- ENTREE de SECOURS -



lundi 31 janvier 2022

La thérapie génique contre le SARS-CoV-2 aurait-elle atteint son but ?

 


le 31 janvier 2022


Lorsque le Docteur Jessica Rose (MD, PhD) entreprit d’analyser les données de l’organisme qui centralise les données relatives aux effets indésirables des vaccins en général et maintenant de la thérapie génique susceptible de protéger contre le SARS-CoV-2 elle découvrit que les données de cet organisme (VAERS- CDC) étaient caviardées. Elle examina alors les données centralisées par Département de la Défense américain. Elle découvrit que la banque de données VAERS sous-estimait d’un facteur 49 les fausses-couches provoquées par l’injection d’ARN messager codant pour la protéine spike-1 du coronavirus. Rassemblant ces données le Docteur Rose conclut que le nombre de fausses-couches provoquées par le « vaccin » avait en réalité atteint 416186 aux Etats-Unis depuis la mise en place de la « vaccination » anti-coronavirus.

La vérification indirecte a été apportée par une clinique pratiquant des fécondations in vitro à Singapour. Normalement, en routine, une ponction ovarienne permet de disposer d’une quarantaine d’ovules et la fécondation in vitro conduit alors, toujours en routine, à trois à cinq embryons qu’il faut implanter ensuite dans l’utérus de la mère car introduire un seul embryon réduit presque à néant les chances de réussite, un fait clinique encore inexpliqué. Sans avoir questionné les couples ayant été contraints de choisir ce protocole de fécondation in vitro au sujet de leur statut « vaccinal » contre le coronavirus, devant les échecs répétés les médecins ont alors élargi leur enquête et ils se sont rendu compte que toutes les femmes avaient reçu au moins deux injections de « vaccin ». Ils en déduisirent qu’il y avait peut-être une relation entre ces échecs répétés et le fait que la majorité des embryons n’étaient plus viables in vitro au delà de 4 jours, du jamais vu. De plus les implantations dans l’utérus étaient suivies de fausse-couche dans pratiquement tous les cas.

Les médecins de cette clinique de Singapour ont contacté divers autres établissements similaires en Amérique du Nord qui ont confirmé leurs observations. Ce qui paraissait mystérieux était la très faible viabilité des embryons en dépit du strict respect du protocole. D’autre part le défaut d’implantation dans l’utérus restait mystérieux. Les personnels de ces cliniques n’aiment pas du tout rendre publiques de telles informations et si une personne rapportait ce genre d’information elle serait immédiatement mise à pied. Pour se protéger les biologistes de la clinique de fécondation in vitro de l’Université nationale de Singapour publia un article (lien ci-dessous) infirmant toute relation de cause à effet entre leurs bévues et le statut vaccinal des couples consultant pour une fécondation in vitro. La publication scientifique était visiblement malhonnête et masquait la relation de cause à effet pourtant observée entre la « vaccination » et les problèmes rencontrés.

La supercherie s’explique par le protocole de dosage de la présence d’anticorps dirigés contre la syncytine, une protéine vitale pour l’implantation de l’embryon dans l’utérus et possiblement dans les processus de maturation des gamètes, voire dans le mécanisme de fécondation lui-même. La présence d’anticorps anti-syncytine est mesurée à l’aide de la technique dite ELISA. Pour bien comprendre la mystification utilisée pour masquer la cause des échecs répétés rencontrés dans cette clinique il faut se pencher sur la technique ELISA elle-même et la signification du seuil de positivité fixé par le fabricant. L’illustration ci-dessous illustre cette mystification.

D’abord l’évaluation de la présence d’anticorps neutralisants est exprimée en pourcentage avec un seuil de positivité fixé à 30 %. Pourquoi dans le cas de la recherche de réactivité croisée avec la syncytine les résultats sont exprimés en unités d’absorption à 492 nanomètres, la couleur qui se développe après ajout du second anticorps anti-anticorps humains auquel a été adjoint un enzyme qui développe une coloration à cette longueur d’onde ? Et enfin pourquoi le seuil de positivité est arbitrairement fixé à 0,9 unités d’absorption à cette longueur d’onde ? Bien des questions se posent et laissent perplexes ceux qui connaissent cette technique. Les auteurs de l’article ont délibérément choisi de ne pas montrer clairement le risque considérable qui apparaît après une « vaccination » avec l’ARN messager, en l’occurence à Singapour la mixture de Pfizer.

Contrairement à ce qui est affirmé par les médias et les gouvernements cette technique nouvelle d’immunisation n’est pas anodine, en particulier sur la reproduction. Il faut espérer que les quelques milliards de personnes soumises souvent sous la contrainte à cette thérapie auront un taux d’anticorps croisant avec la syncytine qui décroitra avec le temps afin de retrouver une situation normale dans leurs fonctions de reproduction. Dans le cas contraire la stratégie de « vaccination » aura atteint son but : provoquer une diminution brutale de la population, une sorte de génocide dissimulé par des prétextes sanitaires. Il faudra attendre quelques années pour observer si oui ou non les taux de natalité chutent ou restent normaux. Bill Gates se réjouit peut-être trop …

Source : https://unglossed.substack.com/p/what-happened-in-singapore et

doi: https://doi.org/10.1101/2021.05.23.21257686

Note. Je me sens bien placé pour analyser les travaux relatés dans ce billet. À l’époque où je poursuivais mes travaux de recherche au sein d’un laboratoire du Salk Institute sous la direction d’un Prix Noble de Médecine la technique ELISA n’existait pas et le deuxième anticorps était « marqué » avec de l’iode radioactif. Il s’agissait des radio-immuno-essais, ancêtres des ELISA. Cette technique était extraordinairement sensible, l’iode étant un facteur d’amplification de la réponse liée à la fixation du deuxième anticorps « marqué » avec de l’iode, l’isotope 125 hautement radioactif. Cette technique a été abandonnée lorsque ce deuxième anticorps a été modifié par greffage d’un enzyme permettant de quantifier sa présence à l’aide d’une réaction colorimétrique, l’iode radioactif étant plutôt dangereux. Je ne suis pas du genre à être leurré par des articles scientifiques visiblement truqués.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/31/la-therapie-genique-contre-le-sars-cov-2-aurait-elle-atteint-son-but/

70 commentaires:

  1. Orthophoniste : augmentation de 364 % des références de bébés et de tout-petits grâce au port du masque


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 30 JANVIER 2022 - 15:50
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Un orthophoniste affirme que le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des références de patients pour les bébés et les tout-petits.

    Jaclyn Theek a déclaré à WPBF News qu'avant la pandémie, seuls 5% des patients étaient des bébés et des tout-petits, mais ce chiffre est passé à 20%.

    Les parents décrivent les problèmes d'élocution de leurs enfants comme « retardés par le COVID », les couvre-visages étant la principale cause de l'altération grave de leurs capacités d'élocution.

    Dès l'âge de 8 mois, les bébés commencent à apprendre à parler en lisant sur les lèvres, une tâche ingrate si les parents et les soignants s'étouffent avec des masques pour se conformer aux mandats.

    "Il est très important que les enfants voient votre visage pour apprendre, alors ils regardent votre bouche", a déclaré Theek.

    Le reportage présentait une de ces mères, Briana Gay, qui élève cinq enfants mais qui a des problèmes d'élocution avec son plus jeune.

    "Cela fait définitivement une différence lorsque le monde dans lequel vous grandissez ne peut pas interagir avec les gens et leur visage, c'est très important pour les bébés", a déclaré Gay.

    Selon Theek, depuis la pandémie, les symptômes de l'autisme montent également en flèche.

    "Ils ne font aucune tentative de mots et ne communiquent pas du tout avec leur famille", a-t-elle déclaré.

    Comme nous l'avons souligné précédemment, Forbes a supprimé un article écrit par un expert en éducation qui affirmait que forcer les écoliers à porter des masques faciaux causait un traumatisme psychologique.

    Une étude menée par des chercheurs de l'Université Brown a révélé que les scores moyens de QI des jeunes enfants nés pendant la pandémie ont chuté de 22 points, tandis que les performances verbales, motrices et cognitives ont toutes souffert du confinement.

    Michael Curzon a noté que deux des principales causes de cela sont les masques faciaux et les enfants atomisés parce qu'ils sont tenus à l'écart des autres enfants.

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  2. "Les enfants nés au cours de la dernière année de confinement - à un moment où le gouvernement a empêché les bébés de voir des parents âgés et d'autres membres de la famille élargie, de socialiser dans les parcs ou avec les enfants des amis de leurs parents, et d'étudier les expressions sur les visages derrière les masques des habitants dans les espaces publics intérieurs – ont considérablement réduit leurs performances verbales, motrices et cognitives globales par rapport aux enfants nés avant, selon une nouvelle étude américaine. Les tests sur l'apprentissage précoce, le développement verbal et le développement non verbal ont tous produit des résultats bien en deçà de ceux des années précédant les confinements », a-t-il écrit.

    Peut-être que tous les signaleurs de vertu qui se considèrent comme des personnes moralement honnêtes pour avoir porté des masques changeront leur comportement étant donné qu'ils contribuent littéralement à causer des problèmes cognitifs majeurs chez les enfants.

    Ou peut-être qu'ils ne s'en soucieront tout simplement pas, étant donné que le masque est désormais un symbole de statut politique par-dessus tout.

    https://www.zerohedge.com/political/speech-therapist-364-surge-baby-and-toddler-referrals-thanks-mask-wearing

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    1. Les parents ne voient pas leur enfant ! L'enfant ne voit pas ses parents !
      La séparation sera donc facilitée.

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  3. Covid : 253 plaintes visant Dupond-Moretti classées sans suite par la Cour de justice de la République


    le 31/01/2022 à 12:25


    Vendredi 28 janvier, la Cour de justice de la République (CJR) a jugé irrecevables 253 plaintes sérielles formulées à l’encontre du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti.

    Près de 20 000 autres plaintes déposées contre Jean Castex, Olivier Véran, Jean-Michel Blanquer ou encore Jean-Baptiste Djebbari étaient déjà passées à la trappe en début de semaine.

    Dans un communiqué, le procureur général près la Cour de cassation a fait valoir que les personnes ayant porté plainte ne faisaient pas partie d’un groupe suffisamment restreint pour que chaque membre puisse se sentir atteint personnellement par les paroles du ministre.

    Les non-vaccinés « sont une faille dans notre système »

    Ces plaintes faisaient suite aux propos tenus par Eric Dupond-Moretti en novembre dernier sur le forum Radio J à l’encontre des personnes qui refusaient la vaccination contre le Covid-19. « Ceux qui refusent les vaccins, ces jusqu’au-boutistes, en réalité sont une faille dans notre système », avait-il raillé. En ce qui concerne les Français qui jugent les restrictions sanitaires imposées par le gouvernement Macron comme liberticides, le ministre de la Justice avait lancé dans la même veine : « Comme si la liberté permettait aux gens de contaminer les autres et donc de tuer. »

    Ces 253 plaintes avaient été rédigées en des termes identiques à partir d'un formulaire mis en ligne par l'avocat Fabrice Di Vizio. Lundi 24 janvier, au motif que « les faits dénoncés (...) ne sont pas de nature à caractériser un délit », la CJR avait déjà fait savoir qu'elle avait classé sans suite 19 685 plaintes « types » rédigées également à partir d'un formulaire mis à disposition sur Internet par Me Di Vizio.

    Voir aussi : la Cour de justice de la République classe sans suite près de 20 000 plaintes contre des ministres

    Cette décision avait suscité l’ire de l’avocat qui avait fustigé la Cour, l’accusant de ne pas avoir pris la peine de les lire. « Comment les plaintes peuvent-elles être formulées avec des termes identiques si elles visent des fondements juridiques différents ? », avait-il lancé dans une vidéo partagée sur Twitter.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/253-plaintes-contre-dupond-moretti-classees-sans-suite

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    1. Les Cours de justice sont nommées par le ministère et non par le Peuple.

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  4. Analyse: le laissez-passer vaccinal de la France transforme les non-vaxxés en citoyens de seconde classe


    lundi 31 janvier 2022
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le nouveau laissez-passer vaccinal de la France rétrograde les non vaccinés en citoyens de seconde classe, selon une analyse. Le laissez-passer semble également être l'aboutissement d'une menace du président français Emmanuel Macron de faire enrager ceux qui refusent de se faire vacciner contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Dans un article du 28 janvier, la correspondante de LifeSiteNews à Paris, Jeanne Smits, a mentionné que le laissez-passer vaccinal était entré en vigueur quatre jours plus tôt, le 24 janvier. passer », a-t-elle écrit.

    Le laissez-passer vaccin, qui remplace le laissez-passer sanitaire antérieur, est désormais requis avant d'entrer dans différents endroits. Il s'agit notamment d'établissements de restauration, de lieux culturels, d'installations sportives et de centres commerciaux. Le nouveau laissez-passer pour les vaccins est également une condition préalable avant de pouvoir embarquer sur des vols intérieurs, des trains longue distance et des autocars.

    Le nouveau laissez-passer pour le vaccin prend en compte à la fois la vaccination complète et la récupération récente du COVID-19 au cours des six derniers mois – mais pas un résultat de test COVID-19 négatif très récent. Le laissez-passer sanitaire considère ce dernier, mais est désormais invalide avec la mise en place du laissez-passer vaccins. Seuls les hôpitaux et les maisons de retraite acceptent l'ancien laissez-passer sanitaire avant l'entrée.

    "Cela signifierait que d'autres millions de citoyens français s'abstiendraient d'aller dans les restaurants, les cafés, les théâtres, etc. Malgré les assurances gouvernementales que l'économie se porte bien et que les secteurs de la restauration et des loisirs sont sauvés par le laissez-passer vaccinal, de plus en plus de rapports émanent des propriétaires et des dirigeants de ces entreprises qui voient leur clientèle se réduire visiblement. Beaucoup s'attendent à être contraints de fermer leurs portes dans un proche avenir si rien ne change », a écrit Smits. (Connexe: Josh Sigurdson: Le vaccin impose aux entreprises une «blessure auto-infligée».)

    La Cour constitutionnelle française a approuvé le 21 janvier le mandat du laissez-passer vaccinal, applicable aux citoyens français âgés de 16 ans et plus. Elle a cependant rejeté l'exigence du laissez-passer sanitaire pour assister à des rassemblements politiques, car cela "empiéterait sur la liberté des gens de partager leurs points de vue et opinions".

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  5. Unvaxxed accusé de "boucher les hôpitaux"

    Smits a écrit: «Les mesures COVID actuelles sont rationalisées par les autorités au nom de la diminution de la« pression »sur les hôpitaux en France, où ils disent qu'un certain nombre de traitements programmés ont été reportés en raison du nombre de patients [non vaccinés] prenant place dans [unités de soins intensifs.] »

    «Le bouc émissaire de ceux qui ne veulent pas recevoir les vaccins expérimentaux COVID entachés d'avortement est en train de s'intensifier. Les politiciens et les médias grand public répètent que les [non vaccinés] sont responsables de priver les personnes malades de soins, d'utiliser l'espace précieux des hôpitaux et de forcer le gouvernement à mettre en place des mesures liberticides pour tous afin de les forcer à changer d'avis.

    L'entrée en vigueur du laissez-passer pour le vaccin est intervenue 20 jours après que Macron a révélé sa stratégie envers les citoyens résolus à refuser le vaccin COVID-19. Il a déclaré au journal français Le Parisien lors d'une interview le 4 janvier : « Quant aux non-vaccinés, je veux vraiment les faire chier. Nous continuerons à le faire jusqu'à la fin amère.

    Le président français a ajouté : "C'est la stratégie : limiter, autant que possible, leur accès à l'activité de la vie sociale". Décrivant les non-vaccinés en France comme "une petite minorité", il a proposé la "réduction" de cette minorité "en les faisant encore plus chier".

    Smits a conclu: «Certains suggèrent que le laissez-passer pour le vaccin sera levé plus près de l'élection présidentielle d'avril, afin que Macron puisse bénéficier des retombées positives d'une telle décision. Mais il reste qu'il n'y a pas d'exigences légales pour que le mandat soit levé. Cela est laissé à l'appréciation d'un gouvernement qui a menti et encore menti depuis le début de la crise [COVID-19] ».

    Plus d'histoires liées :
    Des politiciens totalitaires dépeignant les anti-vaccins comme des ennemis de l'État.

    Le président français révèle sa stratégie : faire enrager autant que possible les non-vaccinés.

    Macron dit que les citoyens français qui veulent faire du shopping, dîner, voyager ou adorer doivent se faire vacciner contre le covid.

    Regardez la vidéo ci-dessous du plan de laissez-passer vaccinal de Macron pour les citoyens français.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Kim Osboel - Copenhague Danemark sur Brighteon.com.

    MedicalMartialLaw.com en dit plus sur le gouvernement français qui opprime les citoyens non vaccinés.

    Les sources incluent

    LifeSiteNews.com
    News.Yahoo.com
    InfoWars.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-31-analysis-france-vaccine-pass-discriminates-the-unvaxxed.html

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  6. Les lanceurs d'alerte du gouvernement mettent en garde contre l'augmentation des fausses couches et du cancer depuis l'introduction des vaccins COVID


    Lundi 31 janvier 2022
    par : Cassie B.


    (Natural News) Trois dénonciateurs du ministère de la Défense attirent l'attention sur l'augmentation préoccupante des fausses couches, de la myocardite et du cancer depuis l'introduction des vaccins COVID-19.

    Dans une brève présentation lors d'une table ronde au Sénat américain organisée par le sénateur républicain Ron Johnson du Wisconsin, l'avocat des droits à la liberté médicale, Thomas Renz, a parlé de cette tendance troublante. L'avocat est impliqué dans plusieurs affaires judiciaires majeures qui ont été intentées contre des agences fédérales concernant des violations des droits à la liberté en matière de santé et des fraudes.

    Il a déclaré au panel qu'il avait obtenu des déclarations formelles des trois lanceurs d'alerte, sous peine de parjure, et que les chiffres sont choquants.

    «Nous avons des données substantielles montrant, par exemple, [que] les fausses couches [ont] augmenté de près de 300 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Nous avons constaté une augmentation de près de 300 % du nombre de cancers par rapport à la moyenne sur cinq ans », a-t-il déclaré.

    D'autres sources ont également montré une augmentation récente des fausses couches qui s'aligne sur l'introduction des vaccins, comme un rapport de la Health Independence Alliance montrant que le taux de fausses couches passe de 28 à 40 % en raison du vaccin.

    Il a également parlé des problèmes neurologiques qui ont surgi et qui ont la capacité d'affecter les pilotes. Par exemple, certaines données montrent qu'il y a eu une augmentation de plus de 1 000 %, passant de 82 000 numéros par an à 863 000 par an. Il a déclaré: "Nos soldats sont expérimentés, blessés et parfois éventuellement tués."

    Il a également discuté des informations du projet Salus, qui est un système du ministère de la Défense utilisé pour intégrer plusieurs flux de données afin de faciliter l'analyse. Ces systèmes suivent les résultats des vaccins expérimentaux COVID-19 et les fournissent au CDC. Alors que le Dr Fauci et d'autres autorités apparaissaient dans les médias en décembre exhortant les gens à se faire vacciner et affirmant que 99% des hospitalisations étaient celles qui n'avaient pas été vaccinées, les données racontaient une histoire différente, selon Renz.

    Il a déclaré: «Dans le projet Salus, dans le rapport hebdomadaire [à l'époque], le document du DOD indique spécifiquement que 71% des nouveaux cas sont chez les« entièrement vaccinés »et 60% des hospitalisations sont chez les entièrement vaxxés. C'est de la corruption au plus haut niveau. Nous avons besoin d'enquêtes. Le secrétaire à la Défense doit faire l'objet d'une enquête. Le CDC doit faire l'objet d'une enquête.

