- ENTREE de SECOURS -



samedi 29 août 2020

Vaccination anti-Covid : « Humain 2.0 » et Transhumanisme - Dr. Carrie Madej



Traduction de la vidéo Guy Fawkes

“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”

Coronavirus : derrière l’insouciance apparente, une épidémie de dépression chez ados et jeunes adultes

Le Dr Palevsky évoque les nanoparticules d’aluminium vaccinal qui restent dans le cerveau pendant des décennies

Pr. Luc Montagnier : « On est dans un monde de fous, un monde de fous ! »

12:00 La Dr Madej parle de la nanotechnologie comprise dans l'Hydrogel. Il s'agit là de 'poussières intelligentes' (comme celles qui sont chemtraillées) et qui sont absorbées par toutes les plantes, les animaux ainsi que par les humains qui en respirent, en boivent et en mangent. Le but est de les diriger sur des longueurs d'ondes appropriées et de leur faire transmettre des messages. Ainsi, vous devenez obéissant à tout (comme par le calme grâce au fluor) et serez dirigé à accomplir des tâches contraires à votre propre idéologie, votre volonté sera compromise et pourrez devenir des personnes violentes, capables de meurtres et d'éliminer toute votre famillle !
Même si vous refusez le vaccin-exterminateur, vous courrez le danger d'être victime d'une personne qui a accepté d'être vaccinée ! (sans que vous le sachiez !).

30 commentaires:

  1. Documentaire à ne pas manquer : « Pl@ndemic II : Indoctornation »


    Sott.net
    sam., 29 août 2020 09:35 UTC


    Ce documentaire fait suite à l'interview du Dr Judy Mikovits dans le court métrage qui a fait parler d'elle en mai dernier. Voir nos articles :

    Interview avec le Dr Judy Mikovits, grande spécialiste en re´trovirus (en VO sous-titrée)
    Vaccins, rétrovirus, ADN et la découverte qui a détruit la carrière de Judy Mikovits
    La bande-annonce du film « Plandemic » déjà censurée par YouTube

    plandemic documentary Regardez et partagez ce film en ligne tant que vous le pouvez, mais prenez garde au fait qu'il sera presque certainement mis sur une liste noire et censuré pour devenir « inexistant ». Dans les heures qui ont suivi le lancement du film, le site web des créateurs avait déjà été désactivé. Depuis, il est à nouveau visible en ligne. Comme l'explique le film lui-même, Internet leur appartient désormais presque entièrement pour qu'ils puissent le contrôler et le manipuler.

    Téléchargez la vidéo ICI et organisez des visionnages avec vos amis et votre famille pour la diffuser par contact direct, ce qui permet de maintenir une distance numérique par un visionnage en ligne et de limiter les moyens dont disposent les agents de la « Bête » pour interférer avec le message.

    La vidéo ci-dessous contient les sous-titres en français.

    - voir sur site -
    (soustitré en français) 1 h 15 mn.

    Message sur le film du producteur de Pl@ndemic, Mikki Willis :
    Après 3 très longs mois, Pl@ndemic II : Indoctornation, est là.

    Ce qui a commencé comme une suite à Pl@ndemic I a radicalement évolué au fil du temps. Le monde étant de plus en plus divisé sur des sujets brûlants tels que les masques faciaux, la distanciation sociale, le nombre de cas, l'hydroxychloroquine, etc., nous avons décidé d'exclure toute mention de ces sujets et de nous concentrer plutôt en suivant l'argent.

    Avec l'aide du Dr David Martin, expert en criminalité financière, Pl@ndemic II expose l'inquiétante réalité des conflits d'intérêts, du jeu des brevets et de la corruption mortelle qui envahit nos organisations de santé mondiales.
    Guidé par le travail méticuleux du Dr David E. Martin, Plandemic II : Indoctornation, suit une piste financière de trois décennies qui mène directement aux principaux acteurs de la pandémie de Covid 19. David Martin est le créateur du premier indice quantitatif d'actions publiques au monde — le CNBC IQ100. Il a été président de l'innovation économique pour l'Organisation intergouvernementale pour les énergies renouvelables, affiliée aux Nations unies, et a été conseiller auprès de nombreuses banques centrales, de forums économiques mondiaux, de la Banque mondiale et de la Société financière internationale, ainsi que de gouvernements nationaux. Dr. Martin a été le pionnier des programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries minières multinationales et a contribué à traduire en justice les plus grands criminels en col blanc du monde.

    Source : plandemicseries

    https://fr.sott.net/article/36024-Documentaire-a-ne-pas-manquer-Pl-ndemic-II-Indoctornation

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  2. États-Unis : le matraquage pour la vaccination obligatoire commence...


    L.I.E.S.I.
    jeu., 27 août 2020 17:27 UTC


    Le principal responsable de la santé de Virginie a déclaré qu'il rendrait la vaccination COVID-19 obligatoire dans l'Etat dès que les vaccins contre les coronavirus seront disponibles. En effet, le Dr Norman Oliver a dit à WFXR-TV qu'il prévoyait imposer un mandat de vaccination contre les coronavirus pour tout le monde dans son Etat.

    Depopulation

    Dépopulation via la vaccination forcée : la solution pour Zéro émission de carbone.
    A t-il reçu des avantages de quelque sorte de la part du réseau de B. Gates ?

    Selon le WRIC-TV, la loi de l'État de Virginie donne bien au commissaire à la santé le pouvoir d'ordonner des vaccinations en cas de crise de santé publique si un vaccin est disponible.

    Et si l'on refuse de subir cette vaccination dangereuse ?

    Oliver a déclaré qu'il ne sait pas quelle devrait être la sanction pour les Virginiens refusant de se faire vacciner contre le COVID-19. « Je pense que l'écrasante majorité des gens réagira bien ».

    Un sondage Yahoo News/YouGov réalisé entre le 28 et le 30 juillet a révélé que seulement 42 % des Américains ont déclaré qu'ils se feraient vaccinés « si et quand un vaccin contre le coronavirus sera disponible ».

    Selon la loi actuelle en Virginie, seules les personnes bénéficiant d'une exemption médicale peuvent refuser le mandat de vaccination.

    L'Assemblée générale de Virginie étudie un projet de loi qui permettrait d'exempter du mandat de vaccination les personnes « qui s'opposent à une telle administration pour des raisons religieuses ». Le projet de loi HB 5016, qui a été présenté par Mark L. Cole (R-Spotsylvanie), devrait être approuvé par une commission de la Chambre des représentants avant que celle-ci ne puisse se prononcer.

    Est-ce que l'État fédéral peut exiger la vaccination contrainte ?

    Pour Dov Fox, professeur de droit et directeur du Centre pour la politique du droit de la santé et la bioéthique de l'Université de San Diego : « Les tribunaux ont constaté que lorsque la nécessité médicale l'exige, la santé publique l'emporte sur les droits et libertés individuels en jeu ».

    Une affaire portée devant la Cour suprême il y a 115 ans suggère que les gouvernements locaux ont le pouvoir de faire respecter les vaccinations obligatoires en infligeant des sanctions aux citoyens qui refusent les inoculations. L'affaire Jacobson contre Massachusetts est une affaire de la Cour suprême américaine de 1905 qui portait sur les vaccinations obligatoires. La Cour suprême a confirmé le pouvoir au Cambridge Board of Health d'exiger des vaccinations contre la variole pendant l'épidémie de variole de l'époque. La décision a permis à la municipalité locale d'exiger la vaccination contre la variole de tous les résidents pendant les épidémies.

    Il y a cependant un point à souligner : l'affaire Jacobson contre Massachusetts a donné la permission à une ville d'imposer des vaccinations, et non à un État entier !

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  3. Le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré en juillet qu'il était tout à fait possible que les États-Unis disposent d'un vaccin efficace contre les coronavirus au début de 2021. Quant à Bill Gates, il vient de lancer un avertissement sur les dangers de vacciner à la hâte la population sans avoir effectué les tests nécessaires... Il est vrai qu'il est poursuivi par de nombreux États africains dont les enfants servent de cobayes et les décès très nombreux.

    -- Commentaire : Lire aussi : Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore --

    https://fr.sott.net/article/36023-Etats-Unis-le-matraquage-pour-la-vaccination-obligatoire-commence

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  4. Les autorités médicales continuent de bloquer un traitement efficace contre Covid


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    29 août 2020


    Le conflit d'intérêts entre les essais cliniques de médicaments qui déterminent leur efficacité et leur innocuité et l'industrie pharmaceutique qui finance la plupart des essais est étonnant. Pourtant, rien n'est fait à ce sujet. Les deux tiers du budget de la Federal Food and Drug Administration pour l’évaluation des médicaments sur ordonnance proviennent de l’industrie réglementée par la FDA. En d'autres termes, le régulateur est financé par l'entité qu'il est censé réguler.

