- ENTREE de SECOURS -



vendredi 14 août 2020

Un expert met en garde contre une arme américaine qui serait capable de modifier le climat

16:47 14.08.2020


Le programme de recherche américain consacré à l'étude de l’ionosphère HAARP, développé initialement comme un système de défense antimissile, pourrait devenir une arme géophysique et climatique redoutable, selon l'expert militaire russe Konstantin Sivkov.

L'expert militaire russe Konstantin Sivkov a évoqué dans les colonnes de l'hebdomadaire russe Voïenno-promychlennyï kourier les menaces éventuelles que peut présenter le système américain HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) qui serait capable de modifier le climat dans certaines régions du globe.

Initialement le HAARP était développé comme un système de défense antimissile, signale l'expert.

Le fonctionnement du système se traduit par un puissant rayonnement de micro-ondes qui permet de mettre hors de service un avion ou un projectile se trouvant dans la zone de haute tension du champ électromagnétique.

Influence sur la géophysique de la Terre


M.Sivkov signale que les essais ont démontré une capacité de l'émetteur à influer sur la géophysique de la planète et sur le climat de certaines régions. Les scientifiques expliquent cette capacité par un lien entre l'ionosphère et la troposphère.
Selon lui, le HAARP présente un problème de taille car il est actuellement impossible de prévoir quelle région du globe pourrait être impactée en cas d’utilisation.

«L'absence de méthodes efficaces de prévision sur son utilisation rend l'influence produite par l'emploi du HAARP pratiquement imprévisible, y compris pour les propriétaires du système. Quand de telles méthodes de prévision verront le jour, le HAARP deviendra une arme géophysique et climatique d'une puissance exceptionnelle», résume l'expert.

55 commentaires:

  1. Il y a plus de 20 ans ils disaient "Avant l'an 2020/2025 nous seront les maîtres du climat !"
    C'est l'invention de la Haute Technologie Scalaire de Nikola Tesla, qui consistait à pousser les nuages !
    Faire pleuvoir là où il ne pleut pas et empêcher les nuages d'aller en des régions ou pays trop arrosés !

    Les russes l'ont aussi un 'SURA' de 'Gakona'

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  2. Batteries à charge rapide : les limites de la physique

    Il faut abandonner l’idée de recharger la batterie d’une voiture électrique en moins de 5 minutes : la physique dit non.


    14 AOÛT 2020
    Par Pierre Allemand.


    On ne compte plus les annonces triomphales proclamant que la nouvelle batterie XZZ Plus (ou autre) va enfin résoudre le problème de la capacité et de la recharge rapide qui va rendre la voiture électrique aussi performante que le véhicule thermique classique avec un temps de recharge de moins de 5 minutes et une capacité kilométrique égale ou supérieure aux 800 km d’autonomie de la plupart des véhicules diesel d’aujourd’hui.

    Et nos journalistes spécialistes de la question, voyant que les voitures électriques qui demandaient 24 heures de charge au début de l’époque moderne, ont vu leur temps de charge possible passer rapidement à 12 heures, puis 6 heures, et sembler se réduire rapidement au fil du temps, affirment, sûrs d’eux : les 5 minutes sont pour bientôt !

    Eh bien non, répond le physicien. Il existe une barrière, invisible mais bien présente.

    LA RECHERCHE SUR LES BATTERIES

    La recherche tous azimuts sur les batteries est très probablement le sujet qui a déjà mobilisé le plus de ressources de recherche dans le monde depuis plusieurs dizaines d’années. Et cela sans résultat vraiment probant : le saut technologique déterminant n’a jamais eu lieu (on pourrait s’étonner de cet acharnement, mais cela sort du sujet d’aujourd’hui).

    On dit aussi que les nouvelles batteries sont le projet dont la période initiale de développement a duré le plus longtemps (150 ans ?). La raison en étant que la physique s’oppose obstinément à la découverte de batteries électriques douées de performances comparables à celles d’un modeste carburant issu de fossile.

    Le défi est simple à énoncer, mais difficile à atteindre. Il s’agit de créer une batterie possédant les caractéristiques suivantes:

    1 - Capable de stocker autant d’énergie que celle contenue dans le réservoir d’un véhicule diesel classique,?soit 60 litres de fuel, ou 48 kg.

    2 - Rechargeable en moins de 5 minutes (temps d’un plein moyen).

    3 - Ces deux premières performances ne diminuant pas pendant toute la durée de vie du véhicule.

    4 - Restant entière (solidité) pendant toute la durée de vie du véhicule.

    Malgré la formidable masse des recherches, les batteries actuelles (2020) sont encore éloignées de ces performances. Ajoutons qui plus est que la physique limite clairement les possibilités d’innovation dans ce domaine.

    Le problème essentiel, jamais d’ailleurs évoqué clairement par les constructeurs, vient de la caractéristique numéro 2. Pour le comprendre, il faut examiner ce qui se passe dans le tuyau d’une pompe lorsqu’on fait le plein de carburant.

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  3. Je veux parler du débit énergétique, c’est-à-dire de la quantité d’énergie qui doit transiter, pendant le temps du plein ou de la charge, soit dans le tuyau, sous forme de carburant, soit dans le câble de recharge sous forme d’électricité.

    Pour satisfaire à la condition numéro 2, il faut pouvoir faire passer dans le câble de recharge du véhicule électrique, une quantité d’énergie équivalente à celle qui transite par le tuyau, et c’est là que le bât blesse.

    UN DES OBJECTIFS EST IMPOSSIBLE À ATTEINDRE

    Voici pourquoi :

    Le carburant diesel classique contient une énergie libérable par combustion de 44 mégajoules soit 12,2 kWh par kilo (référence).

    Le plein (60 litres, soit 48 kilos) d’un réservoir de véhicule diesel contient donc une énergie libérable totale de :

    12,2 x 64 = 585,6 kWh

    Notons que la capacité1 des batteries équipant les voitures électriques actuelles est d’environ 50 kWh, soit de l’ordre de 10 fois moins que la valeur à atteindre ci-dessus et que la Tesla modèle 3 pourrait être équipée d’une batterie de 100 kWh, soit de l’ordre de 5 fois moins que cette valeur.

    Cependant, il faut aussi tenir compte du rendement des opérations. D’après Wikipédia, le rendement global d’un véhicule thermique sur autoroute serait seulement de 20 % du carburant aux roues. L’énergie réellement utilisable à partir du plein est donc seulement de :

    585,6 x 0,2 =117,1 kWh

    Le rendement d’un véhicule électrique sur autoroute, toujours selon Wikipédia, est nettement meilleur : il serait de 74 % de la batterie aux roues, rendement qu’il faut encore multiplier par le rendement de la recharge de la batterie qui serait de 85 %.

    Pour une comparaison équitable avec un véhicule électrique, il faut donc diviser les 117,1 kWh ci-dessus par le produit des rendement VE (moteur et recharge), et l’énergie devient :

    117,1 / (0,74 x 0,85) = 186,2 kWh

    L’énergie calculée ci-dessus doit être transférée par la pompe dans le réservoir en 5 minutes. La pseudo-puissance2 correspondant au transport dans ce temps de la même quantité d’énergie dans une hypothétique batterie à rechargement rapide (5 minutes, soit 1/12ème d’heure) sera donc de 585,6 x 12 = 2 234 kilowatts, soit environ 2,2 MW3

    Cette valeur est plus proche de la puissance d’un transformateur de moyenne puissance alimentant plusieurs centaines de foyers, que de celle d’une installation domestique (environ 12 kW pour un grand logement).

    Notons que comme il s’agit de transférer une quantité d’énergie électrique d’un générateur à une batterie, et cela dans un temps donné, le résultat de la division de la quantité d’énergie par le temps correspond bien, dans ce cas, à la puissance électrique du générateur de recharge.

    C’est une quantité d’énergie électrique importante qui doit être transférée dans un temps relativement court. Pour fixer les idées, sous une tension de 500 volts continus4, le câble de liaison entre la station et la batterie devrait supporter une intensité de 2800 ampères, ce qui apparait assez irréaliste.

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  4. En effet, même en admettant que la batterie soit modifiée pour pouvoir recevoir une charge sous 500 volts continus et 2800 ampères et que l’on puisse installer une borne de recharge fournissant ces caractéristiques, la puissance demandée (plus de 2 mégawatts) est telle que cette borne ne pourrait être installée que dans certains sites précis et peu nombreux et qu’il ne serait pas question d’installer deux bornes au même endroit, ce qui correspondrait à une puissance de 4,4 MW.

    Le câble capable de supporter les 2800 ampères demandés devrait, d’après les données de l’abaque p 14 (référence) être une barre de cuivre de 200 x 12,5 mm pour pouvoir supporter l’intensité avec un échauffement limité à 30°C au-dessus de la température ambiante. Ce genre de dispositif poserait des problèmes quasi insolubles quant à la connexion proprement dite (qualité des contacts) ainsi qu’au positionnement précis du véhicule par rapport à la barre d’alimentation.

    Reconnaissons que ces contraintes sont telles qu’elles éliminent à la fois l’existence possible de stations de recharge régulièrement réparties le long des routes, mais également celle d’une configuration des batteries et des systèmes de liaison capables de supporter ces contraintes.

    BATTERIES : LES SOLUTIONS ENVISAGEABLES

    Remplacer le cuivre par de l’argent.

    L’argent étant le plus conducteur de tous les métaux, on peut espérer diminuer la contrainte dimension du conducteur en remplaçant le cuivre par de l’argent. Hélas, les différences de résistivité entre les deux métaux sont faibles (cuivre : 1,72 µohm.centimètre, argent : 1,59 µO.cm. (référence : CRC Handbook of Chemistry and Physics 46th edition).

    Ce remplacement peut modifier au mieux de quelques pourcents les dimensions des conducteurs, sans amélioration fondamentale.

    Utiliser la supraconductivité.

    Il est possible de transporter un courant de 2800 ampères dans un matériau supraconducteur maintenu à une température inférieure à sa température critique par une circulation d’azote liquide = -195 °C. Comme la résistance d’un tel conducteur est nulle, ses dimensions peuvent être telles que le conducteur soit souple.

    L’inconvénient majeur du système est l’obligation de maintenir le conducteur à sa température de fonctionnement, ce qui impose une lourde station de réfrigération à très basse température.

    De plus, cette solution ne peut pas être étendue facilement aux conducteurs internes du véhicule, ce qui restreint l’avantage de la supraconductivité.

    Se contenter d’approcher, sans les atteindre les objectifs critiques.

    - La charge totale de la batterie est beaucoup plus difficile a atteindre qu’une charge partielle à 75 % ou même 50 %. En effet, dans ces cas, la valeur de l’énergie à transporter est multipliée par 0,75 ou 0,50, ce qui permet de réduire l’intensité dans les mêmes proportions : on passe à 2100 ampères (75 %) ou 1400 ampères (50 %).

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  5. - On peut se contenter de 10 minutes de temps de recharge, au lieu de cinq. L’intensité passe alors à 1050 A pour 75 % de charge et 700 A pour 50 % de charge.

    - On peut accepter une capacité de la batterie divisée par deux (292,8 au lieu de 585,6 kWh, ce qui correspond encore à trois fois la capacité de la batterie de la Tesla 3. On arrive alors à 350 ampères, valeur qui devient réaliste avec les moyens actuels.

    - Cette valeur peut encore être divisée par deux pour arriver finalement à 175 ampères, si on accepte de monter la tension de recharge à 1000 volts.

    Il est probable que c’est vers cette troisième solution que les constructeurs vont se tourner, en oubliant les objectifs initiaux et en acceptant une autonomie réelle réduite (300 ou 400 km ?) et un temps de recharge de 10 minutes qui devient réaliste si le nombre des stations de recharge est important, et qu’on les trouve partout, ce qui est rendu possible par l’abaissement des contraintes.

    CONCLUSION

    Ces petits calculs de coin de table montrent que les batteries des voitures électriques sont assez loin des performances d’un simple réservoir de carburant diesel.

    Par ailleurs, il faut se résigner au fait qu’elles ne pourront tout simplement pas les atteindre, non pas pour des raisons liées aux batteries elles-mêmes, mais pour des raisons de puissance de distribution. Il faudra réduire nos ambitions. Et le véhicule électrique pour tous n’est probablement pas pour demain, ni même pour après-demain.

    1 - La capacité d’une batterie est la quantité d’énergie électrique qu’elle est capable de restituer après avoir reçu une charge complète, pour un régime de courant de décharge donné, une tension d’arrêt et une température, définies. Elle est souvent mesurée (incorrectement) en ampèreheure, unité qui n’est pas une unité d’énergie.

    2 - Transférer (et non pas consommer) une certaine quantité d‘énergie en un certain temps t peut se noter E/t et a donc la dimension d’une puissance. On peut appeler pseudo-puissance le résultat de cette opération.

    3 - Attention, il ne s’agit pas d’une vraie puissance, mais du résultat de la division d’une énergie exprimée en kWh par un temps exprimé en heures. Le résultat s’exprime donc en kW et possède la dimension d’une puissance, mais il exprime une vitesse de transfert d’une énergie, et non une puissance.

    4 - Tesla et Porsche envisagent des bornes de recharge capables de recharger un véhicule en « une poignée de minutes » ce qui nécessiterait, d’après l’article en référence, une puissance d’alimentation de 600 kW.

    https://www.contrepoints.org/2020/08/14/378037-batteries-a-charge-rapide-les-limites-de-la-physique

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  6. PILES JETABLES OU RECHARGEABLES, LESQUELLES CHOISIR ?


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    14/08/2020


    Chaque année, les Français consomment 1,3 milliards de piles.

    Vous en avez plein vos tiroirs de commode. Elles traînent derrière la télévision, sur le buffet dans l’entrée, et bien sûr, il y en a plein les caisses de jouets des enfants. Elles, se sont bien entendu les piles.

    Les Français, grands consommateurs de piles

    Nous, Français, en consommons, tenez-vous bien, 1,3 milliard d’unités par an. Toujours par an, chaque foyer dépense un peu plus de 150 euros, en piles de toutes tailles et de toutes formes. À une époque, c’était la mode d’utiliser des piles rechargeables, mais celles-ci coûtaient cher, et leurs performances étaient nettement moins bonnes que les piles de type alcalines.

    Sachez que ce temps est désormais révolu. Non seulement le prix des piles rechargeables a chuté, elles sont parfois à peine plus chères que des piles alcalines de grande marque, mais en plus, elles durent souvent aussi longtemps. Pour autant, cela n’a pas de sens de passer aux piles rechargeables pour tous ses appareils. Ce serait en plus ruineux. Ainsi par exemple, on n’utilise pas de piles rechargeables dans des télécommandes. Des piles toutes simples, même premier prix, tiendront deux ou trois ans facilement.

    Quand opter pour les piles rechargeables ?

    À l’inverse, les piles rechargeables sont parfaitement indiquées pour les télécommandes des jouets, qui peuvent être très gourmandes en énergie. Même chose pour les manettes de consoles vidéo, ou encore, les appareils photos numériques. Les lampes torches font aussi d'excellentes candidates aux piles rechargeables, sauf si elles sont équipées d’ampoules LED, très peu gourmandes en énergie.

    Derrière, vous me direz, il faut les recharger, et cela consomme de l’énergie. Et bien en réalité, il n’en est rien. Charger 8 piles AA coûte, tenez vous bien... 1 centime d’euro ! Un chiffre à garder en tête la prochaine fois que vous hésiterez à acheter des piles rechargeables ou alcalines.

    http://www.economiematin.fr/news-piles-jetables-rechargeables-lesquelles-choisir

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  7. Les restrictions de verrouillage sont un test pour voir combien de tyrannie les Américains accepteront


    par Tyler Durden
    Jeu, 13/08/2020 - 23:55
    Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.com,


    Les verrouillages pandémiques sont une question compliquée, et c'est absolument délibéré. Le but de la guerre psychologique de 4e génération est de présenter à l'individu ou à la population cible un choix difficile - un scénario sans issue. Vous êtes damné si vous le faites et damné si vous ne le faites pas. J'assimile souvent cela aux coups clés dans une partie d'échecs difficile; votre objectif principal est de créer une double menace et de forcer votre adversaire à sacrifier une pièce sur une autre afin de s'échapper avec le moins de dégâts. Faites-le plusieurs fois et vous avez gagné le long match.

    La pandémie mondiale comporte de multiples aspects qui semblent conçus pour pousser notre société à prendre des «décisions sacrificielles». Nous pouvons choisir de sacrifier la vie de ceux qui sont sensibles au virus, de sacrifier notre économie ou de sacrifier nombre de nos libertés avec la promesse que l'économie et la vie seront protégées. Le choix le plus simple est toujours de donner un peu plus de liberté. Nous récupérerons tout cela finalement ... non ?

    Bien sûr, nous n'avons pas la possibilité de «choisir» quoi que ce soit lorsque nous jouons avec ce jeu. La guerre de 4e génération est censée finir par tout retirer de la population cible tout en faisant croire aux gens que c'était leur choix de donner ces choses.

    Pour être clair, ce n'est pas seulement la pandémie qui est exploitée comme levier pour conjurer ces situations. Les émeutes de gauche sont un autre exemple de crise achetée et payée pour tenter de convaincre la moitié des Américains que briser les principes constitutionnels et instituer un pouvoir gouvernemental sans précédent est en quelque sorte un sacrifice acceptable. Les émeutes et la réponse au virus fonctionnent main dans la main; l'un est créé pour amener les gauchistes à exiger le totalitarisme au nom de la sécurité publique, l'autre est créé pour amener les conservateurs à exiger le totalitarisme au nom de la sécurité publique.

    La solution finit toujours par être un gouvernement totalitaire.

    Il y a ceux qui voudraient vous faire croire que c'est le seul moyen. Le nouveau mème de propagande est:

    «Les libertariens idiots vivent dans un monde imaginaire où la liberté prime sur la sécurité en temps de crise. Nous n'avons pas le luxe de la liberté lorsque des terroristes communistes / virus mortels menacent de détruire le tissu de notre société ... »

    Semble familier ? Oui, ce récit insensé est partout sur les forums et les babillards électroniques ces jours-ci, presque comme si quelqu'un payait des gens pour l'injecter dans la discussion quotidienne. Le problème est que j'ai déjà vu tout cela. Juste après les événements du 11 septembre, l'Amérique est devenue folle pendant au moins quelques années, hyper concentrée sur la menace des terroristes tout en ignorant le plus grand danger fondamental de tout gouvernement puissant. Le nombre de protections constitutionnelles violées au nom de «battre les terroristes» était stupéfiant, et le nombre de citoyens majoritairement conservateurs applaudissant pour cela à l'époque était immense.

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  8. Les appels d'aujourd'hui à dépasser le pouvoir gouvernemental au nom de «battre le coronavirus» ou de «battre l'extrême gauche» ne sont pas différents. Dans le sillage d'une peur généralisée, les gens souffrent de crises de folie passagère qui leur permettent de rationaliser le relativisme moral et les sacrifices inutiles.

