le 13 août 2020
Avant d’aborder l’aspect philosophique de ma réflexion sur l’effet de serre il est important de rappeler l’aspect de ce concept en contradiction flagrante avec les principes fondamentaux de la thermodynamique. Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à cet « effet de serre » il m’a paru immédiatement qu’il y avait un très gros problème qui défie non seulement les lois de la thermodynamique mais également le bon sens : comment les couches supérieures de l’atmosphère, à quelques milliers de mètres au dessus de nos têtes peuvent-elles irradier le sol en émettant des rayons infra-rouges et ainsi chauffer la surface de la Terre ? Il s’agit, si je ne me trompe pas, de la définition de l’effet de serre décrite par l’organisme onusien IPCC (la grosse flèche rouge dans le schéma présenté en tête du précédent billet à ce sujet). Je réitère donc mon explication : puisque les hautes couches de l’atmosphère sont nécessairement plus froides que l’air se trouvant au niveau du sol, par exemple ici à une altitude de 20 mètres au dessus du niveau de la mer, il est impossible que les photons infra-rouges émis par les molécules d’oxygène, de gaz carbonique ou d’azote de l’atmosphère à plus haute altitude puissent « chauffer » les molécules d’oxygène, de gaz carbonique et d’azote au niveau du sol. En effet ces photons sont moins énergétiques que ceux émis par les constituants de l’atmosphère au niveau de la mer et ils n’ont aucune chance d’être « captés » par les molécules d’oxygène, de gaz carbonique ou d’azote qui se trouvent dans un état énergétique plus élevé, c’est-à-dire émettant elles-mêmes des photons plus énergétiques que ceux provenant des plus hautes couches de l’atmosphère. Tout ce discours se résume en une phrase : il ne peut pas y avoir de transfert d’énergie thermique d’un corps froid vers un corps chaud. C’est l’une des conséquences du deuxième principe de la thermodynamique. La définition de l’effet de serre telle que décrite par l’IPCC est donc une imposture scientifique.
Au fil des années cette théorie de l’effet de serre est devenue un véritable dogme auquel il faut croire sans se poser de question. Quand je suis devenu « climato-sceptique » en analysant les principes mis en œuvre pour imaginer la théorie de l’effet de serre atmosphérique et qu’ainsi j’ai compris que cette histoire de réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine était une imposture devenue un dogme je me suis souvenu de ce qui était arrivé à Giordano Bruno. Il fut un immense penseur, philosophe et physicien visionnaire qui introduisit, outre l’héliocentrisme de Copernic auquel il croyait, des théories qui ne furent jamais mises en doute par la suite comme l’infinité de l’Univers, la multiplicité de mondes vivants dans cet univers mais également la notion de référentiel inertiel qui ouvrit la porte aux expériences de Galilée puis de Newton et enfin de toute la physique moderne. Ce que l’Eglise reprochait à Bruno fut de nier le géocentrisme défendu par le Vatican. Jamais l’Eglise catholique n’est revenue sur son erreur d’avoir brûlé Bruno en place publique à Rome, y compris le pape Jean-Paul II ! Comme quoi les dogmes conduisent, et c’est leur définition, au fanatisme religieux.
En ce qui concerne le dérèglement du climat d’origine humaine on assiste à l’émergence du même type de fanatisme. De même que les djihadistes considèrent que tous ceux qui ne pensent ou ne croient pas comme eux doivent mourir, de même les climato-sceptiques seront un jour condamnés à mort pour hérésie. Toutes les religions sont adossées à des mythes dont en particulier l’existence d’un être suprême qui a créé le monde et a placé l’homme à son image dans ce monde. Il s’agit de dogmes auxquels les êtres humains croient. Aujourd’hui, face à un monde matérialiste et face à un effondrement des croyances religieuses traditionnelles, je ne parle ni du bouddhisme, ni du confucianisme ni du shintoïsme, au moins un tiers de l’humanité a choisi la nouvelle religion de Gaïa pour la défense de l’environnement, de la biodiversité et du climat. Sauf que le dérèglement du climat provoqué par l’homme est un mythe et les militants de la cause de Gaïa ont oublié que la nature est caractérisée par une capacité de résilience extraordinaire. La nature ne s’est-elle pas remise de chutes de météorites, de volcanismes cataclysmiques et de longues périodes de glaciation ? Les hommes sont bien présomptueux en croyant qu’ils peuvent influer sur l’évolution naturelle du climat.
