- ENTREE de SECOURS -



mardi 11 août 2020

POURQUOI COULER L'ÉCONOMIE FRANÇAISE ?

par GÉRARD DELÉPINE 
12/08/2020


En semaine 31 le nombre de cas de Covid-19 a augmenté de 33% par rapport à la précédente.

Le confinement aveugle (ne séparant pas les infectés de la population saine) a considérablement alourdi la mortalité naturelle du Covid19(1) et entraîné la plus forte réduction de notre produit national brut depuis 1945 (plus de 10%). On pouvait espérer, qu’à la levée du confinement, les affaires repartiraient dans les secteurs les plus touchés par la crise, avec peut-être même un effet de rattrapage. Malheureusement ce n’est pas le cas et, malgré les soldes, le niveau des ventes reste toujours inférieur à celui de l’année dernière. Pôle Emploi a comptabilisé pour le mois d’avril une très forte hausse du chômage des demandeurs d’emploi sans aucune activité(2) après une hausse de 7,1% en mars et, fin avril, un total de 4,575 millions de chômeurs en catégorie A.

Depuis la levée du confinement, ce n’est pas à un rattrapage qu’on assiste, mais au contraire à la poursuite d’un marasme économique qui risque d’aboutir sur l’année 2020 à une perte de PIB encore plus importante que prévue initialement. Quelles peuvent en être les causes et que pourrait-on faire pour sortir de ce cercle vicieux ?

La propagande catastrophique permanente du gouvernement et des médias

Chaque jour le comité scientifique, le ministre de la santé, l’AFP ou les médias diffusent des informations trompeuses ou mensongères qui ravivent les angoisses de la population.

La liste des mensonges et manipulations serait longue ! Citons quelques perles : « le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés en réanimation est en hausse depuis deux jours (3)». Oui, mais deux à trois personnes par jour sur 5000 lits de réanimation, quelle signification ? Le Conseil scientifique curieusement toujours en place malgré les révélations médiatiques de ses liens forts avec Gilead le laboratoire qui descend la chloroquine pour imposer son remdesivir 2000 fois plus couteux que la chloroquine estime "hautement probable qu'une seconde vague épidémique soit observée à l'automne ou l'hiver(4)". SUR DES SIMULATIONS RIEN QUE DES SIMULATIONS dont on a subi les lourdes conséquences avec le confinement « justifié » par des calculs trompeurs ; les maths ne se trompent pas à condition qu’on leur fournisse des hypothèses justes !

Le nouveau premier ministre Jean Castex, a appelé "chaque Française et chaque Français à rester vigilant "Nous ne devons pas baisser la garde, le virus n’est pas en vacances(5), Dans les rues de Lille, le port du masque se généralise, et c’est très bien ainsi l’objectif est de se protéger pour éviter la perspective d’un reconfinement généralisé." (6)

Le Monde « En France, une hausse confirmée des cas de Covid-19 depuis plusieurs semaines. Les derniers chiffres confirment une lente reprise de l’épidémie avec, jeudi, plus de 1 000 nouveaux cas positifs. Cela n’est pas dû à l’augmentation du nombre de dépistages, assurent les autorités(7)». Mensonge.

Pourtant d’après Santé Publique France, le taux de positivité des tests pratiqués a baissé régulièrement depuis deux mois avant de se stabiliser autour de 1%, ainsi que nous l’avions déjà signalé il y a deux semaines sur cette tribune. Sud-ouest : « Coronavirus en France : 14 nouveaux décès, 385 patients en réanimation » (8) . Le Progrès de Lyon : « Nouvelle remontée des hospitalisations à Lyon et dans le Rhône »(9) : pour 2 hospitalisés supplémentaires ? De qui se moque-t-on ? De nous tous !

L’épidémie est terminée, même le ministre a dû l’avouer !

En réalité, l’épidémie a quitté la France depuis 2 mois et aucun fait scientifique objectif ne permet de craindre une « deuxième vague »(10). Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort.

Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie ainsi que le montrent les graphiques suivants tirés de Santé Publique France que chacun peut consulter s’il est dubitatif :

- voir graphiques sur site -

Tests non fiables et dépassés

Les tests auraient été utiles en début d’épidémie pour séparer les infectés de la population saine que la clinique seule n’aurait peut-être pas reconnue, mais le gouvernement n’en a pas voulu(11). Actuellement pratiqués en quantité alors que le virus a perdu sa virulence initiale, ils permettent seulement de claironner que les « cas » -tests positifs et non patients, sont de plus en plus nombreux, sans préciser que le nombre réel de malades reste extrêmement faible. Et pour renforcer la panique, Santé Publique France vient d’inclure comme « indicateur d’alerte de l’épidémie le « nombre de consultations (12)pour suspicion de Covid » alors que cet indice ne fait que mesurer l’intensité de la peur que la propagande actuelle crée dans la population !

Ce climat de panique permanent n’est pas propice aux dépenses, ni aux investissements
Je me promenais hier dans une ville balnéaire du sud de la France. Dans les rues, l’affluence était considérable et de très nombreuses boutiques agréables affichaient des slogans aguicheurs « soldes » « deuxième démarque » « -70% » ; mais ces boutiques étaient presque totalement vides. Presque personne n’avait envie d’acheter de nouveaux vêtements ou des babioles, quand le gouvernement brandit la menace d’une nouvelle épidémie et menace d’un nouveau confinement et que le potentiel acheteur n’est pas certain de pouvoir reprendre son travail sans entraves. De plus, devoir porter un masque pour entrer dans ces boutiques, alors qu’une grande partie de la population a bien compris qu’il s’agit d’une décision politique et non sanitaire, rend l’idée même de shopping incongrue.

Et sur quel espoir de progression de chiffre d’affaires un investisseur pourra-t-il bâtir son business plan dans un pareil climat ?

Exemple de désinformation cruelle pour le commerce

La Mayenne constitue un exemple concret de la nocivité de cette propagande de la peur. Désignée en juillet par les autorités comme une zone où l’épidémie repartait avec « de nombreux foyers », la Mayenne a vu ses hôtels et ses lieux touristiques se vider. La Belgique, pourtant championne du monde de la mortalité par Covid19, a interdit les voyages "non-essentiels" de ses ressortissants vers le département stigmatisé ! Les mayennais craignant d'être pris directement pour cible, ont dû cacher leur origine sur leur plaque d'immatriculation pour éviter de se faire "vandaliser" la voiture lorsqu’ils quittent leur département. La gravité des conséquences économiques locales a obligé ses représentants à dénoncer le caractère inutilement catastrophique des annonces officielles et révéler les nombreuses erreurs des chiffres publiés par l’Ars locale !

Les mesures inutiles en fin d’épidémie freinent les achats et le tourisme
La peur induite par cette propagande catastrophique est renforcée par l’imposition de mesures sanitaires visibles. L’obligation du port du masque et le rappel permanent de garder ses distances de son voisin réavive la menace du virus qui guette, et rappelle que le voisin est devenu un ennemi mortel dont on espère se protéger par cette dérisoire armure.

Qui a envie de rentrer dans un magasin masqué quand il fait chaud ? Comment peut -t-on se renseigner réellement sur un objet séduisant quand un masque, instrument traditionnel du braqueur de banque, empêche de voir le visage, les l’expression de son interlocuteur et d’en apprécier la communication non verbale ? Et pour se comprendre avec le masque et la distance, il faut crier pour s’entendre. Toute convivialité est détruite. Toute envie d’achat éteinte dans l’œuf.

Le confinement nous a couté très cher ; les mesures sanitaires post confinement inutiles et coûteuses prolongent le suicide de notre économie

En mai, la commission européenne prévoyait une chute très forte de PIB dans les pays qui ont confiné sévèrement tels que l’Espagne, la Grèce et l’Italie (baisse supérieure à 9 %) et en France (8,2 %) alors que ceux qui ont adopté des mesures moins contraignantes comme l’Allemagne, la Pologne, les Pays-Bas ou la Suède s’en sortiraient mieux et plus vite.

Deux mois après le déconfinement les dernières prévisions placent la France comme la grande malade de l’économie mondiale avec une chute prévue de plus de 13% de PIB, 5 à 6 points de plus que l’Allemagne ou la Suède qui n’ont pas confiné aveuglément. Ces mesures sanitaires, d’autant plus inutiles que l’épidémie disparaît, nous coûtent de plus en plus cher.

Pour réveiller l’économie, le crédit ne suffit pas, il faut restaurer la confiance

On en est loin. La réponse gouvernementale à cette crise économique d’ampleur inédite a été jusqu’ici uniquement financière. Mais les affaires reposent aussi sur la confiance et la gestion calamiteuse de la crise a totalement discrédité la parole publique. Comment faire confiance à des gouvernants qui ont autant menti tout au long de la crise, refusent de reconnaître leurs erreurs et continuent à imposer des mesures coercitives injustifiées en les défendant chaque jour par des arguments contradictoires.

Pour relancer l’économie, il est essentiel que la communication gouvernementale devienne plus humble, qu’elle reconnaisse que des erreurs ont été commises, que le confinement a été décidé sous l’emprise de la peur et qu’il n’a pas été bénéfique comme l’a courageusement fait la première ministre norvégienne13 alors que, pourtant, la mortalité directe du Covid19 dans son pays est l’une des plus basses européennes.

