Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l'on appelle encore « vaccins »
Catherine Austin Fitts — Solari Report Sott.net mer., 26 août 2020 14:56 UTC
Je ne suis pas scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas ingénieure en biotechnologie. Je ne suis pas avocate. J'essaie cependant de comprendre ceux qui le sont, je lis, j'écoute et j'évalue.
« Qu'est-ce après tout qu'un nom ? Ce qu'on appelle rose, Sous un autre vocable, aurait même parfum. » ~ William Shakespeare, Roméo et Juliette
J'étais banquière d'affaires jusqu'à ce que la politique rende impossible la poursuite de mon savoir-faire. J'ai reçu une formation de gestionnaire de portefeuille. Je cartographie donc mon monde en observant les flux financiers et l'affectation des ressources financières. J'ai également été formée pour conceptualiser et exécuter des conspirations — la conspiration constituant le principe d'organisation fondamental qui détermine la façon dont les choses sont mises en œuvre dans notre monde. Ce n'est que lorsque j'ai quitté le « club » que j'ai appris que ceux qui n'en faisaient pas partie avaient été formés à dénigrer les conspirations et à les éviter, ce qui constitue une manœuvre habile qui sabote leurs efforts de conquête du pouvoir.
En guerre pendant un certain temps contre des agences gouvernementales des Etats-Unis, ma réaction personnelle à cette situation fut de répondre aux questions des personnes qui étaient suffisamment curieuses et courageuses pour s'enquérir de mon opinion. Au fil des années, cette réponse s'est transformée en deux activités professionnelles distinctes. L'une est le Solari Report, qui continue à se développer en tant que réseau mondial de recherches d'information — au sein duquel nous nous appliquons à nous aider mutuellement afin de comprendre et naviguer à travers les événements qui se produisent autour de nous, et de contribuer aux évolutions positives. L'autre consistait à conseiller les particuliers et les familles en matière d'investissement par l'intermédiaire de Solari Investment Advisory Services [Services de Conseil en Investissement Solari- NdT]. Au bout de dix ans, j'ai transformé cette dernière en conseil en investissement par la mesure de l'ESG des entreprises [ESG pour les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance qui constituent les trois facteurs principaux de mesure de la soutenabilité et de l'impact éthique d'un investissement dans une société ou dans un domaine économique - NdT]. Ce que cherchent ceux qui l'utilisent — et qui ne soit pas déjà disponible sur le marché — c'est un filtre qui reflète la connaissance de la corruption financière et politique. Identifier les métastases de la corruption est un métier à part entière, pas une science.
Lorsque vous aidez une famille à gérer ses finances, il est crucial de comprendre tous les risques auxquels elle peut faire face. Sa prospérité financière dépend de l'atténuation réussie de tous les risques — qu'ils soient financiers ou pas — qu'ils rencontrent dans leur vie quotidienne. Les risques non financiers peuvent avoir un impact majeur sur l'affectation des ressources de la famille, y compris en termes de temps, d'actifs, d'argent et de capacité de concentration.
Nombreux sont mes clients et leurs enfants à avoir été dévastés et épuisés par les échecs du système de santé et la corruption — et le catalyseur le plus fréquent de cette dévastation a été la mort et les blessures causées par les vaccins. Après de longues et effroyables expériences avec les institutions médicales, ils se posent invariablement cette question : « Si la corruption est à ce point présente dans la médecine, l'alimentation et la santé, qu'en est-il dans le monde financier ? ». Effrayés par cette idée, ils partent alors à en quête d'un professionnel de la finance qui soit rompu aux arcanes gouvernementales des États-Unis et à la corruption financière. Et ils finissent par me trouver.
Le résultat de cet afflux de personnes brillantes et instruites, qui ont eu la chance de pouvoir payer pour mon temps de travail, fut que, pendant dix ans, j'ai fini par en savoir beaucoup sur les handicaps et la mort infligés à nos enfants par ce que j'appelle maintenant « le grand empoisonnement ». En dressant une carte des coûts financiers des lésions causées par les vaccins, encore et encore, j'ai eu l'occasion d'évaluer à maintes reprises les dommages humains causés à tous ceux qui sont concernés — et cela n'impliquait pas que les enfants qui étaient touchés, mais aussi leurs parents, leurs frères et sœurs et les générations futures. Ces cas n'étaient pas aussi inhabituels qu'on pourrait le penser. Des études indiquent que 54 pour cent des enfants américains sont atteints d'une ou plusieurs maladies chroniques. Des médecins en qui j'ai confiance me disent que ce chiffre est en fait beaucoup plus élevé, car de nombreux enfants et leurs familles ne peuvent pas se permettre les tests nécessaires pour diagnostiquer correctement ce qui les afflige pas plus que les soins qui en découlent.
L'une des mères de famille qui apparaît dans VAXXED — De la dissimulation à la catastrophe — un documentaire incontournable pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II — La réponse du public — a estimé que le coût pour élever et soigner toute sa vie un enfant lourdement autiste représente une valeur actuelle de cinq millions de dollars. Lorsque mes clients, qui étaient des grands-parents, insistaient pour ne pas interférer dans le choix vaccinal de leurs enfants parce que cela ne les regardait pas, je leur disais : « Vraiment ? Qui possède les cinq millions de dollars ? Vous ou vos enfants ? Lorsque vos enfants auront besoin des cinq millions de dollars pour élever leur enfant vacciné, allez-vous leur refuser ? Vous êtes le banquier, et c'est votre argent qui est en jeu ici, donc c'est votre affaire. Voulez-vous dépenser ces cinq millions de dollars pour construire une famille solide à travers les générations ou pour gérer un enfant handicapé qui n'aurait pas dû être handicapé ? ». Souvent, ces cinq millions de dollars de dépenses se traduisent aussi par des divorces, des dépressions et des occasions perdues pour les frères et sœurs. Note du traducteur : Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de voir les deux documentaires Vaxxed, vous pouvez suivre les deux hyperliens inclus dans le paragraphe précédent, ce sont les versions originales sous-titrées en français.
- voir clips publiés ci-dessus ce jour -
VAXXED Mes clients m'ont aidé à trouver les meilleures références sur les vaccins — livres, documentaires et articles. Vous trouverez un grand nombre d'entre eux en hyperliens ou passés en revue sur le site de Solari Report, y compris dans notre bibliothèque.
De toutes les questions que j'ai posées, celle sur laquelle j'ai passé le plus de temps à enquêter et à réfléchir est la suivante : pourquoi ? Pourquoi les institutions médicales empoisonnaient-elles intentionnellement des générations d'enfants ? Nombre d'auteurs ayant fait des recherches et écrit sur les lésions et les décès dus aux vaccins ont supposé qu'il s'agissait d'une aberration résultant de l'orthodoxie d'une institution médicale incapable de gérer ou de faire face à ses erreurs et aux responsabilités financières qui les accompagnent. Pour moi, ceci ne m'a jamais paru logique. Les ouvrages de Forrest Maready, Jon Rappoport, le Dr Suzanne Humphries et Arthur Firstenberg m'ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l'escroquerie permettant aux compagnies d'assurance et aux personnes légalement responsables d'économiser de l'argent.
Voici un exemple qui illustre le fonctionnement de cette escroquerie. Une toxine crée une maladie. La toxine peut être un pesticide, une pollution industrielle ou une radiation due à une technologie sans fil. La toxine cause des dommages à des millions de personnes et à leurs communautés. Les entreprises ou leurs assureurs peuvent être tenus pour responsables d'infractions civiles ou pénales. C'est alors qu'un virus est mis en cause. Un « remède » est trouvé sous la forme d'un « vaccin ». L'exposition au pesticide ou à toute autre substance toxique est interrompue au moment où le vaccin est introduit et, presto, la maladie disparaît. Le vaccin devient un succès, et son inventeur devient un héros. Une catastrophe financière potentielle a été transformée en profit, y compris pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant que gestionnaire de portefeuille, j'admets qu'il s'agit là d'un brillant tour de passe-passe qui a probablement protégé le secteur de l'assurance contre les faillites qu'il subirait s'il devait indemniser équitablement les personnes et les familles détruites.
Grâce au travail de Robert Kennedy Jr et Mary Holland de Children's Health Defense, je comprends maintenant les énormes profits générés par les soi-disant « vaccins » qui ont suivi le vote du National Childhood Injury Act de 1986 et la création du National Vaccine Injury Compensation Program [programme d'indemnisation des accidents médicaux et des décès liés à la vaccination - NdT]. Ce programme est un mécanisme fédéral de dédommagement financier des accidents et décès dus à la vaccination par l'intermédiaire d'un mécanisme d'introduction d'une demande indemnitaire devant la United States Court of Federal Claims [tribunal fédéral des États-Unis qui entend les plaintes pour dommages financiers exercées contre le gouvernement - NdT] et ses experts spécialisés. Il suffit qu'un médicament ou un cocktail biotechnologique soit étiqueté « vaccin » et les entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques sont dégagées de toute responsabilité — c'est le contribuable qui paie. Malheureusement, ce système est devenu une invitation permanente à gagner des milliards avec des « injections », en particulier lorsque les réglementations et les lois gouvernementales peuvent être utilisées pour créer un marché garanti par le biais d'obligations vaccinales. Puisque les agences gouvernementales et les législateurs ainsi que les médias corporatifs ont mis au point divers systèmes pour profiter de ces milliards de bénéfices,il en a résulté d'importants conflits d'intérêts.
Le Public Readiness and Emergency Preparedness Act [loi sur la préparation du public et la protection civile - NdT] (PREPA ou loi PREP) est entrée en vigueur en 2005 et a encore accru la liberté des entreprises en matière de responsabilité. Cette loi est un bouclier controversé en matière de responsabilité délictuelle destiné à protéger les fabricants de vaccins contre les risques financiers en cas d'urgence de santé publique déclarée. La loi accorde spécifiquement aux fabricants de médicaments une immunité contre toute responsabilité financière potentielle pour les essais cliniques de... vaccins à la discrétion du pouvoir exécutif du gouvernement. Le PREPA renforce et consolide la surveillance des litiges contre les sociétés pharmaceutiques sous la responsabilité du secrétaire à la santé et aux services sociaux. ~ Wikipedia
Au fil du temps, ceci s'est traduit par une évolution vers une ingénierie des épidémies — la version médicale des opérations sous faux drapeaux. En théorie, il peut effectivement s'agir de « PsyOps » ou d'événements orchestrés à l'aide d'agressions chimiques et biologiques ou de technologies sans fils. Si cette idée vous semble incongru, plongez dans tous les écrits des « personnes ciblées ».
Note du traducteur : Selon l'Urban Dictionary, une personne est dite « ciblée » lorsqu'elle est devenue la cible d'un parti, d'une organisation ou d'une entité. Une personne peut être ciblée par des entités allant de la corruption dans les affaires, du crime organisé, des sectes et des extrémistes ou par le gouvernement. Une personne qui devient ciblée sera confrontée à des campagnes de surveillance de différents degrés et, d'une manière générale, à des campagnes qui ont un impact négatif sur un individu. Il peut s'agir de campagnes de harcèlement, de discrédit, de sabotage, d'incitation à la peur et à la paranoïa, de manipulation, d'extorsion, voire d'assassinat, entre autres.
J'en ai personnellement fait l'expérience en subissant un harcèlement physique significatif lorsque j'étais en procès avec le ministère de la Justice. J'ai alors tenté d'engager différentes agences de sécurité ; elles vérifiaient mes références et refusaient de me protéger au motif que c'était trop dangereux. La dernière a eu pitié de moi et a attiré mon attention sur le fait que je ne devais pas m'inquiéter des armes électroniques, en soulignant que mon principal problème viendrait d'une agression biologique de faible intensité. Cet expert en guerre biologique avait prédit que l'équipe adverse percerait des trous dans le mur de ma maison pour y injecter l'« ennemi invisible ». Bien sûr, c'est exactement ce qu'il s'est produit. J'ai vendu ma maison et j'ai quitté la ville. Ce voyage a marqué le début d'un long processus d'apprentissage sur l'usage qui est fait des armes empoisonnées et non létales — qu'il s'agisse de déplacer des personnes hors des appartements à loyer modéré, de rendre malades des personnes âgées pour les transférer dans des logements plus chers subventionnés par le gouvernement, de harceler à plusieurs des cibles politiques ou commerciales, ou d'affaiblir voire tuer des adversaires judiciaires — et la liste continue. L'empoisonnement s'avérait constituer aux États-Unis une tactique bien plus courante dans les jeux de guerre politique et économique que je ne l'avais compris auparavant.
Après avoir terminé mon procès, j'ai passé plusieurs années à me désintoxiquer de métaux lourds, notamment du plomb, de l'arsenic et de l'aluminium. En conduisant à travers l'Amérique, j'ai réalisé à quel point je n'étais pas la seule. Les Américains ressemblaient de plus en plus à un peuple aux prises avec de fortes charges de métaux lourds toxiques. En diminuant de façon significative les taux de concentration exceptionnellement élevés en métaux lourds qui étaient les miens, j'ai appris à quel point la charge toxique avait modifié mon attitude, mon énergie et ma capacité à traiter des informations complexes.
