- ENTREE de SECOURS -



lundi 18 avril 2022

Voter pour Macron c'est voter pour le fascisme corporatiste eugéniste originel

 

Jeanne traduction explique pendant 7:34

60 commentaires:

  1. Le président français veut que ses citoyens soient victimes, tués par des criminels, alors qu'il exprime son opposition à un agriculteur qui s'est défendu en tuant un intrus


    dimanche 17 avril 2022
    par : JD Heyes


    (Natural News) Le président français Emmanuel Macron a clairement indiqué qu'il préférerait voir ses citoyens victimes et tués plutôt que de s'engager dans un acte d'autodéfense ou d'auto-préservation, qui sont tous deux des instincts humains naturels.

    Les commentaires de Macron sont intervenus après qu'un agriculteur français a été accusé de meurtre pour avoir tiré sur un homme après que quatre cambrioleurs ont fait irruption chez lui.

    "Selon l'enquête initiale, le fermier a tiré deux fois avec un fusil de gros calibre sur un groupe de quatre cambrioleurs, tuant l'un d'entre eux. La fusillade d'autodéfense a eu lieu vendredi dernier, entre 22 heures et 5 heures. et 23 heures, et l'homme était seul avec sa fille de 3 ans à ce moment-là », a rapporté Remix News.

    Cependant, Macron a en fait déclaré à un média français qu'il "s'oppose" à toute forme d'autodéfense, que les victimes soient maudites.

    "Tout le monde doit être en sécurité, et les pouvoirs publics doivent s'en assurer", a déclaré Macron à Europe 1, avant d'enchaîner sur une fausse prémisse en s'en prenant aux États-Unis.

    « Mais je suis opposé à l'autodéfense. C'est très clair et indiscutable car sinon, le pays devient le Far West. Et je ne veux pas d'un pays où les armes prolifèrent et où l'on considère que c'est aux citoyens de se défendre », a en effet déclaré Macron.

    Remarquez que l'agriculteur en question n'avait évidemment pas la protection de la police française et ce n'est pas comme s'il y avait suffisamment d'officiers pour en stationner un devant chaque résidence du pays (ce ne serait même pas sensé). Mais peu importe; ils sont toujours censés être partout à la fois tout le temps, 24/7/365 - dit un homme qui est littéralement protégé par des officiers armés à chaque instant de chaque jour et qui n'a pas à se soucier de se protéger.

    "Macron a insisté sur le fait que l'agriculteur aurait dû appeler la police, qui dans de nombreuses régions de France est déjà poussée à bout grâce à des gangs criminels de jeunes migrants en état de guerre perpétuel avec eux", a noté Infowars.

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  2. « Je ne vais pas juger cette nouvelle. Je transmets les règles », a ajouté Macron, dont le faible bilan en matière de sécurité et de criminalité est déjà sous surveillance.

    Il y a aussi ceci : Vraisemblablement, si nous voulons prendre Macron au sérieux, le jeune agriculteur était juste censé laisser le libre passage aux quatre cambrioleurs pour saccager sa maison et potentiellement lui faire du mal et/ou à sa petite fille.

    Quant à l'agriculteur, il a été libéré mais il reste sous contrôle judiciaire. Macron, quant à lui, fait face à une élection serrée dans quelques jours avec des sondages montrant un défi probable au dernier tour de Marine Le Pen, à tendance conservatrice.

    En ce qui concerne cette course, Macron prend une page des démocrates américains, qualifiant Le Pen de "raciste" et lui prenant d'autres coups personnels, selon les rapports - ce qui est un signe certain qu'il a peur de perdre.

    « La course semble se réduire aux deux finalistes de l'élection de 2017, et alors que Macron s'est jusqu'à présent tenu à l'écart de tout débat direct, les deux se visent de plus en plus de loin. Et ils ne mâchaient pas leurs mots vendredi », a rapporté Reuters la semaine dernière.

    "Il y avait une stratégie claire (du camp de Le Pen) pour cacher ce qu'il y a de brutal dans son programme", a déclaré Macron au Parisien dans une interview.

    "Ses fondamentaux n'ont pas changé : c'est un programme raciste qui vise à diviser la société et qui est très brutal", a-t-il déclaré dans des propos qui divisent littéralement la société française.

    Pour sa part, Le Pen a répondu dans une interview à la chaîne de télévision Franceinfo que les remarques de Macron l'avaient "choquée" tout en les repoussant et en qualifiant le président français de gauche de "fébrile" et "agressif". Elle a également déclaré que ses politiques, qui incluent un principe de « priorité nationale » d'adhérer à la constitution française, ne discriminent personne sur la base de sa couleur de peau ou de son origine nationale tant qu'il détient un passeport français.

    Macron est un libéral socialiste typique et son pays en souffre. Mais c'est aux citoyens français de changer leur destin à ce stade.

    Les sources comprennent :

    Reuters.com
    Infowars.com

    https://www.naturalnews.com/2022-04-17-frances-president-wants-citizens-to-be-victimized.html

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    1. Un criminel obligent des médecins, docteurs, infirmiers à être comme lui ! Piquez ! Piquez ! Piquez ! * Ces coups de poignards font du bien à la planète. Il y aura moins de cons sur Terre !

      * voir la composition des expérimentations géniques d'essais (95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !) proposées aux personnes en bonne santé puisque la poussière (virus) n'existe pas dans l'air mais uniquement en seringues !

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  3. Marine Le Pen allège son agenda 48h avant le débat pour s’y préparer

    Les deux candidats à l’élection présidentielle fourbissent leurs armes. La candidate du Rassemblement national ne fera pas les mêmes erreurs qu’en 2017,


    17 avril 2022, 08:21


    Cinq ans après, Emmanuel Macron et Marine Le Pen se retrouvent mercredi pour un débat d’entre-deux tours. En 2017, la candidate du Rassemblement national avait sombré. Cette fois, elle dit arriver mieux préparée face à un président sortant qui aura un bilan à défendre.

    Depuis 1974, c’est devenu un exercice obligé, empreint d’une certaine dramaturgie, saupoudré de formules légendaires, comme «vous n’avez pas le monopole du coeur», «mais vous avez tout à fait raison Monsieur le Premier ministre», «moi président...»

    En réalité, estiment les experts, l’influence du débat a longtemps été surévaluée. «Jusqu’en 2017, il n’y avait jamais eu d’impact significatif d’un débat d’entre-deux tours alors que dans l’imaginaire, c’est la grande finale. 2017 a été une véritable rupture», souligne Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop.

    Le crash en direct, devant 16,5 millions de téléspectateurs, de Marine Le Pen, noyée dans ses fiches, agressive et brouillonne, avait totalement plombé la candidate d’extrême droite.

    Défendre son bilan

    Cette année, on prend les mêmes, mais la donne a changé. Emmanuel Macron est moins sûr de sa victoire et son avance dans les sondages moins grande (53 à 55 %).

    A quatre jours du second tour, le président devra aussi défendre son bilan et n’est plus «le jeune homme neuf» de 2017, comme le rappelle le politologue Stéphane Rozès. «Il ne va pas pouvoir dire qu’il est tombé de Jupiter ou de la lune», ironise Philippe Olivier, le conseiller de Marine Le Pen.

    Enfin, Marine Le Pen assure avoir tiré les leçons de 2017 où elle était arrivée mal préparée et fatiguée, après avoir multiplié les déplacements. Cette fois, elle a vidé son agenda à partir de lundi après-midi, se retirant dans l’Ouest, à l’image d’un boxeur avant un grand combat, pour potasser ses dossiers et s’entraîner au débat.

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  4. Le président-candidat lui-même s’attend à une configuration différente de 2017. «J’ai conscience qu’elle a pris beaucoup de temps pour s’y préparer», dit-il, assurant aborder «ces discussions avec beaucoup de sérieux». Sur le fond, ce sont deux projets à l’opposé qui vont s’affronter.

    Projet contre projet

    «La stratégie du Tout sauf Le Pen ne fonctionne plus. C’est vraiment du projet contre projet, argument contre argument, sur tous les enjeux qui nous séparent violemment du projet de Marine Le Pen: sur l’Europe, sur le rapport à l’autre, sur l’économie, sur le social, sur le fiscal, bref sur tout», insiste le député LREM Roland Lescure sur RFI.

    Un cadre de la majorité évoque un «débat à double lame». Emmanuel Macron doit «parler de ce qu’on veut faire mais il va aussi falloir qu’il pose des questions à Marine Le Pen. Il faut la re-démasquer. On l’a laissée trop longtemps s’installer dans cette image sympathique de ménagère avec ses chats».

    Sur la forme, «l’enjeu est d’être persuasif et convaincant sans prendre un ton trop professoral», souligne l’entourage du candidat Macron dont ce sera le tout premier débat de la campagne, le RN l’accusant d’avoir «fui» la confrontation jusque-là.

    Pour la directrice générale d’Odoxa Céline Bracq, Emmanuel Macron devra «ne pas paraître comme un épouvantail pour les électeurs de gauche», que les deux candidats draguent ouvertement, et éviter d’être «trop techno». «Pour Marine Le Pen, ajoute-t-elle, l’enjeu est d’être crédible du point de vue économique. Avoir l’air de ne pas maîtriser les choses est un vrai handicap.»

    Plus solide

    Dans le camp Le Pen, on est persuadé que la candidate se montrera plus solide sur les dossiers et plus apaisée dans l’attitude. Désormais, c’est même elle qui accuse son rival d’être «brutal et agressif». De son côté, elle entend d’abord «présenter la philosophie» de son projet et se dit «extrêmement sereine».

    Sur cette «zénitude» affichée, certains demandent toutefois à voir. Dans la campagne, Marine Le Pen «a montré beaucoup de calme» mais, «comme il n’y a pas eu d’affrontement entre les candidats, personne ne sait comment ça va se passer si elle se retrouve poussée dans ses retranchements», souligne Céline Bracq.

    (AFP)

    https://www.lematin.ch/story/marine-le-pen-allege-son-agenda-48h-avant-le-debat-pour-sy-preparer-212045637689

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  5. Il faut supprimer les droits de succession

    Les droits de succession ne sont pas éthiques et sont une atteinte au droit de propriété. Ils sont aussi critiquables économiquement.


    le 17 avril 2022
    Pascal Salin


    Les droits de succession sont assez généralement considérés comme justifiés et on en donne en particulier une justification prétendue morale. En effet on considère qu’il n’est pas juste que certaines personnes puissent hériter d’un capital plus élevé que d’autres sans avoir fait les efforts nécessaires pour cela et sans le mériter.

    On évoque souvent de ce point de vue l’idée selon laquelle il faut assurer « l’égalité des chances » entre tous les citoyens. Mais il faut estimer ce point de vue comme étant totalement injustifié et c’est précisément pour des raisons éthiques que je critique l’existence des droits de succession.

    En effet, lorsqu’on parle d’éthique il est essentiel de faire une distinction fondamentale entre « éthique universelle » et « éthique personnelle ». L’éthique universelle implique de définir des droits qui soient cohérents entre eux pour tous les individus du monde.

    Une question d’éthique

    Ces droits sont les droits des individus sur leur propre personne et sur leurs propriétés légitimes. Par ailleurs chaque individu peut avoir des préférences personnelles, par exemple en ce qui concerne des décisions d’ordre généreux ou égoïste à l’égard de telle ou telle autre personne ou catégorie de personnes. Mais ces préférences personnelles sont nécessairement diversifiées et ne peuvent pas donner lieu à la constitution d’une société cohérente.

    Et tel est le cas de l’égalité des chances et de manière plus générale de tous les arguments en faveur de politiques de redistribution, celles-ci impliquant nécessairement de ne pas respecter les droits de propriété légitimes relevant de l’éthique universelle.

    C’est par respect pour l’éthique universelle qu’il convient de s’opposer aux droits de succession. Ce qui est en cause en effet ce ne sont pas les droits personnels des héritiers, définis de manière arbitraire (on décide de manière discrétionnaire de prélever une part plus ou moins importante du capital reçu par les héritiers), mais ce sont les droits des légataires.

    Si un individu est le propriétaire légitime d’un capital qu’il a accumulé pendant sa vie, il est profondément immoral de considérer qu’on ne doit pas respecter ses droits du fait de son décès.

    En effet il a fait l’effort d’épargner des ressources – c’est-à-dire de renoncer aux satisfactions apportées par la consommation – afin d’accumuler ce capital, par exemple précisément pour pouvoir le léguer à ses enfants ou à une organisation charitable ou culturelle.

    Les droits de succession : une atteinte au droit de propriété
    Au nom de quoi peut-on mépriser ces efforts et porter atteinte aux droits de propriété de celui qui décède ? L’une des remarquables spécificités des êtres humains vient précisément du fait qu’ils sont capables de se projeter au-delà de leur vie.

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  6. Comparons les activités de deux individus disposant des mêmes ressources tout au long de leur vie, mais l’un d’entre eux épargne, pas l’autre. Pourquoi serait-il juste de punir celui qui a fait l’effort d’épargner une partie de ses ressources et pas l’autre ?

    Si l’existence de droits de succession doit être critiquée pour des raisons éthiques, il est vrai par ailleurs qu’elle doit être aussi critiquée pour des raisons utilitaires. Par conséquent si on respecte l’éthique universelle il en résulte des situations satisfaisantes.

    Ainsi l’incitation à accumuler du capital profite à tout le monde puisque cela permet, par exemple, d’améliorer la productivité des salariés d’une entreprise et donc le montant de leurs salaires. On pourrait considérer cela comme une justification suffisante pour ne pas imposer de droits de succession.

    Une surtaxation du capital en France

    De ce point de vue il convient de souligner qu’il existe en fait, en particulier dans le cas de la France, une surtaxation du capital car il existe différents impôts prélevés sur la valeur d’un capital, sur ses revenus ou sur sa transmission et l’on peut même démontrer que l’impôt sur le revenu constitue une atteinte à l’accumulation du capital. Or, il est important d’évoquer le fait que la croissance économique implique l’accumulation de capitaux.

    En taxant le capital – par exemple par les droits de succession – on diminue l’incitation des individus à accumuler du capital et c’est toute l’économie d’un pays qui en est ainsi affectée en subissant une croissance moindre que celle qui serait sinon possible.

    C’est donc pour des raisons pratiques aussi bien que morales qu’il convient de supprimer les droits de succession.

    Un article publié initialement le 25 décembre 2021.

    https://www.contrepoints.org/2022/04/17/417949-il-faut-supprimer-les-droits-de-succession

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    1. Les 'droits de succession' ne sont que DU VOL ! Pourquoi devoir payer une taxe sur quelque chose donné ? Vous donnez votre voiture à: Taxé ! Vous donnez des vêtements à: Taxé !

      Pourquoi est-ce du vol ? Parce que l’État n'a rien fait pour mériter cet argent, son désir est d'handicaper, voire de ruiner la vie d'un héritier en l'empêchant d'acquérir un bien de famille !

      Mais en dictatures ce n'est pas le Peuple qui fait les lois mais uniquement des tuteurs qui ne demandent l'avis de personne ! C'est pourquoi la totalité du Peuple est toujours contre les nouvelles lois alors qu'en Suisse (seul pays au monde à être en Démocratie) c'est le Peuple qui propose SES lois et vote SES lois ! C'est pourquoi aussi qu'en Suisse il n'y a pas de grève ni de manifestation ! (Le chef de l’État change toute les années. (1-1 au 31-12).

      Prenons l'exemple des prix: On pense qu'arrivé au plafond ils ne peuvent que redescendre. Êh bêh non ! Il n'y a PAS de plafond !!

      Que feriez vous si le prix du gas-oil ou de l'essence affichait 50 €/l. ? Tout s'arrêterait. TOUT !
      Pourquoi ? parce que le prix des Matières Premières est fixé par un 'bureau' qui ne tient nullement compte des transactions ! Il affiche le prix à la tête du client !

      C'est la dictature, c'est l'absence de Démocratie. C'est une 'TVA' sur TOUT ! Un 'droit de succession' ! Car vous ne méritez pas de manger une pomme sur l'arbre ! De respirer gratuitement l'air mis à votre disposition ! De fouler le sol qui ne vous appartient pas !

