- ENTREE de SECOURS -



vendredi 28 août 2020

Une expérience en cours sur l’installation Tokamak, le prédécesseur d’ITER, dans l’Institut Kourtchatov à MoscouITER, premier réacteur thermonucléaire: un projet international apolitique «dans sa structure même»

21:00 27.08.2020
Par Oxana Bobrovitch


Témoignage de la possibilité d’une coopération scientifique transversale, l’assemblage d’ITER, le réacteur thermonucléaire expérimental international, a commencé à Cadarache. Mikhaïl Makarov, représentant commercial de la Russie en France, décline pour Sputnik les incidences que ce projet pourrait avoir sur la coopération franco-russe.

Le 28 juillet dernier, le «chantier du siècle», près du centre de recherche de Cadarache, est passé à la vitesse supérieure. Ce jour-là, l’assemblage d’ITER, le plus grand réacteur thermonucléaire expérimental au monde, a officiellement commencé, un lancement notamment salué par Emmanuel Macron. Ce «soleil artificiel» sera capable de produire sept milliards de kW/h d’électricité par an. Pour l’instant, ITER est le seul projet impliquant Moscou à ne pas faire l’objet de sanctions internationales.

Mikhaïl Makarov, représentant commercial de la Russie en France, confirme dans une interview à Sputnik que ce projet industriel impliquant 35 pays, «dans sa structure même, dans son idéologie, est apolitique et non soumis à la conjoncture actuelle». L’histoire du projet est riche en exemples où les pays ont réussi à surmonter des moments politiquement difficiles.

«Il y a eu des moments où, en raison des sanctions imposées, des entreprises russes ont eu des difficultés à acquérir des équipements pour remplir leurs obligations dans le cadre du projet ITER, rappelle Mikhaïl Makarov. Dans tous ces cas, les difficultés ont été surmontées avec l’implication des structures de l’Union européenne et grâce à l’intervention du directeur général d’ITER, Bernard Bigot.»

Le directeur de la représentation commerciale russe cite notamment une anecdote remontant à fin avril, début mai 2020, quand dix semi-remorques avec de l’équipement électrique pour ITER ont fait le trajet de Saint-Pétersbourg à Cadarache.

Fusion nucléaire et coronavirus


Il s’agissait de l’un des équipements russes les plus importants et les plus volumineux sur le total des 25 systèmes dont la Russie est responsable.

«La livraison a été effectuée au moment du pic de la pandémie de coronavirus, lorsque les frontières des États européens étaient fermées au transport. Malgré cela, les véhicules avec une cargaison aussi précieuse pour la mise en œuvre du projet sont arrivés avec succès à leur destination dans le sud de la France», souligne Mikhaïl Makarov.

L’aspect unique de l’aventure humaine actuelle est que «la coopération dans le cadre du projet ITER est un tout nouveau format de coopération scientifique et technique internationale»:

«Des pays aux cultures, traditions et approches scientifiques complètement différentes ont appris à parler la même langue, au sens propre comme au sens figuré. À cet égard, ITER est un exemple éclatant de la façon dont un seul grand objectif peut effacer les différences et devenir un lien pour une coopération internationale étroite», se félicite Mikhaïl Makarov.

Le directeur exprime également la certitude que «les futurs projets de ce niveau, les projets de classe Big Science, devraient et seront construits sur le chemin que nous avons parcouru». Il n’hésite pas à citer quelques chiffres témoignant de la prouesse de la coopération russo-française en ces temps difficiles: en 2019, les échanges commerciaux entre ces pays s’élevaient à environ 15 milliards de dollars américains, qui représentent «une augmentation significative par rapport à l’année critique pour les relations économiques extérieures en 2014.»

Un projet «apolitique», mais vivant dans son temps

Mikhaïl Makarov reste persuadé que pour la France comme pour la Russie, «il s’agit d’un projet-phare d’une importance colossale, autant pour les sciences appliquées, qu’en termes d’image». Cela sous-entend pour la représentation commerciale russe le besoin de poursuivre «de manière continue» la coopération entre les deux pays.

«En 2006, l’année de la signature de l’accord international sur la création de l’Organisation ITER, l’Agence ITER de France a été créée. Ses compétences comprennent l’interaction avec les organisations internationales, les questions de contributions financières et en nature à l’organisation ITER, l’exécution de nombreux travaux sur le chantier de construction du réacteur et bien d’autres questions», détaille Mikhaïl Makarov.

Un nombre important d’employés russes travaillent dans l’organisation ITER participent à la mise en œuvre du projet et visitent régulièrement le site de construction du réacteur. Le directeur de la représentation commerciale rappelle que «des stages pour de jeunes spécialistes russes sont régulièrement organisés». Un bureau d’accueil, créé au sein de la structure d’ITER, «est impliqué dans l’assistance pratique aux employés, les aidant à résoudre les problèmes au quotidien» pour faciliter leur adaptation.

ITER, moteur des relations bilatérales

La mise en place des premiers composants du réacteur à Saint-Paul-lès-Durance a suscité beaucoup d’enthousiasme. Désormais, l’objectif principal est d’obtenir le premier plasma en 2025, une «échéance clairement définie par l’actuel directeur général d’ITER, Bernard Bigot», lors de sa prise de fonction en 2015.

«Il ne faut pas oublier qu’ITER est un équipement expérimental. Son objectif principal est de développer des processus technologiques. Par conséquent, les travaux de recherche seront menés par étapes», rappelle Mikhaïl Makarov.

Pour le représentant commercial russe, si les expériences pratiquées au sein du réacteur ITER sont couronnées de succès, selon le scénario esquissé par la communauté internationale («et nous n’en doutons pas», souligne Mikhaïl Makarov), on peut s’attendre à l’apparition «d’ici le milieu du siècle» d’une première centrale thermonucléaire internationale «plus sûre, fondamentalement nouvelle, potentiellement plus puissante.»

50 commentaires:

  1. LES ANTENNES-RELAIS HUAWEI SERONT PROGRESSIVEMENT ENLEVÉES EN FRANCE


    par ANTON KUNIN
    28/08/2020


    Bouygues Telecom enlèvera 3.000 antennes-relais Huawei d'ici à 2028.

    La France souhaite éliminer progressivement les antennes-relais fabriquées par Huawei. Malgré tous les efforts des autorités de rester discrètes sur le sujet, l’information a fini par se savoir grâce aux révélations faites par Olivier Roussat, le président de Bouygues Telecom, devant les actionnaires.

    Les antennes-relais Huawei disparaîtront d’abord dans les villes stratégiques pour la défense nationale

    Jusqu’ici, le « club » des pays bien décidés à boycotter les équipements Huawei ne comptait que les États-Unis et le Royaume-Uni. On sait maintenant que la France va bientôt les rejoindre. Même si le gouvernement et l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) gardent le silence sur ce sujet, leurs ambitions en la matière ont fini par être dévoilées. C’est Olivier Roussat, le président de Bouygues Telecom, qui a fait cette révélation lors de la présentation des derniers résultats financiers du Groupe Bouygues, le 27 août 2020.

    Conformément aux injonctions de l’ANSSI, les villes stratégiques pour la défense nationale seront les premières où ces enlèvements seront réalisés. Il s’agit de Brest, où est situé un port militaire abritant une base de sous-marins nucléaires, Rennes, où sont situées des infrastructures spécialisées en cybersécurité et Toulouse, qui abrite le siège d’Airbus. Paris ne sera pas concerné par cette injonction car de toute façon Bouygues Telecom n’y dispose d’aucune antenne-relais Huawei.

    Interdiction prochaine des équipements Huawei en France : Bouygues Telecom anticipe le coup

    En tout, l’enlèvement des antennes-relais Huawei s’étalera sur huit ans. C’est en effet pour une durée de huit ans que l’ANSSI accordera aux opérateurs télécoms des autorisations pour utiliser des équipements 5G fabriqués par Huawei. Voyant que la fin des équipements Huawei en France est inéluctable, Bouygues Telecom a donc décidé d’anticiper en calant son calendrier sur celui de l’ANSSI.

    Mais l’enlèvement par Bouygues Telecom de ses antennes-relais Huawei ne devrait pas être général. Selon Olivier Roussat, l’État insiste sur l’enlèvement des antennes-relais Huawei uniquement dans les zones densement peuplées. L’opérateur entend donc continuer à en exploiter dans les zones faiblement peuplées au-delà de 2028.

    http://www.economiematin.fr/news-enlevement-antennes-relais-huawei-bouygues-telecom

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  2. Neutralité carbone en 2050 : le mensonge du demi-siècle ?

    Les sommes colossales qu’il est prévu de consacrer à la diminution des émissions pourraient bien manquer dramatiquement quand il s’agira de faire face aux débordements climatiques en tous genres.


    28 AOÛT 2020
    Par Gérard Petit.


    Après l’emphatique COP 21, la communauté unanime se devait de fixer des objectifs en rupture. Ce fut : « atteindre la neutralité carbone sur la planète en 2050 » cible cohérente avec la volonté affichée de limiter à 2° le réchauffement de l’atmosphère à la fin du siècle.

    Et chacun d’applaudir à cette belle unanimité, gage apparent d’un engagement salvateur.

    Mais la question vertigineuse de la crédibilité de l’atteinte d’un tel objectif n’est pas posée, pas plus que celle d’un nécessaire plan B plus réaliste celui-là, qui se préoccuperait bien davantage de la lutte contre les conséquences inéluctables du réchauffement.

    UN LÂCHE SOULAGEMENT ?

    Dans une anaphore récente, mais qu’on a vite oubliée, noyée sous le flot d’autres imprécations sur le temps d’après, Nicolas Hulot, parmi une centaine de recommandations, disait : « qu’il fallait cesser de se mentir ».

    De fait, ce conseil avisé a toujours valu, en tout temps et en tous lieux. Ne pas en avoir tenu compte a exposé les sociétés et les individus à des déconvenues majeures.

    Il se trouve pourtant que les politiques énergétiques en France, en Europe et ailleurs sont désormais souvent construites comme un édifice dont la clé de voûte est l’atteinte de la neutralité carbone en 2050, expression simple, à dessein, de la résolution de l’équation climatique.

    Nicolas Hulot alors ministre d’État, de la Transition écologique et solidaire, a porté haut cette ambition pour laquelle les résultats attendus des PPE à la française sont présentés comme des jalons et signent la franche adhésion de la gouvernance du pays à cet objectif.

    Mais dans le temps de vérité vraie et d’honnêteté honnête, que Nicolas Hulot appelle de ses vœux, il paraît indispensable de jauger sans aménité cet objectif affirmé devant l’opinion et de lui appliquer en conséquence les questionnements requis, non sur son « à-propos », compte tenu du problème posé, mais bien sur sa pertinence et surtout sur sa crédibilité.

    EYES WIDE SHUT ?

    Étonnamment, cette question d’une importance pourtant capitale puisqu’elle devrait bousculer nos habitudes de vie pour les années qui viennent, ne s’est pas imposée dans l’opinion ; trop iconoclaste voire trop explosive peut-être, au point que ne pas l’aborder semble faire consensus. Pourtant, il est plus que légitime de se demander si l’objectif désigné pour 2050 n’est pas largement surréaliste, voire chimérique. En tel cas, questionner le pourquoi risquer ce fourvoiement des opinions, et leur réaction en retour, et s’interroger sur les conduites alternatives à tenir, devraient être des réflexes collectifs vitaux.

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  3. Un premier élément de réponse tient en ce qu’on a tant présenté la lutte contre le changement climatique comme la clé du futur de nos sociétés, au point même que la covid 19, avec aujourd’hui ses 20 millions de contaminés, est considérée comme une péripétie, dont on se sortira fatalement ; et qu’il était impensable de ne pas afficher une feuille de route ambitieuse pour rasséréner les opinions, justement alertées d’ailleurs, sur un péril climatique bien réel.

    Mais que, pratiquement, on puisse parcourir le chemin vers l’objectif, ou même seulement s’y engager un peu, est toute la question et c’est justement celle qui n’est jamais posée, car bien trop politiquement incorrecte. La problématique est devenue morale, on ne peut plus ne rien faire, l’injonction gommant même toute velléité d’interrogation sur le « quoi faire d’utile ? » et sur le « comment pouvoir le faire ? ». L’opinion d’ordinaire prompte au doute laisse ici le champ libre aux initiatives politico-économiques dont on comprend bien qu’elles ne sont dénuées ni d’opportunisme ni d’intérêts.

    NOURRIR L’ILLUSION

    À la grande sensibilisation réussie, aux allures de kermesse de la COP 21 il fallait bien donner une traduction pratique et fixer un objectif parlant et contraignant, bien calé dans le temps ; à ces titres, la date de 2050 présentait les qualités requises pour augurer un bon aboutissement.

    Trente ans, une échéance à la fois proche, qui montre que l’affaire est urgente et qu’on ne remet pas sa résolution aux générations futures, et lointaine, gage qu’on a encore un peu de temps pour s’organiser afin d’y parvenir. En effet, il ne fallait ni décourager d’entrée l’élan imprimé ni doucher l’alacrité créée.

    En effet, une convergence progressive pour aboutir en 2050 à ne plus accroître la teneur en GES de l’atmosphère et de s’y tenir jusqu’à la fin du siècle, nous permettrait de respecter l’objectif de la COP 21, qui est de limiter à cette échéance l’élévation des températures à 2°C. C’est une trajectoire mathématique peu sujette à caution ; mais plus ardue sera évidemment de lui adjoindre l’évolution sociétale et économique mondiale qui l’accompagnent !

    Or, cette dimension clé semble être apparue comme aller de soi, tant il est vrai que l’enjeu posé est vital, et le fait que la quasi-totalité des pays du monde ait décidé de joindre ses efforts peut apparaître comme une rareté rassurante.

    FAUSSE VALIDATION

    La vraie dépression économique créée par la Covid-19 et ses conséquences sur la baisse notable des émissions de GES nous fait miroiter de fausses solutions.

    Oui, les émissions ont chuté, mais à quel coût économique et social, tout au contraire, ce banc d’essai doit se lire pour ce qu’il montre : le prix à payer est hors de proportion par rapport au résultat constaté.

    Ainsi, le monoplace Solar Impulse a-t-il- pu faire le tour du monde avec ses ailes solaires de surface comparable à celles d’un gros Airbus, mais c’est une victoire à la Pyrrhus, qui démontre en creux l’inanité du concept d’avion photovoltaïque et même bien davantage. N’en va t-il pas de même pour les leçons à tirer de ce que nous sommes en train de vivre durant cette crise économique induite ?

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  4. Comment ne pas mettre en regard l’incroyable effort qu’il faudrait consentir avec l’évolution inertielle de nos sociétés nanties, la dynamique de celles qui sont en rattrapage et qui, pour certaines, sont démographiquement en explosion.

    Il y a là un terrible hiatus : oui, il nous faudrait tenir les chiffres programmés de baisse des émissions pour atteindre l’objectif, mais non, tout dans un simple regard sur ce que cela implique nous montre l’extravagance d’une telle injonction.

    Déjà, ne pas dépasser les rejets actuels, voire les baisser à la marge, semble un challenge difficile à relever d’autant que les besoins déjà en hausse et qui devraient s’envoler pour faire face aux conséquences du réchauffement vont nous demander des efforts financiers considérables qu’il faudrait largement anticiper.

    Aujourd’hui, quand on plante des arbres dans les villes, on met en parallèle le bien-être apporté, ombre, fraîcheur, avec le fait que c’est bon pour le climat ; et demain on ne considérera plus guère que les premiers apports, car ils seront nécessaires pour maintenir acceptables les conditions de vie locales.

    BIFURCATIONS

    L’Allemagne, pays emblématique, et s’affichant tel sur le front de la lutte contre le réchauffement climatique, a modifié profondément son mix électrique très émetteur de GES, adjoignant à son parc fossile (lignite, charbon, gaz) des implantations solaires et éoliennes à une échelle inouïe.

