https://www.youtube.com/watch?v=y3kOBhZdKho&feature=emb_logo
NOTEZ BIEN QUE LE CLIP 'HOLD-UP' ('La vérité sur le microbe corona') PUBLIÉ JEUDI 12 NOVEMBRE 2020 A ÉTÉ CENSURÉ !! INTERDICTION DE DIRE LA VÉRITÉ !
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Le totalitarisme et le choix de la vie héroïque - Ariane Bilheran (Psychologue à Bogota, COLOMBIE) et Pierre Barnérias (Journaliste).
Liaison presque inaudible, se contenter du doublage sous-titré en grand écran et son coupé.
A qui profite le crime ?
'Le syndrôme de Stockholm' (Adoration de son bourreau)
26:12 Les gens qui sont au pouvoir ne sont pas vertueux. Ce sont des psychopathes extrêmement cyniques qui veulent notre peau.
L'OMS est pro-pédophiles.
Klaus Schwab: Une grande réinitialisation "conduira à la fusion de notre identité physique, numérique et biologique"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 17/11/2020 - 03:30
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le mondialiste Klaus Schwab a clairement indiqué que le transhumanisme faisait partie intégrante de «The Great Reset» lorsqu'il a déclaré que la quatrième révolution industrielle «conduirait à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique», ce qui dans son livre, il clarifie est implantable des puces qui peuvent lire vos pensées.
Comme nous l'avons souligné plus tôt, «La grande réinitialisation» attire un déluge d'attention nouvelle à la suite de la pandémie de coronavirus, ce que le premier ministre canadien Justin Trudeau a déclaré être une «opportunité de réinitialisation».
L'agenda est principalement basé sur le démantèlement du système capitaliste actuel en faveur d'une plus grande domination technocrate centralisée qui conduira à une baisse des niveaux de vie, une consommation de carburant moindre, moins de libertés civiles et une automatisation accélérée des emplois.
Cependant, un autre aspect clé de «The Great Reset», ou de la «quatrième révolution industrielle» comme l'appelle Schwab, est la fusion de l'homme avec la machine.
«Ce à quoi la quatrième révolution industrielle mènera, c'est une fusion de notre identité physique, numérique et biologique», a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs.
Schwab a poursuivi en expliquant comment son livre, «Façonner l’avenir de la quatrième révolution industrielle», était particulièrement populaire en Chine, en Corée du Sud et au Japon, l’armée sud-coréenne ayant acheté à elle seule 16 000 exemplaires.
Dans le livre, Schwab explique avec enthousiasme comment la technologie à venir permettra aux autorités de «s'immiscer dans l'espace jusque-là privé de notre esprit, en lisant nos pensées et en influençant notre comportement».
Il poursuit en prédisant que cela incitera les forces de l'ordre à mettre en œuvre des programmes pré-crime de type rapport minoritaire.
«À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’activités criminelles, évaluer la culpabilité ou peut-être même récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens augmentera», écrit Schwab. «Même le franchissement d'une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d'un individu.»
Schwab est également lyrique sur le rêve utopique transhumaniste partagé par tous les élitistes qui conduira finalement à la création de cyborgs humains.
«Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s'arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure - elles feront partie de nous», écrit Schwab.
«En effet, certains d'entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau. »
RépondreSupprimerSchwab approuve également ouvertement quelque chose que les médias prétendent toujours être uniquement un domaine de discussion pour les théoriciens du complot, à savoir «des micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps».
Le mondialiste salue l'arrivée de «dispositifs implantés (qui) aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone« intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d'autres signaux.»
Donc en d'autres termes, la «fusion de notre identité physique, numérique et biologique» renvoie à la singularité transhumaniste et à un futur où les gens voient chacun de leurs mouvements suivis et chaque pensée lue par une puce implantable.
Ce n’est pas une «théorie du complot» quand ils vous disent ouvertement ce qu’ils veulent faire.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/klaus-schwab-great-reset-will-lead-fusion-our-physical-digital-biological-identity
La puce 'RFID' (mince comme un cheveux dans l'aiguille de le seringue) sera injectée lors de toutes 'vaccination'.
SupprimerS’expatrier maintenant fait ‘il de nous des lâches ou des traitres ?
RépondreSupprimermardi, 17 novembre 2020 06:50
En temps normal, je me poserais pas la question, mais vu l’actualité c’est un peu différent. Parce que c’est justement en ce moment que la France aurait besoin de gens entreprenants avec un peu de caractère pour organiser la révolte, c’est maintenant qu’il faut être là pour combattre le système. Vu mon caractère et si l’univers ne m’avait pas posé à Hong Kong juste avant que tout ça ne commence, à l’heure qu’il est je serais certainement en prison pour avoir créé un mouvement Gilets Jaunes radical. Et pour tout à fait être honnête, je rêverai d’être là quand on marchera vers le palais présidentiel fourches à la main. Peut-être que je reviendrai exprès ce jour-là qui sait. L’univers sait ce qu’il fait.
Je pense aux proches que j’ai abandonné en France, pendant que je me dore la pilule ici ils voient leurs libertés bafouées et le monde qu’il connaissent s’effondrer sous leurs yeux. Peut-être qu’ils pensent que je suis un traitre d’autant plus que je me permets de les traiter d’imbéciles, je leurs conseille aussi de fuir, de trahir la France à qui l’on doit tout. Si on passe sur quelques bricoles, on n’y vit tout de même pas si mal que ça en France comparé à l’Afrique ou au Bengladesh. Faut pas cracher dans la soupe !
Mais comparé à l’Afrique où les gouvernements ne s’occupent pas assez de leurs ressortissants, la France elle ne nous a exclusivement élevés, nourri et soigné pour faire de nous des vaches à lait ! Pour l’état Français nous ne sommes qu’un numéro fiscal associé à un numéro de sécurité sociale. Un être parmi d’autres dans la grande ferme d’élevage qu’est la France, un individu drogué et manipulé depuis l’enfance à qui on a mentis sur absolument tout. Sur la santé, les relations homme/femme, la politique, le fric, la bouffe, les droits de l’homme, sur ce qui se passe ailleurs... Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, un monde où l’on créé des icones de toutes pièces que l’on doit adorer sur les réseaux sociaux, un monde qui n’existe que dans les médias, un monde où, parce que nous avons le choix entre 25 chaînes de TNT nous avons l’illusion d’être libres. Pourtant il suffit de voyager un peu pour comprendre à quel point on nous a lavé le cerveau. J’ai grandi dans un pays où la télévision m’a rabâché tous les jours que nous avions le système de santé le meilleur du monde, un système que le monde entier nous enviait ! Puis il y a eu une grippe un peu plus forte que les autres et tout s’est effondré. En fait non, tout s’est emballé. Cette épidémie sert d’excuse pour passer une update du firwmare de la ferme d’élevage dans lequel nous vivons. Comme pour un appareil électronique, une fois le firwmare updaté, on fait un petit reset, on redémarre et le gérant de la ferme bénéficie du nouveau programme avec tout plein de nouvelles fonctions.
Comment alors se sentir coupable d’avoir quitté ce monde toxique et mortifère dans lequel je ne pouvais plus respirer. Je ne me sens coupable que de n’avoir pas su trouver les mots pour convaincre plus de monde de venir avec moi. Il y a ceux qui sont dans le dénis total, ceux pour qui tout va bien tant qu’on est mieux en France qu’en Afrique, et ceux qui me disent : "Laisse-moi, je ne veux pas savoir". Je ne comprends que trop bien ces derniers. Pétrifiés et coincé dans leurs routines, au fond d’eux ils savent exactement ce qui se passent, mais tant que le bus pour aller au travail arrive à l’heure, tout va bien. Le reste, on verra plus tard.
Est ‘ce mieux ailleurs ? Est ‘ce que le monde entier n’est pas qu’une ferme d’élevage géante dirigée par des psychopathes à qui il est impossible d’échapper ? Est ’ce qu’il ne faudrait pas rester en France, fuir les villes, se réfugier en tribu dans des petits villages loin de tout, en autonomie ? Entre nous, en famille on est mieux pour affronter l’adversité non ? C’est une solution temporaire comme une autre. L’autre solution est de passer en mode light et voyager de pays les moins pires en pays les moins pires. C’est ce que j’ai choisi de faire pendant que c’est encore possible.
RépondreSupprimerhttp://www.objectifeco.com/dans-la-vie-des-auteurs/s-expatrier-maintenant-fait-il-de-nous-des-laches-ou-des-traitres.html
SupprimerBien-sûr que TOUT LE MONDE cherche à fuir cet univers de fous masqués appelés à fuir une nano-particule qui n'existe presque pas et dont le SEUL remède (hydroxycholoquine) a été interdit à la vente et à l'usage !!. Mais, gagner les campagnes et montagnes suffit-il ? Qui a les moyens de fuir en bateau (à voile) pour errer dans les océans à la recherche de cette île déserte où la vie serait possible ?
Les citoyens britanniques 'pourraient être interdits d'aller travailler' sans preuve de vaccination COVID
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 17/11/2020 - 04:15
Les travailleurs britanniques pourraient se voir interdits de pubs, de restaurants et peut-être même du lieu de travail s'ils refusaient de se faire vacciner contre le COVID-19, selon un député principal.
S'adressant au podcast Commons People du HuffPost UK, comme l'a noté Metro, le conservateur Tom Tugendhat a averti qu'il pourrait 'certainement voir le jour' où une preuve de vaccination serait requise pour revenir à une vie normale.
'Si la vaccination fonctionne et si nous sommes convaincus qu'elle est sûre, et que toutes les indications jusqu'à présent sont bonnes, alors je peux certainement voir le jour où les entreprises disent': "Regardez, vous devez retourner au bureau et si vous ne l'êtes pas vacciné, vous ne rentrez pas », a-t-il ajouté.
"Et je peux certainement voir des lieux sociaux demander des certificats de vaccination." Cela dit, un mandat gouvernemental sur le vaccin ne serait pas à l'horizon immédiat, selon le ministre de la Santé, Matt Hancock.
Le député s'exprimait au cours de la semaine où le candidat vaccin de Pfizer s'est avéré efficace à 90 %. Des préparatifs sont actuellement en cours pour administrer le jab, et potentiellement d'autres qui sont encore en développement.
Le gouvernement a présenté sa stratégie pour faire vacciner les personnes le plus rapidement possible, en commençant par celles qui sont les plus vulnérables ou qui travaillent en première ligne de la pandémie. Bien que certains experts aient exhorté le gouvernement à rendre le vaccin obligatoire, le ministre de la Santé, Matt Hancock, avait précédemment souligné que ce ne serait pas le cas. -Métro
Comme nous l'avons noté la semaine dernière, Ticketmaster, basé aux États-Unis, prévoit de vérifier le statut vaccinal des spectateurs ou s'ils ont été testés négatifs au COVID-19 dans un délai de 24 à 72 heures.
Le député Tugendhat, qui préside la commission des affaires étrangères, a également cité les voyages à l'étranger comme un autre exemple d'industries qui exigent déjà une preuve de vaccination pour les visiteurs qui tentent d'entrer dans certains pays.
«Je me souviens quand je voyageais un peu plus qu'aujourd'hui - quand vous allez dans certains pays, vous deviez présenter un certificat de fièvre jaune et si vous n'aviez pas de certificat de fièvre jaune, vous n'étiez pas autorisé à entrer dans le pays et c'était cela », a déclaré Tugendhat, ajoutant:« Il n'y a eu aucun débat, aucun appel et aucune autre demande. Et je peux voir une situation où oui, bien sûr, vous êtes libre de ne pas avoir le vaccin, mais il y a des conséquences.
Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que les transports publics et les services similaires pourraient emboîter le pas en exigeant des «passeports d'immunité», il a répondu: «Cela dépendrait de ce qu'étaient les services publics, et qui et quand, donc je ne voudrais pas commencer à prédire.
Mais je pense que s'il est prouvé que les choses sont sûres, les rejeter alors qu'elles ont un effet plus large sur l'ensemble de la société aura des conséquences.
https://www.zerohedge.com/medical/uk-citizens-could-be-banned-going-work-without-proof-covid-vaccination
Il y a eu une chute soudaine et "énorme" des tests COVID aux États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 15:30
Les résultats positifs du vaccin covid de Pfizer lundi dernier, et de nouveau de Moderna aujourd'hui, n'auraient pas pu venir plus tôt (bien que s'ils l'avaient fait, le résultat de l'élection présidentielle aurait été très différent pour Trump, dont les affirmations selon lesquelles un vaccin serait découvert ce année ont été accueillis avec moquerie par les vérificateurs de faits de NBC).
La raison pour laquelle la bonne nouvelle était cruciale est que, comme l'écrit la Bank of America, quelque chose de grand s'est produit dans la crise du COVID: une augmentation dramatique de nouveaux cas.
Comme l'explique Ethan Harris de BofA, mercredi, la moyenne sur sept jours a atteint 131k, bien au-dessus du pic de 67k cet été, tandis que "l'accélération de la croissance des nouvelles affaires est encore plus frappante: d'environ 20 % par semaine le jour de l'élection à plus de 40 % maintenant. " À ce rythme, BofA calcule que les nouveaux cas vont plus que doubler toutes les deux semaines. Même si le taux de croissance retombe à 20%, cela signifierait que les cas doubleraient toutes les quatre semaines (rappelez-vous ce que nous avons dit que la Fed a besoin d'une "nouvelle crise" pour doubler son QE ? Eh bien, nous savons maintenant ce qu'est cette "crise", d'autant plus que ni les vaccins Pfizer ni Moderna ne seront largement disponibles jusqu'à la mi-2021.
