- ENTREE de SECOURS -



samedi 29 janvier 2022

Des camionneurs à travers la planète s'unissent en convois contre la tyrannie médicale

 PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 14:00


Les 50 000 camionneurs qui se dirigent vers Ottawa, la capitale du Canada, qui devraient arriver dès samedi, pourraient battre un record mondial du plus long convoi. Appelés le "Freedom Convoy", les camionneurs s'opposent aux mandats de vaccination du gouvernement fédéral pour les activités transfrontalières et en ont inspiré d'autres dans le monde entier.

Les camionneurs du Canada aux États-Unis, de l'Australie à l'Europe se regroupent pour protester dans le monde entier contre l'excès de santé publique de leurs gouvernements respectifs, en particulier les mandats de vaccination forcés.


Des convois de liberté en provenance d'Amérique devraient rejoindre samedi des dizaines de milliers de camionneurs à Ottawa pour amener le gouvernement à abroger les passeports transfrontaliers pour les vaccins COVID.

Un groupe Facebook en Australie appelé "2022 Official Convoy to Canberra" compte plus de 66 000 membres et prépare un convoi qui arrivera dans la capitale d'ici le 31 janvier pour protester contre les mandats de vaccination.

De multiples convois à travers l'Europe sont organisés en ce moment même qui convergeront vers Bruxelles à une date non précisée. Un groupe Telegram de plus de 14 500 membres rassemble des convois à travers le continent pour se réunir dans la capitale.

Europe Convoy est pour pas de passeports vaxx, la liberté de la santé, pas d'apartheid médical, et pour que toute une série de fonctionnaires européens démissionnent.

Des convois de camionneurs sont-ils en cours en Italie ?

D'abord c'était le Canada 🇨🇦

Et maintenant l'Italie 🇮🇹

Voici les camionneurs italiens. #FreedomConvoy2022 #CanadianTruckers #ItalianTruckers pic.twitter.com/4b5z9nKJcu

– James Melville 💜 (@JamesMelville) 28 janvier 2022

Et le Brésil ?

C'est clair et direct, et comme l'a récemment dit le célèbre podcasteur Joe Rogan, "le Canada est en révolte".

Même l'homme le plus riche du monde, Elon Musk, est intervenu hier et a déclaré qu'il soutenait les camionneurs canadiens à ses 71,8 millions de followers.

Le vent pourrait tourner car les camionneurs sont le cœur battant de toute économie, et une révolte parmi ces groupes de personnes peut faire retomber les économies du monde dans la récession.

Peut-être que les gouvernements prendront conscience du pouvoir des camionneurs alors que le mouvement se propage comme une traînée de poudre à travers le monde pourrait être ce qui est nécessaire pour retrouver une certaine liberté médicale et au moins mettre fin aux vaccinations forcées.

https://www.zerohedge.com/political/truckers-across-planet-unite-convoys-against-medical-tyranny

30 commentaires:

  1. Québec : Unvaxxed n'est autorisé que dans les grands magasins sous la supervision du personnel pour obtenir de la nourriture et des médicaments


    January 29th, 2022


    Moments bizarres dans le contrôle viral

    Au Québec, les humains non vaccinés de plus de 12 ans ne sont plus autorisés à magasiner dans les grands magasins du Québec, sauf pour acheter de la nourriture ou des produits pharmaceutiques. Si un magasin Big Box comme IKEA, Costco et Wallmart vend de la nourriture ou des médicaments, les non-vaxxés devront être guidés dans le magasin par un membre du personnel au cas où ils achèteraient également des chaussettes ou quelque chose d'interdit.

    Cela signifie-t-il que les parents vaccinés devront laisser leurs enfants de 13 ans non vaccinés dans la voiture ou à la maison ?

    Les parents non vaccinés enverront-ils seuls leurs enfants de 11 ans dans les magasins pour acheter des grille-pain interdits ?

    Les non-vaccinés doivent être accompagnés par le personnel de Walmart pour s'assurer qu'ils n'achètent rien d'autre que de la nourriture et des produits pharmaceutiques


    Nouvelles du Sommet,
    Paul Joseph Watson


    La règle devrait s'appliquer dans les magasins à grande surface afin "de s'assurer qu'ils (les non-vaxxés) n'achètent pas d'autres produits ou d'autres articles qui pourraient être dans le magasin", selon un lecteur de nouvelles de CBC.

    En d'autres termes, afin d'arrêter la propagation du COVID-19, il faut empêcher les extrémistes dégoûtants non vaccinés d'acheter des choses comme des barbecues jetables et des appareils électroniques.

    « Pour les pharmacies situées dans des magasins à grande surface, comme Walmart ou Costco, une personne non vaccinée doit être « accompagnée en tout temps lors de ses déplacements par un employé de l'entreprise, de la pharmacie ou de toute autre personne mandatée par eux à cette fin ». », rapporte CBC, citant le décret. "Cette personne ne peut pas acheter de produits autres que ceux liés au service pharmaceutique qu'elle reçoit."

    Imaginez à quel point cela fonctionnera si 200 personnes non vaccinées insistent pour se présenter en même temps.

    Il ne s'agit bien sûr que d'un consentement éclairé :

    Le ministre de la Santé, Christian Dubé, affirme que le mandat élargi du vaccin vise à encourager davantage de personnes à se faire vacciner.

    Ainsi, le gouvernement a simplement forcé les détaillants à payer pour que les Vaccine-Guards humilient et harcèlent les non vaccinés dans l'espoir que cela les persuadera que le gouvernement se soucie vraiment d'eux et que leur santé s'améliorera s'ils "font confiance au gouvernement".

    Cela s'applique aux magasins de plus de 16 000 pieds carrés (1486 m²), donc des magasins comme Walmarts, IKEA et Costco. C'est peut-être la première fois dans l'histoire qu'un gouvernement édicte accidentellement une règle qui profite aux propriétaires de petites entreprises.

    L'application du nouveau mandat sur les vaccins frustre certains détaillants québécois
    Coûts élevés, concurrence déloyale, clients mécontents

    RépondreSupprimer
  2. En plus des problèmes de service à la clientèle, les entreprises affirment qu'elles subissent un fardeau financier important. Canac affirme qu'il en coûtera environ 100 000 $ par semaine pour faire appliquer la mesure dans ses 31 magasins à travers le Québec.

    Pour Simon Gagnon, propriétaire d'une franchise Sports Experts à Sherbrooke, la pénurie de main-d'œuvre au Québec rendait déjà difficile la recherche de personnel. Maintenant, il dit qu'il fait face au "défi colossal" d'embaucher des agents de sécurité et des employés pour scanner les passeports de vaccination et il craint de perdre certains de ses clients.

    «Ce qui nous fait peur, c'est qu'au lieu de faire la queue, les gens iront faire leurs courses ailleurs», a-t-il déclaré, ajoutant qu'il estimait que la province créait une concurrence déloyale entre les grands détaillants et les petits magasins qui n'ont pas à appliquer les nouvelles règles.

    S'ils divisent un grand magasin en petits magasins, cela mettra-t-il fin au besoin de Vaccine-Guards ?

    Québec a aussi un plan pour facturer aux adultes non vaccinés un «frais de contribution santé» qui sera «significatif».

    «Ceux qui refusent de se faire vacciner représentent un fardeau financier pour le personnel hospitalier et les Québécois», a déclaré le premier ministre. "Ces 10 % de la population ne peuvent pas peser sur les 90 %."

    Donc, si les vaccinés finissent par avoir besoin de plus de soins hospitaliers que les non vaccinés, seront-ils également facturés ?

    L'Australie-Occidentale obtient sa propre forme de Vaccine Guards dans les magasins de bouteilles au volant la semaine prochaine. Plus d'informations sur ce moment bizarre dans Viral Control à venir.

    https://joannenova.com.au/2022/01/quebec-unvaxxed-banned-from-ikea-costco-and-wallmart-without-staff-supervision/

    RépondreSupprimer
  3. Défectueux depuis le début : les vaccins COVID-19 sont voués à l'échec


    vendredi 28 janvier 2022
    par : Kevin Hughes


    (Natural News) Les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) fabriqués par Pfizer, AstraZeneca et Moderna n'empêchent pas la propagation du virus SARS-CoV-2.

    Cela a été prouvé par des essais cliniques de vaccins et soutenu par ce qui se passe dans le monde réel. La réalité est que rien n'a changé depuis l'introduction des jabs. Les fabricants de vaccins ont également conçu une série d'essais cliniques qui devaient être un échec complet.

    Dans un article d'opinion du New York Times publié le 22 septembre 2020, le Dr Peter Doshi de la faculté de pharmacie de l'Université du Maryland et le directeur du Scripps Research Translational Institute, Eric Topol, ont discuté des failles des essais cliniques menés par Pfizer, AstraZeneca et Moderna. (En relation: Partout où vous regardez, les «vaccins» COVID échouent.)

    Le défaut le plus flagrant était que les essais n'ont pas répondu à la question de savoir si les vaccins sont capables de protéger les gens et de prévenir les complications graves.

