Le côté obscur du métaverse exposé : pourquoi vos enfants doivent rester à l'écart de VRChat
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 08:45
Les parents qui ont acheté à leurs enfants l'Oculus Quest 2 pour Noël pourraient être surpris car il y a eu plusieurs cas de toilettage d'enfants dans l'un des services de chat les plus populaires du casque de réalité virtuelle, VRChat.
VRChat est une plate-forme de monde virtuel en ligne où les utilisateurs ont un premier aperçu du métaverse et utilisent des avatars complets pour dissimuler leur identité. Il y a eu des cas de maltraitance d'enfants, de harcèlement, de racisme et de pornographie sur le service de chat populaire.
Un clip partagé par le YouTuber "VSF Studios" partage plusieurs exemples d'un énorme problème dans VRChat : l'exploitation et la sexualisation des enfants.
VSF Studios a déclaré que VRChat n'est "pas un endroit pour les enfants".
Le premier exemple qui a "vraiment secoué" le YouTuber a été de voir une fille mineure dans un corps de 12 ans danser pour un Japonais de 40 ans. Il a dit que c'était "dégoûtant, c'est le moins qu'on puisse dire".
- voir clip sur site -
Il y a peut-être un côté sombre du métaverse qui doit être discuté, et c'est la facilité avec laquelle il connecte les utilisateurs aux prédateurs.
Comment la révolution du schiste a sauvé l'Europe d'une grande panne d'électricité
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 23 JANVIER 2022 - 08:10 Écrit par Daniel Lacalle,
En octobre, les gouvernements autrichien et néerlandais ont mis en garde contre le risque d'un "grand black-out". La flambée des prix du gaz naturel, le manque de sécurité d'approvisionnement et les perspectives difficiles des livraisons par pipeline depuis la Russie ont rendu les gouvernements extrêmement nerveux quant aux chances de fournir une énergie bon marché et fiable aux foyers en hiver.
Cependant, un allié inattendu a empêché une crise énergétique en Europe et, ironie du sort, c'est un allié qui a été interdit dans la plupart des pays européens : le gaz de schiste.
Environ la moitié des volumes record de gaz naturel liquéfié aux États-Unis expédiés en décembre 2021 sont allés en Europe, contre 37 % plus tôt en 2021, selon l'Energy Information Administration des États-Unis.
Alors que la plupart des nations européennes ont interdit l'exploration et le développement des ressources nationales de gaz naturel il y a de nombreuses années, les États-Unis disposent d'approvisionnements abondants et compétitifs grâce à la révolution du pétrole et du gaz de schiste, qui a rendu le pays presque indépendant sur le plan énergétique. La production nationale de gaz naturel a dépassé la demande américaine d'environ 10 %, selon Reuters.
Il y a une leçon pour les États-Unis ici. De nombreuses politiques énergétiques européennes ont été dirigées par des idéologies, et les subventions énergétiques massives et l'intervention politique n'ont pas renforcé la compétitivité de l'économie, sécurisé l'approvisionnement énergétique, ni même réduit de manière significative les émissions de carbone.
Le ministre allemand de l'Économie, Robert Habeck, a récemment mentionné que "nous manquerons probablement nos objectifs (d'émissions de gaz carbonique) pour 2021, également pour 2022, même pour 2023, ce sera déjà assez difficile", selon Zeit. L'Allemagne manquera ses objectifs climatiques pour 2021, car l'utilisation du charbon a considérablement augmenté tandis que l'utilisation des énergies renouvelables est restée presque stagnante. Après des centaines de milliards de subventions renouvelables, les factures des ménages sont 65% plus élevées qu'en 2006 selon la BDEW et le ministère de l'Energie.
Quelle a été l'erreur politique européenne ? Éliminer ou interdire l'énergie de base, bon marché et fiable (nucléaire et développement du gaz naturel domestique) et la compenser par des sources d'énergie intermittentes et volatiles - éolienne et solaire - trop tôt dans une transition technologique. Ceci, lorsque la demande augmente ou que la production solaire et éolienne diminue, met en péril la sécurité de l'approvisionnement et la compétitivité, car les prix atteignent des sommets sans précédent.
Les prix européens de l'électricité ont également atteint des niveaux records car le coût des émissions de gaz carbonique - une taxe cachée - est passé de 20 euros par tonne métrique à plus de 80. En raison de cette taxe cachée, les gouvernements européens collectent des dizaines de milliards d'euros en recettes fiscales, mais le fardeau retombe sur les entreprises et les familles.
Les prix de l'électricité résidentielle dans l'Union européenne entre 2010 et 2014 étaient en moyenne de près de 240 $/MWh, tandis qu'aux États-Unis, ils étaient en moyenne de près de 120 $/MWh, soit moins de la moitié des prix de l'UE. Les prix de l'essence et du gasoil étaient également deux fois plus chers dans la moyenne de l'Union européenne par rapport aux États-Unis. Cette tendance ne s'est pas améliorée du tout. En 2021, les prix de gros de l'électricité en Europe ont atteint un niveau record.
L'Europe doit comprendre que la technologie et la concurrence sont plus efficaces en termes de réduction des émissions de carbone tout en améliorant la compétitivité que la mise en œuvre de mandats politiques rigides et coûteux.
Le secteur de l'énergie est la clé de la décarbonation, mais il n'y parviendra pas par une intervention constante. Pour décarboner, le meilleur outil technologique est une combinaison de gaz naturel, nucléaire, hydraulique et énergies renouvelables. Mais les énergies renouvelables sont intermittentes, tandis que la consommation est continue. Alors que la technologie se développe, l'Europe doit garantir la sécurité de l'approvisionnement et une énergie abordable en tirant le meilleur parti de toutes les options possibles, en encourageant l'énergie verte et en réduisant les coûts pour les consommateurs.
Maintenant que les technologies renouvelables sont compétitives, la solution ne peut plus provenir d'une planification centrale, de marchés restreints, de subventions et de correctifs réglementaires. Elle doit provenir, comme aux États-Unis, de crédits d'impôt progressivement supprimés et d'une concurrence sur un marché ouvert, avec des contrats bilatéraux transparents.
L'Europe peut développer ses ressources nationales et accélérer les investissements dans les énergies propres grâce à une innovation technologique rapide. Le mot pour y parvenir est compétition. C'était une erreur d'interdire le développement des ressources en gaz naturel, mais une erreur encore plus grande de reprocher aux producteurs mondiaux de gaz de ne pas vendre à bas prix un produit que certains gouvernements ont rejeté. Les nations européennes ne peuvent pas dire aux producteurs mondiaux de pétrole et de gaz qu'ils n'utiliseront pas leurs ressources dans dix ans mais, en attendant, les producteurs doivent investir des milliards dans le développement et exporter une énergie bon marché et abondante.
L'Europe peut promouvoir la compétitivité, réduire les factures et progresser dans le domaine des énergies propres. Tout ce qu'il doit faire, c'est permettre aux industries de trouver des solutions réalistes et durables et laisser les marchés fonctionner.
A savoir que: Le dit 'gaz de shiste' est un gaz de surface propre à chaque pays du monde mais, que ce gaz n'a aucune compression !
Donc: pour le sortir (l'extraire) il faut le comprimer.
Pour le comprimer dans leurs nappes, il est donc nécessaire de passer par les explosifs afin de détruire les milliers de galeries et apporter donc une compression suffisante à son extraction ! Oui mais... les explosions touchent également les galeries souterraines d'arrivée d'eau maritimes et océaniques par infiltration jusqu'aux nappes phréatiques.
L'eau sale des océans (sels, défécations, etc, etc) est chauffée/brûlée par notre magma qui l'envoie sous forme de vapeurs vers les galeries qui sortent toutes propres en sources de montagnes et nappes phréatiques depuis des milliards d'années*. Or, cette eaux propre (claire, sans odeur ni couleur ni bactérie) est désormais polluées POUR TOUJOURS par les explosions sous terre !
C'est ce qui est arrivée aux États-Unis où à des centaines de kilomètres de l'explosion l'eau est sale et imbuvable pour toujours !!
* Rappel que l'eau que nous buvons et extraite de sources ou nappes phréatiques ne provient PAS de l'eau de pluies !! car l'eau de pluie n'infiltre que peu les sols et serait donc toute sale en traversant les immondices qui se trouvent sous terre (cette eau sale est parfois pompée pour irriguer les champs par canalisations ou aspersions).
« Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans », une tribune de M. Jean-Paul Pelras dans l'Opinion
23 Janvier 2022 Glané sur la toile 909
Dans « Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans », l'Opinion du 20 janvier 2022, M. Jean-Paul Pelras s'insurge devant de nouvelles mesures de « flicage » des agriculteurs de nature à exacerber les tensions dans les campagnes.
C'est, comme d'habitude, élégant et bien tourné, et percutant, mais dans ce cas précis, difficile à comprendre en l'absence de détails sur les événements qui ont suscité son courroux. Mais cela reste juste quant au fond.
(Source)
En chapô :
« Sachant que nous venons de perdre plus de 100 000 paysans en vingt ans, continuez à serrer la bride autour des pratiques agricoles françaises, et vous pourrez bientôt mettre vos contrôleurs au chômage car il ne restera plus un seul agriculteur à contrôler »
La mise en route :
« Les agriculteurs sont cernés. D’une part, avec le dispositif Phytosignal animé par les agences régionales de santé en Nouvelle-Aquitaine, dans les Pays de la Loire ou en Bretagne, qui permet, comme son nom l’indique, aux riverains de signaler l’épandage de produits phytosanitaires à proximité de leurs domiciles. Et, d’autre part, avec le lancement de sites Internet mis à disposition des préfectures pour renseigner sur les zones traitées. Deux dispositifs complémentaires qui, se rajoutent à ceux déjà existants et qui auront, a minima, le don d’exacerber les tensions dans nos campagnes si l’on considère le degré d’hystérie collective suscité par ce sujet.
Et voilà qu’après la délation suggérée par les ARS, la surveillance officielle, puisqu’elle est encouragée par votre ministère, s’ajoute à la stigmatisation d’un monde paysan déjà suffisamment contraint par les normes environnementales imposées. D’ailleurs, pourquoi contrôler avec autant de zèle ceux qui sont autorisés par ces mêmes normes à protéger leurs productions ? Si ce n’est, une fois encore, pour les décourager et les désigner implicitement. »
Les travaux sur « PhytoSignal » mis à l'arrêt
Le premier paragraphe porte sur le dispositif « PhytoSignal », qui avait, semble-t-il, pris corps dans le Sud-Ouest et devait être étendu à l'ensemble du territoire. La raison d'être du dispositif régional :
« Ces plaintes arrivent de manière dispersée à des interlocuteurs variés et il est donc difficile d’en réaliser un état des lieux exhaustif et d’assurer une gestion coordonnée. Un comité de pilotage régional a été créé en 2013 afin de mettre en place le dispositif PhytoSignal sur l’ensemble de l’Aquitaine. Ce comité, piloté par Santé publique France en région (Cire) Nouvelle Aquitaine et par l’ARS, réunit également le Service régional de l’alimentation (Sral) de la Draaf, Atmo Nouvelle Aquitaine, le CAP TV de Bordeaux et des Services communaux d’hygiène et de santé (SCHS). »
Le suivi des signalements selon des procédures documentées et la mise en ordre de marche de l'usine à gaz administrative se justifient sans nul doute. Ce n'est du reste pas nécessairement préjudiciable aux agriculteurs.
Mais le moment de la mise en route d'une extension à l'ensemble du territoire a peut-être été mal choisi, alors que Santé Publique France et l'ANSES ont lancé PestiRiv, « [u]ne étude inédite sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole ». Et surtout, cela s'est accompagné d'une publicité que l'on peut considérer comme une incitation à la délation ou une mesure donnant plus de corps à la délation et, surtout, aux récriminations.
- voir cadre sur site -
La « fiche de signalement d'un PhytoSignal » envisage que l'on puisse actionner les services publics sur la base d'une plainte quant à – dans l'ordre – l'odeur, le bruit, la pollution (kesako?), l'inquiétude, une demande d'information et, enfin, un « événement de santé ». Quel sens des priorités...
Le « plaignant » est aussi censé informer l'autorité d'une « [s]uspicion de vent fort (>19 km/h) ».
- voir cadre sur site -
La partie relative à l'évaluation et au suivi pose aussi problème : aucune case pour indiquer un signalement sans importance, voire sans cause et futile. Et c'est à ce stade que l'on peut trouver l'irritation de M. Jean-Paul Pelras fondée : celui qui épand un produit – pas forcément un agriculteur, cela peut aussi être un agent chargé de la lutte contre les moustiques – est présumé délinquant et coupable.
- voir cadre sur site -
Réussir rapporte dans « Julien Denormandie met le dispositif PhytoSignal en pause » :
« Depuis quelques semaines, le dispositif PhytoSignal, expérimenté en Nouvelle-Aquitaine, est suspendu. Le ministre de l’Agriculture n’est pas favorable, sous cette forme, à ce réseau d’information piloté par le ministère de la Santé. Il a demandé un retour d’expérience à l’Agence régionale de santé. »
Mme Barbara Pompili, ministre des annonces intempestives
L'information sur PhytoSignal s'est télescopée avec une autre le 11 janvier 2022.
Prenons-le aussi de Réussir : « ZNT : Barbara Pompili annonce des sites pour informer les riverains sur l’épandage des pesticides »:
« Interrogée sur RMC la ministre de la Transition écologique a annoncé que les riverains seraient informés de l'épandage des pesticides via des sites internet, dans le cadre des nouveaux textes réglementaires sur les ZNT. »
(Source)
Comme on l'a vu ci-dessus, M. Jean-Paul Pelras impute à Mme Barbara Pompili une volonté de stigmatiser et décourager les agriculteurs.
Il est sans aucun doute permis de contester son appréciation des motivations.
Avec le fameux aphorisme de Michel Rocard :
« Toujours privilégier l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante, le complot demande un esprit rare. »
Reconnaissons aussi qu'elle a été poussée dans ses retranchements sur un dossier sur lequel le gouvernement s'est enferré. Mais la déclaration est fracassante, selon Réussir :
« "Nos concitoyens ont le droit d’avoir toutes les informations possibles" sur les épandages de pesticides, a estimé Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, interviewée le 11 janvier sur RMC par Jean-Jacques Bourdin. Dans le cadre des nouveaux textes réglementaires sur les ZNT (zones de non traitement), "il y a aura des sites internet où on pourra avoir toutes les informations possibles", a poursuivi la ministre de la transition écologique, ce qui n’a pas manqué de faire réagir les agriculteurs sur les réseaux sociaux. »
Rapide demi-rétropédalage du Cabinet :
« Ces sites internet, a tempéré le cabinet de la ministre auprès de nos confrères d’Agra Presse, ne sont qu’une option à disposition des préfectures et des producteurs pour assurer l’obligation d’information prévue par les nouveaux décrets.
"Rien n’est imposé, mais tout est possible", assure l’entourage de Barbara Pompili. Charge ensuite aux préfets, souligne-t-on, "de s’assurer que les riverains seront bien informés". L’équipe du ministre de l’agriculture confirme également l’ouverture sur les modalités, en promettant que "l’État accompagnera". »
Mais il faut tout de même faire un constat amer : pour Calamity Barbie il y a « [n]os concitoyens [qui] ont le droit d’avoir toutes les informations possibles » et... les agriculteurs.
L'horreur dans le monde agricole empêche aujourd'hui les paysans de nourrir 7,900 milliards de personnes dans le monde ! à cause que les paysans osent donner à manger aux plantes !! (sous formes d'engrais appropriés NPK plutôt que du fumiers qui ne correspond pas à la nourriture des plantes. Voir les famines des siècles passés alors que 97 % de la populations étaient des paysans !!). Les ministères hégémonistes interdisent aussi l'emploi de remèdes (produits de traitements) contre les maladies et les insectes destructeurs de récoltes !! Leurs objectifs est d'apporter la FAMINE MONDIALE à notre planète ! Qui contrôle la nourriture et l'énergie contrôle le monde.
C'est aussi ce qui s'est passé avec l'arrivée d'un faux virus y a 2 ans et l'empêchement à tous les médecins de prescrire les remèdes adéquats utilisés depuis des millénaires !! Cela s'est traduit par des centaines de millions de morts dans le monde privé de soins et de médicaments !!
L'expérience alimentaire mondiale à fort enjeu dont personne ne parle
23 Janvier 2022 Paul M. Temple*
Le monde est sur le point de se lancer dans une expérience massive de production alimentaire – et il y a un risque très réel que le résultat ne nous plaise pas.
La bonne nouvelle est que la nourriture n'a jamais été aussi abondante et, même si les prix fluctuent, elle n'a jamais été aussi abordable.
C'est parce que nous produisons plus de nourriture que jamais auparavant. Depuis 2000, les récoltes des quatre principales cultures de la planète – canne à sucre, maïs, blé et riz – ont augmenté d'environ 50 %. La production de viande a augmenté dans des proportions presque équivalentes et celle d'huiles végétales a plus que doublé, selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture.
Une série de facteurs ont contribué à cette réussite, à commencer par la simple détermination des agriculteurs à répondre à la demande d'une population mondiale en pleine expansion, qui approche aujourd'hui les 8 milliards de personnes. Ils ont reçu beaucoup d'aide. La nouvelle technologie des cultures génétiquement modifiées a joué un rôle important. L'introduction d'outils sûrs et efficaces de protection des cultures nous a donné la possibilité de lutter contre les mauvaises herbes et les parasites et maladies. L'avènement de la précision guidée par GPS et des pratiques régénératrices du sol comme le sans labour (no till) et les cultures de couverture qui favorisent la santé du sol ont rendu l'agriculture toujours plus efficace et durable.
Un ingrédient essentiel mais souvent négligé est l'engrais azoté. Son application fournit un nutriment important qui favorise la croissance des plantes. Pendant des années, les agriculteurs ont pu y accéder facilement, surtout dans les pays développés.
Cette situation est sur le point de changer. En 2022, pour la première fois de mémoire d'homme, les agriculteurs cherchent à réduire leur dépendance aux engrais. Il est presque certain que nous en utiliserons moins, ce qui entraîne le risque d'une diminution des récoltes.
Il ne s'agit pas d'un choix mais d'une nécessité, motivée par une forte hausse des prix des engrais. Les preuves sont partout, mais voici ce que je constate dans ma ferme au Royaume-Uni. Pour moi, le coût des engrais azotés a augmenté de 152 % entre le printemps dernier et octobre dernier. En décembre, alors que je réservais les fournitures pour mon programme de culture de 2022, j'ai subi un autre choc : l'augmentation était passée à 277 %.
Aurais-je dû attendre pour voir si le prix allait baisser ? Peut-être. C'est ce que font beaucoup d'agriculteurs. En calculant les coûts et les bénéfices marginaux, beaucoup d'entre eux vont réduire leur utilisation d'engrais. Ils achèteront moins que ce qu'ils voulaient, appliqueront moins que ce qu'ils considèrent comme idéal, et croiseront les doigts. Avec autant d'usines en retard de production, les engrais seront-ils même disponibles ?
