- ENTREE de SECOURS -



samedi 15 janvier 2022

Un message urgent du professeur Sucharit Bhakdi

100 commentaires:

  1. Relire 1984 de George Orwell en temps d’épidémie

    Relire 1984 en temps d'épidémie de Covid-19 incline le lecteur à la tentation de l'appeler dorénavant Covid-1984... en hommage à l'écrivain britannique.


    le 15 janvier 2022
    Par Francis Richard.


    En fin d’année 2020, les éditions Gallimard ont eu la bonne idée de publier des œuvres de George Orwell dans leur célèbre Bibliothèque de la Pléiade.

    Parmi les œuvres de ce volume, il y a Hommage à la Catalogne (et aux anarchistes persécutés par les communistes), et La Ferme des Animaux. C’est dans ce roman-ci que George Orwell a écrit cette phrase sublime et profonde :

    Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que les autres…

    Relire 1984 en temps d’épidémie de Covid-19 incline le lecteur à la tentation de l’appeler dorénavant Covid-1984… en hommage à l’écrivain britannique.

    La covid-1984

    En effet, au-delà du récit romanesque, dont le héros est Winston Smith, se concrétise dans ce roman La Tentation totalitaire que décrivit Jean-François Revel en son temps (1976), et qui semble séduire aujourd’hui les États occidentaux, profonds ou pas.

    Dans le socialisme anglais – Socang – décrit par George Orwell, il existe trois catégories de personnes : les membres du Parti intérieur, ceux du Parti extérieur et les prolétos, c’est-à-dire les prolétaires (85 % de la population).

    Dans cette société collectiviste et hiérarchisée, seuls les prolétos et les animaux sont libres, parce qu’ils sont sans importance, maintenus qu’ils sont par le Parti dans l’ignorance et la pauvreté :

    L’inégalité économique a été rendue permanente.

    Pour être bien sûr que le progrès technologique ne puisse pas leur être bénéfique, les trois super-États qui se partagent le monde se font la guerre en permanence ou prétendent se la faire.

    (le lecteur fera inévitablement un rapprochement avec la guerre permanente menée contre un virus qui a la bonne idée de ne pas être visible)

    Expropriation et surveillance

    Il s’agit bien d’un monde socialiste puisque les usines, les mines, les terres, les maisons, les transports ont été enlevés des mains des capitalistes et relèvent désormais de la propriété publique.

    (certes ce but n’a pas encore été atteint dans nos sociétés occidentales, mais c’est bien l’objectif que se sont donné les États, qui le réalisent peu à peu par les impôts et les réglementations)

    Au contraire des prolétos, les membres du Parti sont surveillés de manière permanente par télécrans chez eux et en dehors de chez eux par micros. Ce qu’aucun gouvernement n’avait fait jusque-là, le Parti l’a donc fait.

    (il est possible de surveiller tout le monde en Occident grâce aux téléphones mobiles et aux réseaux sociaux…)

    En même temps

    De ses membres, le Parti, cette oligarchie collective, exige qu’ils accordent les contraires pour se maintenir indéfiniment au pouvoir. Ces contraires se résument en trois mots : dangerdélit, noirblanc et doublepense, qui est le plus important :

    Doublepense désigne la capacité d’avoir dans le même esprit en même temps deux convictions antithétiques et de les accepter l’une l’autre.

    RépondreSupprimer
  2. (le lecteur reconnaîtra le en même temps cher à Emmanuel Macron)

    La structure du pouvoir reflète cette vision du monde et de mode de vie : le ministère de la Paix s’occupe de la guerre ; le ministère de la Vérité, des mensonges ; le ministère de l’Amour est chargé de la torture ; et celui de l’Abondance, de la famine.

    (en temps d’épidémie nos ministères de la Vérité traquent les fake news dont ils sont – doublepense – les principaux producteurs…)

    Lavage de cerveau dans 1984

    La personnification du Parti, c’est le Grand-Frère, qui, tel Dieu, vous surveille – Big Brother is watching you. Il vous est impossible de le haïr, vous ne pouvez que l’aimer, sinon vous êtes un fou qu’il faut guérir de sa maladie mentale :

    Nous allons vous vider de ce que vous êtes, puis nous vous emplirons de nous-mêmes.

    Car la réalité existe dans l’esprit humain, nulle part ailleurs. Elle n’est pas dans l’esprit d’un individu, qui peut se tromper, et en tout cas est voué à périr, mais dans l’esprit du Parti, qui est collectif et immortel.

    (Emmanuel Macron a déclaré le 14 octobre 2020 : Nous sommes en train de réapprendre à devenir une nation. On s’était progressivement habitués à être une société d’hommes libres, nous sommes une nation de citoyens solidaires.)

    L’ivresse du pouvoir

    Dans le roman de George Orwell, un membre éminent du Parti explique à Winston Smith que le bien des autres ne nous intéresse pas ; seul nous intéresse le pouvoir. Voyant qu’il faut mettre les points sur les i, il ajoute :

    Vous devez d’abord comprendre que le pouvoir est collectif. L’individu n’a de pouvoir que dans la mesure où il cesse d’être un individu.

    Il reconnaît même que le pouvoir réside dans la capacité d’infliger souffrance et humiliation… et que la raison [est] affaire de statistiques…

    (les réprimés de tous les pays au nom de l’épidémie l’ont compris et le Grand Frère aurait été ravi par les litanies de chiffres égrenés chaque soir dans les journaux télévisés…)

    La novlangue ou néoparler

    Dans le roman de George Orwell, les gens ne lisent plus. Comme on dirait aujourd’hui, ce n’est pas essentiel. Ce qui importe au Parti, c’est qu’ils ne pensent pas et le meilleur moyen est encore de s’attaquer à la langue.

    Dans un appendice, l’auteur approfondit le concept. S’il ne fallait retenir que deux aspects de cette langue nouvelle destinée à abêtir les individus, ce serait que les mots y sont abrégés et que le vocabulaire y est réduit :

    On comprit qu’en abrégeant ainsi un mot, on restreignait et on altérait subtilement son sens, le dépouillant de la plupart des connotations qui dans sa forme complète, lui seraient restées attachées.

    Moins on disposait de mots, moins on était tenté de penser.

    George Orwell,1984, 288 pages, Bibliothèque de La Pléiade (traduction de Philippe Jaworski)

    https://www.contrepoints.org/2022/01/15/389367-relire-1984-de-george-orwell-en-temps-depidemie

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est pourquoi l'énarque Philippe de Villiers disait "Quand on entre à l'ENA on a 30 000 mots, quand on en ressort on en a plus que 3000 !".

      Supprimer
  3. Fauci et la grande arnaque du sida

    Recension partielle du livre de Robert F. Kennedy Jr.


    le : mercredi 1er décembre 2021
    Laurent Guyénot


    Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health, n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »

    Le livre commence ainsi :

    « J’ai écrit ce livre pour aider les Américains – et les citoyens du monde entier – à comprendre les fondements historiques du cataclysme affolant qui a commencé en 2020. Au cours de cette seule annus horribilis, la démocratie libérale s’est effectivement effondrée dans le monde entier. Les organismes gouvernementaux de santé publique, les patrons des réseaux sociaux et des médias d’information sur lesquels les populations idéalistes avaient cru voir les champions de la liberté, de la démocratie, des droits civils et des politiques publiques fondées sur des données fiables, ont fait collectivement volte-face pour s’attaquer directement à la liberté d’expression et aux libertés personnelles. Soudain, ces institutions qui nous inspiraient confiance ont agi de concert pour générer la peur, susciter l’obéissance, décourager la pensée critique et rassembler sept milliards de personnes dans une marche forcée vers une expérimentation de santé publique avec une nouvelle technologie mal testée et illégalement autorisée, une technologie si risquée que les fabricants ont refusé de la produire à moins que chaque gouvernement sur Terre ne les protège de toute responsabilité. […] Les objecteurs de conscience qui ont résisté à ces interventions médicales non sollicitées, expérimentales et à zéro responsabilité ont été déstabilisés, marginalisés et désignés comme boucs émissaires. Les vies et les moyens de subsistance des Américains ont été brisés par un éventail ahurissant de diktats draconiens imposés sans approbation législative et sans évaluation des risques. Sous le prétexte d’un état d’urgence, on a fermé nos entreprises, nos écoles et nos églises, on a fait des intrusions sans précédent dans la vie privée, et on a bouleversé nos relations sociales et familiales les plus précieuses. »

    Kennedy n’est pas un nouveau venu dans cette effrayante dystopie. « Mes 40 ans de carrière en tant que défenseur de l’environnement et de la santé publique, écrit-il, m’ont donné une compréhension unique des mécanismes de corruption de la “capture réglementaire” (ou “captation de la réglementation”, le processus par lequel le régulateur devient redevable à l’industrie qu’il est censé réguler). » À partir du moment où il est entré dans le débat sur les vaccins en 2005, Kennedy s’est rendu compte que « le réseau profond d’enchevêtrements financiers entre Pharma et les agences de santé gouvernementales avait mis la capture réglementaire sous stéroïdes ». Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), par exemple, possèdent 57 brevets de vaccins et ont dépensé 4,9 milliards de dollars en 2019 pour acheter et distribuer des vaccins. La Food and Drug Administration (FDA) reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique. Les National Institutes of Health (NIH), avec leur budget de 42 milliards de dollars, possèdent des centaines de brevets de vaccins et profitent souvent de la vente de produits qu’ils sont censés réglementer. Les hauts fonctionnaires de ces agences reçoivent des émoluments annuels pouvant aller jusqu’à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu’ils aident à développer puis à faire approuver.

    RépondreSupprimer
  4. Le Dr Anthony Fauci se tient au sommet de ce Léviathan. Depuis 1968, il a occupé divers postes au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), un département clé du NIH dont il est devenu directeur en 1984. Avec un salaire annuel de 417 608 dollars, il est le mieux payé de tous les employés fédéraux, y compris le président des États-Unis. Au cours de son expérience de 50 ans en tant qu’administrateur d’une bureaucratie fédérale, il a conseillé six présidents, le Pentagone, des agences de renseignement, des gouvernements étrangers et l’OMS. Il entretient un réseau complexe d’enchevêtrements financiers qui a transformé le NIH en une filiale de Big Pharma. Puisant dans les poches profondes des fondations Clinton et Gates, il a utilisé son budget annuel de 6 milliards de dollars pour dominer et contrôler de nombreuses agences, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il peut faire et défaire des carrières, enrichir ou punir les centres de recherche universitaires, et dicter les résultats de la recherche scientifique à travers le monde, en donnant systématiquement la priorité aux bénéfices de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

    Le livre de Kennedy documente la stratégie systématique de Fauci de « promouvoir de fausses pandémies afin de promouvoir de nouveaux vaccins », ainsi que sa dissimulation des catastrophes sanitaires qu’il a provoquées, ses vendettas destructrices contre les savants qui défient le paradigme pharmaceutique, et son ​​sabotage délibéré des remèdes dont les brevets ont expiré.

    Mais le livre de Kennedy n’est pas la biographie d’un homme : c’est un réquisitoire contre un système irrémédiablement corrompu et prédateur, créé aux États-Unis et exporté dans le monde entier. En fin de compte, cependant, le système est fabriqué et géré par des humains, et se concentrer sur son représentant le plus emblématique permet de mieux voir en transparence l’âme qui anime cet organisme, ou plutôt cette machine infernale.

    Le livre de Kennedy place la crise actuelle dans une perspective historique. Mais il ne raconte pas l’histoire chronologiquement. Il débute par un très long premier chapitre sur la gestion de la pandémie du Covid-19, puis remonte, à partir du chapitre 3, aux années 1980 et à la recherche du vaccin contre le sida, qui a été le tremplin pour le coup d’État pharmaceutique qui se déroule sous nos yeux. Dans cette recension, je me concentrerai sur l’épisode du sida, car c’est la partie la moins familière d’une histoire couvrant cinquante ans, et elle aide à donner un sens à ce qu’il se passe aujourd’hui. C’est une histoire incroyable, que j’aurais eu du mal à croire il y a à peine trois ans, mais que notre asservissement actuel rend désormais très crédible.

    Kennedy mérite notre gratitude pour l’énergie et le courage qu’il met à faire éclater cette histoire au grand jour, dans un exposé clair et bien documenté. Son livre, déjà un best-seller malgré le silence prévisible de la critique (Kennedy est déjà banni de presque tous les réseaux sociaux) est destiné à devenir un jalon dans la lutte pour la Vie et la Vérité, et dans la saga héroïque des Kennedy. Le présent article ne reflète qu’une fraction de ce que l’on peut apprendre de ses 480 pages remplies de données et de références.

    RépondreSupprimer
  5. Au commencement

    Dans les premières lignes de son livre de 2014, Thimerosal : Let the Science Speak (qui a contribuer à faire connaître le lien de cause à effet entre les vaccins contre l’hépatite B et l’explosion de l’autisme aux États-Unis), Kennedy affirmait prudemment être « pro-vaccin » et « croire que les vaccins ont sauvé la vie de centaines de millions d’humains au cours du siècle dernier. » Il ne répète pas cela dans son nouveau livre. Au contraire, il se range du côté des critiques du dogme, citant une étude réalisée en 2000 par les scientifiques du CDC et de Johns Hopkins qui a conclu : « près de 90 % de la baisse de la mortalité par infection chez les enfants américains s’est produite avant 1940, lorsque peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles. » Les principales causes de la baisse spectaculaire de 74 % de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle ont été l’amélioration de l’alimentation et l’assainissement des conditions de vie, à commencer par l’eau.

    Date d’introduction du vaccin (quand il existe) et baisse de la mortalité de six maladies

    - voir graph sur site -

    De gauche à droite et de haut en bas : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose, scarlatine, poliomyélite

    Cette perspective révisionniste mais parfaitement objective explique pourquoi l’obsession de Fauci et Gates pour la vaccination a eu des impacts globaux négatifs sur la santé publique en Afrique et en Asie, en réduisant proportionnellement les flux d’aide pour l’alimentation, l’eau potable, les transports, l’hygiène et le développement économique. Gates et Fauci ont en fait détourné le programme de santé publique de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour lutter contre les maladies infectieuses.

    Pour comprendre cet engouement pour les vaccins, Kennedy rappelle l’influence pionnière de la fondation Rockefeller. En 1911, après que la Cour suprême a statué que Standard Oil constituait un « monopole déraisonnable » et l’a divisé en trente-quatre sociétés, John D. Rockefeller a inauguré ce que Bill Gates appellera plus tard le « philanthro-capitalisme ». Il a accordé d’importantes subventions pour la synthèse et le brevetage de molécules chimiques. La fondation a fourni près de la moitié du budget initial de l’Organisation de la santé de la Société des Nations en 1922, et de son personnel. Elle a imprégné la Ligue de sa philosophie médicale technocratique, dont héritera l’OMS en 1948.

    RépondreSupprimer
  6. La fondation Rockefeller lança un « partenariat public-privé » appelé l’International Health Commission, qui commença par inoculer les populations des tropiques avec un vaccin contre la fièvre jaune. Au moment où John D. Rockefeller Jr. l’a dissoute en 1951, la Commission avait dépensé des milliards de dollars pour des campagnes contre les maladies tropicales dans près de 100 pays et colonies. Ces projets avaient un agenda caché, selon un rapport de 2017, U.S. Philanthrocapitalism and the Global Health Agenda : ils permirent à la famille Rockefeller d’ouvrir les marchés du monde émergeant pour le pétrole, l’exploitation minière, la banque et d’autres commerces rentables.

    Dans les années 1970, le potentiel financier des produits pharmaceutiques eux-mêmes a explosé lorsque,

    « une vague de nouvelles technologies, y compris les tests PCR et les microscopes électroniques super puissants, ouvrirent des fenêtres sur de nouveaux mondes grouillants contenant des millions d’espèces de virus auparavant inconnus des scientifiques. […] L’attrait de la gloire et de la fortune déclencha une révolution chaotique en virologie, tandis que de jeunes docteurs ambitieux s’efforçaient d’inculper les microbes nouvellement découverts comme étant la cause d’anciennes maladies. […] Sous cette nouvelle rubrique, chaque percée théorique, chaque découverte devenait potentiellement la base d’une nouvelle génération de médicaments. »

    Au milieu des années 1970, le CDC cherchait à justifier son existence en traquant les clusters de rage. Entretenir la peur d’une pandémie était un moyen naturel pour les bureaucrates du NIAID et du CDC de justifier la pertinence de leurs agences. Le patron immédiat du Dr Fauci et son prédécesseur en tant que directeur du NIAID, Richard M. Krause, aida à lancer cette nouvelle stratégie en 1976. Cette année-là a été concoctée la fausse épidémie de grippe porcine. Le vaccin expérimental posait tant de problèmes que les Health and Human Services (HHS) l’ont retiré après avoir vacciné 49 millions d’Américains. Selon les articles de presse, l’incidence de la grippe était sept fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. De plus, le vaccin a causé quelque 500 cas de maladie nerveuse dégénérative du syndrome de Guillain-Barré, 32 décès, plus de 400 paralysies et jusqu’à 4 000 autres effets indésirables. Les victimes ont déposé 1 604 plaintes. En avril 1985, le gouvernement avait versé 83 233 714 dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars pour traiter et résoudre ces plaintes.

    RépondreSupprimer
  7. Un autre scandale éclata en 1983, lorsqu’une étude de l’UCLA financée par le NIH révéla que le vaccin DTP développé par Wyeth – maintenant Pfizer – tuait ou causait de graves lésions cérébrales, et parfois la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, le vaccin DTC ruinait leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large éventail d’autres infections mortelles.

    Les poursuites qui en ont résulté ont provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et ont menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth se plaignait de perdre 20 dollars en dommages et intérêts pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 la National Childhood Vaccine Injury Act, qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité légale. Cette incitation à la cupidité sans restriction sera renforcée en 2005 par une nouvelle loi signée par George W. Bush, le Public Readiness and Emergency Preparedness Act.

    Le sida et l’AZT

    En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

    Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

    RépondreSupprimer
  8. Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

    « Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

    En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

    RépondreSupprimer
  9. Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

    Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

    Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

    RépondreSupprimer
  10. Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

    Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

    L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

    RépondreSupprimer
  11. « De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

    L’Afrique est une terre promise pour les groupes pharmaceutiques à la recherche de gouvernements coopératifs et de populations illettrées. Les coûts pour des essais y sont très bas, et la surveillance des médias est plutôt laxiste. Au début des années 1990, certains dictateurs africains ont déroulé le tapis rouge pour Big Pharma. Et le 29 janvier 2003, le président George W. Bush a annoncé lors de son discours sur l’état de l’Union son Plan d’urgence pour la lutte contre le sida (PEPFAR), demandant au Congrès « d’engager 15 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, dont près de 10 milliards de dollars d’argent frais, pour renverser la tendance contre le sida dans les pays les plus touchés d’Afrique et des Caraïbes. »

    Le VIH cause-t-il le sida ?
    Kennedy commence son chapitre 5, « The HIV Heresies », par cette note :

    « J’ai hésité à inclure ce chapitre parce que toute remise en question de l’orthodoxie selon laquelle le VIH est la seule cause du sida reste une hérésie impardonnable, voire dangereuse, face au cartel médical régnant et à ses alliés médiatiques. Mais on ne peut pas écrire un livre complet sur Tony Fauci sans aborder la controverse scientifique interminable – et fascinante – sur ce qu’il qualifie de sa “plus grande réussite” et “l’œuvre de sa vie”. »

    La controverse illustre comment les industries pharmaceutiques et les agences de santé, agissant de concert, forgent un consensus sur des théories incomplètes ou frauduleuses et répriment impitoyablement la dissidence même lorsqu’elle vient de savants mondialement reconnus. « Dès le départ, insiste Kennedy, je tiens à préciser que je ne prends aucune position sur la relation entre le VIH et le sida. » Cependant, il affirme :

    RépondreSupprimer
  12. « Au cours des trente-six ans depuis que le Dr Fauci et son collègue, le Dr Robert Gallo, ont affirmé pour la première fois que le VIH est la seule cause du sida, personne n’a été en mesure de citer une seule étude qui démontre leur hypothèse par des preuves scientifiques valides. […] Même aujourd’hui, l’incohérence, les lacunes dans les connaissances, et les contradictions continuent de jeter le doute sur le dogme officiel. »

    La façon dont s’est imposé le dogme du VIH-sida illustre « les tactiques que le Dr Fauci a mises au point pour esquiver le débat, éblouir et embobiner la presse pour qu’elle évite toute enquête sur le credo, et dénigrer, intimider, punir, marginaliser et museler les critiques. » L’une des victimes de Fauci a été le Dr Peter Duesberg, qui en 1987 était encore reconnu comme le rétrovirologue le plus accompli au monde. Duesberg soutient que le VIH ne cause pas le sida, mais est essentiellement un « passager clandestin » commun aux populations à haut risque qui souffrent de suppression immunitaire en raison d’expositions environnementales. Le VIH, dit-il, est un virus passager inoffensif qui a presque certainement coexisté chez l’homme pendant des milliers de générations sans causer de maladie. Alors que le VIH peut être sexuellement transmissible, prétend Duesberg, le sida ne l’est pas.

    Duesberg a publié ses opinions dans un article retentissant de 1987, puis dans un livre de 724 pages, L’Invention du virus du SIDA. Kennedy trouve les raisonnements de Duesberg « si clairs, si élégamment conçus et si convaincants qu’en les lisant, il semble impossible que l’ensemble de l’hypothèse orthodoxe ne s’effondre instantanément sous le poids étouffant d’une logique implacable. » Mais Fauci et Gallo n’ont jamais tenté de répondre à Duesberg. Blâmer le sida sur un virus était le pari qui avait permis au NIAID de s’approprier la responsabilité et les crédits pour la recherche sur le sida, auxquels auraient pu prétendre autrement le NCI, et Duesberg fut sévèrement puni pour avoir mis ce plan en danger.

    « Le Dr Fauci a convoqué l’ensemble du haut clergé de son orthodoxie du VIH – ainsi que tous ses prêtres et même les enfants de chœur – pour déclencher une tempête de représailles féroces contre le virologue et ses partisans. […] L’establishment du sida, jusqu’à son plus humble médecin, a publiquement vilipendé Duesberg, le NIH lui a supprimé ses crédits, et le monde universitaire a ostracisé et exilé ce brillant professeur de Berkeley. La presse scientifique l’a pratiquement banni. Il est devenu radioactif. »

    RépondreSupprimer
  13. Étonnamment, cependant, le Dr Luc Montagnier, dont Gallo avait volé la découverte du VIH – comme il le reconnut en 1991 après des années de –, s’est rallié à la thèse de Duesberg, déclarant à la Conférence internationale sur le sida de San Francisco en juin 1990, que « le virus VIH est inoffensif et passif, un virus bénin. » Il a ajouté que, selon ses découvertes, le VIH ne devient dangereux qu’en présence d’un d’une bactérie de type mycoplasme. Montagnier, d’ailleurs, n’avait jamais prétendu que le VIH était le seul facteur du sida, et devint de plus en plus sceptique à l’égard de cette théorie. Sa remise en cause répétée du paradigme fétiche de l’establishment a marqué le début d’une campagne de dénigrement, dont son prix Nobel de médecine reçu en 2008 l’a néanmoins relativement protégé.

    La « preuve » de Gallo que la cause du sida était un virus, par opposition à des expositions toxiques, avait fourni à Fauci la pierre angulaire de la carrière, lui permettant de prendre les commandes de la politique de lutte contre le sida, et de faire du NIAID le principal partenaire fédéral de l’industrie de la production de médicaments. Cela explique pourquoi Fauci n’a jamais financé aucune étude pour déterminer si le VIH causait réellement le sida et prit des mesures préventives vigoureuses contre toute étude de ce type.

    Kennedy cite d’autres voix dissidentes sur l’épidémiologie du sida. Le Dr Shyh-Ching Lo, chercheur en chef chargé des programmes de lutte contre le sida pour l’Institut de pathologie des forces armées (Armed Forces Institute of Pathology), était choqué par l’affirmation d’Anthony Fauci selon laquelle les anticorps, qui normalement indiquent une réponse immunitaire robuste, devraient, avec le VIH, être le signal d’une mort imminente. Puisque les « tests VIH » ne détectent pas en réalité le virus insaisissable mais seulement les anticorps qui sont censés le combattre, n’a-t-on pas ici une inversion orwellienne, où la preuve de santé devient preuve de maladie ? Kennedy cite également le Dr David Rasnick, un biochimiste qui a travaillé pendant trente ans dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique :

    RépondreSupprimer
  14. « La confusion fondamentale de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le sida sur la base de la présence d’anticorps anti-VIH. Avec toutes les autres maladies, la présence d’anticorps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le sida, Fauci et Gallo, et maintenant Gates, prétendent que c’est le signe que vous êtes sur le point de mourir. Réfléchissez : si l’objectif d’un vaccin contre le sida est de stimuler la production d’anticorps, alors le succès du vaccin signifierait que chaque personne vaccinée se retrouverait nécessairement avec un diagnostic de sida. C’est un sujet de comédie. Autant donner aux Pieds nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars ! »

    La nature du sida est elle-même sujette à questions, puisqu’il a été défini comme un « syndrome » englobant une galaxie d’une trentaine de maladies distinctes bien connues, qui surviennent toutes chez des individus qui n’ont pas d’infection VIH. « Entre les mains des IP opportunistes du Dr Fauci, le sida est devenu une maladie amorphe sujette à des définitions en constante évolution, englobant une multitude de maladies anciennes chez des hôtes dont le test de dépistage du VIH est positif. » Le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, a souligné que ces tests étaient capables de trouver des signaux VIH dans de larges segments de la population qui ne souffraient pas de symptômes du sida. D’un autre côté, le sida peut survenir chez les personnes dont le test de dépistage du VIH est négatif, comme Geoffrey Cowley l’a documenté dans un article de Newsweek de 1992, suivi de Steve Heimoff dans le Los Angeles Times. Les tests étaient d’ailleurs si relatifs et arbitraires que vous pouviez ne plus être infecté par le VIH en traversant simplement la frontière des USA vers le Canada, par exemple.

    Ces incohérences n’étaient pas un problème pour Fauci et son armée de mercenaires pharmaceutiques. Bien au contraire : elles ont ouvert la manne africaine du sida. Des chercheurs financés par Fauci, utilisant des tests PCR et des modèles statistiques obscurs, ont déclaré que jusqu’à 30 millions d’Africains souffraient du SIDA, soit près de la moitié de la population adulte dans certains pays. Alors que dans les pays occidentaux, le sida continuait d’être une maladie de toxicomanes et de consommateurs de poppers adeptes de la sodomie (signalons que ces poppers étaient brevetés par Burroughs Wellcome qui en faisait la publicité dans la presse gay), mystérieusement, en Afrique, 59 % des cas de sida étaient des femmes et 85 % étaient des hétérosexuels. S’agissait-il vraiment de la même chose ? Et d’ailleurs, on nous annonçait une hécatombe qui ne s’est jamais manifestée, la population africaine continuant d’augmenter exponentiellement.

