Le transhumanisme n'est pas conçu pour augmenter l'être humain (encore que le terme de 'augmenter' est plus que flou), mais pour le modifier à ce qu'il ne soit plus humain mais bassement un robot sur pattes !
Dès les premières injections (faussement et criminellement appelées 'vaccins') des milliards (40 000 milliards par flacon !) de nano-particules d'oxyde de graphène ont donc fait leur apparition dans l'organisme des victimes hébétées et non-consentantes dans ce qu'elles ignoraient. Ainsi, ces transhumanisées dirigées extérieurement ont couru à... une deuxième dose !!! puis à la 3 ème, 4 ème, etc !!
Ainsi, se vantèrent-ils d'avoir donné 'vie' à un ordinateur !! grâce aux expérimentations géniques d'essais et de l'avoir équipé d'un 'anti-vieillissement' copié sur les ordinateurs qui ne durent que quelques années !
Ces objets 'imitant l'être humain' qui marchent et causent dans la rue peuvent être des mercenaires capables de tuer n'importe qui, n'importe où, n'importe quand ! Ils reçoivent des ordres et sont incapables de toutes réflexions personnelles. S'ils ne fonctionnent plus ils sont alors débranchés et tombent foudroyés.
Encore une fois il ne s'agit PAS de demander l'avis d'un être humain mais de lui imposer cette perspective nazie sans qu'il ne puisse y échapper ou s'en défaire !
Si cette horreur existe réellement aujourd'hui c'est qu'elle a été testée et approuvée antérieurement !
N'oublions pas que les personnes qui se sont faites inoculées APPARTIENNENT dès lors au laboratoire qui a déposé la substance injectée.
Les hôpitaux gagnent 120 milliards de dollars en contournant la loi fédérale sur la transparence
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 00:05
Rédigé par Adam Andrzejewski via RealClear Policy,
Selon une enquête du Patient Rights Advocate, trois des plus grandes chaînes d'hôpitaux à but lucratif aux États-Unis ont réalisé un total de 120 milliards de dollars en 2021, tout en violant les lois fédérales sur la transparence.
Depuis le 1er janvier 2021, la loi sur les soins abordables oblige les hôpitaux à être transparents sur ce qu'ils facturent aux patients.
La règle de transparence des prix des hôpitaux exige que les prestataires publient les prix de leurs services médicaux en ligne dans une «liste de frais standard lisible par machine pour tous les articles et services pour tous les payeurs et plans» ainsi qu'une «liste de frais standard ou un outil d'estimation de prix pour les 300 les services achetables les plus courants », selon le rapport.
L'idée était de favoriser la concurrence entre les hôpitaux, faisant ainsi baisser les prix.
Le rapport du Patient Rights Advocate a révélé que seuls 14 % des 1 000 hôpitaux examinés étaient conformes à ces réglementations, et que seulement 0,5 % des hôpitaux appartenant aux trois plus grands systèmes hospitaliers américains – HCA Healthcare, CommonSpirit Health et Ascension – étaient conformes.
Aucun des 118 hôpitaux du système HCA Healthcare n'était conforme, selon le rapport, et ces trois grands systèmes ont rapporté 120 milliards de dollars (page 3).
Open The Books a étudié les plus grands prestataires de soins de santé à but non lucratif du pays en 2019 et a constaté que leurs revenus et leurs actifs continuaient de croître alors que les prix à la consommation montaient en flèche, tout en bénéficiant d'allégements fiscaux pour leur statut "à but non lucratif".
Patient Rights Advocate a constaté que le coût pour les entreprises de se conformer à ces réglementations sur la transparence serait de 12 000 $ par hôpital.
Pourquoi les hôpitaux sont-ils si réticents à afficher leurs prix ? La peur de la concurrence peut jouer un rôle. Si les hôpitaux suivaient la loi, les consommateurs pourraient magasiner pour trouver les meilleures offres sur leurs procédures médicales.
RépondreSupprimerLes États-Unis doivent appliquer leurs lois pour s'assurer que les hôpitaux sont transparents dans leurs prix, car ils n'obéiront pas volontairement à la loi.
Le #WasteOfTheDay vous est présenté par les auditeurs légistes d'OpenTheBooks.com
https://www.zerohedge.com/medical/hospitals-make-120-billion-while-skirting-federal-transparency-law
GÉNOCIDE VACCINÉ : le Dr Peter McCullough affirme que les vaccins COVID ont maintenant tué plus d'Américains que la Première Guerre mondiale
RépondreSupprimerMardi 12 avril 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'épidémiologiste et cardiologue, le Dr Peter McCullough, a averti que plus d'Américains avaient été tués par le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) que certaines des guerres impliquant les États-Unis.
McCullough a fait cette affirmation lors d'un discours à la mairie COVID-19 d'OPTIMIST Bahamas le 8 avril.
OPTIMIST, qui signifie Offrir Prévenir les Médicaments Interventionnels Thérapeutiques Accroître la Sécurité et la Confiance, est une organisation de médecins, d'autres professionnels de la santé, d'avocats et de personnes concernées qui ne veulent pas que les pays s'appuient sur la stratégie du « vaccin uniquement » pour faire face au COVID-19. pandémie.
Selon son site Internet, OPTIMIST ne veut pas être appelé "anti-vax". Le groupe a ajouté que son seul objectif est d'éduquer le public sur les mesures préventives alternatives et les stratégies de traitement pour faire face au coronavirus. Cela inclut l'utilisation potentielle de traitements interdits et thérapeutiques comme l'ivermectine.
"Cibler stratégiquement chaque phase de la maladie COVID-19 (contraction, incubation, maladie aiguë et récupération) est vital", a écrit l'organisation sur son site Internet.
Les vaccins COVID ont tué des milliers d'Américains
Comme preuve de son affirmation, McCullough a utilisé plusieurs articles scientifiques montrant le nombre précis de décès en Amérique à partir des vaccins COVID-19 expérimentaux et mortels. Il a fait valoir que le nombre réel de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce qui est documenté dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le programme du gouvernement fédéral pour la collecte des rapports sur les blessures et les décès causés par tous les vaccins. (En relation: la pandémie mondiale de vaccinés s'aggrave à mesure que de plus en plus de personnes prennent des coups mortels.)
« [Un article] a conclu que la limite supérieure d'un intervalle de confiance pour la mort pourrait atteindre 187 000 Américains perdant la vie après la vaccination. Cela pourrait être si grave », a-t-il déclaré.
À titre de comparaison, environ 116 000 Américains sont morts pendant la Première Guerre mondiale. Les seules autres guerres américaines qui ont fait plus de morts que le vaccin COVID-19 sont la Seconde Guerre mondiale et la guerre civile, où environ 405 000 et 655 000 Américains sont morts, respectivement.
Citant des données du programme VAERS du gouvernement fédéral, McCullough a expliqué combien de réactions indésirables graves au vaccin provenaient de nombreuses parties et organes du corps humain où des particules de vaccin COVID-19 ont été trouvées.
"Je peux vous dire, en regardant ce rapport du VAERS avec 12 000 Américains décédés, volontairement après avoir pris une injection, le vaccin COVID-19 est pire qu'une guerre", a-t-il déclaré. "C'est pire que la plupart des guerres."
RépondreSupprimerMcCullough a ajouté que « 86 % du temps, le rapport est fait par un médecin, une infirmière ou un professionnel de la santé qui pense que le vaccin a causé le problème. Il fait référence à une analyse récente des rapports de décès par vaccin COVID-19 soumis au VAERS.
L'analyse la plus récente comprend des données publiées sur le VAERS le 8 avril et est mise à jour jusqu'au 1er avril. Selon les données, le VAERS a reçu un total de 12 298 rapports concernant les décès liés au vaccin COVID-19.
Si l'analyse de McCullough des articles scientifiques récemment publiés est correcte, cela signifie que le VAERS n'a reconnu que moins d'un quinzième du nombre réel de décès aux États-Unis dus au vaccin COVID-19.
Apprenez-en plus sur les victimes du vaccin COVID-19 en Amérique en lisant les derniers articles sur VaccineDeaths.com.
Regardez l'intégralité de l'exposé du Dr Peter McCullough lors de l'assemblée publique OPTIMIST Bahamas COVID-19 ci-dessous.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne TheDeadGene sur Brighteon.com.
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Les sources comprennent :
InfoWars.com
OPTIMISBahamas.com
FacingHistory.org
VAERSAnalysis.info
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-12-more-americans-dying-from-covid-than-wars.html
Plus de 100 000 documents publiés exposent la fraude à l'origine de Covid
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
13 avril 2022
Dans un rapport d'enquête du 31 mars 20221, Katherine Eban, contributrice de Vanity Fair, a examiné le contenu de plus de 100 000 documents de l'EcoHealth Alliance, y compris des procès-verbaux de réunion et des courriels et rapports internes, dont la plupart sont antérieurs à la pandémie de COVID-19, montrant une réalité inquiétante des « accords de subvention obscurs, de la surveillance fragile des NIH et de la recherche de subventions gouvernementales en proposant des recherches mondiales de plus en plus risquées ». 2
Le 4 avril 2022, Eban a discuté de son rapport d'enquête avec les co-animateurs de "Rising" Ryan Grim et Robby Soave (vidéo ci-dessus). Les différents documents ont été publiés conformément aux demandes de la Freedom of Information Act (FOIA) de plusieurs parties, dont BuzzFeed, The Intercept, U.S. Right to Know, White Coat Waste, GOP Oversight et autres.3
Le président de l'EcoHealth Alliance, Peter Daszak, admet avoir «cultivé» les relations gouvernementales pendant des années en assistant à des cocktails chics à Washington D.C., donnant souvent des présentations aux côtés du Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), et la correspondance interne révèle son obsession du financement – au point de présenter des propositions de recherche risquées à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).
La séquence de gène manquante
Eban commence son histoire avec le récit de Jesse D. Bloom, Ph.D., virologue informatique et biologiste de l'évolution au Fred Hutchinson Cancer Research Center. Le 18 juin 2021, Bloom a envoyé le brouillon d'un article préimprimé qu'il avait écrit à Fauci et au patron de Fauci, le Dr Francis Collins, alors directeur des National Institutes of Health.
Selon Eban, le document « contenait des révélations sensibles » sur le NIH, et Bloom voulait que Fauci le voie avant qu'il ne soit imprimé et devienne public.
« Dans des circonstances ordinaires, la prépublication aurait pu déclencher un échange de vues respectueux. Mais ce n'était pas une prépublication ordinaire, ni un moment ordinaire », écrit Eban.4
L'origine du SRAS-CoV-2 était à ce stade très contestée, la plupart des responsables insistant toujours sur le fait qu'il avait évolué naturellement et qu'il avait sauté d'espèces, tandis qu'un groupe croissant de chercheurs indépendants ne cessait de signaler des divergences génétiques qui rendaient l'évolution naturelle hautement improbable.
"Un contingent croissant demandait s'il pouvait provenir d'un laboratoire voisin qui est connu pour avoir mené des recherches à risque sur les coronavirus financées en partie par les États-Unis", écrit Eban, faisant référence à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) à Wuhan, Chine , où l'épidémie de COVID-19 s'est produite pour la première fois. Eban continue :5
RépondreSupprimer«L'article de Bloom était le produit d'un travail de détective qu'il avait entrepris après avoir remarqué qu'un certain nombre de séquences génomiques précoces du SRAS-CoV-2 mentionnées dans un article publié en Chine avaient en quelque sorte disparu sans laisser de trace.
Les séquences, qui cartographient les nucléotides qui donnent à un virus son identité génétique unique, sont essentielles pour suivre le moment où le virus est apparu et comment il a pu évoluer.
Selon Bloom, leur disparition a soulevé la possibilité que le gouvernement chinois tente de cacher des preuves de la propagation précoce de la pandémie. En rassemblant des indices, Bloom a établi que le NIH lui-même avait supprimé les séquences de ses propres archives à la demande de chercheurs de Wuhan.
Maintenant, il espérait que Fauci et son patron, le directeur du NIH Francis Collins, pourraient l'aider à identifier d'autres séquences supprimées qui pourraient éclairer le mystère.
Dans une brève note complémentaire, The Epoch Times a abordé la suppression présumée de séquences génétiques de sa base de données à la demande d'un chercheur chinois dans un article du 2 avril 2022.6 Amanda Fine, chef de la branche des médias du NIH, a déclaré à Epoch Times que les séquences étaient pas réellement effacé ; les données ont simplement été retirées de l'accès public, de sorte que les données ne sont désormais disponibles que pour ceux qui ont son numéro d'accès.
Désaccords litigieux
Collins a répondu en programmant une réunion Zoom pour le 20 juin 2021, à laquelle il a invité Fauci, Kristian Andersen, Ph.D., biologiste de l'évolution, et Robert Garry, Ph.D., virologue. Bloom a invité le biologiste de l'évolution Sergei Pond, Ph.D., et Rasmus Nielsen, Ph.D., un biologiste génétique spécialisé dans les aspects statistiques et informatiques de la théorie de l'évolution et de la génétique.
La réunion était controversée et elle a tellement troublé Bloom que, six mois plus tard, il en a écrit un compte rendu détaillé. Après que Bloom eut décrit ses découvertes et les questions qu'elles soulevaient, Andersen intervint, disant qu'il trouvait l'analyse de Bloom "profondément troublante". Eban écrit :7
« Si les scientifiques chinois voulaient supprimer leurs séquences de la base de données, ce que la politique des NIH leur permettait de faire, il était contraire à l'éthique pour Bloom de les analyser davantage, a-t-il affirmé. Et il n'y avait rien d'inhabituel dans les premières séquences génomiques à Wuhan.
Instantanément, Nielsen et Andersen « se criaient dessus », a écrit Bloom, Nielsen insistant sur le fait que les premières séquences de Wuhan étaient « extrêmement déroutantes et inhabituelles ».
Andersen… a soulevé une troisième objection. Andersen, a écrit Bloom, "avait besoin de sécurité à l'extérieur de sa maison, et ma pré-impression alimenterait les notions de complot selon lesquelles la Chine cachait des données et conduirait ainsi à davantage de critiques de scientifiques comme lui".
RépondreSupprimerFauci a ensuite pesé, s'opposant à la description de la préimpression de scientifiques chinois supprimant "subrepticement" les séquences. Le mot était chargé, a déclaré Fauci, et la raison pour laquelle ils avaient demandé les suppressions était inconnue.
C'est alors qu'Andersen a fait une suggestion qui a surpris Bloom. Il a dit qu'il était un examinateur au serveur de préimpression, ce qui lui donnait accès à des articles qui n'étaient pas encore publics.
Il a ensuite proposé de supprimer entièrement la préimpression ou de la réviser "de manière à ne laisser aucune trace que cela avait été fait". Bloom a refusé, affirmant qu'il doutait que l'une ou l'autre option soit appropriée, "compte tenu de la nature controversée de la réunion".
À ce moment-là, Fauci et Collins se sont distancés de l'offre d'Andersen, Fauci disant, comme Bloom l'a rappelé, "Pour mémoire, je veux qu'il soit clair que je ne vous ai jamais suggéré de supprimer ou de réviser la pré-impression." Ils semblaient de savoir qu'Andersen était allé trop loin.
EcoHealth, un sponsor financé par le gouvernement de la recherche risquée
L'appel Zoom du 20 juin reflétait "une mentalité de siège au NIH", écrit Eban, "dont la cause était bien plus importante que Bloom et les séquences manquantes". Le NIH avait un problème de publicité, car on commençait à savoir que le NIH / NIAID avait financé des recherches potentiellement risquées sur le gain de fonction (GOF) au WIV par le biais de l'EcoHealth Alliance. Les questions de Bloom n'ont fait qu'aggraver une situation déjà délicate.
En 2014, EcoHealth a reçu une subvention du NIAID de 3,7 millions de dollars pour étudier le risque d'émergence de coronavirus de chauve-souris et le potentiel d'épidémies dans les populations humaines. Près de 600 000 $ de cette somme sont allés au WIV, qui était un collaborateur clé. (À cette époque, Daszak travaillait déjà depuis neuf ans avec Shi Zhengli, la directrice du WIV mieux connue sous le nom de « la femme chauve-souris ». En tout, depuis 2005, Shi et Daszak ont collaboré à 17 articles scientifiques.8)
La subvention de 2014 met en évidence la vérité de ce que les critiques de la recherche GOF disent depuis des années, à savoir que ce type de recherche n'atteint jamais ses objectifs.9 Ils disent qu'il faut le faire pour prévenir et/ou devancer les pandémies, mais pas une seule pandémie a jamais été évitée, et à la place, la recherche GOF peut en être la cause.
EcoHealth n'a absolument pas réussi à prédire, et encore moins à prévenir, la pandémie de COVID-19, et l'épidémie initiale survenue à proximité du WIV a soulevé des soupçons d'une fuite de laboratoire dès le début.
RépondreSupprimerLes tentatives évidentes du NIH / NIAID pour cacher leur implication dans la recherche du GOF sur les coronavirus de chauve-souris au WIV n'ont fait qu'aggraver ces soupçons, tout comme le refus du gouvernement chinois de partager les données brutes des patients ou de participer aux efforts pour enquêter sur l'origine du SRAS-CoV-2.