    «Les activités de réglementation des drogues humaines représentent 33% du budget de la FDA; 65% de ces activités sont financées par les frais d'utilisation de l'industrie (18 octobre 2019). »

    C'est ce conflit d'intérêts corrompu qui a bloqué le traitement HCQ du Covid-19. Des centaines de milliers de personnes sont mortes et de nombreuses autres ont été laissées avec des problèmes de santé, car Big Pharma a utilisé son influence sur la FDA, les NIH, les CDC et l'OMS pour maintenir la pandémie en vie jusqu'à ce qu'un vaccin puisse être précipité sur le marché. En d'autres termes, le profit, pas la santé, a été l'objectif.

    Les revues médicales elles-mêmes ont été corrompues. La Dre Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, déclare qu '«il n'est tout simplement plus possible de croire en grande partie à la recherche clinique publiée». Ce qui passe pour la recherche, ce sont des «études» concoctées pour autoriser un médicament à être commercialisé.

    Cet article traite de ces thèmes.

    Cet article fournit des détails sur le complot entre les agences de santé publique américaines, la profession médicale et Big Pharma pour écarter HCQ et éliminer Remdesiir au coût de 3 120 $ par patient.

    HCQ coûte quelques dollars.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/paul-craig-roberts/medical-authorities-continue-to-block-effective-covid-treatment/

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    1. Depuis des décennies sont fabriqués des masques (de carnaval ?) et sont portés par les laborantins qui ont à disposition les derniers microscopes nanoscopiques. D'ailleurs, ils savent mesurer la largeur d'un virus !
      Mais... comme ce fait-il qu'ils n'aient pas pensé à mettre leur masque sous l'œilleton du microscope afin d'en mesurer l'écartement des mailles ? Cà alors !

      Juste l'autre jour l'info a filtré comme quoi il n'existait pas de masque antivirus au monde car les mailles sont écartées plus de 3 fois la grosseur du virus !

      Prenez un grillage (gros ou fin on s'en fout !) et balancez-y contre un seau d'eau. L'eau passe t-elle au travers du grillage ?
      Quelle quantité d'eau a pu être arrêtée grâce aux fils des mailles ?
      Zéro ! Zéro because que l'eau a fait le tour et est passée !
      Idem pour les virus qui rencontreraient des maillages devant eux ! Cà alors ! Ils font le tour et entrent comme s'il n'y avait pas de masque !!
      Mais alors... quand une personne a été infectée par un virus et qu'elle tousse dans son masque... que se passe t-il ?
      Bêh, il se passe que les virus (rentrés au travers du masque) pourront reprendre la porte de sortie et être enfin libérés dans l'atmosphère !

      Oui mais on m'a dit que le masque empêchait...
      C'est qui çà 'on' ? Le masque empêche UNIQUEMENT de se prendre une amende ! C'est tout ce qu'il fait !
      Si des virus sont agglutinés dans un masque mouillé et que ce dit masque est jeté, les virus repartiront ! Même s'ils sont mis en sacs poubelles bien fermés, ces derniers seront éventrés à la décharge et seront donc libérés !

      Mais alors... le masque n'est fait que pour les cons !? Exact ! Oui mais... rassurez-vous, con masqué ! Donc: on ne vous reconnaîtra pas ! Ouf !

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  5. LES INDÉCENTS PROFITS PRIVÉS DES PROMOTEURS ÉOLIENS GRÂCE À UNE TAXE PUBLIQUE


    par LUDOVIC GRANGEON
    31/08/2020 456 9


    L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en 2019.

    Nous souffrons tous de la crise Covid et ça va durer. Des dizaines de milliers d’emplois disparaissent. Les aides apportées par centaines de milliards n’arrivent même pas à boucher tous les trous. L’industrie, l’hôtellerie, la restauration, la culture, les spectacles, les transports, la distribution, le commerce…Tout le monde est frappé de plein fouet … sauf ….

    Un petit noyau de promoteurs financiers rigole tous les jours de la rente qu’il continue à percevoir grâce à une vieille astuce de 15 ans que personne n’avait remarquée. Nous devons tous nous saigner, continuer à payer nos factures pour lui assurer une rentabilité à 2 chiffres, parfois même supérieure à 20 % et tout cela grâce à une taxe habilement dissimulée.

    Imaginez qu’on vous dise : « tant pis, c’est la crise, même si vous n’allez pas au restaurant, vous devez payer un repas par semaine à 80 €, même si vous n’allez pas en boite, vous devez payer une entrée à 50 € par mois, même si vous n’allez pas à l’hôtel, vous devez payer une nuit par mois à 120€ », et c’est votre percepteur qui va vous facturer. C'est pourtant le cas pour les éoliennes.

    Quoi que vous fassiez, les promoteurs éoliens continuent à s’enrichir grassement en encaissant le produit de la discrète taxe facturée d’une part sur votre facture d’électricité et d’autre part chaque fois que vous faites le plein de carburant. C’est une taxe fixe, facturant l’électricité de 3 à 7 fois le prix normal, et elle passe avant tout le monde. C’est-à-dire que cette « électricité » livrée est payée et facturée quel que soit le temps ou l’état de la production, et à prix fixe garanti à l’avance. Aucun risque et bien plus cher que tous les autres !!!!

    En quelques années, les patrons de ces sociétés ont tous fait fortune à plusieurs centaines de millions d’euros, les Mouratoglou, Corchia, Germa, et le dernier en date, Veyrat, patron d’Impala, passé de rien à une fortune de 2 milliards, parmi les 50 plus grandes fortunes françaises, en moins de 5 ans, grâce aux énergies renouvelables, payées par un impôt !!!!

    Il suffit donc d’avoir quelques amis bien placés, une bonne agence de communication, et quelques intermédiaires à Bruxelles pour faire fortune grâce à une taxe discrète qui perdure depuis 15 ans « à titre temporaire et exceptionnel ».

    Ces profits pour à peine 5% de notre électricité, un jour sur cinq, et 120 milliards dépensés, sont devenus indécents, obscènes en période de crise longue comme celle que nous vivons. Que peuvent en penser tous ceux qui souffrent de la crise en payant cette taxe injuste sur leur facture d’électricité ou sur leur plein à la pompe ? Un terrible sentiment d’injustice qui ne peut que déboucher sur la violence du désespoir.

    Il est grand temps que les promoteurs éoliens soient payés au tarif très correct de tous les producteurs d’électricité. Le Gouvernement peut le faire dès demain comme il le fait actuellement pour toutes les mesures de crise. Et il supprimera une injustice que même Emmanuel Macron reconnaissait il y a quelques mois en congrès à Pau.

    http://www.economiematin.fr/news-taxe-publique-subvention-gain-promoteur-eolien

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    1. Une éolienne coûte plus cher qu'elle ne peut rapporter !

      C'est exact ! Lorsqu'il n'y a pas de vent les pales de 60 tonnes doivent tourner pour éviter le grippage du moteur ! Et, pour qu'un moteur tourne les 180 tonnes du rotor... il faut beaucoup beaucoup d'électricité nucléaire ou autre !

      Mais si c'est vous qui payez, on ne vous expliquera jamais pourquoi.

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  6. COMMENT DIMINUER IMPÔTS ET COTISATIONS SOCIALES ?


    par JACQUES BICHOT
    31/08/2020


    46% du PIB français est consacré aux prélèvements obligatoires.

    Diminuer la pression fiscale et sociale est un souhait très répandu en France. Le 25 août 2020, des personnalités compétentes composant une liste impressionnante ont cosigné dans Les Echos un article intitulé « Baisser les impôts de production, une urgence économique et sociale ». D’autres visent plutôt la TVA, ou l’impôt sur le revenu, ou la CSG – prélèvement hybride, à la fois fiscal et social. Certains s’inquiètent aussi, avec raison, de l’importance des « charges sociales », qu’elles soient salariales ou patronales.

    Tout en estimant que, effectivement, le recours aux prélèvements obligatoires est excessif dans notre pays, je suis assez sceptique face aux arguments avancés dans la plupart des libelles de ce genre. Pourquoi ? Parce que le problème crucial, plus encore que le caractère massif du prélèvement, est l’usage que font nos gouvernants des euros dont ils font débiter nos comptes en banque au profit de ceux de l’Etat et de ses satellites, dont les organismes de protection sociale et les collectivités territoriales sont les plus importants. Si cet argent était dépensé vraiment à bon escient, seuls les grincheux se plaindraient. Mais quand le citoyen lit dans Le Figaro du 5 juin, sous le titre Le grand bazar de l’informatique judiciaire, « Alors qu’un demi-milliard d’euros sur cinq ans a été injecté en 2017 pour créer de nouveaux logiciels à destination des juridictions, les outils incomplets s’empilent », le citoyen se pose inévitablement la question : ne serait-ce pas moi qui paie pour ce gaspillage ?

