- ENTREE de SECOURS -



lundi 24 janvier 2022

Dr Alexandra Henrion-Caude explique

 

70 commentaires:

  1. L’étonnante faiblesse scientifique de la politique vaccinale contre les infections

    La campagne de vaccination impérative visant à réduire la transmission du virus a un petit défaut : elle s’appuie sur des bases médicales très minces.


    le 24 janvier 2022
    Yves Bourdillon


    La campagne de vaccination impérative visant à réduire la transmission du virus a un petit défaut, en sus d’avoir un peu piétiné droits et libertés de se déplacer, prendre un café, ou travailler : elle s’appuie sur des bases médicales très minces.

    « Je me vaccine pour ne pas contaminer papy ». « Les réfractaires sont des monstres, des bombes ambulantes, des fumiers, voire, pire, des anti-Science ».

    Tel est, depuis l’homologation des vaccins contre le Covid il y a treize mois, le message martelé dans la plupart des pays occidentaux, et surtout en France, afin de promouvoir/imposer la vaccination générale de la population. Selon ministres, hauts fonctionnaires, médecins de plateaux TV et influenceurs, se vacciner était non seulement un moyen de se protéger mais aussi et surtout un geste altruiste fondé sur la capacité des vaccins à réduire la transmission, c’est à dire le risque d’être infecté même sans symptômes, puis contagieux.

    Le ministre de l’éducation nationale estimait l’été dernier que « quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de continuer à contaminer les autres », tandis que le président de la République soulignait que « se vacciner, c’est protéger les autres », avant récemment de qualifier quasiment de sous citoyens les non vaccinés.

    Léger souci : cette politique était fondée sur des bases médicales étonnamment fragiles.

    Pas d’évaluation souveraine

    Les gouvernements semblent s’être appuyés sur une poignée d’enquêtes scientifiques aux protocoles assortis de sérieuses limites ou manquant de recul, et sans apparemment avoir mené leurs propres évaluations souveraines, pour attenter à la liberté de se déplacer, prendre un café, parfois travailler de centaines de millions de non vaccinés qu’il fallait en… quiquiner et culpabiliser au motif qu’ils seraient davantage contagieux (ce qui ne remet toutefois pas en question l’autre pilier des vaccins, la réduction du risque de maladie, qui aurait justifié de se concentrer sur les seuls cas à risque. En France, a été enregistré un nombre infime de décès du Covid sans comorbidités parmi les moins de trente ans).

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  2. Sur la foi parfois de simples « on dit », d’éléments de langage sur l’efficacité des vaccins, de confusions fréquentes entre infectés (parfois asymptomatiques) et « cas » (malades), ont été instaurées, via le pass sanitaire, des ségrégations sans précédent dès février 2021 en Israël, puis au Danemark en avril, en France en juillet, en Italie, Irlande, Espagne, Grèce, Belgique, Pays-Bas, Australie, Canada, une partie des Etats-Unis et de l’Allemagne, etc. Une politique qui a monté les vaccinés contre les réfractaires, et réciproquement. Et qui s’est amplifié avec le pass vaccinal voté en France ces derniers jours et l’obligation vaccinale générale bientôt en Autriche, Grèce et Allemagne.

    Retour sur les enquêtes censées avoir justifié tout cela.

    Homologations : pas d’allégations

    Première étape, l’homologation des vaccins Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen, fin 2020-début 2021. Tout à l’enthousiasme de voir des vaccins diviser par dix le risque de tomber malade, peu de monde a prêté attention à un détail : nulle part n’est mentionné une réduction de la transmission ! On peut, certes, supposer que si le vaccin vous empêche de tomber malade vous expectorez une charge virale réduite, moins susceptible de contaminer vos proches. Mais il ne s’agit, précisément, que d’une supposition, à vérifier.

    En tout cas, les dossiers des fabricants n’allèguent à aucun moment d’une telle réduction. Et pour cause, puisque ce n’était pas le but de leur protocole. Facile de le vérifier en consultant les dossiers déposés auprès de l’Agence européenne du médicament ou de son homologue américaine, la Food and Drug administration. Ainsi, Pfizer n’a pas calculé combien de ses 37.000 volontaires étaient infectés sans symptômes et contaminaient des proches. En toute rigueur, cela aurait nécessité une enquête massive, avec prélèvements nasals et sérologie régulière durant des mois, alors qu’il y avait urgence.

    Ne sont évoqués1 que des occurrences de « case », jamais d’infectés asymptomatiques. Il en est de même pour le dossier d’Astra Zeneca 2 sur 26.000 volontaires, ainsi que celui de Moderna 3 . Janssen 4 a essayé, lui, d’évaluer la réduction de transmission, mais constaté seulement, en février 2021, une efficacité « modeste, non significative sur le plan statistique ».

    D’ailleurs « le fondement scientifique de la vaccination n’était pas une prévention de la transmission mais de la maladie », souligne Michel Kazatchkine, expert de l’Organisation mondiale de la santé « car on n’a jamais eu de test véritable prospectif en matière de transmission, ce n’était en tout cas pas possible dans les essais réalisables rapidement en 2020 ».

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  3. L’offensive de comm du printemps

    Deuxième phase, du début de la campagne de vaccination, en décembre 2020 en Israël et Royaume Uni, à l’instauration de divers pass sanitaires, à l’été : dirigeants et influenceurs évoquent une efficacité des vaccins, de 60 à 89 % en matière de transmission, mais en renvoyant généralement à l’expert qui a entendu un expert. En remontant la chaine d’allégations on retombe en général sur une des neuf enquêtes médicales diffusées en pré-print (pas encore validées par des pairs) dans des revues de référence. Trois britanniques et six israéliennes.

    Les études britanniques avaient de sérieuses limites, puisque concentrées sur les contaminations au sein de foyers 5 et non dans l’ensemble de la société, ou croyant déceler une baisse parmi les volontaires de l’essai d’Astra Zeneca, avant de retirer cette allégation 6. Trois enquêtes israéliennes ont été menées auprès d’un échantillon assez particulier, donc discutable statistiquement, des professionnels de santé 7 en se focalisant sur la réduction de la charge virale nasopharyngée 8, sans déterminer si cette dernière passait sous le seuil de contagion. Un résultat contredit d’ailleurs quelques mois plus tard par d’autres études 9.

    Les trois autres études israéliennes ont été menées, elles, en « population générale », ce qui est plus convaincant. L’une, fin janvier 10 , sur 2,6 millions de personnes, dont les tests PCR ont montré une réduction de 40-51 % des infections chez les vaccinés, mais sur une période de seulement 2-3 semaines, donc sans tenir compte du risque de chute rapide de cet effet avec le temps. Un bémol de taille. Une autre enquête 11, en avril, d’une équipe comptant le prestigieux chercheur de Harvard, Mac Lipsitch, un des plus clairvoyants depuis le début de la pandémie, portait sur 1,2 millions de personnes. Elle évaluait aussi la baisse de transmission à 40-51 %, mais, là encore, sur seulement 2-3 semaines. La dernière 12, le 5 mai, analysant rétrospectivement le risque infectieux de 6,5 millions de personnes, estimait qu’il était réduit spectaculairement, de 92 %, sur une période plus longue, deux mois.

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  4. Tous les œufs dans le même panier

    On peut s’étonner que cette poignée d’études, dont une seule menée en population générale sur une durée supérieure à trois semaines, ai suffi à convaincre l’été dernier les gouvernements occidentaux qu’il fallait vacciner tout le monde. Panurgisme ? Principe de précaution, à moins que cela ne soit celui de « j’ouvre le parapluie » ? D’autant plus que le doute était déjà permis au vu des flux records d’infections dans les pays les plus vaccinés de la planète, l’Islande, où 90 % des adultes avaient reçu au moins une dose, Malte, Gibraltar (99%), ou Israël. En outre, ces « preuves » émanaient d’enquêtes menées dans seulement deux pays, dont un, Israël, avait conclu avec Pfizer un contrat exclusif d’approvisionnement vaccinal et d’utilisation des données. Aucune raison de douter de la rigueur et de l’indépendance des scientifiques israéliens, mais pour les dirigeants occidentaux mettre tous leurs œufs dans le même panier, en clair asseoir leurs décisions sur des études menées quasiment dans un seul pays, était-ce bien raisonnable ?

    Troisième round : d’autres enquêtes sont sorties depuis septembre, mais se partageant entre celles concluant à une réduction de la transmission13 notamment une néerlandaise 14 et celles, britanniques et californienne15, qui n’en discernaient aucune 16. Deux autres études, américaine 17 et britannique 18 constataient que ladite réduction de transmission tombait à zéro au bout de trois mois. Le directeur de l’OMS affirmait en novembre que les vaccins réduisaient les infections de 40 % mais sans citer ses sources, tout comme le président du conseil scientifique français, Alexandre Delfraissy, qui réduisait la réduction à 30 %.

    Des résultats à réviser encore avec Omicron, dont les infections ont joué les exponentielles dans les pays les plus vaccinés. Les Israéliens, triplement vaccinés à 75 % et même quadruplement à 10 %, viennent de battre le record du monde de l’incidence Covid, à 430/100.000 habitants/j. Trois études ces derniers jours en Israël19, au Royaume Uni20, et en Californie affirment que la diminution de la transmission par les vaccins est désormais… nulle.

    Jamais autant de gens n’auront peut-être dû autant de privation de libertés à si peu de données scientifiques sérieuses.

    https://www.fda.gov/media/144245/download et https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf ↩
    https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca ↩
    https://www.ema.europa.eu/en/documents/overview/spikevax-previously-covid-19-vaccine-moderna-epar-medicine-overview_fr.pdf

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  5. htthps://www.fda.gov/media/146217/download ↩
    https://khub.net/documents/135939561/390853656/Impact+of+vaccination+on+household+transmission+of+SARS-COV-2+in+England.pdf/35bf4bb1-6ade-d3eb-a39e-9c9b25a8122a?t=1619551571214 ↩
    https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3777268 ↩
    https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(21)00127-7/fulltext ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.02.06.21251283v1 ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1.full. ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.01.27.21250612v1 ↩
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2101765?query=featured_home ↩
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33964222/ ↩
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34981074/ ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.14.21264959v1.full ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v2.full-text ↩
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2106757 et https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00690-3/fulltext ↩
    https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y ↩
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264260v2 ↩
    https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00768-4/fulltext ↩
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2116597?query=recirc_mostViewed_railB_article ↩

    https://www.contrepoints.org/2022/01/24/419877-letonnante-faiblesse-scientifique-de-la-politique-vaccinale-contre-les-infections

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    1. "Je ne me fais pas vacciner contre le tétanos. J'attends d'avoir le tétanos pour me faire vacciner !" telle est la phrase idiote pour résumer l'hégémonie en cours.

      Il faut savoir qu'il est INTERDIT de vacciner pendant une épidémie ou pandémie, car le vaccin contient le microbe de la maladie.

      La différence aujourd'hui est que même des médecins !! des infirmières !! injectent les expérimentations géniques d'essais criminellement appelées 'vaccins' ! Car 'C'est un ordre du gouvernement' !! Ordre d'abattre des millions de personnes de tout âge au nom du respect de la dictature en place !!
      (L'infirmière touche 500 euros par jour pour tuer !!! 500 !)

      C'est Auschwitz, Buchenwald, Dachau, bref, c'est ici.

      Explikation: Un virus EST UNE POUSSIÈRE ! (parfaitement inoffensive sauf les becquerels radioactifs) et non un MICROBE ! Un microbe c'est VIVANT ! Une poussière n'est PAS vivante et ne transporte ou ne transmet AUCUNE maladie. Donc, ARRÊTEZ d'employer le mot 'virus' à tout-va pour n'importe quoi ! Le 'virus' de l'ordinateur ! (l'ordinateur 'est pas attaqué par une poussière mais par un programme), le 'virus' de la chasse, le 'virus' d la pêche, le 'virus' du cinéma, de la bonne bouffe, des bagnoles anciennes, etc, etc ! (Cherchez dans le dictionnaire le mot virus).

      Oui mais là on vous a prévenu ! (y a 2 ans) C'EST un virus ! C'est une poussière ! Une poussière qui tue !

      Comment se fait-ce ? Primo: IL N'Y A PAS DE POUSSIÈRE NOCIVES DANS L'AIR. Elles ne sont disponibles qu'en seringues.
      Secundo: Si vous êtes piqué(e): VOUS L'AVEZ ! (Hourra !)
      Tertio: Cerise sur le gâteau, vous pouvez offrir le covide19 à TOUT votre entourage ! Enfermez-vous avec votre famille ! Si un est piqué, tous les autres en mourront comme vous !

      Mais comment une poussière... Cette poussière est 'intelligente' (c'est le qualificatif donné à cette trouvaille) elle peut se décortiquer suivant la réception d'une certaine longueur d'onde (par exemple la 5G mais aussi la 4G et la 4G+). Cette poussière est comme une cerise qui contient un noyau. Le noyau est mortel. Le noyau se compose d'oxyde de graphène (poison mortel violent). En cas de réception d'onde vous vous effondrez ! (voir vidéos sur YT où des gens s'effondrent dans la rue, dans un stade ou sur scène).

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  6. PASS VACCINAL : CE QUE VOUS AVEZ LE DROIT DE FAIRE... OU PAS


    par PAOLO GAROSCIO
    24/01/2022


    7,8 % des Français de plus de 12 ans ne sont pas vaccinés.

    Dimanche 23 janvier 2022, le texte de loi visant à instaurer le Pass vaccinal en France a été publié au Journal Officiel : il entre donc en vigueur lundi 24 janvier 2022, une dizaine de jours plus tard que prévu. Une réforme certes temporaire mais qui risque fort de changer le quotidien de dizaines de milliers de personnes.

    Où le Pass vaccinal est-il obligatoire ?

    Le grand changement entre le Pass sanitaire, qui disparaît, et son remplaçant le Pass vaccinal est bien évidemment l’obligation qui est faite d’avoir un schéma vaccinal complet pour accéder à certains lieux de vie en France. La liste est longue : les lieux de culture, comme les cinémas, les théâtre et les musées, mais aussi les parcs d’attractions, les stades, les salles de sport…

    Les bibliothèques, les discothèques, les foires ou encore les salons y seront également soumis mais, surtout,c e sont les cafés et restaurants ainsi que les trains interrégionaux (TGV et Intercités) qui voient leur accès être interdit au non-vaccinés.

    Autre changement : les centres commerciaux et grands magasins de plus de 20.000 mètres carrés, hors produits de première nécessité, pourront également être soumis au Pass vaccinal, sur décision préfectorale et en fonction de la situation sanitaire locale.

    Le Pass sanitaire ne disparaît pas

    Contrairement à ce que la loi aurait pu le faire penser, le Pass sanitaire ne disparaît pas : les lieux de santé, comme les hôpitaux (sauf urgences) les cliniques, les maisons de retraite, les services médico-sociaux ou encore les Ehpad sont toujours soumis au Pass sanitaire. Il ne sont donc accessible pour les non-vaccinés que sous réserve d’un test de dépistage de la Covid-19 (PCR ou antigénique) de moins de 24 heures. Les personnes vaccinées, de leur côté, disposent par défaut du Pass sanitaire, moins restrictif que le Pass vaccinal.

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  7. Une solution temporaire pour les primo-vaccinés

    L’objectif du gouvernement étant d’inciter à la vaccination, une solution temporaire a été prévue pour les non-vaccinés qui franchiraient le pas : un Pass vaccinal temporaire dès la première injection de vaccin contre la Covid-19. Pour ce faire, il faut s’engager à obtenir la deuxième dose sous un mois ainsi que réaliser un test PCR négatif 24 heures après la première dose.

    Troisième dose obligatoire, mais pas pour les 16-17 ans

    Loin d’être un détail, il ne faut pas oublier que le Pass vaccinal dans sa forme en vigueur lundi 24 janvier 2022 perd sa validité dans le cas où la troisième dose n’aurait pas été injectées moins de sept mois après la deuxième. Cette dose « booster » est accessible pour tous les adultes dès trois mois après la deuxième.

    Jean Castex, Premier ministre, a annoncé qu’elle serait ouverte dès lundi 24 janvier 2022 pour l’ensemble des 12-17 ans, « mais sans obligation » a-t-il précisé. Cela signifie que les 16-17 ans, soumis au Pass vaccinal (contrairement aux 12-15 ans), n’ont pas d’obligation de troisième dose pour que le Pass vaccinal soit valide.

    http://www.economiematin.fr/news-pass-vaccinal-regles-france-reforme-covid-annonce-vaccin

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    1. Ou vous vous faites inoculer (profond) et vous êtes donc dans Le couloir de la Mort, ou vous êtes une personne intelligente et voulez continuer à vivre.

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  8. Flambée de décès d’enfants et de jeunes adultes au Royaume-Uni: enquête urgente exigée

    Plus de 80 scientifiques et professionnels de la santé ont signé une lettre ouverte au Secrétaire d’État à la Santé. Deux autres hauts responsables de la politique sanitaire demandent si cette forte hausse de la mortalité a un lien avec les injections géniques.


    22 janvier 2022
    par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.ch


    L’augmentation observée est-elle un signal que les « vaccins » géniques contre le Covid-19 pourraient causer la mort massive d’enfants et de jeunes adultes ?

    Face à ce risque, les auteurs de cette lettre viennent d’interpeler Sajid Javid – responsable de la santé du Royaume-Uni, Chris Whitty (ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique) et Patrick Vallance (conseiller scientifique en chef du gouvernement), ainsi que les organismes de santé publique concernés.

    L’office des statistiques ne se précipite pas pour enquêter

    Au cours des derniers mois, une tendance a été relevée dans les données de mortalité « toutes causes confondues » en Angleterre et au Pays de Galles, ce qui a sonné l’alarme.

