Jamais en temps de paix les démocraties n’ont enduré pareilles entorses aux principes qui les fondent : les libertés publiques.
Par Maître Sabine Sultan Danino, Avocat au Barreau de Paris.
26 AOÛT 2020
Il n’est pas contestable que la crise du coronavirus est considérée comme un danger qui menace la vie de la nation. Il n’est pas non plus critiquable que des mesures exceptionnelles soient prises lorsque les gouvernants estiment que pareil danger existe.
Ils ne sont pourtant pas normaux ce monde à l’arrêt depuis 5 mois, cette économie à l’agonie, ces rapports humains éclatés, cette phobie du risque zéro installée, la peur savamment distillée, cette surveillance généralisée et ces entraves inédites et acceptées à nos libertés fondamentales.
Car des mesures liberticides sont prises dans un cadre parfaitement légal au nom de l’urgence sanitaire. Et ce mouvement a cela d’inédit qu’il est mondial.
LES LIBERTÉS PUBLIQUES MISES À MAL
En France, en faisant voter à une vitesse sidérante la loi du 22 mars 2020 relative à l’épidémie, le gouvernement a ainsi pu créer l’État d’urgence sanitaire. Cette loi a permis au gouvernement d’agir dans les domaines les plus variés de l’économie, et notamment l’organisation du travail au sein des secteurs sensibles.
C’est donc un véritable régime d’exception qui a été créé. Ce régime, sorte de gouvernance politico-médicale, a habilité notamment le Premier ministre à prendre par décret des mesures générales limitant la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion et permettant de procéder aux réquisitions de tout bien et services nécessaires afin de lutter contre la catastrophe sanitaire.
Jamais en temps de paix les démocraties n’ont enduré pareilles entorses aux principes qui les fondent : les libertés publiques. Sans remettre en question la vocation sécuritaire de la mesure ou même l’intérêt stratégique politique, sans chercher une idéologie masquée… on peut juste s’inquiéter de voir les acteurs politiques capables de construire un état d’exception devant chaque situation exceptionnelle à laquelle ils sont confrontés.
Parce qu’ils deviennent ainsi les bâtisseurs de leur propre domaine de compétence, ce qui pose déjà un problème de séparation des pouvoirs. Et surtout, l’Histoire nous a tristement montré qu’il faut toujours observer avec méfiance un pouvoir qui s’arroge, pour lui-même, des droits exorbitants en proclamant la nécessité d’une urgence nationale ou d’une menace quelconque.
La liste des entraves est longue ; restrictions, interdictions, sanctions ont été prises au nom de la précaution sanitaire. Pour ne citer que quelques exemples marquants :
La liberté d’aller et venir a été sérieusement entravée (couvre-feux, attestations dérogatoires, fermetures des frontières).
Le droit de mener une vie privée et familiale pourtant consacré par l’article 8 de la CEDH a été ignoré. Combien de familles séparées, comme dans un autre temps, par les fermetures de frontières et les quatorzaines imposées ? Combien de mariages, de célébrations annulées ? Et ces enterrements et deuils en comité ultra restreints ou en zoom…
La liberté de réunion a été restreinte voire supprimée (manifestations, événements sportifs).
Le droit à l’instruction a été mis en suspens pour des dizaines de milliers de jeunes ; sans parler des inégalités engendrées, car les enfants n’ont pas tous accès au télé-enseignement et les enseignants n’ont pas tous reçu la formation nécessaire à ces nouvelles pédagogies.
Les droits de la défense ont été extraordinairement ignorés avec, au mieux, le recours aux visio-conférences et une justice expéditive (notamment pour des étrangers en rétention) et, au pire, les fameuses procédures sans audiences… C’est-à-dire consistant à rendre des jugements sur dossier, à juge unique, sans plaidoirie des avocats et sans comparution des parties. Dit autrement, des procès… sans procès.
La liberté de prescription des médecins a été exceptionnellement règlementée. Par deux décrets des 25 et 26 mars 2020, le Premier ministre a restreint les conditions de prescription et de délivrance de deux médicaments susceptibles de soigner les patients atteints, en l’absence de consensus scientifiques remettant en question la liberté même dont jouit normalement un médecin généraliste.
La liberté de religion a été significativement affectée par la suspension des célébrations religieuses et par les restrictions liées aux enterrements.
Le droit de travailler a été restreint et son exercice a été pour certains interdit.
ÉTAT D’EXCEPTION AU QUOTIDIEN
Et aujourd’hui encore, même si le 10 juillet 2020 a été votée la fin de l’État d’urgence sanitaire, des restrictions importantes sont encore imposées :
interdiction des rassemblements de plus de 5000 personnes ;
obligation de déclarer les rassemblements de plus de 10 personnes ;
interdiction des rassemblements nocturnes ;
fermeture des salles de réunion publiques (danse, jeux, expositions, salons…) ;
obligation du port du masque dans les lieux clos ;
obligation du port du masque en centre-ville et sur les marchés ;
obligation du port du masque en entreprise ;
obligation du port du masque dans les transports en commun ;
obligation du port du masque pour les personnels des bars et restaurants ;
obligation du port du masque pour tout rassemblement de plus de 10 personnes ;
interdiction de tables de plus de 10 personnes dans les restaurants ;
fermeture des vestiaires collectifs ;
limitation des écoles de musiques, conservatoires, fanfares, etc. à 15 personnes ;
interdiction de danser lors des soirées organisées dans les salles des fêtes municipales ;
limitation des crèches à 10 enfants ;
prime de 55 euros pour tout médecin déclarant un malade du Covid ;
obligation du respect des gestes barrières ;
interdiction de transporter du matériel de sonorisation ;
annulation de très nombreuses manifestations : marathons, foires, expositions, matches ;
limitation de la liberté de prescription ;
fermeture d’établissements publics ;
quarantaines par réciprocité ;
interdiction de visite aux patients hospitalisés ;
absence de débat public sur des lois votées sans députés.
Et tout cela sans que l’on n’ait la moindre idée de l’horizon auquel pourraient être suspendues ces exceptions temporaires à la liberté.
LA DÉMOCRATIE EN SOUFFRANCE
Par ailleurs, on peut aussi s’interroger sur la proportionnalité de ces mesures, base de la légalité d’un régime d’exception, au regard d’éléments factuels, tels que la létalité. Car historiquement le principe de précaution à lui seul n’a jamais justifié un tel arsenal.
Et jusqu’où irons-nous ? Le maire de Bordeaux s’est exprimé récemment sur une éventuelle interdiction de fumer dans la rue pour lutter contre l’épidémie de coronavirus. Le traçage des clients des restaurants va-t-il se généraliser en France ? La réalité dépasse la fiction : des technologies intrusives ont été déployées dans le monde, drones, reconnaissance faciale, applications de traçage banalisant le recueil des données de santé, caméras thermiques…
Ajouté à tout ce que qui n’est pas encore illégal mais qui n’est déjà plus sanitairement correct : le droit de s’embrasser, de s’étreindre, de festoyer, de rire… Cette « distanciation sociale » qui isole davantage et qui entretient cette incroyable peur et ce clivage désormais flagrant entre les gens.
Autant de stigmates d’une démocratie en très grande souffrance. La vigilance est donc de mise car, disait Benjamin Franklin, « un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité, ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »
Çà y est, l'Annonce est tombée: "Nous respirons à chaque minute quelques 200 000 virus et 2 millions en activités physiques" !
RépondreSupprimerWhôaw ! Et alors ?...
Depuis plus de 2000 ans notre organisme se bat (et remporte !) le match Virus contre Organisme. Mais, mais aujourd'hui sont annoncées des prolongations !
'Tir au but' ? Même pas ! Because que les 'masques' (N95/USA) et équivalents européens FFP2 ne sont pas... antivirus ! Because bis que les mailles font plus de 3 fois la grosseur des terroristes aériens !
D'où le renforcement des "Le masque ne sert à rien !" et, "Les vaccins de la grippe n'empêchent pas de l'avoir !" Âh bêh çà alors !!
D'où la question: "Doit-on partir sur la lune pour ne pas l'avoir ?"
Explikations: Les virus (petits dealers aériens) nous survolent tous les jours. Et, seule la pluie (qui tombe de haut en bas/Principe de Newton) se charge de ses gouttes de milliards d'ovni qui s'abattent donc (en principe) sur Terre !
D'où le mildiou sur les plants de tomates et raisins. Mais... on attrape pas le mildiou (ni le phylloxéra ni la myxomatose, etc) ! Car, notre organisme nous en défend !
Whôah ! Champion !
Mais... pourquoi mes plants de tomates n'attrapent-ils pas le corona ?" (Bonne question !).
Parce qu'ils s'en défendent !
"Mais pourtant, je mange des tomates et des raisins et... ". Parce que notre Organisme anti-terroristes nous défend de leurs maladies !
Donc, doit-on se rapprocher des plantes pour savoir pourquoi elles et pas nous attraperions le 'Corona' ?
"Mais au fait, pourquoi le niveau des mers & océans refuse t-il de monter ?" (mais que fait la police ?!
"Mais pourquoi n'y a t-il pas de 'réchauffement climatique' depuis le 'Global Warming' de 97 ?
"Mais pourquoi regarde t-on/écoute-t-on les merdias qui ne sont PAS des scientifiques ?"
"Mais pourquoi depuis toujours tous les gaz de l'atmosphère se recyclent-ils instantanément ?"
"Et pourquoi ne sommes-nous tous pas morts depuis ?"
Cà, c'est faute à l''arbitre' et ses corruptions.
(...) LA DÉMOCRATIE EN SOUFFRANCE (...)
(...) Jamais en temps de paix les démocraties (...)
'LES' Démocraties ??! Whôaw ! Une république n'EST PAS une démocratie mais son contraire.
Il n'y a qu'UNE SEULE DÉMOCRATIE au monde: La Suisse.
En Suisse, les suisses proposent LEURS lois et votent LEURS lois. En dictatures ce sont les tuteurs qui proposent leurs lois et votent leurs lois (sans demander au Peuple !).
La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple.
Reste que les masques 'filtres d'aspirateurs' sont plus performants que les N95 (USA) ou FFP2 (européens) parce qui expulsent l'air... avec moteur puissant !
Because que les masques dits 'antivirus' NE LE SONT PAS : Because bis que si les mailles étaient inférieures à 1µ... l'air ne passerait pas !
Un climat de faux jetons
RépondreSupprimerDes États-Unis à la Chine en passant par la Norvège, les décisions hypocrites en ce qui concerne le climat pleuvent de toute part.
Par Michel Negynas.
27 AOÛT 2020
La presse économique a récemment rapporté la décision du fonds d’investissement privé Storebrand, qui gère 83 milliards d’euros d’actifs, de se désengager de 5 sociétés pour cause de non respect de l’accord de Paris sur le climat.
LA NORVÈGE
Storebrand reproche aux groupes pétroliers américains ExxonMobil et Chevron, au chimiste allemand BASF, au géant minier anglo-australien Rio Tinto et au producteur américain d’électricité Southern Company d’œuvrer contre l’Accord de Paris qui vise à limiter à 2°C, voire à 1,5°C, le réchauffement climatique. L’assureur s’est désengagé entre autres de BASF et Exxon Mobile.
Il se trouve que Storebrand est un fond… norvégien ! Son homologue étatique, le fonds souverain du pays, le « Governement Pension Fund-Global » (ex-Petroleum Fund !) bannit lui aussi à tour de bras : l’exclusion du suisse Glencore et du britannique anglo-americain mais aussi des producteurs d’électricité allemand RWE, australien AGL Energy et sud-africain Sasol est motivée par leur présence importante dans le charbon, dont la Norvège a été longtemps un exportateur.
Ils peuvent se le permettre. Les cinq millions de Norvégiens sont à la tête d’un bas de laine de 1000 milliards d’euros… gagnés en exportant du gaz, du pétrole et même du charbon. Si un débat a eu lieu ces dernières années dans la population pour savoir si c’était bien éthique de continuer, la décision a quand même été « Drill, baby drill » comme disent les Texans. Et l’exploration a repris. Le pays lorgne les gisements les plus au Nord, là où il y a des zones à l’écosystème un peu fragile ; mais bon, ils prendront des précautions. La production vise d’atteindre à nouveau les pics des années 2000.
La Norvège est le troisième exportateur mondial de gaz, après les USA et la Russie. Mais selon les autorités, ils ont un gaz plus propre que les autres. Dont acte.
Et c’est d’autant plus juteux de flatter la Vertitude pour la Norvège qu’elle possède aussi des possibilités importantes d’électricité d’origine hydraulique, et ainsi profite de la bêtise du Danemark et de l’Allemagne : elle achète à prix négatifs les jours de tempête, et revend très cher les nuits d’hiver sans vent. C’est tellement juteux qu’un câble sous marin d’interconnexion est prévu avec l’Angleterre. Bref, la Norvège gagne sur tous les tableaux.
Les Norvégiens ont beau être luthériens en majorité, le jésuitisme leur va très bien : vertueux, mais en bon Nordiques, pragmatiques avant tout.
ET LES AUTRES PAYS
On ne peut guère partir en guerre contre l’hypocrisie norvégienne : quasiment tout le monde fait la même chose. Prenons les trois premières économies mondiales :
L’Allemagne entraîne toute l’Europe dans une course folle aux ENR… mais rénove ses centrales au charbon, et négocie le gaz russe.
La Chine a signé le protocole de Paris, qui n’exige rien d’elle avant 2035… Elle construit des centrales à charbon à tour de bras.
RépondreSupprimerObama, lorsqu’il signait l’accord, permettait en même temps la plus formidable révolution énergétique depuis un siècle avec le gaz de schiste… En Californie, c’est le gaz et le charbon des centrales des États voisins qui sauvent un peu la sécurité d’alimentation électrique.
L’ex-président des Maldives se posait en victime de la montée du niveau des mers, tout en équipant ses îles d’aéroports pour accueillir les touristes…
ET LES PEOPLE…
C’est sans doute chez les people qu’on trouve les excès les plus indécents : de leurs piscines du Lubéron, ou du cap Ferret, nos vedettes de cinéma hurlent à la Vertitude, entre deux allers-retours parisiens en hélicoptère. Tel ancien ministre de l’Environnement fait du hors-bord ultra puissant en Bretagne, après avoir dévasté des zones entières de paysage avec son équipe de tournage télévisuelle héliportée lorsqu’il était un homme de spectacle…
Aux États-Unis c’est pire encore : le maître en la matière est évidemment Al Gore, avec ses manoirs, son penthouse sur les docks de San Francisco, lui qui alerte sur la montée des eaux… Mais Di Caprio n’est pas mal non plus, lui qui n’hésite pas à faire l’aller-retour Cannes New York pendant le festival pour aller recevoir un prix du meilleur ambassadeur de l’environnement… Récemment, Harrison Ford, fervent thuriféraire de Greta Thunberg, a fait juste un aller-retour dans son jet privé pour chercher son fils à l’école… Et Greta Thunberg va à New York en bateau à voile, mais change de skippers entre l’aller et le retour… et eux voyagent en jet…
LA FRANCE IMPERTURBABLE
La France, dans sa logique cartésienne excluant l’ambivalence, seule au milieu de tout cela, reste droite dans ses bottes : le nucléaire c’est mal, on l’arrête. Le pétrole c’est mal, on interdit les forages en Guyane. Les métaux c’est mal, on interdit les mines. Le plastique c’est mal, on vend notre industrie chimique.
Mais nous serons fiers de laisser un pays si vertueux à nos petits-enfants.
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https://www.contrepoints.org/2020/08/27/378920-un-climat-de-faux-jetons
Coronavirus : cette crise qui n’en finit pas
RépondreSupprimerCe qui se passe aujourd’hui à propos de l’épidémie suscitera, à n’en pas douter, dans l’avenir des études dont le recul devrait permettre plus de pertinence.
Par Paul Touboul.
27 AOÛT 2020
Nous vivons encore en ce mois d’août sous l’empire de ce coronavirus qui avait abordé nos rives en mars dernier et continue de faire la Une de l’actualité. On aurait pu penser que la phase de déconfinement nous amènerait tout naturellement vers une sortie de crise.
Or, c’est un autre scénario qui se déroule sous nos yeux dont on peut lister sans peine les aspects les plus parlants.
Des appels à la prudence n’ont cessé d’être lancés au prétexte que l’épidémie est loin d’être terminée et qu’une seconde vague est toujours à craindre.
Une campagne de tests à tout va a été entreprise pour dépister les sujets contaminés et dessiner ainsi la cartographie d’une épidémie souterraine prête à s’embraser de nouveau.
Dans le sillage d’une pensée aux abois, le port de masques dans les lieux clos a été imposé et des sanctions prévues en cas de non-respect. Les règles de distanciation physique continuent d’être prônées comme gestes-barrière déterminants.
Relayant celui des morts, le comptage des contaminés détectés fait la Une des médias, participant à l’entretien d’un vécu de crise persistante. La survivance d’îlots épidémiques dans les pays voisins est complaisamment rapportée pour corroborer sans le dire la thèse d’une épidémie prête à resurgir.
Les jeunes sont montrés du doigt comme de dangereux vecteurs de l’infection, laquelle, très souvent inapparente chez eux, n’en est que plus redoutable.
Une peur sournoise a été instillée dans les esprits, visible dans l’espace public où nombre de comportements en témoigne. S’embrasser entre proches est désormais teinté de mauvaise conscience assumée.
Force est de constater que nous ne sommes pas seuls à nous sentir en guerre permanente contre le virus. D’autre pays, en Europe ou ailleurs, sont dans le même état d’esprit.
DES OBJECTIONS À L’ALARMISME AMBIANT
On ne peut s’empêcher de constater que l’attitude alarmiste actuelle rencontre en fait bien des objections. La courbe en cloche de l’épidémie dessinée par le nombre de contaminations en fonction du temps évolue vers un terme prochain sans montrer de nouveau rebond. Le nombre de décès attribué à la virose est ridiculement bas sans commune mesure avec les chiffres du mois d’avril.