    Je n'ai jamais vraiment compris cet aspect du comportement chez certains groupes. Je n'ai jamais eu si peur de perdre la vie que j'étais prêt à tout céder, y compris ma liberté et mon avenir sur la seule chance que je puisse rester en vie un peu plus longtemps. Mais pour certains, cette peur domine chacun de leurs moments de veille.

    Pour moi, ce serait une existence tortueuse et vide. Pourquoi ces gens doivent-ils vivre de toute façon? De toute évidence, ils ne se soucient pas de leurs enfants parce qu'ils sont prêts à donner l'avenir de leurs enfants pour qu'ils se sentent plus en sécurité aujourd'hui. Ont-ils une sorte de contribution épique pour le bien de l'humanité et ils sentent qu'ils doivent faire n'importe quoi pour survivre assez longtemps pour que cela se produise? Travaillent-ils sur le traitement du cancer ou sur la voie de la paix dans le monde? J'en doute.

    Plus probablement, ils travaillent dans un immeuble de bureaux ou un McDonalds ou enseignent à la maternelle dans une école publique. Ils ne contribuent pas beaucoup, mais ils sont parfaitement disposés à échanger leur liberté et la liberté de chacun contre un peu plus de temps sur cette Terre. J'ai vu des hommes de 85 ans qui ne peuvent pas se déplacer sans un marcheur se déchaîner contre les gens qui «ne portent pas de masques» et comment ils devraient être «jetés en prison».

    Mon pote, tu as vécu pleinement ta vie. Vous vous êtes bien amusé. Pourtant, vous vous accrochez toujours si désespérément à l'existence que vous exigez la destruction draconienne des principes fondamentaux de notre société juste pour que vous puissiez passer quelques années de plus à grogner dans la misère et à manger des aliments mous ?

    Je ne dis pas que je contribue beaucoup plus en comparaison, mais je n'ai pas non plus intérêt à contrôler le destin des autres. J'essaie simplement de vivre ma vie aussi libre que possible tout en aidant à faire en sorte que les autres puissent faire de même. Et si je meurs d'un virus, alors je meurs, mais au moins je n'ai jamais aidé à l'asservissement des générations futures. Il y a beaucoup d'Américains de tous âges qui ressentent la même chose que moi; mais il y en a beaucoup d'autres qui semblent manquer cette capacité de contrôler leur peur.

    La question que je ne vois presque jamais posée dans le courant dominant en ce qui concerne la pandémie est la suivante: cela en vaut-il vraiment la peine?

    Vaut-il la peine de fermer de larges pans de l'économie américaine, menaçant des millions d'emplois, envoyant des millions de personnes dans la pauvreté, risquant un effondrement financier rapide et dégradant nos libertés fondamentales juste pour sauver 0,03 % de la population ? Et si c'était 1 % de la population ? Cela en vaudrait-il la peine alors ? Et environ 3 % ?

    La réalité est que cela ne vaut JAMAIS la peine.

    Récemment, un membre votant de la Réserve fédérale, Neel Kashkari, a fait valoir que les États-Unis ont besoin de nouveaux verrouillages rigoureux, ce qui signifie que la plupart des Américains restent bloqués chez eux pendant au moins 6 semaines avec un accès limité à l'économie. Son raisonnement ? Le taux d'épargne aux États-Unis a grimpé en flèche, donc plus d'Américains épargnent et peuvent donc gérer financièrement un autre verrouillage.

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  9. Maintenant, Kashkari est très stupide ou très mauvais. Je vais aller avec le mal. C'est juste une preuve de plus qui soutient ma position selon laquelle la Fed est un kamikaze cherchant à détruire délibérément les États-Unis au nom d'un culte idéologique (le mondialisme).

    Premièrement, le taux d'épargne ne représente pas nécessairement la majorité des Américains. Le taux d'épargne peut augmenter considérablement en raison d'une petite partie de la population, comme la classe moyenne supérieure ou le 1%, mettant de côté de grandes sommes d'argent, mais les statistiques traitent cela comme s'il représentait l'ensemble de la population. Le taux d'épargne personnelle inclut également les actions et les obligations comme «épargne», ce qui contribue également à fausser les chiffres.

    Deuxièmement, avec 30 millions d'Américains supplémentaires ajoutés aux listes de chômage après le dernier lock-out, comment pouvons-nous prendre au sérieux la récente augmentation du taux d'épargne ? Combien d'Américains de la classe moyenne moyenne ou de la pauvreté sont inclus dans cette statistique ?

    Troisièmement, même si les statistiques de la Fed étaient exactes et que la plupart des Américains épargnaient davantage, comment est-ce une excuse pour imposer des verrouillages encore plus sévères? Les gens épargnent généralement pour se préparer au pire des cas. Donc, parce qu'ils épargnent pour le pire des cas, Kashkari veut les punir avec le pire des cas, effaçant ainsi leurs économies? Encore une fois, il est stupide ou mauvais; faites votre choix.

    Tous les scénarios sans victoire sont construits sur des mensonges et de faux récits. Ils vous obligent à croire à certaines erreurs avant de vous sentir piégé par la décision qui vous est imposée.

    Kashkari affirmera que sa stratégie sera meilleure pour le pays à long terme, mais il sait très bien que l'économie s'effondrait bien avant l'arrivée du coronavirus. En fait, la Réserve fédérale a construit le cadre du crash en rendant le système endetté par des mesures de relance et des taux d'intérêt bas, puis elle a enlevé le bol de punch déclenchant une implosion de bulles, et maintenant ils sont le monde avec punch jusqu'à ce que tout le monde se noie. dans l'inflation.

    L'économie américaine a été brisée même sans les verrouillages pandémiques, il est donc inutile de renoncer à votre liberté ou à votre accès économique pour sauver le système.

    Un autre mensonge est que nous pouvons en quelque sorte éviter ou échapper au virus. Finalement, presque tout le monde va l'obtenir, ce n'est qu'une question de temps. L'espoir qu'un vaccin efficace puisse être développé en moins d'un an est illusoire, et étant donné les terribles résultats des tentatives précédentes des gouvernements pour accélérer la production de vaccins, je pense que je préfère tenter ma chance avec Covid. Même le tyran médical, le Dr Fauci, admet lui-même qu'un vaccin ne sera pas pleinement efficace et que le virus pourrait exister pendant de nombreuses années.

    Alors, pourquoi tournons-nous autour du pot ? Pourquoi fermons-nous l'économie ? Pourquoi abandonnons-nous nos libertés quotidiennes ? Qui sauvons-nous ? Personne. Les personnes qui vont mourir du coronavirus vont en mourir tôt ou tard. Si nous voulons entrer dans une discussion sur le soi-disant «bien plus grand», soyons vraiment logiques à ce sujet. La décision n'est pas si difficile lorsque vous mettez de côté la propagande et que vous y réfléchissez.

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  10. Traîner la pandémie sur des années avec des verrouillages blesse la majorité des gens. Cela accélère un krach économique qui était déjà en mouvement et entraînera des niveaux de pauvreté massifs aux États-Unis ainsi qu'une rupture de la chaîne d'approvisionnement. Cela peut même conduire à un effondrement complet.

    Pour être clair, je respecte les droits de propriété privée des entreprises qui souhaitent que les clients portent des masques ou prennent d'autres précautions dans leurs établissements. J'ai le droit de ne pas magasiner dans ces commerces si je n'aime pas ça. Les problèmes surviennent lorsque les responsables gouvernementaux tentent de FORCER les entreprises à instaurer des restrictions en cas de pandémie ou à fermer complètement. Un problème encore plus grave se pose lorsque les gouvernements tentent d'imposer des restrictions pandémiques aux individus dans leur vie quotidienne. C'est tout simplement inacceptable.

    Les décrets gouvernementaux obligeant les gens à s'éloigner socialement ou à porter des masques ou leur refusant le droit de se réunir librement, une fois institués, ne disparaîtront probablement jamais. Une fois que le gouvernement a le pouvoir de dicter vos mouvements et votre comportement comme si vos décisions à chaque instant menaçaient la «santé publique», il a le pouvoir total de faire tout ce qu'il veut.

    Bon nombre de ces ordonnances sont également prises au niveau exécutif. Aucun gouverneur d'État, aucun maire, aucun président n'a le droit de créer unilatéralement des lois et d'affirmer une autorité incontrôlée. C'est le travail des législatures d'adopter des lois qui affectent le grand public, et souvent ces lois doivent être votées par les citoyens par le biais d'initiatives de vote. Le gouverneur n'a pas plus de pouvoir pour me forcer à porter un masque qu'une certaine Karen de gauche folle dans la rue.

    Ce n'est pas que je me fiche des personnes sensibles au virus, c'est juste que je ne suis pas disposé à jouer un jeu truqué de sacrifice pour ces personnes. Non, ils n'en valent pas la peine, et je m'inclus dans cette déclaration au cas où je serais sensible au virus. Pourquoi plus de 99% des gens devraient-ils être traités comme des prisonniers afin que moins de 1% de la population puisse se sentir plus en sécurité ? Si vous êtes vraiment à risque, RESTEZ À LA MAISON, achetez en ligne et laissez le reste d'entre nous vivre notre vie.

    Je ne demanderais jamais à la majorité des gens de sacrifier leurs libertés pour mon confort personnel. Quiconque le fait est un lâche.

    https://www.zerohedge.com/political/lockdown-restrictions-are-test-see-how-much-tyranny-americans-will-accept

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  11. Le modèle pandémique - Comment l'illusion est construite


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    14 août 2020


    Cet article est basé sur mon étude et mon enquête sur les soi-disant épidémies au cours des 30 dernières années.

    Dans le cas du COVID-19, j’ai écrit au moins une pièce couvrant, en détail, chaque élément principal de l’illusion. Ici, je présente le modèle. C'est la même chose pour chaque fausse épidémie.

    UN: À travers de nombreuses réunions, exercices, séances de planification, une structure est soudée en place pour promouvoir et lancer l'IDÉE d'une épidémie. Organisation mondiale de la santé, CDC, responsables de la santé publique influents attachés aux gouvernements du monde entier, etc.

    DEUX: Il y a un prétendu incident. Une épidémie. La cause la plus évidente est intentionnellement négligée. Par exemple, la pollution de l'air épouvantable, ou les excréments grotesques et la pollution de l'urine dans une ferme industrielle de porcs géante. Au lieu de cela, le monde apprend qu'un nouveau virus a été trouvé. Les chercheurs locaux, le cas échéant, sont complétés par des chercheurs du CDC, de l'OMS.

    TROIS: Il n'y a pas de chaîne de preuves hermétique expliquant exactement comment le prétendu nouveau virus a été découvert. D'après les détails publiés, il n'y a AUCUNE preuve de découverte par des méthodes convaincantes, aucune étude unifiée appropriée de BEAUCOUP de patients supposés épidémiques.

    QUATRE: Mais l'OMS / CDC dit au monde qu'il s'agit d'une épidémie en gestation, causée par le nouveau virus. L'appareil de promotion et de propagande / médiatique passe à la vitesse supérieure. Déclarations inquiétantes.

    CINQ: Des tests de diagnostic pour le nouveau virus non prouvé sont déployés. Ils crachent de fausses «preuves» d '«infection» comme les pièces d'une machine à sous à jackpot. Ces faux positifs sont une caractéristique inhérente aux tests.

    SIX: Ainsi, tous les numéros de cas et de décès, qui sont basés sur les tests, perdent leur sens. Et… ils n'avaient déjà aucun sens, parce que le supposé nouveau virus «en cours de test» n'a jamais été correctement découvert en premier lieu.

    SEPT: Néanmoins, ces tests (plus un diagnostic inutile du globe oculaire) sont utilisés pour établir des rapports officiels sur le nombre de cas. Pendant toute la durée de l '«épidémie», les rapports continuent à arriver, et des chiffres croissants sont vantés. Dans la structure fondamentalement dénuée de sens de ces rapports, on tripote les totaux, pour les rendre plus impressionnants et effrayants.

    HUIT: De vraies personnes tombent vraiment malades et meurent, mais pour la plupart, ce sont des personnes qui meurent de maladies traditionnelles et de longue date - maladies pseudo-grippales, pneumonie, autres infections pulmonaires, etc. emballé »sous la nouvelle étiquette épidémique - par exemple,« COVID ». La description officielle de la «nouvelle maladie épidémique» - les symptômes cliniques - est suffisamment générale pour permettre facilement ce reconditionnement.

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  12. NEUF: S'il y a une nouvelle maladie, cela peut être expliqué par des causes n'ayant rien à voir avec le prétendu nouveau virus. Par exemple, une campagne de vaccination toxique. Une drogue hautement destructrice. Pesticides hautement toxiques.

    DIX: Au fil du temps, la définition de l'épidémie est arbitrairement élargie pour inclure davantage de symptômes et de caractéristiques cliniques, afin de gonfler le nombre de cas.

    ONZE: Le contrôle des informations sur «l'épidémie» est renforcé au sommet. Les têtes parlantes, de la presse et des agences de santé publique, en savent autant sur la science réelle que les lapins en savent sur les frappes de drones. Mais ils sont «en charge». Les informations dissidentes sont attaquées et censurées.

    DOUZE: Les médicaments et les procédures médicales (par exemple, les ventilateurs) utilisés pour traiter les patients sont assez nocifs. Si un vaccin est mis en place, il est également toxique. Les maladies et les décès résultant de ces attaques médicales et d’autres sont considérés comme des «cas d’épidémie causés par le virus».

    TREIZE: AU-DESSUS DE TOUTES LES AUTRES ILLUSIONS, la principale tromperie est: «l'épidémie est une maladie ou un syndrome causé par un germe». Ceci est vendu avec une propagande incessante. La plupart des gens y succombent. Ils se disputeront même entre eux pour savoir quel «il» est la cause unique de la maladie du «ça». Il n'y a pas de cause ou de maladie «ça».

    QUATORZE: Le public est vendu mensonge après mensonge sur la contagion et la «propagation» du «ça».

    QUINZE: Le public chante (comme si personne n'était jamais mort auparavant): «Les gens meurent, ça doit être le virus.»

    SEIZE: Le conte de fées du virus fonctionne toujours comme une couverture pour les crimes gouvernementaux, corporatifs ou médicaux. Il obscurcit et cache ces crimes. Par exemple, une grande usine crache une pollution épouvantable dans le sol et l'eau d'une région, et des gens tombent malades et meurent ? Attendez, disent les chercheurs, la cause est en fait un nouveau virus que personne n'a jamais vu auparavant.

    Comme je l'ai écrit au début de l'illusion COVID, la seule différence cette fois, en 2020, est le poids des mensonges, car ils ont conduit aux verrouillages et à la dévastation économique. Il s'agit du Nil occidental, du SRAS, de la grippe porcine, du Zika, en gros.

    Inutile de dire que les personnes et les groupes responsables du lancement de ces opérations illusoires doivent cacher leurs crimes.

    Les criminels ont leurs armes, bien sûr. Parmi leurs plus puissants: la maîtrise de la presse et un langage technique obscur qui prétend être pertinent. Cette langue est si dense que les non-initiés n'ont aucune chance de la pénétrer.

    Par exemple, les chercheurs peuvent bavarder pendant des heures sur leur test de diagnostic tant vanté, la PCR. Cependant, la simple vérité est que le test n'a jamais été vérifié. Le test n'a jamais été testé dans le monde réel en dehors du laboratoire.

    J'ai beaucoup écrit à ce sujet. En utilisant un petit guide appelé SCIENCE, vous «testeriez le test» en alignant, disons, un millier de patients, certains en bonne santé, certains malades d'un supposé virus. Tout virus. Des échantillons de tissus seraient prélevés sur chaque patient.

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  13. Les spécialistes de la PCR analysaient ces échantillons dans leur équipement, indiquant quels patients présentaient ce qu'ils appellent une «charge virale» élevée.

    Cela signifie que ces patients particuliers ont des millions et des millions de virus qui se répliquent activement dans leur corps, et ils seront indéniablement et visiblement malades.

    Les princes de la PCR annonceraient alors: «Les patients 3,45,65,76,132… sont tous définitivement malades.»

    Maintenant, nous annulons l’étude et voyons ce qui est quoi et qui est qui. Ces patients désignés sont-ils malades ou courent-ils des marathons? Cela s'appelle une méthode scientifique simple. Pas de gobbledygook technique.

    Ce morceau de recherche n'a jamais été fait. Cela ne sera jamais fait. C’est trop réel. Trop nu. Les partisans du PCR auraient trop à perdre, si leurs évaluations de ceux qui sont en bonne santé et de ceux qui sont malades se révélaient absurdement fausses, et leur rhétorique technique obscure sur le PCR finissait par être un charabia inutile.

    J'inclus cette illustration pour indiquer qu'il existe, en effet, des moyens d'exposer les menteurs professionnels, si vous changez de lieu sur eux, si vous utilisez le bon sens, si vous vous tenez en dehors de leurs temples auto-désignés de prétention mystique et observez à quoi ressemblent leurs mensonges. quand vous les résumez en termes humains…

    Voici une autre étude du test PCR qui n'a jamais été faite et ne le sera jamais, dans le monde réel: alignez un millier de patients, prélevez des échantillons de tissus sur eux et envoyez les échantillons à 40 laboratoires différents. Demandez aux laboratoires d'exécuter leurs RAP et d'annoncer leurs résultats spécifiques. Comparez les résultats. Vous pouvez parier que les laboratoires aboutiront à des résultats contraires.

    Cela fait partie d'un schéma: gardez les «détails scientifiques» à proximité du gilet; les garder «en interne»; ne permet pas d’études indépendantes à grande échelle qui confirmeront ou nieront les principes fondamentaux de la recherche officielle.

    COVID est une fraude de haut en bas. Du début à la fin.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/jon-rappoport/the-pandemic-pattern-how-the-illusion-is-built-2/

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  14. Tester la méthode la plus efficace pour manipuler les esprits


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    14 août 2020


    À première vue, nous sommes sur le point de faire face à l'une des campagnes de vaccination les plus agressives jamais créées. Selon Reuters1, le gouvernement américain prévoit de lancer une campagne de vaccination contre le COVID-19 «écrasante» en novembre, à condition que la Food and Drug Administration des États-Unis donne le feu vert à un ou plusieurs candidats vaccins.

    Considérant que l'ancien commissaire de la FDA, le Dr Scott Gottlieb2, fait désormais partie du conseil d'administration de Pfizer3, et que le vaccin COVID-19 de Pfizer est l'un des principaux candidats, les esprits blasés pourraient supposer que la FDA ne posera pas d'obstacles importants.

    Selon Reuters, la campagne de vaccination contre le COVID-19 «sera probablement compressée sur une courte période, environ quatre à six semaines, pour éliminer tout décalage entre le moment où les Américains sont alertés du vaccin et ensuite ils peuvent se faire vacciner. Un «haut fonctionnaire de l'administration de la Maison Blanche», non nommé, aurait déclaré: 4

    «La fine ligne que nous franchissons rend les Américains très enthousiasmés par les vaccins et les attentes manquantes par rapport au fait d'avoir un tas de vaccins dans l'entrepôt et que peu de gens le souhaitent. Vous n'entendrez peut-être pas beaucoup parler de la promotion des vaccins sur les ondes en août et en septembre, mais vous en serez submergé en novembre. »

    On ne sait toujours pas exactement quand un vaccin sera disponible, mais cela pourrait être dès octobre ou aussi tard qu'en janvier 2021. Selon le responsable de l'administration, la campagne de publicité pour le vaccin sera adaptée à des sous-groupes spécifiques de la population, selon sur les personnes, le vaccin est susceptible de bénéficier le plus. On s'attend à ce que ces détails soient dévoilés au cours des essais cliniques en cours.

