Si vous voulez savoir ce que c'est que de vivre dans une dictature totalitaire, vous n'avez pas besoin de chercher bien loin. Les collèges et universités américains, les soi-disant «institutions d'enseignement supérieur», sont devenus l'équivalent des camps de rééducation communistes dans lesquels les gens sont soumis à une propagande sans fin et contraints de verbaliser leur accord avec des slogans politiques. Si un enseignant ou un étudiant commet la moindre infraction à l'orthodoxie « éveillée », il sera congédié ou suspendu de son travail ou expulsé de l'école. Ses droits n'ont pas d'importance. Les étudiants sont également soumis à la tyrannie de Covid encore plus que la population générale.
Regardons quelques exemples. Au cours des 75 dernières années environ, 1984 d'Orwell a été l'attaque classique contre le totalitarisme. Maintenant, dans certaines universités, le livre d'Orwell a été interdit. Daniel Newton nous donne les détails : "Alors que la liberté d'expression est détruite sous couvert de 'wokeism', on serait d'accord qu'il ne manque pas d'ironie dans un rapport récent selon lequel un avertissement déclencheur a été placé sur le roman d'Orwell en raison de 'offensant et bouleversant' Matériel.
L'Université de Northampton, au Royaume-Uni, a émis des avertissements au motif de "matériel explicite" qui, selon elle, est contenu dans le livre emblématique.
Le conseil a enragé les critiques qui soutiennent qu'il va à l'encontre des thèmes de la censure dans le livre. L'histoire dystopique d'Orwell, publiée en 1949, se déroule dans un état totalitaire qui persécute la pensée individuelle. Le personnage principal du livre est un employé du gouvernement arrêté et torturé pour une histoire d'amour illicite. Ironiquement, le livre est l'une des nombreuses œuvres littéraires qui ont été signalées aux étudiants de Northampton.
Les étudiants ont été avertis que le module "aborde des problèmes complexes liés à la violence, au sexe, à la sexualité, à la classe, à la race, aux abus, aux abus sexuels, aux idées politiques et au langage offensant". dont la pièce de Samuel Beckett Endgame, le roman graphique V For Vendetta d'Alan Moore et David Lloyd, et Sexing The Cherry de Jeanette Winterson.
Le député conservateur Andrew Bridgen n'a pas non plus perdu l'ironie en disant :
"Il y a une certaine ironie que les étudiants reçoivent maintenant des avertissements de déclenchement avant de lire Nineteen Eighty-Four." "Nos campus universitaires deviennent rapidement des zones Big Brother dystopiques où la novlangue est pratiquée pour réduire la gamme de pensée intellectuelle et annuler les orateurs qui ne le font pas. s'y conformer », a-t-il ajouté.
Avez-vous pensé à postuler pour un emploi à UCLA? Mieux vaut repenser. Voici ce que vous devez soumettre : "Merci de votre intérêt pour une carrière à l'UCLA ! L'équité, la diversité et l'inclusion sont des éléments clés de l'engagement de l'Université de Californie envers l'excellence. Ainsi, les contributions d'enseignement, de recherche, professionnelles et de service public qui favorisent l'équité, la diversité et l'inclusion sont encouragées et dûment reconnues dans l'évaluation des qualifications de chaque candidat.
Pour faciliter l'examen du comité d'embauche ou de promotion, veuillez fournir une déclaration sur l'équité, la diversité et l'inclusion (EDI) qui décrit vos contributions passées, présentes et prévues à l'équité, à la diversité et/ou à l'inclusion. Bien que loin d'être exhaustives, les contributions pertinentes notées par le bureau du président de l'UC comprennent :
Enseignement Rechercher Activité professionnelle Université et fonction publique
Pour avoir une meilleure idée de la façon dont UCLA pense à «l'équité», à la «diversité» et à «l'inclusion», veuillez lire le guide de recrutement des professeurs de l'UCLA: Searching for Excellence (à 4-6). Si vous faites déjà partie de la faculté, vous devez également fournir une déclaration de diversité, et la façon dont la police de la diversité vous évaluera jouera un rôle majeur dans votre obtention d'un emploi ou votre promotion. Beaucoup d'autres universités font la même chose.
De nos jours, l'infraction suprême que vous pouvez commettre sur le campus est d'utiliser le "n-word". C'est au moins aussi grave qu'un meurtre. Un professeur de l'USC a été suspendu - non pas parce qu'il a utilisé le mot - mais parce qu'il a prononcé un mot chinois qui peut ou non ressembler à celui-ci. Cela a offensé certains étudiants qui n'appartiennent pas du tout à une université, et cela a suffi à faire annuler le professeur. « Une enquête d'une université américaine sur l'un de ses professeurs a déclenché un débat sur l'utilisation d'un mot chinois apparemment anodin.
Le professeur Greg Patton de l'Université de Californie du Sud (USC) parlait aux étudiants lors d'une conférence sur la communication le mois dernier des mots de remplissage ou de pause, tels que «err», «umm» ou «vous savez» en anglais.
Des images de sa conférence, qui sont maintenant devenues virales, montrent le professeur Patton disant: "En Chine, le mot de pause courant est" ça, ça, ça ". Donc en Chine, ça pourrait être na-ge, na-ge, na-ge.
Énoncé, na-ge sonne comme le mot N, ce qui a conduit plusieurs étudiants du professeur à se plaindre à l'université. En réponse à la plainte, le doyen de l'université, Geoffrey Garrett, a déclaré aux étudiants que le professeur Patton n'enseignerait plus le cours.
"Il est tout simplement inacceptable que la faculté utilise en classe des mots qui peuvent marginaliser, blesser et nuire à la sécurité psychologique de nos étudiants", a-t-il déclaré.
L'université affirme que le professeur Patton "s'est porté volontaire pour se retirer" de son rôle dans le cadre de l'enquête sur les plaintes déposées contre lui. https://www.bbc.com/news/world-asia-china-54107329
Même si vous dites à vos élèves à quel point le mot est terrible, vous devez toujours y aller. Vous avez commis le péché suprême et vous devez être offert en sacrifice : « En octobre 2018, Philip Adamo, professeur d'histoire à l'Université d'Augsbourg à Minneapolis, a utilisé le mot n dans une discussion en classe sur l'insulte, incité par son apparence. dans The Fire Next Time de James Baldwin. Adamo a mené une discussion similaire dans sa section suivante, et plus tard dans la journée, il a envoyé par courrier électronique à ses classes des articles qui abordaient la question de savoir dans quel contexte, le cas échéant, le mot N peut être correctement utilisé. Les étudiants de tout le campus ont exprimé leur mécontentement en se présentant à son prochain cours et en l'interrogeant, en filmant des vidéos de ces discussions en classe et en écrivant des articles pour le journal étudiant qui expliquaient pourquoi Adamo les mettait mal à l'aise et comment ses actions s'inscrivaient dans une tendance problématique plus large à l'Université. La prévôte d'Augsbourg, Karen Kaivola, a démis Adamo de son poste d'enseignant et de ses fonctions de directeur du programme de distinctions honorifiques, le suspendant dans l'attente d'un examen formel.
Assez naturellement, les universités appliquent la tyrannie de Covid, obligeant les étudiants à se «vacciner» et appliquant des verrouillages et des quarantaines dans les dortoirs et sur tout le campus. Voici un cas tragique : « La saison de golf de la dernière année de John Stokes à la Tennessee State University (TSU) a été ruinée et sa vie est maintenant en danger. Le récipiendaire de la médaille d'honneur OVC, âgé de 21 ans, a reçu un diagnostic de myocardite à l'hôpital Vanderbilt le 4 septembre [2021] quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin COVID-19 Pfizer. Stokes n'était pas au courant des effets secondaires potentiels des vaccins COVID-19, y compris les données alarmantes concernant la myocardite chez les jeunes hommes du vaccin Pfizer.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque, qui réduit la capacité du cœur à pomper le sang et entraîne des rythmes cardiaques rapides ou anormaux. Cette condition peut souvent provoquer des symptômes similaires à des crises cardiaques, des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des battements cardiaques anormaux.
Stokes n'avait jamais été infecté par le COVID-19. Il n'avait aucune condition médicale préexistante. C'était un jeune athlète en parfaite santé. Avant de recevoir le vaccin Pfizer COVID-19, Stokes a été informé par le personnel de la TSU qu'il y aurait probablement un mandat de vaccination à l'université. Bien qu'il n'y ait eu aucun mandat de vaccin pour les universités publiques du Tennessee, le nombre de cas dans l'État augmentait en raison de la variante delta, quelques universités privées de l'État avaient mandaté des vaccins et il y avait une demande publique croissante pour que l'État mette en œuvre des mandats dans les institutions publiques. Stokes craignait de ne pas pouvoir participer à sa saison senior sans recevoir le vaccin, il a donc décidé de recevoir le vaccin Pfizer COVID-19.
Alors qu'il était soigné à l'hôpital de Vanderbilt pour son nouvel état de santé, Stokes a publié une vidéo sur TikTok, avertissant les autres des risques associés aux vaccins COVID-19 et déclarant qu'il est immoral de forcer les gens à les prendre. Il était essoufflé tout au long de la vidéo. Il a appelé la NCAA pour ne pas avoir informé les étudiants-athlètes des facteurs de risque associés aux vaccins COVID-19. Stokes a également déclaré qu'il avait été en contact avec d'autres étudiants-athlètes de la NCAA qui ont eu des effets secondaires négatifs des vaccins COVID-19, dont beaucoup avec des complications cardiaques. L'un de ses pairs a dû subir une opération cardiaque à la suite du vaccin. TikTok a supprimé la vidéo de Stokes au fur et à mesure qu'elle commençait à se répandre, mais vous pouvez maintenant la trouver sur YouTube.
Que pouvons-nous faire à ce sujet ? Nous devons abandonner ces États totalitaires miniatures et nous tourner vers des institutions fondées sur des principes de liberté individuelle. J'avoue qu'une de ces institutions alternatives me vient en premier à l'esprit. Une vision de longue date de Ludwig von Mises et de Murray N. Rothbard est maintenant une réalité. Leur vision ? Une école supérieure d'économie autrichienne.
Tout au long de son histoire de près de quarante ans, l'Institut Mises s'est concentré sur le soutien aux étudiants d'autres établissements d'enseignement. Aider les étudiants à découvrir l'économie de la liberté et les inspirer à continuer à enseigner au niveau universitaire est et a été une priorité pour l'Institut. Un excellent service personnalisé, réactif et axé sur l'aide aux étudiants pour qu'ils atteignent leurs objectifs éducatifs et professionnels individuels a été emblématique de tous les programmes de l'Institut Mises.
À l'Institut Mises, nous visons à poursuivre la tradition de l'éducation exprimée avec tant d'éloquence par Ludwig von Mises et Murray Rothbard étaient parmi les plus hauts exemples des valeurs de la civilisation occidentale, et c'est ce que nous nous efforçons de transmettre à nos étudiants.
Le Master of Arts en économie autrichienne de l'Institut Mises est unique. Il s'agit du premier programme d'études supérieures aux États-Unis consacré exclusivement à l'enseignement de l'économie telle qu'elle est exposée dans les ouvrages et grands traités de Ludwig von Mises et Murray N. Rothbard. L'objectif du programme est d'aider les étudiants à maîtriser les principes de ce grand corpus de travail et à mettre ces principes en pratique dans les efforts qu'ils ont choisis.
À cette fin, l'Institut a soigneusement sélectionné une faculté exceptionnelle, avec des doctorats d'universités prestigieuses telles que l'Université de New York, l'UCLA, l'Université Columbia, Cal-Berkeley, l'Université Rutgers et Virginia Tech. Tous sont des universitaires accomplis qui ont donné des conférences ou enseigné lors d'événements de l'Institut Mises et publié dans ses revues, livres ou publications en ligne. Beaucoup étaient des amis personnels ou des protégés de Murray Rothbard.
Grâce à la générosité des donateurs de l'Institut Mises, le coût du programme est bien inférieur à celui des autres programmes de maîtrise en économie ou en sciences sociales connexes, qu'ils soient traditionnels ou en ligne.
J'exhorte les parents à considérer notre programme. Réussirons-nous ? De cela, je ne peux pas être sûr. Mais je suis sûr de ceci : notre désastre éducatif actuel ne peut pas durer très longtemps.
Le prochain krach boursier aux proportions bibliques
De David Stockman Homme international 11 avril 2022
International Man : Que cela nous plaise ou non, la réalité est que la Réserve fédérale a une énorme influence sur le dollar et le marché boursier.
Et en ce moment, la Fed a une décision urgente et fatidique à prendre.
Il peut continuer à imprimer des billions de dollars, laisser l'inflation monter en flèche ou resserrer la politique monétaire, et regarder le krach boursier.
En d'autres termes, il peut sacrifier la bourse ou le dollar.
David, que pensez-vous que la Fed va faire, et quelles sont les implications ?
David Stockman : Eh bien, je pense qu'elle le veuille ou non, la Fed fera s'effondrer le marché boursier. La Fed s'est peinte dans un coin infernal parce qu'elle a fait de son objectif d'inflation de 2% un tel fétiche, surtout depuis janvier 2012, lorsqu'elle a officiellement adopté cet objectif quantitatif.
En fait, la majeure partie de l'impression massive de monnaie, qui s'est produite depuis 2012, lorsque l'économie s'était à peu près remise de la Grande Récession de toute façon, a été justifiée par un déficit d'inflation, ce qui n'était pas vrai, mais c'était la justification.
Ils essayaient d'augmenter l'inflation et ont donc estimé qu'ils pouvaient maintenir l'assouplissement quantitatif à ces taux énormes, y compris 120 milliards de dollars par mois, jusqu'à récemment. Et par conséquent, nous sommes maintenant dans un monde où l'inflation se dirige vers les deux chiffres.
Je pense qu'ils n'auront pas d'autre choix que de freiner beaucoup plus fort que ce à quoi le marché s'attend, beaucoup plus fort qu'ils ne le voudraient, ou peut-être même qu'ils n'en ont l'intention pour le moment, mais il n'y a pas d'autre choix.
Maintenant, quand vous avez une inflation à deux chiffres, numéro un et deuxième, vous entrez dans ce qui va être une mauvaise saison électorale au cours de laquelle les républicains verront enfin l'espoir de leur salut dans une horrible bataille sur le front de l'inflation en blâmant les démocrates et Biden.
Cela signifie que la Fed ne sera pas en mesure au cours des 2, 3 ou 4 prochains trimestres de reculer dans la bataille contre l'inflation. Qu'elle le veuille ou non, elle devra augmenter les taux d'intérêt beaucoup plus qu'on ne le prévoit actuellement.
Il va commencer le QT, le resserrement quantitatif ou vider son bilan de 9 000 milliards de dollars plus rapidement que ce dont il parle pour le moment ou ce que le marché attend. C'est parce qu'il ne sera pas en mesure de justifier ou de maintenir une quelconque crédibilité lorsque l'inflation se situe au niveau de l'IPC à près de 10 %.
Nous n'avons pas été dans ce genre d'eaux inexplorées depuis longtemps, pas depuis les années 1970, et même dans les années 1970, l'histoire était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui. Ainsi, le marché aura du mal avec une Fed qui s'avère ne pas être leur amie. Cela va maintes et maintes fois, penser que le pire est passé, acheter la trempette et gagner beaucoup d'argent, seulement pour être déçu.
Je signale ici un dernier type d'analogie.
Si vous revenez à mars 2000, lorsque la bulle Internet s'est effondrée, le NASDAQ a culminé à 4600 et le marché a chuté de 30 % au cours des 15 jours suivants. Et après cette chute fracassante, les gens ont dit que tout était fini. Le pire est arrivé, et vous devriez acheter la trempette. Vous allez gagner beaucoup d'argent.
Et au cours des deux années suivantes, ils ont continué à acheter la baisse, mais au cours des deux années suivantes, le NASDAQ est passé de 4 600 à 3 300, jusqu'à 800. Une baisse de plus de 80 % et tous ces achats de baisse ont entraîné des pertes massives et douleur.
Je pense que nous allons revivre la même chose.
International Man : Supposons que la Fed relève ses taux de manière agressive dans les mois à venir. Quelles sont les chances qu'ils capitulent et changent de cap dès que Wall Street se met à crier dessus ?
David Stockman: Eh bien, c'est ce à quoi les gens s'attendent, mais je pense que cette fois, ils ne vont pas capituler rapidement et facilement. En d'autres termes, le soi-disant Fed put est beaucoup plus bas sur l'indice S&P 500 que les gens peuvent s'y attendre ou que les haussiers de Wall Street aimeraient croire. Ils pensent que ce pourrait être 3 500 ou quelque chose comme ça. Je pense que c'est vers 2000 parce que la Fed n'aura pas la marge de manœuvre.
Même les statistiques officielles sur l'inflation sont élevées. Ils sous-estiment la véritable inflation lorsque vous ajustez pour tous les trucs qu'ils ont mis dans l'IPC au cours des 20 dernières années. Mais lorsque l'inflation selon les statistiques gouvernementales est de 7 à 10 %, ils n'auront tout simplement pas la place de redémarrer les presses à imprimer.
International Man : Compte tenu de l'augmentation rapide des niveaux d'endettement des entreprises, des particuliers et du gouvernement fédéral, est-il même possible pour la Fed d'augmenter les taux d'intérêt au-delà d'un montant symbolique ?
David Stockman: Eh bien, je pense que vous pouvez dire que ce serait dangereux, et oui, les niveaux d'endettement sont vraiment quelque chose à voir.
Si vous prenez la dette publique et privée aujourd'hui, c'est 88 000 milliards de dollars, soit 370 % du PIB. C'est hors des charts par rapport à ce qu'était une économie stable historiquement. Si vous remontez à 1970, avant que Nixon n'abandonne l'argent sain, le ratio était de 150 %. En d'autres termes, nous avions environ 1,5 billion de dollars de dette totale et un PIB de 1,0 billion de dollars.
Alors maintenant, nous avons eu deux tours de dette supplémentaires ajoutés à l'économie au cours des 50 dernières années. Deux tours de dette supplémentaire s'élèvent aujourd'hui à 50 000 milliards de dollars, pesant sur tous les secteurs de l'économie, les ménages, les entreprises non financières, les gouvernements en particulier, et même les institutions financières, que ce ne serait le cas si nous nous en tenions à une sorte de moyenne d'or de 150 % dette par rapport au PIB. C'est le ratio de levier de l'économie nationale qui a prévalu pendant un siècle jusqu'en 1970.
Alors oui, il y a un énorme problème avec cet énorme fardeau de la dette. Lorsque la Fed augmentera les taux d'intérêt, elle augmentera énormément le coût de portage et le coût du service, créant toutes sortes de dislocations dans les ménages qui devront payer plus pour leurs hypothèques et leurs autres dettes.
À mesure que les taux d'intérêt augmentent, tout l'argent que les sociétés ont emprunté pour racheter des actions et verser des dividendes qui n'étaient pas gagnés entraînera des dépenses d'intérêts plus importantes et une baisse des bénéfices.
Donc, tout cela sera un assez gros gâchis, mais cela n'empêchera pas la Fed d'utiliser le seul outil dont elle dispose.
Il a un seul outil. C'est comme l'artisan avec un marteau, et tout ressemble à un clou. Donc, si la Fed veut accomplir quelque chose, elle devra frapper le clou.
Ainsi, la Fed devra augmenter les taux d'intérêt, pas seulement 2 % d'ici la fin de cette année ou 2,5 %. Ils vont devoir monter dans la fourchette de 4 à 6 % pour ralentir l'économie et freiner l'inflation.
J'étais là quand Volcker a porté les taux d'intérêt à 20 % sur le taux du financement à un jour pour enfin freiner l'inflation. Mais, bien sûr, cela causera beaucoup de dommages à l'économie. Mais je ne pense pas qu'ils aient vraiment le choix.
En bref, vous allez avoir du mal à maîtriser l'inflation, et les conséquences de ces mouvements seront ahurissantes et historiques en termes d'impact négatif.
International Man : Compte tenu de tout ce dont nous avons parlé aujourd'hui, que peut faire la personne moyenne ? Que peuvent-ils faire pour se protéger et profiter de ce qui va suivre ?
David Stockman : Eh bien, je pense que la chose la plus importante est de rester en dehors du casino.
Le marché obligataire est largement, massivement surévalué. En conséquence, le prix des obligations chutera de façon spectaculaire et les gens seront choqués de voir combien vous pouvez perdre dans une dette souveraine prétendument sûre.
Le marché boursier est encore plus dangereux, et c'est entièrement à cause de ces taux d'intérêt artificiellement bas et ultra-bas. Alors maintenant, nous commençons à entrer dans le domaine de la réalité, disons de la normalité, alors que les taux d'intérêt remontent. Et je pense qu'ils ont encore un long chemin à parcourir.
Si vous allez être en bourse, soyez du côté court.
Mais si vous n'avez pas de capital ou d'épargne discrétionnaire, et si vous n'avez pas l'estomac pour ce qui sera une course très volatile, la meilleure chose à faire est de rester en liquide, même si vous perdez du terrain contre l'inflation. Au moins, les comptes bancaires ne perdront pas leur principe. Alors que les obligations et les actions peuvent perdre 30 %, 40 %, 50 %, 60 % de leur valeur au cours des deux prochaines années, alors que nous traversons cette grande correction.
On a dit que l'Amérique était devenue un empire de mensonges.
Aussi difficile qu'elle puisse être à accepter, cette allégation est vraie. Le nier serait se tromper.
La vérité est qu'au cours des dernières décennies, les élites américaines ont érigé un système dans lequel les mensonges imprègnent tous les aspects de notre vie sociétale.
Partout où nous nous tournons, nous rencontrons des mensonges. Nous sommes maintenant arrivés à un point où presque toutes nos institutions publiques fonctionnent sur des mensonges : le gouvernement, les médias, le système éducatif, les arts, l'armée et même les sports.
Un événement récent est emblématique de l'Empire du Mensonge dans lequel nous vivons.
Le 13 mars, USA TODAY a publié sa liste des douze meilleures femmes de l'année. L'une de ces « femmes » était une Rachel Levine. Le problème est que Levine n'est pas une femme.
Né Richard Levine, Levine est un homme biologique qui a vécu la majeure partie de sa vie en tant qu'homme. Il s'est marié et a eu des enfants avec sa femme. Ce n'est qu'après avoir atteint la cinquantaine qu'il s'est déclaré « femme ».
Nonobstant les préférences personnelles de Levine, la réalité incontestable demeure qu'il est un homme. Chaque cellule de son corps témoigne de ce fait en portant en elle la combinaison chromosomique XY qui est caractéristique des mâles.
Une fois que quelqu'un est né homme, il ne peut jamais devenir femme, car cette détermination a été faite au niveau le plus profond de la réalité biologique.
Le sexe d'une personne est un fait biologique irréversible. Voici comment un généticien de Stanford a exprimé cette vérité :
"Aucune intervention chirurgicale, aucune injection d'hormones ou quoi que ce soit d'autre ne changera l'ADN de quelqu'un d'un homme à celui d'une femme (ou vice versa). Comme vous le savez, pour les humains, le sexe est déterminé par la présence d'un chromosome Y - les humains avec un X et un chromosome Y sont des hommes et ceux avec deux chromosomes X sont des femmes. Aucune technologie actuelle (ou probablement future) ne peut remplacer un chromosome dans l'ensemble de nos billions de cellules.
On ne peut pas devenir une femme en se déclarant l'une ou en portant du maquillage, des jupes, des perruques ou des ongles peints. Un homme ne peut pas non plus devenir une femme par des traitements hormonaux ou des modifications chirurgicales de son corps. Aussi étendues que puissent être ces altérations, il ne s'agira que d'un homme altéré chirurgicalement ou hormonalement avec des chromosomes XY.
Selon le Dr Paul McHugh, médecin formé à Harvard et ancien professeur émérite universitaire de psychiatrie à la Johns Hopkins University School of Medicine :
« Les hommes transgenres ne deviennent pas des femmes, pas plus que les femmes transgenres ne deviennent des hommes. Tous (y compris Bruce Jenner) deviennent des hommes féminisés ou des femmes masculinisées, des contrefaçons ou des imitateurs du sexe auquel ils s'identifient.
Mais nous n'avons pas besoin d'experts pour le confirmer. Presque toutes les personnes normales le savent intuitivement et peuvent immédiatement le voir lorsqu'elles sont présentées avec la preuve de leurs yeux.
Il existe un gouffre élémentaire entre les mâles biologiques et les vraies femmes qui ne peut être comblé. Dire que Rachel Levine est une femme est donc un mensonge évident. C'est un mensonge. Mais ce n'est pas simplement un mensonge ordinaire. C'est un mensonge flagrant dont l'immense fausseté est évidente pour tous ceux qui ont des yeux pour voir. Si vous demandiez à un millier de personnes - dans un environnement dans lequel elles ne se sentiraient pas menacées d'exprimer leur véritable opinion - de vous dire si elles pensent que Rachel Levine est une femme authentique, presque toutes répondraient "non". Ceux qui diraient oui seraient immédiatement suspectés de déficience visuelle ou mentale.
Pour résumer, Rachel Levine est un homme et, par conséquent, il ne pourra jamais être une femme.
Pourtant, en Amérique, nous prétendons le contraire. C'est l'éclairage au gaz le plus effronté.
Pire encore, cette subversion grossière de la vérité n'est pas pratiquée dans certaines franges éloignées de la société américaine. Il est pratiqué en son cœur même et au centre.
USA TODAY est un grand journal et une société de diffusion - en fait, c'est le journal numéro un en Amérique en termes de diffusion.
Mais il n'y a pas que USA TODAY qui subvertit la vérité de cette manière éhontée. TOUS les grands médias d'entreprise le font. Tous ont toujours prétendu que Levine était une femme et se réfèrent à lui comme tel depuis qu'il a fait irruption sur la scène nationale en 2020. Cela inclut même des médias tels que Forbes et The Economist, des périodiques dont on aurait pu penser qu'ils avaient encore des contacts avec réalité.
Lorsque Levine est devenu secrétaire adjoint à la santé des États-Unis, tous les médias l'ont faussement présenté comme une «femme». Lorsque Levine a été nommée amiral dans le United States Public Health Service Commissioned Corps, les médias de tous les horizons ont célébré l'événement comme une étape importante pour les femmes, affirmant que Levine était "la première femme amiral quatre étoiles dans la fonction publique".
Mais ce ne sont pas seulement les médias qui propagent les mensonges les plus grossiers ; c'est aussi notre gouvernement qui commence tout en haut. Quand le président Biden annonce
Mais il n'y a pas que USA TODAY qui subvertit la vérité de cette manière éhontée. TOUS les grands médias d'entreprise le font. Tous ont toujours prétendu que Levine était une femme et se réfèrent à lui comme tel depuis qu'il a fait irruption sur la scène nationale en 2020. Cela inclut même des médias tels que Forbes et The Economist, des périodiques dont on aurait pu penser qu'ils avaient encore des contacts avec réalité.
Lorsque Levine est devenu secrétaire adjoint à la santé des États-Unis, tous les médias l'ont faussement présenté comme une «femme». Lorsque Levine a été nommée amiral dans le United States Public Health Service Commissioned Corps, les médias de tous les horizons ont célébré l'événement comme une étape importante pour les femmes, affirmant que Levine était "la première femme amiral quatre étoiles dans la fonction publique".
Mais ce ne sont pas seulement les médias qui propagent les mensonges les plus grossiers ; c'est aussi notre gouvernement qui commence tout en haut. Lorsque le président Biden a annoncé la nomination de Levine au poste de secrétaire adjoint à la santé, il l'a qualifié de femme. Lorsque Levine a été interrogé lors de son audience de confirmation, pas un seul sénateur américain n'a soulevé la question évidente qu'il était un homme. Aucun d'entre eux n'a profité de cette occasion pour lui demander pourquoi il essaie de prétendre le contraire. Ils prétendaient tous que la personne assise devant eux était une femme.
Ce ne sont pas seulement les plus hauts niveaux du gouvernement américain qui subvertissent activement la réalité physique devant eux ; c'est le gouvernement à tous les niveaux. Comme vous le savez peut-être, avant ses nominations fédérales, Levine a été secrétaire à la Santé en Pennsylvanie. Il a été nommé à ce poste par le gouverneur Tom Wolf qui, bien sûr, l'a qualifié de «femme». Inutile de dire que Levine a été confirmé dans ce rôle par le Sénat de l'État de Pennsylvanie, qui étaient tous prêts à suivre et à prétendre que l'homme devant eux était une femme.