Curieusement, en septembre 2019, trois mois avant que le COVID-19 ne soit officiellement déclaré pandémie, le WIV a également supprimé sa base de données virale, qui contenait à l'époque quelque 22 000 échantillons de virus et leurs séquences génétiques, et ils ont refusé les demandes internationales de le restaurer depuis.
D'un autre côté, dans ce qui semble avoir été un acte de réciprocité bienfaisante envers ses alliés américains, le WIV a supprimé les mentions de sa collaboration avec le NIAID / NIH et d'autres partenaires de recherche américains de son site Web en mars 2021, après que les membres du Sénat ont commencé à griller Fauci à propos de son financement de la recherche GOF au WIV.10 Dans le même temps, ils ont également supprimé un article scientifique traitant de la recherche génétique sur le virus du SRAS.11
Comportement suspect de Daszak
Le comportement de Daszak a également alimenté les soupçons d'une fuite de laboratoire – potentiellement d'un virus qu'il a lui-même contribué à créer. Par example:
• Dans un article de Nature d'octobre 2015, Daszak a averti qu'une pandémie mondiale pourrait survenir à la suite d'un incident de laboratoire et que « les risques étaient plus grands avec le type de recherche sur la manipulation de virus menée à Wuhan ».12
Plus tôt cette année-là, il a également prononcé un discours lors d'un séminaire des National Academies of Science sur la réduction des risques de maladies infectieuses émergentes, et parmi les documents qu'il a présentés, il y avait un article intitulé "Assessing Coronavirus Threats", qui comprenait un examen du "potentiel de débordement". » des « études génétiques et expérimentales » sur les virus.
Plus précisément, il a souligné le danger d'expérimenter sur des «souris humanisées», c'est-à-dire des souris de laboratoire qui ont été génétiquement modifiées pour porter des gènes, des cellules ou des tissus humains.
Pourtant, malgré son historique de tels avertissements, en février 2020, Daszak a écrit une « déclaration de consensus scientifique » publiée dans The Lancet qui condamnait la théorie des fuites de laboratoire comme rien de plus qu'une théorie du complot sauvage.13
RépondreSupprimer•EcoHealth a reçu un financement du programme USAID PREDICT, qui a été impliqué dans l'identification des virus à potentiel pandémique. Le directeur de ce programme, Dennis Carroll, est maintenant soupçonné d'avoir volé l'argent des contribuables en utilisant les fonds de PREDICT pour payer des dépenses liées à sa propre organisation, le Global Virome Project (GVP)14.
Dans un e-mail de mars 2019, Daszak a noté que des avocats avaient signalé ce conflit d'intérêts et avaient suggéré des modifications à une lettre du conseil d'administration. Daszak a écrit : « Je me rends compte que ce n'est pas la langue que vous vouliez, mais c'est plus sûr pour nous à ce stade sensible où nous recevons toujours un financement de l'USAID… pour les activités liées au GVP. »15
Le commentaire semble confirmer que Daszak était conscient que ce que faisait Carroll était inapproprié et potentiellement illégal, et il a aidé à dissimuler les irrégularités de Carroll.
•Nathan Wolfe, diplômé du Forum économique mondial Young Global Leader, fait partie du comité de rédaction d'EcoHealth depuis 2004 et, en 2017, ils ont coécrit une étude sur les coronavirus de chauve-souris.16 Wolf est le fondateur de Metabiota, désormais impliqué dans le fonctionnement de U.S.- ont financé des laboratoires biologiques en Ukraine qui, selon la Russie, ont mené des recherches secrètes sur les armes biologiques.17
• Daszak est également l'un des 15 coauteurs de l'article de 2015, "SARS-Like Cluster of Circulating Bat Coronavirus Pose Threat for Human Emergence",18 qui, selon l'expert en guerre biologique Francis Boyle, est "le pistolet fumant" qui révèle les coupables responsables de la Pandémie de covid.
Parmi les autres coauteurs et bailleurs de fonds de cet article figurent Collins, Fauci et Ralph Baric, Ph.D., qui a fait des recherches sur les coronavirus sur des souris humanisées avec Shi – la recherche même que Daszak avait avertie pourrait poser le risque de pandémie le plus grave.
Pourquoi le manque de transparence de toutes les parties concernées ?
Les efforts de Collins, Fauci, Dazak et d'autres membres de la communauté scientifique pour étouffer le débat sur la genèse du SRAS-CoV-2 – dont la plupart ont des liens clairs avec la recherche GOF sur le coronavirus de chauve-souris et / ou le WIV – soulèvent des questions évidentes sur le motif .
« Serait-ce pour protéger la science des divagations des théoriciens du complot ? demande Eban19. « Ou pour se prémunir d'une révélation qui pourrait s'avérer fatale à certaines recherches risquées qu'ils jugent indispensables ? Ou pour protéger de vastes flux de subventions de l'ingérence politique ou de la réglementation gouvernementale ? …
RépondreSupprimerPeut-être plus que quiconque, Peter Daszak… était particulièrement bien placé pour aider le monde à percer le mystère de l'origine, notamment en partageant ce qu'il savait.
Mais l'année dernière, le Dr Jeffrey Sachs, l'économiste de l'Université de Columbia qui supervise la commission COVID-19 du Lancet, a limogé Daszak de la tête d'un groupe de travail enquêtant sur la genèse du virus, après avoir catégoriquement refusé de partager les rapports d'avancement de sa subvention de recherche contestée.
(… Daszak a déclaré qu'il "suivait simplement les directives du NIH" lorsqu'il a refusé la demande de Sachs, car l'agence retenait les rapports en question "jusqu'à ce qu'ils aient statué sur une demande FOIA". Les rapports sont désormais accessibles au public, a-t-il déclaré.)
« [Daszak] et le NIH ont mal agi », a déclaré Sachs à Vanity Fair. "Il y a eu un manque de transparence..."
Il a déclaré que le NIH devrait soutenir une "enquête scientifique indépendante" pour examiner le "rôle possible" dans la pandémie du NIH, de l'EcoHealth Alliance, du Wuhan Institute of Virology et d'un laboratoire partenaire de l'Université de Caroline du Nord. "Les deux hypothèses sont toujours d'actualité", a-t-il déclaré, et "doivent être étudiées sérieusement et scientifiquement"..."
La sonnette d'alarme s'est déclenchée en 2016
Pour en revenir à la subvention de 3,7 millions de dollars du NIAID qu'EcoHealth a reçue en 2014, Eban raconte comment les sonnettes d'alarme se sont déclenchées en 2016, lorsqu'EcoHealth a tardé à soumettre son rapport d'étape annuel. "L'agence a menacé de retenir les fonds jusqu'à ce qu'il le dépose", écrit-elle, et "le rapport qu'il a finalement soumis a inquiété les spécialistes des subventions de l'agence".
Selon le rapport, Daszak et ses collaborateurs cherchaient à créer un clone infectieux du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), un nouveau coronavirus avec un taux de mortalité de 35 %.
RépondreSupprimer« Le rapport a également précisé que la subvention du NIH avait déjà été utilisée pour construire deux coronavirus chimériques similaires à celui qui a causé le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), qui est apparu en 2002 et a causé au moins 774 décès dans le monde.
(Un virus chimérique est un virus qui combine des fragments de différents virus.) Ces révélations ont incité les spécialistes des subventions du NIH à poser une question cruciale : les travaux devraient-ils être soumis à un moratoire fédéral sur ce qu'on appelait la recherche sur le gain de fonction ? » Eban écrit.20
«Avec cela, la subvention de Daszak s'est emmêlée dans un débat de plusieurs années qui avait divisé la communauté de la virologie. En 2011, deux scientifiques ont annoncé séparément qu'ils avaient génétiquement modifié la grippe aviaire asiatique hautement pathogène A (H5N1), le virus de la grippe aviaire qui a tué au moins 456 personnes depuis 2003.
Les scientifiques ont donné au virus de nouvelles fonctions – lui permettant de se propager efficacement parmi les furets, qui sont génétiquement plus proches des humains que des souris – afin d'évaluer ses risques pour les humains. Les deux études avaient reçu un financement du NIH.
La communauté scientifique a éclaté en conflit sur ce qui est devenu connu sous le nom de recherche sur le gain de fonction. Les partisans ont affirmé que cela pourrait aider à prévenir les pandémies en mettant en évidence les menaces potentielles.
Les critiques ont fait valoir que la création d'agents pathogènes qui n'existaient pas dans la nature risquait de les libérer. Alors que le différend faisait rage, Fauci a travaillé pour trouver un terrain d'entente, mais a finalement soutenu la recherche…
En octobre 2014, l'administration Obama a imposé un moratoire sur le nouveau financement fédéral de la recherche susceptible de rendre les virus de la grippe, du MERS ou du SRAS plus virulents ou transmissibles, le temps qu'un examen ait lieu. Mais le moratoire, tel qu'il est écrit, a laissé des échappatoires, ce qui a permis à Daszak d'essayer de sauver la recherche.
Le 8 juin 2016, il a écrit aux spécialistes des subventions du NIH que les chimères de type SRAS de l'expérience terminée étaient exemptées du moratoire, car les souches utilisées n'étaient pas connues auparavant pour infecter les humains… »
RépondreSupprimerLes NIH ont contourné les règles du moratoire sur le gain de fonction
Dans sa lettre au NIH, Daszak a également fait référence à un article de 2015 écrit par Shi et Baric, qui détaillait une expérience dans laquelle ils ont mélangé des composants de virus de type SRAS de différentes espèces pour créer une nouvelle chimère capable d'infecter directement les cellules humaines. Incidemment, cette recherche a été financée à la fois par le NIH et EcoHealth.
Selon Daszak, la chimère produite était moins mortelle que le SRAS original, donc sa chimère serait probablement moins mortelle également. Cependant, les spécialistes des subventions du NIH étaient loin d'être rassurés sur le fait que sa chimère MERS ne serait pas dangereuse, car Shi et Baric dans cet article de 2015 avaient noté le danger de telles expériences, soulignant que «les comités d'examen scientifique peuvent juger des études similaires… trop risquées pour poursuivre."
« Si quoi que ce soit, l'étude MERS proposée par Daszak était encore plus risquée », écrit Eban.21 « Il a donc proposé un compromis au NIH : que si l'une des souches recombinées montrait une croissance 10 fois supérieure à celle d'un virus naturel, « nous allons immédiatement :
i) arrêter toutes les expériences avec le mutant, ii) informer notre responsable du programme NIAID et l'UNC [Comité institutionnel de biosécurité] de ces résultats et iii) participer aux arbres de prise de décision pour décider des voies appropriées à suivre.
Le 7 juillet 2016, le NIH a accepté la proposition de Daszak, qui, comme le note Eban, « reposait entièrement sur la transparence mutuelle ». Shi serait chargé d'informer Daszak si l'une des recombinaisons avait 10 fois le taux de croissance d'un virus naturel, et Daszak informerait l'agence des résultats, afin qu'ils puissent décider du sort de l'expérience.
Jack Nunberg, directeur du Montana Biotechnology Center, a déclaré à Eban qu'autoriser la poursuite de ce type de recherche à haut risque au WIV était "tout simplement fou". "Les raisons sont le manque de surveillance, le manque de réglementation, l'environnement en Chine … c'est ce qui l'élève vraiment au niveau de" Non, cela ne devrait pas arriver "."
Wain-Hobson a sa propre hypothèse sur ce qui se passe : le groupe de scientifiques poussant l'allégation d'origine naturelle, dit-il, « veut montrer que la virologie n'est pas responsable [de la cause de la pandémie]. C'est leur programme.' ~ Katherine Eban
En effet, en janvier 2021, des renseignements déclassifiés du département d'État américain affirment que des scientifiques militaires chinois travaillent avec le WIV depuis au moins 2017, soulevant la question de savoir si la recherche au WIV servait un double objectif.
Proposition DARPA dangereuse
RépondreSupprimerFin mars 2018, EcoHealth, confronté à des difficultés financières, en collaboration avec Shi et Baric, a présenté une proposition22 à la DARPA dans l'espoir d'obtenir de nouveaux financements.
Une partie de la proposition comprenait l'examen des coronavirus de chauve-souris de type SRAS pour les sites de clivage de la furine, ce qui permet au virus d'infecter les cellules humaines. Ils ont également proposé d'insérer un site de clivage de la furine, apparemment pour créer un coronavirus infectieux, et de le tester sur des souris aux poumons humanisés.
Le site de clivage de la furine du SRAS-CoV-2 est l'une des caractéristiques curieuses qui le distinguent comme une arme biologique manufacturée potentielle, car les coronavirus n'ont pas cette caractéristique naturellement, à notre connaissance. Ils ont ensuite proposé de cartographier les zones à haut risque et de tester diverses substances dans le but de réduire l'excrétion virale chez les chauves-souris.
« Selon presque toutes les définitions, il s'agissait d'une recherche de gain de fonction », écrit Eban.23 « Le moratoire fédéral a été levé en janvier 2017 et remplacé par un système d'examen appelé HHS P3CO Framework (pour Potential Pandemic Pathogen Care and Oversight) . Cela a nécessité un examen de la sécurité par l'agence finançant la recherche.
Pourtant, l'EcoHealth Alliance, dans sa proposition DARPA, a insisté sur le fait que la recherche serait exemptée du cadre P3CO. La DARPA a rejeté la proposition et a déclaré à Eban qu'une partie de la raison du rejet était "à cause de l'horrible manque de bon sens" de celle-ci.
Les examinateurs des subventions DARPA considéraient EcoHealth comme un «groupe hétéroclite» et le WIV a été évalué comme ayant des normes de sécurité inférieures à la moyenne. Un ancien responsable anonyme de la DARPA qui était là au moment de la proposition a déclaré à Eban que permettre à EcoHealth Alliance d'être le maître d'œuvre d'un projet de recherche présentant des risques pour la sécurité nationale reviendrait à "avoir votre agence de location de voitures essayant de gérer une armada".
Il est important de noter que la demande de subvention n'a pas correctement évalué les risques du GOF et la possibilité que le travail constitue une recherche à double usage préoccupante (DURC). En d'autres termes, EcoHealth n'a pas considéré comment la recherche pourrait être réutilisée comme arme biologique, ou comment elle pourrait mettre en danger la sécurité nationale.
Simon Wain-Hobson, après avoir examiné la proposition de la DARPA, a déclaré qu'il s'agissait "essentiellement d'une feuille de route vers un virus de type SARS-CoV-2".24 Daszak, cependant, affirme que la recherche n'a jamais été mise en œuvre, pas par EcoHealth, Baric ou Shi , à sa connaissance.
RépondreSupprimerPourtant, la question demeure : la recherche du GOF publiée par Shi et Baric (et financée par EcoHealth) en 2015 a-t-elle abouti à la création du SRAS-CoV-2 ? Alors que Shi et Baric ont fait ces recherches au laboratoire de Baric à Chapel Hill, en Caroline du Nord, Shi ou d'autres auraient-ils pu expliquer le travail au WIV ?
Daszak n'a pas voulu publier certaines séquences de coronavirus du SRAS du travail au WIV, affirmant qu'il avait besoin que le gouvernement chinois autorise leur publication. Mais cette explication semble « saper toute la justification pour que le gouvernement américain aide à financer une collaboration mondiale sur l'émergence du virus », note Eban, ajoutant :25
« Wain-Hobson a sa propre hypothèse sur ce qui se passe : le groupe de scientifiques poussant l'allégation d'origine naturelle, dit-il, « veut montrer que la virologie n'est pas responsable [de la cause de la pandémie]. C'est leur programme.
Sources and References
1, 4, 5, 7, 8, 19, 20, 21, 23, 24, 25 Vanity Fair March 31, 2022
2, 3 Twitter thread Katherine Eban March 31, 2022
6 The Epoch Times April 2, 2022 (Archived)
9 Nature June 7, 2018
10 MSNBC March 19, 2021
11 Web Archive WIV Will SARS Come Back? December 4, 2015
12 Daily Mail January 9, 2021
13 The Lancet February 19, 2020 DOI: 10.1016/S0140-6736(20)30418-9
14 Disinformation Chronicle Substack March 15, 2022
15 USRTK March 16, 2022
16 The Daily Expose March 20, 2022
17 Daily Mail March 25, 2022, Updated March 27, 2022
18 Nature Medicine 2015; 21(12): 1508–1513
22 DARPA Proposal from EcoHealth March 24, 2018
https://www.lewrockwell.com/2022/04/joseph-mercola/over-100000-released-documents-expose-covid-origin-fraud/
Sommes-nous inquiets pour toutes les mauvaises choses ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 12:30
Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,
"Il y a des choses que l'argent peut et ne peut pas faire."
Pourquoi nous soucions-nous tant de la dette, du dollar, de l'inflation et de la croissance, alors que les seules choses vraiment, vraiment importantes sont l'énergie, la nourriture et les matières premières et comment nous les payons et les obtenons ?
Sommes-nous préoccupés par toutes les mauvaises choses ? C'est ma conclusion après avoir joué à un jeu de rattrapage par e-mail après mon voyage sur le Nil. (Rappelez-vous : le déni n'est pas qu'un fleuve en Égypte.)