Ainsi, dans le cadre de la préparation de la prochaine crise, BofA - qui a déclaré il n'y a pas si longtemps qu'une grande partie de la flambée de nouveaux cas était uniquement due à une augmentation des tests - a déclaré qu'il ne semblait y avoir rien de flou dans ces chiffres: " Les cas sont en augmentation dans presque tous les États, et 36 États ont atteint des niveaux records au cours de la semaine dernière. C'est assez différent du printemps, lorsque le nord-est a été très durement touché, mais la majeure partie du reste du pays n'a été que légèrement touchée. "
De façon amusante, réfutant ses propres commentaires précédents sur le sujet, Harris écrit que «dans le passé, des optimistes [comme Harris lui-même] ont fait valoir que les décideurs politiques ne devraient pas se concentrer sur le nombre de cas parce que les tests et les traitements se sont tous deux améliorés de manière significative. Par conséquent, tant que les hospitalisations et les morts n'augmentent pas, il n'y a pas besoin de restrictions supplémentaires Malheureusement selon BofA, les nouvelles ne sont pas bonnes non plus ici.
Selon la banque, «alors que les tests ont plus que doublé, passant de ~ 930 000 fin septembre à 2,1 millions à la fin du mois dernier, si les véritables infections n’augmentaient pas, cela aurait dû entraîner une forte baisse du ratio de positivité, puisque le des tests progressifs sont susceptibles d'être effectués sur des personnes moins susceptibles d'être infectées." Mais le ratio de positivité n'a baissé que modestement, de 4,7 % à 3,7 %, les tests ayant doublé.
Ceci, pour les stratèges de la banque, "suggère que l'augmentation du nombre de cas était beaucoup plus due à des infections réelles qu'à une augmentation des tests: en supposant le même ratio de positivité de 4,7% pour les premiers ~ 930 000 tests, le ratio de positivité pour les tests restants aurait toujours été 3,0%. "
Mais ce qui est encore plus remarquable que la mouture exponentielle plus élevée dans les nouveaux cas, c'est qu'il y a eu soudainement une énorme baisse des tests ce mois-ci, accompagnée d'une augmentation des ratios de positivité, et bien que BofA pense que cela est probablement dû à des problèmes de rapport, c'est certainement quelque chose à surveiller de près.
RépondreSupprimer- voir graphiques sur site -
Tout aussi troublant est que si les traitements se sont considérablement améliorés depuis le printemps, les données suggèrent qu'il n'y a pas eu d'amélioration supplémentaire récemment, comme l'explique BofA:
Considérez l'exercice simple suivant. Le délai entre les cas et les décès est généralement estimé à trois à six semaines et a tendance à s'allonger avec le temps. Le graphique 3 montre le rapport estimé des décès aux cas en utilisant un décalage de trois et six semaines.
- voir graphiques sur site -
En utilisant un décalage de trois semaines, la part des cas ayant conduit à des décès est assez stable ces derniers mois à environ 1,5 % à 2,0 %. Si nous supposons un décalage de six semaines, la part a en fait été à la hausse. Cela est particulièrement troublant car plus de tests sont censés signifier moins de décès par cas, car plus de personnes sans symptômes sont testées. Même si nous supposons un ratio de 1,5 %, les nouveaux cas au cours de la semaine dernière entraîneraient près de 2 000 décès quotidiens quelques semaines plus tard. Ceci est proche du pic des décès quotidiens dus au printemps.
Pendant ce temps, alors que nous passons à l'hiver, les cas continueront probablement d'augmenter à mesure que les activités se déplacent à l'intérieur, que la fatigue de l'éloignement social s'aggrave et que les gens voyagent et se rassemblent avec des parents pour les vacances. Selon BofA, "il semble raisonnable que les cas pourraient doubler au cours du mois prochain", ce qui serait encore une fois le genre de crise dont la Fed a besoin pour étendre le QE.
Et, comme l'ajoute Harris, «dans ce cas, un ratio de létalité uniforme pourrait être trop optimiste car plus le virus se propage, plus il devient difficile de protéger les personnes vulnérables. Le graphique 3 montre que le taux de mortalité a déjà commencé à augmenter ces derniers temps. journées."
Ce qui se passe ensuite n'est pas clair.
En effet, comme l'écrit BofA, "on ne sait pas exactement ce qui arrêtera cette expansion exponentielle. Les mesures de confinement prises jusqu'à présent ont été très localisées et limitées. Contrairement à l'été, la hausse des cas ne semble pas avoir provoqué beaucoup de changements dans les comportements individuels. D’un autre côté, «la bonne nouvelle est que les indicateurs de l’activité quotidienne montrent peu ou pas d’impact sur l’économie. La mauvaise nouvelle, c'est que les données quotidiennes sur les virus suggèrent peu ou pas d'impact sur le virus. "
De l'avis de BofA, il faudra plus de temps aux responsables locaux pour répondre à la flambée actuelle: «Parce que le virus se propage à travers le pays, seuls quelques endroits sont déjà à court de capacité hospitalière. Nous comprenons également pourquoi les gouverneurs des États-Unis hésitent à réimposer des restrictions strictes. "
D'un autre côté, les coûts économiques sont sur le point de réapparaître: de nombreuses entreprises n'ont pas survécu à la première série de fermetures au printemps, et des fermetures supplémentaires pourraient être dévastatrices sur le plan économique. Cela est particulièrement vrai compte tenu du manque de soutien fiscal aux consommateurs et aux entreprises cette fois-ci. Il n'y a pas de fonds PPP, de primes de chômage ou d'aide aux États pour amortir le coup. Des restrictions strictes pourraient également ne pas être politiquement populaires, étant donné la fatigue croissante de l'éloignement social. Tout cela devra être mis en balance avec l'appétit politique pour un très mauvais résultat de santé publique.
RépondreSupprimerLes préoccupations de BofA ne sont pas seulement théoriques, comme l'ont démontré les événements récents en Europe.
Alors que l'Europe a quelques semaines d'avance sur les États-Unis dans le cycle des virus, le scénario décrit ci-dessus s'est joué en France et en particulier au Royaume-Uni. Les deux pays ont tenté de surmonter l'épidémie sans nuire à l'économie, avant de finalement capituler lorsque la situation dans les hôpitaux est devenue très difficile et, finalement, les deux ont imposé des verrouillages stricts. Comme nous l'avons montré la semaine dernière, la mobilité s'est effondrée dans toute l'Europe après la nouvelle série de fermetures, et selon BofA, la nouvelle série de restrictions entraînera probablement une contraction annualisée du PIB de 5 % au 4e trimestre dans la zone euro, et une baisse de près de 11 % sortie au Royaume-Uni.
Les États-Unis sont en passe de connaître leur propre «crise»: la semaine dernière, la ville de Chicago a émis un avis de rester à la maison, avec de nombreuses autres restrictions à travers le pays. Et si jusqu'à présent les indicateurs à haute fréquence aux États-Unis montrent peu d'impact négatif des fermetures partielles ...
- voir graphiques sur site -
... il reste à voir si les données tiennent compte du dernier avis.
Malheureusement, le résultat le plus probable est celui que nous avons «modélisé» au cours du week-end: les vaccins en cours de déploiement ne seront pas disponibles avant le début / mi-2021, mais d’ici là, l’économie - partiellement ou totalement verrouillée - sera profondément ancrée. récession à double creux. Et sans aide venant d'un Congrès dans l'impasse, il appartiendra à la Fed d'intervenir. Il le fera, en doublant son QE mensuel de 120 milliards de dollars à 240 milliards de dollars, tout en s'assurant également de disposer d'une capacité suffisante pour monétiser l'intégralité du déficit budgétaire américain en 2021, qui devrait atteindre 3,5 billions de dollars.
https://www.zerohedge.com/markets/there-has-been-sudden-huge-drop-covid-testing-us
Pourquoi le test COVID-19 est un déchet tragique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 22:00
Rédigé par Joseph Mercola via LewRockwell.com,
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, l'appel du clairon a été de tester, tester et tester encore plus. Cependant, dès le début, de sérieuses questions se sont posées sur les tests utilisés pour diagnostiquer cette infection, et les questions ne font que se multiplier depuis.
Des tests positifs de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR) ont été utilisés pour justifier le maintien de grandes parties du monde enfermées pendant la majeure partie de 2020.
Ceci, malgré le fait que les tests PCR se sont avérés remarquablement peu fiables avec des taux élevés de faux résultats, et ne sont pas conçus pour être utilisés comme un outil de diagnostic en premier lieu car ils ne peuvent pas faire la distinction entre les virus inactifs et les virus «vivants» ou reproducteurs.
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a même déclaré publiquement que des résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour «fabriquer une« deuxième vague »basée sur de« nouveaux cas », alors qu'en fait une deuxième vague est hautement improbable.
Comprendre les tests PCR
Avant sa mort, l'inventeur du test PCR, Kary Mullis, a souligné à maintes reprises mais sans succès que ce test ne doit pas être utilisé comme un outil de diagnostic pour la simple raison qu'il est incapable de diagnostiquer la maladie.
Un test positif ne signifie pas réellement qu'une infection active est présente. Comme indiqué dans une publication des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis sur les tests de coronavirus et de PCR datée du 13 juillet 2020:
La détection de l'ARN viral peut ne pas indiquer la présence d'un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l'agent causal des symptômes cliniques.
Les performances de ce test n'ont pas été établies pour le suivi du traitement de l'infection au 2019-nCoV.
Ce test ne peut pas exclure des maladies causées par d'autres agents pathogènes bactériens ou viraux.
Alors, que nous dit réellement le test PCR ? L'écouvillon PCR recueille l'ARN de votre cavité nasale. Cet ARN est ensuite transcrit en sens inverse en ADN. Cependant, les extraits génétiques sont si petits qu'ils doivent être amplifiés pour devenir discernables. Chaque cycle d'amplification est appelé un cycle.
L'amplification sur 35 cycles est considérée comme non fiable et scientifiquement injustifiée, mais les tests Drosten et les tests recommandés par l'Organisation mondiale de la santé sont fixés à 45 cycles.
Cela amplifie toutes les séquences d'ADN viral, même insignifiantes, qui pourraient être présentes au point que le test indique «positif», même si la charge virale est extrêmement faible ou si le virus est inactif. En raison de ces seuils de cycle excessifs, vous vous retrouvez avec un nombre beaucoup plus élevé de tests positifs que vous ne le feriez autrement.
Nous avons également eu des problèmes avec des tests défectueux et contaminés. Dès que la séquence génétique du SRAS-CoV-2 est devenue disponible en janvier 2020, des chercheurs allemands ont rapidement développé un test PCR pour le virus.
RépondreSupprimerEn mars 2020, le New York Times a rapporté que les kits de test initiaux développés par le CDC avaient été jugés défectueux. The Verge a également signalé que ce test CDC défectueux est devenu à son tour la base du test de l'OMS, que le CDC a fini par refuser d'utiliser.
Les tests PCR ne peuvent pas détecter l'infection
Peut-être plus important encore, les tests PCR ne peuvent pas faire la distinction entre les virus inactifs et les virus «vivants» ou reproducteurs.
Cela signifie que les tests PCR ne peuvent pas détecter l'infection. Période. Il ne peut pas vous dire si vous êtes actuellement malade, si vous développerez des symptômes dans un proche avenir ou si vous êtes contagieux.
Les tests peuvent détecter des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres. De plus, le test peut détecter la présence d'autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d'un rhume dans le passé.
Une «infection» se produit lorsqu'un virus pénètre dans une cellule et se réplique. Au fur et à mesure que le virus se multiplie, les symptômes se manifestent. Une personne n'est contagieuse que si le virus se réplique réellement. Tant que le virus est inactif et ne se réplique pas, il est totalement inoffensif pour l’hôte et les autres.
Si vous ne présentez aucun symptôme, il est probable qu'un test positif signifie simplement qu'il a détecté de l'ADN viral inactif dans votre corps. Cela signifierait également que vous n'êtes pas contagieux et que vous ne présentez aucun risque pour personne.
Pour toutes ces raisons, un certain nombre de scientifiques hautement respectés du monde entier disent maintenant que ce que nous avons n'est pas une pandémie de COVID-19 mais une pandémie de test PCR. Dans son article du 20 septembre 20205 «Mensonges, mensonges damnés et statistiques de santé - Le danger mortel des faux positifs», Yeadon explique pourquoi baser notre réponse pandémique sur des tests PCR positifs est si problématique.
En bref, il semble que des millions de personnes portent simplement un ADN viral inactif qui ne présente aucun risque pour personne, mais ces résultats de test sont utilisés par la technocratie mondiale pour mettre en œuvre un tout nouveau système économique et social basé sur une surveillance draconienne et totalitaire. les contrôles.
- voir clip sur site -
Justifications créées artificiellement pour les contrôles totalitaires
Tel que rapporté par The Vaccine Reaction, 29 septembre 2020:
«Le seuil du test est si élevé qu'il détecte les personnes porteuses du virus vivant ainsi que celles avec quelques fragments génétiques laissés par une infection antérieure qui ne présente plus de risque. C’est comme trouver un cheveu dans une pièce après qu’une personne l’ait quitté, dit Michael Mina, MD, épidémiologiste au Harvard T.H. École de santé publique Chan.
Dans trois ensembles de données de test qui incluent des seuils de cycle compilés par des responsables du Massachusetts, de New York et du Nevada, jusqu'à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement aucun virus, selon une revue du New York Times ...
RépondreSupprimer"Nous utilisons un seul type de données pour tout, et c'est juste plus ou moins - c'est tout", a déclaré le Dr Mina. "Nous utilisons cela pour les diagnostics cliniques, pour la santé publique, pour la prise de décision politique."
Mais "oui" ou "non" ne suffit pas, a-t-il ajouté. C’est la quantité de virus qui devrait dicter les prochaines étapes du patient infecté. «Il est vraiment irresponsable, je pense, de renoncer à reconnaître qu’il s’agit d’une question quantitative», a déclaré le Dr Mina.
Encore une fois, les experts médicaux conviennent que tout seuil de cycle supérieur à 35 cycles rend le test trop sensible, car à ce stade, il commence à détecter des fragments d'ADN inactifs inoffensifs. Mina pense qu'un seuil plus raisonnable serait de 30 ou moins.
