Alex Berenson
8 avril 2022
Jusqu'à la semaine dernière, le gouvernement britannique offrait la meilleure source de données brutes sur l'efficacité des vaccins Covid. Chaque jeudi, l'Agence britannique de sécurité sanitaire a signalé le nombre de nouvelles infections, d'hospitalisations et de décès par statut vaccinal.
Depuis l'automne dernier, et surtout depuis l'arrivée de la variante Omicron, les rapports ont présenté une image de plus en plus sombre de l'efficacité du vaccin. Le rapport de la semaine dernière a montré qu'en mars, près de 90% des adultes hospitalisés pour Covid ont été vaccinés. Et PLUS DE 90 % des décès sont survenus chez les vaccinés :
L'importance de ces rapports est difficile à surestimer.
Ils étaient la meilleure source de données brutes sur l'efficacité ou l'inefficacité des vaccins Covid partout dans le monde. Il s'agissait d'une série séquentielle de longue durée avec des règles clairement définies d'un grand pays à couverture vaccinale élevée.
De plus, comme les Britanniques ont une assurance maladie nationale, le gouvernement pourrait déterminer avec une quasi-certitude qui a été vacciné. Comme vous pouvez le constater, moins de 1 % des personnes figurant dans les rapports sont qualifiées de « non liées », ce qui signifie que leur statut vaccinal était indéterminé.
À PARTIR DU RAPPORT DE CETTE SEMAINE, LE GOUVERNEMENT BRITANNIQUE NE FOURNIT PLUS CES GRAPHIQUES.
Le gouvernement britannique offre l'excuse absurde qu'il ne peut plus fournir les chiffres car il a mis fin aux tests universels gratuits pour Covid : de tels changements dans les politiques de test affectent la capacité à surveiller de manière robuste les cas de COVID-19 par statut vaccinal, donc, à partir de la semaine A partir de ce rapport, cette section du rapport ne sera plus publiée.
Le gouvernement britannique ment.
Même si la fin des tests gratuits affectait d'une manière ou d'une autre sa capacité à fournir des données «robustes» sur les infections, cela ne ferait aucune différence pour les chiffres d'hospitalisation ou de décès, qui sont bien plus importants. À moins que les patients de Covid ne soient hospitalisés de manière anonyme, l'Agence de sécurité sanitaire pourra toujours faire correspondre leurs noms (et les noms sur les certificats de décès) avec les dossiers de vaccination.
En fait, le gouvernement britannique serait négligent de ne pas continuer à collecter les données, et il le fera sûrement. Mais le public ne le verra plus.
Pourquoi ?
Une raison et une seule raison. Depuis que j'ai mentionné l'existence de ces rapports à Joe Rogan en octobre, ils sont devenus embarrassants. Ils sont impossibles à filer et le signal le plus clair possible d'échec vaccinal.
Mais cacher les chiffres ne rendra pas les vaccins plus efficaces. Cela rendra simplement les gens moins susceptibles de croire tout ce que les autorités de santé publique leur diront sur Covid et les vaccins – si cela est même possible à ce stade.
https://alexberenson.substack.com/p/the-british-are-now-officially-hiding?token
Preuve de dissimulation de pandémie et d'armes biologiques
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
8 avril 2022
Alors que la preuve d'une dissimulation potentielle d'armes biologiques a commencé à émerger, une société appelée Metabiota gagne en importance. Les liens entre Metabiota et plusieurs acteurs clés de la pandémie de COVID et/ou de l'histoire des laboratoires ukrainiens sont multiples, il n'y a donc pas de moyen vraiment simple de les démêler dans une séquence logique. Cela dit, commençons par ce que fait Metabiota et les relations de son fondateur, et développons à partir de là.
La mission de Metabiota
La mission de Metabiota est de rendre le monde plus résistant aux épidémies en fournissant « des données, des analyses, des conseils et des formations pour se préparer aux menaces sanitaires mondiales et atténuer leurs impacts ».1
Grâce à l'analyse des données, ils aident les «décideurs du gouvernement et de l'industrie» à estimer et à atténuer les risques de pandémie. Mais ils prétendent également soutenir le "développement durable", qui semble avoir peu à voir avec la gestion des risques de pandémie.
Ce terme de « développement durable » est promu par Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial (WEF). Cela fait partie intégrante du plan de Schwab pour une grande réinitialisation mondiale et une révolution transhumaniste (alias la quatrième révolution industrielle).
Il n'est donc pas surprenant de découvrir que le fondateur de Metabiota, Nathan Wolfe, a non seulement des liens étroits avec le WEF, mais qu'il y est également une étoile montante. Il est diplômé du WEF Young Global Leader et a reçu le prix WEF’s Technology Pioneer en 2021.
Metabiota et la recherche de virus pandémiques
Metabiota était l'un des principaux partenaires du programme de lutte contre la pandémie de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) appelé PREDICT, qui cherchait à identifier les virus à potentiel pandémique.
Les entrepreneurs financés par le biais de ce programme ont inclus l'EcoHealth Alliance, dirigée par Peter Daszak. Le programme PREDICT, dirigé par Dennis Carroll, semble avoir servi de preuve de concept pour le Global Virome Project que Carroll a fondé.
Selon une récente enquête menée par US Right to Know (USRTK),2 Carroll semble avoir détourné des fonds gouvernementaux du programme PREDICT alors qu'il le dirigeait encore, pour financer ce projet parallèle personnel, qui a été mis en place avec l'intention de collecter, identifier et cataloguer 1 million de virus provenant d'animaux sauvages dans le but de prédire lesquels pourraient provoquer une épidémie humaine.
Financement de Metabiota
Metabiota reçoit des financements de plusieurs organisations et agences interconnectées, notamment :3
•Pilot Growth Management, cofondé par Neil Callahan. Callahan est également cofondateur de Rosemont Seneca Technology Partners et siège au conseil consultatif de Metabiota.
• Le projet Global Virome, qui aurait versé (ou prévoyait de verser) à Metabiota 341 000 $ pour effectuer une analyse coûts-avantages4
• In-Q-Tel, une société de capital-risque de la CIA spécialisée dans les investissements de haute technologie qui soutiennent ou profitent à la capacité de renseignement des agences de renseignement américaines
• La Threat Reduction Agency (DTRA) du département américain de la Défense5. Plus précisément, en 2014, la DTRA a attribué à Metabiota 18,4 millions de dollars de contrats fédéraux pour des services de conseil scientifique et technique aux laboratoires de la DTRA en Ukraine et en Géorgie6.
En externalisant le travail à des entreprises privées, DTRA est en mesure de contourner la surveillance du Congrès. La Russie accuse maintenant les États-Unis de financer des recherches secrètes et illégales sur les armes biologiques dans ces laboratoires ukrainiens, et affirme que c'était la véritable raison de son invasion.
RépondreSupprimer•Rosemont Seneca7, un fonds d'investissement cogéré par Hunter Biden8. Si les accusations de la Russie s'avèrent fondées, ce lien pourrait s'avérer profondément problématique pour la Maison Blanche, car cela signifie que la famille Biden était plus ou moins directement impliquée dans le financement de cette recherche
Wolfe a également reçu plus de 20 millions de dollars en subventions de recherche de Google, du NIH et de la Fondation Bill & Melinda Gates, pour n'en nommer que quelques-uns, et était un ami de Jeffrey Epstein, aujourd'hui décédé. Dans son livre de 2012, "The Viral Storm", Wolfe a remercié ses amis pour leur soutien, notamment Epstein et Boris Nikolic. Nikolic, un capital-risqueur biotechnologique, a été nommé « exécuteur testamentaire suppléant » dans le testament d'Epstein.9
Epstein, qui en plus d'être un pédophile condamné et un trafiquant sexuel d'enfants accusé, avait un intérêt marqué pour l'eugénisme. Il est maintenant bien connu qu'il rêvait de créer sa propre race « surhumaine » en fécondant des dizaines de femmes à la fois dans son ranch du Nouveau-Mexique.10 Epstein a également réussi à obtenir des rencontres avec Bill Gates,11 dont l'histoire familiale est également marquée. par un intérêt pour l'eugénisme et le contrôle de la population.
Le fondateur de Metabiota lié à un suspect dans la pandémie de COVID
En plus d'avoir des liens étroits avec le WEF et son programme Great Reset, Wolfe, le fondateur de Metabiota, a également siégé au comité de rédaction de l'EcoHealth Alliance depuis 2004. En 2017, il a même co-écrit une étude sur les coronavirus chez les chauves-souris avec Président de l'Alliance ÉcoSanté, Peter Daszak.
Comme vous vous en souvenez peut-être, EcoHealth Alliance, une organisation à but non lucratif axée sur la prévention des pandémies, a travaillé en étroite collaboration avec l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) en Chine, d'où le SRAS-CoV-2 est soupçonné d'avoir pris naissance.12
Daszak – qui a reçu un financement pour la recherche sur les coronavirus de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, et le département d'État américain13 – a sous-traité une partie de ce travail à Shi Zheng-li au WIV. Il a également été co-auteur de projets de recherche au WIV.
Une fois que les rumeurs selon lesquelles le SRAS-CoV-2 aurait été créé par l'homme ont commencé, Daszak a joué un rôle central dans le complot visant à masquer l'origine du laboratoire en élaborant une déclaration scientifique condamnant des enquêtes telles que la "théorie du complot".14,15 Cela a fabriqué un "consensus" a ensuite été invoqué par les médias pour contrer toute personne présentant des théories et des preuves contraires.
Ceci, malgré le fait qu'en 2015, il avait averti qu'une pandémie mondiale pourrait survenir à la suite d'un incident de laboratoire - et que "les risques étaient plus grands avec le type de recherche sur la manipulation de virus menée à Wuhan" 16 !
En 2021, deux enquêtes sur les origines de la pandémie de COVID ont été ouvertes, l'une par l'Organisation mondiale de la santé17 et l'autre par The Lancet,18 et Daszak a réussi à se retrouver dans ces deux comités, bien qu'il ait ouvertement et à plusieurs reprises écarté la possibilité de la pandémie étant le résultat d'une fuite de laboratoire.19
Note de l'éditeur : la référence à l'OMS a été supprimée à la fois du site Web de l'agence et des archives Internet, mais plusieurs reportages comme celui-ci de NPR20, publié après le lancement de l'enquête, sont toujours en ligne et accessibles.
RépondreSupprimerFait intéressant, l'un des conseillers politiques d'EcoHealth Alliance est un ancien commandant de Fort Detrick nommé David Franz. Fort Detrick est la principale installation de « biodéfense » gérée par le gouvernement américain, bien que Franz lui-même ait publiquement admis qu'« en biologie… tout est à double usage — les personnes, les installations et l'équipement. »21
Metabiota et le DTRA
Fin mai 2016, Metabiota a embauché Andrew C. Weber,22 membre du Council on Foreign Relations, pour diriger ses partenariats mondiaux.23 Entre 2009 et 2014, Weber a été secrétaire adjoint à la défense pour la défense nucléaire, chimique et biologique sous alors président Obama.
Weber est crédité d'avoir créé la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) - une agence de soutien au combat au sein du DoD américain, spécialisée dans la lutte contre les armes de destruction massive, y compris les armes biologiques24,25 - et comme mentionné précédemment, la DTRA aurait financé Metabiota pour fonctionner Laboratoires de recherche biologique financés par les États-Unis en Ukraine.
La DTRA a également accordé un certain nombre de subventions à l'EcoHealth Alliance, totalisant au moins 37,5 millions de dollars26,27, dont une subvention de 6,5 millions de dollars en 2017 pour « comprendre le risque d'émergence de maladies zoonotiques transmises par les chauves-souris en Asie occidentale ».28
Selon un rapport de décembre 2020 de The Defender29, EcoHealth Alliance avait tenté de dissimuler la plupart des financements du Pentagone qu'elle avait reçus entre 2013 et 2020, dont la plupart provenaient du DTRA.
La réponse ratée d'Ebola de Metabiota
En 2016, CBS News a publié une critique cinglante de la réponse de Metabiota à l'épidémie d'Ebola de 2014 en Afrique de l'Ouest.30 Metabiota avait été engagé par l'OMS et le gouvernement local de la Sierra Leone pour surveiller la propagation de l'épidémie, mais selon une enquête menée par Selon l'Associated Press, "certaines des actions de l'entreprise ont aggravé une situation déjà chaotique".
Dans un e-mail du 17 juillet 2014 obtenu par AP, le Dr Eric Bertherat, médecin au Département d'alerte et d'action en cas d'épidémie et de pandémie de l'OMS, s'est plaint d'erreurs de diagnostic et de "confusion totale" dans le petit laboratoire Metabiota partagé avec l'Université de Tulane à Kenema. , Sierra Leone.
Selon Bertherat, il n'y avait "aucun suivi des échantillons" et "absolument aucun contrôle sur ce qui se faisait". "C'est une situation que l'OMS ne peut plus cautionner", a-t-il écrit. De même, Sylvia Blyden, assistante exécutive spéciale du président de la Sierra Leone, a déclaré que la réponse d'AP Metabiota était un désastre :31
« ‘Ils ont foiré toute la région’, a-t-elle dit. Elle a qualifié la tentative de Metabiota de revendiquer le mérite de son travail sur Ebola "d'insulte pour la mémoire de milliers d'Africains qui sont morts".
RépondreSupprimerLe responsable américain de la santé Austin Demby, qui a évalué les travaux de laboratoire de Metabiota et de Tulane à la demande des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis et du gouvernement de la Sierra Leone, a également été critique.
Dans un e-mail, Demby a noté que les aiguilles usagées avaient été laissées de côté et qu'il n'y avait pas de lumière ultraviolette pour la décontamination. L'espace était également trop petit pour traiter en toute sécurité des échantillons de sang. "Le potentiel de contamination croisée est énorme et franchement inacceptable", a-t-il écrit.
Anja Wolz, coordinatrice des urgences chez Médecins sans frontières, a déclaré à AP qu'elle avait vu des travailleurs de Metabiota entrer dans les maisons de patients suspects d'Ebola sans équipement de protection et quitter les zones à haut risque sans effectuer aucune sorte de procédure de décontamination. Elle a également accusé Metabiota d'avoir mal calculé la gravité de l'épidémie, tout en insistant sur le fait qu'ils avaient la situation sous contrôle alors que ce n'était clairement pas le cas.
Le professeur de microbiologie de Tulane, Bob Garry, a également critiqué le choix de Metabiota de confier l'opération au Dr Jean-Paul Gonzalez, car Gonzalez, en 1994, avait accidentellement été infecté par une fièvre hémorragique rare alors qu'il travaillait dans un laboratoire de l'Université de Yale.
Il n'a informé personne de l'exposition pendant plus d'une semaine, un retard qui a mis plus de 100 autres personnes en danger. Gonzalez a reçu l'ordre de suivre un cours de rattrapage sur la sécurité, mais selon Garry, une telle négligence était un drapeau rouge, et il ne pensait pas que Gonzalez était la bonne personne pour enseigner Ebola aux Sierra-Léonais.
"Voulez-vous vraiment que la personne qui s'est infectée par la fièvre hémorragique explique aux gens comment être en sécurité?" Garry a demandé dans un e-mail à un représentant des médias de Metabiota. Wolfe a défendu son entreprise, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve qu'ils avaient fait quelque chose de mal. Certains des problèmes qu'il a imputés à des malentendus et d'autres à la rivalité commerciale.
L'accident de laboratoire est la cause la plus probable, mais la moins sondée du COVID
Dans un rapport du 28 mars 202232, U.S. Right to Know (USRTK) a révélé le contenu d'une note de service du département d'État de 202033 obtenue par le groupe. USRTK écrit : 34
"" Origine de l'épidémie: les laboratoires de Wuhan sont restés les plus probables mais les moins sondés ", lit-on dans la première ligne. Le mémo est rédigé sous la forme d'un BLUF - "bottom line up front" - un style de communication utilisé dans l'armée. L'identité de l'auteur ou des auteurs est inconnue...
"BLUF: Il n'y a aucune preuve directe et irréfutable pour prouver qu'une fuite des laboratoires de Wuhan a causé la pandémie, mais il existe des preuves circonstancielles suggérant que tel est le cas", indique le mémo. Apparemment rédigé au printemps 2020, le mémo détaille les preuves circonstancielles de la théorie de la «fuite de laboratoire» – l'idée que le COVID-19 est né dans l'un des laboratoires de Wuhan, en Chine, l'épicentre de la pandémie.
RépondreSupprimerLa note de service soulève des inquiétudes quant à la «quantité massive» de recherches sur les nouveaux coronavirus apparemment menées à l'Institut de virologie de Wuhan et au laboratoire voisin du Centre de contrôle des maladies de Wuhan… La note de service signale également des lacunes en matière de biosécurité dans les deux laboratoires, appelant l'Institut de virologie de Wuhan ' gestion des virus mortels et des animaux de laboratoire porteurs de virus… terriblement pauvres et négligents.
La note de service offre une fenêtre extraordinaire sur les préoccupations en coulisses concernant un accident de laboratoire parmi les dirigeants de la politique étrangère américaine, même si cette ligne d'enquête a été considérée comme une théorie du complot par des virologues internationaux, dont certains avaient des conflits d'intérêts non divulgués.
La note remet également en cause l'impartialité de ces virologues. Shi Zhengli, une chercheuse sur les coronavirus de l’Institut de virologie de Wuhan surnommée la « femme chauve-souris », a forgé des collaborations internationales de grande envergure, notamment avec de prestigieux virologues occidentaux, note le mémo.
« On soupçonne que Shi occupe une position importante et puissante dans le domaine en Chine et entretient une coopération étendue avec de nombreux virologues [internationaux] qui pourraient lui rendre service », lit-on…
Le mémo déplore que "l'endroit le plus logique pour enquêter sur l'origine du virus ait été complètement isolé de l'enquête du [Parti communiste chinois]"… Le mémo suggère même que d'autres hypothèses auraient pu servir de distraction à une enquête sur l'étendue de la ville. recherche sur les nouveaux coronavirus. « Toutes les autres théories sont susceptibles d’être un leurre pour empêcher une enquête [into] le WCDC et le WIV », déclare-t-il…
Le mémo cite un article de 201535 co-écrit par Shi intitulé « Un groupe de coronavirus circulants de chauve-souris de type SRAS montre un potentiel d'émergence humaine » qui décrit la création d'une « chimère », ou virus modifié, avec la protéine de pointe d'un coronavirus d'une chauve-souris chinoise en fer à cheval .
Les rédacteurs en chef de Nature Medicine ont ajouté une note en mars 2020 avertissant que l'article était "utilisé comme base pour des théories non vérifiées selon lesquelles le nouveau coronavirus à l'origine du COVID-19 a été conçu"... Mais la note de service montre que le Département d'État a effectivement considéré l'article comme pertinent pour les origines de la pandémie.
Séquence de gène rétractée du NIH à la demande du chercheur du WIV
Bien que nous n'ayons pas encore obtenu de preuves à l'épreuve des balles que le SRAS-CoV-2 a été développé comme une arme biologique, il existe de nombreuses preuves circonstancielles qui pointent dans cette direction. De manière troublante, au fil du temps, de plus en plus de ces preuves circonstancielles semblent mettre en évidence l'implication des États-Unis. Si un doigt proverbial pointe vers la Chine, quatre autres nous pointent du doigt.
C'est une très mauvaise nouvelle, mais cela devrait vraiment renforcer notre détermination à aller au fond des choses. Aucun de nous n'est en sécurité tant que les savants fous responsables de cette pandémie ne seront pas traduits en justice. Peu importe qui ils sont. Selon toute vraisemblance, nous constaterons que le blâme ne peut pas être attribué à une seule nation. Au strict minimum, les États-Unis et la Chine semblent se couvrir l'un l'autre.
RépondreSupprimerÀ titre d'exemple, il y a les suppressions d'informations qui se sont produites à la fois aux National Institutes of Health et au WIV, soit à la demande de l'autre, soit comme ce qui semble être une faveur.
Comme l'a rapporté Just the News36, le NIH a supprimé une soumission de séquençage génétique du SRAS-CoV-2 de son Sequence Read Archive (SRA) à la demande d'un chercheur du WIV. Des e-mails37 obtenus via une demande FOIA au NIH par Empower Oversight montrent qu'un chercheur du WIV qui avait soumis deux séquences génétiques à la SRA, une en mars 2020 et une seconde en juin 2020, a demandé que la dernière soit rétractée.
Le NIH a initialement déclaré qu'il serait préférable de modifier ou de remplacer la soumission plutôt que de la retirer, mais le chercheur a insisté pour qu'elle soit supprimée, ce qu'ils ont fait. Pour être juste, le NIH déclare également qu'il a retiré au moins huit soumissions SRA au total, la plupart provenant de chercheurs américains, à leur demande. Cependant, les e-mails montrent également aux journalistes dirigés par le NIH comment fournir une couverture plus favorable et moins sensationnelle de la suppression de la séquence chinoise. Just the News écrit : 38
"[Empower Oversight] dit que l'un des éléments les plus déconcertants des e-mails est la preuve montrant que le NIH a refusé de participer à un processus transparent pour examiner les données sur les séquences supprimées.
« Plus important encore, pourquoi le NIH a-t-il refusé d'examiner des copies d'archives de séquences supprimées dans un processus scientifique ouvert pour déterminer si l'une de ces informations pourrait être en mesure de faire la lumière sur les origines de la pandémie de COVID-19 ? », a demandé le groupe.
Cependant, cet argument a été rejeté par le responsable du NIH, Steve Sherry. Bien que les séquences ne soient jamais entièrement supprimées, selon l'agence, Sherry a déclaré à un chercheur qui a demandé la transparence : "Comme vous le savez, lorsque des ensembles de données sont retirés de la base de données, ce statut ne permet pas de les utiliser pour d'autres analyses".
WIV a supprimé les mentions de collaborateurs américains
Le WIV a également supprimé des informations dans ce qui semble être un effort pour protéger le NIH. Peu de temps après que Fauci a témoigné lors d'une audience au Sénat en mars 2021,39 le WIV a discrètement supprimé toutes les mentions de sa collaboration avec le NIAID de Fauci, le NIH et d'autres partenaires de recherche américains de son site Web. Tel que rapporté le 15 mai 2021 par The National Pulse :40
"Le 21 mars 2021, le site Web du laboratoire répertoriait six partenaires de recherche basés aux États-Unis : l'Université de l'Alabama, l'Université du Nord du Texas, l'EcoHealth Alliance, l'Université de Harvard, les National Institutes of Health (NIH), les États-Unis et la National Wildlife Federation. .41
Un jour plus tard, la page a été révisée pour ne contenir que deux partenaires de recherche - EcoHealth Alliance et l'Université de l'Alabama.42 Le 23 mars, EcoHealth Alliance était le seul partenaire restant.43
RépondreSupprimerEcoHealth Alliance est dirigée par le partenaire de longue date du Parti communiste chinois, le Dr Peter Daszak, dont le rédacteur en chef de National Pulse, Raheem Kassam, a affirmé à plusieurs reprises qu'il serait le premier « tombeur » de la débâcle du laboratoire de Wuhan…
Au-delà de l'établissement d'une relation de travail entre le NIH et l'Institut de virologie de Wuhan, les messages désormais supprimés44 du site détaillent également des études portant la marque de la recherche sur le gain de fonction menée avec le laboratoire basé à Wuhan.
En effet, une page Web WIV maintenant supprimée intitulée "Will SARS Come Back?" a déclaré que :45
"Prof. Zhengli Shi et Xingyi Ge de WIV, en coopération avec des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord, de la Harvard Medical School, de l'Institut de microbiologie de Bellinzona… examinent le potentiel pathologique d'un virus de type SRAS, SHC014-CoV, qui circule actuellement chez la chauve-souris chinoise en fer à cheval populations.
"[Empower Oversight] dit que l'un des éléments les plus déconcertants des e-mails est la preuve montrant que le NIH a refusé de participer à un processus transparent pour examiner les données sur les séquences supprimées.
« Plus important encore, pourquoi le NIH a-t-il refusé d'examiner des copies d'archives de séquences supprimées dans un processus scientifique ouvert pour déterminer si l'une de ces informations pourrait être en mesure de faire la lumière sur les origines de la pandémie de COVID-19 ? », a demandé le groupe.
Cependant, cet argument a été rejeté par le responsable du NIH, Steve Sherry. Bien que les séquences ne soient jamais entièrement supprimées, selon l'agence, Sherry a déclaré à un chercheur qui a demandé la transparence : "Comme vous le savez, lorsque des ensembles de données sont retirés de la base de données, ce statut ne permet pas de les utiliser pour d'autres analyses".
WIV a supprimé les mentions de collaborateurs américains
Le WIV a également supprimé des informations dans ce qui semble être un effort pour protéger le NIH. Peu de temps après que Fauci a témoigné lors d'une audience au Sénat en mars 2021,39 le WIV a discrètement supprimé toutes les mentions de sa collaboration avec le NIAID de Fauci, le NIH et d'autres partenaires de recherche américains de son site Web. Tel que rapporté le 15 mai 2021 par The National Pulse :40
"Le 21 mars 2021, le site Web du laboratoire répertoriait six partenaires de recherche basés aux États-Unis : l'Université de l'Alabama, l'Université du Nord du Texas, l'EcoHealth Alliance, l'Université de Harvard, les National Institutes of Health (NIH), les États-Unis et la National Wildlife Federation. .41
RépondreSupprimerUn jour plus tard, la page a été révisée pour ne contenir que deux partenaires de recherche - EcoHealth Alliance et l'Université de l'Alabama.42 Le 23 mars, EcoHealth Alliance était le seul partenaire restant.43
EcoHealth Alliance est dirigée par le partenaire de longue date du Parti communiste chinois, le Dr Peter Daszak, dont le rédacteur en chef de National Pulse, Raheem Kassam, a affirmé à plusieurs reprises qu'il serait le premier « tombeur » de la débâcle du laboratoire de Wuhan…
Au-delà de l'établissement d'une relation de travail entre le NIH et l'Institut de virologie de Wuhan, les messages désormais supprimés44 du site détaillent également des études portant la marque de la recherche sur le gain de fonction menée avec le laboratoire basé à Wuhan.
En effet, une page Web WIV maintenant supprimée intitulée "Will SARS Come Back?" a déclaré que :45
"Prof. Zhengli Shi et Xingyi Ge de WIV, en coopération avec des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord, de la Harvard Medical School, de l'Institut de microbiologie de Bellinzona… examinent le potentiel pathologique d'un virus de type SRAS, SHC014-CoV, qui circule actuellement chez la chauve-souris chinoise en fer à cheval populations.
À l'aide du système de génétique inverse SARS-CoV, les scientifiques ont généré et caractérisé un virus chimérique exprimant le pic du coronavirus de chauve-souris SHC014 dans un squelette SARS-CoV adapté à la souris.
Les résultats indiquent que les virus du groupe 2b codant pour la pointe SHC014 dans un squelette de type sauvage peuvent utiliser efficacement plusieurs orthologues de l'enzyme de conversion de l'angiotensine humaine II (ACE2) du récepteur du SRAS, se répliquer efficacement dans les cellules primaires des voies respiratoires humaines et atteindre des titres in vitro équivalents à l'épidémie souches de SRAS-CoV.
L'évaluation des modalités immunothérapeutiques et prophylactiques disponibles basées sur le SRAS a révélé une faible efficacité ; les approches d'anticorps monoclonal et de vaccin n'ont pas réussi à neutraliser et à protéger contre l'infection par les CoV en utilisant la nouvelle protéine de pointe.
