Fin des emballages en plastique : génèse d’une décision démagogique
Une nouvelle réglementation interdisant les emballages en plastique des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir.
le 16 janvier 2022 André Heitz
Une nouvelle réglementation interdisant les emballages en plastique des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir. Ce fut priorité à la bien-pensance et la démagogie au détriment de l’efficacité économique et sociale.
Le 1er janvier 2022 est entré en application le Décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l’obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique.
Père Ubu a encore frappé
Il définit notamment… les notions de « fruits et légumes » (!), de « conditionnement » et de « matière plastique », le cas échéant par référence à d’autres textes, histoire de compléter le labyrinthe législatif (mais le résumé explicatif initial vient un peu à notre secours).
Si nous avons bien compris, le ruban adhésif entourant une botte de poireaux est concerné par le dispositif.
Pour la partie vraiment opérationnelle, le décret définit les fruits et légumes qui sont – provisoirement – exemptés de l’obligation mentionnée dans son titre. C’est un catalogue à la Prévert. Le premier des sept points, par exemple, se lit :
1° Les tomates à côtes, les tomates allongées relevant du segment Cœur, les tomates cerises ou cocktail (variétés miniatures), les oignons primeurs, les navets primeurs, les choux de Bruxelles, les haricots verts, le raisin, les pêches, les nectarines, et les abricots, jusqu’au 30 juin 2023.
Ici, ce n’est pas vraiment dramatique sur le plan de la sécurité sanitaire des aliments. Mais que penser, par exemple, des jeunes pousses (exemptées jusqu’au 31 décembre 2024) ou encore des graines germées (exemptées jusqu’au 30 juin 2026) ?
La frénésie anti-plastiques a visiblement pris le dessus sur les contingences pratiques et, on peut le craindre, la santé publique.
Le décret a été pris pour l’application de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire dont l’article 77 prévoit notamment :
À compter du 1er janvier 2022, tout commerce de détail exposant à la vente des fruits et légumes frais non transformés est tenu de les exposer sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique. Cette obligation n’est pas applicable aux fruits et légumes conditionnés par lots de 1,5 kilogramme ou plus ainsi qu’aux fruits et légumes présentant un risque de détérioration lors de leur vente en vrac dont la liste est fixée par décret.
À notre sens, le décret n’est pas conforme à la loi en ce qu’il prévoit des dates limites pour les fruits et légumes délicats. Mais le législateur pourra toujours prendre conscience de sa bourde et la corriger le moment venu… l’espoir fait vivre.
Cet article 77 est un monument d’« écologie punitive ». Tenez :
À compter du 1er janvier 2022, la mise sur le marché de sachets de thé et de tisane en plastique non biodégradable au sens du 16 de l’article 3 de la directive (UE) 2019/904 du Parlement européen et du Conseil du 5 juin 2019 relative à la réduction de l’incidence de certains produits en plastique sur l’environnement est interdite. Les modalités d’application de cette interdiction sont définies par décret en Conseil d’Etat.
À notre connaissance, il n’y a pas de décret…
Les deux paragraphes précités illustrent l’incongruité législative et, pour tout dire, l’irresponsabilité de leurs auteurs : toute matière plastique est interdite dans le cas des fruits et légumes – et on dira adieu en particulier au film transparent qui permet au consommateur de voir ce qu’il achète et au distributeur, la qualité de ce qu’il a en rayon ; dans le cas du thé et des tisanes, seuls les plastiques non biodégradables sont interdits.
Le paysage – s’agissant des fruits et légumes – ne serait pas complet sans l’évocation d’une autre interdiction, proposée par M. François-Michel Lambert, qui bouleverse tellement les mœurs commerciales qu’elle a fait l’objet d’un article séparé, le 80 (le précédent traite des lave-linges et le suivant, de « la mise à disposition, à titre gratuit, de jouets en plastique dans le cadre de menus destinés aux enfants »…) :
Au plus tard le 1er janvier 2022, il est mis fin à l’apposition d’étiquettes directement sur les fruits ou les légumes, à l’exception des étiquettes compostables en compostage domestique et constituées en tout ou partie de matières biosourcées.
Il y a aussi dans l’article 77 l’interdiction à compter du 1er janvier 2021 des « tiges de support pour ballons et leurs mécanismes, à l’exception des tiges et mécanismes destinés aux usages et applications industriels ou professionnels et non destinés à être distribués aux consommateurs ».
Le législateur a même prévu une interdiction à compter du 1er janvier 2020 dans une loi du 10 février 2020 (« pour les gobelets et verres ainsi que les assiettes jetables de cuisine pour la table »). C’est manifestement une bourde, mais cela illustre le niveau de délabrement de l’activité législative.
Pour rappel, les cotons-tiges avec tige en plastique et les piques à steaks ont été interdits le 1er janvier 2020 et 2021, respectivement.
La dysenterie législative
Le gouvernement a déposé son projet de loi le 10 juillet 2019 et a engagé la procédure accélérée (une seule lecture dans chaque chambre). On peut considérer que c’est là un usage abusif de cette procédure. C’était du temps de Mme Brune Poirson, qui portait le projet, et de M. François de Rugy. (Source)
Le projet de loi comportait 13 articles. La loi adoptée en comporte… 130.
Manifestement, les lectures uniques n’ont pas fait obstacle à l’inventivité de nos élus : 1741 propositions d’amendement à l’Assemblée nationale (avec cependant de nombreux doublons dûs en partie au fait que les lobbies démarchent tous azimuts).
C’est dans les commissions qu’ont été adoptées les mesures relatives aux fruits et légumes. L’interdiction des emballages avait fait l’objet de plusieurs propositions.
Tout pour la démagogie, rien pour l’économie
Notre inter-titre est peut-être un peu sévère.
Mais voici, par exemple, le début de l’exposé des motifs de la proposition CD1009 du groupe La République en Marche (LaREM) :
La pratique du sur-emballage des produits alimentaires, et notamment des fruits et légumes est aujourd’hui largement répandue au sein des commerces de détails. Si un tel conditionnement peut faire sens pour certains types de produits, notamment fragiles, cette pratique n’est plus acceptée par les consommateurs.
On peut trouver le choix de « sur-emballage » fort contestable. Et quel est le motif principal de la proposition ? La démagogie sous la forme d’une réponse à une opinion de consommateurs que l’on n’aura même pas pris la peine de consulter…
Dans une veine similaire, Mme Mathilde Panot et le groupe la France Insoumise écrivent dans la proposition CD1200 :
Les fruits et légumes disposent d’un emballage naturel. À quoi bon imposer au consommateur un emballage plastique sans intérêt ? Certaines chaînes de la grande distribution ont d’ores et déjà mis en place un système de marquage sur les fruits et légumes biologiques pour ne pas recourir au plastique.
Mme Graziella Melchior (LaREM), rapporteure de la Commission des Affaires Économiques, écrit pour sa part dans la proposition CE358 :
Pour mettre en œuvre cette disposition les commerces de détail pourront choisir de passer commande de fruits et légumes livrés en cagette en bois, qui servaient traditionnellement de support de présentation aux commerçants, soit d’opter pour un déconditionnement des fruits et légumes dans le commerce, ces conditionnements étant alors soumis aux obligations de tri des déchets en plastique prévues par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
On imagine le producteur qui emballe… le distributeur qui désemballe… Il faudra pourtant s’y résoudre dans certains cas pour limiter les pertes – le gaspillage alimentaire – jusqu’au stade de la commercialisation, quitte à ce qu’il augmente après chez le consommateur.
En revanche, les députés se sont opposés à un amendement de suppression de l’interdiction de l’emballage qui visait à ne pas porter préjudice à l’agriculture biologique (N° 654), interdiction qui, selon l’exposé des motifs,
« risque […] de porter préjudice au développement de la bio, étant donné que ces produits se doivent d’être vendus pré-emballés pour des raisons de traçabilité [et] d’augmenter le risque de fraudes ou d’erreurs et ce, au détriment du consommateur final ».
Ils ont également rejeté des amendements qui tendaient à faire une exception pour les emballages permettant d’allonger la durée de conservation.
Pourtant, le sous-amendement CD1815 de Mme Annie Genevard (les Républicains) et cinq autres donnait des indications : par exemple, pour le haricot vert, 3-4 jours de conservation en vrac contre 14 jours avec calcul de perméabilité limitant la dessiccation et le flétrissement. Comme on l’a vu ci-dessus, le décret du gouvernement a prévu une exception, mais jusqu’au 30 juin 2023 seulement.
Notons incidemment que cette interdiction signifiera vraisemblablement la fin des haricots effilés en provenance de pays comme le Kenya (où l’activité économique apporte des revenus importants à des femmes).
Mais ce sont surtout les intérêts des consommateurs qui sont passés à la trappe. Tant pis pour les ménages, souvent modestes, qui sont contraints de faire leurs courses une fois par semaine.
Les députés ont aussi accordé le sursis à l’apposition directe d’étiquettes sur les fruits et légumes, pour autant que les étiquettes soient « environnementalement correctes » (voir par exemple la proposition N° 815, qui a été rejetée).
Et maintenant ? La France, meilleure élève de la classe… Mme Brune Poirson a bien le droit d’y croire…(source)
À voir et entendre certains micro-trottoirs aux informations, les consommateurs seraient ravis. Biais de sélection des interviewés, sans doute, ainsi que naïveté et enthousiasme devant une mesure annoncée et perçue comme une avancée pour l’environnement.
En fait, on verra à l’usage, au fur et à mesure que les productions arriveront sur le marché, tant pour l’environnement que pour la sécurité alimentaire, tant pour le gaspillage alimentaire que pour le confort du consommateur. Des boîtes en carton, même ajourées, ne permettent pas de voir précisément ce que l’on achète (et, dans le cas du distributeur, ce que l’on garde en rayon).
On pourrait paraphraser ici Le bon, la brute et le truand :
« Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet législatif chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses ».
Ces interdictions ont ceci de particulier qu’elles ont été décidées sans études de faisabilité et d’impact préalables, et avec un délai de mise en vigueur insuffisant pour mettre au point et tester de réelles solutions de remplacement.
Dans le cas des étiquettes collées sur les fruits et légumes, M. Daniel Sauvaitre, secrétaire général de l’Interprofession des Fruits et Légumes (Interfel) et président de l’Association Nationale Pommes Poires (ANPP) a déclaré au Figaro :
« Technologiquement, on ne sait pas faire et on ne sera pas prêt pour le 1er janvier prochain [2022, l’entretien a été accordé avant]. »
Du reste, Interfel a demandé le report de la mesure au gouvernement.
Cerise sur le gâteau, Interfel a trouvé que cette disposition ne s’applique pas aux fruits et légumes importés ! Les géants de la banane, par exemple, pourront apposer leur marque, les producteurs français ultramarins ne pourront pas faire valoir leur spécificité… On dit bravo !
Le drame est devenu classique. « On » légifère avec une échéance un peu lointaine, ce qui permet de ne pas devoir assumer de suite les conséquences : « L’intendance suivra »… Yaka…
Et « légiférer » s’entend au sens directif, restrictif, punitif… car il s’agit de « sauver la Planète ». La notion d’économie libérale, de libre entreprise, éventuellement guidée par des mesures incitatives mais capable de prendre les bonnes orientations toute seule, n’entre pas dans leur ordre de mission.
L’économie et la société françaises vont souffrir ? Tant pis ! Europe 1 a produit un article alarmiste, le 27 décembre 2021, « Fin des emballages en plastique : des fruits et légumes pourraient disparaître des rayons ». Si certains fruits et légumes ne disparaissent pas, ce sera sans doute au prix d’un renchérissement, et de la disparition des producteurs et conditionneurs les plus fragiles.
Imaginez le gaspillage économique : un conditionneur – un producteur agricole ou une coopérative par exemple – investit en 2019 dans une chaîne d’emballage avec filmage plastique. Fin 2019, des députés lui signifient qu’il peut mettre son outil au rebut… À noter que le remplacement du plastique du contenant par du carton se heurte déjà au renchérissement du carton.
Pour conclure, voici trois tweets explicite d’une experte, Mme Kako Naït Ali. Le premier se rapporte aux haricots du Kenya.
Ce qui ne change PAS 'au 1 er Janvier' c'est la connerie gouvernementale. Mais comment font-ils pour sélectionner des attardés mentaux pareils ? Leurs supérieurs hiérarchiques sont aussi cons qu'eux !
Primo, combien de sac en plastique consomme votre voiture aux 100 km ? (ou votre chaudière) Secundo, il faut savoir que tous les plastiques sont recyclables. Ils sont emmenés en usines où les poubelles en formes de ballots y sont déchargées. Les plastiques y sont broyés puis passés au four à 400° et, le jus récupéré. Le jus ? Âh oui, j'avais oublié, le 'jus' c'est... du diesel. Les plastiques 'perdus dans les océans' s'éliminent continuellement grâce aux bactéries, pareillement que la présence de nappes de pétrole ('Amococadiz' et autres) dans les océans a complètement disparue depuis longtemps.
« Je ne suis pas une girouette, c’est le vent qui tourne » avait déclaré Edgar Faure, et aujourd’hui, on constate que, sur le sujet de la crise sanitaire, le vent tourne à son tour.
Ils sont en effet de plus en plus nombreux à retourner leur veste, tel le Dr Blachier, qui après avoir soutenu largement la stratégie sanitaire gouvernementale, change de camp, contestant la politique sanitaire, et propose de limiter la vaccination aux personnes âgées, ou à risque, ainsi que la fin du pass sanitaire. lien
Dans la même logique, le Pr Caumes se dit déçu par la faible efficacité des injections et considère que le pass-vaccinal est une « régression sanitaire ». lien
En Europe, le scepticisme voit le jour, car s’il faut en croire « FranceSoir », le Ekstra Bladet, l’un des plus grand journal Danois fait marche arrière toute, avouant « avoir été abusé de façon presque hypnotique par les discours des autorités pendant près de 2 ans, et n’avoir pas fait preuve d’assez de vigilance dénonçant « ces experts nous mettent sans cesse en garde contre le monstre corona qui sommeille sous nos lits », en écho à un article plus ancien du journal allemand Bild lequel avait demandé « pardon pour (...) cette couverture médiatique qui, comme un poison vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société... ». lien
Dans le monde des médias, Pascal Praud agresse une députée européenne, fervente adhérente de la politique sanitaire, au point que celle-ci menace de quitter le plateau. lien
Mais c’est dans le monde médical que le changement s’accentue, puisque Le 8 janvier, 1200 médecins ont poussé un cri d’alerte et démissionné de leurs responsabilités administratives. lien
Quelques semaines auparavant, 60 000 scientifiques avaient demandé l’arrêt de la vaccination de masse, portés par la déclaration de Great Barrington, laquelle avait permis de récolter 870 000 signatures contre les injections massives d’ARNm.
Cette déclaration a été portée par le Pr Martin Kulldorff, la Dr Sunetra Gupta, et le Dr Jay Bhattacharya, lesquels affirment que la vaccination massive par ARNm rend impossible l’immunité collective.
Ils expliquent que l’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables, ajoutant que pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereuses que bien d’autres maux, y compris la grippe. lien
En Italie, un médecin prescrit des dérogations au vaccin à tour de bras, car dit-il « j’ai vu avec mes yeux que les meurent d’AVC, de myocardites quelques heures après le vaccin », ajoutant « spike provoque des thromboses et des dépressions du système immunitaire. spike tue les gens ! vous êtes tous des criminels ». lien
En France, ils étaient quand même nombreux à contester les décisions sanitaires du gouvernement, comme lecélèbre Pr Didier Raoult, tout comme le Pr Christian Perronne, l’épidémiologiste Alexandra Henrion-Caude, le Pr Luc Montagnier, et beaucoup d’autres, considérés souvent comme de « dangereux complotistes », quand ils ne sont pas jugés carrément séniles, voire fous...
Il n’est pas inutile de découvrir cette courte vidéo dans laquelle le Pr Raoult explique les problèmes provoqués par les injections ...
Le Pr Perronne, (et il est loin d’être le seul) a payé le prix fort, il a été démis de ses fonctions, car il dénonçait les grandes supercheries de la gestion de la pandémie. Lien
Dès septembre 2020, Jean-François Delfraissy, président du « conseil scientifique » a été mis en cause par de nombreux scientifiques qui dénonçaient son alarmisme et ses erreurs de jugement. Lien
Le mouvement s’est amplifié depuis, et gagné beaucoup d’autres scientifiques, d’autant que les injections provoqueraient ici ou là un phénomène d’épaississement du sang...les scientifiques évoquent « de la mélasse » d’où les thromboses constatées.
En effet dès le 3 mai 2021, on pouvait lire sur le site « eurofins », une étude évoquant la découverte de « thromboses insolites et thrombopénies après vaccination anti-covid-19 » en proposant des solutions.
Reconnaissant qu’il ne s’agit que d’une hypothèse, les auteurs de l’étude pointent du doigt des évènements thrombotiques qui arrivent 5 ou 6 jours après l’injection, établissant ainsi un lien évident avec la vaccination. lien
L’importante manifestation des enseignants du 13 janvier a fait trembler l’exécutif, dénonçant « Blanquer, c’est toi le virus », (lien) provoquant des tensions entre ce dernier et Véran. lien
Il est vrai que devant l’incohérence de certaines décisions du gouvernement, on est partagé entre la colère, ou le rire, comme l’a fait cet internaute taquin. lien
D’ailleurs, il est probable que les propositions de Blanquer ne calmeront pas les manifestants : engager 3300 nouveaux enseignants parait une bonne nouvelle, sauf que ces derniers seront moins payés que leurs confrères, et que cette promesse est prévue « d’ici la fin de l’année scolaire ». lien
Quant aux « anti-pass », ils n’ont pas l’intention d’en rester là, et proposent une nouvelle manifestation le 15 janvier, forts du succès des manifestations du 8 janvier, avec comme mot d’ordre « vivre normalement, librement, et refusant la « 3ème dose ».
Comme dit Alexis Haupt : « les antis vaccin sont aujourd’hui les garants de la démocratie. Voilà pourquoi ils sont tant pourchassés par un régime qui n’est pas démocratique. Les autres confondent la liberté avec la liberté de consommer. Ce sont des esclaves qui s’ignorent ». lien
Les fuites de Fauci Financials révèlent comment un médecin millionnaire a profité de la pandémie
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 17:00
Enfin, après qu'une poignée d'organisations aient tenté de poursuivre le Dr Anthony Fauci afin de les faire libérer, les finances du bon médecin – ainsi que celles de sa femme, qui est la meilleure bioéthicienne du NIH – ont été divulguées en détail. Et ils ont été divulgués par le même sénateur que Fauci a qualifié de "crétin" la semaine dernière lors d'un moment de micro chaud.
- voir photo du couple 'Laurel & Hardy' ! sur site -
Nous savions déjà que le Dr Fauci est l'employé du gouvernement fédéral le mieux payé, gagnant un salaire annuel de plus de 400 000 $. Sa femme, Christine Grady, gagne 176 000 $ en tant que chef du département de bioéthique du NIH.
Les dossiers, publiés par le républicain Roger Marshall, lui-même médecin et également sénateur américain junior du Kansas, ont montré que les Faucis ont une valeur nette combinée de plus de 10 millions de dollars.
Comme l'explique le Daily Mail, Fauci, 80 ans, dirige l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses depuis 1984 et, s'il continue jusqu'à la fin du mandat de Biden en 2024, aura gagné environ 2,5 millions de dollars en tant que conseiller médical en chef du président. Lorsqu'il prendra sa retraite, la pension de Fauci sera la plus importante de l'histoire des États-Unis, dépassant 350 000 dollars par an.
Pour rappel, le Dr Fauci a encore une fois menti au Congrès en insistant sur le fait que ses finances étaient publiques, alors qu'elles ne l'étaient pas (avant d'être divulguées par le sénateur du Kansas, c'est-à-dire).
Alors que le médecin a insisté sur le fait qu'il n'avait pas profité de la pandémie, ses papiers ont montré que lui et sa femme avaient été payés 14 000 $ pour assister "virtuellement" à une série de galas directement liés à sa position de tsar de facto de la nation.
La révélation la plus divertissante des finances du Dr Fauci est peut-être la révélation que le couple possède un restaurant à Tony San Francisco. Ça s'appelle Jackson Fillmore Trattoria. Malheureusement pour eux, le restaurant n'a pas fait d'argent l'année dernière.
Le sénateur Marshall s'est affronté mardi avec le médecin de 80 ans lorsque Marshall a voulu voir les informations financières de Fauci. Fauci a répondu que les documents étaient publics et semblait s'offusquer même d'être interrogé. "Oui ou non, seriez-vous prêt à soumettre au Congrès et au public une déclaration financière incluant vos investissements passés et actuels ?" a demandé Maréchal. "Notre bureau ne peut pas les trouver." Fauci a répondu: "Je ne comprends pas pourquoi vous me posez cette question … ma divulgation financière est de notoriété publique et l'est depuis environ 37 ans."
Selon le Center for Public Integrity, les états financiers de Fauci étaient effectivement accessibles au public, mais leur obtention a été une longue procédure : ils ont demandé le document en mai 2020 et ne l'ont reçu que trois mois plus tard.
Au total, le Dr Fauci a trois comptes avec Charles Schwab qui totalisent 8 337 940,90 $. Il a un IRA contributif avec 638 519,70 $ et un compte en fiducie de courtage avec 2 403 522,28 $. Enfin, le plus précieux des trois divulgués était un Schwab One Trust contenant 5 295 898,92 $.
La majeure partie de la richesse du Dr Fauci provient de son salaire gouvernemental, mais il a également tiré une part substantielle des livres et des apparitions. Le sénateur Marshall fait pression pour une nouvelle loi appelée "FAUCI Act" qui obligerait les bureaucrates non élus comme le Dr Fauci à produire des informations financières plus approfondies afin qu'elles puissent être examinées de manière appropriée par le public américain.
Les lecteurs peuvent trouver plus d'informations sur le site Web du sénateur Marshall, qui présente une ventilation plus complète des finances du médecin, ainsi que des copies de tous les documents associés.
Pour les gauchistes, votre liberté est leur misère - votre esclavage est leur joie
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 23:30 Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Il y a un certain niveau de folie requis pour atteindre l'état dans lequel se trouve notre pays aujourd'hui. Je pense que la plupart d'entre nous le ressentent et le savent, mais je veux disséquer un peu la situation afin que nous puissions voir les entrailles de la chose et en comprendre les mécanismes. La folie a une structure, croyez-le ou non, et il existe des moyens de l'analyser et de l'identifier. Par exemple, il existe de nombreuses formes de folie qui découlent d'une obsession du pouvoir et du contrôle.
Dans mon article précédent "Y a-t-il un moyen d'empêcher les psychopathes d'accéder à des positions de pouvoir", j'ai exploré les schémas de pensée et les habitudes prédatrices des pires 1 % de l'humanité et comment ils s'insinuent dans l'autorité en se fondant (jusqu'à ce qu'ils aient tous le pouvoir et plus besoin de le mélanger). Maintenant, je veux parler davantage des AUTRES personnes instables, les 5 à 10 % de la population que les psychopathes exploitent en tant que foule ou armée pour effrayer tout le monde et les aider à atteindre leurs objectifs.
Pour être clair, presque n'importe quel groupe peut devenir une arme exploitable utilisée par les psychopathes. Il y a eu des moments dans l'histoire où les élites au sein de l'Église catholique ont utilisé le fanatisme parmi les chrétiens pour dominer la société jusqu'à la torture et la terreur pendant les inquisitions et les croisades. Pendant l'ère de George W. Bush, je me souviens bien des mensonges sur les armes de destruction massive utilisées pour pousser les républicains dans des guerres inutiles en Irak et en Afghanistan. Cependant, c'est le passé. Aujourd'hui, le problème du fanatisme est résolument du côté de la gauche politique.
C'est-à-dire que la gauche politique est désormais le côté qui attire le plus les narcissiques, les sociopathes, les instables émotionnellement, etc., et cette attraction forme une foule qui peut être facilement exploitée par l'establishment.
Ce que je trouve intéressant, c'est que les gauchistes croient en fait qu'ILS sont les outsiders et qu'ils combattent une «révolution» contre l'establishment. C'est une déconnexion bizarre de la réalité. Toutes les grandes institutions de pouvoir et d'influence aux États-Unis sont du côté de la gauche politique. Comment pouvez-vous vous rebeller contre l'establishment si toutes vos valeurs coïncident avec l'agenda de l'establishment ?
Les médias grand public et Hollywood sont devenus intransigeants en faveur de la propagande de gauche, de la théorie critique de la race à l'agenda trans et à la politique identitaire, au féminisme, au socialisme et à la centralisation. Presque toutes les publicités, émissions de télévision et films que nous voyons aujourd'hui reflètent un point de vue d'extrême gauche ou des images d'extrême gauche, même si la majorité de la population ne s'intéresse pas à l'idéologie éveillée. De toute évidence, les gauchistes et leurs amis dans les médias pensent que s'ils imposent leur sectarisme aux visages des gens sans arrêt 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, nous finirons par capituler et l'embrasser.
Les grandes technologies et les principales plateformes de médias sociaux fonctionnent TOUS selon une politique de gauche. Toutes leurs règles de conditions de service sont appliquées pour protéger les gauchistes des critiques et pour censurer les conservateurs et tous les modérés qui osent s'exprimer. Les preuves montrent de manière écrasante un parti pris de gauche dans la censure des Big Tech, les conservateurs étant expulsés des plateformes pour rien de plus que de citer des faits. Nous l'avons vu récemment avec Marjorie Taylor Greene, une représentante du GOP de Géorgie, qui a été bannie de Twitter et qualifiée de "théoricienne du complot d'extrême droite" pour avoir publié des liens vers la base de données VAERS.
Pour ceux qui ne connaissent pas le VAERS, il s'agit d'une base de données gérée par le gouvernement américain pour suivre les effets indésirables des vaccinations, y compris les vaccinations covid. Alors que les chiffres ont été manipulés dans le passé (ce qui, selon le CDC, était dû à des "erreurs de déclaration"), le VAERS a toujours signalé des milliers et des milliers de décès et d'effets secondaires directement liés aux vaccins covid, mais vous n'êtes pas censé savoir à propos de ça. Ainsi, Greene est expulsé de Twitter pour avoir publié les propres données du gouvernement, qui ne sont désormais accessibles que si vous parcourez un labyrinthe de liens pour accéder aux téléchargements.
Les médias sociaux sont également couramment utilisés comme une arme par les gauchistes pour « annuler » les personnes qui sortent de la ligne. Un pilote d'American Airlines a été attaqué cette semaine par une foule sur Twitter lorsqu'une féministe folle a enregistré des images de ses bagages. Son délit ? Un petit autocollant sur sa valise qui disait « Lets Go Brandon ». La femme et ses cohortes sur Twitter ont appelé au licenciement du pilote et American Airlines "enquête" sur la question.
Ce n'est qu'un exemple parmi des milliers au cours des dernières années qui illustrent la pure rage que les gauchistes ressentent lorsqu'ils sont confrontés à une personne libre d'esprit. Leur réaction immédiate est de punir et de détruire plutôt que d'accepter et d'avancer.
Je pense que c'est une combinaison d'une culture de narcissisme et de collectivisme associée à un désir désespéré que les personnes faibles se sentent puissantes. Les gauchistes sont très souvent des personnes que vous pourriez appeler les « finalistes » dans la vie. Il y a beaucoup de mécontents et d'échecs socialement incompétents dans leurs rangs qui grandissent en se sentant impuissants. Au lieu d'améliorer leur sort en s'améliorant et en réalisant quelque chose de méritoire, ils blâment plutôt les autres et le monde pour leur manque d'accomplissement.
Cette mentalité peut également être observée avec leur milieu universitaire qui exagère souvent leur propre importance et l'importance de leurs distinctions. On peut obtenir une maîtrise en sciences sociales ou en études féministes, mais à quel point cette personne est-elle vraiment utile au monde ? Être un militant seul n'est pas une carrière et ils ne produisent rien, donc la seule mesure de leur éducation et de leur vie est ce qu'ils peuvent détruire, pas ce qu'ils peuvent construire et créer.
Le dernier passage de Joe Rogan de Twitter à GETTR est une autre grande histoire sur laquelle les gauchistes perdent la tête. Ils agissent comme s'ils voulaient simplement se débarrasser des conservateurs et des modérés argumentatifs de leurs «espaces sûrs», mais en réalité, cela ne les satisfait pas. Ils ne veulent pas que nous partions, ils veulent que nous nous conformions. Ils veulent que nous soyons piégés dans leurs chambres d'écho et que nous nous entendions bien, ou ils veulent que nous soyons effacés.
Les gauchistes voient les gens comme la propriété du collectif, et si vous et des millions d'autres partez, cela reflète mal leur idéologie, ce qui est inacceptable. C'est pourquoi ils attaquent ou essaient CONSTAMMENT de supprimer les plateformes de médias sociaux conservatrices. On pourrait penser qu'ils seraient heureux que GETTR existe, mais ils sont misérables. Votre liberté est leur misère.
Penses-y un moment; il y a des millions de gauchistes là-bas qui ne peuvent pas supporter votre existence si vous êtes libre d'exprimer votre mécontentement face à leur récit.
Lorsque Joe Rogan a contracté le covid, les gauchistes étaient nerveux d'excitation en espérant qu'il mourrait. Lorsqu'il a vaincu le virus en moins de trois jours sans être vacciné, ils ont crié d'horreur. C'est comme s'ils ne se rendaient pas compte que la plupart des personnes non vaccinées ont eu le virus et y ont facilement survécu (j'ai eu le covid pendant une semaine et puis ça allait - je ne me ferai JAMAIS vacciner).
Peut-être sont-ils conscients que les vaccins sont pour la plupart inutiles. Peut-être que ce qui les dérange vraiment, c'est que les non-vaccins sont libres et ne se conforment pas aux mandats ou à la peur ? Peut-être sont-ils plus préoccupés par l'acte de défiance que par des questions de « sécurité sanitaire » légitimes ?
Et cela m'amène à la relation entre la majorité du gouvernement et la gauche politique, qui travaillent main dans la main pour faire avancer les contrôles covid et les mandats vax. Je l'ai déjà dit et je vais le souligner à nouveau - Il n'y a plus de débat sur qui sont vraiment les autoritaires. Si vous voulez être à l'abri de l'intrusion et de la tyrannie manifestes du gouvernement, vous vous dirigez vers un État rouge conservateur. Si vous voulez être l'esclave de la bureaucratie, vous vous dirigez vers un État bleu progressiste. Les États rouges valorisent la liberté individuelle, contrairement aux États bleus. C'est indéniable.
Les gauchistes ne sont pas les rebelles qu'ils pensent être ; ce ne sont pas les héros - Ce sont les méchants. Ils sont l'empire.
Je crois que l'agenda du mandat vax en particulier fait appel à leur désir inné de contrôle sur les autres. Cela est évident dans leur rhétorique folle sur la question de la vaccination. Le LA Times vient de publier un éditorial intitulé « Mocking Anti-Vaxxers » Covid Deaths Is Ghoulish, Yes – But May Be Necessary » (intitulé à l'origine « Pourquoi ne devrions-nous pas danser sur les tombes des anti-vaxxers ? »), et c'est ce genre de propagande sanguinaire qui révèle vraiment l'étendue de la psychologie brisée de la gauche politique.
Ils veulent que vous mouriez pour avoir enfreint les mandats. Ils semblent penser que le covid est leur ange vengeur, mais cela montre seulement qu'ils sont trop bêtes pour comprendre la science fondamentale ou trop malveillants pour penser rationnellement.
L'administration Biden a été un élément clé de la campagne de peur concernant la pandémie de covid, qui a un taux de mortalité par infection (IFR) moyen de 0,26% à 0,27% selon des dizaines d'études examinées par des pairs, et maintenant avec la souche Omicron encore moins dangereuse le le taux de mortalité continue de chuter. L'écrasante majorité des gens n'ont RIEN à craindre du covid, mais les gauchistes se rallient volontiers à Biden et à sa tyrannie médicale.
De plus, le parti pris (ou l'ignorance) du LA Times est mis en évidence lorsque nous examinons les données réelles des cas révolutionnaires. Les cas révolutionnaires sont des infections covid et des décès parmi des individus entièrement vaccinés. À titre de référence, dans le seul État du Massachusetts, il y a eu plus de 262 000 personnes entièrement vaccinées qui ont quand même fini par être infectées par le covid et 1054 décès selon les chiffres officiels. Il s'agit d'un taux de mortalité par infection de 0,4 %, ce qui est PLUS ÉLEVÉ que l'IFR moyen national de 0,27 %.
Les pays les plus vaccinés au monde souffrent également des pires pics d'infection au monde. En Irlande, par exemple, plus de 63 % des décès récents de covid concernaient des personnes entièrement vaccinées. En Israël, près de 60% des hospitalisations covid sont totalement vaccinées. L'Uruguay, Bahreïn, les Maldives et le Chili ont tous des taux de vaccination majoritairement écrasants et tous ont connu des pics de décès et d'infections par covid. Selon les propres statistiques du gouvernement britannique, les personnes triplement vaxxées sont 4,5 fois plus susceptibles d'être infectées par Omicron que les personnes non vaccinées.
Le vaccin moyen est testé pendant 10 à 15 ans avant d'être approuvé pour une utilisation sur les êtres humains, mais les vaccins covid ont été publiés en quelques mois sans test à long terme pour prouver leur innocuité. Il est parfaitement logique que les gens soient concernés.
Alors, je demanderais aux hacks du LA Times : Devrions-nous danser sur vos tombes quand vous mourrez du covid malgré tous ces vaccins miraculeux non testés ? Ou peut-être quand vous vous retrouvez mort et sur la liste VAERS en raison des effets secondaires du vaccin ? Les maladies auto-immunes peuvent prendre 2 à 4 ans pour se développer et être identifiées par les médecins ; peut-être qu'en 2024, vous souhaiterez avoir adopté une approche attentiste pour les vaccins non testés comme le font toutes les personnes intelligentes ?
C'est ce qu'on appelle la logique, la raison et la science. Les données ci-dessus dépassent la portée mentale de nombreux gauchistes et même lorsqu'ils les obtiennent, ils les ignorent. Ils n'ont aucun intérêt à protéger votre santé ou celle du public, ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Ce qui les intéresse, c'est le contrôle et rien ne leur apporterait plus de joie que de voir 100% de conformité et d'esclavage à leurs idéaux. Ils vivent par procuration à travers la tyrannie.
La paranoïa pandémique, les fermetures, les mandats, la Big Tech, les médias sociaux, la culture d'annulation sont tous des moyens pour arriver à leurs fins. Les gauchistes prétendent être des humanitaires qui se soucient du bien commun, mais c'est une façade. C'est juste une autre excuse pour justifier une soif profonde de microgérer la vie des autres.
Une tactique classique des sociopathes narcissiques consiste à victimiser et à terroriser les gens, puis à les accuser d'être des monstres lorsque ces personnes se rebellent et se rebellent. Ils projettent leur tyrannie sur le reste d'entre nous et nous qualifient de méchants. Il est temps de mettre fin au théâtre et d'appeler les gauchistes ce qu'ils sont vraiment - Ce sont les dictateurs qu'ils prétendent essayer de combattre.
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 18:30 Écrit par Victor Davis Hanson,
Dès l'apparition du COVID-19, la pandémie est devenue indissociable de la politique.
La frénésie politique était inévitable puisque le virus SARS-CoV-2 s'est peut-être échappé d'un laboratoire de virologie de sécurité de niveau 4 à Wuhan, en Chine.
La propagation rapide du feu a rapidement menacé d'inculper le gouvernement communiste chinois pour avoir presque détruit l'économie mondiale et tué des millions de personnes.
Les élites occidentales, en réponse, craignaient que leurs propres investissements lucratifs en Chine ne soient compromis par de telles révélations - et ont donc agi en conséquence pour défendre Pékin.
Néanmoins, un scénario qui reste intrigant est que le virus échappé a été engendré par des chercheurs en gain de fonction, supervisés par des éléments de l'armée communiste chinoise. Pire encore, le laboratoire a reçu des subventions des autorités sanitaires américaines, acheminées par des tiers. Cacher toutes ces informations préjudiciables a déformé la politique gouvernementale et la couverture médiatique.
Tardivement, une Chine paniquée a interrompu tous les voyages intérieurs à destination et en provenance de Wuhan – mais pas les vols à l'étranger vers l'Europe occidentale et les États-Unis.
Le reste appartient à l'histoire.
Dès le départ, l'Organisation mondiale de la santé a simplement diffusé de faux arguments sur l'épidémie de la part du gouvernement chinois, retardant une réponse mondiale robuste.
Les opposants politiques de l'ancien président Donald Trump ont d'abord dit aux Américains de magasiner et de voyager comme d'habitude – seulement pour pivoter à mesure que les cas montaient et ils ont blâmé le président.
L'interdiction américaine de voyager depuis la Chine en 2020 s'est heurtée à des accusations de racisme et de xénophobie de la part des candidats à la présidentielle. Ironiquement, beaucoup ne faisaient que canaliser la propagande raciste et xénophobe de la Chine.
De nombreux médecins n'arrêtaient pas de marteler le besoin de thérapeutiques, y compris l'utilisation taboue hors AMM de médicaments génériques bon marché. L'utilisation de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine a été largement ridiculisée, malgré la poursuite des études à l'étranger attestant de leur utilité.
Le projet Operation Warp Speed de Trump pour développer des vaccins a également été mis au pilori. Les candidats Kamala Harris et Joe Biden ont fait de leur mieux pour dénoncer la sécurité des vaccinations imminentes. Mais une fois au pouvoir, ils ont projeté leur propre rhétorique préjudiciable sur les soi-disant « anti-vaccins ».
Ensuite, ils ont revendiqué le succès initial des vaccinations Trump.
La société Pfizer avait promis une annonce préélectorale majeure sur son déploiement probable d'un vaccin en octobre, quelques jours seulement avant les élections de 2020.