    « Si vous deviez approuver un vaccin contre le coronavirus, en approuveriez-vous un dont vous saviez qu'il ne protégeait les personnes que de la forme la plus bénigne de COVID-19, ou qui préviendrait ses complications graves ? La réponse est évidente. Vous voudriez que [le vaccin] protège contre les pires cas », indique l'article.

    "Mais ce n'est pas ainsi que les entreprises testant trois des principaux candidats vaccins contre le coronavirus, Moderna, Pfizer et AstraZeneca, dont l'essai américain est suspendu, abordent le problème."

    Les vaccins COVID ne sont efficaces que pour prévenir les « cas bénins de COVID »

    L'article notait que, selon les protocoles des études publiés en septembre 2020, "un vaccin pourrait répondre aux critères de réussite des entreprises s'il réduisait le risque de COVID-19 léger, mais il n'a jamais été démontré qu'il réduisait les formes modérées ou sévères de la maladie, ou le risque d'hospitalisation, d'admission en unité de soins intensifs ou de décès.

    « Dire qu'un vaccin fonctionne devrait signifier que la plupart des gens ne courent plus le risque de tomber gravement malades. Ce n'est pas ce que ces essais détermineront », indique l'article.

    Cela ne peut que signifier que les essais cliniques ont été conçus pour montrer leur efficacité dans la prévention des «cas bénins de COVID», mais pas des cas modérés ou graves de la maladie. Il a en outre montré que les essais cliniques de vaccins étaient complètement inutiles et non pertinents et ont été effectués de manière trompeuse et trompeuse.

    RépondreSupprimer
  4. Les études Moderna et AstraZeneca ont impliqué environ 30 000 participants chacune, tandis que Pfizer en comptait 44 000. La moitié des participants ont reçu deux doses de vaccins espacées de trois ou quatre semaines tandis que l'autre moitié a reçu des injections de placebo d'eau salée. La détermination finale de l'efficacité des vaccins a eu lieu après que 150 à 160 participants ont développé le COVID-19.

    Cependant, les essais Moderna et Pfizer considéraient une toux plus un test de laboratoire positif comme un cas bénin de COVID-19. Cette qualification a finalement brouillé les résultats des tests. AstraZeneca, en revanche, était plus stricte ; mais il comptait toujours des symptômes bénins comme une toux et de la fièvre comme cas de COVID-19.

    Des études ont montré que jusqu'à 90% des cas de COVID-19 sont des faux positifs car le test PCR est trop sensible et enregistre "positif pour COVID" alors qu'il ne le devrait pas. Cela signifie que le processus des essais cliniques de vaccins visant à déterminer l'efficacité des vaccins "après que 150 à 160 personnes ont développé le COVID-19" était totalement trompeur, inutile et ridicule. Un test PCR positif est trop peu fiable et dénué de sens.

    Pfizer et Moderna lancent les essais cliniques d'omicron

    Pendant ce temps, Pfizer et Moderna ont récemment annoncé qu'ils avaient commencé des essais cliniques testant des formulations spécifiques à l'omicron de leurs vaccins à ARNm COVID-19.

    Les données des essais devraient apparaître au cours du premier semestre 2022, mais certains experts laissent entendre que la fin de l'année pourrait être trop tard pour les vaccins omicron, car le monde pourrait avoir affaire à de nouvelles variantes d'ici là.

    Pfizer a été le premier à annoncer le début d'essais cliniques de grande envergure testant un vaccin à ARNm spécifique à l'omicron. Le plan est d'enrôler 1 420 participants répartis en trois groupes.

    Le plus grand groupe, qui compte 615 sujets, examinera l'innocuité et l'immunogénicité du vaccin spécifique à l'omicron chez ceux qui ont reçu deux doses du vaccin standard Pfizer COVID-19. Un deuxième groupe de 600 sujets avec trois doses du vaccin à ARNm standard recevra soit une quatrième dose de la formulation spécifique à l'omicron, soit la formulation originale. Les essais vérifieront également la sécurité et les réponses immunitaires dans les groupes.

    RépondreSupprimer
  5. Pendant ce temps, un troisième groupe plus petit d'environ 200 sujets non vaccinés sera recruté pour tester un protocole complet à trois doses du vaccin spécifique à l'omicron.

    Plus d'histoires liées :
    Pfizer a effectivement dominé le marché du vaccin COVID-19 en Europe, récoltant des milliards de dollars au passage.

    Rapport : Les agences fédérales dressent une liste des Américains qui réclament des exemptions religieuses sur les vaccins COVID.

    La Belgique abandonne le vaccin Moderna pour les jeunes en raison des risques d'inflammation cardiaque.

    Le déploiement du vaccin COVID est lié à une augmentation des décès, selon les données publiées.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour connaître la vérité sur les vaccins COVID-19.

    This video is from the Anti-Disinformation channel on Brighteon.com.

    Follow Vaccines.news for more news related to the coronavirus vaccines.

    Sources include:

    GlobalResearch.ca
    NewAtlas.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-28-covid-vaccines-are-doomed-to-fail.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cela s'appelle aussi ' le Voyage organisé' (ou 'De l'assiette à la fourchette') où chaque désespérados prend sa piqûre et hop !

      Supprimer
  6. Fauci SAIT que les masques ne protègent pas les gens contre le COVID-19


    Vendredi 28 janvier 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, ne croit pas réellement que les masques faciaux soient efficaces pour protéger les gens contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    C'est selon des courriels divulgués de février 2020 entre Fauci et Sylvia Burwell, présidente de l'Université américaine et ancienne secrétaire à la Santé et aux Services sociaux entre 2014 et 2017 sous l'ancien président Barack Obama.

    Dans l'un des e-mails, Burwell a demandé à Fauci si elle devait apporter un masque avec elle lors d'un voyage. Fauci a répondu: "Les masques sont vraiment destinés aux personnes infectées pour les empêcher de propager l'infection à des personnes qui ne sont pas infectées, plutôt que de protéger les personnes non infectées contre l'infection."

    Il a poursuivi: «Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus d'entrer, qui est suffisamment petit pour traverser le matériau. Cela pourrait cependant offrir un léger avantage en [gardant] les grosses gouttelettes si quelqu'un tousse ou éternue sur vous. Je vous déconseille de porter un masque, d'autant plus que vous vous rendez dans un lieu à très faible risque.

    Fauci a longtemps été critiqué pour avoir changé ses positions concernant plusieurs facteurs clés de la pandémie, parmi lesquels sa position sur la question de savoir si les gens devraient porter des couvre-visages.

    Le 8 mars 2020, quelques jours seulement avant que l'Organisation mondiale de la santé ne déclare une pandémie mondiale, Fauci a réitéré sa position. "Il n'y a aucune raison de se promener avec un masque", a-t-il déclaré.

    Sa position sur la question n'a changé qu'en avril 2020, lorsque les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont mis à jour leurs directives sur les masques pour recommander le masquage « dans les lieux publics lorsqu'ils sont entourés de personnes extérieures à leur foyer, en particulier lorsque les mesures de distanciation sociale sont difficiles à maintenir.”

    Les e-mails de Fauci révèlent la vérité sur les raisons pour lesquelles les masques ne fonctionnent pas

    Les e-mails de Fauci avec Burwell mettent en évidence les lacunes des masques faciaux et montrent pourquoi les gens devraient être sceptiques quant à leur utilisation, ainsi que ses partisans.

    RépondreSupprimer
  7. Premièrement, Fauci a souligné que les masques ne sont destinés qu'aux personnes infectées et présentant des symptômes pour les empêcher de propager l'infection à d'autres personnes. Cela contredit ses recommandations ultérieures et celles du CDC de porter des masques pour prévenir la propagation asymptomatique.

    Des études ultérieures ont déjà noté que la propagation asymptomatique est soit inexistante, soit incroyablement rare, ce qui rend inutile le port de masques faciaux pour les personnes sans symptômes. (Connexe: la propagation asymptomatique du COVID-19 n'est pas réelle, alors pourquoi les gens portent-ils toujours un masque ?)

    "Si les individus symptomatiques, ou ceux qui en sont aux tout premiers stades de l'apparition des symptômes, sont responsables de l'écrasante majorité de la propagation, comme le suggèrent de nombreuses études, les masques n'allaient jamais être efficaces pour empêcher les cas asymptomatiques de se propager à d'autres", a noté le journaliste Ian Miller pour l'Institut Brownstone à but non lucratif. "Les nouvelles recommandations étaient vouées à l'échec dès leur mise en œuvre."

    Deuxièmement, Fauci a admis dans les e-mails qu'il comprend que le coronavirus est trop petit et peut passer à travers les masques.

    Fauci a affirmé plus tard que son hésitation à recommander des masques au début de la pandémie était due à la faible offre. Cette affirmation est contredite par ses courriels divulgués, où il a noté que le masquage ne protège pas les gens contre les virus.