Sur la base de ces découvertes, ils ont redérivé synthétiquement un virus recombinant infectieux SHC014 de pleine longueur et ont démontré une réplication virale robuste à la fois in vitro et in vivo… »
Les suppressions par le WIV de partenaires de recherche américains de son site Web (à l'exception d'EcoHealth Alliance) et sa suppression de l'article traitant de la recherche génétique sur le virus du SRAS n'ont fait que renforcer les soupçons d'une dissimulation. À l'époque, la chose la plus surprenante à ce sujet était qu'ils dissimulaient l'implication américaine et pas seulement la leur.
RépondreSupprimerSommes-nous les méchants ?
Hélas, comme l'a noté Maajid Nawaz46, un ancien révolutionnaire islamiste devenu militant anti-extrémisme, s'il s'avère que les États-Unis se sont effectivement engagés dans le développement illégal d'armes biologiques en Ukraine, il se pourrait bien que nous soyons les mauvais les gars ici. Il écrit, en partie :47
« Le 24 février 2022, le jour même de l'invasion russe, certains d'entre nous s'inquiétaient déjà de la perspective d'existence de laboratoires d'armes biologiques en Ukraine...
L'existence de laboratoires d'armes biologiques à la frontière entre l'Ukraine et la Russie a depuis été confirmée par la Russie et les États-Unis (je dis les deux parce que le gouvernement ukrainien sert essentiellement de mandataire américain). La seule question restante concerne ce que nous faisions dans ces laboratoires.
Il ne fait plus aucun doute que nous avons financé la recherche sur les armes biologiques dans le laboratoire de Wuhan en Chine, d'où l'on pense maintenant que le COVID a très probablement fui. Alors, faisions-nous la même chose en Ukraine aussi ? La Russie a certainement fait l'allégation...
Le représentant officiel du ministère russe de la Défense, le général de division Igor Konashenkov, a déclaré48 « Au cours d'une opération militaire spéciale, les faits d'un nettoyage d'urgence par le régime de Kiev des traces d'un programme biologique militaire mis en œuvre en Ukraine, financé par le Département américain de la Défense, ont été découverts.
Avec cela, il a publié ce document drop49 alléguant… que ces papiers étayaient leur cas. Si les allégations de la Russie se confirment, les États-Unis et son régime ukrainien par procuration violeraient le premier article de la Convention des Nations Unies sur l'interdiction des armes bactériologiques (biologiques) et à toxines.50
L'annonce de la Russie semble avoir forcé la main de l'Amérique à admettre que de tels laboratoires biologiques existent bel et bien. La sous-secrétaire d'État américaine Victoria Nuland a encadré cet aveu en déclarant que ces laboratoires étaient réservés à la recherche défensive.
La sous-secrétaire Nuland a cependant continué à faire valoir que de tels laboratoires seraient dangereux s'ils tombaient aux mains des Russes, sans apparemment remarquer la contradiction inhérente à sa position selon laquelle de tels laboratoires ne sont dangereux que parce qu'ils peuvent être militarisés...
Faire correspondre les frappes de précision russes à une carte des emplacements des laboratoires biologiques en Ukraine suggère certainement que «l'opération militaire spéciale» de Poutine semble viser certains de ces laboratoires dangereux.
En effet, Nawaz met en lumière une pétition ukrainienne de 202151,52 adressée au président Zelensky, demandant a) la fermeture immédiate des « bio-laboratoires américains sur le territoire de l'Ukraine », b) une enquête sur les activités de ces laboratoires, et c) une enquête sur une éventuelle participation ukrainienne à la création du SRAS-CoV-2.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, au moins certains Ukrainiens, d'ici 2021, se demandaient si les laboratoires américains de leur pays auraient pu être impliqués dans la création de cette pandémie.
Dénonciations Ring Hollow
Sans surprise, le département d'État américain a adopté une ligne dure, dénonçant toutes les allégations en déclarant que « les États-Unis n'ont pas de laboratoires d'armes chimiques et biologiques en Ukraine ».53 Dans une autre déclaration,54 le département d'État « a précisé » que les laboratoires étaient pour la « biodéfense », et non pour les armes biologiques, nettoyant ainsi sémantiquement leurs activités criminelles.
Le problème avec cela est qu'il n'y a pas de ligne dure entre la biodéfense et la recherche sur les armes biologiques. Comme l'a admis le conseiller politique d'EcoHealth Alliance et ancien commandant de Fort Detrick, David Franz, tout est «à double usage - les personnes, les installations et l'équipement».55 La biodéfense implique la guerre biologique, car elle implique la création d'agents pathogènes plus dangereux dans le but présumé de trouver des traitements contre eux.
L'expert en armes biologiques Francis Boyle, qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, a également souligné que la plupart des laboratoires BSL-4 sont à double usage : "Ils développent d'abord l'agent de guerre biologique offensif, puis ils développent le prétendu vaccin."56 Et puis, il y a l'accord de prolifération des armes57 entre les États-Unis et l'Ukraine, signé fin août 2005.
Incidemment, l'ancien président Barrack Obama a été le fer de lance du projet de construction de ces laboratoires ukrainiens en 2005, alors qu'il était encore sénateur et, curieusement, l'annonce en ligne de son implication dans ce projet a également été supprimée du Web.58
Selon cet accord, le département américain de la Défense aidera gratuitement le ministère ukrainien de la Santé à empêcher "la prolifération de technologies, d'agents pathogènes et d'expertise" trouvés dans un certain nombre de laboratoires ukrainiens, qui "pourraient être utilisés dans le développement". d'armes biologiques.
La question brûlante de l'intention
Ainsi, l'accord lui-même précise qu'ils travaillent sur des agents pathogènes qui POURRAIENT être utilisés comme armes biologiques, et les préoccupations exprimées par Nuland le confirment. La seule question qui reste alors est celle de l'intention. Quelle est l'utilisation prévue de ces agents pathogènes? La défense? Ou offense ? Et y a-t-il vraiment une différence ?
Comme l'a noté Nawaz, les États-Unis s'accrochent à la défense de la "biodéfense" et de la prolifération des armes biologiques "équivaut à nier que la découverte d'Einstein de diviser l'atome pour générer de l'énergie n'est pas aussi quelque chose qui pourrait être utilisé pour fabriquer des armes nucléaires. Après l'épidémie de COVID, l'idée que les laboratoires biologiques peuvent être transformés en armes devrait simplement être présumée comme une règle.
Veiller à ce qu'une "prochaine pandémie" ne se produise pas en éliminant ces laboratoires biologiques, était-ce ce que Poutine avait à l'esprit avec son expression "opération militaire spéciale" ? ~ Maajid Nawaz
RépondreSupprimerConsidérez également le réseau de joueurs examiné précédemment. La collaboration ukraino-américaine pour étudier les agents pathogènes capables de militarisation est dirigée par le DTRA, qui finance Metabiota, qui est dirigé par un dirigeant du WEF ayant des liens personnels étroits avec la seule personne – Daszak – soupçonnée d'être un acteur clé dans la création du SRAS -CoV-2, un intermédiaire entre le NIH et le WIV, et une force centrale dans la dissimulation de la théorie des fuites de laboratoire.
Fait intéressant, Metabiota est également soutenu financièrement par la société d'investissement de Hunter Biden, et n'oublions pas que le jeune Biden a également perçu un salaire à six chiffres d'une société gazière ukrainienne pour n'avoir littéralement rien fait d'autre que fournir son "nom puissant".59
Circonstance ou non, ça n'a pas l'air bien. Et, à présent, il devrait être parfaitement clair que tout laboratoire effectuant un travail défensif est également capable de produire des armes offensives. Débattre de ce point est tout simplement idiot, car tout se résume à la sémantique.
Selon la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva, Metabiota est un acteur clé des laboratoires ukrainiens. David Horowitz, un écrivain politique, a noté que Metabiota est "une entreprise qui suit la trajectoire des épidémies et vend une assurance pandémique, mais semble également avoir sa main dans les laboratoires réels qui... pourraient être à l'origine de certaines de ces épidémies". 60
En d'autres termes, se pourrait-il que Metabiota produise des agents biologiques sous couverture diplomatique, puis vende une assurance pandémie et des traqueurs de pandémie pour « aider les pays à prendre de l'avance sur ce qu'ils produisent » ?61
Nawaz demande, "s'assurait qu'une "prochaine pandémie" ne se produise pas en supprimant ces laboratoires biologiques, ce que Poutine avait à l'esprit par son expression "opération militaire spéciale" ?"62 À ce stade, cela semble une question valable.
Sources and References
RépondreSupprimer1 Metabiota.com
2 USRTK March 16, 2022
3, 5, 9 The Daily Expose March 20, 2022
4 Disinformation Chronicle Substack March 22, 2022
6, 60 Medicalexperiments.news March 31, 2022
7 Rosemont Seneca Investments
8 Rosemont Seneca Team
10 New York Times July 31, 2019
11 New York Times October 12, 2019
12, 16 Daily Mail January 9, 2021
13 Independent Science News March 24, 2021
14 USRTK November 18, 2020
15 GM Watch November 19, 2020
17 WHO.int Origins of the SARS-CoV-2 Virus
18 The Lancet October 10, 2020; 396(10257): 1102-1124
19 GM Watch September 23, 2020
20 NPR. WHO Launches a New Group to Study the Origins of the Coronavirus. October 13, 2021
21, 29, 55 The Defender December 18, 2020
22 D60.darpa.mil Andrew Weber bio
23 Twitter Alexis Baden-Mayer March 28, 2022
24 DTRA.mil
25 History of DTRA 1998-2008
26 Daily Caller June 7, 2021
27 USA Spending Project Grant to EcoHealth August 2019
28 USA Spending Project Grant to EcoHealth October 2017
30, 31 CBS News March 7, 2016
32, 34 USRTK March 28, 2022
33 State Department Memo
35 Nature Medicine 2015; 21: 1508-1513
36, 38 Just the News March 29, 2022
37 FOIA emails from the NIH
39 MSNBC March 19, 2021
40 National Pulse May 15, 2021
41 Web Archive WIV research partners March 21, 2021
42 Web Archive WIV research partners March 22, 2021
43 Web Archive WIV research partners March 23, 2021
44, 45 Web Archive WIV Will SARS Come Back? December 4, 2015
46, 47, 53, 59, 61, 62 Maajid Nawaz Substack March 14, 2022
48 CDN Substack
49 Exposing the Darkness Substack March 6, 2022
50 UN Convention on the Prohibition of Bacteriological (Biological) and Toxin Weapons
51 National File March 11, 2022
52 Petition on Ukraine’s government website
54 WSWS.org March 11, 2022
56 Mercola interview with Francis Boyle published March 8, 2020
57 Agreement Between the United States and Ukraine August 29, 2005
58 Web Archive Bioprepwatch.com June 18, 2010
https://www.lewrockwell.com/2022/04/joseph-mercola/evidence-of-pandemic-and-bioweapon-cover-ups/
Les conséquences sociétales catastrophiques de la politique anti-covid du gouvernement Macron
RépondreSupprimerPar Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca, 08 avril 2022
L’effondrement du PIB (-10%), la forte dégradation de la balance des comptes (-53,2 milliards d’€), l’explosion de la dette publique (+420 milliards d’€), l’aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales, la division de la nation et le recul de la démocratie ne sont pas les conséquences du Covid mais essentiellement des mesures autoritaires scientifiquement infondées qui ont été imposées, des lois d’exception qui les ont autorisées du refus de tout débat démocratique, de la censure, de la persécution des opposants et du « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’euros.
La santé économique et politique du pays nécessite de rétablir liberté et confiance. Pour la rétablir il est indispensable de supprimer toutes les obligations prétendument sanitaires, de stopper la propagande mensongère provax permanente, les censures, les diffamations contre les opposants et d’ouvrir enfin un débat démocratique équilibré.
Dans un article précédent,[1] nous avons dressé le bilan sanitaire sinistre de la politique anti-covid du gouvernement : plus de 100 000 morts qu’on aurait pu éviter si les ukases du gouvernement Macron avaient respecté les données acquises de la science et l’éthique médicale.
Dans ce second article, nous en évaluerons les conséquences sociétales de ce qu’il faut bien appeler une dictature sanitaire du fait de la propagande permanente des médias, l’obscurité des décisions en partie guidées par le cabinet Kinsey, les mensonges d’état, une censure féroce, les diffamations et les persécutions professionnelles et policières des opposants, le non-respect des droits démocratiques fondamentaux…[2]
Effondrement du PIB (près de -10 %)
En Europe, la baisse du PIB 2020 est directement corrélée à l’intensité et à la durée des mesures restrictives des libertés. L’Espagne (-11 %) et l’Italie (-8,9 %), particulièrement touchées par les confinements lors de la première vague sont les deux États membres qui enregistrent le plus fort taux de récession. Viennent ensuite la Croatie 8,4 %), la Grèce (-8,2 %), le Portugal (-7,6 %) et la France (-8,1 %) ou la chute de la consommation des ménages a atteint 7,1 % et l’investissement a reculé de 9,8 %. Cette baisse du PIB français 2020[3] est à comparer à son augmentation moyenne des dernières années (+2 %), ce qui permet de chiffrer l’impact réel du confinement sur le PIB à -10 %. Nous avons été parmi les plus victimes de contraintes (indice 60 %) et logiquement nous nous retrouvons avec l’une des plus fortes baisses de PIB.
- voir graph sur site -
Cette chute du PIB français constitue le record absolu depuis la dernière guerre.
L’Autriche est dans la moyenne de la récession de la zone euro, avec -6,6 % du PIB réel par rapport à 2019. Quant à l’Allemagne, elle accuse un recul de 4,9 % de son PIB par rapport à 2019.
La Finlande (-2,8 %) et la Suède (-2,8 %) qui n’ont pas confiné s’en sortent beaucoup mieux.
Forte dégradation de la balance des comptes
RépondreSupprimerLes mesures pseudo sanitaires ont entraîné une chute des exportations de 16,7 % aggravant le déficit des comptes courants qui a atteint 53,2 milliards € (-2,3 % du PIB) en 2020, alors qu’il était proche de l’équilibre en 2019 (-16,2 milliards €, soit -0,7 % du PIB).[4]
Un « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’€
Prise en charge du chômage partiel (plus de 34 milliards €), fonds de solidarité créé pour aider les petites entreprises et les indépendants (19,4 milliards €), exonération de cotisations sociales des entreprises (8,2 milliards €). Les primes (2 milliards €) : au total environ 60 milliards €.
Forte contraction de l’activité économique réduisant les recettes fiscales et sociales (100 milliards €).
La garantie de l’État de prêts que les banques ont accordé à près de 600 000 entreprises (jusqu’à 300 milliards €), la réassurance publique sur les encours d’assurance-crédit à hauteur de 10 milliards € et celle des crédits-exports de court terme à hauteur de 2 milliards €, soit plus de 310 milliards € d’engagement, dont on ne peut prévoir combien seront effectivement perdus.
« La crise du Covid-19 va coûter 424 milliards € à l’État français sur trois ans » avait annoncé le 13/4/2021 Olivier Dussopt le ministre de l’Action et des comptes publics. Quatre mois plus tard[5], B. Lemaire chiffrait les sommes déjà dépensées à 240 milliards €.
Dans son rapport, rendu public le 9 septembre 2021, la Cour des comptes[6]a relevé la forte hausse des dépenses publiques qui représentent 61,8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2020 contre 55,4 % en 2019. Cette « augmentation massive » a contribué à une hausse des déficits publics, de l’État, de l’assurance-maladie et de l’Unedic.
Explosion de la dette publique
En 2019, avant la crise sanitaire, la dette publique de la France s’affichait à 2378 milliards € (97,6 % du PIB) et le déficit à 3,1 %. L’endettement a crû de 232,4 milliards € en 2020 et devrait croître de 185,8 milliards € supplémentaires en 2021. En 2021, la dette publique atteint 2798 milliards € (113 % du PIB) et le déficit 6,5 %.
- voir graph sur site -
En deux ans l’impact des mesures sanitaires sur l’accroissement de la dette atteint ainsi 400 milliards € !
Grâce au très faible taux d’intérêt accepté actuellement par les prêteurs la charge de la dette est momentanément contenue, mais elle fait peser une menace considérable sur notre avenir et notre indépendance lorsque les taux remonteront.
Aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales
Les mesures anti-Covid 19 imposées sans fondements scientifiques par le gouvernement Macron (sur les conseils du cabinet McKinsey ?) ont déstabilisé des situations budgétaires déjà très serrées.
Quand les maigres ressources baissent alors que les dépenses augmentent (du fait de la fermeture des cantines scolaires ou de l’augmentation des dépenses d’électricité et de gaz), les privations deviennent quotidiennes.[7] La crise agit ici comme le puissant révélateur d’une insécurité alimentaire[8] déjà établie.
En 2020, 7 millions de personnes auraient eu recours à l’aide alimentaire, soit près de 10 % de la population française[9] contre 2,6 millions en 2006. Du jamais-vu depuis près de 70 ans.
RépondreSupprimerDavid Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a d’ailleurs appelé à cesser d’envisager le confinement comme moyen principal de lutte contre le covid-19[10][11] en pointant les conséquences néfastes de ces mesures :
« Le confinement a des conséquences que vous ne devez jamais minimiser, celle de rendre les gens pauvres, beaucoup plus pauvres. »,
ajoutant :
« les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. ».
L’appauvrissement des pauvres s’est accompagné d’un enrichissement record des ultrariches (27,5 %) aggravant d’autant les inégalités. La banque suisse UBS et le cabinet de conseil PwC dans leur rapport 2020 sur les milliardaires[12], estiment à 10 200 milliards dollars la fortune des 2000 plus riches du monde.
Selon le rapport 2022 d’Oxfam[13] présenté par Quentin Parrinello :
« la fortune des milliardaires dans le monde a plus augmenté en 19 mois de pandémie qu’au cours de la dernière décennie. Depuis la pandémie, le monde compte un nouveau milliardaire toutes les 26 heures, alors que 160 millions de personnes sont tombées dans la pauvreté.
Avec les 236 milliards € supplémentaires engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on pourrait quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.
Les 5 premières fortunes de France ont doublé leur richesse depuis le début de la pandémie. Elles possèdent à elles seules autant que les 40 % les plus pauvres en France.
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« La hausse des grandes fortunes est un phénomène mondial, mais les fortunes françaises ont particulièrement progressé. Bernard Arnault est le deuxième homme qui s’est le plus enrichi au monde depuis le début de la crise, derrière Elon Musk ».
Une catastrophe éducative sans précédent
Les enfants n’ont rien gagné et énormément perdu des fermetures d’écoles. Les conséquences des fermetures de classes pendant 12 semaines, de l’enseignement à distance, des demi-jauges, du port obligatoire des masques n’ont fait l’objet d’aucune évaluation publiée dans des revues à comité de lecture. Et les multiples demandes de preuves de la CNIL concernant l’efficacité des passes sont toujours sans réponse du gouvernement.
Dès avril 2020, l’ONU avait lancé un cri d’angoisse prémonitoire contre les fermetures de classes :
« 188 pays ont imposé des fermetures d’écoles à l’échelle nationale, touchant plus de 1,5 milliard d’enfants et de jeunes. Il est difficile d’imaginer les conséquences potentielles de ces mesures sur l’éducation des jeunes d’aujourd’hui, et le développement de leur capital humain. »
RépondreSupprimerDans leur rapport du 6 décembre 2021, la Banque Mondiale[14], l’UNESCO et l’Unicef ont estimé que la déscolarisation des enfants risque déjà de leur faire perdre près de 17 000 milliards $ de revenus, soit environ 14 % du PIB mondial actuel.
En France, la fermeture de 12 semaines des classes et les autres mesures anticovidovid-19 ont été responsables d’une forte aggravation du décrochage scolaire[15] qui n’est plus limité aux enfants défavorisés, mais menace maintenant tous les jeunes.
Selon « le Média de l’école »[16] les enseignants interrogés définissent un élève désengagé comme un élève qui ne prend plus part aux activités proposées par l’enseignant ou un élève qui ne communique plus. Près de 20 % des élèves ne paraissent pas engagés dans la scolarité depuis le début du confinement. Ils seraient 30 % dans les collèges et lycées des Zones d’Éducation Prioritaire (ZEP). Par ailleurs, 40 % des élèves désengagés n’étaient pas identifiés par leurs enseignants comme des élèves à risque de décrochage, avant le confinement.
Les étudiants ont souffert tout autant des conditions inédites[17] et/ou de l’isolement et des conséquences financières du confinement : 31 % d’entre eux ont déclaré être en détresse psychologique et 10 % des étudiants confinés seuls déclarent avoir bu de l’alcool tous les jours.
43 % des étudiants suivis par M Wathelet[18] présentaient des troubles sévères de la santé mentale : détresse, stress, idées suicidaires, anxiété, dépression…
Entre la perte ou la diminution de l’activité salariée (pour 58 % des étudiants), l’annulation ou le report des stages (78 %) ou encore l’interruption des mobilités internationales et des programmes d’échanges (pour 72 % des étudiants), l’incertitude économique liée aux conséquences économiques des mesures sanitaires rendent les jeunes inquiets pour leur avenir.
25 % des étudiants ont modifié leurs projets d’orientation, et 21 % d’entre estiment que leurs chances d’insertion sont devenues mauvaises en France.
La psychologue M-E Dupont dénonce l’apprentissage à distance et sa grande inefficacité à terme[19]:
“L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.”
L’alternance de cours en direct et de cours à distance entraîne une concentration moindre et une perte d’apprentissage. Nombre d’élèves du primaire ne parviennent plus à rester concentrés ou présentent des phobies scolaires, les lycéens manquent de motivation et décrochent, les étudiants en situation de fragilité économique et affective baissent les bras et abandonnent plus ou moins leurs études.
RépondreSupprimerEn septembre 2021, le second baromètre de l’éducation des jeunes en France, un sondage réalisé par Opinion Way[20] pour les Apprentis d’Auteuil montrait que « près d’un jeune sur cinq se déclare en difficulté scolaire en France, soit près de 1,3 million de jeunes de 16 à 25 ans ». Phénomène en hausse du fait de l’impact des mesures sanitaires, d’un contexte familial dégradé et système éducatif inadapté.“ Loin d’être un épiphénomène, c’est un véritable fait social : 44 % des jeunes en France avouaient avoir rencontré des difficultés scolaires. Par ailleurs, en France, 12,9 % des jeunes de 15 à 29 ans sont sans emploi, ni formation ou simplement déscolarisés.
Une démocratie fragile mal défendue par ceux censés le faire
La crise covid a été marquée par un état d’urgence totalement injustifié permettant au gouvernement de légiférer par décrets violant les droits fondamentaux de l’homme, sans qu’aucun des organismes censés les protéger (médiateur de la république, conseil d’État, conseil constitutionnel) ne réagisse.
Les interdictions de circuler lors des confinements, les couvre-feux…
Aucune de ces mesures liberticides n’a jamais prouvé son efficacité médicale. Aucune de ces mesures liberticides n’a été efficace. Toutes constituent des atteintes majeures à nos libertés.
Avant le covid, l’astreinte à domicile (confinement) représentait une peine qui ne pouvait être prononcée que par un juge envers un criminel. Nous avons tous été considérés comme des criminels par le gouvernement Macron !
Auparavant les couvre-feux n’avaient été utilisés qu’en temps de guerre et les autorisations de sortie (ausweiss) inventées par les Allemands lors de l’occupation. Le gouvernement Macron l’a fait, car il avait déclaré la guerre au virus (ou au peuple qui l’hébergeait ?)
Rétablissement du délit d’opinion pour les médecins
La Révolution française avait supprimé le délit d’opinion et l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 déclare que :
“Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.”
La charte de l’ONU de décembre 1948 stipule :
“Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.”
Mais, pour empêcher tout débat démocratique sur l’efficacité de sa politique anticovid, le gouvernement macron a rétabli le délit d’opinion pour les médecins. Le 24 décembre 2020, Castex a publié un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions autres que la doxa officielle. Le nouvel article R. 4127-19-2 précise que le médecin qui communique avec le public doit suivre l’avis du conseil de l’ordre.
III. — Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre.
RépondreSupprimerC’est donc maintenant le conseil de l’ordre qui détermine la vérité médicale !
Il le fait sans mesure en poursuivant tout médecin qui a le courage d’exprimer une vérité qui n’est pas bonne à dire comme Didier Raoult, Christian Péronne et bien d’autres pour avoir simplement exprimé leur opinion.
Dans le même temps, il refuse de faire respecter la loi qui oblige les médecins de plateau à préciser leurs liens d’intérêts et ne s’offusque pas des mensonges marchands que professent souvent les médecins des médias.
Rétablissement de la censure
Les géants du net, Facebook, google, tweeter ont installé des censeurs féroces supprimant les comptes ou dissimulant les textes qui ne participent pas à l’hystérie Covid.
Les dispositions héritées de la loi de 1881 sur le droit de la presse ne suffisant pas au gouvernement Macron, une loi “anti fausse information” a été votée dès le 20 novembre 2018 (promulguée le 22 décembre 2018) ce qui n’a pas empêché le ministère d’être souvent le premier diffuseur de désinformations.[21]
Mais comme elle ne suffisait pas, Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres, choisis par l’Élysée ont la fâcheuse habitude d’user du terme “complotisme” comme d’un anathème contre quiconque pense mal.[22] Ils ont créé le ministère de la vérité cher à Orwell.
La France prend-elle pour modèle de liberté de la presse l’URSS ou la Chine ?
Apartheid et fragmentation de la communauté nationale par les pass
Ni le pass sanitaire ni le pas vaccinal n’ont permis de ralentir l’épidémie qui s’est propagée comme jamais auparavant lorsqu’ils étaient en vigueur. Cette inefficacité avérée a motivé leur abandon par tous les autres pays européens qui les ont institués.
- voir graph sur site -
Mais les mensonges des médias et du gouvernement Macron sur leur utilité espérée ont fait accepter par le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel les pass, mesures pourtant totalement contraires aux droits du citoyen et à notre devise “Liberté-Egalité-Fraternité” aboutissant à une instrumentalisation des institutions censées servir le peuple et non le pouvoir.
Seul le défenseur des droits a émis des réserves, appelant de ses vœux :
“l’organisation d’un débat démocratique public de fond et regretter vivement le choix d’une procédure accélérée compte tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte…
Le caractère discriminatoire de ces mesures ne peut être écarté. Elles n’apparaissent pas proportionnées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.”
RépondreSupprimerCes pass ont créé un véritable apartheid dans la population selon le statut vaccinal et désigné les vaccino prudents à la vindicte des vaccinés. La célèbre phrase présidentielle : “je veux emmerder les non-vaccinés” témoigne à la fois de son mépris des Français et de la démocratie.
Violation des principes de Nuremberg et de la convention d’Oviedo
Les médecins nazis ont été condamnés à la pendaison parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux sans accord libre éclairé des personnes traitées. Le code de Nuremberg a ensuite été transposé en droit international par la Convention d’Oviedo signée par la France.
Compte tenu du caractère expérimental des pseudo vaccins (leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023) les obligations vaccinales décrétées pour de nombreuses professions violent clairement la convention d’Oviedo que nous nous sommes pourtant engagés à respecter. Mais URSULA VAN DER LAYEN présidente de la Commission européenne a appelé à violer le code de Nuremberg en déclarant : “je pense qu’il est compréhensible et approprié de potentiellement penser à la vaccination obligatoire au sein de l’Union européenne”.