    Étude en cours pour identifier les messages les plus efficaces

    L'idée que la promotion du vaccin pourrait être plus «écrasante» que ce à quoi nous sommes habitués est en outre soutenue par une étude clinique5 sur ClinicalTrials.gov, dont le but est d'identifier les «messages les plus convaincants pour l'adoption du vaccin COVID-19. "

    L'étude, menée par l'Université de Yale, testera «différents messages sur la vaccination contre le COVID-19 une fois que le vaccin sera disponible».

    Au total, 4000 participants seront randomisés pour recevoir l'un des 12 messages différents (10 variantes de messagerie, un message de contrôle et un message de base), après quoi ils «compareront la volonté déclarée d'obtenir un vaccin COVID-19 à trois et six mois. de celui-ci devenant disponible. Les inclinaisons de messagerie sous enquête comprennent: 6

    Message de liberté personnelle - Un message sur la façon dont le COVID-19 limite la liberté personnelle des gens et comment la société, en travaillant ensemble pour faire vacciner suffisamment de personnes, peut préserver sa liberté personnelle.

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  15. Message de liberté économique - Un message sur la façon dont le COVID-19 limite la liberté économique des gens et comment la société, en travaillant ensemble pour faire vacciner suffisamment de personnes, peut préserver sa liberté économique.

    Message d’intérêt personnel - Un message selon lequel le COVID-19 présente un réel danger pour la santé, même si l’on est jeune et en bonne santé, et comment se faire vacciner contre le COVID-19 est le meilleur moyen de s’empêcher de tomber malade.

    Message d’intérêt communautaire - Un message sur les dangers du COVID-19 pour la santé des êtres chers: plus il y a de personnes qui se font vacciner contre le COVID-19, plus le risque que les êtres chers tombent malades est faible. La société doit travailler ensemble et tous se faire vacciner.

    Message d'avantage économique - Un message sur la façon dont le COVID-19 fait des ravages sur l'économie et le seul moyen de renforcer l'économie est de travailler ensemble pour faire vacciner suffisamment de personnes.

    Message de culpabilité - Un message concerne le danger que représente le COVID-19 pour la santé de sa famille et de sa communauté. Par conséquent, la meilleure façon de les protéger n'est pas seulement de se faire vacciner, mais d'amener la société à travailler ensemble pour faire vacciner suffisamment de personnes. Ensuite, une question de test demande au participant d'imaginer la culpabilité qu'il ressentira s'il ne se fait pas vacciner et propage la maladie.

    Message d’embarras - Un message concerne le danger que représente le COVID-19 pour la santé de sa famille et de sa communauté: la meilleure façon de les protéger est de se faire vacciner et de travailler ensemble pour s’assurer qu’un nombre suffisant de personnes se font vacciner. Ensuite, il demande au participant d'imaginer la gêne qu'il ressentira s'il ne se fait pas vacciner et propage la maladie.

    Message de colère - Le message concerne le danger que représente le COVID-19 pour la santé de sa famille et de sa communauté. La meilleure façon de les protéger est de se faire vacciner et de travailler ensemble pour s'assurer qu'un nombre suffisant de personnes se font vacciner. Il demande ensuite au participant d’imaginer la colère qu’il ressentira s’il ne se fait pas vacciner et propage la maladie.

    Message de confiance dans la science - Un message sur le fait que se faire vacciner contre le COVID-19 est le moyen le plus efficace de protéger sa communauté, cette vaccination est soutenue par la science: si l'on ne se fait pas vacciner, cela signifie que l'on ne comprend pas comment les infections sont propagation ou vous êtes celui qui ignore la science.

    Message pas courageux - Un message qui décrit comment les pompiers, les médecins et les travailleurs médicaux de première ligne sont courageux: ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19 ne sont pas courageux.

    Bien que l'étude se soit achevée le 8 juillet 2020, les résultats n'ont pas encore été publiés. De toute évidence, ce n'est pas la première fois que des chercheurs étudient les angles de propagande les plus efficaces, mais les types de messages énumérés ci-dessus démontrent vraiment à quel point ces types de campagnes peuvent être insidieux.

    Il s’agit vraiment de manipulation - appuyer sur les bons boutons mentaux et émotionnels pour déclencher une réponse souhaitée, tout en annulant des processus de pensée plus logiques.

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  16. La propagande a déjà commencé, semble-t-il, avec USA Today publiant un article7 intitulé «Vaincre le COVID-19 en exigeant la vaccination pour tous. Ce n’est pas antiaméricain, c’est patriotique. » C'est précisément le genre de relations publiques auxquelles nous pouvons nous attendre davantage dans les mois à venir.

    L'aspect de la manipulation est tout aussi sinon plus évident dans les mesures de résultats secondaires énumérées, qui comprennent:

    Confiance des participants dans la sécurité et l’efficacité du vaccin
    Volonté des participants de persuader d’autres de se faire vacciner
    Leur peur de ceux qui n'ont pas été vaccinés
    Le jugement social de ceux qui choisissent de ne pas vacciner
    Un totalitarisme efficace repose sur le fait que vous appréciez la servitude

    Une citation du livre dystopique d'Aldous Huxley de 1932, "Brave New World", se lit comme suit:

    «Un État totalitaire vraiment efficace serait un État dans lequel le tout-puissant exécutif des chefs politiques et leur armée de dirigeants contrôlent une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints, parce qu'ils aiment leur servitude.

    La citation de Huxley commence par un article stimulant8 sur The Burning Platform qui passe en revue la montée du totalitarisme et les parallèles présentés dans des œuvres de fiction populaires. L'auteur note que le livre de Huxley est venu dans la foulée du livre d'Edward Bernays de 1928, «Propaganda» - une lecture incontournable pour quiconque s'intéresse à la compréhension des fondements historiques des relations publiques modernes. L'article souligne que, dans son livre, Bernays: 9

    «… A révélé l'existence d'un gouvernement invisible qui a utilisé la propagande pour manipuler les esprits du public afin de s'assurer que ceux qui contrôlent les leviers du pouvoir étaient en mesure de concevoir les résultats souhaités.

    Un contemporain de Huxley et Bernays était George Orwell, qui a écrit le classique culte «1984». En 1949, Huxley aurait écrit à Orwell, déclarant qu'il pensait que les dirigeants du monde «découvriraient bientôt que le conditionnement des enfants et la narco-hypnose sont plus efficaces en tant qu'instruments de gouvernement que les clubs et les prisons, et que la soif de pouvoir peut être tout aussi complètement satisfaite. en suggérant aux gens d'aimer leur servitude comme en les flagellant et en les poussant à l'obéissance. »10

    Au fond, la technocratie est un système économique et non politique. Le système repose également sur la mise en œuvre habile de l'ingénierie sociale.
    Huxley croyait que l'existence cauchemardesque présentée en «1984» était «destinée à se moduler dans le cauchemar d'un monde ressemblant davantage à celui que j'imaginais dans« Brave New World »» et que cette transition serait le résultat «d'un besoin ressenti de Efficacité accrue." Si Huxley n’a pas utilisé le mot «technocratie», c’est essentiellement ce dont il parlait.

    Technocracy 101

    La technocratie est un système d’ingénierie économique et sociale qui a vu le jour dans les années 1930 au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation.

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  17. Le cofondateur de la Commission trilatérale, Zbigniew Brzezinski, professeur à l’Université de Columbia, a introduit le concept de technocratie à la Commission en 1973, avec le soutien financier de David Rockefeller. Les technocrates ont fait avancer silencieusement et sans relâche depuis lors, et leur programme devient de plus en plus visible.

    Au fond, la technocratie est un système économique et non politique. Il appelle en fait, voire exige, le démantèlement total du système politique, qui comprend la Constitution américaine. En fait, la Constitution est la seule chose qui a tenu la technocratie à distance aussi longtemps aux États-Unis.

    Le système repose également sur la mise en œuvre habile de l'ingénierie sociale. Une fois pleinement mis en œuvre, les gens n'auront pas la capacité de le combattre efficacement, mais d'ici là, grâce à la désobéissance civile pacifique, au partage d'informations et à l'exercice du pouvoir politique, nous avons encore une chance de l'empêcher.

    Le temps presse cependant. Comme le note The Burning Platform11, «Depuis le 11 septembre, les États-Unis se sont résolument tournés vers la vision d'Orwell en 1984» et «Nous vivons maintenant une fusion dystopique du pire des deux romans», en référence à «1984 »Et« Brave New World ».

    Malheureusement, beaucoup ne peuvent toujours pas avoir une vue d'ensemble, ni comprendre le danger ultime dans le monde réel du respect inconditionnel de recommandations et de mandats de plus en plus illogiques et étouffant la liberté.

    La technocratie exige l'abolition des systèmes politiques

    Sous le régime technocratique, les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident quelles ressources les entreprises peuvent utiliser pour fabriquer certains produits, et quels produits les consommateurs sont finalement autorisés à acheter. La technocratie est essentiellement un système économique basé sur les ressources dans lequel l'énergie et l'ingénierie sociale dirigent l'économie plutôt que des mécanismes de tarification tels que l'offre et la demande.

    Patrick Wood - économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain - a consacré toute sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart de la folie que nous constatons actuellement, et qui a été exacerbée par la pandémie COVID-19. Je rentre plus en détail sur la technocratie dans mon entretien avec Patrick Wood.

    Ses deux livres, «Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation» et «Technocracy: The Hard Road to World Order» approfondissent ce nouvel ordre mondial. Vous pouvez écouter notre interview ci-dessous.

    Télécharger la transcription de l'entrevue
    La science a été utilisée à mauvais escient pendant des décennies

    Surtout, la science est un outil principal utilisé pour manipuler la société et maintenir le moteur économique en marche sous le système technocratique. Comme l'explique Wood, la technocratie utilise la science pour émettre des suggestions, pour commencer. Mais ces suggestions se transforment rapidement en mandats, et c’est précisément ce que nous avons vu pendant cette pandémie. Nous avons également vu cela avec les vaccins en général.

    Mais la pandémie COVID-19 a également révélé qu'il existe un plan beaucoup plus vaste qui comprend des identifications numériques implantables, des dossiers médicaux et des passeports vaccinaux, une monnaie numérique et des services bancaires - qui seront finalement liés ensemble afin que les algorithmes et l'automatisation puissent garder tout le monde en ligne, partout, tout le temps.

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  18. Règle par algorithme

    Un outil important utilisé pour faire avancer l'agenda technocratique est ce que Huxley a souligné, à savoir l'efficacité. Au nom de l'efficacité et de la commodité, nous sommes inondés d'une quantité toujours croissante de technologies «intelligentes» qui suivent tout ce que tout le monde dit et fait, et d'une intelligence artificielle qui trie, interprète et émet des recommandations basées sur toutes ces données.

    Cette infrastructure technologique est cruciale pour la technocratie, car le but ultime est essentiellement d'automatiser l'esclavage. L'idée est que la société sera gouvernée par des algorithmes automatisés, rendant ainsi une structure politique inutile. Tout le monde sera automatiquement mis en ligne grâce à la technologie.

    Par exemple, vous pourriez être informé par SMS qu'il est temps de vous faire vacciner chaque année. Vous y allez, prenez le vaccin et recevez un certificat de vaccin numérique. Si vous avez l’idée brillante de refuser, vos comptes bancaires sont automatiquement gelés, le laissez-passer électronique de votre bureau ne fonctionnera pas et vous ne serez pas autorisé à passer par le point de contrôle électronique de l’épicerie.

    Aucune autorité humaine n'est requise dans ce système. Il n'y aura personne à qui se plaindre ou avec qui débattre. Vous êtes mis en conformité par le fait que vous devez faire certaines choses pour être autorisé à participer à la société. Cela semble fou, mais si vous regardez autour de vous, vous verrez des preuves claires que ce système a été lentement mis en œuvre autour de nous, pendant des décennies.

    Et, lorsque vous regardez les déclarations de personnes comme Bill Gates, en conjonction avec les technologies que lui et d'autres mettent en œuvre dans diverses parties du monde (telles que l'identification numérique, la monnaie, les certificats de vaccination et les dossiers médicaux, ainsi que les puces implantables pour suivre présence des employés, appareils intelligents et villes intelligentes entières, pour n'en nommer que quelques-unes), vous pouvez commencer à voir comment la boucle de contrôle se referme autour de nous.

    Dans son livre, «L'ère du capitalisme de surveillance», la professeure Shoshana Zuboff expose les capacités d'étourdissement actuellement disponibles pour surveiller, analyser et manipuler notre comportement. Il est essentiel de réaliser que, aussi mauvais qu’aujourd’hui, le pouvoir prédictif de la technologie progresse à un rythme exponentiel, ce qui signifie que leur capacité à manipuler le comportement augmente à un rythme que nous ne pouvons pas pleinement comprendre.

    Reprendre le contrôle du gouvernement local est essentiel

    Surtout, les technocrates sont en train de mettre fin à la souveraineté nationale. Plutôt qu’un assaut frontal contre le système, qui n’a jamais été couronné de succès, ils ont simplement érodé la souveraineté nationale morceau par morceau. Que pouvons-nous faire pour contrecarrer la marche régulière de la technocratie?

    Comme l'explique Wood, le moyen le plus efficace est l'activisme local. Le système technocratique a été construit de bas en haut, nous ne pouvons donc pas le démolir de haut en bas. Ils sont déjà bien trop puissants pour cela. Donc, pour entamer le processus de démantèlement, nous devons reprendre le contrôle de nos gouvernements locaux et progresser à partir de là.

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  19. L'un des élus locaux les plus importants dont vous devriez vous préoccuper est votre shérif. Les shérifs sont responsables de l'application des décrets tyranniques des gouvernements locaux, étatiques et fédéraux, et s'ils choisissent de ne pas le faire, le gouvernement n'a aucun pouvoir. Les conseils municipaux ont également beaucoup de pouvoir. Ils peuvent adopter des résolutions contraignantes pour protéger les citoyens contre l'agenda technocratique.

    1 personne sur 40 est blessée par les vaccins

    Pour en revenir à la question du vaccin COVID-19, je vous exhorte à garder la tête froide une fois que la machine PR prend de la vitesse. Relisez les messages de propagande (ci-dessus) et familiarisez-vous avec eux afin de pouvoir identifier les boutons qu'ils essaient d'appuyer.

    N'oubliez pas que les vaccins COVID-19 actuellement en développement n'ont jamais été homologués pour un usage humain et qu'il n'y a aucun moyen de déterminer quelles pourraient être les ramifications à long terme lorsque vous transformez votre corps en une usine de protéines virales. J'ai discuté de la théorie derrière les vaccins à ARNm dans plusieurs articles précédents, y compris "Gates tente de justifier les effets secondaires du vaccin accéléré."

    Les efforts de vaccination contre le coronavirus se sont accélérés au début de 2002, à la suite de trois épidémies de SRAS. Cependant, de tels efforts se sont révélés très problématiques car les vaccins contre les coronavirus ont une tendance obstinée à déclencher des réponses immunitaires paradoxales.

    Dans mon entretien avec Robert F.Kennedy Jr., qui préside le conseil d'administration de Children’s Health Defence, 12 il a passé en revue certains des efforts ratés pour produire un vaccin viable contre le coronavirus et a souligné les dangers de l'exagération vaccinale de la réponse immunitaire:

    «Les Chinois, les Américains, les Européens se sont tous réunis et ont dit:« Nous devons développer un vaccin contre le coronavirus. »Vers 2012, ils avaient environ 30 vaccins qui semblaient prometteurs. Ils ont pris les quatre meilleurs d'entre eux et… ont donné ces vaccins aux furets, ce qui est la plus proche analogie lorsque vous regardez les infections pulmonaires chez les êtres humains.

    Les furets avaient une réponse anticorps extraordinairement bonne, et c'est la métrique par laquelle la FDA autorise les vaccins ... Les furets ont développé des anticorps très puissants, alors ils se sont dit: «Nous avons touché le jackpot.» Ces quatre vaccins ... ont fonctionné comme un charme.

    Puis quelque chose de terrible s'est produit. Ces furets ont ensuite été exposés au virus sauvage et ils sont tous morts. [Ils ont développé] une inflammation dans tous leurs organes, leurs poumons ont cessé de fonctionner et ils sont morts.

    Alors s'il vous plaît, passez en revue TOUTES les études vaccinales AVANT de recevoir le vaccin COVID car, d'après ce que j'ai lu, cette partie essentielle de l'étude - s'assurer qu'aucune amélioration paradoxale du système immunitaire ne se produira - n'a pas encore été réalisée.

    Même avec les vaccins fabriqués de manière conventionnelle, les données du département américain de la Santé et de l'Agence des services humains pour la qualité de la recherche en santé suggèrent que les vaccins sont endommagés dans 2,6% de toutes les vaccinations. Cela signifie qu’une personne sur 40 - et non une personne sur un million, comme on nous l’a répété à maintes reprises - est blessée par les vaccins. Kennedy Jr. a examiné ces données lors d'un récent débat en ligne sur les vaccins13 avec l'avocat et juriste Alan Dershowitz.

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  20. Le tribunal américain des vaccins a également versé 4 milliards de dollars à des patients endommagés ou tués de façon permanente par les vaccins, et ce n'est qu'une petite partie de toutes les affaires classées. Selon Kennedy, moins de 1% des personnes blessées se rendent au tribunal, en raison de la barre élevée fixée pour prouver le lien de causalité.

    Les nouveaux vaccins à ARNm COVID-19 seront-ils plus dangereux que les vaccins conventionnels ou seront-ils plus sûrs ? Étant donné que ces vaccins sont accélérés et qu'ils renoncent à tous les tests traditionnels sur les animaux et à l'évaluation à long terme, je soupçonne qu'ils pourraient finir par avoir des complications beaucoup plus imprévues.

    Ainsi, à mesure que la campagne de vaccination se déroule, n'oubliez pas de peser les risques et les avantages potentiels qui pourraient s'appliquer à votre situation particulière, et évitez de tomber dans le piège des déclencheurs émotionnels.

    Indépendamment de ce que vous décidez, essayez également d'accepter les décisions personnelles des autres. La campagne de relations publiques essaiera clairement de vous manipuler pour faire craindre ceux qui ont choisi de ne pas vacciner, et vous incitera à les condamner. Espérons que le fait de savoir que vous êtes manipulé aidera à atténuer ces tendances.

