- ENTREE de SECOURS -



samedi 1 août 2020

Grippe coronavirale en France : des faits !

le 1 août 2020


J’ai capté ce graphique au cours d’une interview du Professeur Didier Raoult il y a quelques jours. Raoult est un passionné de chiffres et de statistiques qui peuvent faire ressortir des phénomènes épidémiologiques qu’un observateur de terrain, en l’occurence un complexe hospitalier comme l’IHU + hôpital de la Timone à Marseille, peut ne jamais déceler.

Reprenant les données brutes disponibles auprès de l’administration, ici les décès facilement comptabilisés à partir des certificats établis obligatoirement à cette occasion, Raoult a montré un phénomène totalement ignoré par la presse aux ordres du gouvernement et des puissances financières qui ont installé au pouvoir le président Macron et qui contrôlent cette presse servile : au cours des 4 mois d’hiver passés, de décembre à mars inclus, il y a eu globalement moins de morts en France qu’au cours des mêmes périodes des trois années précédentes ! C’est à se demander s’il y a eu réellement une grippe coronavirale redoutable et éminemment mortelle comme on l’avait servie aux Français avec des dizaines de milliers de morts et un engorgement ingérable des services d’urgence des hôpitaux publics.

Si on considère les 30265 morts par coronavirus soit 13,7 % de toutes les causes de mortalité on peut faire quelques comparaisons intéressantes et relativiser l’ « extrême dangerosité » de ce virus qui préoccupe toujours les politiciens pour une raison que j’ai toujours beaucoup de mal à discerner sinon emmerder les citoyens encore et encore : on trouve les cancers en première ligne avec 27 % des décès (on ne peut pas mettre un masque pour se protéger d’un cancer !), suivis par les maladies cardiovasculaires – 26 % – les drogues en tous genres, tabac, alcool, stupéfiants, … : 17 %, décès suivis par l’obésité (10 %) etc, … Comme il ne faut pas oublier que le coronavirus est venu à bout majoritairement de « vieux » (50 % des morts étaient âgés de plus de 80 ans !) et de ceux, plus jeunes, souffrant aussi de maladies cardiovasculaires, de cancers et éventuellement d’obésité il est difficile de dire aujourd’hui quelle a été la contribution nette de la mortalité globale en France provoquée par ce virus, probablement à peine plus qu’une grippe saisonnière à influenza pour laquelle sont attribués 1,5 % du total des décès de ces dernières années. Toutes les données ci-dessus sont disponibles sur internet, je n’ai rien inventé.

Je doute que l’administration française osera publier des statistiques détaillées prenant en compte les co-morbidités au sujet de la grippe coronavirale de cette année 2020 car ces données ridiculiseraient l’ensemble du gouvernement et en particulier le président de la République, mais cette situation n’est pas particulière à la France. Et les dirigeants politiques continuent à entretenir la peur alors que si le nombre de cas positifs augmente sporadiquement le nombre de morts est devenu négligeable. Il est essentiel de mentionner que cette augmentation du nombre de « cas de coronavirus » sont la directe conséquence du nombre de tests enfin pratiqués à grande échelle, aussi bien en France qu’en Espagne ou encore en Italie.

Maintenant les politiciens commencent à constater que les mesures stupides et moyenâgeuses qui ont été décidées pour juguler cette grippe – finalement une simple grippette – ont tout simplement conduit à une récession économique jamais connue dans son ampleur depuis le début de la seconde guerre mondiale, alors chers politiciens cessez de nous emmerder avec ce virus !

20 commentaires:

  1. Le plus grand réacteur de fusion nucléaire du monde est enfin en construction


    par Tyler Durden
    Ven, 31/07/2020 - 18:45
    Rédigé par Alex Kimani via OilPrice.com,


    Qu'est-ce que The Dark Knight Rises, Back to the Future, Oblivion et Interstellar ont en commun?

    Ce sont des mégahits de science-fiction qui présentent une technologie que les scientifiques considèrent comme le Saint Graal de l'énergie: la fusion nucléaire.

    Depuis les années 1950, les cinéphiles, les scientifiques et les passionnés d'énergie propre du monde entier sont obsédés par les vastes possibilités d'exploiter l'approvisionnement presque inépuisable d'énergie enfermé dans les atomes en créant nos propres soleils miniatures. Malheureusement, la technologie de fusion nucléaire pratique est restée juste cela - un rêve et un mirage lointain.

    C'est, jusqu'à maintenant.

    Après 35 ans de préparation minutieuse et d'innombrables retards, les scientifiques ont enfin innové en lançant la phase d'assemblage de cinq ans du gigantesque réacteur expérimental thermonucléaire international (ITER), le plus grand réacteur de fusion du monde, à Saint-Paul-les-Durance, France.

    Financé par six pays, dont les États-Unis, la Russie, la Chine, l'Inde, le Japon et la Corée du Sud, ITER sera le plus grand dispositif de fusion de tokamak au monde avec un coût estimé à environ 24 milliards de dollars et capable de générer environ 500 MW d'énergie de fusion thermique comme dès 2025.

    Puissance de fusion pratique
    Au départ, les États-Unis et l'ex-Union soviétique ont été les premiers pays à mener des recherches sur la fusion en raison de leur potentiel de développement d'armes atomiques. Par conséquent, la technologie de fusion est restée classée jusqu'à la conférence Atoms for Peace de 1958 à Genève. La recherche sur la fusion est devenue une «grande science» dans les années 1970 grâce à une percée au tokamak soviétique.

    Cependant, il est vite devenu clair que la fusion nucléaire pratique ne ferait les progrès souhaités que grâce à la coopération internationale en raison des coûts élevés et de la complexité des dispositifs impliqués.

    La fusion nucléaire consiste essentiellement à briser ensemble des atomes d'hydrogène suffisamment dur pour former de l'hélium et libérer de l'énergie dans l'équivalence masse-énergie E = MC2. La fusion est le processus par lequel toutes les étoiles, des naines rouges au Soleil aux supergéantes les plus massives, génèrent de grandes quantités d'énergie dans leurs noyaux en atteignant des températures de 4 000 000 K ou plus.

    La fusion nucléaire génère quatre fois plus d'énergie à partir de la même masse de combustible que la fission nucléaire, une technologie qui consiste à diviser les atomes qui est actuellement utilisée dans les réacteurs nucléaires du monde. Les forces gravitationnelles massives dans le Soleil et les étoiles créent les bonnes conditions pour que la fusion se déroule à des températures considérablement plus basses; Cependant, la masse beaucoup plus petite de la Terre (1/330 000e de la masse du Soleil) et la gravité plus petite signifient que des températures beaucoup plus élevées de l'ordre de centaines de millions de Kelvin sont nécessaires pour démarrer le processus de fusion nucléaire et le maintenir.

