- ENTREE de SECOURS -



vendredi 15 avril 2022

Une élection présidentielle pour quelle démocratie ?

Par Jean-Yves Jézéquel

Mondialisation.ca, 14 avril 2022


Le discours de Sieyès du 7 septembre 1789 était pourtant simple à comprendre : « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif; ce serait un État démocratique. Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. »

Il a fallu que l’essentiel des libertés publiques et individuelles soient annulées, interdites, censurées, en France, par la seule volonté du Triumvirat (Young Global Leaders) Sarkozy, Hollande et Macron, pour que les Français réalisent enfin qu’ils n’étaient pas en démocratie, qu’ils n’ont jamais été en démocratie ! Des siècles après le discours de Sieyès ils ne savaient pas encore que la France n’était pas une démocratie ! 

Dans une démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’Etat qui obéit : l’Etat Nation est supérieur à L’Etat dit « profond » ou jacobin, aux appareils d’Etat, aux institutions chargées d’organiser la vie de la Nation et de veiller aux intérêts du bien commun ! Dans une vraie démocratie ceux qui ont des responsabilités doivent commander en obéissant. S’ils n’obéissent pas le peuple les vire sans attendre plus longtemps. Ce modèle de démocratie n’a rien à voir avec la France jacobine…

Combien de fois, dans votre vie, vous avez entendu rabâcher que la France était une démocratie ? C’est constamment que les politiques et les manipulateurs de l’opinion publique, comme les journalistes radoteurs, nous rappellent sans cesse qu’on est « en démocratie » ! Nous n’avons jamais été en démocratie en France : c’est écrit noir sur blanc dans les textes fondateurs de la République française, comme ce texte de Sieyès l’exprime si lumineusement. 


De plus l’Etat jacobin a passé son temps, depuis qu’il existe, à infantiliser les Français en les traitant dernièrement de « Gaulois réfractaires » auxquels il faut imposer des lois depuis le centralisme parisien hors des réalités concernant les Français ! Vous avez déjà rencontré un politicien ou un journaliste cultivé qui connaîtrait vraiment l’histoire ? Personnellement je n’ai jamais rencontré ce type de personne, ni dans la caste des guignols de la politique, ni dans celle des arriérés mentaux du journalisme « élitiste » ! 

Pour Hegel, c’est le propre du peuple que de n’être pas en condition de se gouverner par lui-même : étant « la partie qui ne sait pas ce qu’elle veut », il doit, du fait de son ignorance, s’en remettre aux « fonctionnaires supérieurs », seuls capables d’agir dans l’intérêt général. Pour Hegel, « savoir ce que l’on veut (…) cela est le fruit d’une connaissance et d’une intelligence profondes, qui justement ne sont pas ce qui caractérise le peuple (…) (les hauts fonctionnaires, énarques et autres), ou « fonctionnaires supérieurs » possèdent nécessairement une intelligence supérieure plus profonde et plus vaste de la nature des institutions et des besoins de l’État et en plus une habileté et une habitude plus grandes de ces affaires. » (Cf., Philosophie du Droit, 301, cité par Weil Éric, Hegel et l’État, Paris, Vrin, 2002, p. 65.)

En résumé, selon ces grands penseurs qui font référence, le peuple est stupide, débile, arriéré, voir ignorant et inepte, par conséquent, « inutile » ou « substituable » ! Voilà sur quoi sont basées les postures d’arrogance des dominants qui se croient « supérieurs » aux dominés, avec le droit « naturel » de les tyranniser à souhait ! Macron vient de passer ces cinq dernières années à mettre en application cette conception du pouvoir !

Aujourd’hui, le pouvoir des experts n’a fait que s’amplifier à cause de cette posture. Qu’ils soient les serviteurs de la planification étatique ou portés à favoriser la religion de marché, ils sont les agents du monde de l’Économisme marchand, de l’aménagement des territoires et du dressage des populations qui doivent se soumettre. Dans ce contexte, les mécanismes dits « démocratiques » assurant le choix des gouvernants et des représentants ne font que légitimer un dessaisissement total de la souveraineté collective.

L’État n’est pas autre chose qu’un appareil de capture de la puissance collective – laquelle n’est dénommée « souveraineté » et située en principe dans le peuple que pour mieux garantir que ce dernier en soit pratiquement dépossédé. L’État est donc cette machine à consolider la séparation entre gouvernants et gouvernés, à produire l’absence du peuple, afin d’accroître sa soumission à des normes de vie hétéronomes, qui sont, aujourd’hui, celles du monde de l’Économie ultra libérale. 

En résumé, l’Etat est une organisation mafieuse qui s’est imposée à toutes les autres mafias, qu’il a réussi à criminaliser et à éliminer, lui-même étant par conséquent le pire des criminels et la pire des mafias.

(Sur l’incompatibilité entre État et démocratie, voir Abensour Miguel, La démocratie contre l’État. Marx et le moment machiavélien, Paris, Le Félin, 2004 et Pour une philosophie politique critique, Paris, Sens & Tonka, 2009. Voir également Clastres Pierre, La société contre l’État, Paris, Minuit, 1974) 

En 2015, Claire Séverac publiait son livre « La guerre Secrète contre les Peuples » aux éditions Kontre Kulture, Elie et Mado. Elle mourrait le 25 décembre 2016. Peu de temps avant sa mort, elle écrivait à un ami en lui expliquant qu’elle allait mourir très prochainement car elle avait découvert qu’on l’avait empoisonnée à son insu et que cet empoisonnement était à l’origine du cancer foudroyant qui la tuait …


Dans son livre, très abondamment documenté, elle démontrait que tous ceux qui s’approchaient de trop près de ce qui était en cours pour l’élimination d’une grande partie de l’humanité, jugée excédentaire par les « élites » du mondialisme, étaient tous éliminés par les services secrets des gouvernements.

Tous les lanceurs d’alerte, que ce soit des Julien Assange ou des Snowden, ou des Claire Séverac, étaient menacés par les services spéciaux des Etats profonds, des appareils d’Etat aux mains des « élites » mondialistes, comme ceux qui caractérisent les appareils de l’Etat jacobin en France, qui sont des organisations criminelles mafieuses pas du tout soucieuses de la protection des intérêts du bien commun,  mais soucieuses des intérêts des « oligarchies » au service exclusif de cette classe des « élites » digitalo-financières, scientifiques, industrielle, politiques,  ne pensant qu’au triomphe absolu du profit et de la richesse pour le contrôle lui aussi absolu d’une population réduite au strict nécessaire et à une proportion facile à maintenir dans un esclavage et une soumission infaillible : l’ère du transhumanisme pour un Nouvel Ordre Mondial. 

Les Etats Nations sont pour cela niés, démantelés par les combines comme celles de la création de l’Union Européenne, de l’UNASUR, de l’Union Eurasienne, de l’Union Africaine, qui représentent bien ce projet d’éradication de toutes les identités nationales et de toute souveraineté possible des peuples. 

Claire Séverac avait déniché les informations sensibles sur les épandages qui sont faits partout dans le monde et que l’on appelle « chemtrails », également sur les manipulations génétiques, sur les OGM, sur les armes électromagnétiques, le projet HAARP etc…

Dès que l’on aborde ces questions de criminalité des gouvernements terroristes mafieux, les troupeaux de crétins qui bêlent habituellement en chœur au rythme de la propagande, sans rien savoir sur ces questions, et à l’instar des pervers qui les manipulent, utilisent contre les lucides – les informés, les gens encore munis d’esprit critique, de raison et de conscience -, la formule magique de l’accusation arbitraire de « complotiste » ! 

Cette expression bélier pour abruti ou demeuré, permet à celui qui l’utilise de s’exempter du devoir d’argumenter, d’apporter une explication légitimant sa réaction congénitale de défenseur de l’oppresseur. Celui qui se précipite dans le recours à l’expression « complotiste », c’est celui qui est à court d’arguments, qui ne peut ni justifier ni prouver le contraire de ce que dit le lanceur d’alerte ayant quant à lui toutes les preuves en mains!

En traitant quelqu’un de « complotiste » on met fin à toute discussion possible, puisque l’accusation implique en soi la nécessaire absence de preuves contraires ! S’il y avait des preuves et des arguments solides contraires, il y aurait dialogue, avec les informations permettant la contestation argumentée ! Dès qu’on recourt au terme « complotisme », cela signifie que le « complotiste » est très certainement bien informé et qu’il faut le faire taire le plus vite possible.


C’est ce qui est arrivé à des Assange, à des Snowden, à des Séverac et à beaucoup d’autres …

Le programme du Nouvel Ordre Mondial est celui qui organise le transhumanisme, un nouveau féodalisme au profit d’une oligarchie de prédateurs qui s’est emparée du pouvoir spécialement en Occident. Le Forum Economique Mondial de Davos, avec ses gourous de service, a organisé la « fabrique » des « Young Global Leaders » qui ont été « infiltrés » dans toutes les présidences des Etats occidentaux et mis au service des « élites » mondialistes digitalo-financières et stato-financières. Leur objectif est d’enterrer les États Nations et de lancer le programme d’un génocide déguisé nécessaire à ce néo-féodalisme du Nouvel Ordre Mondial désireux d’éliminer tous les « inutiles » par ce programme eugéniste inhérent à l’objectif recherché.  Le petit nombre des « élites », dominant enfin une humanité réduite à une portion d’esclaves qui seront conditionnés de telle sorte que toute perturbation provoquée par cette classe tolérée et dominée ne sera plus possible, régnera sans partage sur ce petit nombre d’humains, environ 500 millions de personnes exclusivement dédiées au service exclusif de leurs maîtres !

C’est la raison des épandages, des fausses pandémies, des faux vaccins, du narratif de la doxa du système, des censures acharnées, des interdits, des poursuites, des persécutions, des arrestations, des détentions, des éliminations, des mesures qui ne peuvent qu’entraîner un maximum de morts, but recherché comme l’indique le monument du « Georgia Guidestones » érigé aux USA en 1980 !

Selon ce monument, l’humanité doit être réduite à 500 millions d’habitants ; il faut passer au transhumanisme pour pouvoir contrôler radicalement les conditions du néo-féodalisme programmé.

Claire Séverac avait dressé une liste très complète des acteurs œuvrant à l’élaboration de ces techniques et de tous les moyens nécessaires pour arriver sans tarder à l’objectif recherché.

Le Nouvel Ordre Mondial nécessite le génocide de la plus grande partie de l’humanité. Il nécessite l’élimination de tous les « inutiles », ceux qui ne pourront pas entrer dans le programme du « transhumanisme » et devenir des humains robots, capables de s’adapter en permanence à des tâches nouvelles… Il est donc nécessaire de soumettre tout individu à cette programmation génocidaire. C’est la volonté farouche et la déclaration d’intention de Macron qui va « emmerder affectueusement » tous ceux qui résistent à la « vaccination », ce génocide déguisé. Voilà l’essentiel du programme de Macron !

Tout individu qui survivra à cette euthanasie planétaire programmée, sera un déraciné, psychologiquement déstructuré, errant à travers un monde uniformisé, formaté pour une seule vie possible et soumis aux maîtres qui feront de lui ce qu’ils voudront.

Le Nouvel Ordre Mondial veut le sacrifice impitoyable du grand nombre, même dans la souffrance s’il le faut ; il veut la soumission de tous les peuples à ses programmes eugénistes et toutes les nations récalcitrantes devront subir le feu nucléaire déjà prévu par les ordures qui ont fomenté la situation actuelle contre la Russie pour la simple raison qu’elle s’est montrée rebelle à ce projet de domination mondiale !


Claire Séverac nous a révélé le sens de ces manipulations génétiques concernant les hommes et les plantes, le but recherché par la géo-ingénierie… Elle nous a parlé et annoncé dans son livre de 2015, ce qui était fait autour du SARS et comment cette préparation virale nous concernerait prochainement : 4 ans plus tard nous y étions en effet !

Les Russes ont découvert les laboratoires d’armes biologiques spécialement construits en Ukraine, par les mêmes auteurs de ce programme mondialiste, pour la préparation du génocide massif des Slaves. Des preuves s’accumulent en ce moment même compte tenu de ce qui a été découvert en Ukraine par les experts Russes en armes biologiques.

Le 25 février, un responsable américain d’un programme gouvernemental de surveillance des menaces, notamment nucléaires et biologiques, avait jugé que le risque posé par les agents pathogènes stockés dans ces laboratoires augmenterait si ces sites subissaient des dommages. Bulletin of the Atomic Scientists. Selon ce responsable, les États-Unis auraient collaboré avec 26 sites ukrainiens, et fourniraient « un soutien matériel direct » à six d’entre eux. Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’Etat américain, craignait elle-même que les laboratoires sous leur direction tombent entre les mains des Russes et que pour cela il fallait faire disparaître le plus vite possible tous les documents compromettants…

 Il est inutile d’écouter les cris hystériques des accusateurs habituels hurlant au « complotisme », puisque les preuves sont là. La propagande mensongère peut se déchaîner tant qu’elle veut en allant toujours plus loin dans son délire mensonger. 

La vérité est dite, elle est connue, elle est divulguée et les pervers, les menteurs, les criminels à la tête des pouvoirs en Occident, contre l’avis et le désir des peuples, sont également clairement identifiés !

Après avoir évoqué tout cela, à quel candidat pourrait-on se vouer ? Qui pouvons-nous élire le 24 avril prochain ? Lequel des deux candidats a-t-il compris que le discours de Sieyès était caduc pour la France ? Lequel des deux est disposé à renoncer à cette criminalité inouïe des Appareils de l’Etat jacobin ? Lequel des deux candidats a-t-il une conscience et une éthique responsable ? Lequel des deux peut réellement commander en obéissant aux volontés du peuple français ? 

https://www.mondialisation.ca/une-election-presidentielle-pour-quelle-democratie/5667266

60 commentaires:

  1. La réussite des criminels au pouvoir et d'avoir laisser croire au Peuple qu'il est en Démocratie (comme le fait tous les jours Kim Jong-un en Corée du Nord), qu'il avait des gens (des tuteurs) pour le défendre au Sénat ou l'Assemblée Nationale !!! Mais fallait pas quand même pousser le bouchon un peu trop loin en avouant "Peuple, tu fermes ta gueule ! Compris ?" et surtout NE JAMAIS parler de la Suisse (seul pays au monde en Démocratie !).

    Puis arriva le moment fatidique où la vérité éclaboussait le monde ! Notre planète (pour la première fois) était envahi par des virus !! et, ces poussières (toutes inoffensives depuis 'la nuit des temps') étaient tout-à-coup dangereuses, meurtrières et mercenairisées ! WHÔAW !
    Pour les maladies y a les microbes, mais pour les poussières y a quoi ? La bombe 'Plizz' ?
    Et bêh non ! Y a le 'Vaccin Anti-Poussière' ! Çà vous la tombe, non ? "Courez vite vous le faire inoculer avant qu'il n'y en ait plus !" (je parle pas des 'vaccins' mais des cons sur Terre !).
    Et là, si tous les cons du monde pouvait se donner la main ils feraient un ronde autour du grille-pains ! ils y sont allés !! Ils y ont couru !! Et, tout content y sont retournés pour la deuxième dose à la vas-y-que-je-te-l'enfile ! LE plaisir de se faire inoculer ! ÂÂAh ! "J'en prendrai bien une quatrième !"

    Pourquoi au fait ?

    Primo, y a eu la Terreur ! LA poussière invisible déposée sur les objets non-essentiels aux supermarchés ! Puis, comme elle est très grosse fallait lui laisser un passage de 2 m pour pas se faire bousculer par le virus ! Puis, en réalité, après analyse du bouillon d'onze heure, il était trouvé que les flacons injectables contenaient 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! (poison mortel violent enrobé). Et, cette substance, déjà présente dans les masques, les gels et les écouvillons avait la particularité de servir d'antenne-relais entre l'envoyeur criminel et votre cerveau ! WHÔAW !
    C'est ainsi qu'après la première injection ils devinrent tous cons assermentés et listés pro. Après, après ce n'est plus qu'une habitude de se la faire mettre.

    Et c'est aussi pourquoi dimanche entre une merde et une merde ont aura l'embarras du choix !

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  2. Rabobank : les pays qui craignent la faim voudront voir un accord "Bread-on Woods"


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 18:25
    Par Michael Every de Rabobank


    Bois à pain

    Aujourd'hui, je me trouve dans la position inhabituelle d'être d'accord en public avec quelque chose que Janet Yellen a également dit. Cela ne s'est pas produit tout le temps qu'elle était à la Fed, ni depuis qu'elle est entrée en politique (tout en continuant à parler comme si elle était toujours à la Fed). Néanmoins, elle vient de dire qu'il faudra "beaucoup de temps, voire jamais" avant que l'USD ne soit remplacé comme monnaie mondiale clé : ce qui correspond à ce que j'ai soutenu dans "Pourquoi 'Bretton Woods 3' ne fonctionnera pas".

    Je suis sûr que nous avions des raisons très différentes pour le dire, d'autant plus que Yellen était favorable à une relance budgétaire massive aux États-Unis, mais pas à la délocalisation des chaînes d'approvisionnement pour s'assurer qu'elle n'était pas inflationniste. Je suis sûr qu'elle ne pensait pas que dire "Bretton Woods 3" revient à dire "le mercantilisme c'est baaaack !" – et qu'une superpuissance militaire, marchande et financière en place, avec des alliances mondiales clés et prête à enregistrer un déficit commercial avec ceux qu'elle favorise, peut prospérer dans cet environnement de realpolitik,… si les personnes qui dirigent l'endroit le reconnaissent. (Juste Google "Hamilton" - et je ne parle pas de la comédie musicale.)

    De plus, Yellen a également parlé de Bretton Woods (pas de Two) lors d'un discours au Conseil de l'Atlantique. Elle a noté que la guerre d'Ukraine et les sanctions occidentales « voient maintenant une hausse des prix des matières premières qui a ajouté aux pressions inflationnistes mondiales et constitue une menace pour la sécurité énergétique et alimentaire, les flux commerciaux et les soldes extérieurs de nombreux pays. Une grande partie de notre travail la semaine prochaine lors des réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale sera centrée sur la manière dont nous pouvons mieux soutenir les pays en développement alors qu'ils résistent à ces chocs… »

    Comme nous l'avions prédit dans notre analyse d'avant-guerre de la dynamique que les sanctions occidentales allaient déclencher, elle prévient que le temps de la neutralité touche à sa fin :

    "Permettez-moi maintenant de dire quelques mots aux pays qui sont actuellement assis sur la clôture, voyant peut-être une opportunité à gagner en préservant leur relation avec la Russie et en comblant le vide laissé par d'autres. De telles motivations sont à courte vue. L'avenir de notre ordre international, tant pour la sécurité pacifique que pour la prospérité économique, est en jeu... À l'avenir, il sera de plus en plus difficile de séparer les questions économiques des considérations plus larges d'intérêt national, y compris la sécurité nationale.

    Il n'y avait qu'une menace nommée contre la Chine : "L'attitude du monde envers la Chine et sa volonté d'embrasser une intégration économique plus poussée pourraient bien être affectées par la réaction de la Chine à notre appel à une action résolue contre la Russie." (Pas l'Allemagne, qui refuse jusqu'à présent une interdiction immédiate de l'énergie russe.)

