Le 'Masqueàlacon' (rassurez-vous non antivirus !) va être obligatoire ! Dès Septembre seront obligatoires aussi les 'bouchonsdanslecul' !
La France va proposer le port du masque obligatoire en entreprise
09:13 16.08.2020
Dans un entretien au Journal du dimanche la ministre française du Travail a précisé qu'elle proposerait aux partenaires sociaux de rendre obligatoire le port du masque dans les salles de réunion, sans également renoncer à l’idée du télétravail dans les zones de circulation active du Covid-19.
La ministre française du Travail, Elisabeth Borne, affirme ce 16 août qu'elle proposera aux partenaires sociaux de rendre obligatoire le port du masque en entreprises dans les salles de réunion sans aération naturelle et dans les espaces de circulation par exemple.
Elisabeth Borne explique aussi le télétravail devra être mis en place chaque fois qu'il est possible dans les zones de circulation active du nouveau coronavirus.
«Un sujet apparaît dans tous les avis scientifiques: l'intérêt d'en porter un quand on est à plusieurs dans un lieu clos. Dans les salles de réunion où il n'y a pas d'aération naturelle, les espaces de circulation», dit la ministre dans un entretien au Journal du Dimanche.
«Dans ce genre de cas, le port obligatoire du masque fera partie des propositions que nous ferons aux partenaires sociaux», déclare Elisabeth Borne.
Interrogé sur le télétravail, la ministre répond: «Il faut le mettre en place chaque fois que c'est possible dans les zones de circulation active du virus.»
L'agence Santé Publique France a indiqué le 15 août, citée par Reuters, que la France avait enregistré 3.310 nouvelles contaminations au nouveau coronavirus en vingt-quatre heures.
Le Haut conseil de santé publique a, dans un avis mis en ligne vendredi, recommandé le port systématique par la population d'un masque grand public, de préférence en tissu réutilisable, dans tous les lieux clos publics et privés collectifs.
Le port du masque grand public est également recommandé lors des rassemblements avec une forte densité de personnes en extérieur.
«Cette mesure est nécessaire pour protéger autrui d’une éventuelle contamination, en particulier les personnes vulnérables», souligne le Haut conseil, tout en précisant que le port du masque doit être associé aux autres mesures barrières comme la distanciation physique, l'hygiène des mains et la désinfection des surfaces.
Rappelons que nous respirons TOUS plus de 200 000 virus par minutes (et 2 millions en cas d'activités physiques), mais qu'il n'y a pas 200 000 ou 2 millions de virus différents. C-à-d que vous pouvez respirer quelques centaines (ou milliers ?) de virus différents à chaque minute mais qu'ils sont (depuis toujours et en toutes saisons) des virus éliminés ( à 999 pour mille) par votre organisme.
Rotations de cultures - « On ne sait pas par quoi remplacer le colza »
Insectes, gel, sécheresse et interdiction de molécules, certains agriculteurs se voient dans l’obligation d’arrêter leur principale tête d’assolement : le colza. Mais dans les terres superficielles à faible réserve hydrique, son remplacement relève du casse-tête.
« Le colza, c’était la tête d’assolement par excellence dans nos régions », explique Dominique Picoche, agriculteur à Fain-lès-Moutiers en Côte-d’Or. « C’est vrai qu’on l’a ramené trop souvent dans nos rotations. Mais la disparition de certaines molécules a rendu les insectes et les grosses altises en particulier non maîtrisable », détaille-t-il.
L'interdiction de soigner les plantes porte ses fruits ! Alors que les nappes phréatiques sont remplies continuellement par les infiltrations sous-marines (comme les sources qui font des fleuves), les paysans n'ont pas le droit d'arroser les cultures et de donner à manger aux 7 milliards d'habitants !!
La récolte mondiale de blé a été légèrement revue à la baisse par le rapport mensuel du ministère américain de l’Agriculture, en raison essentiellement des reculs de production attendus en Europe cet été, dus à la sécheresse notamment.
Restant colossale à 766,03 millions de tonnes (au lieu de 769,3 Mt estimés le mois dernier), la moisson mondiale 2020 de blé reste quasiment stable aux États-Unis, en Argentine, en Australie et au Canada, alors qu’elle recule de 4 millions de tonnes (Mt) dans l’Union européenne, à 135,50 Mt contre 139,50 Mt estimés en juillet. Elle augmente de 1,5 Mt en Russie, à 78 Mt contre 76,5 Mt estimées.
Alors que les fleuves vont perdre tous les jours des millions de km3 d'eau douce dans les océans... les paysans n'ont pas le droit de puiser l'eau en lui faisant barrage !!
Alors que la sécheresse gagne du terrain, des opérations paille s’organisent en France pour pallier le manque de fourrages. Il peut s’agir d’achats groupés ou d’échanges entre éleveurs et céréaliers.
Les prairies ont jauni partout en France et de nombreux éleveurs doivent ou ont dû entamer leurs stocks de pailles et fourrages afin de nourrir leurs animaux. Il s’avère parfois difficile de se procurer de la paille. Alors, dans certaines régions, les éleveurs se sont rassemblés pour trouver la paille au meilleur prix et assurer la logistique.
Malgré le sec, le niveau des nappes reste satisfaisant
13.08.20
Eaux souterraines - Malgré le sec, le niveau des nappes reste satisfaisant
Les niveaux des nappes phréatiques ont baissé en juillet 2020, ce qui est habituel en période estivale. La situation, contrastée à l’échelle du territoire, reste en grande partie satisfaisante, selon le BRGM.
La vidange des nappes phréatiques, initiée fin juin, s’est poursuivie en juillet, mois qui s’est caractérisé par une sécheresse importante. « Ce phénomène est habituel en cette période : les précipitations estivales génèrent rarement des pluies efficaces permettant de recharger les nappes, l’eau réussissant à s’infiltrer dans les sols étant entièrement reprise...
Les nappes phréatiques (comme les sources) dépendent uniquement des infiltrations maritimes et sous-océanique (via magma) et, quand il y a plus d'eaux puisées que rentrantes, les nappes ne trouvent en baisse (sans qu'il n'y ait de véritables dangers !).
Normalement, les nappes phréatiques débordantes (pleines) poursuivent leur chemin migratoire vers la surface (et irriguent les racines des arbres en sols secs).
La capillarité migre toujours vers les sols secs en surfaces avant de s'évaporer en surfaces.
Cette dépendances (de remplissage des nappes) vient continuellement des infiltrations, mais, des tremblements de terres (sous-maritimes et sous-océaniques) modifient continuellement la position de leurs sources, ainsi que de leurs couloirs de lames de fonds - qui resurgissent approximativement en Côtes d'Azur et côtes bretonnes - et forment des bouffées de chaleurs plus ou moins aux mêmes endroits.
Il y a sur notre planète des milliers (millions ?) de sources chaudes (brûlantes) aux planchers maritimes et océaniques qui réchauffent les courants maritimes et océaniques.
Sécheresse - L’irrigation, un « pare-feu naturel »
En cette période de sécheresse, l’association des Irrigants de France rappelle l’importance de l’irrigation et du stockage de l’eau pour prévenir et lutter contre les incendies de forêt.
« L’année dernière, 23 500 ha sont partis en fumée dans notre pays, rappelle Irrigants de France dans un communiqué du 11 août 2020. Le stockage de l’eau est aussi une arme efficace pour lutter contre les incendies de forêt. » mais... interdit en France !
Les dégâts des loups continuent de progresser en 2020 en France. La Normandie fait son apparition dans le palmarès des régions concernées par les attaques du prédateur.
Au 30 juin 2020, les services de l’État ont recensé 1 184 constats de dégâts de loups, indemnisables ou en cours d’instruction. C’est 135 de plus qu’en 2019 à la même date et 354 victimes de plus. Au total sur les six premiers mois de l’année, près de 4000 animaux d’élevage font partie du tableau de chasse du prédateur.
Ici, dans la République socialiste de Californie unie, nous avons un tas de lois insensées sur l'électricité. Le premier d'entre eux est un «Mandat sur les énergies renouvelables» qui oblige le service public local, Pacific Gas and Electric (PGE) à acheter une énorme quantité d'énergie solaire, éolienne et autre renouvelable coûteuse et peu fiable. Alors, bien sûr, nos augmentations de prix de l'électricité ont dépassé de loin celles de nos États voisins plus sains d'esprit.
(En passant, en vertu de la loi californienne, les grands barrages hydroélectriques ne sont PAS considérés comme «renouvelables» dans le cadre du mandat ... pourquoi pas ? Parce que s'ils comptaient l'hydroélectricité, nous aurions déjà rempli le mandat ... mais je m'éloigne du sujet ...)
Et que pouvons-nous obtenir pour cet investissement dans des systèmes de production coûteux ?
Énergie peu fiable. Hier, vers 18 h 30, ils ont coupé l'alimentation électrique de tout notre quartier pendant trois heures. Bien sûr, l’affirmation du public était que le temps chaud avait fait en sorte que le pauvre système ne pouvait pas suivre le rythme, alors nous sommes désolés, mais les pannes de courant continuelles sont la nouvelle norme à partir de maintenant ... je plaisante, elles ont commencé avant l'annonce.
Je vous assure que j'ai été aussi surpris que nos voisins… j'ai démarré mon petit groupe électrogène Honda 2KVA, j'ai tendu les rallonges et je suis revenu à ma vie. Bien que je doive avouer, j'ai dit de mauvais mots, et je crains d'avoir déclaré à la fois clairement et fort que les personnes en charge de cette corde de chèvre pourraient aller s'engager dans un congrès sexuel anatomiquement improbable avec elles-mêmes et le cheval sur lequel elles montaient ...
Mais ce matin, j'ai eu une pensée plus sobre, une que j'aurais dû avoir la veille, une que vous auriez peut-être déjà eue, qui était ...
… Si cette panne de courant est due à la chaleur, pourquoi n’a-t-elle commencé qu’après 18 heures, bien après la chaleur de la journée ?
Ma pensée suivante a été: "Ce sont ces cabrones avec leur énergie renouvelable abyssale." Alors je me suis mis à voir si c’était vrai.
En Californie, tout cela est géré par quelque chose appelé «CAISO», l'opérateur de systèmes indépendant de Californie. Voici leur graphique de la génération d'énergies renouvelables d'hier, sur le site CAISO:
- voir graphique sur site -
Figure 1. Production totale par type d'énergies renouvelables en Californie, 14 août 2020.
Comme vous pouvez le voir, le total de la géothermie, de la biomasse, du biogaz, de la petite hydraulique et du vent est doux Fanny Adams… et maintenant, remarquez quand le soleil a commencé à manquer le soir. À peu près au moment où notre courant s'est éteint.
Mais comme nous le savons, la corrélation n'est pas la causalité. Voici donc l'autre graphique CAISO pertinent, montrant la demande nette avec et sans énergies renouvelables…
Figure 2. Demande nette d'électricité en Californie, ventilée par type de production d'électricité
Je dois rire des petits caractères où ils se vantent de la façon dont ils «maintiennent la fiabilité tout en maximisant les sources d'énergie propres»…
Quoi qu'il en soit, là vous l'avez. Voici l'essentiel.
Si vous ajoutez dix gigawatts d'énergie solaire à votre réseau comme le montre la figure 2 ci-dessus, vous devez forcément, devez, devez, devez ajouter dix gigawatts d'énergie fossile conventionnelle pour couvrir des périodes comme hier, où les énergies renouvelables ne la coupent tout simplement pas ...
Et c'est surtout le fait de ne pas tenir compte de ce fait qui permet aux gens de prétendre que les énergies renouvelables sont prêtes pour le marché. Ils ne sont absolument pas prêts sans d'énormes subventions permanentes et une sauvegarde complète des ressources fossiles, et en fin de compte, ils ne sont tout simplement pas à la hauteur.
Tout cela est la faute totale et complète des démocrates qui dirigent cet État depuis toujours… tant pis. Quand j'étais enfant, c'était un super endroit où vivre.
VOTER! La seule solution à ce non-sens est de les jeter à l'oreille. Cela ne va pas se réparer. Voici l’histoire d’aujourd’hui.
Encore chaud aujourd'hui… pas impatient de la soirée…
w.
PS - Encore une fois, je demande, lorsque vous commentez, veuillez citer les mots exacts dont vous parlez. Cela évite toutes sortes de malentendus.
Le principal n'est-il pas de réduire le pouvoirs d'achat de tous les californiens et de ne fournir qu'une électricité pour les riches et une bougie pour les pauvres ?
Les résidents ont demandé de réduire l'électricité pendant la vague de chaleur en Californie
Par Jana Katsuyama Actualités KTVU FOX 2
La vague de chaleur fulgurante devrait taxer le réseau électrique de l'État. Une alerte Flex a été émise pour vendredi qui demande aux Californiens de réduire la consommation d'énergie de 15 h à 22 h. Jana Katsuyama de KTVU avec des conseils sur la façon de réduire
MARTINEZ, Californie - Une vague de chaleur fulgurante au cours des prochains jours incite l'opérateur du système indépendant californien à émettre une alerte Flex pour vendredi, ce qui signifie que les résidents sont invités à réduire leur consommation d'énergie à partir de 15 heures. à 22 h
La Californie devrait avoir une chaleur record, jusqu'à 10-20 degrés au-dessus de la normale dans certaines régions.
Au restaurant La Tapatia à Martinez, ils aiment la chaleur dans la nourriture mais pas tellement dans la cuisine.
"C'est difficile. Je vous dis aux gars de la cuisine qu'ils devraient recevoir une prime de risque spécial, car il fait très chaud dans la cuisine", a déclaré Ernesto Guerrero, le propriétaire du restaurant.
Guerrero, le propriétaire du restaurant, a fait installer une petite unité de climatisation jeudi. Il dit que sans repas à l'intérieur, ils peuvent économiser sur le refroidissement, mais il est difficile pour les restaurants de conserver beaucoup plus pendant l'heure du dîner.
«Nous ventilons l'endroit avant de l'ouvrir. Nous allumons les climatiseurs en dernier, car non seulement nous voulons économiser de l'énergie, mais c'est aussi coûteux. Les poêles et la réfrigération, nous ne pouvons pas faire grand-chose», a déclaré Guerrero.
La principale préoccupation est que les personnes qui font fonctionner les climatiseurs plus longtemps exerceront une pression sur le réseau électrique. Les alimentations électriques pourraient également être encore plus serrées, car la couverture nuageuse devrait entraîner une baisse de l'énergie solaire.
"La couverture nuageuse réduit évidemment la production solaire et donc resserre davantage nos approvisionnements en électricité", a déclaré Anne Gonzales, une porte-parole de l'ISO en Californie.
CAL-ISO dit que selon la loi fédérale, ils doivent maintenir les réserves de puissance, donc si la demande dépasse l'offre, il pourrait y avoir des pannes.
«Nous demandons d'en conserver une partie maintenant afin que l'électricité puisse continuer à circuler», a déclaré Gonzales.
La conservation pendant la pandémie présente un nouveau défi, car de nombreuses familles utilisent des appareils électroniques tels que des tablettes, des téléphones cellulaires et des ordinateurs travaillant à domicile et apprenant à domicile.
«Ce que nous demandons, c'est que les gens prennent des mesures simples qui peuvent aider», a déclaré Tamar Sarkissian, une porte-parole de PG&E.
PG&E positionne les équipes dans l'Est et le Sud de la baie où les températures devraient être les plus chaudes.
"Pour qu'il y ait des pannes de courant, nous sommes prêts à y répondre", a déclaré Sarkissian.
Ne pas utiliser de gros appareils tels que laveuses, sécheuses, aspirateurs et lave-vaisselle pendant les heures de pointe Si vous quittez la maison, réglez le thermostat à 78 degrés ou plus Utilisez un ventilateur au lieu de la climatisation si votre santé le permet Gardez vos stores dessinés pour bloquer la chaleur Éteignez les pompes des piscines Éteignez les lumières et les appareils inutilisés
Jana Katsuyama est journaliste pour KTVU. Envoyez un e-mail à Jana à jana.katsuyama@foxtv.com et suivez-la sur Twitter @JanaKTVU ou Facebook @NewsJana
La prochaine invasion d'insectes ravageurs sera découverte via les réseaux sociaux
Charles Rotter 15 août 2020
de Paul Manning, Université Dalhousie et Morgan Jackson, Université McGill
À la mi-juillet, l'utilisateur de Reddit, erako, a partagé une photo d'insectes d'apparence exotique, curieux de savoir ce qu'ils étaient.
Les insectes (punaises rouges rayées de noir) ne semblaient pas à leur place pour Mississauga, en Ontario. - ils étaient rouge vif, couverts de bandes noires et parsemés d'étoiles blanches.
L’affiche originale n’aurait pas pu prévoir les messages paniqués et les courriels d’urgence qui se répandraient sur Internet et par l’intermédiaire de plusieurs organismes gouvernementaux canadiens en réponse.
Cas d'identité erronée
L'insecte a été rapidement et correctement identifié par la communauté Reddit comme la mouche lanterne tachetée (Lycorma delicatula), un insecte envahissant qui s'est propagé du sud de la Pennsylvanie depuis son introduction accidentelle en 2014.
Partout au Canada, des entomologistes, des défenseurs de l'environnement, des agriculteurs et des forestiers l'ont surveillé avec anxiété. Ce ravageur se nourrit de la sève de plus de 70 espèces d'arbres, d'arbustes et de vignes, privant la plante d'énergie et offrant des opportunités aux maladies fongiques de coloniser. Les coûts associés aux récoltes perdues, aux plantes endommagées et à la lutte antiparasitaire peuvent être considérables, avec des récoltes annuelles ou des vergers entiers perdus.
Heureusement, c'était un cas d'emplacement erroné: la photo provenait du New Jersey, pas de Mississauga. Pour le moment, le Canada a évité un autre envahisseur d'insectes.
L'incident, cependant, a permis de tester avec succès le rôle important que jouent les médias sociaux et toute une nation de scientifiques communautaires dans la détection et l'identification des espèces introduites.
Utiliser la puissance des médias sociaux pour l'histoire naturelle
Les gens de tous âges se tournent vers les réseaux sociaux pour se connecter avec d'autres naturalistes. De Whatsthisbug sur Reddit (qui compte 245 000 membres), aux milliers d'entomologistes actifs sur Twitter, en passant par les centaines de groupes dédiés à l'identification des insectes sur Facebook tels que l'entomologie (146 000 membres) et l'identification des insectes (62 000 membres), les médias sociaux permettent conversations sur la biodiversité.
De nouvelles espèces scientifiquement inconnues - des champignons aux fleurs en passant par les insectes - sont maintenant régulièrement trouvées via Twitter, Facebook et Flickr.
De plus, nous en apprenons davantage sur les espèces qui nous sont familières. Les aires de répartition des espèces (la zone où se trouve une espèce) et le cycle de vie sont surveillés par une communauté mondiale enhardie et en mesure de partager leurs découvertes pour que le monde en profite. Les scientifiques participent également activement, créant des programmes pour répondre aux questions sur les araignées et recruter des volontaires pour trouver des bourdons ou collecter des ravageurs forestiers.
Parallèlement aux grands réseaux de médias sociaux, un site Web qui s'est rapidement établi pour la documentation d'histoire naturelle est iNaturalist. Une initiative conjointe de la California Academy of Sciences et de la National Geographic Society, iNaturalist est devenue une ressource de premier plan qui combine des données d'observation avec l'intelligence artificielle et l'expertise communautaire pour faire entrer l'histoire naturelle à l'ère numérique.
Les iNaturalistes sont déjà sur l'affaire
iNaturalist aide déjà à identifier les ravageurs envahissants du paysage urbain en Ontario. La punaise de feu européenne (Pyrrhocoris apterus), une punaise aux couleurs vives qui se nourrit de tilleuls et d'hibiscus, a été identifiée pour la première fois au Canada par Paula Oviedo Rojas, étudiante à l'Université de Guelph, dans sa cour d'Etobicoke, en Ontario, en 2017. Un an plus tard, à travers la ville, la naturaliste Karen Yukich a découvert la teigne du buis (Cydalima perspectalis) dans son jardin. Bien que ce papillon ait causé des dommages importants aux arbustes de buis à travers l'Europe, cette observation a marqué son premier signalement connu en Amérique du Nord.
Les deux espèces ont depuis été observées en train de se propager dans la région du Grand Toronto par les iNaturalistes dont les observations aident les chercheurs à comprendre comment les espèces envahissantes se déplacent dans les paysages urbains.
Ces phytoravageurs urbains introduits sont des exemples de la façon dont les scientifiques communautaires aident les scientifiques et les agences gouvernementales à détecter et à suivre les espèces envahissantes via les médias sociaux; a) Punaise européenne (Pyrrhocoris apterus), b) pyrale du buis (Cydalima perspectalis). (Morgan Jackson, Karen Yukich)
L'histoire naturelle à l'ère numérique
Alors que l'histoire naturelle passe au numérique, elle vit une renaissance. L’histoire naturelle - l’une des plus anciennes disciplines de la biologie - est souvent banalisée comme un passe-temps dépassé et non comme une véritable discipline scientifique, même si elle sous-tend une grande partie de la biologie moderne.
La prolifération des téléphones intelligents signifie que de nombreuses personnes ont une encyclopédie de la connaissance, un appareil photo numérique haute résolution et un GPS dans leurs poches. Les curieux sont en train d'être transformés en scientifiques communautaires qui fournissent des données et des observations vitales à partir de leurs parcs locaux, de leurs arrière-cours et des rues de la ville.
- voir photos sur site -
Quatre insectes ravageurs envahissants à surveiller: a) Les caisses d'œufs du puceron laineux de la pruche (Adelges tsugae); b) la lanterne tachetée (Lycorma delicatula); c) le coléoptère khapra (Trogoderma granarium); d) le longicorne asiatique (Anoplophora glabripennis). (Nicholas_T / flickr; Walthery / Wikimedia Commons; USDA / Domaine public; Arp / Wikimedia Commons)
Devenez un détective d'espèces envahissantes
Beaucoup de mains font un travail léger, dit le dicton. Et de nombreux naturalistes rendent les détections précoces plus probables.
Le gouvernement canadien est constamment à la recherche de nouveaux arrivants potentiels susceptibles de nuire aux ressources naturelles ou de décimer les récoltes, et les scientifiques communautaires connectés aux médias sociaux deviennent rapidement notre première ligne de défense. Les principaux ravageurs comme le puceron laineux de la pruche, la mouche lanterne tachetée, le coléoptère khapra ou le longicorne asiatique sont tous des cibles probables pour la détection communautaire.
Alors, tout au long de votre journée, regardez de plus près les insectes et autres organismes qui partagent votre environnement. Lorsque quelque chose attire votre attention, prenez une photo et partagez-la sur Internet - votre observation pourrait être plus significative que vous ne le pensez.
Paul Manning, chercheur postdoctoral, Faculté d'agriculture, Université Dalhousie et Morgan Jackson, chercheur postdoctoral en entomologie, Université McGill
Cet article est republié à partir de The Conversation sous une licence Creative Commons. Lisez l'article original.
I DonLa semaine passée, l’émission “Temps Présent” de la RTS (notre “Envoyé Spécial à nous…) a diffusé le reportage OVNIS, une affaire d’états [1] qui revient sur la publication récente de vidéos de l’US Air Force montrant des interceptions d’objets volants non identifiés par des F-18 américains.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles j’ai trouvé ce reportage mauvais, voire fallacieux , mais la principale est le passage sur
le “méta-matériau” bismuth-magnesium. A 56:57 du reportage on voit un certain Dr. Hal E. Puthoff dire ceci lors d’une conférence [2]:
C’était un échantillon multicouche de bismuth et de magnésium. Les couches de bismuth sont moins épaisses qu’un cheveu humain. Les couches de magnésium font environ dix fois la taille d’un cheveu humain. Soi-disant récupéré lors de la récupération d’un véhicule aérospatial avancé écrasé. On dirait qu’il s’agit d’un crash. Les lignes blanches sont du bismuth; les zones les plus sombres sont les séparations de magnésium. Donc, la question était de savoir ce qu’il en était de ce matériau, alors naturellement nous avons regardé dans tous les laboratoires nationaux, nous avons parlé aux métallurgistes, nous avons passé au peigne fin toute la structure des articles publiés. Nulle part nous n’avons pu trouver la moindre preuve que quiconque ait jamais fait ceci.
Ensuite, certaines tentatives ont été faites pour essayer de reproduire ce matériau, mais elles n’ont pas réussi à faire adhérer les couches de bismuth et de magnésium.
Troisièmement, lorsque nous avons parlé à des gens du domaine des matériaux qui devraient savoir, ils ont dit que nous ne savions pas pourquoi quelqu’un voudrait faire quelque chose comme ça. Il n’est pas évident qu’il ait une fonction quelconque.
Eh bien, des années plus tard, des décennies plus tard en fait, enfin notre propre science évolue. Nous entrons dans une zone appelée méta-matériaux, et il s’avère que cette combinaison de matériaux exactement à ces dimensions s’avère être un excellent guide d’ondes microscopique pour les fréquences térahertz de rayonnement électromagnétique à très haute fréquence.
L’objet dont il parle est celui-ci :
- voir photo sur site -
Remarquez mon honnêteté intellectuelle : j’ai laissé les deux mentions du copyright de Linda Moulton Howe , et même le lien vers son site si vous cliquez dessus.
En 1999, Linda Moulton Howe (LMH) avait confié cet objet pour analyse à Nicholas A. Reiter un autre passionné d’OVNIs et de phénomènes étranges. Mais lui a fait du bon boulot. Il ne trouve aucune propriété particulière à l’échantillon. La conclusion de son rapport détaillé à LMH de 1996 est claire [3]:
Au niveau le plus élémentaire, nous pouvons affirmer que la partie d’artefact fournie par LMH ne semble PAS être composée d’éléments ou de composés inconnus. Il n’est pas non plus composé d’alliages d’une pureté ou d’une composition dépassant le cadre de la science des matériaux actuelle . L’artefact ressemble fortement aux résidus stratifiés irréguliers souvent trouvés dans les revêtements par dépôt physique par phase vapeur (PVD) *.
… À mon avis, l’artefact représente probablement un curieux sous-produit industriel de l’industrie des films minces ou d’une usine de coulée de magnésium. Cependant, jusqu’à ce qu’une correspondance soit trouvée, je n’exclurai pas la possibilité d’une origine plus inhabituelle
puis il trouve la correspondance en 2001 et publie une mise à jour encore plus claire [3]:
La combinaison du bismuth et du magnésium nous a échappé pendant quatre ans. Mais un jour, nous avons trouvé une référence à un obscur procédé industriel utilisé dans le raffinage du plomb. Le procédé , appelé procédé de Betterton-Krohl, utilise du magnésium fondu flottant à la surface du plomb liquide. Le magnésium aspire ou extrait les impuretés de bismuth du plomb!
Ce processus peu connu aurait-il pu être la véritable origine d’un résidu métallique d’apparence inhabituelle, qui a ensuite été promu comme une technologie extraterrestre? **
Cependant, LMH trouve ses conclusions peu convaincantes (she really wants to believe…), les passe sous silence et vend l’objet en 2017 pour $35’000 à Tom DeLonge, le chanteur de Blink-182 et passionné d’OVNI pour le compte de sa société To the Stars… Academy of Arts & Sciences Inc. qu’il a fondé… avec notre ami le Dr. Hal E. Puthoff. [4,5]
Ce qui n’empêche pas celui-ci de qualifier 2cm² du déchet industriel le plus cher de l’histoire de “méta-matériau” en 2018…
Si vous aimez les théories du complot, voici pour vous : plus personne ne sait où est cet truc. Il s’est volatilisé chez “To the Stars”, impossible de le ré-expertiser dans un laboratoire indépendant. Et Nicholas A. Reiter est mort d’un cancer à 51 ans …
Note* En écrivant l’article, je suis tombé sur une autre explication un peu plus technique du “méta-matériau” qui correspond plus à la première hypothèse de Reiter en 1996 [3]. C’est dans un commentaire de Viktor Golubic sur [5]
Après avoir vu des gros plans des couches et d’autres matériaux de la collection reçus par Linda Howe, je crois fermement que le matériau en couches est un dépôt d’accumulation de surpulvérisation sans substrat à partir de bismuth de haute pureté (disponible en routine comme cible de pulvérisation) et de cibles de magnésium / zinc de haute pureté ( généralement disponible en tant que cible de pulvérisation à 99/1%) à partir d’une chambre de pulvérisation à magnétron utilisant un plasma d’argon comme ion de pulvérisation.
Étant donné que le Zn pulvérise à un taux plus élevé que le magnésium, vous le verrez généralement se déposer à 97/3% à partir d’une source de 99/1%, ce qui est exactement ce que nous trouvons être sa composition.
Les cibles de la chambre ont généralement un diamètre de 2 pouces avec une finition à la machine. Dans la présentation en trois parties de Linda sur YouTube, nous voyons une cible de pulvérisation de 2 pouces dans la collection qu’elle a reçue, ce qui fournit une preuve supplémentaire de cette origine. Les couches complètes prendraient environ 125 à 150 heures pour se déposer. En règle générale, les chambres ne sont pas nettoyées, ce qui permet souvent cette accumulation accidentelle sur les surfaces rugueuses de la machine à l’intérieur de la même chambre, ce qui explique sa croissance ondulante en tant que déchet de laitier au fil du temps. Je rechercherais des surfaces d’oxydation subtiles dans les couches pour déterminer à quelle fréquence la chambre était éventuellement ouverte et exposée à l’air lors des changements de pièces de substrat. Le substrat ou la pièce à revêtir est inconnu, mais les recherches de brevets révèlent de nombreuses possibilités pour voir ces métaux en étroite association les uns avec les autres dans le cadre de processus plus complets.
Note ** [6] donne plus de détails sur l’hypothèse de 2001:
Vraisemblablement, il s’agit du processus breveté en 1938 [7], produisant une fine croûte de magnésium et de bismuth en couches, qui est retirée du plomb. Lorsque le magnésium est réutilisé, de nouvelles couches se forment. (Le Fortean Times a approuvé cette solution en 2016.) N’oubliez pas que l’échantillon de Vallée a été spécifiquement identifié comme du laitier, c’est-à-dire des débris industriels. Howe a refusé de faire connaître les résultats de Reiter, préférant enchaîner le mystère des «extraterrestres». Bien sûr, nous aurions besoin d’un échantillon connu réalisé par le procédé industriel pour tester les versions «extraterrestres», mais la distribution du laitier dans les pays industrialisés sont en faveur de cette solution.
Mais encore Je voulais encore parler de la liste des recherches chez Bigelow Aerospace , dont on nous dit deux fois dans le reportage (à 24:40 à 43:00) qu’elles sont tellement avancées qu’elles méritent vraiment 22 millions de dollars de fonds secrets. Sérieusement ? 22 millions sur 10 ans pour étudier 38 sujets tellement avancés [8] ? Même pas un million par sujet ? Ca ne finance même pas un chercheur par sujet, sur 10 ans …
Qu’est-ce qui vous paraît le plus probable :
que Bigelow Aerospaces nous invente la propulsion hyperspatiale en 10 ans ou que ces recherches ne donnent rien, ce qui est excusable vu leur difficulté science-fictionnesque, et que M. Bigelow finance la campagne de son copain Harry Reid , visiblement ennuyé de devoir justifier ce projet mis en lumière par le président de l’association des scientifiques américains [9] ? C’est là le problème principal de ce reportage : il ne donne aucune voix aux scientifiques. C’est un reportage de gens qui croient aux OVNIs, donnant la parole à des gens qui croient aux OVNIs, financés par des gens qui croient aux OVNIs.
Quand un politicien à l’air aussi grave que mystérieux assène que les OVNIs sont apparus immédiatement après les essais nucléaires parce que ceux-ci rayonnent dans tout le spectre électromagnétique, la réaction immédiate de tout journaliste honnête serait de demander “mais il a bien fallu de nombreuses années à ces signaux pour aller jusqu’aux étoiles, non ?”.
Et quand on mentionne un crash d’OVNI : “donc les ET voyagent plus vite que la lumière, dans des dimensions parallèles et/ou par magnétohydrodynamique, et ils épatent nos pilotes de F18 par leur manoeuvres défiant la physique, mais ils s’écrasent quand même assez souvent, non ?”
Mais non. Aucun sens critique. Le reportage consiste à montrer que la science, c’est de la gnognotte, qu’on est trop nuls pour comprendre un méta-matériau et que les extraterrestres sont en train d’arriver. Ce n’est plus une théorie du complot puisque les américains ont diffusé 3 vidéos floues où on voit à peine ce qui se passe, mais ni vitesse, ni relevé radar …
C’est là que ça devient effectivement une “affaire d’état” parce que ce reportage digne de YouTube est financé avec mon pognon de con-tribuable, en ce qui me concerne la redevance TV.
De la part d’une chaîne de TV qui produit (encore) des émissions de vulgarisation scientifique de bon niveau, c’est vraiment navrant.