Puis, mystérieusement, Pfizer a affirmé que le vaccin, en fait, ne serait pas prêt avant le 3 novembre. Quelques jours après l'élection de Joe Biden, la société a fait marche arrière et a annoncé que les vaccins seraient bientôt disponibles.
Le gouverneur de New York de l'époque, Andrew Cuomo, a fait obstacle à la plupart des aides fédérales avec les empreintes digitales de Trump. De cette façon, Cuomo est devenu un chouchou des médias, lauréat d'un Emmy - avant de démissionner en disgrâce.
Les politiques de Cuomo consistant à orienter les patients infectés vers des établissements de soins de longue durée ont condamné plus de 10 000 personnes âgées. New York utilise maintenant illégalement la race pour accorder des préférences dans les attributions de tests et de nouveaux médicaments.
La rhétorique du lien média-progressiste selon laquelle des verrouillages massifs et obligatoires étaient nécessaires a pratiquement détruit une économie Trump en plein essor et a refusé des soins médicaux essentiels à des millions de personnes. Mettre l'accent sur la thérapeutique, l'immunité collective naturelle et la résilience des jeunes à la maladie ont tous été déclarés "anti-science" par les démagogues de gauche.
Diverses célébrités et politiciens – tels que le gouverneur de Californie Gavin Newsom et la candidate à la présidentielle ratée Hillary Clinton – se sont vantés que le verrouillage de la pandémie offrait la crise parfaite qui ne doit pas être gaspillée politiquement. L'actrice Jane Fonda a même chanté que COVID-19 était un "cadeau de Dieu à la gauche" pour aider à mettre fin à Donald Trump.
Dans les derniers jours de la campagne 2020, Biden est allé jusqu'à blâmer Trump personnellement pour tous les décès dus au virus.
Une fois que les vaccinations ont semblé fonctionner au début de 2021, un Joe Biden optimiste s'est vanté qu'il mettrait fin au virus d'ici l'été 2021, en suivant "la science". Il est allé jusqu'à affirmer que personne n'avait été vacciné avant son investiture, même si 17 millions, dont Biden lui-même, l'avaient été.
Les variantes imprévues delta et omicron ont frappé. Une nouvelle expression, "cas révolutionnaire", a révélé que les vaccinations ne pouvaient souvent prévenir que des maladies graves, mais pas d'infection ou de contagiosité.
Soudain, les personnes les meilleures et les plus brillantes avec trois coups, qui avaient fait exploser les rubes à l'état rouge comme les ignorants non-vaxxés - sont tombées malades. Plus sont maintenant morts du virus sous la surveillance de Biden que sous la surveillance de Trump.
Une économie déformée au milieu de nouvelles épidémies de COVID-19 a contribué à détruire davantage la popularité décroissante de Biden.
En réaction, la gauche appelle désormais au réalisme, à l'accent mis sur les traitements et à la reconnaissance de la valeur des immunités naturelles. Il est même nouvellement curieux de connaître les origines du virus et la nécessité de "revenir à la normale".
On nous dit soudain que des milliers de personnes sont mortes "avec" plutôt que "à cause" du COVID - exactement le contraire de ce que nous avons entendu à l'époque de Trump.
Un sceptique pourrait suggérer que la terreur sur les mi-mandats imminents a finalement fait face à la réalité de gauche.
Politiser la pandémie est un euphémisme. En vérité, des milliers d'Américains sont morts inutilement à cause de la désinformation armée sur la culpabilité de la Chine, les vaccins, les médicaments utiles, les confinements, les préférences raciales et les établissements de soins de longue durée.
Au départ, TOUS les gouvernement de merde qui dirigent le monde ont été d'accord pour interdire les voyages en avion alors qu'ils savaient par avance que le virus n'était PAS dans l'air mais uniquement disponible en seringues. Mais je reconnais m'être trompé dès le début où j'ai rigolé au mot 'virus'. Car un virus est une poussière (émise par le magma), mais ce nom a été 'accidentellement' employé pour les ordinateurs, puis le 'virus' du bon vin, le 'virus' de la bonne chaire, le 'virus' de la chasse, etc, etc.
Donc, j'ai pensé microbes car seuls les microbes transmettent les maladies. Puis, réflexion faite après l'examen des flacons par la docteur Carrie Madej, qu'il s'agissait bien de poussières ! Oui mais cette fois pas de poussières parfaitement inoffensives venues du magma mais des poussières fabriquées en laboratoires. Des poussières dites 'intelligentes' car elles sont contrôlables à distance. Ce sont en fait des nano-particules découpées de telle sorte qu'elles peuvent être assemblées parfaitement jointées à la formation de boules (caillot apportant la mort immédiate), soit mise en formation de fils (appelés 'morgelons') qui serviront d'antennes-relais entre les émetteurs (téléphones portables ou 5G) et le cerveau.
Mais ces dites poussières intelligentes ont aussi la particularité de renfermer en leur centre (pour éviter de dire 'cœur') du poison ! De l'oxyde de graphène qui est un poison mortel violent. Elles peuvent donc être décapsulées à distance pour libéré la mort transportée depuis la seringue.
Les enseignants de toute la France organisent un débrayage de masse sur les règles COVID-19 en constante évolution du gouvernement
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 10:30 Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times,
Les enseignants de toute la France ont organisé une grève massive cette semaine pour protester contre les règles COVID-19 en constante évolution du gouvernement pour ceux qui travaillent dans le secteur de l'éducation qui, selon eux, ne protègent pas à la fois le personnel et les étudiants.
Le ministère français de l'Éducation a estimé qu'environ 31 % de tous les enseignants du pays avaient pris part à la grève jeudi, dont 38 % travaillaient dans les écoles primaires et près de 24 % dans les écoles secondaires.
Un communiqué du bureau du maire de Paris indique que dans la capitale, environ 58% du personnel enseignant a pris part à la grève et environ 200 écoles ont été contraintes de fermer, bien que les syndicats et les syndicats d'enseignants mettent ces chiffres beaucoup plus élevés, à 75 pour cent.
Les manifestations sont survenues alors que les enseignants de toute la France sont de plus en plus frustrés par les politiques en constante évolution du gouvernement concernant la pandémie, qui a vu les règles de test pour les enfants modifiées à plusieurs reprises depuis le début de cette année seulement, souvent à la toute dernière minute.
En plus de cela, les éducateurs disent que l'approche du gouvernement face à la pandémie ne parvient pas à protéger les enfants ou à assurer une couverture de remplacement pour les enseignants qui tombent malades du coronavirus. Les syndicats demandent également au gouvernement de fournir des masques FFP2 plus protecteurs pour le personnel ainsi que des moniteurs de dioxyde de carbone dans les salles de classe afin qu'ils puissent s'assurer qu'ils sont suffisamment ventilés, selon The Guardian.
Malgré une augmentation des cas de virus dans les écoles à travers la France, qui ont atteint des records de près de 370 000 nouveaux cas quotidiens, le gouvernement a jusqu'à présent maintenu les classes ouvertes et exigé que tous les élèves en contact avec une personne infectée se fassent tester trois fois.
"Nous étions arrivés à un tel niveau d'exaspération, de fatigue et de colère que nous n'avions pas d'autre choix que d'organiser une grève pour envoyer un message fort au gouvernement", a déclaré la responsable syndicale Elisabeth Allain-Moreno.
Lundi, le Premier ministre français Jean Castex a annoncé que les règles changeaient encore une fois, déclarant à la chaîne de télévision France 2 que les étudiants seraient désormais tenus de prendre trois COVID-19 auto-administrés à la maison, qui seront gratuits, au lieu d'avoir PCR ou des tests antigéniques, puis deux tests auto-administrés le deuxième et le quatrième jour.
"Cela aura un effet sur les files d'attente [hors pharmacies]", a déclaré Castex.
Mais jeudi, Snuipp-F.S.U., un important syndicat du personnel des écoles élémentaires, a critiqué le gouvernement pour avoir prétendument mis à jour les règles via les médias au lieu d'informer les enseignants au préalable.
"Le discours télévisé du Premier ministre ignorant les demandes du personnel a une fois de plus démontré le mépris du gouvernement amplifiant leur colère et leur mobilisation", a déclaré SUNipp-FSU.
"Une fois de plus, l'allégement protocolaire est annoncé dans les médias, et le personnel des écoles doit répondre à partir de ce matin aux questions des familles sans aucune consigne officielle."
Le syndicat a souligné que les manifestations de masse n'étaient pas "une grève contre le virus" mais illustraient les frustrations croissantes des enseignants, notant que le manque de remplaçants pour les enseignants malades ajoutait une pression supplémentaire sur le système éducatif.
"Non seulement le protocole actuel ne protège pas les élèves, le personnel et leurs familles, mais il désorganise également complètement l'école", a déclaré SUNipp-FSU. "Dans les conditions actuelles, les élèves ne peuvent pas apprendre correctement."
La France a connu des dizaines de manifestations ces derniers mois contre les mesures strictes qui ont été mises en place dans tout le pays en réponse à la pandémie de COVID-19.
Le pays a imposé un laissez-passer sanitaire, ce qui signifie que les gens doivent présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour entrer dans les restaurants, les cafés et les bars, visiter les cinémas et utiliser les trains interrégionaux.
Cependant, le gouvernement veut promulguer une loi d'ici le milieu de ce mois qui abandonnerait ce laissez-passer sanitaire et empêcherait les personnes non vaccinées d'entrer dans les lieux d'accueil, interdisant essentiellement aux personnes non vaccinées de la vie publique.
Le président Emmanuel Macron a exprimé ouvertement ses réflexions sur ceux qui refusent de se faire vacciner et a promis de rendre leur vie misérable, ce qui a provoqué des réactions négatives dans tout le pays.
"Je ne suis pas pour faire chier les Français... Maintenant les non vaccinés, j'ai vraiment envie de les faire chier. Et donc, nous allons continuer à le faire, jusqu'à la fin. C'est la stratégie », a déclaré Macron lors d'un entretien avec Le Parisien au début du mois.
Macron a ajouté que s'il "n'enverra pas [de personnes non vaccinées] en prison", il "rendra leur vie plus compliquée et encouragera les personnes qui refusent de se faire vacciner à le faire en "limitant autant que possible leur accès aux activités sociales". vie."
« Nous devons donc leur dire qu'à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restaurant. Vous ne pourrez plus aller prendre un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre. Vous ne pourrez plus aller au cinéma », a-t-il déclaré.
La France est l'un des pays les plus vaccinés au monde, avec plus de 90 % des personnes âgées de 12 ans et plus complètement vaccinées.
La chose que je n'osais même présager était que, comme les animaux respirent comme nous, si le virus était dans l'air, eux aussi devrait mourir. Oui mais, le programme 'Dépopulation21' qui a pris du retard, propose en volet supplémentaire non-pas de vacciner les vaches, poules, chiens, chats, souris, oiseaux et moustiques mais de les effacer de la surface du monde car ils seraient tous porteurs (asymptomatiques !!) de maladies mortelles !!!
Ainsi, après les adultes qui respirent, on passe aux jeunes qui osent respirer, puis aux nouveaux-nés qui veulent faire comme les autres ! après on passera aux spermatozoïdes masqués et distancés de 2 m, puis aux bancs de poissons, aux colonies de fourmis, aux troupeaux de zébus et aux nuées d'oiseaux !
Rappel qu'il n'Y A PAS d'antidote au poison injecté ! Une piqûre létale c'est pas du bonbon grenadine ! Compris ?
Parce que je vous rappellerais que NOUS RESPIRONS TOUTES & TOUS 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et donc DES milliards depuis ce matin et des milliards de trains de milliards depuis notre naissance et QUE NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Et donc: quand les criminels-escrocs font des tests, ils trouvent FORCÉMENT des millions de virus respirés ! Donc il y a au monde 7 milliards 900 millions de personnes testées positives à abattre !
Je sais que je ne vais pas me faire d’amis avec ce billet mais il est important d’attirer l’attention des lecteurs de ce blog. Israël est le pays le plus « vacciné » dans le monde dit occidental. Tant qu’il y aura des « cas » et des hospitalisations dues à une infection par le coronavirus, quel que soit le mutant, l’ensemble de la population résidente devra subir des rappels. Malgré les évidences scientifiques indiquant que les anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus reconnaissent également la syncytine, les autorités israéliennes continuent à encourager par des moyens souvent coercitifs cette injection d’ARN messager codant pour la protéine dite Spike. De plus la protéine produite par les cellules du sujet ayant subi cette injection perturbe profondément le système immunitaire, provoque des thromboses et des péricardites souvent mortelles et rend paradoxalement les sujets plus sensibles aux infections par le coronavirus. Mais il ne faut pas en parler car ça énerve les dirigeants des grandes firmes pharmaceutiques ainsi que les dirigeants politiques.
Le cas de la syncytine est plus préoccupant car l’administration de cet ARN messager provoque chez les femmes devenues enceintes après cette injection un risque de fausse-couche dont la fréquence inquiétante et jamais observée auparavant est soigneusement dissimulée par les gouvernements. Il n’existe aucune statistique précise et fiable à ce sujet y compris en Israël. Pourtant le gouvernement de ce pays doit être aujourd’hui très inquiet car si les femmes israéliennes qui ont déjà à ce jour subi en moyenne 4 injections de ce poison ne peuvent plus porter un enfant en toute sécurité il en va de l’avenir du pays. Et c’est sur ce point précis qu’il est intéressant de rapprocher une autre information également en provenance d’Israël.
La loi israélienne vient d’être modifiée en ce qui concerne les mères porteuses pour autrui (surrogacy en anglais). Jusqu’au 11 janvier 2022, date à laquelle la nouvelle loi concernant les mères porteuses a été mise en application, les dispositions légales israéliennes étaient très strictes. D’un seul coup elles viennent d’être libéralisées en élargissant le service des mères porteuses aux femmes célibataires, aux couples homosexuels quel que soit leur sexe et aux couples non mariés officiellement. L’aspect financier ne tardera pas à apparaître car un mère porteuse c’est aussi le service d’une clinique de fécondation in vitro ainsi que le suivi de la santé de la mère porteuse. La facture s’élève à environ 50000 dollars, somme partagée pour moitié respectivement entre la mère porteuse et la clinique. S’il faut une donneuse d’ovules ou un donneur de sperme, la facture augmente, c’est normal.
Il est intéressant de rapprocher cette information de la frénésie de « vaccination » que connaît depuis une année l’Etat d’Israël. Si l’injection de cet ARN messager risque de provoquer des fausses-couches autant ne pas prendre de risque au sujet de la pérennité du pays lui-même. Partant du principe que les gamètes sont à l’abri, ce qui n’est pas encore prouvé, alors le recours à une mère porteuse est tout à fait indiqué. Des pays comme le Mexique, le Portugal ou encore l’Ukraine proposent ce genre de service en toute légalité.
Pour conclure ce billet je voudrais à nouveau insister sur le fait que les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas effectué une recherche élémentaire sur le plan technique au sujet des éventuelles réactions croisées entre les anticorps anti-Spike et d’autres protéines humaines. Il suffisait de réaliser un « western-blot », une technique connue de tous les laboratoires de biologie depuis des années. C’est incompréhensible. Il est certain que des biologistes israéliens ont lancé l’alerte auprès de leur gouvernement afin de prendre des mesures sérieuses pour sauver le « Peuple élu ». Bienvenue dans un monde hostile à la Bill Gates, un individu peut-être opposé à la prospérité de l’Etat d’Israël … mais je m’égare.
Parfois nos parents, grands-parents ou encore nos arrières grands-parents ont connus la guerre. Durant de longues années c'était la privation, l'inquiétude, l'occupation et l'information TSF qui arrivait au compte-gouttes. Ils en étaient là. Nous en sommes là.
Il ne suffit pas d'être persuadé ou de se persuader soi-même encore faut-il que l'intelligence y soit ! Or, figurez-vous qu'au siècle de l'Internet l'Intelligence fait loi et la vérité gagne toujours sur le mensonge même si ce dernier à une arme à destruction massive en main.
C'est là une guerre différente. Une guerre qui 'serait' comprise par tous mais le problème sont les cons. Ce n'est plus 'radio-Londres' mais 'Internet-Mondial'. Heureux sont les fermiers ou montagnards ou iléens qui vivent en marge de cette société pourrie. Eux ne portent jamais de masque, cultivent, ramassent les œufs des poules et s'écartent de cette merde-en-villes allant jusqu'à oublier ce spectacle navrant qui les entoure.
La rencontre avec l’équipe de Planet lockdown fut pour moi un moment incroyable tant la relation avec l’équipe du film a été intense. Imaginez des jeunes gens qui décident de faire quelque chose pour l’humanité. Ils voyaient bien que quelque chose ne tournait pas rond dans le monde des virus et du partenariat sanitaire issu de l’amalgame indigeste des secteurs publics-privés.
Ils ont donc pris le matériel nécessaire et sont partis à a découverte d’un Occident brisé dont la population semble prise en otage quand elle n’a pas tout simplement pas succombé à un virus dont les traitements ont été confisqués. Le sort qui a été réservé aux personnes âgées isolées est un élément marquant de ce méprisable épisode de l’histoire humaine. L’autre élément scandaleux étant la vaccination d’enfants et mineurs qui n’ont pas donné leur consentement à leur participation à l’immense expérimentation.
La bonne nouvelle est que l’édifice officiel commence à prendre l’eau de tous les côtés (cf article ci-dessous). Je suppose que les gestionnaires de la crise covidienne commencent à s’inquiéter…. Bref, après plus d’une année de travail, le film Planet Lockdown a été mis à disposition du public hier soir. Pour l’instant, je n’ai que la version anglaise. J’espère qu’une traduction française sera bientôt disponible.
PS: je profite de cette publication pour vous inviter à découvrir cet article que je viens de recevoir. La vérité est en train de fissurer le mur étanche qui sépare les infos réelles (y compris scientifiques) de la propagande des médias officiels, devenus pour certains les chargés de com (influenceurs) des politiciens et des industriels des BigPharma.
Visualiser l'économie mondiale de 94 000 milliards de dollars dans un seul graphique
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 23:00
Seuls quatre pays - les États-Unis, la Chine, le Japon et l'Allemagne - représentent plus de la moitié de la production économique mondiale par produit intérieur brut (PIB) en termes nominaux. En fait, comme le note Dorothy Neufeld de Visual Capitalist, le PIB des États-Unis à lui seul est supérieur au PIB combiné de 170 pays.
Comment comparer les différentes économies du monde ? Dans cette visualisation, nous examinons le PIB par pays en 2021, en utilisant des données et des estimations du Fonds monétaire international (FMI).
- voir graph sur site -
Un aperçu du PIB
Le PIB sert d'indicateur général de la production économique d'un pays. Il mesure la valeur marchande totale des biens et services finaux produits dans un pays au cours d'une période donnée, par exemple un trimestre ou une année. En outre, le PIB prend également en considération la production de services fournis par le gouvernement, tels que l'argent dépensé pour la défense, la santé ou l'éducation.
De manière générale, lorsque le PIB augmente dans un pays, c'est le signe d'une plus grande activité économique qui profite aux travailleurs et aux entreprises (alors que l'inverse est vrai pour une baisse).
L'économie mondiale : les 50 principaux pays Qui sont les plus gros contributeurs à l'économie mondiale ? Voici le classement des 50 plus grands pays par PIB en 2021 :
- voir liste sur site -
* PIB 2020 (dernier disponible) utilisé lorsque les estimations du FMI pour 2021 n'étaient pas disponibles.
À 22 900 milliards de dollars, le PIB américain représente environ 25 % de l'économie mondiale, une part qui a en fait considérablement changé au cours des 60 dernières années. Les secteurs de la finance, des assurances et de l'immobilier (4,7 billions de dollars) contribuent le plus à l'économie du pays, suivis des services professionnels et commerciaux (2,7 billions de dollars) et du gouvernement (2,6 billions de dollars).
L'économie chinoise est deuxième en termes nominaux, oscillant autour de 17 000 milliards de dollars de PIB. Il reste le plus grand fabricant au monde en termes de production avec une production extensive d'acier, d'électronique et de robotique, entre autres.
La plus grande économie d'Europe est l'Allemagne, qui exporte environ 20% des véhicules à moteur du monde. En 2019, le commerce global équivalait à près de 90% du PIB du pays.
L'économie mondiale : 50 plus petits pays À l'autre extrémité du spectre se trouvent les plus petites économies du monde en termes de PIB, principalement les pays en développement et insulaires.
Avec un PIB de 70 millions de dollars, Tuvalu est la plus petite économie du monde. Située entre Hawaï et l'Australie, la plus grande industrie de cet archipel volcanique repose sur des droits de pêche territoriaux.
En outre, le pays tire des revenus importants de son domaine Web ".tv". Entre 2011 et 2019, il a gagné 5 millions de dollars par an auprès d'entreprises, dont Twitch, propriété d'Amazon, pour la licence du nom de domaine Twitch.tv, ce qui équivaut à environ 7 % du PIB du pays.
- voir liste sur site -
* PIB 2019 (dernier disponible) utilisé là où les estimations du FMI pour 2021 n'étaient pas disponibles.
Comme Tuvalu, bon nombre des plus petites économies du monde se trouvent en Océanie, notamment Nauru, Palau et Kiribati. En outre, plusieurs pays ci-dessus dépendent de l'industrie du tourisme pour plus d'un tiers de leur emploi.
Les économies à la croissance la plus rapide au monde en 2021 Avec une croissance du PIB prévue de 123 %, l'économie libyenne devrait connaître la plus forte hausse.
Le pétrole propulse sa croissance, avec 1,2 million de barils pompés quotidiennement dans le pays. Parallèlement à cela, les exportations et une devise déprimée sont parmi les principaux facteurs de sa reprise.
L'économie irlandaise, avec une croissance du PIB réel prévue de 13 %, est soutenue par les plus grandes sociétés multinationales du monde. Facebook, TikTok, Google, Apple et Pfizer ont tous leur siège européen dans le pays, qui a un taux d'imposition des sociétés de 12,5 %, soit environ la moitié de la moyenne mondiale. Mais ces taux devraient bientôt changer, car l'Irlande a rejoint l'accord de l'OCDE sur le taux minimum d'imposition des sociétés de 15 % qui a été finalisé en octobre 2021.
L'économie de Macao a rebondi après que les restrictions liées au COVID-19 ont commencé à se lever, mais d'autres nuages d'orage se profilent à l'horizon pour le district chinois. La campagne anti-corruption du PCC et les récentes arrestations pourraient signaler une relation plus tendue entre la Chine continentale et le plus grand centre de jeu au monde.
Perspectives d'avenir sur le PIB mondial
Le chiffre du PIB mondial de 94 000 milliards de dollars peut nous sembler énorme aujourd'hui, mais un tel total pourrait sembler beaucoup plus modeste à l'avenir.
En 1970, l'économie mondiale ne représentait qu'environ 3 000 milliards de dollars de PIB, soit 30 fois moins qu'elle ne l'est aujourd'hui. Au cours des trente prochaines années, l'économie mondiale devrait à nouveau plus ou moins doubler. D'ici 2050, le PIB mondial pourrait totaliser près de 180 000 milliards de dollars.
Un sondage (Smartvote) fait en Suisse, le 19 août 2019, révèle que la majorité des candidats à la députation est en faveur d’un recul de l’âge de la retraite à… 67 ans. Impensable ici. Pourtant, s’il y a une chose à expliquer dans cette période de consultation sur la loi retraite, c’est comment s’en tirer, chez nous, sans bouger significativement l’âge de la retraite ni augmenter la durée de cotisation ?
Surcharge pour les entreprises
Rappelons quelques faits. En 1983, quand Mitterrand a lancé l’idée de la retraite à 60 ans, il y avait quatre cotisants pour un retraité et l’espérance de vie était de 72 ans, soit 12 ans de retraite en moyenne. Aujourd’hui l’espérance de vie est de 84 ans, ce qui fait 22 ans de retraite. Et il n’y a plus que 1,7 cotisant par retraité. En 36 ans, la durée de retraite a été augmentée de 83 % et le pourcentage de ceux qui cotisent réduit de 57 %.
On en a remis une couche avec les 35 heures, qui reviennent à annihiler au moins quatre ans de cotisation. Pour faire simple, le ratio cotisants-retraités a été divisé par cinq. On a certes doublé la part du PIB consacrée aux retraites à 13,8 % (sous Mitterrand le ratio était d’environ 7 %), mais au prix d’une surcharge accrue pour nos entreprises. Il y a aussi eu des gains de productivité, mais la situation n’est absolument pas tenable.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail. On dira : « Ils sont différents ! » Regardons alors nos autres voisins : le départ à la retraite se situe partout entre 65 et 67 ans. Si partir à 67 ans est un argument électoral de l’autre côté de la frontière, est-ce parce que le chocolat qu’ils consomment leur dérègle l’esprit ou parce que devant les faits ils sont, contrairement à nous, humbles et capables de se remettre en question ?
Le calcul n'est pas clair. Un cotisant cotise, il y a donc 1:1. Chacun se fait SA retraite. Regardez aux States avant qu'arrive le kényan ObamasquéÔhéÔhé, chacun plaçait son argent en banques, la banque apporte des intérêts et, l'Américain prend sa retraite QUAND IL VEUT, et quand il décède son épouse hérite de 100 % du placement de son mari. A savoir que la retraite (arrêt de travail) ne dépend PAS de l'âge mais du travail effectué durant la vie ! Un fonctionnaire n'est pas fatigué, tandis qu'un paysan qui travaille 7/7 jours l'est !
Le malus écologique sur les automobiles, une taxe perverse
Aucun raisonnement, ni logique, ni écologique, ne peut justifier ni le mode de calcul ni le montant du malus imposé aux seuls acheteurs de voitures neuves.
le 17 janvier 2022 Par Vincent Benard. Un article de l’IREF Europe
La cuvée 2022 du malus écologique automobile est arrivée, toujours plus saumâtre, puisqu’à émissions égales, la hausse tourne autour de 50 % par rapport au tarif 2021.
Le malus est une taxe à l’achat du véhicule, définie en fonction des grammes de gaz carbonique émis par votre véhicule à chaque kilomètre selon une mesure normalisée officielle. Si votre véhicule émet moins de 127 g de gaz carbonique au km selon cette norme, vous ne payez pas de malus. Au-delà, pour chaque gramme, le barème augmente, suivant une logique… qui défie toute logique.
Baroque barème !
En effet, le malus est justifié par le fait qu’il force l’acheteur à payer pour les tonnes de gaz carbonique que son véhicule émettra tout au long de sa durée de vie. Vous pensez donc que ce malus est représentatif d’un prix à la tonne multiplié par la distance parcourue en moyenne par un véhicule au cours de sa vie (13 000 km/an, 250 000 km au total) ? Hé bien pas du tout !
En effet, le prix à la tonne n’augmente pas du tout de façon linéaire, comme le montre le graphique ci dessous:
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L’acheteur d’une voiture émettant 127 g/km, soit 31,75 tonnes durant ses 250 000 km de vie, ne paie rien. Pour 140g (35 tonnes), chaque tonne de gaz carbonique lui est facturée 9 euros, mais pour 160 g (40 tonnes), la tonne est facturée 55 euros, et pour 200 g, 363 euros !
Et la différence est encore plus flagrante si vous considérez qu’un véhicule émettant 31,75 tonnes au cours de sa durée de vie, ne paie rien. Si vous considérez que le législateur vous alloue de ce fait un quota de 31,75 tonnes par véhicule, alors le coût de chaque tonne émise au-delà de ce quota évolue ainsi :
- voir graph sur site -
Le véhicule qui émet 128 g au km se voit, selon cette modalité, plus pénalisé que celui qui en émet 140, puisque la tonne au-dessus du seuil de gratuité lui est facturée 200 euros, contre 95 euros, ce qui est tout de même fort de café.
Puis au-delà de 140, la courbe reprend son hyper-progressivité. Un véhicule émettant 160 grammes (2205 euros de malus), émettant en moyenne 40 tonnes au cours de sa vie, voit chaque tonne émise hors-quota être facturée 267 euros à son acheteur. Pour 180 g, le prix de la tonne hors quota atteint 563 euros, et pour 200 g, la barre des 1000 euros par tonne est allègrement franchie ! La taxe parabolique, vous n’en avez pas rêvé, l’État l’a quand même faite.
Ce sont les mêmes tonnes de gaz carbonique . Une tonne de gaz carbonique émise par un véhicule émettant 100 g au km a exactement la même influence atmosphérique qu’une tonne émise par un véhicule émettant 200 g. La logique voudrait que le second paie deux fois plus au kilomètre que le premier, mais pas plus. Pourtant, le prix imposé pour chaque tonne par le malus n’est pas identique, des accroissements mineurs des émissions se traduisent par une hyperinflation de la taxe.
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L’acheteur de voiture neuve, cette vache à lait
Ces prix fous sont à mettre en rapport avec le cours moyen de la tonne de carbone en Europe supporté par les agents économiques lorsqu’ils échangent leurs quotas de gaz carbonique sur les marchés officiels (source ministère, prix en dollars) :
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L’acheteur d’une voiture consommant 7 litres au 100 km voit donc ses émissions futures, au-delà de son quota de gratuité, lui être facturées beaucoup plus cher que les émissions d’une entreprise dans la même situation.
Pire encore, cette taxe est identique qu’il roule 13 000 km par an, ou 8000, ou 25 000. Qu’il ait le pied lourd ou soit un conducteur économe. L’acheteur de la voiture neuve paie la taxe, qu’il conserve le véhicule jusqu’à sa destruction, ou qu’il la revende, l’acheteur de seconde main n’étant quant à lui pas (encore ?) soumis à cette obligation. Cette taxe viole donc le principe pollueur payeur par de nombreux aspects.
La taxe carbone existe déjà, c’est la TICPE
Au reste, il existe déjà une taxe carbone sur l’usage de l’automobile, beaucoup plus justifiable intellectuellement, quand bien même les automobilistes la jugent désagréable : c’est la TICPE prélevée sur les carburants. Celle-ci représente pour le contribuable une charge strictement proportionnelle à la consommation, que l’on roule peu, beaucoup, avec le pied lourd ou léger, avec un véhicule économe ou luxueux.
La TICPE (plus la TVA sur la taxe) payée par les seuls automobilistes a représenté 24 milliards d’euros en 2018, pour environ 75 millions de tonnes de gaz carbonique émises, soit un coût de 320 euros à la tonne, déjà incroyablement supérieur au cours de la tonne sur les marchés d’échange du carbone.
De plus, les 24 milliards correspondent quasiment aux subventions cumulées versées à la SNCF et aux régies locales de transport, supposées être plus vertueuses en termes d’émissions de gaz carbonique que l’automobile. Sans ces subventions, ces organismes seraient en faillite et ne pourraient assurer leur service de transport moins émissif. On peut donc affirmer que la TICPE est largement suffisante pour dédouaner l’automobiliste des effets supposés de ses émissions de gaz carbonique .
Conclusion
Aucun raisonnement, ni logique, ni écologique, ne peut justifier ni le mode de calcul ni le montant du malus imposé aux seuls acheteurs de voitures neuves, ni les différences de taxes imposées à des acheteurs de voitures aux émissions marginalement différentes. Il est donc permis de se demander si cette taxe ne constitue pas une violation flagrante de l’égalité des contribuables devant l’impôt. N’y aurait-il pas matière à former un recours collectif contre cette taxe de ce point de vue ?
Premièrement, taxer le gaz carbonique est UNE ESCROQUERIE ! Car le gaz carbonique (comme TOUT autre gaz se recycle immédiatement (sans quoi aucune vie sur Terre ne serait possible depuis des millions d'années).
Deuxièment, il ne faut ni compter sur les 'journalistes' ni sur les 'politiques' (même dites d''opposition' HAHAHA !) pour vous expliquer scientifiquement la réalité des choses (alors qu'ils se disent plus intelligents que les scientifiques sans jamais avoir fait même 1 heure d'étude scientifique !!).
Troisièmement, le gaz carbonique n'est PAS un poison et n'a aucun pouvoir calorifique.
Construire un mouvement mondial contre la «Tyrannie Covid »
Par Prof Michel Chossudovsky Mondialisation.ca, 13 janvier 2022
Ce qui est présenté dans cet article est un avant-projet : des suggestions de concepts et d’idées relatives à la formulation d’un Mouvement mondial.
La prise de la Bastille a eu lieu à Paris dans l’après-midi du 14 juillet 1789. La Bastille était une armurerie médiévale, une forteresse et une prison politique. C’était le symbole de l’Autorité royale sous le règne du roi Louis XVI.
La monarchie française fut obligée d’accepter l’autorité de l’Assemblée nationale et de reconnaître les droits fondamentaux énoncés dans la « Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen » formulée au début d’août 1979.
Plus de 230 ans plus tard, ces droits fondamentaux ( Liberté, Égalité, Fraternité ) sont désormais bafoués au niveau mondial par des gouvernements corrompus agissant au nom des élites dans le cadre d’un projet politique totalitaire.
« Bastille 2022 » ne concerne pas seulement le rétablissement de ces droits fondamentaux. Il cherche à inverser et à désactiver le programme criminel COVID-19 qui, au cours des deux dernières années, a déclenché un chaos économique, social et politique dans le monde entier, dans 193 États membres des Nations Unies, accompagné de faillites, de chômage, d’extrême pauvreté et de désespoir.
À partir de novembre 2020, un vaccin expérimental à ARNm lancé par nos gouvernements (prétendument dans le but de lutter contre la propagation du virus) a entraîné une tendance mondiale croissante des décès et des blessures liés au vaccin. C’est un vaccin tueur. C’est un crime contre l’humanité.
« Bastille 2022 » n’est pas un mouvement de « protestation » au sens strict du terme.
Nous ne cherchons pas à négocier avec une classe politique corrompue. Nous remettons en cause leur légitimité. Ce sont des menteurs.
Notre intention est de confronter les acteurs derrière cette initiative criminelle qui littéralement détruit la vie des peuples dans le monde entier, tout en créant des divisions au sein de la société. Les impacts sur la santé mentale des groupes de population dans le monde sont dévastateurs.
Les nombreux confinements (maintien à domicile de la main-d’œuvre), les campagnes de peur, les mandats politiques COVID-19 imposés à 193 États membres des Nations Unies ont également contribué à déstabiliser :
Le tissu même de la société civile et de ses institutions, y compris l’éducation, la culture et les arts, les rassemblements sociaux, les sports, les divertissements, etc. Toutes les activités du secteur public, y compris les infrastructures physiques et sociales, les services sociaux, etc. Toutes les activités du secteur privé qui caractérisent les économies nationales, régionales et locales, y compris les petites, moyennes et grandes entreprises, les exploitations agricoles familiales, l’industrie, le commerce de gros et de détail, l’économie des services urbains, les entreprises de transport, les compagnies aériennes, les chaînes hôtelières, etc. Les structures de l’économie mondiale, y compris le commerce international des produits de base, l’investissement, les relations d’importation et d’exportation entre les pays, etc. L’ensemble du paysage de l’économie mondiale a été chambardé. À son tour, un processus d’enrichissement des milliardaires ainsi que l’aggravation des inégalités sociales fut enclenché. Les dettes massives contractées par l’État-nation résultant de la corruption ainsi que de l’effondrement fiscal ont grimpé en flèche. Les gouvernements nationaux sont une camisole de force, sous le poids de puissantes institutions créancières. L’endettement croissant à tous les niveaux de la société en est la force motrice.
Ce qui est en jeu, c’est la création d’un mouvement de masse (national et mondial) qui remet en cause la légitimité et l’autorité des architectes de ce projet insidieux qui émane au sens large de :
Big Money, Big Pharma, des Conglomérats des Technologies de l’Information, l’Appareil de Sécurité, Le renseignement, le complexe militaro-industriel, les conglomérats de l’énergie, les médias corporatifs.
Ironiquement, les architectes de la « pandémie » de COVID-19 sont désormais activement impliqués dans la formulation de la « Solution ». La grande réinitialisation du Forum économique mondial consiste à installer un régime totalitaire mondial. Ce qui est envisagé est un système de « Gouvernance mondiale » .
Plus de 190 États membres de l’ONU sont affaiblis et minés par ces mesures. Ils sont en proie à la crise de la dette la plus grave de l’histoire mondiale. Dans le cadre de la Grande Réinitialisation (Great Reset), les institutions de la démocratie parlementaire et de l’État-providence doivent être remplacées par un « partenariat public-privé » non élu dominé par les échelons supérieurs de l’establishment financier. Pour reprendre les mots de feu David Rockefeller :
« … Le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés . » (cité par Aspen Times , 15 août 2011, italique ajouté)
Le scénario de la Gouvernance Globale [Mondiale] impose un agenda d’ingénierie sociale et de conformité économique :
Il constitue une extension du cadre politique néolibéral imposé aux pays en développement comme aux pays développés. Il consiste à supprimer « l’autodétermination nationale » et à construire un réseau mondial de régimes par procuration contrôlés par une « souveraineté supranationale » (Gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, chapitre XIII )
Restaurer une vraie démocratie
Nous envisagerons toutes les voies par des moyens pacifiques pour désactiver et saper ce projet totalitaire, y compris le dialogue (démocratique) avec et au sein des institutions publiques et privées, des responsables de l’application des lois, des membres de l’armée et de la justice.
Ce qu’il faut, c’est briser les structures de corruption, de hiérarchie et d’autorité abusive, c’est-à-dire poursuivre ce que l’on pourrait décrire comme étant:
« la démocratisation de la prise de décision au sein de nos institutions ».
L’art de la tromperie
Nous devons néanmoins comprendre les limites de la conduite de procédures judiciaires efficaces contre les gouvernements nationaux. Les juges sont souvent sous pression, menacés et corrompus, alignés à la fois sur les intérêts financiers dominants et les politiciens.
De plus, dans la mesure où ce projet insidieux est mis en œuvre par les gouvernements nationaux du monde entier, la Cour pénale internationale (CPI) qui est officiellement « indépendante » vis-à-vis du Conseil de sécurité de l’ONU, a un historique de longue date afin passer sous silence les crimes de guerre commises par les États-Unis et l’OTAN. Le CPI est contrôlé par les mêmes élites financières qui contrôlent les gouvernements.