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  2. Malheureusement, chaque expérience de fusion jusqu'à présent a été négative en énergie, absorbant plus d'énergie qu'elle n'en génère.

    ITER est une centrale nucléaire conçue pour démontrer que l'énergie de fusion sans carbone et à énergie positive peut devenir une réalité commerciale. ITER prévoit d'utiliser des réacteurs tokamak pour confiner magnétiquement un plasma de deutérium-tritium.

    Le grand défi fondamental ici est pour ITER d'atteindre un taux de chaleur émis par un plasma de fusion supérieur au taux d'énergie injectée dans le plasma. Il est naturel de se demander ce qui est si différent cette fois-ci qui rend les chercheurs convaincus qu'ITER ne sera pas simplement une autre expérience coûteuse qui aboutira à la poubelle de la fusion nucléaire.

    Dans un article précédent, nous avons rapporté que les scientifiques d'ITER ont développé avec succès un nouveau matériau supraconducteur - essentiellement un ruban d'acier recouvert d'oxyde d'yttrium-baryum-cuivre, ou YBCO, qui leur permet de construire des aimants plus petits et plus puissants. Cela réduit l'énergie nécessaire pour faire décoller la réaction de fusion.

    Selon Fusion for Energy - l'entreprise commune de l'UE pour ITER - 18 aimants supraconducteurs au niobium-étain, également appelés bobines de champ toroïdal, seront utilisés pour contenir le plasma de 150 millions de degrés Celsius. Les puissants aimants généreront un champ magnétique puissant égal à 11,8 Tesla, soit un million de fois plus fort que le champ magnétique terrestre. Près de 3 000 tonnes de ces aimants supraconducteurs seront connectés par 200 km de câbles supraconducteurs et maintenus à -269 ° C par le plus grand cryostat du monde fabriqué en Inde.

    L'Europe fabriquera dix des bobines de champ toroïdal et le Japon en fabriquera neuf.

    Le tokamak de 23 000 tonnes est conçu pour produire 500 MW de puissance de fusion à partir de 50 MW de puissance de chauffage d'entrée, ce qui le rend énergétique positif.

    Plus propre que la fission ?

    Les 440 réacteurs nucléaires à fission du monde génèrent environ 10 % des besoins mondiaux en électricité. Une quantité similaire de réacteurs de fusion pourrait théoriquement remplacer

    https://www.zerohedge.com/energy/worlds-largest-nuclear-fusion-reactor-finally-being-built

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  3. Les dangers du journalisme narratif


    Kip Hansen
    31 juillet 2020


    «Le journalisme narratif est un genre d'écriture de longs métrages qui combine des reportages rigoureux avec des techniques d'écriture de fiction et évite les événements dramatiques et d'actualité pour se concentrer sur la vie quotidienne et les gens ordinaires. " [ la source ]

    «Le style du journalisme narratif exige que l'auteur le mette - ou elle-même dans l'article; ainsi, la pièce peut être écrite du point de vue de la première personne. …. Bien sûr, il est difficile d’écrire un vrai récit si vous êtes habitué à vous en tenir à «juste les faits» et à ne pas ajouter d’adjectifs ou d’adverbes superflus au mélange, sans parler d’opinions personnelles. "

    «Quelques problèmes de journalisme narratif: L'une des plus grandes inquiétudes des rédacteurs en chef et des éditeurs à propos du journalisme narratif est que, parce qu'il s'agit d'un mélange de faits et de sentiments, des problèmes peuvent survenir. Récemment, de nombreux auteurs ont été interpellés pour avoir déclaré des fausses vérités dans leurs pièces. Si certains des journalistes accusés d'inventer des détails étaient en fait coupables, d'autres ont affirmé avoir simplement mal interprété les situations. Parce que le journalisme narratif rend la vérification des faits difficile, il est toujours considéré comme tabou dans la plupart des rédactions. » [Journalisme narratif]

    «Un récit ne déroge pas à la règle cardinale: n'inventez rien ou vous serez hors d'ici et vous travaillerez si vite au Sunglass Hut que vous aurez la tête qui tournera. Un récit est une forme journalistique qui est tombée en désavantage considérable à la suite de la crise de crédibilité incessante et auto-flagellante de notre métier »- Patrick Beach, Austin American-Statesman [source] [my bold –kh]

    [LES LECTEURS PRENNENT NOTE: Il s'agit d'un essai LONG - 3 000 mots. Ceux qui ne s'intéressent pas particulièrement à la «mort du journalisme» en cours peuvent sauter cet article en toute sécurité.]

    Ainsi, le journalisme narratif rapporte essentiellement les nouvelles en racontant un récit à la première personne (généralement) sur le sujet. Un récit est simplement «un récit oral ou écrit d'événements liés; une histoire." Dans le journalisme narratif, le journaliste écrit: ce qui se passe, comment j'y suis allé, à qui j'ai parlé, ce que j'ai vu, ce que j'ai ressenti, ce que les victimes et les participants aux nouvelles ont ressenti, ce qu'ils m'ont dit et, pour la plupart des histoires, ce que Je (le journaliste) pense que tout cela veut dire.

    La citation de Patrick Beach ci-dessus est importante - - il insiste, sans excuse, sur le fait que les journalistes narratifs suivent les premiers points du code de déontologie de la Society of Professional Journalists:

    «Le journalisme éthique doit être précis et juste. Les journalistes doivent être honnêtes et courageux dans la collecte, le rapport et l'interprétation des informations.

    Les journalistes devraient:

    - Assumer la responsabilité de l'exactitude de leur travail. Vérifiez les informations avant de les publier. Utilisez des sources originales autant que possible.

    - N'oubliez pas que ni la vitesse ni le format n'excusent l'inexactitude.

    - Fournissez le contexte. Faites particulièrement attention à ne pas dénaturer ou simplifier à l'excès lors de la promotion, de la prévisualisation ou de la synthèse d'une histoire. "

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  4. Il existe de nombreux cas célèbres de journalistes narratifs qui s'égarent. L’une des plus célèbres est celle de l’autobiographie de Rigoberta Menchú, qui a servi de base à l’obtention du prix Nobel de la paix en 1992. Malheureusement, son récit de sa vie et de la guerre civile au Guatemala contenait de nombreux points non factuels:

    «Un jeune frère que Mme Menchú dit avoir vu mourir de faim n'a jamais existé, tandis qu'un second, dont elle dit qu'elle et ses parents ont été forcés de le regarder brûler vif par les soldats de l'armée, a été tué dans des circonstances totalement différentes lorsque la famille n'était pas présente. Contrairement à l'affirmation de Mme Menchu dans la première page de son livre selon laquelle je ne suis jamais allée à l'école et ne pouvais parler espagnol ni lire ou écrire que peu de temps avant qu'elle ne dicte le texte de moi, Rigoberta Menchu, elle a en fait reçu l'équivalent d'un milieu - éducation scolaire en tant qu'étudiante boursière dans deux prestigieux internats privés gérés par des religieuses catholiques romaines. [ la source ]

    Menchú a répondu plus tard:

    «J’aimerais souligner que ce n’est pas seulement ma vie, c’est aussi le témoignage de mon peuple.» - Menchú

    Un exemple encore plus flagrant est celui de la journaliste de Rolling Stone, Sabrina Rubin Erdely.