Il y a une chance que cela puisse donner des résultats positifs. Les engrais étant si chers, cela poussera les agriculteurs à utiliser le produit avec plus de soin que jamais. Certains se tourneront vers des techniques d'application de précision qui favorisent une meilleure utilisation d'un produit essentiel. La crise des prix pourrait obliger le secteur agricole à innover d'autres manières, en trouvant comment faire plus avec moins. Peut-être la météo jouera-t-elle également en notre faveur, en créant des conditions favorables à l'épanouissement des cultures, même si elles reçoivent moins d'engrais.
C'est l'espoir. La réalité et les risques pourraient être très différents.
La demande actuelle de nourriture étant en hausse, le monde a besoin chaque année de récoltes record.
Si vous remplissez le réservoir d'essence de votre voiture aux trois quarts, elle ne roulera pas plus loin que si vous aviez fait le plein complet. De même, moins d'engrais signifie presque certainement une baisse de la production alimentaire. Tout ce que j'ai appris au cours de mes 44 années d'expérience agricole me le dit.
Malheureusement, presque personne ne parle de ce à quoi nous sommes confrontés. L'augmentation du coût des engrais a fait la une de la presse agricole, mais jusqu'à présent, les médias grand public n'ont pas relevé les conséquences potentielles.
Les gouvernements, pour la plupart, n'ont pas remarqué non plus. Personne ne pose la question évidente : « Quelles sont les conséquences ? » Plus vite ils le feront, plus vite ils pourront l'inscrire à l'ordre du jour du G7, du G20 et des autres organisations multilatérales dont l'objectif est de relever les plus grands défis du monde.
Alors que nous nous engageons dans cette expérience à fort enjeu, je crains que nous ne sachions pas vraiment ce que nous faisons et que nous ne parvenions pas à planifier les résultats les plus prévisibles – et que, même si tout le monde en souffre, les plus grands perdants seront, comme d'habitude, les personnes déjà en situation de pauvreté alimentaire et à faible revenu.
Les agriculteurs sont de petites entreprises individuelles et on les remarque rarement ; il faut généralement attendre la météo pour qu'ils fassent la une des journaux. Mais cette situation est mondiale, elle va se produire, elle est nouvelle et elle aura des conséquences sur l'approvisionnement jusqu'en 2023. Il s'agit d'une expérience dont il vaut la peine de considérer le risque le plus tôt possible.
Demain, seuls les paysans pourront encore se nourrir !
Le prix des engrais et produits de traitements a doublé ou triplé ! Le prix des carburants a traversé le plafond. Idem pour les pièces de rechange de mécaniques agricoles. A quoi il faut ajouter le prix... de l'eau d'arrosage !!! Alors que DES millions de km³ d'eau (GRATUITE) des fleuves & rivières vont se perdre en mers et océans tous les jours, les paysans doivent payer l'eau des ruisseaux !!!
Demain, ils parlent même de faire payer l'air que vous osez respirer !!
Les agriculteurs réduisent la quantité de nourriture qu'ils produisent en raison de la flambée des prix des engrais
samedi 22 janvier 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Partout dans le monde en développement, les agriculteurs sont contraints de réduire leur production en raison de la hausse des coûts des engrais.
Les prix élevés des engrais font qu'il est beaucoup plus coûteux pour les agriculteurs de cultiver des aliments. Ces coûts reviendront inévitablement aux consommateurs réguliers qui achètent de la nourriture dans les épiceries. Ces personnes seront bientôt surprises d'apprendre que leurs factures d'épicerie pourraient augmenter encore plus qu'elles ne l'ont déjà fait l'année dernière lorsque les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint des sommets en dix ans.
Pire encore, une nouvelle hausse des coûts alimentaires exacerberait la faim dans le monde, qui est déjà aiguë dans de nombreuses régions du monde en raison des blocages liés à la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), des restrictions économiques et des pertes d'emplois.
Les coûts des engrais ont également augmenté aux États-Unis. Selon la Texas A&M University, le coût des engrais au Texas a augmenté de 80 % l'an dernier.
"Les engrais représentent déjà environ 30 à 35 % des coûts d'exploitation des agriculteurs sur leur ferme", a déclaré Brant Wilbourn, directeur associé du Texas Farm Bureau. "Les prix des engrais ont augmenté de façon spectaculaire au cours de la dernière année."
La hausse des prix des engrais a déjà affecté la demande. En Afrique subsaharienne, le Centre international de développement des engrais, une organisation mondiale à but non lucratif, a averti que la demande d'engrais pourrait chuter jusqu'à 30 %. Cela se traduirait par 30 millions de tonnes métriques de nourriture en moins produites dans la région. Cela équivaudrait aux besoins alimentaires d'environ 100 millions de personnes.
"La baisse de l'utilisation des engrais pèsera inévitablement sur la production et la qualité des aliments, affectant la disponibilité alimentaire, les revenus ruraux et les moyens de subsistance des pauvres", a déclaré Josef Schmidhuber, directeur adjoint de la division du commerce et des marchés de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.
Les agriculteurs du monde entier en difficulté en raison des coûts élevés des engrais
"Les fermes sont en faillite et beaucoup de gens ne cultivent pas", a déclaré Rodrigo Fierro, 61 ans, un agriculteur du centre de la Colombie. Il possède 10 acres de terrain, à partir desquels il produit des mandarines, des oranges et des avocats.
Christina Ribeiro do Valle, 75 ans, productrice de café au Brésil, a déclaré qu'en 2021, elle avait dû payer jusqu'à trois fois plus pour les engrais que l'année précédente. Couplés à des incidents météorologiques exceptionnels qui ont durement touché sa récolte, cela signifie que do Valle ne produira qu'une fraction du café qu'elle produisait les années précédentes.
Elle s'inquiète également de la pénurie mondiale d'engrais. "Cette année, vous payez, puis mettez votre nom sur une liste d'attente, et le fournisseur le livre quand il l'a", a déclaré do Valle. (Connexe: les usines d'engrais ferment, laissant l'approvisionnement alimentaire mondial au bord de l'effondrement.)
Sans engrais, do Valle s'attend à ce que sa récolte déjà réduite diminue encore davantage. Elle s'attend également à ce que la pénurie d'engrais se poursuive jusqu'en 2023.
En Côte d'Ivoire, pays d'Afrique de l'Ouest, Faustin Lohouri Bi Tra, qui cultive des semences de maïs, de riz et de soja pour d'autres agriculteurs sur une plantation de 500 acres, a déclaré que si les prix des engrais restent élevés en avril, il n'aura d'autre choix que de couper sa plantation de moitié ou plus. Il ne peut augmenter les prix que dans une certaine mesure avant que ses semences ne deviennent trop chères pour les agriculteurs locaux.
"Quand je leur dis que le prix des graines est de 3 dollars le kilo, ils se mettent à pleurer", a-t-il déclaré.
Dans le nord de la France, Guillaume Cabot a déclaré avoir augmenté les plantations de lin, une culture qui nécessite moins d'engrais azotés, et réduit d'autres cultures en raison de la hausse des prix. "Nos coûts ont explosé, en particulier le carburant, les engrais azotés et l'électricité", a-t-il déclaré. L'année dernière, Cabot a dû dépenser 10 000 euros supplémentaires (11 347 $) en dépenses d'engrais.
Dans le sud de la Colombie, Marcos Baquero, 48 ans, essaie de comprendre comment produire de plus gros rendements malgré les coûts élevés des engrais. Il cultive des pastèques et du maïs.
"Les agriculteurs doivent produire 50% de plus qu'avant", a déclaré Baquero. Il obtient généralement 35 tonnes de pastèque par hectare et 6 à 10 tonnes de maïs par hectare. Il essaie de comprendre comment produire au moins 40 tonnes de pastèque et 20 tonnes de maïs par hectare. Il a dit qu'il devait le faire pour joindre les deux bouts, sinon lui, comme beaucoup d'autres dans sa région, pourrait être contraint de simplement abandonner l'agriculture.
"C'est très douloureux pour nous, les agriculteurs", a déclaré Baquero. "Cela devient très difficile de travailler."
Écoutez cet épisode de la mise à jour de la situation du Health Ranger Report, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, qui explique comment les mondialistes sabotent les usines d'engrais pour préparer le terrain à un effondrement mondial des récoltes en 2022.
Cette vidéo peut être trouvée sur la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Apprenez-en plus sur la façon dont la pénurie d'engrais affecte les systèmes alimentaires mondiaux en lisant les derniers articles sur FoodCollapse.com.
10 destinations de voyage pour la vie post-pandémique
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 20:00
Le 11 mars 2020, l'Organisation mondiale de la santé a officiellement classé l'épidémie de COVID-19 comme une pandémie. Les interdictions de voyager qui en ont résulté ont décimé l'industrie du tourisme et les voyages aériens internationaux ont initialement chuté de 98 %.
Près de deux ans plus tard, les voyages sont enfin de retour sur la table, bien qu'il y ait de nombreuses restrictions à prendre en compte. Quoi qu'il en soit, une enquête menée en septembre 2021 a révélé que, alors que les choses reviennent à la normale, 82 % des Américains attendent avec impatience les voyages internationaux plus que toute autre chose.
Pour vous inspirer pour vos prochaines vacances (quand que ce soit), Marcus Lu de Visual Capitalist a créé cette infographie répertoriant les 10 pays les plus visités en 2019, ainsi que trois de leurs principales attractions selon Google Maps.
- voir liste sur site -
bon voyage Voici les 10 destinations de voyage les plus populaires en 2019, mesurées par leur nombre d'arrivées internationales.
- voir liste sur site -
*Estimation | Source : Banque mondiale
La France était la destination de voyage la plus populaire avec une marge significative, et il est facile de comprendre pourquoi. Le pays abrite de nombreux sites parmi les plus renommés au monde, notamment l'Arc de Triomphe et le musée du Louvre.
L'Arc de Triomphe a été construit au début des années 1800 et rend hommage à ceux qui sont morts pendant la Révolution française et les guerres napoléoniennes. En 1944, des soldats alliés ont défilé à travers le monument après la libération de Paris des nazis.
Le musée du Louvre, en revanche, est souvent reconnu par sa pyramide de verre géante. Le musée abrite plus de 480 000 œuvres d'art, dont la Joconde de Léonard de Vinci.
L'art n'est pas la seule chose que la France a à offrir. Le pays a une réputation d'excellence culinaire et abrite 632 restaurants étoilés Michelin, le plus hors de tous les pays. Le Japon arrive deuxième, avec 413.
Pendant que vous y êtes… Après avoir visité Paris, vous voudrez peut-être envisager une visite en Espagne. Le pays est le voisin méridional de la France et est connu pour ses beaux villages et ses plages.
L'un de ses sites les plus impressionnants est la Sagrada Familia, une église massive de 440 000 pieds carrés dont la construction a commencé en 1882 et qui est toujours en cours de construction aujourd'hui (139 ans de construction). La vidéo ci-dessous montre l’évolution saisissante de la structure.
À une hauteur de 172 mètres, la Sagrada Familia mesure environ 52 étages.
Un autre endroit populaire est Ibiza, une île au large de l'Espagne qui est célèbre pour sa vie nocturne animée. L'île est fréquemment mentionnée dans la culture pop - Netflix a sorti un film d'aventure/romance intitulé Ibiza en 2018, et le remix de la chanson de Mike Posner I Took a Pill in Ibiza a plus de 1,4 milliard de vues sur YouTube.
Des plages à foison Si vous cherchez quelque chose en dehors de l'Europe, pensez au Mexique ou à la Thaïlande, qui sont les 7e et 8e destinations de voyage les plus populaires. Les deux offrent un temps chaud et une abondance de plages de sable blanc.
Si vous avez besoin d'encore plus de convictions, consultez ces liens :
Les 13 plus belles plages du Mexique Les meilleurs complexes hôteliers du Mexique : Choix des lecteurs 2021 Les Meilleurs Marchés De Nuit À Bangkok, Thaïlande Les meilleurs bars sur les toits de Bangkok Attendez-vous à des turbulences Dans des circonstances normales, des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année par les touristes internationaux. Selon le World Travel & Tourism Council (WTCC), ces dépenses représentaient un impressionnant 10,4 % du PIB mondial en 2019.
Les restrictions de voyage introduites en 2020 ont porté un coup dur à l'industrie, réduisant sa part du PIB mondial à 5,5 % et supprimant environ 62 millions d'emplois. Alors que le WTCC pense que ces emplois pourraient revenir d'ici 2022, la variante émergente d'Omicron a déjà incité de nombreux pays à resserrer à nouveau les restrictions.
Pour éviter les maux de tête à l'avenir, assurez-vous de bien comprendre les règles et les restrictions de l'endroit où vous vous dirigez.
Notez tout de même (parce qu'il ne fat pas prendre les gens pour des cons) que les 'touristes' iront plutôt rechercher les coins où ils peuvent vivre en autonomie comme une île sous les Tropiques où ils pourraient vivre en autonomie (Madagascar ou Australie dès que le reine est morte) et copier la Suisse pour sa Démocratie.
Quand les autorités faussent les prix du marché de l'énergie, les ennuis abondent.
le 23 janvier 2022 Simone Wapler
L’énergie est aujourd’hui un cas d’école d’empilage de taxations, subventions et appauvrissement du consommateur final. Nous sommes intoxiqués par plus de quarante ans d’inepties dirigistes. Quand les autorités faussent les prix d’un marché, les ennuis abondent.
Vent de panique sur les prix de l’électricité. Bruno Le Maire dégaine évidemment une « solution » : limiter la hausse à 4 % en 2022. Ça tombe bien, 2022 est une année électorale…
Le blocage des prix a toujours été une solution inepte et l’empereur Dioclétien – auteur de l’édit du maximum promulgué en 301 – doit bien ricaner dans sa tombe.
« Il nous plaît donc que les prix qui figurent dans le court texte ci-dessous soient observés dans tout notre Empire. Que chacun comprenne bien néanmoins que, si la faculté de les dépasser lui a été ôtée, il n’est pas interdit, dans les régions où s’observe l’abondance, de jouir de l’avantage de bas prix, dont on s’occupera spécialement lorsque la cupidité aura été complètement réprimée. »
De nos jours aussi, ce ne sont jamais les États ou les gouvernements qui avouent être fautifs des désordres monétaires et financiers qu’ils ont occasionnés. Les autorités préfèrent désigner l’appât du gain, l’avidité, les spéculateurs, le capitalisme, les étrangers, la fraude fiscale, la conjoncture ou même le climat… L’interventionnisme, lui, n’est jamais réprimé.
Le « court texte » de Dioclétien comprend une liste minutieuse des produits et services à prix bloqués (qui figure dans mon dernier livre) ; elle fait irrésistiblement penser aux listes des produits de première nécessité édictés par nos méticuleux fonctionnaires lors de la crise sanitaire. Les millénaires passent mais l’esprit fonctionnaire ne trépasse pas, hélas.
Surenchères de solutions désastreuses
Vent de panique sur le pétrole et le gaz aussi. Le candidat Zemmour a une idée lumineuse : faire payer la note de carburant des salariés par l’employeur. Mieux qu’un minable chèque de la République de 100 euros. Va-t-il récolter 8 millions de votes ? C’est selon lui le nombre de salariés utilisant leur voiture pour se rendre au travail. Je n’ai pas perdu de temps à fact-checker ce chiffre, comme disent les bien-pensants.
Pauvre Zemmour, il ignore qu’il existe déjà un forfait kilométrique pris en charge par les employeurs comme le rappelait Pécresse qui suggère d’augmenter ce dispositif. La candidate promet par ailleurs pêle-mêle hausses de salaire et sutout zéro carbone en 2050. Ça tombe pile-poil : Monsieur est président de General Electric Renewable Energy (ex Alstom, vendu aux Américains). Seul cadre français épargné lors du rachat, il plante depuis des éoliennes offshore à tour de bras. Le capitalisme de copinage dans toute sa splendeur rayonnante…
Je vous passe les idées tout aussi niaises du camp du bien, (la gauche et les pastèques, réputés au service du petit peuple et de Gaïa). Les expériences socialo-communistes se sont toujours soldées par davantage de misères et de pauvreté et personne n’envie le sort des Cubains ou des Vénézuéliens même si Mélenchon rêve de nous le faire partager.
Quand on ne peut pas bloquer les prix, on se goinfre de taxes La leçon des chocs pétroliers est oubliée, hélas.
Au début des années 1970, les prix du pétrole brut ont commencé à s’envoler. D’octobre 1973 à mars 1974, le baril passe de 2,59 dollars à 11,65 dollars.
Mettez-vous à la place de pauvres bédouins autrefois paisibles gardiens de chèvres. Ils vendaient du pétrole en dollars convertible en or. En 1971, Nixon déclare que le dollar n’est plus adossé à l’or entraînant une chute brutale du billet vert. Le pétrole est vendu en dollar qui est subitement devenu un bout de papier adossé à rien (ou une reconnaissance de dette de l’État fédéral). Du coup, les bédouins réclament davantage de dollars pour un baril.
Beaucoup de gouvernements occidentaux taxaient déjà allégrement le pétrole importé. Cette hausse leur permet d’augmenter mécaniquement leurs recettes fiscales exprimées en pourcentage. Ils sont en réalité complices.
Au 14 janvier 2022, les taxes représentent plus de 54 % du gazole et plus de 57 % du SP95 (source)
Gagnants : les producteurs de pétrole et les gouvernements.
Perdants : les consommateurs et les contribuables.
L’inflation du pétrole commença à essaimer. Les taux d’intérêt montèrent. Une récession économique s’ensuivit. Les prix se calmèrent puisque la demande chuta (mais les taxes restèrent).
En 1978, nouveau choc avec la chute du régime iranien. Entre septembre 1978 et mai 1979, les prix doublent pour le super et le fioul ordinaire et triplent pour le diesel. Nouvelle flambée d’inflation qui atteint 15 % en 1980 aux États-Unis. Pour calmer le jeu, Volcker, alors président de la Réserve fédérale, pousse les taux courts à 20 %. Nouvelle récession.
Cette période sans croissance et avec inflation fut dénommée stagflation par les doctes économistes qui ne craignent pas d’utiliser des mots très laids.
Dans l’histoire, des nouveaux « machins » internationaux nous sont nés : l’OPEP du côté des pays producteurs et l’AIE (Agence internationale de l’Énergie) du côté des pays consommateurs. Ces organismes internationaux tentent de « réguler » les prix de l’énergie : quota de production, entente et cartellisation d’un côté ; taxation de l’autre.
Le marché du pétrole est en réalité manipulé pour compenser un vice monétaire : les obligations souveraines libellées en grandes devises qui servent de réserve de change ne sont que des promesses de payer.
Depuis, les promesses (la dette souveraine) s’entassent et d’autant plus facilement que les taux baissent.
Gagnants : ceux qui émettent les promesses et consomment à crédit.
Perdants : ceux qui escomptent qu’elles seront honorées un jour.
Le développement du nucléaire civil pour contrer les désordres du marché pétrolier À quelque chose malheur est bon, disait-on autrefois. Les chocs pétroliers engendrent une fulgurante accélération du développement du nucléaire civil, industrie totalement contrôlée par l’État et subventionnée par les contribuables de l’époque (que vous pouvez remercier).
Le premier plan quinquennal de l’énergie nucléaire fut voté par l’Assemblée nationale en 1952 et reconduit. Mais les technologies sont encore balbutiantes. En France, plusieurs procédés sont envisagés et testés par les organismes publics de recherche. Pressé par les retombées des chocs pétroliers, EDF doit passer à l’action et décide finalement d’adopter le procédé américain dit « uranium enrichi et eau légère » plus économique que les pistes françaises. Grincement de dents de De Gaulle mais la technologie française est définitivement abandonnée par le maître d’œuvre EDF.