    Sources and References

    1, 4 Reuters July 30, 2020
    2 FDA.gov Scott Gottlieb
    3 Pfizer June 27, 2019
    5, 6 Clinicaltrials.gov COVID-19 Vaccine Messaging, Part 1, Identifier: NCT04460703
    7 USA Today August 10, 2020
    8, 9, 10, 11 The Burning Platform, Are You Loving Your Servitude?
    12 Children’s Health Defense Board of Directors
    13 YouTube Vaccine Debate — Kennedy Jr. vs Dershowitz, July 23, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/joseph-mercola/testing-the-most-effective-method-to-manipulate-minds/

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  21. REGARDER: la Nouvelle-Zélande déplacera tous les «cas covid» vers les «Centres de quarantaine»


    13 août 2020386


    Le gouvernement néo-zélandais a annoncé hier que TOUS les cas d'infection à Sars-Cov-2 «doivent être gérés dans une installation de quarantaine».

    - voir clip sur site -

    Le Directeur général de la Santé, le Dr Ashley Bloomfield, a fait ces annonces lors d'une conférence de presse hier (12 août). À ce jour, la Nouvelle-Zélande compte 36 cas actifs * d'infection présumée à coronavirus. Cela n'a pas empêché le gouvernement de verrouiller Auckland, la plus grande ville du pays.

    En vertu de l'article 70 de la loi sur la santé, le gouvernement néo-zélandais a le pouvoir de contraindre les gens à se mettre en quarantaine contre leur gré. Selon un rapport de stuff.co.nz, les centres de quarantaine ont, entre autres, «une sécurité plus stricte» que les hôtels d'isolement.

    Selon le Dr Broomfield, les nouvelles règles de quarantaine:

    S'appliquera à tous les cas testés positifs ainsi qu'aux membres de la famille susceptibles d'être à risque, le cas échéant.

    Un rappel que les tests PCR sont incroyablement peu fiables et peuvent renvoyer un très grand nombre de résultats faux positifs.

    Néanmoins, si vous êtes en Nouvelle-Zélande, obtenez un test positif ou présentez des symptômes respiratoires, vous et votre famille serez emmenés de force dans un camp de «quarantaine». Combien de temps et si vous partirez en vie est une estimation pour quiconque.

    Combien de temps avant que d'autres pays commencent à faire cela?

    Combien de temps avant un «PCR positif» est l'excuse pour expédier tous les dissidents et les non-conformes en «quarantaine», où, malheureusement, cette sacrée couronne les voit au loin?

    * Mise à jour le 13 août à 16h15 pour fournir un meilleur lien et un décompte des cas plus précis.

    https://off-guardian.org/2020/08/13/watch-new-zealand-to-move-all-covid-cases-to-quarantine-centres/

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  22. Victoria: l'autocratie Covid de l'Australie

    Les libertés, une fois abandonnées, peuvent être impossibles à récupérer.


    NICK CATER
    JOURNALISTE
    13 août 2020


    LE MONDE POLITIQUE À DISCOURS GRATUIT

    La pandémie révèle de plus en plus de vérités inconfortables de jour en jour, comme notre volonté d'abandonner nos libertés et nos traditions au premier souffle de la mitraille.

    Les gouvernements qui se méfient des citoyens ont été trop prompts à réagir aux risques pour la santé publique par la coercition, plutôt que de simplement faire appel à un peuple à l'esprit civique pour qu'il fasse ce qu'il faut.

    En Australie, il y a eu un niveau de contrôle officiel rarement observé depuis l'époque des condamnés. Il n'y a pratiquement pas eu d'opposition. Un peuple autrefois prêt à faire le sacrifice ultime de vies pour défendre la liberté abandonne sa liberté sous prétexte de sauver des vies.

    Il nous enseigne que lorsque nous nous dispensons des freins et contrepoids qui rendent les gouvernements démocratiques meilleurs qu'ils ne pourraient l'être autrement, il y a une augmentation exponentielle du nombre et de l'ampleur des erreurs induites par l'État.

    La pièce A est l’État de Victoria, où le Covid-19 s’est récemment répandu dans la communauté dans ce que l’on pourrait appeler une deuxième vague s’il y avait eu une première vague, ce qui n’était pas le cas.

    Lorsque la Grande-Bretagne, les États-Unis et une grande partie de l'Europe étaient aux prises avec des épidémies massives en avril, l'Australie et la Nouvelle-Zélande avaient le virus sous contrôle grâce en grande partie à la fermeture rapide des frontières.

    Cela aurait pu rester ainsi sans une violation de la sécurité de la quarantaine à Melbourne, où une surveillance inadéquate des Australiens de retour en quarantaine dans un hôtel a permis aux personnes infectées de s'échapper.

    Les pertes en vies humaines ont jusqu'à présent été légères: environ 40 décès par million à Victoria et moins de 15 dans le reste de l'Australie, contre environ 700 en Grande-Bretagne et environ 500 aux États-Unis.

    Pourtant, le risque élevé était suffisant pour le premier ministre de Victoria, Dan Andrews, de déclarer l’état de catastrophe pour la deuxième fois seulement dans l’histoire de Victoria. Andrews, incidemment, était responsable de les déclarer tous les deux.

    Victoria est devenue une autocratie du jour au lendemain, accordant un pouvoir illimité à un premier ministre qui n'avait pas de comptes à rendre au Parlement et affranchi de l'état de droit. La police est passée des citoyens en uniforme à ceux qui font appliquer les déclarations ministérielles, la plupart étant assez absurdes.

    Melbourne est devenue la première ville d'Australie à être soumise à un couvre-feu. Les prédécesseurs d'Andrews n'en ont pas eu besoin pendant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la pandémie de grippe espagnole ou la grève de la police de 1923 lorsque des foules violentes se sont déchaînées dans la ville et ont renversé un tramway.

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  23. Pourtant, l'épidémie de virus en provenance de Chine, qui tue actuellement une petite proportion de ceux qu'elle affecte dans la population générale, et un pourcentage négligeable de personnes en dessous de l'âge de la retraite, a été considérée comme suffisamment grave pour suspendre la démocratie et l'état de droit.

    Le pont sur la rivière Murray sur l’autoroute Hume reliant la ville victorienne de Wodonga et d’Albury en Nouvelle-Galles du Sud est devenu le Checkpoint Charlie australien, le monde libre d’un côté et la tyrannie de l’autre.

    Ceux qui sont tentés de traverser à la nage doivent savoir que la police et les réservistes de l’armée patrouillent dans les rives nord du Murray avec l’aide d’hélicoptères et de drones. Jusqu'à six mois de prison attendent ceux qui n'ont pas de papiers.

    Les résidents de Melbourne qui quittent leur domicile entre 20 heures et 5 heures du matin font face à une amende de 5 000 dollars, imposée par la police et non par les tribunaux. Des amendes seront également infligées à quiconque: a) est pris sans masque; b) des exercices pendant plus d'une heure; c) se promène à plus de 5 km de la maison; d) est jugée par la police comme faisant des achats excessifs dans le petit nombre de magasins autorisés à rester ouverts; e) se marie; f) nuitées dans la maison d'une personne autre que leur partenaire intime désigné; g) va à la pêche; ou h) joue au golf.

    Comme le méchant dans un roman dystopique, le premier ministre démocratiquement élu de Victoria interfère avec la vie privée des citoyens d’une manière que la plupart des gens auraient imaginée impossible dans une nation établie par les héritiers de la Magna Carta.

    Dans son livre magistral sur l'Anglosphère, Dan Hannan a fait l'éloge de l'Australie comme pays où la philosophie libertaire de John Stuart Mill s'est concrétisée. Hannan voudra peut-être revenir sur ce point, alors que Victoria bat record après record dans la lutte contre l'illibéralisme, utilisant tous les instruments disponibles de surveillance moderne pour garder ses citoyens sous contrôle.

    Si le premier ministre et ses fonctionnaires savent combien de cas d'infection peuvent être tolérés, ils la cachent aux citoyens. Personne ne sait combien de temps les mesures de verrouillage prendront fin ni ce qui va suivre.

    Les conséquences pour l’économie victorienne, qui représente un quart du PIB australien, augmentent de façon exponentielle. Le prix de la fermeture d'une entreprise aujourd'hui est la perte d'opportunités futures. Les effets de cette récession se feront sentir pendant au moins une génération. Les effets les plus meurtriers du virus peuvent être réservés aux personnes âgées et malades, mais les plus grands perdants seront ceux qui sont dans la fleur de l'âge.

    Une grande partie de ce que nous perdons ne peut être comptée en dollars et en cents. Les libertés, une fois abandonnées, peuvent être impossibles à récupérer.

    Nous déshonorons les victimes des premières tyrannies pour faire des comparaisons, aussi tentantes que cela puisse être.

    L'hypothèse de pouvoirs d'urgence pour combattre une menace réelle ou exagérée est la plus ancienne astuce du manuel du despotisme. Les pays gouvernés par la tyrannie sont souvent ceux dont des millions de personnes aspirent à fuir, tout comme ils le font actuellement à Victoria, ne serait-ce que pour des vacances.

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  24. L'érosion des démocraties commence généralement par la suspension indéfinie du parlement, comme l'a été le parlement de l'État de Victoria.

    Les autocrates sont attirés par les économies à planification centrale, avec l'inévitable inadéquation entre l'offre et la demande. Les résidents de Victoria, le bol alimentaire de l'Australie, sont confrontés à des pénuries de viande et d'autres produits essentiels et à la perspective d'un rationnement pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale.

    Les autocraties sont connues pour la prolifération des permis et le contrôle des papiers. À Victoria, un permis est nécessaire pour voyager, travailler ou traverser la frontière. Les militaires sont utilisés comme policiers auxiliaires, les pouvoirs de la police ont été considérablement accrus et des amendes punitives ont été introduites.

    Les citoyens sont encouragés à agir comme des informateurs contre leur employeur et aussi contre leurs voisins.

    Il n'y a pas eu une seule garantie que tout ou partie de ces lois de répression seront abrogées.

    Ceux qui ont grandi avec la fierté de leur pays et de son rôle dans le dépassement des grandes tyrannies du XXe siècle sont naturellement choqués de voir à quel point nous semblons prêts à nous rendre pour des avantages qui ne sont pas encore spécifiés.

    Nous ne devons pas être surpris du respect tacite des médias qui, dans l’ensemble, n’ont pas jugé bon de contester les mesures. Les journalistes, comme certains politiciens, ont un intérêt professionnel à exagérer la menace. «All quiet on the Covid-19 front» n’est pas une histoire digne de la première page.

    Avec le temps, le verrouillage draconien et illibéral de la quatrième étape de l'administration Andrews en viendra à être considéré comme une erreur administrative monstrueuse qui a aggravé les effets des erreurs qui ont permis au virus de se déchaîner.

    Espérons au moins que le verrouillage ralentisse le taux général d’infection, puisque le gouvernement semble incapable de protéger les résidents des maisons de retraite par d’autres moyens.

    Même si c'est le cas, on est obligé de se demander si le résultat valait les mois qui se seront ajoutés à la récession, au gonflement des rangs des chômeurs de longue durée et au rétrécissement du secteur des petites entreprises, moteur de la économie. Et les libertés que les citoyens ont été contraints d'abandonner, sans aucune garantie de les récupérer.

    Nick Cater est directeur exécutif du Menzies Research Center et chroniqueur à l'Australian.

    https://www.spiked-online.com/2020/08/13/victoria-australias-covid-autocracy/

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  25. La tentative de coup d'État COVID de 2020


    par Tyler Durden
    Jeu, 13/08/2020 - 22:35
    Rédigé par Angelo Codevilla via RealClearPolitics.com,


    Ce que l'histoire enregistrera comme le grand coup d'État du COVID de 2020 est basé sur des mensonges et la peur fabriqués par la classe dirigeante américaine - dirigée par le Parti démocrate et aidée par la complaisance de la plupart des politiciens républicains.

    En mars, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centers for Disease Control (CDC) américains ont présenté le coronavirus au monde occidental comme un danger équivalent à la peste. Mais l’expérience de la Chine, que son gouvernement a obscurcie, avait déjà montré que le COVID-19 ressemblait beaucoup moins à la peste qu'à la grippe. Tout ce qui s'est passé depuis a résulté de la falsification de cette vérité fondamentale.

    Les Américains ont été amenés à croire que le virus était inhabituellement contagieux et qu'il tuerait jusqu'à une personne sur 20 qu'il infectait - un taux d'infection / mortalité (IFR) de 5%. Aujourd'hui, nous n'avons toujours pas de connaissance définitive et directe de la véritable létalité du COVID-19. L'absence de cette connaissance permet aux bureaucrates de continuer à semer la peur.

    En mai, une multitude d'études aux États-Unis et dans le monde montrant que la grande majorité des cas de COVID provoquent des symptômes légers ou inexistants et montrant que l'IFR est égal ou inférieur à celui de la plupart des grippes, a forcé le CDC à conclure que le taux de létalité, loin d'être 5 pour cent, était de 0,26% –– le double de celui d'une grippe typique. Au lieu de modifier leurs recommandations face à cette réalité, le CDC et le gouvernement américain ont tenté de la cacher en manipulant la définition et le nombre de «cas» COVID.

    Les responsables fédéraux ont défini les «cas» comme des personnes suffisamment malades pour être hospitalisées et qui ont également été testées positives pour le virus - cela représentait la «courbe» que nous avons été exhortés à sacrifier tant pour «aplatir», de peur qu'une vague d'hospitalisations ne submerge nos soins de santé système. Cette vague n'est jamais venue. Le CDC et le gouvernement fédéral ont commencé à qualifier de simples infections de «cas» et ont cessé de signaler des «cas» avec le nombre de décès. Ils ont fait cela pour effrayer le public inattentif à propos de «l'augmentation des cas de COVID». Ils ont également gonflé le nombre de décès attribués au COVID en incluant des maladies telles que la pneumonie et la grippe et d'autres dans les chiffres des décès.

    En réalité, ceux qui sont décédés avec ou du COVID-19 souffraient presque toujours d'autres maladies, telles que le diabète de type 2, l'hypertension artérielle et les poumons affaiblis, en plus d'être âgés et infirmes. L'effet du COVID-19 sur les personnes en bonne santé ordinaires est considérablement plus léger que ceux des maladies respiratoires ordinaires.

    Le COVID-19 n’est pas le fléau de l’Amérique. Il n'y a jamais eu la moindre preuve que le virus pouvait faire des victimes massives; toutes les preuves pointaient dans la direction opposée. Au lieu de cela, la classe dirigeante a saisi cette occasion pour extorquer le respect par le grand public de ses agendas. Leur prétention de parler au nom de la «science» est une tentative d’éviter d’être tenus responsables des énormes torts qu’ils font. Ils continuent de le faire parce qu'ils veulent conserver le pouvoir que la panique leur a apporté.

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  26. En somme, les verrouillages ont été infligés et perpétués par des personnes qui se soucient plus de votre subjugation que de votre santé. Ils veulent détruire l’économie américaine et augmenter les chances du Parti démocrate aux élections de 2020. Et ils pourraient réussir.

    Les élections de 2016 ont soulevé la possibilité que les énormes pouvoirs de la présidence puissent être utilisés pour démanteler le réseau de prestige et de privilèges de la classe dirigeante. En réponse, les élites ont lancé ce qui s'apparentait à une «presse judiciaire complète» contre l'administration Trump, traitant tout ce qui concerne l'administration comme illégitime. Malgré tous leurs efforts, l'économie américaine a explosé. Les cotes d'approbation de Trump ont augmenté. Alors que 2020 se levait et que Trump semblait être un jeu d'enfant, la gauche politique et ses alliés cherchaient des moyens de lui nuire.

    COVID-19 était l'occasion parfaite de produire, d'attiser et de maintenir la peur à la recherche du pouvoir. En bref, la classe dirigeante a utilisé le coronavirus pour effondrer la vie américaine. Nous vivons un coup d’état basé sur le plus ancien des stratagèmes: déclarer les situations d’urgence, suspendre la loi et les droits et édicter des règles de comportement arbitraires pour excuser la prise de «pleins pouvoirs».

    La vérité et la clarté sur le coup d'État COVID de 2020 sont nécessaires pour que les États-Unis surmontent ses effets. Les Américains sont impatients de connaître la vérité sur ce qui s'est passé et sur ce qui se passe encore. Les mensonges sur lesquels cette escroquerie est basée sont si minces et les ressources pour établir la vérité si abondantes que quelques dirigeants courageux dans des endroits clés peuvent suffire.

    Par exemple, rien n'empêche le Sénat de fonctionner comme une commission de vérité concernant le coup d'État du COVID. Étant donné que l'arnaque au virus est basée sur des mensonges et des fausses déclarations de personnes de pouvoir et de prestige considérables, des experts interrogés sous serment devant des caméras de télévision peuvent permettre aux Américains de juger par eux-mêmes pourquoi des «experts médicaux» ont stigmatisé ceux qui se rendaient à la plage et à l'église - sans s'opposer, plus tard. , aux émeutes encore plus nombreuses d'Américains dans les rues.

    Les gouverneurs d'État peuvent également fournir un leadership pratique pour motiver, guider et légitimer la vie indépendamment de notre classe dirigeante dysfonctionnelle. Plusieurs États américains n'ont jamais fermé leurs portes, tandis que d'autres ont réduit leurs activités beaucoup moins que la Californie et New York. À l'instar du gouvernement suédois, les responsables de ces États ne croyaient pas que le COVID-19 était le fléau et considéraient la responsabilité individuelle comme la garantie la plus sûre de la sécurité pour tous. En effet, le public gagnerait à voir les gouverneurs de ces États défendre leurs perspectives très différentes sur la pandémie de COVID - et les résultats de leurs politiques et décisions.

    Un calcul honnête, si nous pouvons en obtenir un, révélera que l'expérience COVID-19 en Amérique n'a porté que de manière tangentielle sur la santé. Il s'agissait, principalement, d'une campagne politique basée sur le prétexte de la santé mais dédiée au maintien du contrôle de l'élite - et elle a fait beaucoup plus de dégâts et causé plus de misère que le coronavirus lui-même.

    https://www.zerohedge.com/political/attempted-covid-coup-2020

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  27. La Suède frappe le COVID-19 «Triple Whammy»: pas de verrouillage, de faibles décès et des dommages économiques minimes


    par Tyler Durden
    Ven, 14/08/2020 - 05:30


    Peut-être le plus grand exemple des préjugés inhérents aux médias occidentaux entourant sa couverture de l'approche de la Suède pour lutter contre le COVID-19. De nombreux médias ont dénoncé le taux de mortalité "massif" du pays par rapport à ses voisins favorables au verrouillage, mais n'ont pas réussi à ajouter le contexte nécessaire pour voir que la différence n'était que de quelques milliers de décès et que le taux de mortalité par habitant de la Suède était toujours inférieur à La Grande-Bretagne et d'autres pays qui ont favorisé les verrouillages.

    Quand Anders Tegnell, l'architecte de la stratégie suédoise, a déclaré lors d'une interview qu'il aurait fait les choses «différemment» si on lui avait donné une seconde chance, la presse occidentale, y compris le NYT, s'est empressée de présenter cela comme un aveu de culpabilité pour ne pas avoir commandé. les types de verrouillages restrictifs observés dans d'autres pays européens. Tegnell a précisé plus tard que ce n'était pas du tout ce qu'il voulait dire.

