- ENTREE de SECOURS -



vendredi 21 janvier 2022

La fortune des dix plus riches a doublé, le reste du monde s’est appauvri, selon Oxfam

 

La fortune cumulée de l'ensemble des milliardaires a connu depuis le début de la pandémie de Covid-19 « sa plus forte augmentation jamais enregistrée », de 5 000 milliards de dollars, pour atteindre 13 800 milliards, selon un rapport de l'ONG Oxfam.


Coronavirus : la crise économique est unique, voici pourquoi

10 commentaires:

  1. On manque de bras et de cerveaux, où sont-ils ?

    La pénurie de personnel n'est pas une question d'argent mais d'humains. Il faut retarder l'âge de la retraite et augmenter la productivité.


    le 22 janvier 2022
    Yves Montenay


    En France, il faut davantage d’enseignants, il faut davantage de juges, il faut davantage de policiers, il faut davantage d’informaticiens, davantage de plombiers et on pourrait allonger la liste…

    Et cela pour d’excellentes raisons que nous allons rappeler, car des problèmes à résoudre sont très importants. Mais ces revendications se terminent par des demandes de moyens financiers… alors que la question n’est pas là.

    Les raisons de recruter sont excellentes

    Il n’y a pas assez de profs ? C’est vrai, il y a encore des classes surchargées, des absences dues à la pandémie et pas assez de remplaçants. Une partie des élèves souhaite passer dans le privé, mais le nombre d’enseignants y est limité par la fameuse règle des 80/20 : une ouverture de poste dans le privé pour quatre dans le public.

    Il n’y a pas assez de policiers : une partie de la population a peur et ne se sent pas protégée, d’où la demande aux maires de création de police municipale, ce qui se fait de plus en plus.

    Il n’y a pas assez de juges, de greffiers etc. : la justice prend du retard et certains verdicts arrivent avec deux ans de retard.

    Il n’y a pas assez de médecins, ni de soignants à tous les niveaux : dès qu’un virus pointe son nez, il faut demander aux collègues de renoncer aux vacances, de faire des heures supplémentaires, et rappeler les retraités.

    Sans les médecins maghrébins, roumains, et j’en oublie, notre hôpital ne fonctionnerait pas. Idem pour les infirmiers et les infirmières s’il n’y avait pas « la deuxième génération ». Pour des soins importants mais pas urgents ni immédiatement vitaux, il faut attendre des semaines ou des mois pour décrocher un rendez-vous.

    Un candidat à la présidentielle vient de proclamer qu’il fera ouvrir 500 000 places dans les crèches. Pour cela encore faudrait-il trouver plus de 100 000 personnes pour les encadrer…

    Il n’y a pas assez d’informaticiens : les besoins en protection explosent face aux pirates de l’Internet, au déploiement de la 5G, à la numérisation accélérée de l’administration, au besoin de perfectionner les algorithmes pour éviter que des internautes « se montent le bourrichon » dans les groupes d’extrême droite, d’extrême gauche, d’antivax, de complotistes…

    Donc tout le monde demande « des créations de postes », c’est-à-dire de l’argent.

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  2. Il en va de même en dehors du monde salarial : il n’y a pas assez de plombiers, de peintres, de carreleurs, d’artisans en tous genres. Tous les travaux prennent du retard.

    Ce dernier exemple illustre que ce n’est pas une question d’argent.

    Ce sont les hommes qui manquent
    On n’y arrive pas, tout simplement, parce que les personnes recherchées n’existent pas.

    La population active française compte un peu plus de 30 millions de personnes, inclus les 3 millions de chômeurs, ce qui est peu pour une population d’environ 68 millions.

    Ce chiffre ne comprend pas les étudiants, les femmes préférant rester au foyer et les individus frappés par des problèmes de santé. Ce sont donc les 27 millions de personnes employées qui doivent faire vivre, non seulement elles-mêmes, mais environ 41 millions de retraités, d’enfants et d’autres non travailleurs. C’est une première raison du manque de bras et de cerveaux.

    Comme nous allons le voir, on peut grignoter quelques travailleurs supplémentaires, mais nous serons toujours très loin des quelques millions qui sont le total des besoins évoqués plus haut. Sauf à faire quelques petites révolutions qui seront très mal vues et risquent de coûter cher et leur poste aux élus téméraires qui se lanceraient.

    Où trouver ces bras et ces cerveaux qui manquent ?

    Pour commencer, il ne faut pas trop compter sur les chômeurs.