Le froid n'est pas une production (sauf aux frigos), il est un fait (-270°C dans l'espace). Tandis que la chaleur est une production.
RépondreSupprimerNotre planète émet de la chaleur depuis son magma (boule ferrique incandescente). Le soleil est aussi une étoile ferrique (0,16 % de son volume) mais qui n'a jusqu'alors rencontré de boule glace assez grosse pour l'envelopper comme pour la Terre.
SOLEIL:(109 fois plus gros que la Terre)
Composition photosphérique (en masse)
Hydrogène...73,46 %
Hélium........24,85 %
Oxygène.......0,77 %
Carbone.......0,29 %
Fer...............0,16 %
Néon............0,12 %
Azote...........0,09 %
Silicium........0,07 %
Magnésium...0,05 %
Soufre..........0,04 %
Vaccin anti-Covid et facteur rhésus: un expert explique s’il existe un lien
RépondreSupprimer16:01 13.08.2020
Le premier vaccin au monde contre le Covid-19 enregistré en Russie sera tout aussi efficace pour les groupes sanguins à facteur rhésus positif que négatif, affirme le directeur du Centre Gamaleïa qui a mis au point le vaccin.
Le facteur rhésus n’aura pas d’importance pour la vaccination contre le Covid-19, la protection sera assurée aux personnes tant au facteur positif que négatif, a déclaré dans une interview à Sputnik le directeur du Centre Gamaleïa de recherches en épidémiologie et microbiologie, Alexandre Guintsbourg.
«Lors de la vaccination, le facteur rhésus ne jouera aucun rôle. […] Tout le monde sera protégé, notre vaccin agit selon un tout autre principe que celui qui permet à l’agent pathogène de pénétrer dans la cellule», expose-t-il.
Précédemment, il avait expliqué que les particules du coronavirus dans le vaccin ne pouvaient nuire à l’Homme puisqu’elles sont non-vivantes et créées à base d’adénovirus.
Facteur rhésus et risque de contamination
Pourtant, l’influence du facteur rhésus sur le risque de contraction du Covid-19 exige des études supplémentaires, fait remarquer pour sa part Tatiana Roujentsova, directrice de section à l’Institut d’épidémiologie du Service de surveillance de la protection des droits des consommateurs et du bien-être humain de Russie (Rospotrebnadzor).
«Il s’agit encore de l’évaluer sur un grand nombre de personnes, mais pour l’instant, il n’existe aucune donnée confirmant quelque influence que ce soit», souligne-t-elle, rappelant que la Russie compte bien plus de gens à facteur rhésus positif.
Le journal Izvestia avait auparavant affirmé, se référant à des études de scientifiques espagnols et brésiliens, que les personnes à facteur rhésus négatif pouvaient courir plus de risques de contracter le coronavirus.
https://fr.sputniknews.com/sante/202008131044249805-vaccin-anti-covid-et-facteur-rhesus-un-expert-explique-sil-existe-un-lien/
Plus de 20 pays s’intéressent au vaccin russe contre le coronavirus
RépondreSupprimer16:47 13.08.2020
Moscou maintient des contacts étroit avec l'Organisation mondiale de la santé sur l'utilisation de son vaccin contre le coronavirus, a déclaré ce 13 août la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova. Selon elle, plus de 20 pays ont manifesté leur intérêt.
Plus de 20 pays ont déjà manifesté leur «intérêt pratique» pour le vaccin contre le coronavirus, Spoutnik V, a annoncé Maria Zakharova.