Mais ce ne sont pas seulement les médias et l'establishment politique américains qui mentent et nient la réalité. Le milieu universitaire est également intellectuellement et moralement corrompu. À savoir, le meilleur athlète de l'équipe féminine de natation de l'Université de Pennsylvanie est un jeune homme appelé Lia Thomas qui, jusqu'à la saison dernière, a concouru en tant qu'homme. Thomas est devenu le champion de natation de la NCAA au 500 verges nage libre.
Comme vous le savez peut-être, l'Université de Pennsylvanie est également une école de la Ivy League. Les Ivy Leagues sont un groupe d'universités d'élite qui sont considérées parmi les meilleures aux États-Unis et, en fait, dans le monde. Les huit écoles de ce groupe comprennent des établissements d'enseignement supérieur aussi importants que Harvard, Yale et Princeton. En tant que tels, ils sont censés représenter les meilleurs et les plus brillants d'entre nous. Ces écoles s'affrontent lors de la conférence Ivy League. Qu'ils permettent à un homme de rivaliser avec – et de battre solidement – de vraies filles montre que nos élites intellectuelles ont collectivement perdu à la fois leur jugement et leur esprit.
Malheureusement, la même chose s'applique à nos militaires et à l'établissement médical. Le premier paie désormais les chirurgies de transition sexuelle pour notre personnel militaire. Cela pose de nombreux problèmes sérieux, mais le principal est qu'il ne peut y avoir de «transition sexuelle», car une telle chose n'est tout simplement pas possible. La prémisse même de toute la procédure repose sur un mensonge. Ce mensonge est propagé par l'établissement médical qui effectue ces procédures mutilantes. De plus, dans leurs efforts de subversion de la réalité, ils se réfèrent maintenant aux vraies femmes comme des «personnes qui accouchent».
Nous n'avons plus besoin d'exemples. Il suffit de dire que pratiquement toutes les institutions américaines sont désormais activement engagées dans la subversion de la réalité.
Si, en tant que société, nous sommes disposés à mentir sur des réalités physiques évidentes et inaltérables, nous devons également mentir à profusion sur d'autres choses. Et nous le faisons très certainement. Le régime américain et ses médias mentent presque sur tout, et ils le font avec véhémence et sans cesse. Vous voulez des exemples récents ?
Qu'en est-il des vaccins parfaitement sûrs et efficaces à 95 % ?
Et si le disque dur de Hunter Biden était de la désinformation russe ?
Qu'en est-il du fait que BLM soit un mouvement pacifique soucieux de justice raciale ?
Qu'en est-il de Kyle Rittenhouse étant un suprématiste blanc qui a l'intention de tirer sur des manifestants pacifiques du BML ?
Qu'en est-il de l'affirmation selon laquelle Joe Biden est un politicien honnête et un homme bon ?
Qu'en est-il du virus SARS-CoV-2 provenant du marché humide de Wuhan ?
Qu'en est-il de l'affirmation selon laquelle Anthony Fauci était un fonctionnaire désintéressé dont la principale préoccupation dans la vie est le bien-être de ses concitoyens et la santé publique ?
Qu'en est-il des camionneurs canadiens racistes, fascistes, misogynes et terroristes?
Qu'en est-il de l'affirmation (faite en 2006) selon laquelle nous n'avions que dix ans pour sauver la planète d'une catastrophe climatique induite par le réchauffement climatique d'origine humaine ?
Et vous souvenez-vous encore de Saddam Hussein et de ses armes de destruction massive ?
Tout cela n'était que des mensonges éhontés promulgués par notre établissement frauduleux.
Presque rien de ce qui se dit de nos jours dans le discours public n'est vrai. Tout notre système est saturé de malhonnêteté, de contrevérité et de tromperie. Notre sphère publique existe dans un tissu de mensonges.
Biden Fauci, Walensky, CNN, NPR, le Washington Times, le ministère de la Justice, le FBI, Pelosi, Gates, Zuckerberg, Schumer et des milliers de leurs amis – chacun d'eux raconte des mensonges.
Le dollar, ainsi que tout notre système financier, repose sur un mensonge prodigieux. Le mensonge est le suivant : le gouvernement des États-Unis remboursera un jour ses dettes. Cela n'arrivera jamais. Une fois l'heure des comptes venue, ce mensonge nous coûtera cher.
Des mensonges, des mensonges, des mensonges et encore des mensonges partout.
Et maintenant, les menteurs utilisent leurs médias pour pousser et étendre la guerre en Ukraine.
Si vous voulez vraiment connaître la vérité sur l'Ukraine, veuillez regarder cette conférence de 2016 sur le sujet par le professeur John Mearsheimer, l'un des plus grands experts mondiaux en géopolitique et en relations internationales.
Le professeur Mearsheimer dit la vérité sur l'Ukraine
Une candidate à la Cour suprême a récemment affirmé qu'elle ne savait pas comment décrire ce qu'est une femme. Elle a dit qu'elle n'était pas biologiste. Ainsi, un avocat formé à Harvard ne peut pas nous dire ce qu'est une femme, et cette nation est censée lui accorder une nomination à vie d'une grande confiance du public. Cette femme – Kentaji Brown Jackson – n'est pas exceptionnelle dans son extrême tergiversation. Aujourd'hui, presque toutes les personnalités publiques font semblant et mentent comme une évidence.
Notre système est tellement faux et pourri que les soi-disant «vérificateurs de faits» sont parmi les plus grands menteurs que l'on puisse trouver.
Ceux qui tentent de dire la vérité, en revanche, sont rapidement censurés et réduits au silence. Paradoxalement, les diseurs de vérité sont annulés par les faux «vérificateurs de faits» qui sont à la solde d'escrocs tels que Pfizer, Bill Gates, George Soros et leurs semblables.
Dire la vérité est devenu un délit grave en Amérique.
Nous sommes, en effet, devenus un empire de mensonges.
Un Empire que nous sommes certainement, car le régime non seulement impose ses mensonges au peuple américain mais les exporte vers le reste de la planète. Nos ambassades, par exemple, hissent désormais régulièrement le drapeau LGBT qui représente le mouvement qui, entre autres, soutient que les hommes peuvent devenir des femmes.
Nos dirigeants mondialistes envahissent et détruisent des pays sur la base de mensonges, qu'ils racontent tant au niveau national qu'international. Au début des années 2000, les États-Unis ont ordonné à Saddam Hussein d'abandonner son programme de développement d'armes de destruction massive. Il a fait ce que nous lui avons demandé de faire, mais nous l'avons quand même accusé d'avoir des armes de destruction massive. Nous avons ensuite envahi son pays sous ce faux prétexte et l'avons fait exécuter.
Quelques années plus tard, nous avons demandé à Moammar Khaddaffi de renoncer à ses armes de destruction massive. Le gouvernement américain lui a promis une main de réconciliation et de coopération s'il le faisait. Il s'est conformé et ensuite nous avons aidé à le faire tuer.
Avant d'être expulsées d'Afghanistan, nos élites à l'esprit mondialiste ont tenté d'exporter une partie de leur idéologie basée sur le mensonge en ouvrant un département d'études de genre à l'Université de Kaboul. Ils n'auraient vraiment pas pu choisir un cadre plus inapproprié pour ce genre d'opération d'éclairage au gaz.
Faut-il s'étonner que le régime américain soit de plus en plus détesté dans le monde ?
Lorsqu'ils ont été interrogés par Gallup, les gens du monde entier ont constamment désigné les États-Unis comme la plus grande menace pour la paix. Les chiffres devenaient si mauvais que le gouvernement américain a fait pression sur Gallup pour qu'il cesse de poser cette question. Mais le jugement collectif du monde n'est pas surprenant étant donné notre passé de semer le chaos, la mort et la destruction : Afghanistan, Irak, Libye, Syrie. Il y avait un gros mensonge attaché à chacune de ces catastrophes.
Pour cela, nous pouvons remercier notre établissement mondialiste corrompu. Cet établissement est désormais présidé par Joe Biden, un homme corrompu qui a bradé son pays à travers divers trafics d'influence et autres stratagèmes impliquant son fils. Les nombreuses preuves de ses méfaits se trouvent sur le disque dur de son Hunter Biden. Le FBI et le ministère de la Justice sont en possession de ce disque, mais le régime a refusé d'ouvrir une enquête sur les crimes qui y sont enregistrés. Non seulement cela, mais ils ont tout fait pour les enterrer sous le mensonge de la « désinformation russe ».
Tous ceux qui aiment la vérité et l'Amérique devraient être profondément bouleversés et affligés par cela.
Un régime si profondément ancré dans la malhonnêteté, la tromperie, la criminalité et la corruption ne pourra jamais prospérer. La loi morale qui sous-tend toute existence – la Loi de Dieu – exige que ses sombres œuvres reçoivent une juste récompense.
La démocratie vit ? 28 États américains travaillent sur une législation pour promouvoir l'utilisation de l'ivermectine
April 11th, 2022
C'est un choc. Plus de la moitié des États américains envisagent de légiférer pour permettre aux médecins, et parfois même aux infirmières et aux pharmaciens, de prescrire des médicaments de traitement précoce « hors AMM ».
N'oublions pas que les médecins ont pu le faire pendant des décennies et que ce sont en grande partie les conseils médicaux qui sont devenus de facto les gardes prétoriens de Big-Pharma - retirant les droits des médecins par des menaces de détruire leur carrière s'ils sortent de la ligne.
De nombreux projets de loi proposés visent simplement à empêcher les conseils médicaux d'expulser les médecins qui utilisent des médicaments comme l'ivermectine et l'hydroxychloroquine. Le Dakota du Nord, le Kansas, l'Oklahoma et le Tennessee semblent avoir largement réussi. Les autres y travaillent. Dans le Tennessee, les gens peuvent même être en mesure d'acheter un médicament qui a été administré à un milliard d'autres humains, en vente libre. Mon Dieu, c'est presque aussi gratuit qu'El Salvador ? !
Pendant ce temps, les Américains fournissent de toute façon le médicament « hors AMM » et « sans ordonnance », le faufilant dans les hôpitaux et le distribuant dans les églises. Ce serait mieux pour tout le monde s'ils pouvaient demander à leurs médecins. Mais cette réponse des législateurs des États américains semble remarquable à cet Australien – presque comme si la démocratie avait encore une chance.
Les États américains envisagent de légiférer pour l'utilisation de l'ivermectine. | Fédération des conseils médicaux d'État
- voir carte des USA sur site -
Le Dakota du Nord a été le premier État à adopter une législation en novembre dernier :
Les nouvelles lois "interdisent aux conseils de médecine, d'infirmières et de pharmacie de sanctionner un titulaire de licence uniquement pour sa distribution d'ivermectine pour des traitements hors AMM tels que Covid-19". L'objectif principal était apparemment d'empêcher certains médecins et pharmaciens d'utiliser l'excuse que les conseils médicaux les puniraient s'ils prescrivaient ou fournissaient de l'ivermectine. Mais on peut supposer que certains professionnels avaient vraiment peur d'être punis.
Au Kansas, la législation a été approuvée le 23 mars : Le sénateur Mark Steffen a défendu le projet de loi et se trouve également être un anesthésiste qui a prescrit de l'ivermectine.
Le projet de loi sur les prescriptions hors AMM de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine est adopté par le Sénat du Kansas lors d'un vote de fin de soirée Statue de la Liberté, photo. Noir et blanc.
"Des milliers de Kansans et des centaines de milliers d'Américains sont morts à cause de cette propagande qui a mis fin aux traitements précoces", a déclaré le sénateur Mark Steffen, R-Hutchinson. "Je crois fermement que l'adoption de ce projet de loi par le Sénat attirera l'attention nationale et contribuera à être un élément très important pour fournir les soins aux personnes qui en ont besoin."
Le projet de loi permettrait aux médecins de prescrire de l'ivermectine, de l'hydroxychloroquine et tout autre médicament approuvé par la FDA qui n'est pas une substance contrôlée pour une utilisation hors AMM pour prévenir ou traiter le COVID-19.
"Les études montrent de manière écrasante que l'ivermectine a jusqu'à 85% de chances de réduire les hospitalisations et les décès lorsqu'elle est administrée tôt pour COVID", a-t-il déclaré en caucus. "Il s'agit de réduire la souffrance et la mort de chaque patient."
"Dans une large mesure, [l'ivermectine] a été poussée dans la clandestinité", a-t-il déclaré. «Dans ma région du comté de Reno, j'ai un pasteur mennonite de 80 ans et sa femme, qui est une infirmière à la retraite, ils le distribuent dans les coulisses à tous les membres de leur église. J'ai d'autres personnes qui sont allées chez le vétérinaire pour de l'ivermectine et qui l'ont distribué à leurs amis. Ils savent ce qu'ils font et ils font un excellent travail avec ça.
Le sénateur Steffen a ensuite écrit à 250 hôpitaux du Kansas pour souligner qu'ils pourraient faire l'objet de poursuites judiciaires s'ils ne prêtaient pas attention à un traitement précoce :
En consultation avec la communauté juridique, il semble que le « défaut de traiter » sera désormais considéré comme un « mépris délibéré ».
Certains précieux médecins se sont immédiatement plaints d'être menacés. Peu importe tous les autres médecins à qui on a dit qu'ils seraient radiés s'ils osaient proposer un traitement précoce qui avait déjà fonctionné dans 157 études sur 129 000 patients.
L'Oklahoma a trouvé un moyen différent - le procureur général a simplement déclaré qu'il n'y avait aucune raison légale de punir les médecins : Le procureur général de l'Oklahoma, John O'Connor, a déclaré que son bureau ne prévoyait pas de sanctionner les médecins pour avoir prescrit certains médicaments, notamment l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, pour traiter le covid.
O’Connor a déclaré dans un communiqué de presse que son bureau ne trouve aucune base légale pour qu’un conseil des licences médicales de l’État sanctionne un médecin agréé pour avoir prescrit un médicament dans le but non conforme de traiter un patient atteint de COVID-19.
Le procureur général de l'Oklahoma a déclaré qu'il soutenait les médecins qui pensent que l'ivermectine est dans le meilleur intérêt de leurs patients.
"Je soutiens les médecins qui pensent qu'il est dans l'intérêt de leurs patients de recevoir de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine", a déclaré O'Connor dans un communiqué. « Nos professionnels de la santé devraient disposer de tous les outils disponibles pour lutter contre le COVID-19. La sécurité publique l'exige. Les médecins qui prescrivent des médicaments et respectent la loi ne devraient pas craindre des mesures disciplinaires pour avoir prescrit de tels médicaments.
Dans le Tennessee, bientôt même les pharmaciens pourront prescrire de l'ivermectine tout en étant protégés de toute responsabilité :
Le projet de loi HB2746/SB2188 vient d'être adopté au Sénat et se dirige vers le bureau du gouverneur. Le projet de loi initial visait à rendre l'ivermectine disponible sans ordonnance, comme l'aspirine. Mais le projet de loi modifié nécessite un peu de paperasse: "une ordonnance prescriptive non spécifique au patient, élaborée et exécutée par un ou plusieurs prescripteurs autorisés". Mais certains soutiennent toujours qu'il s'agit effectivement maintenant d'un médicament en vente libre (OTC) dans le Tennessee.
La source du problème était que le Tennessee Medical Board a publié l'année dernière un avertissement sur son site Web selon lequel les médecins risquaient leurs licences médicales s'ils diffusaient des informations erronées sur le vaccin COVID-19. De nombreux médecins ont naturellement supposé que le simple fait de mentionner qu'il existait une alternative de traitement précoce serait considéré comme de la désinformation.
Incroyablement, cela a déclenché un débat sur la liberté d'expression (alléluia). Tout cela semble si sensé.
«J'ai eu plusieurs médecins qui m'ont contacté l'été dernier et à l'automne au sujet de ce qu'ils voyaient et entendaient de la part du Conseil des médecins légistes, ce qui les punirait potentiellement pour avoir prescrit un traitement pour COVID qu'ils estimaient être dans le meilleur intérêt de leurs patients», Le représentant de l'État républicain du Tennessee, Chris Todd, a déclaré à Stateline. "Cela m'a frappé, car ils ont une licence parfaitement valide et pratiquent depuis des années, et il n'y a aucune raison de délivrer une déclaration carte blanche."
Les commissions médicales intimidaient les médecins. Un peu comme dire "Belle pratique que vous avez là…"
Les législateurs du Tennessee disent que les médecins se sont plaints auprès d'eux d'avoir reçu des avertissements par courrier électronique. Lors de sa réunion de septembre, le conseil a discuté de l'envoi d'un avertissement à tous les médecins de l'État. Mais Bill Christian, porte-parole du département de la santé du Tennessee, qui supervise le conseil médical, a déclaré dans un e-mail que si les médecins recevaient des e-mails, ils provenaient d'organisations professionnelles, et non du conseil.
Quoi qu'il en soit, le conseil d'administration a supprimé en décembre l'avertissement de son site Web, bien que Christian ait déclaré que la politique sous-jacente restait en vigueur.
Le représentant Chris Todd a blâmé un "CDC qui est devenu fou". Bien dit.
Le Dakota du Sud, en revanche, a tenté de faire adopter une législation approuvant l'utilisation de la drogue qui a été adoptée par la Chambre en février, mais a été tuée par un comité sénatorial de sept membres en mars. Voilà pour la "démocratie". Qui a choisi les membres du comité?
La portée des conseils médicaux aux États-Unis n'a rien à voir avec le monopole que nous avons ici en Australie avec AHPRA :
Il y a une répression légale contre la portée excessive des conseils, et seuls 8 médecins ont été pénalisés. La situation en Australie est bien plus oppressante :
Politico a rapporté le 1er février que des conseils médicaux avaient pénalisé huit médecins en un an pour avoir favorisé la désinformation sur le COVID-19, les vaccins et les thérapeutiques.
L'ABC a vérifié Clive Palmer et se vante d'avoir tort - ce ne sont pas 100 ou 200 médecins qui ont été radiés, mais un nombre inférieur à 61 qu'ils ne nous diront pas.
Les vérificateurs des faits de l'AAP ont examiné cette affirmation et ont constaté que depuis juillet 2019, 61 médecins avaient été disqualifiés par l'Agence australienne de réglementation des praticiens de la santé (AHPRA) pour une raison quelconque - pas seulement liée à la vaccination contre le COVID-19.
Naturellement, d'autres médecins se sont radiés, voyant ce qui s'en venait. Il en va de même pour les jeunes candidats à l'école de médecine. Comme c'est démoralisant pour toute la profession de découvrir qu'ils ne sont que des robots performants pour un comité non audité.
Huit médecins radiés aux États-Unis, c'est encore huit médecins de trop. Mais l'Australie compte environ 8% de la population des États-Unis, elle est donc "loin devant" en médecine communiste. Mince.
La meilleure ressource pour se tenir au courant de la législation dans tant d'États américains est la Fédération des conseils médicaux d'État.
La modification ou le hacking de la nature humaine à son insu est un acte génocidaire. Quid du programme de la galaxie de Klaus Schwab ?
AVRIL 10, 2022 PAR LHK
https://www.nytimes.com/2020/01/19/business/davos-50th-year.html Dans un article récent, nous nous demandions si nous avions été victimes d’attaque bioterroriste. Pourquoi ? Parce que:
1.- Des scientifiques affirment que le virus Covid contient un minuscule morceau d’ADN qui « correspond à la séquence brevetée par Moderna en 2016, soit TROIS ANS AVANT le début de la pandémie »
2.- Moderna est le principal fournisseur d’un produit expérimental à portée génétique qui est présenté en tant que vaccin. Or, ce dit vaccin est supposé fournir l’immunité contre la fameuse séquence. Moderna serait la clé de voûte entre le génome du virus et la réponse à l’infection qui lui serait liée.
3.- Le chef scientifique de Moderna avait annoncé la capacité de son équipe de hacker le potentiel humain. Voilà ce que ce monsieur disait dans une intervention TED X:
» je suis ici aujourd’hui pour vous dire que nous sommes capables de hacker le logiciel de la vie, et cela change la façon de penser la prévention et le traitement de maladies« . Tal Zaks,TEDxBeaconStreet, 2017
4.- Nous devrions compléter notre question en nous demandant si nous faisons face à un bioterrorisme d’Etat, puisque le scandale de la fameuse séquence a été étouffé grâce aux médias mainstream et qu’aucune enquête n’a été ouverte à ce jour, et ce dans AUCUN pays.
Le patron de Moderna ne répond pas à la question de la journaliste sur la similitude entre la séquence de son brevet et celle du génome de SARS CoV 2 qui en fait un virus à portée humaine. https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/13/et-si-lemergence-du-covid-relevait-du-bioterrorisme/ La Moderna de Stéphane Bancel est toujours emmurée dans son refus de communiquer, alors que nous sommes dans un contexte de Santé publique planétaire ! L’équipe de Nexus a tenté d’approcher Moderna France. Sans succès (cf ci-dessous).
Stéphane Bancel, un contributeur du World Economic Forum Forts de ce qui précède, relisons ce que Bancel écrivait le 15 mai 2020 dans un article posté sur le site du WEF:
« La société que je dirige, Moderna, Inc., est une société de biotechnologie au stade clinique dont le vaccin candidat contre le SRAS-CoV-2, appelé mRNA-1273, a été le premier à entrer dans des essais cliniques humains aux États-Unis, le 16 mars. Ce vaccin continue de progresser positivement grâce aux essais cliniques. En tant que tel, beaucoup d’espoir et d’attention du public ont été concentrés sur notre entreprise et sur ce médicament au potentiel innovant. »
Nous avons un produit dit innovant qui était testé aux Etats-Unis dès le 16 Mars 2020(!) sur l’humain, soit 5 jours après que l’OMS ait déclaré la pandémie. A ce stade, la célérité de Moderna est historique. Maintenant si nous rajoutons le fait que Moderna ait breveté la séquence-clé du génome du SARS qui permet à celui-ci de se transmettre à l’homme, la performance de Moderna devient plus compréhensible. Mais alors cela signifierait que nous sommes en présence d’une sorte de pompier-pyromane…
Maintenant, le fait de lire ces mots sur le site du WEF est très problématique quand nous savons que le président et son coach intellectuel tiennent des discours pire que ceux des eugénistes les plus extrémistes.
Le projet de l’équipe dirigeante du WEF serait-il génocidaire? En en faisant une Organisation internationale, le Conseil fédéral veut renforcer un technocrate pur et dur qui veut forcer la main de la population mondiale à muter en transhumains, ce qui constituerait un génocide.
Toute modification de la nature d’un groupe d’humains à son insu doit être considérée comme un acte génocidaire.
Le WEF affiche fièrement: » La quatrième révolution industrielle représente un changement fondamental dans nos façons de vivre et de travailler. C’est un nouveau chapitre du développement humain, rendu possible par des progrès à la mesure de ceux des première, deuxième et troisième révolutions industrielles – fusionnant les mondes physique, numérique et biologique et fusionnant les technologies de manière à créer à la fois des promesses et des périls. »
– l’arrivée de «dispositifs implantés (qui) aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone« intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux.»
– la «fusion de notre identité physique, numérique et biologique» renvoie à la singularité transhumaniste et à un futur où les gens voient chacun de leurs mouvements suivis et chaque pensée lue par une puce implantable.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/#_ftn2 Le point commun entre Bancel et Schwab: la vaccination contre un virus aux origines humaines probables Voici une capture du visuel dynamique du plus célèbre ingénieur allemand. Vous voyez cette 4ème révolution dite industrielle. Cela signifie que nous entrons dans le monde de la fabrication. Et là nous tombons sur la vaccination et de l’identité digitale qui ne concerne pas des objets mais des humains!.
Vous constaterez sur ce visuel pris sur le site de M Schwab le thème d e la vaccination alors qu’il est question de la 4ème révolution industrielle. Pourquoi donc ? Y aurait-il un lien avec ceci par exemple ?
Le diagramme peut aussi nous amener à nous demander si l’être humain va devenir un produit à fabriquer comme un autre…? Oui, mais il y a pire. Ecoutez Hariri parler avec mépris des humains qu’il appelle inutiles pendant que les petits dieux produiront des corps et des esprits.
Les inutiles passeront leur temps entre les drogues et les jeux vidéos.
Ce discours haineux ne cherche même pas à cacher le projet génocidaire qui n’est plus en préparation, mais qui est en voie de finalisation. Et avec la présence de ce petit mot de vaccination dans le diagramme schwabien de la révolution industriel et avec le silence de Moderna sur son brevet de 2016, nous sommes en droit de nous interroger sur les intentions de ce Conseil fédéral. Va-t-il enfin se décider pour des questions de sécurité évidentes à ouvrir une enquête sur la dimension génocidaire portée par le programme du WEF ?
Le conseiller fédéral suisse Ignazio Cassis a signé un accord avec le fondateur du WEF, Klaus Schwab, portant sur le renforcement de leur collaboration. Le problème fondamental est qu’à l’heure actuelle le World Economic Forum est devenu une organisation internationale qui bénéficie du soutien du réseau diplomatique mondial de la Suisse. Et par un heureux concours de circonstances, le Département Fédéral des Affaires étrangères a signé dans le dos du public suisse un accord avec le WEF.
Je vous laisse apprécier la place qu’occupe la signature de M Schwab qui empiète sur la case du Conseiller fédéral.. https://www.eda.admin.ch/dam/eda/de/documents/aktuell/news/Accord%20WEF_sign%C3%A9_21.01.2020.pdf Voici ce que vous pouvez lire sur le site du Département concerné:
L’accord constitue une étape importante vers une meilleure intégration du WEF – dont le siège est à Genève – dans la Genève internationale. Le renforcement de la Genève internationale en tant que plateforme pour le traitement des sujets d’avenir est une priorité du Conseil fédéral. Cet accord permet également de mieux exploiter la plateforme stratégique que représente le WEF.
Les nombreuses manifestations organisées à la «Maison Suisse» – qui a de nouveau attiré cette année un éventail d’acteurs issus de domaines très divers (science, recherche, économie, coopération au développement, droit, politique, etc.) – témoignent de l’intensité des échanges que cette plateforme permet de générer.
https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/dfae/aktuell/newsuebersicht/2020/01/stellungnahme-infosperber.html L’Intégration du WEF dans la Genève internationale est semble-t-il une priorité pour le Conseil fédéral suisse! Un communiqué du Département fédéral des Affaires étrangères annonce qu’un accord avait été signé avec le WEF le 21 janvier 2020, au premier jour de la rencontre de Davos de ladite année.
Le 21 janvier 2020, le conseiller fédéral Ignazio Cassis a signé un accord avec le fondateur du WEF, Klaus Schwab, portant sur le renforcement de leur collaboration. https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/dfae/aktuell/newsuebersicht/2020/01/stellungnahme-infosperber.html
Le partenariat, entre le WEF et le DFAE, finalisé la veille du lancement de la crise Covid peut légitimer le positionnement d’un Klaus Schwab en tant que coordinateur mondial de la réinitialisation de l’organisation et du fonctionnement de la planète.
A l’heure actuelle, Schwab porte surtout la communication entre les partenaires du nouveau Monde. C’est un super lobbyiste mandaté par le gouvernement mondial de l’ombre pour vendre le Nouveau Monde au grand public. Cela peut expliquer l’aplomb avec lequel il a expliqué publiquement aux Suisses et aux non Suisses que le monde d’avant ne reviendra plus jamais.
Le gouvernement suisse ne peut ignorer l’idéologie de l’homme de Davos et de ses inspirateurs. En en faisant un partenaire, le Conseil fédéral trahit la Suisse et les Suisses, à moins que ledit programme ne fasse partie de sa politique pour la population du pays, auquel cas j’invite les hommes de loi qui fréquentent ce site à tirer les conclusions qui s’imposent.
Dès lors que des scientifiques incontestables comme les docteresses Carrie Madej et Ingrid Stuckelberger ont découverte la composition des flacons injectables (criminellement appelés 'vaccins' !), le monde avait connaissance du danger mortel à se faire inoculer ce poison. C'étaient effectivement des poussières (appelées virus) mais, ces poussières n'étaient pas inoffensives puisqu'elles ne provenaient pas du magma mais de laboratoires ! Les ingrédients s'appelaient des nano-particules d'oxyde de graphène, capables de paralyser, d'handicaper à vie, de prendre le contrôle total de la personne inoculée et/ou de la faire mourir comme foudroyée !