    RépondreSupprimer
  15. Parallèlement, en Occident, le caractère du sida a radicalement changé au début des années 90 avec la mise sur le marché de l’AZT. Lorsqu’ils ont commencé à administrer de l’AZT à des personnes qui n’étaient même pas malades mais simplement positives au test de dépistage du VIH, le sida s’est mis à ressembler de plus en plus à un empoisonnement à l’AZT. Et le taux de mortalité a grimpé en flèche. Selon les Duesbergiens, la grande majorité des « décès dus au sida » après 1987 étaient en fait dus à l’AZT. Il semblerait que le médicament prescrit par le Dr Fauci pour traiter les patients atteints du sida faisait en réalité ce que le virus ne pouvait pas faire : il causait le sida lui-même. En 1988, la durée de survie moyenne des patients sous AZT était de quatre mois. En 1997, reconnaissant l’effet mortel de l’AZT, les responsables de la santé ont réduit la dose de prescription ; la durée de vie moyenne des patients sous AZT est alors passée à vingt-quatre mois. Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA ».

    Conclusion

    En juillet 2019, le Dr Fauci a fait une annonce surprise : il disposait enfin d’un vaccin fonctionnel contre le VIH. C’était potentiellement le « clou dans le cercueil » de l’épidémie. Il admit que son nouveau vaccin n’empêchait pas la transmission du sida, mais prédit que ceux qui recevraient le vaccin découvriraient que lorsqu’ils contracteraient le sida, les symptômes seraient considérablement réduits. Kennedy commente :

    « Le Dr Fauci était si confiant dans la crédulité servile des médias qu’il supposa, à juste titre, qu’il n’aurait jamais besoin de répondre aux nombreuses questions soulevées par ce charabia fiévreux. Toute cette proposition étrange n’a reçu aucun commentaire critique dans la presse. La réussite de son stratagème consistant à mettre du rouge à lèvres sur son âne pour le vendre en tant que pur-sang l’a sans doute enhardi dans sa ruse, un an plus tard, à faire passer pour un vaccin contre le covid un produit qui n’empêche ni la maladie ni sa transmission. »

    En 2019, la corde du sida a commencé à s’user. Qui se souciait encore du sida de toute façon ? La « pandémie de Covid-19 » s’est présentée comme l’occasion idéale pour une mise à jour (un reset) du racket pharmaceutique. Comme l’a dit un jour Winston Churchill : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. » Grace à la complicité des médias occultant les antécédents scandaleux de sa mafia en blouse blanche, Fauci a réussi à se présenter, encore une fois, comme le sauveur.

    RépondreSupprimer
  16. « Est-il juste de blâmer le Dr Fauci pour une crise qui, bien sûr, a de nombreux auteurs ? » demande Kennedy. Oui, dans une certaine mesure.

    « Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès a spécifiquement chargé le NIAID de prévenir, se sont multipliées pour affliger 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu’il a pris le contrôle du NIAID en 1984. Le Dr Fauci n’a donné aucune explication quant aux raisons pour lesquelles les maladies allergiques comme l’asthme, l’eczéma, les allergies alimentaires, la rhinite allergique et l’anaphylaxie ont soudainement explosé à partir de 1989, cinq ans après son arrivée au pouvoir. Sur son site Web, le NIAID se vante que les maladies auto-immunes sont l’une des priorités de l’agence. Quelque 80 maladies auto-immunes, dont le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Graves et la maladie de Crohn, qui étaient pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa surveillance. L’autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, est passé de 2/10 000 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur trente-quatre aujourd’hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/H, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de la Tourette sont devenues monnaie courante chez les enfants américains. Les coûts humains, sanitaires et économiques des maladies chroniques éclipsent les coûts de toutes les maladies infectieuses aux États-Unis. À la fin de cette décennie, l’obésité, le diabète et le prédiabète sont en passe d’affaiblir 85 % des citoyens américains. L’Amérique fait partie des dix pays les plus obèses de la planète. Les impacts sanitaires de ces épidémies, qui frappent principalement les jeunes, éclipsent même les impacts sanitaires les plus exagérés du Covid-19. »

    Le Dr Fauci n’a rien fait pour honorer l’obligation fondamentale du NIAID de rechercher les causes des maladies allergiques et auto-immunes chroniques qui se sont multipliées sous son mandat. Au lieu de cela, Fauci a « transformé le NIAID en le principal incubateur de nouveaux produits pharmaceutiques, dont beaucoup, ironiquement, profitent de la pandémie de maladies chroniques en cascade ». Au lieu de rechercher les causes de la santé défaillante des Américains, le Dr Fauci consacre la majeure partie de son budget de 6 milliards de dollars à la recherche et au développement de nouveaux médicaments et vaccins qui sont en grande partie responsables de l’affaiblissement de leur immunité naturelle. « Ces derniers temps, il a joué un rôle central dans la sape de la santé publique et la subversion de la démocratie et de la gouvernance constitutionnelle dans le monde, et dans la transition de notre gouvernance civile vers le totalitarisme médical. »

    RépondreSupprimer
  17. Cela me fait penser au Dr Knock, personnage central du célèbre roman de Jules Romains, Knock ou le triomphe de la médecine, écrit en 1923. Le Dr Knock est un médecin louche d’origine douteuse qui professe que la « santé » est un concept obsolète et non scientifique, et que tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore. Pour convertir toute une ville en malades permanents, il fait appel à l’instituteur comme agent de propagande, et passe un marché avec le pharmacien, qui voit soudainement sa clientèle exploser (regardez ici et ici des moments inoubliables de l’adaptation cinématographique de Guy Lefranc avec Louis Jouvet). Fauci, c’est Knock à l’échelle mondiale.

    Dans une certaine mesure, cependant, Fauci est lui-même le produit d’un choix civilisationnel qui, à long terme, ne pouvait conduire qu’à la technocratie médicale tyrannique qui essaie maintenant de nous asservir. Plutôt qu’un nouveau Dr Frankenstein, Fauci est notre propre monstre qui se retourne contre nous. Kennedy fait allusion à ce vaste aspect de la question, soulignant la nécessité d’un questionnement approfondi. La façon dont les Américains et les Occidentaux en général en sont venus à considérer les soins de santé a été façonnée par la philosophie de la fondation Rockefeller : a pill for an ill, soit « une pilule pour une maladie ». Dans le débat entre la « théorie des miasmes » – qui met l’accent sur la prévention des maladies en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant les expositions aux toxines et aux stress environnementaux – et la « théorie des germes » – qui attribue la maladie à des agents pathogènes microscopiques –, nous avons opté sans ambiguïté pour cette dernière. Nous avons souscrit à une approche de la maladie qui demande d’identifier le germe coupable et de trouver un poison pour le tuer. Nous avons confié la responsabilité de notre santé à des experts médicaux et à des courtiers d’assurance.

    Comme le Dr Claus Köhnlein l’observe dans son livre Virus Mania (2007) cité par Kennedy : « l’idée que certains microbes – champignons, bactéries ou virus – sont des ennemis que nous devons combattre avec des bombes chimiques spéciales, s’est imprimée profondément dans la conscience collective. » C’est un paradigme guerrier, parfaitement adapté pour fabriquer le consentement sur la voie de la dictature. Comme Kennedy l’a écrit dans sa préface au livre du Dr Joseph Mercola, The Truth About Covid-19 (2021), « les démagogues doivent susciter la peur pour justifier leurs demandes d’obéissance aveugle. »

    « Les technocrates du gouvernement, les oligarques milliardaires, Big Pharma, Big Data, Big Media, les barons de la haute finance et l’appareil de renseignement militaro-industriel, tous aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment les guerres et les attaques terroristes. Les crises catastrophiques créent des opportunités pratiques pour augmenter à la fois le pouvoir et la richesse. »

    Laurent Guyénot

    PS : pour les francophones désireux d’approfondir le sujet, je recommande vivement le livre de Peter Duesberg, L’Invention du virus du sida [1].

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Fauci-et-la-grande-arnaque-du-sida-66367.html

    RépondreSupprimer
  18. Anthony Fauci sent petit à petit le vent du boulet se rapprocher


    vendredi 14 janvier 2022


    Anthony Fauci, immunologue de profession, a été conseiller en chef pour la santé publique de huit présidents américains successifs, c’est dire s’il est l’homme du système par excellence. Déjà actif lors de la crise du VIH des années 80, Wikipédia nous délivre le catéchisme officiel : « Son travail, en tant que chercheur et directeur du NIAID, a permis des avancées importantes dans le domaine du sida et autres cas d’immunodéficience », alors qu’ACT-UP (AIDS Coalition to Unleash Power) disait déjà il y a 30 ans qu’en raison de sa politique de gestion du SIDA et sa promotion de la molécule tueuse AZT, sa place devrait être devant un peloton d’exécution. La justice est parfois longue à venir. À 81 ans, il serait temps qu’elle s’intéresse à Fauci avant qu’il ne soit trop tard.

    - voir clip sur site :

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Anthony-Fauci-sent-petit-a-petit-le-vent-du-boulet-se-rapprocher-66877.html

    RépondreSupprimer
  19. États-Unis : le sénateur Rand Paul charge le Dr Fauci: “il est une menace pour les Américains“


    le 13/01/2022 à 17:53


    Le sénateur Rand Paul s’en est vertement pris au Dr Fauci, immunologue et conseiller de la Maison-Blanche sur la crise sanitaire, lors d’une audition du Sénat américain sur la gestion de la pandémie, mardi 11 janvier. Il l’a attaqué sur quatre points principaux : sa croyance selon laquelle il incarnerait la science, l’abus de sa position pour essayer de salir trois épidémiologistes de Harvard, Stanford et Oxford, ses mensonges sur l’origine du virus, et sa gestion de la pandémie.

    Il ne débat pas car il croit qu’il est LA science

    « L’idée selon laquelle un fonctionnaire comme vous pourrait revendiquer unilatéralement incarner la science, que tout critique à votre endroit serait considérée comme une critique de la science elle-même, est dangereuse », entame le sénateur. Cette introduction faisait office de réponse aux propos tenus sur la chaine américaine CBS par le Dr Fauci, interrogé le 28 novembre sur les critiques qui lui étaient adressées sur sa gestion de la pandémie Covid :

    « Quiconque examine cela attentivement se rend compte qu'il y a une saveur anti-science perceptible à cela. (…) En quelque sorte, ils critiquent la science parce que j’incarne la science. C’est dangereux. », avait estimé l’immunologue.

    Le complot du Dr Fauci contre trois épidémiologistes de Harvard, Stanford et Oxford

    Selon Rand Paul, l’état d’esprit arrogant du Dr Fauci l’aurait porté à croire qu’il serait dans son bon droit en tirant profit de sa position pour mettre en œuvre une cabale visant à salir la réputation de trois éminents épidémiologistes de Harvard, Stanford et Oxford, tous trois en désaccord avec lui.

    En octobre 2020, Martin Kulldorff, Sunetra Gupta, et Jay Bhattacharya, respectivement professeurs de médecine à Harvard, Oxford et Stanford, avaient publié la Déclaration du Great Barrington, un document depuis signé par des milliers d’autres scientifiques, qui alertait sur les effets dévastateurs des confinements et invitait à privilégier une protection ciblée des personnes à risque.

    Voir aussi notre debriefing (mars 2021) Pr Martin Kulldorff : "ne faites plus jamais de confinement !"

    S’était ensuivie une campagne de lynchage médiatique contre les trois épidémiologistes. « Je les ai cloués dans (le magazine) Wired », s’était notamment extasié le Dr Fauci dans un email au Dr Collins, directeur des Instituts américains de la santé (NIH). « Pensez-vous vraiment qu’il est approprié d’utiliser votre salaire de 420 000 dollars pour dénigrer les scientifiques qui ne sont pas d’accord avec vous ? », lui demande Rand Paul lors de l’audition.

    RépondreSupprimer
  20. Malgré les pressions répétées, l’intéressé s’en tiendra à une défense sobre : « Incorrect comme d’habitude. Sénateur, vous avez tort sur presque tout. »

    Fauci et l’origine du virus

    Le sénateur en est ensuite venu à une accusation déjà formulée début novembre lors d’une précédente audition concernant des financements américains au laboratoire de Wuhan via l'ONG Eco Health Alliance, fonds que l’ONG américaine aurait perçu par le NIH dont le Dr Fauci est à la tête.

    Le sénateur accuse le Dr Fauci d’avoir mis en œuvre avec d’autres scientifiques une tentative de dissimuler la véritable origine du virus en discréditant toute interrogation avec le label désormais célèbre de « théorie du complot ». En septembre 2021, the Daily Telegraph avait déjà révélé que 26 des 27 scientifiques qui condamnaient fermement dans une lettre publiée par le Lancet en février 2020 la théorie selon laquelle le virus n’avait pas d’origine naturelle… avaient des liens avec le labo de Wuhan.

    Voir aussi : Anthony Fauci : acculé lors d'une audition au Sénat, il continue de nier

    Une gestion de crise calamiteuse

    Sur le terrain de la gestion de la pandémie, Rand Paul a insisté pour savoir si son principal architecte sous les présidences Trump et Biden jugeait que sa gestion, qui comprenait notamment des confinements, était selon lui une « grande réussite » ?

    À cette question, celui qui estime incarner la science s’est défaussé sur les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), avançant qu’il n’a agi qu’en fonction des directives émises par l’agence de santé publique.

    « Cela attise les détraqués » : le Dr Fauci réplique

    - voir clips sur site -

    Face aux accusations de Rand Paul, le conseiller sanitaire de la Maison-Blanche lui a répondu qu’elles étaient sans fondement et mensongères, encourageant par ailleurs les menaces de mort envers lui. « Ce qu’il se passe lorsque [Rand Paul] m’accuse de choses qui sont entièrement fausses, c’est que tout d’un coup cela attise les détraqués, et j’ai des menaces de mort qui pèsent sur moi, ma famille est harcelée et mes enfants reçoivent des coups de téléphone choquants », a-t-il déclaré.

    RépondreSupprimer
  21. Dans une interview sur Fox News, Rand Paul a estimé que le Dr Fauci s’était employé à faire des contorsions durant l’audition pour ne pas s’engager sur le fond des accusations portées contre lui, fondées notamment sur son échange de mails avec le Dr Collins. Par ailleurs, s’agissant des menaces de mort dirigées contre Anthony Fauci, le sénateur a balayé l’idée d’une quelconque responsabilité de sa part, rappelant qu’il avait lui-même été victime d’une attaque à l’arme à feu par un partisan de Bernie Sanders, sénateur démocrate d’extrême-gauche, et qu’il ne lui était jamais venu à l’esprit, ni à aucun républicain, d’en attribuer la responsabilité à Bernie Sanders.

    « Fauci est une menace »

    Dans une autre interview sur Fox News avec l'animatrice Laura Ingraham, Rand Paul est revenu sur le déroulement de l’audition. Il a notamment évoqué l’importance de se rendre aux urnes lors des prochaines élections si les Américains veulent espérer pouvoir se débarrasser de l'immunologue qu’il n'a pas hésité à qualifier de « menace » pour le peuple américain.

    Article mis à jour le 13 janvier à 17:53: ajout de la réponse du Dr Fauci à Rand Paul

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/rand-paul-charge-fauci

    RépondreSupprimer
  22. Des documents militaires contredisent le témoignage sous serment d’Anthony Fauci


    le 14/01/2022 à 17:30


    Depuis la fuite des courriels d’Antony Fauci au printemps dernier, de forts soupçons pesaient sur celui qui est en charge de la politique sanitaire pour la Maison-Blanche. Interrogé par le Sénat, Anthony Fauci a toujours refusé de détailler l'origine du virus, l'implication des autorités américaines concernant des gains de fonctions pour acquérir un virus plus pathogénique, ou encore la suppression de traitements précoces en vue de faire adopter les vaccins en autorisation d'urgence. Pourtant, des documents classés secrets obtenus par Project Veritas montrent bien les liens entre les autorités américaines et les recherches menées au laboratoire P4 de Wuhan.

    Des documents classés secrets obtenus par "Project Veritas"

    Project Veritas est à la fois un média alternatif et une organisation à but non lucratif qui mène de longue enquêtes pour dénoncer la corruption publique et privée, la fraude et le gaspillage. Connue pour diffuser des enregistrement en caméras cachées, l'organisation avait notamment présenté une vidéo dans laquelle trois scientifiques de chez Pfizer avaient émis des réserves sur l'efficacité du vaccin Pfizer qui selon eux, ne pouvait pas procurer le même degré de protection que l'immunité acquise après une infection.

    Traduction des éléments du projet Veritas :

    Il y a quelques mois, un rapport concernant la proposition de l’Alliance EcoHealth a fuité sur internet. Comme il n’avait pas été vérifié, Project Veritas a décidé d'attendre avant de le révéler au grand public.

    Le 10 janvier 2022, Project Veritas a obtenu un rapport adressé à l'Inspecteur Général du Département de la Défense écrit par le Major du Corps des Marines, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), une agence du Département de la Défense des États-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles. Ces documents de la Darpa étaient cachés dans un disque étiqueté "top secret".

    Le rapport indique qu'EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018, demandant un financement pour mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu'elle violait le moratoire sur la recherche de gain de fonction de base.

    Selon les documents, le NAIAD (National Institute of Allergy and Infectious Disease), sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.

    Le Dr Fauci a affirmé à plusieurs reprises, sous serment, que les NIH (National Institute of Health) et NAIAD n'ont pas été impliqués dans la recherche sur le gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas qui décrivent pourquoi la proposition d'EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a certainement classé la recherche comme un gain de fonction.

    RépondreSupprimer
  23. Dans la lettre de rejet de la DARPA, il est écrit que "la proposition ne mentionne ni n'évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)".

    Le rapport du Major Murphy détaille les grandes inquiétudes suscitées par le programme COVID-19 de gain de fonction, la dissimulation de documents, la suppression de remèdes potentiels, comme l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, et les vaccins à ARNm.

    Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s'est entretenu avec le chef des communications, Jared Adams.

    Interrogé sur la façon dont les documents ont été entourés de secret, ce dernier aurait répondu : "Cela ne me semble pas normal". "Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée. Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non." a ajouté Jared Adams.

    Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O'Keefe, a posé une question fondamentale à la DARPA :

    "Qui à la DARPA a pris la décision d'enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d'alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d'autres."

    Traduction et doublage : Quantum Leap

    Le Dr Anthony Fauci n'a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire.


    Les détails du rapport du Major Joseph Murphy

    L’origine du virus

    Les documents publiés par Project Veritas révèlent que EcoHealth Alliance a approché la DARPA dès 2018 dans le but d'obtenir un financement pour mettre en place un programme qui visait à échantillonner des coronavirus de Chauves-souris en Chine, et à les modifier afin d’infecter par la suite des humains, avant de réinjecter des agents pathogènes modifiés sous forme d’aérosol dans les populations de chauves-souris afin de les vacciner.

    RépondreSupprimer
  24. Des vaccins dangereux et inefficaces

    Des allégations très graves sont portées par le Major Murphy à propos des vaccins qui « fonctionnent mal parce qu’ils répliquent de manière synthétique des protéines de pointe du SRASr-CoV-WIV, elles-mêmes déjà synthétiques, et ne possédant aucun autre épitope (partie d’un antigène pouvant être reconnue par un récepteur présent à la surface de l’anticorps spécifique qui lui correspond et qui peut stimuler la production de cet anticorps).

    Le document dénonce également l’ARN messager des vaccins qui donne ordre aux cellules de produire des copies de la protéine Spike synthétique directement dans le sang où elles se disséminent et sont susceptibles de produire les mêmes surréactions immunitaires que celles que certaines personnes connaissent lors de la phase inflammatoire de la maladie via une surréaction immunitaire du récepteur ACE2 (tempête de cytokine). Il rappelle également que « de nombreux médecins du pays ont constaté que les symptômes des réactions au vaccin reflètent les symptômes de la maladie ».

    Le major Murphy estime également que les connaissances fournies sur ce vaccin indiquent que le risque de renforcement de la facilitation de l'infection par les anticorps (Antibody Dependent Enhancement, ADE) lié à la vaccination devrait être évaluée en priorité.

    Si le virus, à mesure qu’il mute devient de moins en moins virulent, « la campagne de vaccination de masse permet un gain de fonction accéléré pour ce virus » selon lui.

    Sur les traitements précoces

    Le document indique très clairement que l'ivermectine identifiée comme curative en avril 2020 agit pendant toutes les phases de la maladie, car elle inhibe la réplication virale et module la réponse immunitaire. Il convient de noter que le phosphate de chloroquine (hydroxychloroquine identifiée comme curatif en avril 2020) est identifié dans la proposition comme un inhibiteur du SRAS-CoV, tout comme l'interféron (identifié comme curatif en mai 2020).

    Le Dr Fauci devrait être interrogé dans les prochains jours lors d'une audience du Congrès. Il sera intéressant d'entendre ce qu'il aura à dire sur tout cela. Si ces documents sont faux, alors le Major Joseph Murphy aura détruit sa carrière militaire pour un canular. Cependant, si ces allégations se révèlent exactes, s'il est prouvé qu'un virus conçu par les Américains et les Chinois a infecté et tué des personnes dans le monde entier, alors le docteur Fauci responsable de la santé publique américaine, aura à répondre de la gravité de ses actes. Des actes qui, s'ils étaient avérés, pourrait recevoir la qualification de haute trahison.

    Voir aussi : États-Unis : le sénateur Rand Paul charge le Dr Fauci: “il est une menace pour les Américains“

    Auteur(s): FranceSoir

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/des-documents-militaires-contredisent-le-temoignage-sous-serment-fauci

    RépondreSupprimer
  25. Est-il déjà trop tard ? (suite et fin)


    le 14 janvier 2022


    Les effets de la propagande « vaccinale » des gouvernements resteront imprimés dans le cerveau des peuples durablement. Cette propagande a été instillée dans les esprits en état de sidération profonde, la peur rendant impossible tout jugement et toute réflexion. Les techniques de propagande de Goebbels ont été remarquablement bien appliquées par les démocraties occidentales (ou ce qu’il en reste aujourd’hui) pour conforter le pouvoir des politiciens sur les peuples. Une citation de Goebbels admirablement appliquée depuis le début de la pandémie en Europe et d’autres pays occidentaux est la suivante : « C’est l’un des droits absolus de l’Etat de présider à la constitution de l’opinion publique ». Lorsque ma fille est venue profiter du climat de Tenerife durant la semaine de Noël je lui ai demandé pourquoi elle, son époux et ses enfants s’étaient pliés à la thérapie génique expérimentale qui ne dispose toujours que d’une autorisation temporaire d’utilisation. Elle m’a renvoyé deux arguments significatifs. D’abord elle a accordé toute sa confiance au gouvernement et ensuite avec le « vaccin » et le QR-code elle est libre de ses mouvements comme ses enfants et son époux. Ma fille aurait pu me répondre qu’elle ne voulait pas être sans arrêt emmerdée si elle refusait de se faire vacciner … Sans commentaire. Le gouvernement a appliqué à la lettre la citation de Goebbels. Ma fille ignore tout de la biologie puisqu’elle est mathématicienne, elle ne s’est posée aucune question et a fait confiance en l’État.

    Il est vrai qu’encore aujourd’hui on maintient la peur dans la population malgré le fait que le mutant « omicron » n’est pas plus dangereux qu’un gros rhume et il ne tue pas plus de personnes qu’une grippe saisonnière habituelle, plutôt moins en réalité. Cette peur est entretenue parce que des tests sont réalisés systématiquement malgré le fait que ces tests ne sont pas fiables comme l’a souligné l’OMS. Et, mutant omicron ou delta, les traitements précoces connus mais toujours interdits pourraient encore sauver des vies. À ce sujet je me demande si une pilule d’Ivermectine ne serait pas un moyen de traiter un rhume presque instantanément puisque tous les rhumes sont provoqués par des coronavirus.

    J’en viens donc à l’autre aspect de ces interdictions de l’HCQ et de l’Ivermectine en citant mon cas personnel, je me moque en effet du secret médical en ce qui me concerne, pour mettre en évidence l’effet pervers des décisions gouvernementales au niveau des praticiens hospitaliers et de ville. En avril 2020 tout était prêt pour que je me soumette à une radiothérapie supposée venir à bout d’une petite tumeur de la prostate. Quand l’oncologue m’a dit que je devais me soumettre à un test PCR chaque lundi j’ai dit que ce serait inutile car j’avais été infecté par le coronavirus quelques semaines auparavant et que si j’avais survécu c’était uniquement parce que je m’étais traité avec de la chloroquine. Il s’est levé de son siège furieux. J’ai cru qu’il allait m’agresser. J’ai quitté son bureau et je n’ai pas donné suite à la radiothérapie … Je suis toujours en vie.

    RépondreSupprimer
  26. L’autre situation vécue a révélé l’indigence intellectuelle des médecins y compris les spécialistes. Le coronavirus avait provoqué des thromboses aux pieds et également au niveau de mes mains. Deux médecins généralistes du centre de santé dont je dépendais (je n’y ai jamais remis les pieds) m’ont prescrit des antibiotiques sans même me demander si j’avais une inflammation inguinale ou si j’avais de la fièvre, alors que des cas de thrombose étaient déjà décrits dans la littérature médicale au sujet du coronavirus. Pire encore au service d’urgence le médecin, considérant que je souffrais d’une infection monstrueuse, a incisé le dessus de mon pied gauche et y a injecté de la betadine : un vrai geste de « professionnel ». Je ne suis pas encore atteint par le gâtisme et j’ai lu des centaines d’articles scientifiques au sujet du coronavirus et j’ai également consulté les monographies de divers hôpitaux américains. J’ai pu diagnostiquer ce dont je souffrait et dont je souffre toujours. Il s’agit d’un urticaire géant chronique d’origine auto-immune : traitements par des stéroïdes ou … de l’hydroxychloroquine mettant à profit les propriétés immuno-modulatrices de cette molécule.

    Quand par trois fois (je n’entre pas dans les détails) des médecins vous traitent presque de terroriste pour avoir osé s’administrer sans ordonnance de la chloroquine, la conclusion est claire, ils ont été littéralement imbibés par la propagande gouvernementale qui a interdit ces produits ici en Espagne comme dans de nombreux pays européens. Enfin l’indigence intellectuelle de tous ces médecins est affligeante. Ils n’ont toujours aucune idée des formes secondaires que revêt l’infection par le coronavirus car ils n’ont pas le temps de s’informer et les services publics n’ont pas fait leur travail de formation. Il est évident que lorsqu’une nouvelle maladie apparaît le devoir d’un médecin est de s’informer. Certes les médecins généralistes en première ligne ont été privés des traitements précoces mais, tout de même, examiner de loin un malade sans lui poser de questions et ne pas examiner les analyses sanguines constituent des manquements graves à leur profession. « Prenez du paracétamol et rentrez chez vous », tel était le mot d’ordre du gouvernement, ici, en Espagne comme en France. Et maintenant c’est : « si vous n’êtes pas vacciné vous êtes un hors-la-loi ».

    RépondreSupprimer
  27. Enfin, comme une sorte d’apothéose de l’image de la médecine étatique, ici en Espagne comme en France, un médecin, une femme, m’a examiné à l’hôpital pour réaliser un « doppler » des artères des jambes. Elle a fait son travail et m’a annoncé que mon artère vertébrale droite présentait un déficit de plus de 50 % du flux sanguin. Je lui ai répondu que je le savais depuis plus de 20 ans et qu’elle était censée réaliser un doppler des artères descendantes des membres inférieurs. Étonnée par ma remarque elle m’a déclaré que l’état de ma peau qu’elle avait entrevu lorsque j’avais ôté ma chemise n’avait rien à voir avec la circulation sanguine, qu’elle était d’origine psychosomatique et que je devrais consulter un psychiatre. Depuis ce jour je ne suis plus jamais allé revoir un médecin et pour être presque aussi grossier que le Président Macron je les considère tous comme des imbéciles incompétents et c’est certainement aussi le cas en France dans la majorité des cas : des médecins qui ne travaillent que pour payer leurs impôts, les tailleurs Chanel de leur épouse et les pneus de leur Porsche. L’avenir de la médecine est tout à fait réjouissant.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/14/est-il-deja-trop-tard-suite-et-fin/

    RépondreSupprimer
  28. Un étudiant résiste et refuse de porter un masque d'étouffement


    Par Tom Woods
    15 janvier 2022


    Extrait de la lettre de Tom Woods :

    Il y a une pression pour que nous portions tous ce que j'appelle des masques d'étouffement.

