Les tests RT-PCR qui permettent de diagnostiquer le COVID19 ne sont pas fiables !
vendredi 21 août 2020
Stéphane Guay, microbiologiste, vient de faire des découvertes stupéfiantes, surtout choquantes, à propos des tests PCR qui servent à confirmer si les gens sont porteurs ou non du COVID19.
Grâce à de nouvelles données qu'il arrive à déchiffrer parce qu'il est spécialisé en biologie moléculaire, Stéphane démontre que les tests PCR ne sont absolument pas fiables.
Le taux de faux positifs est, par le fait même, potentiellement très élevé, ce qui a pour impact de créer une recrudescence fallacieuse des cas positifs.
Pour ceux et celles qui veulent comprendre comment fonctionnent les tests PCR, écoutez cette vidéo, dont Stéphane fait allusion, qui traite spécifiquement des tests RT-PCR.
Au Cameroun, les vendeurs de «porte-monnaie magiques» font fureur sur la Toile
12:30 22.08.2020 Par Anicet Simo
Le phénomène du porte-monnaie magique a pris d’assaut le web au Cameroun. Proposés sur Internet par de prétendus marabouts béninois, ces gadgets seraient capables, à en croire ces derniers, de générer des billets de banque comme par enchantement. La recette attire les jeunes avides de réussite facile et alimente les fantasmes dans le pays.
C’est devenu monnaie courante au Cameroun: des quidams qui, sur Internet, proposent des portefeuilles miracles à même de dupliquer les billets de banque. Cette nouvelle arnaque numérique attribuée à des marabouts –qui se présentent très souvent comme originaires du Bénin, sans que cette assertion ne se vérifie toujours.
Ce petit pays d’Afrique de l’Ouest est connu pour être le foyer ancestral d’une croyance occulte, le vaudou.
Ces derniers temps, ces marabouts 2.0 ont fait de la Toile leur principal débouché. Dans des groupes Facebook, sous des publications et même en messagerie privée, ils font le placement de leurs produits en en vantant les mérites.
Vendus entre 100.000 (153 euros) et jusqu’à plus d’un million de francs CFA (1.538 euros), selon certains standards et en fonction du gain escompté, ces portefeuilles singuliers –que rien ne distingue, pourtant, de l’extérieur de n'importe quel autre portefeuille– doivent produire quantité de billets de banque chaque jour si son propriétaire consent en retour à certains sacrifices. Par exemple, pour que l’article tienne ses promesses, l’acheteur doit utiliser une certaine somme, dont le montant est fixé par son gourou, sous 24 heures.
Des techniques qui, selon le professeur Herman Nyeck Liport, parapsychologue et spécialiste de la métaphysique, sont réservées aux initiés et instrumentalisées par certains pour détourner l’argent des naïfs.
«Ce phénomène existe réellement mais il est réservé aux initiés et tout cela s’accompagne de pactes car rien n’est gratuit dans le paranormal. Ceci pour vous dire qu’un vrai portemonnaie magique ne court pas les rues. Généralement, quand tu as un portefeuille magique, cela ne multiplie pas les billets mais cela te permet d’avoir en permanence des opportunités de gagner de l’argent», souligne-t-il au micro de Sputnik.
L’appât du gain facile
De plus en plus, des jeunes, d’une vingtaine d’années en général, sont tentés par ce raccourci qui mènerait à la réussite financière. À en croire de nombreux récits qui alimentent les réseaux sociaux, attirés par l’appât du gain facile, certains ont malheureusement mordu à l’hameçon. Florent M, 29 ans, promoteur d’une entreprise de design graphique, y a échappé de justesse.
«Un marabout béninois m’avait contacté sur Messenger pour me proposer un porte-monnaie magique à 500.000 francs CFA (769 euros). Nous avons échangé. J’étais intéressé au départ mais au moment de conclure l’affaire, je me suis rétracté», relate-t-il à Sputnik.