    Malgré les sommes dépensées dont on peine même à imaginer tous les autres usages auxquels elles auraient pu être consacrées, tant les chiffres sont vertigineux (on parle de 500 milliards d’euros, voire du double !1, la baisse des émissions, qui devient perceptible, reste cependant très loin des promesses, alors même que la contribution des EnRi dans la production électrique est déjà très conséquente, soit plus d’un tiers.

    Cet exemple à très grande échelle montre bien la disproportion entre les efforts à engager et les résultats obtenus, même si l’Allemagne a occulté une partie du bénéfice attendu du développement des EnRi en supprimant concomitamment sa contribution nucléaire.

    Faire bifurquer des comportements sociétaux, surtout s’ils relèvent du primordial et non du confort, pourraient bien se révéler impossible, à la différence des nécessaires parades individuelles ou collectives contre les effets du réchauffement qu’il faudra bien se résoudre à mettre en place quoi qu’il en coûte… Il en ira de la stabilité même de nos sociétés.

    En effet, on peine à imaginer ce que devraient être les bons comportements pour obtenir les résultats tangibles escomptés en matière de réduction des émissions, sauf à devoir modifier drastiquement nos habitudes individuelles ou collectives et sans d’ailleurs voir jamais le moindre bénéfice de ces comportements vertueux, tant tout est déjà joué en matière de climat, au moins pour les vingt ans qui viennent, compte tenu du temps de résidence des GES dans l’atmosphère.

    INANITÉS

    Un simple coup d’œil par la fenêtre où qu’on se trouve dans le monde, avec ce focus de réduction des émissions en tête, donne immédiatement le vertige et montre la largeur immense du gap qu’il faudrait combler.

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  5. Certes, la crise Covid-19 l’a montré, on peut par exemple se déplacer beaucoup moins à l’intérieur et à l’extérieur des frontières. Pour les biens, cela implique qu’on relocalise les productions importées, ce qui ne va pas sans devoir réinvestir lourdement et donc accroître les émissions, au moins temporairement.

    Par ailleurs, comment imaginer que ce qui serait inatteignable en France et plus largement dans les pays dits développés, puisse ne pas poser de problème dans d’autres pays moins manœuvrants économiquement, encore qu’avec la crise des Gilets jaunes, on ait pu mesurer récemment la faible épaisseur de la tolérance sociétale aux restrictions, entre autres énergétiques.

    JOUEURS DE FLÛTE

    Actuellement, dans le domaine énergétique, en France et en Europe, le nouvel absorbeur d’investissements et de subventions est l’hydrogène. Cet engouement soudain révèle d’abord, non un step dans la connaissance ou la technologie, mais bien un désarroi. On ne sait plus quels hochets agiter pour montrer que les gouvernants restent préoccupés et agissent. Mais l’hydrogène est l’archétype même de la fausse bonne idée.

    Au motif que sa combustion ne produit que de l’eau en sus de l’énergie délivrée (un must donc !), l’hydrogène est vu comme le produit miracle, celui qui, entre autres, pourrait remplacer le nucléaire comme source décarbonée. Au passage, c’est faire bien peu de cas des ordres de grandeur et surtout oublier qu’on doit d’abord fabriquer l’hydrogène, et que le processus d’électrolyse de l’eau avec de l’électricité décarbonée pose d’emblée la question du pourquoi ne pas utiliser directement ce vecteur à partir duquel on peut tout faire.

    Certes, on arrive ainsi à stoker de l’électricité, via le support hydrogène, mais le bon rendement de l’électrolyse cache des rendements très faibles pour toute utilisation aval (pile à combustible2, ou power to gas3). L’autre voie de production d’hydrogène aujourd’hui la plus utilisée, le reformage d’hydrocarbures, est disqualifiée car nécessitant beaucoup d’énergie et produisant du gaz carbonique.

    La promotion de l’hydrogène vert est faite par les gouvernements et l’Europe qui financent des recherches publiques et privées. Plusieurs industriels ont effectivement manifesté de l’intérêt pour la filière mais comment ne pas en être ? Avec le battage fait autour du produit miracle, il en va de leur image de marque !

    CAMPAGNE HASARDEUSE

    En filant la métaphore militaire, on pourrait dire qu’en France et ailleurs, engageant nos moyens à découvert pour la quête du Saint Graal qu’est la neutralité carbone en 2050, on se découvre pour aller attaquer l’adversaire jugé le plus emblématique. En conséquence, on choisit aussi de ne pas protéger notre camp de base, confiants dans la réussite de l’opération extérieure pour intrépide qu’elle soit.

    La troupe est donc déjà sortie du cantonnement, mais elle marque le pas au sens premier des mots, n’engrangeant jusque là aucun bénéfice. En effet, actuellement et depuis des années déjà, sous le faux nez de la lutte contre le réchauffement climatique, la France a choisi de réduire le poids du nucléaire dans la production d’électricité en déployant massivement des EnRi. S’agissant de l’impact sur les émissions de gaz carbonique, elle y engage en pure perte des sommes considérables tant en investissements qu’en subventions.

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  6. Dédier tous les efforts à tenter de contrer « la cause », n’est-ce pas construire une nouvelle ligne Maginot, que « les effets » contourneront, comme sa devancière ?

    PRENDRE LA BONNE ASSURANCE

    On ne risque guère de résoudre un problème mal posé. Sur cette question cruciale du changement climatique, il faut justement réussir l’appairage « problème-solution », c’est-à-dire qualifier, quantifier et anticiper les périls et chercher les meilleures parades ; et pour triviale qu’elle soit cette constatation pèse lourd.

    Même si pouvoir limiter l’élévation des températures en parvenant à réduire très significativement nos émissions de GES est la voie qui paraît logique et celle qu’on a présentée aux opinions comme sans alternative, force est de constater que l’objectif reste hors de portée.

    Le problème à résoudre est donc plutôt de chercher à se protéger des effets du réchauffement, autrement dit de savoir vivre avec le moins mal possible. Le dire ainsi n’apparaît pas aujourd’hui recevable par des opinions qu’on a focalisées sur la lutte contre les causes (toutes les mobilisations, celles des jeunes, derrière Greta, en particulier, n’évoquent que cet aspect), ce n’est pourtant en rien se résigner.

    Cette tâche d’autoprotection pour gigantesque qu’elle soit, puisqu’elle nous concerne tous et chacun, n’est pas hors de portée à condition de pouvoir y engager les ressources suffisantes et d’agir au plus tôt pour ne pas devoir le faire mal dans l’urgence et pour pouvoir étaler l’effort.

    Les sommes colossales qu’il est prévu de consacrer à la diminution des émissions (PPE françaises, Green Deal européen, hydrogène allemand…) et dont on sait bien que les bénéfices seront relatifs quand ils existeront, pourraient bien manquer dramatiquement quand il s’agira de faire face à la succession des sécheresses et étés torrides et aux débordements climatiques en tous genres.

    1 - Peter Altmaier ministre allemand des Affaires économiques et de l’énergie. ?
    2 - Pile à combustible : génération d’électricité par réaction inverse de l’électrolyse. ?
    3 - Power to gas : fabrication de méthane vert à partir de gaz carbonique et d’H2.

    https://www.contrepoints.org/2020/08/28/378962-neutralite-carbone-en-2050-le-mensonge-du-demi-siecle

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    1. Il est certain que lorsqu'un moins que rien est nommé ministre faut pas s'attendre à ce qu'il fasse quelque chose d'intelligent !

      Gérard Petit n'est d'ailleurs pas plus scientifique que les nuageologues, pluitologues ou climatogues invités sur les 'plateaux de télévision' !!

      Il ne sait ni ce qu'est le gaz carbonique, ni que les changements climatiques s'appellent des saisons, ni qu'à midi il fait plus chaud qu'au petit matin !

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  7. La Californie est-elle terminée ?


    par Tyler Durden
    Jeu, 27/08/2020 - 20:25
    Rédigé par John Rubino via DollarCollapse.com,


    À présent, il est douloureusement évident que nous, les humains, avons tendance à ruiner nos endroits préférés en les envahissant. Et aucun endroit ne rend ce point meilleur que la Californie. Un paradis absolu il y a 25 millions de personnes, dont certaines parties sont maintenant un paysage d'enfer aux proportions de Mad Maxian.

    Considérer:

    Les pannes de courant continuelles dues en partie à une mauvaise planification et en partie à la surpopulation perturbent les entreprises et rendent les maisons insupportables par une chaleur estivale de 100 degrés F (38°C).

    Les incendies de forêt, dus en partie à l'excès de personnes qui sont chassés dans des «banlieues» entourées de broussailles, brûlent des milliers de maisons et rôtissent la faune malchanceuse qui avait l'habitude d'appeler ces canyons et collines. Voir Sanctuary pour les brûlures de condors en voie de disparition lors d'un incendie de forêt en Californie.

    En ce qui concerne les villes de Californie, voici la discussion brutale du podcasteur Joe Rogan sur la situation des sans-abri à Los Angeles:

    Et ce qui précède n'est que la manifestation physique d'un modèle de développement non durable.

    Le côté financier des choses est encore plus laid. Les syndicats du secteur public contrôlent maintenant la politique de l'État et ont conçu des régimes de retraite qui sont à la fois extrêmement généreux et sans capitalisation catastrophique.

    Ainsi, même en l'absence d'incendies, de pannes de courant et de sans-abri en hausse, l'État se dirigerait vers la faillite.

    Quelle est la solution de la Californie ? Des impôts rétroactifs sur la fortune qui atteignent et ramassent les poches des personnes qui sont déjà parties.

    Maintenant, même le New York Times, qui sympathise généralement avec le modèle politique californien, reconnaît que la côte gauche glisse dans l’abîme. Un extrait du chroniqueur du NYT Farhad Manjoo:

    Californie, on ne peut pas continuer comme ça

    Dans une grande partie de la Californie au cours des deux dernières semaines, beaucoup de mes amis et voisins ont été confrontés à un choix sans issue: est-il plus sûr de mener sa vie à l'extérieur et d'éviter le coronavirus, ou si vous vous précipitez à l'intérieur, pour mieux échapper à la chaleur étouffante, fumée toxique et cendres qui pleuvent ?

    Telle a été l'impossibilité de gagner la vie dans l'État le plus peuplé du pays en cet été étouffant de 2020, dans ce que j'ai été assuré est le plus grand pays qui ait jamais existé. Le virus vous supplie d'ouvrir une fenêtre; l'enfer vous oblige à le garder fermé.

    Lorsque le coronavirus a atterri pour la première fois en Amérique, les législateurs californiens ont réagi rapidement et efficacement, devenant un modèle pour le reste du pays. Mais alors que les premières victoires se sont estompées et que les cas ont augmenté, chaque jour de cet été a été ressenti comme une autre glissade dans une spirale inévitable d'échecs. Le virus continue de s'écraser sur de nombreux autres dysfonctionnements de longue date en Californie, du logement à l'énergie en passant par le changement climatique et la planification des catastrophes, et la ruine qui s'aggrave s'accumule comme les BMW sur la 405.

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  8. Considérez ceci: pour éviter la peste, de nombreux enfants de Californie ont commencé à fréquenter l’école en ligne la semaine dernière. Mais pour satisfaire la demande d'énergie croissante liée à une chaleur record (et à une foule d'autres raisons mystérieuses), les services publics ont dû imposer des pannes de courant continuelles, obligeant les écoles à proposer des plans d'urgence énergétique à ajouter à leurs plans d'urgence contre les virus, maintenant que des millions des étudiants font face à la menace de l'électricité intermittente.

    Pendant des décennies, la Californie s'est appuyée sur les prisonniers conscrits comme moyen peu coûteux de lutter contre ses incendies qui font rage. Mais pour éviter les épidémies de coronavirus dans nos prisons surpeuplées depuis longtemps, les autorités ont libéré des milliers de détenus plus tôt cette année. Maintenant, alors que le changement climatique a inauguré une nouvelle ère de «mégafires» qui comprend certains des plus grands incendies auxquels l'État ait jamais été confronté, la libération anticipée des détenus a laissé l'État dangereusement à court de prisonniers à exploiter pour lutter contre les flammes.

    Quel est le problème fondamental de la Californie? Ni le socialisme, ni la négligence et l'incompétence de Trump, mais quelque chose de plus élémentaire à la vie dans le Golden State: un refus de nombreux Californiens de vivre de manière durable et inclusive, de renoncer un peu à leur propre convenance pour le bien collectif.

    La banlieue californienne, l'idéal d'une grande partie de la banlieue américaine, a été construite et vendue sur la promesse d'un excès sans fin - tout le monde a une voiture, un travail, une maison unifamiliale et suffisamment d'eau, d'essence et d'électricité pour éclairer la fête.

    Mais il est évident depuis longtemps que l'infini était une fausse promesse. La circulation, l'étalement urbain, le sans-abrisme et la flambée des coûts de logement sont tous les conséquences de notre débauche avec la terre et nos autres ressources. En plus d'un climat plus chaud et plus sec, les incendies sont également attisés par un mode de vie non durable. De nombreux incendies ont été aggravés par le déplacement des Californiens vers des zones proches des forêts connues sous le nom d '«interface entre les zones urbaines et les terres sauvages». Une fois que les gens se déplacent près des terres boisées, les incendies ont tendance à suivre - soit parce qu'ils les allument délibérément ou par inadvertance, ou parce qu'ils ont besoin d'électricité, fournie par des fils électriques qui peuvent provoquer des étincelles qui se transforment en conflagrations.

    Alors que les incendies se sont enflammés autour de nous à la même époque l'année dernière, j'ai mis en garde contre la «fin de la Californie telle que nous la connaissons» - que si nous ne commençions pas à modifier radicalement notre mode de vie, le climat et le coût de la vie élevé rendraient le État inhabitable pour un grand nombre de personnes.

    Le plat à emporter ?

    Au-delà d'un certain point, même un endroit comme la Californie, doté à la fois d'Hollywood et de la Silicon Valley, ne peut pas supporter l'insupportable. Ainsi, soit l'État, avec la plupart de ses pairs presque aussi mal gérés, obtient un renflouement de proportions historiques avec toutes les implications de crise monétaire / d'aléa moral que cela implique. Ou la Californie et son style de vie emblématique centré sur la voiture / banlieue sombrent dans le chaos.

    Voici l’espoir de ce dernier, qui fournira au moins un récit édifiant pour d’autres endroits empruntant maintenant la même route.

    https://www.zerohedge.com/political/california-over

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    1. 'RESTAURANT du Virage de la courbe en tournant au rond-point'. Spécialité des plats à emporter.

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  9. LA GRANDE DISTRIBUTION A VENDU POUR 300 MILLIONS D'EUROS DE MASQUES


    par OLIVIER SANCERRE
    27/08/2020


    5% des foyers français possèdent plus de 100 masques jetables.

    C'est indéniablement le produit à la mode et qui risque de le rester pendant encore de nombreux mois ! Le masque de protection fait la fortune de la grande distribution : depuis le mois de mai, les enseignes en ont vendu pour 300 millions d'euros.

    Le masque de protection, obligatoire dans les écoles et les lycées ainsi que dans de nombreux lieux en extérieur comme à Paris, est un produit indispensable que s'arrachent les Français. Il est vrai qu'ils n'ont pas tellement le choix, mesures sanitaires obligent ! Selon le dernier panel Nielsen, il s'est vendu pour 300 millions d'euros de masques de protection depuis le 4 mai, lorsque la vente du produit a été autorisée dans les grandes surfaces. Un chiffre qui concerne tous les types de masques, qu'ils soient jetables ou lavables, que l'on peut acheter en magasin (hyper et supermarchés, dans les drives ou encore dans les magasins de proximité). Nielsen rapporte que le chiffre d'affaires a progressé durant la semaine du 17 au 23 août, à 14 millions (+2 millions par rapport à la semaine précédente). La rentrée devrait en toute logique provoquer un rebond des ventes.