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  7. 6 entreprises contrôlent 90 % de ce que vous lisez, regardez et entendez. Voici pourquoi vous devriez vous en soucier.


    dimanche 17 avril 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Dans une récente enquête Twitter que j'ai menée, près de 90 % des personnes ont évalué leur confiance dans les médias grand public comme « très faible » ou « faible ». Et est-ce une surprise ? La consolidation croissante des médias a réduit les perspectives dont le public a connaissance, la propriété et le financement de ces sociétés sont criblés de conflits d'intérêts, des histoires cruciales continuent d'être enterrées de manière suspecte et les grandes entreprises technologiques censurent et démonétisent carrément les médias indépendants qui tentent de percer le bruit. Les médias sont censés fonctionner comme un contrôle du pouvoir - et un moyen de nous armer d'informations vitales pour façonner la société dans laquelle nous voulons vivre. Cela n'a jamais été une industrie plus importante. Et il n'a jamais été aussi à risque. Dans cette série, j'aborderai chaque facteur menaçant la capacité des médias à servir notre démocratie - avec la contribution de journalistes, de critiques des médias, de professeurs et d'autres experts.

    (Article republié de RebeccaStrong.Substack.com)

    "Nous pouvons avoir la démocratie dans ce pays, ou nous pouvons avoir une grande richesse concentrée entre les mains de quelques-uns, mais nous ne pouvons pas avoir les deux." — Le juge de la Cour suprême Louis D. Brandeis

    Par une fraîche journée de novembre 2014, alors que je me précipitais dans le Downtown Crossing de Boston à l'heure de pointe, j'ai reçu un appel qui allait changer le cours de ma carrière : on m'a proposé mon premier emploi de journaliste à temps plein, en tant que journaliste tech et startups pour un point de vente en ligne local appelé BostInno.

    Quand je repense à ce moment et que je me souviens de l'excitation vertigineuse qui s'est installée, je vois une jeune femme idéaliste qui n'a pas encore compris le fonctionnement réel de la machine médiatique. J'aimerais pouvoir tempérer ses attentes d'une manière ou d'une autre. J'aimerais pouvoir la protéger de la déception écrasante qui accompagne le fait de réaliser que cette industrie qu'elle a choisie n'est pas ce qu'elle pense naïvement.

    Peu de temps avant mon embauche, BostInno avait été acquis par American City Business Journals, le plus grand éditeur d'hebdomadaires d'affaires métropolitains aux États-Unis. Lors de mes premières conversations avec des collègues, il était évident qu'ils étaient encore en train de s'adapter à la vie post-acquisition.

    Bien sûr, il y avait des avantages liés à l'acquisition - mais la pression pour atteindre des objectifs de trafic élevés signifiait que les écrivains devaient désormais donner la priorité à certaines histoires de clickbaity par rapport à d'autres. De plus, je me souviens très bien d'une fixation sur la quantité.

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  8. Les écrivains devaient produire au moins trois ou quatre histoires par jour dans le but d'atteindre un public aussi large que possible, ce qui, frustrant, signifiait que nous n'avions souvent pas le temps de couvrir des sujets complexes avec la profondeur requise. Il s'avère que notre expérience n'est pas exactement unique.

    Dans une enquête récente que j'ai menée, 60 % des journalistes ont déclaré avoir travaillé pour une publication qui a été rachetée par une grande entreprise pendant leur séjour - et 40 % de ce groupe ont admis avoir été témoins de changements négatifs dans leurs attentes professionnelles ou leur environnement de travail après l'acquisition.

    Si vous examinez l'histoire d'innombrables fusions et acquisitions de médias au cours des dernières décennies, vous arriverez à une découverte troublante : les médias locaux et indépendants disparaissent en masse. Le résultat ? La grande majorité des nouvelles que vous digérez sont conçues pour servir les intérêts des entreprises et de leurs dirigeants, plutôt que des citoyens.

    Cela va peut-être sans dire, mais les médias jouent un rôle presque nauséabond dans notre vie quotidienne, surtout ici aux États-Unis. En effet, les Américains passent en moyenne 12 heures et demie par jour à consommer des informations via la télévision, Internet, les journaux, les magazines et la radio.

    Les médias façonnent notre société de multiples façons. Il nous indique quels événements mondiaux méritent notre attention. Il a le pouvoir d'affecter ce que nous achetons. En façonnant nos opinions sur tout, de l'immigration, de la santé, de l'éducation et de l'environnement aux candidats politiques individuels, cela peut également avoir une influence significative en matière d'élections.

    Des études ont montré que la couverture médiatique a parfois un fort impact sur les décisions des tribunaux pénaux, en particulier pour les crimes violents. Et en influençant les consommateurs et les investisseurs, notre cycle actuel d'actualités en temps réel 24 heures sur 24 peut avoir un impact sur notre climat économique, entraînant la valeur marchande de certaines industries et entreprises (c'est ce que l'on appelle «l'effet CNN»).

    Mais avez-vous déjà remarqué qu'une grande partie de ce que vous lisez, voyez et entendez a commencé à sonner - eh bien, exactement la même chose ? Vous n'imaginez rien. Il y a même un nom pour ce phénomène : "l'illusion du choix". On nous présente ce qui ressemble à une gamme infinie d'options pour savoir où obtenir nos nouvelles.

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  9. Mais en réalité, les informations provenant de la plupart de ces sources proviennent des mêmes conglomérats. Année après année, le pouvoir économique s'est de plus en plus concentré dans de nombreux secteurs, notamment la technologie, la santé, la banque, les compagnies aériennes et les produits pharmaceutiques.

    En fait, les fusions ont atteint un niveau record de 5,8 000 milliards de dollars en 2021. Si vous avez déjà suivi le cours d'économie 101, vous savez probablement bien que les monopoles sont bons pour les fournisseurs et mauvais pour les consommateurs - en éliminant la concurrence, ils ne donnent aux entreprises qui contrôlent aucune incitation. pour améliorer, innover ou autrement répondre à nos besoins, désirs et attentes.

    Alors, comment en sommes-nous arrivés là ? Au cours des années 1940, la Federal Communications Commission (FCC) a adopté un certain nombre de règles pour limiter la propriété de plusieurs stations de radio et stations de télévision locales, ainsi que de plusieurs réseaux de diffusion nationaux.

    Puis, dans les années 70, la FCC a interdit à une entreprise de posséder à la fois un journal et une station de télévision ou de radio sur le même marché. Mais au cours des années 80, d'importantes mesures de déréglementation prises par le Congrès et la FCC sous l'administration du président de l'époque, Ronald Reagan, ont augmenté le nombre de chaînes de télévision qu'une seule entité pouvait posséder, déclenchant une vague de fusions dans les médias.

    Le vrai baiser de la mort aux nouvelles locales s'est produit en 1996 lorsque le président Bill Clinton a signé la loi sur les télécommunications, qui permettait aux grandes entreprises qui dominaient déjà le marché des médias d'étendre davantage leur contrôle via des acquisitions et des fusions.

    Seuls 3 % du Congrès ont voté contre ce projet de loi, y compris Bernie Sanders, alors membre de la Chambre des représentants. Dans les années qui ont suivi, de plus en plus de petits points de vente et de stations ont été engloutis par les grands ou ont carrément échoué parce qu'ils ne pouvaient tout simplement pas rivaliser avec eux.

    Puis, en 2017, la FCC a annulé une réglementation qui ouvrait encore plus les vannes de la consolidation. Cette réglementation avait empêché une entreprise de posséder plusieurs stations de télévision sur des marchés qui ne comptaient pas au moins huit stations indépendantes et avait empêché une entreprise de posséder à la fois un journal et une station de radiodiffusion ou une station de télévision et de radio sur le même marché.

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  10. Enfin, en 2021, la Cour suprême a annulé une décision d'appel demandant à la FCC d'étudier l'impact potentiel sur la propriété des femmes et des minorités dans l'industrie des médias avant d'assouplir les restrictions à la propriété. À l'époque, le juge Brett Kavanaugh – qui a rédigé la décision – a affirmé que non seulement il n'y avait aucune preuve que l'assouplissement de ces règles causerait un préjudice, mais que la consolidation pourrait profiter aux consommateurs.

    Quant aux conséquences de toute cette déréglementation - alors que 50 entreprises dominaient le paysage médiatique en 1983, celui-ci est tombé à neuf entreprises dans les années 1990. C'est devenu pire à partir de là.

    Aujourd'hui, seuls six conglomérats – Comcast, Disney, AT&T, Sony, Fox et Paramount Global (anciennement connu sous le nom de ViacomCBS) – contrôlent 90 % de ce que vous regardez, lisez ou écoutez. Pour mettre cela en perspective : cela signifie qu'environ 232 dirigeants de médias ont le pouvoir de décider à quelles informations 277 millions d'Américains peuvent accéder. En 2021, les «six grands» ont encaissé un total de plus de 478 milliards de dollars de revenus. C'est plus que les PIB de la Finlande et de l'Ukraine réunis.

    Le problème s'étend également aux géants de la presse écrite et de la radio : iHeartMedia possède 863 stations de radio dans tout le pays, tandis que Gannett possède plus de 100 quotidiens américains et près de 1 000 hebdomadaires.

    Au fur et à mesure que le pool contrôlant les médias se rétrécit, l'étendue des informations rapportées diminue également. C'est pourquoi les milliers de médias d'aujourd'hui produisent souvent un contenu embarrassant et duplicatif.

    Un problème flagrant avec ces changements réglementaires radicaux est qu'ils ont été adoptés avec peu de publicité, ce qui signifie que les citoyens n'ont eu que peu ou pas d'occasions de les repousser. En fait, une étude de Pew Research de 2003 a révélé qu'un énorme 72 % des Américains n'avaient absolument rien entendu à propos de la modification des règles de propriété des médias. Mais lorsqu'on leur a demandé ce qu'ils pensaient de l'assouplissement des règles sur le nombre de médias que les entreprises peuvent posséder, beaucoup plus d'Américains ont dit qu'ils pensaient que cela aurait un impact négatif que positif.

    Selon Jeff Cohen, fondateur de Fairness and Accuracy in Reporting (FAIR) et RootsAction et auteur de "Cable News Confidential: My Misadventures in Corporate Media", la loi sur les télécommunications a largement progressé sous le radar.

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  11. "Le public n'a pas voté ou n'était pas au courant", m'a-t-il dit dans une interview. "L'agglomération et le rétrécissement de la diversité des médias se sont produits à cause de la législation et de l'élaboration de règles en coulisses, hors de la vue du public."

    En fait, lorsqu'un groupe de consommateurs a tenté d'acheter de l'espace publicitaire sur CNN pour critiquer le projet de loi sur les télécommunications, Cohen a déclaré que CNN ne leur vendrait pas le temps. Ce n'est pas si surprenant quand on considère la puissance des lobbyistes des grands médias : un rapport d'OpenSecrets montre que NCTA - l'association Internet et télévision (qui représente plus de 90 % du marché américain du câble) a dépensé plus de 14 millions de dollars pour tenter d'influencer la politique gouvernementale. en 2021, tandis que Comcast a déboursé 13,38 millions de dollars, les plaçant tous les deux dans le top 15 des dépenses de lobbying.

    Non seulement les Américains ont été tenus pour la plupart dans l'ignorance de ces mesures réglementaires, mais des informations sur leurs implications ont peut-être été intentionnellement cachées. En 2006, l'ancien avocat de la FCC, Adam Candeub, a affirmé que la FCC aurait enterré une étude fédérale prouvant qu'une plus grande concentration de la propriété des médias nuirait à la couverture des nouvelles locales.

    Les cadres supérieurs ont ordonné au personnel de détruire « chaque dernier élément » du rapport, selon Candeub. Pourtant, d'autres recherches ont depuis révélé les mêmes résultats inquiétants : une étude de 2019 a montré que les stations nouvellement acquises par Sinclair ont accru leur concentration sur la politique nationale d'environ 25 %, au détriment de la couverture de la politique locale.

    De nos jours, il y a des villes entières à travers le pays sans couverture locale. Selon une étude de 2018, plus de 2 000 comtés américains (63,6 %) n'ont pas de quotidien, tandis que 1 449 comtés (46 %) n'en ont qu'un. Pendant ce temps, 171 comtés – totalisant 3,2 millions d'habitants – n'ont aucun journal.

    Ces zones sont connues sous le nom de « déserts de l'information » et des études ont montré qu'elles ont moins de candidats à la mairie, une participation électorale plus faible et plus de corruption gouvernementale. Lorsque les citoyens se retrouvent avec un déficit d'information colossal, ils sont obligés de se tourner vers les médias sociaux pour s'informer.

    L'un des géants des médias responsables de cette tendance est Sinclair Broadcast Group, qui possède ou exploite désormais 185 stations de télévision sur 620 chaînes sur 86 marchés américains. Dans la vidéo de compilation ci-dessus, les ancres reprenant exactement le même script sur les dangers des "fausses nouvelles" ont toutes travaillé pour les stations appartenant à Sinclair.

    Tout en exprimant des inquiétudes quant aux effets négatifs de la consolidation des médias dans une interview de 2017 avec Democracy Now !, l'ancien commissaire de la FCC, Michael Copps, a qualifié Sinclair de "l'entreprise la plus dangereuse dont les gens n'ont jamais entendu parler" en raison non seulement de l'étendue de son contrôle, mais aussi son programme idéologique bien connu.

    Dans son livre "The New Media Monopoly", feu l'auteur Ben Bagdikian affirme que les six grands d'aujourd'hui ont amassé plus de pouvoir de communication que n'en a jamais exercé aucune dictature dans l'histoire. Pire encore, il note que des hiérarchies étroites comme celles-ci trouvent des moyens de « coopérer » pour continuer à étendre leur pouvoir.

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  12. "Ils investissent conjointement dans les mêmes entreprises, et ils passent même par des mouvements qui, en fait, se prêtent de l'argent et échangent des propriétés lorsque cela est mutuellement avantageux", écrit Bagdikian.

    Christopher Terry, professeur adjoint de droit des médias à l'Université du Minnesota, a commencé sa carrière dans l'industrie de la radio en tant que producteur pour Hearst et ClearChannel au milieu des années 90 - au plus fort de cette frénésie de consolidation.

    "J'ai vu ce que cela a fait pour les stations pour lesquelles je travaillais, et je n'ai pas aimé ça", m'a-t-il dit dans une interview.

    Terry travaillait pour une station de discussion conservatrice à Milwaukee lorsqu'elle a été acquise par ClearChannel, provoquant des réductions drastiques de personnel.

    "Avant la consolidation, nous étions une source légitime avec une salle de rédaction entièrement opérationnelle", a-t-il expliqué. «Je n'étais pas nécessairement d'accord avec notre politique tout le temps, mais j'ai aimé qu'elle soit axée sur les choses sur lesquelles les gens ont besoin d'informations et qu'elle ait des liens locaux. C'était une opération qui contribuait au bien public.

    Des experts comme Terry et Cohen vous diront qu'il existe de nombreuses raisons pour lesquelles la consolidation des médias est mauvaise pour notre démocratie. Dans le documentaire « La presse est-elle vraiment libre ? Le professeur de sociologie et ancien directeur de Project Censored, le Dr Peter Phillips, souligne qu'en conséquence directe des réductions de personnel causées par la consolidation, les journalistes deviennent souvent de plus en plus dépendants des relations publiques pour leurs reportages.

    Il appelle cela une forme de censure structurelle - lorsqu'une grande partie des nouvelles a été pré-écrite par un professionnel des relations publiques qui travaille pour une bureaucratie publique ou privée, cela signifie que les histoires sont tournées pour répondre aux besoins des entreprises ou du gouvernement en avance.

    Nolan Higdon, professeur d'études médiatiques et d'histoire et auteur de "The Anatomy of Fake News", note également que cette concentration de pouvoir a entraîné moins de freins et contrepoids - sans la pression qui accompagne la concurrence, les conglomérats ne risquent pas d'être contestés pour leurs pratiques douteuses.

    Higdon m'a dit :

    "Lorsque la plupart des informations sont contrôlées par six sociétés et que le trafic Internet est contrôlé par cinq ou six sociétés qui privilégient ces sociétés sous les auspices de la lutte contre les "fausses nouvelles", vous pouvez mentir en toute impunité. Et pire, parce que nous sommes un public fragmenté, si le Washington Post me ment chaque jour, je ne vais pas allumer Fox ou lire le Wall Street Journal pour entendre qu'on me ment. Je vais être dans ma petite bulle d'information.

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  13. Au fur et à mesure que ces sociétés médiatiques étendent leur pouvoir, elles engrangent des profits sans cesse croissants, ce qui se traduit ensuite par une plus grande influence politique. Non seulement les propriétaires des géants des médias contribuent directement à l'argent des campagnes, mais leurs médias contrôlent le discours autour d'eux. Et plus le conglomérat est grand, plus il peut facilement et efficacement faire pression pour tuer les réglementations et adopter des lois qui renforcent leur domination.

    Mais cette consolidation du pouvoir s'étend au-delà des monopoles et des fusions à gogo - aggravant le problème, les membres du conseil d'administration sont partagés. Toutes les sociétés de médias ont un conseil d'administration, qui est chargé de prendre des décisions qui soutiennent les intérêts des parties prenantes.

