Le FBI met en garde contre des cyberattaques ciblées contre des usines alimentaires après une mystérieuse vague d'incendies
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 01:00
La cyberdivision du FBI a publié la semaine dernière un avis avertissant de l'augmentation des menaces de cyberattaques contre les coopératives agricoles, qui survient à un moment où une curieuse série d'incendies et d'explosions endommage les principales usines de transformation des aliments à travers le pays.
"Les acteurs du ransomware peuvent être plus susceptibles d'attaquer les coopératives agricoles pendant les saisons critiques de plantation et de récolte, perturbant les opérations, causant des pertes financières et ayant un impact négatif sur la chaîne d'approvisionnement alimentaire", indique l'avis, ajoutant les attaques de ransomware de 2021 et du début de 2022 contre les coopératives agricoles. pourrait affecter la saison de plantation en cours "en perturbant l'approvisionnement en semences et en engrais".
L'agence a averti : « Une perturbation importante de la production céréalière pourrait avoir un impact sur l'ensemble de la chaîne alimentaire, puisque les céréales ne sont pas seulement consommées par les humains mais également utilisées pour l'alimentation animale... En outre, une perturbation importante de la production céréalière et de maïs pourrait avoir un impact sur le commerce des matières premières. et les actions."
L'avertissement du FBI intervient alors que "près de deux douzaines d'installations de transformation alimentaire au Canada et aux États-Unis" ont connu une "chaîne d'incendies, d'accidents d'avion et d'explosions", selon The Western Standard.
- voir doc sur site -
Les incidents les plus récents étaient des incendies dans deux usines de transformation des aliments basées dans l'Oregon. Le premier, lundi soir, un incendie a détruit le siège social et les entrepôts communs d'Azure Standard. La seconde a été une explosion mardi dans une usine de Shearer's Foods.
Les détectives d'Internet ont rassemblé une compilation de gros titres montrant une série d'incendies dans des usines de transformation des aliments à travers le pays au cours de la dernière année.
- voir doc sur site -
Un détective met en lumière les récents incendies d'entrepôts affectant les chaînes d'approvisionnement alimentaire dans une série de tweets.
- voir doc sur site -
Tout cela se produit alors que le conflit ukraino-russe a perturbé la chaîne d'approvisionnement alimentaire mondiale. Les prix des denrées alimentaires sont à des niveaux record, et la Fondation Rockefeller vient de publier son échéancier sur le début d'une "crise alimentaire massive et immédiate" - disent-ils, "dans les six prochains mois".
Les criminels qui dirigent le monde portent toutes leurs opérations à le détruire dans le plan 'Dépopulation21'. Ainsi après la fausse apparition dans l'air d'une poussière extraterrestre appelée 'virus corona, puis covide19TangoCharlieDeltaMoncu' qui en réalité n'était PAS dans l'air mais UNIQUEMENT disponible en seringue ("Si t'es piqué tu l'as !" HAHAHA !), est poursuivi parallèlement l'opération 'zéro bouffe' où, malgré les portées continuelles de HAARP (il y a 15 stations dans le monde ! 15 !) destinées à réchauffer, griller, incendier des régions ou en geler, congeler certaines autres, sont activés des attentats envers les usines de transformation (emboîtage, embouteillage) et réserves de semences.
Disons qu'ils se sont vite rendu compte que l''Ukraine' n'était pas le 'garde-manger du monde' ! loin de là ! et que sa production était insignifiante d'où des mesures dotées de muscles et de neurones pour en finir une bonne fois pour toutes avec ces '7 milliards d'habitants en trop' !
USDA : 69 % de la production totale de blé d'hiver des États-Unis actuellement dans des zones de sécheresse… une forte baisse des rendements au coin de la rue
Samedi 23 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Seuls 32% de la récolte de blé d'hiver aux États-Unis ont reçu une note "bonne" ou "excellente" du Département américain de l'agriculture (USDA), selon de nouveaux rapports.
Bien que cela représente une légère augmentation de deux points par rapport à il y a une semaine, le chiffre est loin derrière la note de 53 % de 2021, illustrant à quel point la récolte de blé américaine est mauvaise en raison des conditions de sécheresse persistantes dans de nombreuses régions.
"Le blé d'hiver classé comme passable était de 32 % et le blé d'hiver classé de mauvais à très mauvais était de 36 %", a rapporté le Longview News-Journal. "Le blé épié d'hiver était de 5 %, soit 1 point de moins que la moyenne quinquennale de 6 %."
"Les semis de blé de printemps sont en cours, avec 6% plantés contre 10% cette même semaine l'année précédente et 1 point de moins que la moyenne quinquennale".
Selon l'USDA, 69 % de la production totale de blé d'hiver aux États-Unis est actuellement en période de sécheresse, y compris l'hiver rouge dur, l'hiver rouge doux et le blanc doux.
Cela comprend 82 % de toute la production de blé au Kansas et au Colorado, ainsi que 99 % au Texas et au Montana.
« Des ventes commerciales nettes de blé aux États-Unis de 96 100 tonnes métriques ont été signalées pour la semaine se terminant le 7 avril pour une livraison en 2021 par 22, soit une baisse de 39 % par rapport aux 156 300 tonnes métriques de la semaine précédente – et moins que les attentes commerciales de 100 000 à 250 000 tonnes métriques, », a ajouté le Longview News-Journal.
«Les ventes commerciales depuis le début de l'année pour livraison en 2021 pour 22 totalisent 19,2 millions de tonnes métriques, soit 23 % de moins qu'à la même période l'année précédente. L'USDA s'attend à ce que les exportations de blé américain pour 2021 pour 22 totalisent 21,36 millions de tonnes métriques, soit 21 % de moins que l'année précédente si elles sont réalisées. Les ventes nettes pour livraison en 2022 par 23 étaient de 225 217 tonnes métriques la semaine dernière. »
La plupart des grandes plaines, à l'exception de l'est de l'Oklahoma, connaissent des conditions de sécheresse record Tous les États et toutes les régions, à l'exception de l'est de l'Oklahoma, ont de nouveau connu une semaine sèche. Certaines régions du Texas, par exemple, enregistrent actuellement environ 2 % de leur moyenne normale de précipitations.
L'ouest du Texas a enregistré moins de 10 % de ses précipitations moyennes, tandis que l'Oklahoma a globalement reçu moins de 25 % de ses précipitations normales. La baisse de l'humidité et les vents violents n'ont fait qu'aggraver le problème. (Connexe: l'apocalypse du blé est-elle maintenant sur nous?)
Une importante tempête de pluie a frappé certaines parties du nord-ouest du Dakota du Sud et une petite partie de l'est du Dakota du Nord la semaine dernière, ainsi qu'une petite zone du nord-ouest du Nebraska. Cependant, presque toute la région ouest des États-Unis a connu une autre semaine sèche sans aucune amélioration dans aucune des principales régions productrices de blé.
La France, en revanche, voit le contraire. Quatre-vingt-douze pour cent de sa récolte de blé tendre est jugée bonne à excellente, tandis que seulement 1 % est jugée mauvaise. Quatre-vingt-cinq pour cent du blé dur sont jugés bons ou excellents, tandis que seulement 1 % est jugé mauvais.
Selon FranceAgriMer, une agence agricole française, les exportations de blé tendre ont atteint 17,7 millions de tonnes métriques, mais cela concerne principalement les pays de l'Union européenne. Les exportations de blé français hors UE sont en effet en baisse.
L'Allemagne devrait également augmenter sa production céréalière à 43,6 millions de tonnes métriques, en hausse de 1% par rapport aux estimations précédentes. Les fortes pluies y aident le pays à produire la nourriture dont il a besoin.
En Chine, les conditions des cultures de blé d'hiver se sont améliorées plus que prévu. De fortes pluies y ont nui au début de la saison des semis, mais la production de blé est encore dans la moyenne. Ce n'est qu'aux États-Unis, semble-t-il, que les choses tournent rapidement vers le sud en raison des conditions de sécheresse qui tuent les cultures.
En mars, les prix alimentaires mondiaux ont globalement augmenté de près de 13 %, selon l'indice des prix alimentaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). L'inflation continue couplée à une saison des récoltes fragile aux États-Unis est de mauvais augure pour l'approvisionnement alimentaire.
Plus de nouvelles connexes peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Emmanuel Macron, le candidat-banquier qui avait servi les intérêts de Pfizer. Vidéo
AVRIL 23, 2022 PAR LHK
- voir clip sur site: https://lilianeheldkhawam.com/2022/04/23/emmanuel-macron-le-candidat-banquier-qui-avait-servi-les-interets-de-pfizer-video/
Enquête très intéressante que tout électeur devrait visionner avant de se rendre aux urnes. Le nombre de vues actuel est insuffisant au vu des enjeux. Nous savions depuis 2017 que M Macron n’avait pas le patrimoine qui correspondait à la fortune déclarée. Les quelques centaines de milliers de francs dont il est fait état dans sa déclaration d’impôts sont des cacahuètes quand on occupe des fonctions importantes dans les banques d’affaires. Et c’est encore plus vrai quand on est associé-gérant de l’une de ces banques.
Regardez les salaires de base et imaginez y ajouter un bonus juste sur l’affaire Nestlé-Pfizer. https://mergersandinquisitions.com/investment-banker-salary/
L’affaire Macron-Nestlé-Pfizer n’est pas un daily business. C’est un jackpot qui a dû être payé chèrement. Si on insiste beaucoup sur le jackpot qu’il a réalisé avec Nestlé, on oublie de préciser que ce montage impliquait Pfizer. Retour sur l’affaire.
« Embauché comme gérant, Emmanuel Macron devient en décembre 2010 le plus jeune associé-gérant de la très puissante banque d’affaires. Ce qui ne l’empêche pas de conseiller le candidat socialiste François Hollande quand celui-ci se lance dans la campagne présidentielle.«
https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142 Arrive en 2012 l’affaire Pfizer-Nestlé.
Pfizer met alors en vente sa division nutrition infantile. Macron va faire les affaires de Pfizer en « arrivant à convaincre » Peter Brabeck de Nestlé de surenchérir. Nestlé dont l’offre était au préalable de 10 milliards va accepter de la passer à 11,9mia. Elle supplante ainsi celle de Danone qui atteignait les 11 mia. Ce faisant, Macron joua contre une entreprise française qui n’arrivera pas à s’aligner. Et c’est Nestlé qui remporte le deal.
Plus grave, selon les analystes de l’époque, Danone avait besoin alors de cette unité de Pfizer, sinon elle risquait d’être confrontée à un problème de développement. https://www.reuters.com/article/us-danone-pfizer-idUSBRE83J0VC20120420
Bref, dans cette affaire Nestlé-Macron-Pfizer, le grand gagnant c’est d’abord Pfizer, mais aussi le partenaire de la Banque Rothschild qui décroche le deal. On peut supposer qu’il y eut des bonus habituels sur les 10 premiers milliards, puis un autre sur les 1.9 mia supplémentaires puisque Pfizer a engrangé près de 2 milliards par simple surenchère très probablement injustifiée au plan purement comptable. Nestlé a de notre point de vue surpayé l’unité en question pour des raisons d’occupation du marché.
Alors combien le partenaire de la banque d’Investissement a-t-il pu décrocher? On nous parle de 3 millions d’euros, qui soit dit en passant ne figurent pas dans la déclaration fiscale de l’intéressé.. De mon côté je pense que l’affaire doit se chiffrer au minimum en dizaines de millions, voire en centaines de millions pour l’intéressé. Le supplément de près de 2 milliards, qui ne se justifiait apparemment pas, a dû envoyer le bonus de Macron dans la stratosphère.
Pfizer, le partenaire principal de la France pour les « vaccins » anti-Covid
Toutefois, l’affaire ne peut s’arrêter là. Le Covid est depuis passé par là. Et c’est Pfizer qui a décroché le gros du jackpot dans l’affaire fumeuse des faux vaccins- vraies injections expérimentales. Ian Read, le patron de Pfizer qui était aux commandes en 2012 a laissé la présidence au vétérinaire Bourla en… 2019.
Ian Read joined the Viatris board of directors after a 41-year career at Pfizer. While at Pfizer, he served as executive chairman, and prior to that was chief executive officer, having joined the company as an operational auditor. Read’s other positions at Pfizer included senior vice president and group president of Pfizer’s Worldwide Biopharmaceutical Businesses; chief financial officer of Pfizer Mexico; country manager of Pfizer Brazil; president of Pfizer’s International Pharmaceuticals Group; executive vice president, Europe; corporate vice president; and head of operations in Pfizer’s Africa/Middle East region and Latin America. Read serves on the Kimberly-Clark Board of Directors as lead director and chair of the Executive Committee, and serves on the board for Avateramedical N.V. He also serves as operating executive for Global Healthcare at The Carlyle Group, focusing on investment opportunities in the healthcare sector https://www.viatris.com/en/about-us/our-leaders/ian-read
Bon à savoir: en 2018, Pfizer avait quelques soucis: « Comme tous les géants du secteur, Pfizer fait face à la perte des brevets de ses anciens « blockbusters ». Dans son communiqué du lundi 1er octobre, le groupe estime avoir perdu 23 milliards de dollars de chiffre d’affaires de cette manière. »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html Oui, mais ils étaient optimistes et avaient agendé 2022 comme année de compensation! 2022, l’année où sont supposés finir les expérimentations sur l’humanité et la consignation de leurs brevets pour une nouvelle gamme de produits novateurs.
Voilà ce qui était écrit en 2018:
« Pfizer énumère dans son communiqué les succès ayant jalonné les huit années passées par M. Read à la tête du premier laboratoire pharmaceutique américain : 30 autorisations de mise sur le marché pour des médicaments qui pourraient être suivies de 25 à 30 supplémentaires d’ici 2022; « plus de 120 milliards de dollars directement reversés aux actionnaires »; et « une augmentation de 70 % du dividende ». »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html Reste plus qu’à savoir qui a sélectionné Pfizer comme fournissant principal du vaccin anti-covid…
https://lilianeheldkhawam.com/2021/11/03/la-fraude-de-pfizer-une-insider-denonce-les-donnees-falsifiees-de-son-principal-sous-traitant-arretez-la-vaccination-des-enfants/ Même Paris Match le qualifie de millionnaire, ce qui ne ressort pas de sa déclaration fiscale
Great Reset : pourquoi l’OMS promeut l’avortement jusqu’à 9 mois, sans condition
23/04/2022 par Aphadolie
L’OMS – et plus généralement le système des Nations unies – qui sert d’instrument légaliste à la mise en place de la nouvelle dictature mondiale, a publié un document dans lequel elle préconise aux gouvernements de supprimer la limite de temps légale pour l’avortement quelles que soient les circonstances et sans justification médicale. L’OMS promeut donc l’avortement jusqu’à la naissance dans un objectif simple et programmé depuis de nombreuses années : déposséder les femmes de la grossesse et instaurer l’ectogenèse comme processus artificiel de reproduction unique sous prétexte d’éviter les risques pour la mère et pour l’enfant en contrôlant la transmission de maladies génétiques à ce dernier.
Le Daily Mail a fait remonter l’information le 26 mars 2022 sur la parution d’un rapport de recommandations sur l’avortement de 210 pages publié le 9 mars dernier. Epoch Time rappelle quelques grands principes de ce rapport, l’OMS indique clairement son « opposition aux lois et autres réglementations qui interdisent l’avortement en fonction d’une limite d’âge gestationnel ».
L’OMS conseille que les femmes n’aient plus besoin d’une prescription d’un personnel de santé pour pouvoir interrompre leur grossesse. Le rapport préconise que des systèmes d’envoi de pilules par la poste soient mis en place pour permettre aux femmes de recevoir des médicaments abortifs sur simple appel téléphonique. L’organisation onusienne suggère également de limiter les droits des professionnels de la santé à faire valoir leur objection de conscience sur l’avortement.
Emmanuel Macron avait profité de la vague Omicron en février 2022 pour faire passer le rallongement de l’IVG de 12 à 14 semaines sous prétexte que 2000 patientes seraient contraintes chaque année de se rendre à l’étranger pour avorter.
Dépénaliser l’infanticide et faire de l’enfant à naître un objet de consommation
L’idée pourrait donc bien être de faire disparaitre le crime d’infanticide prénatal et néonatal ; d’ailleurs une publication très sérieuse de 2 jeunes chercheurs argumentait dès 2012 que puisque dans certains pays et dans certaines situations, il était permis de mettre fin à la vie d’un enfant à naitre juste avant la naissance, pourquoi ne pas l’autoriser précisément juste après la naissance car le délai entre ces 2 événements théoriques ne justifiait pas que l’on interdise l’infanticide post natal. Après avoir suscité l’émoi, cette publication n’a jamais été retirée. Aujourd’hui, l’OMS va dans le sens de cette proposition et considère – sur la base d’un artefact purement juridique – que l’enfant in utéro n’a pas la reconnaissance de personne tant qu’il n’a pas pris sa première respiration.
Quel est le véritable objectif de cette politique ?
Mais il est très clair… il consiste à prendre le contrôle de la vie naissante et à déposséder les femmes de leur maternité. La PMA – également portée par l’OMS et donc en cascade par l’ensemble des pays membres qui ont pour obligation d’ajuster leurs lois nationales aux lois internationales (effet contraignant), se justifierait par la sélection des gènes afin d’atteindre le « zéro défaut », choisir la couleur des cheveux, des yeux, etc. Les cliniques de procréation assistée se sont développées comme jamais dans le monde durant les 10 dernières années. Le marché mondial est estimé à plusieurs centaines de milliards. La finalité de cette politique est sans aucun doute le développement de l’utérus artificiel, c’est-à-dire un dispositif d’ectogenèse qui permet une gestation de l’être humain en dehors du corps de la femme.
L’affranchissement du corps reste l’objectif suprême des transhumanistes. Le projet de l’utérus artificiel est en cours, il est justifié par la prise en charge des grands prématurés et a déjà prouvé sa faisabilité technique avec l’expérience réussie de Flake et al. en 2017 sur un fœtus d’Agneau. Personne n’est dupe sur la finalité de ces recherches.
Pour développer le marché et s’octroyer l’acceptation de l’opinion publique, il faut d’abord discréditer la grossesse, mettre en avant les risques pour la mère et pour l’enfant, permettre aux femmes de mettre fin à la vie de leur enfant in utéro… il faut « chosifier » l’enfant à naître, en faire un produit de consommation courante, ce qui a d’ailleurs été facilité en France par la loi de Mme Taubira sur la GPA qui ne cache ni son appartenance à la franc-maçonnerie où est né le projet transhumaniste ni son idéologie mortifère.
Là aussi, le Covid représente étrangement un autre effet d’opportunité : la vaccination contre Sars-Cov 2, notamment les vaccins à ARNm affecteraient le cycle féminin et la fertilité des femmes. L’ancien responsable de la recherche respiratoire chez Pfizer, le Dr Mike Yeadon, et le spécialiste des poumons, le Dr Wodarg, ont déposé une pétition auprès de l’Agence médicale européenne pour avertir que les vaccins anti-Covid-19 peuvent provoquer une stérilité féminine.
« Les anticorps produits par le vaccin Covid pourraient rendre les femmes infertiles en attaquant une protéine nécessaire à la formation d’un placenta ».
Cette déclaration a été contestée par la presse subventionnée. Cependant, une étude conduite en 2021 montre clairement qu’un nombre important de femmes rapportent une modification du cycle menstruel après la vaccination contre le Covid-19. Ces constats serviront sans nul doute à justifier l’utilisation d’une gestation artificielle de la procréation au profit du biopouvoir tenu par la même industrie pharmaceutique qui blesse les femmes (et les hommes) avec ses vaccins.
Déposséder la femme de sa fonction reproductive et s’affranchir du corps pour procréer
Déposséder la femme de sa fonction reproductive est depuis longtemps un objectif de fond de l’eugénisme d’ailleurs promu par Michel Simon dans son livre « De la vie avant toute chose » rédigé en 1979. Ayant fait voter en France la loi Veil sur l’avortement, qu’il qualifie de bienfait pour l’humanité, ce franc-maçon de 33ème grade vantait également dans son livre les progrès de la cybernétique pour le contrôle des individus. Henri Callaivet, ancien sénateur et autre frère en maçonnerie, a lui œuvré à l’autre extrémité de la politique mortifère de la France en défendant âprement l’euthanasie qui a depuis progressé avec les lois de bioéthique, outil destiné à transgresser le respect de la vie et à permettre l’élimination légale des plus faibles. Le Sars-Cov 2, dont on sait qu’il a été façonné par l’homme – représente le point de départ du Great Reset où rien n’est laissé au hasard. Il a permis d’accélérer le départ prématuré de nos ainés puisqu’en 2020 la moyenne d’âge des personnes décédées du Covid était de 83 ans. Un succédané de l’euthanasie en fin de vie.
Quelle belle opportunité que le Covid – comme l’a officiellement annoncé l’économiste mondialiste Pippa Malmgren (World Governement Summit 2022) anciennement conseillère du président des Etats-Unis qui travaille à la mise en place d’une monnaie numérique mondiale et à la disparition de la monnaie papier, prochaine étape de la dictature mondiale – car il permet cette fois d’instaurer les lois nécessaires à l’assujettissement de nos vies.
La dictature parfaite est celle qui ne permet plus aucune échappatoire.
Cela aussi, ils y travaillent : Shangaï où sont enfermés les citoyens sans nourriture dans des tours d’habitation préfigure les camps où les réfractaires à la vaccination et les cas contacts pourraient être enfermés.
Penser que l’Europe ne travaille pas à ces projets est illusoire.
Le régime de Biden transformera les médecins chrétiens en MEURTRIERS en les forçant à pratiquer des avortements (ou à perdre leur licence médicale)
Samedi 23 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Il pourrait bientôt être obligatoire pour les médecins américains de pratiquer des avortements, même si leurs croyances religieuses leur interdisent de prendre la vie humaine innocente.
Un nouveau mandat élaboré par le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) en tant que «disposition anti-discrimination sexuelle dans la loi sur les soins abordables» obligerait les médecins à assassiner des enfants à naître ou risqueraient de perdre leur licence médicale.
Le plan de ce mandat a été découvert dans un mémorandum joint à un dossier judiciaire de 74 pages datant de novembre dernier. Catholic News Service (CNS) a rapporté que le mémo :
"... a révélé que le HHS a promis de réviser ses mandats sur la couverture et les performances du régime de santé pour inclure l'avortement chirurgical, les hormones sexuelles croisées, les chirurgies de transition sexuelle, les chirurgies esthétiques affirmant le genre et la modification de la voix - ainsi qu'une multitude de services étendus traitant de traitements de fertilité, contraception, abortifs et stérilisations.
Doug Wilson, PDG de la Catholic Benefits Association, basée au Colorado, a annoncé que le mandat est "écrit pour mettre fin aux soins de santé catholiques".
"Les exigences vont tellement au-delà de l'enseignement catholique que les employeurs catholiques de toutes sortes seraient obligés de se conformer ou de fermer", a-t-il ajouté. "Le grand public n'a presque aucune conscience de ce qui peut arriver."
Un dirigeant de Planned Parenthood exprime sa joie face à la possibilité de forcer les médecins à assassiner des enfants En 2019, l'administration du président de l'époque, Donald Trump, a ajouté une règle de protection de la conscience à la loi qui empêche les médecins, les infirmières et les autres prestataires de soins de santé d'être contraints d'offrir ou de participer à toute procédure médicale qui viole la conscience ou la croyance religieuse.
Le régime Biden (alias Barack Hussein Obama) cherche à renverser cette clause et à obliger tous les membres de la profession médicale à arracher un enfant à naître membre par membre et à le jeter à la poubelle, sous peine de perdre son emploi et ses moyens de subsistance.
"Un poids supplémentaire a été donné à la mesure en permettant au gouvernement fédéral de retirer l'argent des contribuables de toute institution qui violait les droits de conscience de ses travailleurs", a rapporté LifeSiteNews. "La règle a été bloquée par un juge fédéral après que les défenseurs de l'avortement ont poursuivi l'administration Trump."
Selon la CNS, le nouveau mandat s'appliquerait probablement à tous les prestataires de soins de santé, cliniques, maisons de retraite, hôpitaux, assureurs-maladie de groupe et administrateurs tiers de régimes autofinancés.
"Si la nouvelle réglementation s'applique à tous ces groupes, elle s'appliquera effectivement à tous les employeurs disposant d'un plan de santé", déclare l'avocat Martin Nussbaum du cabinet d'avocats Nussbaum Speir Gleason, qui conseille la Catholic Benefits Association basée au Colorado.
« Le règlement proposé s'appliquerait également à tous les entrepreneurs des groupes précédents, y compris mon cabinet d'avocats. Pour les chaînes d'hôpitaux catholiques, il est difficile d'imaginer à quel point ce groupe est large.
Nussbaum a ajouté en outre dans une déclaration que le prochain règlement HHS présente une "menace existentielle" pour les soins de santé catholiques, car les sanctions en cas de non-respect de celui-ci incluront probablement l'application privée, les recours collectifs et les actions "qui tam" où les individus peuvent intenter des poursuites comme s'il s'agissait des États-Unis eux-mêmes.
Les sanctions pourraient également inclure la perte du financement de Medicare et Medicaid, voire l'emprisonnement pour les cadres de la santé qui refusent de se conformer.
"De telles sanctions peuvent fermer n'importe quel réseau hospitalier", a en outre averti Nussbaum.
Pendant ce temps, Jacqueline Ayers, vice-présidente principale des politiques, de l'organisation et des campagnes chez Planned Parenthood, est ravie de la possibilité que ce nouveau mandat entre en vigueur.
Elle est citée comme louant le régime de Biden pour avoir cherché à "révoquer cette politique discriminatoire et aider à garantir que les gens puissent accéder aux soins de santé et aux informations dont ils ont besoin quand ils en ont besoin".
Wilson dit qu'il y aura des poursuites si le mandat entre en vigueur.
«Nous nous préparons à ce que nous prévoyons être un procès important», dit-il. "Je ne pense pas que l'administration apportera des changements importants ou que la période de consultation publique aura assez (ou) beaucoup d'effet."
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La Chine soutiendrait la Russie même si elle utilisait des armes nucléaires tactiques pendant la guerre en Ukraine, selon un ancien responsable de la Défense
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 04:30 Écrit par Andrew Thornbrooke via The Epoch Times
Le Parti communiste chinois continuerait de soutenir le régime de Vladimir Poutine en Russie au cas où il utiliserait des armes nucléaires tactiques en Ukraine, selon l'ancien secrétaire adjoint à la Défense Graham Allison.
Une fusée est lancée depuis un système de missile dans le cadre d'un test de missile balistique intercontinental au sol lancé depuis l'installation de Plesetsk, dans le nord-ouest de la Russie, le 9 décembre 2020. (Service de presse du ministère russe de la Défense via AP) "La réponse est oui", a déclaré Allison lorsqu'on lui a demandé si la Chine continuerait son soutien à la Russie indépendamment des escalades de Poutine.
"Même s'il s'agit de l'utilisation par Poutine d'armes nucléaires tactiques sur une cible en Ukraine."
Allison, professeur à l'Université de Harvard, a prononcé ces remarques dans le cadre d'une conférence du 19 avril sur la situation stratégique entre la Chine, la Russie, l'Ukraine et les États-Unis à l'Institut d'études internationales et stratégiques, un groupe de réflexion axé sur la sécurité.
Il a averti que les États-Unis et la Chine se dirigeaient vers une « issue catastrophique », en raison de leur rivalité de plus en plus antagoniste, et que l'alliance naissante de la Chine avec la Russie compliquait la sécurité internationale compte tenu des craintes croissantes que la Russie puisse déployer une arme nucléaire tactique en Ukraine.
Allison, qui est membre du Conseil de la politique de défense du secrétaire à la Défense depuis 1985, a averti que les tensions continueraient de s'aggraver en raison d'un manque de compréhension à Washington de la réflexion stratégique de la Chine vis-à-vis de la Russie.
"Attendez-vous à ce que les choses empirent avant qu'elles ne s'aggravent", a déclaré Allison.
"La plupart des gens à Washington ne peuvent toujours pas accepter le fait que Xi ait construit avec la Russie de Poutine une alliance fonctionnelle qui est plus importante sur le plan opérationnel que la plupart des alliances conventionnelles américaines."
L'alliance naissante entre Xi et Poutine s'est solidifiée le 4 février, avec l'annonce d'un partenariat "sans limites", que la Chine a ensuite réaffirmé au milieu de l'invasion russe de l'Ukraine.
Allison a déclaré que le plus grand défi serait désormais de gérer la rivalité la plus féroce du monde entre le régime chinois et les États-Unis sans une guerre catastrophique. C'est un point sur lequel les dirigeants militaires américains ont eux-mêmes mis en garde, maintenant que les États-Unis doivent envisager stratégiquement la puissance nucléaire combinée de la Chine et de la Russie en cas d'hostilités militaires.
À cette fin, Allison a déclaré que les décideurs devraient s'attendre à ce que la Russie devienne "enfermée dans la Chine en tant que dépendance" et que Xi avait fait "brillamment" en manipulant et en gérant l'ego de Poutine en tant que partenaire désormais junior dans l'arrangement. Un arrangement, a soutenu Allison, qui pourrait désormais survivre aux deux dirigeants.
"Xi l'a fait... mais cela institutionnalisera le rôle de la Russie en tant qu'État vassal, fournissant essentiellement des ressources naturelles à [la Chine]", a déclaré Allison.
Allison a déclaré que ce que les dirigeants communistes chinois voulaient le plus, c'était une "inattention bénigne" de la communauté internationale, ce qui leur permettrait de continuer à étendre leur arsenal nucléaire et leur coercition économique avec moins d'interférences. En tant que tel, il a déclaré que la Chine utiliserait la Russie pour détourner les yeux de la communauté internationale de ses propres actions et n'interférerait avec aucune des actions agressives de la Russie.
Lorsqu'on lui a demandé si la Chine pouvait réellement tirer parti de son partenariat avec la Russie pour remplacer les États-Unis en tant que plus grande puissance mondiale, la réponse d'Allison était loin d'être optimiste.
« Est-ce envisageable ? » dit Allison. "Malheureusement, c'est le cas."
"Les Chinois étudient la guerre bien, bien, bien plus sérieusement que nous."
Poutine va tester un missile nucléaire capable de nous frapper d'ici l'automne
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 23 AVRIL 2022 - 23:00
Le Kremlin a déclaré samedi qu'il prévoyait de tester un ICBM nucléaire de nouvelle génération capable de frapper les États-Unis d'ici l'automne.
Selon Reuters, l'objectif ambitieux a été annoncé samedi par Dmitri Rogozine, chef de l'agence spatiale Roscosmos, quelques jours seulement après le lancement du premier test mercredi. Des experts militaires occidentaux ont déclaré que davantage de tests seraient nécessaires avant que le missile puisse être déployé.
Le Sarmat est capable de transporter 10 ogives nucléaires ou plus (ou leurres) et de frapper des cibles à des milliers de kilomètres aux États-Unis ou en Europe.
Le test de cette semaine est intervenu après des années de retards dus à des problèmes de financement et techniques. Le test de missile a marqué une démonstration de force de la part de la Russie à un moment où la guerre en Ukraine a fait grimper les tensions avec les États-Unis et ses alliés à des niveaux sans précédent depuis la crise des missiles cubains de 1962.
Lors d'une interview avec la télévision d'État russe, Rogozine a déclaré que les missiles seraient déployés avec une unité dans la région de Krasnoïarsk en Sibérie, à environ 3 000 km (1 860 miles) à l'est de Moscou.
Il a ajouté qu'ils seraient stockés sur les mêmes sites et dans les mêmes silos que les missiles Voyevoda de l'ère soviétique qu'ils remplaceront, ce qui permettrait d'économiser "des ressources et du temps colossaux".
Rogozine a ajouté que le lancement de la nouvelle "super-arme" russe serait un événement historique qui garantirait la sécurité des "enfants et petits-enfants" de la Russie pour les 30 à 40 prochaines années.
Russian Airlines doit se préparer à un monde sans GPS
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 02:00
Le régulateur russe du trafic aérien a envoyé un avertissement aux compagnies aériennes concernant d'éventuels vols à venir sans utiliser le système américain de positionnement global (GPS).
