne que Didier Raoult a reçu le recommandé de l’Ordre des médecins la première semaine de novembre, et celui du Parisien –qui a contacté l’organisme professionnel– précise que la plainte de la Société de pathologie infectieuse de la SPILF date de juillet. Cette dernière clôture toute une série de requêtes déposées auprès du Conseil de l’Ordre. Parmi elles, celle d’un professeur de mathématiques exerçant dans un collège, concernant la fiabilité de l’essai clinique mené par les équipes de Didier Raoult sur 3.737 patients de l’IHU, ou encore celle pour «surmédiatisation» dénoncée par un collectif de cinq médecins hospitaliers.
Nous étions alors au lendemain de la publication par la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet d’une étude statuant sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine. Une étude dont s’est immédiatement emparé Olivier Véran pour faire interdire l’hydroxychloroquine hors du cadre hospitalier. Une étude qui s’est révélée… fausse.
«Des plaintes ont déjà été déposées devant le Conseil de l'Ordre contre des médecins. Pour Raoult, c'est à l'étude !», s’emportait début juillet, auprès du Parisien, la professeure Karine Lacombe. La cheffe du service d'infectiologie à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, connue pour être une critique de la première heure de la méthodologie de son homologue marseillais, ainsi que pour avoir touché des sommes d’argent et des avantages du laboratoire américain Gilead, criait alors à la «diffamation» après l’audition du professeur Raoult par l’Assemblée nationale le 24 juin. Cela mérite des «sanctions déontologiques», martelait-elle, accusant Didier Raoult d’avoir «menti» aux députés.
Le Remdesivir aussi inefficace que l’hydroxychloroquine, selon l’OMS
Au-delà de l’efficacité prouvée ou non du traitement du professeur Raoult, qui déchaîne en France les passions, la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir. C’est le laboratoire Gilead qui a reçu le feu vert tant des agences européenne qu’américaine du médicament. De notre côté de l’Atlantique, le 25 juin dernier, l’antiviral de Gilead a été homologué par l’agence européenne du médicament (EMA). La Commission européenne en a autorisé «la mise sur le marché conditionnelle» le 3 juillet.
Quelques semaines plus tard, le 28 juillet, Bruxelles a signé un contrat d’approvisionnement médical avec le laboratoire américain (immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware) afin de recevoir de quoi traiter 30.000 patients à travers l’Union contre la modique somme de 63 millions d’euros, soit 2.100 euros par traitement.
La Commission demande toutefois à Gilead de fournir les résultats des études. Pourtant, comme le rappelle dans son article fleuve Paris Match, à propos de ce «deux poids-deux mesures» qu’avait dénoncé Didier Raould, le Remdesivir a été jugé aussi inefficace que l’hydroxycholoroquine par l’étude européenne Solidarity.
«Il a été constaté que les quatre traitements évalués (remdesivir, hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir et interféron) n’avaient que peu ou pas d’effet sur la mortalité globale, la mise en route de la ventilation et la durée du séjour à l’hôpital chez les malades hospitalisés», note l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans les résultats provisoires de Solidarity publiés le 15 octobre.
Des résultats qu’aurait reçus fin septembre Gilead, mais que le laboratoire américain n’aurait pas communiqué à Bruxelles qui lui avait demandé –il est vrai– de le faire d’ici à fin décembre. Quelques jours plus tard, le 8 octobre, Gilead et la Commission ont signé un contrat d’approvisionnement de 500.000 traitements, soit une commande de plus d’un milliard de dollars. Interrogé par la revue de santé américaine Science sur la raison de ne pas les avoir communiqués à Bruxelles lors des négociations, le laboratoire californien a rétorqué n’avoir reçu qu’une «esquisse […] fortement expurgée». De son côté l’OMS a répondu à la revue scientifique n’avoir caviardé que les résultats des autres traitements testés… autres que ceux de Gilead.
En France, la commission de la Transparence de la Haute autorité de santé (HAS) a estimé mi-septembre que le service médical rendu par l’antiviral américain était «faible», fermant la porte à tout remboursement de ce traitement qui coûte près de 400 fois plus qu’une boîte de Plaquenil, l’hydroxychloroquine vendue par Sanofi. Du côté du professeur Raoult, en prise avec le Conseil de l’Ordre, celui-ci encourt d’un simple avertissement à une radiation. Ce qui signifierait concrètement une interdiction d’exercer la médecine en France.
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Ce dernier !
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(...) Le Remdesivir aussi inefficace que l’hydroxychloroquine, selon l’OMS (...)
(...) Au-delà de l’efficacité prouvée ou non du traitement du professeur Raoult, qui déchaîne en France les passions, la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir. (...)
'la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir' !
(...) Quelques semaines plus tard, le 28 juillet, Bruxelles a signé un contrat d’approvisionnement médical avec le laboratoire américain (immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware) afin de recevoir de quoi traiter 30.000 patients à travers l’Union contre la modique somme de 63 millions d’euros, soit 2.100 euros par traitement. (...)
'(immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware)' !
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Refus du confinement : la Polynésie française persiste et signe
14 nov. 2020, 08:49
Comme depuis l'entrée en vigueur du nouveau confinement, le Haut-Commissaire et le Président de la Polynésie française ont réaffirmé leur volonté de ne pas appliquer cette mesure. Les autorités souhaitent ainsi éviter une «crise sociale majeure».
Malgré une propagation du Covid-19 qui demeure élevée, la Polynésie française ne souhaite pas se confiner, ont expliqué le 13 novembre 2020 le Haut-Commissaire et le Président de cette collectivité d’outre-mer lors d’une allocution commune. «Nous devons absolument éviter un effondrement de l’économie qui créerait des pertes d’emplois irréversibles et une crise sociale majeure», a déclaré le Haut-Commissaire Dominique Sorain, qui représente l’Etat en Polynésie française.
Le premier secteur économique local est le tourisme, très affecté par un confinement instauré en mars, puis levé avant la réouverture des frontières en juillet. Les touristes étaient alors timidement revenus, mais le virus s’est ensuite propagé.
Le taux d’incidence est de 868 nouveaux cas hebdomadaires pour 100 000 habitants dans les îles les plus peuplées, Tahiti et Moorea. Edouard Fritch invite la population à se faire tester Coup dur supplémentaire pour l’économie locale, les métropolitains ne peuvent plus se rendre en Polynésie pour motif touristique, en raison du confinement national.
Les compagnies aériennes qui desservent la Polynésie ont déjà réduit leurs rotations.
Si les autorités ont rejeté le confinement, elles ont maintenu le couvre-feu au moins jusqu’au 14 décembre. D’autres mesures s’ajoutent aux restrictions déjà en vigueur : les compétitions sportives et les marchés aux puces sont désormais interdits.
Le Président polynésien a annoncé que plusieurs dizaines de milliers de tests antigéniques étaient désormais disponibles dans les dispensaires et infirmeries locales. «Toutes les personnes symptomatiques sont invitées à s’y présenter sans rendez-vous […] Faites-vous tester !», a demandé Edouard Fritch à sa population.
Le 13 novembre, la Polynésie française recensait 98 hospitalisations, dont 26 en réanimation, pour une population de 280 000 habitants. Le virus a tué 53 personnes dans la collectivité d’outre-mer.
«Un Absurdistan autoritaire» : l'hebdomadaire allemand Die Zeit étrille le reconfinement français
13 nov. 2020, 16:35
Le magazine allemand Die Zeit s'attaque aux décisions du gouvernement français contre le Covid-19. Il les juge autoritaires et prises «sans le Parlement» avec des risques de «conséquences lourdes» et n'ayant pas empêché un bilan «catastrophique».
Le 12 novembre, l'hebdomadaire de référence allemand Die Zeit a publié sur son site internet un article intitulé «Un Absurdistan autoritaire», dans lequel il critique les mesures prises par les autorités françaises pour lutter contre la propagation du coronavirus. Des mesures qui sont selon lui inefficaces, prises de façons autoritaire et - pour certaines - insensées.
L'article signé par Annika Joeres s'en prend tout d'abord aux auto-attestations nécessaires pour quitter son domicile et à la limitation de déplacement dans un rayon d'un kilomètre, qui conduit les adeptes de course à pied à «se bousculer dans les rues» plutôt qu'à pratiquer dans la nature.
L'auteur critique également l'ouverture partielle des magasins, caractérisée dans les grandes surfaces par «des panneaux d'avertissement ou des gardes de sécurité devant les bottes d'hiver ou devant les étagères avec des ours en peluche, afin que les clients n'achètent rien d'interdit». Des mesures selon elle infantilisantes et incompréhensibles – ce qui entraîne une situation de mécontentement à l'égard du pouvoir, envers lequel «la confiance de la population est la plus basse en Europe» –, et qui seraient par ailleurs inutiles.
«Le bilan français est catastrophique : bien que Paris ait au printemps et actuellement livré une réponse parmi les plus autoritaires contre la pandémie, le nombre de morts y ait plus élevé qu'en Suède où les mesures sont des plus libérales», relève sans appel le magazine de centre-gauche.
Une politique «quasi-monarchique»
Au delà de la nature des mesures, l'article à charge critique également la façon dont celles-ci ont été prises : «La politique de Macron est quasi monarchique. Des décisions aux lourdes conséquences sont adoptées par un conseil de Défense qui comprend quelques ministres, des fonctionnaires et des officiers.
Le Parlement n'a pas son mot à dire et ne peut entériner les décisions.» Die Zeit affirme par ailleurs que la Ligue des droits de l'Homme aurait affirmé ne pouvoir intenter de poursuite judiciaires contres les décisions liberticides prises par le gouvernement français car «l'état d'urgence permet tout».
Une situation démocratiquement problématique et politiquement dangereuse, étant donné qu'«à part le Rassemblement national à l'extrême droite, la France n'a guère d'opposition audible». En Allemagne, un reconfinement et un bilan plus légers
Si le magazine allemand se permet de telles critiques, c'est que la situation est moins sévère outre-Rhin. Un reconfinement anticipé y a également été instauré depuis 2 novembre mais, contrairement à la France, tous les magasins restent ouverts (à condition que les commerces en question accueillent une seule personne par 10 mètres carrés) et les Allemands ne doivent se munir d'attestations de déplacement dérogatoires lorsqu'ils quittent leur domicile.
Ces fameuses attestations dont le Premier ministre Jean Castex a annoncé la prolongation du caractère obligatoire après le 1er décembre, et dont le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a appelé les préfets à renforcer le contrôle.
Mis en œuvre pour contenir une seconde vague du virus qui devrait selon le gouvernement être «sans doute plus meurtrière» que la première, le reconfinement va entrer dans sa troisième semaine. 418 personnes étaient décédées du Covid-19 en 24 heures selon les données du 12 novembre en France, et 33 172 nouveaux cas ont été détectés, ce qui porte le total à 1 898 710 cas.
En Allemagne, le nombre de cas confirmés de contamination au coronavirus a atteint 727 553 et le nombre de morts s'élève à 11 982 depuis le début de l’épidémie selon Reuters, soit 3,5 fois moins qu'en France (42 960 décès).
«On va massacrer un pays pour sauver 30.000 vies»: le Pr Michaël Peyromaure dénonce le reconfinement - vidéo
15:28 14.11.2020 Par Nikita Martynov
Le nouveau confinement instauré par le gouvernement a été critiqué le 13 novembre par le chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris lors de La Matinale de CNews. Selon lui, «les moyens mis en œuvre sont totalement disproportionnés».
Invité le 13 novembre sur La Matinale de CNews, le professeur Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris, a dénoncé le reconfinement qui «va faire des dégâts absolument considérables, des dégâts nationaux».
«On se rendra compte un jour ou l’autre quand on fera le bilan que pour sauver 10.000, 20.000 ou 30.000 vies, qui sont certes dramatiques mais qui restent quand même assez peu par rapport à la population, on aura ruiné des millions de Français», explique-t-il.
Selon lui, «les moyens mis en œuvre sont totalement disproportionnés» et il faut «prendre du recul», sinon «on va massacrer un pays».
Quoi qu’il en soit, le Pr Michaël Peyromaure dit comprendre ses collègues qui travaillent en réanimation et qui «voient affluer des gens dans des situations qui sont graves».
Des commerçants en colère
Comme au printemps dernier, les commerces non-essentiels sont fermés pendant le confinement. Contraints de baisser le rideau, les petits commerçants sont nombreux à crier leur colère. Ils sont surtout préoccupés par le fait qu’ils doivent fermer au moment de l’année le plus important pour eux, là où certains font 40 % de leur chiffre d’affaires annuel.
La France recense 42.600 morts depuis le début de la pandémie, indique l’université Johns-Hopkins. Au total, 1.915.677 personnes ont été contaminées.
Le président de la Fed, Powell, admet la vérité: "Nous ne retournons pas à la même économie"
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 10:30 Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Même Jerome Powell admet que les années de boom sont terminées. Pendant des mois, j'essaie d'expliquer à mes lecteurs que la «prospérité» alimentée par la dette dont nous bénéficions avant la pandémie COVID ne reviendra pas, et j'ai d'abord reçu de nombreuses critiques pour avoir dit cela. Mais cette critique s'est calmée, car à ce stade, presque tout le monde peut voir la vérité. Malgré le plan de relance après le plan de relance, et malgré une intervention sans précédent de la Réserve fédérale, nous continuons d'être embourbés dans la pire récession économique depuis la Grande Dépression des années 1930. La peur du virus continue de faire baisser le niveau global de l'activité économique, de plus en plus d'entreprises font faillite chaque jour qui passe et les annonces de licenciements ne semblent jamais prendre fin.
Normalement, les responsables de la Réserve fédérale s'efforcent d'être sans relâche optimistes. Mais lors d'une table ronde de la Banque centrale européenne jeudi, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a ouvertement admis que «nous ne retournons pas à la même économie»…
«Nous ne retournons pas à la même économie», a déclaré Powell. "Nous nous rétablissons, mais dans une autre économie et ce sera une économie qui sera davantage mise à profit de la technologie, et je crains que cela ne rende les choses encore plus difficiles que pour de nombreux travailleurs."
Le dirigeant de la banque centrale a déclaré qu'il se référait spécifiquement aux «travailleurs relativement mal payés qui font face au public et qui supportent ce poids», dont beaucoup sont des femmes et des minorités.
Son utilisation de l'expression «une économie différente» a vraiment attiré mon attention.
Quand j'essaie d'annoncer de très mauvaises nouvelles à quelqu'un d'une manière douce, j'utilise souvent le mot «différent» pour décrire ce que seront les choses à l'avenir, et je pense que Powell fait la même chose ici. Il sait qu'il n'y a aucun moyen que les choses «reviennent à la normale» de sitôt, et il a tout à fait raison de s'inquiéter particulièrement de la façon dont cela affectera les travailleurs faiblement rémunérés.
Les travailleurs faiblement rémunérés ont perdu leur emploi à un rythme beaucoup plus élevé que n'importe qui d'autre, et les pertes d'emplois continuent de se produire.
Jeudi, nous avons appris que 709 000 Américains supplémentaires avaient déposé de nouvelles demandes de prestations de chômage la semaine dernière, et ce nombre est plus de trois fois plus élevé que ce à quoi nous avons assisté au cours d'une semaine typique en 2019 ...
Le rapport du Département du travail a montré une onzième semaine consécutive que les nouvelles demandes de chômage étaient inférieures à 1 million. Mais les nouvelles demandes ne sont pas encore revenues en dessous de 700 000 depuis le début de la pandémie et se sont maintenues nettement au-dessus des niveaux d'avant l'épidémie. Tout au long de 2019, de nouvelles demandes de chômage initiales ont été reçues en moyenne un peu plus de 200000 par semaine.
Au 24 octobre, un total de 21,16 millions d'Américains apportaient à la maison une forme quelconque d'assistance-chômage.
Il y a un an, ce nombre n'était que de 1,45 million.
En d'autres termes, nous sommes au milieu d'un cauchemar national du chômage.
Et de nombreux analystes sont profondément préoccupés par le fait que la nouvelle vague de lock-out qui commence maintenant à se produire dans tout le pays provoquera une nouvelle vague de licenciements ...
À mesure que le temps froid s'installe et que la peur du virus s'intensifie, les consommateurs peuvent devenir plus prudents lorsqu'ils voyagent, font du shopping, sortent au restaurant et visitent les gymnases, les coiffeurs et les détaillants. Les entreprises de nombreux secteurs pourraient supprimer des emplois ou des heures de travail. Ces derniers jours, la résurgence du virus a déclenché des restrictions plus strictes sur les entreprises, principalement des restaurants et des bars, dans plusieurs États, dont le Texas, New York, le Maryland et l'Oregon.
«Le risque peut être de multiplier les licenciements alors que les cas de coronavirus augmentent et que certains États imposent des restrictions à l'activité», a déclaré Nancy Vanden Houten, économiste au cabinet de prévisions Oxford Economics.
Hier, j'ai discuté du fait que l'un des experts du nouveau conseil consultatif COVID-19 de Joe Biden souhaite un verrouillage national complet pendant au moins un mois une fois que Biden sera à la Maison Blanche.
Inutile de dire que cela aggraverait la crise économique que nous traversons actuellement.
Mais bien sûr, il y a beaucoup d'Américains là-bas qui ne vont tout simplement plus supporter d'autres verrouillages. En fait, une nouvelle enquête a révélé que seulement 49 % de tous les Américains «seraient très susceptibles de rester à la maison pendant un mois si les autorités sanitaires le recommandaient»…
Moins de la moitié des Américains disent qu'ils sont très susceptibles de se conformer à un autre verrouillage, malgré les inquiétudes croissantes concernant la pandémie de coronavirus, selon le dernier sondage Gallup.
Environ 49 % des Américains interrogés entre le 19 octobre et le 1er novembre ont déclaré qu'ils seraient très susceptibles de rester chez eux pendant un mois si les responsables de la santé le recommandaient à la suite d'une épidémie de coronavirus dans leur communauté, contre 67 % au printemps.
Des millions et des millions de vies ont été bouleversées par les verrouillages qui avaient été précédemment institués, et les dommages économiques causés par une autre série de verrouillages seraient incalculables.
Mais il semble que d'autres verrouillages arrivent de toute façon, ce qui signifie que beaucoup plus de souffrances économiques sont à venir.
Avant la pandémie, Victoria Perez, 38 ans, occupait deux emplois, mais elle les a rapidement perdus tous les deux une fois que COVID est arrivé. Maintenant, elle et ses enfants vivent dans des logements urbains à Oakland, en Californie, et ils ne sont plus qu'à un pas de devenir sans-abri ...
Parmi eux, Victoria Perez, qui occupait deux emplois de livraison avant le déclenchement de la pandémie. Ayant perdu ses deux emplois au printemps, elle vit maintenant avec ses enfants dans des logements subventionnés par la ville près d'Oakland, en Californie, et espère éviter l'itinérance.
Les logements en ville, fournis aux personnes à risque accru de coronavirus, ne durent que jusqu'en décembre. Perez, 38 ans, est un survivant du cancer.
Après les fêtes de fin d'année, que doit-elle faire si elle n'arrive pas à trouver un nouvel emploi ?
Être sans abri est déjà assez mauvais. Lorsque vous ajoutez des enfants à l'équation, nous parlons du genre de scénario de cauchemar que personne ne devrait jamais avoir à vivre.
Malheureusement, les rangs des sans-abri explosent dans tout le pays alors que l'économie américaine s'effondre sous nos yeux.
En 2021, j'anticipe la plus grande vague de trafic de l'histoire du blog sur l'effondrement économique alors que notre implosion économique en cours s'accélère encore plus. J'ai entendu tant de gens qui souffrent profondément en ce moment, et j'aimerais avoir de meilleures nouvelles pour tout le monde.
Malheureusement, les conséquences pendant des décennies de décisions extrêmement stupides nous rattrapent, et dire que nous nous dirigeons vers une «économie différente» est certainement un euphémisme majeur.
(...) La peur du virus continue de faire baisser le niveau global de l'activité économique, (...)
Ce n'est pas 'la peur du virus' (on en a vu des milliards de milliards !) mais la peur des criminels au pouvoir !
Ils pensent contrôler le monde avec des images de Mickeys distribuées chaque mois, mais l'être humain peut vivre sans ! Regardez à la campagne ! Les fruits, les légumes poussent, les poules pondent et les vaches donnent du lait ! En serres il n'y a plus de saisons, elles permettent de semer et de récolter en hiver, sous la pluie, la neige et le vent fort ! L'espoir est que 7 milliards de personnes puissent comprendre çà !
Aujourd'hui toutes les conserveries et stations d'embouteillages sont fermées dans le monde !! Et, les stocks SERONT VIDES avant le 31 Décembre !
Certains s''enrichissent' en Bourses durant le corona mais, comme les autres milliardaires ou millionnaires ILS ONT BESOIN DU PEUPLE ! Pour l'alimentation, la médecine, l'habillement, construction, machines, réparations et inventions ! Le milliardaire est celui qui fait le plus de redistributions dans ses achats coûteux, c'est pourquoi je doute qu'ils suivent les dictateurs car, un milliardaire peut acheter des armes et du monde pour s'en servir !
Des virus 'corona' ils peuvent en fabriquer des millions de différents ! De l'argent électrique pareil mais de vie... comme nous ils en ont qu'une !
Par contre, le seul espoir du Peuple c'est bien l'EMP !
Les deux premiers tiers sont saisissants, respirent la vérité, les intervenants paraissent réellement intègres.
Le dernier tiers, tarte à la crème, ne me satisfait pas alors que nous sommes face à une problématique d’une très grande gravité, où notre liberté, nos vies, sont directement attaquées.
La solution simpliste consistant à évoquer le complot et le marché est, de mon point de vue, de nature à augmenter significativement le risque de dérapage, alors que son but reste basique : reporter la faute sur les autres, se dédouaner de toute responsabilité. C’est un peu facile.
Ma pensée à ce sujet. Ces deux points seront évacués.
Le complot
Nul n’est en mesure de monter un complot à l’échelle planétaire. Déjà à l’échelle familiale ou amicale ce n’est pas facile, voire impossible.
En effet, un complot demande non seulement une adhésion aveugle à un projet, mais aussi un secret absolu dont l’homme n’est pas capable, surtout aujourd’hui où la quête de notoriété emporte tout, y compris les secrets les plus profonds.
Alors, comploter entre puissants, qui ne rêvent que d’en découdre entre eux et surement pas d’être liés à mort, c’est inimaginable.
Donc, oublions le complot dont l’évocation a pour but, en réalité, de désigner un bouc-émissaire, solution multimillénaire de facilité, éculée et infantilisante.
On n’essaie de comploter que contre ceux qui vous font peur, peut-on imaginer une seconde que les riches aient peur des pauvres ? C’est s’accorder une importance, en tant que pauvre, que nous n’avons pas.
En revanche, il existe constamment des synergies d’intérêt, chez tous les intervenants sociaux. Par exemple, le patronat, mais aussi la masse salariale, sont parcourus d’intérêts synergiques qui aboutissent à des alliances de circonstance, telles que des partages de marché ou la création de syndicats et les actions intersyndicales. Ces alliances peuvent être confondues avec des complots, mais ce n’en est jamais. Colporter ce genre d’information est nuisible à la recherche justement de l’information, sans laquelle aucune situation n’est compréhensible et soluble.
Le marché
Le marché n’a aucune volonté de nuisance, au contraire. Il a besoin du consommateur, quelque soit son niveau de richesse ou d’intelligence. Donc le marché compose toujours, même le marché des armes.
Cependant il est insensible, c’est un fait, et cette insensibilité ne lui donne pas une bonne image auprès de ceux qui sont fragiles.
C’est ici qu’intervient la politique, destinée au départ à simplement permettre à toutes les composantes de la société de vivre en bonne intelligence, y compris donc le marché.
Il est facile de prétendre pour un politique — pour se faire aimer des plus faibles, souvent les plus nombreux — qu’il va maitriser le marché, c’est-à-dire l’amputer de sa liberté, de sa sévérité, de son insensibilité. Pour finalement se faire — peut-être mais pas toujours — acheter par le marché, effectivement toujours prêt à tout payer s’il y trouve son intérêt.
Quoiqu’il en soit, sans liberté — ou avec une liberté payée trop chère — le marché s’effondre, et quand le marché s’effondre arrive la pénurie. Nous y sommes déjà.
Ceci posé, nous sommes face à un risque de dérapage, déjà largement engagé.
Deux méthodes pour arriver en dictature, le coup d’état ou une hystérie populaire.
Il n’y a pas de coup d’Etat mondial en cours, et je ne pense pas que cela soit possible.
En revanche l’hystérie populaire est évidente. Hitler, Mussolini, sont arrivés au pouvoir à l’occasion d’une hystérie populaire.
Le film le montre de façon évidente, au début de l’aventure COVID les hommes de l’Etat, en tout cas les français, ont été entièrement à côté de la plaque. S’ils avaient été initiés, s’ils avaient fait partie d’un complot, ils auraient probablement évité de dire autant de conneries, qu’ils vont sans doute payer très cher.
Ce n’est donc pas ça.
La foule a été prise de folie soudaine face à une épidémie assez peu différente des précédentes et de celles à venir.
Je vois à cela deux raisons.
La sécurité sociale
Je salue ici au passage un homme que je respecte, qui m’a accordé son amitié, Claude Reichman, qui voit aujourd’hui grandeur nature l’explosion du monstre contre lequel il lutte depuis si longtemps.
La sécurité sociale par une propagande inqualifiable a dissimulé ses rapines monstrueuses en faisant croire qu’elle avait la capacité de soigner tout le monde gratuitement. Elle a répandu l’idée de la suppression du risque sanitaire, tout en cachant sa décrépitude.
A tel point qu’elle ne peut pas assumer la survenance d’un risque modéré, et que cette situation provoque une panique légitime mais totalement inutile.
Les réseaux sociaux
Ils nous inondent d’informations à chaque minute qui passe, mais ils nous laissent seuls pour en faire le tri. La tâche s’avère impossible. La défense instinctive est alors de trier à partir de croyances, ce qui est la pire solution.
La diarrhée informatrice des réseaux sociaux exacerbe les croyances, c’est un fait.
Cela ne durera peut-être qu’un temps, la jeunesse qui arrive saura sans doute faire le tri, à condition qu’entre temps on ne l’ait pas massacrée à l’occasion d’une guerre ou d’une dictature.
On sent bien l’excitation qui gagne nos élus quand ils voient que tout le monde obéit à leurs ordres les plus cons. Quand ils constatent le degré de délation auquel est arrivée la population, sa lâcheté, ses peurs.
Le pouvoir devient vite plus simple à exercer dans ces conditions. Dès l’enclanchement de la guerre l’exercice du pouvoir pour Hitler est devenu puéril, du niveau d’un jeu de console.
La dictature et la guerre sont des jeux simples, visiblement Macron y prend gout.
La foule, toujours inutilement effrayée, applaudit encore, attention qu’il ne soit pas trop tard lorsqu’elle prendra conscience que sa liberté n’est plus qu’un lointain souvenir.
Tout cela est grave, très grave, ce n’est pas un jeu, une farce qui va passer.
Des forces se mettent en route, parmi lesquelles celles de ceux qui sont ruinés n’est pas la plus illégitime, iIs sont nombreux. Toutes ces forces vont se retrouver opposées, les hommes de l’Etat et leurs représentants ne tarderont pas à être débordés, donc probablement à devoir, penseront ils, imposer l’ordre, restreindre encore les libertés. Le cycle infernal me parait enclenché.
Une analyse de 2003 (liens en fin de billet) énumère trois façons dont les médecins gagnent de l’argent distribué généreusement par des sociétés pharmaceutiques. Certains sont embauchés pour mener des recherches. Certains sont payés pour orienter les patients vers des essais cliniques. D’autres sont incités à rédiger plus d’ordonnances. Ces incitations peuvent prendre la forme d’honoraires annuels de consultant. Ou des honoraires d’orateurs lors des événements des sociétés pharmaceutiques. Ou des conférences rétribuées dans des lieux exotiques (voyages), des dîners dans des restaurants chics, des billets pour des événements sportifs et des billets pour des concerts de musique. Ces recherches suggèrent que même de petits cadeaux et de petites sommes d’argent affectent le comportement des médecins à un degré surprenant, et que la plupart des médecins croient que leurs collègues sont influencés par les promotions des compagnies pharmaceutiques.
Ce qui nous amène au SARS-CoV-2. Un conflit très public est survenu entre ceux qui favorisent le traitement des patients avec des médicaments peu coûteux et non brevetés tels que l’hydroxychloroquine (HCQ) et ceux qui favorisent l’utilisation de médicaments coûteux et protégés par des brevets tels que le Remdesivir qui est fabriqué par Gilead Sciences.
Un article récent (lien ci-dessous) examine ce que 98 professeurs de médecine et praticiens français spécialisés dans les maladies infectieuses ont déclaré publiquement à propos de l’HCQ. Intitulé « Influence des conflits d’intérêts sur les positions publiques à l’ère COVID-19, le cas de Gilead Sciences », il rapporte que 54 de ces universitaires n’ont pris aucune position publique sur le HCQ, 14 autres sont restés soigneusement neutres. Ce qui en laisse 30 dont 14 ont dit des choses favorables ou très favorables à propos de HCQ et 16 ont dit des choses défavorables ou très défavorables.
