La Suède refuse de rendre obligatoire les masques faciaux alors que les voisins nordiques élargissent les restrictions
par Tyler Durden Jeu, 20/08/2020 - 05:30
La Scandinavie et l'Europe du Nord se forgent une réputation de foyer du déniérisme «masque obligatoire». Mais est-ce vraiment un affront dangereux à la science et à la survie, comme les entreprises américaines de médias sociaux comme Facebook - qui plus tôt aujourd'hui ont purgé les comptes liés à QAnon de sa plate-forme - veulent que nous le croyions tous?
Un par un, des scientifiques du Danemark, des Pays-Bas, de la Finlande et de la Suède ont émis des doutes sur l'efficacité de demander aux citoyens de porter des masques dans tous les lieux publics, beaucoup faisant valoir que demander aux gens de porter des masques n'a guère de sens dans les endroits où le taux de propagation est faible. Cependant, au cours des dernières semaines, beaucoup ont reconnu que les masques peuvent être bénéfiques dans certaines circonstances, et des politiques qui se concentrent spécifiquement sur celles-ci (comme l'utilisation obligatoire dans les transports en commun) pourraient être plus avantageuses.
Alors que le débat est principalement étouffé aux États-Unis, le principal épidémiologiste suédois et architecte de la stratégie du pays contre le COVID-19 sans verrouillage, Anders Tegnell, parle de la décision de la Suède de maintenir sa politique de masque, qui, comme la plupart des COVID-19 suédois réponse, est étonnamment laxiste.
S'adressant à nouveau au FT, Tegnell a expliqué ses doutes, ses espoirs et même les domaines dans lesquels il soupçonne que les masques peuvent être efficaces. Mais sa conclusion finale est que la «science» dont les libéraux américains se vantent toujours n'est tout simplement pas aussi concrète que le Washington Post, le New York Times et d'autres le prétendent.
"Il est très dangereux de croire que les masques faciaux changeraient la donne en ce qui concerne Covid-19", a déclaré Tegnell au FT. Il a également partagé des preuves suggérant que ses voisins cédaient aux caprices politiques, et peut-être aux pressions de Bruxelles, en élargissant les mandats de masque.
Soren Riis Paludan, un expert en infections virales de l’université d’Aarhus, a déclaré que des recherches avaient suggéré qu’au taux d’infection actuel du Danemark, 100 000 personnes devraient porter un masque facial correctement pendant une semaine pour éviter une infection. «S'il y a très peu de virus dans la communauté, l'effet est limité. Mais si vous êtes au milieu d’un hotspot, tout indique qu’ils peuvent avoir un effet. Au Danemark, nous avons fait des compromis et avons déclaré que les masques faciaux pourraient être un autre outil dans la boîte à outils », a déclaré le professeur Paludan. Une autre raison de la réticence suédoise, selon les experts, est la grande confiance dans les autorités. «Lorsque l’agence suédoise de la santé déclare qu’il n’ya aucune raison de porter des masques, les gens ne portent pas de masques», a déclaré le professeur Ludvigsson. "Dans d'autres pays, où la confiance est moindre et où ils ne recommandent pas de porter des masques, les gens peuvent le faire de toute façon."
Les chances d'infection dans le scénario initial ci-dessus sont incroyablement faibles, et pourtant, les mèmes viraux partagés sur Instagram et Facebook au cours des derniers mois ont posé des scénarios où le fait de négliger de porter un masque pourrait pratiquement garantir que plus d'une douzaine d'étrangers aléatoires pourraient être accidentellement infecté. C'est extrêmement improbable.
La plupart des preuves à l'appui du masque impliquent une analyse rétrospective de centaines d'études et d'ensembles de données utilisés pour étudier d'autres choses. La vérité est que nous ne savons vraiment pas à quel point le port d'un masque chirurgical peut être efficace pour empêcher une personne infectée de le transmettre à une autre personne (c'est pourquoi ils sont portés en chirurgie).
Les experts nordiques soulignent également le manque de preuves tangibles de l'efficacité des masques faciaux. De nombreux pays ainsi que l'Organisation mondiale de la santé ont changé leurs conseils sur le port des masques, car des études semblent indiquer un lien entre leur utilisation et des taux d'infection plus faibles. Mais certains experts nordiques sont encore sceptiques. M. Ludvigsson a noté que dans une méta-analyse de l'OMS de 29 études qui ont montré que les masques faciaux étaient efficaces, seulement trois concernaient leur utilisation en dehors des hôpitaux et de celles qui n'en avaient pas impliqué Covid-19. Pourtant, il a déclaré que sa position personnelle avait changé et qu'il pensait maintenant qu'ils devraient recommander leur utilisation dans les transports publics en Suède, mais pour une période déterminée. "Cela augmenterait la conformité si les gens savaient que ce n'est que pour trois mois", a-t-il ajouté.
Bien que Tegnell dise qu'il garde l'esprit ouvert.
"Les masques faciaux peuvent être un complément à d'autres choses lorsque d'autres choses sont en place en toute sécurité. Mais commencer par avoir des masques faciaux et penser ensuite que vous pouvez encombrer vos bus ou vos centres commerciaux - c'est certainement une erreur", a-t-il déclaré, ajoutant que les pays comme la Belgique et l'Espagne, où l'utilisation de masques est généralisée, les taux d'infection sont toujours en hausse. L'agence suédoise de la santé publique a déclaré mardi qu'elle travaillait sur des propositions pour le gouvernement dans les prochaines semaines et qu'elle pourrait s'ouvrir à l'utilisation de masques faciaux dans des circonstances spécifiques telles que les visites dans les hôpitaux ou les dentistes. La Suède n'est pas le seul pays européen sceptique quant aux masques faciaux. Aux Pays-Bas, ils doivent être portés dans les transports publics et dans les aéroports mais ne sont pas obligatoires ailleurs.
Notre seule question est, combien de temps encore Tegnell sera-t-il autorisé à colporter son point de vue sans susciter la colère et le châtiment de Big Tech ?
Brève. Coronavirus : Messieurs les politiciens il faut rester pragmatique !
le 20 août 2020
Le seul propos intelligent qu’ont tenu Agnès et Sibete était le suivant : « le port du masque n’est utile que lorsque l’on est malade », sous-entendu de la grippe coronavirale. Pourtant les médias l’ont oublié pensant que cette courte phrase disant pourtant la vérité dissimulait la vérité sur la pénurie de masques. Si on ne souffre pas de la grippe il est inutile de porter un masque puisque l’on n’éternue pas ni ne tousse. De plus j’ignore où les politiciens ont trouvé des preuves irréfutables que la fumée de cigarette pouvait transmettre le virus et leur décision d’interdire la cigarette dans la rue ou aux terrasses de café est tout simplement stupide. Quelle seront leurs prochaines inventions géniales pour emmerder les populations ?
Venons-en à quelques chiffres pour la France (source INSEE). En France 610000 personnes sont mortes en 2019. Cela représente 1671 décès par jour qui se répartissent comme suit : Cancers, 460 morts par jour ; maladies cardiovasculaires, 420 morts par jour ; infections pulmonaires, 110 morts par jour ; suicides, 27 par jour ; autres causes, vieillesse, accidents de la route, accidents professionnels, autres maladies infectieuses, autres maladies, accidents de la route, meurtres, over-dose de drogues et causes inconnues : 654. Du premier au 6 août 2020 il y a eu 47 décès prouvés comme étant la conséquence d’une infection avec le coronavirus, co-morbidité ou non, soit 7,8 décès par jour sur cette période, donc 4 fois moins que les décès par suicide et seulement 6 % de tous les morts à la suite d’infections pulmonaires. Et avec ces chiffres on parle déjà de nouveau confinement et de deuxième vague …
Et on veut continuer à nous emmerder avec cette histoire de virus ultra-dangereux. De qui se moquent les politiciens ? En fait la question est mal posée. À qui obéissent le chef de l’Etat français, son gouvernement et son administration pour prendre des décisions aussi stupides ? Ma question ne se limite pas seulement au coronavirus mais également aux décisions prises pour « sauver le climat », des mesures qui ne vont pas plaire aux ex-gilets jaunes accablés par une récession économique sans précédent depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, eux qui vont se trouver confrontés à toutes sortes de taxes insidieuses relatives à l’énergie. Ils vont ressortir de leur province non plus avec des gilets jaunes mais des gilets couleur de sang et armés de manches de pioche …
La «quatrième guerre mondiale» a-t-elle commencé ?
19:06 19.08.2020 Par Jean-Baptiste Mendès
Impuissant, l’Occident voit sa suprématie s’amenuiser face à l’appétit des ogres chinois, indien et russe. Selon l’essayiste Michel Geoffroy, le monde multipolaire est même entré dans une nouvelle guerre mondiale. Il est l’auteur du livre «La nouvelle guerre des mondes». Entretien choc.
«Cette quatrième guerre mondiale, cette guerre des mondes, provient du fait que les Occidentaux, emmenés par les États-Unis, s’efforcent par tous les moyens de maintenir leur domination sur un monde qui est en train de changer.» Michel Geoffroy est pessimiste. En déclin moral, démographique et géopolitique, l’Occident serait selon lui en difficulté face à l’émergence de nouvelles puissances, dans un monde devenu multipolaire. La pandémie de Covid-19, et le manque cruel de masques à ses débuts, ont d’ailleurs rappelé la dépendance considérable de l’Europe à l’égard de l’industrie chinoise. Les Américains n’auraient également plus «le monopole de la force», Pékin et New Delhi talonnant le budget militaire de Washington.
Pour l’auteur de La nouvelle guerre des mondes (Ed. Via Romana, 2020), plus de doute donc: la Chine et la Russie rejettent dorénavant le modèle occidental: «le monde s’est modernisé sans s’occidentaliser». Après la guerre froide, il s’agit donc pour lui d'une quatrième guerre mondiale. Alors faut-il craindre un conflit ouvert ?
«Recommandation» plutôt qu'«obligation» : Didier Raoult donne son avis sur l'imposition du masque
19 août 2020, 20:11
Alors que le port du masque devient obligatoire dans de nombreux lieux publics ouverts et fermés, le professeur Didier Raoult estime qu'il aurait été préférable de recommander plutôt que d'imposer son usage. Alors que l'imposition du port du masque s'étend en France, le professeur Didier Raoult «aurait préféré qu'on reste à un niveau de recommandation plus que d'obligation», tout en affirmant qu'il y avait une «certaine complexité à répondre» à la question de l'efficacité du port du masque pour empêcher les contaminations.
«Si les masques peuvent rassurer c'est une chose mais je suis inquiet qu'on fasse une fixation trop importante dessus, parce que maintenant c'est les gens qui vont vouloir faire la loi», a prévenu ce 19 août le directeur de l'IHU de Marseille, lors d'un entretien sur la chaîne Cnews. «Le masque ne joue pas qu'un rôle physique de protection par voie respiratoire, il joue un rôle de signal de "il y a une maladie contagieuse qui circule"», reconnaît néanmoins Didier Raoult qui affirme que le masque constitue un élément de protection important pour les soignants.
Il invoque cependant le risque de tension sociale que l'imposition peut provoquer. Lire aussi Le face-à-face - Y a-t-il un acharnement contre Didier Raoult ? «Il y a toujours un dictateur rentré dans beaucoup de gens qui voudraient imposer [...] Il risque d'y avoir des tensions, des bagarres», a-t-il expliqué.
«J'aurais préféré qu'on reste à un niveau de recommandation plus que d'obligation parce que j'ai peur que ça devienne encore quelque chose de clivant, de conflictuel», a-t-il encore développé. La ministre du Travail Elisabeth Borne a annoncé le 18 août que le port du masque sera «systématisé» d'ici fin août dans «tous les espaces clos et partagés» des entreprises.
Une demande qui avait été émise par plusieurs infectiologues pour réduire les risques de contamination. En outre, dans de nombreuses villes en France, comme c'est le cas dans de nombreux quartiers parisiens, il est désormais imposé de porter le masque dans les lieux publics ouvert. «Il faut se calmer, faire des recommandations de bon sens je crois, mais je redoute, dans une société qui est aussi fragile et aussi nerveuse, toutes les mesures qui augmentent cette tension qui n'est pas justifiée par les nombres», a encore estimé le célèbre promoteur français de l'hydroxychloroquine, qui insiste pour sa part sur l'importance de l'hygiène des mains pour lutter contre la transmission des virus.
Dans le même entretien, le professeur a assuré que la situation actuelle était différente de celle d'il y a quelques mois, au plus fort de l'épidémie. «Plus vous testez, plus vous trouvez de cas», souligne-t-il pour expliquer l'augmentation des cas ces dernières semaines dans l'Hexagone. Et d'ajouter, minimisant la gravité de la situation : «ceux qu'on trouve maintenant et ceux que l'on trouvait en février ou en mars, ce n'est plus la même maladie.»
Selon lui, les formes actuelles des cas de Covid-19 sont davantage «bénignes». Il n'y a «plus du tout de troubles de la coagulation» et «la proportion des gens hospitalisés est beaucoup plus faible», affirme-t-il.
Spoutnik V: la Russie expose les avantages de son vaccin face à ses futurs concurrents
16:00 20.08.2020
Le Fonds russe des investissements directs (RFPI) et le Centre Gamaleïa ont expliqué les avantages des vaccins utilisant des adénovirus humains, comme son vaccin Spoutnik V, sur le site officiel de ce premier vaccin anti-coronavirus au monde.
Spoutnik V, le premier vaccin contre le Covid-19 au monde créé en Russie, a des avantages face à ses futurs concurrents, puisqu’il utilise deux adénovirus humains à la fois, alors que les autres vaccins utilisent un seul adénovirus de chimpanzé, qui présenterait des risques pour l’Homme, a annoncé jeudi 20 août le Centre russe des investissements directs (RFPI) sur le site officiel du vaccin russe Sputnikvaccine.com.
«La vaccination en deux étapes à l'aide de deux adénovirus humains de sérotype 5 (Ad5) et 26 (Ad26) proposée par le RFPI et le Centre Gamaleïa présente un net avantage face à l’approche d’autres chercheurs qui utilisent un seul vecteur», affirme le Centre.
Une section du site officiel de Spoutnik V contient des liens vers des publications scientifiques sur l'histoire des vaccins à base d'adénovirus humains, leurs essais cliniques et base technologique, l'innocuité prouvée de cette approche, ainsi que l’application de tels vaccins dans la lutte contre diverses maladies comme le cancer.
Adénovirus humains, une base de vaccins plus sûre
Les adénovirus humains sont mieux connus et plus sûrs que les adénovirus de chimpanzé pour lesquels les risques de provoquer un cancer ou d’influer sur la fertilité de l’Homme n’ont pas été assez étudiés, note le RFPI.
«Il a été prouvé que les vaccins à adénovirus humains ne présentent aucun risque sanitaire à long terme, y compris aucun risque de provoquer un cancer ou d'affecter la fertilité. Leur sécurité sanitaire a été prouvée par plus de 75 publications internationales et plus de 250 essais cliniques», a noté le Centre.
D’autres moyens de fournir du matériel génétique viral pour stimuler la réponse immunitaire de l'organisme, notamment dérivés d’un adénovirus de chimpanzé, «n'ont jamais été utilisés dans les vaccins approuvés auparavant. Il n’y a pas eu d’études sur leurs effets à long terme sur le corps humain, y compris le risque d'un cancer et l'effet sur la fertilité», selon le communiqué.
Dans le même temps, les adénovirus humains font l’objet d’études en tant que base potentielle de vaccins depuis 1953. Plus de 20.000 personnes ont participé à des essais cliniques de tels vaccins qui ont été utilisés par plus de 10 millions de militaires américains et plus de 30.000 soldats chinois depuis 1971, rappelle le RFPI.
Nouvelle étape d’essais cliniques en Russie
Une nouvelle étape d’essais du premier vaccin contre le Covid-19 commencera en Russie la semaine prochaine, en même temps que la vaccination des volontaires des groupes à risque.