    Une dépense excessive au regard des services rendus

    Les administrations publiques, nationales et locales, sont des prestataires de services. Les impôts et cotisations constituent le prix à payer pour disposer de ces services. Nous souhaitons pouvoir circuler rapidement et en sécurité : évidemment, cela requiert des investissements, ainsi que l’entretien et la surveillance des routes, des rues, des ports, et ainsi de suite – donc des dépenses publiques. Certains trajets peuvent être facturés ; pour d’autres, ce n’est pas le cas, si bien qu’il faut imposer l’ensemble de la population, ou utiliser des taxes spécifiques, dont la plus importante est celle qui gonfle le prix des carburants. Si les routes sont bien construites, rénovées, entretenues, pour un coût raisonnable, tout va bien. En revanche, si les taxes sur les carburants sont gaspillées en changements inappropriés des panneaux de limitation de vitesse ou en aménagements induits par des modes passagères, rien ne va plus.

    Tout est allé de travers dans une célèbre affaire liée à la circulation routière, celle de l’écotaxe sur les poids-lourds décidée en 2007, qui a fonctionné plus ou moins de 2014 à 2016. Les portiques ont été construits et installés à grands frais, puis abandonnés après deux années de service problématique. L’indemnisation des organismes engagés dans l’opération, comme le consortium Ecomouv, a dépassé le milliard d’euros. Et ensuite, faute d’argent pour construire des prisons, des coupables échappent partiellement à la sanction de leurs actes.

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  7. Les rapports de la Cour des comptes regorgent de constats du même acabit. Je me souviens par exemple de la passionnante étude que la Cour consacra au service du mobilier national, institution qui fait du travail de qualité, mais en quantité bien modeste par rapport au personnel employé. Le gaspillage constaté dans l’organisation et le fonctionnement de cette petite structure existe hélas à beaucoup plus grande échelle. Nos dirigeants se gargarisent volontiers à propos du « numérique », mais certains d’entre eux excellent surtout dans le ratage très onéreux de grands projets, comme le logiciel de paie Louvois qui a posé tant de problèmes à nos militaires, et provoqué des pertes abyssales.

    Hélas, cette coûteuse mésaventure n’est pas un cas isolé : par exemple, le système de gestion des ressources humaines de l’Education nationale, Sirhen, lancé en 2007, a été abandonné en 2018 au terme d’un gaspillage évalué à 320 millions d’euros.

    Une tradition de gaspillage

    Il existe une tradition en matière de gaspillages. Remontons par exemple à l’entre-deux guerres, avec la mise en place de la ligne Maginot. Alors que le budget voté pour réaliser ces fortifications se montait à 2,9 milliards de francs, la dépense effective atteignit 5,5 milliards, montant considérable à cette époque. La France s’équipa ainsi du nec plus ultra en matière de défense statique au moment même où la motorisation modifiait complètement l’art de la guerre. Charles de Gaulle publia en 1934 Vers l’armée de métier, préconisant le recours aux blindés, à la mobilité, mais il était déjà trop tard : le choix de fortifications, obsolètes en dépit de leur qualité, effectué par des dirigeants incompétents, s’il n’est pas la seule erreur ayant rendu possible le fantastique succès initial des armées nazies, y a largement contribué.

    Il serait excessif de dire que la gestion de nos services publics est lamentable, car il existe hélas des pays où la situation est pire, mais personne ne peut sérieusement soutenir qu’elle est bonne. Il serait possible de faire nettement mieux pour moins cher. Si l’on veut sérieusement réduire la fiscalité sans pour autant augmenter encore un déficit budgétaire et un endettement public déjà très préoccupants, la solution consiste à réaliser un effort massif et surtout intelligent d’amélioration de la productivité des services de l’Etat, des collectivités territoriales et des administrations de protection sociale.

    Concernant ces dernières, songeons par exemple que la fusion de nos quatre dizaines d’organismes de retraites par répartition permettrait d’économiser environ 3 Md€ par an de frais de gestion tout en simplifiant considérablement la situation des assurés sociaux, parfois effroyablement compliquée. Hélas, l’amateurisme présidentiel, gouvernemental et syndical n’a pas permis, à ce jour, d’avancer efficacement sur ce projet.

    L’efficacité du service public est insuffisante…

    Il ne serait évidemment pas sérieux de prétendre fournir en quelques lignes une recette miracle. La productivité est influencée par de nombreux facteurs. L’important est de ne pas s’imaginer que « le numérique » va nous apporter automatiquement la solution. L’informatique, comme le papier et la parole, peut donner de mauvais comme de bons résultats. Il faut faire travailler nos « petites cellules grises », comme le répète le détective fétiche de la très efficace Agatha Christie. Ce qui veut dire à la fois de l’inspiration et de la transpiration.

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  8. Les deux sont nécessaires. Pour sortir de la médiocrité ambiante, il faut mettre fin à la culture de l’inefficacité, si joliment croqué par Aurélie Boulet, devenue célèbre sous son nom de plume Zoé Shepard, dans son livre Absolument débordée. Le sociologue Michel Crozier l’avait expliqué quelques décennies plus tôt après avoir réalisé des enquêtes de terrain très fouillées ; le bon sens et l’ironie grinçante de Zoé Shepard mènent au même résultat. « Il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark », écrivait Shakespeare, et grâce à la jeune fonctionnaire et au sociologue chevronné nous savons à peu près ce qui est pourri dans nos administrations.

    … comment l’améliorer ?

    Le diagnostic une fois posé, quelle thérapeutique prescrire ? Nous devons développer une culture du travail bien fait, mais sans perfectionnisme, car le mieux est l’ennemi du bien. Il ne s’agit pas de disposer de quelques services d’excellence perdus dans un océan de médiocrité : l’excellence doit certes être recherchée, mais le plus important est d’obtenir que, sur les quelque 5,7 millions de personnes travaillant pour l’Etat, pour les collectivités locales et pour la sécurité sociale, il y ait au moins 4 millions d’agents vraiment efficaces. Nous en sommes loin. Pourquoi ?

    Pour une bonne part, parce que la qualité et la quantité du travail effectué ne sont pas assez prises en compte pour la rémunération des agents. Les diplômes et les concours ne doivent certes pas être considérés comme négligeables, mais leur place actuellement trop importante empêche de tenir suffisamment compte des résultats. Comme dans le privé, ou du moins dans la partie du secteur privé qui fonctionne bien, il faudrait que le secteur public récompense ses agents au prorata de leurs performances.

    Un bon résultat ne sera obtenu que si « la hiérarchie » devient plus dynamique et plus centrée sur les besoins de la population. Les enseignants, qui constituent le plus gros bataillon de la fonction publique de l’Etat, et le personnel hospitalier (quasiment 1,2 million d’agents), produisent une « valeur ajoutée » dont l’évaluation est délicate, mais indispensable. La gestion bureaucratique de ces « gros bataillons » doit céder la place à une forme de gestion plus réaliste, plus personnalisée, sans quoi les gains de productivité requis pour à la fois bien rémunérer les fonctionnaires et bien servir la population ne seront pas obtenus.

    S’il faut assouplir le statut de fonctionnaire, pourquoi pas ? La rigidité de ce statut rend difficile, voire parfois impossible, l’amélioration du rapport qualité/prix des services publics. La compétence et l’ardeur au travail doivent devenir les maître-mots : c’est à cette condition que les Français pourront disposer un jour de services publics de qualité supérieure obtenus en versant des impôts et cotisations plus raisonnables.

    Le client des « grandes surfaces » veut en avoir « plus, plus » pour son argent ; grâce à la concurrence, ce souhait n’est pas trop mal réalisé. Nous devons trouver le moyen d’arriver à une situation comparable pour chaque citoyen, consommateur de services publics. Il est fondé à en vouloir « plus, plus » pour ses impôts et cotisations, et pour cela il faut améliorer la gestion de l’Etat, des collectivités territoriales, de la sécurité sociale et du système de santé. Un chantier aussi passionnant que vaste !

    http://www.economiematin.fr/news-impots-cotisations-sociales-baisse-argent-france-bichot

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    1. L''argent' véritable 'fortune' de ceux qui en ont pas (et qui en fabriquent au clavier d'ordinateur) appartient à ceux qui se sont accaparé la technologie sortie du Peuple.

      Mais, outre l'incidence chemtraillée et les 'vaccins' post-mortem, il y a cette Incidence incommensurable que sont appelés 'les vivants' (Le Peuple qui engrange des millions de surdoués !!) qui diffère de celle des 'hommes de l'ombre'.

      Là est the problème !

      Figurez-vous qu'il n'y a qu'une poignée de dictateurs psychopathes face aux 7 milliards d'habitants de ce globe !!
      Et... qu'ils ne savent que faire : Hahahaha !
      D'où, l'initiative de ces encombrants à la définition de ce qu'est l'être vivant !! (Global Warming, gaz carbonique, Corona, et autres définitions absurdes sorties de têtes du Quoi allons-nous faire de ce vaste troupeau ?!).
      Là est the question.