A partir de là, tout aurait dû s'arrêter ! Même avant si l'on écoute les scientifiques dès le départ ! Dès le départ le mot 'virus' est apparu dans les merdias et souligné par les politiques. Or, un virus (vois dictionnaire) est une POUSSIÈRE et non un microbe. Un microbe transporte des maladies, une poussière en est incapable (même si elle est radioactive). Mais, l'emploi du mot virus (poussière) était juste dans la mesure où effectivement ce FAUX corona appelé plus tard 'covide19AlphaTangoCharlie' (avec variants 'Petits-Mickeys', Dark Vador' etc) a été découvert UNIQUEMENT dans les flacons injectables. Donc: cette poussière n'était pas et ne pouvait pas être dans l'air. Mais alors... comment l'avoir et en mourir ? Tout simple ! Suffit de se la faire inoculer ! (et même d'en redemander si la personne aime çà !!).
Ces nano-particules d'oxyde de graphène représentent entre 95 et 99 % de la composition de la solution injectable !! soit plus de 40 000 milliards de ces nano-particules.
Demande FOIA: 70 % des infections COVID au CDC étaient parmi les vaccinés
dimanche 10 avril 2022 par : Lance D. Johnson
(Natural News) L'agence qui a vidé l'économie, menacé les libertés civiles et détruit l'éthique médicale SAVAIT également que les vaccinés étaient plus susceptibles de contracter le COVID et de le transmettre à leurs pairs. Les Centers for Disease Control (CDC) le savaient car leurs propres employés étaient plus susceptibles d'être testés positifs pour le covid-19 et de contracter un "cas révolutionnaire" s'ils étaient VACCINÉS. Ces informations ont été dissimulées tout au long de 2021, jusqu'à ce qu'une demande FOIA découvre les données.
Les travailleurs des CDC sont plus susceptibles de contracter le COVID s'ils sont complètement vaccinés Le 2 février 2022, l'Informed Consent Action Network (ICAN) a déposé une demande de loi sur la liberté d'information (FOIA), cherchant des informations sur les infections au covid-19 au sein de la main-d'œuvre du CDC. L'ICAN intensifie et fait le travail d'enquête critique que les agences de santé publique refusent de faire. Le 28 mars 2022, le CDC a remis ses données internes sur les percées infectieuses et l'ICAN a publié une mise à jour juridique à ce sujet.
Il s'avère que les personnes entièrement vaccinées tombaient malades, propageaient des protéines de pointe et mettaient les personnes non vaccinées en danger tout au long de 2021. Par exemple, les employés du CDC entièrement vaccinés représentaient 70 % des infections au COVID en août 2021. Le CDC a signalé 36 covid-19 positifs ce mois-là, et parmi eux, 25 cas provenaient de vaccinés. De même en juillet, il y avait 18 covid-19 positifs, et dix des cas étaient des vaccinés.
L'ICAN rapporte : « Maintenant, nous ne connaissons pas le pourcentage d'employés du CDC qui ont été vaccinés en août 2021, mais si le taux de vaccination du CDC reflète celui des adultes aux États-Unis, il était bien inférieur à 70 %. Mais même si plus de 70% des employés du CDC ont été vaccinés, le fait qu'à la fin de l'été 2021, 70% de ses employés positifs au COVID-19 aient été vaccinés aurait dû être un chiffre choquant et aurait dû servir de signal d'alarme. au CDC au sujet de l'échec de ces vaccins à prévenir l'infection.
Les études sur l'efficacité du vaccin n'ont pas mesuré l'efficacité dans le monde réel. Dans le monde réel, tous les avantages mesurables du vaccin se sont dissipés assez rapidement, rendant l'expérience dangereuse et destructrice pour la société dans son ensemble. Selon les données du monde réel, les vaccinés s'avèrent plus sensibles en quelques mois. Pire encore, les vaccinés peuvent propager des protéines de pointe par les sécrétions d'exosomes jusqu'à un mois après la vaccination, tout en propageant inutilement l'arme biologique aux immunodéprimés.
Cela soulève une hypothèse importante… Si les gens ne s'injectaient pas avec un produit mal conçu qui rend malade et propage l'infection, alors bon nombre des positifs au covid-19 chez les non vaccinés n'auraient peut-être jamais existé en premier lieu.
Le taux d'infection des vaccinés pourrait être encore plus élevé que celui rapporté Le taux d'infection chez les vaccinés pourrait être beaucoup plus élevé que ce que rapporte le CDC. Selon le CDC, "les personnes qui ont été vaccinées sont peut-être moins susceptibles de se faire tester". Combien de personnes vaccinées ont été rendues malades par le vaccin et ont ensuite contracté le COVID, mais n'ont pas été tenues de tester et d'enregistrer les données ? D'autre part, les non-vaccinés étaient systématiquement profilés et assujettis, contraints de passer des tests covid-19 pour aller travailler et participer à la société. La propension aux positifs (et aux faux positifs) allait toujours être plus élevée chez les non vaccinés, il est donc épouvantable que le taux de cas décisifs soit si élevé dans la propre main-d'œuvre vaccinée du CDC !
Le CDC a même cessé de signaler les cas décisifs chez les vaccinés, pour masquer les données sur l'échec du vaccin. Le CDC a également autorisé les vaccinés à passer des tests covid qui contenaient un seuil de cycle inférieur. Cela a automatiquement abaissé le taux de positivité dans la cohorte vaccinée, faisant apparaître sur le papier que les non vaccinés contractaient et propageaient plus facilement le virus. Cependant, l'utilisation de protocoles de test disparates et non transparents est une fraude médicale, pas de la science.
Des protocoles de test disparates ont-ils également été utilisés dans les essais cliniques ? Plus de la moitié des personnes vaccinées ont présenté des symptômes lors des essais cliniques, même si leur taux de positivité au COVID était inférieur (à celui des personnes non vaccinées) au moment précis où elles ont été testées. Pourquoi ces symptômes d'empoisonnement ont-ils été ignorés dans les essais cliniques et n'ont-ils pas été considérés comme un risque grave ? Pourquoi le CDC a-t-il refusé de fournir un consentement éclairé approprié. Les essais cliniques n'ont pas mesuré avec précision les cas de covid-19 dans les mois vaccinés plus tard, car le vaccin a été mis sur le marché à la hâte. Pourtant, le CDC doit maintenant admettre que «l'efficacité» du vaccin diminue en quelques mois, exposant la population à de nouvelles variantes.
Lors d'une présentation à l'Université de Washington, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a admis qu'elle avait initialement appris l'efficacité du vaccin grâce à CNN. Cependant, ces rapports de CNN poussant au verrouillage étaient basés sur un communiqué de presse de Pfizer, qui affirmait de manière trompeuse que le vaccin était efficace à 95 %. Le CDC a élaboré des politiques liant les verrouillages à l'utilisation des vaccins. Le CDC a illégalement mandaté un produit défectueux sur la population, menaçant les moyens de subsistance des gens dans le processus. Pfizer, CNN, Fauci et le CDC ont tous menti sur l'efficacité du vaccin pendant plus d'un an, car leur propre main-d'œuvre a été endommagée et rendue malade par le vaccin, une dose ratée après l'autre.
Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.
Les "cas confirmés Covid-19" par PCR n'ont aucun sens. Le projet de test d'antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux
Par Prof Michel Chossudovsky Mondialisation.ca, 09 avril 2022
Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.
Introduction
Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.
La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.
Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité.
Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations.
Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.
Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars.
Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.
En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR) Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.
« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».
Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »
Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.
La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide. La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides.
L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de détecter et identifier le SRAS-CoV-2.
Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir : Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »
Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.
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Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 » Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC), les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases » (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.
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Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR
Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :
« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS » ( Mercola )
Le traité sur la pandémie est lié au projet de code de vérification QR de l’OMS , qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020 et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.
Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »
Selon David Scripac « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC).
Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».
La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».
Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption:
1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020. Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.
2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.
3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.
4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.
5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.
Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.
Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19 Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».
La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.
La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :
83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).
Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.
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Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,
Le jour suivant, le 31 janvier 2020 : le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.
20 février 2020 : Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un briefing à Genève, le directeur général de l’OMS. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:
« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »
Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.
Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.
Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros.
11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales. Une pandémie est généralement définie comme:
« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population » (Webster-Merriam , emphase ajoutée)
En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.
C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020
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Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .
« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».
L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44279 et 1440 décès (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.
(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).
Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès (« présomptifs » plus PCR confirmés).
Selon l’OMS, le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.
Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait 3 457 «cas confirmés» sur une population de 329,5 millions de personnes
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Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .
Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes
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Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .
Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.
Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.
Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.
Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure. De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.
Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.
Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.
Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.
Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm
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Source : HeathData.org
Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels indiquent environ :
65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis. Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.
Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » ! Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme un « virus tueur ».
Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .
« Il y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel … »( Nature )
Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre : « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :
« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …
Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite »
La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …
Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.
Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.
En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).
Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?) Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19 « Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires.
D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:
« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .
Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic. La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »
Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.
Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.
Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?
Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.
Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche. Cela a incité les gens à se faire vacciner.
L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :
« Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »
À son tour, le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins. … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )
Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.
Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.
Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]
Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.
Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.
Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.
Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)
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Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 » Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».
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En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.
L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :
» Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ».
Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.
À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)
Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.
Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).
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Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de 94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.
140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.
Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne.
Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »
Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.
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Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)
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Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)
Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standard. Selon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :
Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)
Ce que le NYT ne mentionne pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)
La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippe. Nous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.
31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
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Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue) Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».
L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.
Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.
« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19 Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années.
En décembre 2021, Bloomberg rapportait que
« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « .
Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars.
Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?
La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021.
« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates) En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont investi dans
« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».
Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».
Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du Global Access Health de la Fondation Gates.
L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».
S'il vous plaît, arrêtez de voir des médecins qui ont besoin de masques - votre vie en dépend
Par Allan Stevo 11 avril 2022
Cher Allan,
Avez-vous pu ne pas porter de masque à l'intérieur d'un établissement médical ? Je dois emmener mon fils pour un examen médical de routine à [Nom du grand nom de la côte ouest HMO expurgé], et je ne veux pas être obligé de porter un masque !
Un moyen de contourner cela? Nous avons le droit légal d'être vus par un médecin. Je reçois sérieusement l'anxiété maintenant si je suis obligé d'en porter un.
Merci pour toute suggestion.
— Mère de deux enfants
——
Nous sommes à une autre étape du jeu. Nous ne sommes plus en 1992.
Si vous croyez en la liberté, les HMO (Health maintenance organization) sont probablement hors de question à ce stade.
Passer chez le médecin à cause de reniflements est probablement hors de question aussi.
Demander au médecin de donner à votre enfant des antibiotiques pour un rhume, juste pour que vous vous sentiez mieux d'être allé chez le médecin, est probablement également hors de question.
Le dernier que j'ai jeté là-dedans pour rappeler à quel moment nous sommes. Bien sûr, vous ne feriez pas une telle chose, mais vous devez vraiment envisager de ne faire aucune des autres choses non plus. Il y a trente ans, vous auriez pu prendre des antibiotiques contre la grippe sans y avoir réfléchi à deux fois, car faites confiance à la blouse blanche.
Aujourd'hui est une autre histoire
Aujourd'hui, c'est une autre histoire. Aujourd'hui, environ 80 % des personnes à qui je parle ont une pharmacie à domicile remplie d'ordonnances du marché noir et peuvent pratiquement défendre une thèse sur l'utilisation appropriée hors AMM des produits pharmaceutiques et des suppléments. Il y a trois ans, ce n'était pas le cas.
La médecine de Backwoods est de retour.
C'est la médecine dont l'écrasante majorité de l'histoire humaine a été remplie - des plantes locales, des remèdes éprouvés et vrais, et l'accouchement à la maison.
Rien dans cette équation n'a été développé en 18 mois et mis sur le marché à la hâte. Plutôt 1 800 ans. Rien de nouveau dans cette méthode, qui est exactement ce que vous voulez lorsque vous avez affaire à quelque chose d'aussi stable que le corps humain - des remèdes éprouvés et fiables.
La professionnalisation de la médecine
À un moment donné, il y a moins d'un siècle environ, l'humanité a généralement commencé à s'éloigner de cette vision de la médecine et lui a permis de se professionnaliser. La guérison a longtemps été un domaine à part, mais la professionnalisation du domaine était un tout nouvel extrême. Les jeunes hommes qui assistaient à des conférences sur le thème de la médecine et qui lisaient des revues scientifiques occasionnelles étaient jugés plus préparés que la vieille femme qui vivait en bas et qui avait appris en pratiquant réellement ce genre de choses.
Il faut des décennies d'expérience pour que la blouse blanche apprenne ce que sait le guérisseur local, et cela n'est possible que si la blouse blanche essaie d'apprendre ce que sait le guérisseur local.
Il s'avère que les conférences et les examens des facultés de médecine sont un excellent moyen de déterminer qui est l'humain simien le plus obéissant d'une communauté. Mettez-le dans une tenue et entraînez-le, et il suivra les instructions. Ce n'est pas exactement le type qui va faire une grosse puanteur quand son payeur et ses collègues lui disent de faire la queue. Groupthink extraordinaire est entré dans ce qui était un système imparfait, mais largement efficace, abordable et rapide pour les soins de santé locaux fournis par le modèle de l'arrière-pays.
La déprofessionnalisation de la médecine
Nous sommes aujourd'hui en pleine déprofessionnalisation de la médecine. Bien que cela ait longtemps été un sujet de conversation, en masse, beaucoup voient maintenant à quel point le domaine médical professionnalisé peut être mauvais.
Mais honnêtement, la plupart des gens qui portent encore des masques pour voir des médecins n'ont pas vu le pire. Ils ne rendraient pas encore visite à un médecin masqué s'ils comprenaient ce qu'ils faisaient. Porter un masque à un médecin montre que vous manquez certaines des leçons les plus précieuses de 2020 et au-delà. Si vous ne pouvez pas rattraper rapidement ces leçons, vous risquez de les répéter.
Beaucoup de gens meurent parce qu'ils font confiance et obéissent docilement à des médecins qui ne méritent pas leur confiance
Permettez-moi de commencer ici. J'ai entendu trop d'histoires de personnes décédées aux mains de médecins, dont certaines étaient très proches de moi. Ils sont entrés et ont obéi et ne sont jamais sortis de ce lit. Ils sont morts en conséquence directe de leur obéissance.
Ce n'est pas ainsi que fonctionne une médecine efficace. Les médecins vous examinent et proposent des théories et vous les repoussez pour les aider à développer le traitement le plus efficace possible. Une bonne médecine est comme une négociation entre deux personnes qui veulent le meilleur résultat pour le patient. Beaucoup de communication est souvent nécessaire pour que le médecin sache comment vous aider au mieux.
Si vous êtes assis là comme un sac de pommes de terre, vous serez traité comme tel. L'affirmation de soi sera probablement une vertu acquise par de nombreux Américains pendant cette période de faute professionnelle et d'homicide par négligence aussi répandues par la communauté médicale. Je soupçonne que la médecine sera très différente dans plusieurs années.
Certaines personnes refusent même d'aller voir un médecin
Il y a des gens qui se sont autrefois rendus avec diligence au cabinet du médecin pour chaque maladie mineure, et qui ne remettront plus jamais les pieds dans le cabinet d'un médecin. Certains patients auparavant obéissants ont réalisé, grâce au rationnement des services médicaux qui a suivi les Ides de mars 2020, qu'ils vont bien sans visites régulières. D'autres ont simplement perdu l'habitude. D'autres encore ont simplement décidé qu'ils seraient plus heureux de mourir chez eux que de vivre si cela les obligeait à risquer une visite à l'hôpital. Bien que je n'aie pas de données de sondage, je soupçonne que le nombre de personnes qui pensent ainsi aux États-Unis en ce moment – préféreraient mourir à la maison plutôt que de risquer une visite à l'hôpital – se chiffre en millions, voire en dizaines de millions.
Sur le plan sociétal, il y a eu une mise en accusation massive du système médical et aucun organe institutionnel ne travaille honnêtement pour y remédier. Les efforts institutionnels ont consisté à faire taire cela ou à déclarer les préoccupations des patients comme une « désinformation ». « Faites confiance à la blouse blanche ! » reste, comme on pouvait s'y attendre, la réponse à ces préoccupations. En conséquence, la méfiance à l'égard de la médecine professionnelle va croître et s'envenimer. Il s'agit d'une réinitialisation indispensable dont la société bénéficiera.
Pourquoi vous ne devez pas emmener votre fils chez un médecin qui a besoin de masques
Permettez-moi maintenant d'attirer l'attention sur vous, cher lecteur. Je vais prendre quelques minutes de plus pour répondre à celle-ci, car je pense que c'est une question importante et importante que vous posez.
S'il vous plaît envisager de quitter ce HMO. Veuillez trouver un autre médecin. Vous évoquez le masque facial, une préoccupation qui me tient à cœur.
Cependant, j'aimerais que vous voyiez cela différemment. J'aimerais que vous considériez votre inquiétude concernant le masque facial comme une indication de votre méfiance envers le médecin et son personnel. Si vous avez besoin de stresser sur le masque facial avec ce médecin, imaginez combien d'autres choses ce médecin s'est déjà avéré indigne de confiance ?
Ce médecin exerce un pouvoir énorme une fois que vous entrez dans son officier, s'il le souhaite. Ce pouvoir va bien au-delà de la simple autorité de la blouse blanche dans une interaction avec un patient.
Une fois que vous êtes à l'intérieur du cabinet de ce médecin, vous avez des droits réduits en tant que parent. Il peut devenir compliqué de refuser légalement un traitement. Les services de protection peuvent être appelés à enquêter sur la question, ce qui peut rendre l'après-midi inconfortable à attendre et à expliquer pourquoi vous n'aimez pas un certain mode de traitement. En conséquence, il y aura peut-être des visites de suivi au bureau avec les services de protection, des visites à domicile des services de protection ou des audiences à l'avenir. Ce qui pourrait également être le résultat, c'est que votre enfant pourrait être emmené.
Dans l'État policier de l'Idaho en ce moment (considéré à tort comme si attrayant par de nombreux Blue Staters), se déroule le drame en cours de Baby Cyrus qui a plusieurs fois été séparé de sa mère qui allaite parce qu'il ne correspondait pas au profil de poids pour son âge. Cela a été possible parce que Baby Cyrus est entré en contact une fois de trop avec un agent de l'État sans doute bien intentionné qui était juste un corps occupé et suivait sa formation.
Dans le système actuel, tout le monde, des pasteurs aux enseignants des écoles privées, en passant par les médecins et les infirmières des cliniques privées, jusqu'aux agents de police, bien sûr, sont tous des agents de l'État censés suivre leur formation et à chaque occasion possible vous insérer, vous et votre famille dans le système pour que le système détermine votre innocence ou votre culpabilité. Dans le processus, le système déchirera votre famille et vous appauvrira pendant qu'il déterminera quelle est la vérité de la situation et si vous devez bénéficier des libertés humaines fondamentales, telles que le droit d'élever votre enfant. Jusque-là, aucun droit fondamental ne vous est accordé. Au lieu de cela, votre enfant est kidnappé et laissé aux soins de certaines des personnes les plus perturbées psychologiquement, car c'est mieux pour un bébé allaité que d'être avec sa mère.
Ce n'est que par la bonté du médecin et le désintérêt du personnel de vous signaler qu'une telle chose ne se produit pas. Sur le papier et dans la pratique, s'ils veulent pousser la question, vos droits en tant que parent sont quasi inexistants dans un cabinet médical.
De simples contrôles de bien-être
Si un fournisseur de soins de santé veut qu'il en soit ainsi, vous aurez peut-être beaucoup de mal à insister pour que vous soyez dans la pièce avec votre enfant contre la volonté d'un professionnel de la santé. Un bilan de santé pour abus peut être exigé à tout moment. À un tel moment, en votre absence, n'importe quel traitement peut vraisemblablement avoir lieu (médicaments, vaccins, autres injections), peu importe à quel point vous ou moi percevons cette injustice. Ce qui se passe dans cette pièce peut être quelque chose dont vous n'apprenez jamais rien.
Vous pouvez prétendre en toute confiance que cela ne se produirait jamais dans ce cabinet médical, mais le penser ne ferait que prouver votre ignorance sur le sujet de l'enlèvement médical. Comme vous avez lu cet article, j'estime que trois enfants dans votre état viennent d'être contraints ou soumis à un traitement auquel leurs parents se sont fermement opposés au début de la visite du médecin. Ce n'est que par la bonté de votre médecin et de votre personnel - ce qui n'est pas très bon d'après leurs politiques en matière de masques faciaux - que cela ne vous arrive pas. Vous prenez des risques insensés et vous vous préparez à une mauvaise situation en consultant un médecin comme ça. Votre enfant mérite mieux.
Cet examen minutieux de quelqu'un qui ne fait que suivre les règles est un danger dont les parents doivent constamment protéger leurs enfants
Pendant que votre enfant se trouve dans cette pièce pour un contrôle de bien-être impromptu, toute décision parentale peut être examinée. Imaginez les conversations que quelqu'un qui veut déformer la vérité pourrait inciter votre enfant à avoir. "Est-ce que ta mère est méchante avec toi ?" À votre avis, où pourrait mener cette conversation si quelqu'un était d'humeur trompeuse ou si cette personne avait le tempérament de déformer la vérité ?
Ou si on demandait à votre enfant : « As-tu déjà pensé à te faire du mal ? Qu'est-ce que cela pourrait signifier pour sa vie si une personne trompeuse était celle qui posait la question. Cette question entre les mains de quelqu'un de trompeur pourrait avoir un impact sur la vie de votre enfant pendant des décennies. Je connais quelqu'un qui a été impacté par ce type de scénario dans les années 1990, lorsque l'intrusion de l'État dans la famille était beaucoup moins établie. Les mauvaises réponses dans un tel moment peuvent vraiment hanter une personne pour la vie. À quel point cela pourrait-il être pire pour quelqu'un aujourd'hui ?
Et peut-être que vous faites confiance à l'infirmière. C'est peut-être quelqu'un que vous connaissez depuis vingt ans. (Le courrier électronique de suivi indique que l'infirmière est en fait un parent.) Mais que se passe-t-il si l'infirmière appelle un travailleur social pour une deuxième série de questions ? Et l'infirmier dit "Eh bien, je suis journaliste mandaté, et il dit que sa mère est parfois méchante avec lui" ou "Il dit qu'il a pensé à se faire du mal". Où pensez-vous que cela pourrait aller ?
De plus, vous n'avez pas le droit de savoir ce qui s'est passé dans cette pièce. Les droits que vous tentez de faire valoir ne garantissent pas que vous receviez des informations exactes. Ce n'est que par la bonté du médecin et le désintérêt du personnel que de telles choses n'arrivent pas.
Tout cela devrait être une raison suffisante pour ne mettre les pieds que dans le bureau d'un médecin en qui vous avez profondément confiance, et de ne le faire que rarement et judicieusement.
Non seulement votre médecin est-il indigne de confiance et puissant, mais nous vivons à une époque qui amplifie cette réalité
Considérons en outre le temps et le lieu spécifiques dans lesquels nous vivons. Au cours de mes écrits et de mon organisation sur ces sujets, j'ai entendu à plusieurs reprises les histoires d'horreur qui suivent une tragédie comme celle-ci - une personne entre dans le cabinet d'un médecin en bonne santé, est testée pour Covid, se retrouve à l'hôpital et est morte 3 des semaines plus tard, après que les prestataires de soins de santé ont suivi une cascade d'interventions, dont aucune n'aurait tué individuellement le patient, mais qui au total a tué la personne.
Souvent, le dernier contact avec la famille a eu lieu lorsqu'on a dit à la famille : "Nous allons simplement l'admettre, et vous pouvez garer la voiture jusqu'à l'entrée du visiteur et lui rendre visite un peu plus tard". Nous vivons à une époque où ces mots, pour des milliers de personnes, ont littéralement marqué la dernière opportunité pour quelqu'un d'empêcher la mort d'un être cher. Pour des milliers d'autres, aller chez un médecin ou accepter de passer un test PCR était la dernière opportunité qu'ils avaient d'empêcher la cascade mortelle d'interventions. Selon la norme de soins actuelle, cette cascade d'interventions est déclenchée bien avant qu'un patient ou un membre de sa famille puisse reconnaître que les fournisseurs de soins ne permettront aucun retour en arrière.
En fin de compte, le décès est étiqueté Covid-19 et plusieurs entités, gouvernementales et non gouvernementales, reçoivent un salaire en raison de cette détermination de la cause du décès. La mort n'est pas toujours le résultat. Les blessures graves sont un autre résultat d'une telle intervention.
Cette cascade d'interventions pourrait être déclenchée si les allergies de votre fils agissent simplement ou si une infirmière s'approche simplement de votre fils et lui dit «ouvrez-vous» et lui tamponne la bouche avec l'échec diagnostique qu'est le test PCR ou le test antigénique.
Vous êtes à la merci du médecin lorsque vous entrez dans ce bureau. Le médecin spécifique que vous mentionnez exige que vous portiez un masque facial dangereux et inefficace. Le masque facial est si définitivement dangereux et inefficace que j'ai pu remplir un livre de 500 pages avec des écrits sur le sujet de leur nocivité pour les enfants. C'est à quel point le médecin auquel vous faites référence est déconnecté. Si vous me demandez, ce médecin ne devrait pas être à proximité de votre enfant ou de tout autre enfant.
Votre préoccupation concerne le masque facial. Le masque facial est un révélateur du manque de confiance du médecin, de son personnel et du HMO.
S'il vous plaît, payez simplement de votre poche pour le physique et gardez votre enfant loin des médecins Maskhole
Je ne sais pas ce que coûtera le rendez-vous si vous payez comptant chez un fournisseur de soins digne de confiance. 40 $ ? 140 $ ? 400 $ ?
Je soupçonne que le coût est quelque part là-dedans. Il existe de nombreuses options de traitement. Certains merveilleux prestataires de soins locaux sont mentionnés dans ma newsletter hebdomadaire (pas disponible partout), et d'autres autour de vous connaissent probablement des prestataires de soins qui feront un examen physique contre de l'argent. De plus, il existe probablement un large éventail de naturopathes, d'homéopathes, de chiropraticiens ou d'infirmières autorisées qui peuvent faire le physique. À titre d'exemple, le Dr Pierre Kory a une bonne base de données accessible au public des fournisseurs de soins qui n'achètent pas le récit. De nombreuses listes similaires de médecins existent également, bien que ces listes ne représentent qu'une petite partie des médecins à ce stade qui n'achètent pas le récit. Chaque région a des médecins qui n'auront pas besoin de masque, si vous donnez simplement la priorité à la recherche de ces médecins.
Votre borg d'un HMO, d'autre part, est plein de médecins peu talentueux qui ont cessé de penser par eux-mêmes vers l'âge de six ans. Une fois dans une lune bleue, vous trouvez un médecin attentionné dans de telles organisations. Tout comme à l'académie, penser par soi-même est découragé et les professionnels de la santé réfléchis ne sont tout simplement pas attirés par de tels endroits.
S'il vous plaît, considérez qu'il vaut chaque centime pour garder votre fils aussi loin que possible du système de votre HMO.
Si vous voulez des histoires pleines d'espoir sur ce que les gens ont traversé pour obtenir un rendez-vous, je peux les partager. Je ne pense pas que ce soit le cas pour ces approches, cependant. Je crois que ce médecin vous dit très clairement quel genre de personne il est, et il est possible que vous n'écoutiez pas.
Dites non aux bêtises. Repousser. Mener. Lisez le best-seller "" si vous ne savez pas comment. Lisez "" si vous ne savez pas pourquoi. Ces livres sont bien plus que des masques faciaux. Inscrivez-vous à la newsletter percutante sur www.RealStevo.com (www.RealStevo.com). Refusez d'être affaibli par leurs bêtises. Vous pouvez vous conduire vous-même, votre famille et le monde autour de vous vers le meilleur.
La prochaine pandémie selon l'ancien directeur du CDC: la H5N1
dimanche 10 avril 2022
Le virus "le plus mortel" a été le sujet d'une grande controverse il y a plus de 10 ans au sein de la communauté scientifique. Le travail d'ingénierie du H5N1 + H1N1, dont les recherches sur les GAINS DE FONCTION ont été partagées dans plusieurs laboratoires, a été dénoncé à cause de son énorme potentiel de léthalité pouvant créer des millions de morts: sans contredit une arme biologique.