Il y a un milliard d'années, fin mars, j'ai écrit 2 morceaux; l'un sur la façon dont l'insécurité énergétique en tant que facteur principal de l'inflation généralisée, et l'autre sur l'inflation sur les marchés obligataires en tant que préoccupation du marché. J'ai précédemment décrit l'inflation tirée par l'énergie et les matières premières qui déstabilise actuellement les marchés comme l'ultime « no-see-ums ».
(Pour les lecteurs irréguliers : un No-see-um est quelque chose d'évident et de si dangereux que votre esprit refuse de reconnaître la probabilité que cela se produise réellement. Il est également important de comprendre comment un SEP (Someone Else's Problem) nous rend aveugles aux conséquences de ce qui se passe autour de nous.)
Suite à mes commentaires sur l'inflation, un de mes copains économistes m'a appelé en Égypte pour me rappeler la théologie monétariste : "l'inflation est partout un phénomène monétaire", blâmant la dette publique excessive et la création monétaire pour le malheur inflationniste actuel et le sentiment de crise.
Je suis d'avis que l'inflation est alimentée par des événements réels – qui déclenchent des conséquences inflationnistes en cascade difficiles à prévoir. En mars 2021, j'ai averti le jour où l'Evergiven s'est échoué sur la façon dont un porte-conteneurs bloquant le canal de Suez pourrait exacerber la chaîne d'approvisionnement de Covid et les crises d'inflation. Aujourd'hui, il se peut que Walmart paie davantage les camionneurs pour assurer l'approvisionnement, ce qui déclenche une inflation des salaires dans le secteur de la vente au détail.
Les conséquences engendrent des conséquences.
RépondreSupprimerJ'adore quand mon pote monétariste m'appelle. Je lui dis de se réveiller et de sentir la réalité ; le monétarisme est trop proscriptif, en grande partie bollchocks, et il devrait cesser d'effrayer les petits enfants et les politiciens idiots. L'austérité en temps de crise financière est tout simplement stupide – des nations financièrement saines et souveraines peuvent emprunter pour financer la croissance. L'astuce consiste à maintenir la confiance dans la monnaie. Plus difficile pour les nations sans souveraineté monétaire – l'Italie étant un exemple classique.
Et tout ce discours sur la façon dont l'armement du dollar pour combattre la Russie signifie la fin de l'économie mondiale du dollar n'est que… du discours. Il n'y a pas d'alternative – pour le moment.
Mais, je suis d'accord que "l'expérimentation monétaire" sous la forme de taux d'intérêt durablement bas et d'assouplissement quantitatif n'a pas fait grand-chose pour stimuler la croissance, elle a créé une inflation extrême des actifs financiers - entraînant l'inflation dans les marchés obligataires et boursiers haussiers des 12 dernières années .
Jusqu'à présent, j'ai considéré que l'inflation des actifs financiers reste largement piégée dans des bulles d'actifs financiers gonflées dans les actions et les obligations. Là, il se comporte comme une bête de marché très différente de la très réelle inflation tirée par l'énergie et les matières premières que nous voyons actuellement frapper les économies.
Y a-t-il un risque que toutes les pressions inflationnistes générées depuis l'installation du QE se transfèrent maintenant dans l'économie réelle ? J'ai essayé de comprendre comment un tel mécanisme de transfert pourrait fonctionner - sur la base des rendements relatifs des actions et des obligations déformées par rapport aux actifs réels comme la propriété, les avions et les trains. J'ai peut-être cherché au mauvais endroit...
Revenons aux principes monétaires simples : si la masse monétaire augmente, l'inflation suit. Ce qui est très intéressant, c'est comment la quantité massive de liquidités créée par les taux bas et le QE pourrait être liée à ce que nous voyons actuellement en termes d'inflation réelle des matières premières et de l'énergie. Dang… ce ne sont pas les rendements qui comptent… sa liquidité elle-même… !!
DING ! DING ! DING !… Des sonnettes d'alarme très bruyantes s'écrasent dans ma tête… Klaxon ! Klaxon !
Oh !
C'est le moment Eureka - une liquidité excessive crée des risques non monétaires….
Aïe! C'est l'une de ces connexions financières aveuglément évidentes cachées dans la complexité du système de plomberie financière mondiale ! Les matières premières, la nourriture, l'énergie - essentiellement les éléments constitutifs de tout dans l'économie mondiale - sont autant déformés par les 12 dernières années d'expérimentation monétaire que tout autre type d'actif….
RépondreSupprimerCette expression « Global Financial Plumbing » devrait déclencher un moment de résonance pour les experts du marché avertis.
J'ai passé la soirée d'hier à lire des notes récentes de Zoltan Pozsar, le très respecté responsable des taux du Credit Suisse. Son écriture a déclenché une sorte d'épiphanie car elle s'est gélifiée avec mon sens inhérent de la situation dangereuse dans laquelle l'économie mondiale est prise.
Permettez-moi de souligner que ce Morning Porridge n'est pas une édition condensée des commentaires de Pozsar, mais mes plats à emporter. Allez le lire vous-même ! C'est un véritable économiste célèbre, intelligent et accepté. Je ne suis qu'un artisan des marchés de capitaux, un gribouilleur adolescent dans la soixantaine avec un passe-temps d'écrire sur les marchés chaque matin…
Voici juste une partie du problème… Dès que vous repérez un no-see-um, ses effets deviennent très réels. Dès que vous réalisez qu'un "problème de quelqu'un d'autre" est aussi le vôtre, les conséquences s'amplifient et se renforcent. C'est pourquoi le moment où vous repérez une crise devient plus dangereux. Ce moment est arrivé. Alors, quand les gens commencent à comparer ce qui se passe aujourd'hui à 2008, faites très attention. Il y a des parallèles.
Ce que Pozsar a reconnu, c'est à quel point la liquidité abondante fausse non seulement les taux, mais aussi l'économie réelle. Pozsar et d'autres étudient maintenant très attentivement la manière dont la « plomberie financière mondiale » de l'argent évolue pour faire face aux effets de l'inflation. C'est plus complexe que la simple théorie monétaire. Cela signifie comprendre l'argent - d'où ses commentaires sur Bretton Woods III. Il examine comment l'expédition, le transport, la logistique - les facteurs clés pour obtenir de la nourriture sur les tables, construire quoi que ce soit à partir de matières premières et fournir l'énergie pour le faire, sous-tendent l'économie réelle.
Et, il a repéré deux grands risques fondamentaux et interdépendants :
Premièrement : si les banques centrales suppriment la liquidité facile qui alimente les marchés des matières premières, vous risquez non seulement un krach boursier, mais un krach économique réel.
Deuxièmement : vous pouvez résoudre une crise monétaire, comme la crise financière mondiale de 2007-2008, en y injectant de l'argent, mais vous ne pouvez pas injecter de l'argent dans un vrai problème comme l'insécurité énergétique européenne et le résoudre du jour au lendemain.
Il y a une limite à ce que l'argent peut faire. Je recommanderais ce podcast de Odd Lots de Bloomberg pour une discussion plus approfondie de Pozsar : Zoltan Pozsar voit un monde de problèmes que l'argent ne peut pas résoudre.
RépondreSupprimerConséquences… conséquences…
Ce matin, j'ai déshabillé Pozsar sans pitié. Il y a bien plus que cela en termes de ce que cela signifie pour l'économie mondiale dollarisée, la militarisation du dollar et comment tout cela fonctionne.
Il y a des années, lors d'une journée particulièrement ennuyeuse sur les marchés obligataires, j'ai découvert un rapport quotidien sur Bloomberg mesurant la profondeur du Rhin lorsqu'il traverse l'Allemagne. Intéressant… mais aussi critique. Le Rhin reste une voie principale pour transporter des marchandises à travers l'Allemagne - s'il est trop peu profond... l'économie s'arrête. De temps en temps, cela arrive.
Quand j'étais un très jeune banquier, l'un de mes premiers mentors m'a dit de regarder le Baltic Dry Index (qui équivaut à peu près aux frais d'expédition). Il a culminé en mai 2008 à 11500 alors que la crise financière mondiale s'intensifiait, chutant à 270 en 2016 alors que l'économie mondiale stagnait.
Pourquoi évoquer la profondeur du Rhin et de la Baltique sèche ? Parce que ce sont le genre de facteurs du monde réel que nous devons comprendre afin de comprendre comment fonctionne réellement l'économie mondiale…
https://www.zerohedge.com/markets/are-we-worrying-about-all-wrong-things
La fin de l'extrême pauvreté en Afrique est-elle en vue ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 11:45
Les projections de l'Agence de développement de l'Union africaine montrent que, bien que la part des personnes en Afrique vivant dans l'extrême pauvreté n'ait pas beaucoup baissé au cours des dernières décennies (de 46 % au cours de la période 1996-2005 à 35 % en 2016- 2025), les progrès devraient être imminents.
Comme le montre Martin Armstrong de Statista dans l'infographie ci-dessous, alors que cette avancée majeure dans le niveau de vie sur le continent arrivera trop tard pour beaucoup, l'Agence de développement de l'Union africaine s'attend à ce que la part des personnes vivant dans l'extrême pauvreté tombe à 1,7 % d'ici 2056-65.
- voir graph bsur site -
Infographie : La fin de l'extrême pauvreté en Afrique en vue | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Les prochaines décennies promettent d'être celles de grands progrès pour l'Afrique dans son ensemble.
Mariam Saleh, experte en recherche de Statista pour l'Afrique du Nord, écrit :
"La socio-démographie du continent connaîtra un développement important, y compris une croissance démographique considérable. De plus, l'amélioration des conditions sanitaires et sociales déterminera la baisse des niveaux de pauvreté ainsi qu'une augmentation de l'espérance de vie."
En outre, la source prévoit de grandes améliorations du niveau d'instruction au cours de la période évaluée.
Bien qu'il s'agisse d'un "positif", nous notons que cela ne tient pas compte des derniers mois et du potentiel d'impact à long terme sur la santé des nations africaines en raison des prix record des denrées alimentaires et des pénuries d'engrais.
https://www.zerohedge.com/medical/end-extreme-poverty-africa-sight
Malheureusement Martin Armstrong ne publie qu'un graphique sans explication du pourquoi l'Afrique passe de l’extrême pauvreté à une situation vivable (hors pays en guerre). L'explication vient que les chinois ont massivement redressé la barre et apporte la modernité attendue par l'Afrique 3 fois la taille de la Chine.
SupprimerL'Ukraine, la fin de l'Occident
RépondreSupprimer12 AVRIL 2022
BLOG ALGORA
Quelqu'un suit-il le journaliste d'investigation George Webb sur Twitter ? Il a enquêté sur tout cela, y compris les lignes de fournitures de rats, les frères Awad, Kolomoisky-Zelensky-Biden et bien plus encore. Il a posté un lien vers Fierce News (je ne sais pas où se trouve Fierce News) indiquant que les officiers du renseignement français et les officiers des forces spéciales ne pouvaient pas faire sortir leurs camarades de Marioupol.
C'est pourquoi Macron n'a cessé d'appeler le Kremlin à ouvrir des couloirs humanitaires. Certains officiers de renseignement français sont morts dans l'échec de l'opération de sauvetage. Des officiers des États-Unis, du Canada, d'Allemagne, de France, d'Italie, de Turquie, de Suède, de Pologne et de Grèce sont désormais piégés dans les cachots d'Aazovtal. Le lieutenant-général américain Roger Clothier a récemment été capturé par la milice populaire du DNR à partir d'un hélicoptère en panne. Clothier a été retrouvé par le GRU et le SVR russes à Marioupol suite à la surveillance externe de sa maîtresse en Turquie à Izmir.
L'Ukie National, connu des services de renseignement sous le nom de Klute, avait toujours accompagné le général en tant qu'épouse itinérante, confidente et interprète. Dès que l'information a été reçue, cette femme est arrivée à Marioupol; La Russie lance une opération militaire et bloque la ville.
George Webb a déclaré que le père du lieutenant-général Clothier des États-Unis et de l'OTAN était un scientifique américain doté de la plus haute autorisation top secrète au laboratoire d'Oak Ridge, qui effectue plus de travaux nucléaires à Tenn (?), Mais son père était biochimiste. Des virus ???
George Webb et Fierce News ont également publié « Under Azovstalindustrial zone (qui est ÉNORME), propriété de l'oligarque Rinat Akhmetov, le fils présumé illégitime de l'ancien PRes. Kuchma, il y a 24 km de tunnels (environ 14 miles) jusqu'à 30 m de profondeur (95 pieds environ).
Il y a une installation secrète de l'OTAN PIT-404 et un laboratoire secret d'armes biologiques de l'OTAN là-bas. Il y a des officiers de l'OTAN dans l'installation PIT-404 et les tunnels sont équipés d'un système de bunker blindé.
Environ 240 étrangers se trouvent dans le bâtiment, y compris des officiers de l'OTAN et de la Légion étrangère française et du personnel de biolab. Leurs gardes, financés par Akhemtov, sont au nombre de 3 000. Le laboratoire biologique sous l'usine d'Azovstal à Marioupol dans l'installation dite PIT-404 - construite et exploitée par Metabiota, une société liée à Hunter Biden, Akhmetov et Volodymyr Zelensky. Des tests d'armes biologiques ont été effectués dans les laboratoires des installations. Des milliers d'habitants de Marioupol sont devenus des "cobayes" lors de ces tests horribles. Et ce sont surtout des spécialités occidentales qui ont participé à ces tests.
RépondreSupprimerGeorge Webb fait également référence à thedukereport.com pour obtenir des informations que le ministère russe de la Défense publie sur les biolabs.
Alors que se passe-t-il vraiment sous Azovstal ? Il semble que la Russie, la RPD et peut-être les Tchétchènes en aient fait une très haute priorité. La Russie et Poutine aimeraient probablement beaucoup montrer le mal qui s'est passé sous Azovstal.
Ce matin sur Intel Slava Z sur Telegram était une conversation téléphonique, probablement interceptée par les forces russes. C'était probablement un Merc américain qui parlait à un merc britannique pris au piège à Azovstal. L'Américain leur a demandé si le Britannique et ses copains pouvaient s'habiller en civil (pour se faufiler comme des rats lâches). Le Britannique a dit qu'ils avaient essayé et que cela avait échoué. Le Britannique a dit qu'ils étaient piégés et qu'ils pleuraient presque. L'Américain disait que Dieu ait pitié. Ces types sont de putains de mercenaires qui détruisent la vie d'innocents à Donetsk, aident les nazis, aident peut-être des tests d'armes biologiques sur des innocents qui sont horribles. Maintenant, ces salauds veulent invoquer le nom de Dieu pour sauver leurs âmes ? Ils ont déjà vendu leurs âmes à Satan alias ZATO.
Je me demande pourquoi toutes ces armes biologiques. Ils les ont utilisés pour voler et piller les contribuables du monde entier avec COVID. ZATO-WEF-NWO veulent tellement les ressources de la Russie. Ils ont essayé de perfectionner des virus pour tuer les Slaves. Monstres.
https://www.algora.com/Algora_blog/2022/04/12/ukraine-the-end-of-the-west
La Russie cherche à mettre fin à l'ordre mondial dominé par les États-Unis – Lavrov
RépondreSupprimer12 AVRIL 2022
ALGORA
Par RT
L'action militaire de la Russie en Ukraine vise à mettre fin à l'ordre mondial dominé par les États-Unis, a expliqué le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Washington a recherché la suprématie en imposant ses règles ad hoc et en violant le droit international, a-t-il affirmé, dans une interview diffusée lundi à la télévision russe.
Il faisait référence aux tentatives américaines d'imposer son propre «ordre international fondé sur des règles», qui se sont heurtées à une forte résistance de la part de Moscou et de la Chine.
"Notre opération militaire spéciale est destinée à mettre un terme à l'expansion sans vergogne [de l'OTAN] et à la volonté sans vergogne vers la domination totale des États-Unis et de ses sujets occidentaux sur la scène mondiale", a déclaré Lavrov à la chaîne d'information Rossiya 24.
"Cette domination est fondée sur des violations flagrantes du droit international et de certaines règles, qu'ils vantent tellement maintenant et qu'ils inventent au cas par cas", a-t-il ajouté.
La Russie fait partie des nations qui ne se soumettraient pas à la volonté de Washington, a ajouté le diplomate russe. Il ne fera partie que d'une communauté internationale d'égaux et ne permettra pas aux nations occidentales d'ignorer ses préoccupations légitimes en matière de sécurité, a déclaré Lavrov.
Lavrov a critiqué le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell, pour avoir semblé encourager davantage de combats en Ukraine. Le chef de la diplomatie du bloc a déclaré que le conflit "sera gagné sur le champ de bataille" en annonçant une aide militaire supplémentaire à Kiev samedi dernier. Lavrov a qualifié la déclaration de "scandaleuse".
« Quand un chef diplomatique… dit qu'un certain conflit ne peut être résolu que par une action militaire… Eh bien, ce doit être quelque chose de personnel. Il s'est mal exprimé ou a parlé sans réfléchir, faisant une déclaration que personne ne lui avait demandé de faire. Mais c'est une remarque scandaleuse », a ajouté Lavrov.