Diffamation, menaces et persécutions des opposants
L’exemple du professeur Raoult est éloquent. Parce qu’il a osé proposer un vieux traitement qui ne coûtait presque rien, il a été victime d’une campagne organisée de diffamation d’une violence inouïe, puis de menaces personnelles (y compris de menaces de mort), puis de plaintes infondées d’une société savante sponsorisée par Big Pharma et même d’une condamnation scandaleuse du conseil de l’ordre.
Suppression du droit au travail des opposants
Le docteur Pascal Sacré, Benoit Ochs et Denis Agret ont été chassés de leur poste ou interdits d’exercer, comme Philippe De Chazournes et bien d’autres alors qu’ils n’avaient commis aucun délit, ni été l’objet de plainte de patients.
Les soignants vaccino prudents ont été chassés de la profession sans droit aux indemnités chômage ou RSA, ce qui a augmenté le nombre de déserts médicaux et contraint près de 20 % des blocs opératoires à réduire le nombre d’interventions et de nombreux services d’urgence à fermer, le ministre pleurant ensuite qu’il n’était pas responsable de la pénurie de personnel !
L’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise. Les conséquences sont désastreuses pour la Nation. Mise en place d’un Comité scientifique et du Comité Analyse, Recherche et Expertise (CARE), dont certains membres ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et qui de ce fait, ne peuvent être objectifs quant aux décisions à prendre concernant la santé des citoyens.
Dr Gérard Delépine
Notes :
RépondreSupprimer[1] https://nouveau-monde.ca/le-bilan-de-la-politique-sanitaire-du-quinquennat-de-macron-est-desastreux/
[2] Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun contre-pouvoir n’ait pu remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures. Nous pouvons le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n° 2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, par laquelle le Conseil constitutionnel refuse de censurer ladite loi alors que : — le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote).
[3] https://www.lepoint.fr/economie/covid-19-le-pib-a-chute-de-8-3-en-2020-une-recession-historique-29-01-2021-2411756_28.php
[4] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/278462.pdf
[5] B Lemaire interview sur France Inter du 30 août 2021
https://www.challenges.fr/economie/la-facture-du-quoi-qu-il-en-coute-s-eleve-a-240-milliards_778588
[6] La Cour des comptes rapport, les dépenses publiques pendant la crise et le bilan opérationnel de leur utilisation rendu public le 9 septembre 2021
https://www.vie-publique.fr/rapport/281413-rapport-sur-depenses-publiques-pendant-la-crise-et-le-bilan-operationnel
[7] Secours Catholique, 2020,
www.secours-catholique.org/sites/scinternet/files/publications/rs20-bd.pdf.
[8] Une personne est en situation d’insécurité alimentaire lorsqu’elle n’a pas un accès régulier à suffisamment d’aliments sains et nutritifs pour une croissance et un développement normaux et une vie active et saine.
[9] SECOURS CATHOLIQUE – CARITAS FRANCE ÉTAT DE LA PAUVRETÉ EN FRANCE 2021
https://www.unafo.org/app/uploads/2021/11/rs21.pdf
[10] 8 octobre 2020 dans l’hebdomadaire britannique The Spectator
[11] https://thespectator.info/2020/10/12/who-reverses-course-says-lockdowns-are-too-damaging-and-shouldnt-be-primary-covid-response/
[12] Riding the storm
https://www.pwc.ch/en/insights/fs/billionaires-insights-2020.html
[13] Oxfam rapport 2022 les inégalités tuent
https://www.oxfamfrance.org/rapports/dans-le-monde-dapres-les-riches-font-secession/
[14] Banque mondiale Les pertes d’apprentissage dues à la COVID-19 pourraient coûter à cette génération d’étudiants près de 17 000 milliards de dollars de gains à vie
https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2021/12/06/learning-losses-from-covid-19-could-cost-this-generation-of-students-close-to-17-trillion-in-lifetime-earnings
[15] https://www.ouest-france.fr/education/rentree-scolaire/970-000-eleves-ont-decroche-lors-du-confinement-6947547
[16] https://mediadelecole.wordpress.com/2020/11/17/actu-le-confinement-a-multiplie-les-cas-de-decrochage-scolaire/
[17] https://www.studyrama.com/actualite/covid-19-l-impact-de-la-crise-sur-les-conditions-de-107200
[18] https://www.letudiant.fr/lifestyle/Sante-mutuelle-et-assurance/sante-mentale-la-crise-sanitaire-pese-encore-sur-les-etudiants.html
[19] Marie-Estelle Dupont : « Les Français sont fragilisés par cette pression, ce chantage, cette manipulation… » (lemediaen442.fr)
[20] https://www.lejournaltoulousain.fr/societe/decrochage-echec-scolaire-en-hausse-depuis-le-debut-de-la-crise-132438/
[21] Rappelez-vous les crédos des masques
[22] https://www.franceinter.fr/emissions/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-lundi-04-octobre-2021
https://www.mondialisation.ca/les-consequences-societales-catastrophiques-de-la-politique-anti-covid-du-gouvernement-macron/5667032
(...) “L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.” (...)
SupprimerPersonnellement je n'ai aucune connaissance de ce type de pb chez les adolescent(e)s, mais si je m'en réfère aux personnes adultes, l'Internet est un salut pour la poursuite et découverte de nouvelles études (à condition bien-sûr de savoir sélectionner les sites).
De plus, les élèves sortant d'écoles sont de plus en plus cons !
Tests – vaccins – pass : fabrique de la panique, braquage des comptes publics
RépondreSupprimerPar Pierre Lécot
Mondialisation.ca, 07 avril 2022
Cela fait 2 ans que la crise du coronavirus a démarré. Nous avons montré sur cette chaîne de différentes manières que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris.
La psychose depuis 2 ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”. Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès. Ce n’est qu’une fraction de l’ensemble des habitants, de l’ensemble des hospitalisations et de l’ensemble des décès. Nous avons d’ailleurs montré que l’ensemble des hausses de mortalité que nous observons depuis 2 ans ont lieu soit pendant les périodes de hausse de mortalité habituelles, soit après la mise en place de mesures qui ont eu pour impact d’arrêter de soigner correctement les français. Nous avons, grâce aux différents rapports de Santé Publique France ou de l’ATIH, de plus en plus de données officielles donnant le nombre de décès à imputer à ces mesures.
La Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES), les statisticiens du ministère de la Santé a d’ailleurs publié un nouveau tableau de données distinguant les patients arrivés à l’hôpital pour Covid, et ceux arrivés à l’hôpital pour complètement autre chose, mais déclarés Covid à la faveur d’un test positif ou d’une simple déclaration. Nous apprenons qu’un patient sur 3 déclaré en soin critique Covid ou décédé du Covid était en fait sur-déclaré.
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Toute la psychose tient donc du simple fait de fixer le regard sur un virus au lieu de s’occuper de la mortalité en général ou des hospitalisations en général. Cela permet de ne pas du tout remettre en question la qualité de vie des français, ou le système de santé en général, mais de tout focaliser sur un seul produit censé résoudre le problème : le vaccin.
Pour conserver le regard fixé sur le virus, plusieurs éléments sont essentiels :
Les tests RT-PCR qui permettent de continuer à déclarer “malade” toute personne qui a un test positif et donc maintiennent les statistiques
La campagne vaccinale qui permet au gouvernement de dire qu’il a une solution au problème du virus mortel
Le pass sanitaire, de façon à asséner à la population que les vaccins fonctionnent, puisqu’ils leur offre la sécurité en leur “permettant” d’accéder à des lieux publics
En bonus : les masques qui permettent de rappeler en permanence de façon visible à tous les français, le danger du virus. Ils permettent également de faire croire que les autres humains sont dangereux
Dans cet article (et sa vidéo), nous allons voir que si on imagine un pays au sein duquel on met en place le même schéma tests-vaccins-pass avec n’importe quelle excuse, on obtiendra exactement les mêmes résultats statistiques. Les biais statistiques introduits par le schéma tests-vaccins-pass permettent de faire croire que n’importe quel vaccin sera efficace contre n’importe quelle maladie. Pour bien montrer l’absurdité du schéma, nous allons prendre un exemple absurde dans lequel l’Etat ne voudrait pas lutter contre un virus, mais contre la malchance.
L’épidémie de malchance
RépondreSupprimerPour comprendre comment est complètement dévoyée l’utilisation des tests, imaginons que le gouvernement décide de lutter contre les malchanceux.
Les Français seraient obligés de prouver qu’ils ne sont pas malchanceux avant de pouvoir participer à des activités. En effet, d’après le gouvernement, les malchanceux sont responsables de toutes les catastrophes qui arrivent en France et mobilisent les personnels soignants qui doivent les sauver en permanence. Ainsi, avant de participer à une activité, chaque Français doit lancer un dé. S’il fait le chiffre 1, il est alors considéré malchanceux et doit s’isoler avant de contaminer les autres de sa malchance et de provoquer une catastrophe. Le gouvernement propose cependant de s’immuniser contre la malchance grâce à 4 porte-bonheurs différents. Il suffit d’accepter de prendre un porte-bonheur pour ne plus être obligé de se tester.
Le 12 juillet, le gouvernement met en place le pass-anti-malchance. Tout Français qui souhaite voyager ou participer à une activité doit avoir son porte-bonheur, ou bien prouver qu’il n’est pas malchanceux en lançant un dé. Chaque Français malchanceux oblige tous ses proches à faire un test également. Ils doivent tous lancer un dé. On observe alors une explosion du nombre de tests en France, de la part de tous les Français qui participent à des activités ou vont à l’hôpital. Parmi eux, environ 1 sur 6 est déclaré malchanceux. Une majorité de Français choisit alors de prendre un des 4 porte-bonheurs officiels. Les Français qui ont été déclarés malchanceux une première fois, refont un test au bout de 14 jours et sont alors majoritairement considérés « guéris » de la malchance. La vague redescend donc assez vite.
C’est exactement ce qu’il s’est passé en France à l’été 2021. La mise en place du pass sanitaire a déclenché une vague de tests sans précédents. Pour la première fois de l’histoire, de manière complètement artificielle, on a fait croire à une épidémie de rhume en plein été.
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Tous les Français ayant fait un test et obtenu un « 1 » en rentrant à l’hôpital sont codés par cet hôpital en tant que « malchanceux ». La « malchance » devient alors une « cause » de leur maladie. Cela fait donc une vague de malchanceux chez les personnes malades entrant à l’hôpital. Cela tombe assez bien, les remboursements des séjours hospitaliers des « malchanceux » sont plus élevés. Les hôpitaux ont tout intérêt à organiser ces tests. Ceux qui ont un porte-bonheur ne sont pas testés, ou alors une seule fois, alors que ceux qui n’ont pas de porte-bonheur sont testés tous les jours. On observe alors une grosse différence de chance entre ceux qui ont un porte-bonheur et ceux qui n’en ont pas. En effet, ceux qui ont un porte-bonheur ont une probabilité de 17 % (1/6) d’être déclarés malchanceux, alors que ceux qui n’ont pas de porte-bonheur ont 42 % de chance d’être déclarés « malchanceux » au bout de 3 tests. En effet, 42 % c’est la probabilité de faire un 1 en lançant trois fois le dé (1-5×5×56×6×6 ).
C’est ainsi qu’en plein été, en testant tout le monde, les hôpitaux ont déclaré un vague d’hospitalisations Covid. C’est du jamais vu, et est directement la conséquence du pass sanitaire et des tests.
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Le pass sanitaire permet également de moins tester les vaccinés, et d’introduire des biais dans les déclarations. Depuis cette date, la DREES et EPi-PHARE ont pu faire des études sans corriger ces biais, vantant l’efficacité vaccinale. Nous en avons analysé plusieurs sur la chaîne.
RépondreSupprimerIl arrive même que l’on change la règle entre ceux qui ont des porte-bonheurs et ceux qui n’en ont pas : on choisit que ceux qui n’ont pas de porte bonheur sont positifs lorsqu’ils obtiennent un « 1 » ou un « 2 » alors que ceux qui ont un porte-bonheur ne sont toujours positifs qu’avec un « 1 ». C’est ce qu’il se passe lorsque le nombre de cycles permettant de conclure à la positivité d’un test RT-PCR change selon le statut vaccinal. On trouve alors une « efficacité » des porte-bonheurs puisqu’il protègent d’avoir un test positif.
Le gouvernement propose également des protocoles pour accueillir différemment ceux qui n’ont pas de porte-bonheur, car ils sont considérés « à risque ». Le protocole veut qu’un patient avec porte-bonheur est renvoyé chez lui s’il n’est pas très malade, même s’il obtient un « 1 » sur son lancer de dé. A l’inverse un patient sans porte-bonheur est systématique gardé s’il obtient un « 1 », car chacun sait que la malchance va aggraver son état.
Cette situation est exactement ce que les Français ont vécu cet hiver pour la Covid-19. Elle est pleinement assumée par le Ministre de la Santé qui l’a annoncé fin décembre. Ce biais n’a pourtant été pris en compte par aucun organisme de statistiques.
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Le gouvernement décide de mener une grande campagne de communication pour blâmer ceux qui n’ont pas de porte-bonheur. Ils sont désignés comme étant responsables de l’engorgement des hôpitaux et de la maladie de ceux qui ont des porte-bonheur. En conséquence, certains médecins refusent de les recevoir et de les soigner. Beaucoup ont honte et restent seuls chez eux même lorsqu’ils tombent malades, contrairement à ceux qui ont des porte-bonheur qui eux, reçoivent toujours des soins. Résultats, ceux qui n’ont pas de porte-bonheur tombent gravement malades et finissent à l’hôpital. Ils sont alors en effet plus nombreux que ceux avec porte-bonheur à cause du non-soin.
C’est exactement ce que nous avons vécu cet hiver. Le gouvernement et la DREES ont tenté de faire croire à la saturation des hôpitaux par les non-vaccinés en publiant un communiqué de presse au titre volontairement trompeur “Neuf fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus”. Ce titre a été repris par toute la presse qui pensait y lire qu’en soins critiques, 9 patients sur 10 étaient non vaccinés. Il suffisait de lire plus en détail le communiqué pour savoir que les non-vaccinées représentaient 51 % des admissions en soins critiques et 44 % des admissions en hospitalisation conventionnelle, soit environ 1 sur 2. Au final, nous avions montré qu’en prenant en compte les 20 000 lits disponibles de soins critiques en France, les seulement 3000 déclarés Covid, mais certains sans tests positifs ou venus pour autre chose, et le statut vaccinal des patients, tout cela diffusé dans les bases de données officielles de la DREES, les non-vaccinés malades de la Covid-19 représentaient en fait 6% des patients en soins critiques. Juste en choisissant les bonnes statistiques et en focalisant sur la Covid, il a été possible de faire peur avec rien.
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Ainsi, avec toutes ces règles, parmi tous les malades venus à l’hôpital, beaucoup plus de personnes sans porte bonheur sont déclarées « malades de malchance » que de personnes avec porte-bonheur. Les autorités concluent à la grande protection des porte-bonheurs contre le fait d’être « malade de malchance ». Ceux qui refusent les porte-bonheurs sont déclarés irresponsables d’engorger les hôpitaux. Personne ne regarde s’il y a plus de personnes malades ou de décédés parmi ceux qui n’ont pas de porte-bonheur. On ne regarde que ceux déclarés « malchanceux » parmi les malades ou les décédés.
RépondreSupprimerToutes les règles que je viens de citer sont des règles mises en application actuellement en France et dans tous les pays qui suivent les directives des cabinets de conseils. Toutes les données françaises enregistrées par le Ministère de la Santé sur les patients Covid-19 sont donc biaisées par le protocole mis en place. A l’heure actuelle, il n’existe aucune étude qui s’affranchisse de l’ensemble des biais cités. Statistiquement, il n’est donc pas possible d’affirmer, ni que les « tests malchances » ont le moindre rapport avec le fait d’être malade, ni que la « maladie malchance » est responsable d’une situation plus grave que d’habitude, ni que les porte-bonheurs qui sont obligatoires ont le moindre effet sur la santé. En revanche, les 3 ont un intérêt certain pour la prise de pouvoir totalitaire en cours et le plus grand braquage d’argent public jamais réalisé, et tout cela au profit des mêmes personnes.
(Une version préliminaire avait été publiée sur Mondialisation.ca le 23 février 2022)
https://www.mondialisation.ca/tests-vaccins-pass-fabrique-de-la-panique-braquage-des-comptes-publics/5665589
(...) Pour conserver le regard fixé sur le virus, plusieurs éléments sont essentiels :
SupprimerLes tests RT-PCR qui permettent de continuer à déclarer “malade” toute personne qui a un test positif et donc maintiennent les statistiques (...)
Premièrement, les faux tests 'RT-PCR' ne peuvent RIEN voir ni sélectionner because que le dit virus n'A PAS ÉTÉ ISOLÉ (depuis 2 ans ! HAHAHAHA !).
Donc: apparaissent des trucs, des machins-choses.
Avec ou sans masques nous respirons toutes et tous 200 000 virus ou microbes par minute soit DES milliards depuis ce matin et des montagnes de milliards depuis notre naissance et NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Deuxièmement, comme aucun virus (poussière) ne porte un maillot 'corona' il est donc impossible de dire où qu'il est ! Et, comme il y a des quotas, s'il faut trouver 3000 cons avec ON LES TROUVE ! C'est tout !
Questions de santé mentale: les médecins quittent les hôpitaux en masse en raison du stress et de l'anxiété de la pandémie de COVID
RépondreSupprimerjeudi 07 avril 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Une enquête récente a révélé qu'un médecin sur quatre prévoit de quitter son emploi de soins primaires au cours des trois prochaines années en raison du stress qu'il subit en raison de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
L'enquête, qui a été menée par le Larry A. Green Center en Virginie, a montré que les niveaux de stress de ces médecins se sont améliorés lorsque les vaccins sont devenus largement disponibles aux États-Unis l'été dernier, mais sont revenus aux niveaux d'avant le vaccin lorsque la variante delta a déclenché des vagues. de nouvelles éclosions à travers le pays.
En février, seulement un cinquième des établissements médicaux où travaillaient les répondants de l'étude étaient dotés d'un personnel complet, 44 % d'entre eux ayant des postes de cliniciens qu'ils ne pouvaient pas pourvoir.
Certains cliniciens interrogés ont également déclaré avoir eu des idées suicidaires, des crises de panique pendant leur sommeil et la nécessité d'arrêter des voitures en rentrant du travail car ils ressentaient des nausées et des vomissements dus au stress.
Rebecca Etz, la codirectrice du Green Center, a déclaré au journal médical en ligne JAMA Network que la moitié des cliniciens n'avaient pas d'équipement de protection individuelle six mois après le début de la pandémie, et que les gens étaient obligés de porter des filtres à café et des sacs poubelles pour prendre soin de leurs malades.
Les médecins ont également été interrogés sur l'état de leur santé mentale et physique.
L'un a admis être "émotionnellement traumatisé et avoir subi un épuisement professionnel grave", tandis qu'un autre a admis être "chroniquement épuisé", ajoutant qu'il n'y avait aucun soulagement en vue.
De plus, 62% des 847 cliniciens interrogés connaissaient personnellement d'autres cliniciens de soins primaires qui ont pris leur retraite tôt ou ont démissionné pendant la pandémie, tandis que 29% connaissaient des pratiques qui ont fermé.
D'autres médecins ont signalé que leurs hôpitaux manquaient cruellement de personnel alors que les patients atteints de COVID-19 arrivaient en masse, tandis que d'autres ont déclaré qu'ils avaient trop peu de travail à faire car il était conseillé aux patients de reporter ou de renoncer à des rendez-vous médicaux réguliers en raison de restrictions sur les soins en personne au début de la pandémie et lors des poussées ultérieures de COVID-19.
Alors que la pandémie entre maintenant dans sa troisième année, le manque de personnel reste le plus gros problème, selon les chercheurs. (Connexe: CRISIS FACTORY: New York va déclarer l'état d'urgence en raison de pénuries de personnel causées par les mandats de vaccins covid du gouvernement.)
"La main-d'œuvre dans les soins de santé est une question d'importance nationale et atteint une crise dans de nombreuses régions du pays", a déclaré Akin Demehin, directeur des politiques du groupe commercial American Hospital Association.
«Avant la pandémie, il y avait déjà d'importants défis en matière de main-d'œuvre. La pandémie les a amplifiés, résultant de la fatigue après vague après vagues successives de patients.
Les assistants médicaux et les aides-soignants vivent un stress similaire
RépondreSupprimerLes assistants médicaux et les aides-soignants ont également connu certains des degrés les plus élevés de stress lié au COVID, et les organisations de soins de santé du pays ont du mal à pourvoir ces postes – laissant les cliniques en désavantage numérique et ajoutant plus de travail et de stress au reste de l'équipe de soins.
« Notre étude démontre que le personnel de santé américain est en péril. Si même un tiers à la moitié des infirmières et des médecins réalisent leurs intentions exprimées de réduire ou de partir, nous n'aurons pas assez de personnel pour répondre aux besoins des patients », a déclaré le Dr Christine A. Sinsky, de l'American Medical Association. (AMA) vice-président de la satisfaction professionnelle.
"Pour maintenir l'accès aux patients et éviter que les cliniciens restants ne soient submergés, nous devons endiguer la perte de travailleurs de la santé", a ajouté Sinsky.
Un facteur majeur contribuant aux démissions massives est les taux élevés de dépression, d'anxiété, de troubles du sommeil et de trouble de stress post-traumatique chez les travailleurs médicaux de première ligne.
Pour lutter contre l'épuisement professionnel des médecins, les cabinets médicaux peuvent faire davantage pour retenir le personnel hospitalier qui peut aider à atténuer certaines des pressions exercées sur les médecins en accomplissant des tâches non médicales, a déclaré le Dr Mark Linzer, professeur de médecine.
« La ‘grande démission’ touche beaucoup de nos collaborateurs, qui ne se sentent pas forcément pris en charge par leurs organisations. Le personnel part, ce qui laisse les médecins faire plus de travail non médical. Donc vraiment, pour résoudre ce problème, nous devons prêter attention à tous nos travailleurs de la santé », a-t-il ajouté. (Connexe: l'Australie va suspendre sans salaire les agents de santé non vaccinés, malgré le fait que beaucoup ont une immunité naturelle.)
Suivez Pandemic.news pour plus d'informations sur la pandémie de COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur le nombre record de chômage des travailleurs de la santé alors que le monde est en pleine pandémie :
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Cette vidéo provient de la chaîne Wellness Forum Health sur Brighteon.com.
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RépondreSupprimerNew York fait appel à la Garde nationale pour combler les pénuries de personnel hospitalier en raison des mandats de vaccination.
Sources include:
ArcaMax.com
AMA-Assn.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-07-doctors-leaving-hospitals-due-to-stress-anxiety.html
Dr. Lee Merritt : Nous sommes dans la quatrième étape de la GUERRE DE L'ADN contre l'humanité
RépondreSupprimerjeudi 07 avril 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) L'animateur de Brighteon.TV, le Dr Lee Merritt, a déclaré à Bob "The Plumber" Sisson que l'humanité est à la quatrième étape de la guerre de l'ADN impliquant les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
«En parlant [de] la grande guerre de l'ADN contre l'humanité… en gros, nous sommes dans la quatrième étape de la guerre. Je ne pense pas que nous puissions voter pour nous-mêmes. Nous allons devoir nous préparer, nous protéger et peut-être nous battre pour nous en sortir », a-t-elle déclaré lors du Let’s Go Brandon Rally de quatre jours qui s’est tenu à Brandon, en Floride.
L'animateur de "Merritt Medical Hour" a déclaré à Sisson : "Depuis 2015, j'ai l'impression d'avoir été témoin d'une attaque terroriste au ralenti contre le monde entier et je n'ai pas pu l'arrêter. La seule raison pour laquelle j'ai été réveillé tôt, c'est parce que [AAPS] m'a réveillé sur ce qui se passait et sur les crimes de la médecine organisée. (Connexe : le Dr Lee Merritt met en garde : les vaccins forcés sont un crime contre l'humanité au niveau de l'Holocauste.)
L'ancienne présidente de l'Association of American Physicians and Surgeons (AAPS) a écrit un éditorial en 2015, qui a été publié sous son nom de jeune fille Lee Hieb. Son article du 10 mars 2015 critiquait le plan national de vaccination des adultes de l'administration Obama.
"Vous ne pouvez pas crier pour le" droit de la femme de choisir "lorsqu'il s'applique à l'avortement, mais ne lui donnez pas le droit de choisir ce qui lui est administré dans une seringue. Soyons clairs : la santé publique ne l'emporte pas sur la liberté individuelle. Fin de l'histoire", écrivait-elle à l'époque.
Sisson et Merritt ont tous deux cité l'écrivain conservateur G. Edward Griffin comme ayant contribué à leur ouvrir les yeux sur les vaccins. Sisson, animateur de "CLO2TV", a déclaré que le livre de Griffin "Un monde sans cancer" lui a montré comment les familles Carnegie et Rockefeller ont pris le contrôle des écoles de médecine et ont radicalement modifié la pratique de la médecine.
"J'ai en quelque sorte commencé à me réveiller, mais je ne suis pas vraiment devenu sérieux jusqu'à ce que peut-être [l'ancien président Donald] Trump se présente. Je pensais que nous avions réussi une fois qu'il était entré [à la Maison Blanche]. Mais le marais est plus profond que nous ne le pensions », a déclaré Sisson. "[Griffin] nous disait ce qui [allait] se passer aujourd'hui, probablement dès les années 1960 et 1970."
Les personnes vaccinées ne peuvent pas se dé-vacciner
"Personne qui n'est pas vacciné en ce moment que je connais ne va sauter dans le groupe vacciné. Le groupe vacciné est déjà vacciné, il ne peut pas sauter. Ils peuvent simplement décider d'avoir le quatrième ou le cinquième rappel, je suppose – mais ils ne peuvent pas se «dé-vacciner» pour autant que nous sachions », a déclaré Merritt.
«Nous sommes dans une situation où [c'est] une sorte de calme avant la tempête. Nous voyons des mourants, mais nous n'avons aucune idée de ce qu'ils appelleraient la "première dérivée de la mort". En d'autres termes, nous ne savons pas à quelle vitesse le taux de mortalité évolue."
RépondreSupprimerL’hôte de «Merritt Medical Hour» a souligné une «augmentation marquée et sans précédent» de la mortalité toutes causes confondues causée par les vaccins COVID-19, citant des données des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Allemagne. « Je ne trouve pas de chiffres en Israël, mais je suis sûre qu'ils ont de gros problèmes parce qu'ils ont été les premiers vaccinés », a-t-elle déclaré. Merritt a également mentionné les mortinaissances, les fausses couches et l'infertilité parmi les autres problèmes liés aux injections.
"Au lieu de réorganiser les chaises longues sur le Titanic, nous devons examiner les données et nous préparer car [that will] nous dira si nous devons voir la tendance [and] où elle va. Nous ne pouvons pas reculer là-dessus.
Selon Merritt, il existe plusieurs façons de traiter la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans les vaccins COVID-19.
«Nous pouvons gérer la protéine de pointe, nous savons comment faire cela. Ivermectine, oxygénothérapie hyperbare, chélation, glutathion [intraveineux] – il y a beaucoup de choses que nous pouvons faire.
Elle s'est ensuite tournée vers Sisson et a dit "Je pense que ton truc est là-haut", en référence au dioxyde de chlore, dont l'hôte "CLO2TV" fait la promotion.