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  3. Yellen a montré que les États-Unis, comme la Chine et le "nouvel ordre mondial" de la Russie, veulent également secouer l'architecture mondiale. Plus précisément, Yellen a mentionné la nécessité de parvenir à un commerce libre mais sûr pour empêcher les pays d'utiliser leur position sur le marché des matières premières, des technologies ou des produits clés pour avoir le pouvoir de perturber notre économie ou d'exercer un effet de levier géopolitique indésirable. "Approfondissons et approfondissons l'intégration économique et les gains d'efficacité qu'elle apporte - à des conditions qui fonctionnent mieux pour les travailleurs américains." Encore une fois, Google "Hamilton". « Faisons-le avec les pays sur lesquels nous savons que nous pouvons compter. Favoriser le « friend-shoring » des chaînes d'approvisionnement vers un grand nombre de pays de confiance, afin que nous puissions continuer à étendre en toute sécurité l'accès au marché, réduira les risques pour notre économie, ainsi que pour nos partenaires commerciaux de confiance.

    Elle a également poussé à mettre en œuvre l'accord fiscal mondial de l'année dernière, à réorganiser le FMI, à mieux mobiliser les capitaux pour soutenir les populations des pays en développement, à accélérer la transition mondiale vers un avenir énergétique plus sûr et plus propre et à renforcer l'architecture sanitaire mondiale.

    Il n'y avait aucun détail sur aucun de ceux-ci, et on peut rechercher les synergies ou les incohérences entre eux. Cependant, la logique claire est que soit la Chine change, soit toutes les économies devront choisir entre traiter avec la Chine ou l'Occident. Dans les questions-réponses, Yellen a déclaré qu'elle ne voulait pas voir l'évolution d'un système mondial "bipolaire", avec des camps dirigés par les États-Unis et la Chine, mais c'est exactement ce qui est menacé.

    Bien sûr, Wall Street ignorera cela. Ils doivent s'inquiéter du chiffre très élevé de l'IPP d'hier, où l'inflation sous-jacente du pipeline était le double des estimations du marché à 1,0 % m/m, soit 12 % en rythme annualisé : comme je l'ai dit hier, et Yellen ne l'a pas fait l'année dernière, l'inflation semble enracinée.

    Bien sûr, les grandes entreprises ignoreront cela - en public du moins. La perturbation potentielle de ne pouvoir faire des affaires que là où votre gouvernement aime son gouvernement, même si vous n'aimez pas votre gouvernement, va rendre la gouvernance d'entreprise délicate.

    Bien sûr, la Chine l'ignorera aussi (?) Les opinions sont partagées - tout comme les signaux. L'utilisation russe du CNY est en plein essor, mais Huawei boycotte la Russie. Cependant, Reuters affirme que le géant pétrolier chinois CNOOC se prépare à quitter le Royaume-Uni, le Canada et les États-Unis par crainte de sanctions. Pourquoi reculerait-il si la Chine ne fait rien qui pourrait l'exposer à des sanctions secondaires ?

    Ensuite, il faut se demander si la Maison Blanche est sérieuse (et est-ce considéré comme une Maison Blanche sérieuse ?). S'ils le pensent vraiment, il y aura probablement un soutien bipartite au Congrès, sinon maintenant, du moins après novembre.

    Les pays qui craignent la faim en regardant cette confrontation entre les États-Unis, la Chine et la Russie voudront voir un accord "Bread-on Woods" dès que possible : cela fera de la production alimentaire et de l'approvisionnement un intérêt géopolitique vital. De ce qui était « du pain et des cirques » à du pain ordinaire.

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  4. Pendant ce temps, pour souligner dans quel monde sérieux nous nous trouvons actuellement, il semble que le vaisseau amiral de la flotte russe de la mer Noire, le Moskva, avec 480 membres d'équipage, ait été coulé par l'Ukraine : quelle sera la réaction à cette perte de vie et de visage ? En France, la candidate présidentielle Le Pen a déclaré qu'elle considérait la Crimée comme russe, ce qui rendrait les choses très gênantes pour l'Occident si elle gagnait ; et les États-Unis envoient des armes beaucoup plus lourdes à l'Ukraine, comme de l'artillerie et des hélicoptères.

    J'espère que ce qui est discuté ci-dessus - le rôle de l'USD par rapport aux devises des matières premières et au CNY, l'architecture commerciale et financière mondiale, et une future scission en son sein - est suffisamment important pour que les marchés puissent en saisir les implications. Pour ceux qui préfèrent se concentrer sur la petite image…

    La Chine serait sur le point de réduire à nouveau son taux de réserves obligatoires et ses taux d'intérêt, peut-être même aujourd'hui. Non pas que cela ait fonctionné du tout jusqu'à présent : et étant donné que Xi Jinping vient de souligner qu'il s'en tient à zéro verrouillage Covid, ce sera encore moins efficace maintenant.

    En revanche, après que la Banque du Canada et la RBNZ ont toutes deux augmenté leurs taux de 50 points de base cette semaine, Singapour a également de facto resserré sa politique monétaire du même montant, et la Fed est maintenant prête pour des hausses agressives. Comme indiqué dans mon rapport d'hier, qu'est-ce que cela signifie pour les perspectives des monnaies fiduciaires occidentales par rapport à un CNY "Bretton Woods 3" ?

    La RBA ne veut vraiment pas suivre malgré l'essor des matières premières, la flambée du logement jusqu'à ce que les taux du marché grimpent en flèche sans la RBA, et les attentes d'inflation des consommateurs passant de 4,9 % à 5,2 %. consensus 30K ; chômage toujours à 4 %, et non à 3,9 % comme prévu). La BCE se réunira également aujourd'hui et ne fera bien sûr pas bouger les taux à partir de 0,25 % quelle que soit l'inflation car euro-raisons.

    Étant donné que demain est un jour férié, Joyeux jeudi, Pâques, Chag Sameach et Ramadan Moubarak.

    https://www.zerohedge.com/markets/rabobank-countries-fearing-hunger-will-want-see-bread-woods-deal

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  5. Les pays de l'UE payant des roubles pour le gaz violeraient les sanctions: note de la Commission européenne


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 17:49


    Une note interne de la Commission européenne, dont le contenu a été révélé et est rapportée pour la première fois jeudi, a précisé que les acheteurs européens acceptant de payer le gaz russe en roubles violeraient les sanctions de l'UE contre Moscou.

    "Ce mécanisme conduirait à une violation des mesures restrictives existantes de l'UE adoptées à l'égard de la Russie, de son gouvernement, de la Banque centrale de Russie et de leurs mandataires", rapporte Reuters sur les décrets dans la note interne après avoir examiné son contenu.

    Il menace d'aggraver encore l'impasse énergétique qui s'est ensuivie après que Vladimir Poutine a exigé le paiement du gaz russe en roubles par des "pays hostiles" qui ont imposé des sanctions à la Russie à la suite de l'invasion de l'Ukraine le 24 février - les exemptions accordées à l'Autriche et à la Hongrie malgré tout tard.

    L'acheteur de l'UE paierait toujours Gazprombank dans la devise du contrat - euros ou dollars - mais l'achat ne serait terminé que lorsque Gazprombank échangerait la devise en roubles dans le cadre d'un accord avec la banque centrale russe et déposerait les roubles sur le deuxième compte, le billet mentionné.

    Le mémo souligne : "L'effet... est qu'un paiement est effectué non pas dans la devise établie en vertu du contrat au moment où il est déposé dans les comptes... mais plutôt seulement à un moment inconnu et indéfini une fois la devise étrangère. .. est converti en roubles et crédité sur le deuxième compte spécial."

    La Commission européenne a écrit plus loin : « L'État russe, par l'intermédiaire de sa banque centrale, a un contrôle total sur la devise étrangère... qu'il peut manipuler entièrement à son propre avantage.

    Essentiellement, la décision de la commission sur la question rendrait la stipulation du rouble de Poutine complètement interdite pour les pays et entités européens individuels, d'autant plus que le processus impliquerait que la Russie supervise l'ensemble du processus de paiement.

    Pendant ce temps, jeudi, Poutine a abordé la crise dans de nouvelles déclarations. "Les tentatives des pays occidentaux d'évincer les fournisseurs russes et de remplacer nos ressources énergétiques par des approvisionnements alternatifs affecteront inévitablement l'ensemble de l'économie mondiale. Les conséquences d'une telle démarche peuvent devenir très douloureuses, et tout d'abord, pour les initiateurs d'une telle politique eux-mêmes . Ce qui est surprenant ici, c'est que nos soi-disant partenaires des pays hostiles admettent qu'ils ne peuvent pas se passer des ressources énergétiques russes, dont le gaz naturel, par exemple.

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  6. Il a parlé de réorienter "nos exportations vers les marchés en forte croissance du sud et de l'est..." et a mis en garde l'Europe dans le même temps :

    "Une alternative raisonnable pour l'Europe n'existe tout simplement pas. Oui, c'est possible, mais pour le moment, cela n'existe pas. Tout le monde le comprend ; il n'y a tout simplement pas de volumes gratuits sur le marché mondial en ce moment, et des approvisionnements en provenance d'autres pays — principalement des États-Unis, qui peuvent être envoyés en Europe – coûteront beaucoup plus cher aux consommateurs et affecteront le niveau de vie des gens et la compétitivité de l'économie européenne », a déclaré Poutine.

    Il a également abordé les cas d'échecs et de retards de paiement...

    "Les banques de pays hostiles retardent le transfert des paiements. Je vous rappelle que la tâche a déjà été fixée pour transférer les paiements des ressources énergétiques en monnaie nationale, pour nous éloigner progressivement du dollar et de l'euro. En général, nous avons l'intention de radicalement augmenter la part des règlements en monnaies nationales dans le système de commerce extérieur", a déclaré Poutine.

    Ainsi, compte tenu du contenu de cette dernière note de la Commission européenne, il semble qu'il n'y ait pas de rampe de sortie et que l'impasse énergétique se poursuive. En même temps, Poutine vante le fait que la Russie a encore des « amis » et donc de plus grandes options à l'est et au sud, y compris sans aucun doute l'Inde et la Chine.

    https://www.zerohedge.com/energy/eu-countries-paying-roubles-gas-would-violate-sanctions-european-commission-memo

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  7. "Vivons-nous dans un monde de rêve ?"


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 17:33
    Rédigé par David Robertson via Areté Asset Management,


    Le premier trimestre a été mouvementé. La persistance d'une inflation élevée a poussé la Fed à adopter une politique monétaire beaucoup plus belliciste et l'invasion de l'Ukraine par la Russie a plongé les marchés des matières premières dans la tourmente.

    Ce fut également un trimestre éprouvant pour de nombreux investisseurs. Les actions se sont évanouies et ont rebondi, mais ont quand même terminé en baisse pour le trimestre. Les obligations ont été brutalisées avec l'un des pires trimestres de tous les temps. À ce titre, il s'agissait également de l'une des rares occasions où les investisseurs en fonds équilibrés n'étaient pas à l'abri des coups. La grande question est maintenant de savoir si ce n'était qu'un coup de théâtre ou était-ce le début d'un paysage d'investissement nouveau et plus hostile ?

    Vivons-nous dans un monde de rêve ?

    Malgré toutes les turbulences du trimestre, le S&P 500 a terminé en baisse de seulement 6 % par rapport à son sommet historique, bien qu'il ait été de près de 14 % à un moment donné. Une telle résilience à la lumière de vents contraires assez importants donne un teint surréaliste au paysage. Robert Armstrong a capturé les contradictions dans la newsletter "Unhedged" du FT :

    L'inflation est brûlante et la Fed est vigilante. Nous flirtons avec une courbe des taux inversée. Et pourtant, les marchés, à en juger par la courbe des contrats à terme sur les fonds fédéraux, les cours des actions et d'autres indicateurs, disent que nous allons traverser les prochaines années sans que la banque centrale américaine ait besoin de relever les taux à 3 %, et sans tomber en récession.

    Il se demande : « Vivons-nous dans un monde de rêve ? et poursuit en décrivant: "C'est une forme étrange de dissonance cognitive: parler comme si vous reconnaissiez les vents contraires et ne pas les évaluer. En espérant, peut-être, qu'ils ne se matérialiseront pas, après tout."

    Une forme étrange similaire de dissonance cognitive s'est produite l'automne dernier. Avec des IPC atteignant des niveaux élevés à un chiffre et la Fed refusant même d'appuyer sur les freins monétaires, les taux d'intérêt à long terme sont néanmoins restés relativement à l'abri de telles inquiétudes, oscillant autour de 1,5 %. J'ai abordé cette question dans une étude de marché en janvier. Avec le recul, les investisseurs obligataires vivaient vraiment dans un monde de rêve.

    La forme étrange de dissonance cognitive a également infecté le domaine géopolitique. Peu de gens s'attendaient à ce que Poutine envahisse réellement l'Ukraine, dont beaucoup avaient des relations commerciales en Ukraine et en Russie. Avec autant de personnes qui ne parviennent pas à prendre en compte de manière adéquate les risques identifiables, la question se pose : « Pourquoi ? »

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  8. Le recalcul du grand risque

    La thèse d'Edward Alden, qu'il a exprimée à Foreign Policy, équivaut à "un recalcul à grand risque". Son rapport cite Barry Lynn, directeur exécutif de l'Open Markets Institute, qui a décrit : « Les entreprises ont construit le système de production le plus efficace que le monde ait jamais vu, parfaitement adapté à un monde dans lequel rien de mal n'arrive jamais ».

    En bref, de mauvaises choses commencent à se produire et les entreprises doivent se recalibrer. Alden conclut: "Un calcul sobre des risques et des récompenses est exactement ce dont nous avons besoin maintenant." Nous sommes dans un environnement avec une plus grande incertitude et nous devons donc planifier en conséquence.

    Bien entendu, cette nouvelle réalité ne concerne pas seulement les entreprises, mais également les investisseurs et tous les autres. Les investisseurs, en particulier, comptent depuis longtemps sur les banques centrales pour s'assurer que "rien de mal n'arrive jamais". Pour la grande majorité des treize dernières années, cela a été vrai.

    Aujourd'hui, avec une inflation toujours élevée et des pénuries d'approvisionnement exacerbées par la guerre en Ukraine, les banques centrales n'ont plus le luxe de jouer le rôle de protecteur du marché. Par conséquent, les investisseurs doivent prévoir la possibilité que de mauvaises choses se produisent comme ils ne l'ont pas fait depuis de nombreuses années.

    Panne
    Un excellent exemple auquel appliquer cette idée est la courbe de rendement. Les taux courts ont commencé à augmenter vers le début de la nouvelle année et ont de nouveau accéléré après le témoignage de Jerome Powell devant le Congrès début mars. Les taux longs n'évoluant pas autant, la courbe des taux s'est considérablement aplatie.

    L'interprétation courante d'une courbe de rendement inversée est qu'une récession est en route. Des taux plus élevés à court terme resserrent les conditions financières, ce qui ralentit l'activité commerciale. Les taux relativement bas à long terme confirment que la croissance restera faible.

    Une croissance économique négative n'est pas la seule mauvaise chose qui puisse arriver. Jim Bianco fournit une évaluation plus générale de la courbe. Comme il l'a mentionné sur Twitter, l'aplatissement des courbes de rendement « signale que le grand nombre de hausses de taux va casser quelque chose sur les marchés, l'économie et/ou la plomberie financière (repo) ». Ce pourrait être l'économie qui casse, mais ce pourrait être autre chose aussi.

    Dans la mesure où un aplatissement important laisse présager des problèmes, il suscite exactement le type de "calcul sobre des risques" qu'Alden approuve. À ce stade, un risque possible est un krach boursier. Compte tenu des krachs de 2000, 2008 et 2020, ces incidents violents sont encore très présents dans l'esprit de nombreux investisseurs. De plus, comme le montre The Market Ear (themarketear.com), l'analogie du marché actuel avec celui de 2008 est troublante de similitude.

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  9. - voir graph sur site -

    Un gros krach boursier comme celui de 2008 n'est cependant pas la seule possibilité. Des flux importants et réguliers vers des actions par le biais de dates cibles et d'autres fonds passifs offrent une offre formidable pour les actions, quels que soient leur prix ou leurs fondamentaux. Ces flux constituent un obstacle significatif à une vente massive. Cela ne veut pas dire que cela ne peut pas arriver, mais il faudrait une énorme masse de sorties discrétionnaires pour submerger les entrées automatiques dans les fonds passifs.

    Une autre raison pour laquelle les actions pourraient ne pas s'effondrer est que la Fed pourrait intervenir pour l'empêcher. Tout comme la Fed l'a fait à plusieurs reprises dans le passé, elle pourrait rapidement revenir à rouvrir les robinets du QE au premier signe de "casse". Il n'y a aucune stipulation, cependant, que la Fed réagisse aussi rapidement qu'elle l'a fait dans le passé ou avec autant de force.

    En effet, il est tout à fait juste de dire que l'attitude extérieure de la Fed a changé compte tenu des récents commentaires de la Fed (notamment par Lael Brainard et James Bullard). Sur la base de ces commentaires, il est également juste de supposer que sa fonction de réaction a changé. En bref, si/quand quelque chose se casse à l'avenir, il est raisonnable de s'attendre à ce que la Fed fasse quelque chose de moins que la politique "tout sauf l'évier de la cuisine" qu'elle a déployée en réponse à la pandémie.

    Il n'est pas difficile d'imaginer qu'un livre de jeu différent serait beaucoup plus sélectif et plus axé sur toute "casse" particulière qui se produit. Il pourrait être conditionnel - ne durer que pendant une courte période. Il pourrait être varié - impliquant peut-être des achats de titres pour fournir des liquidités mais en maintenant la même politique de taux d'intérêt. Il peut ou non inclure des prévisions à plus long terme sur la politique. En bref, il existe un large éventail de mesures correctives possibles que la Fed pourrait prendre qui sont bien en deçà du programme de QE post-pandémique.

    Essayons encore un autre scénario pour la taille. Imaginez que la Fed fasse ce qu'elle dit et continue à augmenter ses taux et commence à réduire son bilan. Les rendements du Trésor continuent d'augmenter. La valeur des obligations ne cesse de baisser. Les fonds de pension, qui doivent répartir entre les actions et les obligations, doivent continuer à augmenter leurs allocations aux obligations pour maintenir un équilibre fixe. Ces fonds doivent provenir de quelque part - ils proviennent donc de ventes d'actions. Dans un scénario comme celui-ci, les actions ne s'effondrent pas, mais s'effondrent plutôt à mesure que les caisses de retraite se rééquilibrent continuellement pour maintenir leur pondération cible d'obligations.

    Pourtant, un autre scénario a le crédit en tête. Comme l'observe à juste titre l'Observateur des taux d'intérêt de Grant, "les entreprises fortement endettées réussissent mieux avec une faible volatilité économique". Avec des taux plus élevés et une plus grande volatilité, les entreprises fortement endettées deviennent moins rentables et ont plus de mal à refinancer leurs dettes. Peut-être que la voie des actions est un jeu lent et pénible d'attrition économique. Moins dramatique, mais tout aussi efficace.

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  10. Enfin, les actions ne sont pas les seules choses qui peuvent casser. Comme Zoltan Pozsar l'a clairement indiqué dans un article récent, les systèmes monétaires sont importants, mais aussi les vrais systèmes marchands. Comme l'a souligné la guerre en Ukraine, les conflits et les sanctions peuvent perturber massivement la logistique de livraison des produits réels. Les perturbations signifient des routes commerciales plus longues, des besoins de financement plus importants et plus d'incertitude en général. Toutes ces choses s'ajoutent aux coûts des produits de base en plus des prix plus élevés causés par les pénuries d'approvisionnement. Pozsar met délibérément en évidence le potentiel de troubles sur les marchés des matières premières en déclarant : « Les arrêts soudains sont sur le point de prendre une nouvelle signification ».