Des contaminés récemment détectés à la faveur du dépistage, rien n’indique l’ancienneté du comptage d’autant plus que les tests sont incapables de faire la distinction entre virus morts et vivants et seraient même en défaut dans 20 % des cas au bas mot. Or, aujourd’hui tout contaminé dépisté est comptabilisé nouveau malade.
La persistance de clusters dans l’ouest du pays peut traduire l’invasion tardive de ces régions en lien avec la direction suivie par la nuée virale. Que le grand Paris, par son étendue et la densité de population connaisse encore des îlots actifs, la chose peut se concevoir, sans tomber pour autant dans le catastrophisme. Pourtant, les médias d’information ressassent à l’envi que les clusters ont toute chance d’être les avant-postes d’une nouvelle vague.
Enfin, l’on sait maintenant que les enfants et adolescents, ayant pu rencontrer dans leur vie toutes sortes de coronavirus, sont pour la moitié d’entre eux au moins déjà immunisés contre l’actuel Covid-19.
RépondreSupprimerPOURQUOI AVOIR CHOISI LE SCÉNARIO CATASTROPHE ?
Ce constat établi, restent les explications à proposer pour rendre compte de telles dérives. C’est certainement la pratique de l’exercice la plus délicate tant la dramatisation actuelle est proprement sidérante et son ampleur inédite.
Et pour commencer, pourquoi avoir fait le choix du scénario catastrophe, et ce contre l’évidence des données épidémiologiques recueillies jusqu’à ce jour ? On peut comprendre que l’ampleur des chiffres de mortalité du mois d’avril en pleine phase d’invasion virale ait contribué à l’édification d’une vision tragique de l’évènement et conduit à redouter un nouveau débordement des structures hospitalières.
Mais toute tragédie a une fin et l’on aurait pu s’acheminer avec soulagement vers une issue prochaine. Les services de réanimation s’étaient enfin vidés et la mortalité devenue insignifiante.
Alors persister dans la guerre contre un ennemi sur le départ pose question. Car c’est bien dans cette voie que l’on s’est engagé, arguant que ce virus nouveau et par suite imprévisible, était capable de tout et donc d’évoluer selon des modes inattendus.
LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION, POURQUOI ?
Continuer de dévider un arsenal de mesures défensives contre toute logique apparente, sinon celle censée débusquer un mal qui court, tel est le fondement de l’action actuelle.
Or, tout laisse à penser, sur le vu de l’expérience acquise un peu partout, que le confinement, considéré comme la mesure protectrice par excellence, n’est pas parvenu à influer significativement sur le profil de l’épidémie et les taux de mortalité. L’expérience suédoise jouerait même en faveur d’une politique laissant l’invasion virale se heurter in fine à la barrière d’une immunité collective.
En dépit des apparences, le débat sur le sujet reste donc ouvert, ce qui rend d’autant plus incompréhensible la persistance de déclarations laissant planer la menace d’un re-confinement face à la résurgence de contaminations ici ou là. Et l’imposition de masques dans l’espace public se passe également de toute preuve scientifique.
À l’évidence, dans l’incertitude, joue ici, semble-t-il, un principe de précaution. En faire trop, même si cela peut être en grande partie inutile, vaut mieux que courir le risque de pêcher par défaut. L’opinion sera toujours sensible à une débauche d’énergie face à un danger redoutable. À l’opposé, une apparence d’absentéisme est plus à risque d’être retournée à charge contre son auteur.
Les agissements actuels peuvent aussi être le pendant des errements de départ où l’absence de tests de dépistage et aussi de masques en pleine phase d’invasion épidémique a fait cruellement défaut. Alors, autant se rattraper par la suite et même en rajouter pour renforcer une image d’extrême vigilance et d’autorité experte, cette dernière particulièrement mise à mal dans les premiers temps.
Le maintien d’un état de crise tend à faire oublier les débuts. Nos gouvernants nous montrent, en cette période estivale, qu’ils sont toujours sur le pont, ôtant aux critiques toute opportunité de se manifester. Prolonger la situation actuelle en s’aidant de la traque de clusters viraux peut aider à revisiter positivement l’histoire de la pandémie. Une fois l’évènement passé, se maintiendra le souvenir d’un activisme de bon aloi et de dirigeants exemplaires.
RépondreSupprimerPOURQUOI LA PEUR DOMINE ?
Reste que le soubassement de la stratégie en cours demeure la peur. Et l’on doit d’interroger sur cette peur devenue manifeste jour après jour au point d’infiltrer la tonalité des informations, commentaires et débats et de diffuser tout naturellement vers le public. Le coronavirus fait peur à l’évidence.
Pourtant son bilan ne le distingue pas particulièrement des virus respiratoires, notamment grippaux, ces derniers ayant pu frapper dans le passé avec une même violence sélectivement dirigée vers les personnes âgées ou malades.
Certes on a encore à apprendre de ce Covid-19 et les données recensées en dessinent aujourd’hui une image plus claire. Il faut en outre compter sur les mutations spontanées du germe, lesquelles semblent en avoir réduit l’agressivité. Pourtant l’équation continue d’être : on ne connait pas notre ennemi, autant jouer la carte du pire.
Par son ampleur, son excès même, ses éléments d’irrationalité, cette peur interroge sur notre monde soudain pris de panique face à un agent censé véhiculer la mort à tout instant, en tout lieu. Et qu’en fin de compte le risque ne s’avère guère différent de celui d’autres épidémies du passé, le fait est balayé d’un revers de main.
La peur a ses propres lois, élabore un discours qui s’alimente de la même logique folle, concourt chaque jour à sa survie qui devient une fin en soi. Il y a en la matière des relents d’apocalypse. La fin de la vie humaine est en perspective. Cette vie il nous faut la défendre et chasser avec une rigueur impitoyable les semences de destruction.
Pareille prise de conscience de la précarité du monde renvoie au rêve transhumaniste dans lequel versait il y a peu notre intelligence.
POURQUOI FAIRE PASSER LA SANTÉ AVANT LE CONTEXTE ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ?
Ainsi, tout au long de l’épidémie, la préservation de la vie a été clamée comme objectif suprême des actions menées contre le coronavirus. Évènement unique en soi, ceux dont le métier a cette finalité, médecins et personnel soignant, ont été célébrés tels des héros engagés dans un combat titanesque.
Et bien des voix, sans distinction d’appartenance, ont souligné l’aspect inédit de la décision politique qui a su mettre de côté les enjeux nationaux au seul profit de la santé des gens.
Mais n’est-ce pas là une vision bornée des choses que celle de vouloir dissocier la vie en soi du contexte économique et social ? A l’évidence la pauvreté, le chômage sont associés à un risque accru de maladie et de mort prématurée.
Or, le confinement a déjà eu son lot de tragédies que catalysait la misère physiologique et aussi sociale. Le suivi de pathologies chroniques a été gravement délaissé. Et le régime de contrainte persistant dans lequel nous vivons depuis plusieurs mois a enclenché une crise économique majeure dont les conséquences pourraient être désastreuses en termes de santé publique.
Cette perspective, pourtant, ne semble pas émouvoir outre mesure nos décideurs toujours droits dans leurs bottes face à la crise sanitaire.
RépondreSupprimerPOURQUOI LA DÉLATION PREND LE DESSUS ?
Chaque jour, les temps que nous vivons exhalent une ambiance délétère où se mêlent anxiété, incertitude face à l’avenir, peur diffuse, soupçon. Il faut y ajouter violence sourde, agressivité. Tout citoyen lambda peut aujourd’hui s’ériger en justicier pour faire respecter les gestes barrière par ceux, plus rétifs, qui se voient accusés de négligence coupable mettant en péril la vie des autres.
Certains édiles ont été même jusqu’à encourager la délation. La traque des insoumis par les forces de police avec sanction financière à la clé témoigne du virage pris par le pouvoir, lequel arbore en la matière une tonalité autoritaire de plus en plus éloignée d’une gestion démocratique. Au nom de la santé la notion de débat tend à disparaitre.
Nous voilà pris en charge sans avoir notre mot à dire. L’État agit pour notre bien. Toute opposition devient irrecevable. Une pensée totalitaire que l’on croyait pour longtemps bannie de l’Occident, refait surface soi-disant pour la bonne cause. Et les comportements se plient avec une docilité qui renvoie à des temps douloureux de notre histoire.
QU’EN EST-IL DE LA COURSE AUX VACCINS ?
Risquons-nous enfin à soulever des lièvres, que d’aucuns rangeraient dans la catégorie du complotisme. Ainsi alimenter la peur et maintenir vivant le spectre de l’épidémie ouvre forcément la voie à des solutions miracle lesquelles, il faut bien le dire, se parent aussi d’avantages financiers juteux. Big Pharma joue sa partition en coulisses.
La course aux vaccins est lancée et leur fabrication prochaine annoncée comme la parade sans faille opposée dans l’avenir au virus. Peu importe que l’épidémie soit à bout de souffle et que la survenue de résurgences saisonnières reste hypothétique.
Le vaccin continue d’être présenté comme l’arme radicale qui réglera tous nos problèmes. Et les États de se positionner dès maintenant auprès de grands groupes pharmaceutiques en vue de l’acquisition de doses par millions. Comprenne qui pourra ! Reste que la dramatisation actuelle de la situation montrerait là un visage fort peu ragoûtant.
DES RESTRICTIONS, JUSQU’À QUAND ?
Enfin le régime d’urgence sanitaire en cours a ouvert la voie à l’imposition de règles par décret, devant lesquelles chacun courbe l’échine, santé oblige. Dans ce sillage l’obéissance va de soi. Et tant pis pour les manifestations collectives de quelque nature que ce soit, qu’il s’agisse de fête ou de protestation, puisque tout regroupement d’humains véhicule un risque de propagation virale, information martelée ad nauseam.
Alors la tentation peut se faire jour, à l’approche de la rentrée, de maintenir les mesures contraignantes le temps qu’il faut, ce qui permettrait d’annihiler, à cette période de l’année où s’expriment volontiers les crises sociales, toute tentation de manifestations de rue ou d’appel à la grève.
Rien n’interdit de penser que nos gouvernants, au moment de fixer une date d’allègement ou de suspension des règles sanitaires actuelles, fasse plutôt le choix d’en retarder la fin, politique oblige.
Force est de reconnaître que nous vivons des temps inédits où plus que jamais la manière qu’a l’Homme de régir sa relation au monde est posée. Face aux fléaux naturels, comme en bien d’autres circonstances, les connaissances acquises, passées au filtre de la prise de décision, se heurtent à la part d’inconnu qui fait de toute direction un choix parmi d’autres justifié par la lecture de l’évènement, le background scientifique, l’expérience, le pragmatisme, sans compter les facteurs subjectifs non négligeables. Il faudrait y ajouter des éléments en lien avec la société elle-même.
RépondreSupprimerCe qui se passe aujourd’hui à propos de l’épidémie suscitera, à n’en pas douter, dans l’avenir des études dont le recul devrait permettre plus de pertinence. Et s’il fallait pour conclure caractériser en quelques mots le monde du coronavirus, viendraient, derrière une arrogance de façade, la fragilité et la peur de l’Homme privé de transcendance.
https://www.contrepoints.org/2020/08/27/378891-coronavirus-cette-crise-qui-nen-finit-pas
Aller au bout de ses rêves sans casser ses jouets - réflexion sur la trajectoire de vie de Philippe JEANTOT
RépondreSupprimermercredi, 26 août 2020 23:40
- voir clip sur site -
Pourquoi les créateurs cassent ils souvent leurs jouets ?
Je viens de regarder un reportage ancien sur Philippe JEANTOT.
Aujourd'hui...
philippe jeantot
Tous les ingrédients classiques sont là.
C'est un compétiteur froid, technique, motivé.
Il exerce dans sa jeunesse son métier de plongeur Comex à un top niveau mondial et place son argent dans de l'immobilier à Andorre. Il pourrait tourner à droite et dérouler nickel sa life...
Sauf que... Il tourne à gauche et écoute le moteur de la création...
Vient le succès rapidement. Il remporte plusieurs tours du monde et explose en notoriété américaine et française.
Il créé alors deux bijoux. Le Vendée Globe Challenge et le fabriquant de catamaran dont je suis très fan, la série PRIVILEGE.
Il se marie et fait de beaux enfants avec lesquels il fait un tour du monde de plus ou moins 10 ans.
Seulement, dans cette belle story, tout finit par partir en couille, avec toujours les mêmes ingrédients...
Le fisc français, un associé qui trahit, les salopards habituels qui récupèrent le Vendée Globe Challenge devenu bien trop politique et influent...
En face il vend son chantier en 1996 à un vrai gestionnaire qui va le développer. Et rate une aventure industrielle.
Il y a manifestement une part d'ombre en lui qu'il n'a pas dompté à temps.
Et à la fin, on retrouve actuellement Philippe Jeantot vivant sur son bateau à Koh Samui, Thaïlande.
Ce que cela m'inspire ?
Croire que parce qu'on est bon à un jeu, on est bon à tous les jeux. C'est le pire des poisons pour la cervelle...
Créer est une chose. Il faut souvent casser pour accoucher. On ne créé pas du premier coup. D'autant que plusieurs succès exigent de nombreuses tentatives autour qui foirent. Un peu comme les mecs qui continuent de me tomber dessus sur mes pertes en bourse. Il n'y a pas de gains sans pertes. C'est justement la manière dont on gère le lien des gains et pertes qui fait le résultat final et non le fait de perdre qui rend pas crédible... comme si on pouvait que perdre sans jamais gagner en face... Les gestionnaires ne le comprennent pas trop ce lien de gains qui compensent les pertes. Ils ne voient que le risque et leur aversion utile et toxique en même temps.
L'âme créatrice est quelque chose de spécifique qui repose très ou trop souvent sur une faille ou des failles psychologiques.
Développer est un job qui ne va pas bien avec la création. Pourtant tous les créateurs ont besoin à un moment de savoir pivoter vers la gestion. Et vice et versa. Les gestionnaires qui ne veulent pas finir dans leur bouteille de vin doivent apprendre à se relâcher et tenter des trucs out of the box.
RépondreSupprimerL'association est souvent la clef... mais l'association dans un monde de malhonnêteté est ultra risky. Les gestionnaires sont régulièrement des escrocs qui abusent. Le nombre de stars plumés est hallucinant.
Le mieux est donc d'expérimenter les deux facettes soi même. La création destruction, le contrôle et le lâcher prise
Qui honnêtement fait un sans faute au jeu de la vie ?
Nous tombons tous un à un dans ces pièges.
Certains ne parviennent pas à créer et vivent des vies réussies de gestionnaires qui sont totalement misérables, insignifiantes et frustrantes. Combien m'ont fait des confidences à 65 ans passés avec un océan de regrets après leurs décennies de zombies.
D'autres dont je fais partie cassent méthodiquement leur jouet avant de se réveiller et de réfléchir quand il n'est pas trop tard.
D'autres cassent tout y compris leur physique et ne se réveillent qu'une fois la ligne rouge franchie.
La trajectoire de vie de ce Philippe Jeantot m'intéresse. C'est certain.
Charles
http://www.objectifeco.com/riche-rentier/argent/senrichir/aller-au-bout-de-ses-reves-sans-casser-ses-jouets-reflexion-sur-la-trajectoire-de-vie-de-philippe-jeantot.html
La partie vraiment effrayante
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
27 août 2020
PLANDEMIC est un film documentaire épique sur les efforts secrets pour créer et propager un virus respiratoire muté dans le monde, présenté par l'Organisation Mondiale de la Santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, deux organisations en proie à des conflits d'intérêts financiers, cette dernière se faisant passer pour une organisation philanthropique
Conseils santé en zig-zag
Qui dans le monde n'a pas été inondé d'informations souvent confuses et contraires depuis le début officiel de cette pandémie à la fin de 2019 à Wuhan, en Chine ? Le verrouillage «aplatit la courbe». Les masques bloquent la propagation de l'infection. Ou le font-ils ? La distance sociale (6 pieds) est en dehors de la portée aérienne du virus expulsé lors de la toux. Mais des études indiquent que les particules virales sont en suspension dans l'air jusqu'à 12 pieds.
Oui, mais vous serez à jamais vulnérable à ce virus si vous n’y êtes pas exposé et ne développez pas d’anticorps naturels. Pourquoi attendre un vaccin problématique alors que votre corps (sain) développera lui-même des anticorps ? Des études montrent que c'est précisément ce qui s'est passé en Suède, un pays qui n'a pas verrouillé ou imposé des masques faciaux.
Toutes les pratiques de santé mises en œuvre par peur ne peuvent jamais être abandonnées indépendamment des faits contraires
Malgré des conseils de santé erronés sur le port du masque, les verrouillages et la distanciation sociale, une fois ces pratiques instillées par la peur, il serait désormais presque impossible de les abandonner puisqu'elles procuraient la tranquillité d'esprit dans un monde sans vaccin sous licence.
Les pays qui portent habituellement des masques à plus de 90% du temps ont des taux de mortalité élevés par COVID-19 (exemples: Chili, Bolivie, Guatemala). Ne le dites pas aux gens. Vous enlevez leurs faux accessoires contre cette terrible maladie.
Les gouvernements qui gèrent les épidémies les utilisent pour gagner du capital politique
Le guide de l'Organisation mondiale de la santé sur la façon de gérer les épidémies interdit aux politiciens de gérer les épidémies. Ce dicton est ignoré aux États-Unis où les gouverneurs d’États ont mis en œuvre des interprétations et des pratiques draconiennes sur leurs résidents. Ce qu'il fallait, c'était des morts, beaucoup de morts, pour semer la peur dans le cœur des Américains.
Les hôpitaux ont reçu des incitations financières pour utiliser des codes de remboursement pour COVID-19. Plus de 80% des décès dus au COVID-19 impliquent des conditions comorbides telles que l'obésité, le diabète et l'auto-immunité. Seuls 20% des décès sont dus au seul coronavirus COVID-19. Soustrayez 80% des décès signalés par COVID-19 et vous n'aurez pas de pandémie effrayante.
Les gouverneurs ont transféré les patients infectés par le COVID-19 des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers, une erreur meurtrière qui a entraîné des milliers de morts inutiles. Les gouverneurs ont surestimé les décès dans l'espoir que les sacs mortuaires en train de monter renverseraient un président permanent de la réélection. Le public n'était pas plus sage car les médias d'information, lancés contre le pouvoir exécutif du gouvernement fédéral, continuent de pratiquer un jeu de blâme contre le président.