Plus de 40.000 personnes participeront à ces essais randomisés en double aveugle contrôlés contre placebo qui se dérouleront dans plus de 45 centres médicaux russes, selon le RFPI.
L'Allemagne lance une expérience sur le revenu de base universel
par Tyler Durden Jeu, 20/08/2020 - 04:15
L'Allemagne est sur le point de s'essayer à un revenu de base universel (UBI), après que 1500 personnes se soient inscrites à une étude de trois ans pour observer les effets sur l'économie et le bien-être des bénéficiaires, selon Business Insider.
Parmi ceux qui se sont inscrits, 120 personnes recevront l'équivalent de 1 430 USD par mois pendant trois ans - juste au-dessus du seuil de pauvreté de l'Allemagne. Leur vie sera comparée aux 1 380 personnes restantes qui ne recevront pas les paiements. Les participants seront invités à remplir des questionnaires sur leur vie - y compris leur état émotionnel et leur statut professionnel, pour voir si l'UBI a eu un impact significatif.
Bien sûr, comme nous et d'autres l'avons remarqué à maintes reprises, les expériences UBI se terminent généralement par un désastre. Cela dit, cela aide vraiment si vous avez une presse à imprimer géante et que vous êtes la monnaie de réserve mondiale pendant une pandémie (et pendant combien de temps ?). L'étude cherchera également à déterminer si l'UBI décourage le travail ou si les gens continueront à "faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie'', selon Jürgen Schupp, enquêteur principal de l'étude.
Semble familier ?
L'expérience allemande a été financée par 140 000 dons privés et est menée par l'Institut allemand de recherche économique.
Le revenu de base universel est l'idée qu'un gouvernement devrait verser une somme forfaitaire à chacun de ses citoyens, généralement une fois par mois, quels que soient leurs revenus et leur situation professionnelle, remplaçant effectivement les prestations soumises à conditions de ressources.
Ses partisans soutiennent que cela réduirait les inégalités et améliorerait également le bien-être public en offrant aux gens une plus grande sécurité financière. Ses opposants disent que ce serait trop cher et découragerait les gens d'aller travailler. L'idée a gagné du terrain ces dernières années au milieu des récentes crises financières et des inégalités croissantes dans certains pays occidentaux. -Interne du milieu des affaires
Schupp a déclaré à Der Spiegel que l'expérience produirait des preuves scientifiques qui `` amélioreraient le débat '' sur l'UBI.
"Le débat sur le revenu de base a jusqu'à présent été comme un salon philosophique dans les bons moments et une guerre de foi dans les mauvais moments", a-t-il déclaré, ajoutant: "Il est - des deux côtés - façonné par des clichés: les opposants affirment qu'avec un principe de base les gens à revenus cesseraient de travailler pour s'émousser sur le canapé avec des services de restauration rapide et de streaming.Les partisans soutiennent que les gens continueront à faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie.
"Incidemment, ces stéréotypes se retrouvent également dans les simulations économiques en tant qu'hypothèses sur les coûts et avantages supposés d'un revenu de base.
"Nous pouvons améliorer cela si nous remplaçons ces stéréotypes par des connaissances empiriquement prouvées et pouvons donc mener un débat plus approprié."
Un groupe de pression pro-revenu de base appelé Mein Grundeinkommen finance l'expérience. Le groupe a utilisé les dons de ses sympathisants pour financer des paiements mensuels de 1000 € (1194 $) pour 668 personnes depuis 2014.
La Finlande a expérimenté sa propre forme de revenu de base universel pendant près de deux ans entre janvier 2017 et décembre 2018, mais a conclu que si cela conduisait les personnes au chômage à se sentir plus heureux, cela n'entraînait pas une augmentation de l'emploi, a rapporté la BBC. Au cours de l'expérience, 2 000 Finlandais sans emploi ont reçu 560 € (667 dollars) par mois. -Interne du milieu des affaires
Comme nous l'avons noté en 2018, The Telegraph explique que le revenu de base universel est une forme de paiement en espèces versé aux particuliers, sans conditions de ressources ni exigences de travail. Dans certains modèles, ce taux est suffisant pour couvrir tous les frais de subsistance.
Les partisans soutiennent que:
L'absence de conditions de ressources coûteuses conduit à une proportion plus élevée du budget allant aux bénéficiaires. Ce serait plus efficace
La transparence des paiements universels réduirait considérablement la nécessité de détecter la fraude aux prestations
Un système pourrait remplacer le système complexe actuel de prestations gouvernementales, de remises et de remises fiscales
Le travail profitera toujours aux bénéficiaires de cette aide, plutôt que le «piège des avantages» qui laisse les travailleurs à temps partiel
Les critiques soutiennent que:
Le revenu universel peut être inflationniste et, en essayant de sortir tous les individus de la pauvreté, il peut simplement élever le niveau du seuil de pauvreté
Cela peut réduire l'incitation à travailler et des études ont trouvé des preuves à l'appui.
Une réduction du revenu imposable réduirait la capacité du gouvernement à couvrir d’autres dépenses, comme les soins de santé
Comme l'écrivait Nathan Keeble (via l'Institut Mises) en 2017: «Un revenu de base universel n'est pas la politique de protection sociale envoyée par Dieu comme il semble au départ. Il ne crée pas d'incitation à travailler. Cela n'aidera pas à résoudre le chômage, et cela ne réduira pas la pauvreté. La vérité est qu'un UBI exagérera tous ces facteurs par rapport à ce qui existerait dans un marché plus libre. Il y a même des raisons de penser que ce serait pire à long terme que les moyens traditionnels. des systèmes de bien-être testés. "
(...) L'étude cherchera également à déterminer si l'UBI décourage le travail ou si les gens continueront à "faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie'', selon Jürgen Schupp, enquêteur principal de l'étude. (...)
Hum ! L'Allemagne n'est PAS une Démocratie mais son contraire! une république !
Pour ce qui est du RU faudrait voir quelles sommes sont expédiées aux pays étrangers !!
Des pièces australiennes de cinq et dix cents disparaissent alors que la pandémie inaugure une 'société sans numéraire'
par Tyler Durden Jeu, 20/08/2020 - 01:00
Les pièces de cinq et dix cents australiennes pourraient mordre la poussière alors que la pandémie de coronavirus a accéléré le déclin de la circulation des pièces.
Avant la pandémie, la circulation des pièces en Australie a connu une forte baisse de l'utilisation des pièces de 5 et 10 cents.
Le PDG de la Royal Australian Mint, Ross MacDiarmid, a déclaré à ABC News qu'il s'attend à ce que les pièces de 5 et 10 cents soient progressivement retirées de la circulation dans les années à venir, ajoutant que la pandémie a probablement raccourci la durée de vie naturelle des pièces.
"Il ne fait aucun doute qu'il y a eu une baisse significative de la demande de pièces en circulation au cours des cinq à six dernières années", a déclaré MacDiarmid.
"La baisse de la demande de pièces (est) d'environ 55 à 56 pour cent", a-t-il déclaré.
La Banque de réserve d'Australie (RBA) a récemment publié des données montrant le déclin rapide de la monnaie physique utilisée dans les transactions au cours de la dernière demi-décennie. La RBA a souligné une baisse sans précédent de l'utilisation de l'argent liquide en raison de la pandémie de virus qui a forcé les gens à effectuer des transactions en ligne et à utiliser des paiements sans contact.
"Les retraits aux guichets automatiques en avril ont diminué de 30 pour cent par rapport au mois précédent et de plus de 40 pour cent de moins que 12 mois plus tôt", a déclaré en juin la gouverneure adjointe de la RBA, Michele Bullock.
«La hausse de l'inflation, associée à la croissance des paiements en ligne et sans contact, rendent les modestes argentés obsolètes, malgré leur place en tant que pilier des bocaux de café, des boîtes de charité et des cantines scolaires», a déclaré ABC.
MacDiarmid a déclaré que les pièces sortantes seraient échangeables dans les banques et pourraient toujours être utilisées dans les magasins.
Il a déclaré que le gouvernement avait soigneusement examiné la pièce de 50 cents:
"Nous surveillons son utilisation en circulation pour voir s'il y a un besoin quelque part dans le futur pour une pièce 50c différente à produire", a déclaré MacDiarmid.
"Ce n'est pas quelque chose que nous avons nécessairement soulevé avec le gouvernement, mais c'est peut-être quelque chose qui pourrait être soulevé à l'avenir", a-t-il ajouté.
MacDiarmid a cité un chiffre, soulignant la forte baisse des pièces de monnaie au cours des cinq dernières décennies. Il a déclaré qu'il n'y avait que 4 milliards de pièces en circulation, contre 15 milliards en 1965.
La baisse de l'argent physique attribuée à la pandémie de virus a également été observée aux États-Unis au cours des deux derniers mois. Une pénurie de pièces a contraint de nombreuses entreprises à n'accepter que la monnaie exacte et / ou à n'accepter que les cartes de crédit et de débit.
La disparition des pièces australiennes de 5 et 10 cents au milieu de la montée des paiements sans contact, suralimentée par la pandémie de virus, ainsi que de la pénurie de pièces aux États-Unis, obligeant également les gens à utiliser les paiements sans contact, suggère certainement qu'une société sans numéraire est à venir.
(...) Ross MacDiarmid, a déclaré à ABC News qu'il s'attend à ce que les pièces de 5 et 10 cents soient progressivement retirées de la circulation dans les années à venir, ajoutant que la pandémie a probablement raccourci la durée de vie naturelle des pièces. (...)
Cela n'a rien à voir avec la grippette corona mais à une interdiction de payer en espèces !
Le patrimoine économique national a augmenté de 3,5% en 2018.
Êtes-vous assez riche pour vous acheter la France, à l’image de Donald Trump qui voulait acquérir le Groenland ? La réponse est sûrement non. Chaque début d’année, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publie sa synthèse générale des comptes sur le patrimoine économique de la France.
France : une richesse due à un important patrimoine immobilier et financier
La France est aujourd’hui la 6 ème puissance économique mondiale et la seconde puissance économique européenne derrière l’Allemagne. Mais d’où tient-elle sa richesse ? Fin 2018, l’Insee avait évalué le patrimoine économique français à 15.482 milliards d’euros, soit 8 fois le produit intérieur brut. Le patrimoine économique national est la différence entre la valeur des actifs (ce que l'on possède) et celles des passifs (ce que l'on doit) des ménages, des sociétés et des administrations publiques.
Sans surprise, une grande partie de cette richesse est constituée des constructions et des terrains pour plus de 12.000 milliards d'euros, dont près de la moitié en terrains bâtis (5.553 milliards d’euros). Il y a ensuite les logements pour 4.630 milliards. La France possède également d’autres bâtiments dit de génie civil (pont, musée, routes, tunnels...) pour 2.096 milliards d’euros. Les actifs « non produits » par l’homme comme les ressources naturelles - en dehors du patrimoine naturel (océan, air) - sont également comptabilisés (1.477 milliards d’euros) en opposition aux actifs « produits » par l’homme : stocks, machines et équipements (1.721 milliards)
À cela, il faut ajouter les actifs financiers : titres de créance, actions, crédits, dépôts et assurances-vie qui représentent un total de 46.452 milliards d’euros. « Les ménages continuent de privilégier les placements bancaires. L’encours en numéraire et dépôts progresse quasiment au même rythme qu’en 2017 (+ 4,5 % après + 4,6 %), soutenu par une hausse des placements sur livrets et dépôts à vue dans un contexte de taux bas » précise l’Insee. Pour terminer ce savant calcul, il faut soustraire « le passif » ( dettes) : soit plus de 30.000 milliards d’euros.
À qui cela appartient le patrimoine économique de la France ?
Le patrimoine économique national dépend de moins en moins des caisses de l’État. Il est détenu à 75% par les ménages, à 17% par les entreprises non-financières et 4,7% par les sociétés financières. Les 2% restants sont la propriété des administrations publiques donc L'Etat. Depuis plusieurs années, l’État vend régulièrement ces biens (parcelles vides, appartements, terrains, maisons, locaux …) pour tenter de renflouer ses caisses. Une plateforme a même été créée en 2019 pour répertorier les annonces. C’est France Domaine, un service de la direction générale des finances publiques qui s’occupe des cessions immobilières de l’État. Il met également régulièrement aux enchères différents biens comme des véhicules, des bijoux, des articles de sport… S’il est toutefois propriétaire des cathédrales, châteaux, forêts domaniales, œuvres d'art sur son territoire, cette partie du patrimoine ne peut pas être vendue.
La France appartient donc bien aux Français, quoi qu’en disent les rumeurs. Mais la répartition du patrimoine est inégale. Selon une étude de l'Insee : en 2018, 1% des Français les plus riches détenaient 16% du patrimoine et les 5% les plus riches possédaient un tiers du patrimoine ; cette proportion a très peu changé depuis. Malgré ce résultat, la France fait partie des pays les moins inégalitaires de monde, derrière le Japon et le Royaume-Uni.
LES MAGASINS U SE LANCENT SUR LE MARCHÉ DE L'OCCASION
par ANTON KUNIN 20/08/2020
À ce jour, deux magasins U ont annoncé leur participation au dispositif U Occasion.
Après Leclerc, Auchan et Carrefour, c’est au tour des magasins U de tâtonner le terrain de l’achat-revente de produits d’occasion. Deux hypermarchés de l’enseigne viennent de lancer l’achat auprès des particuliers afin de constituer un stock.
Les magasins U revendront du petit électro-ménager et des produits informatiques d’occasion
C’est un curieux stand qui s’est invité à l’Hyper U Aizenay et à l’Hyper U Mayenne, celui de l’achat de produits d’occasion auprès de particuliers. Le magasin vous achète des produits de catégories suivantes : informatique, téléphonie, petit électro-ménager, son et image, culture ainsi que jeux / consoles / rétrogaming. Si le client est content du prix d’achat proposé, le produit est vendu à l’enseigne, et le client reçoit en échange un bon d’achat qu’il peut dépenser sur tout le magasin.
À l’heure actuelle les magasins U ne font qu’acheter des produits d’occasion à des particuliers afin de constituer un stock. On peut imaginer qu’ils seront ensuite « reconditionnés » avant d’être proposés à la vente. Et pour les clients, l’idée d’obtenir dès aujourd’hui un bon d’achat utilisable immédiatement sur tout le magasin est un puissant levier psychologique censé les inciter à venir revendre leurs articles.
Un moyen de plus pour fidéliser les clients
Selon les informations du magazine LSA, il n’y a pas de modèle unique pour l’achat-revente des articles d’occasion, chaque magasin U participant sera libre de faire ce qu’il veut. Les directeurs de magasins pourront choisir de placer des produits d’occasion soit dans un espace dédié, soir dans l’Espace U techno, soit au comptoir Service après-vente, soit au milieu des articles neufs en les identifiant bien comme des produits d’occasion.
Cette stratégie pourrait potentiellement fidéliser les clients des magasins U : en sachant que les produits d’occasion tournent tout le temps, ils pourraient avoir une raison de plus de se rendre dans le magasin à intervalles réguliers.
Ferme maraîchère, Al-Badia, produit différents légumes à la verticale avec des techniques alliant des contrôles de la lumière et l’irrigation, en se targuant de recycler 90 % de l’eau utilisée. « C’est une révolution agricole au milieu du désert, explique le directeur de la ferme Bassel Jamal. On apporte à chaque plante la quantité de lumière, d’humidité, de chaleur et d’eau dont elle a besoin. Comme si elle était un client d’un hôtel cinq étoiles. »
Les leçons de la pandémie
La pandémie de Covid-19, en soulignant le risque d’une perturbation de l’approvisionnement à l’échelle mondiale en produits périssables, est venue rappeler l’importance du concept de sécurité alimentaire. Dubaï et les Émirats arabes unis en général ont peu de ressources en eau, peu de terres arables et un environnement désertique hostile à l’agriculture.