    Toutes ces preuves prouvent de manière concluante que Fauci sait très bien que les masques n'empêchent pas le COVID-19. Son soutien continu au masquage, en particulier au masquage forcé, est basé soit sur une compréhension inexacte de la science entourant la propagation du virus, soit sur des mensonges et une tromperie purs et simples.

    Plus d'histoires liées :
    Kennedy Hall : Fauci se plaint de la désinformation sur le COVID tout en débitant lui-même des mensonges.

    Un nouveau sondage montre que la plupart des électeurs veulent que le Dr Fauci démissionne.

    Comment Anthony Fauci contrôle la science à l'échelle mondiale.

    Une enquête et des documents militaires divulgués prouvent que Fauci a menti au sujet de la recherche sur le gain de fonction du coronavirus à Wuhan.

    Anthony Fauci A SUPPRIMÉ les traitements efficaces contre le COVID-19 au profit de Big Pharma – Brighteon.TV.

    Regardez cette vidéo et découvrez comment Fauci a été surpris en train de payer des médecins pour dissimuler la fuite du laboratoire à Wuhan.

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

    Découvrez la vérité sur Fauci et son rôle dans la prolongation de la pandémie de COVID-19 sur FauciTruth.com.

    Les sources comprennent :

    LifeSiteNews.com
    Newsweek.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-28-fauci-knows-masks-dont-protect-against-covid.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Depuis TOUJOURS les chirurgiens ôtent leur masque à la sortie du bloc opératoire qu'il y ait une épidémie ou une pandémie. Car ils savent (avec les microscopes) que les microbes sont plus petits que n'importe quel maillage de masque. Pour ce qui est des poussières (appelées des virus) c'est encore la même chose où, changement depuis 2 ans, ont été découvertes des poussières intelligentes (95 à 99 % du contenu d'une seringue !!) qui pouvaient endommager les artères.
      Mais là il faut parler de ce qui est: Ces poussières dites 'intelligentes' (appelées virus) sont sorties de laboratoires nazies afin d'exterminer la population. Ces poussières NE SONT PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en seringues. Si t'es piqué tu l'as.
      D'où l'inutilité de porter un masque et de comprendre que c'est votre bras qui devrait (si c'était possible) en porter un !

      Supprimer
  8. PCR testant une fraude : le gouvernement utilise des tests défectueux pour amplifier le nombre de cas de COVID


    Jeudi 27 janvier 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) Dans l'épisode du 25 janvier de The New American, l'avocat international Reiner Fuellmich explique comment la pandémie est en grande partie le résultat de la fraude aux tests PCR, les soi-disant victimes faisant du mal aux autres, tandis que les politiques totalitaires ont conduit à une catastrophe mondiale.

    « Depuis le début des soi-disant vaccinations, nous avons eu une surmortalité jusqu'à 40 %, peut-être plus. C'est beaucoup. C'est extrême. Donc, la chose la plus importante est d'arrêter ces mesures, d'empêcher les gens de mourir isolés seuls, loin de leurs proches », a déclaré Fuellmich.

    L'animateur Alex Newman a commencé l'épisode en parlant de l'enquête du comité d'enquête Corona, qui a examiné la propagation du COVID et le rôle des tests PCR dans l'amplification peut-être du nombre de cas.

    Fuellmich a déclaré que lui et ses amis avaient créé le comité d'enquête Corona en juillet 2020 parce qu'ils n'attendaient pas de réponses du gouvernement ou des médias grand public. Les trois questions les plus importantes qu'ils avaient, selon lui, incluent le niveau de danger du virus, la fiabilité du test PCR et les dommages causés par les mesures contre les coronavirus.

    Il a également déclaré qu'ils se concentraient sur le test PCR car lorsqu'il roulait dans le métro de Berlin avec son ami et membre du comité d'enquête Corona, Wolfgang Voda, ce dernier lui a dit que le test PCR ne pouvait rien dire aux scientifiques sur les infections. (Connexe : Le CDC admet : les tests PCR ne peuvent pas différencier les CORONAVIRUS.)

    Suite à cela, Fuellmich a déclaré qu'il avait pris contact avec l'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui a déclaré que sans les tests PCR, il n'y aurait pas de pandémie.

    «Ils avaient besoin du test PCR pour créer les cas qui n'existaient pas. Parce que dès le départ, très rapidement, nous avons réalisé qu'il y avait quelque chose là-bas », a déclaré Fuellmich. "Oui, il y a un virus là-bas. Cela peut être en partie créé par l'homme, ou peut-être même complètement créé par l'homme, nous ne le savons pas. Mais ce n'est pas plus dangereux que la grippe ordinaire.

    Il a également souligné que le système immunitaire humain peut faire face à presque tout, y compris le virus. "Ainsi, le taux de mortalité par infection de ce virus n'est pas supérieur à 0,14 à 0,15%." Il a souligné que c'est ce sur quoi l'épidémiologiste de l'OMS et de l'Université de Stanford, John Ioannidis, s'est mis d'accord.

    RépondreSupprimer
  9. Le gouvernement a « créé » la pandémie

    Alors pourquoi avons-nous une pandémie ? Fuellmich a souligné que le gouvernement a créé la pandémie grâce au test PCR, qui a un défaut majeur : alors que c'est un excellent outil pour rendre visibles des choses que l'œil humain ne peut pas voir autrement, son inventeur original, Kerry Martin, qui a remporté un prix Nobel pour le test, a déclaré qu'il n'est pas approuvé à des fins de diagnostic.

    Il a expliqué: «Le problème fondamental est qu'il ne peut pas faire la distinction entre la matière vivante et la matière morte, il ne peut pas faire la différence entre les fragments du système immunitaire du corps, lutter contre le rhume ou la grippe, ou la couronne. Il ne peut pas faire la différence.

    En 2020, les chercheurs ont également noté que les tests PCR pourraient également conduire à une surestimation de l'ampleur de la pandémie : la plupart des gens ne sont infectieux que pendant environ une semaine, mais les tests pourraient montrer des résultats positifs pendant des semaines après. Cela montre qu'il y a en fait de faibles niveaux d'infection dans l'ensemble.

    Fuellmich a également déclaré que pour qu'un virus soit infectieux, il doit pénétrer dans la cellule et commencer à s'y répliquer. Vous avez besoin d'un virus entier. Le test PCR, en revanche. ne reçoit que des fragments d'un virus. Et le plus important, c'est qu'il peut être utilisé de telle manière, en abuser de manière à créer des cas qui autrement n'existeraient pas. (En relation: les tests RT-PCR du coronavirus sont utilisés pour induire les gens en erreur au milieu de la pandémie, déclare un expert en santé.)

    En ce qui concerne la vaccination, Fuellmich a également déclaré qu'il n'y avait eu aucune surmortalité nulle part et que les quelques pointes visibles ont défilé devant le monde entier. Il a noté que le nombre de cas qui sont censés être morts du COVID sont en fait morts de causes complètement différentes. «Nous devons également prendre en considération les personnes décédées de ou avec COVID. C'est une autre tragédie ici parce qu'ils ne font même pas la distinction entre si quelqu'un est mort du COVID ou simplement avec le COVID », a-t-il déclaré.

    Plus d'histoires liées :

    Les tests PCR et la montée de la panique des maladies

    Un tribunal portugais juge que les tests PCR ne sont pas fiables et illégaux

    Fraude pandémique révélée: le CDC admet que les tests PCR ne fonctionnent pas

    Les tests PCR à cycle élevé ne diagnostiquent pas correctement le covid-19, ont été militarisés pour terroriser les nations et priver les libertés personnelles

    BREAKING: CDC, FDA ont truqué le protocole de test «covid» en utilisant des cellules humaines mélangées à des fragments de virus du rhume… Les tests PCR détectent simplement le rhume

    Regardez l'épisode complet du 25 janvier de "The New American" ci-dessous:

    You can catch “The New American” on Brighteon.com.

    Follow Pandemic.news for more updates.

    Sources include:

    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-27-pcr-testing-fraud-amplifies-covid-case-numbers.html

    RépondreSupprimer
  10. Deux pénuries qui menacent d'éviscérer complètement l'économie mondiale en 2022


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 06:30
    Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    C'était censé être l'année où les choses "revenaient à la normale", mais nous voici fin janvier et les choses n'ont fait qu'empirer.

    Alors que nous avançons en février et au-delà, il y a deux principales pénuries mondiales que nous allons vouloir surveiller de très près.

    L'un d'eux est la pénurie croissante d'engrais. Il y a quelques jours, le Wall Street Journal a averti de manière inquiétante que "les prix élevés des engrais pèsent sur les agriculteurs du monde en développement"...

    Des plantations d'avocatiers, de maïs et de café d'Amérique du Sud aux plantations de cocotiers et de palmiers à huile d'Asie du Sud-Est, les prix élevés des engrais pèsent sur les agriculteurs du monde en développement, rendant la culture beaucoup plus coûteuse et obligeant beaucoup à réduire leur production.