    Conséquences

    Donc, la réponse courte à la question est "Oui", nous sommes dans un paysage d'investissement nouveau et plus hostile. Après avoir été conditionné pendant des années à ignorer le risque, l'émergence de l'inflation et des conflits géopolitiques change la donne. Les banques centrales n'ont plus la possibilité de sauver la mise en cas de problème. Nous devons tous nous adapter à ce nouvel environnement et gérer les risques plus activement.

    Un autre point est que le risque n'est pas seulement un phénomène binaire. Il n'y a pas simplement aucun risque ou grand risque; c'est une caractérisation trop simple. Le risque peut prendre la forme d'un seul grand événement déstabilisant, mais il peut aussi prendre la forme d'une longue période de conditions plus difficiles. Les efforts d'atténuation des risques pour ces conditions sont différents et évidemment aussi plus coûteux s'ils sont utilisés comme un ensemble combiné.

    Plus généralement, le plus grand risque est celui de l'incertitude - ne sachant même pas ce qui pourrait arriver, encore moins en connaissant les probabilités. Plus tôt cette année, peu de gens avaient la Russie envahissant l'Ukraine sur leur carte de bingo. Un éventail ahurissant de résultats potentiels pourrait découler de ce seul événement. L'incertitude, de par sa nature même, est difficile à assurer. Par conséquent, la réponse la plus sensée consiste à réduire complètement l'exposition au risque.

    Conclusion

    Les investisseurs ont subi un certain nombre d'épisodes de turbulences depuis la crise financière et à chaque fois, il était plus logique de s'en sortir. Il n'est pas étonnant que de nombreuses attitudes envers le risque soient si dédaigneuses.

    Cette fois, cependant, il y a de bonnes raisons de croire qu'un recalcul du risque est plutôt nécessaire. Il existe également de bonnes preuves à l'appui de ce point de vue. Alors que les conditions de liquidité devraient être bonnes pour les prochaines semaines en raison des recettes fiscales saisonnières, les investisseurs à long terme devraient y voir davantage une opportunité de réduire le risque que de l'augmenter. Ceux qui continuent à "vivre dans un monde de rêve" risquent de se réveiller dans un cauchemar.

    https://www.zerohedge.com/markets/are-we-living-dream-world

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  11. Peloton augmente les frais d'abonnement et réduit le prix du vélo alors qu'un activiste exhorte l'entreprise à vendre


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 17:23


    Les actions de Peloton Interactive Inc. ont été pompées et abandonnées après l'annonce que la société de fitness réduirait les prix de ses trois principaux produits matériels tout en augmentant les coûts de son abonnement mensuel, une décision visant à générer des revenus plus récurrents, selon Bloomberg. Pendant ce temps, l'investisseur activiste Blackwells Capital a souligné que la société devait faire pression pour une vente.

    Le Bike + haut de gamme de Peloton sera réduit de 500 $ à 1 995 $. Le vélo bas de gamme coûtera environ 1 195 $ après une remise de plus de 300 $, et le tapis roulant coûtera désormais 2 345 $, en baisse de 150 $.

    Pour compenser la baisse des coûts, la société de fitness augmentera les frais d'abonnement mensuels pour la première fois en huit ans, de 39 $ par mois à 44 $.

    Une déclaration de la société disait: "Nous voulons que plus de gens puissent s'offrir notre matériel ... C'est une décision stratégique de jouer pour l'échelle et d'augmenter la part de marché."

    Les actions pompées et déversées sur les nouvelles, maintenant en baisse de 2,5% à environ 24,74 $

    - voir graph sur site

    Cela survient après le changement de direction de Peloton, les licenciements massifs et les révisions à la baisse des orientations plus tôt cette année après l'évaporation de la demande provoquée par la pandémie pour son équipement d'exercice (envoyant le stock s'effondrer). Peloton a fait appel à un nouveau PDG pour se lancer dans un plan de redressement début février.

    Mais selon Blackwells, le plan de redressement de Peloton a fait très peu pour réparer le navire qui coule.

    "Les problèmes liés à la structure des coûts, à l'allocation du capital, à la gestion des stocks et au contrôle de la qualité continuent de tourmenter l'entreprise", a déclaré Blackwells dans une présentation PowerPoint (vue par le WSJ) mercredi. La société d'investissement détient une participation de moins de 5% dans la société de fitness et fait pression pour une vente.

    https://www.zerohedge.com/markets/peloton-hikes-subscription-fees-slashes-bike-price-activist-urges-company-sell

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  12. Oui, c'est différent cette fois


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 14:48
    Écrit par Charles Hugh Smith via OfTwoMinds,


    La plupart des gens seraient horrifiés par une baisse de 40 % de leurs « investissements ». Lorsque les bulles éclatent, les actifs spéculatifs ne chutent pas de 40 %, ils chutent de 90 % ou même de 98 %.

    L'ironie de la panique soudaine à propos de l'inflation réelle générée par la hausse des salaires est double :

    1. Le statu quo ne mentionne jamais l'inflation galopante des actifs, car les riches se sont enrichis, donc l'inflation des actifs est merveilleuse et mérite d'être permanente

    Regardez le graphique ci-dessous (avec l'aimable autorisation de Mac10) du S&P 500 / salaires ajustés de l'IPC (indice des prix à la consommation) : les bénéfices des entreprises ont grimpé en flèche par rapport aux salaires depuis 2009.

    - voir graph sur site -

    2. Les salaires ont été martelés depuis 1975, alors que les recherches de RAND Corporation ont révélé que 50 000 milliards de dollars ont été transférés de la main-d'œuvre au capital au cours des 45 dernières années. (voir tableau ci-dessous)

    - voir graph sur site -

    Les riches ne se sont pas plaints de la perte de pouvoir d'achat des salaires pendant 45 ans, mais la première petite hausse du pouvoir d'achat des salaires provoque la panique.

    Maintenant que les tendances à la flambée de l'inflation des actifs et à la déflation de la main-d'œuvre se sont inversées, les actifs vont se dégonfler et les salaires vont augmenter, provoquant la panique chez les riches et leurs apologistes, les crapules et les outils médiatiques.

    "Les marchés montent sur un escalator et tombent dans un ascenseur" est un dicton de Wall Street, mais il y a plus qu'un retour à la moyenne ou d'autres dynamiques techniques à l'œuvre : la richesse obscène qui a été transférée aux 0,1 % les plus riches est désormais une cible politique .

    Être autonome à 19 ans aiguise la mémoire des gains, des coûts et du pouvoir d'achat d'une journée de travail.

    J'ai tenu un journal de bord de toutes les dépenses, aussi modestes soient-elles, au début de la vingtaine, lorsque mon salaire était bas en raison d'heures limitées (étant un étudiant universitaire à temps plein) et d'un salaire peu élevé.

    Selon le calculateur d'inflation officiel absurdement sous-estimé (https://www.bls.gov/data/inflation_calculator.htm), les 1,65 $/heure que nous gagnions comme salaire minimum en 1970 valent maintenant 12,17 $.

    Mais quand je me souviens de ce que je pourrais acheter avec mon salaire modeste, je pense que l'équivalent le plus réaliste est de 16 $ à 18 $/heure.

    Les 3,50 $/heure que je gagnais en 1974 valent officiellement 20 $, mais en termes de ce que je pouvais acheter avec ces 3,50 $, c'est plutôt 30 $/heure.

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  13. Par exemple : en 1974, le loyer de mon studio bas de gamme à Honolulu était de 125 $/mois. (Rappelons qu'Honolulu a longtemps été l'une des villes les plus chères des États-Unis.) Il a fallu 35 heures de travail pour payer le loyer (en ignorant les taxes pour plus de simplicité).

    Aujourd'hui, il faut environ 60 heures de travail à 20$/heure pour payer le loyer d'un studio à Honolulu (1200$/mois).

    On parle beaucoup de la qualité supérieure des produits aujourd'hui et du moindre coût de l'électronique, etc. Mais nous oublions que les téléviseurs, les appareils électroménagers, etc. ont duré longtemps à l'époque, de sorte que de tels achats étaient rares. Les biens d'occasion étaient disponibles pour une fraction du neuf.

    - voir graph sur site -

    Le travailleur gagnant 3,50 $/heure en 1974 pouvait acheter plus et économiser plus que le travailleur gagnant 20 $/heure aujourd'hui.

    En tant que charpentier non syndiqué expérimenté (mais pas encore compagnon à part entière) en 1977 (23 ans), je gagnais 7,50 $/heure. Selon l'inflation officielle, cela vaut presque 36 $/heure aujourd'hui.

    Combien de menuisiers expérimentés de 23 ans gagnent 36 $/heure aujourd'hui ? Ma supposition est relativement faible, bien que le travail à la pièce à court terme et les emplois en plein essor puissent offrir des salaires élevés pendant de brèves périodes. Selon mes calculs de ce que je pouvais acheter alors pour 7,50 $/heure, l'équivalent aujourd'hui est plutôt de 45 $/heure. À l'époque, je payais le loyer, la propriété d'un véhicule, les taxes, les repas au restaurant, etc. et j'économisais quand même 50 % de mon salaire net.

    Est-ce possible pour quelqu'un qui gagne 36 $/heure en payant les prix du marché libre pour le loyer, les soins de santé, la possession d'un véhicule, les restaurants, etc. d'économiser la moitié de ses revenus nets ? Non sans un « deal spécial » sur le loyer ou des sacrifices extraordinaires. Je n'ai pas sacrifié grand-chose en 1977, je n'ai tout simplement pas gaspillé mes gains. Il y a une grande différence entre les sacrifices et le simple fait d'être frugal / prudent pour en tirer le meilleur parti.

    Lorsque j'étais maçon au milieu des années 1980, nous payions 100 % de l'assurance maladie complète de nos employés. C'était environ 50 $/mois pour chaque individu et environ 150 $/mois pour une famille.

    Selon l'inflation officielle, 50 $ en 1985 valent maintenant 132 $. Pouvez-vous acheter une assurance santé complète pour un particulier pour 132 $ par mois maintenant ? Non. "Selon une étude publiée par la Kaiser Family Foundation en 2019, le coût moyen de l'assurance maladie parrainée par l'employeur pour les primes annuelles était de 7 188 $ pour une couverture individuelle et de 20 576 $ pour une couverture familiale." C'est 600 $/mois pour un célibataire.

    En raison des cartels, des monopoles et de l'inflation des actifs, les coûts réels ont dévoré les salariés pendant des décennies.

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  14. L'inflation des actifs se transformera en déflation des actifs pour de nombreuses raisons, et la déflation salariale se transformera en inflation (c'est-à-dire en gagnant du pouvoir d'achat) pour de nombreuses raisons.

    Lorsque les cycles tournent, nous cherchons des explications précises, mais la réalité est souvent plus systémique : les extrêmes ont atteint des limites, les rendements décroissants se sont transformés en rendements négatifs, le pendule a consommé tout l'élan disponible et revient maintenant à l'extrême opposé.

    Regardez le graphique de la part des salaires dans le PIB (produit intérieur brut). Si les salaires gagnaient 8 % et revenaient aux niveaux du milieu des années 1970, cela représenterait 8 % du PIB de 21,5 billions de dollars (2021) ou 1,7 billion de dollars.

    Cela équivaut à 13 000 dollars par an pour chacun des 130 millions de travailleurs aux États-Unis.

    Les bénéfices des entreprises sont passés de 400 milliards de dollars à 2,4 billions de dollars. Que faudrait-il pour que ces bénéfices redescendent à 700 milliards de dollars ?

    La plupart des gens qui jouent avec des actifs ne pensent pas qu'ils jouent; ils pensent qu'"investir" n'est pas jouer. Mais les bulles d'actifs ne sont pas le résultat d'investissements, elles sont le résultat d'une spéculation poussée à l'extrême.

    - voir graph sur site -

    La plupart des gens seraient horrifiés par une baisse de 40 % de leurs « investissements ». Lorsque les bulles éclatent, les actifs spéculatifs ne chutent pas de 40 %, ils chutent de 90 % ou même de 98 %. De nombreuses entreprises technologiques qui coûtaient plus de 100 $ au début de 2000 valaient 4 $ ou même 2 $ en 2003.

    Ce n'est pas du tout inhabituel. Nous avons tout simplement oublié ce qui se passe lorsque des bulles éclatent.

    Le marché boursier américain valait 53 000 milliards de dollars au début de 2022. Si les bénéfices des entreprises tombent à 1 000 milliards de dollars par an et que le ratio cours/bénéfices tombe à un niveau historiquement raisonnable de 11, les actions américaines vaudront 11 000 milliards de dollars, soit une baisse d'environ 40 000 milliards de dollars. ou 80 %.

    Rappelons que les actions américaines ont chuté à 11 billions de dollars en valeur en 2002 et à nouveau en 2008.

    "Impossible !" Oui bien sûr. C'est ce que tout le monde pensait en 2000 et 2008 juste avant que les bulles n'éclatent. C'est la troisième bulle, et c'est la plus gargantuesque, la plus étirée, et donc le renversement sera le plus extrême.

    Pensez ascenseur, pas escalator. L'inégalité générationnelle, l'inégalité de classe, la déflation salariale et le culte des faux dieux de la "richesse sans travail" ont tous atteint des extrêmes. Cette fois, c'est différent, mais pas de la manière que le statu quo attend.

    https://www.zerohedge.com/markets/yes-it-different-time

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  15. "L'Occident a besoin de la troisième guerre mondiale" - Martin Armstrong prévient "Il n'y a pas de retour à la normale ici"


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 AVRIL 2022 - 04:00
    Via USAWatchdog.com de Greg Hunter,


    Le légendaire analyste des cycles financiers et géopolitiques, Martin Armstrong, pense que le soi-disant plan de "Grande Réinitialisation" du Nouvel Ordre Mondial pour l'humanité a maintenant besoin de la guerre pour essayer de le faire fonctionner.

    Cela pourrait arriver dans les prochaines semaines.

    Armstrong explique : "Ce qu'ils essaient de faire, c'est délibérément piquer l'ours..."

    "Ils augmentent la pression sur à peu près tout sous le soleil. L'Occident a besoin de la Troisième Guerre mondiale. Ils en ont juste besoin. Le vrai problème ici est qu'ils sont passés à des taux d'intérêt négatifs en 2014 en Europe. Ils ont été incapables de stimuler l'économie , et l'économie keynésienne a complètement échoué...

    Je dirais que c'est de la mauvaise gestion gouvernementale à l'échelle mondiale. Le problème est que les banques centrales n'ont aucun contrôle sur l'économie.

    Ajoutez à cela que ce type d'inflation est sensiblement différent d'un boom spéculatif. Cette inflation est basée sur les pénuries. Ces crétins avec le covid... avec les confinements, ont fini par détruire les chaînes d'approvisionnement...

    Les choses qui sont là, j'en rachète car la prochaine fois il n'y en aura peut-être plus. Alors, tout le monde augmente sa thésaurisation...

    Donc, ce que nous avons avec l'Europe, avec ses taux d'intérêt négatifs, ils ont anéanti tous les fonds de pension. Ils ont besoin de 8% pour atteindre le seuil de rentabilité, pas de taux négatifs. Il n'y a pas un fonds de pension en Europe qui soit solvable à ce stade du jeu. . . . Le gouvernement européen s'effondre. S'ils finissent par faire défaut, vous aurez des millions de personnes là-bas avec des fourches qui prendront d'assaut le parlement. Donc, pour éviter cela, ils ont besoin de la guerre...

    L'administration Biden a délibérément détruit l'économie mondiale.

    S'il y a une guerre en Europe, les "U.S. le dollar deviendra plus fort au départ et non plus faible » selon Armstrong. Armstrong dit aussi,

    « Tout cela est délibéré. Il n'y a pas de retour à la normale ici. Malheureusement, c'est là que nous nous dirigeons.

    Armstrong soutient que la guerre en Europe pourrait éclater dans quelques semaines, et l'UE et l'OTAN poussent cela. Amstrong dit,

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  16. « Ils veulent que la Russie fasse quelque chose. . . . Cette chose avec la Russie est la même chose encore une fois. Malheureusement, nous nous dirigeons vers la guerre.

    Armstrong parle également en détail des sujets suivants : la monnaie numérique et pourquoi le Deep State pousse si fort pour cela ; l'or, l'argent, la nourriture et à peu près tout ce qui augmente en raison des pénuries.

    Armstrong recommande que les gens "stockent deux ans de nourriture". Armstrong a d'autres conseils sur ce dont l'homme ordinaire a besoin pour s'approvisionner ; Armstrong dit également que le président Trump est le seul président qu'il connaissait qui se souciait des soldats américains morts au combat. C'est pourquoi Trump voulait ramener les troupes à la maison, et les bellicistes de l'État profond le détestaient pour cela.

    Armstrong donne également ses prédictions sur qui remportera les élections de mi-mandat en novembre prochain. Est-ce important de savoir quel parti l'emportera ?

    En conclusion, Armstrong dit,

    « Nous ne revenons pas à la normale. Le système s'effondre de l'intérieur, et c'est comme la chute de Rome, en gros."

    (Il y a beaucoup plus dans l'interview de près d'une heure.)

    Rejoignez Greg Hunter de USAWatchdog.com alors qu'il s'entretient en tête-à-tête avec l'expert en cycle Martin Armstrong et auteur du livre populaire "Manipulating the World Economy", pour le 4.12.22.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/west-needs-wwiii-martin-armstrong-warns-theres-no-return-normal-here

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  17. Deux ans de tendances migratoires montrent que les Américains ont fui vers les États de la Sun Belt


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 AVRIL 2022 - 01:05


    Les nouvelles tendances migratoires publiées dans un rapport de Realtor.com ont révélé que les Américains qui avaient la mobilité économique pour ramasser leurs bagages et s'évader pendant la pandémie ont fui les villes côtières chères et les centres technologiques libéraux vers les États de la Sun Belt, selon Bloomberg.

    - voir carte sur site -

    Realtor.com a utilisé deux années de données sur les loyers (de mars 2020 à mars 2022) pour déterminer les villes à croissance de loyer la plus rapide et la plus lente. Ils ont découvert que la croissance des loyers la plus rapide du pays s'est produite dans la région métropolitaine de Miami, qui a bondi de 58 % au cours des deux dernières années, avec un loyer médian d'environ 2 988 $. Parmi les autres villes à forte croissance des loyers, citons Riverside, en Californie ; Tampa, Floride; Memphis, Tennessee; Orlando Floride; et Las Vegas, entre autres villes de la région de Sun Belt. Beaucoup de ces zones sont chaudes et considérées comme des zones favorables à l'impôt.

    - voir liste sur site -

    Place maintenant à l'exode. La croissance des loyers dans certaines villes du nord-est et du centre de l'Atlantique est passée de nulle à négative. Buffalo, New York et Washington, D.C. ont enregistré une croissance des loyers négative à stable au cours des deux dernières années. Les loyers ont été réduits dans les pôles technologiques libéraux, tels que San Jose, en Californie ; San Francisco, Californie; et Seattle, Washington.