    Lorsqu'une personne siège au conseil d'administration de plusieurs entreprises, cela crée un « interverrouillage ». Faites défiler le conseil d'administration du New York Times, par exemple, et vous trouverez qu'un certain membre siège également au conseil d'administration de McDonald's et de Nike et est président d'Ariel Investments. Jusqu'à l'année dernière, une présidente de Disney siégeait au conseil d'administration du géant du capital-investissement The Carlyle Group.

    Une étude de 2021 publiée dans Mass Communication & Society (MCS) a révélé que les sociétés de presse américaines cotées en bourse étaient liées par 1 276 connexions à 530 organisations. Les données ont montré qu'environ 36 % de ces connexions étaient avec d'autres médias, 20 % avec des annonceurs, 16 % avec des institutions financières, 12 % avec des entreprises technologiques et 2 % avec des entités gouvernementales et politiques.

    Plus précisément, une liste de 2012 compilée par FAIR a révélé les interverrouillages suivants :

    CBS/Viacom : Amazon, Pfizer, CVS, Dell, Cardinal Health et Verizon
    Fox/News Corp : Rothschild Investment Corporation, Phillip Morris, British Airways et Bourse de New York
    ABC/Disney : Boeing, City National Bank, FedEx et HCA Healthcare
    NBC : Anheuser-Busch, Morgan Chase & Co., Coca-Cola et Chase Manhattan
    CNN/TimeWarner : Citigroup, American Express, Fannie Mae, Colgate-Palmolive, Hilton Hotels, PepsiCo, Sears et Pfizer
    The New York Times Co : Johnson & Johnson, Ford, Texaco, Alcoa, Avon, Campbell Soup, Metropolitan Life et Starwood Hotels & Resorts
    (Et ce ne sont là que quelques exemples des plus de 300 croisements découverts par FAIR.)

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  14. Certains disent qu'il serait naïf de ne pas soupçonner que les directions imbriquées ne provoquent pas de conflit d'intérêts majeur, ce qui permet au contenu de l'actualité d'être potentiellement façonné par des motifs axés sur le profit. Comme l'a dit l'ancien directeur général de Walt Disney, Michael Eisner, dans un tristement célèbre mémo interne qui a fait l'objet d'une fuite :

    « Nous n'avons aucune obligation d'écrire l'histoire. Nous n'avons aucune obligation de faire de l'art. Nous n'avons aucune obligation de faire une déclaration. Gagner de l'argent est notre seul objectif.

    En fin de compte, il existe des preuves pour légitimer cette préoccupation. Dans une étude MCS de 2021, plus de 30 % des rédacteurs en chef ont déclaré avoir subi une forme de pression sur la salle de rédaction de la part de leur société mère ou de son conseil d'administration. Et 29% ont déclaré qu'ils savaient que les journalistes s'étaient «autocensurés» en raison de telles interférences.

    Les rédacteurs sous pression ont admis avoir adopté une approche plus détendue dans les pratiques de reportage lorsque des individus ou des organisations imbriqués étaient les sujets de couverture de l'actualité. Ils ont également admis avoir réduit leurs attentes en matière d'équilibre dans la couverture des membres du conseil.

    Higdon a noté que cela peut être particulièrement problématique lorsque des membres du conseil d'administration des médias siègent également au conseil d'administration d'entreprises de défense – car un tel emboîtement peut conduire à une poussée croissante des récits pro-guerre. (En 2011, avant que les troupes américaines ne se retirent d'Irak, Raytheon s'est lié au New York Times et Lockheed Martin s'est lié au Washington Post).

    La vidéo récente de The Intercept d'un point de presse de la Maison Blanche sur le conflit Ukraine-Russie illustre parfaitement cela. Dans la vidéo, des membres des médias posent à plusieurs reprises des questions sur les raisons pour lesquelles le président Biden ne fournit pas plus de soutien militaire à l'Ukraine.

    Si vous savez quelles questions ils posent, vous pouvez à peu près deviner quel angle leur histoire prendra. Et dans ce cas, chaque journaliste est concentré sur ce qui doit arriver pour que cela dégénère en une implication de guerre des États-Unis avec la Russie. Ryan Grim de The Intercept est littéralement le seul membre des médias à demander ce que font les États-Unis pour encourager les négociations de paix.

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  15. Ce qui rend tout cela particulièrement gênant, c'est le manque de transparence.

    Une étude MCS de 2021 a révélé que les liens entre les journaux et d'autres entreprises n'étaient divulgués aux lecteurs qu'environ la moitié du temps et n'apparaissaient jamais dans les articles publiés par certains conglomérats, comme Gannett et Digital First.

    La Société des journalistes professionnels, ainsi que les organisations médiatiques les plus respectables, ont un code de déontologie. Cela inclut d'éviter les conflits d'intérêts dans la mesure du possible et de les révéler lorsqu'ils sont inévitables. Parfois, lorsqu'un écrivain néglige initialement de le faire et qu'il est appelé, il met à jour l'article après sa publication.

    Par exemple, un article de Business Insider de 2016 chantant les louanges de Jeff Bezos pour avoir "revitalisé" le Washington Post comprend désormais un ajout important : "Jeff Bezos est un investisseur dans Business Insider via sa société d'investissement personnelle Bezos Expeditions. Une version antérieure de cet article n'a pas divulgué cela dans une erreur éditoriale. (Pendant que nous parlons de transparence - une divulgation: j'écris pour Insider.)

    Mais ce cas particulier semble être une exception à la règle. Selon Higdon, les points de vente dans leur ensemble ne divulguent généralement pas les conflits d'intérêts de la manière dont les écrivains sont censés le faire.

    "Quand vous entendez que le titre d'une chaîne est" Russia Today ", il est très clair que le gouvernement russe la finance", a expliqué Higdon. "C'est juste dans ton visage. Mais quand j'allume CNN, je ne sais pas qui finance ce réseau. Je dois creuser un peu pour comprendre. »

    Dans un rapport de 2003 de la Columbia Journalism Review (CJR), l'auteur Aaron Moore s'est dit préoccupé par le fait que les reportages indépendants pourraient être sapés lorsqu'un membre du conseil d'administration est lié à d'autres entreprises couvertes par ses salles de rédaction. Selon Higdon, la plupart des journalistes affirment catégoriquement que personne ne dit quoi écrire et quoi ne pas écrire. Mais qu'ils le sachent ou non, il dit que beaucoup peuvent s'engager dans une forme d'autocensure : sauter certaines histoires afin d'éviter de se faire virer.

    Dans une enquête menée en 2000 par Pew Research et CJR auprès de plus de 300 journalistes de médias locaux et nationaux, 41 % ont admis avoir délibérément évité les articles dignes d'intérêt, « adoucir le ton » des articles au profit des intérêts de leurs organes de presse, ou les deux. La moitié des journalistes d'investigation ont déclaré que les articles dignes d'intérêt ne sont souvent ou parfois pas rapportés parce qu'ils pourraient nuire aux intérêts financiers de leur organisation, et 61 % ont déclaré qu'ils pensaient que les propriétaires d'entreprise exerçaient au moins une bonne influence sur les décisions concernant les articles à couvrir.

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  16. Voici comment fonctionne cette forme d'autocensure. Supposons que vous travaillez pour ABC, mais que vous souhaitez poursuivre un rapport d'enquête sur les pratiques de travail de Disney, qui possède ABC.

    "Vous savez que vous risquez votre travail chez ABC, vous pouvez donc rester à l'écart", a expliqué Higdon. «De plus, il existe des études organisationnelles sur la manière dont ils institutionnalisent ces politiques. Donc, ce n'est pas qu'ABC dit, "vous ne pouvez pas faire de reportage sur cette histoire à propos de Disney." C'est qu'une fois que vous présentez l'histoire sur Disney ou recueillez les interviews initiales, l'éditeur dit quelque chose comme, "ouais, nous ne pensons pas que l'histoire est assez intéressante. Nous préférerions que vous couvriez cela à la place.

    Si certaines interventions des propriétaires de médias sont directes, la plupart sont subtiles et inconscientes, selon Bagdikian – comme lorsque les écrivains apprennent à se conformer aux idéologies de leur propriétaire afin de s'assurer qu'ils ne sont pas négligés pour une augmentation ou une promotion.

    "Les entreprises disposent de budgets de plusieurs millions de dollars pour disséquer et attaquer les reportages qu'elles n'aiment pas", écrit Bagdikian. « Mais avec chaque année qui passe, ils ont encore un autre pouvoir : ils ne sont pas seulement hostiles aux journalistes indépendants. Ce sont leurs employeurs. »

    Exemple concret : une enquête FAIR de 1991 a révélé que General Electric (GE) - qui possédait NBC de 1986 à 2009 - avait conçu, fabriqué ou fourni des pièces pour pratiquement tous les principaux systèmes d'armes utilisés par l'armée américaine pendant la guerre du Golfe. En d'autres termes, comme l'ont déclaré les auteurs, lorsque NBC a fait appel à des correspondants et à des consultants pour louer les performances des missiles, bombardiers et satellites espions américains, ils applaudissaient les produits fabriqués par la société en réduisant leurs salaires.

    Pendant la période où GE possédait NBC, il y avait de nombreuses preuves que le média minimisait les grandes histoires sur sa société mère – en particulier autour des usines GE déversant des produits chimiques dangereux dans la rivière Hudson et des problèmes de sécurité dans les centrales nucléaires conçues par GE.

    Dans leur livre "Unreliable Sources: A Guide to Detecting Bias in News Media", Martin Lee et Norton Solomon ont détaillé comment GE a insisté pour qu'un programme NBC supprime toute référence à GE dans les rapports sur les produits de qualité inférieure. NBC a également semblé hésiter à exposer le mauvais bilan environnemental de GE et a interdit les publicités télévisées exhortant au boycott des produits GE.

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  17. NBC est également resté mystérieusement silencieux sur l'histoire de la bombe selon laquelle GE n'a pas payé d'impôts fédéraux en 2010. Apparemment, le réseau pensait que l'ajout de "OMG" et "muffin top" au dictionnaire anglais d'Oxford était plus une priorité digne d'intérêt à l'époque. .

    Le sénateur du Vermont Bernie Sanders a été l'un des premiers et fréquents critiques de la consolidation des médias. Comme Sanders, Victor Pickard, professeur de politique des médias et d'économie politique à l'Annenberg School for Communication de l'Université de Pennsylvanie et auteur de "Democracy Without Journalism ? : Confronting the Misinformation Society", affirme qu'à la suite de cette consolidation, nous pourrions manquer sur des questions cruciales parce que nous ne sommes exposés qu'aux sujets qui servent les sociétés qui en ont le contrôle.

    Pickard m'a dit dans une interview :

    « Il y a un certain nombre de questions importantes qui reçoivent trop peu d'attention dans nos médias d'information grand public. Souvent, ce n'est pas une conséquence directe de la censure des entreprises, mais plutôt de ce que l'on pourrait appeler la «censure du marché». Ces problèmes n'attirent pas les regards que les annonceurs convoitent ou génèrent les revenus que les propriétaires et les investisseurs privilégient par-dessus tout. Par conséquent, des questions comme le changement climatique, l'incarcération de masse et d'autres inégalités structurelles ne sont pas aussi bien couvertes que, disons, le dernier scandale des célébrités.

    Cohen ajoute que malgré toutes les discussions sur le racisme systémique, il y a très peu d'exploration ou d'analyse du système réel en place qui alimente l'exploitation - en particulier lorsque le doigt du blâme peut pointer vers de puissantes forces d'entreprise.

    Cohen a dit :

    "C'est pourquoi la couverture de l'injustice raciale fait si souvent des victimes, sans agresseurs. Il n'est pas surprenant que les agresseurs soient souvent de puissants sponsors de l'actualité - les banques, les grandes sociétés pharmaceutiques, les soins de santé et les sociétés pétrolières et gazières. Si Sanders ne s'était pas présenté deux fois à la présidence, à quelle fréquence pensez-vous que l'inégalité de classe aurait fait la une des journaux ?

    « Ou la rémunération du PDG par rapport au travailleur moyen ? Ou le fait qu'environ 70 ou 80 millions de personnes dans notre pays n'étaient pas assurées ou sous-assurées même lorsque l'Obamacare était à son apogée ? Ou la richesse des grands dirigeants de l'industrie pharmaceutique alors que les gens n'ont pas les moyens d'acheter des médicaments ? »

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  18. La mission de Project Censored, une organisation à but non lucratif de surveillance des médias fondée à l'Université d'État de Sonoma en 1976, est de mettre en lumière ces problèmes sous-déclarés. Depuis 1993, l'organisation publie un livre annuel des principales histoires qui ont été ignorées ou déformées cette année-là, intitulé "Censored: The News That Didn't Make the News".

    L'édition 2021 comprend les éléments suivants :

    YouTube a inexplicablement démonétisé des sources d'information indépendantes ou supprimé des vidéos ou des chaînes entières sans aucune explication quant à la manière/pourquoi elles ont enfreint les règles de la communauté.
    Une étude a montré que les médias d'entreprise ont systématiquement écarté les experts indépendants de la santé pendant la pandémie de COVID-19, mettant plutôt en vedette des personnes nommées par le gouvernement en tant qu'invités.
    Un rapport a révélé que les journalistes enquêtant sur les crimes financiers sont menacés par les élites politiques et commerciales mondiales.
    Une étude a révélé que plus de 1,1 million de personnes âgées sous Medicare pourraient mourir prématurément au cours de la prochaine décennie simplement à cause des coûts astronomiques des médicaments sur ordonnance. Cela ferait des médicaments inabordables une des principales causes de décès aux États-Unis, devant le diabète, la grippe, la pneumonie et les maladies rénales d'ici 2030.
    Un rapport alléguait que Google avait embauché une entreprise extérieure pour collecter des données personnelles sur ses employés – un effort de surveillance visant à les empêcher de se syndiquer.
    De dangereuses lois nationales sur le terrorisme nouvellement proposées pourraient être utilisées pour « réprimer les manifestations politiques légitimes et cibler les militants et les minorités religieuses ou ethniques ».
    Une enquête révèle de plus en plus de preuves que les hommes noirs sont spécifiquement ciblés par les chiens policiers.
    Si aucune de ces histoires ne vous dit quelque chose, il est peut-être temps de vous demander pourquoi les médias d'entreprise ne les ont pas jugées dignes d'être couvertes. Les points de vente grand public citent souvent les contraintes de temps comme excuse pour expliquer pourquoi ils ne parviennent pas à aborder des histoires cruciales.

    Mais est-il possible que leur silence soit intentionnel ? Après tout, en 2021, ils ont apparemment eu amplement le temps de rendre compte de l'enquête sur le meurtre d'un blogueur de voyage, des commérages sur Melania Trump et un Rudy Giuliani sans masque quittant une fête du Nouvel An. (Et ne me lancez pas sur les Oscars #SlapGate.)

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  19. En 2017, le sénateur Sanders a écrit que plus la question est importante pour les masses ouvrières, moins elle est intéressante pour les médias d'entreprise. Mais si nous ne tirons pas parti de la presse pour faire pression sur le système judiciaire, comment pourra-t-il réaliser son potentiel de changement positif ?

    C'est la question que Mickey Huff — directeur de Project Censored, président de la Media Freedom Foundation et co-auteur de « United States of Distraction : Media Manipulation in Post-Truth America (and what we can do about it) » — m'a posée. la fin de notre entretien. « Comment informer les gens ? Et pour comprendre les problèmes ? C'est pourquoi le journalisme est important. Peu importe ce qu'ils font et ne signalent pas.

    Pour inverser la consolidation agressive des médias, il faudrait annuler des décennies de législation qui assouplissaient les restrictions à la propriété. Cela n'arrivera probablement pas dans l'immédiat. Ainsi, comme l'a écrit le journaliste et commentateur des médias Jim Fallows en 2005 : "L'espoir qui reste est de reconnaître l'existence de ce trouble et d'utiliser cette connaissance pour compenser ou limiter ses effets les plus néfastes".

    Comme pour tout problème, reconnaître qu'il existe est la première étape pour le gérer. Et tout espoir n'est pas perdu, car rappelez-vous : vous pouvez choisir où obtenir vos informations. Dans l'ensemble, les experts recommandent de rechercher délibérément des chaînes d'information indépendantes à but non lucratif.

    Parmi ces organisations qui n'acceptent pas le soutien ou le financement des entreprises par la publicité, citons Democracy Now!, FAIR, ProPublica, Media Roots, The Lever, MintPress News, Truthout, The Conversation, The Nation, The Intercept, The Grayzone, Citizen Vérité et rêves communs.