Le journal russe Izvestia a rapporté vendredi qu'une lettre de l'Agence fédérale du transport aérien (FATA) ordonnait aux compagnies aériennes nationales d'être au courant des "pannes, dégradations et performances anormales du GPS".
Les zones sujettes au « brouillage » des signaux GPS et aux attaques par usurpation comprennent l'enclave occidentale de la Russie, la région de Kaliningrad, au-dessus de la mer Noire, à l'est de la Finlande et la Méditerranée.
- voir carte sur site -
La lettre indiquait que la FATA aiderait les équipages des avions lorsque les signaux GPS sont perturbés ou désactivés.
Il est conseillé aux pilotes d'informer immédiatement les contrôleurs aériens des "problèmes, dégradations et performances anormales du GPS" ou de l'avionique associée. Les transporteurs doivent évaluer les risques et les limites associés aux pannes des instruments de navigation et des systèmes embarqués utilisant le signal GPS, et effectuer des exercices supplémentaires avec les équipages de conduite pour s'entraîner à prendre des mesures en cas de panne dans le fonctionnement des systèmes de navigation par satellite. - Izvestia
La lettre indique que les équipages des avions doivent être prêts à effectuer des décollages et des atterrissages sans GPS et à compter sur des aides à la navigation aérienne de secours.
Izvestia a souligné: "Les experts estiment que la recommandation de se préparer ne signifie pas une interdiction de l'utilisation du GPS."
Plusieurs transporteurs russes, dont Aeroflot et S7, ont reçu la lettre de FATA. Jusqu'à présent, ils n'ont pas encore rencontré de problèmes de GPS depuis l'invasion de l'Ukraine.
À la mi-mars, Dmitri Rogozine, directeur général de Roscosmos et ancien vice-Premier ministre russe, a déclaré que les États-Unis envisageaient de déconnecter la Russie du GPS. Il a noté qu'il serait très difficile pour les États-Unis de le faire.
L'avertissement de la FATA intervient après que l'Agence de la sécurité aérienne de l'Union européenne a mis en garde contre l'augmentation des incidents de brouillage GPS et d'usurpation d'identité suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Étant donné que les sanctions occidentales rapprochent la Russie de la Chine alors qu'un monde multipolaire émerge, peut-être que si les États-Unis décident de retirer les avions commerciaux russes du GPS, ils pourraient graviter vers une version chinoise.
Visualiser le tempsÉvolution en spirale de la Terre depuis le Big-Bang
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 03:00
Depuis l'aube de l'humanité, nous avons regardé les cieux avec beaucoup d'intérêt et d'admiration. Nous avons fait appel aux étoiles pour nous guider et avons fait certaines des découvertes les plus intéressantes de l'humanité sur la base de ces observations. Cela nous a également amenés à nous interroger sur notre existence et sur la façon dont nous sommes arrivés à ce moment précis.
Comme Anshool Deshmukh de Visual Capitalist le détaille ci-dessous, ce voyage a commencé il y a environ 14 milliards d'années, lorsque le Big Bang a conduit l'univers à émerger d'une mer chaude et dense de matière et d'énergie.
Au fur et à mesure que le cosmos s'est agrandi et refroidi, ils ont engendré des galaxies, des étoiles, des planètes et, finalement, la vie.
Dans la visualisation ci-dessous, Pablo Carlos Buddassi illustre ce voyage aux proportions épiques dans la Nature Timespiral au design complexe, décrivant les différentes époques que la Terre a traversées depuis la création de l'univers lui-même.
- voir schéma sur site -
Chronologie évolutive du monde On ne sait pas grand-chose de ce qui a précédé le Big Bang, mais nous savons qu'il a déclenché une séquence d'événements qui ont donné naissance aux lois universelles de la physique et aux éléments chimiques qui composent la matière. La naissance de la Terre et la vie qui a suivi sont une merveilleuse histoire de temps et de changement.
Regardons ce qui s'est passé après le Big Bang pour retracer notre voyage à travers le cosmos.
Le Big Bang et Hadean Eon Le Big Bang a formé tout l'univers que nous connaissons, y compris les éléments, les forces, les étoiles et les planètes. L'hydrogène et la dissipation massive de chaleur ont dominé les premiers stades de l'univers.
Au cours d'une période connue sous le nom d'éon hadéen, notre système solaire s'est formé dans un grand nuage de gaz et de poussière. L'attraction gravitationnelle du Soleil a réuni des particules spatiales pour créer la Terre et d'autres planètes, mais il leur faudrait beaucoup de temps pour atteindre leurs formes modernes.
Au cours des 800 premiers millions d'années de son histoire, la surface de la Terre est passée de liquide à solide.
Archéen Eon (il y a 4 à 2,5 milliards d'années) Après sa formation initiale, la surface de la Terre était extrêmement chaude. Cet éon suivant a vu la planète se refroidir massivement, donnant naissance aux océans et aux continents, et à la première histoire enregistrée des roches.
C'est au début de l'éon archéen que la vie est apparue pour la première fois sur Terre. Nos plus anciens fossiles découverts datent d'il y a environ 3,5 milliards d'années et consistent en de minuscules micro-organismes préservés.
Ère paléoprotérozoïque (il y a 2,5 à 1,6 milliards d'années) La première ère du Protérozoïque, le Paléoprotérozoïque, a été la plus longue de l'histoire géologique de la Terre. Des plaques tectoniques sont apparues et des masses continentales se sont déplacées à travers le globe - ce fut le début de la formation de la Terre que nous connaissons aujourd'hui.
Les cyanobactéries, premiers organismes utilisant la photosynthèse, sont également apparues à cette époque. Leur activité photosynthétique a provoqué une augmentation rapide de l'oxygène atmosphérique, entraînant le grand événement d'oxydation. Cela a tué de nombreux groupes bactériens anaérobies primordiaux, mais a ouvert la voie à la croissance et à l'épanouissement de la vie multicellulaire.
Ère mésoprotérozoïque (il y a 1,6 à 1 milliard d'années) Le Mésoprotérozoïque s'est produit pendant ce que l'on appelle l'étape du «milliard ennuyeux» de l'histoire de la Terre. Cela est dû à un manque d'activité géochimique généralisée et à la stabilité relative des réservoirs de carbone des océans.
Mais cette époque a vu l'éclatement des supercontinents et la formation de nouveaux continents. Cette période a également vu le premier cas noté de reproduction sexuée parmi les organismes et l'apparition probable d'organismes multicellulaires et de plantes vertes.
Ère néoprotérozoïque (il y a 1 milliard à 542,0 millions d'années) Le Néoprotérozoïque était sans doute le plus profond de l'histoire de la Terre. Il se situe à l'intersection des deux grandes étendues du temps évolutif : d'un côté, quelque trois milliards d'années de vie à prédominance microbienne, et de l'autre, le début d'une biosphère moderne avec ses grands organismes multicellulaires extraordinairement divers.
Dans le même temps, la Terre a également connu de graves glaciations connues sous le nom de période cryogénienne et sa première période glaciaire, également connue sous le nom de Snowball Earth.
L'ère a vu la formation de la couche d'ozone et les premières preuves de la vie multicellulaire, y compris l'émergence des premiers animaux à carapace dure, tels que les trilobites et les archéocyathides.
Paléozoïque (il y a 541 millions à 252 millions d'années) Le Paléozoïque est surtout connu pour avoir inauguré une explosion de la vie sur Terre, avec deux des événements les plus critiques de l'histoire de la vie animale. À ses débuts, les animaux multicellulaires ont subi une explosion cambrienne spectaculaire de la diversité aquatique, et presque tous les animaux vivants sont apparus en quelques millions d'années.
À l'autre extrémité du Paléozoïque, la plus grande extinction de masse de l'histoire a entraîné la disparition de 96 % de la vie marine et de 70 % de la vie terrestre. À mi-chemin entre ces événements, les animaux, les champignons et les plantes ont colonisé la terre et les insectes ont pris leur envol.
Ere mésozoïque (il y a 252 millions à 66 millions d'années) Le Mésozoïque était l'ère des reptiles. Les dinosaures, les crocodiles et les ptérosaures régnaient sur la terre et l'air. Cette ère peut être subdivisée en trois périodes de temps :
Trias (il y a 252 à 201,3 millions d'années)
Jurassique (il y a 201,3 à 145 millions d'années)
Crétacé (il y a 145 à 66 millions d'années)
L'ascension des dinosaures a commencé à la fin de la période triasique. Un fossile de l'un des premiers dinosaures connus, un omnivore à deux pattes d'environ trois pieds de long nommé Eoraptor, est daté de cette époque.
Les scientifiques pensent que l'Eoraptor (et quelques autres premiers dinosaures encore découverts aujourd'hui) a évolué pour devenir les nombreuses espèces de dinosaures bien connus qui domineraient la planète pendant la période jurassique. Ils continueraient à prospérer jusque dans la période du Crétacé, lorsqu'il est largement admis que l'impacteur de Chicxulub, l'astéroïde en chute libre qui s'est écrasé sur la Terre au large des côtes du Mexique, a mis fin au règne des dinosaures de manière abrupte et calamiteuse.
Ère Cénozoïque (66 millions - Aujourd'hui) Après la fin de l'ère des dinosaures, cette ère a vu des adaptations massives de la flore et de la faune naturelles pour survivre. Les plantes et les animaux qui se sont formés à cette époque ressemblent le plus à ceux de la Terre d'aujourd'hui.
Les premières formes de mammifères, d'amphibiens, d'oiseaux et de reptiles modernes remontent au Cénozoïque. L'histoire humaine est entièrement contenue dans cette période, alors que les singes se sont développés sous la pression de l'évolution et ont donné naissance à l'être humain actuel ou Homo sapiens.
Par rapport à la chronologie évolutive du monde, l'histoire humaine a augmenté assez rapidement et de façon spectaculaire. Passer de nos premiers outils de pierre et de l'âge des rois aux jungles de béton avec la technologie moderne peut sembler un long voyage, mais comparé à tout ce qui l'a précédé, ce n'est qu'un bref clin d'œil.
(...) Au fur et à mesure que le cosmos s'est agrandi et refroidi, ils ont engendré des galaxies, des étoiles, des planètes et, finalement, la vie. (...)
(...) Au cours des 800 premiers millions d'années de son histoire, la surface de la Terre est passée de liquide à solide. (...)
A vrai dire les choses se sont déroulées différemment. Ce que nous voyons dans le ciel sont des étoiles, c-à-d des boules de feu, c-à-d des masses ferriques incandescentes. Notre planète en faisait partie. Puis un jour, l'étoile que nous habitons a reçu un boule de glace qui voguait dans l'espace pas suffisamment grosse pour l'éteindre (comme ce fut le cas pour la lune) ni suffisamment petite pour être absorbée sans conséquence future. La glace fondit et s'évapora autour de l'étoile. Mais, les gouttelettes arrivées en hautes altitudes rencontrèrent immédiatement les températures glaciales intersidérales (-60°C) et se recomposèrent donc en pluies, neige ou grêles et retournèrent sur l'étoile. Ce va-et-vient dura des millénaires jusqu'à ce que l'étoile accepte ce corps étranger. Cette arrivée d'eau sur le fer en fusion composa la planète qui passa du stade étoile à celui de la Terre. Le globe n'était alors couvert que d'un seul côté et, les tremblements de terre (réactions magmatiques) fractionnèrent cette croûte qui s'écarta au fil des siècles pour former d'un côté les Amériques et, de l'autre l'Europe-Asie-Afrique-Océanie
Nourrir le complexe industriel des sans-abris de LA
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 00:30 Rédigé par MN Gordon via EconomicPrism.com,
La saison électorale 2022 bat son plein. Les militants, munis de planchettes et d'initiatives électorales, fleurissent abondamment devant les supermarchés. Ils veulent des signatures – votre signature – en faveur d'une nouvelle législation qui augmenterait le financement de diverses idées farfelues et loufoques.
En Californie, et particulièrement à Los Angeles, les initiatives qui permettraient de tirer davantage de dollars pour lutter contre l'abondance de favelas bidonvilles qui ravagent les zones urbaines fleurissent. La justification est convaincante…
En 2020, il y avait plus de 161 000 sans-abri en Californie. Dans le seul comté de Los Angeles, la population de sans-abri, en 2020, était précisément de 66 463. Ces deux chiffres sont maintenant probablement beaucoup plus élevés.
Qui ne veut pas faire quelque chose contre la profusion de bivouacs sous tente, les incendies de barils, les maladies médiévales, les excréments humains, la consommation de drogue publique, le crime et la maladie mentale qui sévissent dans le sud ?
Il faut sûrement faire quelque chose. Mais quoi ?
Une mesure d'État qui sera sur le scrutin de 2022, la California Solutions to Homelessness and Mental Health Act, promet des centaines de millions de dollars chaque année pour lutter contre l'itinérance en Californie. Ces centaines de millions de dollars proviendraient de la taxation des paris sportifs en ligne.
La ville de Los Angeles a également sa propre mesure à l'échelle de la ville. C'est ce qu'on appelle le programme de Los Angeles pour prévenir l'itinérance et financer le logement abordable. Selon la campagne United to House LA, la mesure rapporterait environ 875 millions de dollars par an en imposant une nouvelle évaluation à deux niveaux sur la vente de biens de grande valeur à LA City. Les propriétés de grande valeur se vendent pour plus de 5 millions de dollars.
Ces mesures pourraient-elles être la réponse à la crise des sans-abri ?
S'ils l'étaient, la crise des sans-abri serait résolue depuis longtemps. Voici pourquoi…
Philanthropie forcée Ici, au prisme économique, nous ne possédons pas une maison de 5 millions de dollars. Nous ne parions pas non plus sur le sport.
Pourtant, nous pouvons voir ces mesures pour ce qu'elles sont : des prises d'argent géantes pour le complexe industriel des sans-abri de Californie.
Ces mesures ne suffiront pas à résoudre la crise des sans-abri qui s'aggrave d'année en année. Comment savons-nous ça ?
Nous le savons parce que ces stratagèmes d'appropriation d'argent et de philanthropie forcée ont été essayés à maintes reprises. En ce qui concerne l'aide aux sans-abri, c'est un échec total. Mais pour les agences de tutelle et les associations – le complexe industriel des sans-abris – elles sont extraordinairement lucratives…
Le problème des sans-abri dans le comté de Los Angeles est un désastre total – environ 70 000. La population de sans-abri dans la seule ville de Los Angeles dépasse les 40 000. Et tout cela malgré le fait que la ville et le comté ont adopté 4,7 milliards de dollars de financement en augmentation d'impôts - via la proposition HHH et la mesure H - en 2016 et 2017.
La proposition HHH est une mesure de cautionnement conçue pour construire des logements supervisés permanents. Les professionnels de l'itinérance appellent cela "le logement d'abord". La mesure H est une augmentation de la taxe de vente de 0,25 % dans le comté, ce qui fait passer la taxe de vente minimale dans de nombreuses villes du comté au-dessus de 10,25 %.
Qu'est-ce que Los Angeles a à montrer pour son augmentation de près de 5 milliards de dollars des dépenses consacrées aux sans-abrisme ?
Les principaux groupes philanthropiques qui ont aidé à pousser les initiatives ont livré des platitudes débiles. Fred Ali, président et chef de la direction de la Fondation Weingart basée à Los Angeles, atteste humblement :
«Nous ne pouvons pas laisser notre sens de ce qui est possible se limiter à ce que nous avons pu faire jusqu'à présent. La philanthropie peut être le laboratoire d'un programme visant à renverser l'injustice raciale, à défier la suprématie blanche et à favoriser l'équité. Cela peut également renforcer le soutien à de nouveaux flux de financement et à de nouvelles structures de gouvernance. »
Et United Way Los Angeles affirme sur son site Web :
« Nous avons pour mission de briser de manière permanente le cycle de la pauvreté pour nos voisins les plus vulnérables : les familles à faible revenu, les étudiants, les anciens combattants et les personnes sans abri… En nous concentrant sur les politiques publiques locales, étatiques et nationales, nous luttons contre les causes profondes de la pauvreté. à travers les systèmes qui les soutiennent. Nous avons mené le combat qui a abouti à près de 5 milliards de dollars de fonds civiques consacrés à des solutions pour mettre fin à la pauvreté.
Quelles sont les « causes profondes » de la pauvreté que United Way Los Angeles combat ?
Nourrir le complexe industriel des sans-abris de LA La lutte contre les « causes profondes » de la pauvreté a conduit à une obsession pour l'approche « logement d'abord » de l'itinérance. Des groupes philanthropiques comme United Way rejettent les approches de simple « pansement » à l'itinérance. Les abris temporaires, les abris-ponts, les aires de stationnement sécurisées pour la nuit, etc. ne sont pas idéologiquement acceptables.
Le logement d'abord a été un échec lamentable si l'on considère les dizaines de milliers de sans-abri supplémentaires qui dorment dans la rue depuis son adoption. Mais si vous vous fiez à l'argent que cela a débloqué pour le complexe industriel des sans-abri, c'est un succès retentissant.
Vous voyez, dans la lutte contre la crise des sans-abri, les dollars seuls égalent la victoire. Les résultats sont une réflexion après coup. L'argent - plus de votre argent - est l'objectif ultime.
Malheureusement pour le contribuable, plus d'argent ne se limite pas à la sécurisation de fonds privés. Il s'agit plutôt de s'approprier des fonds publics et de les orienter vers la vision progressiste-technocratique des experts en philanthropie.
Selon un récent audit de la ville, dans la ville de Los Angeles, où plus de 40 000 sans-abri se débattent, il en coûte maintenant 837 000 $ pour construire une seule unité de logement pour une personne sans abri. Cette étiquette de prix est la magie du logement d'abord.
Depuis que les électeurs ont approuvé les dépenses de la proposition HHH en 2016, environ 1 200 unités ont été achevées. Cela représente environ 200 unités par an.
Certes, le complexe industriel des sans-abris de Los Angeles regorge d'astuces, qui ne font qu'exercer la maladie pour que l'argent continue de circuler. Mais à ce rythme, pour construire le « logement d'abord » pour 40 000 sans-abri, il faudra environ 200 ans. Et à un coût de 837 000 $ par logement, il en coûtera environ 33,5 milliards de dollars.
Pourtant, le maire démocrate Eric Garcetti affirme que le programme est un succès. Selon Garcetti, le programme "produit plus d'unités que promis, à un coût inférieur aux prévisions".
Garcetti, sans aucun doute, couvre les échecs du logement d'abord. Peut-être que lorsque son deuxième mandat se terminera plus tard cette année, il pourra faire travailler une banque pour une organisation à but non lucratif dans le complexe industriel des sans-abri de Los Angeles.
C'est un groupe bien nourri. Et avec la foule de nouvelles mesures sur le bulletin de vote, cela ne fera que grossir.
Tant que la frontière mexicaine ne sera pas fermée de chez fermé la drogue mortelle et les armes circuleront librement sans être arrêtées. Aujourd'hui les livraisons sont faites par drones.
Naomi Wolf : Pfizer PLEINEMENT CONSCIENT des dangers de son vaccin ARNm COVID
vendredi 22 avril 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) L'auteure et ancienne conseillère de campagne présidentielle Naomi Wolf a affirmé que Pfizer était pleinement conscient des dangers liés à son vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Wolf a fait cette affirmation lors d'une apparition sur le podcast "War Room", racontant à l'animateur Steve Bannon les découvertes de l'équipe Five, dont elle est responsable.
Elle a révélé que Pfizer savait que 100 microgrammes (μg) de son vaccin BNT162b2 COVID-19 suppriment les lymphocytes, voire les détruisent. « Qu'est-ce que les lymphocytes ? Ce sont vos cellules auxiliaires, vos globules blancs qui protègent votre réponse immunitaire », a expliqué Wolf.
« Cela pourrait donc expliquer pourquoi les personnes qui ont été vaccinées… sont celles qui tombent malades. Ce sont eux qui reçoivent le COVID, [and] les données le montrent. Je ne ris pas parce que c'est drôle, je ris parce que c'est surréaliste.
Wolf a poursuivi que la dose de 100 μg du vaccin a finalement été abandonnée en raison de sa réactogénicité, sur la base de documents internes. Les mêmes dangers ne se limitaient pas au vaccin Pfizer, car les mêmes problèmes ont été constatés chez ceux qui ont reçu une injection de la même dose du vaccin à ARNm Moderna.
"[To] chaque personne qui l'a eu, je suis désolé que cela vous soit arrivé. C'est dangereux et nocif, [with] la suppression de votre système immunitaire… et d'autres maladies graves que je ne veux même pas décrire. (Connexe: Pfizer, la FDA savait que leur vaccin COVID provoque une immunosuppression, ADE, VAED.)
Selon des documents internes de Pfizer obtenus par Wolf, le fabricant de médicaments basé à New York a également comparé les effets de l'obtention de 10 μg, 30 μg et 100 μg du vaccin. Obtenir le vaccin à l'une ou l'autre des trois doses différentes comportait également des risques, notamment des douleurs articulaires, des douleurs musculaires, des fièvres importantes et des problèmes cardiaques.
« Ce n'est pas comme 100 ?g d'un produit testé. Il s'agit de 100 μg de nanoparticules lipidiques d'ARNm, dont on sait qu'elles sont si dangereuses. Ces petites particules grasses dures qui traversent votre circulation sanguine et la protéine de pointe [the SARS-CoV-2]… sont injectées. Les dangers et les dommages durables qu'ils connaissent sont clairement exposés.
La FDA pousse à vacciner les enfants malgré les risques
Wolf a également cité une réunion avec la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2021, au cours de laquelle des experts ont appelé à vacciner les enfants contre le COVID-19 dès que possible. «Ils disent des choses qui semblent maintenant incroyablement imprudentes. [Ce sont] des experts de la FDA qui disent "Nous devons vacciner les enfants immédiatement car il serait contraire à l'éthique de ne vacciner que la moitié d'entre eux et l'autre moitié [avec] des placebos pour voir comment ils vont", a-t-elle déclaré.
"Ce qu'ils savaient en mai 2021 sur 35 enfants ayant des lésions cardiaques permanentes et disant" Nous devons vacciner tous les enfants "... [même si] les enfants ne courent presque aucun risque de COVID-19 - c'est une chose surréaliste à affirmer en public.
La FDA a néanmoins approuvé le vaccin Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans le 26 octobre dernier. Il a cité les avantages allégués de l'obtention du vaccin qui "l'emportent clairement" sur les risques de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite comme base de sa décision.
Le chiropraticien du Texas, le Dr Bryan Ardis, a exprimé son mécontentement face à la décision de l'épisode du 27 octobre 2021 de son émission Brighteon.TV "The Dr. Ardis Show".
« Quels sont certains des risques associés à ce tir ? Il énumère en fait les effets secondaires qui ont été signalés avec ce vaccin, y compris la myocardite [et] la péricardite. C'est le document de la FDA, donc ils savent que ce sont des effets secondaires des vaccins », a déclaré Ardis.
L'animateur de Brighteon.TV a défié ses téléspectateurs : « Ils vont injecter [vos enfants] avec un vaccin dont ils savent qu'il provoque une inflammation de votre muscle cardiaque, qui est en fait une cause d'insuffisance cardiaque congestive. Combien d'entre vous pensent que vos enfants de 5 à 11 ans méritent de commencer leur adolescence ou leur adolescence avec une insuffisance cardiaque congestive causée par une myocardite ? »
VaccineDamage.news a plus d'histoires sur les dangers de l'injection de poison Pfizer COVID-19.
Naomi Wolf : Pfizer PLEINEMENT CONSCIENT des dangers de son vaccin ARNm COVID
vendredi 22 avril 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) L'auteure et ancienne conseillère de campagne présidentielle Naomi Wolf a affirmé que Pfizer était pleinement conscient des dangers liés à son vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Wolf a fait cette affirmation lors d'une apparition sur le podcast "War Room", racontant à l'animateur Steve Bannon les découvertes de l'équipe Five, dont elle est responsable.
Elle a révélé que Pfizer savait que 100 microgrammes (μg) de son vaccin BNT162b2 COVID-19 suppriment les lymphocytes, voire les détruisent. « Qu'est-ce que les lymphocytes ? Ce sont vos cellules auxiliaires, vos globules blancs qui protègent votre réponse immunitaire », a expliqué Wolf.
« Cela pourrait donc expliquer pourquoi les personnes qui ont été vaccinées… sont celles qui tombent malades. Ce sont eux qui reçoivent le COVID, [and] les données le montrent. Je ne ris pas parce que c'est drôle, je ris parce que c'est surréaliste.
Wolf a poursuivi que la dose de 100 μg du vaccin a finalement été abandonnée en raison de sa réactogénicité, sur la base de documents internes. Les mêmes dangers ne se limitaient pas au vaccin Pfizer, car les mêmes problèmes ont été constatés chez ceux qui ont reçu une injection de la même dose du vaccin à ARNm Moderna.
"[To] chaque personne qui l'a eu, je suis désolé que cela vous soit arrivé. C'est dangereux et nocif, [with] la suppression de votre système immunitaire… et d'autres maladies graves que je ne veux même pas décrire. (Connexe: Pfizer, la FDA savait que leur vaccin COVID provoque une immunosuppression, ADE, VAED.)
Selon des documents internes de Pfizer obtenus par Wolf, le fabricant de médicaments basé à New York a également comparé les effets de l'obtention de 10 μg, 30 μg et 100 μg du vaccin. Obtenir le vaccin à l'une ou l'autre des trois doses différentes comportait également des risques, notamment des douleurs articulaires, des douleurs musculaires, des fièvres importantes et des problèmes cardiaques.
« Ce n'est pas comme 100 ?g d'un produit testé. Il s'agit de 100 μg de nanoparticules lipidiques d'ARNm, dont on sait qu'elles sont si dangereuses. Ces petites particules grasses dures qui traversent votre circulation sanguine et la protéine de pointe [the SARS-CoV-2]… sont injectées. Les dangers et les dommages durables qu'ils connaissent sont clairement exposés.
La FDA pousse à vacciner les enfants malgré les risques
Wolf a également cité une réunion avec la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2021, au cours de laquelle des experts ont appelé à vacciner les enfants contre le COVID-19 dès que possible. «Ils disent des choses qui semblent maintenant incroyablement imprudentes. [Ce sont] des experts de la FDA qui disent "Nous devons vacciner les enfants immédiatement car il serait contraire à l'éthique de ne vacciner que la moitié d'entre eux et l'autre moitié [avec] des placebos pour voir comment ils vont", a-t-elle déclaré.
"Ce qu'ils savaient en mai 2021 sur 35 enfants ayant des lésions cardiaques permanentes et disant" Nous devons vacciner tous les enfants "... [même si] les enfants ne courent presque aucun risque de COVID-19 - c'est une chose surréaliste à affirmer en public.
La FDA a néanmoins approuvé le vaccin Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans le 26 octobre dernier. Il a cité les avantages allégués de l'obtention du vaccin qui "l'emportent clairement" sur les risques de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite comme base de sa décision.
Le chiropraticien du Texas, le Dr Bryan Ardis, a exprimé son mécontentement face à la décision de l'épisode du 27 octobre 2021 de son émission Brighteon.TV "The Dr. Ardis Show".
« Quels sont certains des risques associés à ce tir ? Il énumère en fait les effets secondaires qui ont été signalés avec ce vaccin, y compris la myocardite [et] la péricardite. C'est le document de la FDA, donc ils savent que ce sont des effets secondaires des vaccins », a déclaré Ardis.
L'animateur de Brighteon.TV a défié ses téléspectateurs : « Ils vont injecter [vos enfants] avec un vaccin dont ils savent qu'il provoque une inflammation de votre muscle cardiaque, qui est en fait une cause d'insuffisance cardiaque congestive. Combien d'entre vous pensent que vos enfants de 5 à 11 ans méritent de commencer leur adolescence ou leur adolescence avec une insuffisance cardiaque congestive causée par une myocardite ? »
VaccineDamage.news a plus d'histoires sur les dangers de l'injection de poison Pfizer COVID-19.
Regardez la conversation complète entre Steve Bannon et Naomi Wolf ci-dessous.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Un chercheur dit au Dr Jane Ruby : La FDA, l'EMA, la MHRA ont approuvé les vaccins COVID-19 sans voir les données des essais - Brighteon.TV.
Dr. Bryan Ardis: FDA approved COVID-19 vaccine for kids despite being aware of its risks – Brighteon.TV.
Karen Kingston: Pfizer vaccine approval part of a conspiracy to harm children – Brighteon.TV.
Mon énergie est votre problème - La naissance d'une nouvelle Europe
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 13:00 Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,
"L'énergie fait de l'énergie de toute façon Alors dépensez-vous et devenez riche dès maintenant » - Marillion "Riche"
Ce jour a mis longtemps à venir. A partir du moment, il y a plus d'une décennie, où il était enfin admis que l'Europe était destinée à être importatrice d'énergie, on allait voir le paroxysme du bras de fer entre l'Occident et la Russie.
L'Europe en tant qu'importateur d'énergie a toujours signifié que le temps était du côté de la Russie. Il lui suffisait de prolonger le conflit assez longtemps, de survivre assez longtemps pour contraindre l'Europe à se soumettre. La Russie a l'énergie dont l'Europe a besoin, personne d'autre ne peut la fournir, donc la décision finale sera d'accepter ce sort.
Aucune quantité de magie financière, de vertu pathétique signalant le changement climatique, de mauvais investissement dans des «énergies renouvelables» inefficaces et non durables ou de menaces militaires ne changerait finalement le résultat de cette histoire.
La production du versant nord a chuté et les gisements de gaz de Groningue s'assèchent plus rapidement que le va-jay-jay d'Hillary à chaque rebondissement de l'enquête de John Durham sur le RussiaGate.
Tous les stratagèmes pour sécuriser l'énergie de l'Ukraine (charbon du Donbass, gisements de gaz en mer d'Azov) et du Moyen-Orient (Syrie, EastMed Pipeline, Iran) ont également échoué.
C'est le problème fondamental auquel l'UE est confrontée dans sa quête d'hégémonie politique.
Comment contourne-t-il ce fait fondamental sans fomenter 1) une crise politique à la maison et 2) une guerre avec la Russie et le reste du Sud global qui la soutiennent, il ne peut pas gagner ?
Force majeure
Depuis le début de la guerre en Ukraine, un conflit créé par la complicité de l'UE dans la guerre de longue date de l'OTAN contre la Russie, l'UE a tenté de jouer le rôle de la victime de l'agressivité américano-britannique tout en se contentant de la suivre pour ses propres fins.
Ce but est de faire avancer leur programme d'érection d'un État de surveillance totale sous le couvert d'une réponse radicale au changement climatique. Leur problème est qu'ils n'ont pas de substitut viable à l'énergie russe, que ce soit le pétrole, le charbon ou le gaz, qui soit capable de les soutenir dans l'intervalle.
Tous leurs refus se sont heurtés à l'intransigeance russe. Après avoir joyeusement accompagné le vol des réserves de change russes, ainsi que forcé l'abandon des actifs de l'État russe, comme la saisie de la filiale de Gazprom en Allemagne, l'Europe a toujours essayé de dire que la Russie n'avait aucun droit légal de modifier les conditions de paiement de l'énergie russe.
C'était hilarant de voir les sycophants de l'UE tenter de faire valoir que la Russie n'avait aucun droit légal de revendiquer la force majeure après que l'UE ait interdit à Gazprom de dépenser les euros qu'ils recevraient pour son gaz.
Le gouvernement russe a répondu par une demande de paiement pour toutes les exportations vers des «pays hostiles» légalement définis en or ou en roubles russes. Et les hurlements ont été entendus dans le monde entier.
Même si les actes de guerre, y compris les sanctions, sont une clause typique dans tous les contrats de fourniture de Gazprom :
Ainsi, après quelques semaines à nier la réalité, à jouer sur le plan moral en punissant Vladimir Poutine le boucher de Bucha, l'UE a, comme toujours, cédé à la réalité.
Rouble Roulette
L'UE a finalement trouvé un moyen d'éviter les sanctions américaines pour acheter de l'énergie russe en roubles.