    Naturellement, je ne le fais pas.

    Ils ont essayé ça en Allemagne, et ça n'a rien donné.

    Même si ces masques conféraient un bénéfice très marginal, il n'est pas déraisonnable de préférer la clarté de la communication qui vient d'une parole dégagée et d'expressions faciales visibles, ou de trouver déshumanisant d'être confronté toute la journée à des visages masqués. Les enfants qui apprennent encore à communiquer ne devraient pas avoir le visage couvert, et les nourrissons qui apprennent le langage et les repères faciaux ne devraient pas avoir à faire face à un monde dans lequel ils voient rarement un visage humain.

    Je mentionne cela parce qu'un parent m'a envoyé l'histoire suivante de l'Université de Géorgie.

    Il commence:

    Juste un peu de contexte. L'UGA fait partie du système universitaire de Géorgie (USG), le système d'enseignement supérieur public géré par l'État, donc quelle que soit la politique établie par l'USG, toutes les écoles de ce système doivent s'y conformer. L'année dernière, ils ont établi une politique selon laquelle, même si les écoles pouvaient «fortement» encourager la vaccination, les masques, la distanciation, etc., elles ne pouvaient l'appliquer à aucun des étudiants ou des professeurs. Ils ne pouvaient pas « devenir virtuels » unilatéralement. Comme vous pouvez l'imaginer, cela a rendu furieux les professeurs les plus à gauche qui ont l'impression de mettre littéralement leur vie en jeu pour enseigner à ces étudiants (l'UGA était le foyer du dernier "die in" où ces types se sont allongés sur tout le campus principal pour illustrer « que se passerait-il » si des mandats « raisonnables » n'étaient pas mis en place).

    L'histoire de ce parent implique son fils et un professeur particulier:

    Lorsque mon fils est entré dans la salle de classe, le professeur (Richard Dien Winfield @WinfieldForUS, consultez son fil Twitter pour un plaisir époustouflant) a distribué des masques KN95 à tous les étudiants qui n'en portaient pas déjà. Il a déclaré sans équivoque que dans sa classe, les masques en tissu étaient interdits et que tous les élèves devaient porter son KN95 approuvé. Pris au dépourvu (jusqu'à présent aucun de ses autres professeurs n'avait fait de telles exigences), il l'enfila.

    RépondreSupprimer
  29. La classe a ensuite été soumise à une diatribe de 30 minutes sur l'importance du port du masque. Le professeur leur a dit qu'ils n'avaient pas le droit de menacer sa vie puisqu'il ne menaçait pas la leur : il est triple vaxé et ne porte pas d'arme. Il a également affirmé que 100 % des décès et des maladies dus au COVID pourraient être évités si les gens utilisaient des vaccins et des masques. Il a qualifié le gouvernement d'immoral pour ne pas avoir imposé de vaccins et de masques. Les États-Unis, a-t-il ajouté, étaient mauvais, arriérés et archaïques parce que c'était le seul pays dont la constitution ne garantissait pas le droit aux soins de santé.

    À la fin du cours, mon fils a parlé au professeur individuellement pour savoir quelles seraient les conséquences de ne pas porter de masque. "Oh, eh bien, vous allez libérer des particules dans l'air qui peuvent..." Mon fils l'a arrêté. « Non, je comprends cela. Je veux dire, que va-t-il m'arriver si je refuse de porter le masque ? Le professeur a été surpris et a réitéré avec condescendance ses raisons de porter un masque et a conclu que mon fils ne se souciait pas des autres.

    Mon fils a répondu: "Je n'ai jamais dit que la raison pour laquelle je ne voudrais pas porter de masque, c'est parce que je ne me soucie pas des autres." À ce moment-là, le professeur a répondu que s'il ne portait pas de masque, il ne reviendrait pas pour enseigner la classe en personne et est sorti en colère.

    Oh, et la cerise sur le gâteau : c'est le cours d'éthique. Je serais curieux d'entendre son point de vue sur l'éthique du déploiement des disparités de pouvoir pour contraindre le comportement.

    Mais ça va mieux. Le tout prochain cours de mon fils était avec ce même professeur ! Il a donc décidé de tâter le terrain.

    Selon les propres mots de mon fils, "Il a distribué des KN95 comme il l'a fait dans la première classe, en m'en donnant un, ainsi qu'aux autres élèves qui avaient des masques en tissu. Il a alors vu que j'étais le seul sans KN95 et a pensé que je n'avais pas de masque, alors il m'en a donné un autre, que je n'ai pas mis ensuite. Il a ensuite dit: 'Allez, mec, c'est quoi le problème? Mets-le", auquel j'ai dit quelque chose comme "Non, je ne vais pas le faire".

    Poursuivant avec les mots de mon fils : « Le professeur a ensuite expliqué comment je devrais participer en ligne. J'ai dit : " Je vais partir, si tu me mets dehors. " Il a dit : " Non, je ne te mettrai pas dehors ", et il a continué à faire le même discours du cours précédent - mais cette fois, quand il a parlé à propos des personnes anti-science qui ne porteront pas de masques ou ne se feront pas vacciner, il s'est assuré d'inclure de nombreuses fouilles. Par exemple, a-t-il dit, en me regardant directement dans une classe de 50 à 70 personnes, "Certaines personnes ne se soucient pas de la santé et de la sécurité de leurs camarades de classe, de leurs pairs ou de la communauté d'Athènes, et sont assises là avec un moi égoïste -l'amour contre toute forme d'attention/d'empathie pour les autres." Il a fait de nombreuses fouilles de ce genre. J'ai essayé de rester après le deuxième cours pour lui reparler mais il s'est enfui sûrement par peur de moi parce que je ne portais pas de masque.

    RépondreSupprimer
  30. Maintenant, j'aimerais penser que la bravoure de mon fils face à une telle intimidation vient de ses merveilleux parents qui l'ont bien élevé. Même si cela est vrai, nous devons partager sa conviction et sa colonne vertébrale avec les nombreux grands auteurs et penseurs qu'il a lus au cours des 18 derniers mois. Il a consommé avec voracité des livres de Rand, Hoppe, Rothbard et bien d'autres.

    Il est facile pour ces professeurs d'intimider les étudiants pour qu'ils se soumettent à leurs délires, car la plupart des étudiants n'auront pas la base intellectuelle pour reconnaître comment ces professeurs abusent de leurs positions d'autorité. Cela a également aidé que sa mère ait dirigé le mouvement l'année dernière pour s'assurer que le Board of Regents de l'USG maintiendrait une ligne ferme sur le fait de ne pas imposer de vaccins et de masques. Il est donc bien conscient des points de vue alternatifs et moins susceptible d'agir comme si, dans la salle de classe, le professeur était Dieu.

    Le résultat est que mon fils a choisi d'abandonner ces cours pour l'instant par crainte de représailles. On espère que la folie sera terminée d'ici l'automne ? À droite ? Ce doit être.

    Qui sait.

    Mais bon pour cet étudiant.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/thomas-woods/student-resists-refuses-to-wear-suffocation-mask/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Primo: il n'existe pas de masque au monde qui soit anti virus ou anti microbes.

      Secundo: si des gens s'agitent, perdent la raison lorsqu'ils voient quelqu'un sans masque c'est qu'ils doutent plus qu'un peu de la qualité de leur masque à la con de les protéger d'un virus ou microbe !

      Tertio: Le port d'un masque est dangereux. Il obligent la victime à rerespirer son air c-à-d son gaz carbonique. Il empêche 30 % de l'oxygène d'être inspiré.

      Quarto: La question à se poser est pourquoi devoir porter un masque quand on connaît son inutilité ? Tout simplement parce que TOUS les masques sont infectés par des milliards de nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) et que le programme est de tuer le plus possible de personnes dans le monde.

      Supprimer
  31. Qui vous sauvera de cette tyrannie insensée ? Vous seul avez le pouvoir de vous sauver


    De Gary D. Barnett
    15 janvier 2022


    « En dernière analyse, l'essentiel, c'est la vie de l'individu. Cela seul fait l'histoire, c'est seulement ici que les grandes transformations ont lieu, et tout l'avenir, toute l'histoire du monde, jaillit finalement comme une somme gigantesque de cette source cachée dans les individus.
    ~Carl Gustav Jung

    Nous voici à une époque de peur et d'excuses ; une époque de folie collective qui aspire à la mort de l'individu. Les masses ne le savent pas, car la fin de l'individualité est la fin de l'homme. La foule peut nous détruire, mais l'individu peut nous sauver. L'idée de soi est alors le sauveur de l'humanité, car tous les efforts qui s'appuient sur les masses dans leur ensemble pour s'éveiller à l'idée de liberté échoueront, car la masse n'agira jamais pour se libérer avant qu'il ne soit trop tard.

    Bien que cette pensée puisse sembler défaitiste, elle ne l'est pas, c'est simplement la façon dont la nature humaine se cache de la vérité. Quelques-uns peuvent changer le monde, mais l'homme ordinaire qui existe simplement dans la vie au lieu de vivre au-delà de la vie, ne peut même pas se sauver. Pour qu'un véritable éveil du mental et de l'esprit ait lieu, une renaissance provoquée par une profonde compréhension de la psyché intérieure est nécessaire ; nécessitant une activation personnelle et viscérale de la conscience individuelle. Ce n'est pas un comportement appris, et cela ne vient pas d'une expérience physique ou personnelle perçue, c'est inné. Rarement cette prise de conscience du soi subconscient, vécue par l'homme ordinaire, est-elle réservée à ceux qui ont la force et le courage de regarder au plus profond d'eux-mêmes et non seulement de se faire face, mais aussi d'accepter ce qu'ils trouvent. Une fois que cela se produit, la vérité devient évidente et la peur disparaît.

    RépondreSupprimer
  32. Compte tenu de nos circonstances actuelles, plus il y a de personnes qui se séparent de la foule pour se trouver, plus elles sont susceptibles de désobéir et de s'opposer. Il ne faut pas un grand nombre pour que la lutte pour la liberté survive et prospère, il suffit d'une minorité d'individus très courageux pour renverser cette vague de tyrannie. Les masses collectivement ne gagneront pas cette bataille, et en fait entraveront tous les efforts en raison de leur indifférence, mais les quelques éveillés peuvent déplacer des montagnes. Si le petit nombre devient plus grand, le mal peut être vaincu.

    La réponse de l'État aux forts et aux éveillés est de corrompre les esprits et les corps d'autant de personnes que possible. En obtenant la coopération des masses, les monstres au pouvoir peuvent les opposer aux individus mêmes qui ont le pouvoir de les sauver. De nombreux outils sont utilisés pour accomplir cette destruction de la psyché individuelle, dont le moindre n'est pas cette arme biologique mortelle, toxique et altérant le corps et les gènes appelée le "vaccin Covid". La torture psychologique est endémique et a été extrêmement efficace dans gagner l'acquiescement du troupeau, principalement en raison d'une peur infondée. Pour cette raison, la plupart se sont conformés à des ordres et des mandats très totalitaires destinés à soumettre cette masse de la société trop faible pour lutter contre cette fraude évidente.

    Propagande extrême, faux drapeaux, déclarations d'urgence, verrouillages, distanciation sociale, port de masque obligatoire, menaces, alarmisme, perte d'emploi, fermetures forcées d'entreprises, inflation massive, intimidation sans limites, violence mise en scène et autorisée, maladie et beaucoup de morts ont été le résultat de les efforts de l'État pour réprimer et contrôler cette société. Lorsque le stress dû à la peur atteint ces niveaux, la capacité des gens à riposter n'est pas améliorée comme on pourrait s'y attendre, mais est considérablement affaiblie. Ceci est connu de ceux qui sont assez pervers pour poursuivre ce programme visant à gagner plus de pouvoir afin de soumettre et de contrôler la majorité. Lorsque cela se produit, le véritable ennemi qu'est l'État prétend devenir le sauveur, et tous ceux qui tentent de réfuter les mensonges deviennent l'ennemi du peuple. Il s'agit d'une véritable inversion de la réalité, et la perception contrôlée devient un phénomène médiatique du monde réel, basé uniquement sur l'hypnose de masse de la foule. Aussi triste que cela puisse paraître, cela a été un effort réussi de l'élément contrôlant de la société, et qui menace l'essence même de l'homme.

    RépondreSupprimer
  33. Compte tenu de tout ce qui s'est passé, il est évident que la fausse injection mortelle est la méthode de contrôle la plus recherchée utilisée par la classe "maîtresse" maléfique aujourd'hui. C'est pourquoi, compte tenu du fait qu'ils sont inutiles dans tout effort pour contrôler une soi-disant maladie ou maladie, et qu'ils sont si gravement dangereux, ils sont imposés à cette population et à d'autres avec une telle vigueur. La technologie disponible pour ceux qui fabriquent, administrent et exigent l'acceptation de ces concoctions toxiques est à ce stade fantastique, et ce qui est dit au "public" n'est qu'un extrait mineur de la technologie réellement disponible. Ce sont des armes biologiques destinées à modifier le corps, l'esprit et la structure génétique de ses victimes, y compris l'injection de substances qui permettent le contrôle de l'esprit et peuvent également mutiler et tuer.

    Le dépeuplement est une grande partie de l'agenda de l'État, mais la soumission du reste est également nécessaire pour un contrôle à long terme de grandes populations. L'attaque par injection proposée pour tous les enfants est d'une importance vitale pour la classe dirigeante, car si l'injection de ces armes biologiques dans la majorité des enfants, du très jeune âge à l'adolescence, peut être réalisée, l'avenir appartient à l'État. La pression pour injecter les enfants ne disparaîtra pas d'elle-même, car c'est l'aspect le plus important du plan de contrôle futur de l'humanité. Les enfants innocents, les personnes âgées et faibles sont les plus vulnérables d'entre nous. Si ce complot conspirateur continue à avoir du succès, beaucoup de personnes âgées seront tuées ou mourront à cause des tirs, et les jeunes pourront être entièrement maîtrisés, supervisés et dominés par des méthodes artificielles pendant de nombreuses années à venir. C'est ce à quoi nous sommes confrontés, et pourquoi il est si impératif que nous nous opposions à la tyrannie en tant qu'individus conscients, ne permettant jamais à cette prise de contrôle de l'humanité de voir le jour.

    "Aucun prix n'est trop élevé pour avoir le privilège de vous posséder"

    Friedrich Nietzsche

    Liens de référence :

    Contrôle mental basé sur les traumatismes

    L'injection d'arme silencieuse "Covid"

    Stupidité de troupeau et les injections « Covid » basées sur les gènes de contrôle

    L'expérience sur l'ARNm

    "Covid' Bioweapon shot conçu pour le contrôle et le dépeuplement

    L'eugénisme est bel et bien vivant, et l'arnaque "Covid-19" est le moteur de la dépopulation et du contrôle de l'esprit

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/gary-d-barnett/who-will-save-you-from-this-insane-tyranny-only-you-have-the-power-to-save-yourself/

    RépondreSupprimer
  34. Les écoles ne devraient pas imposer les « vaccins les plus dangereux de l’histoire de l’humanité »

    Alors que les écoles évaluent les mandats de vaccination contre le COVID pour les enfants dès l'âge de 5 ans, un ancien dirigeant de Pfizer avertit que les injections "sont toxiques par conception" et il semble évident que "des actes criminels sont commis".


    Défense de la santé des enfants
    15 janvier 2022


    Fin octobre et début novembre, les membres égoïstes de deux comités conseillant la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sans arrière-pensée ont approuvé des vaccins COVID expérimentaux pour les enfants aussi jeunes que 5 ans. ans.

    Ignorant le taux de survie au COVID de 99,995 % pour les personnes âgées de 17 ans et moins, les 31 « experts » pharma-serviles semblaient également indifférents aux tonnes de données accablantes sur les invalidités et les décès liés au vaccin COVID déjà survenus dans le groupe d'âge des 12 à 17 ans – inutile les tragédies ont été reconnues à l'instant même lors d'une table ronde convoquée par le sénateur américain Ron Johnson (R-Wis.).

    Comme on pouvait s'y attendre, les données sur les événements indésirables et les témoignages urgents des prestataires de soins de santé de première ligne ont commencé à affluer presque immédiatement après le feu vert de la FDA-CDC, les enfants de 5 à 11 ans subissant les mêmes types de réactions vaccinales "terrifiantes" que les adolescents - y compris les caillots sanguins , des accidents vasculaires cérébraux et d'autres problèmes cérébraux et cardiaques auparavant presque inconnus chez les jeunes.

    Dans la perspective de l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA pour les injections expérimentales de COVID pour les jeunes enfants, les politiciens des États et les districts scolaires municipaux ont également commencé à graisser les patins pour imposer des injections de COVID pour la fréquentation scolaire en personne.

    À ce jour, le nombre d'États et de systèmes scolaires annonçant ou adoptant des plans coercitifs, que ce soit pour les élèves de la maternelle à la 12e année ou pour les élèves de 12 ou 16 ans et plus, est encore faible. Pourtant, le poids symbolique des « early adopters » est important.

    Il s'agit notamment d'États comme la Californie et la Louisiane (et bientôt New York) ; les grandes villes comme Washington, D.C. (et probablement New York ); et de grands districts scolaires tels que ceux d'Oakland, de Californie et de Los Angeles.

    RépondreSupprimer
  35. En outre, les districts scolaires de New York et de Washington, D.C., ainsi que certains ou tous les districts de Californie, d'Hawaï et du Maryland, exigent que les élèves impliqués dans des sports et d'autres activités parascolaires se fassent piquer.

    Dans ce qui semble être une bonne nouvelle, la National Academy for State Health Policy (NASHP) a confirmé 17 États – Alabama, Arizona, Arkansas, Floride, Géorgie, Idaho, Indiana, Kansas, Montana, New Hampshire, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Sud Dakota, Tennessee, Texas et Utah – ont promulgué des lois ou émis des décrets qui interdisent les mandats de vaccination contre le COVID-19 pour les étudiants.

    Cependant, la plupart des interdictions sont limitées à certaines circonstances, certaines ne s'appliquant qu'à l'enseignement supérieur et d'autres uniquement aux vaccins autorisés en cas d'urgence - ce qui signifie que l'interdiction ne s'appliquerait pas aux vaccins COVID qui obtiendraient à l'avenir l'approbation complète de la FDA pour les enfants.

    Le plus dangereux de tous les temps

    Depuis des décennies, les vaccins font des ravages sur la santé des enfants. Par exemple, considérez ce qui suit :

    Les 400 événements indésirables répertoriés dans les notices des vaccins pédiatriques homologués
    L'épidémie de problèmes de santé chroniques chez les enfants américains - dont 1 garçon autiste sur 16 en Californie, l'État avec le taux d'autisme le plus élevé du pays
    La baisse précipitée des morts subites de nourrissons qui a coïncidé avec l'interruption de la vaccination « de routine » pendant les confinements de 2020.
    La santé supérieure d'enfants japonais beaucoup moins vaccinés.
    Ainsi, lorsque des observateurs familiers avec les données d'injection de COVID les proclament « les vaccins les plus dangereux de l'histoire de l'humanité », cela veut dire quelque chose.

    Le Dr Joseph Mercola a averti que les piqûres COVID exposaient les enfants à des "problèmes de santé potentiellement permanents", y compris de graves problèmes cardiaques résultant d'une myocardite. Comme il l'écrivait début janvier :

    "[L] a récente poussée pour injecter des enfants avec une expérience génétique peut être l'une des pires infractions de santé publique perpétrées sur une population de personnes incapables de parler pour elles-mêmes, n'ont pas de voix légale et dépendent des adultes pour les protéger .”

    La Californie « mène »

    La Californie a passé les six dernières années à éliminer systématiquement les exemptions de vaccins fondées sur les convictions personnelles et à supprimer les exemptions médicales.

    RépondreSupprimer
  36. Non content de ces assauts contre la liberté de la santé, le gouverneur Gavin Newsom a annoncé début octobre – lisant apparemment dans les esprits, des semaines à l'avance, les membres du comité de la FDA et du CDC qui ont ensuite approuvé les injections COVID pendant 5 à 11 ans. olds – que son État imposerait un mandat K-12 dans les écoles publiques et privées, faisant de la Californie le premier État à imposer les vaccins COVID-19 pour la fréquentation scolaire en personne.

    Le mandat repose sur les vaccins « recevant une licence complète de la FDA pour les enfants », ce que l'État attend en juillet 2022.

    Cherchant à normaliser son mandat COVID, Newsom l'a comparé aux exigences scolaires existantes pour la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR).

    Cherchant à normaliser son mandat COVID, Newsom l'a comparé aux exigences scolaires existantes pour la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR).

    Cependant, à la lumière de la relation forte et statistiquement significative entre les vaccins ROR et l'autisme - et compte tenu du statut de la Californie en tant qu'État avec la prévalence d'autisme la plus élevée - la comparaison de Newsom n'est guère rassurante.

    La Louisiane ignore

    À la mi-décembre, le gouverneur de la Louisiane, John Bel Edwards, a ajouté les vaccins COVID à la liste des vaccins scolaires requis, annulant un vote bipartite contre un tel mandat par le House Health and Welfare Committee de l'État.

    La pression pour le mandat est née avec le ministère de la Santé de la Louisiane. Le comité de la santé de la Chambre a ensuite voté 13 contre 2 pour rejeter la recommandation du département, déclarant que la vaccination COVID « devrait être la décision des parents », un point de vue de bon sens partagé par les législateurs et les parents du pays.

    Cependant, le gouverneur a opposé son veto au vote du comité – et aux souhaits des citoyens qui ont emballé la réunion du comité pour protester contre les mandats – qualifiant avec dédain leurs objections de « rhétorique surchauffée ».

    Le gouverneur de la Louisiane et les responsables de la santé ont également ignoré les remarques prononcées lors de l'audience du comité de la santé par l'infirmière expérimentée de la Louisiane Collette Martin, R.N. Martin a fourni un témoignage sur les effets indésirables graves chez les enfants et leur sous-déclaration généralisée. Elle a dit au comité :

    «Nous ne voyons pas seulement des réactions aiguës sévères avec ce vaccin, mais nous n'avons aucune idée de ce que sont les réactions à long terme. Cancers, [troubles] auto-immuns, infertilité. Nous ne savons tout simplement pas.

    RépondreSupprimer
  37. Le mandat de la Louisiane, qui entrera en vigueur à l'automne 2022, ne s'applique actuellement qu'aux étudiants âgés de 16 ans et plus, "mais pourrait s'étendre à mesure que les vaccins obtiennent le plus haut niveau d'approbation" de la FDA.

    Les districts scolaires (essayent d') imposer

    Début janvier, l'attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a affirmé que les décisions sur les mandats de vaccination scolaire "revenaient aux districts scolaires locaux".

    Cependant, le département américain de l'Éducation a travaillé avec les districts scolaires, a déclaré Psaki, "pour fournir des ressources, mettre en relation les responsables scolaires avec les fournisseurs de tests et mettre en place des cliniques de vaccination...".

    En septembre dernier, le secrétaire à la santé du Maryland a fait des commentaires similaires de manière malhonnête, déclarant à la presse que l'État préfère "ne pas être intentionnellement autoritaire" ou "interventionniste" et encourage plutôt les systèmes scolaires "à prendre les devants dans leurs juridictions individuelles".

    En Californie, les membres des conseils scolaires de plusieurs grands districts scolaires ont montré, dès septembre, qu'ils étaient prêts à «prendre les devants» en imposant des mandats pour l'enseignement en personne.

    Les plans des conseils scolaires de Los Angeles (le deuxième plus grand district scolaire du pays), d'Oakland et de San Diego ont cependant été sapés par le grand nombre d'élèves non vaccinés et d'autres pièges apparemment imprévus.

    Le district scolaire de Los Angeles, par exemple, a repoussé sa date limite initiale du 10 janvier à l'automne 2022, car des dizaines de milliers d'élèves non injectés auraient « submergé le programme d'études indépendantes du district ».

    Les étudiants de L.A. âgés de 12 ans et plus sont censés télécharger une preuve de vaccination dans un système « Daily Pass ». Le district de L.A. exige déjà que les étudiants subissent des tests hebdomadaires (quel que soit leur statut vaccinal) et les soumet à d'autres mesures telles que des «contrôles de santé quotidiens», le masquage et la recherche des contacts et l'isolement des cas.

    Trois élèves sur dix ne se sont pas présentés le premier jour d'école après les vacances d'hiver, "ayant été testés positifs pour le coronavirus".

    Le district scolaire d'Oakland n'appliquera pas son mandat avant le 31 janvier, un mois plus tard que prévu initialement. Lorsque le conseil scolaire a voté (5-1-1) en faveur de rendre obligatoires les injections COVID pour l'enseignement en personne pour les élèves de 12 ans et plus, il n'a apparemment pas négocié sur près des deux cinquièmes des élèves de ce groupe d'âge (38%) restants non vacciné.

    Émettant le seul vote « non », Mike Hutchinson, membre du conseil scolaire d'Oakland, a déclaré : « Je ne pense pas que nous devrions nous lancer à minuit lors d'une réunion peu médiatisée, en parlant de vaccinations obligatoires alors qu'il n'y a rien de mal à prendre notre temps pour délibéré pour nous assurer que nous faisons les choses correctement.

    RépondreSupprimer
  38. En décembre, cependant, Hutchinson a indiqué qu'il serait à l'aise de s'en remettre au mandat au niveau de l'État.

    Fin décembre à San Diego, un juge a annulé le mandat de vaccination contre le COVID du district scolaire pour les élèves de 16 ans et plus, arguant que la législature de l'État n'a pas donné aux districts scolaires individuels le pouvoir d'imposer des vaccins pour la fréquentation scolaire.

    Pas timide

    Un pédiatre d'Oakland qui a poussé le conseil scolaire de sa ville à voter en faveur des mandats COVID a déclaré l'automne dernier : "Ce n'est pas le moment d'être timide".

    Cependant, à mesure que les preuves s'accumulent sur les risques démesurés des injections pour les enfants, il semble de plus en plus clair qu'un certain nombre de soi-disant fonctionnaires n'ont pas de problème de timidité, s'étant montrés parfaitement disposés à nuire - et à tuer - des enfants.

    Pour l'ancien cadre de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, qui soutient depuis des mois que les injections de COVID "sont toxiques par conception" et "allaient toujours nuire aux gens", il semble évident que "des actes criminels sont commis".

    Il est maintenant temps de repousser la criminalité et la coercition – y compris les mandats de vaccination COVID et les «passeports vaccinaux» – de toutes les manières possibles. La vie de nos enfants et la nôtre en dépendent.

    Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement des nouvelles et des mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de Children's Health Defence. CHD prévoit de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d'obtenir justice pour ceux qui sont déjà blessés. Votre soutien est essentiel au succès de la mission de CHD.