Expliquer encore et encore pour surmonter cette peur !

Il faut le claironner partout : l’épidémie est pour l’instant terminée en France en montrant les courbes officielles.

Préciser que l’augmentation des porteurs de virus est une bonne nouvelle tant que les nombres de malades et d’hospitalisations continuent de baisser14, car l’immunité qu’il crée rendra le retour éventuel de la maladie encore plus improbable.

Promettre qu’il n’y aura pas de second confinement car le premier a été un échec imprévu.

Ces annonces redonneraient l’espoir à la population qui pourrait enfin se tourner de nouveau vers l’avenir pour travailler, se réunir, consommer, revire normalement.

Mais nos officiels ne sont pas nordiques ; il est malheureusement douteux qu’ils aient le courage d’Erna Solberg.
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1 Environ 50000 français en sont morts soit directement du Covid19 ou du Rivotril, soit indirectement du fait de l’interruption des soins médicaux des maladies chroniques et de l’arrêt des dépistages et diagnostics précoces en particulier en cancérologie.

2 (843 000, soit + 22,6 %).

3 Information vraie mais présentation trompeuse laissant croire à une augmentation importante alors qu’on était passé de 2 à 4 dans le département concerné

4 Elucubration non basée sur des faits avérés mais seulement inventée par la prédiction apocalyptique de Ferguson qui a inventé des 2ème, 3ème, 4éme vague succédant à autant de confinement ; ce prophète avait affirmé que sans confinement la Suède subirait 70000 morts ; la Suède n’a pas confiné et à la fin de l’épidémie compte 5702 morts.

5 Qu’en sait -il ? Puisque ce n’est pas l’avis des virologues professionnels

6 Comment peut-on le croire et accepter l’obligation du masque, alors que pendant les deux mois où celui-ci aurait pu être utile le gouvernement a affirmé qu’il ne servait à rien et a même interdit aux policiers d’en porter et aux citoyens d’en acheter ? Et quelles preuves scientifiques apporte-t-il ? Aucune !

7 Mais pourquoi le monde se contente-t-il de diffuser la propagande des autorités sans les vérifier : L’augmentation des cas positifs (qui ne sont pas des malades de Covid19 mais seulement des porteurs de traces du virus) traduit essentiellement la multiplication acharnée de tests qui ne servent à rien à la fin de l’épidémie alors qu’ils auraient pu être utiles en février et mars

8 Et pourquoi ce journal ne rappelle-t-il pas qu’il y a en France 5000 lits de réanimation et chaque jour en moyenne 500 morts de cancers ?

9 On essaie d’affoler la population pour 2 hospitalisés de plus et une entrée en réa sans donner la courbe des deux derniers mois qui confirme que l’épidémie s’éteint et on oublie de signaler les baisses dans les jours qui suivent

10 Les épidémies virales récurrentes sont saisonnières ; et après chaque épisode ne revienne éventuellement que l’année suivante ; les précédents coronavirus n’ont sévi qu’une fois et ont disparu depuis. La prétendue deuxième vague de la grippe espagnole n’était pas une reprise d’une épidémie virale mais des surinfections bactériennes brutales favorisées par la dénutrition et l’épuisement de la population à une époque sans antibiotiques. Grâce aux traitements antibiotiques une telle complication infectieuse n’est plus possible actuellement

11 Au début de l’épidémie les allemands comme les taiwanais ou les coréens ne disposaient pas de tests pour cette maladie nouvelle ; mais ils ont décidé d’en fabriquer en nombre suffisant et y sont parvenus en mobilisant tous les moyens dont ils disposaient. En France la bureaucratie des ARS a refusé les propositions qui lui ont été faites par les vétérinaires.

12 De SOS médecins et à l’hôpital

13 Erna Solberg le Premier ministre norvégien lors d’une une déclaration à la télévision norvégienne le 27 mai

14 Pr Toussaint sur LCI du 29 juillet Le coronavirus est toujours là, mais plus le covid-19 ! (Vidéo 5’32) http://mai68.org/spip2/spip.php?article6619

22 commentaires:

  1. «Simple comme tout ce qui est génial»: un médecin sur le fonctionnement du vaccin russe Sputnik V


    07:22 12.08.2020


    L’enregistrement du premier vaccin contre le Covid-19 au monde, celui mis au point par le centre russe Gamaleïa, ayant déjà suscité des critiques, le médecin Sergueï Tsarenko explique dans une tribune pour Sputnik. son mécanisme «sûr» et «simple» et estime que les critiques font partie d’une campagne ciblée contre le vaccin russe.

    Grâce aux anticorps monoclonaux, aux stéroïdes ainsi qu’aux médicaments antiviraux, les médecins ont fait des progrès dans le traitement des patients atteints de coronavirus, avoue le médecin-chef adjoint anesthésiste-réanimateur de l'hôpital municipal de Moscou numéro 52 Sergueï Tsarenko dans une tribune pour Sputnik. Et pourtant, bien qu’il y ait de moins en moins de cas létaux, dans le cas de formes sévères de l'infection, nous devons les transférer sous ventilation mécanique. Et puis six à huit personnes sur 10 meurent d'infections nosocomiales, déplore-t-il. Ces vies auraient pu être sauvées par de nouveaux antibiotiques, mais il faudra des années pour les développer. Alors il y a un autre moyen de les sauver: éviter que les gens soient contaminés par le coronavirus, chose possible grâce à un vaccin.

    «Après tout, plus il y a de personnes résistantes à la maladie, plus l’immunité collective sera importante, plus vite la fin de l'épidémie viendra», explique le médecin.

    Pour lui, contrairement au fait de survivre à une maladie, la vaccination est un moyen plus sûr d'élaborer une résistance à la maladie. Surtout aujourd’hui, quand il existe un vaccin efficace créé par des spécialistes du centre russe Gamaleïa. «Cet institut est la même marque dans la communauté microbiologique que Mercedes dans l'industrie automobile», relate-t-il. Il souligne que, par le passé, les chercheurs du centre ont déjà réussi à créer des vaccins contre Ebola et le MERS en élaborant «un moyen sûr et efficace, celui de vecteur».

    Fonctionnement du vaccin: «lanceur» et «station orbitale»

    Il décrit par ailleurs le fonctionnement du vaccin élaboré. Comme une station orbitale, un morceau du coronavirus est accroché à l'adénovirus, un virus inoffensif pour l'Homme, qui sert de fusée lancée à l'intérieur du corps humain, explique-t-il. «Après cela, l'immunité est formée à la fois pour le "lanceur" et la "station orbitale". Pour avoir plus de chance de succès, dans trois semaines la même "station orbitale" est lancée sur un autre "lanceur", un adénovirus différent. Et l'immunité se forme encore une fois», poursuit-il. Et de conclure qu’en conséquence l’immunité contre les adénovirus, dont le corps n'a pas besoin, devient plus faible, et, en revanche, une défense immunitaire stable et fiable se forme contre le coronavirus.

    «Simple comme tout ce qui est génial. Plusieurs autres vaccins sont créés dans le monde, mais aucun d’eux prévoit deux "lanceurs"!»

    Le vaccin en question a déjà été testé sur des volontaires, d’abord sur des employés de l’Institut, puis sur des militaires. «Pas une seule complication, tout le monde a une immunité puissante», assure M.Tsarenko.

    Une campagne ciblée contre le vaccin russe ?

    Ce n’est pas pour rien que le vaccin russe a suscité une vague de critiques, explique-t-il. «De la simple spéculation sur la technologie volée à la spéculation pseudoscientifique sur la détérioration potentielle de la condition en cas d'infection accidentelle par un coronavirus lors de la formation de l'immunité au vaccin», a-t-il poursuivi. Le dernier phénomène est d’ailleurs connu sous le nom de facilitation de l'infection par des anticorps (ADE) et il n'apparaît pas lors d’infections par coronavirus, précise le spécialiste.

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  2. Pour ce qui est de la réaction dans les médias, il estime qu’il s’agit d’une campagne. «De qui dépendant les "experts indépendants"? Secret de Polichinelle: de fabricants d’autres vaccins qui sont, pour le moment, à la traîne par rapport aux chercheurs russes. Ainsi que des fabricants d’antiviraux, médicaments qui ne peuvent s'avérer efficaces qu’en cas de formes légères de la maladie», explique-t-il.

    «Nous, les médecins praticiens, avons honte d’assister à toute cette histoire. Nous attendons le moment où il n’y aura plus de patients infectés par le coronavirus chez nous et quand nous pourrons enfin faire face à d'autres maladies, dont nous ne pouvons pas nous occuper pendant l'épidémie», a-t-il conclu.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202008111044238923-simple-comme-tout-ce-qui-est-genial-un-medecin-sur-le-fonctionnement-du-vaccin-russe-sputnik-v/

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  3. Vous êtes toujours exempté. Dites simplement "Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité." Rien de plus.


    Par Allan Stevo
    12 août 2020


    Des millions de personnes ne peuvent pas porter un masque facial en toute sécurité. Avec les approches de masque facial à taille unique, cela pose un problème.