Les centrales poussent dès lors comme des champignons et la France devient un acteur important dont l’électricité est majoritairement d’origine nucléaire. Elle parvient même à exporter (différence avec le Concorde ou le TGV, autres fabuleux investissements financés par les contribuables).
Et Cocorico ! Nous sommes le troisième producteur mondial d’électricité, derrière les États-Unis et la Chine.
Source
- voir graph sur site -*
Et Cocorico (bis) ! 70 % de notre électricité est d’origine domestique (contre seulement 52 %) aux États-Unis.
Et Cocorico (ter) ! Figurez-vous que c’est pas cher : le prix de revient moyen du MWh des centrales déjà construites est de 49,50 euros (presque deux fois moins que les moulins à vents marins de monsieur Pécresse).
- voir liste sur site -
Source
Évidemment pour un EPR, c’est plus cher (pensez aux désastres d’Areva, des chantiers EPR et à EDF avec sa dette de plus de 40 milliards d’euros).
Évidemment (bis) le prix de vente de l’électricité aux consommateurs-contribuables qui ont financé son développement est lui-même grevé de nombreuses taxes qui atteignent 37 % (source). Parce que s’il y a moins de taxes sur le pétrole, il faut bien taxer ce qui peut le remplacer.
Principe : il n’y a jamais de retour sur investissement des investissements publics.
Concurrence bidon et creusement de la dette
Une fausse ouverture à la concurrence du marché de l’électricité débute en 2007. Elle oblige EDF à vendre à prix coûtant son électricité à des concurrents lourdement subventionnés pour produire une électricité intermittente et plus coûteuse (malgré les subventions). Résultats : creusement des pertes d’EDF et pression supplémentaire sur le consommateur-contribuable.
Aujourd’hui, les prix de l’énergie – pétrole, gaz, électricité – sont totalement faussés. L’interventionnisme, les taxations, les subventions contraignent ce marché vital pour l’économie puisqu’aucun produit ou service ne voit le jour sans Consommation d’énergie.
La liberté « n’est pas la fille mais la mère de l’ordre », écrivait Proudhon. C’est la liberté qui engendre l’ordre et la stabilité, pas la contrainte qui n’engendre que violence et misère. C’est vrai pour la liberté économique.
Souvenons-nous : tous ces désordres du marché de l’énergie partent d’un système monétaire vicié et corrompu. La seule monnaie saine est la monnaie marchandise : on échange quelque chose contre autre chose. Le recours à la dette sans limite engendre des troubles sans fin. Dans la crise monétaire qui s’annonce, une extraordinaire quantité d’épargne investie sur la dette et des promesses vides sera détruite.
C'est pourtant pas difficile à comprendre, plus les gens sont intelligents plus ils dépassent (forcément) les dictateurs au pouvoir (voir 1000 ou 10 000 personnes face à 7,900 milliards !). Donc en paupérisant le Peuple qui s'enrichit grâce aux machines qui travaillent pour lui, les dictateurs demeurent les 'maîtres à penser ou ceux qui se disent d'en savoir plus que des scientifiques sans jamais avoir fait 1 heure d'étude scientifique !!! Tout çà c'est pour éviter comme la peste que la Démocratie pointe le bout de son nez et s'installe comme en Suisse où ce sont les suisses qui font les lois !
* mais là encore (pareil sur d'autres sites) l'équivalence n'est pas démontrée ! Comparer un pays de 330 millions d'habitants à un de 1,400 milliard et en 3 ème un pays de 67 millions.... ça n'a ni queue ni tête ! Nooooormalement on classe par NOMBRE D'HABITANTS !
Pistolet «intelligent» moqué après l'échec de la démonstration
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 20:40
Les armes intelligentes sont diffusées dans les médias grand public pour empêcher les personnes non autorisées de tirer avec des armes à feu dans l'espoir d'empêcher les tirs de masse.
La technologie de reconnaissance biométrique utilisant les empreintes digitales et / ou la technologie RFID est utilisée pour activer les pistolets de haute technologie.
Cependant, comme le souligne le site Web pro-gun Bearing Arms, les pistolets intelligents ne sont pas si intelligents après un éventuel échec de démonstration.
Les armes intelligentes pourraient être sujettes à des problèmes de fiabilité dans des situations de vie ou de mort.
* * *
Soumis par Bearing Arms.
Au cours de la semaine dernière, les soi-disant armes intelligentes ont été partout dans les médias grand public. Dans la communauté du deuxième amendement, on en a également beaucoup parlé. D'autant plus que nous savons tous que ce n'est qu'une question de temps avant que les législateurs n'essaient d'imposer les armes intelligentes comme les seules armes à feu.
Cependant, il y a des problèmes avec ces types d'armes à feu. Nous le savons tous. J'ai parlé de quelques-uns d'entre eux.
L'un des plus importants est la fiabilité. Plus vous mettez de whizzbangs dans un appareil, plus la probabilité d'échec augmente.
Les armes à feu sont une technologie qui a plus d'un siècle de développement. Bien qu'il y ait des ajustements ici et là, le noyau d'une arme à feu semi-automatique n'a pas beaucoup changé. Résultat, c'est fiable.
Les pistolets intelligents n'ont pas ça. Ce qui les rend "intelligents", c'est une technologie qui existe ailleurs, mais qui a aussi des problèmes un peu partout.
Et, comme le note John Boch dans The Truth About Guns, il semble qu'ils ne puissent même pas bien gérer la partie "pistolet" non plus.
La semaine dernière, nous avons fustigé les informations faisant état d'un nouveau "pistolet intelligent" dont Reuters s'est délecté dans une "exclusivité" éclatante. Le journaliste de Reuters Daniel Trotta a écrit que le prototype de troisième génération avait tiré "sans problème" lors d'une démonstration de tir réel pour les investisseurs et les médias.
Maintenant, cependant, des images supplémentaires de l'événement ont depuis fait surface qui montrent que le pistolet LodeStar Works n'a pas réussi à tirer deux coups sans problème pendant l'un des exercices.
Oups.
…
Voici un autre enregistrement qui peut être intégré par un journaliste de la télévision locale. Cela montre que le pistolet LodeStar pas si intelligent ne peut même pas tirer deux cartouches consécutives.
On voit clairement le tireur déclarer qu'il va tirer deux coups. Il en tire un, puis appuie plusieurs fois sur la gâchette, seule l'arme tire.
Oui, c'est la fiabilité dont nous parlions.
La vérité est que les armes intelligentes ne sont pas prêtes pour les heures de grande écoute. Pas à un mile. Mais les entreprises qui y travaillent savent qu'elles peuvent faire de la publicité - et probablement un certain degré d'investissement - en envoyant quelques communiqués de presse et en expliquant aux médias à quel point leurs nouvelles armes à feu sont géniales.
Pourtant, je n'ai pas encore vu l'un de ces gens intelligents armés qui est en fait un homme armé. Ils semblent généralement être des gens de la technologie qui décident de construire une arme intelligente, plutôt qu'une personne qui veut en construire une.
Bien sûr, les amateurs d'armes à feu savent qu'il n'y a pas vraiment de marché pour ce genre d'armes. On en entend parler depuis des années. Ils sont toujours au coin de la rue, et pourtant absolument personne ne semble s'y intéresser le moins du monde. Je n'ai pas encore trouvé une personne passionnée par le concept, bien que certains comme moi soient ambivalents quant à la technologie elle-même. D'autres, cependant, y sont carrément hostiles, principalement parce qu'ils pensent que quelqu'un essaiera de les mandater pour tout le monde.
Heureusement pour ces gens, les armes intelligentes semblent avoir au moins une autre décennie au minimum.
Si ces entreprises pensent qu'elles ont quelque chose, elles doivent cesser de se tourner vers les médias grand public anti-armes et commencer à regarder les médias sur les armes à la place. Testons et évaluons les armes. Nous vous dirons s'ils sont prêts ou non.
Je ne retiens pas mon souffle là-dessus, cependant.
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 17:30 Rédigé par Jeff Deist via The Mises Institute,
Trop c'est trop. Il est temps d'arrêter de porter des masques, ou à tout le moins d'éliminer les mandats de masque dans tous les contextes.
Cela est particulièrement urgent pour les enfants des écoles et des universités, qui souffrent des effets des masques pendant de longues heures chaque jour malgré un risque extrêmement faible de décès ou de maladie grave due au covid.
Nous avons la responsabilité, une fois pour toutes, de rejeter les récits ridicules et toujours changeants qui sous-tendent les masques comme des obstacles efficaces à la propagation des infections à covid.
Sérieusement les gens - ARRÊTEZ D'ACHETER DES MASQUES ! Ils ne sont PAS efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le #Coronavirus - l'ancien chirurgien général américain Jerome Adams en février 2020.
L'histoire est passée de "les masques ne fonctionnent pas", à "les masques peuvent fonctionner", à "les masques fonctionnent et vous devez en porter un". Maintenant, le récit change encore une fois : "les masques en tissu ne fonctionnent pas, vous devez donc porter un masque chirurgical ou "bien ajusté"", voire en porter deux !
Notez que même si le covid évolue vers une variante omicron moins dangereuse, nous sommes censés augmenter le niveau d'hystérie en portant des masques destinés aux chirurgiens maintenant un environnement stérile sur les plaies ouvertes. C'est ce que nous disent les mêmes personnalités politiques, médicales et médiatiques qui se sont "souvent trompées mais n'ont jamais douté" de tout ce qui concerne le covid au cours des deux dernières années. Et ils parlaient alors avec autant de fausse certitude qu'ils le font maintenant.
De manière perverse, l'administration Biden a récemment commandé 400 millions de masques chirurgicaux N95 à distribuer dans tout le pays. Étant donné que les masques N95 sont considérés comme jetables et destinés à être portés au maximum peut-être 40 heures, on ne sait pas ce qui se passe en une semaine ou deux lorsque 330 millions d'Américains manquent de leur équipement de protection individuelle "gratuit".
Le Royaume-Uni a sensiblement mis fin à ses mandats de masque, à la fois dans les lieux publics (bureaux et autres lieux de travail, bars, restaurants, événements sportifs, théâtres) et heureusement les écoles. Une jeune étudiante universitaire a fondu en larmes en apprenant la nouvelle, déplorant l'inhumanité de son expérience au cours des deux dernières années. Comme l'a déclaré le secrétaire britannique à la Santé, Savid Javid, "Nous devons apprendre à vivre avec le covid de la même manière que nous vivons avec la grippe".
Amen.
Les arguments contre les masques sont simples.
Les masques ne fonctionnent pas. Ou du moins, les masques en tissu ne le font pas. Même le CDC admet maintenant ce que le Dr Anthony Fauci a dit au monde en février 2020 : les masques en tissu ne fonctionnent pas et il n'y a aucune raison d'en porter un :
"Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus d'entrer, qui est suffisamment petit pour traverser le matériel. Il pourrait cependant offrir un léger avantage pour empêcher les grosses gouttelettes si quelqu'un tousse ou éternue sur vous. "
Je vous déconseille de porter un masque, d'autant plus que vous vous rendez dans un lieu à très faible risque.
L'experte médicale douteuse de CNN, le Dr Lena Wen, anciennement super-masqueuse, nous dit maintenant que les masques en tissu ne sont « guère plus que des décorations faciales ». efficacité dans la prévention du covid.
Sommes-nous sérieusement prêts à porter des masques chirurgicaux serrés et inconfortables toute la journée pour échapper à l'omicron ?
Les masques sont sales.
Les poumons humains et notre système respiratoire sont conçus pour inhaler de l'azote et de l'oxygène et expirer du dioxyde de carbone. Le dioxyde de carbone est littéralement un déchet, éliminé du sang par nos poumons. Les masques peuvent ne pas piéger des niveaux nocifs de dioxyde de carbone contre notre nez et notre bouche, mais ils se salissent certainement très rapidement à moins d'être changés constamment. Ils encouragent également la respiration buccale, ce qui peut provoquer des symptômes de "masque buccal", notamment l'acné, la mauvaise haleine, la sensibilité des gencives et l'irritation des lèvres.
Pourquoi interférerions-nous avec la respiration naturelle à moins de nous sentir malades, de présenter des symptômes et de craindre d'infecter les autres ? Et dans ce cas, pourquoi ne pas rester chez soi ?
Les masques sont déshumanisants.
Les humains communiquent verbalement et non verbalement, et les masques entravent les deux formes. Les masques assourdissent et déforment nos paroles. Nos expressions faciales sont des indices importants pour tout le monde autour de nous ; sans ces signaux, la communication et la compréhension en souffrent. Les nourrissons et les tout-petits peuvent être les plus touchés, car un manque d'engagement facial avec les parents et les proches entrave les relations humaines et les attachements formés pendant l'enfance.
Cependant, le plus troublant est peut-être les effets symboliques lorsque des millions d'Américains portent consciencieusement des masques basés sur des preuves fragiles fournies par des personnes profondément peu impressionnantes. L'absence de visage - le manque d'identité individuelle, de personnalité et d'apparence - est intrinsèquement déshumanisante et dystopique. Comme les uniformes de prison ou militaires, les masques réduisent nos caractéristiques personnelles. Les masques sont des muselières, symboles d'acquiescement par cœur à une nouvelle normalité laide que personne n'a demandée ou votée.
Le risque est inévitable.
Le risque est omniprésent et fortement subjectif (par exemple, le risque covid varie énormément avec l'âge et les comorbidités). Personne n'a le droit d'imposer des interventions comme des masques aux autres, tout comme personne n'a le droit à un paysage hypothétique sans germes. L'expiration n'est pas une agression, à moins de tenter délibérément de rendre les autres malades. Les personnes portant des masques rejettent sans doute un peu moins de particules de virus covid que celles qui ne le sont pas, mais cela ne justifie pas l'interdiction de ces dernières de la vie publique. Comme toujours, le fardeau écrasant de la justification de toute intervention - y compris les mandats masqués - doit reposer sur ceux qui la proposent, et non sur ceux qui s'y opposent.
En somme, les Américains ne sont pas des enfants. Les compromis font partie de toute politique, que les responsables gouvernementaux l'admettent ou non. Nous savons coexister avec la grippe, tout comme nous vivons avec d'innombrables bactéries et virus dans notre environnement. Nous coexisterons de la même manière avec covid. Le but n'est pas d'éliminer les germes, et le zéro covid est une absurdité. Un système immunitaire sain, construit par l'alimentation, l'exercice et la lumière du soleil sera toujours la meilleure défense de première ligne contre les maladies transmissibles. Mais l'alimentation, l'exercice et la lumière du soleil ne peuvent pas être sous-traités à des responsables de la santé ou mandatés par des politiciens.
Quels que soient les légers avantages que les masques peuvent apporter, c'est à chacun de décider par lui-même. Les personnes qui se sentent malades avec des symptômes doivent rester à la maison. Nous pouvons tous nous laver les mains fréquemment et soigneusement. Sinon, il est temps pour les Américains de s'affirmer contre les revendications douteuses et la légalité inexistante des mesures covid gouvernementales.
Il est temps de reprendre une vie normale, et cela commence par un visage humain visible.
Les ordures qui dirigent prennent le Peuple pour un amas de cons sans cervelle. Et, comme le Peuple très 'télé-merde', 'radio-merde' et 'journaux-de-merde' n'écoute qu'elle il est donc près à porter grillage-sur-gueule pour empêcher poussière d'entrer !! HAHAHAHAHAHA !
Un masque c'est 150 microns d'écart de maille. Une poussière inoffensive (appelée 'virus' pour faire méchant) mesure de 0,1 à 0,5 micron !!! HAHAHAHAHAHA ! Les merdicistes pensent que le 'virus-de-la-mort est dans l'air alors qu'il n'est proposé qu'en SERINGUES est sous appellation 'Oxyde de graphène AOC' (cuvée 19).
Disons que tant que les scientifiques sont interdits de plateaux-télé, studios-radios ou colonne de journaux les merdicistes ne sauront rien et de plus... ne chercheront même pas à savoir !! HAHAHAHA !
Plus de 97 000 Américains attendent une greffe de rein
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 09:55
Un cœur de porc génétiquement modifié a été transplanté avec succès chez un être humain pour la première fois.
L'opération, réalisée vendredi à Baltimore aux États-Unis, offre une future solution potentielle aux longues listes d'attente pour les greffes. Le Dr Bartley Griffith, qui a pratiqué l'opération, a décrit la situation lundi :
"Cela crée le pouls, cela crée la pression, c'est son cœur", ajoutant: "Ça marche et ça a l'air normal. Nous sommes ravis, mais nous ne savons pas ce que demain nous réserve. Cela n'a jamais été fait auparavant.
Dans l'infographie ci-dessous, Katharina Buchholz de Statista examine l'ampleur du problème des listes d'attente de greffe aux États-Unis. Selon la Health Resources & Services Administration, près de 120 000 personnes attendaient un organe en septembre 2021, un rein étant le plus nécessaires (plus de 97 000) de loin. Environ 3 500 personnes ont eu besoin d'une transplantation cardiaque.
- voir cadre sur site -
Infographie : Listes d'attente pour les greffes d'organes aux États-Unis | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Alors que l'opération est décrite comme un moment décisif, le Dr David Klassen, médecin-chef du United Network for Organ Sharing, prévient qu'il reste encore un long chemin à parcourir avant que cette option ne soit valable pour un grand nombre de patients. :
"Des portes commencent à s'ouvrir qui conduiront, je crois, à des changements majeurs dans la façon dont nous traitons les défaillances d'organes", mais "Des événements comme ceux-ci peuvent être dramatisés dans la presse, et il est important de garder le recul. Il faut beaucoup de temps pour mûrir un une thérapie comme celle-ci.
Pour l'instant, le rein est l'organe le plus souvent transplanté aux États-Unis, et le nombre de greffes a plus que doublé depuis la fin des années 1980. Les reins, ainsi que les foies, sont donnés par des patients décédés et vivants, c'est pourquoi le nombre de greffes de ces organes est plus élevé que celui des cœurs et des poumons.
- voir cadre sur site -
Infographie : Les greffes de rein en hausse | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Dans le cas des reins, le nombre de greffes a commencé à augmenter plus rapidement en 2010 - un lien évident avec la crise actuelle des opioïdes aux États-Unis. puisque les donneurs décédés peuvent faire don de leurs deux reins, et non d'un seul.
De même, un cœur de donneur sur six aux États-Unis provient désormais d'une personne décédée d'une surdose.
Le gouvernement allemand commande 554 millions de doses de COVID-19 pour sa population de seulement 83 millions de personnes
Samedi 22 janvier 2022 par : Mary Villareal
(Natural News) Le gouvernement allemand a commandé un total d'environ 554 millions de doses de vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans différentes tranches des contrats de l'Union européenne en 2021. Dans le cas des doses de Pfizer, la quantité commandée par le gouvernement était d'environ 287,3 millions de doses de vaccin. Il y a également eu environ 120,3 millions de doses de Moderna, 56,3 millions de doses d'AstraZeneca et 55 millions de doses de Johnson & Johnson.