Moscou a averti l'Europe qu'elle risquait de se voir couper l'approvisionnement en gaz à moins qu'elle ne paie en roubles. En mars, il a publié un décret proposant que les acheteurs d'énergie ouvrent des comptes à la Gazprombank pour effectuer des paiements en euros ou en dollars, qui seraient ensuite convertis en roubles.
La Commission a déclaré plus tôt ce mois-ci que le décret risquait d'enfreindre les sanctions de l'UE car il mettrait la réalisation effective de l'achat - une fois les paiements convertis en roubles - entre les mains des autorités russes.
Dans un document consultatif envoyé jeudi aux États membres, la Commission a toutefois déclaré que la proposition de Moscou n'empêchait pas nécessairement un processus de paiement conforme aux sanctions de l'UE contre la Russie dans le cadre du conflit ukrainien.
C'est leur sortie. Comme toujours, l'UE se contentera de définir les choses comme elle le doit pour sauver la face, tout en capitulant finalement lorsqu'elle sera forcée de montrer ses cartes fermées.
Nous avons regardé ce même affichage pathétique pendant plus de trois ans sur le Brexit. Et sans une performance complice et trahison de l'ancienne Première ministre Theresa May, les négociations sur le Brexit auraient été finalisées en six mois environ.
Tout ce qu'elle avait à faire était de fixer des conditions et de s'éloigner de ces gens. Tout ce qu'elle avait à faire était ce que Poutine venait de faire.
Cela ne veut pas dire que la gestion par Poutine de cette crise croissante a été parfaite. Son plus grand défaut en tant que dirigeant russe a été de continuer à sous-estimer la duplicité et le mal absolu émanant de la Commission européenne.
Cependant, je pense aussi que Poutine savait que la meilleure stratégie de la Russie était d'être le meilleur voisin possible malgré les provocations évidentes. Cela lui a coûté politiquement pendant des années. C'est pourquoi il a essayé si fort pendant si longtemps de trouver un terrain d'entente avec ces gens, essayant là où il le pouvait de se faire des alliés et de créer un effet de levier politique.
C'est pourquoi Poutine a refusé de couper le gaz à l'UE, alors même qu'elle traînait les pieds pour payer en roubles. Il a toujours su où cela finirait, et si vous demandiez tranquillement aux eurocrates de Bruxelles, ils le savaient aussi.
Les coûts politiques pour Bruxelles de la coupure du gaz seraient un prix trop élevé à payer pour eux.
Cette question a provoqué une fracture dans la fragile coalition au pouvoir en Allemagne. Cela a nui aux chances de réélection d'Emmanuel Macron en France. Cela coûtera à Mario Draghi son gouvernement l'année prochaine. Bien sûr, d'ici là, la destruction de l'Italie par Draghi en tant que pays sera presque terminée. On ne peut qu'espérer que les Italiens trouveront leur voix d'ici là.
Affamé, Hongrie Hypocrites
La victoire la plus évidente de Poutine a été en Hongrie, où Viktor Orban vient de remporter une élection majeure. Orban a déjà tiré parti de cette victoire pour contrecarrer les projets de l'UE de rompre les liens énergétiques avec la Russie et refuser catégoriquement d'augmenter la pression militaire sur la Russie, dont j'ai parlé à la veille des élections.
Pour cette raison, la Hongrie sera dans le collimateur de l'UE à l'avenir. Il sera marginalisé, voire expulsé, à cause de ces problèmes. Il y a des idéologues à la barre à Bruxelles et ils ne seront pas arrêtés dans leur quête pour mettre l'Europe à genoux sous leur contrôle.
Si la Hongrie dit non à cela, elle sera punie pour cela. Mais punir la Hongrie à ce stade, c'est comme essayer de punir la Russie. C'est en fait une bénédiction pour eux.
Car la Hongrie, une fois libérée de l'UE, sera la destination des capitaux étrangers d'une manière qu'elle ne peut pas être aujourd'hui. Ce sont les cartes fermées d'Orban, et elles sont puissantes. En attendant, il restera dans l'UE pour être une épine dans leur pied jusqu'à ce qu'ils se débarrassent de lui.
Le plus grand embarras pour Bruxelles serait que la Hongrie prospère en dehors du cadre de l'UE, la même crainte qui était sur la table lors des négociations sur le Brexit. La différence, bien sûr, c'est que l'establishment politique britannique est entièrement à l'ordre du jour de Bruxelles, ce sont les gens en dehors de Londres qui ne le sont pas.
Les Hongrois viennent de prouver qu'Orban n'a pas ce problème.
Ainsi, les avantages de mettre fin à sa future relation avec l'UE seront beaucoup plus immédiatement apparents, quand cela se produira.
Peu importe ce qui se passera à long terme, la réalité est qu'une nouvelle Europe se profile à l'horizon. Et ce n'est pas beau à voir. L'UE va, au mieux, se débrouiller sans quelques pièces actuelles - la Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie - et au pire se séparer alors que l'expérience de la monnaie commune atteint une fin ignominieuse brisée sur les rives d'une nouvelle norme de réserve basée sur l'énergie qui il ne peut tout simplement pas rivaliser avec.
Tout comme l'Ukraine est rapidement découpée en petits morceaux par la Russie, l'Europe se balkanisera également face aux échecs de l'UE à assurer un avenir énergétique fiable à sa population.
Les demandes de la Russie que l'Europe paie les exportations russes par l'intermédiaire de la Gazprombank non autorisée, qui traitera la conversion des devises (aux frais de l'importateur) en roubles, lui donnent désormais le dessus dans toutes les transactions commerciales futures avec l'UE.
Et puisque le rouble est maintenant vaguement lié à l'or physique, cela signifie que la possibilité que l'euro défie jamais le dollar américain en tant que monnaie de réserve est désormais officiellement terminée. Ce destin a été scellé avec le passage de Draghi à des taux d'intérêt négatifs en 2014, ce qui en a fait la devise de portage ultime.
Ce statut se dénoue rapidement au détriment du yen japonais qui fait désormais la une des journaux pris au milieu de la guerre entre la Fed et la BCE.
- voir graph sur site -
Dans le même temps, le système de l'eurodollar est devenu une menace existentielle grâce à la fin prochaine du LIBOR qui a émoussé les désirs d'une Fed belliciste. De ce fait, la BCE est piégée dans un labyrinthe où les issues ont toutes été bloquées.
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Il n'y a plus aucune raison pour que quiconque détienne des euros ou convertisse des euros en dette souveraine européenne. Les Russes ne vont plus soutenir le marché de l'eurodollar en recyclant son excédent commercial dans le système bancaire européen, exactement comme cela avait été prédit lorsque l'UE a suivi les États-Unis en saisissant les réserves de change de la Russie.
Qui, dans son bon sens, détiendrait des euros sur votre bilan au-delà de ce dont vous avez besoin pour payer des marchandises est une proposition perdante si Ursula Von der Leyen vous a considéré comme un Untermensch ?
Gazprombank transformera simplement ces euros en or physique et les ajoutera au bilan du pays, ce qui le rendra encore plus fort. Cela garantira que l'euro lui-même deviendra une monnaie paria et forcera la BCE à continuer sur la voie de l'hyperinflation.
La naissance d'une nouvelle Europe en est une où le risque de change repose désormais entièrement sur l'importateur de matières premières, et non sur l'exportateur de matières premières. Je dis depuis des années que l'Europe a toujours pensé que sa part énorme dans les exportations russes d'énergie lui donnerait un pouvoir de monopsone sur la Russie. Que, pensaient-ils, sans l'Europe comme acheteur, la Russie serait à leur merci.
Dans un monde hyper-financiarisé, cette hypothèse a toujours été vraie. Mais, dans un nouveau régime monétaire, où le monde est au-delà de la saturation de la dette, les factures sont dues et il n'y a plus de chemin à parcourir, ce n'est tout simplement plus vrai.
Alors que la Russie lie le rouble à l'or et que les États-Unis et l'UE militarisent les marchés étrangers du dollar, cette perception erronée du pouvoir d'achat est mise à nu. Bien sûr, l'UE a des euros à offrir, mais elle le fait dans la réévaluation des matières premières par rapport aux monnaies fiduciaires qui ont des cas d'utilisation de plus en plus restreints.
Cela ne fait qu'alimenter la spirale descendante de l'euro et du système de l'eurodollar dans le vortex qu'est l'or physique et la demande de matières premières dont toute sa valeur est dérivée.
La souris en Hongrie a rugi assez fort pour que les apparatchiks de Bruxelles écoutent enfin la mélodie que l'ours russe fredonne tranquillement depuis des années.
Pour parodier le Maréchal (dont nous fêtons aujourd'hui le 166 ème anniversaire) "La terre ne ment pas !" et, ce qui en ont en plus en dessous seront les rois du monde. Or Bruxelles s'est arrêté à la fable de la Fontaine "C'est le fond qui manque le moins".
Si j’étais candidat à la présidence de la République française …
le 24 avril 2022
Ma première mesure et la plus urgente. Devant la désertification des campagnes et la chute du nombre d’exploitants agricoles qui constitue une terrible menace pour la France dans moins de dix ans j’exonèrerai de tout impôt et de toute charge sociale quelle qu’elle soit y compris les cotisations retraite tous les exploitants agricoles. En outre, afin de reconstituer l’agriculture française en déclin année après année, tout droit de succession vers l’enfant d’un exploitant agricole désirant reprendre celle de son ascendant sera supprimé en effaçant les dettes de ce dernier. Le monde agricole nourrit le pays et rapportait encore des devises à l’État et ce n’est plus le cas puisque la balance agricole est maintenant déficitaire. Ces mesures sont une question de vie ou de mort pour le pays. Elles sont urgentes et vitales. Enfin, pour redonner vie au monde agricole français, il faut l’affranchir de toutes les régulations européennes, quelles qu’elles soient, la Commission européenne étant profondément gangrenée par les lobbys écologistes. Je pense notamment aux OGMs, à l’usage des pesticides de manière raisonnée (les agriculteurs savent de quoi je parle) et, dans ce cadre de revivification du monde agricole de la France, l’État devra mettre de l’ordre dans la pratique néo-colonialiste des grandes centrales d’achat qui approvisionnent les supermarchés, réalisant des bénéfices records sur le dos des agriculteurs.
En ce qui concerne la transition énergétique dont on nous rebat les oreilles relative à une supposée modification du climat induite par les émissions de gaz à effet de serre j’interdirai toute initiative liée de près ou de loin à ce programme de transition : éoliennes, installations de méthanisation, panneaux solaires et autres projets fantasmagoriques sortis de bureaux d’étude totalement déconnectés de la réalité. Dans ce cadre j’annulerai l’adhésion de la France à la politique énergétique européenne qui consiste à indexer le prix de KW heure sur celui produit par les centrales électriques au gaz naturel obligeant de ce fait EDF à vendre à perte ses KW heure d’origine nucléaire non polluante. Si la maffia anti-nucléaire de Bruxelles refuse cette décision il suffira à la France de menacer de se déconnecter du reste du réseau électrique européen, ce qui est tout à fait possible malgré ce que nous répètent à l’envi les politiciens.
Pour l’impôt, vaste programme, j’instituerai une « flat tax » de 18 % sur tous les revenus, qu’ils soient salariaux ou du capital appliquée à toutes les entités productrices de richesse. Je supprimerai l’impôt sur le revenu et la CSG (qui est déjà une « flat tax » qui ne dit pas son nom). Contrairement aux mesures prises pour les successions des exploitations agricoles j’instituerai un impôt sur les successions, hors cession entre parents et enfants d’entreprises industrielles, à un taux de 90 %, qu’il s’agisse de bâtiments, de terrains, de mobilier ou d’œuvres d’art. Ainsi l’économie ne s’en portera que mieux puisque les maisons et les appartements seront achetés par de nouveaux prétendants au logement. Ce système est celui en application dans deux pays que je connais bien, les États-Unis et le Japon. En outre, comme au Japon la taxe foncière, hors exploitants agricoles, sera proportionnelle au revenu. L’Etat et les contribuables y retrouveront leur compte.
Avant qu’il ne soit trop tard également : le « grand carénage » des centrales nucléaires existantes qui peuvent encore être exploitées sans problèmes jusqu’à 80 ans depuis le début de leur fonctionnement, la remise en exploitation de l’usine de Fessenheim, et l’abandon de tout projet de petits réacteurs modulaires car la France métropolitaine ne possède par de réseau adapté à ce type d’unité de production en dehors des départements et territoires d’outre-mer. J’ajouterai également que la France devrait décider de l’exploration des roches mères dans toute la partie nord de Bassin parisien ainsi qu’entre le delta du Rhône et les Pyrénées orientales. Il serait intéressant d’au moins connaître le potentiel de la technique de fracturation des roches mères pour que la France puisse être autonome en cas d’évènements géopolitiques majeurs.
Il y a un point qui va agiter le quinquennat à venir, celui des retraites. Il faut laisser aux citoyens le droit de prendre leur retraite quand ils le désirent. Tout légiférer bloque les initiatives. Cependant un tel système ne peut être validé que par un système par capitalisation qui existe déjà dans certaines catégories d’employés de l’État ou de grandes entreprises … Il faudra dans ce cadre relancer l’emploi et la création d’entreprises par la simplification du code du travail en prenant modèle celui de la Suisse qui compte moins de 50 pages. Et pour conclure, bien qu’il soit peut-être trop tard, une réforme en profondeur du système scolaire qui est devenu moins performant que dans certains pays d’Afrique s’imposera. À méditer.
🚨 ( ...) • En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes. • En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer un kg de viande (jambon ou steak), en 1990, il en fallait moins de deux. De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10. Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 14% actuellement. Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
GLOBALEMENT AUJOURD'HUI, UN AGRICULTEUR FRANÇAIS NOURRIT 60 PERSONNES ALORS QU'EN 1960, IL NOURRISSAIT 15 PERSONNES POUR DEUX FOIS PLUS CHER. (...)
Comment nourrir demain 8 milliards de personnes dans le monde ? (la superficie des terres sur notre planète occupe 22 % - 78 par les mers & océans. Mais, sur ces 22 %, 95 % des terres ne sont pas cultivées et occupées par les forêts, les routes, les villes et les déserts). Une grande exploitation voire une très très grande exploitation est forcément plus rentable car elle permet d'amortir plus vite la mécanique agricole (les tracteurs travaillent 24/24 h, comme les moissonneuses-batteuses lors des moissons). Mais le climat est là. Le monde se refroidit (la nature ne ment pas). Et, la construction de serres est passée des Pays-Bas/Pologne/Allemagne à l'Espagne et l'Italie et gagne en Afrique du Nord. Mais là, je voudrais apporter une expérience personnelle (je suis fils de paysan depuis x génération) et ai construit une serre plastique il y a 15 ans. La serre s'est agrandie au fil des années pour passer de 3 ou 4 m² à 70 m² (5,80 m x 12 m et 3 m de haut au chapiteau). A l'intérieur il y a toute l'année en serre froide des plants de tomates (env.200) et des bananiers (+ de 200). Les bananiers portent des régimes (toute l'année). Comment cela se fait-il ? Au début du 20è siècle ont été lancées les briques creuses en terre cuite. Puis sont arrivés les parpaings alvéolés de 20 cm de large (rien à voir avec les maisons en pierres aux murs d'un m et + de large !). Ce qu'il faut retenir de cette découverte est l'espace d'air ! C'est ce qu'il y a dans ma serre. Serre doublée de 2 plastiques de 200µ espacés de 10 cm. C'est une serre gigogne (ou poupée russe). L'air circule sur les 4 côtés et au-dessus.
Les vaccins contre le tétanos fonctionnent si bien que nous n'aurons peut-être pas besoin des rappels de dix ans, seulement de 30 ans…
April 24th, 2022
Qui savait ? Une étude est sortie en 2016 montrant que la plupart des gens avaient encore des anticorps contre le tétanos, ou "Lockjaw" même 60 ans après leur dernière vaccination. C'est un rappel de ce à quoi peut ressembler une vaccination réussie. Cela montre également l'extraordinaire capacité du système immunitaire humain à acquérir une protection à vie - cela ne se produit pas avec toutes les maladies, mais c'est le cas avec des choses comme la grippe, la poliomyélite, la rougeole et les oreillons, et peut-être le tétanos et la diphtérie.
L'étude a testé le sang de 546 personnes. Compte tenu des résultats frappants, les auteurs suggèrent que la nécessité d'un rappel de dix ans devrait être réévaluée, mais six ans après la sortie de l'étude, le CDC et le gouvernement australien disent toujours que nous avons besoin de « rappels de dix ans ». Quelqu'un regarde-t-il même ces données ?
Notamment, le passage à un calendrier de 30 ans pourrait permettre au gouvernement américain d'économiser 280 millions de dollars par an. Mais Big-Pharma ne sera pas trop content de cela. Il peut également prévenir "80 à 160 cas de névrite du plexus brachial" - un effet secondaire rare.
Une nouvelle étude suggère que nous n'avons pas réellement besoin d'un rappel antitétanique tous les 10 ans par Fiona Macdonald, avril 2016
Nous avons tous grandi en sachant que nous devons recevoir un rappel contre le tétanos au moins une fois par décennie afin d'être protégés contre cette maladie potentiellement mortelle.
Cette stratégie a été incroyablement sûre et efficace, avec de nos jours seulement environ 31 cas de la maladie signalés chaque année aux États-Unis. Mais une nouvelle étude suggère que bien qu'il n'y ait rien de mal à être trop prudent, nous pourrions toujours être protégés de la maladie en recevant un seul rappel tous les 30 ans - et économiser beaucoup d'argent dans le processus.
… la nouvelle recherche a examiné combien de temps 546 adultes étaient réellement protégés contre la diphtérie et le tétanos, et a découvert qu'ils contenaient des anticorps contre les maladies jusqu'à 30 ans après avoir reçu leur dernier rappel - bien plus longtemps qu'on ne le pensait auparavant.
Voici l'étonnant graphique des titres d'anticorps chez les personnes après vaccination contre le tétanos (ci-dessous). Notez l'échelle sur l'axe des x, c'est un "y". Ce ne sont pas des jours après la vaccination, ce sont des années ! Les scores supérieurs à −2 log10 UI/mL sont considérés comme « protégés » contre le tétanos (marqués par une ligne pointillée). C'est presque tout le monde qui a été étudié - les 546 personnes impliquées.
Le taux de mortalité pour le vrai tétanos est plutôt méchant de 13 %. Mais le tétanos lui-même est si rare que seulement 3 personnes en meurent chaque année aux États-Unis. Cependant, les taux d'anaphylaxie avec le vaccin sont de 1,6 par million, de sorte que la pratique de rappel tous les dix ans "devrait être réexaminée" (voir cette discussion ci-dessous).
De la légende : "95% de la population restera protégée contre le tétanos pendant 64 ans après la vaccination."
Vaccination contre le tétnus, graphique, anticorps, titre. Vaccination. Protection. 30 ans. Immunité humorale au tétanos en fonction de l'âge et du temps après la vaccination. Les réponses en anticorps sériques spécifiques au tétanos ont été mesurées chez des sujets adultes et tracées en fonction de l'âge (A) ou du temps après la vaccination (B). La ligne pointillée dans chaque panneau représente le niveau d'anticorps requis pour la protection, équivalent à 0,01 UI/mL. B, la ligne bleue continue est la ligne de régression ajustée représentant le taux de décroissance de la demi-vie des anticorps, et la région bleue ombragée représente la limite supérieure et inférieure de l'intervalle de confiance (IC) à 95 % pour l'estimation transversale de la demi-vie des anticorps. La ligne bleue en pointillés représente un IC à 95 % de limite inférieure unilatérale basé sur une demi-vie de 14 ans et indique quand les titres d'anticorps spécifiques au tétanos diminueraient à 95 % de séroprotection en franchissant le seuil de protection de 0,01 UI/mL (c'est-à-dire - 2 log10 UI/mL) à 72 ans après la vaccination. La ligne verte en pointillés est basée sur une demi-vie estimée à 11 ans [7] et indique que 95 % de la population restera protégée contre le tétanos pendant 64 ans après la vaccination.
- voir graph sur site -
La protection contre la diphtérie n'est pas non plus « trop mauvaise » :
"... 95% de la population restera protégée contre la diphtérie pendant 30 ans après la vaccination."
Presque tous ces échantillons étaient encore au-dessus de la « ligne de protection », même une vie plus tard.
Diphtérie, titre d'anticorps, après vaccination. Graphique. La protection dure des années. Immunité humorale à la diphtérie en fonction de l'âge et du temps après la vaccination. Les réponses en anticorps sériques spécifiques à la diphtérie ont été mesurées chez des sujets adultes et tracées en fonction de l'âge (A) ou du temps après la vaccination (B). La ligne pointillée dans chaque panneau représente le niveau d'anticorps requis pour la protection, équivalent à 0,01 UI/mL. B, la ligne bleue continue est la ligne de régression ajustée représentant le taux de décroissance de la demi-vie des anticorps, et la région bleue ombragée représente la limite supérieure et inférieure de l'intervalle de confiance (IC) à 95 % pour l'estimation de la demi-vie des anticorps. La ligne bleue en pointillés représente un IC à 95 % de limite inférieure unilatérale basé sur une demi-vie de 27 ans et indique quand les titres d'anticorps spécifiques à la diphtérie diminueraient à 95 % de séroprotection en franchissant le seuil de protection de 0,01 UI/mL (c'est-à-dire - 2 log10 UI/mL) à 42 ans après la vaccination. La ligne verte en pointillés est basée sur une demi-vie estimée à 19 ans [7] et indique que 95 % de la population restera protégée contre la diphtérie pendant 30 ans après la vaccination.
Il y a une discussion très sensée des coûts-avantages de la sur-vaccination dans le document. Même avec un vaccin très sûr qui a des effets secondaires minimes, les programmes de vaccination de masse ont toujours un coût. Actuellement, le tétanos est administré dans le vaccin combiné DTC (diphtérie, tétanos, coqueluche). Les enfants reçoivent cinq (5 !) injections répétées. Le tétanos est rare aux États-Unis, avec environ 27 cas signalés chaque année de 2008 à 2012 [29]. Bien que le tétanos soit hautement mortel chez les patients non vaccinés, la gravité de la maladie est fortement réduite chez les individus entièrement vaccinés [2, 30–33]. Sur 124 cas de tétanos, les 14 décès sont survenus chez des patients qui avaient reçu <3 doses de vaccin ou dont le statut vaccinal était inconnu, tandis que les 110 patients (100 %) qui ont reçu ≥3 doses de vaccin ont survécu [31, 32]. De 2001 à 2008, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont identifié 233 cas de tétanos (29 cas par an) pour une incidence annuelle de 0,1 cas pour 1 million de personnes [33]. Le taux global de létalité parmi les personnes vaccinées, non vaccinées et celles dont les antécédents de vaccination sont inconnus a été estimé à 13,2 %. Cela indique que le tétanos est extrêmement rare, avec un taux de mortalité d'environ 3 décès par an parmi une population de plus de 300 millions d'habitants.
La diphtérie est presque inexistante aux États-Unis, aucun cas n'ayant été signalé de 2008 à 2012 [29]. Cela indique qu'elle est moins fréquente que d'autres maladies bactériennes rares à déclaration obligatoire, notamment la tularémie, la peste, le choléra ou l'anthrax [29]. Les événements indésirables graves après vaccination contre le tétanos et la diphtérie sont rares, mais l'anaphylaxie est estimée à 1,6 cas par million de doses, et la neuropathie du plexus brachial peut survenir à raison de 5 à 10 cas par million de doses [3]. Lorsqu'ils sont multipliés par environ 16 millions de doses de vaccin contre le tétanos et la diphtérie (Td) administrées chaque année aux États-Unis [32], les événements indésirables graves comprennent environ 25 événements allergiques graves et 80 à 160 cas de névrite du plexus brachial. La surimmunisation procurant une augmentation négligeable de la protection [32], cela suggère que le rapport bénéfice/risque d'un schéma décennal de vaccination de rappel chez l'adulte devrait être réexaminé.
Nourriture pour la pensée. J'ai entendu dire qu'il pourrait également y avoir d'autres effets secondaires, et j'aimerais avoir confiance que le ministère de la Santé recueille ces données avec diligence.
Consentement éclairé…
REFERENCE Hammarlund, E. et al (2016) Durability of Vaccine-Induced Immunity Against Tetanus and Diphtheria Toxins: A Cross-sectional Analysis, Clinical Infectious Diseases. 2016 July 01; 63(1): 150.
A savoir que les personnes qui se sont faites inoculer joyeusement l'expérimentation génique d'essais (frauduleusement marquée 'vaccin' !) elles n'ont plus d'immunité ! Tous les vaccins depuis la naissance sont remis à zéro !
France : en reconnaissant fournir des armes lourdes à l’Ukraine, Macron commet une erreur politique mortelle
By Cheikh Dieng 23 avril 2022
Une erreur mortelle qui aurait dû être évitée à tout prix.
Emmanuel Macron, président de la France, veut faire de la guerre en Ukraine une bataille politique capitale pour gagner la confiance des Français à seulement trois jours de la présidentielle. La stratégie n’est pas stupide. Mais, elle risque d’envenimer les relations déjà très tendues avec un partenaire clé qu’est la Russie.
En effet, le président français vient de révéler, dans un entretien accordé au média Ouest France, que la France va livrer à Kiev des équipements militaires. Ainsi, à la question de savoir si l’Europe doit fournir des armes lourdes à l’Ukraine pour l’aider à faire face à la menace russe, le plus jeune président de la Vème République est catégorique.
“Chacun prend ses responsabilités avec ses équilibres politiques, et je ne m’immisce pas dans la vie politique des uns et des autres. Nous sommes très coordonnés. J’ai parlé avant-hier au Chancelier Scholz sur ce sujet. Nous livrons quand même des équipements conséquents, des Milan aux Caesar en passant par plusieurs types d’armements. Je pense qu’il faut continuer sur ce chemin. Avec toujours une ligne rouge, qui est de ne pas entrer dans la cobelligérance”, dit-il.
Au-delà d’être maladroite, la révélation, faite par Macron, est extrêmement périlleuse pour la France qui n’aurait jamais dû suivre aveuglément la stratégie belliqueuse de Washington qui, ces dernières semaines, militarise sans gêne l’Ukraine à coups de plusieurs millions de dollars d’aides militaires.
En effet, si l’on admet que tenir tête à Vladimir Poutine est une obligation morale, force est de reconnaître que la France a aujourd’hui tout intérêt à ne pas mettre en danger ses alliances avec Moscou pour les beaux yeux des Etats-Unis qui, eux, ne rêvent que d’une chose : asphyxier économiquement la Russie en coupant ses liens économiques avec l’UE pour finalement faire de celle-ci (l’UE) son prochain client en gaz et en pétrole.
D’ailleurs, le dernier coup de maître des Etats-Unis qui ont profité de la crise en Ukraine pour obliger l’UE à lui acheter son gaz est la preuve évidente que Washington est, pour le moment, le seul grand gagnant dans cette guerre. Mais, la posture anti-russe de Macron, totalement assumée, est un danger mortel pour la France qui, du jour au lendemain, risque de se retrouver dans une situation économique extrêmement catastrophique pour plusieurs raisons :
un embargo sur l’énergie russe coûterait à la France entre 3 et 7 milliards d’euros tel que révélé par le média La Tribune. plus de 1 200 grands groupes français (Total, Carrefour, Leroy Merlin, Decathlon….) sont installés en Russie où ils empochent un pognon de dingue. Par exemple, en 2021, Auchan (pour ne citer que cette multinationale française) a réalisé 3,1 milliards d’euros de bénéfices en Russie. 3. Sur le plan militaire, l’attitude de Macron représente une sérieuse menace pour la France qui, d’après une enquête de l’ONG Disclose, est l’un des plus grands fournisseurs d’armes de la Russie depuis plusieurs années. D’ailleurs, d’après l’ONG, depuis 2015, la France a livré au moins 76 licences d’exportation de matériel de guerre à la Russie pour un montant estimé à environ 152 millions d’euros.
Compte tenu de tous ces facteurs mentionnés, il est donc évident que la Russie est un allié stratégique pour Paris qui ne devait jamais tomber dans le piège de Washington en la menaçant ouvertement. L’attitude de Macron peut se comprendre. Car, à quelques jours d’un second tour qui tient en haleine toute la France, il a besoin de se démarquer complètement de sa rivale, Marine Le Pen, dont les liens très étroits avec le régime russe lui ont valu, depuis le début de la guerre en Ukraine, de virulentes critiques en provenance non seulement de la classe politique française, mais aussi de l’UE.
En armant l’Ukraine, Macron assume totalement son choix d’envenimer une situation déjà délétère, ce qu’il fallait éviter à tout prix. Et le pire est qu’en s’alliant à Washington et en suivant strictement sa politique étrangère russophobe et contre-productive, Macron risque de déclencher le courroux de l’homme fort du Kremlin qui, en guise de représailles, pourrait infliger à la France une sanction économique d’une rare violence.
En tout cas, le 1er mars dernier, Dmitry Medvedev, bras droit de Poutine, avait mis en garde Paris en ces termes : “un ministre français a dit aujourd’hui qu’ils nous avaient déclaré la guerre économique. Faites attention à votre discours, messieurs ! Et n’oubliez pas que les guerres économiques dans l’histoire de l’humanité se sont souvent transformées en guerres réelles”.
Le soutient de micron (et non pas la France car on leur demande pas leur avis) à l'armée nazie montre bien l'amitié qui lie les dictateurs à bombarder l'Est de l'Ukraine qui refuse de voter pour la nazional socialiste au pouvoir !
Coup de théâtre : des pays de l’UE se révoltent et menacent de bloquer par véto tout embargo sur le gaz russe
By Cheikh Dieng 23 avril 2022
Dans une interview publiée ce 22 avril par le journal espagnol El Pais, le diplomate espagnol Josep Borrell, Haut Représentant de l’UE pour les Affaires étrangères, a reconnu que des pays membres (de l’UE) se sont révoltés en interne allant jusqu’à menacer de bloquer toute sanction collective contre le gaz et le pétrole russe
La Russie finira-t-elle par désintégrer l’Union Européenne ? Il serait assez imprudent de notre part de croire à cette thèse. Cependant, ce qui est certain, c’est que les menaces et les sanctions que l’Union Européenne et l’Occident veulent imposer ne seront jamais approuvées à l’unanimité.
C’est du moins ce qu’a révélé Josep Borrell, Haut Représentant de l’UE pour les Affaires étrangères qui, dans une interview accordée au média Lena et relayée par Le Figaro, a clairement fait savoir qu’au sein de l’Union Européenne, des pays ont menacé de mettre leur véto si jamais l’Union venait à imposer un embargo collectif sur le gaz et le pétrole russe.
“L’Union Européenne n’a pas donné de directives pour un embargo sur le pétrole et le gaz russe. Il y a des États membres, vous les connaissez, qui ont clairement déclaré qu’ils mettraient leur véto à cet embargo collectif. Si tel est le cas, alors qu’on le veuille ou non, une décision unanime ne peut pas être prise. Je suis désolé, mais c’est comme ça”, a-t-il déclaré.
Pour le diplomate espagnol, en ce qui concerne les sanctions russes, chaque Etat va agir de son propre chef. “Si quelqu’un ne veut pas participer (à cette sanction collective), d’autres le pourront. L’unanimité n’est pas nécessaire pour agir volontairement. (…) Ils peuvent agir de leur côté”, ajoute Josep Borrell.
Si le Haut Représentant de l’UE se garde de dévoiler les noms des pays qui seraient contre un embargo collectif sur le gaz russe, on peut immédiatement penser à deux Etats : l’Allemagne et la Hongrie. En effet, ces derniers jours, les deux dirigeants de ces deux pays ont ouvertement affiché leur désaccord quant à toute politique qui viserait à mettre fin à l’importation de gaz et pétrole au sein de l’UE.
Peter Sloterdijk, le plus grand philosophe européen, détruit les Français : “ils ne votent pas avec leur cerveau”, dit-il
By Cheikh Dieng 24 avril 2022
Le très influent philosophe allemand, Peter Sloterdijk, a accordé une interview exclusive au média Le Point et intégralement lue par Lecourrier-du-soir.com. L’un des plus grands philosophes européens déplore que l’électeur français “ne vote plus avec son cerveau”, mais “dans une forme d’hystérie abstraite, avec ses entrailles”
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’interview dans sa version intégrale
Excellente lecture
Le Point : Comment observe-t-on la campagne électorale française depuis l’autre côté du Rhin ?