En France, les sociétés pharmaceutiques sont tenues de déclarer, via un site Web gouvernemental (lien), le montant du soutien financier qu’elles fournissent aux médecins. Cet article révèle une différence surprenante entre les universitaires pro- et anti-HCQ. De manière générale, les médecins les plus favorables à HCQ reçoivent moins d’argent de Gilead Sciences et vice versa. Le document traite les 14 universitaires pro-HCQ comme deux sous-groupes (favorables et très favorables), plutôt que comme des individus identifiables. Certaines de ces personnes n’avaient aucun lien financier avec Gilead Sciences au cours des sept dernières années (2013-2019). Le montant le plus avantageux pour un individu dans ce groupe a été de 4 773 euros.
Tous les autres 16 (également non identifiés) anti-HCQ (également non identifiés) étaient financièrement liés à Gilead au cours de la même période. Ceux qui ont fait des commentaires publics défavorables ont reçu en moyenne 11085 € (avec des cas individuels allant de 234 € à 31 731 €). Ceux qui ont fait des commentaires très défavorables ont reçu en moyenne 24 048 € (avec des cas individuels allant de 122 € à 52 812 €). En France, moins les médecins sont financièrement connectés à Gilead Sciences plus ils sont susceptibles de soutenir l’utilisation de HCQ. Plus le lien financier avec Gilead est grand, plus l’hostilité envers HCQ est grande. La section «Résultats» de ce document rapporte en outre que, sur les 98 universitaires étudiés, seuls 13 n’avaient aucun lien financier avec Gilead. Quatre de ces 13 n’ont pris aucune position publique sur HCQ, l’un d’eux est resté neutre. La majorité est pro-HCQ, un étant favorable et sept étant très favorables.
Cette étude ne nous dit rien, bien sûr, sur les circonstances dans lesquelles HCQ pourrait être un traitement efficace contre le SRS-CoV-2. Mais cet article nous rappelle que les gouvernements s’appuient sur le jugement d’êtres humains faillibles. Même au milieu d’une pandémie, alors que tout le monde devrait s’efforcer de penser clairement, les experts en maladies infectieuses sont sujets à de multiples types de déviations, notamment d’ordre financier.
Liens.
Hydroxychloroquine & the Judgment of History
https://doi.org/10.1016/j.nmni.2020.100710 (publié en preprint en juin 2020, en accès libre)
Article de Donna Laframboise paru sur son site nofrackingconsensus.com. Commentaires de la part de votre serviteur. Il est plus que vraisemblable qu’un certain nombre de médecins, après lecture de cet article mis en ligne en juin 2020, ont été rendus passablement nerveux par le Professeur Raoult en particulier ceux qui dans la région française où se trouve l’institut IHU se sentent auréolés d’une importance indue car ils font partie de la délégation régionale du Conseil de l’Ordre des Médecins. Cette instance a déposé une plainte à l’encontre du Professeur Raoult pour manquements aux préceptes du Serment d’Hippocrate. Ces sinistres individus émargent-ils aussi sur les largesses des laboratoires pharmaceutiques ?
Durant ma carrière de recherche en biologie j’ai été en contact avec de nombreux médecins spécialistes et tous sans exception bénéficiaient des faveurs financières des laboratoires pharmaceutiques dont ils ne se cachaient pas. Naturellement cette attitude n’est pas répréhensible dans la mesure où ces personnes sont professionnellement irréprochables. Mais dénigrer un confrère qui a décidé de sauver des vies humaines en prescrivant un médicament vieux et peu coûteux, certes, mais hors autorisation d’usage pour ce type d’application, relève de la justice pénale. Il faut espérer que cette affaire ne s’éteindra pas car il faudra nettoyer les écuries d’Augias une fois pour toutes. En effet, des membres du gouvernement français se sont compromis dans cette histoire d’HCQ en déclarant cette molécule toxique et par conséquent interdite (pour protéger leurs bonus provenant de Gilead ?). Ce sera à la justice de clarifier cette affaire et de condamner à de lourdes peines certains personnages qui ont délibérément mis en danger la vie d’autrui.
Le recomptage de la Géorgie est peut-être aussi corrompu que l'élection elle-même
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 11:25 Rédigé par Andrea Widburg via AmericanThinker.com,
Vendredi matin, la Géorgie a commencé à recompter les votes qu'elle avait reçus le 3 novembre. Cependant, dans un court laps de temps, des rapports ont été signalés selon lesquels le processus de recomptage était mené avec aussi peu de respect pour la transparence que le décompte initial des votes. Sans cette transparence, ce recomptage est une perte de temps et d'argent pour les contribuables.
Avant d'aborder le problème du recomptage lui-même, nous devons nous assurer que nous sommes tous sur la même longueur d'onde sur ce qui se passe en Géorgie, donc un peu de contexte est nécessaire. Dans mon article sur les deux différents types de fraude électorale, j'ai expliqué que le premier type de fraude concerne la légitimité du scrutin.
Autrement dit, le morceau de papier qui a été introduit dans la machine à compter a-t-il été envoyé par un électeur dûment inscrit ? Sinon, ce vote ne peut pas être compté.
Nous savons d'après les affidavits affluant de partout au pays que les démocrates ont utilisé le virus de Wuhan pour justifier l'envoi par la poste de millions de bulletins de vote à toute personne inscrite sur les listes électorales, que cette personne soit décédée depuis, soit passée à autre chose ou qu'elle ait perdu tout intérêt à voter. Parce que les listes électorales sont remplies de ces électeurs, les publipostages en masse signifiaient que des milliers, des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de bulletins de vote flottaient dans les États postés, libres pour quiconque de les saisir et de les soumettre.
Les démocrates ont rendu cette fraude possible parce qu'ils ont régulièrement détruit d'autres gardiens de la légitimité électorale, tels que les contrôles d'identité et les correspondances de signatures. Dans les États dirigés par les démocrates, voter est devenu aussi facile et aussi vulnérable à la fraude que d'aller dans un centre commercial, de remplir des noms sur des bouts de papier et de les mettre dans un grand seau pour un "dessin" promotionnel pour un vélo ou une voiture. Ou, encore mieux, envoyer par la poste des centaines de bouts de papier remplis à votre ami chez le concessionnaire automobile pour qu'il les mette dans le seau. C'est ainsi que les États démocrates ont organisé leurs élections en 2020.
Voici donc ce qu'il est important de savoir sur le recomptage de la Géorgie: le recomptage ne fera rien pour corriger ce premier type de fraude. Le processus de vérification des électeurs était totalement corrompu, et il n'y a aucun moyen de dissocier l'illégitime des bulletins légitimes lors du recomptage.
Le deuxième type de fraude consiste à compter. Les data-crunchers ont produit des preuves convaincantes que les machines à voter électroniques dans les États contestés étaient sur le point de passer des votes de Trump à Biden. Jay Valentine a un aperçu accessible de ce type de fraude ici. Ce qui est bien avec la fraude informatique, c'est que, même si elle peut être cachée à petite échelle, à grande échelle, elle laisse des indices indéniables. (Vous pouvez en savoir plus sur ces indices ici et ici.) Il existe des preuves solides que le même code pro-Biden qui est apparu dans le Michigan a également affecté les votes en Géorgie.
En théorie, bien qu'il ne supprime pas les bulletins de vote illégitimes, un recomptage manuel empêchera au moins une répétition de la fraude par ordinateur. Cependant, cela ne fonctionne que si les humains qui font le comptage ne trichent pas.
La meilleure façon d'empêcher les humains de tricher est de les regarder. En effet, ceux d'entre vous qui sont assez vieux pour se souvenir du recomptage de la Floride en 2000 se souviendront également que les médias se sont promenés librement dans les salles de dépouillement, obtenant des gros plans de personnes examinant attentivement chaque bulletin de vote à la recherche de ces fameux tchads pendants. Tout le monde a compris que le but était de bien faire les choses.
Mais que se passe-t-il lorsque les responsables du recomptage, au lieu de la transparence, refusent une fois de plus de permettre aux représentants des parties de vérifier leur travail ? Voici ce qui se passe:
Dans une brève vidéo que je ne peux pas intégrer mais que vous pouvez voir ici, Dick Morris explique qu'il se passe plus que simplement empêcher les républicains d'observer le vote. En outre, dans la mesure où il reste des enveloppes disponibles à partir des bulletins de vote postaux (absents), le secrétaire d'État Brad Raffensperger a déclaré que les compteurs n'essaieraient pas de faire correspondre les signatures.
Le refus de vérifier les signatures ou d'essayer de valider les bulletins de vote par correspondance a créé des taux de rejet extrêmement anormaux. En règle générale, la Géorgie rejette 3,5 % des bulletins de vote par correspondance parce qu'ils ne peuvent pas être validés. Cette année, dit Morris, le taux de rejet est de 0,002 %. Comme Morris l'a dit, sans plus, cette divergence indique une vaste fraude.
Non content de supprimer ces contrôles de fraude, Raffensberger a également ordonné aux comtés de terminer le processus avant 15 heures. le samedi. La Géorgie a reçu environ 5 millions de voix. Il est ridicule de croire qu'ils peuvent être racontés correctement en un jour et demi. Ce n'est pas un recomptage; c'est un théâtre de fraude.
For more information about what's going on in Georgia, including the Senate runoff, be sure to check out VoterGA.com. That site is all over Georgia's election fraud.
Des milliers de manifestants pro-Trump attendus à Washington pour revendiquer la victoire
13 nov. 2020, 19:32
Alors que Donald Trump refuse toujours de reconnaître la victoire de Joe Biden annoncée par la presse, de nombreux groupes de soutien du président appellent à un grand défilé dans les rues de la capitale fédérale américaine.
Le 14 novembre, de nombreux militants pro-Trump convergeront à Washington D.C pour la Million MAGA March («la marche du million de Make America Great Again» - le slogan de Donald Trump). Cette manifestation initiée par des soutiens du président devrait réunir de nombreux groupes dont celui des désormais célèbres Proud Boys, ce mouvement qui revendique le recours à la violence et la défense «des valeurs occidentales».
Donald Trump avait appelé ses membres à «se tenir prêts» lors du premier débat présidentiel s'attirant ainsi de violentes critiques. Le chef d'Etat a d'ailleurs laissé entendre, ce 13 novembre, qu'il pourrait participer à cette mobilisation dans la capitale. «Ça fait chaud au cœur de voir tout cet énorme soutien, surtout ces rassemblements spontanés qui fleurissent à travers le pays, dont un grand samedi [14 novembre] à D.C. Je pourrais même essayer de passer dire bonjour», a-t-il tweeté, tout en martelant : «L'élection a été truquée.»
Alors que le président américain accuse toujours le camp démocrate de lui «voler l'élection», l'attachée de presse de la Maison Blanche Kayleigh McEnany a déclaré à la chaîne Fox News le 12 novembre que «les gens veulent se montrer et faire entendre leur voix». Elle a également affirmé ne pas pouvoir donner d'estimation précise sur le nombre de participants, mais a considéré qu'il «va être assez important».
La maire démocrate de Washington Muriel Bowser a déclaré suivre la situation de près et sa ville se préparait à recevoir l'événement. «Nous serons là pour assurer l'exercice pacifique de ces manifestations dans le cadre du Premier Amendement», a-t-elle précisé aux médias américains. Ces manifestations prévues dans la capitale ont inspiré une série de contre-manifestations, dont certaines intitulées «F*** MAGA» organisées par des groupes antifascistes et anarchistes locaux qui, pour certains, ont affronté violemment, par le passé, les Proud Boys dans des villes telles que Portland (Oregon). Un mouvement contre des fraudes supposées qui ne faiblit pas
Dix jours après l'élection présidentielle américaine, Donald Trump refuse de reconnaître sa défaite face à un Joe Biden donné gagnant par les médias et, que le président sortant accuse de fraude électorale (liée en particulier au système de vote par correspondance) et contre laquelle il a promis de batailler en justice jusqu'au bout.
Le 9 novembre, le procureur général des Etats-Unis, Bill Barr, a donné son feu vert pour l'ouverture d'enquêtes sur d'éventuelles irrégularités lors de cette présidentielle mais ce 13 novembre, plusieurs autorités électorales locales et nationales dont l'agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) ont déclaré, dans un communiqué commun : «Il n'existe aucune preuve d'un système de vote ayant effacé, perdu ou changé des bulletins, ou ayant été piraté de quelque façon que ce soit.»
Le 13 novembre, Peter Navarro, un des conseillers économiques du président sortant a cependant affirmé –toujours sur Fox News – qu'«à la Maison Blanche nous continuons à travailler en considérant que Trump va avoir un second mandat». «Je pense qu'il est vraiment important [...] de comprendre que nous voulons des bulletins de vote vérifiables, un scrutin qui puisse être certifié et une enquête sur le nombre croissant d'allégations de fraude faites par des témoins qui ont signé des déclarations écrites sous serment», a-t-il ajouté.
par Tyler Durden Ven, 13/11/2020 - 23:00 Rédigé par Dmitry Orlov via le blog du Club Orlov,
Il y a des moments dans ma carrière en tant qu'observateur d'effondrement et systématiseur où mon commentaire en cours d'exécution peut raisonnablement être réduit à seulement deux mots: "Regardez ça !"
L'étape sévère actuelle de la séquence d'effondrement financier et économique qui a été lancée en 2008, qui est artificiellement masquée (sans jeu de mots) par la «pandémie» de Covid, et maintenant une élection américaine suspendue et frauduleuse en plus de celle-ci est un tel occasion: pourquoi ne pas simplement s'asseoir et regarder le monde brûler ?
Mais il se trouve que je suis d'humeur particulièrement bonne et enjouée aujourd'hui, et quand j'arrive ainsi, peu de choses peuvent m'empêcher de tenir et de faire des éclats prophétiques.
Commençons par une petite balade dans le passé. J'ai compris pour la première fois que les États-Unis allaient suivre la trajectoire générale de l'URSS en 1995. J'ai aussi tout de suite réalisé que l'URSS était plutôt bien préparée à l'effondrement alors que les États-Unis étaient sur le point d'en être aveuglés, et donc, en tant que public service, j'ai pensé que je devrais avertir les gens. "Et beaucoup de bien qui a fait!" certains d'entre vous pourraient immédiatement s'exclamer. Mais vous auriez tort: ??beaucoup de gens m'ont écrit pour me dire à quel point ils sont psychologiquement mieux ajustés maintenant qu'ils ont entendu et accepté mon message, pour l'instant ils sont prêts à accepter l'effondrement avec sérénité et équilibre. Cela rendra leur entreprise moins fastidieuse à l'avenir.
Et donc j'ai eu mon "Eureka!" moment en 1995, et une décennie plus tard, en 2005, j'ai rendu public mes observations. J'ai eu une réponse étonnamment sympathique de certaines personnes particulièrement éclairées (même si elles l'ont dit elles-mêmes). Et maintenant, un quart de siècle après mon premier aperçu, alors que les États-Unis entrent dans la faillite nationale et l'effondrement institutionnel, le monde entier est traité pour une extravagance électorale spectaculaire de fin d'empire mettant en vedette nul autre que le showman accompli et l'impresario extraordinaire Donald Atout. Il avait l'habitude d'organiser des concours de beauté, alors que celui-ci est plus un concours de laideur, mais la beauté est rare et s'estompe toujours tandis que la laideur est courante et devient généralement plus moche, ce qui en fait un pari beaucoup plus sûr. Et donc acceptons-le comme un cadeau de départ au monde d'une nation en voie de disparition qui nous a donné des films d'horreur, la télé-réalité et des cirques à trois anneaux avec des freaks.
Dans le vaste tableau panoramique de l'élection de 2020, Trump (notre héros) apparaît baigné d'une lueur dorée du coucher du soleil de la nostalgie de la grandeur américaine perdue qu'il promet à jamais de raviver. Rassurez-vous, Trump ou pas Trump, l'Amérique ne sera plus jamais géniale. Mais le halo magique de Trump s'étend de son plumage crânien orange resplendissant et enveloppe tous ceux qui se languissent de la Pax Americana perdue et craignent et détestent ce que l'Amérique est en train de devenir - ce qui est, pour le dire franchement, un réservoir de rétention pour les dégénérés de toutes les bandes présidées par un spectacle anormal. Ils craignent une époque où les hommes étaient virils et les femmes féminines, où les secrétaires étaient flattées lorsque leurs patrons prenaient du temps loin de leur emploi du temps chargé pour se frotter contre eux, et où tout le monde était soit un WASP, soit travaillait dur pour essayer de regarder et d'agir. comme un, ou resté à leur poste assigné dans la vie et savait mieux que de devenir trop haut. Ils veulent croire que le melting-pot ethnique peut encore produire des alliages nobles, de préférence du bronze de Corinthe, et certainement pas du clinker ou du laitier.
Face à notre intrépide chef aux teintes orangées, qui à 74 ans n'est pas lui-même un poulet de printemps, se trouve un groupe macabre de gérontocrates gériatriques.
Il y a Joe Biden, 77 ans, dont le cerveau s'est enfui et a rejoint un cirque il y a quelques années, mais qui s'imagine être président élu, ou sénateur, ou vice-président, ou quelque chose comme ça. Après avoir passé huit ans à se cacher dans l’ombre en tant que vice-président d’Obama, Biden est aussi apte à diriger qu’un cochon est casher après avoir frotté son flanc contre un coin d’une synagogue. Pour aider Biden dans ses ébats, il y a sa nounou nommée par le parti, Kamala Harris, un simple bout de fille de 56 ans.
Nancy Pelosi, 80 ans, hante également le balcon du mausolée américain, qui dirige toujours la Chambre des représentants, même si un emploi approprié pour elle à ce stade serait sur un poteau empêchant les oiseaux de grignoter. Il y a aussi Bernie Sanders, 79 ans, un pagliaccio triste dont le rôle permanent dans la Commedia dell'Arte politique que le Parti démocrate organise tous les quatre ans est de simuler la démocratie en encourageant des foules de jeunes imbéciles dans l'acte I, de feindre la mort après avoir chuté. bâton de pogo dans l'acte II, et pour se lever, saluer et sourire pour l'appel du rideau.
Enfin et surtout, il y a l'horrible harpie Hillary Clinton, qui est relativement jeune à 73 ans, mais dont l'odeur putride et le visage cadavérique et horrible ne sont plus adaptés à une exposition publique, sauf dans les circonstances les plus délicatement artificielles. Caché encore plus dans les coulisses se trouve le cadavre suppurant de George Soros qui, à 90 ans, tire toujours les ficelles et fait des ravages aux États-Unis et dans le monde. (Ses sbires avaient récemment propagé la révolution des couleurs en Arménie, l'amenant à son tour à «élire» Pashinyan, un imbécile de choix et un traître, qui a ensuite perdu une grande partie du territoire arménien au profit de l'Azerbaïdjan.) Je pourrais citer quelques autres cadavres financiers. et les cadavres oligarchiques, mais s'abstiendra, pour éviter de vous donner des cauchemars. Personne ne vit éternellement, pas même Henry Kissinger, 97 ans, et il ne nous reste plus qu'à attendre.
Dans des sociétés saines, les dirigeants plus âgés vieillissent et font de la place à des dirigeants plus jeunes qui leur succèdent après une longue période d'études et d'apprentissage. Dans les sociétés malades, les dirigeants plus âgés s'accrochent au pouvoir sans personne compétente pour les remplacer et une fois qu'ils meurent, ils sont remplacés par des traîtres et des criminels. L'URSS et les États-Unis en sont deux exemples. La gérontocratie en série soviétique de Brejnev, Andropov et Tchernenko, qui pendant un temps hantait le balcon du mausolée de Lénine et, une fois expédiée aux enfers, fut rapidement remplacée par le duo traître de blabbermouth Mikhail Gorbachëv et de président ivre Boris Eltsine, était un tragédie pour la Russie. La mort qui en résultait était du même ordre de grandeur que les pertes subies pendant la Seconde Guerre mondiale. Conformément au cliché usé de la répétition de l'histoire, la gérontocratie américaine actuelle est plus une farce qu'une tragédie, mais ses résultats ne seront probablement pas moins meurtriers pour la population.
Pour compléter ce tableau épouvantable, dans l'élection présidentielle américaine en cours, un candidat presque mort et sa charmante assistante ont été élus par une armée de morts-vivants: des électeurs qui ont posté leur bulletin de vote malgré leur mort. J'ai moi-même vérifié un peu des preuves incriminantes, et je suis presque sûr qu'il y avait plus de 11 000 électeurs de ce type dans un seul comté du Michigan. Mais ce n'est en aucun cas une arnaque locale: parmi de nombreuses autres manigances de comptage des votes, il semble qu'il y ait eu un effort national pour commander des bulletins de vote par correspondance pour les personnes décédées, les remplir pour Biden et les poster. Vous pourriez dire qu'il s'agit d'une question de droits de l'homme: pourquoi priver les morts de leur droit de vote ? N’est-il pas temps de cesser de discriminer les morts ? Peut-être que LGBTQ devrait être modifié en LGBTQD pour «Dead». Mais pourquoi s'arrêter là ? Pourquoi ne pas ajouter également un «U» pour les enfants à naître et mettre fin à cette discrimination impardonnable contre les avortements ?
Dans tous les cas, les électeurs décédés pour Biden ne sont que la pointe de tout un iceberg de fraude électorale. Il y a aussi plus de 1,8 million d'électeurs inexistants encore inscrits découverts par Judicial Watch en septembre. Ajoutez à cela le système de vote défectueux, surnommé "Dominion", qui a mal compté les votes en faveur de Biden. Ajoutez à cela la couverture médiatique injustement gantée et accablante accordée à Biden et à l'attitude extrêmement hostile des médias américains à l'égard de Trump. Ajoutez à cela les données de sondage frauduleuses qui, tout comme avant les élections de 2016, ont été artificielles pour rendre plausible une victoire frauduleuse de Biden. Ajoutez à cela les organisations largement financées telles que BLM et Antifa (dans lesquelles le préfixe «Anti-» est gratuit, cette organisation étant en fait très «Fa…») qui ont reçu l'ordre de protester, de piller et d'émeute dans de nombreux grands États-Unis. villes, déplaçant leurs mercenaires d'un endroit à l'autre, où ils recrutent ensuite des idiots utiles parmi les habitants. Cela se traduit par une vaste conspiration effrontée et négligemment auto-incriminante visant à renverser un président en exercice par fraude électorale.
Si vous croyez ne serait-ce qu'un instant que je suis scandalisé, dégoûté et indigné par ce piétinement des principes sacrés de la démocratie, alors pardonnez-moi pendant que je secoue la tête d'un air sardonique tout en riant doucement pour moi-même. Non, je ne suis pas le moins du monde contrarié. En fait, cette évolution me remplit d'optimisme pour l'avenir. Je crois que cet effroyable échec institutionnel est un développement merveilleux qui offre un grand espoir au reste du monde, et peut-être même aux États-Unis eux-mêmes, bien que l'environnement politique aux États-Unis semble plutôt désespéré, quelle que soit la façon dont il est horriblement ou merveilleusement ridicule. le système électoral peut fonctionner.
Dans tous les cas, il serait vain d'essayer de donner aux États-Unis un semblant de système électoral démocratique. Ce serait comme essayer de nettoyer une plage en ramassant des canettes de bière vides autour d'une baleine échouée. La présidence, après quatre ans d'efforts maladroits pour renverser un président en utilisant de fausses preuves, est une institution en faillite. Le Congrès, qui dépasse désormais nonchalamment les recettes fédérales par un facteur de trois, est un zombie fiscal. La Réserve fédérale, qui est maintenant un pur système pyramidal, est un zombie financier. Et puis il y a le reste de l'économie américaine ridiculement gonflée, qui attend qu'une forte rafale de vent provoque l'inondation de la richesse éphémère des actions et des obligations et en espèces, une grande partie s'évaporant dans le processus et le reste provoquant un tsunami. de l'inflation des prix à la consommation.
Au cours de ce spectacle, la fausse image des États-Unis comme une ville brillante sur une colline, un phare pour les masses recroquevillées aspirant à respirer librement et un policier mondial bienfaisant protégeant les «droits humains universels», faisant respecter les «valeurs humaines universelles» et diffusant «La liberté et la démocratie» à travers le monde sont écrasées dans la saleté, ayant des excréments déversés partout, et étant piétinées encore plus dans la saleté. Alors que le rideau descend sur ce dernier acte de la Pax Americana, l'image de l'enfant terrible orange et de la marionnette sénile avec son enfant-nourrice à la remorque jouant sur la bascule du dysfonctionnement électoral sur le terrain de jeu de la seconde enfance restera à jamais gravée dans les rétines du monde entier. Le monde entier pourra alors avancer et rechercher des modèles plus dignes et des policiers moins corrompus. Et c’est un progrès!
L'effondrement des États-Unis fera ressembler l'effondrement de l'URSS à une promenade dans un parc verdoyant et à une promenade en bateau sur un étang calme. Je dis cela depuis 15 ans maintenant. Mon message est toujours là, pour tous ceux qui souhaitent comprendre ce qui se passe et garder la raison.
je me suis demandé pourquoi ce reportage avait été retiré (hors droits d'auteur s'il y a). Et, pour l'avoir visionné j'en ai retenu que certaines personnes qui habitaient l'Arizona avaient du dire (dans le film) quelques choses de déplaisantes ! A moi de trouver lesquelles.
Certes, il est commun de rencontrer des Américains avec des armes à feu (plus ou moins nombreuses) chez eux. Mais, ce ne devait pas être cette partie qui devait poser problème.
Le fait que l'Arizona se trouve en bordure du Mexique fait qu'elle est envahie quotidiennement de 'découvreurs de l'Amérique'. Effectivement, les politiques sont bien différentes d'un côté à l'autre de la frontière.
Mais, un vieux couple (éleveur de chevaux) a attiré mon attention. Il se défendait tout seul des intrus car, la propriété devait faire plus de dix kilomètres carrés ! Ce couple était autonome (!). Il réalisait le rêve de leur vie. Être libre ! Libre de flinguer le premier qui met un pied chez eux. Il osait vivre sa vie. Sa vie comme il l'entendait. Comme quelqu'un sur une île déserte qui se nourrit tous les jours de poissons pêchés et de cueillettes de fruits ou de légumes. Le 'problème' de l'eau (douce) étant facilement résoluble pour quelqu'un qui a plus d'un neurone sur lui. Il s'agit de dessaliniser l'eau et de n'en garder que la vapeur. Condensation récupérée sans couleur, ni odeur, ni même bactérie. Et, comme l'on fait les 'premiers humains', faire du feu avec une tige de bois frottée sur un creux de bois (et non l'emploi hilarant de silex heurtés ! Hahaha !). C'est donc ce départ qui été de trop dans le film.
Dommage collatéral ? Le CDC admet que les verrouillages COVID ont déclenché une augmentation des problèmes de santé mentale des enfants
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 14:40
Alors que l'équipe de conseil COVID de Joe Biden commence à définir le récit pour que les Américains acceptent un verrouillage national très strict pendant jusqu'à six semaines "parce que les scientifiques le disent", le CDC a libéré une 'science' plutôt douloureuse exposant les dommages collatéraux que les verrouillages tyranniques ont causé parmi les plus jeunes membres de notre société ... qui ne peuvent même pas voter pour «jeter les clochards» qui les a mis dans cette situation.
Les perturbations de la vie quotidienne pendant les verrouillages pandémiques, l'angoisse de contracter le COVID-19 et l'isolement social ont des conséquences néfastes sur la santé mentale des enfants, suggère un rapport publié jeudi par les Centers for Disease Control and Prevention.
Le rapport, basé sur des informations provenant d'un sous-ensemble d'hôpitaux dans 47 États, «fournit des données de surveillance en temps opportun concernant la santé mentale des enfants dans le contexte de la pandémie COVID-19».
Alors que les techniques d'atténuation de la pandémie étaient mises en œuvre à des degrés divers de tyrannie en fonction de l'orientation politique du gouverneur, le nombre hebdomadaire moyen de visites aux urgences des enfants pour des raisons de santé mentale a grimpé en flèche.
Par rapport à 2019, la proportion de visites liées à la santé mentale chez les enfants âgés de 5 à 11 ans et de 12 à 17 ans a augmenté d'environ 24 %. et 31 %, respectivement.
En fait, comme le montre le graphique ci-dessus, au pire, la proportion de visites à l'urgence liées à la santé mentale chez les enfants a augmenté de 66%, passant de 1 094 pour 100 000 du 14 au 21 avril 2019 à 1820 pour 100 000 du 12 au 18 avril 2020.
"De nombreux troubles mentaux commencent dans l'enfance et les problèmes de santé mentale dans ces groupes d'âge pourraient être exacerbés par le stress lié à la pandémie et les perturbations brusques de la vie quotidienne associées aux efforts d'atténuation, y compris l'anxiété face à la maladie, l'isolement social et l'interruption de la connexion à l'école, "déclare le rapport.
Pendant ce temps, «la majorité des (services d'urgence) n'ont pas les capacités adéquates pour traiter les problèmes de santé mentale pédiatrique, augmentant potentiellement la demande sur les systèmes déjà stressés par la pandémie COVID-19».