Selon elle, la Russie maintient «le contact le plus étroit» possible avec l'Organisation mondiale de la santé «sur le développement et l'utilisation future du vaccin contre le Covid-19».
«Comme vous le savez, la Russie est la première au monde à avoir enregistré un vaccin contre le Covid-19 développé par des scientifiques russes. Je veux dire que plus 20 pays y ont déjà manifesté de l'intérêt, un intérêt pratique», a-t-elle résumé.
L’enregistrement du vaccin
Vladimir Poutine a annoncé le 11 août l'enregistrement en Russie du premier vaccin contre le Covid-19 au monde. Le Président espère une prochaine vaccination massive et a par ailleurs confié qu'une de ses filles en avait déjà profité.
Spoutnik V a été élaboré conjointement par le ministère de la Défense et le Centre d’épidémiologie et de microbiologie russe Gamaleïa.
«Je serai le premier»
Au lendemain de l’annonce de Poutine, Rodrigo Duterte, le Président des Philippines, a confirmé vouloir se porter volontaire pour le tester.
Il a également fait part de sa «grande confiance» dans les efforts déployés par la Russie pour mettre fin à la pandémie.
https://fr.sputniknews.com/russie/202008131044249974-plus-de-20-pays-sinteressent-au-vaccin-russe-contre-le-coronavirus/
RépondreSupprimerCOVID-19 au Québec : Mensonge politique et désinformation médiatique
Micheline Ladouceur
Mondialisation.ca
lun., 10 août 2020 19:23 UTC
Après la manifestion de Québec devant le Parlement le 26 juillet dernier contre le port du masque obligatoire*, hier à Montréal des centaines de personnes ont marché « pour la liberté » et « contre les mesures sanitaires imposées par le gouvernement ».
Elles dénonçaient également la « propagande de la peur » et les « mesures excessives » prises par les autorités gouvernementales pendant la crise COVID-19.
Les Québécois craignent un état totalitaire qui pourrait dicter la conduite de tous les citoyens sous prétexte de pandémie.
Vidéo de Guy Choquette estimant à 100 000 le nombre de manifestants. Selon le Journal de Montréal plusieurs centaines de personnes participaient à la manifestation. Radio-Canada parle de plusieurs milliers de manifestants qui s'étaient réunis devant la Nouvelle Maison de Radio-Canada.
Plusieurs affichaient des slogans hostiles aux autorités, aussi bien envers le premier ministre du Québec que le directeur national de la santé publique, DrHoracio Arruda. Ils en avaient également contre les grands médias qu'ils accusent de propager de fausses nouvelles.(Radio-Canada)
Alors que la société d'état, Radio-Canada a couvert l'événement sur son site internet, ses journalistes présentaient la marche comme celle des conspirationnistes qui ne croient pas en la version officielle. Tout questionnement sur les causes réelles de la crise est défendu...
Je pense que le gouvernement ne donne pas les vraies réponses, a déclaré Johanne Lortie, qui a reconnu ouvertement être conspirationniste. (Interviewée par Radio-Canada)
Cependant, une journaliste du Journal de Montréal présente ce point de vue sous un autre angle en interviewant cette femme :
Élizabeth Dufresne-Gagnon déplore que les contestataires comme elle soient ciblés comme des « conspirationnistes ». « On peut se poser des questions. On a le droit de remettre en question certaines choses », a-t-elle souligné.(Journal de Montréal)
Radio-Canada a voulu également présenter les opposants aux « mesures excessives » comme un appui au président étasunien Trump en allant chercher dans la foule probablement la seule personne à la casquette « Trump » :
Je pense que la population est en train de se faire abuser, on doit arrêter ça, a renchéri Irène Sarmiento, protégée du soleil par une casquette à l'effigie de Donald Trump. Radio-Canada)
Les participants accusaient les grands médias de propager de fausses nouvelles. Ils ont raison puisque ceux-ci ne diffusent qu'un point de vue sur la crise, celui des autorités.