    "Ce n'est pas sain d'être si cynique à ce sujet que vous abandonnez", a ajouté Huff. "Et désactiver les médias d'entreprise n'est qu'une étape. Mais je dirais qu'une fois que vous maîtrisez les médias, vous devez le regarder pour comprendre pourquoi tout le monde se promène comme un zombie en répétant la même chose.

    Comme Jim Morrison l'a dit un jour, "celui qui contrôle les médias contrôle l'esprit". Compte tenu de cela, il est grand temps de vous demander : à qui accordez-vous le pouvoir de contrôler votre esprit ? Et étant donné que le but ultime de toute entreprise à but lucratif est de gagner de l'argent, comment leurs motivations pourraient-elles signifier vous distraire ou dans le noir ?

    […to be continued.]

    Read more at: RebeccaStrong.Substack.com

    https://www.naturalnews.com/2022-04-17-6-companies-control-90-what-you-read.html

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  20. La FDA et Pfizer savaient que l’injection COVID provoquait une immunosuppression


    Par Dr Joseph Mercola
    Mondialisation.ca, 17 avril 2022


    Le 1er avril 2022, un autre lot de 11 000 documents Pfizer a été rendu public par la Food and Drug Administration américaine. Les données des essais de Pfizer révèlent que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin et que les effets secondaires du vaccin étaient plus graves chez les moins de 55 ans. Étant donné que le risque de COVID sévère est considérablement plus faible chez les personnes plus jeunes, un risque élevé d’effets secondaires est inacceptable, et l’injection aurait dû être limitée aux personnes présentant un risque élevé de COVID sévère.

    Le taux d’effets indésirables par dose pour le mRNA jab de Pfizer, basé sur ses propres études, est de près de 1 sur 800, et le taux de myocardite est de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 2 sur 100 000 rapporté précédemment.

    Le formulaire de consentement de Pfizer précise que l’effet sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités est inconnu. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères allaitantes.

    Les documents de Pfizer montrent qu’ils n’ont pas exclu le risque d’augmentation des anticorps dépendants. La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est répertoriée comme un « risque potentiel important ». Au 28 février 2021, Pfizer avait recensé 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; 38 cas étaient mortels et 65 n’étaient pas résolus.

    Pfizer et la FDA savaient également que des personnes de tous âges présentaient une suppression transitoire de la fonction immunitaire pendant une semaine après la première dose.

    - voir clip sur site -

    Avec un nouveau lot de 11 000 documents de Pfizer, publiés le 1er avril 2022, de vieux soupçons ont trouvé un nouveau soutien. Comme le rapporte la coanimatrice de « Rising », Kim Iversen (vidéo ci-dessus), la première révélation qui fait l’effet d’une bombe est que l’immunité naturelle fonctionne, et que Pfizer le savait depuis le début.

    Les données de l’essai clinique ont montré qu’il n’y avait pas de différence de résultats entre les personnes ayant déjà été infectées par le COVID et celles qui ont été vaccinées. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave. L’immunité naturelle était également statistiquement identique à la vaccination en termes de risque d’infection.

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  21. Les jeunes adultes sont plus susceptibles de subir des effets secondaires

    La deuxième révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez les personnes âgées de 55 ans et plus. (Le risque d’effets secondaires augmentait également avec les doses supplémentaires, de sorte que le risque était plus élevé après la deuxième dose qu’après la première).

    Comme beaucoup d’entre nous l’ont dit depuis le début, le risque de COVID grave est considérablement plus faible chez les jeunes que chez les plus de 60 ans, ce qui rend inacceptable un risque élevé d’effets secondaires.

    Comme l’a noté The Naked Emperor sur Substack (1), « avec un vaccin qui produit des réactions et des événements indésirables plus fréquents et plus graves chez les personnes plus jeunes, le vaccin aurait dû être limité aux personnes qui étaient réellement à risque de COVID-19 grave. »

    Les documents de Pfizer montrent un taux élevé de myocardite
    Il est intéressant de noter que la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation ou d’informations erronées. Un formulaire de consentement pédiatrique énumère plusieurs effets secondaires possibles, dont un taux de myocardite de 10 sur 100 000 – bien plus élevé que le taux de 1 sur 50 000 (c’est-à-dire 2 sur 100 000) rapporté précédemment.

    Nous savons également que la myocardite est beaucoup plus fréquente chez les jeunes hommes, de sorte que pour eux, le risque est nettement supérieur à 10 sur 100 000, puisqu’ils constituent la majeure partie de ces blessures.

    Les effets sur la santé reproductive sont inconnus

    Le formulaire de consentement précise également que les effets sur le sperme, les fœtus et les enfants allaités sont inconnus. Pourtant, les autorités sanitaires et les médias considèrent comme un « fait » que l’injection n’affecte pas la santé reproductive ou la fertilité et qu’elle est parfaitement sûre pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent.

    Si un effet est inconnu, par définition, vous ne pouvez pas prétendre qu’il est inoffensif. Si vous le faites, vous mentez, purement et simplement, et le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centres de contrôle et de prévention des maladies, n’est qu’une des nombreuses personnes coupables de cela. Elle a assuré à plusieurs reprises au public que le vaccin ne présentait aucun risque pour la santé des femmes enceintes ou de leurs bébés. Voici Walensky en mai 2021 :

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  22. - voir clip sur site -

    Et la voilà, en octobre 2021, qui continue à affirmer qu’il n’y a aucun risque.

    - voir clip sur site -

    De même, en août 2021, lorsque le Comirnaty a été homologué, le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, a affirmé que le vaccin COVID était sans danger pendant la grossesse :

    - voir clip sur site -

    Regardez la vidéo en anglais ICI

    L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) fait également des déclarations définitives sur la sécurité, affirmant que « la vaccination peut avoir lieu à n’importe quel trimestre, et l’accent doit être mis sur la réception du vaccin dès que possible afin de maximiser la santé de la mère et du fœtus ».(2) Pourtant, même l’étiquette de Comirnaty (3, 4) indique que « les données disponibles sur Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse ».

    Le renforcement dépendant des anticorps n’a pas été exclu

    De nombreuses personnes qui ont mis en garde contre la possibilité que les injections d’ARNm provoquent un renforcement des anticorps (ADE) – une situation dans laquelle vous finissez par être plus sensible à une infection grave que vous ne l’auriez été autrement – ont été dénigrées et diabolisées par les médias et qualifiées de propager de la désinformation.

    Pourtant, le propre formulaire de consentement de Pfizer indique clairement :

    « Bien que cela n’ait pas été observé à ce jour, on ne peut pas encore exclure que le vaccin étudié puisse rendre plus grave une maladie ultérieure liée au COVID-19. »

    Comme l’a noté Iversen, si l’ADE n’était vraiment pas un sujet de préoccupation, le formulaire de consentement ne l’inclurait pas. Pourtant, il est là.

    La maladie améliorée associée au vaccin (VAED) est également répertoriée comme un » risque potentiel important » dans le tableau 5 de la page 11 d’un document intitulé » 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports « (5).

    Au 28 février 2021, Pfizer comptait 138 cas de VAED présumés, dont 75 étaient graves, entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou le décès ; au total, 38 cas se sont avérés mortels et 65 sont restés non résolus (6, 7).

    De plus, comme le note le Daily Expose (8),

    « les essais cliniques de phase 3 sont conçus pour découvrir les effets secondaires fréquents ou graves avant qu’un vaccin ne soit approuvé, y compris les EIM. Mais c’est là que réside le problème, [car] aucun des vaccins COVID-19 n’a terminé les essais de phase 3. »

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  23. L’essai de phase 3 de Pfizer doit se terminer le 8 février 2024 (9), soit dans près de deux ans ! Malgré cela, Pfizer a conclu dans sa soumission à la FDA qu' » aucun des 75 cas ne pouvait être considéré de manière définitive comme un VAED [Vaccine-associated enhanced disease, Maladie renforcée associée aux vaccins]. »

    « [Comment diable n’ont-ils pas pu conclure définitivement que le VAED était à blâmer alors que 75% des cas confirmés de « percée » qui leur ont été rapportés étaient des maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences mortelles de la mort ? ». demande The Daily Expose.(10)

    Pfizer était au courant de l’immunosuppression
    Une autre déclaration révélatrice trouvée dans les documents est la suivante :

    » L’évaluation clinique en laboratoire a montré une diminution transitoire des lymphocytes, observée dans tous les groupes d’âge et de dose après la dose 1, qui s’est résorbée en une semaine environ… « .

    En d’autres termes, Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, des personnes de tous âges subissaient une immunosuppression transitoire, ou en d’autres termes, un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la première dose.

    Comme l’a noté Iversen, cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur première injection (11), et officiellement complètement vaccinées deux semaines après la deuxième dose.

    Si les personnes sont susceptibles d’être infectées pendant cette première semaine, mais qu’elles sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection, alors que ce n’est tout simplement pas le cas. Le propre essai de Pfizer a montré que l’infection était significativement plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo – 409 contre 287 – dans les sept premiers jours suivant le vaccin.(12)

    Les personnes entièrement vaccinées sont plus susceptibles de mourir du COVID
    Le fait que Pfizer et la Food and Drug Administration américaine savaient que l’injection provoquait une immunosuppression est incriminé, maintenant que les données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux personnes non vaccinées, celles qui ont reçu deux doses sont : (13)

    Jusqu’à trois fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID-19
    Deux fois plus de risques d’être hospitalisées à cause du COVID-19.
    Trois fois plus de risques de mourir du COVID-19.
    Les documents de Pfizer admettent qu’il y a eu une baisse temporaire de la fonction immunitaire après la première dose, mais les données du monde réel montrant un risque accru d’infection grave et de décès dû au COVID chez les personnes ayant reçu une double injection suggèrent que l’EIM peut aussi être en jeu plus tard.

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  24. Le graphique ci-dessous, créé par Daily Expose (14) à partir des données du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022 (15) (pages 40 et 45), révèle qui est le plus susceptible de contracter le COVID. Et le taux d’infection des triples-vaccinés est encore plus élevé que celui des doubles-vaccinés.

    - voir graph sur site -

    covid-19 case rate

    Le graphique suivant a été créé par le Daily Expose (16) à partir des données des pages 41 et 45, en comparant les taux d’hospitalisation COVID.

    - voir graph sur site -

    covid-19 hospitalization rate

    Enfin, il y a une comparaison des taux de mortalité, basée sur les pages 44 et 45 du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA pour la semaine 13, 2022.(17) Toute personne âgée de plus de 40 ans qui a reçu une double injection est maintenant plus susceptible de mourir du COVID qu’une personne non vaccinée du même âge.

    - voir graph sur site -

    covid-19 death rate

    Efficacité négative des vaccins dans le monde réel

    Le Daily Expose poursuit en calculant et en établissant un graphique du taux d’efficacité du vaccin COVID dans le monde réel, et les nouvelles sont terribles : (18)

    « Si les taux pour 100 000 sont plus élevés chez les vaccinés, ce qui est le cas, cela signifie que les injections de COVID-19 ont une efficacité négative dans le monde réel. Et en utilisant la formule d’efficacité des vaccins de Pfizer, nous pouvons déchiffrer avec précision quelle est l’efficacité réelle dans chaque groupe d’âge.

    La formule d’efficacité des vaccins de Pfizer : Taux de non-vaccination pour 100k – Taux de vaccination pour 100k / Taux de non-vaccination pour 100k x 100 = Efficacité du vaccin …

    Ces données montrent que toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 18 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques d’être infectées, avec une efficacité vaccinale de moins 87 % chez les 18-29 ans et de moins 178 % chez les plus de 80 ans.

    [Toutes les personnes doublement vaccinées de plus de 30 ans ont entre 0,2 et 2 fois plus de risques d’être hospitalisées, avec une efficacité vaccinale de moins 1 % chez les 30 à 39 ans et de moins 76 % chez les plus de 80 ans.

    Le graphique suivant montre l’efficacité réelle du vaccin COVID-19 contre le décès parmi la population doublement vaccinée en Angleterre, sur la base des taux de décès fournis ci-dessus …

    [Toutes les personnes doublement vaccinées âgées de plus de 40 ans ont entre 2 et 3 fois plus de risques de mourir du COVID-19, avec une efficacité vaccinale de moins 90 % chez les 30 à 39 ans et de moins 156 % chez les plus de 80 ans ».

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  25. covid-19 vaccine effectiveness

    - voir graph sur site -

    Pfizer a embauché 600 personnes pour traiter un nombre sans précédent de rapports.
    Au cours des deux dernières années, nous avons gardé un œil sur le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), secouant la tête avec incrédulité alors que les chiffres augmentaient par centaines chaque semaine, dépassant rapidement les blessures liées à tous les autres vaccins combinés au cours des 32 dernières années.(19)

    Au 25 mars 2022, on comptait 1 205 753 rapports liés au vaccin COVID, dont 145 781 hospitalisations et 26 396 décès.(20) Aucun produit médical de l’histoire moderne n’est comparable. Rien n’a été aussi dommageable et mortel que ces injections expérimentales.

    Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1:800.

    Dans un lot précédent de documents, nous avons appris que Pfizer avait reçu 42 086 rapports de cas contenant un total de 158 893 événements au cours des trois premiers mois du déploiement. Dans ce communiqué, le nombre de doses expédiées était expurgé, mais dans le communiqué du 1er avril 2022, il ne l’était plus, ce qui signifie que nous pouvons maintenant calculer le taux d’événements indésirables signalés à Pfizer au cours de ces trois premiers mois.

    Entre décembre 2020 et fin février 2021, Pfizer a expédié 126 212 580 doses de sa piqûre d’ARNm dans le monde entier. Divisé par 158 000 effets secondaires, nous obtenons un taux d’événements indésirables par dose de près de 1 sur 800 (21), ce qui est tout simplement follement irresponsable.

    Nous disposons également de documents montrant que Pfizer, à la fin du mois de février 2021, avait embauché 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter l’afflux sans précédent de rapports d’effets indésirables, et qu’elle prévoyait qu’à la fin du mois de juin 2021, elle en embaucherait plus de 1 800 (22).

    En fin de compte, la vaccination COVID restera dans l’histoire comme la plus grande fraude médicale jamais commise avec la participation volontaire des entreprises pharmaceutiques et des organismes de réglementation. Et il n’y a pas de perspective de fin.

    En mars 2022, la FDA a autorisé les doses 4 et 5, sur la base d’une étude préliminaire (23,24) qui a révélé qu’une quatrième injection Moderna était efficace à 11 % et provoquait des effets secondaires chez 40 % des patients, et qu’une quatrième injection Pfizer était efficace à 30 % et provoquait des effets secondaires chez 80 % des personnes.

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  26. Je ne sais pas ce qu’il faudra pour que ce cauchemar de santé publique prenne fin et que les parties responsables soient appelées à répondre de leur négligence criminelle, mais apparemment, nous n’avons pas encore atteint l’indignation de masse critique.

    Dr Joseph Mercola

    Article original en anglais :

    FDA and Pfizer Knew COVID Shot Caused ImmunosuppressionBy Dr. Joseph Mercola, le 14 avril 2022

    Traduction : Mondialisation.ca avec DeepL.

    Notes

    1, 12 The Naked Emperor Substack March 29, 2022

    2, 3 The Defender March 15, 2022

    4 Meryl Nass Substack March 14, 2022

    5, 6 5.3.6 Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports, Page 11, Table 5

    7, 8, 10, 13, 14, 16, 18 Daily Expose April 3, 2022

    9 Clinical Trials NCT04368728

    11 MMWR March 19, 2021; 70(11): 396-401

    15, 17 UKHSA Vaccine Surveillance Report for week 13, 2022

    19, 21, 22 The Defender April 5, 2022

    20 OpenVAERS As of March 25, 2022

    23 MedRxiv February 15, 2022, DOI: 10.1101/2022.02.15.22270948

    24 NEJM Correspondence March 16, 2022 DOI: 10.1056/NEJMc2202542

    La source originale de cet article est Mercola.com

    https://www.mondialisation.ca/la-fda-et-pfizer-savaient-que-linjection-covid-provoquait-une-immunosuppression/5667317

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    1. Premièrement dans ce qui est appelé 'personne vaccinée', la personne ne l'est pas puisqu'il ne s'agit pas d'un vaccin mais seulement d'une expérimentation génique d'essais !