Cela pourrait être bien pire, car, comme le notent les chercheurs, de nombreuses visites pour des soins de santé mentale ont lieu à l'extérieur des salles d'urgence, «ces données sous-estiment probablement le nombre réel de visites de soins de santé liées à la santé mentale».
Pour rappel, l'OMS a récemment indiqué que les verrouillages nationaux n'étaient pas un moyen optimal de contrôler le virus ... mais il semble que le Dr Osterholm et ses semblables soient incapables d'envisager les effets de second ordre sur l'ordre social.
Vraisemblablement, les 'scientifiques' qui pressent le verrouillage voient la détérioration de la santé mentale des enfants comme de simples dommages collatéraux sur la voie du contrôle.
L'anxiété crée par les gouvernements marque profondément l'esprit des gens qui s'énervent, crient ou son violents pour n'importe quoi, mais ce sont les enfants les plus touchés ! La peur les envahit d'être entourés de personnes masquées. On touche parfois au domaine de la folie chez certains ! De plus, ils ne sont pas écartés des merdias qui les terrorisent, affichent le nombre de suspects d'être contaminés par un microbe (! UN ! alors que l'on en respire 200 000 par minute avec ou sans masque et 2 millions en activité physique !).
C'est la débilité qui devient contagieuse ! L'impossibilité de faire ses courses normalement et la crainte de voir bientôt les rayons vides aux supermarchés !
Goldman indique la température en dessous de laquelle les épidémies de COVID-19 commencent à s'accélérer
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 19:00
Dans une note récente aux clients, une équipe de chercheurs de Goldman Sachs a examiné de près les températures et a étudié s'il y avait une corrélation avec les températures. Sans surprise, l'équipe a trouvé une forte corrélation négative entre les cas confirmés et la température, le nombre des premiers augmentant tandis que le nombre des seconds diminuait.
- voir graphiques sur site -
Comme le montre la régression modélisée par Goldman, plus les températures chutent avec un léger décalage entre l'été et l'hiver, plus la flambée des cas de COVID-19 est extrême. Cela s'applique aux États-Unis et en Europe.
À l'aide de la modélisation à effets fixes, l'équipe de Goldman a ensuite tenté d'éliminer d'autres facteurs pour tenter d'isoler et d'exposer l'influence de la température sur la croissance des cas.
Il est intéressant de noter que l'analyse des analystes a révélé que, quelle que soit la différence entre les politiques et l'application à l'échelle de l'État, les cas semblaient augmenter et diminuer avec les changements de température, semblant résister à la plupart des efforts pour contrôler le virus.
Cette notion n'est pas si surprenante. La plupart des autres coronavirus (c'est-à-dire le rhume), ainsi que diverses souches de grippe, sont fortement influencés par la température et les effets saisonniers (d'où la «saison grippale».
La littérature médicale citée par Goldman explique la tendance saisonnière de deux manières principales: Augmenter l'activité sociale intérieure des «hôtes», ce qui augmente l'exposition, ainsi que l'impact du froid sur le système immunitaire et la santé générale (rendant les individus plus vulnérables).
Armée de ces modèles, l'équipe d'analystes de Goldman a produit un ensemble de projections montrant que les économies des États-Unis et de l'Europe ralentiront probablement considérablement au cours des T1 et T4, suivies d'un dégel printanier alors que le nombre de nouveaux cas commencera à reculer.
Les verrouillages n'ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d'emplois
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 23:30 Rédigé par Mitch Nemeth via The Mises Institute,
Lors de l'apparition précoce de la covid-19 au printemps, les responsables gouvernementaux de tous les horizons politiques ont largement convenu qu'une intervention gouvernementale et la fermeture forcée de nombreuses entreprises étaient nécessaires pour protéger la santé publique. Cette approche a clairement échoué aux États-Unis car elle a entraîné une dévastation économique généralisée, notamment des millions d'emplois perdus, des faillites et des pertes de rentabilité extrêmement graves. Les États avec des verrouillages stricts n'ont pas non plus réussi à provoquer moins de décès de covid par million que les États moins stricts.
Par conséquent, quelques mois après le début de la pandémie, certains gouverneurs ont pesé les coûts économiques concurrents avec l'endiguement du covid-19 et ont lentement rouvert leurs économies. Bien entendu, ces gouverneurs n'ont pas mandaté la réouverture des entreprises; cependant, ils ont offert aux entreprises la possibilité de rouvrir.
L'hystérie s'est ensuivie car beaucoup considéraient l'assouplissement des restrictions comme un meurtre de masse. L’Atlantique a surnommé la fameuse assouplissement des restrictions par le gouverneur de Géorgie Brian Kemp de «sacrifice humain» et a fait référence aux Géorgiens comme faisant partie d’une «étude de cas d’exceptionnalisme pandémique». Au lieu de cela, nous devrions considérer les verrouillages comme une étude de cas de l'échec des approches autoritaires pour contenir un virus hautement infectieux.
Maintenant que nous sommes neuf mois dans cette pandémie, il y a une image plus claire de la façon dont les approches du gouvernement des États varient considérablement. Il est clair que les économies «rouvertes» se portent globalement bien mieux que les économies moins «rouvertes». «Alimentés par des réouvertures économiques plus larges et plus rapides à la suite de l'éruption initiale du coronavirus, les États rouges à tendance conservatrice dépassent largement les États bleus à tendance libérale en termes de remise au travail des gens», écrit Carrie Sheffield. Cela suit logiquement surtout si l'on considère que les êtres humains apprennent à s'adapter très rapidement. Maintenant, nous en avons appris beaucoup plus sur le traitement de ce virus et sur les personnes les plus à risque d'infection.
Tout le monde ne peut pas #StayHome
Même ainsi, de nombreux partisans du verrouillage soutiennent toujours que chaque infection par covid est un échec de la politique publique. Mais cette position est en grande partie un luxe pour les cols blancs qui peuvent se permettre de travailler à domicile. Les lock-out ont été décrits comme «le pire assaut contre la classe ouvrière en un demi-siècle». Martin Kulldorff, biostatisticien, déclare: «la classe des cols bleus« travaille là-bas, y compris les personnes à haut risque dans la soixantaine ». Jay Bhattacharya, collègue de Kulldorff, note que l'une des raisons pour lesquelles «les populations minoritaires ont connu une mortalité plus élevée aux États-Unis à cause de l'épidémie est qu'elles n'ont pas souvent la possibilité ... de rester à la maison». En effet, les politiques de verrouillage descendant sont «régressives» et reflètent une «monomanie», déclare le Dr Bhattacharya. Dans cet esprit, il est facile de voir pourquoi les Américains plus aisés ont tendance à considérer les mesures restrictives comme la réponse appropriée.
Pour de nombreux Américains, des périodes prolongées sans emploi rémunérateur, revenu ou interaction sociale sont non seulement impossibles mais potentiellement mortelles. Martin Kulldorff note que les restrictions de covid-19 ne prennent pas en compte les problèmes de santé publique plus larges et créent des dommages collatéraux; parmi les dommages collatéraux, il y a «une aggravation de l'incidence des maladies cardiovasculaires et du cancer et une baisse alarmante de la vaccination». Le Dr Bhattacharya note à juste titre que la société «comptera les méfaits pour la santé de ces verrouillages pendant très longtemps».
Messages mixtes Bhattacharya a souligné la politisation de ces restrictions:
«Lorsque les manifestations de Black Lives Matter ont éclaté au printemps,« 1 300 épidémiologistes ont signé une lettre disant que les rassemblements étaient conformes aux bonnes pratiques de santé publique », tandis que ces mêmes épidémiologistes ont soutenu que« nous devrions essentiellement mettre en quarantaine sur place ».
Une telle contradiction défie la logique et sape les arguments sur la létalité de ce virus. Si ce nouveau virus était vraiment aussi dévastateur pour le grand public que prévu, alors les dirigeants politiques soutenant les manifestations de masse et les émeutes pendant une pandémie semblent mal fondés. Cette contradiction a été citée dans d'innombrables procès contestant la validité et la constitutionnalité des restrictions de covid-19.
Par ailleurs, ces restrictions souvent sévères ont visé des droits protégés par la Constitution comme la liberté de religion. Le juge de la Cour suprême, Samuel Alito, a critiqué les restrictions du gouverneur du Nevada en disant: «que le Nevada discriminerait en faveur de la puissante industrie du jeu et que ses employés ne sont peut-être pas une surprise ... Nous avons le devoir de défendre la Constitution, et même une urgence de santé publique le fait. ne nous exonère pas de cette responsabilité. Cette critique cinglante, cependant, n’a pas obtenu le soutien de la Cour suprême, car une majorité de 5 à 4 a été reportée à la «responsabilité du gouverneur de protéger le public en cas de pandémie».
Le pire État et les délinquants locaux
Une telle déférence peut être politiquement avantageuse pour la Cour suprême, mais elle pose un problème beaucoup plus important pour les libertés fondamentales. D'une part, bon nombre de ces restrictions covid ont été émises par des gouverneurs d'État ou des agences administratives plutôt que par des moyens démocratiques. La gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, a été prise pour cible pour son contournement continu des canaux démocratiques et pour son approche descendante.
Ces restrictions covid sont quelque peu dénuées de sens sans une application et des ressources suffisantes, de sorte que de nombreuses grandes villes américaines ont créé des groupes de travail pour faire appliquer ces restrictions covid. Par exemple, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a menacé de fermer les services publics pour ceux qui organisent des fêtes massives à la maison. Garcetti souhaite traiter les rassemblements privés de la même manière que les bars et les boîtes de nuit qu'il a forcés à fermer. Non seulement cela est ridicule, mais c'est aussi autoritaire; il y a eu peu de vérifications sur sa capacité à armer les services publics de cette façon. Le bureau du shérif de la ville de New York a récemment «arrêté un groupe de plus de 200 personnes qui bafouaient les restrictions relatives aux coronavirus». Leur crime ? Les députés ont trouvé environ deux cents personnes sans masque «dansant, buvant et fumant du narguilé à l'intérieur». À la manière typique du gouvernement, le propriétaire du lieu a été «giflé de cinq convocations… pour violation d'ordonnances d'urgence, vente d'alcool sans licence et entreposage d'alcool sans licence». Que ferions-nous sans le gouvernement ?
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, participe depuis longtemps à cet effort de restriction des libertés sous couvert de santé publique. Le gouverneur Newsom et le département de la santé publique de Californie ont publié de nouvelles directives de «sécurité» pour tous les rassemblements privés pendant les vacances de Thanksgiving. Selon Newsweek, «tous les rassemblements ne doivent pas inclure plus de trois ménages, y compris les hôtes et les invités, et doivent avoir lieu à l'extérieur, pendant deux heures ou moins.» Compte tenu des tendances interventionnistes de Newsom, il est probable que ces restrictions seront appliquées. Comment le gouvernement déterminera-t-il combien de ménages participent à un repas de Thanksgiving et qui appliquera la fenêtre de deux heures ? Ce sont des questions que les journalistes devraient se poser.
Pendant ce temps, les différents niveaux de reprise économique entre les États rouges et les États bleus montrent à quel point une politique descendante peut être un échec. Des verrouillages stricts ont dévasté les revenus de millions de familles tout en ne réussissant pas à supprimer la mortalité due aux covidus. Cette expérience ratée doit prendre fin.
Comme il y a une mutation CONTINUELLE du microbe corona (qui passe aux 'frontières' emporté par le vent), il ne pourra JAMAIS exister de vaccin contre le corona ! Et, comme le nombre de test PCR est exponentiel et dépasse la jauge des 25 cycles, ils peuvent trouver dans votre nez des microbes morts d'il y a x années !! Et, dans ces cadavres ou morceaux de, il y a du (déjà !) corona (qui lui est né bien avant vous !). C'est pourquoi la dictature (qui la fabriqué pour vous) vous destine à un emprisonnement à vie en votre domicile (sauf si vous mourez vous aurez le droit d'être enterré ailleurs !).
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 19:30 Rédigé par Michael Rectenwald via The Mises Institute,
[Voici la transcription de la conférence éponyme présentée au Symposium Ron Paul de l'Institut Mises le 7 novembre 2020 à Angleton, Texas.]
«Ne soyez pas méchant» n'est peut-être plus la devise officielle de Google, mais cela reste la dernière phrase de son code de conduite. Dans le souci de ne pas être méchant, Google soutient que «tout [qu'il fait] en rapport avec [son] travail… sera, et devrait être, mesuré par rapport aux normes les plus élevées possibles de conduite éthique des affaires».
Apparemment, Google ne juge pas contraire à l'éthique de licencier un employé pour avoir exprimé le point de vue basé sur la recherche selon lequel les différences entre les sexes / genres peuvent inclure des tendances professionnelles. Google ne doit pas considérer qu'il est contraire à l'éthique de mettre sur une liste noire des sites d'actualités, des sites Web et des utilisateurs conservateurs ou non gauchistes. Google doit croire que la saisie semi-automatique des recherches avec un non-sens des brevets représente les normes éthiques les plus élevées. Google soutient que les résultats de recherche factuels représentant le monde tel qu'il est équivaut à une «injustice algorithmique» et que les modifier en résultats souhaités en utilisant «l'équité de l'apprentissage automatique» est hautement éthique. Autrement dit, les résultats de recherche non idéologiques et non modifiés représentent une injustice, tandis que l'équité est le résultat de la manipulation des résultats de l'action positive informationnelle - dans certains cas. Le classement algorithmique des résultats de recherche en faveur de la politique de gauche ou de gauche et des sites conservateurs ou de droite de rang inférieur est le plus éthique. Il doit envisager de noter «l'expertise / l'autorité / la fiabilité» des sites Web utilisant Wikipédia comme répondant aux normes éthiques les plus élevées. Vérifier uniquement les informations conservatrices ou non-gauche, souvent à tort, est hautement éthique. La discrimination à l'encontre des mouvements et campagnes politiques populistes et le fait de favoriser d'autres mouvements et campagnes de l'establishment répondent aux normes les plus élevées de conduite éthique des affaires.
La démonétisation et la censure régulières du contenu conservateur ou non gauche de YouTube sont éthiques. Bombarder les utilisateurs avec des publicités politiques basées sur leurs profils de recherche, et surtout bombarder les non-gauchistes avec des articles ayant une perspective de gauche, représente la plus haute éthique. Les déclarations flagrantes de l'intention d'empêcher la réélection d'un candidat à la présidentielle américaine en utilisant les classements de recherche répondent aux normes d'éthique les plus élevées, d'autant plus que «(1) les classements de recherche biaisés peuvent modifier les préférences de vote des électeurs indécis de 20% ou plus», comme Robert Epstein et Ronald E. Robertson concluent.
À la suite des émeutes dans les villes américaines au cours des derniers mois, j'ai lancé une recherche Google sur la «violence de gauche». Les deux premiers résultats, respectivement du Guardian et du New York Times, étaient intitulés «Les suprémacistes blancs derrière la majorité des attaques terroristes nationales américaines en 2020» et «Les groupes d'extrême droite sont à l'origine de la plupart des attaques terroristes américaines, selon le rapport.» Il s'agit là d'un résultat hautement éthique, sans aucun doute, en particulier lorsque des informations sur la violence de gauche ont été recherchées et que ces articles ne manquent pas. C'est particulièrement éthique, car le secteur de l'analyse de la recherche a constaté que les trois premiers résultats de recherche sur Google généraient plus de 70% des clics. Les dix premiers résultats de recherche pour la question «Les démocrates vont-ils voler les élections de 2020 ?» inclus cinq articles sur la perspective que Trump vole l'élection, tandis que les dix meilleurs résultats pour «Trump volera-t-il l'élection ?» concernaient en fait la perspective que Trump vole les élections.
Tous, sauf les gauchistes, réalisent que les grandes entreprises numériques comme Google, Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn et d'autres penchent à gauche et étouffent les points de vue opposés - au point de créer une réalité alternative. Mais peu se demandent pourquoi ils sont apparemment de gauche, et encore moins répondent de manière satisfaisante à la question - à ma satisfaction, c'est-à-dire. Comment comprendre le parti pris de gauche flagrant et bien documenté et la censure des vues et des sites non-gauche par ces entreprises? Pourquoi gauchiste ? L'Internet est-il de gauche simplement parce que ceux de la Silicon Valley ont été endoctrinés au gauchisme?
Et devrions-nous adopter l'idée que puisque Google, Facebook, Twitter et d'autres sont des entreprises privées, elles peuvent être aussi biaisées et censurées qu'elles le souhaitent ? Après tout, ces plates-formes privées et non les services publics ne sont-elles pas tenues de représenter des points de vue avec lesquels elles ne sont pas d’accord? Ils ne sont pas plus obligés de le faire que je ne suis obligé de permettre à un membre d'Antifa d'entrer chez moi pour répandre ses croyances, elle ou ses croyances, n'est-ce pas?
Voilà le genre de questions que j'aborde dans cet exposé. Les réponses devraient contribuer en grande partie à expliquer les tentatives désavouées mais flagrantes de la part des entreprises Internet Big Tech de décider de l'élection de 2020, et bien plus encore. En ce qui concerne les élections, ils se sont ingérés dans l’élection avec une couverture totalement favorable d’un candidat et un contenu défavorable, ainsi qu’une interdiction quasi totale de contenu favorable sur un autre. Ils ont également fait en sorte qu’un résultat électoral truqué soit un résultat crédible. Ensuite, ils ont censuré ou interdit à tout le monde du président de parler de la manière dont les élections avaient été truquées. C’est plus qu’un don en nature. Ils peuvent être considérés comme complices d'un crime électoral fédéral. Ils représentent une fraude sur la crédulité publique.
Dans Google Archipelago, je soutiens que ces grands goliaths numériques, ou ce que j'appelle l'archipel de Google, agissent à tout le moins comme des appendices de l'État. Ce sont des appareils d'État ou, pour utiliser un néologisme postmoderne, ce sont des «gouvernements». Dans une série de conférences intitulées Sécurité, Territoire, Population, le théoricien postmoderne Michel Foucault a introduit le terme de «gouvernementalité» pour désigner la distribution du pouvoir de l'État à la population, ou la transmission de la gouvernance aux gouvernés. Foucault a évoqué les moyens par lesquels la population en vient à se gouverner elle-même en adoptant et en personnalisant les impératifs de l'État, ou comment les gouvernés adoptent la mentalité voulue par le gouvernement, la mentalité de gouvernement.
On peut citer le masquage et la distanciation sociale comme exemples de ce que Foucault entendait par sa notion de gouvernementalité. Si l'usage de Foucault a du mérite (oui, Foucault a montré quelques tendances rédemptrices et libertaires), j'adopte et modifie le terme pour inclure la distribution du pouvoir de l'État aux agents extragouvernementaux - en particulier à l'extension et au transfert du pouvoir de l'État à des entreprises prétendument privées. Cette gouvernementalisation de l'entreprise privée, et non la privatisation des agences et des fonctions gouvernementales que dénoncent les gauchistes comme Foucault, est le vrai problème du «néolibéralisme», comme je le vois.
Ou s'agit-il de la même chose ? Nous assistons à la gouvernementalisation de l'industrie privée, à la transformation d'entreprises prétendument privées en appareils d'État, et à la croissance de l'État à travers des extensions supposées privées.
2. Les gouvernements en action
Pour des exemples clairs et pertinents de gouvernementalité dans ce sens, considérez les entrepreneurs gouvernementaux qui constituent le soi-disant gouvernement parallèle. Comme le montre le documentaire Shadow Gate - qui a été banni de YouTube après seulement un jour - selon deux dénonciateurs qui ont travaillé pour des entrepreneurs militaires et de renseignement pendant de nombreuses années, des entrepreneurs gouvernementaux comme Dynology, Global Strategies Group, Canadian Global Information (CGI) , et de nombreux autres s'engagent dans des projets de renseignement qui incluent des activités Internet interactives (IIA). Cette «guerre psychologique des médias sociaux» et ces «opérations d'influence des médias sociaux» reposent sur des masses de données fournies par les médias sociaux et d'autres sources et sont conçues pour influencer les individus, groupes ou populations à se comporter de la manière souhaitée par «l'État profond», ou d'autres clients.
Les comportements souhaités comprennent le vote pour des candidats politiques particuliers; soutenir les mouvements politiques et les résultats souhaités; et s'opposer aux candidats, mouvements et résultats politiques indésirables, tant au pays qu'à l'étranger. Selon les dénonciateurs de Shadow Gate, la guerre psychologique sur les réseaux sociaux, qui comprend les fausses nouvelles, a été initialement développée pour les agences de renseignement, mais a été utilisée et vendue par des entrepreneurs indépendants. Ils affirment que les psyops des réseaux sociaux ont été employés pour tenter de lier Trump à la Russie et de discréditer sa campagne. Le récit dominant, bien sûr, est qu'il a été utilisé par la Russie au profit de l'élection de Trump.
Selon les dénonciateurs de Shadow Gate, il a également été utilisé pour susciter les récentes «manifestations» après la mort de George Floyd, tandis que d'autres sources affirment que le battage médiatique suscité par les manifestations était lui-même la peur de la pornographie provoquée par des psyops initiés par la Russie. . D'autres encore soutiennent que les manifestations elles-mêmes faisaient partie d'une campagne psyops russe ciblant les Noirs américains.
Qu'est-ce que cela a à voir avec Google, Facebook et d'autres entreprises de médias numériques ? Les opérations de l'IIA utilisent et minent leurs sites, obtenant apparemment une immunité contre les désignations de «fake news». Mais ces plates-formes sont plus que des participants passifs dans l'exploration de données personnelles, les jeux de guerre psychologique sur les réseaux sociaux et les opérations d'influence sur les réseaux sociaux. Un bref aperçu de leur création, de leur financement et de leur histoire devrait le clarifier.
3. Financement public et lié à l'État de Google et Facebook
Premièrement, Google et Facebook ont reçu des capitaux de démarrage - à la fois directement et indirectement - des agences de renseignement américaines. Dans le cas de Facebook, le capital de démarrage est venu de Palantir, Accel Partners et Greylock Partners. Ces sources de financement ont reçu leur financement d'In-Q-Tel ou y ont été fortement impliquées.
En 1999, la CIA a créé In-Q-Tel, sa propre société privée d'investissement en capital-risque, pour financer des start-ups prometteuses susceptibles de créer des technologies utiles aux agences de renseignement. Comme le note l'analyste de St. Paul Research, Jody Chudley, «In-Q-Tel a financé la start-up Palantir de Thiel vers 2004. En 2004, James Breyer, partenaire d'Accel, a siégé au conseil d'administration de l'entrepreneur de défense militaire BBN avec le PDG d'In-Q-Tel. Gilman Louie. Howard Cox, le chef de Greylock, a siégé directement au conseil d’administration d’In-Q-Tel. »
Dans le cas de Google, comme l’a détaillé Nafeez Ahmed, journaliste indépendant et ancien reporter de VICE, les relations de Google avec la communauté du renseignement et l’armée sont profondes. Ahmed détaille que les relations avec les responsables de la DARPA ont donné lieu à un financement de démarrage, et un financement direct de la communauté du renseignement (IC) a suivi. L'IC a vu dans Internet un potentiel sans précédent pour la collecte de données et l'entreprise de moteur de recherche novatrice a représenté une clé pour la collecte.
En 2003, Google a commencé à personnaliser son moteur de recherche dans le cadre d'un contrat spécial avec la CIA pour son Intelink Management Office, «supervisant les intranets top-secrets, secrets et sensibles mais non classés pour la CIA et d'autres agences IC», selon Homeland Security Today. En 2004, Google a acheté Keyhole, initialement financé par In-Q-Tel. À l'aide de Keyhole, Google a commencé à développer Google Earth.
Les soutiens des agences de renseignement incluaient également In-Q-Tel lui-même. L'investissement d'In-Q-Tel dans Google a été révélé en 2005, lorsque In-Q-Tel a vendu ses 2,2 millions de dollars d'actions Google. Un contrat sans appel d'offres avec l'agence sœur de la NSA, la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA), a suivi en 2010.
Les relations de Google avec l'IC et les communautés militaires impliquaient également des échanges de personnel, y compris l'acquisition de l'ancien chef de la DARPA et du Highland's Forum cochair, Regina Dugan, qui a quitté l'agence en 2012 pour devenir un cadre supérieur de Google supervisant le nouveau groupe de technologies avancées et de projets de l'entreprise.
"Depuis sa création, en d'autres termes", écrit Ahmed,
Google a été incubé, nourri et financé par des intérêts directement affiliés ou étroitement liés à la communauté du renseignement militaire américain, dont beaucoup étaient intégrés au Pentagon Highlands Forum.
Deuxièmement, et de peur que je ne sois accusé de l'erreur génétique, il convient de noter que les technologies de Google ont été développées en grande partie en relation avec l'IC et l'armée et portent donc les marques de l'IC et des intérêts militaires. Et les contrats de Google avec le CI se sont poursuivis. De plus, ces plates-formes et ces réseaux sociaux coopèrent pleinement avec l'IC et l'armée, transmettant des données à la NSA sur demande et leur accordant un accès détourné aux données des utilisateurs. Google était un atout de l'État profond depuis sa création et le reste à ce jour.
En outre, il est possible que des outils développés par l'IC et l'armée aient été acquis par des entrepreneurs privés et soient utilisés par ces plateformes et géants des médias sociaux pour influencer le comportement des utilisateurs de leurs services. En particulier, l'ancien entrepreneur IC Patrick Bercy allègue que les outils de guerre psychologique des médias sociaux qu'il a développés pour le ministère de la Défense ont été acquis, peut-être illégalement, par le général James Jones, ancien conseiller à la sécurité nationale sous le président Obama.
En partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, dont Jones est désormais le président exécutif émérite, Facebook, affirme Bercy, utilise des outils de guerre psychologique sur les réseaux sociaux, soi-disant dans le but de «restaurer l'intégrité électorale dans le monde entier» et de «combattre la propagande électorale et la désinformation de proliférer sur son service. » Il se peut simplement que ce que Google et les plates-formes de médias sociaux considèrent comme des «fausses nouvelles» représente la vérité sur les fausses nouvelles selon lesquelles les plates-formes elles-mêmes prolifèrent.
En bref, Google, Facebook et autres ne sont pas strictement des entités du secteur privé; ce sont des gouvernements au sens que j'ai donné à ce terme. Ce sont des extensions et des appareils de l'État. En outre, ces plates-formes sont des gouvernements ayant un intérêt particulier pour la croissance et l'extension de la gouvernementalité elle-même.
Cela inclut la promotion de tous les types de classes d'identité «subordonnées» et nouvellement créées qu'ils peuvent trouver ou créer, car ces catégories «en danger» nécessitent la reconnaissance et la protection de l'État. Ainsi, la circonférence de l’État continue de s’élargir. Le Big Digital est partisan des intérêts et de la croissance de l'État. Il fait non seulement affaire avec les statistes, mais partage également leurs valeurs. Cela aide à donner un sens à son penchant de gauche et à leur préférence pour les démocrates de l'État profond. Le gauchisme est l'étatisme.
4. Russie, Russie, Russie! Ou Chy-na!
Ce discours serait incomplet sans un traitement du «socialisme réellement existant» parmi nous, y compris sa forme d'État officielle la plus significative, à savoir «le socialisme aux caractéristiques chinoises», c'est-à-dire la Chine. Beaucoup d'encre a été répandue et de nombreuses ondes ont été encombrées par le récit de «l'ingérence russe». Nary un jour passe sans références multiples aux tentatives de la Russie d'influencer ou d'interférer dans les élections américaines en utilisant les médias sociaux. Donald Trump a toujours été dépeint comme la marionnette de Poutine, même après que le récit de la «collusion russe» se soit officiellement effondré.
On a moins écrit et parlé de l'influence et de l'ingérence possibles du Parti communiste chinois, bien que l'on puisse en entendre parler de quelques sources. Les récentes révélations sur les relations commerciales de Biden & Son en Chine ont mis le problème au premier plan dans ces quelques médias périphériques et médias sociaux qui n'ont pas cherché à approfondir l'histoire. Je ne veux pas suggérer que la Russie n'essaie pas d'interférer dans les élections américaines ou d'autres préoccupations nationales, mais plutôt de noter que l'influence et les tentatives d'ingérence du PCC sont largement ignorées ou sont rejetées d'une autre manière tout en ayant des implications non moindres sinon plus significatives, en particulier lorsqu'il s'agit de libre échange d'informations et d'expression sur Google et les plateformes de médias sociaux.
De même, il vaut la peine de considérer les différences entre les objectifs de ces domaines étatiques respectifs. Comme l'affirment les spécialistes de la sécurité nationale Michael Clarke, Jennifer S.Hunt et Matthew Sussex:
Pour la Fédération de Russie, qui est devenue le principal spoiler de l'Occident, l'objectif a été d'exacerber les divisions sociales existantes dans les démocraties libérales, de saper la confiance du public dans les institutions clés et de stimuler les récits autour d'une foule de thèmes étatistes: l'anti-immigration mouvements, la «droite alternative» et le protectionnisme commercial. De cette manière, Moscou a joué le rôle d'un démolisseur, cherchant à détruire l'ordre libéral plutôt que de le remplacer. Il a utilisé des communautés de la diaspora, des médias marginaux et des militants politiques en marge du discours politique comme mandataires, et a facilité la fuite d'informations compromettantes pour promouvoir de faux récits et des théories du complot.