Lignes directrices ou mandats juridiques ?
RépondreSupprimerUne fois que l'Organisation mondiale de la santé alarmiste a inauguré des verrouillages volontaires coercitifs, le port de masques et des pratiques anti-septiques, ceux-ci se sont transformés en lignes directrices des agences de santé publique que les médias ont ensuite présentées comme des mandats légaux. Ces pratiques visaient à empêcher la soi-disant immunité naturelle du troupeau de se produire et à laisser les masses exemptes d'infection mais pas d'anticorps naturels contre le virus mortel.
L'ensemble de la population mondiale est désormais vulnérable au virus respiratoire muté en circulation, pour lequel il n'y a pas de vaccin.
Mais les verrouillages n'étaient totalement pratiqués que dans des régions comme la Chine, ce que Bill Gates a applaudi. Il était vexé que les Américains soient infectés et survivent à un épisode de coronavirus presque sans symptômes. Cela empêcherait les efforts de prouver qu'un vaccin fonctionne.
Annuler les vrais remèdes
En outre, le verrouillage à l'intérieur a entraîné l'effondrement des niveaux sanguins de vitamine D au soleil, une hormone / nutriment qui est produite dans la peau et stockée dans le foie pendant les mois d'été. Une carence hivernale en vitamine D explique l'apparition saisonnière de maladies infectieuses dans le monde. Désormais, tout le monde aurait besoin d'être vacciné, mais seulement tant que les pilules de vitamine D seraient considérées comme un antidote naturel.
Les pratiques draconiennes qui sauvent des vies ne laissent aucune vie à vivre
Les verrouillages ont détruit des entreprises et laissé des millions de personnes sans avenir. Vivez pour aujourd'hui quand il n'y a pas de lendemain. Quelle folie.
La distanciation sociale et le rassemblement social, particulièrement axés sur les églises, empêcheraient les masses de développer leurs propres récits et créeraient la peur les unes des autres.
Phobie pré-planifiée sur la propagation du virus par le papier-monnaie
Le monde est devenu phobique à cause d'un virus invisible qui pourrait même être propagé par le papier-monnaie. Les sociétés de cartes de crédit étaient évidemment à l'origine de cette phobie, tout comme le Forum économique mondial qui veut éradiquer le papier-monnaie et inaugurer une nouvelle monnaie numérique mondiale en collaboration avec Master Card, Microsoft et le Fonds monétaire international, qui a prévu une réinitialisation économique pour janvier. 2021.
Dans le processus, les ventes de désinfectants pour les mains ont explosé. Mais les virus ne sont même pas vivants. Ce sont des globes d'informations génétiques qui ne se répliquent qu'à l'intérieur d'une cellule vivante. Tardivement, les Centers for Disease Control ont publié un seul paragraphe dans ses volumes de conseils pour dire que le contact physique avec le virus n'était pas la façon courante de propager la maladie, c'est-à-dire par transmission par aérosol d'un poumon infecté à un poumon non infecté d'un sujet vulnérable dont le système immunitaire le système n'est pas à la hauteur. Mais c'est trop tard. Les épiceries nettoient les caddies et demandent aux clients de ne toucher que ce qu'ils achètent. En fait, personne ne meurt du coronavirus COVID-29 si son système immunitaire fonctionne.
Comment gérer une partie du refoulement public de leur plan
RépondreSupprimerLes agences de santé publique ont commencé à discuter de la manière de contraindre une population réticente à la vaccination à se faire vacciner. Une de ces tactiques est un passeport vaccinal, un document obtenu par preuve d'anticorps contre le coronavirus COVID-19. Mais ensuite est venu l'admission que les autorités sanitaires se cachaient au public depuis au moins 1986 - les cellules T dépendantes du zinc, produites dans le thymus, tuent les cellules infectées par le virus dans les poumons et ailleurs dans le corps, pas les anticorps. Voilà pour un passeport vaccinal.
Mais ce ne sont pas des anticorps
Puis un autre aveu. Le corps humain ne fabrique pas d’anticorps à long terme contre ce coronavirus ou tout virus de la grippe. Cela rendrait la vaccination d'un tel bénéfice temporaire qu'il serait plus approprié de renforcer l'immunité naturellement avec des vitamines (A, C, D) et des oligo-éléments sélénium et zinc. Mais que faire du stock de vaccins d'un milliard de dollars ?
Les vaccins ont été achetés avant d'avoir prouvé leur innocuité et leur efficacité
Puis, étant donné l'urgence sanitaire mondiale artificielle, les gouvernements ont débloqué des fonds aux fabricants de vaccins pour développer un vaccin dans le cadre de dispositions accélérées alors que le décompte des morts et les sacs mortuaires étaient supposés monter. Il existe sept autres coronavirus et aucun vaccin n'a jamais été développé contre eux.
Peu importe, les gouvernements ont émis des bons de commande à des «fakers vax-obscènes» pour fabriquer des milliards de doses de vaccins avec un mandat promis que les masses devront se faire vacciner. Les vaccins ne sont même pas contrôlés pour leur sécurité et leur efficacité, et les sociétés pharmaceutiques comptent leurs bénéfices. Les cours de leurs actions montent en flèche avant qu'une vie ne soit sauvée.
Scripté
Toute l'épidémie a été scénarisée 5 mois auparavant dans l'ÉVÉNEMENT 201 mené au Johns Hopkins Center For Health Security dans ce qu'on a appelé un exercice de pandémie. Les plans de préparation comprennent comment censurer toute personne qui répand de fausses rumeurs sur le vaccin.
Et maintenant pour la partie effrayante
Et maintenant pour la partie effrayante. Dans le film documentaire Plandemic, à environ 33: 02 minutes, nous apprenons que le GLOBAL MONITORING PREPAREDNESS BOARD de l'Organisation mondiale de la Santé en 2019, dans son rapport intitulé WORLD AT RISK, appelle à un «exercice de simulation» qui s'est maintenant transformé en réalité.
Il s'agit d'un «plan pluriannuel» avec «des indicateurs de progrès requis d'ici septembre 2020». Deux exercices de pandémie sont prévus (WORLD AT RISK, Foreward, page 8). «Les Nations Unies (y compris l'OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l'échelle du système…» d'ici septembre 2020. Une pandémie doit être «une pandémie qui se propage rapidement en raison d'un pathogène respiratoire mortel…»
Passons maintenant à la question restante: au moment où j'écris ce rapport prémonitoire, qu'est-ce que la pandémie n ° 2 qui est censée se déclencher d'ici septembre 2020?
https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/the-really-scary-part/
(...) En outre, le verrouillage à l'intérieur a entraîné l'effondrement des niveaux sanguins de vitamine D au soleil, une hormone / nutriment qui est produite dans la peau et stockée dans le foie pendant les mois d'été. Une carence hivernale en vitamine D explique l'apparition saisonnière de maladies infectieuses dans le monde. Désormais, tout le monde aurait besoin d'être vacciné, mais seulement tant que les pilules de vitamine D seraient considérées comme un antidote naturel. (...)
SupprimerVrai.
Une université allemande offre des «subventions à l'oisiveté» aux personnes qui convaincent le jury qu'elles méritent de l'argent pour rien
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 27/08/2020 - 04:15
L'Université des Beaux-Arts d'Allemagne à Hambourg offre des "bourses de paresse" aux candidats qui peuvent les convaincre qu'ils tireraient le meilleur parti de leur "inactivité active", selon The Guardian.
Trois bourses de 1 600 € (1 900 $ US) seront attribuées à des candidats de tout le pays, qui devront convaincre un jury que leur «inactivité active» se traduira par une utilisation impressionnante ou pertinente de leur temps.
Le formulaire de candidature - dont la date limite est le 15 septembre, ne pose que quatre questions; Qu'est-ce que tu ne veux pas faire? Pendant combien de temps ne voulez-vous pas le faire? Pourquoi est-il important de ne pas faire cela en particulier? Pourquoi es-tu la bonne personne pour ne pas le faire?
«Ne rien faire n’est pas très facile», a déclaré Friedrich von Borries, architecte et théoricien du design qui a conçu le programme. «Nous voulons nous concentrer sur l'inactivité active. Si vous dites que vous n’allez pas bouger pendant une semaine, c’est impressionnant. Si vous proposez de ne pas bouger ou penser, cela pourrait être encore mieux. "
L'idée derrière le projet est née d'une discussion sur la contradiction apparente d'une société qui promeut la durabilité tout en valorisant simultanément le succès, a déclaré Von Borries. «Ce programme de bourses n'est pas une blague mais une expérience avec des intentions sérieuses - comment pouvez-vous renverser une société structurée autour de réalisations et de réalisations?» -Le gardien
Lors de la remise d'un «rapport d'expérience» à la mi-janvier de l'année prochaine, la bourse de l'université attribuera les subventions. Selon von Borries, si les boursiers ne parviennent pas à respecter leur «inactivité» prévue, ils ne seront pas punis. Donc, la paresse partout.
"Si vous dites que vous n'allez pas dormir, alors vous ne pouvez le faire que pendant quelques jours", a-t-il dit, ajoutant "Mais si vous dites que vous n'allez pas faire du shopping, c'est quelque chose que vous pourriez soutenir pendant beaucoup plus longtemps. "
Ainsi, les candidats sont encouragés à se fixer des objectifs réalistes.
Une fois les candidatures reçues, elles seront incluses dans une exposition de novembre intitulée The School of Inconsequentiality: Towards A Better Life, qui s'articulera autour de la question: «Que puis-je éviter pour que ma vie ait moins de conséquences négatives sur la vie des autres?"
https://www.zerohedge.com/medical/german-university-offers-idleness-grants-people-who-convince-jury-they-deserve-money
Nous sommes tous des 'intermittents du spectacle' !
SupprimerLe port de masques faciaux incite les gens à agir avec insouciance et à ignorer la distance sociale, selon une étude britannique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 27/08/2020 - 03:30
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Une étude menée par des psychologues de la Warwick Business School au Royaume-Uni a révélé que le port de masques faciaux augmente considérablement la négligence en matière d'hygiène personnelle et amène les gens à ignorer fondamentalement la distanciation sociale.
L'étude de 800 personnes a révélé qu'elles sont bercées dans un faux sentiment de sécurité lorsqu'elles portent un masque facial, ce qui les rend beaucoup plus susceptibles de rejeter d'autres moyens meilleurs de contrer la propagation du coronavirus.
Les psychologues ont noté que les gens étaient plus détendus et confortables assis ou debout en groupe, à condition qu'ils aient un masque, et que les individus commencent à ne pas tenir compte de leurs distances avec les autres qui portent également des masques faciaux.
La recherche a également noté que ces effets étaient plus prononcés chez les personnes qui pensent que les masques sont efficaces contre la propagation du virus.
«Nos résultats semblent être un cas classique de compensation des risques», a noté la psychologue cognitive Ashley Luckman, l'une des chercheurs, dans des commentaires au Daily Mail.
Lorsqu'ils portent des masques, «les gens se sentent plus en sécurité et sont plus disposés à prendre d'autres risques, comme réduire la distance physique entre eux et les autres», a ajouté Luckman.
«Si l’objectif du gouvernement est de minimiser la transmission du virus, ses directives doivent être suffisamment claires pour empêcher ce compromis, soulignant que les masques ne sont pas une alternative à la distanciation sociale», a insisté Luckman.
Un autre chercheur, le spécialiste du comportement Daniel Read, a ajouté: «Si les pays doivent revenir à des niveaux plus élevés de distanciation physique en raison d'une deuxième vague de cas, cela peut être plus difficile à mettre en œuvre que lorsque l'utilisation des masques était faible au début de la pandémie. "
«Nous avons besoin de plus de preuves pour déterminer à quel point les risques de réduction de la distance physique l'emportent sur les avantages du port d'un masque», a-t-il ajouté.
Les résultats soutiennent les avertissements du plus grand expert suédois sur le coronavirus, qui a averti qu'encourager les gens à porter des masques faciaux est «très dangereux» car cela donne un faux sentiment de sécurité mais ne freine pas efficacement la propagation du virus.
«Il est très dangereux de croire que les masques faciaux changeraient la donne en ce qui concerne COVID-19», a déclaré Anders Tengell, qui a supervisé la réponse de la Suède à la pandémie tout en résistant à toute forme de verrouillage ou de mandat de masque.
"Commencer par avoir des masques faciaux et penser ensuite [à] pouvoir encombrer vos bus ou vos centres commerciaux - c'est définitivement une erreur", a souligné Tengell.
"Les découvertes qui ont été produites à travers les masques faciaux sont étonnamment faibles, même si tant de personnes dans le monde les portent", a exhorté Tengell.
https://www.zerohedge.com/medical/wearing-face-masks-makes-people-act-careless-and-ignore-social-distancing-uk-study-finds
(...) "Les découvertes qui ont été produites à travers les masques faciaux sont étonnamment faibles, même si tant de personnes dans le monde les portent", a exhorté Tengell. (...)
SupprimerAVEC ou SANS masque (dit 'antivirus) nous respirons TOUS 200 000 à 2 millions de virus par minute !
Quel est le rôle de Gilead dans la guerre contre l'hydroxychloroquine ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 26/08/2020 - 23:05
Rédigé par Antonio Chaves via AmericanThinker.com,
Est-ce que Gilead, le fabricant du Remdesivir, fait la guerre à HCQ (hydroxychloroquine) ?
Les attaques contre le médicament sont continues depuis que le Dr Didier Raoult a utilisé ce dérivé de quinine pour sauver la vie de patients atteints de COVID-19 en mars dernier.
La première tentative de discréditer HCQ a été une étude sur le système hospitalier de la Veterans Administration réalisée à la hâte en avril dernier. Notamment, l'un des auteurs de l'étude avait dans le passé reçu de nombreuses subventions de Gilead, avec une subvention en 2018 totalisant près d'un quart de million de dollars.
Après que de profondes failles dans l'étude VA aient été révélées, Surgisphere est venu à la rescousse en mai avec une mégastude de «15 000 patients» qui aurait été compilée à partir d'hôpitaux du monde entier.
Cette stratégie a réussi: suite à sa publication dans le Lancet et le NEJM, toute utilisation ambulatoire de HCQ a été sévèrement limitée aux États-Unis, en Australie et dans la plupart des pays d'Europe.
Lorsque l’escroquerie Surgisphere a été dévoilée, les deux articles ont été discrètement retirés et le rédacteur en chef du Lancet a tenté de se laver les mains de cet incident embarrassant en dénonçant la «fraude monumentale» de Surgisphere.
Cependant, quelques jours plus tôt, les éditeurs du Lancet ont joué un rôle majeur en persuadant l'OMS de suspendre tous les essais sur HCQ. Qui les a mis à la hauteur ?
L’auteur principal de l’étude, Mandeep Mehra, s’est également excusé d’avoir fait confiance à un tiers pour les données. Il ne savait peut-être pas que les données étaient fabriquées, mais l'hôpital qu'il dirigeait menait deux essais pour Remdesivir. Était-il sous la pression de ses sponsors ?
Voici les enjeux:
Un traitement de cinq jours avec Remdesivir coûte environ 3000 $.
Un approvisionnement de cinq jours en HCQ générique coûte environ 10 $.
Les sociétés pharmaceutiques ont parfaitement le droit de récupérer leurs frais de recherche et de développement, mais faire pression pour supprimer l'accès à un traitement vital qui est à la fois moins cher et plus efficace est un crime contre l'humanité.
Les progressistes croient à tort que la médecine socialisée protège les patients des abus de la grande pharmacie, mais le premier pays à restreindre sévèrement l'accès au HCQ était la France.
Cette politique a contraint le Dr Raoult à témoigner contre l'influence disproportionnée de Gilead sur la communauté médicale lors d'une réunion de l'Assemblée nationale française en juin dernier.
Aux États-Unis, notamment, un tiers du budget de la FDA provient des frais d'utilisation des produits pharmaceutiques et, selon le site Web des NIH, huit des 55 membres du panel responsable des directives de traitement du COVID-19 sont actuellement affiliés à Gilead. Ces liens gouvernementaux avec Gilead plus que triplent lorsque vous incluez des membres du panel avec d'anciennes associations.
RépondreSupprimerParadoxalement, la plupart des oppositions au HCQ aux États-Unis viennent de la gauche, mais les conservateurs qui connaissent les voies du capitalisme de copinage considèrent cela comme un cours normal. Après tout, les grandes entreprises pharmaceutiques ont donné plus aux démocrates depuis le passage d'Obamacare et jusqu'à présent, les employés de Gilead ont donné trois fois plus à la campagne Biden.
Tôt ou tard, il y aura un compte pour tous ceux qui ont participé à cette campagne de désinformation. Si vous faites partie des décideurs politiques ou des médecins participant à cette mascarade, vous voudrez peut-être vous dissocier pendant que vous pouvez plaider de manière crédible l'ignorance pour des dizaines de milliers de décès évitables.
https://www.zerohedge.com/medical/what-gileads-role-war-hydroxychloroquine
17 faits qui prouvent que l'économie américaine est une zone de catastrophe complète et totale à ce stade
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 26/08/2020 - 19:05
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Si vous connaissez des gens qui croient réellement que l'économie américaine évolue dans une direction positive, montrez-leur simplement cet article.
Au cours de toutes les années que j'ai écrites sur l'économie, je n'ai jamais rien vu qui se rapproche de ce que nous vivons actuellement. Plus de 100 000 entreprises ont définitivement échoué et des dizaines de millions d'Américains ont perdu leur emploi. Si vous avez encore un bon travail, vous devriez vous y accrocher de toutes vos forces, car il y a tellement de familles qui n'ont aucune idée de la façon dont elles vont payer les factures le mois prochain, ou le mois suivant, ou le mois suivant. . Quand on arrive au point où vous ne pouvez même pas payer le loyer ou l’hypothèque, des soucis financiers peuvent absolument vous consumer la vie. Si vous avez été là-bas, vous savez exactement de quoi je parle. Et si vous avez des enfants, cela ne fait qu'empirer les choses. Comment leur expliquez-vous que «chez-soi» n'est plus «chez-soi»?