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/no_author/schools-shouldnt-mandate-most-dangerous-vaccines-in-human-history/

    RépondreSupprimer
  39. Notez que le port du masque chez les adolescents puis chez les 'nouveaux nés' n'est pas quelque chose d'une science récente, on sait tous que depuis notre naissance nous respirons tous. Mais alors, pourquoi ces catégories séparés ? C'est LE programme. En premier on tue les adultes, puis, aux vues du nombre de morts on décide de protéger les enfants en les tuant aussi !

    RépondreSupprimer
  40. Avant les enfants de Pfizer
    étaient les enfants de Lidice

    Bon citoyen


    - voir photos sur site -

    (L) Vanessa Figueiredo : Exécutée par injection Pfizer 2022 | (R) Karel Bulina : exécuté par un peloton d'exécution nazi en 1942
    Avertissement : L'article suivant concerne les crimes de guerre contre les enfants.

    Comme je le dis en privé depuis deux ans et que j'écris publiquement depuis quelques mois, nous sommes dans une guerre silencieuse. Les gouvernements occidentaux et leurs propriétaires oligarques ont déclaré la guerre aux peuples libres et dans toutes les guerres il y a des causalités insensées, et parfois ce sont des enfants innocents. Lorsque nous avons fini de pleurer, de pleurer et de célébrer leur belle mais brève vie, nous devons les appeler collectivement par les noms de la société et de l'agence gouvernementale (contrôlée par cette société) qui les a tués - les enfants de Pfizer ou les enfants de la FDA.

    9 novembre 2021 - Araranguá, Brésil

    Vanessa Martins Figueiredo reçoit sa première injection Pfizer. Le lendemain, elle développe la paralysie de Bell. Elle souffre pendant un mois avant que son état ne se détériore. Elle a du mal à respirer et est mise sous oxygène. Le 2 janvier 2022, elle est emmenée en ambulance à l'hôpital où son état s'aggrave. Huit jours plus tard, elle meurt à l'âge de 13 ans1. Il y en aura des milliers d'autres comme elle parce que trop de bonnes personnes ne font rien. Il y aura de nombreux enfants de Pfizer.

    12 janvier 2022 - Pologne

    Cinq minutes après avoir lu l'histoire tragique de Vanessa, je suis passé devant un sac rempli de livres dans mon couloir. Le premier livre qui me regardait était Les destins des enfants de Lidice. Je l'ai sorti du sac, j'ai dépoussiéré la couverture et j'ai pensé à toutes les Vanessa du monde qui souffriront inutilement et à leurs familles aussi. J'ai regardé les visages immobiles et bronzés des petits Enfants de Lidice sur la couverture du livre. J'ai pensé à ma jeune nièce et à mon neveu et au monde qui les attend, puis j'ai failli le perdre.

    Mars 2007 - Prague, République tchèque

    J'ai emménagé dans un appartement modeste dans un immeuble délabré près de l'ambassade de Russie à Prague. C'était l'ancienne maison des parents de ma petite amie tchèque, et avant cela, c'était la maison de ses grands-parents. Ses parents avaient depuis déménagé dans leur ferme près de Plzen, nous l'avons donc reprise, une troisième génération. Un week-end sur deux, son père à la retraite restait avec nous pendant qu'il jouait du cor dans les spectacles du vendredi et du samedi soir avec un groupe de jazz ragtime de style local de la Nouvelle-Orléans pour gagner de l'argent supplémentaire. C'était un petit gars qui boitait et qui ne parlait pas beaucoup anglais. Il a bu sa bière chaude à la bouteille, a mangé son goulasch et s'est à peu près gardé pour lui. Nous nous sommes merveilleusement bien entendus.

    RépondreSupprimer
  41. Sa femme était aussi petite et également handicapée. Elle tenait son avant-bras gauche avec sa main droite. Ils s'étaient rencontrés plusieurs années plus tôt dans un hôpital communiste. Son amant est mort dans l'accident de moto dans lequel il était. Son amant est mort dans l'accident de moto dans lequel elle était, les deux le même jour dans différents quartiers de la ville. La tragédie les a réunis derrière le rideau de fer après de nombreuses interventions chirurgicales puis une rééducation physique. Ils ont perdu leur premier fils en bas âge à cause d'un médicament empoisonné, chose courante dans le bloc communiste. Pas d'avocats. Aucune indemnisation. Aucune culpabilité de la part de l'État, seulement le deuil. Après cela, ils ont attendu et ont eu un fils et à un stade assez avancé de leur vie, ils ont eu la chance d'avoir une fille.

    Un samedi soir, alors qu'ils étaient tous les deux à Prague, ils m'ont amené à la fenêtre du salon de l'appartement donnant sur le boulevard et m'ont expliqué comment, en 1968, les chars soviétiques ont rempli les rues de soldats russes abattant les manifestations du "Printemps de Prague" qui avaient enflammé la ville. Il y avait des couvre-feux et il fallait des papiers pour faire quoi que ce soit. La nourriture était rationnée. C'était l'enfer.

    Un autre week-end, nous étions en promenade dans une partie de la ville où il gimpait en essayant de suivre sa fille et moi et il nous a arrêtés et a indiqué une intersection où une caisse alliée larguée en parachute avait atterri quand il était un jeune garçon . Lui et ses amis se sont précipités pour l'ouvrir avant qu'il ne soit saisi par les occupants nazis. Il y avait des papiers (tracts de propagande alliés) et du chocolat. C'était la première fois qu'il mangeait du chocolat.

    Lors d'une autre promenade, il nous a arrêtés et nous a indiqué une intersection qui menait à la sortie d'autoroute en direction de Dresde. Ma petite amie a traduit l'histoire de la façon dont les combattants de la résistance tchèque ont attaqué une voiture nazie à cette même intersection en 1942, tuant un important SS et provoquant la colère d'Hitler. Puis son père a mentionné Lidice mais n'a pas continué. C'était trop morbide, dit-il. « Qu'est-ce que Lidice ? » J'ai demandé. Il ne dirait pas. Sa fille ne savait pas. Le lendemain, nous avons pris un bus pour aller voir le village juste à l'extérieur de Prague.

    RépondreSupprimer
  42. 27 mai 1942 - Prague, Tchécoslovaquie

    Reinhard Heidrich a été nommé « protecteur de la Moravie et d'Ostrava » en 1941 par Hitler. C'était un général intrépide et sauvage qui a aidé à organiser et à régler le "problème juif" du Troisième Reich. Hitler l'a surnommé « l'homme au cœur de fer ».

    Fin décembre, deux soldats tchèques en exil qui s'étaient entraînés avec des commandos britanniques sont parachutés en Tchécoslovaquie avec l'intention d'assassiner Heidrich. Ils se sont cachés pendant des mois en attendant que des rapports de renseignement révèlent une ouverture. Ils ont obtenu cette ouverture fin mai lorsqu'ils ont appris le jour de son départ pour Dresde pour rencontrer Himmler. Ils savaient que la seule route de Prague à Dresde était cette autoroute et que le seul moyen d'y accéder était cette intersection qui nécessitait un virage lent. Lorsque les deux hommes ont tendu une embuscade à Heidrich, le premier a bloqué sa mitraillette et n'a pas pu tirer. Des témoins disent qu'Heidrich a bizarrement dit à son chauffeur d'arrêter la voiture et qu'il allait s'approcher de l'homme qui tentait de réparer l'arme lorsque son complice a lancé une mine antichar à l'arrière de la Mercedes. Il a explosé avec des éclats d'obus frappant le côté gauche et l'estomac de Heidrich. Il a survécu à ses blessures initiales et semblait être sur la voie d'un rétablissement complet lorsqu'il est tombé dans le coma et est décédé le 3 juin d'une septicémie.

    Hitler était furieux. 5000 Tchèques ont été arrêtés, beaucoup torturés. Apprenant que ce sont des soldats tchécoslovaques du gouvernement en exil en Grande-Bretagne qui ont mené l'attaque, ils ont suivi l'origine de deux de ces soldats exilés jusqu'à leur ville natale. Ce ne sont pas ces deux-là qui ont perpétré l'attaque, mais deux qui venaient du village de Lidice où aucun résistant ne s'est jamais caché. C'était assez bon pour Hitler.

    RépondreSupprimer
  43. 10 juin 1942 - Lidice, Tchécoslovaquie

    Juste après minuit, le village est encerclé par plus d'un millier de soldats SS. Les camions bloquent toutes les sorties et ils commencent à faire du porte-à-porte pour réveiller les gens et leur donner des instructions pour rassembler tous leurs objets de valeur, y compris les bijoux, l'argent, l'or et porter des vêtements chauds.

    Les hommes sont séparés des femmes et des enfants et conduits vers la ferme de la famille Horák où ils sont parqués dans le sous-sol et y sont gardés jusqu'au lendemain matin. Leurs objets de valeur sont saisis. Les femmes et les enfants sont conduits à l'école locale où les femmes reçoivent également l'ordre de remettre tous leurs objets de valeur. Avant le lever du soleil, ils sont chargés sur des camions et emmenés dans la ville voisine de Kladno où ils sont conservés dans un gymnase scolaire. Là, ils passent trois jours et deux nuits à dormir sur un sol dur recouvert de paille. La femme la plus âgée a quatre-vingt-huit ans, le plus jeune enfant a 10 mois.

    Le lendemain matin, dans le village de Lidice contre le mur de pierre de la ferme Horák, avec des matelas placés derrière eux, les hommes sont systématiquement alignés et exécutés par un peloton d'exécution.

    Lidice – le destin tragique d'un village devenu un symbole puissant | Radio Prague Internationale
    Tous les hommes du village exécutés à la ferme Horák, le plus jeune âgé de 15 ans était Karel Bulina sur la photo ci-dessus. 10 juin 1942.

    Tout le village de Lidice est rasé.

    À Kladno, au gymnase de l'école, les enfants sont brièvement séparés de leur mère pour des examens physiques, y compris les cheveux, la couleur des yeux et la mesure de leur crâne. Quatre des 92 enfants sont sélectionnés pour la "germanisation" du programme Lebensborn. Les femmes sont rassemblées et mises dans des camions et envoyées à la gare où elles s'entassent dans des wagons à bestiaux et sont expédiées au camp de concentration de Ravensbrück. On dit aux mères qu'elles retrouveront leurs enfants plus tard, qui devront prendre le bus car le voyage sera plus confortable pour elles.

    RépondreSupprimer
  44. 15 juin 1942 - Poznan, Pologne

    Les quatre premiers enfants sélectionnés pour le programme Lebensborn sont envoyés dans un bâtiment du centre de Prague où ils sont lavés, nourris et reçoivent de nouveaux vêtements. Lebensborn est conçu pour sélectionner des enfants orphelins qui répondent à des critères raciaux et génétiques spécifiques pour aider à faire face à la baisse des taux de natalité en Allemagne. Les enfants Lidice sélectionnés ont tous moins de cinq ans et sont séparés de leur mère depuis une semaine maintenant. Cinq jours plus tard, ils sont envoyés en train dans un orphelinat du programme à Poznan où ils commenceront leur processus de «germanisation» avec d'autres enfants pour la plupart originaires de Pologne. Cette étape comprend des heures d'apprentissage uniquement de l'allemand et de conversation uniquement en allemand ainsi que l'apprentissage de toute la propagande habituelle du Reich. Ils seront nourris trois repas par jour et pris en charge par des enseignants, des infirmières et des médecins jusqu'à ce qu'ils soient envoyés en Allemagne et dans leurs nouvelles familles adoptives.

    20 juin - 4 juillet 1942 - Łódź, Pologne

    Les 88 enfants restants sont envoyés par train à Łódź en Pologne fin juin. Ils vont de 10 mois à 14 ans. Le trajet dure quatre jours. Ils sont entassés comme du bétail dans un wagon et ne sont nourris qu'une fois par jour avec du café et du pain ou des biscuits. À présent, ils n'ont pas vu leurs parents depuis deux semaines et ne portent que les vêtements qu'ils avaient sur le dos depuis la nuit où les SS ont pris d'assaut leur village. Lorsqu'ils arrivent à Łódź, ils sont transférés de la gare à un entrepôt textile où ils sont conservés au deuxième étage pendant encore deux semaines. Ils survivent avec du pain, des biscuits et du café avec parfois de la soupe. Ils dorment sur un sol en béton froid sans couvertures ni oreillers. Ils ne sont jamais baignés et développent des poux et des éruptions cutanées. Tous ces détails sont ensuite confirmés par une infirmière polonaise locale chargée de s'occuper des enfants.

    Sept autres enfants sont sélectionnés dans ce groupe pour le programme Lebensborn en fonction de leurs caractéristiques physiques. Ils sont envoyés rejoindre les trois premiers à Poznan pour le processus de « germanisation ». L'une des quatre premières choisies est plus tard jugée "inapte" pour des raisons inconnues et elle est envoyée ici à l'usine textile en gardant le chiffre final des Enfants de Lidice à 82. Début juillet, les enfants sont autorisés à écrire des lettres à leurs parents. et certains écrivent des lettres aux tantes et aux oncles. Beaucoup de ces lettres sont stockées et jamais envoyées mais survivent à la guerre. Les enfants sont confus et posent des questions sur leurs parents, ce qui se passe et parlent de manger très peu. Pour les conditions horribles qu'ils ont endurées pendant des semaines, beaucoup semblent ne pas vouloir inquiéter leurs parents et ne les souffrent pas avec des détails. Ils ne savent pas que leurs pères, oncles et frères aînés sont morts ou que leurs mères, tantes et grands-mères sont déjà à Ravensbrück. La dernière lettre est datée du 4 juillet 1942.

    RépondreSupprimer
  45. Certains prisonniers polonais forcés de travailler au camp de Chelmno et certains citoyens locaux se souviennent avoir vu des camions remplis de jeunes enfants parlant tchèque arriver au début de juillet 1942. C'est la dernière fois que les enfants sont vus vivants.

    On leur a probablement dit qu'ils allaient enfin prendre une douche et ils ont été parqués dans des camionnettes mobiles converties en chambres à gaz au camp d'extermination de Chelmno.

    14 janvier 2022

    Aujourd'hui, ni Pfizer, ni Moderna, ni l'OMS ou la FDA n'ont des camionnettes mobiles converties en chambres à gaz. Notre médicament actuel est bien pensé et, de par sa conception, dispersé dans le monde entier afin que la "mort subite" de "causes naturelles" leur serve de chambres à gaz invisibles. Il n'y aura pas de récompense pour les familles de nature fiscale ou spirituelle.

    "Dans les organes de ces personnes, dans 90 % des cas, il a trouvé des preuves claires d'une attaque auto-immune par des lymphocytes tueurs sur les tissus. Vous n'avez pas besoin de chercher d'autres données pour savoir que ces vaccins tuent les jeunes et les vieux. Ils tuent nos enfants. Regardez ces balles qui sont tirées sur les personnes qui se font vacciner. Nous disons aux enfants, levez-vous contre le mur, et vous protégerez vos parents et grands-parents - tout cela, c'est de la connerie ! Alors ils se dressent contre le mur et tirent. Nous alignons les enfants et les abattons.
    - Dr Sucharit Bhakdi2

    Dans une guerre silencieuse, vous ne voyez pas les images de corps entassés dans un champ de ferme de village. Il n'y a pas de bulldozers pour creuser des fosses communes, pas d'annonces sur la radio Pfizer de leur dernier massacre de village. Les parents croient l'État, ils croient les experts, ils mettent l'avenir de leurs enfants entre les mains de bureaucrates de la santé corrompus et leurs enfants deviennent des cobayes. Comme les enfants de Lidice qui pensaient qu'ils allaient prendre une douche, ils pensent qu'ils vont chez le médecin pour avoir des "médicaments". Le médicament entre et le temps prend le dessus. Un jour, une semaine, quatre mois. De nombreux décès seront cachés, présentés comme des « causes naturelles » comme nous le voyons quotidiennement avec de jeunes athlètes et des célébrités. La mort subite n'est plus pour les jeux de sport en prolongation. Il aura un tout nouveau sens dans notre vocabulaire, toujours suivi de la même question dans nos têtes, Pfizer ou Moderna ? Nous n'osons pas le demander publiquement sans être humiliés en tant qu'"anti-vaxxer !"

    Un cadre pharmaceutique ou un bureaucrate de la santé sera-t-il jugé ? Des dirigeants mondiaux ou des oligarques impliqués dans la planification et l'exécution d'enfants innocents verront-ils un jour justice ? Que diriez-vous du panel de la FDA qui a déclaré: "Nous devons simplement l'approuver pour que les enfants voient si cela fonctionne." Quel genre de personnes sommes-nous devenus pour permettre aux enfants de Pfizer et aux enfants de Moderna d'être effacés de l'histoire comme les enfants de Lidice sans justice, sans rétribution, sans outrage collectif pour ce grotesque pharmacien profiteur ?

    RépondreSupprimer
  46. Nous n'aurons peut-être pas assez de bronze pour toutes les statues d'enfants victimes de notre inquiétante époque pharmaceutique. Et même si nous faisions toutes les statues du monde, cela n'empêchera pas les enfants du futur qui se tiennent devant eux dans la tristesse de poser la question la plus essentiellement profonde que les enfants innocents ont toujours une façon de se poser : "Pourquoi personne n'a-t-il rien fait pour arrête ça ?"

    1
    https://thecovidworld.com/vanessa-martins-figueiredo-13-year-old-dies-after-receiving-pfizer-covid-19-vaccine-investigation-launched/

    2
    https://doctors4covidethics.org/dr-explains-basic-immunology/

    https://thegoodcitizen.substack.com/p/before-the-children-of-pfizer

    RépondreSupprimer
  47. Fini les boosters


    Alex Berenson
    12 janv.


    Maintenant, l'Organisation mondiale de la santé a également agité le drapeau blanc sur les rappels de vaccins Covid.

    L'OMS a publié hier une déclaration sur les vaccins Covid. Il est rempli du jargon habituel de la santé publique et de la couverture des fesses, mais une ligne se démarque :

    une stratégie de vaccination basée sur des doses de rappel répétées de la composition originale du vaccin a peu de chances d'être appropriée ou durable.

    C'est fini, les gens.

    Mis à part quelques Israéliens malchanceux, personne ne recevra une quatrième dose du vaccin original ; tout le monde avec des yeux peut voir que cela ne fonctionne pas contre Omicron. (Et si vous n'avez pas reçu de troisième dose, à ce stade, pourquoi le feriez-vous ? Vous bénéficiez au maximum de semaines de protection légèrement améliorée contre les effets secondaires potentiellement graves.)

    Au lieu de cela, l'OMS promet/exige maintenant des vaccins basés sur la souche Sars-Cov-2 dominante à l'heure actuelle.

    Cette promesse est aussi vide que toutes les autres que les bureaucrates de la santé et les fabricants de vaccins ont faites.

    Au moins cinq variantes majeures (« variantes préoccupantes ») se sont développées au cours de la dernière année, et deux sont devenues dominantes à l'échelle mondiale. Même les vaccins à ARNm ne peuvent pas être concoctés et livrés assez rapidement pour correspondre à la souche de virus qui devient dominante. Covid est plus rapide que les scientifiques.

    Tout au plus, les futures vaccinations contre le Covid ressembleront beaucoup aux vaccinations actuelles contre la grippe (et NON l'inverse). Ils seront cuisinés annuellement et distribués au début de la saison hivernale. Ils ne feront pas grand-chose et personne ne s'y attendra.

    Sauf en ce qui concerne Covid, l'OMS ne veut pas non plus de ces vaccins.

    Il a explicitement déclaré dans la déclaration que les futurs vaccins contre Covid doivent "être plus efficaces dans la protection contre l'infection, réduisant ainsi la transmission communautaire".

    Deux énormes points cachés dans ces 11 mots :

    RépondreSupprimer
  48. Premièrement, ils sont intrinsèquement une critique dévastatrice de l'échec actuel des vaccins Covid à fonctionner comme promis.

    Deuxièmement, l'OMS n'applique PAS cette norme aux vaccins contre la grippe, qui n'arrêtent pas et ne devraient pas arrêter la transmission communautaire. Pourquoi exiger plus de vaccins Covid ? La seule réponse honnête est que les vaccins ARNm et ADN Covid ont des effets secondaires beaucoup plus graves que les vaccins contre la grippe et doivent donc être tenus à un niveau beaucoup plus élevé.

    Qu'ils n'ont aucun espoir de rencontrer.

    La guerre est finie. Les vaccins (ARNm) perdus. La seule question est de savoir quand combien de personnes supplémentaires seront blessées avant que les autorités de santé publique américaines n'annoncent leur reddition.

    SOURCE : https://www.who.int/news/item/11-01-2022-interim-statement-on-covid-19-vaccines-in-the-context-of-the-circulation-of-the- omicron-sras-cov-2-variant-from-the-who-technical-consultory-group-on-covid-19-vaccine-composition

    https://alexberenson.substack.com/p/boosters-are-over/comments

    RépondreSupprimer
  49. Admission Bombshell - Les tests COVID ne fonctionnent pas


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    15 janvier 2022


    Depuis les premiers jours de la pandémie de COVID, le test PCR a été une source de controverse incessante, les experts soulignant à plusieurs reprises qu'il ne s'agit pas d'un diagnostic valide et qu'il produit des quantités excessives de faux positifs.

    Il est important de noter qu'un test PCR ne peut pas faire la distinction entre les virus "vivants" et les particules virales inactives (non infectieuses). C'est pourquoi il ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic. Comme l'a expliqué le Dr Lee Merritt dans sa conférence Doctors for Disaster Preparedness d'août 20201, les médias et les responsables de la santé publique semblent avoir délibérément confondu les «cas» ou les tests positifs avec la maladie réelle afin de créer l'apparence d'une pandémie.

    De plus, un test PCR ne peut pas confirmer que le SRAS-CoV-2 est l'agent causal des symptômes cliniques car le test ne peut pas exclure les maladies causées par d'autres agents pathogènes bactériens ou viraux. L'inventeur du test PCR, Kary Mullis, qui a remporté un prix Nobel pour son travail, l'explique dans la vidéo ci-dessus.

    Presque universellement, les autorités sanitaires ont également demandé aux laboratoires d'utiliser des seuils de cycle (CT) excessivement élevés - c'est-à-dire le nombre de cycles d'amplification utilisés pour détecter les particules d'ARN - garantissant ainsi un maximum de faux positifs.

    Dès le début, les experts ont noté qu'un CT supérieur à 35 est scientifiquement injustifiable,2,3,4, mais la Food and Drug Administration américaine et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont recommandé d'effectuer des tests PCR à un CT de 40,5 et le monde L'Organisation de la santé a recommandé un CT de 45.

    La pandémie de faux positifs a ensuite été utilisée par les gouvernements du monde pour mettre en œuvre des contre-mesures pandémiques qui ont détruit l'économie mondiale, ruiné d'innombrables vies, décimé l'éducation de toute une génération et nous ont dépouillés des droits et libertés fondamentaux de l'homme.

    RépondreSupprimer
  50. Ce que signifie l'admission tardive du CDC, c'est qu'au cours des deux dernières années, les Américains ont inutilement perdu du temps en s'auto-isolant – peut-être des semaines – à attendre un test négatif.
    Maintes et maintes fois, le poteau de but pour mettre fin au théâtre de la pandémie a été déplacé, et les justifications pour continuer les contre-mesures destructrices de vie sont devenues de plus en plus risibles. L'alarmisme autour d'Omicron, par exemple, n'a aucun sens rationnel sur la base des données disponibles, qui montrent que la variante est parmi les plus bénignes à ce jour, et beaucoup moins susceptible d'infecter et d'endommager les poumons.6

    Le CDC réduit de moitié la recommandation d'isolement

    Au cours des derniers jours de décembre 2021, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont publié un autre changement de protocole illogique. cinq jours au lieu des 10 précédents, mais devrait porter un masque pendant encore cinq jours au travail ou en public. De plus, ils n'ont pas besoin de se faire retester à la fin de leur quarantaine. La raison invoquée ? Parce que:

    La majorité de la transmission virale (85 % à 90 %8) se produit dans le premier jour ou deux avant l'apparition des symptômes, et deux à trois jours après l'apparition des symptômes9
    Le test PCR peut rester positif jusqu'à 12 semaines après la guérison de l'infection10,11
    Comment se fait-il que le CDC n'ait pas réalisé jusqu'à présent que le test PCR ramassait des débris viraux morts pendant trois mois après l'infection ? Les faits selon lesquels le test, a) était beaucoup trop sensible et b) ne pouvaient pas identifier une infection active, étaient des critiques dès le départ. Ce que signifie l'admission tardive du CDC, c'est qu'au cours des deux dernières années, les Américains ont inutilement perdu du temps en s'auto-isolant – peut-être des semaines – à attendre un test négatif.

    Lors d'une apparition le 30 décembre 2021 sur MSNBC, le Dr Anthony Fauci a répondu aux questions sur les directives mises à jour du CDC. La directrice du CDC, Rochelle Walensky, a également tenté de donner un sens aux nouvelles directives dans une interview accordée à ABC News le 29 décembre 2021 (voir les vidéos ci-dessus)12.

    Aucun d'eux n'a fourni d'explication quant à la raison pour laquelle le CDC n'a pas modifié les règles plus tôt, et n'a décidé que maintenant que maintenir les personnes non infectieuses en isolement pendant des jours et des semaines pourrait ne pas être si bon après tout.

    RépondreSupprimer
  51. Walensky a cependant fait un commentaire assez révélateur sur CNN, lorsqu'on lui a demandé le raisonnement derrière les directives d'isolement raccourcies. « Cela avait vraiment beaucoup à voir avec ce que nous pensions que les gens seraient capables de tolérer », a-t-elle dit.13 Certains ont traduit cela de manière compréhensible par « combien de tyrannie nous pensions que les gens seraient capables de tolérer. »14

    Règles différentes pour les travailleurs de la santé

    Le CDC n'a cependant pas renoncé à rendre les directives aussi confuses que possible. Le 23 décembre 2021, ils ont également mis à jour les directives à l'intention des travailleurs de la santé15, déclarant que «les travailleurs de la santé atteints de COVID-19 qui sont asymptomatiques peuvent retourner au travail après sept jours avec un test négatif, et que le temps d'isolement peut être encore réduit s'il y a manque de personnel. »16

    Dans son entretien avec MSNBC, on a demandé à Fauci pourquoi les travailleurs de la santé étaient traités différemment, devant s'isoler pendant sept jours au lieu de cinq, et doivent toujours obtenir un test négatif, alors que le test peut rester faussement positif jusqu'à 12 semaines ? Quelles données soutiennent cela, et sont-elles accessibles au public ?

    Selon Fauci, les données à l'appui de cette différence "sont internes au CDC", mais en réalité, il n'y a "aucune donnée spécifique" pour la sauvegarder, ajoute-t-il. Le CDC a simplement fait "un appel au jugement".

    Double-jabbed traité de la même manière que non vacciné

    Les directives mises à jour du CDC placent également ceux qui ont reçu deux doses du vaccin COVID dans la même catégorie que les non vaccinés, donc lorsqu'il s'agit d'isoler après exposition, ils doivent suivre les mêmes règles, tandis que ceux qui ont reçu un rappel suivent un autre ensemble de lignes directrices. Comme l'explique le CDC :17

    «Pour les personnes non vaccinées ou à plus de six mois de leur deuxième dose d'ARNm (ou plus de 2 mois après le vaccin J&J) et pas encore boostées, le CDC recommande désormais une quarantaine de 5 jours suivie d'une utilisation stricte du masque pendant 5 jours supplémentaires. jours.

