- ENTREE de SECOURS -



samedi 28 novembre 2020

Le debriefing de Professeur Paul Trouillas, médecin neurologue et philosophe

 Dans son interview Paul Trouillas nous parle de son évaluation de la gestion de la crise, du Plaquenil, du traitement réservé à nos ainés avec le décret Rivotril.  Il nous explique les actions juridiques qu’il a entrepris avec son avocat et les revers qu’il a reçus sur sa première action en référé liberté auprès du Conseil d’État sur le Plaquenil (Hydroxychloroquine) et le Rivotril.  Les actions courent toujours au fond.

Un homme avec 60 ans de médecine intègre et engagé.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=398&v=bPwMTE_KRSI&feature=emb_logo

60 commentaires:

  1. Brève. Le Professeur Paul Trouillas réagit au sujet du SARS-CoV-2 en France


    le 28 novembre 2020


    Le Professeur Paul Trouillas, chirurgien neurologue, est l’une des plus grandes sommités du microcosme médical lyonnais. D’abord intéressé par les tumeurs cérébrales et leur traitement chirurgical, un geste hautement risqué, il oriente ses travaux vers une forme d’ataxie d’origine génétique, la maladie de Friedreich, dont la cause première est une mutation sur le gène codant pour une petite protéine régulant le métabolisme du fer dans la mitochondrie. Praticien hospitalier Paul Trouillas s’intéresse ensuite aux accidents vasculaires cérébraux et il met au point à Lyon un traitement d’urgence par thrombolyse qui sera très rapidement une référence mondiale. Le Professeur Trouillas est toujours actif bien que retraité et il a consenti à une interview auprès du journal France-Soir que je vous conseille vivement de regarder ou écouter. Les propos du Professeur Trouillas éclairent chaque citoyen sur la totale incurie et les incohérences répétées du gouvernement français au sujet de la prise en charge de l’épidémie de SARS-CoV-2. Selon le Professeur Trouillas près de 18000 morts auraient pu être éviter sans oublier les traitements au Rivotril de nos « vieux » qui, selon lui ressemblent à des euthanasies massives et délibérées. À regarder ou écouter absolument !

    http://www.francesoir.fr/societe-sante/demission-de-dominique-martin-directeur-general-de-lansm-scandale-de-trop-remdesivir-ou

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  2. Démission de Dominique Martin, Directeur Général de l’ANSM. Scandale de trop, Remdesivir, hydroxychloroquine ou Rivotril ?


    le 27/11/2020 à 10:03 -


    Agence National de Santé et du Médicament

    Une annonce parue ce 27 novembre qui n’a pas été commentée par le ministre de la Santé

    L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM) annonce la démission de son directeur général Mr Dominique Martin « à sa demande ». La publication au journal officiel fait état que Mme Ratignier-Carbonneil est chargée d’exercer cette position par intérim. Cela fait suite à une proposition de l’Elysée du 9 novembre 2020 de la nommer au poste de directeur général

    Guerre de pouvoir ou ce scandale de trop

    Le directeur général de l’ANSM, censé être autonome, est sous tutelle ministérielle. Après les scandales de la Dépakine, de l’essai mortel Biotrial, l' Uvestérol D et du Levothyrox voilà que l' hydroxychloroquine aurait des effets graves et mortels. D’un côté l’hydroxychloroquine qui a fait l’objet d’un surprenant refus de règlement temporaire d’utilisation à la demande de l’IHU de Marseille ou le remdesivir, traitement dont nous avions alerté de la toxicité et des problèmes dès le mois d’avril feront surement partie du scandale de trop, pour ne pas parler du Rivotril administré comme traitement compassionnel à nos ainés. Serait-ce les diverses enquêtes et instructions en cours qui auraient poussé Mr Martin à démissionner ou bien tout simplement une guerre de pouvoir au sein de l’ANSM ?

    Lors de la commission d'enquête sénatoriale le 22 octobre 2020, Dominique Martin avait déclaré en justifiant la ATU (autorisation temporaire d'utilisation) de cohorte accordée au Remdesivir (traitement aujourd'hui déconseillé par l'OMS) « cette grande étude extrêmement solide qui a montré cette réduction d'hospitalisation »

    Une association avait évoqué le sujet

    L’association BonSens.org avait demandé à ses membres d’envoyer un courrier à leur député les alertant sur le manque de transparence et les problèmes au sein de l’ANSM afin que lumière soit faite.

    « Il y a actuellement une commission d’enquête sur la crise sanitaire mais sauf erreur de ma part, Monsieur Dominique Martin, dirigeant l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament et des produits de Santé (ANSM) n’a pas été auditionné. Et je m’en inquiète.

    Monsieur Dominique Martin semble avoir joué un rôle central en ce qui concerne la polémique concernant les traitements précoces qui permettent de soigner les patients afin d’éviter des conséquences funestes et des hospitalisations » peut-on lire. Le courrier entier se trouve sur le site de BonSens.org en date du 26 novembre 2020. Un de ses membres nous dit : « ce courrier a été élaboré le 22 novembre et envoyé à certains députés dès le 24 novembre 2020. »

    Qui est Mme Ratingnier-Carbonneil ?

    Sur le site de l’ANSM on peut lire Titulaire d’un doctorat en immunohématologie, le Dr Christelle Ratignier-Carbonneil est actuellement directeur adjoint à la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), où elle dirige le département des produits de santé, en charge des activités relatives aux médicaments, aux dispositifs médicaux et aux actes de biologie, ainsi que les relations conventionnelles avec les pharmaciens d'officine, les professionnels des dispositifs médicaux et les biologistes médicaux libéraux.

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  3. Chercheur de formation, Mme Ratignier-Carbonneil a exercé entre 2002 et 2010 plusieurs fonctions en lien avec l’évaluation clinique des médicaments au sein de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, devenue ANSM.

    Qui est Dominique Martin ?

    Le CV de Mr Martin que l’on peut encore trouver sur le site de l’ANSM le présente comme une personne aux nombreux diplomes : énarque (promotion 1995-1997), DEA (Diplôme d’étude approfondies sur l’anthropologie structuraliste), Doctorat en médecine 1984, et un certificat d’études spécialisées en psychiatrie de 1991.

    Dominique Martin a notamment été directeur des programmes à Médecins sans frontières (MSF) et conseiller social auprès du préfet de Paris. De 2001 à 2002, il est nommé conseiller technique au cabinet de Bernard Kouchner, ministre de la Santé, et est en charge des relations avec les professionnels de santé libéraux et de la préparation des projets de loi.

    De 2002 à 2011, il est directeur de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM), puis, en 2011, il prend la tête de la branche des risques professionnels à la Caisse nationale d'assurance-maladie. Il a été nommé en 2014 à la tête de l'ANSM.

    Retrouvez aussi le débriefing du Pr. Paul Trouillas, neurologue qui nous parle de ses actions suite à la suspension de prescription de l'hydroxychloroquine et à l'autorisation de prescription du Rivotril en compassionnel aux ainés. Il y parle de l'ANSM.

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    - voir clip sur site:

    http://www.francesoir.fr/societe-sante/demission-de-dominique-martin-directeur-general-de-lansm-scandale-de-trop-remdesivir-ou

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    ANNEXE I curriculum vitae Dominique MARTIN

    I - Activités professionnelles

    1) En tant qu’administrateur civil (ENA 1995 -1997)

    Depuis le 21 septembre 2011 : directeur des risques professionnels à la CNAMTS, en charge de la direction de la branche de la sécurité sociale, régime général, accidents du travail / maladies professionnelles, réseau d’environ 8000 agents répartis sur l’ensemble du territoire au sein des caisses primaires d’assurance maladie (CPAM) et des caisses régionales d’assurance retraite et de santé au travail (CARSAT).

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  4. Mai 2002 – septembre 2011 : directeur de l’office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM), établissement public national à caractère administratif, sous tutelle du ministre en charge de la santé (nommé par décret du Président de la République, renouvelé pour 3 ans en septembre 2005 et pour 3 ans en septembre 2008).

    Mars 2001 – mai 2002 : conseiller technique au cabinet de M. Bernard Kouchner, ministre délégué à la santé, plus particulièrement en charge des relations avec les professionnels de santé libéraux et de la préparation des projets de loi.

    Septembre 1999 – mars 2001 : conseiller technique au cabinet de Mme Dominique Gillot, secrétaire d’État à la santé.

    Septembre 1998 – septembre 1999 : conseiller social auprès du Préfet de Paris.

    Avril 1997 – août 1998 : affecté à la direction générale de la santé : en charge pour le compte de la direction générale de la santé, de la préparation de loi de 1998 relatives aux agences sanitaires.

    2) Autres activités

    Responsable de programme à médecins sans frontières (91 à 93) Investissement plus particulier sur les terrains de conflits.

    Travail dans différentes langues, tant avec les interlocuteurs locaux (représentants gouvernementaux, forces militaires et guérillas, ONG locales, personnel local) qu’avec les personnels étrangers (organisations internationales, membres de forces armées, organisations non gouvernementales). Langues parlées : anglais, espagnol.

    Membre du conseil d’administration de MSF (90 à 91)

    Directeur de l’association « migrations santé » (90 à 91) en contrat avec le ministère de la santé. Structure composée de 12 personnes travaillant sur l’accès aux soins des migrants.

    Volontaire sur le terrain avec médecins sans frontières (83 à 89). Missions dans de nombreux pays, essentiellement sur des terrains de conflits : Afghanistan, Somalie, El Salvador, Yougoslavie, Rwanda, Libéria, notamment.

    Interne en psychiatrie (84 à 90) dans divers hôpitaux parisiens.

    II - Diplômes obtenus et formations suivies

    Administration

    Préparation au concours d'entrée à l'ENA (I.E.P, Paris) (1993/1994).

    Reçu au concours de 1994 : promotion ENA 1995/1997.

    Sciences Sociales

    Diplôme d'Etudes Approfondies (DEA) : école normale supérieure (rue d'Ulm, Paris) / école des hautes études en sciences sociales (1990). Diplôme centré sur l’anthropologie structuraliste (mémoire de DEA réalisé avec le laboratoire d’anthropologie du collège de France) et sur la sociologie des actions collectives.

    Santé Publique

    Certificat d'études statistiques appliquées à la médecine (1986).

    Médecine

    Doctorat en médecine (1984)

    Internat des hôpitaux de Paris (concours de 1984)

    Certificat d'Etudes Spécialisées en psychiatrie (1991)

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  5. PRINCIPALES PUBLICATIONS RECENTES

    Depuis 2012

    Chronique juridique trimestrielle dans la revue : Journal de la santé et de l’assurance maladie

    (JDSAM)

    2011

    Accident médical et dommages psychiques : éléments de problématique, RDSS, N°6, novembre-décembre 2011, p.1084-1093

    2010

    L’expression de la solidarité nationale, Cahiers hospitaliers, dossier accidents médicaux :

    quand la loi Kouchner fait débat, mars 2010.

    L’expertise en responsabilité médicale : de critiques en réformes, Les Tribunes de la Santé, n°27 (2) 2010.

    Publication dans le Lamy santé en cours de préparation.

    2009

    L’indemnisation des victimes d’accidents médicaux et ses mécanismes de financement, Les

    Tribunes de la Santé, n°24, automne 2009, p. 29-40.

    L’aléa thérapeutique et l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux. Annales de la régulation, volume 2, p. 453, Institut de Recherche Juridique de la Sorbonne, 2009

    Les limites de la réparation du préjudice : Séminaire « Risques, assurances, responsabilités » organisé par la Cour de Cassation, l’Ordre de avocats au Conseil d’Etat, l’IHEJ, l’lEN3S et le CHEA, Dalloz, Coll. Thèmes et commentaires, 2009

    2008

    Référentiel d’indemnisation : celui de l’Oniam n’est pas un barème, Le Concours médical, n°

    19/20, 16 décembre 2008, p. 978-980.

    Le dispositif d’indemnisation des victimes d’accidents médicaux par la voie du règlement amiable, dans « L’évolution des droits du patient, indemnisation sans faute des dommages liés aux soins de santé : le droit médical en mouvement, sous la direction de Geneviève Schamps, Editions juridiques Bruylant et LGDJ, 2008.

    La politique d’indemnisation de l’ONIAM : colloque organisé par le Conseil National du Barreau sur l’indemnisation du dommage corporel : une réparation à géométrie variable, La Gazette du Palais, 18-19 avril 2008, p. 46-48

    Indemnisation : la voie du règlement amiable, Revue hospitalière de France, janvier-février

    2008, p. 50-51.

    2007

    L’apport de la jurisprudence au fonctionnement du dispositif de règlement amiable des accidents médicaux, La Gazette du Palais, 16-17 novembre 2007, p. 15-20.

    Le nouveau droit de l’indemnisation des risques sanitaires : entre procédures et contentieux, dans « les droits des malades et des usagers du système de santé, une législature plus tard : actes du colloque organisé par la chaire Santé de Sciences Po en partenariat avec le Collectif interassociatif sur la santé, le 1er mars 2007 », sous la direction de Didier Tabuteau,

    Presses de Sciences Po, 2007.

    Les droits des personnes malades, en collaboration avec Didier Tabuteau, dans « Traité de santé publique, 2ème éd., sous la direction de F. Bourdillon, G. Brücker et D. Tabuteau, Coll. Médecine-Sciences, Flammarion, 2007.

    2006

    L’indemnisation des victimes d’accidents médicaux comme politique publique, Recueil

    Dalloz, 2006, n° 44, p. 3021-3025.

    L’indemnisation des victimes d’accidents médicaux n’est pas un marché, mais un contrat social, en collaboration avec Sabine Gibert, Revue générale de droit médical, n° 21, 2006, p.

    161-172.

    Dispositif de règlement des accidents des accidents médicaux : équité et action publique,

    Risques, n° 68, décembre 2006, p. 92-98

    Rôle de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) : bilan des quatre premières années de fonctionnement, dans « De la sanction à la prévention de l’erreur médicale : propositions pour une réduction des évènements indésirables liés aux soins », dans le rapport de l’Académie de médecine, sous la direction de G. David et C. Sureau, Editions Médicales Internationales et Lavoisier, 2006.

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  6. 2005

    Le dispositif d'indemnisation des accidents médicaux mis en œuvre par la loi du 4 mars 2002,

    la Semaine Juridique Administrations et Collectivités territoriales n°30, 25 juillet 2005, 1290

    La réparation des accidents médicaux : un engagement fort de la solidarité nationale, en collaboration avec Philippe Tréguier et Olivier Saumon, La Gazette du Palais, 5 juin 2005, p.2

    2004

    La judiciarisation de la médecine : mythes et réalités, en collaboration avec Laurence

    Hemlinger, Sève, hiver 2004.

    Les droits des personnes malades, en collaboration avec Didier Tabuteau, dans « Traité de santé publique, sous la direction de F. Bourdillon, G. Brücker et D. Tabuteau, Coll. Médecine- Sciences, Flammarion, 2004.

    2003

    L’indemnisation par la solidarité nationale, dans « la loi du 4 mars 2002 : continuité ou nouveauté en droit médical », sous la direction de Georges Fauré, PUF, coll. CEPRISCA.

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  7. Remplissez en ligne votre déclaration numérique :
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    certifie que mon déplacement est lié au motif suivant (cocher la case) autorisé par le décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de Covid19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire [1] :

    Déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice de l’activité professionnelle ou un établissement d’enseignement ou de formation ; déplacements professionnels ne pouvant être différés [2] ; déplacements pour un concours ou un examen ;

    Déplacements pour se rendre dans un établissement culturel autorisé ou un lieu de culte ; déplacements pour effectuer des achats de biens, pour des services dont la fourniture est autorisée, pour les retraits de commandes et les livraisons à domicile ;

    Consultations, examens et soins ne pouvant être assurés à distance et l’achat de médicaments ;
    Déplacements pour motif familial impérieux, pour l'assistance aux personnes vulnérables et précaires ou la garde d'enfants ;

    Déplacements des personnes en situation de handicap et leur accompagnant ;

    Déplacements en plein air ou vers un lieu de plein air, sans changement du lieu de résidence, dans la limite de trois heures quotidiennes et dans un rayon maximal de vingt kilomètres autour du domicile, liés soit à l’activité physique ou aux loisirs individuels, à l’exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d’autres personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie ;

    Convocations judiciaires ou administratives et déplacements pour se rendre dans un service public ;

    Participation à des missions d'intérêt général sur demande de l'autorité administrative ;
    Déplacements pour chercher les enfants à l’école et à l’occasion de leurs activités périscolaires.

    Mon téléphone se souvient de moi

    https://media.interieur.gouv.fr/deplacement-covid-19/

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  8. "Un avenir horrifiant" - La vision du WEF pour un monde post-COVID


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 07:00
    Rédigé par Peter Koenig via GlobalResearch.ca,


    Le Forum économique mondial (WEF) vient de publier (octobre 2020) un soi-disant Livre blanc, intitulé «Réinitialiser l'agenda de l'avenir du travail - dans un monde post-Covid».

    Ce document de 31 pages se lit comme un plan sur la façon d '«exécuter» - parce qu'une exécution (ou implémentation) serait - «Covid-19 - The Great Reset» (juillet 2020), par Klaus Schwab, fondateur et PDG (depuis le fondation du WEF en 1974) et son associé Thierry Malleret.

    Ils appellent "Réinitialiser le futur" un livre blanc, ce qui signifie que ce n’est pas tout à fait une version définitive. C’est une sorte d’ébauche, un ballon d’essai, pour mesurer les réactions des gens. Il se lit en effet comme un conte de bourreau. Beaucoup de gens peuvent ne pas le lire - n'ont aucune conscience de son existence. S'ils le faisaient, ils prendraient les armes et combattraient ce dernier plan totalitaire, offert au monde par le WEF.

    Il promet un avenir horrible à environ 80 % -plus de la population (survivante). "1984" de George Orwell se lit comme un fantasme bénin, comparé à ce que le WEF a en tête pour l'humanité.