    Masques de première nécessité

    Si les ventes ont tourné autour de 10 millions d'euros au mois de juin, elles ont connu une envolée spectaculaire durant la semaine du 13 au 19 juillet avec un total de 28 millions d'euros. C'est le 16 juillet que le gouvernement a annoncé le port obligatoire du masque dans les lieux publics clos à compter du 20 juillet. Le chiffre d'affaires réalisé par la grande distribution a ensuite fléchi, tombant à 12 millions d'euros entre le 10 et le 16 août. Toutefois, les ventes devraient se maintenir à des niveaux élevés pendant les prochaines semaines, confirmant le statut du masque de protection devenu un produit de première nécessité pour la vie de tous les jours.

    98% des Français ont des masques

    Nielsen a également réalisé un sondage sur le nombre de masques présents dans les foyers français. 98% des personnes interrogées en possèdent à la maison, 70% des masques en tissu, 68% des masques chirurgicaux. 12% seulement possèdent des masques FFP2. Dans 39% des foyers, on compte de 1 à 10 masques jetables. 25% d'entre eux ont de 11 à 30 masques, pour 22% avec de 31 à 50 masques. Dans 5% des foyers, ce nombre dépasse les 100 masques !

    http://www.economiematin.fr/news-la-grande-distribution-a-vendu-pour-300-millions-d-euros-de-masques

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    1. Dernier rapport: Il n'existe AUCUN masque antivirus !
      Les N95 USA ou FFP2 européens laissent tous passer les virus de moins de 1µ ! Because qu'au dessous de 1 micron l'air ne passe plus ! Hahaha !

      Seuls les sacs-aspirateurs le peuvent car ils ont la pression du moteur ! Hahahaha !

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  10. LA CRISE ÉCONOMIQUE INDUITE PAR LE CONFINEMENT AVEUGLE, TUE LES ENFANTS JEUNES PAR FAMINE


    par GÉRARD DELÉPINE
    28/08/2020


    Le taux de létalité de la Covid-19 semble être compris entre 0,5% et 1%.

    Le Covid19 est pratiquement sans danger chez l’enfant jeune, mais les conséquences économiques des mesures généralisées de confinement entraînent l’aggravation considérable des famines qui les tuent.

    Chez l’enfant jeune, le Covid19 s’est révélé bien moins grave que la grippe saisonnière avec une mortalité inférieure à 0,000001[1]. Malheureusement les mesures de confinement aveugle (globalement inefficaces contre la maladie[2]) sont responsables de la crise économique la plus sévère depuis 70 ans dont souffrent particulièrement les pays pauvres entraînant l’aggravation des famines endémiques en Afrique, en Asie et en Amérique du sud.

    Lors d’une visioconférence du Conseil de sécurité de l’ONU, David Beasley, directeur du Programme Alimentaire Mondial a tiré la sonnette d’alarme : « nous sommes au bord d’une pandémie de faim…à une catastrophe humanitaire mondiale. Des millions de civils vivant dans des pays marqués par des conflits, dont de nombreuses femmes et enfants, risquent la famine, le spectre de la famine étant une possibilité très réelle et dangereuse ».

    D’après l’Unicef[3], les mesures prises pour lutter contre la maladie sont responsables d’une famine sans précédent « 6,7 millions d’enfants supplémentaires de moins de 5 ans pourraient souffrir d’émaciation – et donc être dangereusement sous-alimentés – en 2020, à cause des conséquences socioéconomiques de la pandémie de COVID-19… aggravation considérable de la famine à un niveau jamais atteint durant ce millénaire et le nombre de décès supplémentaires d’enfants de moins de 5 ans pourrait s’élever à près de 130000 au cours de l’année ».

    L’UNICEF précise « notre estimation s’appuie sur une analyse réalisée par des chercheurs de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health que vient de publier la revue The Lancet Global Health[4].

    L’analyse, la plus pessimiste de trois scénarios, estime que l’on pourrait enregistrer 1,2 million de décès supplémentaires d’enfants de moins de 5 ans au cours des six prochains mois du fait d’un recul de la couverture des services de santé courants et d’une augmentation de l’émaciation chez les enfants. Ces décès potentiels d’enfants viendraient s’ajouter aux décès de 2,5 millions d’enfants de moins de 5 ans déjà enregistrés tous les six mois dans les 118 pays visés par l’étude, menaçant d’annuler près d’une décennie de progrès vers l’élimination des décès évitables d’enfants en bas âge. »

    Anchor « En 2019, avant la pandémie de COVID-19, 47 millions d’enfants souffraient déjà d’émaciation[5]. En l’absence de mesures urgentes, le nombre d’enfants souffrant de ce problème dans le monde pourrait s’élever à près de 54 millions au cours de l’année, soit des niveaux jamais atteints durant ce millénaire. »

    Au bilan mortifère des victimes directes[6] et indirectes du confinement, qu’il s’agisse des malades chroniques (victimes d’interruption de soins) ou des malades récents non diagnostiqués dont les chances de guérison ont été gravement amoindries (cancéreux non dépistés et/ou non traités du fait du plan blanc, cardiaques, accidents vasculaires cérébraux...) il faudra ajouter ces innocentes victimes dont l’éloignement géographique favorise l’oubli.

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  11. Le confinement aveugle n’a sauvé personne, mais en a tué beaucoup[7] et son bilan ne peut que s’alourdir dans les prochains mois.

    Comment peut-on encore défendre une mesure moyenâgeuse aussi mortifère, économiquement suicidaire et même prétendre envisager de la reproposer si l’épidémie revenait ?

    1 Santé Publique France, au 26 juillet 2020 a enregistré 2 décès liés au Covis19 chez les 7 755 755 enfants de moins de 9 ans et 2 autres chez les 8328988 enfants et adolescents entre 10 et 19 ans

    La chloroquine

    2 Les pays qui ont confiné aveuglément les personnes infectées avec les autres (Italie, Espagne, France, Belgique) siègent dans le top 10 des plus fortes mortalités mondiales alors que celle qui ont pratiqué la quarantaine des infectés et/ou utilisé la chloroquine peuvent s’enorgueillir des meilleurs résultats

    3 https://www.unicef.fr/article/unicef-lance-reinventer-une-campagne-mondiale-pour-empecher-que-la-pandemie-ne-se-transforme

    4 Timothy Roberton and al Early estimates of the indirect effects of the COVID-19 pandemic on maternal and child mortality in low-income and middle-income countries: a modelling study Lancet Glob Health 2020; 8: e901–08 Published Online May 12, 2020 https://doi.org/10.1016/S2214-109X(20)30229-1

    5 Emaciation=réduction du poids corporel en dessous de 80% du poids normal

    La réponse gouvernementale au COVID-19 est responsable de 30 200 décès en France

    6 Dr Jérémie Mercier La réponse gouvernementale au COVID-19 est responsable de 30 200 décès en France, pas le COVID-19 agissant seul communiqué de presse du 21 aout 2020

    7 Denis Rancourt, et al Evaluation of the virulence of SARS-CoV-2 in France, from all-cause mortality 1946-2020

    http://www.economiematin.fr/news-crise-economique-confinement-impact-enfants-famine-delepine

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  12. Un Mirage mobilisé pour intercepter un avion survolant à basse altitude un site nucléaire dans le Gard


    17:20 27.08.2020


    Après qu’un avion privé a survolé plusieurs fois le site nucléaire de Marcoule à trop basse altitude, un Mirage 2000 a été dépêché pour intercepter l'aéronef qui enfreignait une réglementation aérienne, rapporte Midi libre. Le pilote fait l’objet d’une enquête.

    Le pilote d’un avion privé a violé à deux reprises la réglementation de survol du site nucléaire de Marcoule, dans le Gard. Il volait à trop basse altitude, relate Midi libre.

    Après avoir atterri à Avignon, il a été interrogé par la police sur les raisons de son acte, puis relâché.

    Mais l’intéressé a récidivé. Un Mirage 2000 a donc été mobilisé pour l’intercepter et le conduire vers l’aérodrome le plus proche, près d’Orléans, précise le quotidien.
    Une enquête ouverte

    Cette fois, il a été interpellé par la Gendarmerie des transports aériens (GTA) pour s’expliquer sur sa récidive.

    D’après le procureur de la république Éric Maurel cité par Midi libre, une enquête a été ouverte. Il est possible que des poursuites soient engagées devant le tribunal correctionnel de Nîmes, poursuit le quotidien.

    Selon les informations de France bleu, il volait à environ 400 mètres d'altitude, tandis que la réglementation exige de respecter celle d’un peu plus d’un kilomètre.

    https://fr.sputniknews.com/france/202008271044327526-un-mirage-mobilise-pour-intercepter-un-avion-survolant-un-site-nucleaire-dans-le-gard-a-basse/

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    1. Ce qui n'empêchera JAMAIS des centaines de drones de survoler des 'zones interdites' où que ce soit !

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  13. Généraux robots: prendront-ils de meilleures décisions que les humains ou pire ?


    par Tyler Durden
    Jeu, 27/08/2020 - 21:45
    Rédigé par Michael Klare via TomDispatch.com,


    Avec Covid-19, un nombre impressionnant de militaires américains incapacitants et des armes modernes se révélant de plus en plus mortelles, l'armée américaine s'appuie de plus en plus fréquemment sur des robots intelligents pour mener des opérations de combat dangereuses. Ces dispositifs, connus dans l'armée sous le nom de «systèmes d'armes autonomes», comprennent des sentinelles robotiques, des drones de surveillance du champ de bataille et des sous-marins autonomes. Jusqu'à présent, en d'autres termes, les dispositifs robotiques ne font que remplacer les armes standard sur les champs de bataille conventionnels.

    Aujourd'hui, cependant, dans un pas de géant, le Pentagone cherche à porter ce processus à un tout autre niveau - en remplaçant non seulement les soldats ordinaires et leurs armes, mais potentiellement les amiraux et les généraux par des systèmes robotiques.

    Certes, ces systèmes sont encore au stade de développement, mais le Pentagone précipite maintenant leur déploiement futur comme une question d’urgence nationale. Chaque composant d'un état-major moderne - y compris la planification de la bataille, la collecte de renseignements, la logistique, les communications et la prise de décision - doit, selon les derniers plans du Pentagone, être transféré à des arrangements complexes de capteurs, d'ordinateurs et de logiciels. Tous ces éléments seront ensuite intégrés dans un «système de systèmes», désormais baptisé Joint All-Domain Command-and-Control, ou JADC2 (puisque les acronymes restent l'essence même de la vie militaire). Finalement, cet amalgame de systèmes pourrait effectivement assumer la plupart des fonctions actuellement exercées par les généraux américains et leurs officiers supérieurs d'état-major.

    La notion d'utilisation de machines pour prendre des décisions au niveau des commandes n'est bien entendu pas entièrement nouvelle. En vérité, cela a été long à venir. Pendant la guerre froide, suite à l'introduction des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) avec des temps de vol extrêmement courts, les stratèges militaires et les écrivains de science-fiction ont commencé à imaginer des systèmes mécaniques qui contrôleraient ces armes nucléaires en cas d'incapacité humaine.

    Dans le film satirique de 1964 de Stanley Kubrick, Dr. Strangelove, par exemple, le leader russe fictif Dimitri Kissov révèle que l'Union soviétique a installé une «machine apocalyptique» capable d'anéantir toute vie humaine qui exploserait automatiquement si le pays était attaqué par le nucléaire américain. Les efforts déployés par des officiers de l'US Air Force anti-soviétique fous pour provoquer une guerre avec Moscou réussissent ensuite à déclencher cette machine et ainsi à provoquer l'anéantissement humain. En réalité, craignant de subir une attaque surprise de ce type, les Soviétiques ont par la suite installé un système de représailles semi-automatique qu'ils ont surnommé «Périmètre», conçu pour lancer des ICBM soviétiques dans le cas où des capteurs détectaient des explosions nucléaires et toutes les communications de Moscou avait été réduit au silence. Certains analystes estiment qu'une version améliorée de Perimeter est toujours en service, nous laissant dans une version bien trop réelle d'un monde strangelovien.

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  14. Dans une autre version de science-fiction de ces systèmes de commande automatisés, le film de 1983 War Games, mettant en vedette Matthew Broderick dans le rôle d'un adolescent hacker, dépeignait un supercalculateur appelé War Operations Plan Response, ou WOPR (prononcé «whopper») installé en Amérique du Nord. Quartier général du Commandement aérospatial (NORAD) au Colorado. Lorsque le personnage de Broderick s'y attaque et commence à jouer à ce qu'il croit être un jeu appelé «World War III», l'ordinateur conclut qu'une véritable attaque soviétique est en cours et lance une riposte nucléaire. Bien que fictif, le film dépeint avec précision de nombreux aspects du système de commandement-contrôle et de communication nucléaire américain (NC3), qui était alors et reste encore hautement automatisé.

    De tels dispositifs, à la fois réels et imaginaires, étaient relativement primitifs selon les normes d’aujourd’hui, étant capables uniquement de déterminer qu’une attaque nucléaire était en cours et d’ordonner une réponse catastrophique. Désormais, grâce à de vastes améliorations de l'intelligence artificielle (IA) et de l'apprentissage automatique, les machines peuvent collecter et évaluer des quantités massives de données de capteurs, détecter rapidement les tendances et modèles clés, et potentiellement émettre des ordres aux unités de combat pour savoir où attaquer et quand. .

    Compression du temps et faillibilité humaine

    La substitution des machines intelligentes aux humains aux niveaux de commandement supérieurs devient essentielle, affirment les stratèges américains, car une croissance exponentielle des informations des capteurs combinée à la vitesse croissante de la guerre rend presque impossible pour les humains de suivre les développements cruciaux du champ de bataille. Si les scénarios futurs s'avèrent exacts, des batailles qui s'étalaient autrefois sur des jours ou des semaines pourraient se dérouler en quelques heures, voire quelques minutes, tandis que les informations sur le champ de bataille afflueront en tant que points de données innombrables, submergeant les officiers d'état-major. Seuls les ordinateurs avancés, prétend-on, pourraient traiter autant d'informations et prendre des décisions de combat éclairées dans les délais nécessaires.

    Cette compression du temps et l'expansion des données des capteurs peuvent s'appliquer à toute forme de combat, mais surtout à la plus terrifiante de toutes, la guerre nucléaire. Lorsque les ICBM étaient le principal moyen de ce combat, les décideurs avaient jusqu'à 30 minutes entre le moment où un missile a été lancé et le moment de la détonation pour déterminer si une attaque potentielle était réelle ou simplement une fausse lecture de satellite (comme cela se produisait parfois pendant la guerre froide). Maintenant, cela peut sembler peu de temps, mais avec l'introduction récente des missiles hypersoniques, ces temps d'évaluation pourraient être réduits à cinq minutes. Dans de telles circonstances, il est fort probable que même les décideurs les plus avertis se prononcent en connaissance de cause sur la nature d’une attaque potentielle. D'où l'attrait (pour certains) des systèmes de décision automatisés.

    «La compression du temps d’attaque a placé les hauts dirigeants américains dans une situation où le système NC3 existant pourrait ne pas agir assez rapidement», ont déclaré les analystes militaires Adam Lowther et Curtis McGiffin à War on the Rocks, un site Web axé sur la sécurité.