Regardez la conversation entre Bob Sisson et le Dr Lee Merritt lors du Let's Go Brandon Rally en Floride ci-dessous.
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Cette vidéo provient de la chaîne BrighteonTV sur Brighteon.com.
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Dr Lee Merritt : Aucune justification pour expérimenter sur des enfants en leur injectant des vaccins COVID-19 – Brighteon.TV.
Dr Lee Merritt : Si vous pensez que vous combattez un virus, alors vous allez être une victime – Brighteon.TV.
Sources include:
Brighteon.com
WND.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-07-lee-merritt-fourth-stage-dna-war-humanity.html
Les Australiens non vaccinés ne peuvent pas quitter le pays à cause d'un traité de l'OMS : "Nous protégeons le monde"
RépondreSupprimerApril 8th, 2022
Voici une surprise pour tous les Australiens piégés en Australie parce que vous avez choisi de ne pas participer à une expérience médicale. La raison pour laquelle vous ne pouvez pas partir n'est pas pour votre propre santé. Ce n'est pas pour la santé des compatriotes australiens. C'est parce que nous « protégeons le reste du monde ». C'est un monde où les voyageurs entièrement vaccinés ont déjà propagé le Covid dans tous les pays de la Terre et au moins 72 pays sont heureux que vous vous présentiez à leur porte avec vos dollars touristiques et sans vaccin.
Comme le dit le sénateur Rennick : « Je ne peux pas voir les risques pour la santé d'une personne non vaccinée quittant le pays.
Paul Kelly, médecin-chef de l'Australie, a expliqué que cela était dû aux obligations sanitaires internationales de l'Australie. C'est un traité international que nous avons signé parce que nous sommes membres de l'OMS. En ce qui concerne une recherche rapide, l'Australie, le Canada et les Émirats arabes unis sont peut-être les seuls pays qui interdisent encore à leurs propres citoyens de partir. Au Canada, les choses sont tellement inexplicables que les vaccinés n'ont même plus besoin de faire un test. Ainsi, les personnes infectées par Covid sont libres de voler vers ou depuis le Canada en répandant le virus partout. Mais les personnes en bonne santé non vaccinées "devront être testées à l'aéroport et à nouveau huit jours après leur arrivée, et isolées pendant 14 jours". Exactement.
Le Premier ministre australien Scott Morrison n'arrête pas de nous dire qu'il s'oppose aux mandats, mais il n'a pas dit "boo" à propos de ce traité international. En effet, si le gouvernement australien avait été créé en tant que filiale de Pfizer et Moderna, il n'aurait guère pu faire plus pour augmenter les bénéfices
Ci-dessous, le sénateur Rennick demande à Paul Kelly, médecin-chef australien, au Comité sénatorial de la législation des affaires communautaires, pourquoi les Australiens non vaccinés ne peuvent pas quitter le pays. Il faudra peut-être deux visionnements répétés pour comprendre le message, il n'y a pas de clause de temporisation sur le verrouillage des refusniks.
La bonne nouvelle est que les pouvoirs de biosécurité d'urgence en cas de pandémie de deux ans sont sur le point de prendre fin.
La mauvaise nouvelle est que le gouvernement prévoit d'établir d'autres règles qui empêcheront toujours les Australiens non vaccinés de partir.
Les citoyens australiens qui souhaitent voyager sans se faire d'injections devront toujours nager, pagayer, monter sur des crocodiles ou renoncer à leur citoyenneté. Peut-être que le professeur Kelly espère l'utiliser comme une carotte bonus "booster" ? Vont-ils interdire les deux piqûres ?
RépondreSupprimerLecteur vidéo
Du compte Facebook du sénateur Rennicks.
Personne dans son esprit le plus fou ne peut plus prétendre qu'il s'agit de votre santé : les charges virales chez les vaccinés et les non vaccinés atteignent les mêmes niveaux. Les vaccins doublent les facteurs de risque cardiovasculaire et ne semblent pas améliorer nos chances de rester en vie dans l'ensemble. En fait, les données militaires américaines montrent un taux effroyablement plus élevé de blessures liées à la vaccination - une augmentation de 300 % à 1000 % des frais médicaux liés aux fausses couches, au cancer, aux affections neurologiques, aux problèmes de fertilité et aux embolies pulmonaires.
Les données sur les vaccins sont si mauvaises qu'elles sont confidentielles.
L'OMS est une menace - Ils n'ont eu qu'un seul emploi au cours des 50 dernières années, et ils ont échoué lamentablement, maintenant ils veulent plus de pouvoir.
Vous vous souvenez du 2 février 2020 ? C'est à ce moment-là que l'OMS aurait pu sauver des millions de vies et dire au monde d'arrêter les vols et de garder la grippe de Wuhan à Wuhan. Au lieu de cela, Tedros, l'ancien ministre des Affaires étrangères de l'Éthiopie, a raconté au monde des fictions ridicules et les responsables de la santé l'ont cru.
Maintenant, l'OMS veut de plus grands et meilleurs traités pandémiques. Comme le GIEC mais en bien pire.
Il y a quelques années, avant Covid, l'OMS recommandait à l'Australie de faire plus pour surmonter «l'hésitation à la vaccination». Apparemment, nous avions besoin de systèmes électroniques pour stocker les informations sur les voyageurs malades, et nous avions besoin d'établir des registres de vaccination centralisés… c'est la page 28 des recommandations du "Plan d'action national australien pour la sécurité sanitaire 2019-2023".
Nous pensons que l'OMS devrait surmonter sa "réticence aux médicaments bon marché" et commencer à sauver des vies à la place.
RépondreSupprimerLES RÉFÉRENCES
Obligations sanitaires internationales de l'Australie
La déclaration d'urgence en mars 2020 avec l'interdiction de voyager à l'étranger.
Version PDF imprimable du Plan d'action national australien pour la sécurité sanitaire 2019-2023 - PDF 1464 Ko
OMS
https://joannenova.com.au/2022/04/unvaxxed-australians-cant-leave-the-country-because-of-a-who-treaty-were-protecting-the-world/#more-83156
Comme la poussière (appelée 'corona' pour faire croire qu'elle venait du magma !!) n'est pas présente dans l'air, elle n'est délivrée qu'en seringues. Ceux qui se la font inoculer l'ont !
SupprimerLe « vaccin » à ARN messager anti-SARS-CoV-2 : une arme chimique de destruction massive ?
RépondreSupprimerle 8 avril 2022
Je suis un complotiste et fier de l’être et j’ai aussi des messages à faire passer dans ce cadre. Il y a bien longtemps que cette thérapie génique à ARN messager aurait été interdite si la prohibition de la publicité des effets secondaires n’avait pas été aussi bien organisée. Les médecins qui désirent communiquer les cas d’effets secondaires aux autorités sont menacés, ces mêmes autorités ne tiennent pas compte de ces remontées d’informations. Il y a des milliers de morts et des millions de personnes souffrant d’effets indésirables dont la variété fait songer à une arme chimique délibérément injectée à des centaines de millions de personnes, maintenant en France on en est à la quatrième injection ! Et comme le gouvernement français a commandé récemment cent millions de doses, le génocide différé est assuré.
Pourquoi j’ai écrit génocide, vous allez le découvrir. Cette thérapie génique fait apparaître des anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus. Or ces anticorps reconnaissent la syncytine, protéine présente dans de nombreux épithéliums dont celui de l’endomètre mais également au niveau de la membrane basale du derme. Les effets secondaires de cette thérapie génique au niveau de la peau ont été largement décrits chez de nombreux sujets ayant été infectés par le virus authentique (voir le lien ci-dessous qui nécessite d’être mis à jour). Et en ce qui concerne les troubles menstruels et l’apparition de saignements chez des femmes déjà ménopausées, la table ronde organisée par le collectif « où est mon cycle » et la parlementaire européenne Virginie Joron est éloquente (lien). Les cas d’avortements spontanés après « vaccination » sont également innombrables alors qu’il a toujours été strictement déconseillé de vacciner les femmes enceintes, quel que soit le vaccin.
Les laboratoires pharmaceutiques savaient que les anticorps apparaissant après cette thérapie génique « croisaient » avec la syncytine, ils n’ont rien dit. Ce silence coupable me conduit à imaginer un complot à l’échelle mondiale. La néo-synthèse de la sous-unité 1 de la protéine virale spike après injection de l’ARN messager synthétique ne peut pas être contrôlée. Outre les propriétés des anticorps apparus cette protéine a une forte tendance à s’accumuler dans les gonades. Personne ne sait quels seront les effets sur le long terme de cette accumulation sur les adolescents (qui n’auraient jamais dû subir cette thérapie génique) lorsqu’ils seront en âge de créer une famille. Il y a donc bien un complot conduisant éventuellement à une chute brutale de la natalité dans tous les pays qui ont mis en place cette thérapie génique. Ce grand dessein malthusien dissimulé par les autorités politiques entre dans le cadre de la réduction du nombre d’êtres humains en phase avec l’idéologie du Club de Rome. On en est là … Regardez mesdames la vidéo du début à la fin, c’est glaçant.
https://onlinelibrary.wiley.com/action/doSearch?AllField=chilblain+covid&SeriesKey=13654632
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/04/08/le-vaccin-a-arn-messager-anti-sars-cov-2-une-arme-chimique-de-destruction-massive/
Malheureusement ce ne sont pas des scientifiques qui s'expriment sur le plateau !
SupprimerExpliquer en premier ce qu'est un virus (poussière) et le différencier du microbe (vivant).
AUCUNE des invitées ne parle de nano-particules d'oxyde de graphène présentes dans l'expérimentation génique d'essais criminellement appelée 'vaccin'. Elle représentent 95 à 99 % du contenu de chaque flacon injectable !! soit plus de 40 000 milliards de nano-particules par injection !!
Cette 'poussière' non-naturelle puisque enrobée n'est PAS dans l'air ! Uniquement en seringues.
Mais, rassurez-vous elles n'en diront rien !
Un patient sur trois atteint d'un cancer au Royaume-Uni diagnostiqué comme une urgence
RépondreSupprimerpar University College de Londres
8 AVRIL 2022
Associations écologiques entre le pourcentage de présentation d'urgence au niveau de la juridiction et la survie nette à 1 an, par site de cancer, ajustées pour la définition opérationnelle utilisée (étroite ou large). La présentation d'urgence est définie comme un diagnostic de cancer dans les 30 jours suivant une hospitalisation d'urgence. La surface grise entourant les estimations centrales illustre les IC à 95 %. Les lignes sont positionnées pour les juridictions utilisant la définition étroite. Afin de maximiser la puissance statistique, des estimations propres à chaque instance ont été utilisées dans ces modèles pour le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse et l'Île-du-Prince-Édouard (partie du Canada atlantique dans d'autres analyses), ainsi que le Manitoba et la Saskatchewan (considérés conjointement dans d'autres analyses), incluant donc des estimations pour 17 juridictions. Crédit : The Lancet Oncology (2022). DOI : 10.1016/S1470-2045(22)00127-9
Plus d'un tiers des cancers au Royaume-Uni sont découverts après que les patients ont été transportés d'urgence à l'hôpital, l'un des taux les plus élevés de pays à revenu élevé comparables, selon une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'UCL.
L'étude a également révélé que les pays ayant une incidence plus élevée de ces présentations d'urgence avaient des taux de survie plus faibles pour les patients.
Publiée dans The Lancet Oncology, l'étude a analysé plus de 850 000 cas de cancer entre 2012 et 2017 en Australie, au Canada, au Danemark, en Nouvelle-Zélande, en Norvège et au Royaume-Uni. Il a comparé les données sur une gamme de cancers différents, la façon dont ils ont été découverts et leurs résultats.
Les cancers des patients ont été découverts dans des situations d'urgence 37 % du temps en Angleterre, 37,4 % du temps au Pays de Galles et 38,5 % du temps en Écosse. Les patients d'Irlande du Nord, où une procédure comptable différente a été utilisée, avaient un taux de 27,9 % de présentations aux urgences.
Parmi les pays étudiés, seule la Nouvelle-Zélande avait un taux de découvertes d'urgence plus élevé à 42,5% que le Royaume-Uni. La Norvège avait le taux le plus similaire au Royaume-Uni à 36,5 %. Le taux le plus bas dans l'étude était l'État australien de Victoria à 24%, ce qui, selon les auteurs, indique que le diagnostic précoce du cancer fait défaut et doit être amélioré à l'échelle mondiale.
Le chercheur principal, le professeur Georgios Lyratzopoulos (Institut d'épidémiologie et de santé de l'UCL), a déclaré : "Il s'agit de la première étude basée sur la population à examiner les diagnostics de cancer par le biais de présentations d'urgence à l'échelle internationale et à examiner leur lien avec la survie. Cela nous a donné des informations précieuses sur quels patients et cancers sont plus susceptibles d'être diagnostiqués après une hospitalisation d'urgence.
RépondreSupprimer"Les données nous indiquent que les présentations d'urgence sont un problème mondial et ne sont pas concentrées dans un seul pays ou système de santé. Mieux prévenir le cancer, le détecter par le dépistage ou le diagnostiquer peu de temps après l'apparition des symptômes peut aider à réduire les présentations d'urgence et à réduire le cancer Ce message s'applique au Canada, à l'Europe et à l'Océanie, ainsi qu'au Royaume-Uni.
L'étude a été menée par l'International Cancer Benchmarking Partnership, une collaboration mondiale entre cliniciens, universitaires, décideurs et experts en données pour produire des recherches et des recommandations politiques, hébergée par l'association caritative Cancer Research UK.
Michelle Mitchell, directrice générale de Cancer Research UK, a déclaré : « Depuis des mois, nous avertissons que la survie au cancer pourrait reculer en raison de la pandémie. Le Royaume-Uni est déjà à la traîne en matière de survie au cancer – cette étude nous aide à comprendre pourquoi, montrant que les pays avec des niveaux plus élevés de présentations d'urgence ont une survie plus faible.Si nous voulons construire un service de lutte contre le cancer de classe mondiale, nous devons apprendre des pays comparables et nous assurer que moins de patients reçoivent un diagnostic de cancer après une référence d'urgence ou un voyage à A&E.
"Nous aimerions voir les gouvernements du Royaume-Uni prendre des mesures audacieuses à ce sujet dans leurs plans de lutte contre le cancer, de sorte que d'ici 2032, moins de 5 % des cas de cancer soient diagnostiqués par les voies d'urgence."
On craint que la pandémie de COVID-19, qui a commencé après la fin de leur ensemble de données, n'ait probablement aggravé les choses car elle a rendu plus difficile pour les gens de consulter leur médecin pour des dépistages de routine et des tests d'accès.
Le Dr John Butler, responsable clinique de l'International Cancer Benchmarking Partnership et chirurgien du cancer de l'ovaire, a déclaré : « Partout dans le monde, la pandémie a mis à l'épreuve les systèmes de santé. Au Royaume-Uni, l'accès aux soins primaires et aux tests de diagnostic a été réduit et le dépistage interrompu. Cela signifie que certains cancers, en particulier ceux qui présentent des symptômes vagues et non spécifiques, peuvent être passés inaperçus. Les plans de lutte contre le cancer à travers le Royaume-Uni doivent donner la priorité au diagnostic précoce. Pour avoir une meilleure chance de vaincre leur cancer, les gens doivent être traités dès que possible.
"Les cancers diagnostiqués par les voies d'urgence sont souvent plus avancés que ceux détectés après recommandation d'un médecin généraliste ou par dépistage. Cela peut affecter les chances de survie d'une personne au cancer et affecter le type de traitement qui lui est proposé. Malheureusement, je le vois souvent avec le cancer de l'ovaire. , où environ un tiers des patients sont diagnostiqués après avoir été admis à l'hôpital."
RépondreSupprimerLes chercheurs ont également déclaré qu'ils espéraient que cette étude mettait en évidence la nécessité d'une meilleure prise de conscience des symptômes précoces du cancer par les patients ainsi que la réduction des obstacles au dépistage du cancer et une plus grande capacité de diagnostic précoce dans les cabinets médicaux et les hôpitaux.
https://medicalxpress.com/news/2022-04-uk-cancer-patients-emergencies.html
Comme les personnes injectées avec les expérimentations géniques d'essais (criminellement appelées 'vaccins') effacent toute immunité, les cas commun de cancer stade 1 passe directement stade 3 ou 4 !
SupprimerLa révolution monétaire des matières premières
RépondreSupprimerPar Alasdair Macleod
Argent d'or
8 avril 2022
Nous reviendrons sur les événements actuels et réaliserons qu'ils ont marqué le passage d'une économie mondiale basée sur le dollar soutenue par des actifs financiers à des devises adossées à des matières premières. Nous sommes confrontés à un changement de garantie purement financière par nature pour devenir basée sur les matières premières. C'est une garantie qui garantit l'ensemble du système financier.
La fin du système financier est accélérée par les développements géopolitiques. L'Occident essaie désespérément de sanctionner la Russie dans la soumission économique, mais ne réussit qu'à faire grimper les prix de l'énergie, des matières premières et des denrées alimentaires contre lui-même. Les banques centrales n'auront d'autre choix que de gonfler leurs monnaies pour tout payer. La Russie lie plutôt le rouble aux prix des matières premières par le biais d'un ancrage mobile de l'or, et la Chine a déjà démontré sa compréhension du jeu inflationniste de l'Occident en stockant des matières premières et des céréales essentielles au cours des deux dernières années et en permettant à sa monnaie de s'apprécier par rapport au dollar.
La Chine et la Russie ne suivent pas la voie de l'inflation des devises occidentales. Au lieu de cela, ils se dirigent vers une stratégie monétaire plus saine avec la perspective de taux d'intérêt et de prix stables tandis que l'Occident accélère dans la direction opposée.
L'analyste du Credit Suisse, Zoltan Pozsar, l'appelle Bretton Woods III. Cet article se penche sur son évolution probable et conclut que le dollar et les devises occidentales, et non le rouble, auront le plus de mal à faire face à la fin de cinquante ans de financiarisation économique.
Le financement pur est remplacé par le financement des matières premières
Il n'a pas encore touché les médias grand public, qui rapportent toujours la bataille d'hier. Mais en mars, l'administration américaine a condamné à mort sa propre hégémonie dans un dernier coup désespéré de dés en dollars. Non seulement il a mal interprété la situation russe en ce qui concerne son économie, mais l'Amérique a cru à tort en sa propre puissance en sanctionnant la Russie et les oligarques de Poutine.
Il a peut-être obtenu un blocus partiel sur les volumes d'exportation de la Russie, mais la compensation est venue de prix unitaires plus élevés, profitant à la Russie et coûtant à l'alliance occidentale.
La conséquence est une bataille finale dans la guerre financière qui couve depuis des décennies. Vous ne sanctionnez pas la plus importante source mondiale d'exportations d'énergie et le fournisseur marginal d'un large éventail de produits de base et de matières premières, y compris les céréales et les engrais, sans nuire à tout le monde sauf à la cible visée. Pire encore, la cible visée a en Chine un ami extrêmement puissant, avec lequel la Russie est un partenaire dans le plus grand bloc économique du monde – l'Organisation de coopération de Shanghai – qui contrôle un marché en développement de plus de 40 % de la population mondiale. C'est l'avenir, pas le passé : le passé est le wokery occidental, la fiscalité punitive, les économies dominées par l'État et sa bureaucratie, le socialisme anticapitaliste et les arbres à argent magiques pour aider à tout payer.
Malgré cet énorme trou dans le filet des sanctions, l'Occident ne s'est donné d'autre choix politique que de tenter de durcir encore plus les sanctions. Mais la réponse de la Russie est dévastatrice pour le système financier occidental. En deux annonces simples, liant le rouble à l'or pour les établissements de crédit nationaux et insistant sur le fait que les paiements pour l'énergie ne seront acceptés qu'en roubles, il appelle à la fin de l'ère du dollar fiduciaire qui a gouverné le monde depuis la suspension de Bretton Woods en 1971 À aujourd'hui.
RépondreSupprimerIl y a un peu plus de cinq décennies, le dollar a pris le rôle d'actif de réserve mondial à partir de l'or. Après les années 70, qui ont été une décennie de volatilité des devises, des taux d'intérêt et des actifs financiers, nous nous sommes tous installés dans un monde de financiarisation croissante. Le big bang de Londres au début des années 1980 a ouvert la voie aux produits dérivés réglementés et les années 1990 ont vu l'essor des fonds spéculatifs et des dotcoms. Cela a été suivi par une explosion des dérivés de gré à gré non réglementés dans les centaines de billions et des titrisations qui ont frappé le ralentisseur de la faillite de Lehman. Depuis lors, l'expansion du crédit mondial pour les activités purement financières a été remarquable, créant une bulle d'actifs financiers rivalisant avec tout ce que l'on a vu dans l'histoire des excès financiers. Et avec la suppression statistique de l'effet sur les prix à la consommation, le transfert des ressources économiques de Main Street à Wall Street a caché au regard du public les preuves inflationnistes de l'expansion du crédit.
Tout cela touche à sa fin avec une nouvelle banalisation - ce que l'analyste respecté des flux Zoltan Pozsar au Credit Suisse appelle Bretton Woods III. Dans son énumération, la première a été suspendue par le président Nixon en 1971, et la seconde a couru depuis lors jusqu'à maintenant où le dollar a régné sans conteste. Cela nous amène à Bretton Woods III.
L'insistance de la Russie pour que les importateurs de son énergie paient en roubles et non en dollars ou en euros est un développement significatif, un défi direct au dollar »
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L'insistance de la Russie pour que les importateurs de son énergie paient en roubles et non en dollars ou en euros est un développement significatif, un défi direct au rôle du dollar. Il n'y a pas d'options pour les "inamicaux" de la Russie, la description par la Russie de l'alliance unie contre elle. L'UE, qui est le plus grand importateur de gaz naturel russe, mord la balle ou se bouscule pour des alternatives insuffisantes. L'option est d'acheter du gaz naturel et du pétrole à des prix raisonnables en roubles ou de faire grimper les prix en euros et de ne pas en avoir assez pour maintenir leurs économies et les citoyens chaleureux et mobiles. Quoi qu'il en soit, il semble que la Russie gagne et que l'UE perde dans un sens.
Quant à la conviction de Pozsar que nous sommes au bord de Bretton Woods III, on peut voir la logique de son argument. La bulle financière fortement gonflée marque la fin d'une époque, cinquante ans de gestation. Les taux d'intérêt négatifs dans l'UE et au Japon ne sont pas seulement une anomalie, mais le dernier coup de dés pour le yen et l'euro. La BCE et la Banque du Japon ont des portefeuilles obligataires qui ont anéanti leurs fonds propres, et plus encore. Toutes les banques centrales occidentales qui se sont livrées au QE ont le même problème. En revanche, la banque centrale russe et la Banque populaire de Chine n'ont procédé à aucun QE et ont des bilans sains. La hausse des taux d'intérêt dans les devises occidentales est rendue plus certaine et leur hauteur encore plus grande par la réponse agressive de la Russie aux sanctions occidentales. Il accélère la faillite de tout le système bancaire occidental et, en faisant éclater la bulle financière fortement gonflée, ne laissera guère plus que des économies vidées.
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Poutine a pris comme modèle l'accord Nixon/Kissinger de 1973 avec les Saoudiens pour n'accepter que des dollars américains en paiement du pétrole et utiliser son rôle dominant au sein de l'OPEP pour forcer les autres membres à emboîter le pas. En tant que premier exportateur mondial d'énergie, la Russie déclare désormais qu'elle n'acceptera que des roubles, répétant pour le rouble la stratégie du pétrodollar. Et même l'Arabie saoudite se plie maintenant au vent et accepte le renminbi chinois pour son pétrole, mettant un terme symbolique à l'accord pétrodollar Nixon/Kissinger.
L'Occident, c'est-à-dire l'Amérique, l'UE, la Grande-Bretagne, le Japon, la Corée du Sud et quelques autres se sont imposés comme les boucs émissaires. Cette déclaration décrit à peine la stupidité stratégique – un Ignoble Award est plus proche de la vérité. En supprimant progressivement les combustibles fossiles avant qu'ils ne puissent être entièrement remplacés par des sources d'énergie vertes, un énorme déficit d'approvisionnement en énergie est apparu. Avec un zèle presque religieux, l'Allemagne a coupé la production nucléaire. Et même aussi récemment que le mois dernier, il a toujours exclu de prolonger la durée de vie de ses installations nucléaires. Non seulement tous les membres du G7 n'étaient pas préparés à ce que la Russie renverse la situation, mais jusqu'à présent, ils n'ont pas encore trouvé de réponse adéquate.
La Russie a effectivement banalisé sa monnaie, en particulier pour l'énergie, l'or et la nourriture. Il suit la Chine sur une voie similaire. Ce faisant, il a sapé l'hégémonie du dollar, peut-être fatalement. En tant que moteur des valeurs monétaires, les matières premières seront la garantie remplaçant les actifs financiers. Il est intéressant d'observer la force du peso mexicain par rapport au dollar (+9,7% depuis novembre 2021) et au réal brésilien (+21% sur un an) Et même le rand sud-africain a augmenté de 11% au cours des cinq derniers mois . Le fait que ces monnaies flottantes montent nous indique que le soutien des ressources pour les monnaies a ses attraits au-delà du rouble et du renminbi.
Mais ayant tourné le dos à l'or, les Américains et leurs épigones occidentaux manquent de réponse adéquate. Au contraire, ils sont susceptibles de poursuivre la lutte pour l'hégémonie du dollar plutôt que d'accepter la réalité. Et plus l'Amérique lutte pour affirmer son autorité, plus la probabilité d'une scission du partenariat occidental est grande. L'Europe a désespérément besoin de l'énergie russe, pas l'Amérique. L'Europe ne peut pas se permettre de soutenir inconditionnellement la politique américaine.
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C'est bien sûr le pari de la Russie.
Le point de vue de la Russie
Pour la deuxième fois en huit ans, la Russie a vu sa monnaie minée par l'action occidentale sur l'Ukraine. Après l'avoir vécu en 2014, la banque centrale russe était cette fois mieux préparée. Il s'était diversifié en dollars en ajoutant des réserves d'or officielles. Le système bancaire commercial a été remanié et la gouverneure du RCB, Elvira Nabiullina, en suivant des politiques monétaires classiques au lieu du keynésianisme de ses contemporains occidentaux, a contenu les retombées de la guerre en Ukraine. Comme le montre la figure 1, le rouble a diminué de moitié par rapport au dollar dans une réaction instinctive avant de retrouver ses niveaux d'avant-guerre.
Le lien avec les matières premières est l'or, et la RCB a annoncé que jusqu'à fin juin, elle était prête à acheter de l'or aux banques russes à 5 000 roubles le gramme. L'objectif déclaré était de permettre aux banques de prêter contre la production minière, étant donné que l'or d'origine russe est inclus dans les sanctions. Mais cette décision a encouragé la spéculation selon laquelle le rouble se dirige vers un quasi-étalon-or ; peu importe qu'un étalon-or fonctionne dans l'autre sens avec des utilisateurs de la monnaie capables de l'échanger contre de l'or.
En plus d'être avec l'argent la définition juridique internationale de l'argent (le reste étant la monnaie et le crédit), l'or est un bon indicateur des matières premières, comme le montre la figure 2 ci-dessous. C'était dans les années 1950, bien avant que Nixon ne suspende les accords de Bretton Woods. Pendant ce temps, mesuré en dépréciation des monnaies fiduciaires, le prix a grimpé en flèche et a été extrêmement volatil en cours de route.