    Les jeunes hommes âgés de 15 à 19 ans ont en particulier affiché un taux de mortalité en forte hausse.

    Les membres de HART (un réseau de conseil en santé et rétablissement) se sont joints à d’autres universitaires et professionnels de la santé pour demander une enquête immédiate sur ce phénomène.

    Voir aussi sur Covidhub : Une épidémie de mensonges (ou les informations bidon du Covid).
    Dans le même temps, une grande compagnie d’assurance aux États-Unis a signalé une augmentation générale significative des décès chez les moins de 40 ans.

    Article « Life insurance deaths up 40% » sur Desert Review (en anglais) : cliquer ici.
    Devant la Haute Cour le jeudi 13 janvier, l’ONS (Office for National Statistics) a confirmé qu’il y avait eu une augmentation significative du taux de mortalité chez les adolescents de sexe masculin au cours des huit derniers mois, par rapport à la même période de 2015-2019.

    Le problème est que cette période de huit mois coïncide avec la campagne d’inoculations dans ce groupe d’âge, connu pour présenter un risque accru de myocardite (inflammation cardiaque) post-vaccinale, en particulier après la deuxième dose.

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  9. Loin de se précipiter pour enquêter sur ces décès au fur et à mesure qu’ils sont survenus, l’ONS a déclaré qu’il avait l’intention d’entreprendre ce travail « lorsque des données plus fiables seront disponibles« .

    Les signataires demandent la suspension des injections sur les jeunes

    L’association entre la myocardite et les vaccins à ARNm, en particulier chez les jeunes et chez les hommes, est déjà bien établie.

    Il est donc particulièrement urgent, selon les signataires de la lettre ouverte, de suspendre les injections pour ces tranches d’âge.

    En effet, la campagne d’injection des deuxièmes doses et des rappels en cours les expose peut-être à un risque encore plus élevé, alors que le variant Omicron est beaucoup moins pathogène.

    Les signataires résument ainsi leur interpellation :

    Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter. Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

    Nous re-publions ici le texte de la lettre ouverte, traduite par Covidhub.ch.

    Pour lire la lettre ouverte en anglais sur le site du collectif HART : cliquer ici.

    * * * * *

    Lettre ouverte à la MHRA* concernant les données sur les décès d’enfants
    *Note du traducteur : agence britannique de surveillance des médicaments)

    Courrier daté du 19 janvier 2022

    Adressé à :

    Dr June Raine, directrice générale, MHRA
    Professeur Lim, président de la sous-commission COVID-19 du JCVI
    Honorable Sajid Javid, Secrétaire d’État à la santé et aux soins sociaux
    Professeur Sir Chris Whitty, médecin en chef pour l’Angleterre
    Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du gouvernement
    Dr Jenny Harries OBE, Directrice générale, UKHSA

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  10. Chers Dr Raine, Professeur Lim, M. Javid, Professeur Whitty, Sir Patrick Vallance et Dr Harries,

    Nous vous écrivons pour exiger une enquête immédiate et urgente afin de déterminer si les vaccins Covid-19 sont la cause d’un nombre important de décès observés récemment chez des enfants et des jeunes adultes de sexe masculin.

    Nous demandons également que les données anonymes et les informations connues, montrant combien d’enfants sont décédés suite à un vaccin Covid-19 et en combien de jours, soient publiées pour une transparence totale, dans l’intérêt public.

    Le jeudi 13 janvier 2022, lors d’une audience à la Haute Cour[1] de Londres, des preuves ont été présentées montrant une augmentation significative du nombre de décès de jeunes hommes suite au déploiement des vaccinations Covid-19 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes entre 2015 et 2019. Il est important de considérer les décès masculins séparément, étant donné ce que l’on sait des risques plus élevés de myocardite chez les jeunes hommes.

    Entre le 1er mai et le 24 décembre 2021, il y a eu dans la population âgée de 15 à 19 ans :

    402 décès enregistrés chez les hommes, soit 65 de plus que la moyenne sur cinq ans de 337.
    En revanche, 163 décès ont été enregistrés chez les femmes, soit 12 de moins que la moyenne des cinq dernières années.
    En combinant les deux sexes, 565 décès d’hommes et de femmes ont été enregistrés au total, soit 53 de plus que prévu.
    L’Office for National Statistics a reconnu que l’augmentation du nombre de décès de jeunes hommes est statistiquement significative, le taux de mortalité se situant en dehors des intervalles de confiance attendus des données des années précédentes.

    Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que le nombre réel de décès de jeunes hommes au cours de cette période est probablement beaucoup plus élevé que celui des décès enregistrés. En effet, l’ONS estime qu’en raison des délais d’enregistrement, les décès enregistrés au cours de cette période ne représentent en moyenne que 62% des décès réels. Tout décès dont la cause est incertaine aura été transmis au coroner (équivalent du parquet, NdT) et l’enregistrement de tels décès peut prendre beaucoup de temps. Le fait qu’un signal soit déjà évident dans les décès enregistrés est donc très préoccupant.

    En tenant compte de l’estimation de l’ONS, les 65 décès masculins en excès pourraient représenter 105 décès en excès de ces jeunes hommes, en supposant que la proportion de décès qui ont été référés au coroner est similaire à celle des années précédentes. S’il y a eu plus de signalement au coroner cette année, le chiffre pourrait être plus élevé.

    Depuis au moins le 13 octobre 2021, le secrétaire d’État et le comité Covid-19 du JCVI ont été mis au courant de cette augmentation des décès masculins par le biais de leur représentants, informés par le département juridique du gouvernement dans les procédures de la Haute Cour. En outre, l’ONS a lui-même maintenant reconnu que davantage de travaux pourraient être entrepris pour examiner les taux de mortalité des jeunes en 2021 et a confirmé par écrit qu’il avait l’intention d’entreprendre ces travaux « lorsque des données plus fiables seront disponibles. »

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  11. Il existe déjà des signaux de risque

    L’incidence d’une mortalité plus élevée chez les jeunes hommes en 2021, coïncidant avec le déploiement des vaccins Covid-19, ne peut pas être considérée comme une coïncidence, car il y a déjà eu des signaux d’alerte d’effets indésirables graves dans ce groupe d’âge. C’est pourquoi la décision de proposer le vaccin Covid-19 aux moins de 18 ans n’a pas été sans susciter la controverse.

    Le JCVI a précédemment refusé de recommander que les vaccins Covid-19 soient administrés à des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé, car le rapport bénéfice/risque n’était au mieux que marginal, compte tenu : du très faible risque de maladie grave ou de décès lié à la maladie du Covid-19 pour les enfants ; de l’incertitude considérable quant aux effets néfastes potentiels des vaccins Covid-19 ; des signaux connus d’effets néfastes des vaccins déjà identifiés et de l’absence de données d’innocuité complètes et à long terme – dans des circonstances où les vaccins comme on le sait ont été rapidement mis sur le marché, bien avant la fin des essais cliniques de phase III normalement utilisés pour évaluer l’innocuité. Le 3 septembre 2021, le JCVI a déclaré :

    « Dans l’ensemble, le comité est d’avis que les avantages de la vaccination sont légèrement supérieurs aux inconvénients potentiels connus (tableaux 1 à 4), mais reconnaît qu’il existe une incertitude considérable quant à l’ampleur des inconvénients potentiels. La marge de bénéfice, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour soutenir une recommandation sur un programme universel de vaccination des enfants de 12 à 15 ans, par ailleurs en bonne santé, à l’heure actuelle. Au fur et à mesure que les données à plus long terme sur les effets indésirables potentiels s’accumulent, une plus grande certitude pourrait permettre de reconsidérer les avantages et les inconvénients. De telles données ne seront peut-être pas disponibles avant plusieurs mois. »

    La décision du JCVI a été annulée par les quatre médecins en chef d’Angleterre, du Pays de Galles, d’Écosse et d’Irlande du Nord, non pas parce qu’ils ont constaté que les vaccins Covid-19 présentaient un avantage pour la santé des enfants, mais parce que, sur la base d’analyses de modélisation, ils ont conclu que les vaccins Covid-19 étaient susceptibles de réduire les absences scolaires. Même si, en théorie, la prévention de quelques jours d’absence pour des symptômes légers de type rhume ne peut raisonnablement justifier l’administration de vaccins dont les effets à long terme sont inconnus, c’est la justification donnée pour la vaccination des enfants d’âge scolaire. Depuis lors, des données ont dû être obtenues et auraient dû être recueillies et examinées pour déterminer si les vaccinations ont effectivement réduit les absences scolaires, et dans quelle mesure les absences se sont produites en raison (a) de l’administration du programme de vaccination et (b) des réactions indésirables aux vaccins.

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  12. En outre, le 4 août 2021, le JCVI a initialement recommandé l’administration d’une seule dose aux jeunes de 16 et 17 ans en bonne santé, reconnaissant qu’il existait un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes avec les vaccins Covid-19, en particulier après l’administration d’une deuxième dose, comme l’ont identifié la FDA aux États-Unis et les données émergentes en Israël. Il est remarquable que lorsque, en novembre 2021, le JCVI a conseillé d’administrer une seconde dose aux jeunes de 16-17 ans, il l’a fait sans inclure de déclaration expresse indiquant qu’il considérait que les avantages du vaccin Covid-19 l’emportaient sur les risques dans ce groupe d’âge. Au lieu de cela, il a reconnu que les informations sur les risques à plus long terme (mois à années) de la myocardite n’étaient pas claires et ne seraient disponibles qu’avec le temps.

    Le Secrétaire d’État et ceux qui le conseillent ont déclaré que le rapport risque/bénéfice du déploiement des vaccins chez les moins de 18 ans était finement équilibré. Plusieurs mois se sont écoulés et les données relatives aux décès enregistrés et aux absences scolaires, ainsi que la réduction du risque grâce à Omicron, doivent amener à se demander si cet équilibre délicat n’a pas basculé en défaveur de la recommandation de la vaccination des jeunes.

    Une enquête doit être menée

    Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter. Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

    Le JCVI a le devoir permanent de revoir son avis en fonction de l’apparition de nouvelles données. Il a expressément déclaré à plusieurs reprises que des données supplémentaires étaient nécessaires ou attendues.

    La MHRA est chargée de la surveillance des vaccins en temps réel et a le devoir de surveiller les données relatives aux vaccins Covid-19 pour détecter les signaux de sécurité. Elle le fait par le biais du système de rapport Yellow Card, mais son rôle ne devrait pas être confiné à un seul système de surveillance passive. Le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments qui a été créé pour conseiller la MHRA sur sa stratégie de surveillance de la sécurité des vaccins Covid-19, reconnaît que la surveillance passive repose sur le fait qu’une personne soupçonne ou « établit un lien » entre le médicament ou le vaccin et une maladie inexpliquée, puis le signale, et qu’il est donc important d’inclure d’autres formes de vigilance pour compléter ce système.

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  13. Il ne fait donc aucun doute que la MHRA a le devoir d’enquêter sur l’incidence de la surmortalité chez les jeunes hommes dans les données détenues par l’ONS, que des rapports de carte jaune aient été soumis ou non.

    Le Secrétaire d’État, en tant que responsable du programme de vaccination du gouvernement, a également le devoir primordial, dans l’intérêt public, de contrôler la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19.

    Les données sont disponibles et peuvent être facilement examinées

    Il ne devrait pas être difficile d’enquêter sur ces préoccupations. L’ONS a confirmé (à la Cour) qu’il était en mesure de fournir des données anonymes précises, notamment le nombre de jours entre la vaccination et le décès. Il n’a pas été suggéré que la collecte ou l’analyse de ces données présentait des difficultés. Si, par exemple, les données révèlent une concentration de décès survenant à proximité de la date de vaccination, cela pourrait renforcer les craintes d’un lien de causalité positif (par exemple, selon les critères de Bradford Hill) et des enquêtes plus approfondies seraient nécessaires. Une incidence plus élevée de mortalité chez les enfants après la vaccination est une cause majeure de préoccupation et pourrait indiquer la nécessité d’interrompre immédiatement le programme de vaccination. Si aucune indication de lien de causalité n’est apparente, cela peut contribuer à rassurer le public quant à la sécurité des vaccins.

    Bien que l’arrêt du programme de vaccination des enfants par le Covid-19 soit l’objet d’un recours en justice devant la Haute Cour, les tribunaux ont jusqu’à présent considéré que le déploiement massif auprès des moins de 18 ans était une décision politique du Secrétaire d’État que le pouvoir judiciaire ne peut pas influencer. Ce point de vue de la cour, qui porte sur des principes juridiques particuliers du contrôle judiciaire, n’entrave en rien l’enquête que nous demandons. En effet, l’honorable juge Jay a fait remarquer lors d’une audience, à laquelle le secrétaire d’État était représenté, qu’il s’attendait à ce que la JCVI « réclame à cor et à cri les données » relatives à l’incidence des décès après la vaccination.

    Des informations ont déjà été demandées au Secrétaire d’État et promises par celui-ci

    Cette demande d’informations concernant les décès consécutifs à une vaccination n’est pas nouvelle. Cette question a été soulevée à plusieurs reprises à la Chambre des communes. Par exemple, le 25 mars 2021, en réponse aux questions de M. William Wragg MP et de Sir Christopher Chope MP sur l’incidence des décès dans les trois semaines suivant la vaccination contre le Covid-19, le secrétaire d’État de l’époque, Matt Hancock, a assuré au Parlement que c’était exactement le genre de choses qu’il examinait et que, s’il y avait des données non publiées, il chercherait à les publier parce que le gouvernement voulait être complètement ouvert et transparent pour rassurer les gens sur le fait que les risques sont extrêmement faibles.

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  14. Il est très inquiétant que les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 ne semblent pas avoir été collectées et analysées ou, si elles l’ont été, qu’il ait été décidé de ne pas les publier. Malheureusement, l’impression donnée n’est pas celle de la transparence, mais plutôt celle de la dissimulation de l’information. L’impact à long terme sur la confiance dans les représentants élus et dans les organismes de réglementation qui les conseillent ne peut être sous-estimé. On ne peut pas non plus sous-estimer l’importance potentielle des signaux de données qui semblent émerger.

    Notre demande et notre requête

    Compte tenu de ce qui précède et de toutes les circonstances, je vous prie de bien vouloir confirmer par retour les éléments suivants :

    Que chacun d’entre vous enquête sur l’augmentation de la mortalité au cours de la période du 1er mai 2021 au 24 décembre 2021 (et au-delà) chez les jeunes hommes, telle qu’enregistrée par l’ONS, afin de déterminer la raison de cette augmentation et si un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 peut être raisonnablement exclu.
    Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour mener l’enquête requise et, si une telle enquête a déjà commencé, nous vous prions de confirmer quand elle a débuté, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.
    Vous allez maintenant chercher à obtenir de l’ONS, sans délai, les données suivantes pour tous les décès des 12-19 ans survenus à partir du 1er mai 2021 à ce jour :
    a. Âge (dans le groupe d’âge 12-15 ans ou 16-19 ans)
    b. Sexe
    c. Si la personne a reçu la dose 1 d’un vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
    d. Si la personne a reçu la dose 2 du vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
    e. Le cas échéant, le délai (nombre de jours) après lequel le décès a suivi la dose 1 (si la dose 2 n’a pas été administrée) ou le nombre de jours après lesquels le décès a suivi la dose 2 (si elle a été administrée).

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  15. Que le Secrétaire d’État publiera bel et bien les données obtenues ou qu’il fera en sorte que l’ONS publie ces données.
    Si vous avez conclu, et si oui quand et comment, qu’un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 pouvait être exclu ou considéré comme une possibilité négligeable, et sur quelle base.
    Ce que vous suggérez pourrait être l’explication de l’augmentation statistiquement significative des décès chez les jeunes hommes au cours de la période du 1er mai 2021 au 24t décembre 2021, autre qu’un éventuel lien de causalité avec les vaccins Covid-19.
    Que vous fournirez les principales sources de preuves sur lesquelles vous vous êtes appuyé, pour toute explication fournie, afin de soutenir et d’expliquer pourquoi cette augmentation n’a pas également été observée à d’autres périodes (par exemple, en 2020, lorsque la pandémie est apparue et que les décès de jeunes hommes étaient inférieurs à la moyenne).
    Nonobstant le fait que nous n’acceptons pas que les données modélisées sur les absences aient pu justifier la décision d’étendre les vaccins aux enfants d’âge scolaire, veuillez également confirmer par retour :

    Que chacun d’entre vous prenne des mesures pour examiner les données disponibles depuis la décision du 13 septembre 2021, suivant l’avis des médecins-chefs, afin de déterminer (a) le niveau des absences scolaires, (b) si l’avantage modélisé d’éviter les absences scolaires a été atteint et (c) dans quelle mesure l’absence a été causée par (i) l’administration du programme de vaccination et (ii) les réactions indésirables au programme de vaccination.
    Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour enquêter sur les données relatives aux absences scolaires depuis cette décision du 13 septembre 2021 et, si une telle enquête a déjà commencé, veuillez confirmer quand cette enquête a commencé, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.
    Publication des données

    Nous ne voyons pas d’obstacle à la publication des données demandées. L’ONS a exprimé des inquiétudes au tribunal quant au fait que la publication des données demandées pourrait être divulguée, dans la mesure où elle permettrait d’identifier les individus concernés lorsqu’elle est associée à de nouveaux rapports et autres informations du domaine public. Cependant, nous ne comprenons pas comment cela serait même conceptuellement possible étant donné la nature généralisée des données demandées. Nous notons également les données régionales et quotidiennes publiées par l’ONS concernant les décès impliquant le Covid-19.