      Là, interviennent les 'poussières intelligentes' qui sont dirigées par des ondes satellitaires et drones d'approche.
      Mais, les plantes qui les absorbent (comme les humains ou animaux qui les mangent) n'apparaissent pas comme étant superfectatoires.
      Âh bêh merde lors !!

      D'où carrément le 'vaccin' qui en enhillerait toute la population laissant à ceux qui en aurait pris la joie de vivre et la contemplation.
      Mais là apparaît cette fortune cachée de l'intelligence (7 milliards) de la population et ses dysfonctionnements face au nano-groupuscule qui dirige la planète Terre. Car chacun a sa propre intelligence !!! D'où les difficultés d'en mettre bas !
      Donc, l'observation d'une rétrogradation aux temps des rois, des seigneurs et autres criminels qui jetterait les bases d'un monde d'esclaves idiots de naissance qui accompliraient les désirs des maîtres. Mais, mais cela court à l'infortune de ne trouver descendance d'intelligences (ADN) transmises ! (et signerait donc la Fin du monde tel que nous vivons).

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  9. Les questions que pose la relocalisation du paracétamol

    À l’heure où l’Amérique et la Chine développent les médicaments du futur, la France investit son énergie dans le paracétamol.


    30 AOÛT 2020
    Par Philippe Silberzahn.


    Le gouvernement français veut donc relocaliser toute la chaîne de production de paracétamol en trois ans. Médicament le plus vendu en France avec 500 millions de doses par an, il est utilisé comme antalgique.

    Annoncé en fanfare, le plan de relocalisation est une réponse aux ruptures d’approvisionnement durant la crise du coronavirus, mais il pose des questions fondamentales sur la notion de souveraineté et sur les croyances qui sous-tendent la conception qu’en a la France.

    Connaissez-vous le pembrolizumab ? Probablement pas. C’est pourtant un miracle de la recherche médicale. Commercialisé sous le nom de Keytruda, c’est la molécule qui pourrait en finir avec le cancer.

    À plus de 5000 euros la prise, il pourrait rapidement représenter le plus gros chiffre d’affaires du secteur pharmaceutique avec près de 20 milliards de dollars. Il est produit par le laboratoire américain Merck.

    Plus que jamais, les géants de la pharmacie ainsi qu’une nuée de startups biotechs sont engagés dans une course aux nouveaux médicaments contre les maladies complexes, comme le cancer et aujourd’hui les coronavirus. Les enjeux de santé et d’économie sont colossaux.

    Et la France dans cette course ? Elle est largement absente, comme elle est absente d’à peu près toutes les courses à l’innovation actuelles. Dans ce contexte, le plan de relocalisation du paracétamol apparaît comme très en décalage par rapport aux enjeux actuels d’industrie et de santé publique, et ce à plusieurs titres.

    LE MAUVAIS ARGUMENT DE LA PREMIÈRE NÉCESSITÉ

    L’idée de la relocalisation du paracétamol, c’est de « reprendre le contrôle de la production de médicaments de première nécessité. »

    Cela semble logique et raisonnable après les ruptures d’approvisionnement lors de la crise du coronavirus, mais c’est oublier que ce qui est de première nécessité dépend du contexte. Au début du confinement, la première nécessité a été le papier toilette. Faut-il un plan français de souveraineté du papier toilette ?

    Tout produit peut en fait être qualifié de première nécessité tellement cette notion est vague. Sans camion, pas d’approvisionnement durant la crise. Sans masque, pas de protection. Sans téléphone, pas de fonctionnement de l’État. Mais surtout, la première nécessité de la prochaine catastrophe sera autre, parce que la prochaine catastrophe sera radicalement différente.

    Lorsqu’elle surviendra, nous aurons passé les précédents mois à mettre en œuvre une fabrication « souveraine » de paracétamol et nous nous trouverons fort dépourvus. C’est une fuite en avant pour préparer la dernière guerre.

    Une autre croyance qui justifie la relocalisation est celle qui voit le système industriel mondial comme statique. On a pu le voir avec les masques : face aux ruptures d’approvisionnement, beaucoup d’efforts ont été faits pour en faire fabriquer en France.

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  10. Le temps que tout se mette en place, le système de production mondiale s’est ajusté, les contraintes d’approvisionnement ont disparu et les masques sont redevenus ce qu’ils étaient, c’est-à-dire des objets communs à très faible valeur ajoutée.

    Pas une seule seconde a été imaginé que le système de production mondiale, un temps dépassé par la très soudaine hausse de la demande, allait rapidement s’ajuster, ce qui est fait désormais. On a pensé statique alors que nous vivons dans un monde dynamique. Cette erreur a laissé en rade des dizaines d’entreprises françaises qui ont naïvement souscrit à ce modèle mental.

    PEU À GAGNER, BEAUCOUP À PERDRE

    Imaginons que le plan de relocalisation réussisse. Qu’aurons-nous gagné ? Assurément, un certain degré de contrôle sur la fabrication d’un produit jugé essentiel. En cas de crise, le produit sera disponible sans passer par un pays tiers. Cela à condition naturellement que pour fabriquer ce produit il soit nécessaire de ne strictement rien acheter à l’étranger, ni machine, ni ingrédient, ni matière première, rien.

    La maîtrise doit être totale sur toute la chaîne de fabrication, du début à la fin. Si le pays reste dépendant pour un seul élément de la chaîne de production, l’indépendance disparaît.

    On voit très vite que nous ne pouvons être totalement indépendants que pour des produits extrêmement simples, dont les matières premières sont présentes en France et qui ne nécessitent pas de machine sophistiquée devant être achetée à l’étranger.

    Il suffit de décortiquer un produit un peu complexe pour comprendre que très vite on trouve, directement ou indirectement, un fournisseur étranger, interdisant de fait l’indépendance. Un simple emballage plastique, tout à fait essentiel dans la production et la vente de tout ce qui se fabrique, ne peut être fabriqué en France sans importer du pétrole. En bref, l’indépendance est largement une illusion.

    Et qu’aurons-nous perdu avec cette histoire ? Probablement beaucoup. Nous dépensons beaucoup d’énergie et de ressources pour faire des choses que nous ne savons pas bien faire, nous les faisons sur des échelles les rendant peu rentables, et toutes les ressources ainsi gaspillées ne peuvent servir à autre chose où pourrait se créer davantage de valeur, notamment les médicaments d’avenir.

    Le produit fabriqué est plus cher que celui qu’on importait, ce qui pénalise les consommateurs et empêche son exportation. C’est la tragédie de tous les pays ayant développé des politiques autarciques de substitution d’importation : ils se retrouvent appauvris par une politique censée favoriser leur développement, ce qui finalement mine leur souveraineté car il est difficile d’être souverain quand on est pauvre.

    UNE AUTRE CONCEPTION DE LA SOUVERAINETÉ

    On m’objectait toutefois récemment que relocaliser le paracétamol et préparer l’avenir ne s’opposent pas. Mais ce n’est pas exact, car on ne peut pas tout faire : toute ressource consacrée à un effort manque nécessairement pour un autre effort. Mais surtout, le modèle mental de la souveraineté conditionne la façon dont nous pensons le problème et nous ramène de fait à hier au lieu de nous pousser vers demain.

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  11. Car qu’entendons-nous en fait par souveraineté ? Celle-ci se définit comme la qualité propre à une collectivité politique qui se gouverne elle-même. Derrière se trouve l’idée que cette collectivité exerce un contrôle, notamment celui de son territoire. La souveraineté a été l’obsession des rois français à travers l’histoire.

    Appliquée au monde industriel elle signifie que la fabrication des produits que nous consommons, et en particulier ceux que nous jugeons essentiels, est nécessaire à la souveraineté. Cette pensée est à la source des politiques d’autarcie et de substitution d’importations évoquées plus haut.

    Concept politique et militaire, la souveraineté s’applique cependant mal au domaine économique et industriel. La souveraineté politique, comme la guerre, est en effet un jeu à somme nulle.

    À Bouvines en 1214, Philippe Auguste remporte la victoire face à Jean sans Terre et agrandit le domaine royal. Ce que l’un gagne, l’autre le perd. Ce n’est pas la même chose dans l’industrie. Qu’est-ce qu’être souverain dans le monde industriel ?

    Apple conçoit ses produits en Californie mais les fait tous fabriquer en Chine. Qui craint pour la maîtrise par Apple de sa destinée tant il est évident que sa force se trouve dans la conception, et non la fabrication ?

    Carrefour ne fabrique rien non plus, mais représente une force considérable sur le plan commercial.