Le rôle de l'UE a changé pendant la crise de sécurité en Ukraine, estime le ministre. Auparavant, il n'agissait pas comme une organisation militaire "luttant collectivement contre une menace inventée". Lavrov a déclaré que le changement était le résultat de la pression exercée sur les membres du bloc par Washington, qui l'a rapproché de l'OTAN.
Pour sa part, la Russie veut négocier la paix avec l'Ukraine, a ajouté Lavrov.
RépondreSupprimerMoscou a attaqué son voisin fin février, suite à l'échec de l'Ukraine à mettre en œuvre les termes des accords de Minsk signés en 2014, et à la reconnaissance éventuelle par la Russie des républiques du Donbass à Donetsk et Lougansk. Les protocoles négociés par l'Allemagne et la France avaient été conçus pour régulariser le statut de ces régions au sein de l'État ukrainien.
La Russie a maintenant exigé que l'Ukraine se déclare officiellement un pays neutre qui ne rejoindra jamais le bloc militaire de l'OTAN dirigé par les États-Unis. Kiev insiste sur le fait que l'offensive russe n'a pas été provoquée et a démenti les allégations selon lesquelles il prévoyait de reprendre les deux républiques par la force.
Vous pouvez partager cette histoire sur les réseaux sociaux.
https://www.algora.com/Algora_blog/2022/04/12/russia-seeks-to-end-us-dominated-world-order-lavrov
La Suède va demander son adhésion à l'OTAN - La Finlande décidera "d'ici quelques semaines"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 15:20
Les médias suédois annoncent que le pays scandinave a pris la décision de rejoindre l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, dans une décision qui ne manquera pas d'indigner Poutine - et qui pourrait entraîner de graves répercussions après les menaces répétées de Moscou contre la Finlande et la Suède alors qu'ils envisagent la mouvement.
"La Première ministre suédoise Magdalena Andersson serait impatiente que le pays rejoigne l'alliance transatlantique d'ici juin", rapporte mercredi le Daily Mail. "La candidature devrait être soumise lors de la réunion de l'OTAN à Madrid les 29 et 20 juin, selon des informations suédoises."
"L'objectif du Premier ministre Magdalena Andersson est que la Suède rejoigne l'OTAN en juin de cette année, ont indiqué des sources à SvD. L'information arrive parallèlement à la présentation aujourd'hui par la Finlande de sa nouvelle analyse de la politique de sécurité et à l'élaboration par les sociaux-démocrates suédois d'un plan pour traiter la question en interne. ", rapporte le quotidien Svenska Dagbladet basé à Stockholm.
Cela marque un renversement complet de la politique antérieure de longue date, aux côtés de la Finlande, de rester neutre sur la question de l'adhésion formelle à l'OTAN.
Dans le même temps, la Finlande, considérée comme plus importante du point de vue de la Russie compte tenu de la frontière commune de plus de 800 milles, ouvrira un débat national sérieux sur la question, également alors qu'elle envisage de demander l'adhésion à l'OTAN d'ici la fin du printemps ou de l'été. FT rapporte qu'une décision interviendra "dans quelques semaines" - sur la base de déclarations en provenance d'Helsinki.
La Première ministre finlandaise Sanna Marin et la Première ministre suédoise Magdalena Andersson se sont rencontrées mercredi à Stockholm pour tenir des consultations de haut niveau sur la manière, étant donné que la décision de l'une aurait probablement un impact important sur l'autre.
Le Premier ministre Andersson a semblé confirmer les reportages des médias suédois disant que la décision de rejoindre l'OTAN avait été prise.
RépondreSupprimerAux côtés de son homologue, Marin a déclaré sur la question lors de la conférence de presse : "Il existe différentes perspectives pour postuler (à) l'adhésion à l'OTAN ou ne pas postuler et nous devons les analyser très attentivement".
"Mais je pense que notre processus sera assez rapide, cela se fera en quelques semaines", a-t-elle ajouté.
Le DW allemand explique que la plus grande pression reste sur la Finlande, mais que la Suède aussi a ressenti de l'anxiété face aux événements qui se déroulent rapidement en Ukraine :
La Suède ne partage pas de frontière avec la Russie, mais l'île stratégique de Gottland dans la mer Baltique pourrait rendre la Suède vulnérable si un conflit éclatait dans la région.
Robert Dalsjo, directeur de recherche à l'Agence suédoise de recherche sur la défense, a déclaré que les Suédois ont réalisé "qu'ils pourraient se retrouver dans la même position que l'Ukraine : beaucoup de sympathie mais pas d'aide militaire".
Le dirigeant finlandais, quant à lui, au presseur conjoint, a fixé le calendrier d'une décision finale "avant le milieu de l'été" – et a déclaré que le pays produirait un rapport majeur sur sa nouvelle politique de sécurité à la lumière de l'agression de la Russie en Ukraine cette semaine. Cela lancera des discussions intenses au parlement finlandais - qui sont toutes considérées comme des étapes clés sur la voie de l'adhésion à l'OTAN.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/sweden-apply-nato-membership-prime-minister-announces
A savoir que tous les pays qui accueillent des armes contre la Russie seront le point de mire d'où les armes s'envolent !
SupprimerEt la Russie a assez de missiles pour détruire TOUS ces pays !
Les preuves que le missile du massacre de la gare de Kramatorsk n’est pas russe mais ukrainien
RépondreSupprimerPar Manlio Dinucci
Mondialisation.ca, 11 avril 2022
Le numéro de série du missile Tochka-U qui a frappé la gare ferroviaire de Kramatorsk, le 8 avril 2022, est (en russe) Ш91579 ou (en anglais) Sh91579. Ce numéro de série marque le stock de missiles Tochka-U en possession de l’armée ukrainienne. Seules les Forces Armées Ukrainiennes ont des missiles Tochka-U. La Russie n’en a pas depuis 2019 : ils ont tous été désactivés. Les Républiques Populaires de Donetsk et Lugansk n’ont pas et n’ont jamais eu de Tochka-U.
La direction du cône et de l’empennage (ou section de queue) du missile qui a atterri sur le terrain proche de la gare ferroviaire de Kramatorsk montre clairement qu’il été lancé par la 19eme Brigade de Missiles Ukrainienne, basée près de Dobropolie à 45 km de Kramatorsk.
Précédemment les Forces Armées Ukrainiennes ont utilisé des missiles Tochka-U de la même série comme des Ш915611, lancés sur Berdyansk et un Ш915516, lancé sur Melitopol. Les mêmes missiles ont été utilisés contre Donetsk et Lugansk.
Manlio Dinucci
https://www.byoblu.com/2022/04/11/solo-le-forze-armate-ucraine-hanno-missili-tochka-u-pangea-grandangolo-news/
Le virus et le président. Préambule.
RépondreSupprimerPar Jean-Loup Izambert et Claude Janvier
Mondialisation.ca, 12 avril 2022
Ce texte a été publié initialement le 7 janvier 2021.
Au moment où ces lignes sont écrites, le jeudi 15 octobre 2020 en matinée, plusieurs perquisitions sont menées aux domiciles et bureaux de personnalités politiques, des ministres et ex-ministres ou représentants de l’État, qui ont été ou sont impliquées dans la gestion de la crise liée à la Covid-19 : l’ancien Premier ministre, maire du Havre, Édouard Philippe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et l’ancienne porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. De même, des perquisitions sont menées chez le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, et chez la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne.
La Cour de justice de la République (CJR), dont la commission d’instruction agit comme un juge d’instruction et mène les investigations, est à l’origine de ces perquisitions. Ces opérations de police sont menées par les gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP) et de l’Office central de lutte contre la corruption et les in fractions financières et fiscales (OCLCIFF). Une information judiciaire a été ouverte en juillet 2020 pour « abstention de combattre un sinistre ». Elle s’appuie sur l’article 223-7 du Code pénal : « Quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ». Du matériel informatique, des rapports non publics, des échanges de courriels, etc. sont recherchés par les enquêteurs afin d’établir « le degré de connaissance dont disposait le gouvernement, par exemple des alertes dont il n’aurait pas tenu compte. Les masques constituent le cas le plus emblématique ».
Depuis le début de la crise sanitaire, près d’une centaine de plaintes contre des ministres ont été adressées à la CJR.
Parmi celles-ci figurent celles déposées par trois médecins membres du collectif C-19, collectif soutenu par plus de 600 membres des personnels de santé et représenté par maître Fabrice Di Vizio.
Ne préjugeons pas des décisions de la CJR et respectons le principe de la présomption d’innocence trop souvent mis à mal.
Mais, si selon l’article 68-1 de la Constitution de la Vème République, « les membres du gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions et qualifiés de crimes ou délits au moment où ils ont été commis » et « sont jugés par la Cour de justice de la République », l’histoire enseigne pourtant que celle-ci ne fut pas particulièrement sévère dans ses verdicts contre des ministres mis en cause dans différentes affaires. La clémence de décisions peu convaincantes de plusieurs d’entre elles trouverait- elle son origine dans sa composition : douze parlementaires et seulement trois juges professionnels ?! Tant de bonté dissimulée sous une couche de finasseries juridiques aux fins de contourner parfois des faits probants ne manque pas d’interpeller sur le bien-fondé de cette juridiction spéciale. Justice à deux vitesses ?
« Je suis sous le choc ce matin », dira le député LR du Haut-Rhin Jean-Luc Reitzer sans doute déjà choqué par la mise en examen de l’ancien dirigeant de son parti, Nicolas Sarkozy, pour « association de malfaiteurs » après avoir été mis en cause plusieurs fois, depuis mars 2018, pour « corruption », « recel de détournements de fonds publics », « financement illicite de campagne électorale » et placé sous contrôle judiciaire. Le président de l’UDI Jean- Christophe Lagarde n’est « pas persuadé qu’on doive perdre du temps avec ça » et ne croit « pas à la responsabilité pénale des ministres dans cette affaire ». « Normal » : même le président Macron n’est pas pénalement responsable du crime d’agression – reconnu, défini et précisé par le droit international – qu’il a perpétué en faisant bombarder la République arabe syrienne dans la nuit du 14 au 15 avril 2018. Son ami politique du RN, l’avocat-eurodéputé Gilbert Collard, y voit « une vraie déclaration de guerre de la justice au pouvoir politique » tandis que le député de France Insoumise Éric Coquerel approuve, déclarant qu’il « ne trouve pas que ces perquisitions soient opportunes, il y a une judiciarisation de la vie politique. C’est plus une mise en scène qu’autre chose. »Le Premier ministre LREM Jean Castex se joint à ce chœur de pleureuses en rendant un hommage appuyé à son « sinistre » de la Santé LREM : « Il ne ménage ni son temps ni sa grande compétence. Et c’est un atout pour notre pays. » Un « atout » qui coûte cher au pays, non ?
RépondreSupprimerL’émoi du petit monde de la petite bourgeoisie parlementaire qui se plaint de « la judiciarisation de la vie politique » tient visiblement plus aux découvertes que pourraient bien faire les enquêteurs lors de leurs investigations qu’au verdict que rendra la CJR. Nous pourrions presque parier que celui-ci se résumera en une phrase : « responsables, mais pas coupables ». Cela ne vous rappelle rien ? Eux qui passent leur temps à faire de la nuit le jour et du jour la nuit, comment ne seraient-ils pas solidaires dans la débâcle face à leurs dissimulations, leurs mensonges et leurs manipulations ?
Très curieusement, le président Emmanuel Macron, qui siège au Conseil « européen » et fait appliquer à la France les décisions du Conseil de l’Union « européenne » et de la Commission « européenne », n’est pas mis en cause.
Or, en faisant organiser la réduction des services et des dépenses de santé publique au profit de grandes sociétés privées alors que la demande de soins est de plus en plus criante et urgente – qui plus est, en pleine crise sanitaire –, il est l’un des principaux responsables de ces décisions politiques qui mettent en danger la vie de millions de Français.
Le tout petit-petit budget de la Santé de la France voté par une majorité de parlementaires n’est pas un budget de la République fraternelle répondant aux besoins des Français. Ses grandes orientations sont décidées à l’étranger et privilégient les seuls intérêts financiers égoïstes de grandes sociétés privées, principalement anglo-saxonnes, au détriment de l’intérêt général. Ce qui s’appelle favoriser « un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes »…
Par cette enquête sur les « assassins financiers » et leurs protecteurs au pouvoir qui détruisent tous les fondements de notre protection sociale et dissolvent les liens qui nous permettent de faire société en tuant l’emploi salarié, nous apportons de nouveaux éléments nécessaires à la manifestation de la vérité.
Ceux-ci contribuent à éclairer sur les raisons pour lesquelles la crise sanitaire de la Covid-19 s’est développée et a été amplifiée de manière démesurée et mensongère. Aussi, les questions qui dérangent doivent être posées: quels en sont les responsables à Bruxelles et à Paris, comment truquent-ils les faits et, surtout, au profit de qui ?
RépondreSupprimerJean-Loup Izambert & Claude Janvier Octobre 2020
https://www.mondialisation.ca/le-virus-et-le-president-preambule/5652522
(...) Au moment où ces lignes sont écrites, le jeudi 15 octobre 2020 en matinée, plusieurs perquisitions sont menées aux domiciles et bureaux de personnalités politiques, des ministres et ex-ministres ou représentants de l’État, qui ont été ou sont impliquées dans la gestion de la crise liée à la Covid-19 : l’ancien Premier ministre, maire du Havre, Édouard Philippe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et l’ancienne porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. De même, des perquisitions sont menées chez le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, et chez la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. (...)
SupprimerPrévenus qq jours avant because qu'il y a un 'Ministère de la justice' donc non-indépendante de l’État.
L’extrémiste n’est pas celui qu’on croit
RépondreSupprimerPar Dominique Muselet
Mondialisation.ca, 12 avril 2022
Dès que les résultats du 1er tour ont été connus : Macron, 27,6%, le Pen, 23,4%, et Mélenchon 22%, la tactique imaginée à l’avance pour discréditer Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon, qui en plus sont arrivés bien plus haut que les sondages ne l’avaient prédit et bien plus haut que Macron et ses sbires ne l’auraient souhaité, s’est mise en place sur tous des plateaux de télévision d’où toute voix dissidente a été complètement bannie pendant le quinquennat de Macron.
Mentir
C’est évidemment une tactique caricaturale, mensongère et manipulatoire, comme tout ce qui sort de la TV, car les dirigeants des démocraties occidentales et leurs sous-fifres ont pris l’habitude de mentir, carrément ou par omission, à leurs populations, pour les contrôler et les exploiter sans avoir à employer la force brutale.
Je n’emploie pas par hasard le mot exploiter. Sous le règne de Macron, la France est devenue officiellement une Start up Nation dont le siège est aux Etats-Unis. Il n’y a donc plus de citoyens, en France, il n’y a plus qu’un patron qui exploite des salariés et des ressources, et, en face, des employés exploités à divers degrés. Au moins, c’est clair ! Et, nous, les employés, nous sommes de simples subalternes (certains esprits chagrins diraient esclaves) dont le rôle est de travailler, travailler, travailler pour le seul profit des nantis, sous les ordres des gardes-chiourmes du patron. Si les employés se mettent à penser ou, pire, à protester, alors le patron Macron sort la trique. Les Gilets jaunes en savent quelque chose. Le patron a le monopole de la violence, ce qui est bien pratique. Il dispose de toute une panoplie de triques : pressions et violences administratives, législatives, policières, judiciaires, économiques, médiatiques, physiques, morales, sans compter la censure (heureusement il y a encore des plateformes sur Internet qu’il ne peut pas fermer), les arrestations arbitraires, etc. A mon avis, les disparitions ne vont pas tarder.
Ceux, qu’en Occident, on appelait autrefois des dirigeants, sont désormais officiellement des exploitants qui exploitent leurs pays et ses habitants pour des puissances étrangères, notamment les États-Unis, des entités supranationales comme l’UE, et/ou des multinationales financières, agroalimentaires, industrielles, pharmaceutiques, pétrolières, etc.
Les exemples de pillage, de corruption, de gabegie, abondent sous Macron, qui nous avait promis une République exemplaire, comme sous les présidents précédents. Il y a par exemple, la scandaleuse vente au rabais d’Alsthom, qui fabrique les moteurs de nos centrales, et qu’il faudrait maintenant racheter aux Etasuniens au double du prix pour garder notre indépendance nucléaire, ou l’achat de milliards de vaccins inutiles pendant la fausse pandémie de Covid-19, ou encore l’achat de gaz de schistes hors de prix aux Etats-Unis pour remplacer le gaz russe abondant et bon marché, sans compter le démantèlement des services et entreprises publics, EDF en tête, pour les privatiser.
Terroriser
RépondreSupprimerPour en revenir aux élections. Il s’agit donc maintenant de faire gagner à nouveau Macron, le patron de la Start up France, qui a donné toute satisfaction à ses commanditaires. Le problème, c’est qu’il est haï par tous ses employés, et quand je dis haï, c’est haï. Comment faire ?