    De plus, en Suède, le nombre de décès est presque nul. Et comme l'économie du pays est restée ouverte pendant tout ce temps, il y a peu de risque de résurgence lorsque les restrictions minimales encore en place seront finalement levées.

    Dans une chronique publiée jeudi, Allister Heath du Telegraph a fait valoir que le succès de la Suède dans la lutte contre le virus tout en minimisant les dommages économiques élucide la profondeur de l'incompétence de l'establishment médical britannique, car ce sont les experts de la santé britanniques dont le PM Johnson a suivi assidûment les conseils.

    Lisez un extrait de la colonne ci-dessous (avec l'aimable autorisation du Telegraph):

    Alors maintenant, nous le savons: la Suède a largement raison et l'establishment britannique a complètement tort. Anders Tegnell, l'épidémiologiste-roi de Stockholm, a réussi un triple coup dur remarquable: beaucoup moins de décès par habitant que la Grande-Bretagne, un maintien des libertés et des opportunités fondamentales, y compris la scolarisation, et, plus frappant, une récession moins de la moitié aussi grave que la nôtre .

    Nos quangocrates arrogants et nos «experts» d'État devraient baisser la tête de honte: leur réaction au coronavirus a été l'une des plus grandes bévues de politique publique de l'histoire moderne, plus grave même que l'Irak, l'Afghanistan, la crise financière, Suez ou le fiasco du MCE. Des millions de personnes perdront leur emploi à la fin du congé; des dizaines de milliers de petites entreprises échouent; l'école est dans le chaos, avec des notes de niveau A partout; un grand nombre sont susceptibles de mourir de maladies non traitées ou non détectées; et nous avons assisté au premier exode d'étrangers depuis des années, l'enquête sur le marché du travail suggérant un déclin des adultes nés hors du Royaume-Uni.

    Les pandémies ont toujours des coûts économiques et sociaux importants, pour des raisons d'altruisme et d'intérêt personnel. La seule façon de contenir la propagation d'une maladie mortelle et contagieuse, en l'absence de remède ou de vaccin, est la distance sociale; la peur et la panique entrent inévitablement en jeu, alors que le public cherche désespérément à éviter d'attraper le virus. Une récession «volontaire» est presque garantie.

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  28. Mais si une baisse du PIB est inévitable, les gouvernements peuvent influencer sa taille et son échelle. Les politiciens peuvent réagir de trois manières différentes à une pandémie. Ils ne peuvent rien faire et permettent à la maladie de sévir jusqu'à ce que l'immunité du troupeau soit atteinte. A juste titre, aucun gouvernement n'a poursuivi cette politique, par crainte de morts massives et d'un effondrement social et économique total.

    La seconde approche consiste à imposer des restrictions proportionnées pour faciliter la distanciation sociale, en interdisant certains types de rassemblements tout en encourageant et en informant le public. Les Suédois ont poursuivi une version de cette stratégie centriste: il y avait un peu de contrainte, mais aussi un accent sur le maintien d'une vie normale et le maintien des écoles ouvertes. Le virus a été pris très au sérieux, mais il n'y a pas eu de verrouillage formel. Tegnell est l'un des rares véritables héros de cette crise: il a identifié les bons compromis.

    La troisième option est l'approche entièrement étatique, qui impose un verrouillage juridiquement contraignant et ferme la société. Une telle approche de tromperie peut être juste dans certaines circonstances - si un vaccin est imminent - ou pour certains virus - par exemple, si jamais nous sommes frappés par un qui cible les enfants et s'accompagne d'un taux de mortalité beaucoup plus élevé - mais les dernières tendances économiques et de mortalité les statistiques suggèrent que ce n'était pas le cas pour Covid-19.

    Presque tous les économistes pensaient que l’économie suédoise souffrirait énormément de sa stratégie idiosyncratique. Ils avaient tord. Le PIB de la Suède n’a diminué que de 8,6% au premier semestre de l’année, le tout au deuxième trimestre, et son excédent de décès a bondi de 24%. Une grande partie de la récession suédoise a été causée par une baisse de la demande de ses exportations de la part de ses voisins totalement bloqués. On pourrait supposer que si tous les pays avaient poursuivi une stratégie à la suédoise, le coup économique n'aurait pas pu valoir plus de 3 à 4% du PIB. Cela pourrait être considéré comme le coût de base du virus dans le cadre d'une réaction politique raisonnable.

    En revanche, l’économie britannique a chuté de 22,2% au premier semestre, une performance presque trois fois plus mauvaise que celle de la Suède, et son excès de décès a grimpé de 45%. Le revenu national de l’Espagne a chuté encore plus (22,7%), et celui de la France (-18,9%) et de l’Italie (-17,1%) un peu moins, mais tous les trois ont également subi un excédent de décès par habitant bien plus important que la Suède. Les Suédois ont permis au virus de se propager dans les maisons de soins, donc si cet échec majeur avait été corrigé, leur taux de mortalité aurait pu être encore beaucoup plus bas.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/sweden-hit-rare-covid-triple-whammy-no-lockdowns-low-deaths-minimal-economic-damage
    ________________

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  29. COVID-19 : qui est complotiste ?


    Dr Pascal Sacré
    Mondialisation.ca
    jeu., 13 août 2020 21:15 UTC


    Afin de nous trouver sur la même longueur d'ondes, il me faut définir ce mot.

    Complotiste : défenseur d'une théorie du complot. C'est comme de dire, raciste : défenseur d'une théorie du racisme. Nous n'allons pas loin, avec ça. Un synonyme est conspirationniste.

    Qu'est-ce qu'une théorie du complot ou de la conspiration ? Ce qui est sûr, c'est que ces mots sont péjoratifs, mauvais. Personne n'aime cette étiquette : « complotiste », « théoricien de la conspiration ».

    Depuis le 11 septembre 2001, ce mot déjà ancien [1] est utilisé pour disqualifier toute personne qui tient des propos contraires aux versions officielles.

    Analysons cette phrase car chaque mot est important.

    Par officielles, beaucoup veulent dire : gouvernementales.

    Ce n'est pas tout à fait ça.

    Si vous dites que Donald Trump, pourtant président officiel et chef élu du gouvernement des USA, raconte des conneries, a utilisé les Russes pour être élu [2] ou veut annuler les prochaines élections américaines [3], toutes théories du complot contre lui, contre Trump, tous les journalistes occidentaux vous applaudiront. Ils ne vous traiteront pas de conspirationniste même si, selon la définition, c'est ce que vous êtes en diffamant ainsi.

    Dans le cas du COVID-19 de 2020, si vous dites que tous les docteurs (et il n'y en a pas deux, dix ou cent, mais des milliers à travers le monde) qui disent que l'hydroxychloroquine soigne le COVID-19 sont des fous échappés d'un asile d'aliénés [4], une fois encore, les journalistes vous féliciteront. En tout cas, même sans preuve de ce que vous avancez, personne ne vous traitera de théoricien du complot.

    Pourtant, c'est une théorie et c'est dirigé contre des docteurs diplômés, officiels.

    En faisant cela, vous accusez des médecins [5] dont certains travaillent à l'Université ou dans des hôpitaux reconnus, depuis des dizaines d'années, tels que le professeur d'épidémiologie Harvey Risch [6] de la Yale School of Public Health, le professeur Didier Raoult, directeur de l'Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille, le docteur Christian Perronne [7], professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes et ancien président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique, en plus de nombreux médecins moins connus mais tout aussi fiables et sérieux, médecins de famille, de terrain, généralistes ou spécialistes [8 à 13].

    Vous êtes un fameux « théoricien conspirationniste » si vous pensez que tous ces docteurs diplômés mentent ou veulent vous manipuler, Dieu saurait pourquoi.

    Pourtant, personne ne vous traitera de ça.

    La vérité, c'est que vous serez étiqueté « complotiste » si et seulement si vous tenez des propos contraires aux versions officielles des personnes, institutions, gouvernements adoubés, reconnus.

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  30. Adoubés, reconnus par qui ?

    Par les institutions internationales (Organisation Mondiale du Commerce, Organisation Mondiale de la Santé, Fond Monétaire International, Forum économique mondial, Organisation des Nations-Unies, Commission Européenne, Agence européenne du Médicament...).

    Par des relais nationaux qui rendent compte à ces institutions internationales et ce, dans tous les domaines importants, sanitaires, médicaux, éducatifs, médiatiques, économiques... [14]

    Tout cela forme un système cohérent, transnational, supranational, animé de buts communs et utilisant un langage précis et étudié.

    Il faut bien saisir que ce système est indépendant des hommes politiques et survit aux changements électoraux. Il se perpétue, quoi qu'il arrive, non pas au travers d'un président, d'une personne en particulier, mais au travers de ces institutions qui traversent tous les scandales [15 à 18] et toutes les attaques sans prendre une égratignure.

    Qui dirige ce système ?

    Je ne vous répondrai pas ici d'abord parce que c'est un autre travail qui mériterait un article à part entière et ensuite, parce que de nombreux chercheurs ont déjà brillamment cerné ce sujet [19 à 22].

    Donc, être président, chef de gouvernement, médecin diplômé et représenter une autorité valable et sérieuse ne suffisent pas pour vous protéger de toute contestation en arguant que le contestataire serait un complotiste.

    Non.

    Pour cela, pour bénéficier de cette protection, il faut appartenir à ce système, parler son langage et poursuive ses buts.

    Ainsi, Anthony Fauci aux propos pourtant critiquables et contradictoires [23] ne sera jamais traité de complotiste.

    Le professeur Harvey Risch, oui.

    Ainsi, les journaux qui affirment que le Remdesivir est efficace dans le COVID-19, contrairement à l'hydroxychloroquine, ne seront jamais qualifiés de complotistes.

    Ceux qui disent le contraire, études et médecins à l'appui, oui.

    Le problème, c'est que Trump a dit qu'il était pour l'hydroxychloroquine aussi, et cela, c'est le discrédit à tous les coups.

    On dit que le Remdesivir a prouvé son efficacité face au Covid-19, dans un journal belge du 11 août 2020 [24].

    Les mots sont importants.

    Le mot « prouvé », en l'occurrence, est faux.

    Mais qui s'en apercevra, si vous n'êtes ni docteur, ni au fait des études en question ?

    En attendant, un mensonge passe comme une évidence, une vérité.

    Un seul traitement par le Remdesivir rapportera 2500 $ par patient à la firme Gilead [25].

    L'hydroxychloroquine, rien ou quasi.

    Les termes « complotisme » ou « théorie de la conspiration » n'ont rien à voir avec la vérité ou avec la crédibilité, cela a à voir avec le conformisme aux idées dominantes, dictées par le système qui poursuit implacablement ses buts.

    Un autre mot important est le mot « théorie ». Théories de la conspiration.

    Cela sous-entend des divagations sans fondements, sans preuves.

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  31. Pourtant, de nombreuses affirmations étiquetées « théories de la conspiration » n'ont rien de théorique.

    Il est rare d'avoir une preuve formelle au moment de son affirmation. Celle-ci peut découler de recherches, de réflexions, de présomptions.

    En médecine légale ou en sciences criminelles, vous n'aurez pas toujours de preuves irréfutables mais un faisceau de présomptions solides (mobile, faits indirects et cohérents) qui suffit à condamner un accusé, selon la loi.

    Prenons la « théorie conspirationniste » selon laquelle l'industrie pharmaceutique ferait pression pour discréditer l'hydroxychloroquine et privilégier ses produits coûteux, les antiviraux comme le Remdesivir ou les vaccins.

    Ce serait bien d'avoir une preuve irréfutable de cela mais je vois mal un dirigeant de cette industrie écrire un tel aveu puis le laisser traîner afin qu'il tombe entre les mains d'un journaliste honnête. Ce serait vraiment suicidaire, vous ne trouvez pas ? Et de toute façon, on discréditerait ce dirigeant, ou ce journaliste, jusqu'à ce que leur parole soit sans valeur.

    Par contre, comme on le ferait dans n'importe quelle enquête policière, y a-t-il un faisceau de présomptions solides ?

    1) Cette industrie a-t-elle un mobile ?

    Oui.

    Cette industrie a un fameux mobile pour faire cela : l'argent.

    Il ne s'agit pas de milliers ou de centaines de milliers d'euros qui pousseraient pas mal de gens à commettre des meurtres, mais de milliards d'euros [26-27].

    2) Cette industrie a-t-elle les moyens de faire cela ?

    Oui.

    On le sait grâce au témoignage de personnes de l'intérieur, comme John Virapen ex-PDG d'Eli Lilly & Company en Suède [28], ou d'anciens rédacteurs en chef de grandes revues médicales comme Marcia Angell [29] (New England Journal of Medicine) ou Richard Horton [30] (Lancet).

    3) Celle industrie l'a-t-elle déjà fait ?

    Oui.

    Il y a des cas avérés, prouvés qui illustrent la corruption de médecins par l'industrie pharmaceutique, comme celui de l'anesthésiste Scott Reuben ayant falsifié des données concernant l'efficacité de l'antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires [31].

    Et ce n'est qu'un exemple [32]. Plus récemment, vous avez le Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques.

    Même lorsque les preuves sont là, avez-vous déjà vu un journaliste qui avait accusé quelqu'un de « théoricien du complot » faire son mea culpa, s'excuser de sa méprise et rétablir la réputation du « théoricien » en question ? Et surtout, rétablir la vérité ?

    Pour seul exemple, je vais prendre l'histoire des bébés koweïtis arrachés à leur couveuse et jetés à terre par les soldats irakiens pour justifier l'intervention américaine en Irak en 1990. Le président Georges Bush senior s'en est servi à plusieurs reprises, dans plusieurs discours enflammés.

    C'était un mensonge [33].

    Nous le savons.

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  32. Pourtant, quiconque qui l'aurait su ou compris, et l'aurait dit à ce moment aurait été traité de « théoricien du complot » de connivence avec Saddam Hussein.

    Pour la petite histoire et vous démontrer que ces techniques n'ont pas cessé en 1991 ou après la preuve de ce mensonge, la firme malhonnête derrière ce mythe est la même firme qui a aidé en 2020 l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à faire croire à la pandémie COVID-19 et à faire respecter ses diktats : la firme Hill & Knowlton [34].

    Alors, qu'est-ce que ça veut dire, complotiste, et qui l'est vraiment ?

    On le voit, ça ne veut rien dire.

    C'est une étiquette péjorative, mauvaise, qui ne vous sera pas donnée si vous mentez, ou si vous critiquez une personne ou un gouvernement qui justement dérange le système.

    Elle vous sera donnée si ce que vous dites, même si c'est vrai, plausible, prouvé, va à l'encontre du discours autorisé du système.

    Vérifiez par vous-même.

    Critiquez les docteurs qui défendent l'usage de l'hydroxychloroquine dans le COVID-19, et vous ne serez pas accusés de complotisme.

    Vous serez écoutés, approuvés.

    Critiquez Anthony Fauci ou les conseils de sécurité nationaux contre le COVID-19, alors oui, vous serez accusés de complotisme, et même de tous les maux.

    Très souvent, cela n'a rien à voir avec des théories.

    Les faits avancés sont parfois prouvés, très souvent étayés de nombreux arguments solides et plausibles.

    Les mots sont très importants. Ne sous-estimez pas leur importance. Ce sont eux qui dirigent nos pensées.

    Je le sais en tant que docteur, mais également en tant que passionné de communication à visée thérapeutique.
    Comme les tous premiers médecins de l'Antiquité, je sais que les mots peuvent guérir.

    Ils peuvent aussi rendre dociles ou malades.
    « Complotiste », « conspirationniste », « théoricien du complot » ne servent qu'à couper court à tout débat.

    Qu'à faire rejeter la personne que le système dominant veut discréditer, pour que cette personne ne soit plus écoutée.

    C'est cela qui est dangereux ; pas les « théories du complot ».

    Ce qui est vraiment dangereux est de ne même pas vouloir débattre et d'exclure des idées, des personnes et des opinions sous prétexte qu'elles dérangent.

    C'est cela qui sème les graines d'une société totalitaire ; pas les théories du complot.

    C'est en refusant tout débat, toute discussion et en brandissant ce genre d'expression disqualifiante, que le pire vient.

    https://fr.sott.net/article/35984-COVID-19-qui-est-complotiste

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  33. La grande arnaque de la réinitialisation par le gang de Davos


    Matthew Ehret
    Mondialisation.ca
    jeu., 13 août 2020 20:17 UTC


    Comme tout le monde, j'aimerais vivre dans un monde sans pollution. J'adorerais voir la civilisation humaine trouver un équilibre avec la nature et au risque de ressembler à un idéaliste naïf, je crois sincèrement que c'est finalement notre destin en tant qu'espèce.

    Mon expérience personnelle m'a conduit à la conclusion que nous n'avons pas réussi à atteindre ce paradigme, en tant qu'espèce, qu'en raison du système - et de l'influence culturelle - d'une oligarchie qui a réussi à enfoncer obstinément ses griffes parasitaires sur son hôte pendant quelques générations de trop - corrompant et pervertissant tout ce qu'elle domine.

    En raison de l'omniprésence de l'oligarchie, l'exploitation de masse, les guerres et la pollution ont détruit les écosystèmes et d'innombrables vies humaines, et alors que l'ordre néolibéral continue de s'orienter vers l'effondrement inévitable d'une bulle de dérivés de 2 millions de milliards de dollars (215), que nos décennies de décadence irréfléchie ont provoqué, des choix très sérieux devront être faits.

    Faux remèdes à l'effondrement imminent

    De nombreuses fausses solutions seront présentées au fur et à mesure que la société se réveillera devant le bâtiment en feu dans lequel elle est piégée, et à moins que notre esprit ne prenne conscience de ces fausses solutions - sans parler des incendiaires qui gèrent cet incendie par le haut - alors beaucoup d'âmes bien intentionnées de tous horizons peuvent signer leur arrêt de mort et apporter, accidentellement, une solution bien pire que la maladie à laquelle elles cherchaient à remédier.

    Avant que vous, cher lecteur, ne m'accusiez d'être trop dramatique dans mes affirmations, permettez-moi d'attirer votre attention sur un événement du 3 juin parrainé par le Forum économique mondial (WEF) intitulé The Great Reset, avec des appels passionnés des dirigeants du FMI, de la Banque mondiale, du Royaume-Uni, des États-Unis, secteurs privé et bancaire confondus, à profiter de la COVID-19 pour fermer et « réinitialiser » l'économie mondiale sous un nouveau système d'exploitation intitulé Green New Deal.

    Le fondateur et président exécutif du WEF, Klaus Schwab, a déclaré :

    « Le monde doit agir uni, et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail ... Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d'une grande réinitialisation du capitalisme. »

    Le message de Schwab a été amplifié par le prince Charles qui a sauté sur cette opportunité en or de modifier radicalement le comportement humain d'une manière que des décennies d'écologisme n'ont pas réussi à accomplir lorsqu'il a déclaré :

    « Nous avons une occasion en or de saisir quelque chose de bien dans la crise [de la COVID-19]. Ses ondes de choc sans précédent pourraient bien rendre les gens plus réceptifs aux grandes visions du changement ».