Références:
1 - Ovnis, une affaire d’états de Dominique Filhol, 2020, 77 minutes (RTS)
2 - Hal Puthoff, “Address to the SSE/IRVA Conference”, Las Vegas, 8 June 2018 (transcription en anglais)
3 - Report Compiled By Scientific Research Technologist Indicates Earthly Origin, Howe Says Material Is Still Anomaly
4 - Tom DeLonge’s UFO Research Company Paid $35,000 for ‘Exotic’ Metals, 2019, sur Vice.com (spoiler alert : ne cliquez pas sur ce lien avant d’avoir terminé la lecture de mon article svp…)
5 - UFO Researcher Explains Why She Sold ‘Exotic’ Metal to Tom DeLonge, 2019, sur Vice.com
6 - Jason Colavito, “a potential solution to the mystery of the alien metal promoted by ToTheStars”, 2018
7 - Jollivet Leon Eugene, “Process for refining lead which contains bismuth”, 1938, brevet US2133327
8 - Advanced Aerospace Threat and Identification Program: a list of all DIA products produced
9 - Steven Aftergood “More Light on Black Program to Track UFOs“, 17 janvier 2019, sur le site de la Federation of American Scientists
L'Italie enregistre une augmentation de près de 150% des arrivées de corona exotique (migrants) en un an
16 août 2020, 12:53 -
La ministre de l'intérieur italienne, Luciana Lamorgese, a annoncé une hausse de 148,7% des arrivées de migrants sur le sol transalpin en un an. 21 618 migrants ont rejoint l'Italie entre août 2019 et juillet 2020. L'arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des 12 derniers mois, la majorité arrivant de Tunisie, a fait savoir, le 15 août, la ministre de l'Intérieur italienne Luciana Lamorgese.
L'Italie a connu des difficultés ces derniers mois pour faire face à l'arrivée de centaines de migrants sur ses rives méridionales, une tâche compliquée par les mesures de sécurité dues à la crise sanitaire du coronavirus. Des prélèvements sont effectués, et lorsqu'ils sont positifs, la personne doit être traitée pendant que les autres doivent observer une quarantaine de 14 jours Selon la ministre, la difficulté n'est pas réellement dans le nombre d'arrivées mais du travail supplémentaire requis par ces mesures.
«Il y a besoin d'un système de protection pour les populations qui reçoivent les migrants, et pour les migrants eux-mêmes», a-t-elle déclaré à la presse. «Des prélèvements sont effectués, et lorsqu'ils sont positifs, la personne doit être traitée pendant que les autres doivent observer une quarantaine de 14 jours», a-t-elle ajouté. +148,7% par rapport à la période août 2018-juillet 2019
Tandis que la frustration monte parmi les maires locaux, le gouvernement a mobilisé des ferries pour maintenir les migrants en quarantaine. Il a aussi fait appel à l'armée dans certains cas, après l'évasion des centres d'accueil de migrants qui étaient testés positifs.
Du 1er août 2019 au 31 juillet 2020, 21 618 migrants sont arrivés sur les côtes italiennes, une augmentation de 148,7% par rapport aux 8 691 arrivées de l'année précédente, selon des données présentées la ministre le 15 août à Milan.
Lire aussi Migrants : la France et l'Italie vont créer une brigade sous commandement unique contre les passeurs Malgré la forte augmentation, le nombre d'arrivées de migrants est toujours loin derrière les niveaux enregistrés il y a quelques années.
De 2016 à 2017, l'Italie a enregistré l'arrivée de 182 877 migrants. Après la signature d'un accord avec la Libye pour que ses gardes-côtes empêchent les départs des migrants, le nombre est tombé à 42 700 lors de la période 2017-2018. Quelque 41,6% des migrants sont partis de Tunisie, et 40,5% de Libye. Plus du tiers des migrants arrivés déclarent être de nationalité tunisienne, contre 12% pour le Bangladesh, et 7% pour la Côte d'Ivoire.
Luciana Lamorgese a précisé qu'elle serait du voyage officiel en Tunisie, le 17 août, avec le ministre des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, et deux commissaires de l'Union européenne. «C'est un moment important et un signe d'attention envers un pays en difficulté», a-t-elle déclaré devant la presse, sans fournir plus de détails sur l'agenda du voyage.
Covid-19 : pourquoi certains masques sont-ils équipés d'une puce «RFID»
16 août 2020, 07:47
Il existe, en France, des masques équipés d'une puce dite «RFID» (radio-identification). Selon plusieurs médias, il s'agit de masques spéciaux utilisés par les salariés de certaines entreprises, dont le but est de contrôler le nombre de lavages. Selon des informations rapportées par plusieurs médias, dont Cnews, certains masques réutilisables sont dotés d'une puce «RFID» (pour radio-identification) – ce qui a pu soulever des inquiétudes.
Le sujet a été porté à l'attention du grand public le 14 août lorsqu'un auditeur de France inter a posé au directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, la question suivante : «Trouvez-vous normal que certains fabricants proposent des masques avec des puces RFID incorporées ? J’ai regardé sur internet le nombre de fabricants avec puce, c’est impressionnant. Il y a même des vidéos qui circulent, des gens qui décortiquent leurs masques.
Quel est l’intérêt de ces puces ?» Lire aussi Pandémie : situation «préoccupante» en France métropolitaine, de nouvelles restrictions à Paris Ce à quoi Jérôme Salomon a répondu : «Je peux vous dire que les masques français en tissus sont excellents, j'en porte tous les jours et ils ont un impact bien meilleur sur notre environnement, on peut les laver, les réutiliser.
Ils sont fabriqués en France, à proximité de chez vous et n'ont pas de puce intégrée, je peux vous le garantir.» «Mal informé ou peur d’affoler les Français, quoi qu’il en soit, celui qui est maintenant connu pour ses points-presse sur l’avancée de la Covid-19 en France ne dit pas la vérité», affirme le site de Cnews le 15 août.
Le média souligne que ce type de masques à puce existe : il s'agit de masques spéciaux «destinés aux salariés de certaines entreprises, dans l’unique but de compter le nombre de lavages avant de devoir se débarrasser du modèle» – généralement au bout de 30 à 60 utilisations, précise Cnews. Le français UBI Solutions est l'une des entreprises qui développent ce type ces masques à puce.
Selon son site internet, le masque «équipé d’une puce RFID intégrée avec Flashcode [permet] à l’utilisateur de contrôler le nombre de lavages avec une application smartphone» et donc ne pas dépasser le nombre de lavages pour lequel le masque est conçu.
D'après Le Parisien, la société avait «déjà développé ce système pour des draps de lits d'hôpitaux». Pour l'instant, aucune information n'est sortie sur le nombre de salariés concernés par ce type de masques en France.
Allemagne : manifestation contre les mesures anti-coronavirus à Hambourg
15 août 2020, 15:06
- voir clip sur site -
Une nouvelle manifestation contre le gouvernement allemand et les restrictions liées au Covid-19 mises en place par les autorités, se tient à Hambourg ce samedi le 15 août.
Le Directeur du Max Planck Institute for Meteorology s’inquiète surtout de la panique que génère le « changement climatique »
le 16 août 2020
Dans une interview avec le quotidien allemand phare Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ),le Dr Jochen Marotzke, directeur de l’Institut Max-Planck de météorologie (MPIM), a déclaré que prédire à combien de degrés de réchauffement nous devons nous préparer était comme prédire l’avenir avec du marc de café et qu’il n’est pas du tout inquiet au sujet des « points de basculement climatique ».
Il a également évoqué le large désaccord entre les modèles climatiques, que les pires scénarios présentés par certains modèles étaient utiles à des fins d’évaluation des risques, c’est-à-dire des scénarios improbables mais ne pouvant pas être exclus (voir les notes en fin de billet). « Dans la dernière génération de modèles, certains d’entre eux sont beaucoup plus sensibles aux gaz à effet de serre que les modèles précédents en termes d’augmentation de la température », a-t-il déclaré.
Cinq degrés « très très improbable »
Interrogé sur les résultats du modèle français sorti plus tôt cette année, qui suppose cinq degrés de réchauffement pour un doublement du CO2 atmosphérique, Marotzke a exprimé son étonnement, en disant au FAZ ce qu’il pensait des scientifiques français : « Mon Dieu, qu’est-ce que vous faites ? Parce qu’il est très, très improbable que le vrai climat soit aussi sensible que le montrent ces nouveaux modèles ».
« La question de la sensibilité du climat est extrêmement complexe. Par conséquent, les résultats d’un modèle doivent d’abord être traités avec extrême prudence », a déclaré Marotzke.
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi le modèle français produisait un réchauffement aussi élevé pour un doublement du CO2 Marotzke a répondu qu’il ne savait pas pourquoi : « Personne ne comprend pourquoi ils l’ont publié sans réfléchir au préalable. Les Britanniques l’ont fait différemment, ils ont dit que cette nouvelle valeur est un mystère. Ils veulent d’abord rechercher quelle en est la raison et si le taux de réchauffement est réaliste ».
Ne vous inquiétez pas des points de basculement climatiques
Plus tard dans l’interview, la FAZ a évoqué les soi-disant « points de basculement dans le système climatique », qui sont des « valeurs seuils qui mettent en mouvement des processus irréversibles qui, une fois lancés, ne peuvent plus être arrêtés ». Les points de basculement possibles nommés par certains scientifiques incluent l’inlandsis du Groenland, le Gulf Stream, l’Antarctique occidental, les récifs coralliens, l’Amazonie mourante, etc.
Quant à savoir s’ils pourraient se produire, Marotzke les considère comme « concevables » et que cela « ne peut pas être exclu » et avec « presque tous (ces points de basculement), nous ne savons pas où nous en sommes ».
Lorsqu’on lui a demandé lequel était le plus inquiétant, il a répondu: « Aucun ».
« Je ne vois aucun risque avec le Groenland »
Et même la fonte de la calotte glaciaire du Groenland n’inquiète pas le directeur du MPIM. Il a déclaré à la FAZ : « Cela va prendre tellement de temps – quelques milliers d’années – que je ne vois aucun risque avec le Groenland ».
Au sujet de l’Arctique, Marotzke dit qu’il est « tout à fait sûr que ce n’est pas un point de basculement » et que la rétroaction de l’albédo des glaces « n’est pas l’effet dominant ». «La glace revient chaque année – en hiver, a déclaré Marotzke, qui est directeur du MPIM à Hambourg depuis 2003. « Lorsque la température redescendra, la glace de mer reviendra ».
Ne vous inquiétez pas du dégel du pergélisol
Il ne s’inquiète pas non plus du dégel du pergélisol, affirmant que la contribution au réchauffement « est relativement faible ».
« En outre, même si le pergélisol dégèle, on ne sait pas quelle quantité de méthane atteint réellement l’atmosphère », a déclaré Marotzke. « Le méthane peut être converti par les bactéries en CO2. Je ne suis pas inquiet avec le méthane ».
« La panique climatique se retournera contre elle-même »
Interrogé sur ce qui l’inquiète, il répond: «La panique se retournera contre elle-même ». Marotzke met en garde contre la propagation de cette panique : « Cela peut devenir dévastateur. La question est : à quel moment les risques des mesures de protection du climat dépassent-ils les risques du changement climatique ? La panique n’aide pas ici, seulement une analyse et une mise en balance relativement modérée ainsi qu’une discussion démocratique aideront.
Notes. Le Docteur Marotzke, éminent climatologue de réputation mondiale, raisonne comme un actuaire et il a parfaitement raison. Définition de Wikipedia : « Un actuaire est un professionnel spécialiste de l’application du calcul des probabilités et de la statistique aux questions d’assurances, de prévention, de finance et de prévoyance sociale. À ce titre, il analyse l’impact financier du risque et estime les flux futurs qui y sont associés. L’actuaire utilise des techniques issues principalement de la théorie des probabilités et de la statistique, pour décrire et modéliser de façon prédictive certains événements futurs tels que, par exemple, la durée de la vie humaine, la fréquence des sinistres ou l’ampleur des pertes pécuniaires associées ».
Envisager des risques climatiques extrêmes est l’affaire des compagnies d’assurance. Comme le précise le Docteur Marotzke il est urgent sinon indispensable pour le monde politique d’évaluer les risques engendrés par les mesures de protection du climat, dont en particulier les objectifs totalement irréalistes de réduction des émissions de CO2, sur l’activité économique et industrielle, en regard des risques climatiques extrêmes. Je suggère à mes lecteurs la lecture de cet article de Roger Pielke Jr paru sur son blog ( http://rogerpielkejr.blogspot.com/2010/11/82-billion-prediction.html ) d’où il ressort un « hiatus » dans les frais engagés par les compagnies d’assurance pour couvrir les « désastres climatiques » qui n’ont pas augmenté depuis 1995 comme d’ailleurs les températures moyennes depuis cette même date.
Il est difficile de trouver des représentations de ce hiatus couvrant la période 1995-2019 pour la simple raison que c’est « dérangeant ». Si un de mes honorables lecteurs connait une source fiable sur ce point particulier je lui serai reconnaissant de la communiquer en commentaire … La représentation la plus récente, ci-dessous, est celle publiée par Sir Christopher Monckton of Brenchley en 2015 dans un article repris par le Heartland Institute ( https://www.heartland.org/_import/01-17-15_monckton_on_2014_temps.pdf ) :
Pourquoi nul scientifique n'est capable de prévoir la météo ?
Notre planète a subi des périodes de froids comme de chauds mais qui n'avaient rien à voir avec la présence humaine, animale ou industrielle.
Ces périodes étaient réactives aux intensités magmatiques. Lors des décennies glaciales, ce n'est pas le soleil qui s'est rapproché de la Terre mais étaient dues aux intensités de la masse ferrique incandescente sous nos pieds.
«Les alarmistes du climat continuent de promouvoir la science indésirable, l'interdiction des combustibles fossiles et la redistribution des richesses.» «Collaborer et s'entendre pour créer une crise climatique d'origine humaine qui existe dans leur esprit et leurs modèles informatiques, mais pas dans le monde réel.» - Dr Kelvin Kemm _____________
«C'est difficile à croire», écrit Paul Driessen, «mais cela fait dix ans que le premier des deux tristement célèbres courriels de Climategate a montré au monde comment des scientifiques voyous investis dans des allégations de crise climatique d'origine humaine avaient manipulé des données, supprimé des preuves et tenté de diffamer et de faire taire quiconque n'est pas d'accord avec eux… pour perpétuer leurs revendications et leur financement. »
«Dans cet article, le physicien nucléaire sud-africain, le Dr Kelvin Kemm, revisite ce qui s'est passé en novembre 2009 et résume certaines des nombreuses vérités gênantes sur le changement climatique naturel qui soulignent le fait que les fluctuations climatiques ont aidé ou martelé notre Terre et l'humanité à plusieurs reprises. au cours des siècles… et que les combustibles fossiles et les émissions humaines de gaz carbonique ne jouent aucun rôle important dans les événements climatiques ou météorologiques que nous connaissons aujourd'hui.
Cet article est super ! J'espère que vous le lirez, le sauvegarderez et le transmettrez à tous ceux auxquels vous pouvez penser. Robert
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Climategate: dix ans plus tard
Les alarmistes climatiques font toujours la promotion de la science indésirable, des interdictions des combustibles fossiles et de la redistribution des richesses
Dr Kelvin Kemm
Ce mois-ci marque le dixième anniversaire de «Climategate» - la publication de milliers de courriels adressés aux et en provenance des climatologues qui avaient (et sont toujours) collaborés et complices pour créer une crise climatique d'origine humaine qui existe dans leur esprit et leurs modèles informatiques, mais pas dans le monde réel. Le scandale aurait dû mettre fin au catastrophisme climatique. Au lieu de cela, il a été soigneusement enterré par des politiciens, des scientifiques, des militants et des capitalistes copains, qui récolteront des milliards de dollars des exagérations et de la falsification, tout en se dispensant des dommages qu'ils infligent aux familles quotidiennes.
Peu de gens connaissent les faits gênants sur la prétendue «crise» du climat artificiel et des conditions météorologiques extrêmes. Par exemple, depuis 1998, les températures mondiales moyennes n'ont augmenté que de quelques centièmes de degré. (Pendant un certain temps, ils ont même légèrement diminué.) Pourtant, tout ce que nous entendons est une rhétorique sans fondement sur le gaz carbonique d'origine humaine causant le réchauffement climatique et les changements climatiques qui posent des menaces existentielles pour l'humanité, la faune et la planète. Sur cette base, on nous dit que nous devons cesser d'utiliser les combustibles fossiles pour alimenter la croissance économique et améliorer le niveau de vie. C'est une mauvaise nouvelle pour l'Afrique et le monde.
Nous continuons d'entendre que l'augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère entraîne une hausse des températures mondiales. Mais les données satellitaires ne montrent rien de tel. En fait, les prévisions des modèles informatiques pour 2019 sont près d'un demi-degré Celsius (0,9 degrés F) au-dessus des mesures réelles des satellites. Pire encore, chaque fois qu'un scientifique soulève des questions sur la crise présumée, il est dénoncé comme un «négateur du changement climatique».
Une source majeure de données appuyant la proposition de réchauffement induit par le gaz carbonique par l'homme est venue du Climate Research Unit (CRU) de l'Université d'East Anglia au Royaume-Uni.
Manipuler des informations scientifiques
Puis, le matin du 17 novembre 2009, une boîte de Pandore contenant des informations embarrassantes sur le CRU a explosé sur la scène mondiale. Un pirate informatique a pénétré le système informatique de l'université et a pris 61 Mo de matériel montrant que le CRU avait manipulé des informations scientifiques pour faire apparaître le réchauffement climatique comme la faute de l'humanité et du gaz carbonique industriel. Parmi de nombreux autres scandales, les fuites d'e-mails choquants montraient le professeur Phil Jones, alors directeur du CRU, se vantant d'utiliser des «astuces» statistiques pour éliminer les preuves de baisses observées des températures mondiales.
Dans un autre e-mail, il a préconisé de supprimer les données plutôt que de les fournir à des scientifiques qui ne partageaient pas son avis et pourraient critiquer ses analyses. Des scientifiques non alarmistes ont dû invoquer les lois britanniques sur la liberté de l'information pour obtenir les informations. Jones a ensuite été suspendu et l'ancien chancelier britannique Lord Lawson a appelé à une enquête gouvernementale sur l'exposé embarrassant.
L'affaire est devenue connue sous le nom de «Climategate», et un groupe d'étudiants de l'université américaine a même publié une chanson sur YouTube, «Hide the Decline», se moquant du CRU et du modélisateur climatique, le Dr Michael Mann, dont l'utilisation de l'expression «hide the déclin» dans des températures avaient été trouvées dans les e-mails piratés.
Alors, quelle est la vérité ? Si l'on considère la composition de l'atmosphère et l'assimile à la hauteur de la tour Eiffel à Paris, le gaz carbonique supplémentaire fertilisant pour les plantes ajouté à l'atmosphère depuis que la Californie est devenue le 31e état des États-Unis en 1850 est inférieur à l'épaisseur des tuiles. sous la tour.
La majeure partie du réchauffement s'est produite avant 1940
Cette infime augmentation peut-elle vraiment expliquer tout réchauffement climatique observé depuis la fin du petit âge glaciaire et le début de l'ère industrielle moderne ? Depuis que la Californie est devenue un État, l'élévation globale mesurée de la température atmosphérique a été inférieure à 10 ° C. Mais la majeure partie de cette augmentation s'est produite avant 1940, et les températures planétaires moyennes sont tombées d'environ 1943 à environ 1978, entraînant une peur du refroidissement global. Les températures ont légèrement augmenté jusqu'en 1998, puis sont restées globalement stables, même si les niveaux de dioxyde de carbone continuaient d'augmenter. La hausse des niveaux de gaz carbonique et les variations de température ne sont pas du tout très corrélées.
De plus, pendant la période chaude médiévale bien documentée d'environ 950 à 1350, les températures mondiales plus chaudes ont permis aux agriculteurs vikings d'élever des cultures et de s'occuper du bétail au Groenland. Le petit âge glaciaire de 500 ans, également bien documenté, a affamé et gelé les Vikings hors du Groenland, avant d'atteindre son point le plus froid, le minimum de Maunder, 1645-1715. C’est alors que la Tamise en Angleterre a régulièrement gelé, les agriculteurs norvégiens ont exigé une compensation pour les terres ensevelies par les glaciers, et les prêtres ont exécuté des rituels d’exorcisme pour éloigner les glaciers alpins des villages. Des peintures de l'époque montrent des foules de gens faisant du patinage sur glace et conduisant des calèches sur la Tamise.
L'industrie et les émissions automobiles n'ont évidemment joué aucun rôle ni dans le MWP ni dans la LIA.
La chaleur a apporté la prospérité et des récoltes records - Le froid a apporté la misère, la famine et la mort
Ces événements dramatiques devraient sonner la sonnette d'alarme pour tout scientifique compétent et honnête. Si la période chaude médiévale s'est produite sans que le gaz carbonique industriel ne la conduise, pourquoi le gaz carbonique industriel devrait-il causer un réchauffement observé aujourd'hui ? La grande peste de l’Europe a anéanti près d’un quart de sa population pendant la petite période glaciaire. La période chaude a apporté la prospérité et des récoltes record, tandis que les années froides ont apporté la misère, la famine et la mort.
Dix ans avant Climategate, le Dr Mann a publié un graphique généré par ordinateur prétendant montrer les températures mondiales au cours des 1500 dernières années. Son graphique a mystérieusement fait disparaître la période chaude médiévale, la petite période glaciaire et les années extrêmement froides de Maunder - et les températures planétaires ont soudainement augmenté au cours des deux dernières décennies du XXe siècle. Le graphique avait la forme d'un bâton de hockey, a été publié dans le monde entier et est devenu une pièce maîtresse du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.
De nombreux scientifiques se méfiaient fortement des allégations relatives au bâton de hockey. Deux d’entre eux, Steven McIntyre et Ross McKitrick, ont complètement discrédité le programme informatique de Mann et l’histoire révisionniste. Bien sûr, cela n'a pas empêché l'ancien vice-président américain Al Gore d'utiliser le graphique discrédité dans son film de catastrophe et de morosité sur le changement climatique, An Inconvenient Truth.
Licenciement des «éditeurs gênants»
Les e-mails de CRU piratés ont également montré des échanges entre Mann et Jones, dans lesquels ils ont discuté de la manière d'intimider les éditeurs qui voulaient publier des opinions scientifiques contraires aux leurs, pour supprimer toute étude contradictoire. Dans un e-mail, Jones a exprimé son désir de se débarrasser du «rédacteur gênant» du journal Climate Research pour avoir osé publier des opinions divergentes. Le rédacteur en chef a été limogé.
Lorsque le sceptique climatologique de l'Université du Colorado, le professeur Roger Pielke Jr., a demandé au CRU ses lectures de température d'origine, on lui a dit que les données avaient été (commodément) perdues. Perdu !?! Les professionnels perdent-ils quelque chose d'aussi précieux que les données originales ? Beaucoup soupçonnaient qu'ils ne voulaient tout simplement pas que quiconque expose leurs manipulations et fabrications intelligentes.
Mais si le gaz carbonique industriel n'a pas provoqué le réchauffement climatique récent, qu'est-ce qui l'a fait ? Un groupe de recherche danois, dirigé par le professeur Henrik Svensmark, a trouvé une correspondance très crédible entre les niveaux d'activité des taches solaires (tempêtes magnétiques géantes) sur notre Soleil et les températures mondiales au cours des quinze derniers siècles. Ce mécanisme entièrement naturel correspond en fait à la preuve! Comme c'est terriblement gênant pour les alarmistes.
Les rayons cosmiques de l’espace lointain empiètent constamment sur la haute atmosphère de la Terre et produisent des nuages, tout comme les jets de haut vol laissent des traînées blanches derrière leurs moteurs. Plus de nuages peuvent emprisonner la chaleur, mais ils provoquent également un refroidissement global, car moins de lumière solaire frappe la Terre. Plus de taches solaires signifie un bouclier magnétique plus fort, donc moins de rayons cosmiques atteignant la Terre, donc moins de couverture nuageuse et plus de réchauffement climatique. Le Soleil est actuellement dans une période presque record de faible activité des taches solaires.
Redistribution des richesses et des ressources
Toutes sortes de groupes d'intérêt suppriment ces informations. Peut-être pire, lorsque Climategate a éclaté, la militante «justice climatique» des Amis de la Terre Emma Brindal a déclaré sans ambages: «Une réponse au changement climatique doit avoir en son cœur une redistribution des richesses et des ressources.» Ne pas protéger la Terre des émissions de gaz carbonique causées par l'homme ou des changements climatiques naturels et anthropiques - mais redistribuer la richesse et les ressources, selon des formules que les élites dirigeantes autoproclamées jugent «socialement justes».
Les militants pour le climat s'opposent également aux voyages aériens «excessifs» pour affaires ou pour le plaisir, aux véhicules 4 × 4 comme «luxe inutile» et aux maisons modernes pour les Africains. Certains disent même que les Africains doivent continuer à vivre dans des huttes de terre et éviter l'utilisation de l'électricité et des technologies agricoles modernes. L'acteur américain mineur Ed Begley a déclaré: «Les Africains devraient avoir l'énergie solaire là où ils en ont le plus besoin: sur leurs huttes. Eux, Al Gore, Phil Jones et Mike Mann sont bien entendu exemptés de ces restrictions.
Une véritable justice sociale et les droits de l'homme signifient que chacun a accès à une énergie abondante, fiable et abordable, en particulier à une électricité d'importance universelle. Pas des éoliennes et des panneaux solaires coûteux, intermittents et dépendant des conditions météorologiques. Des centrales à combustibles fossiles, nucléaires et hydroélectriques.
Nous, les pays en développement, ne laisserons plus la vérité climatique être supprimée. Nous ne permettrons pas à des militants radicaux et bruyants de freiner le développement économique africain, l’emploi et l’amélioration de la santé et du niveau de vie, au nom de la promotion de leurs programmes de redistribution des richesses antihumaines.
Le Dr Kelvin Kemm est physicien nucléaire et PDG de Nuclear Africa (Pty) Ltd, une société de gestion de projet basée à Pretoria, en Afrique du Sud. Il effectue des travaux de conseil en développement stratégique.
49 personnes abattues au cours des 72 dernières heures à New York alors que la ville atteint sa "date d'expiration"
par Tyler Durden Dim, 16/08/2020 - 21:31
La ville de New York embourgeoisée qui a fait de la Grosse Pomme l'envie des milliardaires, des oligarques, des agresseurs d'enfants et des criminels de blanchiment d'argent du monde entier n'est plus, et à sa place se trouve l'infernal New York des années 1970.
Selon Gothamist, entre jeudi et samedi, 49 personnes ont été abattues dans la plus grande ville des États-Unis, alors que la montée de la violence armée se poursuit cet été et se précipite pour rattraper cet autre paradis progressiste, Chicago.
Pour mettre la flambée dans son contexte, le nombre de personnes abattues au cours des trois jours est cinq fois plus élevé que les huit qui ont été abattus au cours des mêmes jours l'année dernière selon le Washington Examiner. Alors que la plupart des victimes des tirs étaient simplement blessées, au moins six personnes ont été tuées par balle au cours des trois jours d'intervalle, contre trois homicides qui ont eu lieu à la même période l'année dernière.
Depuis le début de l'année, il y a eu jusqu'à présent 1087 victimes par balle dans 888 incidents différents dans toute la ville, soit environ le double du crime observé en 2019. L'année dernière à cette époque, il y avait eu 577 victimes par balle dans 488 incidents à New York.
Parmi les personnes assassinées, il y avait un agent pénitentiaire hors service qui travaillait à Rikers Island. John Jeff, 28 ans, venait de quitter une fête dans le Queens à 3 heures du matin samedi matin lorsqu'il a reçu une balle dans la tête et la poitrine.
«Tôt ce matin, l'association de bienfaisance des agents de correction a été informée que l'agent de correction de la ville de New York, John Jeff, affecté au centre Anna M. Kross de Rikers Island, a été retrouvé mort dans le sud de la Jamaïque dans le Queens. Il a subi de multiples blessures par balle. Il était âgé de 28 ans et était au travail pendant un peu plus de deux ans avec toute sa vie et sa carrière devant lui. Il était apprécié et très apprécié de ses collègues », a déclaré le président de l'Association des agents de correction Benevolent Association, Benny Boscio Jr., dans un communiqué. .
Des voisins ont rapporté avoir entendu plusieurs coups de feu à l'extérieur de leurs maisons et des sources ont déclaré à ABC 7 que le meurtre semblait être planifié.
«J'ai entendu neuf coups de feu», a déclaré le résident Raymond Leslie. "Vous ne voulez vraiment pas sortir dans ces rues la nuit parce que cela devient de plus en plus dangereux."
Le maire Bill de Blasio, dont les actions - ou son absence - ont été blâmées par beaucoup pour avoir déclenché un exode historique parmi les habitants de New York, a dénoncé la fusillade en tweetant: "C'est une tragédie."
«Chirlane et moi gardons dans nos cœurs la famille, les êtres chers et les frères et sœurs de ce jeune homme à @CorrectionNYC aujourd'hui. Une enquête sur cette attaque lâche est en cours. Si vous avez des informations, veuillez contacter le NYPD», a tweeté le maire.
par Tyler Durden Dim, 16/08/2020 - 17:50 Rédigé par Adam Taggart via PeakProsperity.com,
Dans quelle mesure votre travail est-il sûr ?
Parce que malgré le "Tout est génial!" mirage les marchés financiers ont désespérément besoin de se projeter, l'économie réelle - vous savez, où les gens vivent réellement leur vie - nous raconte une histoire bien plus sombre.
Des dizaines de millions de travailleurs américains ont perdu leur emploi depuis l’arrivée du covid-19 sur les côtes américaines. Plus de 28 millions de personnes demandent actuellement des allocations de chômage fédérales et étatiques:
- voir graphique sur site -
Et malgré des mesures extraordinaires pour aider ces ménages touchés, nombre d'entre eux sombrent dans des difficultés car les perspectives ne font que faiblir.
La loi CARES de 2,2 billions de dollars a créé le programme fédéral d'indemnisation du chômage en cas de pandémie, qui a ajouté 600 $ de plus par semaine aux bénéficiaires de prestations de chômage. Il a également envoyé un chèque de crédit d'impôt pouvant atteindre 1 200 $ (2 400 $ pour les codéclarants) aux ménages dont le revenu est inférieur à un certain seuil de revenu.
Mais les paiements supplémentaires de 600 $ ont maintenant expiré et le Congrès est dans l'impasse sur ce qui va suivre. La proposition actuelle est de redémarrer le paiement des prestations supplémentaires à la somme réduite de 400 $ / semaine, avec 300 $ payés sur le Fonds de secours en cas de catastrophe du gouvernement fédéral et le reste financé par les États individuels. Un autre paiement de 1 200 $ semble également probable.
Ce plan présente cependant des défis. À 300 $ / semaine, le Fonds de secours en cas de catastrophe sera drainé après 5 semaines. Et de nombreux États affirment qu’ils n’ont pas les moyens de payer la facture de 100 dollars par semaine qui leur est demandée.
Ce n’est donc pas étonnant, avec des dizaines de millions d’emplois perdus et plus de 3500 entreprises déclarant faillite en vertu du chapitre 11 cette année, les Américains sont de plus en plus inquiets pour l’avenir:
POLL-Trois Américains sur dix licenciés dans la crise des coronavirus s'inquiètent pour la nourriture et le logement (Reuters)
Selon un sondage Reuters / Ipsos publié mercredi (...)
(…) Trois personnes sur dix interrogées par Reuters / Ipsos ont déclaré qu'elles auront «une période très difficile à satisfaire les besoins de base», qui comprennent le paiement du loyer ou l'achat de produits d'épicerie. La moitié ont déclaré être soumis à un certain stress "mais nous pourrons répondre à nos besoins de base.
Et ça ne fera que devenir plus difficile pour ces gens d'ici.
Le taux de chômage est actuellement de 10,2%, ce qui est élevé - mais sous-estime encore la réalité du demandeur d’emploi d’aujourd’hui.
Postuler à un emploi dans le monde post-covid est un véritable défi. Les entreprises sont en train d'essayer de comprendre comment gérer le personnel dont elles disposent pour s'adapter à une main-d'œuvre éloignée. Et beaucoup réduisent leurs effectifs ou ferment complètement leur magasin.
En termes simples: il y a beaucoup moins d'emplois. Et BEAUCOUP plus de gens en compétition pour eux maintenant.
Ce déséquilibre s'aggravera à mesure que les avantages extraordinaires du gouvernement se tariront, comme ils risquent fort de le faire après l'élection présidentielle de novembre. Bien sûr, les politiciens essaieront d'attirer les votes en étant aussi généreux que possible pour y arriver. Mais tout le monde sait qu’il n’ya aucun moyen pour le pays de soutenir ce qu’il dépense actuellement, alors attendez-vous à ce que les poursuites se terminent une fois que les résultats sont connus.
Et, si les marchés devaient connaître une autre correction majeure, comme ils le doivent certainement - alors Katie, barre la porte. Si la flottille d'entreprises américaines zombies actuellement maintenues à flot grâce aux mesures de relance de la Réserve fédérale est autorisée à couler, alors le taux de chômage deviendra fou alors que des dizaines de millions de travailleurs supplémentaires perdront leur emploi.
En servitude au top 1%
En parlant des marchés, depuis des années, nous avertissons bruyamment que la bulle des prix des actifs financiers provoquée par la Réserve fédérale a entraîné une disparité de richesse extrêmement injuste entre les déjà riches et les autres:
- voir carte sur site -
Cela se traduit par une économie néo-féodale, où de plus en plus d'entreprises ciblent et adaptent leurs services aux élites qui ont tout l'argent. Le reste d'entre nous devient de plus en plus des rouages dans cette machine, des ouvriers bourdonnent pour garder quelques reines grasses et heureuses.
Voici un exemple parfait. Voici une liste d’emplois actuelle sur CareerBuilder.com offrant un salaire et des avantages incroyables pour servir de «coach de vie» aux trois enfants de ce couple Apen, tous âgés de moins de six ans:
Donc, c'est fondamentalement un travail de nounou pour un couple de pouvoir incroyablement ambitieux avec de l'argent à brûler.