Il n’y a qu’à faire peur aux électeurs ! C’est une tactique qui a fait ses preuves après le 11 septembre 2001 et qui est devenue incontournable pour contrôler des populations toujours plus misérables et opprimées. Depuis le 11 septembre, nos maîtres ne nous laissent plus respirer. Nous sommes soumis à un déluge de menaces, pour la plupart exagérées quand elles ne sont pas carrément inventées ou fabriquées, inlassablement montées en épingle par des médias aux ordres. Tout est prétexte à nous faire peur, les attentats dont on avait moins de chance d’être victime qu’en traversant la rue et qui étaient la rançon des massacres que nous commettions dans des pays lointains dont on convoitait les ressources, ont permis de réduire fortement les libertés publiques ; le réchauffement climatique, alors que la montée des eaux est de quelques millimètres par siècle, comme le dit Christian Gérondeau, sert de bouche-trou quand aucune autre menace n’est disponible ; la fausse pandémie de Covid-19 a permis de détruire une partie de la classe moyenne et d’expérimenter des techniques de contrôle inédites, pour faire avancer le fantasme de Nouvel ordre mondial des mondialistes ; et last but not least, on agite la possibilité d’une attaque nucléaire de Poutine, le dernier Hitler en date, après Milosevic, Saddam Hussein, Kadhafi, Bashar el Assad, Maduro, et tous les autres Hitler dont l’Occident voulait se débarrasser pour piller leurs pays. Car, sans pillage, le niveau de vie des Occidentaux ne serait pas ce qu’il est…
La peur des extrêmes
Et donc c’est encore et toujours la peur, cette fois la peur des extrêmes, que les médias attisent depuis hier soir pour faire réélire Macron. Qui est extrémiste selon eux ? Eh bien évidemment Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon, les challengers de leur idole en or massif qui ne manquera pas de faire ruisseler de la poudre dorée sur eux en remerciement de leur soutien intéressé.
Rien n’amuse plus les journalistes de plateaux que de renvoyer Mélenchon et le Pen dos à dos. Cela suscite l’ire de Mélenchon et le décrédibilise doublement en le faisant passer pour un extrémiste doublé d’un colérique. Quant à Le Pen, en plus d’être extrémiste, cela la fait apparaître comme aussi irresponsable que Mélenchon sur le plan économique.
Le procédé est d’autant plus malhonnête que le seul extrémiste dans l’histoire, c’est Macron, mais il n’y a rien de mieux que l’inversion accusatoire pour couper l’herbe sous le pied des opposants. C’est ce qu’ils font en Ukraine en se dépêchant d’accuser Poutine des massacres commis par les nationalistes ukrainiens.
Mélenchon n’a rien d’un extrémiste. Il n’est même pas communiste au sens marxiste du terme. Il ne prône pas la suppression de la propriété privée des moyens de production, ni la lutte des classes, et encore moins la révolution. Il s’élève contre les inégalités, l’indécence de certaines fortunes et le mauvais sort réservé aux Français les moins riches et il veut redonner du pouvoir au peuple à travers le RIC et la révocation des élus. Son programme est social certes, mais il n’est pas à proprement parler anticapitaliste, ni même aussi révolutionnaire que celui du Conseil national de la résistance à qui on doit notamment le régime général de la sécurité sociale et les congés payés, et qu’on ne qualifiait pas d’extrémiste en 1943. De plus Mélenchon a renoncé à sortir de l’UE et de l’OTAN et s’est quasiment aligné sur la doxa officielle en ce qui concerne la guerre d’Ukraine. Il n’a même pas osé souligner, comme l’a fait Nathalie Arthaud, « la responsabilité écrasante des Etats-Unis et de leurs alliés au sein de l’OTAN » dans le déclenchement de cette guerre.
Quant à Marine le Pen, on ne peut pas être plus conformiste. Pour être élue, elle a complètement lissé son personnage et son programme, et elle est devenue irréprochable. Un véritable blanchiment qui lui permet de faire maintenant campagne sur l’unité, l’accueil, l’entente cordiale, pour ne pas dire la communion universelle, sans que cela ne choque personne. Elle a battu Macron à la course de la bienveillance. C’est habile car Macron en avait fait le thème de sa campagne en 2017, mais en fait de bienveillance, on a eu des mains arrachées, des yeux crevés, des amendes, de la prison et de la censure. Une répression jugée extrême par beaucoup d’observateurs internationaux…
RépondreSupprimerIl n’y a pas qu’en matière de répression que Macron s’est révélé extrémiste. Sa gestion du Covid aussi a été extrémiste, dans son désir d’emmerder les Français qui ne voulaient pas jouer à Macron a dit. Il n’y a guère qu’en France par exemple que nous avons été obligés sous peine d’amende de nous signer à nous-mêmes des autorisations de sorties d’une heure.
Pendant son règne, la France est passée de démocratie complète (environ 20 pays) à démocratie défaillante, en attendant, s’il est réélu, de passer à régime autoritaire, dans le classement de The Economist .
Macron est un extrémiste néolibéral. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle le président des riches. Il a décidé de transvaser toutes les richesses de la France et des Français dans les poches des puissants. Prendre aux pauvres pour donner aux riches, n’est-ce pas un peu excessif ? Non ! Pour les ventouses de plateaux TV, c’est le contraire qui serait excessif…
Macron appartient à l’extrême-centre, qui a été parfaitement théorisé par Pierre Serna dans L’extrême centre ou le poison français. Dans son livre, Serna tente de répondre à la question : « Comment l’expression d’un propos moyen s’accompagne-t-elle finalement de la plus extrême dureté politique et sociale de l’exécutif ? » Il montre « comment la scène politique se verrouille à partir du moment où l’on déconsidère et sa droite et sa gauche (…) Cette configuration forge un incontournable absolu et donne les coudées franches à l’autorité qui s’en justifie jusqu’à l’héroïsme (…) Les garanties n’existant pas ou plus, leur franchissement se conduit au rythme de coups d’État vrais ou rampants, différés ou pas ».
Intimidation
RépondreSupprimerL’intimidation est une autre façon de faire taire et/ou de discréditer l’opposition à Macron. Les éditocrates stipendiés y sont passé maître. En voilà un exemple tout récent.
Lundi 11 avril, au matin du lendemain du 1er tour, Pascal Praud harcèle le malheureux Thomas Portes de la FI, encore mal remis d’une nuit sans sommeil. La technique de Praud est simple et efficace. Il pose des questions pièges qu’il répète 10 fois, de plus en plus vite et de plus en plus fort :
« Mélenchon a dit de ne pas donner une seule voix à Marine le Pen. Cela laisse deux options, voter blanc ou pour Macron. Qu’est-ce que vous allez voter ?
-Je ne voterai pas pour Marine le Pen.
-Oui mais qu’est-ce que vous allez voter ? répète Pascal Praud à plusieurs reprises. Sous l’avalanche, Thomas Portes se tortille mais ne cède pas :
Je ne vous le dirai pas, c’est personnel !
-Alors si je comprends bien, vous allez voter blanc ! », un crime, sans nul doute, à en juger par le ton triomphant de notre journaliste militant qui passe immédiatement à la seconde salve d’attaques :
« Est-ce que votre programme fonctionne ? Où a-t-il été appliqué ? »
Outre que ça n’est pas parce qu’il n’a jamais été appliqué qu’un programme ne peut pas fonctionner, Thomas Portes aurait bien une réponse : en Amérique Latine, par exemple. Mais s’il dit cela, il aura droit à Venezuelaaa… dictateur Madurooo… et toutes les bêtises habituelles. Il se retrouve donc sur la défensive et ne peut que répéter sur tous les tons :
« Notre projet est parfaitement réalisable et il mérite d’être mis en œuvre… »
Et voilà le travail ! La campagne du second tour va être sanglante nous ont assuré les experts ventouses des plateaux de TV, de moins en moins nombreux à cause de la censure, et de plus en plus vieux, à l’image de l’électorat de Macron.
La campagne va être sanglante. Les petits soldats du pouvoir feront tout pour ça car ils adorent l’odeur du sang. Ils ont aiguisé leurs langues acérées et s’apprêtent à couper la gorge de tous ceux qui n’encensent pas Macron avec la même ferveur qu’eux.
Mais moi, je m’en fiche, je ne regarderai pas la TV. Le duel Macron-Le Pen ne m’intéresse pas. Pour moi, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. D’ailleurs je n’irai pas voter au second tour. Par contre, j’irai voter aux législatives pour envoyer beaucoup de députés LFI à l’Assemblée nationale. J’espère bien qu’il y a aura au moins une centaine de parlementaires LFI dans la prochaine Assemblée et, si mon vœu est exaucé, je souhaite bien du plaisir à celui ou celle qui sera alors présidentE…
Dominique Muselet
https://www.mondialisation.ca/lextremiste-nest-pas-celui-quon-croit/5667170
(...) Pendant son règne, la France est passée de démocratie complète (environ 20 pays) à démocratie défaillante, en attendant, s’il est réélu, de passer à régime autoritaire, dans le classement de The Economist . (...)
SupprimerHAHAHA ! La France n'EST PAS une Démocratie mais une république (c-à-dire une dictature comme le sont les monarchies ou empires. C-à-d aussi que c'est "Peuple: Tu fermes ta gueule ! Des tuteurs vont voter pour toi !" HAHAHA !).
Alors qu'il n'y a qu'UN SEUL pays en Démocratie dans le monde ! La Suisse.
En Suisse, les suisses proposent EUX-MÊMES LEURS lois et votent EUX-MÊMES LEURS lois !
Donc, ne parlons pas des 'gilets jaunes' qui n'ont JAMAIS proposé la Démocratie en France ! (c'est tout dire pour quels partis ils travaillent !).
La révolution financière mondiale à venir. La Russie suit le modèle américain.
RépondreSupprimerPar Ellen Brown
Mondialisation.ca, 11 avril 2022
Aucun pays n’a réussi à défier l’hégémonie mondiale du dollar américain – jusqu’à présent. Comment cela est-il arrivé et qu’est-ce que cela signifie ?
Les critiques étrangers s’insurgent depuis longtemps contre le « privilège exorbitant » du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale. Les États-Unis peuvent émettre cette monnaie qui n’est garantie par rien d’autre que « la pleine foi et le crédit des États-Unis ». Les gouvernements étrangers, qui ont besoin de dollars, non seulement les acceptent dans le commerce mais achètent des titres américains avec, finançant ainsi le gouvernement américain et ses guerres étrangères. Mais aucun gouvernement n’a été assez puissant pour rompre cet arrangement – jusqu’à présent. Comment cela est-il arrivé et quelles en seront les conséquences pour l’économie américaine et mondiale ?
L’ascension et la chute du pétrodollar
Tout d’abord, un peu d’histoire : Le dollar américain a été adopté comme monnaie de réserve mondiale lors de la conférence de Bretton Woods en 1944, alors que le dollar était encore soutenu par l’or sur les marchés mondiaux. L’accord prévoyait que l’or et le dollar seraient acceptés de manière interchangeable comme réserves mondiales, les dollars étant remboursables en or sur demande à 35 dollars l’once. Les taux de change des autres monnaies étaient fixés par rapport au dollar.
Mais cet accord a été rompu après que la politique « canons contre beurre » du président Lyndon Johnson a épuisé la cagnotte américaine en finançant la guerre au Vietnam et ses programmes sociaux de la « Grande Société ». Le président français Charles de Gaulle, soupçonnant les États-Unis d’être à court d’argent, a échangé une grande partie des dollars français contre de l’or et a menacé d’échanger le reste ; d’autres pays ont fait de même ou ont menacé de le faire.
En 1971, le président Richard Nixon a mis fin à la convertibilité du dollar en or au niveau international (connu sous le nom de « fermeture de la fenêtre de l’or »), afin d’éviter de vider les réserves d’or des États-Unis. La valeur du dollar s’est alors effondrée par rapport aux autres monnaies sur les marchés mondiaux. Pour le soutenir, Nixon et le secrétaire d’État Henry Kissinger ont conclu un accord avec l’Arabie saoudite et les pays de l’OPEP selon lequel l’OPEP ne vendrait le pétrole qu’en dollars, et que les dollars seraient déposés dans les banques de Wall Street et de la City de Londres. En contrepartie, les États-Unis défendraient militairement les pays de l’OPEP. Le chercheur en économie William Engdahl présente également des preuves d’une promesse selon laquelle le prix du pétrole serait quadruplé. Une crise pétrolière déclenchée par une brève guerre au Moyen-Orient a effectivement fait quadrupler le prix du pétrole, et l’accord de l’OPEP a été finalisé en 1974.
L’accord a tenu jusqu’en 2000, lorsque Saddam Hussein l’a rompu en vendant le pétrole irakien en euros. Le président libyen Mouammar Kadhafi a fait de même. Les deux présidents ont été assassinés, et leurs pays ont été décimés par la guerre avec les États-Unis. Le chercheur canadien Matthew Ehret observe :
RépondreSupprimer« N’oublions pas que l’alliance Soudan-Libye-Égypte, sous la direction combinée de Moubarak, Kadhafi et Bashir, avait entrepris d’établir un nouveau système financier adossé à l’or, en dehors du FMI et de la Banque mondiale, afin de financer un développement à grande échelle en Afrique. Si ce programme n’avait pas été sapé par la destruction de la Libye sous l’égide de l’OTAN, le dépeçage du Soudan et le changement de régime en Égypte, le monde aurait vu l’émergence d’un bloc régional majeur d’États africains façonnant leur propre destin pour la première fois dans l’histoire en dehors du jeu truqué de la finance contrôlée par les Anglo-Américains.
L’ascension du PetroRouble
Le premier défi lancé par une grande puissance à ce qui était connu sous le nom de pétrodollar a eu lieu en 2022. Dans le mois qui a suivi le début du conflit en Ukraine, les États-Unis et leurs alliés européens ont imposé de lourdes sanctions financières à la Russie en réponse à l’invasion militaire illégale. Les mesures occidentales comprenaient le gel de près de la moitié des 640 milliards de dollars américains de réserves financières de la banque centrale russe, l’expulsion de plusieurs des plus grandes banques russes du système de paiement mondial SWIFT, l’imposition de contrôles à l’exportation visant à limiter l’accès de la Russie aux technologies de pointe, la fermeture de leur espace aérien et de leurs ports aux avions et aux navires russes, et l’instauration de sanctions personnelles à l’encontre de hauts fonctionnaires russes et de magnats très en vue. Les Russes inquiets se sont précipités pour retirer des roubles de leurs banques, et la valeur du rouble a plongé sur les marchés mondiaux tout comme le dollar américain l’avait fait au début des années 1970.
La confiance placée dans le dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale, soutenue par « la pleine foi et le crédit des États-Unis », a finalement été entièrement brisée. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré dans un discours prononcé le 16 mars que les États-Unis et l’Union européenne avaient manqué à leurs obligations et que le gel des réserves de la Russie marquait la fin de la fiabilité des actifs dits de première classe. Le 23 mars, Poutine a annoncé que le gaz naturel russe serait vendu aux « pays inamicaux » uniquement en roubles russes, plutôt qu’en euros ou en dollars, comme c’est le cas actuellement. Quarante-huit nations sont considérées par la Russie comme « inamicales », dont les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Ukraine, la Suisse, la Corée du Sud, Singapour, la Norvège, le Canada et le Japon.
Poutine a noté que plus de la moitié de la population mondiale reste « amie » de la Russie. Les pays qui n’ont pas voté en faveur des sanctions comprennent deux grandes puissances – la Chine et l’Inde – ainsi que le principal producteur de pétrole, le Venezuela, la Turquie et d’autres pays du Sud. Les pays « amis », a déclaré Poutine, peuvent désormais acheter à la Russie dans différentes devises.
Le 24 mars, le législateur russe Pavel Zavalny a déclaré lors d’une conférence de presse que le gaz pourrait être vendu à l’Occident contre des roubles ou de l’or, et aux pays « amis » contre la monnaie nationale ou des bitcoins.
RépondreSupprimerLes ministres de l’Énergie des pays du G7 ont rejeté la demande de Poutine, affirmant qu’elle violait les termes des contrats de gaz qui exigent une vente en euros ou en dollars. Mais le 28 mars, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la Russie n’était « pas engagée dans la charité » et qu’elle ne fournirait pas de gaz à l’Europe gratuitement (ce qu’elle ferait si les ventes se faisaient en euros ou en dollars qu’elle ne peut actuellement pas utiliser dans le commerce). Les sanctions elles-mêmes constituent une violation de l’accord visant à honorer les devises sur les marchés mondiaux.
Bloomberg rapporte que le 30 mars, Viatcheslav Volodine, président de la chambre basse du Parlement russe, a suggéré dans un message sur Telegram que la Russie pourrait étendre la liste des produits pour lesquels elle exige d’être payée en roubles (ou en or) par l’Occident, afin d’inclure les céréales, le pétrole, les métaux, etc. L’économie de la Russie est beaucoup plus petite que celle des États-Unis et de l’Union européenne, mais la Russie est un fournisseur mondial majeur de produits de base essentiels – non seulement le pétrole, le gaz naturel et les céréales, mais aussi le bois, les engrais, le nickel, le titane, le palladium, le charbon, l’azote et les métaux des terres rares utilisés dans la production de puces informatiques, de véhicules électriques et d’avions.