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  34. Alors que le Forum économique mondial est généralement connu comme un forum d'élites d'entreprises mondiales, cette organisation s'est diversifiée ces dernières années pour devenir chef de file de la coordination mondiale de la pandémie en tant que co-sponsor de l'effrayant Event 201 d'octobre 2019 et a intégré des dirigeants de groupes de résistance typiquement « anticapitalistes » comme Greenpeace qui s'expriment désormais régulièrement lors de leurs événements.

    Jennifer Morgan - actuelle responsable de Greenpeace - a déclaré lors de l'événement :

    « Nous avons instauré un nouvel ordre mondial après la Seconde Guerre mondiale... Nous sommes maintenant dans un monde différent de ce qu'il était alors. Nous devons nous demander, que pouvons-nous faire différemment ? Le Forum économique mondial a également une grande responsabilité à cet égard : appuyer sur le bouton de réinitialisation et chercher comment créer le bien-être des personnes et de la Terre. »

    Alors, cette définition du bien-être international est-elle vraiment ce qu'elle semble être ? Ou est-ce que quelque chose de plus néfaste se cache sous la surface ? Comment pouvons-nous le savoir ?

    Ceux qui ignorent l'Histoire croiront facilement au récit qui leur est donné par les acteurs qui gèrent le Forum économique mondial. Le récit faussaire est le suivant : un nouveau système a été façonné au cours d'une conférence de deux semaines à Bretton Woods, dans le New Hampshire, en 1944 sous la direction de Franklin Roosevelt et cela a été conçu pour exporter le programme du New Deal, qui a reconstruit les États-Unis après la Grande Dépression ainsi que le reste du monde. Étant donné que notre crise actuelle exige un nouveau système, de la même manière que le monde avait besoin d'une réinitialisation en 1932, et à nouveau en 1945, nous devons le refaire.

    En surface, tout cela est vrai. Mais voici le vice caché ...

    Le New Deal de FDR était fondé sur :

    l'arrêt de la dictature des banquiers, en 1933, lorsqu'il torpilla à lui seul la conférence de Londres de la Banque d'Angleterre et de la Ligue des Nations,
    l'imposition d'une régulation massive aux spéculateurs de Wall Street en vertu des lois Glass-Steagall et des nombreuses lois qui ont démantelé les méga-banques, créé la SEC, protégé les économies légitimes et traduit en justice des centaines de banquiers d'élite devant la Commission Pecora,
    lancé de vastes projets d'infrastructure sous l'égide de la Tennessee Valley Authority, des projets d'électrification rurale, le barrage de Grand Coulee, les barrages Hoover, etc., augmenté la productivité nationale de la main-d'œuvre faisant de l'Amérique une économie agro-industrielle tous azimuts capable d'une croissance constante, et
    combattu vaillamment pour garantir ces mêmes capacités à toutes les nations du monde en opposition totale à l'Empire britannique.

    Les partisans du Green New Deal d'aujourd'hui utilisent la forme et le nom des précédents historiques de FDR, mais sont totalement attachés à des objectifs opposés.

    Dans le cadre des mécanismes de réponse globale proposés par les oligarques qui dirigent la stratégie du Great Reset au Forum économique mondial, les réseaux d'énergie verte conçus pour abaisser la température mondiale de deux degrés en 30 ans en décarbonant la société auront pour effet de réduire la productivité du travail de toutes les nations plutôt que d'accroître celle-ci comme l'avait fait le New Deal original.

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  35. Pendant ce temps, les mécanismes de plafonnement, d'échange, et de tarification du carbone conçus par la Banque d'Angleterre et le groupe de travail Carney / Bloomberg sur les dispositions financières liées au climat promettent de créer des incitations financières pour réduire le potentiel de la population mondiale en déconstruisant l'ordre économique industriel nécessaire pour soutenir les près de 8 milliards âmes à la surface de la terre actuellement. Dans un récent discours à la City de Londres, l'ancien directeur de la Banque d'Angleterre qui dirige désormais l'équipe Climate Finance de Boris Johnson a déclaré :

    « Réaliser des émissions nettes nulles nécessitera une transition économique globale - chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles commerciaux. Cela pourrait transformer un risque existentiel en la plus grande opportunité commerciale de notre temps ».

    Carney, qui se trouve être également l'architecte du Pacte climatique des banques centrales a déjà menacé de détruire toutes les entreprises qui refusent de se conformer aux nouvelles normes vertes que lui et ses contrôleurs souhaitent imposer au monde en disant :

    Les entreprises qui anticipent ces développements seront largement récompensées. Les autres cesseront d'exister.

    Alors que le nouveau système vert réinitialisé promet de comporter plus de réglementations sur la finance, ces réglementations seront-elles contrôlées par des États-nations souverains dans l'intérêt du bien-être général de leurs peuples ou par des Banques centrales privées, dans l'intérêt d'une élite oligarchique obsédée par le contrôle, l'équilibre, et la crédulité de nations divisées, dépeuplées et appauvries ?

    Je pense que vous pouvez le découvrir par vous-même.

    La seule forme de grande réinitialisation légitime qui protégera les gens, les nations et réduira l'influence de l'oligarchie financière tout en protégeant réellement l'environnement à long terme est liée au New Deal international moderne connu sous le nom d'Initiative Belt and Road. En créant un nouveau système de financement lié au développement à long terme, à la croissance agro-industrielle des économies à spectre complet à travers le monde, la Chine et ses alliés ont repris le flambeau qui a été abandonné par la mort prématurée de Franklin Roosevelt le 12 avril 1945. Tout arrangement pour une nouvelle réinitialisation économique devrait adhérer aux principes éprouvés de l'économie politique antifasciste qui ont fait leurs preuves dans le passé et continuent de fonctionner dans le présent.

    Un début retentissant pour cette réinitialisation impliquerait que le président Trump accepte un sommet d'urgence entre la Russie, la Chine et les États-Unis, suivi d'un sommet à cinq pays avec le Royaume-Uni et la France conformément aux lignes directrices énoncées par le président Poutine en janvier 2020 et réitérées il y a quelques semaines.

    https://fr.sott.net/article/35983-La-grande-arnaque-de-la-reinitialisation-par-le-gang-de-Davos

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    1. C'est au Peuple (7 milliards) à pouvoir dire ce qu'il veut et non à un nano-groupuscule de dictateurs (psychopathes, complotistes, dénialistes, sceptiques) qui pensent penser pour lui !

      L'intelligence de 7 milliards de personnes contre 'les hommes de l'ombre'.

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  36. Yale Prof: Hydroxychloroquine haineux crachant une `` désinformation trompeuse et toxique ''


    par Tyler Durden
    Ven, 14/08/2020 - 12:30


    Le professeur d'épidémiologie de Yale, Harvey Risch, a riposté contre les critiques qui disent qu'il a fait l'objet d'attaques personnelles pour son insistance sur le fait que l'hydroxychloroquine est très efficace dans le traitement du COVID-19 si elle est administrée au début de la progression de la maladie.

    Dans un éditorial d'un examinateur de Washington, Risch écrit que la répression contre son plaidoyer en faveur de la drogue a été «furieuse».

    Le Dr Anthony Fauci a laissé entendre que je suis incompétent, malgré mes centaines de publications hautement considérées et méthodologiquement pertinentes dans la littérature scientifique évaluée par des pairs. Un groupe de mes collègues de Yale a publiquement laissé entendre que je suis un fanatique qui perpétue un canular dangereux et une théorie du complot. J'ai été attaqué dans des articles de presse par des journalistes qui, ignorant le tableau complet, ont filé des pièces à succès à partir de sources triées sur le volet. -Harvey Risch

    Risch dit que les attaques personnelles sont une «distraction dangereuse de la vraie question de l'efficacité de l'hydroxychloroquine, qui est solidement fondée à la fois sur des preuves substantielles et une logique de prise de décision médicale appropriée.

    Il ajoute qu'il n'y a pas d'études - publiées ou en pré-impression - qui réfutent sa théorie selon laquelle HCQ devrait être utilisé sur les patients ambulatoires à haut risque, et que "les affirmations du contraire, que ce soit par Faucci, la FDA ou qui que ce soit d'autre, sont sans fondement. Ils constituent une désinformation trompeuse et toxique."

    Covid-19 a "deux étapes principales'' selon Risch, et HCQ fonctionne bien dans le premier, mais pas le deuxième stade ultérieur de la maladie:

    Au premier stade, il s'agit d'une maladie pseudo-grippale. Cette maladie ne vous tuera pas. Si vous êtes un patient à haut risque et que vous commencez immédiatement le traitement, vous en aurez presque certainement terminé dans quelques jours. Lorsqu'ils ne sont pas traités, les patients à haut risque peuvent progresser. Le virus provoque alors une pneumonie sévère et attaque de nombreux organes, dont le cœur. Dans cette deuxième étape, l'hydroxychloroquine n'est pas efficace.

    Ainsi, comme le souligne Risch, il est important de distinguer les patients pour lesquels HCQ fonctionne le mieux; "Cela ne fonctionne-t-il pas chez ceux qui commencent tout juste à avoir des symptômes ou chez ceux qui sont suffisamment malades pour nécessiter une hospitalisation ?"

    Deuxièmement, Risch note que la plupart des patients à faible risque, ceux de moins de 60 ans sans comorbidités sous-jacentes, survivent généralement sans traitement. Les patients à haut risque sont ceux de plus de 60 ans ou ceux qui souffrent de maladies chroniques telles que l'obésité, le diabète, l'hypertension et les personnes immunodéprimées.

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  37. «Les patients à haut risque ont besoin d'un traitement immédiat dès qu'ils présentent des symptômes pour la première fois», écrit Risch. "Il ne faut pas attendre le résultat du test COVID-19, qui peut prendre des jours et se tromper."

    Chaque essai contrôlé randomisé à ce jour qui a examiné le traitement ambulatoire précoce a impliqué des patients à faible risque, des patients qui ne sont généralement pas traités. Dans ces études, si peu de patients témoins non traités ont nécessité une hospitalisation que des différences significatives n'ont pas été trouvées. Il n'y a eu qu'une seule exception: dans une étude réalisée en Espagne auprès de patients à faible risque, un petit nombre de patients à haut risque en maison de retraite ont été inclus. Pour ces patients, les médicaments réduisent de moitié le risque d'un mauvais résultat.

    Je le répète: si les médecins, y compris l'un de mes collègues de Yale, vous disent que les données scientifiques montrent que l'hydroxychloroquine ne fonctionne pas en ambulatoire, ils révèlent qu'ils ne peuvent pas faire la différence entre les patients à faible risque qui ne sont généralement pas traités et les patients élevés. - les patients à risque qui doivent être traités le plus rapidement possible. Les médecins qui ne comprennent pas cette différence ne doivent pas traiter les patients atteints de COVID-19. -Harvey Risch

    Lisez le reste de l'Op-Ed de Risch ici :

    https://www.zerohedge.com/medical/yale-prof-hydroxychloroquine-haters-spewing-misleading-and-toxic-disinformation

    https://www.zerohedge.com/medical/yale-prof-hydroxychloroquine-haters-spewing-misleading-and-toxic-disinformation

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    1. Et oui ! Les journalistes et les politiques qui disent en savoir plus que les scientifiques sans jamais avoir fait 1 h d'études, se prennent pour des super-scientifiques !

      Des escrocs criminels.

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  38. Dépistage du Covid dans les aéroports français: une vaste blague


    22:56 14.08.2020
    Par Maxime Perrotin


    Contrôles ciblés trop aléatoires et trop facilement contournés, fiches de renseignements jetées par les passagers… Le Canard enchaîné dresse un tableau peu rassurant des mesures sanitaires dans les aéroports français qui ont tout de réelles passoires à Covid.

    Le relâchement des jeunes vis-à-vis des gestes barrières est-il la seule raison de la reprise de la pandémie de Covid-19 en France ? En effet, que dire des mesures prises par l’exécutif à l’encontre de ceux qui arrivent sur le territoire français… Déjà pointés du doigt lors de la première vague, d’abord pour l’absence totale de contrôle sanitaire et la continuité des vols vers et depuis les pays et zones à risque, les aéroports pourraient se retrouver à nouveau au centre d’une polémique.

    Dans son édition du 12 août, Le Canard enchaîné met le doigt sur un certain nombre de trous dans le «dispositif de sécurité extrêmement important» annoncé par Jean Castex le 24 juillet dernier. Il était alors question de prouver que les aéroports français n’étaient pas des «passoires à Covid», comme les qualifiait le matin même Gérard Larcher, président Les Républicains du Sénat sur RMC et BFMTV. Visiblement, c’est peine perdue. En effet, les moyens de contournement de la principale mesure annoncée par le Premier ministre, à savoir l’instauration au 1er août de tests obligatoires à l’arrivée de 16 pays classés «rouge», sont légion, à commencer par le fait que seuls les passagers provenant de vols directs depuis ces destinations sont concernés…

    «Il suffit d’emprunter un vol New Delhi-Paris avec escale à Francfort ou un avion Lima-Paris avec escale à Barcelone pour débarquer sans que la PAF (police aux frontières) ne s’inquiète», relate Le Canard enchaîné.

    Réponse de la place Beauvau à cette incohérence: «Le ministère de l’Intérieur français n’a pas d’action de contrôle possible sur les voyageurs en provenance de l’intérieur de l’espace européen.»

    Une interprétation des traités bruxellois qui n’a pas freiné des États membres tels que le Portugal, les pays Baltes et même la très europhile Belgique pour mettre en place des restrictions de déplacement à l'encontre de ressortissants français. La Norvège, dans l’espace Schengen, impose un isolement obligatoire de dix jours à l’arrivée. La Suisse, l’Allemagne, la Slovénie et la Roumanie autorisent l’accès sans restriction à leur territoire aux Français sous réserve que le nombre de cas ne dépasse pas un certain seuil.

    Londres, de son côté, imposera dès samedi 15 août une quatorzaine pour tous les passagers en provenance de France. «Nous ne pouvons nous permettre d'importer de nouveaux cas de l'étranger», a ainsi déclaré Grant Shapps, ministre britannique des Transports, rappelant les «grands sacrifices» consentis pour faire baisser le nombre de cas au Royaume-Uni. Cet argument n’a pas convaincu Paris qui imposera une mesure similaire, au nom de la règle de réciprocité.

    L’Europe avant tout!

    Tout aussi intéressant, l’hebdomadaire satirique rappelle que, dans le cas présent, «tests obligatoires» ne rime pas avec «effectués en France». Ainsi, le doute serait-il permis sur les justificatifs présentés par les passagers arrivant de certaines destinations à risque? Un cadre de la sécurité de Roissy franchit le pas pour le Canard: «Vu les pays en question, c’est un jeu d’enfant de faire un faux. Moi, je vous le fais en deux minutes chrono avec un faux logo et mon nom dessus», relate-t-il.

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  39. Qu’en est-il des 34 personnes détectées depuis le 2 juin par les caméras thermiques pour avoir affiché une température corporelle de plus de 38 degrés? «Une visite médicale leur a été proposée pour se faire tester», répond ADP au palmipède.

    Comme si cela ne suffisait pas, l’hebdomadaire revient sur l’imbroglio autour des fiches de renseignements remplies par les passagers. La France, contrairement à plusieurs de ses voisins européens, a décidé de ne pas informatiser une telle démarche –puisque «le formulaire papier a semblé plus opérationnel» au ministère de l’Intérieur. Mais pour autant, les passagers ne savent pas à qui remettre ces fiches à leur arrivée en France… avec des conséquences pour le moins fâcheuses. En effet, celles-ci doivent permettre aux autorités sanitaires de contacter les passagers s’ils s’avéraient positifs à leur test de dépistage, ces derniers étant libres de circuler une fois l’examen effectué.

    «On a tous rempli notre formulaire, mais quand on a demandé à qui il fallait le donner, les hôtesses nous ont dit: "Ah, on ne sait pas, c’est nouveau." Puis, à la PAF, ils nous ont dit: "Ce n’est pas pour nous, on n’en veut pas." Résultat: Tout l’avion a jeté son formulaire à la poubelle», relate au Canard un voyageur.

    Déjà, début mai, lors de l’annonce du déconfinement, l’exécutif avait créé la polémique en n’imposant aucune restriction de circulation aux ressortissants européens se rendant en France. Un deux poids-deux mesures que les Français, devant toujours se déplacer dans un périmètre restreint à 100 km, n’avaient pas particulièrement apprécié.

    En somme, si le virus n’a cure des frontières nationales, comme nous l’a répété tout au long de la crise l’exécutif, cela ne serait pas le cas des frontières européennes.

    https://fr.sputniknews.com/france/202008141044258252-depistage-covid-aeroports-vaste-blague/

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    1. Alors que jusqu'à présent les masques anti-poussières étaient vendus à 10 cts en magasins de bricolage, les 'autorités publiques' ont fixé le prix maximum à 95 cts !!!

      Car faute de masques antivirus (FFP2 made in China), les humains sont obligés de se 'protéger' obligatoirement avec des masques anti-poussières !! alors qu'un virus c'est 1 micron ! HAHAHAHAHA !

      Nous respirons TOUS 200 000 virus par minute et 2 millions par minute en activité physique.

      Demandez à votre pharmacien ou docteur; s'ils disent le contraire de ce que j'ai écrit ci-dessus ils sont rayés par le Conseil de l'Ordre !

      Ce ne sont pas des vies que l'on doit sauver mais des fortunes !

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  40. Il ne s’agit pas de sauver des vies
    Catastrophe de la vaccination contre le coronacvirus en devenir


    Par Bill Sardi
    15 août 2020


    RÉPONSES À 23 QUESTIONS CLÉS SUR LES VACCINS COVID-19

    Une armée plus grande que n'importe quelle autre au monde est sur le point de combattre un ennemi commun - le coronavirus COVID-19. Les nations du monde seront singulièrement dévouées à atteindre un objectif: arrêter la propagation et la mortalité émanant d'une infection pulmonaire causée par un coronavirus muté.

    L'opération Warp Speed vise à fournir des millions de doses d'un vaccin contre le coronavirus COVID-19 d'ici janvier 2021. United Parcel Service construit des «fermes de congélation», des entrepôts frigorifiques pour contenir les vaccins et se prépare à la livraison à domicile de vaccins et d'une équipe d'infirmières à immuniser les populations enfermées. Des milliards de dollars de vaccins ont été précommandés sur la présomption qu'un vaccin passera l'étape 3, obtiendra l'homologation de la FDA et entrera en usage courant (étape 4).

    Les vaccins destinés à la prévention du COVID-19 doivent recruter 3000 participants et montrer qu'ils sont relativement sûrs, de préférence par rapport à un placebo, chez les jeunes adultes en bonne santé et les populations âgées. (Guide de la FDA page 15). Selon le CDC, les essais de phase 3 durent généralement plusieurs années. Ainsi, des raccourcis sont pris. Un récent sondage révèle que 69% des Américains craignent que les vaccins COVID-19 accélérés ne soient pas sûrs.