    Le calendrier est de dix ans - d'ici à 2030 - l'agenda des Nations Unies 2021-2030 doit être mis en œuvre.

    Mesures commerciales prévues en réponse au COVID-19:

    Une accélération des processus de travail numérisés, conduisant à 84 % de tous les processus de travail sous forme de conférences numériques ou virtuelles / vidéo.

    Quelque 83 % des personnes devraient travailler à distance - c'est-à-dire plus d'interaction entre collègues - distanciation sociale absolue, séparation de l'humanité du contact humain.

    Environ 50 % de toutes les tâches devraient être automatisées - en d'autres termes, la contribution humaine sera considérablement réduite, même pendant le travail à distance.

    Accélérer la numérisation de la mise à niveau / de la requalification (par exemple, les fournisseurs de technologies éducatives) - 42 % de la mise à niveau des compétences ou de la formation à de nouvelles compétences seront numérisées, en d'autres termes, pas de contact humain - le tout sur ordinateur, intelligence artificielle (IA), algorithmes.

    Accélérer la mise en œuvre des programmes de mise à niveau / requalification - 35 % des compétences devraient être «ré-outillées» - c'est-à-dire que les compétences existantes devraient être abandonnées - déclarées disparues.

    Accélérer les transformations organisationnelles en cours (par exemple, restructuration) - 34 % des configurations organisationnelles actuelles devraient être «restructurées» - ou, en d'autres termes, les structures organisationnelles existantes seront déclarées obsolètes - pour faire de la place pour de nouveaux ensembles de cadres organisationnels, le numérique structures qui offrent un contrôle maximal sur toutes les activités.

    Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches - cela devrait toucher 30 % de la main-d'œuvre. Cela signifie également des échelles de salaire complètement différentes - très probablement des salaires invivables, ce qui ferait du «salaire de base universel» ou «revenu de base» également prévu - un salaire qui vous permet à peine de survivre, un besoin évident. - Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système - un système numérique, sur lequel vous n'avez aucun contrôle.

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  9. Réduire temporairement la main-d'œuvre - cela devrait toucher 28 % de la population. C'est un chiffre de chômage supplémentaire, déguisé, car le «temporaire» ne reviendra jamais à plein temps.

    Réduire les effectifs de manière permanente - 13 % de effectifs réduits de manière permanente.

    Augmenter temporairement la main-d'œuvre - 5 % - il n'y a aucune référence à quel type de main-d'œuvre - probablement une main-d'œuvre non qualifiée qui sera également remplacée tôt ou tard par l'automatisation, par l'IA et la robotisation du lieu de travail.

    Aucune mesure spécifique mise en œuvre - 4 % - cela signifie-t-il que seuls 4 % resteront intacts ? De l'algorithme et des nouveaux lieux de travail dirigés par l'IA ? - aussi petit et insignifiant que soit la figure, cela ressemble à un «vœu pieux», à ne jamais accomplir.

    Augmenter la main-d'œuvre de manière permanente - seulement 1 % est projeté comme «une main-d'œuvre en augmentation permanente». Ce n'est bien sûr même pas des cosmétiques. C'est une blague.

    C'est ce qui est proposé, à savoir le processus concret de mise en œuvre de The Great Reset.

    La Grande Réinitialisation prévoit également, un système de crédit, par lequel toutes les dettes personnelles seraient «effacées» - contre la remise de tous les avoirs personnels à un organe administratif ou une agence - pourrait éventuellement être le FMI.

    Ainsi, vous ne posséderiez rien - et seriez heureux. Parce que tous vos besoins seront fournis.

    De plus, il ne devrait pas vous arriver d'être en désaccord avec le système, car - à présent, chacun de vous a été vacciné par covid et nano-puces - de sorte qu'avec la 5G et la 6G à venir, votre esprit puisse être lu et influencé.

    Veuillez ne pas appeler cela une théorie du complot. Il s'agit d'un livre blanc, un «rapport faisant autorité» du WEF.

    DARPA - Defense Advanced Research Projects Agency, fait partie du Pentagone - et a développé il y a des années la technologie. Ce n'est qu'une question de temps pour le mettre en œuvre. Et il sera mis en œuvre, si Nous, le peuple, ne protestons pas - la désobéissance civile massive est de l'ordre - et cela plutôt tôt que tard.

    Plus nous attendons avec action, plus nous somnambulons dans ce désastre humain absolu.

    * * *

    Les relations sociales et humaines sont éviscérées.

    Cela présente plusieurs avantages pour cette nouvelle approche «totalitaire» du WEF sur l'humanité - pour contrôler l'humanité.

    Nous, le peuple, ne pouvons pas nous rebeller, nous n'avons plus de cohésion entre nous,

    «Nous, le peuple», seront joués les uns contre les autres - et il y a un contrôle numérique absolu sur l'humanité - exécuté par une petite super élite.

    Nous n'avons pas accès à ce contrôle numérique - il est bien hors de notre portée. L'idée est que nous y grandirons progressivement - ceux d'entre nous qui peuvent survivre. Dans une génération environ, il devrait devenir la nouvelle norme.

    L'«angle de survie» est un aspect qui n'est pas mentionné directement ni dans The Great Reset, ni dans le «Guide de mise en œuvre» - c'est-à-dire dans le Livre blanc «Réinitialiser l'agenda de l'avenir du travail - dans un monde post-Covid».

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  10. Bill Gates, les Rockefeller, Kissinger et al, n'ont jamais caché leur ferme opinion que le monde est surpeuplé et que le nombre de personnes doit être littéralement réduit. Nous avons affaire à des eugénistes.

    Les programmes de vaccination lancés par Bill Gates et soutenus par l'OMS constituent une méthode parfaite pour réduire la population mondiale. Des scandales de programmes de vaccination aussi désastreux entraînant la mort d’enfants ont été enregistrés en Inde (dans les années 90), au Kenya (2014 et par la suite) et dans d’autres régions du monde.

    Voir aussi un TedTalk très révélateur de Bill Gates de février 2010, «Innovating to Zero», à peu près au moment où le «2010 Rockefeller Report» a été publié - le rapport même qui nous a fourni jusqu'à présent, le «Lock Step Scenario» - et nous le vivons maintenant. À peine protestant - le monde entier - 193 pays membres de l'ONU - a été coopté ou contraint de suivre cette abjecte violation des droits de l'homme à l'échelle mondiale.

    Ce que l'un ou l'autre rapport, The Great Reset et le «Réinitialiser le futur du programme de travail» omet de mentionner, c'est qui va appliquer ces nouvelles règles draconiennes ? - Ce sont soi-disant les mêmes forces qui sont actuellement entraînées à la guerre urbaine et à la répression des émeutes et des troubles sociaux - ce sont la police et l'armée.

    Une partie de notre organisation populaire de désobéissance civile portera sur la manière de se concentrer et de parler, d'éduquer, d'informer la police et l'armée de ce à quoi elles seront utilisées par cette petite élite, et qu'en fin de compte, ce ne sont que des êtres humains, comme le reste d'entre nous, il vaut donc mieux défendre le peuple, l'humanité. La même chose doit être faite aux enseignants et au personnel médical - l'information, la vérité absolue.

    C’est le défi. Si nous réussissons, le jeu est terminé. Mais c’est un long chemin.

    La désinformation médiatique est brutale et puissante et difficile à contredire pour «nous», sans budget important pour la contre-propagande, et en tant que groupe de personnes, qui est de plus en plus divisé par les médias mêmes. Le port obligatoire des masques et la distanciation sociale - a déjà fait des ennemis de ce que nous étions, collègues, amis, même au sein des familles.

    Ce même diktat a réussi à créer des divisions, des divisions et des discordes au sein de nos sociétés

    Pas de crainte - mais déchiqueter littéralement «Réinitialiser l’agenda de l’avenir du travail» et «La grande réinitialisation» - avec une alternative humaine qui abolirait des organisations comme le WEF, et coopté des agences des Nations Unies, comme l’OMS, l’UNICEF, l’OMC, Banque mondiale, FMI - et peut-être même l'ensemble du système des Nations Unies. Les dirigeants politiques et commerciaux derrière ce projet doivent être confrontés. Les principes fondamentaux du droit international, y compris celui de Nuremberg, doivent être appliqués.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/horrifying-future-wefs-vision-post-covid-world

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    Réponses
    1. (...) Bill Gates, les Rockefeller, Kissinger et al, n'ont jamais caché leur ferme opinion que le monde est surpeuplé et que le nombre de personnes doit être littéralement réduit. Nous avons affaire à des eugénistes. (...)

      Alors que la population mondiale (7 milliards d'habitants) n'occupe (côte à côte) que la place du quartier de Manhattan à N-Y, et que notre planète est plus que capable d'en nourrir 10 fois plus, le SEUL point qui gêne la dictature des 'hommes de l'ombre' est que le Peuple d'aujourd'hui est mille fois plus intelligent qu'il y a 20 ans et qu'il y a beaucoup plus de personnes surdouées (An 2000: 4 % de surdoué(e)s dans le monde, soit 280 millions de personnes, et, aujourd'hui, multipliez ce chiffre par 4 ou 5 !).
      Plus de 7 milliards de cerveaux qui communiquent !! ce qui laisse cette '5ème colonne' à l'état de merdes familiales (mafia) au désespoir de ne pouvoir lutter qu'avec des armes.

      Là où cette merde se trompe c'est dans la capacité de surdoué(e)s ingénieuses qui n'est PAS génétique et, que ces exceptions ne travailleront jamais comme esclaves !

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  11. L'ère du Covid — Décryptage des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace


    M.K. Scarlett
    Sott.net
    ven., 27 nov. 2020 11:28 UTC


    Covidinfos.net a en septembre dernier partagé une tribune soumise par le Docteur Frédéric Badel, psychiatre, qui explore les différentes techniques de manipulation mises en œuvre depuis le début de la crise en cours dans un article intitulé : « Culpabilisation, conditionnement, mensonge... » Le Dr Badel dénonce des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires ». Le fait qu'il ait écrit cette tribune en septembre, avant le deuxième confinement (et avant qu'un troisième ne nous tombe dessus dans les prochaines semaines) rend très pertinents certains des aspects de manipulation mentale qu'il décrit et annonce, à l'avance.

    Même si l'utilisation de la culpabilisation, du conditionnement et du mensonge, notamment dans le cadre du Covid, a déjà été traitée sur Sott (voir la série d'articles plus bas), avoir le point de vue d'un psychiatre reste néanmoins utile, d'autant que la parole discordante est rare. Cette tribune pourrait permettre à certains de nos lecteurs — potentiellement en proie à des difficultés pour expliquer autour d'eux comment les techniques de manipulation fonctionnent — de recourir au témoignage d'un professionnel en psychiatrie.
    Peur par manipulation
    Laissons dans un premier temps la parole au Dr Frédéric Badel, puis nous poursuivrons l'article avec plus de données sur le sujet.

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    « Sauf à vivre en anachorète ou à être engagé dans une retraite méditative, il n'a échappé à personne que notre façon de vivre a été modifiée de façon radicale avec les mesures imposées de « distanciation sociale », le port du masque et la mise en pièce de notre économie.

    Avec une facilité déconcertante, le gouvernement a brisé notre façon de vivre ensemble, restreint nos libertés individuelles fondamentales et il nous prépare quotidiennement à de futures mesures.

    Comment en arrive-t-on à un résultat si rapide ?

    Le pilier sur lequel repose une telle prouesse est le conditionnement à la peur. Par la diffusion répétée de messages de danger accompagnés de stimuli tels un son, une image, il est possible de créer assez rapidement chez la plupart des individus un réflexe de peur ancré dans le centre de la peur, un petit noyau dans notre cerveau le plus primitif (nous le partageons avec les reptiles). Les mécanismes de régulation qui logent dans des structures plus élaborées du cerveau (observation, analyse, jugement, classement), qui opèrent normalement une régulation par rétrocontrôle, se trouvent débordés et ce petit noyau reste anormalement activé. A chaque nouvelle stimulation, il va être excité, sans contrôle possible. Il ne reste donc à l'individu que des comportements plus archaïques, on le constate par exemple dans le stockage alimentaire ou les rixes qui apparaissent en cas de risque de pénurie.

    Le conditionnement à la peur est un mécanisme automatique, extrêmement efficace et parfaitement connu. Certaines personnes sont plus disposées que d'autres à ce conditionnement.

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  12. La peur modifie donc les comportements qui perdent leur rationalité. Les soignants ne sont pas vaccinés contre la peur et, comme les autres, la subissent. Ainsi des cabinets médicaux ont été fermés, des médecins n'ont plus examiné leurs patients, la téléconsultation a connu un essor fulgurant.

    Ce phénomène a été aggravé par le court-circuitage de structures de soins habituellement opérantes et performantes en cas d'épidémie ; tout devait être géré par l'hôpital, ce qui a pu engorger quelques services. Des lits ont été gardés en réserve pour la « deuxième vague », la crête de la première dans la plupart des régions n'ayant pas même été perçue, privant ainsi les patients de soins parfois urgents ou d'interventions, allant jusqu'à provoquer leur décès.

    La panique chez les médecins, toujours couplée aux injonctions politiques, a conduit à priver de soins les personnes en EHPAD et plus généralement les personnes âgées. Les conséquences de ce phénomène sont aujourd'hui connues : nombre d'entre elles sont décédées dans le plus grand dénuement affectif, d'autres ont connu des altérations irréversibles de leurs fonctions cognitives ou ont perdu en autonomie. Les personnels soignants font état de cette évolution catastrophique à grande échelle.

    Comme l'a affirmé en substance le professeur Raoult, un médecin qui a peur ne peut pas soigner, il doit changer de métier.

    Les patients ont évité de consulter et on estime à 30 000 le nombre de cancers non dépistés en se basant sur le nombre habituel moyen de dépistage.

    Les hôpitaux de jour ont fermé, privant de soins les plus fragiles, en particulier en psychiatrie, et laissant les familles désemparées.

    Les médias ont relayé abondamment ces nouvelles à grand renfort d'images, je pense en particulier à celles de patients transférés par réseau ferré. Ces images inhabituelles ont eu d'autant plus d'impact que leur dimension hypnotique (on cherche à comprendre) crée un cercle vicieux en stimulant les centres de la peur.

    Cette même peur a favorisé des comportements de délation et éveillé chez certains des vertus de justicier. Une de mes patientes s'est vue apostrophée dans une grande surface par une cliente pour avoir toussé « madame quand on a le Covid on reste chez soi ! », un autre a failli en venir aux mains pour un masque mal positionné. De nombreuses personnes soumises à la peur et déconnectées de leur intelligence s'érigent en justicier ou en bon élève qui penserait« je suis dans mon droit, je suis toutes les recommandations officielles.»

    Le conditionnement est renforcé par des distorsions de logique utilisées systématiquement. Parmi les plus fréquentes, on trouve l'abstraction sélective qui consiste dans le fait d'isoler un élément mineur et ne traiter que celui-ci. A titre d'exemple, on mentionnera le cas de cette adolescente décédée et les cas de Kawasaki chez l'enfant, qui cultivent auprès du plus grand nombre l'idée que le virus concerne indifféremment toutes les classes d'âge. La généralisation va généralement de pair avec l'abstraction sélective: un détail particulier vient couvrir tous les faits. (« le virus tue les jeunes »). On pourrait conclure selon la même logique qu'il faut abandonner le vélo car il est mortel, que l'on soit cycliste amateur ou professionnel.

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  13. Ce conditionnement à la peur, qui a fait prendre de si mauvaises décisions, a été couplé à une culpabilisation majeure et incessante. Celui qui ne respecte pas les consignes est responsable de l'aggravation des consignes restrictives, de la poursuite de l'épidémie, de la mort de ses proches. Cette culpabilisation se poursuit aujourd'hui au moyen de messages martelés dans tous types de médias intimant de ne pas embrasser ses proches ou recommandant des barbecues masqués entre amis car nous sommes des personnes responsables. Il faut protéger les plus fragiles, message louable mais cynique car il a conduit à infliger à nos aînés le pire, la privation de contacts et de soins.

    Le détournement du sens des mots et l'introduction de mots nouveaux. Le chef de l'État a déclaré que nous étions en guerre. Nous n'avons jamais été en guerre mais cela a permis de faire passer facilement le principe de l'état d'urgence et d'imposer toutes les mesures sans concertation. De même une sémantique inconnue a progressivement colonisé notre langue pour devenir aujourd'hui banale. Il en est ainsi du cluster. Qui connaissait le mot ? A n'en pas douter peu d'entre nous. Le cluster s'est imposé et il est devenu une menace, un autre stimulus de la peur, car il semble savant donc « sachant ». Il ne désigne pourtant qu'un foyer de contagion (il existe d'autres significations en musique, informatique etc). Dans ce registre on peut également noter la confusion entretenue sciemment entre « cas positifs » et « malades ». Ne pouvant continuer à nous conditionner en égrainant quotidiennement les nombres des malades ou des victimes décédées, ces derniers diminuant, le chiffre des cas positifs est substitué, entretenant ainsi le sentiment de peur.

    Actuellement, on continue à nous maintenir dans l'idée d'une épidémie de cas positifs, sans victime, sans malade.

    D'autres mécanismes sont également employés

    Le mensonge ou l'action volontaire de tromper. Mensonge sur la disponibilité des masques, sur leur utilité qui n'est pas prouvée (des études allemandes rapportent même des effets délétères du port du masque généralisé- présence de microplastiques ; le système européen RAPEX a rappelé 70 modèles de masques car ils ne répondaient pas aux normes de qualité de l'UE et pouvaient entraîner des « risques graves »), sur leurs commandes, mensonge sur la létalité du Covid (CDC aux USA par exemple), sur l'action de l'hydroxychloroquine (HCQ) et sur ses effets secondaires (Carlucci et al, mai 2020). Nous sommes pour cela moqués par les Africains qui utilisent couramment cette molécules (nos soldats également) et chez lesquels l'usage généralisé n'a pas entraîné l'hécatombe promise et a même peut-être permis de limiter les décès. Mensonge sur la nécessité d'un vaccin (on ne vaccine pas une population contre un virus à létalité faible). Pour plus de détails, les études référencées et leurs résultats figurent sur le site de Swiss Policy Research.