La Chine, en revanche, a adopté une approche sans doute plus sophistiquée étant donné qu'elle cherche progressivement à supplanter l'ordre occidental plutôt que de simplement le saper. Ses efforts ont donc été principalement axés sur l'obtention d'un effet de levier à long terme par le biais de multiples canaux d'influence parmi les élites dans la politique, les affaires et la société.
Parmi les nombreuses tactiques qu'elle utilise pour faire avancer son programme de formation active des perceptions et des comportements étrangers, la Chine pratique ce que Victor Cha du Centre d'études stratégiques et internationales a appelé le «libéralisme prédateur». La Chine «exploite les vulnérabilités de l'interdépendance des marchés pour exercer un pouvoir sur les autres dans la poursuite d'objectifs politiques».
La Chine déploie sa puissance économique pour répandre son idéologie et préserver sa réputation. Par exemple, faire pression sur Apple pour qu'il supprime son application HKmap.live des iPhones vendus en Chine en raison de la pression exercée par Pékin parce que l'application permettait un «comportement illégal», alors que les manifestants l'utilisaient «pour cibler et tendre une embuscade à la police» et «menacer la sécurité publique», ou ainsi la Chine a réclamé. Un autre impliquait la NBA. Lorsque le directeur général des Houston Rockets, Daryl Morey, a tweeté le 4 octobre 2019, en soutien aux manifestants de Hong Kong, il a été contraint de supprimer son message et de s'excuser pour «l'offense» causée au peuple chinois. Servant de proxy pour le PCC, la NBA a à son tour exclu tout dommage économique à son marché chinois qu'une telle brèche rhétorique aurait pu causer.
Les grandes plates-formes numériques telles que Google, Facebook et Twitter soutiennent non seulement l'extension de l'étatisme national, mais servent également l'expansion de l'idéologie et du pouvoir des États étrangers. Alors que la propagande, la censure et la surveillance ont transformé les médias sociaux en instruments du totalitarisme en Chine, la Chine a investi des millions dans des campagnes de propagande sur les médias sociaux et au-delà de ses frontières pour étendre son influence.
En achetant et en usurpant des comptes d'utilisateurs sur Twitter et en créant de faux comptes sur Facebook, par exemple, la Chine cherche à influencer la perception du régime et à promouvoir son programme. Bien que le projet Dragonfly de Google ait été annulé et qu'il soit peu probable que Google établisse un moteur de recherche en Chine de si tôt, Google maintient néanmoins des bureaux et des employés en Chine et y vend des services cloud, IA et autres.
En accueillant leurs clients étatiques et leurs sponsors idéologiques, les plateformes de recherche et de médias sociaux dominantes en sont venues à ressembler aux gouvernements qu'elles servent et reproduisent efficacement. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne la Chine. Google, Facebook et Twitter ont adopté le penchant du PCC pour la réglementation de la parole, la diffusion de propagande et la suppression des opinions dissidentes. Quelques exemples d'interventions directes dans le contrôle des recherches et des médias sociaux devraient suffire:
Facebook a bloqué les publications faisant référence à un virologue chinois dont les recherches ont retracé le virus SRAS-2 dans un laboratoire de Wuhan.
Six ressortissants chinois travaillent maintenant au sein de l'équipe «Hate-Speech Engineering» de Facebook pour produire des algorithmes qui classent et bloquent le contenu jugé trop conservateur, entre autres tâches.
Twitter a purgé des dizaines de milliers de comptes critiques à l'égard du gouvernement chinois quelques jours à peine avant le trentième anniversaire du massacre de la place Tiananmen en 1989 le 4 juin 2019.
Les employés de Twitter forment des responsables chinois pour amplifier leur message pro-Chine.
YouTube a supprimé les commentaires critiquant le Parti communiste chinois en raison d'une «erreur».
Dans un cas de non-vérification contradictoire des faits, Twitter a autorisé plus de quatre-vingt dix mille tweets de début avril à mai 2020 provenant de deux cents comptes médiatiques diplomatiques et gérés par l'État qui suggéraient que le coronavirus provenait des États-Unis ou de l'armée américaine, parmi d'autres affirmations mettant en doute son origine chinoise.
Ce ne sont là que quelques exemples de campagnes d’influence et de tactiques employées par la Chine, et ils ne représentent pas les cas les plus flagrants de censure et de propagande auxquels nous sommes confrontés. La plupart de la censure et de la propagande sont orientées et produites au niveau national. Mon point concerne plus les engagements idéologiques et les tactiques partagés qu'autre chose.
Comment tout cela figure-t-il dans l'élection? Il est clair que cette élection présidentielle n’a pas été un combat entre Trump et Joe Biden en soi, mais entre Trump et non-Trump. C'était un combat entre un gatecrasher rustre, décousu, irrévérencieux et politiquement incorrect contre un vétéran corrompu de la classe politique.
La «résistance» - qui comprend les médias traditionnels, les médias sociaux et l'oligarchie «mondialiste», les néoconservateurs, la meilleure partie de la communauté du renseignement et un assortiment d'activistes politiques et de radicaux de gauche - a visé à détruire le prieur et à soutenir le dernier. L'establishment politique a montré son cynisme absolu en soutenant un marchand d'influence affaibli et aux enjeux élevés et en le faisant prendre au sérieux.
J’ai envisagé la possibilité que la ferveur anti-Trump ait été largement basée sur la répulsion esthétique. En effet, la répulsion esthétique a été cultivée et encouragée par les sponsors de la résistance. Mais les sponsors de la résistance ne détestent pas Trump simplement parce qu'il ne reflète pas l'image de l'intelligentsia effacée. Après tout, regardez comment ils ont réhabilité George W. Bush. Non, il y a plus.
Trump est un parvenu voyou qui menace (ou menace) l'establishment politique, non pas parce qu'il a [ou avait le potentiel de «drainer le marais», une tâche insurmontable pour tout président ou administration, mais plutôt parce qu'il est imprévisible et aurait pu trébucher. sur les secrets et les crimes «d'État profond» et exposés. Trump a été un intrus, une nuisance, une épine dans le flanc d'une élite intime avec des éléments que Trump a jugés hostiles aux intérêts américains.
En outre, la marque de nationalisme de Trump interfère (ou interfère) avec les intérêts mondiaux de ceux qui font des affaires avec notre nouvelle opposition à la guerre froide, et pas seulement le type que nous avons vu récemment dénoncé dans le cas de la Joe Biden Swindling Company.
Enfin, et surtout, Trump a représenté une ligne de défense, aussi ténue et mince soit-elle, des libertés américaines, des libertés qui font obstacle à un ordre gouvernemental et extragouvernemental mondial qui prospère grâce au verrouillage, au masquage, au musellement, à l'interdiction, à la mise sur liste noire, à la baisse. classement, trou de mémoire, allumage du gaz, suppression, annulation, censure, précensure et suppression de la dissidence et des dissidents.
Remarques finales
Quel que soit le résultat des élections, cependant, les gouvernements répressifs et propagandistes - y compris les universités, les institutions culturelles, les industries culturelles, les technologies de l'information et du renseignement, les médias de masse, les mouvements politiques, les médias sociaux, les entreprises réveillées, etc. - se combinent pour provoquer un fluage totalitaire sous dont ses sujets sont complices de leur propre subjugation et résolus à l'imposer aux autres.
Que Trump ou non-Trump soit enfin déclaré vainqueur de l'élection présidentielle américaine de 2020, nous sommes dans la bataille de nos vies. Une constellation d'appareils étatiques et étendus a déclaré ouvertement la guerre à la liberté, contre nous. Nous sommes tous des criminels de pensée maintenant. L'aversion au risque ne fera pas l'affaire. Ce que nous risquons en étant averses au risque, c'est tout ce qui fait que la vie humaine vaut la peine d'être vécue. Face à un ennemi qui se délecte effrontément de son caractère totalitaire, il est temps de tout mettre en jeu pour la liberté.
À Washington, des manifestants pro-Trump soutiennent leur candidat – vidéos
22:00 14.11.2020 Par Youlia Zvantsova
Alors que les avocats de Donald Trump ont déposé plusieurs recours pour contester la victoire de Joe Biden à la présidentielle, des partisans du Président sortant se sont réunis ce 14 novembre pour lui manifester leur soutien.
Plusieurs milliers de partisans de Donald Trump se rassemblent ce 14 novembre, notamment près de la Cour suprême à Washington pour exiger la tenue d’«élections honnêtes» et protester contre la présumée fraude électorale.
En effet, le Président sortant a entamé une bataille juridique pour contester la victoire de Joe Biden lors du scrutin présidentiel.
De nombreux participants à la marche agitent des fanions à l’effigie de Donald Trump et lui proclament leur soutien.
Le correspondant de Sputnik constate sur place que les manifestants venus soutenir le Président sortant ont exprimé leur reconnaissance aux policiers en service, alors que les militants pro-démocrates du mouvement Black Lives Matter ne cachent pas leur antipathie envers les forces de l’ordre.
La présidentielle
Dix jours après l'élection présidentielle américaine, le 3 novembre dernier, et six jours après la victoire annoncée du Démocrate Joe Biden, Donald Trump s’obstine à ne pas admettre sa défaite.
Contrairement à la tradition respectée par de nombreux candidats perdants, Donald Trump n'a pas appelé son rival pour le féliciter. Qui plus est, son équipe de campagne a déposé plusieurs recours pour contester la régularité du scrutin dans certains États.
Trump a remporté "des dizaines de milliers" de votes supplémentaires à New York en 2020 qu'en 2016
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 22:00
Le président Trump a fait beaucoup mieux à New York aux élections de 2020 qu'en 2016, prouvant que le maire Bill de Blasio fait un excellent travail en faisant tout ce qu'il peut pour ruiner la confiance et la loyauté des démocrates dans sa ville traditionnellement libérale en se des foules d'extrême gauche et s'engageant à rendre la vie aussi chère que possible pendant que l'économie de la ville s'effondre en raison des fermetures obligatoires de Covid.
Non seulement Trump a fait mieux à New York en 2020, mais il s'est mieux comporté dans le South Bronx, qui est traditionnellement un bastion démocrate, a noté le New York Post.
La région est disproportionnellement hispanique, ce qui signifie que l'appel de Trump auprès des électeurs latinos a porté ses fruits dans d'autres régions, à l'exception du comté de Miami-Dade en Floride, où Trump a également surpassé les électeurs latinos.
Le président de l'arrondissement du Bronx, Ruben Diaz Jr., a déclaré: "Je ne pense pas nécessairement que ce soit un vote pro-Trump autant que c'est un appel au réveil des démocrates."
Curtis Sliwa, candidat républicain à la mairie, a déclaré au Wall Street Journal: «Les démocrates supposent simplement:« Oh, vous n’avez pas à vous soucier du Bronx. C’est juste un verrou. »C’est toujours démocratique, mais cela commence à changer.»
Trump a «plus que doublé» les votes qu'il a obtenus dans trois districts de l'Assemblée de l'État du South Bronx, selon les données de vote en personne compilées par le Centre de recherche urbaine de CUNY. Trump a reçu 76 612 votes de plus dans toute la ville en 2020 qu'en 2016. Il a également augmenté ses totaux à Brooklyn, dans le Queens et à Staten Island. Il a vu une diminution des votes à Manhattan.
Trump a enregistré la plus grande surperformance dans le 62e district de l'Assemblée de Staten Island, où il a reçu 44776 votes contre 40776 qu'il a reçus en 2016.
Le sondeur du GOP, John McLaughlin, a attribué la bosse de Trump en nombre à son engagement en faveur de la loi et de l'ordre. Il a également déclaré que le message aidait les candidats locaux du GOP: «Nous avons vu que le président était même ou en tête dans beaucoup de ces domaines, et il a créé une base solide pour ces candidats.
La démocrate Amanda Septimo du 84e district, qui comprend Melrose, Mott Haven et Hunts Point dans le Bronx, a déclaré "qu'elle pouvait ressentir un soutien pour M. Trump sur le terrain dans le district" et que "les démocrates devaient faire un meilleur travail de connexion avec communautés ouvrières ".
Le chemin le plus apprécié de Donald Trump pour rester au pouvoir
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 17:35 Rédigé par Paul du Quenoy via TheCritic.co.uk,
Alors que Joe Biden planifie provisoirement sa transition à la présidence, l'obsession nationale tourne autour des tentatives audacieuses du président sortant Donald Trump de rester à la Maison Blanche.
Soutenu par presque tous les républicains - à l'exception d'une poignée de modérés, de contrariants et de certains qui lui en veulent personnellement - Trump a refusé d'accepter que Biden ait gagné et n'a pas concédé. Des contestations juridiques sont en cours. L'État de Géorgie, et probablement d'autres États avec des votes serrés, procéderont à des recomptages laborieux. Le ministère de la Justice et le Comité judiciaire du Sénat ont ouvert des enquêtes. Les preuves d'une possible fraude électorale et d'autres irrégularités continuent de s'infiltrer, même si des rumeurs, généralement basées sur des «sources anonymes» qui peuvent ne pas s'avérer extrêmement fiables, suggèrent que l'équipe de Trump, et peut-être même Trump lui-même, doutent d'un résultat favorable.
Les ministères et organismes gouvernementaux critiques, y compris certains traitant de la sécurité nationale, refusent de faciliter la transition de Biden. Quelques jours à peine après la perte proclamée de Trump, et dans une décision inhabituelle pour un président qui devrait quitter ses fonctions dans dix semaines seulement, il a remplacé une grande partie de la direction du département américain de la Défense par des loyalistes et devrait de la même manière purger la direction des agences de renseignement et d'autres organes importants dont les dirigeants actuels ne jouissent plus de sa confiance.
Les contestations juridiques sur une série de questions pertinentes se poursuivront presque certainement jusqu'au 14 décembre au moins, date à laquelle le collège électoral décisif se réunira pour voter les votes finaux qui détermineront le vainqueur de l'élection. Cet organe constitutionnel, conçu pour équilibrer la règle de la majorité brutale avec le système fédéral américain, comprend des électeurs choisis par chaque État en nombre égal au nombre de législateurs de l'État au Congrès: deux sénateurs par État plus un nombre variable de représentants proportionnel à la taille de la population de l'État. Chaque électeur dépose en fait deux votes: un pour le président et un pour le vice-président, même si en pratique les candidats à la présidentielle et à la vice-présidence apparaissent ensemble comme des «colistiers» sur un «ticket» de campagne que les électeurs ont nominalement choisi en un seul tour de scrutin.
Le débat fait rage sur la question de savoir si les divers recomptages et poursuites peuvent annuler un nombre suffisant de voix pour compter. On s'attend à ce que Trump continue les dépôts légaux visant à disqualifier suffisamment de bulletins de vote pour inverser les résultats dans plusieurs États cruciaux où il devrait perdre. La position maximaliste anti-Trump soutient que peu ou pas de mouvement est justifié ou même possible à l'échelle dont le président aurait besoin pour renverser les résultats projetés, et qu'il se fait des illusions et embarrasse le pays en refusant de reconnaître la victoire de Biden.
Certains commentateurs de gauche ont tenté d'amener Trump à concéder des appels déplacés au caractère sacré de la démocratie américaine et des suggestions pratiques selon lesquelles accepter la défaite gracieusement maintenant pourrait permettre à Trump d'organiser un retour en 2024 ou du moins de sauver la majorité républicaine du Sénat, qui dépend de remporter au moins un des deux scrutins en Géorgie.
La position pro-Trump suggère que des violations de la loi alléguées, que ce soit dans des bulletins de vote invalides ou des erreurs de procédure, pourraient disqualifier des centaines de milliers de votes et attribuer au président un deuxième mandat. Les partisans les plus fermes de ce point de vue, y compris l'ensemble de la direction du Congrès républicain et de l'appareil du parti, soutiennent que concéder avant que ces questions ne soient réglées trahirait la démocratie américaine, mettrait en péril l'intégrité du système électoral et créerait peut-être une situation dans laquelle les républicains pourraient être interdits de remporter à nouveau la présidence. Ils regardent avec espoir la magistrature fédérale, dont une grande partie a été nommée par Trump, et en particulier la Cour suprême, qui compte une supermajorité républicaine de six à trois juges, dont la moitié a été nommée par Trump.
Ainsi constituée, la Cour suprême pourrait facilement se prononcer en sa faveur par un vote strictement partisan, tout comme elle l'a fait pour George W. Bush avec une majorité plus mince et moins conservatrice à l'élection de 2000, dans un jugement sans précédent significatif que les esprits du pays ne pensaient pas que ce serait le cas. Le samedi précédant le jour du scrutin, Trump lui-même a songé - peut-être pas facétieusement - à gagner sa réélection de cette manière, remerciant entre parenthèses la Cour suprême à l'avance lors d'un discours de rassemblement en Pennsylvanie.
Jusqu'à présent, le débat médiatique tourne presque entièrement autour de la compilation finale des votes. Si suffisamment de preuves de fraude apparaissent et si les décisions de justice fondées sur ces preuves favorisent Trump de manière décisive, il est possible qu'il gagne par décision de justice.
Un autre scénario, cependant, réside dans les recoins de la Constitution américaine. Une partie importante de la stratégie juridique de Trump vise à empêcher des États cruciaux de certifier des résultats qui lui seraient opposés. Tous les États exigent une certification du vote avant l'envoi des électeurs. Deux États, le Maine et le Nebraska, autorisent la division des listes d'électeurs dans leur soutien aux candidats, mais aucun des États n'est en lice. Si Trump peut jeter suffisamment de saleté sur le processus électoral pour convaincre les tribunaux de prononcer des injonctions contre la certification dans juste assez d'États, aucun des deux candidats ne remportera la majorité des 270 voix électorales nécessaires pour triompher au collège électoral.
Dans ce scénario, l'article deux de la Constitution américaine, tel que modifié par le douzième amendement, prévoit une «élection contingente» au cours de laquelle le président est choisi par la Chambre des représentants parmi les trois premiers gagnants des votes électoraux, tandis que le vice-président est choisi par le Sénat (rappelons que le vote électoral pour le président et le vice-président sont séparés).
Une «élection contingente» prévoit que le vice-président est élu à la majorité simple des voix exprimées par les sénateurs individuels. Avec une majorité républicaine au Sénat au Congrès actuel, Mike Pence gagnerait vraisemblablement sa réélection en tant que vice-président. Dans le plus grand concours, cependant, le vote de la Chambre pour le président ne se fait pas par scrutin individuel, mais plutôt par délégation d’État en bloc. Cela signifie que tous les représentants de chaque État voteraient collectivement pour le président. Au Congrès actuel, 26 des 50 délégations d'État sont majoritairement républicaines. En supposant qu'ils délivrent des votes stricts en ligne de parti, Trump gagnerait l'élection contingente et serait réélu constitutionnellement.
Cette procédure est obscure, mais pas sans précédent dans le choix des présidents américains. Thomas Jefferson a été élu président lors d'une élection contingente en 1801, lorsque le vote électoral de l'élection de l'année précédente a abouti à un lien entre lui et le président sortant John Adams. En 1825, le fils d'Adams, John Quincy Adams, a également remporté la présidence lors d'une élection contingente, au cours de laquelle quatre candidats se sont partagés le vote du collège électoral résultant de l'élection de 1824. Le plus jeune Adams a prévalu sur Andrew Jackson, qui avait remporté de larges pluralités dans les deux pays. votes populaires et électoraux.
Aucun des perdants de ces élections n’était heureux, mais les présidences des vainqueurs, bien que controversées à d’autres égards, n’étaient pas ternies par les circonstances de leurs élections, fermement fondées, pour ainsi dire, dans le droit constitutionnel. En 1836, une troisième élection contingente eut lieu lorsque tous les électeurs de Virginie refusèrent de voter pour le vice-président impopulaire de Millard Fillmore, Richard Mentor Johnson. Privant Johnson d'une majorité du collège électoral lors du vote vice-présidentiel, le vote du Sénat requis par la Constitution a été dûment tenu et a élu Johnson de manière contingente, encore une fois sans effet néfaste sur son mandat valide, bien que obscur.
Les temps ont changé depuis, et expliquer cette procédure aux Américains moyens d'aujourd'hui, dont un grand pourcentage n'a aucune idée de ce qu'est ou fait le collège électoral, le désapprouve s'ils le font et préfère démolir une statue de Jefferson plutôt que d'apprendre sur la façon dont il a été élu président, ajoutera des couches de confusion et de conflits dans une année électorale déjà torturée. Ce n'est, bien sûr, qu'une seule façon possible de résoudre la crise brassicole, mais quel que soit le candidat qui l'emporte finalement, la moitié du pays sera absolument convaincue que l'élection présidentielle de 2020 a été volée. Une élection contingente, cependant, fournirait au moins une patine de constitutionnalisme respectable.
(...) La position pro-Trump suggère que des violations de la loi alléguées, que ce soit dans des bulletins de vote invalides ou des erreurs de procédure, pourraient disqualifier des centaines de milliers de votes et attribuer au président un deuxième mandat. Les partisans les plus fermes de ce point de vue, y compris l'ensemble de la direction du Congrès républicain et de l'appareil du parti, soutiennent que concéder avant que ces questions ne soient réglées trahirait la démocratie américaine, mettrait en péril l'intégrité du système électoral et créerait peut-être une situation dans laquelle les républicains pourraient être interdits de remporter à nouveau la présidence. (...)
Il est vrai que... TOUS LES PARTIS ont, DEPUIS TOUJOURS triché, corrompu et escroqué le Peuple en refusant la Démocratie.
Tant que l'Amérique est privée de Démocratie, la dictature s'y maintiendra. La Démocratie c'est 'PAR LE PEUPLE, POUR LE PEUPLE. C'est le Peuple qui dirige (comme en Suisse).
NYTimes a dévoilé un «régime massif» par les démocrates dans le système électoral de Pennsylvanie ... en 1994
par Tyler Durden Sam, 14/11/2020 - 16:20
Alors que la solide avance de Trump la nuit des élections en Pennsylvanie a fui du jour au lendemain (de manière mystérieuse et prétendument néfaste), beaucoup se sont demandé ce qui s'était passé. Eh bien, il n'y a pas eu de fraude, c'est sûr, selon l'establishment de gauche et de droite et les médias ... tout cela est une vaste conspiration de droite.
Les rédacteurs de titres et les porte-parole n'ont pas tardé à rejeter toutes les allégations, des centaines d'affadavits et des preuves vidéo de fraude, proclamant que toutes les suggestions de fraude sont des "allégations sans fondement" et une attaque "sans précédent" contre la démocratie ... etc.
Cependant, ce type de fraude systémique est tout sauf sans précédent en Pennsylvanie. Comme nul autre que le New York Times l'a écrit en février 1994 ...
"En disant que le système électoral de Philadelphie s'était effondré sous" un plan massif "des démocrates pour voler une élection au Sénat de l'État en novembre, un juge fédéral a pris aujourd'hui la rare mesure d'invalider le vote et a ordonné que le siège soit pourvu par le candidat républicain."
Le juge Newcomer a statué que la campagne démocrate de William G.Stinson avait volé l'élection à Bruce S.Marks dans le deuxième district sénatorial du nord de Philadelphie par une fraude élaborée dans laquelle des centaines de résidents étaient encouragés à voter par scrutin absent même s'ils n'avaient aucune raison légale - comme un handicap physique ou un voyage prévu en dehors de la ville - pour le faire ...
Dans de nombreux cas, selon les républicains qui ont témoigné lors d'un procès civil de quatre jours la semaine dernière, les travailleurs de la campagne démocrate ont falsifié des bulletins de vote par correspondance. Sur de nombreux bulletins de vote, ils ont utilisé les noms de personnes qui vivaient à Porto Rico ou purgeaient une peine de prison et, dans un cas, l'électeur était mort depuis un certain temps.
«Des preuves substantielles ont été présentées établissant une fraude, une tromperie, une intimidation, un harcèlement et une contrefaçon massives par scrutin absent», a écrit le juge Newcomer dans une décision rendue publique aujourd'hui.
Le quartier, qui comprend des quartiers blancs, noirs et hispaniques, est majoritairement démocrate par enregistrement. Néanmoins, les agents de campagne ont témoigné que l'apathie généralisée des électeurs les avait incités à promouvoir une «nouvelle façon de voter» pour assurer une victoire.
...
En effet, les deux démocrates du conseil électoral composé de trois membres, un organe élu, ont témoigné qu'ils étaient au courant de la fraude électorale, avaient intentionnellement omis de faire appliquer la loi électorale et avaient par la suite tenté de dissimuler leurs activités en certifiant à la hâte le candidat démocrate. en tant que gagnant.
Le juge Newcomer a ordonné que M. Stinson, un ancien adjoint au maire adjoint de Philadelphie âgé de 49 ans, soit démis de ses fonctions au Sénat de l'État et que M. Marks, un avocat de 36 ans et ancien assistant du sénateur américain Arlen Spectre, être certifié gagnant dans les 72 heures.
«C'est un soulagement extraordinaire», a écrit le juge Newcomer. "Cependant, il est approprié parce que la conduite extraordinaire de la campagne Stinson et du conseil d'administration a entaché la totalité des bulletins de vote absents."
... certains experts électoraux ont noté aujourd'hui qu'il y avait eu de nombreux cas plus importants de fraude électorale à Chicago et en Louisiane dans les années 1970 et en Alabama dans les années 1980.
L'affaire concernant le siège de Philadelphie, cependant, peut être le plus grand exemple impliquant des bulletins de vote absents frauduleux.
En savoir plus ici ...
Alors, est-ce là que les démocrates ont eu l'idée d'inonder la nation de bulletins de vote par correspondance ? Cela a fonctionné (pendant un certain temps) en 1994, pourquoi ne pas essayer à nouveau maintenant ... et cette fois, les Dems ont tous les médias à leur demande pour blanchir / censurer / interdire toute dissidence d'une élection libre et juste.
Hydroxychloroquine: le professeur Raoult est-il victime d’un acharnement ?
RépondreSupprimer11:55 14.11.2020
Par Maxime Perrotin
Didier Raoult, professeur incontournable dans la crise du Covid-19, est poursuivi pour «charlatanisme» par l'Ordre des médecins. En cause: la promotion de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité n’aurait pas été prouvée. Parallèlement, le Remdesivir, dont l’efficacité n’a pourtant pas été non plus prouvée, a été massivement acheté par les Européens.
Le professeur Didier Raoult perdra-t-il son droit d’exercer ? Le 12 novembre, le Parisien confirmait une information Paris-Match selon laquelle le Conseil national de l'Ordre des médecins avait lancé une mesure disciplinaire à l’encontre du célèbre microbiologiste consécutivement à une plainte, en juillet, de la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF). En cause, la promotion de son traitement contre le coronavirus, à base d’hydroxychloroquine, d’azithromycine et de zinc, dont l’efficacité n’aurait pas été prouvée.
Un argument déjà employé fin octobre par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) contre une demande du professeur Raoult, formulée au mois d’août, d’octroyer une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) afin d’élargir la prescription de l’hydroxychloroquine au traitement du Covid-19. «À ce jour, les données disponibles, très hétérogènes et inégales, ne permettent pas de présager d'un bénéfice de l'hydroxychloroquine, seule ou en association, pour le traitement ou la prévention de la maladie Covid-19», développait dans son refus le directeur de l’agence publique.
Une contre-attaque consécutive à son audition à l’Assemblée nationale ?
Une réponse «absolument déraisonnable sur le plan du raisonnement scientifique», avait réagi dans une vidéo publiée début novembre sur son compte Twitter le professeur Raoult. Ce dernier dénonçait une «décision personnelle». L’infectiologue renvoyait alors vers la «littérature» que constituent les 160 études disponibles sur le site de l’IHU, déclarant que pas moins de 85 d’entre elles montreraient un bénéfice à employer contre le Covid-19 un traitement comprenant de l’hydoxychloroquine.
«La mortalité est divisée par deux» dans les Ephad […]. On passe d’une mortalité globale de 27 % […] là où on ne traite pas à 13%, lorsque l’on traite. C’est la moitié, on ne peut pas dire que cela n’existe pas !», assène le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection à Marseille. Aussi annonce-t-il son intention de faire appel devant le Conseil d’État de ce refus de l’ANSM ainsi que d’«attaquer» son directeur. « Je considère qu’il joue un jeu qui est dangereux pour la santé des Français», accuse-t-il.
Faut-il y voir un lien entre ces menaces et les poursuites dont il fait à présent l’objet ? L’article de Paris Match mentionne que Didier Raoult a reçu le recommandé de l’Ordre des médecins la première semaine de novembre, et celui du Parisien –qui a contacté l’organisme professionnel– précise que la plainte de la Société de pathologie infectieuse de la SPILF date de juillet. Cette dernière clôture toute une série de requêtes déposées auprès du Conseil de l’Ordre. Parmi elles, celle d’un professeur de mathématiques exerçant dans un collège, concernant la fiabilité de l’essai clinique mené par les équipes de Didier Raoult sur 3.737 patients de l’IHU, ou encore celle pour «surmédiatisation» dénoncée par un collectif de cinq médecins hospitaliers.