    Dans le monde industriel et commercial, la notion de contrôle prend des formes variées. La fabrication n’est pas la source universelle de force, bien au contraire. Dans une relation commerciale, celui qui détient le pouvoir est parfois le fabricant, parfois l’acheteur. Des pays commerçants, mais fabriquant peu, peuvent être extrêmement puissants, comme la Hollande au XVIIe siècle ou Hong Kong aujourd’hui.

    Il en va de même pour la notion de dépendance : si l’acheteur est dépendant du producteur, l’inverse est également vrai. Le producteur est dépendant de l’acheteur, car si pas d’acheteur, pas de production, et si pas de production, pas de vente. Au contraire de la guerre, chaque parti a besoin de l’autre pour exister.

    La notion de dépendance est en outre à relativiser lorsque vous êtes un gros client : quand vous achetez 500 millions de doses de paracétamol par an, comme c’est le cas de la France, vous avez un très fort pouvoir sur votre fournisseur qui a intérêt à vous satisfaire, et beaucoup d’autres sont prêts à le faire s’il ne le fait pas.

    Au vu de ce qui précède, on peut donc dégager deux conceptions de la souveraineté. La première est statique et rétrograde, au sens de regarder vers le passé. Elle consiste à concevoir l’économie comme la guerre, c’est-à-dire comme un jeu à somme nulle, à considérer un acheteur comme dépendant d’un vendeur, à penser que dans une relation commerciale celui qui fabrique est fort et celui qui achète est faible, et que l’on est fort lorsqu’on est indépendant des autres.

    Cette conception s’attache aux symboles et a une conception naïve du jeu économique et des sources de puissance. Elle pense, sérieusement, que fabriquer du paracétamol redonnera sa grandeur à la France.

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  12. Mais il existe une autre conception de la souveraineté, celle dans laquelle ce qui nous rend fort c’est précisément l’interdépendance, celle où nous appuyant sur nos forces, nous nous rendons indispensables à nos partenaires commerciaux et industriels, sur les forces desquels nous nous appuyons en retour. Celle où notre puissance provient de notre attraction.

    Ce qu’il y a derrière cette conception, c’est un modèle mental orienté vers le progrès et l’innovation, vers une économie vue comme un exercice de coopération, et non vers le passé et la protection. C’est un pari sur la dynamique, et non sur un monde statique.

    À l’heure où l’Amérique et la Chine développent les médicaments du futur et que la France investit son énergie dans le paracétamol, l’observation faite par Léon Blum il y a bien longtemps reste malheureusement plus vraie que jamais :

    « Tandis que la règle du capitalisme américain est de permettre aux nouvelles entreprises de voir le jour, il semble que celle du capitalisme français soit de permettre aux vieilles entreprises de ne pas mourir. »

    https://www.contrepoints.org/2020/08/30/374342-les-questions-que-pose-la-relocalisation-du-paracetamol

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  13. La morphine, un sommeil sombre et « pétillant »


    le 29 août 2020


    Issu de l’opium, cet alcaloïde a réussi, dans son histoire, à soulager les médecins, créer une toxicomanie de masse et générer la boisson commerciale la plus bue du monde (article paru sur le quotidien Le Temps sous la plume de Nicolas Dufour)

    « Je ne puis que chanter les louanges de celui qui a le premier extrait la morphine des capsules de pavot. C’est un véritable bienfaiteur de l’humanité », écrit l’auteur d’un journal intime dans « Morphine », de Mikhaïl Boulgakov. Un an plus tard, ce médecin devenu accro se suicide. Toute l’ambiguïté de la morphine s’illustre dans cette nouvelle de l’écrivain russe : l’apport positif pour la médecine et les terribles ravages parallèles.

    La morphine vient de l’opium, obtenu en extrayant le latex qui suinte du pavot somnifère. Le produit est vénérable : les Sumériens (vers -5000 avant l’ère commune) parlent déjà d’une « plante de la joie ». Quatre cent ans avant notre ère, Hippocrate le mentionne pour l’effet narcotique et pour « resserrer le ventre ». La palette d’usages de l’opium s’élargit, maux de tête, vertiges, épilepsie, fièvre, goutte, même la toux – la codéine, substance sœur et fameux antitussif, vient aussi de cette pâte.

    La caractérisation chimique de la morphine se déroule en étapes plutôt simples. Dans les premières années du XIXe siècle, deux Français tentent de purifier l’opium pour en détailler les substances, mais personne ne s’intéresse à leurs travaux. La grande avancée est réalisée par un pharmacien allemand. En 1805, Friedrich Sertürner annonce avoir isolé un « alcali végétal » qui est le principe somnifère de l’opium. La petite histoire dit qu’il a testé les résultats de ses travaux avec trois amis. S’inspirant de Morphée, il baptise le produit morphium.

    - voir tableau sur site -

    À gauche la structure chimique de la morphine, à droite celle de la codéine

    Substances simples et puissantes issues de la flore, les alcaloïdes vont constituer une famille en expansion, la caféine, la quinine dont est dérivée la chloroquine, la nicotine… La morphine a sa sombre fille, l’héroïne, qui en dérive. C’est Bayer qui la lance à la fin du XIXe siècle.

    L’encyclopédie Universalis mentionne une « action analgésique complexe ». En particulier, la morphine est sélective et se révèle plus efficace contre une douleur permanente qu’aiguë, raison de son utilisation dans le domaine du cancer.

    Le rôle des guerres

    Comme le racontait le médecin russe sous dépendance, la morphine est accueillie comme un « bienfait » par les milieux hospitaliers. Mais son usage élargi va vite poser problème. Si les artistes se gavent plutôt d’opium ou de haschich, elle a sa petite popularité : touché par un tir au pied dû à un neveu, Jules Verne en consomme. Entre 1861 et 1865, durant la guerre de Sécession aux Etats-Unis, des produits durs sont utilisés d’une manière inédite. Dans son ouvrage sur cette guerre l’historien John Keegan écrit que, face aux soldats malades ou blessés, « le traitement était grossier et expéditif », surtout « l’administration d’opium et de strychnine ». C’était surtout de la morphine. Peu après en Europe, on s’inquiète de la « maladie du soldat », qui n’est autre qu’une toxicodépendance de masse. Ce drame sourd et collectif peut faire penser à l’actuelle crise des opioïdes.

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  14. De la morphine à un soda

    Il a une conséquence originale. Dans les années 1880, John Pemberton, pharmacien à Atlanta, est un vétéran de la guerre. Il a été embrigadé chez les Confédérés et est revenu avec une terrible addiction à la morphine. Il cherche à s’en débarrasser. S’inspirant d’une recette corse, il invente un vin pétillant avec de la coca. La ville interdisant ensuite l’alcool, il enlève le vin et ajoute du sirop de sucre ainsi que de la caféine issue de noix de cola. Son comptable invente le terme « Coca-Cola ». Peu après, un affairiste profite de la faiblesse morphinique de John Pemberton pour racheter la marque avec le comptable, pour 2500 dollars. Il la revendra 25 millions en 1919. Au moins, ça pétille.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/29/la-morphine-un-sommeil-sombre-et-petillant/

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  15. VIDÉO : Le vrai visage du COVID-19


    Dr Pascal Sacré et Prof Michel Chossudovsky
    Mondialisation.ca
    sam., 29 août 2020 21:16 UTC


    « Après plusieurs mois de crise COVID-19, des éléments pertinents d'analyse de cette crise apparaissent plus clairement. La pression énorme pour convaincre 7 milliards d'humains de la nécessité de se vacciner contre un virus dont on a gonflé la mortalité et qu'on dit omniprésent alors qu'il est en train de disparaître, voire a disparu.

    Cela nous rappelle l'opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 [3] : mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques, gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de profits immenses à l'horizon pour l'industrie productrice de vaccins. »

    - voir clip sur site:

    https://fr.sott.net/article/36028-VIDEO-Le-vrai-visage-du-COVID-19

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    1. Les dictateurs psychopathes s'enfoncent dans leur merde ! Ils ne savent quoi faire pour diriger 7 milliards d'habitants qu'ils croient encore être un troupeau de moutons. Alors, ils s'essaient, ils testent, ils discutent, recherchent mais ne trouvent pas alors qu'il suffit de demander au Peuple ce qu'il veut ! La Démocratie !

      Mais accepter la Démocratie (comme en Suisse) c'est donner le pouvoir au Peuple !

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  16. Dans les replis du cœur - ou la France soumise


    Jean-Paul PELRAS
    Front Populaire
    ven., 28 août 2020 20:47 UTC


    Le panache, voilà probablement ce qui fait le plus défaut en ces temps incertains où la France a perdu comme le déclamait Edmond Rostand « la pudeur de l'héroïsme ». La semaine passée je posais cette question : « Que sommes nous devenus ? » Voilà qu'il faut aller plus loin en se demandant, bien entendu, ce que nous allons devenir. Car, de jour en jour, la situation se dégrade avec, d'un coté, ceux qui bénéficient d'une impunité tout autant acquise qu'irréversible allant des passe-droits politiciens aux « incivilités » en tous genres. Et, de l'autre, ceux qui abdiquent, démissionnent, se taisent, abandonnent, car, contraints et désabusés, ils ont perdu le goût de l'insolence et ne cherchent même plus à regagner la victoire de l'esprit, l'élégance de la dignité.