De plus, il y avait aussi des commandes de Sanofi/GSK, Valneva et Novavax. Trois millions de doses supplémentaires de vaccin Pfizer en provenance de Pologne ont également été commandées début décembre 2021 et livrées plus tard le même mois. Si les 83 millions d'habitants de l'Allemagne recevaient leurs vaccins, le seul nombre acheté par le gouvernement serait suffisant pour donner sept doses à chaque personne. Actuellement, près de 73 % de la population allemande ont reçu leurs injections complètes de vaccin, et plus de 48 % ont déjà reçu leurs injections de rappel.
Cet ordre bizarre vient du ministre de la Santé Karl Lauterbach et du ministre des Finances Christian Lindner, qui ont déclaré que l'Allemagne pourrait faire face à des pénuries de vaccins au début de 2022 si de nouvelles doses ne sont pas acquises.
Lindner a également annoncé que le gouvernement allemand était prêt à débourser 2,48 milliards de dollars supplémentaires de son budget pour obtenir davantage de doses de vaccins alors que la variante omicron continue de se propager. "Nous avons besoin de plus de vaccins rapidement pour des injections de rappel rapides et d'éventuelles vaccinations à l'omicron", a déclaré Lauterbach. (En relation: La vérité fait mal: 96% des cas d'omicron en Allemagne sont parmi les personnes entièrement vaccinées.)
Lauterbach a également abordé les efforts visant à obtenir davantage de vaccins dans la dernière partie de 2021, y compris des programmes de vaccination des enfants âgés de 11 ans et moins. Les taux d'infection et de mortalité, bien que plus faibles, restent toujours très élevés en Allemagne, les experts de la santé avertissant que des mesures plus drastiques pourraient devoir être prises.
L'Allemagne s'attend à ce que le COVID atteigne un pic à la mi-février Lauterbach a également déclaré que la vague COVID atteindra son apogée à peu près à la mi-février malgré le faible taux d'hospitalisation. Cependant, les cliniques pourraient connaître une forte pression dans les semaines à venir, les personnes de plus de 50 ans non vaccinées étant nettement plus nombreuses en Allemagne par rapport aux autres pays européens.
L'agence de contrôle des maladies a signalé 133 536 nouveaux cas confirmés de COVID-19 au cours des dernières 24 heures, avec 234 décès.
Bien que l'omicron soit moins susceptible de provoquer une maladie grave que le delta, il se propage plus facilement que les souches précédentes et est déjà devenu dominant dans de nombreux pays. De plus, il infecte ceux qui ont déjà été vaccinés ou qui ont également été infectés par des versions antérieures du virus.
La variante omicron, comparativement, a mis du temps à se propager en Allemagne selon les normes européennes, mais le pays a connu une augmentation du nombre de cas similaires à ceux observés dans d'autres pays voisins.
En France, par exemple, plus de 460 000 cas ont été signalés, tandis que l'Italie en a enregistré plus de 228 000. Les deux pays ont des populations relativement plus petites que l'Allemagne, qui a déjà renforcé les restrictions pour freiner la propagation du virus. L'Autriche, quant à elle, a connu une augmentation du nombre de cas à environ 30 000, le chancelier Karl Nehammer l'appelant un "nombre incroyablement élevé" qui a doublé les chiffres précédents.
L'Allemagne a également limité l'accès aux bars et restaurants à ceux qui ont reçu leurs piqûres de rappel en plus d'être déjà complètement vaccinés ou récupérés.
Dans ce contexte, la police allemande enquête actuellement sur plus de 12 000 cas de falsification présumée de certificats de vaccin contre le coronavirus, l'agence de presse DPA notant que les enquêtes ont bondi en décembre après que les autorités ont annoncé les restrictions qui empêchaient en grande partie les personnes non vaccinées de la vie publique. (En relation: le mandat du vaccin COVID de l'Allemagne pourrait être retardé en raison d '«obstacles bureaucratiques».)
Les individus ou groupes qui fournissent ou utilisent de faux certificats seront passibles de sanctions sévères allant d'amendes et de peines de prison avec sursis à la perte d'emploi.
Le parlement allemand devrait commencer à débattre des mandats universels de vaccination dans les mois à venir, bien que les responsables gouvernementaux reconnaissent que les mesures pourraient ne pas entrer en vigueur avant plusieurs mois.
Regardez la vidéo ci-dessous pour voir la situation vaccinale actuelle en Allemagne :
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Vigilent Citizen sur Brighteon.com.
Obtenez plus de mises à jour sur COVID-19 sur Pandemic.news.
Sources incluses
This video is from the Vigilent Citizen channel on Brighteon.com.
Brève chronique canarienne. Ces médecins qui tueraient père et mère pour respecter des lois iniques
le 23 janvier 2022
« Elle n’en a rien à foutre … » c’est ce que m’a répondu mon seul ami, ici à Santa Cruz de Tenerife, quand il est venu en coup de vent boire une bière chez moi il y a trois jours. Divorcé de la mère de son fils de 17 ans, cet ami, chef cuisiner de son état dans probablement le meilleur restaurant du centre ville, qui s’est fait lui-même à force de travailler très durement, reste tout de même mystérieux pour votre serviteur car il a épousé une femme médecin spécialiste en traumatologie de 20 ans son aîné. Ça me rappelle quelque chose mais je ne m’en souviens plus. Bref, il y a donc deux jours, mon ami m’apprend que sa belle-mère a été infectée par le coronavirus et qu’elle est très malade. Elle a en effet plus de 75 ans et est par conséquent doublement « vaccinée ». Je lui ai tout de suite suggéré de dire à son ex-épouse de se débrouiller pour trouver de l’Ivermectine éventuellement auprès du vétérinaire qui s’occupe de son chien. Je lui ai précisé la posologie : 100 microgrammes par kilo, « fais le calcul » ai-je dit …
Il m’a répondu en regardant le plafond en invoquant je ne sais quelle divinité qu’elle n’en avait rien à foutre de la vie de sa mère.
L’Ivermectine est interdite à la vente et à la prescription en Espagne, comme en France d’ailleurs, et je ne sais plus quel politicien a déclaré que ce produit était réservé à l’usage vétérinaire, donc que les êtres humains ne sont ni des chevaux ni des chiens. Et pourtant des millions de personnes auraient pu être sauvées de la mort si, dès le mois de mai 2020, elles avaient été traitées avec de produit. Non, on l’a réservé pour les chiens, les chats et les chevaux. Qu’une femme, médecin de son état, adopte une attitude aussi révoltante, relève de la justice, mais ce ne sont pas mes affaires …
Aux dernières nouvelles cette vieille dame a été très affaiblie par cet épisode infectieux et elle a été victime d’un malaise vagal dans la rue en compagnie d’un de ses petits-fils. Elle devrait être hospitalisée ce samedi 22 janvier. Bon courage à tous ceux qui dans leur famille comptent un médecin respectant aveuglément les règlementations imposées par les grands laboratoires pharmaceutiques pour qu’ils aient les mains libres afin de vendre leur thérapie génique toxique et mortelle. Une pilule de 100 mg aurait guéri en moins de 48 heures cette vieille personne …
Freedom Convoy 2022 : des milliers de camions empruntent les autoroutes canadiennes contre Mandatory Vax Truckers for Freedom — des milliers de camions se dirigent vers Ottawa
January 24th, 2022
Les TruckersforFreedom commencent à Vancouver aujourd'hui et des dizaines de milliers de camions convergeront vers Ottawa le 29 janvier dans le but d'arrêter les mandats. Un GoFundMe a déjà collecté plus de deux millions de dollars pour aider à couvrir les coûts de conduite des grandes plates-formes à travers le pays. Certains camionneurs américains arrivent en voiture pour participer. Et ils jubilent !
Voir aussi #TruckersforFreedom
- voir clip sur site -
Les gouvernements du Canada et des États-Unis ont exigé que les camionneurs soient vaccinés pour traverser la frontière. La décision canadienne a commencé le 15 janvier. Les États-Unis suivront.
Des foules attendent le Convoi sur les viaducs et le long des routes.
Manifestation des camionneurs du Canada ….
Les protestations de camions peuvent arrêter une nation
Notre expérience avec le Convoy of No Confidence of en Australie en 2011, contre la taxe carbone, a montré que l'establishment a très peur de ce genre de protestation. Les camionneurs peuvent vraiment fermer une nation, et les images de milliers de camions faisant irruption à travers la campagne attireront les gens au fur et à mesure qu'ils la verront passer. C'est une image puissante. En 2011, des villes entières se sont rassemblées pour saluer, applaudir et offrir de la nourriture gratuite. Les véhicules se rejoindraient sur des centaines de kilomètres.
Mais ces manifestations sèment la terreur au sein de l'Establishment. Une machine de relations publiques politique géante est presque certainement en train de se mettre en marche pour minimiser tout ce qui s'y rapporte. Les médias vont le minimiser et le cacher, comme si les gens qui dépensent des milliers de dollars et deux semaines de leur temps n'étaient pas un gros problème. Ils diront qu'il était « plus petit que prévu » ou qu'il « rétrécit » (peu importe sa taille). J'espère que les Truckers for Freedom ont une équipe pour compter tous les camions et tout filmer. Ils doivent utiliser tous les types de médias sociaux auxquels ils sont « autorisés ».
Flymaster commente que "CBC fait un reportage sur les convois de camions, mais le scénario est" Des camionneurs protestent contre les mauvaises conditions routières en Colombie-Britannique ""
La date de départ de Toronto a été avancée d'un jour car il y a trop de camions.
Ne vous méprenez pas, nous devons partager le message avec le monde. Quelqu'un doit s'assurer que les organisateurs savent ce qui s'en vient et comment de sales tours sournois seront utilisés à la dernière minute pour séparer le convoi ou le ralentir, ou l'empêcher d'atteindre les séances photo les plus importantes, symboliques ou idéales.
En Australie, les camionneurs se sont donné beaucoup de mal pour se coordonner avec la police fédérale, pour obtenir des permis et s'assurer qu'ils ne mettaient pas les gens dehors, et cela a été utilisé contre eux. À la dernière minute le jour où les camions étaient censés faire des tours autour du Parlement, ils se sont présentés pour trouver la route intérieure bloquée par la police et ont été détournés vers une route extérieure.
C'est ce qui s'est passé à Canberra en Australie en 2011 après l'arrivée de camions de tout le continent :
Les organisateurs du convoi ont soigneusement organisé leur entrée, en la coordonnant avec la police fédérale. Ils ont méticuleusement tout planifié pour ne pas éteindre le Canberran moyen, même à partir de 5h30 afin d'éviter le trafic aux heures de pointe. Ils ont été scrupuleusement prévenants. (Peut-être trop.)
En fin de compte, le fait qu'ils étaient si bien organisés et polis a été utilisé contre eux. Les forces pro-gouvernementales ont exacerbé la colère contre les habitants de l'extérieur en les menaçant de "provoquer des retards importants dans la circulation" et "d'immobiliser Canberra". Mais lorsque la manifestation n'a causé aucune des perturbations promises, au lieu d'admettre qu'ils avaient tort et de s'excuser, ils ont prétendu que l'absence de problèmes de circulation montre que le convoi était un pétillant. Tourner tourner tourner. C'est trop facile, n'est-ce pas ? Si le convoi avait ralenti le trafic, on l'aurait qualifié de nuisance.
Comment présentez-vous le mouvement populaire des éleveurs, des mineurs, des camionneurs, des hommes d'affaires et des agriculteurs comme étant non représentatif ? Appelez-les tous simplement "camionneurs".
Pendant ce temps, les agents de santé de Londres déclenchent une tempête Le Royaume-Uni met fin à tous les mandats, à l'exception de l'obligation pour les agents de santé de se faire vacciner, ce à quoi il s'oppose avec véhémence. Pas moins de 70 000 agents de santé ne sont pas vaccinés et risquent d'être licenciés le 1er avril :
Chaos à Londres: une énorme manifestation frappe la capitale alors que la fureur éclate contre le mandat du vaccin NHS Covid Express.co
Les MANIFESTANTS dans le centre de Londres ont semé le chaos alors que des centaines de personnes se sont rassemblées pour demander la fin du mandat de vaccination du gouvernement, car les 70 000 travailleurs du NHS pourraient perdre leur emploi s'ils continuent de refuser le coup.
Des milliers de manifestants ont afflué vers le centre de Londres pour protester contre la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour le personnel du NHS. Des images dramatiques montrent des manifestants dansant sur Another Brick in the Wall de Pink Floyd, suggérant que les mesures du gouvernement vont trop loin et empiètent sur les libertés civiles. Avec l'entrée en vigueur des nouvelles règles le 1er avril, il y a de sérieux points d'interrogation sur ce que l'avenir réserve à jusqu'à 70 000 travailleurs de la santé à moins qu'ils ne se fassent piquer dans les 67 prochains jours.
Le Top British Medical Journal dit à Pfizer "donnez-nous les données" - c'est moralement indéfendable Vaccin, Pfizer.
January 23rd, 2022
C'est difficile à croire, mais quand le gouvernement dit "prenez ce médicament Pfizer OU perdez votre emploi, vos droits et votre maison" - ils disent aussi discrètement "faites confiance à Pfizer" - parce que Pfizer détient toutes les données d'essai et que vous n'êtes pas autorisé à le voir.
Et c'est en grande partie la même chose avec les autres grandes sociétés pharmaceutiques.
Les revues académiques font généralement partie du problème, c'est donc un choc d'en voir une défendre quelque chose.
MISE À JOUR : Et il est juste de dire "Où était le BMJ il y a un an ?" Pourquoi maintenant et pas avant la campagne de vax de masse ? Est-ce un signe que le navire coule et que les premiers rats sautent ?
Vaccins et traitements Covid-19 : nous devons avoir des données brutes, maintenant Le journal médical britannique
« Aujourd'hui, malgré le déploiement mondial des vaccins et des traitements contre le covid-19, les données anonymisées au niveau des participants qui sous-tendent les essais de ces nouveaux produits restent inaccessibles aux médecins, aux chercheurs et au public - et le resteront probablement pendant des années. venir. C'est moralement indéfendable pour tous les essais, mais surtout pour ceux impliquant des interventions majeures de santé publique.
Le BMJ a également accusé les sociétés pharmaceutiques de «récolter d'énormes profits sans un examen indépendant adéquat de leurs affirmations scientifiques», pointant du doigt Pfizer, dont l'essai de vaccin COVID a été «financé par la société et conçu, exécuté, analysé et rédigé par des employés de Pfizer».
À l'heure actuelle, l'ensemble de la civilisation fonctionne sur un modèle médical à environ un degré des trafiquants de drogue. Les médicaments sont sûrs et efficaces et vous n'avez pas le droit de savoir exactement à quel point ils sont sûrs.
La vie des patients compte-t-elle même ? Votre gouvernement a-t-il accepté de laisser Pfizer cacher ces données d'essai pendant 75 ans - qui peut le dire ? Les contrats sont également secrets.
C'est presque comme si les démocraties étaient là pour servir Pfizer ?
Le BMJ a poursuivi en soulignant qu'à la suite des efforts mondiaux de vaccination, la «confiance» et la «transparence» sont vitales, notant que «la grande industrie pharmaceutique est l'industrie la moins fiable».
"Au moins trois des nombreuses entreprises fabriquant des vaccins contre le covid-19 ont déjà passé des règlements criminels et civils leur coûtant des milliards de dollars", ont déclaré les éditeurs, ajoutant que l'une des entreprises (Pfizer) avait précédemment "plaidé coupable de fraude".
Pfizer va-t-elle devenir l'entreprise la plus détestée au monde ? (Une question de David E).
Big Pharma a dépensé 4,7 milliards de dollars pour faire pression sur Big Government. Chump changement par rapport aux bénéfices.
The Swamp a déjà fait tout cela auparavant : vous vous souvenez du Tamiflu ? Des milliards de dollars ont été dépensés pour un médicament que personne ne pouvait contrôler de manière indépendante. Même les principaux auteurs des études sur le Tamiflu n'ont pas pu accéder aux données.
Les éditeurs du BMJ :
Dans les pages du BMJ il y a dix ans, au milieu d'une pandémie différente, il est apparu que les gouvernements du monde entier avaient dépensé des milliards pour stocker des antiviraux contre la grippe dont il n'avait pas été démontré qu'ils réduisaient le risque de complications, d'admissions à l'hôpital ou décès. La majorité des essais qui ont étayé l'approbation réglementaire et le stockage gouvernemental de l'oseltamivir (Tamiflu) ont été parrainés par le fabricant ; la plupart n'étaient pas publiés, ceux qui ont été publiés ont été écrits par des auteurs payés par le fabricant, les personnes répertoriées comme auteurs principaux n'ont pas eu accès aux données brutes et les universitaires qui ont demandé l'accès aux données pour une analyse indépendante ont été refusés.1234
Curieusement, depuis lors, le BMJ pensait avoir réussi quelque chose dans la bataille pour des données transparentes :
La saga Tamiflu a annoncé une décennie d'attention sans précédent à l'importance du partage des données des essais cliniques. 13 nouveaux portails de sites Web d'accès aux données8 et des politiques de transparence historiques des autorités de réglementation des médicaments1415 ont tous promis une nouvelle ère dans la transparence des données.
Pourtant, tous les gains ont disparu en un clin d'œil en 2020.
Deux ans plus tard, c'est bien (mais trop tard) que BMJ ait enfin pris la parole, mais où sont passés les médias ?
Et l'Opposition ?
RÉFÉRENCE Vaccins et traitements Covid-19 : nous devons avoir des données brutes, maintenant, MJ 2022 ; 376 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.o102 (Publié le 19 janvier 2022) Citer ceci comme suit : BMJ 2022;376:o102
(...) La vie des patients compte-t-elle même ? Votre gouvernement a-t-il accepté de laisser Pfizer cacher ces données d'essai pendant 75 ans - qui peut le dire ? Les contrats sont également secrets. (...)
Des dizaines de millions de piqûres létales dans le monde. On est encore loin de 7,900 milliards ? ou proche ?
Le côté obscur du métaverse exposé : pourquoi vos enfants doivent rester à l'écart de VRChat
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 08:45
Les parents qui ont acheté à leurs enfants l'Oculus Quest 2 pour Noël pourraient être surpris car il y a eu plusieurs cas de toilettage d'enfants dans l'un des services de chat les plus populaires du casque de réalité virtuelle, VRChat.
VRChat est une plate-forme de monde virtuel en ligne où les utilisateurs ont un premier aperçu du métaverse et utilisent des avatars complets pour dissimuler leur identité. Il y a eu des cas de maltraitance d'enfants, de harcèlement, de racisme et de pornographie sur le service de chat populaire.
Un clip partagé par le YouTuber "VSF Studios" partage plusieurs exemples d'un énorme problème dans VRChat : l'exploitation et la sexualisation des enfants.
VSF Studios a déclaré que VRChat n'est "pas un endroit pour les enfants".
Le premier exemple qui a "vraiment secoué" le YouTuber a été de voir une fille mineure dans un corps de 12 ans danser pour un Japonais de 40 ans. Il a dit que c'était "dégoûtant, c'est le moins qu'on puisse dire".