    Mettre les chômeurs au travail ?

    C’est l’argument le plus fréquent : on ne manque pas de personnel puisqu’il y a trois millions de chômeurs.

    Je suis un ancien chef d’entreprise et j’ai souvent utilisé l’ANPE, aujourd’hui Pôle emploi. Il est très difficile d’y trouver un employé : soit il habite loin et ne veut pas déménager, parfois parce que son mari ou sa femme a un emploi sur place, soit il est très loin du profil demandé. Je me souviens m’être vu proposer des quasi-analphabètes pour conduire les poids-lourds et un dépressif profond pour être un financier agile !

    Plus généralement, on ne transforme pas un ouvrier de fonderie (problème d’actualité) en médecin ou en directeur financier. En informaticien ? Exceptionnellement oui, pour des postes très simples, mais le plus souvent non, pour des raisons d’âge ou d’allergie à tout ce qui est plus ou moins mathématique. En infirmier ? Là aussi, très exceptionnellement, car il faut quand même une bonne base scientifique.

    Et puis il y a des métiers « dont personne ne veut » : pardon pour la formule, mais j’ai entendu d’un spécialiste des EHPAD : « les chômeurs refusent et disent : je ne veux pas torcher les vieux »

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  3. Retarder l’âge de la retraite ? Oui !

    Un autre réservoir d’actifs beaucoup plus concret serait obtenu en retardant l’âge de la retraite ou en employant des retraités.

    Chaque année de travail de plus au-delà de 62 ans ajoute 800 000 personnes en âge de travailler. En soustrayant les femmes désirant rester au foyer et les cas particuliers, disons qu’il y a là environ 600 000 actifs potentiels pour chaque année de recul de l’âge de la retraite à partir de 62 ans.

    Il faut y ajouter un gisement de possibles actifs de moins de 62 ans, puisqu’une partie du secteur public prend sa retraite bien avant. Mais la dernière grève de la SNCF montre que ce sera difficile à changer.

    Bref, par rapport à l’âge européen de 67 ans vers lequel tendent la plupart des pays, la différence est d’environ 3,5 millions d’actifs supplémentaires potentiels.

    Les freins à l’embauche des seniors

    Mais, là aussi ce n’est pas simple : les employeurs hésitent à embaucher des seniors, voire même s’en séparent en premier puisqu’ils sont plus chers ou moins formés au numérique et plus généralement aux techniques nouvelles. Longtemps les employeurs français ont demandé et obtenu le financement de retraites anticipées qui ont pesé lourd sur l’économie nationale. C’est en principe maintenant interdit, mais il me semble, à l’occasion de fermeture d’usines, que la tentation n’a pas disparu.

    L’exemple suédois

    Comparons avec la Suède où la question des retraites a été prise très sérieusement, et où il y a des discussions concrètes entre patronat, syndicats et gouvernement. Précisons que c’est un pays sans coupure idéologique à la française : la gauche n’est pas socialiste, mais social-démocrate, c’est-à-dire économiquement libérale et socialement redistributive, tandis que la syndicalisation touche l’ensemble des salariés ce qui signifie que les troupes syndicales comprennent aussi les libéraux.

    Résultat : un âge de départ bientôt à 67 ans, et des employeurs qui veillent à faire évoluer les emplois des 10 dernières années de carrière (moins de pénibilité physique, éventuellement horaires réduits), ce qui permet de garder tout le monde au travail jusque là.

    L’immigration ? Un peu

    L’immigration peut apporter une partie des bras ou des cerveaux manquants. Elle est déjà largement utilisée, mais imparfaitement puisque le chômage est plus fort chez les immigrés que chez les natifs.

    On dit souvent que les immigrés ne sont pas assez qualifiés. C’est oublier d’abord qu’une bonne part de nos soignants et ingénieurs vient du Maghreb et d’ailleurs. En témoignent les excellentes performances des Marocains dans nos grandes écoles.

    C’est oublier ensuite qu’on manque également de non-qualifiés pour les innombrables métiers dans lesquels leur formation serait rapide : pas seulement les fameux éboueurs maliens, d’ailleurs moins présents aujourd’hui, mais pour les emplois dans l’hôtellerie, la restauration, le bâtiment, la surveillance… et les nounous, que je cite souvent parce que c’est un métier dont on néglige la grande utilité économique : ce sont elles qui permettent à des mères de famille très qualifiées d’apporter leurs compétences à l’économie nationale !

