- ENTREE de SECOURS -



samedi 8 janvier 2022

OXYDE DE GRAPHÈNE DANS LES MASQUES, LES TESTS PCR ET LE VACCIN, ÉTRANGES COÏNCIDENCES !!!

 

60 commentaires:

  1. COVID-19 : PLUS BESOIN D'ATTENDRE UN QUART D'HEURE APRÈS SON VACCIN


    par PERRINE DE ROBIEN
    07/01/2022


    Après avoir été vacciné contre le Covid, il fallait attendre 15 minutes.

    Mercredi 5 janvier 2022, la Direction générale de la santé a annoncé qu’il n’était plus nécessaire de patienter quinze minutes après avoir été vacciné contre le Covid-19. Attention, tout le monde n’est pas concerné par cette mesure.

    Fin du délai de surveillance pour qui ?

    Jusqu’à présent, quand une personne allait se faire vacciner contre le Covid-19, elle devait attendre quinze minutes avant de pouvoir repartir. Il s’agit du délai de surveillance. Mais, depuis le 5 janvier 2022, il n’est plus nécessaire de patienter, sous certaines conditions.

    Première condition, il doit s’agir d’un rappel. Si c’est une première fois, alors il faudra attendre un quart d’heure. Autre condition, il ne faut pas souffrir d’allergies, ne pas être enceinte et ne pas avoir entre 5 et 11 ans. Ces publics doivent en effet rester sous surveillance après leur injection, quel que soit le nombre de doses.

    Fin du délai de surveillance, pourquoi ?

    Si la Direction générale de la santé a pris cette décision c’est parce que « Le risque que les personnes n’ayant pas fait de réaction allergique lors de leur primo-vaccination en fassent lors de leur dose de rappel est extrêmement faible ».

    De manière plus prosaïque, la fin du délai de surveillance doit permettre de « fluidifier l'organisation des centres de vaccination ». Et pour cause, de nombreux Français doivent retourner se faire vacciner pour pouvoir conserver leur pass sanitaire. Les moins convaincus pourraient risquer de rebrousser chemin face à une trop longue attente.

    http://www.economiematin.fr/news-vaccin-covid-delai-surveillance

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    1. N'ATTENDEZ PLUS !! OUI ! VOUS L'AVEZ BIEN LU !!!
      Il ou elle vous pique et sans attendre: VOUS CREVEZ !
      OUI ! C'EST POSSIBLE ! FINI LES EMMERDES PRÉSIDENTIELLES ! Youpie !

      Les 'infirmiers' ou 'infirmières' gagnent 500 euros PAR JOUR pour inoculer les moutons-pigeons, alors, à ce prix, il ne vont pas se casser le cul à acheter des chaises (et pourquoi pas des coussins !!). Piqués ? Allez ouste DEHOOOOOORS ! C'est çà-c'est çà ! Et moi aussi !

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  2. Effets secondaires : l’émission guadeloupéenne qui a enragé le gouvernement


    vendredi 7 janvier 2022


    « En préambule, ce questionnement que je vous soumets : qu’est-ce qui est le plus important dans la vie, dire la vérité ou dire des vérités ? Nous choisissons cette deuxième option. Ainsi nous porterons notre réflexion sur la parole des vaccinés, plus particulièrement toutes ces personnes qui s’interrogent sur les effets indésirables de la vaccination sur leur santé. »

    Ainsi commence la présentatrice de Regards croisés, l’émission diffusée sur Guadeloupe la 1ère le 9 décembre 2021. C’en est déjà trop pour le gouvernement qui a rappelé France télévisions à l’ordre pour avoir laissé la parole libre à des gens qui souffrent du vaccin, cette nouvelle maladie mondialiste, que l’on pourrait appeler la vaccinopathie.

    Pour le gouvernement, qui tente depuis plusieurs semaines de rétablir l’ordre en Guadeloupe, la diffusion d’une émission de la chaîne Guadeloupe la première, sur « les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 » a du mal à passer. Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a rappelé à l’ordre mercredi Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions.

    Cette émission intitulée « Regards croisés » et diffusée le 9 décembre dernier avait « provoqué au sein de la communauté médicale et de la société civile du territoire, un émoi que je partage », a indiqué mercredi le ministre dans un courrier adressé à Delphine Ernotte dont l’AFP a obtenu copie ce jeudi. (Le Parisien)

    Lecornu, qui porte bien son nom, travaille-t-il pour les Français ou pour les grands labos ? Qui faut-il croire, la parole des Français souffrants du vaccin ou celle des commerciaux de Bancel & Bourla ?

    Le ministre a « appelé à la responsabilité des acteurs (…) surtout médiatiques au sujet de la vaccination ». « Il est indéniable que votre mission de service public consiste à ouvrir le débat et à répondre aux inquiétudes de la population », mais, « dans la réalité, aussi bien l’intitulé de l’émission que la composition de plateau, ainsi que les échanges entre les intervenants ont laissé s’installer dans l’opinion l’idée que les vaccins n’étaient pas sûrs, alors que les études scientifiques nous disent l’inverse », écrit le ministre.

    Et là, une fois n’est pas coutume, un big up à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions,, qui a répondu aux pressions politiques par une vérité toute simple, mais déontologique :

    « L’ampleur de la très forte réticence à l’encontre de la vaccination d’une partie de la population, rend impossible le fait de ne lui réserver aucun traitement journalistique. »

    Le Parisien rappelle avec tristesse que moins de 50 % de la population guadeloupéenne de plus de 18 ans a accepté de se faire vacciner. L’émission qui suit ne va pas arranger les choses pour la dominance politique inféodée au Big Pharma !

    Laisser la parole aux malades du vaccin, quelle insolence ! Un grand merci en tout cas à ce gouvernement qui, en abattant sa censure rétroactive sur une émission qui aurait pu passer inaperçue, a réveillé le démon de la résistance qui permet à des centaines de milliers de Français de métropole de découvrir l’honneur et le courage d’un média, Guadeloupe la 1ère, et d’une journaliste, Lise Dolmare. La vidéo ne tiendra peut-être pas longtemps sur YouTube ou chez France Télévisions : il en faut peu aujourd’hui pour se faire taxer d’antivax, et donc de résistant, et c’est une très bonne chose ! Le virus de la résistance avance. Et puis, Lise persiste.

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  3. Dolmare : « Doit-on réduire au silence ceux qui disent avoir un autre vécu que le nôtre, dans notre Regards croisés, à cette question nous répondons : non. »

    Le premier invité décrit ses symptômes.

    Priscilla : « Avant cette première dose j’avais une vie active, je travaillais normalement. Après, enfin depuis, je traîne une fatigue comme je n’ai jamais connue. Avant je pratiquais une activité physique deux fois par semaine, et là maintenant à cause de mes symptômes et de ma fatigue, toute activité devient pénible. »

    Cette émission, intelligemment, n’est pas à charge contre la vaccination. La preuve, le deuxième invité à prendre la parole vient de l’institut Pasteur, cette usine à vaccins.

    Dolmare : Considérer toutes les paroles est notre farouche volonté, ainsi le regard du docteur Antoine Talarmin, le directeur de l’institut Pasteur, vous vous en doutez, son regard a toute son importance. Bonsoir docteur Talarmin. Effets indésirables de la vaccination, gravité ou pas, ces dits effets secondaires sont à définir dans cette émission.

    Talarmin : Oui, effectivement, le vaccin anti-covid comme tout vaccin ou médicament, peut présenter des effets secondaires. L’important en santé publique est de considérer le bénéfice/risque.

    Troisième personne invitée, une avocate, Me Ellen Bessis.

    Dolmare : Bonsoir Maître, une pandémie qui soulève bien des interrogations d’ordre juridique, n’est-ce pas ?

    Bessis : Oui c’est vrai, il y a de nombreuses interrogations d’ordre juridique, car avec une vaccination dite obligatoire cela contredit les principes généraux du droit et même du droit constitutionnel, et donc effectivement est-il obligatoire de se vacciner, comment se manifeste cette obligation alors que le code civil et le code de la santé publique précisent bien que on ne peut pas porter atteinte à l’intégrité de notre corps, et que nous sommes maîtres de décider ou pas du traitement qui pourrait nous être infligé.

    Une bonne leçon de journalisme au service public audiovisuel de la métropole, incarné par la très collabo France Info, et aussi au service privé de l’axe BFM-LCI, complètement aligné sur la politique et les intérêts du Big Pharma. Et l’on comprend encore une fois à quel point la maîtrise des grands tuyaux de l’information est essentielle pour le pouvoir dictatorial.

    - voir clip ici:
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=10&v=gidp7cxNjUg&feature=emb_logo

    L’émission "regard croisés" du 09/11 traite des effets secondaires de la vaccination.
    Cette émission est animée par Lise DOLMARE, nous saluons son courage d’avoir animé une telle émission.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Effets-secondaires-l-emission-guadeloupeenne-qui-a-enrage-le-gouvernement-66818.html

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  4. Sacrifier des enfants aux vaccins contre le Covid


    Par Vasko Kohlmayer
    8 janvier 2022


    « Le CDC recommande des rappels de vaccin COVID-19 jusqu'à l'âge de 12 ans », a déclaré un récent titre de CBC.

    L'article s'ouvre comme suit :

    « Des millions d’Américains âgés de 12 à 15 ans peuvent désormais recevoir une injection de rappel du vaccin COVID-19 de Pfizer, après que le CDC a officiellement adopté de nouvelles recommandations soutenues par une majorité de conseillers extérieurs en vaccins de l’agence. Le CDC dit maintenant que les Américains aussi jeunes que 12 ans qui ont reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer devraient recevoir une troisième dose dès cinq mois après leurs deux premières injections. Les responsables de l'agence ont déclaré qu'il s'était écoulé suffisamment de temps pour qu'environ 5 millions d'adolescents soient éligibles.

    « Pourquoi diable font-ils cela ? » demande-t-on avec incrédulité.

    Trois faits fondamentaux ont été bien établis par les données et les études :

    Les enfants en bonne santé courent un risque pratiquement nul de Covid grave.
    Les vaccins n'empêcheront pas les enfants de contracter le virus.
    Les injections de Covid comportent un risque d’effets secondaires graves.
    Selon une analyse coûts-avantages menée par Toby Rogers, Ph.D., dans la tranche d'âge de 5 à 11 ans, 117 enfants en bonne santé devront mourir des effets secondaires liés au vaccin afin de sauver un enfant de la mort de Covid 19.

    Une étude japonaise a montré que les jeunes sont sept cents pour cent plus susceptibles d'être tués par des jabs de Pfizer que par Covid.

    On nous a répété à maintes reprises que nous devons suivre les faits et la science pour faire face à cette pandémie.

    La science sur la vaccination des enfants contre le Covid-19 est en place, et cela ne pourrait être plus clair : alors que les enfants en bonne santé courent un risque négligeable de la maladie elle-même, ils courent un risque réel des vaccins.

    Étant donné que les vaccins n'arrêtent pas l'infection et la transmission, ils ne protégeront ni les enfants ni leurs communautés de la propagation du virus.

    Cela n'a aucun sens scientifique ou médical de leur faire ces injections. La vaccination des enfants contre le SRAS-CoV-2 viole à la fois les principes de la bonne médecine et la science fondée sur des preuves.

    Selon le Dr Robert Malone, qui est l'un des scientifiques les plus éminents au monde dans le domaine des vaccins, l'analyse coûts-avantages n'est même pas précise.

    Ceux qui veulent vacciner les enfants ne suivent ni la science ni la logique. Soumettre des enfants à des injections de Covid expose inutilement les jeunes vies à des risques potentiellement graves.

    L'incidence de la myocardite et de la péricardite peut atteindre 1 sur 317 chez les jeunes, en particulier les garçons, et augmente encore avec chaque dose supplémentaire.

    Ensuite, il existe un danger de caillots sanguins mortels ainsi que plusieurs autres affections graves telles que le syndrome de Guillain-Barré.

    Étonnamment, des dizaines d'enfants ont déjà reçu une injection de deux doses qui se sont avérées inefficaces, raison pour laquelle un rappel est désormais nécessaire.

    Le rappel, cependant, semble déjà être encore plus inutile que l'offre d'origine. Le rappel, en fait, semble avoir une efficacité négative, ce qui signifie que ceux qui le reçoivent semblent plus susceptibles de contracter le virus.

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  5. Bientôt, nous aurons une multitude d'enfants de 12 ans qui auront reçu trois de ces coups inutiles et dangereux sans aucune justification médicale.

    Robert Kennedy, Jr. a déclaré que l'injection des vaccins Covid aux enfants est un crime. Il n'a pas tort.

    Un certain nombre d'enfants ont déjà été tués par les vaccins.

    Certains des enfants nouvellement vaccinés développeront des maladies graves et certains mourront. La vie de ces enfants en bonne santé sera écourtée sans raison valable et leurs parents seront hors d'eux de chagrin.

    La mort de ces enfants sera complètement insensée et inutile. Ils auraient pu être facilement évités en ne leur donnant tout simplement pas les injections dont ils n'ont pas besoin.

    Les vaccinateurs le savent : le chef du NIH Anthony Fauci le sait. La directrice du CDC, Rochelle Walensky, le sait. Les fabricants de vaccins le savent, tout comme tous les autres scientifiques et professionnels de la santé. Ceux qui sont sur le coup poussent activement à cette parodie tandis que la plupart des autres ont peur de parler de peur de perdre leur emploi.

    Ceux qui poussent à la vaccination des enfants ne sont évidemment pas motivés par la santé publique. Leurs actions révèlent leur cruauté : ils sont prêts à sacrifier des enfants en bonne santé pour servir leurs propres intérêts.

    Les humains peuvent être très cruels, surtout lorsque l'argent et le pouvoir entrent en jeu.

    Les gens qui permettent aux enfants de mourir pour un gain égoïste n'ont aucune conscience morale ; ils sont apparemment prêts à tout pour atteindre leurs objectifs insidieux.

    Notre société doit se réveiller et arrêter ce méfait impie.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/vasko-kohlmayer/sacrificing-children-to-covid-vaccines/

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  6. Nouveau niveau de falsification de Covid ; Je double


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    8 janvier 2022


    Je développe l'affirmation que j'ai faite dans plusieurs articles récents.

    J'ai écrit qu'en acceptant les statistiques actuelles sur les cas de COVID aux États-Unis, vous vous engagez à conclure que tout le monde en Amérique va être infecté.

    C'était une SOUS-ESTIMATION.

    Si vous acceptez les chiffres officiels – 56 millions de cas de COVID depuis le début de la pandémie et un million de nouveaux cas le jour du 3 janvier – vous vous engagez à ceci :

    Non seulement les 330 millions de personnes aux États-Unis seront infectées, mais tout le monde dans une nation d'un milliard de personnes sera infecté.

    Aux États-Unis, avec 330 millions de personnes, tout le monde serait infecté cinq, six ou sept fois.

    Peu importe ce que.

    — Quels que soient les vaccins, les quarantaines, l'isolement, les confinements, la distanciation, les masques, tout le monde se déplace dans des bunkers souterrains et s'enveloppe en permanence dans des rideaux de douche en plastique cousus ensemble.

    Si vous acceptez l'existence du virus, l'étendue et la vitesse supposées de sa propagation rapide, la validité du test, l'exactitude des numéros de cas, la signification de ce qui constitue un cas, vous vous engagez à :

    TOUT LE MONDE EST INFECTÉ AU MOINS UNE DEMI-DOUZAINE DE FOIS.

    C'est vraiment pire, car les rapports officiels sur le virus impliquent qu'il se comporte comme aucun autre germe de l'histoire. Il ne brûle pas. L'immunité naturelle ne s'installe pas.

    Par conséquent, tout le monde sera infecté et réinfecté un nombre ILLIMITÉ de fois. Et si l'immunité naturellement acquise ne s'installe pas à l'avenir, nous allons tous mourir.

    C’est le véritable récit de COVID, une fois que vous acceptez les prémisses de base.

    Affrontez-le.

    Ou faites quelque chose de révolutionnaire : pensez aux prémisses de base.

    Au cours des deux dernières années, j'ai écrit plus de 450 articles rejetant chaque prémisse, avec des explications et des preuves.

    Et quand je dis "chaque prémisse", j'inclus l'affirmation stupide et gonflée et absurde et maternelle que le virus - SARS-CoV-2 - existe.

    Parce que non. Le virus n'existe pas.

    Une fois que vous avez extrait cette absurdité pourrie de l'histoire de COVID, toutes les autres prémisses et l'ensemble du récit s'effondrent.

    La raison revient.

    Bien sûr, je suis conscient que beaucoup de gens préfèrent rester aveuglément fous. Ils préfèrent accepter le conte de fées officiel de COVID, tout en refusant de réaliser les implications de ce qu'ils achètent.

    Je n'écris pas pour eux.

    Je n'écris pas pour les gens qui espèrent qu'"un vaccin nous sauvera". Réfléchissez bien. Au cours de la dernière année, nous avons vu deux souches variantes importantes du virus, selon les dirigeants menteurs de la santé publique. Si cela était vrai, nous nous attendrions à voir plus de variantes et le vaccin cesserait de fonctionner à chaque fois qu'une nouvelle variante apparaîtrait. Comme un chercheur l'a récemment souligné, sommes-nous censés croire que tout le pays (et le monde) peut recevoir un rappel utile TOUS LES SIX MOIS ?

    Bien sûr, il n'y a pas de variantes, car il n'y a pas de virus. Il n'y a rien à en déroger.

    Partout où vous regardez, l'histoire officielle implique la catastrophe, et partout où vous regardez, l'histoire officielle est fausse.

    Voici un autre article que j'ai écrit sur le virus qui n'est pas là :

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  7. Pistolet fumant CDC/FDA de pistolets fumants.

    Ils avouent : ils n'avaient pas de virus lorsqu'ils ont concocté le test pour le virus ; ils ont « inventé » un modèle en faisant semblant de trouver ce qu'ils voulaient trouver ; cela s'appelle une prophétie auto-réalisatrice.

    C'est l'arnaque et le crime qui ont conduit des millions de vies et d'économies à la ruine.

    Le CDC a publié un document qui regorge d'aveux dévastateurs.

    Le communiqué s'intitule « 21/07/2021 : Alerte de laboratoire : modifications apportées au CDC RT-PCR pour les tests SARS-CoV-2 ». Ça commence de façon explosive :

    « Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement. Le CDC fournit ce préavis aux laboratoires cliniques afin qu'ils disposent de suffisamment de temps pour sélectionner et mettre en œuvre l'une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA.

    Le CDC/FDA avoue qu'il y a eu un PROBLÈME avec le test PCR qui a été utilisé pour détecter le virus, à partir de février 2020, jusqu'à cette minute.

    En d'autres termes, les millions et les millions de « cas COVID » basés sur le test PCR utilisé sont tous suspects. En fait, cette déclaration est trop généreuse. Chaque résultat de test de chaque test PCR doit être jeté.

    Pour le confirmer, le document du CDC renvoie à un communiqué de la FDA intitulé « Données comparatives du panel de référence SARS-CoV-2 ». Voici une citation qui tue :

    «Au cours des premiers mois de la pandémie de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), les échantillons cliniques [du virus] n'étaient pas facilement disponibles pour les développeurs de DIV [diagnostics in vitro] pour détecter le SRAS-CoV-2. Par conséquent, la FDA a autorisé les DIV sur la base des données disponibles à partir d'échantillons artificiels générés à partir d'une gamme de sources matérielles du SRAS-CoV-2 (par exemple, ARN spécifique d'un gène, ARN synthétique ou ARN viral du génome entier) pour l'évaluation des performances analytiques et cliniques. Bien que la validation à l'aide de ces échantillons artificiels ait fourni une mesure de confiance dans les performances des tests au début de la pandémie, il n'est pas possible de comparer avec précision les performances de divers tests utilisant des échantillons artificiels car chaque test a validé les performances en utilisant des échantillons dérivés de différents gènes spécifiques, sources d'acides nucléiques synthétiques ou génomiques.