Nous devons également comprendre les complexités de ce projet totalitaire soigneusement conçu et coordonné, à savoir le rôle de diverses institutions financières frauduleuses, de groupes de conseil et de lobbying, de consultants, de « conseillers scientifiques », etc. agissant comme intermédiaires pour le compte de Big Pharma et de la classe financière.
Il y a une hiérarchie dans les structures d’autorité. Ce processus décisionnel complexe est utilisé pour coopter, soudoyer et manipuler la classe politique et les hauts fonctionnaires. Des mandats politiques presque identiques (émanant d’une autorité supérieure) sont mis en œuvre simultanément dans de nombreux pays, nécessitant une coordination active. Les mêmes puissants groupes de pression agissent de manière simultanée dans différents pays (par exemple en Amérique du Nord et dans l’Union européenne).
Un vaste budget de plusieurs milliards de dollars a été alloué à la mise en œuvre dans le monde entier des mandats politiques COVID-19 . Ces derniers ont été propices à la déstabilisation de la société civile et de ses institutions avec notamment la perturbation (déréglementation) des services de santé, d’éducation, de sports, d’activités culturelles, etc.
La légitimité des politiciens et de leurs puissants « sponsors Big Money » doit être remise en cause, y compris les mesures de l’État policier adoptées pour faire respecter l’imposition d’un passeport vaccinal numérique ainsi que le port du masque facial, la distanciation sociale, etc.
Quelles sont nos priorités ? Contre-propagande
Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement affectées par la crise corona. Plusieurs milliards de personnes ont déjà été vaccinées par un « vaccin » expérimental à ARNm « non approuvé », ce qui a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité.
Alors que cette tendance est confirmée par les chiffres officiels concernant les décès et les événements indésirables liés aux vaccins, les médias grand public et les gouvernements sont dans un état de déni et de refus.
Les effets dévastateurs sur la santé du vaccin COVID-19 sont rarement reconnus. C’est le même slogan (qui est un pur mensonge) répété ad nauseam : « le virus est bien plus dangereux que le vaccin ».
«Nous avons en fait plus de données de sécurité sur le vaccin que sur le virus, et nous voyons déjà que le virus est bien plus dangereux que le vaccin. ( Intersoins )
Le Dr Alan Schroeder pense qu’il est très naturel que les parents s’inquiètent, mais a déclaré que pour les adolescents, le virus est plus dangereux que le vaccin. ( NBC )
Les médecins le recherchent chez les enfants, mais l’essentiel reste que le virus est bien plus dangereux que le vaccin.
« Les mutations du variant omicron le rendent [le virus] plus prolifique, dangereux et insaisissable »
etc.
Ce consensus de propagande doit être brisé. En ce qui concerne le vaccin, informer l’opinion publique (au niveaux national et mondial) des données sur les décès et les effets indésirables (blessures) constitue la première étape.
La crise COVID initiée en janvier 2020 est sans précédent dans l’histoire mondiale. La propagande selon le code de Nuremberg est un crime contre l’humanité .
Le démantèlement de l’appareil de propagande est crucial. La contre-propagande joue un rôle clé dans la révélation des mensonges utilisés pour justifier les mandats politiques.
Sans désinformation médiatique persistante, le discours officiel de COVID s’effondre.
Tout d’abord, nous devons défier les grands médias (mainstream), sans cibler pour autant les journalistes, qui ont reçu l’ordre de se conformer au discours officiel. Nous devons à cet égard favoriser le dialogue avec les journalistes indépendants.
Nous devons nous assurer que les peuples au niveaux national et international soient informés. qu’ils une connaissance de l’histoire et des impacts dévastateurs de la crise du COVID, étayés par des concepts, des analyses, des témoignages et des données scientifiques.
Cette initiative nécessitera un processus parallèle au niveau local, pour sensibiliser les concitoyens et établir un dialogue sur la nature de la présumée pandémie, du vaccin à ARNm, du test RT-PCR, ainsi que les impacts économiques et sociaux dévastateurs du processus de confinement.
Alors qu’il faut mettre un terme à la campagne de peur, il faudra néanmoins informer nos concitoyens des dangers du vaccin à ARNm ainsi que du chaos enclenché par ce projet totalitaire de « gouvernance mondiale » sur les structures mêmes de la société civile.
La « campagne de la peur » doit être remplacée par « des informations, des concepts, des analyses et des données » ainsi que des « stratégies » pour affronter Big Pharma, la classe politique corrompue ainsi que leurs « sponsors Big Money ».
Nous devons également assurer la conduite du dialogue et du débat à la base de la société.
Mettre fin au « vaccin tueur » Notre première tâche est mettre fin immédiatement au soi-disant « vaccin » COVID-19 qui a déclenché une vague de mortalité et de morbidité au niveau mondial.
« Les injections géniques sont dangereuses. Ils peuvent provoquer des réactions anaphylactiques, une thromboembolie, une thrombocytopénie, une coagulation intravasculaire disséminée et une myocardite à court terme.
Il existe une possibilité d’immunosuppression et de rehaussement dépendant des anticorps, ADE, à moyen terme.
Et à long terme, il existe des maladies auto-immunes possibles, le cancer et l’infertilité, des risques qui n’ont pas encore été écartés. »
Selon Doctors for COVID Ethics , dans l’UE, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les données respectivement compilées par EudraVigilance, MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis) :
« ont désormais enregistré beaucoup plus de décès et de blessures dus au déploiement du « vaccin » COVID-19 que tous les vaccins précédents combinés depuis le début des enregistrements »
En ce qui concerne le « vaccin » à ARNm, le nombre catastrophique de décès liés à l’injection n’a PAS été rapporté par les médias grand public, bien que les chiffres officiels soient publiquement disponibles.
« Le signal de danger est désormais incontestablement écrasant et, conformément aux normes éthiques universellement acceptées pour les essais cliniques, nous exigeons que le programme de « vaccination » COVID-19 soit immédiatement arrêté dans le monde entier.
La poursuite du programme, en toute connaissance de cause des dommages graves et de la mort continue d’adultes et d’enfants, constitue des crimes contre l’humanité/génocide, pour lesquels les personnes reconnues responsables ou complices seront finalement tenues personnellement responsables.
Vidéo : Le vaccin COVID-19 a été lancé de la mi-décembre à la fin décembre 2020.
Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm
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Le rapport confidentiel de Pfizer
Il est à noter qu’un rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les éffets indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, à savoir un période très courte (au plus deux mois et demi) :
Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.
Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » [la vérité sort de la bouche du cheval] peuvent désormais être utilisées pour affronter aussi bien la formulation de procédures judiciaires contre les Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.
Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma (associé aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis ) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres. (Analyse du rapport confidentiel de Pfizer)
C’est un aveu de la part des gouvernements et de Big Pharma que le vaccin COVID-19 est une entreprise criminelle » Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur. Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour demander le retrait du vaccin tueur. »
Il est à noter que Pfizer a un casier judiciaire (2009) auprès du ministère américain de la Justice sur des accusations de « marketing frauduleux ».
Dans le cadre du règlement du DoJ de 2009, Pfizer a été mis en « liberté conditionnelle » :
« Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d’intégrité d’entreprise … [qui] prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement un comportement similaire à celui qui a donné lieu à cette affaire. »
Mais il ne s’agit plus de « marketing frauduleux » :
« Tuer est bon pour les affaires » : le vaccin est une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde entier. C’est un homicide involontaire.
Une fois le « vaccin » arrêté, la criminalité de Big Pharma sera pleinement révélée et comprise. À son tour, la légitimité du récit officiel de COVID basé sur des mensonges et de la fausse science sera inévitablement altérée. C’est la première étape vers la rupture du récit « officiel » de la COVID.
La Vérité est une arme pacifique importante. Sans propagande et sans désinformation médiatique, les auteurs de ce projet n’ont aucune légitimité.
Brisons le consensus « officiel » COVID-19 et l’appareil de propagande qui donne « une légitimité » à un processus de nature criminel.
Une fois que ce consensus s’effondre, il ouvrira la voie pour remettre en question les mesures draconiennes visant à enclencher le chaos économique, social et politique (générés au cours des deux dernières années).
La dimension géopolitique
Ce qui se déroule est une nouvelle phase destructrice de l’impérialisme américain. C’est un projet totalitaire d’ingénierie économique et sociale.
L’administration Biden a approuvé l’agenda COVID, qui fut utilisé pour déstabiliser et affaiblir les économies nationales, y compris celles des « nations ennemies ».
Nous ne pouvons pas séparer notre compréhension de la crise COVID de celle de la politique étrangère américaine et de l’agenda hégémonique des États-Unis: par exemple, la confrontation US-OTAN à l’endroit de la Russie en Europe de l’Est, la militarisation de la Mer de Chine méridionale dirigée à l’endroit de la Chine, l’Iran et la géopolitique du Moyen-Orient, les régimes de sanctions en cours contre le Venezuela et Cuba, etc.
« Big Money, y compris les fondations milliardaires, est la force motrice. Il s’agit d’une alliance complexe entre Wall Street et l’establishment bancaire, les grands conglomérats pétroliers et énergétiques, l’industrie de l’armement, Big Pharma, les conglomérats de biotechnologie, les médias « mainstream », les géants des télécommunications et de la technologie numérique, ainsi qu’un réseau de think tanks, de groupes de pression, de laboratoires de recherche, etc. La propriété intellectuelle joue également un rôle central.
Ce puissant réseau décisionnel numérique et financier inclut également les principaux créanciers et institutions bancaires : la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement et la Banque des règlements internationaux basée à Bâle ( BIS), qui joue un rôle stratégique clé.
À leur tour, les échelons supérieurs de l’appareil d’État américain (et des alliés occidentaux de Washington) sont directement ou indirectement impliqués, y compris le Pentagone, le renseignement américain (et ses laboratoires de recherche), les autorités sanitaires, la sécurité intérieure et le département d’État américain (y compris les ambassades dans plus de 150 pays). (Michel Chossudovsky, E-book, Chapitre XIII )
Intégrer tous les secteurs de la société
Il convient de noter que l’opposition organisée dans de nombreux pays occidentaux est faible. Pourquoi? Parce que les « forces progressistes », y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d’ONG, les dirigeants syndicaux et les syndicats d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord ont dès le départ approuvé le discours officiel COVID. Beaucoup de ces mouvements progressistes sont soutenus par des fondations liées à Wall Street.
Les mêmes fondations milliardaires (Rockefeller, Ford, Gates, etc.) qui sont les architectes du « Great Reset » (la Grande réinitialisation) et de la « Gouvernance mondiale » sont également impliquées dans le financement (de manière généreuse) de divers mouvements sociaux. « Ils contrôlent l’opposition ».
Cela signifie que les activistes sont souvent induits en erreur et trahis par leurs dirigeants qui sont systématiquement cooptés par leurs sponsors milliardaires.
Il est essentiel que ces activistes soient intégrés au pilier du mouvement contre le consensus COVID-19.
Le chemin à parcourir
Ce qu’il faut, c’est le développement d’un large réseau qui confronte à la fois les architectes de cette crise ainsi que tous les niveaux de gouvernement (c’est-à-dire national, états, provinces, municipalités, etc.) impliqués dans l’imposition du vaccin ainsi que dans la mise en œuvre du confinement (lockdown) et de la fermeture de l’activité économique.
Ce réseau serait établi (au niveau national et international) à tous les niveaux de la société, dans les villes et villages, les lieux de travail, les paroisses, syndicats, organisations d’agriculteurs, associations professionnelles, associations d’entreprises, associations étudiantes, associations d’anciens combattants. Les paroisses seraient également appelés à intégrer ce mouvement.
« Répandez l’information » par le biais des médias sociaux et des médias en ligne indépendants sera entrepris en gardant à l’esprit que Google ainsi que Facebook sont des instruments de censure.
Des procédures judiciaires et des mouvements de protestations se déroulent dans toutes les grandes régions du monde. Dans le cadre d’un réseau mondial d’initiatives, il est important d’établir des mécanismes de communication, de dialogue et d’échange au sein et entre pays.
La création d’un tel mouvement, qui remet en cause avec force la légitimité des élites financières, Big Pharma, et al., ainsi que les structures politiques corrompues au niveau national, n’est pas tâche facile. Cela exigera un degré de solidarité, d’unité et d’engagement sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Il faudra également faire tomber les barrières politiques et idéologiques au sein de la société (c’est-à-dire entre les partis politiques) et agir d’une seule voix pour construire un consensus mondial contre la tyrannie.
La solidarité mondiale et la dignité humaine en sont la force motrice.
S'il y avait la Démocratie quelque part dans le monde il n'y aurait pas eu un seul mort du 'covide19' ! Car le FAUX vaccin a été analyse et il se compose de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène poison mortel violent ! Si cette vérité avait été dite, il n'y aurait pas une personne d'inoculée et donc pas une personne décédée ! Mais, malheureusement, dernièrement au Parlement de Luxembourg, on a tous vu la docteur Alexandra Henrion-Caude qui... portait un masque !! Oui ! une masque !!! Un masque qu'elle sait INUTILE ! INUTILE ET DANGEREUX car il force la victime à rerespirer son gaz carbonique expiré !!! D'où la mise en doute de la validité des propos de cette illustre généticienne
Pourquoi les États de l’OTAN commettent-ils un suicide énergétique ?
Par F. William Engdahl Mondialisation.ca, 16 janvier 2022
Il y a un grand paradoxe dans la position militaire de plus en plus agressive des États-Unis et de l’OTAN à l’égard de la Russie et de la Chine, lorsqu’on la compare aux politiques économiques nationales clairement suicidaires de l’Agenda vert des États-Unis et des États de l’UE et de l’OTAN. Une transformation étonnante des économies des pays industriels les plus avancés du monde est en cours et prend de l’ampleur. Le cœur de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou avant. Éliminer le carbone de l’industrie énergétique n’est pas possible à l’heure actuelle, ni peut-être jamais. Mais si l’on cherche à l’atteindre, cela signifie que les économies les plus productives du monde seront mises en pièces. Sans une base énergétique industrielle viable, les pays de l’OTAN deviennent une plaisanterie militaire. Nous ne pouvons pas parler d’énergie « renouvelable » pour le solaire, l’éolien et le stockage sur batterie. Nous devons parler d’énergie non fiable. C’est l’un des délires scientifiques les plus colossaux de l’histoire.
Le 31 décembre, le nouveau gouvernement de coalition allemand a fermé définitivement trois des six centrales nucléaires restantes. Ils l’ont fait à un moment où les réserves de gaz naturel étaient extrêmement basses à l’aube d’un hiver difficile, et où tout front froid sévère pouvait entraîner des pannes d’électricité. En raison du refus allemand d’autoriser l’importation d’un deuxième gazoduc russe, Nord Stream 2, l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500 % du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021.
La crise énergétique de l’UE était prévue
En 2011, lorsque la chancelière Merkel a déclaré la fin anticipée de l’énergie nucléaire, sa tristement célèbre Energiewende, pour sortir du nucléaire et passer aux sources renouvelables, 17 centrales nucléaires ont fourni de manière fiable 25 % de toute l’énergie électrique du pays. Les trois centrales restantes doivent maintenant fermer d’ici fin 2022. Dans le même temps, le programme d’énergie verte du gouvernement depuis 2016 a entraîné l’arrêt de la production de 15,8 GigaWatts par des centrales à charbon à partir de janvier 2022. Pour compenser le fait que le solaire et l’éolien, malgré une propagande élogieuse, ne comblent pas le vide, le réseau électrique allemand doit importer une quantité importante d’électricité des voisins de l’UE, la France et la République tchèque, ironiquement en grande partie de leurs centrales nucléaires. L’Allemagne a aujourd’hui le coût de l’électricité le plus élevé de tous les pays industrialisés en raison de l’Energiewende.
L’approvisionnement en électricité nucléaire en provenance de France pose désormais un problème. En décembre, EDF, l’agence nucléaire française, a annoncé la fermeture de quatre réacteurs pour inspection et réparation, suite à la découverte de dommages dus à la corrosion. Le président Macron, confronté aux élections d’avril, tente de jouer les champions du nucléaire dans l’UE en s’opposant à la forte position antinucléaire de l’Allemagne. Mais le pont nucléaire est vulnérable et il est peu probable que la France fasse de nouveaux investissements majeurs dans le nucléaire, malgré les déclarations récentes, avec des plans pour fermer douze réacteurs dans les prochaines années, ainsi que le charbon, laissant la France et l’Allemagne vulnérables aux futures pénuries d’énergie. Le programme France 2030 de Macron prévoit d’investir la bagatelle de 1,2 milliard de dollars dans la technologie nucléaire des petites centrales.
Mais la question du nucléaire n’est pas la seule mouche dans la soupe énergétique de l’UE. Chaque aspect du plan énergétique actuel de l’UE est conçu pour anéantir une économie industrielle moderne, et les architectes qui financent généreusement les groupes de réflexion verts comme l’Institut de Potsdam en Allemagne le savent. Amener l’éolien et le solaire, les deux seules options sérieuses mises en œuvre, à remplacer le charbon, le gaz et le nucléaire, est tout simplement dit, impossible.
Moulins à vent et folie des foules
Pour l’Allemagne, un pays dont l’ensoleillement n’est pas optimal, l’éolien est la principale alternative. Le problème de l’éolien, comme l’a montré l’hiver 2021, est qu’il ne souffle pas toujours, et de manière imprévisible. Cela signifie des pannes d’électricité ou un système de secours fiable, ce qui signifie du charbon ou du gaz naturel, car le nucléaire est évincé. Les éoliennes sont évaluées de manière trompeuse en termes de capacité théorique brute lorsque des États comme l’Allemagne veulent se vanter des progrès réalisés dans le domaine des énergies renouvelables.
En réalité, ce qui compte, c’est l’électricité effectivement produite au fil du temps ou ce que l’on appelle le facteur de capacité ou le facteur de charge. Pour le solaire, le facteur de capacité n’est généralement que de 25% environ. Dans le nord de l’Europe ou en Amérique du Nord, le soleil ne brille pas 24 heures sur 24. Le ciel n’est pas non plus toujours sans nuages. De même, le vent ne souffle pas toujours et n’est guère fiable. L’Allemagne se targue de produire 45% d’énergie renouvelable brute, mais cela cache la réalité. Dans une étude réalisée en 2021, l’Institut Frauenhofer estime que l’Allemagne doit installer au moins six à huit fois plus d’énergie solaire qu’aujourd’hui pour atteindre l’objectif de zéro émission de carbone en 2045, ce pour quoi le gouvernement refuse d’estimer les coûts, mais les estimations privées se chiffrent en billions. Le rapport indique que la capacité solaire brute actuelle de 54 GW doit atteindre 544 GW d’ici 2045. Cela signifierait un espace terrestre de 1,4 million d’hectares, soit plus de 16 000 kilomètres carrés de panneaux solaires solides à travers le pays. Ajoutez à cela de grandes stations éoliennes. C’est une recette suicidaire.
La fraude de l’éolien et du solaire en tant qu’option raisonnable sans carbone commence à être réalisée. Le 5 janvier dernier, dans l’Alberta (Canada), où le gouvernement construit furieusement des sites éoliens et solaires, par une journée de grand froid avec des températures proches de -40°, les 13 installations solaires de l’Alberta connectées au réseau, d’une capacité nominale de 736 mégawatts, fournissaient 58 mégawatts au réseau. Les 26 parcs éoliens, d’une capacité nominale combinée de 2269 mégawatts, ont fourni 18 mégawatts au réseau. Le total des énergies renouvelables n’était que de 76 mégawatts sur un total théorique de 3005 mégawatts d’énergie supposée verte et renouvelable. Le Texas, lors des fortes chutes de neige de février 2021, a connu les mêmes problèmes avec l’énergie solaire et éolienne que l’Allemagne. De plus, lorsqu’il neige, les fermes solaires ne valent rien.
De même, pour atteindre le niveau zéro carbone à partir de sources renouvelables, d’énormes surfaces de terre doivent être recouvertes de réflecteurs solaires ou consacrées à des parcs éoliens. Selon une estimation, la superficie nécessaire pour accueillir les 46 480 centrales photovoltaïques envisagées aux États-Unis est de 650 720 miles carrés, soit près de 20% des 48 premiers territoires américains. Cela correspond à la superficie du Texas, de la Californie, de l’Arizona et du Nevada réunis. Rien qu’aux États-Unis, dans l’État de Virginie, une nouvelle loi verte, la Virginia Clean Economy Act (VCEA), a entraîné une augmentation considérable des demandes de projets solaires, qui représentent à ce jour 780 miles carrés de panneaux solaires. Comme le souligne David Wojick, cela représente environ 500 000 acres de campagne, de terres agricoles ou de forêts détruites et pavées, avec quelque 500 projets distincts couvrant une grande partie de la Virginie rurale, qui nécessiteront un nombre stupéfiant de 160 millions de panneaux solaires, provenant pour la plupart de Chine et tous destinés à devenir des centaines de tonnes de déchets toxiques.
Des millions d’emplois ?
L’administration Biden et le tsar des énergies renouvelables John Kerry ont faussement prétendu que leur programme vert ou « Build Back Better » se traduirait par des millions de nouveaux emplois. Ils omettent de dire que ces emplois seront créés en Chine, qui produit la plupart des panneaux solaires, un quasi-monopole après avoir détruit la concurrence américaine et européenne il y a dix ans avec des panneaux bon marché subventionnés fabriqués en Chine. De même, la majeure partie de l’énergie éolienne est produite en Chine par des entreprises chinoises. Pendant ce temps, la Chine utilise des volumes records de charbon et reporte à 2060 sa promesse d’atteindre l’objectif « zéro carbone » dix ans après l’UE et les États-Unis. Elle ne veut pas mettre en péril sa domination industrielle au profit d’une théorie climatique fondée sur des données fausses et des mensonges selon lesquels le gaz carbonique est sur le point de détruire la planète. La fédération syndicale allemande DGB a récemment estimé que depuis 2011, ce pays avait perdu quelque 150 000 emplois dans le seul secteur des énergies renouvelables, principalement parce que les panneaux solaires fabriqués en Chine ont détruit les principales entreprises solaires allemandes. Et l’Allemagne est le pays de l’UE le plus écolo. Parce que, par définition, les énergies renouvelables moins denses en énergie que sont l’éolien et le solaire font grimper les coûts de base de l’électricité, elles suppriment plus d’emplois dans l’économie globale qu’elles n’en créent.
L’effondrement industriel de l’OTAN
Parce que l’énergie solaire et l’énergie éolienne sont en réalité beaucoup plus coûteuses que les hydrocarbures conventionnels ou l’électricité nucléaire, elles font augmenter le coût global de l’énergie électrique pour l’industrie, ce qui oblige de nombreuses entreprises à fermer ou à déménager. Seule la fraude statistique officielle masque ce phénomène. L’Europe et les États-Unis auront besoin d’énormes volumes d’acier et de béton pour construire les millions de panneaux solaires ou de parcs éoliens attendus. Cela nécessite d’énormes quantités de charbon conventionnel ou d’énergie nucléaire. Combien de stations de recharge de voitures électriques seront nécessaires pour recharger à domicile 47 millions de voitures électriques allemandes ? Quelle demande d’électricité supplémentaire ?
Un important groupe de réflexion sur l’énergie verte aux États-Unis, RethinkX, a publié une étude de propagande pour les énergies renouvelables en 2021 intitulée « Repenser l’énergie 2020-2030 : 100% de solaire, d’éolien et de batteries, ce n’est que le début ». Leur réponse aux problèmes de faible capacité pour l’éolien et le solaire est de construire 500 % ou même 1000 % de plus que prévu pour compenser le faible facteur de capacité de 25 %. Ils affirment de manière absurde, sans aucune preuve concrète, que « Notre analyse montre que l’électricité 100 % propre issue de la combinaison du solaire, de l’éolien et des batteries (SWB) est à la fois physiquement possible et économiquement abordable sur l’ensemble du territoire continental des États-Unis ainsi que dans l’écrasante majorité des autres régions peuplées du monde d’ici 2030… cette surabondance de production d’énergie propre – que nous appelons super puissance – sera disponible à un coût marginal proche de zéro pendant la majeure partie de l’année… ». Cette déclaration est présentée sans un iota de données ou d’analyse de faisabilité scientifique concrète, simplement une affirmation dogmatique.
L’architecte canadien défunt de l’Agenda 21 des Nations unies, Maurice Strong, un ami pétrolier milliardaire de David Rockefeller, était sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre organisée à Stockholm en juin 1972. Il était également membre du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller. Plus que quiconque, il est responsable de l’agenda de désindustrialisation de « l’économie durable » sans carbone. Lors du Sommet de la Terre de l’ONU à Rio en 1992, il a ouvertement énoncé le programme brutal des partisans de l’eugénisme radical tels que Gates et Schwab : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » Ce programme est en grande partie la grande réinitialisation d’aujourd’hui.
La guerre maintenant ?
Si les économies autrefois avancées et à forte intensité énergétique des pays membres de l’OTAN en Europe et aux États-Unis continuent sur cette voie suicidaire, leur capacité à organiser une défense ou une attaque militaire convaincante deviendra un mirage. Récemment, la présidente corrompue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’industrie de la défense allemande de haute technologie et ses fournisseurs ne devraient pas recevoir de crédit bancaire parce qu’ils ne sont pas assez « verts » ou « durables ». Il semblerait que les banques aient déjà compris le message. Avec le pétrole et le gaz, la production de défense est désormais visée. Von der Leyen, en tant que ministre allemande de la Défense, avait été largement blâmée pour avoir laissé la défense allemande s’effondrer jusqu’à un état catastrophique.
Dans leur poursuite unilatérale de l’Agenda 2030 et du programme « zéro carbone », l’administration Biden et l’UE mettent leur industrie sur la voie de la destruction bien avant la fin de cette décennie. Est-ce que cela conduit à son tour l’agenda actuel de l’OTAN vers la Russie en Ukraine, en Biélorussie, en Arménie et maintenant au Kazakhstan ? Si les puissances de l’OTAN savent qu’elles ne disposeront pas de l’infrastructure industrielle militaire de base dans un avenir proche, pensent-elles qu’il est préférable de provoquer une éventuelle guerre avec la Russie maintenant, afin d’éliminer une résistance potentielle à leur programme de désindustrialisation ? Outre la Chine, la Russie est le seul pays capable de porter un coup dévastateur à l’OTAN en cas de provocation.
Psychose de la formation des masses ou folie des foules
En 1852, l’historien anglais Charles Mackay a écrit un classique intitulé « Mémoires sur les délires populaires extraordinaires et la folie des foules », qui donne un aperçu peu connu de l’hystérie de masse à l’origine des grandes croisades religieuses du XIIe siècle, de la chasse aux sorcières ou de la folie des tulipes hollandaise et de nombreux autres délires populaires. Il est pertinent de comprendre la ruée irrationnelle mondiale vers le suicide économique et politique.
Les mêmes acteurs clés qui sont à l’origine des mandats de vaccination de masse anti-covid pour un vaccin expérimental modifiant la génétique et des verrouillages qui s’ensuivent dans le monde entier, notamment Bill Gates et le pape François, sont à l’origine de la grande réinitialisation du Forum économique mondial de Klaus Schwab et de sa folie verte zéro carbone de l’Agenda 2030 des Nations unies, afin de faire accepter au monde des mesures économiques draconiennes sans précédent.
Pour ce faire, il faudra que la population soit docile et physiquement faible, ce que le professeur de psychologie belge Mattias Desmet et le Dr Robert Malone appellent la psychose de formation de masse, une psychose de foule, une sorte d’hypnose de masse qui ignore la raison. Il est clair que le mythe du réchauffement climatique et l’agenda de la pandémie de coronavirus nécessitent tous deux une telle hypnose de masse – un « délire populaire extraordinaire ». Sans l’hystérie de peur du Covid, nous n’aurions jamais permis à l’agenda vert d’aller si loin que nos réseaux électriques sont au bord du black-out et nos économies au bord de l’effondrement. Le but ultime de la pandémie de Covid de l’OMS et de l’Agenda vert est une marche vers la Grande Réinitialisation dystopique de Schwab de l’ensemble de l’économie mondiale au profit d’une dictature d’une poignée de sociétés mondiales comme BlackRock ou Google-Alphabet.
«Jamais une poignée de milliardaires n’a eu une emprise aussi forte» sur la presse
17 janvier 2022, 08:22
Les magnats français de la presse sont convoqués dès semaine au Sénat pour évoquer leur mainmise sur les médias du pays.
De grands industriels, dont Vincent Bolloré, sont convoqués à partir de cette semaine au Sénat. Les inquiétudes suscitées par leur mainmise sur la plupart des médias français se font de plus en plus grandes. «Jamais dans l’histoire de l’Hexagone une poignée de milliardaires n’a eu une emprise aussi forte sur les chaînes de télévision, radio, journaux et magazines et, ce en pleine campagne présidentielle», souligne l’historien des médias Alexis Lévrier, maître de conférences à l’Université de Reims.
Le plus emblématique d’entre eux, Vincent Bolloré, premier actionnaire de Canal+, de deux grands groupes d’édition, de nombreux journaux et de la radio Europe 1, sera auditionné mercredi. C’est sur sa chaîne d’information CNews, qu’Eric Zemmour a pris son envol pour devenir candidat à la présidentielle. «Bolloré n’a ni tenu compte des injonctions du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), ni de la justice sur Zemmour. Là, il est rappelé à l’ordre par l’autorité parlementaire, il va devoir rendre des comptes», estime M. Lévrier.
Bernard Arnault, PDG de LVMH à la tête des quotidiens «Les Échos», «Le Parisien» et de Radio Classique sera auditionné jeudi. Patrick Drahi, patron du groupe télécom Altice (BFMTV, RMC), doit être entendu le 2 février et le roi du BTP Martin Bouygues est attendu pour le 9 février, pour ne citer que trois des plus puissants patrons auditionnés. Le Sénat compte remettre fin mars son rapport pour faire la lumière sur les conséquences économiques et démocratiques d’une telle concentration.
Menace des Gafa
Reste à savoir ce que le président ou la présidente sorti(e) des urnes en fera. Beaucoup jugent en effet obsolète la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Ainsi, dans une tribune du «Monde» publiée à la mi-décembre, plus de 250 journalistes et professionnels des médias ont appelé les candidats à la présidentielle à prendre des engagements pour s’opposer au «fléau» de l’hyperconcentration dans les médias.
La montée en puissance de mastodontes internationaux, comme les plateformes américaines Netflix et Amazon Prime Video, a toutefois bouleversé les équilibres du paysage audiovisuel français. Et certains ne voient d’autre salut que dans le regroupement des chaînes. C’est d’ailleurs l’un des arguments avancés pour la fusion TF1-M6, en cours d’examen par l’Arcom et l’Autorité de la concurrence.
La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, estimait elle aussi la semaine dernière sur France Inter que, pour lutter «contre l’hégémonie des médias mondiaux américains aujourd’hui et peut-être demain asiatiques (…), on a besoin de médias privés et publics forts». Mais elle précisait: «j’ai toujours mis à mon soutien affiché à la fusion TF1/M6 une condition (…) c’est d’avoir un service public fort».
La croissance chinoise au plus haut au depuis une décennie
17 janvier 2022, 03:18
Si la croissance de la Chine a été de 8,1 % en 2021, au plus haut depuis une décennie, elle a ralenti au quatrième trimestre (+4 %, contre 4,9 %).
Croissance record depuis une décennie mais économie sous pression: si la Chine a annoncé lundi un PIB en hausse de 8,1 % en 2021, le Covid-19 pèse toujours sur la reprise du géant asiatique. Le pays s’est largement remis du choc initial de la pandémie mais des foyers sporadiques continuent à perturber l’activité.
La politique du «zéro Covid», qui consiste à tout faire pour limiter au maximum la survenue de nouveaux cas, a permis d’endiguer rapidement l’épidémie en 2020. Mais elle s’accompagne d’un coût social et économique élevé. Le secteur des services (loisirs, tourisme, hôtellerie-restauration, transports…) n’a ainsi toujours pas retrouvé son niveau pré-pandémie.
La reprise est également fragilisée par une flambée du prix des matières premières et une crise dans l’immobilier avec les déboires du promoteur Evergrande, au bord de la faillite. L’économie chinoise fait face à «une triple pression», a admis lundi devant la presse Ning Jizhe, un responsable du Bureau national des statistiques (BNS), en référence à une contraction de la demande, des tensions sur les chaînes d’approvisionnement et des objectifs économiques revus à la baisse.
Dans ce contexte, la Chine a néanmoins signé une croissance de 8,1 % l’an dernier. Il s’agit de son rythme le plus rapide depuis 2012. Pékin s’était fixé pour 2021 l’objectif d’une croissance de 6 %. Un groupe d’analystes sondés par l’AFP tablait sur une hausse moyenne de 8% du produit intérieur brut (PIB) pour 2021.
Omicron Au quatrième trimestre, la croissance du géant asiatique s’est toutefois essoufflée (+4 % sur un an), après 4,9 % au précédent. Au premier trimestre, le PIB s’inscrivait encore à 18,3 %. Un taux élevé lié à la faible base de comparaison avec début 2020 lorsque l’épidémie paralysait l’activité. D’un trimestre à l’autre, le PIB progresse de 1,6 %.
Bien que sujet à caution, le chiffre officiel de la croissance est toujours scruté, vu le poids de la Chine dans l’économie mondiale. Le pays apparaît ainsi comme un baromètre de la reprise. En 2020, la Chine avait l’une des rares économies à afficher une croissance positive (+2,3 %), au moment où le Covid-19 terrassait le reste du monde -- ce rythme était toutefois le plus faible depuis quatre décennies.
Les ventes de détail, principal indicateur de la consommation, ont signé en décembre leur plus mauvaise performance (+1,7 %) depuis l’été 2020. La production industrielle était en revanche plus forte qu’attendu le mois dernier, à +4,3 % sur un an.
Signe des difficultés traversées par l’économie chinoise, la banque centrale a abaissé lundi un taux d’intérêt clé pour la première fois depuis avril 2020. La mesure vise à alléger la pression sur les établissements financiers de petite et moyenne taille pour les encourager à accorder davantage de crédits, à des conditions plus favorables, aux entreprises.
Sur le front de l’emploi, le taux de chômage, mesuré en Chine uniquement dans les zones urbaines, s’est établi en décembre à 5,1 % (contre 5 % un mois plus tôt). Particulièrement surveillé par le pouvoir, ce chiffre exclut de son calcul les millions de travailleurs migrants, fragilisés par la pandémie.
Le taux de chômage avait atteint en février 2020 le record absolu de 6,2 % de la population active urbaine. Quant à l’investissement en capital fixe, sa croissance a fortement ralenti en décembre, à 4,9 %, selon le BNS.
Faute d'escroquerie corona la Chine est la seule à être en bonne santé ! Faut dire aussi que quand on a 1 milliard 400 millions de consommateurs faut pas aller chercher plus loin !
Le plan pour nous étiqueter pour le système d'esclaves du Nouvel Ordre Mondial
Par Joseph Mercola Mercola.com 17 janvier 2022
Le Dr Vladimir Zelenko, que j'ai interviewé deux fois auparavant, a été parmi les premiers médecins américains à développer un programme de traitement précoce pour la nouvelle infection par le SRAS-CoV-2. Il a popularisé l'utilisation de l'hydroxychloroquine et du zinc, et lorsque l'hydroxychloroquine est devenue de plus en plus difficile à obtenir, il a également été parmi les premiers à identifier la quercétine comme une alternative viable.
Lorsque la pandémie a commencé, Zelenko pratiquait à New York. Il a depuis déménagé en Floride, où il donne des interviews plusieurs heures par jour, essayant de faire passer le mot sur le traitement précoce et la prévention. Comme l'a noté Zelenko :
"C'est une infection très traitable - ou devrais-je dire une arme biologique ? – si cela est fait dans les premiers jours, car COVID est deux maladies. C'est le stade infectieux du virus, puis une semaine plus tard, vous avez la réaction inflammatoire pathogène qui fait tous les dégâts aux poumons et provoque des caillots sanguins.
Donc, tout est question de timing. Et les données sont très claires. Il existe des dizaines d'études évaluées par des pairs qui prouvent que si vous traitez le COVID dans les premiers jours, vous avez une réduction de 85 % des hospitalisations et des décès. C'est une évidence. Vous auriez pu éviter à 700 000 personnes d'aller à l'hôpital sur 800 000. »
Alors qu'il est autorisé à pratiquer la médecine en Floride, Zelenko passe maintenant la plupart de son temps à éduquer le public et d'autres médecins. Il est également disponible via la télémédecine, mais sa passion est devenue la recherche et le développement d'approches simples et naturelles pour des problèmes de santé complexes, y compris les siens.
Le chemin le moins parcouru
Zelenko a un type rare de cancer appelé sarcome de l'artère pulmonaire, qui est généralement mortel. Il a également subi deux opérations à cœur ouvert et trois ans de chimio et de radiothérapie, dont aucune n'a résolu ses problèmes.
« Il y a presque quatre ans, on m'a diagnostiqué un sarcome de l'artère pulmonaire. Il n'y a que 10 cas en moyenne par an, et ils sont tous retrouvés à l'autopsie. Dans mon cas, ils pensaient que c'était un caillot de sang qui ne répondait pas aux anticoagulants.
Alors, la décision a été prise de faire une embolectomie, d'ouvrir mon thorax, d'aller dans l'artère pulmonaire et d'enlever le caillot de sang. Mais quand ils ont fait ça, ils ont vu que c'était une tumeur, et ça avait complètement détruit mon poumon droit. Alors, j'ai perdu mon poumon droit. Et ils ont réséqué une grande partie de l'artère pulmonaire et ont dû la reconstruire parce que vous avez besoin de cette artère pour vivre.
Ensuite, j'étais en chimio… J'étais plutôt bien pendant deux ans, puis c'est revenu et ça s'est également propagé à ma hanche. Et donc, j'ai eu une autre opération à cœur ouvert. Ils ont dû remplacer une de mes valves cardiaques, une valve pulmonaire. Ensuite, je suis allé me faire irradier la hanche [suivi d'une] chimio très lourde.