    Ceux qui ne peuvent pas porter un masque facial en toute sécurité sont poussés à en porter un, à leur propre détriment, ou ils sont également découragés d'utiliser des services vitaux en raison des mesures répressives sévères qui placent au mieux la sécurité personnelle au second plan.

    Les raisons de ne pas pouvoir porter un masque facial en toute sécurité sont nombreuses: des problèmes évidents tels que les affections pulmonaires chroniques et les problèmes cardiaques en phase terminale, aux problèmes moins évidents tels que les crises de panique, la dyspnée (essoufflement), l'angine (douleurs thoraciques), la céphalalgie (maux de tête), migraines, déformations physiques internes dues à des blessures ou anomalies génétiques.

    Depuis mes précédents écrits sur le sujet (https://www.lewrockwell.com/2020/05/allan-stevo/you-may-be-exempt-from-wearing-a-face-mask/), en plus de mon propre expérience, j'ai reçu de nombreuses correspondances de personnes traversant les points de contrôle de conformité des masques faciaux et partageant ce qui fonctionne et ne fonctionne pas pour eux. Il existe certains comportements qui fonctionnent à plusieurs reprises dans tous les domaines et certains comportements ne fonctionnent pas. En utilisant certains de ces principes, je n'ai pas encore porté de masque facial, même une seule fois.

    Une phrase est extrêmement utile. Vous n'avez presque jamais besoin de rien d'autre, même dans les environnements les plus fermés: «Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité.»

    Je vais expliquer plus en détail pourquoi cette phrase est si efficace et la seule phrase dont vous avez besoin à un point de contrôle de conformité.

    Le risque de mettre une personne dans une situation où elle doit pratiquement dire «non» est qu'elle dit «non»

    Alors que ces millions de personnes qui ne peuvent pas porter un masque facial en toute sécurité ont également des préoccupations légitimes de souveraineté, des préoccupations constitutionnelles, des préoccupations en matière de droits naturels, des préoccupations juridiques et peut-être de nombreuses autres préoccupations, il y a très peu d'Américains qui contrôlent la politique des masques faciaux qui quitteront effectivement leur emploi au profit. d'un autre en disant: «Je suis totalement d'accord avec vous, personne ne devrait avoir à porter de masque facial, je vais détourner le regard en sachant que je suis peut-être l'un des 30 % des Américains au chômage dans dix minutes en honorant votre souveraineté personnelle. »

    Ce serait purement irresponsable de la part de cette personne qui vérifie la conformité, et vous en attendriez beaucoup trop. Vous attendez probablement d’eux plus que ce que vous pourriez attendre de vous-même, ce qui n’est pas juste. C’est de l’hypocrisie, en fait. Vous pouvez peut-être imaginer à quel point il est donc inefficace de présenter un tel argument à un point de contrôle de conformité. Ce n’est tout simplement pas le bon endroit.

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  4. Le vérificateur de conformité peut même avoir été formé pour impliquer un superviseur chaque fois que quelqu'un fait une telle revendication de droits naturels et pour vous faire ajouter à une liste noire. Le non-respect de cette instruction pourrait à nouveau se faire au détriment de leur emploi. Un grand effort, après tout, est fait par les consultants en gestion et les psychologues du comportement pour créer des politiques qui enlèvent l'humanité d'un humain et le font plus comme une machine au travail.

    Suivre la voie des droits naturels est particulièrement dangereux car c'est une bataille axiomatique. Cela oblige le vérificateur de conformité à croire les mêmes axiomes durement gagnés que vous. S'ils croient en quoi que ce soit, ils sont beaucoup plus susceptibles d'accepter le banal «pour le plus grand bien», combiné à la rhétorique anti-scientifique de l'application des masques et de la peur qui inonde les ondes.

    Les endroits où vous êtes le plus susceptible de trouver une application stricte des masques faciaux sont les endroits où vous êtes le moins susceptible de tomber sur quelqu'un qui partage ces axiomes: les zones côtières, les grandes villes, les aéroports et une foule d'autres hubs. Vous pourriez vous retrouver avec une conversation mémorable, mais dans ces endroits, vous ne risquez pas de passer la porte démasqué avec ce genre d'approche.

    Bien que je n'ai pas de données transversales, je présume également que ceux qui choisissent eux-mêmes des emplois aux points de contrôle de conformité sont moins susceptibles d'être favorables aux droits naturels.

    Les chances sont contre vous avec cet argument dans ce lieu.

    Respectez votre vie privée en ne parlant pas de votre santé et de votre bien-être avec des inconnus

    D'autres personnes qui ne peuvent pas porter un masque facial en toute sécurité peuvent bénéficier d'une exemption de masque facial pour une raison médicale dont elles sont extrêmement à l'aise pour parler avec des inconnus. Un problème dans cette situation est qu'un étranger peut ne pas être d'accord avec vous sur la gravité de votre problème médical et son impact sur le port d'un masque facial. Ce n'est pas une discussion à avoir avec un inconnu.

    Vous ouvrez la porte à des questions comme "Eh bien, à quel point est-ce vraiment grave ?" ou des déclarations telles que "Cela signifierait beaucoup pour les autres clients si vous portiez un masque facial pendant les dix premières minutes que vous passez dans le magasin, jusqu'à ce que vous commenciez à ressentir de l'inconfort." N'ouvrez pas de porte à cette ligne de conversation.

    À un point de contrôle de conformité, certaines personnes qui souhaitent passer démasquées parleront sans détour de l'Americans with Disabilities Act (ADA) les protégeant de l'obligation de divulguer des détails personnels. D'autres parleront du Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPAA). Je choisis simplement de m'appuyer sur des normes de décence commune et d'intimité personnelle. Bien que certains aspects de ces lois reposent exactement sur ce sens de la décence, il n'est pas nécessaire d'invoquer la loi fédérale. Les avantages et les inconvénients médicaux par rapport aux autres sont une affaire personnelle. Les avantages et inconvénients psychologiques par rapport aux autres sont une affaire personnelle. Les capacités et les handicaps sont une affaire personnelle.

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  5. Je reconnais que cela semble étrange à un endroit et à une époque où les gens arborent des drapeaux de chez eux, tatouent leur corps et portent des mouchoirs pour proclamer publiquement des affaires privées telles que leurs penchants sexuels ou d'autres sujets extrêmement privés.

    Un comportement momentané et aberrant ne change pas le bon sens. Le sage ne parle pas de ses affaires personnelles avec tous ceux qu’il rencontre.

    Le personnel est personnel et le public est public. Aucun étranger n'a droit à une entrée dans vos affaires personnelles. Peu importe à quel point cette époque veut tout rendre public (à l'exception du méfait du gouvernement, qui doit toujours être le plus secret possible pour le bien-être de tous), ce sont les sages qui maintiennent une solide division entre le personnel et le public.

    Les raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas porter de masque facial ne sont l'affaire de personne. Choisir de violer ce concept de base de la décence vous met dans une position désavantageuse à un point de contrôle de conformité.

    Agiter les lois peut facilement se retourner contre vous

    Étant donné que les lois omniprésentes peuvent être trébuchées de manière préjudiciable, un résumé des lois applicables fait partie de l'intégration de tout employé bien formé ces jours-ci. Il est utile de connaître les lois fédérales et leur incidence sur la formation d’un employé. À titre d'exemple, un employé ne voudra pas poser de questions sur vos préoccupations spécifiques qui vous empêchent de porter un masque facial, car cela les expose, ainsi que leur employeur, à une responsabilité supplémentaire dans la conversation.

    Connaître ce détail de base de la formation vous permet de dire simplement «Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité» et de savoir que dans de nombreuses situations, votre vie privée sera respectée par la personne correctement formée qui vérifie la conformité. Le chemin de la moindre résistance est le chemin emprunté par de nombreux employés.

    Certains employés ferment leurs portes lorsqu'ils entendent les lois. Certains employés appellent leur superviseur. Certains employés sont formés pour vous refuser et vous signaler directement à leur service juridique. De nombreux employés ignoreront totalement ce qui a été dit lors d'une séance de formation obligatoire à 8 h 30, il y a quatre mois, avant de prendre leur deuxième café ce matin-là. Plus vous les insistez avec des questions capiteuses comme les lois ou la philosophie, plus vos efforts risquent de se retourner contre vous. Agiter les lois peut se retourner contre vous, surtout quand cela ajoute de la tension à une conversation.

    Ce serait une autre façon pour les personnes bénéficiant d'exemptions légitimes de se mettre en situation de désavantage à un point de contrôle de conformité.

    L'escalade peut se retourner contre vous

    À moins que vous n'ayez évalué une personne et que vous ne sachiez ce que vous voulez, n'essayez pas de vous mêler à quelqu'un qui gère un point de contrôle de conformité dont vous devez vous rendre de l'autre côté. Les chances sont contre vous. Vous n’avez pas été le premier à les avoir affrontés et à avoir perdu.

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  6. Les gens qui appliquent les règles des masques faciaux, font face à la résistance toute la journée dans des contextes antagonistes et gagnent. Ils l’ont tellement fait ces derniers mois, que certains d’entre eux en sont devenus des experts. D'autres n'aiment pas se retrouver face à face avec un client et reculer. Il n’ya guère de moyen de savoir qui sera qui.