    Traduction : Nous, au CDC, n'avions pas d'échantillon du virus SARS-CoV-2 lorsque nous avons concocté le test PCR pour le SARS-CoV-2. Oui, c'est incroyable, non ? Et c'est le test que nous utilisons depuis le début. Nous avons donc CONTRIBUÉ des échantillons du virus. Nous avons fabriqué. Nous avons menti. Nous avons inventé [inventé] des séquences de gènes synthétiques et nous avons DIT que ces séquences DEVRAIENT ÊTRE proches de la séquence du SRAS-CoV-2, sans avoir la moindre idée de ce que nous faisions, car, encore une fois, nous n'avions pas de véritable spécimen du virus. Nous n'avions aucune preuve QU'IL Y AVAIT quelque chose appelé SARS-CoV-2.

    Ce document étonnant de la FDA indique que l'Agence a accordé une approbation d'urgence à 59 tests PCR différents depuis le début de la (fausse) pandémie. 59. Et, « ... il n'est pas possible de comparer avec précision les performances de divers tests utilisant des échantillons artificiels, car chaque test a validé les performances à l'aide d'échantillons dérivés de différentes sources d'acides nucléiques spécifiques de gènes, synthétiques ou génomiques. »

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  8. Traduction : Chacun des 59 tests PCR différents pour le SRAS-CoV-2 a raconté différents mensonges et concocté différentes fabrications sur la constitution génétique du virus - le virus que nous n'avions pas. Il est donc évident que ces tests donneraient des résultats peu fiables. LES TESTS PCR ONT UTILISÉ DES ÉCHANTILLONS CONTRIBUÉS DU VIRUS QUE NOUS N'AVONS PAS AVOIR.

    MAIS, ne vous inquiétez pas, soyez heureux, car MAINTENANT, le CDC et la FDA disent qu'ils ont vraiment de vrais échantillons de virus du SRAS-CoV-2 provenant de patients.

    En d'autres termes, ils mentaient ALORS, mais ils ne mentent pas MAINTENANT. Ils « inventaient », mais maintenant ils disent la vérité.

    Si vous croyez cela, j'ai de l'eau Fountain of Youth à vendre, extraite du système contaminé au plomb de Flint, Michigan.

    Ici, encore une fois, je rapporte la version virologique de « nous avons isolé (découvert) le virus » :

    Ils ont une soupe qu'ils préparent dans leurs laboratoires.

    Cette soupe contient des cellules humaines et de singe, des produits chimiques et des médicaments toxiques, et toutes sortes d'autres matériels génétiques aléatoires. Parce que les cellules commencent à mourir, les chercheurs PENSENT qu'un peu de mucus d'un patient qu'ils ont laissé tomber dans la soupe est en train de tuer, et LE VIRUS doit être l'agent tueur dans le mucus.

    Cette hypothèse est totalement injustifiée. Les médicaments et les produits chimiques pourraient tuer les cellules, et les chercheurs affament également les cellules de nutriments vitaux, et cette famine pourrait tuer les cellules.

    Il n'y a aucune preuve que le SARS-CoV-2 est dans la soupe, ou qu'il tue les cellules, ou qu'il existe.

    Pourtant, les chercheurs appellent la mort cellulaire « l'isolement du virus ».

    Dire qu'il s'agit d'un non-sequitur est un vaste euphémisme. Dans leur univers, "Nous supposons, sans preuve, que nous avons le virus enfoui dans une soupe dans un plat du laboratoire" équivaut à "Nous avons séparé le virus de tout le matériel environnant".

    La virologie équivaut à « comment répandre des conneries pour gagner sa vie et effrayer le monde ». A part ça, c'est parfait.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/jon-rappoport/new-level-of-covid-fakery-im-doubling-down/

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    1. C'est vrai que pour accepter l’existence d'un... virus (poussière !) FAUT VRAIMENT ÊTRE LE ROI DES CONS !
      Mais, les cons sont des cons, la télé en fabrique tous les jours.
      Qu'ils se fassent inoculer x fois et en redemandent, font ce qu'ils veulent ! Puis ils crèvent. Bon débarras, çà fera moins de cons sur les routes !
      Mais qu'ils viennent nous faire chier parce qu'on refuse de crever avec eux ! ALORS LÀ NON !
      Et l'autre con qui dit qu'il nous emmerde tous, s'il savait ce qu'on pense de lui ! HAHAHAHA !

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  9. Traiter la maladie avec la santé et non avec des vaccins


    Par le Dr Mark Sircus
    DrSircus.com
    8 janvier 2022


    Depuis les premiers jours de la médecine moderne et l'essor de l'industrie pharmaceutique, le conditionnement mental, la propagande et l'hypnose qui dirigent l'esprit du public vers leurs produits ont été implacables. La médecine pharmaceutique est une forme de traitement qui ne s'intéresse pas à la promotion de la santé (il n'y a pas d'argent là-dedans) ou à la guérison de la maladie, mais à la promotion de la maladie.

    En conséquence, la médecine moderne a été construite sur des sables mouvants. Quand je dis sable mouvant, nous devons examiner comment les médecins et les responsables de la santé voient à tort la maladie et la condition humaine. Et d'une manière ou d'une autre, les vaccins sont en plein milieu de cette injustice. Mais d'abord, prenons les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.

    Lorsque nous disons qu'une personne est décédée d'un arrêt cardiaque ou d'un accident vasculaire cérébral, nous nous tenons au-dessus des sables mouvants, mais alors que nous nous enfonçons dans la cause réelle, la plupart des gens meurent d'une carence en magnésium dans ces deux conditions. Pourtant, vous n'entendrez JAMAIS un médecin dire qu'une personne est décédée d'une carence en magnésium, bien que la science médicale soutienne la vérité de cette réalité.

    Les personnes en bonne santé ont beaucoup de magnésium dans leurs cellules, alors pensez à prendre un gramme de magnésium par jour pour vous protéger contre une multitude de maladies. Les cardiologues pourraient donner une centaine de médicaments, mais aucun ne peut compenser les carences en magnésium, qui sont la principale raison pour laquelle les gens ont des problèmes cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et du diabète.

    Tout le monde a peur du COVID et, avant ça, de la grippe, et maintenant ils en inventent un nouveau, Flurona, et c'est là qu'intervient l'obsession des vaccins. La vérité est qu'il est presque impossible de mourir du COVID ou du grippe si le taux sanguin de vitamine D est suffisamment élevé. Cela signifie que si vous prenez suffisamment de soleil et que vous n'êtes pas obèse (corps complètement enflammé), tout ira bien. Et voilà, sans grande surprise, un variant de coronavirus avec 46 mutations a été détecté dans le sud de la France. Le premier patient a été vacciné, montrant que la santé, et non les vaccins, est la voie à suivre.

    La grippe et le COVID sont tous deux des maladies de carence en vitamine D. Comme le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C, le goitre est une maladie due à une carence en iode. Aucun médecin sain d'esprit ne traiterait ces deux maladies avec autre chose que de la vitamine C ou de l'iode. (L'iode peut être utilisé dans notre lutte contre le COVID.) Maintenant, dites-moi en quoi le vaccin contre la grippe ou le vaccin COVID hautement dangereux a une valeur pour l'une de ces maladies.

    Un médicament essentiel pour les patients hospitalisés atteints de coronavirus serait le chlorure de magnésium administré par voie intraveineuse. L'administration de magnésium réduirait la progression de la maladie à des stades sévères ou mortels lorsqu'elle est détectée suffisamment tôt et empêcherait les patients cardiaques de mourir plus tard.

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  10. D'autres études montrent que les combinaisons de vitamine D, de magnésium et de B12 administrées à des patients COVID-19 plus âgés étaient associées à une réduction significative de la proportion de patients présentant une détérioration clinique nécessitant de l'oxygène et un soutien en soins intensifs.

    La médecine moderne pourrait se justifier si elle abolissait les vaccins contre la grippe et le COVID et promouvait le soleil ou la vitamine D3 (ou mieux, le calcitriol, la forme active et instantanément disponible de D). Mais ce serait traiter ou prévenir les maladies avec la santé au lieu de vaccins dangereux. Mais, bien sûr, c'est la dernière chose à laquelle le complexe médico-industriel s'intéresse ou fera.

    Ils ne sont pas intéressés par ce qui fonctionne ! Ils vendent des vaccins, peu importe le nombre de personnes qu'ils tuent ou blessent gravement. Ils vendent des vaccins même s'ils ne fonctionnent pas, ce qui est maintenant évident car COVID, sous ses diverses formes, continue d'infecter même les populations complètement vaccinées. Mais tous ceux dont l'esprit a été conditionné à considérer les vaccins comme leur sauveur et leur protecteur continueront à chercher le prochain rappel jusqu'à ce que le paradigme médical actuel s'effondre sur lui-même.

    Quiconque connaît un peu les vaccins se rend compte qu'ils sont violents, et l'un des principaux experts en vaccins, le Dr Paul Offit, l'a dit. Offit, co-inventeur du vaccin Merck RotaTeq, a écrit Deadly Choices: How the Anti-Vaccine Movement Threatens Us All. Malheureusement, l'histoire de COVID montre clairement qui nous menace tous. Quiconque connaît les vaccins aurait compris leur objectif final, auquel nous sommes maintenant confrontés avec les vaccins COVID.

    « Le plus grand mensonge jamais dit est que
    les vaccins sont sûrs et efficaces.
    Dr Len Horowitz

    Soyez alarmé et averti

    Si l'on est contre les vaccins COVID (injections génétiques), on devrait être contre la FDA, le NIH, le CDC, les agences du Dept. of Health and Human Services, NIAID, etc., mais aussi de vrais médecins en pratique clinique, chercheurs, administrateurs d'hôpitaux, et bien sûr contre les sociétés pharmaceutiques et leurs PDG qui fabriquent et vendent les vaccins les plus dangereux qui existent. Ils appartiennent tous à la même famille de rats et ne sont pas dignes de confiance dans la mesure où vous pouvez cracher dans un vent d'ouragan.

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  11. Soyez très prudent lorsque vous prenez un vaccin contre le COVID. Votre assurance-vie peut ne pas payer si elle détermine que votre injection COVID19 est une «intervention médicale expérimentale», c’est ainsi qu’elle est largement caractérisée. En outre, l'alarme monte d'une compagnie d'assurance-vie, qui signale une augmentation de 40 % des décès parmi les personnes dans la force de l'âge. Cela pourrait donc être le coup de feu entendu dans le monde entier nous avertissant que les vaccins COVID pourraient être pires pour la race humaine qu'une guerre mondiale.

    Les vaccins sont sûrs

    Les vaccins sont si sûrs que le National Vaccine Injury Compensation Program (NVICP) pour les blessures causées par les vaccins et les décès a déboursé 3,1 milliards de dollars entre 1989 et 2015. Paiement annuel moyen 2005-2009 : 75 630 051 $ par an. Paiement annuel moyen 2010-2014 : 221 822 386 $ par année. En 2021, le gouvernement américain a payé 246,9 millions de dollars en réclamations pour blessures et décès liés au vaccin. Pas un seul centime n'était lié aux vaccins contre le Covid-19.

    Si vous donnez un laissez-passer vert à l'une des organisations ci-dessus, vous favorisez le massacre de millions et êtes donc complice. Des dizaines de milliers de médecins et d'infirmières sont coupables. La vérité est que les gens (et les bébés) se blessent et meurent à cause des vaccins depuis longtemps. J'écris à ce sujet depuis plus de 18 ans, mais le message n'est jamais passé, et regardez où nous en sommes maintenant.

    Les vaccins COVID sont au sommet de l'erreur de la médecine moderne et parlent d'une terrible forme de terrorisme inhérente au complexe industriel des vaccins. Nous aurions dû mieux le savoir. Les virologues et les partisans des vaccins se préparaient depuis des décennies à ce que nous avons maintenant de Pfizer et de ses amis.

    James Howard Kunstler a rapporté que le Dr Robert Malone (inventeur de la technologie ARNm) bombardait la vérité sur Internet avec trois heures de discours directs sur la campagne des autorités sanitaires américaines pour détruire la vie d'au moins un demi-million de citoyens américains (jusqu'à présent ). Le podcasteur Joe Rogan a assisté habilement dans une interview qui fait enfin sortir le monde d'une transe de consensus épique. (Ecoutez.)

    Kunstler a déclaré: "Le peuple américain a été joué en arrière et en avant, à l'intérieur et à l'extérieur, de part en part, de haut en bas, poussé au bord même du suicide national par une combinaison d'ennemis à l'intérieur et à l'extérieur."

    Note spéciale : le prochain essai portera sur le bicarbonate de soude et son utilisation contre les infections à COVID pour traiter les patients hospitalisés et à titre préventif. La santé commence lorsque nous franchissons la frontière de l'alcalinité. Tous les virus sont sensibles au pH, mais je parie que vous ne trouverez pas un médecin ou un responsable de la santé publique pour le dire.

    Reprinted with permission from Dr.Sircus.com.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/mark-sircus/treating-disease-with-health-not-vaccines/

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  12. Beaucoup plus d'enfants meurent du coup piqûre de COVID que de COVID


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    8 janvier 2022


    - voir clip sur site -

    La vidéo ci-dessus présente Collette Martin, une infirmière en exercice qui a témoigné devant une audience du Comité de la santé et du bien-être de la Louisiane le 6 décembre 2021.1,2 attaques, encéphalopathie et arythmies - pourtant leurs préoccupations sont tout simplement écartées.

    Chez les patients âgés, elle a remarqué une augmentation des chutes et un début aigu de confusion "sans aucune étiologie connue". Les collègues subissent également des effets secondaires, tels que des problèmes de vision et cardiovasculaires.

    Martin souligne que peu de médecins ou d'infirmières sont au courant que le système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS) existe même, de sorte que les rapports de blessure ne sont pas déposés. Les hôpitaux ne collectent pas non plus de données sur les blessures par piqûre COVID d’aucune autre manière, il n’y a donc aucune donnée à étudier même si vous le vouliez. Selon Martin :

    «Nous ne voyons pas seulement des réactions aiguës graves [à court terme] avec ce vaccin, mais nous n'avons aucune idée de ce que sont les réactions à long terme. Cancers, [troubles] auto-immuns, infertilité. Nous ne savons tout simplement pas.

    Nous sacrifions potentiellement nos enfants par peur de PEUT-ÊTRE mourir, de tomber malade d'un virus – un virus avec un taux de survie de 99 %. À l'heure actuelle, nous avons plus d'enfants qui sont morts du vaccin COVID que COVID lui-même.

    Et puis, pour le ministère de la Santé de sortir et de dire que la nouvelle variante [Omicron] a tous les effets secondaires des réactions vaccinales que nous voyons actuellement – ​​c'est exaspérant, et je ne comprends pas pourquoi plus de gens ne le voient pas . Je pense que oui, mais ils craignent de s'exprimer et, pire encore, d'être licenciés… De quel côté de l'histoire serez-vous ? Je dois savoir que cette folie va s'arrêter.

    Martin déclare également qu'elle pense que le protocole de traitement hospitalier tue des patients COVID. Les médecins s'accordent à dire que cela "ne fonctionne pas", mais que "c'est tout ce que nous avons". Mais "ce n'est tout simplement pas vrai", dit-elle. "C'est exactement ce que le CDC nous permettra de donner."

    Ce que les données VAERS nous disent sur les risques de COVID Jab

    J'ai récemment interviewé Jessica Rose, Ph.D., chercheuse à l'Institute for Pure and Applied Knowledge en Israël, sur ce que les données VAERS nous disent sur les risques des jabs COVID. Comme l'a noté Rose, le nombre moyen de rapports d'événements indésirables après la vaccination au cours des 10 dernières années a été d'environ 39 000 par an, avec une moyenne de 155 décès. C'est pour tous les vaccins disponibles combinés.

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  13. Les piqûres COVID à elles seules représentent désormais 983 756 rapports d'événements indésirables au 17 décembre 2021, dont 20 622 décès3 – et cela n'inclut pas le facteur de sous-déclaration, qui, nous le savons, est important et varie probablement de cinq à 40 fois plus élevé que rapporté. La plupart des médecins et des infirmières ne savent même pas ce qu'est le VAERS et même s'ils le savent, ils ont choisi de ne pas signaler les incidents.

    Vous ne pouvez même pas comparer les injections COVID à d'autres vaccins. Ce sont de loin les injections les plus dangereuses jamais créées, mais il ne semble pas y avoir de seuil pour les dommages acceptables. Personne au sein du CDC ou de la Food and Drug Administration, qui dirigent conjointement le VAERS, n'a abordé ces chiffres choquants. Les deux agences nient scandaleusement qu'un seul décès puisse être attribué aux jabs COVID, ce qui est tout simplement impossible. Ce n'est pas statistiquement plausible.

    La FDA et le CDC ignorent également les analyses de données standard qui peuvent faire la lumière sur la causalité. C'est ce qu'on appelle les critères de Bradford Hill - un ensemble de 10 critères qui doivent être satisfaits afin de montrer des preuves solides d'une relation causale. L'un des plus importants de ces critères est la temporalité, car une chose doit précéder l'autre, et plus la durée entre deux événements est courte, plus la probabilité d'un effet causal est élevée.

    Eh bien, dans le cas des injections COVID, 50 % des décès surviennent dans les 48 heures suivant l'injection. Il n'est tout simplement pas concevable que 10 000 personnes soient mortes deux jours après leur coup de feu d'autre chose que le coup. Tout ne peut pas être une coïncidence. D'autant plus que beaucoup d'entre eux sont plus jeunes, sans conditions mortelles sous-jacentes qui menacent de les éliminer un jour donné. 80 % sont morts dans la semaine suivant leur jab, ce qui est toujours incroyablement proche en termes de temporalité.4

    Les enfants risquent des dommages cardiaques permanents

    Outre le risque immédiat de décès, les enfants sont également exposés à des problèmes de santé potentiellement permanents à cause de la piqûre. La myocardite (inflammation cardiaque) est devenue l'un des problèmes les plus courants, en particulier chez les garçons et les jeunes hommes.

    Début septembre 2021, Tracy Beth Hoeg et ses collègues ont publié une analyse5 des données du VAERS sur le serveur de préimpression medRxiv, montrant que plus de 86 % des enfants âgés de 12 à 17 ans qui signalent des symptômes de myocardite étaient suffisamment graves pour nécessiter une hospitalisation.

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  14. Les cas de myocardite explosent après le deuxième coup, a découvert Hoeg, et affectent de manière disproportionnée les garçons. Un bon 90 % des rapports de myocardite post-jab sont des hommes, et 85 % des rapports se sont produits après la deuxième dose. Selon Hoeg et. al.:6

    « L'incidence estimée des CAE [événements indésirables cardiaques] chez les garçons âgés de 12 à 15 ans après la deuxième dose était de 162 par million ; l'incidence chez les garçons âgés de 16 à 17 ans était de 94 pour un million. L'incidence estimée des CAE chez les filles était de 13 par million dans les deux groupes d'âge.