Au bout de deux mois, j'ai souffert d'insuffisance cardiaque congestive et j'ai développé une cardiomyopathie… Je me suis remis de cela et j'ai pris des médicaments pour l'insuffisance cardiaque… Un mois plus tard… J'ai développé une pneumonie COVID… J'étais à peu près sûr que j'allais partir dans un boîte, pourtant j'ai récupéré.
Quelques mois plus tard, je suis allé faire un autre scanner, et ils ont trouvé, encore une fois, que la tumeur était de retour dans l'artère pulmonaire, mais cette fois, aucun médecin n'a voulu m'opérer. Une troisième intervention à cœur ouvert est très dangereuse. Ils ont estimé à plus de 50 % la probabilité que je meure sur la table, ce que je n'aimais pas. Donc, j'ai fini par avoir des radiations assez intenses dans mon médiastin, là où se trouvait la tumeur.
C'est à ce moment-là que vous êtes entré en scène, pour me conseiller sur le traitement. J'ai fini par suivre une immunothérapie en Europe pendant deux mois avec des inhibiteurs de points de contrôle, mais aussi des injections d'hyperthermie et de gui, et de l'acide alpha-lipoïque, de la vitamine C à haute dose [infusions] et différentes autres modalités. Et je me sens mieux que jamais.
J'ai passé un scanner la semaine dernière, et il a montré que la tumeur avait diminué d'un tiers. J'ai parlé au radio-oncologue qui m'a dit qu'un bon résultat aurait été de la même taille ou plus petit. Il faut des années pour résoudre. Donc, le temps nous le dira, mais c'est plus facile pour moi de marcher, et hémodynamiquement, je suis plus stable et je me sens bien. Amen."
Le rôle surprenant de l'immunothérapie dans le cancer
Dans l'ensemble, "l'histoire de COVID a complètement changé ma façon de voir la vie", déclare Zelenko. Lorsqu'il a vu à quel point les solutions naturelles, efficaces et en vente libre pour le COVID étaient supprimées, tandis que les injections expérimentales de transfert de gènes étaient poussées, il s'est rendu compte que d'autres traitements pourraient également être supprimés, tels que les traitements contre le cancer.
« Probablement, les approches efficaces ont été marginalisées au lieu des approches pharmaceutiques plus coûteuses », dit-il. « Je vais vous donner un exemple. Le Dr [William] Coley était un chirurgien oncologue qui vivait il y a environ 100 ans, peut-être 120 ans. Il a remarqué qu'il opérerait ses patients, que la tumeur reviendrait et qu'ils mourraient. Et puis il a observé quelque chose de très intéressant.
Il avait un patient atteint d'un cancer du pancréas, stade 4, inopérable. Ce patient est tombé très malade avec une infection et est devenu septique. Il a failli mourir, mais il a récupéré et sa tumeur a disparu. Il a remarqué ce type de phénomène plusieurs fois et s'est rendu compte qu'il devait y avoir une réaction immunitaire, une réponse immunitaire à l'infection qui réveille le système immunitaire pour qu'il attaque également la tumeur.
Donc, fondamentalement, à mon avis, c'était la naissance de l'immunothérapie. La fièvre semble jouer un rôle. Il semble avoir des propriétés antitumorales, ainsi que l'activation de certaines parties de votre système immunitaire. Donc, c'est fascinant. Et cette information a été enterrée pendant un bon bout de temps - 50, 60 ans - jusqu'à ce que certains médecins la redécouvrent et commencent à faire des recherches. Et j'en ai profité en Europe.
Traitement hyperthermique du cancer
Nous avons parcouru un long chemin depuis l'époque de Coley, qui utilisait des toxines pour déclencher une infection et de la fièvre. Aujourd'hui, le traitement hyperthermique est utilisé à la place. Fondamentalement, il s'agit d'augmenter la température de votre corps à environ 104 degrés Fahrenheit pendant quatre à six heures. Zelenko décrit le traitement qu'il a subi :
«Ce fut toute une expérience d'avoir une température d'environ 40 degrés Celsius, disons 104 degrés Fahrenheit, pendant cinq heures. Vous devenez un peu fou et un peu anxieux, mais j'ai bu beaucoup de liquides et j'avais une infirmière avec moi tout le temps. C'était une expérience assez intéressante.
Il y avait des appareils d'hyperthermie du corps entier et une hyperthermie localisée. Les deux sont essentiellement un sauna de fantaisie. C'était comme un spa en fait. J'ai apprécié le traitement dans la plupart des cas.
Soit dit en passant, je crois sincèrement que le bain de sauna est l'un des biohacks les plus puissants disponibles. Je le fais quatre fois par semaine. J'obtiens ma température jusqu'à environ 102 degrés F. environ, pendant 20 minutes. J'ai trouvé que c'était une habitude de santé profondément efficace pour étouffer les infections dans l'œuf, et peut également aider à freiner toute tumeur maligne potentielle. J'utilise actuellement un prototype de sauna SaunaSpace à spectre complet, sans EMF, doté de huit ampoules de 250 watts et qui sera probablement disponible plus tard cette année.
Omicron est imparable, mais il ne faut pas le craindre
Pour en revenir à la question du COVID, au cours des deux dernières années, l'infection par le SRAS-CoV-2 a subi un certain nombre de changements. Omicron, par exemple, est beaucoup plus contagieux, mais présente des symptômes beaucoup moins graves. Comme l'a noté Zelenko :
« Omicron est imparable. C'est plus contagieux que la rougeole. Tout le monde va l'avoir. Désolé, mais c'est le cas. Cependant, il semble n'attaquer que les voies respiratoires supérieures dans la plupart des cas, et il y a très peu de décès. Il est également très réactif au traitement, il n'y a donc aucune raison d'en avoir peur.
En fait, il semble que nous ayons reçu le meilleur scénario, dans lequel un virus hautement contagieux se propagera dans la population, ne provoquant que de légers symptômes de rhume, produisant ainsi une immunité collective sans risque de pertes massives. "Lorsque les deux tiers de la population s'en sortent, cela arrête essentiellement la pandémie", déclare Zelenko.
Vaccination pendant une pandémie Variantes de races
Dans l'interview, Zelenko explique comment les nombreuses variantes que nous avons vues sont probablement le résultat de la campagne de "vaccination" de masse.
Trois immunologistes respectés, le Dr Luc Montagnier (qui a remporté le prix Nobel en 2008 pour sa découverte du virus VIH), le Dr Sucharit Bhakdi, l'immunologiste le plus publié de l'histoire, et le Dr Geert Vanden Bossche, un immunologiste de premier plan aux Pays-Bas , ont tous averti que lorsque vous effectuez une vaccination de masse au milieu d'une épidémie active, vous provoquez l'émergence de variantes.
"Vous exercez une pression évolutive et produisez des virus plus variés", explique Zelenko. « Maintenant, il y a deux ou trois possibilités. On pourrait être que ce n'était pas intentionnel. Des gens bons et bien intentionnés ont développé ce qu'ils pensaient être utile : un vaccin. Cependant, le donner aux gens pendant une pandémie a été un échec absolu. "Oups, nous sommes désolés." C'est une possibilité.
L'autre possibilité est que celui qui a orchestré cela sait exactement ce qu'il fait, et il le fait exprès pour maintenir les nouvelles variantes et les conséquences de cela, qui est essentiellement un psyop [pour provoquer] une psychose globale due à la peur , verrouillages et port d'une couche faciale.
Il y a une autre possibilité. Il n'y a pas de litige; tous ceux qui connaissent les faits et ont étudié la question savent que le COVID-19 est une arme fabriquée en laboratoire. La recherche sur le gain de fonction n'est rien de plus que la fabrication d'une arme de destruction massive et de génocide, et il existe un brevet de 20 ans qui documente les différentes étapes de développement de cette arme.
Et voici ma supposition. Je n'ai aucune preuve de cela, mais je pourrais dire ceci : si je pouvais créer le virus original, je pourrais créer des variantes. C'est très facile. Vous modifiez simplement quelques séquences du code qui accompagne la protéine de pointe. Vous modifiez sa forme tridimensionnelle et, si vous le faites suffisamment, éliminez les anticorps existants.
Encore une fois, je n'ai pas de preuves pour cela, mais j'ai des preuves que [SARS-CoV-2] est une arme biologique fabriquée artificiellement. Alors pourquoi ne serait-il pas possible de faire des variantes de la même manière ? Je pense que c'est une sorte de combinaison, de cause multifactorielle de variantes - le facteur Dieu naturel, la pression évolutive exercée en vaccinant les gens pendant une pandémie active, puis en les fabriquant carrément.
Des antidotes à l'arme biologique ont été développés au préalable
Zelenko raconte ensuite une prise de conscience relativement récente. En mars 2020, il a vu une vidéo MedCram, épisode 34,1 dans laquelle le Dr Roger Seheult expliquait certains des principes sur lesquels il a ensuite construit son protocole COVID. Seheult a spécifiquement cité un article qui expliquait le fonctionnement des ionophores de zinc.
C'est sur ce mécanisme que Zelenko s'est appuyé pour développer son propre protocole. Cependant, il ne s'est rendu compte qu'en décembre 2021 que l'auteur de cet article central était le Dr Ralph Baric. Pourquoi est-ce important? Zelenko explique :
"En 1999, Ralph Baric, financé par le gouvernement américain, à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, a découvert comment prendre un virus animal et le faire infecter d'autres espèces, différents animaux, en d'autres termes, croiser- infection de l'espèce.
En 2015, le même Dr Ralph Baric et le Dr Zhengli [à l'Institut de virologie de Wuhan en Chine], financés par les Instituts nationaux de la santé, ont découvert comment faire en sorte qu'un virus de la chauve-souris corona infecte les êtres humains et a augmenté sa létalité aux vies humaines. C'était en 2015. Mais en 2010, Baric a publié cet article auquel je fais référence.
Ainsi, le développement de l'arme s'est déroulé par étapes, mais avant qu'elle ne soit déchaînée sur la population humaine, ou qu'elle ne puisse infecter les êtres humains, un antidote a été fabriqué. Des recherches financées par le gouvernement ont été publiées.
Les mêmes personnes qui ont fabriqué la bombe, disons, ont également créé l'antidote pour diffuser la bombe. Et puis, lorsque la pandémie est arrivée, des médecins comme moi, par nécessité, ont proposé des solutions créatives, basées – dans mon cas, sans le savoir – sur ce travail. Et immédiatement, cette information a été marginalisée et supprimée, et les médecins ont été déçus de l'avoir défendue.
Ainsi, le gouvernement qui a fabriqué la bombe connaissait également la solution. Et la raison en est qu'ils ne voulaient pas mourir. Les parties prenantes ici ne veulent pas que leurs familles meurent. Mais pour vous et pour moi, ils ont un programme différent. Donc, ils avaient cette information.
Je sais que les dirigeants de Google prennent tous de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine à titre prophylactique, tout comme la moitié du Congrès. Et donc, les gens qui ont orchestré cela connaissaient la réponse et l'utilisaient pour eux-mêmes. Même les médecins connaissent la réponse par eux-mêmes.
Ils prescrivent [ces médicaments] pour eux-mêmes, ou ils m'appellent. Mais quand les patients viennent, ils disent qu'il n'y a pas de traitement, rentrez chez vous, prenez du Tylenol. Donc, c'est un meurtre de masse.
Les coups COVID - Un autre crime contre l'humanité
En plus de tuer un nombre incalculable de personnes en refusant et en supprimant les options de traitement précoce, les gouvernements du monde entier tuent également des personnes avec les piqûres COVID. Un an après le début de la campagne agressive pour injecter autant de personnes que possible, il est probable que les coups de feu aient tué plus de personnes que celles qui sont mortes de l'infection. C'est très difficile à dire, malheureusement, car les données sont très sérieusement manipulées.
En 2015, Bill Gates a déclaré que la population mondiale devait être réduite de 15 % grâce à l'utilisation de vaccins à cause du réchauffement climatique. Le même Bill Gates en 2020 a déclaré que 7 milliards de personnes devaient être vaccinées. Pourquoi devrais-je prendre un vaccin pour ma santé de quelqu'un qui préconise l'utilisation de vaccins pour réduire la population mondiale ? ~ Dr Vladimir Zelenko Zelenko estime qu'entre 500 000 et 1 million d'Américains ont été tués par les tirs à ce jour. Fait troublant, la Food and Drug Administration des États-Unis était consciente que les coups de feu pouvaient avoir de graves conséquences, mais ils les ont quand même poussés. De plus, ils refusent de répondre au nombre ahurissant d'événements indésirables signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). Le signal de sécurité ne pourrait pas être plus clair.
«En octobre 2020, deux mois avant le déploiement du vaccin, il y a eu une présentation interne à la FDA à ses scientifiques, et sur la diapositive 16 de cette présentation, il y avait une liste d'effets secondaires: décès, crise cardiaque, accident vasculaire cérébral, caillots sanguins , d'horribles maladies neurologiques, la myocardite et bien d'autres », déclare Zelenko.
«Maintenant, gardez à l'esprit que c'est deux mois avant le déploiement. Après le déploiement des vaccins, et quelques mois plus tard, lorsque la base de données VAERS a commencé à montrer les effets secondaires que les gens ressentaient, il y a une corrélation de 100 % avec ce que cette diapositive a annoncé et ce qui est réellement arrivé aux êtres humains.
C'est un meurtre de masse prémédité. La FDA savait exactement ce qu'elle faisait. Ils connaissaient exactement les effets secondaires, et ils l'ont quand même sorti..."
Quel est le vrai programme ?
Pourquoi la FDA se comporterait-elle ainsi ? Pourquoi ne préservent-ils pas la santé publique d'un traitement clairement mortel ? Et d'autre part, pourquoi n'autorisent-ils pas les médecins à aider les gens avec un traitement précoce ? Zelenko explique :
« Au milieu des années 90, il est devenu évident que l'économie américaine était condamnée. Les systèmes d'assurance-maladie et de sécurité sociale deviendraient insolvables, ce qui provoquerait un effet semblable à celui d'un tsunami aux niveaux national et international. Et c'était imparable. C'était [mathématiquement inévitable].
Medicare, selon le Congressional Budget Office, en 2027 entamera le processus vers la faillite. Ainsi, la sécurité d'aujourd'hui [dura jusqu'en] 2034. Désormais, les principaux acteurs de l'économie mondiale ont vu une menace existentielle. Ils ont compris que leur pouvoir et leur richesse étaient en danger.
Et donc un plan a été développé, qui était au-delà de la technologie à ce moment-là, mais la technologie était en cours de développement. Ainsi, par exemple, le projet du génome humain a été cartographié et achevé.
Ensuite, la technologie CRISPR a été développée, qui est l'édition de gènes ou l'épissage de gènes de manière très précise. Cela a été vendu comme un moyen de guérir les maladies génétiques. Il y a un gène défectueux. Vous pouvez simplement le découper et l'insérer, couper et coller, en gros, un gène sain.
C'est l'avantage. L'inconvénient est que cela crée des possibilités de faire de l'édition de gènes pour des raisons néfastes. En 2015, Bill Gates a déclaré que la population mondiale devait être réduite de 15 % grâce à l'utilisation de vaccins à cause du réchauffement climatique.
Le même Bill Gates en 2020 a déclaré que 7 milliards de personnes devaient être vaccinées. Donc, la question rhétorique évidente est : « Pourquoi devrais-je prendre un vaccin pour ma santé de quelqu'un qui préconise l'utilisation de vaccins pour réduire la population mondiale ?
En 2016, Klaus Schwab, dans une interview a dit quelque chose de très étrange. Il a déclaré que d'ici 10 ans, d'ici 2026, chaque être humain sera étiqueté avec un identifiant numérique. Qu'est-ce que cela signifie, et pourquoi ?
Passons en revue la séquence des événements. Une arme biologique est fabriquée avec un antidote, qui est supprimé et caché. [L'arme biologique] est libérée. C'est extrêmement facile à traiter. Cependant, cette information est supprimée, et l'accès à ces médicaments est supprimé, et les médecins qui le défendent sont persécutés.
Tout ce qui semble donner de l'espoir aux gens, diminuer l'anxiété, encourager la réintégration avec vos proches semble être immédiatement vilipendé, même une intervention précoce. Si vous regardez le NIH, ils recommandent, à partir d'aujourd'hui, de ne pas traiter le COVID à moins qu'ils ne soient à l'hôpital avec des lésions pulmonaires. Ne faites pas ça.
Et donc, je me demandais, qu'est-ce qui se passe vraiment? Et pourquoi cette poussée incessante pour vacciner tout le monde ? Pourquoi emprisonner les médecins pour avoir utilisé des médicaments au travail ? Parce qu'il encourage la réticence à la vaccination.
Puis j'ai réalisé quelque chose. J'ai pris connaissance de deux brevets. Ils sont séparés d'un an, mais ils sont liés dans le puzzle, dans le concept. L'un était le 31 août 2021, qui décrit… l'ingénierie des nanotechnologies.2 Il décrit essentiellement ce qui suit :
Qu'il y a la capacité, la technologie, déjà existante, dans ces vaccins qui permet la mesure de données biométriques, c'est-à-dire votre fréquence cardiaque, votre fréquence respiratoire, votre température, puis la transmission de ces données avec votre emplacement à un tiers.
Cela n'avait même pas de sens pour moi. Comme quoi? Mais ensuite, j'ai réalisé qu'il y avait un autre brevet détenu par Microsoft. Celui-ci je me souviens par coeur. C'est un brevet international, WO202060606. Vous ne pouvez pas inventer ce genre de choses. Ce brevet décrit le lien entre la transmission de données biométriques et la crypto-monnaie.
Alors je l'ai eu. Et au fait, 2026, quand tout le monde est censé être étiqueté avec une identification numérique, appelons ça un tatouage interne d'Auschwitz, est un an avant le début de l'insolvabilité de Medicare et le début de l'effondrement économique. Et ainsi, le véritable agenda est devenu évident pour moi.
Il n'a jamais été question de santé. Le COVID-19 est facile à traiter. Il s'agissait toujours d'utiliser la peur et la psychose de masse pour amener 7 milliards de personnes à se faire injecter volontairement la technologie qui leur permettrait de participer au nouveau système basé sur la crypto-monnaie, le système que le monde utilisera pour la finance.
La monnaie fiduciaire et tous les modes de transactions traditionnels auront disparu. La seule façon dont vous pourrez réellement participer à des transactions, d'acheter du pain, disons, est d'avoir un capteur de transmission d'informations avec votre emplacement. C'est la marque de la bête, si vous voulez vraiment savoir. Avec ça, vous pourrez alors acheter du pain pour votre famille…
Gates et Schwab parlent tous les deux de la façon dont ces vaccins changent qui vous êtes. Qu'est-ce que ça veut dire? Ils l'expliquent. [Avec] la technologie d'édition de gènes, ils rendent l'humain meilleur. C'est le transhumanisme. Je l'appelle l'Humain 2.0. Human 1.0 est la version créée par Dieu. Nous sommes est imprimé [avec Dieu] dans notre code génétique. Nous sommes créés à l'image de Dieu parce que nous avons son code en nous.
Maintenant, donneriez-vous à Bill Gates ou à Klaus Schwab le mot de passe de votre système de sécurité domestique ? Pourquoi lui donnerions-nous accès à notre code génétique ? L'humain 2.0, dans les esprits déments, dépravés et dérangés de ces personnes, est la prochaine étape dans l'évolution des êtres humains. Et je dis que si vous permettez que cela vous arrive, vous n'êtes plus fait à l'image de Dieu. Vous êtes fait à l'image de Bill Gates et Klaus Schwab.
Un stratagème pour nous étiqueter pour le système d'esclaves du NWO
Donc, en résumé, Zelenko pense que tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent - le marketing agressif des injections, la coercition et les menaces faites pour se faire injecter autant que possible - a tout été un stratagème pour "taguer" autant de personnes que possible. en préparation du système de crypto-monnaie du Nouvel Ordre Mondial, qui sera géré par un petit groupe restreint et utilisé pour asservir toute l'humanité.
Comme l'a noté Zelenko, le Forum économique mondial a annoncé publiquement que d'ici 2030, les États-Unis ne seront plus une superpuissance et que quelques pays seront en charge de la gouvernance mondiale. Maintenant, comment déstabiliser un moteur économique comme les États-Unis ?
"Vous créez une pandémie", dit Zelenko. «Vous verrouillez les entreprises de la classe moyenne, les petites entreprises… Mais vous laissez Walmart et Home Depot ouverts… C'est un transfert de richesse de la classe moyenne vers les personnes au pouvoir. C'est un vol, en gros.
C'est une grande tentative d'asservissement de l'humanité. C'est un plan brillant, soit dit en passant. C'est mal, mais c'est génial parce que l'esclavage a toujours été l'industrie et l'atout les plus lucratifs de l'histoire humaine. Maintenant ce n'est pas différent. Et donc, vous avez quelques sociopathes qui croient en leur immortalité et pensent qu'ils vont transférer leur conscience à un cyborg, profitant du monde entier comme terrain de jeu. "
Zelenko poursuit en discutant des déclarations inscrites sur les Georgia Guidestones, un immense monument en granit érigé anonymement dans une petite ville de Géorgie, qui énonce 10 commandements. La première est que la population mondiale devrait être réduite et maintenue à 500 millions. Si les tirs de COVID continuent, il n'est pas inconcevable que la population humaine soit réduite à cette taille.
Il y a quelques mois, Elon Musk a fait ses débuts avec ses robots humanoïdes, affirmant que puisque ces robots élimineront 90 % de la main-d'œuvre, nous avons donc besoin du revenu de base universel. Cela fait également partie du plan The Great Reset, qui englobe à la fois la technocratie et le transhumanisme.
"Gardez à l'esprit que dans l'esprit de ces personnes, nous ne sommes pas faits dans le divin [image]. Nous sommes des cafards. Et ils ne vont pas jeter trop longtemps des ressources de revenu universel sans fin sur les cafards. Ils le feront d'abord pour identifier les mangeurs inutiles, puis ils seront liquidés. Cela s'est déjà produit.
Il y a à peine 80 ans, vous aviez l'idéologie nazie basée sur l'eugénisme, qui créait trois catégories de personnes. Vous avez l'ubermensch, ce que Nietzsche appellerait Superman. Puis le mensch, qui est l'humain, puis l'untermensch, qui est le sous-homme. Dans le modèle [nazi], les [nazis étaient] des surhommes, descendants de dieux aryens. Cela leur a donné le pouvoir d'asservir les autres.
Ainsi, par exemple, les Anglo-Saxons, essentiellement des Européens, étaient censés être les esclaves des Aryens. Et les sous-hommes auxquels j'appartiens – juifs, gitans, slaves, handicapés, prisonniers politiques – nous étions destinés à être vaporisés, deviennent poussière.
Cette idéologie n'a pas disparu. Il a refait surface avec la nuance qui n'est pas antisémite en ce moment. D'une manière abstraite, nous sommes tous juifs cette fois, parce que la hiérarchie ici n'est pas basée sur la religion ou l'identité, mais plutôt sur la croyance dérangée qu'ils ont évolué, le Superman de cette génération, vers un niveau supérieur de conscience.
Ils sont réveillés et ils comprennent et sont éclairés sur la nature de la condition humaine. Ils sont les gardiens de la planète, et il est donc de leur responsabilité de s'assurer que la planète est solvable, qu'elle continue d'exister. Et par conséquent, nous devons réduire la population mondiale.
Cause d'optimisme
Alors que l'humanité est dans une situation des plus précaires, Zelenko est optimiste quant à l'avenir.
"Je vais vous dire ce que je pense vraiment qui se passe", dit-il. « Il y a ce que nous voyons, et puis il y a, appelons ça la physique spirituelle, en jeu. Karl Jung, le célèbre psychanalyste, a écrit : « La dégradation morale de la société commence par la dégradation de l'individu ». De là, nous pouvons en fait apprendre que l'amélioration morale de la société commence par l'amélioration de l'individu.
En tant que société, au cours des 50 ou 60 dernières années, nous avons fait de très mauvais choix. Par exemple, nous avons désacralisé ou profané les rôles de genre… Le mariage a perdu son caractère sacré. Les enfants à naître sont massacrés. Dans la Bible, il y a deux villes qui ont été détruites, Sodome et Gomorrhe, et il y a une analyse pourquoi cela s'est produit. Ce n'était pas à cause de l'immoralité, parce que le monde entier était immoral.
C'est parce qu'ils ont codifié l'immoralité dans la loi du pays. C'est exactement ce qui s'est passé aux États-Unis. Nous avons dévolu… Nous adorons le dieu de la science, le dieu de la technologie, le dieu de l'argent, le dieu du pouvoir. Tout sauf [le vrai] Dieu. Et nous pratiquons clairement le sacrifice d'enfants.
Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, m'a dit personnellement, puis il l'a rendu public, que pour chaque enfant qui meurt du COVID, 100 meurent du vaccin. Le [COVID shot] est 100 fois plus mortel pour les enfants que le COVID. Comment tu appelles ça? C'est le sacrifice d'enfant.
Donc, j'ai l'impression que, par analogie, nous sommes dans la génération du déluge. La maison va être nettoyée et chaque individu a le choix de monter ou non dans l'arche.
Ou, pour faire simple, devant qui vous prosternez-vous ? Vous prosternez-vous devant votre créateur, qui vous crée à chaque instant ? Demandez-vous [à Dieu] du courage, de l'endurance, de la force, de la détermination, la capacité de faire face à l'inconnu et à la peur ? Ou allez-vous céder à la peur et vous prosterner devant les sociopathes corrompus, les oligarques, les gouvernements corrompus et la fausse promesse du veau d'or de ces vaccins ?
Parce qu'à ce stade, dans ce pays du moins, personne ne vous retient et ne vous met une aiguille dans le bras. La majorité des gens, ils veulent voyager en avion. Ils ne veulent pas perdre leur emploi. Ils veulent aller à l'école. Ce sont toutes ces sortes de décisions de qualité de vie. Autrement dit, dans une société normale, les parents se sacrifient pour le bien-être des enfants. Dans les sociétés païennes, on sacrifie les enfants au profit des adultes.
La désobéissance civile pacifique est la réponse
Alors, quelle est la réponse ? Pouvons-nous arrêter cette trajectoire transhumaniste qui menace le cœur même de ce qui fait de nous des êtres humains ? Pouvons-nous empêcher ce plan pour notre asservissement de se concrétiser ? Zelenko pense qu'il existe un moyen, tout comme moi.
« La réponse est que nous avons besoin d'une désobéissance civile organisée. Ne vous conformez pas. Ils ne peuvent pas emprisonner tout le monde. Ils ne peuvent pas virer tout le monde. Ils ne peuvent pas expulser tout le monde. Ils ne peuvent pas enfermer tout le monde. Nous sommes beaucoup plus nombreux qu'eux. Et en fait, permettez-moi de parler aux chefs militaires, à la police, aux personnes chargées de protéger la société.
Vous avez aussi des enfants. Vous avez aussi des parents. Et nous comptons sur vous pour faire ce qui est le mieux pour les citoyens de ce pays, pour nous protéger de tous les ennemis, étrangers et nationaux. Tout ce que nous avons à faire est de fusionner avec des personnes partageant les mêmes idées. Sortez vos enfants de l'école. Les scolariser à la maison. Vous pouvez leur enseigner la morale.
L'Organisation mondiale de la santé a publié un décret selon lequel si vos enfants vont à l'école, c'est un consentement implicite pour le vaccin, car vous n'auriez pas pu les envoyer. Et puisque vous les avez envoyés à l'école, cela implique que vous consentez à ce qu'ils soient vaccinés, même à votre insu.
Fondamentalement, nous devons créer de petites poches, comme des villes de refuge, en un sens, de personnes partageant les mêmes idées ; créer une société alternative; faire du commerce avec nous-mêmes. Je sais qu'il y a des forces qui travaillent vraiment dur pour créer un autre système de crypto-monnaie ou de blockchain qui est décentralisé et permettrait aux personnes qui ne veulent pas être étiquetées avec un identifiant numérique d'effectuer des transactions entre elles.
Comme l'a noté Zelenko, il devient de plus en plus évident que les mesures pandémiques n'ont jamais eu pour but de nous protéger du COVID. Il s'agissait toujours de créer un nouvel ordre mondial. Il s'agissait de préparer le terrain pour une grande réinitialisation pour « mieux reconstruire ».
Mais mieux pour qui ? Le plan Build Back Better consiste à construire "une société dirigée par quelques sociopathes et le reste d'entre nous réduit en esclavage", déclare Zelenko. La bonne nouvelle est que de plus en plus de gens commencent à voir ce plan, et "une fois que cette prise de conscience atteindra un certain seuil de personnes, les pays vont changer et tomber comme des dominos", dit-il.
Quant à savoir quand nous pourrions récupérer notre liberté, cela dépend de nous. Comme l'a noté Zelenko, "la liberté n'est pas gratuite". Nous étions libres (au moins jusqu'en 2020) parce que nos ancêtres ont eu le courage d'affronter la tyrannie. Si nous voulons que nos enfants soient libres, nous devons maintenant faire preuve du même courage.
« Que nos enfants soient libres ou non dépend de si nous sommes prêts ou non à nous sacrifier », dit Zelenko. « Sommes-nous prêts, dans cette génération, à payer le prix pour faire en sorte que nos enfants s'épanouissent dans la liberté et aient la capacité de maintenir la conscience de Dieu ?
Cela va arriver. La variable inconnue est le nombre de corps. J'espère que cette interview atteindra la conscience de chaque être humain. Les gens doivent choisir de dire non à partir de maintenant.
Sources and References
1 YouTube MedCram Episode 34 2 Trea.com Patent Grant 11107588
(...) le Dr Geert Vanden Bossche, un immunologiste de premier plan aux Pays-Bas , ont tous averti que lorsque vous effectuez une vaccination de masse au milieu d'une épidémie active, vous provoquez l'émergence de variantes. (...)
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Le masquage des enfants à l'école fonctionne-t-il ?
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 16 JANVIER 2022 - 17:30 Rédigé par Ian Miller et Michael Betrus via The Brownstone Institute,
Les enfants de Californie, de New York, de l'Illinois et d'un certain nombre d'autres États sont tenus de porter des masques faciaux tous les jours à l'école. Près de 40 % des écoliers du pays sont tenus de le faire. D'autres États s'en remettent aux règles locales, ce qui signifie qu'environ la moitié des enfants du pays portent des masques faciaux tous les jours, s'éloignent de la société, déjeunent à l'extérieur et font de l'athlétisme avec des masques.
- voir photo sur site -
Près de 30 % de toutes les écoles sont légalement empêchées de mettre en œuvre des mandats ou font face à des contestations judiciaires en cours de restrictions, ce qui signifie que peu de ces États imposent des restrictions comme nous l'avons vu en 2020-2021.
Vous trouverez ci-dessous les États avec et sans exigences de masque facial dans les écoles.
- voir carte sur site -
Il y a deux choses qui étonneraient presque assurément la plupart des parents à travers le pays. De nombreux parents dans des États comme la Californie ou l'Illinois avec des mandats de masque seraient probablement choqués de voir à quel point les protocoles scolaires normaux sont au Texas, en Floride, en Utah, en Iowa et dans d'autres États représentés en vert foncé ou en orange. Ceux qui ont des enfants d'âge scolaire dans les États verts seraient stupéfaits d'apprendre que ceux en bleu exigent que les enfants portent des masques faciaux à l'école, se distancient socialement et mangent dehors par temps froid ou sous la pluie.
Certaines universités exigent que les étudiants portent des masques sur le campus, même à l'extérieur, notamment l'Université de Californie du Sud et l'Université de l'Arizona.
Le COVID-19 déferle actuellement dans tout le pays. Heureusement, une combinaison d'une variante moins mortelle, d'une immunité récupérée et de vaccinations prévient de nombreuses maladies très graves que nous avons vues dans le passé. Vous pouvez voir ci-dessous que les tests positifs ont explosé au cours des dernières semaines. Pourquoi tant de personnes qui ne sont pas malades font la queue et paniquent pour acheter des tests à domicile est le sujet d'un autre article, mais il est clair que des millions de personnes contractent actuellement le COVID-19 :
En examinant le groupement d'États (CA/OR/WA/IL/NY/DE/MA/CT/NJ/MD/NV/NM/VA/RI) avec le port obligatoire du masque dans les écoles par rapport à ceux sans mandat de port du masque (UT /FL/AZ/TX/OK/MO/IA/AR/TN/SC), où très peu d'étudiants les portent, nous observons des tendances presque identiques, et ceux qui n'ont que peu ou pas de masquage ont des taux de cas actuels plus faibles :
- voir graph sur site -
La proportion de tests pédiatriques positifs est actuellement similaire dans toutes les régions du pays, environ 20 % de tous les tests positifs dans les trois groupes d'âge de 0 à 17 ans indiqués ci-dessous. C'est à peu près la même chose quelle que soit la météo (saisonnalité) ou les restrictions :
- voir graph sur site -
Cela nous a fait nous demander. Les restrictions scolaires dans certains États fonctionnent-elles? Il ne s'agit pas de cas; les cas sont vraiment le produit de la propagation dans la communauté et de la quantité de tests que nous effectuons. Il s'agit de la maladie. Y a-t-il plus d'enfants hospitalisés pour ou avec COVID-19 dans les États avec des protocoles scolaires normaux que ceux nécessitant des masques faciaux ?
Nous avons contacté Josh Stevenson (@ifihadastick sur Twitter), qui a produit à plusieurs reprises des analyses de données étonnantes tout au long de la pandémie. Voici ce qu'il a découvert. Il s'agit d'une compilation originale que vous ne verrez nulle part ailleurs. Pour les États nécessitant des masques, les hospitalisations pédiatriques liées au COVID-19 sont en moyenne de 4,23 pour 100 000 enfants :
- voir graph sur site -
Pour les États n'autorisant pas les mandats de masque facial (ou presque sans obligation), les hospitalisations pédiatriques COVID-19 sont en moyenne de 4,90 pour 100 000 enfants :
- voir graph sur site -
Le taux d'hospitalisation est quasiment identique. Il n'y a pas de différence perceptible entre les résultats d'infection ou d'hospitalisation pour les enfants dans les communautés où les masques faciaux sont obligatoires à l'école et ceux où les couvre-visages sont facultatifs.
Les enfants devraient être à l'école avec des protocoles normaux.
Ils devraient être en classe sans masque, sans séparateurs en plexiglas, socialiser pendant qu'ils déjeunent et participer à des sports sans masque facial. La logique nous le dit clairement, et ces données prouvent à une écrasante majorité qu'il n'y a aucun avantage pour la santé à obliger les enfants à porter des masques faciaux à l'école.
Que des enfants (des petits cons) portent un masque est une chose mais que des adultes !!! portent un masque montre bien le retard dans l'éducation que ces personnes ont subi !
Fin des emballages en plastique : génèse d’une décision démagogique
RépondreSupprimerUne nouvelle réglementation interdisant les emballages en plastique des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir.
le 16 janvier 2022
André Heitz
Une nouvelle réglementation interdisant les emballages en plastique des fruits et légumes est entrée en vigueur au 1er janvier 2022. Relater sa genèse est plus intéressant et instructif que gloser sur les désagréments et catastrophes à venir. Ce fut priorité à la bien-pensance et la démagogie au détriment de l’efficacité économique et sociale.
Le 1er janvier 2022 est entré en application le Décret n° 2021-1318 du 8 octobre 2021 relatif à l’obligation de présentation à la vente des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique.
Père Ubu a encore frappé
Il définit notamment… les notions de « fruits et légumes » (!), de « conditionnement » et de « matière plastique », le cas échéant par référence à d’autres textes, histoire de compléter le labyrinthe législatif (mais le résumé explicatif initial vient un peu à notre secours).
Si nous avons bien compris, le ruban adhésif entourant une botte de poireaux est concerné par le dispositif.
Pour la partie vraiment opérationnelle, le décret définit les fruits et légumes qui sont – provisoirement – exemptés de l’obligation mentionnée dans son titre. C’est un catalogue à la Prévert. Le premier des sept points, par exemple, se lit :
1° Les tomates à côtes, les tomates allongées relevant du segment Cœur, les tomates cerises ou cocktail (variétés miniatures), les oignons primeurs, les navets primeurs, les choux de Bruxelles, les haricots verts, le raisin, les pêches, les nectarines, et les abricots, jusqu’au 30 juin 2023.
Ici, ce n’est pas vraiment dramatique sur le plan de la sécurité sanitaire des aliments. Mais que penser, par exemple, des jeunes pousses (exemptées jusqu’au 31 décembre 2024) ou encore des graines germées (exemptées jusqu’au 30 juin 2026) ?
La frénésie anti-plastiques a visiblement pris le dessus sur les contingences pratiques et, on peut le craindre, la santé publique.
Un monument d’« écologie punitive »
RépondreSupprimerLe décret a été pris pour l’application de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire dont l’article 77 prévoit notamment :
À compter du 1er janvier 2022, tout commerce de détail exposant à la vente des fruits et légumes frais non transformés est tenu de les exposer sans conditionnement composé pour tout ou partie de matière plastique. Cette obligation n’est pas applicable aux fruits et légumes conditionnés par lots de 1,5 kilogramme ou plus ainsi qu’aux fruits et légumes présentant un risque de détérioration lors de leur vente en vrac dont la liste est fixée par décret.
À notre sens, le décret n’est pas conforme à la loi en ce qu’il prévoit des dates limites pour les fruits et légumes délicats. Mais le législateur pourra toujours prendre conscience de sa bourde et la corriger le moment venu… l’espoir fait vivre.
Cet article 77 est un monument d’« écologie punitive ». Tenez :
À compter du 1er janvier 2022, la mise sur le marché de sachets de thé et de tisane en plastique non biodégradable au sens du 16 de l’article 3 de la directive (UE) 2019/904 du Parlement européen et du Conseil du 5 juin 2019 relative à la réduction de l’incidence de certains produits en plastique sur l’environnement est interdite. Les modalités d’application de cette interdiction sont définies par décret en Conseil d’Etat.