Nous étions alors au lendemain de la publication par la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet d’une étude statuant sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine. Une étude dont s’est immédiatement emparé Olivier Véran pour faire interdire l’hydroxychloroquine hors du cadre hospitalier. Une étude qui s’est révélée… fausse.
RépondreSupprimer«Des plaintes ont déjà été déposées devant le Conseil de l'Ordre contre des médecins. Pour Raoult, c'est à l'étude !», s’emportait début juillet, auprès du Parisien, la professeure Karine Lacombe. La cheffe du service d'infectiologie à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, connue pour être une critique de la première heure de la méthodologie de son homologue marseillais, ainsi que pour avoir touché des sommes d’argent et des avantages du laboratoire américain Gilead, criait alors à la «diffamation» après l’audition du professeur Raoult par l’Assemblée nationale le 24 juin. Cela mérite des «sanctions déontologiques», martelait-elle, accusant Didier Raoult d’avoir «menti» aux députés.
Le Remdesivir aussi inefficace que l’hydroxychloroquine, selon l’OMS
Au-delà de l’efficacité prouvée ou non du traitement du professeur Raoult, qui déchaîne en France les passions, la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir. C’est le laboratoire Gilead qui a reçu le feu vert tant des agences européenne qu’américaine du médicament. De notre côté de l’Atlantique, le 25 juin dernier, l’antiviral de Gilead a été homologué par l’agence européenne du médicament (EMA). La Commission européenne en a autorisé «la mise sur le marché conditionnelle» le 3 juillet.
Quelques semaines plus tard, le 28 juillet, Bruxelles a signé un contrat d’approvisionnement médical avec le laboratoire américain (immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware) afin de recevoir de quoi traiter 30.000 patients à travers l’Union contre la modique somme de 63 millions d’euros, soit 2.100 euros par traitement.
La Commission demande toutefois à Gilead de fournir les résultats des études. Pourtant, comme le rappelle dans son article fleuve Paris Match, à propos de ce «deux poids-deux mesures» qu’avait dénoncé Didier Raould, le Remdesivir a été jugé aussi inefficace que l’hydroxycholoroquine par l’étude européenne Solidarity.
«Il a été constaté que les quatre traitements évalués (remdesivir, hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir et interféron) n’avaient que peu ou pas d’effet sur la mortalité globale, la mise en route de la ventilation et la durée du séjour à l’hôpital chez les malades hospitalisés», note l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans les résultats provisoires de Solidarity publiés le 15 octobre.
Des résultats qu’aurait reçus fin septembre Gilead, mais que le laboratoire américain n’aurait pas communiqué à Bruxelles qui lui avait demandé –il est vrai– de le faire d’ici à fin décembre. Quelques jours plus tard, le 8 octobre, Gilead et la Commission ont signé un contrat d’approvisionnement de 500.000 traitements, soit une commande de plus d’un milliard de dollars. Interrogé par la revue de santé américaine Science sur la raison de ne pas les avoir communiqués à Bruxelles lors des négociations, le laboratoire californien a rétorqué n’avoir reçu qu’une «esquisse […] fortement expurgée». De son côté l’OMS a répondu à la revue scientifique n’avoir caviardé que les résultats des autres traitements testés… autres que ceux de Gilead.
En France, la commission de la Transparence de la Haute autorité de santé (HAS) a estimé mi-septembre que le service médical rendu par l’antiviral américain était «faible», fermant la porte à tout remboursement de ce traitement qui coûte près de 400 fois plus qu’une boîte de Plaquenil, l’hydroxychloroquine vendue par Sanofi. Du côté du professeur Raoult, en prise avec le Conseil de l’Ordre, celui-ci encourt d’un simple avertissement à une radiation. Ce qui signifierait concrètement une interdiction d’exercer la médecine en France.
RépondreSupprimer(...) la promotion de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité n’aurait pas été prouvée. Parallèlement, le Remdesivir, dont l’efficacité n’a pourtant pas été non plus prouvée, (...)
Supprimer'pas été non plus prouvée' !
(...) le professeur Raoult. Ce dernier dénonçait (...)
Ce dernier !
(...) «La mortalité est divisée par deux» dans les Ephad […]. On passe d’une mortalité globale de 27 % […] là où on ne traite pas à 13%, lorsque l’on traite. C’est la moitié, on ne peut pas dire que cela n’existe pas !», assène le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection à Marseille. (...)
'assène' !
(...) la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet d’une étude statuant sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine. (...)
'la prestigieuse' !
(...) Le Remdesivir aussi inefficace que l’hydroxychloroquine, selon l’OMS (...)
(...) Au-delà de l’efficacité prouvée ou non du traitement du professeur Raoult, qui déchaîne en France les passions, la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir. (...)
'la seule médication pour l’heure reconnue par les autorités européennes reste le Remdesivir' !
(...) Quelques semaines plus tard, le 28 juillet, Bruxelles a signé un contrat d’approvisionnement médical avec le laboratoire américain (immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware) afin de recevoir de quoi traiter 30.000 patients à travers l’Union contre la modique somme de 63 millions d’euros, soit 2.100 euros par traitement. (...)
'(immatriculé dans le paradis fiscal du Delaware)' !
(...) le service médical rendu par l’antiviral américain était «faible», fermant la porte à tout remboursement de ce traitement qui coûte près de 400 fois plus qu’une boîte de Plaquenil, l’hydroxychloroquine vendue par Sanofi. (...)
Refus du confinement : la Polynésie française persiste et signe
RépondreSupprimer14 nov. 2020, 08:49
Comme depuis l'entrée en vigueur du nouveau confinement, le Haut-Commissaire et le Président de la Polynésie française ont réaffirmé leur volonté de ne pas appliquer cette mesure. Les autorités souhaitent ainsi éviter une «crise sociale majeure».
Malgré une propagation du Covid-19 qui demeure élevée, la Polynésie française ne souhaite pas se confiner, ont expliqué le 13 novembre 2020 le Haut-Commissaire et le Président de cette collectivité d’outre-mer lors d’une allocution commune. «Nous devons absolument éviter un effondrement de l’économie qui créerait des pertes d’emplois irréversibles et une crise sociale majeure», a déclaré le Haut-Commissaire Dominique Sorain, qui représente l’Etat en Polynésie française.
Le premier secteur économique local est le tourisme, très affecté par un confinement instauré en mars, puis levé avant la réouverture des frontières en juillet. Les touristes étaient alors timidement revenus, mais le virus s’est ensuite propagé.
Le taux d’incidence est de 868 nouveaux cas hebdomadaires pour 100 000 habitants dans les îles les plus peuplées, Tahiti et Moorea. Edouard Fritch invite la population à se faire tester Coup dur supplémentaire pour l’économie locale, les métropolitains ne peuvent plus se rendre en Polynésie pour motif touristique, en raison du confinement national.
Les compagnies aériennes qui desservent la Polynésie ont déjà réduit leurs rotations.
Si les autorités ont rejeté le confinement, elles ont maintenu le couvre-feu au moins jusqu’au 14 décembre. D’autres mesures s’ajoutent aux restrictions déjà en vigueur : les compétitions sportives et les marchés aux puces sont désormais interdits.
Le Président polynésien a annoncé que plusieurs dizaines de milliers de tests antigéniques étaient désormais disponibles dans les dispensaires et infirmeries locales. «Toutes les personnes symptomatiques sont invitées à s’y présenter sans rendez-vous […] Faites-vous tester !», a demandé Edouard Fritch à sa population.
Le 13 novembre, la Polynésie française recensait 98 hospitalisations, dont 26 en réanimation, pour une population de 280 000 habitants. Le virus a tué 53 personnes dans la collectivité d’outre-mer.
https://francais.rt.com/france/80724-refus-confinement-covid-19-polynesie-francaise-persiste-signe
Emprisonnés dans les cocotiers ?
Supprimer«Un Absurdistan autoritaire» : l'hebdomadaire allemand Die Zeit étrille le reconfinement français
RépondreSupprimer13 nov. 2020, 16:35
Le magazine allemand Die Zeit s'attaque aux décisions du gouvernement français contre le Covid-19. Il les juge autoritaires et prises «sans le Parlement» avec des risques de «conséquences lourdes» et n'ayant pas empêché un bilan «catastrophique».
Le 12 novembre, l'hebdomadaire de référence allemand Die Zeit a publié sur son site internet un article intitulé «Un Absurdistan autoritaire», dans lequel il critique les mesures prises par les autorités françaises pour lutter contre la propagation du coronavirus. Des mesures qui sont selon lui inefficaces, prises de façons autoritaire et - pour certaines - insensées.
L'article signé par Annika Joeres s'en prend tout d'abord aux auto-attestations nécessaires pour quitter son domicile et à la limitation de déplacement dans un rayon d'un kilomètre, qui conduit les adeptes de course à pied à «se bousculer dans les rues» plutôt qu'à pratiquer dans la nature.
L'auteur critique également l'ouverture partielle des magasins, caractérisée dans les grandes surfaces par «des panneaux d'avertissement ou des gardes de sécurité devant les bottes d'hiver ou devant les étagères avec des ours en peluche, afin que les clients n'achètent rien d'interdit». Des mesures selon elle infantilisantes et incompréhensibles – ce qui entraîne une situation de mécontentement à l'égard du pouvoir, envers lequel «la confiance de la population est la plus basse en Europe» –, et qui seraient par ailleurs inutiles.
«Le bilan français est catastrophique : bien que Paris ait au printemps et actuellement livré une réponse parmi les plus autoritaires contre la pandémie, le nombre de morts y ait plus élevé qu'en Suède où les mesures sont des plus libérales», relève sans appel le magazine de centre-gauche.
Une politique «quasi-monarchique»
Au delà de la nature des mesures, l'article à charge critique également la façon dont celles-ci ont été prises : «La politique de Macron est quasi monarchique. Des décisions aux lourdes conséquences sont adoptées par un conseil de Défense qui comprend quelques ministres, des fonctionnaires et des officiers.
Le Parlement n'a pas son mot à dire et ne peut entériner les décisions.» Die Zeit affirme par ailleurs que la Ligue des droits de l'Homme aurait affirmé ne pouvoir intenter de poursuite judiciaires contres les décisions liberticides prises par le gouvernement français car «l'état d'urgence permet tout».
Une situation démocratiquement problématique et politiquement dangereuse, étant donné qu'«à part le Rassemblement national à l'extrême droite, la France n'a guère d'opposition audible». En Allemagne, un reconfinement et un bilan plus légers
Si le magazine allemand se permet de telles critiques, c'est que la situation est moins sévère outre-Rhin. Un reconfinement anticipé y a également été instauré depuis 2 novembre mais, contrairement à la France, tous les magasins restent ouverts (à condition que les commerces en question accueillent une seule personne par 10 mètres carrés) et les Allemands ne doivent se munir d'attestations de déplacement dérogatoires lorsqu'ils quittent leur domicile.
Ces fameuses attestations dont le Premier ministre Jean Castex a annoncé la prolongation du caractère obligatoire après le 1er décembre, et dont le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a appelé les préfets à renforcer le contrôle.
Mis en œuvre pour contenir une seconde vague du virus qui devrait selon le gouvernement être «sans doute plus meurtrière» que la première, le reconfinement va entrer dans sa troisième semaine. 418 personnes étaient décédées du Covid-19 en 24 heures selon les données du 12 novembre en France, et 33 172 nouveaux cas ont été détectés, ce qui porte le total à 1 898 710 cas.
RépondreSupprimerEn Allemagne, le nombre de cas confirmés de contamination au coronavirus a atteint 727 553 et le nombre de morts s'élève à 11 982 depuis le début de l’épidémie selon Reuters, soit 3,5 fois moins qu'en France (42 960 décès).
https://francais.rt.com/international/80709-absurdistan-autoritaire-quotidien-allemand-die-zeit-etrille-reconfinement-francais
«On va massacrer un pays pour sauver 30.000 vies»: le Pr Michaël Peyromaure dénonce le reconfinement - vidéo
RépondreSupprimer15:28 14.11.2020
Par Nikita Martynov
Le nouveau confinement instauré par le gouvernement a été critiqué le 13 novembre par le chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris lors de La Matinale de CNews. Selon lui, «les moyens mis en œuvre sont totalement disproportionnés».
Invité le 13 novembre sur La Matinale de CNews, le professeur Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris, a dénoncé le reconfinement qui «va faire des dégâts absolument considérables, des dégâts nationaux».
«On se rendra compte un jour ou l’autre quand on fera le bilan que pour sauver 10.000, 20.000 ou 30.000 vies, qui sont certes dramatiques mais qui restent quand même assez peu par rapport à la population, on aura ruiné des millions de Français», explique-t-il.
Selon lui, «les moyens mis en œuvre sont totalement disproportionnés» et il faut «prendre du recul», sinon «on va massacrer un pays».
Quoi qu’il en soit, le Pr Michaël Peyromaure dit comprendre ses collègues qui travaillent en réanimation et qui «voient affluer des gens dans des situations qui sont graves».
Des commerçants en colère
Comme au printemps dernier, les commerces non-essentiels sont fermés pendant le confinement. Contraints de baisser le rideau, les petits commerçants sont nombreux à crier leur colère. Ils sont surtout préoccupés par le fait qu’ils doivent fermer au moment de l’année le plus important pour eux, là où certains font 40 % de leur chiffre d’affaires annuel.
La France recense 42.600 morts depuis le début de la pandémie, indique l’université Johns-Hopkins. Au total, 1.915.677 personnes ont été contaminées.
Le président de la Fed, Powell, admet la vérité: "Nous ne retournons pas à la même économie"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 10:30
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Même Jerome Powell admet que les années de boom sont terminées. Pendant des mois, j'essaie d'expliquer à mes lecteurs que la «prospérité» alimentée par la dette dont nous bénéficions avant la pandémie COVID ne reviendra pas, et j'ai d'abord reçu de nombreuses critiques pour avoir dit cela. Mais cette critique s'est calmée, car à ce stade, presque tout le monde peut voir la vérité. Malgré le plan de relance après le plan de relance, et malgré une intervention sans précédent de la Réserve fédérale, nous continuons d'être embourbés dans la pire récession économique depuis la Grande Dépression des années 1930. La peur du virus continue de faire baisser le niveau global de l'activité économique, de plus en plus d'entreprises font faillite chaque jour qui passe et les annonces de licenciements ne semblent jamais prendre fin.
Normalement, les responsables de la Réserve fédérale s'efforcent d'être sans relâche optimistes. Mais lors d'une table ronde de la Banque centrale européenne jeudi, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a ouvertement admis que «nous ne retournons pas à la même économie»…
«Nous ne retournons pas à la même économie», a déclaré Powell. "Nous nous rétablissons, mais dans une autre économie et ce sera une économie qui sera davantage mise à profit de la technologie, et je crains que cela ne rende les choses encore plus difficiles que pour de nombreux travailleurs."
Le dirigeant de la banque centrale a déclaré qu'il se référait spécifiquement aux «travailleurs relativement mal payés qui font face au public et qui supportent ce poids», dont beaucoup sont des femmes et des minorités.
Son utilisation de l'expression «une économie différente» a vraiment attiré mon attention.
Quand j'essaie d'annoncer de très mauvaises nouvelles à quelqu'un d'une manière douce, j'utilise souvent le mot «différent» pour décrire ce que seront les choses à l'avenir, et je pense que Powell fait la même chose ici. Il sait qu'il n'y a aucun moyen que les choses «reviennent à la normale» de sitôt, et il a tout à fait raison de s'inquiéter particulièrement de la façon dont cela affectera les travailleurs faiblement rémunérés.
Les travailleurs faiblement rémunérés ont perdu leur emploi à un rythme beaucoup plus élevé que n'importe qui d'autre, et les pertes d'emplois continuent de se produire.
Jeudi, nous avons appris que 709 000 Américains supplémentaires avaient déposé de nouvelles demandes de prestations de chômage la semaine dernière, et ce nombre est plus de trois fois plus élevé que ce à quoi nous avons assisté au cours d'une semaine typique en 2019 ...
Le rapport du Département du travail a montré une onzième semaine consécutive que les nouvelles demandes de chômage étaient inférieures à 1 million. Mais les nouvelles demandes ne sont pas encore revenues en dessous de 700 000 depuis le début de la pandémie et se sont maintenues nettement au-dessus des niveaux d'avant l'épidémie. Tout au long de 2019, de nouvelles demandes de chômage initiales ont été reçues en moyenne un peu plus de 200000 par semaine.
Au 24 octobre, un total de 21,16 millions d'Américains apportaient à la maison une forme quelconque d'assistance-chômage.
RépondreSupprimerIl y a un an, ce nombre n'était que de 1,45 million.
En d'autres termes, nous sommes au milieu d'un cauchemar national du chômage.
Et de nombreux analystes sont profondément préoccupés par le fait que la nouvelle vague de lock-out qui commence maintenant à se produire dans tout le pays provoquera une nouvelle vague de licenciements ...
À mesure que le temps froid s'installe et que la peur du virus s'intensifie, les consommateurs peuvent devenir plus prudents lorsqu'ils voyagent, font du shopping, sortent au restaurant et visitent les gymnases, les coiffeurs et les détaillants. Les entreprises de nombreux secteurs pourraient supprimer des emplois ou des heures de travail. Ces derniers jours, la résurgence du virus a déclenché des restrictions plus strictes sur les entreprises, principalement des restaurants et des bars, dans plusieurs États, dont le Texas, New York, le Maryland et l'Oregon.
«Le risque peut être de multiplier les licenciements alors que les cas de coronavirus augmentent et que certains États imposent des restrictions à l'activité», a déclaré Nancy Vanden Houten, économiste au cabinet de prévisions Oxford Economics.
Hier, j'ai discuté du fait que l'un des experts du nouveau conseil consultatif COVID-19 de Joe Biden souhaite un verrouillage national complet pendant au moins un mois une fois que Biden sera à la Maison Blanche.
Inutile de dire que cela aggraverait la crise économique que nous traversons actuellement.
Mais bien sûr, il y a beaucoup d'Américains là-bas qui ne vont tout simplement plus supporter d'autres verrouillages. En fait, une nouvelle enquête a révélé que seulement 49 % de tous les Américains «seraient très susceptibles de rester à la maison pendant un mois si les autorités sanitaires le recommandaient»…
Moins de la moitié des Américains disent qu'ils sont très susceptibles de se conformer à un autre verrouillage, malgré les inquiétudes croissantes concernant la pandémie de coronavirus, selon le dernier sondage Gallup.
Environ 49 % des Américains interrogés entre le 19 octobre et le 1er novembre ont déclaré qu'ils seraient très susceptibles de rester chez eux pendant un mois si les responsables de la santé le recommandaient à la suite d'une épidémie de coronavirus dans leur communauté, contre 67 % au printemps.
Des millions et des millions de vies ont été bouleversées par les verrouillages qui avaient été précédemment institués, et les dommages économiques causés par une autre série de verrouillages seraient incalculables.
Mais il semble que d'autres verrouillages arrivent de toute façon, ce qui signifie que beaucoup plus de souffrances économiques sont à venir.
Avant la pandémie, Victoria Perez, 38 ans, occupait deux emplois, mais elle les a rapidement perdus tous les deux une fois que COVID est arrivé. Maintenant, elle et ses enfants vivent dans des logements urbains à Oakland, en Californie, et ils ne sont plus qu'à un pas de devenir sans-abri ...
Parmi eux, Victoria Perez, qui occupait deux emplois de livraison avant le déclenchement de la pandémie. Ayant perdu ses deux emplois au printemps, elle vit maintenant avec ses enfants dans des logements subventionnés par la ville près d'Oakland, en Californie, et espère éviter l'itinérance.
Les logements en ville, fournis aux personnes à risque accru de coronavirus, ne durent que jusqu'en décembre. Perez, 38 ans, est un survivant du cancer.
RépondreSupprimerAprès les fêtes de fin d'année, que doit-elle faire si elle n'arrive pas à trouver un nouvel emploi ?
Être sans abri est déjà assez mauvais. Lorsque vous ajoutez des enfants à l'équation, nous parlons du genre de scénario de cauchemar que personne ne devrait jamais avoir à vivre.
Malheureusement, les rangs des sans-abri explosent dans tout le pays alors que l'économie américaine s'effondre sous nos yeux.
En 2021, j'anticipe la plus grande vague de trafic de l'histoire du blog sur l'effondrement économique alors que notre implosion économique en cours s'accélère encore plus. J'ai entendu tant de gens qui souffrent profondément en ce moment, et j'aimerais avoir de meilleures nouvelles pour tout le monde.
Malheureusement, les conséquences pendant des décennies de décisions extrêmement stupides nous rattrapent, et dire que nous nous dirigeons vers une «économie différente» est certainement un euphémisme majeur.
https://www.zerohedge.com/economics/fed-chair-powell-admits-truth-were-not-going-back-same-economy
(...) La peur du virus continue de faire baisser le niveau global de l'activité économique, (...)
SupprimerCe n'est pas 'la peur du virus' (on en a vu des milliards de milliards !) mais la peur des criminels au pouvoir !
Ils pensent contrôler le monde avec des images de Mickeys distribuées chaque mois, mais l'être humain peut vivre sans ! Regardez à la campagne ! Les fruits, les légumes poussent, les poules pondent et les vaches donnent du lait ! En serres il n'y a plus de saisons, elles permettent de semer et de récolter en hiver, sous la pluie, la neige et le vent fort !
L'espoir est que 7 milliards de personnes puissent comprendre çà !
Aujourd'hui toutes les conserveries et stations d'embouteillages sont fermées dans le monde !! Et, les stocks SERONT VIDES avant le 31 Décembre !
Certains s''enrichissent' en Bourses durant le corona mais, comme les autres milliardaires ou millionnaires ILS ONT BESOIN DU PEUPLE ! Pour l'alimentation, la médecine, l'habillement, construction, machines, réparations et inventions ! Le milliardaire est celui qui fait le plus de redistributions dans ses achats coûteux, c'est pourquoi je doute qu'ils suivent les dictateurs car, un milliardaire peut acheter des armes et du monde pour s'en servir !
Des virus 'corona' ils peuvent en fabriquer des millions de différents ! De l'argent électrique pareil mais de vie... comme nous ils en ont qu'une !
Par contre, le seul espoir du Peuple c'est bien l'EMP !
La dictature sanitaire
RépondreSupprimervendredi, 13 novembre 2020 21:26
Ce film — actuellement accessible avec le lien ci-dessous — est long mais mérite d’être vu.
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/11/la-verite-sur-le-microbe-corona.html
Les deux premiers tiers sont saisissants, respirent la vérité, les intervenants paraissent réellement intègres.
Le dernier tiers, tarte à la crème, ne me satisfait pas alors que nous sommes face à une problématique d’une très grande gravité, où notre liberté, nos vies, sont directement attaquées.
La solution simpliste consistant à évoquer le complot et le marché est, de mon point de vue, de nature à augmenter significativement le risque de dérapage, alors que son but reste basique : reporter la faute sur les autres, se dédouaner de toute responsabilité. C’est un peu facile.
Ma pensée à ce sujet. Ces deux points seront évacués.
Le complot
Nul n’est en mesure de monter un complot à l’échelle planétaire. Déjà à l’échelle familiale ou amicale ce n’est pas facile, voire impossible.
En effet, un complot demande non seulement une adhésion aveugle à un projet, mais aussi un secret absolu dont l’homme n’est pas capable, surtout aujourd’hui où la quête de notoriété emporte tout, y compris les secrets les plus profonds.
Alors, comploter entre puissants, qui ne rêvent que d’en découdre entre eux et surement pas d’être liés à mort, c’est inimaginable.
Donc, oublions le complot dont l’évocation a pour but, en réalité, de désigner un bouc-émissaire, solution multimillénaire de facilité, éculée et infantilisante.
On n’essaie de comploter que contre ceux qui vous font peur, peut-on imaginer une seconde que les riches aient peur des pauvres ? C’est s’accorder une importance, en tant que pauvre, que nous n’avons pas.
En revanche, il existe constamment des synergies d’intérêt, chez tous les intervenants sociaux. Par exemple, le patronat, mais aussi la masse salariale, sont parcourus d’intérêts synergiques qui aboutissent à des alliances de circonstance, telles que des partages de marché ou la création de syndicats et les actions intersyndicales. Ces alliances peuvent être confondues avec des complots, mais ce n’en est jamais. Colporter ce genre d’information est nuisible à la recherche justement de l’information, sans laquelle aucune situation n’est compréhensible et soluble.
Le marché
Le marché n’a aucune volonté de nuisance, au contraire. Il a besoin du consommateur, quelque soit son niveau de richesse ou d’intelligence. Donc le marché compose toujours, même le marché des armes.
Cependant il est insensible, c’est un fait, et cette insensibilité ne lui donne pas une bonne image auprès de ceux qui sont fragiles.
C’est ici qu’intervient la politique, destinée au départ à simplement permettre à toutes les composantes de la société de vivre en bonne intelligence, y compris donc le marché.
Il est facile de prétendre pour un politique — pour se faire aimer des plus faibles, souvent les plus nombreux — qu’il va maitriser le marché, c’est-à-dire l’amputer de sa liberté, de sa sévérité, de son insensibilité. Pour finalement se faire — peut-être mais pas toujours — acheter par le marché, effectivement toujours prêt à tout payer s’il y trouve son intérêt.
RépondreSupprimerQuoiqu’il en soit, sans liberté — ou avec une liberté payée trop chère — le marché s’effondre, et quand le marché s’effondre arrive la pénurie. Nous y sommes déjà.
Ceci posé, nous sommes face à un risque de dérapage, déjà largement engagé.
Deux méthodes pour arriver en dictature, le coup d’état ou une hystérie populaire.
Il n’y a pas de coup d’Etat mondial en cours, et je ne pense pas que cela soit possible.
En revanche l’hystérie populaire est évidente. Hitler, Mussolini, sont arrivés au pouvoir à l’occasion d’une hystérie populaire.
Le film le montre de façon évidente, au début de l’aventure COVID les hommes de l’Etat, en tout cas les français, ont été entièrement à côté de la plaque. S’ils avaient été initiés, s’ils avaient fait partie d’un complot, ils auraient probablement évité de dire autant de conneries, qu’ils vont sans doute payer très cher.
Ce n’est donc pas ça.
La foule a été prise de folie soudaine face à une épidémie assez peu différente des précédentes et de celles à venir.
Je vois à cela deux raisons.
La sécurité sociale
Je salue ici au passage un homme que je respecte, qui m’a accordé son amitié, Claude Reichman, qui voit aujourd’hui grandeur nature l’explosion du monstre contre lequel il lutte depuis si longtemps.
La sécurité sociale par une propagande inqualifiable a dissimulé ses rapines monstrueuses en faisant croire qu’elle avait la capacité de soigner tout le monde gratuitement. Elle a répandu l’idée de la suppression du risque sanitaire, tout en cachant sa décrépitude.
A tel point qu’elle ne peut pas assumer la survenance d’un risque modéré, et que cette situation provoque une panique légitime mais totalement inutile.
Les réseaux sociaux
Ils nous inondent d’informations à chaque minute qui passe, mais ils nous laissent seuls pour en faire le tri. La tâche s’avère impossible. La défense instinctive est alors de trier à partir de croyances, ce qui est la pire solution.
La diarrhée informatrice des réseaux sociaux exacerbe les croyances, c’est un fait.
Cela ne durera peut-être qu’un temps, la jeunesse qui arrive saura sans doute faire le tri, à condition qu’entre temps on ne l’ait pas massacrée à l’occasion d’une guerre ou d’une dictature.
Car le danger existe, nous avons un pied dedans.
On sent bien l’excitation qui gagne nos élus quand ils voient que tout le monde obéit à leurs ordres les plus cons. Quand ils constatent le degré de délation auquel est arrivée la population, sa lâcheté, ses peurs.
RépondreSupprimerLe pouvoir devient vite plus simple à exercer dans ces conditions. Dès l’enclanchement de la guerre l’exercice du pouvoir pour Hitler est devenu puéril, du niveau d’un jeu de console.
La dictature et la guerre sont des jeux simples, visiblement Macron y prend gout.
La foule, toujours inutilement effrayée, applaudit encore, attention qu’il ne soit pas trop tard lorsqu’elle prendra conscience que sa liberté n’est plus qu’un lointain souvenir.
Tout cela est grave, très grave, ce n’est pas un jeu, une farce qui va passer.
Des forces se mettent en route, parmi lesquelles celles de ceux qui sont ruinés n’est pas la plus illégitime, iIs sont nombreux. Toutes ces forces vont se retrouver opposées, les hommes de l’Etat et leurs représentants ne tarderont pas à être débordés, donc probablement à devoir, penseront ils, imposer l’ordre, restreindre encore les libertés. Le cycle infernal me parait enclenché.