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  7. La myocardite en hausse après les vaccins COVID-19

    Lorsque le sénateur Johnson a présenté Renz, il a parlé du sujet de la myocardite, un type d'inflammation cardiaque qui a été lié aux vaccins COVID-19 et a souligné l'augmentation inquiétante des cas, ajoutant que les dénonciateurs ont montré des preuves que les données ont déjà été trafiquées. dans cette zone.

    Une requête de recherche de la base de données d'épidémiologie médicale de la Défense en août a montré que les cas de myocardite avaient augmenté de 20 à 28 fois plus que la normale, mais la même recherche en janvier a montré qu'il n'était que deux fois plus élevé, ce qui indique que les données sont trafiquées. Il a dit qu'il avait envoyé au DoD une lettre de conservation des dossiers les informant que ces dossiers devaient être conservés et que l'affaire devait faire l'objet d'une enquête.

    Renz a annoncé un autre dénonciateur en septembre qui a fourni des données gouvernementales montrant 48 465 décès survenus dans les 14 jours suivant la vaccination COVID parmi les patients de Medicare. Un autre lanceur d'alerte a témoigné en juillet qu'il y avait au moins 45 000 décès liés au vaccin dus aux vaccins COVID, mais le VAERS en a montré un peu moins de 11 000 à ce moment-là.

    Ces connexions ne surprendront pas le Dr Shankara Chetty d'Afrique du Sud, qui a déclaré que « les décès qui sont censés suivre les vaccinations ne pourront jamais être attribués au poison. Ils seront trop divers, il y en aura trop et ils seront dans un laps de temps trop large pour que nous comprenions que nous avons été empoisonnés.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    SteveKirsch.Substack.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-31-whistleblowers-warn-rises-misciarrage-cancer-vaccines.html

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  8. Les mandats de vaccin COVID ne font rien pour aider la pandémie, déclare le Dr Richard Urso – Brighteon.com


    Lundi 31 janvier 2022
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Dans l'épisode du 28 janvier de "The New American", le Dr Richard Urso parle des vaccins contre le coronavirus de Wuhan, affirmant que les mandats sont une fraude scientifique. "Ce vaccin a causé plus de décès et plus de blessures que tout autre vaccin au cours des 30 dernières années", a-t-il déclaré.

    Urso a déclaré qu'il avait une expérience de 11 ans dans les médicaments approuvés par la FDA, et lorsque la pandémie a commencé, lui et ses collègues se sont immédiatement mis au travail, lorsqu'il est devenu clair fin février 2020 que le coronavirus tuait des gens en provoquant du sang caillots et inflammation. Il a dit qu'ils se sont concentrés sur ce qu'ils pouvaient en faire et ont commencé à utiliser des stéroïdes.

    Historiquement, il a dit que les gens pensent en grandes catégories, et quand ils regardent les grandes catégories, ils trouvent des choses qui pourraient fonctionner. Dans le cas de la pandémie, il était assez facile de penser aux anti-inflammatoires, des choses qui pourraient arrêter les caillots sanguins. Ensuite, ils ont dû essayer d'attaquer le virus, ce qui est un peu plus délicat car chacun d'eux est un peu unique.

    «Mais heureusement, nous avions six ans de données sur les familles de coronavirus. Et donc il y avait de bons candidats principaux. Et c'est ainsi que nous avons commencé. Donc, en fin de compte, ce que je dis aux gens maintenant, c'est que les cellules cancéreuses et les virus sont très uniques, ils utilisent nos machines. il a dit. « Et nous devons donc utiliser un cocktail multi-médicaments pour vaincre le cancer et les virus. Nous n'utilisons pas un seul médicament. Un médicament ne fonctionne pas parce que les virus et les cellules cancéreuses sont très doués pour contourner les choses. »

    Urso a noté qu'il avait également une formation en oncologie, et l'essentiel est que ces cocktails multi-médicaments, utilisant plusieurs modalités, devraient être utilisés pour attaquer avec succès les virus. "Et puis vous regardez les mécanismes en aval de l'inflammation, des problèmes respiratoires, de la coagulation du sang, et nous avons beaucoup de médicaments pour toutes ces choses."

    Dans un article séparé. Urso a noté que son "nouveau médicament préféré" est la cyproheptadine, qui est utilisée pour traiter les symptômes d'allergie, bloquant la libération de substances qui provoquent une pneumonie d'hypersensibilité. Il conseille également l'utilisation du fénofibrate, qui est utilisé pour réduire le cholestérol et les triglycérides avec des effets antiviraux et antithrombotiques supplémentaires.

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  9. Urso explique pourquoi les vaccins ne sont pas efficaces

    Urso a noté que les vaccins ne sont pas très efficaces car ils provoquent une inflammation. «Ils causent beaucoup parce que la protéine de pointe représente 95% de ce qui cause le COVID-19. Vous donnez littéralement la protéine de pointe, qui est la partie la plus inflammatoire des 29 protéines de la pointe et représente 12% du génome et cause 95% des problèmes. Ce n'est pas une stratégie intelligente », a-t-il déclaré. (En relation: le centre français d'évaluation des médicaments affirme que les quatre vaccins Covid-19 sont dangereux et devraient être retirés du marché.)

    Deuxièmement, il a noté que les vaccins contiennent des nanoparticules lipidiques qui vont dans la moelle osseuse, le cerveau, les ovaires et les glandes surrénales. « Nous n'avons pas besoin d'inflammation des glandes surrénales, de la moelle osseuse, du cerveau ou des ovaires. D'ailleurs. Cela n'a aucun sens. C'est une mauvaise stratégie."

    Il a également poursuivi en disant qu'il existe de meilleures stratégies pour les vaccins. Les vaccins COVID contiennent des composés inflammatoires, c'est pourquoi ils voulaient que les gouvernements cessent de les rendre obligatoires : ces vaccins n'arrêtent ni la transmission ni l'infection. « Ce vaccin a causé plus de décès et plus de blessures que tout autre vaccin au cours des 30 dernières années. Ce n'est qu'un point de données. Ce n'est pas mon avis."

    Urso a noté que l'un de ses objectifs en tant que médecin est de présenter les données afin que les gens aient plus d'informations. "C'est une fraude scientifique de dire que l'immunité vaccinée est meilleure que l'immunité naturelle. C'est absolument complètement absurde et intellectuellement arrogant », a-t-il déclaré. (En relation: WISING UP: Plus d'un Américain non vacciné sur 4 pense que les vaccins expérimentaux sont plus dangereux que le COVID-19.)

    De plus, il croit que la peur fait partie du message dans cette affaire. "Nous avons eu de très mauvais messages", a-t-il déclaré.

    Autres histoires liées:

    Le vaccin COVID destiné à réduire la population mondiale sans que personne ne s'en doute, selon un médecin de renom

    Des coups de COVID destinés à réduire la population mondiale en empoisonnant des «milliards»: un médecin sud-africain

    Le déploiement du vaccin COVID lié à une augmentation des décès, selon des données publiées

    REGARDER: Le Dr Christiane Northrup explique les risques de «délestage» de la protéine de pointe du vaccin covid

    Matrixxx Groove : le vaccin COVID est une arme biologique qui tue des enfants

    Regardez l'épisode complet du 28 janvier de "The New American" ci-dessous:

    - voir sur site -

    Vous pouvez voir "The New American" sur Brighteon.com.

    Follow Pandemic.news for more updates.

    Sources include:

    Brighteon.com
    PRNewswire.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-31-covid-vaccine-mandates-useless-dr-richard-urso.html

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  10. Malone partage des risques terrifiants concernant les stratégies de vaccination universelles


    Lundi 31 janvier 2022
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Le Dr Robert Malone peut être décrit comme un sceptique vis-à-vis des vaccins, mais sur son site Web, il partage que sa mission est de « garantir la sécurité des vaccins, s'assurer que les enfants sont protégés, arrêter et/ou limiter les mandats des vaccins, identifier et enseigner les traitements vitaux pour le COVID-19 et d'autres pandémies. En bref, Malone dit : "Mon objectif est de sauver des vies."

    Malone a déjà fait des recherches sur la technologie de l'ARNm, mais est maintenant un sceptique vocal des vaccins qui l'utilisent. Récemment, il est également passé au podcast "The Joe Rogan Experience" pour parler de la psychose de formation de masse, qui, selon lui, explique pourquoi des millions de personnes croient au récit COVID-19.

    Malone fait partie des orateurs lors de la table ronde de lundi avec le sénateur républicain Ron Johnson intitulée «COVID-19: A Second Opinion».

    Malone s'est concentré sur le potentiel des politiques vaccinales actuelles pour rendre finalement plus difficile de sauver les gens du coronavirus, en rendant le coronavirus de Wuhan plus fort que ce que la science médicale peut lui lancer. Il a partagé: «Nous sommes vraiment bénis, comme je l'ai dit avant Noël, que l'omicron présente un risque si faible de maladie grave et de décès. Cependant, il y a un signe d'avertissement.

    Il a noté qu'il n'était pas le premier à exprimer ses inquiétudes concernant les vaccins, affirmant que la Food and Drug Administration avait reconnu la même chose dans ses documents originaux qui autorisaient l'autorisation d'utilisation d'urgence pour les vaccins. Il a dit qu'ils voulaient que l'industrie pharmaceutique étudie les risques d'amélioration dépendante des anticorps ou de maladie renforcée par le vaccin.

    Au fur et à mesure que le virus mute, il a averti qu'il deviendra plus fort et sera plus apte à s'adapter aux vaccins. «Si nous continuons à poursuivre cette stratégie de vaccination universelle face à la pandémie, en particulier avec omicron maintenant – un virus beaucoup plus hautement infectieux et hautement réplicatif – ce que nous risquons de conduire le virus à travers une évolution de base vers un état où il peut être plus pathogène et plus capable d'échapper à la réponse immunitaire », a déclaré Malone.

    Malone dit que nous en avons assez de la peur du porno

    Il a également déclaré qu'il ne souhaitait pas effrayer les gens : il souhaitait plutôt sensibiliser les gens. "Nous en avons assez de la peur du porno, mais si nous continuons à poursuivre la vaccination universelle, il est fort probable que nous continuerons à voir l'évolution de mutants échappés supplémentaires qui sont de plus en plus infectieux et pourraient bien devenir plus pathogènes." (En relation: Ce que le Dr Robert Malone ne pouvait PAS dire à Joe Rogan.)

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  11. Malone a également déclaré que suivre la science signifierait s'éloigner des politiques publiques actuelles qui mettent l'accent sur les vaccinations multiples, affirmant que cela est absolument contraire à la compréhension de toutes les scientifiques de l'évolution virale de base.

    Il a ajouté qu'ils assistaient clairement au développement de mutants échappés résistants au vaccin. Omicron, par exemple, est résistant au vaccin, mais son infectivité semble être facilitée par le vaccin lui-même. Ainsi, il a estimé que les vaccinations devraient être arrêtées pour le bien de la population mondiale.

    Bien qu'il note qu'il n'est en aucun cas un anti-vaxxer, Malone a déclaré qu'il croyait que les raccourcis que l'USG a pris pour mettre les vaccins à ARNm et à adénovirus sur le marché pour la pandémie avaient été très préjudiciables. Il pense également que cela est contraire aux normes mondialement acceptées pour le développement et la réglementation de produits sous licence sûrs et efficaces. (En relation: les historiens révisionnistes "annulent" le Dr Robert Malone, créateur de la technologie de l'ARNm dans le dernier trou de mémoire PURGE de la vérité.)

    Il a également partagé qu'il avait l'habitude de croire que la FDA, les instituts nationaux de la santé et les centres de contrôle et de prévention des maladies travaillaient pour les gens et ne faisaient pas partie des grandes sociétés pharmaceutiques, ajoutant que s'ils pouvaient réutiliser des produits déjà connus et médicaments sûrs pour les maladies infectieuses émergentes, ils pourraient rapidement trouver des moyens de réduire le taux de mortalité. Il a dit, lamentablement, qu'il pensait que le développement de médicaments et de vaccins était réglementé par le gouvernement fédéral pour le bien commun, mais au cours des deux dernières années, il a aimé qu'ils ne représentent plus les meilleurs intérêts de la nation.

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    Avant que votre enfant ne soit injecté, regardez la déclaration du Dr Robert Malone sur la vaccination des enfants contre la COVID

    Regardez la vidéo pour écouter les déclarations de Malone :

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne "Cynthia's Pursuit to Truth" sur Brighteon.com.

    Suivez Pandemic.news pour plus de mises à jour.

    Sources include:

    WesternJournal.com
    MercuryNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-31-malone-shares-terrifying-risks-about-universal-vaccination-strategies.html

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  12. Rickards dénonce le siège de Big Pharma en Amérique


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 11:48
    Rédigé par James Rickards via DailyReckoning.com,


    Rappelez-vous cette fois l'année dernière lorsque le train vax a vraiment commencé à rouler ? Le vax avait été annoncé en novembre 2020 et avait été accéléré tout au long du processus d'approbation (à titre expérimental à l'époque).

    Mais il a fallu un certain temps pour arriver aux doses expédiées et distribuées et pour que les gens sachent où ils pouvaient les obtenir. Cela s'est déroulé en décembre 2020, mais en janvier 2021, l'effort battait son plein.

    La première chose que ceux qui se faisaient piquer ont appris, c'est qu'ils devraient revenir dans quelques semaines pour la « deuxième dose ». Cela a été compris et largement accepté, bien que le vaccin Janssen soit différent et ne nécessite qu'une seule injection. Janssen n'est pas aussi disponible que les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna.

    Le train en marche s'est poursuivi jusqu'en 2021 au point qu'environ 70% de la population américaine est désormais entièrement vaccinée.

    Tant pis pour la « pandémie des non-vaccinés »

    Mais en septembre 2021, des doutes sont apparus sur l'efficacité des vaccins. Ils n'ont jamais arrêté les infections et n'ont pas arrêté la propagation du virus, mais le public a été amené à croire le contraire. Alors que la variante Delta faisait rage en août et septembre, suivie de la variante Omicron en novembre, toute l'histoire du vax a commencé à s'effondrer.

    Les élites qui ont imputé les épidémies antérieures aux «non vaxxés» et celles qui sont elles-mêmes complètement vaxxées ont commencé à attraper le COVID par millions. Ils ont réalisé tardivement qu'il ne s'agissait pas d'une pandémie de non-vaxxés, mais d'une pandémie où tout le monde est vulnérable.

    Comme je l'ai toujours dit, le virus va où il veut.

    Big Pharma double

    Pourtant, Moderna et Pfizer ont proposé une injection de "rappel", qui n'est en réalité qu'une autre dose du même vaccin en tant que solution. Des dizaines de millions de personnes ont fait la queue pour leurs boosters à l'automne 2021, seulement pour obtenir la variante Omicron de COVID lorsqu'elle est devenue incontrôlable en décembre.

    Donc le rappel n'a pas fonctionné non plus. En fait, il y avait des preuves que les vaxxés et les boostés sont plus vulnérables à Omicron que les non-vaxxés parce que nous avons « appris » au virus à échapper aux vaccins en faisant tant d'injections aux gens.

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  13. Il existe également des preuves suggérant que la vaccination répétée affaiblit le système immunitaire dans son ensemble, rendant les gens plus vulnérables à d'autres maladies. Comme ces vaccins sont expérimentaux, il faudra des années pour bien comprendre leurs effets.

    Mais plutôt que d'admettre l'échec ou au moins d'émettre une mise en garde, Big Pharma recommence.

    Le PDG de Moderna affirme qu'une quatrième dose de son vaccin sera nécessaire cet automne. Il n'appelle pas cela une quatrième dose; il l'appelle un deuxième "booster". Mais c'est la même chose.

    Ce que cela signifie vraiment, c'est que les effets du vaccin s'estompent au bout de trois à six mois et que vous devrez obtenir des "rappels" pour le reste de votre vie et tenter votre chance avec des effets secondaires graves, notamment une insuffisance cardiaque et même la mort.

    Je peux comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques favorisent cela. Je ne comprends pas pourquoi les Américains ordinaires le feraient. Peut-être devrions-nous tous nous tourner vers Israël…

    96,2% d'Israël vacciné inondé de COVID

    Lorsqu'il s'agit de vaxxer toute la population, aucun pays n'est plus agressif qu'Israël. Ils ont acquis de grandes quantités de vaccins importés et ont récemment commencé à fabriquer leurs propres vaccins afin de ne pas dépendre des importations.

    À partir de décembre 2020, Israël a vacciné 14 % de sa population en seulement trois semaines. Aujourd'hui, le taux d'Israéliens complètement vaccinés est de 96,2%, le plus élevé au monde. Israël a également été agressif en ce qui concerne les rappels et travaille déjà sur des plans pour un quatrième tir (ou un deuxième rappel).

    Mais cette campagne vax n'a pas vraiment aidé Israël. Ils ont eu d'énormes épidémies l'été dernier et une autre vague de Delta et sont maintenant submergés de nouveaux cas de la variante Omicron.

    Tout cela est conforme aux meilleures recherches qui montrent que les vaccins ne préviennent pas l'infection et n'arrêtent pas la propagation de la maladie. Cependant, ils réduisent les cas graves et les décès, au moins jusqu'à ce qu'ils perdent leur efficacité après une période de plusieurs mois.

    Les scientifiques veulent que le gouvernement admette l'échec du vaccin

    Aujourd'hui, des scientifiques et des cliniciens sérieux en Israël demandent au gouvernement d'admettre que les vaccins ne fonctionnent pas comme prévu et de travailler sur d'autres moyens de contrôler le virus, y compris des traitements efficaces au lieu de vaccins inefficaces.

    La lettre est adressée au gouvernement israélien, mais elle est tout aussi exacte en ce qui concerne les mandats de vaccination partout dans le monde, y compris aux États-Unis.

    Comme je l'ai dit plus tôt, il semble que nous soyons au point où les vaccins peuvent faire plus de mal que de bien en entraînant, en fait, le virus à muter de manière à vaincre les vaccins.

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  14. L'ironie de cela est que les non vaccinés peuvent avoir une meilleure immunité naturelle que les vaccinés contre Omicron puisque le virus a muté afin de vaincre spécifiquement les protéines de pointe produites par les vaccins.

    De plus en plus de preuves d'effets secondaires graves

    De plus en plus de preuves émergent des effets secondaires des vaccins, notamment l'insuffisance cardiaque chez les hommes de moins de 40 ans par ailleurs en bonne santé et les dommages à la reproduction chez les femmes en âge de procréer.

    De plus, le nombre de jeunes athlètes professionnels, par ailleurs en bonne santé, qui sont décédés ou ont subi de graves événements cardiaques est alarmant. Le nombre d’incidents dépasse largement ce à quoi on peut s’attendre par hasard, sur la base des données des années précédentes.

    Il est peu probable que le gouvernement israélien admette l'un de ces échecs ; ils ont adopté une approche tout ou rien pour les vaccins, tout comme les autorités de santé publique américaines comme le Dr Fauci.

    Malheureusement, cela signifie que les mandats vax et les boosters sans fin continueront pour le moment.

    Pourtant, le reste du monde est aux prises avec les mêmes problèmes. Les confinements, les quarantaines et les vaccins obligatoires ne sont pas gratuits. Ils détruisent les économies. Espérons que la folie des vaccins se termine avant que l'économie ne s'effondre.

    Raison d'espérer
    Et aujourd'hui, il y a une nouvelle raison d'espérer.

    Le Premier ministre britannique Boris Johnson vient d'annoncer que l'Angleterre lèvera les exigences pour les laissez-passer COVID, mettra fin aux mandats de masque et annulera les exigences de travail à domicile.

    "Alors que le COVID devient endémique, nous devrons remplacer les exigences légales par des conseils et des orientations, exhortant les personnes atteintes du virus à être prudentes et respectueuses des autres", a déclaré Johnson.

    En d'autres termes, le virus est là pour rester et nous allons simplement devoir apprendre à le gérer, comme nous traitons les épidémies de grippe annuelles.