    - voir liste sur site -

    Ces données suggèrent que des millions d'Américains ont fui les régions métropolitaines utopiques libérales pour celles de la Sun Belt (nous l'avons expliqué l'année dernière avec les données de camionnage U-Haul), où les taxes et la criminalité sont beaucoup plus faibles. La tendance pourrait persister car le coût de la vie est beaucoup plus bas dans ces régions, l'inflation étant à son plus haut niveau depuis quatre décennies.

    https://www.zerohedge.com/markets/two-years-migration-trends-show-americans-fled-sun-belt-states

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  18. Whitehead : "Nous, le peuple" sommes la nouvelle sous-classe permanente en Amérique


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 AVRIL 2022 - 05:40
    Rédigé par John W. Whitehead et Nisha Whitehead via le Rurtherford Institute,


    "Nous accélérons maintenant sur la voie du gaspillage et de la dette, et à moins que nous ne puissions nous en sortir, nous serons écrasés par l'inflation."
    -Herbert Hoover

    - voir clip sur site -

    C'est la tyrannie financière.

    Le gouvernement américain - et cela inclut l'administration actuelle - dépense de l'argent qu'il n'a pas dans des programmes qu'il ne peut pas se permettre, et "nous, les contribuables", sommes ceux qui doivent payer la facture de la folie fiscale du gouvernement.

    Nous avons été vendus par des politiciens promettant de rembourser la dette nationale, de relancer l'économie, de reconstruire nos infrastructures, de sécuriser nos frontières, d'assurer notre sécurité et de nous rendre tous en bonne santé, riches et heureux.

    Rien de tout cela ne s'est produit, et pourtant nous sommes toujours criblés de dettes qui ne sont pas de notre fait.

    Parlons chiffres, d'accord ?

    La dette nationale (le montant que le gouvernement fédéral a emprunté au fil des ans et doit rembourser) est de 30 000 milliards de dollars et ne cesse de croître. Cela se traduit par environ 242 000 $ par contribuable.

    Maintenant, l'administration Biden propose un budget de dépenses de 5,8 billions de dollars qui comprend notamment 813 milliards de dollars pour la défense nationale, 30 milliards de dollars pour «financer la police» et un plan visant à réduire le déficit national d'environ 1 billion de dollars sur 10 ans grâce à des hausses d'impôts supplémentaires.

    On estime que le montant que ce pays doit est désormais supérieur de 130% à son produit intérieur brut (tous les produits et services produits en un an par le travail et les biens fournis par les citoyens).

    Les États-Unis se classent au 12e rang des pays les plus endettés au monde, une grande partie de cette dette étant due à la Réserve fédérale, à de grands fonds d'investissement et à des gouvernements étrangers, à savoir le Japon et la Chine.

    Essentiellement, le gouvernement américain finance son existence même avec une carte de crédit.

    En 2021, nous avons payé plus de 562 milliards de dollars d'intérêts sur cette dette publique, ce qui, selon le journaliste Rob Garver, « est plus que le budget annuel de chaque agence fédérale, à l'exception du Trésor, du ministère de la Santé et des Services sociaux (qui gère les programmes gouvernementaux d'assurance-maladie Medicare et Medicaid) et le ministère de la Défense.

    Selon le Comité pour un budget fédéral raisonnable, les intérêts que nous avons payés sur cet argent emprunté sont « près du double de ce que le gouvernement fédéral dépensera pour les infrastructures de transport, plus de quatre fois plus que ce qu'il dépensera pour l'éducation de la maternelle à la 12e année, presque quatre fois ce qu'il dépensera pour le logement et plus de huit fois ce qu'il dépensera pour la science, l'espace et la technologie.

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  19. De toute évidence, la dette nationale ne disparaîtra pas de sitôt, surtout pas avec l'augmentation des dépenses publiques et les paiements d'intérêts qui représentent une si grande partie du budget.

    Pourtant, le gouvernement reste impénitent, imperturbable et imperturbable dans ses dépenses gratuites.

    En effet, le déficit national (la différence entre ce que le gouvernement dépense et les revenus qu'il encaisse) reste à plus de 1,5 billion de dollars.

    Si les Américains géraient leurs finances personnelles comme le gouvernement gère mal les finances de la nation, nous serions tous en prison pour dettes maintenant.

    Malgré la propagande gouvernementale colportée par les politiciens et les médias, le gouvernement ne dépense pas l'argent de nos impôts pour améliorer nos vies.

    On nous vole à l'aveuglette pour que l'élite gouvernementale puisse s'enrichir.

    Nous ne vivons pas le rêve américain. Nous vivons un cauchemar financier.

    Aux yeux du gouvernement, « nous, le peuple, les électeurs, les consommateurs et les contribuables » ne sommes guère plus que des portefeuilles qui attendent d'être choisis.

    "Nous, le peuple" sommes devenus la nouvelle sous-classe permanente en Amérique.

    Considérez : Le gouvernement peut saisir votre maison et votre voiture (que vous avez achetées et payées) pour non-paiement des impôts. Les agents du gouvernement peuvent geler et saisir vos comptes bancaires et autres objets de valeur s'ils ne font que "soupçonner" un acte répréhensible. Et l'IRS insiste pour obtenir la première tranche de votre salaire pour payer les programmes gouvernementaux sur lesquels vous n'avez pas votre mot à dire.

    Nous n'avons pas vraiment notre mot à dire sur la façon dont le gouvernement fonctionne, ou sur la façon dont l'argent de nos contribuables est utilisé, mais nous sommes obligés de payer par le nez, de toute façon.

    Nous n'avons pas vraiment notre mot à dire, mais cela n'empêche pas le gouvernement de nous escroquer à tout bout de champ et de nous obliger à payer pour des guerres sans fin qui font plus pour financer le complexe militaro-industriel que pour nous protéger, des projets de barils de porc qui ne produisent que peu ou rien, et un État policier qui ne sert qu'à nous emprisonner dans ses murs.

    Si vous n'avez pas le choix, pas de voix et pas d'options réelles en ce qui concerne les réclamations du gouvernement sur votre propriété et votre argent, vous n'êtes pas libre.

    Il n'en a pas toujours été ainsi, bien sûr.

    Les premiers Américains sont entrés en guerre pour les droits inaliénables décrits par le philosophe John Locke comme les droits naturels à la vie, à la liberté et à la propriété.

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  20. Il n'a pas fallu longtemps, cependant - cent ans, en fait - avant que le gouvernement américain ne revendique la propriété des citoyens en prélevant des impôts pour payer la guerre civile. Comme le rapporte le New York Times, « une résistance généralisée a conduit à son abrogation en 1872 ».

    Déterminé à réclamer une partie de la richesse des citoyens pour ses propres usages, le gouvernement a rétabli l'impôt sur le revenu en 1894. Charles Pollock a contesté l'impôt comme inconstitutionnel et la Cour suprême des États-Unis a statué en sa faveur. La victoire de Pollock a été relativement courte. Les membres du Congrès, unis dans leur détermination à imposer les revenus du peuple américain, ont travaillé ensemble pour adopter un amendement constitutionnel pour annuler la décision Pollock.

    À la veille de la Première Guerre mondiale, en 1913, le Congrès a institué un impôt permanent sur le revenu par le biais du 16e amendement à la Constitution et de la loi sur le revenu de 1913. En vertu de la loi sur le revenu, les personnes dont le revenu dépasse 3 000 $ peuvent être imposées à partir de 1 % jusqu'à 7 % pour les revenus supérieurs à 500 000 $.

    Tout est descendu à partir de là.

    Sans surprise, le gouvernement a utilisé ses pouvoirs fiscaux pour faire avancer ses propres programmes impérialistes et les tribunaux ont à plusieurs reprises confirmé le pouvoir du gouvernement de pénaliser ou d'emprisonner ceux qui refusaient de payer leurs impôts.

    Alors que nous luttons pour nous en sortir et que nous prenons des décisions difficiles sur la façon de dépenser le peu d'argent qui arrive réellement dans nos poches après que les gouvernements fédéral, étatiques et locaux ont pris leur part (cela n'inclut pas les taxes furtives imposées par les péages, amendes et autres pénalités fiscales), le gouvernement continue de faire ce qu'il veut - prélever des impôts, accumuler des dettes, dépenser de manière scandaleuse et irresponsable - sans se soucier du sort de ses citoyens.

    Pour couronner le tout, toutes ces guerres que les États-Unis sont si désireux de mener à l'étranger sont menées avec des fonds empruntés. Comme le rapporte The Atlantic, « U.S. les dirigeants financent essentiellement les guerres avec la dette, sous la forme d'achats de bons du Trésor américain par des entités basées aux États-Unis comme les fonds de pension et les gouvernements des États et locaux, et par des pays comme la Chine et le Japon.

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  21. Bien sûr, c'est nous qui devrons rembourser cette dette empruntée.

    Par exemple, les contribuables américains ont été contraints de débourser plus de 5 600 milliards de dollars depuis le 11 septembre pour la coûteuse et interminable « guerre contre le terrorisme » du complexe militaro-industriel. Cela se traduit par environ 23 000 dollars par contribuable pour mener des guerres à l'étranger, occuper des pays étrangers, fournir une aide financière à des alliés étrangers, remplir les poches d'entrepreneurs de la défense et graisser les mains de dignitaires étrangers corrompus.

    Remarquez que ces 6 000 milliards de dollars stupéfiants ne représentent qu'une partie de ce que le Pentagone dépense pour l'empire militaire américain.

    Les États-Unis dépensent également plus pour l'aide étrangère que tout autre pays, avec près de 300 milliards de dollars déboursés sur une période de cinq ans. Plus de 150 pays à travers le monde reçoivent une aide financée par les contribuables américains, la plupart des fonds allant au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie. Ce prix ne cesse d'augmenter, aussi.

    Comme le rapporte Forbes, « U.S. l'aide étrangère éclipse les fonds fédéraux dépensés par 48 des 50 gouvernements des États chaque année. Seuls les gouvernements des États de Californie et de New York ont ​​​​dépensé plus de fonds fédéraux que ce que les États-Unis envoyaient chaque année à l'étranger vers des pays étrangers.

    Plus récemment, en réponse à l'agression militaire de la Russie contre l'Ukraine, l'administration Biden a approuvé 13,6 milliards de dollars d'aide militaire et humanitaire pour l'Ukraine, avec 200 millions de dollars supplémentaires pour une assistance militaire immédiate.

    Comme Dwight D. Eisenhower l'a averti dans un discours de 1953, c'est ainsi que le complexe militaro-industriel continuera de s'enrichir, tandis que le contribuable américain sera obligé de payer pour des programmes qui ne font pas grand-chose pour améliorer nos vies, assurer notre bonheur et notre bien-être, ou garantir nos libertés.

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  22. Ce n'est pas un mode de vie.

    Pourtant, ce ne sont pas seulement les guerres sans fin du gouvernement qui nous saignent à blanc.

    Nous sommes également obligés de débourser de l'argent pour les systèmes de surveillance afin de suivre nos mouvements, de l'argent pour militariser davantage notre police déjà militarisée, de l'argent pour permettre au gouvernement de piller nos maisons et nos comptes bancaires, de l'argent pour financer des écoles où nos enfants n'apprennent rien sur la liberté et tout sur la façon de se conformer, et ainsi de suite.

    Il est tentant de dire que nous ne pouvons pas y faire grand-chose, sauf que ce n'est pas tout à fait exact.

    Il y a certaines choses que nous pouvons faire (exiger la transparence, rejeter le copinage et la corruption, insister sur des prix équitables et des méthodes comptables honnêtes, mettre un terme aux programmes gouvernementaux incitatifs qui donnent la priorité aux profits plutôt qu'aux personnes), mais cela exigera que "nous, les les gens » cessez de faire de la politique et restez unis contre les politiciens et les intérêts des entreprises qui ont transformé notre gouvernement et notre économie en un exercice de fascisme payant.

    Malheureusement, nous nous sommes tellement investis dans la politique identitaire qui nous dresse les uns contre les autres et nous maintient impuissants et divisés que nous avons perdu de vue la seule étiquette qui nous unit : nous sommes tous américains.

    Croyez-moi, nous sommes tous dans le même bateau, les amis, et il n'y a qu'une seule vraie bouée de sauvetage : c'est la Constitution et la Déclaration des droits.

    La Constitution commence par ces trois mots puissants : « Nous, le peuple ».

    Il y a du pouvoir dans notre nombre.

    Comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, cela reste notre plus grande force face à une élite gouvernementale qui continue de fouler aux pieds la population. Cela reste notre plus grande défense contre un gouvernement qui s'est arrogé un pouvoir illimité sur la bourse (les fonds des contribuables) et l'épée (la puissance militaire).

    Là où nous perdons, c'est lorsque nous tombons amoureux des politiciens qui parlent beaucoup et qui dépensent beaucoup à nos dépens.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whitehead-we-people-are-new-permanent-underclass-america

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  23. Le conseil municipal de LA apporte son soutien aux réparations pour les Noirs américains


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 23:50
    Écrit par Jamie Joseph via The Epoch Times


    Le conseil municipal de Los Angeles a approuvé à l'unanimité une motion le 12 avril pour soutenir le projet de loi 3121 de l'Assemblée, la législation de l'État de Californie qui a créé un groupe de travail pour étudier et développer des protocoles de réparation pour les Noirs américains.

    AB 3121, connu sous le nom de "Groupe de travail pour étudier et développer des propositions de réparation pour les Afro-Américains", a été adopté en 2020 et a créé le groupe pour "identifier, compiler et synthétiser le corpus pertinent de documentation probante de l'institution de l'esclavage qui existait au sein de les États-Unis et les colonies qui sont devenues les États-Unis de 1619 à 1865 », selon le texte du projet de loi.

    Le mois dernier, le groupe de travail a voté pour soutenir les réparations uniquement pour les Californiens noirs qui peuvent prouver qu'ils sont des descendants directs d'esclaves. Le programme serait le premier du genre aux États-Unis.

    Le groupe de travail est tenu de soumettre ses recommandations et conclusions écrites au pouvoir législatif. Le premier rapport de ce type devrait être publié en juin, qui fera partie d'un rapport en deux parties portant sur des questions telles que le « racisme dans le secteur bancaire », la « discrimination dans la technologie », le sans-abrisme et la gentrification.

    Cinq membres du groupe de travail de neuf membres ont été nommés par le gouverneur, tandis que deux membres ont été nommés par le président pro tempore du Sénat et deux membres par le président de l'Assemblée.

    Le professeur de l'UC Berkeley et membre du groupe de travail, le Dr Jovan Scott Lewis, a déclaré à ABC10 en février : « Nous ne parlons pas seulement de cette période, vous savez, d'esclavage formel il y a des siècles ; nous parlons du prix que les Afro-Américains continuent de payer pour le progrès de notre nation.

    "Les Afro-Américains ont en fait subi les conséquences et ont payé le prix des progrès de la Californie", a-t-il déclaré.

    Un commentateur public qui a écrit lors de la réunion du conseil municipal a déclaré: «La dernière fois que j'ai vérifié, ma famille et moi n'avons jamais possédé d'esclaves. Et personne que je connaisse n'a jamais été esclave. Les réparations sont une action instinctive pour assouplir votre privilège, PAS le mien.

    https://www.zerohedge.com/political/la-city-council-throws-support-behind-reparations-black-americans

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    1. Même si en Martinique il y avait plus d'esclaves blancs que d'esclaves noirs et que les colons européens arrivant en Afrique n'ont pas inventé l'esclavage puisqu'il y était déjà (comme en Europe et ailleurs depuis des millénaires), je ne saisis pas le pourquoi des bronzés ou les moins bronzés ou les pas-du-tout-bronzés devraient payer pour un crime qu'il n'ont pas commis en refusant de se mettre au soleil comme les autres !

      Car, c'est vrai que le parti démocrate américain est un parti ANTI Démocratie et, la dictature californienne est bien là pour le rappeler. Les États-Unis d'Amérique est une dictature républicaine comme il y en a de partout dans le monde auprès des monarchies et empires de la même crasse. Donc, je pense qu'avant de parler de réparation ! (HAHAHAHA !) faudrait parler du devis où l'Américain est libre d'aller d'un mur à l'autre, n'a pas un sou à Fort Knox et un trou de cul dans une maison blanche.

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  24. Le blocus frontalier mexicain menace de laisser les supermarchés américains sans produits avant Pâques


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 AVRIL 2022 - 22:40


    Plus de cent millions de dollars de produits mexicains sont bloqués à la frontière américano-mexicaine en raison d'un blocus de camionneurs du côté mexicain sur la nouvelle politique de recherche aux frontières du gouverneur du Texas Greg Abbott, selon Bloomberg. La perturbation pourrait laisser certains supermarchés américains sans produits avant le week-end de Pâques.

    Le programme controversé d'inspection des camions d'Abbott a suscité le mécontentement des camionneurs mexicains qui ont fermé le pont international de Reynosa, l'un des passages commerciaux les plus fréquentés de la vallée du Rio Grande et qui traite un grand volume de produits frais, il y a quatre jours. Le Washington Examiner rapporte que le pont a été contraint de rouvrir jeudi après que des membres du cartel de la drogue ont incendié plusieurs camions.

    Pourtant, le port d'entrée aux États-Unis semble bloqué.

    La Texas International Produce Association (TIPA) a déclaré qu'environ 150 millions de dollars de fruits et légumes entrant aux États-Unis avaient été arrêtés au pont et pourraient retarder les livraisons de fruits et légumes, tels que les avocats, le brocoli, les poivrons, les fraises et les tomates, aux États-Unis. supermarchés.

    "En ce week-end de Pâques, les consommateurs verront les rayons des magasins dépourvus de certains articles", a averti Dante L. Galeazzi, PDG de la TIPA.

    La semaine dernière, Abbott a ordonné aux camions commerciaux du Mexique de subir une deuxième couche d'inspections par des soldats de l'État pour rechercher de la drogue. Les camionneurs étaient furieux contre le gouverneur parce que le temps de transit par le port d'entrée était considérablement ralenti. Ainsi, ils ont finalement bloqué la circulation vers le pont du côté mexicain plus tôt cette semaine, ce qui a interrompu les flux des deux côtés.

    Les pénuries alimentaires imminentes sont si préoccupantes que le commissaire à l'agriculture du Texas, Sid Miller, a averti que les prix des avocats pourraient grimper à 5 dollars chacun. Il y a aussi le risque que la section des produits de certains supermarchés ait des étagères vides.

    Dans un certain contexte, les États-Unis importent environ 50 % des légumes et 40 % des fruits du Mexique. Les États-Unis dépendent de l'approvisionnement en produits du Mexique. Ainsi, les perturbations à la frontière pourraient souligner la fragilité des chaînes d'approvisionnement alimentaire américaines.

    https://www.zerohedge.com/commodities/mexican-border-blockade-threatens-leave-us-supermarkets-without-produce-ahead-easter

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  25. Visualiser la répartition de la richesse des ménages, par pays


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 AVRIL 2022 - 12:15


    La majorité de la richesse mondiale est concentrée dans quelques pays seulement. En fait, comme le détaille Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, près d'un tiers de la richesse des ménages est détenue par des Américains, tandis que la population chinoise représente près d'un cinquième.

    Utilisant des données du Credit Suisse, ce graphique d'Eleonora Nazander montre la répartition de la richesse des ménages dans le monde, soulignant l'écart de richesse qui existe entre les régions.

    Top 10 des pays les plus riches

    Pour aider à simplifier les choses, ce graphique montre la richesse des ménages de chaque pays si le monde ne disposait que de 100 dollars.

    Comme l'illustre le graphique, les 10 pays les plus riches détiendraient environ 77 dollars, soit 77 % de la richesse mondiale des ménages. Voici une ventilation de ce que serait leur réduction de 100 $:

    - voir graph sur site -
    (USA, Chine, Japon, Germany, U K, France, Inde, Italie, Canada, Espagne).