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/la-dictature-sanitaire.html
L’argent, les médicaments et le SARS-CoV-2
RépondreSupprimerle 14 novembre 2020
Une analyse de 2003 (liens en fin de billet) énumère trois façons dont les médecins gagnent de l’argent distribué généreusement par des sociétés pharmaceutiques. Certains sont embauchés pour mener des recherches. Certains sont payés pour orienter les patients vers des essais cliniques. D’autres sont incités à rédiger plus d’ordonnances. Ces incitations peuvent prendre la forme d’honoraires annuels de consultant. Ou des honoraires d’orateurs lors des événements des sociétés pharmaceutiques. Ou des conférences rétribuées dans des lieux exotiques (voyages), des dîners dans des restaurants chics, des billets pour des événements sportifs et des billets pour des concerts de musique. Ces recherches suggèrent que même de petits cadeaux et de petites sommes d’argent affectent le comportement des médecins à un degré surprenant, et que la plupart des médecins croient que leurs collègues sont influencés par les promotions des compagnies pharmaceutiques.
Ce qui nous amène au SARS-CoV-2. Un conflit très public est survenu entre ceux qui favorisent le traitement des patients avec des médicaments peu coûteux et non brevetés tels que l’hydroxychloroquine (HCQ) et ceux qui favorisent l’utilisation de médicaments coûteux et protégés par des brevets tels que le Remdesivir qui est fabriqué par Gilead Sciences.
Un article récent (lien ci-dessous) examine ce que 98 professeurs de médecine et praticiens français spécialisés dans les maladies infectieuses ont déclaré publiquement à propos de l’HCQ. Intitulé « Influence des conflits d’intérêts sur les positions publiques à l’ère COVID-19, le cas de Gilead Sciences », il rapporte que 54 de ces universitaires n’ont pris aucune position publique sur le HCQ, 14 autres sont restés soigneusement neutres. Ce qui en laisse 30 dont 14 ont dit des choses favorables ou très favorables à propos de HCQ et 16 ont dit des choses défavorables ou très défavorables.
En France, les sociétés pharmaceutiques sont tenues de déclarer, via un site Web gouvernemental (lien), le montant du soutien financier qu’elles fournissent aux médecins. Cet article révèle une différence surprenante entre les universitaires pro- et anti-HCQ. De manière générale, les médecins les plus favorables à HCQ reçoivent moins d’argent de Gilead Sciences et vice versa. Le document traite les 14 universitaires pro-HCQ comme deux sous-groupes (favorables et très favorables), plutôt que comme des individus identifiables. Certaines de ces personnes n’avaient aucun lien financier avec Gilead Sciences au cours des sept dernières années (2013-2019). Le montant le plus avantageux pour un individu dans ce groupe a été de 4 773 euros.
Tous les autres 16 (également non identifiés) anti-HCQ (également non identifiés) étaient financièrement liés à Gilead au cours de la même période. Ceux qui ont fait des commentaires publics défavorables ont reçu en moyenne 11085 € (avec des cas individuels allant de 234 € à 31 731 €). Ceux qui ont fait des commentaires très défavorables ont reçu en moyenne 24 048 € (avec des cas individuels allant de 122 € à 52 812 €). En France, moins les médecins sont financièrement connectés à Gilead Sciences plus ils sont susceptibles de soutenir l’utilisation de HCQ. Plus le lien financier avec Gilead est grand, plus l’hostilité envers HCQ est grande. La section «Résultats» de ce document rapporte en outre que, sur les 98 universitaires étudiés, seuls 13 n’avaient aucun lien financier avec Gilead. Quatre de ces 13 n’ont pris aucune position publique sur HCQ, l’un d’eux est resté neutre. La majorité est pro-HCQ, un étant favorable et sept étant très favorables.
Cette étude ne nous dit rien, bien sûr, sur les circonstances dans lesquelles HCQ pourrait être un traitement efficace contre le SRS-CoV-2. Mais cet article nous rappelle que les gouvernements s’appuient sur le jugement d’êtres humains faillibles. Même au milieu d’une pandémie, alors que tout le monde devrait s’efforcer de penser clairement, les experts en maladies infectieuses sont sujets à de multiples types de déviations, notamment d’ordre financier.
RépondreSupprimerLiens.
Hydroxychloroquine & the Judgment of History
https://doi.org/10.1016/j.nmni.2020.100710 (publié en preprint en juin 2020, en accès libre)
https://www.transparence.sante.gouv.fr/flow/main;jsessionid=2A5097024EBC8564AC21232B6D093561?execution=e1s1
Article de Donna Laframboise paru sur son site nofrackingconsensus.com. Commentaires de la part de votre serviteur. Il est plus que vraisemblable qu’un certain nombre de médecins, après lecture de cet article mis en ligne en juin 2020, ont été rendus passablement nerveux par le Professeur Raoult en particulier ceux qui dans la région française où se trouve l’institut IHU se sentent auréolés d’une importance indue car ils font partie de la délégation régionale du Conseil de l’Ordre des Médecins. Cette instance a déposé une plainte à l’encontre du Professeur Raoult pour manquements aux préceptes du Serment d’Hippocrate. Ces sinistres individus émargent-ils aussi sur les largesses des laboratoires pharmaceutiques ?
Durant ma carrière de recherche en biologie j’ai été en contact avec de nombreux médecins spécialistes et tous sans exception bénéficiaient des faveurs financières des laboratoires pharmaceutiques dont ils ne se cachaient pas. Naturellement cette attitude n’est pas répréhensible dans la mesure où ces personnes sont professionnellement irréprochables. Mais dénigrer un confrère qui a décidé de sauver des vies humaines en prescrivant un médicament vieux et peu coûteux, certes, mais hors autorisation d’usage pour ce type d’application, relève de la justice pénale. Il faut espérer que cette affaire ne s’éteindra pas car il faudra nettoyer les écuries d’Augias une fois pour toutes. En effet, des membres du gouvernement français se sont compromis dans cette histoire d’HCQ en déclarant cette molécule toxique et par conséquent interdite (pour protéger leurs bonus provenant de Gilead ?). Ce sera à la justice de clarifier cette affaire et de condamner à de lourdes peines certains personnages qui ont délibérément mis en danger la vie d’autrui.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/14/largent-les-medicaments-et-le-sars-cov-2/
Le recomptage de la Géorgie est peut-être aussi corrompu que l'élection elle-même
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 11:25
Rédigé par Andrea Widburg via AmericanThinker.com,
Vendredi matin, la Géorgie a commencé à recompter les votes qu'elle avait reçus le 3 novembre. Cependant, dans un court laps de temps, des rapports ont été signalés selon lesquels le processus de recomptage était mené avec aussi peu de respect pour la transparence que le décompte initial des votes. Sans cette transparence, ce recomptage est une perte de temps et d'argent pour les contribuables.
Avant d'aborder le problème du recomptage lui-même, nous devons nous assurer que nous sommes tous sur la même longueur d'onde sur ce qui se passe en Géorgie, donc un peu de contexte est nécessaire. Dans mon article sur les deux différents types de fraude électorale, j'ai expliqué que le premier type de fraude concerne la légitimité du scrutin.
Autrement dit, le morceau de papier qui a été introduit dans la machine à compter a-t-il été envoyé par un électeur dûment inscrit ? Sinon, ce vote ne peut pas être compté.
Nous savons d'après les affidavits affluant de partout au pays que les démocrates ont utilisé le virus de Wuhan pour justifier l'envoi par la poste de millions de bulletins de vote à toute personne inscrite sur les listes électorales, que cette personne soit décédée depuis, soit passée à autre chose ou qu'elle ait perdu tout intérêt à voter. Parce que les listes électorales sont remplies de ces électeurs, les publipostages en masse signifiaient que des milliers, des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de bulletins de vote flottaient dans les États postés, libres pour quiconque de les saisir et de les soumettre.
Les démocrates ont rendu cette fraude possible parce qu'ils ont régulièrement détruit d'autres gardiens de la légitimité électorale, tels que les contrôles d'identité et les correspondances de signatures. Dans les États dirigés par les démocrates, voter est devenu aussi facile et aussi vulnérable à la fraude que d'aller dans un centre commercial, de remplir des noms sur des bouts de papier et de les mettre dans un grand seau pour un "dessin" promotionnel pour un vélo ou une voiture. Ou, encore mieux, envoyer par la poste des centaines de bouts de papier remplis à votre ami chez le concessionnaire automobile pour qu'il les mette dans le seau. C'est ainsi que les États démocrates ont organisé leurs élections en 2020.
Voici donc ce qu'il est important de savoir sur le recomptage de la Géorgie: le recomptage ne fera rien pour corriger ce premier type de fraude. Le processus de vérification des électeurs était totalement corrompu, et il n'y a aucun moyen de dissocier l'illégitime des bulletins légitimes lors du recomptage.
Le deuxième type de fraude consiste à compter. Les data-crunchers ont produit des preuves convaincantes que les machines à voter électroniques dans les États contestés étaient sur le point de passer des votes de Trump à Biden. Jay Valentine a un aperçu accessible de ce type de fraude ici. Ce qui est bien avec la fraude informatique, c'est que, même si elle peut être cachée à petite échelle, à grande échelle, elle laisse des indices indéniables. (Vous pouvez en savoir plus sur ces indices ici et ici.) Il existe des preuves solides que le même code pro-Biden qui est apparu dans le Michigan a également affecté les votes en Géorgie.
En théorie, bien qu'il ne supprime pas les bulletins de vote illégitimes, un recomptage manuel empêchera au moins une répétition de la fraude par ordinateur. Cependant, cela ne fonctionne que si les humains qui font le comptage ne trichent pas.
RépondreSupprimerLa meilleure façon d'empêcher les humains de tricher est de les regarder. En effet, ceux d'entre vous qui sont assez vieux pour se souvenir du recomptage de la Floride en 2000 se souviendront également que les médias se sont promenés librement dans les salles de dépouillement, obtenant des gros plans de personnes examinant attentivement chaque bulletin de vote à la recherche de ces fameux tchads pendants. Tout le monde a compris que le but était de bien faire les choses.
Mais que se passe-t-il lorsque les responsables du recomptage, au lieu de la transparence, refusent une fois de plus de permettre aux représentants des parties de vérifier leur travail ? Voici ce qui se passe:
Dans une brève vidéo que je ne peux pas intégrer mais que vous pouvez voir ici, Dick Morris explique qu'il se passe plus que simplement empêcher les républicains d'observer le vote. En outre, dans la mesure où il reste des enveloppes disponibles à partir des bulletins de vote postaux (absents), le secrétaire d'État Brad Raffensperger a déclaré que les compteurs n'essaieraient pas de faire correspondre les signatures.
Le refus de vérifier les signatures ou d'essayer de valider les bulletins de vote par correspondance a créé des taux de rejet extrêmement anormaux. En règle générale, la Géorgie rejette 3,5 % des bulletins de vote par correspondance parce qu'ils ne peuvent pas être validés. Cette année, dit Morris, le taux de rejet est de 0,002 %. Comme Morris l'a dit, sans plus, cette divergence indique une vaste fraude.
Non content de supprimer ces contrôles de fraude, Raffensberger a également ordonné aux comtés de terminer le processus avant 15 heures. le samedi. La Géorgie a reçu environ 5 millions de voix. Il est ridicule de croire qu'ils peuvent être racontés correctement en un jour et demi. Ce n'est pas un recomptage; c'est un théâtre de fraude.
For more information about what's going on in Georgia, including the Senate runoff, be sure to check out VoterGA.com. That site is all over Georgia's election fraud.
https://www.zerohedge.com/political/georgia-recount-may-be-corrupt-election-itself
Des milliers de manifestants pro-Trump attendus à Washington pour revendiquer la victoire
RépondreSupprimer13 nov. 2020, 19:32
Alors que Donald Trump refuse toujours de reconnaître la victoire de Joe Biden annoncée par la presse, de nombreux groupes de soutien du président appellent à un grand défilé dans les rues de la capitale fédérale américaine.
Le 14 novembre, de nombreux militants pro-Trump convergeront à Washington D.C pour la Million MAGA March («la marche du million de Make America Great Again» - le slogan de Donald Trump). Cette manifestation initiée par des soutiens du président devrait réunir de nombreux groupes dont celui des désormais célèbres Proud Boys, ce mouvement qui revendique le recours à la violence et la défense «des valeurs occidentales».
Donald Trump avait appelé ses membres à «se tenir prêts» lors du premier débat présidentiel s'attirant ainsi de violentes critiques. Le chef d'Etat a d'ailleurs laissé entendre, ce 13 novembre, qu'il pourrait participer à cette mobilisation dans la capitale. «Ça fait chaud au cœur de voir tout cet énorme soutien, surtout ces rassemblements spontanés qui fleurissent à travers le pays, dont un grand samedi [14 novembre] à D.C. Je pourrais même essayer de passer dire bonjour», a-t-il tweeté, tout en martelant : «L'élection a été truquée.»
Alors que le président américain accuse toujours le camp démocrate de lui «voler l'élection», l'attachée de presse de la Maison Blanche Kayleigh McEnany a déclaré à la chaîne Fox News le 12 novembre que «les gens veulent se montrer et faire entendre leur voix». Elle a également affirmé ne pas pouvoir donner d'estimation précise sur le nombre de participants, mais a considéré qu'il «va être assez important».
La maire démocrate de Washington Muriel Bowser a déclaré suivre la situation de près et sa ville se préparait à recevoir l'événement. «Nous serons là pour assurer l'exercice pacifique de ces manifestations dans le cadre du Premier Amendement», a-t-elle précisé aux médias américains. Ces manifestations prévues dans la capitale ont inspiré une série de contre-manifestations, dont certaines intitulées «F*** MAGA» organisées par des groupes antifascistes et anarchistes locaux qui, pour certains, ont affronté violemment, par le passé, les Proud Boys dans des villes telles que Portland (Oregon). Un mouvement contre des fraudes supposées qui ne faiblit pas
Dix jours après l'élection présidentielle américaine, Donald Trump refuse de reconnaître sa défaite face à un Joe Biden donné gagnant par les médias et, que le président sortant accuse de fraude électorale (liée en particulier au système de vote par correspondance) et contre laquelle il a promis de batailler en justice jusqu'au bout.
Le 9 novembre, le procureur général des Etats-Unis, Bill Barr, a donné son feu vert pour l'ouverture d'enquêtes sur d'éventuelles irrégularités lors de cette présidentielle mais ce 13 novembre, plusieurs autorités électorales locales et nationales dont l'agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) ont déclaré, dans un communiqué commun : «Il n'existe aucune preuve d'un système de vote ayant effacé, perdu ou changé des bulletins, ou ayant été piraté de quelque façon que ce soit.»
Le 13 novembre, Peter Navarro, un des conseillers économiques du président sortant a cependant affirmé –toujours sur Fox News – qu'«à la Maison Blanche nous continuons à travailler en considérant que Trump va avoir un second mandat». «Je pense qu'il est vraiment important [...] de comprendre que nous voulons des bulletins de vote vérifiables, un scrutin qui puisse être certifié et une enquête sur le nombre croissant d'allégations de fraude faites par des témoins qui ont signé des déclarations écrites sous serment», a-t-il ajouté.
RépondreSupprimerhttps://francais.rt.com/international/80716-milliers-manifestants-pro-trump-attendus-washington-revendiquer-victoire
"Regarde ça !"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 13/11/2020 - 23:00
Rédigé par Dmitry Orlov via le blog du Club Orlov,
Il y a des moments dans ma carrière en tant qu'observateur d'effondrement et systématiseur où mon commentaire en cours d'exécution peut raisonnablement être réduit à seulement deux mots: "Regardez ça !"
L'étape sévère actuelle de la séquence d'effondrement financier et économique qui a été lancée en 2008, qui est artificiellement masquée (sans jeu de mots) par la «pandémie» de Covid, et maintenant une élection américaine suspendue et frauduleuse en plus de celle-ci est un tel occasion: pourquoi ne pas simplement s'asseoir et regarder le monde brûler ?
Mais il se trouve que je suis d'humeur particulièrement bonne et enjouée aujourd'hui, et quand j'arrive ainsi, peu de choses peuvent m'empêcher de tenir et de faire des éclats prophétiques.
Commençons par une petite balade dans le passé. J'ai compris pour la première fois que les États-Unis allaient suivre la trajectoire générale de l'URSS en 1995. J'ai aussi tout de suite réalisé que l'URSS était plutôt bien préparée à l'effondrement alors que les États-Unis étaient sur le point d'en être aveuglés, et donc, en tant que public service, j'ai pensé que je devrais avertir les gens. "Et beaucoup de bien qui a fait!" certains d'entre vous pourraient immédiatement s'exclamer. Mais vous auriez tort: ??beaucoup de gens m'ont écrit pour me dire à quel point ils sont psychologiquement mieux ajustés maintenant qu'ils ont entendu et accepté mon message, pour l'instant ils sont prêts à accepter l'effondrement avec sérénité et équilibre. Cela rendra leur entreprise moins fastidieuse à l'avenir.
Et donc j'ai eu mon "Eureka!" moment en 1995, et une décennie plus tard, en 2005, j'ai rendu public mes observations. J'ai eu une réponse étonnamment sympathique de certaines personnes particulièrement éclairées (même si elles l'ont dit elles-mêmes). Et maintenant, un quart de siècle après mon premier aperçu, alors que les États-Unis entrent dans la faillite nationale et l'effondrement institutionnel, le monde entier est traité pour une extravagance électorale spectaculaire de fin d'empire mettant en vedette nul autre que le showman accompli et l'impresario extraordinaire Donald Atout. Il avait l'habitude d'organiser des concours de beauté, alors que celui-ci est plus un concours de laideur, mais la beauté est rare et s'estompe toujours tandis que la laideur est courante et devient généralement plus moche, ce qui en fait un pari beaucoup plus sûr. Et donc acceptons-le comme un cadeau de départ au monde d'une nation en voie de disparition qui nous a donné des films d'horreur, la télé-réalité et des cirques à trois anneaux avec des freaks.
Dans le vaste tableau panoramique de l'élection de 2020, Trump (notre héros) apparaît baigné d'une lueur dorée du coucher du soleil de la nostalgie de la grandeur américaine perdue qu'il promet à jamais de raviver. Rassurez-vous, Trump ou pas Trump, l'Amérique ne sera plus jamais géniale. Mais le halo magique de Trump s'étend de son plumage crânien orange resplendissant et enveloppe tous ceux qui se languissent de la Pax Americana perdue et craignent et détestent ce que l'Amérique est en train de devenir - ce qui est, pour le dire franchement, un réservoir de rétention pour les dégénérés de toutes les bandes présidées par un spectacle anormal. Ils craignent une époque où les hommes étaient virils et les femmes féminines, où les secrétaires étaient flattées lorsque leurs patrons prenaient du temps loin de leur emploi du temps chargé pour se frotter contre eux, et où tout le monde était soit un WASP, soit travaillait dur pour essayer de regarder et d'agir. comme un, ou resté à leur poste assigné dans la vie et savait mieux que de devenir trop haut. Ils veulent croire que le melting-pot ethnique peut encore produire des alliages nobles, de préférence du bronze de Corinthe, et certainement pas du clinker ou du laitier.
RépondreSupprimerFace à notre intrépide chef aux teintes orangées, qui à 74 ans n'est pas lui-même un poulet de printemps, se trouve un groupe macabre de gérontocrates gériatriques.
Il y a Joe Biden, 77 ans, dont le cerveau s'est enfui et a rejoint un cirque il y a quelques années, mais qui s'imagine être président élu, ou sénateur, ou vice-président, ou quelque chose comme ça. Après avoir passé huit ans à se cacher dans l’ombre en tant que vice-président d’Obama, Biden est aussi apte à diriger qu’un cochon est casher après avoir frotté son flanc contre un coin d’une synagogue. Pour aider Biden dans ses ébats, il y a sa nounou nommée par le parti, Kamala Harris, un simple bout de fille de 56 ans.
Nancy Pelosi, 80 ans, hante également le balcon du mausolée américain, qui dirige toujours la Chambre des représentants, même si un emploi approprié pour elle à ce stade serait sur un poteau empêchant les oiseaux de grignoter. Il y a aussi Bernie Sanders, 79 ans, un pagliaccio triste dont le rôle permanent dans la Commedia dell'Arte politique que le Parti démocrate organise tous les quatre ans est de simuler la démocratie en encourageant des foules de jeunes imbéciles dans l'acte I, de feindre la mort après avoir chuté. bâton de pogo dans l'acte II, et pour se lever, saluer et sourire pour l'appel du rideau.
Enfin et surtout, il y a l'horrible harpie Hillary Clinton, qui est relativement jeune à 73 ans, mais dont l'odeur putride et le visage cadavérique et horrible ne sont plus adaptés à une exposition publique, sauf dans les circonstances les plus délicatement artificielles. Caché encore plus dans les coulisses se trouve le cadavre suppurant de George Soros qui, à 90 ans, tire toujours les ficelles et fait des ravages aux États-Unis et dans le monde. (Ses sbires avaient récemment propagé la révolution des couleurs en Arménie, l'amenant à son tour à «élire» Pashinyan, un imbécile de choix et un traître, qui a ensuite perdu une grande partie du territoire arménien au profit de l'Azerbaïdjan.) Je pourrais citer quelques autres cadavres financiers. et les cadavres oligarchiques, mais s'abstiendra, pour éviter de vous donner des cauchemars. Personne ne vit éternellement, pas même Henry Kissinger, 97 ans, et il ne nous reste plus qu'à attendre.
Dans des sociétés saines, les dirigeants plus âgés vieillissent et font de la place à des dirigeants plus jeunes qui leur succèdent après une longue période d'études et d'apprentissage. Dans les sociétés malades, les dirigeants plus âgés s'accrochent au pouvoir sans personne compétente pour les remplacer et une fois qu'ils meurent, ils sont remplacés par des traîtres et des criminels. L'URSS et les États-Unis en sont deux exemples. La gérontocratie en série soviétique de Brejnev, Andropov et Tchernenko, qui pendant un temps hantait le balcon du mausolée de Lénine et, une fois expédiée aux enfers, fut rapidement remplacée par le duo traître de blabbermouth Mikhail Gorbachëv et de président ivre Boris Eltsine, était un tragédie pour la Russie. La mort qui en résultait était du même ordre de grandeur que les pertes subies pendant la Seconde Guerre mondiale. Conformément au cliché usé de la répétition de l'histoire, la gérontocratie américaine actuelle est plus une farce qu'une tragédie, mais ses résultats ne seront probablement pas moins meurtriers pour la population.
RépondreSupprimerPour compléter ce tableau épouvantable, dans l'élection présidentielle américaine en cours, un candidat presque mort et sa charmante assistante ont été élus par une armée de morts-vivants: des électeurs qui ont posté leur bulletin de vote malgré leur mort. J'ai moi-même vérifié un peu des preuves incriminantes, et je suis presque sûr qu'il y avait plus de 11 000 électeurs de ce type dans un seul comté du Michigan. Mais ce n'est en aucun cas une arnaque locale: parmi de nombreuses autres manigances de comptage des votes, il semble qu'il y ait eu un effort national pour commander des bulletins de vote par correspondance pour les personnes décédées, les remplir pour Biden et les poster. Vous pourriez dire qu'il s'agit d'une question de droits de l'homme: pourquoi priver les morts de leur droit de vote ? N’est-il pas temps de cesser de discriminer les morts ? Peut-être que LGBTQ devrait être modifié en LGBTQD pour «Dead». Mais pourquoi s'arrêter là ? Pourquoi ne pas ajouter également un «U» pour les enfants à naître et mettre fin à cette discrimination impardonnable contre les avortements ?
Dans tous les cas, les électeurs décédés pour Biden ne sont que la pointe de tout un iceberg de fraude électorale. Il y a aussi plus de 1,8 million d'électeurs inexistants encore inscrits découverts par Judicial Watch en septembre. Ajoutez à cela le système de vote défectueux, surnommé "Dominion", qui a mal compté les votes en faveur de Biden. Ajoutez à cela la couverture médiatique injustement gantée et accablante accordée à Biden et à l'attitude extrêmement hostile des médias américains à l'égard de Trump. Ajoutez à cela les données de sondage frauduleuses qui, tout comme avant les élections de 2016, ont été artificielles pour rendre plausible une victoire frauduleuse de Biden. Ajoutez à cela les organisations largement financées telles que BLM et Antifa (dans lesquelles le préfixe «Anti-» est gratuit, cette organisation étant en fait très «Fa…») qui ont reçu l'ordre de protester, de piller et d'émeute dans de nombreux grands États-Unis. villes, déplaçant leurs mercenaires d'un endroit à l'autre, où ils recrutent ensuite des idiots utiles parmi les habitants. Cela se traduit par une vaste conspiration effrontée et négligemment auto-incriminante visant à renverser un président en exercice par fraude électorale.
Si vous croyez ne serait-ce qu'un instant que je suis scandalisé, dégoûté et indigné par ce piétinement des principes sacrés de la démocratie, alors pardonnez-moi pendant que je secoue la tête d'un air sardonique tout en riant doucement pour moi-même. Non, je ne suis pas le moins du monde contrarié. En fait, cette évolution me remplit d'optimisme pour l'avenir. Je crois que cet effroyable échec institutionnel est un développement merveilleux qui offre un grand espoir au reste du monde, et peut-être même aux États-Unis eux-mêmes, bien que l'environnement politique aux États-Unis semble plutôt désespéré, quelle que soit la façon dont il est horriblement ou merveilleusement ridicule. le système électoral peut fonctionner.
RépondreSupprimerDans tous les cas, il serait vain d'essayer de donner aux États-Unis un semblant de système électoral démocratique. Ce serait comme essayer de nettoyer une plage en ramassant des canettes de bière vides autour d'une baleine échouée. La présidence, après quatre ans d'efforts maladroits pour renverser un président en utilisant de fausses preuves, est une institution en faillite. Le Congrès, qui dépasse désormais nonchalamment les recettes fédérales par un facteur de trois, est un zombie fiscal. La Réserve fédérale, qui est maintenant un pur système pyramidal, est un zombie financier. Et puis il y a le reste de l'économie américaine ridiculement gonflée, qui attend qu'une forte rafale de vent provoque l'inondation de la richesse éphémère des actions et des obligations et en espèces, une grande partie s'évaporant dans le processus et le reste provoquant un tsunami. de l'inflation des prix à la consommation.
Au cours de ce spectacle, la fausse image des États-Unis comme une ville brillante sur une colline, un phare pour les masses recroquevillées aspirant à respirer librement et un policier mondial bienfaisant protégeant les «droits humains universels», faisant respecter les «valeurs humaines universelles» et diffusant «La liberté et la démocratie» à travers le monde sont écrasées dans la saleté, ayant des excréments déversés partout, et étant piétinées encore plus dans la saleté. Alors que le rideau descend sur ce dernier acte de la Pax Americana, l'image de l'enfant terrible orange et de la marionnette sénile avec son enfant-nourrice à la remorque jouant sur la bascule du dysfonctionnement électoral sur le terrain de jeu de la seconde enfance restera à jamais gravée dans les rétines du monde entier. Le monde entier pourra alors avancer et rechercher des modèles plus dignes et des policiers moins corrompus. Et c’est un progrès!
L'effondrement des États-Unis fera ressembler l'effondrement de l'URSS à une promenade dans un parc verdoyant et à une promenade en bateau sur un étang calme. Je dis cela depuis 15 ans maintenant. Mon message est toujours là, pour tous ceux qui souhaitent comprendre ce qui se passe et garder la raison.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/watch
Au lendemain de la censure d'un film d'Arté (AMERICA) publié sur mon site,
RépondreSupprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2020/11/america-2016.html
je me suis demandé pourquoi ce reportage avait été retiré (hors droits d'auteur s'il y a). Et, pour l'avoir visionné j'en ai retenu que certaines personnes qui habitaient l'Arizona avaient du dire (dans le film) quelques choses de déplaisantes ! A moi de trouver lesquelles.
Certes, il est commun de rencontrer des Américains avec des armes à feu (plus ou moins nombreuses) chez eux. Mais, ce ne devait pas être cette partie qui devait poser problème.
Le fait que l'Arizona se trouve en bordure du Mexique fait qu'elle est envahie quotidiennement de 'découvreurs de l'Amérique'. Effectivement, les politiques sont bien différentes d'un côté à l'autre de la frontière.
Mais, un vieux couple (éleveur de chevaux) a attiré mon attention. Il se défendait tout seul des intrus car, la propriété devait faire plus de dix kilomètres carrés ! Ce couple était autonome (!). Il réalisait le rêve de leur vie. Être libre ! Libre de flinguer le premier qui met un pied chez eux. Il osait vivre sa vie. Sa vie comme il l'entendait. Comme quelqu'un sur une île déserte qui se nourrit tous les jours de poissons pêchés et de cueillettes de fruits ou de légumes. Le 'problème' de l'eau (douce) étant facilement résoluble pour quelqu'un qui a plus d'un neurone sur lui. Il s'agit de dessaliniser l'eau et de n'en garder que la vapeur. Condensation récupérée sans couleur, ni odeur, ni même bactérie. Et, comme l'on fait les 'premiers humains', faire du feu avec une tige de bois frottée sur un creux de bois (et non l'emploi hilarant de silex heurtés ! Hahaha !).
C'est donc ce départ qui été de trop dans le film.