- voir clip sur site -
Il y a peut-être un côté sombre du métaverse qui doit être discuté, et c'est la facilité avec laquelle il connecte les utilisateurs aux prédateurs.
https://www.zerohedge.com/technology/dark-side-metaverse-exposed-why-your-kids-need-stay-away-vrchat
Comment la révolution du schiste a sauvé l'Europe d'une grande panne d'électricité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 23 JANVIER 2022 - 08:10
Écrit par Daniel Lacalle,
En octobre, les gouvernements autrichien et néerlandais ont mis en garde contre le risque d'un "grand black-out". La flambée des prix du gaz naturel, le manque de sécurité d'approvisionnement et les perspectives difficiles des livraisons par pipeline depuis la Russie ont rendu les gouvernements extrêmement nerveux quant aux chances de fournir une énergie bon marché et fiable aux foyers en hiver.
Cependant, un allié inattendu a empêché une crise énergétique en Europe et, ironie du sort, c'est un allié qui a été interdit dans la plupart des pays européens : le gaz de schiste.
Environ la moitié des volumes record de gaz naturel liquéfié aux États-Unis expédiés en décembre 2021 sont allés en Europe, contre 37 % plus tôt en 2021, selon l'Energy Information Administration des États-Unis.
Alors que la plupart des nations européennes ont interdit l'exploration et le développement des ressources nationales de gaz naturel il y a de nombreuses années, les États-Unis disposent d'approvisionnements abondants et compétitifs grâce à la révolution du pétrole et du gaz de schiste, qui a rendu le pays presque indépendant sur le plan énergétique. La production nationale de gaz naturel a dépassé la demande américaine d'environ 10 %, selon Reuters.
Il y a une leçon pour les États-Unis ici. De nombreuses politiques énergétiques européennes ont été dirigées par des idéologies, et les subventions énergétiques massives et l'intervention politique n'ont pas renforcé la compétitivité de l'économie, sécurisé l'approvisionnement énergétique, ni même réduit de manière significative les émissions de carbone.
Le ministre allemand de l'Économie, Robert Habeck, a récemment mentionné que "nous manquerons probablement nos objectifs (d'émissions de gaz carbonique) pour 2021, également pour 2022, même pour 2023, ce sera déjà assez difficile", selon Zeit. L'Allemagne manquera ses objectifs climatiques pour 2021, car l'utilisation du charbon a considérablement augmenté tandis que l'utilisation des énergies renouvelables est restée presque stagnante. Après des centaines de milliards de subventions renouvelables, les factures des ménages sont 65% plus élevées qu'en 2006 selon la BDEW et le ministère de l'Energie.
Quelle a été l'erreur politique européenne ? Éliminer ou interdire l'énergie de base, bon marché et fiable (nucléaire et développement du gaz naturel domestique) et la compenser par des sources d'énergie intermittentes et volatiles - éolienne et solaire - trop tôt dans une transition technologique. Ceci, lorsque la demande augmente ou que la production solaire et éolienne diminue, met en péril la sécurité de l'approvisionnement et la compétitivité, car les prix atteignent des sommets sans précédent.
Les prix européens de l'électricité ont également atteint des niveaux records car le coût des émissions de gaz carbonique - une taxe cachée - est passé de 20 euros par tonne métrique à plus de 80. En raison de cette taxe cachée, les gouvernements européens collectent des dizaines de milliards d'euros en recettes fiscales, mais le fardeau retombe sur les entreprises et les familles.
RépondreSupprimerLes prix de l'électricité résidentielle dans l'Union européenne entre 2010 et 2014 étaient en moyenne de près de 240 $/MWh, tandis qu'aux États-Unis, ils étaient en moyenne de près de 120 $/MWh, soit moins de la moitié des prix de l'UE. Les prix de l'essence et du gasoil étaient également deux fois plus chers dans la moyenne de l'Union européenne par rapport aux États-Unis. Cette tendance ne s'est pas améliorée du tout. En 2021, les prix de gros de l'électricité en Europe ont atteint un niveau record.
L'Europe doit comprendre que la technologie et la concurrence sont plus efficaces en termes de réduction des émissions de carbone tout en améliorant la compétitivité que la mise en œuvre de mandats politiques rigides et coûteux.
Le secteur de l'énergie est la clé de la décarbonation, mais il n'y parviendra pas par une intervention constante. Pour décarboner, le meilleur outil technologique est une combinaison de gaz naturel, nucléaire, hydraulique et énergies renouvelables. Mais les énergies renouvelables sont intermittentes, tandis que la consommation est continue. Alors que la technologie se développe, l'Europe doit garantir la sécurité de l'approvisionnement et une énergie abordable en tirant le meilleur parti de toutes les options possibles, en encourageant l'énergie verte et en réduisant les coûts pour les consommateurs.
Maintenant que les technologies renouvelables sont compétitives, la solution ne peut plus provenir d'une planification centrale, de marchés restreints, de subventions et de correctifs réglementaires. Elle doit provenir, comme aux États-Unis, de crédits d'impôt progressivement supprimés et d'une concurrence sur un marché ouvert, avec des contrats bilatéraux transparents.
L'Europe peut développer ses ressources nationales et accélérer les investissements dans les énergies propres grâce à une innovation technologique rapide. Le mot pour y parvenir est compétition. C'était une erreur d'interdire le développement des ressources en gaz naturel, mais une erreur encore plus grande de reprocher aux producteurs mondiaux de gaz de ne pas vendre à bas prix un produit que certains gouvernements ont rejeté. Les nations européennes ne peuvent pas dire aux producteurs mondiaux de pétrole et de gaz qu'ils n'utiliseront pas leurs ressources dans dix ans mais, en attendant, les producteurs doivent investir des milliards dans le développement et exporter une énergie bon marché et abondante.
L'Europe peut promouvoir la compétitivité, réduire les factures et progresser dans le domaine des énergies propres. Tout ce qu'il doit faire, c'est permettre aux industries de trouver des solutions réalistes et durables et laisser les marchés fonctionner.
https://www.zerohedge.com/energy/how-shale-revolution-saved-europe-great-blackout
A savoir que: Le dit 'gaz de shiste' est un gaz de surface propre à chaque pays du monde mais, que ce gaz n'a aucune compression !
SupprimerDonc: pour le sortir (l'extraire) il faut le comprimer.
Pour le comprimer dans leurs nappes, il est donc nécessaire de passer par les explosifs afin de détruire les milliers de galeries et apporter donc une compression suffisante à son extraction !
Oui mais... les explosions touchent également les galeries souterraines d'arrivée d'eau maritimes et océaniques par infiltration jusqu'aux nappes phréatiques.
L'eau sale des océans (sels, défécations, etc, etc) est chauffée/brûlée par notre magma qui l'envoie sous forme de vapeurs vers les galeries qui sortent toutes propres en sources de montagnes et nappes phréatiques depuis des milliards d'années*.
Or, cette eaux propre (claire, sans odeur ni couleur ni bactérie) est désormais polluées POUR TOUJOURS par les explosions sous terre !
C'est ce qui est arrivée aux États-Unis où à des centaines de kilomètres de l'explosion l'eau est sale et imbuvable pour toujours !!
* Rappel que l'eau que nous buvons et extraite de sources ou nappes phréatiques ne provient PAS de l'eau de pluies !! car l'eau de pluie n'infiltre que peu les sols et serait donc toute sale en traversant les immondices qui se trouvent sous terre (cette eau sale est parfois pompée pour irriguer les champs par canalisations ou aspersions).
« Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans », une tribune de M. Jean-Paul Pelras dans l'Opinion
RépondreSupprimer23 Janvier 2022
Glané sur la toile 909
Dans « Lettre à Barbara Pompili qui incite à surveiller les paysans », l'Opinion du 20 janvier 2022, M. Jean-Paul Pelras s'insurge devant de nouvelles mesures de « flicage » des agriculteurs de nature à exacerber les tensions dans les campagnes.
C'est, comme d'habitude, élégant et bien tourné, et percutant, mais dans ce cas précis, difficile à comprendre en l'absence de détails sur les événements qui ont suscité son courroux. Mais cela reste juste quant au fond.
(Source)
En chapô :
« Sachant que nous venons de perdre plus de 100 000 paysans en vingt ans, continuez à serrer la bride autour des pratiques agricoles françaises, et vous pourrez bientôt mettre vos contrôleurs au chômage car il ne restera plus un seul agriculteur à contrôler »
La mise en route :
« Les agriculteurs sont cernés. D’une part, avec le dispositif Phytosignal animé par les agences régionales de santé en Nouvelle-Aquitaine, dans les Pays de la Loire ou en Bretagne, qui permet, comme son nom l’indique, aux riverains de signaler l’épandage de produits phytosanitaires à proximité de leurs domiciles. Et, d’autre part, avec le lancement de sites Internet mis à disposition des préfectures pour renseigner sur les zones traitées. Deux dispositifs complémentaires qui, se rajoutent à ceux déjà existants et qui auront, a minima, le don d’exacerber les tensions dans nos campagnes si l’on considère le degré d’hystérie collective suscité par ce sujet.
Et voilà qu’après la délation suggérée par les ARS, la surveillance officielle, puisqu’elle est encouragée par votre ministère, s’ajoute à la stigmatisation d’un monde paysan déjà suffisamment contraint par les normes environnementales imposées. D’ailleurs, pourquoi contrôler avec autant de zèle ceux qui sont autorisés par ces mêmes normes à protéger leurs productions ? Si ce n’est, une fois encore, pour les décourager et les désigner implicitement. »
Les travaux sur « PhytoSignal » mis à l'arrêt
Le premier paragraphe porte sur le dispositif « PhytoSignal », qui avait, semble-t-il, pris corps dans le Sud-Ouest et devait être étendu à l'ensemble du territoire. La raison d'être du dispositif régional :
« Ces plaintes arrivent de manière dispersée à des interlocuteurs variés et il est donc difficile d’en réaliser un état des lieux exhaustif et d’assurer une gestion coordonnée. Un comité de pilotage régional a été créé en 2013 afin de mettre en place le dispositif PhytoSignal sur l’ensemble de l’Aquitaine. Ce comité, piloté par Santé publique France en région (Cire) Nouvelle Aquitaine et par l’ARS, réunit également le Service régional de l’alimentation (Sral) de la Draaf, Atmo Nouvelle Aquitaine, le CAP TV de Bordeaux et des Services communaux d’hygiène et de santé (SCHS). »
RépondreSupprimerLe suivi des signalements selon des procédures documentées et la mise en ordre de marche de l'usine à gaz administrative se justifient sans nul doute. Ce n'est du reste pas nécessairement préjudiciable aux agriculteurs.
Mais le moment de la mise en route d'une extension à l'ensemble du territoire a peut-être été mal choisi, alors que Santé Publique France et l'ANSES ont lancé PestiRiv, « [u]ne étude inédite sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole ». Et surtout, cela s'est accompagné d'une publicité que l'on peut considérer comme une incitation à la délation ou une mesure donnant plus de corps à la délation et, surtout, aux récriminations.
- voir cadre sur site -
La « fiche de signalement d'un PhytoSignal » envisage que l'on puisse actionner les services publics sur la base d'une plainte quant à – dans l'ordre – l'odeur, le bruit, la pollution (kesako?), l'inquiétude, une demande d'information et, enfin, un « événement de santé ». Quel sens des priorités...
Le « plaignant » est aussi censé informer l'autorité d'une « [s]uspicion de vent fort (>19 km/h) ».
- voir cadre sur site -
La partie relative à l'évaluation et au suivi pose aussi problème : aucune case pour indiquer un signalement sans importance, voire sans cause et futile. Et c'est à ce stade que l'on peut trouver l'irritation de M. Jean-Paul Pelras fondée : celui qui épand un produit – pas forcément un agriculteur, cela peut aussi être un agent chargé de la lutte contre les moustiques – est présumé délinquant et coupable.
- voir cadre sur site -
Réussir rapporte dans « Julien Denormandie met le dispositif PhytoSignal en pause » :
« Depuis quelques semaines, le dispositif PhytoSignal, expérimenté en Nouvelle-Aquitaine, est suspendu. Le ministre de l’Agriculture n’est pas favorable, sous cette forme, à ce réseau d’information piloté par le ministère de la Santé. Il a demandé un retour d’expérience à l’Agence régionale de santé. »
Mme Barbara Pompili, ministre des annonces intempestives
RépondreSupprimerL'information sur PhytoSignal s'est télescopée avec une autre le 11 janvier 2022.
Prenons-le aussi de Réussir : « ZNT : Barbara Pompili annonce des sites pour informer les riverains sur l’épandage des pesticides »:
« Interrogée sur RMC la ministre de la Transition écologique a annoncé que les riverains seraient informés de l'épandage des pesticides via des sites internet, dans le cadre des nouveaux textes réglementaires sur les ZNT. »
(Source)
Comme on l'a vu ci-dessus, M. Jean-Paul Pelras impute à Mme Barbara Pompili une volonté de stigmatiser et décourager les agriculteurs.
Il est sans aucun doute permis de contester son appréciation des motivations.
Avec le fameux aphorisme de Michel Rocard :
« Toujours privilégier l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante, le complot demande un esprit rare. »
Reconnaissons aussi qu'elle a été poussée dans ses retranchements sur un dossier sur lequel le gouvernement s'est enferré. Mais la déclaration est fracassante, selon Réussir :
« "Nos concitoyens ont le droit d’avoir toutes les informations possibles" sur les épandages de pesticides, a estimé Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, interviewée le 11 janvier sur RMC par Jean-Jacques Bourdin. Dans le cadre des nouveaux textes réglementaires sur les ZNT (zones de non traitement), "il y a aura des sites internet où on pourra avoir toutes les informations possibles", a poursuivi la ministre de la transition écologique, ce qui n’a pas manqué de faire réagir les agriculteurs sur les réseaux sociaux. »
Rapide demi-rétropédalage du Cabinet :
« Ces sites internet, a tempéré le cabinet de la ministre auprès de nos confrères d’Agra Presse, ne sont qu’une option à disposition des préfectures et des producteurs pour assurer l’obligation d’information prévue par les nouveaux décrets.
"Rien n’est imposé, mais tout est possible", assure l’entourage de Barbara Pompili. Charge ensuite aux préfets, souligne-t-on, "de s’assurer que les riverains seront bien informés". L’équipe du ministre de l’agriculture confirme également l’ouverture sur les modalités, en promettant que "l’État accompagnera". »
Mais il faut tout de même faire un constat amer : pour Calamity Barbie il y a « [n]os concitoyens [qui] ont le droit d’avoir toutes les informations possibles » et... les agriculteurs.
(Source)
https://seppi.over-blog.com/2022/01/lettre-a-barbara-pompili-qui-incite-a-surveiller-les-paysans-une-tribune-de-m.jean-paul-pelras-dans-l-opinion.html
L'horreur dans le monde agricole empêche aujourd'hui les paysans de nourrir 7,900 milliards de personnes dans le monde ! à cause que les paysans osent donner à manger aux plantes !! (sous formes d'engrais appropriés NPK plutôt que du fumiers qui ne correspond pas à la nourriture des plantes. Voir les famines des siècles passés alors que 97 % de la populations étaient des paysans !!).
SupprimerLes ministères hégémonistes interdisent aussi l'emploi de remèdes (produits de traitements) contre les maladies et les insectes destructeurs de récoltes !!
Leurs objectifs est d'apporter la FAMINE MONDIALE à notre planète ! Qui contrôle la nourriture et l'énergie contrôle le monde.
C'est aussi ce qui s'est passé avec l'arrivée d'un faux virus y a 2 ans et l'empêchement à tous les médecins de prescrire les remèdes adéquats utilisés depuis des millénaires !! Cela s'est traduit par des centaines de millions de morts dans le monde privé de soins et de médicaments !!
L'expérience alimentaire mondiale à fort enjeu dont personne ne parle
RépondreSupprimer23 Janvier 2022
Paul M. Temple*
Le monde est sur le point de se lancer dans une expérience massive de production alimentaire – et il y a un risque très réel que le résultat ne nous plaise pas.
La bonne nouvelle est que la nourriture n'a jamais été aussi abondante et, même si les prix fluctuent, elle n'a jamais été aussi abordable.
C'est parce que nous produisons plus de nourriture que jamais auparavant. Depuis 2000, les récoltes des quatre principales cultures de la planète – canne à sucre, maïs, blé et riz – ont augmenté d'environ 50 %. La production de viande a augmenté dans des proportions presque équivalentes et celle d'huiles végétales a plus que doublé, selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture.
Une série de facteurs ont contribué à cette réussite, à commencer par la simple détermination des agriculteurs à répondre à la demande d'une population mondiale en pleine expansion, qui approche aujourd'hui les 8 milliards de personnes. Ils ont reçu beaucoup d'aide. La nouvelle technologie des cultures génétiquement modifiées a joué un rôle important. L'introduction d'outils sûrs et efficaces de protection des cultures nous a donné la possibilité de lutter contre les mauvaises herbes et les parasites et maladies. L'avènement de la précision guidée par GPS et des pratiques régénératrices du sol comme le sans labour (no till) et les cultures de couverture qui favorisent la santé du sol ont rendu l'agriculture toujours plus efficace et durable.
Un ingrédient essentiel mais souvent négligé est l'engrais azoté. Son application fournit un nutriment important qui favorise la croissance des plantes. Pendant des années, les agriculteurs ont pu y accéder facilement, surtout dans les pays développés.
Cette situation est sur le point de changer. En 2022, pour la première fois de mémoire d'homme, les agriculteurs cherchent à réduire leur dépendance aux engrais. Il est presque certain que nous en utiliserons moins, ce qui entraîne le risque d'une diminution des récoltes.
Il ne s'agit pas d'un choix mais d'une nécessité, motivée par une forte hausse des prix des engrais. Les preuves sont partout, mais voici ce que je constate dans ma ferme au Royaume-Uni. Pour moi, le coût des engrais azotés a augmenté de 152 % entre le printemps dernier et octobre dernier. En décembre, alors que je réservais les fournitures pour mon programme de culture de 2022, j'ai subi un autre choc : l'augmentation était passée à 277 %.
Aurais-je dû attendre pour voir si le prix allait baisser ? Peut-être. C'est ce que font beaucoup d'agriculteurs. En calculant les coûts et les bénéfices marginaux, beaucoup d'entre eux vont réduire leur utilisation d'engrais. Ils achèteront moins que ce qu'ils voulaient, appliqueront moins que ce qu'ils considèrent comme idéal, et croiseront les doigts. Avec autant d'usines en retard de production, les engrais seront-ils même disponibles ?
RépondreSupprimerIl y a une chance que cela puisse donner des résultats positifs. Les engrais étant si chers, cela poussera les agriculteurs à utiliser le produit avec plus de soin que jamais. Certains se tourneront vers des techniques d'application de précision qui favorisent une meilleure utilisation d'un produit essentiel. La crise des prix pourrait obliger le secteur agricole à innover d'autres manières, en trouvant comment faire plus avec moins. Peut-être la météo jouera-t-elle également en notre faveur, en créant des conditions favorables à l'épanouissement des cultures, même si elles reçoivent moins d'engrais.
C'est l'espoir. La réalité et les risques pourraient être très différents.
La demande actuelle de nourriture étant en hausse, le monde a besoin chaque année de récoltes record.
Si vous remplissez le réservoir d'essence de votre voiture aux trois quarts, elle ne roulera pas plus loin que si vous aviez fait le plein complet. De même, moins d'engrais signifie presque certainement une baisse de la production alimentaire. Tout ce que j'ai appris au cours de mes 44 années d'expérience agricole me le dit.