    La suppression de toute voix divergente. La voix la plus connue en France est celle du Professeur déjà nommé. Difficile de l'entendre en dehors de sa chaîne IHU Marseille ; mais si on lui prête parfois la figure d'un original, il est en réalité loin d'être le seul à avoir des opinions qui divergent des positions officielles. De nombreuses études, dans différents pays, concluent à l'inutilité voire la nocivité des masques en extérieur, remettent en question le taux de mortalité du virus etc ...sans se prononcer ici sur la pertinence de ces positions, reconnaissons qu'il est anormal que toute voix divergente soit inaudible ou discréditée d'entrée et qu'il faille vraiment chercher pour y avoir accès !

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  14. L'étiquetage. Toute personne ayant un avis divergeant est suspecté de complotisme, de liens avec l'extrême droite. Ce procédé permet de faire l'économie d'une réflexion pourtant indispensable ; il est décrété sans analyse aucune ni réflexion que untel est complotiste. Votre intelligence est laissée de côté.

    La fausse bienveillance ou injonction paradoxale. Elle consiste à lier deux propositions qui empêchent toute décision et elle paralyse l'action. Par exemple il est laissé à l'appréciation de chacun de porter le masque à l'extérieur dans certaines villes mais un plan de reconfinement est déjà prêt si l'épidémie repart. Ce procédé, bien connu des psychiatres, est un procédé qui rend fou.

    Si vous le couplez au grand niveau d'incertitude entretenu volontairement sur la suite de l'épidémie, vous devenez diabolique.

    Prédire certains aspects de l'avenir. Malgré l'incertitude savamment orchestrée, dès le début de cette crise, il a été dit que l'épidémie allait durer, que la rentrée de septembre ne se ferait pas normalement, et, surtout, le mythe du « monde d'après » a été développé et entretenu. C'est là un autre aspect de la manipulation mentale, du lavage de cerveau ou de la propagande. Je vous dis que nous sommes entrés dans le monde d'après, (ceci est rabâché à l'envi), dès avril ou mai. Quoi que l'on fasse, quoi qu'il se passe, le monde d'avant aura disparu. Le maintien des mesures de privation de liberté me donnent raison.

    Ceci est une insulte à l'intelligence puisque la prophétie, par les mesures prises, s'auto-vérifie : malgré des chiffres officiels très bas de décès et de passage aux urgences (voir geodes santé publique France), le maintien de la distanciation sanitaire et du port du masque maintient l'idée de l'épidémie.

    Nous sommes préparés à des mesures restrictives « jusqu'à la vaccination ». Aucune autre voie de sortie ne semble envisageable.

    La sanction permet de rappeler à l'ordre ceux qui n'auraient pas été suffisamment sensibles au conditionnement. Et les chiffres montrent que le procédé a été largement utilisé en France. Le niveau de verbalisation a été important, plus d'un million d'amendes ayant été appliquées pendant le confinement.

    Le cocktail conditionnement à la peur, culpabilisation, sanction est extrêmement efficace.

    Quelles conséquences ?

    Les mesures prises ont laissé notre économie exsangue. Or, les pertes d'emplois et les faillites ont toujours été accompagnées d'une épidémie de suicides.

    Le nombre de morts par suicide, par manque de soins, par absence de dépistage, par tristesse seront-ils décomptés ? Combien verrons-nous de deuils compliqués, séquelles de mesures inhumaines interdisant tout rassemblement ?

    Selon certaines prospectives, les mesures prises feront bien plus de morts que le virus. Nous restons dans une incertitude cultivée, avec une population clivée entre pro et anti-masques. Ce climat est délétère et favorise la violence et l'émergence des redresseurs de torts ; la privation de liberté favorise également la violence.

    Que faire ?

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  15. A titre individuel, il est difficile de lutter contre cette propagande. Nous voyons que l'usage immodéré des outils de communication ici évoqués de façon non exhaustive ne nous permet pas une grande marge de manœuvre. Mais rien n'empêche de bannir les chaînes d'information continue qui activent en permanence la peur. Personne n'est contraint d'écouter les chaînes principales d'informations acquises à des grands groupes, il est possible à chacun de trouver des sources d'information alternatives auprès de journaux indépendants, en ligne principalement, et nous pouvons, professionnels de santé, nous regrouper pour dénoncer l'absence de concertation.

    Nous pouvons apprendre à ne pas croire tout ce qui est dit ou montré à la télévision. Les techniques de manipulation dans ce domaine sont pléthore (voir par exemple sur Swiss Policy Research).

    L'humanité n'en est ni à son premier, ni à son dernier virus. Les virus sont omniprésents, nous en hébergeons en permanence. La seule nouveauté réside dans les comportements humains mis en œuvre pour se protéger du Covid.

    Quelle que soit la dangerosité d'un agent, viral ou autre, rien ne peut justifier dans une démocratie le confinement contraint d'un peuple. On peut faire de la pédagogie, de l'éducation, de l'information. Mais actionner le volet répressif, appliquer des mesures coercitives privatives de liberté en vertu du principe de précaution ou de n'importe quel autre principe, sans preuve dans notre cas de l'efficacité de telles mesures, est catastrophique sur le plan humain. Cela participe à la déshumanisation de notre pays (autrui est suspect de vous contaminer, vous vivez masqués et muselés, les lieux de réjouissance restent fermés, ceux qui sont ouverts le sont parfois selon des horaires définis de façon incompréhensible, confinant à l'arbitraire...). Mandat est donné aux élus de protéger les citoyens, pas de les bâillonner ou de les priver de leurs moyens de subsistance.

    Si le virus fait de nouvelles victimes, et il en fera dans les populations fragiles dès l'automne comme le font les virus chaque année, on pourra dire que celui qui n'a pas appliqué strictement les consignes est fautif. Le confinement vous menace. On vous infantilise.

    Si le virus disparaît, ce qui est peu probable car les coronavirus alternent mais ne semblent pas disparaître, le gouvernement pourra se féliciter d'avoir bien agi.

    Dans tous les cas de figure, il sort vainqueur de la crise. Et s'il redéfinit l'épidémie comme étant un grand nombre de personnes testées positives, quelle issue peut-on imaginer à cette crise ?

    Ces techniques de manipulation mentale sont dignes des régimes totalitaires. Ce qui se profile, et ce à quoi on nous prépare, c'est le traçage, le passeport sanitaire, voire une obligation ou une forte incitation à la vaccination, des restrictions encore plus importantes de nos libertés individuelles.

    Le Covid peut constituer un coup d'essai. Il permet à ce jour de mesurer la docilité du peuple, son pouvoir de rébellion.

    Quand un Etat décide du bonheur de son peuple et qu'il le juge incapable de décider par et pour lui-même, la voie est ouverte à la dictature (ici sanitaire) ; tous les signes semblent être présents : la rhétorique, les moyens de contrainte, l'annonce du monde d'après.

    Nous devons nous poser la question du type de société que nous voulons créer. Celle du tout sanitaire et du risque zéro me paraît constituer la pire des options car, d'une part, elle esquisse la voie de moyens de contrôle de toute la population, de restrictions de plus en plus grandes de nos libertés fondamentales et institue un délire paranoïaque à grande échelle, et d'autre part est un non-sens ou une négation ontologique. »

    Dr Frédéric Badel
    Source de l'article initialement publié le 7 septembre 2020 sur Covidinfos.net

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  16. Poursuivons maintenant avec les informations supplémentaires annoncées en début d'article. La culpabilisation, le conditionnement et le mensonge propres à l'ère Covid atteignent des niveaux sans doute jamais atteints et participent d'un certain nombre de mécanismes, notamment celui utilisé par les médias.

    La propagande et le langage dans les médias

    Le langage pauvre, abêtissant et mensonger du journalisme moderne agit sur nous comme un vrai sortilège : sa force est celle d'une répétition hypnotique et assurée. Et l'on finit par croire que ce que nous entendons dépeint la réalité, que les opinions que nous émettons sont bien les nôtres. Pour se dépolluer de l'intoxication médiatique, celle qui semblerait presque pouvoir remplacer notre conscience par un ersatz de conscience, on pourra prendre connaissance des processus et des techniques de propagande et de désinformation avec les articles suivants :
    Dans les méandres de la désinformation : ces criminels qui cachent la réalité

    Désinformation

    Il faut apprendre à voir la désinformation
    Propagande et journalisme du silence
    Petit cours de décryptage de techniques de propagande
    De la propagande et de la liberté d'expression
    L'insidieux pouvoir de la propagande

    En conclusion de son passionnant ouvrage, La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux écrit ceci :

    « La classe dominante considère qu'il est plus facile de garder sous contrôle une société d'idiots que de gouverner un peuple intelligent. Mauvais calcul. Car les masses abêties, illettrées et incultes ne restent pourtant pas amorphes. Quand on les a privées des lots et de la maîtrise du langage, il ne leur reste rien comme moyen d'expression — pire, comme mode de pensée — que la violence. L'erreur de nos oligarques réside dans le fait de croire qu'une société d'abrutis est un troupeau bêlant, docile et calme, alors que c'est une meute d'individus féroces, en guerre perpétuelle les uns contre les autres [...] L'illettrisme entraîne la violence, et l'insécurité appelle la tyrannie. Le système qui, par son œuvre éducatrice (scolaire et médiatique), se targuait d'engendrer des personnes libres et responsables, pétries des idéaux les plus nobles, s'écroulera donc sous les coups de ce qu'il a lui-même produit, en réalité : un gibier de dictature. »

    La Langue des médias - Ingrid Riocreux Agrégée de lettres et Maître de conférences à l'université, Ingrid Riocreux a jeté avec cet essai passionnant un pavé dans la mare médiatique. Selon elle, les médias décryptent, analysent et orientent l'actualité selon un canevas idéologique. Le propos d'Ingrid Riocreux est dense, corrosif et brillant. L'auteur nous explique plus en détails en quoi les enjeux manichéens voulus par une certaine partie de la presse ouvre un débat profond sur la démocratie et le libre arbitre. C'était déjà très vrai lors de la parution de son livre en 2016, ça l'est encore plus aujourd'hui, à l'ère du Covid.

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  17. On pourra préciser que la classe dirigeante tire aussi profit de la violence, même si celle-ci est difficilement contrôlable : n'est-elle pas le prétexte parfait à une utilisation accrue de cette même violence, et cette fois-ci à l'égard de tous ? L'intelligence du peuple est bien plus dangereuse : elle seule permet de remettre en cause fondamentalement la légitimité du pouvoir acquis et exercé par une minorité, au détriment de la majorité.

    Ingrid Riocreux évoque aussi la manière dont est présentée l'information ; toutes les médias mainstream utilisent le même discours dans un mimétisme devenu maladie infectieuse qui se révèle, à cause d'une information contaminée, un réel handicap pour l'ensemble de la société :
    « De même que l'homme de la rue répète les commentaires du match comme s'ils émanaient de sa propre analyse, de même il répétera les formules creuses sur le vivre-ensemble, le danger de l'extrême-droite, l'islam-religion de paix, les bienfaits de l'Europe, etc. Il n'en sait rien, mais on le dit, donc il le dit. Et si c'était là le discours dominant dans les médias, il reprendrait avec tout autant de conviction des slogans sur le complot juif, le danger de l'islam, l'infériorité de la race noire, etc.

    Sans plus de réflexion, au nom d'un plaisir au demeurant tout à fait compréhensible, celui que procure l'harmonie de l'uniformité. Délice de se fondre dans la perfection extatique d'un chœur à l'unisson, assorti de cette étrange certitude que la voix de la majorité est nécessairement celle de la raison [...] Il faut ajouter ici que le mouvement actuel de discrédit des médias de masse ne change rien à l'affaire : par rejet de la parole journalistique, beaucoup se mettent à penser systématiquement le contraire de ce que dit le Journaliste, et cette pensée anti-médias est tout aussi homogène et irréfléchie que le pré-pensé médiatique. C'est encore un effet de l'uniformité du discours des journalistes. »
    Edward Bernays et la propagande moderne

    Puisque les médias s'expriment « dans la perfection extatique d'un chœur à l'unisson », il est légitime de s'interroger sur la provenance de cette « harmonie de l'uniformité » qui est la leur. Romaric Thomas écrivait dans un article que nous avons publié en 2014 ce qui suit :
    « Edward Bernays reconnaissait la qualité de faiseur d'opinion à toute personne investie d'une autorité politique, économique ou sociale. Il lui paraissait évident que « si l'on entreprenait de dresser la liste des hommes et des femmes qui, par leur position, sont ce qu'il faut bien appeler des ‟faiseurs d'opinion", on se retrouverait vite devant la longue kyrielle des noms recensés dans le Who's Who. ».

    Mais il avait tendance à voir dans ces autorités officielles les relais, conscients ou non, d'« hommes de l'ombre » dont « le pouvoir est parfois flagrant [...] Généralement, on ne réalise pas à quel point les déclarations et les actions de ceux qui occupent le devant de la scène leur sont dictées par d'habiles personnages agissant en coulisse. »
    Concernant Bernays, lire les indispensables articles suivants :

    La propagande, où les fondements idéologiques de la théorie de la manipulation de l'opinion publique

    Comment manipuler l'opinion en démocratie

    L'image est l'outil privilégié des médias parce qu'elle se passe de la médiation du cerveau pour opérer directement sur les tripes. Or l'image, destinée aux masses, peut être sujette à toutes les manipulations.

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  18. Au XXème siècle, « progrès » oblige, les techniques de désinformation se sont perfectionnées. Notons d'ailleurs qu'elles sont nées en démocratie avec le petit ouvrage d'Edward Bernays Propaganda et son sous-titre, Comment manipuler l'opinion en démocratie. La création par ce monsieur du « conseil en relation publique », en fait la langue de bois et sa fonction double :
    Amplifier le pouvoir idéologique, et
    Permettre de participer momentanément au pouvoir et montrer qu'on est digne d'y participer davantage.

    Dans sa Petite histoire de la désinformation, Vladimir Volkoff précise ce qui suit :
    « la langue de bois ne signifie rien. Pour ceux qui en comprennent le sens codé, elle signalise ; pour ceux qui essaient de la prendre à la lettre, elle mystifie. »
    Durant le même siècle, la doctrine du RAP (Renseignement, Action, Protection) a été élaborée. L'idée — très orwellienne — est de pénétrer la pensée de l'adversaire, de réussir à penser à la place de l'opinion publique, notamment en provoquant une psychose et ainsi favorisant l'auto-désinformation. La puissance de ce procédé augmente d'autant plus qu'il se prolonge dans le temps. Une nouvelle réalité est construite par les ingénieurs sociaux et se pérennise.

    D'après Volkoff, la puissance d'impact du sensationnel vient de son manichéisme et de l'ancrage dans l'inconscient du spectateur qu'elle entraîne, amplifiée par la répétition et la quasi-impossibilité à corriger une information fausse. Il suffit qu'à la source de l'information se trouve un groupe d'influence ayant intérêt à désinformer. Nous nageons dès lors en pleine ingénierie des perceptions :

    « en psychocratie, la vérité ne compte pas, à la limite elle n'existe pas, n'existe que ce que l'on fait croire aux gens ou, mieux encore, ce qu'on leur fait croire qu'ils croient. »
    Les techniques de manipulation détaillées dont il est question dans cet article sont d'ailleurs les mêmes que celles utilisées par une secte, voir notre infographie ci-dessous :

    La désinformation s'inscrit cependant dans un registre plus large, la guerre de l'information. Cette guerre comprend trois aspects :

    Savoir soi-même ;
    Empêcher l'autre de savoir ;
    Lui faire tenir un savoir corrompu (désinformation et influence).

    A l'heure d'Internet et de la cybernétique, Volkoff (dans son livre publié en 1999) juge le potentiel technique de désinformation — en particulier par l'image — illimité. Les deux cibles privilégiées sont les jeunes et les femmes. Les moyens techniques utilisés sont donc prioritairement les magazines, débats, interviews, spots. Comme modèle anthropologique, les maîtres désinformateurs cherchent aujourd'hui à imposer l'égalitarisme sous couvert de tolérance. Pour Volkoff, le droit-de-l'hommisme œuvre dans ce sens. Il repose sur deux notions abstraites :

    Le droit, qui ne prend sens que dans une collectivité donnée, et
    La notion d'homme, qui implique plus des devoirs que des droits.

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  19. En généralisant, le droit-de-l'hommisme dénature. Et pour rappel, la généralisation est un procédé de désinformation. Dès lors, que faire ? Volkoff incite à la cohésion de groupe et au tri méticuleux de l'information. Ce qui reste limité... Mais comme chez Laurent Mucchielli — sociologue français qui a orienté ses travaux vers la sociologie de la délinquance et des politiques de sécurité — la lecture de l'ouvrage de Volkoff, ancien agent de renseignement, donne les clés du décodage de diverses techniques de manipulation par exposé des mécanismes de la désinformation. Deux citations de Volkoff :

    « Il faut garder bien présent à l'esprit que la désinformation ne s'adresse qu'en surface à l'intelligence du public qu'elle prétend induire en erreur ; en profondeur, elle s'adresse à sa sensibilité à tous les niveaux : au cœur, aux tripes, au bas-ventre, les passions étant toujours plus fortes en l'homme que les convictions. »

    « Le cerveau se méfie par nature ; par nature, le cœur et les tripes s'émeuvent, et il est vrai que la charge émotionnelle d'une image, surtout en couleurs, surtout animée, est plus forte que l'expression verbale correspondante. [...] l'image, davantage que le mot, s'adresse aux masses : elle est facile à percevoir, facile à reproduire, et elle devient aussitôt un sujet de conversation. L'article doit être lu, ce qui va prendre au moins quelques minutes ; l'affiche ou l'image télévisuelle sont instantanées ; l'article que vous lisez n'est donc pas tout à fait celui que je lis, tandis que la même image est imposée simultanément à des téléspectateurs innombrables et contribue immédiatement à leur massification, ce qui les prive aussitôt de leurs défenses naturelles contre l'illusion. »
    Neuro-Esclaves et Conscience

    L'exploitation de l'homme à travers la domination d'une élite se joue essentiellement sur des instruments juridiques, psychophysiologiques et économiques. Reconnaître leur musique est l'unique solution pour échapper à ceux-ci, pour garder notre liberté, ou la recouvrer enfin.
    Sur les explications relatives aux processus chimiques à l'œuvre dans le cerveau, le rôle du système limbique, des neurones-miroirs, etc. afin de décrypter comment la manipulation procède sur les opérateurs cognitifs des sujets, je renvoie aux très complètes explications des Italiens Marco Della Luna et Paolo Cioni dans leur livre passionnant Neuro-esclaves - Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse .

    À propos de ce livre, quelques précisions concernant cerveau et manipulation :
    « Les personnes qui développent et réussissent à maintenir l'efficacité des réseaux neuronaux d'auto-contrôle et d'auto-domination concentrée dans les lobes frontaux, sont moins vulnérables aux actions de conditionnement et de manipulation, parce que plus consciente et moins réactive, mieux stabilisée dans la lucidité. Les personnes moins développées dans ce sens sont par contre plus pénétrables car moins capable d'espacer les stimulations.

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  20. L'homme est d'une part le divisé semi- inconscient, la marionnette des circonstances et des suggestions que nous avons examinées dans le chapitre précédent, et d'autre part, il est capable de sortir de cette condition car il peut modifier, développer son cerveau et ses propres compétences. Une réalisation qui n'est possible qu'au prix d'application et d'efforts. Évidemment, l'homme est aussi susceptible de perdre ses facultés, de les atrophier, de rétrograder. Il peut aussi introduire cette potentialisation, cette dégradation, chez autrui. Une école qui n'oblige pas ses élèves aux efforts de l'attention, de la mémorisation, de l'autocontrôle, de la répétition, etc. n'est pas une bonne école, compréhensive, démocratique, qui intègre, mais plutôt une école qui atrophie le potentiel de l'être humain. »
    Ainsi, avec un entraînement adéquat, il devient possible d'améliorer sa propre condition. Se rendre plus conscient, des mensonges, de la désinformation. Mais on aura aussi réalisé que la vigilance constante reste de mise, car la régression est possible, et même probable, si l'on ne reste pas « à l'affût », sachant que les manipulations, quelles qu'elles soient, mutent et deviennent toujours plus subtiles. Impossible de s'endormir, donc...

    Les auteurs poursuivent un peu plus loin :
    « Le propagandiste ne doit pas se limiter à modifier les croyances et les valeurs des personnes, il doit les inciter à participer irrationnellement à une action dont elles ne connaissaient ni le contrôle, ni les véritables objectifs, dans une atmosphère non pas de réalité mais d'adhésion à un mythe, une adhésion non pensante ou en tout cas non pensante de manière autonome. Dans la société moderne, celui qui agit n'est pas celui qui pense.

    Selon Emull, c'est l'action qui crée l'idéologie et non pas le contraire. Toute affirmation doit être péremptoire et simple. En particulier, l'enracinement du mythe et le déclenchement de réflexes conditionnés peuvent être accompagnés d'un travail de préparation psychologique sur les groupes activistes de la part du propagandiste afin que l'action de masse s'opère au moment venu. Par mythe, nous entendons une vision partagée, identifiante, exaltante et holistique (explicative du monde et de l'homme, et en même temps théologique) — comme il en a été des visions léninistes, maoïste, national-socialiste et fanatico-religieuse. Étant donné que l'homme est en réalité un « divisé », qu'il a une structure semi-assemblée, subsistante comme un ensemble de contradictions, de tels mythes peuvent être enracinés efficacement chez une personne, même en présence de valeurs contraires. »

    Et l'on comprend que les comportements pathologiques puissent infecter, « s'attraper », se répandre comme un virus, alors même que l'on s'en croyait protégé. Voir à ce sujet nos Focus sur le Wétiko :

    Le virus du wétiko - La plus terrible des pandémies connue de l'humanité
    L'insatiable cupidité d'une économie tentaculaire - Une étude de cas du virus du wétiko
    Fiction ou réalité ? « Les parasites de l'esprit » ou la description du wétiko dans le classique de science-fiction de Colin Wilson

    On réalise aussi que notre passivité, « aussi bien informée qu'elle puisse être », ne nous protège pas des forces, très actives elles, qui n'œuvrent manifestement pas pour le bien de l'humanité ; on réalise que nous sommes également responsables des mensonges, de la force avec laquelle ils atteignent nos consciences et s'y répandent, à l'échelle individuelle, à l'échelle d'une nation, à l'échelle du monde entier.

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  21. Dans son livre L'histoire secrète du Monde, Laura Knight-Jadczyk écrit ceci :
    « Notre univers paraît être composé de matière/énergie et de conscience. La matière/énergie telle quelle "préfère", semble-t-il, l'état chaotique. La matière/énergie telle quelle n'a pas même un concept de "création" ou "d'organisation". C'est la conscience qui donne vie à ces concepts et par son interaction avec la matière, elle pousse l'univers soit vers le chaos et la dégénérescence, soit vers l'ordre et la création.

    Ce phénomène peut être mis sous forme de modèle mathématique et simulé sur un ordinateur utilisant la Théorie Quantique des Evénements. Est-ce que la Théorie Quantique des Événements donne un modèle fidèle de l'interaction de la conscience avec la matière? Nous ne le savons pas. Mais il y a des chances pour que ce soit le cas, parce qu'elle semble décrire les phénomènes plus correctement que la mécanique quantique orthodoxe ou ses théories rivales (Mécanique Böhmienne, GRW, etc.)

    Ce que nous apprenons de la Théorie Quantique des Événements peut être dit simplement comme suit : Appelons notre univers matériel "le système". Le système est caractérisé par un certain "état". Il est utile de représenter l'état du système par un point dans un disque. Le point au centre du disque, son origine, est l'état de chaos. Nous pourrions aussi le décrire comme "Potentiel Infini". Les points sur le bord représentent les "purs états" d'être, c'est-à-dire des états de "connaissance pure, non floue". Entre les deux il y a des états mitigés. Plus l'état se rapproche du bord, plus pur et plus « organisé » il est.

    Un "observateur", une "unité de conscience", extérieur, se fait une idée - peut-être exacte, peut-être fausse, peut-être entre les deux- de l'état réel du système, et observe le système avec cette "conviction" au sujet de son état. L'observation, si elle se prolonge, a pour résultat que l'état du système « saute ». C'est dans ce sens qu'on crée sa propre réalité ; mais comme toujours, le diable est dans le détail. Les détails sont que l'état résultant de l'observation du système peut être plus pur ou plus chaotique, cela dépend de la "direction" du saut. La direction du saut dépend de l'objectivité de l'observation : dans quelle mesure l'observation est proche de la réalité de l'état.

    D'après la Théorie Quantique des Événements, si les attentes de l'observateur sont proches de l'état réel du système, le système saute, le plus souvent, vers un état plus organisé, moins chaotique. Si d'autre part les attentes de l'observateur sont proches de la négation de l'état réel (c'est-à-dire quand les convictions de l'observateur sont plus proches du faux que du vrai par rapport à l'état REEL - la réalité objective) alors l'état du système va sauter vers un état plus chaotique, moins organisé. En outre, ce saut prendra, selon la règle, beaucoup plus de temps.

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  22. Autrement dit, si la connaissance de l'observateur à propos de l'état réel, est proche de la vérité, alors l'acte d'observation et de vérification en lui-même provoque promptement un saut et l'état résultant est plus organisé. Si la connaissance de l'observateur à propos de l'état réel est fausse, alors cela prend en général très longtemps pour provoquer un changement dans l'état du système, et l'état résultant est plus chaotique. Ce que cela signifie c'est que de l'ordre peut être tiré du chaos grâce à l'observation de ce chaos tel qu'il EST et non pas en prétendant qu'il en est autrement. En résumé, celui qui "croit" en la possibilité de "créer une réalité" différente de ce qu'elle EST, augmente le chaos et l'entropie.

    Si vos convictions sont perpendiculaires à la vérité, même si elles sont inébranlables vous êtes fondamentalement en conflit avec la vision que l'univers a de lui-même, et je peux vous assurer que ce n'est pas vous qui allez gagner. Vous attirerez la destruction sur vous-même et sur tous ceux qui se livreront avec vous à ce genre d'exercice de « bras de fer » avec l'univers. D'autre part, si vous êtes capable de voir l'univers comme il se voit lui-même, objectivement, sans cligner des yeux et en l'acceptant, vous vous alignez alors sur l'énergie créatrice de l'univers et votre propre conscience devient un transducteur d'ordre. Votre énergie d'observation, accordée de manière inconditionnelle, peut apporter l'ordre dans le chaos, peut créer à partir d'un potentiel infini. »

    De façon plus pragmatique, appliqué aux évènements actuels qui secouent notre pays, une question vient à l'esprit : dans quelle direction « l'état du système » va-t-il sauter, ici, en France ? Ce qui arrive, ce qu'il en est dit, montré, interprété, à grand renforts « désinformatifs », à l'échelle d'une population entière, tout cela nous permet-il d'avoir une connaissance du réel plus vraie ou plus fausse ? Où cela pourra t-il nous mener, de ne pas avoir su déchiffrer les signes, pourtant révélateurs, du mensonge et de la manipulation ?

    Rappelons également l'origine de cette manipulation. Quel type d'individu bénéficie du mensonge ? Quel genre de personne est-elle prête à mentir encore et encore, sans en ressentir la moindre culpabilité ? Qui orchestre ce type de désinformation ?

    Une seule réponse : les psychopathes. Et c'est bien elle, la psychopathie, qui équivaut au virus du Wétiko mentionné plus haut.

    Vous pouvez désormais retrouver tous les articles liés au Covid dans la Catégorie Covid ICI (icône Rubriques à droite du drapeau en haut de n'importe quelle page Sott).

    Articles liés à la manipulation sous l'ère du Covid :

    Coronavirus - Le langage comme arme de destruction massive
    Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal
    Leçon du jour - Comment créer une fausse pandémie
    Tour de contrôle à la planète en confinement : Ce n'est qu'un test
    Coronavirus : les clés pour reconnaître une opération mondialiste
    Les sept étapes pour le passage d'une pandémie à un totalitarisme

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  23. Covid-19 et confinement — Le conte de fées pour adultes immatures diverge de la cruelle vérité
    Un officiel allemand divulgue un rapport dénonçant le coronavirus comme une « fausse alerte mondiale »

    À lire absolument — Coronavirus : le va-tout du Nouvel Ordre Mondial
    Fraude et imposture — Les tests Covid ou l'outil de contrôle indispensable « pour sauver le monde » transformé en Virusocratie

    L'hystérie collective du Covid-19 et le « processus alchimique de l'humanité »
    Selon l'ancien président de la commission Covid du Collège royal des médecins et chirurgiens : « C'est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance »
    Les graves conséquences neurologiques à vivre dans une peur perpétuelle
    Bienvenue en Covidie — Tenter de comprendre la nouvelle réalité d'un monde qui enterre l'ancien

    https://fr.sott.net/article/36341-L-ere-du-Covid-Decryptage-des-techniques-de-manipulation-mentale-dignes-des-regimes-totalitaires-servies-par-une-technologie-diaboliquement-efficace

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    1. (...) La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux écrit ceci :

      « La classe dominante considère qu'il est plus facile de garder sous contrôle une société d'idiots que de gouverner un peuple intelligent. Mauvais calcul. Car les masses abêties, illettrées et incultes ne restent pourtant pas amorphes. Quand on les a privées des lots et de la maîtrise du langage, il ne leur reste rien comme moyen d'expression — pire, comme mode de pensée — que la violence. L'erreur de nos oligarques réside dans le fait de croire qu'une société d'abrutis est un troupeau bêlant, docile et calme, alors que c'est une meute d'individus féroces, en guerre perpétuelle les uns contre les autres [...] L'illettrisme entraîne la violence, et l'insécurité appelle la tyrannie. Le système qui, par son œuvre éducatrice (scolaire et médiatique), se targuait d'engendrer des personnes libres et responsables, pétries des idéaux les plus nobles, s'écroulera donc sous les coups de ce qu'il a lui-même produit, en réalité : un gibier de dictature. » (...)

      Faux ! Entièrement faux ! Il est plus facile de guider des cons que des personnes intelligentes ! Les cons se battront avec leurs poings, leur absence de cerveau pour définir des stratégies, seules les personnes intelligentes voire surdouées peuvent tenir tête aux 'hommes de l'ombre' et même à les surpasser car, dans cette '5ème colonne' du Deep State ce ne sont pas les génies qui se bousculent !!

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  24. On annonce un hiver sombre: le vrai plan est pour une année sombre, une décennie sombre et un siècle sombre


    Par Gary D. Barnett
    28 novembre 2020


    «Toutes les institutions politiques sont des manifestations et des matérialisations du pouvoir; ils pétrifient et se décomposent dès que le pouvoir vivant du peuple cesse de les soutenir.
    ~ Hannah Arendt

    Il est évident que depuis longtemps, des plans pour parvenir à une prise de contrôle mondiale de l'humanité sont en cours. Pour atteindre un objectif aussi élevé, il fallait que par la peur, la prise de contrôle psychologique de l'esprit du public soit poursuivie. Une fois qu'un tel effort de contrôle mental de masse a pu être provoqué et soutenu contre la majorité des gens, le complot de la «Grande Réinitialisation» pourrait aller de l'avant sans trop de restrictions. C’est là où nous en sommes aujourd’hui, mais l’agenda pour l’avenir est de maintenir la société dans l’obscurité non pas pour un hiver, mais pour l’éternité. L’outil utilisé pour cet effort est appelé une «pandémie virale» mortelle, mais en vérité, il s’agit simplement d’une propagande stupéfiante basée sur un mensonge, un mensonge totalement dépendant d’une population faible, ignorante et docile.

    «Dark Winter fait référence à un événement organisé à dessein propagé par le« Johns Hopkins Center for Civilian Biodefense Strategies, en collaboration avec le Center for Strategic and International Studies, l’Analytic Services Institute for Homeland Security et l’Oklahoma National Memorial Institute for the Prevention of Terrorisme." Cela s'est déroulé comme un exercice de simulation de haut niveau destiné à préparer la population américaine aux événements à venir. Ces événements ont été organisés au cours des 19 dernières années, mais ils se jouent maintenant contre nous tous. Ce n'est pas un exercice, mais une réalité. Comme je l’ai dit dans mon article du 18 mai 2020 à Lew Rockwell intitulé «Le PSYOP du coronavirus‘ Dark Winter ’: remettez tout en question et ne vous conformez à aucun ordre du gouvernement:»

    «La seule vraie défense valable pendant cet exercice de tyrannie de masse est le refus total de se conformer à tous les mandats du gouvernement. Nous sommes au cœur de la plus grande opération psychologique (PSYOP) de l'histoire de l'humanité.

    «Le terme le plus récent ciblé sur les masses est la venue du« Dark Winter », qui n'est rien de plus que des mensonges basés sur la propagande destinés à préparer les moutons à une poursuite et une escalade planifiées de cette fausse pandémie afin de provoquer la domination du monde. "

    Il a été brutalement évident que l'hiver dernier a fait beaucoup de mal sous la forme de verrouillages, d'isolement, de fermetures d'entreprises, de pertes d'emplois, de destructions économiques, d'émeutes et de destructions de biens, et de loi martiale médicale. Cela ne s'est pas terminé cependant, après la fin de l'hiver, car la classe politique sous les ordres de leurs maîtres bancaires et corporatifs, a continué avec de nombreux mandats et a affirmé qu'une deuxième et même troisième phase serait bientôt évidente. Cela aurait dû ouvrir les yeux de beaucoup au mensonge sur un «hiver sombre», car il n’était jamais censé prendre fin. Cet hiver ne sera que le début de temps sombres continus, à moins qu'une poussée de masse et une dissidence de masse ne se produisent. Une fois que le public américain aura accepté le complot pour un «hiver sombre» comme légitime, cette obscurité sera perpétuelle en raison de la propagande de l’État et des mensonges.

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  25. C’est la période la plus dangereuse de notre histoire, car l’État et ses maîtres sont sur le point de pouvoir manipuler le peuple pour lui faire croire que «normal» est tout ce que l’État prétend être normal. Le retour à la normale a pris fin il y a des mois, et chaque jour apporte un nouveau sens à ce que nous considérons comme une vie normale. Le peuple dans son ensemble devrait contrôler son propre comportement et ses choix de vie, pas une classe dirigeante, mais cette notion a été bouleversée depuis le début de la conspiration d'État «Covid». La résistance, quel que soit le moyen nécessaire, est essentielle si l’on veut retrouver et maintenir une normalité. Il pourrait bientôt être trop tard pour changer le cap dans lequel nous nous trouvons, du moins par des moyens non violents. Plus cette tyrannie pourra s'étendre longtemps, plus il sera difficile de la rectifier.

    Il y aura un «hiver sombre» car les auteurs de cette «pandémie virale» frauduleuse se sont déjà assurés que cette population était écœurée et affaiblie par ces mesures et mandats de verrouillage totalitaire et d’isolement. Ils ont sciemment comploté pour provoquer la destruction du système immunitaire des citoyens par leurs actions politiques. En forçant les gens à fermer leur entreprise, en jugeant que l'activité économique était responsable de la propagation du virus, éliminant ainsi des millions et des millions d'emplois, le stress et la pauvreté créés ont dévasté cette population, les rendant vulnérables à la maladie et à la mort. Maintenant, avec une autre saison de grippe à venir, beaucoup sinon la plupart des gens dans ce pays sont mûrs pour la maladie et l'infection, et cette situation causée délibérément sera exploitée par les classes politiques et dirigeantes perverses afin de contenir et de contrôler la Le pays entier.