Selon le New York Times, les propres calculs du CDC montrent qu'il est extrêmement improbable de détecter des virus vivants dans des échantillons qui ont traversé plus de 33 cycles, et une recherche publiée en avril 2020 a conclu que les patients avec des tests PCR positifs qui avaient un seuil de cycle supérieur à 33 étaient non contagieux et pourrait être libéré en toute sécurité de l'hôpital ou de l'isolement à domicile.
Surtout, lorsque les responsables du laboratoire de l’État de New York, le Wadsworth Center, ont réanalysé les données de test à la demande du Times, ils ont constaté que le passage du seuil de 40 cycles à 35 cycles éliminait environ 43 % des résultats positifs. Le limiter à 30 cycles a éliminé 63 %. La réaction vaccinale ajoute:
«Dans le Massachusetts, de 85 à 90 % des personnes qui ont été testées positives en juillet avec un seuil de cycle de 40 auraient été jugées négatives si le seuil était de 30 cycles, a déclaré le Dr Mina. «Je dirais qu’aucune de ces personnes ne devrait être suivie, pas une seule», a-t-il déclaré.
«Je suis vraiment choqué que cela puisse être aussi élevé - la proportion de personnes ayant des résultats de haute valeur CT», a déclaré Ashish Jha, MD, directeur du Harvard Global Health Institute. «Mon garçon, cela change-t-il vraiment la façon dont nous devons penser aux tests ?» ...
Fin août, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé le premier test rapide de coronavirus qui ne nécessite aucun équipement informatique spécial. Fabriqué par Abbot Laboratories, le test de 15 minutes [BinaxNOW] se vendra 5 $ US, mais nécessite toujours un prélèvement nasal par un agent de santé.
Le test Abbot est le quatrième test rapide au point de service qui recherche la présence d'antigènes plutôt que le code génétique du virus comme le font les tests moléculaires par PCR. "
Un gaspillage massif de ressources
Comme l'ont noté le Dr Tom Jefferson et le professeur Carl Henegan dans un article du 31 octobre 2020 dans le Daily Mail, 16 les tests PCR de masse ont été un gaspillage ou des ressources massives, car ils ne nous fournissent pas les informations dont nous avons réellement besoin pour savoir - qui est contagieux, dans quelle mesure le virus se propage-t-il et à quelle vitesse se propage-t-il ?
Au lieu de cela, cela a conduit à une dévastation économique due aux fermetures d'entreprises et à l'isolement de personnes non infectieuses chez elles pendant des semaines et des mois. Jefferson et Henegan affirment qu'ils ont partagé leur plan de réponse à la pandémie avec le Premier ministre britannique Boris Johnson il y a plus d'un mois et qu'ils viennent de le lui présenter à nouveau. «Nous lui demandons de prêter attention et de l'adopter», écrivent-ils, ajoutant:
RépondreSupprimer«Il n'y a que deux choses dont nous pouvons être certains: premièrement, que les verrouillages ne fonctionnent pas à long terme ... L'idée qu'un mois de difficultés économiques permettra une sorte de 'réinitialisation', nous permettant un avenir meilleur, est un mythe. Que se passera-t-on quand cela se terminera ? Pendant ce temps, des restrictions toujours croissantes détruiront des vies et des moyens de subsistance.
La deuxième certitude est la suivante: nous devons trouver un moyen de sortir du désordre qui ne fait pas plus de dégâts que le virus lui-même ... Notre stratégie serait de s'attaquer aux quatre principaux échecs.
Ces quatre domaines sont:
Résoudre les problèmes du programme d’essais de masse du gouvernement
Lutter contre «le fléau des statistiques confuses et contradictoires»
Protéger et isoler les personnes vulnérables - principalement les personnes âgées, mais aussi les patients hospitalisés en général et le personnel - tout en permettant aux autres de conserver «un semblant de vie normale»
Informez le public des coûts réels et quantifiables du verrouillage qui «tuent des gens aussi sûrement que le COVID-19»
«Si nous faisons ces choses, il y a un réel espoir que nous pourrons apprendre à vivre avec le virus. Cela, après tout, était censé être le plan », notent Jefferson et Henegan. En ce qui concerne les tests, le couple appelle «à un programme national de contrôle de la qualité des tests pour garantir que les résultats sont exacts, précis et cohérents».
Surtout, nous ne devons pas nous fier uniquement aux lectures positives / négatives. Les résultats doivent être évalués par rapport à d'autres facteurs, tels que l'âge du sujet et s'ils sont symptomatiques, pour déterminer qui pose réellement un risque infectieux. Vous pouvez consulter les détails complets de leur plan proposé à la fin de leur article du Daily Mail.
Les dangers du verrouillage ont été exclus de la discussion publique
Jefferson et Henegan ne sont pas les seuls à souligner le fait que la stratégie de verrouillage mondial cause plus de dommages et de destructions que le virus lui-même. Dans un article du 16 juin 2020 dans The Federalist, James Lucas, un avocat de la ville de New York, a écrit: 18
«Si nous permettons aux modèles et aux modélisateurs de dicter la nature entière de notre société, on espère que les modèles sont aussi complets que possible. Pourtant, les modèles épidémiologiques qui ont tellement transformé notre monde sont gravement incomplets, et donc fondamentalement inadéquats.
Toute thérapie médicale est censée être testée à la fois pour son efficacité et sa sécurité. Plusieurs études ont examiné l'efficacité des verrouillages dans la lutte contre la propagation du virus COVID-19, avec des conclusions mitigées.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, cependant, aucune de ces études ou modèles n'a analysé le côté sécurité de la thérapie de verrouillage. En réponse aux questions des médecins Sens. Rand Paul et Bill Cassidy, le Dr Anthony Fauci admet que ce côté de l'équation n'a pas été pris en compte dans les modèles qui dirigent actuellement notre monde.
Comme indiqué dans une lettre ouverte récemment signée par plus de 600 professionnels de la santé, les coûts de santé publique liés aux verrouillages - décrits comme un «incident faisant des victimes massives» sont réels et en augmentation.
Ces modèles sont des estimations basées sur des recherches existantes. Les projections en constante évolution des décès de coronavirus sont des extrapolations de recherches sur des épidémies antérieures. Pourtant, les modélisateurs n’ont aucune excuse pour laisser de côté les évaluations des coûts massifs des verrouillages pour la santé publique. »
Les coûts cachés des verrouillages
Comment la «thérapie de verrouillage» affecte-t-elle la sécurité publique ? Dans son article, Lucas souligne ce qui suit:
Augmentation des taux de maladies chroniques en raison du chômage, de la pauvreté et de la suspension des soins médicaux non COVID - Des recherches23 de la Veterans Administration ont montré que le report du traitement du cancer d'un mois seulement entraînait une augmentation de 20% de la mortalité. Une autre étude a révélé que chaque retard d'un mois dans le diagnostic du cancer du sein augmentait la mortalité de 10%
Augmentation des taux de mortalité par suicide - Dans une étude, le fait d'être au chômage était associé à un risque relatif de suicide de deux à trois fois plus élevé. Une étude plus récente estime que les «décès dus au désespoir» liés aux confinements pourraient être d'environ 75 000 aux États-Unis.
Réduction de la durée de vie collective - Le chômage prolongé est également associé à des vies plus courtes et plus saines. Hannes Schwandt, chercheur en économie de la santé à la Northwestern University, estime qu'un arrêt économique prolongé pourrait raccourcir la durée de vie de 6,4 millions d'Américains entrant sur le marché du travail d'environ deux ans en moyenne. Lucas note:
«Si les épidémiologistes ne se soucient pas de tenir compte de ce bilan, une autre profession doit le faire. Une étude28 qui vient d'être publiée par un groupe d'actuaires sud-africains estime que la réduction nette de la durée de vie due à l'augmentation du chômage et de la pauvreté due à un verrouillage national dépassera la durée de vie accrue due aux vies sauvées du COVID-19 par le verrouillage d'un facteur 30 à 1.
En d'autres termes, chaque année de vie supplémentaire attribuable à l'isolement des victimes potentielles du coronavirus dans le verrouillage coûte 30 années perdues en raison des effets négatifs sur la santé publique d'un verrouillage ... »
Le manque d'éducation est également associé à une durée de vie nettement plus courte et à une santé plus mauvaise. Les décrocheurs du secondaire meurent en moyenne neuf ans plus tôt que les diplômés universitaires, et les fermetures d'écoles affectent de manière disproportionnée les élèves les plus pauvres.
RépondreSupprimerQui paie le plus ?
Comme l'a noté Lucas, en plus de calculer les coûts globaux pour la société, les modélisateurs doivent également déterminer «à qui ces coûts incombent», car les coûts ne sont pas supportés également par tous. Les conséquences des verrouillages affectent de manière disproportionnée ceux qui sont déjà les plus vulnérables - financièrement et en termes de santé - tels que ceux qui vivent près du seuil de pauvreté, les malades chroniques, les personnes atteintes de maladie mentale et les minorités en général.
«Contrairement au slogan des relations publiques, nous ne sommes PAS tous dans le même bateau», écrit Lucas. «Nous avons besoin d’une propagande moins insipide en faveur du lock-out vantant les vertus des travailleurs« essentiels », et d’une analyse plus sérieuse de l’énorme bilan de santé publique que les lock-out leur imposent. Sinon, nous pourrions en venir à voir l'ère du coronavirus comme simplement le moment où les élites pro-lockdown ont sacrifié la classe ouvrière31 pour se protéger.
Une pandémie de peur
Un article du 28 octobre 2020 publié par le Ron Paul Institute souligne que:
«Depuis que la prétendue pandémie a éclaté en mars dernier, les médias grand public ont craché un flux continu de désinformation qui semble être axé sur la génération de la peur maximale parmi les citoyens.
Mais les faits et la science ne soutiennent tout simplement pas l’image grave d’un virus mortel balayant le pays. Oui, nous avons une pandémie, mais c ’est une pandémie de pseudo-science égarée se faisant passer pour un fait impartial.»
Neuf faits qui peuvent être corroborés par des données «brossent un tableau très différent de la peur et de la crainte d'être implacablement percutées dans le cerveau de citoyens sans méfiance», déclare l'article. Outre le fait que les tests PCR sont pratiquement inutiles, pour toutes les raisons déjà mentionnées, ces faits étayés par des données comprennent:
1. Un test positif n'est PAS un «cas» - Comme l'explique le Dr Lee Merritt dans sa conférence de Médecins pour la préparation aux catastrophes d'août 202033, présentée dans «Comment la technocratie médicale a rendu la plandémie possible», les médias et les responsables de la santé publique semblent avoir délibérément confondre des «cas» ou des tests positifs avec la maladie réelle.
Médicalement parlant, un «cas» fait référence à une personne malade. Il n'a jamais fait référence à quelqu'un qui ne présentait aucun symptôme de maladie. Maintenant, tout d'un coup, ce terme médical bien établi, «cas», a été complètement et arbitrairement redéfini pour désigner une personne qui a été testée positive pour la présence d'ARN viral. Comme l'a noté Merritt, «Ce n'est pas de l'épidémiologie. C'est de la fraude. »
2. Selon le CDC34 et d'autres données de recherche 35, le taux de survie au COVID-19 est supérieur à 99 % et la grande majorité des décès surviennent chez les plus de 70 ans, ce qui est proche de l'espérance de vie normale.
3. L'analyse des CDC révèle que 85% des patients testés positifs pour le COVID-19 portaient des masques faciaux «souvent» ou «toujours» dans les deux semaines précédant leur test positif. Comme indiqué dans l'article de Ron Paul 36, «La seule conclusion rationnelle de cette étude est que les masques en tissu offrent peu ou pas de protection contre l'infection à Covid-19.»
RépondreSupprimer4. Il existe des thérapies peu coûteuses et éprouvées pour le COVID-19 - Les exemples incluent divers schémas impliquant l'hydroxychloroquine avec du zinc et des antibiotiques, des protocoles à base de quercétine, le protocole MATH + et du peroxyde d'hydrogène nébulisé.
5. Le taux de mortalité n'a pas augmenté malgré les décès dus à une pandémie - Les données37,38 montrent que la mortalité globale toutes causes confondues est restée stable en 2020 et ne s'écarte pas de la norme. En d'autres termes, le COVID-19 n'a pas tué plus de population qu'il n'en serait de toute façon mort au cours d'une année donnée.
Comme indiqué dans l'article de Ron Paul, «Selon le CDC, début mai 2020, le nombre total de décès aux États-Unis était de 944 251 entre le 1er janvier et le 30 avril. C'est en fait légèrement inférieur au nombre de décès au cours de la même période en 2017, lorsque 946 067 décès au total ont été signalés. »
15 000 médecins et scientifiques appellent à la fin des verrouillages
Dans l'ensemble, il y a de nombreuses raisons de soupçonner que les verrouillages continus, la distanciation sociale et les mandats de masque sont totalement inutiles et ne modifieront pas de manière significative le cours de cette maladie pandémique ou le décompte final des décès.
Et, en ce qui concerne les tests PCR universels où les individus sont testés toutes les deux semaines ou même plus fréquemment, qu'ils présentent des symptômes ou non, il s'agit clairement d'un effort inutile qui produit des données inutiles. C’est juste un outil pour répandre la peur, qui à son tour permet la mise en œuvre rapide des mécanismes de contrôle totalitaire nécessaires pour réussir la grande réinitialisation. Heureusement, de plus en plus de gens commencent maintenant à voir à travers ce complot.
Environ 45 000 scientifiques et médecins du monde entier ont déjà signé la déclaration de Great Barrington, qui appelle à la fin de tous les verrouillages et à la mise en œuvre d'une approche d'immunité collective face à la pandémie, ce qui signifie que les gouvernements devraient autoriser les personnes qui ne présentent pas de risque significatif de maladie grave à COVID-19. pour revenir à une vie normale, car l'approche de verrouillage a un effet dévastateur sur la santé publique - bien pire que le virus lui-même. La déclaration déclare:
«Venant de la gauche et de la droite, et du monde entier, nous avons consacré notre carrière à la protection des personnes. Les politiques de verrouillage actuelles produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme ...