Malheureusement, presque personne ne parle de ce à quoi nous sommes confrontés. L'augmentation du coût des engrais a fait la une de la presse agricole, mais jusqu'à présent, les médias grand public n'ont pas relevé les conséquences potentielles.
Les gouvernements, pour la plupart, n'ont pas remarqué non plus. Personne ne pose la question évidente : « Quelles sont les conséquences ? » Plus vite ils le feront, plus vite ils pourront l'inscrire à l'ordre du jour du G7, du G20 et des autres organisations multilatérales dont l'objectif est de relever les plus grands défis du monde.
Alors que nous nous engageons dans cette expérience à fort enjeu, je crains que nous ne sachions pas vraiment ce que nous faisons et que nous ne parvenions pas à planifier les résultats les plus prévisibles – et que, même si tout le monde en souffre, les plus grands perdants seront, comme d'habitude, les personnes déjà en situation de pauvreté alimentaire et à faible revenu.
Les agriculteurs sont de petites entreprises individuelles et on les remarque rarement ; il faut généralement attendre la météo pour qu'ils fassent la une des journaux. Mais cette situation est mondiale, elle va se produire, elle est nouvelle et elle aura des conséquences sur l'approvisionnement jusqu'en 2023. Il s'agit d'une expérience dont il vaut la peine de considérer le risque le plus tôt possible.
https://seppi.over-blog.com/2022/01/l-experience-alimentaire-mondiale-a-fort-enjeu-dont-personne-ne-parle.html
Demain, seuls les paysans pourront encore se nourrir !
SupprimerLe prix des engrais et produits de traitements a doublé ou triplé !
Le prix des carburants a traversé le plafond. Idem pour les pièces de rechange de mécaniques agricoles.
A quoi il faut ajouter le prix... de l'eau d'arrosage !!! Alors que DES millions de km³ d'eau (GRATUITE) des fleuves & rivières vont se perdre en mers et océans tous les jours, les paysans doivent payer l'eau des ruisseaux !!!
Demain, ils parlent même de faire payer l'air que vous osez respirer !!
Les agriculteurs réduisent la quantité de nourriture qu'ils produisent en raison de la flambée des prix des engrais
RépondreSupprimersamedi 22 janvier 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Partout dans le monde en développement, les agriculteurs sont contraints de réduire leur production en raison de la hausse des coûts des engrais.
Les prix élevés des engrais font qu'il est beaucoup plus coûteux pour les agriculteurs de cultiver des aliments. Ces coûts reviendront inévitablement aux consommateurs réguliers qui achètent de la nourriture dans les épiceries. Ces personnes seront bientôt surprises d'apprendre que leurs factures d'épicerie pourraient augmenter encore plus qu'elles ne l'ont déjà fait l'année dernière lorsque les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint des sommets en dix ans.
Pire encore, une nouvelle hausse des coûts alimentaires exacerberait la faim dans le monde, qui est déjà aiguë dans de nombreuses régions du monde en raison des blocages liés à la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), des restrictions économiques et des pertes d'emplois.
Les coûts des engrais ont également augmenté aux États-Unis. Selon la Texas A&M University, le coût des engrais au Texas a augmenté de 80 % l'an dernier.
"Les engrais représentent déjà environ 30 à 35 % des coûts d'exploitation des agriculteurs sur leur ferme", a déclaré Brant Wilbourn, directeur associé du Texas Farm Bureau. "Les prix des engrais ont augmenté de façon spectaculaire au cours de la dernière année."
La hausse des prix des engrais a déjà affecté la demande. En Afrique subsaharienne, le Centre international de développement des engrais, une organisation mondiale à but non lucratif, a averti que la demande d'engrais pourrait chuter jusqu'à 30 %. Cela se traduirait par 30 millions de tonnes métriques de nourriture en moins produites dans la région. Cela équivaudrait aux besoins alimentaires d'environ 100 millions de personnes.
"La baisse de l'utilisation des engrais pèsera inévitablement sur la production et la qualité des aliments, affectant la disponibilité alimentaire, les revenus ruraux et les moyens de subsistance des pauvres", a déclaré Josef Schmidhuber, directeur adjoint de la division du commerce et des marchés de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.
Les agriculteurs du monde entier en difficulté en raison des coûts élevés des engrais
"Les fermes sont en faillite et beaucoup de gens ne cultivent pas", a déclaré Rodrigo Fierro, 61 ans, un agriculteur du centre de la Colombie. Il possède 10 acres de terrain, à partir desquels il produit des mandarines, des oranges et des avocats.
Christina Ribeiro do Valle, 75 ans, productrice de café au Brésil, a déclaré qu'en 2021, elle avait dû payer jusqu'à trois fois plus pour les engrais que l'année précédente. Couplés à des incidents météorologiques exceptionnels qui ont durement touché sa récolte, cela signifie que do Valle ne produira qu'une fraction du café qu'elle produisait les années précédentes.
RépondreSupprimerElle s'inquiète également de la pénurie mondiale d'engrais. "Cette année, vous payez, puis mettez votre nom sur une liste d'attente, et le fournisseur le livre quand il l'a", a déclaré do Valle. (Connexe: les usines d'engrais ferment, laissant l'approvisionnement alimentaire mondial au bord de l'effondrement.)
Sans engrais, do Valle s'attend à ce que sa récolte déjà réduite diminue encore davantage. Elle s'attend également à ce que la pénurie d'engrais se poursuive jusqu'en 2023.
En Côte d'Ivoire, pays d'Afrique de l'Ouest, Faustin Lohouri Bi Tra, qui cultive des semences de maïs, de riz et de soja pour d'autres agriculteurs sur une plantation de 500 acres, a déclaré que si les prix des engrais restent élevés en avril, il n'aura d'autre choix que de couper sa plantation de moitié ou plus. Il ne peut augmenter les prix que dans une certaine mesure avant que ses semences ne deviennent trop chères pour les agriculteurs locaux.
"Quand je leur dis que le prix des graines est de 3 dollars le kilo, ils se mettent à pleurer", a-t-il déclaré.
Dans le nord de la France, Guillaume Cabot a déclaré avoir augmenté les plantations de lin, une culture qui nécessite moins d'engrais azotés, et réduit d'autres cultures en raison de la hausse des prix. "Nos coûts ont explosé, en particulier le carburant, les engrais azotés et l'électricité", a-t-il déclaré. L'année dernière, Cabot a dû dépenser 10 000 euros supplémentaires (11 347 $) en dépenses d'engrais.
Dans le sud de la Colombie, Marcos Baquero, 48 ans, essaie de comprendre comment produire de plus gros rendements malgré les coûts élevés des engrais. Il cultive des pastèques et du maïs.
"Les agriculteurs doivent produire 50% de plus qu'avant", a déclaré Baquero. Il obtient généralement 35 tonnes de pastèque par hectare et 6 à 10 tonnes de maïs par hectare. Il essaie de comprendre comment produire au moins 40 tonnes de pastèque et 20 tonnes de maïs par hectare. Il a dit qu'il devait le faire pour joindre les deux bouts, sinon lui, comme beaucoup d'autres dans sa région, pourrait être contraint de simplement abandonner l'agriculture.
"C'est très douloureux pour nous, les agriculteurs", a déclaré Baquero. "Cela devient très difficile de travailler."
Écoutez cet épisode de la mise à jour de la situation du Health Ranger Report, un podcast de Mike Adams, le Health Ranger, qui explique comment les mondialistes sabotent les usines d'engrais pour préparer le terrain à un effondrement mondial des récoltes en 2022.
Cette vidéo peut être trouvée sur la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerApprenez-en plus sur la façon dont la pénurie d'engrais affecte les systèmes alimentaires mondiaux en lisant les derniers articles sur FoodCollapse.com.
Les sources comprennent :
WSJ.com
KXXV.com
Bloomberg.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-01-22-farmers-reducing-food-production-surging-fertilizer-prices.html
Effectivement, le fumier de bovins ne convient pas à 'n'importe quelle plante', idem pour celui d'ovins ou de volailles.
Supprimer10 destinations de voyage pour la vie post-pandémique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 20:00
Le 11 mars 2020, l'Organisation mondiale de la santé a officiellement classé l'épidémie de COVID-19 comme une pandémie. Les interdictions de voyager qui en ont résulté ont décimé l'industrie du tourisme et les voyages aériens internationaux ont initialement chuté de 98 %.
Près de deux ans plus tard, les voyages sont enfin de retour sur la table, bien qu'il y ait de nombreuses restrictions à prendre en compte. Quoi qu'il en soit, une enquête menée en septembre 2021 a révélé que, alors que les choses reviennent à la normale, 82 % des Américains attendent avec impatience les voyages internationaux plus que toute autre chose.
Pour vous inspirer pour vos prochaines vacances (quand que ce soit), Marcus Lu de Visual Capitalist a créé cette infographie répertoriant les 10 pays les plus visités en 2019, ainsi que trois de leurs principales attractions selon Google Maps.
- voir liste sur site -
bon voyage
Voici les 10 destinations de voyage les plus populaires en 2019, mesurées par leur nombre d'arrivées internationales.
- voir liste sur site -
*Estimation | Source : Banque mondiale
La France était la destination de voyage la plus populaire avec une marge significative, et il est facile de comprendre pourquoi. Le pays abrite de nombreux sites parmi les plus renommés au monde, notamment l'Arc de Triomphe et le musée du Louvre.
L'Arc de Triomphe a été construit au début des années 1800 et rend hommage à ceux qui sont morts pendant la Révolution française et les guerres napoléoniennes. En 1944, des soldats alliés ont défilé à travers le monument après la libération de Paris des nazis.
Le musée du Louvre, en revanche, est souvent reconnu par sa pyramide de verre géante. Le musée abrite plus de 480 000 œuvres d'art, dont la Joconde de Léonard de Vinci.
L'art n'est pas la seule chose que la France a à offrir. Le pays a une réputation d'excellence culinaire et abrite 632 restaurants étoilés Michelin, le plus hors de tous les pays. Le Japon arrive deuxième, avec 413.
Pendant que vous y êtes…
Après avoir visité Paris, vous voudrez peut-être envisager une visite en Espagne. Le pays est le voisin méridional de la France et est connu pour ses beaux villages et ses plages.
L'un de ses sites les plus impressionnants est la Sagrada Familia, une église massive de 440 000 pieds carrés dont la construction a commencé en 1882 et qui est toujours en cours de construction aujourd'hui (139 ans de construction). La vidéo ci-dessous montre l’évolution saisissante de la structure.
RépondreSupprimerÀ une hauteur de 172 mètres, la Sagrada Familia mesure environ 52 étages.
Un autre endroit populaire est Ibiza, une île au large de l'Espagne qui est célèbre pour sa vie nocturne animée. L'île est fréquemment mentionnée dans la culture pop - Netflix a sorti un film d'aventure/romance intitulé Ibiza en 2018, et le remix de la chanson de Mike Posner I Took a Pill in Ibiza a plus de 1,4 milliard de vues sur YouTube.
Des plages à foison
Si vous cherchez quelque chose en dehors de l'Europe, pensez au Mexique ou à la Thaïlande, qui sont les 7e et 8e destinations de voyage les plus populaires. Les deux offrent un temps chaud et une abondance de plages de sable blanc.
Si vous avez besoin d'encore plus de convictions, consultez ces liens :
Les 13 plus belles plages du Mexique
Les meilleurs complexes hôteliers du Mexique : Choix des lecteurs 2021
Les Meilleurs Marchés De Nuit À Bangkok, Thaïlande
Les meilleurs bars sur les toits de Bangkok
Attendez-vous à des turbulences
Dans des circonstances normales, des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année par les touristes internationaux. Selon le World Travel & Tourism Council (WTCC), ces dépenses représentaient un impressionnant 10,4 % du PIB mondial en 2019.
Les restrictions de voyage introduites en 2020 ont porté un coup dur à l'industrie, réduisant sa part du PIB mondial à 5,5 % et supprimant environ 62 millions d'emplois. Alors que le WTCC pense que ces emplois pourraient revenir d'ici 2022, la variante émergente d'Omicron a déjà incité de nombreux pays à resserrer à nouveau les restrictions.
Pour éviter les maux de tête à l'avenir, assurez-vous de bien comprendre les règles et les restrictions de l'endroit où vous vous dirigez.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/10-travel-destinations-post-pandemic-life
Notez tout de même (parce qu'il ne fat pas prendre les gens pour des cons) que les 'touristes' iront plutôt rechercher les coins où ils peuvent vivre en autonomie comme une île sous les Tropiques où ils pourraient vivre en autonomie (Madagascar ou Australie dès que le reine est morte) et copier la Suisse pour sa Démocratie.
SupprimerLes prix de l’énergie sont faussés
RépondreSupprimerQuand les autorités faussent les prix du marché de l'énergie, les ennuis abondent.
le 23 janvier 2022
Simone Wapler
L’énergie est aujourd’hui un cas d’école d’empilage de taxations, subventions et appauvrissement du consommateur final. Nous sommes intoxiqués par plus de quarante ans d’inepties dirigistes. Quand les autorités faussent les prix d’un marché, les ennuis abondent.
Vent de panique sur les prix de l’électricité. Bruno Le Maire dégaine évidemment une « solution » : limiter la hausse à 4 % en 2022. Ça tombe bien, 2022 est une année électorale…
Le blocage des prix a toujours été une solution inepte et l’empereur Dioclétien – auteur de l’édit du maximum promulgué en 301 – doit bien ricaner dans sa tombe.
« Il nous plaît donc que les prix qui figurent dans le court texte ci-dessous soient observés dans tout notre Empire. Que chacun comprenne bien néanmoins que, si la faculté de les dépasser lui a été ôtée, il n’est pas interdit, dans les régions où s’observe l’abondance, de jouir de l’avantage de bas prix, dont on s’occupera spécialement lorsque la cupidité aura été complètement réprimée. »
De nos jours aussi, ce ne sont jamais les États ou les gouvernements qui avouent être fautifs des désordres monétaires et financiers qu’ils ont occasionnés. Les autorités préfèrent désigner l’appât du gain, l’avidité, les spéculateurs, le capitalisme, les étrangers, la fraude fiscale, la conjoncture ou même le climat… L’interventionnisme, lui, n’est jamais réprimé.
Le « court texte » de Dioclétien comprend une liste minutieuse des produits et services à prix bloqués (qui figure dans mon dernier livre) ; elle fait irrésistiblement penser aux listes des produits de première nécessité édictés par nos méticuleux fonctionnaires lors de la crise sanitaire. Les millénaires passent mais l’esprit fonctionnaire ne trépasse pas, hélas.
Surenchères de solutions désastreuses
Vent de panique sur le pétrole et le gaz aussi. Le candidat Zemmour a une idée lumineuse : faire payer la note de carburant des salariés par l’employeur. Mieux qu’un minable chèque de la République de 100 euros. Va-t-il récolter 8 millions de votes ? C’est selon lui le nombre de salariés utilisant leur voiture pour se rendre au travail. Je n’ai pas perdu de temps à fact-checker ce chiffre, comme disent les bien-pensants.
Pauvre Zemmour, il ignore qu’il existe déjà un forfait kilométrique pris en charge par les employeurs comme le rappelait Pécresse qui suggère d’augmenter ce dispositif. La candidate promet par ailleurs pêle-mêle hausses de salaire et sutout zéro carbone en 2050. Ça tombe pile-poil : Monsieur est président de General Electric Renewable Energy (ex Alstom, vendu aux Américains). Seul cadre français épargné lors du rachat, il plante depuis des éoliennes offshore à tour de bras. Le capitalisme de copinage dans toute sa splendeur rayonnante…
Je vous passe les idées tout aussi niaises du camp du bien, (la gauche et les pastèques, réputés au service du petit peuple et de Gaïa). Les expériences socialo-communistes se sont toujours soldées par davantage de misères et de pauvreté et personne n’envie le sort des Cubains ou des Vénézuéliens même si Mélenchon rêve de nous le faire partager.
RépondreSupprimerQuand on ne peut pas bloquer les prix, on se goinfre de taxes
La leçon des chocs pétroliers est oubliée, hélas.
Au début des années 1970, les prix du pétrole brut ont commencé à s’envoler. D’octobre 1973 à mars 1974, le baril passe de 2,59 dollars à 11,65 dollars.
Mettez-vous à la place de pauvres bédouins autrefois paisibles gardiens de chèvres. Ils vendaient du pétrole en dollars convertible en or. En 1971, Nixon déclare que le dollar n’est plus adossé à l’or entraînant une chute brutale du billet vert. Le pétrole est vendu en dollar qui est subitement devenu un bout de papier adossé à rien (ou une reconnaissance de dette de l’État fédéral). Du coup, les bédouins réclament davantage de dollars pour un baril.
Beaucoup de gouvernements occidentaux taxaient déjà allégrement le pétrole importé. Cette hausse leur permet d’augmenter mécaniquement leurs recettes fiscales exprimées en pourcentage. Ils sont en réalité complices.
Au 14 janvier 2022, les taxes représentent plus de 54 % du gazole et plus de 57 % du SP95 (source)
Gagnants : les producteurs de pétrole et les gouvernements.
Perdants : les consommateurs et les contribuables.
L’inflation du pétrole commença à essaimer. Les taux d’intérêt montèrent. Une récession économique s’ensuivit. Les prix se calmèrent puisque la demande chuta (mais les taxes restèrent).
En 1978, nouveau choc avec la chute du régime iranien. Entre septembre 1978 et mai 1979, les prix doublent pour le super et le fioul ordinaire et triplent pour le diesel. Nouvelle flambée d’inflation qui atteint 15 % en 1980 aux États-Unis. Pour calmer le jeu, Volcker, alors président de la Réserve fédérale, pousse les taux courts à 20 %. Nouvelle récession.
Cette période sans croissance et avec inflation fut dénommée stagflation par les doctes économistes qui ne craignent pas d’utiliser des mots très laids.
Dans l’histoire, des nouveaux « machins » internationaux nous sont nés : l’OPEP du côté des pays producteurs et l’AIE (Agence internationale de l’Énergie) du côté des pays consommateurs. Ces organismes internationaux tentent de « réguler » les prix de l’énergie : quota de production, entente et cartellisation d’un côté ; taxation de l’autre.
Le marché du pétrole est en réalité manipulé pour compenser un vice monétaire : les obligations souveraines libellées en grandes devises qui servent de réserve de change ne sont que des promesses de payer.
Depuis, les promesses (la dette souveraine) s’entassent et d’autant plus facilement que les taux baissent.
RépondreSupprimerGagnants : ceux qui émettent les promesses et consomment à crédit.
Perdants : ceux qui escomptent qu’elles seront honorées un jour.
Le développement du nucléaire civil pour contrer les désordres du marché pétrolier
À quelque chose malheur est bon, disait-on autrefois. Les chocs pétroliers engendrent une fulgurante accélération du développement du nucléaire civil, industrie totalement contrôlée par l’État et subventionnée par les contribuables de l’époque (que vous pouvez remercier).
Le premier plan quinquennal de l’énergie nucléaire fut voté par l’Assemblée nationale en 1952 et reconduit. Mais les technologies sont encore balbutiantes. En France, plusieurs procédés sont envisagés et testés par les organismes publics de recherche. Pressé par les retombées des chocs pétroliers, EDF doit passer à l’action et décide finalement d’adopter le procédé américain dit « uranium enrichi et eau légère » plus économique que les pistes françaises. Grincement de dents de De Gaulle mais la technologie française est définitivement abandonnée par le maître d’œuvre EDF.