    «Comme la plupart des journalistes qui méritent d'être lus, elle [Erdley] a abordé l'histoire avec un but passionné, un sentiment d'injustice, d'un tort qui devait être réparé. Dans le cas d'Erdely, elle voulait exposer la «culture du viol» sur les campus universitaires, et elle est allée à la recherche d'un cas si vivant et captivant qu'aucun lecteur ne pouvait le rejeter. "

    Après que l’histoire ait fait la une des journaux américains, un examen attentif a découvert que l’histoire:

    «…. N'est pas du tout étayé par des faits indépendants. Erdely [Sabrina Rubin Erdely] n'a jamais localisé le chef présumé du viol collectif - «Drew» dans l'histoire, un sauveteur et le frère de la fraternité Phi Kappa Psi - et son existence ne peut être établie. Erdely n'a jamais approché les trois amis que Jackie a cités comme semblant froidement antipathiques après leur avoir parlé du viol, et tous les trois nient avoir dit les choses qui leur étaient attribuées. Les archives montrent que Phi Kappa Psi n'a organisé aucun événement social du genre de celui que Jackie a décrit la nuit où elle a déclaré avoir été violée là-bas.

    «Le magazine a retiré l'article à la suite d'une revue de la Columbia University School of Journalism qui a conclu qu'Erdely et Rolling Stone ne s'étaient pas livrés à une« pratique journalistique de base, voire de routine ». [Source]

    Et puis il y a le cas de Jason Blair, anciennement du New York Times. En mai 2003, une enquête interne du NY Times a révélé:

    «Un journaliste du New York Times a commis de fréquents actes de fraude journalistique alors qu'il couvrait des événements d'actualité importants ces derniers mois, a révélé une enquête des journalistes du Times. La fabrication généralisée et le plagiat représentent une profonde trahison de la confiance et un point bas dans l'histoire de 152 ans du journal.

    Le journaliste, Jayson Blair, 27 ans, a induit en erreur les lecteurs et les collègues du Times avec des dépêches qui prétendaient provenir du Maryland, du Texas et d'autres États, alors qu'il était souvent loin, à New York. Il a fabriqué des commentaires. Il a concocté des scènes. Il a pris du matériel d'autres journaux et services de fil. Il a sélectionné les détails des photographies pour créer l'impression qu'il avait été quelque part ou vu quelqu'un, alors qu'il ne l'avait pas fait.

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  5. Et il a utilisé ces techniques pour écrire à tort sur des moments chargés d'émotion de l'histoire récente, des attaques meurtrières de tireurs d'élite dans la banlieue de Washington à l'angoisse des familles en deuil pour leurs proches tués en Irak.

    Jason Blair écrivait du journalisme narratif - et «inventait».

    Dans les médias d'aujourd'hui, et ici je veux dire les journaux, les magazines et les journaux télévisés, nous trouvons beaucoup de ce type de «reportage» - le journalisme narratif.

    Le New York Times Magazine a présenté cet article le 23 juillet 2020:

    La grande migration climatique par Abrahm Lustgarten | Photographies de Meridith Kohut.

    Abrahm Lustgarten est un journaliste de longue date et très respecté. Il n'est pas, comme on dit dans le monde réel, «un observateur impartial» ou un journaliste impartial. Lustgarten est un guerrier anti-combustibles fossiles, anti-Exxon et anti-fracturation chez ProPublica depuis plus d'une décennie. Son article sur la migration climatique dans le NY Times Magazine est vraiment un chef-d'œuvre du journalisme narratif de propagande. Le récit éditorial [et voir ici] du NY Times sur la migration climatique nécessite apparemment des images effrayantes de hordes de pauvres Latinos affamés qui prennent d'assaut les frontières américaines. L'histoire du Times déforme le rapport 2018 de la Banque mondiale sur la migration climatique à plusieurs reprises dans l'article actuel, mais en fin de compte, la Banque mondiale a constaté que presque tous les «migrants climatiques» venaient de se déplacer dans leur propre pays, passant de la campagne aux villes, constatant plus précisément: «Le rapport constate que la migration climatique interne augmentera probablement jusqu'en 2050, puis s'accélérera à moins de réductions significatives des émissions de gaz à effet de serre et de mesures de développement solides.

    Cela ne correspondait tout simplement pas à la facture de ProPublica, du New York Times et de Lustgarten - cela ne répond pas au récit requis. Que faire? Ils ont payé quelqu'un pour leur donner un résultat différent!

    «ProPublica, avec le New York Times Magazine et financé par le Pulitzer Center, a embauché le géographe Bryan Jones au Baruch College pour construire une version étendue d'un modèle de migration climatique que Jones avait fait avec la Banque mondiale pour son rapport de 2018,« Groundswell ». Le modèle vise à comprendre comment le changement climatique pourrait entraîner des changements de population en Amérique centrale et au Mexique, y compris comment les gens peuvent traverser les frontières entre ces pays et les États-Unis. [source = le document sur la méthodologie de l'étude Jone] [Remarque: je n'ai pas pu trouver une copie complète du rapport réel - je ne trouve que le supplément de méthodologie]

    Voici le discours de propagande [de la méthodologie]:

    «Nous nous sommes concentrés sur les changements en Amérique centrale et avons utilisé des données sur le climat et le développement économique pour examiner une gamme de scénarios. Notre modèle projette que la migration augmentera chaque année quel que soit le climat, mais que la quantité de migration augmente considérablement à mesure que le climat change. Dans les scénarios climatiques les plus extrêmes, plus de 30 millions de migrants se dirigeraient vers la frontière américaine au cours des 30 prochaines années. "

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  6. Il faut admirer l'audace d'utiliser ce langage de fouine: «… se dirigerait vers la frontière américaine…» - ce qui signifie se déplacer vers le nord. La conclusion du rapport n’est pas que ces migrants tenteraient de se rendre aux États-Unis, ou même de traverser la frontière américaine, mais qu’ils pourraient se déplacer vers le nord en direction de la frontière.