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  15. «Ainsi, il peut être nécessaire de développer un système basé sur l'intelligence artificielle, avec des décisions de réponse prédéterminées, qui détecte, décide et dirige les forces stratégiques avec une vitesse telle que le défi de la compression du temps d'attaque ne place pas les États-Unis dans une position impossible. . »

    Cette notion, selon laquelle un appareil alimenté par l'intelligence artificielle - en substance, une version plus intelligente de la machine apocalyptique ou du WOPR - devrait être habilité à évaluer le comportement de l'ennemi et ensuite, sur la base «d'options de réponse prédéterminées», décider du sort de l'humanité, a naturellement produit un certain malaise dans la communauté des analystes militaires (comme cela devrait également pour le reste d'entre nous). Néanmoins, les stratèges américains continuent de soutenir que l'évaluation du champ de bataille et la prise de décision - tant pour la guerre conventionnelle que nucléaire - devraient de plus en plus être déléguées aux machines.

    «Les systèmes de renseignement basés sur l'IA peuvent fournir la capacité d'intégrer et de trier de grandes quantités de données provenant de différentes sources et emplacements géographiques pour identifier des modèles et mettre en évidence des informations utiles», a noté le Congressional Research Service dans un résumé de novembre 2019 de la réflexion du Pentagone.

    «À mesure que la complexité des systèmes d'IA mûrit», a-t-il ajouté, «les algorithmes d'IA peuvent également être capables de fournir aux commandants un menu de plans d'action viables basés sur une analyse en temps réel de l'espace de combat, permettant ainsi une adaptation plus rapide à des événements complexes. "

    Le libellé clé est «un menu de plans d’action viables basés sur une analyse en temps réel de l’espace de combat». Cela pourrait donner l'impression que les généraux et les amiraux humains (sans parler de leur commandant en chef) prendront toujours les décisions ultimes de vie ou de mort pour leurs propres forces et la planète. Compte tenu de cette compression anticipée du temps d'attaque lors de futurs combats de haute intensité avec la Chine et / ou la Russie, les humains n'auront peut-être plus le temps ou la capacité d'analyser eux-mêmes l'espace de combat et en viendront donc à s'appuyer sur des algorithmes d'IA pour de telles évaluations. En conséquence, les commandants humains peuvent simplement se retrouver à approuver les décisions prises par des machines - et ainsi, à la fin, devenir superflus.

    Création de génériques de robot

    Malgré les doutes qu’ils peuvent avoir sur leur future sécurité d’emploi, les principaux généraux américains s’emploient rapidement à développer et à déployer ce mécanisme de commande automatisé JADC2. Supervisé par l'Armée de l'Air, il s'avère être un amalgame informatisé de dispositifs permettant de collecter des renseignements en temps réel sur les forces ennemies à partir d'un grand nombre de capteurs (satellites, radars au sol, postes d'écoute électroniques, etc.), traitant ces données. en informations de combat exploitables et en fournissant des instructions d'attaque précises à chaque unité de combat et système d'armes engagés dans un conflit - qu'ils appartiennent à l'armée, à la marine, à l'armée de l'air, au corps des marines ou à la nouvelle force spatiale et au cybercommandement.

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  16. En quoi consistera exactement le JADC2 n'est pas largement connu, en partie parce que beaucoup de ses composants sont encore entourés de secret et en partie parce qu'une grande partie de la technologie essentielle est encore au stade de développement. Déléguée pour superviser le projet, l'Armée de l'Air travaille avec Lockheed Martin et d'autres grands entrepreneurs de la défense pour concevoir et développer des éléments clés du système.

    L'un de ces éléments est son Advanced Battle Management System (ABMS), un système de collecte et de distribution de données destiné à fournir aux pilotes de chasse des données actualisées sur les positions ennemies et à guider leurs mouvements de combat. Un autre élément clé est le système de commandement de combat intégré de défense aérienne et antimissile (IBCS) de l’armée, conçu pour connecter les systèmes radar aux lanceurs antiaériens et antimissiles et leur fournir des instructions de tir précises. Au fil du temps, l'armée de l'air et ses multiples sous-traitants chercheront à intégrer ABMS et IBCS dans un réseau géant de systèmes reliant chaque capteur, tireur et commandant des forces armées du pays - un «Internet des objets» militaire, comme certains l'ont dit. .

    Pour tester ce concept et donner un exemple de la façon dont il pourrait fonctionner à l'avenir, l'armée a mené un exercice d'artillerie à tir réel en août en Allemagne en utilisant des composants (ou des fac-similés) du futur système JADC2. Au cours de la première étape du test, des images satellites des positions (présumées) des troupes russes ont été envoyées à un terminal terrestre de l'armée, où un logiciel d'IA appelé Prometheus a passé au peigne fin les données pour sélectionner des cibles ennemies. Ensuite, un autre programme d'IA appelé SHOT a calculé la correspondance optimale des armes disponibles de l'armée avec ces cibles prévues et a envoyé ces informations, ainsi que des coordonnées de tir précises, au système avancé de données tactiques d'artillerie de campagne (AFATDS) de l'armée pour une action immédiate, où les commandants humains pourraient choisissez de le mettre en œuvre ou non. Dans l’exercice, ces commandants humains ont eu l’espace mental nécessaire pour réfléchir un instant à la question; dans une guerre de tir, ils pourraient tout laisser aux machines, comme les concepteurs du système l’ont clairement prévu.

    À l'avenir, l'armée prévoit des tests encore plus ambitieux de cette technologie en évolution dans le cadre d'une initiative appelée Projet Convergence. D'après ce qui a été dit publiquement à ce sujet, Convergence entreprendra des exercices toujours plus complexes impliquant des satellites, des chasseurs de l'armée de l'air équipés du système ABMS, des hélicoptères de l'armée, des drones, des pièces d'artillerie et des véhicules tactiques. Finalement, tout cela formera l '«architecture» sous-jacente du JADC2, reliant chaque système de capteur militaire à chaque unité de combat et système d'armes - laissant les généraux avec peu de choses à faire mais rester assis et regarder.

    Pourquoi les robots généraux pourraient se tromper

    Compte tenu de la complexité de la guerre moderne et du défi de la compression du temps dans les combats futurs, l'envie des stratèges américains de remplacer les commandants humains par des commandants robotiques est certainement compréhensible. Les généraux et les amiraux de robots pourraient théoriquement être capables de traiter des quantités stupéfiantes d'informations en de courtes périodes de temps, tout en gardant une trace des forces amies et ennemies et en concevant des moyens optimaux pour contrer les mouvements ennemis sur un futur champ de bataille. Mais il existe de nombreuses bonnes raisons de douter de la fiabilité des décideurs en matière de robots et de la sagesse de les utiliser à la place d'officiers humains.

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  17. Pour commencer, bon nombre de ces technologies en sont encore à leurs balbutiements et presque toutes sont sujettes à des dysfonctionnements qui ne peuvent être facilement anticipés ni compris. Et n'oubliez pas que même les algorithmes avancés peuvent être trompés ou «usurpés» par des professionnels qualifiés.

    De plus, contrairement aux humains, les systèmes de prise de décision basés sur l'IA n'auront pas la capacité d'évaluer l'intention ou le contexte. Un déploiement soudain de troupes ennemies, par exemple, indique-t-il une attaque imminente, un bluff ou simplement une rotation normale des forces? Les analystes humains peuvent utiliser leur compréhension du moment politique actuel et des acteurs impliqués pour guider leur évaluation de la situation. Les machines n'ont pas cette capacité et peuvent assumer le pire, initiant une action militaire qui aurait pu être évitée.

    Un tel problème ne sera aggravé que par la «formation» que subiront ces algorithmes de décision au fur et à mesure de leur adaptation aux situations militaires. Tout comme les logiciels de reconnaissance faciale se sont avérés entachés par une dépendance excessive aux images d'hommes blancs dans le processus de formation - ce qui les rend moins aptes à reconnaître, par exemple, les femmes afro-américaines - les algorithmes de prise de décision militaire sont susceptibles d'être déformés par une dépendance excessive aux scénarios axés sur le combat sélectionnés par les professionnels militaires américains à des fins de formation. «Penser au pire des cas» est une inclination naturelle de ces officiers - après tout, qui veut être pris au dépourvu pour une éventuelle attaque surprise ennemie ? - et de tels biais feront sans aucun doute partie des «menus d'actions viables» fournis par les robots décisionnels.

    Une fois intégrés dans les algorithmes de prise de décision, de tels biais pourraient à leur tour s'avérer extrêmement dangereux lors de futures rencontres entre les troupes américaines et russes en Europe ou les forces américaines et chinoises en Asie. Un affrontement de ce type pourrait, après tout, survenir à tout moment, à la suite d'un malentendu ou d'un incident local qui prend rapidement de l'ampleur - un affrontement soudain entre des navires de guerre américains et chinois au large de Taiwan, par exemple, ou entre des patrouilles américaines et russes dans l'un des les États baltes. Aucune des deux parties n'a peut-être eu l'intention de déclencher un conflit à grande échelle et les dirigeants des deux côtés pourraient normalement se déplacer pour négocier un cessez-le-feu. Mais rappelez-vous, ce ne seront plus simplement des conflits humains. À la suite d'un tel incident, le JADC2 pourrait détecter un mouvement ennemi qui, selon lui, présente un risque imminent pour les forces alliées et donc immédiatement lancer une attaque totale par des avions, des missiles et de l'artillerie américains, intensifiant le conflit et excluant toute chance. d'un règlement négocié rapidement.

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  18. De telles perspectives deviennent vraiment effrayantes lorsque l’enjeu est le déclenchement d’une guerre nucléaire. Il est difficile d'imaginer un conflit entre les grandes puissances commençant comme une guerre nucléaire, mais il est beaucoup plus facile d'envisager un scénario dans lequel les grandes puissances - après avoir été entraînées dans un conflit conventionnel - atteignent un point où l'une ou l'autre considère l'utilisation d'armes atomiques pour éviter la défaite. La doctrine militaire américaine, en fait, a toujours offert la possibilité d'utiliser des armes nucléaires dites tactiques en réponse à un assaut massif soviétique (maintenant russe) en Europe. La doctrine militaire russe, il est largement admis, intègre des options similaires. Dans de telles circonstances, un futur JADC2 pourrait mal interpréter les mouvements de l'ennemi comme signalant la préparation d'un lancement nucléaire et ordonner une frappe préventive des forces nucléaires américaines, déclenchant ainsi la troisième guerre mondiale.

    La guerre est une activité désagréable et brutale et, étant donné près de deux décennies de conflits ratés qui sont passés sous l'étiquette de «guerre contre le terrorisme», causant des milliers de victimes américaines (à la fois physiques et mentales), il est facile de comprendre pourquoi les passionnés de robots sont si impatient de voir un autre type de mentalité prendre le dessus sur la guerre américaine. Pour commencer, ils soutiennent, en particulier dans un monde pandémique, qu’il n’est qu’humain de remplacer les soldats humains sur le champ de bataille par des robots et de réduire ainsi les pertes humaines (au moins parmi les combattants). Cette affirmation ne répond pas, bien sûr, à l'argument selon lequel les soldats robots et les drones n'ont pas la capacité de faire la distinction entre les combattants et les non-combattants sur le champ de bataille et ne peuvent donc pas être fiables pour se conformer aux lois de la guerre ou au droit international humanitaire - qui, au moins en théorie, protéger les civils contre des dommages inutiles - et devrait donc être interdit.

    Aussi lourd que cela puisse être sur les futurs champs de bataille, remplacer les généraux et les amiraux par des robots est une tout autre affaire. Non seulement les arguments juridiques et moraux surgissent avec vengeance, car la survie des principales populations civiles pourrait être mise en danger par des décisions de combat informatisées, mais il n'y a aucune garantie que les IG américaines subiraient moins de pertes dans les batailles qui s'ensuivaient. Il est peut-être temps, alors, que le Congrès pose des questions difficiles sur l'opportunité d'automatiser la prise de décision de combat avant que ce pays ne verse des milliards de dollars supplémentaires de contribuables dans une entreprise qui pourrait, en fait, conduire à la fin du monde comme nous le savons. il.

    Il est peut-être temps aussi pour les dirigeants de la Chine, de la Russie et de ce pays de limiter ou d'interdire le déploiement de missiles hypersoniques et d'autres armes qui comprimeront les décisions de vie ou de mort pour l'humanité en quelques minutes, justifiant ainsi l'automatisation de ces jugements fatidiques.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/robot-generals-will-they-make-better-decisions-humans-or-worse

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    1. Comme les gros cons qui dirigent ne sont pas assez intelligents pour savoir quelque chose, ils ont fait appel à... l''Intelligence Artificielle' ! HAHAHAHA ! Or, la dite 'intelligence artificielle' n'existe pas et n'existera probablement jamais ! Mais, pour des cons, une calculette de poche ou un interrupteur d'éclairage sont des intelligences artificielles !! (voir les vers-luisant, les anguilles ou raie manta électrique ou les plantes carnivores !).

      Mais, heureusement, toutes ces machineries ambulantes sont hackables ! Elles peuvent donc être piratées, détournées de leurs intentions programmées et reprogrammées afin qu'elles retournent d'où elles viennent !

      Çà, çà s'appelle aussi l'IMP ! (Impulsion ElectroMagnétique) dite 'bombe propre' qui fige en moins d'une seconde TOUS les appareils ou moteurs qui fonctionnent à l'électricité !
      Cà efface aussi tous les disques durs et coupe le courant électrique de tous les réseaux y compris satellites !

      Mais çà bien sûr ils n'en parlent pas, c'est trop dur pour eux ! Hahahaha !

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  19. Il faudrait éviter d’en manger si vous voulez perdre du poids


    18:01 28.08.2020


    Malgré et en même temps à cause de leur forte teneur en eau, le melon et la pastèque ne sont pas vos meilleurs alliés minceur. Une nutritionniste explique.

    L'opinion selon laquelle la pastèque et le melon garantissent la perte de poids est erronée, a déclaré la nutritionniste Inna Pitchouguina de la région de Moscou.

    Bien au contraire, en raison de leur forte teneur en eau, ces cucurbitacées aiguisent l'appétit, a-t-elle indiqué. En outre, elles contiennent du saccharose et du fructose, qui augmentent le taux de sucre dans le sang.

    «Tout de suite après avoir mangé du melon ou de la pastèque, on peut se sentir rassasié, mais la sensation de faim arrive très vite, poussant à manger quelque chose rapidement. En règle générale, un tel régime est impossible à suivre», a-t-elle expliqué.

    Afin de tirer un maximum de bienfaits des pastèques et melons, Inna Pitchouguina recommande d’en consommer à la place des gâteaux et des bonbons pendant le repas principal. La norme est de 200 à 300 grammes par jour.

    Qui doit rayer melon et pastèque de son menu ?

    Dans le même temps, ceux qui souffrent de diabète, de maladies rénales et cardiovasculaires devraient limiter leur consommation de ces cucurbitacées. Quant aux personnes atteintes d’ulcère, de gastrite et d’autres problèmes du tractus gastro-intestinal, elles doivent absolument prohiber leur consommation, a fait remarquer pour conclure Inna Pitchouguina.

    Une autre nutritionniste avait elle aussi précédemment souligné que l’abus de pastèque pouvait provoquer une dysfonction métabolique et conduire notamment à l’obésité. Elle a aussi souligné qu’en une fois il ne fallait pas en manger plus de 300 grammes.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202008281044336377-il-faudrait-eviter-den-manger-si-vous-voulez-perdre-du-poids/

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    1. FAUX !