    Cela signifie que les factures d'épicerie pourraient augmenter encore plus en 2022, après une année au cours de laquelle les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint des sommets en dix ans. Une légère hausse exacerberait la faim - déjà aiguë dans certaines parties du monde en raison des pertes d'emplois liées à la pandémie - et contrecarrerait les efforts des politiciens et des banquiers centraux pour maîtriser l'inflation.

    Selon le Centre international de développement des engrais, des prix excessivement élevés des engrais pourraient entraîner une réduction de la production agricole rien qu'en Afrique « équivalant aux besoins alimentaires de 100 millions de personnes ».

    C'est donc un très, très gros problème.

    Et cette crise va aussi nous affecter profondément ici aux États-Unis. Ce qui suit provient d'un article récent rédigé par le sénateur américain Roger Marshall…

    Ce n'est un secret pour personne que les agriculteurs sont confrontés à une crise des engrais. Les prix des engrais à base de phosphore et de potassium (potasse) ont plus que doublé au Kansas, tandis que les engrais à base d'azote ont plus que quadruplé. Les engrais sont essentiels pour nourrir non seulement le pays, mais le monde. Il contient des nutriments essentiels à la vie végétale, et sans lui, les rendements agricoles américains en souffriront rapidement ainsi que les prix des denrées alimentaires dans les épiceries locales.

    RépondreSupprimer
  11. Comme je l'ai dit l'autre jour, ces prix fous des engrais vont empêcher de nombreux agriculteurs américains de planter des cultures de manière rentable cette année.

    Cela signifie que beaucoup moins de nourriture va être cultivée.

    A l'autre bout du monde, le gouvernement nord-coréen demande à ses citoyens de se lancer dans la création d'engrais « maison » à partir de leurs propres déchets…

    Les médias d'État encouragent également les gens à fabriquer du fumier « fait maison », a rapporté The Daily Beast. Une source de la province du Hamgyong du Nord a déclaré au Daily NK que les habitants avaient commencé à "produire des engrais à partir de déchets humains" après que les autorités ont lancé une campagne de 10 jours pour augmenter la production.

    Peut-être que les citoyens américains devraient essayer, car beaucoup d'entre nous sont certainement pleins de conneries.

    L'autre pénurie majeure que je veux souligner dans cet article est la pénurie actuelle de puces informatiques.

    Selon un rapport qui vient d'être publié par le ministère du Commerce, les stocks de puces à travers le pays sont devenus dangereusement minces…

    Aujourd'hui, le département américain du Commerce a publié les résultats de la demande d'information (RFI) sur les risques dans la chaîne d'approvisionnement des semi-conducteurs publiée en septembre 2021. Les principales conclusions du rapport ont fourni des informations basées sur des données sur l'ampleur de la pénurie de semi-conducteurs et ont souligné la besoin des 52 milliards de dollars proposés par le président pour la production nationale de semi-conducteurs.

    La RFI a montré que l'inventaire médian détenu par les consommateurs de puces (y compris les constructeurs automobiles ou les fabricants de dispositifs médicaux, par exemple) est passé de 40 jours en 2019 à moins de 5 jours en 2021. Si une épidémie de COVID, une catastrophe naturelle ou une instabilité politique perturbe un usine étrangère de semi-conducteurs pendant quelques semaines seulement, il a le potentiel de fermer une usine de fabrication aux États-Unis, mettant en danger les travailleurs américains et leurs familles.

    À ce stade, les puces informatiques utilisées pour produire des automobiles et des dispositifs médicaux sont particulièrement rares.

    RépondreSupprimer
  12. Dans un article de blog, la secrétaire au Commerce, Gina Raimando, a expliqué qu'un manque de puces a entraîné "210 milliards de dollars de perte de revenus" pour les constructeurs automobiles en 2021...

    "En 2021, les prix de l'automobile ont entraîné un tiers de toute l'inflation, principalement parce que nous n'avons pas assez de jetons", a écrit Raimando dans son article de blog. "Les constructeurs automobiles ont produit près de 8 millions de voitures de moins l'an dernier que prévu, ce qui, selon certains analystes, a entraîné une perte de revenus de plus de 210 milliards de dollars."

    S'il y a une perturbation supplémentaire de la production de puces cette année, 2022 pourrait facilement être encore pire.

    Beaucoup peuvent se demander pourquoi nous ne détruisons pas un tas d'usines et commençons à produire plus de puces.

    Malheureusement, ce n'est pas si facile. Les usines de puces mettent très longtemps à se construire, et on nous prévient que cela pourrait prendre "jusqu'en 2023" avant que les choses ne reviennent à la normale...

    Mais les dirigeants de l'industrie ne sont pas optimistes quant au fait que le financement contribuerait à atténuer la crise, a rapporté le Washington Post. Ils ont fait valoir que le financement fédéral pourrait aider à constituer l'approvisionnement à long terme en puces, mais n'aiderait pas à court terme, car les usines de puces mettent des années à se construire.

    Les consommateurs de puces interrogés par le département ont également estimé que les pénuries ne disparaîtraient pas au cours des six prochains mois, et certains ont suggéré que cela pourrait prendre jusqu'en 2023.

    Nous n'aurions jamais dû devenir aussi dépendants de la production de puces en Asie.

    Aujourd'hui, Taïwan représente 63 % de la production mondiale de puces informatiques...

    La majorité des usines de puces sont actuellement basées en Asie, qui abrite environ 87 % de la part de marché des usines de semi-conducteurs (Taïwan représentant à lui seul quelque 63 %), indiquent des données sectorielles distinctes. Le climat politique dans la région et les tensions entre Taïwan et la Chine ont fait l'objet d'un examen approfondi, car la pénurie a révélé à quel point l'industrie américaine dépend de ces sources.

    Alors, que va-t-il arriver à notre économie si la Chine envahit Taïwan et que notre principal approvisionnement en puces informatiques est complètement coupé ?

    Je préviens depuis des années qu'un conflit militaire avec la Chine approche, et maintenant nous sommes plus proches que jamais.

    À quoi ressemblera notre économie si une invasion chinoise de Taïwan cette année nous met instantanément en état de guerre avec les Chinois ?

    Comment diable pourrons-nous même fonctionner en tant que société ?

    Vous voudrez peut-être commencer à réfléchir à de telles questions, car ce qui était autrefois "inimaginable" menace de devenir réalité en 2022.

    https://www.zerohedge.com/markets/two-shortages-threaten-absolutely-eviscerate-global-economy-2022

    RépondreSupprimer
  13. « Farm To Fork : la stratégie agricole européenne vire à la calamité » sur Atlantico


    29 Janvier 2022
    André Heitz et Philippe Stoop*


    La stratégie coche toutes les cases... vraiment ? (Source)

    - voir cadre sur site -

    L’université de Wageningen, aux Pays-Bas, a dévoilé une étude d’impact sur les prévisions liées à la stratégie agricole de l’Union européenne, « de la Ferme à la fourchette » (« Farm to Fork »). Une chute des productions et un doublement des importations alimentaires sont à prévoir.

    Atlantico : L’université de Wageningen, aux Pays-Bas, publie une étude d’impact sur les résultats à attendre de la stratégie agricole « de la Ferme à la fourchette » (Farm to Fork) de l’Union européenne pour parvenir à la neutralité carbone en 2050. Selon les conclusions de cette étude et d'après des informations de L'Opinion, une chute des productions et un doublement des importations alimentaires, et des conséquences néfastes pour l’environnement sont à prévoir. A en croire les conclusions de l'étude, quelles seront les conséquences, notamment sur la production ?

    Philippe Stoop : L’étude de Wageningen estime que les objectifs de Farm to Fork entraineraient des pertes de rendement allant jusqu’à 30 % (pour la réduction des pesticides) et 25% (pour les objectifs de réduction de la fertilisation). Cette estimation est cohérente avec celles déjà réalisées précédemment (par exemple celle du Département de l’Agriculture américain, qui bien sûr ne voit aucun inconvénient à ce que l’un des concurrents agricoles des USA se saborde aussi efficacement). Un des éléments nouveaux et intéressants de cette étude est que les chercheurs de Wageningen ont aussi estimé les pertes de qualité qui résulteraient de la baisse de la protection et de la fertilisation des cultures. En combinant les effets économiques de la perte de production, et de la baisse de qualité des produits agricoles, ils estiment à 12 milliards d’euros par an la perte de valeur de la production européenne qui résulterait de l’ensemble des objectifs de Farm to Fork (réduction de l’emploi des pesticides et des engrais, développement de l’agriculture sur 25 % des surfaces, et retrait de 10% des surfaces actuellement productives).

    André Heitz : Pour décliner son Green Deal, son Pacte vert, dans le domaine agricole et alimentaire, la Commission européenne a produit le 20 mai 2020 une « stratégie "de la ferme à la table" » sous-titrée « pour un système alimentaire équitable, sain et respectueux de l'environnement », donc censé cocher toutes les cases de la bien-pensance.

    La bonne nouvelle est que ce n'est encore qu'un exercice sur papier !