Dommage collatéral ? Le CDC admet que les verrouillages COVID ont déclenché une augmentation des problèmes de santé mentale des enfants
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 14:40
Alors que l'équipe de conseil COVID de Joe Biden commence à définir le récit pour que les Américains acceptent un verrouillage national très strict pendant jusqu'à six semaines "parce que les scientifiques le disent", le CDC a libéré une 'science' plutôt douloureuse exposant les dommages collatéraux que les verrouillages tyranniques ont causé parmi les plus jeunes membres de notre société ... qui ne peuvent même pas voter pour «jeter les clochards» qui les a mis dans cette situation.
Les perturbations de la vie quotidienne pendant les verrouillages pandémiques, l'angoisse de contracter le COVID-19 et l'isolement social ont des conséquences néfastes sur la santé mentale des enfants, suggère un rapport publié jeudi par les Centers for Disease Control and Prevention.
Le rapport, basé sur des informations provenant d'un sous-ensemble d'hôpitaux dans 47 États, «fournit des données de surveillance en temps opportun concernant la santé mentale des enfants dans le contexte de la pandémie COVID-19».
Alors que les techniques d'atténuation de la pandémie étaient mises en œuvre à des degrés divers de tyrannie en fonction de l'orientation politique du gouverneur, le nombre hebdomadaire moyen de visites aux urgences des enfants pour des raisons de santé mentale a grimpé en flèche.
Par rapport à 2019, la proportion de visites liées à la santé mentale chez les enfants âgés de 5 à 11 ans et de 12 à 17 ans a augmenté d'environ 24 %. et 31 %, respectivement.
En fait, comme le montre le graphique ci-dessus, au pire, la proportion de visites à l'urgence liées à la santé mentale chez les enfants a augmenté de 66%, passant de 1 094 pour 100 000 du 14 au 21 avril 2019 à 1820 pour 100 000 du 12 au 18 avril 2020.
"De nombreux troubles mentaux commencent dans l'enfance et les problèmes de santé mentale dans ces groupes d'âge pourraient être exacerbés par le stress lié à la pandémie et les perturbations brusques de la vie quotidienne associées aux efforts d'atténuation, y compris l'anxiété face à la maladie, l'isolement social et l'interruption de la connexion à l'école, "déclare le rapport.
Pendant ce temps, «la majorité des (services d'urgence) n'ont pas les capacités adéquates pour traiter les problèmes de santé mentale pédiatrique, augmentant potentiellement la demande sur les systèmes déjà stressés par la pandémie COVID-19».
Cela pourrait être bien pire, car, comme le notent les chercheurs, de nombreuses visites pour des soins de santé mentale ont lieu à l'extérieur des salles d'urgence, «ces données sous-estiment probablement le nombre réel de visites de soins de santé liées à la santé mentale».
Pour rappel, l'OMS a récemment indiqué que les verrouillages nationaux n'étaient pas un moyen optimal de contrôler le virus ... mais il semble que le Dr Osterholm et ses semblables soient incapables d'envisager les effets de second ordre sur l'ordre social.
Vraisemblablement, les 'scientifiques' qui pressent le verrouillage voient la détérioration de la santé mentale des enfants comme de simples dommages collatéraux sur la voie du contrôle.
https://www.zerohedge.com/medical/collateral-damage-cdc-admits-covid-lockdowns-sparked-surge-childrens-mental-health-issues
L'anxiété crée par les gouvernements marque profondément l'esprit des gens qui s'énervent, crient ou son violents pour n'importe quoi, mais ce sont les enfants les plus touchés ! La peur les envahit d'être entourés de personnes masquées.
SupprimerOn touche parfois au domaine de la folie chez certains !
De plus, ils ne sont pas écartés des merdias qui les terrorisent, affichent le nombre de suspects d'être contaminés par un microbe (! UN ! alors que l'on en respire 200 000 par minute avec ou sans masque et 2 millions en activité physique !).
C'est la débilité qui devient contagieuse ! L'impossibilité de faire ses courses normalement et la crainte de voir bientôt les rayons vides aux supermarchés !
Goldman indique la température en dessous de laquelle les épidémies de COVID-19 commencent à s'accélérer
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 19:00
Dans une note récente aux clients, une équipe de chercheurs de Goldman Sachs a examiné de près les températures et a étudié s'il y avait une corrélation avec les températures. Sans surprise, l'équipe a trouvé une forte corrélation négative entre les cas confirmés et la température, le nombre des premiers augmentant tandis que le nombre des seconds diminuait.
- voir graphiques sur site -
Comme le montre la régression modélisée par Goldman, plus les températures chutent avec un léger décalage entre l'été et l'hiver, plus la flambée des cas de COVID-19 est extrême. Cela s'applique aux États-Unis et en Europe.
À l'aide de la modélisation à effets fixes, l'équipe de Goldman a ensuite tenté d'éliminer d'autres facteurs pour tenter d'isoler et d'exposer l'influence de la température sur la croissance des cas.
Il est intéressant de noter que l'analyse des analystes a révélé que, quelle que soit la différence entre les politiques et l'application à l'échelle de l'État, les cas semblaient augmenter et diminuer avec les changements de température, semblant résister à la plupart des efforts pour contrôler le virus.
Cette notion n'est pas si surprenante. La plupart des autres coronavirus (c'est-à-dire le rhume), ainsi que diverses souches de grippe, sont fortement influencés par la température et les effets saisonniers (d'où la «saison grippale».
La littérature médicale citée par Goldman explique la tendance saisonnière de deux manières principales: Augmenter l'activité sociale intérieure des «hôtes», ce qui augmente l'exposition, ainsi que l'impact du froid sur le système immunitaire et la santé générale (rendant les individus plus vulnérables).
Armée de ces modèles, l'équipe d'analystes de Goldman a produit un ensemble de projections montrant que les économies des États-Unis et de l'Europe ralentiront probablement considérablement au cours des T1 et T4, suivies d'un dégel printanier alors que le nombre de nouveaux cas commencera à reculer.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/goldman-pinpoints-temperature-below-which-covid-19-outbreaks-start-accelerate
Les verrouillages n'ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d'emplois
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 23:30
Rédigé par Mitch Nemeth via The Mises Institute,
Lors de l'apparition précoce de la covid-19 au printemps, les responsables gouvernementaux de tous les horizons politiques ont largement convenu qu'une intervention gouvernementale et la fermeture forcée de nombreuses entreprises étaient nécessaires pour protéger la santé publique. Cette approche a clairement échoué aux États-Unis car elle a entraîné une dévastation économique généralisée, notamment des millions d'emplois perdus, des faillites et des pertes de rentabilité extrêmement graves. Les États avec des verrouillages stricts n'ont pas non plus réussi à provoquer moins de décès de covid par million que les États moins stricts.
Par conséquent, quelques mois après le début de la pandémie, certains gouverneurs ont pesé les coûts économiques concurrents avec l'endiguement du covid-19 et ont lentement rouvert leurs économies. Bien entendu, ces gouverneurs n'ont pas mandaté la réouverture des entreprises; cependant, ils ont offert aux entreprises la possibilité de rouvrir.
L'hystérie s'est ensuivie car beaucoup considéraient l'assouplissement des restrictions comme un meurtre de masse. L’Atlantique a surnommé la fameuse assouplissement des restrictions par le gouverneur de Géorgie Brian Kemp de «sacrifice humain» et a fait référence aux Géorgiens comme faisant partie d’une «étude de cas d’exceptionnalisme pandémique». Au lieu de cela, nous devrions considérer les verrouillages comme une étude de cas de l'échec des approches autoritaires pour contenir un virus hautement infectieux.
Maintenant que nous sommes neuf mois dans cette pandémie, il y a une image plus claire de la façon dont les approches du gouvernement des États varient considérablement. Il est clair que les économies «rouvertes» se portent globalement bien mieux que les économies moins «rouvertes». «Alimentés par des réouvertures économiques plus larges et plus rapides à la suite de l'éruption initiale du coronavirus, les États rouges à tendance conservatrice dépassent largement les États bleus à tendance libérale en termes de remise au travail des gens», écrit Carrie Sheffield. Cela suit logiquement surtout si l'on considère que les êtres humains apprennent à s'adapter très rapidement. Maintenant, nous en avons appris beaucoup plus sur le traitement de ce virus et sur les personnes les plus à risque d'infection.
Tout le monde ne peut pas #StayHome
Même ainsi, de nombreux partisans du verrouillage soutiennent toujours que chaque infection par covid est un échec de la politique publique. Mais cette position est en grande partie un luxe pour les cols blancs qui peuvent se permettre de travailler à domicile. Les lock-out ont été décrits comme «le pire assaut contre la classe ouvrière en un demi-siècle». Martin Kulldorff, biostatisticien, déclare: «la classe des cols bleus« travaille là-bas, y compris les personnes à haut risque dans la soixantaine ». Jay Bhattacharya, collègue de Kulldorff, note que l'une des raisons pour lesquelles «les populations minoritaires ont connu une mortalité plus élevée aux États-Unis à cause de l'épidémie est qu'elles n'ont pas souvent la possibilité ... de rester à la maison». En effet, les politiques de verrouillage descendant sont «régressives» et reflètent une «monomanie», déclare le Dr Bhattacharya. Dans cet esprit, il est facile de voir pourquoi les Américains plus aisés ont tendance à considérer les mesures restrictives comme la réponse appropriée.
Pour de nombreux Américains, des périodes prolongées sans emploi rémunérateur, revenu ou interaction sociale sont non seulement impossibles mais potentiellement mortelles. Martin Kulldorff note que les restrictions de covid-19 ne prennent pas en compte les problèmes de santé publique plus larges et créent des dommages collatéraux; parmi les dommages collatéraux, il y a «une aggravation de l'incidence des maladies cardiovasculaires et du cancer et une baisse alarmante de la vaccination». Le Dr Bhattacharya note à juste titre que la société «comptera les méfaits pour la santé de ces verrouillages pendant très longtemps».
RépondreSupprimerMessages mixtes
Bhattacharya a souligné la politisation de ces restrictions:
«Lorsque les manifestations de Black Lives Matter ont éclaté au printemps,« 1 300 épidémiologistes ont signé une lettre disant que les rassemblements étaient conformes aux bonnes pratiques de santé publique », tandis que ces mêmes épidémiologistes ont soutenu que« nous devrions essentiellement mettre en quarantaine sur place ».
Une telle contradiction défie la logique et sape les arguments sur la létalité de ce virus. Si ce nouveau virus était vraiment aussi dévastateur pour le grand public que prévu, alors les dirigeants politiques soutenant les manifestations de masse et les émeutes pendant une pandémie semblent mal fondés. Cette contradiction a été citée dans d'innombrables procès contestant la validité et la constitutionnalité des restrictions de covid-19.
Par ailleurs, ces restrictions souvent sévères ont visé des droits protégés par la Constitution comme la liberté de religion. Le juge de la Cour suprême, Samuel Alito, a critiqué les restrictions du gouverneur du Nevada en disant: «que le Nevada discriminerait en faveur de la puissante industrie du jeu et que ses employés ne sont peut-être pas une surprise ... Nous avons le devoir de défendre la Constitution, et même une urgence de santé publique le fait. ne nous exonère pas de cette responsabilité. Cette critique cinglante, cependant, n’a pas obtenu le soutien de la Cour suprême, car une majorité de 5 à 4 a été reportée à la «responsabilité du gouverneur de protéger le public en cas de pandémie».
Le pire État et les délinquants locaux
Une telle déférence peut être politiquement avantageuse pour la Cour suprême, mais elle pose un problème beaucoup plus important pour les libertés fondamentales. D'une part, bon nombre de ces restrictions covid ont été émises par des gouverneurs d'État ou des agences administratives plutôt que par des moyens démocratiques. La gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, a été prise pour cible pour son contournement continu des canaux démocratiques et pour son approche descendante.
Ces restrictions covid sont quelque peu dénuées de sens sans une application et des ressources suffisantes, de sorte que de nombreuses grandes villes américaines ont créé des groupes de travail pour faire appliquer ces restrictions covid. Par exemple, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a menacé de fermer les services publics pour ceux qui organisent des fêtes massives à la maison. Garcetti souhaite traiter les rassemblements privés de la même manière que les bars et les boîtes de nuit qu'il a forcés à fermer. Non seulement cela est ridicule, mais c'est aussi autoritaire; il y a eu peu de vérifications sur sa capacité à armer les services publics de cette façon. Le bureau du shérif de la ville de New York a récemment «arrêté un groupe de plus de 200 personnes qui bafouaient les restrictions relatives aux coronavirus». Leur crime ? Les députés ont trouvé environ deux cents personnes sans masque «dansant, buvant et fumant du narguilé à l'intérieur». À la manière typique du gouvernement, le propriétaire du lieu a été «giflé de cinq convocations… pour violation d'ordonnances d'urgence, vente d'alcool sans licence et entreposage d'alcool sans licence». Que ferions-nous sans le gouvernement ?
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, participe depuis longtemps à cet effort de restriction des libertés sous couvert de santé publique. Le gouverneur Newsom et le département de la santé publique de Californie ont publié de nouvelles directives de «sécurité» pour tous les rassemblements privés pendant les vacances de Thanksgiving. Selon Newsweek, «tous les rassemblements ne doivent pas inclure plus de trois ménages, y compris les hôtes et les invités, et doivent avoir lieu à l'extérieur, pendant deux heures ou moins.» Compte tenu des tendances interventionnistes de Newsom, il est probable que ces restrictions seront appliquées. Comment le gouvernement déterminera-t-il combien de ménages participent à un repas de Thanksgiving et qui appliquera la fenêtre de deux heures ? Ce sont des questions que les journalistes devraient se poser.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les différents niveaux de reprise économique entre les États rouges et les États bleus montrent à quel point une politique descendante peut être un échec. Des verrouillages stricts ont dévasté les revenus de millions de familles tout en ne réussissant pas à supprimer la mortalité due aux covidus. Cette expérience ratée doit prendre fin.
https://www.zerohedge.com/political/lockdowns-havent-brought-down-covid-mortality-they-have-killed-millions-jobs
Comme il y a une mutation CONTINUELLE du microbe corona (qui passe aux 'frontières' emporté par le vent), il ne pourra JAMAIS exister de vaccin contre le corona !
SupprimerEt, comme le nombre de test PCR est exponentiel et dépasse la jauge des 25 cycles, ils peuvent trouver dans votre nez des microbes morts d'il y a x années !! Et, dans ces cadavres ou morceaux de, il y a du (déjà !) corona (qui lui est né bien avant vous !).
C'est pourquoi la dictature (qui la fabriqué pour vous) vous destine à un emprisonnement à vie en votre domicile (sauf si vous mourez vous aurez le droit d'être enterré ailleurs !).
L'élection de Google
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 19:30
Rédigé par Michael Rectenwald via The Mises Institute,
[Voici la transcription de la conférence éponyme présentée au Symposium Ron Paul de l'Institut Mises le 7 novembre 2020 à Angleton, Texas.]
«Ne soyez pas méchant» n'est peut-être plus la devise officielle de Google, mais cela reste la dernière phrase de son code de conduite. Dans le souci de ne pas être méchant, Google soutient que «tout [qu'il fait] en rapport avec [son] travail… sera, et devrait être, mesuré par rapport aux normes les plus élevées possibles de conduite éthique des affaires».
Apparemment, Google ne juge pas contraire à l'éthique de licencier un employé pour avoir exprimé le point de vue basé sur la recherche selon lequel les différences entre les sexes / genres peuvent inclure des tendances professionnelles. Google ne doit pas considérer qu'il est contraire à l'éthique de mettre sur une liste noire des sites d'actualités, des sites Web et des utilisateurs conservateurs ou non gauchistes. Google doit croire que la saisie semi-automatique des recherches avec un non-sens des brevets représente les normes éthiques les plus élevées. Google soutient que les résultats de recherche factuels représentant le monde tel qu'il est équivaut à une «injustice algorithmique» et que les modifier en résultats souhaités en utilisant «l'équité de l'apprentissage automatique» est hautement éthique. Autrement dit, les résultats de recherche non idéologiques et non modifiés représentent une injustice, tandis que l'équité est le résultat de la manipulation des résultats de l'action positive informationnelle - dans certains cas. Le classement algorithmique des résultats de recherche en faveur de la politique de gauche ou de gauche et des sites conservateurs ou de droite de rang inférieur est le plus éthique. Il doit envisager de noter «l'expertise / l'autorité / la fiabilité» des sites Web utilisant Wikipédia comme répondant aux normes éthiques les plus élevées. Vérifier uniquement les informations conservatrices ou non-gauche, souvent à tort, est hautement éthique. La discrimination à l'encontre des mouvements et campagnes politiques populistes et le fait de favoriser d'autres mouvements et campagnes de l'establishment répondent aux normes les plus élevées de conduite éthique des affaires.
La démonétisation et la censure régulières du contenu conservateur ou non gauche de YouTube sont éthiques. Bombarder les utilisateurs avec des publicités politiques basées sur leurs profils de recherche, et surtout bombarder les non-gauchistes avec des articles ayant une perspective de gauche, représente la plus haute éthique. Les déclarations flagrantes de l'intention d'empêcher la réélection d'un candidat à la présidentielle américaine en utilisant les classements de recherche répondent aux normes d'éthique les plus élevées, d'autant plus que «(1) les classements de recherche biaisés peuvent modifier les préférences de vote des électeurs indécis de 20% ou plus», comme Robert Epstein et Ronald E. Robertson concluent.
À la suite des émeutes dans les villes américaines au cours des derniers mois, j'ai lancé une recherche Google sur la «violence de gauche». Les deux premiers résultats, respectivement du Guardian et du New York Times, étaient intitulés «Les suprémacistes blancs derrière la majorité des attaques terroristes nationales américaines en 2020» et «Les groupes d'extrême droite sont à l'origine de la plupart des attaques terroristes américaines, selon le rapport.» Il s'agit là d'un résultat hautement éthique, sans aucun doute, en particulier lorsque des informations sur la violence de gauche ont été recherchées et que ces articles ne manquent pas. C'est particulièrement éthique, car le secteur de l'analyse de la recherche a constaté que les trois premiers résultats de recherche sur Google généraient plus de 70% des clics. Les dix premiers résultats de recherche pour la question «Les démocrates vont-ils voler les élections de 2020 ?» inclus cinq articles sur la perspective que Trump vole l'élection, tandis que les dix meilleurs résultats pour «Trump volera-t-il l'élection ?» concernaient en fait la perspective que Trump vole les élections.
RépondreSupprimerTous, sauf les gauchistes, réalisent que les grandes entreprises numériques comme Google, Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn et d'autres penchent à gauche et étouffent les points de vue opposés - au point de créer une réalité alternative. Mais peu se demandent pourquoi ils sont apparemment de gauche, et encore moins répondent de manière satisfaisante à la question - à ma satisfaction, c'est-à-dire. Comment comprendre le parti pris de gauche flagrant et bien documenté et la censure des vues et des sites non-gauche par ces entreprises? Pourquoi gauchiste ? L'Internet est-il de gauche simplement parce que ceux de la Silicon Valley ont été endoctrinés au gauchisme?
Et devrions-nous adopter l'idée que puisque Google, Facebook, Twitter et d'autres sont des entreprises privées, elles peuvent être aussi biaisées et censurées qu'elles le souhaitent ? Après tout, ces plates-formes privées et non les services publics ne sont-elles pas tenues de représenter des points de vue avec lesquels elles ne sont pas d’accord? Ils ne sont pas plus obligés de le faire que je ne suis obligé de permettre à un membre d'Antifa d'entrer chez moi pour répandre ses croyances, elle ou ses croyances, n'est-ce pas?
Voilà le genre de questions que j'aborde dans cet exposé. Les réponses devraient contribuer en grande partie à expliquer les tentatives désavouées mais flagrantes de la part des entreprises Internet Big Tech de décider de l'élection de 2020, et bien plus encore. En ce qui concerne les élections, ils se sont ingérés dans l’élection avec une couverture totalement favorable d’un candidat et un contenu défavorable, ainsi qu’une interdiction quasi totale de contenu favorable sur un autre. Ils ont également fait en sorte qu’un résultat électoral truqué soit un résultat crédible. Ensuite, ils ont censuré ou interdit à tout le monde du président de parler de la manière dont les élections avaient été truquées. C’est plus qu’un don en nature. Ils peuvent être considérés comme complices d'un crime électoral fédéral. Ils représentent une fraude sur la crédulité publique.
1. La gouvernementalisation de l'industrie privée
RépondreSupprimerDans Google Archipelago, je soutiens que ces grands goliaths numériques, ou ce que j'appelle l'archipel de Google, agissent à tout le moins comme des appendices de l'État. Ce sont des appareils d'État ou, pour utiliser un néologisme postmoderne, ce sont des «gouvernements». Dans une série de conférences intitulées Sécurité, Territoire, Population, le théoricien postmoderne Michel Foucault a introduit le terme de «gouvernementalité» pour désigner la distribution du pouvoir de l'État à la population, ou la transmission de la gouvernance aux gouvernés. Foucault a évoqué les moyens par lesquels la population en vient à se gouverner elle-même en adoptant et en personnalisant les impératifs de l'État, ou comment les gouvernés adoptent la mentalité voulue par le gouvernement, la mentalité de gouvernement.
On peut citer le masquage et la distanciation sociale comme exemples de ce que Foucault entendait par sa notion de gouvernementalité. Si l'usage de Foucault a du mérite (oui, Foucault a montré quelques tendances rédemptrices et libertaires), j'adopte et modifie le terme pour inclure la distribution du pouvoir de l'État aux agents extragouvernementaux - en particulier à l'extension et au transfert du pouvoir de l'État à des entreprises prétendument privées. Cette gouvernementalisation de l'entreprise privée, et non la privatisation des agences et des fonctions gouvernementales que dénoncent les gauchistes comme Foucault, est le vrai problème du «néolibéralisme», comme je le vois.
Ou s'agit-il de la même chose ? Nous assistons à la gouvernementalisation de l'industrie privée, à la transformation d'entreprises prétendument privées en appareils d'État, et à la croissance de l'État à travers des extensions supposées privées.
2. Les gouvernements en action
Pour des exemples clairs et pertinents de gouvernementalité dans ce sens, considérez les entrepreneurs gouvernementaux qui constituent le soi-disant gouvernement parallèle. Comme le montre le documentaire Shadow Gate - qui a été banni de YouTube après seulement un jour - selon deux dénonciateurs qui ont travaillé pour des entrepreneurs militaires et de renseignement pendant de nombreuses années, des entrepreneurs gouvernementaux comme Dynology, Global Strategies Group, Canadian Global Information (CGI) , et de nombreux autres s'engagent dans des projets de renseignement qui incluent des activités Internet interactives (IIA). Cette «guerre psychologique des médias sociaux» et ces «opérations d'influence des médias sociaux» reposent sur des masses de données fournies par les médias sociaux et d'autres sources et sont conçues pour influencer les individus, groupes ou populations à se comporter de la manière souhaitée par «l'État profond», ou d'autres clients.
Les comportements souhaités comprennent le vote pour des candidats politiques particuliers; soutenir les mouvements politiques et les résultats souhaités; et s'opposer aux candidats, mouvements et résultats politiques indésirables, tant au pays qu'à l'étranger. Selon les dénonciateurs de Shadow Gate, la guerre psychologique sur les réseaux sociaux, qui comprend les fausses nouvelles, a été initialement développée pour les agences de renseignement, mais a été utilisée et vendue par des entrepreneurs indépendants. Ils affirment que les psyops des réseaux sociaux ont été employés pour tenter de lier Trump à la Russie et de discréditer sa campagne. Le récit dominant, bien sûr, est qu'il a été utilisé par la Russie au profit de l'élection de Trump.
Selon les dénonciateurs de Shadow Gate, il a également été utilisé pour susciter les récentes «manifestations» après la mort de George Floyd, tandis que d'autres sources affirment que le battage médiatique suscité par les manifestations était lui-même la peur de la pornographie provoquée par des psyops initiés par la Russie. . D'autres encore soutiennent que les manifestations elles-mêmes faisaient partie d'une campagne psyops russe ciblant les Noirs américains.
RépondreSupprimerQu'est-ce que cela a à voir avec Google, Facebook et d'autres entreprises de médias numériques ? Les opérations de l'IIA utilisent et minent leurs sites, obtenant apparemment une immunité contre les désignations de «fake news». Mais ces plates-formes sont plus que des participants passifs dans l'exploration de données personnelles, les jeux de guerre psychologique sur les réseaux sociaux et les opérations d'influence sur les réseaux sociaux. Un bref aperçu de leur création, de leur financement et de leur histoire devrait le clarifier.
3. Financement public et lié à l'État de Google et Facebook
Premièrement, Google et Facebook ont reçu des capitaux de démarrage - à la fois directement et indirectement - des agences de renseignement américaines. Dans le cas de Facebook, le capital de démarrage est venu de Palantir, Accel Partners et Greylock Partners. Ces sources de financement ont reçu leur financement d'In-Q-Tel ou y ont été fortement impliquées.
En 1999, la CIA a créé In-Q-Tel, sa propre société privée d'investissement en capital-risque, pour financer des start-ups prometteuses susceptibles de créer des technologies utiles aux agences de renseignement. Comme le note l'analyste de St. Paul Research, Jody Chudley, «In-Q-Tel a financé la start-up Palantir de Thiel vers 2004. En 2004, James Breyer, partenaire d'Accel, a siégé au conseil d'administration de l'entrepreneur de défense militaire BBN avec le PDG d'In-Q-Tel. Gilman Louie. Howard Cox, le chef de Greylock, a siégé directement au conseil d’administration d’In-Q-Tel. »
Dans le cas de Google, comme l’a détaillé Nafeez Ahmed, journaliste indépendant et ancien reporter de VICE, les relations de Google avec la communauté du renseignement et l’armée sont profondes. Ahmed détaille que les relations avec les responsables de la DARPA ont donné lieu à un financement de démarrage, et un financement direct de la communauté du renseignement (IC) a suivi. L'IC a vu dans Internet un potentiel sans précédent pour la collecte de données et l'entreprise de moteur de recherche novatrice a représenté une clé pour la collecte.
En 2003, Google a commencé à personnaliser son moteur de recherche dans le cadre d'un contrat spécial avec la CIA pour son Intelink Management Office, «supervisant les intranets top-secrets, secrets et sensibles mais non classés pour la CIA et d'autres agences IC», selon Homeland Security Today. En 2004, Google a acheté Keyhole, initialement financé par In-Q-Tel. À l'aide de Keyhole, Google a commencé à développer Google Earth.
Les soutiens des agences de renseignement incluaient également In-Q-Tel lui-même. L'investissement d'In-Q-Tel dans Google a été révélé en 2005, lorsque In-Q-Tel a vendu ses 2,2 millions de dollars d'actions Google. Un contrat sans appel d'offres avec l'agence sœur de la NSA, la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA), a suivi en 2010.
Les relations de Google avec l'IC et les communautés militaires impliquaient également des échanges de personnel, y compris l'acquisition de l'ancien chef de la DARPA et du Highland's Forum cochair, Regina Dugan, qui a quitté l'agence en 2012 pour devenir un cadre supérieur de Google supervisant le nouveau groupe de technologies avancées et de projets de l'entreprise.
"Depuis sa création, en d'autres termes", écrit Ahmed,
RépondreSupprimerGoogle a été incubé, nourri et financé par des intérêts directement affiliés ou étroitement liés à la communauté du renseignement militaire américain, dont beaucoup étaient intégrés au Pentagon Highlands Forum.
Deuxièmement, et de peur que je ne sois accusé de l'erreur génétique, il convient de noter que les technologies de Google ont été développées en grande partie en relation avec l'IC et l'armée et portent donc les marques de l'IC et des intérêts militaires. Et les contrats de Google avec le CI se sont poursuivis. De plus, ces plates-formes et ces réseaux sociaux coopèrent pleinement avec l'IC et l'armée, transmettant des données à la NSA sur demande et leur accordant un accès détourné aux données des utilisateurs. Google était un atout de l'État profond depuis sa création et le reste à ce jour.
En outre, il est possible que des outils développés par l'IC et l'armée aient été acquis par des entrepreneurs privés et soient utilisés par ces plateformes et géants des médias sociaux pour influencer le comportement des utilisateurs de leurs services. En particulier, l'ancien entrepreneur IC Patrick Bercy allègue que les outils de guerre psychologique des médias sociaux qu'il a développés pour le ministère de la Défense ont été acquis, peut-être illégalement, par le général James Jones, ancien conseiller à la sécurité nationale sous le président Obama.
En partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, dont Jones est désormais le président exécutif émérite, Facebook, affirme Bercy, utilise des outils de guerre psychologique sur les réseaux sociaux, soi-disant dans le but de «restaurer l'intégrité électorale dans le monde entier» et de «combattre la propagande électorale et la désinformation de proliférer sur son service. » Il se peut simplement que ce que Google et les plates-formes de médias sociaux considèrent comme des «fausses nouvelles» représente la vérité sur les fausses nouvelles selon lesquelles les plates-formes elles-mêmes prolifèrent.
En bref, Google, Facebook et autres ne sont pas strictement des entités du secteur privé; ce sont des gouvernements au sens que j'ai donné à ce terme. Ce sont des extensions et des appareils de l'État. En outre, ces plates-formes sont des gouvernements ayant un intérêt particulier pour la croissance et l'extension de la gouvernementalité elle-même.