C'est ce qui m'a conduit à me pencher sur les vaccins. Je voulais découvrir ce qu'ils sont exactement, je voulais concrètement connaître ce que contiennent les concoctions qui sont aujourd'hui injectées aux populations et découvrir ce que sont les mixtures diaboliques actuellement en cours de développement.
Vaccination
En 2017, des chercheurs italiens ont passé en revue les ingrédients de 44 types de « vaccins ». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chacun des vaccins humains qu'ils ont testé. Ils ont déclaré : « La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. » Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente que les micro et nanoparticules contaminantes étaient « biopersistantes » puisqu'elles n'étaient « ni biocompatibles ni biodégradables », et qu'elles pouvaient donc provoquer des effets inflammatoires immédiats — ou plus tardifs.
Des tissus fœtaux avortés, des tissus animaux, de l'aluminium, du mercure, des matériaux génétiquement modifiés — et quoi d'autre ?
Note du traducteur : Puisque nous avions traduit l'article de Jon Rappoport sur cette étude effectuée en 2017, en voici un extrait :
« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, ce qui signifie qu'elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets à même de se manifester soit immédiatement après le moment de l'injection, soit après un certain temps suivant l'administration. Il est important de rappeler que les particules — des cristaux et non des molécules — sont des corps étrangers à l'organisme et qu'elles se comportent comme telles. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité — qui de toute façon, est toujours présente — une toxicité typique des corps étrangers. C'est la raison pour laquelle elles induisent une réaction inflammatoire.
Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du point d'injection en formant des œdèmes et des granulomes... Mais ils peuvent aussi être transportés par la circulation sanguine, échappant ainsi à toute tentative de déterminer quelle sera leur destination finale. Nous pensons que dans de nombreux cas, ils se répartissent dans tout l'organisme sans provoquer de réaction visible, mais il est également probable que, dans certaines circonstances, ils atteignent en assez grande quantité un organe quelconque, aucun n'étant exclu et en y incluant le microbiote. Comme c'est le cas de tous les corps étrangers, en particulier ceux de petite taille, ils induisent une réaction inflammatoire qui est chronique parce que la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l'effet de couronne de protéines [dû à une nano-bio-interaction] peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable. Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent pénétrer dans les noyaux des cellules et interagir avec l'ADN.
Dans certains cas, comme pour le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus. [...] Étant donné les contaminations observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l'injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et présentent un caractère aléatoire, puisqu'ils dépendent du lieu où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est donc tout à fait évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles, due à une extravasation du sang, pourrait fortement altérer leurs fonctionnalités.
Lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution, nous rencontrons des particules dont la composition chimique est similaire à celle des vaccins que nous avons analysés. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n'ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel et ressemblent au résultat de la formation aléatoire qui se produit, par exemple, lors de la combustion de déchets. En tout état de cause, quelle que soit leur origine, elles ne devraient être présentes dans aucun médicament injectable, et encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons.
Il y a beaucoup plus dans l'article, et si vous ne l'avez pas lu, nous invitons le lecteur à le faire : Étude innovante — Des nanoparticules dangereuses contaminent de nombreux VACCINS... et autres produits de consommation courante
Voir aussi les articles suivants sur les sujets abordés dans les deux derniers paragraphes :
Utilisation dans les vaccins de tissu fœtal de bébés de 5-6 mois avortés vivants... pour découper sans anesthésie leur cœur encore battant
Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
Le Dr Madej tire la sonnette d'alarme au sujet de la nanotechnologie dans le vaccin COVID-19
Quels que soient jusqu'à présent les ingrédients des vaccins, rien n'est plus bizarre et troublant que les suggestions qui sont faites quant à ce qu'ils pourraient contenir à l'avenir. Les stratégies — déjà bien financées et en bonne voie — comprennent la nanotechnologie de l'interface cerveau-machine, les dispositifs et la technologie de traçage de l'identité numérique comportant une date d'expiration qui peut être gérée et désactivée à distance. Un rapport indique que le gouvernement danois et la marine américaine ont payé une entreprise technologique située au Danemark pour fabriquer une puce injectable qui serait compatible avec l'une des principales cryptomonnaies.
J'ai lu récemment l'excellente étude de Mary Holland sur les décisions de justice américaines en matière de vaccins — « La vaccination obligatoire, la Constitution et le mandat relatif à l'hépatite B pour les nourrissons et les jeunes enfants », publié dans Yale Journal of Health Policy, Law, and Ethics [et visible en Pdf ICI - NdT] — et je me suis demandé pourquoi on appelle vaccins les produits injectables que Bill Gates et ses collègues promeuvent ? S'agit-il vraiment de vaccins ?
La plupart des gens savent comment Bill Gates a construit et conservé sa fortune. Il a acquis un système d'exploitation qui a été installé dans nos ordinateurs [PC - NdT]. Une rumeur selon laquelle les services de renseignements américains disposent d'une porte dérobée a largement circulé. L'explosion simultanée et soudaine du nombre de virus informatiques a alors rendu nécessaire la mise à jour régulière de votre système d'exploitation, permettant à Gates et à ses associés d'ajouter régulièrement dans votre logiciel tout ce qu'ils voulaient. L'un de mes plus compétents développeurs informatiques m'a dit un jour dans les années 1990 — quand Microsoft a vraiment décollé — « Microsoft fabrique vraiment des logiciels merdiques ». Mais bien sûr, le logiciel n'était pas vraiment leur affaire. Leur métier était d'accéder à et d'agréger toutes vos données. Le capitalisme de surveillance était enclenché.
Note du traducteur : Voir l'ouvrage L'Âge du capitalisme de surveillance du professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, à paraître début octobre en français :
Objets connectés, cookies, publicités ciblées... Nos données personnelles, initialement collectées pour fluidifier la navigation sur Internet, améliorer ou simplifier les services sont désormais revendues — notamment par Google et Facebook, qui en ont fait leur fonds de commerce. La « data » est devenue « l'or noir » de l'économie numérique. Tous tracés, et alors ?
En échange d'informations personnelles — dont nous mesurons mal l'étendue — nous avons accès à des services gratuits ultra-performants. « Je n'ai rien à cacher » est la réponse la plus courante face à ce constat. Pourtant, le fait est que les GAFAM savent tout de nous, alors que nous en savons très peu sur elles et sur l'usage qu'elles font de ces données. Bienvenue dans le capitalisme de surveillance.
Shoshana Zuboff retrace ici la généalogie de cette nouvelle ère, née d'une mutation monstrueuse du capitalisme. Voici un système total dans lequel la matière première est l'expérience humaine : ce qui s'achète et qui se vend, ce n'est plus l'analyse de nos comportements, mais nos comportements prédictibles, voire induits. On aurait pu croire cette économie de la certitude au seul service d'un État totalitaire, mais elle est bel et bien dédiée, dans nos démocraties, au seul capital — par essence incontrôlable.
À travers dix-huit chapitres, des premiers pas de Google au scandale de Cambridge Analytica, l'auteur explique comment ce phénomène est passé, de manière insidieuse, du monde virtuel au monde réel, imprégnant peu à peu notre quotidien sans susciter ni sursaut citoyen, ni véritable régulation politique.
Et notre article Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore :
La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d'engranger d'énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.
Le ministère de la Justice a lancé une procédure antitrust contre Microsoft en 1998, juste au moment où les 21 000 milliards de dollars commençaient à disparaître du gouvernement américain — sans doute à l'aide de logiciels et de systèmes informatiques spécialement conçus. Pendant les négociations de règlement qui ont permis à Bill Gates de conserver sa fortune, il a lancé sa fondation et sa nouvelle carrière de philanthrope. J'ai ri l'autre jour lorsque mon tweet portant sur l'un des articles de Robert Kennedy Jr. de Children's Health Defense décrivant la technologie horrible que Gates espère déployer grâce aux « injections » — a suscité une réaction : « Bref, je suppose qu'il remplit finalement sa part de l'accord antitrust ».
Bill Gates réseau
Si vous examinez ce qui est actuellement proposé et créé en matière d'injections, il me semble que ces développements technologiques s'organisent autour de plusieurs objectifs potentiels.
Le premier et le plus important de ces objectifs est le remplacement du système monétaire actuel basé sur le dollar américain, et utilisé par la population en général, par un système de transactions numériques qui puisse combiner l'identification et le suivi numériques. L'objectif est de mettre fin aux devises telles que nous les connaissons et de les remplacer par un système de cartes de crédit incorporé qui peut s'intégrer à diverses formes de contrôle, y compris éventuellement le contrôle des esprits. La « dé-dollarisation » menace le système de réserves mondiales du dollar. Au cours de l'année dernière, et à la suite d'une nouvelle série d'assouplissements quantitatifs de la Réserve fédérale, la masse monétaire de M1 et M2 a connu une croissance à deux chiffres [M1 correspond aux pièces et billets dans les comptes courants ; M2 correspond à M1 plus les dépôts sur livrets et les crédits à court terme ; M3 regroupe M1 et M2 plus les dépôts à long terme, soit plus de 2 ans - NdT]. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés dans l'hyperinflation résulte de la chute spectaculaire de la vitesse de circulation de la monnaie dû au fait que le Covid-19 a été intentionnellement transformé en blocage pour une part importante de l'activité économique, et de la faillite de millions de petites et moyennes entreprises qui s'en est suivie. Les gestionnaires du système basé sur le dollar américain sont soumis à des pressions pour utiliser de toute urgence les nouvelles technologies en vue de centraliser les flux économiques et de préserver leur contrôle sur le système financier.
Tout comme Gates a installé un système d'exploitation dans nos ordinateurs, la vision consiste maintenant à installer un système d'exploitation dans notre corps et à utiliser des « virus » pour imposer une installation initiale suivie de mises à jour régulières.
Ceci étant dit, je comprends maintenant pourquoi Bill Gates et ses collègues souhaitent appeler ces technologies « vaccins ». S'ils peuvent persuader le corps politique que les cartes de crédit injectables, les systèmes de surveillance injectables ou les nanotechnologies d'interface cerveau-machine injectables sont des « vaccins », ils peuvent alors bénéficier de la protection d'un siècle ou plus de décisions et de lois juridiques qui soutiennent leurs efforts pour imposer ce qu'ils veulent faire. De même, ils peuvent insister pour que les contribuables américains financent, par le biais du National Vaccine Injury Compensation Program, les dommages dont ils seraient autrement responsables du fait de leurs expériences — et des violations du code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales — sur la population en général. Ce plan est très intelligent. En convainquant la population d'accepter que leurs nouvelles concoctions qui injectent de la haute technologie soient définies comme des « vaccins », ils pourront les introduire directement dans la chaîne de production vaccinale. Il est inutile de s'inquiéter des maladies et des morts qui résulteront d'une chose aussi peu naturelle livrée aussi rapidement. L'absence de responsabilité garantie par la loi PREP grâce à la déclaration d'une situation d'urgence — tout comme la possibilité de maintenir cette situation d'urgence grâce à la recherche des contacts — sont à même de les exonérer de toute responsabilité de milliers, voire de millions, de décès et d'incapacités qui sont susceptibles de suivre une telle expérimentation humaine. Dans l'idéal, ils peuvent simplement imputer les décès à un virus.
Note du traducteur : Voir aussi le documentaire à ne pas manquer : Pl@ndemic II : Indoctornation
Labos vaccins
Un collègue m'a raconté un jour comment le Webster's Dictionary est né. Webster a dit que la façon dont les malfaiteurs allaient changer la Constitution n'était pas de l'amender mais de changer les définitions — ce qui constitue une attaque légale sournoise.
Je pense que Gates et les industries pharmaceutique et biotechnologique parviennent littéralement à créer une grille de contrôle mondiale en installant des composants d'interface numérique qui nous connectent au nouveau cloud JEDI de Microsoft — d'une valeur de 10 milliards de dollars — , au ministère de la Défense, ainsi qu'au contrat cloud de plusieurs milliards qui lie Amazon et la CIA, et qui est partagé par toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi pensez-vous que le président Trump fait en sorte que l'armée s'organise pour stocker des seringues pour les vaccins ? C'est probablement parce que les militaires installent le système d'exploitation itinérant pour l'intégrer dans leur cloud. N'oubliez pas que le gagnant de la course à la superpuissance de l'Intelligence artificielle est le système d'IA ayant accès au plus grand nombre de données. L'accès à votre corps et au mien 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 génère un volume de données considérable. Si les Chinois le font, les Américains voudront le faire aussi. En fait, le déploiement de « systèmes d'exploitation » humains est peut-être l'une des raisons pour lesquelles la concurrence autour de Huawei et des télécommunications 5G est devenue si féroce. Comme Clegg, ancien président de Microsoft Canada, nous l'a bien précisé, la 5G a été développée par les Israéliens pour contrôler les foules.
Face à la « dé-dollarisation » mondiale, c'est ainsi que le syndicat du dollar peut affirmer le contrôle central dont il a besoin pour maintenir et étendre sa puissance financière de monnaie de réserve mondiale. Cela inclut la protection de ses dirigeants contre la responsabilité civile et pénale liée aux niveaux explosifs de fraude financière et sanitaire des dernières décennies.
Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces concoctions des « vaccins » ? Si je comprends l'histoire de la jurisprudence, les vaccins, en termes juridiques, sont des médicaments. Un empoisonnement intentionnel aux métaux lourds n'est pas un médicament. Les composants de surveillance injectables ne sont pas des médicaments. Les cartes de crédit injectables ne sont pas des médicaments. Une interface cerveau-machine injectable n'est pas un médicament. L'immunité juridique et financière des compagnies d'assurance ne crée pas d'immunité humaine contre les maladies.
Nous devons cesser de permettre que ces concoctions soient désignées par un mot que les tribunaux et la population en général définissent et assimilent à un médicament et que ce mot protège de toute responsabilité juridique et financière.
Les auteurs de cette fraude tentent un coup très habile qui leur permettra d'aller beaucoup plus vite et d'annuler beaucoup de risques — à nos dépens. Je comprends pourquoi ils le font.
Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi nous les aidons. Pourquoi acceptons-nous d'appeler « vaccins » ces étranges et profondément dangereuses concoctions ? Quelles qu'elles soient, ce ne sont pas des médicaments.
Alors, comment devrions-nous conventionnellement les renommer ? Quel nom donnerons-nous aux poisons, aux métaux nocifs pour le système nerveux et aux entraves numériques ?
Quel que soit le nom qu'on leur donne, je sais une chose. CE NE SONT PAS DES MÉDICAMENTS, CE QUI SIGNIFIE QU'ILS NE SONT CERTAINEMENT PAS DES VACCINS.
Donc, si j'ai tout bien compris, et que ces virus sont des poussières (intelligentes ?) radioactives ou autres, leurs intrusions causent problèmes à certains organismes (il y a ceux qui s'en défendent et ceux qui le subissent sans pouvoir empêcher ses dommages dans le corps d'accueil). D'où la volonté et le devoir de faire appel à un chélateur. La chélation élimine certaines particules nanomètriques jusqu'aux terminaisons veineuses du cerveau.
Ces pollutions aériennes (absorbées par les plantes, les animaux et les humains) portent tantôt le nom de virus (quand elles nuisent à l'organisme) ou tantôt un nom indéfini ou non quand elles s'attaquent à des plantes, animaux ou matériaux.
Mais, sans parler du virus du mildiou, du phylloxera, de la variole ou du vers de la grappe qui tombent du ciel quand il pleut (les gouttes rassemblent dans leur chute des millions de virus), il en est d'autres qui sont volontairement émises et répandues par avions et appelées les chemtrails (traits chimique observés derrière certains avions). Ce sont en fait ce que nous appellerons les poussières intelligentes puisque c'est leur nombre qui va déterminer la valeur de l'impact.
Reste à savoir combien faut-il de virus dans l'organisme pour qu'ils ne soient éliminables ? et si ces éliminautes (ou éliminocides) exterminators, désintégrators ou absentoïdes effaceurs de vies doivent-ils passer par un vaccin pour être neutralisés ou par un chélateur pour les retirer ?
Dès lors que sont apparus les microscopes et l'observation des nano-particules a été testée la nocivité de chacune d'entr'elles. Puis leur sélection, puis leur épandages par drones ou par avions. C'est pourquoi pour la première fois ont été constatées des vitesses de déplacement fulgurantes des dits virus qui n'ont été retenues jusque là comme surnaturelles.
Ce sont ces petites races de gaz invisible qui réchauffent la Terre ! C’est le Soleil, imbécile !!! Il faut taxer le gaz carbonique !!
Lorsque le Docteur Valentina Zharkova publia un article dans Nature- Scientific Reports mis en ligne le 24 Juin 2019 celui-ci fut retiré par l’Éditeur en chef il y a quelques semaines seulement sous le fallacieux prétexte que la trajectoire du Soleil autour du barycentre du système solaire n’était pas un argument convaincant pour prédire l’arrivée d’un âge glaciaire dès 2020 et qui devrait durer jusqu’en 2055. Le modèle mathématique du Docteur Zharkova pour décrire la variation au cours du temps du champ magnétique solaire prédit en effet un grand minimum solaire pour les 30 années à venir. N’importe qui pourra arguer du fait que puisque les modèles de réchauffement de l’IPCC ne sont pas confirmés par les faits, celui de V. Zharkova n’a pas plus de valeur. Or il n’en est rien puisque son modèle mathématique permet de remonter dans le temps. Pour qu’un modèle mathématique d’une telle nature soit validé il n’y a que deux solutions : attendre 100 ans pour constater qu’il est valable ou vérifier la validité du modèle dans le passé. Si ce modèle est en effet correct il devrait avoir été possible par le calcul de retrouver les diverses variations du climat qui eurent lieu par exemple durant les 10 000 dernières années. Et c’est exactement le cas pour ce modèle de V. Zharkova. Celui-ci est une mise en équations de l’interaction des résonances entre les champs magnétiques toroïdal et poloïdal du Soleil. Pour ce qui concerne les modèles d’évolution du climat par l’IPCC je n’ai vu nulle part qu’ils vérifiaient l’évolution passée du climat …
Le fonctionnement magnétique du Soleil est extrêmement complexe. Cet astre tourne autour de lui-même en à peu près un mois mais la vitesse de rotation de la matière solaire est plus rapide au niveau de l’équateur solaire qu’aux pôles. Ce premier fait visualisé par les taches solaires qui ont toujours intrigué les observateurs est en réalité la manifestation à la surface du Soleil des tensions entre les lignes de champ magnétique induites par cette rotation différentielle de 25 jours à l’équateur et de 34 jours aux pôles. La migration des taches solaires, déjà observée du temps de Galilée, suit un mouvement général du pôle vers l’équateur, zone où ces taches semblent disparaître. Le Soleil est donc une immense dynamo constituée de deux systèmes de courants de matière, des pôles vers l’équateur et de pôle à pôle. Il aura fallu attendre la fin des années 1970 pour disposer d’analyses précises du champ magnétique global du Soleil et sans la prise en considération de ces deux composantes poloïdale et toroïdale de la dynamo solaire, toute description mathématique de ce champ magnétique solaire est impossible.
Le modèle de V. Zharkova combine ces deux composantes de la dynamo solaire. Il s’agit d’oscillations au cours du temps de ces deux composantes qui ne sont pas exactement synchrones. Si tel était le cas le climat de la Terre serait toujours égal à lui-même. Or l’histoire a bien montré que ce n’était pas le cas. Il y a eu, en remontant le temps, l’âge glaciaire de 1645-1715, le minimum de Wolf vers 1200 qui a immédiatement suivi l’optimum climatique médiéval (900-1200), le minimum dit d’Homere (800-900 avant l’ère commune) suivi de l’optimum romain (400-0 avant l’ère commune), des fluctuations que le modèle de V. Zharkova décrit parfaitement. Il n’existe pas d’arguments plus solides pour prétendre que ce modèle est exact. Et c’est ce qui dérange beaucoup dans la sphère scientifique vendue aux thèses erronées de l’IPCC. L’éditeur en chef de Nature a retiré cet article dérangeant dont voici le doi : 10.1938/s41598-019-45584-3 .
En effet parmi les hypothèses avancées pour tenter d’expliquer ces fluctuations périodiques de l’activité magnétique du Soleil décrites par le modèle de V. Zharkova il y a les effets de marée exercées par les planètes géantes du système solaire, Jupiter, Saturne et Uranus que beaucoup d’auteurs considèrent comme négligeables, et également le fait que le Soleil ne suit pas une trajectoire « rectiligne » (en fait elliptique) autour du centre de la galaxie mais c’est en fait le barycentre du système solaire dans son ensemble qui suit cette trajectoire et le Soleil « circule » autour de ce barycentre, le mouvement inertiel du Soleil. Or ce mouvement peut être parfaitement décrit par le calcul de la position des planètes. Ce que les adeptes du réchauffement du climat d’origine humaine réfutent fermement est le fait que cette « circulation » du Soleil est infime par rapport à sa masse et qu’en aucun cas elle peut induire les fluctuations du champ magnétique solaire telles qu’elles sont décrites par le Docteur V. Zharkova : C’est le gaz carbonique atmosphérique qui est le facteur le plus important, et il faut que l’humanité toute entière change de style de vie, point barre.
Alors, me direz-vous, pourquoi il y a eu des périodes de climats très favorables au cours du passé alors qu’on ne connaissait ni le charbon ni le pétrole et encore moins le gaz naturel et que le seul combustible connu était le bois ? La teneur du gaz carbonique atmosphérique était dite « préindustrielle » et le climat était (aussi ?) préindustriel. Il y a un problème de taille dans ces affirmations mensongères de l’IPCC et de tous les mouvements écologistes de la planète applaudis par de nombreux politiciens : pourquoi de telles fluctuations du climat passé, des alternances de climat chaud suivies de périodes froides, alors que l’humanité ne produisait pas de gaz carbonique « non renouvelable » ?
Quand le Docteur V. Zharkova prédit une période froide à très froide entre 2020 et 2055 selon son modèle c’est un véritable pavé dans le marigot des tenants du réchauffement climatique d’origine humaine qui veulent imposer la rigueur énergétique à l’humanité entière. Si on entre dans le détail l’activité magnétique du Soleil a déjà chuté de près de 70 % depuis la fin de l’optimum climatique moderne (1960-2000 approximativement), une valeur jamais atteinte depuis plus d’un siècle et demi. Si l’irradiance solaire totale a peu changé, une diminution d’à peine 0,22 %, les effet de la chute spectaculaire du champ magnétique solaire et par conséquent du vent solaire vont être beaucoup plus prononcés. L’affaiblissement de ce champ magnétique provoque déjà une forte augmentation du rayonnement cosmique de haute énergie atteignant la Terre. La conséquence à court terme est un accroissement de la couverture nuageuse et donc une augmentation de l’albedo de la Terre, augmentation qui provoquera un refroidissement généralisé de toutes les zones terrestres hors régions intertropicales. Je me permet pour conclure ce billet de dire que Madame Valentina Zharkova est optimiste quand, sur la base de son modèle, elle donne les dates précises de la période froide à venir : 2020-2053. Pour que le climat revienne à des valeurs « normales » telles qu’on les connaît aujourd’hui il se passera peut-être dix à vingt années supplémentaires de même qu’il faudra peut-être attendre aussi dix ans pour réellement ressentir un refroidissement du climat.
Source : un article de mise au point de Valentina Zharkova aimablement communiqué sur ma demande et que je tiens à la disposition de mes lecteurs.
Les champs de la mort de New York; Mettre Cuomo et Trump en garde; Mémo au Dr Scott Atlas
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 1 septembre 2020
Remarque: il s'agit d'une réédition d'un article que j'ai écrit il y a plusieurs mois. Le sujet est tombé du radar. Je le ramène. Rien n'a été fait pour remédier à la tragédie et aux crimes détaillés ci-dessous.
MISE À JOUR - GreenMedInfo et GatewayPundit rapportent que le CDC a discrètement révisé ses chiffres de décès COVID aux États-Unis. Au lieu de 161 000 décès, le nombre réel est inférieur à 10 000, dans la catégorie des «morts du virus et d'aucune autre cause».
GreenMedInfo: «Les implications de cette situation sont époustouflantes, confirmant ce que beaucoup d'entre nous disent depuis des mois, à savoir que les statistiques de décès ont été sur-gonflées, probablement de plusieurs ordres de grandeur. Le CDC a mis à jour subrepticement ses statistiques de décès COVID le 26 août, avec des implications étonnantes, à savoir que moins de 10k des 161 000 personnes que le CDC a déclaré "mortes du COVID'' ont été classées comme ayant été tuées par COVID-19 seul. Les autres avaient 2 à 3 causes de décès supplémentaires, dont la grande majorité étaient des maladies chroniques indiquant une mauvaise santé qui préexistait depuis longtemps à cet événement. Sources:"
Une étude du Journal of the American Medical Association Network fournit des chiffres époustouflants qui devraient vous faire arrêter sur vos traces—
JAMA Network, 22 avril 2020, «Présentation des caractéristiques, comorbidités et résultats parmi 5700 patients hospitalisés avec COVID-19 dans la région de New York»:
«Les taux de mortalité des personnes ayant reçu une ventilation mécanique [respiratoire] dans les groupes d'âge des 18 à 65 ans et des plus de 65 ans étaient de 76,4% et 97,2%, respectivement. Les taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 65 ans et de plus de 65 ans qui n'ont pas reçu de ventilation mécanique étaient de 19,8% et 26,6%, respectivement.
Eh bien, bien sûr, les personnes qui ont été mises sous respirateur respiratoire étaient les patients les plus malades au départ, n'est-ce pas ? C’est une hypothèse injustifiée. Et seuls les fous médicaux continueraient à appliquer TOUT traitement à un groupe défini avec les taux de mortalité stupéfiants cités dans l'étude.
Un chercheur proche et fiable m'a dit ce qui suit: de nombreuses personnes âgées vivent avec des niveaux d'oxygène chroniquement bas. Ce n'est peut-être pas idéal, mais ils survivent.