    Sans aucun doute, les médecins constatent une augmentation des myocardites, mais peu sont prêts à en parler. Dans un récent article de Substack, Steve Kirsch écrit :7

    «Je viens de lire un commentaire sur ma sous-pile privée« fournisseurs de soins de santé uniquement ». Une élévation estimée à 100X du taux de myocardite, mais personne ne l'apprendra car les cardiologues ne vont pas s'exprimer par crainte de représailles.

    Son commentaire était une conversation privée qu'il a eue avec un cardiologue pédiatrique. Le cardiologue ne le dira jamais en public, à la presse, ni ne verra son nom révélé puisque son premier devoir est envers sa famille (garder son travail).

    Si un « vérificateur des faits » appelait le cardiologue, il pourrait soit refuser de commenter, soit dire « Je vois un peu plus de cas après le déploiement du vaccin. » Voici le commentaire exact qui a été publié sur la sous-pile privée :

    « Pré-jab, un ou deux cas par an de myocardite. Maintenant, la moitié de sa salle d'attente. Dit aux parents qu'ils « étudient » la causalité. Les oriente vers un spécialiste des maladies infectieuses pour des discussions sur leurs autres enfants.

    Admet que lui et environ 50 % de ses collègues savent ce qui se passe, mais sont trop terrifiés pour s'exprimer par crainte de représailles de la part des hôpitaux et des commissions d'autorisation des États.

    Les autres 50 % ne veulent pas savoir, s'en moquent et/ou se délectent de la dissonance cognitive (comme le Dr Harvey [Cohen] à Stanford) et/ou lâchent leur démon autoritaire. Bonne chance avec ces anciens collègues à moi. La puanteur est accablante.

    … De 1 ou 2 cas par an à « la moitié de sa salle d'attente. » Je ne connais pas la taille de sa salle d'attente, mais c'est au moins deux personnes puisqu'il a dit « la moitié ». jour par an ouvert/1,5 cas en moyenne par an=166X. »

    La myocardite n'est pas un effet secondaire léger et sans conséquence

    En octobre 2021, avec le Dr Peter McCullough, Rose a également soumis un article8 sur les cas de myocardite dans le VAERS à la suite des injections COVID à la revue Current Problems in Cardiology. Tout était prêt pour la publication lorsque, soudainement, le journal a changé d'avis et l'a retiré.

    Cependant, vous pouvez toujours trouver la pré-épreuve sur le site Web de Rose. Les données montrent clairement que la myocardite est inversement corrélée à l'âge, de sorte que le risque augmente avec le jeune. Le risque est également dose-dépendant, les garçons ayant un risque six fois plus élevé de myocardite après la deuxième dose.

    Alors que nos autorités sanitaires ignorent ce risque en disant que les cas sont «légers», c'est un mensonge effrayant. Les dommages au cœur sont généralement permanents, et le taux de survie à trois à cinq ans pour la myocardite a historiquement varié de 56 % à 83 %.9

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  15. Les patients atteints de myocardite aiguë fulminante (caractérisée par une dysfonction systolique ventriculaire gauche sévère nécessitant un traitement médicamenteux ou une assistance circulatoire mécanique10) qui survivent au stade aigu ont un taux de survie de 93 % à 11 ans, tandis que ceux atteints de myocardite aiguë non fulminante (dysfonction systolique ventriculaire gauche, mais sinon hémodynamiquement stable11) ont un taux de survie de seulement 45 % à 11 ans12.

    Cela pourrait signifier que 7 à 55 % des adolescents blessés par ces coups aujourd'hui pourraient ne pas survivre jusqu'à la fin de la vingtaine ou le début de la trentaine. Certains pourraient même ne pas atteindre la vingtaine ! Comment est-ce possiblement un compromis acceptable pour un virus dont vous n'avez pratiquement aucun risque de mourir en tant qu'enfant ou adolescent ?

    Les décès excessifs explosent, y compris chez les adolescents

    Tout au long de la pandémie, la piqûre COVID a été présentée comme le chemin du retour à la normale. Pourtant, malgré les injections massives et les rappels, les décès en excès ne cessent d'augmenter. Par exemple, au cours de la semaine se terminant le 12 novembre 2021, le Royaume-Uni a signalé 2 047 décès de plus13 qu'au cours de la même période entre 2015 et 2019.

    Le COVID-19 ne peut pas être entièrement à blâmer, car il ne figurait sur les certificats de décès que pour 1 197 personnes. Encore plus révélateur est le fait que, depuis juillet 2021, les décès non liés au COVID au Royaume-Uni ont été plus élevés que la moyenne hebdomadaire au cours des cinq années précédant la pandémie. Les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux semblent être à l'origine de bon nombre des décès en excès, et les deux sont des effets secondaires connus du jab COVID.

    Dans un article publié le 28 novembre 2021 sur Twitter14, l'ingénieur logiciel de la Silicon Valley Ben M. (@USMortality) a révélé qu'au cours des 13 semaines précédentes, environ 107 700 personnes âgées sont décédées au-dessus du taux normal, malgré un taux de vaccination de 98,7 %. Dans un autre exemple, il a utilisé les données du CDC et de recensement.gov pour montrer que les décès excessifs augmentent dans le Vermont alors même que la majorité des adultes ont été injectés.15

    « Le Vermont avait 71% de toute sa population vaccinée au 1er juin 2021 », a-t-il tweeté. « Cela représente 83 % de leur population adulte, mais ils enregistrent maintenant le plus de décès en excès depuis la pandémie ! »

    Encore plus inquiétant, les données britanniques montrent que les décès chez les adolescents ont augmenté depuis que ce groupe d'âge est devenu éligible pour les injections COVID.16 Entre la semaine se terminant le 26 juin et la semaine se terminant le 18 septembre 2020, 148 décès ont été signalés parmi les 15 à 19 ans. -vieux. Entre la semaine se terminant le 25 juin 2021 et la semaine se terminant le 17 septembre 2021, 217 décès sont survenus dans ce groupe d'âge. C'est une augmentation de 47 % !

    La corrélation n'est pas égale à la causalité, mais il est extrêmement préoccupant de voir que les décès ont augmenté de 47% chez les adolescents de plus de 15 ans, et les décès dus au COVID-19 ont également augmenté dans ce groupe d'âge depuis qu'ils ont commencé à recevoir le vaccin COVID-19, et c'est peut-être une coïncidence de trop. ~ L'Exposé

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  16. Les décès dus à COVID-19 ont également augmenté chez les 15 à 19 ans après le déploiement des injections pour ce groupe d'âge. Des inquiétudes importantes ont été soulevées quant à la possibilité que les vaccins COVID-19 pourraient aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE).17 Est-ce ce qui se passe ici ? Tel que rapporté par The Exposé, qui a mené l'enquête :18

    « La corrélation n'est pas égale à la causalité, mais il est extrêmement préoccupant de voir que les décès ont augmenté de 47 % chez les adolescents de plus de 15 ans, et les décès dus au COVID-19 ont également augmenté dans ce groupe d'âge depuis qu'ils ont commencé à recevoir le vaccin COVID-19 , et c'est peut-être une coïncidence de trop.

    Omicron ne présente aucun risque pour les jeunes

    Comme indiqué dans une analyse récente du Dr Robert Malone19 (qui a récemment été banni de Twitter mais peut être trouvé sur Substack), le rapport risque-bénéfice du tir COVID devient encore plus inversé avec l'émergence d'Omicron, car cela La variante produit une maladie beaucoup plus bénigne que les variantes précédentes, ce qui expose les enfants à un risque encore plus faible d'hospitalisation ou de décès par infection qu'auparavant, et leur risque était déjà négligeable.

    Malone est actuellement le fer de lance de la deuxième Déclaration des médecins20 de l'Alliance internationale des médecins et des scientifiques médicaux, qui a été signée par plus de 16 000 médecins et scientifiques, déclarant que « les enfants en bonne santé ne doivent pas être soumis à une vaccination forcée » comme leur risque clinique de SRAS- L'infection par le CoV-2 est négligeable et la sécurité à long terme des injections ne peut pas être déterminée avant que de telles politiques ne soient adoptées.

    Non seulement les enfants présentent un risque élevé d'effets indésirables graves dus aux injections, mais le fait d'avoir des enfants en bonne santé et non vaccinés dans la population est essentiel pour obtenir une immunité collective.

    Coups double risque de syndrome coronarien aigu

    Les chercheurs ont également découvert que les injections d'ARNm de Pfizer et Moderna COVID-19 augmentent considérablement les biomarqueurs associés à la thrombose, à la cardiomyopathie et à d'autres événements vasculaires après l'injection.21

    Les chercheurs ont découvert que les personnes qui avaient reçu deux doses de l'ARNm jab ont plus que doublé leur risque de syndrome coronarien aigu (SCA) sur cinq ans, le faisant passer d'une moyenne de 11 % à 25 %. Le SCA est un terme générique qui inclut non seulement les crises cardiaques, mais également une gamme d'autres conditions impliquant une réduction brutale du flux sanguin vers votre cœur. Dans un tweet du 21 novembre 2021, le cardiologue Dr Aseem Malhotra a écrit :22

    « Extraordinaire, dérangeant, bouleversant. Nous avons maintenant des preuves d'un mécanisme biologique plausible de la façon dont le vaccin à ARNm peut contribuer à l'augmentation des événements cardiaques. Le résumé est publié dans la revue de cardiologie la plus influente, nous devons donc prendre ces résultats très au sérieux. »

    AMA est d'accord avec le sacrifice d'enfants

    Tragiquement, ce ne sont pas seulement les CDC et la FDA qui ont été capturés par l'industrie pharmaceutique et qui sacrifient la santé publique, y compris la santé de nos enfants, afin de faire avancer le programme technocratique de la grande réinitialisation.

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  17. Même l'American Medical Association, qui est censée faire pression pour les médecins et les étudiants en médecine aux États-Unis et promouvoir la médecine pour l'amélioration de la santé publique, a abandonné tout semblant d'éthique, de transparence et d'honnêteté.

    Dans un article de la mi-novembre 2021 publié sur le site Web de l'AMA, « Vaccin COVID-19 pour les enfants : comment nous savons que c'est sûr »,23 la rédactrice en chef Tanya Albert Henry cite des données directement du communiqué de presse de Pfizer, puis continue en affirmant que nous « » sachez que c'est sans danger » parce que « les jeunes enfants subissent les mêmes effets secondaires que ceux observés chez les adultes et les adolescents ». D'après les données du VAERS, cela devrait faire froid dans le dos des parents.

    "L'American Academy of Pediatrics est d'accord pour vacciner ce groupe d'âge, avec l'American Academy of Family Physicians et la Pediatrics Infectious Diseases Society, a déclaré le Dr Fryhofer, président élu du conseil d'administration de l'AMA", écrit Henry.

    "Dr. Fryhofer… a noté que la myocardite était un événement rare après la deuxième dose des vaccins à ARNm. "Le risque observé est le plus élevé chez les jeunes hommes âgés de 12 à 29 ans, mais l'infection au COVID peut également provoquer une myocardite", a-t-elle souligné. « Pour les adolescents et les jeunes adultes, le risque de myocardite causée par une infection au COVID est beaucoup plus élevé qu'après la vaccination par l'ARNm. »

    Ah bon? D'où Fryhofer a-t-il eu cette idée ? Je n'ai vu aucune donnée pour le confirmer, et Henry n'en fournit aucune.

    Que montrent les données VAERS ?

    Une recherche publiée en 201724 a calculé le taux de fond de myocardite chez les enfants et les jeunes, montrant qu'elle se produit à un taux de quatre cas par million par an. Selon le U.S. Census Bureau, en 2020, il y avait 73,1 millions de personnes de moins de 18 ans aux États-Unis25. Cela signifie que le taux de fond de myocardite chez les adolescents (18 ans et moins) serait d'environ 292 cas par an.

    Au 17 décembre 2021, en examinant uniquement les rapports américains et à l'exclusion des rapports internationaux, VAERS avait reçu :26

    Au total, cela représente 1 475 cas de myocardite chez les adolescents de 18 ans et moins, soit cinq fois le taux de base. Et encore une fois, cela ne prend pas en compte le taux de sous-déclaration, qui a été calculé entre cinq et 40.

    Pendant ce temps, le CDC27 affirme qu'entre mars 2020 et janvier 2021, "le risque de myocardite était de 0,146 % chez les patients diagnostiqués avec COVID-19", par rapport à un taux de base de 0,009 % chez les patients qui n'avaient pas de diagnostic de COVID- 19.

    Après ajustement pour les « caractéristiques du patient et de l'hôpital », les patients COVID-19 âgés de 16 à 39 ans étaient en moyenne sept fois plus susceptibles de développer une myocardite que ceux sans COVID.

    Cela dit, le CDC a souligné que « Dans l'ensemble, la myocardite était rare » chez tous les patients, COVID ou non. De plus, seulement 23,7% des patients atteints de myocardite âgés de 16 à 24 ans avaient des antécédents de COVID-19, donc la majorité des cas dans ce groupe d'âge n'étaient pas dus à COVID.

    Nous ne parlons pas non plus de grands nombres en termes d’infections COVID réelles. Le taux d'hospitalisation hebdomadaire des adolescents a culminé à 2,1 pour 100 000 début janvier 2021, est tombé à 0,6 pour 100 000 à la mi-mars et est passé à 1,3 pour 100 000 en avril28.

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  18. En utilisant ce taux d'hospitalisation maximal de 2,1 pour 100 000 (ou 21 pour un million) dans ce groupe d'âge, et en supposant que le risque de myocardite est de 0,146 % chez les patients COVID-positifs, nous obtenons un taux de myocardite de COVID chez les adolescents de 0,03 par million . C'est loin du taux de fond normal de quatre cas par million, donc le risque de contracter une myocardite due à une infection par le SRAS-CoV-2 est probablement assez faible.

    Maintenant, en supposant que le taux d'hospitalisation pour COVID pour les adolescents est de 21 par million et que nous avons 73,1 millions d'adolescents, nous pouvons nous attendre à ce qu'il y ait 1 535 hospitalisations pour COVID dans ce groupe d'âge en un an. Si 0,146 % de ces 1 535 adolescents développent une myocardite, nous pourrions nous attendre à ce que 2,2 cas de myocardite surviennent dans ce groupe d'âge chaque année, parmi ceux qui contractent le COVID.

    En résumé, sur la base des statistiques du CDC, nous pourrions nous attendre à ce qu'un peu plus de deux adolescents contractent une myocardite due à une infection au COVID-19. Pendant ce temps, nous avons 1 475 cas signalés suite au jab COVID en seulement six mois (les injections pour les 12 à 17 ans ont été autorisées le 30 juillet 202129).

    En tenant compte de la sous-déclaration, le nombre réel pourrait se situer entre 7 375 et 59 000 - encore une fois, en seulement six mois ! Pour estimer un taux annuel, il faudrait le doubler, ce qui nous donne entre 14 750 et 118 000 cas de myocardite. Alors, est-il réellement vrai que « Pour les adolescents et les jeunes adultes, le risque de myocardite causée par une infection au COVID est beaucoup plus élevé qu'après la vaccination par l'ARNm » ? J'en doute.

    Pouvez-vous réduire les effets néfastes ?

    Il n'y a absolument aucune justification ou justification médicale pour que les enfants et les adolescents se fassent vacciner contre la COVID. C'est tout risque et aucun gain. Si, pour une raison quelconque, votre fils ou votre fille a déjà reçu un ou plusieurs jabs et que vous espérez réduire son risque de complications cardiaques et cardiovasculaires, je vous suggère de mettre en œuvre quelques stratégies de base.

    Gardez à l'esprit que ces suggestions NE remplacent ni n'annulent pas les conseils médicaux qu'ils pourraient recevoir de leur pédiatre. Ce ne sont en fait que des recommandations lorsqu'il n'y a pas de symptômes indésirables. Si votre enfant présente des symptômes d'un problème cardiaque ou cardiovasculaire, consultez immédiatement un médecin.

    1.D'abord et avant tout, ne leur donnez pas une autre injection ou un autre rappel.

    2. Mesurez leur taux de vitamine D et assurez-vous qu'ils prennent suffisamment de vitamine D par voie orale et/ou qu'ils s'exposent raisonnablement au soleil pour vous assurer que leur taux se situe entre 60 ng/mL et 80 ng/ml (150 à 200 nmol/l).

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  19. 3. Éliminez toutes les huiles végétales (graines) de leur alimentation. Cela implique d'éliminer presque tous les aliments transformés et la plupart des repas dans les restaurants, à moins que vous ne convainquiez le chef de ne cuisiner qu'avec du beurre. Évitez les sauces ou les vinaigrettes car elles sont chargées d'huiles de graines.

    Évitez également le poulet et le porc élevés de manière conventionnelle, car ils sont très riches en acide linoléique, le gras oméga-6 qui est beaucoup trop élevé chez presque tout le monde et contribue au stress oxydatif qui cause les maladies cardiaques.

    4.Envisagez de leur donner environ 500 milligrammes par jour de NAC, car il aide à prévenir les caillots sanguins et est un précurseur de l'important antioxydant glutathion.

    5.Considérez les enzymes fibrinolytiques qui digèrent la fibrine qui entraîne des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux et des embolies pulmonaires. La dose est généralement de deux à six capsules, deux fois par jour, mais doit être prise à jeun, soit une heure avant ou deux heures après un repas. Sinon, les enzymes agiront simplement comme une enzyme digestive plutôt que de digérer la fibrine.

    Sources and References

    1 Louisiana Health and Welfare Committee Meeting December 6, 2021
    2 Louisiana Government Archived Videos 2021 (see Health and Welfare)
    3 OpenVAERS Data as of December 17, 2021
    4 Dare to Seek the Truth Dr. Peter McCullough
    5, 6 medRxiv September 8, 2021 DOI: 10.1101/2021.08.30.21262866
    7 SteveKirsch.substack December 30, 2021
    8 Journal Pre-proof, A Report on Myocarditis Adverse Events in the U.S. Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) in Association with […]
    9, 12 European Heart Journal September 2008; 29(17): 2073–2082
    10, 11 Journal of the American College of Cardiology July 23, 2019; 74(3):299-311
    13 Financial Times November 23, 2021
    14 Twitter, Ben M. November 28, 2021
    15 Twitter, Ben M. November 24, 2021
    16, 18 The Exposé September 30, 2021
    17 Int J Clin Pract. 2020 Oct 28 : e13795
    19 RWMaloneMD.substack.com COVID Vaccine Safety in Children
    20 Physicians Declaration by the International Alliance of Physicians and Medical Scientists
    21 Circulation November 16, 2021; 144(Suppl_1)
    22 Twitter Aseem Malhotra November 21, 2021
    23 AMA November 15, 2021
    24 Journal of the American Heart Association November 18, 2017; 6:e005306
    25 Census.gov 2020 Statistics
    26 OpenVAERS Myocarditis cases by age as of December 17, 2021
    27, 28 CDC MMWR September 3, 2021; 70(35);1228–1232
    29 CDC MMWR August 6, 2021; 70(31);1053-1058

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/joseph-mercola/more-children-die-from-the-covid-shot-than-from-covid/

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    Réponses
    1. Rappel qu'un VIRUS est une POUSSIÈRE. Toutes les poussières ont été jusqu'à présent émises par le magma (et remontées à la surface des eaux par ses émissions de gaz qui forment notre atmosphère. Ces nano-poussières (égales ou inférieures au micron soit 1 millième de millimètre) sont PARFAITEMENT INOFFENSIVES.
      A la différence des poussières terrestres, elles, elles sont ferriques (contenant du fer).
      SEUL un microbe (donc: un vivant) apporte des maladies.
      C'est alors que des laboratoires nazis ont fabriqué des poussières empoisonnées.
      les nano-poussière d'oxyde de graphène (poison mortel violent).
      Oui mais comme ces nano-poussières chemtraillées (jusqu'à présent) ne donnaient pas l'effet attendu, est proposé aujourd'hui (depuis 2 ans) LA poussière empoisonnée en seringues !
      Si t'es piqué tu l'as !
      Et, si tu l'a t'es mort !