Là encore NE CONFONDONS PAS virus (poussières) et microbes. Un microbe est vivant, il transporte des maladies. Un virus est une poussière INOFFENSIVE ! (sauf les poussières radioactives (Becquerels).
Un microbe se promène dans l'air. Ce qui l'ont peuvent être contaminants.
Un virus (tel que le 'covide19CharlieOmicronBravo', etc) est une poussière fabriquée en laboratoires. Ces poussières NE SONT PAS DANS L'AIR mais UNIQUEMENT disponibles en seringues !
Si vous vous faites inoculer: vous l'avez !
Mais, comme il s'agit là d'un poison (nano-particule d'oxyde de graphène enrobée) vous ne pouvez contaminer quelqu'un (sauf en l'embrassant dans la bouche ou acte sexuel). Ce poison est perpétuel. Il détruit l'organisme (ôte toute immunité !) et vous empêche d'avoir des enfants (sinon des monstres !).
Fauci admet sa défaite: dit que COVID est là pour rester, les gens doivent «calculer le risque individuel»
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 AVRIL 2022 - 00:40
Alors que le président Joe Biden faisait campagne sur la promesse de "fermer le virus, pas l'économie", le Dr Anthony Fauci - l'employé le mieux payé du gouvernement américain - adoptait une approche beaucoup plus prudente - suggérant que Covid pourrait ne jamais disparaître.
Et avec Washington DC maintenant une ville de fête super-diffusée pour la souche Omicron beaucoup moins mortelle, Fauci a maintenant explicitement jeté l'éponge en essayant de débarrasser le monde de Covid-19 – disant à ABC "This Week" que le virus est là pour rester , et les gens n'auront qu'à décider du niveau de risque qu'ils sont prêts à prendre.
"Cela ne va pas être éradiqué et ça ne va pas être éliminé", a déclaré Fauci à l'hôte Jonathan Karl.
"Ce qui va se passer, c'est que nous allons voir que chaque individu va devoir calculer le degré de risque qu'il veut prendre en allant à des dîners à l'intérieur et en allant à des réceptions, même dans le domaine de une carte des zones vertes du pays où vous voyez que tout semble vert mais ça commence à tourner", a-t-il ajouté.
"Nous allons devoir vivre avec un certain degré de virus dans la communauté", a poursuivi Fauci, ajoutant que "la meilleure façon d'atténuer cela, Jon, est de se faire vacciner".
Oui, un vaccin développé pour une souche complètement différente qui perd de sa protection six semaines seulement après la réception d'une quatrième dose, selon une récente étude israélienne.
Que ce soit aux États-Unis (pays de Liberté pas de Démocratie), ou en Europe (pays sans rien du tout) les éternués qui se disent d'être de la dite 'opposition' soutiennent corps & âme la dictature au pouvoir. AUCUN chef d’État au monde n'a dénoncé l'escroquerie du '11 Septembre' ! Aucun de ces marionnettes à la con n'a dénoncé l'escroquerie du 'covide19merdum-merdum', ni la mise en place des masques inutiles, distanciation, emprisonnement à domicile, faux vaccins, etc, etc ! TOUS LA MÊME MERDE ! TOUS !
Quand on entend une ordure dire: (...) "Nous allons devoir vivre avec un certain degré de virus dans la communauté", a poursuivi Fauci, ajoutant que "la meilleure façon d'atténuer cela, Jon, est de se faire vacciner". (...) et qui se dit médecin !!! 'Un vaccin anti-poussière' ! WHÔAW ! Le Mr Propre des chiottes ! TOUTES les poussières sont INOFFENSIVES (sauf celles qui sont radioactives. Becquerels) Nous respirons toutes & tous AVEC ou SANS masque 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE, donc: DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Moderna rappelle 764 900 doses de vaccin COVID-19 après la découverte d'une contamination
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 AVRIL 2022 - 03:40 Écrit par Lorenz Duchamps via The Epoch Times
La société pharmaceutique et biotechnologique américaine Moderna Inc. a publié vendredi un rappel en Europe impliquant 764 900 doses de son vaccin COVID-19 "Spikevax" après la découverte de contaminants dans un flacon.
"Le lot est rappelé en raison de la découverte d'un corps étranger dans un flacon du lot fabriqué sur le site de fabrication sous contrat de la société, ROVI", ont déclaré Moderna et ROVI Pharma Industrial Services en Espagne dans un communiqué conjoint.
Le fabricant de médicaments n'a pas précisé quel type de substance étrangère avait été trouvé et avait rappelé le tout par « excès de prudence ».
La contamination a été détectée dans un seul flacon du lot et les enquêteurs ne pensent pas que la contamination posait un risque pour les autres flacons du lot.
«Moderna a effectué une recherche cumulative dans sa base de données mondiale sur la sécurité, et aucun problème de sécurité n'a été signalé chez les personnes qui ont reçu le vaccin Moderna COVID-19 de ce lot. À ce jour, aucun problème d'innocuité ou d'efficacité n'a été identifié », selon le communiqué.
Les lots ont été distribués du 13 au 14 janvier en Norvège, en Pologne, au Portugal, en Espagne et en Suède. À ce jour, plus de 900 millions de doses du vaccin Moderna COVID-19 ont été administrées dans le monde.
L'année dernière, Moderna a fait rappeler plusieurs lots de ses vaccins COVID-19 par les autorités japonaises après qu'une enquête a trouvé des contaminants en acier inoxydable dans certains flacons. Les lots rappelés ont été fabriqués par la même société espagnole, ROVI.
Le plus grand fabricant de médicaments du Japon, Takeda Pharmaceutical, a déclaré dans un communiqué que la contamination remontait à la production gérée par ROVI. Les découvertes ont été découvertes par une enquête menée par les deux sociétés, et non par le ministère japonais de la Santé.
Trois hommes au Japon étaient tombés gravement malades en août 2021 après avoir reçu une deuxième dose du vaccin COVID-19 désormais rappelé et sont décédés peu de temps après. Takeda a déclaré dans un communiqué à l'époque qu'il n'y avait aucune preuve qu'ils étaient liés au vaccin, a rapporté Reuters.
"L'acier inoxydable est couramment utilisé dans les valves cardiaques, les remplacements d'articulations et les sutures et agrafes métalliques. En tant que tel, on ne s'attend pas à ce que l'injection des particules identifiées dans ces lots au Japon entraîne un risque médical accru », a déclaré la société.
Les deux premiers décès signalés dans le pays liés à des doses contaminées de Moderna concernaient deux hommes, âgés de 30 et 38 ans. Ils sont tous deux décédés deux jours après avoir reçu une deuxième dose d'un lot de vaccins contaminés.
Le troisième cas était un homme de 49 ans, qui est également tombé malade après avoir reçu sa deuxième dose et est décédé le lendemain, a indiqué le ministère de la Santé, notant que son seul problème de santé connu était une allergie au sarrasin.
Pfizer a été complètement submergé par les rapports sur les effets secondaires des «vaccins» covid, révèlent des documents
lundi 11 avril 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Afin de gérer le déluge de rapports d'événements indésirables suite à la sortie de son "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), le géant pharmaceutique Pfizer a embauché une armée de nouveaux employés à temps plein, déclare Brian Hooker, directeur scientifique. à la défense de la santé des enfants (CHD).
Les informations divulguées par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis le 1er avril en réponse à une demande accélérée de la Freedom of Information Act (FOIA) ont révélé que Pfizer avait fait appel à 1 800 nouvelles ressources humaines pour traiter l'assaut des rapports de blessures et de décès découlant de son ARNm. (ARN messager) jab.
Une «analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation… reçus jusqu'au 28 février 2021» explique que Pfizer a pris «plusieurs mesures pour atténuer la forte augmentation des rapports d'événements indésirables».
"Cela comprend des améliorations technologiques importantes et des solutions de processus et de flux de travail, ainsi que l'augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie de données et du traitement des cas", précise cette section du document.
« À ce jour, Pfizer a intégré environ 600 employés à temps plein (ETP) supplémentaires. D'autres rejoignent chaque mois avec un total prévu de plus de 1 800 ressources supplémentaires d'ici la fin juin 2021. »
Pfizer a menti sur les événements indésirables ; prétendait qu'ils n'existaient pas tout en qualifiant ses injections de "sûres" Entre le 11 décembre 2020, lorsque les injections de Pfizer ont obtenu pour la première fois l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) sous Donald Trump via l'opération Warp Speed, et février 2021, lorsque le programme battait son plein, Pfizer a embauché 600 nouveaux employés à temps plein.
À l'époque, l'entreprise prévoyait de devoir en apporter 1 200 autres, portant le total à 1 800, en raison de ce qui était déjà manifestement un problème sérieux pour l'entreprise.
"158 000 événements indésirables au cours des deux premiers mois du déploiement signifient que le taux d'EI [événements indésirables] signalés était d'environ 1:1000, avec de nombreux EI classés comme graves", a déclaré Hooker à propos du nombre sans précédent d'effets secondaires. causés par les injections de Pfizer. (En relation: Au moins 1 291 effets secondaires différents sont liés aux injections d'ARNm de Pfizer.)
Rien de tout cela n'a été divulgué publiquement par Pfizer, naturellement. En fait, la société a continué à mentir sur la "sécurité et l'efficacité" de ses vaccins, c'est ainsi qu'elle a obtenu une licence complète de la FDA l'été dernier.
Dans sa « demande d'examen prioritaire » de mai 2021, Pfizer a soutenu que ses injections d'ARNm sont « sûres et bien tolérées chez les adultes en bonne santé », ainsi que chez les « participants plus jeunes et plus âgés ». Pfizer a faussement affirmé qu'il n'avait "aucune découverte de sécurité imprévue".
Les documents récemment publiés via FOIA racontent une histoire bien différente. Pfizer a menti à la FDA, et la FDA a menti au peuple américain. Et beaucoup d'argent a été gagné dans le processus.
Tout cela explique pourquoi Pfizer et la FDA se sont battus bec et ongles pour garder un couvercle sur les documents Pfizer pendant les 75 prochaines années. Ils pensaient qu'ils pourraient traverser la génération actuelle et les libérer plus tard, lorsque toutes les personnes actuellement touchées par cette abomination seront parties depuis longtemps.
Ce plan échoue cependant, car la vérité se répand un peu plus chaque jour. Le mal de Pfizer passe des ténèbres à la lumière. La question qui demeure est la suivante : va-t-il arriver quelque chose pour punir l'entreprise, son PDG Albert Bourla et toutes les autres personnes impliquées dans l'escroquerie ?
"J'ai le sentiment qu'au cours des prochaines années, nous assisterons à une catastrophe mondiale alors qu'un grand nombre de personnes tomberont malades et mourront de ces piqûres empoisonnées", a écrit quelqu'un au New American.
"La prochaine crise sanitaire majeure sera les effets débilitants et mortels du soi-disant vaccin COVID", a répondu quelqu'un d'autre. "N'ayez crainte, les grandes sociétés pharmaceutiques développeront un" vaccin "pour protéger les gens de ces effets indésirables."
"Sans aucun doute, car cela a déjà lieu", a déclaré un autre encore à propos de la catastrophe mondiale actuellement en cours.
Plus d'informations sur Pfizer peuvent être trouvées sur Evil.news.
Les filles développent des ULCÈRES GÉNITAUX après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19
Lundi 11 avril 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) De jeunes filles, dont certaines n'ont que cinq ans, développent des ulcères génitaux à cause du vaccin à ARNm du coronavirus de Wuhan (COVID-19) de Pfizer.
Ceci est conforme aux articles publiés et évalués par des pairs et aux données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le programme du gouvernement fédéral pour la collecte de rapports sur les événements indésirables liés aux vaccinations. (En relation: Des documents Pfizer récemment publiés montrent que le vaccin à ARNm COVID-19 peut provoquer 1 291 événements indésirables différents.)
L'un des articles de journaux médicaux récemment publiés sur les ulcères génitaux post-vaccinaux a été publié ce mois-ci dans le Journal of Pediatric and Adolescent Gynecology. L'étude, intitulée "Post COVID-19 Vaccination Vulvar Aphtous Ulcers: An Unpopular Case Series", a été menée par trois médecins du service de gynécologie pédiatrique et adolescente du Mercy Children's Hospital du Kansas, Missouri.
"Avec la pandémie de COVID-19, notre institution a vu des ulcères aphteux associés au COVID", ont écrit les auteurs de l'étude. "Après une utilisation accrue du vaccin Pfizer chez les 12 ans et plus, notre institution a également vu une série d'ulcères aphteux post-vaccinaux."
Les médecins ont étudié trois filles, âgées de 12 à 15 ans, qui présentaient des ulcères vaginaux qui ont commencé à se développer moins de trois jours après avoir reçu la deuxième dose du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer.
Chacune des filles a reçu la première dose du vaccin sans complications. Mais tous les trois, le deuxième jour après avoir reçu la deuxième dose, ont commencé à ressentir des douleurs dans les organes génitaux. Les trois enfants ont été amenés au Mercy Children's Hospital entre juin et septembre 2021 et ont reçu un diagnostic de lésions aphteuses vulvaires.
Également connue sous le nom d'ulcères de Lipschutz, cette affection est une affection très rare, non sexuellement acquise, que même les gynécologues les plus intelligents du monde connaissent très peu. Son principal symptôme est la formation de gros ulcères profonds dans les organes génitaux féminins. Il provoque également des douleurs, des malaises et de la fièvre.
Chacune des filles souffrait de plusieurs gros ulcères sur les organes génitaux, dont certains se nécrosaient. Aucun d'entre eux n'était sexuellement actif ou n'avait eu une infection antérieure au COVID-19 ou même une exposition récente.
Les filles aussi jeunes que cinq ans peuvent également développer des ulcères génitaux après la vaccination Pfizer De nombreuses autres études prouvent que le vaccin Pfizer donne aux filles des ulcères génitaux.
Dans le Wisconsin, une fillette de 12 ans en bonne santé sans antécédents sexuels a développé de la fièvre un jour après avoir reçu la deuxième dose du vaccin COVID-19. Un jour plus tard, elle a développé trois ulcères douloureux sur ses organes génitaux, dont l'un était nécrotique.
Dans le Minnesota pour enfants, une jeune fille de 16 ans sans antécédents sexuels est devenue fébrile, fatiguée et a ressenti des douleurs musculaires dans les 24 heures après avoir reçu son deuxième vaccin Pfizer COVID-19. Elle a ensuite développé des lésions dans sa région vaginale. Au cours des deux jours suivants, les lésions sur le côté droit de sa région vaginale se sont transformées en un gros ulcère suintant jaune et gris avec des parties nécrotiques qui lui ont causé une immense douleur.
Dans le Colorado, une fillette de cinq ans a reçu la deuxième dose du vaccin mortel COVID-19 de Pfizer en novembre. En une journée, elle a développé des douleurs musculaires, des douleurs au bras et une lésion vaginale qui rendait la marche difficile. Ce cas a été signalé au VAERS et il n'a pas été résolu.
Apprenez-en plus sur la dangerosité du vaccin COVID-19 de Pfizer sur Vaccines.news.
Regardez cette émission de The New American qui explique comment les propres documents de Pfizer prouvent que la Food and Drug Administration a caché à quel point les vaccins COVID-19 sont dangereux pour les adolescents.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Pfizer a enregistré tellement d'événements indésirables qu'il a dû embaucher 2 400 employés supplémentaires pour gérer la paperasse et le traitement des données.
Dénonciateur : Pfizer a falsifié les signatures des participants à l'essai, a falsifié et fabriqué des données d'essai.
Un document Pfizer top secret divulgué montre que le vaccin COVID-19 est BEAUCOUP PLUS DANGEREUX que le monde ne le sait.
Pfizer admet dans un document confidentiel que le vaccin COVID-19 provoque une maladie améliorée associée au vaccin (la même chose que l'amélioration dépendante des anticorps).
L'enquête prouve que le vaccin Pfizer offre moins de 1 % de protection contre le COVID-19.
Un ancien conseiller principal de la FDA met en garde le public : la FDA cache délibérément des faits sur les problèmes de santé liés au vaccin COVID-19
lundi 11 avril 2022 par : Zoey Sky
(Natural News) D'innombrables rapports et de nombreuses études ont montré que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont liés à des effets indésirables, des plus mineurs comme la douleur au site d'injection aux effets secondaires plus graves comme l'inflammation cardiaque.
David Gortler, ancien conseiller principal du commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), a averti que l'agence ignore son exigence de "divulguer des problèmes clairs de sécurité et d'efficacité avec les vaccins COVID-19".
Gortler est pharmacologue, pharmacien et membre de la FDA et de la politique de santé au Centre d'éthique et de politique publique (EPPC). Il était médecin de la FDA avant d'être nommé par la Maison Blanche de l'ancien président Donald Trump en tant que conseiller principal du commissaire de la FDA pour la sécurité des médicaments, la politique scientifique de la FDA et les affaires réglementaires de la FDA.
Les Américains restent mal informés sur les effets secondaires du vaccin COVID Fin mars, Gortler a écrit une chronique dans laquelle il a averti que la FDA, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Pfizer et Moderna étaient tous au courant depuis le début des risques de myocardite et de péricardite liés aux vaccins à ARNm COVID-19.
Tout au long de la pandémie de coronavirus, de nombreux événements indésirables ont été signalés à l'aide du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le système de suivi géré par la FDA et le CDC. Mais Gortler a souligné que les Américains n'ont reçu aucun avertissement formel, comme l'étiquetage et les lettres pour avertir les médecins, les pharmaciens ou le public.
Il pense que c'est parce que cela dissiperait le récit selon lequel obtenir des vaccins et des rappels est le «devoir patriotique» des Américains. Habituellement, il incombe aux fabricants d'aviser les consommateurs et les prescripteurs des mises à jour concernant l'innocuité et l'efficacité.
Gortler a également noté que le maigre document d'examen de 107 pages de la FDA excluait évidemment les "effets indésirables graves cliniquement importants" comme l'anaphylaxie (réactions allergiques graves), la myocardite et la péricardite.
La myocardite et la péricardite impliquent une inflammation du cœur et du sac contenant le cœur, respectivement. (Connexe: Pfizer intervient pour contrôler la FDA et faciliter les suppressions radicales de la divulgation ordonnée par le tribunal de leurs données sur les blessures causées par les vaccins.)
Pendant ce temps, la revue de Moderna ne comptait que 30 pages mais présentait des rapports de myocardite et de péricardite dans l'étude initiale. Il est indéniable qu'il existe de nombreux problèmes de sécurité et d'efficacité avec les vaccins et les rappels contre les coronavirus, a averti Gortler.
Étant donné que les plus de 18 000 employés de la FDA ont eu accès aux mêmes données sur l'innocuité des médicaments, cela souligne le fait qu'il n'y a toujours pas d'étiquetage COVID-19 mis à jour reflétant les dernières découvertes en matière d'innocuité et d'efficacité dans le VAERS.
Examen du vaccin COVID-19 Gortler a ces questions pour la FDA :
Où sont les lettres "Dear Doctor" de la FDA avec des consignes de sécurité mises à jour ? Où sont les lettres « Cher pharmacien » aux pharmaciens qui inoculent et donnent encore des rappels à des milliers d'enfants et d'autres jeunes en bonne santé chaque jour ? Pourquoi la FDA ne recommande-t-elle pas un suivi des symptômes pour éviter d'autres événements cardiovasculaires, neurologiques ou thrombotiques inflammatoires ? Pourquoi la FDA ne convoque-t-elle pas et ne dédie-t-elle pas un comité de surveillance de la sécurité des données pour surveiller tous les effets post-commercialisation et autres ? Gortler a également indiqué que pour tout médecin, pharmacien ou autre professionnel de la santé travaillant pour la FDA, le CDC ou une autre agence, le fait de ne pas avertir les patients des dangers potentiels de tout médicament mettrait leurs licences professionnelles en danger. Il a ajouté que d'autres preuves de "malfaisance manifeste" seront révélées, mais probablement sous une administration républicaine.
Si cela se produit, tous les praticiens et scientifiques agréés qui ont dissimulé au public des informations cruciales sur les effets secondaires des vaccins COVID-19 devraient faire l'objet d'une enquête approfondie par leurs conseils universitaires et leurs autorités de délivrance des licences.
Malgré les nombreux cas signalés d'effets indésirables, les responsables de la FDA continuent de promouvoir le "vaccin potentiellement dangereux" en cachant des données au public. Même le site Web de la FDA montre des images d'enfants et de jeunes adultes recevant des rappels. Cependant, les dernières données du CDC ont révélé qu'il n'y a aucun avantage connu de la vaccination contre le coronavirus pour ces groupes à faible risque.
Regardez la vidéo ci-dessous pour entendre un pilote de ligne s'exprimer contre les mandats de vaccination contre les coronavirus.
This video is from the InfoWars channel on Brighteon.com.
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The Ben Armstrong Show: Vaccines more dangerous than COVID – Brighteon.com.
Belgium drops Moderna vaccine for young people due to heart inflammation risks.
Dr. Sherri Tenpenny: mRNA COVID vaccines increase hospitalization and death rates – Brighteon.TV.
La grippe aviaire se propage aux États-Unis, les prix des œufs montent en flèche
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 AVRIL 2022 - 02:40
Une souche contagieuse de grippe aviaire hautement pathogène a anéanti des troupeaux à travers les États-Unis et tué des millions d'oiseaux. L'effet direct a été un effet d'entraînement désagréable des approvisionnements serrés en viande de volaille et en œufs, faisant grimper les prix de détail à la hausse, ajoutant à une inflation alimentaire record.
Les dernières estimations du département américain de l'Agriculture (USDA) montrent qu'environ 24 millions de volailles comme les poulets et les dindes sont mortes ou ont été abattues à cause du virus depuis février.
- voir carte sur site -
Bloomberg a publié une carte choquante de la propagation de la grippe aviaire aux États-Unis, couvrant près de la moitié du pays.
Même si le virus présente des risques limités pour l'homme, le virus a été détecté dans le premier producteur d'œufs du pays : l'Iowa. La propagation se poursuit alors que "les schémas de migration des oiseaux sauvages se poursuivent. La maladie est introduite dans notre population nationale", a déclaré Chloe Carson, directrice des communications du département de l'agriculture de l'Iowa, à CNN.
Les prix nationaux des œufs sont hors des graphiques pour cette période de l'année en raison d'un approvisionnement limité. Le prix moyen d'une douzaine d'œufs a bondi à 2,60 $, contre 1,20 $ début janvier.
- voir cadre sur site -
La semaine dernière, le secrétaire américain à l'Agriculture, Tom Vilsack, a déclaré que les élevages de volailles étaient mieux préparés à atténuer la propagation du virus en suivant de nouvelles directives après la précédente épidémie de grippe aviaire en 2015.
Pour l'instant, l'écart ne montre aucun signe de ralentissement et ajoute à la hausse du coût de la vie pour les Américains aux prises avec l'économie Biden des prix record de la nourriture et de l'essence.
Après la Chine qui a décidé de la convertibilité du yuan en or à son tour la Russie a fixé la parité à 5000 roubles par gramme d’or. Il faut noter qu’il n’est plus question de dollar ni d’once. Il aura donc fallu cinquante ans pour rétablir le rôle de réserve de l’or foulé aux pieds par Nixon lorsque les Etats-Unis ont admis que leur dollar papier ne pouvait plus être adossé sur l’or et de loin. Quand la Grande-Bretagne, pourtant amie des Etats-Unis, exigea le remboursement de ses dollars en or, démarche suivie immédiatement par la France, Nixon mit fin à l’hémorragie. En conséquence le dollar a perdu en cinquante ans près de soixante fois sa valeur en or. Je ne suis pas du tout un spécialiste de la finance (comme mes lecteurs s’en sont rendu compte à propos de la baisse de l’euro par rapport au dollar) mais en raison de la dette américaine abyssale soutenue par tous les pays utilisant le dollar comme monnaie d’échange ou de réserve de plus en plus de pays « dédollarisent » leur économie. Il faut ajouter que le dollar papier et le T-bond américain sont interchangeables, le T-bond étant tout aussi liquide que le dollar papier.
Avec une inflation galopante, actuellement 7,5 % sur une base annuelle, en Europe comme en Amérique du Nord la situation sociale ne peut que se dégrader plus vite encore que l’inflation. Les sanctions contre la Russie vont aggraver la situation. Je prends un exemple qui n’est pas relevé par les médias, l’AdBlue, une solution concentrée d’urée censée diminuer les émissions d’oxyde d’azote par les moteurs utilisant du carburant diesel. Le premier producteur d’urée du monde est la Russie. On ne peut pas dire que l’urée soit un produit industriel avec une forte valeur ajoutée, donc la Russie peut allègrement diminuer voire stopper totalement ses exportations d’urée. Que se passera-t-il dans les semaines suivantes ? Tous les véhicules diesel seront dans l’incapacité de rouler sur les routes, les autoroutes et dans les champs de culture.
À l’évidence les sanctions américaines et européennes contre la Russie sont totalement irréfléchies : plus d’urée, plus d’AdBlue, plus de transports routiers et des millions de personnes contraintes d’utiliser leur vieille voiture diesel condamnées à mort. Les dirigeants russes se lavent les mains de ces sanctions ils disposent d’armes de rétorsion économique tout simplement létales. L’extraordinaire décision du gouvernement russe de ne plus accepter que des roubles pour acheter les produits stratégiques comme le gaz ou les distillats de pétrole peut aussi s’appliquer à l’urée, au nickel, au palladium, à l’aluminium, … et le Président Poutine le sait très bien.
On ne peut s’attendre dans ces conditions qu’à un « printemps », non plus arabe, mais européen. Un printemps très chaud ! À cela il faut ajouter la politique sanitaire chinoise du « zéro covid » qui a atteint le paroxysme de la paranoïa. Les deux principaux ports d’exportation de produits chinois sont paralysés depuis plus de deux semaines. Le choc sur les économies occidentales va se faire sentir au mois de mai. Le prochain président (ou présidente) français aura beaucoup de travail pour contenir le mécontentement social. Je lui souhaite beaucoup de plaisir. Merci aux Américains et aux dirigeants de l’OTAN en Europe qui ont osé inconsidérément taquiner l’ours russe. Les peuples européens vont le payer très cher …
Les nouveaux camps de prisonniers
RépondreSupprimerPar Llewellyn H. Rockwell, Jr.
11 avril 2022
Si vous voulez savoir ce que c'est que de vivre dans une dictature totalitaire, vous n'avez pas besoin de chercher bien loin. Les collèges et universités américains, les soi-disant «institutions d'enseignement supérieur», sont devenus l'équivalent des camps de rééducation communistes dans lesquels les gens sont soumis à une propagande sans fin et contraints de verbaliser leur accord avec des slogans politiques. Si un enseignant ou un étudiant commet la moindre infraction à l'orthodoxie « éveillée », il sera congédié ou suspendu de son travail ou expulsé de l'école. Ses droits n'ont pas d'importance. Les étudiants sont également soumis à la tyrannie de Covid encore plus que la population générale.
Regardons quelques exemples. Au cours des 75 dernières années environ, 1984 d'Orwell a été l'attaque classique contre le totalitarisme. Maintenant, dans certaines universités, le livre d'Orwell a été interdit. Daniel Newton nous donne les détails : "Alors que la liberté d'expression est détruite sous couvert de 'wokeism', on serait d'accord qu'il ne manque pas d'ironie dans un rapport récent selon lequel un avertissement déclencheur a été placé sur le roman d'Orwell en raison de 'offensant et bouleversant' Matériel.
L'Université de Northampton, au Royaume-Uni, a émis des avertissements au motif de "matériel explicite" qui, selon elle, est contenu dans le livre emblématique.
Le conseil a enragé les critiques qui soutiennent qu'il va à l'encontre des thèmes de la censure dans le livre. L'histoire dystopique d'Orwell, publiée en 1949, se déroule dans un état totalitaire qui persécute la pensée individuelle. Le personnage principal du livre est un employé du gouvernement arrêté et torturé pour une histoire d'amour illicite. Ironiquement, le livre est l'une des nombreuses œuvres littéraires qui ont été signalées aux étudiants de Northampton.
Les étudiants ont été avertis que le module "aborde des problèmes complexes liés à la violence, au sexe, à la sexualité, à la classe, à la race, aux abus, aux abus sexuels, aux idées politiques et au langage offensant". dont la pièce de Samuel Beckett Endgame, le roman graphique V For Vendetta d'Alan Moore et David Lloyd, et Sexing The Cherry de Jeanette Winterson.