    Nous devons protéger les plus vulnérables (les personnes âgées et les personnes souffrant de comorbidités graves), mais le reste de la société doit fonctionner aussi normalement que possible.

    Écoutiez-vous, président Biden ?

    https://www.zerohedge.com/covid-19/rickards-slams-big-pharmas-siege-america

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    Réponses
    1. (...) Ils ont réalisé tardivement qu'il ne s'agissait pas d'une pandémie de non-vaxxés, mais d'une pandémie où tout le monde est vulnérable.

      Comme je l'ai toujours dit, le virus va où il veut. (...)

      Ce qui est ENTIÈREMENT FAUX ! Car, s'il s'agissait d'un microbe, lui il irait là où il veut (transporté par les vents ou/et la respiration des personnes), mais IL NE S'AGIT PAS D'UN VIVANT ! Il s'agit d'une POUSSIÈRE. Est-ce que vous savez ce que cela veut dire ??
      Une poussière (appelée virus) n'est pas un vivant mais quelque chose d'inerte (grain de sable, de terre, etc).
      Mais, cette poussière est NOUVELLE. Elle s'appelle 'poussière intelligente' et sort tout droit de laboratoires !
      Donc: ELLE N'EST PAS DANS L'AIR ! (combien de fois faut-il le répéter ?).
      Elle n'est disponible qu'en flacons et seringues.
      Si t'es piqué : tu l'as !

      Rappelez vous que ce qui vous est proposé n'EST PAS un vaccin mais une EXPÉRIMENTATION GÉNIQUE D'ESSAIS ! (un poison !) Et n'est PAS destinée à vous protéger de quoi que ce soit mais DE VOUS CONTAMINER ! Compris ?

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  15. Farming Insider prévient que les pénuries alimentaires à venir seront bien pires que ce qu'on nous dit


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 05:00
    Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,


    L'information que je m'apprête à partager avec vous est extrêmement alarmante, mais je me suis toujours efforcé de ne jamais enrober les choses à mes lecteurs. À l'heure actuelle, il y a des pénuries de certains articles dans les épiceries à travers les États-Unis, et les approvisionnements alimentaires sont devenus très serrés partout dans le monde. J'ai averti à plusieurs reprises que ce n'était que le début, mais je n'avais pas réalisé à quel point les choses étaient déjà devenues désastreuses jusqu'à ce que je reçoive un e-mail d'un initié agricole avec qui j'ai correspondu au fil des ans. Je lui ai demandé si je pouvais partager publiquement certaines des informations qu'il partageait avec moi, et il a dit que ce serait bien tant que je garderais son nom à l'écart.

    Selon cet initié de l'agriculture, l'augmentation spectaculaire des coûts des engrais empêchera de nombreux agriculteurs de planter du maïs de manière rentable cette année. Ce qui suit est un extrait d'un e-mail qu'il m'a récemment envoyé…

    "Les choses pour 2022 sont intéressantes (et effrayantes). Les coûts des intrants pour des choses comme les engrais, l'azote liquide et les semences sont comme le triple ou le quadruple des anciens prix. Il ne sera pas rentable de planter cette année. Permettez-moi de répéter, l'économie ne fonctionnera PAS. Notre plan consiste à éliminer environ 700 acres de maïs et à les convertir au soja (ils utilisent moins d'engrais et nous avons également du fumier de poulet provenant de cette exploitation). Devinez quoi ? Nous ne sommes pas les seuls à avoir ces projets. Il y a déjà une pénurie de graines de soja, nous verrons donc comment cela se passera. À mon avis, il y aura une importante pénurie de céréales plus tard dans l'année, surtout en ce qui concerne le maïs. Je veux dire, nous sommes petits avec ça. Qu'en est-il de ces gens du Midwest qui ont environ 10 000 acres (4046 ha) de maïs ? Ce ne sera pas bon.

    Une fois que j'ai reçu ce message, je lui ai répondu avec quelques questions que j'avais.

    En réponse, il a développé ses commentaires dans un e-mail ultérieur…

    Quant à l'agriculture, je la vois mal tourner. Des choses comme les engrais et l'azote liquide ont triplé et quadruplé de prix. Oui, les prix des produits de base sont en hausse, mais cela ne couvrira certainement pas la nouvelle augmentation des coûts des intrants. Nous sommes en Caroline du Nord, donc bien que ce ne soit certainement pas comme le Midwest, nous cultivons toujours des céréales. Le Midwest aura bien sûr ces mêmes coûts d'intrants plus élevés.

    Le maïs, par exemple, nécessite généralement environ 600 livres (272 kg) d'engrais par acre (0,404 ha), plus 50 gallons (190 l.) d'azote liquide. Fois que par plusieurs acres et c'est beaucoup d'argent. Le soja en prend beaucoup moins. Le plan pour nous, et la plupart des autres ici, est de réduire considérablement la superficie de maïs et de passer au soja. Le problème est qu'il y a apparemment une pénurie de semences de soja parce que d'autres ont également ce plan. Nous avons eu la chance d'en acheter suffisamment pour le faire. Cependant, la plupart des gens, en particulier les jeunes agriculteurs, ou les agriculteurs où c'est tout ce qu'ils font, n'ont probablement pas l'argent pour faire face comme ça.

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  16. Selon moi, une pénurie de maïs viendra. Je suppose qu'il pourrait y avoir une surabondance de soja, mais rappelez-vous que cela pourrait dépendre de la disponibilité des semences. Je suppose qu'il existe d'autres alternatives, peut-être du milo, de l'avoine ou de l'orge. Bien sûr, le marché du maïs est beaucoup plus important. Pensez aux aliments pour animaux et à l'éthanol. Je veux dire que pour les animaux, le soja est également utilisé, mais c'est un mélange. Qu'arrive-t-il aux producteurs d'animaux qui dépendent du maïs à prix raisonnable ? Je ne vois pas comment ça peut bien finir. Je veux dire, même si nous nous retrouvons avec beaucoup de soja, même une surabondance, alors vous avez un marché effondré pour cela. Je ne sais pas. Il n'y a tout simplement pas beaucoup d'histoire sur laquelle baser tout cela. Je vois juste que cela nuit à la fois aux producteurs de céréales et aux éleveurs, et se traduit également par davantage de pénuries et d'augmentations de prix pour les consommateurs qui achètent les produits finaux.

    J'ai été stupéfait quand j'ai lu ça pour la première fois.

    Le maïs est l'un des piliers fondamentaux de notre approvisionnement alimentaire.

    Si vous allez à l'épicerie et que vous commencez à lire les ingrédients de divers produits, vous découvrirez rapidement que le maïs est présent dans à peu près tout sous une forme ou une autre.

    Alors, à quoi ressemblera notre pays si une grave pénurie de maïs se produit réellement ?

    Je ne veux même pas y penser.

    Bien sûr, les prix des engrais ne font pas qu'exploser ici aux États-Unis.

    En Amérique du Sud, les prix élevés des engrais vont affecter considérablement la production de café…

    Christina Ribeiro do Valle, issue d'une longue lignée de producteurs de café au Brésil, paie cette année trois fois ce qu'elle a payé l'année dernière pour l'engrais dont elle a besoin. Couplé à une récente sécheresse qui a durement touché sa récolte, cela signifie que Mme do Valle, 75 ans, produira une fraction de sa marque de café Ribeiro do Valle, dont une partie est exportée.

    Il y a aussi une pénurie d'engrais. "Cette année, vous payez, puis mettez votre nom sur une liste d'attente, et le fournisseur vous le livre quand il l'a", a-t-elle déclaré.

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  17. Si vous aimez boire du café le matin, vous paierez bientôt beaucoup plus pour ce privilège.

    En Afrique, les prix des engrais pourraient entraîner « 30 millions de tonnes métriques de nourriture en moins produites »…

    La demande d'engrais en Afrique subsaharienne pourrait chuter de 30 % en 2022, selon l'International Fertilizer Development Center, une organisation mondiale à but non lucratif. Cela se traduirait par 30 millions de tonnes métriques de nourriture en moins produites, ce qui, selon le centre, équivaut aux besoins alimentaires de 100 millions de personnes.

    "La baisse de l'utilisation des engrais pèsera inévitablement sur la production et la qualité des aliments, affectant la disponibilité alimentaire, les revenus ruraux et les moyens de subsistance des pauvres", a déclaré Josef Schmidhuber, directeur adjoint de la division du commerce et des marchés de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.

    Où dans le monde allons-nous trouver assez de nourriture pour remplacer « les besoins alimentaires de 100 millions de personnes » ?

    C'est plus que sérieux.

    Fondamentalement, le décor est en train d'être préparé pour le type de crise mondiale historique dont je n'ai cessé de mettre en garde.

    De nombreux Américains avaient supposé que même si le reste du monde souffrait, nous serions immunisés.

    Mais maintenant, il y a des pénuries généralisées dans tout le pays, et le Wall Street Journal vient de publier un article majeur intitulé «U.S. L'approvisionnement alimentaire est sous pression, des plantes aux étagères des magasins ».

    C'est vraiment ce qui se passe.

    À Washington D.C., les résidents ont reçu pour instruction de « n'acheter que ce dont vous avez besoin et d'en laisser pour les autres »…

    "Si vous allez à l'épicerie pour vous préparer à l'hiver, achetez simplement ce dont vous avez besoin et laissez-en pour les autres ! Vous avez peut-être remarqué des étagères vides dans certains magasins en raison de problèmes de chaîne d'approvisionnement nationale, mais il n'est pas nécessaire d'acheter plus que vous ne le feriez normalement.

    Ce qui aurait été inimaginable il y a seulement quelques années fait désormais la une des journaux au quotidien.

    Bien sûr, ce n'est pas seulement notre approvisionnement alimentaire qui est menacé. Comme Victor Davis Hansen l'a noté avec justesse, notre pays est maintenant en train de subir un « effondrement des systèmes »…

    Dans les temps modernes, comme dans la Rome antique, plusieurs nations ont subi un « effondrement des systèmes ». Le terme décrit l'incapacité soudaine de populations autrefois prospères à poursuivre ce qui leur avait assuré la bonne vie telle qu'elles la connaissaient.

    Brusquement, la population ne peut plus acheter, ni même trouver, des produits de première nécessité autrefois abondants. Ils ont le sentiment que leurs rues ne sont pas sûres. Les lois ne sont pas appliquées ou sont appliquées de manière inéquitable. Chaque jour, les choses cessent de fonctionner. Le gouvernement passe de fiable à capricieux sinon hostile.

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  18. Beaucoup de gens vont être pris au dépourvu par le rythme du changement.

    Les choses évoluent si rapidement qu'il est vraiment difficile de suivre tout cela à moins d'être très attentif.

    Maintenant que vous avez été exposé aux informations contenues dans cet article, veuillez ne pas vous rendormir.

    Ceci n'est pas un exercice.

    Nous nous dirigeons vraiment vers un scénario cauchemardesque, et je vous exhorte fortement à agir en conséquence.

    https://www.zerohedge.com/economics/farming-insider-warns-coming-food-shortages-are-going-be-far-worse-were-being-told

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  19. Bye bye phosmet... adieu Plan Protéines ?


    31 Janvier 2022
    Glané sur la toile 912


    (Source)


    L'Opinion

    Mme Emmanuelle Ducros nous a livré dans l'Opinion du 27 janvier 2022 un fort bel article, « Phosmet: cas de conscience autour d’un pesticide interdit ».

    En chapô :

    « La volonté de supprimer les produits phytosanitaires les plus dangereux est louable. Mais sans solution alternative, ce sont des dégâts irrémédiables qui sont causés à notre souveraineté alimentaire. »

    Extrait :

    « Ce n’est une surprise pour personne. La Commission européenne a acté, à la demande de l’agence sanitaire européenne Efsa, le retrait de l’homologation du pesticide organophosphoré Phosmet. Cette molécule, vendue sous divers noms, sert à lutter à l’automne et au printemps contre les insectes piqueurs et mordeurs du colza (les altises) et les mouches drosophiles qui ravagent les vergers

    "Contrairement à l’herbicide glyphosate, peu toxique, personne n’a envie de le défendre ou de demander son retour, constate Arnaud Rousseau, le président de la FOP, la fédération des oléoprotéagineux. On utilise le phosmet depuis vingt-cinq ans, mais il a un mauvais profil toxicologique, c’est un perturbateur endocrinien. La question est : que va-t-on faire maintenant?" Il y a bien une molécule, homologuée et réhomologable, qui peut en partie se substituer dans certains cas, le cyantraniliprole, mais son efficacité est deux fois moindre. »

    Quel est l'enjeu pour le colza ? Les prédictions sont difficiles... surtout si elles concernent l'avenir. Elles le sont encore plus dans le contexte actuel d'envolée des prix des produits agricoles (mais aussi des intrants). M. Arnaud Rousseau avance une estimation de -200.000 à -300.000 hectares pour une sole qui est déjà passée de 1,5 million d'hectares à un peu plus d'un million.

    Mais derrière le volet économique pour l'agriculture, il y a aussi un volet agronomique : le colza joue un rôle important dans les assolements. Et environnemental, le colza étant une plante nourricière pour de nombreux insectes (non ravageurs), dont les abeilles.

    Les enjeux économiques sont aussi considérables. Le colza fournit de l'huile pour la consommation et de nombreuses applications industrielles, dont des biocarburants. Et le tourteau – le résidu de l'extraction de l'huile – est riche en protéines et va à l'alimentation animale.

    Alerte Environnement

    Dans « Pas d’insecticide Phosmet, pas de colza : Vive la déforestation importée ! », Alerte Environnement fait dans l'humour grinçant :

    « Si le Phosmet est interdit, les mauvais insectes eux, seront toujours autorisés à visiter les champs. »

    Il est plus disert sur le Plan Protéine Végétales 2030 :

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  20. « Le iatus, c’est que le colza, on en a drôlement besoin. D’ailleurs, le Gouvernement français a décidé de lancer un Plan Protéines Végétales 2030 avec un financement à hauteur de 120 millions d’euros. Objectif : 40% d’augmentation de la production de cultures oléoprotéagineuses… L’enjeu stratégique n’est pas anodin : il s’agit ni plus ni moins que de limiter les importations de soja du continent américain et de lutter contre la "déforestation importée" avec des protéines végétales bien de chez nous.

    Sauf que c’est bien le colza qui est la pierre angulaire de ce plan. Pas de phosmet, pas de colza, pas d’autonomie… CQFD… »

    Et d'enfoncer le clou :

    « […] quelle crédibilité accorder à un plan ambitieux, quand, ce sur quoi il repose ne dispose pas des moyens suffisants pour le mettre en œuvre ?

    Comment envisager un plan à long terme sur 10 ans quand l’agriculteur, lui, ne peut pas se projeter au-delà d’une année pour ses cultures ? »

    La FOP, Terres Inovia et Terres Univia

    (Source)

    Le message en bref :

    « Face aux dernières décisions #phosmet impactant les cultures riches en protéines #colza, la filière oléopro s'interroge: souveraineté en protéines: mythe ou réalité ? Les cultures #oleopro ne doivent pas être considérées comme des variables d'ajustement. »

    Un élément du communiqué de presse :

    « S’il avait été largement envisagé que le phosmet, principal recours dans la lutte contre les ravageurs du colza, n’allait pas être réapprouvé, la publication du règlement d’exécution le 24 janvier, officialisant cette non ré-approbation, laisse de facto des producteurs sans solutions. Cette décision sonne comme le glas pour ¼ de la surface nationale de cette culture pivot des assolements. Pour l’éviter, les représentants des producteurs demandent que l’instruction de la dérogation pour l’utilisation dès 2022 du cyantraniliprole, seule alternative efficace connue, soit rapidement conclue. »

    Le communiqué de presse porte aussi sur une menace de nature réglementaire qui porte sur le pois. Il est question de « certaines déclarations intempestives » et d'une « situation, faisant fi des connaissances scientifiques ». Décidément...

    Dans « Retrait du Phosmet : la filière mobilisée pour proposer des solutions pour le court et moyen terme », Terres Inovia écrit :

    « Le 24 novembre le Ministre de l’Agriculture Julien Denormandie annonçait une enveloppe de 2,5 M € pour "accélérer les recherches de solutions" alternatives à l’insecticide phosmet. Ce montant destiné aux différents acteurs de la recherche et du développement engagés dans ce défi viendra s’additionner aux investissements déjà réalisés, notamment par notre filière. »

    Nous n'avons aucune idée des montants investis ou engagés par la filière. Mais nous nous interrogeons sur l'efficacité de l'annonce d'une enveloppe de ce montant deux mois avant l'annonce du retrait de l'autorisation du phosmet.

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  21. Mais, peut-être, après l'«interdiction » du phosmet, viendront des dérogations de 120 jours comme pour l'imidaclopride et le thiaméthoxame sur betteraves sucrières... C'est ce laisse entendre la France Agricole. Gribouille sera à l'œuvre.

    Pour une information plus détaillée, on pourra consulter ce document (avec peut-être une réserve sur l'appréciation de la dangerosité du phosmet, sachant qu'il faut distinguer danger et risques).

    Nous retiendrons ce propos fort :

    « Le cas de la lutte contre les ravageurs d’automne du colza nous montre qu’en matière de protection intégrée, il faut aller au-delà du raisonnement simple "pas d’interdiction sans alternative". Il faudrait élargir au vu des conséquences à "pas d’interdiction sans alternative, et pas d’interdiction si mise en péril à moyen terme des leviers restants". »

    https://seppi.over-blog.com/2022/01/bye-bye-phosmet.adieu-plan-proteines.html

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    Réponses
    1. Ce qu'il faut bien retenir c'est que chaque animal ou insecte a son alimentation. Et donc, là où il y a des choux se trouveront des vers à choux et là où il y a des salades se trouveront des escargots et des limaces. Donc il y a des remèdes (traitements) spécifiques à chacun d'eux.
      Donc: que le fruit ou le légume soit cultivé en Afrique, en Asie, en Amérique ou en Europe, il sera toujours attaqué par les même bestioles et maladies sans frontière !
      Donc: d'empêcher les paysans de France de se défendre fera que les fruits & les légumes viendront FORCÉMENT de l'étranger. Et, à l'étranger ils traitent ! ils ont même pas besoin de normes ! Ils s'en foutent c'est pour l'export ! Hahaha !

      C'est-à-dire que nous nous dirigeons vers une alimentation de plus en plus toxique prévue dans les plans 'Dépopulation' du gouvernement.

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  22. Quand « les cochons volent » et que des vies sont sauvées


    30 Janvier 2022
    John Rigolizzo, jr*


    J'avais l'habitude de penser que les ennemis de l'agriculture moderne ne mettraient fin à leur combat contre les OGM que lorsque les cochons se verraient pousser des ailes et prendraient leur envol – ou que les poules auront des dents..

    Cela ne s'est pas produit, mais que se passerait-il si des cochons se mettaient à produire un cœur et à sauver des vies humaines ?

    Ce rêve est devenu réalité au début du mois lorsque des médecins de Baltimore ont greffé le cœur d'un porc génétiquement modifié à un homme souffrant d'une maladie mortelle, nous présentant ainsi le dernier exemple de miracle médical.

    Le New York Times a qualifié cette transplantation d'urgence de « procédure révolutionnaire qui offre de l'espoir à des centaines de milliers de patients dont les organes sont défaillants ».

    En tant qu'agriculteur ayant cultivé des plantes génétiquement modifiées et bénéficiaire d'une transplantation rénale, j'ai porté un intérêt particulier à cette affaire. Ses implications pour le bien-être humain sont difficiles à surestimer.

    L'animal donneur a été élevé pour produire un organe que le corps humain accepterait plutôt que de le rejeter. Ce porc spécial est le produit des mêmes technologies de modification génétique qui, au cours de la dernière génération, ont amélioré les pratiques agricoles dans le monde entier.