Radio-Canada est sur l'offensive en prétendant faire son travail et présenter « LA vérité » (lire « point de vue gouvernemental »..). Les manifestants sont aussi présentés comme des hors-la-loi qui sont un danger pour les autres ( insinuant qu'ils peuvent ainsi propager le virus sans le port du masque ). Le gouvernement québécois a aussi réagi face à cette manifestation :
Si le comportement de ces manifestants met en danger la santé collective, Québec n'a pas l'intention pour le moment d'imposer des amendes aux Québécois qui ne portent pas le masque dans les lieux publics.
RépondreSupprimerLe gouvernement est d'avis que la population se conforme à la consigne et qu'il n'y a pas lieu d'être plus sévère à ce stade-ci. Mais la situation est en observation et des mesures plus contraignantes pourraient être adoptées.
Plutôt que de décrire les manifestants comme des citoyens ayant des revendications légitimes, ces journalistes essaient de ridiculiser les manifestants qui se sont rendus à la manif et en leur collant l'étiquette de « Non au masque obligatoire »....
En réalité cette manifestation dénonçait la gestion de la crise COVID-19 qui brime les lois et libertés des citoyens, à qui on refuse toute opposition au « discours unique », et le projet de loi 61.
Projet de loi 61
«Ça « bypass » les mesures environnementales, les contrats sans appel d'offres, la commission Charbonneau a coûté 44 millions, on ne veut pas de corruption, [la loi 61] favoriserait ça. Ça donnerait des pouvoirs illimités, pendant une durée indéterminée», a lancé l'initiatrice d'une pétition contre ladite loi. » (manifestant cité par Le Journal de Montréal)
Le gouvernement est accusé d'instrumentaliser la crise et de porter atteinte aux libertés fondamentales.
« Au dernier jour des audiences en commission parlementaire, le Barreau du Québec s'est lui aussi inquiété de la prolongation de l'état d'urgence sanitaire au-delà du maximum de 30 jours déjà prévu. Cette loi accorde de vastes pouvoirs au gouvernement, fait valoir le bâtonnier du Québec. »
En juin dernier, le projet de loi n'a pas pu être adopté à l'Assemblée nationale. Le premier ministre François Legault a déclaré « qu'il reviendrait à la charge avec le projet de loi 61 à l'automne ».(1)
Une pétition contre ce projet de loi a récolté 200 000 signatures et doit être déposée à l'Assemblée nationale.
«Peu importe qui est au gouvernement, les Québécois ne peuvent accorder à M. Legault ou à d'autre un tel pouvoir, et ce, sans contrainte dans le temps », a déclaré la pétitionnaire, madame Dufresne-Gagnon. « On ne peut pas relancer une économie en instaurant une dictature pour une durée indéterminée et s'autoprocurer une immunité judiciaire en plus. C'est également antidémocratique de vouloir faire passer une loi qui permettrait au gouvernement de changer n'importe quelle loi. »
Cette crise COVID-19 a provoqué la pire récession de l'histoire du Québec avec de nombreuses fermetures d'entreprises, un surendettement et la faillite de plusieurs d'entre elles. Cet effondrement économique ne fait que commencer...
La pandémie de la COVID-19 et le confinement qu'elle a engendré ont frappé de plein fouet l'économie du Québec. Dans son portrait des finances publiques du 19 juin, le gouvernement a confirmé qu'à son sommet, c'est 40 % de l'économie du Québec qui a été fermé causant la perte de 825 000 emplois. (Le Soleil, le 11 juillet 2020)
Note
RépondreSupprimer(1)La pétition en opposition au projet de loi 61 est disponible pour signature sur le site de l'Assemblée nationale jusqu'au 13 septembre. Vous la trouverez ici :
https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-8457/index.html.