    Oui, que va devenir cette France ? Celle où nous allions fêter la liberté sous les lampions du quatorze juillet en regardant tourner un monde fascinant et fasciné sur une piste de danse désormais désertée. Cette France qui avait des opinions et le courage de les exprimer en bravant la censure, en ignorant les compromis, en dénonçant la soumission. Cette France qui n'a plus fière allure et préfère désormais à l'audace l'interdiction, au baroud l'absolution.

    Voici donc ce peuple appelé à plus de résilience qui est en train de se résigner un téléphone portable à la main, un masque vissé sur le visage, des distances à respecter, la peur de l'autre en étendard, des journalistes obéissant aux consignes du cardinal de service, des entreprises ruinées, partout le déni de justice, la fin des contre pouvoirs, des enfants qui doivent apprendre à se méfier, des adultes qui ne savent plus à quel saint se vouer. Et des « saints » qui promettent ce qu'ils ne pourront jamais exhausser.

    Nous avons accepté tant de choses ...

    A bien y regarder, la prophétie du « marcheur » est peut être sur le point de s'accomplir : nous sommes effectivement en train de changer de monde. Et nous tournons la page d'une civilisation qui doit réduire sa voilure en limitant ses ambitions, en oubliant ses traditions.

    Pour commencer, nous allons arrêter de nous embrasser, de nous serrer la main, de nous rencontrer si nous n'en avons pas besoin. Nous allons limiter nos déplacements, rendre visite à nos anciens uniquement quand il faudra leur administrer le Saint Sacrement. Nous éviterons les parties de pétanque, les concours de belote, les rassemblements familiaux, les festins amicaux, les fêtes de villages deviendront un vieux souvenir, les inaugurations seront strictement réglementées, de Lutèce au plus petit de nos villages nous devrons composer avec le dogme et le zèle des autorités, les dérogations seront la règle, le comptage des individus deviendra systématique à l'entrée des commerces et dans les administrations où la dématérialisation aura raison de l'humain, où l'ordinateur remplacera le terrain... Et, bien sur, nous ne pourrons plus manifester ou commenter devant un comptoir ce que les médias auront annoncé la veille au soir.

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  17. Depuis le mois de mars, nous avons accepté tant de choses. La pire d'entre toutes, je le redis ici, étant ne pas savoir qui du virus ou du chagrin est réellement venu chercher nos anciens. Nous avons vu des restaurateurs et des patrons de bistrots baisser leurs rideaux à minuit parce qu'un Premier ministre les avait obligés à le faire 4 heures plus tôt. Nous avons appris depuis, mais le gag est un peu éculé, que les masques étaient inutiles jusqu'à ce qu'ils soient définitivement et presque unilatéralement imposés. Nous apprenons désormais que des réservistes sont mobilisées pour verbaliser ceux qui refuseraient de les porter. Exception faite bien entendu de ces supporters qui se regroupent par centaines pour célébrer la défaite de quelques multimillionnaires à Marseille ou pour tout casser sur les Champs Élysées.

    Donc, voilà ce que nous allons devenir : un peuple contraint, soumis à un quotidien calibré où seront, car on ne peut pas tout « aseptiser », autorisés quelques excès. Illusoires soupapes de sécurité qui viendront, le temps d'un évènement, nous rappeler que la liberté existe toujours en apostille de la « sûreté ». Citons ici Pierre Daninos qui nous disait dans ses fameux carnets du Major Thompson « Nous étions au bord du précipice, nous venons de faire un grand pas en avant. »

    Les générations qui arrivent ne sauront peut être plus écrire correctement, mais elles pourront penser autrement, en se débarrassant progressivement de tout ce que fut notre histoire, en consultant ce que leur raconte un smartphone, en écoutant, sans savoir à quoi ressemble leurs visages, d'étranges interlocuteurs. En oubliant ce que nous étions, quelque part à l'aune du bonheur, dans les replis du cœur.

    Jean-Paul PELRAS, agriculteur et rédacteur en chef de L'Agri

    https://fr.sott.net/article/36026-Dans-les-replis-du-cur-ou-la-France-soumise

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    1. Comme l'a dernièrement explique le Pr Raoult (à Laurence Ferrari, interview d'1 h sur YT), le masque ne sert à rien (puisqu'il n'est pas antivirus) et le confinement tue plus que la liberté de sortir !
      Et le vaccin c'est du pipeau !

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  18. Gates souffre de gaz carbonique et de démence virale


    Par le Dr Mark Sircus
    DrSircus.com
    29 août 2020


    Pour un monde paralysé par le coronavirus, le salut passe par un vaccin. Vrai ou faux ? Vous pouvez diviser le monde entre ceux qui pensent que c'est vrai et ceux qui pensent que c'est faux. Un Grand Canyon se trouve entre les deux côtés, mais nous savons de quel côté se trouvent Gates et Fauci.

    Officiellement, il n'y a pas de traitement pour le COVID-19, et c'est pourquoi ils peuvent s'en tirer en disant que le salut dépend d'un vaccin. S'il y a des traitements qui fonctionnent, alors qu'il y en a, il n'y a pas besoin de vaccin. Quel genre de personnes refuserait des traitements qui aideraient des millions de personnes ? Seulement des personnalités monstrueuses, des terroristes en quelque sorte. Cependant, c'est précisément ce que font ces responsables de la santé - prétendre qu'il n'existe aucun traitement.

    Il existe plus de plusieurs traitements proposés par différents médecins et organisations médicales dans le monde, mais aucun d'entre eux n'est accepté par le récit traditionnel. Ni l'OMS, ni la FDA, ni le CDC ne sont à l'origine de traitements pour les simples raisons qu'ils ne sont pas des vaccins.

    Je suis désolé pour une civilisation qui ne peut être sauvée que par un vaccin. Faire sortir tout le monde au soleil pour augmenter les taux plasmatiques de vitamine D serait plus efficace et sûr que n'importe quel vaccin.

    Il est triste (pathétique) que les gens écoutent même des hommes d'affaires et maintenant des politiciens jouer au docteur. Un nouveau type de terrorisme attaque le monde et il a réussi à mener à bien la plus grande attaque terroriste de l'histoire. Jamais auparavant aucune organisation n'avait pu attaquer la planète entière simultanément.

    Il n'y a personne comme les portes

    Gates est un cas particulier car il souffre à la fois de gaz carbonique et de démence virale, deux conditions facilement diagnostiquées. Il est également l'un des principaux chefs de file de cette vaste organisation terroriste virale.

    La lumière du soleil de la vérité n'atteint jamais Bill Gates, qui est un maître de l'arrogance et de la tromperie. Malgré tout son argent, son influence et son image de soi plus grande que nature, il semble s'être fait prendre le pantalon baissé à mentir sur sa relation avec Jeffery Epstein, le niant à sa manière sordide habituelle.

    L’une des missions principales de la fondation Gates est censée être d’aider les jeunes femmes des pays défavorisés, mais Gates a rencontré Epstein au moins six fois, un homme qui se nourrissait de jeunes femmes. Écoutez Gates vous-même pour voir et ressentir quel genre d'homme il est.

    Bien que Gates ne l'admettra jamais, il est accusé d'avoir abusé des femmes et des jeunes filles avec des vaccins. Personne ne sait combien d'enfants sont morts de sa soif de vaccins. Les gens meurent à cause des vaccins, et d'autres décrivent une liste de blessures liées au vaccin, de problèmes de santé, certains aussi graves que l'autisme, qui a dévasté de nombreuses familles. Gates n'a aucun problème à anéantir les médecins qui contestent la sécurité des vaccins parce qu'il est cruel.

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  19. Bill Gates Maître de la vérité ou le plus
    Artiste de Bullshit de premier plan dans le monde

    Une vidéo de médecins légitimes a reçu des dizaines de millions de vues et d'amplification de la part du président Donald Trump jusqu'à ce que Facebook et Twitter la retirent de leurs plateformes. Regardez cette vidéo de Gates, qui a le culot de qualifier la vidéo de «scandaleuse» et pleine de désinformation alors qu'elle ne l'était certainement pas.

    Écoutez Gates, l'expert en santé publique autodidacte, un scientifique médical qui sait tout sur le gaz carbonique. Il est même climatologue sachant qu'il fait la réponse ultime à ce problème: se débarrasser de tout le gaz carbonique ou de toutes les personnes. Gates pense en savoir plus que l'Association des médecins et chirurgiens qui soutiennent l'utilisation de l'hydroxychloroquine.