    Lorsque les cultures génétiquement modifiées sont devenues largement disponibles au début de ce siècle, beaucoup de gens étaient sceptiques. La science était nouvelle et peu familière. Modifier la structure génétique des plantes semblait tout simplement étrange.

    J'ai étudié les fondements scientifiques de la technologie GM et j'ai acquis la conviction qu'elle était non seulement sûre, mais qu'elle offrait également une opportunité remarquable de produire plus de nourriture sur moins de terres que jamais auparavant. En semant et en récoltant du maïs et du soja génétiquement modifiés dans ma ferme du New Jersey, j'ai observé directement comment ils défendaient mes cultures contre les mauvaises herbes et les parasites. C'étaient les meilleures cultures que j'avais jamais vues.

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  23. La technologie des cultures génétiquement modifiées explique en grande partie pourquoi la nourriture est plus abondante, plus durable sur le plan environnemental et plus abordable que jamais auparavant.

    Aujourd'hui, bien sûr, les cultures GM sont largement acceptées. Les agriculteurs ont cultivé des milliards d'hectares de cultures génétiquement modifiées et les gens mangent en permanence des plats sains qui en sont issus.

    Malheureusement, la technologie GM se heurte encore à quelques poches de résistance, notamment parmi les militants politiques européens. Leurs idéologies anti-OGM ont retardé l'adoption des cultures génétiquement modifiées dans plusieurs pays en développement, notamment en Afrique. C'est l'une des principales raisons pour lesquelles ce continent est toujours à la traîne du reste du monde en matière de production alimentaire.

    Cependant, maintenant que la technologie d'édition de gènes est passée du champ de maïs à la salle d'opération, les ennemis de la biotechnologie pourraient vouloir repenser leur résistance. Les avantages de la biotechnologie sont peut-être plus évidents que jamais. Elles viennent de sauver une vie humaine et elles vont en sauver beaucoup d'autres.

    Je suis le bénéficiaire direct d'une transplantation d'organe : le rein de ma fille est dans mon corps et me maintient en vie.

    Je serais mort aujourd'hui sans la grâce de Dieu et la gentillesse de ma fille. Je suis également redevable aux médecins qui ont pratiqué l'opération ainsi qu'à la science qui l'a rendue possible.

    Grâce à la technologie génétique, davantage de personnes dont les organes sont défaillants pourront bénéficier de la seconde chance de vivre que j'ai eu la chance d'avoir.

    L'année dernière, environ 41.000 Américains ont reçu une greffe d'organe, selon le United Network for Organ Sharing. Plus de la moitié des organes transplantés étaient des reins, suivis des foies, des cœurs et des poumons.

    Pourtant, les besoins sont considérables. Plus de 100.000 Américains sont sur une liste d'attente pour une transplantation d'organe, et 17 en meurent chaque jour, selon la Health Resources and Services Administration, une agence fédérale.

    Il est possible d'imaginer un avenir où les porcs génétiquement modifiés sauveraient des vies en permanence – un moment où ces transplantations d'organes ne feraient pas la une des journaux et seraient aussi courantes que la culture de plantes génétiquement modifiées.

    Je suis tenté de penser que sans l'avènement et l'acceptation des cultures génétiquement modifiées, nous ne serions pas aujourd'hui au seuil d'une nouvelle branche de la médecine impliquant des organes prélevés sur des porcs génétiquement modifiés. Si nous avons de la chance, peut-être que la propagation des greffes d'organes de porc à humain persuadera les quelques manifestants restants contre la technologie OGM d'abandonner leur lutte malavisée contre l'agriculture moderne.

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  24. Du moins, j'ai le droit de le penser.

    C'est ce que dit le personnage principal au cours d'une conversation loufoque dans « Alice au Pays des Merveilles », le roman classique de Lewis Carroll.

    « À peu près autant que les cochons ont le droit de voler » répondit la Duchesse.
    _______________

    * John Rigolizzo, Jr., agriculteur, New Jersey, USA

    John Rigolizzo, Jr est un agriculteur de cinquième génération qui produit des légumes frais et du maïs dans le sud du New Jersey. La ferme familiale alimente des marchés de détail et de gros. John fait du bénévolat en tant que membre du conseil d'administration du Global Farmer Network (réseau mondial d'agriculteurs) et a assuré le leadership de la Vegetable Growers Association du New Jersey (association des producteurs de légumes du New Jersey) et du New Jersey Tomato Council (conseil de la tomate du New Jersey). En tant qu'ancien président du New Jersey Farm Bureau, son intérêt et son soutien de longue date au libre-échange ont été confirmés par sa participation à 11 missions commerciales internationales et sa participation à des réunions de l'Organisation Mondiale du Commerce à Seattle et à Genève.

    Source : When Pigs Fly and Lives are Saved – Global Farmer Network

    https://seppi.over-blog.com/2022/01/quand-les-cochons-volent-et-que-des-vies-sont-sauvees.html

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  25. Voici pourquoi les camionneurs américains organisant un convoi vers DC seront confrontés à la flambée des prix du diesel


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 30 JANVIER 2022 - 16:15


    Les camionneurs américains célèbrent la récente annulation du mandat de vaccination de l'Occupational Safety & Health Administration (OSHA) et leurs homologues canadiens qui sont arrivés dans la capitale du Canada, Ottawa, ce week-end, exigeant la fin des règles transfrontalières sur les vaccins. Les camionneurs sont en première ligne pour lutter contre la tyrannie médicale alors que le prochain convoi pourrait bientôt se diriger vers Washington, D.C.

    Un groupe Facebook appelé "Convoy To DC 2022" compte plus de 63 000 membres et prépare un convoi de camionneurs pour se rendre de la Californie à Washington, D.C., pour dire à l'administration Biden et aux progressistes qu'ils en ont fini avec les mandats sanitaires excessifs.

    Les dates et les itinéraires prévus pour Convoy To DC 2022 devraient être publiés à court terme sur un site Web et diverses plateformes de médias sociaux, et une page GoFundMe sera créée. Les fonds amassés permettront de financer les frais de carburant et d'hébergement des camionneurs participant au mouvement.

    Pour les camionneurs qui envisagent de participer au convoi, nous voulions expliquer ce qui se passe avec les marchés du diesel.

    Bloomberg rapporte que les contrats à terme sur le diesel à très faible teneur en soufre sont entrés en déport, une condition de marché où les prix sont aujourd'hui plus élevés que les contrats à terme négociés dans les mois à venir. Il s'agit d'une structure haussière et la première fois qu'elle se matérialise depuis 2015.

    Le déport survient alors qu'une puissante tempête hivernale et un temps froid ont sévi dans l'est des États-Unis, augmentant la demande de chauffage. Les stocks de diesel dans la région de l'Atlantique central ont diminué à 19,7 millions de barils la semaine dernière, un creux saisonnier en sept ans. Le total des stocks américains est bien inférieur à la moyenne sur 5 ans.

    La diminution des stocks et la forte demande ont exercé une pression sur les prix du diesel au comptant, atteignant un sommet de 8 ans ce mois-ci, s'échangeant autour de 2,68 $ le gallon (3,78 litres).

    En mettant tout cela ensemble pour les organisateurs du convoi vers DC 2022, la dépense la plus importante pour les camionneurs sera la flambée des coûts de carburant. Avec le déport en plein essor, les prix du diesel devraient augmenter. Une campagne GoFundMe pourrait considérablement alléger les dépenses de ceux qui envisagent de faire le trajet à travers le pays.

    https://www.zerohedge.com/commodities/us-truckers-staging-convoy-dc-will-face-soaring-diesel-prices

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  26. Si les troubles montent en Amérique, les pillards seront-ils abattus ?


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 30 JANVIER 2022 - 21:30
    Écrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,


    Une question intéressante à méditer est centrée sur les troubles sociaux et sur la question de savoir si ceux qui ont pour tâche de protéger la propriété suivraient les ordres s'ils devaient tirer sur les pillards. Bien sûr, le type de violence auquel je fais allusion va bien au-delà de tout ce que nous avons vu en Amérique ou dans la plupart des pays occidentaux. Pourquoi les gens pillent et comment les gouvernements réagissent est le problème. Vous pouvez appeler cela la loi martiale si vous voulez, mais quel que soit le nom que vous y mettez, ceux qui détiennent le pouvoir et les armes prennent la décision finale.

    Les dirigeants progressistes de certaines régions ne traitent plus le vol de 950 $ ou moins comme un crime mais comme un délit. Cela a conduit à une vague de vols à main armée. Comment empêchez-vous ce genre de désordre social croissant de devenir incontrôlable ? Bien sûr, le défaut de penser que vous pouvez créer une escouade de crétins pour contrôler les masses est que vos exécuteurs peuvent commencer à sympathiser avec ceux qu'ils sont chargés de réprimer.

    Compte tenu de la façon dont l'armée s'oriente vers des armes plus automatisées qui tuent, il est difficile de penser que ces armes ne finiront pas par se retrouver dans les forces de l'ordre. Pour ceux qui sont au pouvoir, l'avantage des robots et des gardes mécaniques autonomes est qu'ils accompliront leurs missions comme prévu. Rassurez-vous, lorsque les poussées viendront pousser ceux qui sont déplacés du marché du travail et qui ne sont capables que de se débrouiller, ils découvriront qu'ils ne reçoivent que suffisamment pour s'assurer qu'ils restent dociles et qu'ils se comportent bien. Si et quand cela devient un problème, le conflit et la violence augmenteront.

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  27. Avant sa mort, le célèbre physicien Stephen Hawking a averti que la Terre se dirigeait vers une "fin catastrophique" en raison de l'inégalité croissante alimentée par des robots qui deviennent de plus en plus intelligents de jour en jour. La terrible prédiction de Hawking est survenue alors que les robots et l'intelligence artificielle commençaient à prendre le contrôle des emplois humains. Le McKinsey Global Institute prévoit que quelque 800 millions de personnes dans le monde seront déplacées de leur emploi d'ici 2030 en raison de l'automatisation.

    Sans emploi, nous risquons de perdre notre pertinence dans la société. Cela crée un scénario de misère et de conflit avec de nombreuses personnes déplacées et celles qui ont peu à perdre se battant pour simplement survivre. Le sujet de notre avenir et de notre culture revient toujours et est directement lié à la question des emplois qui disparaissent alors que l'automatisation et une armée de robots envahissent notre lieu de travail. Cela peut entraîner un avenir qui prend une apparence dystopique très sombre. La peur d'être remplacé par un robot ou de voir son travail externalisé ou supprimé est en hausse.

    L'Afrique a été témoin de pillages et de troubles

    De nombreux problèmes sont passés sous silence ou sont souvent sous-rapportés par les médias grand public, notamment le nombre de protestations contre les verrouillages et les mandats de masque. De nombreux Américains ont prêté peu d'attention aux pillages et à la violence endémiques en Afrique du Sud en juillet 2021. En bref, la plupart des gens sont mal informés de ce qui se passe dans le monde. Cette vidéo choquante du pillage en Afrique du Sud signale que le pays est sur la voie de l'effondrement social et économique.

    Malheureusement, l'Afrique du Sud n'est qu'un des nombreux pays où les troubles sociaux se sont intensifiés. Cela en fait une version plus exagérée de ce qui se passe dans de nombreux domaines. Dans le cas de l'Afrique du Sud, le gouvernement sous le contrôle du Congrès national africain (ANC) avait déjà une forte inclinaison communiste avant que le Covid-19 ne frappe. Les amendements proposés à sa constitution exigeaient que des « réparations » soient prélevées sur les fermiers blancs, qui seraient ensuite redistribuées aux citoyens noirs.

    Un mouvement similaire se poursuit ici en Amérique alors que les socialistes/marxistes du Parti démocrate poussent certaines villes et certains États dans le sens des réparations. Le petit mouvement exigeant que des réparations pour les Noirs soient inscrites dans la loi à cause de l'esclavage il y a près de 200 ans est réel. À une époque où nous assistons à une inégalité économique croissante, cette idée a une base petite mais vocale. De telles initiatives de justice sociale sont souvent soutenues par les politiciens et les entreprises qui souhaitent nous diviser afin qu'ils puissent prendre plus de contrôle.

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  28. Cela se passe aussi ici en Amérique

    Pour en revenir à l'objet de cet article, la question "feraient-ils tirer ?" La réponse est qu'après que les gens aient franchi un point de basculement, ils le feraient probablement. Cela crée une nouvelle question, où est ce point de basculement ? La réponse à cette question est un peu floue, mais relève du moment où les autorités peuvent s'en tirer. L'histoire montre que le génocide est beaucoup plus courant qu'on ne le pense, mais qu'il est rapidement caché après qu'il se soit produit.

    Plusieurs signes ont récemment fait surface qui signalent des problèmes à venir. Ce qui est devenu connu sous le nom de pillage éclair ou d'incidents de smash and grab est en augmentation, cela est particulièrement vrai dans les zones où les crimes de bas niveau ne sont pas appliqués. Dans ces zones, il semble que les gangs du crime organisé ne se contentent plus de cibler les grands magasins ou les boutiques où ils peuvent arracher des marchandises de grande valeur dans les rayons.

    Dans des endroits comme le Mexique où les cartels criminels se déchaînent, il n'est pas rare de voir des camions de livraison détournés en plein jour. Si vous pensez que l'Amérique ne pourrait jamais tomber dans un état aussi dysfonctionnel, nous voyons déjà des cargaisons attaquées en transit. CBS Los Angeles a récemment rapporté qu'une section de voies ferrées du centre-ville de Los Angeles était jonchée de milliers de boîtes déchiquetées, de colis volés dans des conteneurs de fret qui s'arrêtent dans la région.

    Le pillage de conteneurs empilés en double sur des wagons de train a été documenté par le photojournaliste John Schreiber. Il a tweeté des vidéos choquantes de colis déchirés et laissés sur les rails par des pillards après avoir attaqué des trains arrêtés pour être intégrés dans une installation d'expédition. La plupart des boîtes au sol provenaient d'Amazon et d'UPS. Le fait est que les pillards sont des personnes à la recherche de cibles faciles à atteindre qui peuvent être facilement converties en espèces.

    La triste vérité est qu'une fois que le génie du désordre est sorti de la bouteille, il est difficile de le faire revenir. Malheureusement, les médias et la culture actuelle en ont fait un problème où les gens se concentrent sur la couleur ou la race de la personne qui les commet. crimes plutôt que leurs actions et les conséquences qui en découlent. Avec tout ce qui précède à l'esprit, il est important de se rappeler que les solutions de haute technologie ne sont pas le cadeau de la liberté que beaucoup de gens pensent.

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  29. Ceux qui sont au pouvoir peuvent secrètement développer de nouvelles armes

    Nous sommes coincés et bon nombre de nos options disparaissent. Beaucoup de gens prétendent qu'ils n'ont rien à cacher et utilisent cela comme la raison pour laquelle ils ne s'opposent pas à l'expansion du réseau de surveillance tissé sur eux. Ces personnes ignorent le fait que nous renonçons à notre droit à la liberté lorsque la société s'engage dans cette voie. Avec environ sept milliards et demi de personnes vivant sur la planète Terre aujourd'hui et 10 milliards prévues d'ici 2050, même nourrir notre population peut ne pas être facile, surtout si le changement climatique s'ajoute à nos problèmes. Cela nous ramène à la prédiction du célèbre physicien Stephen Hawking, selon laquelle la Terre se dirige vers une « fin catastrophique » dans un avenir proche.

    Non seulement ceux qui sont au pouvoir surveillent les mauvaises personnes, mais ils décident qui est mauvais et ils surveillent tout le monde. Donc le fait est, quand le tournage commence-t-il ? Tout au long de l'histoire, nous avons vu que de nouvelles armes ne sont souvent révélées que lorsque ceux au pouvoir souhaitent faire une déclaration. Il est raisonnable que dans un scénario où il devient rapidement clair que l'usine a trop de personnes en lice pour des ressources en diminution que les masses entassées seront considérées comme "l'homme étrange" et qu'il est temps d'abattre le troupeau pour réduire la population mondiale pour " le plus grand bien !"

    https://www.zerohedge.com/political/if-unrest-soars-america-will-looters-be-shot

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    1. Une personne est en magasin et rempli son sac, passe à la caisse et paie puis... ose sortir du magasin avec ses achats !! Il est abattu par un robot qui a vu quelqu'un sortir avec quelque chose en mains !

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  30. Actifs durables : sont-ils un piège en devenir ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 12:25
    Rédigé par Lance Roberts via RealInvestmentAdvice.com,


    Le commerce des actifs durables, des matières premières, a pris vie au cours des deux derniers mois. C'est proportionnel, et logique, à la poussée de l'inflation. Cependant, le commerce des actifs durables est-il durable ? Ou est-ce un piège qui décevra les investisseurs dans les années à venir ?

    En ce qui concerne le commerce des matières premières ou des actifs durables, il est généralement évité par les médias grand public. Ils préfèrent se concentrer sur n'importe quel "stock chaud" ou mème d'investissement qui domine le marché à l'époque. Cependant, des « bogues de l'or » aux « négociants en pétrole », le commerce des matières premières est une source de hauts et de bas en cours de route.

    Pour notre analyse, nous allons nous concentrer sur l'indice CRB Commodity Index en tant que proxy pour les matières premières. À partir de l'indice, nous pouvons ensuite explorer comment le dollar, les taux d'intérêt, la croissance économique et l'inflation déterminent les prix des matières premières.

    Le commerce des matières premières est-il là pour rester, ou s'agit-il d'un autre "boom" en attente de "buste".

    Une longue histoire de booms et d'effondrements
    Depuis 1980, le début de mon flux de données pour l'indice CRB, il y a eu 4 cycles distincts dans les matières premières.

    - voir graph sur site -

    De 1980 à 2000, la tendance des prix des matières premières a baissé alors que l'économie passait de la fabrication à la financiarisation. À partir de 2001, alors que l'ère dot.com touchait à sa fin, les flux d'investissement se sont déplacés vers les matières premières et les marchés émergents en prévision d'une résurgence mondiale. La demande de logements a explosé avec la baisse des taux hypothécaires et la demande d'énergie a augmenté par crainte d'un "pic de production pétrolière".

    Cependant, aussi vite qu'elle est venue, la demande de matières premières s'est estompée alors que la crise financière a paralysé l'ensemble de l'économie mondiale. Cette tendance déflationniste s'est poursuivie jusqu'en mars 2020. Alors que la pandémie de Covid bloquait les économies, les gouvernements ont injecté des milliards de dollars pour stimuler la demande. Sans surprise, l'inflation a bondi et la demande de protection contre l'inflation sous forme de matières premières a augmenté.

    Étant donné que le côté demande de l'équation était dicté par la liquidité artificielle, la question est maintenant la durabilité de la hausse des prix ?

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  31. Pour répondre à cette question, nous devons comprendre que les matières premières, et les actifs durables en général, ne vivent pas dans le vide. Au contraire, ils sont très soumis à l'équation offre-demande qui fixe finalement leur prix. Par conséquent, et sans surprise, la croissance économique, les taux d'intérêt, le dollar et la masse monétaire pèsent lourdement sur cette équation.

    Un examen de ces facteurs, directement liés à l'inflation, est utile pour déterminer la tendance actuelle à la hausse des prix des produits de base. Ou, si la déflation est une plus grande menace.

    Tous les indicateurs suggèrent que la production de marchandises est limitée
    Si les matières premières et les actifs durables sont stimulés par la demande, en particulier dans le secteur manufacturier, plusieurs indicateurs indiquent une demande continue pour ces actifs.

    Les taux d'intérêt sont importants car ils reflètent la vigueur de la croissance économique, de l'inflation, des salaires et de la demande globale. Il existe une bonne corrélation entre la variation annuelle des taux d'intérêt (reflétant la vigueur ou la faiblesse de l'économie) et les prix des produits de base.

    - voir graph sur site -

    Sans surprise, la récente flambée des prix des matières premières, depuis les plus bas de 2020, correspond à la hausse des taux. Cela correspond au flot de politiques budgétaires permettant à la demande de dépasser la capacité de production économique. Cependant, avec la liquidité désormais inversée, les taux reviennent à des niveaux compatibles avec des taux de croissance économique plus faibles.