    Alternativement, si une quarantaine de 5 jours n'est pas réalisable, il est impératif qu'une personne exposée porte un masque bien ajusté à tout moment lorsqu'elle est entourée d'autres personnes pendant 10 jours après l'exposition. Les personnes qui ont reçu leur rappel n'ont pas besoin de se mettre en quarantaine suite à une exposition, mais doivent porter un masque pendant 10 jours après l'exposition.

    Pour toutes les personnes exposées, les meilleures pratiques incluraient également un test pour le SRAS-CoV-2 au jour 5 après l'exposition. Si des symptômes apparaissent, les individus doivent immédiatement se mettre en quarantaine jusqu'à ce qu'un test négatif confirme que les symptômes ne sont pas attribuables au COVID-19.

    RépondreSupprimer
  52. Fauci a défendu la décision de traiter les doubles piqûres comme si elles n'étaient pas vaccinées en disant que ceux qui ont reçu une injection de rappel ont une bien plus grande protection contre la variante Omicron, par rapport à ceux qui n'ont reçu qu'une ou deux doses.

    "Quand vous êtes infecté, vous êtes infecté", a déclaré Fauci, et peu importe que vous soyez vacciné ou non. La charge virale est la même, donc le risque de propagation de l'infection est le même. Ceux qui ont été boostés sont moins susceptibles d'être infectés ou de porter une charge virale importante, ils n'ont donc pas besoin de s'isoler.

    La PCR ne peut rien vous dire sur la contagiosité

    Fauci a également été interrogé sur la façon dont on peut mesurer la contagiosité. Si la PCR peut être positive pendant 12 semaines après une infection, elle ne peut pas être un indicateur fiable de contagiosité. C'est précisément le point que Mullis, inventeur du test PCR, a tenté de faire valoir dans la vidéo en haut concernant la PCR et le VIH.

    Alors, comment savoir si nous sommes contagieux ou non ? Fauci a confirmé que la PCR ne peut que vous dire qu'il y a présence ou absence de fragments viraux, pas s'il s'agit d'une infection active ou si vous êtes réellement infectieux. Il n'a cependant pas répondu à la question de savoir comment mesurer la contagiosité.

    Le test rapide ne capte pas Omicron

    Un autre facteur de confusion dans ce gâchis est que le test rapide ne détecte apparemment pas très bien Omicron.18 Votre charge virale doit être très élevée au moment du test pour que le test rapide le reconnaisse.

    Cet aveu est intervenu quelques jours après l'annonce par le président Biden que le gouvernement fédéral distribuerait un demi-milliard de tests rapides gratuits aux foyers du pays en 2022.19

    Cela semble être un gaspillage de ressources, vu comment Omicron commence à prendre le relais, mais qui sait, peut-être qu'il attrapera le rhume à la place, permettant au nombre de "cas" de rester suffisamment élevé pour maintenir la mascarade.

    Quel est le vrai nombre de morts ?

    L'admission tardive du CDC selon laquelle le test PCR ne peut pas identifier une infection active soulève une autre question : qu'est-ce que cela signifie pour ceux qui sont morts avec un test positif ? Avaient-ils réellement une infection active ? Si non, auraient-ils dû être désignés comme décès COVID?

    La réponse évidente aux deux dernières questions est, bien sûr, non. La grande majorité étaient probablement de faux positifs, et le nombre réel de morts du COVID-19 est considérablement inférieur à ce que nous sommes amenés à croire. Le CDC le savait sans aucun doute depuis le début, vu comment ils ont été sans cesse critiqués pour leur recommandation d'exécuter le PCR à un CT de 40. Ils essaient de prétendre qu'ils viennent de s'en rendre compte, mais ce n'est tout simplement pas crédible.

    RépondreSupprimer
  53. Sources and References

    1 Doctors for Disaster Preparedness
    2 The Vaccine Reaction September 29, 2020
    3 Jon Rappoport’s Blog November 6, 2020
    4 YouTube TWiV 641 July 16, 2020
    5 FDA.gov CDC 2019-nCoV Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel Instructions, July 13, 2020 (PDF) Page 35
    6 The Guardian January 2, 2022
    7, 17 CDC.gov Media Statement December 27, 2021
    8, 10 ZeroHedge December 29, 2021
    9 ZeroHedge December 27, 2021
    11 Modern Discontent December 29, 2021
    12 YouTube ABC News December 29, 2021
    13, 14 Survive the News December 29, 2021
    15 CDC Guidance for Health Care Workers December 23, 2021
    16 YouTube MSNBC December 30, 2021; 3:58 minutes
    18 Yahoo News December 23, 2021
    19 The Guardian December 21, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2022/01/joseph-mercola/bombshell-admission-the-covid-tests-dont-work/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Il est important de noter qu'un test PCR ne peut pas faire la distinction entre les virus "vivants" et les particules virales inactives (non infectieuses). (...)

      IL N'EXISTE PAS DE 'VIRUS VIVANT' ! UN VIRUS EST UNE POUSSIÈRE. IL OU ELLE NE DOIT PAS ÊTRE CONFONDU AVEC UN MICROBE !
      J'ai toutefois noté que le mot 'vivants' était mis entre guillemets.

      Au départ (il y a 2 ans) nous parlions de virus naturels émis par le magma. Ce sont essentiellement des nano-particules ferriques chargées d'électricité (totalement inoffensives) qui conserveraient leur pouvoir durant 3 semaines (à l'inverse des becquerels qui eux conservent leur charge plus longtemps).
      Puis, à la sortie de l'expérimentation génique d'essais (quelques semaines après la déclaration humoristique de 'pandémie' - alors qu'il faut entre 10 et 15 ans pour faire un vaccin !) criminellement appelée 'vaccin' !! la substance à injecter a été analysée. Et, aux MBE ont été découvert de nouvelles formes inconnues jusqu'alors: les nano-particules d'oxyde de graphène. Les microscopes a balayage électronique ne s'y trompaient pas ! Il s'agissait bien d'un poison mortel violent qui composait entre 95 et 99 % des flacons !!!
      C'était là de nouvelles poussières. Ces nano-poussières sont aussi appelées 'poussières intelligentes' parce qu'elles peuvent recevoir des ondes et obéir aux ordres de se rassembler en caillot (mort immédiate) ou en forme de fils (morgelons) pour diriger l'individu. C'est là la prise de contrôle total de celles et ceux qui en reçoivent.
      C'est pourquoi après effrayamment sur un danger qui n'est pas dans l'air sont arrivées les premières piqûres qui contenaient ces 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène par seringue !!
      Puis, sous contrôle de se plier et d'obéir, elles et ils sont allés vers la 2 ème piqûre !! puis la 3 ème ! puis... etc, etc !

      Supprimer
  54. Les Australiens entièrement vaccinés à l'hôpital pour COVID-19 dépassent les non vaccinés

    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 14 JANVIER 2022 - 23:00
    Écrit par Daniel Khmelev via The Epoch Times (c'est nous qui soulignons),


    Pour la première fois, la Nouvelle-Galles du Sud (NSW) a vu plus de patients entièrement vaccinés hospitalisés avec COVID-19 par rapport au nombre de patients non vaccinés alors que l'épidémie d'Omicron continue de se rapprocher de son apogée.

    Le spécialiste en médecine d'urgence, le Dr Kevin Maruno, et l'équipe médicale emmènent un patient suspecté de COVID-19 dans le service d'isolement de la zone rouge du service des urgences de l'hôpital St Vincent de Sydney, en Australie, le 4 juin 2020. (Photo de Lisa Maree Williams /Getty Images)
    Les données publiées par l'unité de renseignement critique COVID-19 du gouvernement de NSW ont révélé qu'au 9 janvier, 68,9% des patients COVID-19 âgés de 12 ans et plus dans les hôpitaux avaient reçu deux doses du vaccin, dont 28,8% non vaccinés.

    Le nombre de patients vaccinés à double dose dans les unités de soins intensifs (USI) a également dépassé celui des non vaccinés, avec 50,3% des vaccinés se présentant aux soins intensifs avec le COVID-19, plus que les 49,1% qui ne sont pas vaccinés.

    Cependant, sur la base des données présentées, les personnes non vaccinées semblent être six fois plus susceptibles d'être hospitalisées et près de 13 fois plus susceptibles d'être envoyées aux soins intensifs que celles qui sont complètement vaccinées.

    Cela tient compte du fait que le nombre de patients non vaccinés semble être surreprésenté dans les chiffres - 7,3% de la population NSW âgée de 12 ans et plus à l'époque n'était pas vaccinée, mais ils représentaient la moitié des patients COVID-19 ICU dans le NSW Système de santé. À l'heure actuelle, l'Australie n'autorise pas les approches thérapeutiques alternatives utilisées et disponibles dans d'autres pays, telles que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine.

    - voir graph sur site -

    Pourcentage d'hospitalisations liées au COVID-19 en Nouvelle-Galles du Sud sur la base des données hebdomadaires communiquées par la NSW COVID-19 Critical Intelligence Unit entre le 31 octobre 2021 et le 9 janvier 2022. Les vaccinés font référence aux personnes recevant deux doses d'un vaccin éligible. Le graphique a été lissé pendant des jours entre chaque fin de semaine déclarée. Les points entre le 12 décembre 2021 et le 2 janvier 2022 ont été interpolés linéairement en raison de l'indisponibilité des données. (The Epoch Times)

    Selon NSW Health, 95,1% des personnes âgées de 16 ans et plus ont reçu la première dose d'un vaccin COVID-19, et 93,7% ont reçu deux doses au 11 janvier.

    L'augmentation de la proportion d'hospitalisations parmi les personnes entièrement vaccinées s'explique à la fois par la propagation de la variante Omicron du virus du PCC en Australie et par la perte d'efficacité des vaccins COVID-19 disponibles.

    Un porte-parole de NSW Health a déclaré à Epoch Times le 11 janvier qu'Omicron avait supplanté Delta en tant que variante principale se propageant en Nouvelle-Galles du Sud, mais qu'il semblait également moins dangereux que son prédécesseur.

    RépondreSupprimer
  55. "La variante Omicron est associée à un taux d'hospitalisation et d'admission aux soins intensifs plus faible", a déclaré le porte-parole.

    Alors que l'État a enregistré 32 155 cas de virus le 9 janvier, 2 030 ont été hospitalisés et seulement 159 ont été envoyés aux soins intensifs. Au 12 janvier, le nombre total de cas était passé à 53 909, avec 2 242 hospitalisés et 175 en soins intensifs.

    "NSW Health exhorte la communauté à continuer à adopter des comportements sûrs pour le COVID pour se protéger et protéger la communauté, notamment en portant un masque à l'intérieur, en maintenant une distance physique et en pratiquant l'hygiène des mains."

    Des personnes arrivent pour se faire vacciner au centre de vaccination de masse de New South Wales Health à Homebush à Sydney, en Australie, le 23 août 2021. (Photo de Lisa Maree Williams/Getty Images)
    Le porte-parole a également rappelé aux personnes éligibles de recevoir leur troisième dose de rappel d'un vaccin COVID-19 disponible - qui peut désormais être fait quatre mois après avoir reçu la deuxième dose - pour augmenter l'efficacité de l'immunité accordée par le vaccin.

    «Nous continuons d'encourager tous ceux qui ne l'ont pas encore fait à se faire vacciner et tous ceux qui sont désormais éligibles pour leur dose de rappel à se le faire sans tarder. Les vaccins COVID-19 disponibles en Australie sont sûrs et très efficaces pour réduire le risque de maladie grave et de décès. »

    Aux États-Unis, il a été rapporté que 2 des trois vaccins COVID-19 disponibles sont tombés en dessous de 50% d'efficacité après six mois, selon une étude publiée en novembre 2021.

    Pour lutter contre cela, NSW a mandaté des rappels pour tout le personnel éducatif, rejoignant d'autres États qui ont mis en place des exigences de rappel de vaccins.

    NSW travaille également actuellement pour mieux comprendre les effets des nouvelles variantes de COVID-19.

    "NSW Health donne la priorité au séquençage complet du génome de COVID-19 pour les patients en soins intensifs afin de mieux comprendre l'impact des variantes Delta et Omicron", a déclaré le porte-parole.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fully-vaccinated-australians-hospital-covid-19-surpass-unvaccinated

    RépondreSupprimer
  56. Vaccins anti HPV et cancer du col de l’utérus. Où en est-on en décembre 2021 ?


    Par Dr Gérard Delépine
    Mondialisation.ca, 11 janvier 2022


    Résumé

    15 ans après sa mise sur le marché l’efficacité de la vaccination contre le papillomavirus pour réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus n’est toujours pas démontrée. Des accidents graves post vaccination ont été constatés dans de nombreux pays.

    La balance avantage/risque de ces vaccins est donc toujours négative

    Pourquoi cette tribune ?

    Le but affirmé de la vaccination anti-HPV est de diminuer l’incidence du cancer du col dans la population. Malheureusement les résultats actuels, objectivés par les registres du cancer des pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies d’une augmentation ou au mieux d’une stabilisation du risque de cancer invasif, contrairement à la propagande médiatique par les revues de vulgarisation.

    Nous avions alerté de cette évolution paradoxale dès août 2018 par une tribune sur Agoravox [1], la publication du livre « hystérie vaccinale : Gardasil et cancer un paradoxe »[2], et averti le président de l’institut du cancer (qui n’a pas nié les faits objectifs publiés, mais demandé plus de recul).pastedGraphic.png En janvier 2020, j’avais démenti un article du Canard enchaîné [3] prétendant que la vaccination anti HPV diminuait le risque de cancer invasif du col de l’utérus [4].

    Mais, depuis quelques mois les médias reprennent la propagande mensongère habituelle sur la prétendue efficacité anticancéreuse de cette vaccination. Ces articles qui confondent succès anti infectieux avéré des vaccins et efficacité anti cancéreuse nulle, et mélangent dysplasies bénignes et vrais cancers fleurissent avec des titres accrocheurs [5, 6, 7, 8] dans le but de stimuler les ventes de ce vaccin.

    De nombreux gynécologues trompés par cette propagande (ou trop liés aux laboratoires ?) incitent les jeunes filles et leurs parents à la vaccination obligeant à actualiser les données scientifiques sur le problème pour répéter qu’il n’existe toujours aucune preuve d’efficacité anti cancéreuse de ces vaccins.

    Nous avons depuis régulièrement publié les mises à jour des résultats cancérologiques tant sur Agoravox [9, 10] sur Atlantico [11] et France soir en aout 2020 [12] ainsi que sur notre site. En voici une nouvelle synthèse au 26/12 /21.

    Les campagnes de vaccination anti HPV des années 2007-2008 ont ciblé en priorité les jeunes filles de 13-14 ans et ont été complétées par des séances de rattrapage jusqu’à 18 ans (et même 26 ans en Australie). Quatorze ans plus tard, les vaccinées ont entre 13 et 32 ans (et 40 ans en Australie). Comme le cancer du col est rare avant 25 ans, pour visualiser les résultats des différentes politiques sanitaires, il faut comparer l’évolution de l’incidence depuis 2007 des cancers invasifs des 25-34 ans en Australie, et 25-29 ans en Grande Bretagne, Suède et Norvège, (apôtres de la vaccination), à celle de la France peu vaccinée.

    En Australie, les vaccinations commencées en 2007 n’ont pas concernées seulement les jeunes filles de 12-13 ans, mais ont été étendues par des vaccinations dites de rattrapage jusqu’à 26 ans.

    RépondreSupprimer
  57. En 2021 [13] l’agence sanitaire australienne précise « en 2017, 839 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués. » En 2017, le taux d’incidence standardisé selon l’âge était de 6,6 cas pour 100 000 femmes. En 2021, on estime que le taux d’incidence standardisé selon l’âge restera à 6,8 cas pour 100 000 femmes. ».

    Elle confirme ainsi publiquement que les rumeurs de diminution du cancer de l’utérus via le vaccin sont infondées, et les titres ronflants d’élimination du risque, mensongers.

    La courbe d’incidence globale standardisée objective l’absence de diminution d’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus depuis le début de la vaccination (2007).

    pastedGraphic_1.png

    De plus, lorsqu’on examine l’évolution des incidences par groupe d’âge on s’aperçoit que depuis les campagnes de vaccination scolaire, l’incidence a diminué chez les femmes de plus de 50 ans (en vert, non vaccinées) alors qu’il a augmenté dans le groupe des 25-49 ans (en bleu) qui regroupe toutes les vaccinées.

    pastedGraphic_2.png

    En 2019, derniers chiffres publiés par classe d’âge, les groupes vaccinés exposés au risque de cancer étaient ceux des femmes de 20-24, 25-29 et 30-34 ans. Dans ces trois groupes, l’incidence a augmenté et cette augmentation ne peut pas être due au simple hasard : cette différence est statistiquement significative à 0,01 pour les 30-34 ans (correspondant aux vaccinées tardives en rattrapage).

    Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, et sur de simples simulations, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire.

    En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains. Les dates de vaccination dépendent de l’âge : dès 2008 pour les jeunes filles de 12-13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14-18 ans. Entre 2008-2009 et 2011-2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6.

    Un article trompeur largement diffusé par les médias [14] proclame fièrement « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre » mais curieusement l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site : « dans la dernière décennie l’incidence du cancer du col est restée stable » et publie une incidence standardisée selon l’âge de de cancer invasif de 9.6/100000 [15](supérieure de 50% au taux français).

    RépondreSupprimer
  58. - voir graph sur site -

    Et surtout une courbe d’incidence selon l’âge montrant que les groupes vaccinés ont subi une augmentation d’incidence tandis que les non vaccinés voyaient leur risque de cancer invasif continuer à baisser grâce aux frottis.

    - voir graph sur site -

    Cette contradiction entre « l’élimination du cancer » proclamée par les auteurs de l’article de Falcaro et col. et diffusée par Laura Martin Agudelo dans La Revue du Praticien et l’incidence stable et élevée affirmée par Cancer Research UK montre les limites des études non randomisées et qu’il ne faut jamais confondre, comme ces auteurs anglais l’ont fait, les dysplasies grade 3 qui sont des lésions bénignes et les vrais cancers, les cancers invasifs. Les auteurs de l’étude anglaise, reconnaissaient que « l’effet constaté dans leurs travaux dépendait des différents ajustements effectués » mais dans leur désir de convaincre ils ont manifestement « ajusté » sans modération !

    Dans les pays nordiques la vaccination a été introduite dès 2007. Au moins deux essais randomisés (Future 2 et Patricia) ont confirmé que les vaccins sont efficaces sur l’infection, les verrues génitales et les dysplasies bénignes mais que leur but officiel, la diminution du risque de cancer invasif n’a pas été atteint.

    Cette absence d’efficacité prouvée contre le cancer est d’ailleurs confirmée dans les registres des cancers [16] qui ne montrent guère de diminution d’incidence du cancer invasif dans les groupes les plus vaccinés celui des femmes atteignant 20-29 ans en 2019 (derniers chiffres publiés).

    En Norvège l’incidence des lésions précancéreuses a globalement augmenté depuis l’introduction de la vaccination anti HPV [17]. Surtout on observe une augmentation d’incidence des cancers invasifs de 50% dans le groupe des plus vaccinées des 20-29 ans (de 7/100000 en 2008 à 10,4/100000 en 2019)

    - voir graph sur site -

    En Suède l’incidence dans le groupe des 20-29 qui avait augmenté dans les premières années de la vaccination (de 4,6/100000 en 2008 à 10,4/100000 en 2017) diminue lentement (5,8 en 2019) mais reste encore 20 % supérieur au niveau d’avant la vaccination.

    - voir graph sur site -

    La diminution des cancers invasifs chez les vaccinées, alléguée par un article récent d’un institut très lié à la vaccination n’est donc guère crédible.

    Au total, dans les pays qui en sont les apôtres, les résultats à 15 ans de la vaccination anti HPV, satisfaisants sur l’infection, sont médiocres ou mauvais sur la prévention des cancers invasifs et ne justifient en aucun cas le qualificatif de vaccination contre le cancer que lui attribuent ses laudateurs.

    RépondreSupprimer
  59. La France

    Souvent décrite comme le mauvais élève de la vaccination anti HPV est en réalité l’un des pays européens où l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a régulièrement diminué durant cette période ainsi que l’objective cette courbe publiée par la Revue de Biologie Médicale en 2020 [18] .

    - voir graph sur site -

    En France l’incidence standardisée monde de 6/100 000 fait rentrer cette maladie dans la catégorie des maladies rares d’après la définition de l’OMS.

    Le paradoxe Gardasil « plus de vaccinées, plus de cancers »

    Le paradoxe du Gardasil réside dans le contraste entre les pays qui ont obtenu des taux très élevés de couverture vaccinale (supérieurs à 80%) mais souffrent d’un risque de cancer du col plus élevé (6,8/100000 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 13 en Suède [19] et 11,3 en Norvège) que la France nettement moins vaccinée (24%) qui jouit d’une situation plus favorable tant pour l’incidence (6/100000) que pour la mortalité de ce cancer.

    Les essais initiaux, qui ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché, ont seulement montré qu’elle pouvait diminuer les infections liées aux quelques souches visées par les vaccins et des anomalies cytologiques supposées précancéreuses chez les femmes non précédemment infectées tandis qu’elles étaient augmentées en cas d’infection HPV préexistantes. L’INSERM dans sa revue de novembre – décembre 2011 précisait déjà : « des effets indésirables graves sont soupçonnés : augmentation du risque de cancer si l’infection est déjà̀ installée [21] » .

    Dès 2010 Diane Harper dans « Cervical cancer incidence can increase despite HPV vaccination »[22] , craignait que la propagande prétendant que le vaccin ferait disparaître le cancer dissuade trop de femmes de continuer le dépistage cytologique et aboutisse ainsi à perdre une partie des considérables progrès (diminution de 50 à 70% du nombre de cancers du col utérin dans tous les pays qui l’ont pratiqué) accomplis depuis les années 1960. Les résultats actuels des registres des cancer lui donnent malheureusement raison.

    La vaccination anti HPV, comme tout vaccin, expose à des complications

    Aux USA, les essais cliniques américains du Gardasil 9 ont signalé des décès inexpliqués, des risques de thyroïdites, de sclérose en plaque et de diabète de type 1.

    RépondreSupprimer
  60. Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) totalisait, en juin 2019, 51968 effets secondaires (41829 après Gardasil, 5337 après Gardasil 9 et 3579 après Cervarix). Globalement, dans ce pays les vaccinations anti HPV ont été suivies de 328 décès (266 après Gardasil and 5 après Gardasil 9), de 834 complications ayant menacé la vie et de 2011 cas d’invalidité permanente dont des stérilités, des crises d’épilepsie, des troubles de la conscience, des paralysies, insuffisances musculaires, fatigue intense, myalgies, arthralgies…

    En 2012, le montant des indemnisations accordées par le Programme National d’Indemnisation du Ministère US pour les victimes des vaccinations (VICP) atteignait 5.877.710 dollars à la suite des plaintes introduites par 49 victimes du vaccin HPV. Il n’a fait qu’augmenter depuis lors.

    En France, depuis la plainte de Jean-Jacques-Bourguignon [23], dont la fille Océane a gravement pâti de cette vaccination, de multiples plaintes ont été déposées dont plusieurs ont abouti à des indemnisations.

    Au Japon après les plaintes déposées par une association de victimes l’agence sanitaire ne recommande plus cette vaccination.[24]

    Ces complications post vaccinales ont motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans plusieurs pays comme l’Irlande, le Japon, le Danemark, la Colombie [25].

    - voir graph sur site -

    Un problème de santé publique devenu mineur

    Le Dr Philippe de Chazournes, et les membres de Med’Océan [26] se sont déclarés « très préoccupés par les campagnes de vaccination contre le cancer du col de l’utérus, essentiellement basées sur une peur injustifiée« . « Le millier de femmes qui meurent chaque année en France de ce cancer sont essentiellement des femmes qui n’ont pas été suivies régulièrement par frottis : « il n’y a ni épidémie, ni recrudescence du nombre de cas » en France.

    L’espoir d’un résultat lointain bénéfique ne peut pas dispenser de l’examen attentif des résultats cancérologiques à moyen terme !

    Cette vaccination, même si elle était efficace ne serait guère justifiée

    En France, grâce au dépistage cytologique par frottis tous les trois ans, le cancer du col de l’utérus est devenu une maladie rare avec une incidence inférieure à 6/1000 000. Les avocats de la vaccination mettent en exergue les 1000 morts annuelles qui lui sont liées, mais ne précisent jamais que 800 de ces femmes sont mortes alors qu’elles n’avaient pas pratiqué de dépistage cytologique selon les recommandations [27]. Si le dépistage était généralisé à toute la population à risque comme le ministère vient enfin de le promouvoir, on ne déplorerait plus en France que 200 morts annuelles liées à ce cancer. En l’absence de preuve d’efficacité anticancer, vacciner chaque année 800000 français est totalement disproportionné pour un gain espéré minuscule et constitue un pari risqué.

    RépondreSupprimer
  61. Le coût démesuré d’un pari douteux

    Notre calcul repose sur les recommandations de l’appel des 50 pour une obligation vaccinale [28] qui représente le crédo officiel des laboratoires.

    Le prix du vaccin Gardasil 9 prescrit en France est à 135,68 € la dose soit 407 euros pour les trois doses destinées aux adolescents de plus de 14 ans, et 271 euros pour deux doses destinées aux plus jeunes [29]. En incluant les consultations nécessaires à sa réalisation [30],le prix minimal de la vaccination à deux doses (valable pour les plus jeunes) atteint ainsi 411 euros. Trois doses sont prévues lors des vaccinations de rattrapage pour les adolescents : le coût unitaire de la vaccination passe alors à 533 euros.

    Il y a en France depuis dix ans environ 800 000 naissances annuelles. Une classe d’âge qui arrivera à l’âge de la vaccination représente donc 800000 enfants. En France, les avocats de l’obligation vaccinale Gardasil désirent imposer la vaccination pour les jeunes filles et pour les garçons de 11 à 14 ans avec un rattrapage jusqu’à 19 ans. Autrement dit, la première année d’obligation vaccinale, ils désirent imposer la vaccination à 9 classes d’âge avec des vaccinations à 2 doses pour 4 classes d’âge (les 11,12,13 et 14 ans) et à 3 doses pour 5 classes d’âge (les 15,16,17, 18, et 19 ans).

    Un tel schéma nécessite, pour la première année, un peu plus de 18,4 millions de doses de vaccin pour un seul coût des vaccins d’environ de 2,5 milliards d’euros.

    Le coût total des vaccinations (consultations comprises) la première année d’obligation s’élèverait à 1,315 milliard € pour les enfants à 2 doses et 2,133 milliards € pour les vaccinations de rattrapage chez les adolescents, soit au total trois milliards et demi €. Il faudrait ensuite dépenser 320 millions €, chaque année pendant 20 ans, avant d’espérer sauver peut-être [31] quelques vies.

    Il faudrait donc dépenser près de 10 milliards € pour espérer éviter peut-être 200 morts dans 20 ans (si toutes les hypothèses très optimistes du vaccin étaient vérifiées). Ces milliards € « magiques » ne seraient-ils-pas mieux utilisés à rebâtir maintenant nos hôpitaux et notre système de santé en piteux état et à réconforter nos soignants à bout de souffle après 20 ans de gestion purement comptable de dictature bureaucratique [32] et 20 mois de coronarofolie ?