Le député conservateur Andrew Bridgen n'a pas non plus perdu l'ironie en disant :
RépondreSupprimer"Il y a une certaine ironie que les étudiants reçoivent maintenant des avertissements de déclenchement avant de lire Nineteen Eighty-Four." "Nos campus universitaires deviennent rapidement des zones Big Brother dystopiques où la novlangue est pratiquée pour réduire la gamme de pensée intellectuelle et annuler les orateurs qui ne le font pas. s'y conformer », a-t-il ajouté.
Avez-vous pensé à postuler pour un emploi à UCLA? Mieux vaut repenser. Voici ce que vous devez soumettre : "Merci de votre intérêt pour une carrière à l'UCLA ! L'équité, la diversité et l'inclusion sont des éléments clés de l'engagement de l'Université de Californie envers l'excellence. Ainsi, les contributions d'enseignement, de recherche, professionnelles et de service public qui favorisent l'équité, la diversité et l'inclusion sont encouragées et dûment reconnues dans l'évaluation des qualifications de chaque candidat.
Pour faciliter l'examen du comité d'embauche ou de promotion, veuillez fournir une déclaration sur l'équité, la diversité et l'inclusion (EDI) qui décrit vos contributions passées, présentes et prévues à l'équité, à la diversité et/ou à l'inclusion. Bien que loin d'être exhaustives, les contributions pertinentes notées par le bureau du président de l'UC comprennent :
Enseignement
Rechercher
Activité professionnelle
Université et fonction publique
Pour avoir une meilleure idée de la façon dont UCLA pense à «l'équité», à la «diversité» et à «l'inclusion», veuillez lire le guide de recrutement des professeurs de l'UCLA: Searching for Excellence (à 4-6). Si vous faites déjà partie de la faculté, vous devez également fournir une déclaration de diversité, et la façon dont la police de la diversité vous évaluera jouera un rôle majeur dans votre obtention d'un emploi ou votre promotion. Beaucoup d'autres universités font la même chose.
De nos jours, l'infraction suprême que vous pouvez commettre sur le campus est d'utiliser le "n-word". C'est au moins aussi grave qu'un meurtre. Un professeur de l'USC a été suspendu - non pas parce qu'il a utilisé le mot - mais parce qu'il a prononcé un mot chinois qui peut ou non ressembler à celui-ci. Cela a offensé certains étudiants qui n'appartiennent pas du tout à une université, et cela a suffi à faire annuler le professeur. « Une enquête d'une université américaine sur l'un de ses professeurs a déclenché un débat sur l'utilisation d'un mot chinois apparemment anodin.
Le professeur Greg Patton de l'Université de Californie du Sud (USC) parlait aux étudiants lors d'une conférence sur la communication le mois dernier des mots de remplissage ou de pause, tels que «err», «umm» ou «vous savez» en anglais.
RépondreSupprimerDes images de sa conférence, qui sont maintenant devenues virales, montrent le professeur Patton disant: "En Chine, le mot de pause courant est" ça, ça, ça ". Donc en Chine, ça pourrait être na-ge, na-ge, na-ge.
Énoncé, na-ge sonne comme le mot N, ce qui a conduit plusieurs étudiants du professeur à se plaindre à l'université. En réponse à la plainte, le doyen de l'université, Geoffrey Garrett, a déclaré aux étudiants que le professeur Patton n'enseignerait plus le cours.
"Il est tout simplement inacceptable que la faculté utilise en classe des mots qui peuvent marginaliser, blesser et nuire à la sécurité psychologique de nos étudiants", a-t-il déclaré.
L'université affirme que le professeur Patton "s'est porté volontaire pour se retirer" de son rôle dans le cadre de l'enquête sur les plaintes déposées contre lui. https://www.bbc.com/news/world-asia-china-54107329
Même si vous dites à vos élèves à quel point le mot est terrible, vous devez toujours y aller. Vous avez commis le péché suprême et vous devez être offert en sacrifice : « En octobre 2018, Philip Adamo, professeur d'histoire à l'Université d'Augsbourg à Minneapolis, a utilisé le mot n dans une discussion en classe sur l'insulte, incité par son apparence. dans The Fire Next Time de James Baldwin. Adamo a mené une discussion similaire dans sa section suivante, et plus tard dans la journée, il a envoyé par courrier électronique à ses classes des articles qui abordaient la question de savoir dans quel contexte, le cas échéant, le mot N peut être correctement utilisé. Les étudiants de tout le campus ont exprimé leur mécontentement en se présentant à son prochain cours et en l'interrogeant, en filmant des vidéos de ces discussions en classe et en écrivant des articles pour le journal étudiant qui expliquaient pourquoi Adamo les mettait mal à l'aise et comment ses actions s'inscrivaient dans une tendance problématique plus large à l'Université. La prévôte d'Augsbourg, Karen Kaivola, a démis Adamo de son poste d'enseignant et de ses fonctions de directeur du programme de distinctions honorifiques, le suspendant dans l'attente d'un examen formel.
Assez naturellement, les universités appliquent la tyrannie de Covid, obligeant les étudiants à se «vacciner» et appliquant des verrouillages et des quarantaines dans les dortoirs et sur tout le campus. Voici un cas tragique : « La saison de golf de la dernière année de John Stokes à la Tennessee State University (TSU) a été ruinée et sa vie est maintenant en danger. Le récipiendaire de la médaille d'honneur OVC, âgé de 21 ans, a reçu un diagnostic de myocardite à l'hôpital Vanderbilt le 4 septembre [2021] quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin COVID-19 Pfizer. Stokes n'était pas au courant des effets secondaires potentiels des vaccins COVID-19, y compris les données alarmantes concernant la myocardite chez les jeunes hommes du vaccin Pfizer.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque, qui réduit la capacité du cœur à pomper le sang et entraîne des rythmes cardiaques rapides ou anormaux. Cette condition peut souvent provoquer des symptômes similaires à des crises cardiaques, des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des battements cardiaques anormaux.
RépondreSupprimerStokes n'avait jamais été infecté par le COVID-19. Il n'avait aucune condition médicale préexistante. C'était un jeune athlète en parfaite santé. Avant de recevoir le vaccin Pfizer COVID-19, Stokes a été informé par le personnel de la TSU qu'il y aurait probablement un mandat de vaccination à l'université. Bien qu'il n'y ait eu aucun mandat de vaccin pour les universités publiques du Tennessee, le nombre de cas dans l'État augmentait en raison de la variante delta, quelques universités privées de l'État avaient mandaté des vaccins et il y avait une demande publique croissante pour que l'État mette en œuvre des mandats dans les institutions publiques. Stokes craignait de ne pas pouvoir participer à sa saison senior sans recevoir le vaccin, il a donc décidé de recevoir le vaccin Pfizer COVID-19.
Alors qu'il était soigné à l'hôpital de Vanderbilt pour son nouvel état de santé, Stokes a publié une vidéo sur TikTok, avertissant les autres des risques associés aux vaccins COVID-19 et déclarant qu'il est immoral de forcer les gens à les prendre. Il était essoufflé tout au long de la vidéo. Il a appelé la NCAA pour ne pas avoir informé les étudiants-athlètes des facteurs de risque associés aux vaccins COVID-19. Stokes a également déclaré qu'il avait été en contact avec d'autres étudiants-athlètes de la NCAA qui ont eu des effets secondaires négatifs des vaccins COVID-19, dont beaucoup avec des complications cardiaques. L'un de ses pairs a dû subir une opération cardiaque à la suite du vaccin. TikTok a supprimé la vidéo de Stokes au fur et à mesure qu'elle commençait à se répandre, mais vous pouvez maintenant la trouver sur YouTube.
Que pouvons-nous faire à ce sujet ? Nous devons abandonner ces États totalitaires miniatures et nous tourner vers des institutions fondées sur des principes de liberté individuelle. J'avoue qu'une de ces institutions alternatives me vient en premier à l'esprit. Une vision de longue date de Ludwig von Mises et de Murray N. Rothbard est maintenant une réalité. Leur vision ? Une école supérieure d'économie autrichienne.
Tout au long de son histoire de près de quarante ans, l'Institut Mises s'est concentré sur le soutien aux étudiants d'autres établissements d'enseignement. Aider les étudiants à découvrir l'économie de la liberté et les inspirer à continuer à enseigner au niveau universitaire est et a été une priorité pour l'Institut. Un excellent service personnalisé, réactif et axé sur l'aide aux étudiants pour qu'ils atteignent leurs objectifs éducatifs et professionnels individuels a été emblématique de tous les programmes de l'Institut Mises.
À l'Institut Mises, nous visons à poursuivre la tradition de l'éducation exprimée avec tant d'éloquence par Ludwig von Mises et Murray Rothbard étaient parmi les plus hauts exemples des valeurs de la civilisation occidentale, et c'est ce que nous nous efforçons de transmettre à nos étudiants.
RépondreSupprimerLe Master of Arts en économie autrichienne de l'Institut Mises est unique. Il s'agit du premier programme d'études supérieures aux États-Unis consacré exclusivement à l'enseignement de l'économie telle qu'elle est exposée dans les ouvrages et grands traités de Ludwig von Mises et Murray N. Rothbard. L'objectif du programme est d'aider les étudiants à maîtriser les principes de ce grand corpus de travail et à mettre ces principes en pratique dans les efforts qu'ils ont choisis.
À cette fin, l'Institut a soigneusement sélectionné une faculté exceptionnelle, avec des doctorats d'universités prestigieuses telles que l'Université de New York, l'UCLA, l'Université Columbia, Cal-Berkeley, l'Université Rutgers et Virginia Tech. Tous sont des universitaires accomplis qui ont donné des conférences ou enseigné lors d'événements de l'Institut Mises et publié dans ses revues, livres ou publications en ligne. Beaucoup étaient des amis personnels ou des protégés de Murray Rothbard.
Grâce à la générosité des donateurs de l'Institut Mises, le coût du programme est bien inférieur à celui des autres programmes de maîtrise en économie ou en sciences sociales connexes, qu'ils soient traditionnels ou en ligne.
J'exhorte les parents à considérer notre programme. Réussirons-nous ? De cela, je ne peux pas être sûr. Mais je suis sûr de ceci : notre désastre éducatif actuel ne peut pas durer très longtemps.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/lew-rockwell/the-new-prison-camps/
Le prochain krach boursier aux proportions bibliques
RépondreSupprimerDe David Stockman
Homme international
11 avril 2022
International Man : Que cela nous plaise ou non, la réalité est que la Réserve fédérale a une énorme influence sur le dollar et le marché boursier.
Et en ce moment, la Fed a une décision urgente et fatidique à prendre.
Il peut continuer à imprimer des billions de dollars, laisser l'inflation monter en flèche ou resserrer la politique monétaire, et regarder le krach boursier.
En d'autres termes, il peut sacrifier la bourse ou le dollar.
David, que pensez-vous que la Fed va faire, et quelles sont les implications ?
David Stockman : Eh bien, je pense qu'elle le veuille ou non, la Fed fera s'effondrer le marché boursier. La Fed s'est peinte dans un coin infernal parce qu'elle a fait de son objectif d'inflation de 2% un tel fétiche, surtout depuis janvier 2012, lorsqu'elle a officiellement adopté cet objectif quantitatif.
En fait, la majeure partie de l'impression massive de monnaie, qui s'est produite depuis 2012, lorsque l'économie s'était à peu près remise de la Grande Récession de toute façon, a été justifiée par un déficit d'inflation, ce qui n'était pas vrai, mais c'était la justification.
Ils essayaient d'augmenter l'inflation et ont donc estimé qu'ils pouvaient maintenir l'assouplissement quantitatif à ces taux énormes, y compris 120 milliards de dollars par mois, jusqu'à récemment. Et par conséquent, nous sommes maintenant dans un monde où l'inflation se dirige vers les deux chiffres.
Je pense qu'ils n'auront pas d'autre choix que de freiner beaucoup plus fort que ce à quoi le marché s'attend, beaucoup plus fort qu'ils ne le voudraient, ou peut-être même qu'ils n'en ont l'intention pour le moment, mais il n'y a pas d'autre choix.
Maintenant, quand vous avez une inflation à deux chiffres, numéro un et deuxième, vous entrez dans ce qui va être une mauvaise saison électorale au cours de laquelle les républicains verront enfin l'espoir de leur salut dans une horrible bataille sur le front de l'inflation en blâmant les démocrates et Biden.
Cela signifie que la Fed ne sera pas en mesure au cours des 2, 3 ou 4 prochains trimestres de reculer dans la bataille contre l'inflation. Qu'elle le veuille ou non, elle devra augmenter les taux d'intérêt beaucoup plus qu'on ne le prévoit actuellement.
Il va commencer le QT, le resserrement quantitatif ou vider son bilan de 9 000 milliards de dollars plus rapidement que ce dont il parle pour le moment ou ce que le marché attend. C'est parce qu'il ne sera pas en mesure de justifier ou de maintenir une quelconque crédibilité lorsque l'inflation se situe au niveau de l'IPC à près de 10 %.
C'est donc un nouveau jeu de balle.
RépondreSupprimerNous n'avons pas été dans ce genre d'eaux inexplorées depuis longtemps, pas depuis les années 1970, et même dans les années 1970, l'histoire était bien différente de ce qu'elle est aujourd'hui. Ainsi, le marché aura du mal avec une Fed qui s'avère ne pas être leur amie. Cela va maintes et maintes fois, penser que le pire est passé, acheter la trempette et gagner beaucoup d'argent, seulement pour être déçu.
Je signale ici un dernier type d'analogie.
Si vous revenez à mars 2000, lorsque la bulle Internet s'est effondrée, le NASDAQ a culminé à 4600 et le marché a chuté de 30 % au cours des 15 jours suivants. Et après cette chute fracassante, les gens ont dit que tout était fini. Le pire est arrivé, et vous devriez acheter la trempette. Vous allez gagner beaucoup d'argent.
Et au cours des deux années suivantes, ils ont continué à acheter la baisse, mais au cours des deux années suivantes, le NASDAQ est passé de 4 600 à 3 300, jusqu'à 800. Une baisse de plus de 80 % et tous ces achats de baisse ont entraîné des pertes massives et douleur.
Je pense que nous allons revivre la même chose.
International Man : Supposons que la Fed relève ses taux de manière agressive dans les mois à venir. Quelles sont les chances qu'ils capitulent et changent de cap dès que Wall Street se met à crier dessus ?
David Stockman: Eh bien, c'est ce à quoi les gens s'attendent, mais je pense que cette fois, ils ne vont pas capituler rapidement et facilement. En d'autres termes, le soi-disant Fed put est beaucoup plus bas sur l'indice S&P 500 que les gens peuvent s'y attendre ou que les haussiers de Wall Street aimeraient croire. Ils pensent que ce pourrait être 3 500 ou quelque chose comme ça. Je pense que c'est vers 2000 parce que la Fed n'aura pas la marge de manœuvre.
Même les statistiques officielles sur l'inflation sont élevées. Ils sous-estiment la véritable inflation lorsque vous ajustez pour tous les trucs qu'ils ont mis dans l'IPC au cours des 20 dernières années. Mais lorsque l'inflation selon les statistiques gouvernementales est de 7 à 10 %, ils n'auront tout simplement pas la place de redémarrer les presses à imprimer.
International Man : Compte tenu de l'augmentation rapide des niveaux d'endettement des entreprises, des particuliers et du gouvernement fédéral, est-il même possible pour la Fed d'augmenter les taux d'intérêt au-delà d'un montant symbolique ?
David Stockman: Eh bien, je pense que vous pouvez dire que ce serait dangereux, et oui, les niveaux d'endettement sont vraiment quelque chose à voir.
RépondreSupprimerSi vous prenez la dette publique et privée aujourd'hui, c'est 88 000 milliards de dollars, soit 370 % du PIB. C'est hors des charts par rapport à ce qu'était une économie stable historiquement. Si vous remontez à 1970, avant que Nixon n'abandonne l'argent sain, le ratio était de 150 %. En d'autres termes, nous avions environ 1,5 billion de dollars de dette totale et un PIB de 1,0 billion de dollars.
Alors maintenant, nous avons eu deux tours de dette supplémentaires ajoutés à l'économie au cours des 50 dernières années. Deux tours de dette supplémentaire s'élèvent aujourd'hui à 50 000 milliards de dollars, pesant sur tous les secteurs de l'économie, les ménages, les entreprises non financières, les gouvernements en particulier, et même les institutions financières, que ce ne serait le cas si nous nous en tenions à une sorte de moyenne d'or de 150 % dette par rapport au PIB. C'est le ratio de levier de l'économie nationale qui a prévalu pendant un siècle jusqu'en 1970.
Alors oui, il y a un énorme problème avec cet énorme fardeau de la dette. Lorsque la Fed augmentera les taux d'intérêt, elle augmentera énormément le coût de portage et le coût du service, créant toutes sortes de dislocations dans les ménages qui devront payer plus pour leurs hypothèques et leurs autres dettes.
À mesure que les taux d'intérêt augmentent, tout l'argent que les sociétés ont emprunté pour racheter des actions et verser des dividendes qui n'étaient pas gagnés entraînera des dépenses d'intérêts plus importantes et une baisse des bénéfices.
Donc, tout cela sera un assez gros gâchis, mais cela n'empêchera pas la Fed d'utiliser le seul outil dont elle dispose.
Il a un seul outil. C'est comme l'artisan avec un marteau, et tout ressemble à un clou. Donc, si la Fed veut accomplir quelque chose, elle devra frapper le clou.
Ainsi, la Fed devra augmenter les taux d'intérêt, pas seulement 2 % d'ici la fin de cette année ou 2,5 %. Ils vont devoir monter dans la fourchette de 4 à 6 % pour ralentir l'économie et freiner l'inflation.
J'étais là quand Volcker a porté les taux d'intérêt à 20 % sur le taux du financement à un jour pour enfin freiner l'inflation. Mais, bien sûr, cela causera beaucoup de dommages à l'économie. Mais je ne pense pas qu'ils aient vraiment le choix.
En bref, vous allez avoir du mal à maîtriser l'inflation, et les conséquences de ces mouvements seront ahurissantes et historiques en termes d'impact négatif.
International Man : Compte tenu de tout ce dont nous avons parlé aujourd'hui, que peut faire la personne moyenne ? Que peuvent-ils faire pour se protéger et profiter de ce qui va suivre ?
RépondreSupprimerDavid Stockman : Eh bien, je pense que la chose la plus importante est de rester en dehors du casino.
Le marché obligataire est largement, massivement surévalué. En conséquence, le prix des obligations chutera de façon spectaculaire et les gens seront choqués de voir combien vous pouvez perdre dans une dette souveraine prétendument sûre.
Le marché boursier est encore plus dangereux, et c'est entièrement à cause de ces taux d'intérêt artificiellement bas et ultra-bas. Alors maintenant, nous commençons à entrer dans le domaine de la réalité, disons de la normalité, alors que les taux d'intérêt remontent. Et je pense qu'ils ont encore un long chemin à parcourir.
Si vous allez être en bourse, soyez du côté court.
Mais si vous n'avez pas de capital ou d'épargne discrétionnaire, et si vous n'avez pas l'estomac pour ce qui sera une course très volatile, la meilleure chose à faire est de rester en liquide, même si vous perdez du terrain contre l'inflation. Au moins, les comptes bancaires ne perdront pas leur principe. Alors que les obligations et les actions peuvent perdre 30 %, 40 %, 50 %, 60 % de leur valeur au cours des deux prochaines années, alors que nous traversons cette grande correction.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/david-stockman/the-coming-stock-market-crash-of-biblical-proportions/
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
L'empire du mensonge
RépondreSupprimerPar Vasko Kohlmayer
11 avril 2022
On a dit que l'Amérique était devenue un empire de mensonges.
Aussi difficile qu'elle puisse être à accepter, cette allégation est vraie. Le nier serait se tromper.
La vérité est qu'au cours des dernières décennies, les élites américaines ont érigé un système dans lequel les mensonges imprègnent tous les aspects de notre vie sociétale.
Partout où nous nous tournons, nous rencontrons des mensonges. Nous sommes maintenant arrivés à un point où presque toutes nos institutions publiques fonctionnent sur des mensonges : le gouvernement, les médias, le système éducatif, les arts, l'armée et même les sports.
Un événement récent est emblématique de l'Empire du Mensonge dans lequel nous vivons.
Le 13 mars, USA TODAY a publié sa liste des douze meilleures femmes de l'année. L'une de ces « femmes » était une Rachel Levine. Le problème est que Levine n'est pas une femme.
Né Richard Levine, Levine est un homme biologique qui a vécu la majeure partie de sa vie en tant qu'homme. Il s'est marié et a eu des enfants avec sa femme. Ce n'est qu'après avoir atteint la cinquantaine qu'il s'est déclaré « femme ».
Nonobstant les préférences personnelles de Levine, la réalité incontestable demeure qu'il est un homme. Chaque cellule de son corps témoigne de ce fait en portant en elle la combinaison chromosomique XY qui est caractéristique des mâles.
Une fois que quelqu'un est né homme, il ne peut jamais devenir femme, car cette détermination a été faite au niveau le plus profond de la réalité biologique.
Le sexe d'une personne est un fait biologique irréversible. Voici comment un généticien de Stanford a exprimé cette vérité :
"Aucune intervention chirurgicale, aucune injection d'hormones ou quoi que ce soit d'autre ne changera l'ADN de quelqu'un d'un homme à celui d'une femme (ou vice versa). Comme vous le savez, pour les humains, le sexe est déterminé par la présence d'un chromosome Y - les humains avec un X et un chromosome Y sont des hommes et ceux avec deux chromosomes X sont des femmes. Aucune technologie actuelle (ou probablement future) ne peut remplacer un chromosome dans l'ensemble de nos billions de cellules.
On ne peut pas devenir une femme en se déclarant l'une ou en portant du maquillage, des jupes, des perruques ou des ongles peints. Un homme ne peut pas non plus devenir une femme par des traitements hormonaux ou des modifications chirurgicales de son corps. Aussi étendues que puissent être ces altérations, il ne s'agira que d'un homme altéré chirurgicalement ou hormonalement avec des chromosomes XY.
Selon le Dr Paul McHugh, médecin formé à Harvard et ancien professeur émérite universitaire de psychiatrie à la Johns Hopkins University School of Medicine :
RépondreSupprimer« Les hommes transgenres ne deviennent pas des femmes, pas plus que les femmes transgenres ne deviennent des hommes. Tous (y compris Bruce Jenner) deviennent des hommes féminisés ou des femmes masculinisées, des contrefaçons ou des imitateurs du sexe auquel ils s'identifient.
Mais nous n'avons pas besoin d'experts pour le confirmer. Presque toutes les personnes normales le savent intuitivement et peuvent immédiatement le voir lorsqu'elles sont présentées avec la preuve de leurs yeux.
Il existe un gouffre élémentaire entre les mâles biologiques et les vraies femmes qui ne peut être comblé. Dire que Rachel Levine est une femme est donc un mensonge évident. C'est un mensonge. Mais ce n'est pas simplement un mensonge ordinaire. C'est un mensonge flagrant dont l'immense fausseté est évidente pour tous ceux qui ont des yeux pour voir. Si vous demandiez à un millier de personnes - dans un environnement dans lequel elles ne se sentiraient pas menacées d'exprimer leur véritable opinion - de vous dire si elles pensent que Rachel Levine est une femme authentique, presque toutes répondraient "non". Ceux qui diraient oui seraient immédiatement suspectés de déficience visuelle ou mentale.
Pour résumer, Rachel Levine est un homme et, par conséquent, il ne pourra jamais être une femme.
Pourtant, en Amérique, nous prétendons le contraire. C'est l'éclairage au gaz le plus effronté.
Pire encore, cette subversion grossière de la vérité n'est pas pratiquée dans certaines franges éloignées de la société américaine. Il est pratiqué en son cœur même et au centre.
USA TODAY est un grand journal et une société de diffusion - en fait, c'est le journal numéro un en Amérique en termes de diffusion.
Mais il n'y a pas que USA TODAY qui subvertit la vérité de cette manière éhontée. TOUS les grands médias d'entreprise le font. Tous ont toujours prétendu que Levine était une femme et se réfèrent à lui comme tel depuis qu'il a fait irruption sur la scène nationale en 2020. Cela inclut même des médias tels que Forbes et The Economist, des périodiques dont on aurait pu penser qu'ils avaient encore des contacts avec réalité.
Lorsque Levine est devenu secrétaire adjoint à la santé des États-Unis, tous les médias l'ont faussement présenté comme une «femme». Lorsque Levine a été nommée amiral dans le United States Public Health Service Commissioned Corps, les médias de tous les horizons ont célébré l'événement comme une étape importante pour les femmes, affirmant que Levine était "la première femme amiral quatre étoiles dans la fonction publique".
Mais ce ne sont pas seulement les médias qui propagent les mensonges les plus grossiers ; c'est aussi notre gouvernement qui commence tout en haut. Quand le président Biden annonce
RépondreSupprimerMais il n'y a pas que USA TODAY qui subvertit la vérité de cette manière éhontée. TOUS les grands médias d'entreprise le font. Tous ont toujours prétendu que Levine était une femme et se réfèrent à lui comme tel depuis qu'il a fait irruption sur la scène nationale en 2020. Cela inclut même des médias tels que Forbes et The Economist, des périodiques dont on aurait pu penser qu'ils avaient encore des contacts avec réalité.
Lorsque Levine est devenu secrétaire adjoint à la santé des États-Unis, tous les médias l'ont faussement présenté comme une «femme». Lorsque Levine a été nommée amiral dans le United States Public Health Service Commissioned Corps, les médias de tous les horizons ont célébré l'événement comme une étape importante pour les femmes, affirmant que Levine était "la première femme amiral quatre étoiles dans la fonction publique".
Mais ce ne sont pas seulement les médias qui propagent les mensonges les plus grossiers ; c'est aussi notre gouvernement qui commence tout en haut. Lorsque le président Biden a annoncé la nomination de Levine au poste de secrétaire adjoint à la santé, il l'a qualifié de femme. Lorsque Levine a été interrogé lors de son audience de confirmation, pas un seul sénateur américain n'a soulevé la question évidente qu'il était un homme. Aucun d'entre eux n'a profité de cette occasion pour lui demander pourquoi il essaie de prétendre le contraire. Ils prétendaient tous que la personne assise devant eux était une femme.
Ce ne sont pas seulement les plus hauts niveaux du gouvernement américain qui subvertissent activement la réalité physique devant eux ; c'est le gouvernement à tous les niveaux. Comme vous le savez peut-être, avant ses nominations fédérales, Levine a été secrétaire à la Santé en Pennsylvanie. Il a été nommé à ce poste par le gouverneur Tom Wolf qui, bien sûr, l'a qualifié de «femme». Inutile de dire que Levine a été confirmé dans ce rôle par le Sénat de l'État de Pennsylvanie, qui étaient tous prêts à suivre et à prétendre que l'homme devant eux était une femme.
Mais ce ne sont pas seulement les médias et l'establishment politique américains qui mentent et nient la réalité. Le milieu universitaire est également intellectuellement et moralement corrompu. À savoir, le meilleur athlète de l'équipe féminine de natation de l'Université de Pennsylvanie est un jeune homme appelé Lia Thomas qui, jusqu'à la saison dernière, a concouru en tant qu'homme. Thomas est devenu le champion de natation de la NCAA au 500 verges nage libre.
Comme vous le savez peut-être, l'Université de Pennsylvanie est également une école de la Ivy League. Les Ivy Leagues sont un groupe d'universités d'élite qui sont considérées parmi les meilleures aux États-Unis et, en fait, dans le monde. Les huit écoles de ce groupe comprennent des établissements d'enseignement supérieur aussi importants que Harvard, Yale et Princeton. En tant que tels, ils sont censés représenter les meilleurs et les plus brillants d'entre nous. Ces écoles s'affrontent lors de la conférence Ivy League. Qu'ils permettent à un homme de rivaliser avec – et de battre solidement – de vraies filles montre que nos élites intellectuelles ont collectivement perdu à la fois leur jugement et leur esprit.
RépondreSupprimerMalheureusement, la même chose s'applique à nos militaires et à l'établissement médical. Le premier paie désormais les chirurgies de transition sexuelle pour notre personnel militaire. Cela pose de nombreux problèmes sérieux, mais le principal est qu'il ne peut y avoir de «transition sexuelle», car une telle chose n'est tout simplement pas possible. La prémisse même de toute la procédure repose sur un mensonge. Ce mensonge est propagé par l'établissement médical qui effectue ces procédures mutilantes. De plus, dans leurs efforts de subversion de la réalité, ils se réfèrent maintenant aux vraies femmes comme des «personnes qui accouchent».