Il en va de même pour les autres prix des matières premières, où la stabilité maximale se trouve dans les prix mesurés en grammes d'or. Reprenant le point de Pozsar sur le fait que les monnaies sont de plus en plus liées aux matières premières dans Bretton Woods III, il semble que la Russie ait l'intention d'utiliser l'or comme indicateur des matières premières pour stabiliser le rouble. Au lieu d'un taux de change fixe de l'or, la RCB s'est sagement laissée la possibilité de réviser périodiquement le prix qu'elle paiera pour l'or après le 1er juillet.
Le tableau 1 montre comment le taux de change fixe actuel du rouble-or de la BCR se traduit en dollars américains.
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Bien que les établissements de crédit non russes n'aient pas accès à la facilité, il semble que rien n'empêche une banque russe d'acheter de l'or dans un autre centre, comme Dubaï, pour le revendre à la banque centrale russe contre des roubles. Il suffit que le taux dollar/rouble soit favorable à l'arbitrage et la possibilité de régler dans une devise non sanctionnée, comme le renminbi, ou d'avoir accès à des eurodollars qu'il pourra échanger contre des euroroubles (voir ci-dessous) à partir de une banque en dehors des juridictions "inamicales".
RépondreSupprimerLe taux de change dollar/rouble peut désormais être facilement contrôlé par la RCB, car la manière dont la demande de roubles en pénurie est gérée devient une question de politique. La branche de paiement de Gazprom (Gazprombank) est actuellement dispensée des sanctions de l'Occident et les paiements de gaz et de pétrole de l'UE passeront par elle.
En gros, il existe quatre façons pour un consommateur occidental d'acquérir des roubles :
En achetant des roubles sur les marchés étrangers.
En déposant des euros, des dollars ou des livres sterling auprès de Gazprombank et en leur faisant faire la conversion en tant qu'agents.
Par Gazprombank augmentant son bilan pour fournir du crédit, mais des garanties non sanctionnées seraient nécessaires.
Par des banques étrangères créant des crédits en roubles qui peuvent être versés à Gazprombank contre la livraison de fournitures d'énergie.
Le dernier de ces quatre est certainement possible, car c'est la base des eurodollars, qui circulent en dehors du système monétaire de New York et sont devenus au cœur de la liquidité internationale. Pour comprendre la création des eurodollars, et donc la possibilité d'un développement du marché de l'eurorouble, nous devons plonger dans le monde de la création de crédit.
Les étrangers peuvent détenir des soldes en dollars de deux manières. La manière communément comprise est par le biais du système bancaire correspondant. Votre banque, disons en Europe, gèrera des comptes de dépôt auprès de ses banques correspondantes à New York (JPMorgan, Citi, etc.). Ainsi, si vous effectuez un dépôt en dollars, le crédit sur votre compte se conciliera avec le changement de compte correspondant de votre banque à New York.
Supposons maintenant que vous approchez votre banque européenne pour un prêt en dollars. Si le prêt est convenu, il apparaît comme un actif en dollars sur le bilan de votre banque, qui, grâce à une comptabilité en partie double, correspond à un passif en dollars en votre faveur, l'emprunteur. Il ne peut en être autrement et est à la base de toute création de crédit bancaire. Mais notez que dans la création de ces soldes, le système bancaire américain n'est en aucune façon impliqué, c'est pourquoi et comment les eurodollars circulent, étant fongibles mais distincts à l'origine des dollars aux États-Unis.
Par la même méthode, on a pu assister à la naissance et à l'expansion rapide d'un marché de l'eurorouble. Il suffit qu'une banque crée un prêt en roubles, assorti d'une comptabilité en partie double avec un acompte pouvant être utilisé pour les paiements. Peu importe la devise dans laquelle la banque gère son bilan, seulement qu'elle dispose d'un espace de bilan, d'un accès à des liquidités en roubles et qu'elle est une contrepartie crédible.
Cela suggère que les banques de la zone euro et du Japon ne peuvent avoir qu'une participation limitée car elles sont déjà très fortement endettées. Les banques les mieux à même de gérer les soldes de l'eurorouble sont les américaines et les chinoises, car elles ont des ratios actifs/fonds propres plus conservateurs. En outre, les grandes banques chinoises appartiennent majoritairement à l'État et ont déjà des intérêts commerciaux et monétaires avec la Russie, ce qui leur donne une longueur d'avance en matière de liquidité en rouble.
RépondreSupprimerNous avons remarqué que les grandes banques américaines n'hésitent pas à traiter avec les Chinois malgré la politique, alors elles aimeraient probablement avoir la possibilité de participer à Euroroubles. Mais pas plus tard que cette semaine, le gouvernement américain leur a interdit de payer aux détenteurs de la dette souveraine russe plus de 600 millions de dollars. Il faut donc supposer que les banques américaines ne peuvent pas participer, ce qui laisse le champ libre aux mégabanques chinoises. Et toute tentative d'augmenter les sanctions contre la Russie, peut-être en ajoutant Gazprombank à la liste des sanctions, n'aboutit à rien, exclut définitivement les banques américaines de l'action et renforce l'intégration financière entre la Russie et la Chine. Le fossé entre les devises adossées à des matières premières et le fiat financier d'antan ne fait que s'élargir.
Pour l'instant, de nouvelles sanctions sont un sujet de spéculation. Mais Gazprombank, avec l'aide de la banque centrale russe, jouera un rôle clé dans l'approvisionnement du marché international des roubles en liquidités de gros, au moins jusqu'à ce que le marché acquière une profondeur de liquidité. En retour, Gazprombank peut agir comme un recycleur de dollars et d'euros gagnés grâce aux excédents commerciaux sans qu'ils n'entrent dans les réserves officielles. Le dollar, l'euro, le yen et la livre sterling sont les devises des non-amis, de sorte que les seules rétentions seront probablement le renminbi et l'or.
De cette manière, on pourrait s'attendre à ce que le rouble, l'or et les matières premières tendent à augmenter en tandem. On voit le processus par lequel, comme l'a dit Zoltan Pozsar, Bretton Woods III, un régime monétaire mondial basé sur les matières premières, peut prendre le relais de Bretton Woods II, caractérisé par la financiarisation des monnaies. Et il n'y a pas que la Russie et ses roubles. C'est une direction de voyage partagée par la Chine.
Les effets économiques d'une monnaie forte adossée à des matières premières défient les croyances monétaires et économiques répandues en Occident. Mais les conséquences qui découlent d'une monnaie plus forte sont souhaitables : baisse des taux d'intérêt, richesse restant dans le secteur privé et échappatoire à l'inévitable faillite des monnaies occidentales et de leurs marchés de capitaux. Les arguments en faveur du découplage du système monétaire dominé par le dollar sont soudainement devenus convaincants.
Les conséquences pour l'Occident
RépondreSupprimerLa plupart des commentaires occidentaux sont enthousiastes à l'idée de nouvelles sanctions contre la Russie. Relativement peu de commentateurs indépendants ont souligné qu'en sanctionnant la Russie et en gelant ses réserves de change, l'Amérique détruit sa propre hégémonie. Les avantages des réserves d'or ont également été ostensiblement faits à ceux qui les ont. De plus, les banques centrales qui laissent leurs réserves d'or dans les coffres des banques centrales occidentales les exposent à des sanctions, si une nation tombe sous le coup de l'Amérique. Sans aucun doute, la question fait l'objet de discussions dans le monde entier et certaines demandes de rapatriement de lingots ne manqueront pas de suivre.
Il y a aussi le problème des baux et des swaps d'or, essentiels pour fournir des liquidités sur les marchés de l'or, mais qui conduisent à un faux comptage des réserves. En effet, selon les procédures comptables du FMI, les soldes d'or loués et échangés sont enregistrés comme s'ils étaient toujours sous la propriété et le contrôle d'une banque centrale, malgré le transfert de lingots à une autre partie dans des comptes non alloués.[ii]
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Personne ne connaît l'ampleur des swaps et des baux, mais il est probable qu'elle soit importante, étant donné les preuves d'interventions sur les prix de l'or au cours des cinquante dernières années. Les pays qui ont été heureux de gagner des frais et des intérêts pour couvrir les coûts de stockage et transformer le stockage de lingots d'or en une activité rentable (mesurée en fiat) sont désormais à la marge et susceptibles de ne pas renouveler les accords d'échange et de location et d'exiger la réaffectation des lingots dans des comptes réservés, qui drainerait la liquidité des marchés de l'or. Une hausse du prix de l'or ne manquera pas de s'ensuivre.
Depuis la suspension de Bretton Woods en 1971, le gouvernement américain a tenté de supprimer l'or par rapport au dollar, encourageant la croissance des dérivés de l'or pour absorber la demande. Que l'or soit passé de 35 $ à 1920 $ aujourd'hui démontre la futilité de ces politiques. Mais émotionnellement au moins, l'establishment américain est toujours violemment anti-or.
Comme le montre clairement la figure 2 ci-dessus, le lien entre les prix des matières premières et l'or a perduré à travers tout cela. C'est ce facteur qui échappe complètement à l'analyse populaire, chaque analyste de matières premières supposant dans ses calculs une valeur objective constante pour le dollar et les autres devises, la subjectivité des prix étant confinée à la seule matière première. L'utilisation de graphiques et d'autres méthodes de prévision des prix des produits de base suppose comme règle de fer que les variations de prix dans les transactions ne proviennent que des fluctuations de la valeur des produits de base.
La vérité derrière les prix mesurés en devises non garanties est démontrée par le coût du pétrole évalué en or ayant diminué d'environ 30 % depuis les années 1960. Cela est raisonnable compte tenu des nouvelles technologies d'extraction et correspond aux prix qui ont tendance à baisser avec le temps dans le cadre d'un étalon-or. Ce n'est qu'en monnaies fiduciaires que les prix ont grimpé en flèche. De toute évidence, l'or est considérablement plus objectif à des fins de transaction que les monnaies fiduciaires, qui ne le sont certainement pas.
RépondreSupprimerPar conséquent, si, comme le suggère le graphique du tweet ci-dessous, le prix du pétrole en dollars double à partir d'ici, ce sera uniquement parce qu'à la marge, les gens préfèrent le pétrole aux dollars - non pas parce qu'ils veulent du pétrole au-delà de leurs besoins immédiats, mais parce qu'ils veulent dollars de moins.
- voir graph sur site -
La Chine a reconnu cette dynamique à la suite des politiques monétaires de la Fed de mars 2020, lorsqu'elle a réduit son taux des fonds à zéro et a institué un QE à 120 milliards de dollars chaque mois. Le signal concernant la future dépréciation du dollar était clair et la Chine a commencé à stocker du pétrole, des matières premières et de la nourriture – juste pour se débarrasser des dollars. Cela a contribué à la hausse des prix des matières premières en dollars, qui a commencé à partir de ce moment, malgré la baisse de la demande due aux problèmes de covid et de chaîne d'approvisionnement. L'effet de la dépréciation du dollar est reflété dans la figure 3, qui représente un FNB de suivi des matières premières populaire.
Une meilleure compréhension serait de considérer l'augmentation de la valeur de ce panier de matières premières non pas comme un quasi-doublement depuis mars 2020, mais comme une quasi-diminution de moitié du pouvoir d'achat du dollar par rapport à celui-ci.
De plus, les Chinois ont été suffisamment prévoyants pour accumuler des stocks de céréales. Le résultat est que 20% de la population mondiale a accès à 70% des stocks mondiaux de maïs, 60% de riz, 50% de blé et 35% de soja. Les 80 % restants de la population mondiale seront presque certainement confrontés à de graves pénuries cette année, car les exportations de céréales et d'engrais d'Ukraine/Russie cesseront effectivement.
Les actions de la Chine montrent qu'elle a déjà, dans une certaine mesure, lié sa monnaie aux matières premières, reconnaissant que le dollar perdrait du pouvoir d'achat. Et cela se reflète en partie dans le taux de change du yuan par rapport au dollar américain, qui depuis mai 2020 a gagné plus de 11 %.
Implications pour le dollar, l'euro et le yen
RépondreSupprimerDans cet article, la relation étroite entre l'or, le pétrole et les matières premières au sens large a été démontrée. Il semble que la Russie ait trouvé un moyen de lier sa monnaie non pas au dollar, mais aux matières premières par le biais de l'or, et que la Chine fait effectivement la même chose depuis deux ans sans lien avec l'or. La logique est d'échapper aux conséquences de l'expansion de la monnaie et du crédit pour le dollar et les autres monnaies occidentales car leur pouvoir d'achat est miné. Et l'utilisation d'une cheville en or est un développement intéressant dans ce contexte.
Nous devons garder à l'esprit que selon le système TIC du Trésor américain, les étrangers possèdent 33,24 billions de dollars de titres financiers et d'actifs à court terme, y compris des dépôts bancaires. Cela s'ajoute à quelques billions, peut-être, en eurodollars non enregistrés dans les statistiques TIC. Ces fonds ne sont là qu'en quantités suffisantes en raison de la financiarisation des monnaies occidentales, une situation dont on s'attend maintenant à la fin. On peut s'attendre à ce qu'un changement dans l'ordre mondial des devises vers Bretton Woods III de Pozsar ait un impact substantiel sur ces fonds.
Pour empêcher la vente à l'étranger des 6,97 billions de dollars de titres à court terme et de liquidités, les taux d'intérêt devraient être relevés non seulement pour lutter contre la hausse des prix à la consommation (un malentendu keynésien sur le rôle économique des taux d'intérêt, réfuté par le paradoxe de Gibson[iii]) mais de protéger la monnaie sur les changes, notamment par rapport au rouble et au yuan. Malheureusement, des taux d'intérêt suffisamment élevés pour encourager l'argent et les dépôts à court terme à rester déstabiliseraient la valeur des 26,27 billions de dollars de titres à long terme détenus par des étrangers - obligations et actions.
En tant que gestionnaire des taux d'intérêt du dollar américain, le dilemme de la Fed est rendu plus aigu par les sanctions contre la Russie qui révèlent la faiblesse de la position du dollar. La baisse de son pouvoir d'achat est amplifiée par la flambée des prix en dollars des matières premières, et la hausse des prix à la consommation sera par conséquent plus forte et plus rapide. Il devient possible d'affirmer de manière convaincante que les taux d'intérêt pour les dépôts en dollars à un an devraient bientôt être à deux chiffres, plutôt que les trois pour cent environ soutenus par les faucons de la politique monétaire. Quels que soient les chiffres, les conséquences sont vouées à être catastrophiques pour les actifs financiers et pour l'avenir des devises à vocation financière où les actifs financiers sont la principale forme de garantie.
Il semble que Bretton Woods II soit bel et bien terminé. Cela étant, l'Amérique se trouvera pratiquement dans l'impossibilité de conserver les flux de capitaux internationaux qui lui ont permis de financer le double déficit - le déficit budgétaire et le déficit commercial. Et comme la valeur des titres chute avec la hausse des taux d'intérêt, à moins que le gouvernement américain ne prenne un couteau très aiguisé dans ses dépenses en période de stagnation ou de baisse de l'activité économique, la Fed devra intensifier son QE renforcé.
L'excuse selon laquelle le QE stimule l'économie aura été usée et exposée pour ce qu'elle est : la dépréciation de la monnaie comme moyen de taxation cachée. Et le capital étranger qui parvient à échapper à une crise du dollar est susceptible de chercher un foyer ailleurs. Mais les deux autres principales devises du camp du dollar, l'euro et le yen, partent d'une position encore pire. Ceux-ci sont illustrés à la figure 4. Avec leur pouvoir d'achat qui s'effondre visiblement, la BCE et la Banque du Japon ont toujours des taux d'intérêt négatifs, apparemment piégés sous la borne zéro. Les décideurs politiques se retrouvent déchirés entre le Scylla de l'inflation des prix à la consommation et le Charybde du déclin de l'activité économique. Un autre problème est que ces banques centrales sont devenues des investisseurs importants dans les obligations d'État et autres (la BOJ a même des ETF d'actions à bord) et la hausse des rendements obligataires fait des ravages dans leurs bilans, anéantissant leurs fonds propres, nécessitant une recapitalisation systémique.
RépondreSupprimerNon seulement la BCE et la BOJ sont techniquement en faillite sans injections massives de capitaux, mais leurs réseaux bancaires commerciaux sont extrêmement surendettés, leurs banques d'importance systémique mondiale – leurs G-SIB – ayant des actifs par rapport aux fonds propres en moyenne plus de vingt fois. Et contrairement au réal brésilien, au peso mexicain et même au rand sud-africain, le yen et l'euro glissent face au dollar.
La réponse de la BOJ consiste à s'accrocher désespérément aux politiques actuelles. Il truque le marché en plafonnant le rendement du JGB à 10 ans à 0,25 %, niveau où il se trouve actuellement.
Ces évolutions monétaires sont révélatrices de grands bouleversements et d'une crise imminente. Les bulles financières sont sans aucun doute sur le point d'éclater. Les obligations d'État seront l'histoire d'hier car ni la Chine ni la Russie, dont les devises devraient survivre à la transition de l'orientation financière vers les matières premières, n'affichent pas de déficits budgétaires importants. Cela, en effet, fera partie de leur force.
La guerre financière, si longtemps prédite et décrite dans mes essais pour Goldmoney, semble atteindre son paroxysme. En fin de compte, il s'agit de savoir qui comprend le mieux l'argent et les devises. Mené par l'Amérique, l'Occident a ignoré la définition légale de l'argent, lui substituant des dollars fiduciaires. La politique monétaire a perdu son ancrage dans le réalisme, dérivant plutôt sur une mer de croyances inflationnistes cinglées.
Mais la Russie et la Chine n'ont pas commis la même erreur. La Chine a joué le jeu keynésien pendant que cela leur convenait. Par conséquent, alors que la Russie peut lutter militairement, à moins qu'un miracle ne se produise, l'Occident semble voué à perdre la guerre financière et nous sommes, en effet, en train de transiter vers Bretton Woods III de Pozsar.
RépondreSupprimer—
[i] Tableau gracieusement fourni par James Turk tiré de son livre récent, Money and Liberty (pub. Wood Lane Books)
[ii] Voir Traitement des réserves et des comptes de fonds — Division de la balance des paiements Département des statistiques du FMI.
[iii] Le paradoxe de Gibson a montré que la corrélation des prix avec les taux d'intérêt était avec le niveau général des prix, pas avec le taux de variation des prix. Parce que Keynes et d'autres n'ont pas réussi à l'expliquer, les économistes modernes ignorent cette relation en ce qui concerne les politiques monétaires. Voir https://www.goldmoney.com/research/goldmoney-insights/gibson-s-paradox
Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas ceux de Goldmoney, sauf indication expresse.
https://www.lewrockwell.com/2022/04/alasdair-macleod/the-commodity-currency-revolution/
BlackRock, Le Monstre de Wall Street : Ces Financiers qui Dirigent le Monde
RépondreSupprimerpar Aphadolie
08/04/2022
Cette enquête édifiante nous plonge dans les entrailles du géant BlackRock qui n’a ni limite ni états d’âme.
« On devait rendre les riches encore plus riches », témoigne un ancien salarié à visage caché.
Une World Company tentaculaire, qui brasse plus d’argent que n’importe quelle banque, infiltre et influence les gouvernements.
Effrayant…
BlackRock est devenue le plus important gestionnaire d’actifs au monde, avec près de 7 800 milliards de dollars d’encours en octobre 2020. La société emploie 16 000 collaborateurs présents dans 89 bureaux à travers 38 pays pour une clientèle répartie dans plus d’une centaine de pays. [1]
Si l’argent ne fait pas le bonheur, il ouvre sans nul doute les portes du pouvoir. Une maxime que le groupe de gestion d’actifs BlackRock, avec ses 6 000 milliards de dollars américains passés, soit plus de deux fois le PIB de la France, connaît bien. Sociétés, gouvernements et banques centrales : l’entreprise tentaculaire ne cesse d’étendre son influence dans toutes les directions, depuis sa création, en 1988, par Larry Fink.
La force de ce géant américain de la gestion réside dans les milliards de dollars que lui confient ses clients, pour la plupart des gros poissons de la finance :
Multinationales.
Institutions financières.
Fonds d’investissement.
Fonds de pension.
Grâce à cette manne financière, le groupe a mis le grappin sur de nombreuses multinationales.
Actuellement, BlackRock est entre autres présent dans le capital d’Apple, de Microsoft, de Facebook, de McDonald’s, de Siemens, ainsi que de nombreuses entreprises du CAC 40.
Non content d’investir dans les entreprises les mieux cotées du monde, le gestionnaire d’actifs est aussi dans les petits papiers de gouverneurs de banques centrales, de ministres des finances et même de chefs d’État, à qui il prodigue de précieux conseils. Et pour cause : il dispose non seulement des meilleurs experts financiers, mais aussi d’un algorithme de prévision conjoncturel sans égal (Aladdin).
Aladdin (Asset, Liability, Debt and Derivative Investment Network : Réseau d’investissements en actifs, passifs, dettes et dérivés) est un système électronique (intelligence artificielle) de BlackRock Solutions, la division de gestion des risques de la plus grande société de gestion de placements, BlackRock, Inc.. En 2013, elle gérait environ 14 000 milliards de dollars d’actifs (y compris les plus de 6 000 milliards de dollars d’actifs de BlackRock), soit environ 7 % des actifs financiers mondiaux, et surveillait environ 30 000 portefeuilles d’investissement.
En 2019, l’Intelligence artificielle (IA) gère 18 000 milliards de dollars d’actifs. [2]
Synopsis video :
En dehors de Wall Street, qui connaît BlackRock, le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète ? Enquête sur un acteur discret mais influent de la vie économique et politique mondiale.
Cette multinationale, fondée en 1988, est même devenue leader mondial dans son domaine et le plus gros investisseur de la planète. Un mastodonte qui emploie plus de 13 500 salariés à travers le monde et s’invite dans le capital de plus de 17 000 grandes entreprises (dont 18 des 60 sociétés du CAC 40 en France). BlackRock et son omnipotent président fondateur Larry Fink ciblent également les institutionnels. L’entreprise a déjà accès au Trésor américain, conseille la Banque centrale européenne ou s’est imposée comme un partenaire privilégié du Mexique, où elle aurait investi 85 milliards de dollars pour la seule année 2018.
RépondreSupprimerLarry Fink a été reçu plusieurs fois à l’Élysée par Emmanuel Macron, désireux d’attirer les capitaux de BlackRock en Europe. Le président français l’a ainsi chargé de réfléchir « à l’impact des politiques d’investissement dans le changement climatique ». Le premier actionnaire de Total a apprécié…
Source :
Fr :https://www.blackrock.com/fr
En : https://www.blackrock.com/us/individual
En : https://en.wikipedia.org/wiki/Larry_Fink
Fr : https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_D._Fink
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fonds_négocié_en_bourse
Note :
Un fonds négocié en bourse (FNB, ou fonds coté en bourse, en anglais : Exchange Traded Fund ou ETF) est un fonds de placement en valeurs mobilières dont les parts peuvent être négociées en bourse, comme des actions.
Référence :
[1] Fr : https://fr.wikipedia.org/wiki/BlackRock
En : https://en.wikipedia.org/wiki/BlackRock
[2] Fr : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aladdin_(BlackRock)
En : https://en.wikipedia.org/wiki/Aladdin_(BlackRock)
Voir notamment :
BlackRock : Discret fossoyeur de votre épargne et de votre santé – Guy de La Fortelle
Retraites : « BlackRock a fait des recommandations écrites au gouvernement » [Vidéo]
BlackRock : La plus riche multinationale au monde soupçonnée de vouloir mettre la main sur les retraites des Français
Le monde d’après : Alerte ! « C’est la fin de la mondialisation », déclare le PDG de Blackrock ! – Charles Sannat, analyste économique
https://aphadolie.com/2022/04/08/blackrock-le-monstre-de-wall-street-ces-financiers-qui-dirigent-le-monde/
Les « renseignements » américains disent que leur « renseignement » est une connerie
RépondreSupprimerbigger
7 AVRIL 2022 BLOG ALGORA
via Moon of Alabama
Les gens du « renseignement » américain disent à leurs sténographes de NBC News que leurs mensonges évidents sont des mensonges évidents.
Cette "rupture avec le passé" annoncée de la fausse "intelligence" s'est produite quand ?
À quel point les « renseignements » sur les armes de destruction massive ou les attaques à l'arme chimique de Saddam Hussein à Douma, en Syrie, étaient-ils « solides comme le roc » ?
Le « renseignement » américain, hier et aujourd'hui, n'est que pure imagination dans le but de tromper le public américain et « occidental » sur la réalité de tel ou tel conflit :
C'était une affirmation accrocheuse qui a fait la une des journaux du monde entier : des responsables américains ont déclaré qu'ils avaient des indications suggérant que la Russie pourrait se préparer à utiliser des agents chimiques en Ukraine.
Le président Joe Biden l'a dit plus tard publiquement. Mais trois responsables américains ont déclaré à NBC News cette semaine qu'il n'y avait aucune preuve que la Russie ait apporté des armes chimiques près de l'Ukraine. Ils ont déclaré que les États-Unis avaient publié les informations pour dissuader la Russie d'utiliser les munitions interdites.
Contrairement aux États-Unis, la Russie n'a plus de « munitions interdites » :
Les équipes d'inspection de l'OIAC ont vérifié la destruction de sept installations de destruction d'armes chimiques en Fédération de Russie. Le 27 septembre 2017, la dernière de ces installations, située à Kizner, a officiellement conclu ses opérations. Avec l'élimination totale du programme d'armes chimiques déclaré de la Russie, 96,3 % de tous les stocks d'armes chimiques déclarés par les États détenteurs ont été détruits sous vérification de l'OIAC.
C'est pourquoi l'allégation du « renseignement » américain sur l'utilisation potentielle d'armes chimiques russes était un non-sens évident dès le départ :
C'est l'un des nombreux exemples de la rupture de l'administration Biden avec un précédent récent en déployant des renseignements déclassifiés dans le cadre d'une guerre de l'information contre la Russie. L'administration l'a fait même lorsque les renseignements n'étaient pas solides comme le roc, ont déclaré des responsables, pour maintenir le président russe Vladimir Poutine en déséquilibre. Coordonnés par le Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, les communiqués de renseignements sans précédent ont été si fréquents et volumineux, ont déclaré des responsables, que les agences de renseignement ont dû consacrer davantage de membres du personnel au travail sur le processus de déclassification, en nettoyant les informations afin qu'elles ne trahissent pas les sources et méthodes.
Bien sûr, consacrez plus de personnes au « processus de déclassification » consistant à créer de simples fantasmes ou à la reproduction de sources publiques :
Pas plus tard que cette semaine, le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan s'est tenu sur le podium de la Maison Blanche et a lu ce que les responsables ont qualifié de renseignement plus déclassifié, affirmant que le retrait de la Russie des zones autour de Kiev n'était pas une retraite mais un redéploiement stratégique qui signale un assaut important sur l'est et le sud de l'Ukraine, qui, selon les responsables américains, pourrait être un combat prolongé et sanglant.
Ce « renseignement déclassifié » lu par Sullivan était la copie d'une annonce publique que le ministère de la Défense de la Russie avait faite le 30 mars :
RépondreSupprimerLe regroupement prévu des troupes dans les directions de Kiev et de Tchernigov est en cours.La première étape de l'opération militaire spéciale menée par les forces armées russes dans le Donbass et en Ukraine était prévue pour forcer l'ennemi à concentrer ses forces, ses moyens, ses ressources et son équipement militaire pour tenir bon vers les zones très peuplées dans ces directions, y compris Kiev. Pour les faire tomber sur le champ de bataille et, sans prendre d'assaut ces villes pour éviter des pertes civiles, infliger une telle défaite aux formations armées du régime de Kiev qu'il ne serait pas en mesure d'utiliser ces forces dans la direction principale de nos forces armées dans le Donbass .