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  16. Aucun nom, aucune donnée régionale, aucune date de naissance ou de décès ne sont demandés. Avec l’aide de l’ONS, veuillez fournir un exemple afin que nous et le public puissions comprendre pourquoi les données demandées pourraient être retenues au motif qu’elles pourraient être divulguées.

    L’urgence absolue

    Enfin, le message actuel du gouvernement aux enfants reste « faites-vous vacciner ». Avant, c’était « chaque vie compte ». Si la probabilité d’un lien de causalité était établie entre l’augmentation de l’incidence des décès et les vaccins Covid-19, ce serait une affaire très sérieuse. La mort d’un seul enfant à cause d’un vaccin Covid-19 serait une tragédie. Il va donc de soi qu’une enquête est de la plus haute urgence.

    On ne peut ignorer que 65 décès chez les jeunes hommes au-dessus de la moyenne normale des décès équivaut à 2 décès par semaine chaque semaine entre le 1er mai et le 24 décembre 2021. Si l’on tient compte des 38% de décès non enregistrés, le chiffre réel pourrait être d’au moins 3 par semaine. Bien entendu, ce chiffre ne concerne que la tranche d’âge des 15-19 ans. Au cours de la même période, seuls 2 décès enregistrés dans la même tranche d’âge ont été enregistrés comme « impliquant » le Covid.

    Nous attendons votre réponse substantielle dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans les 7 jours.

    Cette lettre a été publiée ouvertement et nous espérons qu’elle sera largement partagée ainsi que toute réponse de votre part.

    Bien à vous,

    Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BM BCh FRCPath

    Signataires membres du réseau HART :

    Professor Richard Ennos, MA, PhD. Honorary Professorial Fellow, University of Edinburgh
    John Collis, RN, Specialist Nurse Practitioner
    Dr Elizabeth Evans, MA, MBBS, DRCOG, retired doctor
    Dr John Flack, BPharm, PhD. Retired Director of Safety Evaluation at Beecham Pharmaceuticals 1980-1989 and Senior Vice-president for Drug Discovery 1990-92 SmithKline Beecham
    Dr Ali Haggett, Mental health community work, 3rd sector, former lecturer in the history of medicine
    Mr Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant ENT surgeon, London
    Dr Keith Johnson, BA, D.Phil (Oxon), IP Consultant for Diagnostic Testing
    Dr Rosamond Jones, MD, FRCPCH, retired consultant paediatrician
    Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, Senior Lecturer in Biomedical Sciences
    Mr Malcolm Loudon, MB ChB, MD, FRCSEd, FRCS (Gen Surg), MIHM, VR. Consultant Surgeon
    Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH (ret). Retired Consultant in Public Health Medicine & Epidemiology
    Sue Parker Hall, CTA, MSc (Counselling & Supervision), MBACP, EMDR. Psychotherapist
    Rev Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, Senior Minister The Tron Church, Glasgow, formerly physician specialising in cardiology
    Dr Gerry Quinn, PhD, Microbiologist
    Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), Retired General Practitioner
    Natalie Stephenson, BSc (Hons) Paediatric Audiologist

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  17. Autres signataires :

    Professor Anthony J Brookes, Professor of Genomics & Health Data Science, University of Leicester
    Professor Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMedSci, Professor of Oncology, St George’s Hospital, London
    Professor John A Fairclough, BM BS, BMed Sci, FRCS, FFSEM(UK), Professor Emeritus, Honorary Consultant Orthopaedic Surgeon
    Professor Martin Neil, BSc PhD, Professor of Computer Science and Statistics
    Professor Keith Willison, PhD, Professor of Chemical Biology, Imperial, London
    Lord Moonie, MBChB, MRCPsych, MFCM, MSc, House of Lords, former parliamentary under-secretary of state 2001-2003, former consultant in Public Health Medicine
    Julie Annakin, RN, Immunisation Specialist Nurse
    Dr Michael Bazlinton, MBCHB MRCGP DCH
    Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP(UK)
    Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP(UK), FRCEM, Consultant in Emergency Medicine, UK
    Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, retired General Practitioner
    Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, Retired Pharmaceutical Physician
    Dr David Bramble, MBChB, MRCPsych, MD. Consultant Psychiatrist
    Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, General Practitioner
    Kim Bull, Foundation Degree in Paramedic Science, Paramedic
    Dr Elizabeth Burton, MB ChB, Retired General Practitioner
    Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, General Practitioner, Functional Medicine Practitioner, GP Trainer
    Michael Cockayne MSc, PG Dip, SCPHNOH, BA, RN Occupational Health Practitioner
    Mr Ian F Comaish, MA, BM BCh, FRCOphth, FRANZCO, Consultant ophthalmologist
    James Cook, NHS Registered Nurse, Bachelor of Nursing (Hons), Master of Public Health (MPH)
    Dr Zac Cox, BDS, LCPH, Dentist
    Dr David Critchley, BSc, PhD, 32 years in pharmaceutical R&D as a clinical research scientist
    Dr Damien Downing, MBBS, MRSB, private physician
    Mr Christian Duncan, MB BCh, BAO, MPhil, FRCSI, FRCS (Plast), Consultant Plastic Surgeon
    Dr Chris Exley, PhD FRSB, retired professor in Bioinorganic Chemistry
    Dr Charles Forsyth, MBBS, BSEM, Independent Medical Practitioner
    Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, Ecological Medicine
    Dr Catherine Hatton, MBChB, General Practitioner
    Dr Renee Hoenderkamp, General Practitioner
    Dr Andrew Isaac, MB BCh, Physician, retired

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  18. Dr Pauline Jones MB BS retired general practitioner
    Dr Charles Lane, Molecular Biologist
    Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Molecular Biologist
    Dr Theresa Lawrie, MBBCh, PhD, Director, Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, Bath
    Dr Jason Lester, MRCP, FRCR, Consultant Clinical Oncologist
    Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, Doctor, Urgent Care, Research Fellow
    Katherine MacGilchrist, BSc (Hons) Pharmacology, MSc Epidemiology, CEO, Systematic Review Director, Epidemica Ltd
    Dr C Geoffrey Maidment, MD, FRCP, retired consultant physician
    Mr Ahmad K Malik, FRCS (Tr & Orth), Dip Med Sport, Consultant Trauma & Orthopaedic Surgeon
    Dr Kulvinder S. Manik MBChB, MRCGP, MA(Cantab), LLM, Gray’s Inn
    Dr Dee Marshall, MBBS, MFHom, Nutritional Medicine
    Dr Julie Maxwell, MBBCh, MRCPCH, Associate Specialist Community Paediatrician
    Dr S McBride, BSc(Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP(UK), FRCEM, FRCP(Edinburgh). NHS Emergency Medicine & geriatrics
    Mr Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), Consultant Orthopaedic Surgeon
    Dr Niall McCrae RMN, PhD Mental Health Researcher and Officer of the Workers of England Union
    Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, Nutritional, Environmental & Integrated Medicine
    Dr. Scott Mitchell, MBChB, MRCS, Associate Specialist, Emergency Medicine
    Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), General Practitioner
    Dr Greta Mushet, retired Consultant Psychiatrist in Psychotherapy. MBChB, MRCPsych
    Dr Sarah Myhill, MBBS, Dip NM, Retired GP, Independent Naturopathic Physician
    Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, Menopause Specialist
    Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, Clinical Lead Trainer Clinical Systems (Paediatric Intensive Care)
    Jessica Righart, BSc MSc, Senior Critical Care Scientist
    Mr Angus Robertson, BSc, MB ChB, FRCSEd (Tr & Orth), Consultant Orthopaedic Surgeon
    Dr Jessica Robinson, BSc(Hons), MBBS, MRCPsych, MFHom, Psychiatrist, Integrative Medicine Doctor
    Mr James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, Colorectal Surgeon
    Dr Rohaan Seth, Bsc (Hons), MBChB (Hons), MRCGP, Retired General Practitioner
    Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, Retired Doctor
    Dr Julian Tompkins, MBChB, MRCGP, General Practitioner, GP trainer PCME
    Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, NHS Clinical Scientist
    Dr Helen Westwood, MBChB (Hons), MRCGP, DCH, DRCOG, General Practitioner
    Dr Carmen Wheatley, DPhil, Orthomolecular Oncology
    Mr Lasantha Wijesinghe, FRCS, Consultant vascular surgeon
    Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, Integrative & Functional Medicine Doctor
    Dr Stefanie Williams, Dermatologist
    Gordon Wolffe, BDS (Hons), MSc, FDSRCS, Consultant Periodontist (Retired), Director of Master’s Programme in Periodontology (Retired), University of Nijmegen the Netherlands.
    Dr Holly Young, BSc, MBChB, MRCP, Consultant Palliative Care Medicine

    https://www.covidhub.ch/flambee-des-deces-denfants-au-royaume-uni-linterpellation-urgente-de-scientifiques-et-medecins/

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    1. C'est une sorte de kummakivi ou épée de Damoclès qui menace de tomber et faire passer des dizaines de millions de morts inoculés à des milliards dans le monde !

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  19. Le conseil scolaire s'excuse pour l'incident du "masque scotché" ; Les parents de l'école ne sont pas satisfaits de l'explication


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 23 JANVIER 2022 - 22:50
    Par Allan Stein de The Epoch Times


    Une photo montrant un enseignant scotchant un masque facial en tissu à un jeune élève assis à son bureau a suscité la condamnation des parents et des excuses publiques du chef du conseil des directeurs d'école du district.

    L'incident s'est produit dans un collège situé à Lansdale, dans le comté de Montgomery, à environ 30 miles au nord de Philadelphie.

    Lisant une déclaration lors d'une réunion du 20 janvier 2022 du conseil des directeurs d'école de North Penn, la présidente Tina Stoll a déclaré que la conduite de l'enseignant était "inappropriée" et un "incident isolé".

    "D'abord et avant tout, je voudrais présenter des excuses au nom du district et du conseil des directeurs d'école à l'élève impliqué et à sa famille.

    "Ils n'ont pas demandé que cet incident se produise, et ils ne méritent pas non plus l'attention négative qu'il a apportée", a déclaré Stoll. «Ce conseil peut signaler en toute confiance qu'après avoir appris cet incident, le district a immédiatement pris des mesures pour enquêter sur l'affaire et empêcher que des actes similaires ne se reproduisent à l'avenir.

    "La responsabilité est primordiale pour ce conseil, tout comme la communication et la réactivité avec la famille de l'élève impliqué - leur contribution aide à guider les actions du district - nous ne laisserons pas les médias sociaux influencer les faits établis par une enquête objective", a-t-elle ajouté.

    Les familles protestent contre tout mandat de masque potentiel avant la réunion du conseil scolaire du comté de Hillsborough qui s'est tenue au bureau de district le 27 juillet 2021 à Tampa, en Floride
    Stoll a déclaré que les responsables du district avaient "entièrement coopéré" avec les forces de l'ordre locales dans son enquête sur l'incident du masque au Pennfield Middle School.

    La photo a été publiée le 17 janvier sur les réseaux sociaux montrant un enseignant en éducation spécialisée utilisant du ruban adhésif pour fixer un masque facial sur le visage de l'élève non identifié. L'image est immédiatement devenue virale, incitant le conseil d'administration à aborder le problème lors de la réunion du 20 janvier.

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  20. « Bien qu'il ait été déterminé qu'il s'agissait d'un incident isolé et qu'aucune malveillance n'était intentionnelle, les actions de l'employé étaient inacceptables, quel que soit le contexte.

    "Le conseil d'administration et l'administration considèrent cela comme une affaire sérieuse et le conseil d'administration est convaincu que l'administration le traite comme tel", a déclaré Stoll.

    «Parce que toutes les questions relatives au personnel et aux étudiants sont confidentielles et en raison du rôle dans lequel le conseil peut être tenu de jouer en ce qui concerne l'impartialité et les droits à une procédure régulière des étudiants et des employés, nous sommes tenus par la loi de ne pas commenter ou fournir d'autres informations concernant cet incident spécifique.

    "Pour être clair, les actions de cet employé étaient inappropriées", a-t-elle déclaré.

    Le conseil a ensuite lu à haute voix une lettre de la mère du garçon, qui a déclaré qu'aucune autorisation n'avait été donnée pour publier l'image en ligne.

    "La façon dont cela a évolué est exactement ce que je voulais éviter", a écrit la mère, décrivant la mauvaise publicité comme une "scène de mon pire cauchemar".

    Au cours de la partie des commentaires publics, un certain nombre de parents se sont prononcés contre les actions de l'enseignant et la gestion de l'enquête par le conseil.

    "L'attention négative est sur vous", a déclaré Emily Johnson, qui pense qu'il ne s'agissait pas d'un "incident isolé".

    «Ce sont vos décisions. Je ne comprends pas pourquoi vous faites ça à nos enfants », a déclaré Johnson.

    "C'est de la maltraitance d'enfants", a déclaré un autre parent au conseil. « Vous êtes des fonctionnaires. Vous creusez vos propres tombes.

    Les parents ont également attiré l'attention sur d'autres problèmes controversés auxquels le district est confronté, notamment la littérature pornographique trouvée dans les bibliothèques scolaires, les «promenades privilégiées» blanches et un conseil de district qui ne prend pas au sérieux les commentaires des parents.

    "Ce n'est pas une question de sécurité publique, c'est une question de contrôle", a déclaré un autre parent. "Il s'agit de contrôler l'esprit de nos enfants."

    Yanni Lambros, qui possède un café à Lansdale, en Pennsylvanie, a demandé au conseil : « Suivez-vous la science ou suivez-vous un récit ?

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  21. "Les enfants apprennent qu'ils sont des vecteurs ambulants de la mort", a-t-il déclaré. « Quand est-ce que ça se termine ?

    En septembre 2021, un enseignant suppléant de la Reedom Elementary School de Las Vegas aurait collé des masques sur le visage des élèves. Le district scolaire du comté de Clark l'a qualifié d '"incident isolé".

    https://www.zerohedge.com/markets/school-board-apologizes-over-taped-mask-incident-schools-parents-not-satisfied-explanation

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    1. Rappelez-vous l'ordure de Fauci qui conseillait de porter plusieurs masques l'un sur l'autre comme un sac en plastique sur la tête !
      Alors qu'un enseignant devrait en savoir plus que les élèves et expliquer qu'un masque NE SERT A RIEN puisque l'écart entre les mailles est de 150 microns alors que l'oxyde de graphène expiré par les inoculés ne mesure que 0,1 à 0,5 micron, il est donc respiré par TOUTES les personnes masquées ou non, voila un enseignant de la nazional socialiste qui se prend pour le dr Josef Mangele !

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  22. Trois mots simples qui sonnent comme des cloches.


    Robert W Malone MD, MS
    23 janvier


    En mars 1963, un grand homme est venu à Washington, s'est tenu sur les marches du Lincoln Memorial et a changé le monde en parlant avec son cœur de son rêve. Des mots simples qui continuent de résonner à travers le temps.

    Nous nous tenons tous sur les épaules de géants. Les vérités simples sont ce qui compte le plus. Des mots honnêtes, prononcés avec le cœur, peuvent changer le monde.

    Je suis médecin et scientifique, hautement qualifié et expérimenté dans le développement de vaccins et d'autres médicaments, mais j'ai également été charpentier et ouvrier agricole. Dans ma vie, ma femme, ma famille, mes amis et mes précieux chevaux ont fourni tout ce que je pouvais espérer.

    La vie n'a pas été facile et j'ai connu des moments difficiles. En parcourant mon chemin, j'ai voyagé de l'arrogance et de l'orgueil de la jeunesse à la prise de conscience que la paix et le bonheur coulent comme une fontaine d'un engagement envers la gentillesse, les bonnes œuvres et l'effort d'aider les autres.

    Je viens à vous le cœur ouvert, en tant que médecin engagé dans la guérison, apportant trois mots simples. Qui sonnent comme des cloches dans l'âme des honnêtes gens.

    Intégrité. Dignité. Communauté.

    L'intégrité est un engagement envers la vérité, dans ce que vous dites, comment vous vivez et comment vous traitez les autres.

    La dignité découle du respect, pour nous-mêmes, les uns pour les autres et pour le monde dans lequel nous vivons.

    La communauté est ce qui nous unit, les uns aux autres, et donne un but et un sens à nos vies.

    Saint Augustin, le docteur de l'Église catholique romaine, a déclaré : « La vérité est comme un lion. Vous n'avez pas à le défendre. Laissez-le libre. Il se défendra.

    Harry Truman, un guerrier contre les profiteurs de guerre, a déclaré: "Je dis juste la vérité, et ils pensent que c'est l'enfer".

    Ce sont mes vérités, et je crois qu'elles vont de soi.

    Nous n'aurions pas dû politiser la réponse de santé publique au SARS-CoV-2 et au COVID-19.

    En ce qui concerne les vaccins génétiques COVID, la science est établie.

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  23. Ils ne fonctionnent pas et ils ne sont pas complètement sûrs.

    Maintenant, nous avons Omicron. Ces vaccins ont été conçus pour la souche Original Wuhan, un virus différent. Qu'ils aient eu un sens pour protéger nos personnes âgées et fragiles du virus d'origine n'est pas pertinent. Alors arrêtons de nous disputer là-dessus. Nous devons regarder vers l'avant.

    Ces vaccins n'empêchent pas l'infection par Omicron, la réplication virale ou la propagation à d'autres. Dans notre vie quotidienne, avec nos amis, avec nos familles, nous savons tous que cela est vrai.

    Ces vaccins génétiques fuient, ont une faible durabilité, et même si chaque homme, femme et enfant aux États-Unis était vacciné, ces produits ne peuvent pas obtenir l'immunité collective et arrêter le COVID. Ils ne sont pas complètement sûrs et la nature complète des risques reste inconnue. En revanche, l'immunité naturelle que les systèmes immunitaires sains développent après l'infection et la guérison du COVID est durable, large et hautement protectrice contre les maladies et la mort causées par ce virus.