Compte tenu de l'état précaire de millions de ménages américains en ce moment, je m'attends à ce que des milliers de candidats postulent pour ce poste unique. La rémunération est tout simplement trop douce et il y a tout simplement trop de travailleurs licenciés dans le besoin.
Et nous devrions donc nous attendre à voir beaucoup plus de l'économie se diriger dans cette triste direction; de plus en plus de masses se disputent la chance d’être au service de l’aristocratie américaine.
Mais j'espère que cela ne doit pas être vous.
Que faire si Covid menace votre travail Si vous avez déjà été mis à pied en raison de la pandémie ou si vous craignez de l'être, y a-t-il des mesures importantes que vous devriez prendre maintenant ?
Absolument.
Nous avons publié The Layoff Survival Handbook peu de temps avant que le coronavirus ne frappe, et il est absolument plus pertinent que jamais dans l'environnement actuel.
La vague de faillite vient de commencer. Et si la bulle boursière éclate, comme l'histoire nous le dit, est-elle inévitable ? Les deux promettent plus de licenciements ET moins d'emplois dans un avenir prévisible.
Alors agissez dès maintenant pour augmenter vos chances de maintenir un revenu.
Dans la partie 2: Le manuel de survie à la mise à pied, nous détaillons les étapes à suivre maintenant pour réduire votre vulnérabilité à une mise à pied, ainsi que les étapes essentielles à suivre en cas de licenciement.
Beaucoup d'entre eux amélioreront votre cheminement de carrière et votre satisfaction même si un feuillet rose n'arrive jamais. Mais devrait-on faire, vous serez bien mieux pour les avoir pris.
Les enjeux sont tout simplement trop élevés maintenant pour laisser votre avenir au hasard.
Les cinq plus grands mythes du coronavirus DEMANTELES ! Dénoncer la peur, la propagande et les mensonges flagrants qui sévissent dans le monde
Par Peter Andrews Actualités RT 17 août 2020
La désinformation sur le coronavirus que les scientifiques, les politiciens et les médias ont donnée au public a été choquante. Faites un tour à travers les mythes bizarres, contradictoires et carrément ridicules qui ont fait plus de dégâts que Covid.
Mythe 1: ralentir la propagation du virus est une bonne idée
C’est la prémisse fondamentale de la «réponse» du monde à Covid, d’où tout le reste découle. Mais il n'a jamais été établi que nous devrions essayer de ralentir le virus, pas même du point de vue aveugle de simplement sauver des vies à court terme.
Ralentir la propagation du virus nous a d'abord été vendu comme un moyen de protéger les services de santé: si tout le monde tombe malade à la fois, les hôpitaux se rempliront jusqu'au point d'éclatement et les gens mourront sur des chariots dans des parkings extérieurs. Rappelez-vous «aplatir la courbe» ? Étant donné que les infections à Covid sont inévitables, leur propagation dans le temps sauvera indirectement des vies en garantissant que tous ceux qui peuvent être sauvés par des interventions médicales - masques à oxygène et ventilateurs - le seront.
Une idée noble, mais en fait, une idée malavisée. La plupart des hôpitaux ont passé les mois de l'épidémie à être vides. Tous les autres traitements médicaux ont été reportés afin de se préparer à l'attaque des patients Covid qui toussaient les poumons - une attaque qui n'est jamais arrivée. Même les unités de soins intensifs atteignaient rarement leur pleine capacité, et il est rapidement devenu évident que pour les personnes les plus exposées au risque de Covid, le respirateur et les soins intensifs ne convenaient pas. Seule une infime minorité de ceux qui sont décédés sont décédés en soins intensifs - les personnes âgées souffrant de nombreuses comorbidités sont mieux placées dans des services ordinaires.
Donc, «aplatir la courbe» était un canard mort, mais n’est-il pas logique de ralentir la propagation du virus de toute façon ? Eh bien, seulement si vous pensez que ceux qui mourraient de Covid s'ils l'attrapaient peuvent échapper au virus jusqu'à ce qu'un vaccin soit développé. Si des personnes vulnérables qui croient ne pas avoir attrapé le virus (elles peuvent être asymptomatiques) veulent attendre un vaccin putatif, elles devraient alors être plus claires quant à leurs intentions. Parce que s’ils ne le peuvent pas, cela ne sert à rien.
De plus, il existe au moins une théorie pour laquelle vous pourriez rendre service à quelqu'un en lui donnant le virus. La théorie évolutionniste nous dit qu'à mesure qu'un virus respiratoire se propage, il perd de sa puissance. Un virus efficace est un virus bénin, qui ne tue pas son hôte avant de pouvoir le propager. C'est ainsi que fonctionne réellement l'immunité collective dans ce contexte: il s'agit des changements apportés au virus lui-même. En revanche, lorsque nous avons verrouillé, le virus n'avait nulle part où aller. Au lieu de s'atténuer, toutes les souches les plus dangereuses se sont rassemblées dans les seuls endroits où se rassemblaient les malades: les maisons de retraite et les hôpitaux. C'est pourquoi j'ai salué la nouvelle que le virus devenait plus contagieux avec la jubilation - il vaut mieux que le virus se propage librement, du moins parmi les personnes en bonne santé.
Mythe 2: les verrouillages ralentissent la propagation
Mais faisons semblant pendant un moment que ce n’est pas mieux. Car sans l'hypothèse fondamentale que se propager = mauvais, le reste de la discussion est renversé. Les «pointes» deviennent un motif de soulagement, pas d’inquiétude. Les masques, s'ils fonctionnent, deviendraient contre-productifs. Je ne prétends pas cela comme une vérité, mais seulement que c'est au moins aussi probable que le modèle classique.
Mais si vous pouvez suspendre votre incrédulité suffisamment longtemps pour imaginer qu'il vaut la peine d'entraver la propagation du virus, alors vous pourriez être pardonné de supposer que les verrouillages sont le moyen de le faire. Il n'y a, cependant, aucune suggestion, et encore moins aucune preuve, que les verrouillages poseraient un problème pour un virus rusé.
Si les verrouillages jouaient un rôle quelconque, nous nous attendrions à voir une corrélation entre les différentes formes de verrouillage imposées par diverses régions ou différents pays, et la forme des courbes de mortalité dans ces pays. Mais nous ne le faisons pas - la corrélation est nulle. Belgique, Royaume-Uni, New York: des verrouillages stricts; beaucoup de morts. Suède, Japon, Uruguay: peu ou pas de verrouillage; quelques morts. Vous pouvez citer des exemples opposés, mais c’est juste le point: il n’ya pas de cohérence. Et avant d’essayer d’expliquer les pays individuels en agitant la main sur les «cultures différentes» ou les «meilleurs tests», il n’ya pas non plus de corrélation avec aucune de ces choses.
En termes simples, il n'y a rien sur lequel on puisse facilement indiquer que toute mesure prise par un gouvernement du monde pour bloquer le virus a fonctionné. Les verrouillages sont peut-être les plus gros outils du hangar, mais ils sont toujours défectueux.
Mythe 3: le suivi des contacts est la réponse
Au début de l'épidémie, il semblait y avoir un lien entre les pays dotés de capacités impressionnantes de suivi et de traçabilité, comme l'Allemagne et la Corée du Sud, et leur capacité à y faire face. Bien sûr, le suivi et le traçage eux-mêmes n’auraient pas pu «guérir» la population de Covid. Personne ne savait pourquoi les tests complets semblaient avoir un effet positif. Des mois plus tard, personne ne le sait.
Mais cela n'a pas empêché les gouvernements occidentaux de tentatives pathétiques d'imiter les sociétés conformistes d'Asie de l'Est avec des applications et des programmes de recherche de contacts. Malgré une campagne de propagande non négligeable, ils ont tous lamentablement échoué. C'est en grande partie parce qu'il n'y a même plus assez de personnes qui présentent des symptômes, des mois après le pic du virus.
Essayer d'augmenter la recherche des contacts en août va au-delà du verrouillage de la porte de la grange après que le cheval s'est verrouillé. Ce cheval s'est enfui il y a si longtemps que maintenant des troupeaux de ses descendants errent dans la campagne. Pendant ce temps, le fermier ruine sa ferme afin de verser ses ressources dans des dispositifs de verrouillage de porte de plus en plus élaborés et coûteux.
Pour BAME, insérez toute minorité ethnique ou autre que vous avez lue qui est la plus affectée par l'épidémie de virus. Bien sûr, le virus est raciste - tout le reste l'est. Les faits comme celui-ci proviennent de la division des malades ou des morts dans leurs groupes de réveil, puis de la comparaison des proportions à la population dans son ensemble. Et il ne fait aucun doute que les personnes BAME sont «surreprésentées» dans ces statistiques.
Mais le risque se situe au niveau de la population et s'explique presque entièrement par des facteurs médiateurs comme l'obésité, le diabète et d'autres comorbidités, plus répandus dans certaines populations que dans d'autres. Si vous avez 80 ans, en surpoids et malade, vous devriez vous inquiéter d'attraper le virus, quelle que soit votre race. De même, si vous êtes en forme et que vous avez moins de 60 ans, vous êtes plus susceptible d'être frappé par la foudre que d'être tué par le virus, quelle que soit votre race. Il y a eu une suggestion, mais seulement une suggestion, que des niveaux inférieurs de vitamine D chez les Noirs pourraient jouer un rôle, mais ce n'est pas à l'origine des disparités.
Ce point statistique de base rend ridicule l'idée que certains athlètes professionnels craignaient de reprendre leur sport. En fait, je suis désolé pour Troy Deeney (pas seulement parce qu’il a été relégué avec Watford) mais parce qu’il a été effrayé par une mauvaise communication scientifique. En tant que jeune homme BAME en bonne santé, il n'y a aucune raison de soupçonner qu'il est lui-même à risque accru. Mais il a été persuadé qu'il est par un régime qui distille le pouvoir de la peur.
Mythe 5: Pour que les écoles ouvrent, les pubs doivent fermer
Quelle pourriture totale c'est. La personne qui a proposé ce faux compromis aurait une brillante carrière dans la conception de jeux de société, si elle ne gagnait pas autant en tant que fonctionnaire. C'est simplement une fabrication, et en tant que telle quelque peu difficile à réfuter, un peu comme l'existence de fées invisibles.
Vous pourriez juste, vous savez, laisser les pubs ouverts et ensuite ouvrir les écoles aussi ? Mais je suppose qu'il y aurait alors une «deuxième vague» de décès deux semaines plus tard. Vous savez, comme la deuxième vague annoncée en mai. Et puis juin. Et puis juillet. Ce n’est qu’au cours des deux dernières semaines que l’OMS a finalement abandonné le rêve et changé son histoire en «One Big Wave», qui n’a pas la même sonnerie. Mais la fiction de la deuxième vague n'a pas encore été trouée dans la mémoire - elle peut être tracée à la demande pour forcer de nouvelles attaques contre nos libertés restantes.
Tout ce que je peux faire, c'est prédire qu'une deuxième vague de décès ne se matérialisera jamais, et chaque jour depuis avril, j'ai eu raison. L'établissement, en revanche, fait de fausses prédictions encore et encore et n'est jamais tenu de rendre des comptes. Ils ne font que changer la prédiction et espèrent que tout le monde oubliera ce qu'ils ont dit il y a une semaine. Ne portez pas de masques. N'allez pas travailler. Allez au travail, mais ne prenez pas les transports en commun. Mais si vous le faites, portez un masque. Ne soyez pas dupe en pensant que la confusion est fortuite. Cela fait partie du plan - les gens confus sont plus faciles à contrôler.
C’est peut-être Joseph Goebbels qui a dit: «Si vous dites un mensonge assez grand et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire.» Il semble que ce soit une déclaration toujours verte; non seulement il n'y a pas de limite à la taille du mensonge, il ne semble pas non plus y avoir de limite sur le nombre de mensonges.
Les hypothèses font des prédictions, et si elles sont constamment prouvées exactes, elles deviennent finalement de la théorie. Einstein est annoncé parce qu'il a fait des prédictions sur les trous noirs qui ne sont prouvées que près d'un siècle plus tard. Beaucoup de bons esprits se sont mis à faire des prédictions sur la nature de cette épidémie, malgré les slimes et les calomnies des pom-pom girls de l'élite. Mais quand ils sont confirmés, les pom-pom girls les noient.
En revanche, Neil Ferguson est de nouveau déployé et le deuxième hésite en disant «attendez encore deux semaines». Quand cela prendra-t-il fin? Jamais. Pas avant d'avoir repensé complètement. La logique et la raison n'ont pas fonctionné. Il est temps d’adopter une nouvelle approche.
Les déclarations, opinions et opinions exprimées dans cette colonne sont uniquement celles de l'auteur et ne représentent pas nécessairement celles de RT.
(...) Le terme asymptomatique s'oppose au terme symptomatique et s'utilise en cas d'absence de symptôme. On dit d'une pathologie qu'elle est asymptomatique lorsque le patient ne présente aucune manifestation clinique, lorsqu'une simple observation ne permet pas de déceler un symptôme caractéristique de cette pathologie.
"Beaucoup de personnes y compris les médecins confondent avec le terme ''porteur sain'' explique le Dr Legout, "Le porteur sain est porteur d'une anomalie dans son système sans être malade alors que le patient asymptomatique est malade mais il ne présente pas de symptôme".
Exemple d'actualité : un patient infecté par le Covid 19 mais ne présentant aucun symptôme est un patient asymptomatique, non un porteur sain. (...)
C'est-à-dire qu'alors que vous êtes en très bonne santé vous voyez quelqu'un s'approcher de vous pour vous tester: Vous êtes déjà une personne morte !
Une infirmière de première ligne parle des protocoles létaux
Par Joseph Mercola Mercola.com 17 août 2020
Dans cette interview, Erin Marie Olszewski, ancienne combattante à la retraite de l'armée, une infirmière qui a traité pendant plusieurs mois des patients atteints de COVID-19 au Elmhurst Hospital Center, un hôpital public du Queens, New York - l'épicentre de la pandémie aux États-Unis.
Elle a maintenant écrit un livre, «Undercover Epicenter Nurse: Comment la fraude, la négligence et la cupidité ont conduit à des décès inutiles à l'hôpital d'Elmhurst» 1, qui détaille ses expériences.
Olszewski est née au Michigan et a grandi dans une petite ville du Wisconsin et a rejoint l'armée à 17 ans. Lorsque le 11 septembre s'est produit, elle suivait une formation de base. «Je n'avais que 18 ans, donc j'ai grandi assez rapidement», dit-elle.
Au total, elle a été en poste en Irak pendant un peu plus d'un an. À son retour aux États-Unis, elle a travaillé au Special Operations Command à Tampa, en Floride, avant de quitter l'armée et de devenir infirmière. Il y a un peu plus de 20 ans, en juillet 2000, j'ai lu une étude du Dr Barbara Starfield2 publiée dans JAMA. Il contenait des statistiques identifiant les médecins comme la troisième cause de décès.
J'ai créé ce titre en juillet 2000, qui est devenu un mème et s'est répandu dans le monde entier. Dans un suivi choquant de l'article de Starfield, en 2012, son mari a écrit un article troublant dans les Archives of Internal Medicine3 à propos de sa mort, indiquant un médicament qu'elle prenait comme un possible contributeur.
«La spécialisation, la fragmentation, l'orientation vers les médicaments et la recherche de profits contribuent à faire des soins médicaux américains les plus chers du monde, mais pas les plus sûrs ni les plus efficaces», a écrit le Dr Neil A. Holtzman. «Les leçons de la mort de Barbara doivent être mises dans la perspective des millions de personnes qui ne peuvent même pas se permettre des services de base dans notre système coûteux et qui en souffrent.»
Comme si ce n’était pas assez flagrant, de nouvelles statistiques sur les décès révèlent que la situation n’a fait qu’empirer au fil des ans, et l’expérience d’Olszewski pendant la pandémie COVID-19 montre à quel point les médicaments sont devenus plus dangereux.
«Je me suis lancé dans cette profession pour aider les gens… [mais] il ne m'a pas fallu longtemps pour réaliser que nous ne faisons que remplir nos patients de médicaments. La plupart de mon travail était les médicaments du matin, les médicaments de l'après-midi, les médicaments du soir… [et] les tests.
J’ai toujours eu une passion pour une approche plus naturelle de la santé et c’était dévastateur pour moi de réaliser que je n’aidais pas vraiment ces patients, je contribuais au problème », dit Olszewski.
«J'ai toujours eu cet état d'esprit en tant qu'infirmière: comment puis-je amener ces patients à consulter ces médicaments et à parler aux médecins et à les défendre pour qu'ils se débarrassent de tout cela ?
Je me heurtais à de nombreux obstacles et j'ai donc fini par travailler dans un cabinet privé où les médecins ne se préoccupaient pas tant du profit que des gens. J'ai toujours continué dans ce sens. Avance rapide jusqu'à cette année, nous avons été essentiellement licenciés de nos emplois.
En Floride, nous l'avons bien fait. Nous n’avons interdit aucun des traitements alternatifs. Ils ont laissé à chaque hôpital le soin de se décider, c'est pourquoi nous avons très bien réussi, contrairement à New York. »
La négligence médicale était la norme
Alors que la pandémie de COVID-19 progressait, New York, étant un hotspot, avait désespérément besoin d'infirmières qualifiées, alors Olszewski a fini par faire du bénévolat et est allé travailler à Elmhurst en avril 2020. «C'était toujours extrêmement rempli dans ces hôpitaux avec à peu près chaque personne sur un ventilateur », dit-elle.
Curieusement, quand elle est arrivée, on lui a dit qu’elle devait attendre des jours pour son affectation. Normalement, en temps de guerre, on s'attend à ce que vous vous mettiez immédiatement au travail. C'était le premier drapeau rouge suggérant que tout n'était pas ce qu'il semblait. Certaines infirmières avaient attendu dans des chambres d'hôtel pendant 18 jours avant de recevoir leur affectation.
«Pourquoi n’utilisaient-ils pas leurs ressources, se plaignant de ne pas avoir assez d’aide alors que [il y avait]… 1 000, 2 000 infirmières assises à New York en attente d’une affectation? C'était très déroutant pour moi. Si en fait c'était essentiellement une zone de guerre, les gens meurent littéralement de gauche à droite, pourquoi ne nous utilisent-ils pas?
J'ai finalement obtenu une affectation et ils m'ont mis à l'hôpital d'Elmhurst ... J'y suis arrivé et il m'a littéralement fallu un quart de travail - 12 heures - pour réaliser que c'était le chaos absolu, et pas parce que nous n'avions pas assez de personnel.
Nous étions bien équipés. C'était parce que personne ne s'en souciait. J'avais littéralement l'impression de vivre dans la zone crépusculaire. Et, sachant ce que je sais de notre système de toute façon dans une bonne journée, c'était juste une négligence absolue.
De toute évidence, lorsque vous vous rendez à l’hôpital, vous courez un grand risque d’erreurs médicales qui peuvent vous tuer accidentellement, et l’expérience d’Olszewski met en évidence l’un des problèmes majeurs: la négligence grave délibérée. C’est pourquoi il est si crucial de vous assurer que vous avez un avocat à vos côtés 24 heures sur 24, qui peut parler en votre nom, poser des questions et s’assurer que vous recevez le traitement approprié.
En raison de problèmes d'infection au COVID-19, les membres de la famille ont été exclus du processus ici. Ils n’ont tout simplement pas été autorisés à entrer. Pour moi, c’était probablement pourquoi tant de ces abus ont pu se produire. Olszewski est d'accord, en disant:
«C'est exactement ça. En plus de cela, ils ont créé un environnement sans responsabilité. Alors maintenant, vous avez un environnement sans responsabilité où tout le monde sait que quoi qu’il fasse, il n’aura pas d’ennuis pour cela. Nous n'avons pas de famille pour nous mettre en échec…
Vous avez des médecins et des infirmières qui, à ce moment-là, ne s'en soucient tout simplement pas parce que tout le monde allait mourir de toute façon, alors à quoi ça sert? Et puis vous avez tout le monde sur un ventilateur. Ainsi, ces patients ne peuvent même pas parler d’eux-mêmes. Ils sont entre les mains de celui qui s’occupe d’eux.
Comment pouvez-vous vous asseoir et permettre que cela se produise ? Je ne sais pas combien de personnes savaient sciemment que cela se passait et ont simplement choisi de rester silencieuses. C’est vraiment triste. »
Les respirateurs de routine était une peine de mort
Au moment où Olszewski a commencé à travailler à Elmhurst en avril, les médecins du monde entier, y compris les États-Unis, avaient déjà commencé à se poser des questions sur l'utilisation de routine de la ventilation mécanique pour les patients atteints de COVID-19. En quelques semaines, beaucoup ont commencé à affirmer que cela semblait faire plus de mal que de bien.
Cela s'est certainement avéré exact à Elmhurst. En quatre semaines, Olszewski n’a vu qu’un seul patient sous ventilation mécanique qui a survécu, et c’est parce que la sédation n’a pas tout à fait duré et qu’il a fini par s’extuber. La triste tragédie est qu’il n’avait aucune indication médicale justifiant son placement sous respirateur pour commencer.
Essentiellement, être mis sur un évent est le baiser de la mort et, selon Olszewski, le personnel d'Elmhurst en était au courant. Ainsi, au cours de sa première semaine, Olszewski a parlé à un avocat et a commencé à enregistrer secrètement ses conclusions et ses interactions avec le personnel d'Elmhurst. C'était nécessaire pour que le public croie son histoire. Elle explique:
«Comme je l'ai dit, il ne m'a pas fallu plus qu'un changement pour réaliser ce qui se passait. Je suis rentré dans ma chambre d'hôtel et j'ai fondu en larmes… Je ne pouvais même pas y croire. J'ai beaucoup d'amis infirmiers et je leur ai demandé de passer un appel Zoom avec moi et j'ai laissé tout sortir.
L'une d'elles est une infirmière praticienne, et elle a fini par être en quelque sorte mon mandataire. Elle a fait une vidéo en direct et elle est devenue assez virale… Elle a été éclairée par tout le monde. Elle a reçu des menaces de mort. Tout le monde a dit qu'elle inventait.
Donc, j'avais contacté un avocat après quelques jours à voir ce qui se passait avec elle, essayant juste de faire passer mon message. Et je me dis: «Écoutez. Personne ne croira ce qui se passe ici parce qu’ils ne la croient pas… La seule façon pour le public de prendre cela au sérieux et de croire ce que je dis… c’est avec une vidéo réelle. »
J'avais déjà essayé de remonter la chaîne de commandement et tout le monde vous disait simplement: `` Taisez-vous ou vous êtes parti. '' Vous étiez considéré comme un fauteur de troubles si vous essayiez de défendre vos patients, et vous étiez à peu près évité ... Des infirmières ont été renvoyées à la maison avant mon arrivée, pour avoir fait les mêmes choses ...
L'éthique vient essentiellement de sortir par la fenêtre. Mon avocat a fini par me procurer une paire de lunettes d'espionnage pour filmer et elles s'intègrent avec le reste de l'EPI, donc cela n'a jamais été vraiment remis en question ...
C'était assez terrifiant, mais en même temps, je vais là-dedans, en regardant mes patients comme: «Vous savez quoi? Vous méritez justice. Cela n’aurait jamais dû se produire et j’espère que l’histoire ne se répétera plus jamais. »Telle était la mission.
Les gens ont besoin de connaître la vérité et ceux qui pensaient que c'était OK doivent être tenus responsables de ces actions. Dans notre profession, nous sommes censés être là pour les patients. Nous sommes censés agir avec intégrité et compassion et rien de tout cela ne se produisait. "
Des infirmières licenciées pour avoir protégé des patients
En règle générale, les infirmières, qui sont dans les tranchées jour après jour, sont beaucoup plus informées des détails pratiques pour optimiser les soins aux patients que la plupart des médecins, qui comprennent peut-être mieux la science mais n'apprécient généralement pas les variables critiques de mise en œuvre.
Les infirmières qui sont dans les tranchées jour après jour savent généralement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Je me souviens à maintes reprises au cours de ma propre résidence médicale où les infirmières corrigeaient des décisions qui, si elles étaient mises en œuvre, auraient pu nuire au patient.
Ainsi, le personnel infirmier qualifié est un élément vraiment crucial qui contribue à assurer la sécurité des patients. Malheureusement, dans ce cas, les infirmières ont été systématiquement rejetées et ignorées. Selon Olszewski, elle a eu de nombreuses conversations avec ses collègues, qui ont tous dit la même chose. Ils ne pouvaient tout simplement pas croire ce qui se passait.
«En fait, j'ai aussi enregistré beaucoup de ces conversations simplement parce que je ne voulais pas que les gens pensent que c'était juste moi», dit-elle. «Vraiment, tout le monde pensait:" Ce n’est pas bien. "
Olszewski a finalement été renvoyé d'Elmhurst pour avoir dénoncé les conditions dans ce pays. Il y a aussi des pétitions pour retirer son permis d'infirmière. C'est, semble-t-il, un moyen couramment utilisé pour faire taire l'opposition ces jours-ci. Olszewski jure de se battre pour conserver sa licence.
Expérimentation médicale par des résidents tués des patients
Pour aggraver les choses, de nombreux médecins traitant les patients atteints de COVID-19 à Elmhurst étaient des résidents de première année, dont beaucoup n'avaient jamais interagi avec des patients auparavant. Selon Olszewski, beaucoup d'entre eux n'avaient «aucune attitude au chevet du patient» et abordaient leurs patients comme «quelque chose sur quoi s'entraîner». «Il n'y en avait pas beaucoup qui avaient vraiment de la compassion pour ces vies», dit-elle.
En règle générale, les hôpitaux privés n’ont pas de médecins résidents qui traitent les patients, et s’ils le font, ils sont strictement supervisés. L'hôpital d'Elmhurst, cependant, est un hôpital de formation et, selon Olszewski, les résidents n'avaient pratiquement aucune supervision. «J'ai très rarement vu un participant, donc ce sont les résidents qui dirigent ces étages», dit-elle. Pire encore, les résidents ne s'appuyaient pas sur l'expertise du personnel infirmier.
«Nous ne pouvions même pas quitter la chambre de notre patient parce que [les résidents] entraient et composaient les ventilateurs, ils gâcheraient nos gouttes. Nous avons dû verrouiller nos pompes parce qu'elles venaient juste de les changer. C’est du jamais vu un jour normal. Les médecins ne touchent jamais nos pompes ou nos ventilateurs sans nous en informer. »
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi les résidents se comporteraient de manière si inappropriée, Olszewski répond:
"Beaucoup d'ego, beaucoup de" Ils vont mourir de toute façon, donc nous voulons juste expérimenter et voir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. "Il y avait beaucoup d'erreurs commises et causant inutilement beaucoup de morts . Et je ne peux pas l'expliquer. Comme je l'ai dit, [vous aviez un] environnement sans responsabilité… [et] ces résidents n'étaient pas surveillés par les médecins traitants… »
Le manque de ségrégation a entraîné des décès inutiles
Le refus de séparer les patients infectés des patients non infectés a également sans aucun doute aggravé la situation, mettant des vies en danger. Dans un scénario parfait, les patients infectés auraient été isolés dans des chambres à pression négative, car le système de ventilation normal peut faire circuler le virus à travers l'hôpital.
Néanmoins, en regroupant les patients infectés et non infectés, vous vous assurez virtuellement que la maladie se propage aux patients non infectés traités pour d'autres problèmes de santé.
Personne ne s'en souciait vraiment plus. Les médecins s'attendaient à ce que tous les patients mourraient de toute façon, et il n'y avait aucune responsabilité pour tout ce qui était fait ou non. Les infirmières ne changeaient pas non plus leur équipement de protection individuelle (EPI) entre les patients. Le même EPI était porté toute la journée. Elmhurst n’avait même pas de réglementation exigeant un nouvel EPI entre les patients ou lors du passage d’une pièce à l’autre.
Patients COVID-négatifs placés sous ventilation
Peut-être les patients COVID-négatifs les plus flagrants ont été répertoriés et traités comme confirmés positifs, et certains ont même été placés sous ventilation mécanique. L'un d'eux était un patient de sexe masculin admis pour une glycémie élevée, ce qui est facilement corrigé et ne nécessiterait en aucun cas une ventilation. Olszewski raconte l'histoire:
«Ils ont fini par lui donner beaucoup de drogues psychologiques différentes qui, en fin de compte, ont simplement fait monter la glycémie. Et, au lieu de traiter cela, ils l'ont ventilé.
Ils l'ont mis dans notre étage COVID ICU, ce qui est inconnu. Et il est anxieux, alors ils l’ont attaché au lit avec des attaches, ce qui rend quiconque encore plus anxieux. Vous ne pouvez pas avoir de famille là-dedans, il y a un groupe d’infirmières qui vous disent de vous taire. Tout le monde va se battre dans ce type de situation. Vous êtes terrifié d’être là en premier lieu…
J'étais là-dedans juste en train d'essayer de lui tenir la main, de lui parler, de le calmer, et l'un des résidents vient en disant: "Si vous ne vous calmez pas, nous allons devoir vous mettre un tube pour vous aider. tu respires. »Je me suis dit:« Qu'est-ce que tu fais ? Il n’a pas besoin de ça. »Cinq minutes après mon départ pour la fin de mon quart de travail, il était sous respirateur. C'est juste là, c'est juste de la négligence."
New York disposait de ressources suffisantes qui n'étaient pas utilisées
Le même boursier en médecine a également refusé de permettre à un autre patient d'être réanimé, même s'il n'avait pas d'ordonnance de ne pas réanimer (DNR). Un boursier est une personne qui a terminé sa formation médicale formelle, sa faculté de médecine, son internat et sa résidence et qui fait une sous-spécialité dans une discipline de la médecine. Donc, vous vous attendez à ce qu’un type agisse de manière plus responsable que cela.
«À ce moment-là, personne ne s'en souciait vraiment plus», dit Olszewski. Les médecins s'attendaient à ce que tous les patients mourraient de toute façon, et il n'y avait aucune responsabilité pour tout ce qui était fait ou non. Malheureusement, il y avait une incitation financière claire à traiter les patients non infectés comme des patients COVID-19 et à les placer tous sous ventilation mécanique. Comme l'explique Olszewski:
«Ils ont essentiellement transformé Elmhurst en un hôpital entièrement COVID ... S'ils devaient admettre quelqu'un, ils étaient soit positifs au COVID, soit ils attendaient les résultats de leurs tests. Ainsi, ils seraient admis comme «exclusion du COVID» et l’hôpital recevrait toujours le pot-de-vin. L'admission d'un patient à l'étage était de 13 000 $.
Certaines de ces personnes, comme celle qui a été inutilement évacuée, il aurait pu se rendre au navire de la Marine Comfort, sachant qu'il était négatif pour COVID-19. Ils le savaient. Mais ils l'ont quand même admis, ont obtenu les 13 000 $ et l'ont ensuite ventilé pour 39 000 $ supplémentaires. Cela se passait régulièrement.
Il n’y a aucune raison pour laquelle ces patients devaient être emballés comme des sardines alors que nous disposions de ressources externes qui n’étaient pas utilisées. Alors pourquoi? … C'était peut-être l'incitation financière… Ce sont juste des gens qui ne se soucient tout simplement pas de ces patients et qui font des bénéfices. »
Le taux de mortalité a chuté une fois que les protocoles de traitement ont été exposés
Alors qu'Olszewski a été largement ostracisée par ses collègues infirmiers, dont la plupart craignent probablement de perdre leur emploi s'ils se rangeaient ouvertement avec elle, le taux de mortalité à Elmhurst a chuté après que les vidéos secrètes d'Olszewski ont commencé à faire le tour des médias sociaux.
Son entretien d'une heure dans la série «Perspectives on the Pandemic», qui compte 1,4 million de vues4, a été rendu public le 9 juin 2020. Les taux de mortalité quotidiens dans les hôpitaux de New York ont ??considérablement baissé par la suite.5
«Personnellement, je pense que cela a eu un impact sur les décès à New York, car après la sortie de cette vidéo et la divulgation de leurs protocoles de traitement, le taux de mortalité a chuté», dit Olszewski.
Je pense qu’ils sont beaucoup plus prudents quant aux personnes qu’ils admettent dans ces hôpitaux et au nombre de personnes sous respirateurs [maintenant]. Au début du mois d'avril, lorsque j'y suis arrivé, j'ai interrogé un médecin que j'ai également enregistré et il a admis qu'aucun patient n'avait été extubé avec succès.
Donc, au moment où je suis arrivé, chaque patient sous respirateur est décédé. Et ils ont refusé d'essayer des traitements alternatifs, même si nous savons qu'il existe de nombreux traitements alternatifs. Leur excuse était qu’ils n’avaient pas fonctionné. Et ma question était: «Écoutez, si vous savez que les ventilateurs ne fonctionnent pas, alors pourquoi ne pas essayer [les alternatives]?» »
Le gouvernement ne devrait pas interférer dans les décisions médicales
La tragédie est que l'hydroxychloroquine avec du zinc aurait probablement fait une différence significative si elle était utilisée en routine aux premiers stades de la maladie et en cas de suspicion. Cela a clairement été utile en Floride, où certains médecins l'utilisent.
La quercétine fonctionne également de manière similaire à l'hydroxychloroquine. Les deux entraînent le zinc dans la cellule et la quercétine, en tant que supplément, ne nécessite pas de prescription et a également d'autres effets, tels que l'activation de SIRT2 et la diminution de l'inflammation, qui en font un meilleur choix. Cependant, comme l'hydroxychloroquine, la quercétine doit également être utilisée avec du zinc - et administrée très tôt au cours de la maladie.