La question de la sécurité alimentaire ne se posait pas il y a quelques décennies lorsque Dubaï et ses voisins étaient habités par des Bédouins qui se contentaient d’une poignée de dattes et d’une gorgée de lait de dromadaire. Mais entre la richesse engendrée par le pétrole et la ruée de millions d’expatriés, Dubaï compte aujourd’hui plus de 3,3 millions d’habitants de 200 nationalités. Les besoins alimentaires ont augmenté et se sont diversifiés.
> À lire aussi : Des milliers de vaches importées au Qatar pour assurer l’autosuffisance en lait (29/11/2017)
90 % des besoins alimentaires importés
Dubaï, comme les six autres membres de la fédération des Émirats arabes unis, importe 90 % de ses besoins alimentaires, selon les statistiques officielles. Les produits, notamment frais arrivent du monde entier par voie aérienne, et les marchés de Dubaï n’ont rien à envier à ceux des grandes capitales occidentales. Mais dans une région instable, face à l’Iran, l’autosuffisance alimentaire devient un objectif clé à long terme.
Il y a plus de dix ans, les Émirats ont commencé à acheter ou à louer des terres agricoles à l’étranger, principalement en Afrique de l’Est, afin de garantir l’approvisionnement même en temps de crise. Mais l’instabilité politique sur le terrain, les a conduits à se tourner vers l’Australie et l’Europe de l’Est et à adopter d’autres stratégies, notamment la constitution de stocks et une agriculture de haute technologie.
Un « choix pour l’avenir »
Pour Bassel Jamal, le modèle de la ferme qu’il dirige, où tout est contrôlé par des ordinateurs, est un « choix pour l’avenir ». « Nous ne voulons plus dépendre des importations. Nous voulons produire localement, tout au long de l’année sans se préoccuper du changement climatique, de la pluviométrie ou de la sécheresse », explique-t-il.
À l’instar d’Al-Badia, de nombreuses fermes poussent à Dubaï et dans les émirats voisins. Abdellatif al-Banna cultive des ananas dans quatre serres où tout est soigneusement contrôlé et écoule sa production via une plateforme internet. La pisciculture se développe également avec une ferme de saumon à Dubaï dont la qualité de la production est saluée à travers l’émirat.
Quant à l’élevage, Dubaï compte plusieurs fermes qui alimentent des laiteries répondant en partie aux besoins du marché en produits laitiers. Ces unités agricoles, souvent le fruit d’investissements privés, sont encouragées par le gouvernement de l’émirat, selon Omar Bouchehab, qui préside le Comité de la sécurité alimentaire de Dubaï.
Accroître la production de 15 % en 2021
Un plan destiné à accroître de 15 % la production agricole locale en 2021 est en cours, a-t-il assuré. « Le renforcement des technologies agricoles et de leur utilisation doit être augmenté de 30 % » pour la même période.
Au début de la crise sanitaire, Dubaï n’a pas connu de difficultés d’approvisionnement en produit frais, en dépit de sa grande dépendance des importations. Grâce au maintien du transport aérien de marchandises, Dubaï a même été capable d’assurer la réexportation de différents produits alimentaires chez ses voisins.
Au Fresh Market, un grand marché de produits frais, une foule d’ouvriers s’affaire à transporter et à stocker des tonnes de produits alimentaires frais importés. « Dubaï a une infrastructure adéquate et un stock capable de subvenir aux besoins des Émirats et même aux besoins des pays voisins », assure le directeur exécutif de cette plateforme, Redha al-Mansouri.
Il s'agit d'une serre. Dans une serre vous faites le climat que VOUS voulez. De plus, les serres hermétiques redistribuent donc l'eau évaporée et, ne provoquent aucune maladie puisque la serre est fermée.
C'est du copié-collé de ce qu'avait entreprit le président Mouammar Kadhafi en Libye avec l'irrigation (gratuite de l'eau infiltrée depuis le bassin méditerranéen) des déserts.
Les nouveau-nés noirs sont trois fois plus susceptibles de mourir lorsqu'ils sont soignés par un médecin blanc: étude
RAPPORT DU 19 AOÛT 2020 par Bob Yirka, Medical Xpress
Une équipe de chercheurs de plusieurs institutions aux États-Unis a constaté que les nouveau-nés noirs sont trois fois plus susceptibles de mourir juste après la naissance lorsqu'ils sont soignés par un médecin blanc, par rapport à la moyenne nationale. Dans leur article publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences, le groupe décrit son étude des dossiers médicaux de Floride et de la race des médecins s'occupant des nouveau-nés, et ce qu'ils ont trouvé.
Plusieurs études récentes ont montré que les Noirs aux États-Unis ne reçoivent pas le même niveau de soins médicaux que les Blancs. Des recherches antérieures ont également montré que les bébés noirs sont plus de deux fois plus susceptibles de mourir au cours de leur première année de vie que les bébés blancs. Dans ce nouvel effort, les chercheurs ont maintenant découvert que les nouveau-nés noirs ont moins de chances de survivre s'ils ont des médecins blancs.
Le travail a consisté à obtenir les registres de naissance d'environ 2 millions de bébés nés en Floride au cours des années 1992 à 2015. Pour chacune des naissances, des photographies du médecin qui les a accouchés ont également été obtenues afin de vérifier leur race. L'équipe a ensuite analysé les données, à la recherche d'écarts. Ils ont constaté que les bébés noirs mouraient à un taux plus élevé lorsqu'ils étaient soignés par un médecin blanc par rapport à la moyenne nationale pour tous les décès de nouveau-nés - à un taux de 430 pour 100 000. Ce n'était pas le cas, cependant, lorsque des bébés noirs sont nés sous les soins de médecins noirs. Ce taux était de 173 pour 100 000 décès - 58% de mieux, mais toujours plus élevé que la moyenne nationale.
Les chercheurs ont noté que les différences dans les taux de mortalité semblaient être plus corrélées dans les accouchements compliqués, ce qui était attendu. Malheureusement, il y avait des corrélations similaires dans les hôpitaux qui ont accouché d'un grand nombre de bébés noirs.
Les travaux de l'équipe n'ont pas révélé la raison des écarts constatés, bien qu'ils suggèrent que le racisme joue probablement un rôle clé. Il n'était pas non plus clair si les taux de mortalité plus élevés étaient dus à une moins grande diligence de la part des médecins blancs ou au fait que les médecins blancs moins qualifiés étaient plus susceptibles de pratiquer dans des hôpitaux où davantage de bébés noirs naissent.
Étude: la construction de barrages dans les années 1970 a interrompu le réchauffement climatique
Le niveau de la mer monte Eric Worrall 19 août 2020
Une étude menée par le JPL a suggéré que la construction de réservoirs d'eau dans les années 1970 a empêché tellement d'eau de s'écouler dans la mer qu'elle a interrompu l'élévation du niveau de la mer.
Changement climatique: les barrages ont joué un rôle clé dans la limitation de l'élévation du niveau de la mer
Par Matt McGrath Correspondant environnement
La construction de barrages à grande échelle a joué un rôle surprenant dans la limitation de la montée des mers, disent les scientifiques.
Au cours du siècle dernier, la fonte des glaciers et l'expansion thermique de l'eau de mer ont fait monter le niveau des océans.
Mais cette nouvelle étude révèle que les barrages ont presque stoppé la montée des mers dans les années 1970 en raison de la quantité d'eau qu'ils ont empêchée de pénétrer dans les océans.
Sans eux, le taux de croissance annuel aurait été d'environ 12% plus élevé. (...)
https://www.bbc.com/news/science-environment-53836018 Le résumé de l'étude;
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Les causes de l'élévation du niveau de la mer depuis 1900
19 août 2020
Thomas Frederikse, Felix Landerer, Lambert Caron, Surendra Adhikari, David Parkes, Vincent W. Humphrey, Sönke Dangendorf, Peter Hogarth, Laure Zanna, Lijing Cheng et Yun-Hao Wu
Le taux d'élévation du niveau moyen de la mer dans le monde depuis 1900 a varié dans le temps, mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1. Les évaluations précédentes ont montré que les contributions totales de la perte de masse de glace, du stockage de l'eau terrestre et de l'expansion thermique de l'océan ne pouvaient pas être conciliées avec les changements observés du niveau moyen de la mer à l'échelle mondiale, ce qui implique que les changements du niveau de la mer ou certaines contributions à ces changements étaient médiocres. contraint2,3.
Les récentes améliorations apportées aux données d'observation, notre compréhension des principaux processus contribuant au changement du niveau de la mer et les méthodes d'estimation des contributions individuelles, signifient qu'une nouvelle tentative de réconciliation est justifiée. Nous présentons ici un cadre probabiliste pour reconstruire le niveau de la mer depuis 1900 en utilisant des observations indépendantes et leurs incertitudes inhérentes.
La somme des contributions au changement du niveau de la mer provenant de l'expansion thermique de l'océan, de la perte de masse de glace et des changements dans le stockage de l'eau terrestre est cohérente avec les tendances et la variabilité multidécennale du niveau de la mer observé à l'échelle mondiale et à l'échelle du bassin, que nous reconstruisons à partir de registres marégraphiques.
La perte de masse de glace - principalement des glaciers - a causé deux fois plus d'élévation du niveau de la mer depuis 1900 que l'expansion thermique. La perte de masse due aux glaciers et à la calotte glaciaire du Groenland explique les taux élevés d'élévation du niveau de la mer dans le monde au cours des années 1940, tandis qu'une forte augmentation de la retenue d'eau par des réservoirs artificiels est la principale cause des taux inférieurs à la moyenne au cours des années 1970.
L'accélération de l'élévation du niveau de la mer depuis les années 1970 est causée par la combinaison de l'expansion thermique de l'océan et de l'augmentation de la perte de masse de glace du Groenland. Nos résultats concilient l'ampleur de l'élévation moyenne globale du niveau de la mer observée depuis 1900 avec des estimations basées sur les processus sous-jacents, ce qui implique qu'aucun processus supplémentaire n'est nécessaire pour expliquer les changements observés du niveau de la mer depuis 1900.
https://www.nature.com/articles/s41586-020-2591-3
Une élévation du niveau de la mer de quelques mm / an ne constitue une menace pour le bien-être de personne. Mais je trouve fascinant que la construction de quelques projets de barrages ait apparemment suffi à enrayer cette prétendue menace climatique sérieuse.
Si la construction de quelques barrages dans les années 1970 suffisait à freiner l'élévation du niveau de la mer, il y a beaucoup d'autres projets d'eau gigantesques sur la planche à dessin qui bloqueraient probablement l'élévation du niveau de la mer pendant encore quelques décennies, comme le projet égyptien de dépression de Qattara, le CSIRO Three Rivers Northern Catchment Scheme, ou l'une des nombreuses variantes du Bradfield Scheme. La Chine possède une vaste zone de friches inutiles qui pourraient éventuellement être remplies d'eau. Même le remplissage de ces dépressions naturelles avec de l'eau de mer dans de nombreux cas pourrait améliorer le microclimat local.
(...) Changement climatique: les barrages ont joué un rôle clé dans la limitation de l'élévation du niveau de la mer (...)
HAHAHAHAHA !
Jusqu'à plus amples informations, un barrage... rejette autant d'eau qui lui arrive !! Cà alors !! Because qu'il déborderait !
(...) Le taux d'élévation du niveau moyen de la mer dans le monde depuis 1900 a varié dans le temps, mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1. (...)
'mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1'. !!
HAHAHAHAHA !
La modification du niveau des mers & océans est uniquement due aux tremblements de terre qui élèvent des monticules sous-océaniques (pas encore des îles) ou, crée des failles dans lesquelles l'eau s'infiltre depuis toujours. Voir carte du monde y a x millions ou milliards d'années.
Une percée «roman» ? De nouvelles études montrent que les cellules T mémoire offrent une immunité COVID à long terme et préexistante
par Tyler Durden Jeu, 20/08/2020 - 10:35
Une grande partie des discussions sur le coronavirus au cours des deux derniers mois a porté sur les anticorps.
Ils sont considérés comme faisant partie de la clé pour débloquer des questions sur l'immunité au virus. Plus précisément, les chercheurs ont examiné comment les vaccins induisent des réponses anticorps et combien de temps durent les protections anticorps après que quelqu'un ait eu le virus. Dans les réponses à ces questions se trouve la réponse à une autre: comment et quand parviendrons-nous à l'immunité collective ?
Il y avait eu des inquiétudes concernant les anticorps anti-coronavirus au cours des derniers mois, car plusieurs études ont montré qu'ils ne pouvaient durer que plusieurs mois. Cela avait conduit à une litanie de questions sur la fréquence à laquelle il faudrait se faire vacciner et si nous deviendrions ou non immunisés contre le «nouveau» virus.
Mais vendredi, une nouvelle étude mise en évidence par Business Insider a déplacé l'attention des anticorps vers les cellules T mémoire - les cellules qui identifient et détruisent les cellules infectées et expliquent aux cellules B comment fabriquer des anticorps.
L'étude, publiée dans Cell, suggère maintenant que toute personne qui reçoit le COVID-19 développe des cellules T qui peuvent offrir une immunité à long terme en traquant le coronavirus à des dates ultérieures. «Les lymphocytes T mémoire s'avéreront probablement essentiels pour la protection immunitaire à long terme contre le COVID-19», indique l'étude.
L'étude a examiné le sang de 206 personnes en Suède qui avaient été exposées au COVID-19 à divers degrés de gravité. Indépendamment de l'exposition d'une personne, ils ont développé une réponse «robuste» des cellules T, selon l'étude. Et même ceux qui ont été testés négatifs aux anticorps ont développé des cellules T mémoire, selon l'étude.
Même le Dr Anthony Fauci a même qualifié les études sur les cellules T comme celle-ci de «bonnes nouvelles» pour lutter contre le virus. "Les personnes qui ne semblent pas avoir de titres d'anticorps élevés, mais qui sont infectées ou ont été infectées, ont de bonnes réponses en lymphocytes T", a-t-il déclaré lors d'une interview sur Facebook jeudi dernier.
De même, une étude réalisée en juillet a révélé que chez 36 patients atteints de COVID-19 qui se sont rétablis, tous ont produit des cellules T mémoire qui «reconnaissent et sont spécifiquement conçues pour lutter contre le nouveau coronavirus». Une troisième étude, publiée dans Nature, a révélé que sur 18 personnes étudiées, plus de 80% ont développé ces cellules T.
Ces études précédentes ont également révélé que de nombreuses personnes qui n'ont jamais eu COVID-19 semblent avoir des cellules T mémoire capables de reconnaître le nouveau virus. Ceci, bien sûr, signifierait que le virus n'est pas un «roman» comme nous le pensions autrefois. Dans l'étude de juillet, plus de la moitié des personnes avaient déjà les cellules T et dans l'étude Nature, plus d'un tiers avaient déjà les cellules T.
Une autre étude publiée plus tôt en août a montré que 25 personnes qui n'avaient jamais eu COVID-19 avaient des lymphocytes T mémoire capables de le reconnaître. En d'autres termes, ils bénéficiaient d'une forme d'immunité préexistante.
La durée de vie de ces cellules T peut être immense. Par exemple, dans l'étude de juillet, les cellules T dans les échantillons de sang de 23 personnes qui ont survécu au SRAS étaient toujours là 17 ans plus tard. Les mêmes cellules T "pourraient reconnaître le nouveau coronavirus".
Alessandro Sette, co-auteur de cette étude, a déclaré: "Cela pourrait aider à expliquer pourquoi certaines personnes présentent des symptômes plus légers de la maladie alors que d'autres tombent gravement malades."
"Vous commencez avec un petit avantage - une longueur d'avance dans la course aux armements entre le virus qui veut se reproduire et le système immunitaire qui veut l'éliminer", a-t-il conclu.
Nous nous demandons si cela pourrait faire partie de la raison pour laquelle les chiffres de Covid-19 aux États-Unis commencent à se renverser, comme nous l'avons noté hier.
De retour le 14 juillet, lorsqu'une vague de nouveaux cas de Covid balayait les États de la ceinture solaire, incitant beaucoup à spéculer si une nouvelle série de fermetures était imminente, nous avons pris l'autre côté de l'argument et avons dit que le pic de la pandémie avait atteint, et que dans Arizona - un état d'épidémie récente précoce, "le pire était passé pour l'évasion de COVID."