    - voir cadre sur site -

    (Source)

    RépondreSupprimer
  14. Pour le volet agricole, on a prévu à l'horizon 2030 : de réduire de 50 % l'utilisation ainsi que les risques des pesticides chimiques ; de réduire de 20 % l'utilisation des engrais et de réduire de 50 % les pertes, comme la pollution par les nitrates ; de réduire les ventes d'antimicrobiens vétérinaires pour l'élevage et l'acquaculture de 50 % ; d'augmenter la part de l'agriculture biologique à 25% de la surface agricole utilisée (on est actuellement aux alentours de 8,5 %). Il y a par ailleurs des ambitions de renaturation et de désintensification de l'agriculture dans la stratégie en faveur de la biodiversité.

    Farm2Fork comporte aussi un volet en aval avec, essentiellement, une ambition de réduire le gaspillage et de modifier les régimes alimentaires (cela présage une police de l'assiette...).

    L'Union européenne va aussi devenir – évidemment – le phare éclairant le monde.

    En fait, il y a eu des phares pointant vers les écueils sur lesquels l'Union européenne – et par effet domino d'autres parties du monde – va se fracasser si elle met sa stratégie en œuvre, avec succès s'entend. C'est ce qu'indique l'étude de l'Université de Wageningen réalisée à la demande de CropLife Europe et CropLife International (nous en avons eu un aperçu en octobre 2021).

    - voir cadre sur site -

    En bref, Farm2Fork est un désastre pour l'agriculture et l'économie européennes avec des effets collatéraux dans le reste du monde.

    Ce que l'USDA pense de F2F (source – page principale).

    L'Université de Wageningen avance des baisses de production à deux chiffres allant jusqu'à 30 % pour la pomme. Mais les modélisations et simulations sur un tableur sont une chose, la réalité sur le terrain en est une autre.

    Par exemple, la jaunisse de la betterave propagée par les pucerons en 2020 a entraîné des pertes de rendement de 30 % en moyenne, et plus de 60 % localement. Imaginez l'impact que pourrait avoir une réduction drastique de la boîte à outils phytosanitaires des agriculteurs au nom de la réduction, non pas des risques comme l'écrit la Commission, mais des dangers en application d'un « principe de précaution » mal compris. Idem pour, par exemple, le colza que l'on sait très difficile à produire en agriculture biologique. La qualité, notamment sanitaire, des produits peut aussi être impactée. On produira peut-être plus de blé pour la cartonnerie et moins pour la boulangerie...

    Les agriculteurs seront sans doute tentés ou contraints de modifier leurs assolements pour minimiser les risques phytosanitaires (s'ajoutant aux aléas du dérèglement climatique) et pallier l'accès réduit aux engrais. Nous verrons du reste dès cette année ce que produit l'explosion des coûts des engrais.

    En résumé, cela pourrait être bien pire...

    Nos voisins européens adeptes des objectifs et du projet Farm to Fork de Bruxelles ne vont-ils pas nuire au rendement agricole européen ? L’ambitieux projet des Verts allemands d’étendre à 30% la part du bio dans son agriculture et son alimentation ne risque-t-il pas d’être contre productif ?

    RépondreSupprimer
  15. Philippe Stoop : Il est évident que, même pour les agriculteurs bio, le plan Farm to Fork n’est pas une bonne nouvelle. Avec l’objectif de pousser l’offre de production bio jusqu’à 25 % des surfaces, alors que la demande commence déjà à s’essouffler avec moins de 10 % actuellement, Farm to Fork risque d’aggraver l’érosion des prix du bio qui inquiète déjà la filière. Mais ces effets contre-productifs ne sont pas seulement économiques : ils sont aussi écologiques. Au-delà de la promotion du bio, tous les objectifs de Farm to Fork visent à extensifier de force l’agriculture européenne, en imposant des réductions arbitraires d’intrants et de surface agricole productive. Cela au moment où les études d’impact montrent de plus en plus que l’impact environnemental de l’agriculture intensive est plutôt meilleur que celui de l’agriculture extensive, quand on le ramène aux quantités produites. C’est vrai pour les émissions de gaz à effet de serre, comme le montrent les analyses de cycle de vie (un fait reconnu implicitement en France par l’Institut Technique de l’Agriculture Biologique, qui est allé jusqu’à demander, heureusement sans succès, le retrait des analyses publiées par l’ADEME et l’INRAE). Mais aussi pour la biodiversité, comme le montrent les études sur le thème du « land sparing ». En effet, le gain de biodiversité entre les parcelles bio et conventionnelles est loin de compenser l’augmentation des surfaces qui seraient nécessaires pour produite la même quantité d’aliment en bio. Pendant que l’Union Européenne s’obstine dans la promotion du bio à tout va, le Royaume-Uni post-Brexit réfléchit à une stratégie basée sur les travaux de l’écologue A. Balmford, qui préconise au contraire un positionnement raisonné du bio, là où il peut avoir réellement un effet positif sur la biodiversité, dans un cadre privilégiant globalement l’agriculture intensive raisonnée, pour optimiser la biodiversité en laissant plus de place pour les milieux naturels.

    André Heitz : Mais on peut aussi être un brin optimiste.

    Restons d'abord en France : réduire l'usage des pesticides de 50 % est une ambition du plan Écophyto lancé en 2008, sous la présidence Sarkozy, et « courageusement » maintenue pour le pourcentage mais reportée à 2025 sous la présidence Hollande.

    Il y eut aussi l'ambition, dans la loi n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement de porter la part de l'agriculture biologique à 6 % de la SAU en 2012 et 20 % en 2020. Le plan Ambition Bio 2022 de 2018 s'est fait plus modeste, mais est resté tout aussi irréaliste : atteindre 15 % de SAU en mode bio en 2022 (c'est-à-dire cette année...) et 20 % de produits bio en restauration collective publique.

    Nous en sommes à 9,5 % de SAU, en partie grâce à des effets d'aubaine et des prix agricoles qui furent plutôt bas en conventionnel. Et plusieurs filières bio sont en crise, conjoncturelle selon les thuriféraires du bio, structurelle selon des observateurs plus réalistes.

    - voir cadre sur site -

    Ce qu'en pense le JRC.

    En Allemagne, la coalition « feux tricolores » a confié les rênes du ministère fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture et du ministère fédéral de l'Environnement, de la Protection de la Nature, de la Sûreté nucléaire et de la Protection des Consommateurs aux « Verts » Cem Özdemir et Steffi Lemke. Leur ambition est notamment de porter l'agriculture biologique à 30 % de la SAU, mais aussi, soyons fous, de la consommation alimentaire.

    Cela se fracassera sans doute contre le mur des réalités. Lors du dernier grand événement – « Environnement et agriculture en plein essor – Lancer l'avenir dès maintenant sur la bonne voie ! » –, les deux ministres ont été instamment priés de dire comment ils allaient financer leurs réformes. Sans résultat !

    RépondreSupprimer
  16. Le problème, cependant, est que l'Allemagne sera certainement un grand supporter de la stratégie de la ferme à la fourchette.

    D’autres études avaient déjà évoqué les résultats anticipés de cette politique agricole européenne Farm to Fork. Toutes vont-elles dans le même sens ?

    André Heitz : L'étude de l'Université de Wageningen n'est que la quatrième dans la même veine.

    Elle a été précédée par : une analyse du Service de recherches économiques du Département Américain de l'Agriculture (USDA) ; une étude du Centre Commun de Recherche de la Commission Européenne, « Modelling environmental and climate ambition in the agricultural sector with the CAPRI model » (modéliser l'ambition environnementale et climatique dans le secteur agricole avec le modèle CAPRI) – que la Commission est accusée d'avoir gardée sous son coude pour la publier en catimini pendant les vacances d'été ; une étude de M. Christian Henning, de l'Université de Kiel, et M. Peter Witzke, EuroCare, Bonn.

    Utilisant des démarches différentes, elles arrivent grosso modo aux mêmes conclusions.

    Mais il y a, en face, des textes et documents qui affirment que Farm2Fork est possible, tel « La stratégie "De la fourche à la fourchette": une trajectoire d’innovation ambitieuse et réaliste pour le système alimentaire européen » de l'Institut du Développement Durable et des Relations Internationales » (IDDRI). La méthode Coué est souvent à l'œuvre. Dans le meilleur des cas, cela vient avec de considérables bémols, en particulier quant à nos régimes alimentaires.

    Les quatre études critiques sont cependant centrées sur les volets agricole et économique et sont évasives sur d'autres sujets.

    La pandémie de Covid nous a sensibilisés sur nos fragilités économiques. Les alertes quant à notre sécurité et souveraineté alimentaires n'en devraient être que plus stridentes. Pour notre position géopolitique et géostratégique, il suffit d'évoquer l'éventuelle nécessité de nous approvisionner chez un président qui, actuellement, n'est pas de bonne compagnie. Mais aussi la possibilité que nos voisins d'outre-Méditerranée soient tributaires de ce président pour éviter les émeutes de la faim et maintenir leur paix civile.

    Le plus scandaleux dans cette affaire est à mon sens que cette Union européenne donneuse de leçons se dissocie manifestement de l'objectif de développement durable n° 2 des Nations Unies, Faim zéro, qui a également 2030 comme ligne d'arrivée.