Florent dit avoir été sauvé grâce à ses «valeurs chrétiennes». Dans l’opinion au Cameroun, le phénomène prête le flanc à toutes sortes de commentaires. Beaucoup, comme Laetitia De Bilong, jeune commerciale dans une entreprise à Yaoundé, déplorent «cette nouvelle tendance qui trouve un terreau fertile au sein de la jeunesse. Et c’est déplorable». Pour Max Pascal Owona, le porte-monnaie magique est un gros traquenard.
«Le piège de la facilité est grand dans nos sociétés consuméristes et capitalistes qui mettent la logique transactionnelle au cœur des rapports humains. Seulement, que cela existe ou pas, si quelqu’un vous offre une source illimitée d’argent, que peut-il attendre en retour si ce n’est un sacrifice diabolique?» s’interroge-t-il.
Les contraintes de la société de consommation
Depuis l’apparition des réseaux sociaux, le phénomène tend à se généraliser. Des prétendus apporteurs de richesse ont envahi la Toile à la recherche de potentiels clients intéressés par leur portefeuille miracle.
Pour le professeur Adolphe Messanga, psychosociologue et enseignant à l’Université de Dschang, ces vendeurs d’illusions profitent de la vulnérabilité d’une jeunesse désargentée mais soumise aux contraintes de la société de consommation.
«La problématique qui revient dans le milieu jeune aujourd’hui en Afrique, c’est comment faire pour remplir les obligations qu’exige la société, c’est-à-dire manger, se vêtir, se soigner. Mais face à ces obligations, il se pose souvent un problème de moyens financiers. Et vu la rareté de l’emploi chez nous, certains jeunes peuvent être tentés par des pratiques comme les porte-monnaie magiques», analyse-t-il pour Sputnik.
Si les jeunes y cèdent si facilement, la société en général n’est pas totalement exempte de tout reproche. Pour le spécialiste, les réseaux sociaux sont devenus le lieu d’exposition des réussites sociales qui excitent des convoitises. «Le culte de l’argent est plus valorisé que le culte de l’effort et du travail», conclut-il.
Depuis 1947 « l’impérialisme américain » est un vieux diable de la gauche internationale dans les pays du Nord comme dans ceux du Sud.
Pour la gauche, l’impérialisme américain représentait le capitalisme dans toute son horreur et était responsable de la pauvreté du monde.
Pour les gaullistes, c’était également l’ennemi, mais pas pour les mêmes raisons. Le gaullisme ne pense pas « lutte des classes », mais égalité des nations et veillait en particulier à maintenir le rang la France malgré la disproportion des forces.
À droite, on ne se souciait pas beaucoup de cet impérialisme, car les Américains étaient des alliés à la fois économiques et politiques contre l’URSS. Alliés économiques tant sur les principes, le libéralisme, que celui des réalités concrètes : bienvenue aux produits américains en France, et au vin français aux États-Unis !
Accessoirement, il y a eu quelques passes d’armes sur la culture : côté américain l’imposition des westerns et autres produits culturels en contrepartie du plan Marshall pour la reconstruction européenne et la riposte française, très mal comprise, de « l’exception culturelle ».
Mais aujourd’hui, la France et bien d’autres pays se sont ouverts au monde et y croisent un peu partout les Américains. Et l’agacement devant leur comportement a gagné les milieux d’affaires.
Je vais traiter ici de deux aspects peu connus du grand public de cet impérialisme, son côté fiscal et son côté financier.
Le long bras du fisc américain
Si vous, Français ou tout simplement non américain, avez un jour de gagné quatre sous à l’occasion d’un colloque aux États-Unis, ou ailleurs si vous avez été payé en dollars, voire si vous avez touché des dividendes d’une société américaine, vous devez remettre aux autorités américaine une documentation fiscale importante qui peut se traduire par un impôt.
En général votre banquier fera le travail pour vous, mais dans certains cas vous devrez signer une partie de la masse de documents qu’il aura préparée.
Si vous êtes un Américain résidant à l’étranger, vous aurez éternellement à remplir de longs dossiers pour payer aux trois administrations fiscales américaines vos revenus touchés hors des États-Unis, avec des correctifs complexes pour tenir compte des impôts de votre pays de résidence.