      Melon: 6 gr de sucre pour 100 gr
      Pastèque: 7gr de sucre pour 100 gr
      Orange : 8 gr de sucre pour 100 gr
      Poire : 10 gr de sucre pour 100 gr
      Pomme, coing, raisin noir : 10 gr de sucre pour 100 gr
      Figues : 13 gr de sucre pour 100 gr
      Cerise : 14 gr de sucre pour 100 gr
      Banane : 16 gr de sucre pour 100 gr

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  20. MGM Resorts va licencier 18000 employés, soit un quart de ses effectifs


    par Tyler Durden
    Ven, 28/08/2020 - 11:21


    Alors que les actions atteignent des records de jour en jour, aucune prospérité ne se répercute sur le secteur des loisirs et de l'hôtellerie - le secteur le plus touché par les fermetures de covid - et les choses sont allées de mal en pis pour la Mecque du jeu aux États-Unis où, comme CNBC et Le WSJ a rapporté que MGM Resorts International a l'intention d'envoyer des lettres de séparation à 18 000 employés précédemment en congé à travers les États-Unis. Les suppressions d'emplois commencent la semaine prochaine et représentent environ un quart de la main-d'œuvre américaine de 68 000 personnes avant la pandémie.

    "Rien ne me fait plus mal que de livrer des nouvelles comme celle-ci", a écrit le PDG de MGM, Bill Hornbuckle, dans une note tachée de larmes pour accompagner les milliers de lèvres roses. «Le cœur de cette entreprise, ce sont nos employés et le service de classe mondiale que vous fournissez. Sachez que votre équipe de direction travaille 24 heures sur 24 pour trouver des moyens de développer nos activités et de souhaiter la bienvenue à un plus grand nombre de nos collègues», a déclaré Hornbuckle.

    "Bien que l'avenir immédiat reste incertain, je crois sincèrement que les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui ne sont pas permanents." Hornbuckle a ajouté: «Les principes fondamentaux de notre industrie, de notre entreprise et de nos communautés ne changeront pas. Concerts, sports et divertissements impressionnants restent à notre horizon. »

    L'entreprise a promis d'étendre les prestations de santé pour les employés en congé jusqu'au 30 septembre.

    La "bonne nouvelle" est que MGM a déclaré qu'elle prévoyait toujours de réembaucher ces travailleurs à mesure que la demande des entreprises reviendrait et qu'elle maintiendrait une liste de rappel des anciens employés, et les travailleurs qui reviennent avant la fin de 2021 conserveront leur ancienneté et reprendront immédiatement les avantages sociaux, la société m'a dit. Les prestations de santé pour les travailleurs coupés sont prolongées jusqu'au 30 septembre.

    «La loi fédérale exige que les travailleurs se voient accorder une date de départ s’ils sont en congé de plus de six mois. Le 31 août marque six mois de séparation administrative pour les employés en congé de MGM», a déclaré CNBC.

    L'Empire City de MGM dans l'État de New York et le Park MGM de Las Vegas restent fermés, car les casinos de Las Vegas fonctionnent tous à capacité limitée avec une forte baisse du tourisme et des voyages vers le Strip de Las Vegas. En juin, les casinos du Nevada ont été autorisés à rouvrir à la moitié de l'occupation et MGM Resorts a procédé à la réouverture progressive des casinos au cours des semaines suivantes. Deux des 13 complexes du Strip de MGM, le Park MGM et le NoMad, sont toujours fermés, et le casino Mirage de MGM a rouvert cette semaine. MGM Resorts a signalé une baisse de 91% de ses revenus pour la période de trois mois qui s'est terminée le 30 juin, une baisse similaire à celle des autres opérateurs du Strip.

    https://www.zerohedge.com/markets/mgm-resorts-fire-18000-employees-quarter-its-workforce

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    1. L'interdiction des salles de spectacle, cinémas, théâtres, foires, festivals et stades et... 'distanciation' (1 personne tout les 50 m ?), va fermer DÉFINITIVEMENT tous les lieux de loisirs !

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  21. L'OMS veut immuniser le public contre la désinformation: tous les moyens de contrôle et de persuasion sont mis en oeuvre !


    vendredi 28 août 2020


    Voici un communiqué de l'OMS daté du 25 août 2020 qui nous informe que l'agence internationale a mandaté des agences d'analyse de l'information, qui utilisent l'intelligence artificielle, pour mesurer et identifier les opinions qui circulent sur les réseaux sociaux ainsi que les humeurs/émotions des citoyens et ce, afin d'affiner leurs stratégies de contrôle de l'information et de persuasion en vue d'une vaccination massive.

    Tout comme dans une campagne électorale, la cible à atteindre ce sont les "indécis", dans ce cas précis ce sont les indécis concernant la vaccination. Toute cette manigance médiatique se concentre sur créer une forte adhésion à la vaccination et sur rétablir la crédibilité de la Science et de l'OMS.

    Lisez jusqu'à la fin ou concentrez-vous sur le signe pour comprendre à quel point le contrôle de l'information est un enjeu majeur dans la poursuite de l'Agenda.

    "Immuniser le public contre la désinformation

    Peu de temps après que le monde ait commencé à s'habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l'OMS a inventé un autre mot: «infodémie», soit une surabondance d'informations et une propagation rapide de nouvelles, d'images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus, "l'infodémie" est très contagieuse et croît de façon exponentielle. Cela complique les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19.

    «Nous ne combattons pas seulement le virus», a déclaré le Directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. «Nous luttons également contre les trolls et les théoriciens du complot qui poussent à la désinformation et sapent la réponse à l'épidémie.»

    La prolifération de la désinformation - même lorsque le contenu est, dans le meilleur des cas, inoffensif - peut avoir des ramifications sanitaires graves et même sociales et mortelles dans le contexte d'une pandémie mondiale. Dans certains pays, les rumeurs sur une pénurie alimentaire imminente ont incité les gens à faire des réserves dès le début de l'épidémie et ont provoqué de réelles pénuries. Aux États-Unis d'Amérique, une personne est décédée après avoir ingéré un produit de nettoyage d'aquarium contenant de la chloroquine après que des rapports aient mentionné l'hydroxychloroquine comme un remède possible - mais non prouvé - pour le traitement du COVID-19. En République islamique d'Iran, des centaines de personnes sont mortes après avoir bu de l'alcool méthanolique qui, selon les messages des médias sociaux, avait guéri d'autres personnes du coronavirus. C'est le genre de désinformation dangereuse qui inquiète le plus l'OMS.

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  22. Alors même que le monde se concentre sur la recherche d'un vaccin sûr et efficace, la désinformation continue de se répandre sur la vaccination. Les experts de la santé en Allemagne craignent que le mouvement anti-vaccination du pays ne dissuade de nombreuses personnes à se faire vacciner lorsqu'un vaccin sûr devient disponible. Une étude récente qui a examiné les opinions de vaccination de 100 millions d'utilisateurs de Facebook dans le monde a révélé que si le camp pro-vaccination (6,9 millions de personnes) était plus nombreux que celui contre la vaccination (4,2 millions), le groupe anti-vaccin était moins isolé et avait plus d'interaction avec les individus (de loin le plus grand groupe, avec 74,1 millions) qui sont indécis au sujet de la vaccination. Ces «vaxxers swing» sont importants à cibler et à embarquer avec la vaccination qui sauve des vies.

    Pour en savoir plus sur la manière dont l'OMS s'attaque à la lutte contre l'infodémie, la Fondation des Nations Unies a rencontré Tim Nguyen en marge de la première conférence mondiale sur l'infodémiologie, qui a réuni des experts mondiaux pour discuter de la science en développement de la gestion des infodémies. L'équipe de Nguyen gère le Réseau d'information sur les épidémies (EPI-WIN), qui dirige les travaux de l'OMS sur la gestion des infodémies.

    Traverser la toile de la désinformation

    "Les infodémies se sont déjà produites d'une manière ou d'une autre lors d'épidémies passées, mais ce qui se passe en ce moment est à l'échelle mondiale, où les gens sont connectés par différents moyens et partagent des informations plus rapidement", a déclaré Nguyen. «Cela a créé une nouvelle situation dans laquelle nous repensons et remodelons notre approche de la gestion des infodémies dans les situations d'urgence.»

    Selon une étude récente évaluant la désinformation en anglais, la plus grande catégorie de publications qualifiées de fausses ou trompeuses par les vérificateurs de faits était le contenu qui remettait délibérément en cause ou remettait en question les politiques et les actions des fonctionnaires, des gouvernements et des institutions internationales telles que les Nations Unies et OMS.

    Un exemple flagrant de ceci est «Plandemic», une vidéo de 26 minutes sur la théorie du complot qui accuse à tort le Dr Anthony Fauci, le principal spécialiste des maladies infectieuses aux États-Unis, d'avoir fabriqué le virus et de l'avoir envoyé en Chine. La même vidéo prétend à tort que le port de masques entraînera une auto-infection. Plus de 8 millions de personnes ont regardé la vidéo sur les réseaux sociaux avant qu'elle ne soit supprimée.

    Un tel contenu peut éroder la confiance du public dans les organisations mêmes qui mènent la lutte contre le COVID-19.

    Pour rappeler au public la primauté de la science, l'OMS identifie d'abord le type de désinformation qui circule, puis répond avec ses propres directives fondées sur des preuves. La communauté des Nations Unies dans son ensemble a contribué à amplifier ces informations grâce à sa propre initiative de lutte contre la désinformation. Par exemple, l'initiative «Pause. Faites attention avant de partager ». La campagne encourage les gens à prendre le temps de vérifier les sources avant de décider de partager du contenu en ligne.

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  23. L'OMS a également travaillé en étroite collaboration avec les entreprises de médias sociaux et de technologie pour aider à freiner une partie de la désinformation qui se répand sur leurs plateformes. En février, des responsables de l'agence de santé se sont réunis au siège de Facebook pour savoir comment promouvoir des informations de santé précises sur le COVID-19.

    À présent, l'OMS travaille avec plus de 50 entreprises numériques et plates-formes de médias sociaux, notamment TikTok, Google, Viber, WhatsApp et YouTube, pour garantir que les messages de santé basés sur la science de l'organisation ou d'autres sources officielles apparaissent en premier lorsque les gens recherchent des informations liées au COVID-19. Même l'application de rencontres Tinder propose désormais des rappels de santé de l'OMS, car la distance sociale est toujours appropriée pendant un rendez-vous.

    Écoute sociale avec intelligence artificielle

    «Ce que nous avons mis en place au début de la pandémie, c'est ce que nous appelons une approche d'écoute sociale», a déclaré Nguyen.

    L'OMS travaille avec une société d'analyse pour intégrer l'écoute sociale dans son élaboration de messages de santé publique - une première pour l'Organisation.

    Écoute des médias sociaux

    Chaque semaine, la société examine 1,6 million d'informations sur diverses plateformes de médias sociaux, puis utilise l'apprentissage automatique pour effectuer des recherches basées sur une taxonomie de santé publique nouvellement développée afin de classer les informations en quatre sujets: la cause, la maladie, les interventions et le traitement. Cela aide l'OMS à suivre les sujets de santé publique qui gagnent en popularité et à élaborer et adapter des messages de santé en temps opportun. Les exemples incluent «Comment une pandémie se termine-t-elle ?» et "Comment savons-nous quand nous avons une deuxième vague ?".

    L'apprentissage automatique fournit également des informations sur les types d'émotions que les utilisateurs ressentent. Au lieu de simplement diviser les données par type de sentiment (positif, neutre, négatif), l'analyse du langage peut mettre en lumière l'anxiété, la tristesse, le déni, l'acceptation et d'autres émotions exprimées dans les publications sur les réseaux sociaux. Ce niveau de détail permet à l'OMS de développer une stratégie offensive efficace et d'apaiser les inquiétudes du public avant que la désinformation ne prenne pas plus l'ampleur.

    «Ce que nous avons appris maintenant, après deux mois et demi à faire ce genre d'analyse, c'est qu'il y a des thèmes et des sujets récurrents qui reviennent encore et encore», a déclaré Nguyen.

    Tout le monde n'a pas accès aux médias sociaux ou à Internet, mais ils restent tout aussi enclins que quiconque à être exposés à la désinformation. Pour surmonter cette lacune numérique, l'OMS collabore avec des collègues de l'initiative UN Global Pulse, qui utilise l'intelligence artificielle et les mégadonnées pour s'attaquer aux problèmes de développement et humanitaires et ce, pour appliquer l'écoute sociale aux pays où la radio est un moyen d'information populaire.

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  24. En Ouganda, par exemple, plus de la moitié des ménages dépendent de la radio pour leurs informations, et des milliers d'Ougandais appellent chaque jour à des programmes locaux pour parler de questions allant des sujets les plus banals aux sujets les plus graves tels que les soins de santé. La branche de Kampala de UN Global Pulse utilise un outil de reconnaissance vocale automatisé alimenté par l'intelligence artificielle pour traduire les enregistrements radio du dialecte local en texte numérique anglais. L'initiative a été présentée dans la série "Innovation in Action" de la Fondation des Nations Unies l'année dernière, montrant comment l'ONU tire parti de l'innovation et d'une nouvelle réflexion pour relever les défis les plus urgents du monde.

    L'équipe UN Global Pulse utilise maintenant l'outil pour identifier le langage lié au COVID en Ouganda et toute désinformation diffusée par les communautés locales. L'équipe a constaté que les communautés locales faisaient la promotion de la sorcellerie et des herbes comme remèdes contre le COVID-19; des rumeurs circulaient même au sujet d'un vaccin fabriqué en Ouganda. Ce type de données est inestimable pour les organisations telles que l'OMS pour éclairer leurs messages et l'élaboration de directives. L'OMS travaille avec les Nations Unies pour étendre et piloter ce projet dans deux autres pays d'Afrique subsaharienne et deux en Asie du Sud-Est.

    «Vous devez disposer d'un certain degré de bonnes informations pour atteindre les populations afin qu'elles soient inoculées et qu'elles ne soient pas sensibles aux fausses informations ou à la désinformation», a déclaré Nguyen. «Nous pensons que nous devons vacciner 30% de la population avec de« bonnes informations », afin d'avoir un certain degré d'immunité « collective » contre la désinformation.»

    C'est là que la communauté locale devient particulièrement importante pour aider à amplifier le message de l'OMS.

    Intégrer les voix de la communauté

    Étant donné qu'une grande partie de la désinformation provient des communautés et peut se répandre dans des messages privés et des conversations entre amis et familles, l'OMS encourage les individus à vérifier les faits avec leurs proches si nécessaire. Ils ont créé une page dédiée de «mythbusters», contenant des réponses factuelles aux idées fausses les plus courantes sur le COVID-19, notamment: si les chaussures peuvent propager le virus (très faible probabilité), si les bains chauds peuvent maintenir le nouveau coronavirus (non, et vous risquez de vous brûler), et si les sèche-mains peuvent tuer le virus (non, ils ne le font pas).

    Alors que l'OMS est habituée à travailler avec les ministères de la Santé et d'autres organes et responsables gouvernementaux pour développer et amplifier les messages de santé publique. Nguyen a déclaré que dans une crise de l'ampleur du COVID-19, une approche à l'échelle de la société est nécessaire pour s'assurer que tous les communautés sont atteintes.

    Par exemple, au lieu d'une stratégie descendante, l'OMS travaille avec des groupes spécifiques tels que les jeunes, les journalistes et les organisations confessionnelles pour co-développer des orientations adaptées à chaque contexte et communauté. Ces groupes servent d'amplificateurs et diffusent de manière organique des informations précises sur la santé.

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  25. Nguyen a noté qu'au niveau mondial, les besoins d'information peuvent être très différents. «Prenons les conseils sur le lavage des mains, par exemple. C'est important et il y a une recommandation mondiale sur la durée et la façon dont vous devez le faire », a-t-il déclaré,« mais soyons aussi honnêtes. Il y a certaines régions du monde où il n'est pas possible de le faire comme recommandé.»