Un autre groupe de personnes pour qui je me sens vraiment mal est tous les propriétaires d'entreprise qui ont vu leurs rêves complètement brisés. Démarrer une petite entreprise à partir de rien et en faire un succès demande un travail énorme, et j'ai énormément de respect pour quiconque est capable de le faire.
Malheureusement, tant de petites entreprises autrefois prospères ont maintenant été détruites par les événements de 2020. Pour beaucoup de ces propriétaires de petites entreprises, ce n'est pas seulement du temps et de l'énergie qui ont été perdus. Lorsque vous faites de votre petite entreprise votre passion, cela devient une partie de qui vous êtes, et beaucoup de propriétaires de petites entreprises ne seront plus jamais les mêmes après cela.
Gardez donc à l'esprit qu'il y a de vraies personnes et de vrais rêves derrière chacun des chiffres que je suis sur le point de partager avec vous. Voici 17 faits qui prouvent que l'économie américaine est une zone de catastrophe complète et totale à ce stade ...
# 1 Selon la chambre de commerce de San Francisco, plus de la moitié des vitrines de toute la ville de San Francisco ne sont plus en activité.
# 2 Il y a quelques heures à peine, la ville de New York a annoncé qu'elle avait un taux de chômage de près de 20% au cours du mois de juillet.
# 3 En parlant de New York, 83% de tous les restaurants de la ville n'ont pas pu payer leur loyer complet le mois dernier.
# 4 En 2020, l'État de Louisiane a perdu deux fois plus d'emplois qu'il l'a fait après l'ouragan Katrina. À propos, beaucoup craignent que l'ouragan Laura ne devienne bientôt une tempête de monstres similaire.
# 5 Dans l'État de Caroline du Sud, 52 % de tous les locataires «risquent d'être expulsés».
# 6 Les Américains doivent maintenant plus de 21 milliards de dollars de loyers impayés.
# 7 Dans l'ensemble, 27% de tous les Américains n'ont pas fait leur loyer ou leur prêt hypothécaire le mois dernier.
# 8 Selon la Mortgage Bankers Association, le taux de défaillance des prêts hypothécaires résidentiels a augmenté de 386 points de base au dernier trimestre. Il s’agit de l’augmentation la plus rapide que nous ayons jamais vue.
RépondreSupprimer# 9 Les faillites américaines sont déjà à leur plus haut niveau en 10 ans et elles devraient augmenter considérablement à l'approche de la fin de cette année civile.
# 10 Pour les entreprises ayant plus d'un milliard de dollars d'actifs, on prévoit qu'il y aura un nombre record de faillites en 2020.
# 11 Le commerce mondial a chuté aux «niveaux les plus bas jamais enregistrés» au cours du mois de juin.
# 12 Le pourcentage d'hypothèques hôtelières qui sont en souffrance depuis 30 jours ou plus a grimpé à 23,4% le mois dernier.
# 13 American Airlines vient d'annoncer la suppression de 19 000 emplois le mois prochain.
# 14 31% des travailleurs américains qui ont été ramenés au travail après avoir été mis à pied au début de cette pandémie ont été licenciés une deuxième fois, et 26% ont été informés que des licenciements pourraient bientôt arriver.
# 15 Selon une enquête récente, environ la moitié de tous les travailleurs américains licenciés pendant cette pandémie pensent que leurs pertes d'emplois sont permanentes.
# 16 L'IRS prévoit de recevoir 37 millions de formulaires W-2 de moins cette année que prévu initialement.
# 17 Au cours des 22 dernières semaines, plus de 57 millions d'Américains ont déposé de nouvelles demandes de prestations de chômage. Dans toute l'histoire des États-Unis, nous n'avons jamais rien vu qui vaille la peine d'être comparé à cela.
Bon nombre des chiffres de cette liste sont si catastrophiques qu'il est difficile de croire qu'ils sont réellement vrais.
Ce que nous avons vécu en 2008 et 2009 était une «récession profonde», mais ce que nous vivons actuellement est bien pire.
Et à ce stade, même les médias grand public admettent que ce nouveau ralentissement sera avec nous pendant longtemps. Par exemple, ce qui suit provient d'un article de CNN intitulé «Nous serons coincés dans cette crise économique pendant des années, disent les économistes»…
L'Amérique reste dans une profonde récession et court un risque sérieux d'aggravation de la récession qui durera au moins une autre année, ont averti les économistes lundi.
Environ la moitié des membres de la National Association of Business Economics s'attendent à ce que le produit intérieur brut américain - la mesure la plus large de l'économie - ne revienne pas à son niveau d'avant la pandémie avant 2022. Une majorité de ces experts affirment également que le marché du travail américain sera de retour. à son niveau de février 2022 au plus tôt.
Malheureusement, ces projections sont en fait beaucoup trop optimistes. Industrie après industrie est en train de s'effondrer, de grandes bulles économiques éclatent tout autour de nous, et la douleur économique qui se profile à l'horizon va éclipser ce que nous traversons en ce moment.
RépondreSupprimerLes médias grand public admettent qu'un «effondrement» s'est produit, mais ils croient toujours que les choses finiront par changer et revenir là où elles étaient auparavant.
Et il y a des gens qui croient en fait que les plus grands jours de prospérité économique des États-Unis sont encore devant nous.
Vous pouvez aller de l'avant et croire que si vous le souhaitez, et je comprends vraiment que beaucoup de gens préfèrent être optimistes quant à l'avenir.
Mais mettre la tête dans le sable ne fera pas disparaître les faits. Il a fallu des décennies de décisions catastrophiques pour nous amener à ce point, et quiconque pense que nous pouvons simplement claquer des doigts et changer les choses est simplement illusoire.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/17-facts-prove-us-economy-complete-and-total-disaster-zone-point
LA TERRIBLE POLLUTION SILENCIEUSE DE L'ENVIRONNEMENT PAR LES ÉOLIENNES
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
28/08/2020
L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en 2019.
Avec les conditions climatiques connues ces dernières années, un phénomène inattendu se produit dans le paysage français : les énergies renouvelables ne sont pas écologiques. Une pollution silencieuse ronge notre sous-sol et stérilise des milliers d’hectares de terres agricoles.
Après 15 années d’efforts financiers gigantesques d’un volume équivalent à toutes les autres énergies, le parc français d’énergies renouvelables ne produit pourtant que 5 % de notre électricité. Toute extension de ce parc ne servirait à rien puisqu’il ne fonctionne qu’un jour sur cinq dans l’année et qu’il faudra toujours produire autrement les quatre autres jours. Tout accroissement de l’éolien et du solaire nécessite un accroissement du gaz et du charbon.
Mais entretemps un danger bien plus sournois est apparu. Pour ne pas tomber au vent, les mâts des éoliennes nécessitent un immense volume de béton enterré dans le sol à grande profondeur de plusieurs milliers de tonnes. Des pressions financières ont laissé croire que ces socles étaient inoffensifs, et les premières mesures insinuaient que ces socles pourraient rester dans le sol même après démontage.
L’expérience accumulée depuis 15 ans montre que le danger est au contraire bien plus important que prévu :
Des milliers d’hectares agricoles deviennent peu à peu stériles autour des fermes éoliennes, par le rayonnement dans le sol, par la modification de l’éco système souterrain, et par l’effet de ventilation qui les assèche et introduit de nouvelles érosions. Il est très facile d’observer ce phénomène le long de l’autoroute A10, avec une menace évidente pour le grenier à blé français, en pleine crise alimentaire mondiale.
Mais ce phénomène est visible pour les 8000 éoliennes implantées sur le territoire, nombre déjà largement excessif suscité par l’appât du gain puisque l’éolien est encore aujourd’hui assimilé à un impôt très improductif pour le citoyen, mais très largement spéculatif pour le promoteur.
Les propriétaires des terrains sont responsables à terme de ces pollutions. On croyait que ce serait au démontage des éoliennes, mais déjà des recours sur l’environnement sont envisagés dès à présent. Dans ce cas, les propriétaires seront ruinés car l’indemnisation par éolienne sera non inférieure à au moins 600 000 euros. les malins promoteurs prennent toujours soin de n'être que locataires...
Ce n’est pas tout. Les pales d’éoliennes sont un casse-tête environnemental. Leur durée de vie est limitée. Elles doivent être remplacées et on ne sait pas les recycler. Ders sites discrets d’enfouissement commencent à fonctionner avec une stérilisation du sol insupportable. Leurs matériaux résine et fibre de verre sont très couteux à éliminer et les promoteurs ne font pas face à leurs responsabilités de recyclage pour le moment. Il va y en avoir 250 000 tonnes. La dispersion des lanthanides incorporées dans leurs alternateurs est également un danger croissant chimique et sanitaire.
Un rapport conjoint officiel des Ministères des Finances et de la transition Ecologique vient de souligner les 7 points qu’il faut très vite résoudre pour éviter rapidement un désastre environnemental qui s’amplifie chaque jour, intitulé « Economie circulaire dans la filière éolienne terrestre en France ». Il est urgent d’appliquer ces préconisations qui menacent l’ensemble de la filière agricole française.
http://www.economiematin.fr/news-pollution-eoliennes-environnement-danger-silence-grangeon
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
RépondreSupprimerDr Joseph Mercola — Mercola
Sott.net
lun., 24 août 2020 09:48 UTC
Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l'ampleur est aujourd'hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l'Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l'article - NdT].
Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu'il accorde à un grand nombre d'organisations impliquées dans le développement agricole et l'élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d'AGRA Watch[1], « L'homme derrière le rideau — L'influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais - NdT].
Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d'« homme derrière le rideau » — encore que l'on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.
Par ailleurs, l'AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l'AGRA.
Quant à l'AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d'apporter à l'Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d'engrais et de pesticides. Il s'agissait pour l'AGRA de doubler la productivité et les revenus d'ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l'insécurité alimentaire dans vingt pays.
Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n'y a pas eu, sur les quatorze années en question, d'augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l'AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l'enfant affamé de l'Afrique », s'est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu'aucune évaluation globale des effets de ces programmes n'a pour le moment été publiée, ni par l'AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.
Les organisations financées par Bill Gates défendent l'envoyée de l'ONU financée par Bill Gates
Bien qu'il ne soit qu'un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d'entreprises et d'organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d'imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde - NdT].
À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu'il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu'en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d'entre eux. Le rapport d'AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l'on considère l'histoire d'Agnes Kalibata.
RépondreSupprimerNote du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu'il n'est pas fait mention ne serait-ce que d'une année de naissance, et les recherches en ce sens n'ont rien donné :
Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l'agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.
Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d'une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.
Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu'elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l'homme les ont critiqué parce que le soutien financier n'était accordé qu'aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.
Kalibata est membre du conseil d'administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d'audit. Elle est également membre de nombreux conseils d'administration nationaux et internationaux, notamment pour l'Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l'agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l'adaptation et le Groupe d'experts de Malabo Montpellier sur l'agriculture et la sécurité alimentaire.
Agnes Kalibata est présidente de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l'ONU, António Guterres.
En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d'agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d'intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s'est également opposée à sa nomination et au fait qu'elle organise le sommet.
La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l'expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.
~ AGRA Watch
C'est un recul important, qui illustre l'inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.
Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :
RépondreSupprimerDans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d'autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l'AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
L'excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires
En d'autres termes, bien qu'il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d'une douzaine d'individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s'expriment pour sa défense. C'est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n'est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu'il n'est en rien partie prenante.
Ces résultats illustrent l'influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l'influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.
La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l'expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé...
Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.
Alors que des centaines d'organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l'élaboration de l'ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.
~ AGRA Watch
Le graphique suivant, inclus dans le rapport d'AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l'envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.
liens de financement directs et indirects entre la Fondation
- voir graphique sur site -
En vert : Financements directs - En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires
La Fondation Bill & Melinda Gates ouvre la porte à Monsanto
RépondreSupprimerAGRA Watch s'inquiète depuis de nombreuses années de l'influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l'agro-business :
Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :
« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.
Nous avons assisté à l'accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu'éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d'entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l'AGRA, comme on le voit ci-dessous ».
La Fondation Bill & Melinda Gates n'est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde
Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n'ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu'il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.
Citons par exemple le financement du développement d'aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s'aggrave.
Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu'un faible rendement ou une production insuffisante n'est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :
Il existe aujourd'hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d'accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l'AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l'Afrique à un système adapté aux besoins de l'agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu'adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.
Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu'africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :
RépondreSupprimerCette situation peut ne pas être le résultat d'intentions conscientes, mais d'un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi
Note du traducteur : Puisqu'il n'existe à échéance 2020 aucune publication relative à l'efficacité ou pas du programme de l'AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherches, Timothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l'AGRA jusqu'en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d'évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.
L'AGRA a par ailleurs reçu près d'un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et d'autres pays. L'AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d'une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.
Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s'il existe des signes d'amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l'AGRA en matière d'amélioration du bien-être des agriculteurs.
Il n'a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n'avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :
Peu de preuves que l'AGRA atteignait un nombre important d'agriculteurs. Son dernier rapport d'étape indique seulement que l'AGRA a formé 5,3 millions d'agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d'agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l'objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d'agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d'autres.
Aucune preuve d'une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d'une sécurité alimentaire. Pour l'ensemble des pays cibles de l'AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l'AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
Il n'existe aucune preuve d'une augmentation importante de la productivité. Pour l'ensemble des cultures de base, les rendements n'ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l'AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n'a connu qu'une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l'objectif de l'AGRA d'en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
RépondreSupprimerLà où l'adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d'influence que les programmes de l'AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l'AGRA auraient un impact significatif en l'absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n'a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n'en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l'abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l'AGRA.
Aucun signe d'« intensification durable », l'objectif étant d'augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l'acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L'augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l'augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l'atténuation du changement climatique et l'adaptation à celui-ci.
Il s'agit donc d'un bilan d'échec pour l'AGRA — sauf à penser que l'objectif n'était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap...
La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme
Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l'article de l'AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d'utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».
En d'autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu'elle résout. Comme l'indique l'article, les partisans de la philanthro-capitalisation...
... attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.
Il est [...] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d'universités, d'organisations internationales, d'ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.
RépondreSupprimerUn examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d'aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l'agriculture dans les pays en développement.
En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l'Irlande et l'Italie[10].
Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales
L'une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu'expert du jour du Covid-19. C'est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C'est d'autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques et des chercheurs qui sont en conflit avec ses vues sont effacées de l'Internet.
Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l'objet d'attaques sur Internet. Voici ce qu'il écrivait le 17 août dernier :
Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu
Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l'introduction de fluorure neurotoxique dans l'eau. J'ai été l'un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d'être finalement retiré du marché. J'ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l'étiquetage des OGMs en Californie.
Pendant plus de dix ans, j'ai financé la lutte pour mettre fin à l'utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J'ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c'est-à-dire issues de l'élevage intensif - NdT]
J'ai financé des recherches et j'ai été l'un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l'importance d'optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.
Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d'adversaires bien financés. Ils m'ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.
Jamais auparavant les Américains n'ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s'accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d'articles « Le fantôme dans la machine ».
Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n'aurons pas vacciné contre le Covid-19 l'ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.
RépondreSupprimerLorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.
Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.
Au lieu de cela, le monde entier devrait s'aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu'il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.
Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :
La plupart des gens s'accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d'abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?
Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l'éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu'il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c'est que nous disposons déjà d'une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).
Il s'agit donc d'attaquer les plus faibles d'abord, sous couvert d'humanisme et de bonnes intentions, on s'occupera des autres ensuite ; d'ici là, des lois d'obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être...
Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d'envisager l'utilisation d'un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd'hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s'il est besoin par le même consortium qui a permis qu'il soit là où il est à dessein - NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l'équation.
Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l'obligation de porter un masque et l'assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l'usage d'une nouvelle technologie d'ARNm.
RépondreSupprimerAussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s'arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d'un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).
Il n'est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l'avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l'histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.
Utiliser l'argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d'avantages fiscaux au titre des donations qu'elle reçoit.
N'oubliez pas qu'au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n'a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C'est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.
Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l'ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l'un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur. Entretien.
Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d'une peur propagée de pandémie
À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s'apprête à engranger d'énormes sommes d'argent, puisqu'il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.
En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici - NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :
L'accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d'autres agents pathogènes viraux à plus long terme.
La Fondation Gates s'est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].
RépondreSupprimerLe financement est acheminé sous la forme d'un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s'est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].
Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d'améliorer la santé de l'homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d'une moyenne de 725 millions d'euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d'euros. Au 30 septembre 2018, sa dotation s'élevaient à près de 29 milliards d'euros. En termes d'avoirs, il s'agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.
Cette influence générale sur la technologie, l'alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l'emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l'éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 - NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l'éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].
Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,
Bill Gates n'a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l'a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l'organisation et l'influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d'argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d'éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c'est d'aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l'accent sur la collecte des données, et définir qu'une moins bonne réussite scolaire s'assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».
Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l'État s'associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d'éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l'apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].
L'État de New York s'est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l'infrastructure technologique de l'État[22]. Comme l'a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l'appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.
Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :
RépondreSupprimerC'est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l'État le détermine, nos prisons.
Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne
Qu'elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.
La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d'engranger d'énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.
Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L'Âge du capitalisme de surveillance.
Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J'ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.
Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l'interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :
La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis - NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l'énergie et l'ingénierie sociale dirigent l'économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l'offre et la demande.
La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
La seule raison pour laquelle la technocratie n'a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu'elle s'en rapproche de façon incroyable — c'est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue - NdT]. C'est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L'un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s'impliquer dans la politique locale.
RépondreSupprimerPatrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.
Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l'ordre mondial », ouvrages non traduits en français - Ndt].
Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d'entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l'arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d'autres comme lui nous ont tracé.