Le 2 avril, le géant gazier russe Gazprom a officiellement interrompu toutes les livraisons à l’Europe via le gazoduc Yamal-Europe, une artère critique pour l’approvisionnement énergétique européen.
Richard Werner, professeur d’économie au Royaume-Uni, qualifie la manœuvre russe d’astucieuse – une répétition de ce que les États-Unis ont fait dans les années 1970. Pour obtenir des produits russes, les pays « inamicaux » devront acheter des roubles, ce qui fera grimper la valeur du rouble sur les marchés mondiaux, tout comme le besoin de pétrodollars a soutenu le dollar américain après 1974. En effet, le 30 mars, le rouble avait déjà atteint le niveau où il se trouvait un mois plus tôt.
Une page du manuel du « système américain »
RépondreSupprimerLa Russie suit les États-Unis non seulement en liant sa monnaie nationale aux ventes d’un produit de base essentiel, mais aussi en suivant un protocole antérieur – ce que les dirigeants américains du XIXe siècle appelaient le « système américain » de monnaie et de crédit souverains. Ses trois piliers étaient (a) des subventions fédérales pour les améliorations internes et pour soutenir les industries naissantes de la nation, (b) des tarifs douaniers pour protéger ces industries, et (c) un crédit facile émis par une banque nationale.
Michael Hudson, professeur d’économie et auteur de « Super-Impérialisme : La stratégie économique de l’empire américain », parmi de nombreux autres ouvrages, note que les sanctions obligent la Russie à faire ce qu’elle a été réticente à faire elle-même : réduire sa dépendance à l’égard des importations et développer ses propres industries et infrastructures. L’effet, dit-il, est équivalent à celui des tarifs douaniers protecteurs. Dans un article intitulé « L’empire américain s’autodétruit », Hudson écrit au sujet des sanctions russes (qui remontent en fait à 2014) :
« La Russie était restée trop captivée par l’idéologie du marché libre pour prendre des mesures visant à protéger sa propre agriculture ou son industrie. Les États-Unis ont apporté l’aide nécessaire en imposant à la Russie une autonomie intérieure (via les sanctions). Lorsque les États baltes ont perdu le marché russe du fromage et d’autres produits agricoles, la Russie a rapidement créé son propre secteur fromager et laitier – tout en devenant le premier exportateur mondial de céréales. …
La Russie découvre (ou est sur le point de découvrir) qu’elle n’a pas besoin de dollars américains pour garantir le taux de change du rouble. Sa banque centrale peut créer les roubles nécessaires pour payer les salaires nationaux et financer la formation de capital. Les confiscations américaines pourraient donc finalement amener la Russie à mettre fin à la philosophie monétaire néolibérale, comme le préconise depuis longtemps Sergey Glaziev en faveur de la MMT [Modern Monetary Theory]. …
Ce que les pays étrangers n’ont pas fait d’eux-mêmes – remplacer le FMI, la Banque mondiale et les autres bras de la diplomatie américaine – les politiciens américains les obligent à le faire. Au lieu que les pays d’Europe, du Proche-Orient et du Sud se séparent en fonction de leur propre calcul de leurs intérêts économiques à long terme, les États-Unis les poussent à s’éloigner, comme elle l’a fait avec la Russie et la Chine. »
Glazyev et la réinitialisation eurasiatique
RépondreSupprimerSergey Glazyev, mentionné par Hudson ci-dessus, est un ancien conseiller du président Vladimir Poutine et le ministre de l’Intégration et de la Macroéconomie de la Commission économique eurasiatique, l’organe de réglementation de l’Union économique eurasiatique (UEE). Il a proposé d’utiliser des outils similaires à ceux du « système américain », notamment en transformant la Banque centrale de Russie en une « banque nationale » émettant la propre monnaie de la Russie et des crédits pour le développement interne. Le 25 février, Glazyev a publié une analyse des sanctions américaines intitulée « Sanctions et souveraineté », dans laquelle il déclare :
« Les dommages causés par les sanctions financières américaines sont inextricablement liés à la politique monétaire de la Banque de Russie … Son essence se résume à lier étroitement l’émission du rouble aux recettes d’exportation et le taux de change du rouble au dollar. En fait, une pénurie artificielle d’argent est créée dans l’économie, et la politique stricte de la Banque centrale entraîne une augmentation du coût des prêts, ce qui tue l’activité commerciale et entrave le développement des infrastructures dans le pays. »
Glazyev a déclaré que si la banque centrale remplaçait les prêts retirés par ses partenaires occidentaux par ses propres prêts, la capacité de crédit russe augmenterait considérablement, ce qui empêcherait une baisse de l’activité économique sans créer d’inflation.
La Russie a accepté de vendre du pétrole à l’Inde dans sa propre monnaie souveraine, la roupie, à la Chine en yuan et à la Turquie en lira. Ces monnaies nationales peuvent ensuite être dépensées pour acheter les biens et services vendus par ces pays. On pourrait soutenir que chaque pays devrait être en mesure de commercer sur les marchés mondiaux dans sa propre monnaie souveraine ; c’est ce qu’est une monnaie fiduciaire – un moyen d’échange soutenu par l’accord de la population de l’accepter comme valeur pour ses biens et services, soutenu par la « pleine foi et le crédit » de la nation.
Mais ce type de système de troc mondial s’effondrerait, tout comme les systèmes de troc locaux, si l’une des parties à l’échange ne voulait pas des biens ou des services de l’autre partie. Dans ce cas, une monnaie de réserve intermédiaire serait nécessaire pour servir de moyen d’échange.
Glazyev et ses homologues y travaillent. Dans une interview traduite publiée sur The Saker, Glazyev a déclaré :
« Nous travaillons actuellement sur un projet d’accord international sur l’introduction d’une nouvelle monnaie de règlement mondiale, arrimée aux monnaies nationales des pays participants et aux biens échangés qui déterminent les valeurs réelles. Nous n’aurons plus besoin des banques américaines et européennes. Un nouveau système de paiement basé sur des technologies numériques modernes avec une blockchain se développe dans le monde, où les banques perdent de leur importance. »
La Russie et la Chine ont toutes deux développé des alternatives au système de messagerie SWIFT, dont certaines banques russes ont été bloquées. Le commentateur Alexander Mercouris, basé à Londres, fait l’observationintéressante que sortir de SWIFT signifie que les banques occidentales ne peuvent pas suivre les transactions russes et chinoises.
RépondreSupprimerL’analyste géopolitique Pepe Escobar résume les plans pour une réinitialisation financière eurasienne/chinoise dans un article intitulé « Dites bonjour à l’or russe et au petroyuan chinois ». Il écrit :
« Cela a été long à venir, mais enfin certains linéaments clés des nouvelles fondations du monde multipolaire sont révélés.
Vendredi [11 mars], après une réunion par vidéoconférence, l’Union économique eurasiatique (UEE) et la Chine ont convenu de concevoir le mécanisme d’un système monétaire et financier international indépendant. L’UEE est composée de la Russie, du Kazakhstan, du Kirghizstan, du Belarus et de l’Arménie. Elle établit des accords de libre-échange avec d’autres nations eurasiatiques et s’interconnecte progressivement avec l’Initiative Ceinture et Route chinoise (BRI).
À toutes fins utiles, l’idée vient de Sergey Glazyev, le principal économiste indépendant de Russie.
De manière assez diplomatique, Glazyev a attribué la concrétisation de l’idée aux « défis et risques communs associés au ralentissement économique mondial et aux mesures restrictives à l’encontre des États de l’UEE et de la Chine ». …
Traduction : la Chine étant une puissance eurasiatique au même titre que la Russie, elles doivent coordonner leurs stratégies pour contourner le système unipolaire américain.
Le système eurasiatique sera basé sur « une nouvelle monnaie internationale », très probablement avec le yuan comme référence, calculée comme un indice des monnaies nationales des pays participants, ainsi que des prix des matières premières. …
Le système eurasiatique est appelé à devenir une alternative sérieuse au dollar américain, car l’UEE pourrait attirer non seulement les nations qui ont rejoint la BRI … mais aussi les principaux acteurs de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) ainsi que l’ASEAN. Les acteurs d’Asie occidentale – Iran, Irak, Syrie, Liban – seront inévitablement intéressés. »
Privilège exorbitant ou charge exorbitante ?
Si ce système réussit, quel sera l’effet sur l’économie américaine ? Le stratège en investissement Lynn Alden écrit dans une analyse détaillée intitulée « La rupture du système de réserve monétaire mondial des États-Unis » qu’il y aura une douleur à court terme, mais qu’à long terme, l’économie américaine en bénéficiera. Le sujet est complexe, mais l’essentiel est que la domination de la monnaie de réserve a entraîné la destruction de notre base manufacturière et l’accumulation d’une dette fédérale massive. Le partage de la charge de la monnaie de réserve aurait l’effet que les sanctions ont sur l’économie russe – en soutenant les industries nationales comme le ferait une taxe douanière, ce qui permettrait de reconstruire la base manufacturière américaine.
D’autres commentateurs affirment également qu’être la seule monnaie de réserve mondiale est moins un privilège exorbitant qu’un fardeau exorbitant. La perte de ce statut ne mettrait pas fin à l’importance du dollar américain, qui est trop fortement ancré dans la finance mondiale pour être délogé. Mais cela pourrait bien signifier la fin du pétrodollar en tant que seule monnaie de réserve mondiale, et la fin des guerres pétrolières dévastatrices qu’il a financées pour maintenir sa domination.
RépondreSupprimerEllen Brown
https://www.mondialisation.ca/la-revolution-financiere-mondiale-a-venir-la-russie-suit-le-modele-americain/5667143
ANALYSE ÉCONOMICO-POLITIQUE DE LA FRANCE : LES CAUSES DE SA DÉCADENCE
RépondreSupprimerpar DANIEL MOINIER
08/04/2022
Le PIB de la France en 2021 a atteint 2.463 milliards d'euros.
Ce mois d’avril 2022 peut être une période cruciale pour l’avenir de notre pays. Personne ne peut ignorer que nous sommes en campagne électorale et que le sort de la France dépendra du scrutin final du 24 avril. Vous allez dire comme à chaque élection ! Certainement pas ! et pourtant la France vient de voir sa dette passer allégrement les 100%. 98,1% avant la crise Covid et jusqu’à 116,3% au plus haut fin septembre 2021. Ce qui représente 2834,3 Mds d’euros, soit la plus forte dette des pays européens. De plus, le taux d’intérêt de la dette qui était encore au taux de 0.35%, vient de passer à 1,20% le 03 avril dernier, ce qui va fortement augmenter nos remboursements.
Depuis l’année 2020 et l’arrivée du Covid, la France a emprunté 560 Milliards d’euros soit 24% du PIB.
Le PIB de 2019 était de 2437 Mds d’euros, il a baissé en 2020 à 2302 Mds (- 7,9%) et remonté à 2463 Mds en 2021 (+ 7%) suite à une forte reprise.
Il est intéressant de rappeler que le traité européen de Maastricht de 1992 fixait une limite de dette publique à 60% du PIB. La France l’a dépassée en fin d’année 2002 pour ne plus repasser en dessous.
Alors que la crise Covid s’estompe et que la reprise bat son plein, que va devenir notre PIB avec la guerre en Ukraine et toutes ces perturbations économiques internationales ?
- voir graph sur site -
Les causes de notre enlisement progressif depuis plus de 50 ans
En premier les deux chocs pétroliers dus à deux guerres : En 1973, celle du Kipour et en 1979, celle de l’Iran.
-Le premier est devenu une crise mondiale du prix du pétrole avec l’embargo de l’OPEP et l’abandon des accords de Bretton-Woods qui ont fait multiplier son prix par quatre ! Les effets vont se faire sentir jusqu’en 1978.
-Le deuxième choc pétrolier a pris sa source avec la révolution iranienne et la guerre Iran-Irak amplifiée par une demande mondiale grandissante. Le prix a été multiplié par 2,7 entre 1978 et 1981. Tous les pays ont été touchés mais plus encore les pays d’Asie et du tiers monde.
-Les années Mitterrand : le 04 octobre 1981, 1ère dévaluation du franc de 3%. Puis le 12 juin 1982, 2ème dévaluation du franc de 5,75%, suivi d’un fort plan de rigueur et cela ne s’arrangeant pas, une 3ème dévaluation le 21 mars 1983 de 2,75% a été necessaire. Le franc a perdu 8% par rapport au mark.
RépondreSupprimerC’est surtout 4 ordonnances qui ont bousculé complètement notre économie, entrainant la France dans une grave récession, dévaluations et forte augmentation du chômage :
5 ème semaine de congés payées
39 heures payées 40
8 mai redevenu férié (enlevé par VGE)
Retraite passant de 65 à 60 ans : Ce qui a occasionné une perte sur 5 années (65 – 60 ans) de 27 Milliards d’heures travaillées soit 300 Mds d’euros (perte par année depuis 1983 en euros d’aujourd’hui).
Il faut souligner aussi que ces 5 années de retraite supplémentaire n’ont pas été cotisées, soit une perte de 4,7% part salarié et 8,2% part employeur sur chaque heure supprimée. Sur 1800 heures effectuées par année par 23.804.000 salariés, c’est énorme. Si cela était calculé par notre euro d’aujourd’hui et un salaire moyen de 2500€/mois, il y aurait encore 7,67 Milliards perdus.
Les dévalutions et les largesses salariales ont très fortement diminué les rentrées pour l’état et le pouvoir d’achat de nos concitoyens. Le seul recours trouvé : Augmentation des charges et impôts.
-En 1982, la TVA classique passe de 17,6 à 18,6%, 20% aujourd’hui.
-Mitterrand initiateur du moins 3% de déficit autorisé par an.
-30 novembre 1988 : Création du RMI, la « machine » pour faire disparaître des chômeurs et diminuer le nombre de pauvres en France, devenu RSA en 2009.
-La CSG a été créée en 1991 pour diminuer la dette sociale avec un taux de 1,1% et la RDS en 1996 au taux de 0,5%. Les différents gouvernements se sont servis de la CSG pour essayer de réduire les déficits de l’état, des retraites, de la Sécurité Sociale, de l’Assedic... Elle touche avec des taux très variable et modulables,
les revenus professionnels, du patrimoine, les placements, les retraites, les allocations chômage, les préretraites d’invalidité… le total avec le prélèvement de solidarité et la RDS peut atteindre 17,2% !
-Les charges sur salaires qui étaient en 1945 de 6% employé et 6% employeur (pour info 3,5% en 1936 pour les 2) sont passées de 21% à 23% part salariée et de 25 à 42% part patronale, soit multiplié par 3,66 part employé et par 5,5 pour la part moyenne employeur !!! Même si de fortes minorations ont été mises en place par François Fillon au niveau du smic et 1,5 fois le smic pour essayer de sauver nos entreprises.
-Les 35 heures en 2000 ont donné le coup de grâce à notre économie. C’est une baisse des heures travaillées de plus de 10% et un coût employeur de plus de 20% si l’on tient compte de l’investissement pour des employeurs plus industriels. Pendant cinq ans, ces employeurs ont boosté la productivité pour remonter leur marge brute, celle-ci était tombée à 28,6%, alors que les Allemands étaient à 41,2%, les Italiens à 40,4% et les Espagnols à 41,4%. Le CICE de François Hollande l’a fait remonter à 32%. Mais nous avons encore près de 10 points de différence avec l’Allemagne ce qui peut expliquer pour une part, notre mauvais score et déficit à l’export.
-Suite aux différentes hausses d’impositions et la création de nouveaux impôts, la barre était devenue trop haute pour notre tissu industriel qui en partie a rendu l’âme. Les faillites ont été de plus en plus nombreuses augmentant d’autant les licenciements avec auparavant de nombreux blocages d’usine, des saccages, des manifestations…jusqu’à mai 68, trois mois de blocage du pays.
RépondreSupprimerLes délocalisations se sont enchaînées dans beaucoup de secteurs surtout ceux en concurrence directe avec les pays de l’est, du Magrehb et encore plus ceux d’extrême Orient, le premier ayant été le Japon, puis tous les autres, y compris le Bingladesh, l’Indonésie… et aussi avec une concurrence européenne des pays ayant un niveau de vie encore un peu inférieur avec beaucoup moins d’imposition.
-La France est le pays d’Europe où la part de l’industrie dans le PIB est maintenant la plus faible (hors Grèce).
Cette part n’est plus que de 10 %, contre 25 % dans les années 1975, alors que la norme en la matière se situe, au plan européen, à 20,0 %. Et les effectifs de ce secteur d’activité sont passés de 6,2 millions de personnes à la fin des « Trente glorieuses » à 2,7 millions à présent. Notre machine économique se trouve donc amputée de plus de la moitié de son potentiel contributif à la création de richesse du pays.