    Cela dit, l’immigration a des limites. Psychologiques d’abord, puisque qu’une partie de la population y est hostile. Et surtout parce qu’il y a une concurrence mondiale : la Terre entière s’arrache non seulement les médecins, mais aussi les femmes de ménage ou les nounous philippines.

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  4. Et puis son efficacité est limitée en France du fait d’un accueil indécent, et souvent assorti de l’interdiction de travailler, ce qui renvoie des intéressés à des activités illégales. Il vaudrait mieux organiser la formation à un meilleur français et à la vie concrète dans notre société souvent très différente de celle du pays de départ, et surtout permettre de travailler ! Les succès allemands d’intégration des Syriens ignorant complètement l’allemand et même l’alphabet latin devrait nous montrer que nous ne savons pas nous y prendre !

    Par ailleurs, d’un point de vue planétaire, l’immigration n’est pas une solution puisque ceux qui arrivent manquent au pays de départ. Et là, la responsabilité en revient à ce dernier : l’expérience de la Corée du Sud et de la Chine (pour prendre deux systèmes économiques très différents) montre qu’on peut se développer très vite pour peu que le gouvernement soit moyennement sérieux. Mais souvent les gouvernants préfèrent piller le pays que de s’occuper de la scolarisation ou de l’ordre public.

    Les médecins malgaches que nous avons en France ont fui leur pays et y manquent cruellement. Les Italiens qui émigrent en Allemagne font de l’Italie un pays de retraités impossibles à nourrir. La logique voudrait que les caisses de retraite allemandes viennent les aider, mais les problèmes allemands sont tellement importants, du fait de leur faible fécondité, que cela paraît impensable aujourd’hui.

    Un autre exemple détaillé dans Le Monde daté du 18 janvier est celui de la Roumanie : les Roumains émigrent vers l’Espagne et l’Italie dont les langues sont voisines de la leur. L’Italie se vide au profit de l’Allemagne et a donc besoin de ces Roumains. Le vide ainsi créé en Roumanie est comblé par une immigration mondiale indienne, pakistanaise, philippine…

    La formation ?

    La formation est bien sûr une piste logique pour pallier le manque de cerveaux. Le gouvernement a d’ailleurs lancé en septembre un plan ambitieux en la matière : 1,4 milliard pour former les chômeurs et faire monter les salariés en qualification.

    C’est excellent, mais ne change pas de problème de base : un salarié qui monte en qualification laisse souvent un vide à son ancien poste. Théoriquement un chômeur formé pourrait remplir ce vide. Ce serait un progrès, mais ce que nous avons vu sur les chômeurs amène à penser que l’impact sera limité à quelques dizaines de milliers de personnes… J’espère me tromper.

    Et puis cela nous mène au problème redoutable et insoluble politiquement à court terme : la baisse de niveau de la formation scolaire et l’inadéquation à l’emploi d’une partie des diplômés de l’enseignement supérieur. Ce problème est trop vaste pour être traité ici mais il me paraît fondamental.

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  5. En tout cas, tout effort dans ce domaine est louable, et par exemple l’action semble-t-il couronnée de succès du développement de l’apprentissage : autour de 700 000 contrats en 2021 après 495 000 en 2020 contre moins de 300 000 les années précédentes. Mais attention, ce n’est pas un gain net puisqu’une partie des nouveaux apprentis sont par exemple des élèves de grandes écoles, ce qui est excellent, mais ne crée pas un cerveau de plus. En fait le gain net sera la diminution du chômage due à cet accroissement d’apprentissage, mais est-ce calculable ?

    En résumé, quelques pistes encourageantes mais qui ne donneront pas les millions de personnes nécessaires à court ni même à moyen terme.

    La productivité, un remède mal vu

    Si les besoins massifs en main-d’œuvre (je dirais plutôt les rêves, étant donné le décalage avec la réalité) ne pourront être couverts que marginalement, reste la solution d’augmenter la productivité de chacun. Parler formation et apprentissage vous a mis sur la piste : une solution au manque de bras et de cerveaux est évidemment que chacun produise davantage.