L'approche la plus compatissante qui équilibre les risques et les avantages d'obtenir l'immunité collective est de permettre à ceux qui courent un risque minimal de mort de vivre normalement leur vie pour développer une immunité contre le coronavirus grâce à une infection naturelle, tout en protégeant mieux ceux qui sont les plus à risque. . Nous appelons cela une protection ciblée. »
La déclaration souligne que les politiques de verrouillage actuelles entraîneront à l'avenir une surmortalité, principalement parmi les jeunes et la classe ouvrière. Au 5 novembre 2020, la Déclaration de Great Barrington avait été signée par 11 791 scientifiques médicaux et en santé publique, 33 903 médecins et 617 685 «citoyens concernés».
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/medical/why-covid-19-testing-tragic-waste
(...) Les tests peuvent détecter des débris morts ou des particules virales inactives qui ne présentent aucun risque pour le patient et les autres. De plus, le test peut détecter la présence d'autres coronavirus, donc un résultat positif peut simplement indiquer que vous avez récupéré d'un rhume dans le passé. (...)
SupprimerLa plandémie 'Effacer 6 milliards 500 millions de personnes sur Terre' sera menée jusqu'au bout puisque des attardés mentaux refusent d'analyser, de comprendre et de se révolter contre le nano-groupuscule de criminels au pouvoir.
Exposé du Dr Igor Shepherd sur les horreurs d’un vaccin «Covid»
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
GaryDBarnett.com
17 novembre 2020
Le Dr Igor Shepherd est médecin / directeur du département de santé publique / unité de préparation de l’État du Wyoming et fait partie de l’équipe d’intervention de Covid.
J'ai pu avoir une conversation avec le Dr Shepherd après qu'il ait fait une conférence pour «Gardez le Colorado libre et ouvert» mardi dernier. Le Dr Shepherd m'a écrit et j'ai pu obtenir une copie de son discours important. Il a pris de grands risques pour faire ce discours sur les horreurs de ce nouveau vaccin «Covid-19», je recommande donc à tous de regarder et d’écouter. C'est un discours assez long et on répond aux questions à la fin, mais cela vaut la peine de chaque minute de votre temps. Il les appelle «armes biologiques de destruction massive».
Le Dr Shepherd est né et a grandi en Union soviétique, est devenu médecin militaire à Saint-Pétersbourg, en Russie, et a étudié sous la Force de fusée stratégique. Il est aujourd'hui un expert des armes biologiques, des explosifs chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires et à haut rendement (CBRNE) et de la préparation aux pandémies. Selon lui, ces vaccins sont une technologie très similaire à l'arme biologique RND utilisée pour développer des armes virales. Il comprend parfaitement que le plan de dépeuplement et de vaccination obligatoire sera à notre porte très bientôt, et il est choqué que le peuple américain soit si passif face à cette prise de contrôle ennemie. Il croit que cette fausse pandémie est le moyen par lequel un gouvernement mondial communiste sera introduit dans l'existence; celui qui ne peut pas être voté. Je suis d'accord avec cette pensée, car cette prise de contrôle technocratique et cette destruction économique seront de nature communiste.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2020/11/gary-d-barnett/dr-igor-shepherds-talk-about-the-horrors-of-a-covid-vaccine/
Le 'vaccin' létal sera obligatoire.
SupprimerVaccin contre le covid
RépondreSupprimerPar George Giles
17 novembre 2020
Les virus fonctionnent en faisant injecter leur matériel génétique dans une cellule où le système de transcription d’ADN de la cellule est détourné pour produire de nombreuses copies du virus. La maladie est les symptômes que cela provoque et dans le cas du covid-19 vont de zéro à léger; les décès concernent des personnes souffrant de comorbidités, mais la panique mondiale a laissé les gouvernements se déchaîner. Chaque semaine depuis que la «pandémie» a été déclarée, il y a eu plus de décès dus à la grippe. Détruire l'économie mondiale était criminel.
Le vaccin COVID selon Reuters:
"Les données de Moderna fournissent une validation supplémentaire de la plate-forme d'ARNm prometteuse mais non encore prouvée, qui transforme le corps humain en une usine de vaccins en incitant les cellules à fabriquer des protéines virales que le système immunitaire considère comme une menace et attaque."
L'essai clinique de Moderna a porté sur 90 patients. Je ne suis pas sûr de vouloir que l'ARNm du gouvernement soit injecté dans mes cellules. Mon expérience dans le domaine de la santé est sombre. Les médecins font ce qu'ils veulent aux patients et les résultats, souvent mauvais, viennent généralement plus tard. La santé est la seule entreprise où tuer le client est un résultat acceptable.
Certains États font circuler des lois potentielles qui rendent les vaccins anti-covides obligatoires.
L'ARN messager (ARNm) est un système de signalisation du métabolisme dans les cellules, je préfère l'équipement d'origine qui fonctionne beaucoup mieux.
Mes 21 années dans le domaine de la santé m'ont appris que si on vous propose une prescription, ce qui est presque un réflexe avec les médecins, exigez des génériques, des médicaments qui ont fait leurs preuves sur des millions de patients. L'essai clinique Moderna est une connerie statistique. Les soins de santé ont même leurs propres mathématiques appelées «biostatistiques» afin qu’ils puissent extrapoler 95 cas à l’ensemble de la race humaine. Non merci.
«La différence entre le génie et la stupidité est que le génie a ses limites.» ~ Albert Einstein
https://www.lewrockwell.com/2020/11/george-giles/covid-vaccine/
Les obligations n'achètent pas le récit «Lumière au bout du tunnel»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 17/11/2020 - 08:45
Par Richard Jones, commentateur macro chez Bloomberg
Le pic peu profond et éphémère des rendements américains et allemands hier montre que ces marchés obligataires refuges sont plus préoccupés par les défis de la pandémie à court terme que par le coup de pouce économique putatif d'un vaccin potentiel. Les deux marchés ont réagi beaucoup moins vivement aux nouvelles de Moderna que l'annonce de Pfizer la semaine dernière.
- voir graphique sur site -
Une interprétation de l’évolution des prix d’hier pourrait être que l’annonce de Moderna n’a fourni qu’une avance incrémentielle sur les nouvelles de Pfizer et n’a donc pas changé la donne pour les investisseurs obligataires. On pourrait soutenir qu'il y avait déjà beaucoup de bonnes nouvelles liées au prix des obligations.
Ce ne sont pas seulement ces obligations refuge qui manifestent un enthousiasme tiède face aux dernières avancées en matière de vaccins. Les contrats à terme sur e-mini S&P 500 se négocient près des niveaux observés avant l'annonce de Moderna hier.
Avec les États-Unis maintenant bloqués d'un océan à l'autre, il est facile de comprendre pourquoi les défis de la pandémie à court terme se conjuguent avec les espoirs de vaccination à plus long terme.
Angela Merkel appelle également les gens à limiter les rassemblements publics et privés, avant des réunions supplémentaires la semaine prochaine avec les dirigeants de l'État allemand pour discuter d'un plan pour les mois à venir.
Les actions ont montré des aperçus d'optimisme à long terme, mais les défis à court terme imposés par le virus signifient que les obligations auront besoin de beaucoup plus de conviction.
https://www.zerohedge.com/markets/bonds-arent-buying-light-end-tunnel-narrative
Les ventes au détail aux États-Unis déçoivent en octobre alors que la relance budgétaire s'estompe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 17/11/2020 - 08:38
À la suite de la poussée surprise des ventes au détail en septembre, les analystes s'attendaient à un ralentissement significatif de la croissance en octobre, mais les données étaient encore pires avec des ventes au détail américaines en hausse de seulement 0,3% MoM (contre + 0,5% MoM) et la poussée du mois dernier a été notablement révisée à la baisse (de + 1,9% MoM à + 1,6% MoM).
D'une année à l'autre, la croissance des ventes au détail de biens et de services a ralenti, mais reste relativement élevée ...
- voir graphique sur site -
Source: Bloomberg
Sous le capot, les meubles, les vêtements et les articles de sport ont tous connu une baisse notable des ventes, alors que les détaillants hors magasin (en ligne / Amazon) ont bondi ...
- voir graphique sur site -
Enfin, les données du groupe de contrôle - utilisées pour les calculs du PIB - étaient encore pires, n'augmentant que de 0,1% MoM ...
- voir graphique sur site -
Source: Bloomberg
Il semble que Washington ait besoin d'envoyer plus d'argent gratuit ou les Américains devront faire face à la réalité.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/us-retail-sales-disappoint-october-fiscal-stimulus-fades
Amazon commence à vendre des médicaments sur ordonnance à ses principaux clients
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 17/11/2020 - 06:41
Il y a un vieux dicton: ne gaspillez jamais une bonne crise. Eh bien, le PDG d'Amazon, Jeff Bezos, l'homme le plus riche du monde, ne laisse pas le COVID-19 passer sans essorer tout le jus du citron.
Après des années de préparation silencieuse et cohérente, de l'acquisition de PillPack au dépôt de licences et de marques, Amazon est enfin prêt à lancer son activité de pharmacie en ligne. La société a annoncé mardi qu'elle commencerait à vendre des médicaments sur ordonnance à ses principaux clients, une décision largement considérée comme la prochaine étape logique pour le géant du commerce électronique.
Dans un mouvement surprise, la pharmacie en ligne ouvre mardi, marquant un mouvement agressif dans l'industrie de la pharmacie au milieu d'une crise sanitaire sans précédent. À partir de mardi, la société prévoit de commencer à proposer des articles courants, notamment des crèmes, des pilules et des médicaments. Mais la vraie clé ici: Amazon expédiera également des ordonnances comme l'insuline, qui a des exigences de température (elle doit rester froide) comme le vaccin COVID-19 de Pfizer.
- voir graphiques sur site -
Les principaux membres qui n'ont pas d'assurance peuvent acheter des médicaments génériques ou de marque - vraisemblablement avec une ordonnance - à un prix préférentiel, a déclaré la société. Bien que la plupart des assurances soient acceptées.
Walgreens, CVS et Rite Aid ont chuté en pré-négociation sur les nouvelles, les laissant prêts à ouvrir plus bas, alors que les actions cherchent à redonner des gains après que le Dow (dont Walgreens est membre) a atteint des sommets records hier. Les actions des pharmacies se sont vendues sur toutes les nouvelles concernant le gambit des pharmacies d'Amazon, car les antécédents de succès de Jeff Bezos lors de son entrée dans une nouvelle industrie sont sans précédent.
Avec les gouverneurs d'État à travers les États-Unis imposant de nouvelles restrictions sur les coronavirus, nous imaginons que des millions de clients se démèneront pour passer leurs prescriptions de CVS et Walgreens à Amazon, ce qui pourrait créer des problèmes pour les deux à court terme.
https://www.zerohedge.com/technology/amazon-start-selling-prescription-drugs-prime-customers
«Stopper Amazon»: le géant du e-commerce peut «faire disparaître le tissu commercial en France»
RépondreSupprimer17:52 16.11.2020
Par Mike Beuve
Tandis que les commerçants «non essentiels» sont fermés, Amazon peut continuer à vendre. Le géant n’est pas concerné par ce subtil distinguo. Dans une tribune, 120 élus et représentants d’ONG plaident pour l’instauration d’une taxe sur les ventes de la multinationale, accusée d’être la grande gagnante de la crise sanitaire. Fausse bonne idée ?
«L’expansion d’Amazon pourrait conduire au doublement de sa part de marché et provoquer la destruction de 100.000 emplois partout en France.»
Dans une tribune, publiée sur France Info ce lundi 16 novembre, 120 élus, représentants d’ONG, syndicalistes, éditeurs ou encore de citoyens engagés, appellent à «stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard».
En effet, ils déplorent que le géant du e-commerce soit «le grand gagnant de la crise.» Ils regrettent notamment que «depuis le début de l’année 2020, ses ventes ont explosé et la fortune de Jeff Bezos a dépassé les 200 milliards de dollars.»
Une croissance se faisant au détriment «de 20.000 salariés contaminés par le Covid», d’une «explosion du nombre de produits importés», du «recours à des modes de transport polluants», de la «destruction de milliers d’emplois dans les commerces de proximité», ou encore d’une «évasion fiscale massive».
Taxer les «profiteurs de la crise»
Pour tenter de freiner la menace que représente Amazon et les «autres profiteurs de la crise» pour l’économie française, les signataires souhaitent l’instauration d’une taxe exceptionnelle sur leur chiffre d’affaires. Or, un tel mécanisme est-il juridiquement viable ? Peut-il être mis en place sans affecter l’ensemble de la filière e-commerce et, plus particulièrement, des entreprises françaises comme Fnac Darty ?
Contacté par Sputnik, Henri Sterdyniak, membre du collectif des Économistes atterrés, chercheur affilié à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et signataire de la tribune, estime qu’il «n’est pas choquant de taxer l’ensemble des entreprises qui ont profité de façon excessive de la situation.» Cependant, afin d’éviter de «désigner certaines entreprises», il faudrait donc baser cette loi sur des «critères objectifs», tels que le dépassement d’un certain niveau de chiffre d’affaires. L’économiste explique qu’il faudra également prendre en compte les performances des entreprises lors de la crise sanitaire, en taxant celles «qui ont dégagé un profit important durant l’année 2020, comparé à ce qu’elles avaient obtenu en 2019, augmenté d’un taux raisonnable de croissance tendancielle.»
«À ce moment-là, on aura une loi qui ne désignera aucune entreprise, mais qui va s’appliquer naturellement à Amazon et à d’autres. Peut-être que cela s’appliquera effectivement à Darty, mais cela ne sera pas tragique, puisqu’il a moins profité de la crise», développe le membre du collectif des Économistes atterrés.