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  20. Nous assistons maintenant aux premiers signes de la redoutable apocalypse des zombies vaccinaux : des « masques Karens » déchaînés, des changements de personnalité, un comportement violent et une folie animale du tronc cérébral inférieur


    vendredi 07 janvier 2022
    par : Mike Adams


    (Natural News) Cette histoire parle de la réalité des zombies vaccinés, mais pour y arriver, nous devons d'abord couvrir l'idiotie sous-jacente qui a obligé les gens à s'inscrire pour les coups très covid qui mangent maintenant leur cerveau. Pour comprendre tout cela, nous devons d'abord examiner quel genre de personne est suffisamment crédule pour se faire vacciner et continuer à le faire même après que des preuves de préjudice soient évidentes. Il y a des gens intelligents qui ont pris les deux premières piqûres et qui ont ensuite réalisé à quel point c'était dangereux. Ils se sont arrêtés. Mais les inconscients n'arrêtaient pas d'en demander plus…

    Le monde est plein de crétins qui sont, d'une manière très réelle, des retards cognitifs. Une partie de ce retard prive ces personnes de la capacité de comprendre les concepts de base des mathématiques, des probabilités ou de l'évaluation des risques. C'est pourquoi ils sont si facilement cajolés en pensant que «le changement climatique» va tuer tout le monde, ou que le risque de vaccin contre le covid est nul.

    Certaines des habitudes caractéristiques de ces abrutis mathématiques incluent :

    Ils sont facilement influencés par les affirmations trompeuses des médias grand public et sont rapidement conduits à la peur.
    Ils achètent fréquemment des billets de loterie parce qu'ils ne comprennent pas les mathématiques.
    Ils ont tendance à manger beaucoup de malbouffe hautement transformée, et ils pensent économiser de l'argent en achetant des aliments transformés avec des coupons plutôt qu'en achetant des aliments non raffinés et non transformés qui offrent en réalité beaucoup plus de nutrition.
    Leurs maisons sont remplies de déchets de marque comme le détergent à lessive Tide, les céréales transformées de General Mills, les pâtes en conserve Chef Boyardee, les bouteilles de Pepsi, etc. Ils sont à 100 % un produit de la publicité télévisée et de la propagande médiatique. Ils aiment acheter beaucoup de produits « Swiffer » qui ne sont que des chiffons de nettoyage et des vadrouilles éponge hors de prix.
    Ils ont de très faibles compétences en gestion financière et sont perpétuellement « en faillite », connaissent fréquemment des catastrophes ou des événements de crise qu'ils prétendent toujours être « jamais de leur faute ».
    Ils gaspillent de l'argent avec des franchises extrêmement basses pour l'assurance automobile, car ils ne comprennent pas le prix des produits d'assurance.
    Ils pensent qu'ils ont besoin d'une assurance pour tout et sont obsédés par l'achat de plus de polices d'assurance pour tout ce qui est imaginable, y compris parfois l'achat d'une «assurance-vie de voyage» où ils parient qu'ils mourront lors d'un prochain vol.
    Ils sont beaucoup plus intéressés à souscrire une assurance-maladie qu'à prendre soin de leur santé. Ils sont souvent en très mauvaise santé mais refusent de changer leurs habitudes pour améliorer leur santé.
    Ils ADORENT les rappels et les vaccins ! Ils sont aussi de grands fans de masques. Ce sont les « Karens » du covid.
    Enfin, comme ils n'ont aucun pouvoir sur eux-mêmes, ils ont soif de pouvoir sur les autres.
    Brighteon.TV

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  21. Nous vivons tous dans un monde fortement peuplé de ces crétins / Karens, mais cela est sur le point de changer à cause du vaccin contre le covid.

    À l'heure actuelle, environ 100 000 preneurs de vaccins en Amérique meurent chaque mois du vaccin lui-même (voir les chiffres ici). Cela va s'accélérer considérablement jusqu'en 2022 et au-delà. Au cours de la prochaine décennie, vous allez vivre un « événement de masse » de médecins, de journalistes, de scientifiques, de travailleurs de Big Tech, de travailleurs de Wall Street, de directeurs municipaux, d'enseignants et plus encore, tous mourant des injections de vaccins qu'ils croyaient stupidement étaient sûrs et approuvés. Ces personnes vont tomber et soit perdre connaissance, soit mourir, tout comme ce journaliste brésilien de 36 ans qui s'est publiquement vanté d'avoir pris la piqûre covid, puis s'est évanoui et a perdu connaissance devant la caméra lors d'une émission d'information :

    - voir clip sur site -

    La raison pour laquelle le présentateur de télévision a perdu connaissance et a subi cinq crises cardiaques est que son sang s'est transformé en un semi-solide à cause des injections de "vaccin" de protéine de pointe.

    Évidemment, lorsque votre sang cesse de fonctionner comme un liquide et commence à se transformer en un solide, il ne peut plus circuler dans votre système circulatoire. En quelques secondes, votre cerveau perd de l'oxygène et vous perdez connaissance. C'est pourquoi tant de personnes qui reçoivent les injections de « coup de caillot » de covid meurent ou s'évanouissent.

    Au fur et à mesure que les personnes vaccinées passent du statut «normal» à celui de MORT, elles traversent une phase de folie et de changements de personnalité semblable à celle d'un zombie.
    Vous avez probablement vu cela chez beaucoup de vos amis, membres de votre famille ou collègues qui ont pris les injections de caillots. Avant les coups, c'étaient des gens normaux, en bonne santé et heureux. Ensuite, ils ont pris les photos et les choses se sont dégradées.

    Vous avez peut-être remarqué des changements de personnalité, une agressivité accrue et un virage vers un comportement animal/de type zombie.

    Ce sont des signes que des caillots sanguins commencent à se former dans leur cerveau, coupant l'oxygène aux parties du cerveau responsables du traitement des fonctions cognitives supérieures. Essentiellement, ils se transforment en zombies vaccinaux, et ils ne s'en rendent même pas compte.

    Il est important de comprendre que plus leurs changements de personnalité sont extrêmes, plus les caillots sanguins affectent leur cerveau. En conséquence, moins il leur reste de temps à vivre. Ainsi, lorsque vous voyez des zombies vaccinés perdre la raison et se comporter d'une manière qui semble être une divergence avec l'humanité, reconnaissez qu'ils n'ont plus beaucoup à vivre. De nombreux « Karens masqués », en d'autres termes, seront bientôt des « Karens expirés », car les protéines de pointe coupent les dernières parties fonctionnelles de leur cerveau blessé.

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  22. Reconnaissant cela, l'animateur de The New American Ben Armstrong a récemment demandé : « Les gens qui portent encore des masques souffrent-ils d'une maladie mentale ? Il est sur la bonne voie, mais je pense qu'ils souffrent en fait de lésions cérébrales neurologiques dues à des caillots sanguins et à des nanoparticules de protéines de pointe.

    Une fois ce processus terminé, ces personnes mourront de lésions cérébrales catastrophiques, d'accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques ou d'attaques lymphocytaires sur leurs organes. N'oubliez pas que pendant la transition vers cette mort, ils se transformeront en créatures zombies vaccinales folles qui s'en prendront à tout le monde autour d'eux, présentant les parties animales de leur cerveau qui fonctionnent toujours (fonction du tronc cérébral inférieur, le cerveau « reptilien »).

    Un exemple particulièrement démonstratif de cela se trouve dans la vidéo suivante de Melbourne, en Australie, où un jogger nommé "Simone" a été violemment attaqué par un homme en colère qui a affirmé que le joggeur ne maintenait pas une distance sociale suffisante avec sa famille.

    - voir clip sur site -

    Au-delà de la psychose de formation de masse: c'est une apocalypse zombie vaccinale

    Tout cela explique pourquoi tant de journalistes de gauche sont devenus des fous bestiaux qui ne peuvent même plus appréhender la réalité du monde qui les entoure. C'est aussi pourquoi les employés de la technologie de gauche – dont la plupart ont pris les clichés du caillot – sont « déclenchés » par la réalité et doivent censurer tous les discours enracinés dans la réalité. Ils doivent protéger leur psyché fragile d'un contact avec le monde réel, ou toute leur vision délirante du monde sera brisée.

    Dans l'ensemble, le processus se déroule comme suit :

    Étape 1 : Ils commencent comme des crétins inconscients qui ne comprennent pas grand-chose aux chiffres, aux risques et à la réalité.

    Étape 2 : Ils prennent les injections de caillots (et les rappels) car ils sont facilement amenés à se suicider par vaccin par les «autorités» de dépeuplement.

    Étape 3 : Les injections de caillots commencent à faire effet, libérant des caillots sanguins qui se logent dans leur cerveau et coupent l'oxygène de certaines parties de leur cerveau.

    Étape 4 : Perdant les fonctions cérébrales supérieures, ils plongent dans un comportement animal de « tronc cérébral », provoquant des changements de personnalité et des explosions très agressives contre les autres.

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  23. Étape 5 : Au fur et à mesure que les lésions cérébrales s'aggravent, elles se transforment en « masques Karens » et en zombies vaccinés, devenant finalement méconnaissables pour les personnes qui les connaissaient autrefois.

    Étape 6 : Les caillots sanguins et les protéines de pointe achèvent enfin leur cerveau, entraînant un événement catastrophique final qui leur prend la vie : un accident vasculaire cérébral massif, une hémorragie cérébrale, etc.

    À ce stade, un autre masque Karen mord la poussière et le monde est un peu moins fou. Le problème, bien sûr, est qu'il y aura probablement des milliards de zombies vaccinés qui passeront par ce processus car les protéines de pointe mangeront leurs systèmes vasculaires et leur cerveau.

    N'oubliez pas que plus de 4,7 milliards de personnes ont jusqu'à présent reçu des injections de ces injections de caillots cérébraux et cardiaques, selon OurWorldInData.org. Et chacune de ces personnes va être traquée et contrainte à prendre plus de rappels, encore et encore, jusqu'à ce que l'agenda mondial de dépopulation soit atteint (ou nous arrêtons cette folie en arrêtant tous les vaccins contre le covid, mettant ainsi fin à la pandémie).

    Cela signifie que pour ceux d'entre nous qui ne sont pas des zombies, l'un de nos plus grands défis sera de survivre à l'apocalypse des zombies vaccinaux.

    Comment survivre à l'apocalypse des zombies vaccinés

    J'ai plusieurs livres audio gratuits et téléchargeables disponibles dès maintenant qui peuvent vous aider à survivre à l'effondrement mondial accéléré par les zombies vaccinaux. Tout d'abord, il y a le Global Reset Survival Guide, disponible sur GlobalReset.news.

    - voir clip sur site -

    Je suis également sur le point de publier un nouveau livre audio téléchargeable intitulé "Ghost World 2022 - 2032". Ce livre explique comment survivre dans l'économie post-vaccination et pourquoi les villes bleues à taux de vax élevé s'effondreront et se transformeront en villes fantômes.

    Nous n'avons pas encore lancé de site Web pour cela, mais vous en entendrez parler si vous êtes abonné à la newsletter quotidienne de Natural News ici (l'inscription est gratuite).

    De plus, j'ai un livre audio téléchargeable très populaire et très acclamé intitulé "Survival Nutrition". Tous ces livres audio sont également accompagnés de transcriptions PDF téléchargeables et imprimables. Découvrez celui-ci sur SurvivalNutrition.com

    Pour l'histoire complète sur les crétins des vaccins, l'analphabétisme mathématique, les accros à l'assurance et pourquoi l'humanité se dirige vers un certain effondrement, écoutez le podcast percutant Situation Update d'aujourd'hui (qui, à mon avis, a la meilleure couverture de tous les temps):

    Brighteon.com/3fb5974d-883d-4a4b-a71a-92d6a6508136

    Find a new podcast each day — plus interviews and special reports — at:

    https://www.brighteon.com/channels/hrreport

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  24. Le gouvernement britannique admet des preuves que les masques faciaux qui empêcheraient la propagation du COVID dans les écoles est « non concluantes »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 08 JANVIER 2022 - 08:45


    Le dernier exemple des raisons pour lesquelles les gens ne devraient pas suivre aveuglément "la science... telle que décrétée par les bureaucrates", est arrivé vendredi, lorsque Bloomberg a rapporté qu'une étude entreprise par le gouvernement britannique pour justifier le fait de forcer les enfants à porter des masques dans les écoles les a forcés à admettre que les preuves de l'efficacité des masques faciaux stoppant la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont "pas concluantes".

    Les données du ministère de l'Éducation indiquent que, bien qu'elles ne soient pas concluantes, il existe désormais un certain nombre d'études scientifiques qui examinent l'association entre COVID-19 et l'utilisation de couvre-visages spécifiquement dans l'éducation.

    L'étude citée par le ministère n'a pas apporté la preuve d'une baisse statistiquement significative des absences.

    La recherche a comparé 123 écoles britanniques qui utilisaient des masques avec environ 1 200 autres qui ne l'ont pas fait pendant la vague de Covid alimentée par la variante delta.

    Les écoles avec des règles de couvre-visage en octobre 2021 ont vu leur taux d'absence baisser de 2,3 points de pourcentage, à 3 %, deux à trois semaines plus tard.

    Dans les écoles qui n'utilisaient pas de masques, les absences ont diminué de 1,7 point de pourcentage, à 3,6 %.

    Comme le rapporte la BBC, l'étude a conclu que cette différence n'était pas statistiquement significative et que la plus grande réduction du nombre d'écoles où des masques étaient portés pourrait être due au hasard.

    Un épidémiologiste cité par Bloomberg a déclaré que les données du gouvernement ne fournissaient pas de preuves suffisamment solides pour justifier l'obligation de se couvrir le visage dans les écoles.

    "L'étude et la recherche décrites dans ce rapport ne fournissent pas de justification solide pour l'introduction de cette politique dans les écoles", a déclaré Sarah Lewis, professeur d'épidémiologie moléculaire à l'Université de Bristol.

    Et ils devraient le faire, car forcer les enfants à porter des masques toute la journée inhibe leur capacité à apprendre, en particulier s'ils ont des difficultés auditives.

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  25. Les mandats de masque peuvent nuire à la qualité de l'éducation et exclure les élèves malentendants des discussions, a déclaré Lewis.

    "Lorsqu'il n'y a pas suffisamment de preuves d'un avantage d'une politique et de preuves de préjudices, le défaut devrait être de ne pas intervenir", a-t-elle déclaré.

    La décision d'imposer les règles du masque était un "choix vraiment difficile", mais qui a été nécessaire pendant quelques semaines, a déclaré le secrétaire à l'Éducation Nadhim Zahawi dans une interview à Times Radio. Mais tout le monde ne ressent pas la même chose.

    Le contrecoup du mandat du masque s'est intensifié, se rendant même à la Chambre des communes, où un critique a souligné que les enseignants ne sont pas tenus de porter des masques.

    La situation dans les écoles britanniques n'a fait qu'empirer. Plus d'un tiers des écoles ont au moins 10 % d'enseignants absents pour des raisons liées au COVID. Et certains étudiants se sont rebellés contre le mandat du masque en refusant de porter leurs masques.

    "Malheureusement, nous avons eu des rapports au cours des dernières 24 heures d'au moins six écoles secondaires dans le nord-ouest de l'Angleterre où des enfants, en grand nombre, refusent de passer des tests de flux latéral ou de porter des masques", a déclaré Damien McNulty, un membre exécutif national de la National Association of Schoolmasters Union of Women Teachers.

    «Nous avons une école dans le Lancashire où seuls 67 enfants sur 1 300 sont prêts à subir un test de flux latéral et à porter des masques. Il s'agit d'une urgence de santé publique", a-t-il ajouté.

    De plus, selon le professeur Jim Naismith de l'Université d'Oxford, lorsque l'Angleterre a abandonné les mandats de masques faciaux en juillet et que l'Écosse les a maintenus, cela n'a fait «aucune différence significative» pour les taux d'infection.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/uk-study-shows-masks-schools-do-nothing-stop-spread-covid

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  26. Le jour où Jake Tapper a vendu son âme à la pharmacie

    Il y a une raison pour laquelle Jake Tapper de CNN a l'intention de me qualifier de "menace" et de "menteur", et pourquoi il refuse de me débattre sur le bien-fondé des faits et des preuves scientifiques. Voici l'histoire de retour.


    Par Robert F. Kennedy, Jr.
    Défense de la santé des enfants
    8 janvier 2022


    Apparemment, consterné par les ventes robustes de mon best-seller, "The Real Anthony Fauci", le présentateur de CNN Jake Tapper – au lieu de critiquer le travail – a utilisé son fil Twitter pour déclencher un barrage d'insultes ad hominem contre moi.

    Rompant avec les contraintes traditionnelles de la neutralité journalistique, de la bienséance professionnelle et de la rigueur intellectuelle, il m'a qualifié de « dangereux », de « menace », de « menteur », d'« escroc », d'escroc, de « déchaîné » et plus encore.

    Mais les diffamations de Tapper sont suspendues dans l'atmosphère sans justification ni citation. Si je suis un menteur, alors quel était mon mensonge ? Si je suis un escroc, alors quel est mon profit ou avantage personnel ? Si je suis un fraudeur, alors où est ma déclaration inexacte ?

    J'admets que je suis une menace dangereuse, mais seulement pour l'industrie pharmaceutique, ses technocrates captifs et ses crapauds médiatiques.

    Lorsque j'ai répondu à sa calomnie par un tweet respectueux l'invitant à débattre de moi, Tapper a refusé, expliquant qu'il ne débattrait pas d'un « théoricien du complot ». De manière caractéristique, il a négligé de citer toute théorie du complot qu'il pense que j'ai promue.

    Et est-il crédible de me rejeter comme un théoricien du complot indigne de débat ? Après tout, je suis fondateur et ancien président du plus grand groupe mondial de protection de l'eau, et fondateur et président actuel de l'un des plus grands groupes de défense de la santé des enfants.

    J'ai remporté des centaines de procès avec succès, y compris des victoires marquantes contre Monsanto, DuPont, Exxon, Smithfield Foods et les principaux pollueurs des industries chimique, du carbone, pharmaceutique et agricole. (Beaucoup d'entre eux m'ont également d'abord rejeté comme un "théoricien du complot".)

    Mon livre actuel, « The Real Anthony Fauci », est peut-être le volume le plus noté en bas de page à avoir jamais figuré au sommet des listes mondiales de best-sellers pendant six semaines consécutives. Avec 500 000 exemplaires vendus, il a attiré plus de 5 500 critiques cinq étoiles (92 %).

    Malgré l'extrême hostilité envers ce volume de la part des médias grand public et du cartel médical, personne n'a encore identifié une inexactitude factuelle dans ses 250 000 mots.

    Si mon livre contient des théories du complot sans fondement, alors M. Tapper ne devrait-il pas se réjouir d'avoir l'occasion de me corriger avec des faits ou des arguments qui vont au-delà des injures ?

    Permettez-moi donc d'offrir ma propre théorie pour l'apoplexie de M. Tapper.

    Beaucoup de gens font des affaires faustiennes au cours de leur vie, échangeant leur intégrité personnelle contre un avantage matériel. Souvent, la métamorphose se produit comme une érosion progressive de la fibre morale. Parfois, cela se produit en un instant ; un homme se tient à un carrefour moral et choisit le côté obscur.