Les centrales poussent dès lors comme des champignons et la France devient un acteur important dont l’électricité est majoritairement d’origine nucléaire. Elle parvient même à exporter (différence avec le Concorde ou le TGV, autres fabuleux investissements financés par les contribuables).
Et Cocorico ! Nous sommes le troisième producteur mondial d’électricité, derrière les États-Unis et la Chine.
Source
- voir graph sur site -*
Et Cocorico (bis) ! 70 % de notre électricité est d’origine domestique (contre seulement 52 %) aux États-Unis.
Et Cocorico (ter) ! Figurez-vous que c’est pas cher : le prix de revient moyen du MWh des centrales déjà construites est de 49,50 euros (presque deux fois moins que les moulins à vents marins de monsieur Pécresse).
- voir liste sur site -
Source
Évidemment pour un EPR, c’est plus cher (pensez aux désastres d’Areva, des chantiers EPR et à EDF avec sa dette de plus de 40 milliards d’euros).
Évidemment (bis) le prix de vente de l’électricité aux consommateurs-contribuables qui ont financé son développement est lui-même grevé de nombreuses taxes qui atteignent 37 % (source). Parce que s’il y a moins de taxes sur le pétrole, il faut bien taxer ce qui peut le remplacer.
Principe : il n’y a jamais de retour sur investissement des investissements publics.
Concurrence bidon et creusement de la dette
Une fausse ouverture à la concurrence du marché de l’électricité débute en 2007. Elle oblige EDF à vendre à prix coûtant son électricité à des concurrents lourdement subventionnés pour produire une électricité intermittente et plus coûteuse (malgré les subventions). Résultats : creusement des pertes d’EDF et pression supplémentaire sur le consommateur-contribuable.
Aujourd’hui, les prix de l’énergie – pétrole, gaz, électricité – sont totalement faussés. L’interventionnisme, les taxations, les subventions contraignent ce marché vital pour l’économie puisqu’aucun produit ou service ne voit le jour sans Consommation d’énergie.
La liberté « n’est pas la fille mais la mère de l’ordre », écrivait Proudhon. C’est la liberté qui engendre l’ordre et la stabilité, pas la contrainte qui n’engendre que violence et misère. C’est vrai pour la liberté économique.
RépondreSupprimerSouvenons-nous : tous ces désordres du marché de l’énergie partent d’un système monétaire vicié et corrompu. La seule monnaie saine est la monnaie marchandise : on échange quelque chose contre autre chose. Le recours à la dette sans limite engendre des troubles sans fin. Dans la crise monétaire qui s’annonce, une extraordinaire quantité d’épargne investie sur la dette et des promesses vides sera détruite.
https://www.contrepoints.org/2022/01/23/419881-les-prix-de-lenergie-sont-fausses
C'est pourtant pas difficile à comprendre, plus les gens sont intelligents plus ils dépassent (forcément) les dictateurs au pouvoir (voir 1000 ou 10 000 personnes face à 7,900 milliards !). Donc en paupérisant le Peuple qui s'enrichit grâce aux machines qui travaillent pour lui, les dictateurs demeurent les 'maîtres à penser ou ceux qui se disent d'en savoir plus que des scientifiques sans jamais avoir fait 1 heure d'étude scientifique !!!
SupprimerTout çà c'est pour éviter comme la peste que la Démocratie pointe le bout de son nez et s'installe comme en Suisse où ce sont les suisses qui font les lois !
* mais là encore (pareil sur d'autres sites) l'équivalence n'est pas démontrée ! Comparer un pays de 330 millions d'habitants à un de 1,400 milliard et en 3 ème un pays de 67 millions.... ça n'a ni queue ni tête !
Nooooormalement on classe par NOMBRE D'HABITANTS !
voir (par exemple:)
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html
Pistolet «intelligent» moqué après l'échec de la démonstration
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 20:40
Les armes intelligentes sont diffusées dans les médias grand public pour empêcher les personnes non autorisées de tirer avec des armes à feu dans l'espoir d'empêcher les tirs de masse.
La technologie de reconnaissance biométrique utilisant les empreintes digitales et / ou la technologie RFID est utilisée pour activer les pistolets de haute technologie.
Cependant, comme le souligne le site Web pro-gun Bearing Arms, les pistolets intelligents ne sont pas si intelligents après un éventuel échec de démonstration.
Les armes intelligentes pourraient être sujettes à des problèmes de fiabilité dans des situations de vie ou de mort.
* * *
Soumis par Bearing Arms.
Au cours de la semaine dernière, les soi-disant armes intelligentes ont été partout dans les médias grand public. Dans la communauté du deuxième amendement, on en a également beaucoup parlé. D'autant plus que nous savons tous que ce n'est qu'une question de temps avant que les législateurs n'essaient d'imposer les armes intelligentes comme les seules armes à feu.
Cependant, il y a des problèmes avec ces types d'armes à feu. Nous le savons tous. J'ai parlé de quelques-uns d'entre eux.
L'un des plus importants est la fiabilité. Plus vous mettez de whizzbangs dans un appareil, plus la probabilité d'échec augmente.
Les armes à feu sont une technologie qui a plus d'un siècle de développement. Bien qu'il y ait des ajustements ici et là, le noyau d'une arme à feu semi-automatique n'a pas beaucoup changé. Résultat, c'est fiable.
Les pistolets intelligents n'ont pas ça. Ce qui les rend "intelligents", c'est une technologie qui existe ailleurs, mais qui a aussi des problèmes un peu partout.
Et, comme le note John Boch dans The Truth About Guns, il semble qu'ils ne puissent même pas bien gérer la partie "pistolet" non plus.
La semaine dernière, nous avons fustigé les informations faisant état d'un nouveau "pistolet intelligent" dont Reuters s'est délecté dans une "exclusivité" éclatante. Le journaliste de Reuters Daniel Trotta a écrit que le prototype de troisième génération avait tiré "sans problème" lors d'une démonstration de tir réel pour les investisseurs et les médias.
RépondreSupprimerMaintenant, cependant, des images supplémentaires de l'événement ont depuis fait surface qui montrent que le pistolet LodeStar Works n'a pas réussi à tirer deux coups sans problème pendant l'un des exercices.
Oups.
…
Voici un autre enregistrement qui peut être intégré par un journaliste de la télévision locale. Cela montre que le pistolet LodeStar pas si intelligent ne peut même pas tirer deux cartouches consécutives.
On voit clairement le tireur déclarer qu'il va tirer deux coups. Il en tire un, puis appuie plusieurs fois sur la gâchette, seule l'arme tire.
Oui, c'est la fiabilité dont nous parlions.
La vérité est que les armes intelligentes ne sont pas prêtes pour les heures de grande écoute. Pas à un mile. Mais les entreprises qui y travaillent savent qu'elles peuvent faire de la publicité - et probablement un certain degré d'investissement - en envoyant quelques communiqués de presse et en expliquant aux médias à quel point leurs nouvelles armes à feu sont géniales.
Pourtant, je n'ai pas encore vu l'un de ces gens intelligents armés qui est en fait un homme armé. Ils semblent généralement être des gens de la technologie qui décident de construire une arme intelligente, plutôt qu'une personne qui veut en construire une.
Bien sûr, les amateurs d'armes à feu savent qu'il n'y a pas vraiment de marché pour ce genre d'armes. On en entend parler depuis des années. Ils sont toujours au coin de la rue, et pourtant absolument personne ne semble s'y intéresser le moins du monde. Je n'ai pas encore trouvé une personne passionnée par le concept, bien que certains comme moi soient ambivalents quant à la technologie elle-même. D'autres, cependant, y sont carrément hostiles, principalement parce qu'ils pensent que quelqu'un essaiera de les mandater pour tout le monde.
Heureusement pour ces gens, les armes intelligentes semblent avoir au moins une autre décennie au minimum.
Si ces entreprises pensent qu'elles ont quelque chose, elles doivent cesser de se tourner vers les médias grand public anti-armes et commencer à regarder les médias sur les armes à la place. Testons et évaluons les armes. Nous vous dirons s'ils sont prêts ou non.
Je ne retiens pas mon souffle là-dessus, cependant.
https://www.zerohedge.com/technology/smart-gun-cant-fire-two-rounds-consecutively
C'est le 'pistolet Charlemagne' ! il a créé l'école pour les dictateurs et non pour les français qui doivent en être écartés !
SupprimerDémasquer l'Amérique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 17:30
Rédigé par Jeff Deist via The Mises Institute,
Trop c'est trop. Il est temps d'arrêter de porter des masques, ou à tout le moins d'éliminer les mandats de masque dans tous les contextes.
Cela est particulièrement urgent pour les enfants des écoles et des universités, qui souffrent des effets des masques pendant de longues heures chaque jour malgré un risque extrêmement faible de décès ou de maladie grave due au covid.
Nous avons la responsabilité, une fois pour toutes, de rejeter les récits ridicules et toujours changeants qui sous-tendent les masques comme des obstacles efficaces à la propagation des infections à covid.
Sérieusement les gens - ARRÊTEZ D'ACHETER DES MASQUES ! Ils ne sont PAS efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le #Coronavirus
- l'ancien chirurgien général américain Jerome Adams en février 2020.
L'histoire est passée de "les masques ne fonctionnent pas", à "les masques peuvent fonctionner", à "les masques fonctionnent et vous devez en porter un". Maintenant, le récit change encore une fois : "les masques en tissu ne fonctionnent pas, vous devez donc porter un masque chirurgical ou "bien ajusté"", voire en porter deux !
Notez que même si le covid évolue vers une variante omicron moins dangereuse, nous sommes censés augmenter le niveau d'hystérie en portant des masques destinés aux chirurgiens maintenant un environnement stérile sur les plaies ouvertes. C'est ce que nous disent les mêmes personnalités politiques, médicales et médiatiques qui se sont "souvent trompées mais n'ont jamais douté" de tout ce qui concerne le covid au cours des deux dernières années. Et ils parlaient alors avec autant de fausse certitude qu'ils le font maintenant.
De manière perverse, l'administration Biden a récemment commandé 400 millions de masques chirurgicaux N95 à distribuer dans tout le pays. Étant donné que les masques N95 sont considérés comme jetables et destinés à être portés au maximum peut-être 40 heures, on ne sait pas ce qui se passe en une semaine ou deux lorsque 330 millions d'Américains manquent de leur équipement de protection individuelle "gratuit".
Le Royaume-Uni a sensiblement mis fin à ses mandats de masque, à la fois dans les lieux publics (bureaux et autres lieux de travail, bars, restaurants, événements sportifs, théâtres) et heureusement les écoles. Une jeune étudiante universitaire a fondu en larmes en apprenant la nouvelle, déplorant l'inhumanité de son expérience au cours des deux dernières années. Comme l'a déclaré le secrétaire britannique à la Santé, Savid Javid, "Nous devons apprendre à vivre avec le covid de la même manière que nous vivons avec la grippe".
RépondreSupprimerAmen.
Les arguments contre les masques sont simples.
Les masques ne fonctionnent pas. Ou du moins, les masques en tissu ne le font pas.
Même le CDC admet maintenant ce que le Dr Anthony Fauci a dit au monde en février 2020 : les masques en tissu ne fonctionnent pas et il n'y a aucune raison d'en porter un :
"Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus d'entrer, qui est suffisamment petit pour traverser le matériel. Il pourrait cependant offrir un léger avantage pour empêcher les grosses gouttelettes si quelqu'un tousse ou éternue sur vous. "
Je vous déconseille de porter un masque, d'autant plus que vous vous rendez dans un lieu à très faible risque.
L'experte médicale douteuse de CNN, le Dr Lena Wen, anciennement super-masqueuse, nous dit maintenant que les masques en tissu ne sont « guère plus que des décorations faciales ». efficacité dans la prévention du covid.
Sommes-nous sérieusement prêts à porter des masques chirurgicaux serrés et inconfortables toute la journée pour échapper à l'omicron ?
Les masques sont sales.
Les poumons humains et notre système respiratoire sont conçus pour inhaler de l'azote et de l'oxygène et expirer du dioxyde de carbone. Le dioxyde de carbone est littéralement un déchet, éliminé du sang par nos poumons. Les masques peuvent ne pas piéger des niveaux nocifs de dioxyde de carbone contre notre nez et notre bouche, mais ils se salissent certainement très rapidement à moins d'être changés constamment. Ils encouragent également la respiration buccale, ce qui peut provoquer des symptômes de "masque buccal", notamment l'acné, la mauvaise haleine, la sensibilité des gencives et l'irritation des lèvres.
Pourquoi interférerions-nous avec la respiration naturelle à moins de nous sentir malades, de présenter des symptômes et de craindre d'infecter les autres ? Et dans ce cas, pourquoi ne pas rester chez soi ?
Les masques sont déshumanisants.
Les humains communiquent verbalement et non verbalement, et les masques entravent les deux formes. Les masques assourdissent et déforment nos paroles. Nos expressions faciales sont des indices importants pour tout le monde autour de nous ; sans ces signaux, la communication et la compréhension en souffrent. Les nourrissons et les tout-petits peuvent être les plus touchés, car un manque d'engagement facial avec les parents et les proches entrave les relations humaines et les attachements formés pendant l'enfance.
Cependant, le plus troublant est peut-être les effets symboliques lorsque des millions d'Américains portent consciencieusement des masques basés sur des preuves fragiles fournies par des personnes profondément peu impressionnantes. L'absence de visage - le manque d'identité individuelle, de personnalité et d'apparence - est intrinsèquement déshumanisante et dystopique. Comme les uniformes de prison ou militaires, les masques réduisent nos caractéristiques personnelles. Les masques sont des muselières, symboles d'acquiescement par cœur à une nouvelle normalité laide que personne n'a demandée ou votée.
RépondreSupprimerLe risque est inévitable.
Le risque est omniprésent et fortement subjectif (par exemple, le risque covid varie énormément avec l'âge et les comorbidités). Personne n'a le droit d'imposer des interventions comme des masques aux autres, tout comme personne n'a le droit à un paysage hypothétique sans germes. L'expiration n'est pas une agression, à moins de tenter délibérément de rendre les autres malades. Les personnes portant des masques rejettent sans doute un peu moins de particules de virus covid que celles qui ne le sont pas, mais cela ne justifie pas l'interdiction de ces dernières de la vie publique. Comme toujours, le fardeau écrasant de la justification de toute intervention - y compris les mandats masqués - doit reposer sur ceux qui la proposent, et non sur ceux qui s'y opposent.
En somme, les Américains ne sont pas des enfants. Les compromis font partie de toute politique, que les responsables gouvernementaux l'admettent ou non. Nous savons coexister avec la grippe, tout comme nous vivons avec d'innombrables bactéries et virus dans notre environnement. Nous coexisterons de la même manière avec covid. Le but n'est pas d'éliminer les germes, et le zéro covid est une absurdité. Un système immunitaire sain, construit par l'alimentation, l'exercice et la lumière du soleil sera toujours la meilleure défense de première ligne contre les maladies transmissibles. Mais l'alimentation, l'exercice et la lumière du soleil ne peuvent pas être sous-traités à des responsables de la santé ou mandatés par des politiciens.
Quels que soient les légers avantages que les masques peuvent apporter, c'est à chacun de décider par lui-même. Les personnes qui se sentent malades avec des symptômes doivent rester à la maison. Nous pouvons tous nous laver les mains fréquemment et soigneusement. Sinon, il est temps pour les Américains de s'affirmer contre les revendications douteuses et la légalité inexistante des mesures covid gouvernementales.
Il est temps de reprendre une vie normale, et cela commence par un visage humain visible.
https://www.zerohedge.com/covid-19/unmask-america
Les ordures qui dirigent prennent le Peuple pour un amas de cons sans cervelle. Et, comme le Peuple très 'télé-merde', 'radio-merde' et 'journaux-de-merde' n'écoute qu'elle il est donc près à porter grillage-sur-gueule pour empêcher poussière d'entrer !! HAHAHAHAHAHA !
SupprimerUn masque c'est 150 microns d'écart de maille. Une poussière inoffensive (appelée 'virus' pour faire méchant) mesure de 0,1 à 0,5 micron !!! HAHAHAHAHAHA !
Les merdicistes pensent que le 'virus-de-la-mort est dans l'air alors qu'il n'est proposé qu'en SERINGUES est sous appellation 'Oxyde de graphène AOC' (cuvée 19).
Disons que tant que les scientifiques sont interdits de plateaux-télé, studios-radios ou colonne de journaux les merdicistes ne sauront rien et de plus... ne chercheront même pas à savoir !! HAHAHAHA !
Plus de 97 000 Américains attendent une greffe de rein
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 22 JANVIER 2022 - 09:55
Un cœur de porc génétiquement modifié a été transplanté avec succès chez un être humain pour la première fois.
L'opération, réalisée vendredi à Baltimore aux États-Unis, offre une future solution potentielle aux longues listes d'attente pour les greffes. Le Dr Bartley Griffith, qui a pratiqué l'opération, a décrit la situation lundi :
"Cela crée le pouls, cela crée la pression, c'est son cœur", ajoutant: "Ça marche et ça a l'air normal. Nous sommes ravis, mais nous ne savons pas ce que demain nous réserve. Cela n'a jamais été fait auparavant.
Dans l'infographie ci-dessous, Katharina Buchholz de Statista examine l'ampleur du problème des listes d'attente de greffe aux États-Unis. Selon la Health Resources & Services Administration, près de 120 000 personnes attendaient un organe en septembre 2021, un rein étant le plus nécessaires (plus de 97 000) de loin. Environ 3 500 personnes ont eu besoin d'une transplantation cardiaque.
- voir cadre sur site -
Infographie : Listes d'attente pour les greffes d'organes aux États-Unis | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Alors que l'opération est décrite comme un moment décisif, le Dr David Klassen, médecin-chef du United Network for Organ Sharing, prévient qu'il reste encore un long chemin à parcourir avant que cette option ne soit valable pour un grand nombre de patients. :
"Des portes commencent à s'ouvrir qui conduiront, je crois, à des changements majeurs dans la façon dont nous traitons les défaillances d'organes", mais "Des événements comme ceux-ci peuvent être dramatisés dans la presse, et il est important de garder le recul. Il faut beaucoup de temps pour mûrir un une thérapie comme celle-ci.
Pour l'instant, le rein est l'organe le plus souvent transplanté aux États-Unis, et le nombre de greffes a plus que doublé depuis la fin des années 1980. Les reins, ainsi que les foies, sont donnés par des patients décédés et vivants, c'est pourquoi le nombre de greffes de ces organes est plus élevé que celui des cœurs et des poumons.
- voir cadre sur site -
Infographie : Les greffes de rein en hausse | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Dans le cas des reins, le nombre de greffes a commencé à augmenter plus rapidement en 2010 - un lien évident avec la crise actuelle des opioïdes aux États-Unis. puisque les donneurs décédés peuvent faire don de leurs deux reins, et non d'un seul.
De même, un cœur de donneur sur six aux États-Unis provient désormais d'une personne décédée d'une surdose.
https://www.zerohedge.com/medical/over-97000-americans-are-waiting-kidney-transplants
Le gouvernement allemand commande 554 millions de doses de COVID-19 pour sa population de seulement 83 millions de personnes
RépondreSupprimerSamedi 22 janvier 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) Le gouvernement allemand a commandé un total d'environ 554 millions de doses de vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans différentes tranches des contrats de l'Union européenne en 2021. Dans le cas des doses de Pfizer, la quantité commandée par le gouvernement était d'environ 287,3 millions de doses de vaccin. Il y a également eu environ 120,3 millions de doses de Moderna, 56,3 millions de doses d'AstraZeneca et 55 millions de doses de Johnson & Johnson.