    Lustgarten, après avoir fait une telle déclaration alarmante et faisant la une des journaux, nous donne alors la vraie conclusion, les petits caractères, de l'étude achetée à cet effet:

    «Les migrants se déplacent pour de nombreuses raisons, bien sûr. Le modèle nous aide à voir quels migrants sont principalement motivés par le climat, constatant qu'ils représenteraient jusqu'à 5% du total. »

    Même ces cinq pour cent, ce 1 sur 20, sont pour la plupart imaginaires. Ils affirment que la brûlure du café (rouille du café) a été «aggravée par le changement climatique» [ce qui n'est pas vrai], de sorte que les 5% comprennent tous les planteurs de café / ouvriers licenciés depuis que la rouille du café a frappé:

    «L’Amérique centrale, où les petits exploitants possédant moins de 7,5 acres de terre produisent 80 pour cent du café de la région, a été particulièrement touchée par la rouille. Environ 70 pour cent des exploitations agricoles ont été touchées et plus de 1,7 million de travailleurs du café ont perdu leur emploi. Beaucoup quittent les terres du café pour trouver du travail ailleurs. "

    «Le problème n'est pas seulement la rouille; c’est la rouille et les prix du café extrêmement bas », déclare Stuart McCook, auteur du prochain Coffee is Not Forever: A Global History of the Coffee Rust. «Il est difficile pour les agriculteurs de surmonter les deux.» [ la source ]

    L'ensemble de cet article sur la migration climatique est rempli d'exemples de ce type d'informations trompeuses.

    Mais ça empire. Comme les histoires de Rigoberta Menchú, Jason Blair et Sabrina Erdely, l’histoire de la migration climatique de Lustgarten contient des déclarations factuelles manifestement «erronées» ou simplement inventées.

    Lustgarten commence son récit avec cette histoire déchirante sur «Jorge A.»:

    «Au début de 2019, un an avant que le monde ne ferme complètement ses frontières, Jorge A. savait qu'il devait quitter le Guatemala. La terre se retournait contre lui. Pendant cinq ans, il n'a presque jamais plu. Puis il a plu et Jorge a jeté ses dernières graines dans le sol. Le maïs a germé en tiges vertes saines et il y avait de l'espoir - jusqu'à ce que, sans avertissement, la rivière soit inondée. Jorge a pataugé jusqu'au fond de sa poitrine à la recherche d'épis qu'il pouvait encore manger. Bientôt, il a fait un dernier pari désespéré, cédant la hutte au toit de tôle où il vivait avec sa femme et ses trois enfants contre une avance de 1500 $ en semences de gombo. Mais après le déluge, la pluie s'est à nouveau arrêtée et tout est mort. Jorge savait alors que s’il ne sortait pas du Guatemala, sa famille risquait de mourir aussi. »

    Il y a une photo de la «hutte au toit de tôle» qui aurait été «signée» pour 1 500 $ (soit mille cinq cents dollars).

    Lien vers la photo sur le site du NY Times.

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  7. Il s'agit, au mieux, d'une masure avec un sol en terre battue dont les rochers n'ont même pas été enlevés pour le rendre lisse. Il est incroyablement triste que cette famille de cinq personnes ait dû vivre dans un tel endroit. Mais il est impossible pour quiconque de donner à ce fermier de subsistance désespérément pauvre, qui, selon l'histoire de Lustgarten, n'avait pas rendu une récolte réussie depuis cinq ans, la somme incroyable de 1500 dollars - soit en espèces, soit en semences précieuses en échange de cette maison. .

    Combien de graines de gombo peut-on acheter pour 1 500 $ ? Même aux prix élevés payés ici aux États-Unis pour les graines de gombo de fantaisie, 1 500 $ achèteront plus de 800 livres de graines de gombo. Cela suffit pour planter plus de 110 acres, selon l'espacement des plantes. Inutile de dire qu'il serait improbable que Jorge A. ait en fait plus de 110 acres de champs propices au gombo à sa disposition ou que lui, sa femme (avec bébé dans les bras) et un fils de 7 ans, puissent planter ou entretenir 110 acres de gombo.

    Cette partie de l'histoire - le conte narratif - n'est tout simplement pas crédible.

    Lustgarten double dans cette histoire en continuant avec:

    En mars, Jorge et son fils de 7 ans ont chacun emballé une paire de pantalons, trois t-shirts, des sous-vêtements et une brosse à dents dans un seul sac en nylon noir fin avec un cordon de serrage. Le père de Jorge avait mis en gage ses quatre dernières chèvres pour 2 000 $ pour les aider à payer leur transit, un autre prêt que la famille devrait rembourser à 100% d’intérêt. Le coyote a appelé à 22 h. - ils iraient ce soir-là. Ils n'avaient alors aucune idée de l'endroit où ils se retrouveraient, ni de ce qu'ils feraient une fois sur place.

    De la décision au départ, c'était trois jours. Et puis ils étaient partis.

    Lustgarten a dépassé ma capacité à suspendre l'incrédulité avec cela. Selon vous, combien vaut une chèvre dans les régions rurales du Guatemala? Lustgarten affirme que le père de Jorge a «mis en gage» quatre d’entre eux pour 2 000 $.

    J'ai vérifié avec mes amis du Salvador voisin. Ils m'assurent qu'une belle chèvre grasse peut être achetée pour 40 $ à 50 $, prête pour l'abattage. Si ces chèvres pouvaient être vendues pour 500 $ au Guatemala voisin, les Salvadoriens y conduiraient tous leurs chèvres et les vendraient dix fois leur valeur réelle. L'organisation Save The Children se fera un plaisir de donner une chèvre à une famille au Guatemala en échange de votre don de 60 $ (dont proviennent également tous leurs frais administratifs et de livraison).

    En bref, personne ne donnerait au père de Jorge A. un prêt de 2 000 dollars contre 200 dollars de chèvres. Cette partie de l'histoire - le conte narratif - n'est tout simplement pas crédible.

    Ces deux petits morceaux incongrus de l'histoire «importent-ils» ? Dans le sens du désastre qui a frappé Jorge A. et sa famille: Non, cela n'a pas d'importance. Cependant, en regardant l'article de Lustgarten à travers l'œil de la pensée critique, de la lecture critique, nous voyons dans les deux premières pages qu'il a inclus des éléments d'histoire qui ne peuvent tout simplement pas être vrais - ce sont des «fausses vérités». Et s'il a intentionnellement inclus ces éléments non factuels dans les histoires simples, comment pouvons-nous faire confiance à l'histoire globale qui dépend tellement de ses opinions personnelles et de sa compréhension de problèmes très complexes ? Combien de "fausses vérités" et de "fausses déclarations" a-t-il été disposé à inclure pour faire avancer son histoire - pour convaincre ses lecteurs de son point de vue ?

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  8. Lustgarten a-t-il suivi la voie de Menchú, Blair et Erdely ? A-t-il franchi la ligne inviolable de Patrick Beach - «Ne rien inventer» - dans un territoire strictement interdit aux journalistes ? Le territoire des histoires inventées? Dérivé en déclarant des «fausses vérités» dans ses histoires?