Pourtant, étant donné que les patients asymptomatiques étaient hébergés avec ceux qui avaient confirmé COVID-19, l'une ou l'autre de ces options aurait pu protéger bon nombre de ces patients. Il est vraiment incompréhensible qu’un traitement ait été si sévèrement décrié, au point que les commissions des pharmacies ont refusé d’exécuter les ordonnances pour un médicament qui est sur le marché depuis plus de six décennies.
«Je pense que chaque patient a le droit d'essayer plusieurs alternatives différentes», déclare Olszewski. «La vitamine C IV à haute dose [a également] traité avec succès des patients en Asie et certaines personnes à New York lorsque [la pandémie] a commencé. Pourquoi ces traitements alternatifs sont-ils mal vus ?
Cela a-t-il causé encore plus de morts? Honnêtement, le gouvernement ne devrait jamais s’impliquer dans la relation médecin-patient. Les gens devraient pouvoir avoir le choix et la liberté d'avoir ces traitements alternatifs à leur disposition s'ils peuvent sauver leur vie.
L'autonomie et les droits des patients ont tout simplement disparu… Les patients méritent d'être traités comme des humains, et la politique et le profit ne doivent jamais être placés au-dessus de la vie humaine.
L'un des traitements les plus efficaces à ce jour en milieu hospitalier semble être le protocole MATH +, qui comprend des doses élevées de vitamine C, des stéroïdes, de la thiamine et de l'héparine. Il a des protocoles à la fois pour une intervention précoce et une maladie à un stade avancé.
Cependant, je prévois de publier une mise à jour de la vidéo sur le peroxyde d'hydrogène nébulisé car j'ai modifié la recommandation. Un certain nombre de personnes l’ont utilisé avec une maladie très grave et se sont rétablies des symptômes en quelques heures. Je n'avais aucune idée que ce traitement était si efficace.
Heureusement, depuis qu'Olszewski a commencé à s'exprimer, d'autres ont bravé les réactions négatives et dénoncé également la mauvaise gestion médicale. L'un d'eux est présenté dans la vidéo ci-dessous. Attention, la vidéo est très émouvante et l'infirmière utilise un langage vulgaire compréhensible.
En revanche, les médecins d’Elmhurst qui étaient responsables de la mise en œuvre des ordonnances ayant entraîné la mort de patients peuvent ou non être tenus responsables de leurs actes.
«Il y a certaines clauses dans cet ordre que la négligence grave est responsable», dit Olszewski. «Des familles se manifestent et bon nombre d'entre elles sont très contrariées, alors peut-être, espérons-le, qu'il y aura une enquête fédérale et qu'il y aura responsabilité pour ces actions. Je pense qu'il devrait y en avoir.
Pour en savoir plus sur ce qui s'est passé à Elmhurst, assurez-vous de vous procurer une copie de «Infirmière secrète de l'épicentre: comment la fraude, la négligence et la cupidité ont conduit à des morts inutiles à l'hôpital d'Elmhurst», dont la sortie est prévue le 18 août 2020.
Sources and References
1 Amazon 2020 2 JAMA July 26, 2000 3 Archives of Internal Medicine August 13-27, 2012 4 YouTube Episode 9 June 9, 2020 5 Worldometer Daily Deaths New York
COVID : quand allons-nous enfin sortir de la crise ?
Huit mois de Covid. Reviendrons-nous un jour à une vie normale ? Les alertes quotidiennes semblent bien nous indiquer que ce n’est pas pour demain.
16 AOÛT 2020 Par Olivier Maurice.
Huit mois de Coronavirus. Reviendrons-nous un jour à une vie normale ? La récente allusion du Premier ministre Jean Castex à un nouveau confinement généralisé, l’extension du port du masque en extérieur dans de nombreuses villes, et les alertes quotidiennes semblent bien nous indiquer que ce n’est pas pour demain.
Pas un jour depuis la levée du confinement sans qu’on nous explique que l’épidémie repart.
Les données hospitalières sont pourtant sans appel : depuis pratiquement trois mois que s’accumulent alerte de rebonds et mises en garde, il ne se passe rien, absolument rien ! Les courbes des hospitalisations et des décès continuent à descendre inexorablement jour après jour.
La fête de la musique, les manifestations, les entassements à Paris Plage, les queues au McDonald’s, les plages, les concerts, les rassemblements sauvages… Rien, sauf une collection monumentale de messages anxiogènes et de leçons de morale.
Mais que se passe-t-il donc que nous ne voyons pas et qui nécessite un tel alarmisme et une telle inflation de mesures liberticides dont nous avons pu voir les effets dévastateurs sur l’économie et la cohésion sociale pendant l’État d’urgence sanitaire ?
COVID : LE POINT SUR LA SITUATION
Si on passe en revue tous les chiffres, il y a bien quelques indicateurs qui passent du vert à l’orange ici ou là, mais tout cela reste au mieux flou, au pire anecdotique.
L’exemple de la Mayenne, département zone rouge et source de toutes les attentions pendant deux ou trois semaines est symptomatique : en tout et pour tout, on déplore une cinquantaine de personnes hospitalisées, dont 10 en réanimation, la quasi-totalité est d’ailleurs rentrée chez elle.
La liberté qui était redevenue la norme est-elle à nouveau à ranger au placard ?
Est-ce que le pays va devoir s’arrêter de respirer à chaque fois qu’un clignotant du tableau de bord va passer à l’orange ? Car ce n’est pas près de s’arrêter : le virus est là, il n’a pas disparu, si ce n’est du territoire, tout du moins de la planète. Et si ce n’est pas la Covid, cela pourrait bien être bientôt la grippe, ou toute autre infection…
Plutôt que de passer des heures à chercher des indices de ce qui a bien pu transformer en quelques semaines Monsieur déconfinement en Monsieur remise en résidence, muselière et chômage forcés, il convient sans doute de s’interroger d’abord sur la nature de la crise que traverse actuellement notre pays, et nous dit-on une bonne partie de la planète.
CRISE SANITAIRE OU POLITIQUE ?
Bien sûr le déclencheur de la crise est une pandémie due à un virus inconnu qui s’est propagé en quelques mois partout sur la planète et qui a déclenché des réactions et des décisions jusqu’ici jamais vues.
Mais dire cela, c’est comme réduire un feu de forêt à un mégot mal éteint : connaître la cause de l’incendie ne sert strictement à rien quand il s’agit de comprendre pourquoi le feu a pris de telles proportions et quand on s’interroge sur la façon de l’éteindre.
Bien sûr les diverses autorités ont été confrontées à une situation inédite, à un virus qui se répandait rapidement et dont on ignorait tout. Elles ont dû faire des choix, bons ou mauvais, mais ce qui est fait est fait.
Cependant le pic de l’épidémie est passé. Si nous revenons au schéma initial, nous sommes actuellement en phase 4 : le virus s’est répandu, il circule librement, il s’est développé et a frappé une bonne partie de la population, mais bonne nouvelle : il a reculé, en France, en Europe, et si nous prenons la peine de sectoriser les territoires du Brésil et des USA, partout dans le monde.
Nous en connaissons maintenant bien plus qu’avant du point de vue sanitaire, mais surtout du point de vue social, politique, économique et clairement, la question n’est pas de savoir s’il y aura ou non un confinement : tout porte à croire que le pays ne survivrait pas à une nouvelle mise entre parenthèses, à un autre confinement qui viendrait ensuite, puis un autre…
Il serait temps que les autorités cessent de jouer au docteur et prennent enfin la dimension politique de ce qui est en train de se passer pour que le pays regarde enfin devant lui et arrête de s’apitoyer sur son sort.
SANTÉ PUBLIQUE
La priorité des priorités est de faire en sorte que ce virus retourne de toute urgence là où il aurait dû aller dès le départ : dans les hôpitaux, les cabinets de médecins, les pharmacies et les armoires à médicaments familiales.
Il est absolument impératif de cesser au plus vite la gestion politique de la crise sanitaire. D’abord parce que le gouvernement, les élus locaux, les services de police et de gendarmerie, les tribunaux ont bien d’autres choses plus importantes à faire qu’à batailler pour des histoires de masques.
Ensuite parce qu’il est d’une urgence absolue de redonner confiance et de remettre au premier plan les acteurs de santé qui sont les premiers concernés par ce qui se passe. Ce ne sont pas les fonctionnaires des ARS ou les pontes du conseil scientifique qui soignent les malades.
Le gouvernement a l’immense responsabilité de ne pas répéter la gigantesque pétaudière du printemps si un rebond se produit. Une fois passe encore, une seconde fois sera inacceptable et inacceptée. Ni la population, ni les soignants ne sont prêts à entendre rejouer la chanson du « prenez du doliprane, serrez les fesses et quand il n’y aura plus rien à espérer, appelez le 15 pour que le camion-benne vienne vous débarrasser ».
Concrètement, cela passe par la suppression du conseil scientifique, par le recadrage de la mission des ARS, par la fin de l’ingérence des maires, des préfets, dans la prise de décisions sanitaires : remise en selle de la médecine de ville, des pharmacies, des cliniques privées, des laboratoires, des infirmiers libéraux, etc.
De tous ces acteurs de santé qui avaient été mis sur le banc de touche pendant le pic épidémique… Cela commence aussi par éviter que le Premier ministre ne joue le rôle du ministre de la Santé en passant son temps à visiter les hôpitaux.
Est-ce si difficile à comprendre que ce n’est pas de directives réglementaires, de « tous ensemble » et de discours tonitruants, ni même de moyens dont notre système de santé (un des plus financés au monde) a besoin, mais d’autonomie, de liberté et de confiance ?
Mais le gouvernement semble bien plus s’inquiéter de parader en bombant le torse et expliquer comment se laver les mains que de s’assurer que le système de santé est prêt à affronter une hypothétique seconde vague…
PSYCHOSE AUTOUR DU COVID
La seconde chose à faire est de rétablir les faits, la seule solution possible pour faire cesser la psychose qui a envahi le pays et qui fait les choux gras des bonimenteurs et profiteurs de tout poil. Il y a clairement urgence : la rentrée est maintenant dans 15 jours. Quand va cesser cet état de folie et d’exception qui finira, si ce n’est déjà fait, à faire plus de mal au pays que les deux mois de mise en congélation et surtout que le covid lui-même ?
La France a connu un des plus importants taux de mortalité attribué à la maladie (actuellement onzième pays au monde). Or, si on observe les chiffres officiels de mortalité (sur le site de l’INSEE), on a vraiment du mal à relier le discours apocalyptique avec la réalité.
Il est donc impératif de s’attaquer très vite et avec toute la violence possible au très méchant virus qui frappe durement le pays : celui de la peur collective qui frappe une société vieillissante et dont une partie est malheureusement en mauvaise santé.
Nous sommes très, très, très loin du scénario apocalyptique qui nous avait été dépeint et faisait état de plusieurs millions d’hospitalisations et plusieurs centaines de milliers de victimes (entre 200 000 selon l’institut de veille sanitaire et 500 000 selon l’Imperial College).
Et c’est une chance ! Ne la laissons pas gâcher par les lâches et les profiteurs qui sont toujours les premiers à réclamer.
DÉCONFINEMENT
En fait, le déconfinement est loin d’être achevé. Certes, la mise en résidence surveillée a pris fin, mais il n’existe toujours aucun consensus clair sur les points clés de la stratégie qui semble enfin être adoptée : cibler, protéger, tester, soigner et le pays est toujours confiné dans la peur.
Le manque de mesures sanitaires ciblées et extrêmement rigoureuses dans les maisons de retraite a été une faute, plus qu’une erreur ; il faut absolument y remédier et tout faire pour éviter que cela ne se reproduise. Le masque ne peut être l’alpha et l’omega de la vie en France. Il est limite inconscient de fonder toute la politique sanitaire sur ce que l’on sait totalement impossible : le port systématique et rigoureux du masque par l’intégralité de la population.
Le traçage des cas n’est pas une affaire de nombre de tests effectués gratuitement au hasard et d’application informatique : c’est un process rigoureux et complexe à mettre en place, qui nécessite en premier lieu que les laboratoires ne soient pas encombrés de demandes infondées les empêchant de donner les résultats des cas positifs rapidement.
Mais avant tout, il faut établir une vérité essentielle et évidente : ce virus ne signifie pas la fin du monde.
REMETTRE L’ÉTAT À SA PLACE
Enfin, il faut impérativement couper court aux délires hypocondriaques : arrêter d’écouter les pleurnicheries et remettre à leur place tous les ayatollahs hygiénistes, apocalyptiques et oisifs qui nous font la leçon en boucle.
Non seulement ils sont totalement inutiles et extrêmement nuisibles psychologiquement, mais ils finissent par devenir clairement nocifs et risquent bien de déclencher un immense ras-le-bol de la part de la France courageuse et silencieuse en la faisant sortir de ses gonds d’ici peu.
Si la maladie repart, il faudra être prêt. Si elle ne repart pas, il n’y a pas de temps à perdre pour remettre le pays en marche, et dès maintenant.
L’État doit impérativement revenir dans son rôle : celui de protéger la société des prédateurs et la crise du Covid a fait clairement apparaître que la nuée de parasites réclamant constamment à la communauté de payer pour leurs phobies et leurs lubies est aussi bruyante qu’inutile et malfaisante.
Ce ne sont clairement pas les paniqués chroniques qui ont ramassé les poubelles, conduit les camions, rempli les rayons des supermarchés ou soigné les malades pendant le confinement. Ce n’est pas d’eux dont la société a besoin.
Fini les magasins ouverts, plus de fêtes, plus de foires, de salles de spectacles, de cinéma, de théâtres, de matches, de stades, de piscines ! Maintenant tu restes chez toi, tu crèves chez toi, et tu peux demander à être aussi brûlé chez toi ! Pas belle la vie ?
La Californie s'apprête à adopter le premier impôt sur la fortune du pays ciblant les ultra riches
par Tyler Durden Dim, 16/08/2020 - 17:25
Il y a environ neuf ans, la société de conseil BCG a suggéré pour la première fois qu'à une époque de dépenses incontrôlables et d'endettement en flèche, la seule «solution» financièrement viable était de mettre en œuvre un impôt sur la fortune (voir «Il ne peut y avoir que des solutions douloureuses De la crise ").
Si l'idée était bien en avance sur son temps en 2011, et a été rapidement rejetée devant le tribunal de l'opinion publique, plusieurs années plus tard, nul autre que le FMI a ressuscité l'idée d'un impôt sur la fortune, qui n'a pris de l'ampleur que ces derniers mois, et malgré la répression généralisée de la base, le concept d '«impôt sur la fortune» a évolué au premier plan et, plus récemment, le président de Capital Economics, Roger Bootle, a déclaré que les plus riches du monde pourraient être soumis à des taux d'imposition plus élevés alors que les gouvernements se bousculaient pour financer les dépenses et les réparations. leurs économies au milieu de la crise des coronavirus.
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui, lorsque l'État ultra-libéral de Californie est maintenant prêt à faire passer cette idée "socialiste" de la phase de conception à la phase de mise en œuvre, le SF Chronicle rapportant qu'un groupe de législateurs de l'État de Californie a proposé jeudi un premier dans le monde. - un impôt national sur la fortune qui toucherait environ 30 400 résidents californiens et permettrait de lever environ 7,5 milliards de dollars pour le fonds général.
Le taux d'imposition proposé serait de 0,4% de la valeur nette (probablement bien plus élevé), à l'exclusion des biens immobiliers détenus en direct, qui dépasse 30 millions de dollars pour les déclarants célibataires et conjoints et 15 millions de dollars pour les déclarations mariées séparément.
Le démocrate d'Oakland Rob Bonta, qui est l'auteur principal de la proposition d'impôt sur la fortune AB2008, a justifié l'expropriation de la richesse en disant que la Californie est confrontée à un important déficit budgétaire en raison de la crise sanitaire et économique provoquée par le coronavirus, et "nous ne pouvons pas s'appuyer simplement sur des mesures d'austérité », pour le fermer. Il n'était pas immédiatement clair pourquoi l'austérité ne fonctionne pas étant donné que la Californie ne l'a jamais réellement essayé, mais en tout cas la proposition du démocrate était claire: "Nous devons considérer la génération de revenus."
Le membre de l'assemblée de l'État de Californie, Rob Bonta, D-Oakland, est l'auteur principal de l'AB 2088, qui créerait le premier impôt sur la fortune du pays.
Et ce faisant, la Californie déclenchera un exode de milliardaires qui seront les premiers à se rendre compte de quelle direction souffle le vent, et finiront par faire beaucoup plus de mal à l'État que de l'aider alors que des centaines de contribuables ultra riches partent pour des endroits comme la Floride ou - d'ailleurs - n'importe où dans le monde.
Bonta a déclaré que le projet de loi parrainé par le syndicat ne sera pas entendu avant l'ajournement de l'Assemblée législative le 31 août, mais «il peut être réintroduit le premier jour de la session suivante».
Maintenant, ce que la plupart des Américains normaux (c'est-à-dire ceux qui ne vivent pas en Californie) ne savent peut-être pas, c'est que ce serait le deuxième impôt sur la fortune à passer en Californie. Bonta a déclaré qu'il aimerait voir un impôt sur la fortune adopté en plus de la «taxe des millionnaires» proposée dans un projet de loi déposé fin juillet. AB1253 ajouterait des suppléments de 1% aux revenus (conjoints ou célibataires) entre environ 1 million de dollars et 2 millions de dollars, 3% sur les revenus entre 2 millions et 5 millions de dollars, et 3,5% sur les revenus supérieurs à 5 millions de dollars, portant le taux maximal à 16,8% .
Le taux le plus élevé de la Californie aujourd'hui, à 13,3%, est déjà le plus élevé du pays, et il ne fait qu'augmenter.
Les millionnaires (et bientôt cent millionnaires, puis dix millionnaires et ainsi de suite) assujettis à l'impôt sur la fortune le rapporteraient au Franchise Tax Board avec leurs impôts sur le revenu. Ils devraient déclarer tous les actifs, y compris les actions de sociétés cotées en bourse et privées; intérêts dans des partenariats, des fonds de capital-investissement ou des fonds spéculatifs; espèces, obligations et comptes d'épargne; fonds communs de placement, contrats à terme et options; art et objets de collection; actifs financiers offshore, fonds de pension, dette non hypothécaire, immobilier et dette hypothécaire. Ce qui est bien sûr idiot car une partie de cette richesse est extrêmement illiquide et son évaluation prendra non seulement du temps et des efforts matériels, mais entraînera également des coûts énormes. De plus, comment le gouvernement confirmera-t-il que toute richesse déclarée représente la réalité. Mais telle est la vie dans une utopie socialiste à demi cuite où chaque idée est faute d'un meilleur mot, idiote.
Il y avait de bonnes nouvelles: "Les biens immobiliers détenus directement, et les hypothèques et autres passifs garantis par des biens immobiliers détenus directement" doivent être déclarés, mais ne seront pas pris en compte dans le calcul de la valeur nette mondiale du contribuable, indique le projet de loi. Quelle merveille ... . oh attendez, quelqu'un s'est rendu compte que ce serait simplement une double imposition des mêmes actifs: "Les biens immobiliers seraient exonérés de l'impôt sur la fortune car ils sont déjà soumis à l'impôt foncier, à un taux plus élevé", a déclaré Bonta.
Parmi ces quelques voix rationnelles qui dénoncent cette pure idiotie pour ce qu'elle est, il y a Jared Walczak, vice-président de la Tax Foundation, un groupe de réflexion, qui a déclaré qu '«il est beaucoup plus facile d'appeler à un impôt sur la fortune au niveau de l'État que il s'agit en fait de concevoir un système exécutoire. »C'est peut-être pourquoi aucun État ne l'a imposé.
Cependant, maintenant que la Californie est sur le point d'adopter un impôt sur la fortune, tous les autres États insolvables emboîteront le pas, en regardant New York.
«Certains législateurs new-yorkais lancent l'idée, mais le Gouverneur Cuomo a jeté de l'eau froide sur cette idée, craignant à juste titre que cela conduise à un exode de personnes fortunées de l'État», a déclaré Walczak par courrier électronique. D'une manière ou d'une autre, la Californie pense qu'elle est à l'abri d'un tel exode. Alerte spoiler: ce n'est pas le cas, et les résidents les plus riches de l'État n'hésiteront pas à prendre racine et à déplacer leur résidence fiscale dans un État qui traite leur richesse avec respect.
Il y a bien sûr la possibilité que cette idée idiote meure d'une manière ou d'une autre avant d'être mise en œuvre. Walczak a déclaré que la mise en œuvre d'un impôt sur la fortune au niveau de l'État «serait extrêmement complexe, avec des questions sur la façon d'évaluer les actifs illiquides et de savoir si la richesse des résidents hors de l'État - y compris leurs placements - peut être imposée. Il a ajouté que "toute taxe qui est réellement efficace pour taxer la richesse, cependant, serait tout aussi efficace pour chasser la richesse de l'État".
Emmanuel Saez, professeur d'économie à l'UC Berkeley, c'est-à-dire socialiste, a déclaré que l'impôt sur le revenu n'est pas un moyen efficace d'imposer les ultra-riches, car ils peuvent éviter l'impôt sur le revenu tant qu'ils n'encaissent pas leurs investissements. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pourrait éviter l'impôt sur le revenu tant qu'il ne vend pas ses actions Facebook, et s'il déménage en Floride avant de réaliser ses gains, il ne devra peut-être jamais d'impôt à la Californie, a déclaré Saez lors d'un appel annonçant le projet de loi.
Saez, comme tout autre socialiste qui a une incapacité finale à comprendre qui le monde fonctionne vraiment et que chaque action idiote de l'État aura une réaction appropriée de la part de la population, a déclaré que le projet de loi ne dissuaderait pas les startups car il permettrait aux entrepreneurs de reporter la richesse. taxe pour une période de temps. Brillant.
"Les contribuables limités par la liquidité et détenant des participations dans des actifs difficiles à évaluer et des entités commerciales, telles que des entreprises en démarrage, pourront choisir de fixer un impôt non liquidé et différé passif à ces actifs au lieu de la valeur nette de ces actifs. évalués à la fin d’une année d’imposition. » Le contribuable devrait signer un contrat avec l'État précisant quand la taxe serait payée.
Eh bien, Emmanuel, au lieu de signer un "contrat" avec l'Etat lorsque la taxe sera payée, tous ces entrepreneurs qui maintiennent l'Etat à flot vont tout simplement ... partir. Et devinez ce qui arrive alors aux recettes fiscales déjà lamentables.
Rien de tout cela n'a d'importance pour le socialiste de Berkeley, et au lieu de cela, il a souligné un article qu'il a co-écrit, affirmant que la Californie compte 12% de la population américaine, mais 17% de tous les millionnaires américains et 25% de ses milliardaires. En 2011, la Californie ne comptait que 15,5% des millionnaires du pays et 21% des milliardaires. L'impôt sur la fortune, a-t-il dit, toucherait environ 0,15% des déclarants californiens.
Nous ne pouvons pas attendre la deuxième édition du journal publiée en 2025 lorsque le "professeur" découvre que la Californie n'a aucun milliardaire américain.
D'ici là, les rares voix de la raison comme celle de Robert Gutierres, président de la California Taxpayers Association, deviendront de plus en plus rares:
«L'État a approuvé 9,2 milliards de dollars d'augmentation de la taxe professionnelle dans le nouveau budget, mais les politiciens de Sacramento et les intérêts spéciaux continuent de demander des augmentations de l'impôt sur le revenu, des augmentations de l'impôt foncier, une 'taxe sur les effectifs' des employés de l'État et cette nouvelle taxe annuelle sur l'argent qui restait une fois que toutes les autres taxes ont été payées », a déclaré Gutierrez, ajoutant qu '« un très petit nombre de Californiens paient la grande majorité des impôts sur le revenu de l'État. l'onglet ? "
Disney "entre dans l'histoire" en présentant son premier personnage de dessin animé bisexuel
par Tyler Durden Dim, 16/08/2020 - 16:35
La série de Disney, "The Owl House", est maintenant la première émission animée officielle à présenter un personnage principal bisexuel. Variety et le Daily Mail ont tous deux décrit l'introduction du personnage comme «faisant l'histoire».
Le personnage principal de la série, âgé de 14 ans, Luz Noceda, est décrit comme une adolescente normale qui se rend dans un autre monde pour devenir une sorcière. Dans l'émission, elle a montré à la fois une attirance pour les personnages masculins et récemment avec un personnage féminin récurrent nommé Amity.
Il est révélé que Luz avait l'intention de demander à l'autre personnage féminin à un événement de style bal et la série les montre en train de partager une danse ensemble dans un épisode.
Le créateur de la série, Dana Terrace, a confirmé que l'émission faisait en fait allusion à une relation LGBTQ.
Elle a écrit sur Twitter: «Dans [le développement], j'étais très ouverte sur mon intention de placer des enfants queer dans la distribution principale. Je suis un horrible menteur, donc le faire entrer aurait été difficile. Lorsque nous avons eu le feu vert, certains dirigeants de Disney m'ont dit que je ne pouvais représenter aucune forme de relation bi ou gay sur la chaîne.
Elle dit que Disney, qui a déjà repoussé l'idée, offre maintenant son soutien.
Terrace a tweeté: «Je suis bi! Je veux écrire un personnage bi, bon sang ! Heureusement, mon entêtement a porté ses fruits et je suis maintenant très soutenu par les dirigeants actuels de Disney.
L'ancien superviseur de l'animation de l'émission a tweeté les story-boards de la scène de danse et a déclaré que c'était la «première fois qu'il faisait quelque chose, même à distance queer».
LE GOUVERNEMENT CASTEX COÛTE 5,1 MILLIONS PAR AN, DU JAMAIS VU DEPUIS DIX ANS
par LUDIVINE CANARD 12/08/2020
La rémunération du Premier ministre est de 180.000 euros brut par an.
Outre la nomination de Gérald Darmanin comme ministre de l’Intérieur et d’Éric Dupont-Moretti comme Garde des Sceaux, c’est son étendue qui a fait parler. Avec 43 membres, le gouvernement de Jean Castex est plus large que celui de ses prédécesseurs, ce qui en fait donc le gouvernement le plus cher depuis François Fillon.
Finances : le gouvernement Castex fait bondir de 30% la facture
Plus on est fou plus on rit. C’est avec cette philosophie, ou presque, qu’après avoir été nommé le 3 juillet 2020 par Emmanuel Macron pour succéder à Édouard Philippe à Matignon, Jean Castex a annoncé le 26 juillet 2020 la composition de son nouveau gouvernement. Pour être à la hauteur des attentes du président de la République, le nouveau chef de gouvernement s’est entouré de 30 ministres et 12 secrétaires d’État, soit un total de 43 membres, Premier ministre inclus.
Comme le dévoile Capital, ces nominations supplémentaires de 11 ministres et 2 secrétaires d’État ont un coût : 1,5 million d’euros (le salaire d'un ministre est à 120.000 euros brut par an et celui d'un secrétaire d'État à 114.000 euros). La rémunération du Premier ministre n’a quant à elle pas changé : 180.000 euros brut par an. Le coût (hors-collaborateurs) de ce nouveau gouvernement a augmenté de 30% et devrait donc atteindre 5,1 millions d'euros.
Jean Castex : son gouvernement est le plus cher depuis 10 ans
L’ancien maire de Prades est moins raisonnable que son prédécesseur, Édouard Philippe. Avec 30 membres seulement dont 19 ministres et 10 secrétaires d’État lors de son second mandat, la masse salariale annuelle (hors-collaborateurs) représentait 3,6 millions d’euros environ lors de son intronisation, en août 2017. « Ce chiffre a légèrement augmenté par la suite, avec les nominations de 5 nouveaux ministres et secrétaires d’État, intervenues en 2018 et 2019 » précise Capital.
Le gouvernement qui a coûté le plus cher est celui sous le quinquennat Sarkozy. Lors du remaniement en novembre 2010, le 3ème gouvernement de Français Fillon a été étoffé par 11 secrétariats d’État supplémentaires. Avec un effectif de 33 membres, le gouvernement Fillon atteint donc 5,5 millions d’euros par an, les rémunérations étaient plus élevées.
Mais la masse salariale du gouvernement peut encore augmenter : selon un décret du 11 juillet 2020, le nombre de collaborateurs autorisés pour le gouvernement de Jean Castex a été augmenté, jusqu’à 50% par rapport à 2017. Si cette augmentation était réalisée, la facture pourrait « doubler, et atteindre environ 65 millions d’euros par an » analyse Capital, mais on en est encore loin.
Les autorités françaises ont donc imposé le masque dans certaines rues des grandes villes, ce que j’ai cru comprendre en lisant seulement les titres des journaux français que je ne lis plus depuis longtemps. Il ne faudra pas beaucoup de temps pour généraliser le port du masque et également interdire la cigarette dans la rue et dans tous les lieux publics, je pense aux terrasses des cafés. Ici à Santa Cruz de Tenerife, en face de mon modeste meublé de location, il y a deux cafés avec terrasses. Par curiosité je me suis approché ce matin de ces terrasses quasiment désertées. Les employés ont supprimé les cendriers sur les tables ! Le souci est que tous ces bars avec terrasses vont perdre des clients … ils ont déjà beaucoup moins de clients et ont considérablement souffert des 9 semaines de confinement, alors tout ça n’améliorera pas leur situation financière. Si on parle maintenant de deuxième vague virale, avec toutes ce mesures stupides il y aura bien avant une deuxième vague de faillites et une nouvelle vague de chômeurs. Vive la vie …
Pour répondre à l’une de mes commentatrices, Åëåàíîðà j’ajouterai que je suis fumeur depuis 60 ans et qu’il y a une dizaine d’années j’ai demandé à mon cardiologue d’inspecter ma pompe sanguine faite de viande rouge. Il a conclu après l’ultime test d’effort (en milieu hospitalier) que le pouvais continuer à fumer car j’avais un corps de jeune homme mais que si j’envisageais de mettre un terme à ce vice je mettrais en danger mon cœur.
Ici, dans l’archipel des Canaries, comme il est interdit de fumer dans la rue il y a un bon côté, le seul, de la psychose coronavirale pour un fumeur qui prend soin de mettre ses mégots dans un cendrier de poche : il n’y aura bientôt plus aucun mégot sur les trottoirs … comme au Japon, pays où il est interdit depuis longtemps de fumer dans la rue sauf dans les lieux réservés à cet effet. Il n’y a pas de services de voirie dans les villes japonaises, et pourtant elles sont propres, tout simplement parce que les Japonais sont propres et parce qu’ils respectent l’environnement, la nature et leurs concitoyens. En Europe on en est bien loin …
Le 'Masqueàlacon' (rassurez-vous non antivirus !) va être obligatoire ! Dès Septembre seront obligatoires aussi les 'bouchonsdanslecul' !
RépondreSupprimerLa France va proposer le port du masque obligatoire en entreprise
09:13 16.08.2020
Dans un entretien au Journal du dimanche la ministre française du Travail a précisé qu'elle proposerait aux partenaires sociaux de rendre obligatoire le port du masque dans les salles de réunion, sans également renoncer à l’idée du télétravail dans les zones de circulation active du Covid-19.
La ministre française du Travail, Elisabeth Borne, affirme ce 16 août qu'elle proposera aux partenaires sociaux de rendre obligatoire le port du masque en entreprises dans les salles de réunion sans aération naturelle et dans les espaces de circulation par exemple.
Elisabeth Borne explique aussi le télétravail devra être mis en place chaque fois qu'il est possible dans les zones de circulation active du nouveau coronavirus.
«Un sujet apparaît dans tous les avis scientifiques: l'intérêt d'en porter un quand on est à plusieurs dans un lieu clos. Dans les salles de réunion où il n'y a pas d'aération naturelle, les espaces de circulation», dit la ministre dans un entretien au Journal du Dimanche.
«Dans ce genre de cas, le port obligatoire du masque fera partie des propositions que nous ferons aux partenaires sociaux», déclare Elisabeth Borne.
Interrogé sur le télétravail, la ministre répond: «Il faut le mettre en place chaque fois que c'est possible dans les zones de circulation active du virus.»
L'agence Santé Publique France a indiqué le 15 août, citée par Reuters, que la France avait enregistré 3.310 nouvelles contaminations au nouveau coronavirus en vingt-quatre heures.
Le Haut conseil de santé publique a, dans un avis mis en ligne vendredi, recommandé le port systématique par la population d'un masque grand public, de préférence en tissu réutilisable, dans tous les lieux clos publics et privés collectifs.
Le port du masque grand public est également recommandé lors des rassemblements avec une forte densité de personnes en extérieur.
«Cette mesure est nécessaire pour protéger autrui d’une éventuelle contamination, en particulier les personnes vulnérables», souligne le Haut conseil, tout en précisant que le port du masque doit être associé aux autres mesures barrières comme la distanciation physique, l'hygiène des mains et la désinfection des surfaces.
https://fr.sputniknews.com/france/202008161044263217-la-france-va-proposer-le-port-du-masque-obligatoire-en-entreprise/
Rappelons que nous respirons TOUS plus de 200 000 virus par minutes (et 2 millions en cas d'activités physiques), mais qu'il n'y a pas 200 000 ou 2 millions de virus différents. C-à-d que vous pouvez respirer quelques centaines (ou milliers ?) de virus différents à chaque minute mais qu'ils sont (depuis toujours et en toutes saisons) des virus éliminés ( à 999 pour mille) par votre organisme.