    Et, bien sûr, rien ne dit que de la ferme à la fourchette, et le plan allemand, atteindraient leurs objectifs environnementaux.

    Comment expliquer que Bruxelles n'entende pas les critiques qui se multiplient sur sa stratégie européenne ?

    RépondreSupprimer
  17. Philippe Stoop : L’Union Européenne reste bloquée sur une vision de l’écologie datant des années 70, obsédée par les enjeux locaux (pollutions locales, biodiversité à l’intérieur des parcelles agricoles) au détriment des enjeux globaux (effet de serre, et biodiversité globale, mise à mal par les « importations de déforestation » générées par la demande des pays développés). Ce n’est pas propre à Bruxelles : la France a beaucoup contribué à imposer cette vision biaisée des enjeux de l’agroécologie, et le plan Farm to Fork est en quelque sorte un cumul des politiques françaises Ecophyto et Egalim. On y retrouve la même volonté d’extensifier de façon détournée l’agriculture, et le même jeu de dupes pour faire passer la pilule aux agriculteurs : prétendre que l’on peut compenser une réduction de production par une montée en gamme vers des productions certifiées, alors que l’on sait bien que les consommateurs ne sont pas prêts à payer leur alimentation plus cher. Sachant que d’autre part que, malgré les intentions affichées, l’UE est bien mal armée pour imposer des « clauses miroir » qui empêcheraient l’importation de produits agricoles de pays moins regardants sur le plan écologique, une telle politique, sans objectif contraignant de changement de régime alimentaire des consommateurs, ne peut que conduire à une augmentation du recours aux importations. Alors que l’ADEME estime que la France ne produit qu’un tiers des bioressources (alimentation et bois essentiellement) qu’elle consomme, est-ce vraiment le moment d’imposer une politique décroissante pour l’agriculture française et européenne ? Les écologistes ont bien raison de dénoncer le manque d’ambition écologique de cette politique… mais ils ne le font pas pour les bonnes raisons !

    André Heitz : Grande question de psychologie et de sociologie !

    La Commission actuelle s'est fait élire sur un programme comportant beaucoup de « vert ». Ce « vert » est aussi fortement présent au Parlement européen, pas seulement par le parti qui se réclame de l'écologie. Au niveau national, et donc au niveau du Conseil européen, un certain écologisme est de bon aloi, que ce soit par conviction, par électoralisme ou par pusillanimité face à une « opinion publique » saturée par les messages catastrophistes sur les urgences climatiques, de biodiversité et autres.

    Notons encore que l'accord de gouvernement néerlandais prévoit aussi de grandes ambitions de transformation de l'agriculture.

    La Commission est aussi noyautée et fortement influencée par l'écologisme politique. Nous avons du reste le même problème en France.

    Le militantisme des « ONG » est fort, bien organisé, bien financé, expert en communication et, à l'occasion, cynique. le Fond Mondial pour la Nature (WWF), a ainsi écrit, contre toute évidence : « Farm to Fork’s targets well within reach, confirms JRC study », les objectifs de la stratégie sont à notre portée selon le JRC...

    En face, les représentants des parties prenantes économiques sont empêtrées, par exemple dans la nécessité de trouver un consensus entre intérêts plus ou moins divergents, d'utiliser des arguments factuels et rationnels et non émotionnels... voire gênés par la pauvreté de leurs moyens.

    Quand des intérêts économiques, parfois considérables, sont en jeu, la recherche d'un terrain d'entente ou d'un compromis est souvent préférée à l'opposition frontale. Les manipulateurs d'opinion n'ont pas cette contrainte et bénéficient souvent du soutien des médias. Les « ONG » font du « plaidoyer » et les milieux économiques du « lobbying ».

    RépondreSupprimer
  18. Qu'a dit en bref le COPA-COGECA, l'organisation faîtière de l'agriculture européenne majoritaire , dans un premier temps : « […] la position du Copa-Cogeca a été d'accepter le principe de rendre la production alimentaire de l'UE plus durable, mais de demander une évaluation complète de l'impact des objectifs pour s'assurer qu'ils nous aideront à atteindre cet objectif tout en maintenant une agriculture européenne forte. »

    Quant à Euroseeds, sans doute dans l'espoir de contribuer ainsi à la révision de la réglementation sur les OGM, elle laisse entendre que la création variétale pourrait compenser en partie les réductions de la production agricole. C'est un message plutôt malvenu et, pour ses objectifs, inopérant.

    - voir cadre sur site -

    (Source)

    Terminons sur une note d'espoir et un constat.

    L'espoir, c'est que M. Julien Denormandie a déclaré avec force dans un entretien accordé à l'Opinion: « Nous devons défendre la mission nourricière de l’Europe ». À supposer que M. Emmanuel Macron soit réélu – et qu'il écoute enfin la voix de la raison en matière agricole – et que M. Julien Denormandie soit reconduit dans ses fonctions, il y aura à Bruxelles un défenseur du réalisme et de la rationalité quand les choses sérieuses commenceront, quand la Commission européenne aura enfin produit ses études d'impact et proposé des mesures plus concrètes.

    Le constat, c'est l'aphorisme de M. Olivier de Kersauson : « Toutes les idéologies politiques qui ont voulu modifier le monde paysan ont échoué parce que le monde agricole ne peut être géré par des théories. »
    ___________

    * André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

    Philippe Stoop est Directeur Recherche & Innovation de la société ITK, et membre correspondant de l’Académie d’Agriculture de France, où il intervient sur l’évaluation des effets sanitaires et environnementaux de l’agriculture.

    https://seppi.over-blog.com/2022/01/farm-to-fork-la-strategie-agricole-europeenne-vire-a-la-calamite-sur-atlantico.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. En premier ils commencent par s'en prendre aux pays avancés où les paysans nourrissent plus de 7 milliards de personnes dans le monde, grâce aux fruits, légumes et viandes garantis sans maladie ni prédateur grâce aux produits de traitement et à la meilleure alimentation qui leurs soit donnée.
      Puis, en second, ils passeront aux pauvres africains (là où grâce au soleil et à l'eau tout pousse !) avec les pays les plus corrompus et facile à renverser malgré la forte présence chinoise qui les éduque.

      L'objectif en d'EMPÊCHER le monde de se nourrir.

      Notons que pour en arriver là ils ont mélangé le drapeau libyen (SEUL drapeau au monde à être de couleur unie) qui est vert. Le vert étant la couleur de l'islam. Donc, le parti vert (vertmarch) de la nazional socialiste est associé avec ceux qu'ils payent pour envahir le monde depuis l'Afrique et l'Asie. Çà y est ? vous avez compris ?
      Notons aussi qu'ils s'attendent à ce que les pays les plus chauds (Global Warming ?) nourrissent le monde ! car, tous les hivers dans le monde les températures sont de plus en plus basses ! Heureusement les paysans américains et européens montent des milliers d'hectares de serres pour nourrir le monde.

      Supprimer
  19. NatGas monte en flèche alors que 45 millions d'Américains sont menacés par la tempête hivernale


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 10:58


    Un puissant Nor'easter a mis 45 millions d'Américains sous surveillance et avertissement de tempête hivernale de vendredi à samedi des Carolines au nord-est du Maine. Les perspectives de la tempête et du temps froid ont fait grimper les prix à terme du gaz naturel aux États-Unis vendredi matin.

    Le National Weather Service (NWS) a mis en garde contre un "puissant nord-est qui devrait se développer au large de la côte médio-atlantique vendredi avant d'avoir un impact sur les parties orientales du nord-est et de la Nouvelle-Angleterre ce week-end". De fortes chutes de neige sont attendues dans l'est de Long Island/Nouvelle-Angleterre avec des vents en rafales qui pourraient produire des conditions de blizzard.

    - voir carte sur site -

    Les météorologues d'AccuWeather pensent que la tempête se transformera en un "cyclone à la bombe", une configuration météorologique que nous avons notée mercredi et qui avait une très forte possibilité de se dérouler dans le nord-est de vendredi à samedi. Dès lundi, nous avons dit aux lecteurs que plusieurs météorologues avaient tiré la sonnette d'alarme sur le développement possible de la tempête du week-end.

    Il semble maintenant que la tempête pourrait déverser jusqu'à 36 pouces dans certaines parties de Long Island et frapper Wantagh à Westhampton avec 12 à 18 pouces. La ville de New York est au bord de la tempête et pourrait recevoir six pouces ou moins.

    Les taux de chute de neige du samedi par heure (au plus fort de la tempête) pourraient dépasser 3 à 4 pouces par heure dans l'est du Massachusetts. La dernière carte du projet total des chutes de neige montre que les zones côtières recevront la neige la plus lourde.

    - voir carte sur site -

    NWS Boston souligne que la "trajectoire exacte de la tempête" n'a pas encore été déterminée, ce qui signifie que si la tempête se rapproche de la côte, les chutes de neige les plus abondantes pourraient se produire plus à l'intérieur des terres.