De rage, des milliers d’Américains prennent maintenant la nationalité du pays où ils vivent.
Dans les deux cas, le fisc américain vous poursuivra jusqu’au bout du monde s’il manque une virgule.
Le dollar comme instrument de contrôle
Rappelons que « l’extraterritorialité du droit américain est l’application de lois votées aux États-Unis à des personnes physiques ou morales de pays tiers en raison de liens parfois ténus avec les États-Unis – utilisation du dollar des États-Unis par exemple –, elle couvre des champs aussi diversifiés que le contrôle des exportations sur les pays interdits, la fiscalité des personnes et la lutte contre la corruption. »
C’est ainsi que la simple utilisation du dollar américain dans une transaction leur permet de soumettre à la loi américaine ladite transaction, fut-elle réalisée en dehors des États-Unis entre 2 acteurs de pays étrangers aux États-Unis !
Un embargo décidé unilatéralement par les États-Unis finit par s’imposer à des entreprises ne relevant normalement pas de leur juridiction… simplement parce que les transactions internationales se font en dollars.
Or en général, la conversion d’une devise à une autre passe par le dollar : vous changez la devise A en dollars puis les dollars dans la devise B. C’est le système Swift en vigueur dans le monde entier.
Du coup la transaction tombe sous le coup de la loi américaine du fait de l’utilisation de dollars.
Cela a été rappelé aux entreprises françaises à leurs dépens lorsque les États-Unis sont sortis de l’accord nucléaire avec l’Iran et ont interdit des transactions avec ce pays alors que la loi française ne prévoyait rien.
En cas d’infraction à l’embargo avec l’Iran, le risque pour l’entreprise française est de voir saisis ses avoirs aux États-Unis.
Pourrait-on contourner le dollar ?
Pour contourner le problème, il suffirait théoriquement le mettre en place un autre système informatique ne passant pas par le dollar.
Mais, même en laissant de côté les réactions politiques prévisibles, se posera alors un problème de liquidités.
Un marché des changes efficace dois vous fournir la devise que vous voulez en un temps bref et à un cours aussi voisin que possible du cours précédent.
Pour cela il faut qu’il y ait beaucoup d’offre et de demande entre les deux devises, ce qui est en général très rare (il y a peu d’offre et de demande d’euros en monnaie iranienne), alors qu’il y en a beaucoup plus entre chaque devise et le dollar, puisque ce dernier est une monnaie du paiement mondiale
Certes, il y a d’autres monnaies. La livre sterling a longtemps été la principale monnaie mondiale, mais il y a plus de 50 ans que c’est fini. L’Euro progresse, mais très insuffisamment, la monnaie chinoise tente une percée mais elle n’est pas convertible, le Yen a un rôle honorable mais secondaire.
Certains pensent à l’or que la Chine et d’autres pays stockeraient en énormes quantités, mais au-delà d’un refuge incertain, je ne vois pas ce métal, aussi précieux soit-il, tourner à toute vitesse comme intermédiaire entre les énormes mouvements commerciaux en devises.
Pressions au bénéfice de sociétés américaines
Tout cela est déjà désagréable pour les entreprises non américaines, mais ça peut aller plus loin comme le montre l’affaire General Electrics–Alstom.
Alstom a reconnu auprès de la justice américaine la corruption d’officiels en Arabie saoudite, Indonésie, Egypte, ou Tawaïn, entre 2000 et 2011. À l’issue de ce procès, Alstom se voit infliger une amende de 772 millions de dollars. Et cela aurait pu être pire : aux États-Unis, le « plaider coupable », par lequel on reconnaît sa culpabilité, permet de diminuer le quantum de la condamnation, en l’occurrence l’amende.
Une enquête de The Economist du 19 janvier 2019 se conclut par une quasi-certitude que le pouvoir judiciaire américain a fait des pressions intéressées sur Alstom pour qu’il vende à General Electrics le cœur de l’entreprise, chargé notamment de la maintenance des centrales nucléaires françaises.