Nous avions raison, et comme Bank of America l'a écrit hier, l'Arizona a connu une baisse de 66% depuis son sommet du 14 juillet, tandis que les États-Unis excluent. les quatre principaux états d'épidémies récentes (AZ, CA, FL, TX) connaissent une baisse de 13% depuis le pic du 30 juillet.
- voir graphique sur site -
Il y a plus: comme le souligne également BofA, "nous continuons à voir des signes clairs que le coronavirus se répande aux États-Unis alors que le nombre de personnes hospitalisées en raison du COVID-19 diminue à un rythme rapide d'environ un pour cent par jour (26% en 23 jours). "
En extrapolant, ce taux de déclin signifie qu'il ne pourrait y avoir aucune hospitalisation liée à Covid autour du jour des élections du 3 novembre, un exploit qui, s'il est commercialisé correctement, pourrait faire la différence pour Trump entre la victoire et la défaite.
par Tyler Durden Jeu, 20/08/2020 - 10:15 Rédigé par Zachary Yost via The Mises Institute,
Alors que l'élargissement du tourbillon qu'est 2020 continue de tourner, il semble que chaque jour une nouvelle proposition désastreuse et mal pensée soit faite ou qu'une politique soit mise en œuvre. Dans le chaos, le chœur de l'annulation du loyer en particulier a retenu l'attention pour sa pure insolence et la facilité avec laquelle il est entré dans le discours en tant que solution politique raisonnable.
L'idée de supprimer la rente n'est pas nouvelle, mais jusqu'à présent, elle n'a jamais vraiment été considérée comme autre chose qu'une chimère de folie. Mais avec le carnage économique causé par le virus et le verrouillage du gouvernement qui s'ensuit toujours en cours, il en est venu à être considéré comme une option politique concevable. Avec des dizaines de millions de personnes sans travail, la capacité de payer pour les nécessités de base comme le logement est évidemment une préoccupation valable, mais le caractère insensé de l'idée d'exproprier simplement le logement des propriétaires est inquiétant et révélateur de tendances plus sombres qui traversent le corps politique dans ces domaines. temps turbulents.
L'un des leaders les plus en vue du mouvement d'annulation de loyer est la députée du Minnesota Ilhan Omar, qui a présenté une législation en avril qui ne revient essentiellement à rien d'autre que l'extorsion gouvernementale des propriétaires. Christian Britschgi rapporte que le projet de loi annulerait simplement tous les paiements de loyer et d'hypothèque pour les résidences principales dans tout le pays jusqu'à un mois après la fin de l'état d'urgence fédéral. Tenter de percevoir un loyer ou signaler le non-paiement du loyer à des agences de crédit entraîne une augmentation des amendes, y compris la saisie de ses biens.
Après qu'Omar eut porté une batte de baseball aux genoux des propriétaires partout, elle a généreusement étendu une béquille gouvernementale, avec des cordes attachées, bien sûr. Les propriétaires qui acceptaient une aide fédérale en compensation seraient tenus de ne pas augmenter le loyer pendant cinq ans, et ils ne seraient pas en mesure de prendre en considération le crédit ou les antécédents criminels de quelqu'un lors de la prise des demandes de location. De plus, les propriétaires seraient tenus de fournir aux locataires une valeur nette de 10% dans la propriété. La mafia serait fière d'un shakedown aussi flagrant.
Heureusement, le projet de loi d'Omar a une chance incroyable de devenir loi pour le moment, mais cela ne signifie pas que les gens ne continueront pas d'essayer d'annuler le loyer. Depuis le début de la crise, des groupes à travers le pays ont appelé les gens à simplement cesser de payer leur loyer pour tenter de forcer simplement son annulation. La chroniqueuse du Washington Post Michelle Singletary a écrit que "ce mouvement n'est pas sans mérite", mais a au moins souligné que si de nombreuses juridictions ont mis un moratoire sur les expulsions, le loyer qui n'est pas payé maintenant sera toujours dû si le locataire ne le souhaite pas. font face à l'expulsion lorsque les moratoires expirent.
Le Mouvement unifié de défense du voisinage, qui a un chapitre agité à Pittsburgh, a un manifeste rempli de mots à la mode socialistes sur les maux du système capitaliste qui opprime tout le monde pour ne pas leur fournir un logement gratuitement en vertu de leur existence. Avec le sérieux d'un étudiant de première année fraîchement sorti d'un bang, ils déclarent que:
«Les logements devraient être collectivement possédés, gérés et construits pour le plus grand bénéfice de ceux qui y vivent. Le logement est un droit du peuple et ne devrait pas être une cause de profit privé. »
De même, écrivant dans Teen Vogue, Kandist Mallet a lancé une attaque socialiste totale contre l'idée même de la propriété elle-même, affirmant que le logement privé provoque la «violence économique» et que la pandémie a révélé «la cruauté du logement payant». Selon Mallet, le logement doit être considéré comme un droit humain qui doit être garanti à chacun en raison de sa naissance. Mais au lieu de cela, la mauvaise institution de la propriété est défendue par l'État et ses agents. Ce n’est pas surprenant, déclare-t-elle, puisque les États-Unis sont «un pays fondé sur le génocide et la colonisation des peuples autochtones».
«Alors que le loyer devrait bien sûr être annulé pendant la pandémie, affirme-t-elle, l’objectif final est« le rejet de l’idée que toute personne devrait posséder les terres de cette terre ».
Il est normal qu'un tel appel à l'abolition de la propriété se trouve dans un magazine de mode comme Teen Vogue, car il est au cœur du problème auquel les vrais libéraux sont confrontés dans la culture au sens large aujourd'hui. Le socialisme réveillé est devenu à la mode, en particulier chez les jeunes. Certains pourraient dire que Teen Vogue s'est éloigné de ses racines à la mode, mais c'est incorrect. Teen Vogue a fini par comprendre que le désir jacobin de déchirer les institutions existantes au nom du progrès est «en vogue», pour ainsi dire, et favorise donc la ferveur révolutionnaire à la fois sexuelle et socialiste.
Vaccin russe contre le Covid-19, Spoutnik VLes effets secondaires du vaccin russe contre le Covid-19 énumérés
16:53 20.08.2020
Alors que la Russie vient d’enregistrer le premier vaccin anti-Covid au monde, Sputnik a eu l’occasion de prendre connaissance de la notice l’accompagnant et citant notamment ses effets secondaires.
Les effets indésirables d’un vaccin contre le Covid-19 peuvent se manifester sous forme de frissons, de fièvre, de maux de tête, de nausées, d’une baisse de l’appétit et de réactions allergiques, indique la notice décrivant l’emploi du vaccin Gam-COVID-Vac dont Sputnik a eu connaissance.
«Effets secondaires: éventuel développement de brèves réactions de courte durée générales (bref syndrome grippal se caractérisant par des frissons, de la fièvre, des arthralgies, des myalgies, de l’asthénie, une indisposition générale et des maux de tête) ainsi que locales (douleur à l'endroit de l'injection, hyperhémie, œdèmes)», indique le document.
D’autres symptômes pourraient également se manifester, quoique moins souvent, comme des nausées, la dyspepsie, la baisse de l’appétit et parfois l’augmentation des ganglions lymphatiques, précise encore la notice. Certains patients pourraient développer des réactions allergiques.
Le ministère russe de la Santé avait précédemment enregistré le premier vaccin contre le Covid-19 au monde qui a été a été conçu en commun par le Fonds d’investissements directs de Russie (RFPI) et le Centre Gamaleïa de recherches en épidémiologie et microbiologie. L’annonce a été faite mardi 11 août par Vladimir Poutine lors d’une réunion avec les membres du gouvernement. La Russie se propose de fabriquer près de 200 millions de doses d’ici la fin de l’année, tandis que 20 pays ont d’ores et déjà exprimé leur intérêt pour Spoutnik V, notamment les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite, l'Indonésie, les Philippines, le Brésil, le Mexique et l'Inde.
Pour Marine, influenceuse pro-chasse, «ce n’est pas l’acte de tuer en lui-même qui compte»
17:07 20.08.2020 Par Mike Beuve
La cynégétique a mauvaise presse, en témoigne le désamour exprimé par les Français dans différents sondages. Mais des influenceuses Instagram pro-chasse souhaitent montrer une image moderne de leur passion. C’est le cas de Marine Instachasseresse qui explique à Sputnik qu’il faut éviter de tomber dans les clichés.
À quelques jours de l’ouverture de la chasse, nouvelle polémique. La pétition en faveur d’un référendum d’initiative partagé (RIP) contre la maltraitance animale a dépassé, lundi 17 août, les 500.000 signatures. Elle est de surcroît soutenue par 129 parlementaires de différents bords politiques. De quoi faire sortir Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), de ses gonds: «Je ne crois pas que l'on défende réellement la cause animale à travers ce qu'il se passe», a-t-il déclaré mardi 18 août sur France Inter.
Une position partagée par Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, qui a signé la préface de l’ouvrage de Willy Schraen. «Ce livre, les ayatollahs de l'écologie s'en serviront pour allumer le barbecue où ils cuiront leurs steaks de soja», écrit le garde des Sceaux. Et de poursuivre: «Ils veulent que nous ayons honte [...] nous culpabiliser d'être ce que nous sommes, car nous sommes aussi notre passion. Et depuis trop longtemps nous refusons de nous défendre, convaincus sans doute que l'intolérance et l'absurde ne méritent pas de réponse.»
Les Français majoritairement pour le respect des animaux
Pourtant, selon de récents sondages, une majorité de Français exprime la volonté de s’engager pour l’amélioration des conditions de vie des animaux. Une enquête de l'IFOP pour la Fondation Bardot, publiée ce mercredi 19 août par Le Monde, révèle par exemple que 82% des sondés sont défavorables à la chasse à courre.
Interrogée par Sputnik, l’influenceuse pro-chasse et ambassadrice du fabricant d’armes Browning, Marine Instachasseresse, estime que «malheureusement, les gens qui ne s’y connaissent pas ne vont pas comprendre quel est l’intérêt de la chasse à courre, quelle est la différence avec la chasse à tir par exemple. C’est ce que je trouve dommage».
«Il faut comprendre que nous ne sommes pas tous animés par l’envie de tuer. C’est souvent une image que l’on peut avoir mais ce n’est pas le cas.»
Dans ce projet de RIP figure notamment l’interdiction d’élever des animaux dans le seul but de commercialiser leur fourrure. L’influenceuse indique d’ailleurs qu’elle «n’est pas forcément pour» cette pratique.
Méconnaissance des pratiques
Néanmoins, «déterrer des blaireaux, c’est essentiel pour moi, parce que c’est un gibier qui n’est pas chassé en battue. Il vit la nuit et fait beaucoup de dégâts, que ce soit dans les cultures ou autre. Il a également beaucoup de maladies si on ne le régule pas, mais ça, on n’en parle pas». Le chasseur participerait donc à la régulation naturelle selon elle. Une vision d’ensemble ignorée par leurs détracteurs ?
«Les anti-chasses ne vont regarder que l’acte final, donc le prélèvement de l’animal, et pas tout ce qu’il y a autour et pourquoi on le fait. Par exemple, lors d’une approche au chevreuil le week-end dernier, j’ai marché des heures, j’ai sélectionné l’animal, il y a une vraie recherche.»
Une manière de dire que la chasse est un art de vivre. «Je vais bien plus souvent à la chasse pour regarder et participer. Ce n’est pas ‘je tue cinq animaux tous les week-ends et je suis contente’», plaisante-t-elle.
«Je suis une vraie Parisienne, cela fait dix ans que je chasse et j’ai appris beaucoup de choses, notamment sur la sécurité et la nature en passant mon permis il y a trois ans. En étant sur le terrain, c’est impressionnant tout ce que l’on peut découvrir sur la faune et la flore.»
Malgré ces arguments défendant une approche respectueuse de l’environnement, la cynégétique continue d’avoir mauvaise presse. Cette nouvelle génération d’influenceuses pro-chasse, comme Johanna Clermont ou encore Liberte Austin aux États-Unis, peut-elle changer les mentalités ?
Moderniser la pratique
«Ma mission n’est pas de changer les opinions mais de montrer la chasse comme je la vois, comment je la vis et comme j’ai appris: c’est-à-dire respectueuse. Je n’ai jamais participé à une chasse où les animaux n’ont pas été respectés», explique-t-elle. Et de préciser: «On rend toujours les honneurs au gibier.» Un rite méconnu qui illustre l’égard et le respect des chasseurs pour celui-ci. Par exemple, insérer un rameau dans sa gueule, appelé «la dernière bouchée».
Comme l’ambassadrice Browning le résume, «via mon compte Instagram, je veux véhiculer une image moderne, plus jeune du chasseur. C’est-à-dire qui n’est pas alcoolique, qui n’a pas forcément un ventre bedonnant. C’est un peu pour casser les stéréotypes que l’on peut voir dans le sketch des Inconnus et ainsi montrer qu’en réalité, la pratique crée du lien. J’ai d’ailleurs rencontré énormément d’amis et partagé des moments avec des proches».
«Aujourd’hui, parmi les jeunes permis, il y a des chasseresses qui veulent accompagner leur compagnon et qui commencent à s’y mettre. Je trouve cela super parce que l’on partage une passion de couple et ce n’est pas une chasse individuelle», conclut Marine.
(...) Les Français majoritairement pour le respect des animaux (...)
Mais d'où sortent-ils çà ??! Ce sont TOUS les français qui mangent de la viande. Alors, qu'une bête soit amenée à l'abattoir ou tirée en pleine nature quelle différence ? S'il n'y avait pas de chasseurs il n'y aurait pas de récoltes ! Les sangliers déterrent des plants, saccagent des récoltes comme les oiseaux aux cerisiers.
Anciens temps dans les fermes, on tuait des lapins et gardait la fourrure ou la ou les vendait pour faire des manteaux, comme le cuir d'un bœuf ou plumes de poules, d'oies ou d'oiseaux pour faire des oreillers ou des matelas très chauds meilleurs que ceux en plastique-mousse d'aujourd'hui.
Rappelons que les loups lâchés (ou ours) ne mangent pas de l'herbe !
Les 'anti-chasses' feraient mieux de s'attaquer aux cités ('zones de non-droit') où ce sont des Glocks et Kalachnikovs qui font la loi !
La Suède refuse de rendre obligatoire les masques faciaux alors que les voisins nordiques élargissent les restrictions
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 20/08/2020 - 05:30
La Scandinavie et l'Europe du Nord se forgent une réputation de foyer du déniérisme «masque obligatoire». Mais est-ce vraiment un affront dangereux à la science et à la survie, comme les entreprises américaines de médias sociaux comme Facebook - qui plus tôt aujourd'hui ont purgé les comptes liés à QAnon de sa plate-forme - veulent que nous le croyions tous?
Un par un, des scientifiques du Danemark, des Pays-Bas, de la Finlande et de la Suède ont émis des doutes sur l'efficacité de demander aux citoyens de porter des masques dans tous les lieux publics, beaucoup faisant valoir que demander aux gens de porter des masques n'a guère de sens dans les endroits où le taux de propagation est faible. Cependant, au cours des dernières semaines, beaucoup ont reconnu que les masques peuvent être bénéfiques dans certaines circonstances, et des politiques qui se concentrent spécifiquement sur celles-ci (comme l'utilisation obligatoire dans les transports en commun) pourraient être plus avantageuses.
Alors que le débat est principalement étouffé aux États-Unis, le principal épidémiologiste suédois et architecte de la stratégie du pays contre le COVID-19 sans verrouillage, Anders Tegnell, parle de la décision de la Suède de maintenir sa politique de masque, qui, comme la plupart des COVID-19 suédois réponse, est étonnamment laxiste.
S'adressant à nouveau au FT, Tegnell a expliqué ses doutes, ses espoirs et même les domaines dans lesquels il soupçonne que les masques peuvent être efficaces. Mais sa conclusion finale est que la «science» dont les libéraux américains se vantent toujours n'est tout simplement pas aussi concrète que le Washington Post, le New York Times et d'autres le prétendent.