    Live Science rapporte que le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré en avril 2020 qu'un vaccin COVID-19 prometteur qui produit une forte réponse immunitaire dans les essais de phase 2 pourrait potentiellement être approuvé pour une utilisation d'urgence sans essai complet de phase 3.

    L'industrie du vaccin suggère qu'un vaccin peut obtenir une homologation FDA précoce par un processus appelé «corrélation immunitaire» - montrer que le vaccin produit des niveaux d'anticorps neutralisants dans le sang qui sont au moins aussi élevés que les patients naturellement infectés par le virus. Un problème qui n'a été reconnu que récemment est que les lymphocytes T dépendants du zinc, et non les anticorps, tuent les cellules infectées par COVID-19. Les tests d'anticorps en tant que mesure de l'efficacité du vaccin peuvent être incomplets ou même totalement trompeurs.

    Question: Dans quelle mesure un vaccin doit-il fonctionner pour obtenir l'homologation de la FDA ?

    Réponse: La FDA a fixé une barre basse pour l'homologation des vaccins COVID-19. Leur document d'orientation (page 14) déclare: «un vaccin doit montrer au moins 50% d'efficacité dans les essais cliniques, ce qui signifie que dans des conditions parfaites, les personnes qui reçoivent le vaccin seraient au moins deux fois moins susceptibles d'être infectées par le coronavirus par rapport à des personnes non vaccinées. » C'est donc un jeu d'enfant de savoir si une personne vaccinée bénéficierait de la vaccination étant donné que tout le monde est à risque immédiat d'infection.

    La folie de tout cela est que si les poumons d’une personne sont infectés par le coronavirus COVID-19 et qu’ils sont testés positifs pour le virus, ils peuvent être mis en quarantaine dans certains endroits. Mais si vous êtes inoculé et ensuite testé positif (oui, les vaccins, sauf les vaccins ARN et ADN, SONT le virus), alors quoi ?

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  41. L'excrétion virale de l'infection naturelle au COVID-19 varie de 8 à 37 jours! Étant donné qu'il est prévu que des inoculations répétées seront nécessaires pour obtenir l'immunité, une étude qui montre que les vaccinés répétés contre la grippe libèrent 6,3 fois plus de particules virales dans l'air que les individus non vaccinés suscite des inquiétudes. Parmi les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner, 4 sur 10 se disent préoccupées par le fait d'attraper le COVID-19 par le coup.

    Le monde ne découvrira probablement pas le nombre d'effets secondaires qui se produisent jusqu'à ce qu'un vaccin soit homologué et que la vaccination à grande échelle ne commence (phase 4). À ce stade, le monde entier est enrôlé dans une grande étude clinique utilisant une variété de vaccins. Il est tout à fait possible que la vaccination de masse soit plus meurtrière que la maladie elle-même, pas nécessairement en raison de la toxicité des vaccins, mais en raison de la fragilité des populations plus âgées qui ne peuvent pas supporter les rigueurs de l’hospitalisation.

    Jusqu'à présent, huit mois après le début de cette épidémie (13 août), 749000 personnes seraient décédées dans le monde avec le COVID-19 (soit 0,000096% ou 9,6 décès pour 100000), mais plus de 80% souffraient de comorbidités préexistantes. Alors peut-être que seulement environ 150000 sont morts du seul COVID-19 (0,000019% ou 19 pour 100000).

    Il n'y a qu'une faible chance de mourir uniquement du COVID-19 et 5263 personnes doivent être vaccinées pour éviter 1 décès. Un vaccin qui n'est efficace qu'à 50% nécessiterait le double du nombre de sujets vaccinés pour éviter 1 décès lié au COVID-19. Le vaccin ne peut pas être plus efficace que le taux de mortalité. La sur-vaccination serait la règle.

    Si le taux d'effets secondaires graves de la vaccination contre le COVID-19 n'est que de 1% (0,01), alors les effets secondaires et les hospitalisations possibles peuvent survenir à la suite de la vaccination que du COVID-19.

    Quarante-cinq pour cent (45%) des patients infectés par le COVID-19 ne présentent même pas de symptômes et très peu nécessitent une hospitalisation. Cela émousse les avantages proposés de la vaccination en ce qui concerne la morbidité.

    Si 5 milliards de personnes sur 7,8 milliards dans le monde sont vaccinées dans le monde, un taux d'effets secondaires graves de 1% pourrait mettre 50 millions de personnes à l'hôpital pendant le temps nécessaire pour vacciner autant de personnes. Ces hospitalisations et ces décès seraient impossibles à distinguer des décès normaux du coronavirus COVID-19 et seraient imputés au virus, pas au vaccin.

    Comparez la mortalité due au COVID-19 à la grippe asiatique de 1957-58 qui a tué 2 millions de personnes ou à la grippe de Hong Kong de 1968-69 qui a tué 1 à 4 millions de personnes; ou la tuberculose, une autre épidémie de maladies respiratoires en cours qui infecte 1,8 milliard et tue 1,5 million par an. Il y a donc un objectif politique caché derrière cette pandémie surexcitée.

    Les virologues se concentrent étroitement sur la répression de l'infection à coronavirus COVID-19 et des décès associés, mais pas sur l'impact plus large de l'inoculation de masse de milliards de personnes, les 1,8 milliard qui ont déjà la tuberculose pulmonaire.

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  42. Un examen des études publiées indique que la co-infection avec la grippe et la tuberculose augmente la gravité de la maladie. La plupart des cas de tuberculose sont latents (dormants). La vaccination antigrippale réduirait légèrement l'incidence de la tuberculose.

    Mais que se passe-t-il si la vaccination COVID-19 active des millions de cas de tuberculose dormante ? En enfermant les citoyens, les patients atteints de formes actives de tuberculose qui suivent une antibiothérapie ne pourront pas recevoir des doses d’antibiotiques en temps opportun pour éradiquer leur maladie. Un million de décès dus à la tuberculose en excès devraient résulter des verrouillages du coronavirus COVID-19. Encore une fois, la préservation de la vie humaine n'est évidemment pas l'objectif de cette planifiée.

    Question: Quels sont les objectifs déclarés de la vaccination contre le coronavirus COVID-19 ?

    Répondre:

    Prévenir la propagation immédiate de l'infection et une morbidité importante (perte de productivité; souffrance importante, douleur, agonie mentale); pour de nombreuses personnes infectées par le coronavirus COVID-19, l'évitement des symptômes est un avantage marginal car il est rapporté que 40 à 45% des personnes infectées ne présentent aucun ou des symptômes légers et 98% ne présentent pas de symptômes suffisamment graves pour nécessiter une hospitalisation. Le coronavirus COVID-19 est une infection qui peut ne pas entraîner de jours de maladie nécessitant un congé du travail ou de l'école. Cependant, alors que l'infection pulmonaire à coronavirus COVID-19 est souvent asymptomatique, des dommages subcliniques imperceptibles au cœur, aux reins et aux poumons sont signalés, ce qui rend ce virus muté plus gênant que prévu.
    Prévenir la mort
    Fournit une immunité à vie contre ce virus respiratoire pathogène (prévention)
    Selon la littérature médicale disponible, alors que plus d'une centaine de vaccins contre le coronavirus COVID-19 sont en cours de recherche et développement, pour les raisons décrites ici, ils ne sont pas susceptibles d'atteindre les objectifs ci-dessus.

    Question: Comment les objectifs ci-dessus sont-ils atteints ?

    Réponse: par introduction (généralement injection dans une instillation musculaire ou nasale) d'un virus affaibli, ou d'une particule virale, ou d'un antigène-activateur (vaccin ADN-ARN) qui provoque une réponse immunitaire, pour produire des anticorps et surtout activer les lymphocytes T mémoire qui offrent une immunité à long terme.

    La vaccination EST une infection à moins que des vaccins à ARN ou à ADN ne soient utilisés. Les vaccins ARN-ADN ne sont pas infectieux et provoquent un antigène qui stimule ensuite la production d'anticorps mémoire.

    Quel que soit le type de vaccin utilisé, l'immunisation repose sur un système immunitaire fonctionnel pour produire des anticorps et des lymphocytes T zinc-dépendants qui aboutissent à une prévention à long terme. Si le système immunitaire est affaibli par un manque de nutriments essentiels, à savoir les oligo-éléments zinc et sélénium et les vitamines C et D, la vaccination peut être inefficace.

    Question: Combien de doses de vaccins COVID-19 seront nécessaires pour obtenir l'immunité ?

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  43. Réponse: Les développeurs de vaccins contre le coronavirus COVID-19 doivent utiliser de faibles doses et une vaccination répétée (jusqu'à 4 injections) et même la co-utilisation d'anti-inflammatoires pour réduire l'inflammation locale, la douleur, les nausées, les maux de tête et le côté systémique (fièvre) effets, mais ensuite des adjuvants paradoxalement toxiques (métaux lourds comme l'aluminium ou le thimérosal / mercure) sont ajoutés pour provoquer une réponse immunitaire plus forte.

    Les Américains qui choisissent de vacciner peuvent le faire sans connaître pleinement le nombre de fois où ils devront être immunisés pour développer une immunité, et ils ne seront pas non plus assurés d'une immunité durable même si les niveaux d'anticorps sont jugés adéquats à mesure que les anticorps arrivent. et allez avec COVID-19. Les personnes qui choisissent de vacciner ne connaîtront pas non plus pleinement leur risque d'effets secondaires, car cela n'est connu qu'une fois que les vaccins ont été homologués et seront plus largement utilisés par des millions de personnes. Certains vaccins sont rappelés après l'homologation. Par exemple, les ventes d'un vaccin antirotavirus ont été suspendues en 1999.

    Question: S'il n'y a pas de vaccin homologué et que les gens sont exposés au coronavirus COVID-19 naturellement (via le transfert par aérosol de particules virales d'un poumon infecté à un poumon non infecté), et développent ensuite des anticorps et des lymphocytes T, en quoi est-ce différent de la vaccination ?

    Réponse: L'exposition naturelle est préférable à la vaccination. L'infection produit souvent de la fièvre. Plus la fièvre est grave, plus il y a d'anticorps produits. L'utilisation de médicaments pour contrôler la fièvre peut être contre-productive. Cependant, une fièvre incontrôlée nécessite des médicaments. La fièvre est souvent répertoriée comme un effet secondaire de la vaccination, mais elle est la bienvenue.

    Question: Si j'étais immunisé contre la grippe dans le passé, ou si j'avais développé des anticorps naturels et des lymphocytes T à la suite d'un combat contre un autre coronavirus au cours des dernières années, une certaine immunité serait-elle conférée par ces expositions virales antérieures ?

    Réponse: Le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses dit maintenant que certaines personnes (~ 50%) qui ont déjà été exposées à d'autres coronavirus courants ces dernières années peuvent avoir développé une immunité contre le coronavirus COVID-19.

    Un rapport récemment publié dans SCIENCE affirme qu'il peut y avoir une «réactivité croisée» avec d'autres infections antérieures à coronavirus du rhume commun; 20 à 50% des personnes qui n'ont pas été exposées au coronavirus COVID-19 présentent un certain niveau d'immunité au COVID-19. Les lymphocytes T mémoire (lymphocytes T CD4) confèrent une immunité contre le virus COVID-19 pathogène, servant ainsi à expliquer en partie pourquoi certains individus infectés par COVID-19 résistent mieux à leur maladie que d'autres.

    Certaines études publiées montrent que la vaccination antigrippale simultanée confère une immunité contre le COVID-19 et réduit le risque de décès. Mais ces études sont confondues par le moment de la vaccination contre la grippe. Il se peut que la vaccination contre la grippe ait eu lieu à la fin d'un cycle saisonnier du COVID-19, ce qui donnerait une fausse impression que la vaccination contre la grippe réduisait les risques de COVID-19.

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  44. Au contraire, une étude publiée dans Occupational & Environmental Medicine révèle que 0 % des pompiers qui avaient subi une vaccination annuelle contre la grippe étaient positifs aux anticorps contre 21 % qui étaient positifs aux anticorps qui n'avaient pas subi de vaccination annuelle contre la grippe. Cette étude inquiétante suggère que la vaccination antérieure contre la grippe a entraîné une plus grande vulnérabilité à l'infection au COVID-19.

    Pourtant, une autre étude inquiétante publiée dans la revue Social Science Research Network conclut que «la vaccination contre la grippe saisonnière dans le passé pourrait être un facteur de risque supplémentaire pour les personnes âgées en termes de sensibilité accrue à l'infection par le coronavirus COVID-19 et d'une probabilité plus élevée d'une issue létale. "

    Une étude révélatrice du ministère de la Défense des États-Unis qui a été rejetée car elle montre que la vaccination contre la grippe fonctionne pour produire des interférences virales respiratoires qui augmentent indirectement la propension à développer une future infection à coronavirus de 36 %.

    Question: Combien de temps dure l'immunité induite par le vaccin contre les virus respiratoires ?

    Réponse: Les Centers for Disease Control rapportent qu'il n'y a eu aucun cas confirmé de réinfection du COVID-19 6 mois après son émergence aux États-Unis.

    L'Organisation mondiale de la santé affirme qu'il «n'y a actuellement aucune preuve que les personnes qui se sont rétablies du COVID-19 et qui ont des anticorps sont protégées d'une deuxième infection.

    Laquelle des affirmations contraires ci-dessus le public est-il censé croire ?

    Pour un certain nombre de maladies infectieuses, l'immunité induite par le vaccin diminue avec le temps. L'immunité induite par le vaccin contre les virus respiratoires, tels que les virus de la grippe, peut disparaître dès 90 jours après la vaccination.

    Le manque de durabilité des vaccins est appelé «la grande inconnue». Il n'y a pas de vaccins homologués pour les coronavirus au moment où ce rapport est en cours de rédaction. Les humains ont jusqu'à présent compté sur l'immunité naturelle contre les coronavirus. L'immunité naturelle peut durer de 80 jours à quelques années.

    Les coronavirus en tant que classe sont des virus du rhume courants. Les infections à coronavirus sont généralement saisonnières, allant de novembre à avril dans l'hémisphère nord. Une inoculation tardive d'une grippe ou d'une saison froide serait évidemment statistiquement moins protectrice dans l'ensemble. La disponibilité des vaccins COVID-19 arrivera sur le marché au moment même où le cycle du coronavirus culmine.

    Les vaccins synthétiques utilisés aujourd'hui n'assurent pas une immunité à long terme. Certaines flambées de maladies infectieuses telles que la rougeole et la coqueluche qui ont été signalées chez des enfants d'âge scolaire et imputées aux anti-vaxxers sont en réalité causées par des vaccins modernes qui ne produisent pas d'immunité à long terme. Les récentes flambées de rougeole à Disneyland ont impliqué des touristes immigrés non vaccinés et ne sont en aucun cas liées aux campagnes anti-vaccinales.

    Question: Pourquoi ne puis-je pas être autorisé à développer des anticorps par moi-même ?

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  45. Réponse: La médecine moderne ignore l'activation naturelle des anticorps et plus encore, les cellules T sont essentielles dans la lutte contre l'infection à coronavirus, ou toute infection d'ailleurs. Pour les écoliers, l'activation de l'immunité doit être réalisée de manière synthétique via une vaccination légalement imposée plutôt que par une exposition naturelle à des bactéries ou virus pathogènes. Du point de vue juridique et de la politique de santé publique, l'exposition de la communauté aux agents pathogènes et l'activation naturelle des anticorps sont interdites. Rien n'est fait pour améliorer l'immunité naturelle autre que la vaccination, même s'il est un fait établi que l'oligo-élément de zinc est nécessaire pour produire les lymphocytes T nécessaires.

    Essentiellement, les partisans des vaccins obligatoires disent que le public doit rester enfermé à l'intérieur de leurs maisons pour ne pas développer d'anticorps naturels, de sorte que les vaccins viendront à notre faux secours. Il s'agit d'une manipulation monstrueuse des populations humaines au profit des médecins et des fabricants de vaccins. Et le public n'est jamais le plus sage.

    Question: Quelle est l'histoire des vaccins contre le coronavirus ?

    Réponse: Les résultats d'un essai de vaccin contre le coronavirus ont été rapportés en 2019. C'était avant l'épidémie initiale (novembre) 2019 de coronavirus COVID-19 à Wuhan, en Chine, qu'un essai de vaccin humain pour un autre coronavirus (MERS ou syndrome respiratoire du Moyen-Orient) était problématique.

    Voici les résultats de cet essai de vaccin contre le coronavirus MERS 2019:

    La mortalité élevée et la maladie grave observées dans le MERS étaient positivement corrélées avec l'âge et la présence de comorbidités, y compris les maladies chroniques du foie, des reins et du cœur, le diabète et les affections immunosuppressives.

    Les réponses immunitaires de l'hôte trop actives au coronavirus MERS pourraient contribuer à la gravité et aux résultats de la maladie. Ainsi, les réponses immunitaires induites par le vaccin dans les populations présentant ces caractéristiques à haut risque pourraient avoir des effets nocifs. Ces mêmes obstacles ont été rencontrés dans le développement du vaccin contre le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère il y a plus de 15 ans, et pourraient également s'appliquer au coronavirus MERS et maintenant à la vaccination contre le COVID-19.

    Tout vaccin contre le coronavirus MERS doit cibler spécifiquement les populations les plus vulnérables pour évaluer de manière adéquate la sécurité et la génération de réponses immunitaires robustes et durables.

    À la semaine 60, ce vaccin à ADN MERS a induit des réponses humorales et cellulaires chez seulement 51 (77%) des 66 participants et 42 (64%) des 66 participants dans deux bras de l'étude et seulement deux (3%) des 66 participants ont maintenu la neutralisation anticorps jusqu'à la fin de l'étude. Par conséquent, la génération de réponses immunitaires humorales (dans les fluides corporels) et cellulaires pourrait ne pas être assimilée à une protection à long terme. - The Lancet Infectious Diseases 19, numéro 10, pages 1054-44, 1er octobre 2019.

    L'étude ci-dessus impliquait l'un des nouveaux vaccins à ADN de technologie largement annoncés actuellement présentés par la médecine moderne, qui est censé être un vaccin non toxique.

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  46. En 2013, des chercheurs ont écrit que les vaccins contre les coronavirus inactivés et vivants atténués présentent des réponses anticorps contre les infections à coronavirus, mais ils "induisent également une immunopathologie ou d'autres réponses immunitaires nocives, ce qui soulève des inquiétudes quant à leur sécurité." C'est un drapeau rouge pour tous les vaccins contre les coronavirus.

    Ce que dit le rapport ci-dessus, c'est que la communauté médicale savait que les personnes souffrant de comorbidités (diabète, maladies rénales / cardiaques, hépatiques et auto-immunité) étaient plus susceptibles de mourir; et que les personnes dont le système immunitaire est trop réactif peuvent subir des effets nocifs, voire mortels, de la vaccination; et ils le savaient il y a plus de 15 ans! Mais les autorités sanitaires en 2019-2020 ont agi comme s'il s'agissait de nouvelles découvertes pour un virus nouvellement muté.