Sources et références
1, 2, 3 The Man Behind the Curtain: The Gates Foundation's Influence on the UN Food Systems Summit (PDF)
4 CAGI.org AGRA Watch Media
5 CAGI.org The Revolving Door: Monsanto and the Bill and Melinda Gates Foundation (PDF)
6 The Gray Zone July 8, 2020
7 CAGI.org Gates Foundation Links to Monsanto and GE Crop Development in Kenya (PDF)
8 CAGI.org Three Examples of Problems with Gates Foundation Grants July 21, 2014
9 Third World Network, Philanthrocapitalism: The Gates Foundation's African Programs Are Not Charity
10 Global Justice Now January 2016
11 GatesNotes April 30, 2020
12 BGR May 1, 2020
13 National File May 12, 2020
14, 15 Gates Foundation March 10, 2020
16 Wall Street Journal August 7, 2020
17, 18 Barrons August 10, 2020
19 Bill & Melinda Gates Foundation Common Core Inc
20 Philanthropy Daily November 1, 2017
21, 23 The Intercept May 8, 2020
22 The Guardian May 14, 2020
https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore
Analyse de la vidéo de Eric St-Germain, microbiologiste
RépondreSupprimermercredi 26 août 2020
Stephane Guay, microbiologiste, analyse le point de vue de Eric St-Germain, microbiologiste de formation et enseignant dans une école secondaire, et la riposte des Décrypteurs de Radio Canada.
Il est aussi question des multiples mutations du SARS-COV-2 et de la fiabilité/sécurité du vaccin à venir.
https://www.youtube.com/watch?v=me8YkdTR-cg&feature=share
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/08/analyse-de-la-video-de-eric-st-germain.html
Résumé: Un virus fait moins de 1µ (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre), donc: il passe dans TOUS les maillages de masques.
SupprimerRappelez-vous en hiver, votre respiration extérieure marque dans l'espace devant vous jusqu'à 30 cm environ (même en parlant très fort).
Stephane Guay ne parle pas de preuve nanoscopique de la largeur des mailles (N95). De plus, combien faut-il respirer de virus pour être infecté ? 1 ? 1O ? 1000 ? 1 million ? (N'oublions pas que nous respirons 200 000 virus par minute et 2 millions en cas d'activité physique, avec ou sans masque).
(...) Le débat sur la nature des virus (vivants ou pas) repose sur des notions complexes11,12,13 et reste aujourd'hui ouvert. Selon de nombreuses définitions14 du vivant (entité matérielle réalisant les fonctions de relation, nutrition, reproduction), les virus ne sont pas des êtres vivants. Cependant en élargissant la définition du vivant à une entité qui diminue le niveau d'entropie et se reproduit en commettant des erreurs, les virus pourraient être considérés comme vivants. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
les virus pourraient être considérés comme vivants. ? Quand on assemble deux morceaux de pâte modelée elle devient vivante ? Hahaha !
RépondreSupprimer3700 faux positifs à cause de tests défectueux
mercredi 26 août 2020
Ces faux positifs ont été répertoriés en Suède, mais le Canada distribue lui aussi les tests diagnostics de la société chinoise BGI !
BGI Group, une société chinoise de génomique, entretient des relations de longue date avec de nombreux établissements de soins et de recherches du Canada.
Le 4 mai , BGI a annoncé que son kit RT-PCR fluorescent en temps réel pour la détection du SRAS-CoV-2 a reçu l'approbation de Santé Canada pour l'importation et la distribution commerciale au Canada.
Le kit de test RT PCR de BGI pour le SRAS-CoV-2, qui a reçu les approbations d'urgence des agences de réglementation mondiales, y compris la FDA américaine et l'OMS, ??a été distribué dans plus de 80 pays et plus de 20 millions de tests ont été envoyés.
https://www.newswire.ca/news-releases/sinai-health-receives-key-bgi-covid-19-testing-equipment-honouring-internationally-renowned-canadian-physician-dr-norman-bethune-867831120.html
https://www.tvanouvelles.ca/2020/08/25/3700-resultats-faussement-positifs-a-cause-dun-kit-de-test-defectueux
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/08/3700-faux-positifs-cause-de-tests.html
Bill Gates étend son pouvoir sur la politique globale de la nutrition et de la santé
RépondreSupprimerle 27 août 2020
Article de Joseph Mercola paru sur le site LewRockwell.com le 22 août 2020
Note à l’intention de mes lecteurs, voir également mes notes insérées dans le texte en caractères italiques et de couleur rouge. Joseph Mercola, docteur en médecine, a dérivé au cours de sa carrière vers les médecines alternatives. Il est en outre vivement critiqué pour ses prises de positions contre les vaccins. Cependant le contenu de cet article traduit par mes soins informe sur le malaise existant aux Nations-Unis en ce qui concerne les agissements de Bill Gates au niveau de la santé, de la nourriture et de l’agriculture via sa fondation et son émanation AGRA (Alliance for a Green Revolution in Africa) dirigée par Agnes Kalibata dont la nomination en tant qu’envoyée spéciale auprès des Nations-Unies a soulevé une intense controverse dont assez curieusement les médias européens n’ont jamais fait mention. Par ailleurs je ne partage pas toutes les prises de position de Mercola ni de l’organisation Agra Watch, loin s’en faut car je préserve ma liberté d’expression.
Bill Gates a construit un empire mondial autour de ses technologies et de ses efforts «philanthropiques», dont l’ampleur devient de plus en plus claire. Sa seule richesse personnelle lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation Mondiale de la Santé et le tsar mondial non élu de la santé COVID-19, mais il est également un agent secret du système alimentaire mondial.
Comme le révèle le rapport d’AGRA Watch (1 et voir note ci-dessous en caractères italiques), « L’homme derrière le rideau: l’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des systèmes alimentaires des Nations Unies », publié en août 2020, Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement d’un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques agricoles dans les pays en développement.
(Note. AGRA Watch est une organisation communautaire dont la mission est de contrer l’idéologie dominante de développement promue par les gouvernements, les grandes corporations transnationales et les acteurs philanthropiques privés dont la mission est d’étendre un modèle agricole industriel dans les pays africains avec le soutien de grandes multinationales)
Les organisations financées par Gates soutiennent l’envoyée des Nations Unies proposée par Gates
Bien que Gates ne soit qu’un individu, son influence est considérablement amplifiée par le fait qu’il finance un très grand nombre d’entreprises et d’organisations et qu’elles peuvent alors constituer un immense soutien.
Lorsque vous considérez ces longues listes d’entités, vous pensez automatiquement qu’il y a beaucoup de joueurs dans le jeu alors qu’en fait, Gates est le fil conducteur qui les commande pour la plupart sinon tous. Le rapport AGRA Watch illustre parfaitement l’histoire d’Agnès Kalibata.
Kalibata est la présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, Kalibata a été nommée envoyée spéciale au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
En réponse à cette nomination 176 organisations de la société civile et de groupements d’agriculteurs de 83 pays ont exhorté Guterres à retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts manifestes avec des entreprises privées. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’oppose également à la nomination de Kalibata et à son organisation de ce Sommet.
RépondreSupprimerLa Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole comme l’a démontré Agra Watch.
Ces interventions de la société civile illustrent l’inquiétude généralisée concernant la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des établissements universitaires et le secteur privé ont pris la parole pour sa défense. Ils ont exhorté Guterres à garder Kalabata, citant entre autres ses qualités de leader et son éthique de travail. Cependant, sur ces 12 défenseurs, «11 avaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates», déclare AGRA Watch, ajoutant:
« Dans certains cas, les organisations étaient directement financées par la Fondation Gates, et dans d’autres, la Fondation Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation a été financée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Gates » :
- voir graphique sur site -
(Notes. IITA : International Institute for Tropical Agriculture, CIAT : Centre International d’Agriculture Tropicale, lointaine émanation du CIRAD et de l’Agence Française de Développement, AATF : African Agricultural Technology Foundation, AERC : African Economic Research Consortium, AUC : African Union Commission, ICBA : International Center for Biosaline Agriculture, CCA : Corporate Council of Africa, ADB : African Development Bank, Malabo Montpellier Panel : organisme créé à Montpellier, France, financé par la Commission européenne et réunissant des experts dans le domaine agricole d’Europe, d’Asie et d’Afrique. Il existe des liens étroits entre ce Panel aussi appelé Forum et le CIRAD (Centre International de Recherche pour l’Agriculture et le Développement), organisme français basé à Montpellier, France).
Influence indue de Gates sur le Sommet des Nations-Unies relatif aux systèmes alimentaires mondiaux
En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalabata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes séparés et indépendants, en réalité, il n’y a en réalité que deux voix qui parlent pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est amplifiée onze fois. De plus, son nom n’est jamais mentionné, donc pour les non-initiés, il semblerait qu’il n’ait rien à voir avec cela.
« Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté le rôle de la BMGF dans l’influence du développement agricole, influence qui a considérablement augmenté ces dernières années », écrit AGRA Watch.
« La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la BMGF dans la conduite des décisions politiques basées sur son modèle propriétaire et technologique de développement agricole est souvent négligé…
Dans ce rapport, nous n’avons démontré que quelques-uns des liens entre la Fondation Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires.
RépondreSupprimerAlors que des centaines d’organisations de la société civile ont appelé à la révocation de Kalibata, seuls douze signataires étaient prêts à soutenir sa nomination, presque tous étant des bénéficiaires directs de la Fondation Gates. Cela soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration du programme du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.
Le graphique ci-dessus, inclus dans le rapport AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Gates et Kalibata, l’envoyée spéciale du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires.
La Fondation Gates est la porte d’entrée de Monsanto
AGRA Watch a fait part de ses inquiétudes concernant l’influence de la Fondation Gates sur l’agro-industrie depuis de nombreuses années.
Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche (4), il y a le rapport de 2010 « La porte tournante: Liens Monsanto-Gates » (5), qui détaille les liens directs entre la Fondation Gates et les représentants de Monsanto Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering (6), feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, « Liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures GM au Kenya » (7) d’Agra Watch souligne : « AGRA Watch a été créée en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique « Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA) et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.
Nous avons assisté à une accélération de la pression en faveur du génie génétique (GE) en tant que « solution » à la faim en Afrique, à une criminalisation des opposants aux plantes génétiquement modifiées en tant qu’éco-impérialistes réticents à accepter les progrès scientifiques, et à une vénération déplacée pour le soutien philanthropique des solutions d’entreprise à l’échelle mondiale. problèmes alimentaires. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans l’agenda de l’AGRA, comme indiqué ci-dessous :
- voir tableau sur site -
(Note. Personnellement je considère que les plantes génétiquement modifiées ne présentent aucune toxicité pour l’homme et les animaux. Elles sont en effet indiscernables sur le plan nutritionnel de leurs homologues non modifiés. La prise de position d’Agra Watch me semble donc injustifiée. La diabolisation de Monsanto construite par les organisations écologistes ultra-politisées a donc des retombées à moyen terme déplorables pour la production d’aliments de base avec une réduction significative des pesticides, en particulier favorisée avec les plantes de grande culture dites « Bt ». La controverse au sujet des plantes génétiquement modifiées s’est amplifiée lorsque ces mêmes organisations non-gouvernementales ont avancé l’argument d’un effet nocif de ces plantes génétiquement modifiées sur la biodiversité. Cet argument n’est appuyé sur aucune observation sur le terrain. Il n’y a donc pas de preuves scientifiques au sujet de cet effet supposé des plantes génétiquement modifiées).
La Fondation Gates n’est pas là pour résoudre les problèmes du monde réel
RépondreSupprimerDans son rapport de 2014 (8) « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont pas réussi à résoudre les problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. D’abord et avant tout, bon nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de pansement » qui en fait aggravent les problèmes fondamentaux.
Les exemples incluent le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés GM qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant pour des variétés de cultures «fortifiées», la malnutrition s’aggrave en fait, car la biodiversité est réduite (cf. ma note plus haut).
Deuxièmement, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec la recherche montrant qu’un rendement faible ou une production insuffisante ne provoque pas la faim dans le monde. « Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments », note AGRA Watch, ajoutant : « Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent de se concentrer sur le rendement, préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculture commerciale à la recherche de profits et axée sur le rendement plutôt que sur le petit paysan ou le petit agriculteur produisant des cultures diverses pour une communauté locale ».
Un troisième problème mis en évidence dans le rapport est le financement par Gates d’organisations de recherche et de scientifiques européens et américains plutôt qu’en Afrique, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique. Selon AGRA Watch, « cela peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un biais structurel profondément ancré qui rejette les scientifiques africains et les institutions scientifiques comme n’étant pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir des subventions.
Spécialité de Gates: Philanthrocapitalisme
Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article d’AGRA Watch (9) « Philanthrocapitalism: The Gates Foundation’s African Programs Are Not Charity », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthrocapitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui est intrinsèquement problématique « car les marchés sont mal adaptés pour produire à des fins socialement constructives ».
En d’autres termes, la marque philanthropique de Gates crée plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme indiqué dans l’article, les partisans du philanthrocapitalisme : «… S’attendent souvent à des rendements financiers ou à des avantages secondaires à long terme de leurs investissements dans les programmes sociaux. La philanthropie devient un autre élément du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de « développement » de la Fondation Gates promeut en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises : Il est… probable que Bill Gates, qui a régulièrement accès aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONG et de médias, soit devenu la voix la plus influente du développement international ».
Un examen plus approfondi de la BMGF est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire supérieure à celle de la plupart des gouvernements donateurs. La BMGF fournit plus d’aide à la santé mondiale que n’importe quel pays donateur et est le cinquième plus grand donateur à l’agriculture dans les pays en développement. En 2013, seuls 11 pays ont dépensé plus en aide que la BMGF, ce qui en fait le 12e plus grand donateur au monde. La Fondation Gates est devenue un donateur plus important que des pays comme la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie (10).
RépondreSupprimerLe plan médical de Gates : immunisation et surveillance de masse.
L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent maintenant conscience de la puissance de Gates c’est à cause de ses fréquentes apparitions en tant qu’expert du virus SARS-Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son manque complet et total de formation médicale formelle. C’est particulièrement déconcertant à la lumière de la façon dont les opinions des médecins, des scientifiques primés et des chercheurs qui sont en conflit avec ses opinions sont effacées d’Internet (voir le lien en fin de billet).
Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que nous n’avons pas vacciné toute la population mondiale contre le COVID-19 (lien). Ceci, malgré le fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux aient découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le COVID-19. Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement erronées de Gates façonnent les réponses aux pandémies dans le monde entier alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux est la preuve que nous ne fonctionnons plus à partir d’une base de science et de vérité médicale (cf. un précédent billet de ce blog au sujet de Nietzsche).
Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme égoïste créé par Gates et ses nombreux alliés dans la technologie et la médecine. Dans un article de GatesNotes du 30 avril 2020 (11,12) Gates déclare même qu’il « pressent que le vaccin COVID-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveau-nés » – un joli petit morceau de programmation prédictive.
Remarquez que les vaccins à ARNm en cours de développement contre le COVID-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment sage d’envisager d’utiliser un vaccin aussi nouveau sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons maintenant dans un monde dirigé par des crétins comme Gates, et donc la raison et la logique ont largement disparu de l’équation.
(Note. Les vaccins à ARNm (ARN messager), s’ils ne sont pas dégradés à leur point d’injection ou dans le sang, sont censés promouvoir la synthèse d’une ou plusieurs protéines virales par la machinerie de synthèse cellulaire. Cet ARNm peut être également intégré dans l’information génétique d’un autre virus non pathogène pour l’homme. L’un des problèmes de ce type de vaccin est le devenir de cet ARNm dans l’organisme humain. Normalement il est dégradé par la cellule une fois sa fonction terminée, c’est-à-dire la synthèse d’un ou plusieurs exemplaires de la protéine en question. Les modes d’administration de cet ARNm, sa persistance dans l’organisme selon le mode de préparation, par exemple micro-encapsulation avec des nano-particules de lipides et le taux de synthèse de la protéine virale ainsi que la réponse immunitaire associée demandent plusieurs mois sinon années pour être certain de son efficacité et qu’il n’apparaît pas d’effets secondaires néfastes. Je suis donc pessimiste quant à l’apparition d’un vaccin dans les prochains mois. À ce jour le seul vaccin à ARNm en cours d’essais cliniques de phase III est un vaccin dirigé contre le virus de la rage et utilisant cette technologie développé par le laboratoire allemand CureVac AG (lien), entreprise figurant sur la liste des sociétés soutenues financièrement par la MBGF).
RépondreSupprimerDans la dialectique hégélienne qui expose la démarche « problème-réaction-solution », le virus du COVID-19 a conduit à des réponses à la pandémie illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » d’un vaccin préparé à la hâte en utilisant la nouvelle technologie d’ARNm. Aussi radical que cela puisse paraître, les plans de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas ici. Il fait également pression pour la mise en œuvre d’un vaste système de surveillance au niveau mondial pour suivre et retracer l’infection et le statut vaccinal de chacun. Il finance même le groupe de recherche de contacts Partners in Health, avec George Soros. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé (13)).
Sans surprise, les recommandations de Gates finissent par profiter surtout à lui-même. Comme indiqué dans « Bill Gates – Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne ? » la Fondation Bill & Melinda Gates fait don de milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.
Utiliser de l’argent à but non lucratif pour faire progresser la recherche dans les entreprises dans lesquelles vous investissez en actions est illégal, mais Gates s’en tire depuis de nombreuses années. En même temps, sa Fondation obtient des allégements fiscaux pour les dons de bienfaisance dont elle tire de l’argent.
N’oubliez pas qu’il a «fait don» de dizaines de milliards de dollars au fil des ans, mais que la valeur nette de sa fortune n’a pas baissé – elle a doublé, et c’est en grande partie parce que ses dons sont traités comme des investissements déductibles d’impôt. C’est le philanthrocapitalisme à son paroxysme.
Gates est le principal bénéficiaire de la peur de la pandémie
La pandémie COVID-19 est sans aucun doute le plus grand projet philanthrocapitaliste de Gates à ce jour, et il a tout à gagner, car il finance et investit à la fois dans la thérapeutique et dans les vaccins COVID-19. En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé14 un nouveau partenariats, un programme baptisé « L’accélérateur thérapeutique COVID-19 », avec Wellcome et Mastercard pour «coordonner les efforts de R&D et éliminer les obstacles au développement rapide de médicaments (en l’occurence de vaccins) ». D’après le communiqué de presse (15) :
« L’accélérateur thérapeutique COVID-19 jouera un rôle catalytique en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux ou réutilisés (Note. Coup d’oeil à l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, réutilisés dans le cadre d’une nouvelle autorisation de mise sur le marché, mais je peux me tromper) pour traiter les patients atteints de COVID-19 à court terme et d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme ».