Un opportunisme dans les affaires qui a eu le don d’irriter Ségolène Royal. Dans une interview donnée le 10 novembre à BFMTV/RMC, l’ancienne ambassadrice des pôles s’est lancée dans une diatribe contre la firme de Jeff Bezos. Ainsi s’est-elle demandé si «le général de Gaulle aurait livré la France à Amazon, une multinationale américaine, qui s’apprête à acheter la culture française, le mode de consommation, qui ne paie pas d’impôts en France ?»
RépondreSupprimerLa France livrée à la firme de Jeff Bezos ?
Une critique du gouvernement partagée par les 120 signataires. Ils soulignent ainsi le fait qu’Emmanuel Macron «déroule le tapis rouge» au géant américain:
«Non seulement il se refuse à stopper les projets en cours d’entrepôts, centres de tri et agences de livraison, mais il a décidé d’interdire à tout le monde de vendre des produits non essentiels sauf… aux géants de la vente en ligne!», écrivent-ils.
Henri Sterdyniak enfonce le clou: «un grand nombre de petits commerces sont actuellement fermés, donc cela permet à Amazon de prendre des parts de marché dans de nouveaux secteurs économiques, avec le risque que petit à petit, les commerces n’arrivent pas à rouvrir». La menace? Amazon pourrait prendre une «position dominante dans la distribution en France.»
Pourtant, Cédric O, secrétaire d’État au Numérique, a tenu à nuancer le poids de la multinationale. Selon lui, la «psychose française sur Amazon n’a aucun sens». «Le e-commerce, c’est 10% du commerce en France; Amazon, c’est 20% du e-commerce. Il n’y a pas un pays européen où Amazon est plus bas qu’en France. Quand les Français augmentent leurs achats de e-commerce, à 60 % cela vient dans les poches des entrepreneurs français», a-t-il affirmé. De plus, environ une vente sur deux concernerait sa «marketplace», en clair des produits proposés par des vendeurs tiers. Ce qui permet par exemple à certaines sociétés de toucher une nouvelle clientèle qu’elles n’auraient pas pu atteindre en temps normal.
4,5 emplois détruits pour un créé
Amazon ne serait-il donc pas le coupable idéal face aux maux qu’éprouve le commerce de proximité ? Pour Henri Sterdyniak, sur le long terme Amazon est «dangereux», car «les emplois qu’il propose sont des emplois non qualifiés, sous-payés, dans des conditions de travail peu satisfaisantes.» Par ailleurs, le géant américain a «la capacité de faire disparaître le tissu commercial en France», prévient l’économiste atterré.
«Cela pose des questions tout simplement sur la vie sociale locale, l’organisation de l’espace», assure Henri Sterdyniak.
Parmi les griefs avancés, la multinationale détruirait «4,5 emplois lorsqu’elle en crée un», «remplace progressivement ses salariés par des robots» et «a recours à des milliers de travailleurs précaires pour livrer ses produits.»
Pourtant, le succès d’Amazon semble reposer sur un plébiscite de la clientèle. Comment les empêcher de «gaver» les plateformes numériques, comme le préconise Roselyne Bachelot, ministre de la Culture ?
Henri Sterdyniak propose deux solutions. Les commerçants doivent réagir en proposant des alternatives via Internet. Par exemple, «les libraires français peuvent se mettre d’accord pour créer une alternative à Amazon, c’est pareil pour Booking.com», expose-t-il. Étant donné le «rôle important qu’ils jouent au niveau local, les collectivités doivent les subventionner, ainsi que l’État, pour les aider à se moderniser», détaille l’économiste.
«Bien sûr, Amazon n’est pas le seul coupable. Il faut dire effectivement que les entreprises françaises sont coupables de ne pas avoir eu l’idée d’utiliser certains moyens modernes», concède Henri Sterdyniak.
RépondreSupprimerEn outre, il propose de «mener un combat idéologique» auprès des consommateurs: «Il faut développer un “snobisme” en disant “je suis fier d’acheter chez mon petit commerçant”.»
«Dans la transition écologique et sociale dont on a besoin, il faut que porter des objets de luxe paraisse inutile, tandis qu’acheter des produits robustes devienne le sommet de l’élégance. Il faut faire cela dans tous les secteurs, expliquer que les produits français sont plus satisfaisants que les produits étrangers.»
Pour tenter de changer la donne, les 120 signataires ont d’ores et déjà annoncé qu’ils se mobiliseront d’ici au 27 novembre prochain. Date du «Black Friday», une opération commerciale décriée pour son incitation à la surconsommation.
SupprimerEmpêcher une entreprise (étrangère) de gagner de l'argent !!!
Quand de gros cons criminels psychopathes empêchent les commerces de vendre des vêtements, sous-vêtements quand arrive l'hiver et les fêtes de fin d'années aux cadeaux, si Amazon venait à ne plus livrer en France il y aurait la révolution souhaitée et planifiée par les 'dirigeants'.
Le réseau de superchargeur de Tesla en Australie coûte officiellement plus que de remplir votre voiture avec de l'essence
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/11/2020 - 23:40
En utilisant le réseau Tesla Supercharger, il est désormais plus coûteux de recharger votre véhicule que de faire le plein d'essence dans une station-service traditionnelle, selon un nouveau rapport de WhichCar, basé en Australie.
La nouvelle est venue à la suite d'une "récente augmentation de prix" pour utiliser les Superchargers et - arrêtez-nous si vous avez entendu celle-ci - "des chiffres de carburant incorrects sur le site Web de Tesla".
Ceci, bien sûr, met fin aux affirmations de Tesla depuis des années selon lesquelles la recharge de ses véhicules offrait des économies par rapport aux véhicules à moteur à combustion interne traditionnels.
"Selon Tesla, le coût de la recharge d'une Tesla Model 3 est de 7 dollars pour 100 km contre 12 dollars pour une voiture à essence rivale", note WhichCar, avant de révéler l'estimation utilise "au moins trois chiffres incorrects". Le rapport conteste "la quantité d'électricité consommée par une Tesla Model 3, le coût de l'électricité d'un Supercharger Tesla et le prix de l'essence".
Il note également l'augmentation de Tesla pour son Supercharger à 52 cents le kilowattheure. L'article calcule que cette recharge «même la plus efficace» de la gamme standard modèle 3 coûterait 9,78 $ par 100 km en utilisant un compresseur.
Il note ensuite que la 330i de BMW coûte 8 $ par 100 km pour le carburant, en supposant que le coût moyen du pays de la prime sans plomb est de 1,38 $ - un chiffre provenant du gouvernement du pays. La BMW consomme 5,8 litres aux 100 km, ce qui est inférieur aux estimations de Tesla de 7,0 litres aux 100 km. Cela signifie que la BMW est en fait 18 % moins chère en carburant qu'une Tesla à recharger sur un Supercharger.
Et si l'on devait exécuter les mêmes calculs avec la Lexus IS300h à propulsion hybride, les résultats sont encore plus profonds. Le coût de Lexus est environ 31 % inférieur à celui de la Tesla chargée à l'aide d'un Supercharger.
Rappelons que Tesla a d'abord utilisé son réseau Supercharger, promettant une électricité et une recharge «gratuites», pour attirer les clients dans l'idée d'un avenir entièrement électrique lorsque l'entreprise a fait surface pour la première fois. Peu à peu, l'attrait de l'idée s'est dissipé pour l'entreprise et ils ont commencé à facturer l'utilisation du réseau.
Comme beaucoup d'autres promesses faites par Tesla (tuiles de toit solaires, 1 million de robotaxis, conduite entièrement autonome), le concept du réseau Supercharger semble avoir été confronté à une vérification de la réalité bien nécessaire.
https://www.zerohedge.com/technology/teslas-supercharger-network-australia-officially-costs-more-filling-your-car-gas
La seule chose que le changement climatique détruit, c'est la science - Rejoignez-nous au webinaire de l'AEF
RépondreSupprimerNovember 17th, 2020
Le récif va bien, les forêts sont envahies par la végétation et la rivière continuera à couler. La science, cependant, est un désastre. Que pouvons-nous faire ?
Aidez-nous à trouver comment faire en sorte que la science fonctionne à nouveau pour les gens et l'environnement, plutôt que pour l'industrie de crise et les bureaucrates.
Rejoignez-nous au webinaire AEF | Mardi 24 nov.2020 | 19 h 30 heure d'été de la côte est
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Jo Nova, Peter Ridd, Alan Moran.
La science est devenue une activité de financement plutôt qu'une quête de la vérité. Au lieu d'aider le récif, les forêts et la rivière, les scientifiques les utilisent comme des vaches à lait perpétuelles. Ils ne sont pas incités à résoudre les problèmes, mais uniquement à les mettre en évidence. Personne n'est payé pour constater que la nature va bien ou que les cycles solaires déterminent le climat. Ainsi, des milliards de dollars peuvent être jetés dans des quêtes à la mode mais hors de propos - de l'argent qui pourrait être bien mieux utilisé.
Nous discuterons de la façon dont les trois grands problèmes environnementaux de l’Australie sont bloqués dans des ornières scientifiques et de ce qui peut être fait pour remettre la science sur les rails. Une sorte de surveillance officielle aiderait-elle, ou une unité formelle sera-t-elle capturée par le processus qui a étranglé l'examen par les pairs et les associations scientifiques? Les incitations peuvent-elles être modifiées pour aligner les scientifiques sur une quête de vérité et de meilleures prévisions?
Peter Ridd parlera de la santé et de la résilience spectaculaires de la Grande Barrière de Corail. C’est l’un des écosystèmes les plus vierges de la planète, mais les scientifiques ont persuadé tout le monde que le changement climatique et la pollution des fermes l’ont presque tué. Les coraux semblent croître plus vite qu'ils ne l'étaient il y a cent ans. Le blanchiment s'est toujours produit et les coraux repoussent toujours.
Jo Nova expliquera comment nos incendies de forêt pyroclastiques sont aggravés par les pratiques de gestion des terres vertes, et ces catastrophes évitables sont ensuite utilisées comme un stratagème marketing redoutable pour promouvoir la réduction du carbone. Les Black Summer Fires n'ont presque rien à voir avec le changement climatique, et tout à voir avec des mégatonnes de carburant laissées sans entretien et des sécheresses qui se sont toujours succédées.
Il a fallu un demi-siècle pour transformer le plus grand réseau fluvial d'Australie d'une zone aride à une zone qui représente 40% de la production agricole totale de l'Australie. Environ un tiers à la moitié de toute l'eau était destinée à l'irrigation, mais alors que l'inévitable cycle de sécheresses revenait, les gens paniquaient à propos de la salinité et de la faune et s'inquiétaient de la santé du Fake Lake qui avait surgi au bout de la rivière Murray. Le gouvernement a donc dépensé près de 7 milliards de dollars pour racheter un quart de l'eau des irrigants.
RépondreSupprimerAustralian Environment Foundation
Webinaire AEF-GWPF sur les réformes de l'assurance qualité en sciences de l'environnement
L'Australian Environment Foundation (AEF) et le UK Global Warming Policy Forum (GWPF) organisent conjointement ce webinaire. Il se concentrera sur la manière de réformer les systèmes et les pratiques d'assurance qualité (AQ) actuellement utilisés dans la recherche environnementale qui sous-tend la politique environnementale en Australie, avec une référence particulière à la Grande Barrière de Corail, à la prévention et à la gestion des feux de brousse et au bassin Murray-Darling.
Mardi 24 nov.2020 19:30 PM East Coast DST time
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Haut-parleurs
Dr Peter Ridd
Directeur et conseiller scientifique @Australian Environment Foundation
Peter Ridd est un géophysicien avec plus de 100 publications dans des revues internationales et des livres à son actif. Il a travaillé sur la Grande Barrière de Corail pendant 35 ans et a inventé et commercialisé des instruments scientifiques utilisés dans les sciences de la mer, l'exploitation minière et l'agriculture. Il s'intéresse maintenant particulièrement aux systèmes d'assurance qualité pour améliorer les preuves scientifiques utilisées pour les politiques publiques et la législation.
Jo Nova
Directeur @Australian Environment Foundation
Jo Nova est une blogueuse primée. Elle a écrit «The Skeptics Handbook» et son blog reçoit plus d'un demi-million de lecteurs chaque année. Elle est apparue en tant qu'invitée régulière sur Sky News et la radio ABC. Elle a déjà animé une série télévisée pour enfants et dirigé un cirque scientifique. Jo Nova est un diplômé primé en génie génétique et ancien maître de conférences associé en communication scientifique à l'Université nationale australienne.
Alan Moran
Directeur @Australian Environment Foundation
Alan Moran est économiste et conseiller politique sur les questions énergétiques et environnementales. Il a écrit des livres sur l'interaction des questions environnementales et de l'économie, des chapitres sur l'énergie australienne dans cinq recueils internationaux et le chapitre sur l'énergie dans le récent «Keeping Australia Right». Son dernier livre est «Climate Change: Treaties and Policies in the Trump Era» »publié par Connor Court.
https://joannenova.com.au/2020/11/the-only-thing-climate-change-is-destroying-is-science-join-us-at-the-aef-webinar/#more-74058
Faut-il boycotter les pull-overs pour avoir raison des antimites ?
RépondreSupprimerDécryptage d’une énième tribune par un « collectif de personnalités civiles et politiques » pour faire capoter le projet de loi ouvrant la voie à des dérogations pour l’utilisation de néonicotinoïdes.
17 NOVEMBRE 2020
Par André Heitz.
0:10 / 47:27
A. Bilheran 2020 - Le totalitarisme et le choix de la vie héroïque - Entrevue avec Pierre Barnérias
Dans un suprême effort pour faire capoter le projet de loi ouvrant la voie à des dérogations pour l’utilisation de néonicotinoïdes en enrobage de semences de betterave sucrière, un « collectif de personnalités civiles et politiques » a publié le 27 octobre 2020 une énième tribune dans Libération. Décryptage.
Vingt-sept octobre 2020. Le Sénat doit examiner et voter dans l’après-midi, en séance publique, le projet de loi relatif aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières.