À notre connaissance, il n’y a pas de décret…
Les deux paragraphes précités illustrent l’incongruité législative et, pour tout dire, l’irresponsabilité de leurs auteurs : toute matière plastique est interdite dans le cas des fruits et légumes – et on dira adieu en particulier au film transparent qui permet au consommateur de voir ce qu’il achète et au distributeur, la qualité de ce qu’il a en rayon ; dans le cas du thé et des tisanes, seuls les plastiques non biodégradables sont interdits.
Le paysage – s’agissant des fruits et légumes – ne serait pas complet sans l’évocation d’une autre interdiction, proposée par M. François-Michel Lambert, qui bouleverse tellement les mœurs commerciales qu’elle a fait l’objet d’un article séparé, le 80 (le précédent traite des lave-linges et le suivant, de « la mise à disposition, à titre gratuit, de jouets en plastique dans le cadre de menus destinés aux enfants »…) :
Au plus tard le 1er janvier 2022, il est mis fin à l’apposition d’étiquettes directement sur les fruits ou les légumes, à l’exception des étiquettes compostables en compostage domestique et constituées en tout ou partie de matières biosourcées.
Il y a aussi dans l’article 77 l’interdiction à compter du 1er janvier 2021 des « tiges de support pour ballons et leurs mécanismes, à l’exception des tiges et mécanismes destinés aux usages et applications industriels ou professionnels et non destinés à être distribués aux consommateurs ».
RépondreSupprimerLe législateur a même prévu une interdiction à compter du 1er janvier 2020 dans une loi du 10 février 2020 (« pour les gobelets et verres ainsi que les assiettes jetables de cuisine pour la table »). C’est manifestement une bourde, mais cela illustre le niveau de délabrement de l’activité législative.
Pour rappel, les cotons-tiges avec tige en plastique et les piques à steaks ont été interdits le 1er janvier 2020 et 2021, respectivement.
La dysenterie législative
Le gouvernement a déposé son projet de loi le 10 juillet 2019 et a engagé la procédure accélérée (une seule lecture dans chaque chambre). On peut considérer que c’est là un usage abusif de cette procédure. C’était du temps de Mme Brune Poirson, qui portait le projet, et de M. François de Rugy.
(Source)
Le projet de loi comportait 13 articles. La loi adoptée en comporte… 130.
Manifestement, les lectures uniques n’ont pas fait obstacle à l’inventivité de nos élus : 1741 propositions d’amendement à l’Assemblée nationale (avec cependant de nombreux doublons dûs en partie au fait que les lobbies démarchent tous azimuts).
C’est dans les commissions qu’ont été adoptées les mesures relatives aux fruits et légumes. L’interdiction des emballages avait fait l’objet de plusieurs propositions.
Tout pour la démagogie, rien pour l’économie
Notre inter-titre est peut-être un peu sévère.
Mais voici, par exemple, le début de l’exposé des motifs de la proposition CD1009 du groupe La République en Marche (LaREM) :
La pratique du sur-emballage des produits alimentaires, et notamment des fruits et légumes est aujourd’hui largement répandue au sein des commerces de détails. Si un tel conditionnement peut faire sens pour certains types de produits, notamment fragiles, cette pratique n’est plus acceptée par les consommateurs.
On peut trouver le choix de « sur-emballage » fort contestable. Et quel est le motif principal de la proposition ? La démagogie sous la forme d’une réponse à une opinion de consommateurs que l’on n’aura même pas pris la peine de consulter…
Dans une veine similaire, Mme Mathilde Panot et le groupe la France Insoumise écrivent dans la proposition CD1200 :
RépondreSupprimerLes fruits et légumes disposent d’un emballage naturel. À quoi bon imposer au consommateur un emballage plastique sans intérêt ? Certaines chaînes de la grande distribution ont d’ores et déjà mis en place un système de marquage sur les fruits et légumes biologiques pour ne pas recourir au plastique.
Mme Graziella Melchior (LaREM), rapporteure de la Commission des Affaires Économiques, écrit pour sa part dans la proposition CE358 :
Pour mettre en œuvre cette disposition les commerces de détail pourront choisir de passer commande de fruits et légumes livrés en cagette en bois, qui servaient traditionnellement de support de présentation aux commerçants, soit d’opter pour un déconditionnement des fruits et légumes dans le commerce, ces conditionnements étant alors soumis aux obligations de tri des déchets en plastique prévues par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte.
On imagine le producteur qui emballe… le distributeur qui désemballe… Il faudra pourtant s’y résoudre dans certains cas pour limiter les pertes – le gaspillage alimentaire – jusqu’au stade de la commercialisation, quitte à ce qu’il augmente après chez le consommateur.
En revanche, les députés se sont opposés à un amendement de suppression de l’interdiction de l’emballage qui visait à ne pas porter préjudice à l’agriculture biologique (N° 654), interdiction qui, selon l’exposé des motifs,
« risque […] de porter préjudice au développement de la bio, étant donné que ces produits se doivent d’être vendus pré-emballés pour des raisons de traçabilité [et] d’augmenter le risque de fraudes ou d’erreurs et ce, au détriment du consommateur final ».
Ils ont également rejeté des amendements qui tendaient à faire une exception pour les emballages permettant d’allonger la durée de conservation.
Pourtant, le sous-amendement CD1815 de Mme Annie Genevard (les Républicains) et cinq autres donnait des indications : par exemple, pour le haricot vert, 3-4 jours de conservation en vrac contre 14 jours avec calcul de perméabilité limitant la dessiccation et le flétrissement. Comme on l’a vu ci-dessus, le décret du gouvernement a prévu une exception, mais jusqu’au 30 juin 2023 seulement.
Notons incidemment que cette interdiction signifiera vraisemblablement la fin des haricots effilés en provenance de pays comme le Kenya (où l’activité économique apporte des revenus importants à des femmes).
Mais ce sont surtout les intérêts des consommateurs qui sont passés à la trappe. Tant pis pour les ménages, souvent modestes, qui sont contraints de faire leurs courses une fois par semaine.
Les députés ont aussi accordé le sursis à l’apposition directe d’étiquettes sur les fruits et légumes, pour autant que les étiquettes soient « environnementalement correctes » (voir par exemple la proposition N° 815, qui a été rejetée).
RépondreSupprimerEt maintenant ?
La France, meilleure élève de la classe… Mme Brune Poirson a bien le droit d’y croire…(source)
À voir et entendre certains micro-trottoirs aux informations, les consommateurs seraient ravis. Biais de sélection des interviewés, sans doute, ainsi que naïveté et enthousiasme devant une mesure annoncée et perçue comme une avancée pour l’environnement.
En fait, on verra à l’usage, au fur et à mesure que les productions arriveront sur le marché, tant pour l’environnement que pour la sécurité alimentaire, tant pour le gaspillage alimentaire que pour le confort du consommateur. Des boîtes en carton, même ajourées, ne permettent pas de voir précisément ce que l’on achète (et, dans le cas du distributeur, ce que l’on garde en rayon).
On pourrait paraphraser ici Le bon, la brute et le truand :
« Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet législatif chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses ».
Ces interdictions ont ceci de particulier qu’elles ont été décidées sans études de faisabilité et d’impact préalables, et avec un délai de mise en vigueur insuffisant pour mettre au point et tester de réelles solutions de remplacement.
Dans le cas des étiquettes collées sur les fruits et légumes, M. Daniel Sauvaitre, secrétaire général de l’Interprofession des Fruits et Légumes (Interfel) et président de l’Association Nationale Pommes Poires (ANPP) a déclaré au Figaro :
« Technologiquement, on ne sait pas faire et on ne sera pas prêt pour le 1er janvier prochain [2022, l’entretien a été accordé avant]. »
Du reste, Interfel a demandé le report de la mesure au gouvernement.
Cerise sur le gâteau, Interfel a trouvé que cette disposition ne s’applique pas aux fruits et légumes importés ! Les géants de la banane, par exemple, pourront apposer leur marque, les producteurs français ultramarins ne pourront pas faire valoir leur spécificité… On dit bravo !
Le drame est devenu classique. « On » légifère avec une échéance un peu lointaine, ce qui permet de ne pas devoir assumer de suite les conséquences : « L’intendance suivra »… Yaka…
Et « légiférer » s’entend au sens directif, restrictif, punitif… car il s’agit de « sauver la Planète ». La notion d’économie libérale, de libre entreprise, éventuellement guidée par des mesures incitatives mais capable de prendre les bonnes orientations toute seule, n’entre pas dans leur ordre de mission.
RépondreSupprimerL’économie et la société françaises vont souffrir ? Tant pis ! Europe 1 a produit un article alarmiste, le 27 décembre 2021, « Fin des emballages en plastique : des fruits et légumes pourraient disparaître des rayons ». Si certains fruits et légumes ne disparaissent pas, ce sera sans doute au prix d’un renchérissement, et de la disparition des producteurs et conditionneurs les plus fragiles.
Imaginez le gaspillage économique : un conditionneur – un producteur agricole ou une coopérative par exemple – investit en 2019 dans une chaîne d’emballage avec filmage plastique. Fin 2019, des députés lui signifient qu’il peut mettre son outil au rebut… À noter que le remplacement du plastique du contenant par du carton se heurte déjà au renchérissement du carton.
Pour conclure, voici trois tweets explicite d’une experte, Mme Kako Naït Ali. Le premier se rapporte aux haricots du Kenya.
https://www.contrepoints.org/2022/01/16/418792-fin-des-emballages-en-plastique-genese-dune-decision-demagogique
Ce qui ne change PAS 'au 1 er Janvier' c'est la connerie gouvernementale. Mais comment font-ils pour sélectionner des attardés mentaux pareils ? Leurs supérieurs hiérarchiques sont aussi cons qu'eux !
SupprimerPrimo, combien de sac en plastique consomme votre voiture aux 100 km ? (ou votre chaudière)
Secundo, il faut savoir que tous les plastiques sont recyclables. Ils sont emmenés en usines où les poubelles en formes de ballots y sont déchargées. Les plastiques y sont broyés puis passés au four à 400° et, le jus récupéré.
Le jus ? Âh oui, j'avais oublié, le 'jus' c'est... du diesel.
Les plastiques 'perdus dans les océans' s'éliminent continuellement grâce aux bactéries, pareillement que la présence de nappes de pétrole ('Amococadiz' et autres) dans les océans a complètement disparue depuis longtemps.
C’est le vent qui tourne !
RépondreSupprimerpar olivier cabanel
samedi 15 janvier 2022
« Je ne suis pas une girouette, c’est le vent qui tourne » avait déclaré Edgar Faure, et aujourd’hui, on constate que, sur le sujet de la crise sanitaire, le vent tourne à son tour.
Ils sont en effet de plus en plus nombreux à retourner leur veste, tel le Dr Blachier, qui après avoir soutenu largement la stratégie sanitaire gouvernementale, change de camp, contestant la politique sanitaire, et propose de limiter la vaccination aux personnes âgées, ou à risque, ainsi que la fin du pass sanitaire. lien
Dans la même logique, le Pr Caumes se dit déçu par la faible efficacité des injections et considère que le pass-vaccinal est une « régression sanitaire ». lien
En Europe, le scepticisme voit le jour, car s’il faut en croire « FranceSoir », le Ekstra Bladet, l’un des plus grand journal Danois fait marche arrière toute, avouant « avoir été abusé de façon presque hypnotique par les discours des autorités pendant près de 2 ans, et n’avoir pas fait preuve d’assez de vigilance dénonçant « ces experts nous mettent sans cesse en garde contre le monstre corona qui sommeille sous nos lits », en écho à un article plus ancien du journal allemand Bild lequel avait demandé « pardon pour (...) cette couverture médiatique qui, comme un poison vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société... ». lien
Dans le monde des médias, Pascal Praud agresse une députée européenne, fervente adhérente de la politique sanitaire, au point que celle-ci menace de quitter le plateau. lien
Mais c’est dans le monde médical que le changement s’accentue, puisque Le 8 janvier, 1200 médecins ont poussé un cri d’alerte et démissionné de leurs responsabilités administratives. lien
Quelques semaines auparavant, 60 000 scientifiques avaient demandé l’arrêt de la vaccination de masse, portés par la déclaration de Great Barrington, laquelle avait permis de récolter 870 000 signatures contre les injections massives d’ARNm.
Cette déclaration a été portée par le Pr Martin Kulldorff, la Dr Sunetra Gupta, et le Dr Jay Bhattacharya, lesquels affirment que la vaccination massive par ARNm rend impossible l’immunité collective.
Ils expliquent que l’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables, ajoutant que pour les enfants, la COVID-19 est moins dangereuses que bien d’autres maux, y compris la grippe. lien
En Italie, un médecin prescrit des dérogations au vaccin à tour de bras, car dit-il « j’ai vu avec mes yeux que les meurent d’AVC, de myocardites quelques heures après le vaccin », ajoutant « spike provoque des thromboses et des dépressions du système immunitaire. spike tue les gens ! vous êtes tous des criminels ». lien
RépondreSupprimerEn France, ils étaient quand même nombreux à contester les décisions sanitaires du gouvernement, comme lecélèbre Pr Didier Raoult, tout comme le Pr Christian Perronne, l’épidémiologiste Alexandra Henrion-Caude, le Pr Luc Montagnier, et beaucoup d’autres, considérés souvent comme de « dangereux complotistes », quand ils ne sont pas jugés carrément séniles, voire fous...
Il n’est pas inutile de découvrir cette courte vidéo dans laquelle le Pr Raoult explique les problèmes provoqués par les injections ...
Le Pr Perronne, (et il est loin d’être le seul) a payé le prix fort, il a été démis de ses fonctions, car il dénonçait les grandes supercheries de la gestion de la pandémie. Lien
Dès septembre 2020, Jean-François Delfraissy, président du « conseil scientifique » a été mis en cause par de nombreux scientifiques qui dénonçaient son alarmisme et ses erreurs de jugement. Lien
Le mouvement s’est amplifié depuis, et gagné beaucoup d’autres scientifiques, d’autant que les injections provoqueraient ici ou là un phénomène d’épaississement du sang...les scientifiques évoquent « de la mélasse » d’où les thromboses constatées.
En effet dès le 3 mai 2021, on pouvait lire sur le site « eurofins », une étude évoquant la découverte de « thromboses insolites et thrombopénies après vaccination anti-covid-19 » en proposant des solutions.
Reconnaissant qu’il ne s’agit que d’une hypothèse, les auteurs de l’étude pointent du doigt des évènements thrombotiques qui arrivent 5 ou 6 jours après l’injection, établissant ainsi un lien évident avec la vaccination. lien
L’importante manifestation des enseignants du 13 janvier a fait trembler l’exécutif, dénonçant « Blanquer, c’est toi le virus », (lien) provoquant des tensions entre ce dernier et Véran. lien
Il est vrai que devant l’incohérence de certaines décisions du gouvernement, on est partagé entre la colère, ou le rire, comme l’a fait cet internaute taquin. lien
D’ailleurs, il est probable que les propositions de Blanquer ne calmeront pas les manifestants : engager 3300 nouveaux enseignants parait une bonne nouvelle, sauf que ces derniers seront moins payés que leurs confrères, et que cette promesse est prévue « d’ici la fin de l’année scolaire ». lien
Quant aux « anti-pass », ils n’ont pas l’intention d’en rester là, et proposent une nouvelle manifestation le 15 janvier, forts du succès des manifestations du 8 janvier, avec comme mot d’ordre « vivre normalement, librement, et refusant la « 3ème dose ».
RépondreSupprimerComme dit Alexis Haupt : « les antis vaccin sont aujourd’hui les garants de la démocratie. Voilà pourquoi ils sont tant pourchassés par un régime qui n’est pas démocratique. Les autres confondent la liberté avec la liberté de consommer. Ce sont des esclaves qui s’ignorent ». lien
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/c-est-le-vent-qui-tourne-238708
Notez bien que ces 'merdecins de télé' (qui se diraient presque 'scientifiques') 'oublient' de dire que:
SupprimerINTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Les fuites de Fauci Financials révèlent comment un médecin millionnaire a profité de la pandémie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 17:00
Enfin, après qu'une poignée d'organisations aient tenté de poursuivre le Dr Anthony Fauci afin de les faire libérer, les finances du bon médecin – ainsi que celles de sa femme, qui est la meilleure bioéthicienne du NIH – ont été divulguées en détail. Et ils ont été divulgués par le même sénateur que Fauci a qualifié de "crétin" la semaine dernière lors d'un moment de micro chaud.
- voir photo du couple 'Laurel & Hardy' ! sur site -
Nous savions déjà que le Dr Fauci est l'employé du gouvernement fédéral le mieux payé, gagnant un salaire annuel de plus de 400 000 $. Sa femme, Christine Grady, gagne 176 000 $ en tant que chef du département de bioéthique du NIH.
Les dossiers, publiés par le républicain Roger Marshall, lui-même médecin et également sénateur américain junior du Kansas, ont montré que les Faucis ont une valeur nette combinée de plus de 10 millions de dollars.
Comme l'explique le Daily Mail, Fauci, 80 ans, dirige l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses depuis 1984 et, s'il continue jusqu'à la fin du mandat de Biden en 2024, aura gagné environ 2,5 millions de dollars en tant que conseiller médical en chef du président. Lorsqu'il prendra sa retraite, la pension de Fauci sera la plus importante de l'histoire des États-Unis, dépassant 350 000 dollars par an.
Pour rappel, le Dr Fauci a encore une fois menti au Congrès en insistant sur le fait que ses finances étaient publiques, alors qu'elles ne l'étaient pas (avant d'être divulguées par le sénateur du Kansas, c'est-à-dire).
Alors que le médecin a insisté sur le fait qu'il n'avait pas profité de la pandémie, ses papiers ont montré que lui et sa femme avaient été payés 14 000 $ pour assister "virtuellement" à une série de galas directement liés à sa position de tsar de facto de la nation.
La révélation la plus divertissante des finances du Dr Fauci est peut-être la révélation que le couple possède un restaurant à Tony San Francisco. Ça s'appelle Jackson Fillmore Trattoria. Malheureusement pour eux, le restaurant n'a pas fait d'argent l'année dernière.
RépondreSupprimerLe sénateur Marshall s'est affronté mardi avec le médecin de 80 ans lorsque Marshall a voulu voir les informations financières de Fauci. Fauci a répondu que les documents étaient publics et semblait s'offusquer même d'être interrogé. "Oui ou non, seriez-vous prêt à soumettre au Congrès et au public une déclaration financière incluant vos investissements passés et actuels ?" a demandé Maréchal. "Notre bureau ne peut pas les trouver." Fauci a répondu: "Je ne comprends pas pourquoi vous me posez cette question … ma divulgation financière est de notoriété publique et l'est depuis environ 37 ans."
Selon le Center for Public Integrity, les états financiers de Fauci étaient effectivement accessibles au public, mais leur obtention a été une longue procédure : ils ont demandé le document en mai 2020 et ne l'ont reçu que trois mois plus tard.
Au total, le Dr Fauci a trois comptes avec Charles Schwab qui totalisent 8 337 940,90 $. Il a un IRA contributif avec 638 519,70 $ et un compte en fiducie de courtage avec 2 403 522,28 $. Enfin, le plus précieux des trois divulgués était un Schwab One Trust contenant 5 295 898,92 $.
La majeure partie de la richesse du Dr Fauci provient de son salaire gouvernemental, mais il a également tiré une part substantielle des livres et des apparitions. Le sénateur Marshall fait pression pour une nouvelle loi appelée "FAUCI Act" qui obligerait les bureaucrates non élus comme le Dr Fauci à produire des informations financières plus approfondies afin qu'elles puissent être examinées de manière appropriée par le public américain.
Les lecteurs peuvent trouver plus d'informations sur le site Web du sénateur Marshall, qui présente une ventilation plus complète des finances du médecin, ainsi que des copies de tous les documents associés.
https://www.zerohedge.com/markets/fauci-financials-expose-how-millionaire-doctor-profited-pandemic
Pour les gauchistes, votre liberté est leur misère - votre esclavage est leur joie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 23:30
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Il y a un certain niveau de folie requis pour atteindre l'état dans lequel se trouve notre pays aujourd'hui. Je pense que la plupart d'entre nous le ressentent et le savent, mais je veux disséquer un peu la situation afin que nous puissions voir les entrailles de la chose et en comprendre les mécanismes. La folie a une structure, croyez-le ou non, et il existe des moyens de l'analyser et de l'identifier. Par exemple, il existe de nombreuses formes de folie qui découlent d'une obsession du pouvoir et du contrôle.
Dans mon article précédent "Y a-t-il un moyen d'empêcher les psychopathes d'accéder à des positions de pouvoir", j'ai exploré les schémas de pensée et les habitudes prédatrices des pires 1 % de l'humanité et comment ils s'insinuent dans l'autorité en se fondant (jusqu'à ce qu'ils aient tous le pouvoir et plus besoin de le mélanger). Maintenant, je veux parler davantage des AUTRES personnes instables, les 5 à 10 % de la population que les psychopathes exploitent en tant que foule ou armée pour effrayer tout le monde et les aider à atteindre leurs objectifs.
Pour être clair, presque n'importe quel groupe peut devenir une arme exploitable utilisée par les psychopathes. Il y a eu des moments dans l'histoire où les élites au sein de l'Église catholique ont utilisé le fanatisme parmi les chrétiens pour dominer la société jusqu'à la torture et la terreur pendant les inquisitions et les croisades. Pendant l'ère de George W. Bush, je me souviens bien des mensonges sur les armes de destruction massive utilisées pour pousser les républicains dans des guerres inutiles en Irak et en Afghanistan. Cependant, c'est le passé. Aujourd'hui, le problème du fanatisme est résolument du côté de la gauche politique.
C'est-à-dire que la gauche politique est désormais le côté qui attire le plus les narcissiques, les sociopathes, les instables émotionnellement, etc., et cette attraction forme une foule qui peut être facilement exploitée par l'establishment.
Ce que je trouve intéressant, c'est que les gauchistes croient en fait qu'ILS sont les outsiders et qu'ils combattent une «révolution» contre l'establishment. C'est une déconnexion bizarre de la réalité. Toutes les grandes institutions de pouvoir et d'influence aux États-Unis sont du côté de la gauche politique. Comment pouvez-vous vous rebeller contre l'establishment si toutes vos valeurs coïncident avec l'agenda de l'establishment ?
Les médias grand public et Hollywood sont devenus intransigeants en faveur de la propagande de gauche, de la théorie critique de la race à l'agenda trans et à la politique identitaire, au féminisme, au socialisme et à la centralisation. Presque toutes les publicités, émissions de télévision et films que nous voyons aujourd'hui reflètent un point de vue d'extrême gauche ou des images d'extrême gauche, même si la majorité de la population ne s'intéresse pas à l'idéologie éveillée. De toute évidence, les gauchistes et leurs amis dans les médias pensent que s'ils imposent leur sectarisme aux visages des gens sans arrêt 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, nous finirons par capituler et l'embrasser.
RépondreSupprimerLes grandes technologies et les principales plateformes de médias sociaux fonctionnent TOUS selon une politique de gauche. Toutes leurs règles de conditions de service sont appliquées pour protéger les gauchistes des critiques et pour censurer les conservateurs et tous les modérés qui osent s'exprimer. Les preuves montrent de manière écrasante un parti pris de gauche dans la censure des Big Tech, les conservateurs étant expulsés des plateformes pour rien de plus que de citer des faits. Nous l'avons vu récemment avec Marjorie Taylor Greene, une représentante du GOP de Géorgie, qui a été bannie de Twitter et qualifiée de "théoricienne du complot d'extrême droite" pour avoir publié des liens vers la base de données VAERS.
Pour ceux qui ne connaissent pas le VAERS, il s'agit d'une base de données gérée par le gouvernement américain pour suivre les effets indésirables des vaccinations, y compris les vaccinations covid. Alors que les chiffres ont été manipulés dans le passé (ce qui, selon le CDC, était dû à des "erreurs de déclaration"), le VAERS a toujours signalé des milliers et des milliers de décès et d'effets secondaires directement liés aux vaccins covid, mais vous n'êtes pas censé savoir à propos de ça. Ainsi, Greene est expulsé de Twitter pour avoir publié les propres données du gouvernement, qui ne sont désormais accessibles que si vous parcourez un labyrinthe de liens pour accéder aux téléchargements.
Les médias sociaux sont également couramment utilisés comme une arme par les gauchistes pour « annuler » les personnes qui sortent de la ligne. Un pilote d'American Airlines a été attaqué cette semaine par une foule sur Twitter lorsqu'une féministe folle a enregistré des images de ses bagages. Son délit ? Un petit autocollant sur sa valise qui disait « Lets Go Brandon ». La femme et ses cohortes sur Twitter ont appelé au licenciement du pilote et American Airlines "enquête" sur la question.
Ce n'est qu'un exemple parmi des milliers au cours des dernières années qui illustrent la pure rage que les gauchistes ressentent lorsqu'ils sont confrontés à une personne libre d'esprit. Leur réaction immédiate est de punir et de détruire plutôt que d'accepter et d'avancer.
Mais d'où vient cette mentalité ?
RépondreSupprimerJe pense que c'est une combinaison d'une culture de narcissisme et de collectivisme associée à un désir désespéré que les personnes faibles se sentent puissantes. Les gauchistes sont très souvent des personnes que vous pourriez appeler les « finalistes » dans la vie. Il y a beaucoup de mécontents et d'échecs socialement incompétents dans leurs rangs qui grandissent en se sentant impuissants. Au lieu d'améliorer leur sort en s'améliorant et en réalisant quelque chose de méritoire, ils blâment plutôt les autres et le monde pour leur manque d'accomplissement.
Cette mentalité peut également être observée avec leur milieu universitaire qui exagère souvent leur propre importance et l'importance de leurs distinctions. On peut obtenir une maîtrise en sciences sociales ou en études féministes, mais à quel point cette personne est-elle vraiment utile au monde ? Être un militant seul n'est pas une carrière et ils ne produisent rien, donc la seule mesure de leur éducation et de leur vie est ce qu'ils peuvent détruire, pas ce qu'ils peuvent construire et créer.
Le dernier passage de Joe Rogan de Twitter à GETTR est une autre grande histoire sur laquelle les gauchistes perdent la tête. Ils agissent comme s'ils voulaient simplement se débarrasser des conservateurs et des modérés argumentatifs de leurs «espaces sûrs», mais en réalité, cela ne les satisfait pas. Ils ne veulent pas que nous partions, ils veulent que nous nous conformions. Ils veulent que nous soyons piégés dans leurs chambres d'écho et que nous nous entendions bien, ou ils veulent que nous soyons effacés.
Les gauchistes voient les gens comme la propriété du collectif, et si vous et des millions d'autres partez, cela reflète mal leur idéologie, ce qui est inacceptable. C'est pourquoi ils attaquent ou essaient CONSTAMMENT de supprimer les plateformes de médias sociaux conservatrices. On pourrait penser qu'ils seraient heureux que GETTR existe, mais ils sont misérables. Votre liberté est leur misère.
Penses-y un moment; il y a des millions de gauchistes là-bas qui ne peuvent pas supporter votre existence si vous êtes libre d'exprimer votre mécontentement face à leur récit.
Lorsque Joe Rogan a contracté le covid, les gauchistes étaient nerveux d'excitation en espérant qu'il mourrait. Lorsqu'il a vaincu le virus en moins de trois jours sans être vacciné, ils ont crié d'horreur. C'est comme s'ils ne se rendaient pas compte que la plupart des personnes non vaccinées ont eu le virus et y ont facilement survécu (j'ai eu le covid pendant une semaine et puis ça allait - je ne me ferai JAMAIS vacciner).
Peut-être sont-ils conscients que les vaccins sont pour la plupart inutiles. Peut-être que ce qui les dérange vraiment, c'est que les non-vaccins sont libres et ne se conforment pas aux mandats ou à la peur ? Peut-être sont-ils plus préoccupés par l'acte de défiance que par des questions de « sécurité sanitaire » légitimes ?
RépondreSupprimerEt cela m'amène à la relation entre la majorité du gouvernement et la gauche politique, qui travaillent main dans la main pour faire avancer les contrôles covid et les mandats vax. Je l'ai déjà dit et je vais le souligner à nouveau - Il n'y a plus de débat sur qui sont vraiment les autoritaires. Si vous voulez être à l'abri de l'intrusion et de la tyrannie manifestes du gouvernement, vous vous dirigez vers un État rouge conservateur. Si vous voulez être l'esclave de la bureaucratie, vous vous dirigez vers un État bleu progressiste. Les États rouges valorisent la liberté individuelle, contrairement aux États bleus. C'est indéniable.
Les gauchistes ne sont pas les rebelles qu'ils pensent être ; ce ne sont pas les héros - Ce sont les méchants. Ils sont l'empire.
Je crois que l'agenda du mandat vax en particulier fait appel à leur désir inné de contrôle sur les autres. Cela est évident dans leur rhétorique folle sur la question de la vaccination. Le LA Times vient de publier un éditorial intitulé « Mocking Anti-Vaxxers » Covid Deaths Is Ghoulish, Yes – But May Be Necessary » (intitulé à l'origine « Pourquoi ne devrions-nous pas danser sur les tombes des anti-vaxxers ? »), et c'est ce genre de propagande sanguinaire qui révèle vraiment l'étendue de la psychologie brisée de la gauche politique.
Ils veulent que vous mouriez pour avoir enfreint les mandats. Ils semblent penser que le covid est leur ange vengeur, mais cela montre seulement qu'ils sont trop bêtes pour comprendre la science fondamentale ou trop malveillants pour penser rationnellement.
L'administration Biden a été un élément clé de la campagne de peur concernant la pandémie de covid, qui a un taux de mortalité par infection (IFR) moyen de 0,26% à 0,27% selon des dizaines d'études examinées par des pairs, et maintenant avec la souche Omicron encore moins dangereuse le le taux de mortalité continue de chuter. L'écrasante majorité des gens n'ont RIEN à craindre du covid, mais les gauchistes se rallient volontiers à Biden et à sa tyrannie médicale.
De plus, le parti pris (ou l'ignorance) du LA Times est mis en évidence lorsque nous examinons les données réelles des cas révolutionnaires. Les cas révolutionnaires sont des infections covid et des décès parmi des individus entièrement vaccinés. À titre de référence, dans le seul État du Massachusetts, il y a eu plus de 262 000 personnes entièrement vaccinées qui ont quand même fini par être infectées par le covid et 1054 décès selon les chiffres officiels. Il s'agit d'un taux de mortalité par infection de 0,4 %, ce qui est PLUS ÉLEVÉ que l'IFR moyen national de 0,27 %.
Les pays les plus vaccinés au monde souffrent également des pires pics d'infection au monde. En Irlande, par exemple, plus de 63 % des décès récents de covid concernaient des personnes entièrement vaccinées. En Israël, près de 60% des hospitalisations covid sont totalement vaccinées. L'Uruguay, Bahreïn, les Maldives et le Chili ont tous des taux de vaccination majoritairement écrasants et tous ont connu des pics de décès et d'infections par covid. Selon les propres statistiques du gouvernement britannique, les personnes triplement vaxxées sont 4,5 fois plus susceptibles d'être infectées par Omicron que les personnes non vaccinées.
RépondreSupprimerLe vaccin moyen est testé pendant 10 à 15 ans avant d'être approuvé pour une utilisation sur les êtres humains, mais les vaccins covid ont été publiés en quelques mois sans test à long terme pour prouver leur innocuité. Il est parfaitement logique que les gens soient concernés.
Alors, je demanderais aux hacks du LA Times : Devrions-nous danser sur vos tombes quand vous mourrez du covid malgré tous ces vaccins miraculeux non testés ? Ou peut-être quand vous vous retrouvez mort et sur la liste VAERS en raison des effets secondaires du vaccin ? Les maladies auto-immunes peuvent prendre 2 à 4 ans pour se développer et être identifiées par les médecins ; peut-être qu'en 2024, vous souhaiterez avoir adopté une approche attentiste pour les vaccins non testés comme le font toutes les personnes intelligentes ?
C'est ce qu'on appelle la logique, la raison et la science. Les données ci-dessus dépassent la portée mentale de nombreux gauchistes et même lorsqu'ils les obtiennent, ils les ignorent. Ils n'ont aucun intérêt à protéger votre santé ou celle du public, ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Ce qui les intéresse, c'est le contrôle et rien ne leur apporterait plus de joie que de voir 100% de conformité et d'esclavage à leurs idéaux. Ils vivent par procuration à travers la tyrannie.
La paranoïa pandémique, les fermetures, les mandats, la Big Tech, les médias sociaux, la culture d'annulation sont tous des moyens pour arriver à leurs fins. Les gauchistes prétendent être des humanitaires qui se soucient du bien commun, mais c'est une façade. C'est juste une autre excuse pour justifier une soif profonde de microgérer la vie des autres.
Une tactique classique des sociopathes narcissiques consiste à victimiser et à terroriser les gens, puis à les accuser d'être des monstres lorsque ces personnes se rebellent et se rebellent. Ils projettent leur tyrannie sur le reste d'entre nous et nous qualifient de méchants. Il est temps de mettre fin au théâtre et d'appeler les gauchistes ce qu'ils sont vraiment - Ce sont les dictateurs qu'ils prétendent essayer de combattre.
https://www.zerohedge.com/political/leftists-your-freedom-their-misery-your-slavery-their-joy
Politiser le COVID-19 depuis le début
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 18:30
Écrit par Victor Davis Hanson,
Dès l'apparition du COVID-19, la pandémie est devenue indissociable de la politique.
La frénésie politique était inévitable puisque le virus SARS-CoV-2 s'est peut-être échappé d'un laboratoire de virologie de sécurité de niveau 4 à Wuhan, en Chine.
La propagation rapide du feu a rapidement menacé d'inculper le gouvernement communiste chinois pour avoir presque détruit l'économie mondiale et tué des millions de personnes.
Les élites occidentales, en réponse, craignaient que leurs propres investissements lucratifs en Chine ne soient compromis par de telles révélations - et ont donc agi en conséquence pour défendre Pékin.
Néanmoins, un scénario qui reste intrigant est que le virus échappé a été engendré par des chercheurs en gain de fonction, supervisés par des éléments de l'armée communiste chinoise. Pire encore, le laboratoire a reçu des subventions des autorités sanitaires américaines, acheminées par des tiers. Cacher toutes ces informations préjudiciables a déformé la politique gouvernementale et la couverture médiatique.
Tardivement, une Chine paniquée a interrompu tous les voyages intérieurs à destination et en provenance de Wuhan – mais pas les vols à l'étranger vers l'Europe occidentale et les États-Unis.
Le reste appartient à l'histoire.
Dès le départ, l'Organisation mondiale de la santé a simplement diffusé de faux arguments sur l'épidémie de la part du gouvernement chinois, retardant une réponse mondiale robuste.
Les opposants politiques de l'ancien président Donald Trump ont d'abord dit aux Américains de magasiner et de voyager comme d'habitude – seulement pour pivoter à mesure que les cas montaient et ils ont blâmé le président.
L'interdiction américaine de voyager depuis la Chine en 2020 s'est heurtée à des accusations de racisme et de xénophobie de la part des candidats à la présidentielle. Ironiquement, beaucoup ne faisaient que canaliser la propagande raciste et xénophobe de la Chine.
De nombreux médecins n'arrêtaient pas de marteler le besoin de thérapeutiques, y compris l'utilisation taboue hors AMM de médicaments génériques bon marché. L'utilisation de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine a été largement ridiculisée, malgré la poursuite des études à l'étranger attestant de leur utilité.
Le projet Operation Warp Speed de Trump pour développer des vaccins a également été mis au pilori. Les candidats Kamala Harris et Joe Biden ont fait de leur mieux pour dénoncer la sécurité des vaccinations imminentes. Mais une fois au pouvoir, ils ont projeté leur propre rhétorique préjudiciable sur les soi-disant « anti-vaccins ».
RépondreSupprimerEnsuite, ils ont revendiqué le succès initial des vaccinations Trump.
La société Pfizer avait promis une annonce préélectorale majeure sur son déploiement probable d'un vaccin en octobre, quelques jours seulement avant les élections de 2020.
Puis, mystérieusement, Pfizer a affirmé que le vaccin, en fait, ne serait pas prêt avant le 3 novembre. Quelques jours après l'élection de Joe Biden, la société a fait marche arrière et a annoncé que les vaccins seraient bientôt disponibles.
Le gouverneur de New York de l'époque, Andrew Cuomo, a fait obstacle à la plupart des aides fédérales avec les empreintes digitales de Trump. De cette façon, Cuomo est devenu un chouchou des médias, lauréat d'un Emmy - avant de démissionner en disgrâce.
Les politiques de Cuomo consistant à orienter les patients infectés vers des établissements de soins de longue durée ont condamné plus de 10 000 personnes âgées. New York utilise maintenant illégalement la race pour accorder des préférences dans les attributions de tests et de nouveaux médicaments.
La rhétorique du lien média-progressiste selon laquelle des verrouillages massifs et obligatoires étaient nécessaires a pratiquement détruit une économie Trump en plein essor et a refusé des soins médicaux essentiels à des millions de personnes. Mettre l'accent sur la thérapeutique, l'immunité collective naturelle et la résilience des jeunes à la maladie ont tous été déclarés "anti-science" par les démagogues de gauche.
Diverses célébrités et politiciens – tels que le gouverneur de Californie Gavin Newsom et la candidate à la présidentielle ratée Hillary Clinton – se sont vantés que le verrouillage de la pandémie offrait la crise parfaite qui ne doit pas être gaspillée politiquement. L'actrice Jane Fonda a même chanté que COVID-19 était un "cadeau de Dieu à la gauche" pour aider à mettre fin à Donald Trump.
Dans les derniers jours de la campagne 2020, Biden est allé jusqu'à blâmer Trump personnellement pour tous les décès dus au virus.