RépondreSupprimerLa Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India (SII) pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins COVID-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, devraient être livrés aux pays à faible revenu (16, 17). Le financement est acheminé sous forme de prêt-subvention sans intérêt à Gavi, l’Alliance du Vaccin, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire à SII. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires (18).
La tentative de Gates d’améliorer l’éducation a été un échec massif
Le fait d’avoir une influence globale sur la technologie, l’alimentation et la médecine (les vaccins en particulier) ne décrit toujours pas correctement l’influence de Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le programme du tronc commun, très critiqué, était la tentative de la Fondation Gates de refondre l’éducation américaine (19), et la plupart des parents peuvent vous dire à quel point c’était stupide (20). (Note. Cette idée de Gates a été reprise par l’Education nationale en France en particulier. Elle a généré le désastre que l’on sait). Malgré cet échec épouvantable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a annoncé que l’État s’associe à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système éducatif plus intelligent pour le monde post-COVID » qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et qui intègrera en permanence la technologie dans tous les aspects de la vie civique (21).
L’État s’associe également à Google, et Cuomo a demandé à l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt, de diriger un nouveau groupe de travail pour planifier l’infrastructure technologique de l’État (22) comme par exemple la réponse aux préoccupations de santé de chacun.
Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne
Qu’elle ait été planifiée ou non, la pandémie du COVID-19 est clairement utilisée pour inaugurer des changements très controversés qui conduisent indéniablement à une construction totalitaire, y compris la prise de contrôle privée du gouvernement par le biais de partenariats public-privé. La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète et toute votre existence est désormais ciblée à des fins lucratives. Parmi ceux qui en profiteront le plus se trouve Gates lui-même.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 2, 3 The Man Behind the Curtain: The Gates Foundation’s Influence on the UN Food Systems Summit (PDF)
4 CAGI.org AGRA Watch Media
5 CAGI.org The Revolving Door: Monsanto and the Bill and Melinda Gates Foundation (PDF)
6 The Gray Zone July 8, 2020
7 CAGI.org Gates Foundation Links to Monsanto and GE Crop Development in Kenya (PDF)
8 CAGI.org Three Examples of Problems with Gates Foundation Grants July 21, 2014
9 Third World Network, Philanthrocapitalism: The Gates Foundation’s African Programs Are Not Charity
10 Global Justice Now January 2016
11 GatesNotes April 30, 2020
12 BGR May 1, 2020
13 National File May 12, 2020
14, 15 Gates Foundation March 10, 2020
16 Wall Street Journal August 7, 2020
17, 18 Barrons August 10, 2020
19 Bill & Melinda Gates Foundation Common Core Inc
20 Philanthropy Daily November 1, 2017
21, 23 The Intercept May 8, 2020
22 The Guardian May 14, 2020
Autres liens: https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/08/08/hydroxychloroquine-protocol-continues-getting-censored.aspx
https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/08/04/side-effects-of-fast-tracked-vaccine.aspx
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6963972/pdf/vaccines-07-00132.pdf
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/27/bill-gates-etend-son-pouvoir-sur-la-politique-globale-de-la-nutrition-et-de-la-sante/
Fronde anti-masques: «la seule chose que le port du masque permet d’éviter, ce sont les amendes»
RépondreSupprimer19:10 27.08.2020
Par Fabien Buzzanca
La grogne monte à propos de la généralisation du port du masque, décidée pour faire face à la montée du Covid-19. Près d’un quart des Français pourraient défier l’injonction gouvernementale de le porter au travail. Une obligation qui révolte René Chiche, professeur de philosophie et vice-président d’Action et Démocratie. Il s’est confié à Sputnik.
La France avance masquée. C’est la direction choisie par l’exécutif afin de lutter contre la «recrudescence incontestable de l’'épidémie» de Covid-19 qui «progresse sur tout le territoire».
Selon les données de Santé publique France, plus de 5.000 cas de coronavirus ont été enregistrés en France le 26 août, un record depuis la fin du confinement en mai dernier. «Le taux de reproduction du virus se situe au-dessus de 1, ce qui signifie qu’'il gagne du terrain. Nous étions redescendus à 0,7 en mai. Nous sommes remontés à 1,4», et «la positivité augmente pour toutes les tranches d’'âge», a précisé Jean Castexle Premier ministre Jean Castex.
«Hypocrisie totale»
Afin de lutter contre la propagation du virus, le port du masque se généralise donc: à l’école, en entreprise, et même dans la rue. Le 27 août, le Premier ministre Jean Castex a annoncé qu’il serait désormais obligatoire dans les rues de Paris. C’est déjà le cas à Marseille, deuxième ville de France.
«Ce à quoi nous assistons relève de l’hypocrisie totale. C’est la solution du pauvre qui est choisie au lieu de vraies mesures qui seraient à la hauteur de la crise sanitaire, si crise sanitaire il y a. L’exécutif se contente du service minimum et impose le port d’un masque qui était encore jugé inutile il y a quelques mois», explique au micro de Sputnik René Chiche, professeur de philosophie et membre du Conseil supérieur de l’éducation.
D’une manière plus générale, le chef du gouvernement a expliqué que les Français devront porter un masque dans tous les espaces fermés où se situent plusieurs individus, «qu’'il s’'agisse d’'un train, d’'une salle de réunion ou d’'un supermarché». Mais sans donner de date.
René Chiche relève le virage à 180 degrés de l’exécutif sur la question du port du masque. Sur TF1, le 13 mars, Édouard Philippe, l’ex alors Premier ministre, Edouard Philippe déclarait: «Le port de masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien.» Dans Le Point du 16 avril, c’est Emmanuel Macron lui-même qui y allait de son commentaire: «Je refuse de recommander le port du masque pour tous et jamais le gouvernement ne l’a fait.»
«Je pense que le manque de crédibilité de la parole du gouvernement est encore plus inquiétant que la crise sanitaire, qui n’est objectivement pas si grave que cela. La crise morale engendrée par la parole sans contenu qui est celle de l’exécutif est préoccupante», se désole René Chiche, également vice-président du syndicat Action et Démocratie CFE-CGC.
Alors que la rentrée du 1er septembre approche, Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’EducationÉducation nationale, Jean-Michel Blanquer a apporté des précisions concernant les règles du port du masque. Ce dernier a expliqué qu’il serait obligatoire à partir du collège, y compris à la récréation pour cette rentrée scolaire. Pour les professeurs, le port du masque obligatoire est systématique de la maternelle au lycée.
RépondreSupprimerUne obligation qui révolte René Chiche, qui envisage déjà une grève du silence:
«Je ne ferai pas cours avec le masque. Si l’on m’impose de le porter, je ne pourrai pas déroger à la règle, mais je ne prononcerai pas un mot», martèle René Chiche.
Le masque deviendra-t-il un bâillon ? «Le gouvernement connaît la situation depuis le mois de mai. Il avait quatre mois pour préparer une rentrée sérieuse. Au lieu de cela, il ne s’est occupé de rien et se contente d’édicter à quelques jours de la rentrée des règles qui ne sont pas compatibles avec l’exercice du métier d’enseignant», ajoute le professeur de philosophie.
Non-port du masque: 700 verbalisations par jour
Ces mesures sanitaires provoquent beaucoup de critiques. D’après une récente enquête de la plateforme de recrutement par intérim Qapa, 38% des Français ne veulent pas porter un masque dans leur entreprise, alors qu’e Élisabeth Borne, la ministre du Travail, Elisabeth Borne a annoncé qu’il serait obligatoire à partir du 1er septembre. Plus précisément, 12% refusent le port du masque s’il n’est pas obligatoire et 26% défieront la règle imposée par le gouvernement. Une majorité de Français (62%) se plieront à la consigne, 36% par obligation et 25% volontairement.
Du côté des professeurs, des voix s’élèvent pour critiquer les mesures du gouvernement. L’enseignant et essayiste Jean-Paul Brighelli exprimait récemment sur à Sputnik sa colère face à «une situation de panique qui vire à la psychose».
Même son de cloche du côté de René Chiche:
«Il aurait fallu faire une différenciation territoriale. Il est absolument absurde d’imposer la même règle partout sans tenir compte de la circulation du virus. De plus, un dédoublement des effectifs permettant d’assurer une distanciation physique en divisant par deux de manière provisoire et ponctuelle le temps scolaire aurait été plus efficace.»
Jean Castex s’est montré ferme. Il a brandi le chiffre de 700 verbalisations par jour pour infraction aux règles du port du masque. Depuis le 17 août, les autorités ont procédé dans les établissements recevant du public à 30.000 contrôles, qui ont donné lieu à 1.900 mesures de police et 53 fermetures.
«Il ne suffit pas d’'édicter des obligations, encore faut-il veiller à leur respect», a affirmé le locataire de Matignon. D’après lui, il incombe aux autorités locales de décider «de l’'intensification de ces actions qui, je ne le cache pas, est parfois nécessaire».
«On rend la vie impossible aux gens. Ma femme, pour plaisanter, dit que la seule chose que le port du masque permet d’éviter, ce sont les amendes. Je pense que les Français sont dans une situation d’exaspération. Ils ont bon dos d’accepter des mesures aussi absurdes et contradictoires. A À un moment donné, ils pourraient ne plus obéir», conclut René Chiche.
https://fr.sputniknews.com/france/202008271044326989-fronde-anti-masques-la-seule-chose-que-le-port-du-masque-permet-deviter-ce-sont-les-amendes/
Un masque (quel qu'il soit) NE DOIT PAS ÊTRE PORTÉ PLUS DE 15 MINUTES (30 % d'oxygène en moins et refoulement du gaz expiré rerespiré !).
SupprimerIl n'y a PAS de masque 100 % antivirus. Que fait un virus qui entre en collision avec le maillage ? Il fait comme l'eau passe au travers d'un grillage !
Le conducteur de Tesla «regardait un film» sur le pilote automatique lorsque la voiture a percuté une voiture de police garée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 27/08/2020 - 14:10
Dans une lede que nous avons l'impression d'écrire chaque semaine, une Tesla sur pilote automatique a - une fois de plus - percuté un croiseur de police inanimé.
La collision a eu lieu dans le comté de Nash, en Caroline du Nord, où un adjoint du comté de Nash et un soldat de la patrouille routière se trouvaient sur le bord de la route pour assister à un autre accident. Sans avertissement, le Tesla "a percuté le croiseur du député", selon CBS 17, a laissé au croiseur une épave mutilée sur le bord de la route.
L'incident soulève une question évidente:
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L'impact a fait tomber l'adjoint et le soldat au sol. Le conducteur a été identifié comme étant Devainder Goli de Raleigh. Il a dit qu'il «regardait un film sur son téléphone alors que la voiture était en pilote automatique lorsque la collision s'est produite». Il a été accusé de ne pas se déplacer et de ne pas avoir installé la télévision dans un véhicule.
Le shérif du comté de Nash, Keith Stone, a déclaré: "C'était une simple fermeture de voie et puis soudainement, la mort a été à nos pas."
Il a poursuivi: «Cela montre que l'automatisation ne remplacera jamais l'attention du public automobile, pas des textos, ne pas être au téléphone, mais se concentrer sur ce que vous faisiez, c'est-à-dire conduire.»
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"Heureusement, personne n'a été blessé", a poursuivi le soldat Jeff Wilson.
Rappelez-vous, le mois dernier, nous avons fait remarquer qu'une Tesla sur pilote automatique s'est écrasée dans le pack d'un autre véhicule de patrouille, celui-ci sur le bord de la route près de Benson, AZ.
«L'impact a fait entrer le véhicule de patrouille en collision avec l'arrière d'une ambulance, mais heureusement, les occupants de l'ambulance n'ont pas été blessés. Le conducteur de la Tesla n'avait pas de blessures mortelles. Veuillez AZ - #MoveOver! C'est la loi & il aide tout le monde à rentrer chez lui en toute sécurité », a écrit le DPS de l'Arizona.
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Rappelez-vous, c'était à peu près un mois avant cela lorsque nous avons signalé qu'une Tesla voyageait sur une autoroute à Taiwan, à ce qui semblait être à pleine vitesse, avant de claquer directement dans un camion renversé qui gisait sur l'autoroute. La Tesla a semblé faire peu ou pas de changement de direction avant de heurter le camion.
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Quelques jours avant cet incident, nous avons rendu compte d'une Tesla qui s'est avérée avoir chassé d'une falaise dans des circonstances «mystérieuses» dans le comté de Santa Clara, en Californie.
RépondreSupprimerSelon la California Highway Patrol, la Tesla a «franchi» la falaise et le conducteur, James Yacorzynski, 60 ans, résident de Pleasanton, a été retrouvé mort sur les lieux.
Enfin, à la fin du printemps, nous avons signalé que le pilote automatique de Tesla était à blâmer pour un accident similaire presque mortel survenu en décembre dernier. Un soldat de la police de l'État du Massachusetts venait de s'arrêter sur un véhicule sur le côté de la route 24 à West Bridgewater lorsque le véhicule du soldat a été percuté par la Tesla.
La conductrice qui a été arrêtée, Maria Smith, a déclaré: "C'est arrivé si vite. Avant que je ne m'en rende compte, ma voiture volait vers l'avant. J'ai regardé derrière moi et tout mon pare-brise arrière a été soufflé. Il y avait du verre dans mes cheveux."
https://www.zerohedge.com/technology/tesla-driver-was-watching-movie-autopilot-when-car-slammed-parked-police-cruiser
Un 'énorme' incendie chimique éclate en Louisiane après que l'ouragan Laura a touché terre
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 27/08/2020 - 11:58
Mise à jour (1411ET): Avec la tempête tropicale Laura à l'intérieur des terres, tourbillonnant sur le nord de la Lousiana et le sud-est de l'Arkansas, le National Hurricane Center a souligné que deux autres perturbations sont peut-être en train de se former dans l'Atlantique.
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Voici une meilleure vue de l'Atlantique animé.
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Restez à l'écoute, peut-être que d'autres tempêtes sont en route.
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Mise à jour (1158ET): Un nouveau rapport du Daily Advertiser, un quotidien basé à Lafayette, en Louisiane, met en garde contre un incendie de «fuite possible de chlore» sur le côté ouest du lac Charles.
Un incendie s'est déclaré du côté ouest du lac Charles, provoquant un panache de gaz et de fumée sur la I-10.
L'incendie semble avoir éclaté sur le site d'une usine chimique ou d'une raffinerie de pétrole, selon plusieurs rapports sur les réseaux sociaux.
L'I-10 est fermée à Sulphur, en Louisiane, en raison de la fuite massive de chlore, a déclaré un opérateur radio HAM au National Weather Service.
La Marine Cajun, une équipe de secours à but non lucratif dirigée par des citoyens, a partagé une vidéo sur Facebook avertissant les résidents d'éviter d'entrer dans le lac Charles par Sulphur. - L'annonceur quotidien
Voici d'autres images de l'incendie:
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Lake Charles, en Louisiane, est une région durement touchée avec des dégâts étendus après que l'ouragan Laura a touché terre tôt jeudi matin.
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Mise à jour (0840ET): La première lumière à Lake Charles, en Louisiane, révèle des dégâts étendus:
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L'ouragan «extrêmement dangereux» Laura a touché terre tôt jeudi matin en tant que catégorie 4 près de Cameron, en Louisiane, avec des vents maximums soutenus de 150 mph. L'œil de la tempête a poussé vers l'intérieur des terres à travers le sud-ouest de la Louisiane vers 3h00 HE, avec "une onde de tempête catastrophique, des vents extrêmes et des crues soudaines", a déclaré le National Hurricane Center (NHC).
Vers 5 h 00 HE, le NHC a rétrogradé Laura à une tempête de catégorie 3 avec des vents allant jusqu'à 120 mph. La tempête se déplace vers le nord à travers la Louisiane alors qu'une «onde de tempête insurvable avec de grandes vagues destructrices» frappe la région.
Dernière mise à jour de NHC
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Il est trop tôt pour spéculer sur le montant total des dommages causés par Laura. Pourtant, avec les eaux de crue qui devraient pénétrer à 40 miles à l'intérieur des terres et prendre «plusieurs jours» pour se retirer, cela pourrait se chiffrer en milliards de dollars, comme d'autres tempêtes majeures, à marteler la région ces dernières années.
Onde de tempête
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Carte des ondes de tempête
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"Les vents de force ouragan et les rafales de vent généralisées et dommageables continueront de se propager bien à l'intérieur des terres dans des parties de l'extrême est du Texas et de l'ouest de la Louisiane tout au long de la journée", a déclaré le NHC.
PowerOutage.US montre que plus de 300 000 clients sont sans électricité en Louisiane et un peu plus de 75 000 au Texas.
Des pannes de courant
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La tempête est juste au nord du lac Charles et se déplace vers le nord à 15 mi / h.
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Des dommages importants sont signalés au centre-ville de Lake Charles.
Golden Nugget Lake Charles est endommagé.
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Prévoyez la profondeur des inondations à Lake Charles.
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Des dommages plus étendus sont signalés autour du lac Charles.
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Le modèle de suivi à long terme montre que la tempête pourrait arriver dans la région médio-atlantique d'ici samedi après-midi.
https://www.zerohedge.com/commodities/damage-mounts-hurricane-laura-makes-landfall-extremely-dangerous-category-4
Le passage dévastateur de l’ouragan Laura aux États-Unis, l’un des pires de l’Histoire du pays - images
RépondreSupprimer16:59 27.08.2020
L’ouragan Laura a atteint ce 27 août la côte américaine. Il risque de devenir l’un des pires de l’Histoire du pays, selon les météorologues. Les images montrent des bâtiments détruits, des toits arrachés ou encore des inondations.
Dans la nuit du 26 au 27 août (heure locale), l’ouragan Laura s’est abattu sur l’État américain de Louisiane, selon le Centre national des ouragans (NHC). Charriant des vents soufflant jusqu'à 240 km/h, c'est une «onde de tempête catastrophique» qui peut provoquer une montée des eaux «mortelle», a alerté le centre basé en Floride.