    - voir carte sur site -

    Un front froid devrait se déverser sur la côte Est. Nous avons noté que certaines parties du sud de la Floride se préparent à un gel rare qui pourrait endommager les cultures d'agrumes samedi matin.

    RépondreSupprimer
  20. Les contrats à terme sur le gaz naturel aux États-Unis ont augmenté pour le sixième jour à venir en raison des perspectives d'une tempête hivernale et d'un temps plus froid. Les contrats à terme pour livraison en mars ont augmenté de plus de 13 % à 4,786 $ vers 09 h 00 HE.

    - voir graph sur site -

    Nous devons souligner la compression épique d'hier dans les contrats de février avant leur expiration qui s'est répercutée sur les contacts du mois suivant (comme on le voit ci-dessous, mis en évidence dans la boîte orange).

    - voir graph sur site -

    Jetant plus de lumière sur ce qui s'est passé hier, Samantha Dart de Goldman Sachs a déclaré vendredi à ses clients que la compression d'hier dans les contrats de février n'était pas motivée par les fondamentaux, mais par une position courte couvrant les transactions avec une liquidité limitée.

    Bien que nous ne sachions pas encore exactement ce qui a poussé aujourd'hui la hausse de 46 % des prix du gaz naturel américain à 6,27 $/mmBtu au cours des 30 dernières minutes de négociation avant la clôture, nous ne pensons pas qu'elle ait été soutenue par les fondamentaux. L'explication la plus probable est que le rallye a reflété une liquidité limitée lors de transactions de couverture à découvert près de la clôture lorsque le contrat de février a expiré. En conséquence, nous prévoyons une correction à la baisse à partir d'ici pour aligner plus étroitement le gaz NYMEX sur les marchés physiques. En supposant des conditions météorologiques moyennes sur 10 ans pour le reste de l'hiver, nous maintenons nos prévisions de prix du gaz Bal Winter/Sum22 Nymex à 3,65 $/3,45 $/mmBtu, par rapport aux prix à terme actuellement à 4,28 $/4,29 $/mmBtu.

    Les analystes des matières premières de Rabobank ont ​​ajouté leur point de vue sur la compression d'hier :

    Par exemple, les prix du gaz naturel aux États-Unis ont bondi de 72 % du jour au lendemain avant de reculer. Des marchés minces, oui, et une courte pression sur l'expiration des options. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas le genre de commerce calme d'un produit de base clé que les marchés déjà agités voulaient voir. Et à peine un signal de prix baissier.

    Les prévisions sont de plus en plus verrouillées, car cela ne pourrait signifier qu'une chose pour les personnes essayant de quitter le nord-est samedi: attendez-vous à des retards et des annulations de vols élevés.

    https://www.zerohedge.com/weather/45-million-americans-under-winter-storm-threat-0

    RépondreSupprimer
  21. Shellenberger : pourquoi San Francisco nie la réalité


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 21:40
    Écrit par Michael Shellenberger via Substack,


    Le San Francisco Chronicle a reconnu que la ville exploite un site de drogue supervisé, mais la ville continue de le nier. Pourquoi ?

    Le San Francisco Chronicle a publié aujourd'hui un article confirmant que le gouvernement de la ville de San Francisco exploite un site de consommation et de trafic de drogue supervisé sur la propriété publique et sous les auspices d'un "Linkage Center" apparemment pour relier les toxicomanes sans abri à la cure de désintoxication. "La révélation que les gens consomment de la drogue sur le site a été rapportée pour la première fois dans la newsletter Substack de Michael Shellenberger", a reconnu The Chronicle.

    Les responsables du gouvernement de la ville de San Francisco nient qu'ils exploitent un site de consommation de drogue supervisée.

    Un "porte-parole du département qui gère le centre de liaison a nié que la ville exploitait un site de consommation supervisée", a rapporté The Chronicle.

    "Lorsqu'on lui a demandé par The Chronicle ce qui se passait si quelqu'un essayait de consommer de la drogue dans les zones extérieures ou intérieures du centre de liaison, et si le personnel autoriserait la poursuite de la pratique, [porte-parole] Zamora n'a pas répondu directement."

    Le maire de San Francisco, London Breed, et les membres du conseil de surveillance de San Francisco ont préconisé un site de consommation de drogue supervisée et acheté deux propriétés dans le Tenderloin pour servir les personnes souffrant de dépendance.

    Il y a un débat raisonnable à avoir sur la question de savoir s'il devrait y avoir des sites de consommation de drogues supervisés pour les toxicomanes endurcis. Les Pays-Bas, qui sont un pays modèle pour faire face à la toxicomanie et aux maladies mentales non traitées chez les sans-abri, disposent de 28 salles de consommation de drogue.

    Mais le gouvernement de la ville de San Francisco n'a jamais approuvé la création d'un site de consommation supervisée au centre de liaison et va de l'avant avec la consommation supervisée de drogues et le trafic de drogue d'une manière totalement incompatible avec l'approche réussie utilisée par Amsterdam, Francfort, Lisbonne, Vienne et Zürich.

    Il ne fait aucun doute que la ville exploite un site de drogue supervisé. Les entrepreneurs de la ville l'ont non seulement confirmé aux journalistes Erica Sandberg, Leighton Woodhouse et moi, nous avons été témoins de consommation de drogue, un autre journaliste a été témoin d'un trafic de drogue et le journaliste du San Francisco Chronicle a été témoin de consommation de drogue sur le site supervisé.

    Mais plutôt que d'être ouvert sur ce qu'il fait, le gouvernement de la ville de San Francisco le nie.

    C'est curieux parce que les opérateurs de la scène ouverte supervisée de la drogue prétendent vouloir réduire la stigmatisation autour de la consommation de drogue. Et c'est curieux car, en plus de la couverture par mon Substack et The San Francisco Chronicle, The Daily Mail a publié un deuxième long article avec 44 photos horrifiantes de la scène.

    RépondreSupprimer
  22. Pourquoi donc ? Pourquoi le gouvernement de la ville de San Francisco nie-t-il exploiter un site supervisé pour la consommation et le trafic de drogue ?

    Le déni de l'humanité

    C'est le point de vue du site de consommation et de trafic de drogue supervisé financé par les contribuables à United Nations Plaza, un espace public du centre-ville de San Francisco. Autour de ce site, qui a été investi sans autorisation, se trouvent des trafiquants de drogue armés et violents dont les produits mortels, addictifs et enivrants tuent deux San Franciscains par jour.

    Lire la suite ici...
    https://michaelshellenberger.substack.com/p/why-san-francisco-is-denying-reality

    https://www.zerohedge.com/political/shellenberger-why-san-francisco-denying-reality

    RépondreSupprimer
  23. Un tribunal de Pennsylvanie déclare le vote par correspondance inconstitutionnel


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 17:20


    Un tribunal de Pennsylvanie a statué vendredi que la loi de vote par correspondance de l'État, vieille de deux ans, était inconstitutionnelle, se rangeant du côté des républicains qui ont contesté la loi après les élections de 2020.

    Selon la décision publiée aujourd'hui, la loi 77, qui permet aux résidents de l'AP de voter par correspondance, viole l'article VII de la constitution de l'État - et a rejeté la demande de redressement sommaire du secrétaire par intérim du Département d'État.

    "S'il est présenté au peuple, un amendement constitutionnel visant à mettre fin à l'article VII, section 1, de l'exigence de vote en personne sera probablement adopté. Mais un amendement constitutionnel doit être présenté au peuple et adopté dans notre loi fondamentale avant qu'une législation n'autorise aucune- excuser le vote par correspondance peut être « inscrit dans nos livres de lois » », a écrit la présidente de la Cour du Commonwealth, Mary Hannah Leavitt.

    Pas si vite ?

    La décision de vendredi d'un panel de cinq juges de la Cour du Commonwealth pourrait être suspendue si l'administration du gouverneur Tom Wolf fait appel devant la Cour suprême de l'État.

    La loi 77, la loi de Pennsylvanie qui a légalisé le vote par correspondance sans excuse en 2019, est à l'origine née d'un compromis entre les républicains législatifs et le gouverneur démocrate Tom Wolf. Les républicains voulaient éliminer le vote direct et, pour ce faire, ont donné le vote par correspondance aux démocrates. Auparavant, seules les personnes qualifiées pour le vote par correspondance étaient autorisées à voter par correspondance.

    Les républicains ont voté à la quasi-unanimité la loi 77 ; 27-0 au Sénat et 105-2 à la Chambre. Les démocrates n'ont offert aucun soutien au Sénat et ont été divisés à la chambre basse, 59 contre, 33 pour. -Fox43

    À la suite des élections américaines de 2020, les républicains ont exigé que la Pennsylvanie abroge la loi 77 – affirmant que le vote par correspondance «sans excuse» viole la constitution et que seuls les électeurs éligibles au vote par correspondance devraient être autorisés à le faire.