Voir les photos de la manifestation présentée par le Journal de Montréal, MARIO BEAUREGARD/AGENCE QMI
https://fr.sott.net/article/35976-COVID-19-au-Quebec-Mensonge-politique-et-desinformation-mediatique
LA DGCCRF ALERTE LES CONSOMMATEURS SUR LES DANGERS DES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES
RépondreSupprimerpar LUDIVINE CANARD
13/08/2020
Les ventes de compléments alimentaires ont progressé de 1,3% en 2018 par rapport à l'an passé.
Depuis quelques années, les compléments alimentaires ont envahi les rayons des pharmacies et des supermarchés ainsi que les sites internet. Un marché qui représentait près de 2 milliards d’euros en 2018 et sur lequel s’est penchée la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes ( DGCCRF).
Compléments alimentaires : des promesses « miracles »
Perte de poids, amélioration de la peau ou de la digestion et du sommeil, les effets des compléments alimentaires sont nombreux et séduisent de plus en plus de Français. Selon un sondage Opinionway en partenariat avec le syndicat des compléments alimentaires (synadiet) publié en mars 2019, 46% des Français disent avoir déjà consommé des compléments alimentaires et près d'un tiers ont recours à ce type de gélules au moins une fois par an.
Au vu de ce phénomène grandissant, la Commission européenne a mis en place dès le mois de mars une action coordonnée des autorités de contrôle de chaque pays européen, dont la DGCCRF, pour « contrôler la véracité des allégations ainsi que la qualité des compléments alimentaires mis sur le marché ». À la suite de cette enquête : une trentaine de sites internet ont été contrôlés et ont été contraints de supprimer « les allégations thérapeutiques trompeuses et de modifier leur communication ».
Santé : la crise du coronavirus propice aux escroqueries
Autre constat plus inquiétant fait pas la répression de fraudes : certains profitent de la crise sanitaire du Covid-19 pour se faire passer pour des professionnels de santé et prescrire « sur Internet des traitements dangereux, par exemple à base de denrées destinées à l’alimentation animale », précise la DGCCRF. En effet, la vente en circuit spécialisé bio/diététique/franchises s’est effronté (-8%) au profit des ventes en ligne et par correspondance : +10% en 2018, favorisant les vendeurs peu scrupuleux.
L’administration rappelle que ces allégations trompeuses au regard du Code de la consommation sont passibles d’une peine d’emprisonnement de 2 ans maximum et/ou une amende de 300.000 euros. Elle invite les consommateurs à la plus grande vigilance concernant ces « boosters » et a signaler les sites douteux via le site www.signal.conso.gouv.fr.
*Étude réalisée auprès d’un échantillon national représentatif de 1.065 Français âgés de 18 ans et plus.
http://www.economiematin.fr/news-sante-complements-alimentaires-danger-dgccrf-alerte
MICROSOFT LANCE SON PREMIER SMARTPHONE À DEUX ÉCRANS
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
13/08/2020
Si vous souhaitez opter pour une version 256 Go, elle vous coûtera
1.499 dollars, soit l'équivalent de 1.270 euros.
Après avoir fabriqué des tablettes hybrides avec un clavier détachable, Microsoft se lance aujourd’hui dans la fabrication de smartphones à deux écrans. Le premier modèle s’appelle le Microsoft Surface Duo, et il est disponible à la précommande dès aujourd’hui aux États-Unis.
Un smartphone à deux écrans, une première pour Microsoft
Si nous avons tous une certaine idée d’un smartphone (un gadget de certaines dimensions, d’une certaine forme et d’un certain poids), rien n’est gravé dans le marbre, et Microsoft entend bien le prouver. La firme sort aujourd’hui son premier smartphone à deux écrans. Son nom : Microsoft Surface Duo.
Ce smartphone s’ouvre comme un livre. Comme le montre cette vidéo de présentation, plusieurs modes sont possibles. Vous pouvez travailler uniquement sur la page de gauche et laisser l’écran d’accueil sur la page de droite. Autre possibilité : l’écran de droite constitue le prolongement de l’écran de gauche : cela vous permet d’utiliser deux fois moins souvent votre doigt pour faire défiler les informations. (À noter que cela marche, que vous teniez le smartphone verticalement ou horizontalement.)