"Il est très dangereux de croire que les masques faciaux changeraient la donne en ce qui concerne Covid-19", a déclaré Tegnell au FT. Il a également partagé des preuves suggérant que ses voisins cédaient aux caprices politiques, et peut-être aux pressions de Bruxelles, en élargissant les mandats de masque.
Soren Riis Paludan, un expert en infections virales de l’université d’Aarhus, a déclaré que des recherches avaient suggéré qu’au taux d’infection actuel du Danemark, 100 000 personnes devraient porter un masque facial correctement pendant une semaine pour éviter une infection. «S'il y a très peu de virus dans la communauté, l'effet est limité. Mais si vous êtes au milieu d’un hotspot, tout indique qu’ils peuvent avoir un effet. Au Danemark, nous avons fait des compromis et avons déclaré que les masques faciaux pourraient être un autre outil dans la boîte à outils », a déclaré le professeur Paludan. Une autre raison de la réticence suédoise, selon les experts, est la grande confiance dans les autorités. «Lorsque l’agence suédoise de la santé déclare qu’il n’ya aucune raison de porter des masques, les gens ne portent pas de masques», a déclaré le professeur Ludvigsson. "Dans d'autres pays, où la confiance est moindre et où ils ne recommandent pas de porter des masques, les gens peuvent le faire de toute façon."
Les chances d'infection dans le scénario initial ci-dessus sont incroyablement faibles, et pourtant, les mèmes viraux partagés sur Instagram et Facebook au cours des derniers mois ont posé des scénarios où le fait de négliger de porter un masque pourrait pratiquement garantir que plus d'une douzaine d'étrangers aléatoires pourraient être accidentellement infecté. C'est extrêmement improbable.
RépondreSupprimerLa plupart des preuves à l'appui du masque impliquent une analyse rétrospective de centaines d'études et d'ensembles de données utilisés pour étudier d'autres choses. La vérité est que nous ne savons vraiment pas à quel point le port d'un masque chirurgical peut être efficace pour empêcher une personne infectée de le transmettre à une autre personne (c'est pourquoi ils sont portés en chirurgie).
Les experts nordiques soulignent également le manque de preuves tangibles de l'efficacité des masques faciaux. De nombreux pays ainsi que l'Organisation mondiale de la santé ont changé leurs conseils sur le port des masques, car des études semblent indiquer un lien entre leur utilisation et des taux d'infection plus faibles. Mais certains experts nordiques sont encore sceptiques. M. Ludvigsson a noté que dans une méta-analyse de l'OMS de 29 études qui ont montré que les masques faciaux étaient efficaces, seulement trois concernaient leur utilisation en dehors des hôpitaux et de celles qui n'en avaient pas impliqué Covid-19. Pourtant, il a déclaré que sa position personnelle avait changé et qu'il pensait maintenant qu'ils devraient recommander leur utilisation dans les transports publics en Suède, mais pour une période déterminée. "Cela augmenterait la conformité si les gens savaient que ce n'est que pour trois mois", a-t-il ajouté.
Bien que Tegnell dise qu'il garde l'esprit ouvert.
"Les masques faciaux peuvent être un complément à d'autres choses lorsque d'autres choses sont en place en toute sécurité. Mais commencer par avoir des masques faciaux et penser ensuite que vous pouvez encombrer vos bus ou vos centres commerciaux - c'est certainement une erreur", a-t-il déclaré, ajoutant que les pays comme la Belgique et l'Espagne, où l'utilisation de masques est généralisée, les taux d'infection sont toujours en hausse. L'agence suédoise de la santé publique a déclaré mardi qu'elle travaillait sur des propositions pour le gouvernement dans les prochaines semaines et qu'elle pourrait s'ouvrir à l'utilisation de masques faciaux dans des circonstances spécifiques telles que les visites dans les hôpitaux ou les dentistes. La Suède n'est pas le seul pays européen sceptique quant aux masques faciaux. Aux Pays-Bas, ils doivent être portés dans les transports publics et dans les aéroports mais ne sont pas obligatoires ailleurs.
Notre seule question est, combien de temps encore Tegnell sera-t-il autorisé à colporter son point de vue sans susciter la colère et le châtiment de Big Tech ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/sweden-stubbornly-refuses-recommend-face-masks-nordic-neighbors-expand-restrictions
Brève. Coronavirus : Messieurs les politiciens il faut rester pragmatique !
RépondreSupprimerle 20 août 2020
Le seul propos intelligent qu’ont tenu Agnès et Sibete était le suivant : « le port du masque n’est utile que lorsque l’on est malade », sous-entendu de la grippe coronavirale. Pourtant les médias l’ont oublié pensant que cette courte phrase disant pourtant la vérité dissimulait la vérité sur la pénurie de masques. Si on ne souffre pas de la grippe il est inutile de porter un masque puisque l’on n’éternue pas ni ne tousse. De plus j’ignore où les politiciens ont trouvé des preuves irréfutables que la fumée de cigarette pouvait transmettre le virus et leur décision d’interdire la cigarette dans la rue ou aux terrasses de café est tout simplement stupide. Quelle seront leurs prochaines inventions géniales pour emmerder les populations ?
Venons-en à quelques chiffres pour la France (source INSEE). En France 610000 personnes sont mortes en 2019. Cela représente 1671 décès par jour qui se répartissent comme suit : Cancers, 460 morts par jour ; maladies cardiovasculaires, 420 morts par jour ; infections pulmonaires, 110 morts par jour ; suicides, 27 par jour ; autres causes, vieillesse, accidents de la route, accidents professionnels, autres maladies infectieuses, autres maladies, accidents de la route, meurtres, over-dose de drogues et causes inconnues : 654. Du premier au 6 août 2020 il y a eu 47 décès prouvés comme étant la conséquence d’une infection avec le coronavirus, co-morbidité ou non, soit 7,8 décès par jour sur cette période, donc 4 fois moins que les décès par suicide et seulement 6 % de tous les morts à la suite d’infections pulmonaires. Et avec ces chiffres on parle déjà de nouveau confinement et de deuxième vague …
Et on veut continuer à nous emmerder avec cette histoire de virus ultra-dangereux. De qui se moquent les politiciens ? En fait la question est mal posée. À qui obéissent le chef de l’Etat français, son gouvernement et son administration pour prendre des décisions aussi stupides ? Ma question ne se limite pas seulement au coronavirus mais également aux décisions prises pour « sauver le climat », des mesures qui ne vont pas plaire aux ex-gilets jaunes accablés par une récession économique sans précédent depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, eux qui vont se trouver confrontés à toutes sortes de taxes insidieuses relatives à l’énergie. Ils vont ressortir de leur province non plus avec des gilets jaunes mais des gilets couleur de sang et armés de manches de pioche …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/20/breve-coronavirus-messieurs-les-politiciens-il-faut-rester-pragmatique/
La «quatrième guerre mondiale» a-t-elle commencé ?
RépondreSupprimer19:06 19.08.2020
Par Jean-Baptiste Mendès
Impuissant, l’Occident voit sa suprématie s’amenuiser face à l’appétit des ogres chinois, indien et russe. Selon l’essayiste Michel Geoffroy, le monde multipolaire est même entré dans une nouvelle guerre mondiale. Il est l’auteur du livre «La nouvelle guerre des mondes». Entretien choc.
«Cette quatrième guerre mondiale, cette guerre des mondes, provient du fait que les Occidentaux, emmenés par les États-Unis, s’efforcent par tous les moyens de maintenir leur domination sur un monde qui est en train de changer.»
Michel Geoffroy est pessimiste. En déclin moral, démographique et géopolitique, l’Occident serait selon lui en difficulté face à l’émergence de nouvelles puissances, dans un monde devenu multipolaire. La pandémie de Covid-19, et le manque cruel de masques à ses débuts, ont d’ailleurs rappelé la dépendance considérable de l’Europe à l’égard de l’industrie chinoise. Les Américains n’auraient également plus «le monopole de la force», Pékin et New Delhi talonnant le budget militaire de Washington.
Pour l’auteur de La nouvelle guerre des mondes (Ed. Via Romana, 2020), plus de doute donc: la Chine et la Russie rejettent dorénavant le modèle occidental: «le monde s’est modernisé sans s’occidentaliser». Après la guerre froide, il s’agit donc pour lui d'une quatrième guerre mondiale. Alors faut-il craindre un conflit ouvert ?
Retrouvez cet entretien sur YouTube:
https://www.youtube.com/watch?v=0422PxFA6WI&feature=emb_logo
https://fr.sputniknews.com/interviews/202008191044279242-la-quatrieme-guerre-mondiale-a-t-elle-commence/
Voir clip du jour.
RépondreSupprimerComme je l'avais cité hier (18 Août): "Maund: Bienvenue dans le Goulag mondial ..."
(...) Impuissant, l’Occident voit sa suprématie s’amenuiser face à l’appétit des ogres chinois, indien et russe. (...)
Il y a ceux qui puisent leurs énergies dans la dictature et ceux qui, préfèrent se tourner vers les scientifiques !
«Recommandation» plutôt qu'«obligation» : Didier Raoult donne son avis sur l'imposition du masque
RépondreSupprimer19 août 2020, 20:11
Alors que le port du masque devient obligatoire dans de nombreux lieux publics ouverts et fermés, le professeur Didier Raoult estime qu'il aurait été préférable de recommander plutôt que d'imposer son usage. Alors que l'imposition du port du masque s'étend en France, le professeur Didier Raoult «aurait préféré qu'on reste à un niveau de recommandation plus que d'obligation», tout en affirmant qu'il y avait une «certaine complexité à répondre» à la question de l'efficacité du port du masque pour empêcher les contaminations.
«Si les masques peuvent rassurer c'est une chose mais je suis inquiet qu'on fasse une fixation trop importante dessus, parce que maintenant c'est les gens qui vont vouloir faire la loi», a prévenu ce 19 août le directeur de l'IHU de Marseille, lors d'un entretien sur la chaîne Cnews. «Le masque ne joue pas qu'un rôle physique de protection par voie respiratoire, il joue un rôle de signal de "il y a une maladie contagieuse qui circule"», reconnaît néanmoins Didier Raoult qui affirme que le masque constitue un élément de protection important pour les soignants.
Il invoque cependant le risque de tension sociale que l'imposition peut provoquer. Lire aussi Le face-à-face - Y a-t-il un acharnement contre Didier Raoult ? «Il y a toujours un dictateur rentré dans beaucoup de gens qui voudraient imposer [...] Il risque d'y avoir des tensions, des bagarres», a-t-il expliqué.
«J'aurais préféré qu'on reste à un niveau de recommandation plus que d'obligation parce que j'ai peur que ça devienne encore quelque chose de clivant, de conflictuel», a-t-il encore développé. La ministre du Travail Elisabeth Borne a annoncé le 18 août que le port du masque sera «systématisé» d'ici fin août dans «tous les espaces clos et partagés» des entreprises.
Une demande qui avait été émise par plusieurs infectiologues pour réduire les risques de contamination. En outre, dans de nombreuses villes en France, comme c'est le cas dans de nombreux quartiers parisiens, il est désormais imposé de porter le masque dans les lieux publics ouvert. «Il faut se calmer, faire des recommandations de bon sens je crois, mais je redoute, dans une société qui est aussi fragile et aussi nerveuse, toutes les mesures qui augmentent cette tension qui n'est pas justifiée par les nombres», a encore estimé le célèbre promoteur français de l'hydroxychloroquine, qui insiste pour sa part sur l'importance de l'hygiène des mains pour lutter contre la transmission des virus.
Dans le même entretien, le professeur a assuré que la situation actuelle était différente de celle d'il y a quelques mois, au plus fort de l'épidémie. «Plus vous testez, plus vous trouvez de cas», souligne-t-il pour expliquer l'augmentation des cas ces dernières semaines dans l'Hexagone. Et d'ajouter, minimisant la gravité de la situation : «ceux qu'on trouve maintenant et ceux que l'on trouvait en février ou en mars, ce n'est plus la même maladie.»
Selon lui, les formes actuelles des cas de Covid-19 sont davantage «bénignes». Il n'y a «plus du tout de troubles de la coagulation» et «la proportion des gens hospitalisés est beaucoup plus faible», affirme-t-il.
https://francais.rt.com/france/78044-recommandation-plutot-obligation-didier-raoult-donne-son-avis-sur-imposition-masque
Spoutnik V: la Russie expose les avantages de son vaccin face à ses futurs concurrents
RépondreSupprimer16:00 20.08.2020
Le Fonds russe des investissements directs (RFPI) et le Centre Gamaleïa ont expliqué les avantages des vaccins utilisant des adénovirus humains, comme son vaccin Spoutnik V, sur le site officiel de ce premier vaccin anti-coronavirus au monde.
Spoutnik V, le premier vaccin contre le Covid-19 au monde créé en Russie, a des avantages face à ses futurs concurrents, puisqu’il utilise deux adénovirus humains à la fois, alors que les autres vaccins utilisent un seul adénovirus de chimpanzé, qui présenterait des risques pour l’Homme, a annoncé jeudi 20 août le Centre russe des investissements directs (RFPI) sur le site officiel du vaccin russe Sputnikvaccine.com.
«La vaccination en deux étapes à l'aide de deux adénovirus humains de sérotype 5 (Ad5) et 26 (Ad26) proposée par le RFPI et le Centre Gamaleïa présente un net avantage face à l’approche d’autres chercheurs qui utilisent un seul vecteur», affirme le Centre.
Une section du site officiel de Spoutnik V contient des liens vers des publications scientifiques sur l'histoire des vaccins à base d'adénovirus humains, leurs essais cliniques et base technologique, l'innocuité prouvée de cette approche, ainsi que l’application de tels vaccins dans la lutte contre diverses maladies comme le cancer.
Adénovirus humains, une base de vaccins plus sûre
Les adénovirus humains sont mieux connus et plus sûrs que les adénovirus de chimpanzé pour lesquels les risques de provoquer un cancer ou d’influer sur la fertilité de l’Homme n’ont pas été assez étudiés, note le RFPI.
«Il a été prouvé que les vaccins à adénovirus humains ne présentent aucun risque sanitaire à long terme, y compris aucun risque de provoquer un cancer ou d'affecter la fertilité. Leur sécurité sanitaire a été prouvée par plus de 75 publications internationales et plus de 250 essais cliniques», a noté le Centre.
D’autres moyens de fournir du matériel génétique viral pour stimuler la réponse immunitaire de l'organisme, notamment dérivés d’un adénovirus de chimpanzé, «n'ont jamais été utilisés dans les vaccins approuvés auparavant. Il n’y a pas eu d’études sur leurs effets à long terme sur le corps humain, y compris le risque d'un cancer et l'effet sur la fertilité», selon le communiqué.
Dans le même temps, les adénovirus humains font l’objet d’études en tant que base potentielle de vaccins depuis 1953. Plus de 20.000 personnes ont participé à des essais cliniques de tels vaccins qui ont été utilisés par plus de 10 millions de militaires américains et plus de 30.000 soldats chinois depuis 1971, rappelle le RFPI.
Nouvelle étape d’essais cliniques en Russie
Une nouvelle étape d’essais du premier vaccin contre le Covid-19 commencera en Russie la semaine prochaine, en même temps que la vaccination des volontaires des groupes à risque.
Plus de 40.000 personnes participeront à ces essais randomisés en double aveugle contrôlés contre placebo qui se dérouleront dans plus de 45 centres médicaux russes, selon le RFPI.
https://fr.sputniknews.com/sante/202008201044286347-spoutnik-v-la-russie-expose-les-avantages-de-son-vaccin-face-a-ses-futurs-concurrents/
L'Allemagne lance une expérience sur le revenu de base universel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 20/08/2020 - 04:15
L'Allemagne est sur le point de s'essayer à un revenu de base universel (UBI), après que 1500 personnes se soient inscrites à une étude de trois ans pour observer les effets sur l'économie et le bien-être des bénéficiaires, selon Business Insider.