Il sera finalement adopté après un incident que d’aucuns qualifient de « couac électronique » : le groupe centriste se serait trompé de bouton et la disposition clé du projet se trouvait rejetée par 159 voix contre 158 ; les mauvais esprits supputent plutôt une manœuvre démagogique pour « verdir » le groupe sur un vote a priori acquis. Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a aussitôt demandé une « seconde délibération », et les choses entrèrent dans le droit chemin. Résultat final : 184 pour, 128 contre.
Notons que le projet de loi a été confié à une commission mixte paritaire (Assemblée nationale-Sénat) le 29 octobre 2020 et que celle-ci est parvenue à un accord (son texte n’est pas encore publié à l’heure où nous écrivons).
UN « COLLECTIF DE PERSONNALITÉS CIVILES ET POLITIQUES »
Nous oserons croire que cette formule est le choix de la rédaction plutôt que l’auto-proclamation des auteurs…
Dans la matinée du 27 octobre, un « collectif de personnalités civiles et politiques » a tenté une ultime attaque dans Libération avec « Faut-il boycotter le sucre pour avoir raison des néonicotinoïdes ? ».
Rappelons que l’imidaclopride est utilisée dans les stickers anti-mouches à coller sur les vitres et dans les pipettes et colliers anti-puces pour chiens et chats. Mais elle n’est dangereuse qu’au champ…
Ultime tentative avant le vote sénatorial, évidemment. Les opposants du Parlement saisiront sans nul doute le Conseil constitutionnel et le militantisme anti-tout fourbit déjà de nouvelles armes à l’instar de ce « Des niveaux alarmants de pesticides mesurés dans les sols et les vers de terre » du Monde de M. Stéphane Foucart. Cible principale de l’article : l’imidaclopride, une des molécules susceptibles d’être autorisées pour l’enrobage des semences de betteraves sucrières. Mais n’en doutons pas, c’est un pur hasard… personne ne connaît l’herbicide diflufénican, le plus présent dans les sols selon l’étude… et ça ne ferait pas le buzz.
RépondreSupprimerUltime… et énième passage du même disque rayé.
DES NÉONICOTINOÏDES HONNIS DONT L’UN CONNAÎT UN DÉBUT DE RETOUR EN GRÂCE
D’entrée de jeu, les néonicotinoïdes sont accusés de tous les maux et tous les mots qui percutent sont soigneusement alignés : « …insecticides puissants […] molécules de synthèse […] neurotoxiques, perturbatrices endocriniennes, génotoxiques et cytotoxiques ».
L’incontournable « tueurs d’abeilles » vient ensuite, et il aurait fallu « vingt ans de polémiques avec les puissants lobbys agroalimentaire et agrochimique » pour les faire interdire.
Pendant que le Sénat débattait, l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF) commentait sur Twitter. En bref, elle a attiré l’attention sur la « solution » allemande et dut préciser qu’il s’agissait de l’emploi de l’acétaprimide en traitements aériens curatifs.
L’acétaprimide ? Un néonicotinoïde dont elle avait demandé l’interdiction à cor et à cri, par exemple en février 2014… Une demande réitérée pas plus tard que le 6 août 2020.
L’UNAF n’a pas de « personnalité » au sein du collectif. Mais celui-ci est à l’évidence l’ami et l’allié de celle-là.
LA « SOLIDARITÉ NATIONALE » COMME RÉPONSE AUX PERTES DE PRODUCTION
Nos génies dont la liste donnée par ordre alphabétique est ouverte par M. Yann Arthus-Bertrand expliquent ensuite le problème de la jaunisse de la betterave. On étouffe à la lecture de leur prose :
« Les betteraviers avancent le risque de 12 à 30 % de perte. On peut comprendre leur inquiétude face au péril. Mais ce n’est ni la première ni la dernière attaque de ce genre. Combien de paysans, chaque année, subissent des pertes (végétales, animales) à cause des aléas sanitaires ou climatiques ? Cela fait partie de leur travail et de leur relation à la nature. En principe, la solidarité nationale est là pour les soutenir. Pas le poison. »
Il y a tout de même le mot « péril ». Sans nul doute un calamiteux lapsus calami.
Quel mépris pour les agriculteurs, supposés subir les aléas plutôt que d’y répondre ! Quel mépris pour les producteurs de betteraves, censés faire le dos rond puisque des (d’autres) « paysans » subissent des « aléas sanitaires ou climatiques » !
Quelle indigence aussi en matière économique. Privatisation des bénéfices… euh non ! Il n’y en aura pas dans les zones de production touchées… Mais socialisation des pertes !
RépondreSupprimerRassurons-nous néanmoins : la France restera le premier producteur de sucre d’Europe… « avec des rendements à l’hectare très élevés ». La méthode Coué…
« ILS CROIENT QUE LA NATURE EST BONNE »
Ce titre d’un ouvrage de M. Jean de Kervasdoué est tout à fait pertinent, s’agissant des auteurs de la tribune bien sûr. En revanche, les agriculteurs, confrontés aux réalités et aléas de leur métier (qui est de nourrir les Hommes plutôt que les controverses), sont lucides.
Nous aurons la méchanceté de rappeler que sur les 423 000 hectares semés par 25 000 planteurs français en 2020, un très maigre 1500 hectares était en bio. Et encore, c’est le résultat d’une sorte de greenwashing des industriels du sucre. C’est que la culture de la betterave n’est pas simple, même en conventionnel.
Avant l’arrivée des néonicotinoïdes, les betteraviers avaient utilisé des pyréthrinoïdes dont les auteurs précisent qu’ils sont « de synthèse », manière de ne pas heurter les intérêts des amis et alliés du bio. Ils perdirent leur efficacité et furent remplacés par des carbamates « qu’il a aussi fallu interdire ».
En fait, bien avant, les agriculteurs utilisaient un produit épouvantable, la nicotine… un puissant neurotoxique très dangereux… et « tueur d’abeilles ». Mais « c’était mieux avant » (les pyréthrinoïdes… « de synthèse ») selon la formule de Michel Serres. Toutefois, si vous voulez avoir la nausée, il y a une description des pratiques peu ragoûtantes de l’époque ici. Et dire que la nicotine est toujours promue par les thuriféraires du « jardin au naturel » (voir par exemple ici)…
UNE FILIÈRE PRÉTENDUMENT ENFERMÉE DANS UNE LOGIQUE INDUSTRIELLE
On a pu retirer les carbamates de la panoplie des produits de protection des plantes d’autant plus facilement que les néonicotinoïdes se sont révélés meilleurs à tout point de vue. Mais voilà…
« Enfermée dans la logique qui a industrialisé cette culture, la filière a dédaigné l’exploration des solutions écologiques, notamment parce qu’elles conduisent à l’abandon des grandes étendues en monoculture et que les rendements y sont inférieurs. »
Une culture « industrialisée » ? Comme c’est bizarre… la betterave sucrière est aussi appelée « betterave industrielle » !
En fait, il y a une logique industrielle, mais pas dans le sens insinué par les auteurs, une logique d’œuf et de poule : pour qu’il y ait des plantations de betteraves il faut une sucrerie à proximité, et inversement.
La phrase précitée est aussi une sorte d’aveu. L’« exploration des solutions » implique précisément qu’on n’est pas sûr de leur effet ; en fait, on sait pour certaines. Par exemple, pour le militantisme « écologique », les haies sont un Saint Graal, hébergeant des « auxiliaires » ; il oublie que des ennemis des cultures y trouvent aussi refuge.
Le militantisme anti-néonicotinoïdes est généralement aussi très loquace sur l’existence péremptoirement affirmée de « solutions alternatives », mais frappée de mutité dès lors qu’il s’agit de les préciser au-delà des mots incantatoires. La tribune ne s’est pas aventurée sur ce terrain.
RépondreSupprimerParmi ces mots incantatoires, il y a « le choix de variétés tolérantes ou résistantes ». Elles n’existent pas (encore). On pourrait sans doute en produire assez rapidement grâce aux nouvelles techniques génétiques (NBT – New Breeding Techniques) – dont l’emblématique CRISPR/Cas9 qui a valu le prix Nobel à Mme Emmanuelle Charpentier. Mais les auteurs de la tribune et leurs amis y sont farouchement opposés. Les variétés seraient en effet des OGM.
JEAN-JACQUES ROUSSEAU À LA FERME
La filière a aussi eu l’outrecuidance de ne pas accepter des « rendements inférieurs »… autre aveu.
C’est précédé d’une puissante réflexion :
« Bref, une trajectoire d’échecs à vouloir dominer la nature en ignorant sa puissante harmonie. »
L’idée est aussi exprimée par la suite :
« Sourde au signal des pullulations de pucerons indiquant la mauvaise santé de la biodiversité (sinon elle contrôlerait le volume de pucerons), rattrapée par l’impasse de son modèle technique, la filière attaque la loi pour continuer… à polluer, avec 5 millions d’euros supplémentaires de soutien public. »
Ce n’est pas Martine, mais Jean-Jacques Rousseau à la ferme !
Sauf qu’à bien y regarder… La séquence d’un hiver doux suivi d’un printemps chaud – et l’absence de solutions de protection efficaces – a plutôt démontré que la « puissante harmonie » de la nature s’est faite bonne fée pour les pucerons vecteurs de jaunisse et méchante sorcière pour les producteurs de betteraves.
On peut bien sûr étendre la réflexion à d’autres calamités, tels le mildiou de la pomme de terre, le phylloxéra de la vigne ou – temporellement et géographiquement pas très loin de nous – les nuées de criquets en Afrique et en Asie (jusqu’en Inde) et la dévastatrice légionnaire d’automne.
« ÉCRASONS L’INFÂME » (SUCRE)
Cette tribune aura au moins le mérite d’étaler l’incroyable cynisme du militantisme. Les rendements diminueraient ?
« Quelle importance dans un marché international en crise et une remise en cause scientifique de la consommation abusive de sucre, notoirement dissimulé dans les plats cuisinés et les boissons manufacturées ? »
Dans la lecture du b.a.-ba de l’économie, les auteurs de cette assertion ne sont pas allés au-delà du « b ». Trop compliqué de comprendre qu’une baisse de rentabilité peut se traduire par un effondrement de la filière… pas lu M. Jean-François Pâques sur ce site sur la complexité de la filière et les effets domino…
RépondreSupprimerQuand on veut se débarrasser des néonicotinoïdes, on accuse le sucre « industriel » (!) de tous les maux :
« Diabète, obésité, lymphome non-hodgkinien, maladie de Parkinson, ravages dentaires, extinction de la biodiversité… le sucre industriel a mauvaise presse sanitaire mais la filière sucrière persiste dans l’ignorance de l’obligation de modifier les comportements. »
L’hypertrophie des accusations se conjugue à la vacuité du propos pour se perdre dans un non sequitur. Le sucre contribue sans nul doute aux problèmes de diabète, d’obésité et de carie, mais quid du reste ?
Et est-ce à la filière de mettre bon ordre ? À voir le feu d’artifice de publicités pour des produits « sans sucre ajouté », il semble que la filière au sens large se veut plutôt vertueuse, du moins en affichage pour conquérir des parts de marché.
TAXER, RÉGULER, SUBVENTIONNER
Ah, la filière bouge ? Premier élément d’un célèbre aphorisme de Ronald Reagan : il faut la taxer.
Ça tombe bien. Il y a le miraculeux prétexte de la santé publique.
Comme elle bouge encore, il faut la réguler.
C’est aussi un principe de base en France qu’on ne peut pas faire confiance à une filière, ici agro-industrielle, pour s’auto-réguler. L’« obligation de modifier les comportements » – de la filière elle-même jusqu’au consommateur – doit donc être imposée par l’État. On créera une police du sucrier.
Mais ne nous inquiétons pas. Une trentaine d’organisations nationales – les usual suspects :
« proposent des solutions économiques et agronomiques pour préserver les emplois et rendre cette filière plus résiliente, sans ré-autorisation de substances dramatiquement dangereuses pour la biodiversité et la santé ».
Les « solutions agronomiques » ? Une info a fait le bonheur du militantisme et des médias amis : « la betterave cultivée selon le cahier des charges de l’agriculture biologique (très minoritaire) semble, elle, peu ou pas touchée par la jaunisse ». C’est de la plume de M. Stéphane Foucart dans « Le gouvernement va réintroduire les insecticides « tueurs d’abeilles » ».
Les « solutions économiques » ? Le troisième élément de l’aphorisme de Ronald Reagan : subventionnons-la pour compenser ses pertes (la « solidarité nationale évoquée ci-dessus)… évidemment sous réserve qu’elle se plie à des oukases « écologiques ».
Entendu de quelque mien ami et collègue russe, Nikita Khrouchtchev était paraît-il un grand agronome : il semait le blé en Ukraine et le récoltait au Canada.
Avec les auteurs de cette tribune dans Libération, nous sèmerions les betteraves à sucre en France et les récolterions en Allemagne ou en Pologne.
https://www.contrepoints.org/2020/11/17/383855-faut-il-boycotter-les-pull-overs-pour-avoir-raison-des-antimites
Conseil de défense : la guerre contre le virus
RépondreSupprimerIl devient urgent de remettre l’État à sa place et de mettre fin à cette escalade vers le totalitarisme et l’autoritarisme, à ce bricolage des institutions qui ne pourra finir que dans la violence et le chaos.
17 NOVEMBRE 2020
Par Olivier Maurice.
C’est maintenant devenu une routine. Chaque jeudi le gouvernement s’adresse aux Français pour leur expliquer les règles qui désormais régiront la vie du pays. Chaque jeudi, la vie de 67 millions de personnes est décidée lors du Conseil de défense qui précède le spectacle médiatique de « pédagogie » et de « clarification ».
Conseil de défense, parce que le pays est en guerre. Une guerre à la fois imaginaire et bien réelle.