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  27. J'étais aux premières loges lorsque Jake Tapper a eu son moment de crise morale. Je suppose que son vitriol féroce envers moi est une réaction à son embarras que j'ai été témoin de l'instant où M. Tapper a choisi sa carrière plutôt que son personnage.

    En juillet 2005, Jake Tapper était le producteur principal d'ABC lorsque le réseau lui a ordonné de faire un long exposé sur la conférence secrète 2000 Simpsonwood des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

    Voici le fond :

    En 1999, en réponse à l'explosion des épidémies d'autisme et d'autres troubles neurologiques, le CDC a décidé d'étudier son vaste Vaccine Safety Datalink - le dossier médical et vaccinal de millions d'Américains, archivé par les meilleurs HMO - pour savoir si l'escalade dramatique du vaccin calendrier, à partir de 1989, était un coupable. L'épidémiologiste interne du CDC, Thomas Verstraeten, a dirigé l'effort.

    Les données initiales de Verstraeten suggéraient que les vaccins contre l'hépatite B contenant du mercure - administrés au cours du premier mois de vie - étaient associés à un large éventail de lésions neurologiques, y compris une augmentation spectaculaire de 1 135 % des risques d'autisme chez les enfants vaccinés.

    Les découvertes de Verstraeten ont propulsé le CDC dans DEFCON 1. Les principaux responsables des vaccins de l'agence ont convoqué 52 leaders de l'industrie pharmaceutique, les plus grands vaccinologues du monde universitaire et de l'American Academy of Pediatrics (AAP) et des régulateurs de la santé publique des National Institutes of Health, de la Food and Drug Administration des États-Unis. (FDA), les CDC, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Agence européenne des médicaments à une réunion secrète de deux jours au centre de retraite éloigné de Simpsonwood à Norcross, en Géorgie, pour élaborer une stratégie sur la façon de cacher ces terribles révélations au public.

    En 2005, j'ai obtenu les transcriptions explosives de cette rencontre et m'apprêtais à en publier des extraits dans Rolling Stone (Deadly Immunity, 18 juillet 2005). Ces enregistrements, ironiquement, dépeignaient ces principaux piliers du cartel des vaccins sur le point de se trouver au bord du gouffre moral et racontaient leur effondrement dans la corruption au cours de deux jours de débat écoeurants.

    La plupart de ces personnes étaient des médecins et des responsables de la réglementation qui avaient consacré leur vie à la santé publique par idéalisme et par souci profond des enfants. Les données de Verstraeten les ont confrontés au fait que les niveaux de mercure cumulés dans tous les nouveaux vaccins qu'ils avaient recommandés avaient surdosé une génération d'enfants américains avec des concentrations de mercure cent fois supérieures aux expositions que l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis considérait comme sûres.

    En recommandant une vaste batterie de nouveaux vaccins pour les enfants, les régulateurs de la santé publique avaient en quelque sorte négligé de calculer les charges cumulées de mercure et d'aluminium dans tous les nouveaux vaccins.

    Le Dr Peter Patriarca, alors directeur du Bureau de la FDA pour la recherche et l'examen des vaccins, a exprimé le sentiment général d'horreur lorsqu'il a demandé pourquoi personne n'avait calculé l'exposition cumulée au mercure chez les enfants alors que les décideurs ajoutaient cette cascade de nouveaux vaccins à l'enfance. calendrier : « La conversion du pourcentage de thimérosal en microgrammes réels de mercure implique une algèbre de neuvième année. Qu'est-ce qui a pris autant de temps à la FDA pour faire les calculs ? »

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  28. Dans les jours tendus qui ont précédé le conclave de Simpsonwood, la championne de la santé des enfants, le Dr Ruth Etzel de l'EPA, a supplié ses collègues responsables de la santé publique d'admettre publiquement qu'ils avaient commis une terrible erreur en empoisonnant par inadvertance des enfants américains et de réparer les dégâts.

    Le Dr Etzel a exhorté l'AAP et les régulateurs gouvernementaux à gérer la crise avec la même honnêteté et le même remords publics que Johnson & Johnson avait démontrés lors de la découverte de produits chimiques toxiques dans ses formulations de Tylenol :

    « Nous devons suivre trois règles de base : (1) agir rapidement pour informer les pédiatres que les produits contiennent plus de mercure que nous ne le pensions ; (2) être ouvert avec les consommateurs sur les raisons pour lesquelles nous n'avons pas compris cela plus tôt ; (3) montrer de la contrition. Si le public perd confiance dans les recommandations des services de santé publique, alors la bataille de la vaccination va s'essouffler. Pour garder la foi, nous devons être ouverts et honnêtes et avancer rapidement pour remplacer ces produits. »

    Confrontée à la preuve scientifique de leur rôle dans la calamité des maladies chroniques, la cabale a fait exactement le contraire. Les transcriptions choquantes de Simpsonwood montrent que le Dr Patriarca et les autres panjandrums de la santé publique s'avertissent mutuellement de leurs responsabilités en matière de réputation, de leur vulnérabilité aux litiges des avocats des plaignants et des dommages potentiels au programme de vaccination.

    Le Dr Patriarca a averti que la divulgation publique des découvertes explosives du CDC donnerait aux Américains le sentiment que la FDA, le CDC et les décideurs en matière de vaccins étaient «endormis au commutateur» pendant des décennies en autorisant le thimérosal à rester dans les vaccins pour enfants.

    Au cours de deux jours de discussions intenses, ces agents de Big Pharma et ces technocrates du gouvernement se sont persuadés de transformer leur erreur désastreuse en méchanceté – en doublant et en cachant leur erreur au public.

    Tapper a vu une première ébauche de mon histoire de Rolling Stone et a proposé qu'en échange de l'exclusivité, il fasse un article complémentaire pour ABC programmé pour être diffusé le jour de la publication du magazine.

    Tapper a passé plusieurs semaines à travailler sur l'histoire avec moi et une équipe de reporters et de techniciens enthousiastes d'ABC. Au cours de ses fréquentes conversations avec moi au cours de cette période, il était en feu d'indignation face aux révélations de Simpsonwood. Il a agi comme un journaliste espérant gagner un Emmy.

    La veille de la diffusion de l'article, un Tapper exaspéré m'a appelé pour me dire que les responsables de la société ABC lui avaient ordonné de retirer l'histoire. Les annonceurs pharmaceutiques du réseau menaçaient d'annuler leur publicité.

    "La société nous a dit de le fermer", a fulminé Tapper. Tapper m'a dit que c'était la première fois de sa carrière que les responsables d'ABC lui ordonnaient de tuer une histoire.

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  29. ABC avait annoncé l'exposé de Simpsonwood, et son annulation soudaine a déçu une armée de défenseurs de la sécurité des vaccins et de parents d'enfants blessés qui ont inondé le réseau d'un maelström d'e-mails en colère.

    En réponse, ABC a changé de cap et a promis publiquement de diffuser la pièce. Au lieu de cela, après un délai d'une semaine, le réseau a diffusé de manière trompeuse un morceau de bouffée assemblé à la hâte faisant la promotion des vaccins et assurant aux auditeurs que les vaccins chargés de mercure étaient sûrs.

    Le nouveau segment « bait and switch » a précisément suivi les points de discussion de Pharma. "Je fais confiance à l'Institute of Medicine", a déclaré le rédacteur médical obséquieux d'ABC, le Dr Tim Johnson. Deux publicités pharmaceutiques encadraient l'histoire.

    Après la diffusion de cette pièce, j'ai appelé Jake pour me plaindre. Il n'a ni répondu ni retourné mes appels.

    Au cours des 16 années qui ont suivi, Pharma a rendu la pareille à M. Tapper en faisant la promotion agressive de sa carrière. Pfizer parraine sans vergogne l'émission d'information CNN de Tapper, annonçant sa propriété de l'espace - et la servitude sous contrat de M. Tapper - avant chaque épisode avec la phrase chargée: "Apporté à vous par Pfizer".

    Selon les termes apparents de ce parrainage, CNN et Tapper fournissent à Pfizer une plate-forme pour commercialiser ses produits et permettent à la société pharmaceutique – un criminel en série – de dicter le contenu sur CNN.

    Cet arrangement a transformé The Lead with Jake Tapper de CNN en un véhicule de propagande pour Pharma et a effectivement réduit M. Tapper au rôle d'un représentant de la drogue - faisant la promotion sans vergogne de la pornographie de la peur, de la confusion et de la germophobie, et guidant son public vers les produits pharmaceutiques brevetés à haut rendement. .

    L'objectif principal de Tapper pendant la pandémie a été de promouvoir des niveaux de terreur publique suffisants pour indemniser tous les mensonges officiels contre la pensée critique.

    Tout cet argent pharmaceutique exige naturellement que M. Tapper se prosterne devant le Dr Fauci, et la servilité de l'animateur de CNN a contribué à faire de l'émission de Tapper la chaire de prédilection du directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID).

    C'est un endroit sûr pour le Dr Fauci pour frapper toutes les balles de softball fiables de Jake hors du parc.

    "La compétition de lèche-bottes à CNN est assez nauséabonde", a observé la journaliste d'investigation Celia Farber qui a fait la chronique de la mauvaise gestion du Dr Fauci au NIAID pendant plus de 25 ans. « C’est ruineux à la fois pour la démocratie et pour la santé publique. »

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  30. Un autre journaliste a comparé la servilité mortifiante de Tapper à l'antenne envers le Dr Fauci à l'adulation d'un chien loyal et obéissant. "C'est comme un chien qui regarde un match d'échecs", explique l'ancien journaliste du New York Times Alex Berenson. « Tant d’intensité et si peu de compréhension. »

    Tapper a passé deux ans sans poser une seule question difficile au Dr Fauci. Il a dissimulé l'implication de Fauci avec Wuhan, supprimé les nouvelles de blessures vaccinales, éclairé les blessés au gaz et défendu toutes les orthodoxies officielles sur les masques, les blocages, la distanciation sociale, les vaccins, le remdesivir, l'ivermectine et l'hydroxychloroquine.

    Il n'a jamais posé de questions sur la santé publique, la santé mentale et les coûts économiques du verrouillage, sur les charges disproportionnées des politiques du Dr Fauci sur les minorités, la classe ouvrière et les pauvres du monde.

    Il n'a jamais demandé au Dr Fauci d'expliquer pourquoi les pays et les États qui ont refusé la prescription du Dr Fauci ont toujours connu des résultats de santé considérablement meilleurs. Par exemple, pourquoi les taux de mortalité aux États-Unis sont-ils 1 000 fois supérieurs aux taux de mortalité des pays africains comme le Nigeria et les États indiens qui utilisent largement l'hydroxychloroquine et l'ivermectine ? M. Tapper n'autorise tout simplement jamais les opinions contraires sur son émission.

    Il continue de vanter les vaccins COVID comme une technologie miracle que les individus peuvent prendre quatre fois tout en attrapant et en propageant la maladie.

    "Il n'appelle jamais le Dr Fauci sur ses déclarations vacillantes sans science", a déclaré Farber. "Dr. Fauci semble être capable de paralyser les traits de curiosité du cerveau de Tapper.

    Tapper doit demander au Dr Fauci pourquoi, sous sa direction, l'Amérique a subi le plus grand nombre de morts au monde. Avec 4,2 % de la population mondiale, notre pays a subi 15 % des décès dus au COVID.

    Au lieu de cela, il fonctionne comme grand prêtre de chaque orthodoxie officielle, travaillant à déifier le Dr Fauci et à oindre toutes ses déclarations absurdes, vacillantes et contradictoires avec l'infaillibilité papale. Le moyen sûr de gagner l'indignation de Tapper est de critiquer le Dr Fauci.

    Voici quelques exemples des tromperies effrontées de M. Tapper :

    Le 2 février 2021, Tapper a "démystifié" l'affirmation selon laquelle le grand baseball Hank Aaron est peut-être mort d'un tir de COVID. Le roi du home run s'est soumis à une conférence de presse organisée par le CDC 17 jours plus tôt. Tapper a assuré à son auditoire que le coroner du comté de Fulton avait déterminé qu'Aaron était décédé de «causes naturelles».

    Lorsque le coroner du comté de Fulton a nié par la suite avoir jamais vu le corps d'Aaron, et encore moins effectué une autopsie, Tapper a refusé de corriger son histoire.

    En août 2021, Tapper a donné au Dr Fauci une plate-forme pour répandre la rumeur selon laquelle des Américains trompés s'empoisonnaient avec un «médicament pour chevaux» appelé ivermectine.

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  31. Dans une interview du 29 août 2021, le Dr Fauci a déclaré à Tapper: «Il n'y a aucune preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement avoir une toxicité… avec des personnes qui sont allées dans des centres antipoison parce qu'elles ont pris le médicament à un prix ridicule dose et finissent par tomber malade. Il n'y a aucune preuve clinique qui indique que cela fonctionne.

    Tapper n'a jamais corrigé le Dr Fauci. Il n’a jamais souligné qu’il y avait alors 70 études évaluées par des pairs démontrant l’efficacité miraculeuse de l’ivermectine contre COVID.

    Il n'a pas contesté la caractérisation par le Dr Fauci de l'ivermectine en tant que médicament pour chevaux en notant que le médicament avait remporté à la fois un prix Nobel et la liste de l'OMS en tant que «médicament essentiel» pour son efficacité miraculeuse contre les maladies humaines, et que les gens ont consommé des milliards de doses sans signaux de sécurité significatifs.

    M. Tapper n'a jamais pensé à demander au Dr Fauci s'il essayait de décourager l'utilisation d'un médicament bon marché et efficace qui pourrait concurrencer ses vaccins expérimentaux.

    Au lieu de cela, Tapper a abjectement répété les points de discussion du Dr Fauci : « Les centres antipoison signalent que leurs appels augmentent dans des endroits comme le Mississippi et l'Oklahoma, parce que certains Américains essaient d'utiliser un médicament antiparasitaire pour chevaux appelé ivermectine pour traiter le coronavirus, pour prévenir contracter le coronavirus.

    Peu importait à Tapper que les responsables du Mississippi et de l'Oklahoma aient rapidement nié que quelqu'un dans leur état ait été hospitalisé pour empoisonnement à l'ivermectine. Tapper n'a jamais corrigé sa fausse histoire.

    Le 14 septembre 2021, Tapper a obligeamment donné au Dr Fauci une plate-forme pour contester la crainte du rappeur Nicki Minaj que les vaccins COVID puissent affecter la fertilité. Le Dr Fauci a simplement déclaré: "La réponse à cela, Jake, est un non catégorique."

    Comme d'habitude, Tapper n'a pas demandé au Dr Fauci de citer une étude pour étayer cette affirmation. Il n'a jamais fait remarquer au Dr Fauci que tous les fabricants de vaccins COVID reconnaissent que leurs produits ne sont pas testés pour les effets sur la fertilité, ou que des données récentes ont montré une augmentation spectaculaire des fausses couches et de la pré-éclampsie chez les femmes vaccinées.

    Néanmoins, sur la base de la seule parole du Dr Fauci, CNN s'est précipité pour diffamer et discréditer le rappeur et pour assurer au public que Minaj avait tort. Le docteur Fauci, après tout, avait parlé !

    Il est facile de voir comment deux années de déférence aussi obséquieuse ont enhardi le Dr Fauci en novembre 2021 à déclarer que «je représente la science».

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  32. Il y a trop d'autres exemples de la promotion non critique des mensonges du gouvernement et de la pharmacie par Tapper pour ne même pas les résumer. Ce ne sont pas des mensonges inoffensifs. Chacun d'eux a des conséquences potentiellement désastreuses pour la santé publique.

    Le terme « projection psychologique » décrit la précision étrange avec laquelle un certain type de personne applique aux autres les péjoratifs qui décrivent le plus fidèlement leurs propres défauts.

    Lorsque M. Tapper me traite de « déséquilibré », de « menace pour la santé publique », de « fraude », de « menteur », est-il victime d'une projection ?

    Les fonctions essentielles du journalisme dans une démocratie sont de dire la vérité au pouvoir, d'exposer sans relâche la corruption officielle et de maintenir pour toujours une posture de scepticisme envers le gouvernement et les centres de pouvoir des entreprises.

    Ce que fait Jake Tapper est à l'opposé du journalisme. Tapper, au contraire, s'aligne sur le pouvoir et se fait un propagandiste pour les récits officiels et un publiciste servile pour les élites puissantes et les technocrates du gouvernement.

    Pas étonnant qu'il soit furieux contre ceux qui défient leurs récits.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/no_author/the-day-jake-tapper-sold-his-soul-to-pharma/

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    1. VOUS ÊTES CONFINÉ ! Vous ne devez pas sortir de votre corps ! Compris ?! Ne vous imaginez pas être ailleurs ! A Tahiti sur la plage sous les cocotiers. Vous devez vous limiter à la télé, la radio et lire les journaux. C'est tout !

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  33. Pollution liée à internet : attention usine à gaz !

    Au lieu de renforcer la confiance dans la nouvelle économie d'internet, le législateur nourrit une défiance généralisée à l’égard de tous les services informatisés avec la crainte de pollution.


    le 8 janvier 2022
    Yann-Mael Larher


    Depuis le 1er janvier 2022, les fournisseurs d’accès internet et opérateurs mobiles (Orange, Bouygues, Free et SFR) doivent communiquer aux consommateurs les émissions de gaz à effet de serre en lien avec leurs usages internet et mobile. Mais attention, sur-informer rime aussi avec danger !

    Oui, Internet ça pollue !

    À destination des abonnés (soit tous les consommateurs français), cette information doit servir un objectif de « sensibilisation à l’impact de leur activité et leur consommation numérique sur l’environnement et le climat ». En effet, les usages numériques font partie intégrante de notre quotidien et nous le savons tous, ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement.

    Comme le souligne l’Ademe dans un guide sur la réduction des impacts du numérique sur l’environnement, le secteur du numérique est responsable de 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et les vidéos en ligne représentent à elles seules 60 % du flux mondial de données et sont responsables de près de 1 % des émissions mondiales de gaz carbonique. Avec la forte augmentation des usages, cette empreinte carbone pourrait doubler d’ici 2025.

    Est-ce l’information dont nous avons besoin ?

    Est-ce que ces dispositifs de mesures sont vraiment efficaces ? A-t-on évalué le coût environnemental de ces dispositifs qui participent à alourdir le coût environnemental de notre navigation et de nos boîtes mails ? Alors que nous sommes déjà surchargés de mails, d’appels et de messages non désirés et autres communications diverses sur les réseaux sociaux et sur Internet en général, vous allez désormais recevoir des informations sur les émissions de gaz à effet de serre en lien avec vos usages internet et mobile… un comble !

    On ne lutte pas contre les communications numériques par de nouvelles communications… numériques. Alors que nous vivons déjà une pollution de nos cerveaux par un excès d’informations, le législateur fait à nouveau le choix de nous bombarder de nouvelles informations que nous n’aurons pas le temps (ou pas forcement l’envie) d’analyser. À l’instar de ce qui fonctionne pas déjà en matière de RGPD : à quoi bon bombarder les consommateurs de messages contre-productifs sur des usages qu’ils ne souhaitent de toute façon pas abandonner ?

    Notre cerveau n’est pas élastique

    La surcharge informationnelle, ou surinformation ou encore infobésité, est un concept désignant l’excès d’informations qu’une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Nous ne pouvons pas tout savoir.