Le Microsoft Surface Duo coûtera 1.185 euros minimum
Enfin, et c’est là que le mode deux écrans s’avère le plus utile, vous pouvez ouvrir une application sur la page de gauche et une autre sur la page de droite. Vous pouvez ainsi en même temps lire un guide de voyage et visualiser les points d’intérêt et les itinéraires sur Google Maps. Ou bien ouvrir sur l’écran de droite une vidéo qu’on vous a envoyée via une application de messagerie tout en poursuivant le chat sur l’écran de gauche. Enfin, vous pouvez positionner ce smartphone comme un ordinateur portable pour transformer l’un des écrans en clavier, tout en visualisant ce que vous tapez sur l’autre écran.
Vous l’aurez déjà compris : ce smartphone fonctionne sur Android, et toutes les applications Android habituelles sont disponibles. Et, bien entendu, les applications Microsoft 365 sont pré-installées. L’utilisateur bénéficiera de 128 ou 256 Go d’espace de stockage, de 6 Go de RAM et d’une puce Qualcomm Snapdragon 855. Parmi ses faiblesses, ce smartphone dispose d’une batterie de 3.577 mAh seulement (alors que la plupart des flagships sont équipées de 5.000 mAh minimum) et ne gère ni le NFC ni la 5G. Les pré-ventes du Microsoft Surface Duo sont désormais ouvertes aux États-Unis. Il est proposé à partir de 1.399 dollars (soit l’équivalent de 1.185 euros). Les premières livraisons se feront le 10 septembre 2020.
http://www.economiematin.fr/news-microsoft-surface-duo-smartphone-deux-ecrans
J'avais lancé cette idée il y a 20 ans ! 2 écrans pour la télé.
Supprimer2 écrans côte à côte, 2 chaînes couplées sur le même évènement.
Exemple une voiture en circuit passe d'un écran à l'autre. Match de foot sous 2 angles différents.
Un pistolet dernier-cri pour la police développé en Russie – vidéo
RépondreSupprimer17:04 14.08.2020
L'Institut central de recherche en constructions mécaniques de précision faisant partie du groupe Rostec a développé un nouveau pistolet pour la police et la Garde nationale pour remplacer le vieux modèle Makarov, selon le service de presse de Rostec. L'arme de poing sera dévoilée lors du forum Armée-2020.
Le service de presse du groupe Rostec a annoncé à Sputnik le développement d'un nouveau pistolet semi-automatique pour la police et la Garde nationale. Nommé Poloz, il a été développé par l'Institut central de recherche en constructions mécaniques de précision.
Le Poloz est destiné à tirer à une distance de 50 mètres et est capable de fonctionner dans une fourchette de température située entre -50°C et +50°C.
Il est chambré en 9x19 millimètres. La balle utilisée peut avoir un noyau en acier.
Le pistolet utilise un chargeur de 15 ou de 18 balles. Sa durée de service est d'au moins 10.000 tirs.
Plus petit et léger
Le directeur général de l'Institut central de recherche en constructions mécaniques de précision, Albert Bakov, a expliqué à Sputnik que le pistolet Makarov suscitait des reproches relatifs à sa puissance et à son chargeur (huit balles).
Le nouveau pistolet est plus petit et léger et peut être porté avec discrétion.
«Sa construction modulaire permet de remplacer sa poignée sans remplacer ses autres parties, ainsi que d'utiliser des chargeurs de capacités différentes. Il est fiable et simple du point de vue de l'entretien», a-t-il détaillé.
Le pistolet sera présenté au public lors du forum militaro-technique international Armée-2020 sur le stand de l'Institut dans le centre d'exposition de Rostec.
https://fr.sputniknews.com/russie/202008141044257583-un-pistolet-dernier-cri-pour-la-police-developpe-en-russie--video/