    Quel banquier accepterait un pareil business plan ? Plaider pour une telle obligation en cette période de finances publiques exsangues est totalement irresponsable.

    RépondreSupprimer
  62. En résumé

    15 ans après sa mise sur le marché, les vaccins anti HPV n’ont toujours pas démontré qu’ils pouvaient diminuer le risque de cancer, et ses premiers résultats officialisés par les registres du cancer de tous les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies quelques années plus tard d’une augmentation du risque de cancer invasif.

    La France peu vaccinée présente une incidence globale de cancer du col faible (6/100000) alors que les pays qui ont réalisé de larges campagnes de vaccination souffrent depuis d’un risque de cancer du col nettement plus élevé :7,2 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 8,8 en Suède et 11,3 en Norvège …

    La disparition du cancer du col de l’utérus par la vaccination anti HPV est un mirage hors de prix inventé par des propagandistes marchands et démenti par les registres du cancer.

    Docteur Gérard Delépine,

    chirurgien cancérologue et statisticien

    Notes :

    1 Gardasil, alerte, risque imminent d’obligation d’une vaccination anti HPV inutile, et parfois dangereuse, pour les filles et garçons https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314

    2 Nicole Delépine, Gérard Delépine HYSTÉRIE VACCINALE ; VACCIN GARDASIL ET CANCER : UN PARADOXE

    Fauves 25 octobre 2018

    3 « Le vaccin est resté coincé dans la seringue » Le Canard du 24 12 2019

    4 https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/obligation-du-gardasil-chez-filles-220508

    5 https://www.larevuedupraticien.fr/article/pour-quand-leradication-du-cancer-du-col-uterin-en-france

    6 https://www.gynecologie-pratique.com/journal/article/005933-cancer-col-luterus-prevention-leradication

    7 https://www.revuegenesis.fr/cancers-hpv-vers-une-elimination-des-cancers-hpv-induits/

    8 https://www.dna.fr/sante/2021/11/16/l-ircad-s-illumine-pour-soutenir-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus

    9 Le Gardasil modifie l’histoire naturelle du cancer du col. A Buzyn n’en tient pas compte Agoravox 18/10/ 2019

    10 GARDASIL augmentation du taux de cancer du col chez les vaccinées confirmée sur analyse des registres officiels des cancers samedi 5 octobre 2019

    11 Nicole Delépine Pourquoi les prédictions sur la disparition du cancer du col de l’utérus grâce à la vaccination sont à prendre avec (beaucoup) de pincettes 3/7/2019 https://atlantico.fr/article/decryptage/pourquoi-les-predictions-sur-la-disparition-du-cancer-du-col-de-l-uterus-grace-a-la-vaccination-sont-a-prendre-avec-beaucoup-de-pincettes-nicole-delepine

    12 Gardasil : résultats cancérologiques actuels des vaccins anti HPV (francesoir.fr) 5 aout 2020

    13 https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics

    14 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, Checchi M, Soldan K, Lopez-Bernal J, Elliss-Brookes L, Sasieni P. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet. 2021 Dec 4;398(10316):2084-2092. doi: 10.1016/S0140-6736(21)02178-4. Epub 2021 Nov 3. PMID: 34741816.

    15 Cancer Research United Kingdom https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Zero

    16 Diffusés par Nordcan

    17 Madleen Orumaa Recent increase in incidence of cervical precancerous lesions in Norway: Nationwide study from 1992 to 2016 February 2019 International Journal of Cancer 145(10)

    18 F F Hammers Cancer du col de l’utérus en France : tendances de l’incidence et de la mortalité jusqu’en 2018

    Revue de Biologie Médicale/N° 353 – MARS-AVRIL 2020 https://www.revuebiologiemedicale.fr/images/Infos_bio/353_INCIDENCE-CANCER-COL_BEH.pdf

    RépondreSupprimer
  63. 19 https://hpvcentre.net/statistics/reports/SWE_FS.pdf

    20 VRBPAC Background Document Gardasil™ HPV Quadrivalent Vaccine May 18, 2006 VRBPAC Meeting Table 17. Study 013 : Applicant’s analysis of efficacy against vaccine-relevant HPV types CIN 2/3 or worse among subjects who were PCR positive and seropositive for relevant HPV types at day 1. [From original BLA, studyhttp://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf.

    21 Pharmacovigilance : l’urgence des réformes, Science et Santé n° 5 novembre-décembre 2011 (magazine de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), p. 42 http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/science-sante/science-sante-n-5-nov-dec-2

    22 www.thelancet.com/infection Vol 10 September 2010

    23 Gardasil : ce vaccin a fait vivre un enfer à ma fille, je me battrai jusqu’au bout Publié le 06-11-2015

    24 The Japan times JUN 15, 2013

    25 Charles Buchanan Mystère en Colombie : des centaines de jeunes filles frappées par un mal étrange. THE CANADIAN PRESS AP, Daily Free Press, 7 9 2014

    26 www.medocean.re

    27 Tous les 3 ans à partir de 25 ans ; les dépistages plus précoces étant source de sur diagnostic et de surtraitements

    28 https://www.lefigaro.fr/sciences/2019/03/20/01008-20190320ARTFIG00094-l-appel-de-50-societes-savantes-pour-la-vaccination-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus.php

    29 Deux doses chez les plus jeunes censés ne pas avoir eu de relations sexuelles. Trois doses pour les plus âgés, espérant que la troisième dose compenserait la faible efficacité prouvée chez les sujets ayant eu des relations, ce qui évidemment n’a jamais été prouvé

    30 Le prix d’une consultation d’un pédiatre en secteur 1 est de 28 euros. Une vaccination à deux doses nécessite 3 consultations (87 euros) et celles à 3 doses 4 consultations (126 euros)

    31 Il faudrait en autre que les souches de HPV des vaccins soient les seules causes possibles de cancer, qu’elles soient toutes éradiquées la vie durant, qu’il n’y ait pas d’apparition de résistance ou de phénomène de remplacement par une des 140 autres souches

    32 N Delépine La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau Agoravox juin 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-204868

    https://www.mondialisation.ca/vaccins-anti-hpv-et-cancer-du-col-de-luterus-ou-en-est-on-en-decembre-2021/5664072

    RépondreSupprimer
  64. Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère.


    Par Claude Janvier
    Mondialisation.ca, 11 octobre 2021


    28 septembre 2021 : Emmanuel Macron a reçu un œuf sur l’épaule. Immédiatement, le lanceur a été placé en garde à vue, puis interné en hôpital psychiatrique. (1) Depuis, il y est toujours. Ça ne rigole pas dans notre beau pays. Un lancé d’œuf peut vous conduire direct en HP. Et là, vous n’êtes plus rien. Un psychiatre peut conclure à l’abolition de votre discernement et hop ! Bouclé, drogué, voire électrochoqué. – pardon sismochoqué, le terme est plus soft, voire plus chic qu’un électrochoc -, mais le résultat sera le même. Tout est une question de langage diplomatique et démagogique.

    Hospitalisation d’office :

    Depuis quelques temps, les hospitalisations d’office en hôpital psychiatrique d’opposants ou supposés gênants à la doxa gouvernementale sont à la mode.

    – 10 décembre 2020 : le professeur Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique. Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. (2)

    – Décembre 2020 : maître Bernard Ripert, ténor du barreau grenoblois, a été placé en garde à vue à Grenoble dans le cadre d’une procédure ouverte à la suite d’un incident survenu avec un magistrat. Puis, à cause d’une tension élevée, il a été hospitalisé, a reçu une expertise psychiatrique et a été interné sous contrainte. (3) (4)

    – 14 juin 2021 : le professeur Éric Caumes, chef de service à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, docteur en pathologie infectieuse et tropicale, clinique et biologique a été hospitalisé pour « décompensation psychiatrique ». Les sources proches du dossier déclarent qu’il est arrêté pour trois mois à ce jour. (5)

    Quid de la facilité de faire interner quelqu’un ? Que dit la loi ?

    « Comment se déroule l’hospitalisation sous contrainte ?

    La personne hospitalisée sous contrainte est d’abord placée en observation, dans le cadre d’une hospitalisation complète. Dans les premières 24 heures, un médecin réalise un examen complet de la personne, et un psychiatre établit un certificat médical (article L 3211-2-2 du Code de la santé publique). Le certificat médical doit comporter le constat de l’état mental de la personne, et confirmer (ou infirmer) la nécessité de maintenir les soins psychiatriques. Puis, dans les 72 heures qui suivent l’admission, un nouveau certificat médical doit être établi. Si les deux certificats médicaux confirment la nécessité de maintenir les soins psychiatriques, le psychiatre propose alors un parcours de soins et de prise en charge du malade. Avant toute décision, précise la loi, la personne concernée « doit être informée et doit aussi être mise en mesure d’émettre un avis ».

    RépondreSupprimer
  65. La personne hospitalisée peut-elle contester ?

    Depuis le 1er septembre 2014, la légalité de cet acte administratif individuel doit être examinée par le juge des libertés et de la détention dans un délai maximal de douze jours à compter de l’admission, ou à compter du retour en hospitalisation complète. Le tribunal judiciaire se prononce donc dans les douze jours sur la légalité et le bien-fondé de cet acte privatif de liberté pris par une autorité administrative (le Préfet ou un directeur d’établissement).

    Donc, pendant 12 jours, vous pouvez être, sans votre consentement, bourré de psychotropes et ou subir une « sismothérapie ». »

    Qui peut lever l’hospitalisation sous contrainte ?

    « Plusieurs personnes peuvent en décider.

    Le psychiatre : il doit alors certifier que les conditions de l’hospitalisation sur demande d’un tiers ne sont plus réunies. Un certificat circonstancié doit mentionner l’évolution ou la disparition des troubles ayant justifié l’hospitalisation. Dans les vingt-quatre heures qui suivent la fin de cette mesure d’hospitalisation, le directeur de l’établissement en informe le représentant de l’État dans le département, le procureur de la République, et la personne qui a demandé l’hospitalisation.

    Le juge peut aussi en décider. L’article L. 3211-12-1-III du Code de la santé publique précise que « lorsque le juge ordonne une mainlevée, il peut, au vu des éléments du dossier et par décision motivée, décider que la mainlevée prend effet dans un délai maximal de vingt-quatre heures, afin qu’un programme de soins puisse, le cas échéant, être établi en application du II de l’article L. 3211-2-1. Dès l’établissement de ce programme ou à l’issue du délai [de 24 heures], la mesure d’hospitalisation complète prend fin ».

    Le représentant de l’État dans le département (généralement le préfet) peut également ordonner la levée immédiate d’une hospitalisation à la demande d’un tiers lorsque les conditions de l’hospitalisation ne sont plus réunies. (6)

    Le 19 juin 2020, le Conseil constitutionnel a ordonné au législateur de prendre des mesures pour que le maintien à l’isolement ou en contention en psychiatrie d’une personne hospitalisée sans son consentement soit contrôlé par un juge. En 2017, on estimait que 92 000 patients étaient enfermés en psychiatrie contre leur gré, parfois quelques jours, parfois plusieurs semaines (étude de la démographe Magali Coldefy). » (7)(8)(9)

    RépondreSupprimer
  66. Un médecin ou un psychiatre et un Préfet peuvent donc vous embastiller et vous pouvez vous retrouver sans le vouloir, drogué, voire plus grave électrochoqué. Et vu que dans un hôpital psychiatrique, vos droits sont réduits pratiquement à zéro, tout peut se faire sans votre consentement.

    Vous pensez que j’exagère ? Vu l’historique de la psychiatrie, on peut légitimement se poser la question du bien-fondé de cette « science ».

    Psychiatrie : une science vraiment ?

    En essence, ce mot signifie médecine de l’âme. La psychiatrie s’est donc, dès le début, perdue en chemin. Si vous pensez guérir d’un passage à vide en allant voir un psychiatre, oubliez. Au mieux, vous tomberez sur un praticien qui vous écoutera et vous fera un peu de bien, mais en général, vous ressortirez avec une ordonnance vous prescrivant un ou plusieurs neuroleptiques.

    La psychiatrie a son origine dans les traitements médicaux les plus inhumains. Les neurologues portugais Egas Moniz et Almeida Lima de l’Université de Lisbonne, ont reçu un Prix Nobel en 1949 – incroyable mais vrai ! -pour l’invention et la formalisation de la lobotomie en 1935. En gros, la lobotomie était un trifouillage de votre cerveau se faisant découper ou sectionner par un « boucher chirurgien ».

    Vous êtes bien assis ? Prenez un petit cognac, car ce que vous allez lire n’est pas de la science-fiction.

    Lobotomie : une horreur absolue.

    En 1936, le Dr. Egas Moniz, neurologue, inventa la lobotomie au » pic à glace « . La technique constitue à enfoncer un pic à glace au coin de l’œil pour atteindre le cerveau, et plus particulièrement le lobe frontal. Cette partie gère, soi-disant les émotions. Le but était donc de créer une lésion au cerveau pour toutes les pathologies, qui à l’époque, relevaient d’un trouble de l’émotion : dépression lourde, schizophrénie, homosexualité et bien d’autres états…

    Un de ses disciples, le docteur Walter Freeman, entre 1945 et 1954, parcourra les Etats-Unis dans sa « Lobotomobile » – véridique – et lobotomisa à peu près 4 000 personnes en enfonçant un pic à glace après avoir soulevé une paupière. Le plus souvent sans anesthésie. À peu près 100 000 personnes furent lobotomisés dans le monde à l’époque. Il faudra attendre 1960 pour que cette abomination soit rayée du menu des « soins » psychiatriques.

    À noter qu’en 1941, Freeman opéra la plus célèbre de ses patientes, Rosemary Kennedy, sœur du futur président, âgée de 23 ans. Souffrant, selon ses parents et la thèse officielle, d’un léger retard mental et de trouble de l’humeur, elle subit l’opération, en resta incontinente et passe le reste de sa vie dans un état quasiment végétatif. La lobotomie n’est plus en application heureusement, mais l’électrochoc est toujours réalisé. (10) et (11)

    RépondreSupprimer
  67. L’Électrochoc : une thérapie ?

    Mode d’emploi : le psychiatre envoie un courant électrique dans votre cerveau afin de créer une crise convulsive. Contrairement aux débuts de « l’électrothérapie » le patient est aujourd’hui mis sous anesthésie générale courte (5 à 10 minutes) – ouf, nous voici rassuré, quoique… Car le produit injecté est du curare, – oui vous lisez bien -, une substance provoquant une paralysie des muscles, afin de prévenir les convulsions musculaires et éviter qu’il ne se blesse -. Toujours partant pour essayer ?

    En bref, cette pratique barbare n’a aucun intérêt, sauf de vous cramer les neurones. Malgré le fait que ce procédé ne soigne pas, la médecine traditionnelle vous en vante toujours les mérites, sous le nom plus chic, mais toujours aussi choc, de sismothérapie. En revanche, la petite cure de « sismo » risque fort de faire de vous un légume au fil des années.

    Au final, ce court-jus cervical peut s’avérer bien pratique afin de museler des opposants politiques, ou des gens en petite ou grande détresse mentale. D’ailleurs, les effets secondaires sont significatifs : maux de tête, nausées, et pertes de mémoire à court, moyen ou long terme. Sympa !

    Ajoutez à une petite « sismo », un cocktail de neuroleptiques, plus communément appelé « camisole chimique » et vous obtenez un lavage de cerveau très efficace. Vous devenez branché ou à la masse – c’est peut-être là l’origine des deux expressions -. Plus aucune résistance. Tout passe par le bon vouloir du psychiatre qui, suivant son humeur, peut vous délivrer de cet enfer ou vous y maintenir.

    Ce qui est incroyable sont les tonnes de louanges figurant dans des sites médicaux, tel que « Passeport santé » (12) par exemple sur ce genre de pratiques et autres.

    Louanges que vous avez certainement déjà lues concernant par exemple des médicaments néfastes et des affaires scandaleuses tel que le Médiator, le Distilibène, l’Isoméride, la Dépakine, le Vioxx, les vaccins H1N1, le Lévothyrox et de bien d’autres comme l’histoire ubuesque du Remdesivir dont l’Union européenne a acheté pour plus 1 milliard d’euros de doses juste avant que l’OMS le déconseille contre la Covid-19…

    À ce propos, les vaccins Covid-19 qui malgré le fait qu’ils soient toujours en essais cliniques, sont injectés à grands renforts de publicité à quasiment toute la population, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires. – Union européenne – dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens – (13)

    Mais à écouter la presse main stream, le gouvernement et la haute caste médicale, les nouveaux vaccins sont si « merveilleux » ! Donc, ceux qui croient encore que les laboratoires pharmaceutiques œuvrent afin d’améliorer votre santé feraient bien de réviser leur copie. Rare sont les médicaments chimiques efficaces vous menant à une guérison complète. En revanche, les bénéfices sont énormes pour les labos et leurs actionnaires.

    RépondreSupprimer
  68. Bénéfices ultra juteux :

    La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

    En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

    Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. En 2012, est sortie la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles sont apparus. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. La stupidité et la cupidité ne sont toujours pas traitées… Dommage.

    Quelques chiffres :

    En 2012, il s’est vendu 131 millions de boîtes de médicaments psychotropes en France. Soit deux boites par habitants. À quatre euros le prix moyen d’une boîte de psychotropes, cela fait 524 millions d’euros par an de CA. Bien loin d’être neutre.

    À noter qu’en 2018, le chiffre d’affaires des médicaments en France s’élevait à environ 29 milliards d’euros. Chiffre d’affaire mondial en 2020 des médicaments : 1 046 milliards de dollars. (14) et (15)

    Edouard Zarifian, un rare psychiatre honnête.

    « Dans son rapport, publié en 1996, concernant la prescription et l’utilisation de médicaments en France, le regretté Édouard Zarifian, psychiatre hospitalier universitaire à Caen avait écrit : « La France consomme plus de médicaments que les pays de niveau économique comparable. Les psychotropes, en particulier, sont trois fois moins utilisés en Allemagne ou en Grande-Bretagne. En France, « l’évolution totale de la classe de psychotropes est due à l’augmentation des ventes d’antidépresseurs. Cette classe thérapeutique a connu une augmentation de 5,63 % par an en moyenne de 1990 à 1994 », soit une hausse en dépenses de 10 % par an. « Si le taux de croissance de la Grande-Bretagne paraît plus élevé que celui de la France dans la période 1990-1994, il faut noter que le volume de prescriptions [d’antidépresseurs] en France en 1990 était de 40 % supérieur à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. […]»

    RépondreSupprimer
  69. Les femmes en consomment plus que les hommes. 22, 7 % de femmes contre 12,9 % pour les hommes, et plus elles avancent en âge, plus la consommation augmente jusqu’à 75 ans. Les adolescents ne sont pas épargnés et comme pour les adultes, ce sont les adolescentes qui en prennent le plus : 23,4 % contre 13,8 %. Et dans un tiers des cas, ce ne sont pas les médecins qui prescrivent en première intention ces psychotropes, mais leurs parents qui prennent sur leur bonnet de leur en donner, car leurs médecins leur ont fait une ordonnance !

    Il n’existe actuellement aucune réflexion dans le milieu médical, et en particulier dans le milieu psychiatrique académique, sur l’éthique de la prescription de médicaments psychotropes. Les leaders d’opinion restent muets face à l’abaissement de la limite entre le normal et le pathologique, ouvrant de nouveaux marchés à la prescription ; […] ils acceptent la banalisation de l’utilisation des psychotropes pour lesquels il n’existe nulle part de pharmacovigilance spécifique de leurs possibles effets psychiques indésirables. […] Il existe une intentionnalité claire de fournir exclusivement aux médecins généralistes ou aux spécialistes, par la voie de discours académiques, une représentation monolithique réduite aux seuls symptômes accessibles aux seuls médicaments. » Alors que « pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques, médico-économiques, sont suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou par des sous-traitants qu’elle rémunère. » » (16)

    Après cet exposé clair et concis, revenons aux « pilules magiques » qu’une majorité de gens avalent comme des boules de gomme.

    Pilules et vaccins magiques : une relation ?

    « La collectivité débourse environ un milliard d’euros chaque année pour ses petites pilules du bonheur quand la moitié voire les deux tiers pourrait être facilement économisé. Ajoutons à cela, le prix des dizaines de milliers de journées d’hospitalisations liées aux effets secondaires. Mais surtout, la facture est très lourde sur le plan humain. On a tendance à l’oublier, mais les psychotropes agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Mal prescrits, mal utilisés, ils peuvent mettre le feu dans le cerveau et être à l’origine de détérioration cérébrale (troubles de mémoire, voire Alzheimer), modifications du comportement (agitation, confusion mentale, désinhibition…), malformations du fœtus, accidents de toute sorte (voitures, chutes notamment des personnes âgées) et jusqu’à des actes de violence de type infanticides, homicides, suicides.«

    Nous avons donc une population sur-gavée de neuroleptiques, donc droguée et de facto avec une réflexion amoindrie. Corollaire : l’acceptation aussi rapide par une majorité de gens d’un liquide expérimental appelé trompeusement vaccin ne peut se faire qu’avec une réflexion amoindrie, ce qui expliquerait en partie cette ruée inexplicable. Bien que chaque personne, droguée ou non, peut toujours conserver un certain pourcentage de lucidité et ne pas être en accord. Mais le désir de voyager, de manger au resto et d’aller siroter sur une terrasse son verre de Spritz avec son bol de pop-corn vaut bien une piquouze… Vendre son âme pour un shoot… Pathétique et affligeant. (17)

    RépondreSupprimer
  70. Le Prozac est à la mode et se vend sans ordonnance sur Internet.

    Hé oui, vous pouvez vous droguer tranquille.

    Extrait de « Santé Féminine » : – le titre de ce canard serait-il trompeur ? -.

    « Pourquoi faut-il prendre le Prozac ?

    Le Prozac est un médicament de la famille des inhibiteurs sélectifs du re captage de la sérotonine, on l’utilise dans le traitement de la dépression où il aide à améliorer l’humeur. Nombreux sont les personnes qui font usage de cet antidépresseur efficace aux effets secondaires réduits. La substance active contenue dans le Prozac est la Fluoxétine qui est un psychotrope de type inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS). La Fluoxétine a été développée par la firme Eli Lilly en 1974 et mis sur le marché pharmaceutique sous le nom commercial de Prozac en 1986. La Fluoxétine va agir au niveau de certaines parties du cerveau en augmentant le niveau de la sérotonine qui est un neurotransmetteur. Les bienfaits du Prozac sont souvent visibles au bout de quelques semaines après le début du traitement. Il sera donc possible d’attendre quelques semaines avant que l’effet de la Fluoxétine n’atteigne son seuil maximal. En plus de traiter la dépression, le Prozac permet également de réduire ou d’éliminer les symptômes du trouble obsessionnel compulsif et pour traiter la boulimie, un trouble de l’alimentation. En effet, la FDA qui est l’équivalent de l’Agence européenne des médicaments (AEM) aux Etats-Unis a approuvé l’utilisation du Prozac 60 mg par jour pour le traitement de la boulimie. De façon simple, vous pouvez utiliser le Prozac pour la perte de poids, mais ceci sous le contrôle d’un spécialiste. Le Prozac peut donc être prescrit pour : épisodes dépressifs majeurs. Troubles obsessionnels compulsifs. Boulimie, trouble dysphorique prémenstruel.

    Prozac en France :

    En France, le médicament Prozac est très demandé, il est d’ailleurs le troisième meilleur médicament le plus vendu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec près de 11,2 millions de boites achetées et 1 million de Français par an à prendre du Prozac. Les avis des Français sont divergents : beaucoup le trouve génial, et à ce titre, il a d’ailleurs reçu le petit nom de pilule du bonheur ou pilule de tous les fantasmes, celle qui fait jouir. Suite à l’expiration du brevet Prozac détenue par Eli Lilly d’autres laboratoires ont également développés et commercialisé la Fluoxétine, ainsi, on trouve plusieurs générique Prozac en vente en France. Le Prozac générique est également en vente sous le nom de Sarafem.

    RépondreSupprimer
  71. Prozac sevrage : ça se gâte.

    Un arrêt brutal du traitement Prozac peut entraîner des symptômes de sevrage. Le risque de symptômes de sevrage dépend de plusieurs paramètres comme : posologie, durée du traitement, rythme de diminution de la posologie. Les réactions les plus fréquentes rapportées étaient les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, asthénie, agitation ou anxiété, nausées, tremblements, céphalées. L’arrêt du traitement Prozac doit se faire de façon progressive en diminuant la dose.

    Prozac effets secondaires :

    Les effets indésirables du Prozac fréquemment rapportés sont : céphalées, nausées, insomnie, fatigue, diarrhée. Les effets indésirables peuvent diminuer en intensité et en fréquence lors de la poursuite du traitement sans toutefois que l’arrêt du traitement ne soit nécessaire. » (18)

    Et vous faites toujours confiance aux labos ?

    La drogue du violeur.

    Un benzodiazépine hypnotique, le Zolpidem reste la principale « drogue du violeur »

    La soumission chimique, en vue d’agression sexuelle, de vol ou de maltraitance, est liée dans les trois-quarts des cas à la prise d’un médicament, benzodiazépine en tête.

    « La soumission chimique consiste en l’administration à des fins criminelles ou délictuelles (agression sexuelle, vol, maltraitance) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. En 2017, ces méfaits, qui touchent principalement les femmes, sont en augmentation de 36 % par rapport à 2016, avec 462 cas de soumission chimique rapportés, selon une enquête publiée le 13 mars par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Dans les trois-quarts des cas, un médicament est impliqué : 4 fois sur 10, il s‘agit de benzodiazépines ou apparentés.

    Le produit le plus utilisé reste le Zolpidem. Il est suivi du Diazépam, puis du Bromazépam et de la Zopiclone. « L’utilisation du Zolpidem a toutefois amorcé une baisse, alors que le recours au Diazépam et à la Zopiclone a bien progressé. Quant au Clonazépam, il persiste encore, mais en faible proportion », indiquent les auteurs de l’enquête. On retrouve également des sédatifs divers, avec sur le podium la Cyamémazine, les antipsychotiques puis l’Hydroxyzine. Enfin, parmi les substances non-médicamenteuses utilisées, le MDMA se maintient en tête et voit son chiffre doubler par rapport à 2016, et le GHB a été détecté dans 3 cas. » (19)

    Donc, la drogue du violeur est un médicament chimique inventé par des labos. Pas belle la vie ?

    Et vous faites toujours confiance aux labos ? Oui, je sais, je me répète, mais c’est au cas où…

    Oligarchie mondiale financière apatride :

    RépondreSupprimer
  72. Les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, la psychiatrie, et l’oligarchie mondiale financière sont évidents. Tout ce « beau linge » marche ensemble, engrange des bénéfices indécents, tout en regardant la majorité de la population planétaire obtempérer sans résistance. Droguez-vous en paix, dormez en paix, moutonnez en paix braves gens, nous veillons sur vous… Continuez à ne vous préoccuper que de futilités, nous nous occupons du reste. Désolé, si certains n’apprécient pas mes propos, mais le fait est que, si la majorité de gens refusait que des lois liberticides soient votées et appliquées, nous n’en serions pas là.