Une fois que les vaccinations ont semblé fonctionner au début de 2021, un Joe Biden optimiste s'est vanté qu'il mettrait fin au virus d'ici l'été 2021, en suivant "la science". Il est allé jusqu'à affirmer que personne n'avait été vacciné avant son investiture, même si 17 millions, dont Biden lui-même, l'avaient été.
Alors Nemesis a répondu à un tel orgueil.
RépondreSupprimerLes variantes imprévues delta et omicron ont frappé. Une nouvelle expression, "cas révolutionnaire", a révélé que les vaccinations ne pouvaient souvent prévenir que des maladies graves, mais pas d'infection ou de contagiosité.
Soudain, les personnes les meilleures et les plus brillantes avec trois coups, qui avaient fait exploser les rubes à l'état rouge comme les ignorants non-vaxxés - sont tombées malades. Plus sont maintenant morts du virus sous la surveillance de Biden que sous la surveillance de Trump.
Une économie déformée au milieu de nouvelles épidémies de COVID-19 a contribué à détruire davantage la popularité décroissante de Biden.
En réaction, la gauche appelle désormais au réalisme, à l'accent mis sur les traitements et à la reconnaissance de la valeur des immunités naturelles. Il est même nouvellement curieux de connaître les origines du virus et la nécessité de "revenir à la normale".
On nous dit soudain que des milliers de personnes sont mortes "avec" plutôt que "à cause" du COVID - exactement le contraire de ce que nous avons entendu à l'époque de Trump.
Un sceptique pourrait suggérer que la terreur sur les mi-mandats imminents a finalement fait face à la réalité de gauche.
Politiser la pandémie est un euphémisme. En vérité, des milliers d'Américains sont morts inutilement à cause de la désinformation armée sur la culpabilité de la Chine, les vaccins, les médicaments utiles, les confinements, les préférences raciales et les établissements de soins de longue durée.
https://www.zerohedge.com/markets/politicizing-covid-19-start
Au départ, TOUS les gouvernement de merde qui dirigent le monde ont été d'accord pour interdire les voyages en avion alors qu'ils savaient par avance que le virus n'était PAS dans l'air mais uniquement disponible en seringues.
SupprimerMais je reconnais m'être trompé dès le début où j'ai rigolé au mot 'virus'. Car un virus est une poussière (émise par le magma), mais ce nom a été 'accidentellement' employé pour les ordinateurs, puis le 'virus' du bon vin, le 'virus' de la bonne chaire, le 'virus' de la chasse, etc, etc.
Donc, j'ai pensé microbes car seuls les microbes transmettent les maladies. Puis, réflexion faite après l'examen des flacons par la docteur Carrie Madej, qu'il s'agissait bien de poussières ! Oui mais cette fois pas de poussières parfaitement inoffensives venues du magma mais des poussières fabriquées en laboratoires. Des poussières dites 'intelligentes' car elles sont contrôlables à distance. Ce sont en fait des nano-particules découpées de telle sorte qu'elles peuvent être assemblées parfaitement jointées à la formation de boules (caillot apportant la mort immédiate), soit mise en formation de fils (appelés 'morgelons') qui serviront d'antennes-relais entre les émetteurs (téléphones portables ou 5G) et le cerveau.
Mais ces dites poussières intelligentes ont aussi la particularité de renfermer en leur centre (pour éviter de dire 'cœur') du poison ! De l'oxyde de graphène qui est un poison mortel violent. Elles peuvent donc être décapsulées à distance pour libéré la mort transportée depuis la seringue.
https://educate-yourself.org/mc/
https://rudy2.wordpress.com
Les enseignants de toute la France organisent un débrayage de masse sur les règles COVID-19 en constante évolution du gouvernement
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 10:30
Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times,
Les enseignants de toute la France ont organisé une grève massive cette semaine pour protester contre les règles COVID-19 en constante évolution du gouvernement pour ceux qui travaillent dans le secteur de l'éducation qui, selon eux, ne protègent pas à la fois le personnel et les étudiants.
Le ministère français de l'Éducation a estimé qu'environ 31 % de tous les enseignants du pays avaient pris part à la grève jeudi, dont 38 % travaillaient dans les écoles primaires et près de 24 % dans les écoles secondaires.
Un communiqué du bureau du maire de Paris indique que dans la capitale, environ 58% du personnel enseignant a pris part à la grève et environ 200 écoles ont été contraintes de fermer, bien que les syndicats et les syndicats d'enseignants mettent ces chiffres beaucoup plus élevés, à 75 pour cent.
Les manifestations sont survenues alors que les enseignants de toute la France sont de plus en plus frustrés par les politiques en constante évolution du gouvernement concernant la pandémie, qui a vu les règles de test pour les enfants modifiées à plusieurs reprises depuis le début de cette année seulement, souvent à la toute dernière minute.
En plus de cela, les éducateurs disent que l'approche du gouvernement face à la pandémie ne parvient pas à protéger les enfants ou à assurer une couverture de remplacement pour les enseignants qui tombent malades du coronavirus. Les syndicats demandent également au gouvernement de fournir des masques FFP2 plus protecteurs pour le personnel ainsi que des moniteurs de dioxyde de carbone dans les salles de classe afin qu'ils puissent s'assurer qu'ils sont suffisamment ventilés, selon The Guardian.
Malgré une augmentation des cas de virus dans les écoles à travers la France, qui ont atteint des records de près de 370 000 nouveaux cas quotidiens, le gouvernement a jusqu'à présent maintenu les classes ouvertes et exigé que tous les élèves en contact avec une personne infectée se fassent tester trois fois.
"Nous étions arrivés à un tel niveau d'exaspération, de fatigue et de colère que nous n'avions pas d'autre choix que d'organiser une grève pour envoyer un message fort au gouvernement", a déclaré la responsable syndicale Elisabeth Allain-Moreno.
Lundi, le Premier ministre français Jean Castex a annoncé que les règles changeaient encore une fois, déclarant à la chaîne de télévision France 2 que les étudiants seraient désormais tenus de prendre trois COVID-19 auto-administrés à la maison, qui seront gratuits, au lieu d'avoir PCR ou des tests antigéniques, puis deux tests auto-administrés le deuxième et le quatrième jour.
RépondreSupprimer"Cela aura un effet sur les files d'attente [hors pharmacies]", a déclaré Castex.
Mais jeudi, Snuipp-F.S.U., un important syndicat du personnel des écoles élémentaires, a critiqué le gouvernement pour avoir prétendument mis à jour les règles via les médias au lieu d'informer les enseignants au préalable.
"Le discours télévisé du Premier ministre ignorant les demandes du personnel a une fois de plus démontré le mépris du gouvernement amplifiant leur colère et leur mobilisation", a déclaré SUNipp-FSU.
"Une fois de plus, l'allégement protocolaire est annoncé dans les médias, et le personnel des écoles doit répondre à partir de ce matin aux questions des familles sans aucune consigne officielle."
Le syndicat a souligné que les manifestations de masse n'étaient pas "une grève contre le virus" mais illustraient les frustrations croissantes des enseignants, notant que le manque de remplaçants pour les enseignants malades ajoutait une pression supplémentaire sur le système éducatif.
"Non seulement le protocole actuel ne protège pas les élèves, le personnel et leurs familles, mais il désorganise également complètement l'école", a déclaré SUNipp-FSU. "Dans les conditions actuelles, les élèves ne peuvent pas apprendre correctement."
La France a connu des dizaines de manifestations ces derniers mois contre les mesures strictes qui ont été mises en place dans tout le pays en réponse à la pandémie de COVID-19.
Le pays a imposé un laissez-passer sanitaire, ce qui signifie que les gens doivent présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour entrer dans les restaurants, les cafés et les bars, visiter les cinémas et utiliser les trains interrégionaux.
Cependant, le gouvernement veut promulguer une loi d'ici le milieu de ce mois qui abandonnerait ce laissez-passer sanitaire et empêcherait les personnes non vaccinées d'entrer dans les lieux d'accueil, interdisant essentiellement aux personnes non vaccinées de la vie publique.
Le président Emmanuel Macron a exprimé ouvertement ses réflexions sur ceux qui refusent de se faire vacciner et a promis de rendre leur vie misérable, ce qui a provoqué des réactions négatives dans tout le pays.
"Je ne suis pas pour faire chier les Français... Maintenant les non vaccinés, j'ai vraiment envie de les faire chier. Et donc, nous allons continuer à le faire, jusqu'à la fin. C'est la stratégie », a déclaré Macron lors d'un entretien avec Le Parisien au début du mois.
RépondreSupprimerMacron a ajouté que s'il "n'enverra pas [de personnes non vaccinées] en prison", il "rendra leur vie plus compliquée et encouragera les personnes qui refusent de se faire vacciner à le faire en "limitant autant que possible leur accès aux activités sociales". vie."
« Nous devons donc leur dire qu'à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restaurant. Vous ne pourrez plus aller prendre un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre. Vous ne pourrez plus aller au cinéma », a-t-il déclaré.
La France est l'un des pays les plus vaccinés au monde, avec plus de 90 % des personnes âgées de 12 ans et plus complètement vaccinées.
https://www.zerohedge.com/political/teachers-across-france-stage-mass-walkout-over-govts-ever-changing-covid-19-rules
La chose que je n'osais même présager était que, comme les animaux respirent comme nous, si le virus était dans l'air, eux aussi devrait mourir. Oui mais, le programme 'Dépopulation21' qui a pris du retard, propose en volet supplémentaire non-pas de vacciner les vaches, poules, chiens, chats, souris, oiseaux et moustiques mais de les effacer de la surface du monde car ils seraient tous porteurs (asymptomatiques !!) de maladies mortelles !!!
SupprimerAinsi, après les adultes qui respirent, on passe aux jeunes qui osent respirer, puis aux nouveaux-nés qui veulent faire comme les autres ! après on passera aux spermatozoïdes masqués et distancés de 2 m, puis aux bancs de poissons, aux colonies de fourmis, aux troupeaux de zébus et aux nuées d'oiseaux !
Rappel qu'il n'Y A PAS d'antidote au poison injecté ! Une piqûre létale c'est pas du bonbon grenadine ! Compris ?
Parce que je vous rappellerais que NOUS RESPIRONS TOUTES & TOUS 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et donc DES milliards depuis ce matin et des milliards de trains de milliards depuis notre naissance et QUE NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Et donc: quand les criminels-escrocs font des tests, ils trouvent FORCÉMENT des millions de virus respirés ! Donc il y a au monde 7 milliards 900 millions de personnes testées positives à abattre !
Coronavirus : que se passe-t-il en Israël ?
RépondreSupprimerle 16 janvier 2022
Je sais que je ne vais pas me faire d’amis avec ce billet mais il est important d’attirer l’attention des lecteurs de ce blog. Israël est le pays le plus « vacciné » dans le monde dit occidental. Tant qu’il y aura des « cas » et des hospitalisations dues à une infection par le coronavirus, quel que soit le mutant, l’ensemble de la population résidente devra subir des rappels. Malgré les évidences scientifiques indiquant que les anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus reconnaissent également la syncytine, les autorités israéliennes continuent à encourager par des moyens souvent coercitifs cette injection d’ARN messager codant pour la protéine dite Spike. De plus la protéine produite par les cellules du sujet ayant subi cette injection perturbe profondément le système immunitaire, provoque des thromboses et des péricardites souvent mortelles et rend paradoxalement les sujets plus sensibles aux infections par le coronavirus. Mais il ne faut pas en parler car ça énerve les dirigeants des grandes firmes pharmaceutiques ainsi que les dirigeants politiques.
Le cas de la syncytine est plus préoccupant car l’administration de cet ARN messager provoque chez les femmes devenues enceintes après cette injection un risque de fausse-couche dont la fréquence inquiétante et jamais observée auparavant est soigneusement dissimulée par les gouvernements. Il n’existe aucune statistique précise et fiable à ce sujet y compris en Israël. Pourtant le gouvernement de ce pays doit être aujourd’hui très inquiet car si les femmes israéliennes qui ont déjà à ce jour subi en moyenne 4 injections de ce poison ne peuvent plus porter un enfant en toute sécurité il en va de l’avenir du pays. Et c’est sur ce point précis qu’il est intéressant de rapprocher une autre information également en provenance d’Israël.
La loi israélienne vient d’être modifiée en ce qui concerne les mères porteuses pour autrui (surrogacy en anglais). Jusqu’au 11 janvier 2022, date à laquelle la nouvelle loi concernant les mères porteuses a été mise en application, les dispositions légales israéliennes étaient très strictes. D’un seul coup elles viennent d’être libéralisées en élargissant le service des mères porteuses aux femmes célibataires, aux couples homosexuels quel que soit leur sexe et aux couples non mariés officiellement. L’aspect financier ne tardera pas à apparaître car un mère porteuse c’est aussi le service d’une clinique de fécondation in vitro ainsi que le suivi de la santé de la mère porteuse. La facture s’élève à environ 50000 dollars, somme partagée pour moitié respectivement entre la mère porteuse et la clinique. S’il faut une donneuse d’ovules ou un donneur de sperme, la facture augmente, c’est normal.
Il est intéressant de rapprocher cette information de la frénésie de « vaccination » que connaît depuis une année l’Etat d’Israël. Si l’injection de cet ARN messager risque de provoquer des fausses-couches autant ne pas prendre de risque au sujet de la pérennité du pays lui-même. Partant du principe que les gamètes sont à l’abri, ce qui n’est pas encore prouvé, alors le recours à une mère porteuse est tout à fait indiqué. Des pays comme le Mexique, le Portugal ou encore l’Ukraine proposent ce genre de service en toute légalité.
RépondreSupprimerPour conclure ce billet je voudrais à nouveau insister sur le fait que les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas effectué une recherche élémentaire sur le plan technique au sujet des éventuelles réactions croisées entre les anticorps anti-Spike et d’autres protéines humaines. Il suffisait de réaliser un « western-blot », une technique connue de tous les laboratoires de biologie depuis des années. C’est incompréhensible. Il est certain que des biologistes israéliens ont lancé l’alerte auprès de leur gouvernement afin de prendre des mesures sérieuses pour sauver le « Peuple élu ». Bienvenue dans un monde hostile à la Bill Gates, un individu peut-être opposé à la prospérité de l’Etat d’Israël … mais je m’égare.
Lien : https://www.health.gov.il/English/Topics/fertility/Surrogacy/Pages/default.aspx
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/16/coronavirus-que-se-passe-t-il-en-israel/
Parfois nos parents, grands-parents ou encore nos arrières grands-parents ont connus la guerre. Durant de longues années c'était la privation, l'inquiétude, l'occupation et l'information TSF qui arrivait au compte-gouttes. Ils en étaient là. Nous en sommes là.
SupprimerIl ne suffit pas d'être persuadé ou de se persuader soi-même encore faut-il que l'intelligence y soit ! Or, figurez-vous qu'au siècle de l'Internet l'Intelligence fait loi et la vérité gagne toujours sur le mensonge même si ce dernier à une arme à destruction massive en main.
C'est là une guerre différente. Une guerre qui 'serait' comprise par tous mais le problème sont les cons. Ce n'est plus 'radio-Londres' mais 'Internet-Mondial'. Heureux sont les fermiers ou montagnards ou iléens qui vivent en marge de cette société pourrie. Eux ne portent jamais de masque, cultivent, ramassent les œufs des poules et s'écartent de cette merde-en-villes allant jusqu'à oublier ce spectacle navrant qui les entoure.
Pays qui ont vacciné massivement
RépondreSupprimer["AVANT" = 18.12.20 / "APRÈS" = 14.01.22]
• Australie
AVANT: 908 morts Covid
APRÈS: 2621morts Covid ! (×2,9)
Taux de vaccination = 78,9 %
• Corée du Sud
AVANT: 529 morts Covid
APRÈS: 6281 morts Covid !! (×12)
Taux de vaccination = 84,6 %
• Singapour
AVANT: 29 morts Covid
APRÈS: 840 morts Covid !! (×29)
Taux de vaccination = 82,9 %
https://www.coronavirus-statistiques.com/.../coronavirus.../
• Danemark
AVANT: 975 morts Covid
APRÈS: 3 485 morts Covid ! (×3,6)
Taux de vaccination = 80,4 %
• France
AVANT: 58 989 morts Covid
APRÈS: 127 711 morts Covid ! (×2,2)
Taux de vaccination = 75,4 %
• Taiwan
AVANT: 7 morts Covid
APRÈS: 851 morts Covid !! (×122)
Taux de vaccination = 70,7 %
• Vietnam
AVANT: 35 morts Covid
APRÈS: 35 341 morts Covid !!! (×1000)
Taux de vaccination = 71 %
• Suède
AVANT: 7 802 morts Covid
APRÈS: 15 513 morts Covid ! (×2)
Taux de vaccination = 72,6 %
👉 Chiffres de l'institut John Hopkins :
https://coronavirus.jhu.edu/map.html
https://www.facebook.com/chloe.fra.9
Le film Planet Lockdown est disponible.
RépondreSupprimerJANVIER 16, 2022
PAR LHK
La rencontre avec l’équipe de Planet lockdown fut pour moi un moment incroyable tant la relation avec l’équipe du film a été intense. Imaginez des jeunes gens qui décident de faire quelque chose pour l’humanité. Ils voyaient bien que quelque chose ne tournait pas rond dans le monde des virus et du partenariat sanitaire issu de l’amalgame indigeste des secteurs publics-privés.
Ils ont donc pris le matériel nécessaire et sont partis à a découverte d’un Occident brisé dont la population semble prise en otage quand elle n’a pas tout simplement pas succombé à un virus dont les traitements ont été confisqués.
Le sort qui a été réservé aux personnes âgées isolées est un élément marquant de ce méprisable épisode de l’histoire humaine.
L’autre élément scandaleux étant la vaccination d’enfants et mineurs qui n’ont pas donné leur consentement à leur participation à l’immense expérimentation.
La bonne nouvelle est que l’édifice officiel commence à prendre l’eau de tous les côtés (cf article ci-dessous). Je suppose que les gestionnaires de la crise covidienne commencent à s’inquiéter….
Bref, après plus d’une année de travail, le film Planet Lockdown a été mis à disposition du public hier soir. Pour l’instant, je n’ai que la version anglaise. J’espère qu’une traduction française sera bientôt disponible.
https://brandnewtube.com/watch/planet-lockdown-full-uncensored-version-bnt-premiere_afGwhH344VFdP13.html
PS: je profite de cette publication pour vous inviter à découvrir cet article que je viens de recevoir. La vérité est en train de fissurer le mur étanche qui sépare les infos réelles (y compris scientifiques) de la propagande des médias officiels, devenus pour certains les chargés de com (influenceurs) des politiciens et des industriels des BigPharma.
https://www.leparisien.fr/societe/sante/origine-du-covid-19-5-minutes-pour-comprendre-pourquoi-la-polemique-rebondit-aux-etats-unis-15-01-2022-GROQ6MD7ARF57MTCX43LAUAWDI.php%2016/01/2022%2011:12
https://lilianeheldkhawam.com/2022/01/16/le-film-planet-lockdown-est-disponible/
Visualiser l'économie mondiale de 94 000 milliards de dollars dans un seul graphique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 15 JANVIER 2022 - 23:00
Seuls quatre pays - les États-Unis, la Chine, le Japon et l'Allemagne - représentent plus de la moitié de la production économique mondiale par produit intérieur brut (PIB) en termes nominaux. En fait, comme le note Dorothy Neufeld de Visual Capitalist, le PIB des États-Unis à lui seul est supérieur au PIB combiné de 170 pays.
Comment comparer les différentes économies du monde ? Dans cette visualisation, nous examinons le PIB par pays en 2021, en utilisant des données et des estimations du Fonds monétaire international (FMI).
- voir graph sur site -
Un aperçu du PIB
Le PIB sert d'indicateur général de la production économique d'un pays. Il mesure la valeur marchande totale des biens et services finaux produits dans un pays au cours d'une période donnée, par exemple un trimestre ou une année. En outre, le PIB prend également en considération la production de services fournis par le gouvernement, tels que l'argent dépensé pour la défense, la santé ou l'éducation.
De manière générale, lorsque le PIB augmente dans un pays, c'est le signe d'une plus grande activité économique qui profite aux travailleurs et aux entreprises (alors que l'inverse est vrai pour une baisse).
L'économie mondiale : les 50 principaux pays
Qui sont les plus gros contributeurs à l'économie mondiale ? Voici le classement des 50 plus grands pays par PIB en 2021 :
- voir liste sur site -
* PIB 2020 (dernier disponible) utilisé lorsque les estimations du FMI pour 2021 n'étaient pas disponibles.
À 22 900 milliards de dollars, le PIB américain représente environ 25 % de l'économie mondiale, une part qui a en fait considérablement changé au cours des 60 dernières années. Les secteurs de la finance, des assurances et de l'immobilier (4,7 billions de dollars) contribuent le plus à l'économie du pays, suivis des services professionnels et commerciaux (2,7 billions de dollars) et du gouvernement (2,6 billions de dollars).
L'économie chinoise est deuxième en termes nominaux, oscillant autour de 17 000 milliards de dollars de PIB. Il reste le plus grand fabricant au monde en termes de production avec une production extensive d'acier, d'électronique et de robotique, entre autres.
La plus grande économie d'Europe est l'Allemagne, qui exporte environ 20% des véhicules à moteur du monde. En 2019, le commerce global équivalait à près de 90% du PIB du pays.
L'économie mondiale : 50 plus petits pays
À l'autre extrémité du spectre se trouvent les plus petites économies du monde en termes de PIB, principalement les pays en développement et insulaires.
Avec un PIB de 70 millions de dollars, Tuvalu est la plus petite économie du monde. Située entre Hawaï et l'Australie, la plus grande industrie de cet archipel volcanique repose sur des droits de pêche territoriaux.
En outre, le pays tire des revenus importants de son domaine Web ".tv". Entre 2011 et 2019, il a gagné 5 millions de dollars par an auprès d'entreprises, dont Twitch, propriété d'Amazon, pour la licence du nom de domaine Twitch.tv, ce qui équivaut à environ 7 % du PIB du pays.
- voir liste sur site -
* PIB 2019 (dernier disponible) utilisé là où les estimations du FMI pour 2021 n'étaient pas disponibles.
Comme Tuvalu, bon nombre des plus petites économies du monde se trouvent en Océanie, notamment Nauru, Palau et Kiribati. En outre, plusieurs pays ci-dessus dépendent de l'industrie du tourisme pour plus d'un tiers de leur emploi.
Les économies à la croissance la plus rapide au monde en 2021
Avec une croissance du PIB prévue de 123 %, l'économie libyenne devrait connaître la plus forte hausse.
Le pétrole propulse sa croissance, avec 1,2 million de barils pompés quotidiennement dans le pays. Parallèlement à cela, les exportations et une devise déprimée sont parmi les principaux facteurs de sa reprise.
- voir liste sur site -
L'économie irlandaise, avec une croissance du PIB réel prévue de 13 %, est soutenue par les plus grandes sociétés multinationales du monde. Facebook, TikTok, Google, Apple et Pfizer ont tous leur siège européen dans le pays, qui a un taux d'imposition des sociétés de 12,5 %, soit environ la moitié de la moyenne mondiale. Mais ces taux devraient bientôt changer, car l'Irlande a rejoint l'accord de l'OCDE sur le taux minimum d'imposition des sociétés de 15 % qui a été finalisé en octobre 2021.
RépondreSupprimerL'économie de Macao a rebondi après que les restrictions liées au COVID-19 ont commencé à se lever, mais d'autres nuages d'orage se profilent à l'horizon pour le district chinois. La campagne anti-corruption du PCC et les récentes arrestations pourraient signaler une relation plus tendue entre la Chine continentale et le plus grand centre de jeu au monde.
Perspectives d'avenir sur le PIB mondial
Le chiffre du PIB mondial de 94 000 milliards de dollars peut nous sembler énorme aujourd'hui, mais un tel total pourrait sembler beaucoup plus modeste à l'avenir.
En 1970, l'économie mondiale ne représentait qu'environ 3 000 milliards de dollars de PIB, soit 30 fois moins qu'elle ne l'est aujourd'hui. Au cours des trente prochaines années, l'économie mondiale devrait à nouveau plus ou moins doubler. D'ici 2050, le PIB mondial pourrait totaliser près de 180 000 milliards de dollars.
https://www.zerohedge.com/economics/visualizing-94-trillion-world-economy-one-chart
Retraites : et si les Suisses avaient raison ?
RépondreSupprimerle 17 janvier 2022
Xavier Fontanet.
Un sondage (Smartvote) fait en Suisse, le 19 août 2019, révèle que la majorité des candidats à la députation est en faveur d’un recul de l’âge de la retraite à… 67 ans. Impensable ici. Pourtant, s’il y a une chose à expliquer dans cette période de consultation sur la loi retraite, c’est comment s’en tirer, chez nous, sans bouger significativement l’âge de la retraite ni augmenter la durée de cotisation ?
Surcharge pour les entreprises
Rappelons quelques faits. En 1983, quand Mitterrand a lancé l’idée de la retraite à 60 ans, il y avait quatre cotisants pour un retraité et l’espérance de vie était de 72 ans, soit 12 ans de retraite en moyenne. Aujourd’hui l’espérance de vie est de 84 ans, ce qui fait 22 ans de retraite. Et il n’y a plus que 1,7 cotisant par retraité. En 36 ans, la durée de retraite a été augmentée de 83 % et le pourcentage de ceux qui cotisent réduit de 57 %.
On en a remis une couche avec les 35 heures, qui reviennent à annihiler au moins quatre ans de cotisation. Pour faire simple, le ratio cotisants-retraités a été divisé par cinq. On a certes doublé la part du PIB consacrée aux retraites à 13,8 % (sous Mitterrand le ratio était d’environ 7 %), mais au prix d’une surcharge accrue pour nos entreprises. Il y a aussi eu des gains de productivité, mais la situation n’est absolument pas tenable.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail. On dira : « Ils sont différents ! » Regardons alors nos autres voisins : le départ à la retraite se situe partout entre 65 et 67 ans. Si partir à 67 ans est un argument électoral de l’autre côté de la frontière, est-ce parce que le chocolat qu’ils consomment leur dérègle l’esprit ou parce que devant les faits ils sont, contrairement à nous, humbles et capables de se remettre en question ?
https://www.contrepoints.org/2022/01/17/353944-retraites-et-si-les-suisses-avaient-raison
Le calcul n'est pas clair. Un cotisant cotise, il y a donc 1:1. Chacun se fait SA retraite.
SupprimerRegardez aux States avant qu'arrive le kényan ObamasquéÔhéÔhé, chacun plaçait son argent en banques, la banque apporte des intérêts et, l'Américain prend sa retraite QUAND IL VEUT, et quand il décède son épouse hérite de 100 % du placement de son mari.
A savoir que la retraite (arrêt de travail) ne dépend PAS de l'âge mais du travail effectué durant la vie !
Un fonctionnaire n'est pas fatigué, tandis qu'un paysan qui travaille 7/7 jours l'est !
Le malus écologique sur les automobiles, une taxe perverse
RépondreSupprimerAucun raisonnement, ni logique, ni écologique, ne peut justifier ni le mode de calcul ni le montant du malus imposé aux seuls acheteurs de voitures neuves.
le 17 janvier 2022
Par Vincent Benard.
Un article de l’IREF Europe
La cuvée 2022 du malus écologique automobile est arrivée, toujours plus saumâtre, puisqu’à émissions égales, la hausse tourne autour de 50 % par rapport au tarif 2021.
Le malus est une taxe à l’achat du véhicule, définie en fonction des grammes de gaz carbonique émis par votre véhicule à chaque kilomètre selon une mesure normalisée officielle. Si votre véhicule émet moins de 127 g de gaz carbonique au km selon cette norme, vous ne payez pas de malus. Au-delà, pour chaque gramme, le barème augmente, suivant une logique… qui défie toute logique.
Baroque barème !
En effet, le malus est justifié par le fait qu’il force l’acheteur à payer pour les tonnes de gaz carbonique que son véhicule émettra tout au long de sa durée de vie. Vous pensez donc que ce malus est représentatif d’un prix à la tonne multiplié par la distance parcourue en moyenne par un véhicule au cours de sa vie (13 000 km/an, 250 000 km au total) ? Hé bien pas du tout !
En effet, le prix à la tonne n’augmente pas du tout de façon linéaire, comme le montre le graphique ci dessous:
- voir graph sur site -
L’acheteur d’une voiture émettant 127 g/km, soit 31,75 tonnes durant ses 250 000 km de vie, ne paie rien. Pour 140g (35 tonnes), chaque tonne de gaz carbonique lui est facturée 9 euros, mais pour 160 g (40 tonnes), la tonne est facturée 55 euros, et pour 200 g, 363 euros !
Et la différence est encore plus flagrante si vous considérez qu’un véhicule émettant 31,75 tonnes au cours de sa durée de vie, ne paie rien. Si vous considérez que le législateur vous alloue de ce fait un quota de 31,75 tonnes par véhicule, alors le coût de chaque tonne émise au-delà de ce quota évolue ainsi :
- voir graph sur site -
Le véhicule qui émet 128 g au km se voit, selon cette modalité, plus pénalisé que celui qui en émet 140, puisque la tonne au-dessus du seuil de gratuité lui est facturée 200 euros, contre 95 euros, ce qui est tout de même fort de café.
Puis au-delà de 140, la courbe reprend son hyper-progressivité. Un véhicule émettant 160 grammes (2205 euros de malus), émettant en moyenne 40 tonnes au cours de sa vie, voit chaque tonne émise hors-quota être facturée 267 euros à son acheteur. Pour 180 g, le prix de la tonne hors quota atteint 563 euros, et pour 200 g, la barre des 1000 euros par tonne est allègrement franchie ! La taxe parabolique, vous n’en avez pas rêvé, l’État l’a quand même faite.
Ce sont les mêmes tonnes de gaz carbonique . Une tonne de gaz carbonique émise par un véhicule émettant 100 g au km a exactement la même influence atmosphérique qu’une tonne émise par un véhicule émettant 200 g. La logique voudrait que le second paie deux fois plus au kilomètre que le premier, mais pas plus. Pourtant, le prix imposé pour chaque tonne par le malus n’est pas identique, des accroissements mineurs des émissions se traduisent par une hyperinflation de la taxe.
- voir graph sur site -
L’acheteur de voiture neuve, cette vache à lait
Ces prix fous sont à mettre en rapport avec le cours moyen de la tonne de carbone en Europe supporté par les agents économiques lorsqu’ils échangent leurs quotas de gaz carbonique sur les marchés officiels (source ministère, prix en dollars) :
- voir graph sur site -
L’acheteur d’une voiture consommant 7 litres au 100 km voit donc ses émissions futures, au-delà de son quota de gratuité, lui être facturées beaucoup plus cher que les émissions d’une entreprise dans la même situation.
Pire encore, cette taxe est identique qu’il roule 13 000 km par an, ou 8000, ou 25 000. Qu’il ait le pied lourd ou soit un conducteur économe. L’acheteur de la voiture neuve paie la taxe, qu’il conserve le véhicule jusqu’à sa destruction, ou qu’il la revende, l’acheteur de seconde main n’étant quant à lui pas (encore ?) soumis à cette obligation. Cette taxe viole donc le principe pollueur payeur par de nombreux aspects.
RépondreSupprimerLa taxe carbone existe déjà, c’est la TICPE
Au reste, il existe déjà une taxe carbone sur l’usage de l’automobile, beaucoup plus justifiable intellectuellement, quand bien même les automobilistes la jugent désagréable : c’est la TICPE prélevée sur les carburants. Celle-ci représente pour le contribuable une charge strictement proportionnelle à la consommation, que l’on roule peu, beaucoup, avec le pied lourd ou léger, avec un véhicule économe ou luxueux.
La TICPE (plus la TVA sur la taxe) payée par les seuls automobilistes a représenté 24 milliards d’euros en 2018, pour environ 75 millions de tonnes de gaz carbonique émises, soit un coût de 320 euros à la tonne, déjà incroyablement supérieur au cours de la tonne sur les marchés d’échange du carbone.
De plus, les 24 milliards correspondent quasiment aux subventions cumulées versées à la SNCF et aux régies locales de transport, supposées être plus vertueuses en termes d’émissions de gaz carbonique que l’automobile. Sans ces subventions, ces organismes seraient en faillite et ne pourraient assurer leur service de transport moins émissif. On peut donc affirmer que la TICPE est largement suffisante pour dédouaner l’automobiliste des effets supposés de ses émissions de gaz carbonique .
Conclusion
Aucun raisonnement, ni logique, ni écologique, ne peut justifier ni le mode de calcul ni le montant du malus imposé aux seuls acheteurs de voitures neuves, ni les différences de taxes imposées à des acheteurs de voitures aux émissions marginalement différentes. Il est donc permis de se demander si cette taxe ne constitue pas une violation flagrante de l’égalité des contribuables devant l’impôt. N’y aurait-il pas matière à former un recours collectif contre cette taxe de ce point de vue ?
https://www.contrepoints.org/2022/01/17/419232-le-malus-ecologique-sur-les-automobiles-une-taxe-perverse
Premièrement, taxer le gaz carbonique est UNE ESCROQUERIE ! Car le gaz carbonique (comme TOUT autre gaz se recycle immédiatement (sans quoi aucune vie sur Terre ne serait possible depuis des millions d'années).
SupprimerDeuxièment, il ne faut ni compter sur les 'journalistes' ni sur les 'politiques' (même dites d''opposition' HAHAHA !) pour vous expliquer scientifiquement la réalité des choses (alors qu'ils se disent plus intelligents que les scientifiques sans jamais avoir fait même 1 heure d'étude scientifique !!).
Troisièmement, le gaz carbonique n'est PAS un poison et n'a aucun pouvoir calorifique.
Construire un mouvement mondial contre la «Tyrannie Covid »
RépondreSupprimerPar Prof Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca, 13 janvier 2022
Ce qui est présenté dans cet article est un avant-projet : des suggestions de concepts et d’idées relatives à la formulation d’un Mouvement mondial.
La prise de la Bastille a eu lieu à Paris dans l’après-midi du 14 juillet 1789. La Bastille était une armurerie médiévale, une forteresse et une prison politique. C’était le symbole de l’Autorité royale sous le règne du roi Louis XVI.
La monarchie française fut obligée d’accepter l’autorité de l’Assemblée nationale et de reconnaître les droits fondamentaux énoncés dans la « Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen » formulée au début d’août 1979.
Plus de 230 ans plus tard, ces droits fondamentaux ( Liberté, Égalité, Fraternité ) sont désormais bafoués au niveau mondial par des gouvernements corrompus agissant au nom des élites dans le cadre d’un projet politique totalitaire.
« Bastille 2022 » ne concerne pas seulement le rétablissement de ces droits fondamentaux. Il cherche à inverser et à désactiver le programme criminel COVID-19 qui, au cours des deux dernières années, a déclenché un chaos économique, social et politique dans le monde entier, dans 193 États membres des Nations Unies, accompagné de faillites, de chômage, d’extrême pauvreté et de désespoir.
À partir de novembre 2020, un vaccin expérimental à ARNm lancé par nos gouvernements (prétendument dans le but de lutter contre la propagation du virus) a entraîné une tendance mondiale croissante des décès et des blessures liés au vaccin. C’est un vaccin tueur. C’est un crime contre l’humanité.
« Bastille 2022 » n’est pas un mouvement de « protestation » au sens strict du terme.
Nous ne cherchons pas à négocier avec une classe politique corrompue. Nous remettons en cause leur légitimité. Ce sont des menteurs.
Notre intention est de confronter les acteurs derrière cette initiative criminelle qui littéralement détruit la vie des peuples dans le monde entier, tout en créant des divisions au sein de la société. Les impacts sur la santé mentale des groupes de population dans le monde sont dévastateurs.
Les nombreux confinements (maintien à domicile de la main-d’œuvre), les campagnes de peur, les mandats politiques COVID-19 imposés à 193 États membres des Nations Unies ont également contribué à déstabiliser :
Le tissu même de la société civile et de ses institutions, y compris l’éducation, la culture et les arts, les rassemblements sociaux, les sports, les divertissements, etc.
Toutes les activités du secteur public, y compris les infrastructures physiques et sociales, les services sociaux, etc.
Toutes les activités du secteur privé qui caractérisent les économies nationales, régionales et locales, y compris les petites, moyennes et grandes entreprises, les exploitations agricoles familiales, l’industrie, le commerce de gros et de détail, l’économie des services urbains, les entreprises de transport, les compagnies aériennes, les chaînes hôtelières, etc.
Les structures de l’économie mondiale, y compris le commerce international des produits de base, l’investissement, les relations d’importation et d’exportation entre les pays, etc. L’ensemble du paysage de l’économie mondiale a été chambardé.
À son tour, un processus d’enrichissement des milliardaires ainsi que l’aggravation des inégalités sociales fut enclenché. Les dettes massives contractées par l’État-nation résultant de la corruption ainsi que de l’effondrement fiscal ont grimpé en flèche. Les gouvernements nationaux sont une camisole de force, sous le poids de puissantes institutions créancières. L’endettement croissant à tous les niveaux de la société en est la force motrice.
La création d’un mouvement de masse
RépondreSupprimerCe qui est en jeu, c’est la création d’un mouvement de masse (national et mondial) qui remet en cause la légitimité et l’autorité des architectes de ce projet insidieux qui émane au sens large de :
Big Money, Big Pharma, des Conglomérats des Technologies de l’Information, l’Appareil de Sécurité, Le renseignement, le complexe militaro-industriel, les conglomérats de l’énergie, les médias corporatifs.
Ironiquement, les architectes de la « pandémie » de COVID-19 sont désormais activement impliqués dans la formulation de la « Solution ». La grande réinitialisation du Forum économique mondial consiste à installer un régime totalitaire mondial. Ce qui est envisagé est un système de « Gouvernance mondiale » .