Une guerre supposée contre un ennemi invisible, sans armée, sans espions, sans commandement, sans ligne d’approvisionnement, sans munitions, sans objectif, sans drapeau, sans soldats.
Une guerre contre un virus n’est pas une guerre. Mais le déploiement de force pour faire cette guerre est lui bien réel.
CONSEIL DE DÉFENSE EN GUERRE CONTRE LA POPULATION
La guerre que mène le gouvernement, une partie de l’administration et de la population qui le suit, c’est une guerre contre les Français, contre les mauvais Français.
Contre ceux qui ne respectent pas les consignes imbéciles et infantilisantes. Ceux qui commettent des crimes ignobles, comme celui d’oublier de signer un formulaire débile avant d’aller faire leurs courses ou qui ne se lavent pas les mains en sortant des toilettes. Ceux qui veulent continuer à vivre, à travailler, à rêver, à étudier…
La guerre qu’a déclenchée le gouvernement n’est pas une guerre militaire. C’est une guerre civile. Une guerre contre les civils.
Tout y est. Comme dans tous les pays en guerre civile, le pouvoir s’est retranché dans ses bunkers et tente par tous les moyens de maitriser la population. Confinement, couvre-feu, interdiction de se déplacer, interdiction de se réunir, propagande, langage martial, dénonciation, quadrillage policier, laisser-passer. Tous les éléments d’un pays en guerre civile sont là.
Et l’ennemi est clairement désigné : l’ennemi, c’est la cinquième colonne, c’est l’ennemi de l’intérieur, c’est l’autre. Depuis 10 mois, les émissions de radio, les émissions de télé, les journaux croulent sous les témoignages de bons Français accusant les mauvais Français : ceux qui ne portent pas de masque, ceux qui sortent la nuit, ceux qui font la fête, ceux qui pensent différemment, ceux qui mettent en doute les infirmations officielles…
EXCÈS DE DRAMATISATION ET MANQUE DE HAUTEUR
RépondreSupprimerDepuis 10 mois, depuis que le président l’a officiellement annoncé, la France est en guerre civile contre les contaminateurs.
Il y a juste une petite différence. Usuellement, ce sont les opposants au pouvoir qui déclarent la guerre. Là, c’est le pouvoir qui a, tout seul comme un grand, déclaré la guerre à toute une partie de la population et qui, préventivement peut-être, s’est mis dans la position de combattre l’assaut qu’il allait subir.
Il a d’ailleurs pas mal réussi, en déclenchant cette guerre préventive, parce que pour l’instant, l’ennemi est totalement sonné. À se demander si le gouvernement n’a pas déclenché une guerre contre deux ennemis invisibles, quatre ennemis invisibles si on compte bien d’ailleurs : une guerre contre le virus et une guerre contre les Gaulois réfractaires qui viennent s’ajouter aux guerres déjà en cours contre le climat et contre le terrorisme.
Inutile de perdre du temps à chercher des motivations ou un agenda secret : le gouvernement est en guerre contre tout ce qui passe. En guerre contre le monde entier, en guerre contre la nature, en guerre contre son propre pays et en guerre contre la folie des fanatiques.
Le gouvernement voit des guerres partout.
Dès qu’un problème lui échappe (c’est-à-dire à peu près tout) il lui déclare la guerre, histoire d’avoir une chance de réussir à écraser une mouche à coups de dizaines de bombes nucléaires. Même si ça rate toujours.
UNE FAUSSE GUERRE INVENTÉE DE TOUTES PIÈCES
Un petit rappel historique s’impose quand même pour expliquer à ceux qui regardent trop la télé-réalité, ce qu’est une guerre.
Une guerre, c’est par exemple le bombardement de Dresde, d’Hiroshima ou de Nagasaki. Ce sont 150 000 morts en trois minutes. Sans compter les blessés, les infirmes, les traumatisés, les brisés…
Une guerre, c’est bon nombre de villages dont l’intégralité des soldats qui partent au front en août 1914 ne reviendront pas. Aucun. Tous disparus, fauchés, éclatés, démembrés, écrabouillés en moins de trois semaines.
Une guerre, c’est vivre chaque jour dans la peur. C’est avoir tellement peur que l’on finît par se persuader que l’on est déjà mort, car c’est la seule solution pour ne pas devenir fou.
Une guerre, c’est la mort qui rode partout, implacable. C’est un monde où plus aucun avenir n’existe, où n’existe plus que le présent. C’est un monde où tout peut se produire, où l’enfer peut se déchainer subitement à tout moment, sans prévenir, lorsqu’on s’y attend le moins.
LA GUERRE EST LA PROLONGATION DE LA POLITIQUE PAR D’AUTRES MOYENS
RépondreSupprimerUne guerre, ce n’est pas une histoire de conseil de défense ou de formulaires administratifs, une guerre c’est une période de non-droit, de non-sens.
Mais avant tout, une guerre c’est une période où le pouvoir politique est visé. Un moment où tout s’arrête pour se concentrer sur deux uniques objectifs : protéger le pouvoir et détruire le pouvoir ennemi.
Dans toutes les guerres, le but est toujours de renverser le gouvernement ennemi, de le faire plier, de le réduire à sa merci. On ne fait jamais de guerre contre un peuple. On ne fait jamais de guerre contre des individus, si ce n’est pour faire plier le gouvernement. On ne fait jamais de guerre contre des champs, des usines ou des magasins. On fait toujours la guerre contre ceux qui dirigent un pays. On fait toujours la guerre contre les souverains, la guerre entre souverains.
Par énorme bêtise, ce gouvernement a de lui-même déclenché une guerre contre un ennemi qui n’existe pas. Il a par pure fanfaronnade déclenché une guerre contre lui-même et il attend maintenant que l’ennemi remplisse les rues, brûle des voitures et monte des barricades.
CONSEIL DE DÉFENSE, CONSTITUTIONNELLEMENT OU ANTICONSTITUTIONNELLEMENT
Non seulement il a déclenché une guerre inutile, idiote et ridicule, mais il a poussé l’entêtement jusqu’à slalomer avec le droit et les institutions du pays pour concrétiser son caprice de jouer au petit soldat. Le décret du 24 décembre 2009 qui définit le Conseil de défense indique clairement que le rôle de celui-ci consiste à traiter des problèmes de sécurité nationale et de terrorisme.
La raison en est très simple et se comprend parfaitement : la sécurité nationale a un statut à part dans le droit constitutionnel. La guerre, l’agression de l’État par une menace et ce qui lui est rattaché, est de la responsabilité et du domaine réservé du chef de l’État.
Qu’importe que le coronavirus ne soit pas une menace armée extérieure, qu’importe qu’il ne soit pas un problème de défense : c’est une menace, il a été déclaré comme telle et on lui a déclaré la guerre. Qu’importe que les mesures qui sont prises (isolement, confinement, tests etc.) ne visent pas les soldats d’un autre pays, où même d’une organisation terroriste non étatique. Qu’importe que ces mesures visent des Français.
Le Conseil de défense combattra désormais de nouveaux ennemis, ceux qui par malheur ont commis un acte de trahison ignoble : être porteur de la maladie et pouvoir la transmettre.
C’est à eux qu’on a déclaré la guerre.
HORS DE PORTÉE DE L’OPINION, DU PARLEMENT ET DE LA JUSTICE
RépondreSupprimerLes décisions prises par le gouvernement le sont donc dans le huis-clos du Conseil de défense. Et en tant que telles, elles sont protégées par le secret-défense, c’est-à-dire qu’elles ne sont pas rendues publiques et éventuellement débattues publiquement ou au minimum par le Parlement.
Tout comme les participants à ces réunions, qui eux aussi sont couverts par le secret- défense, ce qui les met d’ailleurs à l’écart de toute action judiciaire, tant que celui-ci n’aura pas été levé.
Parce que le fin mot de l’histoire, il est peut-être là.
Serait-ce pour se protéger des conséquences de leur incompétence et de leur impuissance, pour se mettre à l’abri des inévitables poursuites que cela impliquerait, pour avoir les mains libres, que les membres du gouvernement se placent ainsi en dehors du radar de la justice et du pouvoir d’enquête du Parlement ?
Pour quelles raisons les décisions du gouvernement en matière de santé doivent-elles être placées sous le couvert du secret-défense ?
Le gouvernement joue avec le feu. Les institutions existent pour protéger les citoyens des débordements du pouvoir, mais aussi pour protéger le pouvoir de la colère des citoyens.
Nous ne sommes pas en guerre. L’appel du Conseil de défense est clairement illégitime.
Ce gouvernement qui se targue d’être le meilleur rempart possible de la démocratie et de la Cinquième République viole ici ouvertement deux de ses principes fondamentaux : la séparation des pouvoirs et la responsabilité des représentants.
Il devient urgent de remettre l’État à sa place et de mettre fin à cette escalade vers le totalitarisme et l’autoritarisme, à ce bricolage des institutions qui ne pourra finir que dans la violence et le chaos.
https://www.contrepoints.org/2020/11/17/384521-conseil-de-defense
Les français sont dans la merde ! Marron jusque là !
SupprimerEt ils en redemandent ! Hahahaha !
Covid-19 : le choix du pire, retour sur une saga insensée
Au-delà des inquiétudes légitimes qu’elle peut susciter, pourquoi la situation sanitaire actuelle est-elle génératrice de malaise pour beaucoup d’entre nous ? Un billet d’opinion du professeur de cardiologie, Paul Touboul.
17 NOVEMBRE 2020
Par Paul Touboul.
Au-delà des inquiétudes légitimes qu’elle peut susciter, pourquoi la situation sanitaire actuelle est-elle génératrice de malaise pour beaucoup d’entre nous ?
Un malaise sourd où entrent certes les humeurs que suscitent les prises de position officielles et aussi le contexte de dramatisation dans lequel nous évoluons.
Professeur de médecine moi-même, je me suis trouvé plongé dans l’arène publique en raison de désaccords sur la gestion de l’épidémie telle que je l’ai vue pratiquée à ses débuts et poursuivie par la suite. Mais après tout, des controverses en médecine, rien que de très banal, et celle-ci ne ferait qu’en allonger la liste.
Pourtant cet engagement s’est bel et bien heurté à une atmosphère délétère dont j’essaierai de définir les traits.
COVID-19 EN CONTEXTE DE GUERRE
J’évoquerai tout d’abord le contexte guerrier qui nous a été imposé. Nous étions entrés en guerre face à la COVID-19, un virus inconnu et qui s’annonçait redoutable. D’emblée le décor était planté. La situation était inédite et tout était à craindre. C’était du jamais vu. Nous vivions désormais dans une nouvelle dimension attestée par un évènement sans précédent dont nous n’aurions pas fini d’entendre parler avant longtemps.
Sur quelles bases s’appuyaient de telles projections ? À vrai dire on y trouvait pêle-mêle le point de départ dans cette Chine lointaine, une origine mystérieuse, entre animaux sauvages vendus sur les marchés et manipulation génomique en laboratoire alimentant des relents de guerre virologique, les spéculations les plus folles sur la dangerosité de ce coronavirus, un nom qu’une majorité entendait pour la première fois, alors qu’il s’applique à une famille de virus respiratoires responsables entre autres des banales rhinopharyngites hivernales.
Sous l’appellation covid-19, le virus a gagné en mystère et en pouvoir de subjuguer les foules.
Son entrée dans le pays a été fracassante. Les médias s’en sont mêlés, assénant chaque jour les chiffres des décès. Il n’a plus été possible de garder sur l’évènement un regard distancié. L’inquiétude grandissante a culminé dans l’expression d’une terreur incontrôlée.
Plus question d’analyse dépassionnée, de constat dépouillé de charge émotionnelle. Il fallait communier avec la peur ambiante, déplorer chaque jour une hécatombe à nulle autre pareille, ajouter ses lamentations au chœur tragique.
Et là me sont apparues les premières dissonances sous forme de rejet de ceux qui s’efforçaient dans la tourmente de garder la tête froide et de faire passer des informations dérangeantes, à savoir qu’il y aurait beaucoup à dire sur la gestion de la crise et ses insuffisances. Qu’a-t-on vu alors ? une mise à l’écart, certes en respectant les formes, de ces mauvais coucheurs qui venaient ternir la belle unanimité larmoyante.
RépondreSupprimerCOVID-19 ET L’AVIS DES MARGINAUX
Ô certes il n’y avait pas à proprement parler d’exclusion. Mais lorsqu’une tribune leur était offerte la parole de ces dissidents était présentée comme se démarquant du sens commun. Le public était donc préparé à entendre des voix à part à prendre avec des pincettes, et distillées par souci de compléter une information qui n’en restait pas moins verrouillée par la pensée dominante.
En interrogeant ces marginaux, les présentateurs faisaient leur devoir et la mission du service télévisuel était accomplie. Partageant bien des points avancés par ces francs-tireurs, j’ai eu alors le sentiment d’être, comme eux, stigmatisé alors qu’il ne s’agissait au départ que d’exprimer le désaccord d’un médecin sur la politique sanitaire entreprise, confinement inclus.
Mais après tout pourquoi pas ?
J’ai découvert alors comment l’intrusion du politique changeait la donne et me transformait en opposant. Derrière la gestion sanitaire de l’épidémie il y avait un pouvoir, celui de l’État, lequel en la matière se vouait au bien de tous les Français et ne supportait pas de manquement à son autorité. Ce qui était au départ simple opposition de point de vue se trouvait déplacé à un niveau où tout débat n’avait plus sa place. La découverte a été rude.
L’affaire de l’hydroxychloroquine a fait l’effet d’une bombe.
Qu’une proposition sur la prise en charge thérapeutique des sujets contaminés déclenche une affaire d’État, reste encore pour moi matière à conjecture. Un médicament archiconnu, délivré même sans ordonnance, devenait soudain un danger sanitaire dont il convenait de préserver la population. Et celui qui l’avait préconisé, en l’occurrence le professeur Raoult, sommité en matière d’infectiologie, voué aux gémonies.