Cependant, lorsque de telles personnes arrivent dans les hôpitaux, les médecins peuvent mal interpréter les niveaux d'oxygène, croyant qu'il s'agit de situations d'urgence désastreuses - et par conséquent, ils placent les patients sous des ventilateurs. Les patients meurent.
Ensuite, il y a l'argent. L'argent d'assurance. Lors d'un entretien téléphonique, le médecin et sénateur de l'État du Minnesota, Scott Jensen, m'a dit que les hôpitaux, qui subissent des pertes financières très importantes, sont incités par Medicare à étiqueter autant de patients que possible «COVID-19» et à les mettre sous ventilation.
Jensen a déclaré qu'un patient sous Medicare, diagnostiqué avec une pneumonie pure et simple, apporterait un paiement de 4600 $ à l'hôpital. Le même patient, étiqueté «pneumonie COVID-19», rapporterait 13 000 $. Et si ce patient est mis sous respirateur: 39 000 $.
Résultat? Les patients mettent inutilement et de manière meurtrière des ventilateurs.
À New York, il y a beaucoup de personnes âgées et très malades, souffrant de maladies à long terme qui n'ont rien à voir avec une épidémie. Ils ont été traités pendant des années avec des médicaments toxiques et des vaccins toxiques. Ils ont déjà des problèmes pulmonaires. La propagande massive sur le virus COVID les terrifie. Ils croient qu'ils pourraient être «infectés». Ensuite, ils sont diagnostiqués COVID, isolés de leur famille et de leurs amis, et ils abandonnent et meurent. Prématurément. Leur mort est provoquée et forcée par le diagnostic COVID et l'isolement. Et, dans de nombreux cas, par des ventilateurs.
AUCUN VIRUS NÉCESSAIRE.
Ces vieux ? En utilisant worldometer.info pour les données, au 13 mai, les personnes de 65 ans et plus représentaient 73,6% de tous les décès par COVID à New York.
Le groupe des 75 ans et plus représente, à lui seul, 48,7% de tous les décès par COVID dans la ville.
AUCUN VIRUS NÉCESSAIRE.
Il y a plus à dire sur la question de l'hypoxie (faible taux d'oxygène dans le sang des patients). Un certain nombre de patients à New York ont ??mystifié les médecins des urgences parce qu'ils se présentent avec cette condition.
WebMD énumère un certain nombre de causes évidentes d'hypoxie: crise d'asthme; traumatisme (blessure); BPCO; emphysème; bronchite; médicaments contre la douleur, «et autres médicaments qui retiennent la respiration»; problèmes cardiaques; anémie, "un faible nombre de globules rouges, qui transportent l'oxygène."
Parmi les médicaments qui peuvent provoquer la privation d'oxygène connue sous le nom d'hypoxie? De drugabuse.com: «… les opiacés [opioïdes] ralentissent également votre respiration… et en cas de surdosage, votre respiration est ralentie à un niveau pratiquement inexistant et mortel.»
Quelqu'un cherche-t-il CELA à New York ?
Plus de drugabuse.com: «Aux États-Unis, 44 personnes meurent chaque jour des suites d'un arrêt respiratoire provoqué par une surdose d'opioïdes sur ordonnance. Les opioïdes réduisent votre respiration, provoquent une forte sédation et empêchent le réveil. De plus, les opioïdes trouvés dans les analgésiques sont les mêmes que ceux trouvés dans l'héroïne, qui a causé plus de 8 000 décès par surdose en 2013. »
Estimation 2018 des décès par surdoses d'opioïdes à New York: 3000. Beaucoup plus de personnes dans la région de New York sont dépendantes de ces drogues. Dans l'État de New York, en 2017, le nombre de personnes sorties des hôpitaux, après un traitement pour une surdose ou une dépendance aux opioïdes: 25000.
En 2020, les personnes qui ont développé une hypoxie aux opioïdes sont mal diagnostiquées avec des «problèmes pulmonaires au COVID-19». Certaines de ces personnes seraient sous sédation, mises sous respirateur - ignorant la nécessité de faire face à leur surdose, leur dépendance, leur sevrage - et elles meurent.
Réveillez l'Amérique. Vous avez été connecté. Seulement 9 683 décès estimés à Covid-19 à ce jour en 2020, pas 180 000
Par Bill Sardi 1 septembre 2020
Environ à mi-chemin de la page d'écran Le Center for Health Statistics du 26 août 2020, une mise à jour sur le nombre provisoire de décès pour la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) indique ce qui suit: «Pour 6% des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionné."
Oh. Vous voulez dire que l'Amérique ne subit pas de pandémie ? En moyenne, environ 8 000 personnes meurent chaque jour de toutes causes aux États-Unis. Au cours des 8 premiers mois de 2020, il n'y a eu que ~ 1200 décès supplémentaires par mois ou 40 décès supplémentaires par jour exclusivement dus aux infections à coronavirus COVID-19, dont 80 % parmi les Américains âgés de 65 ans et plus. Par extrapolation, il n'y avait que ~ 8 décès en excès de COVID-19 uniquement par jour parmi les adultes en âge de travailler et les enfants d'âge scolaire.
Traduction: sur les 161392 décès liés au COVID-19 cumulés signalés au 22 août 2020 (80 % parmi les Américains âgés de 75 ans et plus), seulement 6% ou ~ 9683 décès cumulés ont été classés comme COVID-19 uniquement. Parmi ces décès dus uniquement au COVID-19, ~ 60% étaient âgés de 75 ans et plus; 80% avaient 65 ans et plus. Ainsi, il n'y a eu que ~ 2000 décès uniquement attribuables au COVID chez les adultes en âge de travailler et les enfants d'âge scolaire.
Exagéré
Les verrouillages, les quarantaines, la distanciation sociale et les masques faciaux étaient exagérés, détruisant définitivement des vies alors que les entreprises faisaient faillite et que l'avenir des jeunes Américains était anéanti.
Les Américains de plus de 75 ans qui ont des conditions comorbides telles que le diabète, l'hypertension, la pneumonie, l'obésité et les maladies cardiaques qui sont décédés avec une infection pulmonaire au COVID-19 en plus de leurs conditions comorbides auraient probablement été sur leur lit de mort quel que soit le coronavirus COVID-19 épidémie.
Seulement la moitié de 1%
Environ 240 jours se sont écoulés du 1er janvier au 31 août. Si nous calculons le nombre total moyen de décès par jour (~ 8000), cela équivaut à 1.920.000 décès aux États-Unis au cours des 8 premiers mois de 2020. On estime que 9683 décès supplémentaires cumulés (décès en excès) ont été attribués aux infections COVID-19 uniquement, pour un total d'environ 1 930 000 décès, dont 9683 décès uniquement attribuables au COVID, soit environ la moitié de 1% de tous les décès.
Pour une augmentation de 0,5% des décès, ce pays a été verrouillé, la population a pris des mesures effrayantes à jamais et des mesures draconiennes ont jeté des millions de personnes au chômage et ruiné des petites et même des grandes entreprises.
Par comparaison
À titre de comparaison, environ 33 800 Américains sont morts de la grippe de Hong Kong en 1968, qui était la pandémie de grippe la plus bénigne du 20e siècle. Pourtant, la vie aux États-Unis s'est déroulée normalement pendant la grippe de Hong Kong.
Alors, comment effacer ces craintes d’un virus qui n’était vraiment pas aussi meurtrier que prévu ? Comment recommencer à serrer la main des gens ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur que les autres puissent héberger le COVID-19 et infecter nos poumons ? Comment arrêter de laver les paniers dans les épiceries puisque les infections pulmonaires au COVID-19 nécessitent une transmission aérienne ? Le transfert viral de tout virus respiratoire à partir d'un contact sur n'importe quelle surface n'est pas la façon courante d'infecter les gens, reconnaît le CDC.
Comment empêcher les aéroports de contrôler la température et de mettre en quarantaine les voyageurs entrants ? Les Américains ont presque besoin de suivre une thérapie pour surmonter une phobie des médias.
Qui sera responsable ?
Comment prendre ces alarmistes au sein du gouvernement et de la médecine et les rendre responsables de ce qui semble être une pandémie artificielle pour couvrir une économie qui s'effondre, utilisée comme excuse pour se débarrasser du papier-monnaie et inaugurer une monnaie numérique mondiale qui sera contrôlée par des partis non élus qui domineront essentiellement le monde et imposeront inutilement des vaccins à l'ensemble de la population humaine ?
Plus de morts de désespoir
Il peut y avoir eu plus de décès dus au désespoir (environ 75000 suicides) à cause de l'appel à une pandémie aux États-Unis que du coronavirus COVID-19 lui-même.
Que faisons-nous de tous ces milliards de vaccins inutiles qui ont déjà été achetés par les agences gouvernementales de santé? Le secteur de la santé de la bourse s'effondrerait avec la notification que l'épidémie a été annulée.
Vaccination inutile
Cela signifie que l'Amérique tentera de vacciner les 328 millions de citoyens pour épargner environ 10 000 vies. Cela signifie que 327 990 000 seront inutilement vaccinés. Et un vaccin homologué ne peut être efficace qu'à 50%, ce qui en fait une vaccination encore plus lointaine empêchera en fait de futures infections à coronavirus. Il y a une plus forte probabilité que beaucoup plus d'Américains éprouvent des effets secondaires graves liés au vaccin que de développer une immunité à long terme, car il a été constaté que les anticorps contre le COVID-19 ne durent pas très longtemps.
Une découverte enrichissante
Les Américains ont découvert comment rester en bonne santé sans tous les médecins et sans courir à l'hôpital. Les Américains ont constaté que les suppléments de vitamines et de minéraux fonctionnent réellement, même si la médecine moderne les regarde de manière désobligeante. Il a été découvert que les lymphocytes T dépendants du zinc, et non les anticorps, tuent les coronavirus COVID-19. Le manque d'ensoleillement en vitamine D en hiver explique l'apparition saisonnière hivernale de toutes les maladies infectieuses. Le sélénium empêche les virus de muter. La vitamine C active les globules blancs lents et est curative lorsqu'elle est administrée par voie intraveineuse. Les pastilles de zinc sont maintenant couramment utilisées dans les unités de soins intensifs pour les infections pulmonaires. Pourquoi un Américain voudrait-il revenir à la médecine conventionnelle ?
D'abord, qu'est-ce qu'un virus ? (a ne pas confondre avec une bactérie). Un virus est une poussière nanomètrique mais qui - hors de secouer un tapis et toussoter après - elle, elle reste. Elle demeure car il s'agit de ce que l'on appelle une poussière intelligente (comme celles larguées par chemtrails).
Une poussière intelligente est le nom donné à une particule qui a un champs magnétique, soit elle l'extériorise (particule radioactive), soit elle l'intériorise (elle a une aimantation). C'est cette dernière qui fait partie des 'corona'.
Hors, comme un virus n'est pas un vivant, il ne sert à rien de lui administrer un vaccin pour le combattre. Dans ce type de cas on fait appel à la chélation.
La chélation a pour but de retirer les métaux lourds qui vont se loger en impasse dans les fines veines du cerveau (d'où les effets des vaccins ROR qui en contenaient afin d'handicaper tout être vivant en quelques heures). Mais, bizarrement, des chélateurs... personnes n'en parle !! Çà alors !
Pourtant il s'agit bien d'expulser un intrus et non de parler de tuer un petit aimant ingurgité ou injecté par vaccin !
Ainsi, pareillement que tout être intelligent qui a reçu une puce RFID lors d'un vaccination (puce contenue dans l'aiguille de la seringue), il peut et doit se la faire enlever afin que sa vie ne soit en danger, il doit aussi se faire ou se faire faire une chélation afin d'être dégagé des corps intrusifs.
Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l'on appelle encore « vaccins »
RépondreSupprimerCatherine Austin Fitts — Solari Report
Sott.net
mer., 26 août 2020 14:56 UTC
Je ne suis pas scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas ingénieure en biotechnologie. Je ne suis pas avocate. J'essaie cependant de comprendre ceux qui le sont, je lis, j'écoute et j'évalue.
« Qu'est-ce après tout qu'un nom ? Ce qu'on appelle rose,
Sous un autre vocable, aurait même parfum. »
~ William Shakespeare, Roméo et Juliette
J'étais banquière d'affaires jusqu'à ce que la politique rende impossible la poursuite de mon savoir-faire. J'ai reçu une formation de gestionnaire de portefeuille. Je cartographie donc mon monde en observant les flux financiers et l'affectation des ressources financières. J'ai également été formée pour conceptualiser et exécuter des conspirations — la conspiration constituant le principe d'organisation fondamental qui détermine la façon dont les choses sont mises en œuvre dans notre monde. Ce n'est que lorsque j'ai quitté le « club » que j'ai appris que ceux qui n'en faisaient pas partie avaient été formés à dénigrer les conspirations et à les éviter, ce qui constitue une manœuvre habile qui sabote leurs efforts de conquête du pouvoir.