Plus de 190 États membres de l’ONU sont affaiblis et minés par ces mesures. Ils sont en proie à la crise de la dette la plus grave de l’histoire mondiale. Dans le cadre de la Grande Réinitialisation (Great Reset), les institutions de la démocratie parlementaire et de l’État-providence doivent être remplacées par un « partenariat public-privé » non élu dominé par les échelons supérieurs de l’establishment financier. Pour reprendre les mots de feu David Rockefeller :
« … Le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés . » (cité par Aspen Times , 15 août 2011, italique ajouté)
Le scénario de la Gouvernance Globale [Mondiale] impose un agenda d’ingénierie sociale et de conformité économique :
Il constitue une extension du cadre politique néolibéral imposé aux pays en développement comme aux pays développés. Il consiste à supprimer « l’autodétermination nationale » et à construire un réseau mondial de régimes par procuration contrôlés par une « souveraineté supranationale » (Gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, chapitre XIII )
Restaurer une vraie démocratie
Nous envisagerons toutes les voies par des moyens pacifiques pour désactiver et saper ce projet totalitaire, y compris le dialogue (démocratique) avec et au sein des institutions publiques et privées, des responsables de l’application des lois, des membres de l’armée et de la justice.
Ce qu’il faut, c’est briser les structures de corruption, de hiérarchie et d’autorité abusive, c’est-à-dire poursuivre ce que l’on pourrait décrire comme étant:
« la démocratisation de la prise de décision au sein de nos institutions ».
L’art de la tromperie
Nous devons néanmoins comprendre les limites de la conduite de procédures judiciaires efficaces contre les gouvernements nationaux. Les juges sont souvent sous pression, menacés et corrompus, alignés à la fois sur les intérêts financiers dominants et les politiciens.
De plus, dans la mesure où ce projet insidieux est mis en œuvre par les gouvernements nationaux du monde entier, la Cour pénale internationale (CPI) qui est officiellement « indépendante » vis-à-vis du Conseil de sécurité de l’ONU, a un historique de longue date afin passer sous silence les crimes de guerre commises par les États-Unis et l’OTAN. Le CPI est contrôlé par les mêmes élites financières qui contrôlent les gouvernements.
RépondreSupprimerNous devons également comprendre les complexités de ce projet totalitaire soigneusement conçu et coordonné, à savoir le rôle de diverses institutions financières frauduleuses, de groupes de conseil et de lobbying, de consultants, de « conseillers scientifiques », etc. agissant comme intermédiaires pour le compte de Big Pharma et de la classe financière.
Il y a une hiérarchie dans les structures d’autorité. Ce processus décisionnel complexe est utilisé pour coopter, soudoyer et manipuler la classe politique et les hauts fonctionnaires. Des mandats politiques presque identiques (émanant d’une autorité supérieure) sont mis en œuvre simultanément dans de nombreux pays, nécessitant une coordination active. Les mêmes puissants groupes de pression agissent de manière simultanée dans différents pays (par exemple en Amérique du Nord et dans l’Union européenne).
Un vaste budget de plusieurs milliards de dollars a été alloué à la mise en œuvre dans le monde entier des mandats politiques COVID-19 . Ces derniers ont été propices à la déstabilisation de la société civile et de ses institutions avec notamment la perturbation (déréglementation) des services de santé, d’éducation, de sports, d’activités culturelles, etc.
La légitimité des politiciens et de leurs puissants « sponsors Big Money » doit être remise en cause, y compris les mesures de l’État policier adoptées pour faire respecter l’imposition d’un passeport vaccinal numérique ainsi que le port du masque facial, la distanciation sociale, etc.
Quelles sont nos priorités ? Contre-propagande
Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement affectées par la crise corona. Plusieurs milliards de personnes ont déjà été vaccinées par un « vaccin » expérimental à ARNm « non approuvé », ce qui a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité.
Alors que cette tendance est confirmée par les chiffres officiels concernant les décès et les événements indésirables liés aux vaccins, les médias grand public et les gouvernements sont dans un état de déni et de refus.
Les effets dévastateurs sur la santé du vaccin COVID-19 sont rarement reconnus. C’est le même slogan (qui est un pur mensonge) répété ad nauseam : « le virus est bien plus dangereux que le vaccin ».
«Nous avons en fait plus de données de sécurité sur le vaccin que sur le virus, et nous voyons déjà que le virus est bien plus dangereux que le vaccin. ( Intersoins )
Le Dr Alan Schroeder pense qu’il est très naturel que les parents s’inquiètent, mais a déclaré que pour les adolescents, le virus est plus dangereux que le vaccin. ( NBC )
Les médecins le recherchent chez les enfants, mais l’essentiel reste que le virus est bien plus dangereux que le vaccin.
RépondreSupprimer« Les mutations du variant omicron le rendent [le virus] plus prolifique, dangereux et insaisissable »
etc.
Ce consensus de propagande doit être brisé. En ce qui concerne le vaccin, informer l’opinion publique (au niveaux national et mondial) des données sur les décès et les effets indésirables (blessures) constitue la première étape.
La crise COVID initiée en janvier 2020 est sans précédent dans l’histoire mondiale. La propagande selon le code de Nuremberg est un crime contre l’humanité .
Le démantèlement de l’appareil de propagande est crucial. La contre-propagande joue un rôle clé dans la révélation des mensonges utilisés pour justifier les mandats politiques.
Sans désinformation médiatique persistante, le discours officiel de COVID s’effondre.
Tout d’abord, nous devons défier les grands médias (mainstream), sans cibler pour autant les journalistes, qui ont reçu l’ordre de se conformer au discours officiel. Nous devons à cet égard favoriser le dialogue avec les journalistes indépendants.
Nous devons nous assurer que les peuples au niveaux national et international soient informés. qu’ils une connaissance de l’histoire et des impacts dévastateurs de la crise du COVID, étayés par des concepts, des analyses, des témoignages et des données scientifiques.
Cette initiative nécessitera un processus parallèle au niveau local, pour sensibiliser les concitoyens et établir un dialogue sur la nature de la présumée pandémie, du vaccin à ARNm, du test RT-PCR, ainsi que les impacts économiques et sociaux dévastateurs du processus de confinement.
Alors qu’il faut mettre un terme à la campagne de peur, il faudra néanmoins informer nos concitoyens des dangers du vaccin à ARNm ainsi que du chaos enclenché par ce projet totalitaire de « gouvernance mondiale » sur les structures mêmes de la société civile.
La « campagne de la peur » doit être remplacée par « des informations, des concepts, des analyses et des données » ainsi que des « stratégies » pour affronter Big Pharma, la classe politique corrompue ainsi que leurs « sponsors Big Money ».
Nous devons également assurer la conduite du dialogue et du débat à la base de la société.
Mettre fin au « vaccin tueur »
Notre première tâche est mettre fin immédiatement au soi-disant « vaccin » COVID-19 qui a déclenché une vague de mortalité et de morbidité au niveau mondial.
Selon le Dr Thomas Binder :
RépondreSupprimer« Les injections géniques sont dangereuses. Ils peuvent provoquer des réactions anaphylactiques, une thromboembolie, une thrombocytopénie, une coagulation intravasculaire disséminée et une myocardite à court terme.
Il existe une possibilité d’immunosuppression et de rehaussement dépendant des anticorps, ADE, à moyen terme.
Et à long terme, il existe des maladies auto-immunes possibles, le cancer et l’infertilité, des risques qui n’ont pas encore été écartés. »
Selon Doctors for COVID Ethics , dans l’UE, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les données respectivement compilées par EudraVigilance, MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis) :
« ont désormais enregistré beaucoup plus de décès et de blessures dus au déploiement du « vaccin » COVID-19 que tous les vaccins précédents combinés depuis le début des enregistrements »
En ce qui concerne le « vaccin » à ARNm, le nombre catastrophique de décès liés à l’injection n’a PAS été rapporté par les médias grand public, bien que les chiffres officiels soient publiquement disponibles.
« Le signal de danger est désormais incontestablement écrasant et, conformément aux normes éthiques universellement acceptées pour les essais cliniques, nous exigeons que le programme de « vaccination » COVID-19 soit immédiatement arrêté dans le monde entier.
La poursuite du programme, en toute connaissance de cause des dommages graves et de la mort continue d’adultes et d’enfants, constitue des crimes contre l’humanité/génocide, pour lesquels les personnes reconnues responsables ou complices seront finalement tenues personnellement responsables.
Vidéo : Le vaccin COVID-19 a été lancé de la mi-décembre à la fin décembre 2020.
Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm
- voir graph sur site -
Le rapport confidentiel de Pfizer
Il est à noter qu’un rapport confidentiel de Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les éffets indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, à savoir un période très courte (au plus deux mois et demi) :
Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.
Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » [la vérité sort de la bouche du cheval] peuvent désormais être utilisées pour affronter aussi bien la formulation de procédures judiciaires contre les Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.
Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma (associé aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis ) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres. (Analyse du rapport confidentiel de Pfizer)
C’est un aveu de la part des gouvernements et de Big Pharma que le vaccin COVID-19 est une entreprise criminelle » Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur. Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour demander le retrait du vaccin tueur. »
Il est à noter que Pfizer a un casier judiciaire (2009) auprès du ministère américain de la Justice sur des accusations de « marketing frauduleux ».
RépondreSupprimerDans le cadre du règlement du DoJ de 2009, Pfizer a été mis en « liberté conditionnelle » :
« Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d’intégrité d’entreprise … [qui] prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement un comportement similaire à celui qui a donné lieu à cette affaire. »
Mais il ne s’agit plus de « marketing frauduleux » :
« Tuer est bon pour les affaires » : le vaccin est une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde entier. C’est un homicide involontaire.
Une fois le « vaccin » arrêté, la criminalité de Big Pharma sera pleinement révélée et comprise. À son tour, la légitimité du récit officiel de COVID basé sur des mensonges et de la fausse science sera inévitablement altérée. C’est la première étape vers la rupture du récit « officiel » de la COVID.
La Vérité est une arme pacifique importante. Sans propagande et sans désinformation médiatique, les auteurs de ce projet n’ont aucune légitimité.
Brisons le consensus « officiel » COVID-19 et l’appareil de propagande qui donne « une légitimité » à un processus de nature criminel.
Une fois que ce consensus s’effondre, il ouvrira la voie pour remettre en question les mesures draconiennes visant à enclencher le chaos économique, social et politique (générés au cours des deux dernières années).
La dimension géopolitique
Ce qui se déroule est une nouvelle phase destructrice de l’impérialisme américain. C’est un projet totalitaire d’ingénierie économique et sociale.
L’administration Biden a approuvé l’agenda COVID, qui fut utilisé pour déstabiliser et affaiblir les économies nationales, y compris celles des « nations ennemies ».
Nous ne pouvons pas séparer notre compréhension de la crise COVID de celle de la politique étrangère américaine et de l’agenda hégémonique des États-Unis: par exemple, la confrontation US-OTAN à l’endroit de la Russie en Europe de l’Est, la militarisation de la Mer de Chine méridionale dirigée à l’endroit de la Chine, l’Iran et la géopolitique du Moyen-Orient, les régimes de sanctions en cours contre le Venezuela et Cuba, etc.
« Big Money, y compris les fondations milliardaires, est la force motrice. Il s’agit d’une alliance complexe entre Wall Street et l’establishment bancaire, les grands conglomérats pétroliers et énergétiques, l’industrie de l’armement, Big Pharma, les conglomérats de biotechnologie, les médias « mainstream », les géants des télécommunications et de la technologie numérique, ainsi qu’un réseau de think tanks, de groupes de pression, de laboratoires de recherche, etc. La propriété intellectuelle joue également un rôle central.
Ce puissant réseau décisionnel numérique et financier inclut également les principaux créanciers et institutions bancaires : la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement et la Banque des règlements internationaux basée à Bâle ( BIS), qui joue un rôle stratégique clé.
À leur tour, les échelons supérieurs de l’appareil d’État américain (et des alliés occidentaux de Washington) sont directement ou indirectement impliqués, y compris le Pentagone, le renseignement américain (et ses laboratoires de recherche), les autorités sanitaires, la sécurité intérieure et le département d’État américain (y compris les ambassades dans plus de 150 pays). (Michel Chossudovsky, E-book, Chapitre XIII )
RépondreSupprimerIntégrer tous les secteurs de la société
Il convient de noter que l’opposition organisée dans de nombreux pays occidentaux est faible. Pourquoi? Parce que les « forces progressistes », y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d’ONG, les dirigeants syndicaux et les syndicats d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord ont dès le départ approuvé le discours officiel COVID. Beaucoup de ces mouvements progressistes sont soutenus par des fondations liées à Wall Street.
Les mêmes fondations milliardaires (Rockefeller, Ford, Gates, etc.) qui sont les architectes du « Great Reset » (la Grande réinitialisation) et de la « Gouvernance mondiale » sont également impliquées dans le financement (de manière généreuse) de divers mouvements sociaux. « Ils contrôlent l’opposition ».
Cela signifie que les activistes sont souvent induits en erreur et trahis par leurs dirigeants qui sont systématiquement cooptés par leurs sponsors milliardaires.
Il est essentiel que ces activistes soient intégrés au pilier du mouvement contre le consensus COVID-19.
Le chemin à parcourir
Ce qu’il faut, c’est le développement d’un large réseau qui confronte à la fois les architectes de cette crise ainsi que tous les niveaux de gouvernement (c’est-à-dire national, états, provinces, municipalités, etc.) impliqués dans l’imposition du vaccin ainsi que dans la mise en œuvre du confinement (lockdown) et de la fermeture de l’activité économique.
Ce réseau serait établi (au niveau national et international) à tous les niveaux de la société, dans les villes et villages, les lieux de travail, les paroisses, syndicats, organisations d’agriculteurs, associations professionnelles, associations d’entreprises, associations étudiantes, associations d’anciens combattants. Les paroisses seraient également appelés à intégrer ce mouvement.
« Répandez l’information » par le biais des médias sociaux et des médias en ligne indépendants sera entrepris en gardant à l’esprit que Google ainsi que Facebook sont des instruments de censure.
Des procédures judiciaires et des mouvements de protestations se déroulent dans toutes les grandes régions du monde. Dans le cadre d’un réseau mondial d’initiatives, il est important d’établir des mécanismes de communication, de dialogue et d’échange au sein et entre pays.
La création d’un tel mouvement, qui remet en cause avec force la légitimité des élites financières, Big Pharma, et al., ainsi que les structures politiques corrompues au niveau national, n’est pas tâche facile. Cela exigera un degré de solidarité, d’unité et d’engagement sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Il faudra également faire tomber les barrières politiques et idéologiques au sein de la société (c’est-à-dire entre les partis politiques) et agir d’une seule voix pour construire un consensus mondial contre la tyrannie.
La solidarité mondiale et la dignité humaine en sont la force motrice.
https://www.mondialisation.ca/bastille-2022-construire-un-mouvement-mondial-contre-la-tyrannie-covid/5664091
S'il y avait la Démocratie quelque part dans le monde il n'y aurait pas eu un seul mort du 'covide19' ! Car le FAUX vaccin a été analyse et il se compose de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène poison mortel violent ! Si cette vérité avait été dite, il n'y aurait pas une personne d'inoculée et donc pas une personne décédée !
SupprimerMais, malheureusement, dernièrement au Parlement de Luxembourg, on a tous vu la docteur Alexandra Henrion-Caude qui... portait un masque !! Oui ! une masque !!! Un masque qu'elle sait INUTILE ! INUTILE ET DANGEREUX car il force la victime à rerespirer son gaz carbonique expiré !!!
D'où la mise en doute de la validité des propos de cette illustre généticienne
Pourquoi les États de l’OTAN commettent-ils un suicide énergétique ?
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Mondialisation.ca, 16 janvier 2022
Il y a un grand paradoxe dans la position militaire de plus en plus agressive des États-Unis et de l’OTAN à l’égard de la Russie et de la Chine, lorsqu’on la compare aux politiques économiques nationales clairement suicidaires de l’Agenda vert des États-Unis et des États de l’UE et de l’OTAN. Une transformation étonnante des économies des pays industriels les plus avancés du monde est en cours et prend de l’ampleur. Le cœur de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou avant. Éliminer le carbone de l’industrie énergétique n’est pas possible à l’heure actuelle, ni peut-être jamais. Mais si l’on cherche à l’atteindre, cela signifie que les économies les plus productives du monde seront mises en pièces. Sans une base énergétique industrielle viable, les pays de l’OTAN deviennent une plaisanterie militaire. Nous ne pouvons pas parler d’énergie « renouvelable » pour le solaire, l’éolien et le stockage sur batterie. Nous devons parler d’énergie non fiable. C’est l’un des délires scientifiques les plus colossaux de l’histoire.
Le 31 décembre, le nouveau gouvernement de coalition allemand a fermé définitivement trois des six centrales nucléaires restantes. Ils l’ont fait à un moment où les réserves de gaz naturel étaient extrêmement basses à l’aube d’un hiver difficile, et où tout front froid sévère pouvait entraîner des pannes d’électricité. En raison du refus allemand d’autoriser l’importation d’un deuxième gazoduc russe, Nord Stream 2, l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500 % du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021.
La crise énergétique de l’UE était prévue
En 2011, lorsque la chancelière Merkel a déclaré la fin anticipée de l’énergie nucléaire, sa tristement célèbre Energiewende, pour sortir du nucléaire et passer aux sources renouvelables, 17 centrales nucléaires ont fourni de manière fiable 25 % de toute l’énergie électrique du pays. Les trois centrales restantes doivent maintenant fermer d’ici fin 2022. Dans le même temps, le programme d’énergie verte du gouvernement depuis 2016 a entraîné l’arrêt de la production de 15,8 GigaWatts par des centrales à charbon à partir de janvier 2022. Pour compenser le fait que le solaire et l’éolien, malgré une propagande élogieuse, ne comblent pas le vide, le réseau électrique allemand doit importer une quantité importante d’électricité des voisins de l’UE, la France et la République tchèque, ironiquement en grande partie de leurs centrales nucléaires. L’Allemagne a aujourd’hui le coût de l’électricité le plus élevé de tous les pays industrialisés en raison de l’Energiewende.
L’approvisionnement en électricité nucléaire en provenance de France pose désormais un problème. En décembre, EDF, l’agence nucléaire française, a annoncé la fermeture de quatre réacteurs pour inspection et réparation, suite à la découverte de dommages dus à la corrosion. Le président Macron, confronté aux élections d’avril, tente de jouer les champions du nucléaire dans l’UE en s’opposant à la forte position antinucléaire de l’Allemagne. Mais le pont nucléaire est vulnérable et il est peu probable que la France fasse de nouveaux investissements majeurs dans le nucléaire, malgré les déclarations récentes, avec des plans pour fermer douze réacteurs dans les prochaines années, ainsi que le charbon, laissant la France et l’Allemagne vulnérables aux futures pénuries d’énergie. Le programme France 2030 de Macron prévoit d’investir la bagatelle de 1,2 milliard de dollars dans la technologie nucléaire des petites centrales.
Mais la question du nucléaire n’est pas la seule mouche dans la soupe énergétique de l’UE. Chaque aspect du plan énergétique actuel de l’UE est conçu pour anéantir une économie industrielle moderne, et les architectes qui financent généreusement les groupes de réflexion verts comme l’Institut de Potsdam en Allemagne le savent. Amener l’éolien et le solaire, les deux seules options sérieuses mises en œuvre, à remplacer le charbon, le gaz et le nucléaire, est tout simplement dit, impossible.
RépondreSupprimerMoulins à vent et folie des foules
Pour l’Allemagne, un pays dont l’ensoleillement n’est pas optimal, l’éolien est la principale alternative. Le problème de l’éolien, comme l’a montré l’hiver 2021, est qu’il ne souffle pas toujours, et de manière imprévisible. Cela signifie des pannes d’électricité ou un système de secours fiable, ce qui signifie du charbon ou du gaz naturel, car le nucléaire est évincé. Les éoliennes sont évaluées de manière trompeuse en termes de capacité théorique brute lorsque des États comme l’Allemagne veulent se vanter des progrès réalisés dans le domaine des énergies renouvelables.
En réalité, ce qui compte, c’est l’électricité effectivement produite au fil du temps ou ce que l’on appelle le facteur de capacité ou le facteur de charge. Pour le solaire, le facteur de capacité n’est généralement que de 25% environ. Dans le nord de l’Europe ou en Amérique du Nord, le soleil ne brille pas 24 heures sur 24. Le ciel n’est pas non plus toujours sans nuages. De même, le vent ne souffle pas toujours et n’est guère fiable. L’Allemagne se targue de produire 45% d’énergie renouvelable brute, mais cela cache la réalité. Dans une étude réalisée en 2021, l’Institut Frauenhofer estime que l’Allemagne doit installer au moins six à huit fois plus d’énergie solaire qu’aujourd’hui pour atteindre l’objectif de zéro émission de carbone en 2045, ce pour quoi le gouvernement refuse d’estimer les coûts, mais les estimations privées se chiffrent en billions. Le rapport indique que la capacité solaire brute actuelle de 54 GW doit atteindre 544 GW d’ici 2045. Cela signifierait un espace terrestre de 1,4 million d’hectares, soit plus de 16 000 kilomètres carrés de panneaux solaires solides à travers le pays. Ajoutez à cela de grandes stations éoliennes. C’est une recette suicidaire.
La fraude de l’éolien et du solaire en tant qu’option raisonnable sans carbone commence à être réalisée. Le 5 janvier dernier, dans l’Alberta (Canada), où le gouvernement construit furieusement des sites éoliens et solaires, par une journée de grand froid avec des températures proches de -40°, les 13 installations solaires de l’Alberta connectées au réseau, d’une capacité nominale de 736 mégawatts, fournissaient 58 mégawatts au réseau. Les 26 parcs éoliens, d’une capacité nominale combinée de 2269 mégawatts, ont fourni 18 mégawatts au réseau. Le total des énergies renouvelables n’était que de 76 mégawatts sur un total théorique de 3005 mégawatts d’énergie supposée verte et renouvelable. Le Texas, lors des fortes chutes de neige de février 2021, a connu les mêmes problèmes avec l’énergie solaire et éolienne que l’Allemagne. De plus, lorsqu’il neige, les fermes solaires ne valent rien.
De même, pour atteindre le niveau zéro carbone à partir de sources renouvelables, d’énormes surfaces de terre doivent être recouvertes de réflecteurs solaires ou consacrées à des parcs éoliens. Selon une estimation, la superficie nécessaire pour accueillir les 46 480 centrales photovoltaïques envisagées aux États-Unis est de 650 720 miles carrés, soit près de 20% des 48 premiers territoires américains. Cela correspond à la superficie du Texas, de la Californie, de l’Arizona et du Nevada réunis. Rien qu’aux États-Unis, dans l’État de Virginie, une nouvelle loi verte, la Virginia Clean Economy Act (VCEA), a entraîné une augmentation considérable des demandes de projets solaires, qui représentent à ce jour 780 miles carrés de panneaux solaires. Comme le souligne David Wojick, cela représente environ 500 000 acres de campagne, de terres agricoles ou de forêts détruites et pavées, avec quelque 500 projets distincts couvrant une grande partie de la Virginie rurale, qui nécessiteront un nombre stupéfiant de 160 millions de panneaux solaires, provenant pour la plupart de Chine et tous destinés à devenir des centaines de tonnes de déchets toxiques.
RépondreSupprimerDes millions d’emplois ?
L’administration Biden et le tsar des énergies renouvelables John Kerry ont faussement prétendu que leur programme vert ou « Build Back Better » se traduirait par des millions de nouveaux emplois. Ils omettent de dire que ces emplois seront créés en Chine, qui produit la plupart des panneaux solaires, un quasi-monopole après avoir détruit la concurrence américaine et européenne il y a dix ans avec des panneaux bon marché subventionnés fabriqués en Chine. De même, la majeure partie de l’énergie éolienne est produite en Chine par des entreprises chinoises. Pendant ce temps, la Chine utilise des volumes records de charbon et reporte à 2060 sa promesse d’atteindre l’objectif « zéro carbone » dix ans après l’UE et les États-Unis. Elle ne veut pas mettre en péril sa domination industrielle au profit d’une théorie climatique fondée sur des données fausses et des mensonges selon lesquels le gaz carbonique est sur le point de détruire la planète. La fédération syndicale allemande DGB a récemment estimé que depuis 2011, ce pays avait perdu quelque 150 000 emplois dans le seul secteur des énergies renouvelables, principalement parce que les panneaux solaires fabriqués en Chine ont détruit les principales entreprises solaires allemandes. Et l’Allemagne est le pays de l’UE le plus écolo. Parce que, par définition, les énergies renouvelables moins denses en énergie que sont l’éolien et le solaire font grimper les coûts de base de l’électricité, elles suppriment plus d’emplois dans l’économie globale qu’elles n’en créent.
L’effondrement industriel de l’OTAN
Parce que l’énergie solaire et l’énergie éolienne sont en réalité beaucoup plus coûteuses que les hydrocarbures conventionnels ou l’électricité nucléaire, elles font augmenter le coût global de l’énergie électrique pour l’industrie, ce qui oblige de nombreuses entreprises à fermer ou à déménager. Seule la fraude statistique officielle masque ce phénomène. L’Europe et les États-Unis auront besoin d’énormes volumes d’acier et de béton pour construire les millions de panneaux solaires ou de parcs éoliens attendus. Cela nécessite d’énormes quantités de charbon conventionnel ou d’énergie nucléaire. Combien de stations de recharge de voitures électriques seront nécessaires pour recharger à domicile 47 millions de voitures électriques allemandes ? Quelle demande d’électricité supplémentaire ?
Un important groupe de réflexion sur l’énergie verte aux États-Unis, RethinkX, a publié une étude de propagande pour les énergies renouvelables en 2021 intitulée « Repenser l’énergie 2020-2030 : 100% de solaire, d’éolien et de batteries, ce n’est que le début ». Leur réponse aux problèmes de faible capacité pour l’éolien et le solaire est de construire 500 % ou même 1000 % de plus que prévu pour compenser le faible facteur de capacité de 25 %. Ils affirment de manière absurde, sans aucune preuve concrète, que « Notre analyse montre que l’électricité 100 % propre issue de la combinaison du solaire, de l’éolien et des batteries (SWB) est à la fois physiquement possible et économiquement abordable sur l’ensemble du territoire continental des États-Unis ainsi que dans l’écrasante majorité des autres régions peuplées du monde d’ici 2030… cette surabondance de production d’énergie propre – que nous appelons super puissance – sera disponible à un coût marginal proche de zéro pendant la majeure partie de l’année… ». Cette déclaration est présentée sans un iota de données ou d’analyse de faisabilité scientifique concrète, simplement une affirmation dogmatique.
RépondreSupprimerL’architecte canadien défunt de l’Agenda 21 des Nations unies, Maurice Strong, un ami pétrolier milliardaire de David Rockefeller, était sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre organisée à Stockholm en juin 1972. Il était également membre du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller. Plus que quiconque, il est responsable de l’agenda de désindustrialisation de « l’économie durable » sans carbone. Lors du Sommet de la Terre de l’ONU à Rio en 1992, il a ouvertement énoncé le programme brutal des partisans de l’eugénisme radical tels que Gates et Schwab : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » Ce programme est en grande partie la grande réinitialisation d’aujourd’hui.
La guerre maintenant ?
Si les économies autrefois avancées et à forte intensité énergétique des pays membres de l’OTAN en Europe et aux États-Unis continuent sur cette voie suicidaire, leur capacité à organiser une défense ou une attaque militaire convaincante deviendra un mirage. Récemment, la présidente corrompue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’industrie de la défense allemande de haute technologie et ses fournisseurs ne devraient pas recevoir de crédit bancaire parce qu’ils ne sont pas assez « verts » ou « durables ». Il semblerait que les banques aient déjà compris le message. Avec le pétrole et le gaz, la production de défense est désormais visée. Von der Leyen, en tant que ministre allemande de la Défense, avait été largement blâmée pour avoir laissé la défense allemande s’effondrer jusqu’à un état catastrophique.
Dans leur poursuite unilatérale de l’Agenda 2030 et du programme « zéro carbone », l’administration Biden et l’UE mettent leur industrie sur la voie de la destruction bien avant la fin de cette décennie. Est-ce que cela conduit à son tour l’agenda actuel de l’OTAN vers la Russie en Ukraine, en Biélorussie, en Arménie et maintenant au Kazakhstan ? Si les puissances de l’OTAN savent qu’elles ne disposeront pas de l’infrastructure industrielle militaire de base dans un avenir proche, pensent-elles qu’il est préférable de provoquer une éventuelle guerre avec la Russie maintenant, afin d’éliminer une résistance potentielle à leur programme de désindustrialisation ? Outre la Chine, la Russie est le seul pays capable de porter un coup dévastateur à l’OTAN en cas de provocation.
Psychose de la formation des masses ou folie des foules
RépondreSupprimerEn 1852, l’historien anglais Charles Mackay a écrit un classique intitulé « Mémoires sur les délires populaires extraordinaires et la folie des foules », qui donne un aperçu peu connu de l’hystérie de masse à l’origine des grandes croisades religieuses du XIIe siècle, de la chasse aux sorcières ou de la folie des tulipes hollandaise et de nombreux autres délires populaires. Il est pertinent de comprendre la ruée irrationnelle mondiale vers le suicide économique et politique.
Les mêmes acteurs clés qui sont à l’origine des mandats de vaccination de masse anti-covid pour un vaccin expérimental modifiant la génétique et des verrouillages qui s’ensuivent dans le monde entier, notamment Bill Gates et le pape François, sont à l’origine de la grande réinitialisation du Forum économique mondial de Klaus Schwab et de sa folie verte zéro carbone de l’Agenda 2030 des Nations unies, afin de faire accepter au monde des mesures économiques draconiennes sans précédent.
Pour ce faire, il faudra que la population soit docile et physiquement faible, ce que le professeur de psychologie belge Mattias Desmet et le Dr Robert Malone appellent la psychose de formation de masse, une psychose de foule, une sorte d’hypnose de masse qui ignore la raison. Il est clair que le mythe du réchauffement climatique et l’agenda de la pandémie de coronavirus nécessitent tous deux une telle hypnose de masse – un « délire populaire extraordinaire ». Sans l’hystérie de peur du Covid, nous n’aurions jamais permis à l’agenda vert d’aller si loin que nos réseaux électriques sont au bord du black-out et nos économies au bord de l’effondrement. Le but ultime de la pandémie de Covid de l’OMS et de l’Agenda vert est une marche vers la Grande Réinitialisation dystopique de Schwab de l’ensemble de l’économie mondiale au profit d’une dictature d’une poignée de sociétés mondiales comme BlackRock ou Google-Alphabet.
https://www.mondialisation.ca/pourquoi-les-etats-de-lotan-commettent-ils-un-suicide-energetique/566426
«Jamais une poignée de milliardaires n’a eu une emprise aussi forte» sur la presse
RépondreSupprimer17 janvier 2022, 08:22
Les magnats français de la presse sont convoqués dès semaine au Sénat pour évoquer leur mainmise sur les médias du pays.
De grands industriels, dont Vincent Bolloré, sont convoqués à partir de cette semaine au Sénat. Les inquiétudes suscitées par leur mainmise sur la plupart des médias français se font de plus en plus grandes. «Jamais dans l’histoire de l’Hexagone une poignée de milliardaires n’a eu une emprise aussi forte sur les chaînes de télévision, radio, journaux et magazines et, ce en pleine campagne présidentielle», souligne l’historien des médias Alexis Lévrier, maître de conférences à l’Université de Reims.
Le plus emblématique d’entre eux, Vincent Bolloré, premier actionnaire de Canal+, de deux grands groupes d’édition, de nombreux journaux et de la radio Europe 1, sera auditionné mercredi. C’est sur sa chaîne d’information CNews, qu’Eric Zemmour a pris son envol pour devenir candidat à la présidentielle. «Bolloré n’a ni tenu compte des injonctions du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), ni de la justice sur Zemmour. Là, il est rappelé à l’ordre par l’autorité parlementaire, il va devoir rendre des comptes», estime M. Lévrier.
Bernard Arnault, PDG de LVMH à la tête des quotidiens «Les Échos», «Le Parisien» et de Radio Classique sera auditionné jeudi. Patrick Drahi, patron du groupe télécom Altice (BFMTV, RMC), doit être entendu le 2 février et le roi du BTP Martin Bouygues est attendu pour le 9 février, pour ne citer que trois des plus puissants patrons auditionnés. Le Sénat compte remettre fin mars son rapport pour faire la lumière sur les conséquences économiques et démocratiques d’une telle concentration.
Menace des Gafa
Reste à savoir ce que le président ou la présidente sorti(e) des urnes en fera. Beaucoup jugent en effet obsolète la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Ainsi, dans une tribune du «Monde» publiée à la mi-décembre, plus de 250 journalistes et professionnels des médias ont appelé les candidats à la présidentielle à prendre des engagements pour s’opposer au «fléau» de l’hyperconcentration dans les médias.
La montée en puissance de mastodontes internationaux, comme les plateformes américaines Netflix et Amazon Prime Video, a toutefois bouleversé les équilibres du paysage audiovisuel français. Et certains ne voient d’autre salut que dans le regroupement des chaînes. C’est d’ailleurs l’un des arguments avancés pour la fusion TF1-M6, en cours d’examen par l’Arcom et l’Autorité de la concurrence.
La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, estimait elle aussi la semaine dernière sur France Inter que, pour lutter «contre l’hégémonie des médias mondiaux américains aujourd’hui et peut-être demain asiatiques (…), on a besoin de médias privés et publics forts». Mais elle précisait: «j’ai toujours mis à mon soutien affiché à la fusion TF1/M6 une condition (…) c’est d’avoir un service public fort».
https://www.lematin.ch/story/jamais-une-poignee-de-milliardaires-na-eu-une-emprise-aussi-forte-sur-la-presse-862001429599
La croissance chinoise au plus haut au depuis une décennie
RépondreSupprimer17 janvier 2022, 03:18
Si la croissance de la Chine a été de 8,1 % en 2021, au plus haut depuis une décennie, elle a ralenti au quatrième trimestre (+4 %, contre 4,9 %).
Croissance record depuis une décennie mais économie sous pression: si la Chine a annoncé lundi un PIB en hausse de 8,1 % en 2021, le Covid-19 pèse toujours sur la reprise du géant asiatique. Le pays s’est largement remis du choc initial de la pandémie mais des foyers sporadiques continuent à perturber l’activité.
La politique du «zéro Covid», qui consiste à tout faire pour limiter au maximum la survenue de nouveaux cas, a permis d’endiguer rapidement l’épidémie en 2020. Mais elle s’accompagne d’un coût social et économique élevé. Le secteur des services (loisirs, tourisme, hôtellerie-restauration, transports…) n’a ainsi toujours pas retrouvé son niveau pré-pandémie.
La reprise est également fragilisée par une flambée du prix des matières premières et une crise dans l’immobilier avec les déboires du promoteur Evergrande, au bord de la faillite. L’économie chinoise fait face à «une triple pression», a admis lundi devant la presse Ning Jizhe, un responsable du Bureau national des statistiques (BNS), en référence à une contraction de la demande, des tensions sur les chaînes d’approvisionnement et des objectifs économiques revus à la baisse.
Dans ce contexte, la Chine a néanmoins signé une croissance de 8,1 % l’an dernier. Il s’agit de son rythme le plus rapide depuis 2012. Pékin s’était fixé pour 2021 l’objectif d’une croissance de 6 %. Un groupe d’analystes sondés par l’AFP tablait sur une hausse moyenne de 8% du produit intérieur brut (PIB) pour 2021.
Omicron
Au quatrième trimestre, la croissance du géant asiatique s’est toutefois essoufflée (+4 % sur un an), après 4,9 % au précédent. Au premier trimestre, le PIB s’inscrivait encore à 18,3 %. Un taux élevé lié à la faible base de comparaison avec début 2020 lorsque l’épidémie paralysait l’activité. D’un trimestre à l’autre, le PIB progresse de 1,6 %.
Bien que sujet à caution, le chiffre officiel de la croissance est toujours scruté, vu le poids de la Chine dans l’économie mondiale. Le pays apparaît ainsi comme un baromètre de la reprise. En 2020, la Chine avait l’une des rares économies à afficher une croissance positive (+2,3 %), au moment où le Covid-19 terrassait le reste du monde -- ce rythme était toutefois le plus faible depuis quatre décennies.
Les ventes de détail, principal indicateur de la consommation, ont signé en décembre leur plus mauvaise performance (+1,7 %) depuis l’été 2020. La production industrielle était en revanche plus forte qu’attendu le mois dernier, à +4,3 % sur un an.
Alléger la pression
RépondreSupprimerSigne des difficultés traversées par l’économie chinoise, la banque centrale a abaissé lundi un taux d’intérêt clé pour la première fois depuis avril 2020. La mesure vise à alléger la pression sur les établissements financiers de petite et moyenne taille pour les encourager à accorder davantage de crédits, à des conditions plus favorables, aux entreprises.
Sur le front de l’emploi, le taux de chômage, mesuré en Chine uniquement dans les zones urbaines, s’est établi en décembre à 5,1 % (contre 5 % un mois plus tôt). Particulièrement surveillé par le pouvoir, ce chiffre exclut de son calcul les millions de travailleurs migrants, fragilisés par la pandémie.
Le taux de chômage avait atteint en février 2020 le record absolu de 6,2 % de la population active urbaine. Quant à l’investissement en capital fixe, sa croissance a fortement ralenti en décembre, à 4,9 %, selon le BNS.
https://www.lematin.ch/story/la-croissance-chinoise-au-plus-haut-au-depuis-une-decennie-572792106768
Faute d'escroquerie corona la Chine est la seule à être en bonne santé !
SupprimerFaut dire aussi que quand on a 1 milliard 400 millions de consommateurs faut pas aller chercher plus loin !
Le plan pour nous étiqueter pour le système d'esclaves du Nouvel Ordre Mondial
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
17 janvier 2022
Le Dr Vladimir Zelenko, que j'ai interviewé deux fois auparavant, a été parmi les premiers médecins américains à développer un programme de traitement précoce pour la nouvelle infection par le SRAS-CoV-2. Il a popularisé l'utilisation de l'hydroxychloroquine et du zinc, et lorsque l'hydroxychloroquine est devenue de plus en plus difficile à obtenir, il a également été parmi les premiers à identifier la quercétine comme une alternative viable.