    Les États-Unis arrivent en première place, détenant 29,40 dollars, soit près d'un tiers de la richesse totale, tandis que la Chine arrive en deuxième position, avec 17,71 dollars.

    Cela a du sens compte tenu de la forte concentration d'individus ultra-riches dans les deux pays - la Chine et les États-Unis abritent plus de la moitié des milliardaires du monde, et huit des 10 personnes les plus riches de la planète sont des Américains, dont le plus riche du monde, Elon Musc.

    Le Japon se classe troisième sur la liste, représentant 6,93 $. Comme les États-Unis et la Chine, le Japon compte également une forte proportion de citoyens très fortunés, ou de personnes ayant une valeur nette de 30 millions de dollars ou plus.

    Fait intéressant, l'Inde se classe au septième rang sur la liste, bien qu'elle ait le troisième plus grand nombre de milliardaires au monde et une population massive de 1,4 milliard. Un facteur contributif pourrait être le niveau de pauvreté relativement élevé du pays.

    Inégalité de richesse

    Il est important de noter que, bien que les États-Unis et la Chine détiennent la majorité de la richesse mondiale, les deux pays sont toujours aux prises avec des inégalités de richesse.

    Actuellement, les 1% des ménages américains les plus riches détiennent 31,7% de la richesse des ménages du pays. Et tandis que la Chine a fait des progrès sur la pauvreté au cours de la dernière décennie grâce à une croissance économique rapide, l'écart de richesse entre les riches et les pauvres du pays s'est creusé ces dernières années.

    Les gouvernements des deux pays ont annoncé des plans pour lutter contre les inégalités de richesse. Par exemple, l'administration Biden s'efforce d'adopter une législation qui augmenterait les impôts des entreprises et des riches Américains. Pendant ce temps, le gouvernement chinois a annoncé son plan quinquennal de répression de l'entreprise privée, dans le but de briser les monopoles et d'atteindre finalement la « prospérité commune ».

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/visualizing-distribution-household-wealth-country

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  26. Des centaines de navires bloqués devant les ports chinois – Charles Sannat, analyste économique


    15/04/2022
    par Aphadolie


    C’est environ 500 navires qui sont bloqués devant les ports chinois avec une mention spéciale pour celui de Shanghai.

    La mise sous cloche de Shanghai, instaurée par les autorités chinoises pour lutter contre une nouvelle épidémie de Covid, cause une importante congestion dans les terminaux portuaires. Privé de sa main-d’œuvre, placée à l’isolement comme toute la population de la ville depuis une quinzaine de jours, le port de Shanghai ne tourne plus qu’au ralenti. Résultat, le nombre de navires en attente au large des terminaux s’envole. Selon Bloomberg, 222 vraquiers, chargés principalement de minerais et de céréales, patientaient ainsi devant le deuxième port du monde le lundi 11 avril.

    Cette congestion est en train de s’étendre aux ports voisins, les armateurs se détournant en masse du port dans lequel ils ne peuvent plus décharger. Le voisin et premier port mondial, Ningbo, est particulièrement touché, avec 134 navires en attente selon Bloomberg. En tout, 477 vraquiers attendaient au large des ports chinois le 11 avril, toujours selon l’agence américaine.

    Les porte-conteneurs n’échappent pas à la congestion, attendant eux de pouvoir charger dans les ports chinois. Près de 200 d’entre eux étaient ainsi bloqués devant Ningbo et Shanghai.

    Les chaînes d’approvisionnement vont craquer

    Comme au moment le pire de la pandémie de 2020, où Wuhan avait été totalement confinée, et une grande partie de la Chine partiellement confinée, jamais, je dis bien jamais Shanghai n’avait été à l’arrêt aussi longtemps.

    Alors que le confinement ne devait durer que quelques jours, finalement, après 15 jours de confinement il a été décidé de le prolonger à nouveau pour 15 jours, les autorités chinoises ne semblant pas vouloir rompre avec leur stratégie 0 Covid, qui risque d’être balayée, non, qui va être balayée par la contagiosité d’Omicron.

    Les autorités chinoises ont fait du 0 Covid un dogme intenable dans les faits.

    Alors pourquoi un tel entêtement ?

    En attendant, nous allons vivre à nouveau d’importantes perturbations dans nos approvisionnements, car l’essentiel de vos commandes sont soit à quai à Shanghai, soit dans des navires bloqués, soit dans des usines pas encore fabriquées…

    Nous allons donc vivre un deuxième pic de pénuries qui sera inévitablement accompagné par un second pic d’inflation très élevée.

    Les stocks mobiles, c’est-à-dire dans les navires et dans le flux de transport sont d’environ 3 semaines. Nous rentrons dans la troisième semaine. D’ici la fin avril les rayons vont commencer à se vider, avec toujours un temps de latence. En effet, vous avez en cours de livraison actuellement ce qui sera vendu cet été en gros, et en juin/juillet, on commande ce qui sera fabriqué et livré pour les fêtes de fin d’année.

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  27. En un mot ?

    Stockez !

    Bonus…

    Time : 14 mn 23 [Vostvfr] / [1/1]

    La crise du transport maritime s’aggrave alors que les fermetures de ports chinois déclenchent des pénuries et une flambée des taux de fret de 400 %.

    Synopsis vidéo [Traduction rapprochée] :

    Le cauchemar des chaînes d’approvisionnements se poursuit : les fermetures massives d’entreprises, les fermetures de ports, les perturbations de la navigation et une hausse à trois chiffres des taux de fret risquent d’aggraver les pénuries dans le monde entier, mais les initiés de l’industrie préviennent que les consommateurs américains seront les plus durement touchés. La congestion portuaire est de retour dans les ports chinois alors que de nouvelles restrictions interrompent les opérations de fabrication, aggravant les retards d’expédition et poussant les prix déjà élevés à de nouveaux records. Dans le même temps, l’agression de la Russie en Ukraine pèse lourdement sur les chaînes d’approvisionnement et la production agricole dans le monde. Partout sur la planète, les approvisionnements alimentaires s’effondrent tandis que l’inflation alimentaire augmente.

    Les compagnies maritimes, les entreprises de logistique et les analystes signalent qu’il existe actuellement d’énormes files d’attente de porte-conteneurs à l’extérieur des principaux ports chinois, car une nouvelle épidémie de virus dans les centres d’exportation manufacturiers a déclenché une nouvelle vague de chocs sur la chaîne d’approvisionnement mondiale. Les embouteillages de navires et l’arriéré de conteneurs continuent de croître de jour en jour, ont-ils ajouté. Au cours de la semaine dernière, les transports publics et la circulation ont été interrompus, et des fermetures massives d’entreprises se sont produites alors que le gouvernement a complètement suspendu toutes les activités de production et d’exploitation dans le but d’empêcher l’épidémie de se propager davantage.

    En termes d’activité logistique, plusieurs membres de la branche logistique maritime de la China Transportation Association ont signalé que les nouvelles mesures de prévention et de contrôle des épidémies ont entraîné la fermeture de 80% à 90% des entrepôts de Shenzhen, ce qui entraîne des retards massifs pour le fret des navires arrivant au port. Avec l’augmentation du nombre de navires en file d’attente, le port devra faire face à une pression croissante alors que les embouteillages s’aggravent de jour en jour. Pour les entreprises de transport et de logistique, cela signifie également une nouvelle augmentation des coûts d’exploitation.

    Rien qu’en janvier, les prix d’expédition ont augmenté de 16 000 $ sur la liaison Chine-États-Unis. Route de la côte ouest, mais les données de la CNUCED montrent que le dernier pic de taux de fret était beaucoup plus élevé que cela. Selon Peter Sand, analyste en chef chez Xeneta, une société d’analyse de fret, les consommateurs aux États-Unis et les expéditeurs de marchandises à destination de l’Amérique du Nord seront les plus durement touchés. En outre, au cours des dernières semaines, le conflit entre la Russie et l’Ukraine s’est propagé sur les marchés mondiaux des cultures, les principaux producteurs de denrées alimentaires avertissant qu’ils ne seront pas en mesure d’offrir des céréales sur le marché mondial cette année car ils assurent l’approvisionnement national, tandis que d’autres n’auront pas du tout les moyens de récolter les récoltes et de distribuer leurs produits.

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  28. Les nouveaux goulots d’étranglement surviennent à un moment où les prix mondiaux des cultures ont déjà atteint des niveaux historiques, alimentant l’inflation et la crise alimentaire, tandis que les stocks de céréales se réduisent partout sur la planète. Pendant ce temps, aux États-Unis, la nourriture est toujours rare, comme les consommateurs de tout le pays peuvent le voir de leurs propres yeux. Les analystes alertent sur le fait que les pénuries alimentaires pourraient durer des années. Selon une nouvelle analyse publiée par RetailWire, l’insécurité alimentaire était déjà en augmentation aux États-Unis en raison de « divers facteurs, notamment la baisse de la production nationale, les incendies de forêt, les risques naturels, le changement climatique et les organismes nuisibles ».

    En ajoutant à cette image l’augmentation les coûts de transport, les pénuries de main-d’œuvre et les problèmes de la chaîne d’approvisionnement, on peut dire sans risque de se tromper que les chaînes d’approvisionnement alimentaire américaines n’ont jamais été confrontées à autant de pression. Et les conditions devraient s’aggraver cette année étant donné que notre offre intérieure d’engrais a diminué de 50 % et que nous sommes au milieu d’un conflit avec le plus grand exportateur d’engrais au monde. L’insécurité alimentaire va profondément ébranler notre pays dans les mois à venir. Et nous serons extrêmement chanceux si les choses ne commencent pas à s’effondrer dans notre économie et nos marchés financiers avant que cela ne se produise. Les ennuis sont à venir, il est temps de commencer à planifier un moyen de sortir de ce pétrin pendant que vous le pouvez encore.

    Synopsis video original :

    La congestion portuaire est de retour avec une vengeance dans les ports chinois alors que de nouvelles restrictions interrompent les opérations et interrompent la fabrication, aggravant les retards d'expédition et poussant les prix déjà élevés à de nouveaux records. Dans le même temps, l'agression de la Russie en Ukraine pèse lourdement sur les chaînes d'approvisionnement et la production agricole dans le monde. Partout sur la planète, les approvisionnements alimentaires s'effondrent tandis que l'inflation alimentaire augmente.

    Les compagnies maritimes, les entreprises de logistique et les analystes signalent qu'il existe actuellement d'énormes files d'attente de porte-conteneurs à l'extérieur des principaux ports chinois, car une nouvelle épidémie de virus dans les centres d'exportation manufacturiers a déclenché une nouvelle vague de chocs sur la chaîne d'approvisionnement mondiale. Les embouteillages de navires et l'arriéré de conteneurs continuent de croître de jour en jour, ont-ils ajouté. Au cours de la semaine dernière, les transports publics et la circulation ont été interrompus, et des fermetures massives d'entreprises se sont produites alors que le gouvernement a complètement suspendu toutes les activités de production et d'exploitation dans le but d'empêcher l'épidémie de se propager davantage.

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  29. En termes d'activité logistique, plusieurs membres de la branche logistique maritime de la China Transportation Association ont signalé que les nouvelles mesures de prévention et de contrôle des épidémies ont entraîné la fermeture de 80% à 90% des entrepôts de Shenzhen, ce qui entraîne des retards massifs pour le fret. navires arrivant au port. Avec l'augmentation du nombre de navires en file d'attente, le port devra faire face à une pression croissante alors que les embouteillages s'aggravent de jour en jour. Pour les entreprises de transport et de logistique, cela signifie également une nouvelle augmentation des coûts d'exploitation.

    Rien qu'en janvier, les prix d'expédition ont augmenté de 16 000 $ sur la liaison Chine-États-Unis. Route de la côte ouest, mais les données de la CNUCED montrent que le dernier pic de taux de fret était beaucoup plus élevé que cela. Selon Peter Sand, analyste en chef chez Xeneta, une société d'analyse de fret, les consommateurs aux États-Unis et les expéditeurs de marchandises à destination de l'Amérique du Nord seront les plus durement touchés. En outre, au cours des dernières semaines, le conflit entre la Russie et l'Ukraine s'est propagé sur les marchés mondiaux des cultures, les principaux producteurs de denrées alimentaires avertissant qu'ils ne seront pas en mesure d'offrir des céréales sur le marché mondial cette année car ils assurent l'approvisionnement national, tandis que d'autres n'auront pas du tout les moyens de récolter les récoltes et de distribuer leurs produits.

    Les nouveaux goulots d'étranglement surviennent à un moment où les prix mondiaux des cultures ont déjà atteint des niveaux historiques, alimentant l'inflation et les crises de la faim, tandis que les stocks de céréales se réduisent partout sur la planète. Pendant ce temps, aux États-Unis, la nourriture est toujours rare, comme les consommateurs de tout le pays peuvent le voir de leurs propres yeux. Les analystes alertent sur le fait que les pénuries alimentaires pourraient durer des années. Selon une nouvelle analyse publiée par RetailWire, l'insécurité alimentaire était déjà en hausse aux États-Unis en raison de « divers facteurs, notamment la baisse de la production intérieure, les incendies de forêt, les risques naturels, le changement climatique et les ravageurs ». »

    En ajoutant à cette image l'augmentation des coûts de transport, les pénuries de main-d'œuvre et les problèmes de la chaîne d'approvisionnement, on peut dire sans risque de se tromper que les chaînes d'approvisionnement alimentaire américaines n'ont jamais été confrontées à autant de pression. Et les conditions devraient s'aggraver cette année étant donné que notre offre intérieure d'engrais a diminué de 50 % et que nous sommes au milieu d'un conflit avec le plus grand exportateur d'engrais au monde. L'insécurité alimentaire va profondément ébranler notre pays dans les mois à venir. Et nous serons extrêmement chanceux si les choses ne commencent pas à s'effondrer dans notre économie et nos marchés financiers avant que cela ne se produise. Les ennuis sont à venir, il est temps de commencer à planifier un moyen de sortir de ce gâchis pendant que vous le pouvez encore.

    Source :

    https://insolentiae.com/des-centaines-de-navires-bloques-devant-les-ports-chinois-ledito-de-charles-sannat/

    https://aphadolie.com/2022/04/15/des-centaines-de-navires-bloques-devant-les-ports-chinois-charles-sannat-analyste-economique/

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    1. Suffit de voir la carte des stations 'HAARP' dans le monde pour savoir qui utilise quoi (technologie scalaire) dans le monde.

      2 aux USA, Angleterre, Brésil, Russie, Chine, Australie, Porto-Rico, Norvège, Japon, etc.

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  30. Article invité par Rafe Champion. Problème au paradis RE


    April 15th, 2022


    Je m'attends à un bouleversement dans l'industrie des énergies renouvelables depuis un certain temps, car en Australie, de plus en plus de fournisseurs alimentent un marché statique. Ces dernières années, la demande dans le réseau a peut-être même diminué en raison de la fuite des industries à forte intensité énergétique, bien que la demande d'électricité devrait augmenter considérablement à l'avenir en raison de la croissance démographique et de l'explosion prévue du nombre de véhicules électriques (non à confondre avec l'explosion des véhicules électriques eux-mêmes.)

    Je pense que les projections gonflées de la montée des véhicules électriques sont des ordures, mais c'est une autre histoire.

    Les développeurs d'énergies renouvelables en Australie sont frustrés par les retards de connexion dus à une infrastructure inadéquate (poteaux et câbles) et ils veulent que les contribuables injectent 20 milliards de dollars de dépenses en capital pour les sortir des ennuis. Selon nos planificateurs de l'AEMO et des groupes de pression associés, cela sera rentabilisé plusieurs fois dans une décennie ou deux. Dans leurs rêves. Bien avant cela, l'industrie implosera lorsque l'impossibilité de la transition deviendra impossible à dissimuler lorsque Liddell et Eraring se déconnecteront.

    La grande nouvelle concernant les déboires de l'industrie éolienne à l'étranger est l'augmentation des coûts de construction qui pourrait atteindre 30 % au cours de la dernière année. Au début, c'était un problème de chaîne d'approvisionnement en raison de la pandémie, maintenant les problèmes de chaîne d'approvisionnement sont aggravés par la guerre et le pire est à venir car le taux d'inflation de l'économie dans son ensemble se répercute sur l'industrie éolienne. Pire encore, c'est le pincement sur le lithium et d'autres terres rares qui s'aggravera également beaucoup plus.

    Même avant la dernière vague d'inflation, l'industrie éolienne offshore en Grande-Bretagne était en difficulté. L'examen des livres des principaux fournisseurs d'énergie éolienne a révélé que les coûts de construction et d'entretien en eau profonde étaient beaucoup plus élevés que prévu.

    Dans l'ensemble, c'est une période fascinante pour regarder le jeu final du fantasme RE se dérouler, bien qu'il ait du chemin à parcourir en raison de la quantité de capital que l'industrie financière éveillée et des gens comme Twiggy Forrest sont prêts à engager - avec un peu d'aide des contribuables bien sûr.

    Tout cela se joue sur fond de réalités brutales de la géopolitique des ressources énergétiques et minérales. Mark Mills du Manhattan Institute envoie depuis des années des signaux d'avertissement indiquant que la poussée vers l'énergie intermittente dans l'ouest pourrait avoir des conséquences géopolitiques dramatiques. Ici, il explique comment le conflit en Ukraine a eu des conséquences dramatiques sur nous plus tôt que prévu.

    La naïveté face aux réalités énergétiques a privé les États-Unis et leurs alliés d'importantes options de "puissance douce" et a aidé à financer l'agression de la Russie. À court terme, nos choix sont limités, mais continuer sur la même voie énergétique est une formule pour encore plus de problèmes à l'avenir.

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  31. Il note qu'au cours des deux dernières décennies, l'UE et les États-Unis ont dépensé plus de 5 000 milliards de dollars et effectué d'innombrables mandats pour remplacer le pétrole, le gaz naturel et le charbon. Cela a ramené la part des hydrocarbures dans l'ensemble de la consommation d'énergie de deux points de pourcentage à 84 %, tandis que la combustion du bois fournit toujours plus d'énergie que tous les panneaux solaires du monde et que le pétrole alimente toujours près de 97 % de tous les transports mondiaux.

    Alors que l'Occident a dépensé beaucoup d'argent pour éliminer progressivement le charbon et le gaz, sans passer au nucléaire, la Russie et la Chine ont continué à développer leurs ressources en charbon et en gaz ainsi que l'énergie nucléaire.

    L'Europe obtient respectivement 25 % et 40 % de tout son pétrole et de son gaz de la Russie. Pour l'Allemagne, les parts sont de 35 % et 70 %, ainsi que 50 % de ses besoins en charbon.

    Le pivot depuis la Russie sera douloureux et le rétablissement de la situation prendra beaucoup de temps, c'est comme faire demi-tour avec le Titanic.

    https://joannenova.com.au/2022/04/guest-post-by-rafe-champion-trouble-in-re-paradise/

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  32. Article invité par Rafe Champion. La sécurité énergétique au bord d'une falaise


    April 15th, 2022


    Nous approchons d'un point de basculement dans le système électrique où il n'y aura pas assez d'électricité disponible pour passer les nuits sans vent. Lorsque l'énergie solaire et éolienne sont hors service en même temps, il est clair que les lumières s'éteindront à moins qu'il n'y ait une sauvegarde à 100% de l'énergie conventionnelle. Oubliez le stockage à l'échelle du réseau, il n'y a rien en vue dans un avenir prévisible qui soit faisable ou abordable.