En guerre pendant un certain temps contre des agences gouvernementales des Etats-Unis, ma réaction personnelle à cette situation fut de répondre aux questions des personnes qui étaient suffisamment curieuses et courageuses pour s'enquérir de mon opinion. Au fil des années, cette réponse s'est transformée en deux activités professionnelles distinctes. L'une est le Solari Report, qui continue à se développer en tant que réseau mondial de recherches d'information — au sein duquel nous nous appliquons à nous aider mutuellement afin de comprendre et naviguer à travers les événements qui se produisent autour de nous, et de contribuer aux évolutions positives. L'autre consistait à conseiller les particuliers et les familles en matière d'investissement par l'intermédiaire de Solari Investment Advisory Services [Services de Conseil en Investissement Solari- NdT]. Au bout de dix ans, j'ai transformé cette dernière en conseil en investissement par la mesure de l'ESG des entreprises [ESG pour les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance qui constituent les trois facteurs principaux de mesure de la soutenabilité et de l'impact éthique d'un investissement dans une société ou dans un domaine économique - NdT]. Ce que cherchent ceux qui l'utilisent — et qui ne soit pas déjà disponible sur le marché — c'est un filtre qui reflète la connaissance de la corruption financière et politique. Identifier les métastases de la corruption est un métier à part entière, pas une science.
Lorsque vous aidez une famille à gérer ses finances, il est crucial de comprendre tous les risques auxquels elle peut faire face. Sa prospérité financière dépend de l'atténuation réussie de tous les risques — qu'ils soient financiers ou pas — qu'ils rencontrent dans leur vie quotidienne. Les risques non financiers peuvent avoir un impact majeur sur l'affectation des ressources de la famille, y compris en termes de temps, d'actifs, d'argent et de capacité de concentration.
Nombreux sont mes clients et leurs enfants à avoir été dévastés et épuisés par les échecs du système de santé et la corruption — et le catalyseur le plus fréquent de cette dévastation a été la mort et les blessures causées par les vaccins. Après de longues et effroyables expériences avec les institutions médicales, ils se posent invariablement cette question : « Si la corruption est à ce point présente dans la médecine, l'alimentation et la santé, qu'en est-il dans le monde financier ? ». Effrayés par cette idée, ils partent alors à en quête d'un professionnel de la finance qui soit rompu aux arcanes gouvernementales des États-Unis et à la corruption financière. Et ils finissent par me trouver.
RépondreSupprimerLe résultat de cet afflux de personnes brillantes et instruites, qui ont eu la chance de pouvoir payer pour mon temps de travail, fut que, pendant dix ans, j'ai fini par en savoir beaucoup sur les handicaps et la mort infligés à nos enfants par ce que j'appelle maintenant « le grand empoisonnement ». En dressant une carte des coûts financiers des lésions causées par les vaccins, encore et encore, j'ai eu l'occasion d'évaluer à maintes reprises les dommages humains causés à tous ceux qui sont concernés — et cela n'impliquait pas que les enfants qui étaient touchés, mais aussi leurs parents, leurs frères et sœurs et les générations futures. Ces cas n'étaient pas aussi inhabituels qu'on pourrait le penser. Des études indiquent que 54 pour cent des enfants américains sont atteints d'une ou plusieurs maladies chroniques. Des médecins en qui j'ai confiance me disent que ce chiffre est en fait beaucoup plus élevé, car de nombreux enfants et leurs familles ne peuvent pas se permettre les tests nécessaires pour diagnostiquer correctement ce qui les afflige pas plus que les soins qui en découlent.
L'une des mères de famille qui apparaît dans VAXXED — De la dissimulation à la catastrophe — un documentaire incontournable pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II — La réponse du public — a estimé que le coût pour élever et soigner toute sa vie un enfant lourdement autiste représente une valeur actuelle de cinq millions de dollars. Lorsque mes clients, qui étaient des grands-parents, insistaient pour ne pas interférer dans le choix vaccinal de leurs enfants parce que cela ne les regardait pas, je leur disais : « Vraiment ? Qui possède les cinq millions de dollars ? Vous ou vos enfants ? Lorsque vos enfants auront besoin des cinq millions de dollars pour élever leur enfant vacciné, allez-vous leur refuser ? Vous êtes le banquier, et c'est votre argent qui est en jeu ici, donc c'est votre affaire. Voulez-vous dépenser ces cinq millions de dollars pour construire une famille solide à travers les générations ou pour gérer un enfant handicapé qui n'aurait pas dû être handicapé ? ». Souvent, ces cinq millions de dollars de dépenses se traduisent aussi par des divorces, des dépressions et des occasions perdues pour les frères et sœurs.
Note du traducteur : Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de voir les deux documentaires Vaxxed, vous pouvez suivre les deux hyperliens inclus dans le paragraphe précédent, ce sont les versions originales sous-titrées en français.
- voir clips publiés ci-dessus ce jour -
VAXXED Mes clients m'ont aidé à trouver les meilleures références sur les vaccins — livres, documentaires et articles. Vous trouverez un grand nombre d'entre eux en hyperliens ou passés en revue sur le site de Solari Report, y compris dans notre bibliothèque.
De toutes les questions que j'ai posées, celle sur laquelle j'ai passé le plus de temps à enquêter et à réfléchir est la suivante : pourquoi ? Pourquoi les institutions médicales empoisonnaient-elles intentionnellement des générations d'enfants ? Nombre d'auteurs ayant fait des recherches et écrit sur les lésions et les décès dus aux vaccins ont supposé qu'il s'agissait d'une aberration résultant de l'orthodoxie d'une institution médicale incapable de gérer ou de faire face à ses erreurs et aux responsabilités financières qui les accompagnent. Pour moi, ceci ne m'a jamais paru logique. Les ouvrages de Forrest Maready, Jon Rappoport, le Dr Suzanne Humphries et Arthur Firstenberg m'ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l'escroquerie permettant aux compagnies d'assurance et aux personnes légalement responsables d'économiser de l'argent.
RépondreSupprimerVoici un exemple qui illustre le fonctionnement de cette escroquerie. Une toxine crée une maladie. La toxine peut être un pesticide, une pollution industrielle ou une radiation due à une technologie sans fil. La toxine cause des dommages à des millions de personnes et à leurs communautés. Les entreprises ou leurs assureurs peuvent être tenus pour responsables d'infractions civiles ou pénales. C'est alors qu'un virus est mis en cause. Un « remède » est trouvé sous la forme d'un « vaccin ». L'exposition au pesticide ou à toute autre substance toxique est interrompue au moment où le vaccin est introduit et, presto, la maladie disparaît. Le vaccin devient un succès, et son inventeur devient un héros. Une catastrophe financière potentielle a été transformée en profit, y compris pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant que gestionnaire de portefeuille, j'admets qu'il s'agit là d'un brillant tour de passe-passe qui a probablement protégé le secteur de l'assurance contre les faillites qu'il subirait s'il devait indemniser équitablement les personnes et les familles détruites.
Grâce au travail de Robert Kennedy Jr et Mary Holland de Children's Health Defense, je comprends maintenant les énormes profits générés par les soi-disant « vaccins » qui ont suivi le vote du National Childhood Injury Act de 1986 et la création du National Vaccine Injury Compensation Program [programme d'indemnisation des accidents médicaux et des décès liés à la vaccination - NdT]. Ce programme est un mécanisme fédéral de dédommagement financier des accidents et décès dus à la vaccination par l'intermédiaire d'un mécanisme d'introduction d'une demande indemnitaire devant la United States Court of Federal Claims [tribunal fédéral des États-Unis qui entend les plaintes pour dommages financiers exercées contre le gouvernement - NdT] et ses experts spécialisés. Il suffit qu'un médicament ou un cocktail biotechnologique soit étiqueté « vaccin » et les entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques sont dégagées de toute responsabilité — c'est le contribuable qui paie. Malheureusement, ce système est devenu une invitation permanente à gagner des milliards avec des « injections », en particulier lorsque les réglementations et les lois gouvernementales peuvent être utilisées pour créer un marché garanti par le biais d'obligations vaccinales. Puisque les agences gouvernementales et les législateurs ainsi que les médias corporatifs ont mis au point divers systèmes pour profiter de ces milliards de bénéfices,il en a résulté d'importants conflits d'intérêts.
Vacciner le monde
RépondreSupprimerLe Public Readiness and Emergency Preparedness Act [loi sur la préparation du public et la protection civile - NdT] (PREPA ou loi PREP) est entrée en vigueur en 2005 et a encore accru la liberté des entreprises en matière de responsabilité. Cette loi est un bouclier controversé en matière de responsabilité délictuelle destiné à protéger les fabricants de vaccins contre les risques financiers en cas d'urgence de santé publique déclarée. La loi accorde spécifiquement aux fabricants de médicaments une immunité contre toute responsabilité financière potentielle pour les essais cliniques de... vaccins à la discrétion du pouvoir exécutif du gouvernement. Le PREPA renforce et consolide la surveillance des litiges contre les sociétés pharmaceutiques sous la responsabilité du secrétaire à la santé et aux services sociaux.
~ Wikipedia
Au fil du temps, ceci s'est traduit par une évolution vers une ingénierie des épidémies — la version médicale des opérations sous faux drapeaux. En théorie, il peut effectivement s'agir de « PsyOps » ou d'événements orchestrés à l'aide d'agressions chimiques et biologiques ou de technologies sans fils. Si cette idée vous semble incongru, plongez dans tous les écrits des « personnes ciblées ».
Note du traducteur : Selon l'Urban Dictionary, une personne est dite « ciblée » lorsqu'elle est devenue la cible d'un parti, d'une organisation ou d'une entité. Une personne peut être ciblée par des entités allant de la corruption dans les affaires, du crime organisé, des sectes et des extrémistes ou par le gouvernement. Une personne qui devient ciblée sera confrontée à des campagnes de surveillance de différents degrés et, d'une manière générale, à des campagnes qui ont un impact négatif sur un individu. Il peut s'agir de campagnes de harcèlement, de discrédit, de sabotage, d'incitation à la peur et à la paranoïa, de manipulation, d'extorsion, voire d'assassinat, entre autres.
J'en ai personnellement fait l'expérience en subissant un harcèlement physique significatif lorsque j'étais en procès avec le ministère de la Justice. J'ai alors tenté d'engager différentes agences de sécurité ; elles vérifiaient mes références et refusaient de me protéger au motif que c'était trop dangereux. La dernière a eu pitié de moi et a attiré mon attention sur le fait que je ne devais pas m'inquiéter des armes électroniques, en soulignant que mon principal problème viendrait d'une agression biologique de faible intensité. Cet expert en guerre biologique avait prédit que l'équipe adverse percerait des trous dans le mur de ma maison pour y injecter l'« ennemi invisible ». Bien sûr, c'est exactement ce qu'il s'est produit. J'ai vendu ma maison et j'ai quitté la ville. Ce voyage a marqué le début d'un long processus d'apprentissage sur l'usage qui est fait des armes empoisonnées et non létales — qu'il s'agisse de déplacer des personnes hors des appartements à loyer modéré, de rendre malades des personnes âgées pour les transférer dans des logements plus chers subventionnés par le gouvernement, de harceler à plusieurs des cibles politiques ou commerciales, ou d'affaiblir voire tuer des adversaires judiciaires — et la liste continue. L'empoisonnement s'avérait constituer aux États-Unis une tactique bien plus courante dans les jeux de guerre politique et économique que je ne l'avais compris auparavant.
Après avoir terminé mon procès, j'ai passé plusieurs années à me désintoxiquer de métaux lourds, notamment du plomb, de l'arsenic et de l'aluminium. En conduisant à travers l'Amérique, j'ai réalisé à quel point je n'étais pas la seule. Les Américains ressemblaient de plus en plus à un peuple aux prises avec de fortes charges de métaux lourds toxiques. En diminuant de façon significative les taux de concentration exceptionnellement élevés en métaux lourds qui étaient les miens, j'ai appris à quel point la charge toxique avait modifié mon attitude, mon énergie et ma capacité à traiter des informations complexes.
RépondreSupprimerC'est ce qui m'a conduit à me pencher sur les vaccins. Je voulais découvrir ce qu'ils sont exactement, je voulais concrètement connaître ce que contiennent les concoctions qui sont aujourd'hui injectées aux populations et découvrir ce que sont les mixtures diaboliques actuellement en cours de développement.
Vaccination
En 2017, des chercheurs italiens ont passé en revue les ingrédients de 44 types de « vaccins ». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chacun des vaccins humains qu'ils ont testé. Ils ont déclaré : « La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. » Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente que les micro et nanoparticules contaminantes étaient « biopersistantes » puisqu'elles n'étaient « ni biocompatibles ni biodégradables », et qu'elles pouvaient donc provoquer des effets inflammatoires immédiats — ou plus tardifs.
Des tissus fœtaux avortés, des tissus animaux, de l'aluminium, du mercure, des matériaux génétiquement modifiés — et quoi d'autre ?