Cela inclut la promotion de tous les types de classes d'identité «subordonnées» et nouvellement créées qu'ils peuvent trouver ou créer, car ces catégories «en danger» nécessitent la reconnaissance et la protection de l'État. Ainsi, la circonférence de l’État continue de s’élargir. Le Big Digital est partisan des intérêts et de la croissance de l'État. Il fait non seulement affaire avec les statistes, mais partage également leurs valeurs. Cela aide à donner un sens à son penchant de gauche et à leur préférence pour les démocrates de l'État profond. Le gauchisme est l'étatisme.
4. Russie, Russie, Russie! Ou Chy-na!
Ce discours serait incomplet sans un traitement du «socialisme réellement existant» parmi nous, y compris sa forme d'État officielle la plus significative, à savoir «le socialisme aux caractéristiques chinoises», c'est-à-dire la Chine. Beaucoup d'encre a été répandue et de nombreuses ondes ont été encombrées par le récit de «l'ingérence russe». Nary un jour passe sans références multiples aux tentatives de la Russie d'influencer ou d'interférer dans les élections américaines en utilisant les médias sociaux. Donald Trump a toujours été dépeint comme la marionnette de Poutine, même après que le récit de la «collusion russe» se soit officiellement effondré.
On a moins écrit et parlé de l'influence et de l'ingérence possibles du Parti communiste chinois, bien que l'on puisse en entendre parler de quelques sources. Les récentes révélations sur les relations commerciales de Biden & Son en Chine ont mis le problème au premier plan dans ces quelques médias périphériques et médias sociaux qui n'ont pas cherché à approfondir l'histoire. Je ne veux pas suggérer que la Russie n'essaie pas d'interférer dans les élections américaines ou d'autres préoccupations nationales, mais plutôt de noter que l'influence et les tentatives d'ingérence du PCC sont largement ignorées ou sont rejetées d'une autre manière tout en ayant des implications non moindres sinon plus significatives, en particulier lorsqu'il s'agit de libre échange d'informations et d'expression sur Google et les plateformes de médias sociaux.
RépondreSupprimerDe même, il vaut la peine de considérer les différences entre les objectifs de ces domaines étatiques respectifs. Comme l'affirment les spécialistes de la sécurité nationale Michael Clarke, Jennifer S.Hunt et Matthew Sussex:
Pour la Fédération de Russie, qui est devenue le principal spoiler de l'Occident, l'objectif a été d'exacerber les divisions sociales existantes dans les démocraties libérales, de saper la confiance du public dans les institutions clés et de stimuler les récits autour d'une foule de thèmes étatistes: l'anti-immigration mouvements, la «droite alternative» et le protectionnisme commercial. De cette manière, Moscou a joué le rôle d'un démolisseur, cherchant à détruire l'ordre libéral plutôt que de le remplacer. Il a utilisé des communautés de la diaspora, des médias marginaux et des militants politiques en marge du discours politique comme mandataires, et a facilité la fuite d'informations compromettantes pour promouvoir de faux récits et des théories du complot.
La Chine, en revanche, a adopté une approche sans doute plus sophistiquée étant donné qu'elle cherche progressivement à supplanter l'ordre occidental plutôt que de simplement le saper. Ses efforts ont donc été principalement axés sur l'obtention d'un effet de levier à long terme par le biais de multiples canaux d'influence parmi les élites dans la politique, les affaires et la société.
Parmi les nombreuses tactiques qu'elle utilise pour faire avancer son programme de formation active des perceptions et des comportements étrangers, la Chine pratique ce que Victor Cha du Centre d'études stratégiques et internationales a appelé le «libéralisme prédateur». La Chine «exploite les vulnérabilités de l'interdépendance des marchés pour exercer un pouvoir sur les autres dans la poursuite d'objectifs politiques».
La Chine déploie sa puissance économique pour répandre son idéologie et préserver sa réputation. Par exemple, faire pression sur Apple pour qu'il supprime son application HKmap.live des iPhones vendus en Chine en raison de la pression exercée par Pékin parce que l'application permettait un «comportement illégal», alors que les manifestants l'utilisaient «pour cibler et tendre une embuscade à la police» et «menacer la sécurité publique», ou ainsi la Chine a réclamé. Un autre impliquait la NBA. Lorsque le directeur général des Houston Rockets, Daryl Morey, a tweeté le 4 octobre 2019, en soutien aux manifestants de Hong Kong, il a été contraint de supprimer son message et de s'excuser pour «l'offense» causée au peuple chinois. Servant de proxy pour le PCC, la NBA a à son tour exclu tout dommage économique à son marché chinois qu'une telle brèche rhétorique aurait pu causer.
Les grandes plates-formes numériques telles que Google, Facebook et Twitter soutiennent non seulement l'extension de l'étatisme national, mais servent également l'expansion de l'idéologie et du pouvoir des États étrangers. Alors que la propagande, la censure et la surveillance ont transformé les médias sociaux en instruments du totalitarisme en Chine, la Chine a investi des millions dans des campagnes de propagande sur les médias sociaux et au-delà de ses frontières pour étendre son influence.
RépondreSupprimerEn achetant et en usurpant des comptes d'utilisateurs sur Twitter et en créant de faux comptes sur Facebook, par exemple, la Chine cherche à influencer la perception du régime et à promouvoir son programme. Bien que le projet Dragonfly de Google ait été annulé et qu'il soit peu probable que Google établisse un moteur de recherche en Chine de si tôt, Google maintient néanmoins des bureaux et des employés en Chine et y vend des services cloud, IA et autres.
En accueillant leurs clients étatiques et leurs sponsors idéologiques, les plateformes de recherche et de médias sociaux dominantes en sont venues à ressembler aux gouvernements qu'elles servent et reproduisent efficacement. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne la Chine. Google, Facebook et Twitter ont adopté le penchant du PCC pour la réglementation de la parole, la diffusion de propagande et la suppression des opinions dissidentes. Quelques exemples d'interventions directes dans le contrôle des recherches et des médias sociaux devraient suffire:
Facebook a bloqué les publications faisant référence à un virologue chinois dont les recherches ont retracé le virus SRAS-2 dans un laboratoire de Wuhan.
Six ressortissants chinois travaillent maintenant au sein de l'équipe «Hate-Speech Engineering» de Facebook pour produire des algorithmes qui classent et bloquent le contenu jugé trop conservateur, entre autres tâches.
Twitter a purgé des dizaines de milliers de comptes critiques à l'égard du gouvernement chinois quelques jours à peine avant le trentième anniversaire du massacre de la place Tiananmen en 1989 le 4 juin 2019.
Les employés de Twitter forment des responsables chinois pour amplifier leur message pro-Chine.
YouTube a supprimé les commentaires critiquant le Parti communiste chinois en raison d'une «erreur».
Dans un cas de non-vérification contradictoire des faits, Twitter a autorisé plus de quatre-vingt dix mille tweets de début avril à mai 2020 provenant de deux cents comptes médiatiques diplomatiques et gérés par l'État qui suggéraient que le coronavirus provenait des États-Unis ou de l'armée américaine, parmi d'autres affirmations mettant en doute son origine chinoise.
Ce ne sont là que quelques exemples de campagnes d’influence et de tactiques employées par la Chine, et ils ne représentent pas les cas les plus flagrants de censure et de propagande auxquels nous sommes confrontés. La plupart de la censure et de la propagande sont orientées et produites au niveau national. Mon point concerne plus les engagements idéologiques et les tactiques partagés qu'autre chose.
5. Trump ou pas-Trump
RépondreSupprimerComment tout cela figure-t-il dans l'élection? Il est clair que cette élection présidentielle n’a pas été un combat entre Trump et Joe Biden en soi, mais entre Trump et non-Trump. C'était un combat entre un gatecrasher rustre, décousu, irrévérencieux et politiquement incorrect contre un vétéran corrompu de la classe politique.
La «résistance» - qui comprend les médias traditionnels, les médias sociaux et l'oligarchie «mondialiste», les néoconservateurs, la meilleure partie de la communauté du renseignement et un assortiment d'activistes politiques et de radicaux de gauche - a visé à détruire le prieur et à soutenir le dernier. L'establishment politique a montré son cynisme absolu en soutenant un marchand d'influence affaibli et aux enjeux élevés et en le faisant prendre au sérieux.
J’ai envisagé la possibilité que la ferveur anti-Trump ait été largement basée sur la répulsion esthétique. En effet, la répulsion esthétique a été cultivée et encouragée par les sponsors de la résistance. Mais les sponsors de la résistance ne détestent pas Trump simplement parce qu'il ne reflète pas l'image de l'intelligentsia effacée. Après tout, regardez comment ils ont réhabilité George W. Bush. Non, il y a plus.
Trump est un parvenu voyou qui menace (ou menace) l'establishment politique, non pas parce qu'il a [ou avait le potentiel de «drainer le marais», une tâche insurmontable pour tout président ou administration, mais plutôt parce qu'il est imprévisible et aurait pu trébucher. sur les secrets et les crimes «d'État profond» et exposés. Trump a été un intrus, une nuisance, une épine dans le flanc d'une élite intime avec des éléments que Trump a jugés hostiles aux intérêts américains.
En outre, la marque de nationalisme de Trump interfère (ou interfère) avec les intérêts mondiaux de ceux qui font des affaires avec notre nouvelle opposition à la guerre froide, et pas seulement le type que nous avons vu récemment dénoncé dans le cas de la Joe Biden Swindling Company.
Enfin, et surtout, Trump a représenté une ligne de défense, aussi ténue et mince soit-elle, des libertés américaines, des libertés qui font obstacle à un ordre gouvernemental et extragouvernemental mondial qui prospère grâce au verrouillage, au masquage, au musellement, à l'interdiction, à la mise sur liste noire, à la baisse. classement, trou de mémoire, allumage du gaz, suppression, annulation, censure, précensure et suppression de la dissidence et des dissidents.
Remarques finales
Quel que soit le résultat des élections, cependant, les gouvernements répressifs et propagandistes - y compris les universités, les institutions culturelles, les industries culturelles, les technologies de l'information et du renseignement, les médias de masse, les mouvements politiques, les médias sociaux, les entreprises réveillées, etc. - se combinent pour provoquer un fluage totalitaire sous dont ses sujets sont complices de leur propre subjugation et résolus à l'imposer aux autres.
Que Trump ou non-Trump soit enfin déclaré vainqueur de l'élection présidentielle américaine de 2020, nous sommes dans la bataille de nos vies. Une constellation d'appareils étatiques et étendus a déclaré ouvertement la guerre à la liberté, contre nous. Nous sommes tous des criminels de pensée maintenant. L'aversion au risque ne fera pas l'affaire. Ce que nous risquons en étant averses au risque, c'est tout ce qui fait que la vie humaine vaut la peine d'être vécue. Face à un ennemi qui se délecte effrontément de son caractère totalitaire, il est temps de tout mettre en jeu pour la liberté.
https://www.zerohedge.com/technology/google-election
À Washington, des manifestants pro-Trump soutiennent leur candidat – vidéos
RépondreSupprimer22:00 14.11.2020
Par Youlia Zvantsova
Alors que les avocats de Donald Trump ont déposé plusieurs recours pour contester la victoire de Joe Biden à la présidentielle, des partisans du Président sortant se sont réunis ce 14 novembre pour lui manifester leur soutien.
Plusieurs milliers de partisans de Donald Trump se rassemblent ce 14 novembre, notamment près de la Cour suprême à Washington pour exiger la tenue d’«élections honnêtes» et protester contre la présumée fraude électorale.
En effet, le Président sortant a entamé une bataille juridique pour contester la victoire de Joe Biden lors du scrutin présidentiel.
De nombreux participants à la marche agitent des fanions à l’effigie de Donald Trump et lui proclament leur soutien.
Le correspondant de Sputnik constate sur place que les manifestants venus soutenir le Président sortant ont exprimé leur reconnaissance aux policiers en service, alors que les militants pro-démocrates du mouvement Black Lives Matter ne cachent pas leur antipathie envers les forces de l’ordre.
La présidentielle
Dix jours après l'élection présidentielle américaine, le 3 novembre dernier, et six jours après la victoire annoncée du Démocrate Joe Biden, Donald Trump s’obstine à ne pas admettre sa défaite.
Contrairement à la tradition respectée par de nombreux candidats perdants, Donald Trump n'a pas appelé son rival pour le féliciter. Qui plus est, son équipe de campagne a déposé plusieurs recours pour contester la régularité du scrutin dans certains États.
Trump a remporté "des dizaines de milliers" de votes supplémentaires à New York en 2020 qu'en 2016
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 22:00
Le président Trump a fait beaucoup mieux à New York aux élections de 2020 qu'en 2016, prouvant que le maire Bill de Blasio fait un excellent travail en faisant tout ce qu'il peut pour ruiner la confiance et la loyauté des démocrates dans sa ville traditionnellement libérale en se des foules d'extrême gauche et s'engageant à rendre la vie aussi chère que possible pendant que l'économie de la ville s'effondre en raison des fermetures obligatoires de Covid.
Non seulement Trump a fait mieux à New York en 2020, mais il s'est mieux comporté dans le South Bronx, qui est traditionnellement un bastion démocrate, a noté le New York Post.
La région est disproportionnellement hispanique, ce qui signifie que l'appel de Trump auprès des électeurs latinos a porté ses fruits dans d'autres régions, à l'exception du comté de Miami-Dade en Floride, où Trump a également surpassé les électeurs latinos.
Le président de l'arrondissement du Bronx, Ruben Diaz Jr., a déclaré: "Je ne pense pas nécessairement que ce soit un vote pro-Trump autant que c'est un appel au réveil des démocrates."
Curtis Sliwa, candidat républicain à la mairie, a déclaré au Wall Street Journal: «Les démocrates supposent simplement:« Oh, vous n’avez pas à vous soucier du Bronx. C’est juste un verrou. »C’est toujours démocratique, mais cela commence à changer.»
Trump a «plus que doublé» les votes qu'il a obtenus dans trois districts de l'Assemblée de l'État du South Bronx, selon les données de vote en personne compilées par le Centre de recherche urbaine de CUNY. Trump a reçu 76 612 votes de plus dans toute la ville en 2020 qu'en 2016. Il a également augmenté ses totaux à Brooklyn, dans le Queens et à Staten Island. Il a vu une diminution des votes à Manhattan.
Trump a enregistré la plus grande surperformance dans le 62e district de l'Assemblée de Staten Island, où il a reçu 44776 votes contre 40776 qu'il a reçus en 2016.
Le sondeur du GOP, John McLaughlin, a attribué la bosse de Trump en nombre à son engagement en faveur de la loi et de l'ordre. Il a également déclaré que le message aidait les candidats locaux du GOP: «Nous avons vu que le président était même ou en tête dans beaucoup de ces domaines, et il a créé une base solide pour ces candidats.
La démocrate Amanda Septimo du 84e district, qui comprend Melrose, Mott Haven et Hunts Point dans le Bronx, a déclaré "qu'elle pouvait ressentir un soutien pour M. Trump sur le terrain dans le district" et que "les démocrates devaient faire un meilleur travail de connexion avec communautés ouvrières ".
https://www.zerohedge.com/political/trump-won-tens-thousands-more-new-york-city-votes-2020-2016
Le chemin le plus apprécié de Donald Trump pour rester au pouvoir
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 17:35
Rédigé par Paul du Quenoy via TheCritic.co.uk,
Alors que Joe Biden planifie provisoirement sa transition à la présidence, l'obsession nationale tourne autour des tentatives audacieuses du président sortant Donald Trump de rester à la Maison Blanche.
Soutenu par presque tous les républicains - à l'exception d'une poignée de modérés, de contrariants et de certains qui lui en veulent personnellement - Trump a refusé d'accepter que Biden ait gagné et n'a pas concédé. Des contestations juridiques sont en cours. L'État de Géorgie, et probablement d'autres États avec des votes serrés, procéderont à des recomptages laborieux. Le ministère de la Justice et le Comité judiciaire du Sénat ont ouvert des enquêtes. Les preuves d'une possible fraude électorale et d'autres irrégularités continuent de s'infiltrer, même si des rumeurs, généralement basées sur des «sources anonymes» qui peuvent ne pas s'avérer extrêmement fiables, suggèrent que l'équipe de Trump, et peut-être même Trump lui-même, doutent d'un résultat favorable.
Les ministères et organismes gouvernementaux critiques, y compris certains traitant de la sécurité nationale, refusent de faciliter la transition de Biden. Quelques jours à peine après la perte proclamée de Trump, et dans une décision inhabituelle pour un président qui devrait quitter ses fonctions dans dix semaines seulement, il a remplacé une grande partie de la direction du département américain de la Défense par des loyalistes et devrait de la même manière purger la direction des agences de renseignement et d'autres organes importants dont les dirigeants actuels ne jouissent plus de sa confiance.
Les contestations juridiques sur une série de questions pertinentes se poursuivront presque certainement jusqu'au 14 décembre au moins, date à laquelle le collège électoral décisif se réunira pour voter les votes finaux qui détermineront le vainqueur de l'élection. Cet organe constitutionnel, conçu pour équilibrer la règle de la majorité brutale avec le système fédéral américain, comprend des électeurs choisis par chaque État en nombre égal au nombre de législateurs de l'État au Congrès: deux sénateurs par État plus un nombre variable de représentants proportionnel à la taille de la population de l'État. Chaque électeur dépose en fait deux votes: un pour le président et un pour le vice-président, même si en pratique les candidats à la présidentielle et à la vice-présidence apparaissent ensemble comme des «colistiers» sur un «ticket» de campagne que les électeurs ont nominalement choisi en un seul tour de scrutin.
Le débat fait rage sur la question de savoir si les divers recomptages et poursuites peuvent annuler un nombre suffisant de voix pour compter. On s'attend à ce que Trump continue les dépôts légaux visant à disqualifier suffisamment de bulletins de vote pour inverser les résultats dans plusieurs États cruciaux où il devrait perdre. La position maximaliste anti-Trump soutient que peu ou pas de mouvement est justifié ou même possible à l'échelle dont le président aurait besoin pour renverser les résultats projetés, et qu'il se fait des illusions et embarrasse le pays en refusant de reconnaître la victoire de Biden.
Certains commentateurs de gauche ont tenté d'amener Trump à concéder des appels déplacés au caractère sacré de la démocratie américaine et des suggestions pratiques selon lesquelles accepter la défaite gracieusement maintenant pourrait permettre à Trump d'organiser un retour en 2024 ou du moins de sauver la majorité républicaine du Sénat, qui dépend de remporter au moins un des deux scrutins en Géorgie.
RépondreSupprimerLa position pro-Trump suggère que des violations de la loi alléguées, que ce soit dans des bulletins de vote invalides ou des erreurs de procédure, pourraient disqualifier des centaines de milliers de votes et attribuer au président un deuxième mandat. Les partisans les plus fermes de ce point de vue, y compris l'ensemble de la direction du Congrès républicain et de l'appareil du parti, soutiennent que concéder avant que ces questions ne soient réglées trahirait la démocratie américaine, mettrait en péril l'intégrité du système électoral et créerait peut-être une situation dans laquelle les républicains pourraient être interdits de remporter à nouveau la présidence. Ils regardent avec espoir la magistrature fédérale, dont une grande partie a été nommée par Trump, et en particulier la Cour suprême, qui compte une supermajorité républicaine de six à trois juges, dont la moitié a été nommée par Trump.
Ainsi constituée, la Cour suprême pourrait facilement se prononcer en sa faveur par un vote strictement partisan, tout comme elle l'a fait pour George W. Bush avec une majorité plus mince et moins conservatrice à l'élection de 2000, dans un jugement sans précédent significatif que les esprits du pays ne pensaient pas que ce serait le cas. Le samedi précédant le jour du scrutin, Trump lui-même a songé - peut-être pas facétieusement - à gagner sa réélection de cette manière, remerciant entre parenthèses la Cour suprême à l'avance lors d'un discours de rassemblement en Pennsylvanie.
Jusqu'à présent, le débat médiatique tourne presque entièrement autour de la compilation finale des votes. Si suffisamment de preuves de fraude apparaissent et si les décisions de justice fondées sur ces preuves favorisent Trump de manière décisive, il est possible qu'il gagne par décision de justice.
Un autre scénario, cependant, réside dans les recoins de la Constitution américaine. Une partie importante de la stratégie juridique de Trump vise à empêcher des États cruciaux de certifier des résultats qui lui seraient opposés. Tous les États exigent une certification du vote avant l'envoi des électeurs. Deux États, le Maine et le Nebraska, autorisent la division des listes d'électeurs dans leur soutien aux candidats, mais aucun des États n'est en lice. Si Trump peut jeter suffisamment de saleté sur le processus électoral pour convaincre les tribunaux de prononcer des injonctions contre la certification dans juste assez d'États, aucun des deux candidats ne remportera la majorité des 270 voix électorales nécessaires pour triompher au collège électoral.
Dans ce scénario, l'article deux de la Constitution américaine, tel que modifié par le douzième amendement, prévoit une «élection contingente» au cours de laquelle le président est choisi par la Chambre des représentants parmi les trois premiers gagnants des votes électoraux, tandis que le vice-président est choisi par le Sénat (rappelons que le vote électoral pour le président et le vice-président sont séparés).
Une «élection contingente» prévoit que le vice-président est élu à la majorité simple des voix exprimées par les sénateurs individuels. Avec une majorité républicaine au Sénat au Congrès actuel, Mike Pence gagnerait vraisemblablement sa réélection en tant que vice-président. Dans le plus grand concours, cependant, le vote de la Chambre pour le président ne se fait pas par scrutin individuel, mais plutôt par délégation d’État en bloc. Cela signifie que tous les représentants de chaque État voteraient collectivement pour le président. Au Congrès actuel, 26 des 50 délégations d'État sont majoritairement républicaines. En supposant qu'ils délivrent des votes stricts en ligne de parti, Trump gagnerait l'élection contingente et serait réélu constitutionnellement.
RépondreSupprimerCette procédure est obscure, mais pas sans précédent dans le choix des présidents américains. Thomas Jefferson a été élu président lors d'une élection contingente en 1801, lorsque le vote électoral de l'élection de l'année précédente a abouti à un lien entre lui et le président sortant John Adams. En 1825, le fils d'Adams, John Quincy Adams, a également remporté la présidence lors d'une élection contingente, au cours de laquelle quatre candidats se sont partagés le vote du collège électoral résultant de l'élection de 1824. Le plus jeune Adams a prévalu sur Andrew Jackson, qui avait remporté de larges pluralités dans les deux pays. votes populaires et électoraux.
Aucun des perdants de ces élections n’était heureux, mais les présidences des vainqueurs, bien que controversées à d’autres égards, n’étaient pas ternies par les circonstances de leurs élections, fermement fondées, pour ainsi dire, dans le droit constitutionnel. En 1836, une troisième élection contingente eut lieu lorsque tous les électeurs de Virginie refusèrent de voter pour le vice-président impopulaire de Millard Fillmore, Richard Mentor Johnson. Privant Johnson d'une majorité du collège électoral lors du vote vice-présidentiel, le vote du Sénat requis par la Constitution a été dûment tenu et a élu Johnson de manière contingente, encore une fois sans effet néfaste sur son mandat valide, bien que obscur.
Les temps ont changé depuis, et expliquer cette procédure aux Américains moyens d'aujourd'hui, dont un grand pourcentage n'a aucune idée de ce qu'est ou fait le collège électoral, le désapprouve s'ils le font et préfère démolir une statue de Jefferson plutôt que d'apprendre sur la façon dont il a été élu président, ajoutera des couches de confusion et de conflits dans une année électorale déjà torturée. Ce n'est, bien sûr, qu'une seule façon possible de résoudre la crise brassicole, mais quel que soit le candidat qui l'emporte finalement, la moitié du pays sera absolument convaincue que l'élection présidentielle de 2020 a été volée. Une élection contingente, cependant, fournirait au moins une patine de constitutionnalisme respectable.
https://www.zerohedge.com/markets/donald-trumps-likeliest-path-staying-office
(...) La position pro-Trump suggère que des violations de la loi alléguées, que ce soit dans des bulletins de vote invalides ou des erreurs de procédure, pourraient disqualifier des centaines de milliers de votes et attribuer au président un deuxième mandat. Les partisans les plus fermes de ce point de vue, y compris l'ensemble de la direction du Congrès républicain et de l'appareil du parti, soutiennent que concéder avant que ces questions ne soient réglées trahirait la démocratie américaine, mettrait en péril l'intégrité du système électoral et créerait peut-être une situation dans laquelle les républicains pourraient être interdits de remporter à nouveau la présidence. (...)
SupprimerIl est vrai que... TOUS LES PARTIS ont, DEPUIS TOUJOURS triché, corrompu et escroqué le Peuple en refusant la Démocratie.
Tant que l'Amérique est privée de Démocratie, la dictature s'y maintiendra. La Démocratie c'est 'PAR LE PEUPLE, POUR LE PEUPLE.
C'est le Peuple qui dirige (comme en Suisse).
RépondreSupprimerNYTimes a dévoilé un «régime massif» par les démocrates dans le système électoral de Pennsylvanie ... en 1994
par Tyler Durden
Sam, 14/11/2020 - 16:20
Alors que la solide avance de Trump la nuit des élections en Pennsylvanie a fui du jour au lendemain (de manière mystérieuse et prétendument néfaste), beaucoup se sont demandé ce qui s'était passé. Eh bien, il n'y a pas eu de fraude, c'est sûr, selon l'establishment de gauche et de droite et les médias ... tout cela est une vaste conspiration de droite.
Les rédacteurs de titres et les porte-parole n'ont pas tardé à rejeter toutes les allégations, des centaines d'affadavits et des preuves vidéo de fraude, proclamant que toutes les suggestions de fraude sont des "allégations sans fondement" et une attaque "sans précédent" contre la démocratie ... etc.
Cependant, ce type de fraude systémique est tout sauf sans précédent en Pennsylvanie. Comme nul autre que le New York Times l'a écrit en février 1994 ...
"En disant que le système électoral de Philadelphie s'était effondré sous" un plan massif "des démocrates pour voler une élection au Sénat de l'État en novembre, un juge fédéral a pris aujourd'hui la rare mesure d'invalider le vote et a ordonné que le siège soit pourvu par le candidat républicain."
Le juge Newcomer a statué que la campagne démocrate de William G.Stinson avait volé l'élection à Bruce S.Marks dans le deuxième district sénatorial du nord de Philadelphie par une fraude élaborée dans laquelle des centaines de résidents étaient encouragés à voter par scrutin absent même s'ils n'avaient aucune raison légale - comme un handicap physique ou un voyage prévu en dehors de la ville - pour le faire ...
Dans de nombreux cas, selon les républicains qui ont témoigné lors d'un procès civil de quatre jours la semaine dernière, les travailleurs de la campagne démocrate ont falsifié des bulletins de vote par correspondance. Sur de nombreux bulletins de vote, ils ont utilisé les noms de personnes qui vivaient à Porto Rico ou purgeaient une peine de prison et, dans un cas, l'électeur était mort depuis un certain temps.
«Des preuves substantielles ont été présentées établissant une fraude, une tromperie, une intimidation, un harcèlement et une contrefaçon massives par scrutin absent», a écrit le juge Newcomer dans une décision rendue publique aujourd'hui.
Le quartier, qui comprend des quartiers blancs, noirs et hispaniques, est majoritairement démocrate par enregistrement. Néanmoins, les agents de campagne ont témoigné que l'apathie généralisée des électeurs les avait incités à promouvoir une «nouvelle façon de voter» pour assurer une victoire.
...
En effet, les deux démocrates du conseil électoral composé de trois membres, un organe élu, ont témoigné qu'ils étaient au courant de la fraude électorale, avaient intentionnellement omis de faire appliquer la loi électorale et avaient par la suite tenté de dissimuler leurs activités en certifiant à la hâte le candidat démocrate. en tant que gagnant.
...
Le juge Newcomer a ordonné que M. Stinson, un ancien adjoint au maire adjoint de Philadelphie âgé de 49 ans, soit démis de ses fonctions au Sénat de l'État et que M. Marks, un avocat de 36 ans et ancien assistant du sénateur américain Arlen Spectre, être certifié gagnant dans les 72 heures.
RépondreSupprimer«C'est un soulagement extraordinaire», a écrit le juge Newcomer. "Cependant, il est approprié parce que la conduite extraordinaire de la campagne Stinson et du conseil d'administration a entaché la totalité des bulletins de vote absents."
... certains experts électoraux ont noté aujourd'hui qu'il y avait eu de nombreux cas plus importants de fraude électorale à Chicago et en Louisiane dans les années 1970 et en Alabama dans les années 1980.
L'affaire concernant le siège de Philadelphie, cependant, peut être le plus grand exemple impliquant des bulletins de vote absents frauduleux.
En savoir plus ici ...
Alors, est-ce là que les démocrates ont eu l'idée d'inonder la nation de bulletins de vote par correspondance ? Cela a fonctionné (pendant un certain temps) en 1994, pourquoi ne pas essayer à nouveau maintenant ... et cette fois, les Dems ont tous les médias à leur demande pour blanchir / censurer / interdire toute dissidence d'une élection libre et juste.
https://www.zerohedge.com/political/nytimes-exposed-massive-scheme-democrats-pennslyvanias-election-system-1994