    ProPublica et le New York Times, comme le Rolling Stone avant eux, ont-ils échoué dans «une pratique journalistique de base, voire de routine» ? Leurs éditeurs n'ont-ils même pas lu l'article de Lustgarten pour voir si les faits simples de son récit, comme ceux ci-dessus, passent même le test de base du bon sens ?

    J'invite les lecteurs à lire l'intégralité de l'article de Lustgarten - étiqueté de manière vantardise Partie 1 - comme un exemple de ce qui ne va pas lorsque les journalistes abandonnent les règles strictes mais nécessaires du journalisme et sont autorisés à laisser leur imagination régner pour remplir et remonter des histoires avec des informations non factuelles - écrit non pas pour nous informer mais pour défendre un objectif social ou idéologique.

    https://wattsupwiththat.com/2020/07/31/the-dangers-of-narrative-journalism/

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    1. Le journaliste est d'abord un ouvrier qui travaille en usine (grande ou petite) et qui doit faire ce qu'on lui dit de faire. S'il doit fixer des portières de voitures à longueur de journée on ne va pas lui demander s'il aime ou pas ce modèle de voitures ou un autre. Donc, il travaille sous la férule du Rédacteur en Chef qui relit les rédactions, corrige les fautes d'orthographes ou les passages ennuyeux et les porte à l'impression. Si l'élève fait trop de faute ou fait part d'une politique dite 'populaire', il est renvoyé dans ses foyers.

      Donc, le Rédacteur en Chef du journal se fout complètement de ce que le journaliste a vu ou entendu ! Le journaliste n'est là que pour dire ce que le Rédacteur en Chef lui dit de dire ou d'écrire !

      C'est aussi pourquoi les scientifiques sont interdits de plateaux de télés, de studios de radios ou de colonnes de journaux et sont remplacés par des 'climatologues, pluitologues, ventologues' et autres pétologues pour dire des mensonges.

      D'où, les attaques continuelles des merdias envers internet - où les internautes sont libres de donner leur avis et d'écouter ou de lire des reportages scientifiques, - et de citer tel ou tel site de fake-news (qu'ils ont eux-mêmes créé !) comme étant une preuve de Démocratie puisque des personnes peuvent parler mais aussi une preuve que la Démocratie doit être encadrée, bâillonnée, ligotée afin de se conformer au dictat des 'hommes de l'ombre'.

      "Vous pouvez dire ce que vous voulez à condition que ce soit mes paroles qui soient répétées !"

      C'est aussi pourquoi il n'existe qu'UN SEUL PAYS au monde en Démocratie (La Suisse) et que AUCUN MERDIAS ne parlera un jour de 'la Suisse' !! (Rendez-vous compte que là-bas c'est le Peuple qui gouverne !!).

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  9. La politique, pas la science, maintient les écoles fermées


    par Tyler Durden
    Sam, 08/01/2020 - 09:20
    Rédigé par Yinon Weiss via RealClearPolitics.com,


    Les politiciens parlent de suivre la science pour définir la politique du COVID-19, mais leurs décisions concernent plus des objectifs politiques que l'efficacité médicale.

    Pourquoi le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a-t-il fermé les commerces de détail en mars alors que l'État comptait moins de 300 cas par jour, mais leur a-t-il permis d'ouvrir en juillet alors que l'État enregistrait plus de 10 000 cas par jour ?

    Sinon, pourquoi le gouverneur du Kentucky, Andy Beshear, permettrait-il aux magasins d'alcool de rester ouverts mais de fermer des églises ? Pourquoi le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a-t-il insisté sur le fait que l'achat de billets de loterie restait légal mais a rendu illégal l'achat de fournitures de jardin ? Et comment le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a-t-il utilisé la «science» pour interdire les funérailles en plein air mais autoriser les manifestations en plein air ?

    Mais aussi gravement que nos verrouillages ont endommagé les entreprises locales, un problème potentiellement encore plus grave est créé par la fermeture physique des écoles. L'une des fonctions les plus importantes d'une société civile est de protéger et d'éduquer ses enfants, et l'annulation de l'éducation en personne est susceptible de devenir l'un des actes de dommages collatéraux les plus préjudiciables au cours de cette pandémie.

    La Californie s'attend actuellement à ce que ses enfants de 5 ans achèvent la maternelle exclusivement grâce à l'apprentissage à distance en ligne. Pour cette entreprise douteuse, les politiciens bénéficient d'une couverture politique passionnée. Le Los Angeles Teachers Union soutient que «les seules personnes garanties de bénéficier de la réouverture prématurée des écoles au milieu d’une pandémie qui s’accélère rapidement sont les milliardaires et les politiciens qu’ils ont achetés» - comme si les milliardaires envoyaient généralement leurs enfants dans les écoles publiques de Los Angeles. Les riches enverront leurs enfants dans des écoles privées en personne ou embaucheront des tuteurs supplémentaires, tandis que la plupart des familles américaines souffriront d'un écart croissant en matière d'éducation qui pourrait faire reculer leurs enfants des années. Pire encore, rien de tout cela n'est médicalement prouvé.

    Les enfants sont en sécurité

    Il y a beaucoup de peur générée dans les médias à propos du risque pour les enfants, mais la vérité est que les enfants sont incroyablement résistants au coronavirus. À tel point que les enfants sont beaucoup plus susceptibles de mourir de la grippe, ou même simplement de la conduite à l'école, que du COVID-19.

    Le CDC a enregistré un total de 20 décès par COVID-19 chez les enfants âgés de 5 à 14 ans, contre près de 2000 décès de causes non-COVID au cours de la même période pour le même groupe d'âge. Cela signifie que les enfants ont été 100 fois plus susceptibles de mourir de causes non COVID pendant la pandémie que de COVID. Cela place le risque de décès par COVID pour les enfants de 5 à 14 ans dans le même sens que les décès par la foudre.

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  10. Les allégations de dommages à long terme ou de maladies mystérieuses n'ont été étayées par aucune preuve définitive et elles servent donc davantage de tactique de peur et d'intimidation que de guide médical. La vérité est que les enfants ont jusqu'à présent eu un taux d'hospitalisation d'environ 1 sur 20 000 pour le COVID-19, selon le CDC. Bien que controversée pour certains, la politique suédoise de garder les écoles primaires ouvertes même au plus fort de la pandémie constitue un excellent contrepoint. Avec plus d’un million d’enfants, la Suède n’a pas eu un seul décès d’enfant d’âge scolaire malgré une assiduité totale et aucun masque.