Peter Sloterdijk : Enfin sérieusement ! Pendant quelques mois, elle s’est déroulée comme une affaire qui ne concernait que les correspondants des grands journaux allemands à Paris tandis que le grand public restait, lui, hypnotisé par les événements à l’Est : d’abord le déploiement des troupes russes aux frontières de l’Ukraine et, depuis le 24 février, le choc de la guerre réelle sur le sol européen. Cela ne fait que deux ou trois semaines qu’on commence à deviner le drame qui pourrait avoir lieu chez notre voisin bien-aimé de la rive gauche du Rhin…
Vous dites « drame ». Mais pour les Allemands, en serait-ce un ?
Oui, car il s’agit rien de moins que de l’avenir de la construction européenne, au moment où celle-ci dépend plus que jamais de l’entente pragmatique entre Paris et Berlin. La perspective d’une sécession nationaliste de la France du projet européen – devenue, semble-t-il, une possibilité – provoque le vertige chez les partenaires de la France partout en Europe et surtout en Allemagne. D’autant plus qu’une victoire de l’extrême droite en France est ce que souhaite Poutine : il sait très bien que pour détruire l’Ukraine il faut d’abord désunifier l’Europe. Donc, un vote pour Le Pen sera un vote pour Poutine. Il s’agit aussi rien de moins que de l’avenir de la social-démocratie, qui a été un des éléments essentiels pour garantir la paix sur notre continent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Une victoire de l’extrême droite en France est ce que souhaite Poutine : il sait très bien que pour détruire l’Ukraine il faut d’abord désunifier l’Europe.
Pourquoi la social-démocratie est-elle en crise, selon vous ?
Une véritable confusion politique s’est emparée des pays européens après l’effondrement de l’Union soviétique : la disparition du spectre communiste a en effet fait perdre aux social-démocraties européennes l’argument selon lequel elles incarnaient le moindre mal face aux dictatures de l’Est. Ensuite, après la dissolution de ce grand adversaire, la gestion des inégalités par la croissance économique et la politique de l’État social ont montré leurs limites, et l’inégalité produite par l’économie financière, notamment, a éclaté au grand jour. Les populations laissées de côté par les espoirs d’amélioration que leur promettait la social-démocratie se sont senties condamnées à regarder leur situation d’un œil plus froid. Après la désillusion est venue la rage contre ce qu’ils appellent « le système ». On l’a vu après la crise bancaire de 2008 : de nombreux mouvements politiques associaient des raisonnements d’extrême droite à des motifs plutôt de gauche, comme l’appel aux gens simples qui travaillent dur et se retrouvent souvent les mains vides après une vie de labeur. On a pu déceler des phénomènes comparables dans les années 1930. La différence, c’est que les gens simples d’alors n’avaient pas bénéficié du généreux « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron. Sur ce point précis, il n’est pas exagéré de dire que les gens qui viennent de profiter financièrement du soutien de l’Élysée pendant cette crise du Covid-19, un soutien dont nul Européen n’a bénéficié à ce point, manquent un peu de reconnaissance…
Le bloc extrémiste, incarné par Marine Le Pen, Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, est désormais majoritaire en France, à près de 55 %. Idéologiquement, il est assez cohérent : poutinophile, antieuropéen, antiaméricain, antimondialiste, et détestant les « élites ». La France est-elle toujours ce « pays philosophique » que vous aimiez ?
Oui, sans nul doute, la France est encore un pays « philosophique », dans le sens où les Français n’ont pas complètement perdu leur goût des débats autour des idées abstraites. Mais la France est aussi ce pays où le premier tour de la présidentielle donne lieu à un phénomène que je ne cesse de constater avec un souci croissant. Une sorte de terrible carnaval un peu rabelaisien s’y déroule, où les Français se donnent le plaisir de se déboutonner. Tous les cinq ans, c’est comme s’ils profitaient de l’occasion pour laisser tomber tout tact politique, toute réflexion stratégique, en se vouant à un « expressionnisme » sans limites. Il ne s’agit plus alors de voter avec son cerveau, en vue d’un résultat dont on peut assumer la responsabilité, mais de voter, dans une forme d’hystérie abstraite, avec ses entrailles. Un carnaval accéléré par la pression des réseaux sociaux qui organisent et amplifient la désinhibition. Freud n’est pas le seul auteur à nous rappeler que ce que l’on appelle la civilisation n’est au fond qu’un mince vernis de conventions sur des énergies primitives latentes, toujours prêtes à entrer en éruption.
Mais pourtant ces électeurs disent voter en conscience, et invoquent des raisons à leur vote : le mépris des élites, le « dégagisme », le pouvoir d’achat qui baisse…
… alors que le pouvoir d’achat des Français a augmenté d’environ 300 euros par an en moyenne entre 2017 et 2021 selon les calculs des économistes… Vous savez, il n’y a rien de plus cohérent qu’une folie. Son « esprit de système » est la première de ses qualités. Comme le cœur, la folie a des raisons que la raison ne connaît pas. On nie d’abord le réel. À partir de là on fabrique un raisonnement. Ce qui me semble accablant, c’est que le pays des Lumières choisisse l’illusion face à la réalité. En Allemagne, on contrôle un peu mieux ce que j’appelle les « réflexes primitifs » mais en France, l’irrationnel est en train de franchir un seuil. La fureur des populismes a toujours pu être domestiquée lors du deuxième tour, mais cette fois-ci le jeu n’est pas joué d’avance. Car pour la première fois, cet irrationnel est alimenté par un ressentiment incendiaire qui pourrait l’aider à s’imposer. Qui se sent exclu de « l’élite » n’a pas besoin d’une explication rationnelle au fait qu’il ne considère pas « leur » système comme le sien. N’oublions pas que dans le vocabulaire du nazisme, le terme « système » désignait la totalité de ce que les enragés des années 1930 détestaient.
Avant les élections, il a été fait à Emmanuel Macron un procès en « illégitimité », et rarement on a vu un président aussi haï. Expliquez-vous cette détestation par le fait qu’en France la guillotine n’est jamais loin ? Lui-même en convient, d’ailleurs, dans l’interview qu’il a accordée au Point… N’êtes-vous pas surpris par la haine qu’il suscite ? Y compris dans la jeunesse qui occupe et saccage la Sorbonne parce qu’elle refuse de choisir entre Le Pen… et Macron ?
Il faut mettre ces événements de la Sorbonne sur la note du grand festin « carnavalesque » dont je parlais. Quatre jeunes sur dix ne se sont pas déplacés jusqu’aux urnes, n’est-ce pas ? Quand on est jeune en France en 2022, le monde semble être un restaurant où l’on peut refuser le plat du jour. Un autre menu est possible ! Quant à la haine que suscite Emmanuel Macron, elle ne me surprend pas. Il n’a pas été l’élu d’une majorité convaincante. Sa percée a eu lieu en France à un moment où la fatigue des jeux politiques ordinaires atteignait un sommet aussi périlleux que compréhensible. Il était apparu en 2017 comme un fantôme prometteur – mais face à une scène politique qui massivement, dès le début, ne souhaitait que son échec. C’est à croire qu’en France, on refait des rois pour pouvoir leur trancher la tête autant qu’on veut. La France semble être restée un pays structurellement royaliste, mais seulement pour cultiver un royalisme négatif. Vous connaissez la définition lacanienne de l’hystérie ? Le fait de rechercher un seigneur qu’on va tyranniser par le spectacle de l’insoumission…
Ce qui me semble accablant, c’est que le pays des Lumières choisit l’illusion face à réalité. L’irrationnel est en train de franchir un seuil. La fureur des populismes a toujours pu être domestiquée lors du deuxième tour, mais cette fois-ci le jeu n’est pas joué d’avance.
Mais ce vote n’exprime-t-il pas aussi le retour de pulsions qui, dans l’Histoire, ont déjà travaillé l’Europe, notamment l’Allemagne, et qui n’ont pas d’ailleurs épargné la France ?
La France, vue de l’extérieur, est un eldorado pour le mythe du sauveur. Il y trouve un terreau particulièrement fécond. Le dernier grand moment où il a fallu sauver la nation a été celui du général de Gaulle. Un général pleinement lucide quand il avouait que son adversaire était le maréchal Pétain mais que c’était aussi la France. D’ailleurs, de Gaulle n’a pu sauver l’honneur de la France que grâce à la générosité condescendante des Alliés, qui lui ont permis de rouler dans Paris avant les troupes américaines (et avec des chars qu’ils lui avaient prêtés !) afin d’offrir à la nation humiliée le spectacle de la Libération. C’est une sorte d’imposture primordiale : le leurre originel qui a fondé la France de l’après-guerre. Eh oui, bien sûr, l’ombre de ces événements se porte encore sur les débats politiques d’aujourd’hui. La haine contre Macron reproduit la haine de soi de ceux qui ont bénéficié en enfants gâtés d’une victoire gratuite. D’où l’antiaméricanisme français et la haine des libéraux.
Comment expliquez-vous l’explosion des grands partis « notables », PS comme LR ?
Qu’est-ce qu’un parti politique ? Issus des tensions qui se sont fait jour à l’intérieur des nations modernes au cours du XIXe siècle, les grands partis, qu’ils soient socialistes, libéraux ou conservateurs-catholiques, ont substitué à la guerre civile une compétition entre différents capitaux psychopolitiques : un parti, en effet, c’était une banque qui se nourrissait de la collecte des émotions politiques. À gauche, c’était surtout une banque de colère, d’indignation et d’espoir. À droite, une banque d’angoisse, de demandes de stabilité. En milieu libéral, une banque des expansions et des conquêtes progressives. Aujourd’hui, le mécanisme de la collecte s’est grippé parce que le capital principal du processus démocratique, l’espoir, l’attente d’améliorations modestes, est en train de se dissoudre dans le spectre d’une inflation accélérée. L’insatisfaction s’accroît de plus en plus, sans vraiment savoir où s’investir. On ne se sent plus représenté par un parti, alors il ne reste que la fuite dans une adhésion spéculative. « L’insoumission » de Jean-Luc Mélenchon, par exemple, ne propose qu’un cocktail d’illusions parapolitiques prêtes à se dissoudre en quelques semaines au cas où le chef prendrait sa retraite. À l’heure actuelle, elle permet juste à ses sympathisants l’expression de leur colère par un mélange bizarre de « national-révoltisme » et de socialisme des frustrés à l’échelle de l’Hexagone. Le Rassemblement national se définit, lui, par l’opposition au « système » tout court, et une simple adhésion à la volonté de renverser la table. Jacques Julliard expliquait déjà en 2014 que Marine Le Pen voulait transformer son pays en une Argentine européenne : c’est la banqueroute sous les drapeaux hissés !
On lui en veut d’avoir compris le malheur français. En 2017, tout le monde voulait en finir avec ce jeu politique trop connu : on demandait du nouveau, et Macron est apparu, tout jeune dieu dans la machine. Si ses débuts ont été caractérisés par sa volonté d’incarner l’homme fort que le pays cherchait aussi, la vérité est qu’il était trop jeune et pas suffisamment barbu pour le rôle jupitérien qu’il se rêvait de tenir. C’est un humain trop palpable, usant d’un charme subtil qui, s’il agit sur beaucoup de gens, provoque aussi des réactions négatives, et même, ensuite, un dépit amoureux. La gauche le déteste en raison de ses compétences économiques, et la droite hait son européisme. Même sa gestion très remarquable de la crise du Covid n’a pas calmé les ressentiments. Pas assez fort, Macron, pour produire les miracles qu’on attend depuis les beaux jours de Mitterrand, qui décevait les espoirs à sa façon : royale. À l’heure actuelle, on dirait que les Français semblent se demander si Marine Le Pen n’a pas « les couilles » qu’ils cherchent, selon la belle expression gauloise.
À l’heure actuelle, on dirait que les Français semblent se demander si Marine Le Pen n’a pas « les couilles » qu’ils cherchent, selon la belle expression gauloise.
Marine Le Pen joue pourtant l’identification féminine avec Angela Merkel, en signant ses tracts d’un « M », comme « Mutti »…
Angela Merkel était une dame qui avait gardé le secret de son identité sexuelle. C’était une apparition féminine entourée par une aura métasexuelle, le réceptacle idéal d’un pouvoir neutre et polyvalent. Elle incarnait parfaitement la théorie selon laquelle les politiciens les plus efficaces sont des personnalités qui fonctionnent en tant que « conteneur », c’est-à-dire comme un réceptacle vide prêt à ramasser toutes sortes de dépôts. Beaucoup de gens croyaient pouvoir y déposer leurs soucis et leurs illusions.
Marine Le Pen a pourtant passé toute sa campagne à mettre en avant son statut de femme divorcée, de « mère » blessée par sa nièce Marion Maréchal quand celle-ci l’a abandonnée pour Éric Zemmour. Sans parler de son amour des chats, constamment souligné…
L’amour des chats n’exclut pas qu’on puisse vouloir être un réceptacle de pouvoir. Souvenez-vous de ce grand criminel qu’est Blofeld dans les « James Bond », et qui caresse son chat en préparant ses projets de destruction du monde…
Pourquoi le libéralisme ne fait-il plus rêver ? Ni même la liberté ? En France, le sociologue Jean-Claude Kaufmann a récemment publié un livre intitulé C’est fatigant la liberté… Une leçon de la crise, où il évoque une « civilisation du pyjama »… Serait-ce aussi une explication de l’esprit du temps ? La liberté est devenue fatigante, alors le libéralisme aussi ?
Un bon mot de Karl Lagerfeld me vient à l’esprit : « Celui qui sort de sa maison en vêtement de jogging a perdu le contrôle de sa vie. » Beaucoup de gens, c’est vrai, semblent être à la recherche, en ce moment, de la perte de contrôle. Ils veulent pouvoir se laisser aller sans devoir regretter les conséquences de leur comportement décontracté. Le libéral, au contraire, c’est quelqu’un dont la raison d’être tient en cette phrase : « être en vie c’est être en forme », et être en forme, c’est être prêt à servir à quelque chose, à se rendre utile, à donner aussi… Mais hélas le libéralisme a été abîmé, en France comme presque partout ailleurs, par une fiscalité qui fait passer ceux qui donnent le plus en débiteurs qui ne donnent pas assez.
La guerre que mène la Russie en Ukraine marque-t-elle pour vous un changement d’ère géopolitique ?
Sans aucun doute. Poutine détruit le crédit qu’on avait accordé à son pays après l’effondrement de l’Union soviétique. Son comportement provoque une rechute dans une ère où la guerre d’agression est une réalité avec laquelle il faut compter. Certes, l’Europe a commis des erreurs impardonnables au tournant de l’an 2000 en méprisant la volonté de la Russie de rejoindre l’espace européen. La Russie actuelle est en train de devenir le grand salaud, « the villain » – comme on dit à Hollywood –, du polar politique. Elle est en train de prendre, pour un temps indéfini, la place qu’occupait l’Allemagne entre 1939 et 1945, c’est-à-dire celle d’un grand repoussoir, mais sans le moindre élément de « soft power » qui pourrait lui permettre de fasciner…
L’Europe a commis des erreurs impardonnables au tournant de l’an 2000 en méprisant la volonté de la Russie de rejoindre l’espace européen.
L’Allemagne continue d’acheter du gaz russe. N’est-ce pas un véritable scandale, au-delà du ridicule, quand l’Europe prétend imposer des sanctions à Vladimir Poutine ? Les pays Baltes, eux, trouvent des solutions.
Ces achats vont cesser, mais nous sommes dans un état de dépendance vis-à-vis de la Russie – ce qui, normalement, devait être un élément de stabilité. Car en principe, plus on dépend de l’autre, plus l’autre, à son tour, dépend de nous. C’est en effet dans l’interdépendance que se cache un des secrets de la sécurité commune. Nous avons spéculé sur une possible domestication de Poutine et nous avons été trompés. Sans doute voulions-nous être trompés ! Dès sa guerre contre les Tchétchènes en 1999 et 2000, avec l’« urbicide » de Grozny, pour reprendre un terme utilisé par le politologue new-yorkais Marshall Berman, l’architecte serbe Bogdan Bogdanovic et l’historien allemand Karl Schlögel, nous aurions pu voir qui était Poutine. Or nous n’avons pas voulu voir.
Berlin achète des avions F-35 américains. Dans son interview au Point, Emmanuel Macron explique que c’est parce que l’Allemagne a besoin d’une ombrelle nucléaire, et que ces avions sont les seuls homologués pour porter les armes américaines. Que vous inspire cette façon allemande d’opter pour la dissuasion nucléaire, mais de ne pas choisir l’ombrelle française ?
Pour moi, les déclarations de notre gouvernement ne sont que des gesticulations issues de la désorientation qui règne dans la chancellerie allemande et des improvisations réalisées devant un public stupéfié. Il faudrait que le réarmement, si vraiment il est nécessaire, soit la conséquence d’une analyse plus vaste et d’un dialogue approfondi avec les militaires, et pas une fanfaronnade comme cela a été le cas, un geste décidé par Olaf Scholz dans la solitude d’un bureau pendant un week-end très long. Ça ne me rappelle que trop ce 4 août 1914 où les sociaux-démocrates ont voté les crédits de guerre. L’existence de l’Allemagne de 1949 se fondait sur un serment solennel : ne jamais s’armer nucléairement et se contenter d’une armée conventionnelle ! En 2022, il aurait mieux valu faire un investissement dans le sens d’un « Dôme de fer » comme l’a fait l’État d’Israël, avec des fusées antifusées qui protègent le pays contre une agression stratégique. Cette complexité mériterait un grand débat. Normalement, on réfléchit, et puis seulement on achète. Nous, on achète, puis on se met à comprendre que le service après-vente sera insuffisant : des experts américains ont publié une liste de plus de 500 améliorations nécessaires pour les F-35. Macron a davantage raison de réfléchir à une coordination des forces sous une gestion européenne.
Nous, on achète, puis on se met à comprendre que le service après-vente sera insuffisant : des experts américains ont publié une liste de plus de 500 améliorations nécessaires pour les F-35.
En tout cas, ces manœuvres semblent signer la fin de l’Union européenne comme un « club de vaincus » voué à la médiocrité, comme vous la décriviez dans votre livre « Réflexes primitifs , et annoncent plutôt une Europe-puissance ?
Quand je parle de médiocrité, il faut bien me comprendre, et se rendre compte de ce qu’a bâti le projet européen : une entité de 450 millions de personnes sans empereur ni projet impérial, et résultant de l’échec historique d’une dizaine de projets nationaux-impériaux. Vingt-sept pays unis exclusivement par une vision de coexistence aussi libre que possible, aussi coopérative que faisable. Avec des dissensions, certes – qui n’en aurait pas à vingt-sept ? –, mais suffisamment d’interactions réussies pour se poser là comme un petit miracle. L’Union européenne n’enflamme pas les masses ? Tant mieux, elle n’est pas faite pour cela. Elle est faite pour la paix, pour l’existence civilisée du plus grand nombre. D’où l’importance de sa médiocrité. Elle n’exclut pas de disposer des moyens nécessaires pour défendre sa sécurité. Parlons alors d’une médiocrité musclée.
Mais cette « médiocrité » que vous appeliez de vos vœux peut-elle être crédible quand on fait face à des pays qui veulent redevenir, précisément, des empires ? La Russie, ou la Chine…
Marcel Mauss, en 1936, dans un débat du Collège de France, après une conférence d’Élie Halévy sur « l’ère des tyrannies », avait dit que ce qui fondait l’Union soviétique était l’existence d’un gouvernement du « complot permanent ». Le même diagnostic valait pour la Chine de Mao, et maintenant, il vaut pour celle de Xi. Le vrai nom de la « dictature du prolétariat » est « le complot permanent » d’un comité central et des services secrets contre la totalité de la population. La Russie a vécu un moment de répit après 1990, mais le moment est passé et le complot est revenu : les services secrets y ont repris le pouvoir. Face à cela, oui, notre médiocrité est encore efficace. Quoi, sinon ? Les Ukrainiens sont prêts à mourir pour Kiev. Je me demande si les Parisiens seraient prêts à mourir pour leur ville. Mais je suis sûr qu’ils n’ont pas envie de mourir pour l’Ukraine comme en 1939, confrontés aux revendications allemandes, ils n’avaient pas envie de « mourir pour Dantzig ».
Soit, mais vous faites référence à une formule de Marcel Déat, qui, après avoir soutenu Daladier dans sa politique de l’appeasement contre Hitler, est devenu totalement collabo ! Une Europe « non puissante » ne nous condamne-t-elle pas à accepter à chaque fois les revendications des agresseurs puisque nous avons peur de nous battre ? En 1978, déjà, à Harvard, Soljenitsyne voyait dans l’Occident « le déclin du courage »…
Oui, et pour revenir à Dantzig, la question était déjà actuelle en 1940 quand les armées allemandes ont envahi la France. On sait que la résistance des troupes était faible et que le maréchal Pétain ne voulait pas sacrifier la moitié de la jeunesse masculine de la France dans un combat perdu d’avance. Après la guerre, l’Europe entière, sauf la France, a voulu se cacher sous le bouclier nucléaire américain… Mais la confiance dans les Américains s’est affaiblie, on ne peut plus guère se fier aux Britanniques, donc il va falloir assumer le poids d’une politique de sécurité qui portera un cachet européen plus marqué. C’est justement parce que personne n’a envie de se battre, pas plus qu’en 1940, que la dissuasion nucléaire conventionnelle s’impose. Parce qu’elle permet de rassembler les « restes » du courage commun, qui décline, mais qui est encore là, pour résister aux rêves impériaux de Moscou, et cela au moins jusqu’à la fin des années Poutine. Après, une nouvelle architecture européenne de sécurité sera nécessaire, et elle sera réalisable pourvu que la Russie ne persiste pas trop longtemps dans son rôle de rogue state. L’Union européenne compte trois fois plus d’habitants que la Russie, elle possède 27 armées nationales éparpillées. On pourrait faire beaucoup de choses avec un certain effort de concentration ! Mais pour arriver à cela, une France avec une forte vocation européenne reste indispensable. Raison de plus pour ne pas voir tomber la France entre les mains d’une aventurière larmoyante qui aime trop les chats !
(...) C’est justement parce que personne n’a envie de se battre, pas plus qu’en 1940, que la dissuasion nucléaire conventionnelle s’impose. (...)
La Russie peut rayer Kiev de la carte en moins de 10 secondes et avec une bombe nucléaire à laquelle PERSONNE ne répondra ! Donc: n'inventons pas une '3 ème guerre mondiale' car ce qui se prépare n'est rien d'autre qu'un Pearl Harbor et un Nagasaki-Hiroshima !
La plupart des juges et des avocats conviennent que la guerre contre la drogue au cours des 50 dernières années a sérieusement diminué le droit à la vie privée garanti par le quatrième amendement.
Aujourd'hui, un petit groupe d'universitaires juridiques soutient que la guerre en Ukraine devrait être utilisée pour réduire les droits de propriété garantis par le cinquième amendement.
Voici la trame de fond.
Le quatrième amendement a été rédigé pour garantir que le gouvernement ne peut perquisitionner et saisir des personnes, des maisons, des papiers et des effets qu'en vertu d'un mandat de perquisition délivré par un juge après la présentation sous serment de preuves démontrant que l'endroit à perquisitionner contient plus qu'improbable preuve de crime. Et le mandat lui-même doit décrire précisément l'endroit à perquisitionner et la personne ou la chose à saisir.
Ces exigences – l'œuvre de James Madison, qui fut le rédacteur de la Constitution en 1787 et l'auteur de la Déclaration des droits en 1791 – devaient avoir deux effets.
Le premier effet a été de défendre le droit typiquement américain d'être laissé seul. La seconde était d'obliger le gouvernement à concentrer son personnel et ses actifs chargés de l'application de la loi sur les crimes pour lesquels il existe une cause probable, et non sur des expéditions de pêche ou des intuitions.
Le langage de Madison interdisait absolument l'utilisation des mandats généraux, un outil favori du gouvernement britannique contre les colons. Les mandats généraux étaient basés sur tout ce que le gouvernement voulait ou prétendait avoir besoin.
Les colons étaient tourmentés et poussés à la révolution par des mandats généraux, car ils autorisaient les agents britanniques à fouiller où ils le souhaitaient et à saisir tout ce qu'ils trouvaient. Certes, la terrible expérience coloniale avec les mandats généraux a été une force motrice derrière la formulation et la ratification du quatrième amendement.
Malheureusement, pendant la guerre contre la drogue, les procureurs et la police ont persuadé les juges de créer des exceptions "d'urgence" au quatrième amendement. Il s'agissait notamment de permettre à la police de rechercher tout ce qu'elle voulait dans les voitures et les maisons, et d'utiliser la CIA pour une surveillance sans mandat, de peur que les drogues soi-disant recherchées ne soient détruites avant d'être capturées.
Cela a eu pour effet de détruire une liberté fondamentale par déférence pour faciliter le travail de la police ; c'est la définition d'un état policier. Les tribunaux ont effectivement statué que, d'une manière ou d'une autre, la Constitution préfère que la liberté – plutôt que la preuve de crimes – soit détruite.
Le cinquième amendement protège la vie, la liberté et la propriété de toutes les personnes contre la destruction ou l'agression par le gouvernement sans procédure régulière. La procédure régulière exige un procès devant jury au cours duquel le gouvernement doit prouver sa faute.
Ainsi, les biens ne peuvent être saisis temporairement ou pris de façon permanente sans un mandat de perquisition ou un procès devant jury.
Revenons maintenant à la guerre en Ukraine.
J'ai soutenu dans cette chronique et ailleurs que les sanctions de l'administration Biden imposées aux personnes et aux entreprises russes et américaines sont profondément inconstitutionnelles parce qu'elles sont imposées par décret exécutif plutôt que par législation et parce que les sanctions constituent soit la saisie de biens sans mandat, soit la prise de propriété sans procédure régulière.
Lorsque les autorités fédérales saisissent un yacht d'une personne qui, selon elles, aurait financé l'accession au pouvoir du président russe Vladimir Poutine, elles le font en violation directe de la clause de procédure régulière du cinquième amendement.
De même, lorsqu'ils gèlent des avoirs russes dans des banques américaines, ils procèdent à une saisie, et les saisies ne peuvent constitutionnellement être effectuées qu'avec un mandat de perquisition fondé sur la cause probable du crime.
De plus, lorsque le gouvernement fédéral interfère avec les droits contractuels en interdisant le respect de contrats légaux, cela implique également une procédure régulière et ne peut être fait constitutionnellement qu'après un verdict du jury en faveur du gouvernement, lors d'un procès au cours duquel le gouvernement fédéral a prouvé sa faute.
Comme pour anticiper ces obstacles constitutionnels à son ingérence dans les choix commerciaux libres, le Congrès a promulgué l'International Emergency Economic Powers Act de 1977 et la loi Magnitsky de 2016. Ces monstruosités constitutionnelles prétendent donner au président le pouvoir de déclarer des personnes et des entités comme étant des contrevenants. des droits de l'homme et, par cette seule déclaration exécutive, de les punir sans procès.
Ces lois renversent les quatrième et cinquième amendements en punissant d'abord et en s'engageant ensuite dans une variante perverse de la procédure régulière. Comment pervers? Ces lois exigent que si vous souhaitez récupérer vos biens saisis, vous devez prouver que vous ne violez pas les droits de l'homme.
Comme pour s'éloigner encore plus des normes constitutionnelles, un groupe d'universitaires du droit a commencé à faire valoir la semaine dernière que les biens saisis aux Russes n'appartiennent pas vraiment à des êtres humains, mais au gouvernement russe. Et, selon cet argument fou, puisque le gouvernement russe n'est pas une personne, il n'y a pas de mandat ou d'exigence de procédure régulière ; par conséquent, les autorités fédérales peuvent convertir les actifs qu'elles ont saisis et gelés à leur propre usage.
Pour ces universitaires – qui rejettent la propriété comme un droit moral et exaltent l'agression gouvernementale comme un bien moral – l'argument tourne autour de la signification du mot « personne ». Les quatrième et cinquième amendements protègent chaque « personne » et tous les « peuples », pas seulement les Américains.
Et dans la jurisprudence américaine, «personne» désigne à la fois les êtres humains et les personnes morales - les sociétés et les gouvernements capables de posséder des biens. La propriété est définie par le droit d'utiliser, d'aliéner et d'exclure. Seules les personnes peuvent exercer ces droits.
Madison et ses collègues ont clairement cherché à protéger les droits de propriété contre les agressions du gouvernement, quel que soit le statut juridique du propriétaire. Nous le savons grâce aux avis judiciaires concernant les biens étrangers qui ont précédé et suivi la ratification du cinquième amendement. Si ce n'était pas le cas, alors rien ne pourrait empêcher le gouvernement fédéral de saisir et de convertir les biens des États ou des gouvernements locaux ou des institutions religieuses internationales à l'usage fédéral.
La guerre est la santé de l'État et le cimetière de la liberté. La guerre contre la drogue a été un désastre pour la liberté. La guerre en Ukraine le sera aussi, seulement si nous la permettons.
Le FBI met en garde contre des cyberattaques ciblées contre des usines alimentaires après une mystérieuse vague d'incendies
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 01:00
La cyberdivision du FBI a publié la semaine dernière un avis avertissant de l'augmentation des menaces de cyberattaques contre les coopératives agricoles, qui survient à un moment où une curieuse série d'incendies et d'explosions endommage les principales usines de transformation des aliments à travers le pays.
"Les acteurs du ransomware peuvent être plus susceptibles d'attaquer les coopératives agricoles pendant les saisons critiques de plantation et de récolte, perturbant les opérations, causant des pertes financières et ayant un impact négatif sur la chaîne d'approvisionnement alimentaire", indique l'avis, ajoutant les attaques de ransomware de 2021 et du début de 2022 contre les coopératives agricoles. pourrait affecter la saison de plantation en cours "en perturbant l'approvisionnement en semences et en engrais".
L'agence a averti : « Une perturbation importante de la production céréalière pourrait avoir un impact sur l'ensemble de la chaîne alimentaire, puisque les céréales ne sont pas seulement consommées par les humains mais également utilisées pour l'alimentation animale... En outre, une perturbation importante de la production céréalière et de maïs pourrait avoir un impact sur le commerce des matières premières. et les actions."
L'avertissement du FBI intervient alors que "près de deux douzaines d'installations de transformation alimentaire au Canada et aux États-Unis" ont connu une "chaîne d'incendies, d'accidents d'avion et d'explosions", selon The Western Standard.
- voir doc sur site -
Les incidents les plus récents étaient des incendies dans deux usines de transformation des aliments basées dans l'Oregon. Le premier, lundi soir, un incendie a détruit le siège social et les entrepôts communs d'Azure Standard. La seconde a été une explosion mardi dans une usine de Shearer's Foods.
Les détectives d'Internet ont rassemblé une compilation de gros titres montrant une série d'incendies dans des usines de transformation des aliments à travers le pays au cours de la dernière année.
- voir doc sur site -
Un détective met en lumière les récents incendies d'entrepôts affectant les chaînes d'approvisionnement alimentaire dans une série de tweets.
- voir doc sur site -
Tout cela se produit alors que le conflit ukraino-russe a perturbé la chaîne d'approvisionnement alimentaire mondiale. Les prix des denrées alimentaires sont à des niveaux record, et la Fondation Rockefeller vient de publier son échéancier sur le début d'une "crise alimentaire massive et immédiate" - disent-ils, "dans les six prochains mois".
https://www.zerohedge.com/commodities/fbi-warns-imminent-cyber-attacks-food-plants-after-mysterious-rash-fires
Les criminels qui dirigent le monde portent toutes leurs opérations à le détruire dans le plan 'Dépopulation21'. Ainsi après la fausse apparition dans l'air d'une poussière extraterrestre appelée 'virus corona, puis covide19TangoCharlieDeltaMoncu' qui en réalité n'était PAS dans l'air mais UNIQUEMENT disponible en seringue ("Si t'es piqué tu l'as !" HAHAHA !), est poursuivi parallèlement l'opération 'zéro bouffe' où, malgré les portées continuelles de HAARP (il y a 15 stations dans le monde ! 15 !) destinées à réchauffer, griller, incendier des régions ou en geler, congeler certaines autres, sont activés des attentats envers les usines de transformation (emboîtage, embouteillage) et réserves de semences.