    S'il y a un risque, il doit y avoir un choix.

    C'est la vérité fondamentale de la bioéthique moderne.

    Toutes les procédures médicales, les vaccins et les médicaments comportent des risques.

    Nous avons tous le droit de comprendre ces risques et de décider par nous-mêmes si nous les acceptons volontairement.

    Nier cela, c'est nier la dignité humaine.

    Le mal a de nombreuses racines. La volonté de nier la dignité humaine est l'une des plus importantes. Dans nos cœurs et dans nos âmes, nous savons tous que cela est vrai.

    Bien que je sois un médecin profondément attaché au serment d'Hippocrate, je suis avant tout un mari, un père et un grand-père. Je vous demande de m'accorder un moment pour vous parler de nos enfants et de notre responsabilité fondamentale de les protéger.

    Au moins, nous devons nourrir et protéger nos enfants. C'est le travail un. C'est votre travail. C'est mon travail. Ce n'est pas à eux de nous protéger. Et au cours des deux dernières années, notre société et notre réponse de santé publique n'ont pas réussi à les protéger. Beaucoup de choses que notre système de santé publique a exigé que nous fassions à nos enfants leur ont directement nui.

    L'automutilation, le suicide et la toxicomanie chez les enfants ont décollé partout dans le monde. L'anxiété, le harcèlement, l'intimidation, la coercition sont devenus la norme. Le QI mesuré chez les très jeunes a chuté. Les retards fondamentaux de l'enfance sont facilement mesurables. Et des dommages physiques aux enfants dus à l'injection de vaccins génétiques afin de protéger les personnes âgées contre un virus se produisent.

    En tant que parent, il est ultimement de votre responsabilité de protéger vos enfants. S'ils sont lésés par ces vaccins génétiques, c'est vous qui devrez en prendre soin. Et vous porterez ce fardeau pour le reste de votre vie et la leur. En moyenne, entre un sur deux mille et un sur trois mille enfants qui reçoivent ces vaccins seront hospitalisés à court terme avec des dommages causés par le vaccin. Ce n'est qu'avec le temps que nous saurons quels dommages à long terme peuvent survenir. Les vaccins n'empêchent pas nos enfants d'être infectés par Omicron et n'empêchent pas les enfants infectés d'en infecter d'autres. En revanche, les sociétés pharmaceutiques et le gouvernement sont presque entièrement protégés contre tout dommage que ces produits pourraient leur causer. Si votre enfant est endommagé par ces vaccins, vous serez laissé seul avec votre chagrin et le fardeau des soins.

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  24. Ces vaccins génétiques peuvent nuire à vos enfants. Ils peuvent endommager leur cerveau, leur cœur, leur système immunitaire et leur capacité à avoir des enfants à l'avenir. Et bon nombre de ces types de dommages ne peuvent pas être réparés.

    Alors je vous en prie, s'il vous plaît, informez-vous des risques possibles que vos enfants soient endommagés par ces produits médicaux expérimentaux. Ne laissez personne vous dire quoi faire. Pense pour toi même. Parce qu'il est de votre responsabilité de les protéger et de les entretenir. S'ils sont endommagés, aucun gouverneur d'État, aucun responsable fédéral de la santé publique, aucun médecin de la télévision ne sera là pour vous aider. Vous, votre famille et votre enfant devrez porter vous-mêmes la charge.

    ~~~~~~~~~~

    Enfin, je souhaite vous laisser avec espoir. Nous y parviendrons. Je crois sincèrement que nous pouvons surmonter les effets de la folie des foules, la formation de masse, les effets des médias hérités et des grandes technologies qui ont favorisé la peur et la manipulation psychologique qui ont profondément déformé la politique de santé publique. Omicron détruit le récit approuvé selon lequel les vaccins sont sûrs et efficaces et que le traitement médicamenteux précoce ne fonctionne pas. L'hiver sombre prédit par notre président et poussé par les alarmistes dans les médias ne se matérialise pas.

    Je suis récemment revenu avec ma femme Jill d'un voyage en Europe pour travailler et apprendre des Drs. Geert Vanden Bossche et Mattias Desmet. Ils m'ont rappelé une fois de plus, comme vous me le rappelez tous, que les Américains sont fondamentalement de bonnes personnes. Le monde croit encore à l'expérience américaine d'autonomie gouvernementale. Les oligarques de Davos ont démontré leur incompétence flagrante au monde entier au cours des deux dernières années. Ils n'ont ni le droit ni la capacité de gouverner l'Amérique et les Américains. Nous sommes un peuple libre et nous nous sommes gouvernés depuis près de 250 ans maintenant sur la base d'une constitution élaborée par des agriculteurs, des commerçants, des commerçants et des propriétaires terriens autonomes. Ces ancêtres ont rejeté une monarchie et une oligarchie étrangères et ont plutôt créé et combattu pour une structure politique qui reste une source d'inspiration pour le monde. Une ville brillante sur la colline. Un Camelot.

    Quand j'étais encore enfant, un brillant jeune homme a dit : « Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi ; poses toi la question sur ce que tu peux faire pour ton pays". C'est notre pays. Nous possédons ce don incroyable, mais nous devons le défendre si nous voulons le conserver. Aujourd'hui, je vous demande à tous de garder ses paroles dans vos esprits et vos cœurs. Nous pouvons tous être des leaders, et il est maintenant temps de nous mettre à la tâche. Nous survivrons à cela et nous surmonterons ces difficultés, si nous pouvons simplement garder ces trois mots simples dans nos cœurs.

    Integrity.

    Dignity.

    Community.

    https://rwmalonemd.substack.com/p/integrity-dignity-community

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    1. Les 'transformers', les 'variants' ou autres pédales cosmiques viennent de l'injection d'expérimentation génique d'essais.
      Celles et ceux qui se sont fait(e)s inoculés conservent et modifient l'injection mortelle d'oxyde de graphène.
      Ils ou elles sont contaminé(e)s et contaminant(e)s.

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  25. Fauci utilise maintenant le langage CULT pour décrire ses « croyants »


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le tristement célèbre Tony Fauci est apparu l'autre jour lors d'un appel Zoom avec Francine Lacqua de Bloomberg, au cours duquel il a admis que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) n'est rien de plus que son propre culte religieux.

    Lacqua a lu une question à Fauci de quelqu'un qui voulait savoir si nous devrions tous nous inquiéter de l'émergence de futures «variantes» de la grippe Fauci, et quel est le point de vue de Fauci sur les grandes sociétés pharmaceutiques qui profitent de toute cette situation pour faire du profit.

    Fauci a répondu avec:

    "Parce qu'il y a des non-croyants inhérents qui, peu importe ce que vous dites, vous posent un vrai problème."

    En d'autres termes, tout le monde n'appartient pas au culte du virus de Fauci. Et ces incroyants sont un problème parce que pour que le message et l'agenda de sa secte imprègnent et soient un succès, tout le monde doit croire (voir ci-dessous) :

    - voir clip sur site -

    C'est un culte.

    Fauci aujourd'hui sur "croyants et non-croyants" pic.twitter.com/msMTs7Od0K
    – Justin Hart (@justin_hart) 19 janvier 2022

    L'étrange réunion numérique a réuni d'autres membres de la secte covid, dont Stéphane Bancel, milliardaire français et PDG de Moderna, ainsi que Richard Hatchett, PDG de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), et Annelies Wilder-Smith, professeur de recherche sur les maladies infectieuses à la Lee Kong Chian School of Medicine de Singapour.

    Le logo du Forum économique mondial (WEF) a également été apposé dans le coin supérieur droit de la réunion. Soit dit en passant, le fondateur du WEF, Klaus Schwab, est le fer de lance de la «grande réinitialisation» dans laquelle personne ne possède rien et est toujours «heureux».

    Fauci est en croisade pour convertir de force plus de gens dans son culte religieux covid
    Il s'avère que la réunion en ligne avec Fauci était un effort lancé par le WEF pour discuter des défis que les mondialistes rencontrent pour convaincre le «troupeau» humain de continuer à suivre la plandémie.

    Beaucoup plus de gens sont maintenant éveillés à la vérité par rapport au début de 2020, et même certains adeptes religieux qui étaient des Covidiens à part entière ont quitté le culte et n'ont jamais regardé en arrière.

    Cela rend les Schwabs et les Faucis du monde très nerveux et contrariés parce que leur religion exige une conversion et une obéissance totales, en utilisant la force si nécessaire. Beaucoup ne veulent plus obéir, et Fauci trace maintenant publiquement des lignes dans le sable entre croyants et incroyants en sa religion.

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  26. "L'émergence de la variante Omicron - et la réintroduction des verrouillages nationaux, des interdictions de voyager et des quarantaines - a renforcé l'incertitude de la pandémie de COVID-19", lit-on dans une description de l'événement.

    "Rejoignez des experts et des dirigeants pour découvrir les scénarios possibles pour COVID en 2022 et au-delà."

    Certaines personnes qui étaient sur la clôture à propos de Fauci reconnaissent maintenant qu'il est totalement pervers, sur la base de ses dernières déclarations au WEF. Espérons que ses jours sous les projecteurs et en tant qu'homme libre soient comptés.

    Maintenant que nous avons la preuve définitive que Fauci a menti sur la recherche illégale sur les coronavirus à gain de fonction, parmi de nombreux autres mensonges qu'il a racontés, il n'y a tout simplement plus d'excuse pour expliquer pourquoi Fauci n'a pas encore été arrêté et jugé pour crimes contre l'humanité.

    "Oh saint patron de Wooohan, accordez votre sanctuaire aux impurs", a plaisanté un commentateur à propos de Fauci et de sa religion du culte de la mort.

    « Je suis croyant », a écrit un autre. "Je crois que Fauxi est un tyran menteur dont les quinze minutes de gloire se sont écoulées il y a deux ans."

    Un autre a suggéré que le récit croyant contre incroyant était vrai depuis le tout début, même s'il a fallu autant de temps au tyran Fauci pour l'avouer.

    "Souhaiter, espérer ou croire n'a rien à voir avec le fait que vous avez menti et que le 'vaccin' n'est pas un vaccin, c'est juste une piqûre et ça ne marche pas comme vous l'aviez dit et pourtant vous doublez et triplez les mensonges », a écrit un autre à Fauci. "C'est un grand mur de BS qui va s'écraser sur vous."

    Les dernières nouvelles sur le culte Fauci peuvent être trouvées sur Evil.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    WEForum.org
    NaturalNews.com
    CitizenFreePress.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-23-fauci-now-using-cult-language-describe-believers.html

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  27. Une plainte pénale déposée au Texas accuse les fabricants et les vendeurs de vaccins COVID-19 de "meurtre" et de "crimes contre l'humanité"


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : JD Heyes


    (Natural News) Une plainte pénale massive déposée la semaine dernière auprès du bureau du procureur général du Texas, Ken Paxton, accuse les fabricants de vaccins COVID-19, ainsi que tous les responsables des entreprises et du gouvernement impliqués dans leur diffusion et leur distribution, de "meurtre" et de "crimes contre humanité."

    La plainte, qui a été déposée par Jack E. Boteler, résident du comté de Harris, représente "toutes les parties intéressées et les citoyens et résidents abonnés des États-Unis d'Amérique qui ont reçu une injection expérimentale d'autorisation d'utilisation d'urgence de matériel biologique génétique (ARNm ou ADN adénoviral) codant pour la protéine de pointe de Wuhan connue pour être la structure pathogène du SRAS-CoV-2 conçue pour inciter le corps humain à produire des anticorps contre le Covid 19, communément appelés les «vaccins Covid 19».

    Certains de ceux spécifiquement nommés dans la plainte comprennent:

    – Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses et conseiller médical en chef du président Joe Biden ;

    — George Soros, financier milliardaire et contre-révolutionnaire mondialiste

    – Dr Deborah Birx, coordinatrice de la réponse aux coronavirus de la Maison Blanche sous le président Donald Trump

    — Directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus de l'Organisation mondiale de la santé

    — Dr Francis Collins, ancien directeur des National Institutes of Health

    — Ted Turner, fondateur de CNN et magnat des médias milliardaire

    – Bill Gates, fondateur du milliardaire Microsoft et célèbre promoteur de vaccins

    — Les directeurs et principaux de la Food and Drug Administration, Dept. of Health and Human Services ; le NIH, le NIAID et plusieurs autres agences gouvernementales américaines ;

    — Grande industrie pharmaceutique

    — Toute autre personne associée à la fabrication, à la commercialisation et à la distribution des vaccins COVID.

    "Cette plainte allègue des meurtres et des crimes contre l'humanité résultant d'un ensemble de faits, d'observations, d'opinions d'experts, de reportages dans les médias et de témoignages oculaires", poursuit la plainte de Boteler.

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  28. "Cela montrera que les défendeurs ont planifié et exécuté, conjointement et/ou sévèrement, le développement et la libération d'une toxine de guerre biologique, appelée ici "SARS-CoV-2" ou "Covid 19" et/ou "Spike". Composant protéique avec le double objectif de : 1) dépopulation mondiale et 2) contrôle de la population conduisant à un gouvernement mondial unique en induisant la panique, les difficultés économiques, la terreur, la mort et les blessures aux populations mondiales », ajoute-t-il.

    Boteler a également expliqué :

    En employant des mécanismes de guerre psychologique, y compris, mais sans s'y limiter, les reportages dans les médias, la politique publique, la coercition, la tromperie, les mandats, les pots-de-vin, les restrictions de voyage, les restrictions à l'emploi, les restrictions à la liberté d'expression et les restrictions à la liberté, cette plainte montrera également que les défendeurs cherchent à inciter le monde population à recevoir une thérapie génique expérimentale pré-planifiée communément appelée «vaccins Covid 19» dans la poursuite de leurs objectifs susmentionnés.

    La plainte a ensuite exposé des affaires contre Fauci, Gates et d'autres qui sont répertoriés comme accusés, citant des tonnes de données, plusieurs rapports et une chronologie d'événements s'étalant sur des décennies et menant à ce que la plainte allègue était la libération délibérée du SARS-CoV-2. après sa fabrication dans un laboratoire de Wuhan, en Chine. Il cite également Fauci pour avoir prétendument financé la «recherche de gain de fonction» qui crée des virus hyper-infectieux, apparemment à des fins de recherche.

    Il cite également Fauci, qui aurait rencontré le président élu de l'époque, Donald Trump, pour l'avertir : « Il ne fait aucun doute qu'il y aura un défi à l'administration à venir dans le domaine des maladies infectieuses. … Ce dont nous sommes extrêmement confiants, c'est que nous allons voir cela dans les prochaines années.

    La plainte conclut: "La somme écrasante d'informations présentées ici, dont la plupart sont irréfutables, offre des raisons probables plus que suffisantes pour croire qu'un ou plusieurs des accusés nommés ont commis les infractions alléguées dans cette plainte pénale, en particulier un meurtre de masse par le biais de la commission. de crimes contre l'humanité ».

    Les accusés "ont planifié, coordonné, comploté et collaboré entre deux ou plusieurs accusés nommés et anonymes pour concevoir une entreprise criminelle" autour de la création de COVID-19, indique la plainte, ajoutant qu'ils ont également conspiré pour créer une arme biologique qui a finalement été déchaînée sur le monde.

    Les sources comprennent :

    DailyExpose.fr
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-23-criminal-complaint-filed-covid19-vaccine-makers-murder-crimes-against-humanity.html

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    1. Qu'ils soient condamnés ou exécutés çà fait deux.

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  29. Les injections « de rappel » de Covid seront bientôt obligatoires en Australie


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le premier ministre australien de Victoria, Dan Andrews, a décidé que pour rester «entièrement vaccinés» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), les Australiens devront désormais recevoir une troisième dose «de rappel».

    S'exprimant à l'extérieur d'un parc avec son ton suffisant habituel, Andrews a expliqué qu'être "boosté" n'est plus une option. Pour continuer à vivre, les Victoriens devront se retrousser les manches quand leur tour viendra, sinon ils seront exclus de la société.

    "Ce n'est pas une option", a déclaré Andrews à ses électeurs avec condescendance. "Ce n'est pas un complément. Ce n'est pas (juste) une bonne chose à avoir.

    "Je pense que nous sommes très proches d'un changement de politique qui reflétera simplement le fait que pour être" complètement vacciné ", vous devez avoir trois doses - pas deux plus un supplément facultatif, mais en fait pour être entièrement protégé, pour être complètement vacciné, pour avoir pleinement joué sa carte, il ne faut pas deux doses plus une troisième facultative, mais trois doses.

    À l'heure actuelle, le mandat de rappel à Victoria ne s'applique qu'à certains groupes. Mais Andrews veut que cela s'applique à tout le monde, dès qu'il pourra s'en tirer.

    "Je n'exclus pas que d'autres groupes soient soumis au mandat", a-t-il déclaré.

    "Nous l'avons fait pour les meilleures raisons l'année dernière, et c'est pourquoi nous pouvons tous être très fiers en tant que communauté victorienne que plus de 93%" de la population se conforme à la vaccination.

    Booster mandats entrants… quelqu'un est-il surpris ? pic.twitter.com/R8uKJ4WsDo
    – ValGlass2.0 (@AussieVal10) 19 janvier 2022

    Un spécialiste de la fertilité supplie Andrews d'annuler l'interdiction de la FIV
    Une autre restriction qu'Andrews a arbitrairement réimposée est une autre interdiction de 90 jours des traitements de fécondation in vitro (FIV). C'est apparemment la cinquième fois que cette restriction est imposée au cours des cinq dernières années, et cela nuit aux femmes.

    Le Dr Lynn Burmeister, spécialiste de la fertilité basée à Melbourne et directrice médicale de Number One Fertility, a déclaré à Sky News qu'elle était juste sidérée que cela se reproduise, d'autant plus que de nombreuses femmes sont en plein milieu de leurs traitements (voir ci-dessous).