De plus, il y avait aussi des commandes de Sanofi/GSK, Valneva et Novavax. Trois millions de doses supplémentaires de vaccin Pfizer en provenance de Pologne ont également été commandées début décembre 2021 et livrées plus tard le même mois. Si les 83 millions d'habitants de l'Allemagne recevaient leurs vaccins, le seul nombre acheté par le gouvernement serait suffisant pour donner sept doses à chaque personne. Actuellement, près de 73 % de la population allemande ont reçu leurs injections complètes de vaccin, et plus de 48 % ont déjà reçu leurs injections de rappel.
Cet ordre bizarre vient du ministre de la Santé Karl Lauterbach et du ministre des Finances Christian Lindner, qui ont déclaré que l'Allemagne pourrait faire face à des pénuries de vaccins au début de 2022 si de nouvelles doses ne sont pas acquises.
Lindner a également annoncé que le gouvernement allemand était prêt à débourser 2,48 milliards de dollars supplémentaires de son budget pour obtenir davantage de doses de vaccins alors que la variante omicron continue de se propager. "Nous avons besoin de plus de vaccins rapidement pour des injections de rappel rapides et d'éventuelles vaccinations à l'omicron", a déclaré Lauterbach. (En relation: La vérité fait mal: 96% des cas d'omicron en Allemagne sont parmi les personnes entièrement vaccinées.)
Lauterbach a également abordé les efforts visant à obtenir davantage de vaccins dans la dernière partie de 2021, y compris des programmes de vaccination des enfants âgés de 11 ans et moins. Les taux d'infection et de mortalité, bien que plus faibles, restent toujours très élevés en Allemagne, les experts de la santé avertissant que des mesures plus drastiques pourraient devoir être prises.
L'Allemagne s'attend à ce que le COVID atteigne un pic à la mi-février
Lauterbach a également déclaré que la vague COVID atteindra son apogée à peu près à la mi-février malgré le faible taux d'hospitalisation. Cependant, les cliniques pourraient connaître une forte pression dans les semaines à venir, les personnes de plus de 50 ans non vaccinées étant nettement plus nombreuses en Allemagne par rapport aux autres pays européens.
L'agence de contrôle des maladies a signalé 133 536 nouveaux cas confirmés de COVID-19 au cours des dernières 24 heures, avec 234 décès.
RépondreSupprimerBien que l'omicron soit moins susceptible de provoquer une maladie grave que le delta, il se propage plus facilement que les souches précédentes et est déjà devenu dominant dans de nombreux pays. De plus, il infecte ceux qui ont déjà été vaccinés ou qui ont également été infectés par des versions antérieures du virus.
La variante omicron, comparativement, a mis du temps à se propager en Allemagne selon les normes européennes, mais le pays a connu une augmentation du nombre de cas similaires à ceux observés dans d'autres pays voisins.
En France, par exemple, plus de 460 000 cas ont été signalés, tandis que l'Italie en a enregistré plus de 228 000. Les deux pays ont des populations relativement plus petites que l'Allemagne, qui a déjà renforcé les restrictions pour freiner la propagation du virus. L'Autriche, quant à elle, a connu une augmentation du nombre de cas à environ 30 000, le chancelier Karl Nehammer l'appelant un "nombre incroyablement élevé" qui a doublé les chiffres précédents.
L'Allemagne a également limité l'accès aux bars et restaurants à ceux qui ont reçu leurs piqûres de rappel en plus d'être déjà complètement vaccinés ou récupérés.
Dans ce contexte, la police allemande enquête actuellement sur plus de 12 000 cas de falsification présumée de certificats de vaccin contre le coronavirus, l'agence de presse DPA notant que les enquêtes ont bondi en décembre après que les autorités ont annoncé les restrictions qui empêchaient en grande partie les personnes non vaccinées de la vie publique. (En relation: le mandat du vaccin COVID de l'Allemagne pourrait être retardé en raison d '«obstacles bureaucratiques».)
Les individus ou groupes qui fournissent ou utilisent de faux certificats seront passibles de sanctions sévères allant d'amendes et de peines de prison avec sursis à la perte d'emploi.
Le parlement allemand devrait commencer à débattre des mandats universels de vaccination dans les mois à venir, bien que les responsables gouvernementaux reconnaissent que les mesures pourraient ne pas entrer en vigueur avant plusieurs mois.
Regardez la vidéo ci-dessous pour voir la situation vaccinale actuelle en Allemagne :
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Vigilent Citizen sur Brighteon.com.
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Sources incluses
This video is from the Vigilent Citizen channel on Brighteon.com.
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Sources include:
GlobalResearch.ca
APNews.com
DW.com 1
DW.com 2
ABCNews.go.com
https://www.naturalnews.com/2022-01-22-german-government-orders-554-million-covid-19-doses-for-83-million-people.html
Brève chronique canarienne. Ces médecins qui tueraient père et mère pour respecter des lois iniques
RépondreSupprimerle 23 janvier 2022
« Elle n’en a rien à foutre … » c’est ce que m’a répondu mon seul ami, ici à Santa Cruz de Tenerife, quand il est venu en coup de vent boire une bière chez moi il y a trois jours. Divorcé de la mère de son fils de 17 ans, cet ami, chef cuisiner de son état dans probablement le meilleur restaurant du centre ville, qui s’est fait lui-même à force de travailler très durement, reste tout de même mystérieux pour votre serviteur car il a épousé une femme médecin spécialiste en traumatologie de 20 ans son aîné. Ça me rappelle quelque chose mais je ne m’en souviens plus. Bref, il y a donc deux jours, mon ami m’apprend que sa belle-mère a été infectée par le coronavirus et qu’elle est très malade. Elle a en effet plus de 75 ans et est par conséquent doublement « vaccinée ». Je lui ai tout de suite suggéré de dire à son ex-épouse de se débrouiller pour trouver de l’Ivermectine éventuellement auprès du vétérinaire qui s’occupe de son chien. Je lui ai précisé la posologie : 100 microgrammes par kilo, « fais le calcul » ai-je dit …
Il m’a répondu en regardant le plafond en invoquant je ne sais quelle divinité qu’elle n’en avait rien à foutre de la vie de sa mère.
L’Ivermectine est interdite à la vente et à la prescription en Espagne, comme en France d’ailleurs, et je ne sais plus quel politicien a déclaré que ce produit était réservé à l’usage vétérinaire, donc que les êtres humains ne sont ni des chevaux ni des chiens. Et pourtant des millions de personnes auraient pu être sauvées de la mort si, dès le mois de mai 2020, elles avaient été traitées avec de produit. Non, on l’a réservé pour les chiens, les chats et les chevaux. Qu’une femme, médecin de son état, adopte une attitude aussi révoltante, relève de la justice, mais ce ne sont pas mes affaires …
Aux dernières nouvelles cette vieille dame a été très affaiblie par cet épisode infectieux et elle a été victime d’un malaise vagal dans la rue en compagnie d’un de ses petits-fils. Elle devrait être hospitalisée ce samedi 22 janvier. Bon courage à tous ceux qui dans leur famille comptent un médecin respectant aveuglément les règlementations imposées par les grands laboratoires pharmaceutiques pour qu’ils aient les mains libres afin de vendre leur thérapie génique toxique et mortelle. Une pilule de 100 mg aurait guéri en moins de 48 heures cette vieille personne …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/23/breve-chronique-canarienne-ces-medecins-qui-tueraient-pere-et-mere-pour-respecter-des-lois-iniques/
Freedom Convoy 2022 : des milliers de camions empruntent les autoroutes canadiennes contre Mandatory Vax
RépondreSupprimerTruckers for Freedom — des milliers de camions se dirigent vers Ottawa
January 24th, 2022
Les TruckersforFreedom commencent à Vancouver aujourd'hui et des dizaines de milliers de camions convergeront vers Ottawa le 29 janvier dans le but d'arrêter les mandats. Un GoFundMe a déjà collecté plus de deux millions de dollars pour aider à couvrir les coûts de conduite des grandes plates-formes à travers le pays. Certains camionneurs américains arrivent en voiture pour participer. Et ils jubilent !
Voir aussi #TruckersforFreedom
- voir clip sur site -
Les gouvernements du Canada et des États-Unis ont exigé que les camionneurs soient vaccinés pour traverser la frontière. La décision canadienne a commencé le 15 janvier. Les États-Unis suivront.
Des foules attendent le Convoi sur les viaducs et le long des routes.
Manifestation des camionneurs du Canada
….
Les protestations de camions peuvent arrêter une nation
Notre expérience avec le Convoy of No Confidence of en Australie en 2011, contre la taxe carbone, a montré que l'establishment a très peur de ce genre de protestation. Les camionneurs peuvent vraiment fermer une nation, et les images de milliers de camions faisant irruption à travers la campagne attireront les gens au fur et à mesure qu'ils la verront passer. C'est une image puissante. En 2011, des villes entières se sont rassemblées pour saluer, applaudir et offrir de la nourriture gratuite. Les véhicules se rejoindraient sur des centaines de kilomètres.
Mais ces manifestations sèment la terreur au sein de l'Establishment. Une machine de relations publiques politique géante est presque certainement en train de se mettre en marche pour minimiser tout ce qui s'y rapporte. Les médias vont le minimiser et le cacher, comme si les gens qui dépensent des milliers de dollars et deux semaines de leur temps n'étaient pas un gros problème. Ils diront qu'il était « plus petit que prévu » ou qu'il « rétrécit » (peu importe sa taille). J'espère que les Truckers for Freedom ont une équipe pour compter tous les camions et tout filmer. Ils doivent utiliser tous les types de médias sociaux auxquels ils sont « autorisés ».
Flymaster commente que "CBC fait un reportage sur les convois de camions, mais le scénario est" Des camionneurs protestent contre les mauvaises conditions routières en Colombie-Britannique ""
HockeyPapa16
RépondreSupprimerLa date de départ de Toronto a été avancée d'un jour car il y a trop de camions.
Ne vous méprenez pas, nous devons partager le message avec le monde. Quelqu'un doit s'assurer que les organisateurs savent ce qui s'en vient et comment de sales tours sournois seront utilisés à la dernière minute pour séparer le convoi ou le ralentir, ou l'empêcher d'atteindre les séances photo les plus importantes, symboliques ou idéales.
En Australie, les camionneurs se sont donné beaucoup de mal pour se coordonner avec la police fédérale, pour obtenir des permis et s'assurer qu'ils ne mettaient pas les gens dehors, et cela a été utilisé contre eux. À la dernière minute le jour où les camions étaient censés faire des tours autour du Parlement, ils se sont présentés pour trouver la route intérieure bloquée par la police et ont été détournés vers une route extérieure.
C'est ce qui s'est passé à Canberra en Australie en 2011 après l'arrivée de camions de tout le continent :
Les organisateurs du convoi ont soigneusement organisé leur entrée, en la coordonnant avec la police fédérale. Ils ont méticuleusement tout planifié pour ne pas éteindre le Canberran moyen, même à partir de 5h30 afin d'éviter le trafic aux heures de pointe. Ils ont été scrupuleusement prévenants. (Peut-être trop.)
En fin de compte, le fait qu'ils étaient si bien organisés et polis a été utilisé contre eux. Les forces pro-gouvernementales ont exacerbé la colère contre les habitants de l'extérieur en les menaçant de "provoquer des retards importants dans la circulation" et "d'immobiliser Canberra". Mais lorsque la manifestation n'a causé aucune des perturbations promises, au lieu d'admettre qu'ils avaient tort et de s'excuser, ils ont prétendu que l'absence de problèmes de circulation montre que le convoi était un pétillant. Tourner tourner tourner. C'est trop facile, n'est-ce pas ? Si le convoi avait ralenti le trafic, on l'aurait qualifié de nuisance.
Comment présentez-vous le mouvement populaire des éleveurs, des mineurs, des camionneurs, des hommes d'affaires et des agriculteurs comme étant non représentatif ? Appelez-les tous simplement "camionneurs".
Pendant ce temps, les agents de santé de Londres déclenchent une tempête
Le Royaume-Uni met fin à tous les mandats, à l'exception de l'obligation pour les agents de santé de se faire vacciner, ce à quoi il s'oppose avec véhémence. Pas moins de 70 000 agents de santé ne sont pas vaccinés et risquent d'être licenciés le 1er avril :
Chaos à Londres: une énorme manifestation frappe la capitale alors que la fureur éclate contre le mandat du vaccin NHS Covid
RépondreSupprimerExpress.co
Les MANIFESTANTS dans le centre de Londres ont semé le chaos alors que des centaines de personnes se sont rassemblées pour demander la fin du mandat de vaccination du gouvernement, car les 70 000 travailleurs du NHS pourraient perdre leur emploi s'ils continuent de refuser le coup.
Des milliers de manifestants ont afflué vers le centre de Londres pour protester contre la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour le personnel du NHS. Des images dramatiques montrent des manifestants dansant sur Another Brick in the Wall de Pink Floyd, suggérant que les mesures du gouvernement vont trop loin et empiètent sur les libertés civiles. Avec l'entrée en vigueur des nouvelles règles le 1er avril, il y a de sérieux points d'interrogation sur ce que l'avenir réserve à jusqu'à 70 000 travailleurs de la santé à moins qu'ils ne se fassent piquer dans les 67 prochains jours.
- voir clip sur site -
Quand la folie finira-t-elle ? Quand on l'arrête.
N’attendez pas qu’ils en prennent plus…
https://joannenova.com.au/2022/01/freedom-convoy-raises-2m-thousands-of-trucks-take-to-canadas-highways-against-mandatory-jabs/
Le Top British Medical Journal dit à Pfizer "donnez-nous les données" - c'est moralement indéfendable
RépondreSupprimerVaccin, Pfizer.
January 23rd, 2022
C'est difficile à croire, mais quand le gouvernement dit "prenez ce médicament Pfizer OU perdez votre emploi, vos droits et votre maison" - ils disent aussi discrètement "faites confiance à Pfizer" - parce que Pfizer détient toutes les données d'essai et que vous n'êtes pas autorisé à le voir.
Et c'est en grande partie la même chose avec les autres grandes sociétés pharmaceutiques.
Les revues académiques font généralement partie du problème, c'est donc un choc d'en voir une défendre quelque chose.
MISE À JOUR : Et il est juste de dire "Où était le BMJ il y a un an ?" Pourquoi maintenant et pas avant la campagne de vax de masse ? Est-ce un signe que le navire coule et que les premiers rats sautent ?
Vaccins et traitements Covid-19 : nous devons avoir des données brutes, maintenant
Le journal médical britannique
« Aujourd'hui, malgré le déploiement mondial des vaccins et des traitements contre le covid-19, les données anonymisées au niveau des participants qui sous-tendent les essais de ces nouveaux produits restent inaccessibles aux médecins, aux chercheurs et au public - et le resteront probablement pendant des années. venir. C'est moralement indéfendable pour tous les essais, mais surtout pour ceux impliquant des interventions majeures de santé publique.
Le BMJ a également accusé les sociétés pharmaceutiques de «récolter d'énormes profits sans un examen indépendant adéquat de leurs affirmations scientifiques», pointant du doigt Pfizer, dont l'essai de vaccin COVID a été «financé par la société et conçu, exécuté, analysé et rédigé par des employés de Pfizer».
À l'heure actuelle, l'ensemble de la civilisation fonctionne sur un modèle médical à environ un degré des trafiquants de drogue. Les médicaments sont sûrs et efficaces et vous n'avez pas le droit de savoir exactement à quel point ils sont sûrs.
La vie des patients compte-t-elle même ? Votre gouvernement a-t-il accepté de laisser Pfizer cacher ces données d'essai pendant 75 ans - qui peut le dire ? Les contrats sont également secrets.
C'est presque comme si les démocraties étaient là pour servir Pfizer ?
Le BMJ a poursuivi en soulignant qu'à la suite des efforts mondiaux de vaccination, la «confiance» et la «transparence» sont vitales, notant que «la grande industrie pharmaceutique est l'industrie la moins fiable».
Oh. Même le "mot F" ?
RépondreSupprimer"Au moins trois des nombreuses entreprises fabriquant des vaccins contre le covid-19 ont déjà passé des règlements criminels et civils leur coûtant des milliards de dollars", ont déclaré les éditeurs, ajoutant que l'une des entreprises (Pfizer) avait précédemment "plaidé coupable de fraude".
Pfizer va-t-elle devenir l'entreprise la plus détestée au monde ? (Une question de David E).
Big Pharma a dépensé 4,7 milliards de dollars pour faire pression sur Big Government. Chump changement par rapport aux bénéfices.
The Swamp a déjà fait tout cela auparavant : vous vous souvenez du Tamiflu ?
Des milliards de dollars ont été dépensés pour un médicament que personne ne pouvait contrôler de manière indépendante. Même les principaux auteurs des études sur le Tamiflu n'ont pas pu accéder aux données.
Les éditeurs du BMJ :
Dans les pages du BMJ il y a dix ans, au milieu d'une pandémie différente, il est apparu que les gouvernements du monde entier avaient dépensé des milliards pour stocker des antiviraux contre la grippe dont il n'avait pas été démontré qu'ils réduisaient le risque de complications, d'admissions à l'hôpital ou décès. La majorité des essais qui ont étayé l'approbation réglementaire et le stockage gouvernemental de l'oseltamivir (Tamiflu) ont été parrainés par le fabricant ; la plupart n'étaient pas publiés, ceux qui ont été publiés ont été écrits par des auteurs payés par le fabricant, les personnes répertoriées comme auteurs principaux n'ont pas eu accès aux données brutes et les universitaires qui ont demandé l'accès aux données pour une analyse indépendante ont été refusés.1234
Curieusement, depuis lors, le BMJ pensait avoir réussi quelque chose dans la bataille pour des données transparentes :
La saga Tamiflu a annoncé une décennie d'attention sans précédent à l'importance du partage des données des essais cliniques. 13 nouveaux portails de sites Web d'accès aux données8 et des politiques de transparence historiques des autorités de réglementation des médicaments1415 ont tous promis une nouvelle ère dans la transparence des données.
Pourtant, tous les gains ont disparu en un clin d'œil en 2020.
Deux ans plus tard, c'est bien (mais trop tard) que BMJ ait enfin pris la parole, mais où sont passés les médias ?
Et l'Opposition ?
RÉFÉRENCE
Vaccins et traitements Covid-19 : nous devons avoir des données brutes, maintenant, MJ 2022 ; 376 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.o102 (Publié le 19 janvier 2022) Citer ceci comme suit : BMJ 2022;376:o102
https://joannenova.com.au/2022/01/top-british-medical-journal-tells-pfizer-give-us-the-data-its-morally-indefensible/#more-81700
(...) La vie des patients compte-t-elle même ? Votre gouvernement a-t-il accepté de laisser Pfizer cacher ces données d'essai pendant 75 ans - qui peut le dire ? Les contrats sont également secrets. (...)
SupprimerDes dizaines de millions de piqûres létales dans le monde. On est encore loin de 7,900 milliards ? ou proche ?