    Son intelligence ne peut pas comprendre qu'il se trompe totalement sur le changement climatique et le gaz carbonique (il fait plus froid pas plus chaud). Il ne sait pas que le gaz carbonique est aussi nécessaire que l'oxygène, mais nous pouvons lui pardonner car il est un homme d'affaires et non le scientifique médical / expert en vaccins officiel de la santé, qu'il prétend être.

    Les vaccins sont la pierre angulaire sur laquelle les gouvernements s'appuient pour leur stratégie Covid-19, mais les vaccinations contre les virus ont une efficacité limitée et de nombreux inconvénients. On pourrait être curieux de savoir ce qui motive cette fixation pour les vaccins obligatoires comme solution, surtout compte tenu du long délai normal de mise sur le marché de ces vaccins et de l'effondrement financier concomitant qui se produit sur toute la planète.

    Selon un récent sondage, près de la moitié des Américains disent vouloir se faire vacciner contre le COVID-19; 27% disent qu'ils vont «définitivement» refuser, et 12% disent qu'ils vont «probablement» le refuser. 1 personne sur 40 - et non 1 sur 1 million - est blessée par les vaccins, et un clinicien qui administre des vaccins aura en moyenne 1,3 événement indésirable vaccinal par mois. Bien sûr, ces 40% qui ne sont pas totalement dans le train de vacciner, sont des idiots stupides pour Gates.

    Bill Gates, qui est le principal promoteur de vaccins en vie aujourd’hui, est également le plus éminent défenseur au monde de mesures de réduction rapide de la population pour éliminer des milliards d’êtres humains de la planète Terre. Vous pouvez voir cette philosophie reflétée dans son discours TED sur le gaz carbonique.

    Le Dr Joseph Mercola a publié:

    «Il semble que les mandats de vaccination contre le COVID-19 soient inévitables. Selon Reuters1, le gouvernement américain prévoit de lancer une campagne de vaccination contre le COVID-19 «écrasante» en novembre, et beaucoup - en particulier Bill Gates - ont suggéré que la vaccination de l'ensemble de la population mondiale serait probablement nécessaire pour obtenir le COVID-19 sous contrôle. Certains ont même suggéré que le vaccin soit obligatoire.3 »

    «Des milliards de dollars ont été investis dans le développement de vaccins, et il serait insensé d'imaginer que ces entreprises et ces investisseurs ne feront pas tout ce qui est en leur pouvoir pour transformer le COVID-19 en un producteur de profit, et cela pourrait bien inclure le recours à la force. On ne sait toujours pas exactement quand un vaccin sera disponible, mais cela pourrait être dès octobre ou aussi tard qu'en janvier 2021. »

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  20. M. Gates est le #one bailleur de fonds de l'Organisation mondiale de la santé, qui a retenu les informations qui leur ont été données par Taiwan le 31 décembre sur la transmission interhumaine du virus de Wuhan, a ignoré les déclarations des médecins de Wuhan dans le même sens et a déclaré le 22 janvier, que le coronavirus ne posait pas d'urgence de santé publique de portée internationale, justifiant ainsi la poursuite des voyages internationaux depuis Wuhan et la Chine. Pendant tout ce temps, l’OMS a salué la réponse de la Chine malgré son obscurcissement continu de la situation réelle. Ensuite, l'OMS a créé une panique internationale et une dépression mondiale en surestimant le taux de mortalité du COVID-19.

    Bill et Melinda Gates sont depuis longtemps la cible des anti-vaxxeurs pour leurs travaux sur la vaccination. Mais ils se moquent de toutes les personnes stupides qui contestent le récit officiel selon lequel les vaccins sont la meilleure chose qui soit jamais arrivée à la race humaine. Les vaccins valent mieux que l'amour, l'écoute et la pensée rationnelle. Les vaccins sont la pierre angulaire sur laquelle les gouvernements s'appuient pour leur stratégie Covid-19, mais les vaccinations contre les virus ont une efficacité limitée et de nombreux inconvénients.

    On pourrait être curieux de savoir ce qui motive cette fixation pour les vaccins obligatoires comme solution, surtout compte tenu du long délai de mise sur le marché de ces vaccins et de l'effondrement financier concomitant qui s'est produit sur toute la planète.

    Gates est accusé dans le grand public de chercher à développer et à distribuer un vaccin contre le coronavirus afin de pouvoir planter des dispositifs de suivi dans des milliards de destinataires. Près de la moitié des républicains pensent que c'est vrai, selon un sondage Yahoo News / YouGov réalisé en mai. Gates se considère comme un ange du vaccin, mais beaucoup le voient comme le diable du vaccin. Il niera toute allégation désagréable.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/mark-sircus/gates-suffers-from-co2-and-viral-dementia/

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  21. Nouveau rapport: les Australiens paient chaque année 1300 dollars de factures climatiques cachées


    August 28th, 2020


    Les parasites coûtent; 1300 $ par ménage chaque année en Australie
    Les Australiens pourraient économiser 13 milliards de dollars par an s’ils n’étaient pas obligés de payer pour la sorcellerie païenne du climat.

    Si le collecteur de factures frappait à la porte et exigeait 1 300 dollars chaque année pour essayer d'arrêter les tempêtes et les inondations dans un siècle, il y aurait des émeutes dans les rues. Au lieu de cela, l'argent est enterré dans la complexité et pris en tranches par le biais de factures et de reçus non étiquetés tout au long de l'année. Nous listons la TPS. Imaginez si nous listions «la taxe climatique»?

    Malcolm Roberts, un sénateur d'une nation a commandé une étude à Alan Moran pour additionner les coûts. Mais pourquoi a-t-il dû faire ça? Où étaient le Trésor, le ministre de l'Énergie, le CSIRO, l'ABC, le Parti travailliste, les premiers ministres de l'État et toutes nos universités? Apparemment, tous sont dehors pour déjeuner avec les intérêts acquis ou courir le poulet, de peur d'être appelés par des noms.

    Alan Moran fait la somme des subventions de l’État et du gouvernement fédéral, y compris les programmes d’énergie renouvelable (comme le SRET) qui facturent à chaque utilisateur d’électricité les panneaux solaires des autres. Il inclut également les coûts pour les entreprises résultant de la hausse des tarifs d'électricité - qui sont invariablement répercutés sur les consommateurs dans leurs achats. Ces pois surgelés de Coles ont une taxe cachée sur le carbone.

    Les travaillistes aiment dire «faire payer les pollueurs». Mais en fin de compte, ce sont toujours les gens qui paient, quelle que soit la façon dont les frais sont cachés. Mais les libéraux sont également complices (à quelques exceptions courageuses comme Craig Kelly). Qu'est-il arrivé au marché libre?

    Pourquoi l’énergie solaire et l’éolien sont-ils «la voie du futur», mais vingt ans plus tard, les gens doivent encore être obligés de les acheter, sinon ils feraient faillite? Ça suffit.

    Des coûts enfouis dans la hausse des prix de l'électricité
    Coût de l'électricité, Australie. Graphique. 2020. Énergies renouvelables.

    Coût de l'électricité, Australie.
    Alan Moran:

    Le prix de gros moyen pour les années 2008/09 - 2014/15 était de 45,4 $ par MWh et a plus que doublé pour atteindre plus de 92,5 $ par MWh en 2018/19. Cette augmentation est purement due à l'effet des politiques climatiques et des énergies renouvelables. Le coût du charbon n'est pas un facteur: l'offre illimitée de lignite victorienne n'est pas transportable et est tarifée à son coût minier plus la taxe d'État, qui est à tort appelée redevance et a été triplée en 2016, imposant un coût de 2 à 3 dollars. par MWh; le charbon noir de la qualité requise pour les générateurs domestiques est également abondant et son prix n'est pas fortement influencé par les tendances internationales

    - voir graphique sur site -

    Éolien solaire, coût de l'électricité renouvelable.

    C’est beaucoup d’argent que les Australiens pourraient dépenser pour d’autres choses.

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  22. Communiqué de presse:
    13 milliards de dollars de coûts cachés pour les ménages révélés
    Un rapport économique historique montre que les politiques climatiques et les subventions aux énergies renouvelables coûtent aux ménages australiens environ 13 milliards de dollars par an, soit 1300 dollars par ménage. Le sénateur Roberts a chargé l'économiste Dr Alan Moran d'utiliser toutes les données gouvernementales existantes pour examiner, pour la première fois, le coût réel des politiques climatiques.

    Le sénateur Roberts a déclaré: «Les Australiens seront choqués de savoir que le coût supplémentaire des politiques climatiques sur nos factures d'électricité est de 39%, et non de 6,5% comme le prétend le gouvernement. Utiliser les propres données du gouvernement signifie que le rapport ne peut pas être raisonnablement réfuté. "

    Le rapport du Dr Moran, Le coût caché des énergies renouvelables sur les prix de l’électricité, adopte une approche comptable globale, y compris les coûts cachés de la hausse des prix de l’énergie répercutés par les entreprises.