    Je me souviens d’une réunion entre parlementaires et syndicats patronaux et ouvriers sur les retraites, où j’avais été invité en tant que démographe. Pendant la réunion tout le monde était d’accord pour conclure que la seule solution était l’augmentation de la productivité, le recul de l’âge de départ étant exclu par les syndicats présents. Mais cette augmentation de la productivité n’était pas un slogan vendeur pour certains syndicats ouvriers qui avaient tendance à la présenter comme une augmentation de « l’exploitation capitaliste ». Donc lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion, ils préférèrent un thème plus populaire : « le patronat veut voler nos retraites ». C’était il y a plus de 20 ans et je pense que les positions ont évolué, mais je rencontre encore des salariés qui en sont persuadés.

    Bien sûr, augmenter la productivité ce n’est pas « faire travailler plus intensément pour augmenter l’exploitation capitaliste ». C’est appuyer les travailleurs actuels par des machines davantage perfectionnées ou des logiciels et en encourageant la mobilité pour que chacun puisse accéder à un autre métier plus utile et donc, en principe, mieux payé.

    Réussir cela est un travail d’ingénieurs et d’organisateurs et les politiques n’y peuvent pas grand-chose. D’ailleurs la fonction publique et le secteur nationalisé ne sont pas des modèles en l’occurrence (voir le fret SNCF et le gouffre financier qu’est cette entreprise), même si cela commence à bouger avec la numérisation de certaines administrations, dont celle, enfin, de la justice.

    Un des grands problèmes est la limitation des tâches bureaucratiques. Les médias nous rappellent actuellement à quel point elles pèsent sur l’activité des médecins et des chercheurs, mais le mal est général. Les ordinateurs devraient pouvoir aider mais en pratique c’est le contraire qui s’est passé : on demande beaucoup plus de renseignements et de rapports qu’auparavant puisque c’est possible avec l’informatique.

    Je rappelle que la bureaucratisation est un phénomène naturel très puissant et international qui paralyse largement les pays socialistes.

    Dans le privé il est limité par la nécessité : l’entreprise meurt si elle se laisse envahir, et est remplacée par une autre entreprise moins bureaucratique.

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  6. Cette menace n’existant pas dans l’administration, chacun ajoute de nouvelles règles, chacune parfaitement logique et donc approuvée, sans se rendre compte que l’ensemble pèse sur le niveau de vie de tous. C’est contre cette dérive que Gaspard Koenig se présente à notre présidentielle. J’espère que les débats qu’il va soulever vont sensibiliser les autres candidats…

    En conclusion, la pénurie n’est pas une question d’argent

    Nous avons tendance à tout attendre de l’État et notamment qu’il verse des milliards dans l’hôpital, l’école, la justice, la police.

    Notre conclusion est que cette distribution d’argent ne résout rien. Ce n’est pas l’argent qui soigne, qui invente des logiciels ou qui produit du pain. Ce sont les hommes. Ils n’existent pas en nombre suffisant pour faire face aux besoins tels qu’ils sont ressentis. Nous avons vu quelques remèdes partiels (formation, immigration…) mais qui ne sont pas suffisants, ne serait-ce que parce qu’ils demandent eux-mêmes des hommes pour les concrétiser !

    Reste le recul de l’âge de départ à la retraite, auquel une partie de la population est hostile, et l’augmentation de la productivité par personne, qui est également souvent mal vue. Cette augmentation de la productivité passe en partie par la débureaucratisation. Mon expérience du secteur public montre qu’on se heurte au « ne touchez pas aux avantages acquis » sans se rendre compte que ces derniers pèsent sur votre voisin, et finalement sur soi-même, via les impôts ou la hausse des prix.

    Bref il faut revenir à l’analyse des réalités concrètes : l’économie c’est l’ensemble des hommes au travail et le bénéfice de ce travail réparti le moins mal possible. Ce n’est pas une question d’argent !

    https://www.contrepoints.org/2022/01/22/419707-on-manque-de-bras-et-de-cerveaux-ou-sont-ils

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    1. Non, ce n'est pas en doublant le salaire d'un con que l'on en fera un homme ! Depuis de très longues décennies les merdias aux pieds des politichiens ont formé les habitants à être des idiots, des imbéciles, des attardés mentaux sans cervelle et, aujourd'hui, ou plutôt depuis 2 ans: çà se voit !

      On leur dit que le virus 'truc-chose19' N'EXISTE PAS mais ils continuent à regarder leur télé-merde, leur radio-merde et journal-de-merde ! Ils leurs disent de porter un masque en grillage de 150 microns contre des virus (poussières) de 0,1 à 0,5 micron ! HAHAHAHA et ils le portent ! HAHAHAHA !