    La Suède n'est pas la seule à envoyer des enfants à l'école. Le Danemark a rouvert ses écoles en avril. La Finlande a conservé des effectifs de classe normaux lors de sa réouverture. Certaines parties du Montana ont ouvert des écoles en mai, tout comme certaines parties du Canada et de l'Allemagne. Les Pays-Bas ont annoncé que les étudiants néerlandais n’avaient même plus besoin de se distancer socialement car ils connaissaient des taux de transmission très faibles. Les écoles de toute l'Europe ont rouvert avec succès, avec et sans masques. Le risque pour les enfants eux-mêmes ne peut donc pas être utilisé pour justifier les dommages massifs causés par l'arrêt de l'enseignement en personne. Mais qu'en est-il des enseignants ?

    La transmission d'enfants à adultes est rare

    Le magazine Science, une revue éminente datant de 1880, a récemment publié une analyse complète sur les réouvertures d'écoles dans le monde et a conclu que «les jeunes enfants se transmettent rarement le virus ou le rapportent à la maison».

    Une étude en Suisse, y compris un examen de la recherche des contacts de l'Organisation mondiale de la santé, n'a pas réussi à trouver la preuve d'un seul cas d'un enfant transmettant un coronavirus à un adulte. Une étude approfondie en Islande a isolé des échantillons de SRAS-CoV-2 de chaque cas positif, séquencé le génome du virus et suivi les schémas de mutation. Cette analyse, associée à la recherche des contacts, a permis aux chercheurs d'identifier définitivement qui a transmis le virus à qui. L'étude a conclu: «Même si les enfants sont infectés, ils sont moins susceptibles de transmettre la maladie à d'autres que les adultes. Nous n’avons pas trouvé un seul cas d’enfant infectant les parents. » Une étude des écoles en Irlande n'a trouvé «aucune preuve de transmission secondaire du COVID-19 par les enfants scolarisés».

    La Nouvelle-Zélande a mené une étude dans 15 écoles dans laquelle 18 personnes atteintes de COVID-19 étaient en contact étroit avec 735 autres étudiants et 128 membres du personnel, mais aucun enseignant ou membre du personnel n'a contacté le COVID-19 dans l'un des 18 cas initiaux et seulement deux étudiants. sur 735, le test serait plus tard positif. L'étude néo-zélandaise a conclu: «Notre enquête n'a révélé aucune preuve que des enfants infectaient des enseignants.»

    Cas et contacts étroits entre enseignants et étudiants de 10 lycées néo-zélandais montrant un cas secondaire chez un élève. Source: «COVID-19 dans les écoles - l'expérience en NSW»

    Le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande, la Belgique et l'Autriche ont tous ouvert des écoles et "n'ont trouvé aucune preuve d'une propagation accrue du nouveau coronavirus après la réouverture des écoles." La même chose a été trouvée dans des études scientifiques en France, en Suède et en Allemagne. Un épidémiologiste britannique de premier plan va encore plus loin en affirmant qu'il n'y a pas un seul cas connu d'un enseignant infecté par un coronavirus par un élève n'importe où dans le monde.

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  11. Puisqu'il pourrait encore y avoir une épidémie scolaire rare, comme celle vécue en Israël, les élèves dont les membres du ménage sont à haut risque devraient avoir une option d'enseignement à distance, et les enseignants qui se croient eux-mêmes ou leur ménage à haut risque devraient être autorisés à enseigner à distance. , équilibrant le risque pour toutes les parties. De cette façon, les élèves en bonne santé peuvent être éduqués par des enseignants en bonne santé. La science indiquant en grande majorité la réouverture des écoles, pourquoi tant d'écoles ont-elles l'intention de rester fermées ?

    La politique de l'enseignement

    Si les enfants courent un risque minime, la transmission aux adultes est rare et que les deux peuvent être pris en charge avec un enseignement à distance facultatif, pourquoi certaines écoles suspendent-elles toute éducation en personne? Ce n’est certainement pas à cause des parents, qui seraient les derniers à envoyer leurs enfants dans une situation dangereuse. La grande majorité des parents sont en faveur de la réouverture des écoles avec des modifications, peut-être parce qu’ils comprennent mieux le rapport coût-bénéfice de priver leurs enfants d’une éducation complète.

    La raison pour laquelle de nombreuses écoles n’ouvrent pas, tout comme la raison pour laquelle tant d’endroits sont fermés à l’origine, revient à la peur et à la politique. Le syndicat des enseignants de Los Angeles, par exemple, a récemment publié une liste de revendications avant de retourner enseigner en personne. Celles-ci comprenaient la suppression du financement de la police, la fin des écoles à charte, «Medicare for All» et un nouvel impôt sur la fortune. Ce n'est que lorsque le syndicat a émis ces demandes que Newsom a annoncé la fermeture de presque toutes les écoles de Californie - outrepassant les districts scolaires individuels qui avaient prévu d'ouvrir.

    Dans une annonce effrontée, le syndicat a mis en mots audacieux la conclusion de son argument: «La normale ne fonctionnait pas pour nous avant. Nous ne pouvons pas revenir en arrière »- communiquant ouvertement que cette négociation visait davantage à changer ce qu’ils n’aimaient pas dans l’éducation et la société américaines avant la pandémie, et certainement pas sur ce qui est le mieux pour les enfants. Malgré des preuves scientifiques accablantes indiquant la sécurité des réouvertures d'écoles, la présidente du syndicat, Cecily Myart-Cruz, a qualifié cette action «d'anti-science». Pourtant, il n’est pas non plus étonnant qu’un si grand nombre d’enseignants se préoccupent de leur sécurité maintenant, alors que les médias comme CNN continuent de diffuser des histoires sensationnalistes faisant de la réouverture des écoles un danger tout en minimisant la science et les preuves réelles.

    La garderie à l'école donne le jeu

    Les villes qui n'ont que peu de choix en raison de leur environnement politique tentent d'atténuer la situation des parents. La ville de New York offrira des services de garde à 100 000 élèves qui fréquentent des écoles qui ne rouvrent que partiellement, bien que cela défait largement l'idée d'empêcher les enfants d'être à l'école en premier lieu. Si les partisans de la fermeture des écoles ont raison, cela ne ferait qu'exposer les enfants à une cohorte plus large de pairs et rendrait les enseignants, les enfants et leurs tuteurs moins sûrs.

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  12. Certains districts de Californie offrent des garderies directement sur le campus de l'école pour des programmes d'une demi-journée et d'une journée complète, moyennant un coût. Les parents peuvent donc payer pour envoyer leurs enfants à l'école pour être surveillés mais pas pour être enseignés. Ironiquement, un élève peut être physiquement dans une école sous la surveillance d'une garderie rémunérée tout en «fréquentant» la même école en ligne.

    Il est clair que la science n'est le principe directeur d'aucune de ces politiques, ce qui aide à expliquer pourquoi le CDC et l'American Academy of Pediatrics ont plaidé pour l'ouverture de l'enseignement sur le campus.