Lorsque la pandémie a commencé, Zelenko pratiquait à New York. Il a depuis déménagé en Floride, où il donne des interviews plusieurs heures par jour, essayant de faire passer le mot sur le traitement précoce et la prévention. Comme l'a noté Zelenko :
"C'est une infection très traitable - ou devrais-je dire une arme biologique ? – si cela est fait dans les premiers jours, car COVID est deux maladies. C'est le stade infectieux du virus, puis une semaine plus tard, vous avez la réaction inflammatoire pathogène qui fait tous les dégâts aux poumons et provoque des caillots sanguins.
Donc, tout est question de timing. Et les données sont très claires. Il existe des dizaines d'études évaluées par des pairs qui prouvent que si vous traitez le COVID dans les premiers jours, vous avez une réduction de 85 % des hospitalisations et des décès. C'est une évidence. Vous auriez pu éviter à 700 000 personnes d'aller à l'hôpital sur 800 000. »
Alors qu'il est autorisé à pratiquer la médecine en Floride, Zelenko passe maintenant la plupart de son temps à éduquer le public et d'autres médecins. Il est également disponible via la télémédecine, mais sa passion est devenue la recherche et le développement d'approches simples et naturelles pour des problèmes de santé complexes, y compris les siens.
Le chemin le moins parcouru
Zelenko a un type rare de cancer appelé sarcome de l'artère pulmonaire, qui est généralement mortel. Il a également subi deux opérations à cœur ouvert et trois ans de chimio et de radiothérapie, dont aucune n'a résolu ses problèmes.
« Il y a presque quatre ans, on m'a diagnostiqué un sarcome de l'artère pulmonaire. Il n'y a que 10 cas en moyenne par an, et ils sont tous retrouvés à l'autopsie. Dans mon cas, ils pensaient que c'était un caillot de sang qui ne répondait pas aux anticoagulants.
Alors, la décision a été prise de faire une embolectomie, d'ouvrir mon thorax, d'aller dans l'artère pulmonaire et d'enlever le caillot de sang. Mais quand ils ont fait ça, ils ont vu que c'était une tumeur, et ça avait complètement détruit mon poumon droit. Alors, j'ai perdu mon poumon droit. Et ils ont réséqué une grande partie de l'artère pulmonaire et ont dû la reconstruire parce que vous avez besoin de cette artère pour vivre.
Ensuite, j'étais en chimio… J'étais plutôt bien pendant deux ans, puis c'est revenu et ça s'est également propagé à ma hanche. Et donc, j'ai eu une autre opération à cœur ouvert. Ils ont dû remplacer une de mes valves cardiaques, une valve pulmonaire. Ensuite, je suis allé me faire irradier la hanche [suivi d'une] chimio très lourde.
RépondreSupprimerAu bout de deux mois, j'ai souffert d'insuffisance cardiaque congestive et j'ai développé une cardiomyopathie… Je me suis remis de cela et j'ai pris des médicaments pour l'insuffisance cardiaque… Un mois plus tard… J'ai développé une pneumonie COVID… J'étais à peu près sûr que j'allais partir dans un boîte, pourtant j'ai récupéré.
Quelques mois plus tard, je suis allé faire un autre scanner, et ils ont trouvé, encore une fois, que la tumeur était de retour dans l'artère pulmonaire, mais cette fois, aucun médecin n'a voulu m'opérer. Une troisième intervention à cœur ouvert est très dangereuse. Ils ont estimé à plus de 50 % la probabilité que je meure sur la table, ce que je n'aimais pas. Donc, j'ai fini par avoir des radiations assez intenses dans mon médiastin, là où se trouvait la tumeur.
C'est à ce moment-là que vous êtes entré en scène, pour me conseiller sur le traitement. J'ai fini par suivre une immunothérapie en Europe pendant deux mois avec des inhibiteurs de points de contrôle, mais aussi des injections d'hyperthermie et de gui, et de l'acide alpha-lipoïque, de la vitamine C à haute dose [infusions] et différentes autres modalités. Et je me sens mieux que jamais.
J'ai passé un scanner la semaine dernière, et il a montré que la tumeur avait diminué d'un tiers. J'ai parlé au radio-oncologue qui m'a dit qu'un bon résultat aurait été de la même taille ou plus petit. Il faut des années pour résoudre. Donc, le temps nous le dira, mais c'est plus facile pour moi de marcher, et hémodynamiquement, je suis plus stable et je me sens bien. Amen."
Le rôle surprenant de l'immunothérapie dans le cancer
Dans l'ensemble, "l'histoire de COVID a complètement changé ma façon de voir la vie", déclare Zelenko. Lorsqu'il a vu à quel point les solutions naturelles, efficaces et en vente libre pour le COVID étaient supprimées, tandis que les injections expérimentales de transfert de gènes étaient poussées, il s'est rendu compte que d'autres traitements pourraient également être supprimés, tels que les traitements contre le cancer.
« Probablement, les approches efficaces ont été marginalisées au lieu des approches pharmaceutiques plus coûteuses », dit-il. « Je vais vous donner un exemple. Le Dr [William] Coley était un chirurgien oncologue qui vivait il y a environ 100 ans, peut-être 120 ans. Il a remarqué qu'il opérerait ses patients, que la tumeur reviendrait et qu'ils mourraient. Et puis il a observé quelque chose de très intéressant.
Il avait un patient atteint d'un cancer du pancréas, stade 4, inopérable. Ce patient est tombé très malade avec une infection et est devenu septique. Il a failli mourir, mais il a récupéré et sa tumeur a disparu. Il a remarqué ce type de phénomène plusieurs fois et s'est rendu compte qu'il devait y avoir une réaction immunitaire, une réponse immunitaire à l'infection qui réveille le système immunitaire pour qu'il attaque également la tumeur.
Donc, fondamentalement, à mon avis, c'était la naissance de l'immunothérapie. La fièvre semble jouer un rôle. Il semble avoir des propriétés antitumorales, ainsi que l'activation de certaines parties de votre système immunitaire. Donc, c'est fascinant. Et cette information a été enterrée pendant un bon bout de temps - 50, 60 ans - jusqu'à ce que certains médecins la redécouvrent et commencent à faire des recherches. Et j'en ai profité en Europe.
RépondreSupprimerTraitement hyperthermique du cancer
Nous avons parcouru un long chemin depuis l'époque de Coley, qui utilisait des toxines pour déclencher une infection et de la fièvre. Aujourd'hui, le traitement hyperthermique est utilisé à la place. Fondamentalement, il s'agit d'augmenter la température de votre corps à environ 104 degrés Fahrenheit pendant quatre à six heures. Zelenko décrit le traitement qu'il a subi :
«Ce fut toute une expérience d'avoir une température d'environ 40 degrés Celsius, disons 104 degrés Fahrenheit, pendant cinq heures. Vous devenez un peu fou et un peu anxieux, mais j'ai bu beaucoup de liquides et j'avais une infirmière avec moi tout le temps. C'était une expérience assez intéressante.
Il y avait des appareils d'hyperthermie du corps entier et une hyperthermie localisée. Les deux sont essentiellement un sauna de fantaisie. C'était comme un spa en fait. J'ai apprécié le traitement dans la plupart des cas.
Soit dit en passant, je crois sincèrement que le bain de sauna est l'un des biohacks les plus puissants disponibles. Je le fais quatre fois par semaine. J'obtiens ma température jusqu'à environ 102 degrés F. environ, pendant 20 minutes. J'ai trouvé que c'était une habitude de santé profondément efficace pour étouffer les infections dans l'œuf, et peut également aider à freiner toute tumeur maligne potentielle. J'utilise actuellement un prototype de sauna SaunaSpace à spectre complet, sans EMF, doté de huit ampoules de 250 watts et qui sera probablement disponible plus tard cette année.
Omicron est imparable, mais il ne faut pas le craindre
Pour en revenir à la question du COVID, au cours des deux dernières années, l'infection par le SRAS-CoV-2 a subi un certain nombre de changements. Omicron, par exemple, est beaucoup plus contagieux, mais présente des symptômes beaucoup moins graves. Comme l'a noté Zelenko :
« Omicron est imparable. C'est plus contagieux que la rougeole. Tout le monde va l'avoir. Désolé, mais c'est le cas. Cependant, il semble n'attaquer que les voies respiratoires supérieures dans la plupart des cas, et il y a très peu de décès. Il est également très réactif au traitement, il n'y a donc aucune raison d'en avoir peur.
En fait, il semble que nous ayons reçu le meilleur scénario, dans lequel un virus hautement contagieux se propagera dans la population, ne provoquant que de légers symptômes de rhume, produisant ainsi une immunité collective sans risque de pertes massives. "Lorsque les deux tiers de la population s'en sortent, cela arrête essentiellement la pandémie", déclare Zelenko.
Vaccination pendant une pandémie Variantes de races
RépondreSupprimerDans l'interview, Zelenko explique comment les nombreuses variantes que nous avons vues sont probablement le résultat de la campagne de "vaccination" de masse.
Trois immunologistes respectés, le Dr Luc Montagnier (qui a remporté le prix Nobel en 2008 pour sa découverte du virus VIH), le Dr Sucharit Bhakdi, l'immunologiste le plus publié de l'histoire, et le Dr Geert Vanden Bossche, un immunologiste de premier plan aux Pays-Bas , ont tous averti que lorsque vous effectuez une vaccination de masse au milieu d'une épidémie active, vous provoquez l'émergence de variantes.
"Vous exercez une pression évolutive et produisez des virus plus variés", explique Zelenko. « Maintenant, il y a deux ou trois possibilités. On pourrait être que ce n'était pas intentionnel. Des gens bons et bien intentionnés ont développé ce qu'ils pensaient être utile : un vaccin. Cependant, le donner aux gens pendant une pandémie a été un échec absolu. "Oups, nous sommes désolés." C'est une possibilité.
L'autre possibilité est que celui qui a orchestré cela sait exactement ce qu'il fait, et il le fait exprès pour maintenir les nouvelles variantes et les conséquences de cela, qui est essentiellement un psyop [pour provoquer] une psychose globale due à la peur , verrouillages et port d'une couche faciale.
Il y a une autre possibilité. Il n'y a pas de litige; tous ceux qui connaissent les faits et ont étudié la question savent que le COVID-19 est une arme fabriquée en laboratoire. La recherche sur le gain de fonction n'est rien de plus que la fabrication d'une arme de destruction massive et de génocide, et il existe un brevet de 20 ans qui documente les différentes étapes de développement de cette arme.
Et voici ma supposition. Je n'ai aucune preuve de cela, mais je pourrais dire ceci : si je pouvais créer le virus original, je pourrais créer des variantes. C'est très facile. Vous modifiez simplement quelques séquences du code qui accompagne la protéine de pointe. Vous modifiez sa forme tridimensionnelle et, si vous le faites suffisamment, éliminez les anticorps existants.
Encore une fois, je n'ai pas de preuves pour cela, mais j'ai des preuves que [SARS-CoV-2] est une arme biologique fabriquée artificiellement. Alors pourquoi ne serait-il pas possible de faire des variantes de la même manière ? Je pense que c'est une sorte de combinaison, de cause multifactorielle de variantes - le facteur Dieu naturel, la pression évolutive exercée en vaccinant les gens pendant une pandémie active, puis en les fabriquant carrément.
Des antidotes à l'arme biologique ont été développés au préalable
Zelenko raconte ensuite une prise de conscience relativement récente. En mars 2020, il a vu une vidéo MedCram, épisode 34,1 dans laquelle le Dr Roger Seheult expliquait certains des principes sur lesquels il a ensuite construit son protocole COVID. Seheult a spécifiquement cité un article qui expliquait le fonctionnement des ionophores de zinc.
C'est sur ce mécanisme que Zelenko s'est appuyé pour développer son propre protocole. Cependant, il ne s'est rendu compte qu'en décembre 2021 que l'auteur de cet article central était le Dr Ralph Baric. Pourquoi est-ce important? Zelenko explique :
RépondreSupprimer"En 1999, Ralph Baric, financé par le gouvernement américain, à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, a découvert comment prendre un virus animal et le faire infecter d'autres espèces, différents animaux, en d'autres termes, croiser- infection de l'espèce.
En 2015, le même Dr Ralph Baric et le Dr Zhengli [à l'Institut de virologie de Wuhan en Chine], financés par les Instituts nationaux de la santé, ont découvert comment faire en sorte qu'un virus de la chauve-souris corona infecte les êtres humains et a augmenté sa létalité aux vies humaines. C'était en 2015. Mais en 2010, Baric a publié cet article auquel je fais référence.
Ainsi, le développement de l'arme s'est déroulé par étapes, mais avant qu'elle ne soit déchaînée sur la population humaine, ou qu'elle ne puisse infecter les êtres humains, un antidote a été fabriqué. Des recherches financées par le gouvernement ont été publiées.
Les mêmes personnes qui ont fabriqué la bombe, disons, ont également créé l'antidote pour diffuser la bombe. Et puis, lorsque la pandémie est arrivée, des médecins comme moi, par nécessité, ont proposé des solutions créatives, basées – dans mon cas, sans le savoir – sur ce travail. Et immédiatement, cette information a été marginalisée et supprimée, et les médecins ont été déçus de l'avoir défendue.
Ainsi, le gouvernement qui a fabriqué la bombe connaissait également la solution. Et la raison en est qu'ils ne voulaient pas mourir. Les parties prenantes ici ne veulent pas que leurs familles meurent. Mais pour vous et pour moi, ils ont un programme différent. Donc, ils avaient cette information.
Je sais que les dirigeants de Google prennent tous de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine à titre prophylactique, tout comme la moitié du Congrès. Et donc, les gens qui ont orchestré cela connaissaient la réponse et l'utilisaient pour eux-mêmes. Même les médecins connaissent la réponse par eux-mêmes.
Ils prescrivent [ces médicaments] pour eux-mêmes, ou ils m'appellent. Mais quand les patients viennent, ils disent qu'il n'y a pas de traitement, rentrez chez vous, prenez du Tylenol. Donc, c'est un meurtre de masse.
Les coups COVID - Un autre crime contre l'humanité
En plus de tuer un nombre incalculable de personnes en refusant et en supprimant les options de traitement précoce, les gouvernements du monde entier tuent également des personnes avec les piqûres COVID. Un an après le début de la campagne agressive pour injecter autant de personnes que possible, il est probable que les coups de feu aient tué plus de personnes que celles qui sont mortes de l'infection. C'est très difficile à dire, malheureusement, car les données sont très sérieusement manipulées.
En 2015, Bill Gates a déclaré que la population mondiale devait être réduite de 15 % grâce à l'utilisation de vaccins à cause du réchauffement climatique. Le même Bill Gates en 2020 a déclaré que 7 milliards de personnes devaient être vaccinées. Pourquoi devrais-je prendre un vaccin pour ma santé de quelqu'un qui préconise l'utilisation de vaccins pour réduire la population mondiale ? ~ Dr Vladimir Zelenko
RépondreSupprimerZelenko estime qu'entre 500 000 et 1 million d'Américains ont été tués par les tirs à ce jour. Fait troublant, la Food and Drug Administration des États-Unis était consciente que les coups de feu pouvaient avoir de graves conséquences, mais ils les ont quand même poussés. De plus, ils refusent de répondre au nombre ahurissant d'événements indésirables signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). Le signal de sécurité ne pourrait pas être plus clair.
«En octobre 2020, deux mois avant le déploiement du vaccin, il y a eu une présentation interne à la FDA à ses scientifiques, et sur la diapositive 16 de cette présentation, il y avait une liste d'effets secondaires: décès, crise cardiaque, accident vasculaire cérébral, caillots sanguins , d'horribles maladies neurologiques, la myocardite et bien d'autres », déclare Zelenko.
«Maintenant, gardez à l'esprit que c'est deux mois avant le déploiement. Après le déploiement des vaccins, et quelques mois plus tard, lorsque la base de données VAERS a commencé à montrer les effets secondaires que les gens ressentaient, il y a une corrélation de 100 % avec ce que cette diapositive a annoncé et ce qui est réellement arrivé aux êtres humains.
C'est un meurtre de masse prémédité. La FDA savait exactement ce qu'elle faisait. Ils connaissaient exactement les effets secondaires, et ils l'ont quand même sorti..."
Quel est le vrai programme ?
Pourquoi la FDA se comporterait-elle ainsi ? Pourquoi ne préservent-ils pas la santé publique d'un traitement clairement mortel ? Et d'autre part, pourquoi n'autorisent-ils pas les médecins à aider les gens avec un traitement précoce ? Zelenko explique :
« Au milieu des années 90, il est devenu évident que l'économie américaine était condamnée. Les systèmes d'assurance-maladie et de sécurité sociale deviendraient insolvables, ce qui provoquerait un effet semblable à celui d'un tsunami aux niveaux national et international. Et c'était imparable. C'était [mathématiquement inévitable].
Medicare, selon le Congressional Budget Office, en 2027 entamera le processus vers la faillite. Ainsi, la sécurité d'aujourd'hui [dura jusqu'en] 2034. Désormais, les principaux acteurs de l'économie mondiale ont vu une menace existentielle. Ils ont compris que leur pouvoir et leur richesse étaient en danger.
Et donc un plan a été développé, qui était au-delà de la technologie à ce moment-là, mais la technologie était en cours de développement. Ainsi, par exemple, le projet du génome humain a été cartographié et achevé.
Ensuite, la technologie CRISPR a été développée, qui est l'édition de gènes ou l'épissage de gènes de manière très précise. Cela a été vendu comme un moyen de guérir les maladies génétiques. Il y a un gène défectueux. Vous pouvez simplement le découper et l'insérer, couper et coller, en gros, un gène sain.
C'est l'avantage. L'inconvénient est que cela crée des possibilités de faire de l'édition de gènes pour des raisons néfastes. En 2015, Bill Gates a déclaré que la population mondiale devait être réduite de 15 % grâce à l'utilisation de vaccins à cause du réchauffement climatique.
RépondreSupprimerLe même Bill Gates en 2020 a déclaré que 7 milliards de personnes devaient être vaccinées. Donc, la question rhétorique évidente est : « Pourquoi devrais-je prendre un vaccin pour ma santé de quelqu'un qui préconise l'utilisation de vaccins pour réduire la population mondiale ?
En 2016, Klaus Schwab, dans une interview a dit quelque chose de très étrange. Il a déclaré que d'ici 10 ans, d'ici 2026, chaque être humain sera étiqueté avec un identifiant numérique. Qu'est-ce que cela signifie, et pourquoi ?
Passons en revue la séquence des événements. Une arme biologique est fabriquée avec un antidote, qui est supprimé et caché. [L'arme biologique] est libérée. C'est extrêmement facile à traiter. Cependant, cette information est supprimée, et l'accès à ces médicaments est supprimé, et les médecins qui le défendent sont persécutés.
Tout ce qui semble donner de l'espoir aux gens, diminuer l'anxiété, encourager la réintégration avec vos proches semble être immédiatement vilipendé, même une intervention précoce. Si vous regardez le NIH, ils recommandent, à partir d'aujourd'hui, de ne pas traiter le COVID à moins qu'ils ne soient à l'hôpital avec des lésions pulmonaires. Ne faites pas ça.
Et donc, je me demandais, qu'est-ce qui se passe vraiment? Et pourquoi cette poussée incessante pour vacciner tout le monde ? Pourquoi emprisonner les médecins pour avoir utilisé des médicaments au travail ? Parce qu'il encourage la réticence à la vaccination.
Puis j'ai réalisé quelque chose. J'ai pris connaissance de deux brevets. Ils sont séparés d'un an, mais ils sont liés dans le puzzle, dans le concept. L'un était le 31 août 2021, qui décrit… l'ingénierie des nanotechnologies.2 Il décrit essentiellement ce qui suit :
Qu'il y a la capacité, la technologie, déjà existante, dans ces vaccins qui permet la mesure de données biométriques, c'est-à-dire votre fréquence cardiaque, votre fréquence respiratoire, votre température, puis la transmission de ces données avec votre emplacement à un tiers.
Cela n'avait même pas de sens pour moi. Comme quoi? Mais ensuite, j'ai réalisé qu'il y avait un autre brevet détenu par Microsoft. Celui-ci je me souviens par coeur. C'est un brevet international, WO202060606. Vous ne pouvez pas inventer ce genre de choses. Ce brevet décrit le lien entre la transmission de données biométriques et la crypto-monnaie.
Alors je l'ai eu. Et au fait, 2026, quand tout le monde est censé être étiqueté avec une identification numérique, appelons ça un tatouage interne d'Auschwitz, est un an avant le début de l'insolvabilité de Medicare et le début de l'effondrement économique. Et ainsi, le véritable agenda est devenu évident pour moi.
Il n'a jamais été question de santé. Le COVID-19 est facile à traiter. Il s'agissait toujours d'utiliser la peur et la psychose de masse pour amener 7 milliards de personnes à se faire injecter volontairement la technologie qui leur permettrait de participer au nouveau système basé sur la crypto-monnaie, le système que le monde utilisera pour la finance.
La monnaie fiduciaire et tous les modes de transactions traditionnels auront disparu. La seule façon dont vous pourrez réellement participer à des transactions, d'acheter du pain, disons, est d'avoir un capteur de transmission d'informations avec votre emplacement. C'est la marque de la bête, si vous voulez vraiment savoir. Avec ça, vous pourrez alors acheter du pain pour votre famille…
RépondreSupprimerGates et Schwab parlent tous les deux de la façon dont ces vaccins changent qui vous êtes. Qu'est-ce que ça veut dire? Ils l'expliquent. [Avec] la technologie d'édition de gènes, ils rendent l'humain meilleur. C'est le transhumanisme. Je l'appelle l'Humain 2.0. Human 1.0 est la version créée par Dieu. Nous sommes est imprimé [avec Dieu] dans notre code génétique. Nous sommes créés à l'image de Dieu parce que nous avons son code en nous.
Maintenant, donneriez-vous à Bill Gates ou à Klaus Schwab le mot de passe de votre système de sécurité domestique ? Pourquoi lui donnerions-nous accès à notre code génétique ? L'humain 2.0, dans les esprits déments, dépravés et dérangés de ces personnes, est la prochaine étape dans l'évolution des êtres humains. Et je dis que si vous permettez que cela vous arrive, vous n'êtes plus fait à l'image de Dieu. Vous êtes fait à l'image de Bill Gates et Klaus Schwab.
Un stratagème pour nous étiqueter pour le système d'esclaves du NWO
Donc, en résumé, Zelenko pense que tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent - le marketing agressif des injections, la coercition et les menaces faites pour se faire injecter autant que possible - a tout été un stratagème pour "taguer" autant de personnes que possible. en préparation du système de crypto-monnaie du Nouvel Ordre Mondial, qui sera géré par un petit groupe restreint et utilisé pour asservir toute l'humanité.
Comme l'a noté Zelenko, le Forum économique mondial a annoncé publiquement que d'ici 2030, les États-Unis ne seront plus une superpuissance et que quelques pays seront en charge de la gouvernance mondiale. Maintenant, comment déstabiliser un moteur économique comme les États-Unis ?
"Vous créez une pandémie", dit Zelenko. «Vous verrouillez les entreprises de la classe moyenne, les petites entreprises… Mais vous laissez Walmart et Home Depot ouverts… C'est un transfert de richesse de la classe moyenne vers les personnes au pouvoir. C'est un vol, en gros.
C'est une grande tentative d'asservissement de l'humanité. C'est un plan brillant, soit dit en passant. C'est mal, mais c'est génial parce que l'esclavage a toujours été l'industrie et l'atout les plus lucratifs de l'histoire humaine. Maintenant ce n'est pas différent. Et donc, vous avez quelques sociopathes qui croient en leur immortalité et pensent qu'ils vont transférer leur conscience à un cyborg, profitant du monde entier comme terrain de jeu. "
Zelenko poursuit en discutant des déclarations inscrites sur les Georgia Guidestones, un immense monument en granit érigé anonymement dans une petite ville de Géorgie, qui énonce 10 commandements. La première est que la population mondiale devrait être réduite et maintenue à 500 millions. Si les tirs de COVID continuent, il n'est pas inconcevable que la population humaine soit réduite à cette taille.
Le pourquoi du génocide
RépondreSupprimerIl y a quelques mois, Elon Musk a fait ses débuts avec ses robots humanoïdes, affirmant que puisque ces robots élimineront 90 % de la main-d'œuvre, nous avons donc besoin du revenu de base universel. Cela fait également partie du plan The Great Reset, qui englobe à la fois la technocratie et le transhumanisme.
"Gardez à l'esprit que dans l'esprit de ces personnes, nous ne sommes pas faits dans le divin [image]. Nous sommes des cafards. Et ils ne vont pas jeter trop longtemps des ressources de revenu universel sans fin sur les cafards. Ils le feront d'abord pour identifier les mangeurs inutiles, puis ils seront liquidés. Cela s'est déjà produit.
Il y a à peine 80 ans, vous aviez l'idéologie nazie basée sur l'eugénisme, qui créait trois catégories de personnes. Vous avez l'ubermensch, ce que Nietzsche appellerait Superman. Puis le mensch, qui est l'humain, puis l'untermensch, qui est le sous-homme. Dans le modèle [nazi], les [nazis étaient] des surhommes, descendants de dieux aryens. Cela leur a donné le pouvoir d'asservir les autres.
Ainsi, par exemple, les Anglo-Saxons, essentiellement des Européens, étaient censés être les esclaves des Aryens. Et les sous-hommes auxquels j'appartiens – juifs, gitans, slaves, handicapés, prisonniers politiques – nous étions destinés à être vaporisés, deviennent poussière.
Cette idéologie n'a pas disparu. Il a refait surface avec la nuance qui n'est pas antisémite en ce moment. D'une manière abstraite, nous sommes tous juifs cette fois, parce que la hiérarchie ici n'est pas basée sur la religion ou l'identité, mais plutôt sur la croyance dérangée qu'ils ont évolué, le Superman de cette génération, vers un niveau supérieur de conscience.
Ils sont réveillés et ils comprennent et sont éclairés sur la nature de la condition humaine. Ils sont les gardiens de la planète, et il est donc de leur responsabilité de s'assurer que la planète est solvable, qu'elle continue d'exister. Et par conséquent, nous devons réduire la population mondiale.
Cause d'optimisme
Alors que l'humanité est dans une situation des plus précaires, Zelenko est optimiste quant à l'avenir.
"Je vais vous dire ce que je pense vraiment qui se passe", dit-il. « Il y a ce que nous voyons, et puis il y a, appelons ça la physique spirituelle, en jeu. Karl Jung, le célèbre psychanalyste, a écrit : « La dégradation morale de la société commence par la dégradation de l'individu ». De là, nous pouvons en fait apprendre que l'amélioration morale de la société commence par l'amélioration de l'individu.
En tant que société, au cours des 50 ou 60 dernières années, nous avons fait de très mauvais choix. Par exemple, nous avons désacralisé ou profané les rôles de genre… Le mariage a perdu son caractère sacré. Les enfants à naître sont massacrés. Dans la Bible, il y a deux villes qui ont été détruites, Sodome et Gomorrhe, et il y a une analyse pourquoi cela s'est produit. Ce n'était pas à cause de l'immoralité, parce que le monde entier était immoral.
C'est parce qu'ils ont codifié l'immoralité dans la loi du pays. C'est exactement ce qui s'est passé aux États-Unis. Nous avons dévolu… Nous adorons le dieu de la science, le dieu de la technologie, le dieu de l'argent, le dieu du pouvoir. Tout sauf [le vrai] Dieu. Et nous pratiquons clairement le sacrifice d'enfants.
RépondreSupprimerLe Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, m'a dit personnellement, puis il l'a rendu public, que pour chaque enfant qui meurt du COVID, 100 meurent du vaccin. Le [COVID shot] est 100 fois plus mortel pour les enfants que le COVID. Comment tu appelles ça? C'est le sacrifice d'enfant.
Donc, j'ai l'impression que, par analogie, nous sommes dans la génération du déluge. La maison va être nettoyée et chaque individu a le choix de monter ou non dans l'arche.
Ou, pour faire simple, devant qui vous prosternez-vous ? Vous prosternez-vous devant votre créateur, qui vous crée à chaque instant ? Demandez-vous [à Dieu] du courage, de l'endurance, de la force, de la détermination, la capacité de faire face à l'inconnu et à la peur ? Ou allez-vous céder à la peur et vous prosterner devant les sociopathes corrompus, les oligarques, les gouvernements corrompus et la fausse promesse du veau d'or de ces vaccins ?
Parce qu'à ce stade, dans ce pays du moins, personne ne vous retient et ne vous met une aiguille dans le bras. La majorité des gens, ils veulent voyager en avion. Ils ne veulent pas perdre leur emploi. Ils veulent aller à l'école. Ce sont toutes ces sortes de décisions de qualité de vie. Autrement dit, dans une société normale, les parents se sacrifient pour le bien-être des enfants. Dans les sociétés païennes, on sacrifie les enfants au profit des adultes.
La désobéissance civile pacifique est la réponse
Alors, quelle est la réponse ? Pouvons-nous arrêter cette trajectoire transhumaniste qui menace le cœur même de ce qui fait de nous des êtres humains ? Pouvons-nous empêcher ce plan pour notre asservissement de se concrétiser ? Zelenko pense qu'il existe un moyen, tout comme moi.
« La réponse est que nous avons besoin d'une désobéissance civile organisée. Ne vous conformez pas. Ils ne peuvent pas emprisonner tout le monde. Ils ne peuvent pas virer tout le monde. Ils ne peuvent pas expulser tout le monde. Ils ne peuvent pas enfermer tout le monde. Nous sommes beaucoup plus nombreux qu'eux. Et en fait, permettez-moi de parler aux chefs militaires, à la police, aux personnes chargées de protéger la société.
Vous avez aussi des enfants. Vous avez aussi des parents. Et nous comptons sur vous pour faire ce qui est le mieux pour les citoyens de ce pays, pour nous protéger de tous les ennemis, étrangers et nationaux. Tout ce que nous avons à faire est de fusionner avec des personnes partageant les mêmes idées. Sortez vos enfants de l'école. Les scolariser à la maison. Vous pouvez leur enseigner la morale.
RépondreSupprimerL'Organisation mondiale de la santé a publié un décret selon lequel si vos enfants vont à l'école, c'est un consentement implicite pour le vaccin, car vous n'auriez pas pu les envoyer. Et puisque vous les avez envoyés à l'école, cela implique que vous consentez à ce qu'ils soient vaccinés, même à votre insu.
Fondamentalement, nous devons créer de petites poches, comme des villes de refuge, en un sens, de personnes partageant les mêmes idées ; créer une société alternative; faire du commerce avec nous-mêmes. Je sais qu'il y a des forces qui travaillent vraiment dur pour créer un autre système de crypto-monnaie ou de blockchain qui est décentralisé et permettrait aux personnes qui ne veulent pas être étiquetées avec un identifiant numérique d'effectuer des transactions entre elles.
Comme l'a noté Zelenko, il devient de plus en plus évident que les mesures pandémiques n'ont jamais eu pour but de nous protéger du COVID. Il s'agissait toujours de créer un nouvel ordre mondial. Il s'agissait de préparer le terrain pour une grande réinitialisation pour « mieux reconstruire ».
Mais mieux pour qui ? Le plan Build Back Better consiste à construire "une société dirigée par quelques sociopathes et le reste d'entre nous réduit en esclavage", déclare Zelenko. La bonne nouvelle est que de plus en plus de gens commencent à voir ce plan, et "une fois que cette prise de conscience atteindra un certain seuil de personnes, les pays vont changer et tomber comme des dominos", dit-il.
Quant à savoir quand nous pourrions récupérer notre liberté, cela dépend de nous. Comme l'a noté Zelenko, "la liberté n'est pas gratuite". Nous étions libres (au moins jusqu'en 2020) parce que nos ancêtres ont eu le courage d'affronter la tyrannie. Si nous voulons que nos enfants soient libres, nous devons maintenant faire preuve du même courage.
« Que nos enfants soient libres ou non dépend de si nous sommes prêts ou non à nous sacrifier », dit Zelenko. « Sommes-nous prêts, dans cette génération, à payer le prix pour faire en sorte que nos enfants s'épanouissent dans la liberté et aient la capacité de maintenir la conscience de Dieu ?
Cela va arriver. La variable inconnue est le nombre de corps. J'espère que cette interview atteindra la conscience de chaque être humain. Les gens doivent choisir de dire non à partir de maintenant.
Sources and References
1 YouTube MedCram Episode 34
2 Trea.com Patent Grant 11107588
https://www.lewrockwell.com/2022/01/joseph-mercola/the-plan-to-tag-us-for-the-new-world-order-slave-system/
(...) le Dr Geert Vanden Bossche, un immunologiste de premier plan aux Pays-Bas , ont tous averti que lorsque vous effectuez une vaccination de masse au milieu d'une épidémie active, vous provoquez l'émergence de variantes. (...)
SupprimerINTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE
INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE PRÉCÉDEMMENT
Le masquage des enfants à l'école fonctionne-t-il ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 16 JANVIER 2022 - 17:30
Rédigé par Ian Miller et Michael Betrus via The Brownstone Institute,
Les enfants de Californie, de New York, de l'Illinois et d'un certain nombre d'autres États sont tenus de porter des masques faciaux tous les jours à l'école. Près de 40 % des écoliers du pays sont tenus de le faire. D'autres États s'en remettent aux règles locales, ce qui signifie qu'environ la moitié des enfants du pays portent des masques faciaux tous les jours, s'éloignent de la société, déjeunent à l'extérieur et font de l'athlétisme avec des masques.
- voir photo sur site -
Près de 30 % de toutes les écoles sont légalement empêchées de mettre en œuvre des mandats ou font face à des contestations judiciaires en cours de restrictions, ce qui signifie que peu de ces États imposent des restrictions comme nous l'avons vu en 2020-2021.
Vous trouverez ci-dessous les États avec et sans exigences de masque facial dans les écoles.
- voir carte sur site -
Il y a deux choses qui étonneraient presque assurément la plupart des parents à travers le pays. De nombreux parents dans des États comme la Californie ou l'Illinois avec des mandats de masque seraient probablement choqués de voir à quel point les protocoles scolaires normaux sont au Texas, en Floride, en Utah, en Iowa et dans d'autres États représentés en vert foncé ou en orange. Ceux qui ont des enfants d'âge scolaire dans les États verts seraient stupéfaits d'apprendre que ceux en bleu exigent que les enfants portent des masques faciaux à l'école, se distancient socialement et mangent dehors par temps froid ou sous la pluie.
Certaines universités exigent que les étudiants portent des masques sur le campus, même à l'extérieur, notamment l'Université de Californie du Sud et l'Université de l'Arizona.
Le COVID-19 déferle actuellement dans tout le pays. Heureusement, une combinaison d'une variante moins mortelle, d'une immunité récupérée et de vaccinations prévient de nombreuses maladies très graves que nous avons vues dans le passé. Vous pouvez voir ci-dessous que les tests positifs ont explosé au cours des dernières semaines. Pourquoi tant de personnes qui ne sont pas malades font la queue et paniquent pour acheter des tests à domicile est le sujet d'un autre article, mais il est clair que des millions de personnes contractent actuellement le COVID-19 :
- voir graph sur site -
En examinant le groupement d'États (CA/OR/WA/IL/NY/DE/MA/CT/NJ/MD/NV/NM/VA/RI) avec le port obligatoire du masque dans les écoles par rapport à ceux sans mandat de port du masque (UT /FL/AZ/TX/OK/MO/IA/AR/TN/SC), où très peu d'étudiants les portent, nous observons des tendances presque identiques, et ceux qui n'ont que peu ou pas de masquage ont des taux de cas actuels plus faibles :
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
La proportion de tests pédiatriques positifs est actuellement similaire dans toutes les régions du pays, environ 20 % de tous les tests positifs dans les trois groupes d'âge de 0 à 17 ans indiqués ci-dessous. C'est à peu près la même chose quelle que soit la météo (saisonnalité) ou les restrictions :
- voir graph sur site -
Cela nous a fait nous demander. Les restrictions scolaires dans certains États fonctionnent-elles? Il ne s'agit pas de cas; les cas sont vraiment le produit de la propagation dans la communauté et de la quantité de tests que nous effectuons. Il s'agit de la maladie. Y a-t-il plus d'enfants hospitalisés pour ou avec COVID-19 dans les États avec des protocoles scolaires normaux que ceux nécessitant des masques faciaux ?
Nous avons contacté Josh Stevenson (@ifihadastick sur Twitter), qui a produit à plusieurs reprises des analyses de données étonnantes tout au long de la pandémie. Voici ce qu'il a découvert. Il s'agit d'une compilation originale que vous ne verrez nulle part ailleurs. Pour les États nécessitant des masques, les hospitalisations pédiatriques liées au COVID-19 sont en moyenne de 4,23 pour 100 000 enfants :
- voir graph sur site -
Pour les États n'autorisant pas les mandats de masque facial (ou presque sans obligation), les hospitalisations pédiatriques COVID-19 sont en moyenne de 4,90 pour 100 000 enfants :
- voir graph sur site -
Le taux d'hospitalisation est quasiment identique. Il n'y a pas de différence perceptible entre les résultats d'infection ou d'hospitalisation pour les enfants dans les communautés où les masques faciaux sont obligatoires à l'école et ceux où les couvre-visages sont facultatifs.
Les enfants devraient être à l'école avec des protocoles normaux.
Ils devraient être en classe sans masque, sans séparateurs en plexiglas, socialiser pendant qu'ils déjeunent et participer à des sports sans masque facial. La logique nous le dit clairement, et ces données prouvent à une écrasante majorité qu'il n'y a aucun avantage pour la santé à obliger les enfants à porter des masques faciaux à l'école.
https://www.zerohedge.com/covid-19/masking-kids-school-working
Que des enfants (des petits cons) portent un masque est une chose mais que des adultes !!! portent un masque montre bien le retard dans l'éducation que ces personnes ont subi !
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