      On leur dit qu'ON NE VACCINE PERSONNE PENDANT UNE ÉPIDÉMIE ou PANDÉMIE et... ils vont se faire inoculer ! HAHAHAHA !

      C'est comme si on leur disait vous n'avez pas besoin du vaccin tétanos puisqu'il n'y a pas d'épidémie ! Attendez de l'avoir et on vous piquera ! HAHAHAHAHA ! C'est pour votre bien ! HAHAHAHA !

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  7. La France punie pour un rhume


    par olivier cabanel
    vendredi 21 janvier 2022


    On le sait maintenant, 95 % des cas de coronavirus sont des omicrons, c’est-à-dire de simples rhumes, que l’on soigne, d’après l’institut Pasteur, en 3 ou 5 jours.

    Bien sûr, les médias obéissants aux consignes gouvernementales s’en tiennent le plus souvent à comptabiliser le nombre de cas, ajoutant parfois que les hospitalisations auraient tendance à décroitre...

    Et pour cause !

    Ces cas détectés sont de simples rhumes, des omicrons, et il est rare qu’un patient enrhumé se retrouve hospitalisé.

    Un peu partout, dans le monde, c’est marche arrière toute, ou pause prudente...

    Ainsi l’Autriche repousse l’obligation vaccinale en avril au lieu de février, l’Allemagne en abandonne l’idée,(lien) l’Espagne préfère jouer la carte de l’immunité naturelle, classant le coronavirus comme une simple grippe, et rejette le pass (lien)... en Angleterre, pause prudente du gouvernement qui n’applique finalement pas le renforcement des mesures, et lève les restrictions. lien

    L’OMS conteste les doses de rappel à répétition...lien

    Israël suspend son projet d’une 4ème dose, d’autant que beaucoup de citoyens la refusent...lien

    La Bosnie-Herzégovine devient le 1er pays européen à rejeter le « passeport covid ».

    Alors on s’interroge de plus en plus en France, à quoi riment toutes ces privations de liberté, imposant des protocoles souvent contradictoires, et régulièrement idiots.

    Le dernier message martelé sur les ondes avec une régularité obsédante ne préconise-t-il pas qu’un individu testé positif à l’Omicron (donc un simple rhume) de rester enfermé chez lui pendant 7 jours ? lien

    Et quid de l’injonction qui nous est faite d’ouvrir nos fenêtres 10 minutes toutes les heures, alors que les températures, par endroit, ont été de -10° ? lien

    Rien de mieux pour attraper un bon rhume...

    Restons dans le domaine de l’humour noir...

    Une spécialiste du genre est en train de cartonner avec un sketch percutant : elle s’appelle Karine Dubernet, et exerce ses talents sur « rires et chansons »...

    Extraits : « je suis arrivé à la conclusion qu’il y a plus de chance de trouver de la vie sur Mars que de trouver un sens au protocole mis en place par Castex... exemple « tu dois boire assis dans un bar, mais tu peux pas boire assis dans un train... moi aussi je porte un masque en forêt pour protéger les papillons et les ours... je ne fais plus la bise aux gens quand je vais en boite à partouze... je fais des doses de vaccins pour augmenter mon immunité réduite par des doses de vaccins prises tous les 4 mois pour lutter contre un virus qui mute à cause des multiples doses de vaccin, prises tous les 4 mois..., je fais la queue 5 heures dans le froid pour savoir si je suis malade... » etc. lien

    Sur l’antenne d’Europe 1 dans la matinale, il fallait écouter le médecin urgentiste Gérald Kierzek qui a déclaré : « si l’hôpital craque, ce n’est ni à cause des cas de Covid, ni des gens non-vaccinés (...) cette petite musique que c’est la faute des non-vaccinés, c’est une musique assez odieuse, et surtout fausse factuellement (...) actuellement, il y a des déprogrammations et des plans blancs. Ça crée ce climat de peur dans l’imaginaire des gens, car ils ont l’impression que c’est parce qu’il y a un afflux massif de victimes (...) la définition du plan blanc est mal connue du grand public, c’est pour que les directeurs d’hôpitaux puissent rappeler les infirmières sur leurs jours de congé, ou pour pouvoir déplacer du personnel d’un service à un autre ». lien

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  8. Mais il y a encore mieux...

    Une véritable bombe vient d’exploser menaçant tous ceux qui, depuis 2 ans, et au plus haut niveau, nous ont imposé des mesures sanitaires autoritaires discutables...injections prouvées inefficaces, confinements pas toujours justifiés, graves effets secondaires camouflés, protocoles abracadabrantesques... etc.