    De plus, à ce stade du processus, de nombreuses redondances sont intégrées et à presque tous les points de contrôle. Vous finirez par perdre si vous allez aux pieds et que vous augmentez la tension.

    Les compagnies d'assurance ont naturellement joué un rôle

    Les compagnies d'assurance ont des actuaires qualifiés qui savent utiliser les statistiques en faveur de l'assureur. Les compagnies d'assurance sont par conséquent excellentes pour identifier les failles de réduction des coûts rapidement après leur apparition.

    Les entreprises assurées ont clairement entendu qu'elles ne seront pas protégées des poursuites judiciaires de Covid par leurs assureurs si elles sont laxistes dans leur application de ce qui est largement considéré comme une science établie.

    Peut-être qu'après trois ans de batailles juridiques coûteuses avec une compagnie d'assurance, un propriétaire d'entreprise pourra peut-être enfin établir qu'il y a peu de science derrière un mandat de masque facial, mais combien de propriétaires et de gestionnaires d'entreprises veulent mener cette bataille juridique au cours des trois prochaines années. de leur vie, en particulier contre une compagnie d'assurance aux ressources apparemment illimitées?

    Poussez l'employé à faire quelque chose qui invalidera sa couverture d'assurance et vous vous mettez en désavantage à un point de contrôle de conformité.

    Les propriétaires d'entreprise ont de plus grandes batailles à mener, comme rester ouverts

    En tant que contrats avec des entreprises privées, de nombreux propriétaires d'entreprise se préoccupent simplement de garder les portes ouvertes. Agir autrement, c'est ne pas tenir compte de leurs actionnaires. À moins que les actionnaires eux-mêmes ne fassent pression sur les commandes de masques faciaux, il est peu probable que l'entreprise adopte une position ferme contre les masques faciaux obligatoires, que ce soit maman et pop ou une méga entité.

    Dans cet environnement, il est assez difficile de gagner les pieds aux pieds. Tant de gens songent simplement à préserver leur emploi et à préserver leur entreprise, que même ceux qui auraient pu être d'accord à une époque plus prospère et qui auraient fait preuve de prudence ne le feront probablement pas.

    Bien entendu, si vous avez une influence démesurée sur de telles entreprises ou des relations spéciales qui pourraient influencer la discussion, exprimez vos préoccupations. Ces préoccupations sont mieux exprimées dans des environnements calmes, ce qui n'est probablement pas à un point de contrôle, mais au téléphone ou par e-mail à l'avance, comme je l'ai expliqué dans mon dernier article sur ce sujet.

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  7. Ce que toutes les personnes occupant un point de contrôle ont en commun…

    Ce qu'ils ont tous en commun, c'est leur humanité. Si vous gardez les choses tranquilles et que vous vous comportez de manière amicale, pratiquement tout le monde vous répondra favorablement. Si vous gardez la question de votre exemption gentille et ciblée, en disant «Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité», presque tout le monde fera exception pour vous. Ils ne poseront pas de questions. Ils ne vous donneront pas de difficultés. Ils ne demanderont pas grand-chose d’autre.

    Il reste un peu d'humanité dans de nombreuses politiques relatives aux masques faciaux. L'humanité est dans les exemptions autour de quelqu'un qui déclare: «Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité.»

    Certains travaillant à un point de contrôle pourraient dire "Et alors?" ou l'équivalent, surtout si vous avez l'air en bonne santé.

    Tenez-vous-en et ajoutez une petite clause, si vous le souhaitez: "Je suis exempté de votre politique relative aux masques faciaux, car je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité." S'ils poussent plus loin, vous devriez vous sentir à l'aise en disant: «Je ne suis pas à l'aise de parler de cette affaire privée avec d'autres. Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité. »

    Si cela ne fonctionne pas, dites simplement "Puis-je parler à quelqu'un d'autre ?"

    Je recommande fortement aucune autre conversation à un point de contrôle de conformité. Presque toutes les autres conversations perdent des conversations. Si vous criez, vous le faites probablement mal. Si un spectateur vous enregistre dans l'espoir que votre explosion devienne virale, vous le faites probablement mal.

    Certains vérificateurs de conformité voudront peut-être débattre de votre condition. Certains vérificateurs de conformité voudront peut-être consulter la note de votre médecin: la réponse à cette question pourrait être "Oui, bien sûr, j'ai une note du médecin." 75% de ceux qui le demandent s'arrêteront là. S'ils pressent pour voir la note de votre médecin, vous pouvez dire que vous ne voulez pas afficher la note, car elle mentionne une condition personnelle que vous ne souhaitez pas partager avec des étrangers.

    Très rarement (peut-être 1 sur 10 000) la conversation y aboutira si vous traitez l'autre personne avec le plus de bonté possible et que vous vous en tenez à "Je ne peux pas porter un masque facial en toute sécurité."

    Si vous êtes traité injustement, vous pouvez facilement faire de la vie d’un employé un cauchemar à cette époque. Faites quelques appels téléphoniques aux superviseurs. Si cela ne fonctionne pas, faites votre chemin vers le sommet de l'entreprise. C'est extrêmement important. Appelez leurs supérieurs et faites un suivi ennuyeux, de préférence quotidiennement. C’est la façon de faire avancer les choses. Un suivi est rarement nécessaire. Très souvent, un seul appel téléphonique de trois minutes suffit.

    Si cela ne fonctionne pas, accédez aux médias ou utilisez les réseaux sociaux. Les médias et les réseaux sociaux ne sont pas des points de départ efficaces. Ne voulant pas faire le travail efficace de décrocher le téléphone, tant de gens commencent par les médias sociaux et finissent par les médias sociaux. Les médias sociaux et les médias sont des moyens faciles à ignorer, inefficaces et isolés pour être facilement mis en sourdine.

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  8. Parler à un superviseur est l'opposé de la culture d'annulation

    Ne vous sentez pas mal d’aller chez un supérieur. C'est le contraire de la culture d'annulation. C'est la méritocratie. Les adhérents de la culture d'annulation prennent votre comportement personnel, non engagé dans la commission de votre travail, et au lieu de vous éloigner de vous ou de vous engager dans une répartition intellectuelle, cherchez à vous dénoncer à une autorité supérieure en vous faisant annuler de votre travail, annulé de votre banque , ou annulé dans un autre domaine de la vie, comme une plate-forme de communication. Annuler la culture est une violation éthique et morale et nuisible aux individus libres dans une société libre.

    En revanche, le monde en profite lorsqu'un employé qui vous fait du tort dans l'exécution de son travail est signalé pour avoir fait du tort. Cela aide à améliorer sa formation, ou peut-être le fait sortir de cet emploi pour un autre emploi auquel il est mieux adapté. Cela peut aider une entreprise entière à améliorer sa politique ou peut aider à améliorer la politique pour la personne qui franchira cette porte demain sans masque facial. Il est peu probable que se plaindre des «problèmes du premier monde» vous profite autant qu'il est susceptible de faire évoluer la politique au profit des autres. C'est une chose charitable et honorable à faire, et de nombreuses entreprises reconnaissent que de tels commentaires sont difficiles à solliciter et précieux à recevoir.

    Vous avez raison de signaler un employé qui a rendu votre journée un peu pire avec une répression au masque facial. S'il vous plaît, faites une faveur au monde et envoyez ce mini-tyran à la maison avec une oreille de son patron pour réfléchir.

    Déterminez ce que vous voulez de cet échange

    Le principal problème qui pousse les gens à franchir sans succès les points de contrôle de conformité du masque facial est qu'ils n'ont pas décidé d'un résultat clair vers lequel ils travaillent.

    Si vous voulez crier après quelqu'un au sommet de vos poumons dans un lieu public à propos de John Locke, et être le sujet ridiculisé d'une vidéo Young Turks qui fait le tour sur Twitter, avec des clips que peut-être l'affilié local de Fox reprend également , alors ces suggestions ne sont probablement pas pour vous. Il y a beaucoup de stress dans le monde en ce moment. De vastes portions du globe vivent effectivement dans un état de communisme, sans qu'on l'appelle ainsi. Je comprends parfaitement la nécessité de me défouler.

    Si vous avez une norme de bien-être pour vous-même qui exclut spécifiquement l'utilisation d'un masque facial et insiste pour vous-même pour que vous puissiez vivre votre vie quotidienne sans masque facial, alors vous êtes le public de cette pièce. «Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité» est l'outil le plus simple et le plus efficace que vous puissiez avoir à votre disposition.

    De nombreuses personnes honorables ont fait un brouhaha infructueux à un point de contrôle, mais il semble que certaines d'entre elles voulaient vraiment passer la journée sans porter de masque. C'est triste. Cet article est pour eux.

    Le fait de faire un chahut et le fait de franchir avec succès un point de contrôle démasqué ne sont pas toujours mutuellement exclusifs, mais sont presque toujours mutuellement exclusifs.

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  9. Voir si vous correspondez à l'une des cases à cocher, sur un organigramme, qu'un fonctionnaire d'entreprise doit cocher, vous facilitera la tâche. Vous leur facilitez la tâche de vous montrer de la compassion. Vous faites peut-être partie des millions de personnes qui peuvent simplement dire «Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité», et vous serez laissé seul pour franchir le point de contrôle de conformité démasqué.