    Une fois que cela passera à la prochaine étape prévue de cette fraude, «l’hiver sombre» deviendra le printemps sombre, l’été sombre, puis l’automne sombre; juste à temps pour la prochaine saison grippale. Cette opération est censée être une opération continue et ne se terminera pas sans une grande résistance de la part de la population de ce pays. Ne croyez jamais un seul mot venant de la bouche du gouvernement ou des grands médias, car ceux qui contrôlent ce pays n'ont pas l'intention de permettre à nouveau une normalité.

    La soi-disant vaccination Covid qui sera publiée très bientôt sera un clou mortel dans le cercueil de la liberté, car le corps et l'esprit changent en raison d'un nombre illimité d'agents biologiques, d'ARN messager, de nanoparticules administrées par injection d'hydro gel et d'homme venimeux. fait des virus et des adjuvants, aura la capacité de modifier la santé et le comportement humains. Évitez ces vaccins à tout prix, car à mon avis, ils seront destinés à renforcer le contrôle de la population en général.

    Il y aura de nombreuses tactiques effrayantes à venir afin d'amener ceux qui rechignent actuellement à un vaccin à l'accepter volontairement, y compris éventuellement la libération ciblée de virus de qualité d'armes biologiques. Sachez que cela pourrait facilement faire partie du complot contre l'humanité, et faites tout ce qui est en votre pouvoir pour résister et lutter contre ces monstres gouvernementaux.

    https://www.lewrockwell.com/2020/11/gary-d-barnett/there-is-foretelling-of-a-dark-winter-the-real-plan-is-for-a-dark-year-dark-decade-and-a-dark-century/

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  26. FAUX NUS ET RÉSEAUX SOCIAUX : COMMENT LES ALGORITHMES D'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE TRANSCENDENT LA RÉALITÉ MAIS PAS LE DROIT


    par SACHA BETTACH ET MÉLANIE ERBERT
    30/11/2020


    Publier un montage sans le consentement de la personne est passible de
    15.000 euros d'amende.

    Le mois dernier, une société spécialisée en cybersécurité a publié un rapport dévoilant un réseau de partage sur le réseau social Télégram de photographies de femmes dénudées par un logiciel automatisé.

    Environ 100.000 femmes se sont vues déshabillées virtuellement sur photographie par des techniques de deepfake. Ces photographies ont pour la plupart été utilisées par leurs auteurs anonymes à des fins de chantage à l’encontre des personnes concernées.

    Heureusement, ces nouveaux outils techniques n’empêchent pas le recours à des mécanismes juridiques pour faire cesser la diffusion a posteriori de ces contenus.

    La technologie du deepfake

    Un deepfake est une technique d’intelligence artificielle permettant à l’aide de synthèse d’images de superposer des fichiers entre eux (audio, vidéo, images etc.). Le concept est populaire sur les réseaux sociaux, qui proposent pour la plupart des filtres de reconnaissance faciale permettant de mixer le visage ou la voix de deux personnes par exemple. Le deepfake est souvent utilisé pour des trucages, canular ou à des fins humoristiques par des imitateurs notamment qui prennent l’aspect physique de la personne dont la voix est imitée.

    Il est apparu que cette technique est également souvent utilisée à des fins pornographiques, représentant des personnes à leur insu. Des sextapes (vidéos érotiques) ou revenge porn (pornodivulgation) ont mis en scène le visage de personnes associées à des corps qui n’était pas les leur, laissant alors penser qu’elles étaient actrices de ces vidéos. La plupart du temps, ces vidéos sont publiées sur internet sans le consentement de la personne ou envoyées à la personne concernée directement pour effectuer un chantage.

    Si le montage et la retouche d’images ne sont pas nouveaux, le réalisme permis par l’intelligence artificielle devient problématique. En effet, il est difficilement possible d’identifier si une image de nus est un faux et donc d’identifier si elle porte préjudice à la personne concernée.

    Législation applicable

    La technique de photomontages a toujours existé ainsi que le préjudice lié. Quelle que soit la technique utilisée pour y arriver et effectuer une publication, les outils juridiques sont les mêmes.

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  27. D’une part, le Code pénal prévoit une peine d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende le fait de publier, par quelque voie que ce soit, le montage réalisé avec les paroles ou l’image d’une personne sans son consentement, s’il n’apparaît pas à l’évidence qu’il s’agit d’un montage ou s’il n’en est pas expressément fait mention(1).

    En outre, la loi de 1881 sur la liberté de la presse prévoit également une infraction de diffamation, susceptible d’engager la responsabilité pénale de son auteur, sur la base de laquelle une action civile est souvent engagée. La diffamation étant définie comme « toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation », une action sur ce fondement en cas de publications de photomontages pornographiques serait légitime en tant qu’atteinte au corps.

    Néanmoins, les condamnations à ce titre se font rares. Pourtant elles existent, et les tribunaux ont considéré que les photomontages peuvent bien constituer une atteinte à la réputation et à l’image sur le fondement de la loi de la presse de 1881 (2).

    Sur les réseaux sociaux, la publication d’images controversées et de photomontages est la plupart du temps publique. Il n’en demeure pas moins qu’en cas de publication privée de telles photographies, la diffamation pourrait être caractérisée, cette fois en tant que contravention et non en tant que délit.

    D’autre part, sur le plan civil, il est également possible d’envisager une atteinte à l’image voire aux données personnelles par la diffusion sans consentement d’une photographie de la personne concernée.

    Concernant les mineurs en particulier, le Règlement européen pour la protection des données personnelles (RGPD) prévoit que le consentement des parents d’un mineur âgé de moins de 16 ans est nécessaire avant de publier la photographie du mineur sur internet. La loi pour une république numérique ajoute que les mineurs disposent d’un droit à l’oubli accéléré, leur permettant de demander l’effacement de données problématiques sur des plateformes en ligne, dans les meilleurs délais.

    Néanmoins, les tribunaux peinent à trouver une base légale leur permettant de sanctionner les auteurs de publication de photomontages concernant les mineurs. A titre d’exemple, il a été jugé que le fait d’adresser à un père, par courriel privé, des photomontages à caractère pornographique de sa fille mineure ne peut pas constituer une faute au sens de l'article 1382 du Code civil (nouvel article 1240). En revanche, le fait d’accompagner ce courriel de menaces constitue une faute au sens de l’article 1382 du Code civil, justifiant le dédommagement du préjudice moral du père (3).

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  28. Responsabilités et conséquences

    Par principe, les auteurs de photomontages engagent leur responsabilité à la diffusion de ladite photographie, quel que soit le support. Néanmoins, en pratique, cette responsabilité peut s’avérer difficile à actionner, les auteurs agissant sur les réseaux sociaux notamment sous couvert d’anonymat.

    Il est donc possible dans un second temps et en parallèle d’actionner la responsabilité de l’éditeur du site, voire même de l’hébergeur si ce dernier a été informé du contenu manifestement illicite. L’éditeur dispose d’une obligation générale de surveillance du contenu de son site, alors que l’hébergeur bénéficie d’un régime de responsabilité allégé. Si la distinction entre la définition de l’hébergeur et de l’éditeur génère de multiples débats en jurisprudence, il est à retenir que les juges considèrent la plupart du temps que les réseaux sociaux (comme Facebook ou Télégram) agissent comme hébergeurs.

    Néanmoins, du fait des algorithmes de modération automatisés mis en place ces dernières années par les réseaux sociaux pour détecter des nus ou images violentes, la question du statut des réseaux sociaux pourrait se poser de nouveau, et les juges pourraient renforcer leur responsabilité pour les ériger comme éditeur.

    En tout état de cause, la personne concernée pourra demander à l’auteur et/ou à l’éditeur de la publication et/ou à l’hébergeur de la publication le retrait du photomontage, ainsi qu’un dédommagement au titre du préjudice encouru du fait de la publication.

    En pratique et si l’on est victime d’une telle publication, il est fortement conseillé à la personne concernée par le deepfake, dont un photomontage aurait été publié ou partagé sur un réseau social, dans la mesure où la photographie porte atteinte à ses droits, d’en demander un retrait sans délai à l’auteur et/ou au réseau social.

    1 Article 226-8 du Code pénal

    2 Cour de cassation, 1ère civ., 30 Mai 2006 - n° 04-18.520

    3 Cour d'appel, Versailles, 1ère chambre, 1ère section, 3 Novembre 2016 – n° 14/06867

    http://www.economiematin.fr/news-deep-fake-droit-nu-sexe-intelligence-artificielle-bettach-erbert

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    1. Là, ils cherchent la petite bête ! Les Deepfake ne sont pas le problème car dès lors TOUT LE MONDE peut se défendre d'avoir été filmé et être l'acteur-l'actrice et l'auteur de tel ou tel événement !
      Cela fera bien sûr quelques lignes de plus aux contrats d'artistes qui assureront par écrit que ce sont bien eux ou elles qui figurent dans le film.

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  29. Le Wisconsin pourrait être le premier État à nettoyer pour Trump

    Le recomptage du Wisconsin pourrait être publié ce week-end


    November 28th, 2020


    Officiellement, Biden ne mène que par 20 000 voix dans le Wisconsin (WI), mais apparemment jusqu'à 100 000 votes peuvent être rejetés en raison d'un seul problème, et puis il y a cette étrange tendance dans le décompte….

    - voir graphique sur site -

    Dépôt de votes dans le Wisconsin
    Vote de vidage dans le Wisconsin | VotePatternAnalyse

    Dans la vidéo ci-dessous, Steve Turley admet qu'il est optimiste et utilise malheureusement quelques mots hyperboliques comme «imploser» et le triple mortel !!!. Malgré cela, il parle bien et cite beaucoup de données. Il soutient que le Wisconsin pourrait être le «premier domino à tomber», affirmant que WI n'autorise pas l'envoi de bulletins de vote qui n'ont pas été demandés. Jusqu'à 60 000 bulletins de vote dans le comté de Milwaulkee et 40 000 dans le comté de Dane n'ont jamais été demandés et devraient donc être rejetés. L'Etat doit fournir la demande de candidature pour ces envois par voie de scrutin. Ces deux comtés comptent 800 000 électeurs, soit un quart des 3,3 millions d’électeurs de l’État. La campagne Trump a été obligée de dépenser 3 millions de dollars pour même faire un recomptage partiel. Le recomptage doit être vérifié avant que l'État puisse certifier les votes le 1er décembre.

    h / t à Scott of the Pacific

    Vote du comté de Milwaulkee, Wisconsin, Donald Trump Twitter, Vote Dump Graph.
    Vote du comté de Milwaulkee | Courrier quotidien.

    Les démocrates répondent à ces allégations «sans fondement» par des réunions d'urgence pour modifier les règles de recomptage. Rien à voir ici alors?

    À la suite de cette nouvelle, Trump a re-tweeté un message du président du Parti républicain du Wisconsin, Andrew Hitt, qui a affirmé que les démocrates nerveux de la commission électorale de l'État tentaient par la suite de modifier les règles de recomptage.

    «La commission électorale de la WI, après avoir vu la pétition et les objections de recomptage du président Trump, tente de modifier le manuel de recomptage lors d'une réunion d'urgence ce soir à 18 heures pour rendre les objections plus difficiles à formuler. Cela doit être arrêté », a écrit Hitt.

    Le recomptage aboutira probablement au tribunal
    Le recomptage de Milwaulkee pourrait rapidement se transformer en procès
    Patrick Marley et Molly Beck, Milwaulkee Journal Sentinel

    Adresses des témoins

    Pour être valides, les bulletins de vote par correspondance dans le Wisconsin doivent être présentés dans une enveloppe signée par l’électeur et un témoin et inclure l’adresse du témoin. Dans les cas où les témoins ne fournissent pas leur adresse, les greffiers ont été autorisés à remplir les adresses s’ils connaissaient ces informations en parlant à l’électeur, en parlant au témoin ou en consultant les listes électorales, les bases de données fiscales ou d’autres informations.

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  30. Cette politique a été définie il y a quatre ans sous la direction des républicains de la Commission électorale de l'époque, y compris Stephen King, que Trump a ensuite nommé ambassadeur des États-Unis en République tchèque. Trump n'a pas contesté la politique des témoins de l'État lorsqu'il a remporté de justesse le Wisconsin en 2016, mais il dit maintenant que c'est illégal. Il soutient que seul l'électeur ou le témoin peut écrire l'adresse.

    Les greffiers disent que les témoins oublient souvent de remplir leur adresse ou n'en fournissent pas une partie, comme la ville ou le code postal. Dans de nombreux cas, le témoin est le conjoint de l'électeur et habite à la même adresse.

    Électeurs confinés indéfiniment

    La plupart des électeurs doivent fournir une pièce d'identité avec photo pour obtenir un vote par correspondance, mais ceux qui s'identifient comme détenus indéfiniment ne le font pas. Ce printemps, le greffier du comté de Dane, Scott McDonell, et le greffier du comté de Milwaukee, George Christenson, ont suggéré que les électeurs pourraient se qualifier comme confinés indéfiniment s'ils restaient chez eux en raison de la pandémie de coronavirus.

    Le Parti républicain de l'État a intenté une action en justice et la Cour suprême de l'État a estimé que l'avis était erroné. Les greffiers ont annulé leurs conseils et ont orienté les électeurs vers les directives de la Commission électorale selon laquelle il appartenait aux électeurs de déterminer eux-mêmes s’ils étaient incarcérés pour une durée indéterminée.

    Environ 215 000 électeurs dans tout l'État se sont qualifiés pour une durée indéfinie de l'élection du 3 novembre - contre 72 000 lors d'une élection à faible taux de participation à la Cour suprême de l'État l'année dernière.

    Trump fait valoir que les bulletins de vote devraient être rejetés pour les électeurs qui ont déclaré être incarcérés pour une durée indéterminée s'ils ne remplissent pas les critères.

    Pendant ce temps en Pennsylvanie
    En Pennsylvanie, Turley fait valoir que les républicains de cœur et d'âme sont maintenant galvanisés par les témoins que Trump a présentés et portent cela aux RINO de la fête.

    Parmi les nombreuses allégations de fraude et d’impropriété au sein de l’Autorité palestinienne figurent le courrier très suspect dans les votes qui semblent même ne pas être validés dans certains comtés. Normalement, 1 à 3% du courrier dans les votes seraient rejetés en raison d'un problème concernant le vote. n'était que de 0,3%. Dans le comté de Montgomery, en Pennsylvanie, il n'y a aucune trace d'un seul vote par correspondance rejeté.

    Comme le dit Turley: Il s'agit de la survie du G.O.P. Trump peut-il vaincre le marais républicain et sauver le parti de lui-même?

    Pour référence
    Règles de vote dans différents États américains

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  31. Wisconsin

    Voir les informations COVID-19 de la Commission électorale du Wisconsin pour les électeurs.
    Le vote en bordure de rue est disponible pour tout électeur du Wisconsin immunodéprimé, exposé ou présentant des symptômes du COVID-19. Les électeurs doivent contacter le bureau de leur greffier municipal pour connaître leurs procédures de vote en bordure de rue.
    Tout électeur du Wisconsin qui est actuellement mis en quarantaine chez lui en raison du COVID-19 peut suivre le processus «d'électeur hospitalisé» de l'État. En vertu de la loi de l’État, un électeur hospitalisé ou mis en quarantaine peut désigner un agent (tout électeur qualifié de son choix) pour remettre son bulletin de vote au bureau de son secrétaire municipal. Un guide étape par étape de ce processus peut être trouvé ici.
    Les règles du Wisconsin pour voter pendant Covid autorisent apparemment le «vote en marge».

    https://joannenova.com.au/2020/11/wisconsin-may-be-the-first-state-to-clean-up-for-trump/#more-74454

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  32. MISE À JOUR sur la Pennsylvanie: le juge prédit que Trump gagnera le procès sur les bulletins de vote par correspondance inconstitutionnels


    November 28th, 2020


    Drapeau américain, vol. En Pennsylvanie, il y a deux jours, le juge McCulloch a rendu une ordonnance du tribunal pour arrêter la certification des votes, mais en a maintenant écrit les raisons dans un mémorandum d'avis. Dans un langage extrêmement clair, le juge déclare que les dispositions modifiées concernant l'absentéisme et le courrier en Pennsylvanie étaient inconstitutionnelles et nulles ad initio parce qu'elles contreviennent aux exigences de la Constitution de Pennsylvanie.

    Ordonnance du tribunal de la juge Patricia McCullough.
    Le mémorandum d'avis pour expliquer l'ordonnance du tribunal.

    La raison de l'injonction est «les exigences impérieuses soulevées dans cette affaire qui sont d'intérêt national et national».
    Les pétitionnaires soulèvent des questions qui vont au cœur du processus électoral et impliquent la constitutionnalité de la façon dont les citoyens de ce Commonwealth peuvent voter, non seulement pour les fonctions recherchées par les pétitionnaires, mais aussi pour les fonctions de président et de vice-président de la États-Unis d’Amérique ainsi que des bureaux nationaux, régionaux et locaux.

    «Sans les secours d'urgence ordonnés par cette Cour, il y aurait un risque de préjudice irréparable pour les requérants.

    Juge: Les républicains gagneront probablement un procès électoral en Pennsylvanie
    Icvan Pentchoukov, The Epoch Times

    «Les pétitionnaires semblent avoir établi une probabilité de réussir sur le fond parce que les pétitionnaires ont affirmé que la Constitution ne fournit pas de mécanisme permettant au législateur de permettre l'expansion du vote par correspondance sans amendement constitutionnel», a écrit McCullough.

    Lorsqu'ils se prononcent sur une injonction d'urgence, les juges doivent déterminer si la partie qui a demandé l'injonction est susceptible de gagner l'affaire ou de «réussir sur le fond». McCullough était d'avis que «les pétitionnaires semblent avoir une affirmation viable selon laquelle les procédures de vote par correspondance énoncées dans la loi 77 contreviennent» au langage clair de la disposition de la Constitution de Pennsylvanie qui traite du vote par correspondance.