    En effet, juridiquement, l’affaire est en train de tourner au vinaigre, puisque, le 15 janvier, la Cour Internationale Common Law (l’équivalent de la pénale internationale) a condamné 75 dirigeants politiques, ou patrons d’entreprises importantes à la prison à vie. lien

    Sont concernés par cette condamnation, le PDG de Pfizer, le PDG de GlaxoSmithKline, mais aussi Justin Trudeau, le 1er ministre du canada, et 72 autres. lien

    Il s’agit de mettre un terme définitif à ces mesures sanitaires qui mettent en danger des millions de personnes et les polices internationales ont pour mission d’aller embastiller tout ce beau monde.

    Le détail du verdict complet est sur ce lien.

    Voilà qui risque de déplaire à un certain président, adepte de l’emmerdement maximum, comme dit mon vieil ami africain : « plus tu brasses la merde, plus elle pue ».

    Le dessin illustrant l’article est de Rust

    Merci aux internautes pour leur aide précieuse.

    https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/la-france-punie-pour-un-rhume-238851

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  9. 2021: l’année où la liberté est morte


    le 21 janvier 2022


    Le droit de prendre nos propres décisions médicales a disparu en 2021. Qu’enseignons à nos enfants ? Obéissez au gouvernement ou vous perdrez votre travail et ferez l’objet d’une arrestation à votre domicile. Aucun processus déterminé, aucune audience, aucune condamnation pénale n’est nécessaire. Donc l’urgence sanitaire a détruit l’Etat de droit, le fondement de toute démocratie

    Analyste politique britannique Brendan O’Neill a écrit un brûlot intitulé « La Mort de l’Europe » (lien). Il aurait été préférable qu’il le titre « La mort de la Liberté », car ses remarques s’appliquent bien au-delà des frontières de l’Europe. Il décrit ce qui se passe dans une grande partie de l’Asie, une grande partie de l’Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande. En 1821, les gouvernements, en Amérique du Nord nous ont volé le droit de prendre nos propres décisions médicales en privé, en consultation avec notre médecin. Taille unique pour tous, la médecine est devenue normalisée.

    En 2021, ces mêmes institutions qui ont survécu à des décennies, décidant de salaires plus élevés et de lois plus équitables du travail ont agité une baguette magique et ont décrété comme une infraction de prendre certains médicaments particuliers. Les médicaments qui sont totalement nouveaux, et pour lesquels aucune donnée de sécurité à long terme n’existe ne peuvent pas être remplacés par des vieux génériques.

    Il est difficilement possible de mesurer la signification terrible de cette année 2021. Dans les mots d’O’Neill: « Ce qui se passe en Europe en ce moment n’a rien de moins terrifiant … Nous vivons une refonte de toute la relation entre l’État et l’individu, avec l’État habilité à un degré aussi extraordinaire qu’il peut désigner maintenant à ses citoyens ce sur quoi ils doivent se soumettre à une injection dans leur corps et l’individu est si politiquement émacié, donc dénudé de droits, qu’il ne peut plus apprécier sa propre souveraineté sur lui-même, sur ce qu’est son propre corps et son esprit ».

    O’Neill continue ainsi : « Beaucoup semblent ne pas reconnaître à quel point une vaccination obligatoire en cours de développement est grave. Même ceux d’entre nous qui sont pro-vaccination, qui ont été heureusement « vaxxés » contre le Covid-19, devraient regarder sans rien de moins que l’horreur la proposition que devrait être une infraction à ne pas être vaccinée … Cela précise la fin de la liberté comme nous la connaissons. Si nous n’aimons pas ce pouvoir sur notre esprit et notre chair, alors nous ne sommes pas respectés et cela de manière significative ».

    Ensuite, veuillez commencer à penser, très sobrement, à propos de ce que cela signifie. Chaque fois que vous montrez votre « pass » vaccinal afin d’accéder à un événement ou à un lieu de résidence dont d’autres sont exclus, vous participez à la tyrannie. Vous coopérez avec un système qui répudie la vie privée et l’individu. Un système qui exige une obéissance. Un système qui punit impitoyablement la non-conformité.

    Inspiré d’un billet de Donna Laframboise, journaliste canadienne. Lien : https://www.spiked-online.com/2021/12/06/the-death-of-europe/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/21/2021-lannee-ou-la-liberte-est-morte/

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