    Ajoutez à cela la facilité avec laquelle la majorité a accepté le port du masque généralisé, a accepté sans broncher l’injection d’un liquide expérimental, – encore sous essais cliniques, a accepté le passe sanitaire de la honte, et enfin accepte de continuer à se bourrer de médicaments nocifs à la santé, nous n’en serions toujours pas là. C’est bien normal de s’occuper de sa vie, de sa famille, de sa petite auto et de ses vacances, mais c’est très loin d’être complet. La vie embrasse beaucoup de domaines, à commencer par la vie en société, la politique, les relations avec les autres, les animaux, la planète et la spiritualité.

    À noter que les vaccins Covid-19 n’ont bénéficié à leur lancement que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en raison du fait que les expérimentations, normalement réalisées d’abord avec des animaux infectés, puis avec des patients infectés afin d’observer le degré de succès du médicament sont insuffisantes pour en garantir l’efficacité et la sûreté. C’est également la raison pour laquelle les fabricants de produits à ARNm ont demandé à être déchargés de leurs responsabilités quant aux effets secondaires pouvant survenir. De ce fait, leur injection viole l’article 32 de la Convention de Genève de 1949. Cet article stipule que « les mutilations et les expériences médicales ou scientifiques non-nécessaires au traitement médical d’une personne protégée » sont interdites.

    Au-delà de quelques familles connues – Rothschild, Rockefeller, Warburg – pour leur fortune et leurs implications dans l’organisation et l’établissement d’un gouvernement occulte mondial, il est nécessaire de souligner que depuis quelques années, l’oligarchie mondiale financière apatride a pris l’aspect de groupes financiers mondiaux tentaculaires, dirigé au sommet par la City de Londres et possédant des actions dans presque toutes les sociétés mondiales. Leurs valets obéissants et ultra-friqués tels que Bill Gates, George Soros, et les GAFAM – Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft – s’assurent de la propagande, du noyautage des états et de la censure. (20)

    RépondreSupprimer
  73. Tout ce beau monde ultra protégé par une armée de mercenaires et de gardes du corps, s’assure d’emmagasiner toujours plus d’argent tout en se faisant construire, en Nouvelle-Zélande par exemple, une villa bunker tout confort – piscine intérieure, jacuzzi, lumière artificielle, etc. –

    Un exemple :

    « Le milliardaire Peter Thiel, fondateur de PayPal et de Palantir, a lancé le mouvement en 2015, en achetant pour près de 12 millions d’euros une ferme et près de 200 hectares de terrain sur les rives du lac Wanaka, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Il y a fait construire une pièce ultra sécurisée. Avec quatre autres entrepreneurs de la Silicon Valley, dont Sam Altman, patron de Y Combinator, il garde toujours un avion prêt à s’envoler et à traverser 7 000 kilomètres au-dessus du Pacifique au moindre signe d’apocalypse ou de révolte sociale. L’un d’entre eux avoue même conserver dans son garage de San Francisco une moto et des armes, pour rejoindre au plus vite l’avion privé. » (21)

    Parano les cocos. Altération mentale en vue, mauvais signe ! Un petit Prozac ? Il parait que ça détend…

    Vanguard, BlackRock, State Street sont les nouveaux empires financiers tentaculaires. Time Warner, Comcats, Disney, News Corp appartiennent aux deux premiers, contrôlant ainsi plus de 90 % des médias américains. À eux trois, ils détiennent des participations dans 1600 entreprises américaines avec des revenus combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards de dollars. Bagatelle !

    Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenus par ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires interactifs. Des marques concurrentes comme Coca-Cola et Pepsi ne le sont pas, puisque leurs actions sont détenues par ces conglomérats. La mondialisation financière dans toute sa splendeur. Un rapport de Bloomberg indique que ces deux sociétés, en 2028, auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.

    Vanguard, le principal actionnaire de BlackRock depuis mars 2021, n’est pas coté en bourse. Ceux qui possèdent Vanguard n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe : Rothschild Investment Corp et Edmond De Rothschild Holding en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller, etc. Toujours les mêmes !

    BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma. En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

    RépondreSupprimer
  74. Vous n’y croyez toujours pas ? Un exemple : Merckgroup.

    Page de pub du site de Merck :

    « C’est une équipe vibrante de spécialistes dans les domaines de la Santé, des Sciences de la vie et des Matériaux de haute performance. Chez Merck, nous partageons le même amour de la science et la même passion pour la technologie. » (22)

    Oh, que c’est beau ! Sauf que le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod-Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non-exhaustive). N’en jetez plus… Les grandes sociétés françaises du CAC-40 sont aussi gangrenées. J’avais presque oublié que Vanguard est également le principal actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs.

    Blackrock Inc., est n°1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020.

    Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait penser qu’un gouvernement mondial serait une bonne solution, car il éviterait les querelles et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous les citoyens de cette planète bénéficieraient de la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf altruistes.

    La meilleure preuve en est qu’avec autant d’argent empilés dans des actions, des comptes bancaires numérotés et des stocks options, la misère, la faim, l’illettrisme et la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète et sont même plutôt en augmentation. Donc, bémol, il y a, et bémol, il y aura si nous leur laissons le champ libre.

    Claude Janvier

    Note aux lecteurs : Veuillez cliquer sur les boutons de partage ci-dessus ou ci-dessous. Suivez-nous sur Instagram, @crg_globalresearch. Faites suivre cet article à vos listes de courriels. Faites un crosspost sur votre site de blog, vos forums internet, etc.

    Tous les articles de Mondialisation.ca et de Global Research sont désormais accessibles en 27 langues en activant le menu de traduction du site Internet dans la bannière supérieure de notre page d’accueil (version ordinateur de bureau).

    RépondreSupprimer
  75. Notes :

    (1) https://www.journaldesfemmes.fr/societe/actu/2745593-macron-projectile-oeuf-lancer-jet-lyon-salon-agresseur-suspect-garde-vue-hopital-psychiatrique/

    (2) https://www.lesalonbeige.fr/le-professeur-jean-bernard-fourtillan-interpelle-et-place-en-hopital-psychiatrique/

    (3) https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/030616/bernard-ripert-lavocat-persecute-qui-denonce-une-justice-menacant-la-democratie

    (4) https://www.20minutes.fr/lyon/1852991-20160526-grenoble-avocat-bernard-ripert-sorti-hopital-psychiatrique

    (5) https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-pr-eric-caumes-pris-en-charge-en-hopital-psychiatrique

    (6) https://www.lavoixdunord.fr/1076472/article/2021-09-28/psychiatrie-l-hospitalisation-sous-contrainte-comment-ca-marche

    (7) https://www.conseil-constitutionnel.fr/actualites/communique/decision-n-2020-844-qpc-du-19-juin-2020-communique-de-presse

    (8) https://informations.handicap.fr/a-confinement-contention-psy-conseil-constitutionnel-13013.php

    (9) https://www.lagazettedescommunes.com/735141/10-questions-sur-l-hospitalisation-sans-consentement/

    https://www.sentinelles971.com/les-certificats-pour-soins-psychiatriques-sans-consentement/

    (10) https://www.drlindseyfitzharris.com/2017/06/14/quacks-hacks-walter-freeman-and-the-lobotomobile/

    (11) https://fr.wikipedia.org/wiki/Walter_Jackson_Freeman

    (12) https://www.passeportsante.net/fr/Maux/examens-medicaux-operations/Fiche.aspx?doc=electrochoc

    (13) https://fr.statista.com/statistiques/501619/chiffres-d-affaires-medicaments-france/

    (14) https://reseauinternational.net/les-deces-et-blessures-lies-aux-vaccins-anti-covid-sont-secretement-dissimules/

    (15) http://www.guidepharmasante.fr/chiffres-cles/les-chiffres-cles-du-marche-du-medicament-3

    (16) https://my-psychologie.com/tag/rapport-zarifian/

    (17) https://www.huffingtonpost.fr/guy-hugnet/prescription-psychotropes-france_b_2127543.html

    (18) https://sante-feminine.fr/prozac

    (19) https://www.lequotidiendupharmacien.fr/archives/le-zolpidem-reste-la-principale-drogue-du-violeur

    (20) https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n313-avec-valerie-bugault-trahison-des-institutions-la-mort-de-letat

    (21) https://theworldnews.net/fr-news/nouvelle-zelande-la-ou-fleurissent-les-bunkers-de-milliardaires

    (22) https://www.merckgroup.com/fr-fr/company.html

    https://www.mondialisation.ca/laboratoires-pharmaceutiques-psychiatrie-et-oligarchie-apatride-mondiale-le-cocktail-mortifere/5661193

    RépondreSupprimer
  76. LOI MARTIALE MÉDICALE : Projet de loi déposé à Washington pour créer une « force de frappe » pour traquer et « détenir involontairement » les non-vaccinés


    vendredi 14 janvier 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les législateurs de l'État de Washington ont déposé un projet de loi qui autoriserait la création d'une "force de frappe" qui sera utilisée pour "détenir involontairement" les personnes qui ne sont toujours pas vaccinées contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Le projet de loi est connu sous le nom de "WAC 246-100-040". Il s'agit d'une proposition de révision du protocole pandémique COVID-19 de l'État, tel qu'énoncé par la loi sur les maladies transmissibles et certaines autres maladies. La révision décrit les "dispositions d'isolement ou de quarantaine".

    Les dispositions modifiées donneraient aux agents de santé désignés de l'État le pouvoir discrétionnaire de "émettre une ordonnance de détention d'urgence entraînant la détention immédiate d'une personne ou d'un groupe de personnes à des fins d'isolement ou de quarantaine".

    Cela permet également à ces agents de santé désignés de faire appel à des agents des forces de l'ordre pour aider à la détention des résidents de Washington non conformes.

    «Un agent de santé local peut invoquer les pouvoirs des agents de police, des shérifs, des agents de police et de tous les autres agents et employés de toute subdivision politique relevant de la compétence du département de la santé pour exécuter immédiatement les ordres donnés pour réaliser les objectifs du présent article», lit-on dans la version modifiée. disposition.

    Les agents de santé désignés sont tenus de fournir des documents suffisants prouvant que les résidents non vaccinés qui seront soumis à l'isolement et à la détention forcés ont refusé à plusieurs reprises "les demandes d'examen médical, de test, de traitement, de conseil, de vaccination, de décontamination de personnes ou d'animaux, de quarantaine d'isolement et d'inspection". et la fermeture des installations » avant qu'ils ne soient contraints à un confinement involontaire dans des installations de quarantaine approuvées par l'État.

    Les agents de santé et les autres membres de leurs forces de grève peuvent également embaucher des consultants qui seront chargés d'assurer le «transport des invités vers et depuis» les installations de quarantaine et de préparer ces installations «pour recevoir des invités, en s'assurant que les chambres sont approvisionnées et ont été correctement nettoyées». parmi plusieurs autres tâches administratives et opérationnelles qui peuvent leur être externalisées.

    RépondreSupprimer
  77. La période de détention légale dure « pendant une période qui ne peut excéder 10 jours ». Mais un juge peut émettre une ordonnance du tribunal prolongeant la détention "pour une période n'excédant pas 30 jours" si l'individu fautif continue de refuser de se faire vacciner.

    Ginny Streeter, une responsable travaillant pour le département de la santé de l'État de Washington, a déclaré que les installations d'isolement et de quarantaine de l'État seront occupées non seulement par des résidents de Washington, mais également par des voyageurs comme «des personnes à bord de navires qui ont des épidémies sur leurs navires qui accostent sur le Washington Coast »et« les voyageurs internationaux et interétatiques dont le test est positif à l'aéroport SeaTac ».

    Les autorités de Washington nient avoir légalisé la force de frappe et les camps de concentration
    Depuis que cette histoire a éclaté, le Washington State Board of Health a été contraint de nier publiquement qu'il se préparait à créer des camps d'isolement pour les Washingtoniens non vaccinés. Le Conseil de la santé a également reçu des milliers de courriels furieux et inquiets demandant le retrait de cette proposition.

    Le président du Conseil de la santé, Keith Grellner, a nié qu'un tel changement soit mis en œuvre.

    "Juste pour être vraiment clair … il n'y a pas de conversations sur les camps d'isolement et de quarantaine", a-t-il affirmé. "Il n'y a pas de règles existantes ou en cours d'élaboration pour créer des camps d'isolement et de quarantaine."

    "Il n'y a pas de règles [pour mettre en quarantaine de force les non vaccinés]", a poursuivi Grellner. «Et il n'y a pas de processus en place pour créer une règle pour mettre en quarantaine ou isoler involontairement les personnes positives au COVID-19. Quel que soit le statut vaccinal, il n'y a pas de lois et aucun plan pour le faire.

    Selon Grellner, le Health Board a reçu plus de 25 000 e-mails concernant la prétendue proposition non réelle, et que certains de ces messages ont « franchi la ligne ».

    "Les membres du Conseil de santé et notre personnel du Conseil de santé, nous sommes en fait menacés", a déclaré Grellner. "Et c'est juste que ça ne va pas."

    Les médias grand public qui ont diffusé ces articles ont accepté sans réserve l'affirmation de Grellner selon laquelle les camps de quarantaine ne sont pas réels et n'ont fait aucun effort pour vérifier les informations de manière indépendante.

    D'autres médias grand public affirment que le projet de loi a en fait été présenté en 2015 et était censé être une mesure conçue pour protéger l'État contre une éventuelle épidémie d'Ebola.

    RépondreSupprimer
  78. Écoutez cet épisode du Health Ranger Report, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, alors qu'il parle davantage des camps de concentration activés dans toute l'Amérique pour les non vaccinés.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    En savoir plus sur les camps de concentration en préparation pour les Américains non vaccinés sur VaccineWars.com.

    Les sources comprennent :

    SHTFPlan.com
    TheGatewayPundit.com
    ChristianityDaily.com
    KREM.com
    WNYT.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-14-washington-state-strike-force-involuntary-detain-unvaccinated.html

    RépondreSupprimer
  79. 12 faits sur les vaccins que votre médecin ne vous dit pas


    vendredi 14 janvier 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Il y a beaucoup de fausses informations qui se répandent actuellement concernant les vaccins. Même les professionnels de la santé agréés, que les gens sont censés considérer comme des experts de ces médicaments dangereux, ignoreront parfois la vérité ou mentiront carrément au sujet des vaccins. Voici 12 faits sur les vaccins que les médecins ne disent probablement pas à leurs patients. (h/t à GlobalResearch.ca)

    Les vaccins tuent des gens depuis des siècles

    Au début du XVIIIe siècle, alors que la France était encore gouvernée par un roi, un jeune Louis XV contracta la variole. Cette maladie avait tué son père et contribué à la mort d'un de ses frères. Une des infirmières de Louis XV le cache des médecins qui veulent lui « inoculer » une version primitive des vaccins actuels. Cela lui a sauvé la vie et il a continué à vivre jusqu'à l'âge de 64 ans.

    Le père des vaccins modernes a tué son propre enfant après l'avoir vacciné

    En 1796, le Dr Edward Jenner, le créateur du premier vaccin moderne au monde, a donné le médicament expérimental à son propre jeune fils. Ce garçon a rapidement subi des lésions cérébrales à cause du vaccin, ce qui l'a rendu handicapé mental. Il mourut plus tard à l'âge de 21 ans à cause de la tuberculose.

    En raison de ses expériences, Jenner a refusé de faire vacciner ses autres enfants. Il a ensuite créé une nouvelle formule pour le vaccin contre la variole qu'il a vendu bien qu'il n'ait "aucune valeur protectrice".

    Les vaccins contre la grippe sont fabriqués à partir d'ingrédients toxiques

    Le vaccin contre la grippe est l'un des vaccins les plus répandus utilisés aujourd'hui. Aujourd'hui, de nombreux médecins qui injectent chaque année à leurs patients le vaccin contre la grippe refusent souvent de divulguer les ingrédients toxiques contenus dans ces vaccins.

    Le vaccin contre la grippe contient du formaldéhyde, une substance hautement toxique couramment utilisée comme agent de conservation. Le contact avec la peau nue peut provoquer de graves brûlures et l'inhalation de vapeurs peut provoquer une réaction grave des voies respiratoires d'une personne.

    Le vaccin contre la grippe contient également du thimérosal, un composé du mercure qui peut provoquer tous les symptômes d'un empoisonnement au mercure, notamment des difficultés d'audition et d'élocution, une faiblesse musculaire, des changements de vision et une perte de nerfs dans les mains et le visage. (Connexe : AVERTISSEMENT CONTRE LA GRIPPE : Malgré les recommandations officielles, ce vaccin met en danger les femmes enceintes et les bébés car il contient TOUJOURS du MERCURE.)

    Les vaccins contre la tuberculose, la poliomyélite et la diphtérie ont causé plus de cas des deux maladies

    RépondreSupprimer
  80. Lorsque les vaccins contre la tuberculose, la poliomyélite et la diphtérie ont été introduits pour la première fois, les gens du monde entier ont vite compris qu'aucun de ces vaccins n'empêchait la propagation des maladies. Au contraire, les vaccins ont entraîné davantage de cas de diphtérie, de poliomyélite et de tuberculose, des preuves suggérant fortement que les vaccins ont contribué à la propagation.

    Dans de nombreux États américains, le nombre de personnes qui ont contracté la poliomyélite avant l'introduction du vaccin était bien inférieur à celui trouvé après la généralisation du vaccin mortel. Dans de nombreuses régions du monde, les gouvernements ne comptent plus sur le vaccin contre la tuberculose pour contrôler la propagation de la maladie.

    Le vaccin contre l'hépatite B provoque des lésions cérébrales

    Le gouvernement français avait un programme de vaccination de masse pour les enfants contre l'hépatite B. Le pays a mis fin à ce programme presque aussitôt qu'il a commencé après que le gouvernement a reçu plus de 15 000 poursuites. Il s'est avéré que le vaccin contre l'hépatite B causait des lésions cérébrales aux enfants et d'autres problèmes de santé graves.

    Les médecins ignorent systématiquement les raisons légitimes de ne pas vacciner les patients
    De nombreuses grandes sociétés pharmaceutiques publient désormais de longues listes de raisons pour lesquelles les médecins ne devraient pas recommander la vaccination aux patients. Malgré toutes ces informations, les médecins fournissent rarement à leurs patients ces connaissances.

    Les vaccins sont administrés aux nourrissons dès l'âge de huit semaines

    Des vaccins sont administrés à des nourrissons dès l'âge de huit semaines, même s'il n'y a aucune preuve scientifique montrant que c'est une chose sûre à faire.

    Le gouvernement américain a versé une indemnisation des dommages causés par les vaccins aux parents d'enfants autistes
    D'innombrables enfants dans le monde sont devenus autistes parce qu'ils ont reçu des vaccins pendant leur enfance. Aux États-Unis, le gouvernement fédéral a versé des millions de dollars aux familles de ces enfants.

    Le vaccin contre la coqueluche fait beaucoup plus de mal aux enfants que la maladie elle-même
    L'introduction du vaccin contre la coqueluche est intervenue à un moment où le nombre de personnes qui mouraient de cette maladie avait déjà chuté loin de son apogée. Son introduction n'a pas réduit l'incidence de cette maladie.

    RépondreSupprimer
  81. De plus, les enfants qui reçoivent le vaccin contre la coqueluche sont beaucoup plus susceptibles de développer des lésions cérébrales à cause du vaccin dangereux. Leur risque de développer des lésions cérébrales est aussi élevé qu'un sur 6 000.

    Les médecins généralistes du Royaume-Uni reçoivent des paiements massifs du gouvernement pour avoir vacciné
    Le gouvernement du Royaume-Uni accorde des primes aux médecins généralistes en fonction du nombre de vaccins qu'ils administrent. Ce programme de bonus s'étend à l'administration des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Selon le directeur général du National Health Service, les praticiens de la santé recevront 15 livres supplémentaires (20 $) pour chaque injection de vaccin COVID-19 qu'ils administrent jusqu'à la fin janvier. Ils reçoivent 20 livres (27 $) par dose s'ils les donnent le dimanche.

    Les travailleurs de la santé qui visitent les ménages pour fournir des doses de vaccin COVID-19 gagneront également une «prime» de 30 livres (40 $) pour la visite.

    Jusqu'à 3 000 enfants sont tués ou blessés par des vaccins chaque année aux États-Unis

    Selon le programme national d'indemnisation des blessures causées par les vaccins du ministère de la Santé et des Services sociaux, entre 2 500 et 3 000 enfants sont tués ou blessés par les vaccins chaque année.

    Les vaccins ne fonctionnent pas

    La seule vérité principale que les médecins ne parlent pas des vaccins à leurs patients est qu'ils ne fonctionnent pas. En fait, une grande majorité des personnes qui reçoivent des vaccins ne développent aucune sorte de résistance aux maladies contre lesquelles elles étaient censées être protégées.

    Écoutez cet épisode de mise à jour de la situation du Health Ranger Report, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, alors qu'il explique comment les guerres des vaccins COVID-19 sont devenues cinétiques alors que les camps de concentration pour les non vaccinés sont activés.

    RépondreSupprimer
  82. Écoutez plus d'épisodes du podcast Health Ranger Report sur sa chaîne sur Brighteon.com.

    Apprenez plus de vérités sur les vaccins en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.

    Sources include:

    GlobalResearch.ca
    AHRP.org
    CDC.gov
    Healthline.com
    LBC.co.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-14-facts-about-vaccines-doctor-not-telling-you.html

    RépondreSupprimer
  83. L'Amérique a été hypnotisée par la peur du COVID-19, créant une société en proie à une psychose de formation de masse


    vendredi 14 janvier 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Selon le Dr Mark McDonald, pédopsychiatre et auteur, les États-Unis ont été saisis par une pandémie – pas le coronavirus de Wuhan (COVID-19), mais par un type unique d'hystérie de masse connue sous le nom de psychose de formation de masse.

    La psychose de formation de masse survient lorsqu'une partie importante de la société est quelque peu hypnotisée et incapable d'utiliser correctement ses capacités rationnelles.

    Dans une interview avec le commentateur politique et producteur Del Bigtree dans son émission The HighWire avec Del Bigtree, le Dr Mark McDonald, l'une des personnes qui a inventé le terme psychose de formation de masse - ou psychose délirante de masse, comme il l'appelle - a expliqué qu'il rend les gens incapables de penser.

    "Être incapable de penser, agir comme un troupeau, c'est ce que j'entends par psychose délirante de masse", a-t-il déclaré.

    Alors que dans cette psychose de masse, l'attention de segments entiers de la société est hyper concentrée sur un seul problème ou événement. Cela peut alors amener les gens à croire et à faire ce qu'ils veulent par des membres influents de cette société - généralement l'élite d'un pays ou des membres du gouvernement - indépendamment des données prouvant que cela serait catastrophique pour le bien-être de la société.

    Pendant la pandémie, McDonald a déclaré avoir rencontré de nombreux patients et leurs parents qui subissaient les dommages causés par la psychose de formation de masse.

    Selon McDonald, de nombreux parents ont refusé d'amener leurs enfants le voir, même si cela aurait été la bonne chose à faire, parce qu'ils avaient « peur qu'eux-mêmes ou leurs enfants attrapent une maladie mortelle simplement en venant à mon bureau ».

    De nombreux enfants des parents qu'il a vus souffraient d'épisodes de détresse mentale.

    "L'un d'eux m'a dit que son fils de huit ans avait mis son poing à travers une baie vitrée à la maison, incapable de tolérer d'être confiné dans un appartement de deux pièces 24 heures sur 24 pendant des mois", a déclaré McDonald. « Un autre patient a recommencé à mouiller son lit. Une autre encore a attaqué son frère avec un couteau de cuisine. Plus tard cet été-là, en discutant avec des collègues… j'ai découvert que cela se produisait partout.

    Le carburant de cette illusion de masse, selon McDonald, est la peur. Dans ce cas, peur du coronavirus.

    "Nous ne pouvons pas devenir massivement psychotiques délirants sans avoir d'abord peur", a expliqué McDonald. « La peur a été le moteur de cette pandémie, depuis le tout début. Sans peur, tout s'effondre.

    RépondreSupprimer
  84. «Scientifiquement, médicalement, nous avons gagné cette bataille au tout début. Nous savons comment traiter cette maladie. Nous avons su aider les gens, nous avons su protéger les gens probablement de la deuxième semaine à la troisième semaine », a-t-il poursuivi. "Mais nous nous sommes effondrés en tant que pays physiquement, psychologiquement, économiquement, non pas à cause d'un virus, mais à cause de la peur." (En relation: Une infirmière dénonciatrice dit que la véritable épidémie qui frappe la nation n'est pas le coronavirus, mais la "pandémie de peur" - Brighteon.TV.)

    Les médias grand public tentent déjà de censurer les discussions sur la psychose de formation de masse
    Lorsqu'il a expliqué d'où venait cette peur surfaite de la pandémie, McDonald a expliqué que les gouvernements du monde entier, en collaboration avec les méga-entreprises et les grands médias, se sont tous entendus "pour perpétuer la psychose délirante de masse".

    Depuis que le terme s'est popularisé, certains des plus grands médias grand public du monde, comme Reuters et l'Associated Press, ont déjà publié des articles affirmant qu'il n'y a aucune preuve de psychose de formation de masse dans la société.

    Selon Reuters, la psychose de formation de masse "n'est pas un terme académique reconnu dans le domaine de la psychologie, et il n'y a pas non plus de preuve d'un tel phénomène se produisant pendant la pandémie de COVID-19".

    L'Associated Press a qualifié la psychose de formation de masse de "théorie sans fondement" qui, selon les supposés experts en psychologie, "n'est pas étayée par des preuves et est similaire à des théories qui ont longtemps été discréditées".

    Selon The Conservative Treehouse, ces soi-disant «vérifications des faits» ne servent à rien d'autre qu'à «empêcher les gens de reconnaître ce qui est très probablement la cause de leur propre psychose».

    Regardez l'intégralité de l'épisode du 10 janvier de The HighWire avec Del Bigtree ici :

    Cette vidéo est tirée de la chaîne The HighWire avec Del Bigtree sur Brighteon.com.

    Apprenez-en plus sur la psychose de formation de masse et ses effets sur l'Amérique en lisant les derniers articles sur Pandemic.news.

    Les sources incluent

    Brighteon.com
    StrangeSounds.org
    Reuters.com
    APNews.com
    TheConservativeTreehouse.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-14-america-hypontized-fear-covid-mass-formation-psychosis.html

    RépondreSupprimer
  85. Malone : " Formation de masse " déployée sur vous après plus de 200 ans d'études


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 14 JANVIER 2022 - 21:40
    Écrit par Robert Malone via la sous-pile "Qui est Robert Malone",


    Aujourd'hui, en "factchecking the factcheckers", les jeunes universitaires cités par Forbes, Associated Press, Reuters et The Independent n'ont tout simplement pas fait leurs devoirs concernant les travaux du professeur Dr. Mattias Desmet de l'Université de Gand en Belgique. Tout ce que je peux dire à ce sujet, c'est que j'espère que leurs déclarations naïves, ignorantes et grandiloquentes à la presse seront évoquées lors de leurs futurs examens de la titularisation et de l'avancement académiques.

    Mais il y a eu un effort étonnamment coordonné pour tirer sur le messager et m'assassiner activement (ou «défendre») en tant que substitut tout en évitant toute référence au professeur universitaire hautement qualifié, le Dr Mattias Desmet, qui a en fait développé la théorie et a documenté le vaste preuve dans un livre universitaire à venir. Alors, que pouvons-nous en apprendre à court terme ?