    Cela vous permet de réussir et cela leur permet de garder leur travail. Ce n'est peut-être pas parfait, mais cela répond au besoin principal de chaque partie à l'interaction.

    Le faites vous

    Les gens ont tiré des armes sur les masques faciaux, les gens se sont battus pour les masques faciaux, et je connais au moins un acheteur qui est décédé à cause d'un masque facial, laissant une grande absence dans le monde autour de la vie du défunt. Cela laisse également une grande absence dans la famille et la communauté du père qui a appuyé sur la détente. De nombreuses vies seront à jamais altérées par la manière horrible dont le conflit a été résolu.

    J'imagine un monde où cela peut être géré différemment. Les trous de masque exigeant que tout le monde se masque insistent sur le fait qu'un problème médical personnel soit traité par un fiat, ce qui ne se passe jamais bien.

    Le niveau de force, d'intimidation et d'ultimatum autour de ce sujet est très mauvais pour la société. L'incapacité généralisée d'utiliser des mots pour régler un différend est la preuve d'un transfert de culture. La question du masque facial est le terrain d'essai pour de plus grands domaines de conformité à venir. À moins que de bonnes personnes ne mettent fin à la pente glissante ici, le masquage, la déplatformance et l'annulation ne sont pas là où cela se termine.

    Il y a moins de 80 ans, le gouvernement américain a mis en prison en masse des Américains d'origine japonaise reconnus coupables d'aucun crime. Aujourd'hui, les politiciens et les médias traditionnels aux États-Unis plaident en faveur d'un système politique qui a tué plus de 100 millions de civils au cours du siècle dernier. Depuis Roe v. Wade, un nombre de bébés équivalant à plus de la moitié de la population noire actuelle ont été avortés par les eugénistes qui dirigent et financent des cliniques d'avortement. Un bébé noir à New York est plus susceptible d'être avorté que de sortir vivant de l'utérus. Les États-Unis sont presque constamment en guerre depuis leur création. Tout cela commence à peine à raconter l'histoire.

    Le gouvernement des États-Unis est horrible. Tant de gens avec leurs mains sur les leviers du pouvoir sont affreux. Il n'y a pas de soutien moral au sein du gouvernement. Cela ne prend pas fin avec eux. Personne à Washington n'est le deus ex machina.

    Vous vous trompez si vous ne pensez pas que cela peut empirer.

    Si vous faites partie des millions de personnes touchées par un masque, plutôt que de porter un masque nocif, le moment est venu de prendre position.

    Cela ne s'arrête pas partout jusqu'à ce qu'une masse de personnes insiste pour que cela s'arrête, mais cela peut s'arrêter dans votre propre vie lorsque vous l'arrêtez. Vous avez toujours le contrôle sur cela dans votre propre vie.

    Personnellement, je n’ai pas l’intention d’en faire ma dernière bataille, mais pour mon propre bien-être, je n’ai pas une seule fois respecté une commande de masque facial, et je n’ai pas l’intention de me conformer à une commande de masque facial.

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  10. J'espère que tu me rejoindras.

    Es-tu avec moi ?

    Envoyez-moi vos histoires depuis le point de contrôle et aidez-moi à mettre fin à cette tyrannie.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/allan-stevo/youre-still-exempt-just-say-i-am-unable-to-wear-a-face-mask-safely-nothing-more/

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  11. Le VIH existe-t-il ? Une interview explosive


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    12 août 2020


    Avant d’arriver à l’interview de Christine Johnson, un peu de contexte.

    Mon premier livre, AIDS INC., A été publié en 1988. La recherche dans laquelle je me suis engagé a ensuite jeté les bases de mon récent travail pour dénoncer la vaste fraude appelée COVID-19.

    En 1987-88, ma question principale est finalement devenue: le VIH cause-t-il le sida? Pendant des mois, j'avais supposé allègrement que la réponse évidente était oui. Cela a fait des ravages dans mon enquête, car je faisais face à des contradictions que je ne pouvais pas résoudre.

    Par exemple, dans certaines régions d'Afrique, les personnes atteintes de maladies chroniques et mourantes n'avaient manifestement besoin d'aucune poussée d'un nouveau virus. Toutes leurs conditions et symptômes de «SIDA» pourraient s'expliquer par leur environnement: approvisionnement en eau contaminé; eaux usées pompées directement dans l'eau potable; la malnutrition protéino-calorique; faim, famine; traitement médical avec des vaccins et médicaments immunosuppresseurs; pesticides toxiques; terres agricoles fertiles volées par les entreprises et les gouvernements; les guerres; pauvreté extrême. L'histoire de la couverture du virus a en fait obscurci tous ces crimes en cours.

    Finalement, à l'été 1987, j'ai trouvé plusieurs chercheurs qui rejetaient l'idée que le VIH causait le sida. Leurs rapports étaient convaincants.

    Je suis en train de raccourcir une grande partie de mon enquête de 1987-198 ici, mais une fois que le VIH a été hors de propos pour moi, de nombreux éléments se sont mis en place. J'ai découvert que, dans CHAQUE groupe supposé «à haut risque» de SIDA, leurs conditions et symptômes pouvaient être entièrement expliqués par des facteurs qui n'avaient rien à voir avec un nouveau virus.

    Le SIDA n'était pas une condition. C'était une étiquette générique, utilisée pour réemballer un certain nombre de conditions immunosuppressives et créer l'illusion d'une nouvelle et unique «pandémie».

    Plusieurs années après la publication de AIDS INC., J'ai pris conscience d'un débat émergent tout à fait différent sous la surface de la recherche: LE VIH EXISTE-T-IL ?

    Le prétendu virus a-t-il été vraiment découvert ?

    Et cette question a conduit à: quelle est la procédure correcte pour découvrir un nouveau virus ?

    L'interview de 1997 suivante, menée par la brillante journaliste indépendante Christine Johnson, approfondit ces questions:

    Comment les chercheurs devraient-ils prouver qu'un virus particulier existe ? Comment devraient-ils l'isoler ? Quelles sont les étapes correctes ?

    Ces questions, et leurs réponses, sont au cœur de la plupart des recherches sur les maladies - et pourtant, dans une très grande majorité, les médecins ne les explorent jamais ni ne les examinent même.

    Johnson interviewe le Dr Eleni Papadopulos, «biophysicien et chef d'un groupe de scientifiques sur le VIH / sida de Perth en Australie occidentale. Au cours de la dernière décennie et plus, elle et ses collègues ont publié de nombreux articles scientifiques remettant en question l'hypothèse du VIH / SIDA… »

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  12. Ici, je publie et met en évidence des extraits de l'interview. Les problèmes techniques sont discutés. Les saisir n’est pas l’exercice le plus facile que vous ayez jamais fait, mais je crois que le lecteur sérieux peut comprendre les éléments essentiels.

    CJ: Le VIH cause-t-il le SIDA ?

    EP: Il n'y a aucune preuve que le VIH cause le SIDA.

    CJ: Pourquoi pas ?

    EP: Pour de nombreuses raisons, mais surtout, parce qu'il n'y a aucune preuve que le VIH existe.

    … CJ: Est-ce que Luc Montagnier et Robert Gallo [prétendument les co-découvreurs du VIH] n’ont pas isolé le VIH au début des années quatre-vingt ?

    EP: Non. Dans les articles publiés dans Science par ces deux groupes de recherche, il n'y a aucune preuve de l'isolement d'un rétrovirus chez des patients atteints du SIDA. [On dit que le VIH est un rétrovirus.]

    CJ: Ils disent avoir isolé un virus.

    EP: Notre interprétation des données diffère. Pour prouver l'existence d'un virus, vous devez faire trois choses. Tout d'abord, cultivez des cellules et trouvez une particule que vous pensez être un virus. De toute évidence, à tout le moins, cette particule devrait ressembler à un virus. Deuxièmement, vous devez concevoir une méthode pour obtenir cette particule seule afin de pouvoir la démonter et analyser précisément ce qui la compose. Ensuite, vous devez prouver que la particule peut faire des copies fidèles d'elle-même. En d'autres termes, qu'il peut se reproduire.

    CJ: Ne pouvez-vous pas simplement regarder au microscope et dire qu’il y a un virus dans les cultures ?

    EP: Non, vous ne pouvez pas. Toutes les particules qui ressemblent à des virus ne sont pas des virus.

    … CJ: Je crois comprendre que la centrifugation à grande vitesse est utilisée pour produire des échantillons constitués exclusivement d'objets ayant la même densité, un soi-disant «échantillon purifié par densité». La microscopie électronique est utilisée pour voir si ces échantillons purifiés par densité sont constitués d'objets qui ont tous la même apparence - auquel cas l'échantillon est un isolat - et si cette apparence correspond à celle d'un rétrovirus, en termes de taille, de forme, etc. en avant. Si tout cela est vrai, alors vous êtes en trois étapes dans la procédure d'obtention d'un isolat rétroviral. (1) Vous avez un isolat, et l'isolat se compose d'objets ayant la même (2) densité et (3) l'apparence d'un rétrovirus. Ensuite, vous devez examiner cet isolat plus avant, pour voir si les objets qu'il contient contiennent de la transcriptase inverse [une enzyme] et se répliqueront lorsqu'ils seront placés dans de nouvelles cultures. Ce n'est qu'alors que vous pouvez légitimement déclarer que vous avez obtenu un isolat rétroviral.