Nous n'avons plus besoin d'exemples. Il suffit de dire que pratiquement toutes les institutions américaines sont désormais activement engagées dans la subversion de la réalité.
Si, en tant que société, nous sommes disposés à mentir sur des réalités physiques évidentes et inaltérables, nous devons également mentir à profusion sur d'autres choses. Et nous le faisons très certainement. Le régime américain et ses médias mentent presque sur tout, et ils le font avec véhémence et sans cesse. Vous voulez des exemples récents ?
Qu'en est-il des vaccins parfaitement sûrs et efficaces à 95 % ?
Et si le disque dur de Hunter Biden était de la désinformation russe ?
Qu'en est-il du fait que BLM soit un mouvement pacifique soucieux de justice raciale ?
Qu'en est-il de Kyle Rittenhouse étant un suprématiste blanc qui a l'intention de tirer sur des manifestants pacifiques du BML ?
Qu'en est-il de l'affirmation selon laquelle Joe Biden est un politicien honnête et un homme bon ?
Qu'en est-il du virus SARS-CoV-2 provenant du marché humide de Wuhan ?
Qu'en est-il de l'affirmation selon laquelle Anthony Fauci était un fonctionnaire désintéressé dont la principale préoccupation dans la vie est le bien-être de ses concitoyens et la santé publique ?
RépondreSupprimerQu'en est-il des camionneurs canadiens racistes, fascistes, misogynes et terroristes?
Qu'en est-il de l'affirmation (faite en 2006) selon laquelle nous n'avions que dix ans pour sauver la planète d'une catastrophe climatique induite par le réchauffement climatique d'origine humaine ?
Et vous souvenez-vous encore de Saddam Hussein et de ses armes de destruction massive ?
Tout cela n'était que des mensonges éhontés promulgués par notre établissement frauduleux.
Presque rien de ce qui se dit de nos jours dans le discours public n'est vrai. Tout notre système est saturé de malhonnêteté, de contrevérité et de tromperie. Notre sphère publique existe dans un tissu de mensonges.
Biden Fauci, Walensky, CNN, NPR, le Washington Times, le ministère de la Justice, le FBI, Pelosi, Gates, Zuckerberg, Schumer et des milliers de leurs amis – chacun d'eux raconte des mensonges.
Le dollar, ainsi que tout notre système financier, repose sur un mensonge prodigieux. Le mensonge est le suivant : le gouvernement des États-Unis remboursera un jour ses dettes. Cela n'arrivera jamais. Une fois l'heure des comptes venue, ce mensonge nous coûtera cher.
Des mensonges, des mensonges, des mensonges et encore des mensonges partout.
Et maintenant, les menteurs utilisent leurs médias pour pousser et étendre la guerre en Ukraine.
Si vous voulez vraiment connaître la vérité sur l'Ukraine, veuillez regarder cette conférence de 2016 sur le sujet par le professeur John Mearsheimer, l'un des plus grands experts mondiaux en géopolitique et en relations internationales.
Le professeur Mearsheimer dit la vérité sur l'Ukraine
Une candidate à la Cour suprême a récemment affirmé qu'elle ne savait pas comment décrire ce qu'est une femme. Elle a dit qu'elle n'était pas biologiste. Ainsi, un avocat formé à Harvard ne peut pas nous dire ce qu'est une femme, et cette nation est censée lui accorder une nomination à vie d'une grande confiance du public. Cette femme – Kentaji Brown Jackson – n'est pas exceptionnelle dans son extrême tergiversation. Aujourd'hui, presque toutes les personnalités publiques font semblant et mentent comme une évidence.
Notre système est tellement faux et pourri que les soi-disant «vérificateurs de faits» sont parmi les plus grands menteurs que l'on puisse trouver.
RépondreSupprimerCeux qui tentent de dire la vérité, en revanche, sont rapidement censurés et réduits au silence. Paradoxalement, les diseurs de vérité sont annulés par les faux «vérificateurs de faits» qui sont à la solde d'escrocs tels que Pfizer, Bill Gates, George Soros et leurs semblables.
Dire la vérité est devenu un délit grave en Amérique.
Nous sommes, en effet, devenus un empire de mensonges.
Un Empire que nous sommes certainement, car le régime non seulement impose ses mensonges au peuple américain mais les exporte vers le reste de la planète. Nos ambassades, par exemple, hissent désormais régulièrement le drapeau LGBT qui représente le mouvement qui, entre autres, soutient que les hommes peuvent devenir des femmes.
Nos dirigeants mondialistes envahissent et détruisent des pays sur la base de mensonges, qu'ils racontent tant au niveau national qu'international. Au début des années 2000, les États-Unis ont ordonné à Saddam Hussein d'abandonner son programme de développement d'armes de destruction massive. Il a fait ce que nous lui avons demandé de faire, mais nous l'avons quand même accusé d'avoir des armes de destruction massive. Nous avons ensuite envahi son pays sous ce faux prétexte et l'avons fait exécuter.
Quelques années plus tard, nous avons demandé à Moammar Khaddaffi de renoncer à ses armes de destruction massive. Le gouvernement américain lui a promis une main de réconciliation et de coopération s'il le faisait. Il s'est conformé et ensuite nous avons aidé à le faire tuer.
Avant d'être expulsées d'Afghanistan, nos élites à l'esprit mondialiste ont tenté d'exporter une partie de leur idéologie basée sur le mensonge en ouvrant un département d'études de genre à l'Université de Kaboul. Ils n'auraient vraiment pas pu choisir un cadre plus inapproprié pour ce genre d'opération d'éclairage au gaz.
Faut-il s'étonner que le régime américain soit de plus en plus détesté dans le monde ?
Lorsqu'ils ont été interrogés par Gallup, les gens du monde entier ont constamment désigné les États-Unis comme la plus grande menace pour la paix. Les chiffres devenaient si mauvais que le gouvernement américain a fait pression sur Gallup pour qu'il cesse de poser cette question. Mais le jugement collectif du monde n'est pas surprenant étant donné notre passé de semer le chaos, la mort et la destruction : Afghanistan, Irak, Libye, Syrie. Il y avait un gros mensonge attaché à chacune de ces catastrophes.
RépondreSupprimerPour cela, nous pouvons remercier notre établissement mondialiste corrompu. Cet établissement est désormais présidé par Joe Biden, un homme corrompu qui a bradé son pays à travers divers trafics d'influence et autres stratagèmes impliquant son fils. Les nombreuses preuves de ses méfaits se trouvent sur le disque dur de son Hunter Biden. Le FBI et le ministère de la Justice sont en possession de ce disque, mais le régime a refusé d'ouvrir une enquête sur les crimes qui y sont enregistrés. Non seulement cela, mais ils ont tout fait pour les enterrer sous le mensonge de la « désinformation russe ».
Tous ceux qui aiment la vérité et l'Amérique devraient être profondément bouleversés et affligés par cela.
Un régime si profondément ancré dans la malhonnêteté, la tromperie, la criminalité et la corruption ne pourra jamais prospérer. La loi morale qui sous-tend toute existence – la Loi de Dieu – exige que ses sombres œuvres reçoivent une juste récompense.
Il n'est pas bon d'être l'empire des mensonges.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/vasko-kohlmayer/the-empire-of-lies/
La démocratie vit ? 28 États américains travaillent sur une législation pour promouvoir l'utilisation de l'ivermectine
RépondreSupprimerApril 11th, 2022
C'est un choc. Plus de la moitié des États américains envisagent de légiférer pour permettre aux médecins, et parfois même aux infirmières et aux pharmaciens, de prescrire des médicaments de traitement précoce « hors AMM ».
N'oublions pas que les médecins ont pu le faire pendant des décennies et que ce sont en grande partie les conseils médicaux qui sont devenus de facto les gardes prétoriens de Big-Pharma - retirant les droits des médecins par des menaces de détruire leur carrière s'ils sortent de la ligne.
De nombreux projets de loi proposés visent simplement à empêcher les conseils médicaux d'expulser les médecins qui utilisent des médicaments comme l'ivermectine et l'hydroxychloroquine. Le Dakota du Nord, le Kansas, l'Oklahoma et le Tennessee semblent avoir largement réussi. Les autres y travaillent. Dans le Tennessee, les gens peuvent même être en mesure d'acheter un médicament qui a été administré à un milliard d'autres humains, en vente libre. Mon Dieu, c'est presque aussi gratuit qu'El Salvador ? !
Pendant ce temps, les Américains fournissent de toute façon le médicament « hors AMM » et « sans ordonnance », le faufilant dans les hôpitaux et le distribuant dans les églises. Ce serait mieux pour tout le monde s'ils pouvaient demander à leurs médecins. Mais cette réponse des législateurs des États américains semble remarquable à cet Australien – presque comme si la démocratie avait encore une chance.
Les États américains envisagent de légiférer pour l'utilisation de l'ivermectine. | Fédération des conseils médicaux d'État
- voir carte des USA sur site -
Le Dakota du Nord a été le premier État à adopter une législation en novembre dernier :
Les nouvelles lois "interdisent aux conseils de médecine, d'infirmières et de pharmacie de sanctionner un titulaire de licence uniquement pour sa distribution d'ivermectine pour des traitements hors AMM tels que Covid-19". L'objectif principal était apparemment d'empêcher certains médecins et pharmaciens d'utiliser l'excuse que les conseils médicaux les puniraient s'ils prescrivaient ou fournissaient de l'ivermectine. Mais on peut supposer que certains professionnels avaient vraiment peur d'être punis.
Au Kansas, la législation a été approuvée le 23 mars :
RépondreSupprimerLe sénateur Mark Steffen a défendu le projet de loi et se trouve également être un anesthésiste qui a prescrit de l'ivermectine.
Le projet de loi sur les prescriptions hors AMM de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine est adopté par le Sénat du Kansas lors d'un vote de fin de soirée
Statue de la Liberté, photo. Noir et blanc.
"Des milliers de Kansans et des centaines de milliers d'Américains sont morts à cause de cette propagande qui a mis fin aux traitements précoces", a déclaré le sénateur Mark Steffen, R-Hutchinson. "Je crois fermement que l'adoption de ce projet de loi par le Sénat attirera l'attention nationale et contribuera à être un élément très important pour fournir les soins aux personnes qui en ont besoin."
Le projet de loi permettrait aux médecins de prescrire de l'ivermectine, de l'hydroxychloroquine et tout autre médicament approuvé par la FDA qui n'est pas une substance contrôlée pour une utilisation hors AMM pour prévenir ou traiter le COVID-19.
"Les études montrent de manière écrasante que l'ivermectine a jusqu'à 85% de chances de réduire les hospitalisations et les décès lorsqu'elle est administrée tôt pour COVID", a-t-il déclaré en caucus. "Il s'agit de réduire la souffrance et la mort de chaque patient."
"Dans une large mesure, [l'ivermectine] a été poussée dans la clandestinité", a-t-il déclaré. «Dans ma région du comté de Reno, j'ai un pasteur mennonite de 80 ans et sa femme, qui est une infirmière à la retraite, ils le distribuent dans les coulisses à tous les membres de leur église. J'ai d'autres personnes qui sont allées chez le vétérinaire pour de l'ivermectine et qui l'ont distribué à leurs amis. Ils savent ce qu'ils font et ils font un excellent travail avec ça.
Le sénateur Steffen a ensuite écrit à 250 hôpitaux du Kansas pour souligner qu'ils pourraient faire l'objet de poursuites judiciaires s'ils ne prêtaient pas attention à un traitement précoce :
En consultation avec la communauté juridique, il semble que le « défaut de traiter » sera désormais considéré comme un « mépris délibéré ».
Certains précieux médecins se sont immédiatement plaints d'être menacés. Peu importe tous les autres médecins à qui on a dit qu'ils seraient radiés s'ils osaient proposer un traitement précoce qui avait déjà fonctionné dans 157 études sur 129 000 patients.
L'Oklahoma a trouvé un moyen différent - le procureur général a simplement déclaré qu'il n'y avait aucune raison légale de punir les médecins :
Le procureur général de l'Oklahoma, John O'Connor, a déclaré que son bureau ne prévoyait pas de sanctionner les médecins pour avoir prescrit certains médicaments, notamment l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, pour traiter le covid.
O’Connor a déclaré dans un communiqué de presse que son bureau ne trouve aucune base légale pour qu’un conseil des licences médicales de l’État sanctionne un médecin agréé pour avoir prescrit un médicament dans le but non conforme de traiter un patient atteint de COVID-19.
RépondreSupprimerLe procureur général de l'Oklahoma a déclaré qu'il soutenait les médecins qui pensent que l'ivermectine est dans le meilleur intérêt de leurs patients.
"Je soutiens les médecins qui pensent qu'il est dans l'intérêt de leurs patients de recevoir de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine", a déclaré O'Connor dans un communiqué. « Nos professionnels de la santé devraient disposer de tous les outils disponibles pour lutter contre le COVID-19. La sécurité publique l'exige. Les médecins qui prescrivent des médicaments et respectent la loi ne devraient pas craindre des mesures disciplinaires pour avoir prescrit de tels médicaments.
Dans le Tennessee, bientôt même les pharmaciens pourront prescrire de l'ivermectine tout en étant protégés de toute responsabilité :
Le projet de loi HB2746/SB2188 vient d'être adopté au Sénat et se dirige vers le bureau du gouverneur. Le projet de loi initial visait à rendre l'ivermectine disponible sans ordonnance, comme l'aspirine. Mais le projet de loi modifié nécessite un peu de paperasse: "une ordonnance prescriptive non spécifique au patient, élaborée et exécutée par un ou plusieurs prescripteurs autorisés". Mais certains soutiennent toujours qu'il s'agit effectivement maintenant d'un médicament en vente libre (OTC) dans le Tennessee.
La source du problème était que le Tennessee Medical Board a publié l'année dernière un avertissement sur son site Web selon lequel les médecins risquaient leurs licences médicales s'ils diffusaient des informations erronées sur le vaccin COVID-19. De nombreux médecins ont naturellement supposé que le simple fait de mentionner qu'il existait une alternative de traitement précoce serait considéré comme de la désinformation.
Incroyablement, cela a déclenché un débat sur la liberté d'expression (alléluia). Tout cela semble si sensé.
«J'ai eu plusieurs médecins qui m'ont contacté l'été dernier et à l'automne au sujet de ce qu'ils voyaient et entendaient de la part du Conseil des médecins légistes, ce qui les punirait potentiellement pour avoir prescrit un traitement pour COVID qu'ils estimaient être dans le meilleur intérêt de leurs patients», Le représentant de l'État républicain du Tennessee, Chris Todd, a déclaré à Stateline. "Cela m'a frappé, car ils ont une licence parfaitement valide et pratiquent depuis des années, et il n'y a aucune raison de délivrer une déclaration carte blanche."
Les commissions médicales intimidaient les médecins. Un peu comme dire "Belle pratique que vous avez là…"
Les législateurs du Tennessee disent que les médecins se sont plaints auprès d'eux d'avoir reçu des avertissements par courrier électronique. Lors de sa réunion de septembre, le conseil a discuté de l'envoi d'un avertissement à tous les médecins de l'État. Mais Bill Christian, porte-parole du département de la santé du Tennessee, qui supervise le conseil médical, a déclaré dans un e-mail que si les médecins recevaient des e-mails, ils provenaient d'organisations professionnelles, et non du conseil.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, le conseil d'administration a supprimé en décembre l'avertissement de son site Web, bien que Christian ait déclaré que la politique sous-jacente restait en vigueur.
Le représentant Chris Todd a blâmé un "CDC qui est devenu fou". Bien dit.
Le Dakota du Sud, en revanche, a tenté de faire adopter une législation approuvant l'utilisation de la drogue qui a été adoptée par la Chambre en février, mais a été tuée par un comité sénatorial de sept membres en mars. Voilà pour la "démocratie". Qui a choisi les membres du comité?
La portée des conseils médicaux aux États-Unis n'a rien à voir avec le monopole que nous avons ici en Australie avec AHPRA :
Il y a une répression légale contre la portée excessive des conseils, et seuls 8 médecins ont été pénalisés. La situation en Australie est bien plus oppressante :
Politico a rapporté le 1er février que des conseils médicaux avaient pénalisé huit médecins en un an pour avoir favorisé la désinformation sur le COVID-19, les vaccins et les thérapeutiques.
L'ABC a vérifié Clive Palmer et se vante d'avoir tort - ce ne sont pas 100 ou 200 médecins qui ont été radiés, mais un nombre inférieur à 61 qu'ils ne nous diront pas.
Les vérificateurs des faits de l'AAP ont examiné cette affirmation et ont constaté que depuis juillet 2019, 61 médecins avaient été disqualifiés par l'Agence australienne de réglementation des praticiens de la santé (AHPRA) pour une raison quelconque - pas seulement liée à la vaccination contre le COVID-19.
Naturellement, d'autres médecins se sont radiés, voyant ce qui s'en venait. Il en va de même pour les jeunes candidats à l'école de médecine. Comme c'est démoralisant pour toute la profession de découvrir qu'ils ne sont que des robots performants pour un comité non audité.
Huit médecins radiés aux États-Unis, c'est encore huit médecins de trop. Mais l'Australie compte environ 8% de la population des États-Unis, elle est donc "loin devant" en médecine communiste. Mince.
La meilleure ressource pour se tenir au courant de la législation dans tant d'États américains est la Fédération des conseils médicaux d'État.
coup de chapeau à Colin A.
https://joannenova.com.au/2022/04/democracy-lives-28-states-in-the-us-working-on-legislation-to-promote-lvermectin-use/
La modification ou le hacking de la nature humaine à son insu est un acte génocidaire. Quid du programme de la galaxie de Klaus Schwab ?
RépondreSupprimerAVRIL 10, 2022
PAR LHK
https://www.nytimes.com/2020/01/19/business/davos-50th-year.html
Dans un article récent, nous nous demandions si nous avions été victimes d’attaque bioterroriste. Pourquoi ? Parce que:
1.- Des scientifiques affirment que le virus Covid contient un minuscule morceau d’ADN qui « correspond à la séquence brevetée par Moderna en 2016, soit TROIS ANS AVANT le début de la pandémie »
2.- Moderna est le principal fournisseur d’un produit expérimental à portée génétique qui est présenté en tant que vaccin. Or, ce dit vaccin est supposé fournir l’immunité contre la fameuse séquence. Moderna serait la clé de voûte entre le génome du virus et la réponse à l’infection qui lui serait liée.
3.- Le chef scientifique de Moderna avait annoncé la capacité de son équipe de hacker le potentiel humain. Voilà ce que ce monsieur disait dans une intervention TED X:
» je suis ici aujourd’hui pour vous dire que nous sommes capables de hacker le logiciel de la vie, et cela change la façon de penser la prévention et le traitement de maladies« . Tal Zaks,TEDxBeaconStreet, 2017
4.- Nous devrions compléter notre question en nous demandant si nous faisons face à un bioterrorisme d’Etat, puisque le scandale de la fameuse séquence a été étouffé grâce aux médias mainstream et qu’aucune enquête n’a été ouverte à ce jour, et ce dans AUCUN pays.
Le patron de Moderna ne répond pas à la question de la journaliste sur la similitude entre la séquence de son brevet et celle du génome de SARS CoV 2 qui en fait un virus à portée humaine. https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/13/et-si-lemergence-du-covid-relevait-du-bioterrorisme/
La Moderna de Stéphane Bancel est toujours emmurée dans son refus de communiquer, alors que nous sommes dans un contexte de Santé publique planétaire ! L’équipe de Nexus a tenté d’approcher Moderna France. Sans succès (cf ci-dessous).
https://www.nexus.fr/actualite/news/brevet-moderna-laboratoire/
Stéphane Bancel, un contributeur du World Economic Forum
Forts de ce qui précède, relisons ce que Bancel écrivait le 15 mai 2020 dans un article posté sur le site du WEF:
« La société que je dirige, Moderna, Inc., est une société de biotechnologie au stade clinique dont le vaccin candidat contre le SRAS-CoV-2, appelé mRNA-1273, a été le premier à entrer dans des essais cliniques humains aux États-Unis, le 16 mars. Ce vaccin continue de progresser positivement grâce aux essais cliniques. En tant que tel, beaucoup d’espoir et d’attention du public ont été concentrés sur notre entreprise et sur ce médicament au potentiel innovant. »
Nous avons un produit dit innovant qui était testé aux Etats-Unis dès le 16 Mars 2020(!) sur l’humain, soit 5 jours après que l’OMS ait déclaré la pandémie. A ce stade, la célérité de Moderna est historique. Maintenant si nous rajoutons le fait que Moderna ait breveté la séquence-clé du génome du SARS qui permet à celui-ci de se transmettre à l’homme, la performance de Moderna devient plus compréhensible. Mais alors cela signifierait que nous sommes en présence d’une sorte de pompier-pyromane…
RépondreSupprimerhttps://www.weforum.org/agenda/2020/05/assess-advances-coronavirus-vaccines/
Maintenant, le fait de lire ces mots sur le site du WEF est très problématique quand nous savons que le président et son coach intellectuel tiennent des discours pire que ceux des eugénistes les plus extrémistes.
Le projet de l’équipe dirigeante du WEF serait-il génocidaire?
En en faisant une Organisation internationale, le Conseil fédéral veut renforcer un technocrate pur et dur qui veut forcer la main de la population mondiale à muter en transhumains, ce qui constituerait un génocide.
Toute modification de la nature d’un groupe d’humains à son insu doit être considérée comme un acte génocidaire.
Le WEF affiche fièrement: » La quatrième révolution industrielle représente un changement fondamental dans nos façons de vivre et de travailler. C’est un nouveau chapitre du développement humain, rendu possible par des progrès à la mesure de ceux des première, deuxième et troisième révolutions industrielles – fusionnant les mondes physique, numérique et biologique et fusionnant les technologies de manière à créer à la fois des promesses et des périls. »
https://intelligence.weforum.org/topics/a1Gb0000001RIhBEAW?tab=publications
– l’arrivée de «dispositifs implantés (qui) aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone« intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux.»
– la «fusion de notre identité physique, numérique et biologique» renvoie à la singularité transhumaniste et à un futur où les gens voient chacun de leurs mouvements suivis et chaque pensée lue par une puce implantable.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/#_ftn2
RépondreSupprimerLe point commun entre Bancel et Schwab: la vaccination contre un virus aux origines humaines probables
Voici une capture du visuel dynamique du plus célèbre ingénieur allemand. Vous voyez cette 4ème révolution dite industrielle. Cela signifie que nous entrons dans le monde de la fabrication. Et là nous tombons sur la vaccination et de l’identité digitale qui ne concerne pas des objets mais des humains!.
Vous constaterez sur ce visuel pris sur le site de M Schwab le thème d e la vaccination alors qu’il est question de la 4ème révolution industrielle. Pourquoi donc ?
Y aurait-il un lien avec ceci par exemple ?
Le diagramme peut aussi nous amener à nous demander si l’être humain va devenir un produit à fabriquer comme un autre…? Oui, mais il y a pire. Ecoutez Hariri parler avec mépris des humains qu’il appelle inutiles pendant que les petits dieux produiront des corps et des esprits.
Les inutiles passeront leur temps entre les drogues et les jeux vidéos.
Ce discours haineux ne cherche même pas à cacher le projet génocidaire qui n’est plus en préparation, mais qui est en voie de finalisation. Et avec la présence de ce petit mot de vaccination dans le diagramme schwabien de la révolution industriel et avec le silence de Moderna sur son brevet de 2016, nous sommes en droit de nous interroger sur les intentions de ce Conseil fédéral. Va-t-il enfin se décider pour des questions de sécurité évidentes à ouvrir une enquête sur la dimension génocidaire portée par le programme du WEF ?
Le conseiller fédéral suisse Ignazio Cassis a signé un accord avec le fondateur du WEF, Klaus Schwab, portant sur le renforcement de leur collaboration.
Le problème fondamental est qu’à l’heure actuelle le World Economic Forum est devenu une organisation internationale qui bénéficie du soutien du réseau diplomatique mondial de la Suisse. Et par un heureux concours de circonstances, le Département Fédéral des Affaires étrangères a signé dans le dos du public suisse un accord avec le WEF.
Je vous laisse apprécier la place qu’occupe la signature de M Schwab qui empiète sur la case du Conseiller fédéral.. https://www.eda.admin.ch/dam/eda/de/documents/aktuell/news/Accord%20WEF_sign%C3%A9_21.01.2020.pdf
Voici ce que vous pouvez lire sur le site du Département concerné:
L’accord constitue une étape importante vers une meilleure intégration du WEF – dont le siège est à Genève – dans la Genève internationale. Le renforcement de la Genève internationale en tant que plateforme pour le traitement des sujets d’avenir est une priorité du Conseil fédéral. Cet accord permet également de mieux exploiter la plateforme stratégique que représente le WEF.
RépondreSupprimerLes nombreuses manifestations organisées à la «Maison Suisse» – qui a de nouveau attiré cette année un éventail d’acteurs issus de domaines très divers (science, recherche, économie, coopération au développement, droit, politique, etc.) – témoignent de l’intensité des échanges que cette plateforme permet de générer.
https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/dfae/aktuell/newsuebersicht/2020/01/stellungnahme-infosperber.html
L’Intégration du WEF dans la Genève internationale est semble-t-il une priorité pour le Conseil fédéral suisse! Un communiqué du Département fédéral des Affaires étrangères annonce qu’un accord avait été signé avec le WEF le 21 janvier 2020, au premier jour de la rencontre de Davos de ladite année.
Le 21 janvier 2020, le conseiller fédéral Ignazio Cassis a signé un accord avec le fondateur du WEF, Klaus Schwab, portant sur le renforcement de leur collaboration. https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/dfae/aktuell/newsuebersicht/2020/01/stellungnahme-infosperber.html
Le partenariat, entre le WEF et le DFAE, finalisé la veille du lancement de la crise Covid peut légitimer le positionnement d’un Klaus Schwab en tant que coordinateur mondial de la réinitialisation de l’organisation et du fonctionnement de la planète.
A l’heure actuelle, Schwab porte surtout la communication entre les partenaires du nouveau Monde. C’est un super lobbyiste mandaté par le gouvernement mondial de l’ombre pour vendre le Nouveau Monde au grand public. Cela peut expliquer l’aplomb avec lequel il a expliqué publiquement aux Suisses et aux non Suisses que le monde d’avant ne reviendra plus jamais.
Le gouvernement suisse ne peut ignorer l’idéologie de l’homme de Davos et de ses inspirateurs. En en faisant un partenaire, le Conseil fédéral trahit la Suisse et les Suisses, à moins que ledit programme ne fasse partie de sa politique pour la population du pays, auquel cas j’invite les hommes de loi qui fréquentent ce site à tirer les conclusions qui s’imposent.
LHK
https://lilianeheldkhawam.com/2022/04/10/la-modification-ou-le-hacking-de-la-nature-humaine-a-son-insu-est-un-acte-genocidaire-quid-du-programme-de-la-galaxie-de-klaus-schwab/
Dès lors que des scientifiques incontestables comme les docteresses Carrie Madej et Ingrid Stuckelberger ont découverte la composition des flacons injectables (criminellement appelés 'vaccins' !), le monde avait connaissance du danger mortel à se faire inoculer ce poison. C'étaient effectivement des poussières (appelées virus) mais, ces poussières n'étaient pas inoffensives puisqu'elles ne provenaient pas du magma mais de laboratoires ! Les ingrédients s'appelaient des nano-particules d'oxyde de graphène, capables de paralyser, d'handicaper à vie, de prendre le contrôle total de la personne inoculée et/ou de la faire mourir comme foudroyée !
SupprimerA partir de là, tout aurait dû s'arrêter !
Même avant si l'on écoute les scientifiques dès le départ ! Dès le départ le mot 'virus' est apparu dans les merdias et souligné par les politiques. Or, un virus (vois dictionnaire) est une POUSSIÈRE et non un microbe.
Un microbe transporte des maladies, une poussière en est incapable (même si elle est radioactive).
Mais, l'emploi du mot virus (poussière) était juste dans la mesure où effectivement ce FAUX corona appelé plus tard 'covide19AlphaTangoCharlie' (avec variants 'Petits-Mickeys', Dark Vador' etc) a été découvert UNIQUEMENT dans les flacons injectables.