    Une conséquence de cette inversion de la liquidité, telle que mesurée par M2, est l'inversion de l'inflation au cours des 9 prochains mois. Encore une fois, étant donné que les matières premières sont fortement corrélées à l'inflation, cela suggère le pic du commerce des «actifs durables» à mesure que l'économie se normalise.

    - voir graph sur site -

    Enfin, les matières premières et les actifs durables en général se négocient à l'échelle mondiale en dollars américains, et la tendance et la direction de la devise sont importantes. À mesure que le dollar se renforce, cela rend les matières premières plus chères pour nos partenaires étrangers. Un dollar plus faible permet aux consommateurs américains d'acheter une demande plus croissante. Cela explique pourquoi il existe une corrélation inverse entre le dollar et les matières premières.

    - voir graph sur site -

    La prochaine évolution du dollar dépendra en grande partie de la force relative de l'économie américaine par rapport au reste du monde. Nous soupçonnons que si l'économie américaine s'affaiblit dans les mois à venir, le reste du monde sera pire. Les États-Unis ont, et resteront probablement, la « chemise la plus propre du linge sale ».

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  32. C'est l'économie, stupide

    Alors que les taux d'intérêt, l'inflation, la masse monétaire et le dollar peuvent nous donner des indices sur le commerce des matières premières et des actifs durables, en fin de compte, c'est vraiment "l'économie, stupide".

    - voir graph sur site -

    Comme indiqué ci-dessus, tous les prix des matières premières et des actifs durables sont finalement fixés par l'offre et la demande. Si l'économie est forte, la demande de produits finis, d'immobilier, de logement, d'automobiles, etc., sera forte. La force de cette demande augmentera la production en augmentant la demande de matières premières. Si l'économie s'affaiblit, cette demande chute, entraînant une surabondance des stocks et une baisse des prix. Sans surprise, les matières premières suivent la croissance du PIB nominal.

    - voir graph sur site -

    La poussée de la croissance économique après la fermeture provoquée par la pandémie était, comme indiqué, une « ruée vers le sucre » artificielle de liquidités inondant le système. Cela a provoqué une augmentation massive de la masse monétaire, entraînant une inflation compte tenu du manque de capacité de production. Cependant, comme c'est déjà le cas, l'activité économique revient à son niveau le plus normal.

    « À mesure que le déficit budgétaire augmentera au cours des prochaines années, les paiements d'intérêts absorberont à eux seuls une plus grande partie des recettes fiscales. Cela arrive à un moment où ce même dollar de recettes fiscales ne couvre que les dépenses de droit des 75 millions de baby-boomers qui migrent vers le filet de sécurité sociale.

    Soit dit en passant, la seule autre fois où le soutien du revenu du gouvernement a dépassé les impôts payés, c'était pendant la « Grande Dépression » de 1931 à 1936.

    Le problème de la dette demeure un risque massif pour la politique monétaire et budgétaire. Si les taux augmentent, l'impact négatif sur une économie endettée déprime rapidement l'activité. Plus important encore, la baisse de la vélocité monétaire montre clairement que la déflation est une menace persistante.

    - voir graph sur site -

    La dernière phrase est la plus importante en ce qui concerne les actifs durables.

    Le commerce des actifs durs a tendance à mal se terminer
    En ce qui concerne les matières premières et les actifs durables en général, ils peuvent être une course exaltante et rentable à la hausse. Cependant, comme le montre le graphique à long terme ci-dessus, ce commerce a tendance à mal se terminer.

    Cette fois sera-t-elle différente ? Il est peu probable que ce soit le cas pour deux raisons.

    Comme l'a montré Goldman Sachs, l'inflation s'inversera plus tard cette année.

    - voir graph sur site -

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  33. Deuxièmement, à mesure que le pays évolue vers un profil plus socialiste, la croissance économique restera limitée à 2 % ou moins, la déflation demeurant une menace constante à long terme. Le Dr Lacy Hunt suggère la même chose.

    Contrairement aux idées reçues, la désinflation est plus probable que l'accélération de l'inflation. Étant donné que les prix se sont dégonflés au deuxième trimestre de 2020, le taux d'inflation annuel augmentera transitoirement. Une fois ces effets de base épuisés, des considérations cycliques, structurelles et monétaires suggèrent que le taux d'inflation diminuera d'ici la fin de l'année et sera inférieur à l'objectif de 2 % de la Fed Reserve. La psychose inflationniste qui s'est emparée du marché obligataire s'estompera face à une désinflation aussi persistante.

    Comme il conclut :

    Les deux principaux obstacles structurels à la croissance économique traditionnelle aux États-Unis et dans le monde sont le surendettement massif et la détérioration de la démographie, qui se sont tous deux aggravés à la suite de 2020.

    Le dernier point est crucial. Au fur et à mesure que la liquidité est retirée du système, le surendettement pèsera sur la consommation, les revenus étant détournés de l'activité productive vers le service de la dette. Ainsi, la demande de matières premières s'affaiblira.

    Permettez-moi de conclure avec ce point de Michael Lebowitz :

    La multitude de dynamiques qui déterminent les prix des matières premières signifie qu'il n'y a pas de réponses rapides et faciles pour déterminer une stratégie efficace.

    Alors que le commerce des matières premières est certainement « en plein essor » avec l'envolée des liquidités, attention à son renversement éventuel.

    Pour les investisseurs, la déflation reste un « piège en devenir » pour les actifs durables.

    https://www.zerohedge.com/markets/hard-assets-are-they-trap-making

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  34. Visualiser comment les Européens obtiennent leur électricité


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 02:45


    Alors que la crise énergétique en Europe continue de monter et descendre - avec le bellicisme américano-ukrainien-russe à peine capable de cacher ses implications évidentes sur les combustibles de chauffage, de cuisine et de transport du continent - sachant quels pays seront plus (ou moins touchés) par les sanctions potentielles (ou sanctions de représailles) sont essentielles.

    De plus, comme le note l'EIA, les efforts désespérés visant à défossiliser toutes les sources d'énergie en Europe dès que possible sont revenus frapper de nombreux pays... exactement au mauvais moment...

    "Les efforts mondiaux pour lutter contre le changement climatique conduisent à l'électrification rapide de nombreux utilisateurs finaux, des transports à l'industrie, entraînant une augmentation massive de la demande d'électricité ainsi que la nécessité d'en produire autant que possible à partir de sources renouvelables. Le résultat est une transformation spectaculaire des systèmes électriques à l'échelle mondiale.

    – iea.org.

    Comme le montre la carte suivante, l'Europe de l'Est reste fortement dépendante du charbon pour sa production d'électricité, tandis que le gaz naturel continue de dominer l'approvisionnement énergétique de nombreux pays.

    - voir carte sur site -

    Source : Fondation de la culture stratégique

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-how-europeans-get-their-electricity

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  35. Changeur de jeu : les données militaires américaines montrent des blessures de vaccination incroyablement élevées



    February 1st, 2022


    ABomb: La semaine dernière, un avocat du personnel militaire a parlé de l'augmentation extraordinaire des conditions médicales survenues après la vaccination contre Covid. Il s'agit de l'un des ensembles de données médicales les plus importants et les mieux conservés au monde, les personnes qui s'y trouvent sont pour la plupart jeunes et en bonne santé, et les lanceurs d'alerte ont signé des déclarations légales.

    Les données militaires suggèrent que la plupart des bases de données nationales sur la vaccination souffrent d'une sous-déclaration flagrante des événements indésirables.

    Dans le World-We-Thought-We-Lived-In, cela aurait été les nouvelles de Frontpage le lendemain. Des appels devraient arriver de partout pour suspendre immédiatement les vaccinations jusqu'à ce qu'elles puissent être examinées.

    Les trois dénonciateurs ont remarqué des schémas étranges chez les patients qu'ils traitaient. Ils ont parcouru les données sur la facturation médicale de la base de données d'épidémiologie médicale de la Défense (DMED).

    Outre le pic [300 %] des diagnostics de fausse couche, il y a eu une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d'une moyenne sur cinq ans de 38 700 par an à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des problèmes neurologiques, qui sont passés d'une moyenne de base de 82 000 à 863 000.
    —CovidMonde

    L'événement était une audience de cinq heures tenue par le sénateur américain Ron Johnson. L'avocat Thomas Renz a représenté des clients poursuivant des mandats de vaccination et il était en feu. En plus des risques ci-dessus, il y avait de nombreuses conditions avec des taux bien au-dessus de leurs moyennes à long terme :

    infarctus du myocarde – augmentation de 269 %
    Paralysie de Bell – augmentation de 291 %
    malformations congénitales (pour les enfants de militaires) – augmentation de 156 %
    infertilité féminine – augmentation de 471 %
    embolies pulmonaires – augmentation de 467 %
    "Nos soldats sont expérimentés, blessés et parfois tués..."

    L'augmentation des rapports médicaux ne s'est pas produite pendant la première année de Covid, seulement après le début du programme de vaccination. En d'autres termes, Covid lui-même n'a pas causé cela.

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  36. Espérons que, pour le bien de tous, les effets s'estomperont avec le temps, surtout si les gens ne sont pas boostés, ou ne choisissent pas un vaccin plus sûr, ou un antiviral encore plus sûr.

    Le sénateur Ron Johnson….« il faut enquêter », « c'est effrayant ».

    h/t à David E, Old Ozzie, Analitik, Prophet of Boom, et il y a longtemps, un autre Ian, Tel, Major Distraction.

    Voici la courte tranche de 2,5 minutes :

    - voir clip sur site -

    Pour les personnes qui sont vaccinées et qui peuvent être concernées, gardez à l'esprit que bon nombre de ces conditions sont des événements rares et que même une multiplication par trois sera toujours un événement rare. Parlez-en à votre médecin, passez des tests médicaux et réduisez les risques.

    Renz souligne que le CDC est au courant de ces données mais dit autre chose au public.

    … le 28 septembre, lorsque Fauci et d'autres blâmaient les non-vaccinés et disaient qu'il s'agissait d'une «crise des non-vaxxés» - en réalité, leurs données du projet Salus DOD, qui sont transmises au CDC, ont montré que 71% des nouveaux cas étaient entièrement vaxxés . Et 60% des hospitalisations concernaient également des patients complètement vaxxés.

    "C'est de la corruption au plus haut niveau"
    Daniel Horowitz écrit dans The Blaze :

    Les dénonciateurs partagent des données médicales du DOD qui ouvrent grand le débat sur la sécurité des vaccins
    J'ai parlé à l'un des dénonciateurs qui atteste être gravement préoccupé de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. "Ces médecins étaient motivés à explorer les données DMED en raison du nombre d'augmentations de cas qu'ils voyaient de manière empirique", a déclaré le lanceur d'alerte, qui a servi dans l'armée pendant de nombreuses années. «Certains médecins de la force (toutes les branches) ont été intimidés par des ordres de ne pas effectuer l'éventail complet des tests et de respecter les réglementations, qui imposent implicitement des bilans complets pour les effets indésirables de la vaccination EUA. Il faudra que d'autres médecins militaires s'avancent et partagent leurs expériences pour déterminer pleinement l'énormité de ces allégations et engendrer une enquête dans toute la mesure du possible.

    Si ces chiffres sont vérifiés dans les procès à venir, alors en l'absence d'une fraude massive à l'assurance militaire ou d'un problème bizarre dans le système, cela brosse potentiellement un tableau choquant des problèmes de sécurité des vaccins qui indiqueraient que non seulement les signaux de sécurité du VAERS étaient quelque chose qui devrait immédiatement ont fait l'objet d'un suivi, mais ils souffrent d'une sous-déclaration lamentable. L'armée est une population définie, finie et étroitement contrôlée et surveillée. Ils sont également majoritairement jeunes et en bonne santé. Si les allégations de problèmes neurologiques, cardio et cancéreux entourant les vaccins sont effectivement vraies, l'armée serait l'endroit le plus révélateur pour le découvrir, et leurs données sont les plus fiables et indiscutables.

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  37. Pourquoi l'Agence de santé de la Défense n'a-t-elle pas pris la parole ?

    Le DMED est littéralement un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but exprès de détecter les poussées de maladies et de blessures pour s'assurer que l'armée est prête au combat. Il s'agit de sécurité nationale encore plus que de santé publique. Pourquoi l'armée n'aurait-elle pas dénoncé et averti tout de suite le CDC de ces données ?

    Comment les signaux de surveillance criants et flagrants d'une vie ont-ils pu être ignorés par la Defense Health Agency (DHA), et comment cela n'a-t-il pas été transmis au grand public ?

    Pourquoi le FBI ou la CIA n'ont rien dit ? Si les forces militaires nationales étrangères luttaient comme ça (et probablement certaines le sont), nous espérons que les agences de renseignement en étaient conscientes.

    Quand il s'agit de l'armée américaine et des États-Unis, c'est sûrement encore plus important ?

    Un montage plus long de 15 minutes avec quelques autres intervenants :

    - voir clip sur site -

    Le sénateur Johnson a averti le DOD de ne supprimer aucune des données, mais peut-être que des jeux sont déjà en cours de lecture. Dans la vidéo ci-dessus, Leigh Dundas a des mots durs.

    Leigh Dundas, avocate des droits de l'homme travaillant avec Thomas Renz

    Je dirais, sénateur, qu'il n'y a pas qu'un « soupçon ». En août, il y avait 1239 cas et maintenant il n'y en a plus que 307. En janvier 2022, il y avait 176 cas et comme par magie, ils sont maintenant tombés à 17. Il y a un mot pour cela et ce n'est pas "suspect".

    Nous avons dans l'armée le meilleur ensemble de données qui existe parce que nous avons des lignes de base…

    Les maladies aiguës [numéros d'articles] dans toutes les catégories au cours des cinq années qui ont précédé cela étaient de 1,7 million… … elles ont bondi à 22 millions.

    Ils ont mandaté un vaccin pour les militaires alors qu'ils n'avaient perdu que 12 militaires au total à cause de la maladie. Ces chiffres indiquent que quelque chose ne va pas du tout.

    Les numéros auxquels il est fait référence sont souvent des éléments de facturation médicale ou des codes de diagnostic, et non des personnes.

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  38. Cela pourrait être le plus grand scandale médical de tous les temps, à l'exception de cet autre où ils suppriment et interdisent des médicaments qui sauvent des vies…

    https://joannenova.com.au/2022/02/game-changer-us-military-data-shows-shockingly-high-vaccination-injuries/#more-81853

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  39. Covidisme : les libertés conditionnelles préparent le transhumanisme


    TERRE AUTOCHTONE
    lun., 31 jan. 2022 13:58 UTC


    La civilisation européenne est indissociable de la conquête des libertés individuelles. C'est elle, cette civilisation, qui glorifie Prométhée, Spartacus ou Mandrin, qui interdit l'esclavage, qui invente l'Habeas Corpus et qui sacralise les droits fondamentaux des personnes.

    Avant qu'il ne soit trop tard…

    Dans cette civilisation, les droits fondamentaux des personnes sont considérés comme absolus. La liberté de circulation, la liberté d'entreprendre, la liberté de réunion et de manifestation, la liberté d'expression, le droit au respect de la vie privée, le droit à la sécurité, le droit à l'égalité font partie de ces droits fondamentaux. Ces droits sont « absolus » dans la mesure où la personne en bénéficie absolument, par nature et en tant que citoyen. Ils ne peuvent lui être ôtés, sauf si celle-ci enfreint la loi... à condition toutefois que la loi ne soit ni arbitraire ni tyrannique, auquel cas le citoyen disposera d'un autre droit fondamental : celui de « résister à l'oppression ».

    Beaucoup l'ont noté : le covidisme substitue des droits conditionnels aux droits absolus. Désormais, les droits fondamentaux ne sont plus des libertés absolues découlant naturellement de notre citoyenneté et de notre humanité, mais des libertés conditionnelles octroyées par l'État « à condition de » : à condition de porter un masque, à condition de respecter les distances sociales, à condition d'avoir un passe sanitaire ou vaccinal, à condition de se faire injecter...

    Vous pouvez aller au restaurant, « à condition de »...

    Vous pouvez vous déplacer librement, « à condition de »....

    Vous pouvez exercer telle ou telle profession, « à condition de »...

    Vous pouvez accéder aux hôpitaux, « à condition de »...

    Vous pouvez vous réunir ou manifester, « à condition de »...

    Vous pouvez vous exprimer sans être censuré, « à condition de »...

    Et bientôt vous pourrez avoir une vie privée, « à condition de »...

    L'exercice de nos libertés les plus fondamentales, comme celle de se déplacer ou de se réunir, est subordonné à un acte d'obéissance et de soumission : se faire injecter dans le corps une substance expérimentale. Ces pseudo-libertés sont donc des avantages discriminatoires concédés à certains par une autorité supérieure, gouvernementale en l'occurrence. Si les mots ont un sens, ces "libertés" octroyées par l'État sont donc des « privilèges » !

    Les privilégiés disposent de certaines prérogatives qui les autorisent par exemple à visiter un proche à l'hôpital, ou à boire un café à la terrasse d'un bar. Mais les privilèges qui leur sont accordés sont des privilèges temporaires que dureront autant que durera leur soumission. D'autre part, les privilèges en question peuvent être ôtés à tout moment, par simple décision gouvernementale, et sans même que le privilégié ait failli à son devoir d'obéissance. Un privilégié est donc dans une aléatoire « liberté conditionnelle ». C'est une sorte de détenu qui accepterait, pour quelques miettes de pseudo-liberté, de se conformer aux conditions qu'on lui impose, et de vivre en permanence sous le regard sévère d'un juge d'application des peines. La contrainte par corps, c'est-à-dire le renvoi brutal du détenu en détention ou du privilégié en assignation à domicile, est une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête de tous ceux qui acceptent cette vie en « liberté conditionnelle ».

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  40. Selon le discours d'État, l'injection est un dû de l'individu envers la collectivité. Par devoir, celui-ci, qui aurait une sorte de dette sanitaire envers tous, devrait confier son corps à un injecteur payé par le gouvernement. Par cette opération, l'État s'octroie d'une part un droit incroyable sur notre corps, puisqu'il s'autorise à en modifier la machinerie génétique, mais il signifie aussi d'autre part que cette machinerie fait l'objet d'une dépossession et d'un changement de propriétaire.

    Posons-nous en effet la question : qui est propriétaire de mon corps si l'État a le droit d'en disposer et de modifier comme bon lui semble son fonctionnement génétique ? Qui est propriétaire de mon corps si l'État est en mesure de le couper de toute interaction sociale, de le mettre anthropologiquement hors service, bref, en quelque sorte de le « mettre à l'arrêt » comme on met à l'arrêt un appareil qui dysfonctionne ?

    Usufruit : « droit d'utiliser un bien sans en être propriétaire ».

    L'obligation de me faire injecter un produit nocif pour obtenir des libertés relatives et « à condition de », signifie concrètement que je ne m'appartiens plus, que mon âme n'est que l'usufruitière d'un corps qui appartient en fait à l'État, puisque celui-ci en dispose comme il l'entend.

    Le Système a détruit les peuples. Aujourd'hui, il dissocie l'individu, il le fractionne littéralement. L'État s'empare des corps et les réinitialise à sa guise. La conscience et l'âme ne sont plus que les usufruitières d'un amas de chair, d'os et bientôt de "technologies embarquées". L'injection ouvre ainsi la voie à une séparation du corps et de l'âme. À l'État les corps devenus objets, aux âmes la vaine recherche de leur corps égaré dans l'artefact. Zombies et fantômes, voilà les entités du monde d'après imaginé par Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates.