Supprimer« On ne sait pas par quoi remplacer le colza »
RépondreSupprimer14.08.20
Rotations de cultures - « On ne sait pas par quoi remplacer le colza »
Insectes, gel, sécheresse et interdiction de molécules, certains agriculteurs se voient dans l’obligation d’arrêter leur principale tête d’assolement : le colza. Mais dans les terres superficielles à faible réserve hydrique, son remplacement relève du casse-tête.
« Le colza, c’était la tête d’assolement par excellence dans nos régions », explique Dominique Picoche, agriculteur à Fain-lès-Moutiers en Côte-d’Or. « C’est vrai qu’on l’a ramené trop souvent dans nos rotations. Mais la disparition de certaines molécules a rendu les insectes et les grosses altises en particulier non maîtrisable », détaille-t-il.
L'interdiction de soigner les plantes porte ses fruits !
SupprimerAlors que les nappes phréatiques sont remplies continuellement par les infiltrations sous-marines (comme les sources qui font des fleuves), les paysans n'ont pas le droit d'arroser les cultures et de donner à manger aux 7 milliards d'habitants !!
La production mondiale de blé revue à la baisse
RépondreSupprimer13.08.20
La production mondiale de blé revue à la baisse
La récolte mondiale de blé a été légèrement revue à la baisse par le rapport mensuel du ministère américain de l’Agriculture, en raison essentiellement des reculs de production attendus en Europe cet été, dus à la sécheresse notamment.
Restant colossale à 766,03 millions de tonnes (au lieu de 769,3 Mt estimés le mois dernier), la moisson mondiale 2020 de blé reste quasiment stable aux États-Unis, en Argentine, en Australie et au Canada, alors qu’elle recule de 4 millions de tonnes (Mt) dans l’Union européenne, à 135,50 Mt contre 139,50 Mt estimés en juillet. Elle augmente de 1,5 Mt en Russie, à 78 Mt contre 76,5 Mt estimées.
Alors que les fleuves vont perdre tous les jours des millions de km3 d'eau douce dans les océans... les paysans n'ont pas le droit de puiser l'eau en lui faisant barrage !!
Supprimer« Au moins 100 euros la tonne de paille livrée dans les fermes »
RépondreSupprimer13.08.20
Sécheresse - « Au moins 100 euros la tonne de paille livrée dans les fermes »
Certains groupes d’achats se fournissent en Espagne, les rendements en paille française ayant été très mauvais. © C. Faimali
Alors que la sécheresse gagne du terrain, des opérations paille s’organisent en France pour pallier le manque de fourrages. Il peut s’agir d’achats groupés ou d’échanges entre éleveurs et céréaliers.
Les prairies ont jauni partout en France et de nombreux éleveurs doivent ou ont dû entamer leurs stocks de pailles et fourrages afin de nourrir leurs animaux. Il s’avère parfois difficile de se procurer de la paille. Alors, dans certaines régions, les éleveurs se sont rassemblés pour trouver la paille au meilleur prix et assurer la logistique.
Les 'hommes de l'ombre' ont décidé d'affamer les populations en restreignant l'eau gratuite des sources et des fleuves !
SupprimerMalgré le sec, le niveau des nappes reste satisfaisant
RépondreSupprimer13.08.20
Eaux souterraines - Malgré le sec, le niveau des nappes reste satisfaisant
Les niveaux des nappes phréatiques ont baissé en juillet 2020, ce qui est habituel en période estivale. La situation, contrastée à l’échelle du territoire, reste en grande partie satisfaisante, selon le BRGM.
La vidange des nappes phréatiques, initiée fin juin, s’est poursuivie en juillet, mois qui s’est caractérisé par une sécheresse importante. « Ce phénomène est habituel en cette période : les précipitations estivales génèrent rarement des pluies efficaces permettant de recharger les nappes, l’eau réussissant à s’infiltrer dans les sols étant entièrement reprise...
Les nappes phréatiques (comme les sources) dépendent uniquement des infiltrations maritimes et sous-océanique (via magma) et, quand il y a plus d'eaux puisées que rentrantes, les nappes ne trouvent en baisse (sans qu'il n'y ait de véritables dangers !).
SupprimerNormalement, les nappes phréatiques débordantes (pleines) poursuivent leur chemin migratoire vers la surface (et irriguent les racines des arbres en sols secs).
La capillarité migre toujours vers les sols secs en surfaces avant de s'évaporer en surfaces.
Cette dépendances (de remplissage des nappes) vient continuellement des infiltrations, mais, des tremblements de terres (sous-maritimes et sous-océaniques) modifient continuellement la position de leurs sources, ainsi que de leurs couloirs de lames de fonds - qui resurgissent approximativement en Côtes d'Azur et côtes bretonnes - et forment des bouffées de chaleurs plus ou moins aux mêmes endroits.
Il y a sur notre planète des milliers (millions ?) de sources chaudes (brûlantes) aux planchers maritimes et océaniques qui réchauffent les courants maritimes et océaniques.
RépondreSupprimerL’irrigation, un « pare-feu naturel »
12.08.20
Sécheresse - L’irrigation, un « pare-feu naturel »
En cette période de sécheresse, l’association des Irrigants de France rappelle l’importance de l’irrigation et du stockage de l’eau pour prévenir et lutter contre les incendies de forêt.
« L’année dernière, 23 500 ha sont partis en fumée dans notre pays, rappelle Irrigants de France dans un communiqué du 11 août 2020. Le stockage de l’eau est aussi une arme efficace pour lutter contre les incendies de forêt. »
mais... interdit en France !
Déjà près de 4 000 brebis tuées par les loups
RépondreSupprimer11.08.20
Les dégâts des loups continuent de progresser en 2020 en France. La Normandie fait son apparition dans le palmarès des régions concernées par les attaques du prédateur.
Au 30 juin 2020, les services de l’État ont recensé 1 184 constats de dégâts de loups, indemnisables ou en cours d’instruction. C’est 135 de plus qu’en 2019 à la même date et 354 victimes de plus. Au total sur les six premiers mois de l’année, près de 4000 animaux d’élevage font partie du tableau de chasse du prédateur.
Et oui ! les loups (protégés !!) ne mangent pas de l'herbe ! Çà alors ! A quand un lâcher de lions dans Paris ?
Supprimer
RépondreSupprimerDans le verre à bris d'urgence CAISO
Willis Eschenbach
15 août 2020
Ici, dans la République socialiste de Californie unie, nous avons un tas de lois insensées sur l'électricité. Le premier d'entre eux est un «Mandat sur les énergies renouvelables» qui oblige le service public local, Pacific Gas and Electric (PGE) à acheter une énorme quantité d'énergie solaire, éolienne et autre renouvelable coûteuse et peu fiable. Alors, bien sûr, nos augmentations de prix de l'électricité ont dépassé de loin celles de nos États voisins plus sains d'esprit.
(En passant, en vertu de la loi californienne, les grands barrages hydroélectriques ne sont PAS considérés comme «renouvelables» dans le cadre du mandat ... pourquoi pas ? Parce que s'ils comptaient l'hydroélectricité, nous aurions déjà rempli le mandat ... mais je m'éloigne du sujet ...)
Et que pouvons-nous obtenir pour cet investissement dans des systèmes de production coûteux ?
Énergie peu fiable. Hier, vers 18 h 30, ils ont coupé l'alimentation électrique de tout notre quartier pendant trois heures. Bien sûr, l’affirmation du public était que le temps chaud avait fait en sorte que le pauvre système ne pouvait pas suivre le rythme, alors nous sommes désolés, mais les pannes de courant continuelles sont la nouvelle norme à partir de maintenant ... je plaisante, elles ont commencé avant l'annonce.
Je vous assure que j'ai été aussi surpris que nos voisins… j'ai démarré mon petit groupe électrogène Honda 2KVA, j'ai tendu les rallonges et je suis revenu à ma vie. Bien que je doive avouer, j'ai dit de mauvais mots, et je crains d'avoir déclaré à la fois clairement et fort que les personnes en charge de cette corde de chèvre pourraient aller s'engager dans un congrès sexuel anatomiquement improbable avec elles-mêmes et le cheval sur lequel elles montaient ...
Mais ce matin, j'ai eu une pensée plus sobre, une que j'aurais dû avoir la veille, une que vous auriez peut-être déjà eue, qui était ...
… Si cette panne de courant est due à la chaleur, pourquoi n’a-t-elle commencé qu’après 18 heures, bien après la chaleur de la journée ?
Ma pensée suivante a été: "Ce sont ces cabrones avec leur énergie renouvelable abyssale." Alors je me suis mis à voir si c’était vrai.
En Californie, tout cela est géré par quelque chose appelé «CAISO», l'opérateur de systèmes indépendant de Californie. Voici leur graphique de la génération d'énergies renouvelables d'hier, sur le site CAISO:
- voir graphique sur site -
Figure 1. Production totale par type d'énergies renouvelables en Californie, 14 août 2020.
Comme vous pouvez le voir, le total de la géothermie, de la biomasse, du biogaz, de la petite hydraulique et du vent est doux Fanny Adams… et maintenant, remarquez quand le soleil a commencé à manquer le soir. À peu près au moment où notre courant s'est éteint.
Mais comme nous le savons, la corrélation n'est pas la causalité. Voici donc l'autre graphique CAISO pertinent, montrant la demande nette avec et sans énergies renouvelables…
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerFigure 2. Demande nette d'électricité en Californie, ventilée par type de production d'électricité
Je dois rire des petits caractères où ils se vantent de la façon dont ils «maintiennent la fiabilité tout en maximisant les sources d'énergie propres»…
Quoi qu'il en soit, là vous l'avez. Voici l'essentiel.
Si vous ajoutez dix gigawatts d'énergie solaire à votre réseau comme le montre la figure 2 ci-dessus, vous devez forcément, devez, devez, devez ajouter dix gigawatts d'énergie fossile conventionnelle pour couvrir des périodes comme hier, où les énergies renouvelables ne la coupent tout simplement pas ...
Et c'est surtout le fait de ne pas tenir compte de ce fait qui permet aux gens de prétendre que les énergies renouvelables sont prêtes pour le marché. Ils ne sont absolument pas prêts sans d'énormes subventions permanentes et une sauvegarde complète des ressources fossiles, et en fin de compte, ils ne sont tout simplement pas à la hauteur.
Tout cela est la faute totale et complète des démocrates qui dirigent cet État depuis toujours… tant pis. Quand j'étais enfant, c'était un super endroit où vivre.
VOTER! La seule solution à ce non-sens est de les jeter à l'oreille. Cela ne va pas se réparer. Voici l’histoire d’aujourd’hui.
Encore chaud aujourd'hui… pas impatient de la soirée…
w.
PS - Encore une fois, je demande, lorsque vous commentez, veuillez citer les mots exacts dont vous parlez. Cela évite toutes sortes de malentendus.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/15/in-caiso-emergency-break-glass/
Le principal n'est-il pas de réduire le pouvoirs d'achat de tous les californiens et de ne fournir qu'une électricité pour les riches et une bougie pour les pauvres ?
SupprimerLes résidents ont demandé de réduire l'électricité pendant la vague de chaleur en Californie
RépondreSupprimerPar Jana Katsuyama
Actualités KTVU FOX 2
La vague de chaleur fulgurante devrait taxer le réseau électrique de l'État. Une alerte Flex a été émise pour vendredi qui demande aux Californiens de réduire la consommation d'énergie de 15 h à 22 h. Jana Katsuyama de KTVU avec des conseils sur la façon de réduire
MARTINEZ, Californie - Une vague de chaleur fulgurante au cours des prochains jours incite l'opérateur du système indépendant californien à émettre une alerte Flex pour vendredi, ce qui signifie que les résidents sont invités à réduire leur consommation d'énergie à partir de 15 heures. à 22 h
La Californie devrait avoir une chaleur record, jusqu'à 10-20 degrés au-dessus de la normale dans certaines régions.
Au restaurant La Tapatia à Martinez, ils aiment la chaleur dans la nourriture mais pas tellement dans la cuisine.
"C'est difficile. Je vous dis aux gars de la cuisine qu'ils devraient recevoir une prime de risque spécial, car il fait très chaud dans la cuisine", a déclaré Ernesto Guerrero, le propriétaire du restaurant.
Guerrero, le propriétaire du restaurant, a fait installer une petite unité de climatisation jeudi. Il dit que sans repas à l'intérieur, ils peuvent économiser sur le refroidissement, mais il est difficile pour les restaurants de conserver beaucoup plus pendant l'heure du dîner.
«Nous ventilons l'endroit avant de l'ouvrir. Nous allumons les climatiseurs en dernier, car non seulement nous voulons économiser de l'énergie, mais c'est aussi coûteux. Les poêles et la réfrigération, nous ne pouvons pas faire grand-chose», a déclaré Guerrero.
La principale préoccupation est que les personnes qui font fonctionner les climatiseurs plus longtemps exerceront une pression sur le réseau électrique. Les alimentations électriques pourraient également être encore plus serrées, car la couverture nuageuse devrait entraîner une baisse de l'énergie solaire.
"La couverture nuageuse réduit évidemment la production solaire et donc resserre davantage nos approvisionnements en électricité", a déclaré Anne Gonzales, une porte-parole de l'ISO en Californie.
CAL-ISO dit que selon la loi fédérale, ils doivent maintenir les réserves de puissance, donc si la demande dépasse l'offre, il pourrait y avoir des pannes.
«Nous demandons d'en conserver une partie maintenant afin que l'électricité puisse continuer à circuler», a déclaré Gonzales.
La conservation pendant la pandémie présente un nouveau défi, car de nombreuses familles utilisent des appareils électroniques tels que des tablettes, des téléphones cellulaires et des ordinateurs travaillant à domicile et apprenant à domicile.
«Ce que nous demandons, c'est que les gens prennent des mesures simples qui peuvent aider», a déclaré Tamar Sarkissian, une porte-parole de PG&E.
PG&E positionne les équipes dans l'Est et le Sud de la baie où les températures devraient être les plus chaudes.
"Pour qu'il y ait des pannes de courant, nous sommes prêts à y répondre", a déclaré Sarkissian.
Les recommandations PG&E comprennent:
RépondreSupprimerNe pas utiliser de gros appareils tels que laveuses, sécheuses, aspirateurs et lave-vaisselle pendant les heures de pointe
Si vous quittez la maison, réglez le thermostat à 78 degrés ou plus
Utilisez un ventilateur au lieu de la climatisation si votre santé le permet
Gardez vos stores dessinés pour bloquer la chaleur
Éteignez les pompes des piscines
Éteignez les lumières et les appareils inutilisés
Jana Katsuyama est journaliste pour KTVU. Envoyez un e-mail à Jana à jana.katsuyama@foxtv.com et suivez-la sur Twitter @JanaKTVU ou Facebook @NewsJana
https://www.ktvu.com/news/residents-asked-to-reduce-power-during-the-california-heat-wave
La prochaine invasion d'insectes ravageurs sera découverte via les réseaux sociaux
RépondreSupprimerCharles Rotter
15 août 2020
de Paul Manning, Université Dalhousie et Morgan Jackson, Université McGill
À la mi-juillet, l'utilisateur de Reddit, erako, a partagé une photo d'insectes d'apparence exotique, curieux de savoir ce qu'ils étaient.
Les insectes (punaises rouges rayées de noir) ne semblaient pas à leur place pour Mississauga, en Ontario. - ils étaient rouge vif, couverts de bandes noires et parsemés d'étoiles blanches.
L’affiche originale n’aurait pas pu prévoir les messages paniqués et les courriels d’urgence qui se répandraient sur Internet et par l’intermédiaire de plusieurs organismes gouvernementaux canadiens en réponse.
Cas d'identité erronée
L'insecte a été rapidement et correctement identifié par la communauté Reddit comme la mouche lanterne tachetée (Lycorma delicatula), un insecte envahissant qui s'est propagé du sud de la Pennsylvanie depuis son introduction accidentelle en 2014.
Partout au Canada, des entomologistes, des défenseurs de l'environnement, des agriculteurs et des forestiers l'ont surveillé avec anxiété. Ce ravageur se nourrit de la sève de plus de 70 espèces d'arbres, d'arbustes et de vignes, privant la plante d'énergie et offrant des opportunités aux maladies fongiques de coloniser. Les coûts associés aux récoltes perdues, aux plantes endommagées et à la lutte antiparasitaire peuvent être considérables, avec des récoltes annuelles ou des vergers entiers perdus.
Heureusement, c'était un cas d'emplacement erroné: la photo provenait du New Jersey, pas de Mississauga. Pour le moment, le Canada a évité un autre envahisseur d'insectes.
L'incident, cependant, a permis de tester avec succès le rôle important que jouent les médias sociaux et toute une nation de scientifiques communautaires dans la détection et l'identification des espèces introduites.
Utiliser la puissance des médias sociaux pour l'histoire naturelle
Les gens de tous âges se tournent vers les réseaux sociaux pour se connecter avec d'autres naturalistes. De Whatsthisbug sur Reddit (qui compte 245 000 membres), aux milliers d'entomologistes actifs sur Twitter, en passant par les centaines de groupes dédiés à l'identification des insectes sur Facebook tels que l'entomologie (146 000 membres) et l'identification des insectes (62 000 membres), les médias sociaux permettent conversations sur la biodiversité.
De nouvelles espèces scientifiquement inconnues - des champignons aux fleurs en passant par les insectes - sont maintenant régulièrement trouvées via Twitter, Facebook et Flickr.
De plus, nous en apprenons davantage sur les espèces qui nous sont familières. Les aires de répartition des espèces (la zone où se trouve une espèce) et le cycle de vie sont surveillés par une communauté mondiale enhardie et en mesure de partager leurs découvertes pour que le monde en profite. Les scientifiques participent également activement, créant des programmes pour répondre aux questions sur les araignées et recruter des volontaires pour trouver des bourdons ou collecter des ravageurs forestiers.
Parallèlement aux grands réseaux de médias sociaux, un site Web qui s'est rapidement établi pour la documentation d'histoire naturelle est iNaturalist. Une initiative conjointe de la California Academy of Sciences et de la National Geographic Society, iNaturalist est devenue une ressource de premier plan qui combine des données d'observation avec l'intelligence artificielle et l'expertise communautaire pour faire entrer l'histoire naturelle à l'ère numérique.
RépondreSupprimerLes iNaturalistes sont déjà sur l'affaire
iNaturalist aide déjà à identifier les ravageurs envahissants du paysage urbain en Ontario. La punaise de feu européenne (Pyrrhocoris apterus), une punaise aux couleurs vives qui se nourrit de tilleuls et d'hibiscus, a été identifiée pour la première fois au Canada par Paula Oviedo Rojas, étudiante à l'Université de Guelph, dans sa cour d'Etobicoke, en Ontario, en 2017. Un an plus tard, à travers la ville, la naturaliste Karen Yukich a découvert la teigne du buis (Cydalima perspectalis) dans son jardin. Bien que ce papillon ait causé des dommages importants aux arbustes de buis à travers l'Europe, cette observation a marqué son premier signalement connu en Amérique du Nord.
Les deux espèces ont depuis été observées en train de se propager dans la région du Grand Toronto par les iNaturalistes dont les observations aident les chercheurs à comprendre comment les espèces envahissantes se déplacent dans les paysages urbains.
Ces phytoravageurs urbains introduits sont des exemples de la façon dont les scientifiques communautaires aident les scientifiques et les agences gouvernementales à détecter et à suivre les espèces envahissantes via les médias sociaux; a) Punaise européenne (Pyrrhocoris apterus), b) pyrale du buis (Cydalima perspectalis). (Morgan Jackson, Karen Yukich)
L'histoire naturelle à l'ère numérique
Alors que l'histoire naturelle passe au numérique, elle vit une renaissance. L’histoire naturelle - l’une des plus anciennes disciplines de la biologie - est souvent banalisée comme un passe-temps dépassé et non comme une véritable discipline scientifique, même si elle sous-tend une grande partie de la biologie moderne.
La prolifération des téléphones intelligents signifie que de nombreuses personnes ont une encyclopédie de la connaissance, un appareil photo numérique haute résolution et un GPS dans leurs poches. Les curieux sont en train d'être transformés en scientifiques communautaires qui fournissent des données et des observations vitales à partir de leurs parcs locaux, de leurs arrière-cours et des rues de la ville.
- voir photos sur site -
Quatre insectes ravageurs envahissants à surveiller: a) Les caisses d'œufs du puceron laineux de la pruche (Adelges tsugae); b) la lanterne tachetée (Lycorma delicatula); c) le coléoptère khapra (Trogoderma granarium); d) le longicorne asiatique (Anoplophora glabripennis). (Nicholas_T / flickr; Walthery / Wikimedia Commons; USDA / Domaine public; Arp / Wikimedia Commons)
Devenez un détective d'espèces envahissantes
Beaucoup de mains font un travail léger, dit le dicton. Et de nombreux naturalistes rendent les détections précoces plus probables.
Le gouvernement canadien est constamment à la recherche de nouveaux arrivants potentiels susceptibles de nuire aux ressources naturelles ou de décimer les récoltes, et les scientifiques communautaires connectés aux médias sociaux deviennent rapidement notre première ligne de défense. Les principaux ravageurs comme le puceron laineux de la pruche, la mouche lanterne tachetée, le coléoptère khapra ou le longicorne asiatique sont tous des cibles probables pour la détection communautaire.
RépondreSupprimerAlors, tout au long de votre journée, regardez de plus près les insectes et autres organismes qui partagent votre environnement. Lorsque quelque chose attire votre attention, prenez une photo et partagez-la sur Internet - votre observation pourrait être plus significative que vous ne le pensez.
Paul Manning, chercheur postdoctoral, Faculté d'agriculture, Université Dalhousie et Morgan Jackson, chercheur postdoctoral en entomologie, Université McGill
Cet article est republié à partir de The Conversation sous une licence Creative Commons. Lisez l'article original.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/15/the-next-invasion-of-insect-pests-will-be-discovered-via-social-media/
I (don’t) want to believe
RépondreSupprimerJe (ne veux pas) croire
24 juillet 2020
I DonLa semaine passée, l’émission “Temps Présent” de la RTS (notre “Envoyé Spécial à nous…) a diffusé le reportage OVNIS, une affaire d’états [1] qui revient sur la publication récente de vidéos de l’US Air Force montrant des interceptions d’objets volants non identifiés par des F-18 américains.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles j’ai trouvé ce reportage mauvais, voire fallacieux , mais la principale est le passage sur
le “méta-matériau” bismuth-magnesium.
A 56:57 du reportage on voit un certain Dr. Hal E. Puthoff dire ceci lors d’une conférence [2]:
C’était un échantillon multicouche de bismuth et de magnésium. Les couches de bismuth sont moins épaisses qu’un cheveu humain. Les couches de magnésium font environ dix fois la taille d’un cheveu humain. Soi-disant récupéré lors de la récupération d’un véhicule aérospatial avancé écrasé. On dirait qu’il s’agit d’un crash. Les lignes blanches sont du bismuth; les zones les plus sombres sont les séparations de magnésium. Donc, la question était de savoir ce qu’il en était de ce matériau, alors naturellement nous avons regardé dans tous les laboratoires nationaux, nous avons parlé aux métallurgistes, nous avons passé au peigne fin toute la structure des articles publiés. Nulle part nous n’avons pu trouver la moindre preuve que quiconque ait jamais fait ceci.
Ensuite, certaines tentatives ont été faites pour essayer de reproduire ce matériau, mais elles n’ont pas réussi à faire adhérer les couches de bismuth et de magnésium.
Troisièmement, lorsque nous avons parlé à des gens du domaine des matériaux qui devraient savoir, ils ont dit que nous ne savions pas pourquoi quelqu’un voudrait faire quelque chose comme ça. Il n’est pas évident qu’il ait une fonction quelconque.
Eh bien, des années plus tard, des décennies plus tard en fait, enfin notre propre science évolue. Nous entrons dans une zone appelée méta-matériaux, et il s’avère que cette combinaison de matériaux exactement à ces dimensions s’avère être un excellent guide d’ondes microscopique pour les fréquences térahertz de rayonnement électromagnétique à très haute fréquence.
L’objet dont il parle est celui-ci :
- voir photo sur site -
Remarquez mon honnêteté intellectuelle : j’ai laissé les deux mentions du copyright de Linda Moulton Howe , et même le lien vers son site si vous cliquez dessus.
En 1999, Linda Moulton Howe (LMH) avait confié cet objet pour analyse à Nicholas A. Reiter un autre passionné d’OVNIs et de phénomènes étranges. Mais lui a fait du bon boulot. Il ne trouve aucune propriété particulière à l’échantillon. La conclusion de son rapport détaillé à LMH de 1996 est claire [3]:
Au niveau le plus élémentaire, nous pouvons affirmer que la partie d’artefact fournie par LMH ne semble PAS être composée d’éléments ou de composés inconnus. Il n’est pas non plus composé d’alliages d’une pureté ou d’une composition dépassant le cadre de la science des matériaux actuelle . L’artefact ressemble fortement aux résidus stratifiés irréguliers souvent trouvés dans les revêtements par dépôt physique par phase vapeur (PVD) *.
…
RépondreSupprimerÀ mon avis, l’artefact représente probablement un curieux sous-produit industriel de l’industrie des films minces ou d’une usine de coulée de magnésium. Cependant, jusqu’à ce qu’une correspondance soit trouvée, je n’exclurai pas la possibilité d’une origine plus inhabituelle
puis il trouve la correspondance en 2001 et publie une mise à jour encore plus claire [3]:
La combinaison du bismuth et du magnésium nous a échappé pendant quatre ans. Mais un jour, nous avons trouvé une référence à un obscur procédé industriel utilisé dans le raffinage du plomb. Le procédé , appelé procédé de Betterton-Krohl, utilise du magnésium fondu flottant à la surface du plomb liquide. Le magnésium aspire ou extrait les impuretés de bismuth du plomb!
Ce processus peu connu aurait-il pu être la véritable origine d’un résidu métallique d’apparence inhabituelle, qui a ensuite été promu comme une technologie extraterrestre? **
Cependant, LMH trouve ses conclusions peu convaincantes (she really wants to believe…), les passe sous silence et vend l’objet en 2017 pour $35’000 à Tom DeLonge, le chanteur de Blink-182 et passionné d’OVNI pour le compte de sa société To the Stars… Academy of Arts & Sciences Inc. qu’il a fondé… avec notre ami le Dr. Hal E. Puthoff. [4,5]
Ce qui n’empêche pas celui-ci de qualifier 2cm² du déchet industriel le plus cher de l’histoire de “méta-matériau” en 2018…
Si vous aimez les théories du complot, voici pour vous : plus personne ne sait où est cet truc. Il s’est volatilisé chez “To the Stars”, impossible de le ré-expertiser dans un laboratoire indépendant. Et Nicholas A. Reiter est mort d’un cancer à 51 ans …
Note*
En écrivant l’article, je suis tombé sur une autre explication un peu plus technique du “méta-matériau” qui correspond plus à la première hypothèse de Reiter en 1996 [3]. C’est dans un commentaire de Viktor Golubic sur [5]
Après avoir vu des gros plans des couches et d’autres matériaux de la collection reçus par Linda Howe, je crois fermement que le matériau en couches est un dépôt d’accumulation de surpulvérisation sans substrat à partir de bismuth de haute pureté (disponible en routine comme cible de pulvérisation) et de cibles de magnésium / zinc de haute pureté ( généralement disponible en tant que cible de pulvérisation à 99/1%) à partir d’une chambre de pulvérisation à magnétron utilisant un plasma d’argon comme ion de pulvérisation.
Étant donné que le Zn pulvérise à un taux plus élevé que le magnésium, vous le verrez généralement se déposer à 97/3% à partir d’une source de 99/1%, ce qui est exactement ce que nous trouvons être sa composition.
Les cibles de la chambre ont généralement un diamètre de 2 pouces avec une finition à la machine. Dans la présentation en trois parties de Linda sur YouTube, nous voyons une cible de pulvérisation de 2 pouces dans la collection qu’elle a reçue, ce qui fournit une preuve supplémentaire de cette origine. Les couches complètes prendraient environ 125 à 150 heures pour se déposer. En règle générale, les chambres ne sont pas nettoyées, ce qui permet souvent cette accumulation accidentelle sur les surfaces rugueuses de la machine à l’intérieur de la même chambre, ce qui explique sa croissance ondulante en tant que déchet de laitier au fil du temps. Je rechercherais des surfaces d’oxydation subtiles dans les couches pour déterminer à quelle fréquence la chambre était éventuellement ouverte et exposée à l’air lors des changements de pièces de substrat. Le substrat ou la pièce à revêtir est inconnu, mais les recherches de brevets révèlent de nombreuses possibilités pour voir ces métaux en étroite association les uns avec les autres dans le cadre de processus plus complets.
Note **
RépondreSupprimer[6] donne plus de détails sur l’hypothèse de 2001:
Vraisemblablement, il s’agit du processus breveté en 1938 [7], produisant une fine croûte de magnésium et de bismuth en couches, qui est retirée du plomb. Lorsque le magnésium est réutilisé, de nouvelles couches se forment. (Le Fortean Times a approuvé cette solution en 2016.) N’oubliez pas que l’échantillon de Vallée a été spécifiquement identifié comme du laitier, c’est-à-dire des débris industriels. Howe a refusé de faire connaître les résultats de Reiter, préférant enchaîner le mystère des «extraterrestres». Bien sûr, nous aurions besoin d’un échantillon connu réalisé par le procédé industriel pour tester les versions «extraterrestres», mais la distribution du laitier dans les pays industrialisés sont en faveur de cette solution.
Mais encore
Je voulais encore parler de la liste des recherches chez Bigelow Aerospace , dont on nous dit deux fois dans le reportage (à 24:40 à 43:00) qu’elles sont tellement avancées qu’elles méritent vraiment 22 millions de dollars de fonds secrets. Sérieusement ? 22 millions sur 10 ans pour étudier 38 sujets tellement avancés [8] ? Même pas un million par sujet ? Ca ne finance même pas un chercheur par sujet, sur 10 ans …
Qu’est-ce qui vous paraît le plus probable :
que Bigelow Aerospaces nous invente la propulsion hyperspatiale en 10 ans
ou que ces recherches ne donnent rien, ce qui est excusable vu leur difficulté science-fictionnesque, et que M. Bigelow finance la campagne de son copain Harry Reid , visiblement ennuyé de devoir justifier ce projet mis en lumière par le président de l’association des scientifiques américains [9] ?
C’est là le problème principal de ce reportage : il ne donne aucune voix aux scientifiques. C’est un reportage de gens qui croient aux OVNIs, donnant la parole à des gens qui croient aux OVNIs, financés par des gens qui croient aux OVNIs.
Quand un politicien à l’air aussi grave que mystérieux assène que les OVNIs sont apparus immédiatement après les essais nucléaires parce que ceux-ci rayonnent dans tout le spectre électromagnétique, la réaction immédiate de tout journaliste honnête serait de demander “mais il a bien fallu de nombreuses années à ces signaux pour aller jusqu’aux étoiles, non ?”.
Et quand on mentionne un crash d’OVNI : “donc les ET voyagent plus vite que la lumière, dans des dimensions parallèles et/ou par magnétohydrodynamique, et ils épatent nos pilotes de F18 par leur manoeuvres défiant la physique, mais ils s’écrasent quand même assez souvent, non ?”
Mais non. Aucun sens critique. Le reportage consiste à montrer que la science, c’est de la gnognotte, qu’on est trop nuls pour comprendre un méta-matériau et que les extraterrestres sont en train d’arriver. Ce n’est plus une théorie du complot puisque les américains ont diffusé 3 vidéos floues où on voit à peine ce qui se passe, mais ni vitesse, ni relevé radar …
C’est là que ça devient effectivement une “affaire d’état” parce que ce reportage digne de YouTube est financé avec mon pognon de con-tribuable, en ce qui me concerne la redevance TV.
De la part d’une chaîne de TV qui produit (encore) des émissions de vulgarisation scientifique de bon niveau, c’est vraiment navrant.
RépondreSupprimerRéférences:
1 - Ovnis, une affaire d’états de Dominique Filhol, 2020, 77 minutes (RTS)
2 - Hal Puthoff, “Address to the SSE/IRVA Conference”, Las Vegas, 8 June 2018 (transcription en anglais)
3 - Report Compiled By Scientific Research Technologist Indicates Earthly Origin, Howe Says Material Is Still Anomaly
4 - Tom DeLonge’s UFO Research Company Paid $35,000 for ‘Exotic’ Metals, 2019, sur Vice.com (spoiler alert : ne cliquez pas sur ce lien avant d’avoir terminé la lecture de mon article svp…)
5 - UFO Researcher Explains Why She Sold ‘Exotic’ Metal to Tom DeLonge, 2019, sur Vice.com
6 - Jason Colavito, “a potential solution to the mystery of the alien metal promoted by ToTheStars”, 2018
7 - Jollivet Leon Eugene, “Process for refining lead which contains bismuth”, 1938, brevet US2133327
8 - Advanced Aerospace Threat and Identification Program: a list of all DIA products produced
9 - Steven Aftergood “More Light on Black Program to Track UFOs“, 17 janvier 2019, sur le site de la Federation of American Scientists
https://www.drgoulu.com/2020/07/24/i-dont-want-to-believe/#.Xzkh8yn9_rQ
Comme il n'y a PAS de personnages vivants venus d'ailleurs ou d'OVNI... on en fabrique !
SupprimerHahahaha !