    EP: Exactement. Il a été découvert que les particules rétrovirales ont une propriété physique qui leur permet d'être séparées des autres matières dans les cultures cellulaires. Cette propriété est leur flottabilité, ou densité, et cela a été utilisé pour purifier les particules par un processus appelé centrifugation à gradient de densité.

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  13. La technologie est compliquée, mais le concept est extrêmement simple. Vous préparez un tube à essai contenant une solution de saccharose, du sucre de table ordinaire, conçu pour que la solution soit légère en haut mais devienne progressivement plus lourde, ou plus dense, vers le bas. Pendant ce temps, vous cultivez toutes les cellules que vous pensez contenir votre rétrovirus. Si vous avez raison, des particules rétrovirales seront libérées des cellules et passeront dans les fluides de culture. Lorsque vous pensez que tout est prêt, vous décantez un échantillon de liquide de culture et déposez doucement une goutte sur la solution de sucre. Ensuite, vous faites tourner le tube à essai à des vitesses extrêmement élevées. Cela génère d'énormes forces et les particules présentes dans cette goutte de fluide sont forcées à travers la solution de sucre jusqu'à ce qu'elles atteignent un point où leur flottabilité les empêche de pénétrer davantage. En d'autres termes, ils dérivent le long du gradient de densité jusqu'à ce qu'ils atteignent un endroit où leur propre densité est la même que cette région de la solution de sucre. Quand ils y arrivent, ils s'arrêtent tous ensemble. Pour utiliser le jargon virologique, c’est là qu’ils se regroupent. Les rétrovirus s'annoncent en un point caractéristique. Dans les solutions de saccharose, ils se forment à un point où la densité est de 1,16 g / ml.

    Cette bande peut ensuite être extraite de manière sélective et photographiée au microscope électronique. L'image s'appelle une micrographie électronique ou EM. Le microscope électronique permet de voir des particules de la taille de rétrovirus et de se caractériser par leur aspect.

    CJ: Alors, un examen au microscope électronique vous dit quel poisson vous avez attrapé ?

    EP: Pas seulement ça. C’est le seul moyen de savoir si vous avez attrapé un poisson. Ou quoi que ce soit du tout.

    CJ: Montagnier et Gallo ont-ils fait ça ?

    EP: C'est l'un des nombreux problèmes. Montagnier et Gallo ont utilisé des bandes de gradient de densité, mais pour une raison inconnue, ils n'ont pas publié d'Ems [photos] du matériau à 1,16 g / ml… c'est assez déroutant car en 1973 l'Institut Pasteur a accueilli une réunion à laquelle ont participé des scientifiques, certains parmi lesquels figurent désormais parmi les principaux experts du VIH. Lors de cette réunion, la méthode d'isolement rétroviral a fait l'objet de discussions approfondies et la photographie de la bande 1,16 du gradient de densité a été considérée comme absolument essentielle.

    CJ: Mais Montagnier et Gallo ont publié des photographies de particules virales.

    EP: Non. Montagnier et Gallo ont publié des micrographies électroniques de fluides de culture qui n'avaient pas été centrifugés, ni même séparés des cellules de culture, d'ailleurs. Ces EM contenaient, en plus de beaucoup d'autres choses, y compris les cellules de culture et d'autres choses qui ne sont clairement pas des rétrovirus, quelques particules qui, selon Montagnier et Gallo, sont des rétrovirus, et qui appartiennent toutes à la même espèce rétrovirale, maintenant appelée VIH. Mais les photographies de particules non purifiées ne prouvent pas que ces particules sont des virus. L'existence du VIH n'a pas été établie par Montagnier et Gallo - ni par quiconque depuis - en utilisant la méthode présentée à la réunion de 1973.

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  14. CJ: Et quelle était cette méthode ?

    EP: Toutes les étapes que je viens de vous raconter. La seule méthode scientifique qui existe. Cultivez des cellules, trouvez une particule, isolez la particule, démontez-la, découvrez ce qu'il y a à l'intérieur, puis prouvez que ces particules sont capables de produire plus de la même chose avec les mêmes constituants lorsqu'elles sont ajoutées à une culture de cellules non infectées.

    CJ: Donc, avant l'arrivée du sida, il y avait une méthode éprouvée pour prouver l'existence d'un rétrovirus, mais Montagnier et Gallo n'ont pas suivi cette méthode ?

    EP: Ils ont utilisé certaines des techniques, mais ils n'ont pas entrepris toutes les étapes, y compris prouver quelles particules, le cas échéant, sont dans la bande de 1,16 g / ml du gradient de densité, la densité qui définit les particules rétrovirales.

    CJ: Mais qu'en est-il de leurs photos ?

    EP: Les micrographies électroniques de Montagnier et Gallo… sont des cultures de cellules entières ou des fluides non purifiés de cultures… »

    —Fin de l'extrait d'entretien—

    Si vous saisissez l'essentiel de cette discussion, vous verrez qu'il y a toutes les raisons de douter de l'existence du VIH, parce que les méthodes pour prouver son existence n'ont pas été suivies.

    Et donc… comme je l’ai rapporté ces derniers mois, il y a toutes les raisons de douter et de rejeter l’existence du virus COVID, puisque des études correctes au microscope électronique à grande échelle n’ont jamais été effectuées.

    J'ai gardé à l'esprit l'interview de Christine Johnson et d'autres informations similaires lorsque, par exemple, j'ai exploré les épidémies ratées appelées SRAS et grippe porcine 2009.

    Combien de virus ont été cités comme causes de maladies, alors qu'en fait, ces virus n'ont jamais été isolés ou prouvés leur existence?

    Bien sûr, les chercheurs et les médecins conventionnels se moqueront de toute tentative de soulever ces questions. Pour eux, «la science est réglée». Signification: ils ne veulent pas penser. Ils ne veulent pas remuer les eaux.

    Il y a quelques années, le chimiste David Rasnick a envoyé une demande au CDC, demandant des preuves démontrant que le virus Ebola avait déjà été isolé d'un humain. Les réponses qu'il a reçues n'ont pas commencé à approcher un niveau de certitude.

    Après 30 ans de travail en tant que journaliste dans le domaine de la fraude en matière de recherche médicale profonde, j'ai vu que la fausse science se produit par niveaux.

    Plus vous allez profondément, plus cela devient étranger. Pour le dire autrement: plus vous allez en profondeur, plus ça empire.

    SOURCES:

    immunity.org.uk/articles/christine-johnson/

    virusmyth.com/aids/hiv/cjinterviewep.htm

    blog.nomorefakenews.com/2020/08/10/covid-is-the-virus-real/

    blog.nomorefakenews.com/2014/11/03/bombshell-scientist-finds-no-reliable-evidence-ebola-virus-ever-isolated-from-a-human-being/

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/jon-rappoport/does-hiv-exist-an-explosive-interview/

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  15. Interview de Ben Swann - Des décennies de science des masques sont arrivées à une conclusion, alors pourquoi ne pouvons-nous pas parler de moi ...

    August 12, 2020

    - voir clip sur site :

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/ben-swann-interview-decades-of-mask-science-came-to-one-conclusion-so-why-cant-we-talk-about-i/

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  16. COVID-19 : LE (FAUX) MASQUE BIENTÔT PARTOUT, TOUT LE TEMPS ?


    par PAOLO GAROSCIO
    12/08/2020


    L'amende pour non respect du port du masque est de 135 euros.

    20 millions de cas confirmés dans le monde, plus de 730.000 décès, et une pandémie qui regagne en puissance un peu partout. Bien que certains tentent de dire qu’il n’y a plus de risques et que les mesures du gouvernement sont inutiles, ils oublient qu’il s’agit de mesures de prévention là où le confinement a été une mesure palliative. Mais comme les Français ne jouent pas le jeu, le gouvernement a décidé de serrer la vis.

    Encore plus de masques dans la rue

    Le Conseil de Défense consacré à la crise de la Covid-19 qui s’est tenu le 11 août 2020 à l’Elysée aura fait ressortir les inquiétudes du gouvernement face à une recrudescence de nouvelles contaminations en France, de nouvelles hospitalisations et de nouvelles entrées en réanimation : on compte environ 2.000 nouveaux cas de Covid-19 chaque jour sur le territoire et 900 hospitalisations par semaine, dont une centaine en réanimation.

    C’est pour cela que le Premier ministre Jean Castex a annoncé qu’il allait fortement inciter les Préfets et les municipalités à étendre le port du masque dans la rue, une mesure déjà décrétée dans de nombreuses villes en France, dont Paris, Nancy ou Marseille. Le gouvernement espère que les 20 plus grandes villes de France adopteront rapidement des mesures de ce type… et que d’autres plus petites suivront le mouvement.

    Pas question pour autant de l’imposer partout, tout le temps, et par décret ministériel. Du moins, pour l’instant : si la situation continue d’évoluer de manière négative, notamment à la Rentrée avec le retour des élèves en classe et des employés dans les magasins et bureaux, ce ne serait pas étonnant qu’une telle décision soit prise.