Note du traducteur : Puisque nous avions traduit l'article de Jon Rappoport sur cette étude effectuée en 2017, en voici un extrait :
« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, ce qui signifie qu'elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets à même de se manifester soit immédiatement après le moment de l'injection, soit après un certain temps suivant l'administration. Il est important de rappeler que les particules — des cristaux et non des molécules — sont des corps étrangers à l'organisme et qu'elles se comportent comme telles. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité — qui de toute façon, est toujours présente — une toxicité typique des corps étrangers. C'est la raison pour laquelle elles induisent une réaction inflammatoire.
Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du point d'injection en formant des œdèmes et des granulomes... Mais ils peuvent aussi être transportés par la circulation sanguine, échappant ainsi à toute tentative de déterminer quelle sera leur destination finale. Nous pensons que dans de nombreux cas, ils se répartissent dans tout l'organisme sans provoquer de réaction visible, mais il est également probable que, dans certaines circonstances, ils atteignent en assez grande quantité un organe quelconque, aucun n'étant exclu et en y incluant le microbiote. Comme c'est le cas de tous les corps étrangers, en particulier ceux de petite taille, ils induisent une réaction inflammatoire qui est chronique parce que la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l'effet de couronne de protéines [dû à une nano-bio-interaction] peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable. Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent pénétrer dans les noyaux des cellules et interagir avec l'ADN.
Dans certains cas, comme pour le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus.
RépondreSupprimer[...]
Étant donné les contaminations observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l'injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et présentent un caractère aléatoire, puisqu'ils dépendent du lieu où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est donc tout à fait évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles, due à une extravasation du sang, pourrait fortement altérer leurs fonctionnalités.
Lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution, nous rencontrons des particules dont la composition chimique est similaire à celle des vaccins que nous avons analysés. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n'ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel et ressemblent au résultat de la formation aléatoire qui se produit, par exemple, lors de la combustion de déchets. En tout état de cause, quelle que soit leur origine, elles ne devraient être présentes dans aucun médicament injectable, et encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons.
Il y a beaucoup plus dans l'article, et si vous ne l'avez pas lu, nous invitons le lecteur à le faire : Étude innovante — Des nanoparticules dangereuses contaminent de nombreux VACCINS... et autres produits de consommation courante
Voir aussi les articles suivants sur les sujets abordés dans les deux derniers paragraphes :
Utilisation dans les vaccins de tissu fœtal de bébés de 5-6 mois avortés vivants... pour découper sans anesthésie leur cœur encore battant
Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
Le Dr Madej tire la sonnette d'alarme au sujet de la nanotechnologie dans le vaccin COVID-19
Quels que soient jusqu'à présent les ingrédients des vaccins, rien n'est plus bizarre et troublant que les suggestions qui sont faites quant à ce qu'ils pourraient contenir à l'avenir. Les stratégies — déjà bien financées et en bonne voie — comprennent la nanotechnologie de l'interface cerveau-machine, les dispositifs et la technologie de traçage de l'identité numérique comportant une date d'expiration qui peut être gérée et désactivée à distance. Un rapport indique que le gouvernement danois et la marine américaine ont payé une entreprise technologique située au Danemark pour fabriquer une puce injectable qui serait compatible avec l'une des principales cryptomonnaies.
J'ai lu récemment l'excellente étude de Mary Holland sur les décisions de justice américaines en matière de vaccins — « La vaccination obligatoire, la Constitution et le mandat relatif à l'hépatite B pour les nourrissons et les jeunes enfants », publié dans Yale Journal of Health Policy, Law, and Ethics [et visible en Pdf ICI - NdT] — et je me suis demandé pourquoi on appelle vaccins les produits injectables que Bill Gates et ses collègues promeuvent ? S'agit-il vraiment de vaccins ?
RépondreSupprimerLa plupart des gens savent comment Bill Gates a construit et conservé sa fortune. Il a acquis un système d'exploitation qui a été installé dans nos ordinateurs [PC - NdT]. Une rumeur selon laquelle les services de renseignements américains disposent d'une porte dérobée a largement circulé. L'explosion simultanée et soudaine du nombre de virus informatiques a alors rendu nécessaire la mise à jour régulière de votre système d'exploitation, permettant à Gates et à ses associés d'ajouter régulièrement dans votre logiciel tout ce qu'ils voulaient. L'un de mes plus compétents développeurs informatiques m'a dit un jour dans les années 1990 — quand Microsoft a vraiment décollé — « Microsoft fabrique vraiment des logiciels merdiques ». Mais bien sûr, le logiciel n'était pas vraiment leur affaire. Leur métier était d'accéder à et d'agréger toutes vos données. Le capitalisme de surveillance était enclenché.
Note du traducteur : Voir l'ouvrage L'Âge du capitalisme de surveillance du professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, à paraître début octobre en français :
Objets connectés, cookies, publicités ciblées... Nos données personnelles, initialement collectées pour fluidifier la navigation sur Internet, améliorer ou simplifier les services sont désormais revendues — notamment par Google et Facebook, qui en ont fait leur fonds de commerce. La « data » est devenue « l'or noir » de l'économie numérique. Tous tracés, et alors ?
En échange d'informations personnelles — dont nous mesurons mal l'étendue — nous avons accès à des services gratuits ultra-performants. « Je n'ai rien à cacher » est la réponse la plus courante face à ce constat. Pourtant, le fait est que les GAFAM savent tout de nous, alors que nous en savons très peu sur elles et sur l'usage qu'elles font de ces données. Bienvenue dans le capitalisme de surveillance.
Shoshana Zuboff retrace ici la généalogie de cette nouvelle ère, née d'une mutation monstrueuse du capitalisme. Voici un système total dans lequel la matière première est l'expérience humaine : ce qui s'achète et qui se vend, ce n'est plus l'analyse de nos comportements, mais nos comportements prédictibles, voire induits. On aurait pu croire cette économie de la certitude au seul service d'un État totalitaire, mais elle est bel et bien dédiée, dans nos démocraties, au seul capital — par essence incontrôlable.
À travers dix-huit chapitres, des premiers pas de Google au scandale de Cambridge Analytica, l'auteur explique comment ce phénomène est passé, de manière insidieuse, du monde virtuel au monde réel, imprégnant peu à peu notre quotidien sans susciter ni sursaut citoyen, ni véritable régulation politique.
Et notre article Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore :
La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d'engranger d'énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.
Le ministère de la Justice a lancé une procédure antitrust contre Microsoft en 1998, juste au moment où les 21 000 milliards de dollars commençaient à disparaître du gouvernement américain — sans doute à l'aide de logiciels et de systèmes informatiques spécialement conçus. Pendant les négociations de règlement qui ont permis à Bill Gates de conserver sa fortune, il a lancé sa fondation et sa nouvelle carrière de philanthrope. J'ai ri l'autre jour lorsque mon tweet portant sur l'un des articles de Robert Kennedy Jr. de Children's Health Defense décrivant la technologie horrible que Gates espère déployer grâce aux « injections » — a suscité une réaction : « Bref, je suppose qu'il remplit finalement sa part de l'accord antitrust ».
RépondreSupprimerBill Gates réseau
Si vous examinez ce qui est actuellement proposé et créé en matière d'injections, il me semble que ces développements technologiques s'organisent autour de plusieurs objectifs potentiels.
Le premier et le plus important de ces objectifs est le remplacement du système monétaire actuel basé sur le dollar américain, et utilisé par la population en général, par un système de transactions numériques qui puisse combiner l'identification et le suivi numériques. L'objectif est de mettre fin aux devises telles que nous les connaissons et de les remplacer par un système de cartes de crédit incorporé qui peut s'intégrer à diverses formes de contrôle, y compris éventuellement le contrôle des esprits. La « dé-dollarisation » menace le système de réserves mondiales du dollar. Au cours de l'année dernière, et à la suite d'une nouvelle série d'assouplissements quantitatifs de la Réserve fédérale, la masse monétaire de M1 et M2 a connu une croissance à deux chiffres [M1 correspond aux pièces et billets dans les comptes courants ; M2 correspond à M1 plus les dépôts sur livrets et les crédits à court terme ; M3 regroupe M1 et M2 plus les dépôts à long terme, soit plus de 2 ans - NdT]. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés dans l'hyperinflation résulte de la chute spectaculaire de la vitesse de circulation de la monnaie dû au fait que le Covid-19 a été intentionnellement transformé en blocage pour une part importante de l'activité économique, et de la faillite de millions de petites et moyennes entreprises qui s'en est suivie. Les gestionnaires du système basé sur le dollar américain sont soumis à des pressions pour utiliser de toute urgence les nouvelles technologies en vue de centraliser les flux économiques et de préserver leur contrôle sur le système financier.
Tout comme Gates a installé un système d'exploitation dans nos ordinateurs, la vision consiste maintenant à installer un système d'exploitation dans notre corps et à utiliser des « virus » pour imposer une installation initiale suivie de mises à jour régulières.
Ceci étant dit, je comprends maintenant pourquoi Bill Gates et ses collègues souhaitent appeler ces technologies « vaccins ». S'ils peuvent persuader le corps politique que les cartes de crédit injectables, les systèmes de surveillance injectables ou les nanotechnologies d'interface cerveau-machine injectables sont des « vaccins », ils peuvent alors bénéficier de la protection d'un siècle ou plus de décisions et de lois juridiques qui soutiennent leurs efforts pour imposer ce qu'ils veulent faire. De même, ils peuvent insister pour que les contribuables américains financent, par le biais du National Vaccine Injury Compensation Program, les dommages dont ils seraient autrement responsables du fait de leurs expériences — et des violations du code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales — sur la population en général. Ce plan est très intelligent. En convainquant la population d'accepter que leurs nouvelles concoctions qui injectent de la haute technologie soient définies comme des « vaccins », ils pourront les introduire directement dans la chaîne de production vaccinale. Il est inutile de s'inquiéter des maladies et des morts qui résulteront d'une chose aussi peu naturelle livrée aussi rapidement. L'absence de responsabilité garantie par la loi PREP grâce à la déclaration d'une situation d'urgence — tout comme la possibilité de maintenir cette situation d'urgence grâce à la recherche des contacts — sont à même de les exonérer de toute responsabilité de milliers, voire de millions, de décès et d'incapacités qui sont susceptibles de suivre une telle expérimentation humaine. Dans l'idéal, ils peuvent simplement imputer les décès à un virus.
RépondreSupprimerNote du traducteur : Voir aussi le documentaire à ne pas manquer : Pl@ndemic II : Indoctornation
Labos vaccins
Un collègue m'a raconté un jour comment le Webster's Dictionary est né. Webster a dit que la façon dont les malfaiteurs allaient changer la Constitution n'était pas de l'amender mais de changer les définitions — ce qui constitue une attaque légale sournoise.
Je pense que Gates et les industries pharmaceutique et biotechnologique parviennent littéralement à créer une grille de contrôle mondiale en installant des composants d'interface numérique qui nous connectent au nouveau cloud JEDI de Microsoft — d'une valeur de 10 milliards de dollars — , au ministère de la Défense, ainsi qu'au contrat cloud de plusieurs milliards qui lie Amazon et la CIA, et qui est partagé par toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi pensez-vous que le président Trump fait en sorte que l'armée s'organise pour stocker des seringues pour les vaccins ? C'est probablement parce que les militaires installent le système d'exploitation itinérant pour l'intégrer dans leur cloud. N'oubliez pas que le gagnant de la course à la superpuissance de l'Intelligence artificielle est le système d'IA ayant accès au plus grand nombre de données. L'accès à votre corps et au mien 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 génère un volume de données considérable. Si les Chinois le font, les Américains voudront le faire aussi. En fait, le déploiement de « systèmes d'exploitation » humains est peut-être l'une des raisons pour lesquelles la concurrence autour de Huawei et des télécommunications 5G est devenue si féroce. Comme Clegg, ancien président de Microsoft Canada, nous l'a bien précisé, la 5G a été développée par les Israéliens pour contrôler les foules.
Intelligence artificielle
RépondreSupprimerFace à la « dé-dollarisation » mondiale, c'est ainsi que le syndicat du dollar peut affirmer le contrôle central dont il a besoin pour maintenir et étendre sa puissance financière de monnaie de réserve mondiale. Cela inclut la protection de ses dirigeants contre la responsabilité civile et pénale liée aux niveaux explosifs de fraude financière et sanitaire des dernières décennies.
Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces concoctions des « vaccins » ? Si je comprends l'histoire de la jurisprudence, les vaccins, en termes juridiques, sont des médicaments. Un empoisonnement intentionnel aux métaux lourds n'est pas un médicament. Les composants de surveillance injectables ne sont pas des médicaments. Les cartes de crédit injectables ne sont pas des médicaments. Une interface cerveau-machine injectable n'est pas un médicament. L'immunité juridique et financière des compagnies d'assurance ne crée pas d'immunité humaine contre les maladies.
Nous devons cesser de permettre que ces concoctions soient désignées par un mot que les tribunaux et la population en général définissent et assimilent à un médicament et que ce mot protège de toute responsabilité juridique et financière.
Les auteurs de cette fraude tentent un coup très habile qui leur permettra d'aller beaucoup plus vite et d'annuler beaucoup de risques — à nos dépens. Je comprends pourquoi ils le font.
Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi nous les aidons. Pourquoi acceptons-nous d'appeler « vaccins » ces étranges et profondément dangereuses concoctions ? Quelles qu'elles soient, ce ne sont pas des médicaments.