      Deuxièmement, dans les victimes de l'escroquerie eugénique il y a celles qui se sont faites inoculer du poison et celles qui n'ont reçu que de l'eau salée (sérum phy).
      Donc, pour les laboratoires, le succès vient bien-sûr du nombre de personnes qui ont bénéficié de placebos. Les personnes mortes sont mortes d'avoir 'respiré un virus qui n'existe pas dans l'air' !!
      Mais il y a aussi les personnes empoisonnées et toujours vivantes !
      Oui là effectivement c'est choquant, mais, les nano-particules d'oxyde de graphène sont enveloppées, ce qui les rend non-mortelles et seulement officiant en tant qu'antennes-relais entre l'émetteur extérieur et le cerveau de la victime. Cette dernière prise sous contrôle total ira donc se faire mettre une seconde piqûre puis une troisième, etc, etc.
      Pour les personnes récalcitrantes, contestataires ou 'qui posent trop de questions' là c'est pchitt ! la nano-particule est décapsulée et l'heureuse injectée tombe morte au sol. Foudroyée.

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  27. Journaliste néerlandais In Donbass : « Les médias occidentaux mentent sur ce qui se passe en Ukraine »


    Dimanche 17 avril 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Un journaliste néerlandais sur le terrain en Ukraine a un message urgent pour le monde occidental : Arrêtez de croire les fausses nouvelles et les mensonges sans fin servis par les médias grand public.

    (Article de Baxter Dmitry republié de NewsPunch.com)

    Selon Sonja van den Ende, une journaliste indépendante de Rotterdam, aux Pays-Bas, les médias grand public « mentent continuellement sur tout juste pour mettre en œuvre leur propre programme ».

    Contrairement aux hacks des médias grand public qui font des reportages sur la guerre depuis leurs confortables studios de diffusion du centre-ville des capitales occidentales, Van den Ende fait des reportages depuis l'Ukraine et regarde comment l'opération militaire russe se déroule sur le terrain et de ses propres yeux.

    Van den Ende dit qu'il n'y a «qu'une poignée» de journalistes occidentaux sur le terrain dans le hotspot du Donbass, en Ukraine, tandis que la presse grand public occidentale «enregistre de fausses nouvelles» sur la crise ukrainienne en utilisant les mêmes modèles qu'elle utilisait auparavant dans Irak, Afghanistan et Syrie.

    Désillusionné par les mensonges des médias grand public, Van den Ende s'est rendu dans les régions séparatistes des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et est devenu un journaliste intégré de l'armée russe pour voir ce qui se passe réellement en Ukraine.

    Le bruit des bombardements et des explosions ne l'effraie plus. Il y a sept ans, van den Ende travaillait en Syrie, des mois avant que les Russes n'interviennent à la demande du président syrien Bachar al-Assad et ne détruisent l'Etat islamique, changeant ainsi le cours de la guerre civile. Elle dit que les parallèles entre la couverture médiatique occidentale des conflits syrien et ukrainien sont frappants.

    "Ils mentent continuellement sur tout juste pour mettre en œuvre leur propre programme", a déclaré Van den Ende. « Comme en Syrie, le président Assad était « le meurtrier » et maintenant le président Poutine est « le boucher ». Ils avaient utilisé ce scénario pendant de nombreuses années en Irak, au Venezuela et [d'autres] pays qui ne se conforment pas à leur programme ; ils ont besoin d'un mauvais "gars". Mais ils (les médias) ne sont même pas là sur le terrain, ils ne peuvent pas juger. Seule une poignée de journalistes de l'Ouest sont là : Graham Philips, Patrick Lancaster, Anne-Laure Bonnel et moi.

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  28. Ce n'est pas le seul parallèle frappant, selon le journaliste néerlandais. Elle a attiré l'attention sur les faux rapports et les opérations sous faux drapeau de Kiev, y compris le tristement célèbre canular de Snake Island, le battage médiatique autour de l'« attaque » présumée de la Russie contre la centrale nucléaire de Zaporozhye, l'histoire désormais démystifiée de la « frappe » russe sur un l'hôpital de Marioupol et la dernière provocation de Bucha.

    Van den Ende dit que les affirmations ukrainiennes et la désinformation des médias occidentaux ressemblent aux fausses bannières des djihadistes en Syrie et aux « attaques au gaz » mises en scène par les Casques blancs.

    Elle se souvient spécifiquement de la provocation chimique du 4 avril 2017 à Khan Sheikhun, Idlib, qui a été démystifiée par des journalistes d'investigation, dont le journaliste lauréat du prix Pulitzer Seymour Hersh.

    "La même chose s'est produite à Bucha", explique le journaliste néerlandais. « De nombreux témoins disent que l'armée russe est partie le 30 mars. Même l'armée ukrainienne qui est arrivée le 1er avril n'a pas signalé de cadavres dans les rues. Cela s'est produit le 3 avril, selon les médias occidentaux. De plus, des preuves indiquent que les corps avaient des brassards blancs, le signe de l'armée russe, les soldats les portent. Donc les soldats tuent les Ukrainiens russes ? Pas du tout."

    Le néonazisme ukrainien n'est pas un mythe

    Van den Ende a parlé à de nombreux civils ukrainiens lors d'un voyage à travers le Donbass. Elle dit que presque tout le monde a condamné le régime de Zelensky à Kiev pour avoir interdit la langue russe et les avoir privés de nombreux droits humains culturels et nationaux.

    « La majorité des personnes à qui j'ai parlé étaient très heureuses que l'opération [spéciale russe] ait commencé », déclare le journaliste néerlandais. « Bien sûr, personne ne veut de la violence et de la guerre, mais ils souffrent déjà depuis huit ans de la guerre, du carnage et de la destruction par les forces ukrainiennes. Les pires étaient les bataillons nazis, qui combattaient aux côtés de l'armée régulière.

    Le néonazisme ukrainien n'est pas un mythe, insiste van den Ende. Lorsqu'elle a visité la ville portuaire ukrainienne d'Odessa en 2016 et 2017, elle a noté le sentiment fasciste qui s'est propagé à travers le pays depuis la Seconde Guerre mondiale.

    Les successeurs idéologiques de Stepan Bandera, l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN), la 14e division de volontaires SS «Galicia» et le bataillon Nachtigall sont entrés dans la clandestinité pendant la période soviétique. Cependant, après de nombreuses années, ces forces ont de nouveau émergé de l'ombre et maintenant les États-Unis, le Royaume-Uni et l'UE les utilisent pour déstabiliser l'Ukraine, dit-elle.

    Sonja van den Ende dit que les médias occidentaux « mentent continuellement sur tout juste pour mettre en œuvre leur propre programme ».
    La façon dont ces acteurs géopolitiques occidentaux utilisent les nazis ressemble étroitement à la façon dont Obama a utilisé l'EI pour déstabiliser la Syrie et renverser Assad, dit le journaliste.

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  29. Selon van den Ende, après avoir perpétré un coup d'État en 2014 en Ukraine, la minorité de néonazis a pris le pouvoir et terrorise la majeure partie de l'est du pays en utilisant des méthodes vicieuses et cruelles de style nazi depuis huit ans. années.

    Se sentir enfin protégé

    L'Occident essaie continuellement de blâmer la Russie pour tous les dégâts infligés aux villages et aux villes ukrainiennes. Cependant, des témoins oculaires de l'est de l'Ukraine affirment que la plupart des destructions dans les zones civiles ont été causées par l'armée ukrainienne en retraite et les formations néonazies, y compris les tristement célèbres bataillons Azov, selon le journaliste néerlandais. En plus d'utiliser des installations civiles comme boucliers, l'armée ukrainienne aurait bombardé sans discernement les positions qu'elle a quittées et cédées aux forces russes.

    Pour illustrer son propos, van den Ende décrit le bombardement d'un hôpital à Volnovakha, dans la République populaire de Donetsk. Le bâtiment n'a pas été bombardé depuis les airs, mais attaqué avec des grenades et des roquettes, dit-elle, citant un habitant de Volnovakha.

    L'Occident prétend qu'il a été bombardé par les Russes, mais comme me l'a dit une dame, qu'elle y a travaillé toute sa vie, et que les Ukrainiens [militaires] – qui étaient cantonnés à l'hôpital – ont bombardé et détruit l'établissement et sa maison, ce qui était à côté de l'hôpital.

    Selon le journaliste néerlandais, les Ukrainiens de l'Est sont très bien traités par l'armée russe et reçoivent régulièrement une aide humanitaire dans la plupart des endroits. De plus, les habitants disent qu'ils se sentent enfin protégés, ajoute-t-elle.

    De féroces combats entre les forces armées ukrainiennes et les bataillons néo-nazis d'un côté et les milices de la RPD et de la RPL soutenues par la Russie de l'autre ont laissé de nombreuses maisons en ruine. Pour autant, les habitants du Donbass n'ont pas baissé les bras, souligne le journaliste.

    « Comme le disait une femme : ‘Nous sommes fortes, nous pouvons la reconstruire, pour que nos enfants et nos petits-enfants aient la paix’ », note van den Ende.

    La Russie est-elle en train de perdre une guerre de l'information ?

    Certains observateurs suggèrent que la Russie est en train de perdre la guerre de l'information avec l'Occident. La machine Western Big Media travaille jour et nuit avec le soutien de Big Tech, tandis que la plupart des médias russes ont été soit censurés, soit complètement réduits au silence dans les pays occidentaux.

    "Non, la Russie n'est pas complètement en train de perdre la guerre de l'information", affirme van den Ende. "Je pense que c'est à nous, la poignée d'Occidentaux, de réveiller la majorité des Occidentaux qui dorment encore et qui sont bombardés de fausses nouvelles et d'histoires inventées jour après jour."

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  30. Il faut garder à l'esprit que ce conflit est attisé en premier lieu par les politiciens occidentaux, dit le journaliste néerlandais. Selon elle, l'Occident a fait exactement la même chose en Syrie mais a finalement perdu cette guerre.

    Le monde change et l'establishment occidental doit encore se réconcilier avec l'ordre mondial multipolaire émergent, selon van den Ende. Elle note que le président russe Vladimir Poutine a décrit le début de ce changement dans son discours de Munich en 2007.

    Bien que les élites mondialistes aient choisi d'ignorer ses paroles à l'époque, il devient maintenant évident qu'un Nouvel Ordre Mondial unipolaire est parti pour de bon, conclut le journaliste.

    Read more at: NewsPunch.com

    https://www.naturalnews.com/2022-04-17-western-media-lying-about-ukraine.html

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  31. Le gouvernement fédéral évalue les mesures d'urgence alors que le lac Powell atteint un creux historique


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 16 AVRIL 2022 - 22:00


    La méga-sécheresse dans l'ouest des États-Unis continue de faire des ravages alors que les autorités fédérales envisagent de réduire les livraisons d'eau en aval du fleuve Colorado pour empêcher la fermeture d'un barrage massif qui fournit de l'électricité à des millions de personnes, selon AP News.

    Le mois dernier, le lac Powell est tombé à 3 525 pieds (1 075 mètres), le niveau le plus bas depuis que le gouvernement fédéral a barré le fleuve Colorado à Glen Canyon (situé dans le nord de l'Arizona) il y a plus de cinq décennies. Cela a amené les responsables du ministère de l'Intérieur à proposer de retenir l'eau au barrage pour maintenir la capacité du barrage à produire de l'électricité.

    - voir graph sur site -

    Tanya Trujillo, secrétaire adjointe de l'Intérieur, a averti que si le lac Powell descendait en dessous de 3 490 pieds (1 063 mètres), cela produirait une incertitude sur le réseau électrique pour la partie ouest des États-Unis, affectant potentiellement jusqu'à cinq millions de clients en Arizona, Colorado, Nebraska, Nevada , Nouveau-Mexique, Utah et Wyoming.

    "Nous sommes en gestion de crise, et les questions de santé et de sécurité humaine, y compris la production d'hydroélectricité, prennent le pas", a déclaré Jack Schmidt, directeur du Center for Colorado River Studies de l'Utah State University.

    Le niveau d'eau record survient également alors que les chercheurs ont découvert que l'ouest des États-Unis connaissait certaines des conditions les plus sèches depuis plus de 1 200 ans.

    Au cours de la décennie, les conditions de sécheresse se sont aggravées. Plusieurs grands réservoirs californiens se sont asséchés, obligeant les gens à évacuer leurs bateaux et provoquant la fermeture de centrales hydroélectriques en raison d'un approvisionnement en eau insuffisant pour faire tourner les turbines.

    Les réservoirs à travers la Californie sont bien en dessous de leurs moyennes historiques (au 14 avril).

    - voir carte sur site -

    Selon les données du US Drought Monitor, l'Ouest des États-Unis connaît des conditions de sécheresse sévères à extrêmes.

    - voir carte sur site -

    De nouvelles prévisions des météorologues du gouvernement fédéral pourraient suggérer que les conditions de sécheresse pourraient se détériorer encore plus, car il y a 59 % de chances que La Niña frappe l'hémisphère nord pendant l'été. Cela signifierait des conditions plus sèches.

    https://www.zerohedge.com/weather/feds-weigh-emergency-actions-lake-powell-hits-historic-low

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    1. Avec aujourd'hui toutes ces perforations, puits et tremblement de terre à l'explosif pour 'rechercher du gaz de shiste et pour le comprimer', pas étonnant qu'il n'y ait plus d'eau qui arrive du Pacifique !

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  32. Message invité de Rafe Champion. L'hydrogène n'est pas le nouveau GNL


    April 18th, 2022


    Ceci a en fait été écrit par Mark Lawson. Nous collaborons à une collection d'articles couvrant les principaux problèmes liés à l'énergie intermittente. Il apparaît fréquemment dans The Spectator et il est un écrivain publié à part entière. Son site Internet.

    Points clés

    L'utilisation de l'hydrogène comme support d'un marché d'exportation d'électricité présente un défaut majeur évident. Contrairement au charbon ou au gaz, l'hydrogène peut être créé partout où il y a de l'eau, du vent et du soleil. Pourquoi un pays devrait-il importer du gaz alors qu'il peut le produire sur son propre territoire ?

    L'hydrogène n'est pas comme le GNL. Il est beaucoup plus difficile à mettre sous forme liquide, est beaucoup plus susceptible de fuir et possède des propriétés différentes qui en font un gaz beaucoup plus dangereux.

    L'hydrogène est utilisé comme matière première dans de nombreux processus industriels depuis des décennies, mais la grande majorité du gaz est consommée au même endroit où il est fabriqué, à partir de méthane et de vapeur. Il s'agit d'une méthode de fabrication moins chère que l'utilisation de l'électricité.

    Les pertes d'énergie résultant de la conversion de l'électricité des énergies renouvelables en hydrogène, puis à nouveau à l'autre extrémité, signifient qu'il est moins coûteux d'utiliser une ligne de transmission. Ceux-ci peuvent désormais transporter de l'énergie sur des milliers de kilomètres. Une batterie est également un moyen plus efficace et plus sûr de stocker de l'énergie, du moins par rapport à l'hydrogène.

    L'hydrogène est déjà largement utilisé dans les applications industrielles et certaines applications électriques spécialisées telles que les piles à combustible pour les sous-marins, mais il n'a aucun rôle en tant que moyen de transmission ou de stockage de l'énergie. Son rôle principal est celui d'un fantasme réconfortant pour les militants qui espèrent le nirvana vert.

    La pire idée d'un mauvais lot

    Si nous devions remettre des prix à la pire idée parmi toutes les propositions de production et de stockage d'énergie "propre", alors l'utilisation à grande échelle de l'hydrogène comme une sorte d'alternative au GNL serait un concurrent majeur pour le premier prix.
    Le concept même d'utilisation de l'hydrogène comme moyen de stockage de l'énergie d'innombrables projets solaires, éoliens et photovoltaïques "pie in the sky" a un défaut majeur et évident auquel les nombreuses personnes très intelligentes et motivées impliquées dans la région (les milliardaires miniers viennent à l'esprit ) n'ont apparemment pas réussi à repérer.

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  33. Contrairement à l'énergie du charbon et du gaz, l'énergie verte peut être produite n'importe où, et presque tous les pays qui peuvent être nommés ont à un moment donné parlé de devenir «l'Arabie saoudite du vent», comme l'a dit le Premier ministre britannique Boris Johnson. En d'autres termes, pourquoi, disons, le Japon importerait-il de l'électricité horriblement chère d'ailleurs alors qu'il peut fabriquer de l'électricité horriblement chère sur son propre territoire, y compris dans les eaux côtières ?

    Ce point a été souligné avec force par le professeur d'ingénierie de l'Université nationale australienne, Andrew Blakers, dans l'édition australienne de The Conversation, un site en ligne d'articles universitaires, début avril (1). Il dit que dans le budget de mars 2022, le gouvernement fédéral a réservé des centaines de millions de dollars pour étendre les capacités d'hydrogène vert de l'Australie. Ces fonds sont censés contribuer à créer une importante industrie d'exportation d'hydrogène vert, notamment vers le Japon, pour lequel l'Australie a signé un accord d'exportation en janvier.