    Pas de grands événements avant… octobre 2020

    Autre décision, qui va faire grincer des dents le secteur de la culture et de l’événementiel qui espéraient relancer leurs activités à l’automne : l’interdiction des rassemblements de plus de 5.000 personnes est prolongée jusqu’au 30 octobre 2020.

    Si Jean Castex a précisé que des exceptions pourront être accordées si les règles sanitaires sont respectées, cette décision risque de mettre un frein aux foires et aux salons prévus à cette période.

    Des contrôles, des contrôles et des amendes
    Enfin, et pour le coup ce sont les Français réticents au port du masque qui sont visés, le Premier ministre a annoncé un renforcement des contrôles des autorités sur le respect des obligations, notamment dans les lieux clos accueillant du public.

    Le non-respect du port du masque est passible d’une amende de 135 euros… ce qui risque de rendre très chère la séance de cinéma ou la balade dans la rue commerçante de la ville.

    http://www.economiematin.fr/news-masque-obligation-coronavirus-amende-castex-decision-pandemie-france

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    Réponses
    1. Cette FAUSSE épidémie (mini-grippette) montée en épingles pour tuer le plus de gens, a fait mentir tous les directeurs de cliniques et d'hôpitaux quant aux nombre de décès dus au corona afin de recevoir des subventions.

      Puis, s'est ajouté le problème des masques qui ne sont PAS antivirus et qui donc laisse passer (avec ou sans masque) 200 000 virus sont respirés par minute et 2 millions lors d'activité physique.

      Puis, à cette mascarade, s'est ajoutée l'obligation !!!! de ne PAS se protéger !!! (because que le fabricant chinois n'en fabrique - des N95 ou FFP2 - que pour ses amis), et qu'il faut le plus de morts possible !

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  17. Mars 2020 : la date où l'industrie pharmaceutique aura définitivement supplanté la médecine


    Jean-Dominique Michel
    France-Soir
    mar., 11 août 2020 05:48 UTC


    Les mois écoulés auront vu le monde vaciller devant une épidémie respiratoire virale d'un ordre de grandeur pourtant habituel, avec des réactions sanitaires, sécuritaires et politiques sans précédent. Si, étant donné les incertitudes qui existaient quant à la gravité de la Covid-19, ces réactions ont pu sembler justifiées dans un premier temps, il a vite été évident que ce n'était pas le cas.

    Les autorités (OMS et gouvernements occidentaux en particulier) ont sur-réagi d'une manière terriblement destructrice à long terme pour nos sociétés.

    Les données sont pourtant apparues très tôt : dès le début du mois d'avril, l'équipe du Pr Ioannidis de l'Université de Stanford montrait que la contagiosité et la létalité (nombre de décès en rapport du nombre de personnes infectées) réelles de la Covid était du même ordre que ce que l'on connaît année après année avec la grippe. Que la plupart des personnes infectées ne s'en rendaient même pas compte tant le virus est habituellement bénin ! Que les victimes enfin avaient une moyenne d'âge alignée sur l'espérance de vie, pays par pays. Et que donc il n'y aurait tout simplement pas de surmortalité particulière en 2020 dans nos sociétés[i].

    On a pourtant imposé un confinement autoritaire, violant évidemment de nombreux droits fondamentaux, au motif que c'était absolument nécessaire pour limiter les dégâts. Décision purement et simplement erronée : les pays ayant connu les plus forts taux de mortalité sont ceux qui ont confiné le plus strictement. Une étude anglaise vient de montrer que les 2/3 de la surmortalité pendant la période en question avaient en fait eu d'autres causes que la Covid, en particulier le manque de soins pour les personnes souffrant de maladie grave[ii]. Soit des décès qui ont été majoritairement la conséquence des mauvaises réponses sanitaires.

    Des pays ayant peu ou pas confiné (comme la Hollande, la Suède ou la Suisse) ne se sont pas moins bien tirées d'affaire que la France, l'Italie et l'Espagne -bien au contraire. Les conséquences à long-terme de la panique et de la dérive autoritaire qui se sont emparées de nos gouvernements s'annoncent en revanche terrifiantes : le PIB a chuté de près de 14% en France au 2nd trimestre 2020[iii], les faillites de commerces, d'indépendants et de PME sont à prévoir par centaines de milliers. Alors que le nombre de décès attendus en Grande-Bretagne comme conséquence du confinement est évalué à plus de 200'000 (manque de soins, précarisation et suicides principalement), soit bien plus que ce qu'il aurait hypothétiquement permis de sauver[iv].

    Seuls prospèrent de manière presque obscène en ces temps tragiques les GAFAM et les sociétés pharmaceutiques !

    A l'origine de ce désastre, on trouve un phénomène qui, s'il devient à peu près apparent pour tout le monde, requiert tout de même quelques clés de lecture. Même s'il s'agit d'une « vérité embarrassante », cela fait longtemps que le constat a été posé du pouvoir démesuré de l'industrie pharmaceutique, qui détermine depuis deux décennies au moins les politiques sanitaires des états. Les études qui en attestent et les prises de position visant à alerter les populations sont si nombreuses que l'on a l'embarras du choix[v]. Le centre d'éthique de l'Université de Harvard le résume fort simplement sous le concept de « corruption systémique » :

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  18. L'industrie pharmaceutique a corrompu la pratique de la médecine par son influence sur le développement des médicaments, la manière dont ils sont testés et la création de connaissances médicales (...) L'industrie a exigé des délais d'examen moyens plus courts et, avec moins de temps pour examiner minutieusement les preuves, il en est résulté une augmentation des hospitalisations et des décès. La satisfaction des besoins des entreprises pharmaceutiques a pris le pas sur la satisfaction des besoins des patients. Si cette corruption des intentions réglementaires n'est pas inversée, la situation continuera à se détériorer.[vi]

    Ces industries (et donc les autorités qu'elles ont sous leur influence) n'ont depuis longtemps plus la santé de la population comme priorité mais les perspectives de profit qu'elles peuvent tirer de ses problèmes de santé.

    Je pense que toute personne un peu capable de penser aura été choquée de la déposition d'Agnès Buzyn, ancienne ministre de la santé, devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale. Interrogée sur l'inscription soudaine au mois de janvier de l'hydroxychloroquine au tableau des substances vénéneuses, elle pataugea à travers différents trous de mémoire pour finalement énoncer que la raison en était que « les Français consomment en général trop de médicaments ». Et donc que, suite à la réception d'une note de ses services, elle avait décidé de ce changement pour un des remèdes les plus sûrs de toute la pharmacopée !

    Elle aurait pourtant eu l'embarras du choix, puisque des milliers d'autres médicaments avec des profils de risque plus élevés auraient pu être re-classés pour la même cause. Par le plus grand des hasards sans doute, son choix est justement tombé ce jour-là sur un produit qui avait déjà fait ses preuves in vitro contre le premier Sars en 2005[vii], et que même le CEO de Novartis considérera à la fin du mois de mars comme le médicament le plus prometteur face à la Covid !

    On apprit ensuite que ce changement avait en fait été effectué... à la requête expresse du laboratoire pharmaceutique Sanofi :

    « Le classement de l'hydroxychloroquine parmi les «substances vénéneuses» est l'aboutissement d'une démarche lancée il y a plusieurs mois par Sanofi, l'entreprise fabriquant le Plaquenil, seul médicament contenant de l'hydroxychloroquine disponible en France.[viii] »

    Comprenons-nous bien : l'état de corruption systémique rappelé plus haut est tel qu'une compagnie pharmaceutique peut en effet, sans raison médicale ou pharmacologique valable, obtenir qu'une ministre change le classement d'un médicament au moment même où il peut s'avérer salvateur !

    La suite nous la connaissons : alors que les premiers essais cliniques à travers le monde commençaient à suggérer fortement l'efficacité de l'hydroxychloroquine (en combinaison avec l'azithromycine) en début d'infection, la plupart des gouvernements occidentaux dont la France interdirent sa prescription aux médecins libéraux. Les privant de manière scandaleuse de la possibilité de soigner leurs patients et donc aux malades de la Covid de celle de se faire soigner, au motif que l'efficacité du remède n'était pas absolument « prouvée ».

    Cette excuse-bidon fit mouche, et en vint même à empoisonner le débat public alors que la question n'est absolument pas là : les médecins disposent de la prérogative et du droit inaliénable de prescrire en leur âme et conscience le traitement qu'ils estiment convenir à leurs patients. Depuis la loi Kouchner, toute décision est prise conjointement par un médecin et son patient, le premier devant expliquer au second les options possibles, avec leurs risques et bénéfices respectifs, avant que le patient donne son « consentement libre et éclairé » à l'option retenue.

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  19. Nulle part n'est-il prévu que l'état soit partie prenante de ce choix du traitement ! Les prescriptions « hors autorisation de mise sur le marché (AMM), soit hors des indications reconnues pour un médicament en particulier, sont monnaie courante et c'est à chaque médecin de prendre ses responsabilités en la matière.

    Nous eûmes droit dans la foulée à trois campagnes médiatiques insensées (que j'ai annoncées à mes lecteurs avant même qu'elles n'arrivent tant elles sont logiques dans une perspective de criminologie sanitaire) : la première vague, reprise par l'ensemble des médias installés, faisant croire à une dangerosité soudaine de l'HQ, alors que ce remède a en sa faveur 65 ans de pharmacovigilance attestant de son extrême sécurité.