    Les Plantiff ont souligné que l'État n'avait pas à agir si vite pour certifier les résultats et semblaient l'avoir précipité pour tenter d'éviter une injonction.

    Le juge souligne que le processus de certification n'est pas finalisé.

    La demande d'urgence a souligné que si la Pennsylvanie a terminé le dépouillement des voix et soumis la certification signée à l'archiviste américain, il reste encore un certain nombre d'étapes à franchir pour que le processus de certification formel soit achevé.

    «Bien que les intimés aient tenté de manière proactive d'éviter d'éventuelles mesures d'injonction accordées par cette Cour, les devoirs des intimés en ce qui concerne la finalisation des résultats complets des élections sont loin d'être terminés», indique le dossier.

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  33. Le nombre de votes auquel cela s’applique n’est pas clair (bien que les lecteurs puissent connaître cette réponse). Ce n'est pas un jugement, juste un mémorandum expliquant les raisons de l'ordonnance du tribunal. Les preuves doivent encore être présentées dans leur intégralité. Le juge explique soigneusement à la fin que du mal serait fait en rejetant 7 millions de voix de la population de Pennsylvanie, mais aucun mal n'est fait à attendre jusqu'au 8 décembre (la date de la sphère de sécurité) pour examiner les preuves.

    Il y a de nombreux obstacles à franchir, mais cela permettra aux autres juges de se sentir plus confiants pour prendre des décisions similaires. Il y a un effet d'élan avec une espèce grégaire, et si cet élan laisse entendre que Trump a une chance raisonnable, cela pourrait tellement changer. Soudain, beaucoup plus de joueurs voudront être vus en train d'aider un gagnant «probable».

    Biden a profité de tout cet élan jusqu'à présent grâce à la précipitation des médias à l'oindre. Le cartel des médias a attendu 34 jours en 2000 pour qu'Al Gore poursuive le processus judiciaire, mais l'a déclaré au bout de 10 jours malgré (ou plutôt à cause de) l'énorme bataille juridique à venir.

    h / t Helen D,

    https://joannenova.com.au/2020/11/update-on-pennsylvania-judge-predicts-trump-will-win-the-lawsuit-on-unconstitutional-mail-in-ballots/

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  34. Plus d’un an d’attente: le manque de spécialistes dans cette profession médicale atteint des records


    15:47 28.11.2020
    Par Maria Balareva


    Les orthophonistes sont en sous-effectifs en France, provoquant des délais d’attente pour un rendez-vous qui peut dépasser un an dans certaines régions, selon France Bleu. Ce besoin a été plusieurs fois signalé auprès du ministère de la Santé.

    Alors que le 28 novembre est célébrée la journée nationale de l’accès aux soins en orthophonie, les spécialistes de ce métier expliquent que l'offre de leurs soins «n’est pas suffisante pour répondre aux demandes de tous les patients», relate France Bleu, citant la spécialiste Julie Fombonne-Foray.

    «C'est impossible d'avoir un rendez-vous dans le mois», précise-t-elle, référente en Savoie du syndicat interdépartemental des orthophonistes. «Sur le département de la Savoie, on a des délais qui peuvent aller jusqu'à un ou deux ans selon les zones géographiques».

    Pas «tellement entendus» par les autorités

    Encourageant la population à signer la pétition mise en ligne par la Fédération nationale des orthophonistes, Mme Fombonne-Foray estime que depuis deux ans, les représentants de cette profession signalent «ce besoin, ce manque cruel d’orthophonistes» auprès du ministère de la Santé.

    «On n'a pas beaucoup d'autres solutions que de demander aux patients de patienter, et de nous rappeler régulièrement.»

    Mme Fombonne-Foray pointe la responsabilité des autorités quant au problème du manque de professionnels:

    «Pour l'instant, on n'est pas tellement entendus, et il n’y a pas plus d’orthophonistes qui sortent des centres de formation».

    Subséquemment, certains patients ne reçoivent pas de soins:

    «C’est bien ça qui nous inquiète. Il y a sans doute des situations de soins qui sont différées ou non faites. C'est très compliqué».

    Et de conclure que dans ce cas, ils orientent les patients vers un site spécial afin qu’ils y trouvent des conseils pendant qu’ils attendent leur rendez-vous.

    https://fr.sputniknews.com/france/202011281044847121-plus-dun-an-dattente-le-manque-de-specialistes-dans-cette-profession-medicale-atteint-des-records/

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  35. Un juge de Pennsylvanie soutient les revendications de Trump sur les bulletins de vote par la poste et déclare 'constitutionnel improbable'


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 12:10


    Après qu'un juge de Pennsylvanie a empêché l'État de 'prendre d'autres mesures' pour achever la certification de la course à la présidentielle mercredi - elle a abandonné vendredi un avis détaillé justifiant sa décision, qui conclut que les modifications apportées par l'État aux procédures de vote par correspondance étaient probables. illégal.

    L'ordonnance est actuellement retardée alors que la Cour suprême de l'État examine l'affaire de manière accélérée, qui a été déposée par un groupe de républicains qui ont fait valoir que les modifications apportées par l'État au vote par correspondance, la loi 77, violaient la constitution du Commonwealth.

    La juge du Commonwealth Patricia McCullough a noté dans son opinion que les plaignants "ont établi une probabilité de succès sur le fond" de l'affaire, car "la Constitution ne prévoit pas de mécanisme permettant au législateur de permettre l'expansion du vote par correspondance sans amendement constitutionnel. . "

    «Les pétitionnaires semblent avoir un argument valable selon lequel les procédures de vote par correspondance énoncées dans la loi 77 contreviennent à la section 14 de l'article VII de la Constitution de la Pennsylvanie, car le langage simple de cette disposition constitutionnelle est en contradiction avec les dispositions de la loi 77 sur le dépôt postal. "

    Le juge McCullough ajoute que sans l'injonction d'urgence, les plaignants subiraient vraisemblablement un «préjudice irréparable».

    "Si ce qui pourrait être un processus de vote par correspondance inconstitutionnel demeure en vigueur, ces bulletins de vote par correspondance peuvent faire la différence quant à savoir s'il réussit ou non."

    En bref; Le juge McCullough estime que les changements de dernière minute apportés par la Pennsylvanie aux bulletins de vote par correspondance étaient probablement inconstitutionnels, et s'ils sont autorisés à rester en place, ils pourraient affecter négativement au moins un des plaignants (un membre du Congrès du GOP) lors des prochaines élections.

    https://www.zerohedge.com/political/pennsylvania-judge-backs-trump-says-election-unlikely-constitutional

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  36. Les républicains de Pennsylvanie présenteront une résolution contestant les résultats des élections


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 11:20


    * * *

    Comme Ivan Pentchoukov d'Epoch Times l'a détaillé plus tôt, les législateurs républicains de l'État de Pennsylvanie ont publié une note le 27 novembre, informant qu'ils présenteraient bientôt une résolution pour contester les résultats des élections de 2020.

    La résolution déclare que les branches exécutive et judiciaire du gouvernement de l’État de Keystone ont usurpé le pouvoir constitutionnel du législateur de fixer les règles de l’élection.

    La résolution «déclare que la sélection des électeurs présidentiels et autres résultats de la compétition électorale dans tout l'État dans ce Commonwealth est en litige» et «exhorte le secrétaire du Commonwealth et le gouverneur à retirer ou annuler l'accréditation des électeurs présidentiels et à retarder la certification des résultats en d'autres concours électoraux à l'échelle de l'État ont voté lors des élections générales de 2020. »

    Il «exhorte également le Congrès des États-Unis à déclarer que la sélection des électeurs présidentiels dans ce Commonwealth est contestée».

    Le texte proposé énumère trois mesures prises par les pouvoirs judiciaire et exécutif pour changer la règle de l'élection.

    Premièrement, le 17 septembre, la Cour suprême de Pennsylvanie a «illégalement et unilatéralement» prolongé la date limite de réception des bulletins de vote par correspondance, exigé que les bulletins de vote sans cachet de la poste soient traités en temps opportun et autorisé les bulletins sans signature de vote vérifiée acceptée, dit la résolution.

    Deuxièmement, le 23 octobre, à la suite d'une pétition du secrétaire du Commonwealth, la Cour suprême de Pennsylvanie a statué que les signatures sur les bulletins de vote par correspondance n'avaient pas besoin d'être authentifiées.

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  37. Et troisièmement, le 2 novembre, le secrétaire du Commonwealth «a encouragé certains comtés à informer les représentants des partis et des candidats des électeurs par correspondance dont les bulletins de vote contenaient des défauts», indique la résolution.

    Tous les changements sont contraires au code électoral de Pennsylvanie, qui exige que les bulletins de vote par la poste soient reçus à 20 h. le jour du scrutin, exige que les signatures sur les bulletins de vote par la poste soient authentifiés et interdit le dépouillement des bulletins de vote défectueux.

    La résolution énumère également une variété d'irrégularités électorales et de fraudes potentielles, y compris les problèmes soulevés par des témoins lors de l'audience devant le Comité politique de la majorité du Sénat de Pennsylvanie le 25 novembre.

    «Le 24 novembre 2020, le secrétaire du Commonwealth a certifié unilatéralement et prématurément les résultats de l'élection du 3 novembre 2020 concernant les électeurs présidentiels malgré les litiges en cours», indique la résolution.

    «La Chambre des représentants de Pennsylvanie a le devoir de veiller à ce qu'aucun citoyen de ce Commonwealth ne soit privé de ses droits, d'insister pour que toutes les élections se déroulent conformément à la loi et de convaincre le grand public que chaque vote légal est compté avec précision.»

    Le sénateur de l'État de Pennsylvanie, Doug Mastriano, un républicain, a déclaré vendredi que la législature de l'État contrôlée par le GOP tenterait de récupérer son pouvoir de nommer les électeurs de l'État au Collège électoral, affirmant qu'ils pourraient lancer le processus le 30 novembre.

    «Donc, nous allons faire une résolution entre la Chambre et le Sénat, espérons-le aujourd'hui», a-t-il déclaré vendredi à la War Room de Steve Bannon. «J'ai passé deux heures en ligne à essayer de coordonner cela avec mes collègues. Et il y a beaucoup de bonnes personnes qui travaillent ici. Dire, que la résolution disant que nous allons reprendre notre pouvoir. Nous allons faire asseoir les électeurs. Maintenant, évidemment, nous aurons besoin du soutien de la direction de la Chambre et du Sénat, nous y arrivons."

    Jack Phillips a contribué à ce rapport.

    Suivez Ivan sur Twitter: @ivanpentchoukov

    https://www.zerohedge.com/political/pennsylvania-republicans-introduce-resolution-disputing-election-results

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  38. Les routes les plus dangereuses d'Amérique pour les camionneurs


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 13:25
    Par Nick Austin, directeur de l'analyse météorologique et météorologue principal chez FreightWaves,


    La conduite de camions est l'un des emplois les plus risqués aux États-Unis, mais la majorité des conducteurs professionnels réussissent leur carrière sans être impliqués dans des accidents majeurs. Plus les conducteurs sont qualifiés et soucieux de leur sécurité, moins ils risquent de causer des épaves.

    Mais certaines choses, comme la conception des routes, sont hors du contrôle du conducteur. Sur la base de l'expérience des conducteurs, des données du département américain des transports et des conditions météorologiques difficiles, ce sont les dix principales routes américaines que les camionneurs devraient éviter dans la mesure du possible.

    U.S. Highway 2 dans le Montana

    Selon l'Université du Minnesota, la route américaine 2 (US-2) dans le Montana a le taux de mortalité routière le plus élevé par rapport au reste de l'autoroute. Les conditions météorologiques hivernales la rendent particulièrement dangereuse.

    Ce tronçon de 760 milles de l'US-2 - de la ligne de l'État de Washington jusqu'à juste à l'est de Bainville - est sujet aux vents violents, aux blizzards et à la glace noire. Il traverse des zones extrêmement rurales et très éloignées les unes des autres. Le temps d'intervention d'urgence des ambulances est en moyenne de 80 minutes. En raison de la population limitée, il n'y a pas beaucoup de trafic et les gens ont donc tendance à conduire vite.

    U.S. Highway 550 dans le Colorado (The Million Dollar Highway)

    L'autoroute à un million de dollars est la portion de la route américaine 550 au Colorado, d'Ouray à Silverton. Il tire son nom du fait qu'il a coûté un million de dollars pour le construire dans les années 1880.

    Ce tronçon de 25 miles de l'autoroute comporte de nombreux rebondissements à travers les montagnes, jusqu'à une altitude de 11 000 pieds. Le temps dans cette partie du pays peut être irrégulier, avec de la neige, de la glace et des vents violents fréquents plusieurs mois de l'année. Ce qui rend ce tronçon de l'US-550 particulièrement dangereux pour les camionneurs, c'est le manque d'épaulements ou de garde-corps, et le dénivelé peut être extrêmement raide.

    Interstate 95 dans le Connecticut

    L'Interstate 95 s'étend sur plus de 1 900 miles de Houlton, dans le Maine, à Miami. C’est l’une des autoroutes les plus anciennes du pays et la plus longue autoroute nord-sud du pays.

    Parce qu'elle traverse de nombreuses villes très peuplées, en particulier dans le nord-est, la I-95 est responsable de nombreux décès sur les routes chaque année. La majorité des accidents sur cette autoroute se produisent sur un tronçon de 8 miles dans la ville de Norwalk, Connecticut. Les tempêtes hivernales, les fortes pluies printanières et les vents violents occasionnels augmentent le risque d'épaves potentielles de semi-remorques.

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  39. Interstate 10 en Arizona

    La part de l'Arizona sur l'Interstate 10 totalise plus de 360 ​​miles. En raison du volume de trafic élevé et de l’absence de barrières médianes, la longueur de 150 milles entre Phoenix et la frontière californienne est l’une des routes les plus dangereuses du pays. Il fait en moyenne environ 85 décès par an. Il n'y a qu'un seul arrêt de carburant situé à mi-chemin, à Coldfoot.

    Cette section de la I-10 se compose de longues étendues désertiques, qui ont tendance à endormir les conducteurs dans l'inattention.

    La I-10 fait partie du réseau autoroutier inter-États d'origine, qui a commencé en 1956, et est la quatrième plus longue autoroute inter-États d'Amérique.

    Dalton Highway en Alaska

    La route James W. Dalton de l'Alaska - connue sous le nom de Dalton Highway ou Alaska Route 11 - est une route très dangereuse, principalement parce qu'elle serpente à travers un terrain montagneux. Il n'a qu'un seul arrêt de carburant et un accès limité aux services d'urgence.

    La route de Dalton s'étend sur 414 miles, de Fairbanks à Deadhorse, et est la route principale pour les camionneurs de Fairbanks aux régions du nord de l'État. C'est tristement célèbre pour des conditions de conduite dangereusement glacées.

    Ce qui rend cette route si mauvaise, c'est la façon dont elle serpente et serpente à travers les montagnes de la chaîne Brooks, où la température la plus basse d'Amérique de 80 degrés sous zéro a été enregistrée en 1971. Pour aggraver les problèmes, la Dalton Highway a été ouverte aux touristes en 1994. Habituellement deux fois un jour, des hélicoptères patrouillent dans la zone à la recherche de pannes et d'accidents.

    California Route 138: «Blood Alley»

    Les camionneurs ne devraient pas se laisser berner par le nom officiel de la route 138 de la Californie, Pearblossom Highway. En raison de son histoire mortelle, de nombreux Californiens appellent la route «Blood Alley» ou «Highway of Death».

    L'autoroute s'étend sur environ 65 miles de Crestline à Palmdale, à travers le désert de Mojave. Il a obtenu ses surnoms inquiétants après une période de cinq ans au cours de laquelle 56 personnes ont été tuées et 875 ont été blessées en essayant de l'apprivoiser. Le tronçon le plus dangereux de l'autoroute est à l'est de la limite du comté de San Bernardino. La route sinueuse à deux voies a continué de faire en moyenne plus de 10 décès par an jusqu'à ce que les équipes élargissent les voies et dégagent les lignes de visibilité en 2006, ce qui la rend un peu plus sûre.

    Interstate 4 en Floride

    La congestion et la construction en cours rendent un certain nombre de routes en Floride peu attrayantes pour les camionneurs, en particulier l'Interstate 4. Courant 140 miles de Tampa à Daytona Beach, elle se classe constamment parmi les autoroutes les plus meurtrières du pays.

    Selon les données du Fatal Accident Reporting System (FARS) de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), il y a eu plus de 165 décès sur l'Interstate 4 de 2014 à 2019, soit environ un décès par mile.

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  40. U.S. Highway 24: Toledo à Fort Wayne

    Le Toledo Blade a rapporté que la route était connue pour ses «horribles collisions frontales» entre les semi-remorques. Ce tronçon d'autoroute de 100 milles avait des virages dangereux et des virages aveugles. Enfin, en 2012, la route a été élargie pour mieux accueillir les camions. Cependant, les conducteurs la considèrent toujours comme une route dangereuse et à volume élevé.

    Interstate 15: de Las Vegas à Los Angeles

    Alors que les espaces ouverts de cette autoroute peuvent plaire aux camionneurs imprudents ou non avertis, le fait est qu'il est particulièrement mortel pour plusieurs raisons.

    Selon l'American Automobile Association (AAA), l'Interstate 15 de Las Vegas à Los Angeles est l'un des tronçons d'autoroute les plus dangereux de cette région de l'Ouest. Les coupables sont le nombre de personnes faisant la navette entre les deux grandes régions métropolitaines, et bon nombre de ces personnes n'utilisant pas de ceinture de sécurité. En outre, les camionneurs signalent beaucoup d’ivrogne et de distraction au volant sur les 270 milles de la route.

    Les périodes de vents de Santa Ana, qui peuvent atteindre 100 mi / h, exposent également les conducteurs à un risque élevé de renversements sur ce tronçon d'autoroute.