SupprimerDisons qu'ils se sont vite rendu compte que l''Ukraine' n'était pas le 'garde-manger du monde' ! loin de là ! et que sa production était insignifiante d'où des mesures dotées de muscles et de neurones pour en finir une bonne fois pour toutes avec ces '7 milliards d'habitants en trop' !
USDA : 69 % de la production totale de blé d'hiver des États-Unis actuellement dans des zones de sécheresse… une forte baisse des rendements au coin de la rue
RépondreSupprimerSamedi 23 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Seuls 32% de la récolte de blé d'hiver aux États-Unis ont reçu une note "bonne" ou "excellente" du Département américain de l'agriculture (USDA), selon de nouveaux rapports.
Bien que cela représente une légère augmentation de deux points par rapport à il y a une semaine, le chiffre est loin derrière la note de 53 % de 2021, illustrant à quel point la récolte de blé américaine est mauvaise en raison des conditions de sécheresse persistantes dans de nombreuses régions.
"Le blé d'hiver classé comme passable était de 32 % et le blé d'hiver classé de mauvais à très mauvais était de 36 %", a rapporté le Longview News-Journal. "Le blé épié d'hiver était de 5 %, soit 1 point de moins que la moyenne quinquennale de 6 %."
"Les semis de blé de printemps sont en cours, avec 6% plantés contre 10% cette même semaine l'année précédente et 1 point de moins que la moyenne quinquennale".
Selon l'USDA, 69 % de la production totale de blé d'hiver aux États-Unis est actuellement en période de sécheresse, y compris l'hiver rouge dur, l'hiver rouge doux et le blanc doux.
Cela comprend 82 % de toute la production de blé au Kansas et au Colorado, ainsi que 99 % au Texas et au Montana.
« Des ventes commerciales nettes de blé aux États-Unis de 96 100 tonnes métriques ont été signalées pour la semaine se terminant le 7 avril pour une livraison en 2021 par 22, soit une baisse de 39 % par rapport aux 156 300 tonnes métriques de la semaine précédente – et moins que les attentes commerciales de 100 000 à 250 000 tonnes métriques, », a ajouté le Longview News-Journal.
«Les ventes commerciales depuis le début de l'année pour livraison en 2021 pour 22 totalisent 19,2 millions de tonnes métriques, soit 23 % de moins qu'à la même période l'année précédente. L'USDA s'attend à ce que les exportations de blé américain pour 2021 pour 22 totalisent 21,36 millions de tonnes métriques, soit 21 % de moins que l'année précédente si elles sont réalisées. Les ventes nettes pour livraison en 2022 par 23 étaient de 225 217 tonnes métriques la semaine dernière. »
La plupart des grandes plaines, à l'exception de l'est de l'Oklahoma, connaissent des conditions de sécheresse record
Tous les États et toutes les régions, à l'exception de l'est de l'Oklahoma, ont de nouveau connu une semaine sèche. Certaines régions du Texas, par exemple, enregistrent actuellement environ 2 % de leur moyenne normale de précipitations.
L'ouest du Texas a enregistré moins de 10 % de ses précipitations moyennes, tandis que l'Oklahoma a globalement reçu moins de 25 % de ses précipitations normales. La baisse de l'humidité et les vents violents n'ont fait qu'aggraver le problème. (Connexe: l'apocalypse du blé est-elle maintenant sur nous?)
RépondreSupprimerUne importante tempête de pluie a frappé certaines parties du nord-ouest du Dakota du Sud et une petite partie de l'est du Dakota du Nord la semaine dernière, ainsi qu'une petite zone du nord-ouest du Nebraska. Cependant, presque toute la région ouest des États-Unis a connu une autre semaine sèche sans aucune amélioration dans aucune des principales régions productrices de blé.
La France, en revanche, voit le contraire. Quatre-vingt-douze pour cent de sa récolte de blé tendre est jugée bonne à excellente, tandis que seulement 1 % est jugée mauvaise. Quatre-vingt-cinq pour cent du blé dur sont jugés bons ou excellents, tandis que seulement 1 % est jugé mauvais.
Selon FranceAgriMer, une agence agricole française, les exportations de blé tendre ont atteint 17,7 millions de tonnes métriques, mais cela concerne principalement les pays de l'Union européenne. Les exportations de blé français hors UE sont en effet en baisse.
L'Allemagne devrait également augmenter sa production céréalière à 43,6 millions de tonnes métriques, en hausse de 1% par rapport aux estimations précédentes. Les fortes pluies y aident le pays à produire la nourriture dont il a besoin.
En Chine, les conditions des cultures de blé d'hiver se sont améliorées plus que prévu. De fortes pluies y ont nui au début de la saison des semis, mais la production de blé est encore dans la moyenne. Ce n'est qu'aux États-Unis, semble-t-il, que les choses tournent rapidement vers le sud en raison des conditions de sécheresse qui tuent les cultures.
En mars, les prix alimentaires mondiaux ont globalement augmenté de près de 13 %, selon l'indice des prix alimentaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). L'inflation continue couplée à une saison des récoltes fragile aux États-Unis est de mauvais augure pour l'approvisionnement alimentaire.
Plus de nouvelles connexes peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
News-Journal.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-23-usda-winter-wheat-production-drought-zones.html
Emmanuel Macron, le candidat-banquier qui avait servi les intérêts de Pfizer. Vidéo
RépondreSupprimerAVRIL 23, 2022
PAR LHK
- voir clip sur site:
https://lilianeheldkhawam.com/2022/04/23/emmanuel-macron-le-candidat-banquier-qui-avait-servi-les-interets-de-pfizer-video/
Enquête très intéressante que tout électeur devrait visionner avant de se rendre aux urnes. Le nombre de vues actuel est insuffisant au vu des enjeux.
Nous savions depuis 2017 que M Macron n’avait pas le patrimoine qui correspondait à la fortune déclarée. Les quelques centaines de milliers de francs dont il est fait état dans sa déclaration d’impôts sont des cacahuètes quand on occupe des fonctions importantes dans les banques d’affaires. Et c’est encore plus vrai quand on est associé-gérant de l’une de ces banques.
Regardez les salaires de base et imaginez y ajouter un bonus juste sur l’affaire Nestlé-Pfizer. https://mergersandinquisitions.com/investment-banker-salary/
L’affaire Macron-Nestlé-Pfizer n’est pas un daily business. C’est un jackpot qui a dû être payé chèrement.
Si on insiste beaucoup sur le jackpot qu’il a réalisé avec Nestlé, on oublie de préciser que ce montage impliquait Pfizer. Retour sur l’affaire.
« Embauché comme gérant, Emmanuel Macron devient en décembre 2010 le plus jeune associé-gérant de la très puissante banque d’affaires. Ce qui ne l’empêche pas de conseiller le candidat socialiste François Hollande quand celui-ci se lance dans la campagne présidentielle.«
https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142
Arrive en 2012 l’affaire Pfizer-Nestlé.
Pfizer met alors en vente sa division nutrition infantile. Macron va faire les affaires de Pfizer en « arrivant à convaincre » Peter Brabeck de Nestlé de surenchérir. Nestlé dont l’offre était au préalable de 10 milliards va accepter de la passer à 11,9mia. Elle supplante ainsi celle de Danone qui atteignait les 11 mia. Ce faisant, Macron joua contre une entreprise française qui n’arrivera pas à s’aligner. Et c’est Nestlé qui remporte le deal.
Plus grave, selon les analystes de l’époque, Danone avait besoin alors de cette unité de Pfizer, sinon elle risquait d’être confrontée à un problème de développement. https://www.reuters.com/article/us-danone-pfizer-idUSBRE83J0VC20120420
Bref, dans cette affaire Nestlé-Macron-Pfizer, le grand gagnant c’est d’abord Pfizer, mais aussi le partenaire de la Banque Rothschild qui décroche le deal. On peut supposer qu’il y eut des bonus habituels sur les 10 premiers milliards, puis un autre sur les 1.9 mia supplémentaires puisque Pfizer a engrangé près de 2 milliards par simple surenchère très probablement injustifiée au plan purement comptable. Nestlé a de notre point de vue surpayé l’unité en question pour des raisons d’occupation du marché.
Alors combien le partenaire de la banque d’Investissement a-t-il pu décrocher? On nous parle de 3 millions d’euros, qui soit dit en passant ne figurent pas dans la déclaration fiscale de l’intéressé.. De mon côté je pense que l’affaire doit se chiffrer au minimum en dizaines de millions, voire en centaines de millions pour l’intéressé. Le supplément de près de 2 milliards, qui ne se justifiait apparemment pas, a dû envoyer le bonus de Macron dans la stratosphère.
RépondreSupprimerPfizer, le partenaire principal de la France pour les « vaccins » anti-Covid
Toutefois, l’affaire ne peut s’arrêter là. Le Covid est depuis passé par là. Et c’est Pfizer qui a décroché le gros du jackpot dans l’affaire fumeuse des faux vaccins- vraies injections expérimentales. Ian Read, le patron de Pfizer qui était aux commandes en 2012 a laissé la présidence au vétérinaire Bourla en… 2019.
Ian Read joined the Viatris board of directors after a 41-year career at Pfizer. While at Pfizer, he served as executive chairman, and prior to that was chief executive officer, having joined the company as an operational auditor. Read’s other positions at Pfizer included senior vice president and group president of Pfizer’s Worldwide Biopharmaceutical Businesses; chief financial officer of Pfizer Mexico; country manager of Pfizer Brazil; president of Pfizer’s International Pharmaceuticals Group; executive vice president, Europe; corporate vice president; and head of operations in Pfizer’s Africa/Middle East region and Latin America. Read serves on the Kimberly-Clark Board of Directors as lead director and chair of the Executive Committee, and serves on the board for Avateramedical N.V. He also serves as operating executive for Global Healthcare at The Carlyle Group, focusing on investment opportunities in the healthcare sector https://www.viatris.com/en/about-us/our-leaders/ian-read
Bon à savoir: en 2018, Pfizer avait quelques soucis: « Comme tous les géants du secteur, Pfizer fait face à la perte des brevets de ses anciens « blockbusters ». Dans son communiqué du lundi 1er octobre, le groupe estime avoir perdu 23 milliards de dollars de chiffre d’affaires de cette manière. »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html
Oui, mais ils étaient optimistes et avaient agendé 2022 comme année de compensation! 2022, l’année où sont supposés finir les expérimentations sur l’humanité et la consignation de leurs brevets pour une nouvelle gamme de produits novateurs.
Voilà ce qui était écrit en 2018:
« Pfizer énumère dans son communiqué les succès ayant jalonné les huit années passées par M. Read à la tête du premier laboratoire pharmaceutique américain : 30 autorisations de mise sur le marché pour des médicaments qui pourraient être suivies de 25 à 30 supplémentaires d’ici 2022; « plus de 120 milliards de dollars directement reversés aux actionnaires »; et « une augmentation de 70 % du dividende ». »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html
Reste plus qu’à savoir qui a sélectionné Pfizer comme fournissant principal du vaccin anti-covid…
LHK
RAPPEL
https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/21/pfizer-un-historique-judiciaire-qui-merite-detre-mieux-connu/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/11/03/la-fraude-de-pfizer-une-insider-denonce-les-donnees-falsifiees-de-son-principal-sous-traitant-arretez-la-vaccination-des-enfants/
Même Paris Match le qualifie de millionnaire, ce qui ne ressort pas de sa déclaration fiscale
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Le-CV-d-Emmanuel-Macron-1210778
https://lilianeheldkhawam.com/2022/04/23/emmanuel-macron-le-candidat-banquier-qui-avait-servi-les-interets-de-pfizer-video/
Great Reset : pourquoi l’OMS promeut l’avortement jusqu’à 9 mois, sans condition
RépondreSupprimer23/04/2022
par Aphadolie
L’OMS – et plus généralement le système des Nations unies – qui sert d’instrument légaliste à la mise en place de la nouvelle dictature mondiale, a publié un document dans lequel elle préconise aux gouvernements de supprimer la limite de temps légale pour l’avortement quelles que soient les circonstances et sans justification médicale. L’OMS promeut donc l’avortement jusqu’à la naissance dans un objectif simple et programmé depuis de nombreuses années : déposséder les femmes de la grossesse et instaurer l’ectogenèse comme processus artificiel de reproduction unique sous prétexte d’éviter les risques pour la mère et pour l’enfant en contrôlant la transmission de maladies génétiques à ce dernier.
Le Daily Mail a fait remonter l’information le 26 mars 2022 sur la parution d’un rapport de recommandations sur l’avortement de 210 pages publié le 9 mars dernier. Epoch Time rappelle quelques grands principes de ce rapport, l’OMS indique clairement son « opposition aux lois et autres réglementations qui interdisent l’avortement en fonction d’une limite d’âge gestationnel ».
L’OMS conseille que les femmes n’aient plus besoin d’une prescription d’un personnel de santé pour pouvoir interrompre leur grossesse. Le rapport préconise que des systèmes d’envoi de pilules par la poste soient mis en place pour permettre aux femmes de recevoir des médicaments abortifs sur simple appel téléphonique. L’organisation onusienne suggère également de limiter les droits des professionnels de la santé à faire valoir leur objection de conscience sur l’avortement.
Emmanuel Macron avait profité de la vague Omicron en février 2022 pour faire passer le rallongement de l’IVG de 12 à 14 semaines sous prétexte que 2000 patientes seraient contraintes chaque année de se rendre à l’étranger pour avorter.
Dépénaliser l’infanticide et faire de l’enfant à naître un objet de consommation
L’idée pourrait donc bien être de faire disparaitre le crime d’infanticide prénatal et néonatal ; d’ailleurs une publication très sérieuse de 2 jeunes chercheurs argumentait dès 2012 que puisque dans certains pays et dans certaines situations, il était permis de mettre fin à la vie d’un enfant à naitre juste avant la naissance, pourquoi ne pas l’autoriser précisément juste après la naissance car le délai entre ces 2 événements théoriques ne justifiait pas que l’on interdise l’infanticide post natal. Après avoir suscité l’émoi, cette publication n’a jamais été retirée. Aujourd’hui, l’OMS va dans le sens de cette proposition et considère – sur la base d’un artefact purement juridique – que l’enfant in utéro n’a pas la reconnaissance de personne tant qu’il n’a pas pris sa première respiration.
Quel est le véritable objectif de cette politique ?
RépondreSupprimerMais il est très clair… il consiste à prendre le contrôle de la vie naissante et à déposséder les femmes de leur maternité. La PMA – également portée par l’OMS et donc en cascade par l’ensemble des pays membres qui ont pour obligation d’ajuster leurs lois nationales aux lois internationales (effet contraignant), se justifierait par la sélection des gènes afin d’atteindre le « zéro défaut », choisir la couleur des cheveux, des yeux, etc. Les cliniques de procréation assistée se sont développées comme jamais dans le monde durant les 10 dernières années. Le marché mondial est estimé à plusieurs centaines de milliards. La finalité de cette politique est sans aucun doute le développement de l’utérus artificiel, c’est-à-dire un dispositif d’ectogenèse qui permet une gestation de l’être humain en dehors du corps de la femme.
L’affranchissement du corps reste l’objectif suprême des transhumanistes. Le projet de l’utérus artificiel est en cours, il est justifié par la prise en charge des grands prématurés et a déjà prouvé sa faisabilité technique avec l’expérience réussie de Flake et al. en 2017 sur un fœtus d’Agneau. Personne n’est dupe sur la finalité de ces recherches.
Pour développer le marché et s’octroyer l’acceptation de l’opinion publique, il faut d’abord discréditer la grossesse, mettre en avant les risques pour la mère et pour l’enfant, permettre aux femmes de mettre fin à la vie de leur enfant in utéro… il faut « chosifier » l’enfant à naître, en faire un produit de consommation courante, ce qui a d’ailleurs été facilité en France par la loi de Mme Taubira sur la GPA qui ne cache ni son appartenance à la franc-maçonnerie où est né le projet transhumaniste ni son idéologie mortifère.
Là aussi, le Covid représente étrangement un autre effet d’opportunité : la vaccination contre Sars-Cov 2, notamment les vaccins à ARNm affecteraient le cycle féminin et la fertilité des femmes. L’ancien responsable de la recherche respiratoire chez Pfizer, le Dr Mike Yeadon, et le spécialiste des poumons, le Dr Wodarg, ont déposé une pétition auprès de l’Agence médicale européenne pour avertir que les vaccins anti-Covid-19 peuvent provoquer une stérilité féminine.
« Les anticorps produits par le vaccin Covid pourraient rendre les femmes infertiles en attaquant une protéine nécessaire à la formation d’un placenta ».
Cette déclaration a été contestée par la presse subventionnée. Cependant, une étude conduite en 2021 montre clairement qu’un nombre important de femmes rapportent une modification du cycle menstruel après la vaccination contre le Covid-19. Ces constats serviront sans nul doute à justifier l’utilisation d’une gestation artificielle de la procréation au profit du biopouvoir tenu par la même industrie pharmaceutique qui blesse les femmes (et les hommes) avec ses vaccins.
Déposséder la femme de sa fonction reproductive et s’affranchir du corps pour procréer
Déposséder la femme de sa fonction reproductive est depuis longtemps un objectif de fond de l’eugénisme d’ailleurs promu par Michel Simon dans son livre « De la vie avant toute chose » rédigé en 1979. Ayant fait voter en France la loi Veil sur l’avortement, qu’il qualifie de bienfait pour l’humanité, ce franc-maçon de 33ème grade vantait également dans son livre les progrès de la cybernétique pour le contrôle des individus. Henri Callaivet, ancien sénateur et autre frère en maçonnerie, a lui œuvré à l’autre extrémité de la politique mortifère de la France en défendant âprement l’euthanasie qui a depuis progressé avec les lois de bioéthique, outil destiné à transgresser le respect de la vie et à permettre l’élimination légale des plus faibles. Le Sars-Cov 2, dont on sait qu’il a été façonné par l’homme – représente le point de départ du Great Reset où rien n’est laissé au hasard. Il a permis d’accélérer le départ prématuré de nos ainés puisqu’en 2020 la moyenne d’âge des personnes décédées du Covid était de 83 ans. Un succédané de l’euthanasie en fin de vie.
Quelle belle opportunité que le Covid – comme l’a officiellement annoncé l’économiste mondialiste Pippa Malmgren (World Governement Summit 2022) anciennement conseillère du président des Etats-Unis qui travaille à la mise en place d’une monnaie numérique mondiale et à la disparition de la monnaie papier, prochaine étape de la dictature mondiale – car il permet cette fois d’instaurer les lois nécessaires à l’assujettissement de nos vies.
RépondreSupprimerLa dictature parfaite est celle qui ne permet plus aucune échappatoire.
Cela aussi, ils y travaillent : Shangaï où sont enfermés les citoyens sans nourriture dans des tours d’habitation préfigure les camps où les réfractaires à la vaccination et les cas contacts pourraient être enfermés.
Penser que l’Europe ne travaille pas à ces projets est illusoire.
Laurent Aventin
Source :
https://jme.bmj.com/content/39/5/261
https://www.nature.com/articles/ncomms15112
https://www.dailymail.co.uk/news/article-10655905/WHO-demands-end-time-limits-abortions.html
https://www.epochtimes.fr/loms-preconise-lavortement-jusqua-9-mois-condition-1995382.html
https://www.who.int/fr/news/item/09-03-2022-access-to-safe-abortion-critical-for-health-of-women-and-girls
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/21/great-reset-pourquoi-loms-promeut-lavortement-jusqua-la-naissance/
PDF : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/349316/9789240039483-eng.pdf?sequence=1&isAllowed=y
https://cordis.europa.eu/article/id/411541-brave-new-world-artificial-womb-prototype-offering-hope-for-premature-babies/fr
Article :
Laurent Aventin / Le Courrier des Stratèges
Voir notamment sur le même sujet :
Bioéthique : L’embryon, un être humain ? [Vidéos]
Loi Bioéthique : l’avortement est désormais possible jusqu’à 9 mois ! [Vidéos]
Avortement | IVG : « Nous ne sommes pas là pour retirer des vies. », Dr Bertrand de Rochambeau, Pdt du Syngof [Vidéo]
USA : Le trafic d’organes de fœtus par le planning familial américain confirmé par le rapport de la commission spéciale du Congrès [Vidéos]
https://aphadolie.com/2022/04/23/great-reset-pourquoi-loms-promeut-lavortement-jusqua-9-mois-sans-condition/
Le régime de Biden transformera les médecins chrétiens en MEURTRIERS en les forçant à pratiquer des avortements (ou à perdre leur licence médicale)
RépondreSupprimerSamedi 23 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Il pourrait bientôt être obligatoire pour les médecins américains de pratiquer des avortements, même si leurs croyances religieuses leur interdisent de prendre la vie humaine innocente.
Un nouveau mandat élaboré par le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) en tant que «disposition anti-discrimination sexuelle dans la loi sur les soins abordables» obligerait les médecins à assassiner des enfants à naître ou risqueraient de perdre leur licence médicale.
Le plan de ce mandat a été découvert dans un mémorandum joint à un dossier judiciaire de 74 pages datant de novembre dernier. Catholic News Service (CNS) a rapporté que le mémo :
"... a révélé que le HHS a promis de réviser ses mandats sur la couverture et les performances du régime de santé pour inclure l'avortement chirurgical, les hormones sexuelles croisées, les chirurgies de transition sexuelle, les chirurgies esthétiques affirmant le genre et la modification de la voix - ainsi qu'une multitude de services étendus traitant de traitements de fertilité, contraception, abortifs et stérilisations.
Doug Wilson, PDG de la Catholic Benefits Association, basée au Colorado, a annoncé que le mandat est "écrit pour mettre fin aux soins de santé catholiques".
"Les exigences vont tellement au-delà de l'enseignement catholique que les employeurs catholiques de toutes sortes seraient obligés de se conformer ou de fermer", a-t-il ajouté. "Le grand public n'a presque aucune conscience de ce qui peut arriver."
Un dirigeant de Planned Parenthood exprime sa joie face à la possibilité de forcer les médecins à assassiner des enfants
En 2019, l'administration du président de l'époque, Donald Trump, a ajouté une règle de protection de la conscience à la loi qui empêche les médecins, les infirmières et les autres prestataires de soins de santé d'être contraints d'offrir ou de participer à toute procédure médicale qui viole la conscience ou la croyance religieuse.
Le régime Biden (alias Barack Hussein Obama) cherche à renverser cette clause et à obliger tous les membres de la profession médicale à arracher un enfant à naître membre par membre et à le jeter à la poubelle, sous peine de perdre son emploi et ses moyens de subsistance.
RépondreSupprimer"Un poids supplémentaire a été donné à la mesure en permettant au gouvernement fédéral de retirer l'argent des contribuables de toute institution qui violait les droits de conscience de ses travailleurs", a rapporté LifeSiteNews. "La règle a été bloquée par un juge fédéral après que les défenseurs de l'avortement ont poursuivi l'administration Trump."
Selon la CNS, le nouveau mandat s'appliquerait probablement à tous les prestataires de soins de santé, cliniques, maisons de retraite, hôpitaux, assureurs-maladie de groupe et administrateurs tiers de régimes autofinancés.
"Si la nouvelle réglementation s'applique à tous ces groupes, elle s'appliquera effectivement à tous les employeurs disposant d'un plan de santé", déclare l'avocat Martin Nussbaum du cabinet d'avocats Nussbaum Speir Gleason, qui conseille la Catholic Benefits Association basée au Colorado.
« Le règlement proposé s'appliquerait également à tous les entrepreneurs des groupes précédents, y compris mon cabinet d'avocats. Pour les chaînes d'hôpitaux catholiques, il est difficile d'imaginer à quel point ce groupe est large.
Nussbaum a ajouté en outre dans une déclaration que le prochain règlement HHS présente une "menace existentielle" pour les soins de santé catholiques, car les sanctions en cas de non-respect de celui-ci incluront probablement l'application privée, les recours collectifs et les actions "qui tam" où les individus peuvent intenter des poursuites comme s'il s'agissait des États-Unis eux-mêmes.
Les sanctions pourraient également inclure la perte du financement de Medicare et Medicaid, voire l'emprisonnement pour les cadres de la santé qui refusent de se conformer.
"De telles sanctions peuvent fermer n'importe quel réseau hospitalier", a en outre averti Nussbaum.
Pendant ce temps, Jacqueline Ayers, vice-présidente principale des politiques, de l'organisation et des campagnes chez Planned Parenthood, est ravie de la possibilité que ce nouveau mandat entre en vigueur.
Elle est citée comme louant le régime de Biden pour avoir cherché à "révoquer cette politique discriminatoire et aider à garantir que les gens puissent accéder aux soins de santé et aux informations dont ils ont besoin quand ils en ont besoin".
Wilson dit qu'il y aura des poursuites si le mandat entre en vigueur.
«Nous nous préparons à ce que nous prévoyons être un procès important», dit-il. "Je ne pense pas que l'administration apportera des changements importants ou que la période de consultation publique aura assez (ou) beaucoup d'effet."
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur Abortions.news.
Les sources comprennent :
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-23-biden-regime-forcing-christian-doctors-perform-abortion.html
La Chine soutiendrait la Russie même si elle utilisait des armes nucléaires tactiques pendant la guerre en Ukraine, selon un ancien responsable de la Défense
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 04:30
Écrit par Andrew Thornbrooke via The Epoch Times
Le Parti communiste chinois continuerait de soutenir le régime de Vladimir Poutine en Russie au cas où il utiliserait des armes nucléaires tactiques en Ukraine, selon l'ancien secrétaire adjoint à la Défense Graham Allison.
Une fusée est lancée depuis un système de missile dans le cadre d'un test de missile balistique intercontinental au sol lancé depuis l'installation de Plesetsk, dans le nord-ouest de la Russie, le 9 décembre 2020. (Service de presse du ministère russe de la Défense via AP)
"La réponse est oui", a déclaré Allison lorsqu'on lui a demandé si la Chine continuerait son soutien à la Russie indépendamment des escalades de Poutine.
"Même s'il s'agit de l'utilisation par Poutine d'armes nucléaires tactiques sur une cible en Ukraine."
Allison, professeur à l'Université de Harvard, a prononcé ces remarques dans le cadre d'une conférence du 19 avril sur la situation stratégique entre la Chine, la Russie, l'Ukraine et les États-Unis à l'Institut d'études internationales et stratégiques, un groupe de réflexion axé sur la sécurité.
Il a averti que les États-Unis et la Chine se dirigeaient vers une « issue catastrophique », en raison de leur rivalité de plus en plus antagoniste, et que l'alliance naissante de la Chine avec la Russie compliquait la sécurité internationale compte tenu des craintes croissantes que la Russie puisse déployer une arme nucléaire tactique en Ukraine.
Allison, qui est membre du Conseil de la politique de défense du secrétaire à la Défense depuis 1985, a averti que les tensions continueraient de s'aggraver en raison d'un manque de compréhension à Washington de la réflexion stratégique de la Chine vis-à-vis de la Russie.
"Attendez-vous à ce que les choses empirent avant qu'elles ne s'aggravent", a déclaré Allison.
"La plupart des gens à Washington ne peuvent toujours pas accepter le fait que Xi ait construit avec la Russie de Poutine une alliance fonctionnelle qui est plus importante sur le plan opérationnel que la plupart des alliances conventionnelles américaines."
L'alliance naissante entre Xi et Poutine s'est solidifiée le 4 février, avec l'annonce d'un partenariat "sans limites", que la Chine a ensuite réaffirmé au milieu de l'invasion russe de l'Ukraine.
Allison a déclaré que le plus grand défi serait désormais de gérer la rivalité la plus féroce du monde entre le régime chinois et les États-Unis sans une guerre catastrophique. C'est un point sur lequel les dirigeants militaires américains ont eux-mêmes mis en garde, maintenant que les États-Unis doivent envisager stratégiquement la puissance nucléaire combinée de la Chine et de la Russie en cas d'hostilités militaires.
RépondreSupprimerÀ cette fin, Allison a déclaré que les décideurs devraient s'attendre à ce que la Russie devienne "enfermée dans la Chine en tant que dépendance" et que Xi avait fait "brillamment" en manipulant et en gérant l'ego de Poutine en tant que partenaire désormais junior dans l'arrangement. Un arrangement, a soutenu Allison, qui pourrait désormais survivre aux deux dirigeants.
"Xi l'a fait... mais cela institutionnalisera le rôle de la Russie en tant qu'État vassal, fournissant essentiellement des ressources naturelles à [la Chine]", a déclaré Allison.
Allison a déclaré que ce que les dirigeants communistes chinois voulaient le plus, c'était une "inattention bénigne" de la communauté internationale, ce qui leur permettrait de continuer à étendre leur arsenal nucléaire et leur coercition économique avec moins d'interférences. En tant que tel, il a déclaré que la Chine utiliserait la Russie pour détourner les yeux de la communauté internationale de ses propres actions et n'interférerait avec aucune des actions agressives de la Russie.
Lorsqu'on lui a demandé si la Chine pouvait réellement tirer parti de son partenariat avec la Russie pour remplacer les États-Unis en tant que plus grande puissance mondiale, la réponse d'Allison était loin d'être optimiste.
« Est-ce envisageable ? » dit Allison. "Malheureusement, c'est le cas."
"Les Chinois étudient la guerre bien, bien, bien plus sérieusement que nous."
https://www.zerohedge.com/geopolitical/china-would-support-russia-even-if-it-used-tactical-nuclear-weapons-ukraine-war-former
Poutine va tester un missile nucléaire capable de nous frapper d'ici l'automne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 23 AVRIL 2022 - 23:00
Le Kremlin a déclaré samedi qu'il prévoyait de tester un ICBM nucléaire de nouvelle génération capable de frapper les États-Unis d'ici l'automne.
Selon Reuters, l'objectif ambitieux a été annoncé samedi par Dmitri Rogozine, chef de l'agence spatiale Roscosmos, quelques jours seulement après le lancement du premier test mercredi. Des experts militaires occidentaux ont déclaré que davantage de tests seraient nécessaires avant que le missile puisse être déployé.
Le Sarmat est capable de transporter 10 ogives nucléaires ou plus (ou leurres) et de frapper des cibles à des milliers de kilomètres aux États-Unis ou en Europe.
Le test de cette semaine est intervenu après des années de retards dus à des problèmes de financement et techniques. Le test de missile a marqué une démonstration de force de la part de la Russie à un moment où la guerre en Ukraine a fait grimper les tensions avec les États-Unis et ses alliés à des niveaux sans précédent depuis la crise des missiles cubains de 1962.
Lors d'une interview avec la télévision d'État russe, Rogozine a déclaré que les missiles seraient déployés avec une unité dans la région de Krasnoïarsk en Sibérie, à environ 3 000 km (1 860 miles) à l'est de Moscou.
Il a ajouté qu'ils seraient stockés sur les mêmes sites et dans les mêmes silos que les missiles Voyevoda de l'ère soviétique qu'ils remplaceront, ce qui permettrait d'économiser "des ressources et du temps colossaux".
Rogozine a ajouté que le lancement de la nouvelle "super-arme" russe serait un événement historique qui garantirait la sécurité des "enfants et petits-enfants" de la Russie pour les 30 à 40 prochaines années.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/putin-test-nuclear-missile-capable-striking-us-autumn
Russian Airlines doit se préparer à un monde sans GPS
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 02:00
Le régulateur russe du trafic aérien a envoyé un avertissement aux compagnies aériennes concernant d'éventuels vols à venir sans utiliser le système américain de positionnement global (GPS).
Le journal russe Izvestia a rapporté vendredi qu'une lettre de l'Agence fédérale du transport aérien (FATA) ordonnait aux compagnies aériennes nationales d'être au courant des "pannes, dégradations et performances anormales du GPS".