    - voir clip sur site -

    "C'est une décision terrible", a déclaré Burmeister à l'intervieweur. "Je suis juste choqué."

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  30. «Après avoir vécu avec cette pandémie pendant deux ans, nous avons en fait été arrêtés et recommencés cinq fois, et c'est terrible. Les patients sont hystériques. Nous recevons des centaines et des centaines d'appels téléphoniques de patients hystériques appelant et suppliant de commencer le traitement, ne pouvons-nous pas leur trouver une excuse pour commencer.

    Les femmes qui sont actuellement en train de subir une collecte d'ovules doivent maintenant arrêter. Et rien n'indique quand, ni même si, le secteur de la FIV sera autorisé à reprendre ses activités.

    "Tout patient qui a besoin d'une collecte d'ovules doit s'arrêter, et nous ne savons pas quand il va rouvrir", a ajouté Burmeister, auquel l'intervieweur a ensuite demandé ce que cela signifie pour les femmes qui approchent de la fin de leur fertilité, ou qui pourraient ne jamais avoir d'enfants grâce à Andrews.

    "Tous mes patients ont des problèmes de fertilité", a-t-elle ajouté.

    Étant donné que la dépopulation fait partie du schéma plandémique, il n'est pas surprenant qu'Andrews restreigne la reproduction au sein d'un groupe défavorisé qui a du mal à se reproduire naturellement.

    Grâce au moratoire, beaucoup de ces femmes n'auront probablement jamais d'enfants – et tout cela se passe pour «sauver des vies», nous dit-on.

    "Le pays tout entier devrait simplement dire [assez] et arrêter de travailler", a écrit quelqu'un sur Twitter en réponse à la proclamation d'Andrews.

    « Un mandat est une invitation à un accord », écrivait un autre. « Si vous n’êtes pas d’accord, cela ne peut pas être mandaté. C'est la loi.

    La dernière couverture médiatique sur la tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) peut être trouvée sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    Youtube
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-23-covid-booster-shots-soon-mandatory-australia.html

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    1. Ils veulent rayer l'Australie de la carte !
      Après, sous prétexte d''éruption solaire' ou d''arrivée imminente d'astéroïde': coupure Internet e dépopulation totale.

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  31. Une école publique de LA surprise en train d'abuser d'étudiantes non vaccinées, qui ont été forcées de s'asseoir dehors derrière un ruban jaune de mise en garde et interdites d'utiliser les toilettes


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une poignée d'étudiantes non vaccinées de la New West Charter School (NWCS) à Los Angeles ont été forcées de s'asseoir dehors derrière du ruban adhésif pour le "crime" de ne pas avoir pris les coups.

    Les filles ont posté une vidéo d'elles-mêmes (voir ci-dessous) expliquant comment elles sont essentiellement détenues dans une prison en plein air parce qu'elles refusent de modifier de manière permanente leur ADN avec les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Selon le groupe de défense Let Them Breathe, les filles ont demandé des chaises pour s'asseoir mais ont été refusées, les forçant à s'asseoir par terre. On leur a également dit qu'ils ne pouvaient pas utiliser les toilettes et qu'ils devaient plutôt rester sous la surveillance de gardes armés.

    "LAPD est sur place mais n'intervient pas", a tweeté Let Them Breathe. "Le litige de Let Them Choose (est) déjà en cours."

    - voir sur site -

    Les étudiants Unvax de New West Charter LA sont séparés derrière des barrières et ne sont pas autorisés à assister aux cours. Ils ont demandé des chaises, ont été refusés et sont assis sur le trottoir, même pas autorisés à utiliser les toilettes. LAPD est sur place mais n'intervient pas. Litige de Let Them Choose déjà en cours pic.twitter.com/hgCI97HYv1

    – LAISSEZ-LES RESPIRER (@letthem_breathe) 18 janvier 2022

    La directrice du NWCS, Sharon Weir, travaillait auparavant comme "consultante en éducation spécialisée pour développer un modèle éducatif entièrement inclusif pour les élèves défavorisés [sic]"
    Lorsqu'ils ne préparent pas et ne lavent pas le cerveau des élèves pour qu'ils deviennent transgenres, les écoles publiques à travers l'Amérique les emprisonnent apparemment pour ne pas devenir transhumains par injection de covid.

    "Je suis étudiante à la New West Charter School et je suis ici avec cinq autres filles", déclare l'une des filles dans la vidéo. "Quatre d'entre eux sont des étudiants de première année, un est un junior et je suis un étudiant en deuxième année."

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  32. « Et nous sommes menacés de suspension parce que nous n'avons pas le vaccin Covid-19. Et on nous refuse le droit d'aller à l'école… Et on nous enferme à cause de ce ruban d'avertissement. Nous sommes séparés du reste de l'école.

    Derrière les filles alors qu'elles retournent la caméra se trouvent des cordes de ruban adhésif, comme s'il s'agissait d'un fléau ambulant qui doit être bouclé pour la sécurité de tous les autres contre leurs germes Fauci invisibles.

    Tout à coup, tout cela semble de plus en plus ne pas être une question de santé, mais plutôt de contrôle et de tyrannisation de ceux qui refusent d'obéir.

    Aucune des filles vues dans la vidéo n'est malade, et toutes portent un masque, ce que les Branch Covidians nous ont dit au cours des deux dernières années est suffisant pour empêcher la propagation de la maladie.

    Et si tout le monde dans l'école est "vacciné" de toute façon, alors pourquoi est-il important que ce groupe d'amis d'une demi-douzaine ne soit pas vacciné ?

    "Et ils vous diront que c'est pour sauver des vies, lol ouais d'accord", a écrit un commentateur à Newspunch. "Le directeur de cette école est le deuxième après Epstein."

    "Faites sortir ces enfants et poursuivez ces monstres", a écrit un autre sur la façon dont les parents des filles devraient réagir à cet incident.

    Sur Twitter, quelqu'un d'autre a suggéré que les étudiants coincés dans des quartiers oppressifs comme celui-ci pourraient organiser un « débrayage » pour protester contre ce type d'abus.

    "Parce qu'ils ont été manipulés pour penser qu'il n'est pas sûr d'aller à l'école, pourquoi ces enfants n'ont-ils pas fait de même, surtout quand ils ont PLUS de justification pour une telle manifestation?" cette personne a demandé.

    Un autre a expliqué qu'une protestation contre la tyrannie médicale avait déjà eu lieu juste après l'incident. La manifestation a attiré l'attention sur la principale Sharon Weir, qui est née et a fait ses études en Écosse, selon la biographie officielle de son école.

    Ironiquement, Weir travaillait auparavant comme "consultant en éducation spécialisée pour développer un modèle éducatif entièrement inclusif pour les élèves défavorisés [sic]". Les élèves non vaccinés apparemment défavorisés ne sont pas inclus dans ce modèle.

    Des nouvelles plus connexes sur la tyrannie de la grippe de Wuhan peuvent être trouvées sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Newspunch.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-23-la-public-school-abusing-unvaccinated-students-caution.html

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  33. Boris Johnson abandonne le mandat du masque au Royaume-Uni – le reste du monde suivra-t-il ?


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Après avoir été dénoncé pour avoir fait la fête à Downing Street à Londres pendant les fermetures de 2020 alors que tout le monde était coincé à la maison, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé que presque toutes les restrictions du coronavirus de Wuhan (Covid-19) dans son pays sont maintenant terminé.

    L'annonce de Johnson a été reçue avec beaucoup d'applaudissements et de célébrations de la part de tous les autres politiciens présents dans la salle, quelle que soit leur affiliation politique (Amérique : veuillez prendre des notes). Il a révélé avec enthousiasme qu'il n'y aura plus de mandats de masques, y compris dans les magasins et les écoles, et plus de vérification des «passeports vaccinaux».

    La seule chose qui restera en place pour l'instant, ce sont certaines exigences d'auto-isolement, sinon l'Angleterre revient à l'ancienne normalité. Pendant ce temps, une grande partie du reste du monde, y compris de larges pans des États-Unis, continue de vivre sous la tyrannie avec des mandats sans fin de masques et de coups.

    "Nous pouvons revenir au plan A en Angleterre et permettre aux réglementations du plan B d'expirer", a déclaré Johnson, recevant de vives acclamations de soutien des députés.

    «En conséquence, à partir du début de jeudi la semaine prochaine, la certification obligatoire prendra fin. Les organisations peuvent, bien sûr, choisir d'utiliser volontairement le NHS Covid Pass, mais nous mettrons fin à l'utilisation obligatoire de la certification de statut covid en Angleterre.

    "Désormais, le gouvernement ne demande plus aux gens de travailler à domicile", a-t-il ajouté. "Et les gens devraient maintenant parler à leurs employeurs des modalités de retour au bureau."

    MAINTENANT – Le Premier ministre britannique Boris Johnson: "Le gouvernement n'imposera plus le port de masques faciaux où que ce soit." pic.twitter.com/5gM3WnvUCf
    – Disclose.tv (@disclosetv) 19 janvier 2022

    Jette ton masque et arrête de vivre dans la peur

    Johnson a poursuivi en expliquant qu'une fois la réglementation actuelle caduque, le gouvernement du Royaume-Uni n'exigera plus «le port de masques faciaux n'importe où», recevant à nouveau de forts cris de soutien.

    "A partir de demain, nous n'aurons plus besoin de masques faciaux dans les salles de classe, et le ministère de l'Éducation supprimera sous peu les directives nationales sur leur utilisation dans les espaces communs", a-t-il ajouté.

    "Nous ferons confiance au jugement du peuple britannique et ne criminaliserons plus quiconque choisit de ne pas en porter", a déclaré Johnson sur la façon dont le gouvernement recommandera toujours les masques faciaux, mais ne les forcera plus contre leur volonté.

    "Le gouvernement assouplira également davantage les restrictions sur les visites dans les maisons de soins", a ajouté Johnson.

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  34. Johnson avait auparavant interrompu son projet d'introduire un système de passeport par injection, bien qu'un programme ait finalement été mis en œuvre – pour ensuite être à nouveau abandonné.

    On se demande si cette étreinte soudaine de la liberté par le gouvernement britannique va vraiment durer. De nombreux sceptiques se demandent combien de temps durera cet accès de liberté, car la même chose s'est produite en Australie pendant un bref instant, pour retomber rapidement dans une tyrannie encore pire.

    "C'est une excellente nouvelle", a déclaré une personne sur Twitter à propos de l'annonce de Johnson. «Maintenant, débarrassez-vous du mandat de« médicaments »covid pour les travailleurs du NHS.»

    « L'Angleterre est maintenant l'un des pays les plus libres du monde, qu'est-ce que cela vous dit ? » dit un autre.

    D'autres ont posté des GIF de Johnson en 2013 dansant sur un sol en damier maçonnique avec une femme noire brandissant un sabre laser Star Wars, cette vidéo ayant récemment refait surface parallèlement aux accusations selon lesquelles Johnson aurait enfreint ses propres règles de verrouillage en 2020.

    Vraisemblablement gêné et inquiet d'être expulsé de son poste, Johnson a répondu à la controverse en abandonnant les restrictions de son pays contre la grippe Fauci. Si seulement les Américains pouvaient apprendre à faire la même chose à leurs politiciens corrompus pour les amener à revenir sur la tyrannie.

    Les dernières nouvelles sur la grippe Fauci peuvent être trouvées sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-01-23-boris-johnson-drops-mask-mandate-in-uk.html

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  35. France : Blanquer, un gauchiste en embuscade devenu fou


    le 24 janvier 2022


    Le Ministre français de la propagande scolaire organisée a dépassé les limites du supportable. Il fallait être vraiment très créatif pour imaginer que l’enseignement de la théorie du genre devait être inscrite dans le cursus des élèves de CM2. Il fallait aussi être vraiment très imaginatif pour considérer que l’enseignement des mathématiques est machiste. Enfin il fallait s’appeler Blanquer pour martyriser les élèves âgés de 4 à 8 ans en les obligeant de porter un masque et de se faire ramoner les fosses nasales tous les deux jours. Cet homme a perdu la tête, il est tout simplement devenu fou.

    En réalité ce ministricule suit les injonctions des fonctionnaire ultra-gauchistes et progressistes qui pourrissent l’éducation nationale française depuis les années Mitterand répandant en profondeur une modification progressive des programmes éducatifs dont le but final est d’atteindre une aliénation totale des élèves de l’enseignement primaire puis de l’enseignement secondaire. Résultat : on délivre le diplôme du baccalauréat à des élèves qui savent à peine lire, qui n’ont acquis aucune connaissance historique ou géographique et qui sont incapables d’écrire un texte de dix lignes sans décorer leur prose d’une dizaine de fautes d’orthographe ou de syntaxe. À se demander s’ils n’ont jamais lu un texte d’Hugo ou de Camus, que dis-je, certainement pas.

    Et munis d’un diplôme dévalué ces élèves ayant acquis maintenant le statut d’étudiants se condamnent eux-mêmes à un constat terrible : ils sont inutiles pour la société car l’université n’est plus la porte ouverte vers la promotion sociale dont ils rêvaient faussement.

    Pire encore Blanquer, dont j’ignore le « pedigree » universitaire, d’ailleurs je m’en moque, a décidé de détruire les derniers hauts lieux de l’enseignement parisien public conduisant vers les écoles prestigieuses d’ingénieurs ainsi qu’en province car quelques autres lycées prestigieux de province sont dans la ligne de mire de ce sombre individu, porte-parole de la mouvance gauchiste des dizaines de milliers de fonctionnaires administratifs du Ministère de l’éducation nationale qui sont pour la plupart tous aussi inutiles les uns que les autres. Les informations parues dans la presse (lien) ne sont pas nouvelles pour votre serviteur. Il existe une sélection dans les deux principaux lycées publics parisiens de haut niveau capables de concurrencer des écoles privées telles que Sainte-Geneviève en ce qui concerne les classes préparatoires aux grandes écoles, tant au niveau de l’entrée en classe de seconde qu’en classe préparatoire. Blanquer a mis fin à ce système car il le considère comme non démocratique et trop élitiste. Le niveau des élèves candidats aux concours d’entrée dans les grandes écoles va donc diminuer avec par conséquent un taux de réussite à l’entrée des grandes école plus faible.

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  36. La conséquence concoctée par Blanquer semble ainsi une dévalorisation des deux lycées en question : Louis-le-Grand et Henry IV. Les élèves n’auront alors plus d’autre solution que d’opter pour des écoles privées. Encore faudra-t-il que leurs parents aient les moyens financiers de payer la scolarité de leurs enfants. C’est donc une sorte de raffinement du nivellement par le bas imaginé par Blanquer. Lisez l’article de Jean-Yves Chevalier paru sur le site de Marianne, vous aurez tout compris.

    https://www.marianne.net/agora/les-mediologues/affectation-des-lyceens-via-affelnet-parents-si-vous-saviez

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/24/france-blanquer-un-gauchiste-en-embuscade-devenu-fou/

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  37. Regardez en direct: le sénateur Johnson tient une audience de «deuxième opinion» sur le COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 24 JANVIER 2022 - 09:06


    Le sénateur américain Ron Johnson (R-Wis.) organise ce matin une table ronde, COVID 19 : A Second Opinion.

    Les conférenciers invités - un groupe étoilé de médecins et d'experts médicaux de renommée mondiale - offriront une perspective différente sur la réponse mondiale à la pandémie, l'état actuel des connaissances sur le traitement précoce et hospitalier, l'efficacité et la sécurité des vaccins, ce qui s'est bien passé, ce qui s'est passé mal, ce qui devrait être fait maintenant et ce qui doit être traité à long terme.

    Experts médicaux et médecins

    Quatre piliers de la réponse à la pandémie

    Dr Peter McCullough
    Pilier 1 : Limiter la propagation

    Dr Bret Weinstein
    Dr Jay Bhattacharya
    Pilier 2 : Traitement précoce à domicile

    Dr Ryan Cole
    Dr Harvey Risch
    Dr George Fareed
    Dr Pierre Kory
    Dr Richard Urso
    Pilier 3 : Traitement hospitalier

    Dr Paul Marik
    Dr Aaron Kheriaty
    Pilier 4 : Vaccins

    Dr Robert Malone
    Dr David Wiseman
    Regardez l'audience en direct ici (9h HE-12h HE):

    - voir clip sur site :

    https://www.zerohedge.com/covid-19/watch-live-sen-johnson-holds-star-studded-covid-19-second-opinion-hearing

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  38. ANTARCTIQUE:
    Un iceberg relâche plus de 150 milliards de tonnes d’eau douce

    Une étude a suivi les pérégrinations d’un iceberg géant qui s’était détaché de l’Antarctique (pôle Sud) en 2017. Il a finalement disparu à plus de 4000 km de son point de départ.


    20 janvier 2022, 19:39


    Un iceberg géant détaché de l’Antarctique en 2017 a relâché plus de 150 milliards de tonnes d’eau douce mêlée à des nutriments lors de sa fonte, à 4000 km de son point de départ, un volume «énorme» risquant de modifier sensiblement un écosystème fragile, selon une étude publiée jeudi. La fonte des icebergs est un processus naturel, mais le réchauffement de l’air et des océans contribue à l’accélérer, selon les scientifiques.

    En juin 2017, cet iceberg baptisé A68 s’était séparé d’une gigantesque plateforme de glace, nommée Larsen C, à la pointe de la péninsule antarctique. Ce géant de mille milliards de tonnes, deux fois plus grand que le Luxembourg, était le plus grand à s’être jamais détaché, mais il a été depuis rétrogradé à la 6e place, note l’étude publiée dans la revue Remote Sensing of Environment.