    L'individu injecté est réduit à l'état de machinerie biologique dont l'État règle désormais le fonctionnement interne. Le moindre dysfonctionnement et c'est la mise à l'arrêt immédiat. Pas de troisième dose ? Alors plus de passe vaccinal, plus de travail, plus de loisirs, plus de vie sociale ! Mais les ingénieurs sociaux vont s'occuper de vous. Un petit réglage ici, une petite contrainte là, un coup de marteau à l'occasion... et voilà votre machinerie qui repart, plus tout à fait la même cependant.

    Nos libertés fondamentales deviennent relatives dans le même temps où il est attendu que notre obéissance soit absolue. Or, dans notre civilisation, l'obéissance à l'Autorité ne se conçoit que du point de vue de la légitimité. L'obéissance est donc par nature "relative" : à l'illégitime, nul n'est censé obéir, tous ont un devoir de résistance. Au contraire, les libertés fondamentales ont toujours eu un caractère absolu : l'autorité qui ne les respecte pas semble injuste et s'expose aux révoltes. Une obéissance absolue et inconditionnelle associée à des libertés fondamentales conçues comme relatives et conditionnelles exprime une inversion des valeurs qui relève d'une approche qui n'appartient pas à la civilisation européenne. Autrement dit, ce chassé-croisé traduit un changement de civilisation.

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  41. Et donc, dans quelle civilisation entrons-nous ? À l'évidence, dans une civilisation qui n'en est plus véritablement une, puisqu'elle ne se détermine pas en fonction d'une grille culturelle, mais d'une hyper-rationalité mécaniciste qui réduit le vivant à des choses. Ici les hommes ne sont plus ni des êtres de culture, ni des êtres de nature, mais de plus en plus des objets et des mécanismes connectés. À terme, ces mécanismes possédés par le Système n'auront pas plus d'âme qu'une machine à laver ou un ordinateur. L'ensemble de ces mécanismes ne formera plus ni un peuple, ni une civilisation, même pas une usine de production, puisque l'intelligence artificielle concentrera toutes les tâches de production. Cet ensemble ne sera plus qu'un résidu d'humanité amoindrie, sans véritable conscience, abruti par des capteurs et des puces RFID qui diront que faire et que penser.

    Il faut en être conscient dès aujourd'hui, avant qu'il ne soit trop tard : quand on accepte d'aliéner son libre-arbitre, quand on accepte de confier son corps et de n'en être plus vraiment le maître, on prend le risque d'être traité comme une chose et d'être ravalé au rang d'objet.

    Et aucune âme ne trouvera sa place dans un objet !

    Le combat qui commence est un combat métaphysique. Il dépasse tout ce que nous avons pu imaginer jusqu'à présent.

    http://www.autochtonisme.com/2022/01/covidisme-les-libertes-conditionnelles-preparent-le-transhumanisme.html

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  42. Dialogue avec un risquophobe

    Une conversation fictive avec un risquophobe. Tant que ces derniers influenceront nos politiciens, il est peu probable que nous sortions de la pandémie.

    Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.

    e 1 février 2022
    David Zaruk


    Les risquophobes sont des personnes qui exigent d’être en sûreté et à l’abri de tout risque à 100 %.

    Portrait d’un risquophobe

    Ils préfèrent que l’État élimine la moindre exposition à tout danger, aussi petit soit-il, et ils ne se soucient pas des avantages perdus en raison de ces restrictions par précaution. Ils sont obnubilés par la peur du danger plutôt que de faire confiance à la gestion des risques.

    Par exemple, si on ne peut pas prouver que des produits chimiques ou des pesticides sont non-toxiques et 100 % sûrs (pour peu que cela signifie quelque chose), ils exigent que les autorités réglementaires les interdisent.

    Si les émissions de gaz carbonique contribuent à produire des effets néfastes en raison du changement climatique, ils exigent qu’on impose immédiatement des politiques zéro-émissions sans se soucier que cela puisse nuire à quelqu’un ou que les technologies existantes puissent être améliorées.

    En tant qu’idéalistes, les risquophobes rêvent d’un monde parfait et s’attendent à des changements radicaux par rapport à la trajectoire que nous suivons actuellement.

    À l’autre extrémité du spectre on trouve les réalistes ou les pragmatiques, qui rêvent d’un monde meilleur et ont le sentiment que la science et la technologie sont sur la bonne voie et vont nous mener progressivement à bon port.

    Je suis généralement dans le camp des progressistes, des réalistes.

    Où vous situez-vous ?

    L’exigence d’une vie en sûreté, pleine de certitudes, sans aucun risque, donne de la matière à des slogans de campagnes militantes qui rapportent gros (sans aucun produit toxique, zéro-risque, zéro-carbone…) et de nombreux politiciens ont pris fait et cause pour cet objectif, comme par exemple le Green Deal en Europe, sans se soucier des effets néfastes pour les populations qu’ils doivent aussi représenter.

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  43. Avec la pandémie de Covid-19, les risquophobes continuent à enfermer des populations et à appliquer des mesures de précaution qui ont de graves conséquences.

    Alors que la dangerosité des variants de la pandémie commence à s’effacer, les risquophobes vont-ils s’arcbouter ou bien vont-ils adopter une stratégie plus raisonnable ? À quel niveau de risque un variant comme Omicron doit-il descendre pour permettre de lever les restrictions répressives sur la société ?

    La suite de cet article est une conversation fictive avec un risquophobe.

    Tant que ces poules mouillées précautionneuses influenceront nos politiciens, j’ai bien peur qu’il soit peu probable que nous sortions de la pandémie.

    Discussion fictive avec un risquophobe
    Risk-Monger : Une étude canadienne vient de conclure que le risque d’être hospitalisé en soins intensifs à cause d’Omicron est 83 % plus faible qu’avec Delta. Il n’est pas vraiment plus grave qu’une variante moyenne de la grippe. Donc… je suppose qu’on peut dire que la pandémie est terminée.

    Risquophobe : Non, pas du tout ! Nous devons rester vigilants et imposer des confinements plus stricts car Omicron se répand plus rapidement et peut encore tuer du monde.

    – Oui mais c’est aussi le cas de la grippe.

    – Mais la grippe n’est pas comme la Covid-19. Le taux d’incidence de ce variant est plus élevé et nous devons protéger les hôpitaux pour éviter qu’ils soient submergés par le coronavirus.

    – Mais la plupart des personnes vaccinées infectées par Omicron ont des symptômes très légers qui ne nécessitent pas un séjour à l’hôpital.

    – Mais tout le monde n’est pas vacciné et tant qu’il restera un bras à piquer, nous ne serons pas en sûreté.

    – Eh bien, tout le monde ne sera pas vacciné. Et puis qui a parlé d’être en sécurité ? C’est un rêve d’idéaliste. Il y aura toujours des risques de virus et des infections. Nous prenons des risques à chaque fois que nous faisons quelque chose.

    – Nous allons imposer le vaccin obligatoire et rendre la vie en société impossible aux non-vaccinés. Comme a dit mon pote Manu, on va les emmerder. Tant que tout le monde n’est pas vacciné, et avec des rappels réguliers, nous ne pouvons pas être certains que ce virus ne mutera pas en quelque chose de plus dangereux.

    – Les virus mutent en permanence, donc c’est normal d’avoir des variants. Chaque année nous avons des variants de la grippe et certaines années sont plus dures que d’autres. En décembre 2019 il y a eu un pic de cas de grippes au Royaume-Uni et le NHS a été débordé. Cela a été un thème important dans la campagne électorale. La BBC a montré des gens qui dormaient par terre à l’hôpital… mais Boris Johnson a été élu quand même.

    – Non ce n’est pas comme la grippe. Le coronavirus est très complexe et se répand extrêmement vite. Tu es un négationniste de la Covid-19 !!!

    – Argh, par pitié, pas la carte du négationnisme. Encore une fois, des études commencent à montrer que le dernier variant est bien atténué. Est-ce qu’on impose une quarantaine d’une semaine à ceux qui se trouvent en contact avec quelqu’un qui a eu la grippe ? Bien sûr que non. Il est temps de sortir de ces confinements par précaution.

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  44. – Ce n’est pas pareil du tout. Il y a plein de gens qui souffrent de covid long.

    – Oui, j’ai eu un covid long et j’ai eu beaucoup de difficultés à travailler et à fonctionner normalement pendant plus de six mois. Mais pour tous les virus il y a des cas où certaines personnes peuvent souffrir d’effets à long terme. Ce phénomène n’est pas spécifique à la Covid-19. J’ai aussi eu la mononucléose il y a cinq ans et c’était vraiment terrible, j’ai été abattu pendant des mois et il y a eu des effets importants sur mes comorbidités.

    – Ce n’est pas la même chose. La Covid-19 s’attaque à toutes les populations à une bien plus grande échelle, même les petits enfants. Et nous ne savons pas vraiment à quel point les risques sont graves.

    – Ah… « nous ne savons pas ! »… je me demandais quand tu allais chanter les louanges du principe de précaution. Ce coronavirus a des effets très faibles sur les jeunes. La plupart sont asymptomatiques ou se remettent très rapidement.

    – Oui, mais certains meurent ou subissent des effets à long terme.

    – C’est vrai que c’est tragique quand des jeunes sont malades mais leur nombre est extrêmement faible et il existe de nombreuses maladies qui affectent tous les âges. Des milliers d’enfants meurent chaque jour de la malaria, mais je ne te vois pas enfermer le monde entier pour eux. Certains ne peuvent pas être sauvés… c’est la réalité, aussi horrible et cruelle soit-elle. Nous devons comparer les risques que le virus fait peser sur notre jeunesse avec les effets de la poursuite des confinements : impacts sur la santé mentale, addictions, violence domestique, déficit d’enseignement et pertes économiques… Ces conséquences ont de graves effets sur les jeunes actuellement.

    – Nous sommes dans le même bateau. Personne n’aime ces confinements, mais la vie normale ne reviendra jamais. Avec la Covid-19 le monde a changé. Nous avons besoin de mesures de précaution pour arrêter le virus ; lorsque nous sommes confinés nous admettons que la seule chose qui compte ce sont les souffrances causées par la Covid-19.

    – Oui mais tu vis dans une belle maison, avec un accès facile à la technologie et un emploi qui te permet de télétravailler. Je soupçonne que la poursuite des confinements t’arrange bien alors que beaucoup d’autres (les jeunes et les plus vulnérables économiquement) ont vraiment du mal avec les décisions prises par ceux qui répandent le virus.

    – Avec les confinements nous protégeons les plus vulnérables qui devraient sortir pour aller travailler. La Covid-19 a tout changé. Nous ne pouvons plus nous permettre de prendre des risques avec la santé publique, nous devons faire ce que nous pouvons pour que chacun soit en sécurité.

    – Il y aura toujours des risques de santé publique. Un grand nombre de personnes sont mortes à cause d’aliments avariés ou d’infections bactériennes, jusqu’à ce que nous améliorions nos technologies. Encore une fois, la sûreté n’existe pas. Nous devons travailler à réduire l’exposition pour que les gens soient davantage en sécurité jusqu’à un certain point mais il y aura toujours des risques. Le fait de traverser la rue peut te tuer. Le fait d’enfermer les gens à domicile produit aussi de graves risques de santé. À cause de ces effets, les confinements par précaution devraient être utilisés en dernier ressort et non pas en premier et unique réflexe.

    – Le rôle de nos dirigeants c’est de nous garder en sécurité et nous ne le serons pas tant qu’il y aura des cas. Avec Omicron il y a un pic de cas.

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  45. – Nos dirigeants se soucient juste de limiter la circulation du virus pour protéger les hôpitaux et l’infrastructure. Il est de la responsabilité de chacun de réduire son exposition et de se maintenir en meilleure sûreté.

    – Mais tout le monde ne pense pas comme moi, certains ne font pas attention. C’est pour cela que nous devons imposer des mesures coercitives et réduire les déplacements.

    – La plupart des individus sont raisonnables et si on les informe ils prennent des décisions responsables. Quand on impose des mesures coercitives, qu’on impose des décisions et qu’on les laisse souffrir pendant un temps indéterminé sans leur faire confiance, ils ont tendance à devenir moins rationnels.

    – Et c’est pour ça qu’il faut continuer à imposer des confinements. Même peu nombreux, ces irresponsables sont une menace pour nous tous.

    – Je comprends que tu as besoin d’un exutoire à ton sentiment d’être agressé, mais les dirigeants sont en train de perdre la confiance du public. Il y a maintenant une foule de personnes qui ne croient plus ce que leur dit l’administration et qui ne respectent plus ses décisions.

    – C’est parce qu’il y a une grosse campagne de désinformation menée par les antivax et les négationnistes de la Covid-19.

    – Ce n’est pas ça du tout. En dehors d’un petit noyau d’opportunistes antivax qui ont toujours existé et dont la plupart ont été bannis des plateformes, la plupart des gens voient que les risques des vaccins sont très faibles et veulent reprendre le cours de leur vie. Tes attaques contre les délires des antivax ne font que les renforcer en répandant leur propagande et en leur donnant une plus grande tribune pour prêcher leur cause.

    – Ils nous empêchent d’atteindre un niveau de protection de 100 % et de gagner cette guerre.

    – Les taux de vaccination dans la plupart des pays sont plutôt élevés, mais on a promis aux gens qu’avec le vaccin ils retrouveraient une vie normale.

    – Eh bien maintenant il faut des rappels.

    – Allons-nous commencer à administrer des rappels tous les mois quand chaque variant fera son apparition ? Les vaccins servent à renforcer la réponse du système immunitaire, pas à la remplacer. Les gens ne vont pas se faire vacciner continuellement si les effets des variants continuent à se réduire et ils pourraient décider de se passer d’autres vaccins plus importants. C’est une question de confiance et non de sûreté. Tes exigences idéalistes plaquées sur un monde pragmatique détruisent la confiance.

    – Et donc que proposes-tu ?

    – Une véritable gestion des risques. Protéger les plus vulnérables, donner aux individus le moyen de se garder eux-mêmes plus en sécurité et apprendre à vivre avec le virus. Il est temps de dire Stop à cette pandémie et de commencer à gérer la phase endémique.

    – Mais nous ne pourrons pas garder chacun en sûreté. Il y aura encore trop de morts.

    – Depuis quand as-tu décidé d’embrasser la mission messianique de sauver tout le monde ? On meurt. C’est hélas la seule chose certaine dans la vie.

    https://www.contrepoints.org/2022/02/01/420525-dialogue-avec-un-risquophobe

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    1. Justement l'autre jour on regardait un film de 1975 "L'enfant bulle" avec John Travolta. Ils parlaient d'un 'filtre à microbes' !! et qu'il ne prenait jamais de bain ou de douche car l'eau était pleine de microbes et qu'il fallait longtemps pour la décontaminer !! Hahaha !

      C'est le type d’âneries qui datent de 47 ans mais qui se reproduit encore aujourd'hui !! "Les filtres à virus" HAHAHAHA ! T'as un maillage de 150 microns d'écart et le dit virus lui ne mesure que 0,1 à 0,5 micron ! et des gros cons disent de porter des masques et les gros cons en portent ! HAHAHA ! (Pour l'eau des douches et bains, suffit de faire bouillir l'eau avant de s'en servir. C'est tout !).

      Regardons ce qu'est appelé 'covide long' !. Sachant que TOUT LE MONDE respire 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE (AVEC ou SANS masque), ils ne peuvent que constater que vous en avez respiré DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis votre naissance (et que vous n'êtes pas mort(e) !!), donc: ils trouvent des virus (poussières respirées) et vous annoncent qu'ils portent des maillots 'covide19' de l'équipe 'Diktator-Dépopulation21' donc: ILS DOIVENT VOUS PIQUEEEEEEER !
      HAHAHAHA !

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  46. Covidisme : la religion de l’illusion scientifique et le nouvel attentat contre les peuples


    par Sébastien Renault.
    29 janvier 2022


    1. Le covidisme comme religion

    Dans la religion sanitaire du covidisme, la Science tient lieu d’ultime déité et l’industrie pharmaceutique d’église universelle. À la tête de cette église, Fauci assume la fonction pontificale (jouissant d’une infaillibilité dont nul ne saurait douter, sous peine d’anathème), assisté des médecins tenant lieu de nouveau clergé – prêtres covidistes offrant le sacrifice des victimes qu’on ne soigne plus depuis l’instauration de cette nouvelle religion ; ou encore celui des enfants en parfaite santé et n’encourant aucun risque, inoculés sur l’autel de la « sainte » peur d’un virus dont le taux de survie est supérieur à celui de la grippe saisonnière…

    Au centre du culte sanitaire sacrificiel de cette nouvelle église, le « vaccin » à ARN messager tient lieu de sacrement, gage de l’ultime salut (ne pas être infecté par le SRAS-CoV-2). Religion collectiviste de la soumission au contrôle social hygiéniste, le covidisme missionnaire prêche par-dessus tout l’altruisme « vaccinal » du signalement social vertueux, pour faire en sorte que soit réalisé le plus grand de ses commandements : « Tu ne contamineras pas autrui du SRAS-CoV-2 ! » – commandement d’application strictement rigoureuse et exclusive à ce virus particulier, auquel échappent donc les autres virus bien connus, tels que le VIH-1.

    Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, passer par le sacrement « vaccinal » relève du plus haut devoir catégorique de responsabilité citoyenne envers autrui, dont l’exigence impérieuse réinstitue aujourd’hui cet ordre moral universel que le relativisme avait pourtant pris soin de reléguer au domaine des opinions et des préférences de chacun. Ceux qui s’y refusent sont par conséquent dénoncés et exécrés pour leur résistance irresponsable.

    Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, le prolongement des mesures étatiques de restriction et l’apparition de nouvelles vagues du virus sont donc naturellement imputés aux hérétiques « anti-vaccinaux », barbares ignorantins de l’antiscience complotiste qui répugnent aux bienfaits d’un produit pourtant « miraculeux » et maintiennent ainsi le reste du monde dans un état d’urgence et de grande vulnérabilité face à une menace virale sans précédent…

    L’une des principales forces de la religion covidiste scientiste réside dans l’efficacité médiatique de son accusation antiscientifique d’ « antiscience » dirigée contre quiconque oserait garder un esprit critique ouvert, comme le veut la méthode propre et sous-entendue par la pratique même de la science qui peut encore en porter le nom. La religion covidiste et son clergé politico-médical, jouant du mirage d’une autorité intellectuelle usurpée par l’hégémonisme du pouvoir narratif GAFAMI-que, vivent ainsi dans l’illusion d’un ascendant scientifique hors de doute sur leurs détracteurs « complotistes » insubordonnés et donc de facto ignorantistes.

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  47. Depuis le début de la dictature sanitaire, l’épouvantail du complotisme a été brandi afin de faire porter le chapeau de la désinformation à ceux qui, en réalité, l’exposent et la récusent. Le temps est venu de se souvenir que les plus grandes tragédies de retentissement civilisationnel ne sont pas incitées par les gens qui s’autorisent à penser librement, mais bien par ceux qui se plient comme des bêtes aveugles et muselées au bon vouloir d’autorités attentatoires et corrompues jusqu’à la moelle, comme le sont celles qui dirigent aujourd’hui la France.

    Il n’est pas difficile d’observer que la situation est pire aujourd’hui qu’il y a un an après le lancement de la grande campagne de « vaccination » expérimentale. Et que les autorités chargées d’assurer l’exécution de cette déstructuration sanitaire sans précédent n’en sont pas moins déterminées à trouver un moyen d’en justifier et d’en cautionner l’inqualifiable politique avec la toute récente validation du « paSS vaccinal »1, désormais en vigueur, et pour quels résultats (voir, par exemple, l’analyse perspicace et tout simplement factuelle de l’éditorialiste de RT France, Alexis Poulin, en guise de réponse aux contresens et aux tours de passe-passe de Gabriel Attal lors de sa conférence de presse du 26 janvier 2022) !