    Les passionnés d'ER s'excitent chaque fois qu'ils enregistrent une plus grande pénétration de l'éolien et du solaire dans le réseau. Ils ne semblent pas remarquer que les mêmes données AEMO qui enregistrent une pénétration croissante, montrent également une pénétration nulle les nuits sans vent. C'est particulièrement clair en Australie-Méridionale où il y a toujours un déficit lorsque le vent est faible pendant la nuit. Ils dépendent de l'énergie du charbon brun de Victoria pour garder les lumières allumées, et aucune capacité d'énergie renouvelable supplémentaire ne les aidera.

    Ces périodes de pénétration nulle sont comme les trous dans le mur d'un barrage, ou les lacunes dans la clôture autour d'un enclos d'ovins ou de bovins, ou les lacunes dans une digue de protection contre les inondations. Si le barrage a un espace dans le mur, il cesse de fonctionner comme un barrage, les trous dans la clôture permettent au stock de sortir et les espaces dans une digue de protection contre les inondations éliminent l'effet protecteur.

    Construire plus de capacité installée d'énergies renouvelables n'aide pas les nuits sans vent, car lorsqu'il n'y a pratiquement pas d'électricité, augmenter la capacité installée des générateurs d'un facteur cinq, dix ou vingt ne produit toujours presque rien.

    Pour voir à quoi cela ressemble dans la pratique, consultez le graphique d'un article de Paul McArdle qui étudie le problème des vents faibles depuis de nombreuses années. Jo Nova a reproduit le graphique dans un article récent.

    LE SCHÉMA D'IRRIGATION SANS EAU

    Nous approchons de la situation d'un système d'irrigation massif avec toutes les infrastructures en place, barrages, canaux, stations de pompage, etc. Les cultures sont plantées, mais lorsque nous arrivons à la saison de croissance, nous constatons qu'il n'y a pas assez d'eau dans les barrages pour que le système fonctionne, de sorte que les plantes meurent toutes. Ce système d'irrigation est en fait un ajout au système agricole régulier qui existe toujours pour qu'il y ait suffisamment de nourriture, mais cela coûtera très cher si vous comptez le coût du système d'irrigation inutile que les contribuables ont financé.

    Le fait est que personne n'a vérifié les chiffres des précipitations pour être sûr que les barrages pourraient être remplis et que les travaux ont été construits dans l'espoir, grâce aux subventions gouvernementales, sans diligence raisonnable pour vérifier la viabilité du projet.

    Notre système RE se révélera bientôt comme un système d'irrigation sans eau, nous avons juste besoin de perdre une ou deux autres centrales électriques au charbon et nous voyagerons sans capacité de réserve pour gérer les charges de pointe. En effet, nous pouvons continuer sans Liddell, mais lorsque l'usine massive d'Eraring disparaîtra, nous aurons de gros problèmes chaque fois que le vent sera faible. Familiarisez-vous avec les données de vent et parlez à vos amis et relations du widget NemWatch !

    The widget.

    https://joannenova.com.au/2022/04/guest-post-by-rafe-champion-energy-security-on-the-edge-of-a-cliff/

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    1. (...) Le fait est que personne n'a vérifié les chiffres des précipitations pour être sûr que les barrages pourraient être remplis et que les travaux ont été construits dans l'espoir, grâce aux subventions gouvernementales, sans diligence raisonnable pour vérifier la viabilité du projet. (...)

      Heu... si je puis me permettre... les rivières & fleuves en amont des barrages ne sont pas formés par les retombées de pluies (çà alors !!) mais par la capacité des sources à les alimenter.
      Or, s'il y a un pb de sources voir le pourquoi les couloirs seraient bouchés depuis la condensation des vapeurs d'eaux infiltrées des océans vers le magma.
      Y aurait-il des installations propres à capter le gaz de shiste dans le coin ?

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  33. Les entreprises pharmaceutiques américaines se distinguent par des pratiques dignes d’Al Capone


    le 15 avril 2022


    J’ai capté ce tableau lors de la petite entrevue hebdomadaire du Professeur Raoult (lien) et j’ai cherché à comprendre quels agissements délictueux avaient conduit ces entreprises à être condamnées à payer des amendes faramineuses à la suite de de plaintes de patients ou de familles de patients. Elles s’en moquent car les amendes qui leur ont été infligées ne représente dans la majorité des cas de très faibles pourcentages de leur chiffre d’affaire ou même de leurs bénéfices nets. Il est très instructif de connaître les détails des déboires de ces entreprises qui réalisent souvent des chiffres d’affaire supérieurs au PIB de nombreux États.

    - voir cadre sur site -

    Le cas de Johnson & Johnson est emblématique. En dix ans J&J a déboursé la bagatelle de 14,76 milliards de dollars, assez pour construire deux réacteurs nucléaires type EPR. J&J, dans l’épidémie des opioïdes, a payé 5 milliards de dollars. Ce n’est pas tout. Fin 2019 J&J fut condamné à une amende de 4,5 milliards de dollars pour une affaire relative à un talc que les femmes appliquent à leur parties intimes qui s’est révélé provoquer des cancers des ovaires. Heureusement que l’affaire a été dévoilée car ce talc était réservé aux fesses des bébés mais leur mère en utilisait la majeure partie pour ses propres soins. Toutes sortes d’autres affaires ont secoué modérément J&J dont des tampons périodiques irritants et démêlés avec des concurrents. Tant que l’argent rentre tout est permis.

    Bayer s’est distingué aussi par l’énorme montant des amendes payées s’élevant à 13,7 milliards de dollars. Beaucoup d’affaires ayant secoué cette entreprise étaient liées à des non respects de droits de propriété. Mais le rachat de Monsanto en 2018 confronta Bayer à une suite de procès concernant le RoundUp et le Dicamba, deux herbicides controversés. Cette controverse a été alimentée par des organisations non gouvernementales opposées à la commercialisation des plantes de grande culture modifiées génétiquement pour être résistantes à ces herbicides. Il s’agissait de faux procès car ces deux herbicides ne présentent aucunes des toxicités prétendument affirmées par ces organisations. La FDA (Food and Drug Administration) et l’EPA (Environmental Protection Agency) ont par la suite convenu de la totale innocuité de ces deux molécules bien que Bayer ait été contraint de débourser 10 milliards de dollars quelques semaines avant la décision conjointe FDA-EPA pour mettre un terme aux poursuites judiciaires. L’affaire des facteurs de coagulation VIII et IX remontant aux années 1980 préparés à partir de sang humain se révélèrent, pour certains lots contaminés par le HIV. Dans de nombreux pays d’Amérique latine et d’Asie des milliers d’hémophiles souffrirent alors du SIDA. Les juristes de Bayer s’illustrèrent en mettant en avant le fait que les patients pouvaient avoir été contaminés lors de pratiques sexuelles non protégées. Comme pour Pfizer avec sa thérapie génique à ARN messager le dossier de sureté relatif à ces facteurs de coagulation présenté par Bayer était très mal étayé au niveau des contrôles de qualité.

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  34. Le cas de Merck est tout aussi édifiant. Au total cette société a payé 10,47 milliards de dollars d’amende dans le cadre de class-action diverses, le Vioxx censé traiter la polyarthrite conduisit à la mort d’au moins 45000 personnes car cette molécule provoquait des crises cardiaques mortelles. Merck a payé 4,85 milliards de dollars pour que toute poursuite cesse. Le Vioxx a été retiré du marché. Une multitude d’autres affaires a secoué la réputation de Merck y compris une affaire de fraude fiscale qui lui coûta à elle seule 2,3 milliards de dollars.

    Pfizer, aujourd’hui bien connu pour son pseudo-vaccin à ARN messager supposé protéger contre le coronavirus, a payé au total 10,2 milliards de dollars d’amendes. La spécialité de Pfizer, pour gagner de l’argent, consistait à fabriquer et vendre des produits qui ne lui appartenaient pas sans autorisation de mise sur le marché pour des applications thérapeutiques non autorisées par le régulateur. Cette pratique était étayée en corrompant les médecins prescripteurs et en réalisant des essais cliniques bâclés comme par exemple celui qui fit scandale au Nigeria au sujet d’un antibiotique expérimental administré à 200 enfants lors d’une épidémie de méningite. Cinquante de ces enfant moururent et beaucoup d’autres souffrent toujours de séquelles mentales et locomotrices. Ça se passait en 1996. Le plus gros scandale reste à venir avec la thérapie génique anti-coronavirus qui aboutira probablement à la disparition de cette entreprise de gangsters quand la FDA, notoirement corrompue non seulement par Pfizer mais également par toute la corporation pharmaceutique, reconnaitra finalement le nombre astronomique de décès, d’avortements spontanés et d’invalidités provoqués par ce traitement toxique.

    On arrive à Purdue Pharma dont a parlé longuement le Professeur Raoult. Ce laboratoire appartenant à la famille Sackler est le premier fabricant de l’antidouleur oxycontine. L’oxycontine est dérivée de la codéine, un antitussif très connu, molécule elle-même dérivée de la morphine. Purdue prépare aussi la codéine et la morphine à usage clinique. L’abus d’oxycontine a provoqué la mort par overdose de plus de 400000 personnes, cette molécule anti-douleur étant vendue sans ordonnance. Une multitude d’Etats des Etats-Unis ont poursuivi Purdue Pharma auxquels se sont joint un grand nombre de pays occidentaux, y compris le Japon et l’Australie. Purdue a payé une amende de 9,2 milliards de dollars et la famille Sackler, pour échapper à toute poursuite judiciaire, a abondé un trust à hauteur de 10 milliards de dollars pour dédommager les parents des victimes de l’oxycontine et la société a été mise en faillite.

    Comme Pfizer GSK (Glaxo-SmithKline) est champion dans la corruption des médecins prescripteurs pour surtout prescrire hors autorisation de mise sur le marché toutes sortes de médicaments dont GSK n’était parfois même pas propriétaire. Ces exactions concernaient une bonne douzaine de spécialités et toutes ces occurrences ont été traitées par la justice américaine mais aussi à Hong-Kong où des hauts cadres de GSK se sont retrouvés en prison. Le cas du vaccin anti-influenza provoquant des narcolepsies irréversibles n’est qu’une goutte dans l’océan d’amendes qu’a payé GSK pour un montant total de 8,7 milliards de dollars.

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  35. Quels enseignements tirer de cette incroyable énumération ? C’est simple. Les laboratoires pharmaceutiques disposent de moyens financiers considérables. Dans ces conditions tous les coups pour réaliser encore plus de profits sont permis au détriment de la santé des populations. Ainsi la corruption des autorités de santé, des régulateurs, des médecins traitants et parfois des gouvernements eux-mêmes n’atteint même pas les budgets de publicité pour promouvoir un médicament nouveau dont les potentiels effets secondaires ont été à peine effleurés. Ces énormes entreprises n’ont ni foi ni loi et le récit ci-dessus l’illustre. Seul le profit est important, la science et la médecine sont très secondaires. Les gouvernements sont devenus des clients et les patients sont ignorés.

    Lien : https://www.youtube.com/watch?v=o8NdYfw2BoE à 8mn31

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/15/les-entreprises-pharmaceutiques-americaines-se-distinguent-par-des-pratiques-dignes-dal-capone/

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  36. RÉCLAMATION : Pfizer prévoit d'ASSASSINER des médecins comme Bryan Ardis et Zev Zelenko


    jeudi 14 avril 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Pfizer, avec le soutien de Big Pharma, aurait comploté pour assassiner des médecins comme Bryan Ardis et Vladimir « Zev » Zelenko pour avoir publié des découvertes dévastatrices concernant le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et les vaccins, prévient Zelenko.

    Ardis, un homme d'affaires, chiropraticien et expert du COVID-19, a admis que lui et Zelenko figuraient actuellement sur la liste des victimes de Big Pharma lors d'une interview avec Owen Shroyer dans un récent épisode de "War Room" sur InfoWars.

    "Il y a environ deux semaines, je ne sais pas si votre auditoire est au courant, mais le Dr Zev Zelenko - qui a probablement participé à votre programme - il m'a en fait contacté directement trois fois un mercredi pour obtenir des informations de ses services de sécurité. à Washington », a déclaré Ardis.

    "Il a reçu des informations importantes selon lesquelles Big Pharma, en particulier Pfizer, a une liste d'assassinats de certains médecins, et que Zev Zelenko est le numéro deux sur cette liste", a-t-il poursuivi. "Et au grand choc de Zev, le Dr Bryan Ardis était numéro un sur leur liste d'assassinats [de personnes] qui devaient être réduites au silence dans les deux semaines suivantes."

    Ardis a alors contacté son avocat, Thomas Renz, pour parler à Zelenko et vérifier les informations. Quelques heures plus tard, Renz a appelé Ardis pour confirmer que les informations de Zelenko sont correctes et que les deux médecins sont sur une liste noire.

    "Il y a une raison pour laquelle ils vont me cibler", a déclaré Ardis, faisant référence à ses récentes révélations concernant le coronavirus et les vaccins. "Il y a beaucoup de [personnes] perverses dans le monde qui visent en fait à détruire et à tuer des gens." (En relation: Le Dr Bryan Ardis publie d'énormes allégations: le virus COVID-19, les vaccins et certains traitements sont tous dérivés du VENIN DE SERPENT.)

    La récente découverte d'Ardis concernant l'origine du COVID-19 fait de lui l'un des plus grands ennemis de Big Pharma
    L'une des découvertes les plus récentes d'Ardis est qu'une partie du virus SARS-CoV-2 modifié pourrait être dérivée du venin de serpent.

    Ardis a commencé à rechercher cette possibilité en décembre lorsqu'il a reçu un conseil d'un ami médecin. Il a noté que la plupart des anti-venins de serpent sont dérivés de traitements par anticorps monoclonaux ou polyclonaux.

    Il a ensuite noté que les Centers for Disease Control and Prevention ont interdit le traitement par anticorps monoclonaux pour traiter les patients atteints de COVID-19, favorisant à la place le remdesivir, un médicament toxique.

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  37. "J'ai réalisé, tout d'un coup, que les anticorps monoclonaux sont des anti-venins. Le gouvernement fédéral ne veut pas que nous utilisions un anti-venin. Pourquoi combattent-ils l'anti-venin et pourquoi constatons-nous que l'anti-venin fonctionne contre le COVID ? » dit Ardis. « N'est-ce pas un virus ? Est-ce un venin ? … Est-ce pour cette raison qu'ils ne veulent pas que vous utilisiez des anticorps monoclonaux ?

    Pour approfondir cette question, Ardis a recommencé à essayer de comprendre les origines du COVID-19. Il a noté que les médias grand public ont convaincu une grande partie du public de croire à la théorie de l'origine naturelle, qui postule que le SRAS-CoV-2 provient des chauves-souris.

    "Il n'y a pas de vérification des faits sur les chauves-souris. Ils continuent de vous laisser regarder les chauves-souris », a-t-il déclaré.

    Mais les experts chinois ont souligné depuis le tout début que, si l'on en croit la théorie de l'origine naturelle, il ne pouvait pas s'agir de chauves-souris car les chauves-souris autour de Wuhan hibernent et la première épidémie généralisée dans la ville s'est produite au milieu de l'hiver.

    Les séquences génétiques d'échantillons de SRAS-CoV-2 provenant des premiers patients atteints de coronavirus à Wuhan confirment également que l'information génétique est plus similaire à deux serpents, le krait et le cobra royal, qui sont tous deux très venimeux.

    "Je suis convaincu que le COVID-19 n'est pas un virus respiratoire d'aucune sorte. C'est en fait un empoisonnement au venin et ils utilisent, je crois, des peptides et des protéines synthétisés à partir de venins de serpents et ils les administrent et les ciblent sur certaines personnes », a déclaré Ardis.

    "C'est la plus originale de toutes les armes biologiques", a-t-il conclu. "Venin de serpent. Quand je dis que c'est la chose la plus diabolique que j'aie jamais rencontrée de toute ma vie, auriez-vous pu imaginer que [ce serait] le plus grand symbole du mal dans toute la chrétienté, le serpent ?

    En savoir plus sur les crimes de Big Pharma sur BigPharmaNews.com.

    Regardez l'intégralité de l'interview d'Owen Shroyer avec le Dr Bryan Ardis ci-dessous.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

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  38. Plus d'histoires liées :
    La société VenomTech annonce une bibliothèque massive de peptides SNAKE VENOM pour le développement pharmaceutique ; les « nanoporteurs » stabilisent le venin de serpent dans l'EAU (PubMed).

    Les anticorps monoclonaux sont-ils un anti-venin contre un composant de COVID à base de serpent ?

    Dr. Bryan Ardis tells Tom Renz: I’m No.1 on Big Pharma’s hit list – Brighteon.TV.

    Sources include:

    Brighteon.com
    InfoWars.com
    CairnsNews.org

    https://www.naturalnews.com/2022-04-14-pfizer-plans-to-assassinate-doctors-ardis-zelenko.html

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    1. (...) "Je suis convaincu que le COVID-19 n'est pas un virus respiratoire d'aucune sorte. C'est en fait un empoisonnement au venin et ils utilisent, je crois, des peptides et des protéines synthétisés à partir de venins de serpents et ils les administrent et les ciblent sur certaines personnes », a déclaré Ardis. (...)

      Le 'corona-covide19-sarscov2-Delta-Charlie-Tango-Omicron & Cie' ne SONT PAS des poussières dans l'atmosphère mais sorties de laboratoires et intégrées en flacons injectables.
      (Si t'es piqué tu l'as).

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  39. Des vaccins à ARNm bientôt dans nos assiettes ? les scientifiques qui poussent à la vaccination veulent transformer nos légumes en vaccins à ARNm


    15/04/2022
    par Aphadolie


    Une étude américaine a trouvé le moyen de transformer des légumes en vaccin à ARN messager.

    Les vaccins à ARNm d’origine végétale, c’est le projet de chercheurs de l’université Riverside de Californie : cultiver des plantes comestibles comme la laitue pour fabriquer des vaccins et rivaliser avec l’injection traditionnelle. Une technologie bientôt étendue à des champs entiers, et dans nos jardins ?

    Insérer l’ARN dans les plantes

    La technologie du vaccin à ARNm, comme on la connaît, fonctionne en apprenant à nos cellules à reconnaître un antigène et à nous protéger contre les maladies infectieuses.

    Mais dans la présente étude publiée par l’UC Riverside News, les chercheurs utilisent les nanotechnologies et travaillent avec des chloroplastes, de petits organites des cellules végétales qui convertissent la lumière du Soleil en énergie utilisée par la plante :

    « Ce sont de minuscules usines alimentées par le Soleil qui produisent du sucre et d’autres molécules permettant à la plante de se développer », explique le professeur J. P. Giraldo, qui dirige les recherches.

    Le principe : acheminer du matériel génétique vers les chloroplastes avec la nanotechnologie : « Une certaine ingénierie est nécessaire pour que les nanoparticules atteignent les chloroplastes et pour qu’elles ne soient pas infectieuses pour les plantes. »

    Un projet ambitieux qui interroge

    Subventionnés à hauteur de 500.000 dollars par la National Science Foundation, les travaux tentent de démontrer que les plantes peuvent produire suffisamment d’ARNm pour rivaliser avec une injection traditionnelle.

    L’argument mis en avant : les vaccins à ARNm d’origine végétale peuvent être stockés à température ambiante. Un atout qui pourrait bien détrôner le traditionnel vaccin à ARNm, lequel exige un transport et un stockage au froid.