    Cependant, il souligne également que le Japon a plus qu'assez d'énergie solaire et éolienne pour être autosuffisant en énergie et - en supposant que toute cette énergie est exploitée - n'a pas besoin d'importer de combustibles fossiles ou d'hydrogène vert australien. Que vous soyez ou non d'accord avec le professeur Blakers sur le fait que le Japon peut répondre de manière réaliste à tous ses besoins énergétiques à partir d'énergies renouvelables locales, le pays peut certainement produire de l'hydrogène localement.

    Arrière-plan

    L'hydrogène est actuellement utilisé comme matière première pour de nombreux processus industriels tels que le traitement des métaux, la production d'engrais et la transformation des aliments. Les raffineries de pétrole utilisent l'hydrogène pour réduire la teneur en soufre des carburants. La quasi-totalité de cet hydrogène commercial provient de la méthode d'extraction traditionnelle reposant sur la vapeur et le gaz naturel. Et pour cause, c'est de loin le moyen le moins cher d'extraire l'hydrogène.

    Les partisans des énergies renouvelables, cependant, veulent maintenant construire des hectares sur des hectares de parcs éoliens et de générateurs d'énergie solaire pour fabriquer de l'hydrogène en faisant passer un courant électrique dans l'eau. Cela implique de mettre deux extrémités dénudées d'un fil attaché à une source d'alimentation dans le liquide. L'hydrogène fait des bulles sur le fil branché sur le côté négatif de la source, ou cathode, et l'oxygène sort du fil positif ou de l'anode.

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  34. L'idée est de stocker cet hydrogène d'une manière ou d'une autre, de préférence sous forme liquide comme le GNL, puis de l'expédier là où il est nécessaire en remplacement des combustibles fossiles dans des applications telles que la création d'acier, la production d'électricité, la propulsion de véhicules électriques, le transport maritime et l'aviation. . C'est essentiellement la vision énoncée dans un rapport de 2019 (2) produit par le groupe de travail sur l'hydrogène du Conseil de l'énergie du Conseil des gouvernements australiens, au nom impressionnant, présidé par le scientifique en chef australien de l'époque, le professeur Alan Finkel. Ce rapport énonçait des pistes pour développer un tel commerce, mais il était plein de recommandations pour développer des projets pilotes et construire des chaînes d'approvisionnement. Il n'y avait rien sur les opportunités commerciales réelles. Comme l'essentiel des recommandations en matière d'énergie verte, l'accent a été mis sur l'action gouvernementale afin de créer ce marché d'exportation, de préférence en créant la demande. L'intérêt commercial suivrait, du moins l'espérait-on.

    Si ce marché de l'hydrogène devait voir le jour, de grandes quantités d'hydrogène seraient nécessaires mais, comme cela n'a pas été mentionné en bonne place dans le rapport Finkel, le processus de fabrication, de condensation et d'expédition de l'hydrogène est connu pour être un défi technique et un gaspillage.

    Le professeur Blakers cite une estimation selon laquelle convertir l'énergie en hydrogène, l'expédier là où elle est nécessaire, puis la reconvertir en énergie pourrait consommer 70 % de l'énergie générée. Michael Liebreich, un contributeur principal de BloombergNEF (new energy finance) a écrit en 2020 (3) qu'en tant que moyen de stockage d'énergie, l'hydrogène n'a qu'une efficacité aller-retour de 50 % - bien pire que les batteries. Il a estimé que les piles à combustible, les turbines et les moteurs alimentés à l'hydrogène ne sont efficaces qu'à 60 % – bien pires que les moteurs électriques – et beaucoup plus complexes. En tant que source de chaleur, l'hydrogène coûte quatre fois plus cher que le gaz naturel. En tant que moyen de transport de l'énergie, les pipelines d'hydrogène coûtent trois fois plus cher que les lignes électriques, et les navires et les camions sont encore pires, dit-il.

    Un autre facteur particulièrement important en Australie est le besoin de grandes quantités d'eau très propre pour le processus. Cela ne sera peut-être pas un problème pour les petits projets pilotes qui seront financés par des subventions gouvernementales, mais cela empêchera probablement la production commerciale à grande échelle.

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  35. Les militants qui parlent avec tant de désinvolture de l'utilisation de l'hydrogène pour stocker l'énergie pensent sans doute au gaz naturel liquide, qui est désormais à la base d'un commerce international florissant utilisant des porte-conteneurs spécialement conçus à cet effet. Grâce à d'énormes projets sur le plateau nord-ouest et dans le Queensland, les exportations australiennes de GNL sont désormais le double de celles de charbon thermique en valeur.

    Le commerce international du GNL a commencé à se développer dans les années 1960 avec l'adoption à grande échelle de techniques permettant de liquéfier le gaz dans des installations géantes appelées « trains » et de le maintenir liquide pendant de longues périodes dans ce qui équivaut à des bouteilles thermos géantes. Le GNL nécessite des températures basses, moins 160 degrés centigrades, mais le gaz lui-même est une source d'énergie et une partie de cette énergie peut être utilisée pour alimenter le processus de liquéfaction. Une fois à cette température, la forme liquide du gaz peut être stockée de manière relativement sûre aux pressions atmosphériques. Mis à part quelques accidents lorsque la technologie était nouvelle, le GNL a un bilan de sécurité impressionnant.

    Tout cela s'est produit sans la bénédiction mitigée de la direction du gouvernement. Les problèmes techniques liés au transport de GNL ont été résolus, les installations ont été construites et les clients ont acheté la production avant que le grand public ne soit pleinement conscient de l'utilité générale de pouvoir échanger du gaz à travers les océans.

    Comme indiqué, l'hydrogène est produit à grande échelle depuis un certain temps, bien qu'à partir de vapeur et de méthane, mais la majeure partie est consommée sur place. Jusqu'aux années 1960, l'hydrogène était également utilisé dans les gazoducs de ville, contribuant généralement à environ 10 % du mélange dans un système encore principalement de méthane. Cela est devenu non rentable avec l'avènement de l'industrie du GNL à grande échelle.

    Contrairement au GNL, l'hydrogène présente des difficultés considérables dans son stockage et son utilisation. C'est une molécule beaucoup plus petite que le méthane, donc les joints et les tuyaux qui empêcheraient confortablement les fuites de méthane ne retiennent pas l'hydrogène. La température de liquéfaction de l'hydrogène est bien inférieure à celle du méthane, en particulier moins 253 degrés centigrades ou juste 14 degrés au-dessus de ce que les physiciens appelez le zéro absolu - vous ne pouvez pas avoir plus froid - et nécessite donc beaucoup plus d'énergie pour être atteint et maintenu. L'alternative est de stocker le gaz sous de très hautes pressions.
    Cela pose le problème de la sécurité. Sans entrer dans les détails techniques, l'hydrogène a des propriétés de combustion et d'explosivité différentes de celles du GNL et, comme indiqué, une plus grande tendance à fuir.

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  36. C'est une substance beaucoup plus dangereuse que le GNL. Les passionnés d'histoire se souviendront de l'explosion et de l'incendie qui ont détruit le dirigeable allemand Hindenburg en 1937, qui utilisait de l'hydrogène pour rester à flot. La technologie des dirigeables a été abandonnée par la suite, mais les quelques avions de ce type encore en service utilisent de l'hélium plutôt que de l'hydrogène pour rester en l'air. À tout le moins, les grands systèmes à hydrogène nécessiteront un ensemble rigoureux de règles et de procédures de sécurité qui devront peut-être être apprises à la dure.

    Ensuite, il y a le problème que le passage à l'hydrogène ne consiste pas seulement à coller un réservoir d'hydrogène sur un moteur existant ou à utiliser des pipelines existants. Tout devra être repensé et reconstruit, le tout à un coût exorbitant.
    Face à ces faits gênants, les militants proposent des contre-arguments qui vont du débile au ridicule.

    Ils prétendent que l'énergie verte sera si bon marché que le gaspillage lié à l'utilisation de l'hydrogène pour stocker l'énergie n'aura pas d'importance. Vraiment? Reportez-vous aux chapitres de ce livre sur les énergies renouvelables, de toute façon si c'est si bon marché pourquoi chaque pays ne créerait-il pas sa propre électricité et tant pis pour tout marché d'exportation ? Si l'énergie doit être déplacée en interne, pourquoi ne pas réduire les pertes et utiliser une ligne de transmission ? Si l'énergie doit être stockée, les batteries massives peuvent être une solution presque aussi ridicule, mais au moins ce serait moins cher, plus efficace et (probablement) plus sûr qu'une unité de stockage d'hydrogène.

    Un autre argument est que l'hydrogène peut être stocké à moindre coût dans des dômes de sel. Ces caractéristiques géologiques sont un élément clé des gisements de pétrole de la formation. Le sel peut être extrait relativement facilement pour former de grandes poches souterraines pour le stockage du gaz, du moins l'espère-t-on. Il existe des projets de développement en Europe et aux États-Unis concernant les dômes de sel, mais le dernier mot dans ce domaine doit être laissé à un autre rapport de BloombergNEF.

    « Le stockage d'hydrogène en grande quantité sera l'un des défis les plus importants pour une future économie de l'hydrogène. Les options à faible coût et à grande échelle comme les cavernes de sel sont géographiquement limitées, et le coût d'utilisation des technologies alternatives de stockage de liquide est souvent supérieur au coût de production d'hydrogène en premier lieu. (4)

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  37. Les militants pointent également l'utilisation possible de l'hydrogène dans l'approvisionnement en gaz de ville. C'est au moins possible, mais les conduites de gaz de ville fonctionnent maintenant à des pressions beaucoup plus élevées qu'elles ne l'étaient dans les années 1960 et ont été conçues pour le méthane et non pour l'hydrogène. Il peut y avoir des problèmes de sécurité.

    Il existe déjà des utilisations de niche où les avantages de l'hydrogène l'emportent sur les inconvénients, comme dans le carburant des fusées et les piles à combustible pour les sous-marins. Pourtant, l'utilisation de l'hydrogène comme moyen de stockage et de récupération d'énergie a fait l'objet de nombreuses recherches bien avant l'engouement militant actuel mais, contrairement au GNL, aucune solution technologique permettant son utilisation commerciale dans le système électrique n'a émergé.

    A en juger par la grande quantité d'absurdités dites et écrites sur son utilisation, la principale valeur de l'hydrogène n'est pas du tout commerciale. La principale valeur du gaz a été de réconforter les militants. C'est l'une des nombreuses histoires fantastiques qu'ils se racontent dans l'espoir d'atteindre un jour le nirvana vert, quelque part au-dessus de l'arc-en-ciel. C'est à peu près aussi utile que n'importe quelle autre histoire fantastique.

    References
    (1) Australia plans to be a big green hydrogen exporter to Asian markets – but they don’t need it. The Conversation, April 4.
    (2) Australia’s National Hydrogen Strategy, COAG Energy Council
    (3) Liebreich: Separating Hype from Hydrogen – Part Two: The Demand Side, October 16, 2020.
    (4) Hydrogen Economy Outlook – Key Messages, BloombergNEF, March 30, 2020

    https://joannenova.com.au/2022/04/rafe-champion-guest-post-hydrogen-is-not-the-new-lng/

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  38. Message invité de Rafe Champion. Le coût réel du raffermissement de la puissance intermittente du réseau


    April 18th, 2022


    Le coût réel de la sauvegarde de la fourniture intermittente d'énergie éolienne et solaire a été défini dans un modèle complet qui n'a pratiquement pas été couvert dans le débat public sur les questions énergétiques. C'est une situation scandaleuse qui reflète l'ignorance et la négligence quasi criminelle des journalistes et commentateurs de la nation. Ceci est une version courte du rapport.

    Selon toutes les personnes censées être au courant de ces choses, la route vers le zéro net est claire et les jours de l'énergie au charbon sont comptés parce que l'énergie éolienne et solaire sont tellement moins chères. Combien moins cher ? Eh bien, les entrées de vent et de rayons de soleil sont gratuites, alors combien moins cher pouvez-vous obtenir !

    L'étude CSIRO GenCost est considérée comme le dernier mot en la matière et qui peut contester l'autorité du CSIRO ? Il est décevant de constater que l'étude est pleine de trous et d'hypothèses douteuses. Le plus gros trou de tous est le fait de ne pas tenir compte du coût total de la consolidation des intrants intermittents. Ceci est actuellement fourni par les charbonniers tant décriés et il est gratuit pour les industries éolienne et solaire. Voir ici pour la relation grenouille et mille-pattes entre l'énergie conventionnelle et les parasites prédateurs de l'industrie des énergies renouvelables.

    En novembre 2020, un groupe de consultants a déposé un rapport au Parlement de la Nouvelle-Galles du Sud avec les résultats d'un travail de modélisation élaboré pour générer le coût total de l'énergie actualisé du système (SLCOE) qui est défini comme - "... le coût moyen de production d'énergie électrique à partir du combinaison de technologies de production choisies pour le système sur toute sa durée de vie »

    Les modèles incluent des coûts de transmission supplémentaires pour diverses options, notamment le remplacement du lignite par l'énergie nucléaire, le remplacement du charbon par du gaz et 100 % d'ER par l'hydroélectricité et le stockage.

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  39. RÉSUMÉ DES RÉSULTATS

    - voir graph sur site -

    La meilleure option politique pour contrôler les coûts et minimiser les émissions semblerait être de remplacer la production de charbon par l'énergie nucléaire.

    Cas 1. Il s'agit de la situation actuelle, avec plus de 70 % de l'électricité produite par le charbon, le coût estimé est de 68,87 $/MWh.

    Le cas 2 montre l'effet de l'introduction de 3 000 MW de capacité nucléaire dans le mix du cas 1 pour remplacer le lignite. Cela augmente le coût à 72,48 $/MWh tout en réduisant les émissions d'environ 23 %.

    Le cas 3 montre l'effet du remplacement de tout le charbon dans le cas 1 par l'énergie nucléaire. Les émissions chutent d'environ 93 %, le coût passant à 90,23 $/MWh.

    Le cas 4 montre l'effet de la combinaison des technologies de production projetée par l'Australian Energy Market Operator (AEMO) jusqu'en 2040, comme indiqué dans son Integrated System Plan (ISP) de juillet 2018. Le coût est de l'ordre de 250 $/MWh.

    Le cas 5 montre l'effet du remplacement de tout le charbon dans le cas 1 par la CCGT. Cela montre une augmentation des coûts pour approcher les 100 $/MWh.

    Le cas 6 montre un mix 100 % renouvelable comprenant du solaire photovoltaïque, de l'éolien et de l'hydroélectricité avec le soutien du stockage par pompage et du stockage par batterie. En raison de faibles facteurs de capacité, le solaire photovoltaïque et l'éolien nécessitent un total combiné de 110 000 MW de capacité. Il y a également un besoin de 30 000 MW de capacité de stockage par pompage pendant 3 jours. À cela, il faut ajouter une transmission supplémentaire à coût élevé pour amener la puissance aux points de forte consommation où elle est nécessaire, ce qui fait un SLCOE total de 415,50 $ I MWh.

    Renseignements à l'appui. Toutes les données clés sur les performances technologiques, les coûts et d'autres informations pertinentes sont répertoriées sur le site Web Power System Generation Mix Model.

    Un court rapport au format PDF.

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  40. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES ET COMMENTAIRES DES AUTEURS

    1. Subventions de liquidation pour la production d'électricité intermittente

    2. Ajouter une composante de marché de capacité au marché national de l'électricité
    Le NEM actuel est un marché uniquement énergétique, qui ne donne pas de signaux clairs lorsque des investissements de production dispatchables supplémentaires ou de remplacement sont nécessaires. Cette faiblesse a été un facteur clé dans l'absence actuelle de nouveaux investissements dispatchables, c'est-à-dire d'électricité pouvant être livrée au moment où les clients en ont besoin.

    3. Lever l'interdiction de l'énergie nucléaire
    Cette interdiction est le résultat d'un accord politique conclu il y a 20 ans. Il n'a aucun mérite scientifique et constitue désormais un obstacle à des décisions indispensables pour l'avenir à plus long terme. Il interdit par la loi le développement d'une énergie nucléaire sans émissions, fiable et abordable pour l'Australie. La levée de l'interdiction permettrait une plus grande concurrence entre les différentes technologies pour répondre à nos futurs besoins en électricité.

    https://joannenova.com.au/2022/04/rafe-champion-guest-post-the-real-cost-of-firming-intermittent-power-in-the-grid/#more-83390

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  41. La tendance au réchauffement en Australie depuis fin 2012 n'est rien.