RépondreSupprimerL'Italie enregistre une augmentation de près de 150% des arrivées de corona exotique (migrants) en un an
16 août 2020, 12:53 -
La ministre de l'intérieur italienne, Luciana Lamorgese, a annoncé une hausse de 148,7% des arrivées de migrants sur le sol transalpin en un an. 21 618 migrants ont rejoint l'Italie entre août 2019 et juillet 2020. L'arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des 12 derniers mois, la majorité arrivant de Tunisie, a fait savoir, le 15 août, la ministre de l'Intérieur italienne Luciana Lamorgese.
L'Italie a connu des difficultés ces derniers mois pour faire face à l'arrivée de centaines de migrants sur ses rives méridionales, une tâche compliquée par les mesures de sécurité dues à la crise sanitaire du coronavirus. Des prélèvements sont effectués, et lorsqu'ils sont positifs, la personne doit être traitée pendant que les autres doivent observer une quarantaine de 14 jours Selon la ministre, la difficulté n'est pas réellement dans le nombre d'arrivées mais du travail supplémentaire requis par ces mesures.
«Il y a besoin d'un système de protection pour les populations qui reçoivent les migrants, et pour les migrants eux-mêmes», a-t-elle déclaré à la presse. «Des prélèvements sont effectués, et lorsqu'ils sont positifs, la personne doit être traitée pendant que les autres doivent observer une quarantaine de 14 jours», a-t-elle ajouté. +148,7% par rapport à la période août 2018-juillet 2019
Tandis que la frustration monte parmi les maires locaux, le gouvernement a mobilisé des ferries pour maintenir les migrants en quarantaine. Il a aussi fait appel à l'armée dans certains cas, après l'évasion des centres d'accueil de migrants qui étaient testés positifs.
Du 1er août 2019 au 31 juillet 2020, 21 618 migrants sont arrivés sur les côtes italiennes, une augmentation de 148,7% par rapport aux 8 691 arrivées de l'année précédente, selon des données présentées la ministre le 15 août à Milan.
Lire aussi Migrants : la France et l'Italie vont créer une brigade sous commandement unique contre les passeurs Malgré la forte augmentation, le nombre d'arrivées de migrants est toujours loin derrière les niveaux enregistrés il y a quelques années.
De 2016 à 2017, l'Italie a enregistré l'arrivée de 182 877 migrants. Après la signature d'un accord avec la Libye pour que ses gardes-côtes empêchent les départs des migrants, le nombre est tombé à 42 700 lors de la période 2017-2018. Quelque 41,6% des migrants sont partis de Tunisie, et 40,5% de Libye. Plus du tiers des migrants arrivés déclarent être de nationalité tunisienne, contre 12% pour le Bangladesh, et 7% pour la Côte d'Ivoire.
Luciana Lamorgese a précisé qu'elle serait du voyage officiel en Tunisie, le 17 août, avec le ministre des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, et deux commissaires de l'Union européenne. «C'est un moment important et un signe d'attention envers un pays en difficulté», a-t-elle déclaré devant la presse, sans fournir plus de détails sur l'agenda du voyage.
En savoir plus sur RT France :
https://francais.rt.com/international/77928-italie-enregistre-augmentation-pres-150-arrivees-migrants-un-an
Covid-19 : pourquoi certains masques sont-ils équipés d'une puce «RFID»
RépondreSupprimer16 août 2020, 07:47
Il existe, en France, des masques équipés d'une puce dite «RFID» (radio-identification). Selon plusieurs médias, il s'agit de masques spéciaux utilisés par les salariés de certaines entreprises, dont le but est de contrôler le nombre de lavages. Selon des informations rapportées par plusieurs médias, dont Cnews, certains masques réutilisables sont dotés d'une puce «RFID» (pour radio-identification) – ce qui a pu soulever des inquiétudes.
Le sujet a été porté à l'attention du grand public le 14 août lorsqu'un auditeur de France inter a posé au directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, la question suivante : «Trouvez-vous normal que certains fabricants proposent des masques avec des puces RFID incorporées ? J’ai regardé sur internet le nombre de fabricants avec puce, c’est impressionnant. Il y a même des vidéos qui circulent, des gens qui décortiquent leurs masques.
Quel est l’intérêt de ces puces ?» Lire aussi Pandémie : situation «préoccupante» en France métropolitaine, de nouvelles restrictions à Paris Ce à quoi Jérôme Salomon a répondu : «Je peux vous dire que les masques français en tissus sont excellents, j'en porte tous les jours et ils ont un impact bien meilleur sur notre environnement, on peut les laver, les réutiliser.
Ils sont fabriqués en France, à proximité de chez vous et n'ont pas de puce intégrée, je peux vous le garantir.» «Mal informé ou peur d’affoler les Français, quoi qu’il en soit, celui qui est maintenant connu pour ses points-presse sur l’avancée de la Covid-19 en France ne dit pas la vérité», affirme le site de Cnews le 15 août.
Le média souligne que ce type de masques à puce existe : il s'agit de masques spéciaux «destinés aux salariés de certaines entreprises, dans l’unique but de compter le nombre de lavages avant de devoir se débarrasser du modèle» – généralement au bout de 30 à 60 utilisations, précise Cnews. Le français UBI Solutions est l'une des entreprises qui développent ce type ces masques à puce.
Selon son site internet, le masque «équipé d’une puce RFID intégrée avec Flashcode [permet] à l’utilisateur de contrôler le nombre de lavages avec une application smartphone» et donc ne pas dépasser le nombre de lavages pour lequel le masque est conçu.
D'après Le Parisien, la société avait «déjà développé ce système pour des draps de lits d'hôpitaux». Pour l'instant, aucune information n'est sortie sur le nombre de salariés concernés par ce type de masques en France.
https://francais.rt.com/france/77922-covid-19-pourquoi-certains-masques-equipes-puce-rfid
SupprimerIl s'agit là de masque FFP3 (dotés d'une valve d'expiration), masques réservés à l'inhalation de gaz toxiques et non d'un masque antivirus !
Allemagne : manifestation contre les mesures anti-coronavirus à Hambourg
RépondreSupprimer15 août 2020, 15:06
- voir clip sur site -
Une nouvelle manifestation contre le gouvernement allemand et les restrictions liées au Covid-19 mises en place par les autorités, se tient à Hambourg ce samedi le 15 août.
https://www.youtube.com/watch?v=2ioUY5qGSn0&feature=emb_logo
https://francais.rt.com/international/77903-allemagne-manifestation-contre-mesures-anti
Vont-ils vous enlever vos enfants (testés avec de la fièvre ?) dès la rentrée des classes dans 15 jours ?
SupprimerEt vous enfermer en camps de concentration ?
Le Directeur du Max Planck Institute for Meteorology s’inquiète surtout de la panique que génère le « changement climatique »
RépondreSupprimerle 16 août 2020
Dans une interview avec le quotidien allemand phare Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ),le Dr Jochen Marotzke, directeur de l’Institut Max-Planck de météorologie (MPIM), a déclaré que prédire à combien de degrés de réchauffement nous devons nous préparer était comme prédire l’avenir avec du marc de café et qu’il n’est pas du tout inquiet au sujet des « points de basculement climatique ».
Il a également évoqué le large désaccord entre les modèles climatiques, que les pires scénarios présentés par certains modèles étaient utiles à des fins d’évaluation des risques, c’est-à-dire des scénarios improbables mais ne pouvant pas être exclus (voir les notes en fin de billet). « Dans la dernière génération de modèles, certains d’entre eux sont beaucoup plus sensibles aux gaz à effet de serre que les modèles précédents en termes d’augmentation de la température », a-t-il déclaré.
Cinq degrés « très très improbable »
Interrogé sur les résultats du modèle français sorti plus tôt cette année, qui suppose cinq degrés de réchauffement pour un doublement du CO2 atmosphérique, Marotzke a exprimé son étonnement, en disant au FAZ ce qu’il pensait des scientifiques français : « Mon Dieu, qu’est-ce que vous faites ? Parce qu’il est très, très improbable que le vrai climat soit aussi sensible que le montrent ces nouveaux modèles ».
« La question de la sensibilité du climat est extrêmement complexe. Par conséquent, les résultats d’un modèle doivent d’abord être traités avec extrême prudence », a déclaré Marotzke.
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi le modèle français produisait un réchauffement aussi élevé pour un doublement du CO2 Marotzke a répondu qu’il ne savait pas pourquoi : « Personne ne comprend pourquoi ils l’ont publié sans réfléchir au préalable. Les Britanniques l’ont fait différemment, ils ont dit que cette nouvelle valeur est un mystère. Ils veulent d’abord rechercher quelle en est la raison et si le taux de réchauffement est réaliste ».
Ne vous inquiétez pas des points de basculement climatiques
Plus tard dans l’interview, la FAZ a évoqué les soi-disant « points de basculement dans le système climatique », qui sont des « valeurs seuils qui mettent en mouvement des processus irréversibles qui, une fois lancés, ne peuvent plus être arrêtés ». Les points de basculement possibles nommés par certains scientifiques incluent l’inlandsis du Groenland, le Gulf Stream, l’Antarctique occidental, les récifs coralliens, l’Amazonie mourante, etc.
Quant à savoir s’ils pourraient se produire, Marotzke les considère comme « concevables » et que cela « ne peut pas être exclu » et avec « presque tous (ces points de basculement), nous ne savons pas où nous en sommes ».
Lorsqu’on lui a demandé lequel était le plus inquiétant, il a répondu: « Aucun ».
« Je ne vois aucun risque avec le Groenland »
Et même la fonte de la calotte glaciaire du Groenland n’inquiète pas le directeur du MPIM. Il a déclaré à la FAZ : « Cela va prendre tellement de temps – quelques milliers d’années – que je ne vois aucun risque avec le Groenland ».
L’Arctique n’est pas un élément de basculement
RépondreSupprimerAu sujet de l’Arctique, Marotzke dit qu’il est « tout à fait sûr que ce n’est pas un point de basculement » et que la rétroaction de l’albédo des glaces « n’est pas l’effet dominant ». «La glace revient chaque année – en hiver, a déclaré Marotzke, qui est directeur du MPIM à Hambourg depuis 2003. « Lorsque la température redescendra, la glace de mer reviendra ».
Ne vous inquiétez pas du dégel du pergélisol
Il ne s’inquiète pas non plus du dégel du pergélisol, affirmant que la contribution au réchauffement « est relativement faible ».
« En outre, même si le pergélisol dégèle, on ne sait pas quelle quantité de méthane atteint réellement l’atmosphère », a déclaré Marotzke. « Le méthane peut être converti par les bactéries en CO2. Je ne suis pas inquiet avec le méthane ».
« La panique climatique se retournera contre elle-même »
Interrogé sur ce qui l’inquiète, il répond: «La panique se retournera contre elle-même ». Marotzke met en garde contre la propagation de cette panique : « Cela peut devenir dévastateur. La question est : à quel moment les risques des mesures de protection du climat dépassent-ils les risques du changement climatique ? La panique n’aide pas ici, seulement une analyse et une mise en balance relativement modérée ainsi qu’une discussion démocratique aideront.
Source : Blog de Pierre Gosselin notrickszone.com
Lien : https://www.faz.net/aktuell/wissen/erde-klima/zu-kipppunkten-und-anderen-klima-sorgen-16701417.html?printPagedArticle=true#pageIndex_2
Notes. Le Docteur Marotzke, éminent climatologue de réputation mondiale, raisonne comme un actuaire et il a parfaitement raison. Définition de Wikipedia : « Un actuaire est un professionnel spécialiste de l’application du calcul des probabilités et de la statistique aux questions d’assurances, de prévention, de finance et de prévoyance sociale. À ce titre, il analyse l’impact financier du risque et estime les flux futurs qui y sont associés. L’actuaire utilise des techniques issues principalement de la théorie des probabilités et de la statistique, pour décrire et modéliser de façon prédictive certains événements futurs tels que, par exemple, la durée de la vie humaine, la fréquence des sinistres ou l’ampleur des pertes pécuniaires associées ».
Envisager des risques climatiques extrêmes est l’affaire des compagnies d’assurance. Comme le précise le Docteur Marotzke il est urgent sinon indispensable pour le monde politique d’évaluer les risques engendrés par les mesures de protection du climat, dont en particulier les objectifs totalement irréalistes de réduction des émissions de CO2, sur l’activité économique et industrielle, en regard des risques climatiques extrêmes. Je suggère à mes lecteurs la lecture de cet article de Roger Pielke Jr paru sur son blog ( http://rogerpielkejr.blogspot.com/2010/11/82-billion-prediction.html ) d’où il ressort un « hiatus » dans les frais engagés par les compagnies d’assurance pour couvrir les « désastres climatiques » qui n’ont pas augmenté depuis 1995 comme d’ailleurs les températures moyennes depuis cette même date.
- voir graphique sur site -
Il est difficile de trouver des représentations de ce hiatus couvrant la période 1995-2019 pour la simple raison que c’est « dérangeant ». Si un de mes honorables lecteurs connait une source fiable sur ce point particulier je lui serai reconnaissant de la communiquer en commentaire … La représentation la plus récente, ci-dessous, est celle publiée par Sir Christopher Monckton of Brenchley en 2015 dans un article repris par le Heartland Institute ( https://www.heartland.org/_import/01-17-15_monckton_on_2014_temps.pdf ) :
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/16/le-directeur-du-max-planck-institute-for-meteorology-sinquiete-surtout-de-la-panique-que-genere-le-changement-climatique/
SupprimerPourquoi nul scientifique n'est capable de prévoir la météo ?
Notre planète a subi des périodes de froids comme de chauds mais qui n'avaient rien à voir avec la présence humaine, animale ou industrielle.
Ces périodes étaient réactives aux intensités magmatiques.
Lors des décennies glaciales, ce n'est pas le soleil qui s'est rapproché de la Terre mais étaient dues aux intensités de la masse ferrique incandescente sous nos pieds.
Climategate: dix ans plus tard
RépondreSupprimer1 novembre 2019
par Robert
«Les alarmistes du climat continuent de promouvoir la science indésirable, l'interdiction des combustibles fossiles et la redistribution des richesses.»
«Collaborer et s'entendre pour créer une crise climatique d'origine humaine qui existe dans leur esprit et leurs modèles informatiques, mais pas dans le monde réel.»
- Dr Kelvin Kemm
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«C'est difficile à croire», écrit Paul Driessen, «mais cela fait dix ans que le premier des deux tristement célèbres courriels de Climategate a montré au monde comment des scientifiques voyous investis dans des allégations de crise climatique d'origine humaine avaient manipulé des données, supprimé des preuves et tenté de diffamer et de faire taire quiconque n'est pas d'accord avec eux… pour perpétuer leurs revendications et leur financement. »
«Dans cet article, le physicien nucléaire sud-africain, le Dr Kelvin Kemm, revisite ce qui s'est passé en novembre 2009 et résume certaines des nombreuses vérités gênantes sur le changement climatique naturel qui soulignent le fait que les fluctuations climatiques ont aidé ou martelé notre Terre et l'humanité à plusieurs reprises. au cours des siècles… et que les combustibles fossiles et les émissions humaines de gaz carbonique ne jouent aucun rôle important dans les événements climatiques ou météorologiques que nous connaissons aujourd'hui.
Cet article est super !
J'espère que vous le lirez, le sauvegarderez et le transmettrez à tous ceux auxquels vous pouvez penser.
Robert
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Climategate: dix ans plus tard
Les alarmistes climatiques font toujours la promotion de la science indésirable, des interdictions des combustibles fossiles et de la redistribution des richesses
Dr Kelvin Kemm
Ce mois-ci marque le dixième anniversaire de «Climategate» - la publication de milliers de courriels adressés aux et en provenance des climatologues qui avaient (et sont toujours) collaborés et complices pour créer une crise climatique d'origine humaine qui existe dans leur esprit et leurs modèles informatiques, mais pas dans le monde réel. Le scandale aurait dû mettre fin au catastrophisme climatique. Au lieu de cela, il a été soigneusement enterré par des politiciens, des scientifiques, des militants et des capitalistes copains, qui récolteront des milliards de dollars des exagérations et de la falsification, tout en se dispensant des dommages qu'ils infligent aux familles quotidiennes.
Peu de gens connaissent les faits gênants sur la prétendue «crise» du climat artificiel et des conditions météorologiques extrêmes. Par exemple, depuis 1998, les températures mondiales moyennes n'ont augmenté que de quelques centièmes de degré. (Pendant un certain temps, ils ont même légèrement diminué.) Pourtant, tout ce que nous entendons est une rhétorique sans fondement sur le gaz carbonique d'origine humaine causant le réchauffement climatique et les changements climatiques qui posent des menaces existentielles pour l'humanité, la faune et la planète. Sur cette base, on nous dit que nous devons cesser d'utiliser les combustibles fossiles pour alimenter la croissance économique et améliorer le niveau de vie. C'est une mauvaise nouvelle pour l'Afrique et le monde.
Nous continuons d'entendre que l'augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère entraîne une hausse des températures mondiales. Mais les données satellitaires ne montrent rien de tel. En fait, les prévisions des modèles informatiques pour 2019 sont près d'un demi-degré Celsius (0,9 degrés F) au-dessus des mesures réelles des satellites. Pire encore, chaque fois qu'un scientifique soulève des questions sur la crise présumée, il est dénoncé comme un «négateur du changement climatique».
RépondreSupprimerUne source majeure de données appuyant la proposition de réchauffement induit par le gaz carbonique par l'homme est venue du Climate Research Unit (CRU) de l'Université d'East Anglia au Royaume-Uni.
Manipuler des informations scientifiques
Puis, le matin du 17 novembre 2009, une boîte de Pandore contenant des informations embarrassantes sur le CRU a explosé sur la scène mondiale. Un pirate informatique a pénétré le système informatique de l'université et a pris 61 Mo de matériel montrant que le CRU avait manipulé des informations scientifiques pour faire apparaître le réchauffement climatique comme la faute de l'humanité et du gaz carbonique industriel. Parmi de nombreux autres scandales, les fuites d'e-mails choquants montraient le professeur Phil Jones, alors directeur du CRU, se vantant d'utiliser des «astuces» statistiques pour éliminer les preuves de baisses observées des températures mondiales.
Dans un autre e-mail, il a préconisé de supprimer les données plutôt que de les fournir à des scientifiques qui ne partageaient pas son avis et pourraient critiquer ses analyses. Des scientifiques non alarmistes ont dû invoquer les lois britanniques sur la liberté de l'information pour obtenir les informations. Jones a ensuite été suspendu et l'ancien chancelier britannique Lord Lawson a appelé à une enquête gouvernementale sur l'exposé embarrassant.
L'affaire est devenue connue sous le nom de «Climategate», et un groupe d'étudiants de l'université américaine a même publié une chanson sur YouTube, «Hide the Decline», se moquant du CRU et du modélisateur climatique, le Dr Michael Mann, dont l'utilisation de l'expression «hide the déclin» dans des températures avaient été trouvées dans les e-mails piratés.
Alors, quelle est la vérité ? Si l'on considère la composition de l'atmosphère et l'assimile à la hauteur de la tour Eiffel à Paris, le gaz carbonique supplémentaire fertilisant pour les plantes ajouté à l'atmosphère depuis que la Californie est devenue le 31e état des États-Unis en 1850 est inférieur à l'épaisseur des tuiles. sous la tour.
La majeure partie du réchauffement s'est produite avant 1940
Cette infime augmentation peut-elle vraiment expliquer tout réchauffement climatique observé depuis la fin du petit âge glaciaire et le début de l'ère industrielle moderne ? Depuis que la Californie est devenue un État, l'élévation globale mesurée de la température atmosphérique a été inférieure à 10 ° C. Mais la majeure partie de cette augmentation s'est produite avant 1940, et les températures planétaires moyennes sont tombées d'environ 1943 à environ 1978, entraînant une peur du refroidissement global. Les températures ont légèrement augmenté jusqu'en 1998, puis sont restées globalement stables, même si les niveaux de dioxyde de carbone continuaient d'augmenter. La hausse des niveaux de gaz carbonique et les variations de température ne sont pas du tout très corrélées.
De plus, pendant la période chaude médiévale bien documentée d'environ 950 à 1350, les températures mondiales plus chaudes ont permis aux agriculteurs vikings d'élever des cultures et de s'occuper du bétail au Groenland. Le petit âge glaciaire de 500 ans, également bien documenté, a affamé et gelé les Vikings hors du Groenland, avant d'atteindre son point le plus froid, le minimum de Maunder, 1645-1715. C’est alors que la Tamise en Angleterre a régulièrement gelé, les agriculteurs norvégiens ont exigé une compensation pour les terres ensevelies par les glaciers, et les prêtres ont exécuté des rituels d’exorcisme pour éloigner les glaciers alpins des villages. Des peintures de l'époque montrent des foules de gens faisant du patinage sur glace et conduisant des calèches sur la Tamise.
RépondreSupprimerL'industrie et les émissions automobiles n'ont évidemment joué aucun rôle ni dans le MWP ni dans la LIA.
La chaleur a apporté la prospérité et des récoltes records - Le froid a apporté la misère, la famine et la mort
Ces événements dramatiques devraient sonner la sonnette d'alarme pour tout scientifique compétent et honnête. Si la période chaude médiévale s'est produite sans que le gaz carbonique industriel ne la conduise, pourquoi le gaz carbonique industriel devrait-il causer un réchauffement observé aujourd'hui ? La grande peste de l’Europe a anéanti près d’un quart de sa population pendant la petite période glaciaire. La période chaude a apporté la prospérité et des récoltes record, tandis que les années froides ont apporté la misère, la famine et la mort.
Dix ans avant Climategate, le Dr Mann a publié un graphique généré par ordinateur prétendant montrer les températures mondiales au cours des 1500 dernières années. Son graphique a mystérieusement fait disparaître la période chaude médiévale, la petite période glaciaire et les années extrêmement froides de Maunder - et les températures planétaires ont soudainement augmenté au cours des deux dernières décennies du XXe siècle. Le graphique avait la forme d'un bâton de hockey, a été publié dans le monde entier et est devenu une pièce maîtresse du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.
De nombreux scientifiques se méfiaient fortement des allégations relatives au bâton de hockey. Deux d’entre eux, Steven McIntyre et Ross McKitrick, ont complètement discrédité le programme informatique de Mann et l’histoire révisionniste. Bien sûr, cela n'a pas empêché l'ancien vice-président américain Al Gore d'utiliser le graphique discrédité dans son film de catastrophe et de morosité sur le changement climatique, An Inconvenient Truth.
Licenciement des «éditeurs gênants»
Les e-mails de CRU piratés ont également montré des échanges entre Mann et Jones, dans lesquels ils ont discuté de la manière d'intimider les éditeurs qui voulaient publier des opinions scientifiques contraires aux leurs, pour supprimer toute étude contradictoire. Dans un e-mail, Jones a exprimé son désir de se débarrasser du «rédacteur gênant» du journal Climate Research pour avoir osé publier des opinions divergentes. Le rédacteur en chef a été limogé.
Lorsque le sceptique climatologique de l'Université du Colorado, le professeur Roger Pielke Jr., a demandé au CRU ses lectures de température d'origine, on lui a dit que les données avaient été (commodément) perdues. Perdu !?! Les professionnels perdent-ils quelque chose d'aussi précieux que les données originales ? Beaucoup soupçonnaient qu'ils ne voulaient tout simplement pas que quiconque expose leurs manipulations et fabrications intelligentes.
Mais si le gaz carbonique industriel n'a pas provoqué le réchauffement climatique récent, qu'est-ce qui l'a fait ? Un groupe de recherche danois, dirigé par le professeur Henrik Svensmark, a trouvé une correspondance très crédible entre les niveaux d'activité des taches solaires (tempêtes magnétiques géantes) sur notre Soleil et les températures mondiales au cours des quinze derniers siècles. Ce mécanisme entièrement naturel correspond en fait à la preuve! Comme c'est terriblement gênant pour les alarmistes.
RépondreSupprimerLes rayons cosmiques de l’espace lointain empiètent constamment sur la haute atmosphère de la Terre et produisent des nuages, tout comme les jets de haut vol laissent des traînées blanches derrière leurs moteurs. Plus de nuages peuvent emprisonner la chaleur, mais ils provoquent également un refroidissement global, car moins de lumière solaire frappe la Terre. Plus de taches solaires signifie un bouclier magnétique plus fort, donc moins de rayons cosmiques atteignant la Terre, donc moins de couverture nuageuse et plus de réchauffement climatique. Le Soleil est actuellement dans une période presque record de faible activité des taches solaires.
Redistribution des richesses et des ressources
Toutes sortes de groupes d'intérêt suppriment ces informations. Peut-être pire, lorsque Climategate a éclaté, la militante «justice climatique» des Amis de la Terre Emma Brindal a déclaré sans ambages: «Une réponse au changement climatique doit avoir en son cœur une redistribution des richesses et des ressources.» Ne pas protéger la Terre des émissions de gaz carbonique causées par l'homme ou des changements climatiques naturels et anthropiques - mais redistribuer la richesse et les ressources, selon des formules que les élites dirigeantes autoproclamées jugent «socialement justes».
Les militants pour le climat s'opposent également aux voyages aériens «excessifs» pour affaires ou pour le plaisir, aux véhicules 4 × 4 comme «luxe inutile» et aux maisons modernes pour les Africains. Certains disent même que les Africains doivent continuer à vivre dans des huttes de terre et éviter l'utilisation de l'électricité et des technologies agricoles modernes. L'acteur américain mineur Ed Begley a déclaré: «Les Africains devraient avoir l'énergie solaire là où ils en ont le plus besoin: sur leurs huttes. Eux, Al Gore, Phil Jones et Mike Mann sont bien entendu exemptés de ces restrictions.
Une véritable justice sociale et les droits de l'homme signifient que chacun a accès à une énergie abondante, fiable et abordable, en particulier à une électricité d'importance universelle. Pas des éoliennes et des panneaux solaires coûteux, intermittents et dépendant des conditions météorologiques. Des centrales à combustibles fossiles, nucléaires et hydroélectriques.
Nous, les pays en développement, ne laisserons plus la vérité climatique être supprimée. Nous ne permettrons pas à des militants radicaux et bruyants de freiner le développement économique africain, l’emploi et l’amélioration de la santé et du niveau de vie, au nom de la promotion de leurs programmes de redistribution des richesses antihumaines.
Le Dr Kelvin Kemm est physicien nucléaire et PDG de Nuclear Africa (Pty) Ltd, une société de gestion de projet basée à Pretoria, en Afrique du Sud. Il effectue des travaux de conseil en développement stratégique.
https://www.iceagenow.info/climategate-ten-years-later/
49 personnes abattues au cours des 72 dernières heures à New York alors que la ville atteint sa "date d'expiration"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 16/08/2020 - 21:31
La ville de New York embourgeoisée qui a fait de la Grosse Pomme l'envie des milliardaires, des oligarques, des agresseurs d'enfants et des criminels de blanchiment d'argent du monde entier n'est plus, et à sa place se trouve l'infernal New York des années 1970.
Selon Gothamist, entre jeudi et samedi, 49 personnes ont été abattues dans la plus grande ville des États-Unis, alors que la montée de la violence armée se poursuit cet été et se précipite pour rattraper cet autre paradis progressiste, Chicago.
Pour mettre la flambée dans son contexte, le nombre de personnes abattues au cours des trois jours est cinq fois plus élevé que les huit qui ont été abattus au cours des mêmes jours l'année dernière selon le Washington Examiner. Alors que la plupart des victimes des tirs étaient simplement blessées, au moins six personnes ont été tuées par balle au cours des trois jours d'intervalle, contre trois homicides qui ont eu lieu à la même période l'année dernière.
Depuis le début de l'année, il y a eu jusqu'à présent 1087 victimes par balle dans 888 incidents différents dans toute la ville, soit environ le double du crime observé en 2019. L'année dernière à cette époque, il y avait eu 577 victimes par balle dans 488 incidents à New York.
Parmi les personnes assassinées, il y avait un agent pénitentiaire hors service qui travaillait à Rikers Island. John Jeff, 28 ans, venait de quitter une fête dans le Queens à 3 heures du matin samedi matin lorsqu'il a reçu une balle dans la tête et la poitrine.
«Tôt ce matin, l'association de bienfaisance des agents de correction a été informée que l'agent de correction de la ville de New York, John Jeff, affecté au centre Anna M. Kross de Rikers Island, a été retrouvé mort dans le sud de la Jamaïque dans le Queens. Il a subi de multiples blessures par balle. Il était âgé de 28 ans et était au travail pendant un peu plus de deux ans avec toute sa vie et sa carrière devant lui. Il était apprécié et très apprécié de ses collègues », a déclaré le président de l'Association des agents de correction Benevolent Association, Benny Boscio Jr., dans un communiqué. .
Des voisins ont rapporté avoir entendu plusieurs coups de feu à l'extérieur de leurs maisons et des sources ont déclaré à ABC 7 que le meurtre semblait être planifié.
«J'ai entendu neuf coups de feu», a déclaré le résident Raymond Leslie. "Vous ne voulez vraiment pas sortir dans ces rues la nuit parce que cela devient de plus en plus dangereux."
Le maire Bill de Blasio, dont les actions - ou son absence - ont été blâmées par beaucoup pour avoir déclenché un exode historique parmi les habitants de New York, a dénoncé la fusillade en tweetant: "C'est une tragédie."
«Chirlane et moi gardons dans nos cœurs la famille, les êtres chers et les frères et sœurs de ce jeune homme à @CorrectionNYC aujourd'hui. Une enquête sur cette attaque lâche est en cours. Si vous avez des informations, veuillez contacter le NYPD», a tweeté le maire.
COVID vient-il pour votre travail ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 16/08/2020 - 17:50
Rédigé par Adam Taggart via PeakProsperity.com,
Dans quelle mesure votre travail est-il sûr ?
Parce que malgré le "Tout est génial!" mirage les marchés financiers ont désespérément besoin de se projeter, l'économie réelle - vous savez, où les gens vivent réellement leur vie - nous raconte une histoire bien plus sombre.
Des dizaines de millions de travailleurs américains ont perdu leur emploi depuis l’arrivée du covid-19 sur les côtes américaines. Plus de 28 millions de personnes demandent actuellement des allocations de chômage fédérales et étatiques:
- voir graphique sur site -
Et malgré des mesures extraordinaires pour aider ces ménages touchés, nombre d'entre eux sombrent dans des difficultés car les perspectives ne font que faiblir.
La loi CARES de 2,2 billions de dollars a créé le programme fédéral d'indemnisation du chômage en cas de pandémie, qui a ajouté 600 $ de plus par semaine aux bénéficiaires de prestations de chômage. Il a également envoyé un chèque de crédit d'impôt pouvant atteindre 1 200 $ (2 400 $ pour les codéclarants) aux ménages dont le revenu est inférieur à un certain seuil de revenu.
Mais les paiements supplémentaires de 600 $ ont maintenant expiré et le Congrès est dans l'impasse sur ce qui va suivre. La proposition actuelle est de redémarrer le paiement des prestations supplémentaires à la somme réduite de 400 $ / semaine, avec 300 $ payés sur le Fonds de secours en cas de catastrophe du gouvernement fédéral et le reste financé par les États individuels. Un autre paiement de 1 200 $ semble également probable.
Ce plan présente cependant des défis. À 300 $ / semaine, le Fonds de secours en cas de catastrophe sera drainé après 5 semaines. Et de nombreux États affirment qu’ils n’ont pas les moyens de payer la facture de 100 dollars par semaine qui leur est demandée.
Ce n’est donc pas étonnant, avec des dizaines de millions d’emplois perdus et plus de 3500 entreprises déclarant faillite en vertu du chapitre 11 cette année, les Américains sont de plus en plus inquiets pour l’avenir:
POLL-Trois Américains sur dix licenciés dans la crise des coronavirus s'inquiètent pour la nourriture et le logement (Reuters)
Selon un sondage Reuters / Ipsos publié mercredi (...)
(…) Trois personnes sur dix interrogées par Reuters / Ipsos ont déclaré qu'elles auront «une période très difficile à satisfaire les besoins de base», qui comprennent le paiement du loyer ou l'achat de produits d'épicerie. La moitié ont déclaré être soumis à un certain stress "mais nous pourrons répondre à nos besoins de base.
Et ça ne fera que devenir plus difficile pour ces gens d'ici.
Le taux de chômage est actuellement de 10,2%, ce qui est élevé - mais sous-estime encore la réalité du demandeur d’emploi d’aujourd’hui.
Postuler à un emploi dans le monde post-covid est un véritable défi. Les entreprises sont en train d'essayer de comprendre comment gérer le personnel dont elles disposent pour s'adapter à une main-d'œuvre éloignée. Et beaucoup réduisent leurs effectifs ou ferment complètement leur magasin.
En termes simples: il y a beaucoup moins d'emplois. Et BEAUCOUP plus de gens en compétition pour eux maintenant.
RépondreSupprimerCe déséquilibre s'aggravera à mesure que les avantages extraordinaires du gouvernement se tariront, comme ils risquent fort de le faire après l'élection présidentielle de novembre. Bien sûr, les politiciens essaieront d'attirer les votes en étant aussi généreux que possible pour y arriver. Mais tout le monde sait qu’il n’ya aucun moyen pour le pays de soutenir ce qu’il dépense actuellement, alors attendez-vous à ce que les poursuites se terminent une fois que les résultats sont connus.