    Les dirigeants communautaires peuvent aider à adapter les conseils d'hygiène dans des contextes où il n'y a pas assez de sources d'eau ou de savon pour se laver correctement les mains, ou dans des conditions exiguës où la distanciation sociale peut sembler presque impossible. Les directives révisées et co-élaborées par l'OMS et les chefs religieux incluent le remplacement des salutations de contact physique par un simple contact visuel et un salut; encourager les fidèles à effectuer les ablutions rituelles à la maison plutôt qu'au lieu de culte; et même offrir des conseils dans des situations douloureuses telles que la façon d'enterrer des êtres chers tout en respectant les restrictions du COVID-19.

    «Il est important de travailler avec ces groupes d'amplification qui comprennent bien mieux que nous les personnes dont ils se soucient», a déclaré Nguyen. «Nous développons conjointement des conseils avec des personnes directement concernées et pouvons nous aider à mettre en œuvre une certaine pratique qui conduit à un changement de comportement.»

    Une nouvelle alliance des Nations Unies pour lutter contre l'infodémie - comprenant l'OMS, l'UNESCO, l'Union internationale des télécommunications et UN Global Pulse - a récemment reçu un peu plus de 4,5 millions de dollars américains du Fonds de réponse de solidarité COVID-19 pour étendre son travail d'amplification communautaire, initiative d'écoute sociale et d'autres projets, notamment la création d'un centre centralisé de vérification des faits et de désinformation pour fournir aux pays des outils pour lutter contre l'infodémie.

    Le 29 juin, l'OMS a également organisé la première conférence mondiale sur l'infodémiologie, qui a réuni des scientifiques de divers horizons pour se concentrer systématiquement sur la question et réfléchir à des moyens scientifiques pour mieux la gérer.

    «Nous avons des physiciens, des mathématiciens, assis avec des épidémiologistes, avec des spécialistes des sciences sociales pour discuter d'approches fondées sur des preuves pour gérer l'infodémie», a déclaré Nguyen. «Tous ces domaines scientifiques ont leurs propres écoles de pensées, leurs cadres, comment ils font de la recherche, il est donc intéressant de voir comment une perspective peut aider à fertiliser l'autre.

    Bien qu'un vaccin et un traitement contre le COVID-19 ne soient pas encore prêts, les mesures proactives de l'OMS aident à neutraliser l'infodémie de désinformation.

    «Pour lutter contre cette infodémie, nous devons faire les choses différemment de ce que nous avons fait dans le passé», a déclaré Nguyen. «Grâce au leadership du Dr Tedros, nous sommes de plus en plus ouverts à l'innovation et à repenser la façon dont nous faisons les choses.»

    https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/immunizing-the-public-against-misinformation

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    1. (...) Par exemple, au lieu d'une stratégie descendante, l'OMS travaille avec des groupes spécifiques tels que les jeunes, les journalistes et les organisations confessionnelles pour co-développer des orientations adaptées à chaque contexte et communauté. (...)

      tels que les jeunes, les journalistes et les organisations confessionnelles !

      ZÉRO scientifique !

      Ils font TOUT pour fermer l'Internet, empêcher les scientifiques de s'exprimer.
      En l'an 2000 le monde comptait plus de 4 % de surdoués ! (280 millions de personnes !). Aujourd'hui, multipliez par 4 ou 5 !

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  26. Relocalisation : comment font les autres pays ?

    Tout le monde parle de relocalisation et c’est très bien. Est-ce qu’il y a effectivement l’opportunité de le faire aujourd’hui ?


    Par Xavier Fontanet.
    29 AOÛT 2020


    Tout le monde parle de relocalisation et c’est très bien. Est-ce qu’il y a effectivement l’opportunité de le faire aujourd’hui ? Probablement. Ceci dit ça ne se fera pas par un simple claquement de doigts.

    D’abord, on ne peut pas qualifier la délocalisation d’erreur ou alors cela signifie qu’on n’a rien compris à ce qui s’est passé. Pour prendre les bonnes décisions il faut commencer par analyser les raisons pour lesquelles notre industrie l’a fait.

    La première idée simple à faire passer c’est que la délocalisation s’est faite à la demande… des clients. Si les productions sont parties en Asie c’est parce qu’ils l’ont demandé ; ce n’est pas le PDG qui a délocalisé par avidité, c’est le client qui les a imposées ; si les entreprises n’avaient pas fait ce mouvement elles auraient disparu ; tant que cette réalité ne sera pas acceptée, les choses n’avanceront pas.

    Le moteur du déplacement des usines c’est les coûts de facteurs. Il faut savoir que lorsque la technologie est banalisée, un petit concurrent bien situé est nettement moins cher qu’un concurrent disposant d’une énorme expérience mais localisé dans un pays ou la main-d’œuvre est chère et les impôts sont élevés.

    QU’EST-CE QUI CHANGE AUJOURD’HUI ?

    D’abord, la première tendance vers la personnalisation, la recherche de produits qui durent, donc un retour en vogue de la qualité et la sensibilité à l’empreinte carbone qui exige de réduire les transports indissociables de toute production lointaine. En localisant les usines beaucoup plus près des clients, la personnalisation permet d’éviter une chaîne logistique coûteuse si les clients sont prêts à payer plus cher les produits réalisés localement.

    D’autres facteurs favorables sont la robotisation et de nouveaux procédés de production comme les imprimantes 3D qui mettent à la disposition de l’ingénierie des outils plus puissants et plus précis que ceux dont elle disposait quand les usines délocalisées se sont montées.

    La combinaison de ces facteurs permet d’amorcer la pompe. Mais la question qui se pose est alors de savoir si il convient de le faire au niveau du pays, de la région, de la ville ? Il faut un minimum d’échelle et donc un champ géographique assez large. La bonne vision est évidemment l’Europe ; mais se pose alors le lancinant problème du coût du facteur français trop élevé par rapport à celui de nos collègues européens.

    On n’expliquera jamais assez que la clé dans cette affaire est davantage de rendre le terreau français favorable aux entreprises plutôt que d’inventer des « politiques industrielles ». Le travail de fond est la chasse aux handicaps bien connus : l’excroissance de notre sphère publique, l’empilement des réglementations, le principe de précaution et les taxes sur la production et le capital. Tout cela est dit et redit. C’est du bon sens, ce n’est pas la peine d’en rajouter.

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  27. Mais ce n’est pas suffisant. Pour rendre l’environnement français compétitif le point crucial est de revenir sur les deux décisions les plus catastrophiques des 40 dernières années : les 35 heures et la retraite à 60 ans dont les dégâts cumulés se mesurent en milliers de milliards d’euros intégrés dans la dette de l’État.

    Pour remonter la pente il faut évidemment travailler plus, c’est-à-dire à la fois plus longtemps dans sa vie et plus longtemps chaque année. Il faut faire évoluer les contrats de travail.

    RELOCALISATION : PRENDRE EXEMPLE SUR NOS VOISINS

    Pour imaginer des solutions, le plus simple est par exemple de s’inspirer de nos voisins suisses et allemands en apportant évidemment une touche française.

    Les Suisses nous donnent une première partie de la réponse avec leur droit du travail qui favorise l’embauche et explique en partie leur chômage quasi nul depuis quarante ans.

    En Allemagne, c’est la solidarité exigeante qui a été la pierre angulaire de toutes les politiques et a permis un chômage nul depuis les réformes Hartz et Schröder : on aide, mais en échange, on exige un effort. Elle a permis la mise en œuvre d’un CDI à temps variable pour lequel l’entrepreneur et les syndicats s’accordent chaque année : en cas de récession, un minimum de 4 × 7 soit 28 heures, à un maximum de 5 x 9 soit 45 quand l’économie tourne fort.

    Certains groupes les ont adoptées pour augmenter leur résilience aux fluctuations naturelles des économies. Cette modification sensible du contrat en vigueur autour des années 2000 a été compensée par une association très significative au résultat de l’entreprise. La firme Volkswagen l’a éloquemment montré.

    La France peut trouver une voie originale sous la forme d’une conjugaison des systèmes suisse et allemand associée à un actionnariat salarié musclé.

    La compensation de la sortie, par le haut, des 35 heures, peut très bien être un accès raisonné mais significatif au capital des entreprises. L’actionnariat salarié est une spécialité française qui a très bien fonctionné dans certains grands groupes cotés ; elle est la pierre angulaire à partir de laquelle reconstruire la relation entre l’entreprise et son collaborateur.

    La piste est d’autant plus tentante qu’elle permettrait de construire un deuxième pilier à notre système de retraite qui nécessite une telle proposition pour être admise dans l’opinion.

    Il faudra forcément parvenir à ce genre de formule ; cela prendra beaucoup de temps compte tenu des mentalités actuelles. Voilà pourquoi il faut dès maintenant commencer à semer ces idées fécondes qui ont déjà fait leur preuve ailleurs, et depuis longtemps.

    https://www.contrepoints.org/2020/08/29/374265-comment-reussir-la-relocalisation

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    1. Xavier Fontanet a presque tout faux.

      (...) les 35 heures et la retraite à 60 ans dont les dégâts cumulés se mesurent en milliers de milliards d’euros intégrés dans la dette de l’État. (...)

      Ce n'est pas la durée du travail qui doit être remise en cause mais son coût ! Pourquoi est-il plus cher qu'en Chine ou aux USA ? Pourquoi en France un chef d'entreprise n'a pas le droit de faire des bénéfices ? S'il s'achète un bateau il fera travailler les chantiers navals français, s'il s'achète un avion il fera travailler l'entreprise Dassault, mais s'il s'expatrie en Chine il préfèrera rouler en Ferrari qu'en Twingo !
      Et puis, en Chine, avec la robotique qui peut travailler 24/24 h sans arrêt ni ouvrir sa gueule...
      Faut dire qu'une machine-outil travaille au même prix en Chine que partout ailleurs, mais en France, elle serait susceptible de bouffer le pain des arabes !

      Si de tous temps l'on a dit que l'argent était bon pour éviter les emmerdes, en France, c'est justement quand on en a qu'elles commencent !

      La conjugaison avec la Suisse ?... LA Démocratie !

      (...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)

      https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html

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  28. Les enseignants du Tennessee craignent que vous entendiez ce qu'ils enseignent à vos enfants


    par Tyler Durden
    Ven, 28/08/2020 - 18:40
    Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,


    L'absurdité est juste passée à '11' ...

    Les enseignants ont peur que vous entendiez ce qu'ils enseignent à vos enfants
    Un district scolaire du Tennessee a demandé aux parents de signer un formulaire acceptant de ne pas écouter ou «écouter» les cours en ligne.

    Les parents n'étaient pas un grand fan de cette idée, et après une réaction violente, le quartier a reculé.

    Mais ce n’était pas la première fois que les écoles craignaient que les parents entendent ce qu’ils forent dans le cerveau des élèves.

    Un enseignant s'est plaint sur Twitter que les salles de classe virtuelles auront «des spectateurs potentiels… entendant le discours».

    Plusieurs enseignants se sont inquiétés du fait que les parents entendent des «conversations honnêtes sur le genre / la sexualité» dans sa classe, qui a généralement une politique «ce qui se passe ici reste ici».

    Apparemment, ces enseignants des écoles publiques obsédés par le genre et la sexualité veulent avoir des conversations sensibles avec vos enfants derrière votre dos.

    Cliquez ici pour en savoir plus sur les dérogations.

    * * *

    La ponctuation se déclenche maintenant pour les milléniaux
    Nous savons tous que les SMS n'ont pas la nuance des conversations en face à face. Sans émotion, des choses comme le sarcasme et l'agression passive sont plus difficiles à détecter.

    Mais saviez-vous que quelque chose d'aussi simple qu'un point à la fin de la phrase pouvait déclencher de l'anxiété chez la génération Y et la génération Z ?

    L'auteur d'un nouveau livre sur l'étiquette numérique affirme que les jeunes trouvent stressant de lire des messages texte avec un point à la fin.

    Selon l'auteur, la période est perçue comme brusque, hostile et même pas sincère.

    Vous avez déjà terminé le texte, vous n’avez pas besoin d’être un grand con et d’ajouter un point! NOUS NE POUVONS IMAGINER QUE L'ANXIÉTÉ QU'UN MESSAGE EN MAJUSCULE SERAIT CAUSÉ.

    Cliquez ici pour lire l'article complet.

    * * *

    Le Massachusetts exige désormais le vaccin antigrippal pour tous les élèves
    Le ministère de la Santé du Massachusetts a annoncé qu'il exigera que tous les élèves des écoles K-12 et les étudiants de premier cycle se font vacciner chaque année contre la grippe.

    Curieusement, les élèves qui restent à la maison et participent à l’apprentissage à distance de leur système scolaire public ne sont PAS exemptés.

    Il n’existe pas encore de vaccin corona, mais nous imaginons que c’est un moyen d’habituer tout le monde à l’idée que le gouvernement impose ce qui se passe dans votre corps.

    Ce n'est plus aux individus ou aux parents de peser les avantages et les inconvénients pour leur famille.

    Les enfants à la maison, cependant, sont exemptés de la loi.

    Cliquez ici pour lire l'article complet.

    * * *

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  29. Ce ne sont pas les États-Unis qui 'deviennent fous', voici encore plus d'absurdité du monde entier ...

    La vieille blague à propos de l'émission télévisée Seinfeld des années 1990 était que c'était une émission sur rien. Maintenant, il semble que l'Allemagne veuille être une économie pour rien.

    Une université allemande verse des bourses pour ne rien faire
    Une université allemande recherche des personnes qu'elle peut payer pour ne rien faire. Au sens propre. Ils veulent payer les gens pour qu'ils s'abstiennent d'activités.

    N'importe qui peut soumettre des propositions sur ce qu'il s'engage à cesser de faire, pour combien de temps et pourquoi.

    L'idée est d'explorer comment NE PAS faire certaines activités a un impact sur votre vie et la vie des autres. Ainsi, par exemple, si vous vous engagez à arrêter vos achats pendant trois semaines, ils étudieront comment le fait de NE PAS faire les courses réduirait la consommation de carburant, les déchets plastiques, etc.

    À l'heure actuelle, il ne s'agit que d'un programme pilote qui ne sélectionnera qu'une poignée de personnes. Mais si les résultats prouvent que ne rien faire favorise la justice environnementale et sociale, nous nous attendons déjà à un financement beaucoup plus important pour le prochain cycle.

    Imaginez à quel point le monde serait meilleur si nous apprécions la paresse et la paresse! Et cette tendance ne s’arrêtera pas avec Covid tant que nous n’avons pas reconnu que rester à la maison et ne rien faire est courageux et héroïque.

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    L'Allemagne teste le revenu de base universel
    Parlant de ne rien faire, le «revenu de base universel» est une idée qui a pris feu chez les bolcheviks.

    L'idée est que les gens devraient être payés uniquement pour exister. Nous arrivons tous simplement à collecter de l'argent que la banque centrale évoque à partir de rien.

    De toute évidence, certaines personnes pensent que cela causera de la paresse et privera les gens de réaliser leur plein potentiel. Mais d'autres insistent sur le fait que c'est le meilleur moyen de soulager la pauvreté et d'inspirer la créativité.

    Donc, pour tester l’idée, l’Allemagne paiera 120 «volontaires» 1 200 € (1 400 dollars) par mois pendant trois ans pour voir ce qui se passe.

    C’est presque comme si la civilisation occidentale rejetait l’idée selon laquelle un travail réel doit être fait pour produire la nourriture, les vêtements et les abris dont les humains ont besoin pour survivre.

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  30. Les Allemands doivent promener leurs chiens deux fois par jour en vertu de la nouvelle loi
    Eh bien, voici au moins une chose que l’Allemagne veut que vous fassiez: MARCHEZ VOTRE CHIEN !

    Dans le cadre d'un nouveau plan, tous les Allemands seront tenus de promener leurs chiens deux fois par jour, soit une heure de marche.

    Une version antérieure de la loi exigeait deux promenades d'une heure par jour, mais cela a été modifié après une réaction violente.