Alors, comment devrions-nous conventionnellement les renommer ? Quel nom donnerons-nous aux poisons, aux métaux nocifs pour le système nerveux et aux entraves numériques ?
Quel que soit le nom qu'on leur donne, je sais une chose. CE NE SONT PAS DES MÉDICAMENTS, CE QUI SIGNIFIE QU'ILS NE SONT CERTAINEMENT PAS DES VACCINS.
Coronavirus mensonges et propagandes
© Sott.net/Johns Hopkins
Source de l'article initialement publié en anglais le 27 mai 2020 : Solari Report
Traduction : Sott.net
https://fr.sott.net/article/36031-Fraude-ou-medecine-Ces-concoctions-bizarres-et-profondement-dangereuses-que-l-on-appelle-encore-vaccins
Donc, si j'ai tout bien compris, et que ces virus sont des poussières (intelligentes ?) radioactives ou autres, leurs intrusions causent problèmes à certains organismes (il y a ceux qui s'en défendent et ceux qui le subissent sans pouvoir empêcher ses dommages dans le corps d'accueil). D'où la volonté et le devoir de faire appel à un chélateur. La chélation élimine certaines particules nanomètriques jusqu'aux terminaisons veineuses du cerveau.
SupprimerCes pollutions aériennes (absorbées par les plantes, les animaux et les humains) portent tantôt le nom de virus (quand elles nuisent à l'organisme) ou tantôt un nom indéfini ou non quand elles s'attaquent à des plantes, animaux ou matériaux.
Mais, sans parler du virus du mildiou, du phylloxera, de la variole ou du vers de la grappe qui tombent du ciel quand il pleut (les gouttes rassemblent dans leur chute des millions de virus), il en est d'autres qui sont volontairement émises et répandues par avions et appelées les chemtrails (traits chimique observés derrière certains avions). Ce sont en fait ce que nous appellerons les poussières intelligentes puisque c'est leur nombre qui va déterminer la valeur de l'impact.
Reste à savoir combien faut-il de virus dans l'organisme pour qu'ils ne soient éliminables ? et si ces éliminautes (ou éliminocides) exterminators, désintégrators ou absentoïdes effaceurs de vies doivent-ils passer par un vaccin pour être neutralisés ou par un chélateur pour les retirer ?
Dès lors que sont apparus les microscopes et l'observation des nano-particules a été testée la nocivité de chacune d'entr'elles. Puis leur sélection, puis leur épandages par drones ou par avions. C'est pourquoi pour la première fois ont été constatées des vitesses de déplacement fulgurantes des dits virus qui n'ont été retenues jusque là comme surnaturelles.
Valentina Zharkova se défend
RépondreSupprimerle 31 août 2020
- voir dessin sur site -
Ce sont ces petites races de gaz invisible qui réchauffent la Terre ! C’est le Soleil, imbécile !!! Il faut taxer le gaz carbonique !!
Lorsque le Docteur Valentina Zharkova publia un article dans Nature- Scientific Reports mis en ligne le 24 Juin 2019 celui-ci fut retiré par l’Éditeur en chef il y a quelques semaines seulement sous le fallacieux prétexte que la trajectoire du Soleil autour du barycentre du système solaire n’était pas un argument convaincant pour prédire l’arrivée d’un âge glaciaire dès 2020 et qui devrait durer jusqu’en 2055. Le modèle mathématique du Docteur Zharkova pour décrire la variation au cours du temps du champ magnétique solaire prédit en effet un grand minimum solaire pour les 30 années à venir. N’importe qui pourra arguer du fait que puisque les modèles de réchauffement de l’IPCC ne sont pas confirmés par les faits, celui de V. Zharkova n’a pas plus de valeur. Or il n’en est rien puisque son modèle mathématique permet de remonter dans le temps. Pour qu’un modèle mathématique d’une telle nature soit validé il n’y a que deux solutions : attendre 100 ans pour constater qu’il est valable ou vérifier la validité du modèle dans le passé. Si ce modèle est en effet correct il devrait avoir été possible par le calcul de retrouver les diverses variations du climat qui eurent lieu par exemple durant les 10 000 dernières années. Et c’est exactement le cas pour ce modèle de V. Zharkova. Celui-ci est une mise en équations de l’interaction des résonances entre les champs magnétiques toroïdal et poloïdal du Soleil. Pour ce qui concerne les modèles d’évolution du climat par l’IPCC je n’ai vu nulle part qu’ils vérifiaient l’évolution passée du climat …
Le fonctionnement magnétique du Soleil est extrêmement complexe. Cet astre tourne autour de lui-même en à peu près un mois mais la vitesse de rotation de la matière solaire est plus rapide au niveau de l’équateur solaire qu’aux pôles. Ce premier fait visualisé par les taches solaires qui ont toujours intrigué les observateurs est en réalité la manifestation à la surface du Soleil des tensions entre les lignes de champ magnétique induites par cette rotation différentielle de 25 jours à l’équateur et de 34 jours aux pôles. La migration des taches solaires, déjà observée du temps de Galilée, suit un mouvement général du pôle vers l’équateur, zone où ces taches semblent disparaître. Le Soleil est donc une immense dynamo constituée de deux systèmes de courants de matière, des pôles vers l’équateur et de pôle à pôle. Il aura fallu attendre la fin des années 1970 pour disposer d’analyses précises du champ magnétique global du Soleil et sans la prise en considération de ces deux composantes poloïdale et toroïdale de la dynamo solaire, toute description mathématique de ce champ magnétique solaire est impossible.
Le modèle de V. Zharkova combine ces deux composantes de la dynamo solaire. Il s’agit d’oscillations au cours du temps de ces deux composantes qui ne sont pas exactement synchrones. Si tel était le cas le climat de la Terre serait toujours égal à lui-même. Or l’histoire a bien montré que ce n’était pas le cas. Il y a eu, en remontant le temps, l’âge glaciaire de 1645-1715, le minimum de Wolf vers 1200 qui a immédiatement suivi l’optimum climatique médiéval (900-1200), le minimum dit d’Homere (800-900 avant l’ère commune) suivi de l’optimum romain (400-0 avant l’ère commune), des fluctuations que le modèle de V. Zharkova décrit parfaitement. Il n’existe pas d’arguments plus solides pour prétendre que ce modèle est exact. Et c’est ce qui dérange beaucoup dans la sphère scientifique vendue aux thèses erronées de l’IPCC. L’éditeur en chef de Nature a retiré cet article dérangeant dont voici le doi : 10.1938/s41598-019-45584-3 .
RépondreSupprimerEn effet parmi les hypothèses avancées pour tenter d’expliquer ces fluctuations périodiques de l’activité magnétique du Soleil décrites par le modèle de V. Zharkova il y a les effets de marée exercées par les planètes géantes du système solaire, Jupiter, Saturne et Uranus que beaucoup d’auteurs considèrent comme négligeables, et également le fait que le Soleil ne suit pas une trajectoire « rectiligne » (en fait elliptique) autour du centre de la galaxie mais c’est en fait le barycentre du système solaire dans son ensemble qui suit cette trajectoire et le Soleil « circule » autour de ce barycentre, le mouvement inertiel du Soleil. Or ce mouvement peut être parfaitement décrit par le calcul de la position des planètes. Ce que les adeptes du réchauffement du climat d’origine humaine réfutent fermement est le fait que cette « circulation » du Soleil est infime par rapport à sa masse et qu’en aucun cas elle peut induire les fluctuations du champ magnétique solaire telles qu’elles sont décrites par le Docteur V. Zharkova : C’est le gaz carbonique atmosphérique qui est le facteur le plus important, et il faut que l’humanité toute entière change de style de vie, point barre.
Alors, me direz-vous, pourquoi il y a eu des périodes de climats très favorables au cours du passé alors qu’on ne connaissait ni le charbon ni le pétrole et encore moins le gaz naturel et que le seul combustible connu était le bois ? La teneur du gaz carbonique atmosphérique était dite « préindustrielle » et le climat était (aussi ?) préindustriel. Il y a un problème de taille dans ces affirmations mensongères de l’IPCC et de tous les mouvements écologistes de la planète applaudis par de nombreux politiciens : pourquoi de telles fluctuations du climat passé, des alternances de climat chaud suivies de périodes froides, alors que l’humanité ne produisait pas de gaz carbonique « non renouvelable » ?
Quand le Docteur V. Zharkova prédit une période froide à très froide entre 2020 et 2055 selon son modèle c’est un véritable pavé dans le marigot des tenants du réchauffement climatique d’origine humaine qui veulent imposer la rigueur énergétique à l’humanité entière. Si on entre dans le détail l’activité magnétique du Soleil a déjà chuté de près de 70 % depuis la fin de l’optimum climatique moderne (1960-2000 approximativement), une valeur jamais atteinte depuis plus d’un siècle et demi. Si l’irradiance solaire totale a peu changé, une diminution d’à peine 0,22 %, les effet de la chute spectaculaire du champ magnétique solaire et par conséquent du vent solaire vont être beaucoup plus prononcés. L’affaiblissement de ce champ magnétique provoque déjà une forte augmentation du rayonnement cosmique de haute énergie atteignant la Terre. La conséquence à court terme est un accroissement de la couverture nuageuse et donc une augmentation de l’albedo de la Terre, augmentation qui provoquera un refroidissement généralisé de toutes les zones terrestres hors régions intertropicales. Je me permet pour conclure ce billet de dire que Madame Valentina Zharkova est optimiste quand, sur la base de son modèle, elle donne les dates précises de la période froide à venir : 2020-2053. Pour que le climat revienne à des valeurs « normales » telles qu’on les connaît aujourd’hui il se passera peut-être dix à vingt années supplémentaires de même qu’il faudra peut-être attendre aussi dix ans pour réellement ressentir un refroidissement du climat.
RépondreSupprimerSource : un article de mise au point de Valentina Zharkova aimablement communiqué sur ma demande et que je tiens à la disposition de mes lecteurs.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/31/valentina-zharkova-se-defend/
Les champs de la mort de New York; Mettre Cuomo et Trump en garde; Mémo au Dr Scott Atlas
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
1 septembre 2020
Remarque: il s'agit d'une réédition d'un article que j'ai écrit il y a plusieurs mois. Le sujet est tombé du radar. Je le ramène. Rien n'a été fait pour remédier à la tragédie et aux crimes détaillés ci-dessous.
MISE À JOUR - GreenMedInfo et GatewayPundit rapportent que le CDC a discrètement révisé ses chiffres de décès COVID aux États-Unis. Au lieu de 161 000 décès, le nombre réel est inférieur à 10 000, dans la catégorie des «morts du virus et d'aucune autre cause».
GreenMedInfo: «Les implications de cette situation sont époustouflantes, confirmant ce que beaucoup d'entre nous disent depuis des mois, à savoir que les statistiques de décès ont été sur-gonflées, probablement de plusieurs ordres de grandeur. Le CDC a mis à jour subrepticement ses statistiques de décès COVID le 26 août, avec des implications étonnantes, à savoir que moins de 10k des 161 000 personnes que le CDC a déclaré "mortes du COVID'' ont été classées comme ayant été tuées par COVID-19 seul. Les autres avaient 2 à 3 causes de décès supplémentaires, dont la grande majorité étaient des maladies chroniques indiquant une mauvaise santé qui préexistait depuis longtemps à cet événement. Sources:"
www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/#Comorbidities
data.cdc.gov/NCHS/Conditions-contributing-to-deaths-involving-corona/hk9y-quqm
Une étude du Journal of the American Medical Association Network fournit des chiffres époustouflants qui devraient vous faire arrêter sur vos traces—
JAMA Network, 22 avril 2020, «Présentation des caractéristiques, comorbidités et résultats parmi 5700 patients hospitalisés avec COVID-19 dans la région de New York»:
«Les taux de mortalité des personnes ayant reçu une ventilation mécanique [respiratoire] dans les groupes d'âge des 18 à 65 ans et des plus de 65 ans étaient de 76,4% et 97,2%, respectivement. Les taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 65 ans et de plus de 65 ans qui n'ont pas reçu de ventilation mécanique étaient de 19,8% et 26,6%, respectivement.
Eh bien, bien sûr, les personnes qui ont été mises sous respirateur respiratoire étaient les patients les plus malades au départ, n'est-ce pas ? C’est une hypothèse injustifiée. Et seuls les fous médicaux continueraient à appliquer TOUT traitement à un groupe défini avec les taux de mortalité stupéfiants cités dans l'étude.
Un chercheur proche et fiable m'a dit ce qui suit: de nombreuses personnes âgées vivent avec des niveaux d'oxygène chroniquement bas. Ce n'est peut-être pas idéal, mais ils survivent.
Cependant, lorsque de telles personnes arrivent dans les hôpitaux, les médecins peuvent mal interpréter les niveaux d'oxygène, croyant qu'il s'agit de situations d'urgence désastreuses - et par conséquent, ils placent les patients sous des ventilateurs. Les patients meurent.