    Le département d'État de l'Autorité palestinienne n'a pas encore commenté la décision, mais il y a fort à parier qu'ils feront appel de la décision devant la Cour suprême de l'État – qui détient une majorité démocrate de 5 contre 2 selon le rapport.

    https://www.zerohedge.com/political/pennsylvania-court-rules-mail-voting-unconstitutional

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Une boite aux lettres n'est PAS un bureau de vote ! C'est juste le renard dans le poulailler !

      Supprimer
  24. La censure par algorithme fait beaucoup plus de dégâts que la censure conventionnelle


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 28 JANVIER 2022 - 19:40
    Écrit par Caitlin Johnstone via Medium.com,


    Le journaliste Jonathan Cook a publié un nouveau billet de blog sur son expérience d'être étranglé dans l'invisibilité par la suppression algorithmique de la Silicon Valley qui sonnera trop familier pour tous les créateurs de contenu en ligne qui ont suffisamment critiqué les récits occidentaux officiels au cours des dernières années.

    "Mes articles de blog ont attiré des dizaines de milliers de partages", écrit Cook. "Puis, à mesure que les algorithmes se sont resserrés, c'est devenu des milliers. Maintenant, alors qu'ils m'étranglent davantage, les actions peuvent souvent se compter par centaines. « Devenir viral » est un lointain souvenir. »

    "Je ne serai pas banni", ajoute-t-il. "Je m'effacerai progressivement, comme une petite étoile dans le ciel nocturne - une parmi des millions - qui s'éclipse progressivement à mesure que ses soleils voisins deviennent de plus en plus grands et brillants. Je vais disparaître si lentement que vous ne le remarquerez même pas.

    Cook dit que cela a commencé après les élections américaines de 2016, c'est-à-dire lorsqu'une poussée narrative majeure a commencé pour que les entreprises de la Silicon Valley éliminent les «fausses nouvelles» de leurs plateformes et ont rapidement vu des dirigeants de la technologie traduits devant le Sénat américain et déclarés qu'ils devaient «réprimer les rébellions de l'information». » et proposer un énoncé de mission exprimant leur engagement à « empêcher la fomentation de la discorde » en ligne.

    Le moment politique le plus important aux États-Unis depuis le 11 septembre et ses conséquences immédiates a sans doute été lorsque les démocrates et leurs institutions alliées ont conclu que l'élection de Donald Trump était un échec non pas de la politique de l'establishment, mais du contrôle narratif de l'establishment. À partir de ce moment, tout créateur de médias en ligne qui conteste systématiquement les récits promus par les mêmes organes de presse qui nous ont menti à propos de chaque guerre a vu son point de vue compter et de nouveaux suivis réduits.

    À la mi-2017, les médias indépendants signalaient déjà, à travers les lignes idéologiques, que les changements d'algorithme de sources importantes d'audience comme Google avaient soudainement commencé à cacher leur contenu aux personnes qui recherchaient les sujets sur lesquels ils rapportaient.

    "Au cas où quelqu'un voudrait savoir comment fonctionne la suppression de Facebook - j'ai 330 000 abonnés là-bas, mais ils ont cessé de montrer mes messages à beaucoup de gens", a tweeté Lee Camp, animateur de Redacted Tonight, en janvier 2018.

    RépondreSupprimer
  25. "J'avais l'habitude de gagner 6 000 abonnés par semaine. Je gagne maintenant 500 et FB désabonne les gens à leur insu - donc mon nombre total n'augmente jamais.

    J'ai également vu mes propres partages et le nombre de vues diminuer rapidement en 2017, et j'ai vu ma nouvelle page Facebook suivre soudainement lentement jusqu'à un arrêt virtuel. Ce n'est que lorsque j'ai commencé à utiliser des listes de diffusion et à donner aux médias indépendants l'autorisation générale de republier tout mon contenu que j'ai pu augmenter mon audience.

    Et la Silicon Valley a fini par admettre qu'elle censurait en fait activement les voix qui ne faisaient pas partie du consensus dominant. Afin de réfuter le faux récit de droite selon lequel Google ne censure que les voix de droite, le PDG de la société mère de Google, Alphabet, a admis en 2020 avoir limité de manière algorithmique le site Web socialiste mondial. L'année dernière, le PDG de YouTube, propriété de Google, a reconnu que la plate-forme utilisait des algorithmes pour élever les "sources faisant autorité" tout en supprimant le "contenu limite" non considéré comme faisant autorité, qui n'inclut apparemment même que des voix de centre gauche critiques à la marge comme Kyle Kulinski. La porte-parole de Facebook, Lauren Svensson, a déclaré en 2018 que si les vérificateurs des faits de la plate-forme (y compris la société de gestion narrative de l'établissement financée par l'État Atlantic Council) décidaient qu'un utilisateur de Facebook avait publié de fausses nouvelles, les modérateurs "réduiraient considérablement la distribution de l'ensemble de leur page". -contenu au niveau ou au niveau du domaine sur Facebook.

    Les gens font toute une histoire chaque fois qu'une personne célèbre controversée est retirée d'une grande plate-forme de médias sociaux, et à juste titre ; nous ne pouvons pas permettre que des actes de censure aussi effrontés soient normalisés. L'objectif est de normaliser la censure sur Internet sur tous les fronts, et les puissants feront pression pour que cette normalisation soit étendue à chaque occasion. Que vous n'aimiez pas que le personnage controversé soit déformé un jour donné est totalement hors de propos; il ne s'agit pas d'eux, il s'agit d'étendre et de normaliser les protocoles de censure d'Internet sur les plates-formes de discours monopolistiques liées au gouvernement.

    Mais la censure par algorithme est bien plus conséquente que la censure ouverte des individus. Aucun individu réduit au silence ne cause autant de dommages réels à la liberté d'expression et à la liberté de pensée que la façon dont les idées et les informations qui ne sont pas autorisées par les puissants sont activement cachées à la vue du public, tandis que le matériel qui sert les intérêts des puissants est le première chose qu'ils voient dans leurs résultats de recherche. Il garantit que la conscience publique reste enchaînée à la matrice narrative de l'establishment.

    Peu importe que vous ayez la liberté d'expression si personne ne vous entend jamais parler. Même dans les régimes les plus ouvertement totalitaires de la planète, vous pouvez dire ce que vous voulez seul dans une pièce insonorisée.

    C'est la plus grande faille que les soi-disant démocraties libres du monde occidental ont trouvée dans leur quête pour réglementer la parole en ligne. En permettant à ces mégacorporations monopolistiques de devenir les sources d'information vers lesquelles tout le monde se tourne (et même en les aidant activement dans cette voie, comme par exemple dans les subventions de recherche de Google de la CIA et de la NSA), il est possible de modifier les algorithmes de manière à ce que des informations dissidentes existent en ligne, mais personne ne le voit jamais.

    RépondreSupprimer
  26. Vous l'avez probablement remarqué si vous avez essayé de rechercher sur YouTube des vidéos qui ne correspondent pas aux récits officiels des gouvernements et des médias occidentaux ces derniers temps. Cette fonction de recherche fonctionnait comme par magie ; comme s'il lisait dans votre esprit. Maintenant, il est presque impossible de trouver les informations que vous recherchez à moins que vous n'essayiez de savoir ce que le Département d'État américain veut que vous pensiez. C'est la même chose avec les recherches Google et Facebook, et parce que ces plates-formes géantes dictent quelles informations sont vues par le grand public, ce biais d'information sauvage envers les récits de l'establishment se répercute également dans d'autres domaines d'interaction communs comme Twitter.

    L'idée est de permettre à la plupart des gens de partager librement des idées et des informations dissidentes sur l'empire, la guerre, le capitalisme, l'autoritarisme et la propagande, mais de rendre de plus en plus difficile pour eux de faire voir et entendre leur contenu par les gens, et de rendre leur viralité totalement impossible. Pour éviter autant que possible les controverses bruyantes et l'examen public inconfortable provoqués par des actes de censure manifeste tout en balayant silencieusement les discours non autorisés derrière le rideau. Faire en sorte que les voix non conformes "disparaissent de la vue si lentement que vous ne le remarquerez même pas", comme l'a dit Cook.

    Le statu quo ne fonctionne pas. Notre écosystème est en train de mourir, nous semblons nous approcher rapidement d'un risque élevé de confrontation militaire directe entre nations dotées d'armes nucléaires, et notre monde est en proie à l'injustice, à l'inégalité, à l'oppression et à l'exploitation. Rien de tout cela ne changera tant que le public ne commencera pas à prendre conscience des problèmes du statu quo actuel afin que nous puissions commencer à organiser une poussée à grande échelle vers des systèmes plus sains. Et cela n'arrivera jamais tant que les informations seront verrouillées comme elles le sont.

    Celui qui contrôle le récit contrôle le monde. Et comme de plus en plus de personnes obtiennent leurs informations sur ce qui se passe dans le monde à partir de sources en ligne, la manipulation des algorithmes de la Silicon Valley est déjà devenue l'une des formes les plus importantes de contrôle narratif.

    https://www.zerohedge.com/technology/censorship-algorithm-does-far-more-damage-conventional-censorship

    RépondreSupprimer