Parmi ceux qui se sont inscrits, 120 personnes recevront l'équivalent de 1 430 USD par mois pendant trois ans - juste au-dessus du seuil de pauvreté de l'Allemagne. Leur vie sera comparée aux 1 380 personnes restantes qui ne recevront pas les paiements. Les participants seront invités à remplir des questionnaires sur leur vie - y compris leur état émotionnel et leur statut professionnel, pour voir si l'UBI a eu un impact significatif.
Bien sûr, comme nous et d'autres l'avons remarqué à maintes reprises, les expériences UBI se terminent généralement par un désastre. Cela dit, cela aide vraiment si vous avez une presse à imprimer géante et que vous êtes la monnaie de réserve mondiale pendant une pandémie (et pendant combien de temps ?). L'étude cherchera également à déterminer si l'UBI décourage le travail ou si les gens continueront à "faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie'', selon Jürgen Schupp, enquêteur principal de l'étude.
Semble familier ?
L'expérience allemande a été financée par 140 000 dons privés et est menée par l'Institut allemand de recherche économique.
Le revenu de base universel est l'idée qu'un gouvernement devrait verser une somme forfaitaire à chacun de ses citoyens, généralement une fois par mois, quels que soient leurs revenus et leur situation professionnelle, remplaçant effectivement les prestations soumises à conditions de ressources.
Ses partisans soutiennent que cela réduirait les inégalités et améliorerait également le bien-être public en offrant aux gens une plus grande sécurité financière. Ses opposants disent que ce serait trop cher et découragerait les gens d'aller travailler. L'idée a gagné du terrain ces dernières années au milieu des récentes crises financières et des inégalités croissantes dans certains pays occidentaux. -Interne du milieu des affaires
Schupp a déclaré à Der Spiegel que l'expérience produirait des preuves scientifiques qui `` amélioreraient le débat '' sur l'UBI.
"Le débat sur le revenu de base a jusqu'à présent été comme un salon philosophique dans les bons moments et une guerre de foi dans les mauvais moments", a-t-il déclaré, ajoutant: "Il est - des deux côtés - façonné par des clichés: les opposants affirment qu'avec un principe de base les gens à revenus cesseraient de travailler pour s'émousser sur le canapé avec des services de restauration rapide et de streaming.Les partisans soutiennent que les gens continueront à faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie.
"Incidemment, ces stéréotypes se retrouvent également dans les simulations économiques en tant qu'hypothèses sur les coûts et avantages supposés d'un revenu de base.
RépondreSupprimer"Nous pouvons améliorer cela si nous remplaçons ces stéréotypes par des connaissances empiriquement prouvées et pouvons donc mener un débat plus approprié."
Un groupe de pression pro-revenu de base appelé Mein Grundeinkommen finance l'expérience. Le groupe a utilisé les dons de ses sympathisants pour financer des paiements mensuels de 1000 € (1194 $) pour 668 personnes depuis 2014.
La Finlande a expérimenté sa propre forme de revenu de base universel pendant près de deux ans entre janvier 2017 et décembre 2018, mais a conclu que si cela conduisait les personnes au chômage à se sentir plus heureux, cela n'entraînait pas une augmentation de l'emploi, a rapporté la BBC. Au cours de l'expérience, 2 000 Finlandais sans emploi ont reçu 560 € (667 dollars) par mois. -Interne du milieu des affaires
Comme nous l'avons noté en 2018, The Telegraph explique que le revenu de base universel est une forme de paiement en espèces versé aux particuliers, sans conditions de ressources ni exigences de travail. Dans certains modèles, ce taux est suffisant pour couvrir tous les frais de subsistance.
Les partisans soutiennent que:
L'absence de conditions de ressources coûteuses conduit à une proportion plus élevée du budget allant aux bénéficiaires. Ce serait plus efficace
La transparence des paiements universels réduirait considérablement la nécessité de détecter la fraude aux prestations
Un système pourrait remplacer le système complexe actuel de prestations gouvernementales, de remises et de remises fiscales
Le travail profitera toujours aux bénéficiaires de cette aide, plutôt que le «piège des avantages» qui laisse les travailleurs à temps partiel
Les critiques soutiennent que:
Le revenu universel peut être inflationniste et, en essayant de sortir tous les individus de la pauvreté, il peut simplement élever le niveau du seuil de pauvreté
Cela peut réduire l'incitation à travailler et des études ont trouvé des preuves à l'appui.
Une réduction du revenu imposable réduirait la capacité du gouvernement à couvrir d’autres dépenses, comme les soins de santé
Comme l'écrivait Nathan Keeble (via l'Institut Mises) en 2017: «Un revenu de base universel n'est pas la politique de protection sociale envoyée par Dieu comme il semble au départ. Il ne crée pas d'incitation à travailler. Cela n'aidera pas à résoudre le chômage, et cela ne réduira pas la pauvreté. La vérité est qu'un UBI exagérera tous ces facteurs par rapport à ce qui existerait dans un marché plus libre. Il y a même des raisons de penser que ce serait pire à long terme que les moyens traditionnels. des systèmes de bien-être testés. "
https://www.zerohedge.com/economics/germany-launches-universal-basic-income-experiment
(...) L'étude cherchera également à déterminer si l'UBI décourage le travail ou si les gens continueront à "faire un travail épanouissant, à devenir plus créatifs et charitables et à sauver la démocratie'', selon Jürgen Schupp, enquêteur principal de l'étude. (...)
SupprimerHum ! L'Allemagne n'est PAS une Démocratie mais son contraire! une république !
Pour ce qui est du RU faudrait voir quelles sommes sont expédiées aux pays étrangers !!
Des pièces australiennes de cinq et dix cents disparaissent alors que la pandémie inaugure une 'société sans numéraire'
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 20/08/2020 - 01:00
Les pièces de cinq et dix cents australiennes pourraient mordre la poussière alors que la pandémie de coronavirus a accéléré le déclin de la circulation des pièces.
Avant la pandémie, la circulation des pièces en Australie a connu une forte baisse de l'utilisation des pièces de 5 et 10 cents.
Le PDG de la Royal Australian Mint, Ross MacDiarmid, a déclaré à ABC News qu'il s'attend à ce que les pièces de 5 et 10 cents soient progressivement retirées de la circulation dans les années à venir, ajoutant que la pandémie a probablement raccourci la durée de vie naturelle des pièces.
"Il ne fait aucun doute qu'il y a eu une baisse significative de la demande de pièces en circulation au cours des cinq à six dernières années", a déclaré MacDiarmid.
"La baisse de la demande de pièces (est) d'environ 55 à 56 pour cent", a-t-il déclaré.
La Banque de réserve d'Australie (RBA) a récemment publié des données montrant le déclin rapide de la monnaie physique utilisée dans les transactions au cours de la dernière demi-décennie. La RBA a souligné une baisse sans précédent de l'utilisation de l'argent liquide en raison de la pandémie de virus qui a forcé les gens à effectuer des transactions en ligne et à utiliser des paiements sans contact.
"Les retraits aux guichets automatiques en avril ont diminué de 30 pour cent par rapport au mois précédent et de plus de 40 pour cent de moins que 12 mois plus tôt", a déclaré en juin la gouverneure adjointe de la RBA, Michele Bullock.
«La hausse de l'inflation, associée à la croissance des paiements en ligne et sans contact, rendent les modestes argentés obsolètes, malgré leur place en tant que pilier des bocaux de café, des boîtes de charité et des cantines scolaires», a déclaré ABC.
MacDiarmid a déclaré que les pièces sortantes seraient échangeables dans les banques et pourraient toujours être utilisées dans les magasins.
Il a déclaré que le gouvernement avait soigneusement examiné la pièce de 50 cents:
"Nous surveillons son utilisation en circulation pour voir s'il y a un besoin quelque part dans le futur pour une pièce 50c différente à produire", a déclaré MacDiarmid.
"Ce n'est pas quelque chose que nous avons nécessairement soulevé avec le gouvernement, mais c'est peut-être quelque chose qui pourrait être soulevé à l'avenir", a-t-il ajouté.
MacDiarmid a cité un chiffre, soulignant la forte baisse des pièces de monnaie au cours des cinq dernières décennies. Il a déclaré qu'il n'y avait que 4 milliards de pièces en circulation, contre 15 milliards en 1965.
La baisse de l'argent physique attribuée à la pandémie de virus a également été observée aux États-Unis au cours des deux derniers mois. Une pénurie de pièces a contraint de nombreuses entreprises à n'accepter que la monnaie exacte et / ou à n'accepter que les cartes de crédit et de débit.
La disparition des pièces australiennes de 5 et 10 cents au milieu de la montée des paiements sans contact, suralimentée par la pandémie de virus, ainsi que de la pénurie de pièces aux États-Unis, obligeant également les gens à utiliser les paiements sans contact, suggère certainement qu'une société sans numéraire est à venir.
https://www.zerohedge.com/markets/australian-five-and-ten-cent-coins-disappear-pandemic-crashes-coin-circulation
(...) Ross MacDiarmid, a déclaré à ABC News qu'il s'attend à ce que les pièces de 5 et 10 cents soient progressivement retirées de la circulation dans les années à venir, ajoutant que la pandémie a probablement raccourci la durée de vie naturelle des pièces. (...)
SupprimerCela n'a rien à voir avec la grippette corona mais à une interdiction de payer en espèces !
RépondreSupprimerCOMBIEN ÇA COÛTERAIT D'ACHETER LA FRANCE ?
par LUDIVINE CANARD
14/08/2020
Le patrimoine économique national a augmenté de 3,5% en 2018.
Êtes-vous assez riche pour vous acheter la France, à l’image de Donald Trump qui voulait acquérir le Groenland ? La réponse est sûrement non. Chaque début d’année, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publie sa synthèse générale des comptes sur le patrimoine économique de la France.
France : une richesse due à un important patrimoine immobilier et financier
La France est aujourd’hui la 6 ème puissance économique mondiale et la seconde puissance économique européenne derrière l’Allemagne. Mais d’où tient-elle sa richesse ? Fin 2018, l’Insee avait évalué le patrimoine économique français à 15.482 milliards d’euros, soit 8 fois le produit intérieur brut. Le patrimoine économique national est la différence entre la valeur des actifs (ce que l'on possède) et celles des passifs (ce que l'on doit) des ménages, des sociétés et des administrations publiques.
Sans surprise, une grande partie de cette richesse est constituée des constructions et des terrains pour plus de 12.000 milliards d'euros, dont près de la moitié en terrains bâtis (5.553 milliards d’euros). Il y a ensuite les logements pour 4.630 milliards. La France possède également d’autres bâtiments dit de génie civil (pont, musée, routes, tunnels...) pour 2.096 milliards d’euros. Les actifs « non produits » par l’homme comme les ressources naturelles - en dehors du patrimoine naturel (océan, air) - sont également comptabilisés (1.477 milliards d’euros) en opposition aux actifs « produits » par l’homme : stocks, machines et équipements (1.721 milliards)
À cela, il faut ajouter les actifs financiers : titres de créance, actions, crédits, dépôts et assurances-vie qui représentent un total de 46.452 milliards d’euros. « Les ménages continuent de privilégier les placements bancaires. L’encours en numéraire et dépôts progresse quasiment au même rythme qu’en 2017 (+ 4,5 % après + 4,6 %), soutenu par une hausse des placements sur livrets et dépôts à vue dans un contexte de taux bas » précise l’Insee. Pour terminer ce savant calcul, il faut soustraire « le passif » ( dettes) : soit plus de 30.000 milliards d’euros.
À qui cela appartient le patrimoine économique de la France ?
Le patrimoine économique national dépend de moins en moins des caisses de l’État. Il est détenu à 75% par les ménages, à 17% par les entreprises non-financières et 4,7% par les sociétés financières. Les 2% restants sont la propriété des administrations publiques donc L'Etat. Depuis plusieurs années, l’État vend régulièrement ces biens (parcelles vides, appartements, terrains, maisons, locaux …) pour tenter de renflouer ses caisses. Une plateforme a même été créée en 2019 pour répertorier les annonces. C’est France Domaine, un service de la direction générale des finances publiques qui s’occupe des cessions immobilières de l’État. Il met également régulièrement aux enchères différents biens comme des véhicules, des bijoux, des articles de sport… S’il est toutefois propriétaire des cathédrales, châteaux, forêts domaniales, œuvres d'art sur son territoire, cette partie du patrimoine ne peut pas être vendue.
La France appartient donc bien aux Français, quoi qu’en disent les rumeurs. Mais la répartition du patrimoine est inégale. Selon une étude de l'Insee : en 2018, 1% des Français les plus riches détenaient 16% du patrimoine et les 5% les plus riches possédaient un tiers du patrimoine ; cette proportion a très peu changé depuis. Malgré ce résultat, la France fait partie des pays les moins inégalitaires de monde, derrière le Japon et le Royaume-Uni.
http://www.economiematin.fr/news-france-patrimoine-richesse-biens
LES MAGASINS U SE LANCENT SUR LE MARCHÉ DE L'OCCASION
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
20/08/2020
À ce jour, deux magasins U ont annoncé leur participation au
dispositif U Occasion.
Après Leclerc, Auchan et Carrefour, c’est au tour des magasins U de tâtonner le terrain de l’achat-revente de produits d’occasion. Deux hypermarchés de l’enseigne viennent de lancer l’achat auprès des particuliers afin de constituer un stock.
Les magasins U revendront du petit électro-ménager et des produits informatiques d’occasion
C’est un curieux stand qui s’est invité à l’Hyper U Aizenay et à l’Hyper U Mayenne, celui de l’achat de produits d’occasion auprès de particuliers. Le magasin vous achète des produits de catégories suivantes : informatique, téléphonie, petit électro-ménager, son et image, culture ainsi que jeux / consoles / rétrogaming. Si le client est content du prix d’achat proposé, le produit est vendu à l’enseigne, et le client reçoit en échange un bon d’achat qu’il peut dépenser sur tout le magasin.
À l’heure actuelle les magasins U ne font qu’acheter des produits d’occasion à des particuliers afin de constituer un stock. On peut imaginer qu’ils seront ensuite « reconditionnés » avant d’être proposés à la vente. Et pour les clients, l’idée d’obtenir dès aujourd’hui un bon d’achat utilisable immédiatement sur tout le magasin est un puissant levier psychologique censé les inciter à venir revendre leurs articles.
Un moyen de plus pour fidéliser les clients
Selon les informations du magazine LSA, il n’y a pas de modèle unique pour l’achat-revente des articles d’occasion, chaque magasin U participant sera libre de faire ce qu’il veut. Les directeurs de magasins pourront choisir de placer des produits d’occasion soit dans un espace dédié, soir dans l’Espace U techno, soit au comptoir Service après-vente, soit au milieu des articles neufs en les identifiant bien comme des produits d’occasion.
Cette stratégie pourrait potentiellement fidéliser les clients des magasins U : en sachant que les produits d’occasion tournent tout le temps, ils pourraient avoir une raison de plus de se rendre dans le magasin à intervalles réguliers.
http://www.economiematin.fr/news-magasins-u-produits-occasion-achat-revente
Une « révolution agricole » au milieu du désert
RépondreSupprimer20/08/2020
Ferme maraîchère, Al-Badia, produit différents légumes à la verticale avec des techniques alliant des contrôles de la lumière et l’irrigation, en se targuant de recycler 90 % de l’eau utilisée. « C’est une révolution agricole au milieu du désert, explique le directeur de la ferme Bassel Jamal. On apporte à chaque plante la quantité de lumière, d’humidité, de chaleur et d’eau dont elle a besoin. Comme si elle était un client d’un hôtel cinq étoiles. »
Les leçons de la pandémie
La pandémie de Covid-19, en soulignant le risque d’une perturbation de l’approvisionnement à l’échelle mondiale en produits périssables, est venue rappeler l’importance du concept de sécurité alimentaire. Dubaï et les Émirats arabes unis en général ont peu de ressources en eau, peu de terres arables et un environnement désertique hostile à l’agriculture.