    U.S. Highway 129: de la Caroline du Nord au Tennessee

    Un tronçon de la route 129 des États-Unis en Caroline du Nord comporte 318 courbes sur une longueur de 11 milles, ce qui lui vaut son nom de «Tail of the Dragon», ainsi que sa réputation d'être l'une des routes les plus dangereuses d'Amérique. Certaines personnes l'appellent simplement «Le Dragon».

    Le Dragon commence près de Cheoah Dam, également appelé Fugitive Dam parce que Harrison Ford en saute dans le film «The Fugitive». L'autre extrémité de The Dragon se termine dans le Tennessee au pont Tabcat Creek.

    Bordé par les magnifiques Great Smoky Mountains et la forêt nationale de Cherokee, le Dragon est populaire pour les motards. Mais conduire sur cette route notoire n'est pas le moment de faire du tourisme. Beaucoup de ses courbes sont des courbes en «S» à retournement aveugle, donc un moment passé à regarder dans le mauvais sens pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour un conducteur de camion commercial. De plus, il n'y a pas de stations-service ou d'autres commerces le long du Dragon.

    https://www.zerohedge.com/markets/americas-most-dangerous-roads-truckers

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  41. UN Dubs Self 'Trusted' Pandemic News Source, fait équipe avec le Forum économique mondial pour encourager les 'nouvelles normes sociales'


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 08:45


    Les Nations Unies ont 'lancé une contre-attaque' contre la désinformation sur les coronavirus - en faisant équipe avec le Forum économique mondial pour lutter contre la désinformation sur les coronavirus et d'autres 'contenus potentiellement douteux'.

    «Lorsque le COVID-19 est apparu, il était clair dès le départ qu'il ne s'agissait pas seulement d'une urgence de santé publique, mais aussi d'une crise de communication», déclare Melissa Flemming, responsable des communications mondiales à l'ONU.

    «Nous essayons de créer cette nouvelle norme sociale appelée « pause - prenez garde avant de partager »- a-t-elle poursuivi, ajoutant:« Nous équipons les gens, à travers cette nouvelle norme sociale, d'un peu de «scepticisme de l'information».

    La nouvelle initiative cherche également à inciter les influenceurs des médias sociaux à diffuser de 'vraies nouvelles' sur la pandémie - ce qui, selon nous, ne signifie rien à voir avec l'hydroxychloroquine, des taux de mortalité incroyablement bas pour la plupart des personnes en dessous de l'âge de la retraite, ou pour toute personne même légèrement opposée au meurtre d'entreprises. verrouillages.

    Il faut aussi se demander comment l'ONU et le WEF couvriraient les volte-face flagrantes des autorités sanitaires mondiales sur tout, de la transmissibilité à l'utilisation du masque.

    Quoi qu'il en soit, la campagne de l'ONU est inébranlable dans son autorité autodéterminée en tant qu'arbitre de tout ce qui concerne COVID.

    «Jusqu'à présent, nous avons recruté 110 000 volontaires de l'information, et nous équipons ces volontaires de l'information du type de connaissances sur la façon dont la désinformation se propage et leur demandons de servir en quelque sorte de« premiers intervenants numériques »dans les espaces où la désinformation circule», a déclaré Flemming.

    https://www.zerohedge.com/medical/un-dubs-self-trusted-pandemic-news-source-teams-world-economic-forum-encourage-new-social

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  42. "La vie ne sera plus jamais complètement normale" - Un expert renommé en matière d'infection / immunité avertit que COVID ne disparaîtra pas


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 08:10
    Rédigé par Damir Mujezinovic via Inquisitr.com,


    Dans une interview accordée jeudi au journal espagnol El Pais, le Dr Ian Lipkin, directeur du Center for Infection and Immunity de la Mailman School of Public Health de Columbia, a déclaré que le nouveau coronavirus pourrait ne jamais disparaître.

    Selon Newsweek, qui a publié une traduction de l'interview, Lipkin a déclaré que le public devra s'adapter et apprendre à «vivre le reste de nos vies avec ce virus».

    «Ce sera un problème récurrent. Je ne pense pas que la vie redevienne complètement normale. »

    Lipkin a déclaré qu'il est probable que les générations futures seront vaccinées contre le COVID-19, mais a noté que des doses de rappel supplémentaires pourraient être nécessaires. L'expert a décrit les progrès du développement de vaccins comme «stupéfiants», suggérant que les vaccins développés par Moderna et Pfizer seront en mesure de réduire considérablement la propagation du virus.

    Cependant, Lipkin a souligné qu'il pourrait y avoir des défis logistiques et que la distribution ne sera pas facile.

    «Nous serons en mesure de distribuer ces vaccins dans la plupart des pays d'Europe et des États-Unis, mais les acheminer vers les pays en développement sera un défi de taille», a-t-il déclaré.

    Pfizer et BioNTech ont annoncé plus tôt ce mois-ci que leur candidat était efficace à 95% pour arrêter le coronavirus, tandis que Moderna a déclaré que son ARNm-1273 avait une efficacité de 94,5 %. Cependant, aucun des vaccins ne peut être stocké à des températures de réfrigération standard, ce qui pourrait être un problème majeur dans certaines régions du monde.

    L’objectif final est de parvenir à «l’immunité globale des groupes», selon Lipkin, qui a expliqué qu’entre 60 et 80 pour cent de la population mondiale doit être immunisée avant que la normalité ne soit rétablie.

    Les gouvernements du monde entier ont mis en œuvre des mesures de santé publique pour freiner la propagation du coronavirus, certaines avec plus de succès que d'autres. La Chine, dont on pense que le virus est originaire, a très bien réussi à contrôler la pandémie.

    Lipkin - qui a aidé le gouvernement chinois lors de l'épidémie de SRAS de 2003 et conseillé l'Arabie saoudite pendant l'épidémie de MERS - a suggéré qu'il n'est pas réaliste d'attendre des gouvernements occidentaux qu'ils obtiennent les mêmes résultats.

    «En Chine, si le gouvernement décide de faire quelque chose, c'est fait. Ce n'est pas comme en Espagne ou aux États-Unis où il peut y avoir un débat sur les confinements et les fermetures », a-t-il déclaré.

    L'expert a conclu l'entretien sur une note plus optimiste, affirmant que la crise des coronavirus «a également démontré notre capacité à réagir avec science, compassion et un objectif commun».

    Selon le site de données démographiques Worldometer, plus de 61 millions de cas de coronavirus ont été enregistrés dans le monde à ce jour et près de 1,5 million de personnes sont décédées des complications causées par la maladie.

    https://www.zerohedge.com/markets/life-wont-ever-be-completely-normal-again-renowned-infectionimmunity-expert-warns-covid-not

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    1. S'il continue c'est soit un mensonge (grâce aux 'tests RT-PCR poussés au-delà de 25 cycles), soit ce sont les dictateurs qui l'épandent par drones ou chemtrails.

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  43. Médicaments d'anticorps COVID de Regeneron, Eli Lilly s'inquiète des pénuries d'approvisionnement


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 17:30


    Les médicaments puissants récemment autorisés par la FDA devraient aider les patients souffrant des premiers stades du COVID-19 à éviter les symptômes les plus graves. Le président Donald Trump a même une fois qualifié le traitement par anticorps de Regeneron de «remède» contre le virus.

    Mais il reste encore des problèmes à résoudre.

    Les États-Unis, comme plusieurs autres pays développés, ont dépensé des centaines de millions de dollars pour assurer l'approvisionnement d'Eli Lilly et l'approvisionnement du Regeneron.

    Les responsables s'efforcent de créer des sites pour administrer les médicaments aux patients atteints d'une maladie légère à modérée qui avait jusqu'à récemment été conseillé de rester à la maison.

    Les anticorps monoclonaux Eli Lilly et Regeneron imitent les protéines que le corps fabrique normalement pour empêcher le virus de pénétrer dans les cellules; ils ont été autorisés par la FDA au début du mois. Ce sont les premiers médicaments autorisés spécifiquement pour les patients non hospitalisés, et sont destinés aux personnes à risque de symptômes graves en raison de l’âge avancé, de l’obésité et d’autres maladies chroniques.

    Les experts ont déclaré à Bloomberg que si Trump a vanté la thérapie de Regeneron après l'avoir reçue en octobre, les médecins spécialistes des maladies infectieuses ont noté que les preuves étayant l'utilisation de médicaments dans Covid-19 ne sont pas encore définitives. Pourtant, il y a l'espoir qu'ils pourraient aider le pays à lutter contre sa pire flambée de coronavirus, alors que les infections quotidiennes moyennes ont grimpé à près de 170 000 au cours de la semaine dernière. Environ 90 500 Américains ont été hospitalisés pour COVID-19 jeudi.

    Les hôpitaux affectés par le coronavirus aux États-Unis sont aux prises avec un personnel plus infecté, a déclaré Allison Suttle, médecin-chef de Sanford Health, un système de santé à but non lucratif basé dans le Dakota du Sud. Le traitement qui empêche les patients d'être admis dans des services hospitaliers surpeuplés offre un répit alléchant, a-t-elle déclaré.

    Les États-Unis ont payé 375 millions de dollars à Eli Lilly pour bloquer les approvisionnements de son médicament anticorps - le "bamlanivimav" au nom amusant, équivalent à 300 000 flacons d'anticorps, le bamlanivimab, au cours des deux prochains mois. Le gouvernement a également accordé à Regeneron 450 millions de dollars pour fabriquer et fournir suffisamment de doses de son cocktail d'anticorps pour 300 000 autres patients jusqu'à la fin du mois de janvier. Les deux sociétés ont l'intention d'augmenter l'offre aux États-Unis l'année prochaine.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/antibody-drugs-regeneron-eli-lilly-raise-concerns-about-supply-shortages

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  44. Le masquage étrangement non scientifique de l'Amérique


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 21:00
    Rédigé par Jenin Younes via l'American Institute for Economic Research,


    Je me souviens très bien du jour, à la fin du mois de mars, où les masques faciaux sont soudainement devenus synonymes de moralité: soit on se souciait de la vie des autres et on portait un masque, soit on était égoïste et refusait de le faire. Le changement s'est produit pratiquement du jour au lendemain.

    À peine un jour ou deux auparavant, j'avais associé cette tenue uniquement aux chirurgiens et aux personnes vivant dans des régions fortement polluées. Désormais, le passe-temps préféré de mes amis lors de nos sessions Zoom hebdomadaires était d’excuser les gens qui couraient ou de socialiser sans masque à Prospect Park. J'ai été mystifié par leur certitude que des morceaux de tissu étaient la seule chose qui se dressait entre nous et la mort de masse, en particulier lorsque quelques semaines auparavant, le message des experts médicaux contredisait cette nouvelle doctrine.

    Le 29 février, le chirurgien général américain a tweeté:

    «Sérieusement les gens - ARRÊTEZ D'ACHETER DES MASQUES. . . Ils ne sont PAS efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le #Coronavirus. »

    Anthony Fauci, le membre le plus connu du groupe de travail sur les coronavirus, a conseillé aux Américains de ne pas porter de masques à cette époque.

    De même, dans les premières semaines de la pandémie, le CDC a soutenu que les masques ne devraient être portés que par les personnes symptomatiques ou soignant une personne malade, position que l'OMS défendait encore plus longtemps.

    Dès que l'utilisation des masques est devenue une question d'éthique, la question s'est transformée en une question politique, illustrée par un article publié le 27 mars dans le New York Times, intitulé «Plus d'Américains devraient probablement porter des masques pour se protéger». La pièce était lourde de propos alarmistes et légère en preuves. Tout en reconnaissant que «[l] il existe ici très peu de données montrant que les masques chirurgicaux plats, en particulier, ont un effet protecteur pour le grand public», l’auteur a poursuivi en affirmant qu’ils «pourraient être mieux que rien», et a cité un deux études dans lesquelles les masques chirurgicaux réduisaient ostensiblement les taux de transmission de la grippe.

    Un rapport est parvenu à sa conclusion sur la base d'observations d'une «tête factice attachée à un simulateur de respiration». Une autre analyse l'utilisation de masques chirurgicaux sur des personnes présentant au moins deux symptômes de maladie respiratoire aiguë. Incidemment, aucune de ces études n'impliquait de masques en tissu ou ne rendait compte de l'utilisation (ou d'une mauvaise utilisation) de masques dans le monde réel chez les profanes, et aucune n'a établi l'efficacité du port de masque généralisé par des personnes ne présentant pas de symptômes. Il n'y avait tout simplement aucune preuve que les personnes en bonne santé devraient porter des masques pour vaquer à leurs occupations, en particulier à l'extérieur. Pourtant, en avril, marcher dans les rues de Brooklyn avec le nez et la bouche exposés a suscité le genre de réaction qui en février aurait été réservée à l’apparition d’une mitrailleuse.

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  45. En peu de temps, la politisation s'est intensifiée. Le président Trump a refusé de porter un masque assez tôt, donc leur résistance a été assimilée à un soutien à son égard. De la même manière, les politiciens démocrates à travers le conseil d'administration ont adopté avec empressement le costume; en conséquence, tous les bons libéraux portaient des masques religieusement au début d'avril. De même, des journaux de gauche tels que le New York Times et le Washington Post ont promu sans équivoque le port du masque après cet article du 27 mars, sans réelle analyse ni prise en compte des points de vue et des preuves opposés.

    La rapidité avec laquelle le port du masque dans le grand public est passé d'une nécessité inouïe à une nécessité morale m'a paru suspecte. Après tout, si la science était aussi étanche que ceux qui m'entouraient le prétendaient, les masques auraient sûrement été recommandés d'ici janvier ou février, sans parler des éclosions de maladies infectieuses précédentes telles que la grippe porcine de 2009. Il semblait peu probable que la preuve scientifique devienne incontestable entre la fin février et la fin mars, en particulier en l'absence de toute nouvelle preuve apparaissant au cours de cette période.

    Rien de tout cela n'est peut-être particulièrement surprenant en cette ère hyper-politique. Ce qui est choquant, c’est la participation de la communauté scientifique à la subversion des preuves qui ne sont pas conformes au consensus. Un bon exemple est l'affirmation plutôt étonnante de l'Institute of Health Metrics Evaluation («IHME»), publiée dans la revue Nature-Medicine et reprise dans d'innombrables articles par la suite, selon laquelle la vie de 130000 personnes pourrait être sauvée avec un mandat de masque à l'échelle nationale.

    Comme mon collègue Phil Magness l'a souligné dans un éditorial du Wall Street Journal, le modèle IHME reposait sur des données erronées: il supposait que 49% des Américains portaient des masques sur la base d'une enquête menée entre avril et juin, tout en affirmant que les statistiques représentaient le nombre d'Américains portant des masques au 21 septembre. En fait, à l'été, environ 80% des Américains les portaient régulièrement. (Ironiquement, si le Dr Fauci et le chirurgien général n'avaient pas raté le message en mars, l'utilisation du masque aurait probablement atteint des taux beaucoup plus élevés beaucoup plus tôt).

    Cela remettait en question l'exactitude du chiffre de 130 000, car beaucoup plus de personnes utilisaient habituellement des masques que l'étude ne le supposait.

    Bien que Magness ait contacté Nature-Medicine pour lui signaler le problème, après avoir stagné pendant près de deux semaines, le journal a refusé de le résoudre. Inutile de dire que le mal avait été fait: des journaux comme le New York Times échoueraient sans aucun doute à corriger l'erreur et toute rétractation serait certainement placée loin de la première page, où est apparu l'article initial vantant le chiffre de l'IHME. Ainsi, comme prévu, l'affirmation non fondée selon laquelle 130000 vies pourraient être sauvées avec un mandat de masque à l'échelle nationale continue d'être répétée, y compris par le président élu Joe Biden et le directeur des National Institutes of Health Francis Collins.

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  46. Le fait que la science derrière le port du masque soit au mieux discutable est encore illustré par une lettre à l'éditeur écrite en réponse à l'article de Magness. Le Dr Christopher Murray a reconnu que les taux de port de masques ont augmenté régulièrement, mais a ensuite conclu que les masques devraient être utilisés car ils sont «notre première ligne de défense contre la pandémie» et la modélisation actuelle de l'IHME indique que «si 95% des résidents américains l'étaient de porter des masques en quittant la maison, nous pourrions éviter la mort de dizaines de milliers d'Américains »parce que« les masques fonctionnent »et« une douleur bien plus profonde est à venir si nous refusons de les porter ».

    Rien de tout cela n'explique l'échec de Nature-Medicine ou des modélisateurs de l'IHME à reconnaître et corriger l'erreur. De plus, ni les modélisateurs de l'IHME ni le Dr Murray ne fournissent la moindre preuve que les masques fonctionnent. Ils supposent que les masques sont extrêmement efficaces pour empêcher la propagation du coronavirus, puis affirment que le modèle est correct pour cette raison. Ce type de raisonnement circulaire est trop typique de ceux qui insistent avec tant de véhémence que les masques sont efficaces sans se donner la peine de justifier cette affirmation - ou de différencier ce qui est probablement un avantage modeste du port de masque dans des endroits intérieurs spécifiques et autour de haut- les individus à risque de la tendance médiatique à dépeindre les masques comme une solution miracle pour arrêter le virus en toutes circonstances.

    La couverture d'une récente étude sur les masques menée au Danemark illustre également l'incapacité de la communauté scientifique à s'engager rigoureusement avec des résultats qui ne correspondent pas au récit dominant des masques comme panacée. Première étude randomisée et contrôlée de ce type, elle a révélé l'absence de preuves empiriques indiquant que les masques offrent une protection aux personnes qui les portent, bien qu'elle n'ait apparemment pas évalué s'ils préviennent l'infection de ceux qui les rencontrent. Le rapport a été couvert dans un article du New York Times portant le titre condescendant, «Une nouvelle étude se demande si les masques protègent les porteurs. Vous devez les porter de toute façon. »

    Notant que les résultats «sont en conflit avec ceux d'un certain nombre d'autres études», principalement «des examens en laboratoire des particules bloquées par des matériaux de divers types», l'auteur a fait remarquer que, par conséquent, cette recherche «n'est pas susceptible de modifier les recommandations de santé publique en les États Unis." En particulier, les examens de laboratoire, contrairement à l'étude danoise, ne tiennent pas compte des réalités de l'utilisation quotidienne des masques par des professionnels non médicaux.