    Comme Caroline Sauvajol-Rialland le souligne :

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  34. « L’exhaustivité est un concept obsolète dans un monde numérique et la certitude selon laquelle nous finirons par tout voir et tout traiter doit être définitivement abandonnée. Nous ne pourrons pas plus empêcher l’information de proliférer que la Terre de tourner. »

    Or, non contextualisées, les données sur les émissions de gaz à effet de serre liées aux consommations sur internet ne servent à rien. Il faut les contextualiser.

    Par exemple, l’impact de l’envoi d’un mail dépend du poids des pièces jointes, du temps de stockage sur un serveur mais aussi du nombre de destinataires. Multiplier par 10 le nombre des destinataires d’un mail multiplie par 4 son impact. L’impact d’une requête web dépend du temps de recherche et du nombre de pages consultées. On divise par 4 les émissions de gaz à effet de serre en allant directement à l’adresse du site. Ce sont ces informations qui seraient utiles aux consommateurs.

    Faire simple n’est pas aisé

    Au lieu de renforcer la confiance dans la nouvelle économie, le législateur nourrit une défiance généralisée à l’égard de tous les services informatisés. En tant qu’avocat, je défends le principe selon lequel l’inflation normative nuit à la qualité du droit. La volonté de tout réglementer dans les moindres détails est source d’insécurité. Il n’y a plus de principes, seul un régime d’exceptions.

    Or, seule la simplicité offre du temps et de la liberté pour faire ce que l’on veut ! Au XIVe siècle, Guillaume d’Ockham énonçait le principe de parcimonie qui exige que, toutes choses égales par ailleurs, on choisisse, parmi un ensemble d’hypothèses explicatives, la plus économique. Au milieu d’un océan d’informations plus ou moins justes (souvent moins d’ailleurs) et de règles souvent absconses, la simplicité devrait être l’objectif premier de toute nouvelle règle.

    Avant d’imposer de nouvelles normes, le législateur devrait ainsi s’appliquer à lui-même ces quelques principes :

    éliminer les règles superflues en supprimant ce qui est inutile ou redondant mais aussi ce qui n’est que peu utile ;
    lutter contre l’augmentation constante du nombre de règles ;
    choisir systématiquement la solution la plus simple à efficacité égale.
    Finalement, à quand une évaluation systématique efficacité-coût de tous les dispositifs législatifs qui prétendent rendre le numérique meilleur et finissent toujours par renforcer in fine les opérateurs étrangers ?

    https://www.contrepoints.org/2022/01/08/418634-pollution-liee-a-internet-attention-usine-a-gaz

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    1. (...) La surcharge informationnelle, ou surinformation ou encore infobésité, est un concept désignant l’excès d’informations qu’une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Nous ne pouvons pas tout savoir. (...)

      Comme le disait Philippe de Villiers "On entre à l'ENA avec 30 000 mots on en sort avec seulement 3 000."
      Donc, d'après Philippe de Villiers les énarques pollueraient moins qu'un enfant de 5 ans. D'où les raccourcis employés "Moi je vous merde !" ou "Tir'-toi pov'con !"
      Mais à cette pollution existentielle s'ajoute l'image collée à la vitre de tous les téléviseurs qui représente une merde. Merde habillée en bleu, en rouge, en rose, en vert et contre tous !

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  35. Les leçons de I-95


    Eric Peters
    7 janvier 2022


    Il y a quelques jours, la Virginie – la patrie de cet écrivain – a été frappée par une tempête de neige soudaine qui a déversé près d'un pied de neige le long du couloir I-95, le nom que nous, les Virginiens, utilisons pour faire référence au tronçon de l'Interstate 95 qui part de Richmond. jusqu'au nord de la Virginie, près de DC – avant de remonter la côte est jusqu'à New York et au-delà.

    La neige était si féroce et si lourde qu'elle a paralysé la circulation sur la I-95, qui est devenue une sorte de parking étendu sur une grande partie de la distance entre Richmond et la Virginie du Nord, soit plus de 100 milles (160 km).

    Des milliers de conducteurs sont restés coincés à l'intérieur de leurs voitures, pendant 27 heures, ce qui représente plus d'une journée complète, si vous comptez. C'est extrêmement gênant – et inconfortable, en supposant que votre voiture n'est pas un camping-car avec des lits à l'arrière et la télévision par câble.

    Cela pourrait être autre chose – si votre voiture est électrique.

    Les véhicules électriques n'aiment pas les choses soudaines et imprévues - car ils sont plus susceptibles de ne pas être prêts pour eux - car il leur faut des heures pour se charger, s'ils ne sont pas branchés sur un chargeur "rapide" - et aucun d'entre eux n'est à la maison. Vous devez conduire là où ils sont.

    C'est difficile à faire si vous ne pouvez pas conduire là où ils se trouvent.

    L'électricité de secours pour les véhicules électriques est également plus difficile à stocker – et beaucoup moins portable. Si le courant est coupé à cause d'une tempête de neige et que vous avez une cruche d'essence de cinq gallons dans le garage ou le hangar, vous pouvez conduire votre voiture - votre voiture non électrique - environ 100 miles, facilement, même si c'est un « gros consommateur d'essence ». " Facile de trouver plus de gaz en cours de route.

    Si le courant est coupé et que votre VE énergivore (une Tesla transporte environ 1 000 livres de batterie, nécessaire pour fournir la vitesse « ridicule ») est vide, il sera plus difficile de trouver une boîte de kilowatts.

    Ou allez n'importe où.

    Les propriétaires de véhicules électriques ont découvert ces limitations lors de l'un des ouragans qui se produisent régulièrement en Louisiane et dans la région du golfe il y a quelques années ; beaucoup n'ont pas eu le luxe de charger – à temps pour échapper à l'ouragan.

    Mais au moins, ils n'ont pas gelé.

    Gardez à l'esprit que les véhicules électriques génèrent de la chaleur en « brûlant » de l'électricité. Il faut beaucoup d'électricité pour alimenter un radiateur électrique; demandez à tout propriétaire qui possède une thermopompe ou un chauffage électrique à plinthes, ce dernier étant le type de chauffage dont disposent la plupart des véhicules électriques.

    Combien de « gamme » là-dessus ?

    De quoi rester au chaud – et en vie – pendant 27 heures ?

    Peut être pas. Surtout pas si vous êtes coincé sans une charge complète, ce que vous avez oublié de planifier parce que vous ne pensiez pas que vous seriez coincé dans une tempête de neige.

    Et maintenant, vous l'êtes.

    Et maintenant ? Sauts étoiles ?

    Il n'y a aucun moyen de se recharger à la volée, au milieu d'une tempête de neige - au milieu d'un parking plein de voitures enneigées sur l'Interstate 95.

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  36. La plupart des véhicules électriques de niveau inférieur comme la Nissan Leaf, la Chevy Bolt et la VW ID.4 ont une autonomie optimale d'environ 150 à 250 milles. Une grande partie de cela serait épuisée au moment où vous arriviez à mi-chemin de Richmond depuis DC, selon la façon dont vous conduisiez. Aussi sur combien vous avez utilisé des accessoires électriques tels que le radiateur. Et le dégivreur. Ceux-ci ne fonctionnent qu'en « brûlant » de l'électricité, ce qui signifie nécessairement qu'il y en a moins pour propulser la voiture.

    Et l'inverse.

    Soit dit en passant, la batterie du véhicule électrique doit également être maintenue au chaud.

    Il y a aussi le chauffage électrique pour ça.

    Ainsi, quelle que soit la gamme annoncée dans le meilleur des cas, elle sera inférieure à celle annoncée si vous utilisez des accessoires électriques. Ce qui veut dire tous les accessoires, dans une voiture électrique. Y compris le chauffage pour la batterie, qui doit être maintenue à une certaine température sinon elle ne peut pas être chargée.

    Beaucoup de gens ne le savent pas, pour la même raison qu'un vendeur de voitures d'occasion louche ne dira pas la moindre trace de la rouille du châssis qu'il a recouverte de peinture noire.

    Les batteries électriques perdent également leur charge plus rapidement lorsqu'il fait très froid, ce qui double ce problème. Imaginez-vous vous retrouver coincé dans un blizzard - peut-être sans les vêtements lourds appropriés pour survivre dans un blizzard - en regardant l'indicateur de charge se faner alors que la voiture essaie de vous garder au chaud.

    Bien sûr, vous seriez tout aussi coincé dans une voiture non électrique. Mais moins susceptible de geler – parce que vous auriez pu faire le plein à la station-service la plus proche, sur un coup de tête – après avoir entendu les reportages à la radio sur la tempête soudaine ici. Vous pourriez même avoir mis une cruche de cinq gallons d'essence supplémentaire dans le coffre, juste au cas où. Vous ne seriez pas coincé pendant des heures attaché à un cordon.

    La voiture à essence est également mieux adaptée à de telles urgences glaciales pour une autre raison.

    La chaleur d'une voiture à moteur à combustion est un sous-produit de la combustion. Il faut du gaz brûlant pour générer cette chaleur, bien sûr. Mais cela ne coûte pas autant d'énergie que dans une voiture électrique, car le moteur au ralenti d'une voiture à essence ne brûle pas beaucoup d'essence. Mais cela crée beaucoup de chaleur.

    Conduire une voiture électrique en hiver, c'est un peu comme prendre un « vaccin » qui n'immunise pas. Il existe des alternatives meilleures – plus sûres – dans les deux cas.

    Et sans les frais.

    Les gens ont eu un aperçu de ces coûts il y a quelques jours. Ils pourraient également jeter un œil au rationnement de l'électricité qui se produit dans des États comme la Californie – où il ne fait généralement pas froid mais où vous serez toujours coincé s'il n'y a pas d'électricité disponible pour recharger votre VE.

    https://www.ericpetersautos.com/2022/01/07/the-lessons-of-i-95/

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  37. Stupidité apprise


    Théodore Dalrymple
    07 janvier 2022
    Stupidité apprise


    Au moment où j'écris ces lignes, l'Allemagne ferme ses centrales nucléaires, et je me souviens d'une phrase dans les mémoires de Chostakovitch, y compris sur la vie sous Staline : « Un grand événement culturel, comme la fermeture d'un théâtre.

    Il y a ceux qui voient derrière la fermeture un sinistre complot russe, Mme Merkel - disent-ils - ayant longtemps été un agent russe (elle a grandi en République démocratique allemande, était un membre éminent du mouvement de jeunesse communiste et a appris couramment le russe ). Moins l'Allemagne génère de puissance pour elle-même, plus elle devient dépendante de la Russie. Mais cette hypothèse est redondante : tout ce qu'il fallait pour qu'une telle décision soit prise était un mouvement militant et pharisaïque de gamins gâtés qui n'ont jamais connu de difficultés, quelle que soit l'histoire récente de leur pays.

    La décision de fermer les centrales a été prise en 2011, à la suite de la catastrophe de Fukushima provoquée par un tremblement de terre et son tsunami qui a suivi, une « catastrophe » qui a fait seize blessés et au moins un décès par cancer radio-provoqué. Comme l'a dit Bismarck, on ne se demande pas comment sont faites les saucisses ou la politique.

    "Les personnes qui sont sélectionnées pour le renseignement et qui en refusent ensuite l'utilisation sont particulièrement susceptibles de devenir stupides."
    Quoi qu'il en soit, une fois la décision prise, les Allemands s'y sont tenus, sans tenir compte de l'évolution des circonstances mondiales. C'est comme si les décisions, une fois prises, étaient ainsi écrites sur des tablettes de pierre. L'aspect peut-être le plus étrange de la décision était que l'Allemagne continue de produire une proportion considérable, plus d'un quart, de son électricité à partir de lignite, une source infiniment plus polluante que la production nucléaire. Si le lobby des bien-pensants s'intéressait vraiment à la pureté de l'air, il aurait insisté pour la fermeture des centrales à lignite plutôt que celle des centrales nucléaires ; mais les symboles sont souvent plus importants pour les gens, en particulier ceux qui sont sous l'emprise d'une idéologie, que n'importe quelle réalité concrète. Et rien ne symbolise mieux l'orgueil de l'humanité (comme diraient les écologistes) que les centrales nucléaires. Les centrales au lignite, en revanche, sont beaucoup moins puissantes symboliquement, aussi polluantes soient-elles en réalité. Lorsque le symbolisme entre en conflit avec le réalisme, le symbolisme l'emporte toujours, du moins parmi l'intelligentsia. Et dans les sociétés modernes, ce sont elles, l'intelligentsia, qui comptent.

    Il n'y a pas besoin d'agents du FSB – le nouveau KGB – pour que les pays adoptent des politiques énergétiques insensées. La Grande-Bretagne est au moins aussi stupide que l'Allemagne à cet égard. Bien que sa contribution au réchauffement climatique soit négligeable - même en supposant que l'hypothèse d'un réchauffement climatique anthropique soit vraie - et que cela ne changerait rien à l'ensemble du processus si lui, le pays tout entier, disparaissait de la surface de la terre, son gouvernement a décidé qu'elle n'exploitera pas ses réserves de pétrole ou de gaz naturel, mais qu'elle électrifiera tous les véhicules et le chauffage domestique au nom de la sauvegarde de la planète, écrasant ainsi les pauvres de nouvelles charges qu'ils peuvent difficilement payer (pas, bien sûr, que ils dépensent toujours leur argent à bon escient). Lorsqu'un des sujets de Louis XIV dit : « Mais, Sire, il faut que je vive », le monarque répondit : « Je n'en vois pas la nécessité. » C'est l'attitude que le gouvernement britannique semble adopter envers la moitié de sa population.

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  38. Les considérations stratégiques lui sont également totalement étrangères. Pour économiser un peu d'argent, elle a externalisé les installations de stockage de gaz du pays. Il a négligé de remplacer les centrales nucléaires vieillissantes du pays (on n'aurait jamais deviné que la Grande-Bretagne était le premier pays au monde à produire de l'électricité de cette manière). Il n'a pas l'intention de faire face aux pénuries ou aux urgences, comme s'il n'y avait jamais eu de telles choses dans l'histoire du monde. Il existe maintenant une possibilité très réelle d'une pénurie d'électricité si les prochains mois s'avèrent très froids, mais le chef flagrant du gouvernement se préoccupe toujours du sort à long terme du monde. C'est tellement plus facile à gérer car cela nécessite la manipulation de symboles à long terme plutôt que de réalités à court terme mais insolubles.

    Une sorte de folie semble avoir envahi une grande partie du monde occidental, sans aucun doute avec des degrés de sévérité et des pouvoirs de récupération différents. Les Chinois auraient pu dire que le mandat du ciel lui avait été retiré, les Grecs auraient dit que les dieux nous rendaient fous en prélude à notre propre destruction. Presque partout où l'on regarde, il y a des signes de frivolité, ce qui, bien sûr, n'est pas incompatible avec la plus grande sincérité.

    Le psychologue américain Martin Seligman a introduit la notion d'impuissance acquise comme explication de la dépression mentale. Une personne développe une impuissance acquise lorsqu'elle est soumise à des situations désagréables qu'elle ne peut rien faire pour éviter. Il généralise son impuissance à des situations désagréables contre lesquelles il peut faire quelque chose, de sorte qu'il agit comme s'il était impuissant alors qu'il ne l'est pas.

    Je voudrais étendre cette observation à une condition de bêtise savante, c'est-à-dire la bêtise des gens qui ne manquent pas d'intelligence mais qui prennent néanmoins des décisions stupides que les gens d'intelligence moins ou même beaucoup moins peuvent voir tout de suite sont stupide. La bêtise savante explique comment et pourquoi des personnes très intelligentes, confrontées à un choix, choisissent à plusieurs reprises une option stupide, sinon la plus stupide, à maintes reprises.

    Pour que les gens apprennent à être stupides dans ce sens, ils doivent à la fois suivre une éducation ou une formation prolongée et être obligés d'accomplir des actes ou des procédures qui n'engagent pas leur intelligence et peuvent même lui répugner, tout en étant soumis à surveillance de la conformité et de la conformité. Les politiciens remplissent généralement ces conditions. Ils ne sont pas seuls dans ce cas, loin de là : une bonne partie de la population en général remplit également ces conditions. Les personnes qui sont sélectionnées pour l'intelligence et qui en refusent ensuite l'utilisation sont particulièrement susceptibles de devenir stupides.

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  39. Les politiciens se voient refuser, ou se privent, l'usage de leur intelligence par leur besoin de s'attirer les faveurs, pas nécessairement de la majorité, mais au moins des minorités les plus virulentes. C'est une propension humaine à en venir à croire ce que l'on est obligé, soit par intérêt personnel, soit en vertu de sa subordination à une hiérarchie, de dire. C'est pourquoi, dans ma vie professionnelle, j'ai entendu tant de gens intelligents plaider passionnément pour les absurdités les plus évidentes, avec toute l'apparence d'y croire.

    Le dernier livre de Theodore Dalrymple est Le tour du monde dans les cinémas de Paris, Mirabeau Press.

    https://www.takimag.com/article/learned-stupidity/

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    1. D'un côté il y a les cons qui sortent d'écoles et sont nommés ministres. Ils gèrent un ministère dont ils ignorent à 100 % du quoi il retourne. Il sont là pour la compta, pour faire des graphiques, des projections, des gribouillis, des schémas, admirent Picasso et se réunissent en salles de réunions.
      Mais le plus con est que si un dit une connerie... les autres applaudissent ! C'est comme çà qu'ils vivent et lancent 'les énergies renouvelables' ! Whôaw ! La Terre tourne profitons-en pour y porter du grain !

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  40. Ce qu'ont en commun la peur du climat et la peur de la pandémie


    I & I Editorial Board
    January 7, 2022


    Les alarmistes climatiques ont déclaré qu'il était nécessaire d'augmenter la peur du réchauffement climatique pour attirer l'attention du public. C'est la même histoire avec l'épidémie de coronavirus. Les autorités voulaient semer la peur dans la population, elles ont donc exagéré la létalité d'un virus mortel pour un segment démographique restreint.

    Compare et nuance:

    Réchauffement climatique, 1988. « Nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simplifiées et dramatiques et faire peu mention des doutes que nous pourrions avoir », a déclaré Stephen Schneider, climatologue de Stanford. (Dans l'intérêt d'une divulgation complète, toute la citation se termine par Schneider disant « chacun de nous doit décider quel est le bon équilibre entre être efficace et être honnête. J'espère que cela signifie être les deux. » Nous laissons le soin aux lecteurs pour décider s'il prônait la malhonnêteté pour faire avancer le récit ou s'il disait aux chercheurs et aux militants de le refroidir avec la rhétorique trompeuse. De toute façon, quelqu'un poussait l'agitprop.)

    Pandémie, 2020 Le London Telegraph a rapporté l’année dernière dans sa couverture de « A State of Fear : How the UK Governmentized fear during the Covid-19 pandémie », par Laura Dodsworth.

    Réchauffement climatique, 2014. Les universitaires qui ont écrit un article publié dans l'American Journal of Agricultural Economics ont déclaré que leur article "fournit une justification à" la tendance des "médias d'information et de certaines organisations pro-environnementales" à accentuer ou même à exagérer « les dommages causés par le changement climatique ».

    « Nous constatons », ont-ils écrit, « que la manipulation de l'information a une valeur instrumentale. »

    Pandémie, 2020. Le Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviour recommande que la perception de la peur concernant le coronavirus doit « être augmentée parmi ceux qui sont complaisants, en utilisant des messages émotionnels percutants ».

    Le réchauffement climatique, vers 2001. Le climatologue de l'Université d'Alabama à Huntsville, John Christy, auteur principal du rapport climatique des Nations Unies de 2001, a déjeuné avec trois collègues européens qui ont expliqué « comment ils essayaient de rendre le rapport si dramatique que les États-Unis n'aurait qu'à signer ce protocole de Kyoto.