Quinze ans après Katrina, ouragan de catégorie 5 qui avait ravagé La Nouvelle Orléans, Laura pourrait s'inscrire parmi les 13 tempêtes les plus fortes ayant frappé les États-Unis, indiquent les météorologues. Il est en effet considéré comme «extrêmement dangereux» puisqu'il s'approche de la catégorie 5, la plus haute sur l'échelle d’intensité, selon l’AFP.
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Voici les premières images de son passage dans la ville de Lake Charles. Ses habitants ont embarqué à bord d'autocars après avoir reçu un ordre d'évacuation obligatoire en raison du risque d'inondation.
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Le NHC a mis en garde contre des «vagues destructrices qui vont causer des dommages catastrophiques» et a appelé les gens à se mettre à l’abri immédiatement.
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Parmi les villes se trouvant potentiellement sur le passage de l’ouragan et placées sous ordre d'évacuation obligatoire se trouvent Beaumont et Port Arthur, au Texas, qui ont déjà subi de lourds dommages à cause de l'ouragan Harvey il y a trois ans.
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Quelques vidéos montrent également le travail des journalistes dans des conditions pratiquement impossibles:
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Certains ont partagé des images de l’ouragan lui-même:
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Donald Trump a appelé sur Twitter ses concitoyens à respecter les consignes des autorités locales. «Nous sommes avec vous!», a tweeté le Président.
La saison des ouragans dans l'Atlantique, qui dure officiellement du 1er juin au 30 novembre, s'annonce particulièrement intense cette année. Le Centre national des ouragans s'attend à 25 dépressions. Laura est la douzième. Elle a déjà provoqué d'importantes inondations en Haïti et en République Dominicaine, lesquelles ont entraîné la mort de 25 personnes.
https://fr.sputniknews.com/international/202008271044327484-le-passage-devastateur-de-louragan-laura-aux-etats-unis-lun-des-pires-de-lhistoire-du-pays---images/
La science n'est pas une question de consensus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 27/08/2020 - 21:05
Rédigé par Jeff Harris via le Ron Paul Institute for Peace & Prosperity,
Newsflash; la vraie science repose sur des faits et non sur un «consensus».
J'en ai marre des idiots qui me frappent à la tête avec de la pseudoscience au lieu de m'en tenir aux faits froids et durs.
Montrez-moi les données concrètes qu'il est nécessaire de se tenir à six pieds de quelqu'un.
Montrez-moi les données concrètes selon lesquelles porter n'importe quel vieux chiffon sur mon visage arrêtera matériellement la propagation d'un virus.
Montrez-moi les données concrètes selon lesquelles profiter de l'air frais et du soleil à l'extérieur pourrait être une invitation à une mort prématurée.
S'il vous plaît, tenez-vous en aux faits et n'osez pas me faire la morale sur le «consensus» et voici pourquoi.
Peut-être avez-vous entendu parler d’Ignaz Semmelweis, un obstétricien austro-hongrois à la personnalité épineuse. Sinon, vous reconnaîtrez rapidement sa contribution à la profession médicale avec les trois mots qu'il a rendus célèbres:
"Lavez-vous les mains."
C'était en 1847.
Le Dr Semmelweis a fourni des données concrètes démontrant clairement qu'une fois que lui et son personnel ont commencé à se laver les mains et à désinfecter le matériel entre les patients, le nombre d'infections et de décès a chuté de façon spectaculaire.
Malheureusement, le «consensus» scientifique de l'époque estimait qu'il n'y avait aucun avantage à ces mesures et son avis a été presque complètement ignoré par la communauté médicale savante. En fait, beaucoup de ses pairs en médecine étaient furieux de sa suggestion selon laquelle ils pourraient être responsables de la transmission de maladies !
À l'époque, les médecins étaient fiers de leurs blouses sales en signe de travail assidu ! Il était courant pour les médecins qui venaient de faire une autopsie de se rendre à la maternité et d'accoucher sans jamais se laver ! Après tout, c'était le «consensus» et avec autant de médecins d'accord, comment pouvaient-ils se tromper ?
Le Dr Semmelweis est décédé dans un asile pour aliénés en 1865, sachant qu'un nombre incalculable de patients avaient inutilement souffert et sont décédés parce que la communauté médicale a refusé d'accepter ses conclusions et a plutôt choisi de suivre le «consensus». Ironiquement, la même année que le Dr Semmelweis est décédé, le Dr Joseph Lister, un chirurgien britannique, a commencé à s'appuyer sur les travaux du microbiologiste français Louis Pasteur concernant la théorie des germes.
Le Dr Lister a commencé à expérimenter divers moyens de désinfection des plaies. Il a demandé aux chirurgiens sous sa responsabilité non seulement de se laver les mains avec une solution à 5% d'acide carbolique, mais également de porter des gants propres. Ses travaux ont validé les découvertes du Dr Semmelweis concernant la valeur de l'hygiène et de la propreté en médecine.
Aujourd'hui, nous bénéficions tous du travail révolutionnaire du Dr Semmelweis même s'il n'a jamais été reconnu pour sa contribution de son vivant. La morale de cette histoire est que le «consensus» scientifique est souvent faux. En aucun cas, cela ne peut justifier l'hystérie, les verrouillages et la destruction de richesses fabriqués par les élites.
RépondreSupprimerL'hystérie COVID est basée sur les émotions et non sur les faits. Au lieu de faits durs et froids soutenant la «science», on nous dit de se taire et d’accepter le «consensus». Comme l'a découvert le Dr Semmelweis, le consensus est souvent faux.
https://www.zerohedge.com/political/science-not-about-consensus
Des scientifiques trouvent la preuve d’une protection complète contre une réinfection par le coronavirus
RépondreSupprimer22:15 27.08.2020
Des chercheurs ont découvert la première preuve que les anticorps contre le coronavirus existent et peuvent garantir une protection complète contre une réinfection par ce virus, indique un communiqué de presse d’EurekAlert!.
Des scientifiques ont prouvé que les anticorps neutralisant le nouveau coronavirus garantissaient une protection complète contre une réinfection, indique un communiqué de presse sur EurekAlert! qui se réfère à un article publié dans le Journal of Clinical Microbiology.
Les chercheurs ont identifié des anticorps chez trois personnes à bord d'un bateau de pêche parti de Seattle en mai 2020. Au total, le nouveau coronavirus a été découvert chez 104 sur 122 personnes à bord. Cependant, les personnes ayant des anticorps neutralisant le virus sont restées en bonne santé pendant et après avoir navigué sur le bateau. Cela prouve la possibilité de créer un vaccin assez efficace contre le coronavirus pour arrêter la pandémie, estiment les scientifiques.
Dans le même temps, une forte proportion des personnes infectées indique que toute forme d'immunité qui s’est formée suite à d'autres infections respiratoires ne garantit pas une protection importante contre le Covid-19.
Anticorps neutralisant le virus
Les anticorps neutralisants sont les molécules protéiques qui protègent les cellules du porteur d'antigène, qui peut être un virus ou une bactérie. Les anticorps se collent à la surface du pathogène pour le rendre inactif.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202008271044329712-des-scientifiques-trouvent-la-preuve-dune-protection-complete-contre-une-reinfection-par-le/
Et ca continue... ca rend maboule les esprits ce covid
RépondreSupprimervendredi, 28 août 2020 00:27
Charles, je pense que tu te trompes avec tes chiffres dans ton dernier édito sur le panama et le covid. L'Amérique Latine subit un taux de 20 à 50% de contamination...
...Bla bla bla
Aujourd'hui, j'ai vu un mec habillé intégralement en sac poubelle. Des pieds à la tête. Il marchait dans la rue. Je conduisais. Y avait du monde. J'ai pas pu filmer. Désolé. J'ai juste éclaté de rire. Pouvait pas m'arrêter. Une rue trop passante. Double voie. Le spectacle était énorme à nouveau. On croit connaître le genre humain, mais ce genre humain nous surprend tous les jours. Faut vraiment que je parvienne à choper une de ces nouilles que vous puissiez voir le délire.
Concernant les histoires du Panama...
Je ne sais pas si c'est de la folie ou de la simple bêtise de me relancer.
Actuellement à Panama, il y a 153 malades. Le pays entier de 4 millions d'habitants est tué économiquement et sous lockdown parce qu'il y a 153 malades.
Tester les gens de manière positive alors que personne n'est malade. Plus de 99% des tests positifs ne donnent rien, très concrètement. Ba ca s'appelle de la branlette.
Je me trompe ????
Ba achetez vous un cerveau les mecs.
On est en pleine aberration.
Tout le monde tourne en rond avec une problématique qui sert à rien, totalement artificielle.
Soit on est malade, soit on ne l'est pas.
Les autres stats, c'est de la branlette pour cerveaux malades maso en recherche de coups de bâton.
153 personnes en cumulé. Je crois qu'au plus haut, le panama carburait à 180 malades cumulés. Les hôpitaux sont vides. Nous avons des contacts chez les médecins.
Ne pas comprendre cela et justifier ce que fait le Panama en matière de prévention. Honnêtement, je peux rien pour vous.
Après, je suis totalement satisfait de ma vie à Panama, avec le lockdown et ses chiffres déglingués sur le covid. Ma vie est super ici. J'en ai rien à foutre sur le fond. Chacun sa dimension de vie.
Même les morts, désolé, mais je finis par me demander si c'est bien réel. Les mecs qui claquent sont vieux, obèses et déjà malade. Un peu comme le Sida dont j'ai toujours eu un doute. Des gens meurent. On dit que c'est un syndrome. Et après, il faut se protéger... sauf qu'il mourrait bien avant des mêmes symptomes que le sida et on pouvait baiser sans capote.
Désolé mais la confiance dans le corps médical s'est envolé chez moi... les chiffres ne collent pas.
Soit les tests sont idiots. Soit le covid qui tue pas est une distraction. Soit c'est méga archi dangereux, mais pas à Panama. Donc lockdown inutile... en tous les cas, les médecins internationaux derrière cette merdasse ont les mains sales désormais. Ils cautionnent une farce au minimum. Au moins avec la farce du climat, les scientifiques se sont réunis et ont été à l'ONU pour expliquer que l'urgence climatique n'existait pas. Il y a des soucis mais pas une urgence. Eux au moins ont des burnes et une conscience. Là, y a aucun groupement de médecin qui ouvre leur gueule. Ces mecs là sont corrompus depuis des décennies par l'industrie pharma. Ils sont tellement imbibés de pots de vin que plus aucun ne sait manifestement ce que veut dire écouter sa conscience...
Charles
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/et-ca-continue-ca-rend-maboule-les-esprits-ce-covid.html
(....) Désolé mais la confiance dans le corps médical s'est envolé chez moi... les chiffres ne collent pas. (....)
RépondreSupprimerFaut dire que ni les journalistes de merde ni les politiciens à la con ne sont des scientifiques !! Mais parlent comme s'ils en savaient plus que les scientifiques sans jamais avoir fait d'études scientifiques !!
Idem pour les Députés et Sénateurs qui proposent LEURS lois et votent LEURS lois sans jamais avoir fait 1 heure de Droit !!
Le virus n'est pas la cause de l'effondrement de l'économie mondiale
RépondreSupprimerProf Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca
jeu., 27 août 2020 21:55 UTC
Mensonge : Ce n'est pas le Virus qui a précipité l'effondrement de l'économie mondiale. Selon la classe politique, c'est le virus qui a provoqué le chômage et la pauvreté.
vgtyhLe 11 mars, 2020, l'ordre fut donné de fermer l'économie nationale de 193 pays membres des Nations unies. Cette action fut présentée à l'opinion publique ( « preuves scientifiques » à l'appui ) comme étant requise afin de résoudre la pandémie.
Selon la dite communauté internationale, le confinement et la fermeture de l'économie planétaire constituent « la solution » sans équivoque. Il s'agit de combattre le pandémie et de venir au secours de ceux qui sont menacés par le coronavirus.
Covid-19 fournit un prétexte à la haute finance, à Wall Street, aux fondations milliardaires, au Forum économique mondial (FEM) ainsi qu'à la classe politique corrompue de précipiter le monde entier dans une spirale de déstabilisation économique et sociale.
Faillites, chômage et appauvrissement à l'échelle planétaire, fermetures des écoles et universités, ...
Et la classe politique ( soutenue par le mensonge médiatique ) nous dit ( sans hésitation ) que c'est Le Virus qui est responsable du débâcle.
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/36022-Le-virus-n-est-pas-la-cause-de-l-effondrement-de-l-economie-mondiale
Comment «The Great Reset» United COP-21 et COVID-19: The Rise and Fall of Predictive Models
RépondreSupprimerPar Matthew Ehret
28 août 2020
Le monde a récemment été balayé par des vagues de propagande promouvant l’idée qu’une «grande réinitialisation» du système mondial est destinée à préparer la société à un nouvel ordre mondial «post-COVID». Quand on examine la nature de ces réformes sur les sites Web du Forum économique mondial, ou d'après les paroles de l'ancien gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney (qui est récemment revenu au Canada pour diriger l'équipe de réinitialisation post-COVID aux côtés de sa collègue technocrate Chrystia Freeland ), il devient clair que cette grande réinitialisation n'est que le Green New Deal sous un autre nom.
Tout comme le Green New Deal a été l'effet de décennies de propagande infatigable visant à convaincre les gens crédules que c'est une bonne idée de déconstruire la civilisation industrielle en éliminant toutes les activités qui augmentent le gaz carbonique dans l'atmosphère ou perturbent des états prétendument vierges de la nature ( que les mathématiciens de la tour d'ivoire supposent qu'il existe en stase), le programme de la grande réinitialisation est motivé par des objectifs et des hypothèses très similaires.
Comparé à la réalité, le récit financé par l'OMS / Gates justifiant l'arrêt total des économies mondiales s'effondre comme un château de cartes, comme le décrit parfaitement le Facts of COVID-19 de l'Institut suisse de recherche sur la propagande.
Pourtant, malgré toutes les preuves, cela vaut la peine de se demander: comment tant de personnes apparemment éduquées sont-elles persuadées que le COVID-19 ou le changement climatique sont si existentiellement dangereux que nous devons fermer l'économie mondiale pour nous sauver d'une manière ou d'une autre de leurs effets apocalyptiques ?
La réponse se trouve dans le tour de passe-passe qui s'est produit progressivement au cours du 20e siècle qui a remplacé la pensée scientifique actuelle par ce qu'on appelle la «modélisation informatique prédictive».
Le coup d'État mondial: les modèles prédictifs prennent le dessus sur la pensée actuelle
L'ère des «modèles apocalyptiques prédictifs» est née à bien des égards de l'étude Limits to Growth de 1972 financée par le Club de Rome, qui a popularisé la technique consistant à lier les augmentations de température au gaz carbonique et à projeter des variables économiques comme la population, les pertes de ressources et la «pollution croissance »dans le futur afin de faire fuir leurs victimes incrédules et d'intimider les nations à modifier radicalement leur comportement collectif.
Cette utilisation de statistiques biaisées, sous-définies, projetées dans le futur pour «agir de manière préventive sur les crises futures» est devenue une pratique hégémonique au cours des 40 prochaines années et a été utilisée par les néo-malthusiens pour justifier systématiquement l’augmentation des taux de guerre, la pauvreté et la maladie dans le monde. Le livre influent de Paul Ehrlich de 1968, The Population Bomb, utilisait des modèles similaires pour projeter les tendances de la croissance démographique géométrique dans le futur, ce qui entraînerait une crise mondiale aux proportions inimaginables, car le pétrole se tarirait, les terres arables s'assècheraient et les ressources disparaîtraient d'ici l'an 2000.
En 1968, son livre, Ehrlich a déclaré sa vision misanthropique dans les mots suivants:
RépondreSupprimer«Un cancer est une multiplication incontrôlée de cellules; l'explosion démographique est une multiplication incontrôlée de personnes… Nous devons déplacer nos efforts du traitement des symptômes vers la suppression du cancer. L'opération exigera de nombreuses décisions apparemment brutales et sans cœur.
Obama et son tsar de la science John Holdren (UNITED STATES SCI TECH SOCIETY) - RTXPEZ2
Le protégé d’Ehrlich, John Holdren, qui a dirigé l’arrêt des systèmes spatiaux habités et du programme de fusion de la NASA alors que le tsar scientifique d’Obama allait plus loin en écrivant à la page 942 de son livre Ecoscience de 1977:
«Peut-être que ces agences, combinées au PNUE et aux agences des Nations Unies pour la population, pourraient éventuellement devenir un régime planétaire - sorte de super-agence internationale pour la population, les ressources et l'environnement. Un régime planétaire aussi complet pourrait contrôler le développement, l'administration, la conservation et la distribution de toutes les ressources naturelles, renouvelables ou non renouvelables, du moins dans la mesure où des implications internationales existent. Ainsi, le régime pourrait avoir le pouvoir de contrôler la pollution non seulement dans l'atmosphère et les océans, mais aussi dans des masses d'eau douce telles que les rivières et les lacs qui traversent les frontières internationales ou qui se déversent dans les océans. Le régime pourrait également être un organisme central logique pour réglementer tout le commerce international, y compris peut-être l'assistance des PMA aux PMA, et y compris tous les produits alimentaires sur le marché international. Le régime planétaire pourrait se voir confier la responsabilité de déterminer la population optimale pour le monde et pour chaque région et d’arbitrer les parts de divers pays dans leurs limites régionales. Le contrôle de la taille de la population pourrait rester la responsabilité de chaque gouvernement, mais le régime aurait un certain pouvoir pour faire appliquer les limites convenues.
Dans cette logique sans cœur, les États-nations devaient simplement être convertis en outils pour imposer des programmes de dépopulation plutôt que d'essayer naïvement de mettre fin à la colonisation
Dans cette logique sans cœur, les États-nations devaient simplement être convertis en outils pour imposer des programmes de dépopulation plutôt que de tenter naïvement de mettre fin au colonialisme, à la pauvreté et à la guerre, comme l'ont tenté des hommes d'État insensés comme John Kennedy, Bobby Kennedy, Enrico Mattei ou Martin Luther King.