    Ce billet se veut des plus courts, pour se concentrer sur un aspect particulier de l’illusion du scientisme « covido-vaccinal » censé corroborer le narratif de l’efficacité des injections expérimentales en phase III et le bien-fondé de la loi du 22 janvier 2022 transformant le « paSS sanitaire » en un « paSS vaccinal », avec l’aval du croupissant Conseil constitutionnel…

    2. Ce qui est nouveau : les statistiques sur les effets de l’inoculation antigénique

    Revenons d’abord sur trois observations fondamentales, qui suffisent à elles seules à démontrer la supercherie de « l’efficacité » (et de l’innocuité) des injections dites « anti-covid », ainsi que l’imposture politique votée par le sénat et l’Assemblée nationale, objet d’une ratification indigne et sans surprise de la part des charognes du Conseil constitutionnel (sous la présidence de l’immonde Fabius, figure centrale du scandale sanitaire du sang contaminé, tout le monde s’en souvient).

    En quoi cette thérapie génique expérimentale est-elle une solution viable :

    1) si elle ne protège pas contre l’infection par le virus (si l’on considère le nombre de cas hospitalisés aujourd’hui en France, selon les données du DREES ; ou, plus généralement, le nombre total de doses de « vaccin » administrées à travers le monde par rapport au nombre total de nouveaux cas déclarés, voir les données officielles du Johns Hopkins Coronavirus Resource Center) ;

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  48. 2) si elle ne réduit pas la surmortalité (un fait qui nous saute aux yeux) ;

    3) si elle doit être administrée à nouveau tous les trois mois sous la forme d’une injection de rappel (ce qui est précisément le cas, sous le programme actuel d’ « abonnement vaccinal » étatique de rigueur) ?
    Prenons simplement le cas de la France au jour du 27 janvier 2022, d’après le tableau de mise à jour statistique quotidienne du Centre pour la science et l’ingénierie des systèmes de l’université de Johns Hopkins aux États-Unis (voir ci-dessous). Les données recueillies mettent en relief le rapport du nombre de doses d’injections administrées ces derniers 28 jours (12 867 141) avec celui des cas positifs déclarés sur la base de la même mesure temporelle de 28 jours (8 209 254). Au lieu de constater une réduction des cas positifs en proportion de l’administration de la troisième dose ces dernières semaines, on remarque qu’elles comprennent la période au cours de laquelle on n’a jamais autant recensé de cas positifs (fin 2021-début 2022, comme nous le signalons en encerclant en jaune les portions des deux graphiques sur la droite, le nombre de cas recensés par semaine en rouge et celui des « vaccins administrés » par semaine en vert).

    Le dernier rapport statistique de santé publique en Écosse, le COVID-19 & Winter Statistical Report, publié le 19 janvier dernier, a mis en évidence l’inefficacité des deux doses de l’injection à ARN messager (chose désormais avérée et corroborée de la bouche même du PDG de Pfizer, Albert Bourla). Comme en France, le comparatif du volume d’hospitalisations récentes de personnes doublement et triplement « vaccinées » par rapport à celui des personnes « non vaccinées » montre clairement que, malgré le facteur de manipulation statistique qu’il faut de toute façon toujours inclure, la tendance vers l’augmentation des cas se situe du côté des personnes doublement « vaccinées » et « boostées ». Données qui portent atteinte à l’opération unilatérale de persuasion médiatique autour de l’efficacité des « vaccins ». Ce qui explique que les auteurs de ce rapport et du rapport de l’UKHSA (voir ci-dessous) tentent d’en atténuer la signification, comme on peut le lire sous les graphiques, en légende.

    De même, en tenant compte du critère de disparité des situations d’admissions hospitalières et de développements symptomatologiques directement ou indirectement liés à l’incidence du virus :

    D’après les données du dernier rapport de surveillance de l’Agence britannique gouvernementale de sécurité sanitaire (l’UKHSA), daté du 20 janvier 2022, la différence de taux de cas positifs nouveaux au sein des trois groupes d’individus respectivement « non-vaccinés », doublement « vaccinés » et triplement « vaccinés » (« boostés » une fois) indique clairement que l’épidémie poly-mutée (via « Omicron ») se propage davantage parmi les groupes d’individus doublement et triplement injectés que parmi les individus n’ayant pas reçu la moindre dose.

    Nombres de cas déclarés par statut « vaccinal » (entre le 26 décembre 2021 et le 16 janvier 2022) :

    Comparons encore, sous forme d’histogramme, ce que montrent ces données de l’UKHSA sur une base de surveillance épidémiologique de 100 000 habitants :

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  49. - voir graph sur site -

    En termes comparatifs de taux de mortalité, également pour 100 000 habitants :

    - voir graph sur site -

    La question s’impose donc, à quiconque est encore disposé à regarder la réalité en face : dans quelle mesure ces produits expérimentaux à ARN messager augmentent-ils le risque d’infection et de réinfection par le SRAS-CoV-2 ?

    C’est bien-là, à notre avis, le nœud du problème authentiquement scientifique aujourd’hui.

    En exposant le monde à une version homogène du SRAS-CoV-2 et en injectant une concoction génique faisant produire par le corps une seule version de l’ensemble de protéines de pointe de ce coronavirus particulier, le système immunitaire de milliards de personnes aujourd’hui « vaccinées » et « boostées » se fébrilise pour ne plus reconnaître que cet assemblage protéinique de surface immunologiquement accaparant (parce que ciblé pour induire la formation d’anticorps), par conditionnement artificiel « vaccinal ». Cet affaiblissement immunitaire à grande échelle se traduit par ce qu’on appelle le « péché antigénique originel »2.

    Ce mécanisme explique pourquoi les populations infectées, « vaccinées », et réinfectées par le SRAS-CoV-2 ne développent pas d’immunité contre sa protéine N (nucléocapside).

    Les injections à ARN messager fournissent les anticorps neutres, dont la fonction consiste à identifier la protéine S du SARS-CoV-2 (à l’état de pré-fusion), mais sans induire d’immunité neutralisante protectrice. Les populations aujourd’hui plusieurs fois « vaccinées » à coups de thérapie génique expérimentale sont donc en train de « combattre » un virus dont la protéine de pointe a déjà tellement « transmuté » que les anticorps neutralisants n’ont plus lieu de fonctionner. Ne restent que les anticorps « neutres » et le concours des anticorps « facilitants » à ce mécanisme qualifié, à juste titre, de phénomène de « facilitation dépendante des anticorps »3. C’est cette aggravation de la pathologie covid par le biais d’une facilitation dépendante des anticorps induite par les « vaccins »4 qui nous semble être l’objet d’investigation le plus urgent.

    3. Conditionnement et dégradation immunitaires artificiels

    Un virus est constitué d’un grand nombre de protéines différant d’un virion à l’autre. Les nouvelles injections conditionnent le système immunitaire des « vaccinés » de telle sorte qu’il se concentre sur l’identification et la neutralisation d’une seule protéine, la protéine dite « de pointe »5, au détriment des autres protéines du SRAS-CoV-2, qui ont ainsi libre court.

    En administrant ces « vaccins », jusqu’à 9,8 milliards d’individus à ce jour, l’église pharmaco-covidiste est parvenue à conditionner une fortification immunitaire de plus en plus étriquée au sein des populations « vaccinées » et « super-vaccinées » (« boostées »), protection atrophiée que le SRAS-CoV-2 contourne aujourd’hui avec aisance, comme en atteste le nombre élevé de réinfections parmi les « vaccinées ». L’administration des « boosters » de rappel s’avère crucial à cet effet, puisqu’ils homogénéisent d’abord la réponse immunitaire des populations contre la protéine de pointe des premières souches du SRAS-CoV-2, tout en raréfiant leur capacité à produire des anticorps non facilitants, par exemple contre la protéine nucléocapside.

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  50. Avec chaque injection de rappel, on peut donc craindre de voir se réduire encore plus la capacité défensive et le déploiement offensif de leurs réponses immunitaires. Cela signifie qu’à court terme, les « boosters » apparaissent à priori efficaces parce qu’ils renforcent la réponse immunitaire « de surface ». Mais à long terme, la qualité défensive et neutralisante de cette réponse va en se dégradant, comme on peut de plus en plus le mesurer.

    Les données chiffrées montrent aujourd’hui que c’est ce qui est en train de se passer : les « vaccins » anti-covid, qui n’exercent pas la moindre action stérilisante, rendent leurs récipients « giga-vaccinés » de plus en plus vulnérables à un virus qui évolue de sorte à exploiter à son profit mutationnel leur réponse immunitaire induite par les injections géniques – produits synthétiques qui ne peuvent promouvoir qu’une immunisation artificielle à court terme.

    La fabrication d’une réponse immunitaire artificielle entièrement concentrée sur une poignée d’épitopes spécifiques de la protéine S est donc en train de servir de facilitateurs de nouveaux variants et de sous-variants d’ « Omicron » [5] (« BA.2 », « BA.3 », …) de plus en plus aptes à dérouter et esquiver les remparts immunitaires naturels de l’humanité. Il s’agit d’une situation inédite qui est en train de susciter le développement d’un marché intarissable de « clients » immunodéficients, pour le plus grand bénéfice du complexe médico-pharmaceutique6.

    Les nouveaux variants du SRAS-CoV-2 apprennent aujourd’hui à survivre, à se propager et à étendre l’efficacité de leurs actions infectieuses au sein des populations artificiellement « vaccinées ». Car, sans l’activation d’anticorps neutralisants (fournis par notre immunité naturelle lorsque nous avons été exposés à un virus), les injections à ARN messager dites « anti-covid » n’offrent aucune protection, au sens réel et durable du terme.

    Les principaux anticorps induits par les injections géniques et leurs doses de rappel se concentrent sur une version obsolète de la protéine S du SRAS-COV-2. Les portes immunitaires sont dès lors grandes ouvertes et les poly-mutations d’ « Omicron » ne se font pas prier pour entrer et prendre le dessus sur les quelques excédents d’anticorps neutralisants (aisément dépassés par la vitesse de mutation d’ « Omicron »), en fédérant toujours plus d’anticorps non neutralisants (facilitants) par l’entremise des populations aujourd’hui triplement « vaccinées » et bientôt en passe de l’être une quatrième fois, moyennant un deuxième « booster » – ce qu’Israël vient tout juste d’autoriser pour tous ses citoyens de plus de 18 ans souffrant (déjà) de pathologies susceptibles de les rendre « plus vulnérables au virus »7. Rappelons où en est Israël en termes de cas déclarés par semaine ces 28 derniers jours et de taux de « vaccination » (principalement le « booster ») :

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  51. - voir graph sur site -

    À noter, au demeurant, que ces nouveaux « vaccins » n’induisent que la formation d’immunoglobulines de type G (IgG) et A circulantes (IgAc), qui ne protègent pas efficacement les muqueuses, contrairement aux immunoglobulines A sécrétoires (IgAs), responsables notamment de la protection de la muqueuse respiratoire.

    Dans la mesure du possible8, des vaccins à proprement parler auraient dû être fabriqués (ou être aujourd’hui en cours de fabrication) à partir de l’ensemble de l’éventail protéinique viral non-pathogénique qui constitue le SRAS-CoV-2. Au lieu de cela, ce que les grands laboratoires pharmaceutiques ont préféré produire en un temps record, ô miracle, ce sont des injections élaborées à partir du seul « péplomère » toxique (la protéine S de la souche de Wuhan) qui ne représente qu’une petite portion de la structure totale du même virus.

    Compte tenu de la logique d’entêtement obstiné des campagnes de piqûres de rappel qu’inspire la religion fanatique de l’illusion « scientifique » covidiste, nous pouvons prédire, sur la base des principes que nous avons ici brièvement évoqués, qu’une quatrième dose de ces nouveaux produits « vaccinaux » n’a d’autre vocation qu’à produire les mêmes résultats que la troisième, poursuivant ainsi le processus de déclin immunitaire des populations « vaccinées ». Ce sur quoi nous avons ici voulu insister, sans approfondir plus avant, tient dans la conclusion suivante : la portée de la réponse immunitaire des populations aujourd’hui « vaccinées » et « boostées » à coups d’injections synthétiques spécifiquement élaborées et calibrées sur la base virale toxique de la protéine S va continuer à décroître en fonction du nombre de leur administration sous forme de « doses de rappel » promulguées par les principaux gouvernements du monde, de concert avec les grandes compagnies pharmaceutiques. Il nous faut sortir de toute urgence, en tant que civilisation, de ce cercle des plus vicieux…

    4. Recapitulons

    Les injections expérimentales à ARN messager ne font rien d’autre que de désorganiser le système immunitaire d’une personne injectée. À fortiori si l’on s’entête (à la manière du gouvernement du virus présidentiel « Omacron ») à injecter ce genre de produits, aussi inefficaces soient-ils à endiguer la propagation d’un virus tel que le SARS-CoV-2 et ses nouvelles lignées en mutation rapide – sans rien dire des pléthores de réactions indésirables dérivant de ces processus de type auto-immune que peuvent peu ou prou susciter (et que suscitent déjà effectivement) de telles technologies géniques injectées et réinjectées par rappel dans l’organisme humain.

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  52. Dans ces conditions, les abonnés à ce nouveau système étatique de « vaccins » non-stérilisants auront toujours besoin d’une nouvelle injection « optimisée » à ARN messager pour le restant de leurs jours, puisque ces produits n’ont aucune efficacité réelle à long terme contre les coronavirus, en premier lieu contre le SRAS-CoV-2.

    Une réponse immunitaire adaptative face aux nouveaux agents pathogènes présents dans notre environnement doit par ailleurs être diversifiée pour assurer la mitigation de leur force de pénétration virale. Si nous répondions tous de la même manière aux agressions virales, moyennant la même réponse immunitaire parfaitement homogénéisée, les agents pathogènes auraient tôt fait de s’organiser de façon à contourner et à désactiver nos principaux mécanismes de défense et de contre-attaque.

    À contrario, si tel agent pathogène se propage d’un individu à un autre, mais que le système immunitaire de chaque individu en prévient la tentative d’intrusion collective en contre-attaquant de manière différenciée, l’agent pathogène en question sera plus sûrement contrecarré dans sa tentative de maximiser son action et sa potentialité mutationnelle. Les changements les plus subtils qui lui permettent de mieux se répliquer chez tel individu ne le laisseront pas en faire de même chez d’autres individus. Son extension virale sera par-là naturellement contrôlée.

    Ce qui explique que les divers coronavirus aient toujours fini par devenir bénins et endémiques au fil du temps au sein des groupes et des écosystèmes humains. Laissés à leurs propres mécanismes mutationnels potentiels, ils ne peuvent que très difficilement déclencher une nouvelle vague de propagation infectieuse naturelle. Les micromutations qui surviennent dans quelque région restreinte de telle forme ou sous-groupe de « virus en couronne » n’aura pas suffisamment d’incidence invasive sur la capacité immunitaire de la plupart des individus à identifier puis à repousser une tentative d’intrusion modifiée. De nombreuses mutations s’avèrent nécessaires pour assurer la survie et l’optimisation de ce genre de virus face aux multiples mécanismes de défense de notre arsenal immunitaire naturel. Ce pourquoi, malgré l’émergence et l’essor du SRAS et du MERS avant le SRAS-CoV-2, l’humanité a su faire face à ces syndromes respiratoires, sans vaccins (qui n’ont jamais été développés avec succès contre les Coronaviridae).

    En distillant ces injections à ARN messager à travers le monde entier sous couvert de moyen de sauver les gens de l’emprise viral du SRAS-CoV-2, le complexe médico-pharmaceutique ne cache que très mal sa détermination à réduire de manière drastique l’étendue et la qualité de la réponse immunitaire chez les « vaccinés ». Le système de rappels réguliers désormais en place va accentuer le déclin de l’immunité médiée par les anticorps chez les milliards d’abonnés à cette inoculation mondialiste d’une nouvelle ère de « Grande réinitialisation ».

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  53. Parler de phénomène de « renforcement de l’infection par les anticorps » signifie en outre que le virus accentue sa capacité à utiliser les anticorps sériques qui s’estompent chez les individus déjà plusieurs fois injectés afin d’épuiser progressivement leur immunité humorale et de les rendre plus vulnérables à une nouvelle infection.

    C’est ce que nous observons aujourd’hui : le virus gagnant en résilience par mutation et par exploitation de la réponse immunitaire induite artificiellement par les injections à ARN messager (en se concentrant uniquement sur la séquence de la protéine S du SRAS-CoV-2), pour finalement renforcer son emprise infectieuse au sein des populations plusieurs fois inoculées en l’espace de tout juste quelques mois…

    Le continent aujourd’hui le plus épargné par le SRAS-COV-2, le continent africain, est précisément celui où les dirigeants ont fait le choix intelligent et parfaitement fondé d’épargner à leurs populations ces campagnes unilatérales d’injections géniques expérimentales. Nous avons ci-dessous sélectionné trois grands pays d’Afrique (l’Afrique du Sud, l’Algérie et l’Angola) pour l’illustrer visuellement, toujours selon les données publiques du Centre pour la science et l’ingénierie des systèmes de l’université de Johns Hopkins aux États-Unis, au jour du 26 janvier 2022. Par contraste, les pays aujourd’hui où l’on « vaccine » le plus (Israël, Danemark, France, États-Unis, Australie, Allemagne, Royaume-Unis, …) connaissent des rebonds continuels d’infections par le SRAS-COV-2. Schéma observé partout où l’on a mis en œuvre la stratégie du tout « vaccinal », au nom de la grande idole scientiste et sanitaire du culte covidiocratique. À croire que nous sommes en train d’assister à quelque phénomène de rétroaction positive par l’intermédiaire des populations les plus systématiquement et répétitivement « vaccinées ».

    Vous avez dit bizarre ? Sauf si l’on comprend que ces nouveaux « vaccins » affaiblissent progressivement le système immunitaire des peuples et facilitent de ce fait la contamination et recontamination en boucle, particulièrement des « vaccinés ».

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    Sous forme d’histogramme, voici les taux des statuts « vaccinaux » combinés par pays :

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    Et ceux des « boosters » administrés par pays (Angola, avec un taux de 0,03 %, n’apparaît pas sur ce graphique) :

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    Pour finir et pour ne comparer que la France et l’Afrique du Sud en termes de cas confirmés par millions d’habitants :

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    « Omicron » serait-il en arrêt travail en Afrique du Sud ? Ou bien, se pourrait-il que la disparité particulièrement prononcée en termes d’administration des « vaccins », notamment l’administration des injections de rappel ces dernières mois, y soit pour quelque chose ?

    - voir graph sur site -

    Alors que de nombreux pays commencent à faire machine arrière sur ce plan liberticide et factuellement contre-productif : https://reseauinternational.net/dans-presque-tous-les-pays-le-coronacircus-est-en-train-de-se-terminer/.

    Original antigenic sin: A comprehensive review – PubMed (nih.gov).

    A review: Antibody-dependent enhancement in COVID-19: The not so friendly side of antibodies (nih.gov).
    Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID‐19 vaccines worsening clinical disease | International Journal of Clinical Practice.

    Lequel, au demeurant, « échappe à la majorité des anticorps neutralisants du SRAS-CoV-2 existants », comme le fait apparaître une étude intéressante et minutieuse : Omicron escapes the majority of existing SARS-CoV-2 neutralizing antibodies | bioRxiv.

    On pourrait croire que ce qui suit ne s’applique qu’aux injections à ARN modifié qu’on nous impose en Occident. Mais il est à craindre que cela s’applique à toutes sortes de produits qui sont redéfinis aujourd’hui sous le titre de « vaccins », et pas seulement au messager ARN. L’objectif est de mettre en place un cadre « sanitaire » généralisé pour la nouvelle humanité dans lequel les virus artificiels, effectivement conçus comme des armes biologiques subtiles, peuvent se diffuser de plus en plus aisément au sein des population à abonnement « vaccinal », en générant sans cesse de nouvelles opportunités de sous-mutations par le biais même de l’immunodéficience « vaccinale ». C’est une première, mais sur la base de ce qui s’est fait depuis les débuts de la vaccination, dont l’OMS reconnaît qu’elle sert à « réguler la fécondité » ; cela a donné lieu à plusieurs scandales, lors de campagnes de vaccination douteuse au moyen des vaccins stérilisants dans les pays du tiers-monde (voir : https://reseauinternational.net/rapport-de-loms-les-vaccins-regulateurs-de-la-fecondite/).