    Pandémie, 2021. Les avertissements « exagérés » du New York Times « doivent être considérés dans le contexte du programme plus large de verrouillage du monde de Grey Lady », déclare Steve Cuozzo du New York Post. « Le journal rapporte rarement des nouvelles encourageantes sans réserve sur la maîtrise du virus. »

    Global Warming, 2004. Le scientifique de la NASA James Hansen, qui est le parrain des alarmistes climatiques, a écrit dans Scientific American, qu'un « accent sur les scénarios extrêmes peut avoir été approprié à un moment, lorsque le public et les décideurs étaient relativement inconscients de la problème du réchauffement climatique. Dans la phrase suivante, il a ajouté que « maintenant, cependant, il est nécessaire de disposer de scénarios de forçage climatique manifestement objectifs, cohérents avec ce qui est réaliste dans les conditions actuelles ». Donc la science objective n'était pas assez bonne pour faire avancer le récit, alors ça l'était ?

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  41. Pandémie, 2021. "J'ai fait une simple recherche sur Google des" reportages récents sur les coronavirus "", explique la psychologue Ilisa Kaufman dans Psychology Today. « Les cinq premiers titres aléatoires comportaient les mots « augmentation du nombre de morts », « nouvelles infections » et « des milliers de cas de COVID, des centaines de décès ». C’étaient les cinq premiers. De plus, nous sommes en mai 2021, 14 mois complets depuis le début de la pandémie. Absolument rien de rassurant, d'espoir ou de non alarmant. Elle poursuit en suggérant "quelques moyens d'aider à corriger ou à prévenir les conséquences sur la santé mentale de l'industrie de la "peur de peur"".

    Nous ne sommes pas entièrement convaincus que les blocages étaient des essais à vide complotistes pour habituer le monde aux futures restrictions imposées sous le couvert de « combattre » contre le réchauffement climatique. Mais comme nous l'avons dit lorsque les blocages étaient encore relativement nouveaux, "des politiciens observateurs et rusés sont allés à l'école" et réfléchissaient à la possibilité qu'ils puissent "utiliser le prétexte d'une urgence climatique pour contrôler les Américains et briser le dos du capitalisme".

    Les ingrédients sont tous présents. Une adolescente militante dont le nom n'est pas Greta Thunberg a mis sur papier ce que beaucoup pensent lorsqu'elle a écrit "si nous pouvons fermer le monde pour arrêter un virus, cela signifie également qu'il est possible de faire la même chose pour le changement climatique". C'est le genre de déclaration superficielle qui lui vaut des points de la part de médias puérils, de politiciens toujours agresseurs et d'adultes parmi nous qui n'ont pas dépassé leurs aspirations précaires au lycée pour être populaires. Et une idée avec laquelle beaucoup fonctionneront.

    Le fait effrayant qu'il y a de quoi avoir peur – pas d'un ciel qui tombe ou d'un virus que nous espérons en déclin, mais de ceux désireux de susciter la peur et l'anxiété afin qu'ils exercent le pouvoir brut qu'ils convoitent.

    — Written by the I&I Editorial Board

    https://issuesinsights.com/2022/01/07/what-the-climate-scare-and-pandemic-fearmongering-have-in-common/

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    1. Le monde - tel que nous l'avons connu - est passé de l'Âge de la découverte à l'Âge de la défense voire à l'Âge de l'agression afin de vivre en son territoire. Puis, est arrivé l'Âge de la dictature par les armes, la soumission, l'absence volontaire d'éducation et les siècles passants. Puis est arrivé l'Âge de l'Intelligence où chacun pouvait s'exprimer et donner ses idées afin que naisse le Progrès.

      Or, le dit Progrès était très mal vu par les 'autorités armées' mais, le sous-combat était pour elles perdu d'avance. Le Peuple faisait valoir la Démocratie !! "La Démocratie ?? Quelle horreur ! Laisser le Peuple s'exprimer librement ?? Mais vous êtes fous ?!"

      C'est ainsi que s'avança la volonté funeste d'éliminer le 'sur-nombre' because que plus ils étaient nombreux plus ils y avait des pourcentages d'êtres humains intelligents !!

      Oui mais comment faire ?

      Le départ fut d'imaginer une épidémie, que dis-je ? UNE PANDÉMIE OUAIS ! qui ravagerait le monde.
      Mais, comme existent des remèdes dits anti-microbes (porteurs de maladies), pourquoi ne pas essayer de parler de 'virus' ?
      'De virus' ??! Mais qu'est-ce donc ?
      Ce sont des poussières. Des poussières respirées par milliards chaque heure par TOUS les êtres humains (et animaux !), et, qui seraient, porteuses de maladies !
      De maladies ? De maladies transportées par... poussières ?? Cela n'a aucun sens !
      Bêh si ! Bêh si si ce sont les merdias et les politichiens qui le disent, l'affirment, et proposent des remèdes !

      Plus con que çà y a pas !

      Oui mais, ce qui compte pour vivre est en premier la Démocratie. Après ils accèdent donc à l'intelligence, puis à la santé et, puis, à le Liberté !
      Donc, comme n'existe que la dictature, il n'y a point d'intelligence. Quant à la santé, là, on en fait notre affaire !
      Et, çà a, ou c'est sur le point de marcher !
      Sauf qu'il y a des réticents.
      Des 'réticents' ??! "Je les emmerde !"

      C'est, c'est le monde d'aujourd'hui.

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  42. Pour les agriculteurs de toute l'Amérique, l'énergie solaire peut causer des problèmes


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 07 JANVIER 2022 - 20H40
    Rédigé par Nathan Worcester via The Epoch Times,


    Cet article est le premier d'une série sur les coûts sous-estimés de l'énergie solaire. Les agriculteurs américains expriment leurs inquiétudes quant à l'éviction de leur propriété, la perte potentiellement permanente d'un bon sol agricole et la possibilité de combiner de grandes installations solaires avec des terres agricoles ou des habitats de pollinisateurs, entre autres sujets.

    "C'est très frustrant d'essayer de protéger votre ferme", a déclaré la productrice de coton Nancy Caywood à Epoch Times.

    Caywood et sa famille gèrent Caywood Farms dans la campagne rurale de Casa Grande, en Arizona, au sud de Phoenix dans le comté de Pinal. Elle a déclaré qu'ils subissent une pression importante pour vendre leurs terres à de grandes entreprises solaires, qui achètent des parcelles à proximité de leur propriété.

    "C'est une horreur pour moi", a-t-elle déclaré.

    Caywood a déclaré que des géomètres et d'autres personnes venaient sur les terres de sa famille sans leur permission.

    "Ils sont très audacieux", a-t-elle déclaré, ajoutant qu'elle ne savait pas quelles entreprises se sont introduites sur la propriété de Caywood.

    Caywood s'inquiète de ce qui pourrait arriver aux installations solaires près d'elle si leurs sociétés mères font faillite. Abengoa, la société espagnole qui a construit la centrale électrique de Solana près de Gila Bend, en Arizona, a récemment déposé son bilan.

    Elle craint également que les terres utilisées pour les fermes solaires ne puissent jamais être restaurées en terres agricoles.

    Même maintenant, le terrain que sa famille possède à proximité de la nouvelle ferme solaire est apparemment affecté par l'installation massive. Le fils de Caywood, Travis, a mesuré les températures ambiantes à l'extrémité est de la ferme familiale qui étaient de 10 degrés plus chaudes que le reste de la propriété.

    Cette partie de la propriété jouxte une ferme solaire identifiée comme Pinal Central Energy Center, LLC, qui a été développée par NextEra Energy Resources et a été décrite comme l'un des "investissements en Arizona" de cette société selon une présentation de 2021 de la société.

    Les représentants de NextEra Energy Resources n'ont pas répondu à la demande de commentaires d'Epoch Times au moment de la presse.

    Un autre projet solaire à proximité, le Eleven Mile Solar Center de 2 100 acres, se trouve juste en face de l'Arizona State Route 287 depuis Caywood Farms.

    Le site Web du projet affirme qu'il générera plus de 900 000 mégawatts d'électricité par an à partir de 850 000 panneaux solaires.

    Epoch Times a également contacté Orsted, la compagnie d'électricité multinationale danoise partenaire du projet, pour commenter les remarques de Caywood ainsi que la puissance projetée de l'installation, compte tenu des préoccupations de longue date concernant l'efficacité réelle des panneaux solaires.

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  43. Un porte-parole de la Solar Energy Industries Association, une organisation commerciale de l'industrie, a offert une perspective différente.

    « Les projets solaires et les terres agricoles sont souvent hautement compatibles. Les agriculteurs et les propriétaires fonciers peuvent gagner des revenus importants pour les terres qu'ils ne cultivent pas activement et les projets sont presque toujours menés au profit des deux parties », a déclaré le porte-parole à Epoch Times par e-mail.

    Le porte-parole a refusé de commenter les histoires individuelles spécifiques décrites dans cet article, déclarant que "nous ne connaissons pas tous les faits".

    Protéger le sol
    Caywood n'est pas la seule à s'inquiéter de l'utilisation de bonnes terres agricoles pour les installations solaires.

    Annette Smith, directrice exécutive de Vermonters for a Clean Environment, a déclaré à Epoch Times par courrier électronique que la protection des sols agricoles de première qualité était un problème dans son État de la Nouvelle-Angleterre.

    La loi du Vermont précise désormais que les sols agricoles primaires ne cesseront d'être définis comme tels lorsqu'une installation solaire y sera construite.

    "Mon objectif était de voir que l'utilisation de terres agricoles de premier ordre pour l'énergie solaire ne devrait pas être une opportunité de faire passer le terrain à une catégorie commerciale, industrielle ou à une autre catégorie simplement en y installant des panneaux solaires", a déclaré le sénateur Mark MacDonald, le parti démocrate le législateur qui a rédigé la langue, a déclaré à Epoch Times par e-mail.

    Lors d'un appel téléphonique, il a ajouté que le langage était également motivé par des améliorations potentielles de l'efficacité des panneaux solaires.

    "Dans les années à venir, il ne faudra pas autant d'hectares pour produire la même quantité d'électricité", a-t-il déclaré.

    « La dynamique au fil des ans a changé », a déclaré Smith à Epoch Times. Elle a déclaré que le gouverneur républicain du Vermont, Phil Scott, avait donné aux scientifiques de l'État plus de liberté pour considérer les inconvénients des projets solaires que son prédécesseur, le démocrate Peter Shumlin.

    "Lorsque le gouverneur Shumlin était en charge, il s'agissait de" tout construire partout, quels que soient les impacts "", a déclaré Smith.

    En 2014, sous Shumlin, un développement solaire majeur a fini par revendiquer ce que Smith a appelé « certains des meilleurs sols agricoles du comté de Rutland, dans le Vermont ».

    Malgré ces inquiétudes, le Public Service Board (PSB) a accordé le terrain à Rutland Renewable Energy, LLC, qui appartenait à la société solaire à grande échelle groSolar et a depuis été vendu à la société française EDF Renewables.

    Dans sa décision, PSB a conclu que le projet Cold River de la société « ne réduira pas de manière significative le potentiel agricole des sols trouvés sur le site du projet ».

    L'affaire s'est rendue à la Cour suprême du Vermont, qui a confirmé la décision du PSB contre l'opposition de la ville de Rutland et de plusieurs voisins.

    « Le site du projet contient une variété de sols agricoles primaires ; les normes interdisent l'implantation d'une installation solaire au sol sur des sols agricoles primaires. Le site n'a cependant pas été utilisé pour la production agricole depuis 15 à 20 ans », a noté le juge John Dooley dans son avis affirmant la décision du PSB.

    L'électricité produite sur le site de Cold River, qui comprend 8 820 panneaux solaires, est actuellement vendue à Green Mountain Power dans le cadre d'un accord sur plusieurs décennies, selon AEP OnSite Partners, qui a construit le réseau.

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  44. Green Mountain Power a confirmé à Epoch Times qu'elle était toujours sous cet accord d'achat d'électricité. Les représentants d'EDF Renouvelables n'ont pas répondu à une demande de commentaire au moment de la presse.

    Le Vermont est l'un des 15 États à avoir des exigences de démantèlement solaire à l'échelle de l'État, comme décrit dans un rapport de décembre 2021 du National Renewable Energy Laboratory. Malgré la réglementation relativement stricte de l'État sur la source d'énergie, Smith pense que le statu quo laisse toujours les terres agricoles vulnérables.

    "L'État du Vermont n'a vraiment pas fait grand-chose pour protéger les sols agricoles de premier choix du développement solaire", a déclaré Smith. "C'est au cas par cas et jusqu'à présent, cela n'a pas été un obstacle à l'approbation, tant qu'il est redevenu principal après le déclassement du projet."

    Un porte-parole de SEIA a déclaré à Epoch Times par e-mail que le groupe soutenait les normes de déclassement "pour promouvoir la transparence et la clarté tout en encourageant le développement responsable des projets solaires".

    « Les développeurs solaires cherchent à optimiser parmi de nombreux facteurs, notamment en minimisant les impacts sur les ressources locales (comme les terres agricoles de premier ordre) et l'accès au réseau. Les développeurs choisiront des terres agricoles moins productives pour éviter de tels conflits », a écrit le porte-parole.

    Inconvénients
    Janet Christensen-Lewis, propriétaire de Puck's Glen Organic Farm sur la côte est du Maryland, pense que le grand public commence à peine à comprendre les inconvénients de l'énergie solaire.

    "Je pense que la conscience publique a peut-être été ce que j'étais il y a environ six ans", a-t-elle déclaré à Epoch Times. «Je voulais juste actionner un interrupteur, totalement inconscient de toutes les conséquences de la production d'énergie. Et puis, lorsque vous êtes confronté à des projets à venir qui vont réellement impacter votre environnement, vous regardez les choses de plus près. »

    "Je soupçonne que si vous disiez aux habitants de New York que nous devrions prendre Central Park, qui fait 800 acres, et le recouvrir de panneaux solaires, ils seraient consternés", a-t-elle déclaré. « Ce qu'ils ne réalisent pas, c'est que 800 acres, ce n'est à peu près rien pour l'énergie solaire qui est installée actuellement. Et nous utilisons cette terre.

    En septembre 2021, le ministère de l'Énergie de l'administration Biden a publié son Solar Futures Study, qui envisageait un scénario de déploiement solaire maximal de plus de 16 000 milles carrés, une superficie légèrement plus petite que les États du Massachusetts et du Connecticut réunis.

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  45. Ce rapport, comme d'autres recherches sur l'énergie solaire entreprises ces dernières années, envisage la « co-implantation de l'agriculture et de l'énergie solaire ». Mais Christensen-Lewis est sceptique quant à la possibilité de réaliser une telle technologie «agrivoltaïque» à grande échelle.

    "Vous n'allez pas faire fonctionner des moissonneuses-batteuses en dessous, vous ne trouverez jamais un moyen de faire en sorte que cela se produise sous des panneaux solaires."

    L'étude sur l'avenir solaire met également l'accent sur le potentiel des «habitats de pollinisateurs solaires», qui sont destinés à combiner des panneaux solaires avec des plantes indigènes favorables aux pollinisateurs, augmentant ainsi les rendements des cultures tout en produisant simultanément une énergie plus propre.

    Christensen-Lewis, qui plante déjà des fleurs sauvages dans sa ferme biologique pour encourager les pollinisateurs, a également des doutes sur ces habitats.

    "Nous disons toujours que lorsqu'une entreprise d'énergie solaire entre et installe son habitat de pollinisateurs, il ne lui reste plus que trois ans pour devenir une parcelle de mauvaises herbes, puis elle devra utiliser Roundup", a-t-elle déclaré. "C'est juste une étiquette - c'est juste un argument de vente - et pas nécessairement un très bon."

    Le Maryland s'est fixé pour objectif de produire 50 % de son électricité à partir de sources renouvelables d'ici 2030, augmentant la pression pour construire plus d'énergie solaire dans les comtés ruraux de l'État. Pourtant, le développement le long de la côte est n'est pas allé sans controverse.

    Le ministère de l'Environnement du Maryland a statué que les sites de construction de centrales solaires de Great Bay Solar I, LLC à Princess Anne, Maryland, avaient violé plusieurs titres de la loi environnementale de l'État. Le département a découvert que Great Bay Solar avait perturbé les zones humides non marécageuses sur plusieurs sites, concluant un règlement par lequel la société a payé au département une amende civile de 400 000 $.

    Christensen-Lewis a participé avec succès à un effort visant à maintenir une grande ferme solaire hors du comté de Kent, dans le Maryland, où elle pense qu'elle menaçait des terres agricoles de premier ordre.

    Malgré ces victoires, les perspectives de nombreux agriculteurs confrontés à la pression des grandes entreprises solaires restent incertaines.

    Caywood, de Caywood Farms à Casa Grande, craint que sa ferme de quatrième génération ne devienne «une île» entourée d'énergie solaire à grande échelle.

    "Ils le mettent [solaire] ici dans les zones rurales, sur nos terres agricoles et dans nos forêts", a déclaré Christensen-Lewis. "C'est une terre pour laquelle nous voyons d'autres buts majeurs—pour nourrir les gens, pour s'assurer que nous avons mis en place des protections environnementales."

    https://www.zerohedge.com/energy/farmers-across-america-solar-power-may-spell-trouble

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  46. Décès dus à un réchauffement de 1 degré par rapport à un effondrement du réseau électrique pendant un an


    January 8th, 2022



    Même les pires scénarios imaginaires de réchauffement climatique ne sont rien comparés à une année sans électricité. Bunky Mortimer III pense que les priorités américaines sont foutues.

    Les États-Unis dépenseront quelque 555 milliards de dollars pour empêcher un réchauffement théorique d'un degré ou deux. Un réchauffement qui pourrait ne pas se produire avant un siècle, voire pas du tout, et contre lequel les plus grands concurrents des USA ne font rien.

    En revanche, un événement solaire de Carrington, une explosion nucléaire ou une cyberattaque n'éliminant que neuf sites d'interconnexion pourraient effondrer l'ensemble du réseau américain pendant 18 mois.

    Quelle menace environnementale compte ? L'Occident est dans l'apoplexie face à la dégradation de l'environnement affectant les ours polaires, mais l'environnement dont nous avons le plus besoin en ce moment est celui avec de l'eau douce, des aliments comestibles et une température ambiante au-dessus de zéro.

    La sécurisation du réseau devrait être la priorité environnementale la plus élevée de ce pays
    Le magazine de Taki

    Un effondrement prolongé du réseau électrique de cette nation - par la famine, la maladie et l'effondrement de la société - pourrait entraîner la mort de jusqu'à 90 % de la population américaine. Ce chiffre n'a pas été contesté, pourtant cette perspective n'a pratiquement pas retenu l'attention des décideurs politiques ou des médias. La question environnementale qui occupe le devant de la scène, bien sûr, est le réchauffement climatique.

    Le point faible sont les transformateurs à très haute tension dont le remplacement peut prendre un à deux ans. Peu de transformateurs EHV ont été fabriqués aux États-Unis et des inquiétudes ont été soulevées il y a dix ans, voire trente ans. Certains estiment que la fabrication américaine est si faible qu'ils doivent en importer 85 %. En 2016, peu de choses avaient changé, malgré l'urgence et la grave menace. Si un crunch est généralisé, ces transformateurs seront impossibles à obtenir sans de longs délais.

    Une étude publiée en 2010 pour la Commission EMP du Congrès a calculé qu'une explosion nucléaire à 170 kilomètres au-dessus des États-Unis effondrerait l'ensemble du réseau électrique américain.