Donc: cette poussière n'était pas et ne pouvait pas être dans l'air.
Mais alors... comment l'avoir et en mourir ?
Tout simple ! Suffit de se la faire inoculer ! (et même d'en redemander si la personne aime çà !!).
Ces nano-particules d'oxyde de graphène représentent entre 95 et 99 % de la composition de la solution injectable !! soit plus de 40 000 milliards de ces nano-particules.
Demande FOIA: 70 % des infections COVID au CDC étaient parmi les vaccinés
RépondreSupprimerdimanche 10 avril 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) L'agence qui a vidé l'économie, menacé les libertés civiles et détruit l'éthique médicale SAVAIT également que les vaccinés étaient plus susceptibles de contracter le COVID et de le transmettre à leurs pairs. Les Centers for Disease Control (CDC) le savaient car leurs propres employés étaient plus susceptibles d'être testés positifs pour le covid-19 et de contracter un "cas révolutionnaire" s'ils étaient VACCINÉS. Ces informations ont été dissimulées tout au long de 2021, jusqu'à ce qu'une demande FOIA découvre les données.
Les travailleurs des CDC sont plus susceptibles de contracter le COVID s'ils sont complètement vaccinés
Le 2 février 2022, l'Informed Consent Action Network (ICAN) a déposé une demande de loi sur la liberté d'information (FOIA), cherchant des informations sur les infections au covid-19 au sein de la main-d'œuvre du CDC. L'ICAN intensifie et fait le travail d'enquête critique que les agences de santé publique refusent de faire. Le 28 mars 2022, le CDC a remis ses données internes sur les percées infectieuses et l'ICAN a publié une mise à jour juridique à ce sujet.
Il s'avère que les personnes entièrement vaccinées tombaient malades, propageaient des protéines de pointe et mettaient les personnes non vaccinées en danger tout au long de 2021. Par exemple, les employés du CDC entièrement vaccinés représentaient 70 % des infections au COVID en août 2021. Le CDC a signalé 36 covid-19 positifs ce mois-là, et parmi eux, 25 cas provenaient de vaccinés. De même en juillet, il y avait 18 covid-19 positifs, et dix des cas étaient des vaccinés.
L'ICAN rapporte : « Maintenant, nous ne connaissons pas le pourcentage d'employés du CDC qui ont été vaccinés en août 2021, mais si le taux de vaccination du CDC reflète celui des adultes aux États-Unis, il était bien inférieur à 70 %. Mais même si plus de 70% des employés du CDC ont été vaccinés, le fait qu'à la fin de l'été 2021, 70% de ses employés positifs au COVID-19 aient été vaccinés aurait dû être un chiffre choquant et aurait dû servir de signal d'alarme. au CDC au sujet de l'échec de ces vaccins à prévenir l'infection.
Les études sur l'efficacité du vaccin n'ont pas mesuré l'efficacité dans le monde réel. Dans le monde réel, tous les avantages mesurables du vaccin se sont dissipés assez rapidement, rendant l'expérience dangereuse et destructrice pour la société dans son ensemble. Selon les données du monde réel, les vaccinés s'avèrent plus sensibles en quelques mois. Pire encore, les vaccinés peuvent propager des protéines de pointe par les sécrétions d'exosomes jusqu'à un mois après la vaccination, tout en propageant inutilement l'arme biologique aux immunodéprimés.
Cela soulève une hypothèse importante… Si les gens ne s'injectaient pas avec un produit mal conçu qui rend malade et propage l'infection, alors bon nombre des positifs au covid-19 chez les non vaccinés n'auraient peut-être jamais existé en premier lieu.
RépondreSupprimerLe taux d'infection des vaccinés pourrait être encore plus élevé que celui rapporté
Le taux d'infection chez les vaccinés pourrait être beaucoup plus élevé que ce que rapporte le CDC. Selon le CDC, "les personnes qui ont été vaccinées sont peut-être moins susceptibles de se faire tester". Combien de personnes vaccinées ont été rendues malades par le vaccin et ont ensuite contracté le COVID, mais n'ont pas été tenues de tester et d'enregistrer les données ? D'autre part, les non-vaccinés étaient systématiquement profilés et assujettis, contraints de passer des tests covid-19 pour aller travailler et participer à la société. La propension aux positifs (et aux faux positifs) allait toujours être plus élevée chez les non vaccinés, il est donc épouvantable que le taux de cas décisifs soit si élevé dans la propre main-d'œuvre vaccinée du CDC !
Le CDC a même cessé de signaler les cas décisifs chez les vaccinés, pour masquer les données sur l'échec du vaccin. Le CDC a également autorisé les vaccinés à passer des tests covid qui contenaient un seuil de cycle inférieur. Cela a automatiquement abaissé le taux de positivité dans la cohorte vaccinée, faisant apparaître sur le papier que les non vaccinés contractaient et propageaient plus facilement le virus. Cependant, l'utilisation de protocoles de test disparates et non transparents est une fraude médicale, pas de la science.
Des protocoles de test disparates ont-ils également été utilisés dans les essais cliniques ? Plus de la moitié des personnes vaccinées ont présenté des symptômes lors des essais cliniques, même si leur taux de positivité au COVID était inférieur (à celui des personnes non vaccinées) au moment précis où elles ont été testées. Pourquoi ces symptômes d'empoisonnement ont-ils été ignorés dans les essais cliniques et n'ont-ils pas été considérés comme un risque grave ? Pourquoi le CDC a-t-il refusé de fournir un consentement éclairé approprié. Les essais cliniques n'ont pas mesuré avec précision les cas de covid-19 dans les mois vaccinés plus tard, car le vaccin a été mis sur le marché à la hâte. Pourtant, le CDC doit maintenant admettre que «l'efficacité» du vaccin diminue en quelques mois, exposant la population à de nouvelles variantes.
Lors d'une présentation à l'Université de Washington, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a admis qu'elle avait initialement appris l'efficacité du vaccin grâce à CNN. Cependant, ces rapports de CNN poussant au verrouillage étaient basés sur un communiqué de presse de Pfizer, qui affirmait de manière trompeuse que le vaccin était efficace à 95 %. Le CDC a élaboré des politiques liant les verrouillages à l'utilisation des vaccins. Le CDC a illégalement mandaté un produit défectueux sur la population, menaçant les moyens de subsistance des gens dans le processus. Pfizer, CNN, Fauci et le CDC ont tous menti sur l'efficacité du vaccin pendant plus d'un an, car leur propre main-d'œuvre a été endommagée et rendue malade par le vaccin, une dose ratée après l'autre.
Sources include:
DailyExpose.uk
JImmunol.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-10-70-covid-infections-cdc-in-vaccinated.html
Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.
RépondreSupprimerLes "cas confirmés Covid-19" par PCR n'ont aucun sens. Le projet de test d'antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux
Par Prof Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca, 09 avril 2022
Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.
Introduction
Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.
La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.
Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité.
Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations.
Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.
Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars.
Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.
En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)
Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.
« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».
Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »
Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.
RépondreSupprimerLa base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.
La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides.
L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de détecter et identifier le SRAS-CoV-2.
Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir : Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »
Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.
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Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »
Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC), les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases » (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.
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Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR
Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :
« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS » ( Mercola )
Le traité sur la pandémie est lié au projet de code de vérification QR de l’OMS , qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020 et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.
RépondreSupprimerPeter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »
Selon David Scripac « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC).
Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».
La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».
Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption:
1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020. Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.
2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.
3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.
4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.
5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.
Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.
Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19
Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».
La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.
RépondreSupprimerLa population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :
83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).
Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.
- voir graph sur site -
Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,
Le jour suivant, le 31 janvier 2020 : le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.
20 février 2020 : Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un briefing à Genève, le directeur général de l’OMS. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:
« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…
« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »
Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.
Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.
Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros.
11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.
Une pandémie est généralement définie comme:
« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population » (Webster-Merriam , emphase ajoutée)
RépondreSupprimerEn supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.
C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020
- voir cadre sur site -
Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .
« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».
L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44279 et 1440 décès (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.
(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).
Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès (« présomptifs » plus PCR confirmés).
Selon l’OMS, le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.
Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait 3 457 «cas confirmés» sur une population de 329,5 millions de personnes
- voir graph sur site -
Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .
Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes
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Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .
Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.
C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.
RépondreSupprimerImmédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère
Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.
Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.
Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.
De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.
Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.
Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.
Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.
Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid
Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm
- voir clip sur site -
Source : HeathData.org
Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels indiquent environ :
65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.
Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.
Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !
Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme un « virus tueur ».
Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .
« Il y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel … »( Nature )
Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre : « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :
RépondreSupprimer« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …
Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite »
La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …
Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.
Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.
En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).
Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)
Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19
« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires.
D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:
« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .
Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic. La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »
RépondreSupprimerSi le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.
Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.
Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron
Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?
Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.
Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche. Cela a incité les gens à se faire vacciner.
L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :
« Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »
À son tour, le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins. … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )
Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.
Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.
Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale
Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]
Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.
RépondreSupprimerAu Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.
Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.
Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)
- voir graph sur site -
Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »
Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».
- voir graph sur site -
En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.
L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes
Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :
» Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ».
Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.
À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)
Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.
Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).
- voir graph sur site -
Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes
Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de 94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.
140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.
RépondreSupprimerLe Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne.
Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »
Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.
- voir graph sur site -
Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)
- voir graph sur site -
Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)
Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standard. Selon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :
Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)
Ce que le NYT ne mentionne pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)
La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippe. Nous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.
31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
- voir cadre sur site -
Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés
Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».
L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.
Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.
RépondreSupprimer« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19
Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années.
En décembre 2021, Bloomberg rapportait que
« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « .
Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars.
Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?
La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021.
« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)
En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont investi dans
« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».
Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».
Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du Global Access Health de la Fondation Gates.
L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».
https://www.mondialisation.ca/le-plus-gros-mensonge-de-lhistoire-la-base-de-donnees-est-erronee-il-ny-a-jamais-eu-de-pandemie-les-mandats-covid-y-compris-le-vaccin-sont-invalides/5666650
S'il vous plaît, arrêtez de voir des médecins qui ont besoin de masques - votre vie en dépend
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
11 avril 2022
Cher Allan,
Avez-vous pu ne pas porter de masque à l'intérieur d'un établissement médical ? Je dois emmener mon fils pour un examen médical de routine à [Nom du grand nom de la côte ouest HMO expurgé], et je ne veux pas être obligé de porter un masque !
Un moyen de contourner cela? Nous avons le droit légal d'être vus par un médecin. Je reçois sérieusement l'anxiété maintenant si je suis obligé d'en porter un.
Merci pour toute suggestion.
— Mère de deux enfants
——
Nous sommes à une autre étape du jeu. Nous ne sommes plus en 1992.
Si vous croyez en la liberté, les HMO (Health maintenance organization) sont probablement hors de question à ce stade.
Passer chez le médecin à cause de reniflements est probablement hors de question aussi.
Demander au médecin de donner à votre enfant des antibiotiques pour un rhume, juste pour que vous vous sentiez mieux d'être allé chez le médecin, est probablement également hors de question.
Le dernier que j'ai jeté là-dedans pour rappeler à quel moment nous sommes. Bien sûr, vous ne feriez pas une telle chose, mais vous devez vraiment envisager de ne faire aucune des autres choses non plus. Il y a trente ans, vous auriez pu prendre des antibiotiques contre la grippe sans y avoir réfléchi à deux fois, car faites confiance à la blouse blanche.
Aujourd'hui est une autre histoire
Aujourd'hui, c'est une autre histoire. Aujourd'hui, environ 80 % des personnes à qui je parle ont une pharmacie à domicile remplie d'ordonnances du marché noir et peuvent pratiquement défendre une thèse sur l'utilisation appropriée hors AMM des produits pharmaceutiques et des suppléments. Il y a trois ans, ce n'était pas le cas.
La médecine de Backwoods est de retour.
C'est la médecine dont l'écrasante majorité de l'histoire humaine a été remplie - des plantes locales, des remèdes éprouvés et vrais, et l'accouchement à la maison.
Rien dans cette équation n'a été développé en 18 mois et mis sur le marché à la hâte. Plutôt 1 800 ans. Rien de nouveau dans cette méthode, qui est exactement ce que vous voulez lorsque vous avez affaire à quelque chose d'aussi stable que le corps humain - des remèdes éprouvés et fiables.
La professionnalisation de la médecine
À un moment donné, il y a moins d'un siècle environ, l'humanité a généralement commencé à s'éloigner de cette vision de la médecine et lui a permis de se professionnaliser. La guérison a longtemps été un domaine à part, mais la professionnalisation du domaine était un tout nouvel extrême. Les jeunes hommes qui assistaient à des conférences sur le thème de la médecine et qui lisaient des revues scientifiques occasionnelles étaient jugés plus préparés que la vieille femme qui vivait en bas et qui avait appris en pratiquant réellement ce genre de choses.
Il faut des décennies d'expérience pour que la blouse blanche apprenne ce que sait le guérisseur local, et cela n'est possible que si la blouse blanche essaie d'apprendre ce que sait le guérisseur local.
RépondreSupprimerIl s'avère que les conférences et les examens des facultés de médecine sont un excellent moyen de déterminer qui est l'humain simien le plus obéissant d'une communauté. Mettez-le dans une tenue et entraînez-le, et il suivra les instructions. Ce n'est pas exactement le type qui va faire une grosse puanteur quand son payeur et ses collègues lui disent de faire la queue. Groupthink extraordinaire est entré dans ce qui était un système imparfait, mais largement efficace, abordable et rapide pour les soins de santé locaux fournis par le modèle de l'arrière-pays.
La déprofessionnalisation de la médecine
Nous sommes aujourd'hui en pleine déprofessionnalisation de la médecine. Bien que cela ait longtemps été un sujet de conversation, en masse, beaucoup voient maintenant à quel point le domaine médical professionnalisé peut être mauvais.
Mais honnêtement, la plupart des gens qui portent encore des masques pour voir des médecins n'ont pas vu le pire. Ils ne rendraient pas encore visite à un médecin masqué s'ils comprenaient ce qu'ils faisaient. Porter un masque à un médecin montre que vous manquez certaines des leçons les plus précieuses de 2020 et au-delà. Si vous ne pouvez pas rattraper rapidement ces leçons, vous risquez de les répéter.
Beaucoup de gens meurent parce qu'ils font confiance et obéissent docilement à des médecins qui ne méritent pas leur confiance
Permettez-moi de commencer ici. J'ai entendu trop d'histoires de personnes décédées aux mains de médecins, dont certaines étaient très proches de moi. Ils sont entrés et ont obéi et ne sont jamais sortis de ce lit. Ils sont morts en conséquence directe de leur obéissance.
Ce n'est pas ainsi que fonctionne une médecine efficace. Les médecins vous examinent et proposent des théories et vous les repoussez pour les aider à développer le traitement le plus efficace possible. Une bonne médecine est comme une négociation entre deux personnes qui veulent le meilleur résultat pour le patient. Beaucoup de communication est souvent nécessaire pour que le médecin sache comment vous aider au mieux.
Si vous êtes assis là comme un sac de pommes de terre, vous serez traité comme tel. L'affirmation de soi sera probablement une vertu acquise par de nombreux Américains pendant cette période de faute professionnelle et d'homicide par négligence aussi répandues par la communauté médicale. Je soupçonne que la médecine sera très différente dans plusieurs années.
Certaines personnes refusent même d'aller voir un médecin
RépondreSupprimerIl y a des gens qui se sont autrefois rendus avec diligence au cabinet du médecin pour chaque maladie mineure, et qui ne remettront plus jamais les pieds dans le cabinet d'un médecin. Certains patients auparavant obéissants ont réalisé, grâce au rationnement des services médicaux qui a suivi les Ides de mars 2020, qu'ils vont bien sans visites régulières. D'autres ont simplement perdu l'habitude. D'autres encore ont simplement décidé qu'ils seraient plus heureux de mourir chez eux que de vivre si cela les obligeait à risquer une visite à l'hôpital. Bien que je n'aie pas de données de sondage, je soupçonne que le nombre de personnes qui pensent ainsi aux États-Unis en ce moment – préféreraient mourir à la maison plutôt que de risquer une visite à l'hôpital – se chiffre en millions, voire en dizaines de millions.
Sur le plan sociétal, il y a eu une mise en accusation massive du système médical et aucun organe institutionnel ne travaille honnêtement pour y remédier. Les efforts institutionnels ont consisté à faire taire cela ou à déclarer les préoccupations des patients comme une « désinformation ». « Faites confiance à la blouse blanche ! » reste, comme on pouvait s'y attendre, la réponse à ces préoccupations. En conséquence, la méfiance à l'égard de la médecine professionnelle va croître et s'envenimer. Il s'agit d'une réinitialisation indispensable dont la société bénéficiera.
Pourquoi vous ne devez pas emmener votre fils chez un médecin qui a besoin de masques
Permettez-moi maintenant d'attirer l'attention sur vous, cher lecteur. Je vais prendre quelques minutes de plus pour répondre à celle-ci, car je pense que c'est une question importante et importante que vous posez.
S'il vous plaît envisager de quitter ce HMO. Veuillez trouver un autre médecin. Vous évoquez le masque facial, une préoccupation qui me tient à cœur.
Cependant, j'aimerais que vous voyiez cela différemment. J'aimerais que vous considériez votre inquiétude concernant le masque facial comme une indication de votre méfiance envers le médecin et son personnel. Si vous avez besoin de stresser sur le masque facial avec ce médecin, imaginez combien d'autres choses ce médecin s'est déjà avéré indigne de confiance ?
Ce médecin exerce un pouvoir énorme une fois que vous entrez dans son officier, s'il le souhaite. Ce pouvoir va bien au-delà de la simple autorité de la blouse blanche dans une interaction avec un patient.
Une fois que vous êtes à l'intérieur du cabinet de ce médecin, vous avez des droits réduits en tant que parent. Il peut devenir compliqué de refuser légalement un traitement. Les services de protection peuvent être appelés à enquêter sur la question, ce qui peut rendre l'après-midi inconfortable à attendre et à expliquer pourquoi vous n'aimez pas un certain mode de traitement. En conséquence, il y aura peut-être des visites de suivi au bureau avec les services de protection, des visites à domicile des services de protection ou des audiences à l'avenir. Ce qui pourrait également être le résultat, c'est que votre enfant pourrait être emmené.
La lutte en cours pour bébé Cyrus illustre cela
RépondreSupprimerDans l'État policier de l'Idaho en ce moment (considéré à tort comme si attrayant par de nombreux Blue Staters), se déroule le drame en cours de Baby Cyrus qui a plusieurs fois été séparé de sa mère qui allaite parce qu'il ne correspondait pas au profil de poids pour son âge. Cela a été possible parce que Baby Cyrus est entré en contact une fois de trop avec un agent de l'État sans doute bien intentionné qui était juste un corps occupé et suivait sa formation.
Dans le système actuel, tout le monde, des pasteurs aux enseignants des écoles privées, en passant par les médecins et les infirmières des cliniques privées, jusqu'aux agents de police, bien sûr, sont tous des agents de l'État censés suivre leur formation et à chaque occasion possible vous insérer, vous et votre famille dans le système pour que le système détermine votre innocence ou votre culpabilité. Dans le processus, le système déchirera votre famille et vous appauvrira pendant qu'il déterminera quelle est la vérité de la situation et si vous devez bénéficier des libertés humaines fondamentales, telles que le droit d'élever votre enfant. Jusque-là, aucun droit fondamental ne vous est accordé. Au lieu de cela, votre enfant est kidnappé et laissé aux soins de certaines des personnes les plus perturbées psychologiquement, car c'est mieux pour un bébé allaité que d'être avec sa mère.
Ce n'est que par la bonté du médecin et le désintérêt du personnel de vous signaler qu'une telle chose ne se produit pas. Sur le papier et dans la pratique, s'ils veulent pousser la question, vos droits en tant que parent sont quasi inexistants dans un cabinet médical.
De simples contrôles de bien-être
Si un fournisseur de soins de santé veut qu'il en soit ainsi, vous aurez peut-être beaucoup de mal à insister pour que vous soyez dans la pièce avec votre enfant contre la volonté d'un professionnel de la santé. Un bilan de santé pour abus peut être exigé à tout moment. À un tel moment, en votre absence, n'importe quel traitement peut vraisemblablement avoir lieu (médicaments, vaccins, autres injections), peu importe à quel point vous ou moi percevons cette injustice. Ce qui se passe dans cette pièce peut être quelque chose dont vous n'apprenez jamais rien.
Vous pouvez prétendre en toute confiance que cela ne se produirait jamais dans ce cabinet médical, mais le penser ne ferait que prouver votre ignorance sur le sujet de l'enlèvement médical. Comme vous avez lu cet article, j'estime que trois enfants dans votre état viennent d'être contraints ou soumis à un traitement auquel leurs parents se sont fermement opposés au début de la visite du médecin. Ce n'est que par la bonté de votre médecin et de votre personnel - ce qui n'est pas très bon d'après leurs politiques en matière de masques faciaux - que cela ne vous arrive pas. Vous prenez des risques insensés et vous vous préparez à une mauvaise situation en consultant un médecin comme ça. Votre enfant mérite mieux.
Cet examen minutieux de quelqu'un qui ne fait que suivre les règles est un danger dont les parents doivent constamment protéger leurs enfants
RépondreSupprimerPendant que votre enfant se trouve dans cette pièce pour un contrôle de bien-être impromptu, toute décision parentale peut être examinée. Imaginez les conversations que quelqu'un qui veut déformer la vérité pourrait inciter votre enfant à avoir. "Est-ce que ta mère est méchante avec toi ?" À votre avis, où pourrait mener cette conversation si quelqu'un était d'humeur trompeuse ou si cette personne avait le tempérament de déformer la vérité ?
Ou si on demandait à votre enfant : « As-tu déjà pensé à te faire du mal ? Qu'est-ce que cela pourrait signifier pour sa vie si une personne trompeuse était celle qui posait la question. Cette question entre les mains de quelqu'un de trompeur pourrait avoir un impact sur la vie de votre enfant pendant des décennies. Je connais quelqu'un qui a été impacté par ce type de scénario dans les années 1990, lorsque l'intrusion de l'État dans la famille était beaucoup moins établie. Les mauvaises réponses dans un tel moment peuvent vraiment hanter une personne pour la vie. À quel point cela pourrait-il être pire pour quelqu'un aujourd'hui ?
Et peut-être que vous faites confiance à l'infirmière. C'est peut-être quelqu'un que vous connaissez depuis vingt ans. (Le courrier électronique de suivi indique que l'infirmière est en fait un parent.) Mais que se passe-t-il si l'infirmière appelle un travailleur social pour une deuxième série de questions ? Et l'infirmier dit "Eh bien, je suis journaliste mandaté, et il dit que sa mère est parfois méchante avec lui" ou "Il dit qu'il a pensé à se faire du mal". Où pensez-vous que cela pourrait aller ?
De plus, vous n'avez pas le droit de savoir ce qui s'est passé dans cette pièce. Les droits que vous tentez de faire valoir ne garantissent pas que vous receviez des informations exactes. Ce n'est que par la bonté du médecin et le désintérêt du personnel que de telles choses n'arrivent pas.
Tout cela devrait être une raison suffisante pour ne mettre les pieds que dans le bureau d'un médecin en qui vous avez profondément confiance, et de ne le faire que rarement et judicieusement.
Non seulement votre médecin est-il indigne de confiance et puissant, mais nous vivons à une époque qui amplifie cette réalité
Considérons en outre le temps et le lieu spécifiques dans lesquels nous vivons. Au cours de mes écrits et de mon organisation sur ces sujets, j'ai entendu à plusieurs reprises les histoires d'horreur qui suivent une tragédie comme celle-ci - une personne entre dans le cabinet d'un médecin en bonne santé, est testée pour Covid, se retrouve à l'hôpital et est morte 3 des semaines plus tard, après que les prestataires de soins de santé ont suivi une cascade d'interventions, dont aucune n'aurait tué individuellement le patient, mais qui au total a tué la personne.
Souvent, le dernier contact avec la famille a eu lieu lorsqu'on a dit à la famille : "Nous allons simplement l'admettre, et vous pouvez garer la voiture jusqu'à l'entrée du visiteur et lui rendre visite un peu plus tard". Nous vivons à une époque où ces mots, pour des milliers de personnes, ont littéralement marqué la dernière opportunité pour quelqu'un d'empêcher la mort d'un être cher. Pour des milliers d'autres, aller chez un médecin ou accepter de passer un test PCR était la dernière opportunité qu'ils avaient d'empêcher la cascade mortelle d'interventions. Selon la norme de soins actuelle, cette cascade d'interventions est déclenchée bien avant qu'un patient ou un membre de sa famille puisse reconnaître que les fournisseurs de soins ne permettront aucun retour en arrière.
En fin de compte, le décès est étiqueté Covid-19 et plusieurs entités, gouvernementales et non gouvernementales, reçoivent un salaire en raison de cette détermination de la cause du décès. La mort n'est pas toujours le résultat. Les blessures graves sont un autre résultat d'une telle intervention.
RépondreSupprimerCette cascade d'interventions pourrait être déclenchée si les allergies de votre fils agissent simplement ou si une infirmière s'approche simplement de votre fils et lui dit «ouvrez-vous» et lui tamponne la bouche avec l'échec diagnostique qu'est le test PCR ou le test antigénique.
Vous êtes à la merci du médecin lorsque vous entrez dans ce bureau. Le médecin spécifique que vous mentionnez exige que vous portiez un masque facial dangereux et inefficace. Le masque facial est si définitivement dangereux et inefficace que j'ai pu remplir un livre de 500 pages avec des écrits sur le sujet de leur nocivité pour les enfants. C'est à quel point le médecin auquel vous faites référence est déconnecté. Si vous me demandez, ce médecin ne devrait pas être à proximité de votre enfant ou de tout autre enfant.
Votre préoccupation concerne le masque facial. Le masque facial est un révélateur du manque de confiance du médecin, de son personnel et du HMO.
S'il vous plaît, payez simplement de votre poche pour le physique et gardez votre enfant loin des médecins Maskhole
Je ne sais pas ce que coûtera le rendez-vous si vous payez comptant chez un fournisseur de soins digne de confiance. 40 $ ? 140 $ ? 400 $ ?
Je soupçonne que le coût est quelque part là-dedans. Il existe de nombreuses options de traitement. Certains merveilleux prestataires de soins locaux sont mentionnés dans ma newsletter hebdomadaire (pas disponible partout), et d'autres autour de vous connaissent probablement des prestataires de soins qui feront un examen physique contre de l'argent. De plus, il existe probablement un large éventail de naturopathes, d'homéopathes, de chiropraticiens ou d'infirmières autorisées qui peuvent faire le physique. À titre d'exemple, le Dr Pierre Kory a une bonne base de données accessible au public des fournisseurs de soins qui n'achètent pas le récit. De nombreuses listes similaires de médecins existent également, bien que ces listes ne représentent qu'une petite partie des médecins à ce stade qui n'achètent pas le récit. Chaque région a des médecins qui n'auront pas besoin de masque, si vous donnez simplement la priorité à la recherche de ces médecins.
Votre borg d'un HMO, d'autre part, est plein de médecins peu talentueux qui ont cessé de penser par eux-mêmes vers l'âge de six ans. Une fois dans une lune bleue, vous trouvez un médecin attentionné dans de telles organisations. Tout comme à l'académie, penser par soi-même est découragé et les professionnels de la santé réfléchis ne sont tout simplement pas attirés par de tels endroits.
S'il vous plaît, considérez qu'il vaut chaque centime pour garder votre fils aussi loin que possible du système de votre HMO.
RépondreSupprimerSi vous voulez des histoires pleines d'espoir sur ce que les gens ont traversé pour obtenir un rendez-vous, je peux les partager. Je ne pense pas que ce soit le cas pour ces approches, cependant. Je crois que ce médecin vous dit très clairement quel genre de personne il est, et il est possible que vous n'écoutiez pas.