De débat sur la question, point. Mais un mitraillage en règle de ce médecin qui avait eu l’outrecuidance de se démarquer du Conseil scientifique, autorité pilotant au nom du gouvernement la gestion de l’épidémie et arborant sur le sujet un autre point de vue. Il fallait pour clore l’affaire discréditer l’homme par qui le scandale arrive, et tout a été mis en jeu pour y parvenir, en y ajoutant le retrait pur et simple de l’hydroxychloroquine des pharmacies.
On n’aurait pas fait mieux en ex-Union soviétique. Que l’on dénie à ce produit une efficacité anti-covid faute d’études contrôlées le démontrant, cela se conçoit. Mais il a fallu l’affubler de tous les dangers sur la base d’informations erronées dont s’est servi, sans jamais y revenir, notre ministre de la Santé. On démissionnait dans le passé pour moins que cela.
Mais dans cette affaire, le temps a permis d’effacer l’infamie et fait que le pouvoir a pu, à l’usure, imposer sa version des faits.
COVID-19 ET LA TRAQUE AUX CONTAMINÉS
RépondreSupprimerDepuis la crise s’est éternisée. Pourtant la fin de l’épidémie paraissait dûment attestée par des chiffres de mortalité au plus bas. Et là encore, j’ai été de plus en plus mal à l’aise face à un pouvoir qui maintenait l’état de siège et annonçait l’installation d’une guerre de tranchées. Je n’ai pas compris le pourquoi à ce moment-là de tests de dépistage à grande échelle, alors qu’ils n’avaient pas été déployés avant, pendant la phase pandémique.
En se lançant à corps perdu dans la traque des contaminés, le gouvernement montrait ainsi qu’on en n’avait pas fini avec l’épidémie et que la lutte se poursuivait. Ainsi était diffusée une lecture de l’évènement qui faisait fi des connaissances de base en matière d’épidémiologie. Pourtant, pas de discussion sur le sujet et des voix contestataires de plus en plus marginalisées.
Je me suis exprimé moi-même dans des textes. Mais d’une manière générale et en dépit des questions soulevées, cette affaire n’a pas donné lieu à un débat public. Les volontés d’en haut étaient à elle seules leur propre justification.
J’ai pu réaliser à cette occasion que la peur infusée dans la population en limitait notablement la réactivité et, le temps aidant, générait passivité et soumission. De ce fait les contestations que la politique entreprise pouvait à juste titre susciter sont devenues de moins en moins audibles.
Le peu d’opposants qui étaient encore reçus dans les médias se sont effacés, alors que la situation offrait bel et bien matière à controverse. Cet état de choses traduisait en fin de compte un glissement vers une domination sans partage des positions gouvernementales.
La presse dans son ensemble s’y est ralliée. Comme d’autres j’ai pu le vérifier personnellement en me voyant refuser des articles critiques sur la gestion de l’épidémie. À la faveur de la prorogation du régime d’exception sanitaire, la langue de bois s’est instaurée, martelant une seule vérité, celle du pouvoir.
La reprise épidémique de cet automne a été saluée à grands coups de proclamations par les tenants de cette deuxième vague prophétisée depuis mars. Que l’on s’interrogeât sur la nature réelle de l’évènement, il n’en était pas question, la version officielle faisant foi.
À cet égard l’interview du professeur Raoult le 27 octobre dernier par David Pujadas de la chaine LCI est un modèle du genre. Interview à charge sur le mode « vous vous êtes constamment trompé ».
À propos de la soi-disant seconde vague, il a apporté des informations sur les mutations subies par le virus, lesquelles ont généré en juillet-août un regain épidémique dû à un mutant et rendent compte de l’actuelle flambée impliquant un variant 4 distinct du virus initial.
Quant à l’hydroxy-chloroquine elle demeure, au contraire de l’Europe, largement prescrite dans le monde. Son usage à Marseille en mars a joué dans le bilan sanitaire marqué par une mortalité beaucoup plus basse qu’ailleurs.
VOILÀ OÙ NOUS EN SOMMES AUJOURD’HUI
RépondreSupprimerUn monde binaire né de la crise dans lequel, en dehors de la vérité officielle, il n’y a plus de place pour d’autres versions de l’évènement. La COVID-19 est toujours là, comme on nous l’avait dit, plus menaçant que jamais et sur le point d’entamer une seconde carrière, qui sera pire que la première.
La musique de mars se fait entendre de nouveau. Les services de réanimation sont débordés. La mortalité bouge. Les chiffres cumulés, englobant donc la première vague, apportent chaque jour leur pesant d’anxiété. On peut d’ailleurs s’étonner de voir figurer à leur propos les morts dans les Ehpad.
Comment attribuer au virus la cause du décès chez certains dont la vie ne tient qu’à un fil et qui ont bien d’autres raisons de mourir ?
En fait, un seul test positif dans l’Ehpad suffit à parler d’épidémie et à attribuer tout décès à la COVID-19. Une façon, à la limite de la fraude, d’amplifier les chiffres. À cela s’ajoute des taux de contamination dans la population de plus en plus astronomiques dont l’information semble distillée avec délectation pour alimenter notre inquiétude.
Or, plus de 90 % de ces contaminés ne sont pas malades du tout. Et les tests eux-mêmes sont loin d’être fiables. Mais peu importe. La machine à sécréter la peur n’en a cure.
D’accord, il y a un regain de l’activité virale. Mais faut-il pour autant mettre un pays à l’arrêt ? On nous avait raconté lors de la pandémie de mars que le confinement entrainerait un écrêtement de la courbe de mortalité, ce qui n’a pas été le cas, et les chiffres de décès ont été parmi les plus élevés en Europe. Les retombées sanitaires collatérales telles que l’absence de dépistage et de suivi de maladies graves, les décompensations psychiques, et aussi les implications sociales et économiques, sont désormais notoires et ont toute chance d’excéder le bénéfice incertain du confinement.
Pourtant, on y retourne et là-dessus pas de véritable débat dans l’arène publique mais un consentement mou, résigné. Les voix dissidentes crient une fois de plus dans le désert. En arriver à ce point de passivité et d’acceptation me laisse incrédule mais aussi désarmé, attristé. Faut-il qu’en matière de santé les options d’un gouvernement s’imposent d’autorité ?
Comme si le label politique effaçait les incertitudes qui président à toute prise de position sur le sujet. L’assénement vertical de décisions a la vertu de balayer la moindre objection et en fait même un objet contraire à l’intérêt de tous, intérêt dont le gouvernement a la charge. Fondement scientifique et doute sont remisés à l’arrière-plan.
Finalement, j’ai toujours peine à appréhender le pourquoi de la dramatisation actuelle. Force est d’admettre qu’elle s’accorde avec les analyses faites par les membres du Conseil scientifique, analyses qui se retrouvent au-delà de nos frontières si l’on en juge par les mesures prises dans les pays voisins et plus lointains. OMS et santé mondialisée obligent. Les projections alarmistes qui nous sont assénées pourraient bien traduire une peur consubstantielle de l’être contemporain.
Et après tout, les scientifiques demeurent des produits de leur temps. Il reste que la contradiction argumentée, habituelle dans ce milieu, devrait mettre à l’abri des déviances de toutes sortes. Fallait-il que dans le sujet qui nous occupe il n’y ait eu qu’une vérité ? On voit bien que non, les positions d’un professeur Raoult et d’autres s’étant démarquées de la doxa officielle.
RépondreSupprimerCette soumission au Conseil scientifique apparait le fait d’un gouvernement consentant qui s’est empressé dès lors de recourir au principe de précaution. L’absence en son sein de personnalités rompues à la pratique politique, certains étant des nouveaux promus, peut rendre compte d’une certaine docilité vis-à-vis des injonctions de scientifiques. Paradoxalement les mêmes facteurs expliqueraient le rejet brutal de toute contradiction et l’obstination à maintenir le cap choisi, en l’occurrence une forme d’hubris. Ce gouvernement a expérimenté à cette occasion les avantages d’un pouvoir autoritaire et semble y avoir pris goût.
Alors pourquoi ne pas en tirer parti quand il est encore temps ? D’où la tentation de le faire durer autant que possible. Quant à la catastrophe socio-économique annoncée, elle sera alors présentée comme inévitable, conséquence d’une épidémie contre laquelle tout aura été fait.
https://www.contrepoints.org/2020/11/17/384523-covid-19-le-choix-du-pire-retour-sur-une-saga-insensee
En premier il y a une nano-particule (de 0,1 µ à 0,5 µ) qui flotte dans l'air (depuis 10 000 ans)et qui a été élue 'Miss 2020'. La vedette doit être soignée (Pourquoi? Elle est malade?), elle a le privilège de pouvoir entrer et sortir de toutes les sources d'aspiration et d'expulsion. Pour cette raison, des masques aux larges maillages (3 microns !)ont été distribués à ses fans qui l'applaudissent comme ses imprésarios qui la dirige autour du monde.
SupprimerEn second, arrive les contestataires (le groupe 'Les remèdes')dont la vedette est tenue par Hydroxy-chloroquine. Mais, comme elle a des milliards de fans de plus que la Miss 2020, elle est interdite de scène ! et retirée des magasins comme des hit-parade !
Un de ses imprésarios porte plainte contre la Dictature criminelle au pouvoir.
Dans l'attente du procès (repoussé en l'an 3000 ?) sont proposés des groupes concurrents 'Les Antiremèdes' surnommés 'Les vaccins' par les méchants !
En troisième, la Miss 2020 se voit offrir des campagnes télévisées, radiodiffusées et reléguées à la presse écrite appelée aussi 'papier-cul'. Les merdias (Groupe international pro dictature)se doivent de la porter en triomphe dès que des personnes s'évanouissent de la voir voire de tomber raides mortes en la touchant pour lui demander un autographe !
Néonicotinoïdes et abeilles : l’ambiguïté persiste
RépondreSupprimerle 17 novembre 2020
Alors que j’avais alerté les lecteurs de mon blog sur les errements idéologiques du gouvernement français au sujet de l’interdiction des néonicotinoïdes pour la prévention des ravageurs sur les cultures de betterave sucrière en France (billets des 3 août et 1 octobre de cette année) ce gouvernement a accordé une autorisation spéciale aux producteurs de betteraves français après avoir pris conscience que la totalité de la filière risquait de disparaître. Je ne suis toujours pas certain que les députés, les sous-secrétaires d’Etat et autres conseillers de divers comités théodules gravitant autour du gouvernement aient pas pris conscience de la gravité de leurs décisions ni du caractère brouillon et irréfléchi de leurs décisions. Ont-ils fini par reconnaître qu’ils avaient commis une immense erreur qui les décrédibilise totalement non pas seulement auprès des « betteraviers » mais également auprès de l’opinion publique ?
Cette erreur est la conséquence d’une totale méconnaissance de l’agriculture dans son ensemble et en particulier de la culture des betteraves. Sous le faux prétexte que les néonicotinoïdes sont dangereux pour les abeilles pollinisatrices, j’y reviendrai, l’ignorance de tous les pitres qui gravitent autour des ministères est flagrante : les betteraves sont des plantes dont le cycle de croissance (ou de vie, comme vous voudrez) est de deux ans. La première année cette plante se consacre entièrement à une croissance végétative pour produire une racine riche en sucres. Elle ne fleurira que la seconde année si elle n’est pas arrachée pour la récolte. Voilà l’erreur du gouvernement dont la faculté de jugement a été obscurcie par des idéologues opposés à tout traitement chimique des cultures car cette pratique est préjudiciable à l’équilibre des écosystèmes. Dans le cas de la betterave à sucre de quel écosystème s’agit-il puisque la plante ne fleurit pas et ne peut donc pas attirer les insectes pollinisateurs dont les abeilles font partie ? L’utilisation des insecticides par les betteraviers est néanmoins vitale pour détruire les attaques de pucerons vecteurs du virus de la jaunisse ainsi que d’autres ravageurs comme certains coléoptères.
Les entomologistes étudiant les abeilles (Apis mellifera) ont certes reconnu que les insecticides tels que les néonicotinoïdes étaient toxiques pour ces insectes irremplaçables mais ils ont considérablement modéré leurs jugement après avoir découvert que les abeilles, comme l’homme, étaient sensibles à de nouvelles maladies émergentes, outre celles déjà identifiées comme le Varroa et l’Acarine. Ces spécialistes ont identifié ces dernières années pas moins de 12 virus différents mortels pour les abeilles. Le réservoir de certains de ces virus est le Varroa. La dernière invasion virale en date est le virus de la paralysie chronique de l’abeille (CBPV, Chronic Bee Paralysis Virus), un virus à ARN dont le réservoir semble être la fourmi. La progression de ce virus est constante en Europe depuis son apparition à la fin des années 2000, l’épicentre se situant, pour l’Europe, en Slovénie. Toutes les attaques virales dont sont victimes les abeilles tend à relativiser l’impact des insecticides, dont les néonicotinoïdes. Il faut donc raison garder mais la plus grande menace pour les abeilles reste paradoxalement la mondialisation de leur commerce. En effet, il existe des pays importateurs d’abeilles et les exportateurs répondant à la demande croissante sont malheureusement peu scrupuleux ou ne disposent pas des infrastructures pour vérifier l’état sanitaire des ruches exportées. Pour déterminer si une ruche est porteuse d’un virus il est nécessaire de faire appel aux derniers outils de la biologie moléculaire dont l’amplification du matériel génétique par RT-PCR qui permet d’obtenir un diagnostic rapide et non équivoque. Dans le cas de la Grèce, pays gros exportateur de ruches, les services vétérinaires sont inexistants ou très mal équipés pour ce genre de diagnostic. L’état sanitaire des abeilles devra à l’avenir être étroitement surveillé si on veut éviter des pandémies virales de l’abeille à l’échelle mondiale. Ça ne vous rappelle rien ?
RépondreSupprimerSources : diverses dont doi : 10.1038/s41467-020-1519-0
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/17/neonicotinoides-et-abeilles-lambiguite-persiste/