Les zones sujettes au « brouillage » des signaux GPS et aux attaques par usurpation comprennent l'enclave occidentale de la Russie, la région de Kaliningrad, au-dessus de la mer Noire, à l'est de la Finlande et la Méditerranée.
- voir carte sur site -
La lettre indiquait que la FATA aiderait les équipages des avions lorsque les signaux GPS sont perturbés ou désactivés.
Il est conseillé aux pilotes d'informer immédiatement les contrôleurs aériens des "problèmes, dégradations et performances anormales du GPS" ou de l'avionique associée. Les transporteurs doivent évaluer les risques et les limites associés aux pannes des instruments de navigation et des systèmes embarqués utilisant le signal GPS, et effectuer des exercices supplémentaires avec les équipages de conduite pour s'entraîner à prendre des mesures en cas de panne dans le fonctionnement des systèmes de navigation par satellite. - Izvestia
La lettre indique que les équipages des avions doivent être prêts à effectuer des décollages et des atterrissages sans GPS et à compter sur des aides à la navigation aérienne de secours.
Izvestia a souligné: "Les experts estiment que la recommandation de se préparer ne signifie pas une interdiction de l'utilisation du GPS."
Plusieurs transporteurs russes, dont Aeroflot et S7, ont reçu la lettre de FATA. Jusqu'à présent, ils n'ont pas encore rencontré de problèmes de GPS depuis l'invasion de l'Ukraine.
À la mi-mars, Dmitri Rogozine, directeur général de Roscosmos et ancien vice-Premier ministre russe, a déclaré que les États-Unis envisageaient de déconnecter la Russie du GPS. Il a noté qu'il serait très difficile pour les États-Unis de le faire.
L'avertissement de la FATA intervient après que l'Agence de la sécurité aérienne de l'Union européenne a mis en garde contre l'augmentation des incidents de brouillage GPS et d'usurpation d'identité suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Étant donné que les sanctions occidentales rapprochent la Russie de la Chine alors qu'un monde multipolaire émerge, peut-être que si les États-Unis décident de retirer les avions commerciaux russes du GPS, ils pourraient graviter vers une version chinoise.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/russian-airlines-told-prepare-world-without-gps
Y aurait comme de l'EMP dans l'air !!
SupprimerVisualiser le tempsÉvolution en spirale de la Terre depuis le Big-Bang
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 03:00
Depuis l'aube de l'humanité, nous avons regardé les cieux avec beaucoup d'intérêt et d'admiration. Nous avons fait appel aux étoiles pour nous guider et avons fait certaines des découvertes les plus intéressantes de l'humanité sur la base de ces observations. Cela nous a également amenés à nous interroger sur notre existence et sur la façon dont nous sommes arrivés à ce moment précis.
Comme Anshool Deshmukh de Visual Capitalist le détaille ci-dessous, ce voyage a commencé il y a environ 14 milliards d'années, lorsque le Big Bang a conduit l'univers à émerger d'une mer chaude et dense de matière et d'énergie.
Au fur et à mesure que le cosmos s'est agrandi et refroidi, ils ont engendré des galaxies, des étoiles, des planètes et, finalement, la vie.
Dans la visualisation ci-dessous, Pablo Carlos Buddassi illustre ce voyage aux proportions épiques dans la Nature Timespiral au design complexe, décrivant les différentes époques que la Terre a traversées depuis la création de l'univers lui-même.
- voir schéma sur site -
Chronologie évolutive du monde
On ne sait pas grand-chose de ce qui a précédé le Big Bang, mais nous savons qu'il a déclenché une séquence d'événements qui ont donné naissance aux lois universelles de la physique et aux éléments chimiques qui composent la matière. La naissance de la Terre et la vie qui a suivi sont une merveilleuse histoire de temps et de changement.
Regardons ce qui s'est passé après le Big Bang pour retracer notre voyage à travers le cosmos.
Le Big Bang et Hadean Eon
Le Big Bang a formé tout l'univers que nous connaissons, y compris les éléments, les forces, les étoiles et les planètes. L'hydrogène et la dissipation massive de chaleur ont dominé les premiers stades de l'univers.
Au cours d'une période connue sous le nom d'éon hadéen, notre système solaire s'est formé dans un grand nuage de gaz et de poussière. L'attraction gravitationnelle du Soleil a réuni des particules spatiales pour créer la Terre et d'autres planètes, mais il leur faudrait beaucoup de temps pour atteindre leurs formes modernes.
Au cours des 800 premiers millions d'années de son histoire, la surface de la Terre est passée de liquide à solide.
Archéen Eon (il y a 4 à 2,5 milliards d'années)
Après sa formation initiale, la surface de la Terre était extrêmement chaude. Cet éon suivant a vu la planète se refroidir massivement, donnant naissance aux océans et aux continents, et à la première histoire enregistrée des roches.
C'est au début de l'éon archéen que la vie est apparue pour la première fois sur Terre. Nos plus anciens fossiles découverts datent d'il y a environ 3,5 milliards d'années et consistent en de minuscules micro-organismes préservés.
RépondreSupprimerÈre paléoprotérozoïque (il y a 2,5 à 1,6 milliards d'années)
La première ère du Protérozoïque, le Paléoprotérozoïque, a été la plus longue de l'histoire géologique de la Terre. Des plaques tectoniques sont apparues et des masses continentales se sont déplacées à travers le globe - ce fut le début de la formation de la Terre que nous connaissons aujourd'hui.
Les cyanobactéries, premiers organismes utilisant la photosynthèse, sont également apparues à cette époque. Leur activité photosynthétique a provoqué une augmentation rapide de l'oxygène atmosphérique, entraînant le grand événement d'oxydation. Cela a tué de nombreux groupes bactériens anaérobies primordiaux, mais a ouvert la voie à la croissance et à l'épanouissement de la vie multicellulaire.
Ère mésoprotérozoïque (il y a 1,6 à 1 milliard d'années)
Le Mésoprotérozoïque s'est produit pendant ce que l'on appelle l'étape du «milliard ennuyeux» de l'histoire de la Terre. Cela est dû à un manque d'activité géochimique généralisée et à la stabilité relative des réservoirs de carbone des océans.
Mais cette époque a vu l'éclatement des supercontinents et la formation de nouveaux continents. Cette période a également vu le premier cas noté de reproduction sexuée parmi les organismes et l'apparition probable d'organismes multicellulaires et de plantes vertes.
Ère néoprotérozoïque (il y a 1 milliard à 542,0 millions d'années)
Le Néoprotérozoïque était sans doute le plus profond de l'histoire de la Terre. Il se situe à l'intersection des deux grandes étendues du temps évolutif : d'un côté, quelque trois milliards d'années de vie à prédominance microbienne, et de l'autre, le début d'une biosphère moderne avec ses grands organismes multicellulaires extraordinairement divers.
Dans le même temps, la Terre a également connu de graves glaciations connues sous le nom de période cryogénienne et sa première période glaciaire, également connue sous le nom de Snowball Earth.
L'ère a vu la formation de la couche d'ozone et les premières preuves de la vie multicellulaire, y compris l'émergence des premiers animaux à carapace dure, tels que les trilobites et les archéocyathides.
Paléozoïque (il y a 541 millions à 252 millions d'années)
Le Paléozoïque est surtout connu pour avoir inauguré une explosion de la vie sur Terre, avec deux des événements les plus critiques de l'histoire de la vie animale. À ses débuts, les animaux multicellulaires ont subi une explosion cambrienne spectaculaire de la diversité aquatique, et presque tous les animaux vivants sont apparus en quelques millions d'années.
À l'autre extrémité du Paléozoïque, la plus grande extinction de masse de l'histoire a entraîné la disparition de 96 % de la vie marine et de 70 % de la vie terrestre. À mi-chemin entre ces événements, les animaux, les champignons et les plantes ont colonisé la terre et les insectes ont pris leur envol.
RépondreSupprimerEre mésozoïque (il y a 252 millions à 66 millions d'années)
Le Mésozoïque était l'ère des reptiles. Les dinosaures, les crocodiles et les ptérosaures régnaient sur la terre et l'air. Cette ère peut être subdivisée en trois périodes de temps :
Trias (il y a 252 à 201,3 millions d'années)
Jurassique (il y a 201,3 à 145 millions d'années)
Crétacé (il y a 145 à 66 millions d'années)
L'ascension des dinosaures a commencé à la fin de la période triasique. Un fossile de l'un des premiers dinosaures connus, un omnivore à deux pattes d'environ trois pieds de long nommé Eoraptor, est daté de cette époque.
Les scientifiques pensent que l'Eoraptor (et quelques autres premiers dinosaures encore découverts aujourd'hui) a évolué pour devenir les nombreuses espèces de dinosaures bien connus qui domineraient la planète pendant la période jurassique. Ils continueraient à prospérer jusque dans la période du Crétacé, lorsqu'il est largement admis que l'impacteur de Chicxulub, l'astéroïde en chute libre qui s'est écrasé sur la Terre au large des côtes du Mexique, a mis fin au règne des dinosaures de manière abrupte et calamiteuse.
Ère Cénozoïque (66 millions - Aujourd'hui)
Après la fin de l'ère des dinosaures, cette ère a vu des adaptations massives de la flore et de la faune naturelles pour survivre. Les plantes et les animaux qui se sont formés à cette époque ressemblent le plus à ceux de la Terre d'aujourd'hui.
Les premières formes de mammifères, d'amphibiens, d'oiseaux et de reptiles modernes remontent au Cénozoïque. L'histoire humaine est entièrement contenue dans cette période, alors que les singes se sont développés sous la pression de l'évolution et ont donné naissance à l'être humain actuel ou Homo sapiens.
Par rapport à la chronologie évolutive du monde, l'histoire humaine a augmenté assez rapidement et de façon spectaculaire. Passer de nos premiers outils de pierre et de l'âge des rois aux jungles de béton avec la technologie moderne peut sembler un long voyage, mais comparé à tout ce qui l'a précédé, ce n'est qu'un bref clin d'œil.
https://www.zerohedge.com/technology/visualizing-timespiral-evolution-earth-big-bang
(...) Au fur et à mesure que le cosmos s'est agrandi et refroidi, ils ont engendré des galaxies, des étoiles, des planètes et, finalement, la vie. (...)
Supprimer(...) Au cours des 800 premiers millions d'années de son histoire, la surface de la Terre est passée de liquide à solide. (...)
A vrai dire les choses se sont déroulées différemment. Ce que nous voyons dans le ciel sont des étoiles, c-à-d des boules de feu, c-à-d des masses ferriques incandescentes. Notre planète en faisait partie. Puis un jour, l'étoile que nous habitons a reçu un boule de glace qui voguait dans l'espace pas suffisamment grosse pour l'éteindre (comme ce fut le cas pour la lune) ni suffisamment petite pour être absorbée sans conséquence future.
La glace fondit et s'évapora autour de l'étoile. Mais, les gouttelettes arrivées en hautes altitudes rencontrèrent immédiatement les températures glaciales intersidérales (-60°C) et se recomposèrent donc en pluies, neige ou grêles et retournèrent sur l'étoile. Ce va-et-vient dura des millénaires jusqu'à ce que l'étoile accepte ce corps étranger. Cette arrivée d'eau sur le fer en fusion composa la planète qui passa du stade étoile à celui de la Terre.
Le globe n'était alors couvert que d'un seul côté et, les tremblements de terre (réactions magmatiques) fractionnèrent cette croûte qui s'écarta au fil des siècles pour former d'un côté les Amériques et, de l'autre l'Europe-Asie-Afrique-Océanie
Nourrir le complexe industriel des sans-abris de LA
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 00:30
Rédigé par MN Gordon via EconomicPrism.com,
La saison électorale 2022 bat son plein. Les militants, munis de planchettes et d'initiatives électorales, fleurissent abondamment devant les supermarchés. Ils veulent des signatures – votre signature – en faveur d'une nouvelle législation qui augmenterait le financement de diverses idées farfelues et loufoques.
En Californie, et particulièrement à Los Angeles, les initiatives qui permettraient de tirer davantage de dollars pour lutter contre l'abondance de favelas bidonvilles qui ravagent les zones urbaines fleurissent. La justification est convaincante…
En 2020, il y avait plus de 161 000 sans-abri en Californie. Dans le seul comté de Los Angeles, la population de sans-abri, en 2020, était précisément de 66 463. Ces deux chiffres sont maintenant probablement beaucoup plus élevés.
Qui ne veut pas faire quelque chose contre la profusion de bivouacs sous tente, les incendies de barils, les maladies médiévales, les excréments humains, la consommation de drogue publique, le crime et la maladie mentale qui sévissent dans le sud ?
Il faut sûrement faire quelque chose. Mais quoi ?
Une mesure d'État qui sera sur le scrutin de 2022, la California Solutions to Homelessness and Mental Health Act, promet des centaines de millions de dollars chaque année pour lutter contre l'itinérance en Californie. Ces centaines de millions de dollars proviendraient de la taxation des paris sportifs en ligne.
La ville de Los Angeles a également sa propre mesure à l'échelle de la ville. C'est ce qu'on appelle le programme de Los Angeles pour prévenir l'itinérance et financer le logement abordable. Selon la campagne United to House LA, la mesure rapporterait environ 875 millions de dollars par an en imposant une nouvelle évaluation à deux niveaux sur la vente de biens de grande valeur à LA City. Les propriétés de grande valeur se vendent pour plus de 5 millions de dollars.
Ces mesures pourraient-elles être la réponse à la crise des sans-abri ?
S'ils l'étaient, la crise des sans-abri serait résolue depuis longtemps. Voici pourquoi…
Philanthropie forcée
Ici, au prisme économique, nous ne possédons pas une maison de 5 millions de dollars. Nous ne parions pas non plus sur le sport.
Pourtant, nous pouvons voir ces mesures pour ce qu'elles sont : des prises d'argent géantes pour le complexe industriel des sans-abri de Californie.
Ces mesures ne suffiront pas à résoudre la crise des sans-abri qui s'aggrave d'année en année. Comment savons-nous ça ?
Nous le savons parce que ces stratagèmes d'appropriation d'argent et de philanthropie forcée ont été essayés à maintes reprises. En ce qui concerne l'aide aux sans-abri, c'est un échec total. Mais pour les agences de tutelle et les associations – le complexe industriel des sans-abris – elles sont extraordinairement lucratives…
Le problème des sans-abri dans le comté de Los Angeles est un désastre total – environ 70 000. La population de sans-abri dans la seule ville de Los Angeles dépasse les 40 000. Et tout cela malgré le fait que la ville et le comté ont adopté 4,7 milliards de dollars de financement en augmentation d'impôts - via la proposition HHH et la mesure H - en 2016 et 2017.
La proposition HHH est une mesure de cautionnement conçue pour construire des logements supervisés permanents. Les professionnels de l'itinérance appellent cela "le logement d'abord". La mesure H est une augmentation de la taxe de vente de 0,25 % dans le comté, ce qui fait passer la taxe de vente minimale dans de nombreuses villes du comté au-dessus de 10,25 %.
RépondreSupprimerQu'est-ce que Los Angeles a à montrer pour son augmentation de près de 5 milliards de dollars des dépenses consacrées aux sans-abrisme ?
Les principaux groupes philanthropiques qui ont aidé à pousser les initiatives ont livré des platitudes débiles. Fred Ali, président et chef de la direction de la Fondation Weingart basée à Los Angeles, atteste humblement :
«Nous ne pouvons pas laisser notre sens de ce qui est possible se limiter à ce que nous avons pu faire jusqu'à présent. La philanthropie peut être le laboratoire d'un programme visant à renverser l'injustice raciale, à défier la suprématie blanche et à favoriser l'équité. Cela peut également renforcer le soutien à de nouveaux flux de financement et à de nouvelles structures de gouvernance. »
Et United Way Los Angeles affirme sur son site Web :
« Nous avons pour mission de briser de manière permanente le cycle de la pauvreté pour nos voisins les plus vulnérables : les familles à faible revenu, les étudiants, les anciens combattants et les personnes sans abri… En nous concentrant sur les politiques publiques locales, étatiques et nationales, nous luttons contre les causes profondes de la pauvreté. à travers les systèmes qui les soutiennent. Nous avons mené le combat qui a abouti à près de 5 milliards de dollars de fonds civiques consacrés à des solutions pour mettre fin à la pauvreté.
Quelles sont les « causes profondes » de la pauvreté que United Way Los Angeles combat ?
Nourrir le complexe industriel des sans-abris de LA
La lutte contre les « causes profondes » de la pauvreté a conduit à une obsession pour l'approche « logement d'abord » de l'itinérance. Des groupes philanthropiques comme United Way rejettent les approches de simple « pansement » à l'itinérance. Les abris temporaires, les abris-ponts, les aires de stationnement sécurisées pour la nuit, etc. ne sont pas idéologiquement acceptables.
Le logement d'abord a été un échec lamentable si l'on considère les dizaines de milliers de sans-abri supplémentaires qui dorment dans la rue depuis son adoption. Mais si vous vous fiez à l'argent que cela a débloqué pour le complexe industriel des sans-abri, c'est un succès retentissant.
Vous voyez, dans la lutte contre la crise des sans-abri, les dollars seuls égalent la victoire. Les résultats sont une réflexion après coup. L'argent - plus de votre argent - est l'objectif ultime.
Malheureusement pour le contribuable, plus d'argent ne se limite pas à la sécurisation de fonds privés. Il s'agit plutôt de s'approprier des fonds publics et de les orienter vers la vision progressiste-technocratique des experts en philanthropie.
Selon un récent audit de la ville, dans la ville de Los Angeles, où plus de 40 000 sans-abri se débattent, il en coûte maintenant 837 000 $ pour construire une seule unité de logement pour une personne sans abri. Cette étiquette de prix est la magie du logement d'abord.
RépondreSupprimerDepuis que les électeurs ont approuvé les dépenses de la proposition HHH en 2016, environ 1 200 unités ont été achevées. Cela représente environ 200 unités par an.
Certes, le complexe industriel des sans-abris de Los Angeles regorge d'astuces, qui ne font qu'exercer la maladie pour que l'argent continue de circuler. Mais à ce rythme, pour construire le « logement d'abord » pour 40 000 sans-abri, il faudra environ 200 ans. Et à un coût de 837 000 $ par logement, il en coûtera environ 33,5 milliards de dollars.
Pourtant, le maire démocrate Eric Garcetti affirme que le programme est un succès. Selon Garcetti, le programme "produit plus d'unités que promis, à un coût inférieur aux prévisions".
Garcetti, sans aucun doute, couvre les échecs du logement d'abord. Peut-être que lorsque son deuxième mandat se terminera plus tard cette année, il pourra faire travailler une banque pour une organisation à but non lucratif dans le complexe industriel des sans-abri de Los Angeles.
C'est un groupe bien nourri. Et avec la foule de nouvelles mesures sur le bulletin de vote, cela ne fera que grossir.
https://www.zerohedge.com/political/feeding-las-homeless-industrial-complex
Tant que la frontière mexicaine ne sera pas fermée de chez fermé la drogue mortelle et les armes circuleront librement sans être arrêtées. Aujourd'hui les livraisons sont faites par drones.
SupprimerNaomi Wolf : Pfizer PLEINEMENT CONSCIENT des dangers de son vaccin ARNm COVID
RépondreSupprimervendredi 22 avril 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) L'auteure et ancienne conseillère de campagne présidentielle Naomi Wolf a affirmé que Pfizer était pleinement conscient des dangers liés à son vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Wolf a fait cette affirmation lors d'une apparition sur le podcast "War Room", racontant à l'animateur Steve Bannon les découvertes de l'équipe Five, dont elle est responsable.
Elle a révélé que Pfizer savait que 100 microgrammes (μg) de son vaccin BNT162b2 COVID-19 suppriment les lymphocytes, voire les détruisent. « Qu'est-ce que les lymphocytes ? Ce sont vos cellules auxiliaires, vos globules blancs qui protègent votre réponse immunitaire », a expliqué Wolf.
« Cela pourrait donc expliquer pourquoi les personnes qui ont été vaccinées… sont celles qui tombent malades. Ce sont eux qui reçoivent le COVID, [and] les données le montrent. Je ne ris pas parce que c'est drôle, je ris parce que c'est surréaliste.
Wolf a poursuivi que la dose de 100 μg du vaccin a finalement été abandonnée en raison de sa réactogénicité, sur la base de documents internes. Les mêmes dangers ne se limitaient pas au vaccin Pfizer, car les mêmes problèmes ont été constatés chez ceux qui ont reçu une injection de la même dose du vaccin à ARNm Moderna.
"[To] chaque personne qui l'a eu, je suis désolé que cela vous soit arrivé. C'est dangereux et nocif, [with] la suppression de votre système immunitaire… et d'autres maladies graves que je ne veux même pas décrire. (Connexe: Pfizer, la FDA savait que leur vaccin COVID provoque une immunosuppression, ADE, VAED.)
Selon des documents internes de Pfizer obtenus par Wolf, le fabricant de médicaments basé à New York a également comparé les effets de l'obtention de 10 μg, 30 μg et 100 μg du vaccin. Obtenir le vaccin à l'une ou l'autre des trois doses différentes comportait également des risques, notamment des douleurs articulaires, des douleurs musculaires, des fièvres importantes et des problèmes cardiaques.
« Ce n'est pas comme 100 ?g d'un produit testé. Il s'agit de 100 μg de nanoparticules lipidiques d'ARNm, dont on sait qu'elles sont si dangereuses. Ces petites particules grasses dures qui traversent votre circulation sanguine et la protéine de pointe [the SARS-CoV-2]… sont injectées. Les dangers et les dommages durables qu'ils connaissent sont clairement exposés.
RépondreSupprimerLa FDA pousse à vacciner les enfants malgré les risques
Wolf a également cité une réunion avec la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2021, au cours de laquelle des experts ont appelé à vacciner les enfants contre le COVID-19 dès que possible. «Ils disent des choses qui semblent maintenant incroyablement imprudentes. [Ce sont] des experts de la FDA qui disent "Nous devons vacciner les enfants immédiatement car il serait contraire à l'éthique de ne vacciner que la moitié d'entre eux et l'autre moitié [avec] des placebos pour voir comment ils vont", a-t-elle déclaré.
"Ce qu'ils savaient en mai 2021 sur 35 enfants ayant des lésions cardiaques permanentes et disant" Nous devons vacciner tous les enfants "... [même si] les enfants ne courent presque aucun risque de COVID-19 - c'est une chose surréaliste à affirmer en public.
La FDA a néanmoins approuvé le vaccin Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans le 26 octobre dernier. Il a cité les avantages allégués de l'obtention du vaccin qui "l'emportent clairement" sur les risques de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite comme base de sa décision.
Le chiropraticien du Texas, le Dr Bryan Ardis, a exprimé son mécontentement face à la décision de l'épisode du 27 octobre 2021 de son émission Brighteon.TV "The Dr. Ardis Show".
« Quels sont certains des risques associés à ce tir ? Il énumère en fait les effets secondaires qui ont été signalés avec ce vaccin, y compris la myocardite [et] la péricardite. C'est le document de la FDA, donc ils savent que ce sont des effets secondaires des vaccins », a déclaré Ardis.
L'animateur de Brighteon.TV a défié ses téléspectateurs : « Ils vont injecter [vos enfants] avec un vaccin dont ils savent qu'il provoque une inflammation de votre muscle cardiaque, qui est en fait une cause d'insuffisance cardiaque congestive. Combien d'entre vous pensent que vos enfants de 5 à 11 ans méritent de commencer leur adolescence ou leur adolescence avec une insuffisance cardiaque congestive causée par une myocardite ? »
VaccineDamage.news a plus d'histoires sur les dangers de l'injection de poison Pfizer COVID-19.
Regardez la conversation complète entre Steve Bannon et Naomi Wolf ci-dessous.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Un chercheur dit au Dr Jane Ruby : La FDA, l'EMA, la MHRA ont approuvé les vaccins COVID-19 sans voir les données des essais - Brighteon.TV.
Dr. Bryan Ardis: FDA approved COVID-19 vaccine for kids despite being aware of its risks – Brighteon.TV.
Karen Kingston: Pfizer vaccine approval part of a conspiracy to harm children – Brighteon.TV.
Sources include:
Brighteon.com 1
Brighteon.com 2
https://www.naturalnews.com/2022-04-22-pfizer-aware-of-mrna-covid-vaccine-dangers.html
Naomi Wolf : Pfizer PLEINEMENT CONSCIENT des dangers de son vaccin ARNm COVID
RépondreSupprimervendredi 22 avril 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) L'auteure et ancienne conseillère de campagne présidentielle Naomi Wolf a affirmé que Pfizer était pleinement conscient des dangers liés à son vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Wolf a fait cette affirmation lors d'une apparition sur le podcast "War Room", racontant à l'animateur Steve Bannon les découvertes de l'équipe Five, dont elle est responsable.
Elle a révélé que Pfizer savait que 100 microgrammes (μg) de son vaccin BNT162b2 COVID-19 suppriment les lymphocytes, voire les détruisent. « Qu'est-ce que les lymphocytes ? Ce sont vos cellules auxiliaires, vos globules blancs qui protègent votre réponse immunitaire », a expliqué Wolf.
« Cela pourrait donc expliquer pourquoi les personnes qui ont été vaccinées… sont celles qui tombent malades. Ce sont eux qui reçoivent le COVID, [and] les données le montrent. Je ne ris pas parce que c'est drôle, je ris parce que c'est surréaliste.
Wolf a poursuivi que la dose de 100 μg du vaccin a finalement été abandonnée en raison de sa réactogénicité, sur la base de documents internes. Les mêmes dangers ne se limitaient pas au vaccin Pfizer, car les mêmes problèmes ont été constatés chez ceux qui ont reçu une injection de la même dose du vaccin à ARNm Moderna.
"[To] chaque personne qui l'a eu, je suis désolé que cela vous soit arrivé. C'est dangereux et nocif, [with] la suppression de votre système immunitaire… et d'autres maladies graves que je ne veux même pas décrire. (Connexe: Pfizer, la FDA savait que leur vaccin COVID provoque une immunosuppression, ADE, VAED.)
Selon des documents internes de Pfizer obtenus par Wolf, le fabricant de médicaments basé à New York a également comparé les effets de l'obtention de 10 μg, 30 μg et 100 μg du vaccin. Obtenir le vaccin à l'une ou l'autre des trois doses différentes comportait également des risques, notamment des douleurs articulaires, des douleurs musculaires, des fièvres importantes et des problèmes cardiaques.
« Ce n'est pas comme 100 ?g d'un produit testé. Il s'agit de 100 μg de nanoparticules lipidiques d'ARNm, dont on sait qu'elles sont si dangereuses. Ces petites particules grasses dures qui traversent votre circulation sanguine et la protéine de pointe [the SARS-CoV-2]… sont injectées. Les dangers et les dommages durables qu'ils connaissent sont clairement exposés.
La FDA pousse à vacciner les enfants malgré les risques
RépondreSupprimerWolf a également cité une réunion avec la Food and Drug Administration (FDA) en septembre 2021, au cours de laquelle des experts ont appelé à vacciner les enfants contre le COVID-19 dès que possible. «Ils disent des choses qui semblent maintenant incroyablement imprudentes. [Ce sont] des experts de la FDA qui disent "Nous devons vacciner les enfants immédiatement car il serait contraire à l'éthique de ne vacciner que la moitié d'entre eux et l'autre moitié [avec] des placebos pour voir comment ils vont", a-t-elle déclaré.
"Ce qu'ils savaient en mai 2021 sur 35 enfants ayant des lésions cardiaques permanentes et disant" Nous devons vacciner tous les enfants "... [même si] les enfants ne courent presque aucun risque de COVID-19 - c'est une chose surréaliste à affirmer en public.
La FDA a néanmoins approuvé le vaccin Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans le 26 octobre dernier. Il a cité les avantages allégués de l'obtention du vaccin qui "l'emportent clairement" sur les risques de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite comme base de sa décision.
Le chiropraticien du Texas, le Dr Bryan Ardis, a exprimé son mécontentement face à la décision de l'épisode du 27 octobre 2021 de son émission Brighteon.TV "The Dr. Ardis Show".
« Quels sont certains des risques associés à ce tir ? Il énumère en fait les effets secondaires qui ont été signalés avec ce vaccin, y compris la myocardite [et] la péricardite. C'est le document de la FDA, donc ils savent que ce sont des effets secondaires des vaccins », a déclaré Ardis.
L'animateur de Brighteon.TV a défié ses téléspectateurs : « Ils vont injecter [vos enfants] avec un vaccin dont ils savent qu'il provoque une inflammation de votre muscle cardiaque, qui est en fait une cause d'insuffisance cardiaque congestive. Combien d'entre vous pensent que vos enfants de 5 à 11 ans méritent de commencer leur adolescence ou leur adolescence avec une insuffisance cardiaque congestive causée par une myocardite ? »
VaccineDamage.news a plus d'histoires sur les dangers de l'injection de poison Pfizer COVID-19.
Regardez la conversation complète entre Steve Bannon et Naomi Wolf ci-dessous.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Un chercheur dit au Dr Jane Ruby : La FDA, l'EMA, la MHRA ont approuvé les vaccins COVID-19 sans voir les données des essais - Brighteon.TV.
Dr. Bryan Ardis: FDA approved COVID-19 vaccine for kids despite being aware of its risks – Brighteon.TV.
Karen Kingston: Pfizer vaccine approval part of a conspiracy to harm children – Brighteon.TV.
Sources include:
Brighteon.com 1
Brighteon.com 2
https://www.naturalnews.com/2022-04-22-pfizer-aware-of-mrna-covid-vaccine-dangers.html
Mon énergie est votre problème - La naissance d'une nouvelle Europe
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 AVRIL 2022 - 13:00
Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,
"L'énergie fait de l'énergie de toute façon
Alors dépensez-vous et devenez riche dès maintenant »
- Marillion "Riche"
Ce jour a mis longtemps à venir. A partir du moment, il y a plus d'une décennie, où il était enfin admis que l'Europe était destinée à être importatrice d'énergie, on allait voir le paroxysme du bras de fer entre l'Occident et la Russie.
L'Europe en tant qu'importateur d'énergie a toujours signifié que le temps était du côté de la Russie. Il lui suffisait de prolonger le conflit assez longtemps, de survivre assez longtemps pour contraindre l'Europe à se soumettre. La Russie a l'énergie dont l'Europe a besoin, personne d'autre ne peut la fournir, donc la décision finale sera d'accepter ce sort.
Aucune quantité de magie financière, de vertu pathétique signalant le changement climatique, de mauvais investissement dans des «énergies renouvelables» inefficaces et non durables ou de menaces militaires ne changerait finalement le résultat de cette histoire.
La production du versant nord a chuté et les gisements de gaz de Groningue s'assèchent plus rapidement que le va-jay-jay d'Hillary à chaque rebondissement de l'enquête de John Durham sur le RussiaGate.
Tous les stratagèmes pour sécuriser l'énergie de l'Ukraine (charbon du Donbass, gisements de gaz en mer d'Azov) et du Moyen-Orient (Syrie, EastMed Pipeline, Iran) ont également échoué.
C'est le problème fondamental auquel l'UE est confrontée dans sa quête d'hégémonie politique.
Comment contourne-t-il ce fait fondamental sans fomenter 1) une crise politique à la maison et 2) une guerre avec la Russie et le reste du Sud global qui la soutiennent, il ne peut pas gagner ?
Force majeure
Depuis le début de la guerre en Ukraine, un conflit créé par la complicité de l'UE dans la guerre de longue date de l'OTAN contre la Russie, l'UE a tenté de jouer le rôle de la victime de l'agressivité américano-britannique tout en se contentant de la suivre pour ses propres fins.
Ce but est de faire avancer leur programme d'érection d'un État de surveillance totale sous le couvert d'une réponse radicale au changement climatique. Leur problème est qu'ils n'ont pas de substitut viable à l'énergie russe, que ce soit le pétrole, le charbon ou le gaz, qui soit capable de les soutenir dans l'intervalle.