Et, si les marchés devaient connaître une autre correction majeure, comme ils le doivent certainement - alors Katie, barre la porte. Si la flottille d'entreprises américaines zombies actuellement maintenues à flot grâce aux mesures de relance de la Réserve fédérale est autorisée à couler, alors le taux de chômage deviendra fou alors que des dizaines de millions de travailleurs supplémentaires perdront leur emploi.
En servitude au top 1%
En parlant des marchés, depuis des années, nous avertissons bruyamment que la bulle des prix des actifs financiers provoquée par la Réserve fédérale a entraîné une disparité de richesse extrêmement injuste entre les déjà riches et les autres:
- voir carte sur site -
Cela se traduit par une économie néo-féodale, où de plus en plus d'entreprises ciblent et adaptent leurs services aux élites qui ont tout l'argent. Le reste d'entre nous devient de plus en plus des rouages dans cette machine, des ouvriers bourdonnent pour garder quelques reines grasses et heureuses.
Voici un exemple parfait. Voici une liste d’emplois actuelle sur CareerBuilder.com offrant un salaire et des avantages incroyables pour servir de «coach de vie» aux trois enfants de ce couple Apen, tous âgés de moins de six ans:
Donc, c'est fondamentalement un travail de nounou pour un couple de pouvoir incroyablement ambitieux avec de l'argent à brûler.
Compte tenu de l'état précaire de millions de ménages américains en ce moment, je m'attends à ce que des milliers de candidats postulent pour ce poste unique. La rémunération est tout simplement trop douce et il y a tout simplement trop de travailleurs licenciés dans le besoin.
Et nous devrions donc nous attendre à voir beaucoup plus de l'économie se diriger dans cette triste direction; de plus en plus de masses se disputent la chance d’être au service de l’aristocratie américaine.
Mais j'espère que cela ne doit pas être vous.
Que faire si Covid menace votre travail
Si vous avez déjà été mis à pied en raison de la pandémie ou si vous craignez de l'être, y a-t-il des mesures importantes que vous devriez prendre maintenant ?
Absolument.
Nous avons publié The Layoff Survival Handbook peu de temps avant que le coronavirus ne frappe, et il est absolument plus pertinent que jamais dans l'environnement actuel.
La vague de faillite vient de commencer. Et si la bulle boursière éclate, comme l'histoire nous le dit, est-elle inévitable ? Les deux promettent plus de licenciements ET moins d'emplois dans un avenir prévisible.
RépondreSupprimerAlors agissez dès maintenant pour augmenter vos chances de maintenir un revenu.
Dans la partie 2: Le manuel de survie à la mise à pied, nous détaillons les étapes à suivre maintenant pour réduire votre vulnérabilité à une mise à pied, ainsi que les étapes essentielles à suivre en cas de licenciement.
Beaucoup d'entre eux amélioreront votre cheminement de carrière et votre satisfaction même si un feuillet rose n'arrive jamais. Mais devrait-on faire, vous serez bien mieux pour les avoir pris.
Les enjeux sont tout simplement trop élevés maintenant pour laisser votre avenir au hasard.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/covid-coming-your-job
Les cinq plus grands mythes du coronavirus DEMANTELES !
RépondreSupprimerDénoncer la peur, la propagande et les mensonges flagrants qui sévissent dans le monde
Par Peter Andrews
Actualités RT
17 août 2020
La désinformation sur le coronavirus que les scientifiques, les politiciens et les médias ont donnée au public a été choquante. Faites un tour à travers les mythes bizarres, contradictoires et carrément ridicules qui ont fait plus de dégâts que Covid.
Mythe 1: ralentir la propagation du virus est une bonne idée
C’est la prémisse fondamentale de la «réponse» du monde à Covid, d’où tout le reste découle. Mais il n'a jamais été établi que nous devrions essayer de ralentir le virus, pas même du point de vue aveugle de simplement sauver des vies à court terme.
Ralentir la propagation du virus nous a d'abord été vendu comme un moyen de protéger les services de santé: si tout le monde tombe malade à la fois, les hôpitaux se rempliront jusqu'au point d'éclatement et les gens mourront sur des chariots dans des parkings extérieurs. Rappelez-vous «aplatir la courbe» ? Étant donné que les infections à Covid sont inévitables, leur propagation dans le temps sauvera indirectement des vies en garantissant que tous ceux qui peuvent être sauvés par des interventions médicales - masques à oxygène et ventilateurs - le seront.
Une idée noble, mais en fait, une idée malavisée. La plupart des hôpitaux ont passé les mois de l'épidémie à être vides. Tous les autres traitements médicaux ont été reportés afin de se préparer à l'attaque des patients Covid qui toussaient les poumons - une attaque qui n'est jamais arrivée. Même les unités de soins intensifs atteignaient rarement leur pleine capacité, et il est rapidement devenu évident que pour les personnes les plus exposées au risque de Covid, le respirateur et les soins intensifs ne convenaient pas. Seule une infime minorité de ceux qui sont décédés sont décédés en soins intensifs - les personnes âgées souffrant de nombreuses comorbidités sont mieux placées dans des services ordinaires.
Donc, «aplatir la courbe» était un canard mort, mais n’est-il pas logique de ralentir la propagation du virus de toute façon ? Eh bien, seulement si vous pensez que ceux qui mourraient de Covid s'ils l'attrapaient peuvent échapper au virus jusqu'à ce qu'un vaccin soit développé. Si des personnes vulnérables qui croient ne pas avoir attrapé le virus (elles peuvent être asymptomatiques) veulent attendre un vaccin putatif, elles devraient alors être plus claires quant à leurs intentions. Parce que s’ils ne le peuvent pas, cela ne sert à rien.
De plus, il existe au moins une théorie pour laquelle vous pourriez rendre service à quelqu'un en lui donnant le virus. La théorie évolutionniste nous dit qu'à mesure qu'un virus respiratoire se propage, il perd de sa puissance. Un virus efficace est un virus bénin, qui ne tue pas son hôte avant de pouvoir le propager. C'est ainsi que fonctionne réellement l'immunité collective dans ce contexte: il s'agit des changements apportés au virus lui-même. En revanche, lorsque nous avons verrouillé, le virus n'avait nulle part où aller. Au lieu de s'atténuer, toutes les souches les plus dangereuses se sont rassemblées dans les seuls endroits où se rassemblaient les malades: les maisons de retraite et les hôpitaux. C'est pourquoi j'ai salué la nouvelle que le virus devenait plus contagieux avec la jubilation - il vaut mieux que le virus se propage librement, du moins parmi les personnes en bonne santé.
Mythe 2: les verrouillages ralentissent la propagation
RépondreSupprimerMais faisons semblant pendant un moment que ce n’est pas mieux. Car sans l'hypothèse fondamentale que se propager = mauvais, le reste de la discussion est renversé. Les «pointes» deviennent un motif de soulagement, pas d’inquiétude. Les masques, s'ils fonctionnent, deviendraient contre-productifs. Je ne prétends pas cela comme une vérité, mais seulement que c'est au moins aussi probable que le modèle classique.
Mais si vous pouvez suspendre votre incrédulité suffisamment longtemps pour imaginer qu'il vaut la peine d'entraver la propagation du virus, alors vous pourriez être pardonné de supposer que les verrouillages sont le moyen de le faire. Il n'y a, cependant, aucune suggestion, et encore moins aucune preuve, que les verrouillages poseraient un problème pour un virus rusé.
Si les verrouillages jouaient un rôle quelconque, nous nous attendrions à voir une corrélation entre les différentes formes de verrouillage imposées par diverses régions ou différents pays, et la forme des courbes de mortalité dans ces pays. Mais nous ne le faisons pas - la corrélation est nulle. Belgique, Royaume-Uni, New York: des verrouillages stricts; beaucoup de morts. Suède, Japon, Uruguay: peu ou pas de verrouillage; quelques morts. Vous pouvez citer des exemples opposés, mais c’est juste le point: il n’ya pas de cohérence. Et avant d’essayer d’expliquer les pays individuels en agitant la main sur les «cultures différentes» ou les «meilleurs tests», il n’ya pas non plus de corrélation avec aucune de ces choses.
En termes simples, il n'y a rien sur lequel on puisse facilement indiquer que toute mesure prise par un gouvernement du monde pour bloquer le virus a fonctionné. Les verrouillages sont peut-être les plus gros outils du hangar, mais ils sont toujours défectueux.
Mythe 3: le suivi des contacts est la réponse
Au début de l'épidémie, il semblait y avoir un lien entre les pays dotés de capacités impressionnantes de suivi et de traçabilité, comme l'Allemagne et la Corée du Sud, et leur capacité à y faire face. Bien sûr, le suivi et le traçage eux-mêmes n’auraient pas pu «guérir» la population de Covid. Personne ne savait pourquoi les tests complets semblaient avoir un effet positif. Des mois plus tard, personne ne le sait.
Mais cela n'a pas empêché les gouvernements occidentaux de tentatives pathétiques d'imiter les sociétés conformistes d'Asie de l'Est avec des applications et des programmes de recherche de contacts. Malgré une campagne de propagande non négligeable, ils ont tous lamentablement échoué. C'est en grande partie parce qu'il n'y a même plus assez de personnes qui présentent des symptômes, des mois après le pic du virus.
Essayer d'augmenter la recherche des contacts en août va au-delà du verrouillage de la porte de la grange après que le cheval s'est verrouillé. Ce cheval s'est enfui il y a si longtemps que maintenant des troupeaux de ses descendants errent dans la campagne. Pendant ce temps, le fermier ruine sa ferme afin de verser ses ressources dans des dispositifs de verrouillage de porte de plus en plus élaborés et coûteux.
Mythe 4: les personnes BAME sont plus à risque
RépondreSupprimerPour BAME, insérez toute minorité ethnique ou autre que vous avez lue qui est la plus affectée par l'épidémie de virus. Bien sûr, le virus est raciste - tout le reste l'est. Les faits comme celui-ci proviennent de la division des malades ou des morts dans leurs groupes de réveil, puis de la comparaison des proportions à la population dans son ensemble. Et il ne fait aucun doute que les personnes BAME sont «surreprésentées» dans ces statistiques.
Mais le risque se situe au niveau de la population et s'explique presque entièrement par des facteurs médiateurs comme l'obésité, le diabète et d'autres comorbidités, plus répandus dans certaines populations que dans d'autres. Si vous avez 80 ans, en surpoids et malade, vous devriez vous inquiéter d'attraper le virus, quelle que soit votre race. De même, si vous êtes en forme et que vous avez moins de 60 ans, vous êtes plus susceptible d'être frappé par la foudre que d'être tué par le virus, quelle que soit votre race. Il y a eu une suggestion, mais seulement une suggestion, que des niveaux inférieurs de vitamine D chez les Noirs pourraient jouer un rôle, mais ce n'est pas à l'origine des disparités.
Ce point statistique de base rend ridicule l'idée que certains athlètes professionnels craignaient de reprendre leur sport. En fait, je suis désolé pour Troy Deeney (pas seulement parce qu’il a été relégué avec Watford) mais parce qu’il a été effrayé par une mauvaise communication scientifique. En tant que jeune homme BAME en bonne santé, il n'y a aucune raison de soupçonner qu'il est lui-même à risque accru. Mais il a été persuadé qu'il est par un régime qui distille le pouvoir de la peur.
Mythe 5: Pour que les écoles ouvrent, les pubs doivent fermer
Quelle pourriture totale c'est. La personne qui a proposé ce faux compromis aurait une brillante carrière dans la conception de jeux de société, si elle ne gagnait pas autant en tant que fonctionnaire. C'est simplement une fabrication, et en tant que telle quelque peu difficile à réfuter, un peu comme l'existence de fées invisibles.
Vous pourriez juste, vous savez, laisser les pubs ouverts et ensuite ouvrir les écoles aussi ? Mais je suppose qu'il y aurait alors une «deuxième vague» de décès deux semaines plus tard. Vous savez, comme la deuxième vague annoncée en mai. Et puis juin. Et puis juillet. Ce n’est qu’au cours des deux dernières semaines que l’OMS a finalement abandonné le rêve et changé son histoire en «One Big Wave», qui n’a pas la même sonnerie. Mais la fiction de la deuxième vague n'a pas encore été trouée dans la mémoire - elle peut être tracée à la demande pour forcer de nouvelles attaques contre nos libertés restantes.
Tout ce que je peux faire, c'est prédire qu'une deuxième vague de décès ne se matérialisera jamais, et chaque jour depuis avril, j'ai eu raison. L'établissement, en revanche, fait de fausses prédictions encore et encore et n'est jamais tenu de rendre des comptes. Ils ne font que changer la prédiction et espèrent que tout le monde oubliera ce qu'ils ont dit il y a une semaine. Ne portez pas de masques. N'allez pas travailler. Allez au travail, mais ne prenez pas les transports en commun. Mais si vous le faites, portez un masque. Ne soyez pas dupe en pensant que la confusion est fortuite. Cela fait partie du plan - les gens confus sont plus faciles à contrôler.
Plus le mensonge est gros
RépondreSupprimerC’est peut-être Joseph Goebbels qui a dit: «Si vous dites un mensonge assez grand et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire.» Il semble que ce soit une déclaration toujours verte; non seulement il n'y a pas de limite à la taille du mensonge, il ne semble pas non plus y avoir de limite sur le nombre de mensonges.
Les hypothèses font des prédictions, et si elles sont constamment prouvées exactes, elles deviennent finalement de la théorie. Einstein est annoncé parce qu'il a fait des prédictions sur les trous noirs qui ne sont prouvées que près d'un siècle plus tard. Beaucoup de bons esprits se sont mis à faire des prédictions sur la nature de cette épidémie, malgré les slimes et les calomnies des pom-pom girls de l'élite. Mais quand ils sont confirmés, les pom-pom girls les noient.
En revanche, Neil Ferguson est de nouveau déployé et le deuxième hésite en disant «attendez encore deux semaines». Quand cela prendra-t-il fin? Jamais. Pas avant d'avoir repensé complètement. La logique et la raison n'ont pas fonctionné. Il est temps d’adopter une nouvelle approche.
Les déclarations, opinions et opinions exprimées dans cette colonne sont uniquement celles de l'auteur et ne représentent pas nécessairement celles de RT.
https://www.lewrockwell.com/2020/08/no_author/the-five-biggest-coronavirus-myths-busted/
(...) Le terme asymptomatique s'oppose au terme symptomatique et s'utilise en cas d'absence de symptôme. On dit d'une pathologie qu'elle est asymptomatique lorsque le patient ne présente aucune manifestation clinique, lorsqu'une simple observation ne permet pas de déceler un symptôme caractéristique de cette pathologie.
Supprimer"Beaucoup de personnes y compris les médecins confondent avec le terme ''porteur sain'' explique le Dr Legout, "Le porteur sain est porteur d'une anomalie dans son système sans être malade alors que le patient asymptomatique est malade mais il ne présente pas de symptôme".
Exemple d'actualité : un patient infecté par le Covid 19 mais ne présentant aucun symptôme est un patient asymptomatique, non un porteur sain. (...)
C'est-à-dire qu'alors que vous êtes en très bonne santé vous voyez quelqu'un s'approcher de vous pour vous tester: Vous êtes déjà une personne morte !
Une infirmière de première ligne parle des protocoles létaux
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
17 août 2020
Dans cette interview, Erin Marie Olszewski, ancienne combattante à la retraite de l'armée, une infirmière qui a traité pendant plusieurs mois des patients atteints de COVID-19 au Elmhurst Hospital Center, un hôpital public du Queens, New York - l'épicentre de la pandémie aux États-Unis.
Elle a maintenant écrit un livre, «Undercover Epicenter Nurse: Comment la fraude, la négligence et la cupidité ont conduit à des décès inutiles à l'hôpital d'Elmhurst» 1, qui détaille ses expériences.
Olszewski est née au Michigan et a grandi dans une petite ville du Wisconsin et a rejoint l'armée à 17 ans. Lorsque le 11 septembre s'est produit, elle suivait une formation de base. «Je n'avais que 18 ans, donc j'ai grandi assez rapidement», dit-elle.
Au total, elle a été en poste en Irak pendant un peu plus d'un an. À son retour aux États-Unis, elle a travaillé au Special Operations Command à Tampa, en Floride, avant de quitter l'armée et de devenir infirmière. Il y a un peu plus de 20 ans, en juillet 2000, j'ai lu une étude du Dr Barbara Starfield2 publiée dans JAMA. Il contenait des statistiques identifiant les médecins comme la troisième cause de décès.
J'ai créé ce titre en juillet 2000, qui est devenu un mème et s'est répandu dans le monde entier. Dans un suivi choquant de l'article de Starfield, en 2012, son mari a écrit un article troublant dans les Archives of Internal Medicine3 à propos de sa mort, indiquant un médicament qu'elle prenait comme un possible contributeur.
«La spécialisation, la fragmentation, l'orientation vers les médicaments et la recherche de profits contribuent à faire des soins médicaux américains les plus chers du monde, mais pas les plus sûrs ni les plus efficaces», a écrit le Dr Neil A. Holtzman. «Les leçons de la mort de Barbara doivent être mises dans la perspective des millions de personnes qui ne peuvent même pas se permettre des services de base dans notre système coûteux et qui en souffrent.»
Comme si ce n’était pas assez flagrant, de nouvelles statistiques sur les décès révèlent que la situation n’a fait qu’empirer au fil des ans, et l’expérience d’Olszewski pendant la pandémie COVID-19 montre à quel point les médicaments sont devenus plus dangereux.
«Je me suis lancé dans cette profession pour aider les gens… [mais] il ne m'a pas fallu longtemps pour réaliser que nous ne faisons que remplir nos patients de médicaments. La plupart de mon travail était les médicaments du matin, les médicaments de l'après-midi, les médicaments du soir… [et] les tests.
J’ai toujours eu une passion pour une approche plus naturelle de la santé et c’était dévastateur pour moi de réaliser que je n’aidais pas vraiment ces patients, je contribuais au problème », dit Olszewski.
«J'ai toujours eu cet état d'esprit en tant qu'infirmière: comment puis-je amener ces patients à consulter ces médicaments et à parler aux médecins et à les défendre pour qu'ils se débarrassent de tout cela ?
Je me heurtais à de nombreux obstacles et j'ai donc fini par travailler dans un cabinet privé où les médecins ne se préoccupaient pas tant du profit que des gens. J'ai toujours continué dans ce sens. Avance rapide jusqu'à cette année, nous avons été essentiellement licenciés de nos emplois.
En Floride, nous l'avons bien fait. Nous n’avons interdit aucun des traitements alternatifs. Ils ont laissé à chaque hôpital le soin de se décider, c'est pourquoi nous avons très bien réussi, contrairement à New York. »
RépondreSupprimerLa négligence médicale était la norme
Alors que la pandémie de COVID-19 progressait, New York, étant un hotspot, avait désespérément besoin d'infirmières qualifiées, alors Olszewski a fini par faire du bénévolat et est allé travailler à Elmhurst en avril 2020. «C'était toujours extrêmement rempli dans ces hôpitaux avec à peu près chaque personne sur un ventilateur », dit-elle.
Curieusement, quand elle est arrivée, on lui a dit qu’elle devait attendre des jours pour son affectation. Normalement, en temps de guerre, on s'attend à ce que vous vous mettiez immédiatement au travail. C'était le premier drapeau rouge suggérant que tout n'était pas ce qu'il semblait. Certaines infirmières avaient attendu dans des chambres d'hôtel pendant 18 jours avant de recevoir leur affectation.
«Pourquoi n’utilisaient-ils pas leurs ressources, se plaignant de ne pas avoir assez d’aide alors que [il y avait]… 1 000, 2 000 infirmières assises à New York en attente d’une affectation? C'était très déroutant pour moi. Si en fait c'était essentiellement une zone de guerre, les gens meurent littéralement de gauche à droite, pourquoi ne nous utilisent-ils pas?
J'ai finalement obtenu une affectation et ils m'ont mis à l'hôpital d'Elmhurst ... J'y suis arrivé et il m'a littéralement fallu un quart de travail - 12 heures - pour réaliser que c'était le chaos absolu, et pas parce que nous n'avions pas assez de personnel.
Nous étions bien équipés. C'était parce que personne ne s'en souciait. J'avais littéralement l'impression de vivre dans la zone crépusculaire. Et, sachant ce que je sais de notre système de toute façon dans une bonne journée, c'était juste une négligence absolue.
De toute évidence, lorsque vous vous rendez à l’hôpital, vous courez un grand risque d’erreurs médicales qui peuvent vous tuer accidentellement, et l’expérience d’Olszewski met en évidence l’un des problèmes majeurs: la négligence grave délibérée. C’est pourquoi il est si crucial de vous assurer que vous avez un avocat à vos côtés 24 heures sur 24, qui peut parler en votre nom, poser des questions et s’assurer que vous recevez le traitement approprié.
En raison de problèmes d'infection au COVID-19, les membres de la famille ont été exclus du processus ici. Ils n’ont tout simplement pas été autorisés à entrer. Pour moi, c’était probablement pourquoi tant de ces abus ont pu se produire. Olszewski est d'accord, en disant:
«C'est exactement ça. En plus de cela, ils ont créé un environnement sans responsabilité. Alors maintenant, vous avez un environnement sans responsabilité où tout le monde sait que quoi qu’il fasse, il n’aura pas d’ennuis pour cela. Nous n'avons pas de famille pour nous mettre en échec…
Vous avez des médecins et des infirmières qui, à ce moment-là, ne s'en soucient tout simplement pas parce que tout le monde allait mourir de toute façon, alors à quoi ça sert? Et puis vous avez tout le monde sur un ventilateur. Ainsi, ces patients ne peuvent même pas parler d’eux-mêmes. Ils sont entre les mains de celui qui s’occupe d’eux.
Comment pouvez-vous vous asseoir et permettre que cela se produise ? Je ne sais pas combien de personnes savaient sciemment que cela se passait et ont simplement choisi de rester silencieuses. C’est vraiment triste. »
Les respirateurs de routine était une peine de mort
RépondreSupprimerAu moment où Olszewski a commencé à travailler à Elmhurst en avril, les médecins du monde entier, y compris les États-Unis, avaient déjà commencé à se poser des questions sur l'utilisation de routine de la ventilation mécanique pour les patients atteints de COVID-19. En quelques semaines, beaucoup ont commencé à affirmer que cela semblait faire plus de mal que de bien.
Cela s'est certainement avéré exact à Elmhurst. En quatre semaines, Olszewski n’a vu qu’un seul patient sous ventilation mécanique qui a survécu, et c’est parce que la sédation n’a pas tout à fait duré et qu’il a fini par s’extuber. La triste tragédie est qu’il n’avait aucune indication médicale justifiant son placement sous respirateur pour commencer.
Essentiellement, être mis sur un évent est le baiser de la mort et, selon Olszewski, le personnel d'Elmhurst en était au courant. Ainsi, au cours de sa première semaine, Olszewski a parlé à un avocat et a commencé à enregistrer secrètement ses conclusions et ses interactions avec le personnel d'Elmhurst. C'était nécessaire pour que le public croie son histoire. Elle explique:
«Comme je l'ai dit, il ne m'a pas fallu plus qu'un changement pour réaliser ce qui se passait. Je suis rentré dans ma chambre d'hôtel et j'ai fondu en larmes… Je ne pouvais même pas y croire. J'ai beaucoup d'amis infirmiers et je leur ai demandé de passer un appel Zoom avec moi et j'ai laissé tout sortir.
L'une d'elles est une infirmière praticienne, et elle a fini par être en quelque sorte mon mandataire. Elle a fait une vidéo en direct et elle est devenue assez virale… Elle a été éclairée par tout le monde. Elle a reçu des menaces de mort. Tout le monde a dit qu'elle inventait.
Donc, j'avais contacté un avocat après quelques jours à voir ce qui se passait avec elle, essayant juste de faire passer mon message. Et je me dis: «Écoutez. Personne ne croira ce qui se passe ici parce qu’ils ne la croient pas… La seule façon pour le public de prendre cela au sérieux et de croire ce que je dis… c’est avec une vidéo réelle. »
J'avais déjà essayé de remonter la chaîne de commandement et tout le monde vous disait simplement: `` Taisez-vous ou vous êtes parti. '' Vous étiez considéré comme un fauteur de troubles si vous essayiez de défendre vos patients, et vous étiez à peu près évité ... Des infirmières ont été renvoyées à la maison avant mon arrivée, pour avoir fait les mêmes choses ...
L'éthique vient essentiellement de sortir par la fenêtre. Mon avocat a fini par me procurer une paire de lunettes d'espionnage pour filmer et elles s'intègrent avec le reste de l'EPI, donc cela n'a jamais été vraiment remis en question ...
C'était assez terrifiant, mais en même temps, je vais là-dedans, en regardant mes patients comme: «Vous savez quoi? Vous méritez justice. Cela n’aurait jamais dû se produire et j’espère que l’histoire ne se répétera plus jamais. »Telle était la mission.
Les gens ont besoin de connaître la vérité et ceux qui pensaient que c'était OK doivent être tenus responsables de ces actions. Dans notre profession, nous sommes censés être là pour les patients. Nous sommes censés agir avec intégrité et compassion et rien de tout cela ne se produisait. "
Des infirmières licenciées pour avoir protégé des patients
RépondreSupprimerEn règle générale, les infirmières, qui sont dans les tranchées jour après jour, sont beaucoup plus informées des détails pratiques pour optimiser les soins aux patients que la plupart des médecins, qui comprennent peut-être mieux la science mais n'apprécient généralement pas les variables critiques de mise en œuvre.
Les infirmières qui sont dans les tranchées jour après jour savent généralement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Je me souviens à maintes reprises au cours de ma propre résidence médicale où les infirmières corrigeaient des décisions qui, si elles étaient mises en œuvre, auraient pu nuire au patient.
Ainsi, le personnel infirmier qualifié est un élément vraiment crucial qui contribue à assurer la sécurité des patients. Malheureusement, dans ce cas, les infirmières ont été systématiquement rejetées et ignorées. Selon Olszewski, elle a eu de nombreuses conversations avec ses collègues, qui ont tous dit la même chose. Ils ne pouvaient tout simplement pas croire ce qui se passait.
«En fait, j'ai aussi enregistré beaucoup de ces conversations simplement parce que je ne voulais pas que les gens pensent que c'était juste moi», dit-elle. «Vraiment, tout le monde pensait:" Ce n’est pas bien. "
Olszewski a finalement été renvoyé d'Elmhurst pour avoir dénoncé les conditions dans ce pays. Il y a aussi des pétitions pour retirer son permis d'infirmière. C'est, semble-t-il, un moyen couramment utilisé pour faire taire l'opposition ces jours-ci. Olszewski jure de se battre pour conserver sa licence.
Expérimentation médicale par des résidents tués des patients
Pour aggraver les choses, de nombreux médecins traitant les patients atteints de COVID-19 à Elmhurst étaient des résidents de première année, dont beaucoup n'avaient jamais interagi avec des patients auparavant. Selon Olszewski, beaucoup d'entre eux n'avaient «aucune attitude au chevet du patient» et abordaient leurs patients comme «quelque chose sur quoi s'entraîner». «Il n'y en avait pas beaucoup qui avaient vraiment de la compassion pour ces vies», dit-elle.
En règle générale, les hôpitaux privés n’ont pas de médecins résidents qui traitent les patients, et s’ils le font, ils sont strictement supervisés. L'hôpital d'Elmhurst, cependant, est un hôpital de formation et, selon Olszewski, les résidents n'avaient pratiquement aucune supervision. «J'ai très rarement vu un participant, donc ce sont les résidents qui dirigent ces étages», dit-elle. Pire encore, les résidents ne s'appuyaient pas sur l'expertise du personnel infirmier.
«Nous ne pouvions même pas quitter la chambre de notre patient parce que [les résidents] entraient et composaient les ventilateurs, ils gâcheraient nos gouttes. Nous avons dû verrouiller nos pompes parce qu'elles venaient juste de les changer. C’est du jamais vu un jour normal. Les médecins ne touchent jamais nos pompes ou nos ventilateurs sans nous en informer. »
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi les résidents se comporteraient de manière si inappropriée, Olszewski répond:
"Beaucoup d'ego, beaucoup de" Ils vont mourir de toute façon, donc nous voulons juste expérimenter et voir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. "Il y avait beaucoup d'erreurs commises et causant inutilement beaucoup de morts . Et je ne peux pas l'expliquer. Comme je l'ai dit, [vous aviez un] environnement sans responsabilité… [et] ces résidents n'étaient pas surveillés par les médecins traitants… »
Le manque de ségrégation a entraîné des décès inutiles
RépondreSupprimerLe refus de séparer les patients infectés des patients non infectés a également sans aucun doute aggravé la situation, mettant des vies en danger. Dans un scénario parfait, les patients infectés auraient été isolés dans des chambres à pression négative, car le système de ventilation normal peut faire circuler le virus à travers l'hôpital.
Néanmoins, en regroupant les patients infectés et non infectés, vous vous assurez virtuellement que la maladie se propage aux patients non infectés traités pour d'autres problèmes de santé.
Personne ne s'en souciait vraiment plus. Les médecins s'attendaient à ce que tous les patients mourraient de toute façon, et il n'y avait aucune responsabilité pour tout ce qui était fait ou non.
Les infirmières ne changeaient pas non plus leur équipement de protection individuelle (EPI) entre les patients. Le même EPI était porté toute la journée. Elmhurst n’avait même pas de réglementation exigeant un nouvel EPI entre les patients ou lors du passage d’une pièce à l’autre.
Patients COVID-négatifs placés sous ventilation
Peut-être les patients COVID-négatifs les plus flagrants ont été répertoriés et traités comme confirmés positifs, et certains ont même été placés sous ventilation mécanique. L'un d'eux était un patient de sexe masculin admis pour une glycémie élevée, ce qui est facilement corrigé et ne nécessiterait en aucun cas une ventilation. Olszewski raconte l'histoire:
«Ils ont fini par lui donner beaucoup de drogues psychologiques différentes qui, en fin de compte, ont simplement fait monter la glycémie. Et, au lieu de traiter cela, ils l'ont ventilé.
Ils l'ont mis dans notre étage COVID ICU, ce qui est inconnu. Et il est anxieux, alors ils l’ont attaché au lit avec des attaches, ce qui rend quiconque encore plus anxieux. Vous ne pouvez pas avoir de famille là-dedans, il y a un groupe d’infirmières qui vous disent de vous taire. Tout le monde va se battre dans ce type de situation. Vous êtes terrifié d’être là en premier lieu…
J'étais là-dedans juste en train d'essayer de lui tenir la main, de lui parler, de le calmer, et l'un des résidents vient en disant: "Si vous ne vous calmez pas, nous allons devoir vous mettre un tube pour vous aider. tu respires. »Je me suis dit:« Qu'est-ce que tu fais ? Il n’a pas besoin de ça. »Cinq minutes après mon départ pour la fin de mon quart de travail, il était sous respirateur. C'est juste là, c'est juste de la négligence."
New York disposait de ressources suffisantes qui n'étaient pas utilisées
Le même boursier en médecine a également refusé de permettre à un autre patient d'être réanimé, même s'il n'avait pas d'ordonnance de ne pas réanimer (DNR). Un boursier est une personne qui a terminé sa formation médicale formelle, sa faculté de médecine, son internat et sa résidence et qui fait une sous-spécialité dans une discipline de la médecine. Donc, vous vous attendez à ce qu’un type agisse de manière plus responsable que cela.
«À ce moment-là, personne ne s'en souciait vraiment plus», dit Olszewski. Les médecins s'attendaient à ce que tous les patients mourraient de toute façon, et il n'y avait aucune responsabilité pour tout ce qui était fait ou non. Malheureusement, il y avait une incitation financière claire à traiter les patients non infectés comme des patients COVID-19 et à les placer tous sous ventilation mécanique. Comme l'explique Olszewski:
«Ils ont essentiellement transformé Elmhurst en un hôpital entièrement COVID ... S'ils devaient admettre quelqu'un, ils étaient soit positifs au COVID, soit ils attendaient les résultats de leurs tests. Ainsi, ils seraient admis comme «exclusion du COVID» et l’hôpital recevrait toujours le pot-de-vin. L'admission d'un patient à l'étage était de 13 000 $.
RépondreSupprimerCertaines de ces personnes, comme celle qui a été inutilement évacuée, il aurait pu se rendre au navire de la Marine Comfort, sachant qu'il était négatif pour COVID-19. Ils le savaient. Mais ils l'ont quand même admis, ont obtenu les 13 000 $ et l'ont ensuite ventilé pour 39 000 $ supplémentaires. Cela se passait régulièrement.
Il n’y a aucune raison pour laquelle ces patients devaient être emballés comme des sardines alors que nous disposions de ressources externes qui n’étaient pas utilisées. Alors pourquoi? … C'était peut-être l'incitation financière… Ce sont juste des gens qui ne se soucient tout simplement pas de ces patients et qui font des bénéfices. »
Le taux de mortalité a chuté une fois que les protocoles de traitement ont été exposés
Alors qu'Olszewski a été largement ostracisée par ses collègues infirmiers, dont la plupart craignent probablement de perdre leur emploi s'ils se rangeaient ouvertement avec elle, le taux de mortalité à Elmhurst a chuté après que les vidéos secrètes d'Olszewski ont commencé à faire le tour des médias sociaux.
Son entretien d'une heure dans la série «Perspectives on the Pandemic», qui compte 1,4 million de vues4, a été rendu public le 9 juin 2020. Les taux de mortalité quotidiens dans les hôpitaux de New York ont ??considérablement baissé par la suite.5
«Personnellement, je pense que cela a eu un impact sur les décès à New York, car après la sortie de cette vidéo et la divulgation de leurs protocoles de traitement, le taux de mortalité a chuté», dit Olszewski.