Tous ces objectifs ont été atteints.
Dans le même temps, l'armée russe a également résolu une autre tâche, à savoir - en l'absence d'un afflux de forces ennemies fraîches des régions occidentales et centrales de l'Ukraine, par une action militaire professionnelle, en utilisant la domination aérienne absolue qu'elle avait acquise, en utilisant également des armes modernes de haute précision – pour créer toutes les conditions nécessaires à la phase finale de l'opération de libération des républiques populaires du Donbass.
…
Ainsi, toutes les tâches principales des forces armées russes dans les directions de Kiev et de Tchernigov ont été achevées.
L'objectif du regroupement des forces armées russes est d'intensifier l'action dans les zones prioritaires et, surtout, d'achever l'opération de libération totale du Donbass.
Prétendre que les annonces publiques officielles de l'armée russe sont des "renseignements déclassifiés" est bien sûr une connerie. Mais les sténographes de NBC News ne vous le diront pas. Au lieu de cela, nous obtenons plus de ces absurdités :
Plusieurs responsables américains ont reconnu que les États-Unis avaient utilisé l'information comme une arme même lorsque la confiance dans l'exactitude de l'information n'était pas élevée. Parfois, ils ont utilisé des renseignements peu fiables pour un effet dissuasif, comme avec des agents chimiques, et d'autres fois, comme l'a dit un responsable, les États-Unis « essaient simplement de pénétrer dans la tête de Poutine ».
Est-ce que quelqu'un croit que Poutine se fout des affirmations des "renseignements" américains ?
Non:
Certains responsables pensent cependant qu'essayer d'entrer dans la tête de Poutine est un exercice dénué de sens, car il fera ce qu'il veut de toute façon.
…
Le plus grand succès de l'offensive d'information américaine a peut-être retardé l'invasion elle-même de plusieurs semaines ou mois, ce que les responsables pensent avoir fait avec des prédictions précises que la Russie avait l'intention d'attaquer, sur la base de renseignements définitifs.
Ces "prédictions exactes" incluaient les fausses affirmations selon lesquelles la Russie envahirait l'Ukraine les 11, 14 et 16 février :
RépondreSupprimerLe bruit est devenu assourdissant.
Les États-Unis préviennent que la guerre pourrait être « imminente » en Ukraine – Politico, 11 février 2022
> Le briefing du renseignement américain comprenait une référence spécifique au mercredi 16 février prochain, comme date de début de l'invasion terrestre, ont déclaré à POLITICO trois responsables - basés à Washington, Londres et Ukraine. <
L'invasion russe pourrait commencer à tout moment, selon la Maison Blanche - Reuters, 14 février 2022
«Could» fait beaucoup de travail dans ces titres.
Pouvons-nous être un peu plus précis ?
DAWN RAID La Russie s'apprête à envahir l'Ukraine à 1h du matin demain avec un bombardement massif de missiles et 200 000 soldats, selon les services de renseignement américains - The Sun, 15 février 2022
La Russie ordonnera l'invasion de l'Ukraine à 3 heures du matin demain, selon des sources - Coventry Telegraph, 15 février 2022
1h ou 3h ?
Lequel est-ce ?
Et dans quel fuseau horaire ?
En fait, la Russie n'avait pas décidé d'envahir l'Ukraine à ce moment-là. La décision a très probablement été prise après le 19 février, après que l'armée ukrainienne eut intensifié son bombardement du Donbass et après que le président ukrainien Zelinsky eut menacé d'acquérir des armes nucléaires :
À partir de la mi-février, les observateurs de l'OSCE autour du Donbass ont noté dans leurs rapports quotidiens une forte augmentation des violations du cessez-le-feu et des explosions.
plus gros
La plupart des violations provenaient du site ukrainien et les explosions d'obus et de missiles tirés se sont produites sur des terrains détenus par le Donbass. Le 19 février, au plus fort de l'incendie, Zelensky a prononcé un discours à la Conférence de Munich sur la sécurité. Il a mentionné en bonne place le Mémorandum de Budapest en vertu duquel l'Ukraine avait renoncé aux armes nucléaires dont elle avait hérité de l'URSS :
".. L'Ukraine aura parfaitement le droit de croire que le mémorandum de Budapest ne fonctionne pas et que toutes les décisions du paquet de 1994 sont remises en question."
L'une des décisions globales prises par l'Ukraine en 1994 a été l'adhésion de l'Ukraine au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
La Russie a compris la remarque de Zelensky à Munich comme une menace de la part de l'Ukraine d'acquérir des armes nucléaires. Elle dispose déjà de l'expertise, du matériel et des moyens pour le faire.
Un gouvernement contrôlé par les fascistes avec des armes nucléaires à la frontière russe ? Il ne s'agit pas du tout de Poutine. Aucun gouvernement russe, quel qu'il soit, ne pourrait jamais tolérer cela.
Je crois que cette menace crédible, ainsi que les préparatifs d'artillerie pour une nouvelle guerre contre le Donbass, ont été ce qui a convaincu le gouvernement russe d'intervenir par la force.
L'opération militaire russe a clairement été provoquée. Cela a commencé le 24 février, des mois après que les "renseignements" américains aient faussement averti d'une attaque "imminente", huit jours APRÈS le début des préparatifs de l'artillerie ukrainienne pour attaquer le Donbass, cinq jours APRÈS le discours nucléaire de Zelinsky et deux jours APRÈS que les États-Unis et leurs alliés eurent mis en place des sanctions sans précédent contre la Russie.
RépondreSupprimerNBC News, ainsi que d'autres médias occidentaux, se laissent abuser en présentant des affirmations des « renseignements » américains qu'ils savent être de purs mensonges :
Jeu ou pas, les responsables du renseignement américain disent que cela a été un succès. Les renseignements sont rarement définitifs, et les responsables de Biden ont calculé dans certains cas qu'il valait mieux anticiper quelque chose qui pourrait ne pas se produire, plutôt que de garder le silence et de le regarder se dérouler. ", a déclaré un responsable américain. «Il est plus important de les devancer – Poutine en particulier – avant qu'ils ne fassent quelque chose. C'est préventif. Nous ne voulons pas toujours attendre que les renseignements soient sûrs à 100 % qu'ils vont faire quelque chose. Nous voulons aller de l'avant pour les arrêter.
Derrière la communauté du « renseignement », les médias « occidentaux » « prennent de l'avance » et produisent un mensonge après l'autre.
Les voici, faisant un reportage sur un chat débraillé à Bucha, une ville qui a connu cinq semaines d'intenses combats de première ligne.
Les fosses communes récemment sensationnalisées à Bucha étaient celles de ses « défenseurs civils » Volkssturm et de soldats russes qui y sont décédés. Ils ont été creusés le 12 mars et n'ont rien à voir avec le récent retrait des forces russes. Certains corps soigneusement filmés dans les rues de Bucha ont probablement été victimes de frappes d'artillerie ukrainiennes vieilles de plusieurs semaines. D'autres ligotés et tués là-bas, probablement par des fascistes ukrainiens d'Azov, portaient des brassards blancs les identifiant comme neutres vis-à-vis des forces russes.
Nous n'obtenons que rarement des informations de la part des médias « occidentaux » sur ce que ressentent réellement les gens sur le terrain en Ukraine :
8:58 6 avril - Dans l'est de l'Ukraine, certains ne blâment pas Poutine pour la guerre
Jonathan Beale, BBC News, Donbass
Nous avons visité la ville de Lysychansk, à environ un mille de la ligne de front. C'est l'une des nombreuses zones résidentielles à avoir été touchée par l'artillerie russe ces derniers jours.
…
Un soldat ukrainien nous a conduits à travers les rues presque désertes jusqu'à un abri souterrain. À l'intérieur, dans une pièce sombre, nous avons parlé à deux vieilles femmes qui essayaient de se réchauffer devant un feu électrique.
Nous leur avons demandé qui, selon eux, était responsable du bombardement de leur ville – étonnamment, ni la Russie ni le président Vladimir Poutine n'en ont blâmé. Ils pensaient que leur sombre situation était autant la faute de l'Ukraine et du président Volodymyr Zelensky.
Chaque fois que des rapports de réalité aussi rares, comme celui-ci ou celui-ci, sortent, ils sont enterrés dans un flot écrasant de conneries de "renseignement" et de propagande pro-guerre :
RépondreSupprimerUne vidéo mise en ligne lundi et vérifiée par le New York Times semble montrer un groupe de soldats ukrainiens tuant des soldats russes capturés à l'extérieur d'un village à l'ouest de Kiev. « Il est toujours en vie. Filmez ces maraudeurs. Regardez, il est toujours en vie. Il a le souffle coupé », dit un homme alors qu'un soldat russe avec une veste enfilée sur la tête, apparemment blessé, respire encore. Un soldat tire alors deux fois sur l'homme. Après que l'homme ait continué à bouger, le soldat lui tire à nouveau dessus et il s'arrête.
Au moins trois autres soldats russes apparents, dont un avec une blessure évidente à la tête qui a les mains liées derrière le dos, peuvent être vus morts près de la victime. Tous portent du camouflage et trois ont des brassards blancs couramment portés par les troupes russes. L'équipement est éparpillé autour d'eux et il y a des taches de sang près de la tête de chaque homme.
Pour chaque atrocité commise par les troupes et les milices ukrainiennes, les "renseignements" américains créeront cinq contes de fées ou plus d'"atrocités russes" que les médias, sachant bien que de telles affirmations sont probablement fausses, avaleront et répéteront.
Le seul conseil que l'on puisse donner dans une telle situation est de toujours supposer que c'est exactement le contraire de ce que prétend toute « intelligence » qui se produit réellement.
https://www.algora.com/Algora_blog/2022/04/07/u-s-intelligence-says-its-intelligence-is-bullshit
L'embargo de l'UE sur le charbon russe augmenterait les prix dans le monde entier : Kemp
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 07 AVRIL 2022 - 20:00
Par John Kemp, analyste principal du marché de l'énergie chez Reuters
Les prix à terme du charbon en Europe ont atteint un niveau record en termes réels au cours du mois dernier, les commerçants prévoyant qu'un embargo de l'UE sur les exportations russes perturbera l'approvisionnement mondial.
Les décideurs politiques de l'UE pourraient décider que des factures d'électricité et de gaz plus élevées pour les ménages et l'industrie sont le prix nécessaire pour répondre à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Mais les décisions de l'UE auront des retombées importantes pour d'autres pays importateurs de charbon en Asie, en Afrique et en Amérique latine, augmentant probablement les prix du charbon, du gaz et de l'électricité pour tous les consommateurs.
La production de charbon en Europe a chuté plus rapidement que la consommation ces dernières années, laissant la région de plus en plus dépendante des importations, en particulier de Russie, pour couvrir le déficit.
voir graph sur site -
L'Europe dépend désormais des importations pour satisfaire plus de 40 % de sa consommation de charbon, contre moins de 30 % au début du siècle, selon les données de BP ("Statistical review of world energy", 2021).
voir graph sur site -
La Russie a fourni environ 50 % des importations de charbon en 2019 et 2020, représentant plus de 20 % de la consommation totale de la région.
Les exportations de charbon de la Russie vers l'Europe étaient le troisième flux bilatéral mondial en 2019, avant la pandémie, et le cinquième en 2020, lorsque l'épidémie était à son apogée.
voir graph sur site -
Les exportations russes vers l'Europe ont représenté 6 à 7 % du commerce interrégional du charbon au cours des deux années. Si l'on inclut les exportations de la Russie vers le Japon et la Corée du Sud, les principaux alliés des États-Unis en Asie, la part passe à 10-11 %.
voir graph sur site -
En supposant que l'UE applique un embargo sur le charbon russe, elle devra augmenter considérablement les importations en provenance de Colombie, d'Afrique du Sud, d'Indonésie et d'Australie.
Cela obligerait d'autres grands importateurs de charbon, dont la Chine, le Japon, l'Inde et la Corée du Sud, à se tourner plutôt vers les approvisionnements russes. Dans la pratique, la production mondiale totale devrait chuter, la Russie et peut-être d'autres exportateurs ayant du mal à changer de destination en raison de contraintes logistiques, ce qui fait grimper les prix du charbon pour tous les consommateurs.
L'approvisionnement mondial en charbon a été limité au cours de l'année dernière, les pénuries en Chine et en Inde affectant la production d'électricité, de sorte que la perte de la production russe ou autre ne sera pas facilement absorbée sans une augmentation des prix.
RépondreSupprimerMême si cela peut être fait, le réacheminement des flux de cette manière laissera tous les pays importer des sources beaucoup plus éloignées, augmentant les tonnes-milles parcourues et augmentant les coûts de fret.
Le charbon est un produit volumineux, ce qui fait que les coûts de fret représentent déjà une part importante du prix au consommateur final, qui est susceptible d'augmenter considérablement.
La plupart du charbon est brûlé pour la production d'électricité où il est en concurrence avec des unités au gaz pour fournir à la fois la charge de base et la puissance de pointe. Les prix du gaz en Europe et en Asie se négocient déjà à des niveaux exceptionnellement élevés, les négociants anticipant une éventuelle perturbation de l'approvisionnement par pipeline de la Russie vers l'Europe.
Les prix élevés du gaz signalent la nécessité de maximiser autant que possible la production au charbon cet été afin de constituer des stocks de gaz avant l'hiver prochain.
La hausse des prix du gaz et du charbon s'alimente mutuellement et répond conjointement à la menace pesant sur les approvisionnements énergétiques russes du fait du conflit en Ukraine et des sanctions imposées en réponse.
Les prix à terme du premier mois pour le charbon livré à Rotterdam dans le nord-ouest de l'Europe se négocient déjà à 266 euros la tonne par rapport à un pic précédent corrigé de l'inflation de 174 euros en juin 2008. Les prix records du charbon garantiront que les prix du gaz resteront élevés pour accumuler des stocks et conserver prix de l'électricité à des niveaux record.
voir graph sur site -
Comme le pétrole brut, le charbon n'est qu'un produit semi-fongible - le charbon provenant de différents champs et pays varie considérablement en termes de contenu énergétique, de composés organiques volatils, de cendres et d'autres impuretés.
La plupart des groupes électrogènes sont conçus pour fonctionner efficacement avec des qualités spécifiques de charbon. Le passage à des substituts imparfaits augmentera les coûts de carburant pour tous les générateurs, augmentant ainsi les prix de l'électricité.
L'embargo sur le charbon proposé par l'UE forcera une redirection générale des flux mondiaux, augmentera les coûts des producteurs d'électricité et, en fin de compte, augmentera les factures d'électricité et de gaz des entreprises et des ménages, non seulement en Europe mais en Asie, en Afrique et en Amérique latine.
https://www.zerohedge.com/markets/eu-embargo-russian-coal-would-raise-prices-worldwide-kemp
RINO Mitt Romney se joint aux démocrates pour protéger les agresseurs d'enfants, dit qu'il votera pour Kentanji Brown Jackson pour SCOTUS
RépondreSupprimerJeudi 07 avril 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Il y a des rumeurs selon lesquelles le sénateur Mitt Romney, un bagagiste s'il en est un, ne prévoit pas de se présenter à nouveau pour son siège dans l'Utah lorsque son mandat actuel expirera après les élections de 2024.
C'est probablement à cause de sa querelle persistante avec l'ancien président Donald Trump, qui a vu clair dans son acte de BS et a refusé de le nommer secrétaire d'État. Il sait qu'il ne gagnera plus dans l'Utah rouge foncé.
Il a donc pensé qu'il brûlerait simplement ce qui restait de sa réputation au sein du GOP en sortant, probablement pour un autre concert de plusieurs millions de dollars afin qu'il puisse ajouter à sa fortune déjà substantielle.
En tant que tel, Romney a annoncé qu'il soutiendrait la nomination du juge Kentanji Brown Jackson à une nomination à vie à la Cour suprême des États-Unis, malgré le fait que, pendant son mandat de juge fédéral et de défenseur public, elle a plaidé et rendu des peines légères aux agresseurs d'enfants et aux pornographes d'enfants.
"Après avoir examiné le dossier et le témoignage de la juge Jackson, j'ai conclu qu'elle était une juriste qualifiée et une personne d'honneur. Bien que je ne m'attende pas à être d'accord avec toutes les décisions qu'elle pourrait prendre à la Cour, je crois qu'elle respecte largement les normes d'excellence et d'intégrité. Je félicite la juge Jackson pour sa confirmation attendue et j'attends avec impatience qu'elle continue de servir notre nation », a déclaré Romney dans un tweet.
Il rejoint deux autres RINO qui sont également en danger: Sens. Lisa Murkowski d'Alaska et Susan Collins du Maine (Murkowski a un challenger soutenu par Trump lors de la primaire du GOP de cette année).
« Mon soutien repose sur les qualifications du juge Jackson, que personne ne remet en question ; son indépendance judiciaire démontrée; son comportement et son tempérament; et la perspective importante qu'elle apporterait au tribunal en remplacement du juge Breyer », a déclaré Murkowski dans sa déclaration de trahison.
"Cela repose également sur mon rejet de la politisation corrosive du processus d'examen des candidats à la Cour suprême, qui, des deux côtés de l'allée, s'aggrave et se détache de plus en plus de la réalité d'année en année", a-t-elle ajouté.
Oui, d'accord, Lisa. Dites cela aux démocrates – y compris notre vice-président actuel – qui ont littéralement inventé de fausses victimes et de fausses accusations de viol contre l'actuel juge Brett Kavanaugh.
RépondreSupprimerLe soutien des trois signifie que Jackson est un shoo-in pour devenir «la première femme noire sur le plus haut tribunal du pays» – parce que c'était la seule qualification de Joe Biden, comme il l'a déclaré à maintes reprises pendant la campagne électorale en 2020 (sur les quelques fois il s'est aventuré hors de son sous-sol).
Mais ne vous y trompez pas, la clémence de Jackson pour les agresseurs et les prédateurs d'enfants est une question de dossier public et bien documentée par le sénateur Josh Hawley (R-Mo.), Qui a répertorié les différents cas dans un fil Twitter avant même le début de ses audiences de confirmation.
"J'ai recherché le dossier de la juge Ketanji Brown Jackson, lisant ses opinions, articles, interviews et discours. J'ai remarqué une tendance alarmante en ce qui concerne le traitement des délinquants sexuels par le juge Jackson, en particulier ceux qui s'attaquent aux enfants », a écrit Hawley.
«Le juge Jackson a l'habitude de laisser les délinquants pédopornographiques se tirer d'affaire pour leurs crimes épouvantables, à la fois en tant que juge et en tant que décideur politique. Elle le défend depuis la fac de droit. Cela va au-delà de "soft on crime". Je crains qu'il ne s'agisse d'un record qui mette en danger nos enfants", a-t-il ajouté.
Le sénateur Lindsey Graham (R-S.C.) a également condamné Jackson lors des audiences de confirmation.
« La directive [fédérale sur la détermination de la peine] dit que nous [allons] traiter une personne qui a distribué 1 000 [photos] bien pire, parce que cela montre que cette personne est vraiment engagée dans ce comportement vraiment horrible. Arrive Internet : sur Internet, en un clic, vous pouvez recevoir [et] distribuer des dizaines de milliers [d'images]. Vous pouvez faire cela pendant 15 minutes – et tout d'un coup, vous envisagez 30, 40, 50 ans de prison », a déclaré Jackson lors d'une audience.
"Bien, absolument bien", interrompit Graham. "J'espère que vous irez en prison pendant 50 ans si vous êtes sur Internet à la recherche d'images d'enfants exploités sexuellement. Vous voyez, vous ne pensez pas que ce soit une mauvaise chose. Je pense que c'est une chose horrible.
Les sources comprennent :
BigLeaguePolitics.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-07-rino-mitt-romney-protects-child-abusers.html
Le SOULÈVEMENT populiste mondial s'accélère alors que les peuples du monde rejettent la tyrannie, les confinements, la corruption et la perversion
RépondreSupprimerjeudi 07 avril 2022
par : Mike Adams
(Natural News) L'humanité est peut-être enfin en train de reprendre ses esprits. Bien qu'un grand nombre d'entre eux soient encore aspirés mentalement par chaque "prochaine chose" poussée par les médias d'entreprise, de plus en plus de gens se réveillent et réalisent qu'ils ont vécu sous un cartel criminel mondial toute leur vie. Ils ont atteint un "Ça suffit!" point et s'opposent maintenant activement à la tyrannie, aux blocages, à la corruption et à la perversion - qui définissent tous le cartel du crime mondialiste qui prétend être soutenu par la «démocratie».
Au Pérou, les soulèvements contre l'inflation provoqués par la planche à billets se généralisent. À Shanghai, les fermetures brutales qui ont vu les autorités assassiner les animaux de compagnie des résidents "covid-positifs" ne font qu'ajouter à un sentiment croissant de mécontentement contre un régime autoritaire.
En Amérique, les commissions scolaires perverses qui soignent les enfants sont prises en charge par des parents de bon sens qui retirent les pervers du pouvoir, et en Floride, le gouverneur DeSantis a signé une loi qui interdit le toilettage des enfants dans les écoles publiques. (Cela a amené de nombreux pervers pédophiles prétendant être des enseignants à déclarer publiquement qu'ils quitteront la Floride et déménageront à New York pour pouvoir s'attaquer aux enfants là-bas, au fait. Bon débarras !)
Partout dans le monde, les mandats de vaccination sont rejetés (comme cela vient de se produire en Allemagne), les mandats de masque sont supprimés et les gens dénoncent la corruption et la tyrannie de leurs dirigeants nationaux. Aux États-Unis, on parle maintenant ouvertement du contenu de l'ordinateur portable de Hunter Biden, un bourbier de preuves accablantes qui conduira probablement aux inculpations pénales de Hunter et de Joe Biden.
Comme je l'explique dans mon podcast (ci-dessous), Joe Biden sera mis en examen, puis il démissionnera et sera gracié par Kamala, qui sera elle-même expulsée plus tard.
Même les tyrans ne peuvent pas s'en tirer en abusant du peuple pour toujours
Après deux ans de souffrance sous le covid et maintenant que les prix du carburant et de la nourriture montent en flèche, de nombreuses personnes ont atteint leur limite d'abus. Dans les mois à venir, vous allez assister à une explosion rapide et mondiale des manifestations et des émeutes alors que les gens se déchaînent contre la corruption et la criminalité abjectes de leurs dirigeants politiques.
Naturellement, certaines personnes resteront endoctrinées sur les raisons pour lesquelles les prix des aliments et de l'énergie montent en flèche, mais pour un nombre croissant de personnes, les illusions seront brisées et elles réaliseront rapidement qu'on leur a menti pendant tout ce temps.
C'est ce moment de "réveil" qui terrifie les pouvoirs en place. C'est pourquoi ils essaient d'accélérer la famine massive, la guerre thermonucléaire et l'effondrement mondial de la monnaie fiduciaire - parce qu'ils essaient de tuer des milliards de personnes avant que ces milliards ne reviennent à la raison et ne se soulèvent contre le cartel du crime mondialiste.
Maintenant, c'est une course contre la montre : l'humanité se réveillera-t-elle assez rapidement pour abattre le cartel du crime anti-humain qui dirige actuellement le monde ? Ou l'humanité restera-t-elle dans un sommeil hypnotique pendant que les serpents du WEF et du mondialisme se glisseront dans une position d'étranglement et leur feront perdre la vie ?
RépondreSupprimerCeux qui ne se réveilleront pas seront probablement abattus par la famine, les armes biologiques vaccinales, l'effondrement économique et la violence déchaînée. Mais ceux qui se préparent à ce qui s'en vient auront de très bonnes chances de réussir la démolition planifiée de la civilisation humaine.
Ainsi, les nouvelles sont en fait très bonnes pour ceux qui se préparent. Le démantèlement du cartel mondial du crime pourrait en fait être assez rapide une fois qu'il a commencé, et le "redémarrage" de la société pourrait avoir lieu en quelques mois au lieu d'années. Nous ne savons pas avec certitude quel sera le moment, bien sûr, et le principe le plus sûr est de se préparer à la plus longue durée d'effondrement que vous pouvez vous permettre de couvrir. (Je recommande actuellement à tout le monde d'avoir au moins un an de nourriture et un moyen de commencer à cultiver sa propre nourriture immédiatement.)
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https://www.naturalnews.com/2022-04-07-global-populist-uprising-is-accelerating-against-tyranny-corruption-perversion.html
Les marchés européens paniquent alors que les chances de victoire de Le Pen aux élections présidentielles françaises augmentent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 08 AVRIL 2022 - 16:50
Avant les élections parlementaires hongroises du week-end dernier, les sondeurs prévoyaient une perte écrasante pour le premier ministre actuel détesté par l'establishment occidental/européen, le pro-Poutine Viktor Orban. Eh bien, il y a eu un glissement de terrain, mais pas dans la direction que les soi-disant experts avaient prédite (ce qui soulève la question : pourquoi les gens écoutent-ils encore les sondages après 2016, mais nous nous écartons), et dans la dernière humiliation pour Bruxelles, Orban a été re -réélu dans une énorme victoire, écrasant l'alliance de l'opposition. Donc, tous les regards sont tournés vers les élections françaises de ce week-end qui opposent l'animal de compagnie de Davos et l'ancien banquier Rotschild Emanuel Macron à la nationaliste déclarée Marine Le Pen. Ici aussi, les craintes grandissent que ce qui, jusqu'à récemment, était considéré par les enquêteurs toujours erronés comme un "fait conclu" et une victoire éclatante pour Macron, semble soudainement très fragile.
Alors que les électeurs français se rendent aux urnes dimanche, la course est soudainement grande ouverte car alors que l'avance de Macron sur Le Pen s'était rétrécie ces dernières semaines, un sondage choc publié hier par Atlas Politico a montré que Le Pen (50,5%) a désormais un léger avantage sur Macron (49,5 %).
Petit rappel : le premier tour de l'élection présidentielle française aura lieu dimanche 10 avril. Les deux candidats recueillant le plus de suffrages seront qualifiés pour le second tour de l'élection, qui aura lieu le dimanche 24 avril. Le président sortant Macron bénéficie toujours d'une confortable avance dans les sondages à plus de 25 % des intentions de vote, même si celle-ci est en baisse marginalement par rapport aux sommets de début mars. Les intentions de vote pour la candidate d'extrême droite Marine Le Pen sont passées à environ 20 % (contre environ 15 % il y a quelques semaines), la plaçant comme la candidate la plus probable face à Macron au second tour.
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Macron, qui avait cherché à se mettre au centre des efforts européens et américains pour mettre fin à la crise en Ukraine depuis la fin de l'année dernière avec des résultats lamentables jusqu'à présent, n'a commencé à faire campagne sérieusement qu'il y a environ une semaine. Le calcul était qu'il bénéficierait d'une image de pacificateur et d'homme d'État aguerri, et que sa gestion de la pandémie et un fort rebond économique suffiraient à le maintenir à l'Élysée.
Jusqu'à récemment, les sondages suggéraient que c'était vrai... mais soudain, l'impensable semble possible, et une grande raison en est l'explosion de l'inflation à travers la France. Plus à ce sujet dans une seconde.