    April 18th, 2022


    Sur tout le continent, la "nouvelle pause" des températures dure désormais 9,6 ans, telle que mesurée par le système le plus fiable qui soit - les satellites UAH.

    Si et quand nous atteindrons la pause de dix ans, les centres nationaux d'alarme climatique publieront tous des communiqués de presse, tout comme les autres événements phares, n'est-ce pas ? Tout comme le "pire blanchissement depuis l'année dernière", "le jour le plus chaud depuis le début des enregistrements" en 1993. Six jours chauds d'affilée dans une ville d'Australie.

    Quel modèle a prédit que les températures en Australie ne feraient "rien" pendant une décennie ?

    Merci à Charles pour le graphique !

    - voir graph sur site -

    Australie, UAH Graphique. La pause

    La longueur de la ligne de pause à pente nulle est maintenant de 9,6 ans.

    Techniquement, les températures baissent selon les satellites UAH depuis mai 2016.

    Les satellites sont évidemment meilleurs pour les tendances de température mondiales et continentales
    En supposant que nous nous soucions des tendances, et pas seulement des enregistrements d'une seconde. Les satellites UAH tournent en continu et couvrent tout le continent. Ils ne mesurent pas seulement 100 petits points avec des thermomètres, à côté des aéroports et des incinérateurs, mais 7 millions de kilomètres carrés de surface.

    Certains pantalons intelligents diront que l'UAH est mauvais, car il ne correspond pas aux thermomètres terrestres comme le fait RSS. Mais c'EST le point, RSS a été ajusté pour correspondre à la jonque hyper-ajustée sur terre, et maintenant ils sont tous terribles.

    J'ai expliqué avant pourquoi UAH est vraiment tellement mieux:

    Cinq raisons pour lesquelles UAH est différent (meilleur) des estimations de température mondiale RSS

    1 UAH est d'accord avec des millions de ballons météorologiques calibrés lancés dans le monde entier. RSS est désormais plus en accord avec les données de surface des équipements placés à proximité des aéroports, du béton, des climatiseurs et qui sont eux-mêmes sauvagement ajustés.

    2 Dans les derniers ajustements, UAH utilise des comparaisons empiriques de satellites qui ne sont pas affectés par la dérive diurne pour estimer les erreurs de ceux qui le sont. RSS commence avec les estimations du modèle à la place.

    3 Deux satellites particuliers sont en désaccord l'un avec l'autre (NOAA-14 et 15). L'équipe UAH supprime celle qu'elle pense être incorrecte. RSS conserve les deux mesures incohérentes.

    4 La dérive diurne a probablement créé un réchauffement artificiel dans l'ensemble RSS avant 2002, mais a créé un refroidissement artificiel par la suite. La nouvelle version de RSS conserve l'erreur de réchauffement avant 2002, mais corrige l'erreur après. Le résultat est une tendance générale plus chaude.

    5 UAH utilise une méthode plus avancée avec trois canaux. RSS utilise toujours la méthode originale que Roy Spencer et John Christy ont développée avec un seul canal (qui est vu sous trois angles).

    https://joannenova.com.au/2022/04/the-warming-trend-in-australia-since-the-end-of-2012-is-nothing/

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  42. L'abus de drogues et d'alcool ralentit le taux de participation à la population active, selon une étude de la Fed


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 17 AVRIL 2022 - 22:00


    L'abus de drogues et d'alcool commence à avoir un effet négatif sur le taux d'activité, selon une nouvelle étude réalisée par Karen Kopecky, chercheuse à la Federal Reserve Bank d'Atlanta, Jeremy Greenwood de l'Université de Pennsylvanie et Nezih Guner de l'Universitat Autonoma de Barcelona.

    L'étude a été rapportée la semaine dernière par Bloomberg dans cet article.

    Ce qu'il a constaté, c'est qu'entre 9 % et 26 % de la baisse de la participation au marché du travail dans la force de l'âge entre février 2020 et juin 2021 était due à "une augmentation de la toxicomanie".

    La participation au marché du travail entre 25 et 54 ans n'a pas encore complètement récupéré depuis le plongeon de mars 2020, indique le rapport. Jusqu'à présent, la Fed a imputé cela aux "problèmes de garde d'enfants et de soins aux personnes âgées, à la fermeture des écoles en personne, aux inquiétudes concernant la maladie et les allocations de chômage supplémentaires".

    - voir graph sur site -

    Le taux de participation à la population active demeure l'un des facteurs clés que la Fed espère influencer alors qu'elle s'apprête à relever ses taux tout au long de l'année.

    L'étude a noté: "Une fois commencé, l'abus de drogues et d'alcool est difficile à arrêter pour de nombreuses personnes ... une augmentation de l'abus de substances pendant la pandémie signifierait une baisse des taux de participation à la population active même après la fin de la pandémie."

    La baisse de la participation a été favorisée de manière disproportionnée par les Américains sans diplôme universitaire, indique le rapport.

    La nouvelle survient malgré la hausse du taux de participation à 62,4 % le mois dernier, qui marque un sommet en deux ans. Mais, comme le note Bloomberg, cela reste inférieur de 1 % à ce qu'il était avant la pandémie.

    https://www.zerohedge.com/markets/drug-and-alcohol-abuse-slowing-labor-force-participation-rate-fed-study-finds

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  43. Cette Légion internationale de défense territoriale de l'Ukraine - ou comment diffuser la guerre


    lundi 18 avril 2022


    L'Ukraine a mis en place une Légion internationale de défense territoriale, qui permet de faire venir des soldats-volontaires étrangers, sans formellement que leurs pays d'origine ne soit impliqué, donc sans que ces pays d'origine, essentiellement les Etats-Unis, le Canada et la Pologne, membres de l'OTAN, n'aient besoin de formellement déclarer la guerre à la Russie ... pour faire la guerre à la Russie. Ainsi, l'Ukraine formellement démilitarisée continuera réellement le combat.

    Les médias, notamment français, en parlent depuis quelque temps : des Occidentaux sont partis se battre aux côtés de l'Ukraine contre la Russie, même si le cadre juridique de cette implication reste très flou. Le chiffre de 20 000 personnes environ est avancé, des "vétérans" des guerres d'Irak, d'Afghanistan, de Syrie, des Balkans ou même d'Amérique du Sud. Bref, au-delà du discours bisounours, qui nous est servi sur, je cite, Sud Ouest, cette "foule d'hommes qui se sont mis spontanément au service de l'Ukraine", il s'agit bien du recrutement de personnes, ayant une expérience militaire.

    D'ailleurs, le contrat conclu est surprenant, car il n'a pas de date fixe : les engagés doivent servir jusqu'à la fin de la loi martiale. Etrange formulation, puisque les obligations, qui pèsent sur les "volontaires", sont sans limites précises :

    Mais ce qu'il veut faire passer comme message, c'est que l'Ukraine est en guerre et que c'est un pays avec très peu de ressources à utiliser pour ceux qui changent soudainement d'avis.

    «Donc, si vous pensez déjà: "eh bien, peut-être que je vais le faire pendant une période de temps limitée", pensez aux ressources que le pays mettra en vous et si vous pourrez ou non contribuer en retour au moins pour la même chose ou plus», a-t-il dit.

    «Et si tu sais que tu viens pour une semaine ou deux, alors ça n'en vaut pas la peine», a-t-il complété.

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  44. Il paraît que 1 500 Canadiens veulent encore joindre cette Légion.

    La communication française est amusante sur ce sujet, car elle fait le grand-écart. D'un côté, elle soutient totalement le mouvement, en fidèle voix de son maître, puisque la France soutient totalement l'Ukraine. L'on trouve donc de jolis reportages sur "comment je me suis engagé auprès de l'Ukraine et ai pris avec moi mes amis" ... après que l'un ait eu sa famille tuée par les Russes What else? ... et que ce groupe d'"amis" sont des légionnaires de la Légion étrangère française. Or, quand les médias russes montrent qu'il y a bien eu des légionnaires français en Ukraine, et notamment à Marioupol, tout à coup l'on nous dit qu'il faut faire très attention :

    Un béret et un insigne pour prouver que des légionnaires auraient été présents à Marioupol ? C’est l’allégation qui est largement partagée depuis mercredi sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes allèguent que des membres de la Légion étrangère se seraient retranchés dans le port de cette ville durement frappée par la guerre avec des membres du régiment Azov, un régiment qui revient régulièrement dans la propagande prorusse.

    Ils s’appuient pour cela sur une vidéo du compte YouTube « War gonzo », publiée le 4 avril, et qui a depuis cumulé 272.000 vues. On y voit un homme, probablement un soldat russe, saisir le béret à l’arrière de ce qui ressemble à un véhicule militaire encombré de détritus. Le soldat présente ensuite un insigne à la caméra.

    Il faut faire attention à quoi, si les médias occidentaux diffusent eux-mêmes les interviews de membres de la Légion étrangère française expliquant pourquoi ils partent en Ukraine ?

    Le Comité d'enquête de la Fédération de Russie a déclaré avoir les preuves de l'engagement de membres de la Légion étrangère française auprès des troupes ukrainiennes et qu'une enquête va être menée. D'une manière générale, le ministère de la Défense russe parle de la présence d'environ 7 000 mercenaires étrangers venus de 63 pays en Ukraine, environ un millier a été tué par l'armée russe et 900 ont refusé de se battre. La Pologne serait les pays le plus actif avec 1 700 personnes envoyées, devant le Canada, les Etats-Unis et la Roumanie avec 1 500 chacun, puis la Grande-Bretagne et la Géorgie, avec 300 chacun. La plus grande partie des mercenaires étrangers sont à Kiev, Kharkov, Nikolaev, Odessa et Marioupol.

    Les pays occidentaux ne peuvent pas laisser l'Ukraine perdre militairement, ils doivent la faire combattre jusqu'à épuisement, pour ne pas entrer directement dans le conflit. Puisque la Russie n'a pas, elle non plus, la volonté de reconnaître les implications, qui logiquement découlent de l'envoi régulier d'armes et d'hommes, le partage des informations recueillies par l'OTAN, la formation des militaires ukrainiens, un faux-semblant est maintenu, qui conduira très prochainement à une situation ubuesque : l'Ukraine sera bientôt démilitarisée ... mais continuera à se battre.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2022/04/cette-legion-internationale-de-defense.html

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  45. Souvenirs et actualité du jour


    le 18 avril 2022


    Lorsque je sévissais dans le centre de recherches de Rhône-Poulenc Agro à Lyon l’un des ingénieurs de cette entreprise était mon interlocuteur préféré en raison de son ouverture d’esprit et de la liberté d’investigation dont il bénéficiait. Philippe D. était ingénieur chimiste et son domaine préféré était les néo-nicotinoïdes. La nicotine se trouve dans l’ « herbe à Nicod » et elle protège les plantations de tabac contre les insectes ravageurs. L’agriculteur qui produit du tabac, en France en Dordogne ou dans la plaine de la Limagne, n’a tout simplement pas besoin de traiter ses champs avec des insecticides. Cependant il faut des dizaines de kilos de cette molécule par hectare pour traiter un champ. Les chimistes dont Philippe D. ont donc essayé toutes sortes de modifications de la nicotine et avec le temps, un paramètre non négligeable dans ce type de recherche ont atteint une efficacité notoire de certains dérivés de la nicotine en arrivant à une centaine de grammes par hectare.

    J’évoquais le facteur temps car en effet après les essais en serre il faut procéder à des essais en plein champ, ce qui est long et fastidieux car toute nouvelle molécule doit faire l’objet de diverses formulations pour chaque parcelle de 100 m2 en plein champ. Et comme tout chercheur passionné par son métier Philippe D. me racontait la progression de ses travaux. En dix ans il arriva à trouver un dérivé de la nicotine qui était actif à une dose extraordinaire de 4 grammes par hectare. C’était en quelque sorte son objectif final. Il me racontait, sûr de lui, qu’avec de telles doses les insectes pollinisateurs ne seraient pas foudroyés sur place. Ces néo-nicotinoïdes de nouvelle génération, il y a 25 ans de cela, étaient incorporés à l’enrobement des semences et se répandait dans toute la plante au cours de sa croissance. Les insectes suceurs et les larves de papillons ne survivaient pas à ces traces de néo-nicotinoïdes.

    Et les grains de pollen ? Rien, zéro : toutes les extractions de grains de pollen soumises à des analyses par spectrographie de masse ont été négatives. Alors pourquoi de telles polémiques au sujet de cette classe d’insecticides extraordinairement efficace et inoffensive pour les insectes pollinisateurs ? Tout simplement par pure idéologie.

    Actualité du jour. Comme j’embarque ce mercredi pour Tokyo je me suis plié à un test PCR ce lundi. Coût de l’opération : 98 euros. J’ai demandé à la laborantine si elle était bien payée. Elle m’a répondu qu’elle gagnait 1080 euros par mois … Prochain billet : peut-être samedi 23

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/18/souvenirs-et-actualite-du-jour/

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  46. LE CHÈQUE ALIMENTATION DÈS 2022, SI MACRON GAGNE ?


    par PAOLO GAROSCIO
    19/04/2022


    L'alimentaiton pèse 15 % du budget d'un ménage en moyenne en France.

    La mesure n’est pas nouvelle, mais le timing est sans doute loin d’être anodin. Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, a confirmé l’arrivée prochaine du « chèque alimentation » censé permettre aux ménages les moins aisés un meilleur accès aux produits locaux et de qualité. Une mesure tombée dans l’oubli des deux années de crise sanitaire et qui verrait le jour en cas de réélection du Président sortant.

    Une nouvelle aide pour les dépenses quotidiennes des ménages ?

    Le chèque alimentation ne se présente pas en détail pour l’instant : Julien Denormandie l’a juste rappelé au bon souvenir des Français. Annoncée fin 2020, la mesure a été un peu oubliée en 2021 entre relance du pays, mesures sanitaires et inflation élevée. Mais le ministre de l’Agriculture l’assure : le principe et fixé, et il ne reste plus qu’à définir les détails de la mesure.

    Cette dernière deviendra une nouvelle aide aux ménages, et tout particulièrement aux plus défavorisés puisqu’elle cible les « 8 millions de nos concitoyens qui ont du mal à avoir accès aux productions locales, aux productions de qualité, à nos productions françaises » a précisé le ministre dimanche 17 avril 2022 dans l’émission Dimanche en Politique sur France 3. L’idée, c’est de faire d’une pierre deux coups : aider les ménages, et aider les agriculteurs par la même occasion. Sans compter que les produits locaux sont meilleurs pour la planète en termes d’émissions de gaz carbonique.

    Le chèque alimentation arrivera après la réélection d’Emmanuel Macron
    Bien qu’évoqué en décembre 2020, le chèque alimentation n’est toujours pas en vigueur. Entre temps, le gouvernement a lancé l’indemnité inflation, le chèque énergie exceptionnel, la baisse du prix des carburants… Le chèque alimentation viendra donc s’ajouter à ces mesures, plus ou moins ciblées.

    Si le montant reste encore inconnu, l’aide ne devrait pas changer fortement la donne pour les ménages concernés : les premières indiscrétions parlent d’un chèque de 30 à 60 euros par mois et par famille. Sur l’année, l’aide est de taille : plus de 500 euros environ, selon l’arbitrage que fera le gouvernement.

    Quant au premier versement de cette nouvelle aide… il faudra l’attendre. Peut-être dès 2022 ? Et il faudra qu’Emmanuel Macron soit réélu pour qu’il voit le jour, le dossier étant aux mains de l’actuel ministre de l’Agriculture et un changement de gouvernement pouvant également conduire à l’abandon de certains dossiers.

    http://www.economiematin.fr/news-aide-cheque-alimentation-menages-france-annonce-2022

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    1. Combien de journalistes sur des sites comme contrepoint ou celui-là économiematin parlent et ne savent même de quoi ils parlent ! Faut dire aussi qu'il y aurait 'des oublis' !

      Des oublis de dire que quand un agriculteur (pas 1000 ou même 50 mais un !) reçoit une 'aide' de l’État c'est qu'il a déjà donné mille fois plus à l’État et, l'escroc accepte de restituer de la menu-monnaie ! Quelle âme charitable !!
      Puis arrive les 'aides' aux personnes dites 'en difficultés' (20 millions d'immigrés climatique !!), cette aide va vers ceux qui ne foutent rien, ne travaillent pas, vivent d'allocations et ne font pas avancer la France. Par contre, ceux qui travaillent ne reçoivent... RIEN !
      Ils reçoivent des 'bons d'essence', des 'tickets de rationnement'.
      Notons que les 'chèques envoyés aux 'plus démunis' partent tous à l'étranger ! HAHAHA !