Le tableau des chiffres ci-dessous publié par la revue suisse IRDEM mérite d’être examiné avec attention :
- voir cadre sur site (Suisse 12400. France 4500 !) -
NOTA : Pourquoi la Suisse est si performante : Elle a toujours gardé la retraite à 65 ans et sans pré-retraite instituée mais aussi 43 heures de travail par semaine, dont 1 heure gratuite instituée par votation suite à la crise de 2008.
-La production industrielle apparaît ainsi comme une variable explicative très sûre de la prospérité des pays. La France est seulement à 4 500 dollars de production industrielle par habitant, alors que l’Allemagne se situe à 7 700, la Suède à 8 300 et la Suisse à 12 400. Avec une production industrielle par habitant relativement faible, notre pays a tout naturellement un revenu per capita qui est loin d’être l’un des plus élevés d’Europe : en 2017, il était seulement selon les statistiques de la BIRD, de 38 476 dollars, contre 48 223 dollars aux Pays Bas, 53 442 dollars en Suède, et 80 189 dollars en Suisse.
Cet affaiblissement considérable du secteur industriel dans notre pays explique parfaitement le taux de chômage très élevé caractérisant l’économie française, le déficit de notre balance commerciale et plus de 8 millions de pauvres malgré les aides sociales les plus élevées du monde : 776 Mds par an (gestion comprise) et des prélèvements à 47,6% du PIB alors que la moyenne de l’UE est de 39,7% et de l’OCDE à 34,1%.
-La contribution du secteur industriel à la formation du PIB est passée, dans notre pays, de 25,0 % dans les années 1975 à 10,0 % aujourd’hui (hors BTP), alors que la norme en la matière se situe, au plan européen, à 20,0 %. Et les effectifs de ce secteur d’activité sont passés de 6,2 millions de personnes à la fin des « Trente glorieuses » à 2,7 millions à présent. Notre machine économique se trouve donc amputée de plus de la moitié de son potentiel contributif à la création de richesse du pays. Aussi, avec ce taux de 10,0 %, qui est le plus faible de tous les pays de l’Union européenne, la Grèce mise à part, notre système économique doit-il être considéré comme sinistré.
-Les cessations anticipées d’activité ou pré-retraites ont commencé très tôt : Création dans les années 60 de l’AS-FNE, puis en 1972 la Garantie de ressources, en 1982 la cessation progressive d’activité, en 1983 la DRE, en 1992 la PRP, en 1994 l’ARPE, en 1995 le CFA, en 1998 la CAATA et la CATS, en 2002 les RACL et les Retraites Anticipées pour Handicap, en 1999 le CS, en 2010 les Retraites Anticipées pour les personnes exposées à l’Amiante et la possibilité de partir à 60 ans si entrée en activité avant 18 ans, en 2012 décret Hollande, départs anticipés pour carrières longues et carrières commencées avant 20 ans et les Retraites Anticipées pour Pénibilité, en 2014 le C3P.
RépondreSupprimer-Le seul décret Hollande de 2012 (préretraite avec démarrage de carrière avant 20 ans) a mis sitôt après 153.000 salariés de plus en préretraite avec un coût 11,5 milliards de plus par année.
-Ce lancement de préretraites ou retraites anticipées est venu de la théorie que plus on mettait des seniors en retraite, plus il y avait d’emplois pour les jeunes. Grave erreur, il a fallu plus de 40 ans pour s’apercevoir que c’était l’inverse. Plus on a mis des seniors en retraite tôt, plus le chômage des jeunes a explosé.
-Le constat est simple : Le taux d’emploi des jeunes qui était à peu de chose près égal à celui des seniors : A moins de 5% dans les années 1969/70 est passé à plus de 28% dans les années 2012/13 !
NOTA : Pour ne pas amputer encore plus les charges du budget français, Il serait nécessaire d’indexer les pré-retraites sur l’augmentation de la durée d’activité et l’idéal sur la durée de vie des retraités.
- voir graph sur site -
Explications : Concordance entre emploi seniors et emploi jeunes:
1 personne qui part en retraite = 1 de salaire (de 60 ans environs)
= 1 de charges (salariées et employeur)
= 0,7 de pension payée
Soit : = 2,7 de perdu
1 jeune entre 20/25ans = 0,40 de salaire
= 0,40 de charges (S+E)
Soit = 0,80
2,7 par rapport à 0,80 = 3,375 c'est à dire plus de 3 jeunes embauchés pour ne pas y perdre en PIB, pouvoir d'achat, charges, impôts…
Si l'on rajoute les pertes de pouvoir d'achat et impôts supplémentaires :
+ 35% de revenu en moins (différence salaire/pension)
+ 40% d'impôts en moins (idem)
Soit 0,7 en plus, on arrive donc à la valeur de 4 jeunes
Si l’on voulait simplement garder le même niveau de PIB, pouvoir d’achat….,il faudrait embaucher 4 jeunes (20 à 25 ans) à chaque départ de retraité pour être simplement à égalité. (Ce qui ne serait même pas suffisant pour ne plus être en dette, avec du chômage)
Chaque départ empêche donc, environs 3 jeunes embauchés. (Ou équivalent financier)
RépondreSupprimerSans parler de la perte de savoir-faire moins mesurable.
Autre constat : A chaque 2 salariés licenciés, 1 autre va pointer au chômage sous les 3 mois.
L’inverse est vrai : Avec l’embauche de 2 chômeurs, c’est un autre qui retrouve un emploi sous trois mois.
Autre perte :
-En 1945, Il y avait 6 salariés pour un retraité, en 2021, il n’y avait plus que 1,4 salarié pour 1. Sans allonger la durée d’activité notre système va « exploser » dans peu d’années !!!
C’est la durée de vie qui augmente encore de 7 heures par jour (soit 23 années depuis 1945) alors que la durée de travail qui a régressé (trop) contribue à presque tous nos déficits/Dettes.
-En conséquence, il manquait avant Covid plus de 25% de PIB, soit 25% d’heures travaillées puisque c’est proportionnel dans presque tous les pays, pour avoir un état avec des comptes au minimum équilibrés. Soit un manque de 11.500 heures travaillées sur la durée de vie de chaque salarié.
Il serait nécessaire pour être pérenne d’établir la durée d’activité proportionnelle à la durée de vie des retraités.
Pour terminer, une comparaison France-Europe
- voir cadre sur site -
Rien que sur ces 6 postes, le montant de dépassement financier est de : 138 Milliards d’euros soit bien plus que le déficit annuel hors Covid. Malgré cela, les résultats ne sont pas à la hauteur, notamment dans l’enseignement, la santé, le chômage…
Aucun(e) candidat(e) n’a osé mettre dans son programme une augmentation du temps de travail hebdomadaire (certains veulent même le diminuer à 32 h voire 28 h !!!). J’oubliais, si, Valérie Pécresse avait bien mis les 39 heures et au fil de la campagne cela s’est transformé en négociations entre syndicats et entreprises !
http://www.economiematin.fr/news-histoire-economie-politique-france-analyse-presidentielle-moinier
Un "blizzard historique" frappe les plaines du nord avec des pieds de neige
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 22:40
Bien qu'il ne soit pas tout à fait inhabituel pour les plaines du nord d'observer une tempête de neige si tard dans la saison, c'est l'intensité de la dernière tempête, qui frappe aujourd'hui certaines parties du Dakota du Nord et de l'est du Montana, qui est véritablement "historique", selon le National Service météorologique (NWS).
Le NWS a déclaré qu'un "blizzard historique" a commencé à toucher les plaines du nord mercredi et se poursuivra jusqu'à jeudi. De la neige abondante et des vents forts produiront des conditions de voile blanc. Les déplacements dans certaines parties de l'est du Montana et de l'ouest et du centre du Dakota du Nord seront gravement touchés. Les estimations régionales des chutes de neige totales pourraient atteindre trois pieds.
- voir photos sur site -
Ce qui est préoccupant, c'est que les Grandes Plaines du Nord font partie intégrante de l'approvisionnement alimentaire du pays, avec de vastes terres consacrées aux cultures et au bétail. Le NWS avertit que "des impacts significatifs sur le bétail sont possibles". Au début de la saison de croissance, la neige pourrait retarder les plantations ou perturber ce qui a déjà été planté. Tout cela survient alors que les prix alimentaires mondiaux sont à un niveau record et que les chaînes d'approvisionnement sont toujours mutilées.
https://www.zerohedge.com/weather/historic-blizzard-pounds-northern-plains-feet-snow
Le gouverneur de Géorgie, Kemp, signe un projet de loi de «portage constitutionnel»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 14 AVRIL 2022 - 00:20
Écrit par Isabel van Brugen via The Epoch Times (c'est nous qui soulignons),
Le gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, a signé mardi un projet de loi qui autorise immédiatement le port d'armes de poing sans permis pour la plupart des résidents de l'État.
La mesure, le projet de loi 319 du Sénat, surnommée la Georgia Constitutional Carry Act, a été adoptée par la législature le 1er avril principalement selon les lignes de parti.
Il permet aux résidents de porter une arme à feu dissimulée sans permis, à l'exception des personnes reconnues coupables d'un crime ou de celles qui ont été traitées pour certains problèmes de santé mentale au cours des cinq dernières années.
Le gouverneur républicain a déclaré lors d'une cérémonie de signature que la nouvelle loi permet aux Géorgiens "de se protéger sans avoir à obtenir l'autorisation du gouvernement de votre État".
"La Constitution des États-Unis nous donne ce droit, pas le gouvernement", a déclaré Kemp.
Les républicains soutiennent que l'exigence d'un permis de transport, qui coûte environ 75 $, enfreint les droits des armes à feu du deuxième amendement. Ils citent également des retards d'autorisation dans certains comtés de Géorgie pendant la pandémie de COVID-19.
Le sénateur républicain de l'État de Géorgie, Jason Anavitarte, l'un des parrains du projet de loi, a déclaré lors de la cérémonie de signature : "Aujourd'hui, c'était une victoire pour la sûreté, la sécurité et les droits constitutionnels des Géorgiens qui travaillent dur".
"Ce projet de loi concerne l'autoprotection et l'autonomisation", a déclaré Anavitarte. "Il s'agit de dissuader les criminels et de donner aux citoyens respectueux des lois les moyens de se défendre et de défendre leur famille."
Les démocrates de Géorgie ont organisé un rassemblement mardi pour protester contre la législation, qui supprime la vérification des antécédents pour un permis de port d'une arme de poing chargée ou dissimulée en public. Les démocrates notent que plus de 5 000 personnes ont demandé des permis l'année dernière et ont été bloquées, et disent que la police et le public seront désormais confrontés au danger de certaines de ces personnes portant des armes à feu.
Des vérifications des antécédents seraient toujours nécessaires lors de l'achat d'une arme de poing dans un magasin ou chez un revendeur, a rapporté l'Atlanta Journal-Constitution.
"Oui, je crois au deuxième amendement", a déclaré la sénatrice Donzella James, une démocrate d'Atlanta. "Mais pourquoi étendons-nous l'accès aux armes à tout le monde?"
"Nous refusons d'accepter une Géorgie où il est plus facile pour les criminels de porter des armes mais difficile pour de nombreux Géorgiens d'obtenir des soins de santé", ont écrit les démocrates de Géorgie sur Twitter. "Nous devons changer de direction en novembre et vaincre Brian Kemp."
La Géorgie est le 25e État doté d'une telle loi, et le 10e ajouté au cours des deux dernières années.
"Les gens n'ont pas à porter s'ils ne veulent pas", a déclaré Kemp aux journalistes mardi. "Mais c'est une autorité constitutionnelle que les gens ont, et ils ne devraient certainement pas avoir un morceau de papier du gouvernement pour pouvoir légalement porter une arme."
L'Associated Press a contribué à ce rapport.
https://www.zerohedge.com/political/georgia-gov-kemp-signs-constitutional-carry-bill-law
"Les gens ont peur" - L'augmentation de la criminalité à Los Angeles migre vers les codes postaux riches
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 AVRIL 2022 - 19:45
Rédigé par James Varney via RealClear Investigations,
Le 22 mars, en plein jour d'une journée typiquement magnifique à Beverly Hills, des voleurs en sweat à capuche et lunettes de soleil ont pris un marteau sur la vitre de la boutique de Peter Sedghi et ont fouillé furieusement dans les éclats. En moins de 90 secondes, les voleurs ont volé plus de 3 millions de dollars de bijoux. Deux jours plus tard, en réponse à une vague de vols haut de gamme, le département de police de Los Angeles a annoncé qu'il n'y aurait aucune arrestation. Au lieu de cela, il a averti les résidents d'Hollywood de ne pas porter de bijoux de haute qualité en public.
"Beverly Hills est l'un des quartiers les plus riches et les plus sûrs du monde et maintenant tout le monde a peur", a déclaré Sedghi.
"Tous mes clients - personne ne porte quoi que ce soit."
La criminalité a considérablement augmenté à Los Angeles, ainsi que dans de nombreuses autres grandes villes, depuis le début de la pandémie et les manifestations de l'été dernier contre la violence policière ont entraîné la réduction de nombreux budgets des forces de l'ordre. Les reportages documentent la peur croissante à Los Angeles et le crime est devenu le problème majeur à la fois de la prochaine élection du maire et d'un éventuel rappel du procureur de district. Il n'est peut-être pas surprenant que les questions de race et de classe soient à l'origine de cette préoccupation, bien qu'elles aient une nouvelle tournure.
Les quartiers riches et à prédominance blanche ont connu les hausses les plus marquées dans un large éventail de crimes, selon une analyse menée pour RealClearInvestigations par le criminologue John Lott du Centre de recherche sur la prévention du crime.
- voir carte sur site -
Des zones emblématiques telles que Beverly Hills (90210, en surbrillance) et Bel Air connaissent des pics de criminalité démesurés.
Les codes postaux affichant les augmentations les plus importantes abritent des stars du cinéma et de la pop, dont Beverly Hills, de la renommée "90210", où Beyonce et Jay-Z ont leur maison sur la côte ouest ; Bel Air, de la renommée de "Fresh Prince" Will Smith, où Jennifer Lopez réside maintenant ; et Los Feliz, où Katy Perry et Orlando Bloom partagent une maison et où Angelina Jolie réside depuis son divorce avec Brad Pitt. À proximité, le service postal américain a suspendu la livraison dans un quartier de Santa Monica – une ville où des célébrités telles que Tom Cruise, Christian Bale et Sandra Bullock auraient des maisons – parce que "plusieurs transporteurs ont été agressés et menacés d'agression".
L'analyse de Lott (données ici), qui met en corrélation les statistiques du recensement et de la criminalité du LAPD pour la période de janvier 2019 à janvier 2022, révèle également que ces quartiers représentent désormais des parts beaucoup plus importantes du nombre total de crimes commis à Los Angeles. Il montre que plus la zone est riche et blanche, plus l'augmentation des totaux bruts de la criminalité et des pourcentages de la criminalité urbaine totale est importante. Cela comprend un large éventail de crimes, allant du vol qualifié, du cambriolage, du vol à l'étalage et du vol de voiture aux voies de fait graves et au viol. Bien que les quartiers pauvres et minoritaires enregistrent toujours le plus grand nombre total de crimes, y compris des crimes violents tels que le meurtre, la transition vers des quartiers relativement plus sûrs est prononcée.
RépondreSupprimerAlors que le nombre total de viols a chuté à Los Angeles au cours de la période de 37 mois étudiée, leur part a grimpé en flèche dans les quartiers à prédominance blanche – augmentant de 18,2 % dans les quartiers où ils représentent 81 % à 100 % des résidents.
L'analyse de Lott a révélé une tendance similaire pour les voies de fait graves.
Lott a également constaté que si le nombre de vols signalés dans la ville a légèrement diminué, la part du nombre total de crimes a fortement augmenté dans les codes postaux les plus riches et les plus blancs, augmentant de 11,8 % par an au cours des 37 mois dans les quartiers les plus blancs.
«Pour les valeurs médianes des maisons, la part des vols a chuté de 4,9% pour les maisons les plus chères, mais elle a augmenté de 9,7% par an pour les codes postaux où la maison médiane était de 1 à 1,5 million de dollars, et de 15,2% pour les codes postaux où le la maison médiane était de 1,5 à 2 millions de dollars », a déclaré Lott.
La peur est plus prononcée que jamais dans les quartiers chics, selon plusieurs Angelenos familiers avec le territoire des riches et célèbres. C'est évidemment en partie parce que les roues de fantaisie souvent vues dans les rues de Beverly Hills, Brentwood ou d'autres communautés haut de gamme ont également été les principales cibles des voleurs, selon l'analyse de Lott.
Bien que Lott n'ait analysé que les données de Los Angeles, des preuves anecdotiques et des reportages suggèrent que des tendances similaires pourraient se produire à Chicago, New York, Philadelphie et d'autres villes connaissant des vagues de criminalité.
"Vous voyez des gens briser du verre et voler sur le Miracle Mile à Chicago, des vidéos de gens dans les villes portant simplement des sacs remplis de vêtements qu'ils ont volés", a déclaré Lott. « Je ne pense pas que nous ayons jamais vu un tel crime aux États-Unis.