Le problème, comme le note Bloomberg, est que la politique étrangère remporte rarement les élections en France, et une apparence de complaisance a alimenté la perception que Macron est arrogant et déconnecté - ce qui est bien sûr vrai dans les deux cas - ouvre la voie à Marine Le Pen.
Contrairement à la jet-setter de Davos qui boit du caviar, Le Pen s'est rendu compte il y a longtemps que les électeurs déjà aux prises avec des prix élevés de l'énergie et des denrées alimentaires étaient plus susceptibles de se soucier du pouvoir d'achat ou de son absence. Et donc, ce qui était un écart de 12 points entre elle et Macron s'est considérablement réduit au fur et à mesure qu'elle parcourait les villes et les villages, se présentant comme la défenseuse des "petits" contre la réputation de Macron en tant que "président des riches". Elle s'est engagée à réduire les prix de l'essence et à taxer les grandes sociétés énergétiques.
RépondreSupprimerBien sûr, ce ne sera pas la première tentative de Le Pen pour détrôner Macron. Ou deuxième. À sa troisième tentative pour décrocher le poste de chef de file en France, Le Pen est devenue un visage familier. Ses efforts pour apparaître plus traditionnels ont reçu un coup de pouce inattendu de la candidature d'Eric Zemmour, un ancien expert des médias d'extrême droite sanctionné trois fois pour discours de haine également connu sous le nom de Trump français.
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Des proches de Macron ont averti que sa victoire n'était pas assurée. « Bien sûr, Mme Le Pen peut gagner », a déclaré la semaine dernière Edouard Philippe, ancien Premier ministre du gouvernement Macron, selon Bloomberg. Mais pour que cela se produise, Le Pen devrait former une coalition de n'importe qui sauf Macron au second tour le 24 avril et les électeurs de gauche devraient s'abstenir ou voter pour elle.
Certes, une victoire de Le Pen sur Macron, le soi-disant successeur d'Angela Merkel et défenseur du projet européen, serait un choc pour l'Union européenne au même titre que la victoire de Donald Trump aux élections américaines et le vote du Brexit en 2016. Armée d'un droit de veto sur la plupart des initiatives de l'UE, elle pourrait mettre un terme brutal au bloc et pourrait effectivement signifier la fin de l'UE, l'une des principales alliances occidentales dans une victoire tonitruante pour Poutine.
Il y a un autre joker dans cette course : le leader d'extrême gauche Jean-Luc Melenchon. Lors de son troisième tir à la présidence, il interroge six points de pourcentage après Le Pen et pourrait convaincre les électeurs de gauche de se rallier à lui dimanche.
Comme le dit Bloomberg, "le soutien des électeurs pour elle signifie que l'immigration resterait au centre de son programme. Une victoire plafonnerait l'extrême droite en France, orientant le pays sur une voie nationaliste et nativiste".
Dans tous les cas, même si Le Pen ne réussit pas, Macron gagnerait avec une marge beaucoup plus faible que la dernière fois que les deux se sont affrontés en 2017. Le nationaliste sortirait renforcé dans l'un ou l'autre résultat tandis que Macron serait laissé avec un mandat faible qui pourrait rendre difficile la mise en œuvre de ses réformes économiques et sociales, en fonction du résultat des élections législatives prévues en juin.
Cela dit, une victoire serait un exploit étonnant pour la femme de 53 ans : il a fallu un an à Le Pen pour se remettre de sa défaite face à Macron en 2017, mais elle a tenu bon et s'est tournée vers Viktor Orban, qui vient de remporter un quatrième match consécutif. terme en tant que Premier ministre en Hongrie, et Matteo Salvini en Italie pour l'inspiration.
RépondreSupprimerElle a changé le nom de son parti pour paraître moins agressive et a également intensifié une stratégie pour adoucir son image, partageant des histoires personnelles sur sa vie de mère célibataire avec trois enfants et ses chats du Bengale. Elle a abandonné un plan visant à interdire la double nationalité - une carte de visite de l'extrême droite - et a désavoué le président russe Vladimir Poutine après son invasion de l'Ukraine.
"Elle a fait des progrès, elle s'est ouverte aux autres et écoute les critiques", a déclaré Robert Ménard, le maire de Béziers, qui la soutient et lui parle une fois par semaine. "Avant, on ne se parlait pas, on se disputait juste."
Le Pen se concentre sur la protection sociale depuis qu'elle a pris la tête du parti de son père en 2011, rapprochant essentiellement le mouvement qui était économiquement libéral dans les années 1980 plus près de la gauche, attirant de plus en plus les personnes les moins aisées et la jeune classe ouvrière.
Le 10 mars, Le Pen s'est présentée comme la candidate des "petits" contre les "grands" dans la région la plus pauvre du Nord de la France, reprochant à Macron de "tout donner aux grandes entreprises". Elle a également promis que les prix de l'essence baisseraient si elle était élue – un problème clé pour les électeurs des zones rurales qui dépendent de leur voiture – avec des réductions d'impôts sur le carburant et de nouvelles taxes sur les majors pétrolières.
En revanche, le programme de Zemmour vire plus à droite. Il souhaite que les Français prennent leur retraite plus tard, réduisent les aides sociales et baissent les impôts des entreprises et des propriétaires fonciers. Mais en fin de compte, ses partisans soutiendront probablement Le Pen dans un second tour contre Macron, selon une analyse de Gilles Ivaldi, chercheur à Sciences Po.
"En poussant un programme social-populiste bien avant la guerre et en augmentant sa rhétorique après l'invasion, Le Pen joue", a écrit Ivaldi dans un récent article d'opinion. "Jusqu'à présent, les sondages semblent lui donner raison."
En effet, ils le sont, et le marché commence à paniquer : les détenteurs de la dette française l'ont abandonnée avant ce qui pourrait être un choc ce week-end, poussant les rendements de référence jusqu'à 1,25 %, un niveau observé pour la dernière fois en 2015. Cela a porté l'écart par rapport à leurs équivalents allemands – une mesure de la perception du risque des investisseurs – au plus large depuis mars 2020, le début de la pandémie.
Conformément à l'évolution des sondages, une nouvelle prime de risque électoral a été évaluée pour tous les actifs au cours de cette semaine. Selon nous, l'élection présidentielle française a plus d'implications européennes que nationales.
RépondreSupprimerDans une note donnant un aperçu des élections françaises, le stratège de Goldman Peter Oppenheimer (note disponible pour les abonnés pro), écrit que, conformément à l'évolution des sondages, une nouvelle prime de risque électorale a été évaluée sur tous les actifs au cours de cette semaine alors que "l'élection présidentielle française a plus d'implications européennes que nationales."
Comme le détaille Oppenheimer, « depuis l'invasion de l'Ukraine par les forces russes, les actions et les spreads souverains périphériques ont résisté malgré la détérioration du mix croissance/taux et la réévaluation des politiques monétaires plus strictes. Une partie de cette résilience réside probablement dans la croissance rapide et homogène réponse des dirigeants européens en termes de politiques diplomatiques et fiscales, le président Macron étant un acteur clé dans les propositions pour une intégration plus poussée à l'UE."
Mais un changement de présidence française ou une augmentation des chances d'une victoire de Le Pen est susceptible de déclencher des tensions sur les marchés, repoussant certains risques souverains au premier plan et augmentant la prime de risque des actions.
Si Le Pen devait être élu, Goldman s'attend à ce que les OAT-Bunds 10 ans atterrissent à 60-75 pb, les BTP-Bunds 10 ans à 180-210 pb et l'EUR/USD se négocie 2 % plus bas. Dans l'espace actions, la prime de risque pourrait augmenter de 30pb, ce qui implique une baisse de 7% du prix du SXXP. Cela correspond à ce que le marché des dérivés sur actions évalue actuellement.
Quoi qu'il en soit, à 2 jours de la fin, le président Macron bénéficie toujours d'une modeste avance dans la plupart des sondages, à quelques exceptions près, à plus de 25 % des intentions de vote, même si cela a légèrement diminué par rapport aux sommets de début mars (graphique 1, la gauche). Les récents sondages confirment également que les deux prochains prétendants en tête sont la candidate d'extrême droite Marine Le Pen (Rassemblement National) et le candidat d'extrême gauche Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise). En France, les sondages aussi proches des élections ont eu tendance à être relativement précis, avec des erreurs de sondage moyennes diminuant de près de 1 pp quinze jours avant le premier tour, et une revanche du concours de 2017 entre Macron et Le Pen semble donc très probable (graphique 1, à droite).
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Là où les choses deviennent fragiles, c'est que les sondages du second tour ont récemment montré que l'avance du président Macron sur Mme Le Pen se rétrécissait à des niveaux historiquement bas. Bien que les marchés des prévisions prévoient toujours une victoire du président Macron, ils ont revu les cotes de Mme Le Pen à 20 % contre 5 %.
RépondreSupprimerÀ cet égard, Goldman soutient que le principal risque découle du taux de participation des électeurs modérés. Dans un exercice simple, en supposant que les électeurs de Zemmour votent majoritairement pour Le Pen et que les électeurs de Pécresse sont également divisés sur le soutien à Le Pen, Macron et l'abstention au second tour. En faisant varier le taux de participation parmi les électeurs de gauche au second tour (c'est-à-dire ceux qui ont voté pour M. Mélenchon, Hidalgo ou Jadot au premier tour), Goldman constate que 60 % des électeurs de gauche au 1er tour devraient s'abstenir pour Le Pen pour être élu président si l'extrême gauche devait se diviser à parts égales entre Macron et Le Pen (pièce 2, à gauche).
À ce titre, la banque surveillera attentivement (i) les directives de vote des candidats non retenus, le cas échéant, et (ii) les sous-sondages indiquant les intentions de vote au 2e tour sous réserve du vote au 1er tour. Nous chercherons également des personnalités publiques majeures - y compris d'anciens présidents et premiers ministres - pour persuader les abstentionnistes du 1er tour et les électeurs dont les candidats n'ont pas avancé de se regrouper derrière le candidat majoritaire (probablement M. Macron) afin de former le soi-disant Front Républicain.
https://www.zerohedge.com/markets/european-markets-freak-out-odds-le-pen-victory-french-presidential-elections-jump
L'avortement légalisé jusqu'au moment de la naissance au Colorado
RépondreSupprimerJeudi 07 avril 2022
par : Cassie B.
(Natural News) Au Colorado, il est désormais légal de tuer un bébé dans l'utérus à tout moment de la grossesse, jusqu'au moment de la naissance du bébé.
Cette semaine, le gouverneur démocrate Jared Polis a signé un nouveau projet de loi déclarant qu'il est désormais illégal dans l'État de "nier, restreindre, entraver ou discriminer le droit fondamental d'un individu d'utiliser ou de refuser la contraception ou de poursuivre une grossesse et d'accoucher". ou de se faire avorter.
Il poursuit en ajoutant qu'"un ovule, un embryon ou un fœtus fécondé n'a pas de droits indépendants ou dérivés en vertu des lois de l'État".
La loi empêche également les entités publiques de restreindre les avortements en raison de "l'impact potentiel, réel ou perçu sur la grossesse, les résultats de la grossesse ou la santé de la personne enceinte".
Le gouverneur a noté que bien que la loi ne modifie pas réellement le cadre juridique actuel, elle maintient le statu quo, peu importe ce qui se passe au niveau fédéral dans les décisions futures.
Outre les préoccupations les plus évidentes concernant le projet de loi autorisant le meurtre de bébés, son manque de protection de la conscience est très inquiétant car cela peut signifier que les professionnels de la santé seront essentiellement obligés de pratiquer ou de participer à des avortements.
Le président du groupe de réflexion du Centennial Institute, Jeff Hunt, a écrit sur Twitter: «Cela restera comme l'un des pires jours de l'histoire du Colorado. Les pro-avortement de la capitale du Colorado ont scellé le sort d'innombrables vies.
La signature du projet de loi intervient juste avant une décision de la Cour suprême des États-Unis dans l'affaire Dobbs contre Jackson Women's Health Organization. Une décision est attendue en juin qui pourrait renverser Roe contre Wade, qui a légalisé l'avortement dans tout le pays. La nouvelle loi du Colorado aborde même la décision à venir, déclarant : « L'accès à l'avortement et aux soins de santé reproductive est actuellement attaqué dans tout le pays. Des affaires judiciaires fédérales imminentes, notamment Dobbs c. Jackson Women's Health Organization,… compromettent l'accès aux soins d'avortement légaux pour des dizaines de millions de personnes, en particulier celles qui vivent dans la plupart des États du Sud et du Midwest.
Alors que certains États étendent les avortements, d'autres les limitent
RépondreSupprimerDes États républicains tels que la Floride, l'Arizona et le Wyoming cherchent à limiter ou à interdire les avortements si Roe v Wade est annulé, tandis que les démocrates passent à l'offensive et tentent d'étendre l'avortement. En février, un projet de loi pro-avortement a été proposé en Californie qui légaliserait l'infanticide pendant des semaines, des mois ou des années après la naissance d'un enfant.
En 2019, Andrew Cuomo, qui était alors gouverneur de New York, a signé une loi codifiant le droit à l'avortement et supprimant les protections des enfants à naître en cas d'annulation de Roe v Wade.
En revanche, l'Idaho a récemment signé une interdiction de l'avortement de six semaines dans la loi dans le premier projet de loi du genre à être promulgué cette année sur le modèle d'une loi controversée du Texas. La loi de l'Idaho stipule que les avortements ne peuvent pas être pratiqués une fois qu'une activité cardiaque embryonnaire ou fœtale a été détectée, et elle permet même au membre de la famille du fœtus d'intenter une action en justice contre un prestataire médical qui pratique l'avortement. Des exceptions seront cependant faites pour le viol, l'inceste et les urgences médicales.
L'AB 2223 stipule qu'une "personne ne peut être passible d'une responsabilité ou d'une sanction civile ou pénale, ou autrement privée de ses droits, en raison de ses actions ou omissions concernant sa grossesse ou l'issue réelle, potentielle ou présumée de sa grossesse, y compris une fausse couche, mortinaissance, ou avortement, ou mort périnatale.
Le Texas Heartbeat Act de l'année dernière interdisait l'avortement une fois qu'il y avait un battement de coeur détectable, ce qui pouvait avoir lieu dès la sixième semaine de grossesse.
Les sources de cet article incluent :
LifeSiteNews.com
FoxNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-07-abortion-legalized-moment-of-birth-in-colorado.html
100 millions de personnes affamées en plus
RépondreSupprimer8 Avril 2022
Willi l'agriculteur*
Le Manager-Magazin a réalisé une interview avec le professeur Matin Qaim sur la situation alimentaire actuelle et future. Il est directeur du Centre de Recherches pour le Développement (ZEF) de l'Université de Bonn.
Voici les principales déclarations :
L'arrêt des exportations russes touche déjà les pays du Moyen-Orient.
Les quantités manquantes en provenance de Russie et d'Ukraine ne peuvent pas être remplacées facilement, d'autant plus que les engrais font défaut dans le monde entier.
La Chine et l'Inde ont des stocks de céréales auxquelles on pourrait faire appel maintenant.
Les marchés à terme de marchandises sont importants pour le fonctionnement des marchés, mais il faut empêcher la spéculation purement financière.
À court terme, il n'est pas possible de mettre fin à l'utilisation des céréales dans l'alimentation animale ; à moyen terme, une diminution de la consommation de viande permettrait de libérer davantage de fourrage pour une utilisation dans l'alimentation humaine.
Ne plus produire de bioénergie (biogaz, bioéthanol, biodiesel). Au niveau mondial, c'est un levier important.
Ne pas développer l'agriculture biologique, car elle est inefficace et sans effet positif pour la protection du climat.
L'édition du génome peut aider à accélérer le succès de l'amélioration des plantes.
______________
Source : 100 Millionen Hungernde mehr - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2022/04/100-millions-de-personnes-affamees-en-plus.html
La Finlande frappée par des cyberattaques, une violation de l'espace aérien, au moment où Zelensky s'est adressé au Parlement
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 08 AVRIL 2022 - 19:05
La Finlande a été frappée vendredi par des cyberattaques visant des sites gouvernementaux au moment même où le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'adressait au Parlement finlandais. Le dirigeant ukrainien a régulièrement prononcé des discours officiels devant des organes législatifs à travers l'Occident et le monde, demandant de toute urgence une assistance militaire et humanitaire supplémentaire à sa nation assiégée.
L'attaque a touché à la fois le site Web du ministère de la Défense et le site du ministère des Affaires étrangères, ce dernier qui a précisé plus tard qu'il s'agissait d'une attaque par déni de service, notant que le problème a depuis été résolu.
Via Reuters
Le ministère de la Défense a publié plus tôt un tweet urgent disant que son site Web subissait et attaquait et devrait fermer jusqu'à ce que les choses soient résolues.
Les attaques sont soupçonnées de provenir de Russie, compte tenu également des informations selon lesquelles un avion du gouvernement russe pourrait avoir violé l'espace aérien finlandais vendredi, selon Bloomberg.
Selon les détails des médias finlandais :
Un avion de la flotte gouvernementale russe est soupçonné d'avoir violé l'espace aérien finlandais dans le golfe de Finlande au large de Porvoo vendredi matin. Selon le ministère de la Défense, la violation présumée de l'espace aérien par un IL-96-300 a duré trois minutes.
Le bureau des communications du ministère a déclaré à Yle qu'il s'agissait de la première violation du territoire finlandais cette année. La violation la plus récente de l'espace aérien finlandais par un avion russe remonte à juillet 2020.
Le ministre de la Défense Antti Kaikkonen a par la suite déclaré sur Twitter : « Notre capacité de surveillance territoriale est bonne et nous détectons toutes les violations territoriales et sommes en mesure d'y répondre efficacement.
La cyberattaque signalée s'est produite lorsque Zelensky s'est adressé aux législateurs finlandais, condamnant les atrocités qui, selon lui, ont été intentionnellement perpétrées par les forces russes :
Tout cela est considéré comme un "message" de Moscou, compte tenu également des rapports cette semaine selon lesquels la Finlande envisage maintenant de demander son adhésion à l'OTAN. Il y a quelques jours, la Première ministre finlandaise Sanna Marin a déclaré : « La Russie n'est pas le voisin que nous pensions qu'elle était », et a qualifié l'assaut continu de Moscou contre l'Ukraine de « violation flagrante ».
RépondreSupprimerUn rapport de vendredi dans Axios a suggéré que les candidatures à l'OTAN des pays neutres que sont la Finlande et la Suède pourraient être "imminentes".
Vendredi, lors de l'allocution virtuelle du dirigeant ukrainien, le ministère finlandais des Affaires étrangères a tweeté : "Le président Zelensky a prononcé aujourd'hui un discours historique devant le Parlement", et a ajouté : "La Finlande soutient fermement l'Ukraine dans ses efforts pour défendre la liberté et la démocratie".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/finland-hit-cyberattacks-airspace-breach-moment-zelensky-addressed-parliament
N'OUBLIEZ-PAS que bientôt votre argent sera... électrique !
SupprimerHOULALA !
Et, âh bêh çà alors... tous les comptes bancaires sont vides !!!!
HAHAHAHA !
Et... vous avez des billets (cachés ! sous le matelas) ? On ne les prend plus ! C'est aujourd'hui l'argent électrique !
Oui mais... J'ai de l'or ! De l'or ? Hahaha ! On ne le prend plus ! C'est aujourd'hui de l'argent électrique !
Un ancien banquier de Goldman reconnu coupable de fraude et de blanchiment d'argent dans l'affaire 1MDB
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 08 AVRIL 2022 - 18:29
Appeler Lloyd Blankfein (où qu'il soit)... le banquier relativement junior de Goldman Roger Ng, ancien responsable de l'activité de banque d'investissement de Goldman en Malaisie, a été reconnu coupable des trois chefs d'accusation à l'issue d'un procès d'une semaine devant un palais de justice fédéral à Brooklyn .
Plus précisément, Ng a été accusé de deux chefs de complot en vue de violer la loi sur les pratiques de corruption à l'étranger et d'un chef de complot en vue de blanchir de l'argent.
Il risque maintenant jusqu'à 30 ans de prison lors de sa condamnation, rapporte Bloomberg.
Ng a été reconnu coupable après que son ancien patron, Tim Leissner, ait conclu un accord avec les procureurs pour transformer les preuves des États. Malgré un vaillant effort de l'équipe de défense de Ng, qui comprenait la révélation de la complicité jusqu'au cou de Leissner dans le stratagème, et son rôle de cerveau des transactions obligataires 1MDB qui ont rapporté à Goldman des centaines de millions de dollars de frais, tout en semant 1MDB avec des milliards de dollars - de l'argent qui était censé être utilisé pour des travaux publics, mais qui a été détourné par l'ancien Premier ministre Najib Razak et son entourage (y compris le cerveau Jho Low, qui reste un fugitif de la justice et qui se cacherait en Chine). L'argent a finalement été utilisé comme une caisse noire politique pour acheter des votes pour la réélection de Razak, tandis que Low a également volé des milliards et l'a utilisé pour organiser des fêtes somptueuses, offrir à des célébrités (dont le mannequin Miranda Kerr) des bijoux fabuleux, acheter des yachts de luxe et de vrais- immobilier et financer le tournage du film de Martin Scorsese "Le Loup de Wall Street".
Au cours du procès, Leissner (ayant déjà plaidé coupable à des accusations de pots-de-vin et de corruption) est apparu comme le témoin vedette de l'accusation. Il a été accusé par la défense d'être un "double bigame" (il aurait été marié à deux femmes différentes en même temps, deux fois). Et il a également été exposé pour s'être fait passer pour son ex-femme dans des courriels envoyés à sa nouvelle épouse, Kimora Lee Simons (l'ex de Russell Simmons, le fondateur de Def Jam) pour la convaincre qu'ils n'étaient plus mariés.
Un élément clé de l'affaire du FBI était un graphique montrant que Leissner avait envoyé 35 millions de dollars sur les 60 millions de dollars de pots-de-vin que le banquier avait reçus à une société écran contrôlée par la femme de Ng. Le FBI a déclaré qu'elle avait dépensé plus tard 300 000 dollars pour des bijoux en diamants et 20 000 dollars pour un sablier en or. L'épouse de Ng a témoigné au procès que l'argent était en fait le produit d'un investissement que le couple avait fait en Chine, bien qu'elle n'ait pas produit de documents pour étayer cette affirmation.
Il y a près de deux ans, Goldman a admis qu'il avait conspiré pour violer les lois anti-corruption et son unité malaisienne a plaidé coupable à des accusations criminelles - étonnamment, cela a marqué le tout premier plaidoyer de culpabilité pour l'entreprise, qui a été fondée en 1869. La banque a payé plus de 2,9 milliards de dollars d'amendes en conséquence, la plus grande sanction de ce type dans l'histoire des États-Unis. Jusqu'à présent, il a payé plus de 5 milliards de dollars dans le monde pour son rôle dans le programme.
RépondreSupprimerDe retour en Malaisie, les conséquences du stratagème continuent de se faire sentir. L'ancien Premier ministre Razak est libre dans l'attente de l'appel, mais il a été condamné et risque 12 ans de prison s'il perd son appel. Pendant ce temps, le ministre malaisien des Finances a déclaré le mois dernier que le pays manquait encore de 4 milliards de dollars pour rembourser les dettes liées à 1MDB.
Bien qu'aucun cadre supérieur de Goldman n'ait été impliqué dans le stratagème, Blankfein et l'ancien président de Goldman, Gary Cohn, ont vu une partie de leur bonus récupéré par la banque (bien que Cohn ait réussi à retenir une partie de son argent de la récupération). Blankfein aurait rencontré directement Low pendant que Goldman poursuivait les accords, malgré les multiples drapeaux rouges soulevés par le service de conformité de la banque et Ng lui-même.
Malheureusement, le fait qu'il ait soulevé des inquiétudes au sujet de l'accord d'obligations n'a pas suffi à le tirer d'affaire.
https://www.zerohedge.com/markets/former-goldman-banker-guilty-fraud-and-money-laundering-1mdb-case
Sing-sing (N-Y) ou Alcatraz (SF) ? Noooon ! Bermudes ou Bahamas !
SupprimerHahaha !
Le Conseil d'éthique allemand condamne les médias pour avoir menti tout au long de la pandémie
RépondreSupprimerVendredi 08 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les médias contrôlés par les grandes entreprises ont été pleinement complices de la perpétuation des mensonges plandémiques du coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui ont été utilisés pour tyranniser la planète sous le fascisme médical, suggère le Conseil d'éthique allemand (GEC).
Dans un projet de rapport de 161 pages intitulé "Vulnérabilité et résilience en cas de crise - Éthique, critères de décision en cas de pandémie" publié le 4 avril, le GEC critique le manque de reportages critiques des "médias de masse" sur la pandémie.
"Les développements indésirables évidents n'ont guère été abordés avec la clarté nécessaire par un journalisme qui se considérait comme" constructif "ou" sensible au bien commun "", lit-on dans le document.
"Les reportages des médias de masse qui sont trop affirmatifs ou à sens unique ne parviennent pas à stimuler la formation d'opinions... La critique n'est pas seulement légitime, elle est nécessaire."
Le document a été initialement publié en allemand mais traduit par The Exposé (Royaume-Uni) en anglais. Vous pouvez le lire par vous-même sur le site Web de l'Exposé.
La section 4, sous-section 4.2 du document, intitulée « Des institutions et des processus fiables et robustes de démocratie et de participation politique », détaille davantage la complicité des médias de masse dans le stratagème de tromperie. (Connexe: les puissances étrangères étaient également complices.)
"La pandémie nécessite en permanence des décisions d'équilibrage complexes", déclare-t-il. « De telles décisions de pesée sont en fin de compte de nature politique. Cependant, ils ne sont pas nécessairement basés uniquement sur des informations factuelles bien fondées fournies par une expertise en sciences naturelles ou sociales.
"Parce qu'elles affectent également dans une large mesure les biens et les options moralement et juridiquement pertinents, ces décisions de pesée doivent également s'appuyer sur des critères juridiques et éthiques."
La critique du gouvernement est à la fois légitime et nécessaire dans une société libre
À aucun moment du processus, le public n'a été autorisé à contribuer à l'une ou l'autre des décisions qui étaient prises. Tout est venu directement du sommet, et les médias ont facilité cela.
Les fermetures ont également empêché les gens de se rassembler comme ils le feraient normalement pour discuter de la question en personne et éventuellement trouver des solutions. C'était à dessein de rompre le contrat social et de garder tout le monde isolé et dans l'obscurité.
RépondreSupprimer« Tous les processus décisionnels des institutions de l'État reposent en définitive sur les ressources de la société civile, sur une culture politique libre et une socialisation politique éclairée, avant tout sur les initiatives des associations qui forment l'opinion », rapporte l'Exposé.
«Pendant la pandémie, de nombreuses occasions et lieux habituels où une communication plus délibérative pourrait avoir lieu n'ont pas pu être accessibles en raison des restrictions imposées à la société en réponse à la pandémie de Covid, des restrictions de contact et de mobilité applicables. Compte tenu de ces limites, la fonction non seulement des médias sociaux mais aussi celle des médias de masse pour la délibération politique est d'autant plus importante.
Au lieu du processus normal de liaison sociale, les médias ont été insérés pour prendre sa place et former le récit pour les gens, plutôt que ces personnes formant leurs propres croyances basées sur des faits et une pensée critique.