    Désastre évité

    Il était resté ensuite pendant deux ans dans les eaux froides de la mer de Weddell près du lieu de son vêlage (séparation) avant de voyager vers le nord, vers des mers plus chaudes, entamant alors sa fonte jusqu’à sa disparition au printemps 2021 dans l’Atlantique Sud, près de l’île britannique de Géorgie du Sud, à 4000 km de son point de départ.

    À l’automne 2020, l’iceberg s’était dangereusement rapproché de cette île, faisant craindre que le bloc de glace, dont la partie immergée mesurait encore quelque 140 mètres, ne se retrouve coincé sur le fond marin, bloquant le passage de milliers de manchots et de phoques habitant les lieux. Le désastre avait été évité, mais les chercheurs qui ont suivi toutes les étapes de la vie de l’iceberg via satellites s’interrogent sur l’impact de la fonte de cette glace d’eau douce.

    «C’est un volume d’eau énorme»

    Lors des trois mois de 2020-2021 qui l’ont vu fondre complètement près de l’île de Géorgie du Sud, l’iceberg a libéré au total 152 milliards de tonnes d’eau douce mêlée à des nutriments dans cet écosystème fragile. Soit l’équivalent de 61 millions de piscines olympiques ou 20 fois le Loch Ness, note dans un communiqué le centre de recherche British Antarctic Survey, qui a participé à l’étude.

    «C’est un volume d’eau énorme, et nous voulons désormais déterminer si cela a eu un impact positif ou négatif sur l’écosystème autour de la Géorgie du Sud», indique l’auteure principale de l’étude, Anne Braakmann-Folgmann, du Centre d’observation et de modélisation polaires.

    L’étude souligne notamment que ce volume d’eau, libéré dans une mer où s’alimentent phoques, oiseaux et baleines, pourrait avoir affecté «les propriétés de l’eau et le plancton». Il est d’autant plus important d’étudier cet impact que A68 «a pris un chemin classique», note Anne Braakmann-Folgmann. «Nous espérons en apprendre plus sur les icebergs qui prennent la même trajectoire, et sur la façon dont ils influencent les océans polaires».

    https://www.lematin.ch/story/un-iceberg-relache-plus-de-150-milliards-de-tonnes-deau-douce-999862294681

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    1. Une banquise se compose d'eau salée gelée à ne pas confondre avec les glaciers (eau douce) qui se sont formée avec des précipitations (pluies, neige).

      (...) Un iceberg géant détaché de l’Antarctique en 2017 a relâché plus de 150 milliards de tonnes d’eau douce mêlée à des nutriments lors de sa fonte, à 4000 km de son point de départ, un volume «énorme» risquant de modifier sensiblement un écosystème fragile, selon une étude publiée jeudi. (...)

      Notez quand même qu'il faut être le roi des cons pour écrire çà !! 'L'eau douce qui modifierait sensiblement un écosystème fragile' !! alors que c'est TOUS LES JOURS qu'il y a DES milliards de m³ d'eaux douces venues des pluies, des fleuves et des rivières qui... se déversent dans les mers & océans !! Çà alors !!

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  39. Cruiseliner détourné vers les Bahamas, depuis Miami, après qu'un juge américain a émis un mandat d'arrêt pour 4,6 millions de dollars en carburant impayé


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 23 JANVIER 2022 - 22:25


    Un navire de croisière de luxe appelé Crystal Symphony, exploité par Genting Hong Kong Ltd., est sur le point d'être saisi afin de rembourser 1,2 million de dollars de factures de carburant impayées.

    Le navire est en train d'être détourné vers les Bahamas après avoir appris qu'un tribunal américain avait émis un mandat d'arrêt à son encontre, s'il accostait à Miami, selon Bloomberg.

    Si le navire devait débarquer aux États-Unis, les maréchaux et un gardien nommé par le tribunal se tiennent prêts à l'arrêter.

    J. Stephen Simms, l'avocat principal représentant Peninsula Petroleum Far East Pte. Ltd., à qui l'argent est dû, a déclaré qu'il avait été mis au courant du plan.

    En conséquence, le navire a accosté aux Bahamas samedi soir.

    Peninsula Petroleum Far East a poursuivi les propriétaires de navires devant un tribunal de district américain afin de récupérer 4,6 millions de dollars de frais impayés pour le carburant de soute qu'il a fourni depuis 2017.

    Un juge de district fédéral américain à Miami a finalement émis un mandat d'arrêt dans le cadre de la poursuite la semaine dernière.

    Simms a commenté: «Le maréchal américain sera là avec le mandat d'arrêt si le navire se présente à Miami. Mon bon argent, c'est qu'il n'atterrit pas à Miami, d'après ce qu'on nous a dit. Notre client est déterminé à récupérer.

    Genting Hong Kong a connu de graves difficultés financières à la suite de la pandémie et est en cours de liquidation après avoir signalé une perte de 1,7 milliard de dollars en mai.

    "Sa filiale allemande de construction navale, MV Werften, a fait faillite ce mois-ci", a rapporté Bloomberg.

    L'un des passagers du navire a tweeté à propos du changement de destination la semaine dernière : « Quelqu'un veut-il deviner pourquoi notre navire, le Crystal Symphony, ne peut plus débarquer à Miami ? Nous avons été informés que nous allions être emmenés à Bimini, aux Bahamas, embarqués sur un ferry et emmenés aux États-Unis de cette façon. Hummm.

    https://www.zerohedge.com/markets/crystal-cruise-ship-diverted-bahamas-miami-after-us-judge-issues-arrest-warrant-47-million

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    1. HAHAHA ! Parti sans payer ! C'était pour riiiiiire ! HAHAHA !

      La 'plaisanterie' durait depuis 2017 !!

      (...) Peninsula Petroleum Far East a poursuivi les propriétaires de navires devant un tribunal de district américain afin de récupérer 4,6 millions de dollars de frais impayés pour le carburant de soute qu'il a fourni depuis 2017. (...)

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  40. Plus de 100 000 personnes âgées de plus de 124 ans ont-elles voté dans le Wisconsin ?


    23 janvier 2022
    Par Andrea Widburg


    Si vous vous interrogez sur l'étendue de la fraude électorale en Amérique, nous constatons peut-être une quantité stupéfiante de fraude ou de négligence grotesque dans les listes électorales du Wisconsin. Un examen des rôles des électeurs de l'État a montré que 569 277 électeurs se sont inscrits le 1er janvier 1918. De ce nombre, 20 % de ces personnes, qui doivent toutes avoir au moins 124 ans, ont voté en novembre dernier. Biden a "gagné" dans le Wisconsin par 20 682 voix...

    Pour les lecteurs réguliers d'American Thinker, cela ne devrait pas être une surprise. Il y a environ deux semaines, Jay Valentine a écrit sur l'étendue de la fraude que lui et son équipe ont découverte en téléchargeant des listes électorales (qui contenaient souvent des données corrompues qui semblaient délibérément destinées à garder les informations opaques) dans le système de Valentine. Une fois que les informations pour un état donné ont été chargées et triées, elles ont invariablement révélé des informations plutôt surprenantes dans les états rouge et bleu. Entre autres choses, dans un État rouge, il y avait « 4 300 personnes de plus de 100 ans sur leurs listes. Certains avaient 121 ans. C'étaient les enfants. Les très vieux avaient presque 2 000 ans, et il y en avait beaucoup – et ils ont voté.

    (Pour ceux qui se demandent, je crois comprendre que Valentine n'a pas identifié d'États spécifiques car il est important que les solliciteurs bénévoles aient un anonymat complet. Nommer les États pourrait amener les fonctionnaires qui sont exposés comme corrompus ou ineptes à commencer à chercher des solliciteurs.)

    Les révélations du Wisconsin (et je n'ai aucune idée si Jay Valentine a fait partie de l'analyse du Wisconsin) sont stupéfiantes. Il s'avère qu'au moins un électeur sur 14 dans le Wisconsin a au moins 124 ans. Ainsi, pour s'inscrire en 1918, une personne devait avoir 21 ans ou plus. Cela signifie qu'un habitant du Wisconsin sur 14 a plus de 124 ans. Encore plus étonnant, 115 252 de ces anciens ont fait l'effort de voter en novembre. Il est certain que certains d'entre eux ont fourni les votes qui ont donné à Biden cette avance de 20 682 voix.

    Le Wisconsin a tenté d'expliquer le problème en disant que les petites circonscriptions avaient des problèmes techniques lorsqu'elles essayaient de fusionner leurs données dans le système de l'État. Le système a répondu à ces problèmes en donnant aux personnes sur ces listes une date d'enregistrement par défaut du 1er janvier 1918.

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  41. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez voir un expert, le procureur de l'Assemblée du Wisconsin, Dean O'Donnell, un expert de l'équipe d'intégrité électorale, expliquant à la Commission électorale du Wisconsin à quel point cette explication est peu probable. Le fait qu'une personne sur quatorze ait une date d'inscription grossièrement inexacte ferait des ravages dans l'intégrité des listes électorales, rendant hautement improbable qu'un secrétaire d'État autorise une telle erreur technique.

    - voir clip sur site -

    En fin de compte, il y a trois façons d'expliquer le fait que 20 % des personnes qui se sont inscrites pour voter le 1er janvier 1918 se sont présentées pour voter en novembre 2020, dont aucune n'est bonne pour l'intégrité électorale :

    1. Toutes ces inscriptions sont frauduleuses et existent dans le but d'ajouter des voix à tel ou tel candidat. (Et oui, je suppose qu'il s'agissait de votes ajoutés à la colonne de Biden.)

    2. Tous ces enregistrements sont des problèmes informatiques et le bureau du secrétaire d'État est trop incompétent ou corrompu pour les avoir corrigés. Même s'ils sont apparus accidentellement sur les listes, ils sont devenus le véhicule idéal pour la fraude électorale.

    3. Le Wisconsin est un endroit si sain où vivre que plus de 500 000 habitants ont 124 ans ou plus et, sur ce nombre, 20% sont encore si vifs et engagés avec le monde qu'ils ont rempli des bulletins de vote (et, j'en suis sûr, surtout voté pour Biden).

    À titre d'intérêt, la semaine dernière, Thelma Sutcliffe d'Omaha, Nebraska, est décédée. Sa mort était remarquable car elle avait 115 ¾ ans, faisant d'elle la femme la plus âgée d'Amérique. Apparemment, cependant, un grand nombre de Wisconsites ont fait honte à son bilan.

    La Constitution est un document légal, car c'est un contrat entre le gouvernement fédéral et le peuple américain. Dans le cadre d'un contrat, si une partie commet une fraude, tout ce qui découle de cette fraude est renversé. Ou comme le dit la loi, « la fraude vicie tout ». Dans ce cas, si la fraude est avérée dans les États clés, leurs certifications des votes sont annulées. Et si suffisamment d'États avaient cette fraude, la certification par le Sénat de la victoire de Biden devrait également être annulée.

    Cette défaite ne se produira pas avec le Congrès sous contrôle démocrate, mais il n'y a aucune raison pour que cela ne se produise pas si les électeurs conservateurs se présentent en si grand nombre en novembre 2022 et 2024 qu'aucune fraude ne peut vaincre la vague rouge qui se dirige vers le Congrès.

    https://www.americanthinker.com/blog/2022/01/did_over_100000_people_older_than_124_years_vote_in_wisconsin.html

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  42. EDF est déchiré entre l’État et le marché

    Le comportement d’EDF est évidemment inscrite dans son statut hybride : un capital détenu à 84 % par l’État et à 16 % par le privé.


    le 24 janvier 2022
    Philippe Charlez


    À la suite de la décision du gouvernement de remonter de 20 TWh l’Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique au profit de ses concurrents directs, l’État privera EDF de 8 milliards de recettes qui viennent s’ajouter aux 14 milliards qu’il a déjà mis sur la table depuis septembre pour rendre presqu’indolore l’accroissement des prix de l’énergie devenus fous depuis l’été 2021. Générosité envers les plus démunis affirmeront les uns, câlinerie électorale à trois mois de la présidentielle chuchoteront les autres. Le « quoi qu’il en coûte » pandémique est en train de devenir un quoi qu’il en coûte énergétique.

    Pour « protester contre cette décision gouvernementale scandaleuse d’augmentation du plafond de l’ARENH qui vient spolier le rôle d’EDF, voire organiser sa destruction », quatre des principaux syndicats ont lancé un appel à la grève le 26 janvier. Dans le même temps, le CSEC (Comité d’Entreprise) a déclenché une procédure de droit d’alerte économique. Il pointe notamment du doigt la perte sèche que subissent les salariés (ils détiennent 1,32 % du capital) et les petits porteurs : dans une tourmente quasi permanente, EDF a perdu 90 % de sa valeur depuis l’ouverture de son capital en 2004.

    Le problème du fonctionnement interne d’EDF

    Pourtant, après avoir revêtu un court instant sa « veste capitaliste », le CSEC a très rapidement récupéré son « gilet jaune public » en lançant une campagne de publicité dans les rues parisiennes : « la privatisation de l’électricité nuit gravement à votre facture ». Un quasi péché de schizophrénie immédiatement relevé par le ministre de l’Économie « rassurant les salariés EDF inquiets des conséquences des récentes décisions gouvernementales mais leur rappelant néanmoins qu’EDF était un groupe public au service de l’intérêt général ».

    Rappelons que le Comité d’Entreprise d’EDF est le plus riche du monde. La loi de 1946 impose à l’électricien de lui verser 1 % du chiffre d’affaires et non un pourcentage du bénéfice comme pour la plupart des entreprises. Une invraisemblable rente de près de 500 millions d’euros par an gérée en toute opacité et dont les gaspillages en tout genre voire les dérives ont été mises en évidence à de multiples reprises par la Cour des comptes. Principalement piloté par la CGT, le CE a même été poursuivi en juin 2014 devant le tribunal correctionnel de Paris pour « détournement de fonds et financement d’activités ne relevant pas de son objet social ».

    À la sortie du dernier conflit mondial, dans une France économiquement exsangue, le général de Gaulle n’avait pas d’autre choix que d’organiser la production et la distribution de l’électricité autour d’un grand « monopole naturel » intégré. Sa justification était triple : technico-économique, sociétale et stratégique.

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  43. Nécessitant des capitaux très importants (barrages, centrales nucléaires) et acheminant l’électricité au travers d’un réseau de distribution national, un monopole naturel permet de contrôler toutes les sources sur l’ensemble du territoire. Il en résulte des économies d’échelle et une optimisation des coûts en mettant d’abord en œuvre les centrales capables de produire de grandes quantités d’électricité au coût le plus faible (hydroélectricité et nucléaire). Puis, pour répondre aux variations journalières et saisonnières, d’autres sources comme le gaz interviennent comme appoint.

    Par ailleurs, un monopole naturel est construit au service de l’utilité collective. Il est conçu comme un service public non concurrentiel pratiquant des tarifs non profitables pratiquement égaux à ses coûts marginaux et ce au sein d’un secteur parfaitement régulé.

    Enfin dans certaines circonstances exceptionnelles, comme en cas de conflit, l’électricité devient une commodité stratégique que tout État tient à conserver dans sa sphère d’influence.

    Le monopole a évidemment les inconvénients de ses avantages : si l’unicité du producteur/distributeur permet théoriquement de proposer aux consommateurs le « juste prix », sa rente de monopole ne représente pas un gage d’efficacité notamment en termes d’innovation et de rigueur économique. Et ce gage a particulièrement été mis à mal quand au début des années 2000 le marché de l’électricité s’est ouvert à l’ensemble de l’Europe.

    La schizophrénie d’EDF est évidemment inscrite dans son statut hybride : un capital détenu à 84 % par l’État et à 16 % par le privé. Ce statut qui empêche l’électricien de fonctionner de façon normale dans un marché européen ouvert est remarquablement décrit dans l’ouvrage de référence de JP Hansen et J. Percebois.

    Faudrait-il comme le proposent le Vert Yannick Jadot, l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon et la Frontiste Marine Le Pen renationaliser EDF pour garantir « à la collectivité une production d’électricité fiable et peu onéreuse » ? Ou faudrait-il sortir sortir du marché européen ? Faudrait-il enfin privatiser l’électricien et laisser le consommateur se débrouiller seul face au marché ?

    La réponse se trouve au niveau européen

    Comme souvent la réponse est au milieu du gué mais ne se trouve aucunement ni dans le degré de nationalisation (ou de privatisation) d’EDF ni dans une sortie unilatérale du système électrique européen.

    Le marché européen de l’électricité n’est en rien comme le prétendent certains une volonté de dérégulation réclamée par le privé aux dépens du consommateur mais un impératif technique lié à la transition énergétique. Cette dernière consistera en un « grand remplacement » des équipements thermiques par des équipements électriques et consacrera l’électricité comme énergie du XXIe siècle. En France sa consommation devrait doubler d’ici 2050.

    Cette électricité reposant en partie sur des énergies renouvelables intermittentes les échanges sur la grille européenne sont aujourd’hui devenus incontournables sous peine de subir particulièrement en hiver des « blackout électriques » récurrents. Une situation bien différente de celle qui prévalait au siècle dernier quand la consommation d’électricité ne représentait que 15 % de la consommation d’énergie finale et que l’ensemble du mix électrique était construit autour de sources pilotables.

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  44. Une sortie du système électrique européen signifierait pour la France de ne plus garantir à ses concitoyens de l’électricité 100 % du temps. Quant à la nationalisation d’EDF, elle ne ferait que reporter sur le contribuable ou la dette (ce qui est équivalent) les prix élevés de l’électron. N’en déplaise aux candidats vert et insoumis la nationalisation d’EDF ne résoudra en rien les problèmes de fiabilité et de prix. C’est en effet la grille européenne qui détient les clés de la fiabilité et les marchés mondiaux de l’énergie celles des prix. Quant à la privatisation totale elle enlèverait intégralement à feu le monopole naturel un rôle de régulateur qu’il n’a que partiellement perdu aujourd’hui sans présager des troubles sociaux que cela engendrerait.