    L’auteur cite ensuite Susan Ellenberg, biostatisticienne à l’Université de Pennsylvanie, qui affirme que l’étude indique une tendance: «« dans le sens du bénéfice »même si les résultats n’étaient pas statistiquement significatifs. «Rien dans cette étude ne le suggère. . . qu'il est inutile de porter un masque », selon le Dr Ellenberg.

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  47. Rien dans cette étude ne suggère non plus qu'il soit utile de porter un masque, un fait que le Dr Ellenberg (et le titre) ignore commodément. En outre, si un résultat est statistiquement insignifiant, il ne doit pas être utilisé pour justifier une proposition - comme je le sais même, un profane.

    Les scientifiques doivent analyser sans passion les données qui contredisent leurs préjugés et leurs hypothèses, et être ouverts à changer leurs croyances en conséquence. Le fait que les résultats de la seule étude randomisée et contrôlée aient été et continuent d'être automatiquement écartés démontre qu'en ce qui concerne le sujet des masques, tout ce qui se rapproche de la méthode scientifique est passé par la fenêtre. Cela est d'autant plus évident que les promoteurs de masques ne sont pas intéressés à mener eux-mêmes une étude randomisée et contrôlée.

    Un article du Los Angeles Times est allé encore plus loin: il a déformé les conclusions de l'étude danoise pour affirmer, de manière incompréhensible, que la recherche a démontré que plus de masque était justifié. L'auteur a cité, comme preuve supposément convaincante que les masques fonctionnent, les faibles taux de mortalité de Covid-19 à Singapour, au Vietnam et à Taiwan. En effet, selon le dernier sondage YouGov, réalisé mi-novembre, 83% des Américains portent désormais des masques en public, des taux plus élevés que le Vietnam (77%) et Taiwan (82%).

    De plus, il existe d'autres explications, outre l'utilisation généralisée des masques, pour les taux de mortalité remarquablement bas dans ces pays. Certains scientifiques pensent qu'une exposition antérieure à d'autres coronavirus dans ces régions peut conférer une immunité partielle ou totale au SRAS-CoV-2. D'autres ont émis l'hypothèse que l'obésité, l'environnement ou la génétique pourraient être la raison pour laquelle l'Europe et les États-Unis ont des taux de mortalité nettement plus élevés que de nombreux pays asiatiques et africains; après tout, l'obésité est l'un des facteurs de risque les plus importants de maladie grave.

    Conclure sur la base des faibles taux de mortalité dans plusieurs pays que les masques empêchent la transmission du coronavirus est manifestement absurde, illogique et non scientifique. Un observateur occasionnel pourrait également noter que les cas de coronavirus (bien que pas nécessairement les décès) augmentent dans de nombreuses régions du monde, quels que soient les mandats de masque ou les taux de mise en œuvre. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une expérience contrôlée, ce fait devrait au moins être pris en compte lors de telles déclarations radicales.

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  48. En fin de compte, je n'ai pas les informations d'identification pour déterminer si - ou dans quelle mesure - les masques fonctionnent. Mais il est évident que la question est devenue si politisée que les grands médias, les politiciens et même les scientifiques saisissent la moindre preuve favorable, écartent d'emblée tout ce qui entre en conflit avec leur théorie, et le plus flagrant de tous déforment les données, pour étayer la conclusion selon laquelle les masques portés par des personnes asymptomatiques empêchent la transmission du coronavirus.

    Et les masques ne sont qu'une partie de cette histoire: les fermetures d'écoles, les verrouillages et la distanciation sociale ont tous été adoptés de manière dogmatique comme moyen de contrôler l'infection. Les preuves substantielles que ces mécanismes ne sont pas efficaces, en particulier au-delà de leur durée, ont été automatiquement rejetées pendant trop longtemps. Ce n'est pas de la science: c'est de la politique, et ceux qui, au sein de la profession, ont refusé d'examiner leurs préjugés de confirmation ou manipulé les preuves pour marquer des points politiques, ne sont absolument pas qualifiés pour le poste.

    https://www.zerohedge.com/political/strangely-unscientific-masking-america

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    1. J'ai même vu des cons qui portaient 2 (DEUX !) masques !!! HAHAHAHA !

      Dès le début on leur a dit qu'il ne pouvait exister de masque anti-microbes ou anti-virus car ils étaient trop petits et passaient entre les mailles et, qu'un masque plus fin que les proposés ou plus fin qu'un microbe ou virus ne pouvait exister car l'air ne pourrait pas passer.
      Bon, ce qui est dit est dit.
      Ils ou elles l'ont entendu.
      Mais ils ou elles continuent à porter un masque !!!!

      HAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !

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  49. Les jeux vidéo rares attirent le plus gros dollar


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 16:00
    Soumis par Market Crumbs,


    Le mois dernier, nous avons écrit sur la force du marché des cartes de sport et sur le fait que les cartes de sport à puce bleue pourraient en fait être un meilleur investissement que les actions de premier ordre, du moins au cours de la dernière décennie.

    Selon le Daily Mail, les données de PWCC, qui gère le plus grand site de vente aux enchères de cartes à collectionner au monde, montrent que l'indice des 500 cartes les plus performantes avait un retour sur investissement de 216 % depuis 2008, contre 135 % pour le S&P 500.

    «Le marché est juste en feu», a déclaré le directeur du développement commercial de PWCC, Jesse Craig, à DailyMail.com.

    Un autre coin du monde des collectionneurs en feu est le marché des jeux vidéo rares. Poussé par la nostalgie et un flot d'argent, les derniers mois ont vu des prix records payés pour les jeux vidéo.

    En juillet, une copie de Super Mario Bros. a apporté une enchère gagnante de 114 000 $ et établi un nouveau record pour le plus payé pour un jeu vidéo. Le jeu vidéo, qui est le premier de la populaire série Super Mario Bros., a été l'une des premières variantes produites après que Nintendo a commencé à sceller les jeux sous film rétractable en 1985.

    "La demande pour ce jeu était extrêmement élevée, et si un lot dans la vente pouvait atteindre un chiffre comme celui-là, ce serait celui-ci", a déclaré Valarie McLeckie, directrice des jeux vidéo de Heritage Auctions.

    Un peu plus de quatre mois se sont écoulés depuis que la copie de Super Mario Bros. a établi un nouveau record, elle a été facilement dépassée par une enchère gagnante de 156000 $ vendredi dernier pour une copie scellée de Super Mario Bros des années 1990.3. Heritage Auctions a déclaré que 20 soumissionnaires essayaient d'acquérir le jeu vidéo suite à une offre d'ouverture de 62 500 $.

    Ce jeu particulier est une rareté pour la façon dont le mot "Bros." est imprimé sur la couverture, recouvrant légèrement le célèbre gant blanc de Mario. Cette couverture particulière indique que c'est la première version de Super Mario Bros.3 qui a été produite.

    "Nous ne pourrions être plus heureux de battre le record du monde pour la deuxième fois la même année", a déclaré McLeckie. "Cela dit, il n'est pas surprenant qu'un autre jeu Mario, avec lequel beaucoup d'entre nous avons grandi, établisse la nouvelle barre.

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  50. Ce ne sont pas seulement les jeux Super Mario Bros. qui attirent le plus gros dollar. Une «version rouge» de Pokémon pour la GameBoy de Nintendo vendue aux enchères pour 84 000 $ la semaine dernière, marquant un prix record pour un titre Pokémon et plus de quatre fois l'estimation de prévente. Lors de la vente aux enchères de juillet, 27 enchérisseurs ont tenté d'acquérir une copie de Punch-Out de Mike Tyson !! avant de finir par se vendre 50 400 $.

    Avec pratiquement tous les actifs dont le prix monte en flèche, qui sait quel objet nostalgique de votre enfance sera le prochain objet de collection chaud.

    https://www.zerohedge.com/markets/rare-video-games-are-attracting-top-dollar

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  51. Visualisation de 50 ans d'histoire du jeu, par flux de revenus (1970-2020)


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 22:30


    Chaque année, on a l'impression que l'industrie du jeu voit les mêmes histoires: des ventes record, une portée insondable sur le marché et des questions sur la progression du marché.

    Nous sommes déjà bien au-delà du fait que le jeu est le secteur des médias qui génère le plus de revenus, avec un chiffre d'affaires estimé à 165 milliards de dollars généré en 2020.

    Mais comme Omri Wallach de Visual Capitalist l'illustre dans l'infographie ci-dessous, il est important de briser la croissance changeante du marché.

    Les recherches de Pelham Smithers montrent que si le raz-de-marée du jeu n'a fait que continuer à gonfler, les facteurs déterminants ont changé au cours de l'histoire du jeu.

    1970-1983: l'ère pré-crash
    Au début, il y avait Atari.

    Les premiers prototypes de jeux vidéo ont été développés dans les laboratoires dans les années 1960, mais c'est la sortie d'Atari de Pong en 1972 qui a contribué à relancer l'industrie.

    Le jeu de ping-pong d'arcade a fait sensation, attirant des consommateurs désireux de jouer et des entreprises qui ont commencé à produire leurs propres versions de contrefaçon. De même, c'est Atari qui a vendu une version console de salon de Pong en 1975, et finalement sa propre console de salon Atari 2600 en 1977, qui allait devenir la première console à vendre plus d'un million d'unités.

    En peu de temps, le marché des arcades a commencé à se stabiliser. Après avoir diminué en raison d'une surabondance de clones de Pong, la sortie de Space Invaders en 1978 a revigoré le marché.

    Des machines d'arcade ont commencé à être installées partout, et de nouvelles franchises comme Pac-Man et Donkey Kong ont stimulé la croissance. En 1982, les arcades généraient déjà plus d'argent que l'industrie de la musique pop et le box-office.

    - voir tableau sur site -

    1985-2000: La course à l'avancement technologique
    Malheureusement, l'industrie du jeu s'est développée trop rapidement pour être maintenue.

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  52. Désireux de capitaliser sur un marché en pleine croissance des consoles de salon, Atari a autorisé des ports à très gros budget de Pac-Man et une adaptation de jeu de E.T. l'extraterrestre. Ils ont été précipités sur le marché, publiés de mauvaise qualité et ont coûté des millions de dollars à l'entreprise en retours et davantage en dommages à la marque.

    Alors que d'autres entreprises cherchaient également à capitaliser sur le marché, de nombreuses autres tentatives médiocres de jeux et de consoles ont provoqué un ralentissement de l'industrie. Dans le même temps, les ordinateurs personnels devenaient la nouvelle saveur du jeu, en particulier avec la sortie du Commodore 64 en 1982.

    C'était un signe de ce qui allait définir cette ère de l'histoire du jeu: une course technologique. Dans les années à venir, Nintendo sortira la console de salon Nintendo Entertainment System (NES) en 1985 (sortie au Japon sous le nom de Famicom), donnant la priorité aux jeux de haute qualité et à un marketing cohérent pour regagner le marché méfiant.

    Sur le dos de jeux comme Duck Hunt, Excitebike et l'introduction de Mario dans Super Mario Bros, le succès massif de la NES a relancé le marché des consoles.

    - voir tableau sur site -

    Ventes totales estimées de consoles par fabricant (1970-2020)

    Nintendo a cherché à continuer sa domination sur le terrain, avec la sortie de l'ordinateur de poche Game Boy et du système de divertissement Super Nintendo. Dans le même temps, d'autres concurrents sont intervenus pour les battre à leur propre match.

    En 1988, la société d'arcade Sega est entrée dans la mêlée avec la console Sega Mega Drive (lancée sous le nom de Genesis en Amérique du Nord), puis plus tard le portable Game Gear, mettant l'accent sur la puissance de traitement.

    Le fabricant d'électronique Sony a sorti la PlayStation en 1994, qui utilisait des CD-ROM au lieu de cartouches pour améliorer la capacité de stockage des jeux individuels. Elle est devenue la première console de l'histoire à vendre plus de 100 millions d'unités, et l'accent mis sur les formats logiciels se poursuivrait avec la PlayStation 2 (DVD) et la PlayStation 3 (Blu-ray).

    Même Microsoft a reconnu l'importance du jeu sur PC et a développé l'API DirectX pour aider à la programmation de jeux. Cette marque «X» ferait son chemin vers l'entrée de la société sur le marché des consoles, la Xbox.

    - voir tableau sur site -

    2001-présent: le boom en ligne
    C'est cependant l'essor d'Internet et du mobile qui a fait passer l'industrie du jeu de dizaines de milliards à des centaines de milliards de revenus.

    La viabilité des services d'abonnement et de freemium était une introduction. En 2001, Microsoft a lancé la plate-forme de jeu en ligne Xbox Live moyennant un abonnement mensuel, donnant aux joueurs l'accès à des services de matchmaking et de chat vocal multijoueurs, devenant rapidement un incontournable pour les consommateurs.

    Pendant ce temps sur PC, Blizzard exploitait le marché des abonnements Massive Multiplayer Online (MMO) avec la sortie en 2004 de World of Warcraft, qui a connu un pic de plus de 14 millions d'abonnés payants par mois.

    Pendant tout ce temps, les entreprises voyaient un avenir dans le jeu mobile dans lequel elles avaient du mal à exploiter. Nintendo a continué à s'accrocher au marché des ordinateurs de poche avec des consoles Game Boy mises à jour, et Nokia et BlackBerry se sont essayés à l'intégration d'applications de jeux dans leurs téléphones.

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  53. Mais c'est l'iPhone d'Apple qui a solidifié la transition du jeu vers une plate-forme mobile. La sortie par la société de l'App Store pour ses smartphones (suivie de près par la propre boutique de Google pour les appareils Android) a ouvert la voie aux développeurs d'applications pour créer des jeux gratuits, payants et payants destinés au marché de masse.

    Maintenant, tout le monde a les yeux rivés sur cette tranche mobile croissante de 85 milliards de dollars du marché du jeu, et les sociétés de jeux commencent à se consolider fortement.

    Acquisitions majeures de jeux depuis 2014

    Les fabricants de consoles comme Microsoft et Sony lancent des services d'abonnement basés sur le cloud même s'ils continuent de développer de nouvelles consoles. Pendant ce temps, Amazon et Google lancent leurs propres services qui fonctionnent sur plusieurs appareils, mobiles inclus.

    Après avoir vu le succès que des jeux comme Pokémon Go ont eu sur les smartphones - atteignant plus d'un milliard de dollars de revenus annuels - et le record de 1 milliard de dollars de Grand Theft Auto V en seulement trois jours, les entreprises ciblent autant de marché que possible.

    Et avec la prolifération des smartphones, des jeux sur les réseaux sociaux et des services de streaming, ils sont sur la bonne voie. Il y a plus de 2,7 milliards de joueurs dans le monde en 2020, et la façon dont ils choisissent de dépenser leur argent continuera à façonner l'histoire du jeu telle que nous la connaissons.

    https://www.zerohedge.com/markets/visualizing-50-years-gaming-history-revenue-stream-1970-2020

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  54. Regardez: CNN admet qu'il existe des moyens «juridiques et constitutionnels» pour que Trump reste au pouvoir


    par Tyler Durden
    Sam, 28/11/2020 - 20:00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Dans une vidéo publiée avant les élections mais attirant une nouvelle attention, Fareed Zakaria de CNN a expliqué le cas «juridique et constitutionnel» par lequel le président Trump pourrait rester en fonction même s'il perd les élections.

    Dans un moment d'intégrité journalistique réelle, ce qui est incroyablement rare ces jours-ci pour CNN, Zakaria a expliqué comment Trump pourrait conserver la présidence «sans réellement gagner le vote».

    Expliquant comment le système fonctionnait, Zakaria a déclaré que les électeurs sont déterminés par le vote populaire de cet État, mais que ce n’est «pas une obligation constitutionnelle».

    L'animateur a ensuite décrit le scénario exact qui s'est produit le jour du scrutin, avec Trump en tête le 3 novembre, puis des bulletins de vote par correspondance faisant basculer le résultat pour Biden, provoquant une vague de défis et de poursuites.

    «Compte tenu de la confusion, les législatures décident de choisir les électeurs eux-mêmes», a déclaré Zakaria avant de souligner que huit des neuf États clés pivotants ont des législatures républicaines.

    «Si un ou plusieurs décident que le scrutin est chaotique et marqué par des irrégularités, ils pourraient envoyer ce qu’ils considèrent comme la liste légitime des électeurs, qui seraient républicains.»

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  55. Ajoutant à la confusion, les démocrates des mêmes États enverraient également leurs électeurs à Washington, ce qui, selon Zakaria, pourrait «faire partie du plan républicain».

    «Parce que vous voyez que lorsque le Congrès se réunira le 6 janvier pour compter les votes des électeurs, il y aurait des défis à la légitimité de certains électeurs», a expliqué Zakaria.

    Cela inciterait les républicains du Congrès à faire valoir que les États contestés ne devraient pas être comptés, ce qui garantirait que Biden ne pourrait pas atteindre 270 votes au collège électoral.

    «À ce stade, la constitution ordonne clairement à la Chambre des représentants de voter pour déterminer l'élection présidentielle, mais elle le fait avec chaque État qui dépose un seul scrutin», a déclaré Zakaria, notant que ce processus entraînerait la réélection de Donald. Atout.

    "Trump n'a rien d'autre à faire que d'accepter ce résultat, qui est constitutionnel", a conclu Zakaria.

    La vidéo a provoqué la consternation parmi certains partisans de Biden, qui soulignent avec empressement qu'elle a été publiée avant les élections.

    Cependant, cela ne fait aucune différence. L'explication de Zakaria sur la façon dont Trump pourrait encore gagner est toujours en jeu.

    https://www.zerohedge.com/markets/watch-cnn-admits-there-are-legal-constitutional-ways-trump-stay-office

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