    COVID-19: Israel authorises fourth vaccine dose for vulnerable people aged 18 and above (republicworld.com).

    Ce qui n’est pas le cas avec les coronavirus, contre lesquels nous ne disposons pas de vaccins appropriés.

    https://reseauinternational.net/covidisme-la-religion-de-lillusion-scientifique-et-le-nouvel-attentat-contre-les-peuples/

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    1. D'abord, ils te disent que tu vas être malade. Puis que T'ES malade ! T'es en très bonne santé mais t'es ASYMPTOMATIQUE ! T'as compris ? Asymptomatique ça veut dire que TU te sens pas malade mais que tu l'es ! Donc là: ils te piquent ! Et là T'es malade ! Malade à en mourir ! Tu va chier 50 fois par jours ! Tu souffres ! Donc là arrive le remède délivré par téléphone: Laaa moooort !

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  55. La liberté d’entreprendre est-elle menacée en France ?

    La liberté d’entreprendre reste fragile en France, menacée par les taxes, les réglementations et l’écologie.


    le 1 février 2022
    Par Philbert Carbon.
    Un article de l’IREF Europe


    Une grande enquête mondiale (44 400 personnes interrogées dans 55 pays) menée par sept organisations dont, pour la France, la Fondapol, un think tank proche du parti Les Républicains, vient de paraître. Intitulée « Libertés : l’épreuve du siècle », elle traite d’une multitude de sujets : des menaces extérieures (notamment chinoise, russe et turque) aux enjeux sécuritaires intérieurs (délinquance, terrorisme, immigration, islamisme), en passant par la peur du déclassement économique ou celle des Gafam, mais aussi la solidité de l’idéal démocratique, le rejet des partis politiques, etc.

    Près d’un million d’entreprises créées en France en 2021

    Chez les Français interrogés, la proposition en faveur de la liberté des entreprises recueille 57 %. Un chiffre qui n’est pas une surprise quand on voit combien l’entrepreneuriat a du succès dans notre pays. En effet, l’Insee a révélé vendredi 14 janvier que le total des créations d’entreprises s’est élevé, en 2021, à 995 868, soit 17,4 % de plus qu’en 2020. Un nouveau record historique.

    Parallèlement, le président de la République a célébré sur Twitter la 25ème licorne française, s’en attribuant presque le mérite. L’objectif d’avoir 25 licornes en France fixé par Emmanuel Macron pour 2025 a donc été atteint avec trois ans d’avance. À cela doivent être ajoutés les 11,6 milliards d’euros levés par les startups françaises en 2021, selon le baromètre EY du capital-risque. Un chiffre en hausse de 115 % par rapport à 2020. Enfin, n’oublions pas les 4 milliards d’euros d’investissements étrangers, pour 21 projets, annoncés, là encore, par Emmanuel Macron la semaine dernière.

    La France serait devenue un paradis pour les entrepreneurs, une véritable « startup nation » pour reprendre les propos présidentiels. Certes, Emmanuel Macron et ses gouvernements ont mis en œuvre des réformes favorables aux entreprises – ordonnances travail, réforme de l’assurance chômage, baisse de l’impôt sur les sociétés et des impôts de production – mais celles-ci sont encore insuffisantes pour transformer réellement le pays.

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  56. Des chiffres en trompe-l’œil

    Par ailleurs, sans vouloir jouer les rabat-joie, force est de constater que les chiffres mis en exergue par l’Élysée doivent être relativisés.

    À propos des créations d’entreprises, il faut préciser que près des deux tiers d’entre elles (641 543) sont le fait d’autoentrepreneurs. Avant la pandémie, en 2019, 68,4 % des autoentrepreneurs généraient un chiffre d’affaires et parmi ceux-ci, près de 25 % ne dégageait que 1000 euros de revenus de leur activité. Le revenu moyen des autoentrepreneurs était, toujours en 2019, de 6082 euros ! Autant dire que beaucoup ne vivent pas de leur activité et rien ne dit qu’ils y arriveront un jour, ni qu’ils créeront des emplois.

    Concernant les licornes, précisons d’abord que le terme a été inventé en 2013 par Aileen Lee pour désigner une startup, non cotée en bourse et non filiale d’un grand groupe, valorisée à plus d’un milliard de dollars. Il conviendrait de tenir compte de l’inflation et d’augmenter le chiffre de 20 %. Si l’on ne prend donc en compte que les licornes françaises valorisées plus de 1,2 milliard de dollars, il n’en reste plus que 17.

    Par ailleurs, si les licornes se multiplient en France (et en Europe), c’est en partie sous l’effet des milliards dépensés pour soutenir l’économie pendant la pandémie et de ceux qui ont été injectés par la Banque centrale européenne depuis des années. Toutefois, s’il semble que nous ayons désormais dépassé l’Allemagne en nombre de licornes (tout en restant derrière le Royaume-Uni), n’oublions pas que notre voisine d’outre-Rhin a 2,6 fois plus d’ETI (entreprises de taille intermédiaire) que la France, des entreprises à l’actionnariat familial solide et ayant fait la preuve de leur résistance, ce qui n’est pas encore le cas des licornes.

    Sur les levées de fonds – 11,6 milliards d’euros en 2021 –, précisons qu’au Royaume-Uni les startups ont levé 32,4 milliards (+155 % vs 2020) et en Allemagne, 16,2 milliards (+209 %). Par ailleurs, les montants investis ont été de 7,61 milliards d’euros en Suède (soit 1,5 fois moins que la France pour 6,5 fois moins d’habitants) et de 5,86 milliards aux Pays-Bas (soit 1,9 fois moins que la France pour 3,8 fois moins d’habitants).

    Enfin, à propos des investissements étrangers, il est vrai que la France est le pays le plus attractif d’Europe. Cependant, il est aussi moins résilient que ses principaux rivaux : en 2020, 60 % des projets annoncés en France étaient européens, contre 41 % au Royaume-Uni ; seulement 8 % provenaient des pays émergents, contre 17 % au Royaume-Uni et 25 % en Allemagne ; 15 % des projets concernaient le secteur technologique contre 31 % au Royaume-Uni ; un projet d’implantation générait en moyenne 34 emplois en France, contre 48 en Allemagne et 61 au Royaume-Uni.

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  57. La liberté de l’entrepreneur reste fragile

    Bref, si l’entrepreneuriat se porte plutôt bien en France, il convient de ne pas faire dire aux chiffres ce qu’ils ne disent pas et de se montrer d’autant plus modeste que ces bonnes nouvelles restent fragiles.

    Elles le sont d’autant plus, en cette période électorale, que nombre de candidats avancent des propositions néfastes pour l’entreprise.

    En effet, Roussel veut nationaliser de grandes entreprises, bloquer certains prix et augmenter le smic, mais aussi tous les salaires du privé (et du public).

    Mélenchon veut rétablir l’ISF, bloquer les prix des produits et services de première nécessité, augmenter les salaires, ramener l’âge de la retraite à 60 ans, taxer les transactions financières, geler les dividendes, capturer les héritages importants.

    Hidalgo entend créer un ISF « climatique », augmenter tous les salaires de 15 %, limiter le montant des hauts salaires, taxer davantage les successions, augmenter la taxe carbone.

    Jadot défend également l’idée d’un ISF « climatique », tout comme il souhaite augmenter le smic, réduire le temps de travail, donner un droit de regard aux salariés sur la rémunération de leurs dirigeants.

    Le Pen veut abaisser l’âge de la retraite, rétablir l’ISF, nationaliser les autoroutes.

    Même Emmanuel Macron rêve de s’en prendre à l’héritage, si l’on se fie à la série de rapports publics publiés ces derniers mois sur le sujet.

    On voit même des entrepreneurs attaquer la liberté d’entreprendre.

    C’est le cas de Joseph Sournac, Lucas Deutsch et Yoan Brazy, fondateurs du cabinet de conseil « en redirection écologique » (sic) Sinonvirgule, qui n’ont pas peur d’affirmer que « la liberté d’entreprendre n’est pas un droit inaliénable ». Certes, ils n’osent pas demander son abolition pure et simple, mais voudraient « la subordonner complètement à une autre obligation, elle aussi inscrite dans la Constitution française, à savoir la protection de l’environnement ».

    Par conséquent, pour Sournac, Deutsch et Brazy, mieux vaudrait cesser de considérer l’émergence de startups comme un fait forcément positif et, au contraire, « mettre en place des dispositifs filtrants ne laissant plus passer que les projets compatibles avec l’urgence écologique ». Pour eux, la naissance de nouvelles entreprises doit être rare et soumise à l’autorisation de « tribunaux d’existence » (re-sic), composés de représentants de la société civile, des humains concernés par le produit ou service et, surtout de « représentants des non-humains et des générations futures » !

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  58. Toujours selon Sournac, Deutsch et Brazy, il n’est pas naturel que l’homme entreprenne et se constitue « dans des rapports marchands ». L’homo oeconomicus n’est qu’une construction sociale « subjectivement libérale ». Il faut le remplacer par l’homo habi-tabi-lis, qui vit pour maintenir l’habitabilité de la Terre. Renoncer à la liberté d’entreprendre ne serait pas une perte, car « chaque projet en moins compte ».

    La libre entreprise connaît désormais ses Fouquier-Tinville, d’anciens consultants qui ont créé leur entreprise en 2021, après les confinements. Manifestement le virus du Covid-19 s’est aussi attaqué à quelques cerveaux !

    https://www.contrepoints.org/2022/02/01/420316-la-liberte-dentreprendre-est-elle-menacee-en-france

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  59. Nous sommes tous des camionneurs canadiens maintenant !


    Par Ron Paul, MD
    Institut Ron Paul
    1 février 2022


    Nous nous souvenons tous où nous étions lorsque le mur de Berlin est tombé. Bien qu'il ait pu sembler que le régime communiste durerait éternellement, lorsque le peuple a décidé qu'il en avait assez, le mur est tombé. Juste comme ça.

    C'est donc après deux ans d'autoritarisme Covid qu'au Canada le plus grand convoi de camions de l'histoire a défoncé le Mur de la tyrannie de Berlin. J'ai vu le Canada que je respectais autrefois comme refuge pour les Américains anti-guerre dans les années 1960 devenir l'un des pays les plus répressifs au monde. Je me demandais comment un peuple épris de liberté pouvait se laisser abuser par ces mini-Stalines sans un mot.

    Mais ensuite, le Canada s'est levé et a montré au reste du monde que la liberté peut triompher de la tyrannie si le peuple l'exige. Comme je l'ai dit, aucune armée ne peut arrêter une idée dont l'heure est venue.

    Le Premier ministre canadien Justin Trudeau s'était réjoui de sa capacité à terroriser la population au nom de la lutte contre un virus. Il était si confiant dans son pouvoir apparemment illimité qu'il sentait qu'il pouvait ridiculiser n'importe quel Canadien avec des opinions différentes. Le premier ministre a déclaré dans une récente entrevue que les Canadiens non vaccinés étaient des « extrémistes », des « misogynes » et des « racistes ».

    Lorsque les camionneurs canadiens ont résisté à sa tyrannie et ont commencé leur convoi historique vers Ottawa, il a pensé qu'il pouvait continuer à ridiculiser les gens. Les camionneurs et leurs partisans n'étaient qu'une «petite minorité marginale» qui a des «opinions inacceptables», a-t-il affirmé avec confiance. Pour Trudeau, l'amour de la liberté n'est qu'une «vue inacceptable».

    Moins d'une semaine plus tard, alors que des dizaines de milliers de camions commençaient à entrer dans la capitale avec des millions de partisans derrière eux, le «courageux» Premier ministre canadien avait fui la ville et s'était dirigé vers un lieu tenu secret.

    Comme Elon Musk l'a tweeté, "Il semblerait que la soi-disant "minorité marginale" soit en fait le gouvernement."

    Les grands médias canadiens sont évidemment tout aussi obéissants au régime que les nôtres. Ils ont ignoré le convoi de la liberté aussi longtemps que possible. Il n'y avait presque pas de rapport. Puis, lorsqu'il est devenu impossible de l'ignorer, ils ont commencé à attaquer et à ridiculiser au lieu d'essayer de le rapporter avec précision. C'était dégoûtant et presque comique de voir un « journaliste » de la Société Radio-Canada suggérer que le Canadian Freedom Convoy a été concocté par Poutine et les Russes !

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  60. Des milliers de camions sont arrivés à Ottawa. Ils exigent la fin de la tyrannie covid. Ils sont soutenus par des millions de citoyens, qui ont bravé l'hiver canadien la nuit pour encourager les camionneurs.

    Cette manifestation est si importante parce qu'elle ne se limite pas au Canada. Les camionneurs sont soutenus dans le monde entier et un convoi similaire est prévu de la Californie à Washington, DC. Aux États-Unis où les étagères des épiceries sont de plus en plus vides, les camionneurs ont plus de poids que les pouvoirs en place ne voudraient l'admettre.

    Si j'étais Premier ministre de l'Australie totalitaire ou de la Nouvelle-Zélande - ou de la plupart des pays d'Europe - je deviendrais assez nerveux en ce moment. Tout comme la tyrannie de Covid est descendue à travers le monde d'une manière apparemment coordonnée, maintenant que le mur de Berlin des tyrans a été brisé, ce n'est qu'une question de temps avant que les ondes de choc ne se fassent sentir partout.

    Nous avons une dette de gratitude envers les camionneurs canadiens. Faisons tous tout ce que nous pouvons pour aider le mouvement de libération à continuer à prendre de l'ampleur !

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/ron-paul/we-are-all-canadian-truckers-now/

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  61. La révolte commence


    De James Howard Kunstler
    Kunstler.com
    1 février 2022


    Il est donc temps de signifier que le jeu est terminé. La nation rejette le président fantôme et la cabale derrière l'agitation de Covid-19, et toutes les agitations de Woke qui l'ont accompagné.

    La rébellion des camionneurs canadiens, roulant vers l'est à travers la vaste prairie gelée du Canada, a soufflé dans la capitale réveillée du pays, Ottawa, comme la colère brûlante de l'histoire, forçant le premier ministre Justin Trudeau à s'éloigner punkishly sous le couvert de la nuit - après une mauvaise -présentant les envahisseurs à grande échelle comme «une minorité marginale» dans une nation d'hypnotiques autrement obéissants somnambules dans l'usine de divertissement à protéines de pointe de Big Pharma de toutes causes de mort précoce.

    Les médias d'information travaillent très dur pour éviter de rapporter l'événement, bien sûr. Le principal journal canadien, The Toronto Star, a publié un petit article maussade se plaignant qu'un manifestant ait accroché un drapeau à feuille d'érable à l'envers sur une statue du héros national Terry Fox (un athlète atteint de cancer qui a traversé la majeure partie du pays sur une prothèse jambe en 1981 pour sensibiliser au cancer). Le journal a également mentionné qu'« [une] symphonie discordante de klaxons de camions a retenti dans le centre-ville d'Ottawa alors que les manifestants se préparaient pour leur deuxième journée complète dans les rues locales ». Au-delà de cela, le papier a perdu tout intérêt.

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  62. Le Canada sous le gouvernement Trudeau a été plus restrictif sur Covid-19 que le grand gorille au sud, la population respectant scrupuleusement toutes les règles insensées et dévastatrices de l'économie, jusqu'à un mandat récent de vaxxer jusqu'au dernier camionneur du pays. déclencha une révolte. Le Parti libéral de M. Trudeau n'a pas réussi à remporter la majorité parlementaire lors des élections fédérales de septembre dernier, et il dirige une coalition fragile susceptible de faire face à un vote de censure qui conduirait le Premier ministre à démissionner.

    Pour l'instant, les camionneurs semblent déterminés à rester dans les parages et à perturber la capitale canadienne. Leurs quelque 50 000 plates-formes pourraient encercler la ville et créer des conditions de siège, où les vivres et autres marchandises n'entreront pas, affamant le gouvernement pour qu'il renonce à ses mandats et restrictions. Jusqu'à présent, la police locale d'Ottawa est restée les bras croisés, et il y a des rumeurs selon lesquelles ils sont sur la même longueur d'onde que les camionneurs contre les excès du gouvernement fédéral.

    M. Trudeau aura-t-il recours à l'armée pour briser la révolte ? Bonne chance avec ça. Comme pratiquement tous les autres pays « avancés », le Canada dépend des camions et des camionneurs pour déplacer tout ce qui est nécessaire à la vie quotidienne. Les camionneurs n'ont qu'à dire non... nous n'avons pas envie de travailler ce mois-ci. Pas de poutine ni de cornish pasties pour vous, Ottawa! Alors quoi? Les jeter tous en prison ? Comment cela aidera-t-il à déplacer des éléments du point A au point B ? On dirait qu'ils ont M. T au-dessus d'un baril Molson. Pour l'instant, c'est une impasse, mais il me semble que le Premier ministre doit démissionner et celui qui prendra la relève devra rapidement repenser toute la politique Covid-19 du pays dans une direction pas folle.

    La révolte canadienne semble inspirer des opérations similaires aux États-Unis, où un mouvement a commencé pour un convoi massif de camionneurs de la Californie à Washington, DC – le pivot marécageux de la tyrannie de Covid sous le fantasme connu sous le nom de «Joe Biden» – en tant que manière très générale de dire que nous en avons assez d'être bousculés par les escrocs politiques et leurs subalternes bureaucratiques.

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  63. La saga Covid-19 s'assombrit chaque jour, tandis que les alibis officiels, les couvertures et les opérations de désinformation se penchent de plus en plus vers un arc de criminalité. Le gouvernement américain a menti à propos de chaque intrigue de l'émission d'horreur de deux ans. En fait, un observateur consciencieux devrait conclure ce qui suit : que l'employé le mieux payé du gouvernement, le Dr Anthony Fauci, a dirigé subrepticement la création et la libération d'une arme biologique ; que lui et ses cohortes, ainsi que les sociétés pharmaceutiques et d'autres parties intéressées telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et l'Organisation mondiale de la santé, ont permis la sortie de soi-disant «vaccins» (traitements génétiques) qui étaient au moins aussi mortels comme la maladie elle-même; qu'à la suite des tirs, de nombreuses personnes de tous âges mourront avant leur heure naturelle ; que le processus est déjà en cours, comme en témoignent les données sur les décès toutes causes confondues comptabilisées par les compagnies d'assurance ; que les mêmes responsables gouvernementaux ont malicieusement supprimé des traitements viables, peu coûteux et approuvés par la FDA pour Covid-19 afin de pousser la population à recevoir des « vaccins » dangereux ; cela dit que les responsables ont travaillé d'arrache-pied pour brouiller et falsifier les statistiques qui montreraient qui meurt réellement de quoi ; et que tout le fiasco semble avoir été égrené afin de contrôler systématiquement la population de manière contraire à nos droits naturels tout en tuant un nombre important d'entre nous.

    Laissez les camions rouler de Fresno à DC s'ils veulent toujours jouer dur. Vous pensez que le gang « Joe Biden » tentera de détourner l'attention en déclenchant une guerre en Ukraine ? Ils n'osent pas. Vous pensez que les marchés financiers vont s'effondrer ? Eh bien, bien sûr qu'ils le feront, quoi qu'il arrive, parce que les marchés et l'argent sont détachés de la réalité. Avouez-le : ce dont l'Amérique a le plus besoin, c'est de renouer avec la réalité, et vous pouvez être sûr que le processus sera inconfortable, après avoir séjourné si loin d'elle pendant si longtemps. ("Allons-y, Brandon !") Et allons-y, camionneurs canadiens !

    Reprinted with permission from Kunstler.com.

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/james-howard-kunstler/the-revolt-begins/

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