    Le sénateur Roberts a déclaré: «Les gouvernements ont déformé et exclu de manière flagrante des faits clés pour garder les Australiens littéralement dans l'ignorance des coûts gonflés et du manque de fiabilité futur de notre électricité. Ce qui est parfaitement clair, c'est que le coût réel de l'électricité serait de 13 milliards de dollars par an de moins, si la production de charbon fiable et bon marché n'était pas encombrée de politiques qui faussent le marché en faveur de l'énergie éolienne et solaire coûteuse et peu fiable. Des prix de l'énergie artificiellement élevés affaiblissent notre niveau de vie et sapent notre résilience économique et notre compétitivité, en particulier pendant notre reprise COVID.

    Le Dr Moran a constaté que l'éolien et le solaire dépendant des conditions météorologiques coûtent actuellement au contribuable 8 milliards de dollars par an et continuent de recevoir des subventions croissantes après deux décennies.

    Le sénateur Roberts a ajouté: «En termes de véritable économie de marché, les énergies renouvelables restent encore non viables après 20 ans et sont devenues un mauvais investissement parasitaire dans nos systèmes énergétiques. Ces subventions renouvelables faussent la production d'électricité à partir du charbon à bas prix et font passer le prix de gros de l'électricité de 45,5 dollars par MWh à 92,5 dollars par MWh, à nos frais.

    Un examen plus approfondi de la création d'emplois dans l'industrie des énergies renouvelables montre que les subventions renouvelables entraînent une perte nette d'emplois dans l'économie, car chaque emploi «vert» subventionné créé, 2,2 emplois sont perdus ailleurs dans l'économie.

    Rapport complet: Le coût caché des politiques climatiques et des énergies renouvelables

    Page Facebook de Malcolm Roberts

    Juste quelques-uns des coûts cachés:

    - voir graphique sur site -

    Coût d'électricité

    Suivez l'argent:

    Ceux qui possèdent les investissements dans les énergies renouvelables tirent les bénéfices des paiements forcés de clients réticents.

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  23. - voir graphique sur site -

    Coûts pour les ménages des programmes d'énergies renouvelables.
    Où finissent les subventions australiennes ?

    Les subventions australiennes emploient beaucoup de personnes en Chine et certaines personnes en Australie. Mais pour chaque Australien qui gagne un emploi, deux perdent le leur alors que les entreprises quittent l'Australie pour s'installer dans des pays qui ne paient pas de taxes climatiques cachées.

    http://joannenova.com.au/2020/08/new-report-australians-pay-1300-hidden-climate-bill-each-year/

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  24. Optimiste ? Le ministre de l'Énergie de l'Afrique du Sud dit utilement «l'explosion du réseau n'est pas le bon terme»


    August 28th, 2020


    L'Australie du Sud a construit des générateurs peu fiables sur un tiers de toutes les maisons de l'État. Ils sont chers, emballés dans du verre et échouent tous en même temps, généralement pour le petit-déjeuner et certainement pour le dîner. Ils échouent au hasard lorsque les nuages ??arrivent, mais échouent systématiquement toute la nuit. Quand ils travaillent, ils travaillent tous ensemble, produisant un excès d'énergie alors que personne n'a besoin d'un excès. Pour prétendre que cette poussée est utile, un milliard de dollars d'infrastructures en état de marche doit s'éteindre, réduire, faire tourner les roues et jeter de l'argent par la fenêtre.

    Il y a quelques semaines, le ministre d'État à l'Énergie de l'Afrique du Sud, Dan van Holst Pellekaan, a averti que l'État n'était qu'à quelques années d'atteindre la «demande nette négative», ce qui est une manière fantaisiste de décrire le moment où l'énergie solaire fait plus l'énergie que l'État tout entier peut utiliser. Son commentaire rassurant était «La grille qui explose n'est pas le bon terme, mais cela ne fonctionnera tout simplement pas.»

    Avec 250000 générateurs peu fiables dans l'état, l'excédent de midi est maintenant si important qu'il menace de casser des choses, de faire monter les tensions, de chasser des générateurs fiables et de gâcher généralement ce qui était un système finement réglé sur 50 ans.

    Il y a déjà tellement d’excès à l’heure du déjeuner que les tsars de l’énergie veulent éteindre à distance les panneaux solaires des gens au moment le plus productif, au grand scandale des propriétaires malheureux qui pensaient acheter quelque chose d’utile.

    Le solaire sur les toits déstabilise l'approvisionnement énergétique de l'Australie du Sud, déclare Dan van Holst Pellekaan

    par Perry Williams, The Australian,
    5 août 2020


    Un tiers des ménages de l’État ont installé des systèmes solaires sur les toits, mais la forte adoption a créé des problèmes pour le réseau à forte teneur en énergies renouvelables, le solaire générant parfois tellement d’énergie excédentaire que la demande tombe presque à zéro, déstabilisant le système électrique.

    Les résidents utilisant l'énergie solaire sont maintenant confrontés à la perspective d'éteindre leurs panneaux de toit à distance pour garantir la stabilité et la sécurité du réseau.

    «Si le réseau atteint une demande nette négative qui, dans le cadre des opérations actuelles, est prévue en Australie-Méridionale dans quelques années seulement, ce n’est pas un problème politique, ce n’est pas un problème de marché, ce n’est pas un problème environnemental. C'est en fait une question de physique et d'ingénierie », a déclaré mercredi M. van Holst Pellekaan lors d'un forum du Conseil de l'énergie intelligente. "La grille qui explose n'est pas le bon terme, mais cela ne fonctionnera tout simplement pas."

    L'Australie-Méridionale a également accéléré un calendrier pour les énergies renouvelables afin de répondre à 100% de ses besoins en électricité avec des plans pour atteindre l'objectif ambitieux d'ici 2030.

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  25. Ça n'avait pas à être comme ça
    La montée en puissance entièrement artificielle des panneaux solaires en Australie du Sud:

    Installations solaires en Australie-Méridionale vers le réseau de distribution de SA Power Networks, juillet 2008 à juillet 2020. Source: SA Power Networks.

    - voir graphique sur site -

    Pas étonnant que l'Australie du Sud ait autant de problèmes
    Le parti conservateur est maintenant en charge en Afrique du Sud, mais voici le parti sensé, qui nous dit à quel point ils sont pratiques, alors qu’ils essaient de changer le climat mondial avec des électrons verts.

    «Nous ne sommes pas soumis à des contraintes philosophiques ou idéologiques dans notre gouvernance en Australie-Méridionale», a déclaré M. van Holst Pellekaan au forum des ministres de l’énergie des États et territoires australiens. «Nous sommes contraints par la ferme conviction que nous devons aller de l'avant en ce qui concerne l'exploitation des énergies renouvelables et ce doit être d'une manière pratique qui fonctionne pour tous ceux qui participent au marché. Nous ne sommes pas enfermés dans l’idéologie. Nous sommes obligés de continuer sur la voie pour nous assurer que c'est un moyen pratique de le faire. "

    Nous ne sommes pas des idéologues, mon pied.

    C’est une projection tout en bas.

    L'argent, l'argent, l'argent

    C’est un jeu coûteux - des ajustements météorologiques mondiaux. Le coût de gestion du réseau augmente rapidement.

    Les coûts de gestion du système électrique ont grimpé à 310 millions de dollars au premier trimestre de 2020, soit plus du double du record précédent établi en 2008, consommant 8% de tous les coûts énergétiques pour la période de trois mois, contre seulement 1 à 2% historiquement. , a déclaré l'opérateur australien du marché de l'énergie.

    Ces nouveaux coûts de 310 millions de dollars sont-ils supportés par les parcs éoliens et les propriétaires de panneaux solaires?

    La solution à la déstabilisation par des générateurs peu fiables consiste à ajouter d'autres générateurs peu fiables et, en plus de cela, à dépenser 1 500 millions de dollars pour une ligne IV d'urgence d'interconnexion géante vers NSW.

    Le rapport souligne également les avantages d'un réseau interconnecté plus important à mesure que les niveaux d'énergie renouvelable augmentent. Dans le cas de l’Australie-Méridionale, le projet EnergyConnect proposé réduira considérablement les problèmes de sécurité et permettra à l’Australie-Méridionale et à NSW de profiter de leur diversité géographique grâce à leur capacité à partager les ressources lorsque cela est à leur avantage économique.

    Cela drainera une énergie peu fiable de l'Australie du Sud à l'heure du déjeuner et les jours venteux. De cette façon, la flambée peut également détruire l'économie de base de la Nouvelle-Galles du Sud. Cela signifie également que l'Australie du Sud peut prétendre être 100% «renouvelable», même si elle ne pourra pas le faire sans la rallonge d'un milliard de dollars.

    http://joannenova.com.au/2020/08/sa-energy-minister-says-helpfully-the-grid-blowing-up-is-not-the-right-term/

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