La question de la sécurité alimentaire ne se posait pas il y a quelques décennies lorsque Dubaï et ses voisins étaient habités par des Bédouins qui se contentaient d’une poignée de dattes et d’une gorgée de lait de dromadaire. Mais entre la richesse engendrée par le pétrole et la ruée de millions d’expatriés, Dubaï compte aujourd’hui plus de 3,3 millions d’habitants de 200 nationalités. Les besoins alimentaires ont augmenté et se sont diversifiés.
> À lire aussi : Des milliers de vaches importées au Qatar pour assurer l’autosuffisance en lait (29/11/2017)
90 % des besoins alimentaires importés
Dubaï, comme les six autres membres de la fédération des Émirats arabes unis, importe 90 % de ses besoins alimentaires, selon les statistiques officielles. Les produits, notamment frais arrivent du monde entier par voie aérienne, et les marchés de Dubaï n’ont rien à envier à ceux des grandes capitales occidentales. Mais dans une région instable, face à l’Iran, l’autosuffisance alimentaire devient un objectif clé à long terme.
Il y a plus de dix ans, les Émirats ont commencé à acheter ou à louer des terres agricoles à l’étranger, principalement en Afrique de l’Est, afin de garantir l’approvisionnement même en temps de crise. Mais l’instabilité politique sur le terrain, les a conduits à se tourner vers l’Australie et l’Europe de l’Est et à adopter d’autres stratégies, notamment la constitution de stocks et une agriculture de haute technologie.
Un « choix pour l’avenir »
Pour Bassel Jamal, le modèle de la ferme qu’il dirige, où tout est contrôlé par des ordinateurs, est un « choix pour l’avenir ». « Nous ne voulons plus dépendre des importations. Nous voulons produire localement, tout au long de l’année sans se préoccuper du changement climatique, de la pluviométrie ou de la sécheresse », explique-t-il.
À l’instar d’Al-Badia, de nombreuses fermes poussent à Dubaï et dans les émirats voisins. Abdellatif al-Banna cultive des ananas dans quatre serres où tout est soigneusement contrôlé et écoule sa production via une plateforme internet. La pisciculture se développe également avec une ferme de saumon à Dubaï dont la qualité de la production est saluée à travers l’émirat.
Quant à l’élevage, Dubaï compte plusieurs fermes qui alimentent des laiteries répondant en partie aux besoins du marché en produits laitiers. Ces unités agricoles, souvent le fruit d’investissements privés, sont encouragées par le gouvernement de l’émirat, selon Omar Bouchehab, qui préside le Comité de la sécurité alimentaire de Dubaï.
RépondreSupprimerAccroître la production de 15 % en 2021
Un plan destiné à accroître de 15 % la production agricole locale en 2021 est en cours, a-t-il assuré. « Le renforcement des technologies agricoles et de leur utilisation doit être augmenté de 30 % » pour la même période.
Au début de la crise sanitaire, Dubaï n’a pas connu de difficultés d’approvisionnement en produit frais, en dépit de sa grande dépendance des importations. Grâce au maintien du transport aérien de marchandises, Dubaï a même été capable d’assurer la réexportation de différents produits alimentaires chez ses voisins.
Au Fresh Market, un grand marché de produits frais, une foule d’ouvriers s’affaire à transporter et à stocker des tonnes de produits alimentaires frais importés. « Dubaï a une infrastructure adéquate et un stock capable de subvenir aux besoins des Émirats et même aux besoins des pays voisins », assure le directeur exécutif de cette plateforme, Redha al-Mansouri.
https://www.lafranceagricole.fr/actualites/cultures/souverainete-alimentaire-une-revolution-agricole-au-milieu-du-desert-1,14,4138894171.html
SupprimerIl s'agit d'une serre. Dans une serre vous faites le climat que VOUS voulez.
De plus, les serres hermétiques redistribuent donc l'eau évaporée et, ne provoquent aucune maladie puisque la serre est fermée.
C'est du copié-collé de ce qu'avait entreprit le président Mouammar Kadhafi en Libye avec l'irrigation (gratuite de l'eau infiltrée depuis le bassin méditerranéen) des déserts.
HISTOIRE DRÔLES (1/2)
RépondreSupprimerHAHAHAHAHAHA !
Les nouveau-nés noirs sont trois fois plus susceptibles de mourir lorsqu'ils sont soignés par un médecin blanc: étude
RAPPORT DU 19 AOÛT 2020
par Bob Yirka, Medical Xpress
Une équipe de chercheurs de plusieurs institutions aux États-Unis a constaté que les nouveau-nés noirs sont trois fois plus susceptibles de mourir juste après la naissance lorsqu'ils sont soignés par un médecin blanc, par rapport à la moyenne nationale. Dans leur article publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences, le groupe décrit son étude des dossiers médicaux de Floride et de la race des médecins s'occupant des nouveau-nés, et ce qu'ils ont trouvé.
Plusieurs études récentes ont montré que les Noirs aux États-Unis ne reçoivent pas le même niveau de soins médicaux que les Blancs. Des recherches antérieures ont également montré que les bébés noirs sont plus de deux fois plus susceptibles de mourir au cours de leur première année de vie que les bébés blancs. Dans ce nouvel effort, les chercheurs ont maintenant découvert que les nouveau-nés noirs ont moins de chances de survivre s'ils ont des médecins blancs.
Le travail a consisté à obtenir les registres de naissance d'environ 2 millions de bébés nés en Floride au cours des années 1992 à 2015. Pour chacune des naissances, des photographies du médecin qui les a accouchés ont également été obtenues afin de vérifier leur race. L'équipe a ensuite analysé les données, à la recherche d'écarts. Ils ont constaté que les bébés noirs mouraient à un taux plus élevé lorsqu'ils étaient soignés par un médecin blanc par rapport à la moyenne nationale pour tous les décès de nouveau-nés - à un taux de 430 pour 100 000. Ce n'était pas le cas, cependant, lorsque des bébés noirs sont nés sous les soins de médecins noirs. Ce taux était de 173 pour 100 000 décès - 58% de mieux, mais toujours plus élevé que la moyenne nationale.
Les chercheurs ont noté que les différences dans les taux de mortalité semblaient être plus corrélées dans les accouchements compliqués, ce qui était attendu. Malheureusement, il y avait des corrélations similaires dans les hôpitaux qui ont accouché d'un grand nombre de bébés noirs.
Les travaux de l'équipe n'ont pas révélé la raison des écarts constatés, bien qu'ils suggèrent que le racisme joue probablement un rôle clé. Il n'était pas non plus clair si les taux de mortalité plus élevés étaient dus à une moins grande diligence de la part des médecins blancs ou au fait que les médecins blancs moins qualifiés étaient plus susceptibles de pratiquer dans des hôpitaux où davantage de bébés noirs naissent.
https://medicalxpress.com/news/2020-08-black-newborns-die-white-doctor.html
HISTOIRE DRÔLES (2/2)
RépondreSupprimerÉtude: la construction de barrages dans les années 1970 a interrompu le réchauffement climatique
Le niveau de la mer monte
Eric Worrall
19 août 2020
Une étude menée par le JPL a suggéré que la construction de réservoirs d'eau dans les années 1970 a empêché tellement d'eau de s'écouler dans la mer qu'elle a interrompu l'élévation du niveau de la mer.
Changement climatique: les barrages ont joué un rôle clé dans la limitation de l'élévation du niveau de la mer
Par Matt McGrath
Correspondant environnement
La construction de barrages à grande échelle a joué un rôle surprenant dans la limitation de la montée des mers, disent les scientifiques.
Au cours du siècle dernier, la fonte des glaciers et l'expansion thermique de l'eau de mer ont fait monter le niveau des océans.
Mais cette nouvelle étude révèle que les barrages ont presque stoppé la montée des mers dans les années 1970 en raison de la quantité d'eau qu'ils ont empêchée de pénétrer dans les océans.
Sans eux, le taux de croissance annuel aurait été d'environ 12% plus élevé. (...)
https://www.bbc.com/news/science-environment-53836018
Le résumé de l'étude;
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Les causes de l'élévation du niveau de la mer depuis 1900
19 août 2020
Thomas Frederikse, Felix Landerer, Lambert Caron, Surendra Adhikari, David Parkes, Vincent W. Humphrey, Sönke Dangendorf, Peter Hogarth, Laure Zanna, Lijing Cheng et Yun-Hao Wu
Le taux d'élévation du niveau moyen de la mer dans le monde depuis 1900 a varié dans le temps, mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1. Les évaluations précédentes ont montré que les contributions totales de la perte de masse de glace, du stockage de l'eau terrestre et de l'expansion thermique de l'océan ne pouvaient pas être conciliées avec les changements observés du niveau moyen de la mer à l'échelle mondiale, ce qui implique que les changements du niveau de la mer ou certaines contributions à ces changements étaient médiocres. contraint2,3.
Les récentes améliorations apportées aux données d'observation, notre compréhension des principaux processus contribuant au changement du niveau de la mer et les méthodes d'estimation des contributions individuelles, signifient qu'une nouvelle tentative de réconciliation est justifiée. Nous présentons ici un cadre probabiliste pour reconstruire le niveau de la mer depuis 1900 en utilisant des observations indépendantes et leurs incertitudes inhérentes.
RépondreSupprimerLa somme des contributions au changement du niveau de la mer provenant de l'expansion thermique de l'océan, de la perte de masse de glace et des changements dans le stockage de l'eau terrestre est cohérente avec les tendances et la variabilité multidécennale du niveau de la mer observé à l'échelle mondiale et à l'échelle du bassin, que nous reconstruisons à partir de registres marégraphiques.
La perte de masse de glace - principalement des glaciers - a causé deux fois plus d'élévation du niveau de la mer depuis 1900 que l'expansion thermique. La perte de masse due aux glaciers et à la calotte glaciaire du Groenland explique les taux élevés d'élévation du niveau de la mer dans le monde au cours des années 1940, tandis qu'une forte augmentation de la retenue d'eau par des réservoirs artificiels est la principale cause des taux inférieurs à la moyenne au cours des années 1970.
L'accélération de l'élévation du niveau de la mer depuis les années 1970 est causée par la combinaison de l'expansion thermique de l'océan et de l'augmentation de la perte de masse de glace du Groenland. Nos résultats concilient l'ampleur de l'élévation moyenne globale du niveau de la mer observée depuis 1900 avec des estimations basées sur les processus sous-jacents, ce qui implique qu'aucun processus supplémentaire n'est nécessaire pour expliquer les changements observés du niveau de la mer depuis 1900.
https://www.nature.com/articles/s41586-020-2591-3
Une élévation du niveau de la mer de quelques mm / an ne constitue une menace pour le bien-être de personne. Mais je trouve fascinant que la construction de quelques projets de barrages ait apparemment suffi à enrayer cette prétendue menace climatique sérieuse.
Si la construction de quelques barrages dans les années 1970 suffisait à freiner l'élévation du niveau de la mer, il y a beaucoup d'autres projets d'eau gigantesques sur la planche à dessin qui bloqueraient probablement l'élévation du niveau de la mer pendant encore quelques décennies, comme le projet égyptien de dépression de Qattara, le CSIRO Three Rivers Northern Catchment Scheme, ou l'une des nombreuses variantes du Bradfield Scheme. La Chine possède une vaste zone de friches inutiles qui pourraient éventuellement être remplies d'eau. Même le remplissage de ces dépressions naturelles avec de l'eau de mer dans de nombreux cas pourrait améliorer le microclimat local.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/19/study-dam-construction-paused-global-warming-sea-level-rise/
(...) Changement climatique: les barrages ont joué un rôle clé dans la limitation de l'élévation du niveau de la mer (...)
SupprimerHAHAHAHAHA !
Jusqu'à plus amples informations, un barrage... rejette autant d'eau qui lui arrive !! Cà alors !! Because qu'il déborderait !
(...) Le taux d'élévation du niveau moyen de la mer dans le monde depuis 1900 a varié dans le temps, mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1. (...)
'mais les facteurs contributifs sont encore mal connus1'. !!
HAHAHAHAHA !
La modification du niveau des mers & océans est uniquement due aux tremblements de terre qui élèvent des monticules sous-océaniques (pas encore des îles) ou, crée des failles dans lesquelles l'eau s'infiltre depuis toujours.
Voir carte du monde y a x millions ou milliards d'années.
Une percée «roman» ? De nouvelles études montrent que les cellules T mémoire offrent une immunité COVID à long terme et préexistante
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 20/08/2020 - 10:35
Une grande partie des discussions sur le coronavirus au cours des deux derniers mois a porté sur les anticorps.
Ils sont considérés comme faisant partie de la clé pour débloquer des questions sur l'immunité au virus. Plus précisément, les chercheurs ont examiné comment les vaccins induisent des réponses anticorps et combien de temps durent les protections anticorps après que quelqu'un ait eu le virus. Dans les réponses à ces questions se trouve la réponse à une autre: comment et quand parviendrons-nous à l'immunité collective ?
Il y avait eu des inquiétudes concernant les anticorps anti-coronavirus au cours des derniers mois, car plusieurs études ont montré qu'ils ne pouvaient durer que plusieurs mois. Cela avait conduit à une litanie de questions sur la fréquence à laquelle il faudrait se faire vacciner et si nous deviendrions ou non immunisés contre le «nouveau» virus.
Mais vendredi, une nouvelle étude mise en évidence par Business Insider a déplacé l'attention des anticorps vers les cellules T mémoire - les cellules qui identifient et détruisent les cellules infectées et expliquent aux cellules B comment fabriquer des anticorps.
L'étude, publiée dans Cell, suggère maintenant que toute personne qui reçoit le COVID-19 développe des cellules T qui peuvent offrir une immunité à long terme en traquant le coronavirus à des dates ultérieures. «Les lymphocytes T mémoire s'avéreront probablement essentiels pour la protection immunitaire à long terme contre le COVID-19», indique l'étude.
L'étude a examiné le sang de 206 personnes en Suède qui avaient été exposées au COVID-19 à divers degrés de gravité. Indépendamment de l'exposition d'une personne, ils ont développé une réponse «robuste» des cellules T, selon l'étude. Et même ceux qui ont été testés négatifs aux anticorps ont développé des cellules T mémoire, selon l'étude.
Même le Dr Anthony Fauci a même qualifié les études sur les cellules T comme celle-ci de «bonnes nouvelles» pour lutter contre le virus. "Les personnes qui ne semblent pas avoir de titres d'anticorps élevés, mais qui sont infectées ou ont été infectées, ont de bonnes réponses en lymphocytes T", a-t-il déclaré lors d'une interview sur Facebook jeudi dernier.
De même, une étude réalisée en juillet a révélé que chez 36 patients atteints de COVID-19 qui se sont rétablis, tous ont produit des cellules T mémoire qui «reconnaissent et sont spécifiquement conçues pour lutter contre le nouveau coronavirus». Une troisième étude, publiée dans Nature, a révélé que sur 18 personnes étudiées, plus de 80% ont développé ces cellules T.
Ces études précédentes ont également révélé que de nombreuses personnes qui n'ont jamais eu COVID-19 semblent avoir des cellules T mémoire capables de reconnaître le nouveau virus. Ceci, bien sûr, signifierait que le virus n'est pas un «roman» comme nous le pensions autrefois. Dans l'étude de juillet, plus de la moitié des personnes avaient déjà les cellules T et dans l'étude Nature, plus d'un tiers avaient déjà les cellules T.
Une autre étude publiée plus tôt en août a montré que 25 personnes qui n'avaient jamais eu COVID-19 avaient des lymphocytes T mémoire capables de le reconnaître. En d'autres termes, ils bénéficiaient d'une forme d'immunité préexistante.
RépondreSupprimerLa durée de vie de ces cellules T peut être immense. Par exemple, dans l'étude de juillet, les cellules T dans les échantillons de sang de 23 personnes qui ont survécu au SRAS étaient toujours là 17 ans plus tard. Les mêmes cellules T "pourraient reconnaître le nouveau coronavirus".