    Les enseignants sont des travailleurs essentiels

    Il y a peu de fonctions dans la société plus essentielles que l'éducation de nos enfants. «L'éducation de nos enfants est une valeur essentielle du Texas», a récemment écrit le procureur général du Texas, Ken Paxton, dans une lettre indiquant que les responsables de la santé ne peuvent pas fermer complètement les écoles et qu'ils ne peuvent certainement pas fermer de manière préventive les écoles sans preuve de propagation des écoles locales.

    Le CDC a récemment conclu que «l'enseignement en personne est dans le meilleur intérêt des élèves, en particulier dans le contexte de mesures d'atténuation appropriées similaires à celles mises en œuvre dans les lieux de travail essentiels.

    L'éducation de nos enfants est trop essentielle pour être utilisée comme monnaie d'échange politique.

    Si les infirmières peuvent venir travailler tous les jours et soigner les malades et les infectés, on peut certainement s'attendre à ce que les enseignants viennent travailler et enseigner aux jeunes et en bonne santé.

    https://www.zerohedge.com/markets/politics-not-science-keeping-schools-closed

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    1. Ce qui PROUVE bien qu'il s'agit d'une mini-grippette (corona) épidémique et non pandémique est que les virus circulent dans l'humidité (pays équatoriaux où l'hygrométrie est forte) et, la Scandinavie est une région du globe pas particulièrement sèche !

      Or, malgré ce fort taux d'humidité... le virus n'a pu circuler !! Çà alors !
      Mais alors... en pays secs et très ensoleillés l'été, il ne doit...

      Bêh si ! C'est comm' çà ! Y a des morts ! Morts d'accidents de la route, du cancer, de vieillesse... et de ?... de quoi ?... 'Corona' ?... Connais pas !

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  13. Les drapeaux rouges montent en flèche alors que les grandes entreprises pharmaceutiques seront exemptées des réclamations en matière de responsabilité vaccinale COVID-19


    par Tyler Durden
    Sam, 08/01/2020 - 12:35


    La semaine dernière, nous avons averti les lecteurs de faire preuve de prudence à propos des nouveaux vaccins COVID-19, soulignant comment des parties clés des essais cliniques sont ignorées, car les grandes sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues pour responsables des effets secondaires indésirables liés à l'administration des médicaments expérimentaux.

    Un cadre supérieur d'AstraZeneca, le deuxième plus grand fabricant de médicaments britannique, a déclaré à Reuters que son entreprise venait juste d'être protégée contre toute action en justice si le vaccin de l'entreprise entraînait des effets secondaires néfastes.

    "C'est une situation unique où nous, en tant qu'entreprise, ne pouvons tout simplement pas prendre le risque si dans ... quatre ans le vaccin montre des effets secondaires", a déclaré Ruud Dobber, un haut dirigeant d'AstraZeneca.

    "Dans les contrats que nous avons en place, nous demandons une indemnisation. Pour la plupart des pays, il est acceptable de prendre ce risque sur leurs épaules parce que c'est dans leur intérêt national", a déclaré Dobber, ajoutant qu'Astra et les régulateurs assuraient la sécurité et la tolérance est une priorité absolue.

    AstraZeneca est l'une des 25 sociétés pharmaceutiques dans le monde à tester des médicaments expérimentaux qui pourraient être utilisés pour lutter contre le virus mortel. Et, bien sûr, si les tests donnent des résultats positifs, AstraZeneca pourrait fabriquer des centaines de millions de doses, sans recours légal en cas d'effets secondaires.

    Des responsables européens ont déclaré à Reuters que la responsabilité du fait des produits était une discussion importante pour obtenir de nouveaux vaccins de Pfizer, Sanofi et Johnson & Johnson.

    En ce qui concerne les États-Unis, eh bien, s'agissant du cadre juridique entourant les vaccins, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a déjà une loi appelée Public Readiness and Emergency Preparedness (PREP) Act, qui accorde l'immunité aux fabricants de vaccins en cas de problème. va mal.

    Avec AstraZeneca et de nombreuses grandes sociétés pharmaceutiques américaines qui précipitent les vaccins COVID-19 sur le marché, les gouvernements leur accordant une immunité si le vaccin a des effets secondaires, tous suggèrent que les élites des entreprises et les régulateurs gouvernementaux ont très peu confiance en ces médicaments.

    Pour plus de détails sur les principaux vaccins en développement qui produisent des effets secondaires «graves», lisez notre dernier article intitulé «Réactions indésirables induites par le vaccin Moderna COVID-19 chez« plus de la moitié »des participants à l'essai.

    Peut-être que ces vaccins précipités sont davantage destinés à l'optique, ramènent les consommateurs dans les avions, les hôtels, les centres de villégiature et les centres commerciaux.

    Le principal drapeau rouge est la façon dont les gouvernements permettent aux grandes sociétés pharmaceutiques de précipiter les vaccins expérimentaux, sans recours juridique si quelque chose ne va pas du tout.

    https://www.zerohedge.com/political/red-flags-soar-big-pharma-will-be-exempt-covid-19-vaccine-liability-claims

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    1. Comme les laboratoires qui fabriquent des poisons mortels, les pharmaciens les connaissent et... les vendent !
      Ils seront excusés de causer la mort de millions de personnes !

      N'oublions pas que toutes les personnes décédées du 'corona' ou autre accident de la route, cancer, diabète, vieillesse, etc mais étiquetés 'corona' sont passées aux fours crématoires afin que nul ne puisse par la suite exhumer le corps pour faire des recherches sur les causes réelles de la mort.

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  14. Interdiction des terrasses chauffées : mais à quand les vraies réformes ?

    Ne pas hiérarchiser les problèmes du pays constitue une terrible méprise, consistant à céder aux sirènes bucoliques et coûteuses de l’écologie avant même d’avoir pris la peine d’assainir nos finances.


    1 AOÛT 2020
    Par Claude Robert.


    La Convention citoyenne du climat a encore frappé. Après avoir proposé en vain les 110 km/h sur autoroute, la voici qui vient d’arracher l’interdiction du chauffage des terrasses à partir de janvier 20211 ! Comme s’il n’y avait pas plus important…

    On ne sait pas trop comment ont été recrutées ces 150 personnes qui composent la Convention citoyenne pour le climat. Mais le fait qu’elles aient proposé une limitation des autoroutes à 110 km/h, mesure profondément rejetée par les Français2, laisse supposer que leur profil n’est absolument pas représentatif.

    Ceci dit, le vrai scandale ne réside pas dans le côté forcément anecdotique des propositions dont cette convention ne se privera pas de nous abreuver. Le plus insane se trouve plutôt du côté du gouvernement, qui n’a rien tiré d’autre du Grand débat, comme si l’appauvrissement de la société française n’était pas une urgence, comme si les récriminations des Gilets jaunes étaient climatiques.