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  40. Nexus

    L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette. Une équipe de scientifiques de l’Université de Californie à Riverside étudie des moyens de transformer vos épiceries en vaccins à ARNm. Afin de lutter contre « l’hésitation à la vaccination » chez la population, ces scientifiques veulent distribuer de la protéine Spike du coronavirus dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle total sur l’approvisionnement alimentaire, car ils tentent de modifier génétiquement les aliments pour inonder la population avec plus de protéine Spike.

    Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète des terres agricoles à travers les États-Unis ? Tous les vaccins actuels et les centaines de futures expériences vaccinales seront-ils réalisés par le biais de l’approvisionnement alimentaire ?

    La modification génétique de l’approvisionnement alimentaire pourrait bientôt être utilisée pour vacciner la population

    L’avenir de la guerre biologique et de l’expérimentation humaine sera probablement réalisé grâce à l’approvisionnement alimentaire et sera présenté comme sans danger. En modifiant le cytoplasme des plantes comestibles, les scientifiques espèrent introduire des toxines de la protéine Spike, produite comme étrangère, dans vos aliments. Ces scientifiques qui cherchent à promouvoir les vaccins, font déjà des expériences sur les plants de laitue et d’épinards, afin de développer une nouvelle espèce de légumes verts qui peut vacciner les gens plus souvent et de manière moins invasive. Ces nouvelles variétés de légumes peuvent également être cultivées à la maison. Les scientifiques travaillent sur un moyen de quantifier le dosage exact de la protéine Spike dans une plante tout en démontrant que la plante peut reproduire suffisamment d’ARNm pour surpasser l’approvisionnement actuel en vaccins.

    « Idéalement, une seule plante produirait suffisamment d’ARNm pour vacciner une seule personne », Juan Pablo Giraldo, chercheur principal et professeur agrégé au Département de botanique et des sciences végétales de l’UCR.

    « Nous testons cette approche avec des épinards et de la laitue et avons des objectifs à long terme de personnes qui la cultivent dans leurs propres jardins », a-t-il ajouté.

    « Les agriculteurs pourraient également éventuellement en faire pousser des champs entiers. »

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  41. Giraldo s’efforce de démontrer que les vaccins contenant de l’ADN ARNm peuvent être intégrés avec succès dans les cellules végétales. Pour ce faire, les chercheurs ont l’intention de modifier le chloroplaste de la cellule végétale. Le chloroplaste absorbe l’énergie du Soleil et la convertit en sucre et en autres molécules dont la plante a besoin pour croître.

    Les scientifiques veulent interférer avec ce processus naturel et demander au cytoplasme de générer de la protéine Spike et d’autres molécules étrangères qui peuvent être introduites sous forme d’antigènes dans l’homme.

    Giraldo et son équipe ont déjà démontré que le chloroplaste est capable d’exprimer des gènes étrangers qui ne font pas partie de la conception naturelle de la plante. Cette modification génétique a été réalisée en enfermant du matériel génétique étranger dans un boîtier protecteur, puis en l’insérant dans les cellules de la plante. L’objectif est d’introduire ces OGM chez l’homme afin que leur système immunitaire puisse être programmé pour lutter contre les antigènes et les séquences virales que les scientifiques ont présélectionnés et conçus.

    Un nouveau paradigme de vaccins à base alimentaire est-il sur nous ?

    À l’UC San Diego, Nicole Steinmetz a déjà développé des nanotechnologies qui peuvent fournir du matériel génétique au chloroplaste des plantes. Steinmetz bricole des nanoparticules de virus végétal et les réutilise pour administrer des gènes étrangers dans les cellules de la plante.

    Ce n’est pas la seule expérience de vaccin comestible actuellement en cours. Des scientifiques de l’Université d’Ottawa travaillent sur un vaccin comestible contre les coronavirus depuis plus d’un an.

    L’Hôpital d’Ottawa teste déjà le premier prototype. Ce vaccin comestible exprime des antigènes viraux à l’intérieur des plants de laitue et d’épinards. Leur objectif est de délivrer la protéine Spike au corps humain sans altérer la synthèse protéique des cellules humaines. L’approvisionnement actuel en vaccins doit être maintenu au réfrigérateur à des températures extrêmement basses. Si cet effort de recherche peut démontrer l’administration de la protéine Spike dans tout l’approvisionnement alimentaire, l’approvisionnement actuel en vaccins pourrait être supprimé au profit d’un nouveau paradigme de vaccination alimentaire. Cette expérience pourrait à jamais modifier l’approvisionnement alimentaire, transformant des aliments sains et curatifs en terrains de jeu de guerre biologique que les mondialistes peuvent utiliser pour exploiter la race humaine.

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  42. Lance Johnson

    Manger des légumes pour être vacciné, l’idée pourrait sembler séduisante.

    Mais à long terme, quel impact cette technologie, si elle était autorisée, aurait-t-elle sur nos champs, nos assiettes et notre santé ?

    Source :

    https://www.nexus.fr/actualite/news/arnm-plantes/

    https://news.ucr.edu/articles/2021/09/16/grow-and-eat-your-own-vaccines

    https://www.naturalnews.com/2021-01-24-bill-gates-buying-up-farmland-across-america.html#

    https://www.ctvnews.ca/mobile/health/scientists-studying-whether-it-s-possible-to-grow-eat-mrna-vaccines-1.5591098

    https://www.mondialisation.ca/maintenant-les-scientifiques-qui-poussent-pour-la-vaccination-veulent-transformer-votre-epicerie-en-vaccins-a-arnm/5660836

    Article :

    Nexus

    Lance Johnson / Mondialisation.ca

    https://aphadolie.com/2022/04/15/des-vaccins-a-arnm-bientot-dans-nos-assiettes-les-scientifiques-qui-poussent-a-la-vaccination-veulent-transformer-nos-legumes-en-vaccins-a-arnm/

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    1. D'où le sécurité alimentaire de CONSERVER les graines (de tomates, melons, blés, etc) pour les resemer afin de pas être les clients de grainetiers. Après la longue histoire des chemtrails qui touchait tous le monde voici qu'arrivent les fruits & légumes !

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  43. "Une belle mosaïque de manipulation du marché des matières premières" - Kyle Bass remet en question les motifs de verrouillage du COVID en Chine


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 AVRIL 2022 - 17:30


    Après avoir soudainement et de manière ultra-agressive allumé les personnes avec les restrictions les plus draconiennes de toutes les nations du monde jusqu'à présent depuis que COVID est arrivé sur les lieux dans une soupe de chauve-souris de Wuhan, cette semaine a vu le prolétariat commencer à riposter alors que les pénuries alimentaires frappent et la vie à l'intérieur des cellules de leur appartement devient insupportable.

    Le PCC a exigé « Contrôlez le désir de liberté de votre âme. N'ouvrez pas votre fenêtre et ne chantez pas », après que les habitants de Shanghai aient commencé à crier à l'aide.

    Gardez à l'esprit que les décès dus au COVID, selon des sources officielles du PCC, restent inexistants - même si le nombre de cas monte en flèche (et il y a peu de gros titres sur les hôpitaux surpeuplés).

    Alors pourquoi Xi est-il allé à plein Fauci-tard ? Pourquoi, après deux ans de « contrôle », le leader politiquement troublé du monde non libre a-t-il soudainement décidé de déchaîner l'enfer sur ses citoyens (et en même temps de promettre des coupes RRR pour soutenir les marchés d'actifs) ?

    Le faucon chinois au franc-parler Kyle Bass a quelques réflexions qui méritent d'être prises en compte...

    Une autre vision de la fermeture par la Chine de Shanghai, Shenzhen, Guangdong, etc...

    La Chine a désespérément besoin de pétrole brut, de GNL, de nourriture, de matériaux de base, de métaux de base, etc.

    L'invasion/massacre de Poutine a créé une pénurie d'énergie supplémentaire, une inflation et une inflation alimentaire en flèche.

    Bien que la Chine n'ait eu aucun problème matériel avec le virus de Wuhan dans le passé, il est intéressant de noter que leurs blocages draconiens (en conjonction avec la télégraphie de l'achat de moins de cargaisons de GNL et de brut) obligent les économistes mondiaux à réduire les attentes de croissance tout en parallèlement faisant baisser les projections de la demande future de matières premières.

    Tout ce que la Chine a désespérément besoin d'acquérir est en baisse de prix en raison des blocages.

    - voir graph sur site -

    Si nous regardons tous en arrière, le principal moteur du déplacement du compte courant chinois en territoire négatif était les citoyens chinois voyageant et dépensant à l'étranger (ils ne pouvaient dépenser que des dollars, des euros, des yens, etc.). le pouvoir suprême de censure du PCC (les voyageurs chinois ne sont plus ouverts à Internet non censuré) et a permis une prise de contrôle écrasante de Hong Kong sans autre incident (COVID est apparu au zénith des manifestations de HK).

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  44. Soit les occurrences de COVID sont parfaitement fortuites (et incroyablement utiles aux crises existentielles du CPC), soit un modus operandi beaucoup plus insidieux est à l'œuvre.

    N'oubliez pas que l'inflation galopante des prix des denrées alimentaires était l'un des principaux griefs qui a conduit aux manifestations/massacres de la place Tiananmen ainsi qu'au printemps arabe.

    Il est trop tard pour Xi et le monde pour éviter la flambée des prix des denrées alimentaires, car elle s'aggravera certainement l'année prochaine compte tenu des prix des intrants.

    Les projections de ralentissement économique seront poussées aux économistes de Wall St par le CPC d'une part tandis que les discours positifs de Liu He sont conçus pour empêcher les actions chinoises de reprendre leur chute libre.

    Pensez à la catastrophe du nickel LME.

    Le plus grand négociant en nickel de Chine - alias "Big Shot" - avait/a la plus grande position courte sur le nickel à la bourse. Il est largement admis que le nickel est (et continuera d'être) en déficit mondial en raison de la demande insatiable de batteries riches en nickel dans les véhicules électriques et du retrait de la production russe du marché.

    Pourquoi le plus grand producteur/négociant de nickel de Chine aurait-il une position courte aussi énorme s'il ne peut pas livrer jusqu'à l'expiration ? La Chine manipule-t-elle les prix du nickel à la baisse dans le but de maintenir un plafond ? Le HKEX chinois a acheté le London Metal Exchange (LME) vieux de 152 ans en 2012.

    La vente de LME à une entité chinoise aurait dû être bloquée pour des raisons évidentes. L'arrêt des échanges, l'annulation de plus de 4 milliards de dollars de transactions et l'enquête qui a suivi sur les ACHETEURS sentent tous une enquête corrompue aux caractéristiques chinoises.

    Rappelez-vous, c'est la position courte géante du plus grand négociant/producteur de nickel de Chine qui a refusé de payer les appels de marge (avec China Construction Bank). Un examen complet des actions de la Chine commence à ressembler à une belle mosaïque de manipulation contrôlée des marchés mondiaux des matières premières.

    À long terme, je crois qu'il sera très rentable d'être long sur toutes les matières premières.

    La Chine manipule insidieusement la baisse. Les prix d'aujourd'hui tiennent compte de tout cela.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/beautiful-mosaic-commodity-market-manipulation-kyle-bass-questions-chinas-covid

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  45. Rayonnement sans fil des appareils mobiles causant une VRAIE NUISANCE aux personnes


    jeudi 14 avril 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) Peter Sullivan, un homme de la Silicon Valley, a pour mission d'aider le public à comprendre comment leurs appareils mobiles leur ont causé de réels dommages.

    Adepte de la technologie, Sullivan essaie désormais de les éviter autant qu'il le peut. Après ses études supérieures à l'Université de Stanford, il a travaillé comme concepteur de logiciels avec des personnes qui allaient ensuite concevoir des appareils qui façonnent désormais le monde sans fil.

    Sullivan est l'un des premiers à avoir adopté la technologie sans fil, mais il en est également tombé malade bien avant que les gens ne sachent que c'était possible. Il a maintenant une électrosensibilité, qui est causée par l'exposition aux rayonnements sans fil.

    Alors que les régulateurs gouvernementaux et l'industrie des télécommunications insistent sur le fait que le niveau de rayonnement émis par son téléphone était sûr, Sullivan a parlé à plusieurs scientifiques de haut niveau qui ont trouvé des preuves solides montrant le contraire.

    En 2017, Sullivan a également produit un documentaire révélateur qui montre les tactiques de manipulation que l'industrie des télécommunications utilise pour vendre au public une technologie potentiellement dangereuse.

    Sullivan passe maintenant le mot concernant les dangers des rayonnements de fréquences électromagnétiques, exhortant les gens à garder leurs appareils éteints ou à distance dans la mesure du possible. Il a également trouvé des recherches à Harvard, à Stanford, à l'Université de Californie à Berkeley et dans plusieurs organisations à but non lucratif de santé environnementale de premier plan, dans le but de fournir une meilleure image de la technologie et de la façon dont nous l'utilisons. (Connexe: les cerveaux des Américains sont frits par les tours de téléphonie cellulaire: de nouvelles preuves scientifiques révèlent l'étendue choquante des dommages causés par l'électropollution.)

    Sullivan a déclaré qu'il avait fait l'expérience de ce que les gens vivent maintenant, il y a environ 10 à 15 ans, alors qu'il était à la pointe de la Silicon Valley et qu'il était beaucoup exposé à la radioactivité.

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  46. Sécurité radioactivité fausse

    Alors que son cerveau disait que la technologie était bonne, son corps avait de sérieux problèmes et il a dû apprendre à ses dépens que les hypothèses sur la sécurité de la radioactivité étaient fausses.

    La science traditionnelle a toujours affirmé que les champs électromagnétiques créés par l'homme sont sûrs dans les fréquences et les dosages que la plupart des gens rencontrent, mais ceux qui ont ressenti les symptômes pensent qu'ils ne sont pas seulement dangereux mais aussi fondamentalement dangereux - et certaines personnes sont plus sensibles aux eux, comme Sullivan.

    « Au début, je pensais que j'avais des allergies alimentaires. Ensuite, j'ai déterminé que j'avais des niveaux élevés de mercure. Mais même après m'être détoxifié, avoir nettoyé mon alimentation et fait toutes ces choses, ma santé n'a cessé de se détériorer », a-t-il déclaré. Il a également dit qu'il était devenu plus maigre et que son corps s'affaiblissait.

    Finalement, mettre un téléphone portable à côté de sa tête l'a fait se sentir mal.

    Lorsqu'il est allé à une session au Commonwealth Club à San Francisco, en Californie, les scientifiques parlaient de l'exposition aux rayonnements sans fil. C'est là qu'il a commencé à se pencher sur la recherche, et des milliers d'études ont montré que l'utilisation du téléphone portable nuit au corps.

    La Silicon Valley n'est pas au courant de ces découvertes, mais l'industrie des télécommunications, la FCC et le gouvernement ont été conscients de ce problème. Pourtant, ils ont quand même vendu le spectre, en utilisant les mêmes tactiques qu'ils avaient utilisées avec le tabac il y a des années.

    Sullivan a déclaré que les fréquences et les champs peuvent avoir un impact sur le canal calcique dans les cellules humaines. Les canaux calciques sont fondamentaux pour le développement du cerveau, le système immunitaire, la fonction des lymphocytes T, la barrière hémato-encéphalique et la barrière intestinale-encéphalique. Ils sont un élément central du corps humain.

    Le facteur de risque numéro un de l'autisme, selon Sullivan, est une variation du canal calcique. Des études jumelles montrent que la composante génétique de l'autisme n'est que d'environ 38 %, et le reste est environnemental. Il est donc nécessaire de rechercher les facteurs environnementaux pouvant avoir un impact sur le canal calcique. (Connexe: WiFi interdit dans les garderies préscolaires dans une décision audacieuse du gouvernement français.)

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  47. Des variations dans le fonctionnement des canaux calciques sont également associées à l'ADHF, à la dépression, à l'anxiété et à la schizophrénie. Il augmente également le facteur de risque d'électrosensibilité.

    Même avec des fonctions normales des canaux calciques, n'importe qui peut devenir électrosensible avec une exposition élevée. Les gens sont surchargés à un moment donné, surtout si d'autres choses comme la 5G sont incluses.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur l'électrosensibilité.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Life Energy Designs sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Des scientifiques indépendants tirent la sonnette d'alarme : l'humanité devient de plus en plus électrosensible.

    Publicités mettant en garde contre les dangers de la 5G INTERDITES par « l'autorité » britannique de la publicité.

    Des centaines de scientifiques lancent un avertissement commun sur les effets cancérigènes du Wi-Fi, du Bluetooth et des communications sans fil.

    Les cerveaux des Américains sont frits par les tours de téléphonie cellulaire : de nouvelles preuves scientifiques révèlent l'étendue choquante des dommages causés par l'électropollution.

    D'étranges ondes sonores à Cuba liées à des lésions cérébrales - est-ce ce à quoi nous devons tous nous attendre une fois la 5G déployée ?

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    Whyy.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-04-14-mobile-devices-radiation-causing-people-real-harm.html

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  48. Les cartels de la drogue mexicains ont lancé 9 000 incursions de drones dans l'espace aérien américain


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 16 AVRIL 2022 - 05:00


    La sécurité des frontières continue de souffrir considérablement alors que les cartels de la drogue mexicains ont mené plus de 9 000 incursions de drones dans l'espace aérien américain en 2021, a révélé Judicial Watch cette semaine.

    Judicial Watch s'est entretenu avec un haut responsable de la sécurité intérieure, a interrogé des responsables fédéraux du secteur des douanes et de la protection des frontières (CBP) dans la vallée du Rio Grande au Texas, et a même déposé une demande en vertu de la loi sur la liberté d'information auprès du CBP pour enquêter sur l'utilisation de drones par les cartels de la drogue mexicains pour surveiller les agences fédérales, étatiques, de comté et municipales et mener des activités néfastes à la frontière.

    Les responsables du CBP sur le terrain ont déclaré au groupe d'activistes conservateurs que les cartels utilisaient des drones pour la surveillance lors d'opérations de trafic d'êtres humains et de trafic de drogue aux États-Unis. Ils ont déclaré que les drones, dont beaucoup peuvent être facilement achetés sur Internet ou chez un grand détaillant, sont utilisés pour repérer les lacunes dans la couverture frontalière, ainsi que pour créer des détournements dans certaines zones pour confondre les agents du CBP pendant que les passeurs se déplacent haut- évaluer des actifs de l'autre côté de la frontière dans d'autres endroits.

    Brandon Judd, le président du syndicat représentant 20 000 agents du CBP, a déclaré à Judicial Watch que les drones "larguent également des paquets de fentanyl" aux États-Unis.

    "Ils volent vers certains endroits, les déposent au sol et le fentanyl leur est retiré et ils repartent au Mexique", a déclaré Judd.

    Les lecteurs se souviendront peut-être que nous avons couvert des cartels transportant de la drogue aux États-Unis via ces drones au fil des ans.

    Judd a déclaré que les drones ne sont pas "de qualité militaire" et "peuvent être achetés n'importe où". Il n'a pas mentionné quelles marques de drones sont largement utilisées par les cartels, mais on ne peut que supposer qu'il s'agit du fabricant chinois de drones DJI.