Je pense qu’ils sont beaucoup plus prudents quant aux personnes qu’ils admettent dans ces hôpitaux et au nombre de personnes sous respirateurs [maintenant]. Au début du mois d'avril, lorsque j'y suis arrivé, j'ai interrogé un médecin que j'ai également enregistré et il a admis qu'aucun patient n'avait été extubé avec succès.
Donc, au moment où je suis arrivé, chaque patient sous respirateur est décédé. Et ils ont refusé d'essayer des traitements alternatifs, même si nous savons qu'il existe de nombreux traitements alternatifs. Leur excuse était qu’ils n’avaient pas fonctionné. Et ma question était: «Écoutez, si vous savez que les ventilateurs ne fonctionnent pas, alors pourquoi ne pas essayer [les alternatives]?» »
Le gouvernement ne devrait pas interférer dans les décisions médicales
La tragédie est que l'hydroxychloroquine avec du zinc aurait probablement fait une différence significative si elle était utilisée en routine aux premiers stades de la maladie et en cas de suspicion. Cela a clairement été utile en Floride, où certains médecins l'utilisent.
La quercétine fonctionne également de manière similaire à l'hydroxychloroquine. Les deux entraînent le zinc dans la cellule et la quercétine, en tant que supplément, ne nécessite pas de prescription et a également d'autres effets, tels que l'activation de SIRT2 et la diminution de l'inflammation, qui en font un meilleur choix. Cependant, comme l'hydroxychloroquine, la quercétine doit également être utilisée avec du zinc - et administrée très tôt au cours de la maladie.
Pourtant, étant donné que les patients asymptomatiques étaient hébergés avec ceux qui avaient confirmé COVID-19, l'une ou l'autre de ces options aurait pu protéger bon nombre de ces patients. Il est vraiment incompréhensible qu’un traitement ait été si sévèrement décrié, au point que les commissions des pharmacies ont refusé d’exécuter les ordonnances pour un médicament qui est sur le marché depuis plus de six décennies.
RépondreSupprimer«Je pense que chaque patient a le droit d'essayer plusieurs alternatives différentes», déclare Olszewski. «La vitamine C IV à haute dose [a également] traité avec succès des patients en Asie et certaines personnes à New York lorsque [la pandémie] a commencé. Pourquoi ces traitements alternatifs sont-ils mal vus ?
Cela a-t-il causé encore plus de morts? Honnêtement, le gouvernement ne devrait jamais s’impliquer dans la relation médecin-patient. Les gens devraient pouvoir avoir le choix et la liberté d'avoir ces traitements alternatifs à leur disposition s'ils peuvent sauver leur vie.
L'autonomie et les droits des patients ont tout simplement disparu… Les patients méritent d'être traités comme des humains, et la politique et le profit ne doivent jamais être placés au-dessus de la vie humaine.
L'un des traitements les plus efficaces à ce jour en milieu hospitalier semble être le protocole MATH +, qui comprend des doses élevées de vitamine C, des stéroïdes, de la thiamine et de l'héparine. Il a des protocoles à la fois pour une intervention précoce et une maladie à un stade avancé.
Cependant, je prévois de publier une mise à jour de la vidéo sur le peroxyde d'hydrogène nébulisé car j'ai modifié la recommandation. Un certain nombre de personnes l’ont utilisé avec une maladie très grave et se sont rétablies des symptômes en quelques heures. Je n'avais aucune idée que ce traitement était si efficace.
Heureusement, depuis qu'Olszewski a commencé à s'exprimer, d'autres ont bravé les réactions négatives et dénoncé également la mauvaise gestion médicale. L'un d'eux est présenté dans la vidéo ci-dessous. Attention, la vidéo est très émouvante et l'infirmière utilise un langage vulgaire compréhensible.
En revanche, les médecins d’Elmhurst qui étaient responsables de la mise en œuvre des ordonnances ayant entraîné la mort de patients peuvent ou non être tenus responsables de leurs actes.
«Il y a certaines clauses dans cet ordre que la négligence grave est responsable», dit Olszewski. «Des familles se manifestent et bon nombre d'entre elles sont très contrariées, alors peut-être, espérons-le, qu'il y aura une enquête fédérale et qu'il y aura responsabilité pour ces actions. Je pense qu'il devrait y en avoir.
Pour en savoir plus sur ce qui s'est passé à Elmhurst, assurez-vous de vous procurer une copie de «Infirmière secrète de l'épicentre: comment la fraude, la négligence et la cupidité ont conduit à des morts inutiles à l'hôpital d'Elmhurst», dont la sortie est prévue le 18 août 2020.
Sources and References
1 Amazon 2020
2 JAMA July 26, 2000
3 Archives of Internal Medicine August 13-27, 2012
4 YouTube Episode 9 June 9, 2020
5 Worldometer Daily Deaths New York
https://www.lewrockwell.com/2020/08/joseph-mercola/frontline-nurse-speaks-out-about-lethal-protocols/
COVID : quand allons-nous enfin sortir de la crise ?
RépondreSupprimerHuit mois de Covid. Reviendrons-nous un jour à une vie normale ? Les alertes quotidiennes semblent bien nous indiquer que ce n’est pas pour demain.
16 AOÛT 2020
Par Olivier Maurice.
Huit mois de Coronavirus. Reviendrons-nous un jour à une vie normale ? La récente allusion du Premier ministre Jean Castex à un nouveau confinement généralisé, l’extension du port du masque en extérieur dans de nombreuses villes, et les alertes quotidiennes semblent bien nous indiquer que ce n’est pas pour demain.
Pas un jour depuis la levée du confinement sans qu’on nous explique que l’épidémie repart.
Les données hospitalières sont pourtant sans appel : depuis pratiquement trois mois que s’accumulent alerte de rebonds et mises en garde, il ne se passe rien, absolument rien ! Les courbes des hospitalisations et des décès continuent à descendre inexorablement jour après jour.
La fête de la musique, les manifestations, les entassements à Paris Plage, les queues au McDonald’s, les plages, les concerts, les rassemblements sauvages… Rien, sauf une collection monumentale de messages anxiogènes et de leçons de morale.
Mais que se passe-t-il donc que nous ne voyons pas et qui nécessite un tel alarmisme et une telle inflation de mesures liberticides dont nous avons pu voir les effets dévastateurs sur l’économie et la cohésion sociale pendant l’État d’urgence sanitaire ?
COVID : LE POINT SUR LA SITUATION
Si on passe en revue tous les chiffres, il y a bien quelques indicateurs qui passent du vert à l’orange ici ou là, mais tout cela reste au mieux flou, au pire anecdotique.
L’exemple de la Mayenne, département zone rouge et source de toutes les attentions pendant deux ou trois semaines est symptomatique : en tout et pour tout, on déplore une cinquantaine de personnes hospitalisées, dont 10 en réanimation, la quasi-totalité est d’ailleurs rentrée chez elle.
La liberté qui était redevenue la norme est-elle à nouveau à ranger au placard ?
Est-ce que le pays va devoir s’arrêter de respirer à chaque fois qu’un clignotant du tableau de bord va passer à l’orange ? Car ce n’est pas près de s’arrêter : le virus est là, il n’a pas disparu, si ce n’est du territoire, tout du moins de la planète. Et si ce n’est pas la Covid, cela pourrait bien être bientôt la grippe, ou toute autre infection…
Plutôt que de passer des heures à chercher des indices de ce qui a bien pu transformer en quelques semaines Monsieur déconfinement en Monsieur remise en résidence, muselière et chômage forcés, il convient sans doute de s’interroger d’abord sur la nature de la crise que traverse actuellement notre pays, et nous dit-on une bonne partie de la planète.
CRISE SANITAIRE OU POLITIQUE ?
Bien sûr le déclencheur de la crise est une pandémie due à un virus inconnu qui s’est propagé en quelques mois partout sur la planète et qui a déclenché des réactions et des décisions jusqu’ici jamais vues.
Mais dire cela, c’est comme réduire un feu de forêt à un mégot mal éteint : connaître la cause de l’incendie ne sert strictement à rien quand il s’agit de comprendre pourquoi le feu a pris de telles proportions et quand on s’interroge sur la façon de l’éteindre.
Bien sûr les diverses autorités ont été confrontées à une situation inédite, à un virus qui se répandait rapidement et dont on ignorait tout. Elles ont dû faire des choix, bons ou mauvais, mais ce qui est fait est fait.
RépondreSupprimerCependant le pic de l’épidémie est passé. Si nous revenons au schéma initial, nous sommes actuellement en phase 4 : le virus s’est répandu, il circule librement, il s’est développé et a frappé une bonne partie de la population, mais bonne nouvelle : il a reculé, en France, en Europe, et si nous prenons la peine de sectoriser les territoires du Brésil et des USA, partout dans le monde.
Nous en connaissons maintenant bien plus qu’avant du point de vue sanitaire, mais surtout du point de vue social, politique, économique et clairement, la question n’est pas de savoir s’il y aura ou non un confinement : tout porte à croire que le pays ne survivrait pas à une nouvelle mise entre parenthèses, à un autre confinement qui viendrait ensuite, puis un autre…
Il serait temps que les autorités cessent de jouer au docteur et prennent enfin la dimension politique de ce qui est en train de se passer pour que le pays regarde enfin devant lui et arrête de s’apitoyer sur son sort.
SANTÉ PUBLIQUE
La priorité des priorités est de faire en sorte que ce virus retourne de toute urgence là où il aurait dû aller dès le départ : dans les hôpitaux, les cabinets de médecins, les pharmacies et les armoires à médicaments familiales.
Il est absolument impératif de cesser au plus vite la gestion politique de la crise sanitaire. D’abord parce que le gouvernement, les élus locaux, les services de police et de gendarmerie, les tribunaux ont bien d’autres choses plus importantes à faire qu’à batailler pour des histoires de masques.
Ensuite parce qu’il est d’une urgence absolue de redonner confiance et de remettre au premier plan les acteurs de santé qui sont les premiers concernés par ce qui se passe. Ce ne sont pas les fonctionnaires des ARS ou les pontes du conseil scientifique qui soignent les malades.
Le gouvernement a l’immense responsabilité de ne pas répéter la gigantesque pétaudière du printemps si un rebond se produit. Une fois passe encore, une seconde fois sera inacceptable et inacceptée. Ni la population, ni les soignants ne sont prêts à entendre rejouer la chanson du « prenez du doliprane, serrez les fesses et quand il n’y aura plus rien à espérer, appelez le 15 pour que le camion-benne vienne vous débarrasser ».
Concrètement, cela passe par la suppression du conseil scientifique, par le recadrage de la mission des ARS, par la fin de l’ingérence des maires, des préfets, dans la prise de décisions sanitaires : remise en selle de la médecine de ville, des pharmacies, des cliniques privées, des laboratoires, des infirmiers libéraux, etc.
De tous ces acteurs de santé qui avaient été mis sur le banc de touche pendant le pic épidémique… Cela commence aussi par éviter que le Premier ministre ne joue le rôle du ministre de la Santé en passant son temps à visiter les hôpitaux.
Est-ce si difficile à comprendre que ce n’est pas de directives réglementaires, de « tous ensemble » et de discours tonitruants, ni même de moyens dont notre système de santé (un des plus financés au monde) a besoin, mais d’autonomie, de liberté et de confiance ?
Mais le gouvernement semble bien plus s’inquiéter de parader en bombant le torse et expliquer comment se laver les mains que de s’assurer que le système de santé est prêt à affronter une hypothétique seconde vague…
RépondreSupprimerPSYCHOSE AUTOUR DU COVID
La seconde chose à faire est de rétablir les faits, la seule solution possible pour faire cesser la psychose qui a envahi le pays et qui fait les choux gras des bonimenteurs et profiteurs de tout poil. Il y a clairement urgence : la rentrée est maintenant dans 15 jours. Quand va cesser cet état de folie et d’exception qui finira, si ce n’est déjà fait, à faire plus de mal au pays que les deux mois de mise en congélation et surtout que le covid lui-même ?
La France a connu un des plus importants taux de mortalité attribué à la maladie (actuellement onzième pays au monde). Or, si on observe les chiffres officiels de mortalité (sur le site de l’INSEE), on a vraiment du mal à relier le discours apocalyptique avec la réalité.
Il est donc impératif de s’attaquer très vite et avec toute la violence possible au très méchant virus qui frappe durement le pays : celui de la peur collective qui frappe une société vieillissante et dont une partie est malheureusement en mauvaise santé.
Nous sommes très, très, très loin du scénario apocalyptique qui nous avait été dépeint et faisait état de plusieurs millions d’hospitalisations et plusieurs centaines de milliers de victimes (entre 200 000 selon l’institut de veille sanitaire et 500 000 selon l’Imperial College).
Et c’est une chance ! Ne la laissons pas gâcher par les lâches et les profiteurs qui sont toujours les premiers à réclamer.
DÉCONFINEMENT
En fait, le déconfinement est loin d’être achevé. Certes, la mise en résidence surveillée a pris fin, mais il n’existe toujours aucun consensus clair sur les points clés de la stratégie qui semble enfin être adoptée : cibler, protéger, tester, soigner et le pays est toujours confiné dans la peur.
Le manque de mesures sanitaires ciblées et extrêmement rigoureuses dans les maisons de retraite a été une faute, plus qu’une erreur ; il faut absolument y remédier et tout faire pour éviter que cela ne se reproduise.
Le masque ne peut être l’alpha et l’omega de la vie en France. Il est limite inconscient de fonder toute la politique sanitaire sur ce que l’on sait totalement impossible : le port systématique et rigoureux du masque par l’intégralité de la population.
Le traçage des cas n’est pas une affaire de nombre de tests effectués gratuitement au hasard et d’application informatique : c’est un process rigoureux et complexe à mettre en place, qui nécessite en premier lieu que les laboratoires ne soient pas encombrés de demandes infondées les empêchant de donner les résultats des cas positifs rapidement.
Mais avant tout, il faut établir une vérité essentielle et évidente : ce virus ne signifie pas la fin du monde.
REMETTRE L’ÉTAT À SA PLACE
Enfin, il faut impérativement couper court aux délires hypocondriaques : arrêter d’écouter les pleurnicheries et remettre à leur place tous les ayatollahs hygiénistes, apocalyptiques et oisifs qui nous font la leçon en boucle.
Non seulement ils sont totalement inutiles et extrêmement nuisibles psychologiquement, mais ils finissent par devenir clairement nocifs et risquent bien de déclencher un immense ras-le-bol de la part de la France courageuse et silencieuse en la faisant sortir de ses gonds d’ici peu.
Si la maladie repart, il faudra être prêt. Si elle ne repart pas, il n’y a pas de temps à perdre pour remettre le pays en marche, et dès maintenant.
RépondreSupprimerL’État doit impérativement revenir dans son rôle : celui de protéger la société des prédateurs et la crise du Covid a fait clairement apparaître que la nuée de parasites réclamant constamment à la communauté de payer pour leurs phobies et leurs lubies est aussi bruyante qu’inutile et malfaisante.
Ce ne sont clairement pas les paniqués chroniques qui ont ramassé les poubelles, conduit les camions, rempli les rayons des supermarchés ou soigné les malades pendant le confinement. Ce n’est pas d’eux dont la société a besoin.
https://www.contrepoints.org/2020/08/16/378087-covid-quand-allons-nous-enfin-sortir-de-la-crise
Fini les magasins ouverts, plus de fêtes, plus de foires, de salles de spectacles, de cinéma, de théâtres, de matches, de stades, de piscines !
SupprimerMaintenant tu restes chez toi, tu crèves chez toi, et tu peux demander à être aussi brûlé chez toi ! Pas belle la vie ?
Nazional socialiste en marche !
La Californie s'apprête à adopter le premier impôt sur la fortune du pays ciblant les ultra riches
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 16/08/2020 - 17:25
Il y a environ neuf ans, la société de conseil BCG a suggéré pour la première fois qu'à une époque de dépenses incontrôlables et d'endettement en flèche, la seule «solution» financièrement viable était de mettre en œuvre un impôt sur la fortune (voir «Il ne peut y avoir que des solutions douloureuses De la crise ").
Si l'idée était bien en avance sur son temps en 2011, et a été rapidement rejetée devant le tribunal de l'opinion publique, plusieurs années plus tard, nul autre que le FMI a ressuscité l'idée d'un impôt sur la fortune, qui n'a pris de l'ampleur que ces derniers mois, et malgré la répression généralisée de la base, le concept d '«impôt sur la fortune» a évolué au premier plan et, plus récemment, le président de Capital Economics, Roger Bootle, a déclaré que les plus riches du monde pourraient être soumis à des taux d'imposition plus élevés alors que les gouvernements se bousculaient pour financer les dépenses et les réparations. leurs économies au milieu de la crise des coronavirus.
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui, lorsque l'État ultra-libéral de Californie est maintenant prêt à faire passer cette idée "socialiste" de la phase de conception à la phase de mise en œuvre, le SF Chronicle rapportant qu'un groupe de législateurs de l'État de Californie a proposé jeudi un premier dans le monde. - un impôt national sur la fortune qui toucherait environ 30 400 résidents californiens et permettrait de lever environ 7,5 milliards de dollars pour le fonds général.
Le taux d'imposition proposé serait de 0,4% de la valeur nette (probablement bien plus élevé), à l'exclusion des biens immobiliers détenus en direct, qui dépasse 30 millions de dollars pour les déclarants célibataires et conjoints et 15 millions de dollars pour les déclarations mariées séparément.
Le démocrate d'Oakland Rob Bonta, qui est l'auteur principal de la proposition d'impôt sur la fortune AB2008, a justifié l'expropriation de la richesse en disant que la Californie est confrontée à un important déficit budgétaire en raison de la crise sanitaire et économique provoquée par le coronavirus, et "nous ne pouvons pas s'appuyer simplement sur des mesures d'austérité », pour le fermer. Il n'était pas immédiatement clair pourquoi l'austérité ne fonctionne pas étant donné que la Californie ne l'a jamais réellement essayé, mais en tout cas la proposition du démocrate était claire: "Nous devons considérer la génération de revenus."
Le membre de l'assemblée de l'État de Californie, Rob Bonta, D-Oakland, est l'auteur principal de l'AB 2088, qui créerait le premier impôt sur la fortune du pays.
Et ce faisant, la Californie déclenchera un exode de milliardaires qui seront les premiers à se rendre compte de quelle direction souffle le vent, et finiront par faire beaucoup plus de mal à l'État que de l'aider alors que des centaines de contribuables ultra riches partent pour des endroits comme la Floride ou - d'ailleurs - n'importe où dans le monde.
Bonta a déclaré que le projet de loi parrainé par le syndicat ne sera pas entendu avant l'ajournement de l'Assemblée législative le 31 août, mais «il peut être réintroduit le premier jour de la session suivante».
Maintenant, ce que la plupart des Américains normaux (c'est-à-dire ceux qui ne vivent pas en Californie) ne savent peut-être pas, c'est que ce serait le deuxième impôt sur la fortune à passer en Californie. Bonta a déclaré qu'il aimerait voir un impôt sur la fortune adopté en plus de la «taxe des millionnaires» proposée dans un projet de loi déposé fin juillet. AB1253 ajouterait des suppléments de 1% aux revenus (conjoints ou célibataires) entre environ 1 million de dollars et 2 millions de dollars, 3% sur les revenus entre 2 millions et 5 millions de dollars, et 3,5% sur les revenus supérieurs à 5 millions de dollars, portant le taux maximal à 16,8% .
RépondreSupprimerLe taux le plus élevé de la Californie aujourd'hui, à 13,3%, est déjà le plus élevé du pays, et il ne fait qu'augmenter.
Les millionnaires (et bientôt cent millionnaires, puis dix millionnaires et ainsi de suite) assujettis à l'impôt sur la fortune le rapporteraient au Franchise Tax Board avec leurs impôts sur le revenu. Ils devraient déclarer tous les actifs, y compris les actions de sociétés cotées en bourse et privées; intérêts dans des partenariats, des fonds de capital-investissement ou des fonds spéculatifs; espèces, obligations et comptes d'épargne; fonds communs de placement, contrats à terme et options; art et objets de collection; actifs financiers offshore, fonds de pension, dette non hypothécaire, immobilier et dette hypothécaire. Ce qui est bien sûr idiot car une partie de cette richesse est extrêmement illiquide et son évaluation prendra non seulement du temps et des efforts matériels, mais entraînera également des coûts énormes. De plus, comment le gouvernement confirmera-t-il que toute richesse déclarée représente la réalité. Mais telle est la vie dans une utopie socialiste à demi cuite où chaque idée est faute d'un meilleur mot, idiote.
Il y avait de bonnes nouvelles: "Les biens immobiliers détenus directement, et les hypothèques et autres passifs garantis par des biens immobiliers détenus directement" doivent être déclarés, mais ne seront pas pris en compte dans le calcul de la valeur nette mondiale du contribuable, indique le projet de loi. Quelle merveille ... . oh attendez, quelqu'un s'est rendu compte que ce serait simplement une double imposition des mêmes actifs: "Les biens immobiliers seraient exonérés de l'impôt sur la fortune car ils sont déjà soumis à l'impôt foncier, à un taux plus élevé", a déclaré Bonta.
Parmi ces quelques voix rationnelles qui dénoncent cette pure idiotie pour ce qu'elle est, il y a Jared Walczak, vice-président de la Tax Foundation, un groupe de réflexion, qui a déclaré qu '«il est beaucoup plus facile d'appeler à un impôt sur la fortune au niveau de l'État que il s'agit en fait de concevoir un système exécutoire. »C'est peut-être pourquoi aucun État ne l'a imposé.
Cependant, maintenant que la Californie est sur le point d'adopter un impôt sur la fortune, tous les autres États insolvables emboîteront le pas, en regardant New York.
«Certains législateurs new-yorkais lancent l'idée, mais le Gouverneur Cuomo a jeté de l'eau froide sur cette idée, craignant à juste titre que cela conduise à un exode de personnes fortunées de l'État», a déclaré Walczak par courrier électronique. D'une manière ou d'une autre, la Californie pense qu'elle est à l'abri d'un tel exode. Alerte spoiler: ce n'est pas le cas, et les résidents les plus riches de l'État n'hésiteront pas à prendre racine et à déplacer leur résidence fiscale dans un État qui traite leur richesse avec respect.
Il y a bien sûr la possibilité que cette idée idiote meure d'une manière ou d'une autre avant d'être mise en œuvre. Walczak a déclaré que la mise en œuvre d'un impôt sur la fortune au niveau de l'État «serait extrêmement complexe, avec des questions sur la façon d'évaluer les actifs illiquides et de savoir si la richesse des résidents hors de l'État - y compris leurs placements - peut être imposée. Il a ajouté que "toute taxe qui est réellement efficace pour taxer la richesse, cependant, serait tout aussi efficace pour chasser la richesse de l'État".
RépondreSupprimerEmmanuel Saez, professeur d'économie à l'UC Berkeley, c'est-à-dire socialiste, a déclaré que l'impôt sur le revenu n'est pas un moyen efficace d'imposer les ultra-riches, car ils peuvent éviter l'impôt sur le revenu tant qu'ils n'encaissent pas leurs investissements. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pourrait éviter l'impôt sur le revenu tant qu'il ne vend pas ses actions Facebook, et s'il déménage en Floride avant de réaliser ses gains, il ne devra peut-être jamais d'impôt à la Californie, a déclaré Saez lors d'un appel annonçant le projet de loi.
Saez, comme tout autre socialiste qui a une incapacité finale à comprendre qui le monde fonctionne vraiment et que chaque action idiote de l'État aura une réaction appropriée de la part de la population, a déclaré que le projet de loi ne dissuaderait pas les startups car il permettrait aux entrepreneurs de reporter la richesse. taxe pour une période de temps. Brillant.
"Les contribuables limités par la liquidité et détenant des participations dans des actifs difficiles à évaluer et des entités commerciales, telles que des entreprises en démarrage, pourront choisir de fixer un impôt non liquidé et différé passif à ces actifs au lieu de la valeur nette de ces actifs. évalués à la fin d’une année d’imposition. » Le contribuable devrait signer un contrat avec l'État précisant quand la taxe serait payée.
Eh bien, Emmanuel, au lieu de signer un "contrat" avec l'Etat lorsque la taxe sera payée, tous ces entrepreneurs qui maintiennent l'Etat à flot vont tout simplement ... partir. Et devinez ce qui arrive alors aux recettes fiscales déjà lamentables.
Rien de tout cela n'a d'importance pour le socialiste de Berkeley, et au lieu de cela, il a souligné un article qu'il a co-écrit, affirmant que la Californie compte 12% de la population américaine, mais 17% de tous les millionnaires américains et 25% de ses milliardaires. En 2011, la Californie ne comptait que 15,5% des millionnaires du pays et 21% des milliardaires. L'impôt sur la fortune, a-t-il dit, toucherait environ 0,15% des déclarants californiens.
Nous ne pouvons pas attendre la deuxième édition du journal publiée en 2025 lorsque le "professeur" découvre que la Californie n'a aucun milliardaire américain.
D'ici là, les rares voix de la raison comme celle de Robert Gutierres, président de la California Taxpayers Association, deviendront de plus en plus rares:
«L'État a approuvé 9,2 milliards de dollars d'augmentation de la taxe professionnelle dans le nouveau budget, mais les politiciens de Sacramento et les intérêts spéciaux continuent de demander des augmentations de l'impôt sur le revenu, des augmentations de l'impôt foncier, une 'taxe sur les effectifs' des employés de l'État et cette nouvelle taxe annuelle sur l'argent qui restait une fois que toutes les autres taxes ont été payées », a déclaré Gutierrez, ajoutant qu '« un très petit nombre de Californiens paient la grande majorité des impôts sur le revenu de l'État. l'onglet ? "
Pourquoi, la Fed bien sûr.
https://www.zerohedge.com/markets/california-set-pass-nations-first-wealth-tax-targeting-ultra-rich
La fin d'Hollywood ! Déménagement vers la Chine où les studios sont à perte... de vue !!
SupprimerDisney "entre dans l'histoire" en présentant son premier personnage de dessin animé bisexuel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 16/08/2020 - 16:35
La série de Disney, "The Owl House", est maintenant la première émission animée officielle à présenter un personnage principal bisexuel. Variety et le Daily Mail ont tous deux décrit l'introduction du personnage comme «faisant l'histoire».
Le personnage principal de la série, âgé de 14 ans, Luz Noceda, est décrit comme une adolescente normale qui se rend dans un autre monde pour devenir une sorcière. Dans l'émission, elle a montré à la fois une attirance pour les personnages masculins et récemment avec un personnage féminin récurrent nommé Amity.
Il est révélé que Luz avait l'intention de demander à l'autre personnage féminin à un événement de style bal et la série les montre en train de partager une danse ensemble dans un épisode.
Le créateur de la série, Dana Terrace, a confirmé que l'émission faisait en fait allusion à une relation LGBTQ.
Elle a écrit sur Twitter: «Dans [le développement], j'étais très ouverte sur mon intention de placer des enfants queer dans la distribution principale. Je suis un horrible menteur, donc le faire entrer aurait été difficile. Lorsque nous avons eu le feu vert, certains dirigeants de Disney m'ont dit que je ne pouvais représenter aucune forme de relation bi ou gay sur la chaîne.
Elle dit que Disney, qui a déjà repoussé l'idée, offre maintenant son soutien.
Terrace a tweeté: «Je suis bi! Je veux écrire un personnage bi, bon sang ! Heureusement, mon entêtement a porté ses fruits et je suis maintenant très soutenu par les dirigeants actuels de Disney.
L'ancien superviseur de l'animation de l'émission a tweeté les story-boards de la scène de danse et a déclaré que c'était la «première fois qu'il faisait quelque chose, même à distance queer».
https://www.zerohedge.com/political/disney-makes-history-introducing-its-first-bisexual-cartoon-character
En 1966 disparaissait Walt Disney, en 2020 disparaît son entreprise !
SupprimerMickey, Donald et Pluto se feront désormais enculer tous les jours !
Ce sont des D.A. pour éduquer les enfants !
LE GOUVERNEMENT CASTEX COÛTE 5,1 MILLIONS PAR AN, DU JAMAIS VU DEPUIS DIX ANS
RépondreSupprimerpar LUDIVINE CANARD
12/08/2020
La rémunération du Premier ministre est de 180.000 euros brut par an.
Outre la nomination de Gérald Darmanin comme ministre de l’Intérieur et d’Éric Dupont-Moretti comme Garde des Sceaux, c’est son étendue qui a fait parler. Avec 43 membres, le gouvernement de Jean Castex est plus large que celui de ses prédécesseurs, ce qui en fait donc le gouvernement le plus cher depuis François Fillon.
Finances : le gouvernement Castex fait bondir de 30% la facture
Plus on est fou plus on rit. C’est avec cette philosophie, ou presque, qu’après avoir été nommé le 3 juillet 2020 par Emmanuel Macron pour succéder à Édouard Philippe à Matignon, Jean Castex a annoncé le 26 juillet 2020 la composition de son nouveau gouvernement. Pour être à la hauteur des attentes du président de la République, le nouveau chef de gouvernement s’est entouré de 30 ministres et 12 secrétaires d’État, soit un total de 43 membres, Premier ministre inclus.
Comme le dévoile Capital, ces nominations supplémentaires de 11 ministres et 2 secrétaires d’État ont un coût : 1,5 million d’euros (le salaire d'un ministre est à 120.000 euros brut par an et celui d'un secrétaire d'État à 114.000 euros). La rémunération du Premier ministre n’a quant à elle pas changé : 180.000 euros brut par an. Le coût (hors-collaborateurs) de ce nouveau gouvernement a augmenté de 30% et devrait donc atteindre 5,1 millions d'euros.
Jean Castex : son gouvernement est le plus cher depuis 10 ans
L’ancien maire de Prades est moins raisonnable que son prédécesseur, Édouard Philippe. Avec 30 membres seulement dont 19 ministres et 10 secrétaires d’État lors de son second mandat, la masse salariale annuelle (hors-collaborateurs) représentait 3,6 millions d’euros environ lors de son intronisation, en août 2017. « Ce chiffre a légèrement augmenté par la suite, avec les nominations de 5 nouveaux ministres et secrétaires d’État, intervenues en 2018 et 2019 » précise Capital.
Le gouvernement qui a coûté le plus cher est celui sous le quinquennat Sarkozy. Lors du remaniement en novembre 2010, le 3ème gouvernement de Français Fillon a été étoffé par 11 secrétariats d’État supplémentaires. Avec un effectif de 33 membres, le gouvernement Fillon atteint donc 5,5 millions d’euros par an, les rémunérations étaient plus élevées.
Mais la masse salariale du gouvernement peut encore augmenter : selon un décret du 11 juillet 2020, le nombre de collaborateurs autorisés pour le gouvernement de Jean Castex a été augmenté, jusqu’à 50% par rapport à 2017. Si cette augmentation était réalisée, la facture pourrait « doubler, et atteindre environ 65 millions d’euros par an » analyse Capital, mais on en est encore loin.
http://www.economiematin.fr/news-cout-gouvernement-castex-ministres-salaires
Brève. Retour sur le SARS-CoV-2 et la cigarette
RépondreSupprimerle 17 août 2020
Les autorités françaises ont donc imposé le masque dans certaines rues des grandes villes, ce que j’ai cru comprendre en lisant seulement les titres des journaux français que je ne lis plus depuis longtemps. Il ne faudra pas beaucoup de temps pour généraliser le port du masque et également interdire la cigarette dans la rue et dans tous les lieux publics, je pense aux terrasses des cafés. Ici à Santa Cruz de Tenerife, en face de mon modeste meublé de location, il y a deux cafés avec terrasses. Par curiosité je me suis approché ce matin de ces terrasses quasiment désertées. Les employés ont supprimé les cendriers sur les tables ! Le souci est que tous ces bars avec terrasses vont perdre des clients … ils ont déjà beaucoup moins de clients et ont considérablement souffert des 9 semaines de confinement, alors tout ça n’améliorera pas leur situation financière. Si on parle maintenant de deuxième vague virale, avec toutes ce mesures stupides il y aura bien avant une deuxième vague de faillites et une nouvelle vague de chômeurs. Vive la vie …
Pour répondre à l’une de mes commentatrices, Åëåàíîðà j’ajouterai que je suis fumeur depuis 60 ans et qu’il y a une dizaine d’années j’ai demandé à mon cardiologue d’inspecter ma pompe sanguine faite de viande rouge. Il a conclu après l’ultime test d’effort (en milieu hospitalier) que le pouvais continuer à fumer car j’avais un corps de jeune homme mais que si j’envisageais de mettre un terme à ce vice je mettrais en danger mon cœur.
Ici, dans l’archipel des Canaries, comme il est interdit de fumer dans la rue il y a un bon côté, le seul, de la psychose coronavirale pour un fumeur qui prend soin de mettre ses mégots dans un cendrier de poche : il n’y aura bientôt plus aucun mégot sur les trottoirs … comme au Japon, pays où il est interdit depuis longtemps de fumer dans la rue sauf dans les lieux réservés à cet effet. Il n’y a pas de services de voirie dans les villes japonaises, et pourtant elles sont propres, tout simplement parce que les Japonais sont propres et parce qu’ils respectent l’environnement, la nature et leurs concitoyens. En Europe on en est bien loin …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/08/17/breve-retour-sur-le-sars-cov-2-et-la-cigarette/
Seuls les chiens sont autorisés à chier dans l'empire du levant-la-patte-aux-lampadaires !
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