Le mémorandum 200 (1974) de l’étude sur la sécurité nationale de Kissinger décrivait ce nouvel objectif pour l’Amérique en déclarant: «L’aide à la modération démographique devrait mettre l’accent sur les pays en développement les plus grands et les plus dynamiques, où les États-Unis ont un intérêt stratégique et spécial». Parmi les pays en développement visés par la réduction de la population, le NSSM-200 a cité le contrôle des naissances et la rétention de nourriture comme principaux outils. Kissinger a écrit froidement: "Les États-Unis sont-ils prêts à accepter le rationnement alimentaire pour aider les personnes qui ne peuvent pas / ne veulent pas contrôler la croissance de leur population?"
Tout au long des années 1970, la cabale de la Commission trilatérale / Conseil des relations étrangères sous la direction de Kissinger et Zbigniew Brzezinski a complètement repris la politique étrangère américaine et lancé un nouveau programme économique que Paul Volcker, membre de la Commission trilatérale, a appelé «la désintégration contrôlée de l'économie». En arrivant à la présidence de la Réserve fédérale en 1979, Volcker a mis cette politique en œuvre en augmentant les taux d'intérêt à 20% et les y a maintenus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes industries agroalimentaires tout en ne laissant qu'un géant des entreprises hautement cartellisées capable de survivre. ces taux draconiens. La croissance réelle a chuté, la planification à long terme a été oubliée et la déréglementation a inauguré de vastes spéculations qui ont remplacé le capitalisme autrefois dirigiste qui a rendu l'Occident grand. Tous les investissements dans le progrès scientifique et technologique ont été arrêtés. La recherche sur l'énergie de fusion a été systématiquement détruite aussi vite que le programme spatial. Les investissements dans les infrastructures se sont taris et l’ère américaine de la construction d’énergie nucléaire a été supprimée.
RépondreSupprimerÀ la manière de Pygmalion, l’oligarchie a pu «justifier scientifiquement» sa vision misanthropique de la gouvernance mondiale en brisant d’abord les rotules de l’humanité, puis en affirmant que nous n’avons jamais été censés courir.
Dans le langage actuel, cette pratique de 'modélisation prédictive' se reflète dans les appels du grand prêtre de la banque centrale Mark Carney en faveur d'un nouveau système financier pour promouvoir une société décarbonée d'ici 2050, car les 'modèles prédictifs' déclarent que le monde chauffera à 1,5 degré selon un connexion présumée aux émissions de gaz carbonique qui ne peut être corrigée que si nous monétisons le carbone et réalisons un profit sur l'arrêt de l'activité industrielle humaine. En fait, par rapport aux données réelles, non seulement on constate rapidement que la tendance au réchauffement post-1977 a pris fin en 1999, mais la température réelle tombe bien en dessous de toutes les projections informatiques produites par l'IPCC (qui est à la politique environnementale ce que le L'OMS est à la politique sanitaire).
Cette prédiction hystérique se voit également dans l’avertissement récent du prince Charles selon lequel le monde a 18 mois pour se sauver avant que la «modélisation prédictive» ne dise que le réchauffement climatique devient imparable et que la terre brûle dans un enfer dystopique!
Charles est le fils du même prince Philip qui a tristement jailli de son souhait de se réincarner en virus mortel «afin de résoudre la surpopulation», ce qui rend plus qu'un peu ironique que Charles ait annoncé sa contraction du COVID-19 le 25 mars. une interview de 1988 avec Deutsche Press Agentur, le prince Philip a déclaré:
«Plus il y a de gens, plus ils consommeront de ressources, plus ils créeront de pollution, plus ils se battront. Nous n'avons aucune option. S'il n’est pas contrôlé volontairement, il sera contrôlé involontairement par une augmentation de la maladie, de la famine et de la guerre. … Dans le cas où je me réincarnerais, j'aimerais revenir en tant que virus mortel, afin de contribuer à résoudre la surpopulation.
Il ne faut pas faire l’erreur de séparer les déclarations misanthropes de Philip de son rôle actif dans la co-fondation du mouvement écologique mondial aux côtés du fondateur du groupe Bilderberg, le prince Bernhardt des Pays-Bas. Cela inclut leur rôle commun en tant que co-fondateurs du World Wildlife Club en 1961, leur fondation du 1001 Nature Trust en 1970 ou leur gestion et financement conjoints de la science climatique mondiale tout au long du 20e siècle. Comme je l'ai souligné dans ma conférence de 2019, c'est cette organisation qui a été prise en flagrant délit d'organiser le meurtre et la dissimulation de John F.Kennedy.
RépondreSupprimerLe puissant laquais du prince Bernhard et de Philip, Maurice Strong (qui a été vice-président du WWF sous Philip de 1976 à 1978), ont laissé le chat sortir du sac dans une interview en 1990 en disant:
«Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux devait conclure que le principal risque pour la Terre vient des actions des pays riches ? Et si le monde veut survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l'environnement. Vont-ils le faire ? La conclusion du groupe est «non». Les pays riches ne le feront pas. Ils ne changeront pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide: le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? » [1]
C'est exactement ce dont parlent Carney et ses collègues idéologues de la banque centrale lorsqu'ils parlent de «Green New Deals».
L'échec du pacte collectif vert sur le suicide
Après cinq décennies de panique et de propagande inlassables, l’oligarchie a dû conclure que tout ce plan n’avait pas très bien fonctionné. De nombreux pays étaient plus qu'un peu réticents à fermer la base de leur existence simplement parce que certains technocrates malthusiens ont déclaré que leurs modèles informatiques l'exigeaient.
De nombreux esprits curieux ont remarqué que ces mêmes modèles informatiques n'ont jamais prouvé en premier lieu que le gaz carbonique provoque réellement des changements de température et d'autres ont remarqué que dans les vagues plus longues de l'histoire, le gaz carbonique suit en fait les changements de température ... ce qui implique que les vraies causes du changement climatique ont moins à avec le gaz carbonique et plus avec les effets astrophysiques comme le soleil et le rayonnement cosmique (ce que des études récentes du professeur Svensmark ont prouvé que les graines sont des nuages et joue un rôle beaucoup plus direct dans le changement climatique que les statisticiens ne veulent l'admettre).
D'autres ont été dérangés par le fait que les projections informatiques linéaires ne prennent pas en compte des processus non linéaires tels que la raison créatrice humaine et la moralité qui permettent à l'humanité de sauter au-delà de nos «limites de croissance» grâce à la découverte de nouveaux principes dans l'univers et l'application de ces découvertes à l'économie sous forme de sauts constants dans le progrès scientifique et technologique. Comme ils le pourraient, les modèles linéaires ne peuvent pas mapper la non-linéarité (sauf sous la forme de logarithmes qui recherchent l'aléatoire chaotique sous la forme d'une peinture de Jackson Pollack), mais pas de véritable progrès créatif DIRECTED.
Ce qui a rendu ce «programme de désintégration contrôlée» également frustrant, c'est la montée en puissance de l'Initiative chinoise de la ceinture et de la route qui a démontré ce que les VRAIS États-nations peuvent accomplir lorsqu'ils veulent se débarrasser de la pollution, sortir leurs populations de la pauvreté et «passer au vert» en même temps. heure [1].
RépondreSupprimerEn opposition totale aux «modèles prédictifs» apocalyptiques, la Chine a sorti 800 millions de personnes de la pauvreté en forçant le système monétaire à obéir aux besoins humains plutôt que de se conformer aux modèles statistiques utilisés par la Banque mondiale ou le FMI. La Chine, la Russie et d'autres pays travaillant dans le cadre de la BRI ont transformé la définition du «vert» ces dernières années en investissant massivement dans l'énergie sans carbone comme l'énergie nucléaire de 3e et 4e génération, la recherche sur la fusion, l'hydroélectricité et l'écologisation des déserts. Sur ce dernier point, la NASA a récemment annoncé une augmentation surprenante de 10% de la biomasse mondiale due entièrement aux stratégies de développement de la Chine et de l’Inde qui non seulement apportent de l’eau dans les déserts, mais produisent également du gaz carbonique que les plantes et les arbres traitent réellement comme… DE LA NOURRITURE !
Ensuite, Trump a été élu et les objectifs malthusiens de décarbonisation se sont encore effondrés alors qu'une Amérique longtemps tenue sous le contrôle d'un État profond changeait de caractère et, ce faisant, ravivait à la fois un sentiment de nationalisme perdu tout en rejetant le suicide vert sous un monde technocratique. dictature.
Il fallait donc que quelque chose de nouveau se produise.
Nouveau rouge à lèvres. Même cochon.
Heureusement, les scénarios apocalyptiques de modélisation informatique ne sont pas difficiles à trouver pour les services de renseignement britanniques travaillant par l'Imperial College de Londres et la Banque d'Angleterre qui ont opté pour une nouvelle stratégie ... si seulement un virus pouvait être propulsé dans des proportions pandémiques mondiales par une biais systémique des données et contrôle centralisé de la gestion des données grâce à la Michael Bloomberg School of Public Policy de Johns Hopkin et à l'Organisation mondiale de la santé… alors peut-être que les nations apprendront enfin comment fermer leurs économies.
Après que le COVID-19 a été annoncé comme une pandémie mondiale par l'Organisation mondiale de la santé, l'équipe d'intervention COVID-19 de l'Imperial College de Londres n'a pas perdu de temps à utiliser les mêmes techniques de modélisation prédictive qui ont échoué si lamentablement sur les projections de catastrophes climatiques pour commencer à prévoir les scénarios de la fin des temps pour l'épidémie de coronavirus. Les modèles du 17 mars projetaient plus de 500 000 décès au Royaume-Uni et 2,2 millions de décès aux États-Unis au cours des prochains mois. Ces chiffres ont été rapidement repris par l’OMS et diffusés dans les médias internationaux pour justifier le «remède» de l’étude consistant à «fermer complètement les principaux aspects de la société pendant plus d’un an». Malgré le fait que ces modèles aient été ajustés pour ne prévoir que 20000 décès au Royaume-Uni et 100000 décès aux États-Unis une semaine plus tard, les appels à maintenir l'économie mondiale fermée pendant 12 à 18 mois se sont poursuivis par le Dr Fauci, Gates, Soros et des experts de premier plan. de l'OMS, dont certains ont été filmés en train de préconiser de pénétrer par effraction dans les maisons pour séparer les membres de la famille atteints de COVID.
Pour ceux qui y prêtent attention, Michael Bloomberg n'est pas seulement un célèbre corporatiste milliardaire qui a payé 500 millions de dollars pour se faire botter le cul à la télévision publique, mais aussi le copain vert de Mark Carney qui a agi en tant qu'envoyé spécial des Nations Unies pour le changement climatique de 2018 à 2019. jusqu'à ce que Carney reprenne le poste. Bloomberg préside également le groupe de travail de Carney sur les divulgations financières liées au climat, qui est une pièce maîtresse de la nouvelle cathédrale verte de l'économie anti-croissance qui punira toutes les entreprises «contrevenant au climat» en les coupant du crédit tout en récompensant les entreprises «vertes zéro carbone» qui accélèrent l'effondrement de la population humaine.
RépondreSupprimerL'École de santé publique de Bloomberg a coparrainé l'événement mondial de l'exercice 201 de pandémie du 19 octobre 2019 aux côtés de la Fondation Bill Gates & Melinda Gates et du Forum économique mondial qui a organisé des simulations informatiques sous le thème d'une nouvelle pandémie de coronavirus tuant 60 millions de personnes. gens. Au fil des ans, tout en reprenant les politiques économiques, étrangères et environnementales des anciens pays avancés industriels de l'alliance occidentale, le mouvement néo-malthusien a également repris la recherche médicale grâce à une cooptation progressive du financement de l'Organisation mondiale de la santé par des fondations privées qui ont de plus en plus remplacé le rôle de la nation au cours des 4 dernières décennies.
Aujourd'hui, la Fondation Bill et Melinda Gates est devenue le principal financier de l'OMC (prenant la première place avec l'annonce récente par Trump de la sortie de l'Amérique de son rôle de soutien). Avec leurs intérêts si étroitement liés à Big Pharma et aux agences de renseignement Five Eyes, la pratique médicale et la politique médicale ont été fermement placées sous le contrôle d'un groupe d'élite d '«experts scientifiques» qui jouent à dieu avec la race humaine dans des tours d'ivoire. la politique »n'est redevable qu'aux nombres froids et durs de« modèles prédictifs ».
Gates et Bloomberg font tous deux partie des cinq premiers milliardaires mondiaux qui dirigent «The Giving Pledge» - une fondation composée de «bons» ploutocrates qui se sont engagés à faire don de la moitié de leur richesse à des associations caritatives. Que sont des milliards après tout, quand vous savez que le système que vous avez exploité de manière parasite est conçu pour s'effondrer ? Comme l'a déclaré Carney l'année dernière, ceux «qui anticipent ces développements seront largement récompensés; ceux qui ne s’adaptent pas cesseront d’exister. »
Les intérêts industriels que Carney a menacés dans son discours incluent ces intérêts agro-industriels «sales» (voir «productifs») qui sont généralement mécontents de l'idée d'être sacrifiés sur l'autel de Gaia et préféreraient rejoindre la ceinture chinoise de plusieurs billions de dollars et Road Initiative, alors que la crise continue de se rapprocher de l'effondrement inévitable de la bulle économique de 1,2 quadrillion de dollars. Alors que ce futur point d’effondrement s’accélère vers le présent, l’oligarchie sait que les nations enchevêtrées dans le filet monétariste occidental se jetteront volontiers dans l’Alliance multipolaire au lieu de leur destruction totale, si ce n’est pour une autre raison.
L'Alliance multipolaire réaffirme l'hégémonie de l'esprit humain sur la modélisation informatique
La beauté de la nouvelle Alliance multipolaire guidée par le cadre d’initiative de la ceinture et de la route associé réside dans la dépendance de ce nouveau système sur la non-linéarité de la pensée créatrice humaine. En définissant les futurs états de l'humanité non comme une crise causée par des cellules cancéreuses humaines tuant Gaia, le nouveau système aborde l'avenir du point de vue du changement créatif. En investissant dans l'exploration spatiale, la défense contre les astéroïdes, l'exploitation minière lunaire, le développement de la fusion et de la fission et les infrastructures à grande échelle, l'Alliance multipolaire ramène l'humanité en harmonie avec les demandes de progrès scientifique et technologique sans limites dans la création.
RépondreSupprimerS'adressant au comité central du PCC en 2016, le président Xi a déclaré:
«Le développement coordonné est l’unité d’un développement équilibré et d’un développement déséquilibré. Le processus de l'équilibre au déséquilibre puis au rééquilibrage est la loi fondamentale du développement. L'équilibre est relatif tandis que le déséquilibre est absolu. Mettre l’accent sur le développement coordonné ne vise pas l’égalité, mais donner plus d’importance à l’égalité des chances et à une allocation équilibrée des ressources. »
Dans un discours précédent, Xi a développé encore plus ce concept:
«Nous devons considérer l'innovation comme le principal moteur de la croissance et le cœur de toute cette entreprise, et les ressources humaines comme la principale source de soutien au développement. Nous devons promouvoir l'innovation dans la théorie, les systèmes, la science et la technologie et la culture, et faire de l'innovation le thème dominant du travail du Parti, du gouvernement et de l'activité quotidienne de la société… Au XVIe siècle, la société humaine est entrée dans une période sans précédent de innovation active. Les réalisations en innovation scientifique au cours des cinq derniers siècles ont dépassé la somme totale de plusieurs millénaires précédents. . . . Chaque révolution scientifique et industrielle a profondément changé les perspectives et les schémas du développement mondial. . . . Depuis la deuxième révolution industrielle, les États-Unis ont maintenu l'hégémonie mondiale parce qu'ils ont toujours été le chef de file et le plus grand bénéficiaire du progrès scientifique et industriel.
Dans un discours de 2019 appelant à la priorité accordée par la Russie à l'énergie de fusion en remplacement de l'économie des combustibles fossiles, le président Poutine a exprimé des idées similaires en déclarant:
«Cela peut sembler étrange au début, mais l'énergie de fusion, qui en fait est similaire à la façon dont la chaleur et la lumière sont produites dans notre étoile, dans le Soleil, est un exemple de ces technologies semblables à la nature.
«Nous pouvons potentiellement exploiter une source d'énergie colossale, inépuisable et sûre. Cependant, nous ne réussirons dans le domaine de l'énergie de fusion et dans la résolution d'autres tâches fondamentales que si nous établissons une large coopération internationale et une interaction entre le gouvernement et les entreprises et que nous nous joignons aux efforts de chercheurs représentant différentes écoles et domaines scientifiques. Si le développement technologique devient véritablement mondial, il ne sera pas divisé ou freiné par des tentatives de monopoliser le progrès, de limiter l'accès à l'éducation et de dresser de nouveaux obstacles au libre échange de connaissances et d'idées. Avec leur aide, les scientifiques pourront voir littéralement les processus de création de la nature.
RépondreSupprimerAinsi, lorsque Poutine ou Xi appellent à un nouvel ordre économique pour remplacer celui qui s'effondre actuellement, c'est l'esprit du système dont il parle. Ils parlent d’un système qui rejette la «modélisation prédictive» utilisant des équations linéaires en faveur de la RÉALITÉ de la mentation créatrice humaine en tant que force géologique de changement non linéaire MAIS intelligible, mettant l’humanité en harmonie toujours plus avec les lois de la création.
https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/how-the-great-reset-united-cop-21-and-covid-19-the-rise-and-fall-of-predictive-models/
Le nanogroupuscule de dictateurs-psychopathes qui se dit de 'diriger le monde' ! Hahahaha ! rassemble une centaine de gros cons trisomiques autour d'une table et discutent entr'eux.
SupprimerCes 'hommes de l'ombre' ne parlent pas de diriger leur famille, ou de diriger une usine de quelques 200 ou 300 personnes mais de diriger... plus de 7 milliards de personnes !! dont plus de 4% (en l'an 2000) sont des surdoués ! soit plus de 280 millions de têtes bien pleines (chiffre à multiplier par 4 ou 5 depuis 20 ans !).