    Pourtant, un petit chihuahua a besoin de la même quantité d'exercice qu'un Golden Retriever? Et maintenant, les Allemands seront légalement responsables s’ils ont une journée bien remplie et n’ont pas une heure à perdre?

    Peut-être que l'État pourra ensuite microgérer le nombre approprié de caresses et de frottements du ventre. QUI EST UN BON GARÇON ??

    Ironiquement, en ce qui concerne les états de nounou absurdes, il ne semble pas y avoir de consensus: alors que l'Allemagne oblige les gens à promener leurs chiens, d'autres gouvernements ont forcé les gens à NE PAS promener leurs chiens pendant la pandémie.

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    La Grande-Bretagne interdit la publicité des aliments «malsains» à la télévision en journée
    Le coronavirus n'est pas la seule urgence de santé publique qui permet un contrôle autoritaire de la société; l'obésité est une autre excuse pour les politiciens avides de pouvoir.

    La Grande-Bretagne a annoncé qu'elle interdirait la publicité télévisée de jour pour les aliments contenant plus de 1,5 g de sel, 20 g de matières grasses ou 22,5 g de sucres pour 100 g.

    Cela comprend des trucs comme le ketchup, le bacon et le fromage.

    Cela piétine la liberté d'expression, mais réduira également les revenus publicitaires et commerciaux, alors que les entreprises sont déjà en difficulté.

    Et cela vient d’un parti «modéré»… pas même des politiciens les plus radicaux de Grande-Bretagne.

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    https://www.zerohedge.com/political/tennessee-teachers-are-worried-youll-overhear-what-they-teach-your-kids

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  31. Projet suivant de Bill Gates: construction de centrales nucléaires dans le nord-ouest du Pacifique


    par Tyler Durden
    Ven, 28/08/2020 - 19:40


    Voici le prochain projet de Bill Gates qui, comme ses autres, vise à résoudre le changement climatique et à sauver la planète. Cependant, cette fois, certains des critiques de l'approche de Gates & Co. ont averti que les centrales nucléaires avancées qu'il essaie maintenant de construire (qui «compléteraient» le réseau électrique du nord-ouest) pourraient être vulnérables aux attaques terroristes en raison de niveaux d’uranium enrichi.

    Dans un rapport publié jeudi, Reuters a révélé, pour la première fois, une nouvelle campagne de TerraPower LLC contrôlée par Gates (Gates est président du conseil d'administration de la société) pour construire des centrales nucléaires commerciales avancées appelées "Natrium" aux États-Unis plus tard dans le décennie. Le projet se concentrera sur le nord-ouest du Pacifique, où Gates a obtenu le soutien de trois grands services publics de la région, dont PacifiCorp, propriété de Berkshire Hathaway (bien sûr, le meilleur ami de Gates, Warren Buffett, était plus que disposé à aider, nous imaginons).

    Après que le président Trump a abandonné un plan de construction de ces centrales électriques avancées à Pékin et dans ses environs, TerraPower de Gate a été contraint de recentrer son attention sur les États-Unis, selon Reuters.

    Gates avait initialement espéré construire une centrale nucléaire expérimentale près de Pékin avec la China National Nuclear Corp. Mais l'année dernière, TerraPower a été forcée de rechercher de nouveaux partenaires après que l'administration Trump a restreint les accords nucléaires avec la Chine.

    Si les usines initiales sont un succès, la société espère les construire à travers les États-Unis et à l'étranger, dans l'espoir de fournir un moyen de renforcer les réseaux d'énergie qui sont de plus en plus dépendants des énergies renouvelables comme le solaire et l'éolien. Au milieu du siècle, "nous verrions des centaines de ces réacteurs dans le monde, répondant à de multiples besoins énergétiques différents", a déclaré Chris Levesque, président et chef de la direction de TerraPower. Les centrales de 345 mégawatts seraient refroidies par du sodium liquide et coûteraient environ 1 milliard de dollars chacun, et la technologie complexe permettrait l'introduction de l'énergie nucléaire dans des pays qui n'ont pas ces ressources comme ... disons ... l'Iran?

    Et grâce à cette technique de «stockage d'énergie au sel fondu», ces centrales nucléaires du nouvel âge pourraient s'arrêter et stocker de l'énergie pendant des jours où le réseau n'est pas aussi bien alimenté.

    L'énergie nucléaire est l'une des principales sources d'électricité pratiquement sans émissions, mais de nombreuses centrales ferment aux États-Unis en raison des coûts élevés et de la concurrence du solaire et de l'éolien. Les critiques du nucléaire avancé ont également averti que le nucléaire plus petit est encore plus cher que le nucléaire conventionnel. Les nouvelles centrales sont cependant conçues pour compléter une énergie renouvelable car elles stockeront la puissance du réacteur dans des réservoirs de sel fondu pendant les jours où le réseau est bien alimenté.

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  32. L'énergie nucléaire pourrait être utilisée plus tard lorsque l'énergie solaire et éolienne est faible en raison des conditions météorologiques. Le stockage d'énergie au sel fondu a été utilisé dans les centrales solaires thermiques dans le passé, mais des fuites ont affecté certains des projets.

    Même si des questions sur l'aspect pratique et l'abordabilité continuent de nuire au projet, Gates et Levesque insistent sur le fait que l'énergie nucléaire peut être une composante importante d'un réseau énergétique «sans combustibles fossiles».

    Cependant, les experts en non-prolifération préviennent que ces centrales pourraient devenir des cibles d'attaque car leur combustible à l'uranium serait encore plus enrichi que le combustible nucléaire conventionnel.

    La Fondation Gates s'est vu accorder une grande latitude par la presse (parce que Gates possède la presse) pour expérimenter ses initiatives de santé publique, mais certains projets ont été critiqués pour avoir aggravé la situation dans les pays pauvres, pas mieux.

    Lorsqu'il s'agit de centrales nucléaires privatisées, la marge d'erreur est beaucoup plus impitoyable.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/bill-gates-next-project-building-nuclear-power-plants-across-pacific-northwest

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  33. L'escroquerie COVID-19, Partie 1: La route difficile vers un nouvel ordre mondial


    par Tyler Durden
    Sam, 29/08/2020 - 00:00
    Rédigé par Iain Davis via le blog In This Together,


    Parmi de nombreux États mondialistes similaires, l'État britannique est un partenariat public-privé entre le gouvernement, les institutions financières, les sociétés multinationales, les groupes de réflexion mondiaux et les organisations du tiers secteur bien financées, telles que les soi-disant organisations non gouvernementales (ONG) et les grandes organisations caritatives internationales.

    Grâce à une structure labyrinthique de financement direct, d'octroi de subventions et de philanthropie, l'État britannique est une organisation mondialiste cohésive qui travaille avec des universitaires, des institutions scientifiques et des médias grand public (HSH) sélectionnés pour faire avancer un récit étroitement contrôlé et prédéterminé.

    Ce consensus conçu sert les intérêts et les ambitions mondiales d'un petit groupe de personnes extrêmement riches.

    Ce groupe de parasites, souvent appelé à tort l '«élite», exploite toute l'humanité à son profit et pour consolider et renforcer son pouvoir. Ils contrôlent la masse monétaire et la dette mondiale, qui leur est due.

    Les êtres humains sont contraints de payer des impôts qui, via les marchés publics, reviennent directement aux entreprises privées qu'ils possèdent. La guerre, la sécurité, les projets d'infrastructure, l'éducation et les soins de santé fournissent des bénéfices et sont utilisés par la classe des parasites pour l'ingénierie sociale de la société.

    À l'échelle mondiale, ils financent tous les partis politiques, avec une chance réaliste de gagner le pouvoir, ils possèdent les HSH et dépensent des milliards pour faire pression sur les décideurs politiques.

    Grâce à des groupes de réflexion et à l’action d’activistes politiques «indépendants», comme le réseau FPAction, ils financent directement des campagnes politiques en échange de la loyauté du politicien envers eux, et non envers les électeurs.

    Grâce à leurs fondations exonérées d'impôt, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF), ils contrôlent l'orthodoxie scientifique, médicale et universitaire.

    Ce réseau mondial d'oligarques se dirige vers les dernières étapes de son plan de longue date visant à construire un système mondial unique de gouvernance. Souvent appelé le Nouvel Ordre Mondial (NWO), il s'agit d'une collaboration entre des organisations politiques supranationales, comme les Nations Unies et l'Union européenne, des autorités scientifiques contrôlées, telles que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et l'Organisation mondiale de la santé. (OMS), des institutions financières mondiales, y compris la Banque mondiale, le FMI, la BCE et la Banque des règlements internationaux (BRI), des organisations mondialistes comme le Forum économique mondial (WEF), des ONG comme le World Wildlife Fund (WWF) et des groupes de réflexion sur l'élaboration des politiques comme le Conseil des relations extérieures (CFR), le Club de Rome et la Commission trilatérale.

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  34. L'État britannique est l'un des principaux tentacules du nouveau système de gouvernance mondiale. Il a capitalisé sur la crise du COVID 19 pour créer les conditions d'un nouveau modèle économique et politique mondial. Alors que le COVID 19 semble être une souche méchante du coronavirus commun, dans la partie 2, nous discuterons de la manière dont l'État britannique a lancé un faux récit sur la maladie pour promouvoir les intérêts de ses maîtres oligarques mondialistes. La gestion d'une réponse à une pandémie n'est que la justification trompeuse de la restructuration planifiée de la société.

    En partenariat avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le BMGF, le WEF a été les principaux architectes de l’événement 201 qui a tracé, de manière assez précise, le verrouillage mondial et la réponse des médias mondiaux à une pandémie mondiale de coronavirus. L'événement 201 n'a été organisé que quelques mois avant qu'une pandémie mondiale de coronavirus n'éclate. Le verrouillage du gouvernement et la réponse des HSH se sont déroulés exactement comme ils l'avaient prédit.

    Dire que tout cela n'est qu'une coïncidence et ne mérite pas un examen plus approfondi est au-delà de l'objectivité. La vaste et détaillée plate-forme d'action COVID 19 du WEF était opérationnelle le 12 mars 2020. Le lendemain de la déclaration de pandémie mondiale de COVID 19 par l'OMS.

    Il ressort clairement des propres mots du WEF qu’ils considèrent le COVID 19 comme une opportunité fantastique. Ils déclarent:

    La crise de Covid-19 et les perturbations politiques, économiques et sociales qu'elle a provoquées modifient fondamentalement le contexte traditionnel de la prise de décision …… .Alors que nous entrons dans une fenêtre d'opportunité unique pour façonner la reprise, cette initiative offrira des perspectives pour aider à informer tous ceux qui déterminent l’état futur des relations mondiales, l’orientation des économies nationales, les priorités des sociétés, la nature des modèles d’affaires et la gestion d’un bien commun mondial. »

    Il s'agit d'une proposition de gouvernance mondiale qui remplace la souveraineté nationale. C'est aussi simple que ça.

    Il est remarquable qu'il y en ait encore autant qui accusent quiconque dénonce ce plan de longue date du Nouvel Ordre Mondial, largement documenté et dont les dirigeants politiques parlent depuis des générations, d'être des soi-disant théoriciens du complot. On se demande si ces gens savent lire.

    Faisant référence aux opportunités COVID 19, l'un des fondateurs et actuel président exécutif du WEF, Klaus Schwab a récemment écrit:

    Un ralentissement économique marqué a déjà commencé et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, bien que ce résultat soit probable, il n'est pas inévitable. Pour parvenir à de meilleurs résultats, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d'une «grande réinitialisation» du capitalisme.

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  35. Le capitalisme nécessite une réinitialisation parce que le modèle du capitalisme de copinage en magasin fermé, exploité par la classe mondiale des parasites depuis des siècles, a atteint les limites de la croissance. Par conséquent, ils doivent créer un nouveau paradigme économique (la grande réinitialisation) à la fois pour centraliser et consolider davantage leur pouvoir et pour corriger leur modèle d'entreprise défaillant.

    Suite à l'effondrement bancaire de 2008, alors que la population était contrainte de subir l'austérité pour renflouer les banques avec une forme de socialisme de copinage très sélectif, la classe parasite a simplement continué à accumuler la dette.

    Dans les accords de Bâle III sur les capitaux, censés mettre un terme aux spéculations sauvages des banques qui ont provoqué l'effondrement, ils ont effectivement réduit les exigences de liquidité (réserve de capital) des banques, leur permettant de prêter encore plus.

    Ce processus permettant aux banques de créer de la monnaie FIAT à partir de rien a inévitablement conduit à une dette mondiale d'environ 260 billions de dollars, soit plus de trois fois la taille du PIB de la planète.

    Cependant, il s'agit de petites pommes de terre par rapport à l'échelle du marché des dérivés de produits financiers. Estimé entre 600 billions de dollars et plus de 1 quadrillion de dollars. Alors que certains disent qu'il ne s'agit que du montant notionnel de la dette liée à des contrats dérivés, il n'en demeure pas moins qu'il s'agit de toute dette.

    Cumulativement, il n'y a pas assez de productivité sur Terre, même pour rembourser les intérêts de ces dettes, et encore moins les payer. En fin de compte, il s’agit d’une dette envers les oligarques qui contrôlent le système mondial de banques centrales. C'est un système Mickey Mouse permettant aux monopoleurs de saisir des actifs en utilisant leur propre argent.

    Alors que le pouvoir de créer toute la monnaie FIAT, à partir de rien d'autre que de la création de dette, leur a donné un immense contrôle économique et politique, 2008 a démontré que leur fraude par usure peut et va certainement s'effondrer. D'où la grande réinitialisation. Répondre à une pandémie ou sauver des vies n’a rien à voir avec cela.

    Le processus de transition, présenté par le WEF comme la Grande Réinitialisation, s'appuie sur les objectifs de développement durable de l'Agenda 2030 de l'ONU. Fondé sur l'idéologie eugéniste générationnelle des oligarques du NWO, le nouveau système de gouvernance mondiale sera une technocratie.

    Alors que la technocratie, dirigée par des technocrates nommés ou élus pour leur expertise particulière, peut sembler attrayante pour certains, le modèle proposé repose sur la destruction des États-nations pour être remplacés par un ordre technocratique mondial lointain qui ne sert que les intérêts de ses oligarques fondateurs et financiers. bienfaiteurs.

    Ce système technocratique a été esquissé en 1974 par l'ancien ambassadeur américain Richard N.Gardner, membre du CFR et de la Commission trilatérale, dans son article The Hard Road To World Order:

    Les dirigeants intellectuels du monde n’ont jamais reconnu à ce point la nécessité d’une coopération et d’une planification véritablement mondiales. Jamais il n'y a eu une croissance aussi extraordinaire du potentiel constructif des organisations privées transnationales - pas seulement des multinationales mais des associations internationales de toutes sortes dans lesquelles des personnes partageant les mêmes idées à travers le monde tissent des modèles efficaces d'action mondiale ...

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  36. ...

    L'espoir pour un avenir prévisible réside non pas dans la création de quelques institutions centrales ambitieuses à composition universelle et à compétence générale ... mais plutôt dans ... - au cas par cas ... fournir des méthodes pour changer la loi et l'appliquer à mesure qu'elle change et développer la perception des intérêts communs ...

    Bref, la «maison de l'ordre mondial» devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas ...

    ... mais une fin de course autour de la souveraineté nationale, l'érodant morceau par morceau, accomplira beaucoup plus que l'assaut frontal à l'ancienne.

    Les institutions de compétence limitée, telles que le GIEC et l'OMS, sont déjà en place et dirigent la politique gouvernementale nationale à travers le monde. En Grande-Bretagne, c'est le rôle de l'État britannique d'apporter les changements de politique obligatoires afin d'éroder la souveraineté nationale et de créer la technocratie de la gouvernance mondiale. Tous les États mondialistes sont essentiellement inconstitutionnels et traîtres.