    Un rapport de 2017 du ministère de la Défense indique que « les États-Unis vivent aujourd'hui dans une serre virtuelle ». En 2018, le Department of Homeland Security a émis une alerte selon laquelle la Russie pourrait fermer les centrales électriques américaines à volonté. Le réseau est également vulnérable aux opérations militaires coordonnées à petite échelle. Une note interne de la Federal Energy Regulatory Commission indique que "détruire neuf sous-stations d'interconnexion et un fabricant de transformateurs et que l'ensemble du réseau des États-Unis serait en panne pendant 18 mois, peut-être plus longtemps".

    Sans électricité, il n'y a pas d'aliments surgelés, pas de pompes à eau, pas de pompes à essence, pas de banque, pas d'internet, pas de téléphone, et bientôt plus de livraisons, pas d'engrais et pas d'hôpitaux.

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  47. Le PCC doit aimer le Pentagone :

    Le changement climatique est défini par le Pentagone comme une menace égale à celle posée par la Chine. Pendant ce temps, la Chine a développé un missile hypersonique, voyageant à cinq fois la vitesse du son, qui peut produire un EMP sans avoir besoin d'une ogive nucléaire.

    Espérons que les adversaires des États-Unis n'ont pas lu les anciens rapports du département américain de la cybersécurité, de la sécurité énergétique ou de l'intervention d'urgence. Ils pourraient avoir des idées.

    Schéma des réseaux électriques
    Shigeru23

    Grilles, qui en a besoin ? Même les ours polaires. Un effondrement prolongé du réseau obligerait également les gens à chasser les phoques – armés, chargés et mécontents de la concurrence.

    https://joannenova.com.au/2022/01/deaths-from-1-degree-of-warming-nothing-compared-to-an-electricity-grid-collapse-for-a-year/

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  48. Désolé, mais l'enseignement en ligne a une valeur limitée dans de nombreux sujets


    Par Ira H. Schoen
    penseur américain
    8 janvier 2022


    Je n'ai jamais été un défenseur de l'éducation en ligne.

    Après avoir pris ma retraite du gouvernement fédéral sur une période de 30 ans, j'ai enseigné au niveau collégial/universitaire pendant environ 10 ans en tant que professeur auxiliaire en justice pénale.

    Pas plus.

    Tous mes cours précédents étaient en personne, et étant donné le sujet (Justice pénale) que j'enseignais, je ne pouvais pas imaginer qu'il soit efficacement enseigné et discuté avec ma classe en ligne.

    J'avais raison.

    Laisse-moi expliquer. D'un point de vue logistique, aucune de mes classes n'avait moins de 30 élèves, certaines comptaient jusqu'à 45 élèves. Tous mes cours étaient interactifs. Par exemple, je commencerais généralement par un cours magistral, ponctué de questions et de réponses prévues, certaines d'autres étudiants, d'autres de moi. L'autre moitié de mon temps de classe serait consacrée à la répartition de mes élèves en groupes, avec une question posée par moi, et une réponse par un élève en rotation pour présenter leurs conclusions et recommandations.

    À ce stade, je demanderais généralement aux autres étudiants leurs commentaires, suivis des miens.

    Mes cours étaient volontairement une fois par semaine, environ deux heures et demie, avec une pause entre les deux. Deux rapports de 5 à 7 pages ont généralement été assignés à mon examen avec des commentaires écrits. De personne à personne si nécessaire. Il y avait aussi généralement trois examens.

    J'étais disponible avant et après chaque cours et sur rendez-vous pour tout étudiant.

    Une écrasante majorité d'étudiants a approuvé ces scénarios, comme en témoignent leurs commentaires de fin d'année.
    Ce type d'interaction humaine pourrait-il être disponible en ligne ? Pas à mon avis avec un sujet aussi divers et complexe que la justice pénale. Peut-être dans d'autres domaines, et lors de la poursuite de certains doctorats. diplômes, mais tous nécessiteraient encore une certaine interaction en face à face afin de tirer le meilleur parti de l'enseignement supérieur.

    Avec le coronavirus qui fait des ravages avec tant d'efforts, je considère que le prochain calendrier du printemps 2022 sera au mieux ténu pour que les étudiants de tous niveaux puissent assister aux cours en personne. Je trouve cette pensée pénible à bien des égards, d'autant plus que nous sommes des animaux sociaux et que nous apprenons mieux en faisant et en interagissant – pas en regardant dans un écran.

    Je ne vois pas de véritable interaction se produire en ligne. Les retards vidéo, la mauvaise qualité audio et visuelle, l'absence de langage corporel, les expressions singulières et massives des autres, les distractions, sont des exemples à prendre en compte lors de l'utilisation de l'enseignement en ligne. Je suis sûr que certains ne seront pas d'accord, mais à moins que vous n'ayez expérimenté les deux, avec des instructeurs aussi bons, je ne peux pas voir l'éducation en ligne aussi satisfaisante, stimulante pour les étudiants ou les instructeurs.

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  49. D'autres tempêtes sérieuses se profilent à l'horizon pour l'enseignement supérieur. Comment les institutions privées, qui peuvent coûter quatre fois plus cher que les institutions publiques, peuvent-elles offrir une éducation/expérience en ligne de qualité supérieure ?

    Ils ne peuvent pas.

    Dans la situation probable de fermeture des collèges/universités causée par le coronavirus, quelle est la prochaine étape ? Comment les dortoirs continueront-ils à exister ? Plans alimentaires ? Employés de service ? Bibliothèques ? Activités formelles et informelles ? Police et services d'urgence? Admissions ? Bourses d'études? Budgets ? Collecte de fonds ? Examens de santé?

    Que faire?

    Limitez les étudiants de première année entrants et les étudiants transférés. Limitez la taille des classes. Limitez le nombre de cours offerts. Mettre l'accent sur les mesures de santé préventive auprès des élèves et des parents. Faites plus de tests. Prenez un semestre (ou deux) de congé. Couper le personnel à tous les niveaux, y compris les administrateurs et les éducateurs. Bar des événements formels tels que des sports, des concerts et d'autres formes de divertissement de masse. Et enfin, n'offrez des cours en ligne que dans des matières qui relèguent l'interaction humaine au minimum.

    Oui, cela signifie que les collèges et les universités vont diminuer en taille et en financement, tout comme le reste de l'économie dans la situation actuelle de pandémie (panique ?).

    Conclusion : les collèges et les universités doivent réévaluer sérieusement en quoi consiste une éducation de qualité dans un monde incertain. Nous devons être plus créatifs et innovants, sachant que, comme dans une situation de guerre mondiale, des sacrifices et des compromis devront être consentis.

    https://www.americanthinker.com/blog/2022/01/sorry_but_online_teaching_is_of_limited_value_in_many_subjects.html

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  50. Le déficit commercial de la France plonge à un niveau «jamais atteint»


    7 janv. 2022, 18:55


    En novembre, l’écart entre les exportations et les importations françaises a abouti à un déficit de 9 milliards d’euros, largement dû au renchérissement des matières premières.

    Plus inquiétant, le pays a dû importer de l’électricité.

    Les douanes ont annoncé ce 7 janvier que le déficit commercial de la France s'était encore creusé pour atteindre 9 milliards d'euros en novembre, soit «le solde mensuel le plus bas jamais atteint».

    Les importations ont atteint un niveau record et ont été lestées par la hausse des prix des matières premières, notamment énergétiques, dégradant encore le déficit par rapport au mois d'octobre, quand il s'était hissé à 8,1 milliards d'euros (chiffre révisé). En janvier 2021, le déficit s'affichait à 4,5 milliards. Le Douanes précisent qu'en novembre, le déficit cumulé sur 12 mois s'élève à 77,6 milliards d'euros, «soit 2,6 milliards de plus que le déficit annuel record de 2011».

    Sur le même mois, le montant des importations atteint «la somme historique» de 52,5 milliards d'euros. Si elles n'ont augmenté que de 2,6% en volume depuis le début de l'année, elles ont bondi de 20,1% en valeur. Selon les Douanes, cette progression s'explique «en très grande partie par la hausse des prix des matières premières, notamment énergétiques, et des produits industriels». La fin d'année a en outre connu un «pic inhabituel des importations d'électricité», ainsi qu'une «croissance dynamique des approvisionnements en gaz et pétrole».

    La France importatrice nette d'électricité malgré le nucléaire Surtout, les douanes soulignent que la France, traditionnellement exportatrice d'électricité, a été importatrice nette en novembre, la production nationale ne suffisant pas à répondre à la demande. Les exportations progressent aussi, mais à un rythme moins élevé de 400 millions d'euros en moyenne par mois depuis le début de l'année pour s'établir en novembre à 43,5 milliards d'euros, quasiment au niveau du pic d'avril 2019.

    La Banque de France a de son côté révélé une aggravation du déficit de la balance des paiements – qui inclut les échanges de services – à 3,6 milliards d'euros en novembre, soit 1,1 milliard par rapport au mois précédent, a détaillé la Banque de France ce 7 janvier.

    https://francais.rt.com/economie/94455-deficit-commercial-france-plonge-niveau-jamais-atteint

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  51. Le coronavirus révélateur


    22h07 07 janv. 2022


    La crise du coronavirus agit comme un révélateur de ce que nous sommes - et de nos façons de fonctionner - . Si l’être humain est intelligent individuellement, il est désormais visible, pour ceux qui ne le savaient pas, qu’il manque cruellement d’intelligence collective.

    Le monde occidental est sur un vaste Titanic qui titube entre les icebergs sans que ceux qui le pilotent ne s’en soucient, occupés à gérer leur carrière, leurs profits et leur compte en banque.

    Le covid 19 met en évidence de façon magistrale des fragilités psychiques comme l’expose brillamment une psychologue, docteure en psychopathologie : Dans un entretien vidéo, cette universitaire de haut niveau décrit les mécanismes psychologiques du totalitarisme ambiant qui veut s’insinuer dans tous les détails de notre vie et passe par la construction d’un récit faux auquel il faut adhérer. Ce totalitarisme a besoin de la désignation d’un ennemi – à l’origine le virus, ensuite le non-vacciné – qui doit légitimer une politique de harcèlement. Tout cela conduit à un délire collectif et crée des pathologies psychiatriques.

    Nous sommes au tournant d’une année qui favorise les bilans. La chasse au covid amène certains meneurs à s’épuiser et à mettre en évidence les limitations de leur maturité psychique. Deux d’entre eux, le Président de la République d'une part et son ministre de la santé d'autre part viennent de s’exprimer d’une façon très adolescente – en se révoltant de façon grossière face à des autorités qui s’affirment avec leur bagage d’adulte - et dévoilent ainsi la fragilité de leur être profond.

    S’appuyant sur leur puissance de dirigeants, ils ne sont pas conscients qu’elle peut se retourner contre eux et attiser le feu latent des résistants : La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une déroute à ce président.

    Cette immaturité de certains dirigeants s’est aussi manifestée dans leur manque de considération de la valeur ontologique des enfants. Une telle méconnaissance des forces de croissance et des besoins de la jeunesse a incité des adultes matures à adresser une pétition au gouvernement Cette pétition a pour but de dénoncer l'impact néfaste de la crise sanitaire sur nos enfants, le port du masque dès le CP, les campagnes de dépistage massif dans les écoles, les protocoles sanitaires maltraitants et leurs dérivés.

    2022 : Où allons-nous ? Ce «nous» concerne tout autant, en sus du système politique et médiatique, le système médical et l’ensemble des individus. L’article de ce journaliste scientifique se base sur de nombreux documents et expériences relatées pour montrer comment la vérité se révèle progressivement.

    Il est aussi très remarquable (= à remarquer !) que certains médias mainstream commencent à relativiser la doxa et toute la propagande dont ils nous ont abreuvés : L'un d'entre eux affirme, chiffres à l’appui, que le « tsunami Omicron » n’existe pas. Ce présentateur semble se poser des questions sur la désinformation de masse concernant le variant Omicron. Le jeudi 30 décembre, en direct sur le plateau de l’émission « 24H Pujadas » sur LCI, le présentateur paraissait agacé par la médiatisation exagérément anxiogène qui entoure actuellement la « vague » due à ce variant. Il a ainsi choisi, avec l’aide d’une collaboratrice et chiffres à l’appui, de prouver que les prévisions alarmistes ne se sont pas concrétisées.

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  52. Un autre média informe aussi sur les moyens de se protéger. Vaccin, un effet pas magique : certains espoirs qu'il avait fait naître ne se sont pas confirmés car les vaccins n'empêchent pas de transmettre le Covid et leur efficacité baisse avec le temps. Cette efficacité est en outre moins élevée contre les derniers variants. Tout miser sur les rappels, quitte à devoir les multiplier, pourrait donc n'être qu'une stratégie court-termiste, mettent en garde des spécialistes.

    Les scientifiques – chercheurs – médecins avertissent de plus en plus la population : L’un s'avance, par exemple, à évoquer l’effet de l’injection génique au niveau gynécologique : comment le vaccin modifie-t-il le cycle menstruel des femmes ? Juste après avoir reçu un vaccin contre le Covid-19, le cycle menstruel des femmes, soit la période séparant le premier jour de deux règles, est rallongé de moins d'une journée en moyenne. Cet effet non grave apparaît comme temporaire, selon une nouvelle étude parue jeudi. Six cycles consécutifs ont été étudiés pour toutes les participantes. Cette étude doit notamment permettre de rassurer celles ayant constaté des changements dans leur cycle après une injection de vaccin. Elle permettra aussi de pouvoir opposer des données claires et solides – les premières sur la question – aux peurs et fausses affirmations ayant circulé sur les réseaux sociaux…. Les scientifiques espèrent avoir rassemblé très prochainement davantage de données sur les cycles suivants pour confirmer ce retour à la normale.

    Il est intéressant de souligner le langage utilisé pour chercher à rassurer ces dames, alors que les études n’ont eu lieu que sur 6 cycles. Un tel choix démontre comment les auteurs de cette étude ne tiennent pas compte de la complexité du corps humain et cherchent à laisser croire que tout s’atténue de soi-même. En fait, chaque femme a des particularités organiques et biologiques qui peuvent se manifester petit à petit ou alors à la faveur d’un stress, d’un traumatisme ou d’un traitement médicamenteux. En outre, «Les scientifiques espèrent avoir rassemblé très prochainement ….» n’est pas du tout un langage scientifique qui devrait toujours s’appuyer sur des observations objectives, panoramiques et ne pas espérer «pour confirmer ce retour à la normale.».

    Une scientifique très expérimentée s'appuie sur des doutes - processus propre à la science - et entrouvre le constat de la fertilisation suite à la vaccination anti-covid : Quelle est l’objectif de cette vaccination forcée de masse ? Beaucoup de pistes sont évoquées, mais une seule chose est certaine, c’est que ce n’est pas la santé publique ni la protection contre le COVID….

    Apporte-t-elle un début de réponse ? En tout cas elle fait un constat : les premières analyses confirment les craintes, les vaccins ARNm concernant le COVID ont un impact sur la fertilité. Peut-être que l’ancienne directrice de recherche à l’INSERM commence à poser là les preuves du crime commis par les tenants de la dépopulation, dont les promoteurs ne se cachent même pas.

    Cette crise coronavirale démontre ce qu’un médecin praticien de longue date a déjà développé dans un livre puis une vidéo : La farce vaccinale. Elle souligne très fermement : Aujourd’hui, on donne de force la vaccination, c’est du viol. Qu’il s’agisse de sperme ou de poison, inoculer quelque chose à quelqu’un de force contre son consentement est un viol. A noter que le viol concerne deux niveaux distincts de l’être humain : le viol du consentement de l’individu lui-même et le viol du corps qui ne peut pas utiliser ses filtres personnels que sont basiquement ses systèmes dermatologique et digestif.

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  53. Pour moi, la vaccination est une absurdité , une insulte à l’intelligence, un outrage à l’intégrité physique, mentale et spirituelle de l’être humain. A la minute 5, Que s’est-il passé pour que je fasse un tel revirement ? Je me suis réveillée, j’étais endormie. J’ai commencé à questionner le dogme qu’on m’avait enseigné. Malgré l’endoctrinement reçu en médecine, je n’ai pas perdu mon bon sens, mon outil de base.

    En 1991, a commencé une campagne de vaccination au Québec, contre la méningite. La radio disait que la méningite n’était peut-être pas sûre mais probable et que tout le Québec sauf l’Ontario serait vacciné. Quelque chose cloche : est-ce que les microbes ont appris à lire et qu'ils savent ainsi s'arrêter à la frontière?

    J’ai commencé à m’informer, à lire des documents, à écouter les histoire sordides de gens qui avaient subi des vaccinations. J’ai réalisé qu’il y a deux versions : - de l’establishment : les vaccins sont sûrs et efficaces et la version de tout ce qui n’est pas establishment : inefficaces, inutiles, dangereux , que Pasteur est un menteur, un tricheur, un voleur , un usurpateur…

    Le virus couronné vient heureusement nous rappeler que nous avons un système immunitaire complexe et que nous sommes invités à développer nos connaissances à son sujet. Le bombardement médiatique autour de la crise du Covid-19 omet étrangement toute mention du pouvoir du système immunitaire humain. Il est essentiel pour les personnes qui ont un esprit critique de regarder au-delà du vacarme et d'apprendre pourquoi un mode de vie sain et une approche nutritionnelle ciblée constituent en réponse au Covid-19 une stratégie à ce point efficace.

    Ce praticien de 30 ans d’expérience rappelle que les microorganismes sont interreliés dans un microunivers très complexe qui ne peut pas être capté par un microscope électronique qui cherche à focaliser un seul élément. Cette question reprend le grand débat entre deux hommes de science célèbres, Louis Pasteur et Antoine Béchamp. L'essentiel du débat peut se résumer à cela : Les microbes (Pasteur) provoquent-ils les maladies ? Ou est-ce un terrain pauvre (Béchamp) qui permet aux microbes de s'implanter et de se propager à un rythme rapide ? En d'autres termes, l'exposition à un microbe signifie-t-elle que vous êtes destiné à « attraper » la maladie ou à être « infecté » ? Le microbe possède-t-il le pouvoir total de contrôler votre destin ? Ou la personne exposée est-elle un hôte réceptif ? Son système immunitaire est-il une machine bien réglée, ou est-il faible et insuffisant ? En d'autres termes, son niveau de résistance à l'exposition est-il élevé ou faible ?

    Se poser des questions stimule à chercher des réponses pour renforcer son immunité et nous révèlent qu'elles sont à notre disposition si nous gardons l'esprit ouvert et notre bon sens.

    La prévention des infections, et en particulier celles dues au Covid-19, fait appel à des mesures de bon sens qui consistent, outre le respect des mesures gouvernementales, à s’alimenter correctement pour bénéficier des nutriments utiles au fonctionnement de notre système immunitaire (oligoéléments, vitamines, protéines, ingrédients riches en oméga-3, .), et, à contrôler le stress qui ouvre la porte à de multiples pathologies. On sait maintenant que les comorbidités sont des facteurs aggravants, et, dans ces cas, les mesures barrières et de distanciation seront impératives et le rôle de l’alimentation souligné. Des principes d’hygiène de vie devront également être mis en place. Le renforcement de nos barrières cutanées et intestinales améliorera notre résistance. La gestion du stress, des émotions et la qualité du sommeil feront appels à des pratiques de bien-être, des thérapies non médicamenteuses, parfois complétées par une supplémentation, si des déséquilibres sont identifiés.

    https://mfmeuron.blog.tdg.ch/archive/2022/01/07/le-coronavirus-revelateur.html#more

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