Tous leurs refus se sont heurtés à l'intransigeance russe. Après avoir joyeusement accompagné le vol des réserves de change russes, ainsi que forcé l'abandon des actifs de l'État russe, comme la saisie de la filiale de Gazprom en Allemagne, l'Europe a toujours essayé de dire que la Russie n'avait aucun droit légal de modifier les conditions de paiement de l'énergie russe.
RépondreSupprimerC'était hilarant de voir les sycophants de l'UE tenter de faire valoir que la Russie n'avait aucun droit légal de revendiquer la force majeure après que l'UE ait interdit à Gazprom de dépenser les euros qu'ils recevraient pour son gaz.
Le gouvernement russe a répondu par une demande de paiement pour toutes les exportations vers des «pays hostiles» légalement définis en or ou en roubles russes. Et les hurlements ont été entendus dans le monde entier.
Même si les actes de guerre, y compris les sanctions, sont une clause typique dans tous les contrats de fourniture de Gazprom :
Ainsi, après quelques semaines à nier la réalité, à jouer sur le plan moral en punissant Vladimir Poutine le boucher de Bucha, l'UE a, comme toujours, cédé à la réalité.
Rouble Roulette
L'UE a finalement trouvé un moyen d'éviter les sanctions américaines pour acheter de l'énergie russe en roubles.
Moscou a averti l'Europe qu'elle risquait de se voir couper l'approvisionnement en gaz à moins qu'elle ne paie en roubles. En mars, il a publié un décret proposant que les acheteurs d'énergie ouvrent des comptes à la Gazprombank pour effectuer des paiements en euros ou en dollars, qui seraient ensuite convertis en roubles.
La Commission a déclaré plus tôt ce mois-ci que le décret risquait d'enfreindre les sanctions de l'UE car il mettrait la réalisation effective de l'achat - une fois les paiements convertis en roubles - entre les mains des autorités russes.
Dans un document consultatif envoyé jeudi aux États membres, la Commission a toutefois déclaré que la proposition de Moscou n'empêchait pas nécessairement un processus de paiement conforme aux sanctions de l'UE contre la Russie dans le cadre du conflit ukrainien.
C'est leur sortie. Comme toujours, l'UE se contentera de définir les choses comme elle le doit pour sauver la face, tout en capitulant finalement lorsqu'elle sera forcée de montrer ses cartes fermées.
Nous avons regardé ce même affichage pathétique pendant plus de trois ans sur le Brexit. Et sans une performance complice et trahison de l'ancienne Première ministre Theresa May, les négociations sur le Brexit auraient été finalisées en six mois environ.
Tout ce qu'elle avait à faire était de fixer des conditions et de s'éloigner de ces gens. Tout ce qu'elle avait à faire était ce que Poutine venait de faire.
Cela ne veut pas dire que la gestion par Poutine de cette crise croissante a été parfaite. Son plus grand défaut en tant que dirigeant russe a été de continuer à sous-estimer la duplicité et le mal absolu émanant de la Commission européenne.
RépondreSupprimerCependant, je pense aussi que Poutine savait que la meilleure stratégie de la Russie était d'être le meilleur voisin possible malgré les provocations évidentes. Cela lui a coûté politiquement pendant des années. C'est pourquoi il a essayé si fort pendant si longtemps de trouver un terrain d'entente avec ces gens, essayant là où il le pouvait de se faire des alliés et de créer un effet de levier politique.
C'est pourquoi Poutine a refusé de couper le gaz à l'UE, alors même qu'elle traînait les pieds pour payer en roubles. Il a toujours su où cela finirait, et si vous demandiez tranquillement aux eurocrates de Bruxelles, ils le savaient aussi.
Les coûts politiques pour Bruxelles de la coupure du gaz seraient un prix trop élevé à payer pour eux.
Cette question a provoqué une fracture dans la fragile coalition au pouvoir en Allemagne. Cela a nui aux chances de réélection d'Emmanuel Macron en France. Cela coûtera à Mario Draghi son gouvernement l'année prochaine. Bien sûr, d'ici là, la destruction de l'Italie par Draghi en tant que pays sera presque terminée. On ne peut qu'espérer que les Italiens trouveront leur voix d'ici là.
Affamé, Hongrie Hypocrites
La victoire la plus évidente de Poutine a été en Hongrie, où Viktor Orban vient de remporter une élection majeure. Orban a déjà tiré parti de cette victoire pour contrecarrer les projets de l'UE de rompre les liens énergétiques avec la Russie et refuser catégoriquement d'augmenter la pression militaire sur la Russie, dont j'ai parlé à la veille des élections.
Pour cette raison, la Hongrie sera dans le collimateur de l'UE à l'avenir. Il sera marginalisé, voire expulsé, à cause de ces problèmes. Il y a des idéologues à la barre à Bruxelles et ils ne seront pas arrêtés dans leur quête pour mettre l'Europe à genoux sous leur contrôle.
Si la Hongrie dit non à cela, elle sera punie pour cela. Mais punir la Hongrie à ce stade, c'est comme essayer de punir la Russie. C'est en fait une bénédiction pour eux.
Car la Hongrie, une fois libérée de l'UE, sera la destination des capitaux étrangers d'une manière qu'elle ne peut pas être aujourd'hui. Ce sont les cartes fermées d'Orban, et elles sont puissantes. En attendant, il restera dans l'UE pour être une épine dans leur pied jusqu'à ce qu'ils se débarrassent de lui.
Le plus grand embarras pour Bruxelles serait que la Hongrie prospère en dehors du cadre de l'UE, la même crainte qui était sur la table lors des négociations sur le Brexit. La différence, bien sûr, c'est que l'establishment politique britannique est entièrement à l'ordre du jour de Bruxelles, ce sont les gens en dehors de Londres qui ne le sont pas.
Les Hongrois viennent de prouver qu'Orban n'a pas ce problème.
Ainsi, les avantages de mettre fin à sa future relation avec l'UE seront beaucoup plus immédiatement apparents, quand cela se produira.
Unionicide européenne
RépondreSupprimerPeu importe ce qui se passera à long terme, la réalité est qu'une nouvelle Europe se profile à l'horizon. Et ce n'est pas beau à voir. L'UE va, au mieux, se débrouiller sans quelques pièces actuelles - la Hongrie, la Bulgarie et la Roumanie - et au pire se séparer alors que l'expérience de la monnaie commune atteint une fin ignominieuse brisée sur les rives d'une nouvelle norme de réserve basée sur l'énergie qui il ne peut tout simplement pas rivaliser avec.
Tout comme l'Ukraine est rapidement découpée en petits morceaux par la Russie, l'Europe se balkanisera également face aux échecs de l'UE à assurer un avenir énergétique fiable à sa population.
Les demandes de la Russie que l'Europe paie les exportations russes par l'intermédiaire de la Gazprombank non autorisée, qui traitera la conversion des devises (aux frais de l'importateur) en roubles, lui donnent désormais le dessus dans toutes les transactions commerciales futures avec l'UE.
Et puisque le rouble est maintenant vaguement lié à l'or physique, cela signifie que la possibilité que l'euro défie jamais le dollar américain en tant que monnaie de réserve est désormais officiellement terminée. Ce destin a été scellé avec le passage de Draghi à des taux d'intérêt négatifs en 2014, ce qui en a fait la devise de portage ultime.
Ce statut se dénoue rapidement au détriment du yen japonais qui fait désormais la une des journaux pris au milieu de la guerre entre la Fed et la BCE.
- voir graph sur site -
Dans le même temps, le système de l'eurodollar est devenu une menace existentielle grâce à la fin prochaine du LIBOR qui a émoussé les désirs d'une Fed belliciste. De ce fait, la BCE est piégée dans un labyrinthe où les issues ont toutes été bloquées.
- voir graph sur site -
Il n'y a plus aucune raison pour que quiconque détienne des euros ou convertisse des euros en dette souveraine européenne. Les Russes ne vont plus soutenir le marché de l'eurodollar en recyclant son excédent commercial dans le système bancaire européen, exactement comme cela avait été prédit lorsque l'UE a suivi les États-Unis en saisissant les réserves de change de la Russie.
Qui, dans son bon sens, détiendrait des euros sur votre bilan au-delà de ce dont vous avez besoin pour payer des marchandises est une proposition perdante si Ursula Von der Leyen vous a considéré comme un Untermensch ?
Gazprombank transformera simplement ces euros en or physique et les ajoutera au bilan du pays, ce qui le rendra encore plus fort. Cela garantira que l'euro lui-même deviendra une monnaie paria et forcera la BCE à continuer sur la voie de l'hyperinflation.
La naissance d'une nouvelle Europe en est une où le risque de change repose désormais entièrement sur l'importateur de matières premières, et non sur l'exportateur de matières premières. Je dis depuis des années que l'Europe a toujours pensé que sa part énorme dans les exportations russes d'énergie lui donnerait un pouvoir de monopsone sur la Russie. Que, pensaient-ils, sans l'Europe comme acheteur, la Russie serait à leur merci.
Dans un monde hyper-financiarisé, cette hypothèse a toujours été vraie. Mais, dans un nouveau régime monétaire, où le monde est au-delà de la saturation de la dette, les factures sont dues et il n'y a plus de chemin à parcourir, ce n'est tout simplement plus vrai.
RépondreSupprimerAlors que la Russie lie le rouble à l'or et que les États-Unis et l'UE militarisent les marchés étrangers du dollar, cette perception erronée du pouvoir d'achat est mise à nu. Bien sûr, l'UE a des euros à offrir, mais elle le fait dans la réévaluation des matières premières par rapport aux monnaies fiduciaires qui ont des cas d'utilisation de plus en plus restreints.
Cela ne fait qu'alimenter la spirale descendante de l'euro et du système de l'eurodollar dans le vortex qu'est l'or physique et la demande de matières premières dont toute sa valeur est dérivée.
La souris en Hongrie a rugi assez fort pour que les apparatchiks de Bruxelles écoutent enfin la mélodie que l'ours russe fredonne tranquillement depuis des années.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/my-energy-your-problem-birth-new-europe
Pour parodier le Maréchal (dont nous fêtons aujourd'hui le 166 ème anniversaire) "La terre ne ment pas !" et, ce qui en ont en plus en dessous seront les rois du monde. Or Bruxelles s'est arrêté à la fable de la Fontaine "C'est le fond qui manque le moins".
SupprimerSi j’étais candidat à la présidence de la République française …
RépondreSupprimerle 24 avril 2022
Ma première mesure et la plus urgente. Devant la désertification des campagnes et la chute du nombre d’exploitants agricoles qui constitue une terrible menace pour la France dans moins de dix ans j’exonèrerai de tout impôt et de toute charge sociale quelle qu’elle soit y compris les cotisations retraite tous les exploitants agricoles. En outre, afin de reconstituer l’agriculture française en déclin année après année, tout droit de succession vers l’enfant d’un exploitant agricole désirant reprendre celle de son ascendant sera supprimé en effaçant les dettes de ce dernier. Le monde agricole nourrit le pays et rapportait encore des devises à l’État et ce n’est plus le cas puisque la balance agricole est maintenant déficitaire. Ces mesures sont une question de vie ou de mort pour le pays. Elles sont urgentes et vitales. Enfin, pour redonner vie au monde agricole français, il faut l’affranchir de toutes les régulations européennes, quelles qu’elles soient, la Commission européenne étant profondément gangrenée par les lobbys écologistes. Je pense notamment aux OGMs, à l’usage des pesticides de manière raisonnée (les agriculteurs savent de quoi je parle) et, dans ce cadre de revivification du monde agricole de la France, l’État devra mettre de l’ordre dans la pratique néo-colonialiste des grandes centrales d’achat qui approvisionnent les supermarchés, réalisant des bénéfices records sur le dos des agriculteurs.
En ce qui concerne la transition énergétique dont on nous rebat les oreilles relative à une supposée modification du climat induite par les émissions de gaz à effet de serre j’interdirai toute initiative liée de près ou de loin à ce programme de transition : éoliennes, installations de méthanisation, panneaux solaires et autres projets fantasmagoriques sortis de bureaux d’étude totalement déconnectés de la réalité. Dans ce cadre j’annulerai l’adhésion de la France à la politique énergétique européenne qui consiste à indexer le prix de KW heure sur celui produit par les centrales électriques au gaz naturel obligeant de ce fait EDF à vendre à perte ses KW heure d’origine nucléaire non polluante. Si la maffia anti-nucléaire de Bruxelles refuse cette décision il suffira à la France de menacer de se déconnecter du reste du réseau électrique européen, ce qui est tout à fait possible malgré ce que nous répètent à l’envi les politiciens.
Pour l’impôt, vaste programme, j’instituerai une « flat tax » de 18 % sur tous les revenus, qu’ils soient salariaux ou du capital appliquée à toutes les entités productrices de richesse. Je supprimerai l’impôt sur le revenu et la CSG (qui est déjà une « flat tax » qui ne dit pas son nom). Contrairement aux mesures prises pour les successions des exploitations agricoles j’instituerai un impôt sur les successions, hors cession entre parents et enfants d’entreprises industrielles, à un taux de 90 %, qu’il s’agisse de bâtiments, de terrains, de mobilier ou d’œuvres d’art. Ainsi l’économie ne s’en portera que mieux puisque les maisons et les appartements seront achetés par de nouveaux prétendants au logement. Ce système est celui en application dans deux pays que je connais bien, les États-Unis et le Japon. En outre, comme au Japon la taxe foncière, hors exploitants agricoles, sera proportionnelle au revenu. L’Etat et les contribuables y retrouveront leur compte.
Avant qu’il ne soit trop tard également : le « grand carénage » des centrales nucléaires existantes qui peuvent encore être exploitées sans problèmes jusqu’à 80 ans depuis le début de leur fonctionnement, la remise en exploitation de l’usine de Fessenheim, et l’abandon de tout projet de petits réacteurs modulaires car la France métropolitaine ne possède par de réseau adapté à ce type d’unité de production en dehors des départements et territoires d’outre-mer. J’ajouterai également que la France devrait décider de l’exploration des roches mères dans toute la partie nord de Bassin parisien ainsi qu’entre le delta du Rhône et les Pyrénées orientales. Il serait intéressant d’au moins connaître le potentiel de la technique de fracturation des roches mères pour que la France puisse être autonome en cas d’évènements géopolitiques majeurs.
RépondreSupprimerIl y a un point qui va agiter le quinquennat à venir, celui des retraites. Il faut laisser aux citoyens le droit de prendre leur retraite quand ils le désirent. Tout légiférer bloque les initiatives. Cependant un tel système ne peut être validé que par un système par capitalisation qui existe déjà dans certaines catégories d’employés de l’État ou de grandes entreprises … Il faudra dans ce cadre relancer l’emploi et la création d’entreprises par la simplification du code du travail en prenant modèle celui de la Suisse qui compte moins de 50 pages. Et pour conclure, bien qu’il soit peut-être trop tard, une réforme en profondeur du système scolaire qui est devenu moins performant que dans certains pays d’Afrique s’imposera. À méditer.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/24/si-jetais-candidat-a-la-presidence-de-la-republique-francaise/
🚨 ( ...) • En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes.
Supprimer• En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer un kg de viande (jambon ou steak), en 1990, il en fallait moins de deux.
De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10.
Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 14% actuellement.
Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
GLOBALEMENT AUJOURD'HUI, UN AGRICULTEUR FRANÇAIS NOURRIT 60 PERSONNES ALORS QU'EN 1960, IL NOURRISSAIT 15 PERSONNES POUR DEUX FOIS PLUS CHER. (...)
Comment nourrir demain 8 milliards de personnes dans le monde ? (la superficie des terres sur notre planète occupe 22 % - 78 par les mers & océans. Mais, sur ces 22 %, 95 % des terres ne sont pas cultivées et occupées par les forêts, les routes, les villes et les déserts).
Une grande exploitation voire une très très grande exploitation est forcément plus rentable car elle permet d'amortir plus vite la mécanique agricole (les tracteurs travaillent 24/24 h, comme les moissonneuses-batteuses lors des moissons).
Mais le climat est là. Le monde se refroidit (la nature ne ment pas). Et, la construction de serres est passée des Pays-Bas/Pologne/Allemagne à l'Espagne et l'Italie et gagne en Afrique du Nord.
Mais là, je voudrais apporter une expérience personnelle (je suis fils de paysan depuis x génération) et ai construit une serre plastique il y a 15 ans. La serre s'est agrandie au fil des années pour passer de 3 ou 4 m² à 70 m² (5,80 m x 12 m et 3 m de haut au chapiteau).
A l'intérieur il y a toute l'année en serre froide des plants de tomates (env.200) et des bananiers (+ de 200). Les bananiers portent des régimes (toute l'année).
Comment cela se fait-il ?
Au début du 20è siècle ont été lancées les briques creuses en terre cuite. Puis sont arrivés les parpaings alvéolés de 20 cm de large (rien à voir avec les maisons en pierres aux murs d'un m et + de large !). Ce qu'il faut retenir de cette découverte est l'espace d'air !
C'est ce qu'il y a dans ma serre. Serre doublée de 2 plastiques de 200µ espacés de 10 cm. C'est une serre gigogne (ou poupée russe). L'air circule sur les 4 côtés et au-dessus.
Voir photos et schémas de construction et coûts:
http://forum.latelierpaysan.org/viewtopic.php?f=130&t=4346&sid=577cb0c1d46fd1f65bd064a85b8486fb
Les vaccins contre le tétanos fonctionnent si bien que nous n'aurons peut-être pas besoin des rappels de dix ans, seulement de 30 ans…
RépondreSupprimerApril 24th, 2022
Qui savait ? Une étude est sortie en 2016 montrant que la plupart des gens avaient encore des anticorps contre le tétanos, ou "Lockjaw" même 60 ans après leur dernière vaccination. C'est un rappel de ce à quoi peut ressembler une vaccination réussie. Cela montre également l'extraordinaire capacité du système immunitaire humain à acquérir une protection à vie - cela ne se produit pas avec toutes les maladies, mais c'est le cas avec des choses comme la grippe, la poliomyélite, la rougeole et les oreillons, et peut-être le tétanos et la diphtérie.
L'étude a testé le sang de 546 personnes. Compte tenu des résultats frappants, les auteurs suggèrent que la nécessité d'un rappel de dix ans devrait être réévaluée, mais six ans après la sortie de l'étude, le CDC et le gouvernement australien disent toujours que nous avons besoin de « rappels de dix ans ». Quelqu'un regarde-t-il même ces données ?
Notamment, le passage à un calendrier de 30 ans pourrait permettre au gouvernement américain d'économiser 280 millions de dollars par an. Mais Big-Pharma ne sera pas trop content de cela. Il peut également prévenir "80 à 160 cas de névrite du plexus brachial" - un effet secondaire rare.
Une nouvelle étude suggère que nous n'avons pas réellement besoin d'un rappel antitétanique tous les 10 ans
par Fiona Macdonald, avril 2016
Nous avons tous grandi en sachant que nous devons recevoir un rappel contre le tétanos au moins une fois par décennie afin d'être protégés contre cette maladie potentiellement mortelle.
Cette stratégie a été incroyablement sûre et efficace, avec de nos jours seulement environ 31 cas de la maladie signalés chaque année aux États-Unis. Mais une nouvelle étude suggère que bien qu'il n'y ait rien de mal à être trop prudent, nous pourrions toujours être protégés de la maladie en recevant un seul rappel tous les 30 ans - et économiser beaucoup d'argent dans le processus.
… la nouvelle recherche a examiné combien de temps 546 adultes étaient réellement protégés contre la diphtérie et le tétanos, et a découvert qu'ils contenaient des anticorps contre les maladies jusqu'à 30 ans après avoir reçu leur dernier rappel - bien plus longtemps qu'on ne le pensait auparavant.
Voici l'étonnant graphique des titres d'anticorps chez les personnes après vaccination contre le tétanos (ci-dessous). Notez l'échelle sur l'axe des x, c'est un "y". Ce ne sont pas des jours après la vaccination, ce sont des années ! Les scores supérieurs à −2 log10 UI/mL sont considérés comme « protégés » contre le tétanos (marqués par une ligne pointillée). C'est presque tout le monde qui a été étudié - les 546 personnes impliquées.
RépondreSupprimerLe taux de mortalité pour le vrai tétanos est plutôt méchant de 13 %. Mais le tétanos lui-même est si rare que seulement 3 personnes en meurent chaque année aux États-Unis. Cependant, les taux d'anaphylaxie avec le vaccin sont de 1,6 par million, de sorte que la pratique de rappel tous les dix ans "devrait être réexaminée" (voir cette discussion ci-dessous).
De la légende : "95% de la population restera protégée contre le tétanos pendant 64 ans après la vaccination."
Vaccination contre le tétnus, graphique, anticorps, titre. Vaccination. Protection. 30 ans.
Immunité humorale au tétanos en fonction de l'âge et du temps après la vaccination. Les réponses en anticorps sériques spécifiques au tétanos ont été mesurées chez des sujets adultes et tracées en fonction de l'âge (A) ou du temps après la vaccination (B). La ligne pointillée dans chaque panneau représente le niveau d'anticorps requis pour la protection, équivalent à 0,01 UI/mL. B, la ligne bleue continue est la ligne de régression ajustée représentant le taux de décroissance de la demi-vie des anticorps, et la région bleue ombragée représente la limite supérieure et inférieure de l'intervalle de confiance (IC) à 95 % pour l'estimation transversale de la demi-vie des anticorps. La ligne bleue en pointillés représente un IC à 95 % de limite inférieure unilatérale basé sur une demi-vie de 14 ans et indique quand les titres d'anticorps spécifiques au tétanos diminueraient à 95 % de séroprotection en franchissant le seuil de protection de 0,01 UI/mL (c'est-à-dire - 2 log10 UI/mL) à 72 ans après la vaccination. La ligne verte en pointillés est basée sur une demi-vie estimée à 11 ans [7] et indique que 95 % de la population restera protégée contre le tétanos pendant 64 ans après la vaccination.
- voir graph sur site -
La protection contre la diphtérie n'est pas non plus « trop mauvaise » :
"... 95% de la population restera protégée contre la diphtérie pendant 30 ans après la vaccination."
Presque tous ces échantillons étaient encore au-dessus de la « ligne de protection », même une vie plus tard.
- voir graph sur site -
Diphtérie, titre d'anticorps, après vaccination. Graphique. La protection dure des années.
RépondreSupprimerImmunité humorale à la diphtérie en fonction de l'âge et du temps après la vaccination. Les réponses en anticorps sériques spécifiques à la diphtérie ont été mesurées chez des sujets adultes et tracées en fonction de l'âge (A) ou du temps après la vaccination (B). La ligne pointillée dans chaque panneau représente le niveau d'anticorps requis pour la protection, équivalent à 0,01 UI/mL. B, la ligne bleue continue est la ligne de régression ajustée représentant le taux de décroissance de la demi-vie des anticorps, et la région bleue ombragée représente la limite supérieure et inférieure de l'intervalle de confiance (IC) à 95 % pour l'estimation de la demi-vie des anticorps. La ligne bleue en pointillés représente un IC à 95 % de limite inférieure unilatérale basé sur une demi-vie de 27 ans et indique quand les titres d'anticorps spécifiques à la diphtérie diminueraient à 95 % de séroprotection en franchissant le seuil de protection de 0,01 UI/mL (c'est-à-dire - 2 log10 UI/mL) à 42 ans après la vaccination. La ligne verte en pointillés est basée sur une demi-vie estimée à 19 ans [7] et indique que 95 % de la population restera protégée contre la diphtérie pendant 30 ans après la vaccination.
Il y a une discussion très sensée des coûts-avantages de la sur-vaccination dans le document. Même avec un vaccin très sûr qui a des effets secondaires minimes, les programmes de vaccination de masse ont toujours un coût. Actuellement, le tétanos est administré dans le vaccin combiné DTC (diphtérie, tétanos, coqueluche). Les enfants reçoivent cinq (5 !) injections répétées.
Le tétanos est rare aux États-Unis, avec environ 27 cas signalés chaque année de 2008 à 2012 [29]. Bien que le tétanos soit hautement mortel chez les patients non vaccinés, la gravité de la maladie est fortement réduite chez les individus entièrement vaccinés [2, 30–33]. Sur 124 cas de tétanos, les 14 décès sont survenus chez des patients qui avaient reçu <3 doses de vaccin ou dont le statut vaccinal était inconnu, tandis que les 110 patients (100 %) qui ont reçu ≥3 doses de vaccin ont survécu [31, 32]. De 2001 à 2008, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont identifié 233 cas de tétanos (29 cas par an) pour une incidence annuelle de 0,1 cas pour 1 million de personnes [33]. Le taux global de létalité parmi les personnes vaccinées, non vaccinées et celles dont les antécédents de vaccination sont inconnus a été estimé à 13,2 %. Cela indique que le tétanos est extrêmement rare, avec un taux de mortalité d'environ 3 décès par an parmi une population de plus de 300 millions d'habitants.
La diphtérie est presque inexistante aux États-Unis, aucun cas n'ayant été signalé de 2008 à 2012 [29]. Cela indique qu'elle est moins fréquente que d'autres maladies bactériennes rares à déclaration obligatoire, notamment la tularémie, la peste, le choléra ou l'anthrax [29]. Les événements indésirables graves après vaccination contre le tétanos et la diphtérie sont rares, mais l'anaphylaxie est estimée à 1,6 cas par million de doses, et la neuropathie du plexus brachial peut survenir à raison de 5 à 10 cas par million de doses [3]. Lorsqu'ils sont multipliés par environ 16 millions de doses de vaccin contre le tétanos et la diphtérie (Td) administrées chaque année aux États-Unis [32], les événements indésirables graves comprennent environ 25 événements allergiques graves et 80 à 160 cas de névrite du plexus brachial. La surimmunisation procurant une augmentation négligeable de la protection [32], cela suggère que le rapport bénéfice/risque d'un schéma décennal de vaccination de rappel chez l'adulte devrait être réexaminé.
RépondreSupprimerNourriture pour la pensée. J'ai entendu dire qu'il pourrait également y avoir d'autres effets secondaires, et j'aimerais avoir confiance que le ministère de la Santé recueille ces données avec diligence.
Consentement éclairé…
REFERENCE
Hammarlund, E. et al (2016) Durability of Vaccine-Induced Immunity Against Tetanus and Diphtheria Toxins: A Cross-sectional Analysis, Clinical Infectious Diseases. 2016 July 01; 63(1): 150.
https://joannenova.com.au/2022/04/tetanus-vaccines-work-so-well-we-may-not-need-the-ten-year-boosters-only-a-30-year-one/#more-83178
A savoir que les personnes qui se sont faites inoculer joyeusement l'expérimentation génique d'essais (frauduleusement marquée 'vaccin' !) elles n'ont plus d'immunité !
SupprimerTous les vaccins depuis la naissance sont remis à zéro !
France : en reconnaissant fournir des armes lourdes à l’Ukraine, Macron commet une erreur politique mortelle
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
23 avril 2022
Une erreur mortelle qui aurait dû être évitée à tout prix.
Emmanuel Macron, président de la France, veut faire de la guerre en Ukraine une bataille politique capitale pour gagner la confiance des Français à seulement trois jours de la présidentielle. La stratégie n’est pas stupide. Mais, elle risque d’envenimer les relations déjà très tendues avec un partenaire clé qu’est la Russie.
En effet, le président français vient de révéler, dans un entretien accordé au média Ouest France, que la France va livrer à Kiev des équipements militaires. Ainsi, à la question de savoir si l’Europe doit fournir des armes lourdes à l’Ukraine pour l’aider à faire face à la menace russe, le plus jeune président de la Vème République est catégorique.
“Chacun prend ses responsabilités avec ses équilibres politiques, et je ne m’immisce pas dans la vie politique des uns et des autres. Nous sommes très coordonnés. J’ai parlé avant-hier au Chancelier Scholz sur ce sujet. Nous livrons quand même des équipements conséquents, des Milan aux Caesar en passant par plusieurs types d’armements. Je pense qu’il faut continuer sur ce chemin. Avec toujours une ligne rouge, qui est de ne pas entrer dans la cobelligérance”, dit-il.
Au-delà d’être maladroite, la révélation, faite par Macron, est extrêmement périlleuse pour la France qui n’aurait jamais dû suivre aveuglément la stratégie belliqueuse de Washington qui, ces dernières semaines, militarise sans gêne l’Ukraine à coups de plusieurs millions de dollars d’aides militaires.
En effet, si l’on admet que tenir tête à Vladimir Poutine est une obligation morale, force est de reconnaître que la France a aujourd’hui tout intérêt à ne pas mettre en danger ses alliances avec Moscou pour les beaux yeux des Etats-Unis qui, eux, ne rêvent que d’une chose : asphyxier économiquement la Russie en coupant ses liens économiques avec l’UE pour finalement faire de celle-ci (l’UE) son prochain client en gaz et en pétrole.
D’ailleurs, le dernier coup de maître des Etats-Unis qui ont profité de la crise en Ukraine pour obliger l’UE à lui acheter son gaz est la preuve évidente que Washington est, pour le moment, le seul grand gagnant dans cette guerre. Mais, la posture anti-russe de Macron, totalement assumée, est un danger mortel pour la France qui, du jour au lendemain, risque de se retrouver dans une situation économique extrêmement catastrophique pour plusieurs raisons :
un embargo sur l’énergie russe coûterait à la France entre 3 et 7 milliards d’euros tel que révélé par le média La Tribune.
plus de 1 200 grands groupes français (Total, Carrefour, Leroy Merlin, Decathlon….) sont installés en Russie où ils empochent un pognon de dingue. Par exemple, en 2021, Auchan (pour ne citer que cette multinationale française) a réalisé 3,1 milliards d’euros de bénéfices en Russie.
3. Sur le plan militaire, l’attitude de Macron représente une sérieuse menace pour la France qui, d’après une enquête de l’ONG Disclose, est l’un des plus grands fournisseurs d’armes de la Russie depuis plusieurs années. D’ailleurs, d’après l’ONG, depuis 2015, la France a livré au moins 76 licences d’exportation de matériel de guerre à la Russie pour un montant estimé à environ 152 millions d’euros.
Compte tenu de tous ces facteurs mentionnés, il est donc évident que la Russie est un allié stratégique pour Paris qui ne devait jamais tomber dans le piège de Washington en la menaçant ouvertement. L’attitude de Macron peut se comprendre. Car, à quelques jours d’un second tour qui tient en haleine toute la France, il a besoin de se démarquer complètement de sa rivale, Marine Le Pen, dont les liens très étroits avec le régime russe lui ont valu, depuis le début de la guerre en Ukraine, de virulentes critiques en provenance non seulement de la classe politique française, mais aussi de l’UE.
RépondreSupprimerEn armant l’Ukraine, Macron assume totalement son choix d’envenimer une situation déjà délétère, ce qu’il fallait éviter à tout prix. Et le pire est qu’en s’alliant à Washington et en suivant strictement sa politique étrangère russophobe et contre-productive, Macron risque de déclencher le courroux de l’homme fort du Kremlin qui, en guise de représailles, pourrait infliger à la France une sanction économique d’une rare violence.
En tout cas, le 1er mars dernier, Dmitry Medvedev, bras droit de Poutine, avait mis en garde Paris en ces termes : “un ministre français a dit aujourd’hui qu’ils nous avaient déclaré la guerre économique. Faites attention à votre discours, messieurs ! Et n’oubliez pas que les guerres économiques dans l’histoire de l’humanité se sont souvent transformées en guerres réelles”.
https://lecourrier-du-soir.com/france-en-reconnaissant-fournir-des-armes-a-lukraine-macron-commet-une-erreur-politique-mortelle/
Le soutient de micron (et non pas la France car on leur demande pas leur avis) à l'armée nazie montre bien l'amitié qui lie les dictateurs à bombarder l'Est de l'Ukraine qui refuse de voter pour la nazional socialiste au pouvoir !
SupprimerCoup de théâtre : des pays de l’UE se révoltent et menacent de bloquer par véto tout embargo sur le gaz russe
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
23 avril 2022
Dans une interview publiée ce 22 avril par le journal espagnol El Pais, le diplomate espagnol Josep Borrell, Haut Représentant de l’UE pour les Affaires étrangères, a reconnu que des pays membres (de l’UE) se sont révoltés en interne allant jusqu’à menacer de bloquer toute sanction collective contre le gaz et le pétrole russe
La Russie finira-t-elle par désintégrer l’Union Européenne ? Il serait assez imprudent de notre part de croire à cette thèse. Cependant, ce qui est certain, c’est que les menaces et les sanctions que l’Union Européenne et l’Occident veulent imposer ne seront jamais approuvées à l’unanimité.