    Il existe des molécules disponibles qui normalisent la réponse immunitaire (apprivoisent les neutrophiles inflammatoires, les premiers globules blancs à arriver sur les sites d'infection); à savoir la vitamine D, la vitamine A, l'oligo-élément de zinc et la molécule de vin rouge resvératrol qui sensibilise les cellules à la vitamine D. Ce serait des nutraceutiques à prendre avant la vaccination pour éviter une inflammation excessive. Sinon, des anti-inflammatoires stéroïdiens ou non stéroïdiens devraient être pris et ils ont des effets secondaires, y compris une déplétion en vitamine C.

    Question: Dans quelle mesure ce coronavirus COVID-19 est-il unique par rapport aux autres coronavirus ?

    Réponse: Les médecins agissent comme le coronavirus COVID-19 produit des symptômes uniques jamais vus auparavant et cible des groupes à haut risque inconnus auparavant et ne produit pas d'immunité durable.

    Par exemple, un chercheur affirme que le COVID-19 bloque les interférons tout en activant des protéines appelées chimiokines, ce qui est «quelque chose que je n'ai jamais vu au cours de mes 20 années d'étude des virus». Cependant, une recherche dans la littérature médicale révèle….

    Une étude publiée en 2006 dans le Virology Journal indique que le coronavirus du SRAS «n'a pas activé la transcription significative des interférons»… .. mais «a fortement induit les chimiokines…»

    Une autre étude publiée en 2005 dans la revue Blood rapportait «une faible expression des cytokines antivirales (interféron alpha-bêta-gamma)… mais une régulation positive significative des chimiokines inflammatoires…».

    Pourtant, un autre rapport publié en 2016 dans la revue Cell Host & Microbe déclare que «les coronavirus respiratoires humains hautement pathogènes provoquent une maladie mortelle aiguë caractérisée par… une signalisation retardée de l'interféron de type 1 …… entraînant des niveaux élevés de cytokines / chimiokines pulmonaires…»

    De manière séquentielle, les médecins ont déclaré publiquement aux médias d'information que le COVID-19 «ne ressemble à rien de ce que je n'ai jamais vu» et ces déclarations ont ensuite été utilisées pour instiller la peur dans le public à maintes reprises dans les médias d'information. (FoxNews, Medical News Today, ProPublica, The Telegraph, WebMD) Pourtant, la médecine moderne savait depuis plus d'une décennie que les infections à coronavirus peuvent suractiver le système immunitaire et c'est ce qui tue les patients, pas nécessairement le virus lui-même.

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  47. Question: Il est mentionné que les personnes à haut risque devraient avoir la priorité dans le déploiement des vaccins, mais les personnes à haut risque ne sont-elles pas aussi les moins susceptibles de développer des anticorps et les plus susceptibles de ressentir des effets secondaires ?

    Réponse: Il y a une contradiction à dire que «le vaccin contre le coronavirus doit cibler spécifiquement les populations les plus vulnérables» et à dire ensuite que ces mêmes patients à haut risque «pourraient potentiellement avoir des effets néfastes» de la vaccination.

    Cibler les groupes les plus susceptibles de subir des effets secondaires graves après la vaccination est une folie. Le guide de développement et d'homologation de vaccins pour prévenir le COVID-19 pour l'industrie (juin 2020) de la FDA déclare: «La FDA encourage fortement l'inscription des populations les plus touchées par le COVID-19, en particulier les minorités raciales et ethniques.» (page 11) Mais alors le guide de la FDA parle de l'autre côté de sa bouche en déclarant (page 10): «Si possible, les premières études cliniques devraient également exclure les participants à haut risque d'exposition au SRAS-CoV-2 (COVID-19) (par exemple, les travailleurs de la santé). »

    Les groupes à haut risque doivent avoir leur alimentation enrichie de nutriments clés qui renforcent l'immunité tout en contrôlant une réponse immunitaire hyperactive qui remplit les poumons de liquide et entrave l'échange d'oxygène des alvéoles vers la circulation sanguine.

    Question: Combien de Noirs américains sont prêts à se faire vacciner ?

    Réponse: Un sondage de l'Associated Press du 27 mai indique que 56% des Caucasiens contre seulement 25% des Noirs sont prêts à se faire vacciner. Un sondage Yahoo News d'août a révélé que seulement 42% des Américains prévoyaient d'être immunisés contre le coronavirus COVID-19.

    Question: Les Noirs devraient-ils avoir la priorité dans les calendriers de vaccination pour compenser la prétendue disparité raciale des soins ?

    Réponse: Melinda Gates, épouse du bailleur de fonds Bill Gates, »a publiquement appelé les Noirs américains à recevoir les premières doses du vaccin. Les Noirs américains meurent du COVID-19 à trois fois le taux des Caucasiens.

    Les Noirs ne devraient pas être des cobayes pour les vaccins non éprouvés. L'idée que les Noirs ne reçoivent pas le même niveau de soins médicaux (disparité dans la prestation des soins de santé) et devraient passer en tête de la ligne de vaccination est troublante.

    Un rapport faisant autorité révèle que 76% des Noirs américains ont une carence en vitamine D parce que leur pigment mélanique filtre le rayonnement ultraviolet solaire qui produit de la vitamine D dans la peau. Les Noirs dans les hôpitaux à faible taux de vitamine D ont 98,9% de chances de mourir contre seulement 4,1% pour les patients suffisamment en vitamine D. Il est inadmissible de penser que les Noirs vont être vaccinés sans subir d’abord un cycle prophylactique de supplémentation en vitamine D.

    En outre, la vaccination de masse des populations qui ont intrinsèquement de faibles taux de vitamine D (Noirs, Indiens de l'Est, Indiens d'Amérique du Nord) ne doit pas avoir lieu avant la réalisation d'études cliniques dans ces groupes. Les études cliniques qui n'incluent pas les groupes à haut risque sont de peu de valeur. Les Noirs ne devraient pas se fier aux données produites parmi les populations caucasiennes en bonne santé comme preuve de sécurité.

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  48. Question: Combien d'Américains désirent se faire vacciner ?

    Réponse: Une enquête Gallup publiée en août 2020 révèle qu'un peu d'un tiers des Américains ont déclaré qu'ils ne prendraient PAS d'injection de COVID-19 lorsqu'elle deviendrait disponible, tandis que 65% ont déclaré qu'ils le feraient. Soixante-dix pour cent (70%) des seniors américains disent qu'ils opteraient pour le vaccin immédiatement après l'homologation.

    Le sondage Gallup révèle que l'appartenance à un parti politique est associée à la volonté de se faire vacciner (47% des républicains; 81% des démocrates).

    Question: Un vaccin contre le coronavirus COVID-19 ne serait-il pas utile de ne rien faire ?

    Réponse: Étant donné que le nombre nécessaire à traiter pour prévenir 1 décès est de 5263, il y a beaucoup plus de chances de subir une réaction secondaire grave au vaccin qui entraînerait une hospitalisation que d'éviter une hospitalisation ou un décès. Les vaccins antigrippaux induisent 1% des sujets vaccinés à être hospitalisés. Ensuite, 1% des personnes hospitalisées ne survivront pas au traitement (1 sur 200). Si ces chiffres sont extrapolés à la vaccination mondiale, 78 millions seraient hospitalisés, 39 millions expireraient. Ce n'est peut-être pas la toxicité des vaccins mais la fragilité des patients plus âgés qui ne peuvent pas supporter l'hospitalisation qui entraînera ces décès, qui seront imputés à tort au coronavirus COVID-19.

    Il a également été noté que l'immunité n'était pas durable telle que mesurée par la réponse anticorps. Cela pourrait signifier une vaccination annuelle répétée, une aubaine pour les fabricants de vaccins.

    Question: Qu'en est-il des passeports d'immunité ?

    Réponse: L'idée d'un «passeport d'immunité», un document que les voyageurs utiliseraient pour certifier qu'ils sont protégés contre la réinfection et qu'ils n'ont pas besoin de vaccination, est maintenant confondue par le fait que les anticorps ne durent pas longtemps chez les patients COVID-19. Ce sont les cellules T, et non les anticorps, qui tuent directement les cellules infectées par le virus.

    Question: Combien de temps les vaccins COVID-19 assureront-ils l'immunité ?

    Réponse: Une fièvre intense est ce qui induit une forte production d'anticorps. Une étude montre parmi les cas bénins de COVID-19 que les niveaux d'anticorps chutent considérablement au cours des 3 premiers mois suivant l'infection et la guérison. Les niveaux d'anticorps ont été divisés par deux tous les 73 jours. Une autre étude montre que les niveaux d'anticorps chez les patients atteints d'une infection légère étaient presque inexistants avec 60 jours de vacances.

    Le manque de durabilité invalide l'appel à la vaccination obligatoire.

    Mais il y a espoir qu'une immunité durable se produira cette fois. Une étude montre que les patients exposés au coronavirus du SRAS possédaient des lymphocytes T réactifs plus de 15 ans plus tard. Les cellules à mémoire T fournissent une immunité durable contre le COVID-19 et d'autres coronavirus. On a constaté que les lymphocytes T fournissent jusqu'à 17 ans de lymphocytes T à mémoire de longue durée chez les patients infectés par le coronavirus du SRAS.

    Il est possible que la communauté médicale ait secrètement adhéré à la diminution des taux d’anticorps comme mesure de l’immunité afin de justifier une revaccination.

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  49. Question: Combien d'Américains ont déjà été infectés par le coronavirus COVID-19 ?

    Réponse: Si vous utilisez des anticorps pour déterminer combien d'Américains ont été infectés par le coronavirus COVID-19, une étude de l'Université de Stanford a montré que 2,49% à 4,16% présentaient des anticorps COVID-19. À New York, plus de 21% des résidents ont été testés positifs pour les anticorps COVID-19.

    Les cas confirmés en laboratoire de COVID-19 sont indicatifs de l'intensité des tests et non de l'incidence de la maladie dans une communauté.

    Question: Dans quelle mesure pouvons-nous faire confiance à nos autorités de santé publique en matière de vaccination contre le coronavirus COVID-19 ?

    Réponse: Le guide de la FDA pour l'industrie des vaccins (page 2) déclare: «La pandémie de coronavirus COVID-19 présente un défi extraordinaire pour la santé mondiale.» Il n'existe actuellement aucun vaccin autorisé par la FDA pour prévenir le COVID-19. Pourtant, la FDA, les CDC et l'OMS n'ont exprimé aucune urgence à lutter contre l'épidémie actuelle de tuberculose qui infecte 1,8 milliard de personnes dans le monde et en tue 1,5 million par an dans le monde. L'effort pour vacciner le monde contre le coronavirus COVID-19 semble avoir un agenda politique et / ou social. Si sauver des vies était la priorité, ces agences auraient déjà lancé un effort pour éradiquer la tuberculose bien plus mortelle. Mais il existe déjà un vaccin BCG bon marché pour cette maladie.

    Question: Dans quelle mesure les données sur ces vaccins sont-elles fiables ?

    Réponse: Le public devrait s'alarmer du manque de transparence dans l'interprétation de la sécurité et des effets secondaires posés par ces vaccins expérimentaux. L'étude sur le vaccin contre le coronavirus Covid-19 de l'Université d'Oxford / Astra Zeneca AZD1222 est l'une de ces études, publiée dans The Lancet le 20 juillet 2020. Pas un mot n'est mentionné dans le rapport sur l'utilisation d'un anti-inflammatoire problématique médicament parmi les participants à l'étude (il est enfoui dans un graphique).

    On dit que l'AZD1222 est relativement sûr, comparé à un vaccin contre la méningite, mais à quel point ses effets secondaires sont-ils violents pour inciter les enquêteurs à utiliser l'acétaminophène (Tylenol) pour calmer les effets secondaires.

    Bien que le résumé mentionne principalement des «effets secondaires mineurs», le document lui-même montrait que près de 10% avaient une fièvre d'au moins 100,4 degrés (la fièvre est le meilleur moyen de créer des anticorps), ce qui signifie que c'était très efficace pour cela), et juste plus d'une personne sur quatre a signalé de graves douleurs musculaires, d'autres ont signalé de la fatigue. L'acétaminophène est un toxique hépatique qui épuise le glutathion dans le foie. L'acétaminophène à faible dose épuise le glutathion des voies respiratoires, un antioxydant interne majeur, et modifie les réponses réflexes respiratoires chez les animaux de laboratoire.

    Question: Compte tenu du temps qu'il faut aux médicaments pour obtenir l'approbation de la FDA, nous lisons des médicaments réutilisés pour le traitement du coronavirus COVID-19. Qu'en est-il des vaccins réutilisés déjà approuvés par la FDA? Est-ce possible ?

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  50. Réponse: Il est très possible que le vaccin BCG qui cible le bacille responsable de la tuberculose soit une mesure préventive à faible risque des infections à coronavirus COVID-19. Il a été rapporté que le vaccin BCG réduisait les hospitalisations pour les infections au COVID-19 de plus de 4,27 fois (3,7% contre 15,8%). Trois études sont en cours impliquant le vaccin BCG pour les infections au COVID-19. L'industrie des vaccins subira une énorme baisse financière s'il s'avère que le vaccin BCG fonctionne mieux que les vaccins COVID-19.

    Question: Nous avons lu un coronavirus COVID-19 muté qui "s'est propagé comme une traînée de poudre à New York, en Italie et au Royaume-Uni." La souche D614G a quatre fois plus de «pointes» à sa surface qui s'accrochent aux cellules humaines et est «10 fois plus infectieuse» que les formes plus douces. Que peut-on faire pour se défendre contre ce virus monstre ?

    Réponse: La souche D614G n'est même pas la souche la plus virulente. La mutation T22303G est 270 fois plus virulente. Les virologues préviennent qu'en raison de la «dérive génétique» et du développement de souches virales plus mortelles, le virus peut échapper à la reconnaissance du système immunitaire. Il est «impératif que les sous-souches de différentes mutations soient prises en compte dans le développement des vaccins». Dans une précipitation pour mettre en usage clinique des vaccins qui n'offrent pas d'immunité à long terme et qui ne sont pas capables de s'attaquer aux plus de 30 souches différentes du virus, les vaccins peuvent offrir un peu plus qu'une tranquillité d'esprit et ne servir que des objectifs politiques.

    Les virus de la grippe se transforment rapidement en formes moins virulentes, ce qui entraîne une disparition des épidémies. Mais dans ce cas, un coronavirus s'est transformé en une souche tueuse qui semble être associée à des épidémies locales mortelles à Wuhan, en Chine et dans le nord (Modène) de l'Italie.

    L'oligo-élément sélénium est connu pour contrecarrer les mutations virales. Les zones géographiques où le plus grand nombre de décès liés au COVID-19 ont été signalés sont les zones à faible apport en sélénium.

    Dans les régions pauvres en sélénium de Chine, le taux de guérison du COVID-19 serait de 13% seulement.

    L'apport alimentaire de sélénium au Royaume-Uni, un autre «foyer» d'infection à coronavirus, peut être aussi bas que 30 à 40 microgrammes / jour.

    L'apport alimentaire en sélénium varie considérablement dans le nord de l'Italie, de 40 à 101 microgrammes.

    La valeur de l'apport alimentaire recommandé pour l'apport en sélénium est de 70 microgrammes pour les hommes et de 60 microgrammes pour les femmes.

    Les taux plasmatiques moyens de sélénium semblent normaux dans le nord de l'Italie, mais varient de 2,7 fois (de 64,4 à 173,2 microgrammes par échantillon de sang).

    La concentration sanguine optimale de sélénium est d'environ 88 microgrammes par échantillon de sang.

    Si un test sanguin pour le sélénium (ou tout autre oligo-élément ou vitamine) est obtenu, les patients doivent savoir comment interpréter les tests sanguins. Les tests sanguins fournissent une plage de référence. La «plage de référence» est la plage courante. Ce n'est pas nécessairement la gamme préventive ou la gamme thérapeutique. Tout le monde dans une zone géographique peut se situer dans la plage de consommation normale (plage de référence) qui est inadéquate pour la prévention des maladies. Tout le monde pourrait avoir des concentrations sanguines insuffisantes, mais la plage de référence rendrait cela normal. Ainsi, regarder un résultat de test sanguin de sélénium «normal» peut être trompeur.

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  51. Malheureusement, la médecine moderne ne tient pas compte de la médecine nutritionnelle et ignore le sélénium en tant que facteur de virulence dans l'épidémie de COVID-19.

    Question: Qu'en est-il de l'immunité collective ?

    Réponse: Un pourcentage de la population doit être capable de contracter une maladie pour qu'elle se propage. C'est ce qu'on appelle une proportion seuil. Si la proportion de la population immunisée contre la maladie est supérieure à cette proportion seuil, la propagation de la maladie diminuera. C'est ce qu'on appelle le seuil d'immunité du troupeau. L'immunité collective diffère d'une maladie infectieuse à une autre en fonction de sa contagiosité.

    L'immunité collective ne doit pas être prise en compte. Ce qui est important pour les individus, c'est leur propre immunité. Pour garantir la production de cellules T tuant le virus / activant les anticorps, un apport adéquat en zinc est nécessaire pour produire des cellules T dans le thymus, situé juste sous votre cuirasse. Chez l'adulte, le thymus a environ la taille d'une noix et se réduit à la taille d'un pois en état de carence en zinc.

    Résumé: L’humanité se précipite pour contraindre, faire de la propagande et finalement imposer la vaccination de la population mondiale tout entière, en sautant les garanties et en préachetant des vaccins avant qu’ils ne soient avérés sûrs ou efficaces. Plus de 100 vaccins seraient en cours de développement et certains sont entrés dans des essais cliniques. L'Université de Yale explore les messages publicitaires les plus convaincants. Leur enquête initiale a révélé que 67 % des participants accepteraient un vaccin COVID-19.

    Un problème est que le public est susceptible de ne jamais entendre parler des effets secondaires et des décès causés par la vaccination, car il est si facile de blâmer les décès sur le virus lui-même. Compte tenu des informations présentées dans ce rapport, il y a de fortes chances qu'une catastrophe vaccinale attende alors que les gouvernements poussent à vacciner pour des raisons politiques et financières évidentes.

    Il existe des motifs présumés de réduire le nombre de bénéficiaires plus âgés de Medicare maintenant que son fonds fiduciaire est épuisé par moins de contributions en raison du chômage lié au COVID-19. Une partie du financement de Medicare provient désormais du fonds général des États-Unis car le fonds fiduciaire ne peut plus supporter la totalité du fardeau de ce système. Les dépenses de Medicare par habitant pour les 85 ans sont 2,5 fois plus élevées que pour les 66 ans. Alors que la chance de mourir chez les enfants de 0 à 19 ans du coronavirus COVID-19 est de 0,003 %, elle est de 7,836 % chez les 80 ans! Le fait que près de 7 Américains sur 10 accepteraient un vaccin largement non testé suggère une population naïve qui a cruellement besoin d'une éducation impartiale.

    Un formulaire de consentement / refus de vaccin est maintenant disponible sur Covid19Consent.com qui informe les Américains sur les risques et les avantages des vaccins COVID-19.

    https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/its-not-about-saving-lives/

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    1. Question: Combien de personnes peut-on vacciner en une minute ?
      Réponse: Aujourd'hui nos AK47 ont des chargeurs de 250 !

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