Ensuite, il y a l'argent. L'argent d'assurance. Lors d'un entretien téléphonique, le médecin et sénateur de l'État du Minnesota, Scott Jensen, m'a dit que les hôpitaux, qui subissent des pertes financières très importantes, sont incités par Medicare à étiqueter autant de patients que possible «COVID-19» et à les mettre sous ventilation.
Jensen a déclaré qu'un patient sous Medicare, diagnostiqué avec une pneumonie pure et simple, apporterait un paiement de 4600 $ à l'hôpital. Le même patient, étiqueté «pneumonie COVID-19», rapporterait 13 000 $. Et si ce patient est mis sous respirateur: 39 000 $.
RépondreSupprimerRésultat? Les patients mettent inutilement et de manière meurtrière des ventilateurs.
À New York, il y a beaucoup de personnes âgées et très malades, souffrant de maladies à long terme qui n'ont rien à voir avec une épidémie. Ils ont été traités pendant des années avec des médicaments toxiques et des vaccins toxiques. Ils ont déjà des problèmes pulmonaires. La propagande massive sur le virus COVID les terrifie. Ils croient qu'ils pourraient être «infectés». Ensuite, ils sont diagnostiqués COVID, isolés de leur famille et de leurs amis, et ils abandonnent et meurent. Prématurément. Leur mort est provoquée et forcée par le diagnostic COVID et l'isolement. Et, dans de nombreux cas, par des ventilateurs.
AUCUN VIRUS NÉCESSAIRE.
Ces vieux ? En utilisant worldometer.info pour les données, au 13 mai, les personnes de 65 ans et plus représentaient 73,6% de tous les décès par COVID à New York.
Le groupe des 75 ans et plus représente, à lui seul, 48,7% de tous les décès par COVID dans la ville.
AUCUN VIRUS NÉCESSAIRE.
Il y a plus à dire sur la question de l'hypoxie (faible taux d'oxygène dans le sang des patients). Un certain nombre de patients à New York ont ??mystifié les médecins des urgences parce qu'ils se présentent avec cette condition.
WebMD énumère un certain nombre de causes évidentes d'hypoxie: crise d'asthme; traumatisme (blessure); BPCO; emphysème; bronchite; médicaments contre la douleur, «et autres médicaments qui retiennent la respiration»; problèmes cardiaques; anémie, "un faible nombre de globules rouges, qui transportent l'oxygène."
Parmi les médicaments qui peuvent provoquer la privation d'oxygène connue sous le nom d'hypoxie? De drugabuse.com: «… les opiacés [opioïdes] ralentissent également votre respiration… et en cas de surdosage, votre respiration est ralentie à un niveau pratiquement inexistant et mortel.»
Quelqu'un cherche-t-il CELA à New York ?
Plus de drugabuse.com: «Aux États-Unis, 44 personnes meurent chaque jour des suites d'un arrêt respiratoire provoqué par une surdose d'opioïdes sur ordonnance. Les opioïdes réduisent votre respiration, provoquent une forte sédation et empêchent le réveil. De plus, les opioïdes trouvés dans les analgésiques sont les mêmes que ceux trouvés dans l'héroïne, qui a causé plus de 8 000 décès par surdose en 2013. »
Estimation 2018 des décès par surdoses d'opioïdes à New York: 3000. Beaucoup plus de personnes dans la région de New York sont dépendantes de ces drogues. Dans l'État de New York, en 2017, le nombre de personnes sorties des hôpitaux, après un traitement pour une surdose ou une dépendance aux opioïdes: 25000.
En 2020, les personnes qui ont développé une hypoxie aux opioïdes sont mal diagnostiquées avec des «problèmes pulmonaires au COVID-19». Certaines de ces personnes seraient sous sédation, mises sous respirateur - ignorant la nécessité de faire face à leur surdose, leur dépendance, leur sevrage - et elles meurent.
New York, opioïdes, héroïne, graves problèmes respiratoires, hypoxie, ventilateurs avec sédation, mort.
RépondreSupprimerRien de tout cela ne nécessite l'existence ou la transmission d'un prétendu coronavirus.
Et l'hypoxie peut être atténuée avec de l'oxygène administré par des moyens autres que les ventilateurs.
Bien sûr, le gouverneur de New York, Cuomo, a choisi de commander des dizaines de milliers de ventilateurs pour son État, afin de «sauver des vies».
Trump a également pris des mesures d'urgence pour produire et fournir plus de ventilateurs pour l'Amérique. Rendez la mort encore grande.
SOURCES:
jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2765184
nypost.com/2020/04/06/nyc-doctor-says-coronavirus-ventilator-settings-are-too-high/
www.cdc.gov/sars/about/faq.html
www.webmd.com/asthma/guide/hypoxia-hypoxemia#1
drugabuse.com/take-my-breath-away-a-deadly-warning-about-opiates/
www.medscape.com/viewarticle/922932
www.health.ny.gov/statistics/opioid/data/pdf/nys_opioid_annual_report_2019.pdf
blog.nomorefakenews.com/2020/04/12/state-senator-and-doctor-exposes-medicare-payouts-for-covid-19-patients/
www.worldometers.info/coronavirus/coronavirus-age-sex-demographics/
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/09/jon-rappoport/the-killing-fields-of-new-york-putting-cuomo-and-trump-on-notice-memo-to-dr-scott-atlas/
Réveillez l'Amérique. Vous avez été connecté. Seulement 9 683 décès estimés à Covid-19 à ce jour en 2020, pas 180 000
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
1 septembre 2020
Environ à mi-chemin de la page d'écran Le Center for Health Statistics du 26 août 2020, une mise à jour sur le nombre provisoire de décès pour la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) indique ce qui suit: «Pour 6% des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionné."
Oh. Vous voulez dire que l'Amérique ne subit pas de pandémie ? En moyenne, environ 8 000 personnes meurent chaque jour de toutes causes aux États-Unis. Au cours des 8 premiers mois de 2020, il n'y a eu que ~ 1200 décès supplémentaires par mois ou 40 décès supplémentaires par jour exclusivement dus aux infections à coronavirus COVID-19, dont 80 % parmi les Américains âgés de 65 ans et plus. Par extrapolation, il n'y avait que ~ 8 décès en excès de COVID-19 uniquement par jour parmi les adultes en âge de travailler et les enfants d'âge scolaire.
Traduction: sur les 161392 décès liés au COVID-19 cumulés signalés au 22 août 2020 (80 % parmi les Américains âgés de 75 ans et plus), seulement 6% ou ~ 9683 décès cumulés ont été classés comme COVID-19 uniquement. Parmi ces décès dus uniquement au COVID-19, ~ 60% étaient âgés de 75 ans et plus; 80% avaient 65 ans et plus. Ainsi, il n'y a eu que ~ 2000 décès uniquement attribuables au COVID chez les adultes en âge de travailler et les enfants d'âge scolaire.
Exagéré
Les verrouillages, les quarantaines, la distanciation sociale et les masques faciaux étaient exagérés, détruisant définitivement des vies alors que les entreprises faisaient faillite et que l'avenir des jeunes Américains était anéanti.
Les Américains de plus de 75 ans qui ont des conditions comorbides telles que le diabète, l'hypertension, la pneumonie, l'obésité et les maladies cardiaques qui sont décédés avec une infection pulmonaire au COVID-19 en plus de leurs conditions comorbides auraient probablement été sur leur lit de mort quel que soit le coronavirus COVID-19 épidémie.
Seulement la moitié de 1%
Environ 240 jours se sont écoulés du 1er janvier au 31 août. Si nous calculons le nombre total moyen de décès par jour (~ 8000), cela équivaut à 1.920.000 décès aux États-Unis au cours des 8 premiers mois de 2020. On estime que 9683 décès supplémentaires cumulés (décès en excès) ont été attribués aux infections COVID-19 uniquement, pour un total d'environ 1 930 000 décès, dont 9683 décès uniquement attribuables au COVID, soit environ la moitié de 1% de tous les décès.
Pour une augmentation de 0,5% des décès, ce pays a été verrouillé, la population a pris des mesures effrayantes à jamais et des mesures draconiennes ont jeté des millions de personnes au chômage et ruiné des petites et même des grandes entreprises.
Par comparaison
À titre de comparaison, environ 33 800 Américains sont morts de la grippe de Hong Kong en 1968, qui était la pandémie de grippe la plus bénigne du 20e siècle. Pourtant, la vie aux États-Unis s'est déroulée normalement pendant la grippe de Hong Kong.
Comment effacer la peur ?
RépondreSupprimerAlors, comment effacer ces craintes d’un virus qui n’était vraiment pas aussi meurtrier que prévu ? Comment recommencer à serrer la main des gens ? Comment pouvons-nous surmonter notre peur que les autres puissent héberger le COVID-19 et infecter nos poumons ? Comment arrêter de laver les paniers dans les épiceries puisque les infections pulmonaires au COVID-19 nécessitent une transmission aérienne ? Le transfert viral de tout virus respiratoire à partir d'un contact sur n'importe quelle surface n'est pas la façon courante d'infecter les gens, reconnaît le CDC.
Comment empêcher les aéroports de contrôler la température et de mettre en quarantaine les voyageurs entrants ? Les Américains ont presque besoin de suivre une thérapie pour surmonter une phobie des médias.
Qui sera responsable ?
Comment prendre ces alarmistes au sein du gouvernement et de la médecine et les rendre responsables de ce qui semble être une pandémie artificielle pour couvrir une économie qui s'effondre, utilisée comme excuse pour se débarrasser du papier-monnaie et inaugurer une monnaie numérique mondiale qui sera contrôlée par des partis non élus qui domineront essentiellement le monde et imposeront inutilement des vaccins à l'ensemble de la population humaine ?
Plus de morts de désespoir
Il peut y avoir eu plus de décès dus au désespoir (environ 75000 suicides) à cause de l'appel à une pandémie aux États-Unis que du coronavirus COVID-19 lui-même.
Que faisons-nous de tous ces milliards de vaccins inutiles qui ont déjà été achetés par les agences gouvernementales de santé? Le secteur de la santé de la bourse s'effondrerait avec la notification que l'épidémie a été annulée.
Vaccination inutile
Cela signifie que l'Amérique tentera de vacciner les 328 millions de citoyens pour épargner environ 10 000 vies. Cela signifie que 327 990 000 seront inutilement vaccinés. Et un vaccin homologué ne peut être efficace qu'à 50%, ce qui en fait une vaccination encore plus lointaine empêchera en fait de futures infections à coronavirus. Il y a une plus forte probabilité que beaucoup plus d'Américains éprouvent des effets secondaires graves liés au vaccin que de développer une immunité à long terme, car il a été constaté que les anticorps contre le COVID-19 ne durent pas très longtemps.
Une découverte enrichissante
Les Américains ont découvert comment rester en bonne santé sans tous les médecins et sans courir à l'hôpital. Les Américains ont constaté que les suppléments de vitamines et de minéraux fonctionnent réellement, même si la médecine moderne les regarde de manière désobligeante. Il a été découvert que les lymphocytes T dépendants du zinc, et non les anticorps, tuent les coronavirus COVID-19. Le manque d'ensoleillement en vitamine D en hiver explique l'apparition saisonnière hivernale de toutes les maladies infectieuses. Le sélénium empêche les virus de muter. La vitamine C active les globules blancs lents et est curative lorsqu'elle est administrée par voie intraveineuse. Les pastilles de zinc sont maintenant couramment utilisées dans les unités de soins intensifs pour les infections pulmonaires. Pourquoi un Américain voudrait-il revenir à la médecine conventionnelle ?
https://www.lewrockwell.com/2020/09/no_author/wake-up-america-youve-been-conned-only-an-estimated-9683-covid-19-only-deaths-so-far-in-2020-not-180000/
D'abord, qu'est-ce qu'un virus ? (a ne pas confondre avec une bactérie). Un virus est une poussière nanomètrique mais qui - hors de secouer un tapis et toussoter après - elle, elle reste. Elle demeure car il s'agit de ce que l'on appelle une poussière intelligente (comme celles larguées par chemtrails).
SupprimerUne poussière intelligente est le nom donné à une particule qui a un champs magnétique, soit elle l'extériorise (particule radioactive), soit elle l'intériorise (elle a une aimantation). C'est cette dernière qui fait partie des 'corona'.
Hors, comme un virus n'est pas un vivant, il ne sert à rien de lui administrer un vaccin pour le combattre. Dans ce type de cas on fait appel à la chélation.
La chélation a pour but de retirer les métaux lourds qui vont se loger en impasse dans les fines veines du cerveau (d'où les effets des vaccins ROR qui en contenaient afin d'handicaper tout être vivant en quelques heures).
Mais, bizarrement, des chélateurs... personnes n'en parle !! Çà alors !
Pourtant il s'agit bien d'expulser un intrus et non de parler de tuer un petit aimant ingurgité ou injecté par vaccin !
Ainsi, pareillement que tout être intelligent qui a reçu une puce RFID lors d'un vaccination (puce contenue dans l'aiguille de la seringue), il peut et doit se la faire enlever afin que sa vie ne soit en danger, il doit aussi se faire ou se faire faire une chélation afin d'être dégagé des corps intrusifs.