    Le gouvernement a sciemment jeté son dévolu sur l’écologie, cette écologie qui n’est une urgence que pour une certaine population urbaine à l’abri du besoin. Ceci au mépris des chômeurs et des travailleurs précaires.

    DES MESURES POUR LIMITER L’ANXIÉTÉ CLIMATIQUE DES BOBOS

    Cette Convention citoyenne pour le climat n’a pas fini de susciter la polémique. Annoncée par Barbara Pompili, la nouvelle ministre de la Transition écologique, l’interdiction du chauffage des terrasses à partir de 2021 est une mesure parfaitement incongrue. Ceci pour deux raisons.

    En pleine pandémie du coronavirus, compte tenu de la recrudescence du nombre de cas, obliger les clients des restaurants à s’agglutiner dans des salles fermées n’est pas une mesure qui transpire la clairvoyance. Cela risque même d’accélérer la décision de fermer les restaurants si le reflux de la pandémie se poursuit.

    Quel sera le gain écologique d’une telle interdiction ? On croit rêver… En matière de perte d’activité, par contre, l’estimation est facilement faite : la profession semble évaluer à 30 % l’accroissement du chiffre d’affaires de ce type de chauffage extérieur3 en hiver !

    Ainsi, après avoir essuyé un confinement non ciblé du fait de l’impréparation gouvernementale en matière de lutte contre l’épidémie, les restaurateurs se prennent en pleine figure une mesure qui génèrera plus de mal que de bien, tant pour eux-mêmes que pour leurs clients !

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  15. LUTTER CONTRE LA POLLUTION, QUOI QU’IL EN COÛTE AUX PAUVRES ET AUX DÉMUNIS !

    Il existe une maladie mentale qui amène ceux qui en souffrent à se désintéresser des choses essentielles pour se consacrer de manière compulsive à des activités dérivatives et futiles. Cette maladie, la psychasthénie, semble avoir contaminé le gouvernement français, gouvernement qui n’a pas vraiment réagi dans la lutte contre les méfaits du coronavirus, mais qui fait preuve d’une véritable ingéniosité sur des détails qui ne servent à peu près à rien.

    Au lieu de se mettre en quatre pour obtenir des masques, ainsi que des tests4 afin de traquer les porteurs du virus, les isoler et les soigner au tout début de la maladie, ce qui diminue très fortement la mortalité et la propagation du virus, le gouvernement a imposé un questionnaire de justification de déplacement à l’ensemble de la population ! Et a lancé les forces de l’ordre (sans masques) pour verbaliser ceux qui n’étaient pas en règle !

    Dans la même veine, alors qu’une seconde vague se dessine depuis presque deux mois, alors que les besoins en tests afin d’isoler les porteurs sont à nouveau importants, le gouvernement a mis des semaines avant d’imposer de nouveau le port du masque dans les lieux publics fermés.

    Et au lieu de marteler le message chaque soir sur les médias car certains groupes sociaux ne semblent pas considérer l’utilité de cette obligation, le pouvoir politique s’éprend de la mesure d’interdiction des chauffages des terrasses proposée par la Convention citoyenne pour le climat !

    La liste est longue de ces paradoxes ridicules qui devraient couvrir de honte leurs auteurs. Mais le plus terrible de ces paradoxes est celui qui, grâce à une lente et puissante perversion de l’esprit, laisse accroire chez de nombreux Français que la planète est en danger immédiat et qu’il est urgent d’agir.

    N’en déplaise aux consciences climatiques exacerbées, qui d’ailleurs ne se recrutent pratiquement qu’à gauche et à l’extrême gauche5, en France, la priorité des souffrances humaines à soulager est d’abord celle de la grande pauvreté, de l’exclusion, de la précarité et du chômage.

    Ces personnes de plus en plus nombreuses, ce qui n’est pas le cas partout sur la planète, méritent les réformes économiques qui ont fonctionné dans d’autres pays tout aussi civilisés. Ces réformes doivent enrayer le plus rapidement possible le déclin industriel hexagonal, la perte de compétitivité.

    Cette perte de compétitivité n’est pas un concept abstrait : elle se chiffre en millions de jobs qui ont disparu ! Faire patienter des générations d’inactifs avec des aides à court terme, sortes d’illusions cosmétiques dont les effets n’ont rien de durable, est une malhonnêteté intellectuelle.

    Trop nombreux sont les citoyens qui ne savent pas que derrière ces mesures purement keynésiennes se cache la volonté de ne pas engager ces réformes désagréables…

    Le comble est bien sûr de savoir qu’un pays est d’autant plus à même de tirer parti de la transition écologique qu’il est en pleine possession de ses moyens industriels et financiers !

    Ne pas hiérarchiser les problèmes du pays constitue donc une terrible méprise, celle qui consiste à céder aux sirènes bucoliques et coûteuses de l’écologie avant même d’avoir pris la peine d’assainir nos finances, de redresser notre compétitivité et de pourvoir des emplois à chacun d’entre nous !

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  16. Y aurait-il alors une différence de dignité entre citoyens français, celle des bobos des grandes villes primant sur celle des pauvres et des précaires des périphéries ?



    Sur le web

    1 - Cette mesure doit être néanmoins présentée et débattue au Parlement.

    2 - En atteste une étude statistique en bonne et due forme de Paris School of Economics ! Bien évidemment, même aléatoire, un échantillonnage sur si peu de personnes est intellectuellement indéfendable ! ?

    3 - Les Échos 29/07/20.

    4 - Le gouvernement a eu de nombreuses sollicitations d’industriels bien introduits en Chine et de laboratoires pharmaceutiques auxquelles il n’a pas donné suite (Y-a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance, professeur Christian Perronne, Albin Michel).

    5 - Les alliances électorales pendant les élections présidentielles, européennes, législatives et municipales ne laissent aucun doute quant à la couleur rose ou rouge des soi-disant verts !

    https://www.contrepoints.org/2020/08/01/377365-interdiction-des-terrasses-chauffees-mais-a-quand-les-vraies-reformes

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    1. L'obligation du port du masque (qui n'a RIEN A VOIR avec les virus qui passent par milliers au travers du grillage ! Hahaha !) n'est faite QUE pour vous empêcher d'être reconnu par vos ami(e)s et de leur parler !

      Parce que, votre gueule ON LA CONNAIT et on l'enregistre ! Votre voix au téléphone ON LA CONNAIT et on l'enregistre !
      Mais, les personnes à qui vous parler (hors champs des caméras de surveillance) ne sont pas captables et les conversations sont difficilement enregistrables.

      C'est pourquoi, aux cafés, comme il faut ... QUITTER LE MASQUE pour boire ou manger, on peut être reconnu ! Et, discuter !! S'échanger des informations !
      Et çà, la NSA ne veut pas !

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