    L'intérêt commun, déterminé par la classe technocrate à la demande de ses oligarques corporatifs, remplace actuellement les libertés et libertés individuelles. L'être humain n'est plus qu'une unité à gérer et à diriger et, le cas échéant, à éliminer.

    Les droits de l'homme inaliénables sont totalement ignorés dans la poursuite de l'intérêt commun.

    La crise mondiale du COVID 19 est un événement catalyseur qui a été mal utilisé pour provoquer la grande réinitialisation. Afin de convaincre la population de se conformer à ses ordres, l'État britannique a inculqué la population dans un état de peur.

    Les États du monde entier ont pratiqué l'ingénierie sociale en utilisant la tromperie, en faisant du prosélytisme une foi inconditionnelle dans une forme illusoire de science (scientisme), la modification du comportement, la réglementation illégale et la propagande. Ils ont utilisé leur MSM obéissant pour convaincre leurs peuples que la menace du COVID 19 est nettement plus grande qu'elle ne l'est en réalité.

    Dans la partie 2, nous nous concentrerons sur la tromperie de l'État britannique. Cependant, on peut en dire autant de tous les autres États mondialistes qui ont réagi de la même manière à la pandémie revendiquée.

    Le COVID 19 a été exploité pour remplacer nos droits humains inaliénables par une obligation imposée d'obéir aux ordres de santé publique. La santé publique est devenue la biosécurité et il n’existe plus d’être humain en bonne santé. Tous les humains sont désormais des risques biologiques et les risques biologiques doivent être contrôlés ou éliminés de la société pour le bien commun.

    Les Britanniques vivant dans une peur injustifiée, l'État britannique a pu introduire une législation draconienne antidémocratique (littéralement).

    Dans d'autres circonstances, cela aurait été impossible sans une révolte importante. Terroriser le public est essentiel pour le convaincre de croire que l’État doit lui retirer tous ses droits et libertés pour assurer sa sécurité.

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  37. Initialement trompant le public sur le fait que les «mesures d'urgence» seraient temporaires, d'autres modifications de comportement ont ensuite été utilisées pour forcer les gens à se conformer à une liste de plus en plus longue de réglementations totalitaires. L'objectif était d'amener les gens à accepter passivement la dictature d'un État de surveillance rebaptisé «la nouvelle normalité». Jusqu'à présent, il semble que la plupart des gens aient été suffisamment effrayés pour accepter docilement leur asservissement.

    Tout au long de la transition Great Reset, le visage public du projet mondialiste a été Bill Gates. Cependant, alors que Gates a utilisé sa richesse pour prendre le contrôle de la politique mondiale de santé publique, il n'est que l'actuel leader de World Order 2.0. Ce sont les possibilités technologiques présentées par la 4e révolution industrielle sur lesquelles les architectes de l'ordre mondial capitalisent.

    Par exemple, bien qu'il n'y ait aucune preuve que COVID 19 puisse être répandu en manipulant de l'argent liquide, les MSM ont à plusieurs reprises lancé l'idée. Ce n’est pas une surprise. la BBC fait partie des nombreuses organisations médiatiques directement financées par le BMGF.

    Des projets pilotes, tels que le West African Wellness Pass soutenu par le BMGF, sont déjà en cours. En liant l'identification biométrique, à l'instar de l'ID 2020 financé par BMGF, Rockefeller et U.N, avec des systèmes de paiement sans numéraire, toutes les transactions peuvent être contrôlées de manière centralisée dans la société sans numéraire qui approche rapidement.

    Lorsque votre identité biométrique comprend votre statut d'immunité vaccinale, il n'est pas nécessaire de légiférer pour rendre les vaccins «obligatoires». Évitant ainsi tout débat public contentieux. Tant que vous vous conformez pleinement à vos commandes, vous bénéficierez d'un accès contrôlé à l'activité sociale et économique.

    Des systèmes comme le passeport d'immunité et les certificats de vaccination seront utilisés pour contrôler la liberté de mouvement, le droit au travail et l'accès aux services et à la communauté. Comme l'a décrit le porte-parole de l'ordre mondial Bill Gates:

    Finalement, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou qui a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu. »

    Bien que les vaccins ne soient pas obligatoires, vous ne pourrez pas, de manière réaliste, participer à la société, travailler, diriger une entreprise ou recevoir des avantages, sans le vaccin approprié ou le statut d’immunité.

    Le BMGF a déjà investi plus de 21 millions de dollars dans un projet du MIT visant à créer un système de distribution de vaccin à micro-aiguille qui injectera une matrice réactive sous la peau du receveur qui pourra ensuite être scannée par un lecteur. Ce modèle agira comme un tatouage de code à barres indélébile, permettant aux autorités mondiales de surveiller et de contrôler vos allées et venues et votre comportement.

    L'État néo-zélandais a déjà décidé d'éloigner les personnes de leur domicile et de les placer dans des installations de quarantaine (centres de détention contrôlés par l'armée).

    Avec une population estimée à 5 millions d'habitants et seulement 22 décès présumés dus au COVID 19 dans tout le pays (un risque de mortalité de la population de 0,0004%), et aucun décès pendant près de trois mois, ces mesures ne sont clairement pas une réponse à une menace réelle à partir de COVID 19.

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  38. Le fait d'avoir un contrôle total sur les tests et l'attribution du statut sanitaire donne à l'État de biosécurité le pouvoir d'éloigner et de détenir potentiellement ses ennemis politiques et ses dissidents sans procès. Ceux qui ont reçu l'ordre de faire respecter la biosécurité, dans la «nouvelle normalité», ont exactement le même degré de pouvoir autoritaire qui a été investi dans des abuseurs de droits similaires tels que la Gestapo et la Stasi. L'histoire nous apprend-elle jamais quelque chose?

    Cette politique de quarantaine en Nouvelle-Zélande est conçue pour maintenir le niveau de peur et habituer la population à la dictature. Cela semble également être une provocation qui peut encourager l'insurrection et la révolte. Avec un monopole de la violence et de l'usage de la force, les soulèvements violents profitent invariablement à l'État autoritaire. Cela leur permet de revendiquer la légitimité d'une «répression» encore plus oppressive.

    Jusqu'à présent, la réponse mondiale au COVID 19 s'est peu écartée du scénario Lockstep suggéré par Rockefeller dans son rapport de 2010 Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international.

    Comme l'événement 201, c'est un autre exemple de la prescience tout à fait extraordinaire des personnes qui forment la politique de gouvernance mondiale. Ils peuvent non seulement prédire, dans les moindres détails, ce que les médias découvriront et rapporteront, mais aussi la nature elle-même.

    Retirer les «infectés» de leurs maisons et les incarcérer dans des centres de détention reflète la suggestion politique du Dr Michael Ryan de l'OMS. Si la Nouvelle-Zélande est le premier État nominalement démocratique à faire des descentes dans les maisons familiales et à expulser des personnes par la force, ce ne sera certainement pas le dernier. L'État britannique s'est déjà donné le pouvoir de le faire dans le règlement de 2020 sur la protection de la santé (coronavirus).

    L'activité économique mondiale sera administrée par les États de biosécurité et basée sur des objectifs de développement durable. Cette nouvelle économie mondiale, planifiée de manière centralisée, sera limitée aux seules entreprises autorisées.

    Avant son départ en tant que gouverneur de la Banque d'Angleterre, parallèlement à la grande réinitialisation, Mark Carney a averti que les entreprises qui ne respectent pas les bonnes politiques de développement durable «feront faillite sans poser de questions». En d'autres termes, les marges de crédit, sans lesquelles les entreprises ne peuvent espérer fonctionner, seront limitées à ceux qui adoptent les politiques approuvées.

    Cette nouvelle économie aura un emploi très limité. Le successeur de Carney, Andrew Bailey, a déjà déclaré qu'il serait important de ne pas maintenir les gens dans des «emplois improductifs» et que les pertes d'emplois, à la suite de la crise du COVID 19, étaient inévitables.

    Ils n’auraient pas été inévitables si des États mondialistes, comme le Royaume-Uni, n’avaient pas répondu à la crise en fermant l’économie productive mondiale.

    La tournure absurde des banquiers et des économistes soigneusement choisis selon laquelle le Royaume-Uni va simplement rebondir après une baisse sans précédent de 20% du PIB est absurde. Avec un taux de chômage officiel de 2,7 millions au Royaume-Uni, qui a plus que doublé en une seule année, ces chiffres ne sont que la pointe d'un très grand iceberg imminent.

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  39. Il y a actuellement environ 7,8 millions de travailleurs britanniques supplémentaires en congé. Ce programme devrait prendre fin dans quelques mois. Le cabinet de conseil en gestion McKinsey & Company estime que 7,6 millions d'emplois au Royaume-Uni sont menacés.

    Cela aura, comme toujours, un impact disproportionné sur les plus bas salaires, une analyse suggérant que plus de 50% des personnes à risque de chômage occupent déjà des emplois rémunérés à moins de 10 £ de l'heure.

    Ce sont les emplois et les moyens de subsistance improductifs dont Bailey veut se débarrasser. Partout en Europe et dans les Amériques, des niveaux de chômage effroyables sont apparemment inévitables. Il n'est pas déraisonnable d'envisager au moins 6 millions de chômeurs de longue durée au Royaume-Uni. Avec le même schéma commun à de nombreux pays développés, les impacts sociaux, économiques et sanitaires de cette situation sont presque incompréhensibles.

    Beaucoup préviennent depuis longtemps que le bilan de la réponse de Lockdown à la supposée pandémie COVID 19 sera bien pire que la maladie elle-même. Cette terrible perspective devient de plus en plus apparente.

    Il n'y a aucune raison de croire aux statistiques officielles britanniques du COVID 19, ce dont nous parlerons dans la partie 2. Cependant, même si nous acceptons que plus de 41000 personnes sont décédées des suites directes du COVID 19, cette triste perte sera probablement relativement sans conséquence par rapport aux pertes en vies humaines résultant directement de la politique de verrouillage de l'État britannique.

    Il est important de reconnaître que la réponse de verrouillage mondial était un choix politique fait pour créer les conditions économiques de la grande réinitialisation. Ce n'était pas inévitable, et il n'y a aucune preuve que les verrouillages font une différence dans la mortalité COVID 19. La Corée du Sud, le Japon et la Suède n'ont pas imposé de verrouillage complet et ont tous de meilleurs résultats COVID 19 que le Royaume-Uni.

    Des recherches menées par le ministère britannique de la Santé, l'Office of National Statistics (ONS), le département d'actuaire du gouvernement et le ministère de l'Intérieur du Royaume-Uni estiment que 200000 personnes pourraient mourir à la suite de la réorientation du NHS, pour traiter le COVID 19 et rien d'autre, et des effets économiques des politiques de verrouillage. Malheureusement, ce scénario du «pire des cas» semble conservateur.

    Un exemple du «scientisme» dérisoire utilisé pour terroriser la population, l'Université de Glasgow a publié en avril une étude estimant le nombre moyen d'années de vie perdues (YLL) pour les personnes qui seraient décédées du COVID 19. Dire qu'il s'agissait de décès présumés n'implique pas que personne n'est mort du COVID 19, seulement que nous n'avons vraiment aucune idée du nombre.

    Néanmoins, en utilisant une méthodologie assez bizarre, les chercheurs de Glasgow ont réussi à calculer que le YYL médian dû au COVID 19 était de 13 ans pour les hommes et de 11 ans pour les femmes. Cette étude était basée sur l'analyse de l'épidémie en Italie, mais a été citée par les HSH britanniques pour effrayer les Britanniques. Plus de 59% des décès présumés COVID 19 en Italie avaient plus de 80 ans.

    L'espérance de vie médiane actuelle au Royaume-Uni est de 80 ans pour les hommes et de 83 ans pour les femmes. Près de 60% de ceux qui sont décédés du COVID 19 au Royaume-Uni avaient plus de 80 ans et 20% avaient plus de 90 ans.

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  40. L'analyse des National Records of Scotland (NRS) montre que l'âge médian de décès, supposément à partir du COVID 19, était de 81 ans pour les hommes et de 85 ans pour les femmes. Statistiquement impossible à distinguer d'une mortalité tout à fait normale.

    Les chercheurs de l'Université de Glasgow sont financés par le Wellcome Trust qui est la fondation philanthropique exonérée d'impôt du géant pharmaceutique multinational GlaxoSmithKline. L'Université de Glasgow est également récipiendaire de la bourse COVID 19 Therapeutics Accelerator établi par le Wellcome Trust, Mastercard et le BMGF.

    Le Wellcome Trust et le BMGF veulent que le monde soit vacciné avec leurs vaccins expérimentaux COVID 19. Malgré le fait que des décennies d'essais n'ont pas réussi à produire un vaccin efficace contre le SRAS, ou même pour toute souche de coronavirus, et que le développement d'un vaccin prend généralement au moins 10 ans, GSK et le BMGF font partie de ceux qui, pour une raison apparemment inexplicable, sont convaincus de pouvoir produire un vaccin efficace contre le SRAS-CoV-2 en quelques mois.

    De toute évidence, il existe un énorme conflit d’intérêts financiers au cœur des affirmations fallacieuses de l’Université de Glasgow sur les YLL. Souligner ce fait fait de vous un théoricien du complot. Bien que l'ignorer, il faut soit un degré considérable de crédulité, soit une intention délibérée de tromper.



    Entre 2001 et 2016, le dénuement économique et social en Angleterre a toujours été à l'origine d'une espérance de vie réduite en moyenne de 9,3 ans véritablement alarmante pour les hommes et, en 2016, a raccourci la vie des femmes de 7,4 ans. La dévastation économique qui sera provoquée par la politique de verrouillage entièrement inutile de l'État britannique et d'autres, mesurée en YLL, éclipsera celles perdues à cause du COVID 19.

    C’est le prix que nous paierons tous pour la détermination de la classe des parasites à provoquer la grande réinitialisation et à changer l’économie et la société mondiales en une économie planifiée et contrôlée de manière centralisée par eux. Ils dépensent actuellement des milliards dans le monde en propagande pour nous convaincre d'accepter leur «nouvelle normalité».

    Ils ont besoin de notre consentement pour que leurs plans fonctionnent. Cela signifie que pour les saboter, tout ce que nous devons faire est de refuser de nous conformer. Si la manifestation pacifique est un droit unificateur important, c'est ce que nous faisons chaque jour qui fera la différence. Il y a un bâtiment d'autoritarisme fasciste méchant au Royaume-Uni et ailleurs. Pourtant, tout ce que nous devons faire pour le vaincre, c'est refuser, en masse, de suivre ses ordres.

    Malheureusement, l'État britannique fait partie de ceux qui ont tout mis en œuvre pour nous convaincre de croire leur récit de propagande COVID 19 franchement ridicule et scientifiquement illettré. Nous n'avons qu'à nous rendre au supermarché local et à voir la majorité muselée sans visage pour savoir que la tromperie fonctionne.

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  41. Nous sommes confrontés à un choix existentiel. Nous pouvons soit renoncer à toute prétention enfantine que nous vivons dans une société démocratique libre et ouverte qui valorise la liberté et la pluralité d'opinions, et accepter le régime dictatorial fasciste d'un parasite technocratique mondial, soit exercer une résistance consciente et refuser de se conformer à la ordres de l’État.

    Dans la deuxième partie, nous disséquerons le mécanisme de l’escroquerie de l’État britannique. Alors que les politiques de verrouillage prennent naissance au niveau mondial, en examinant la manière dont l'État britannique les a mises en œuvre et la tromperie qu'ils ont utilisée pour convaincre le public de les accepter, la vraie nature de l'escroquerie peut être révélée.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/covid-19-scamdemic-part-1-hard-road-new-world-order

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