    Un sujet préoccupant non couvert par Judicial Watch est la militarisation des drones grand public. Nous avons noté plus tôt cette année qu'un drone grand public modifié avait effectué un bombardement contre un cartel de la drogue rival au Mexique. La vidéo du drone était absolument magnifique et imitait celles utilisées en Syrie par les organisations terroristes. C'est alarmant car que dire que ces drones pourraient être utilisés contre le CBP et/ou d'autres personnels américains protégeant la frontière.

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  49. Le fait que des drones mexicains du cartel de la drogue pénètrent dans l'espace aérien américain représente un échec important de l'administration Biden et pourrait constituer une menace pour la sécurité nationale.

    Cette révélation survient alors que l'administration Biden lève l'autorité de santé publique du titre 42, et un nombre ingérable d'immigrants illégaux pourrait bientôt traverser la frontière.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/mexican-drug-cartels-launched-9000-drone-incursions-us-airspace

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  50. Le rêve disparu de la Californie, en chiffres


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 16 AVRIL 2022 - 04:15
    Rédigé par Joel Kotkin via RealClear Investigations,


    Aujourd'hui encore, au milieu d'un exode croissant parmi ceux qui peuvent se le permettre, et avec son attrait diminué pour les entreprises et les nouveaux arrivants, la Californie, État légendaire des rêves américains, continue d'inspirer l'optimisme parmi les boosters progressistes.

    Laura Tyson, économiste démocrate de longue date actuellement à l'Université de Californie à Berkeley, loue l'État pour avoir créé « la voie à suivre » vers un « capitalisme de marché » plus éclairé. Des analystes partageant les mêmes idées vantent la génération massive de richesses de la Silicon Valley comme preuve de la promesse du progressisme. Le Los Angeles Times a suggéré avec approbation que l'objectif de l'administration Biden était de "faire à nouveau de l'Amérique la Californie". Et, malgré les sombres perspectives des élections de mi-mandat de novembre, le président et son parti semblent toujours déterminés à le prouver.

    Mais la plupart des Californiens, selon de récents sondages, voient les choses différemment. Ils pointent du doigt la montée de la pauvreté et des inégalités, pensent que l'État est en récession et qu'il va dans la mauvaise direction. Se séparant des pom-pom girls de l'État, Ezra Klein du New York Times, un Californien progressiste et natif fiable, affirme que les échecs du Golden State « font se tortiller les libéraux ».

    La réalité pourrait bien être pire que ne l'admet même Klein. Dans un nouveau rapport pour l'Université Chapman, mes collègues et moi trouvons la Californie dans un état de crise existentielle, perdant à la fois sa classe moyenne et sa classe moyenne, tandis que sa population pauvre fait face à des perspectives de plus en plus sombres. Malgré les innombrables avantages de l'État, les recherches montrent qu'il est en proie à l'immobilité et aux inégalités économiques, aux coûts écrasants du logement et de l'énergie et à un système éducatif défaillant. Pire qu'un simple cas de politiques progressistes créant des résultats régressifs, il semble que la Californie s'enfonce dans quelque chose qui ressemble au féodalisme moderne, avec les pauvres et les faibles piégés par des politiques subventionnées par les impôts payés par les riches et les puissants.

    La Californie peut évoquer des images de Rodeo Drive et de manoirs de Malibu dans l'imagination du public, mais aujourd'hui, l'État souffre du taux de pauvreté ajusté en fonction des coûts le plus élevé des États-Unis. Les pauvres et les quasi-pauvres constituent plus d'un tiers - bien plus de 10 millions - des résidents de l'État selon le Public Policy Institute de Californie. Los Angeles, de loin la plus grande région métropolitaine de l'État, et autrefois un aimant pour les aspirations de la classe moyenne, a l'un des taux de pauvreté les plus élevés parmi les grandes villes américaines. Une analyse de United Way of California montre que plus de 30 % des résidents n'ont pas un revenu suffisant pour couvrir les frais de subsistance de base, même après avoir pris en compte les programmes d'aide publique ; cela comprend la moitié des Latinos et 40 % des résidents noirs. Environ les deux tiers des Latinos non citoyens vivent au niveau ou en dessous du seuil de pauvreté.

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  51. Alors que de nombreux Californiens fuient, certains sont décidément moins baissiers.

    "En Californie, il y a cette idée de" Oh, nous nous soucions des pauvres ", mais sur cette métrique, nous sommes littéralement les pires", a déclaré Mark Duggan de l'Université de Stanford, auteur principal d'une comparaison économique de la Californie avec le Texas. Chronique de François.

    La pauvreté de l'État et le dysfonctionnement associé sont pleinement visibles dans des villes de premier plan comme Los Angeles et San Francisco, où une grande sous-classe habite désormais les rues - les lieux autrefois emblématiques sont devenus des affiches pour le dysfonctionnement urbain. Au-delà des camps de sans-abri massifs, la criminalité est devenue si grave que le LAPD a averti les touristes qu'il ne pouvait plus les protéger. San Francisco, quant à lui, souffre du taux de crimes contre les biens le plus élevé du pays. Des entreprises comme Walgreens ont fermé de nombreux sites de la région de la baie en raison de « cambriolages généralisés ». L'itinérance et la criminalité dominent de plus en plus le discours politique de l'État, en particulier dans ces deux bastions d'un bleu profond.

    La Californie est également confrontée à des inégalités croissantes. Selon l'indice de Gini, une mesure de la répartition des revenus au sein d'une population, la Californie a la troisième plus grande inégalité derrière New York et la Louisiane, et a connu la cinquième plus grande expansion des inégalités depuis 2010, selon les données de l'American Community Survey. La Californie souffre également du plus grand écart entre les salariés à revenu moyen et supérieur de tous les États.

    Autrefois parmi les régions les plus égalitaires du pays, la Silicon Valley est devenue l'un des endroits les plus ségrégués du pays. CityLab a décrit le pôle technologique comme "une région d'innovation séparée", une tendance de plus en plus prononcée, selon des recherches récentes. La Silicon Valley possède désormais sa propre sous-classe de ceux qui nettoient ses bâtiments et fournissent des services de restauration. Près de 30% de ses habitants dépendent d'une aide financière publique ou privée.

    De même, selon la Brookings Institution, San Francisco, le centre urbain le plus important de l'industrie technologique, a connu la croissance des inégalités la plus rapide parmi les grandes villes du pays au cours de la dernière décennie. Le California Budget and Policy Center a nommé la ville première de Californie pour les inégalités économiques; le revenu moyen du 1 % des ménages les plus riches de la ville est en moyenne de 3,6 millions de dollars, soit quarante-quatre fois le revenu moyen des 99% les plus pauvres, qui s'élève à 81 094 dollars dans une ville et un État où le coût de la vie est élevé.

    La situation est pire ailleurs dans l'État. Au cours de la dernière décennie, plus de 80 % des emplois californiens ont été rémunérés en dessous du revenu médian, et la plupart en dessous de 40 000 $ par an, un salaire de misère en Californie. Pire encore, comme le montre notre analyse, la Californie est à la traîne de tous ses concurrents – Texas, Arizona, Tennessee, Nevada, Washington et Colorado – dans la création d'emplois bien rémunérés dans des domaines tels que les services commerciaux et professionnels, car même la croissance technologique commence à se déplacer ailleurs.

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  52. Les plus grands perdants en Californie ont été les industries qui offraient historiquement les meilleures opportunités pour la classe ouvrière – fabrication, construction, énergie – ainsi que l'agriculture, la puissance économique historique de l'État. Par habitant, la Californie ne construit qu'une fraction des logements par rapport à ses principaux rivaux, tandis que les nouveaux investissements des entreprises, suggère une nouvelle étude de la Hoover Institution, se sont réduits à un dixième du Texas et à un seizième de celui de l'Ohio.

    Les politiques de l'État en matière de changement climatique, aussi bien intentionnées soient-elles, ont eu un impact particulièrement dévastateur sur le secteur manufacturier. La poussée des «énergies renouvelables» de la Californie a généré des prix de l'énergie élevés et le réseau électrique le moins fiable du pays, paralysant une industrie dépendante des combustibles fossiles et d'un approvisionnement électrique stable. L'État est tombé au 44e rang du pays en termes de croissance de l'emploi dans le secteur manufacturier l'an dernier; sa création de nouveaux emplois industriels a pris du retard sur des concurrents tels que le Nevada, le Kentucky, le Michigan et la Floride. Même sans tenir compte des coûts, aucun métro californien ne se classe parmi les dix premiers aux États-Unis en termes d'offre d'emplois de cols bleus bien rémunérés, note le New York Times. Mais quatre – Ventura, Los Angeles, San Jose et San Diego – figurent parmi les dix derniers.

    - voir graph sur site -

    Dans le cadre du programme vert de la Californie, l'électricité est montée en flèche tandis que son réseau est devenu moins stable. Fondation pour la recherche sur l'égalité des chances
    Comme le résume l’écologiste Breakthrough Institute, le programme climatique de l’État a créé une « nouvelle ère Green Jim Crow » maintenant plus de personnes, en particulier les minorités, dans la pauvreté.

    La politique du logement a également nui à la plupart de ceux qui peuvent le moins se le permettre. Les politiques de planification de l'État de Californie visent à réduire l'étalement urbain - le déplacement vers des endroits où les coûts sont plus bas et où l'État gagne des migrants. L'Inland Empire, fortement minoritaire, qui a peu d'influence politique, compte désormais plus d'habitants que la région métropolitaine de San Francisco, qui domine la politique de l'État, mais la première est incapable d'inverser aucune de ces politiques.

    Malgré les attentes des planificateurs selon lesquelles limiter la croissance des banlieues réduirait les prix pour les masses et les émissions de gaz à effet de serre en encourageant la densité, des études à Vancouver, au Canada et dans plusieurs autres endroits ont montré le contraire ; ils associent la densification à des prix plus élevés des terrains et des logements. La Californie a la densité urbaine la plus élevée de tous les États, mais souffre des deuxièmes coûts de logement et des loyers les plus élevés de tous les États, à l'exception d'Hawaï. Sur cette question, une partie de la couverture médiatique semble avoir été influencée par les préférences pro-densité de titans de la technologie comme Mark Zuckerberg.

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  53. Les familles de la classe moyenne et ouvrière, majoritairement minoritaires, portent le poids de ces politiques. Selon une récente enquête de l'American Enterprise Institute, la Californie abrite six des pires marchés du pays pour les acheteurs d'une première maison. Il faudrait plus de 100 ans au ménage à revenu médian pour épargner en vue d'un prêt hypothécaire sur une maison à prix médian à San Francisco, Los Angeles ou San Jose. L'État se classe désormais au 49e rang pour le taux d'accession à la propriété, produisant beaucoup moins de nouveaux logements que des régions concurrentes comme l'Arizona, le Texas ou la Floride. Une étude récente de l'économiste John Husing a révélé qu'aucun travailleur de la construction syndiqué ne peut s'offrir une maison à prix médian dans un comté côtier de la Californie.

    Incapables d'acheter leur propre maison, de nombreuses familles de la classe ouvrière se retrouvent à payer des loyers extraordinairement élevés, plus de la moitié de tous les locataires déboursant plus de 30 % du revenu du ménage, la définition traditionnelle d'un fardeau de logement démesuré. Près de quatre ménages californiens sur dix atteignent ou dépassent ce niveau. Sans surprise, un quart envisagent de déménager ailleurs. Les loyers et les prix élevés des logements, ainsi que les bas salaires, ont également produit le niveau de surpeuplement le plus élevé du pays.

    La densification n'a pas non plus apporté les prétendus avantages environnementaux cités par les champions californiens de Brookings et de l'administration Biden ; le Terner Center pro-densité prévoit que si les villes californiennes suivaient les directives de densité, au mieux l'État verrait une réduction de 1% des émissions.

    Échecs manifestes de l'éducation

    Historiquement, l'éducation était considérée - en particulier parmi les libéraux traditionnels - comme essentielle à la mobilité ascendante des pauvres et de la classe ouvrière. Pourtant, pendant des décennies, les écoles de l'État ont sous-performé les normes nationales, en particulier pour les élèves pauvres. Depuis 1998, la Californie s'est classée, en moyenne, au 46e rang des performances en lecture et en mathématiques en 8e année sur l'évaluation nationale des progrès de l'éducation (NAEP), la seule évaluation comparable entre les États à l'échelle nationale. Cela inclut des comparaisons avec des États démographiquement similaires comme le Texas, qui dépense moins d'argent par étudiant.

    Aujourd'hui, près de trois lycéens californiens sur cinq ne sont pas préparés pour l'université ou une carrière ; les pourcentages sont beaucoup plus élevés pour les Latinos, les Afro-Américains et les personnes économiquement défavorisées. Parmi les 50 États, la Californie s'est classée 49e pour les performances des élèves pauvres, majoritairement minoritaires. San Francisco, l'épicentre de la culture éveillée de la Californie et le site du récent rappel de plusieurs membres du conseil scolaire d'extrême gauche, subit les pires scores pour les Afro-Américains de tous les comtés de l'État.

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  54. Ces étudiants sont souvent mal préparés pour l'université. À la California State University - où les programmes d'études ethniques sont désormais obligatoires - le besoin de cours de rattrapage ou 40 % des étudiants de première année démontre un faible niveau de préparation dans des compétences de base telles que la compréhension de la lecture, l'écriture et les mathématiques. Certains éducateurs ont décidé d'éliminer ce problème en supprimant les cours de rattrapage.

    Le programme modèle de la Californie, qui se concentre sur la manière de « créer de nouvelles possibilités de vie post-impériale qui promeut des récits collectifs de résistance transformatrice », ne peut qu'exacerber ces problèmes en inculquant des attitudes antithétiques à celles nécessaires pour réussir dans une économie capitaliste hautement compétitive.

    De nombreux éducateurs californiens, des plus hautes sphères du monde universitaire jusqu'au niveau de l'école primaire, défendent «l'équité» dans l'éducation en développant des compétences en mathématiques et en favorisant l'excellence. Même les compétences de base de la vie telles que la ponctualité sont évitées : le district scolaire unifié de San Diego ne comptera plus les scrupules tels que rendre le travail à temps dans la notation et l'évaluation. Cela peut réduire les pénalités pour tricherie. Cela se justifie comme un moyen de remédier aux problèmes raciaux, car de nombreux malfaiteurs (comme la plupart des étudiants californiens) appartiennent à des groupes minoritaires défavorisés.

    La plupart des Californiens soutiennent les écoles à charte, dont près de la moitié de tous les démocrates, et trois chapitres de la NAACP de Californie du Sud – San Diego, San Bernardino et Riverside. Les puissants syndicats d'enseignants de l'État et les démocrates qu'ils soutiennent s'opposent à ces alternatives éducatives.

    Les titans de la technologie, autrefois concentrés sur l'amélioration des écoles, semblent désormais moins engagés. Cela peut avoir du sens étant donné la mesure dans laquelle la technologie repose sur des talents mondiaux plutôt que sur le recrutement local. En 2018, les trois quarts de la main-d'œuvre technologique de la région de la baie étaient nés à l'étranger, une majorité avec des visas de non-immigrant à court terme.

    La réponse à de nombreux problèmes qui affligent les classes inférieures en difficulté de Californie a été de leur consacrer davantage d'argent de la classe supérieure. Michael Bernick, ancien directeur du département de développement de l'emploi de l'État, a déclaré: «La culture d'une grande partie de la Californie, motivée par la politique de l'État, est celle des avantages (et désormais du revenu garanti), et non une stratégie ou une attente en matière d'emploi. Il est peu probable que la Californie consacre l'excédent de l'État - tiré en grande partie par les gains en actions et en propriétés parmi la richesse - comme le font le Texas et d'autres États, à attirer des entreprises. Au lieu de cela, comme le suggère Bernick, la préférence a été de renforcer l'État-providence, comme il l'a fait en lançant des paiements de relance record pendant la pandémie. Il envisage maintenant de distribuer des cartes de débit pour faire face aux prix élevés de l'énergie créés par les politiques environnementales de l'État.

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  55. L'industrie technologique californienne se compose de fervents bailleurs de fonds des démocrates progressistes des États. Ils sont peut-être eux-mêmes des bourreaux de travail obsédés et des témoins vivants du capitalisme entrepreneurial, mais Greg Ferenstein, qui a interrogé 147 fondateurs d'entreprises numériques, affirme que la plupart pensent qu'« une part de plus en plus grande de la richesse économique sera générée par une plus petite tranche de personnes très talentueuses ou originales. Tous les autres subsisteront de plus en plus grâce à une combinaison de « travail de boulot » entrepreneurial à temps partiel et d'aide gouvernementale. »

    De nombreux hommes d'affaires éminents, y compris ceux qui ont fait fortune en Californie, tels que Zuckerberg, Pierre Omidyar, Elon Musk et Sam Altman, fondateur du Y Combinator, ont adopté la notion de "salaire garanti", qui couvrirait les factures les plus importantes. . La campagne du candidat démocrate à la présidentielle Andrew Yang s'est construite autour de ce concept.

    Dans l'intervalle, les gens fuient l'État. Le démographe Wendell Cox note que depuis 2000, la Californie a perdu 2,6 millions de migrants nationaux nets, plus que les populations actuelles de San Diego, San Francisco et Anaheim réunies. En 2020, la Californie représentait 28 % de toute l'émigration intérieure nette du pays, soit environ 50 % de plus que sa part de la population américaine.

    - voir graph sur site -

    La croissance démographique de la Californie est tombée en dessous de la moyenne nationale pour la première fois, et l'État semble même avoir peut-être perdu de la population au cours des deux dernières années. La pandémie semble avoir accéléré ce mouvement. L'année dernière, la Californie abritait trois des cinq grandes régions de plus d'un million avec le pourcentage de perte de population le plus élevé - San Francisco, San Jose et Los Angeles. Les districts scolaires de San Francisco et de Los Angeles font face à d'importantes baisses d'inscriptions ; le district de LA, le plus grand de l'État, prévoit une réduction de 20 % au cours de cette décennie.

    Cette tendance à l'émigration ne peut être qualifiée de « fuite blanche ». Une analyse des flux de population minoritaire montre que les Latinos et les Afro-Américains s'installent de plus en plus à l'ouest de la Sierra, en particulier dans le sud, au Texas et dans certaines parties du Midwest. De même, la population née à l'étranger - si essentielle à l'économie de l'État - a diminué à Los Angeles au cours de la dernière décennie et a stagné dans la région de la baie tout en gonflant dans des endroits comme Dallas-Ft. Worth, Austin, Houston, Nashville et même des villes du Midwest comme Columbus, Des Moines et Indianapolis.

    En termes simples, la Californie risque de perdre son mojo de jeunesse. Selon les données de l'IRS, bon nombre de ceux qui partent sont issus de familles jeunes, moyennes et ouvrières. Lorsque ces personnes partent, les taux de natalité chutent. Los Angeles et San Francisco se classent au dernier et avant-dernier rang des taux de natalité parmi les 53 grandes régions métropolitaines des États-Unis. Parmi les grands métros californiens, seul Riverside/San Bernardino dépasse la moyenne nationale chez les femmes âgées de 15 à 50 ans avec des naissances. Le taux de fécondité total de la Californie, longtemps supérieur à la moyenne nationale, est désormais le 10e plus bas du pays. Le seul comté de Los Angeles a perdu trois quarts de million de personnes de moins de 25 ans au cours des vingt dernières années.

    Aujourd'hui, la Californie est aussi vieille que le reste du pays et vieillit 50 % plus vite que la norme nationale.

    Il remplace rapidement la planche de surf par un marcheur.

    https://www.zerohedge.com/political/californias-vanished-dream-numbers

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