    De toute évidence, Google n'était pas la seule entreprise déclenchée par le podcast Joe Rogan # 1757 qui atteignait auparavant le classement mondial des podcasts n ° 1, a été qualifiée d '«interview la plus importante de notre temps» et a été vue par plus de 50 millions de téléspectateurs. Mais ce qui a été généré par toute la presse réactionnaire cooptée et les titans de la Big Tech trébuchant métaphoriquement sur leurs lacets de chaussures est une mine massive de données en temps réel validant la brillante synthèse intellectuelle de la formation de masse développée par le professeur Desmet au cours des deux dernières années.

    Dans cette réponse coordonnée de propagande et de censure, nous pouvons clairement voir les mains de la Trusted News Initiative dirigée par la BBC, de l'élite technologique scientifique, des fonds d'investissement transnationaux et de leurs alliés du Forum économique mondial qui contrôlent Pfizer et la plupart des grandes sociétés pharmaceutiques, Legacy Media et Big Tech (et de nombreux gouvernements nationaux) agissant en temps réel pour réprimer une prise de conscience croissante par le grand public d'avoir été activement manipulé à l'aide d'outils de psychologie des foules pour générer une peur et une anxiété cliniquement significatives de COVID-19 (autrement connu sous le nom de "Coronaphobie") pour faire avancer leurs programmes à l'échelle mondiale. Plusieurs gouvernements ont maintenant admis avoir activement utilisé la peur et les théories liées à la «formation de masse» comme outil de contrôle totalitaire de la population pendant cette épidémie. Cela se produit en même temps qu'Omicron détruit la légitimité de la propagande du gouvernement et de l'OMS concernant les vaccins à ARNm "sûrs et efficaces" et les mandats associés.

    RépondreSupprimer
  86. Mais ce qui me déroute, c'est pourquoi la presse occidentale suit toutes le même récit que Forbes, qui appartient maintenant à une société de portefeuille de médias chinoise. S'agit-il vraiment uniquement de la volonté de la Chine de faire avancer un programme du Nouvel Ordre Mondial et de travailler de manière coordonnée avec les médias hérités occidentaux capturés et leurs seigneurs des fonds transnationaux ?

    Sortez le pop-corn, car nous avons un feu de benne à ordures «récit approuvé» en cours.

    "Je ne vois pas comment les gens pourraient prétendre que la" formation de masse "n'existe pas ou n'a jamais été étudiée scientifiquement. Le terme désigne simplement – ​​cela va sans dire – le processus de formation d'une masse ou d'une foule. La formation de masse a été étudiée pendant plus de 200 ans, en commençant par des chercheurs tels que Gustave Le Bon, Freud, McDougal, Canetti, Hannah Arendt, etc. Au XXe siècle, des psychologues tels que Ash et Sheriff ont étudié expérimentalement la formation de masse.

    Certains de ces chercheurs ont explicitement utilisé le terme formation de masse, d'autres non. Mais ce qu'ils ont étudié était fondamentalement le même : la manière dont les états mentaux des individus sont influencés par leur tendance à se conformer à la pensée de groupe. J'ai moi-même plus de 100 publications sur Web of Science, une grande partie d'entre elles se concentrant sur la façon dont la structure de la personnalité des individus est influencée par leurs relations avec les autres. Une fois que vous avez compris les mécanismes de base par lesquels la personnalité d'un individu est sous l'emprise de l'opinion des autres, vous comprenez les mécanismes élémentaires à l'œuvre dans cet énorme processus psychologique qui se produit lorsqu'une masse émerge dans une société.

    Dans mon prochain livre : La psychologie du totalitarisme, j'analyse et décris la manière dont le processus psychologique de formation des masses s'est renforcé de plus en plus au cours des deux derniers siècles et conduit finalement à la pensée totalitaire et finalement aussi à l'émergence d'États totalitaires. .”

    - Mattias Desmet, professeur de psychologie clinique à l'Université de Gand en Belgique

    Veuillez suivre ce lien pour les travaux académiques antérieurs du professeur Dr. Desmet

    Extrait de M. Desmet : « La psychologie du totalitarisme »

    'Formation de masse - bref résumé

    • Le totalitarisme est caractérisé par des processus de formation de masse à grande échelle.

    • Quatre conditions sont nécessaires pour la formation de masse à grande échelle :

    1. Un grand nombre de personnes doivent se sentir seules et isolées.

    2. Leur vie doit sembler inutile et dénuée de sens.

    3. Il doit y avoir des niveaux élevés d'anxiété flottante, et

    4. Il doit y avoir des niveaux élevés de frustration et d'agressivité flottantes.

    RépondreSupprimer
  87. * Si, dans ces conditions, un récit est diffusé dans les médias de masse qui indique un objet d'anxiété et fournit une stratégie pour faire face à cet objet d'anxiété, alors toute l'anxiété flottante peut être associée à cet objet et une énorme volonté peut être observée. participer à la stratégie de prise en charge de l'objet anxieux.

    • En même temps, le champ d'attention se rétrécit jusqu'à ne contenir que la part de réalité indiquée par le récit et les gens perdent leur capacité à prendre en compte les autres aspects de la réalité (ce qui les rend souvent totalement irrationnels).

    Le développement de modèles mathématiques pour décrire ce processus est actuellement en cours dans une collaboration entre le professeur Desmet, le Dr rer. nat. habil. Norbert Schwarzer et Dr Troy Vom Braucke. Ce travail s'appuie sur des travaux de modélisation académiques antérieurs, notamment les volumes suivants: '

    Les travaux académiques fondateurs antérieurs concernant la formation de masse sur lesquels le professeur Desmet a fondé sa théorie comprennent ce qui suit

    Gustave Le Bon (1841-1931)

    La foule: une étude de l'esprit populaire , 1895
    PDF (pp. 157), HTML, livre audio complet du domaine public, Worldcat

    Présentation de La Foule

    William Mc Dougall (1871-1938)

    L'esprit de groupe ; Une esquisse des principes de la psychologie collective, avec quelques tentatives pour les appliquer à l'interprétation de la vie et du caractère nationaux, 1920
    Première édition 1920 (pp. 419), format HTML/ebook ; Deuxième édition 1927 (pp. 304), Worldcat

    Élias Canetti (1905-1994)

    Foules et pouvoir, 1960
    PDF (pp. 495), Worldcat

    Vue d'ensemble des foules et du pouvoir

    Classification et symboles des messes dans la conception d'Elias Canetti (2019)

    John Ioannidis (1965-)

    Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux, 2005

    Hannah Arendt (1906-1975)

    Eichmann à Jérusalem, Un rapport sur la banalité du mal, 1963
    PDF (pp. 401), Worldcat

    Les origines du totalitarisme, 1951
    HTML, deuxième édition 1958 (pp. 521), Worldcat

    RépondreSupprimer
  88. Salomon Asch (1907-1996)

    Effets de la pression de groupe sur la modification et la distorsion des jugements, 1951

    Opinions et pression sociale, 1955
    PDF

    Études de l'indépendance et de la conformité : I. Une minorité d'un contre une majorité unanime, 1956

    L'utilisation de la peur pour contrôler le comportement dans la crise de Covid était "totalitaire", admettent les scientifiques

    Les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior regrettent les méthodes « contraires à l’éthique ».

    Le télégraphe. Par Gordon Rayner, 14 mai 2021

    Un état de peur par Laura Dodsworth

    A State of Fear : comment le gouvernement britannique a militarisé la peur pendant la pandémie de Covid-19

    C'est un livre sur la peur. Peur d'un virus. Peur de la mort. Peur de perdre nos emplois, notre démocratie, nos relations humaines, notre santé et nos esprits. Il s'agit également de la façon dont le gouvernement a armé notre peur contre nous - soi-disant dans notre meilleur intérêt - jusqu'à ce que nous soyons le pays le plus effrayé d'Europe.

    La peur est l'émotion la plus puissante. Ancrée dans les humains, la peur fait partie de notre succès évolutif. Mais cela en fait également l'un des outils les plus puissants de la boîte à outils de la psychologie comportementale et il a été utilisé pour manipuler et contrôler les gens pendant la pandémie.

    Dans l'un des documents les plus extraordinaires jamais révélés au public britannique, les scientifiques du comportement conseillant le gouvernement ont déclaré qu'un nombre important de personnes ne se sentaient pas suffisamment menacées par Covid-19 pour suivre les règles. Ils ont conseillé au gouvernement d'augmenter notre sentiment de « menace personnelle », de nous faire peur et de nous soumettre.

    Mais pourquoi le gouvernement nous a-t-il délibérément fait peur, et comment cela nous a-t-il affecté en tant qu'individus et en tant que pays ? Qui est impliqué dans la prise de décision qui affecte nos vies ? Comment la science du comportement et la théorie du nudge sont-elles utilisées pour nous manipuler de manière subliminale ? Comment les médias exploitent-ils la peur ? Quels sont les risques réels pour notre bien-être ?

    RépondreSupprimer
  89. Avant toute enquête officielle sur la gestion de la pandémie de Covid-19, Laura Dodsworth explore toutes ces questions et plus encore, dans une discussion nuancée et stimulante sur une année extraordinaire de la vie et de la politique britanniques. Avec des histoires de membres du grand public qui ont été touchés par la peur, l'anxiété et l'isolement, et des entretiens révélateurs avec des psychologues, des politiciens, des scientifiques, des avocats, des conseillers de Whitehall et des journalistes, A State of Fear appelle à une démocratie plus pleine d'espoir, transparente et efficace.

    Plus de références :

    Le viol de l'esprit : la psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau par Joost A.M. Meerloo. 1961

    En 1933, Meerloo a commencé à étudier les méthodes par lesquelles la pression mentale systématique amène les gens à une soumission abjecte, et par lesquelles les totalitaires impriment leur « vérité » subjective dans l'esprit de leurs victimes. Dans "The Rape of the Mind", il va bien au-delà des implications militaires directes de la torture mentale pour décrire comment notre propre culture montre discrètement des symptômes de pression sur l'esprit des gens. Il présente une analyse systématique des méthodes de lavage de cerveau, de torture mentale et de coercition, et montre comment la stratégie totalitaire, avec son utilisation de la psychologie de masse, conduit à un "viol de l'esprit" systématisé. Il décrit la nouvelle ère de la guerre froide avec sa terreur mentale, sa verbocratie et son brouillard sémantique, l'utilisation de la peur comme outil de soumission massive et le problème de la trahison et de la loyauté, si chargé de confusion dangereuse. Le "viol de l'esprit" est écrit pour le profane intéressé, pas seulement pour les experts et les scientifiques.

    Pour finir, le livre écrit en 1841 intitulé : « Les délires populaires extraordinaires et la folie des foules » est l'un des premiers ouvrages sur ce sujet.

    de Charles MacKay (Auteur)

    … initialement publié en 1841. Cela inclut la préface, qui est souvent omise dans les versions abrégées. Dans ce livre, Charles Mackay discute des comportements irrationnels des foules dans l'économie, la guerre et la magie. Il donne plusieurs exemples différents de bulles de marché, comme le Mississippi Scheme et la tristement célèbre Tulip Mania aux Pays-Bas. Depuis sa rédaction, les investisseurs l'ont utilisé comme guide pour aider à identifier les cycles d'expansion et de récession. Extraordinary Popular Delusions et The Madness of Crowds ont eu une influence importante sur les économistes dans la compréhension de la psychologie des foules et des boucles de rétroaction.

    * * *

    Subscribe to Who is Robert Malone

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/malone-mass-formation-deployed-you-after-over-200-years-study

    RépondreSupprimer
  90. Changement sismique : « Omicron enfreint les règles ». Les taux de cas sont les plus bas dans unvaxxed en Écosse. Double vaxxed le plus susceptible d'aller à l'hôpital


    January 15th, 2022


    Les dirigeants mondiaux doivent transpirer

    Les données de Public Health Scotland (PHS) montrent que non seulement les «doubles piqûres» sont plus susceptibles d'attraper Omicron que les non-vaxxinés, mais qu'ils sont également plus susceptibles d'être hospitalisés. Et c'est sur une base par habitant et après contrôle de l'âge. Les triples piqûres sont moins susceptibles de se retrouver à l'hôpital que les deux autres groupes, mais pour combien de temps ?

    Wow.

    Covid Ecosse: les taux de cas les plus bas chez les non vaccinés alors que les personnes âgées à double piqûre augmentent les admissions à l'hôpital
    Par Helen McArdle, Herald Scotland

    - voir graph sur site -

    Les Écossais DOUBLE-JABBED sont désormais plus susceptibles d'être admis à l'hôpital avec Covid que les non vaccinés au milieu d'une augmentation du nombre de personnes âgées tombant malades en raison d'une immunité décroissante.

    Cela vient au milieu de données «étranges» montrant que les taux de cas ont été plus faibles chez les individus non vaccinés que les simples, doubles ou même triples piqûres depuis qu'Omicron est devenu la variante dominante en Écosse.

    À l'heure actuelle, les doubles coups attrapent Covid deux fois plus souvent que les non-vaxxés en Écosse. Même les triples coups sont légèrement plus susceptibles d'attraper Covid que les non vaccinés.

    Les données préliminaires de la semaine dernière – qui sont normalisées selon l’âge pour tenir compte du fait que les jeunes sont plus susceptibles que les adultes plus âgés d’être non vaccinés – montrent un taux de cas de Covid de 11 pour 1000 dans le groupe non vacciné contre 15 pour 1000 pour ceux qui avaient reçu un rappel ou une troisième dose, et 25 pour 1000 pour la cohorte double-vaccinée.

    Eh bien, cela casse le récit : qui exactement met qui en danger ?

    Les personnes qui propagent le Covid en ce moment sont plus susceptibles d'être vaccinées que non vaccinées. Pourtant, ce ne sont pas eux qui sont bannis des cinémas, des bars et des clubs.

    Les Double Jabbed sont encore plus susceptibles de se retrouver à l'hôpital
    Voilà le dernier argument principal en faveur des vaccins obligatoires. Les lits d'hôpitaux ne sont pas occupés par des égoïstes non vaccinés.

    Au cours de la semaine se terminant le 7 janvier, le taux d'hospitalisation était également deux fois plus élevé chez les doubles coups que chez les non vaccinés – 130 admissions pour 100 000 contre 59 pour 100 000 – mais est tombé à seulement 15 pour 100 000 chez les triples coups.

    Hospitalisations Covid, Écosse, Graphique, 2022, Statut vaccinal.

    - voir graph sur site -

    Pas étonnant que les dirigeants mondiaux disent au double piqûre de "se booster"

    Les triples vaxxés ont pour l'instant, heureusement, moins de chance de mourir (de Covid en tout cas)

    Tous les taux de mortalité pour Omicron sont de l'ordre de 1 sur 20 000, ce qui est une bénédiction. Mais étant donné que la mort peut prendre 4 à 8 semaines, il est peut-être un peu trop tôt pour fixer ces ratios dans la pierre pour la vague Omicron qui fume encore :

    Au cours de la dernière semaine de décembre, le taux de mortalité était de 7,06 pour 100 000 chez les doubles vaccinés, contre 4,79 pour 100 000 chez les non vaccinés et 0,21 pour 100 000 chez les triples vaccinés.

    RépondreSupprimer
  91. Les groupes vaxxés et non-vaxxés ne sont évidemment pas les mêmes au départ. Même lorsque l'âge est contrôlé, les vaccinés peuvent occuper des emplois plus risqués, plus susceptibles de passer des tests Covid et constituent un groupe à risque plus élevé. Les personnes non vaccinées peuvent être en meilleure santé au départ et également plus susceptibles d'avoir une immunité naturelle.

    Et l'immunité naturelle ?

    Helen McArdle du Herald Scotland (paywall) essaie d'enquêter sur les raisons pour lesquelles les données sont si étranges, mais malgré toutes les gaufres d'experts, l'immunité naturelle est laissée jusqu'à la fin et n'est appelée que "infections passées". Si de nombreuses personnes de la catégorie «non vaccinées» sont en fait «immunisées avec la vraie affaire», alors les personnes vraiment non vaccinées pourraient ne pas obtenir de si bons résultats si les personnes ayant une immunité naturelle sont retirées et placées dans leur propre groupe. Je suis sûr que les experts le savent, donc c'est un peu surprenant qu'ils ne se soient pas précipités et aient fait ça ? Pourquoi l'immunité naturelle est-elle si étouffée ?

    Et si l'immunité naturelle sans vaccin fonctionnait mieux chez les jeunes en bonne santé que l'immunité mixte quasi contre nature ?

    Les données ressembleraient à ceci aussi.

    Les personnes qui ont des ennuis semblent maintenant être celles qui devaient recevoir un rappel, mais qui ne l'ont pas. Ils ont donc été les premiers à recevoir une double piqûre et étaient des personnes âgées à haut risque et à revenu plus élevé. Leur double vaccin a depuis longtemps dépassé sa date de péremption. Ce sont les gens qui remplissent les lits d'hôpitaux, mais personne ne suggère qu'ils devraient payer des frais de santé, perdre leur emploi ou être interdits de vol.

    Qui a attrapé le plus de Covid, - les vingtenaires
    Pendant toute la pandémie, le groupe qui a le plus attrapé Covid en Écosse est celui des 20 à 24 ans. Vu ci-dessous dans les données cumulées avec 100 000 cas pour 100 000 habitants.

    Total des cas écossais de Covid par âge en janvier 2022. Graphique.
    Source : Santé publique Écosse.

    Dans d'autres nouvelles, même le patron de Pfizer affirme que deux doses ne fonctionnent pas contre Omicron.

    Le patron de Pfizer affirme que deux doses offrent une "protection limitée, le cas échéant" contre Omicron. Le directeur général de Pfizer a révélé que deux doses du vaccin Covid-19 actuel offrent « une protection très limitée, voire aucune » contre Omicron.

    - voir graph sur site -

    Ce que cela signifie selon Alex Berenson

    La protection contre les "maladies graves" est "raisonnable en ce moment" pour les personnes qui ont pris une "troisième dose" du vaccin de Pfizer.

    Mettez de côté le fait que même ces mots sont au mieux une interprétation optimiste des données actuelles.

    Mis à part le fait que Pfizer n'a JAMAIS comparé un schéma vaccinal à trois doses à un placebo dans un essai clinique.

    Mettez de côté le fait que "raisonnable en ce moment" suggère que tout effet d'une troisième dose ne durera pas.

    Ce que le directeur général de Pfizer vous dit, c'est que si vous avez reçu deux doses du vaccin de son entreprise l'année dernière, votre protection a disparu. Même contre "les hospitalisations et les maladies graves".

    REFERENCES

    Public Health Scotland Data

    Weekly Statistical data in Scotland

    https://joannenova.com.au/2022/01/seismic-shift-omicron-breaks-the-rules-the-case-rates-are-lowest-in-unvaxxed-in-scotland-double-vaxxed-most-likely-to-go-to-hospital/#more-81562

    RépondreSupprimer
  92. L'intérieur de la Terre se refroidit plus vite que prévu


    14 JANVIER 2022
    par Peter Rüegg, ETH Zurich


    Des chercheurs de l'ETH Zurich ont démontré en laboratoire à quel point un minéral commun à la frontière entre le noyau et le manteau de la Terre conduit bien la chaleur. Cela les amène à soupçonner que la chaleur de la Terre pourrait se dissiper plus tôt qu'on ne le pensait auparavant.

    L'évolution de notre Terre est l'histoire de son refroidissement : il y a 4,5 milliards d'années, des températures extrêmes régnaient à la surface de la jeune Terre, et celle-ci était recouverte d'un profond océan de magma. Pendant des millions d'années, la surface de la planète s'est refroidie pour former une croûte cassante. Cependant, l'énorme énergie thermique émanant de l'intérieur de la Terre a déclenché des processus dynamiques, tels que la convection mantellique, la tectonique des plaques et le volcanisme.

    Cependant, les questions de la vitesse à laquelle la Terre s'est refroidie et du temps qu'il faudrait pour que ce refroidissement continu arrête les processus susmentionnés entraînés par la chaleur restent sans réponse.

    Une réponse possible peut résider dans la conductivité thermique des minéraux qui forment la frontière entre le noyau et le manteau de la Terre.

    Cette couche limite est pertinente car c'est ici que la roche visqueuse du manteau terrestre est en contact direct avec la fonte chaude fer-nickel du noyau externe de la planète. Le gradient de température entre les deux couches est très raide, il y a donc potentiellement beaucoup de chaleur qui circule ici. La couche limite est formée principalement de la bridgmanite minérale. Cependant, les chercheurs ont du mal à estimer la quantité de chaleur que ce minéral conduit du noyau terrestre au manteau car la vérification expérimentale est très difficile.

    Maintenant, le professeur ETH Motohiko Murakami et ses collègues de la Carnegie Institution for Science ont développé un système de mesure sophistiqué qui leur permet de mesurer la conductivité thermique de la bridgmanite en laboratoire, dans les conditions de pression et de température qui prévalent à l'intérieur de la Terre. Pour les mesures, ils ont utilisé un système de mesure d'absorption optique récemment développé dans une unité de diamant chauffée avec un laser pulsé.

    "Ce système de mesure nous a permis de montrer que la conductivité thermique de la bridgmanite est environ 1,5 fois plus élevée que prévu", déclare Murakami. Cela suggère que le flux de chaleur du noyau vers le manteau est également plus élevé qu'on ne le pensait auparavant. Un plus grand flux de chaleur, à son tour, augmente la convection du manteau et accélère le refroidissement de la Terre. Cela peut entraîner une décélération plus rapide de la tectonique des plaques, qui est maintenue par les mouvements convectifs du manteau, que les chercheurs ne l'avaient prévu sur la base des valeurs de conduction thermique précédentes.

    RépondreSupprimer
  93. Murakami et ses collègues ont également montré qu'un refroidissement rapide du manteau modifiera les phases minérales stables à la frontière noyau-manteau. Lorsqu'elle refroidit, la bridgmanite se transforme en post-perovskite minérale. Mais dès que la post-pérovskite apparaît à la frontière noyau-manteau et commence à dominer, le refroidissement du manteau pourrait en effet s'accélérer encore plus, estiment les chercheurs, puisque ce minéral conduit la chaleur encore plus efficacement que la bridgmanite.

    "Nos résultats pourraient nous donner une nouvelle perspective sur l'évolution de la dynamique de la Terre. Ils suggèrent que la Terre, comme les autres planètes rocheuses Mercure et Mars, se refroidit et devient inactive beaucoup plus rapidement que prévu", explique Murakami.

    Cependant, il ne peut pas dire combien de temps il faudra, par exemple, pour que les courants de convection dans le manteau s'arrêtent. "Nous n'en savons toujours pas assez sur ce genre d'événements pour déterminer leur calendrier." Pour ce faire, il faut d'abord mieux comprendre le fonctionnement de la convection du manteau en termes spatiaux et temporels. De plus, les scientifiques doivent clarifier comment la désintégration des éléments radioactifs à l'intérieur de la Terre - l'une des principales sources de chaleur - affecte la dynamique du manteau.

    https://phys.org/news/2022-01-earth-interior-cooling-faster.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La seule chose que notre planète peut perdre est sa chaleur. La chaleur émise par la masse ferrique incandescente réchauffe les fonds des mers et océans où des lames de fond emportent ces degrés vers certaines côtes. Puis la chaleur s'en va dans l'atmosphère ( 1° perdu sur 100 m).
      C'est grâce au magma que la vie a pu naître sur Terre et grâce surtout à l'arrivée de glace qui a fondu en premier au niveau de l’Équateur où est apparue la vie qui s'est délacé vers les Tropiques puis vers les pôles.

      Supprimer
  94. Brève. Chronique politique et littéraire (française)


    le 15 janvier 2022


    Les candidats à la présidentielle parlent de l’éducation des petites têtes blondes et moins blondes, il faut dire les choses ainsi, c’est d’ailleurs presque le seul domaine qui échappe aux diktats de la Commission européenne avec peut-être la force de frappe nucléaire qui est française et restera une prérogative française quoiqu’il arrive en dépit des tentatives défaitistes de l’actuel président français de partager avec l’Allemagne le siège au Conseil de Sécurité de l’ONU dont dispose la France avec 4 autres puissances du monde. Pour reprendre un mot du Président Rodrigo Duterte Macron est vraiment un « fils de pute », il parlait alors de Barack Obama. Le parc nucléaire français est dénigré par les Allemands car ils savent sans le clamer que leur politique du tout renouvelable n’est pas tenable. Cette première puissance industrielle et commerciale européenne veut faire la loi, c’est évident, et tous les candidats à la présidence de la République semblent ignorer que c’est l’Allemagne qui décide du sort de la France comme de l’Italie ou de l’Espagne.

    L’éducation nationale est peut-être le seul domaine qui échappe aux lois écrites par la Commission de Bruxelles, un Berlin bis, il faut dire les choses clairement. Est-ce que ce 15 janvier 2022 on va célébrer dans les écoles de France le quatre-centième anniversaire de la naissance de Molière ? J’en doute puisque les écoles sont fermées contrairement à celles du Japon. Il faut dire que Molière, un pseudonyme cachant l’identité de Jean-Baptiste Poquelin, était avant tout un acteur qui vivait pleinement sur la scène. Une longue controverse a occupé les esprits s’agissant de débusquer qui était derrière les textes des comédies souvent acerbes et ironiques que jouait Molière sur scène avec sa troupe. Il apparaît aujourd’hui qu’après de longues études tous les textes attribués à Molière étaient écrits en réalité par Pierre Corneille, beaucoup plus connu pour ses tragédies et qui, selon certains auteurs, s’amusait de ses textes comme Racine s’amusa de son unique comédies « Les Plaideurs ».

    RépondreSupprimer
  95. Pour en revenir aux candidats à l’élection présidentielle, ils oublient tous qu’ils ont les pieds et les poings liés par la Commission de Bruxelles, elle-même, je le répète, contrôlée par l’Allemagne. Pour augmenter le salaire minimum c’est Bruxelles qui décide, pour diminuer la TVA ou l’augmenter c’est Bruxelles qui décide, pour la politique énergétique c’est Bruxelles qui décide, … Les seuls acteurs qui sont indépendants des humeurs de Madame von der Leyen sont les marchés financiers qui ont décidé d’une augmentation des taux d’intérêts des titres de dette émis par la France à dix ans. Rassurez vous la Banque Centrale européenne les rachète et les revend tout de suite sur le second marché au Qatar et à l’Arabie saoudite. Tous ces candidats à la présidence ignorent ou feignent d’ignorer qu’ils ne peuvent rien faire sans l’accord de la BCE et de la Commission. Alors ils parlent de virus, de start-up nation, ça fait bien quand c’est du globish, mais ils oublient que la monnaie française c’est l’euro depuis 20 ans et que l’économie française plonge parce que l’Etat n’a plus de pouvoir sur sa propre monnaie.

    Je pense qu’aujourd’hui si Molière était réincarné il écrirait une nouvelle version de l’Avare qui serait tout simplement décoiffante. La cassette dissimulée par Harpagon serait peut-être les millions de dollars de corruption mal acquis par tous les ministres de l’actuel gouvernement français et le plus gros du trésor serait détenu par le Président lui-même …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/15/breve-chronique-politique-et-litteraire-francaise/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) la force de frappe nucléaire qui est française (...)

      voir 'le plateau d'Albion' ? La 'force de frappe nucléaire' est désuète depuis plus de 40 ans.
      Après, on a parlé de 'technologie scalaire' supplantée derechef par la 'EMP'. Le monde n'est RIEN sans l'Impulsion ElectroMagnétique. Rien.

      Supprimer