Ces pressions ont consisté en des menaces d’énormes amendes et l’incarcération d’un cadre français aux États-Unis qui n’ont pas laissé le choix à l’entreprise française.
Cette affaire avait fait couler beaucoup d’encre en France et donné lieu à des théories du complot.
La réalité semble plus simple et plus brutale : une pression judiciaire internationale américaine sur toute entreprise ayant des actifs hors de France ou utilisant le dollar (donc la quasi-totalité des entreprises françaises) est suffisante.
Le gouvernement français (ou tout autre non américain) n’y peut rien. Pas besoin de complot.
Gare si vous n’êtes pas américain
De même l’assureur AXA a été prise à partie par une association juive à l’occasion de sa prise de contrôle d’une entreprise américaine soupçonnée d’avoir eu un rôle dans la Shoah. Après une dizaine d’années de défense juridique et de lobbying couteux, l’entreprise française n’a finalement rien eu à payer.
La BNP Paribas, elle, a été condamnée en 2014 à payer 8,9 milliards de dollars d’amende, par la justice américaine pour avoir contourné entre 2000 et 2010 les embargos imposés par les États-Unis à Cuba, à l’Iran, au Soudan ou à la Libye. Cette ingérence dans la politique de la banque française s’appuyait là encore sur l’usage du dollar.
On peut citer aussi Francois Pinault qui a été mis en cause dans l’Affaire Executive Life. Il a fini par gagner, mais a dû payer 15 ans de procédure.
La Deutsche Bank, Siemens, HSBC, BAE Systems, Société générale, Total, ont subi des mésaventures analogues.
La clé pour faire payer est la pression sur les actifs américains de ces entreprises qui pourraient être saisis.
L’autre clé est le risque de condamnation pénale, qui interdit souvent a une institution financière de concourir à des appels d’offres publics (et fait mauvais genre dans ceux du privé) ce qui est dissuasif également
Des commentateurs de toutes tendances politiques, y compris des Américains, sont d’accord pour qualifier cela d’impérialisme juridique. Mais tant que l’entreprise visée a des actifs saisissables par la justice américaine, aux États-Unis ou éventuellement ailleurs suivant des accords internationaux, elle est bien obligée de se soumettre.
Bien sûr la justice américaine ne fait en principe qu’appliquer de manière neutre la loi américaine.
Mais si des entreprises américaines ont pu elles aussi être condamnées pour avoir violé l’embargo envers certains pays sous embargo, leurs amendes étaient 5 à 10 fois moins élevées que celles infligées à leurs concurrentes européennes. Et dans le cas de l’affaire Alstom, la justice américaine a eu au moins « de la sympathie » pour l’entreprise américaine General Electrics.
Sans compter que les lois américaines peuvent aussi être tout à fait officiellement partiales, comme celle visant l’Iran ou Cuba.
C’est évidemment une sorte de vassalisation.
Les gouvernants s’indignent, cherchent des parades, mais on ne peut toujours pas commercer avec l’Iran.
Une pression supplémentaire pour l’uniformité linguistique et culturelle du monde Le juridique va de pair avec la langue.
Vous savez qu’il y a deux grandes familles juridiques dans la vie économique internationale. Du moins pour l’instant, car le droit musulman et certaines habitudes chinoises se veulent d’avenir.
Il y a les droits dérivant du droit romain comme le droit français ou le droit allemand, qui se réfèrent à des textes structurés, et il y a le droit coutumier anglo-américain, la « Common Law» qui se réfère à des précédents.
Cette différence est concrètement illustrée par la longueur des décisions de justice : quelques pages en droit français, des centaines de pages en droit anglo-saxon. On se ruine donc plus vite en avocats aux États-Unis qu’en France.
Le travail juridique n’est donc pas du tout le même et la formation des acteurs non plus.
Il est rare qu’un avocat américain parle un français professionnel dans son domaine d’autant que, sauf exception, il est en position dominante. En général, c’est son client américain qui va racheter une société française, et non l’inverse. Ou encore qui va guider une entreprise française s’implantant aux États-Unis… ou dans un pays tiers ou l’influence des États-Unis ou la Grande-Bretagne est importante.