      C'est çà la 'politique de la France' !

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  47. AUX USA, LES PATRONS GAGNENT 254 FOIS PLUS QUE LEURS SALARIÉS


    par PAOLO GAROSCIO
    19/04/2022


    La rémunération des patrons américains a grimpé de 31 % en 2021.

    Les inégalités salariales, aux États-Unis, se creusent en 2021 selon une étude du cabinet Equilar. La rémunération des patrons des 100 plus grandes entreprises du pays a explosé, tandis que les salaires médians n’ont que très peu évolué. Résultat : l’écart entre le salaire des patrons et celui des employés est une nouvelle fois en hausse.

    Plus de 170 millions de dollars pour le patron d’Intel en 2021

    Alors qu’en France le salaire accordé à Carlos Tavares, Directeur général de Stellantis, et estimé entre 16 et 60 millions d’euros fait polémique, aux États-Unis la tendance persiste. En 2021, le salaire des patrons est en forte hausse, après une année 2020 où il avait un peu reculé de 4%. Et le record de 2021 est détenu par le patron d’Intel, Patrick P. Gelsinger.

    Ce dernier, selon le rapport publié le 18 avril 2021 par le cabinet Equilar qui a compilé les informations fournies par les entreprises à la SEC, le gendarme boursier américain, aurait touché en 2021 178 millions de dollars. Tim Cook, patron d’Apple, arrive en deuxième position : 99 millions de dollars. Mais sa rémunération explose : +569% sur un an. Troisième au classement, un autre géant de la technologie : Satya Nadella, à la tête de Microsoft, avec 50 millions de dollars.

    Les patrons gagnent en moyenne 254 fois plus que leurs salariés

    Si ces salaires mirobolant restent une exception, le salaire moyen des patrons des 100 plus grosses entreprises aux États-Unis reste bien supérieur à celui accordé aux patrons du CAC40. Les premiers ont gagné, en moyenne en 2021, 20 millions de dollars, contre 5,4 millions d’euros pour les patrons du CAC40 en moyenne.

    Or, avec une hausse de 31% de leur salaire, contre une augmentation de 4 % pour les salariés en moyenne, si les patrons des entreprises américaines sont protégés de l’inflation (qui a franchi la barre des 8 % outre-Atlantique en mars 2022), ce n’est pas le cas de leurs salariés. Et la différence dans les évolutions des salaires creuse encore l’écart entre le salaire médian des employés (71.869 dollars en 2021) et celui de leurs dirigeant. En 2021, les patrons américains auront touché 254 fois plus que leurs salariés.

    http://www.economiematin.fr/news-inegalite-salariale-patron-employe-usa-chiffres-salaire-2021

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    Réponses
    1. Est-ce à dire qu les ouvriers ne sont presque pas payés ? Que nenni ! Presque pareil qu'en France !
      Juste que le patron gagne plus. Pourquoi gagne t-il plus ? Parce que l’État prend moins ! En Amérique c'est la liberté d'entreprise ! En France TOUT est fait pour empêcher une entreprise de se créer ! HAHAHAHA !
      Et, quand un patron réussit, il multiplie ses entreprises ! Il multiplie les embauches, il multiplie les chèques de salaires !

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  48. ENJEUX ET SOLUTIONS DE LA LUTTE CONTRE LA DÉFORESTATION


    par PARTENAIRE
    18/04/2022


    Depuis de nombreuses années, la forêt Amazonienne défraie la chronique en tant que principal front où se joue la lutte mondiale contre la déforestation. Cette forêt forme le plus grand réservoir de biodiversité au monde et représente une superficie de 550 millions d’hectares. Si elle s’étend sur neuf pays, 63% de sa superficie totale se situe au Brésil. On comprend donc que la lutte contre ce phénomène repose majoritairement sur les efforts menés par le plus grand pays du continent sudaméricain, qui polarise de fait l’attention du public et des médias. 6play a récemment diffusé un documentaire consacré à ce sujet.

    Etant donné que l’élevage constitue la première cause de déforestation en forêt Amazonienne, quels sont les spécificités de la filière qui expliquent la complexité de la lutte contre le phénomène ? Comment inciter les producteurs à faire évoluer leurs pratiques ? De quels outils dispose -t-on pour tenter de juguler la déforestation, et quelles perspectives se dessinent ?

    La pluralité des acteurs complexifie la coordination des efforts anti-déforestation

    Malgré les préoccupations croissantes autour de la préservation de l’environnement, le phénomène de la déforestation en Amazonie ne connait pas de ralentissement significatif. A l’inverse, la forêt amazonienne a perdu 13 000 km2 au cours de l’année 2021. Comment expliquer qu’il soit si complexe de lutter efficacement contre ce fléau ? Outre l’immense superficie concernée par le phénomène (10 fois la taille de la France au Brésil uniquement), la principale explication réside dans la nature presque pyramidale de la chaine logistique de la filière viande au Brésil. L’existence de nombreux fournisseurs indirects pose un véritable défi en termes de traçabilité : avant d’être acheminé vers un abattoir, un animal a en effet été engraissé dans une autre ferme, après être né dans une tierce exploitation. Au Brésil, on dénombre 390 000 fermes implantées dans la forêt amazonienne, ce qui représente 90 millions d’animaux. On le comprend, la filière viande brésilienne se caractérise par un grand nombre de petits producteurs, et la multiplicité des acteurs agit comme un facteur diluant la responsabilité de chacun. Il est en effet difficile d’identifier avec précision quel intermédiaire a eu recours à des pratiques de déforestation. En outre, beaucoup de fournisseurs indirects ne sont pas membres des accords et programmes anti-déforestation tel que le terme d’ajustement de conduite (TAC da Carne) mis en place par l’Etat brésilien, compromettant ainsi l’ensemble de la chaine. Face à ce constat, l’enjeu est donc de resserrer significativement le maillage d’acteurs engagés dans cette lutte, c’est-à-dire faire en sorte qu’un maximum de fermes rejoignent ce type de programmes et prennent les dispositions idoines.

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  49. Quels axes de lutte contre la déforestation se dessinent ?

    Engagée dans la lutte contre la déforestation depuis 1995, l’ONG brésilienne Imaflora a lancé le programme Boi na Linha (ligne de bonne conduite) qui a pour objectif d’harmoniser les règles de contrôle qui s’appliquent aux fermes. Ce programme vise également à intégrer davantage de petits abattoirs afin qu’ils s’engagent à ne pas acheter de viande issue de terres déforestées. La prise de responsabilité et l’engagement volontaire de souscrire à davantage de contrôle forme l’un des axes majeurs cités par la directrice d’Imaflora Maria Piatto dans le documentaire de 6Play. A long terme, il apparait en effet que les acteurs de la filière viande au Brésil y aient un intérêt direct, étant donné l’évolution des exigences des consommateurs en termes de qualité, mais surtout de traçabilité et de respect de l’environnement. Ne pas s’engager davantage dans la lutte contre la déforestation pourrait conduire les éleveurs et abattoirs à s’aliéner les marchés européens (en particulier français) de plus en plus vigilants sur ces questions. Si cette incitation fondée sur la nécessaire adaptation aux exigences des consommateurs apparait comme un angle pertinent, elle semble insuffisante pour lutter efficacement contre un phénomène de cette ampleur. L’Europe constitue en effet une part marginale des exportations brésiliennes de viande. Également sollicité par l’équipe du documentaire, le Président de l’ABEIC (Associação Brasileira das Indústrias Exportadoras de Carnes, l’organisation professionnelle de la filière viande nationale) explique que seule 24% de la production brésilienne de viande est exportée, et que les principaux marchés sont la Chine et Hong Kong.

    Le second axe évoqué par Imaflora est un plus grand contrôle de la part du gouvernement fédéral brésilien et des Etats concernés par la déforestation. D’après Maria Piatto, la directrice de l’ONG, les autorités devraient faire preuve de plus de volontarisme politique en la matière.

    Le troisième axe présenté par le documentaire de 6Play est celui du recours croissant et démocratisé aux innovations technologiques permettant de garantir une meilleure transparence. Cela passe par un meilleur suivi des fournisseurs indirects, ainsi que la facilitation de leur contrôle via de l’imagerie satellitaire. NicePlanet Geotecnologia propose ainsi un système de géomonitoring satellitaire qui permet de suivre le comportement des producteurs en termes de déforestation. Selon le représentant de la plateforme, le système est de plus en plus utilisé : il équipe désormais 87 entreprises et couvre une surface de 85 millions d’hectares. Un autre outil technique vise à améliorer la traçabilité en permettant aux acteurs situés en aval de la chaîne de valeur de s’assurer que leur fournisseurs ne sont pas liés à la déforestation. Il s’agit de la solution logicielle Visipec, développée par NWF international, via laquelle n’importe quel acteur de la filière peut consulter la fiche d’un producteur afin de disposer d’un maximum d’information le concernant. Ce listing peut aussi être consulté par le gouvernement, les ONG et la société civile. Si ce type de pratique se généralisait, les exploitations illégales (qui ne respectent pas le Code Forestier brésilien) n’auraient plus la possibilité de s’insérer dans la chaîne de production.

    Enfin, Imaflora explique qu’il faut également encourager la réciprocité entre les fermiers et les ONG : ces dernières doivent apporter au premiers les résultats de leurs recherches afin de leur permettre d’améliorer leur pratiques.

    http://www.economiematin.fr/news-enjeux-et-solutions-de-la-lutte-contre-la-deforestation

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    1. La question à se poser est 'Pourquoi y a t-il une lutte contre la déforestation ?' Ne veut-on plus de meubles ou de bois de chauffage ? Non-non-non ! La lutte est plus trisomique que çà !

      Vous avez tous entendu cette idiotie (depuis que vous êtes né) que ce sont les arbres, les plantes qui nous fournissent notre oxygène ! CE QUI EST FAUX ! Une forêt en bonne santé respire son propre oxygène (comme l'être humain le fait en respirant il n'aspire pas QUE de l'oxygène mais de TOUS les gaz environnant ! Du gaz carbonique, du méthane, de l'azote et aussi de l'oxygène. Ce sont les poumons qui se débrouillent avec et seul l'oxygène passe dans le sang).

      Une forêt fournit seulement de l'oxygène pour un homme (en été, pas en hiver où l'arbre 'dort' !)

      Mais alors d'où vient l'oxygène ?

      TOUS les gaz qui nous entourent dans l'atmosphère proviennent du magma. C'est grâce à la combustion de la masse ferrique incandescente au centre de la Terre qu'il y a production de gaz. C'est donc grâce au magma qu'il y a de l'oxygène dans l'eau de mer ! 86 % d'oxygène ! Et, c'est aussi donc grâce au magma qu'il y a de l'oxygène (et autres gaz) dans l'atmosphère.

      Même si sur notre planète il n'y avait PAS UN arbre PAS UNE plante il y aurait toujours autant de l'oxygène ! Tous les gaz qu'il y a dans l'atmosphère proviennent du même producteur, et donc, dans l'atmosphère, tous ces gaz se recyclent continuellement (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !).

      Oui mais alors pourquoi des gens crieraient contre la déforestation ?

      Parce que premièrement les merdias sont là pour mentir et diminuer le quotient intellectuel de chacun et, deuxièmement tout faire pour empêcher (les brésiliens par exemple) les gens de se nourrir !
      Et oui, les brésiliens ne mangent PAS des arbres ! Ils mangent comme nous des tomates, des melons, des bananes, etc. Et pour faire tout ces jardins, ces champs... faut défricher !

      Vive l'intelligence brésilienne !

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  50. Relier les points : les biolabs ukrainiens sont principalement souterrains ; DOD et Big Pharma collectent du sang russe – Brighteon.TV


    lundi 18 avril 2022
    par : Roy Green


    (Natural News) Prenez-le de quelqu'un qui était là et les a tous vus. Les biolabs en Ukraine sont là depuis longtemps. Et ils sont partout, principalement sous terre.

    "Eh bien, je connais depuis le milieu des années 90 le DOD [Department of Defence] et les sociétés pharmaceutiques qui collectent le sang russe. Et clairement, leur intention était une sorte de génocide », a déclaré le Dr Juliette Engel à l'animateur Dan Happel lors de l'édition du 12 avril de « Connecting the Dots » sur Brighteon.TV. (Connexe : EXPOSÉ : Le Pentagone prévoit d'utiliser les biolabs ukrainiens pour attaquer la Russie.)

    "C'est intéressant là-bas. Poutine avait plusieurs raisons de venir en Ukraine. Et je pense qu'une partie de la raison pour laquelle il a tardé à aider le Donbass [région] était de recueillir des informations sur les laboratoires biologiques, car beaucoup d'entre eux sont clandestins », a déclaré Engel, qui a déménagé à Moscou en 1990 et a fondé la Coalition Angel pour lutter contre la traite des êtres humains principalement chez les enfants.

    «Ce sont des sous-structures, principalement souterraines, et cela s'est déroulé comme plusieurs étages. Et vous ne vous contentez pas de faire exploser ça, c'est plein d'explosions nucléaires potentielles et de contamination. Ils auraient donc pu déclencher un nuage de matières radioactives », a ajouté Engel, qui est née dans une famille d'agents du renseignement et a été vendue par son père au programme secret Monarch de la Central Intelligence Agency (CIA).

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  51. Cela ne pouvait signifier qu'une chose, selon Engel.

    "Ils ne les ont pas [explosés], et c'est uniquement parce qu'ils savaient exactement comment entrer, exactement comment faire sortir le matériel. Donc, chacun de ces laboratoires est différent. Et il y en a 30 dont les Russes font état », a déclaré Engel, ancien professeur adjoint en radiologie à l'Université de Washington.

    « Et certains d'entre eux étaient sous les écoles. L'un était caché dans le parking et dans un centre commercial. Donc ils sont tous cachés, chacun était différent.

    Matériel génétiquement dirigé près des frontières russes
    Ces biolabs sont tous conçus pour créer du matériel génétiquement dirigé près des frontières russes.

    Engel, qui a un réseau d'amis en Russie et en Ukraine, pense également que les Russes ont capturé ou tué du personnel américain dans leurs opérations de nettoyage après les frappes aériennes.

    « Et chacun dans lequel ils sont allés, ils ont capturé du personnel américain. Et je pense qu'ils ont en fait tué pas mal de personnel américain parce qu'ils sont maintenant en quelque sorte rassemblés dans ce long bâtiment renforcé d'acier, où ils ont déplacé tous les matériaux biologiques ou actifs, et il est maintenant assiégé par la Russie. Et ils savent qu'il y a beaucoup de personnel américain là-dedans.

    C'est pourquoi, a déclaré Engel, l'armée russe a opéré un changement tactique au cours de ses attaques.

    Au début, les Russes abattaient les hélicoptères envoyés par l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et les États-Unis pour faire sortir le personnel américain et européen d'Ukraine. Et puis ils ont changé de stratégie : les Russes ont attendu que les hélicoptères soient remplis avant de les abattre définitivement.

    Engel avait recueilli des informations selon lesquelles les Russes avaient trouvé du personnel militaire américain de haut niveau dans l'épave.

    Selon Engel, qui a été formée aux arts de la séduction, de la physique, de l'Ariosophie, de la cybernétique et du génocide à l'Institut de recherche de Stanford lorsqu'elle était adolescente, a déclaré que de tels incidents « viennent tous des blogs russes et il y a probablement beaucoup de vérité dedans. Mais je ne peux pas dire avec une certitude absolue.

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  52. Les blogueurs russes, a déclaré Engel, mentionnent également que le personnel américain est enfermé dans ce bunker extrêmement bien renforcé.

    À moins que les Russes ne le déclarent, Engel a déclaré : « nous devons simplement attendre et voir. Nous ne saurons probablement jamais qui ils trouvent réellement. Mais ils sont là tous les jours. Ils documentent. Ils publient de plus en plus de matériaux. Et n'importe qui peut aller sur les sites d'information russes et appuyer sur traduire et les lire.

    Pour découvrir la vérité sur ce qui se passe réellement en Ukraine, Engel conseille aux gens d'arrêter de regarder les médias grand public, car ils se trompent presque toujours, et d'aller plutôt sur les sites d'information russes. Lisez ce qu'ils ont à dire parce qu'ils ont du sens - en particulier sur les biolabs ukrainiens.

    Regardez l'épisode du 12 avril de "Connecting the Dots" avec Dan Happel. Découvrez les nouveaux épisodes du programme tous les mardis de 17h à 18h. sur Brighteon.TV.

    - voir clip sur site -

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    Sources include:

    Brighteon.com
    WIONews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-04-18-ukraine-biolabs-underground-dod-collecting-russian-blood.html

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