Alessandro Sette, co-auteur de cette étude, a déclaré: "Cela pourrait aider à expliquer pourquoi certaines personnes présentent des symptômes plus légers de la maladie alors que d'autres tombent gravement malades."
"Vous commencez avec un petit avantage - une longueur d'avance dans la course aux armements entre le virus qui veut se reproduire et le système immunitaire qui veut l'éliminer", a-t-il conclu.
Nous nous demandons si cela pourrait faire partie de la raison pour laquelle les chiffres de Covid-19 aux États-Unis commencent à se renverser, comme nous l'avons noté hier.
De retour le 14 juillet, lorsqu'une vague de nouveaux cas de Covid balayait les États de la ceinture solaire, incitant beaucoup à spéculer si une nouvelle série de fermetures était imminente, nous avons pris l'autre côté de l'argument et avons dit que le pic de la pandémie avait atteint, et que dans Arizona - un état d'épidémie récente précoce, "le pire était passé pour l'évasion de COVID."
Nous avions raison, et comme Bank of America l'a écrit hier, l'Arizona a connu une baisse de 66% depuis son sommet du 14 juillet, tandis que les États-Unis excluent. les quatre principaux états d'épidémies récentes (AZ, CA, FL, TX) connaissent une baisse de 13% depuis le pic du 30 juillet.
- voir graphique sur site -
Il y a plus: comme le souligne également BofA, "nous continuons à voir des signes clairs que le coronavirus se répande aux États-Unis alors que le nombre de personnes hospitalisées en raison du COVID-19 diminue à un rythme rapide d'environ un pour cent par jour (26% en 23 jours). "
En extrapolant, ce taux de déclin signifie qu'il ne pourrait y avoir aucune hospitalisation liée à Covid autour du jour des élections du 3 novembre, un exploit qui, s'il est commercialisé correctement, pourrait faire la différence pour Trump entre la victoire et la défaite.
https://www.zerohedge.com/medical/novel-breakthrough-new-studies-show-memory-t-cells-offer-long-term-and-pre-existing-covid
La guerre contre les propriétaires a commencé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 20/08/2020 - 10:15
Rédigé par Zachary Yost via The Mises Institute,
Alors que l'élargissement du tourbillon qu'est 2020 continue de tourner, il semble que chaque jour une nouvelle proposition désastreuse et mal pensée soit faite ou qu'une politique soit mise en œuvre. Dans le chaos, le chœur de l'annulation du loyer en particulier a retenu l'attention pour sa pure insolence et la facilité avec laquelle il est entré dans le discours en tant que solution politique raisonnable.
L'idée de supprimer la rente n'est pas nouvelle, mais jusqu'à présent, elle n'a jamais vraiment été considérée comme autre chose qu'une chimère de folie. Mais avec le carnage économique causé par le virus et le verrouillage du gouvernement qui s'ensuit toujours en cours, il en est venu à être considéré comme une option politique concevable. Avec des dizaines de millions de personnes sans travail, la capacité de payer pour les nécessités de base comme le logement est évidemment une préoccupation valable, mais le caractère insensé de l'idée d'exproprier simplement le logement des propriétaires est inquiétant et révélateur de tendances plus sombres qui traversent le corps politique dans ces domaines. temps turbulents.
L'un des leaders les plus en vue du mouvement d'annulation de loyer est la députée du Minnesota Ilhan Omar, qui a présenté une législation en avril qui ne revient essentiellement à rien d'autre que l'extorsion gouvernementale des propriétaires. Christian Britschgi rapporte que le projet de loi annulerait simplement tous les paiements de loyer et d'hypothèque pour les résidences principales dans tout le pays jusqu'à un mois après la fin de l'état d'urgence fédéral. Tenter de percevoir un loyer ou signaler le non-paiement du loyer à des agences de crédit entraîne une augmentation des amendes, y compris la saisie de ses biens.
Après qu'Omar eut porté une batte de baseball aux genoux des propriétaires partout, elle a généreusement étendu une béquille gouvernementale, avec des cordes attachées, bien sûr. Les propriétaires qui acceptaient une aide fédérale en compensation seraient tenus de ne pas augmenter le loyer pendant cinq ans, et ils ne seraient pas en mesure de prendre en considération le crédit ou les antécédents criminels de quelqu'un lors de la prise des demandes de location. De plus, les propriétaires seraient tenus de fournir aux locataires une valeur nette de 10% dans la propriété. La mafia serait fière d'un shakedown aussi flagrant.
Heureusement, le projet de loi d'Omar a une chance incroyable de devenir loi pour le moment, mais cela ne signifie pas que les gens ne continueront pas d'essayer d'annuler le loyer. Depuis le début de la crise, des groupes à travers le pays ont appelé les gens à simplement cesser de payer leur loyer pour tenter de forcer simplement son annulation. La chroniqueuse du Washington Post Michelle Singletary a écrit que "ce mouvement n'est pas sans mérite", mais a au moins souligné que si de nombreuses juridictions ont mis un moratoire sur les expulsions, le loyer qui n'est pas payé maintenant sera toujours dû si le locataire ne le souhaite pas. font face à l'expulsion lorsque les moratoires expirent.
Le Mouvement unifié de défense du voisinage, qui a un chapitre agité à Pittsburgh, a un manifeste rempli de mots à la mode socialistes sur les maux du système capitaliste qui opprime tout le monde pour ne pas leur fournir un logement gratuitement en vertu de leur existence. Avec le sérieux d'un étudiant de première année fraîchement sorti d'un bang, ils déclarent que:
RépondreSupprimer«Les logements devraient être collectivement possédés, gérés et construits pour le plus grand bénéfice de ceux qui y vivent. Le logement est un droit du peuple et ne devrait pas être une cause de profit privé. »
De même, écrivant dans Teen Vogue, Kandist Mallet a lancé une attaque socialiste totale contre l'idée même de la propriété elle-même, affirmant que le logement privé provoque la «violence économique» et que la pandémie a révélé «la cruauté du logement payant». Selon Mallet, le logement doit être considéré comme un droit humain qui doit être garanti à chacun en raison de sa naissance. Mais au lieu de cela, la mauvaise institution de la propriété est défendue par l'État et ses agents. Ce n’est pas surprenant, déclare-t-elle, puisque les États-Unis sont «un pays fondé sur le génocide et la colonisation des peuples autochtones».
«Alors que le loyer devrait bien sûr être annulé pendant la pandémie, affirme-t-elle, l’objectif final est« le rejet de l’idée que toute personne devrait posséder les terres de cette terre ».
Il est normal qu'un tel appel à l'abolition de la propriété se trouve dans un magazine de mode comme Teen Vogue, car il est au cœur du problème auquel les vrais libéraux sont confrontés dans la culture au sens large aujourd'hui. Le socialisme réveillé est devenu à la mode, en particulier chez les jeunes. Certains pourraient dire que Teen Vogue s'est éloigné de ses racines à la mode, mais c'est incorrect. Teen Vogue a fini par comprendre que le désir jacobin de déchirer les institutions existantes au nom du progrès est «en vogue», pour ainsi dire, et favorise donc la ferveur révolutionnaire à la fois sexuelle et socialiste.
Cela n'augure rien de bon pour
https://www.zerohedge.com/bailout/war-landlords-has-begun
SupprimerCause Gripette Éternelle, le paiement des impôts est reporté à l'an 3000 !
Hahahaha !
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/07/7-hectares-8476-mhab.html
Vaccin russe contre le Covid-19, Spoutnik VLes effets secondaires du vaccin russe contre le Covid-19 énumérés
RépondreSupprimer16:53 20.08.2020
Alors que la Russie vient d’enregistrer le premier vaccin anti-Covid au monde, Sputnik a eu l’occasion de prendre connaissance de la notice l’accompagnant et citant notamment ses effets secondaires.
Les effets indésirables d’un vaccin contre le Covid-19 peuvent se manifester sous forme de frissons, de fièvre, de maux de tête, de nausées, d’une baisse de l’appétit et de réactions allergiques, indique la notice décrivant l’emploi du vaccin Gam-COVID-Vac dont Sputnik a eu connaissance.
«Effets secondaires: éventuel développement de brèves réactions de courte durée générales (bref syndrome grippal se caractérisant par des frissons, de la fièvre, des arthralgies, des myalgies, de l’asthénie, une indisposition générale et des maux de tête) ainsi que locales (douleur à l'endroit de l'injection, hyperhémie, œdèmes)», indique le document.
D’autres symptômes pourraient également se manifester, quoique moins souvent, comme des nausées, la dyspepsie, la baisse de l’appétit et parfois l’augmentation des ganglions lymphatiques, précise encore la notice. Certains patients pourraient développer des réactions allergiques.
Le ministère russe de la Santé avait précédemment enregistré le premier vaccin contre le Covid-19 au monde qui a été a été conçu en commun par le Fonds d’investissements directs de Russie (RFPI) et le Centre Gamaleïa de recherches en épidémiologie et microbiologie.
L’annonce a été faite mardi 11 août par Vladimir Poutine lors d’une réunion avec les membres du gouvernement. La Russie se propose de fabriquer près de 200 millions de doses d’ici la fin de l’année, tandis que 20 pays ont d’ores et déjà exprimé leur intérêt pour Spoutnik V, notamment les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite, l'Indonésie, les Philippines, le Brésil, le Mexique et l'Inde.
https://fr.sputniknews.com/sante/202008201044286992-les-effets-secondaires-du-vaccin-russe-contre-le-covid-19-enumeres/
Pour Marine, influenceuse pro-chasse, «ce n’est pas l’acte de tuer en lui-même qui compte»
RépondreSupprimer17:07 20.08.2020
Par Mike Beuve
La cynégétique a mauvaise presse, en témoigne le désamour exprimé par les Français dans différents sondages. Mais des influenceuses Instagram pro-chasse souhaitent montrer une image moderne de leur passion. C’est le cas de Marine Instachasseresse qui explique à Sputnik qu’il faut éviter de tomber dans les clichés.
À quelques jours de l’ouverture de la chasse, nouvelle polémique. La pétition en faveur d’un référendum d’initiative partagé (RIP) contre la maltraitance animale a dépassé, lundi 17 août, les 500.000 signatures. Elle est de surcroît soutenue par 129 parlementaires de différents bords politiques. De quoi faire sortir Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), de ses gonds: «Je ne crois pas que l'on défende réellement la cause animale à travers ce qu'il se passe», a-t-il déclaré mardi 18 août sur France Inter.
Une position partagée par Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, qui a signé la préface de l’ouvrage de Willy Schraen. «Ce livre, les ayatollahs de l'écologie s'en serviront pour allumer le barbecue où ils cuiront leurs steaks de soja», écrit le garde des Sceaux. Et de poursuivre: «Ils veulent que nous ayons honte [...] nous culpabiliser d'être ce que nous sommes, car nous sommes aussi notre passion. Et depuis trop longtemps nous refusons de nous défendre, convaincus sans doute que l'intolérance et l'absurde ne méritent pas de réponse.»
Les Français majoritairement pour le respect des animaux
Pourtant, selon de récents sondages, une majorité de Français exprime la volonté de s’engager pour l’amélioration des conditions de vie des animaux. Une enquête de l'IFOP pour la Fondation Bardot, publiée ce mercredi 19 août par Le Monde, révèle par exemple que 82% des sondés sont défavorables à la chasse à courre.
Interrogée par Sputnik, l’influenceuse pro-chasse et ambassadrice du fabricant d’armes Browning, Marine Instachasseresse, estime que «malheureusement, les gens qui ne s’y connaissent pas ne vont pas comprendre quel est l’intérêt de la chasse à courre, quelle est la différence avec la chasse à tir par exemple. C’est ce que je trouve dommage».
«Il faut comprendre que nous ne sommes pas tous animés par l’envie de tuer. C’est souvent une image que l’on peut avoir mais ce n’est pas le cas.»
Dans ce projet de RIP figure notamment l’interdiction d’élever des animaux dans le seul but de commercialiser leur fourrure. L’influenceuse indique d’ailleurs qu’elle «n’est pas forcément pour» cette pratique.
Méconnaissance des pratiques
Néanmoins, «déterrer des blaireaux, c’est essentiel pour moi, parce que c’est un gibier qui n’est pas chassé en battue. Il vit la nuit et fait beaucoup de dégâts, que ce soit dans les cultures ou autre. Il a également beaucoup de maladies si on ne le régule pas, mais ça, on n’en parle pas». Le chasseur participerait donc à la régulation naturelle selon elle. Une vision d’ensemble ignorée par leurs détracteurs ?
«Les anti-chasses ne vont regarder que l’acte final, donc le prélèvement de l’animal, et pas tout ce qu’il y a autour et pourquoi on le fait. Par exemple, lors d’une approche au chevreuil le week-end dernier, j’ai marché des heures, j’ai sélectionné l’animal, il y a une vraie recherche.»
RépondreSupprimerUne manière de dire que la chasse est un art de vivre. «Je vais bien plus souvent à la chasse pour regarder et participer. Ce n’est pas ‘je tue cinq animaux tous les week-ends et je suis contente’», plaisante-t-elle.
«Je suis une vraie Parisienne, cela fait dix ans que je chasse et j’ai appris beaucoup de choses, notamment sur la sécurité et la nature en passant mon permis il y a trois ans. En étant sur le terrain, c’est impressionnant tout ce que l’on peut découvrir sur la faune et la flore.»
Malgré ces arguments défendant une approche respectueuse de l’environnement, la cynégétique continue d’avoir mauvaise presse. Cette nouvelle génération d’influenceuses pro-chasse, comme Johanna Clermont ou encore Liberte Austin aux États-Unis, peut-elle changer les mentalités ?
Moderniser la pratique
«Ma mission n’est pas de changer les opinions mais de montrer la chasse comme je la vois, comment je la vis et comme j’ai appris: c’est-à-dire respectueuse. Je n’ai jamais participé à une chasse où les animaux n’ont pas été respectés», explique-t-elle. Et de préciser: «On rend toujours les honneurs au gibier.» Un rite méconnu qui illustre l’égard et le respect des chasseurs pour celui-ci. Par exemple, insérer un rameau dans sa gueule, appelé «la dernière bouchée».
Comme l’ambassadrice Browning le résume, «via mon compte Instagram, je veux véhiculer une image moderne, plus jeune du chasseur. C’est-à-dire qui n’est pas alcoolique, qui n’a pas forcément un ventre bedonnant. C’est un peu pour casser les stéréotypes que l’on peut voir dans le sketch des Inconnus et ainsi montrer qu’en réalité, la pratique crée du lien. J’ai d’ailleurs rencontré énormément d’amis et partagé des moments avec des proches».
«Aujourd’hui, parmi les jeunes permis, il y a des chasseresses qui veulent accompagner leur compagnon et qui commencent à s’y mettre. Je trouve cela super parce que l’on partage une passion de couple et ce n’est pas une chasse individuelle», conclut Marine.
https://fr.sputniknews.com/france/202008201044287071-pour-marine-influenceuse-pro-chasse-ce-nest-pas-lacte-de-tuer-en-lui-meme-qui-compte/
(...) Les Français majoritairement pour le respect des animaux (...)
SupprimerMais d'où sortent-ils çà ??! Ce sont TOUS les français qui mangent de la viande. Alors, qu'une bête soit amenée à l'abattoir ou tirée en pleine nature quelle différence ?
S'il n'y avait pas de chasseurs il n'y aurait pas de récoltes ! Les sangliers déterrent des plants, saccagent des récoltes comme les oiseaux aux cerisiers.
Anciens temps dans les fermes, on tuait des lapins et gardait la fourrure ou la ou les vendait pour faire des manteaux, comme le cuir d'un bœuf ou plumes de poules, d'oies ou d'oiseaux pour faire des oreillers ou des matelas très chauds meilleurs que ceux en plastique-mousse d'aujourd'hui.
Rappelons que les loups lâchés (ou ours) ne mangent pas de l'herbe !
Les 'anti-chasses' feraient mieux de s'attaquer aux cités ('zones de non-droit') où ce sont des Glocks et Kalachnikovs qui font la loi !