    C’est donc au niveau européen que se trouve la réponse.

    Les réseaux électriques et gazeux étant fortement interconnectés seule une institution européenne compétente serait capable de réguler le marché. Pourtant, bien que l’article 194 du Traité de Lisbonne introduise une base juridique pétrie de bonnes intentions dans un « esprit de solidarité » (assurer le bon fonctionnement du marché de l’énergie, assurer la sécurité de l’approvisionnement énergétique, promouvoir l’efficacité énergétique, promouvoir l’interconnexion des réseaux énergétiques) dans les faits l’énergie reste une chasse gardée nationale. Les États peuvent en effet décider de façon souveraine de leur mix énergétique, de l’exploitation de leurs ressources propres et de leur approvisionnement. Malgré les enjeux nous sommes donc encore très loin d’une communautarisation de la politique énergétique. À notre connaissance cette mesure ne figue au programme d’aucun candidat à la présidentielle.

    https://www.contrepoints.org/2022/01/24/419887-edf-est-dechire-entre-l-etat-et-le-marche

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  45. Énergie : effets pervers de la régulation du marché en France

    Avec la régulation de l'énergie, il y a un conflit d’usage entre les intérêts d’EDF et les intérêts propres à l’État en tant que puissance publique.


    le 24 janvier 2022
    Par François Turenne.
    Un article de l’IREF Europe


    La Commission européenne a un mérite, celui d’avoir fait céder la France sur l’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence en mettant fin au monopole d’Engie et d’EDF. Cependant, la Commission est restée très souple. Elle a temporairement autorisé le maintien de dispositifs de régulation. Ainsi, en France l’énergie est dans un entre-deux (en partie libéralisée, en partie régulée). Ce système montre de plus en plus ses limites dans un moment de hausse exponentielle des prix. Il est coûteux pour le contribuable et limite les marges des fournisseurs.

    Un système archaïque et faillible en temps de crise

    En France, l’État planifie et organise le marché de l’énergie. Au travers du Conseil de régulation de l’énergie (CRE), il fixe les tarifs réglementés du gaz et de l’électricité qui s’appliquent aux deux opérateurs historiques. Forcé et contraint par la Commission européenne, l’État mettra fin en 2023 au tarif réglementé du gaz, mais pas à celui de l’électricité. Nous sommes le dernier pays d’Europe à avoir conservé des reliquats de l’époque des grands monopoles d’État. Ces mécanismes de fixation des prix au niveau national n’ont plus de sens alors que le marché de l’électricité est européanisé et que les prix du gaz se fixent sur les marchés internationaux.

    Par ailleurs, la loi et le droit disposent de plusieurs mécanismes de régulation. Le gouvernement s’est appuyé sur l’article R 445-5 du Code de l’énergie pour bloquer les prix du gaz en octobre dernier jusqu’à juin prochain au minimum. Ces mécanismes ont la vertu d’être intéressants d’un point de vue électoral mais ils ne sont pas sans rappeler les pratiques des États socialistes. Les conséquences économiques de telles décisions sont importantes pour la trésorerie des fournisseurs et pour les finances publiques. Les consommateurs ne subissent pas de hausse sur leurs factures dans l’immédiat mais ils la paieront plus tard, en impôts ou sur leurs futurs contrats d’électricité et de gaz. Le terme de « blocage » des prix du gaz cache donc une réalité plus complexe.

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  46. La situation sur les marchés empire

    Le CRE doit relever le tarif réglementé de l’électricité au 1er février et pour les six prochains mois. Le gouvernement s’était engagé en octobre dernier à limiter cette hausse à 4 %. Cependant, les prix de l’électricité sur les marchés, qui oscillent entre 200 et 400 euros le MWh, ne le permettent pas pour l’heure : les membres de l’autorité administrative anticipent une hausse de 40 %. Le ministre de l’Économie a promis de réduire la TICFE à pratiquement zéro, ce qui représente 8 milliards pour les finances publiques et conduirait à limiter l’augmentation des prix entre 23 et 25 %. La facture du bouclier tarifaire est en train d’exploser, le gouvernement tablait sur un coût initial de 10 milliards mais les estimations les plus optimistes se situeraient autour de 14 milliards. La situation pourrait alors devenir critique pour les finances publiques déjà mises à mal par le « quoi qu’il en coûte », des décennies d’endettement et des politiques publiques erratiques.

    La gauche pointe le marché comme responsable de ces hausses mais personne n’osait critiquer la libéralisation lorsque les prix de l’électricité atteignaient péniblement 40 euros du MWh en 2020. Encore une fois, nos politiques se trompent dans leur constat. Des décennies de régulation et de contrôle des prix ont limité les marges des fournisseurs d’électricité et les placent dans une situation économique fragile. Désormais, ils doivent assumer les conséquences du blocage des prix. Tout cela pèse sur les perspectives d’investissement et d’emploi.

    Les conséquences économiques sur les fournisseurs

    Si la France a en partie cédé à la Commission européenne sur la libéralisation, elle a maintenu des dispositifs de régulation. En effet, pour contenter les concurrents d’EDF et éviter une séparation entre les activités de production et de fourniture d’EDF, les fonctionnaires de la Direction générale de l’énergie ont imaginé en 2009 le dispositif dit ARENH (accès régulé à l’énergie du nucléaire historique). La loi Nome l’instaura en 2010, elle oblige EDF à vendre 100 TWh d’électricité nucléaire à ses concurrents. Le CRE est chargé de répartir les TWh selon les besoins de chacun. L’ARENH garantit un prix de 42 euros/ MWh qui, en 2010, prenait en compte l’amortissement du parc nucléaire existant. Seulement EDF a, depuis, entamé « le Grand Carénage », c’est-à-dire les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires dont le coût total (estimé à 1 milliard par réacteur) rend le prix de l’ARENH obsolète. Pire, lorsque les prix du marché sont bas, personne n’achète de l’ARENH et ne pouvant vendre ces 100 TWh sur le marché, EDF perd de l’argent. Quand les prix grimpent, tous les fournisseurs au contraire réclament de l’ARENH et EDF, ne pouvant vendre au prix du marché, perd aussi de l’argent.

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  47. Les fournisseurs alternatifs à EDF réclament une augmentation du plafond de l’ARENH alors que les prix explosent sur le marché de gros. Mais un problème de taille demeure : 17 des 56 réacteurs de notre pays sont actuellement à l’arrêt. De fait, une augmentation du plafond de l’ARENH de 100 à 120 TWh comme l’envisage le gouvernement, contraindrait EDF à acheter le surplus sur le marché de gros et à le vendre à 46 euros. Le président d’EDF estime que cela coûterait entre 7 et 8 milliards d’euros au groupe. N’oublions pas que les pertes seront comblées par… l’État, actionnaire à hauteur de 84 %. Le contribuable devrait donc repasser à la caisse.

    Enfin cette crise vient rappeler la nécessité pour la France de mettre en pratique le projet Hercule voulu par la Commission, à savoir la séparation entre les activités de production d’électricité et les activités de fourniture. L’effectivité de la réforme rendrait de fait obsolète le mécanisme de l’ARENH et pourrait donner une certaine visibilité aux acteurs du marché. Le rôle de l’État dans les entreprises d’énergie doit aussi être repensé, il y a un conflit d’usage entre les intérêts d’EDF et les intérêts propres à l’Etat en tant que puissance publique. De fait, la privatisation des activités de fourniture d’EDF conduirait à une gestion moins confuse de la crise.

    https://www.contrepoints.org/2022/01/24/419855-energie-effets-pervers-de-la-regulation-du-marche-en-france

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  48. ÉLECTRICITÉ : BULB, LE DERNIER FOURNISSEUR ALTERNATIF EN DATE À JETER L'ÉPONGE


    par ANTON KUNIN
    24/01/2022


    Au Royaume-Uni, Bulb avait autant de clients que les 20 autres fournisseurs alternatifs réunis ayant fait faillite depuis l'automne 2021.

    Sale temps pour les fournisseurs alternatifs d’électricité… et leurs clients. Après E.Leclerc Énergies en octobre 2021 et Hydroption en décembre 2021, c’est au tour d’un autre fournisseur, Bulb, d’arrêter la fourniture de courant à ses clients.

    Bulb : le dispositif de couverture des risques financiers n’avait pas suffi

    La flambée des cours d’électricité impacte lourdement les fournisseurs alternatifs. Avant le début de la crise énergétique à l’automne 2021, La France comptait une quarantaine d’entre eux. Mais depuis, les dépôts de bilan se multiplient. Après E.Leclerc Énergies en octobre 2021 et Hydroption en décembre 2021, c’est Bulb qui jette l’éponge en France.

    Il faut savoir que Bulb est une filiale du fournisseur britannique Simple Energy, 7e fournisseur dans le pays. Fin novembre 2021, il a été placé sous administration judiciaire après une déroute financière. Le 11 janvier 2022, le Financial Times révélait que Simple Energy avait en place un dispositif de couverture de risque pour faire face aux soubresauts du marché de gros. Mais ces précautions se sont avérées insuffisantes, et Simple Energy a épuisé ses lignes de crédit.

    La déroute financière de Simple Energy ne date pas d’hier

    Les documents élaborés par l’administration provisoire, consultés par le Financial Times, montrent aussi que Simple Energy avait essayé de trouver un repreneur. Plusieurs fournisseurs alternatifs avaient manifesté leur intérêt, mais après avoir étudié sa situation financière, en novembre 2021, ils ont tous choisi de ne pas le faire. Une tentative de vente de la filiale française avait également été entreprise en décembre 2021, sans succès.

    En France, les clients de Bulb ont été automatiquement transférés chez EDF, depuis le 20 janvier 2022. Ils ont été abonnés d’office au tarif réglementé, l’offre standard du fournisseur historique, sans coupure de courant.

    http://www.economiematin.fr/news-bulbe-arret-activite-fournisseur-electricite

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  49. L'éruption du volcan Tonga a produit des ondulations concentriques mystérieuses et déroutantes dans l'atmosphère


    Dimanche 23 janvier 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Les scientifiques sont déconcertés par une étrange série d'ondulations qui ont été observées dans l'atmosphère terrestre à la suite de la récente éruption du volcan tongien.

    L'imagerie satellite montre un schéma inhabituel d'ondes de gravité qui n'a pas été vu dans le passé avec des éruptions volcaniques. Se pourrait-il qu'un certain type d'armement ait été impliqué pour provoquer la récente éruption aux Tonga ?

    "C'est vraiment unique", a commenté Lars Hoffman, un scientifique de l'atmosphère au Jülich Supercomputing Center en Allemagne. "Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les données auparavant."

    La découverte a été faite sur des images recueillies par le sondeur infrarouge atmosphérique (AIRS), qui est monté sur le satellite Aqua de la NASA. Il a capturé les vagues dans les heures qui ont suivi l'éruption du volcan Hunga Tonga-Hunga Ha?apai le 14 janvier.

    Des dizaines de cercles concentriques pouvaient être vus, chacun représentant une onde se déplaçant rapidement dans les gaz atmosphériques qui s'étendait sur plus de 16 000 kilomètres. Ces vagues ont atteint la surface de l'océan jusqu'à l'ionosphère.

    Les chercheurs pensent également que ces ondes ont fait plusieurs fois le tour du globe avant de se dissiper.

    "Cet instrument fonctionne depuis environ 20 ans maintenant et nous n'avons jamais vu d'aussi beaux modèles d'ondes concentriques", a ajouté Hoffman.

    Des armes nucléaires ont-elles été impliquées dans l'éruption du volcan tongien ?

    Les ondes de gravité atmosphériques se produisent lorsque les molécules d'air dans l'atmosphère se répartissent verticalement plutôt qu'horizontalement. Cela peut se produire lorsque le vent accélère et monte au sommet d'une montagne, par exemple, ou à la suite de la convection dans les systèmes météorologiques locaux.

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  50. Il ne s'agit pas d'attaque 'nucléaire' (bombe atomique !) mais 'seulement' une action (de plus) d'HAARP. C'est un essai.

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  51. Fruits et légumes : nous ne sommes pas emballés !


    24 Janvier 2022
    André Heitz*



    Une nouvelle réglementation interdisant les emballages plastiques des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir. Ce fut priorité à la bien-pensance et la démagogie au détriment de l'efficacité économique et sociale.

    Le 1er janvier 2022 est entré en application le Décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l'obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique.

    Père Ubu a encore frappé

    Il définit notamment... les notions de « fruits et légumes » (!), de « conditionnement » et de « matière plastique », le cas échéant par référence à d'autres textes, histoire de compléter le labyrinthe législatif (mais le résumé explicatif initial vient un peu à notre secours).

    Si nous avons bien compris, le ruban adhésif entourant une botte de poireaux est concerné par le dispositif.

    Pour la partie vraiment opérationnelle, le décret définit les fruits et légumes qui sont – provisoirement – exemptés de l'obligation mentionnée dans son titre. C'est un catalogue à la Prévert. Le premier des sept points, par exemple, se lit :

    « 1° Les tomates à côtes, les tomates allongées relevant du segment Cœur, les tomates cerises ou cocktail (variétés miniatures), les oignons primeurs, les navets primeurs, les choux de Bruxelles, les haricots verts, le raisin, les pêches, les nectarines, et les abricots, jusqu'au 30 juin 2023 ».

    Ici, ce n'est pas vraiment dramatique sur le plan de la sécurité sanitaire des aliments. Mais que penser, par exemple, des jeunes pousses (exemptées jusqu'au 31 décembre 2024) ou encore des graines germées (exemptées jusqu'au 30 juin 2026) ?

    La frénésie anti-plastiques a visiblement pris le dessus sur les contingences pratiques et, on peut le craindre, la santé publique.

    Un monument d'« écologie punitive »

    Le décret a été pris pour l'application de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire dont l'article 77 prévoit notamment :

    « A compter du 1er janvier 2022, tout commerce de détail exposant à la vente des fruits et légumes frais non transformés est tenu de les exposer sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique. Cette obligation n'est pas applicable aux fruits et légumes conditionnés par lots de 1,5 kilogramme ou plus ainsi qu'aux fruits et légumes présentant un risque de détérioration lors de leur vente en vrac dont la liste est fixée par décret. »

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  52. À notre sens, le décret n'est pas conforme à la loi en ce qu'il prévoit des dates limites pour les fruits et légumes délicats. Mais le législateur pourra toujours prendre conscience de sa bourde et la corriger le moment venu... l'espoir fait vivre.

    Cet article 77 est un monument d'« écologie punitive ». Tenez :

    « A compter du 1er janvier 2022, la mise sur le marché de sachets de thé et de tisane en plastique non biodégradable au sens du 16 de l'article 3 de la directive (UE) 2019/904 du Parlement européen et du Conseil du 5 juin 2019 relative à la réduction de l'incidence de certains produits en plastique sur l'environnement est interdite. Les modalités d'application de cette interdiction sont définies par décret en Conseil d'Etat. »

    À notre connaissance, il n'y a pas de décret...

    Les deux paragraphes précités illustrent l'incongruité législative et, pour tout dire, l'irresponsabilité de leurs auteurs : toute matière plastique est interdite dans le cas des fruits et légumes – et on dira adieu en particulier au film transparent qui permet au consommateur de voir ce qu'il achète et au distributeur, la qualité de ce qu'il a en rayon ; dans le cas du thé et des tisanes, seuls les plastiques non biodégradables sont interdits.

    Le paysage – s'agissant des fruits et légumes – ne serait pas complet sans l'évocation d'une autre interdiction, proposée par M. François-Michel Lambert, qui bouleverse tellement les mœurs commerciales qu'elle a fait l'objet d'un article séparé, le 80 (le précédent traite des lave-linges et le suivant, de « la mise à disposition, à titre gratuit, de jouets en plastique dans le cadre de menus destinés aux enfants »...) :

    « Au plus tard le 1er janvier 2022, il est mis fin à l'apposition d'étiquettes directement sur les fruits ou les légumes, à l'exception des étiquettes compostables en compostage domestique et constituées en tout ou partie de matières biosourcées. »

    Il y a aussi dans l'article 77 l'interdiction à compter du 1er janvier 2021 des « tiges de support pour ballons et leurs mécanismes, à l'exception des tiges et mécanismes destinés aux usages et applications industriels ou professionnels et non destinés à être distribués aux consommateurs ».

    Le législateur a même prévu une interdiction à compter du 1er janvier 2020 dans une loi du 10 février 2020 (« pour les gobelets et verres ainsi que les assiettes jetables de cuisine pour la table »). C'est manifestement une bourde, mais cela illustre le niveau de délabrement de l'activité législative.

    Pour rappel, les cotons-tiges avec tige en plastique et les piques à steaks ont été interdits le 1er janvier 2020 et 2021, respectivement.

    La dysenterie législative

    Le Gouvernement a déposé son projet de loi le 10 juillet 2019 et a engagé la procédure accélérée (une seule lecture dans chaque chambre). On peut considérer que c'est là un usage abusif de cette procédure. C'était du temps de Mme Brune Poirson, qui portait le projet, et de M. François de Rugy.

    (Source)

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  53. Le projet de loi comportait 13 articles. La loi adoptée en comporte... 130.

    Manifestement, les lectures uniques n'ont pas fait obstacle à l'inventivité de nos élus : 1.741 propositions d'amendement à l'Assemblée Nationale (avec cependant de nombreux doublons dûs en partie au fait que les lobbies démarchent tous azimuts).