C’est du moins ce qu’a révélé Josep Borrell, Haut Représentant de l’UE pour les Affaires étrangères qui, dans une interview accordée au média Lena et relayée par Le Figaro, a clairement fait savoir qu’au sein de l’Union Européenne, des pays ont menacé de mettre leur véto si jamais l’Union venait à imposer un embargo collectif sur le gaz et le pétrole russe.
“L’Union Européenne n’a pas donné de directives pour un embargo sur le pétrole et le gaz russe. Il y a des États membres, vous les connaissez, qui ont clairement déclaré qu’ils mettraient leur véto à cet embargo collectif. Si tel est le cas, alors qu’on le veuille ou non, une décision unanime ne peut pas être prise. Je suis désolé, mais c’est comme ça”, a-t-il déclaré.
Pour le diplomate espagnol, en ce qui concerne les sanctions russes, chaque Etat va agir de son propre chef. “Si quelqu’un ne veut pas participer (à cette sanction collective), d’autres le pourront. L’unanimité n’est pas nécessaire pour agir volontairement. (…) Ils peuvent agir de leur côté”, ajoute Josep Borrell.
Si le Haut Représentant de l’UE se garde de dévoiler les noms des pays qui seraient contre un embargo collectif sur le gaz russe, on peut immédiatement penser à deux Etats : l’Allemagne et la Hongrie. En effet, ces derniers jours, les deux dirigeants de ces deux pays ont ouvertement affiché leur désaccord quant à toute politique qui viserait à mettre fin à l’importation de gaz et pétrole au sein de l’UE.
https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-des-pays-de-lue-se-revoltent-et-menacent-de-bloquer-par-veto-tout-embargo-sur-le-gaz-russe/
Peter Sloterdijk, le plus grand philosophe européen, détruit les Français : “ils ne votent pas avec leur cerveau”, dit-il
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
24 avril 2022
Le très influent philosophe allemand, Peter Sloterdijk, a accordé une interview exclusive au média Le Point et intégralement lue par Lecourrier-du-soir.com. L’un des plus grands philosophes européens déplore que l’électeur français “ne vote plus avec son cerveau”, mais “dans une forme d’hystérie abstraite, avec ses entrailles”
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’interview dans sa version intégrale
Excellente lecture
Le Point : Comment observe-t-on la campagne électorale française depuis l’autre côté du Rhin ?
Peter Sloterdijk : Enfin sérieusement ! Pendant quelques mois, elle s’est déroulée comme une affaire qui ne concernait que les correspondants des grands journaux allemands à Paris tandis que le grand public restait, lui, hypnotisé par les événements à l’Est : d’abord le déploiement des troupes russes aux frontières de l’Ukraine et, depuis le 24 février, le choc de la guerre réelle sur le sol européen. Cela ne fait que deux ou trois semaines qu’on commence à deviner le drame qui pourrait avoir lieu chez notre voisin bien-aimé de la rive gauche du Rhin…
Vous dites « drame ». Mais pour les Allemands, en serait-ce un ?
Oui, car il s’agit rien de moins que de l’avenir de la construction européenne, au moment où celle-ci dépend plus que jamais de l’entente pragmatique entre Paris et Berlin. La perspective d’une sécession nationaliste de la France du projet européen – devenue, semble-t-il, une possibilité – provoque le vertige chez les partenaires de la France partout en Europe et surtout en Allemagne. D’autant plus qu’une victoire de l’extrême droite en France est ce que souhaite Poutine : il sait très bien que pour détruire l’Ukraine il faut d’abord désunifier l’Europe. Donc, un vote pour Le Pen sera un vote pour Poutine. Il s’agit aussi rien de moins que de l’avenir de la social-démocratie, qui a été un des éléments essentiels pour garantir la paix sur notre continent depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Une victoire de l’extrême droite en France est ce que souhaite Poutine : il sait très bien que pour détruire l’Ukraine il faut d’abord désunifier l’Europe.
Pourquoi la social-démocratie est-elle en crise, selon vous ?
RépondreSupprimerUne véritable confusion politique s’est emparée des pays européens après l’effondrement de l’Union soviétique : la disparition du spectre communiste a en effet fait perdre aux social-démocraties européennes l’argument selon lequel elles incarnaient le moindre mal face aux dictatures de l’Est. Ensuite, après la dissolution de ce grand adversaire, la gestion des inégalités par la croissance économique et la politique de l’État social ont montré leurs limites, et l’inégalité produite par l’économie financière, notamment, a éclaté au grand jour. Les populations laissées de côté par les espoirs d’amélioration que leur promettait la social-démocratie se sont senties condamnées à regarder leur situation d’un œil plus froid. Après la désillusion est venue la rage contre ce qu’ils appellent « le système ». On l’a vu après la crise bancaire de 2008 : de nombreux mouvements politiques associaient des raisonnements d’extrême droite à des motifs plutôt de gauche, comme l’appel aux gens simples qui travaillent dur et se retrouvent souvent les mains vides après une vie de labeur. On a pu déceler des phénomènes comparables dans les années 1930. La différence, c’est que les gens simples d’alors n’avaient pas bénéficié du généreux « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron. Sur ce point précis, il n’est pas exagéré de dire que les gens qui viennent de profiter financièrement du soutien de l’Élysée pendant cette crise du Covid-19, un soutien dont nul Européen n’a bénéficié à ce point, manquent un peu de reconnaissance…
Le bloc extrémiste, incarné par Marine Le Pen, Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, est désormais majoritaire en France, à près de 55 %. Idéologiquement, il est assez cohérent : poutinophile, antieuropéen, antiaméricain, antimondialiste, et détestant les « élites ». La France est-elle toujours ce « pays philosophique » que vous aimiez ?
Oui, sans nul doute, la France est encore un pays « philosophique », dans le sens où les Français n’ont pas complètement perdu leur goût des débats autour des idées abstraites. Mais la France est aussi ce pays où le premier tour de la présidentielle donne lieu à un phénomène que je ne cesse de constater avec un souci croissant. Une sorte de terrible carnaval un peu rabelaisien s’y déroule, où les Français se donnent le plaisir de se déboutonner. Tous les cinq ans, c’est comme s’ils profitaient de l’occasion pour laisser tomber tout tact politique, toute réflexion stratégique, en se vouant à un « expressionnisme » sans limites. Il ne s’agit plus alors de voter avec son cerveau, en vue d’un résultat dont on peut assumer la responsabilité, mais de voter, dans une forme d’hystérie abstraite, avec ses entrailles. Un carnaval accéléré par la pression des réseaux sociaux qui organisent et amplifient la désinhibition. Freud n’est pas le seul auteur à nous rappeler que ce que l’on appelle la civilisation n’est au fond qu’un mince vernis de conventions sur des énergies primitives latentes, toujours prêtes à entrer en éruption.
Mais pourtant ces électeurs disent voter en conscience, et invoquent des raisons à leur vote : le mépris des élites, le « dégagisme », le pouvoir d’achat qui baisse…
RépondreSupprimer… alors que le pouvoir d’achat des Français a augmenté d’environ 300 euros par an en moyenne entre 2017 et 2021 selon les calculs des économistes… Vous savez, il n’y a rien de plus cohérent qu’une folie. Son « esprit de système » est la première de ses qualités. Comme le cœur, la folie a des raisons que la raison ne connaît pas. On nie d’abord le réel. À partir de là on fabrique un raisonnement. Ce qui me semble accablant, c’est que le pays des Lumières choisisse l’illusion face à la réalité. En Allemagne, on contrôle un peu mieux ce que j’appelle les « réflexes primitifs » mais en France, l’irrationnel est en train de franchir un seuil. La fureur des populismes a toujours pu être domestiquée lors du deuxième tour, mais cette fois-ci le jeu n’est pas joué d’avance. Car pour la première fois, cet irrationnel est alimenté par un ressentiment incendiaire qui pourrait l’aider à s’imposer. Qui se sent exclu de « l’élite » n’a pas besoin d’une explication rationnelle au fait qu’il ne considère pas « leur » système comme le sien. N’oublions pas que dans le vocabulaire du nazisme, le terme « système » désignait la totalité de ce que les enragés des années 1930 détestaient.
Avant les élections, il a été fait à Emmanuel Macron un procès en « illégitimité », et rarement on a vu un président aussi haï. Expliquez-vous cette détestation par le fait qu’en France la guillotine n’est jamais loin ? Lui-même en convient, d’ailleurs, dans l’interview qu’il a accordée au Point… N’êtes-vous pas surpris par la haine qu’il suscite ? Y compris dans la jeunesse qui occupe et saccage la Sorbonne parce qu’elle refuse de choisir entre Le Pen… et Macron ?
Il faut mettre ces événements de la Sorbonne sur la note du grand festin « carnavalesque » dont je parlais. Quatre jeunes sur dix ne se sont pas déplacés jusqu’aux urnes, n’est-ce pas ? Quand on est jeune en France en 2022, le monde semble être un restaurant où l’on peut refuser le plat du jour. Un autre menu est possible ! Quant à la haine que suscite Emmanuel Macron, elle ne me surprend pas. Il n’a pas été l’élu d’une majorité convaincante. Sa percée a eu lieu en France à un moment où la fatigue des jeux politiques ordinaires atteignait un sommet aussi périlleux que compréhensible. Il était apparu en 2017 comme un fantôme prometteur – mais face à une scène politique qui massivement, dès le début, ne souhaitait que son échec. C’est à croire qu’en France, on refait des rois pour pouvoir leur trancher la tête autant qu’on veut. La France semble être restée un pays structurellement royaliste, mais seulement pour cultiver un royalisme négatif. Vous connaissez la définition lacanienne de l’hystérie ? Le fait de rechercher un seigneur qu’on va tyranniser par le spectacle de l’insoumission…
Ce qui me semble accablant, c’est que le pays des Lumières choisit l’illusion face à réalité. L’irrationnel est en train de franchir un seuil. La fureur des populismes a toujours pu être domestiquée lors du deuxième tour, mais cette fois-ci le jeu n’est pas joué d’avance.
Mais ce vote n’exprime-t-il pas aussi le retour de pulsions qui, dans l’Histoire, ont déjà travaillé l’Europe, notamment l’Allemagne, et qui n’ont pas d’ailleurs épargné la France ?
RépondreSupprimerLa France, vue de l’extérieur, est un eldorado pour le mythe du sauveur. Il y trouve un terreau particulièrement fécond. Le dernier grand moment où il a fallu sauver la nation a été celui du général de Gaulle. Un général pleinement lucide quand il avouait que son adversaire était le maréchal Pétain mais que c’était aussi la France. D’ailleurs, de Gaulle n’a pu sauver l’honneur de la France que grâce à la générosité condescendante des Alliés, qui lui ont permis de rouler dans Paris avant les troupes américaines (et avec des chars qu’ils lui avaient prêtés !) afin d’offrir à la nation humiliée le spectacle de la Libération. C’est une sorte d’imposture primordiale : le leurre originel qui a fondé la France de l’après-guerre. Eh oui, bien sûr, l’ombre de ces événements se porte encore sur les débats politiques d’aujourd’hui. La haine contre Macron reproduit la haine de soi de ceux qui ont bénéficié en enfants gâtés d’une victoire gratuite. D’où l’antiaméricanisme français et la haine des libéraux.
Comment expliquez-vous l’explosion des grands partis « notables », PS comme LR ?
Qu’est-ce qu’un parti politique ? Issus des tensions qui se sont fait jour à l’intérieur des nations modernes au cours du XIXe siècle, les grands partis, qu’ils soient socialistes, libéraux ou conservateurs-catholiques, ont substitué à la guerre civile une compétition entre différents capitaux psychopolitiques : un parti, en effet, c’était une banque qui se nourrissait de la collecte des émotions politiques. À gauche, c’était surtout une banque de colère, d’indignation et d’espoir. À droite, une banque d’angoisse, de demandes de stabilité. En milieu libéral, une banque des expansions et des conquêtes progressives. Aujourd’hui, le mécanisme de la collecte s’est grippé parce que le capital principal du processus démocratique, l’espoir, l’attente d’améliorations modestes, est en train de se dissoudre dans le spectre d’une inflation accélérée. L’insatisfaction s’accroît de plus en plus, sans vraiment savoir où s’investir. On ne se sent plus représenté par un parti, alors il ne reste que la fuite dans une adhésion spéculative. « L’insoumission » de Jean-Luc Mélenchon, par exemple, ne propose qu’un cocktail d’illusions parapolitiques prêtes à se dissoudre en quelques semaines au cas où le chef prendrait sa retraite. À l’heure actuelle, elle permet juste à ses sympathisants l’expression de leur colère par un mélange bizarre de « national-révoltisme » et de socialisme des frustrés à l’échelle de l’Hexagone. Le Rassemblement national se définit, lui, par l’opposition au « système » tout court, et une simple adhésion à la volonté de renverser la table. Jacques Julliard expliquait déjà en 2014 que Marine Le Pen voulait transformer son pays en une Argentine européenne : c’est la banqueroute sous les drapeaux hissés !
Et Macron face à tout cela ?
RépondreSupprimerOn lui en veut d’avoir compris le malheur français. En 2017, tout le monde voulait en finir avec ce jeu politique trop connu : on demandait du nouveau, et Macron est apparu, tout jeune dieu dans la machine. Si ses débuts ont été caractérisés par sa volonté d’incarner l’homme fort que le pays cherchait aussi, la vérité est qu’il était trop jeune et pas suffisamment barbu pour le rôle jupitérien qu’il se rêvait de tenir. C’est un humain trop palpable, usant d’un charme subtil qui, s’il agit sur beaucoup de gens, provoque aussi des réactions négatives, et même, ensuite, un dépit amoureux. La gauche le déteste en raison de ses compétences économiques, et la droite hait son européisme. Même sa gestion très remarquable de la crise du Covid n’a pas calmé les ressentiments. Pas assez fort, Macron, pour produire les miracles qu’on attend depuis les beaux jours de Mitterrand, qui décevait les espoirs à sa façon : royale. À l’heure actuelle, on dirait que les Français semblent se demander si Marine Le Pen n’a pas « les couilles » qu’ils cherchent, selon la belle expression gauloise.
À l’heure actuelle, on dirait que les Français semblent se demander si Marine Le Pen n’a pas « les couilles » qu’ils cherchent, selon la belle expression gauloise.
Marine Le Pen joue pourtant l’identification féminine avec Angela Merkel, en signant ses tracts d’un « M », comme « Mutti »…
Angela Merkel était une dame qui avait gardé le secret de son identité sexuelle. C’était une apparition féminine entourée par une aura métasexuelle, le réceptacle idéal d’un pouvoir neutre et polyvalent. Elle incarnait parfaitement la théorie selon laquelle les politiciens les plus efficaces sont des personnalités qui fonctionnent en tant que « conteneur », c’est-à-dire comme un réceptacle vide prêt à ramasser toutes sortes de dépôts. Beaucoup de gens croyaient pouvoir y déposer leurs soucis et leurs illusions.
Marine Le Pen a pourtant passé toute sa campagne à mettre en avant son statut de femme divorcée, de « mère » blessée par sa nièce Marion Maréchal quand celle-ci l’a abandonnée pour Éric Zemmour. Sans parler de son amour des chats, constamment souligné…
L’amour des chats n’exclut pas qu’on puisse vouloir être un réceptacle de pouvoir. Souvenez-vous de ce grand criminel qu’est Blofeld dans les « James Bond », et qui caresse son chat en préparant ses projets de destruction du monde…
Pourquoi le libéralisme ne fait-il plus rêver ? Ni même la liberté ? En France, le sociologue Jean-Claude Kaufmann a récemment publié un livre intitulé C’est fatigant la liberté… Une leçon de la crise, où il évoque une « civilisation du pyjama »… Serait-ce aussi une explication de l’esprit du temps ? La liberté est devenue fatigante, alors le libéralisme aussi ?
RépondreSupprimerUn bon mot de Karl Lagerfeld me vient à l’esprit : « Celui qui sort de sa maison en vêtement de jogging a perdu le contrôle de sa vie. » Beaucoup de gens, c’est vrai, semblent être à la recherche, en ce moment, de la perte de contrôle. Ils veulent pouvoir se laisser aller sans devoir regretter les conséquences de leur comportement décontracté. Le libéral, au contraire, c’est quelqu’un dont la raison d’être tient en cette phrase : « être en vie c’est être en forme », et être en forme, c’est être prêt à servir à quelque chose, à se rendre utile, à donner aussi… Mais hélas le libéralisme a été abîmé, en France comme presque partout ailleurs, par une fiscalité qui fait passer ceux qui donnent le plus en débiteurs qui ne donnent pas assez.
La guerre que mène la Russie en Ukraine marque-t-elle pour vous un changement d’ère géopolitique ?
Sans aucun doute. Poutine détruit le crédit qu’on avait accordé à son pays après l’effondrement de l’Union soviétique. Son comportement provoque une rechute dans une ère où la guerre d’agression est une réalité avec laquelle il faut compter. Certes, l’Europe a commis des erreurs impardonnables au tournant de l’an 2000 en méprisant la volonté de la Russie de rejoindre l’espace européen. La Russie actuelle est en train de devenir le grand salaud, « the villain » – comme on dit à Hollywood –, du polar politique. Elle est en train de prendre, pour un temps indéfini, la place qu’occupait l’Allemagne entre 1939 et 1945, c’est-à-dire celle d’un grand repoussoir, mais sans le moindre élément de « soft power » qui pourrait lui permettre de fasciner…
L’Europe a commis des erreurs impardonnables au tournant de l’an 2000 en méprisant la volonté de la Russie de rejoindre l’espace européen.
L’Allemagne continue d’acheter du gaz russe. N’est-ce pas un véritable scandale, au-delà du ridicule, quand l’Europe prétend imposer des sanctions à Vladimir Poutine ? Les pays Baltes, eux, trouvent des solutions.
Ces achats vont cesser, mais nous sommes dans un état de dépendance vis-à-vis de la Russie – ce qui, normalement, devait être un élément de stabilité. Car en principe, plus on dépend de l’autre, plus l’autre, à son tour, dépend de nous. C’est en effet dans l’interdépendance que se cache un des secrets de la sécurité commune. Nous avons spéculé sur une possible domestication de Poutine et nous avons été trompés. Sans doute voulions-nous être trompés ! Dès sa guerre contre les Tchétchènes en 1999 et 2000, avec l’« urbicide » de Grozny, pour reprendre un terme utilisé par le politologue new-yorkais Marshall Berman, l’architecte serbe Bogdan Bogdanovic et l’historien allemand Karl Schlögel, nous aurions pu voir qui était Poutine. Or nous n’avons pas voulu voir.
Berlin achète des avions F-35 américains. Dans son interview au Point, Emmanuel Macron explique que c’est parce que l’Allemagne a besoin d’une ombrelle nucléaire, et que ces avions sont les seuls homologués pour porter les armes américaines. Que vous inspire cette façon allemande d’opter pour la dissuasion nucléaire, mais de ne pas choisir l’ombrelle française ?
Pour moi, les déclarations de notre gouvernement ne sont que des gesticulations issues de la désorientation qui règne dans la chancellerie allemande et des improvisations réalisées devant un public stupéfié. Il faudrait que le réarmement, si vraiment il est nécessaire, soit la conséquence d’une analyse plus vaste et d’un dialogue approfondi avec les militaires, et pas une fanfaronnade comme cela a été le cas, un geste décidé par Olaf Scholz dans la solitude d’un bureau pendant un week-end très long. Ça ne me rappelle que trop ce 4 août 1914 où les sociaux-démocrates ont voté les crédits de guerre. L’existence de l’Allemagne de 1949 se fondait sur un serment solennel : ne jamais s’armer nucléairement et se contenter d’une armée conventionnelle ! En 2022, il aurait mieux valu faire un investissement dans le sens d’un « Dôme de fer » comme l’a fait l’État d’Israël, avec des fusées antifusées qui protègent le pays contre une agression stratégique. Cette complexité mériterait un grand débat. Normalement, on réfléchit, et puis seulement on achète. Nous, on achète, puis on se met à comprendre que le service après-vente sera insuffisant : des experts américains ont publié une liste de plus de 500 améliorations nécessaires pour les F-35. Macron a davantage raison de réfléchir à une coordination des forces sous une gestion européenne.
RépondreSupprimerNous, on achète, puis on se met à comprendre que le service après-vente sera insuffisant : des experts américains ont publié une liste de plus de 500 améliorations nécessaires pour les F-35.
En tout cas, ces manœuvres semblent signer la fin de l’Union européenne comme un « club de vaincus » voué à la médiocrité, comme vous la décriviez dans votre livre « Réflexes primitifs , et annoncent plutôt une Europe-puissance ?
Quand je parle de médiocrité, il faut bien me comprendre, et se rendre compte de ce qu’a bâti le projet européen : une entité de 450 millions de personnes sans empereur ni projet impérial, et résultant de l’échec historique d’une dizaine de projets nationaux-impériaux. Vingt-sept pays unis exclusivement par une vision de coexistence aussi libre que possible, aussi coopérative que faisable. Avec des dissensions, certes – qui n’en aurait pas à vingt-sept ? –, mais suffisamment d’interactions réussies pour se poser là comme un petit miracle. L’Union européenne n’enflamme pas les masses ? Tant mieux, elle n’est pas faite pour cela. Elle est faite pour la paix, pour l’existence civilisée du plus grand nombre. D’où l’importance de sa médiocrité. Elle n’exclut pas de disposer des moyens nécessaires pour défendre sa sécurité. Parlons alors d’une médiocrité musclée.
Mais cette « médiocrité » que vous appeliez de vos vœux peut-elle être crédible quand on fait face à des pays qui veulent redevenir, précisément, des empires ? La Russie, ou la Chine…
Marcel Mauss, en 1936, dans un débat du Collège de France, après une conférence d’Élie Halévy sur « l’ère des tyrannies », avait dit que ce qui fondait l’Union soviétique était l’existence d’un gouvernement du « complot permanent ». Le même diagnostic valait pour la Chine de Mao, et maintenant, il vaut pour celle de Xi. Le vrai nom de la « dictature du prolétariat » est « le complot permanent » d’un comité central et des services secrets contre la totalité de la population. La Russie a vécu un moment de répit après 1990, mais le moment est passé et le complot est revenu : les services secrets y ont repris le pouvoir. Face à cela, oui, notre médiocrité est encore efficace. Quoi, sinon ? Les Ukrainiens sont prêts à mourir pour Kiev. Je me demande si les Parisiens seraient prêts à mourir pour leur ville. Mais je suis sûr qu’ils n’ont pas envie de mourir pour l’Ukraine comme en 1939, confrontés aux revendications allemandes, ils n’avaient pas envie de « mourir pour Dantzig ».
RépondreSupprimerSoit, mais vous faites référence à une formule de Marcel Déat, qui, après avoir soutenu Daladier dans sa politique de l’appeasement contre Hitler, est devenu totalement collabo ! Une Europe « non puissante » ne nous condamne-t-elle pas à accepter à chaque fois les revendications des agresseurs puisque nous avons peur de nous battre ? En 1978, déjà, à Harvard, Soljenitsyne voyait dans l’Occident « le déclin du courage »…
Oui, et pour revenir à Dantzig, la question était déjà actuelle en 1940 quand les armées allemandes ont envahi la France. On sait que la résistance des troupes était faible et que le maréchal Pétain ne voulait pas sacrifier la moitié de la jeunesse masculine de la France dans un combat perdu d’avance. Après la guerre, l’Europe entière, sauf la France, a voulu se cacher sous le bouclier nucléaire américain… Mais la confiance dans les Américains s’est affaiblie, on ne peut plus guère se fier aux Britanniques, donc il va falloir assumer le poids d’une politique de sécurité qui portera un cachet européen plus marqué. C’est justement parce que personne n’a envie de se battre, pas plus qu’en 1940, que la dissuasion nucléaire conventionnelle s’impose. Parce qu’elle permet de rassembler les « restes » du courage commun, qui décline, mais qui est encore là, pour résister aux rêves impériaux de Moscou, et cela au moins jusqu’à la fin des années Poutine. Après, une nouvelle architecture européenne de sécurité sera nécessaire, et elle sera réalisable pourvu que la Russie ne persiste pas trop longtemps dans son rôle de rogue state. L’Union européenne compte trois fois plus d’habitants que la Russie, elle possède 27 armées nationales éparpillées. On pourrait faire beaucoup de choses avec un certain effort de concentration ! Mais pour arriver à cela, une France avec une forte vocation européenne reste indispensable. Raison de plus pour ne pas voir tomber la France entre les mains d’une aventurière larmoyante qui aime trop les chats !
https://lecourrier-du-soir.com/peter-sloterdijk-le-plus-grand-philosophe-europeen-detruit-les-francais-ils-ne-votent-pas-avec-leur-cerveau-dit-il/
(...) C’est justement parce que personne n’a envie de se battre, pas plus qu’en 1940, que la dissuasion nucléaire conventionnelle s’impose. (...)
SupprimerLa Russie peut rayer Kiev de la carte en moins de 10 secondes et avec une bombe nucléaire à laquelle PERSONNE ne répondra !
Donc: n'inventons pas une '3 ème guerre mondiale' car ce qui se prépare n'est rien d'autre qu'un Pearl Harbor et un Nagasaki-Hiroshima !
Utiliser la guerre pour attaquer la liberté
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
21 avril 2022
La plupart des juges et des avocats conviennent que la guerre contre la drogue au cours des 50 dernières années a sérieusement diminué le droit à la vie privée garanti par le quatrième amendement.
Aujourd'hui, un petit groupe d'universitaires juridiques soutient que la guerre en Ukraine devrait être utilisée pour réduire les droits de propriété garantis par le cinquième amendement.
Voici la trame de fond.
Le quatrième amendement a été rédigé pour garantir que le gouvernement ne peut perquisitionner et saisir des personnes, des maisons, des papiers et des effets qu'en vertu d'un mandat de perquisition délivré par un juge après la présentation sous serment de preuves démontrant que l'endroit à perquisitionner contient plus qu'improbable preuve de crime. Et le mandat lui-même doit décrire précisément l'endroit à perquisitionner et la personne ou la chose à saisir.
Ces exigences – l'œuvre de James Madison, qui fut le rédacteur de la Constitution en 1787 et l'auteur de la Déclaration des droits en 1791 – devaient avoir deux effets.
Le premier effet a été de défendre le droit typiquement américain d'être laissé seul. La seconde était d'obliger le gouvernement à concentrer son personnel et ses actifs chargés de l'application de la loi sur les crimes pour lesquels il existe une cause probable, et non sur des expéditions de pêche ou des intuitions.
Le langage de Madison interdisait absolument l'utilisation des mandats généraux, un outil favori du gouvernement britannique contre les colons. Les mandats généraux étaient basés sur tout ce que le gouvernement voulait ou prétendait avoir besoin.
Les colons étaient tourmentés et poussés à la révolution par des mandats généraux, car ils autorisaient les agents britanniques à fouiller où ils le souhaitaient et à saisir tout ce qu'ils trouvaient. Certes, la terrible expérience coloniale avec les mandats généraux a été une force motrice derrière la formulation et la ratification du quatrième amendement.
Malheureusement, pendant la guerre contre la drogue, les procureurs et la police ont persuadé les juges de créer des exceptions "d'urgence" au quatrième amendement. Il s'agissait notamment de permettre à la police de rechercher tout ce qu'elle voulait dans les voitures et les maisons, et d'utiliser la CIA pour une surveillance sans mandat, de peur que les drogues soi-disant recherchées ne soient détruites avant d'être capturées.
Cela a eu pour effet de détruire une liberté fondamentale par déférence pour faciliter le travail de la police ; c'est la définition d'un état policier. Les tribunaux ont effectivement statué que, d'une manière ou d'une autre, la Constitution préfère que la liberté – plutôt que la preuve de crimes – soit détruite.
RépondreSupprimerLe cinquième amendement protège la vie, la liberté et la propriété de toutes les personnes contre la destruction ou l'agression par le gouvernement sans procédure régulière. La procédure régulière exige un procès devant jury au cours duquel le gouvernement doit prouver sa faute.
Ainsi, les biens ne peuvent être saisis temporairement ou pris de façon permanente sans un mandat de perquisition ou un procès devant jury.
Revenons maintenant à la guerre en Ukraine.
J'ai soutenu dans cette chronique et ailleurs que les sanctions de l'administration Biden imposées aux personnes et aux entreprises russes et américaines sont profondément inconstitutionnelles parce qu'elles sont imposées par décret exécutif plutôt que par législation et parce que les sanctions constituent soit la saisie de biens sans mandat, soit la prise de propriété sans procédure régulière.
Lorsque les autorités fédérales saisissent un yacht d'une personne qui, selon elles, aurait financé l'accession au pouvoir du président russe Vladimir Poutine, elles le font en violation directe de la clause de procédure régulière du cinquième amendement.
De même, lorsqu'ils gèlent des avoirs russes dans des banques américaines, ils procèdent à une saisie, et les saisies ne peuvent constitutionnellement être effectuées qu'avec un mandat de perquisition fondé sur la cause probable du crime.
De plus, lorsque le gouvernement fédéral interfère avec les droits contractuels en interdisant le respect de contrats légaux, cela implique également une procédure régulière et ne peut être fait constitutionnellement qu'après un verdict du jury en faveur du gouvernement, lors d'un procès au cours duquel le gouvernement fédéral a prouvé sa faute.
Comme pour anticiper ces obstacles constitutionnels à son ingérence dans les choix commerciaux libres, le Congrès a promulgué l'International Emergency Economic Powers Act de 1977 et la loi Magnitsky de 2016. Ces monstruosités constitutionnelles prétendent donner au président le pouvoir de déclarer des personnes et des entités comme étant des contrevenants. des droits de l'homme et, par cette seule déclaration exécutive, de les punir sans procès.
Ces lois renversent les quatrième et cinquième amendements en punissant d'abord et en s'engageant ensuite dans une variante perverse de la procédure régulière. Comment pervers? Ces lois exigent que si vous souhaitez récupérer vos biens saisis, vous devez prouver que vous ne violez pas les droits de l'homme.
Comme pour s'éloigner encore plus des normes constitutionnelles, un groupe d'universitaires du droit a commencé à faire valoir la semaine dernière que les biens saisis aux Russes n'appartiennent pas vraiment à des êtres humains, mais au gouvernement russe. Et, selon cet argument fou, puisque le gouvernement russe n'est pas une personne, il n'y a pas de mandat ou d'exigence de procédure régulière ; par conséquent, les autorités fédérales peuvent convertir les actifs qu'elles ont saisis et gelés à leur propre usage.
Pour ces universitaires – qui rejettent la propriété comme un droit moral et exaltent l'agression gouvernementale comme un bien moral – l'argument tourne autour de la signification du mot « personne ». Les quatrième et cinquième amendements protègent chaque « personne » et tous les « peuples », pas seulement les Américains.
RépondreSupprimerEt dans la jurisprudence américaine, «personne» désigne à la fois les êtres humains et les personnes morales - les sociétés et les gouvernements capables de posséder des biens. La propriété est définie par le droit d'utiliser, d'aliéner et d'exclure. Seules les personnes peuvent exercer ces droits.
Madison et ses collègues ont clairement cherché à protéger les droits de propriété contre les agressions du gouvernement, quel que soit le statut juridique du propriétaire. Nous le savons grâce aux avis judiciaires concernant les biens étrangers qui ont précédé et suivi la ratification du cinquième amendement. Si ce n'était pas le cas, alors rien ne pourrait empêcher le gouvernement fédéral de saisir et de convertir les biens des États ou des gouvernements locaux ou des institutions religieuses internationales à l'usage fédéral.
La guerre est la santé de l'État et le cimetière de la liberté. La guerre contre la drogue a été un désastre pour la liberté. La guerre en Ukraine le sera aussi, seulement si nous la permettons.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/andrew-p-napolitano/using-war-to-assault-freedom/