    Une fois cette intox ventilée, on eut droit à une volée d'études-bidon, falsifiées, parues pourtant dans les plus prestigieuses revues médicales et faisant croire à l'inefficacité de l'hydroxychloroquine avec une diversité de procédés crapuleux : données fictives ou invérifiables, prescription tardive alors que le remède n'a plus d'efficacité à ce stade et même (dans le cas de Recovery) doses toxiques données au stade terminal de la maladie, ce qui relève d'une pratique criminelle.

    L'OMS et maints gouvernements ayant sauté sur l'occasion pour entériner la prohibition définitive de l'HQ, il resta un travail de diffamation à faire pour passer sous silence les nombreux essais cliniques positifs : une compilation de 65 études (dont 39 « revues par les pairs- peer-reviewed) » conclut pour 75% d'entre elles à une efficacité de l'HQ, dont 100% des études portant sur la prescription précoce comme préconisé à l'IHU de Marseille[ix] !

    Dernier clou au cercueil, on vit même mise en œuvre la censure pure et simple des médecins qui osaient attester de leur expérience clinique positive. Censure conduite en France par l'Ordre des médecins, poursuivant des praticiens qui avaient osé témoigner que des patients avaient eu le toupet de guérir[x], et internationalement par les Facebook, Twitter et autres Youtube, se portant gardiens du temple du « scientifiquement correct » dans ce qui s'apparente bien à une hallucinante prise de pouvoir sans garde-fous.

    Commentant dès le mois de mai la censure d'articles scientifiques contestant les positions de l'OMS sur les réseaux sociaux comme dans certaines revues médicales, un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Peter Gotzsche, avait écrit ceci :

    « Quand un article honnête et informé sur un problème majeur de santé se trouve censuré au simple motif qu'il serait « contraire aux recommandations autorisées », nous n'avons pas seulement contracté un virus chinois. Nous avons aussi attrapé une censure de style chinois. Est-ce ce que nous voulons ? [xi]»

    Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Et alors que l'épidémie n'existe plus (au sens que l'on donne à ce terme en épidémiologie) depuis le mois de mai, que le nombre d'hospitalisations et de décès dus la Covid n'a cessé de baisser, que le virus a perdu (comme il est naturel au bout de quelques mois) l'essentiel de sa virulence, qu'il apparaît que la majorité de la population est déjà naturellement immunisée[xii] et que des pays comme la Suède (qui n'a jamais confiné ni exigé le port du masque) arrivent eux aussi à une mortalité zéro, les autorités et les médias français continuent leur propagande anxiogène insensée.

    Le port du masque est infligé jusqu'en plein air alors qu'au plus fort de l'épidémie, on nous assénait, menaces de sanctions à l'appui, qu'il ne servait à rien ! Rappelons au passage que la Hollande et les pays scandinaves viennent quant à eux de refuser de l'imposer étant donné l'absence de données scientifiques probantes en faveur de cette mesure.

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  20. -- Commentaire : Lire :
    « Pas de preuve de son efficacité » : le gouvernement néerlandais n'impose pas le port du masque --

    On apprend dans le même temps (tiens, tiens) que l'Union européenne vient de pré-commander 300 millions de doses d'un vaccin anti-Covid à l'efficacité hautement spéculative. Un vaccin à ARN messager (produisant une modification du génôme des vaccinés), une nouvelle technologie que l'on n'a encore jamais essayée sur l'être humain et qui présente des risques potentiels élevés. Avec l'autorisation de contenir des OGMs[xiii] dans le cadre d'une procédure de mise sur le marché accélérée allégeant plusieurs étapes de sécurité[xiv]... assortie d'ores et déjà de dispositions d'exception garantissant l'impunité aux fabriquants en cas d'effets secondaires dommageables[xv] !

    Il ne reste plus pour bien comprendre qu'à lire le nom de l'heureux élu à qui cette pré-commande a été adressée. Sans surprise, il s'agit évidemment de Sanofi, ce même laboratoire qui a obtenu d'Agnès Buzyn que l'hydroxychloroquine soit inscrite au tableau des substances vénéneuses au mois de janvier. Débouchant sur l'interdiction du seul remède à l'efficacité démontrée contre la Covid, peu importe le nombre de décès qui auraient été évitables.

    Dans un rapport datant de 2005, mais toujours ô combien d'actualité hélas, la Chambre des Communes du Parlement britannique indiquait :
    « L'industrie pharmaceutique trahit systématiquement ses responsabilités à l'égard de la population et des institutions. Les grandes firmes se sont de plus en plus focalisées sur le marketing, bien plus que sur la recherche, et elles exercent une influence omniprésente et persistante, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques. (...) (..) Elle est maintenant hors de tout contrôle. Ses tentacules s'infiltrent à tous les niveaux. Il faut lui imposer de profonds changements.[xvi] »

    L'ancien rédacteur en chef du British Medical Journal, commentait quant à lui ainsi en 2013 un livre de Peter Gotzsche comparant l'industrie pharmaceutique à la mafia :
    « Certaines personnes, peut-être beaucoup, pourront être rebutées par l'insistance de Peter à comparer l'industrie pharmaceutique à la mafia, mais ceux qui se détournent du livre manqueront une occasion de comprendre quelque chose d'important sur le monde.

    Il est en effet effrayant de voir combien de similitudes il y a entre cette industrie et la mafia. La mafia gagne des sommes d'argent obscènes, tout comme cette industrie. Les effets secondaires du crime organisé sont des meurtres et des morts, et les effets secondaires sont les mêmes dans cette industrie. La mafia corrompt les politiciens et autres, tout comme l'industrie pharmaceutique...[xvii] »

    Que l'audition d'Agnès Buzyn n'ait entraîné ni la chute du gouvernement ni l'arrêt immédiat de cette manipulation à large échelle ne nous rassure vraiment pas quant à la déliquescence de nos « démocraties » et leur dérive évidente vers une dictature sanitaire à profit capitalistique.

    Médecins et patients se seront retrouvés pieds et poings liés, trahis par leurs gouvernements, dans ce sombre moment qui restera dans l'histoire comme celui où l'industrie pharmaceutique et la corruption systémique qu'elle déploie auront définitivement supplanté la médecine.

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  21. Note:

    [i] Ioannidis J.P.A., Axfors C. & Contopoulos-Ioannidis D.G., Population-level COVID-19 mortality risk for non-elderly individuals overall and for non-elderly individuals without underlying diseases in pandemic epicenters, Environmental Research Volume 188, September 2020, 109890

    [ii] Griffin S., Covid-19: "Staggering number" of extra deaths in community is not explained by covid-19, BMJ 2020 ; 369:m 1931

    [iii] Au deuxième trimestre 2020, le PIB se contracte de 13,8 %, INSEE, 31 juillet 2020

    [iv] Knapton S., Lockdown may cost 200,000 lives, government report shows, The Telegrapg, 19 juillet 2020

    [v] Elles sont décrites en détails dans mon livre "Covid : anatomie d'une crise sanitaire » aux édiions humenSciences, juin 2020.

    [vi] Institutional Corruption of Pharmaceuticals and the Myth of Safe and Effective Drugs, Journal of Law, Medicine and Ethics, 2013, Vol. 14, No. 3: 590-610

    [vii] Vincent MJ, Nichol ST et al., Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread, Virol J. 2005 Aug 22;2:69.

    [viii] Leboucq F., Covid-19 : la délivrance d'ydroxychloroquine est-elle de nouveau autorisée ?, Libération / CheckNews.fr, 23 juillet 2020

    [ix] Global HC Q studies. PrEP, PEP, and early treatment studies show high effectiveness, while late treatment shows mixed results, https://c19study.com/

    [x] Dr Erbstein J.-J., Je ne pouvais pas les laisser mourir ! : Le cri d'un généraliste en guerre, JDH éditions, juin 2020

    [xi] Gotzsche P., Coronavirus-pandemien: kan vi gøre det bedre, 1er mai 2020

    [xii] Philippe-Viela O., La moitié de la population posséderait une immunité au Covid-19 pré-existante, L'Express, 30 juilet 2020

    [xiii] Coronavirus - Dérogation pour les essais cliniques COVID-19 avec des médicaments contenants des organismes génétiquement modifiés ou consistants en de tels organismes, agence fédérale des médicaments et des produits de santé (Belgique), 30 juillet 2020

    [xiv] Stratégie de l'Union européenne concernant les vaccins contre la COVID-19, Commission européenne, 17 juin 2020

    [xv] Burger L. & Aripaka P., AstraZeneca to be exempt from coronavirus vaccine liability claims in most countries, Reuters 30 juillet 2020

    [xvi] The Influence of the Pharmaceutical Industry, House of Commons Health Committee, Vol. 1, 22 March 2005

    [xvii] Richard Smith: Is the pharmaceutical industry like the mafia, the BMJ opinion, 10 septembre 2013

    https://fr.sott.net/article/35979-Mars-2020-la-date-ou-l-industrie-pharmaceutique-aura-definitivement-supplante-la-medecine

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