    C'est dans les commissions qu'ont été adoptées les mesures relatives aux fruits et légumes. L'interdiction des emballages avait fait l'objet de plusieurs propositions.

    Tout pour la démagogie, rien pour l'économie

    Notre inter-titre est peut-être un peu sévère.

    Mais voici, par exemple, le début de l'exposé des motifs de la proposition CD1009 du groupe La République en Marche (LaREM) :

    « La pratique du sur-emballage des produits alimentaires, et notamment des fruits et légumes est aujourd’hui largement répandue au sein des commerces de détails. Si un tel conditionnement peut faire sens pour certains types de produits, notamment fragiles, cette pratique n’est plus acceptée par les consommateurs. »

    On peut trouver le choix de « sur-emballage » fort contestable. Et quel est le motif principal de la proposition ? La démagogie sous la forme d'une réponse à une opinion de consommateurs que l'on n'aura même pas pris la peine de consulter...

    Dans une veine similaire, Mme Mathilde Panot et le groupe la France Insoumise écrivent dans la proposition CD1200 :

    « Les fruits et légumes disposent d’un emballage naturel. A quoi bon imposer au consommateur un emballage plastique sans intérêt ? Certaines chaînes de la grande distribution ont d’ores et déjà mis en place un système de marquage sur les fruits et légumes biologiques pour ne pas recourir au plastique. »

    Mme Graziella Melchior (LaREM), rapporteure de la Commission des Affaires Économiques, écrit pour sa part dans la proposition CE358 :

    « Pour mettre en œuvre cette disposition les commerces de détails pourront choisir de passer commande de fruits et légumes livrés en cagette en bois, qui servaient traditionnellement de support de présentation aux commerçants, soit d’opter pour un déconditionnement des fruits et légumes dans le commerce, ces conditionnements étant alors soumis aux obligations de tri des déchets en plastique prévues par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. »

    On imagine le producteur qui emballe... le distributeur qui désemballe... Il faudra pourtant s'y résoudre dans certains cas pour limiter les pertes – le gaspillage alimentaire – jusqu'au stade de la commercialisation, quitte à ce qu'il augmente après chez le consommateur.

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  54. En revanche, les députés se sont opposés à un amendement de suppression de l'interdiction de l'emballage qui visait à ne pas porter préjudice à l'agriculture biologique (N° 654), interdiction qui, selon l'exposé des motifs, « risque [...] de porter préjudice au développement de la bio, étant donné que ces produits se doivent d’être vendus pré-emballés pour des raisons de traçabilité [et] d’augmenter le risque de fraudes ou d’erreurs et ce, au détriment du consommateur final ».

    Ils ont également rejeté des amendements qui tendaient à faire une exception pour les emballages permettant d'allonger la durée de conservation.

    Pourtant, le sous-amendement CD1815 de Mme Annie Genevard (les Républicains) et cinq autres donnait des indications : par exemple, pour le haricot vert, 3-4 jours de conservation en vrac contre 14 jours avec calcul de perméabilité limitant la dessiccation et le flétrissement. Comme on l'a vu ci-dessus, le décret du Gouvernement a prévu une exception, mais jusqu'au 30 juin 2023 seulement.

    Notons incidemment que cette interdiction signifiera vraisemblablement la fin des haricots effilés en provenance de pays comme le Kenya (où l'activité économique apporte des revenus importants à des femmes).

    Mais ce sont surtout les intérêts des consommateurs qui sont passés à la trappe. Tant pis pour les ménages, souvent modestes, qui sont contraints de faire leurs courses une fois par semaine.

    Les députés ont aussi accordé le sursis à l'apposition directe d'étiquettes sur les fruits et légumes, pour autant que les étiquettes soient « environnementalement correcte » (voir par exemple la proposition N° 815, qui a été rejetée).

    Et maintenant ?

    La France, meilleure élève de la classe... Mme Brune Poirson a bien le droit d'y croire... (source)

    À voir et entendre certains micro-trottoirs aux informations, les consommateurs seraient ravis. Biais de sélection des interviewés, sans doute, ainsi que naïveté et enthousiasme devant une mesure annoncée et perçue comme une avancée pour l'environnement.

    En fait, on verra à l'usage, au fur et à mesure que les productions arriveront sur le marché, tant pour l'environnement que pour la sécurité alimentaire, tant pour le gaspillage alimentaire que pour le confort du consommateur. Des boîtes en carton, même ajourées, ne permettent pas de voir précisément ce que l'on achète (et, dans le cas du distributeur, ce que l'on garde en rayon).

    On pourrait paraphraser ici Le bon, la brute et le truand :

    « Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet législatif chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses ».

    Ces interdictions ont ceci de particulier qu'elles ont été décidées sans études de faisabilité et d'impact préalables, et avec un délai de mise en vigueur insuffisant pour mettre au point et tester de réelles solutions de remplacement.

    Dans le cas des étiquettes collées sur les fruits et légumes, M. Daniel Sauvaitre, secrétaire général de l’Interprofession des Fruits et Légumes (Interfel) et président de l’Association Nationale Pommes Poires (ANPP) a déclaré au Figaro :

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  55. « Technologiquement, on ne sait pas faire et on ne sera pas prêt pour le 1er janvier prochain [2022, l'entretien a été accordé avant]. »

    Du reste, Interfel a demandé le report de la mesure au Gouvernement.

    Cerise sur le gâteau, Interfel a trouvé que cette disposition ne s'applique pas aux fruits et légumes importés ! Les géants de la banane, par exemple, pourront apposer leur marque, les producteurs français ultramarins ne pourront pas faire valoir leur spécificité... On dit bravo !

    Le drame est devenu classique. « On » légifère avec une échéance un peu lointaine, ce qui permet de ne pas devoir assumer de suite les conséquences : « L'intendance suivra »... Yaka...

    Et « légiférer » s'entend au sens directif, restrictif, punitif... car il s'agit de « sauver la Planète ». La notion d'économie libérale, de libre entreprise, éventuellement guidée par des mesures incitatives mais capable de prendre les bonnes orientations toute seule, n'entre pas dans leur ordre de mission.

    L'économie et la société françaises vont souffrir ? Tant pis ! Europe 1 a produit un article alarmiste, le 27 décembre 2021, « Fin des emballages en plastique : des fruits et légumes pourraient disparaître des rayons ». Si certains fruits et légumes ne disparaissent pas, ce sera sans doute au prix d'un renchérissement, et de la disparition des producteurs et conditionneurs les plus fragiles.

    Imaginez le gaspillage économique : un conditionneur – un producteur agricole ou une coopérative par exemple – investit en 2019 dans une chaîne d'emballage avec filmage plastique. Fin 2019, des députés lui signifient qu'il peut mettre son outil au rebut... À noter que le remplacement du plastique du contenant par du carton se heurte déjà au renchérissement du carton.

    Pour conclure, voici trois tweets explicite d'une experte, Mme Kako Naït Ali. Le premier se rapporte aux haricots du Kenya.

    (Source du premier)
    _____________

    * André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

    Une version de cet article a été publiée dans Contrepoints.

    https://seppi.over-blog.com/2022/01/fruits-et-legumes-nous-ne-sommes-pas-emballes.html

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    1. Heureusement existent de grands sacs en plastique bien épais appelés 'sacs poubelles' !

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  56. Éruption des Tonga équivalente à des centaines d'Hiroshima, selon la NASA


    24 JANVIER 2022


    L'éruption a recouvert le royaume insulaire d'environ 100 000 habitants d'une couche de cendres toxiques.
    L'éruption volcanique des Tonga a déclenché des forces explosives qui ont éclipsé la puissance de la bombe atomique d'Hiroshima, ont déclaré des scientifiques de la NASA, alors que des survivants décrivaient lundi comment l'explosion dévastatrice du Pacifique "a bousillé nos cerveaux".

    L'observatoire de la Terre de la NASA a déclaré que le volcan Hunga Tonga-Hunga Ha'apai avait craché des débris jusqu'à 40 kilomètres (25 miles) dans l'atmosphère lors de l'éruption du 15 janvier qui a déclenché d'énormes vagues de tsunami.

    "Nous pensons que la quantité d'énergie libérée par l'éruption équivalait à quelque part entre cinq et 30 mégatonnes (cinq à 30 millions de tonnes) de TNT", a déclaré le scientifique de la NASA Jim Garvin dans un communiqué de presse.

    La NASA a déclaré que l'éruption était des centaines de fois plus forte que la bombe atomique américaine larguée sur la ville japonaise d'Hiroshima en août 1945, estimée à environ 15 kilotonnes (15 000 tonnes) de TNT.

    L'agence a déclaré que l'éruption avait "oblitéré" l'île volcanique à environ 65 kilomètres (41 miles) au nord de la capitale tongane Nuku'alofa.

    Il a recouvert le royaume insulaire d'environ 100 000 habitants d'une couche de cendres toxiques, empoisonnant l'eau potable, détruisant les récoltes et anéantissant complètement au moins deux villages.

    Il a également fait au moins trois morts aux Tonga et entraîné la mort par noyade de deux baigneurs au Pérou après que des vagues anormales ont frappé le pays sud-américain.

    Les autorités péruviennes ont déclaré une catastrophe environnementale après que les vagues ont frappé un pétrolier en train de décharger près de Lima, créant une énorme nappe le long de la côte.

    Aux Tonga, l'ampleur des destructions reste incertaine après la coupure des communications avec les îles éloignées.

    La journaliste de Nuku'alofa, Mary Lyn Fonua, a déclaré que les habitants acceptaient toujours l'ampleur de la catastrophe.

    "C'est tellement au-delà de ce que n'importe qui ici a jamais vécu", a-t-elle déclaré à l'AFP.

    "L'onde de choc de l'éruption vient de gâcher nos cerveaux, nous commençons tout juste à revenir à la normale maintenant."

    Fonua a déclaré que la fine couche de crasse grise recouvrant tout s'avérait difficile à vivre et suscitait des inquiétudes concernant les problèmes de santé à long terme.

    "Ça va partout", dit-elle. "Ça irrite les yeux, on a des plaies au coin de la bouche, tout le monde a les ongles noircis, on a l'air d'être sales.

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  57. "Nous avons besoin d'un bon déluge tropical pour tout emporter."

    Les forces de défense japonaises, néo-zélandaises et australiennes ont commencé à livrer des secours d'urgence, en particulier de l'eau, tout en maintenant des protocoles COVID-19 stricts pour préserver le statut indemne de virus des Tonga.

    https://phys.org/news/2022-01-tonga-eruption-equivalent-hundreds-hiroshimas.html

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  58. "Les casques sont tout simplement ennuyeux": l'inventeur de Playstation dit qu'il "ne voit pas l'intérêt" de la réalité virtuelle et du métaverse


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 24 JANVIER 2022 - 04:15


    L'inventeur de la PlayStation - l'une des consoles de jeu les meilleures et les plus connues - ne pense pas trop à la réalité virtuelle ou au métaverse.

    Ken Kutaragi, qui est responsable de la console populaire de Sony, affirme que la réalité virtuelle et la réalité augmentée "divisent" les domaines réel et virtuel, plutôt que de les unifier, selon une nouvelle interview avec Bloomberg.

    Kutaragi, qui a maintenant 71 ans, a déclaré à Bloomberg : "Être dans le monde réel est très important, mais le métaverse consiste à rendre le quasi-réel dans le monde virtuel, et je ne vois pas l'intérêt de le faire."

    Il a poursuivi : « Vous préférez être un avatar poli plutôt que votre vrai moi ? Ce n'est essentiellement pas différent des sites de messagerie anonymes.

    Kutaragi est maintenant le directeur général d'Ascent Robotics, qui cherche à mélanger le monde réel avec le cyberespace.

    "Les casques vous isoleraient du monde réel, et je ne peux pas être d'accord avec cela. Les casques sont tout simplement ennuyeux », a-t-il déclaré à Bloomberg.

    Son entreprise, Ascent, se concentre plutôt sur la technologie qui transforme les objets du monde réel en données lisibles par ordinateur, selon l'interview. Il vise à aider les clients du commerce de détail et de la logistique. La société est "secrète sur les détails de ses plans à long terme", a ajouté Bloomberg.

    "Les robots actuels n'ont pas de logiciels et de capteurs qui peuvent égaler les humains pour comprendre le monde réel et réagir aux choses qu'ils voient pour la première fois, et notre objectif à court terme est d'offrir une solution à cela", a-t-il poursuivi.

    "Parce que vous voulez que les robots soient capables de créer une variété de choses, pas seulement d'innombrables unités de la même chose", a-t-il ajouté.

    Commentant ses ambitions d'utiliser les données visuelles collectées par les robots d'Ascent pour reproduire des scènes numériques dans le monde réel, il a conclu : « Je ne prévois pas de passer une décennie ou deux à faire de mes rêves une réalité. J'ai 71 ans et le temps presse.

    https://www.zerohedge.com/markets/headsets-are-simply-annoying-playstation-inventor-says-he-cant-see-point-vr-and-metaverse

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  59. Le véhicule électrique a besoin de 13 heures de congélation pour parcourir 650 km avec 3 arrêts de charge et sans chauffage


    January 25th, 2022


    Un journaliste automobile allemand a acheté une nouvelle voiture VW e-Up à Wolfsburg et a parcouru les 650 km jusqu'à Munich. Mais le temps était glacial et pour aller plus loin à chaque charge, Lisa Brack a éteint le chauffage la plupart du temps. Elle avait encore besoin de trois arrêts de charge et a mis 13 heures pour rentrer chez elle.

    Gosselin a déclaré qu'une voiture diesel terminerait généralement ce voyage en sept heures sans arrêt de carburant (et avec un chauffage en marche).

    13 heures de conduite et de charge

    Le temps sous le point de congélation était un inconvénient majeur pour la voiture électrique VW. Selon le kreiszeitung.de, "le chauffage est resté éteint pendant presque tout le trajet à des températures glaciales" afin de ne pas décharger la batterie si rapidement. Cela signifiait que pour survivre au voyage, Brack devait emporter une généreuse provision de "chapeaux, écharpes, gants et vêtements généralement chauds"...

    Selon le kreiszeitung.de, elle a commis l'erreur cruciale de charger trop rarement et a perdu beaucoup de temps à charger les batteries à 100 % au lieu de 80 % (les 20 derniers % prennent le plus de temps). "Chargez plus vite, acceptez un peu moins d'autonomie et rechargez plus tôt - mais encore plus vite."

    "Une seule charge de plus aurait permis d'économiser 1,5 heure", a-t-elle commenté.

    Ainsi, avec une meilleure planification, elle n'a eu besoin que de 4,5 heures supplémentaires. Imaginez si elle avait eu des passagers et des valises et que son véhicule électrique avait 10 ans ?

    h/t Jim Simpson

    https://joannenova.com.au/2022/01/ev-needs13-freezing-hours-to-get-650-km-with-3-charging-stops-and-no-heater/

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  60. La Cour suprême accepte d'entendre une affaire qui pourrait mettre fin à l'utilisation de la race dans les admissions à l'université


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 24 JANVIER 2022 - 10:00


    Suite à une poignée d'affaires historiques portées par le DoJ accusant les collèges de désavantager injustement les candidats asiatiques et blancs, la Cour suprême vient de décider d'entendre des arguments qui pourraient l'amener à rompre radicalement avec le précédent pour interdire la prise en compte de la race dans les candidatures aux collèges.

    L'AP a rapporté que SCOTUS avait accepté d'entendre la contestation du statu quo, ce qui pourrait entraîner le plus grand changement dans le cadre juridique entourant les admissions à l'université - considéré comme une porte d'entrée clé vers le rêve américain méritocratique - depuis 2003, lorsque Grutter contre Bollinger a réaffirmé que les universités peuvent tenir compte de la race pour créer un corps étudiant « racialement diversifié », au profit de tous les étudiants. Mais les précédents remontent à des décennies, jusqu'au Civil Rights Act de 1964.

    Le tribunal a choisi d'entendre un appel des étudiants pour des admissions équitables, un groupe d'activistes travaillant à mettre fin aux préjugés contre les candidats asiatiques dans les meilleures universités. Il a également choisi d'entendre les appels de Harvard et d'autres universités prestigieuses demandant que le précédent soit confirmé.

    "Grutter a tort, est immoral et peu persuasif, et n'a pas bien vieilli", a soutenu le groupe, Students for Fair Admissions, dirigé par l'opposant de longue date aux préférences Edward Blum.

    Malheureusement pour les étudiants pour des admissions équitables, l'administration Biden prend le parti opposé, les avocats de l'administration interjetant appel aux côtés de Harvard et de sa coterie d'écoles d'élite.

    Dans son opinion historique pour la majorité, la juge Sandra Day O’Connor, une républicaine nommée par le président Ronald Reagan, a prédit que les préférences raciales ne seraient plus nécessaires dans 25 ans. Cependant, Harvard insiste sur le fait que ces méthodes sont toujours absolument nécessaires.

    "Les universités à travers le pays ont suivi ce précédent en structurant leurs processus d'admission", a expliqué Harvard. "Et le public américain s'est tourné vers ce précédent pour s'assurer que la nation reconnaît et valorise les avantages de la diversité et que la voie vers le leadership est ouverte à tous."

    De nombreux tribunaux inférieurs ont rejeté la contestation de la SFA, y compris la 1ère Cour d'appel du circuit américain basée à Boston, qui a confirmé la politique de Harvard dans une décision 2-0. L'affaire portera sur l'interprétation - ou la réinterprétation - par la Cour du titre VI de la loi sur les droits civils de 1964, qui interdit la discrimination raciale par les universités qui reçoivent un financement fédéral.

    L'affaire sera probablement entendue lors de la session de la Cour qui débutera en octobre.

    https://www.zerohedge.com/political/supreme-court-agrees-hear-case-could-end-use-race-college-admissions

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