Dites non aux bêtises. Repousser. Mener. Lisez le best-seller "" si vous ne savez pas comment. Lisez "" si vous ne savez pas pourquoi. Ces livres sont bien plus que des masques faciaux. Inscrivez-vous à la newsletter percutante sur www.RealStevo.com (www.RealStevo.com). Refusez d'être affaibli par leurs bêtises. Vous pouvez vous conduire vous-même, votre famille et le monde autour de vous vers le meilleur.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/allan-stevo/please-stop-seeing-doctors-who-require-masks-your-life-depends-on-it/
La prochaine pandémie selon l'ancien directeur du CDC: la H5N1
RépondreSupprimerdimanche 10 avril 2022
Le virus "le plus mortel" a été le sujet d'une grande controverse il y a plus de 10 ans au sein de la communauté scientifique. Le travail d'ingénierie du H5N1 + H1N1, dont les recherches sur les GAINS DE FONCTION ont été partagées dans plusieurs laboratoires, a été dénoncé à cause de son énorme potentiel de léthalité pouvant créer des millions de morts: sans contredit une arme biologique.
https://twitter.com/backtolife_2022/status/1513072451013468160?t=Yp9M5IT__hqWka2IiaM05g&s=19
https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2077232/Scientist-deliberately-created-Armageddon-bird-flu-virus-lab-says-publish-details.html
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2022/04/la-prochaine-pandemie-selon-lancien.html
Là encore NE CONFONDONS PAS virus (poussières) et microbes.
SupprimerUn microbe est vivant, il transporte des maladies.
Un virus est une poussière INOFFENSIVE ! (sauf les poussières radioactives (Becquerels).
Un microbe se promène dans l'air. Ce qui l'ont peuvent être contaminants.
Un virus (tel que le 'covide19CharlieOmicronBravo', etc) est une poussière fabriquée en laboratoires.
Ces poussières NE SONT PAS DANS L'AIR mais UNIQUEMENT disponibles en seringues !
Si vous vous faites inoculer: vous l'avez !
Mais, comme il s'agit là d'un poison (nano-particule d'oxyde de graphène enrobée) vous ne pouvez contaminer quelqu'un (sauf en l'embrassant dans la bouche ou acte sexuel).
Ce poison est perpétuel. Il détruit l'organisme (ôte toute immunité !) et vous empêche d'avoir des enfants (sinon des monstres !).
Fauci admet sa défaite: dit que COVID est là pour rester, les gens doivent «calculer le risque individuel»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 AVRIL 2022 - 00:40
Alors que le président Joe Biden faisait campagne sur la promesse de "fermer le virus, pas l'économie", le Dr Anthony Fauci - l'employé le mieux payé du gouvernement américain - adoptait une approche beaucoup plus prudente - suggérant que Covid pourrait ne jamais disparaître.
Et avec Washington DC maintenant une ville de fête super-diffusée pour la souche Omicron beaucoup moins mortelle, Fauci a maintenant explicitement jeté l'éponge en essayant de débarrasser le monde de Covid-19 – disant à ABC "This Week" que le virus est là pour rester , et les gens n'auront qu'à décider du niveau de risque qu'ils sont prêts à prendre.
"Cela ne va pas être éradiqué et ça ne va pas être éliminé", a déclaré Fauci à l'hôte Jonathan Karl.
"Ce qui va se passer, c'est que nous allons voir que chaque individu va devoir calculer le degré de risque qu'il veut prendre en allant à des dîners à l'intérieur et en allant à des réceptions, même dans le domaine de une carte des zones vertes du pays où vous voyez que tout semble vert mais ça commence à tourner", a-t-il ajouté.
"Nous allons devoir vivre avec un certain degré de virus dans la communauté", a poursuivi Fauci, ajoutant que "la meilleure façon d'atténuer cela, Jon, est de se faire vacciner".
Oui, un vaccin développé pour une souche complètement différente qui perd de sa protection six semaines seulement après la réception d'une quatrième dose, selon une récente étude israélienne.
https://www.zerohedge.com/covid-19/fauci-admits-defeat-says-covid-here-stay-people-need-calculate-individual-risk
Que ce soit aux États-Unis (pays de Liberté pas de Démocratie), ou en Europe (pays sans rien du tout) les éternués qui se disent d'être de la dite 'opposition' soutiennent corps & âme la dictature au pouvoir.
SupprimerAUCUN chef d’État au monde n'a dénoncé l'escroquerie du '11 Septembre' ! Aucun de ces marionnettes à la con n'a dénoncé l'escroquerie du 'covide19merdum-merdum', ni la mise en place des masques inutiles, distanciation, emprisonnement à domicile, faux vaccins, etc, etc ! TOUS LA MÊME MERDE ! TOUS !
Quand on entend une ordure dire:
(...) "Nous allons devoir vivre avec un certain degré de virus dans la communauté", a poursuivi Fauci, ajoutant que "la meilleure façon d'atténuer cela, Jon, est de se faire vacciner". (...)
et qui se dit médecin !!! 'Un vaccin anti-poussière' ! WHÔAW ! Le Mr Propre des chiottes !
TOUTES les poussières sont INOFFENSIVES (sauf celles qui sont radioactives. Becquerels)
Nous respirons toutes & tous AVEC ou SANS masque 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE, donc: DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Moderna rappelle 764 900 doses de vaccin COVID-19 après la découverte d'une contamination
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 AVRIL 2022 - 03:40
Écrit par Lorenz Duchamps via The Epoch Times
La société pharmaceutique et biotechnologique américaine Moderna Inc. a publié vendredi un rappel en Europe impliquant 764 900 doses de son vaccin COVID-19 "Spikevax" après la découverte de contaminants dans un flacon.
"Le lot est rappelé en raison de la découverte d'un corps étranger dans un flacon du lot fabriqué sur le site de fabrication sous contrat de la société, ROVI", ont déclaré Moderna et ROVI Pharma Industrial Services en Espagne dans un communiqué conjoint.
Le fabricant de médicaments n'a pas précisé quel type de substance étrangère avait été trouvé et avait rappelé le tout par « excès de prudence ».
La contamination a été détectée dans un seul flacon du lot et les enquêteurs ne pensent pas que la contamination posait un risque pour les autres flacons du lot.
«Moderna a effectué une recherche cumulative dans sa base de données mondiale sur la sécurité, et aucun problème de sécurité n'a été signalé chez les personnes qui ont reçu le vaccin Moderna COVID-19 de ce lot. À ce jour, aucun problème d'innocuité ou d'efficacité n'a été identifié », selon le communiqué.
Les lots ont été distribués du 13 au 14 janvier en Norvège, en Pologne, au Portugal, en Espagne et en Suède. À ce jour, plus de 900 millions de doses du vaccin Moderna COVID-19 ont été administrées dans le monde.
L'année dernière, Moderna a fait rappeler plusieurs lots de ses vaccins COVID-19 par les autorités japonaises après qu'une enquête a trouvé des contaminants en acier inoxydable dans certains flacons. Les lots rappelés ont été fabriqués par la même société espagnole, ROVI.
Le plus grand fabricant de médicaments du Japon, Takeda Pharmaceutical, a déclaré dans un communiqué que la contamination remontait à la production gérée par ROVI. Les découvertes ont été découvertes par une enquête menée par les deux sociétés, et non par le ministère japonais de la Santé.
Trois hommes au Japon étaient tombés gravement malades en août 2021 après avoir reçu une deuxième dose du vaccin COVID-19 désormais rappelé et sont décédés peu de temps après. Takeda a déclaré dans un communiqué à l'époque qu'il n'y avait aucune preuve qu'ils étaient liés au vaccin, a rapporté Reuters.
"L'acier inoxydable est couramment utilisé dans les valves cardiaques, les remplacements d'articulations et les sutures et agrafes métalliques. En tant que tel, on ne s'attend pas à ce que l'injection des particules identifiées dans ces lots au Japon entraîne un risque médical accru », a déclaré la société.
Les deux premiers décès signalés dans le pays liés à des doses contaminées de Moderna concernaient deux hommes, âgés de 30 et 38 ans. Ils sont tous deux décédés deux jours après avoir reçu une deuxième dose d'un lot de vaccins contaminés.
Le troisième cas était un homme de 49 ans, qui est également tombé malade après avoir reçu sa deuxième dose et est décédé le lendemain, a indiqué le ministère de la Santé, notant que son seul problème de santé connu était une allergie au sarrasin.
De NTD News
https://www.zerohedge.com/covid-19/moderna-recalls-764900-covid-19-vaccine-doses-after-contamination-found
Pfizer a été complètement submergé par les rapports sur les effets secondaires des «vaccins» covid, révèlent des documents
RépondreSupprimerlundi 11 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Afin de gérer le déluge de rapports d'événements indésirables suite à la sortie de son "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), le géant pharmaceutique Pfizer a embauché une armée de nouveaux employés à temps plein, déclare Brian Hooker, directeur scientifique. à la défense de la santé des enfants (CHD).
Les informations divulguées par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis le 1er avril en réponse à une demande accélérée de la Freedom of Information Act (FOIA) ont révélé que Pfizer avait fait appel à 1 800 nouvelles ressources humaines pour traiter l'assaut des rapports de blessures et de décès découlant de son ARNm. (ARN messager) jab.
Une «analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation… reçus jusqu'au 28 février 2021» explique que Pfizer a pris «plusieurs mesures pour atténuer la forte augmentation des rapports d'événements indésirables».
"Cela comprend des améliorations technologiques importantes et des solutions de processus et de flux de travail, ainsi que l'augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie de données et du traitement des cas", précise cette section du document.
« À ce jour, Pfizer a intégré environ 600 employés à temps plein (ETP) supplémentaires. D'autres rejoignent chaque mois avec un total prévu de plus de 1 800 ressources supplémentaires d'ici la fin juin 2021. »
Pfizer a menti sur les événements indésirables ; prétendait qu'ils n'existaient pas tout en qualifiant ses injections de "sûres"
Entre le 11 décembre 2020, lorsque les injections de Pfizer ont obtenu pour la première fois l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) sous Donald Trump via l'opération Warp Speed, et février 2021, lorsque le programme battait son plein, Pfizer a embauché 600 nouveaux employés à temps plein.
À l'époque, l'entreprise prévoyait de devoir en apporter 1 200 autres, portant le total à 1 800, en raison de ce qui était déjà manifestement un problème sérieux pour l'entreprise.
"158 000 événements indésirables au cours des deux premiers mois du déploiement signifient que le taux d'EI [événements indésirables] signalés était d'environ 1:1000, avec de nombreux EI classés comme graves", a déclaré Hooker à propos du nombre sans précédent d'effets secondaires. causés par les injections de Pfizer. (En relation: Au moins 1 291 effets secondaires différents sont liés aux injections d'ARNm de Pfizer.)
Rien de tout cela n'a été divulgué publiquement par Pfizer, naturellement. En fait, la société a continué à mentir sur la "sécurité et l'efficacité" de ses vaccins, c'est ainsi qu'elle a obtenu une licence complète de la FDA l'été dernier.
RépondreSupprimerDans sa « demande d'examen prioritaire » de mai 2021, Pfizer a soutenu que ses injections d'ARNm sont « sûres et bien tolérées chez les adultes en bonne santé », ainsi que chez les « participants plus jeunes et plus âgés ». Pfizer a faussement affirmé qu'il n'avait "aucune découverte de sécurité imprévue".
Les documents récemment publiés via FOIA racontent une histoire bien différente. Pfizer a menti à la FDA, et la FDA a menti au peuple américain. Et beaucoup d'argent a été gagné dans le processus.
Tout cela explique pourquoi Pfizer et la FDA se sont battus bec et ongles pour garder un couvercle sur les documents Pfizer pendant les 75 prochaines années. Ils pensaient qu'ils pourraient traverser la génération actuelle et les libérer plus tard, lorsque toutes les personnes actuellement touchées par cette abomination seront parties depuis longtemps.
Ce plan échoue cependant, car la vérité se répand un peu plus chaque jour. Le mal de Pfizer passe des ténèbres à la lumière. La question qui demeure est la suivante : va-t-il arriver quelque chose pour punir l'entreprise, son PDG Albert Bourla et toutes les autres personnes impliquées dans l'escroquerie ?
"J'ai le sentiment qu'au cours des prochaines années, nous assisterons à une catastrophe mondiale alors qu'un grand nombre de personnes tomberont malades et mourront de ces piqûres empoisonnées", a écrit quelqu'un au New American.
"La prochaine crise sanitaire majeure sera les effets débilitants et mortels du soi-disant vaccin COVID", a répondu quelqu'un d'autre. "N'ayez crainte, les grandes sociétés pharmaceutiques développeront un" vaccin "pour protéger les gens de ces effets indésirables."
"Sans aucun doute, car cela a déjà lieu", a déclaré un autre encore à propos de la catastrophe mondiale actuellement en cours.
Plus d'informations sur Pfizer peuvent être trouvées sur Evil.news.
Les sources de cet article incluent :
TheNewAmerican.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-11-pfizer-overwhelmed-covid-vaccine-side-effect-reports.html
Les filles développent des ULCÈRES GÉNITAUX après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19
RépondreSupprimerLundi 11 avril 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) De jeunes filles, dont certaines n'ont que cinq ans, développent des ulcères génitaux à cause du vaccin à ARNm du coronavirus de Wuhan (COVID-19) de Pfizer.
Ceci est conforme aux articles publiés et évalués par des pairs et aux données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le programme du gouvernement fédéral pour la collecte de rapports sur les événements indésirables liés aux vaccinations. (En relation: Des documents Pfizer récemment publiés montrent que le vaccin à ARNm COVID-19 peut provoquer 1 291 événements indésirables différents.)
L'un des articles de journaux médicaux récemment publiés sur les ulcères génitaux post-vaccinaux a été publié ce mois-ci dans le Journal of Pediatric and Adolescent Gynecology. L'étude, intitulée "Post COVID-19 Vaccination Vulvar Aphtous Ulcers: An Unpopular Case Series", a été menée par trois médecins du service de gynécologie pédiatrique et adolescente du Mercy Children's Hospital du Kansas, Missouri.
"Avec la pandémie de COVID-19, notre institution a vu des ulcères aphteux associés au COVID", ont écrit les auteurs de l'étude. "Après une utilisation accrue du vaccin Pfizer chez les 12 ans et plus, notre institution a également vu une série d'ulcères aphteux post-vaccinaux."
Les médecins ont étudié trois filles, âgées de 12 à 15 ans, qui présentaient des ulcères vaginaux qui ont commencé à se développer moins de trois jours après avoir reçu la deuxième dose du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer.
Chacune des filles a reçu la première dose du vaccin sans complications. Mais tous les trois, le deuxième jour après avoir reçu la deuxième dose, ont commencé à ressentir des douleurs dans les organes génitaux. Les trois enfants ont été amenés au Mercy Children's Hospital entre juin et septembre 2021 et ont reçu un diagnostic de lésions aphteuses vulvaires.
Également connue sous le nom d'ulcères de Lipschutz, cette affection est une affection très rare, non sexuellement acquise, que même les gynécologues les plus intelligents du monde connaissent très peu. Son principal symptôme est la formation de gros ulcères profonds dans les organes génitaux féminins. Il provoque également des douleurs, des malaises et de la fièvre.
Chacune des filles souffrait de plusieurs gros ulcères sur les organes génitaux, dont certains se nécrosaient. Aucun d'entre eux n'était sexuellement actif ou n'avait eu une infection antérieure au COVID-19 ou même une exposition récente.
Les filles aussi jeunes que cinq ans peuvent également développer des ulcères génitaux après la vaccination Pfizer
De nombreuses autres études prouvent que le vaccin Pfizer donne aux filles des ulcères génitaux.
Dans le Wisconsin, une fillette de 12 ans en bonne santé sans antécédents sexuels a développé de la fièvre un jour après avoir reçu la deuxième dose du vaccin COVID-19. Un jour plus tard, elle a développé trois ulcères douloureux sur ses organes génitaux, dont l'un était nécrotique.
Dans le Minnesota pour enfants, une jeune fille de 16 ans sans antécédents sexuels est devenue fébrile, fatiguée et a ressenti des douleurs musculaires dans les 24 heures après avoir reçu son deuxième vaccin Pfizer COVID-19. Elle a ensuite développé des lésions dans sa région vaginale. Au cours des deux jours suivants, les lésions sur le côté droit de sa région vaginale se sont transformées en un gros ulcère suintant jaune et gris avec des parties nécrotiques qui lui ont causé une immense douleur.
Dans le Colorado, une fillette de cinq ans a reçu la deuxième dose du vaccin mortel COVID-19 de Pfizer en novembre. En une journée, elle a développé des douleurs musculaires, des douleurs au bras et une lésion vaginale qui rendait la marche difficile. Ce cas a été signalé au VAERS et il n'a pas été résolu.
RépondreSupprimerApprenez-en plus sur la dangerosité du vaccin COVID-19 de Pfizer sur Vaccines.news.
Regardez cette émission de The New American qui explique comment les propres documents de Pfizer prouvent que la Food and Drug Administration a caché à quel point les vaccins COVID-19 sont dangereux pour les adolescents.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Pfizer a enregistré tellement d'événements indésirables qu'il a dû embaucher 2 400 employés supplémentaires pour gérer la paperasse et le traitement des données.
Dénonciateur : Pfizer a falsifié les signatures des participants à l'essai, a falsifié et fabriqué des données d'essai.
Un document Pfizer top secret divulgué montre que le vaccin COVID-19 est BEAUCOUP PLUS DANGEREUX que le monde ne le sait.
Pfizer admet dans un document confidentiel que le vaccin COVID-19 provoque une maladie améliorée associée au vaccin (la même chose que l'amélioration dépendante des anticorps).
L'enquête prouve que le vaccin Pfizer offre moins de 1 % de protection contre le COVID-19.
Les sources comprennent :
LifeSiteNews.com
JPAGOnline.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-11-girls-developing-genital-ulcers-from-pfizer-vaccines.html
Un ancien conseiller principal de la FDA met en garde le public : la FDA cache délibérément des faits sur les problèmes de santé liés au vaccin COVID-19
RépondreSupprimerlundi 11 avril 2022
par : Zoey Sky
(Natural News) D'innombrables rapports et de nombreuses études ont montré que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont liés à des effets indésirables, des plus mineurs comme la douleur au site d'injection aux effets secondaires plus graves comme l'inflammation cardiaque.
David Gortler, ancien conseiller principal du commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), a averti que l'agence ignore son exigence de "divulguer des problèmes clairs de sécurité et d'efficacité avec les vaccins COVID-19".
Gortler est pharmacologue, pharmacien et membre de la FDA et de la politique de santé au Centre d'éthique et de politique publique (EPPC). Il était médecin de la FDA avant d'être nommé par la Maison Blanche de l'ancien président Donald Trump en tant que conseiller principal du commissaire de la FDA pour la sécurité des médicaments, la politique scientifique de la FDA et les affaires réglementaires de la FDA.
Les Américains restent mal informés sur les effets secondaires du vaccin COVID
Fin mars, Gortler a écrit une chronique dans laquelle il a averti que la FDA, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Pfizer et Moderna étaient tous au courant depuis le début des risques de myocardite et de péricardite liés aux vaccins à ARNm COVID-19.
Tout au long de la pandémie de coronavirus, de nombreux événements indésirables ont été signalés à l'aide du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le système de suivi géré par la FDA et le CDC. Mais Gortler a souligné que les Américains n'ont reçu aucun avertissement formel, comme l'étiquetage et les lettres pour avertir les médecins, les pharmaciens ou le public.
Il pense que c'est parce que cela dissiperait le récit selon lequel obtenir des vaccins et des rappels est le «devoir patriotique» des Américains. Habituellement, il incombe aux fabricants d'aviser les consommateurs et les prescripteurs des mises à jour concernant l'innocuité et l'efficacité.
Gortler a également noté que le maigre document d'examen de 107 pages de la FDA excluait évidemment les "effets indésirables graves cliniquement importants" comme l'anaphylaxie (réactions allergiques graves), la myocardite et la péricardite.
La myocardite et la péricardite impliquent une inflammation du cœur et du sac contenant le cœur, respectivement. (Connexe: Pfizer intervient pour contrôler la FDA et faciliter les suppressions radicales de la divulgation ordonnée par le tribunal de leurs données sur les blessures causées par les vaccins.)
Pendant ce temps, la revue de Moderna ne comptait que 30 pages mais présentait des rapports de myocardite et de péricardite dans l'étude initiale. Il est indéniable qu'il existe de nombreux problèmes de sécurité et d'efficacité avec les vaccins et les rappels contre les coronavirus, a averti Gortler.
Étant donné que les plus de 18 000 employés de la FDA ont eu accès aux mêmes données sur l'innocuité des médicaments, cela souligne le fait qu'il n'y a toujours pas d'étiquetage COVID-19 mis à jour reflétant les dernières découvertes en matière d'innocuité et d'efficacité dans le VAERS.
RépondreSupprimerExamen du vaccin COVID-19
Gortler a ces questions pour la FDA :
Où sont les lettres "Dear Doctor" de la FDA avec des consignes de sécurité mises à jour ?
Où sont les lettres « Cher pharmacien » aux pharmaciens qui inoculent et donnent encore des rappels à des milliers d'enfants et d'autres jeunes en bonne santé chaque jour ?
Pourquoi la FDA ne recommande-t-elle pas un suivi des symptômes pour éviter d'autres événements cardiovasculaires, neurologiques ou thrombotiques inflammatoires ?
Pourquoi la FDA ne convoque-t-elle pas et ne dédie-t-elle pas un comité de surveillance de la sécurité des données pour surveiller tous les effets post-commercialisation et autres ?
Gortler a également indiqué que pour tout médecin, pharmacien ou autre professionnel de la santé travaillant pour la FDA, le CDC ou une autre agence, le fait de ne pas avertir les patients des dangers potentiels de tout médicament mettrait leurs licences professionnelles en danger. Il a ajouté que d'autres preuves de "malfaisance manifeste" seront révélées, mais probablement sous une administration républicaine.
Si cela se produit, tous les praticiens et scientifiques agréés qui ont dissimulé au public des informations cruciales sur les effets secondaires des vaccins COVID-19 devraient faire l'objet d'une enquête approfondie par leurs conseils universitaires et leurs autorités de délivrance des licences.
Malgré les nombreux cas signalés d'effets indésirables, les responsables de la FDA continuent de promouvoir le "vaccin potentiellement dangereux" en cachant des données au public. Même le site Web de la FDA montre des images d'enfants et de jeunes adultes recevant des rappels. Cependant, les dernières données du CDC ont révélé qu'il n'y a aucun avantage connu de la vaccination contre le coronavirus pour ces groupes à faible risque.
Regardez la vidéo ci-dessous pour entendre un pilote de ligne s'exprimer contre les mandats de vaccination contre les coronavirus.
This video is from the InfoWars channel on Brighteon.com.
More related stories:
Highly vaccinated Israel has the most COVID-19 cases per capita IN THE WORLD.
The Ben Armstrong Show: Vaccines more dangerous than COVID – Brighteon.com.
Belgium drops Moderna vaccine for young people due to heart inflammation risks.
Dr. Sherri Tenpenny: mRNA COVID vaccines increase hospitalization and death rates – Brighteon.TV.
Sources include:
LifeSiteNews.com
TheFederalist.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-11-fda-hiding-facts-covid-vaccine-health-problems.html
La grippe aviaire se propage aux États-Unis, les prix des œufs montent en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 AVRIL 2022 - 02:40
Une souche contagieuse de grippe aviaire hautement pathogène a anéanti des troupeaux à travers les États-Unis et tué des millions d'oiseaux. L'effet direct a été un effet d'entraînement désagréable des approvisionnements serrés en viande de volaille et en œufs, faisant grimper les prix de détail à la hausse, ajoutant à une inflation alimentaire record.
Les dernières estimations du département américain de l'Agriculture (USDA) montrent qu'environ 24 millions de volailles comme les poulets et les dindes sont mortes ou ont été abattues à cause du virus depuis février.
- voir carte sur site -
Bloomberg a publié une carte choquante de la propagation de la grippe aviaire aux États-Unis, couvrant près de la moitié du pays.
Même si le virus présente des risques limités pour l'homme, le virus a été détecté dans le premier producteur d'œufs du pays : l'Iowa. La propagation se poursuit alors que "les schémas de migration des oiseaux sauvages se poursuivent. La maladie est introduite dans notre population nationale", a déclaré Chloe Carson, directrice des communications du département de l'agriculture de l'Iowa, à CNN.
Les prix nationaux des œufs sont hors des graphiques pour cette période de l'année en raison d'un approvisionnement limité. Le prix moyen d'une douzaine d'œufs a bondi à 2,60 $, contre 1,20 $ début janvier.
- voir cadre sur site -
La semaine dernière, le secrétaire américain à l'Agriculture, Tom Vilsack, a déclaré que les élevages de volailles étaient mieux préparés à atténuer la propagation du virus en suivant de nouvelles directives après la précédente épidémie de grippe aviaire en 2015.
Pour l'instant, l'écart ne montre aucun signe de ralentissement et ajoute à la hausse du coût de la vie pour les Américains aux prises avec l'économie Biden des prix record de la nourriture et de l'essence.
https://www.zerohedge.com/commodities/bird-flu-spreads-across-us-egg-prices-soar
Pareil que pour 'la vache folle', 'tremblante du mouton' ou 'diarrhées porcines' les arrivées par drones sont continuelles !
SupprimerCinq mille roubles le gramme d’or !
RépondreSupprimerle 11 avril 2022
Après la Chine qui a décidé de la convertibilité du yuan en or à son tour la Russie a fixé la parité à 5000 roubles par gramme d’or. Il faut noter qu’il n’est plus question de dollar ni d’once. Il aura donc fallu cinquante ans pour rétablir le rôle de réserve de l’or foulé aux pieds par Nixon lorsque les Etats-Unis ont admis que leur dollar papier ne pouvait plus être adossé sur l’or et de loin. Quand la Grande-Bretagne, pourtant amie des Etats-Unis, exigea le remboursement de ses dollars en or, démarche suivie immédiatement par la France, Nixon mit fin à l’hémorragie. En conséquence le dollar a perdu en cinquante ans près de soixante fois sa valeur en or. Je ne suis pas du tout un spécialiste de la finance (comme mes lecteurs s’en sont rendu compte à propos de la baisse de l’euro par rapport au dollar) mais en raison de la dette américaine abyssale soutenue par tous les pays utilisant le dollar comme monnaie d’échange ou de réserve de plus en plus de pays « dédollarisent » leur économie. Il faut ajouter que le dollar papier et le T-bond américain sont interchangeables, le T-bond étant tout aussi liquide que le dollar papier.
Avec une inflation galopante, actuellement 7,5 % sur une base annuelle, en Europe comme en Amérique du Nord la situation sociale ne peut que se dégrader plus vite encore que l’inflation. Les sanctions contre la Russie vont aggraver la situation. Je prends un exemple qui n’est pas relevé par les médias, l’AdBlue, une solution concentrée d’urée censée diminuer les émissions d’oxyde d’azote par les moteurs utilisant du carburant diesel. Le premier producteur d’urée du monde est la Russie. On ne peut pas dire que l’urée soit un produit industriel avec une forte valeur ajoutée, donc la Russie peut allègrement diminuer voire stopper totalement ses exportations d’urée. Que se passera-t-il dans les semaines suivantes ? Tous les véhicules diesel seront dans l’incapacité de rouler sur les routes, les autoroutes et dans les champs de culture.
À l’évidence les sanctions américaines et européennes contre la Russie sont totalement irréfléchies : plus d’urée, plus d’AdBlue, plus de transports routiers et des millions de personnes contraintes d’utiliser leur vieille voiture diesel condamnées à mort. Les dirigeants russes se lavent les mains de ces sanctions ils disposent d’armes de rétorsion économique tout simplement létales. L’extraordinaire décision du gouvernement russe de ne plus accepter que des roubles pour acheter les produits stratégiques comme le gaz ou les distillats de pétrole peut aussi s’appliquer à l’urée, au nickel, au palladium, à l’aluminium, … et le Président Poutine le sait très bien.
On ne peut s’attendre dans ces conditions qu’à un « printemps », non plus arabe, mais européen. Un printemps très chaud ! À cela il faut ajouter la politique sanitaire chinoise du « zéro covid » qui a atteint le paroxysme de la paranoïa. Les deux principaux ports d’exportation de produits chinois sont paralysés depuis plus de deux semaines. Le choc sur les économies occidentales va se faire sentir au mois de mai. Le prochain président (ou présidente) français aura beaucoup de travail pour contenir le mécontentement social. Je lui souhaite beaucoup de plaisir. Merci aux Américains et aux dirigeants de l’OTAN en Europe qui ont osé inconsidérément taquiner l’ours russe. Les peuples européens vont le payer très cher …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/11/cinq-mille-roubles-le-gramme-dor