Malheureusement pour le monde, les médias nous ont nourris de mensonges tout en évitant les sujets litigieux qui auraient pu amener au moins certaines personnes à réfléchir à la question.
"La crise et l'état d'urgence ne doivent pas être utilisés comme une occasion de renoncer au journalisme critique", lit un article d'opinion de Neues Deutschland qui est d'accord avec les affirmations du GEC.
« Parce que c'est quand il est requis ! Il doit montrer les conflits politiques et sociaux qui sont sous la « priorité de combattre une pandémie », mais qui risquent d'être oubliés. Garder vivante la conscience des contradictions et leur offrir un forum serait une tâche pédagogique au milieu de toute l'agitation médiatique.
Dans le document du GEC, il est en outre souligné que la critique de la politique gouvernementale est non seulement légitime mais nécessaire, en particulier dans le contexte d'une société supposée libre.
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyExpose.fr
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-08-german-ethics-council-condemns-media-lying-plandemic.html
L'analyse des données du VAERS révèle que de nombreux nouveaux problèmes de santé sont causés par les "vaccins" covid
RépondreSupprimervendredi 08 avril 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Une analyse du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain a révélé que les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) provoquent une variété encore plus grande de problèmes de santé qu’on ne le pensait auparavant.
Plus d'un million de rapports de divers problèmes de santé ont inondé le VAERS depuis fin 2020, tout comme plus de 21 000 rapports de décès causés par les injections. Les "experts" et les responsables de la santé publique continuent de les minimiser, mais ils commencent vraiment à monter.
L'affirmation est que le simple fait qu'une personne développe une maladie grave à vie ou décède immédiatement après avoir reçu une injection d'une aiguille Fauci Flu ne signifie pas nécessairement que l'injection l'a provoquée. La biologique computationnelle Jessica Rose, cependant, révèle le contraire.
« Les signaux de sécurité lancés dans le VAERS sont désormais hors normes dans tous les domaines », a déclaré Rose à Epoch Times.
Rose a utilisé diverses méthodes d'analyse de données pour déterminer quels cas de blessures et de décès étaient causals par rapport aux coups et lesquels n'étaient que des corollaires. Cela a permis de s'assurer que ses conclusions sont exactes.
« Par exemple, les vaccins se présentent généralement en deux doses », a rapporté le Times. « Un événement indésirable aléatoire non lié au vaccin doit être indépendant de la dose. Un accident vasculaire cérébral coïncidant au hasard avec une vaccination ne devrait pas être pointilleux quant à la dose dont il s'agissait.
"Dans les données du VAERS, cependant, un certain nombre de problèmes signalés dépendent de la dose."
Depuis que les coups de covid ont été introduits, les rapports de blessures et de décès du VAERS ont monté en flèche
Un autre exemple est la myocardite chez les adolescents. Le taux de signalement de cette blessure particulière est plusieurs fois plus élevé après la deuxième dose par rapport à la première dose, ce qui indique qu'elle est causale et non corrélative.
La médecine traditionnelle a déjà cédé au fait que, oui, les injections de la grippe de Wuhan augmentent le risque de myocardite et d'autres problèmes cardiaques chez les adolescents, et en particulier chez les adolescents.
Ils affirment que le risque est encore "faible", mais les données du VAERS semblent raconter une histoire différente. Nous constatons que non seulement les problèmes cardiaques sont extrêmement courants après l'injection, mais aussi les évanouissements, les étourdissements et d'autres problèmes.
RépondreSupprimerSi une analyse statistique comme celle que Rose a faite n'est pas forcément définitive, elle éclaire un phénomène que beaucoup remarquent, mais que les « experts » refusent de reconnaître ou d'accepter.
Depuis que les tirs ont été introduits par Donald Trump dans le cadre de l'opération Warp Speed, le VAERS a été inondé de rapports de blessures graves et de décès parmi des groupes démographiques qui ne sont généralement pas sujets à des problèmes de santé.
Les jeunes semblent être plus blessés que les personnes âgées par les injections. Il y a aussi beaucoup plus de rapports déposés dans VAERS par opposition à avant 2020 lorsque les jabs n'existaient pas encore.
"Au lieu de pouvoir expliquer ce qui se passe pour une autre raison, cela satisfait assez bien le point dose-réponse, à mon avis", déclare Rose à propos de l'augmentation substantielle des événements indésirables signalés au VAERS, en particulier après la deuxième dose de un coup de feu.
Rose a examiné les données du point de vue des critères de Bradford Hill, qui comprennent un ensemble de neuf questions que les épidémiologistes utilisent pour déterminer la cause probable d'un effet observé sur la santé. Elle dit avoir trouvé des preuves pour répondre positivement aux neuf questions.
Rose a tenté à plusieurs reprises de publier ses découvertes, mais s'est heurtée à une résistance au sein des cercles «scientifiques» établis. L'année dernière, juste avant la publication prévue d'un de ses articles sur la myocardite VAERS, l'éditeur l'a retiré à la dernière minute pour des raisons qui restent inconnues.
"La vraie science, enfin", a écrit quelqu'un au Times à propos du travail de Rose.
La dernière couverture médiatique sur les vaccins contre la grippe Fauci peut être trouvée sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-08-vaers-data-numerous-health-problems-covid-vaccines.html
Les 8 principales raisons pour lesquelles les jeunes enfants sont mieux SANS masque contre le virus de Wuhan sur leur visage
RépondreSupprimerFriday, April 08, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) L'Amérique est toujours attaquée par le régime de réduction de la population (PRR) qui gère actuellement Washington DC, le CDC et la FDA. Sous couvert de contrôle des maladies, le gouvernement fédéral a promulgué des règles, des mandats et des réglementations de tyrannie médicale qui appliquent pratiquement les masques et les vaccins Covid sous la menace d'une arme.
Le PRR a la mainmise sur les hôpitaux, les écoles, presque toutes les entreprises, l'industrie du voyage et, bien sûr, le complexe des médias de masse. Maintenant, plus de deux ans après le début de la «pandémie» et entrant dans la phase endémique, plusieurs gouvernements dirigés par des fascistes en Amérique imposent TOUJOURS des masques pour les jeunes enfants, même les tout-petits.
C'est de la fumée et des miroirs, et de la publicité gratuite, pour une fausse pandémie destinée à "inoculer" tout le monde avec des injections mortelles d'ARNm et de protéine de pointe. C'est le «jeu final» actuel, et les moyens de justifier ces fins sont basés sur le fait que tout le monde porte des masques privant d'oxygène toute la journée, y compris les enfants, les tout-petits (pour lesquels New York vient de rétablir le leur), les nourrissons et les femmes enceintes.
Les masques contre le virus de Wuhan engendrent des bactéries, transportent des germes, incubent des particules virales, privent le porteur d'oxygène et provoquent un brouillard cérébral perpétuel
L'un des moyens les plus rapides de transformer l'Amérique en gouffre communiste est d'asservir la population avec des distractions absurdes, des règles insensées, des aliments toxiques et des médicaments chimiques. Le fluorure dans l'eau du robinet abaisse le QI humain de plusieurs points, aidant la population à croire en la fausse science, aux fausses nouvelles et aux «vaccins» de sauvetage en cas de pandémie. Les masques Covid aident également à maintenir la population muette, confuse, oublieuse et incapable de penser de manière critique à ce qui arrive à sa santé, alors qu'elle succombe aux «mandats» des masques, à la distanciation sociale et aux «vaccinations» implacables.
Les enfants à l'école à tous les niveaux, y compris le collège, le collège, l'école primaire, la maternelle et les garderies à travers le pays, sont soumis à l'aspiration de leur propre oxygène expiré toute la journée, respirant au moins 20 % de dioxyde de carbone, et donc lent- empoisonnant leur corps et leur cerveau un peu plus chaque jour.
Les 8 principales raisons pour lesquelles les jeunes enfants se portent mieux SANS masque contre le virus de Wuhan
RépondreSupprimerLes enfants touchent constamment leur masque, l'ajustent, le tirent vers le bas et le remontent, mélangés avec tout le reste toute la journée, y compris les autres enfants, les matériaux partagés, le sol, les poignées d'évier, les poignées de porte et plus encore.
Les enfants déposent leur masque par terre, puis le remettent.
Les masques piègent les bactéries dans la bouche, la gorge et les poumons, entraînant des infections bactériennes.
Les masques limitent l'apport d'oxygène jusqu'à 20 %, limitant le flux vital d'oxygène et de nutriments vers toutes les parties du corps, diminuant ainsi la fonction du système immunitaire.
Les masques offrent un faux sentiment de sécurité car ils ne fonctionnent pas vraiment pour empêcher les particules virales microscopiques de s'échapper et d'entrer dans la bouche et le nez, et vos yeux peuvent facilement détecter le virus de toute façon.
Le manque de débit d'oxygène approprié provoque une réflexion compromise, un brouillard cérébral, de l'anxiété et une diminution définitive de l'apprentissage, comme le prouve la recherche. Si vous souffrez déjà d'asthme, une utilisation prolongée peut provoquer une anxiété extrême et des crises de panique.
De nombreux enfants portent le masque sur leur bouche mais sous leur nez, ce qui le rend complètement inutile.
La plupart des masques ne s'adaptent même pas correctement au visage d'un enfant, laissant des ouvertures tout autour de la bouche, du nez et du menton, ce qui le rend complètement inutile.
Les masques Covid, y compris les masques chirurgicaux bon marché et N95 faits maison, peuvent restreindre la respiration jusqu'à VINGT POUR CENT, entraînant des lésions pulmonaires et une détresse respiratoire
Bien sûr, les masques sont destinés à filtrer la salive et les particules afin que les gens ne transmettent pas de maladies infectieuses, mais le compromis pour cette réduction MINEURE signifie tomber gravement malade.
Vous avez des étourdissements et des étourdissements constants ? Ce sont des symptômes pouvant aller jusqu'à VINGT POUR CENT de réduction de l'apport en oxygène. Sur la base des mesures de masque et de la littérature rassemblées et analysées par des chercheurs de Stanford, les masques COVID, portés plusieurs heures par jour, peuvent endommager les poumons, entraînant une détresse respiratoire, une tension cardiaque et d'autres situations potentiellement mortelles.
Ensuite, vous avez les injections de thérapie génique qui provoquent des battements cardiaques irréguliers et des caillots sanguins, et c'est pourquoi le taux de mortalité a grimpé en flèche parmi les vaccinés au cours de la dernière année.
Restez à l'écoute et restez glacial. Réglez votre Internet sur Censored.news pour obtenir d'énormes informations sur la vérité sur les masques Covid privant d'oxygène et les boosters Covid mortels qui sont censurés par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Sources for this article include:
NaturalNews.com
TheGatewayPundit.com
News.stanford.edu
https://www.naturalnews.com/2022-04-08-top-8-reasons-children-better-off-without-mask.html
IL N'EXISTE PAS DE MASQUE 'ANTI VIRUS' ou 'ANTI MICROBES' !
SupprimerAlors que le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!!
- Avec ou sans masque, nous respirons toutes & tous 200 000 virus ou microbes par minute. Les virus sont des poussières nanométriques (émises continuellement par le magma), tandis que les microbes, eux, apportent des maladies.
Car, il faut partir du principe que nous respirons toutes & tous 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE et donc DES milliards depuis ce matin et des milliards de trains de milliards depuis notre naissance..? et NOUS NE SOMMES PAS MORTS !!
dimanche 27 décembre 2020
Intervention Dr Astrid Stuckelberger- De l'efficacité des tests PCR pour le Covid-19
Regards croisés avec Astrid Stuckelberger, docteure en santé publique qui se montre critique envers ces tests, et Manuel Schibler, médecin et virologue qui s'assure du bon usage des tests aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).
Audio:
3:42 Le virus n'a jamais été isolé.
5:32 (Islande) 290 mutation de ce génome (RNA)
7:50 Test PCR (12:40 Jusqu'à 25 et non 30 ou 40)
9:59 On parle de millions, de milliards de virus détectés
https://www.youtube.com/watch?v=iveKqLNYUb
Dr Astrid Stuckelberger - Tests PCR et cycles d'amplification (Conférence)
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=ZJWbhWb51ew
LE DANGER DES MASQUES
SupprimerVendredi 6 novembre 2020
Sachant que les masques NE SERVENT A RIEN d'autre qu'à TUER (tôt ou tard) la personne qui le porte, car son maillage de trois microns n'EMPÊCHENT PAS les microbes (corona de 0,1 à 0,5 µ) de passer et, de plus il empêche 30 % de l'oxygène d'être inspiré ! (ce qui cause des maux de tête et des pertes de mémoire irréversibles !), de plus il refoule le gaz carbonique expiré !
NE PORTEZ PAS DE MASQUES INUTILES ! IL N'EST PAS INSCRIT SUR L'EMBALLAGE QUE LE MASQUE QUE VOUS PORTEZ EST ANTI-MICROBES ou ANTI-VIRUS !! Car ce serait une escroquerie de faire passer un anti-poussières de chantier pour un anti-microbes !
Il eut été plus simple de faire porter uniquement une visière afin de pouvoir respirer
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RAPPEL: Nous respirons TOUTES & TOUS chaque minute (AVEC ou SANS masque) 200 000 nano-particules (microbes & virus) et 2 millions en activité physique.
Soit quelques milliards chaque heure et plus encore (avec 150 000 zéros) depuis notre naissance !
ET NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S ! Çà alors !!
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Les masques disponibles ont un maillage de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 micron à 0,5 micron !
C'est-à-dire que ces masques n'EMPÊCHENT PAS les microbes corona d'être inspirés ou expirés !
Effectivement un masque de 3 millième de millimètre ne peut obstruer des microbes de 6 à 30 fois plus petits !
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ATTENTION-ATTENTION ! Actuellement le gouvernement français distribue des masques blancs (après les masques bleus dits 'chirurgicaux' au maillage large) avec (c'est écrit sur l'emballage): Maillage de 3 microns !
Soit l'équivalent du FFP2 avec valve d'expulsion/N95.
Or, ces masques blancs NE COMPORTENT PAS de valve d'expiration ! D'où les dangers de suffocation, 30 % d'oxygène en moins = maux de tête et pertes de mémoire irremplaçables ! De plus: ces masques refoulent le gaz carbonique que vous ré-inspirez !
Ces masques ne doivent PAS être portés !
Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
Supprimermardi 20 octobre 2020
par Tyler Durden
Dim, 18/10/2020 - 08:45
Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.
De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.
Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?
Les taches sont trop petites pour être vues
Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.
Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.
Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.
AVEC ou SANS masque vous respirez:
Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns
Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:
Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ
À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.
Pour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.
Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt
SupprimerBien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.
Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.
À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.
Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:
- voir clip sur site -
Quelle est la principale chose à retenir de tout cela?
Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.
https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
RAPPEL : LE PORT DU MASQUE (Plus de 20 mn) EST DANGEREUX !
Supprimerjeudi 15 octobre 2020
Il empêche 30 % de l'oxygène d'être inspiré, refoule intérieurement le gaz carbonique expiré et occasionne DES PERTES DE MÉMOIRE IRRÉPARABLES !
On va se retrouver en 2021 (peut-être bien avant !) avec près de 7 milliards de cons qui déambulent dans les rues ou sur les routes en ignorant leur nom et leur adresse !
Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
vendredi 9 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
NE SUBSISTERONT que les tribus Yanomami de la jungle amazonienne ou quelques Inuits d'Alaska ?!
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/rappel-le-port-du-masque-plus-de-20-mn.html
Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »
Supprimervendredi 9 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
Toute l'arnaque vient de s'effondrer Test COVID, nombre écrasant de faux positifs
Supprimermardi 1 septembre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/09/toute-larnaque-vient-de-seffondrer-test.html
La prochaine pandémie sera mentale
Supprimerlundi 19 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/la-prochaine-pandemie-sera-mentale.html
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Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
jeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
LA MORTELLE CONTINUE : Les médias grand public censurent les informations sur l'augmentation des décès dus au vaccin COVID
RépondreSupprimervendredi 08 avril 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Les grands médias tentent de cacher le nombre de décès associés aux vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Heureusement, ces chiffres sont enregistrés par le biais du système gouvernemental de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) et des mêmes types de technologies dans le monde.
Selon les données de Pfizer et AstraZeneca U.K., les blessures associées au vaccin COVID-19 comprennent les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, les fausses couches, la paralysie de Bell, la septicémie, la paralysie et plus encore. Il y avait également eu des rapports selon lesquels les vaccins COVID-19 avaient provoqué des caillots sanguins.
La base de données européenne a également vérifié qu'il y avait eu plus de 32 649 décès et 3 003 296 blessés à la suite d'injections de quatre injections expérimentales de COVID-19 : Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson (J&J).
Dans un résumé des données jusqu'au 18 décembre 2021, les vaccins Pfizer ont causé à eux seuls 15 788 décès et 1 476 269 blessures ; Moderna a fait 9 612 morts et 431 805 blessés ; Oxford/AstraZeneca a enregistré 6 862 décès et 1 103 016 blessés ; et il y avait eu 2 075 morts et 109 349 blessés pour J&J.
Ces estimations étaient basées sur les rapports soumis à EudraVigilance, et les totaux devraient être beaucoup plus élevés en fonction du pourcentage d'effets indésirables qui ont été signalés.
En Écosse, le rapport statistique a montré que le nombre de cas par statut vaccinal prouve toujours que la majorité des cas proviennent de la population vaccinée, des milliers étant confirmés parmi ceux qui ont eu leurs rappels.
Fin 2021, il a été constaté qu'environ 45% des décès consécutifs à la vaccination contre le COVID se produisent au cours des deux premières semaines. Peter Schirmacher, un pathologiste de haut niveau, a déclaré qu'environ 30 à 40% des personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination ont été tuées non pas par le virus, mais par le vaccin.
En adoptant une vision conservatrice concernant les rapports enregistrés sur VAERS, cela montrera qu'environ 1 145 personnes ont été tuées par le vaccin au minimum. Cependant, en prenant ce ratio pour les plus de 230 millions de personnes vaccinées, le nombre tomberait à environ 4,9 décès par million de personnes tuées par le vaccin.
Cela signifie que les vaccins COVID-19 sont au moins cinq fois plus mortels que les vaccins contre la variole, qui ont été jugés trop dangereux à utiliser. Ces estimations ne supposent que les décès au cours des deux premières semaines suivant la vaccination, et tous les décès en excès par la suite ont été supposés avoir été causés par autre chose. (Connexe : FAIT SCIENCE : Le vaccin contre la varicelle est fabriqué à partir de « cultures de cellules pulmonaires embryonnaires humaines » et de cultures de cellules diploïdes humaines provenant de tissus fœtaux avortés.)
RépondreSupprimerLe CDC continue de diffuser de faux récits sur les vaccins
À la mi-2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont été surpris en train de conduire le faux récit selon lequel les vaccins protègent les gens contre le COVID-19. Cependant, cela n'est apparu que parce que l'agence a cessé de tester les personnes «vaccinées» pour le virus.
Les rapports indiquent que le CDC a décidé de ne tester que les personnes non vaccinées pour le virus afin de faire croire qu'elles étaient les seules à attraper les variantes.
«Le CDC a cessé de surveiller les cas non graves de COVID-19 parmi les personnes vaccinées en mai. Il est difficile d'évaluer le risque de delta sans savoir à quoi ressemblent les cas de percée bénigne – ou s'ils deviennent plus fréquents », selon un rapport.
C'est pourquoi les gouvernements essaient de prétendre que les seules personnes qui tombent malades du virus sont les non vaccinés. En refusant de tester ou de surveiller toute personne vaccinée, les données suggéreront bien sûr que les vaccins "fonctionnent".
Dans une motion de juillet 2021, les médecins de première ligne américains (AFLDS) ont appelé à un arrêt immédiat de la vaccination contre le COVID-19. Selon eux, les vaccins n'ont reçu qu'une autorisation d'utilisation d'urgence de la part de la Food and Drug Administration, et n'auraient pas dû recevoir le feu vert.
Dans un communiqué de presse, le groupe a spécifiquement demandé que les vaccinations contre le COVID-19 soient interrompues pour trois groupes : les jeunes Américains âgés de 18 ans et moins qui n'ont « aucun risque » de mourir du COVID ; ceux qui se sont remis du COVID et qui ont acquis une immunité naturelle ; et ceux qui n'ont pas reçu le consentement éclairé tel que défini par la loi fédérale.
L'AFLDS a déclaré à l'époque: "Il est illégal et inconstitutionnel d'administrer des agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques des vaccins."
RépondreSupprimerSuivez Vaccines.news pour plus de mises à jour sur les déploiements de vaccins et les événements indésirables.
Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur les décès dus au vaccin COVID.
This video is from the TNTVNEWS channel on Brighteon.com.
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Sources include:
DailyExpose.uk
SteveKirsch.Substack.com
News.Yahoo.com
AmericasFrontLineDoctors.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-04-08-mainstream-media-censors-info-covid-vaccine-deaths.html
Dr Jane Ruby: La thérapie d'édition génétique est dangereuse et dommageable – Brighteon.TV
RépondreSupprimervendredi 08 avril 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) La professionnelle de la santé bien connue, le Dr Jane Ruby, a averti le public que la thérapie d'édition génétique est dangereuse et dommageable pour le corps humain.
"C'est tellement incroyablement dangereux. L'édition de gènes est sérieuse et dommageable », a déclaré Ruby lors de l'épisode du 4 avril de son émission « Live with Dr. Jane Ruby » sur Brighteon.TV.
L'expert vétéran du développement de médicaments pharmaceutiques a déclaré que les gens n'auraient pas pris les vaccins à ARNm s'ils savaient qu'il s'agissait d'une thérapie d'édition de gènes.
L'économiste international de la santé a également montré une image du fonctionnement de l'édition de gènes et a cité la technologie CRISPR comme exemple. Elle a expliqué que dans l'édition de gènes, une séquence de gènes est ouverte et remplacée par un ARN messager chimiquement inséré ou un ARN synthétique modifié.
Ruby a souligné que pour que cette modification génétique ait lieu et que sa mission soit accomplie, les gens doivent continuer à l'appliquer. C'est, selon Ruby, la principale raison pour laquelle Big Pharma veut que les gens continuent à prendre des injections d'ARNm du coronavirus de Wuhan (COVID-19).
L'auteur et ancien économiste de la santé de Washington D.C. a également réfuté les affirmations de l'industrie pharmaceutique selon lesquelles cette technologie est utilisée pour réparer l'ADN endommagé. Ruby a déclaré que la technologie d'édition de gènes comme CRISPR change ou remplace le matériel ADN, ce qui provoque une mutation.
Ruby a également révélé que Pfizer avait conclu un accord avec Acuitas Therapeutics pour développer des injections de vaccins à ARNm pour traiter de nombreuses maladies différentes qui n'ont rien à voir avec la grippe et les infections. Acuitas est une société de biotechnologie qui travaille avec ses partenaires pour développer de nouvelles thérapies afin de répondre à des besoins cliniques non satisfaits sur la base de capacités reconnues à l'échelle internationale en matière de technologie d'administration.
L'animatrice de radio et de télévision en ligne a ajouté que l'accord financier Pfizer-Acuitas énumère en fait 10 nouvelles cibles d'ARNm qui, selon elle, concernent de nombreux domaines différents.
Ruby a mentionné que cette édition de gènes est déjà en cours et que cette technologie est déployée et testée sur la population mondiale.
RépondreSupprimer"Et il n'y a pas de consentement éclairé. Je ne pense pas que les gens aient vraiment compris. Et je ne pense pas qu'ils aient consenti à cela lorsqu'ils ont pris leur vaccin. Ils pensaient qu'ils recevaient un vaccin, une sorte de vaccin traditionnel qui conférerait une protection future à leur santé. Et en fait, ce n'est pas du tout ce qu'ils obtiennent », a déclaré Ruby.
Selon Ruby, l'ingénierie génomique de la technologie CRISPR-Cas9 peut donner aux chercheurs la capacité de générer une perturbation génétique aléatoire ciblée. Elle a également mentionné que la précision de l'édition du génome est une grande préoccupation et que l'édition génomique entraîne des modifications irréversibles du génome.
Ruby a également déclaré qu'elle n'avait pas encore trouvé de protocoles estampillés IRB pour l'une des prises de vue COVID des grandes sociétés pharmaceutiques.
L'animateur de Brighteon.TV a également déploré le fait que les responsables de Big Pharma comme le PDG de Pfizer, Albert Bourla, aient ignoré tous les décès et les handicaps causés par les piqûres d'ARNm. Elle a également mentionné que les adolescents américains souffrent maintenant de myocardite, de cicatrices permanentes dans leur cœur et commencent à manifester des crises cardiaques. (Connexe: un dirigeant de Bayer dit que les injections d'ARNm de covid sont une «thérapie génique» faussement commercialisée comme des «vaccins»)
CRISPR-Cas9 est une technologie unique qui permet aux généticiens et aux chercheurs médicaux de modifier des parties du génome en supprimant, ajoutant ou modifiant des sections de la séquence d'ADN. C'est actuellement la méthode de manipulation génétique la plus précise et elle fait le buzz dans le monde scientifique.
Les US Navy SEALs intentent une action en justice contre Biden et Austin
Ruby a déclaré qu'outre les dommages causés par le vaccin COVID-19 à la jeunesse américaine, il y a aussi la décimation de l'armée américaine. Elle a déclaré qu'un grand recours collectif avait été déposé par les Navy SEALs des États-Unis contre le président Joe Biden et le secrétaire du ministère de la Défense Lloyd Austin pour le mandat du vaccin COVID-19.
L'animateur de Brighteon.TV a ajouté que trois dénonciateurs majeurs de l'armée avaient déjà été nommés lors de l'audience du Sénat à Washington D.C. le 24 janvier dernier. Les trois dénonciateurs étaient le lieutenant-colonel Dr Theresa Long, le lieutenant-colonel Dr Pete Chambers et le major Sam Sigoloff.
L'avocat basé dans l'Ohio, Thomas Renz, qui représente les dénonciateurs, a rapporté que trois ont constaté une augmentation significative des diagnostics enregistrés sur la base de données d'épidémiologie militaire de la Défense (DMED) pour les fausses couches, le cancer et de nombreuses autres conditions médicales en 2021 par rapport à une moyenne sur cinq ans de 2016-2020.
Par exemple, lors de la table ronde, Renz a déclaré que les diagnostics enregistrés pour des problèmes neurologiques avaient été multipliés par 10, passant d'une moyenne quinquennale de 82 000 à 863 000 en 2021.
RépondreSupprimerRuby a également mentionné le projet de directives de l'industrie approuvé par la Food and Drug Administration et intitulé "Human Gene Therapy Products Incorporating Human Genome Editing". Elle a déclaré que le document parle de modification génomique, de méthodes de livraison, de chimie, de fabrication, de contrôle, de sécurité et d'orientation pour l'industrie.
L'expert vétéran du développement de médicaments pharmaceutiques a déclaré que ce projet de directives de l'industrie avait été lancé en juin 2015 et que l'industrie de la thérapie génique était au courant de cela et s'y était préparée depuis longtemps.
Suivez Vaccines.news pour en savoir plus sur les injections d'ARNm.
Regardez l'épisode complet du 4 avril de "Live with Dr. Jane Ruby" ci-dessous. "Live with Dr. Jane Ruby" est diffusé tous les lundis de 19h à 20h. sur Brighteon.TV.
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Sources include:
Brighteon.com
DrJaneRuby.com
Acuitastx.com
RonJohnson.senate.gov
https://www.naturalnews.com/2022-04-08-gene-editing-therapy-is-dangerous-and-damaging.html