«Il y a sûrement eu un changement dans l'endroit où les crimes se produisent, passant de revenus plus faibles à des valeurs de propriété plus élevées et à plus d'endroits. J'ai été surpris par son ampleur. »
Ce qui a rendu les quartiers à nouveau isolés vulnérables est difficile à cerner. RealClearInvestigations a contacté le LAPD et le département du shérif du comté de Los Angeles, ainsi que le département de police de Beverly Hills, mais aucune des trois agences n'a renvoyé les appels téléphoniques ni répondu aux questions par courrier électronique. Les détails sur la race ou l'origine ethnique des personnes impliquées dans les crimes n'étaient donc généralement pas disponibles. Il n'y avait pas non plus d'évaluations officielles permettant de déterminer si l'un des incidents constituait des crimes de haine.
Lott a noté comment les électeurs californiens ont déplacé l'aiguille sur le crime ces dernières années. La proposition 47 a décriminalisé un certain nombre d'accusations de vol et de drogue, les transformant en délits, comme elle l'a fait pour plusieurs crimes « non violents ». Les électeurs ont également approuvé la proposition 57, qui permet la libération anticipée des délinquants non violents.
RépondreSupprimerLos Angeles et d'autres centres urbains, y compris la région de Washington, D.C., ont également été récemment en proie au phénomène du "tourisme criminel", dans lequel des gangs organisés d'Amérique du Sud obtiennent des visas en ligne et se rendent dans le Golden State pour cambrioler des résidences - des opérations qui ont ciblé les maisons de luxe.
"Ils viennent ici dans le but de cibler des quartiers", a déclaré un policier du comté voisin de Ventura à la filiale d'ABC à Los Angeles le 23 mars.
Le Los Angeles Times a rapporté cette semaine que plus d'une douzaine de gangs "ciblaient certains des habitants les plus riches de la ville … envoyant des équipes dans plusieurs voitures pour trouver, suivre et voler des personnes conduisant des véhicules haut de gamme ou portant des bijoux coûteux, selon police."
« Tous mes clients – personne ne porte rien » : Peter Sedghi devant sa bijouterie saccagée. PA
Lili Bosse, récemment élue maire de Beverly Hills pour la troisième fois, a déclaré qu'elle voyait le crime frapper des zones autrefois apparemment isolées comme une extension de ce qui se passe dans toute la ville. "Nous vivons dans le chaos, on dirait Gotham City", a-t-elle déclaré à RCI. « Les gens ont été traumatisés, peu importe où ils vivent. Ce n'est pas seulement une question de sécurité physique, cela affecte le sentiment de bien-être mental. À Los Angeles, il y a un sentiment d'anxiété et d'incertitude.
En effet, un regard sur les « autres vols » en dehors des cambriolages et des véhicules à moteur montre également un changement notable vers les légendaires quartiers riches de Tinseltown.
Entre 2019 et 2022, les autres vols ont augmenté de 16,7 % là où les prix médians des maisons dépassent 2 millions de dollars, et de 8,7 % là où les maisons varient de 1,5 à 2 millions de dollars, « ce qui est cher même à Los Angeles », a noté Lott. Pendant ce temps, là où les maisons se situent entre 400 000 $ et 500 000 $, les autres vols ont chuté de 5,5 % et de 4,6 % là où la maison médiane est inférieure à 400 000 $, a montré l'analyse.
Ces changements s'ajoutent à certains incidents qui ont fait la une des journaux et qui ont ébranlé les riches et les célébrités. En décembre dernier, Jacqueline Avant, l'épouse afro-américaine du chef de Motown Records, Clarence Avant, a été assassinée dans sa maison de Beverly Hills, et en janvier, Brianna Kupfer, une étudiante blanche diplômée de l'UCLA, a été tuée lors d'une attaque au hasard dans un magasin de meubles de luxe à Brentwood.
Bosse a mis l'accent sur le crime lors de sa récente victoire, et la question a occupé le devant de la scène dans la politique de Los Angeles. La course du maire a vu le développeur milliardaire Rick Caruso faire de la montée de la criminalité une pièce maîtresse de sa campagne, promettant de restaurer les rangs et le financement du LAPD, qui a vu les deux réduits depuis que George Floyd a été assassiné par un policier de Minneapolis en 2020. Dernière En juillet, le conseil municipal a voté pour réduire l'argent du LAPD de 150 millions de dollars.
Mais plus encore que la course du maire, le dégoût et la vulnérabilité ressentis par de nombreux Angelenos alimentent l'effort de rappel contre le procureur de district George Gascon. Financé par plus de 3 millions de dollars des PAC financés par George Soros, Gascon est arrivé au pouvoir avec la promesse de « bouleverser notre système judiciaire ».
RépondreSupprimerLes forces de révocation gasconnes espèrent suivre la voie de la célèbre libérale San Francisco, qui a mis sur le bulletin de vote une révocation du procureur de district progressiste Chesa Boudin – qui a tenu sa promesse de réformer radicalement la justice pénale depuis son élection en 2019. Et l'argent affluant vers l'effort gascon semblerait refléter les tendances détectées dans l'analyse de Lott pour RCI.
Les démocrates à gros sous qui vivent dans les quartiers les plus tonitruants de Los Angeles ont contribué au rappel de Gascon, selon un récent article du magazine Los Angeles qui citait un regard exclusif sur des listes de donateurs encore inédites.
L'article nommait l'héritier du supermarché et copain de Bill Clinton, Ron Burkle, des titans du cinéma comme Mike Medavoy, fondateur d'Orion Pictures, et des groupeurs de campagne d'Hillary Clinton tels que Jordan Kaplan de Pacific Palisades.
Mais parmi les partisans les plus ardents du rappel de Gascon se trouvent les rangs de ses procureurs de district adjoints qui sont déjà engagés dans des poursuites contre certaines de ses initiatives de gauche, comme le refus de déposer des améliorations sur les accusations que les procureurs adjoints disent que la loi californienne exige des procureurs.
"Le DA ne demande pas de caution pour les délinquants non violents et les criminels ne sont pas tenus responsables d'avoir une arme à feu", a déclaré Eric Siddall, président de l'Association des procureurs de district adjoints, leur syndicat. "C'est l'une des raisons pour lesquelles vous voyez que dans les quartiers traditionnellement considérés comme sûrs - personne n'est détenu, personne n'est plus tenu pour responsable."
Siddall pense que les chiffres montrant un grand changement vers les quartiers plus privilégiés de Los Angeles pourraient être moins prononcés parce que «les crimes contre les biens non violents sont les plus sous-déclarés de tous, ce qui se produit pour des facteurs tels que la relation que les gens entretiennent avec la police, la victime en a envie cela ne sert à rien de le signaler, ou ils pourraient craindre des représailles.
Dans les cercles plus cols blancs, cependant, a déclaré Siddall, la peur du crime modifie les comportements.
"Pour l'anecdote, je ne peux pas vous dire combien de personnes sont venues me voir et m'ont demandé si je pouvais recommander un certain type d'arme à feu", a-t-il déclaré. "Les gens s'inscrivent à des cours de formation sur les armes à feu, et ce sont des gens qui n'ont jamais pensé auparavant dans leur vie à avoir une arme à feu."
Gascon était un architecte de la proposition 47, la mesure de dépénalisation, et un partisan de la proposition 57, la mesure de libération anticipée. L'élan pourrait prendre de l'ampleur pour l'abrogation de la première initiative, ainsi que la possibilité d'un changement majeur parmi les principaux postes élus de Los Angeles.
Pour l'instant, cependant, cela offre peu de réconfort aux Angelenos qui ne sont pas habitués à ressentir le pincement du crime.
"Beaucoup de gens ont peur", a déclaré Sedghi. « Tout le monde pense au crime et s'inquiète d'être une victime. Les gens regardent derrière eux tout le temps en rentrant chez eux, craignant d'être suivis.
https://www.zerohedge.com/political/las-crime-surge-migrates-wealthy-zip-codes
L'USPS cesse de livrer du courrier à Santa Monica, en Californie, en raison de l'aggravation de la criminalité
RépondreSupprimermercredi 13 avril 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Le service postal des États-Unis (USPS) a été contraint de cesser de livrer le courrier à la ville de Santa Monica, en Californie, en raison de l'aggravation de la criminalité dans la région.
Le journaliste de CBS News, Jeff Nguyen, a déclaré que l'USPS avait informé les gens de la suspension de la livraison du courrier par le biais d'une lettre affichée sur les maisons et les appartements. "Le service de livraison est suspendu à toutes les adresses situées sur le bloc 1300 de la 14e rue", indique la lettre du 7 avril. Les personnes qui vivent dans les environs où la livraison du courrier est suspendue ont été invitées à récupérer les lettres et les colis à l'installation USPS de la 7e rue, la plus proche de la zone.
"[USPS] ne prend pas de décision de suspendre le service à la légère. Plusieurs transporteurs ont fait l'objet d'agressions et de menaces d'agression de la part d'un individu qui n'a pas été localisé ni appréhendé. La sécurité de nos employés et du courrier qu'ils vous livrent est notre plus grande préoccupation.
La lettre, signée par le maître de poste de Santa Monica, Marjorie Watson, se terminait en demandant aux gens "de la patience et de la compréhension alors que [l'USPS] s'efforce d'éliminer le problème de sécurité". (Connexe: L.A. est tellement criminel et dangereux, le chef du syndicat de la police avertit les touristes de rester à l'écart.)
La résidente de Santa Monica, Courtney Smith, a rejoint les nombreux propriétaires qui ont exprimé leur mécontentement face à l'annonce. "Ma réaction immédiate n'a été que de la déception [et] de la frustration", a-t-elle déclaré à Nguyen dans une interview. « Je ressens beaucoup de compassion pour les facteurs. Ils ne devraient pas avoir à gérer ça. »
Clayton Canning, un autre résident de Santa Monica affecté, a déclaré que l'USPS livrait toujours le courrier – bien que sur une base limitée. Il a déclaré à CBS News que "depuis la suspension du courrier quotidien, l'USPS vient toujours dans notre bloc, [mais] exclusif pour la livraison de colis. Pas de courrier papier, [pas] d'enveloppes, juste des colis.
Depuis qu'elle a reçu la lettre dans son complexe d'appartements situé dans le bloc 1300, Smith et les autres résidents n'ont reçu aucune mise à jour sur la fin de la suspension. "Ne rien faire n'est pas la solution", a-t-elle fait remarquer.
Le suspect derrière les attaques contre les facteurs est toujours en fuite
«Nous avons parlé au département de police de Santa Monica (SMPD), qui nous a dit que le seul cas d'agression impliquant un facteur dont ils ont connaissance remonte au 9 janvier. Cela s'est produit près du coin de l'Arizona et de la 14e rue, où un client a attaqué le porteur avec un manche à balai et lui a laissé une petite coupure au bras », a expliqué Nguyen. Cependant, le SMPD a ajouté que même la victime a refusé de porter plainte.
Selon le lieutenant Erika Aklufi du SMPD, il y avait en effet un rapport d'un suspect agressant un membre du personnel de l'USPS avec un manche à balai. Elle a ajouté que le service de police connaît l'agresseur, qui est un résident de la région et a eu des démêlés avec la loi.
Aklufi a ajouté que la lettre de l'USPS a été portée à l'attention du SMPD dans la soirée du 9 avril. "L'USPS a publié la lettre et, à notre connaissance, n'a pas contacté notre département avant de l'envoyer. J'ai essayé d'appeler les deux numéros de téléphone sur la lettre. L'un est resté sans réponse, [tandis que] l'autre avait une boîte vocale pleine », a-t-elle déclaré.
RépondreSupprimer«S'il y avait d'autres incidents d'attaques de transporteurs de courrier USPS, nous n'avons pas été en mesure de localiser des rapports supplémentaires. Sans parler au maître de poste, il sera difficile de connaître l'ampleur de ce problème. Je n'ai jamais entendu parler de [USPS] suspendant le service pour tous les résidents d'un quartier [avant].
Une déclaration du 11 avril du SMPD, qui a été mise à jour le lendemain, a fait la lumière sur l'auteur.
« En ce qui concerne les informations concernant le suspect, sa dernière arrestation remonte au 6 avril pour délits – vandalisme et possession d'accessoires de consommation de drogue. Alors que le suspect a été arrêté au cours du week-end, il a été libéré de sa garde à vue avec une citation à comparaître devant le tribunal en mai », a-t-il déclaré.
« Il fait également actuellement l'objet d'une enquête pour deux incidents survenus en mars, une batterie et des menaces criminelles. Une fois terminés, ces cas seront présentés au procureur de la ville [pour les délits] ou au procureur de district [pour les crimes] pour examen.
CaliforniaCollapse.news a plus d'histoires sur l'aggravation des taux de criminalité à Santa Monica et dans d'autres villes du Golden State.
Regardez Gabor "Gabe" Zolna parler de la suspension du service de livraison USPS à Santa Monica ci-dessous.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne zolnareport.com sur Brighteon.com.
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Sources include:
En-Volve.com
YouTube.com
CBSNews.com
SMMirror.com
SantaMonica.gov
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-13-usps-stops-delivering-mail-to-santa-monica.html
Si jamais la production alimentaire s'arrêtait, la planète manquerait de nourriture en seulement 90 jours
RépondreSupprimerMercredi 13 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La plupart des gens qui vivent en Occident en ce moment ignorent parfaitement à quel point le monde est proche de voir une famine et une famine généralisées. Si les apports alimentaires continuent de faiblir en raison du mauvais temps, de l'inflation, des sanctions et d'autres facteurs, le monde entier pourrait manquer de nourriture en seulement trois mois.
Cela ne veut pas dire dans trois mois, juste pour être clair. À partir du moment où la production alimentaire s'arrêterait hypothétiquement en raison de la chute d'une pièce majeure du puzzle, l'approvisionnement alimentaire s'épuiserait en seulement 90 jours.
"Nous sommes bien plus proches d'un cataclysme mondial potentiel que la plupart des gens n'oseraient l'imaginer", écrit Michael Snyder du blog The Economic Collapse.
"En ce moment, des dirigeants de tous les horizons politiques nous avertissent ouvertement qu'une crise alimentaire mondiale approche. Mais quand les gens du monde occidental entendent parler de tels avertissements, la plupart d'entre eux supposent que ce sera juste quelque chose qui affectera les pauvres en Afrique ou en Asie. Malheureusement, ce ne sera pas le cas cette fois-ci. »
Le fondateur de la compagnie d'assurance agricole Climate Corporation affirme que la planète n'a que trois mois de nourriture à la fois
Snyder est convaincu, sur la base de ses recherches approfondies, que le monde se dirige vers un "territoire sans précédent" - ou ce que la Bible appelle le Temps des Troubles de Jacob ou la Grande Tribulation.
Les gens vont voir et expérimenter des choses qu'ils n'auraient jamais cru possibles, en particulier dans les pays «prospères» comme les États-Unis où la nourriture bon marché et facile (relativement parlant), par exemple, a été à la fois abondante et ininterrompue. Il semble que très bientôt les choses vont changer pour le pire.
RépondreSupprimerLes premiers dominos à tomber ont été la main-d'œuvre et les chaînes d'approvisionnement en raison de la pandémie de coronavirus de Wuhan (Covid-19). Les fermetures, les fermetures d'entreprises, les mandats de masques et autres diktats fascistes ont vraiment fait bouger les choses, et maintenant le conflit en Ukraine semble viser directement l'approvisionnement alimentaire.
"La faim dans le monde avait déjà augmenté régulièrement au cours des deux dernières années en raison de la pandémie de COVID, et maintenant une confluence d'événements ici en 2022 menace de créer un véritable cauchemar mondial", explique Snyder.
"En ce moment, nous mangeons encore des aliments qui ont été cultivés auparavant, mais ce sont les aliments qui ne seront pas cultivés dans les mois à venir qui seront le vrai problème. Parce que la vérité est que nous n'avons pas du tout de tampon avec lequel travailler.
"La planète Terre entière exploite un approvisionnement alimentaire de 90 jours, ce qui signifie qu'une fois que nous arrêtons de produire de la nourriture, les humains manquent de nourriture en 90 jours", a expliqué le fondateur de Climate Corporation, David Friedberg, dans une récente interview avec le podcast "All-in". .
Climate Corporation est une compagnie d'assurance agricole et Friedberg est un ancien cadre de Google. Son entreprise évalue ce type de choses à des fins de souscription, et l'avenir s'annonce extrêmement sombre.
« Le prix de l'azote est passé de 200 $ à 1 000 $, le prix du potassium est passé de 200 $ à 700 $ et le prix du phosphore est passé de 250 $ à 700 $. Alors maintenant, il est si coûteux de faire pousser une culture que de nombreux agriculteurs du monde entier retirent des acres de la production. Ils vont donc moins pousser cette année qu'ils ne l'auraient fait autrement parce que c'est très cher et qu'ils n'ont pas accès aux engrais », a-t-il ajouté.
"Les approvisionnements alimentaires vont baisser et cela va être catastrophique."
RépondreSupprimerSi les agriculteurs sont contraints d'essayer de faire pousser des cultures sans engrais, les rendements vont chuter. L'impact à long terme sera catastrophique.
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEconomicCollapseBlog.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-13-food-production-stops-food-runs-out-90-days.html