Bref des habitudes mentales, les manuels, les références sont en anglais… et pour cause puisque le droit français ou allemand est fondamentalement différent.
C’est une autre face de l’impérialisme juridique : les professionnels non anglo-saxons doivent se former en anglais à un système totalement différent et à une vie économique beaucoup plus judiciarisée qu’en France… où l’évolution dans ce sens est pourtant déjà sensible.
Le rêve injustifié d’un monde uniforme
Tout cela ne heurte pas les partisans de l’uniformisation linguistique et culturelle du monde. Beaucoup soutiennent qu’il y aura beaucoup moins de problèmes quand tout le monde parlera anglais et suivra la Common Law.
Or l’uniformité culturelle n’est pas forcément souhaitable, et en tout cas se heurte l’opposition de nombreux peuples, et peut prendre une forme violente. Quant à la « Common Law », l’intervention corrélative d’un avocat et de textes compliqués dans tous les rouages des affaires et de la vie courante n’est pas forcément un progrès.
Enfin l’uniformité culturelle n’apporte par elle-même la paix et la sérénité : pensons au monde arabo-musulman, en principe uni par une même langue, une même religion et un même droit interne, et qui passe son temps à s’entre-déchirer tant entre États qu’à l’intérieur de chaque pays.
100 000 boîtes de pâtes et suffisamment de beurre d'arachide pour faire près de 3 millions de sandwichs
13 août 2020 par Michael Snyder
Si tout va bien se passer, pourquoi les fonctionnaires dépensent-ils des millions de dollars pour stocker des montagnes géantes de nourriture ? Ce qui vient d'être révélé au sujet du «nouvel entrepôt alimentaire» dans l'État de Washington devrait être un signal d'alarme majeur pour nous tous. La plupart des Américains semblent croire que la pandémie de COVID-19, les énormes problèmes économiques qui ont éclaté et les troubles civils cauchemardesques qui font rage dans nos grandes villes ne sont que des phénomènes temporaires et que la vie finira par revenir à la normale. Pendant ce temps, les autorités de l'État de Washington agissent comme si ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'était que le début. Selon le Seattle Times, des stocks de nourriture sont empilés jusqu'au toit du «nouvel entrepôt alimentaire de l'État de Washington»…
Dans le nouvel entrepôt alimentaire de l’État de Washington, il y a suffisamment de beurre d’arachide Jif pour faire près de 3 millions de sandwichs.
Les boîtes de pâtes Barilla s'étendent jusqu'au plafond, 100 000 en tout. De grandes piles de compote de pommes TreeTop, de mélange pour crêpes et de haricots verts en conserve sont posées sur des palettes, comme des soldats attendant d'être envoyés en service. Cela semble être une chose assez étrange à faire si des jours heureux approchent.
Alors, qu'est-ce qui a poussé les autorités de l'État de Washington à faire cela?
Eh bien, on nous dit que le but est de «conjurer une pénurie dans les mois à venir»…
Après avoir vu les banques alimentaires lutter pour répondre à la demande une fois que la pandémie a frappé et que l'économie a basculé, le département de l'Agriculture de l'État de Washington (WSDA) a commencé à se préparer à acheter et à stocker des tonnes de nourriture pour éviter une pénurie dans les mois à venir. Une «pénurie» de nourriture dans les mois à venir?
C'est toute une déclaration à faire.
Dans un article précédent, j'ai détaillé que nous assistons déjà à des pénuries périodiques de canettes en aluminium, de soda, de farine, de soupe en conserve, de pâtes et de riz. Mais ce qui se passe à Washington donne l'impression qu'ils pensent que ce qui nous attend sera bien plus grave.
Jusqu'à présent, l'État de Washington a dépensé un total de 6,1 millions de dollars pour 4 000 palettes de nourriture, mais seulement un quart environ des commandes qu'il a passées sont déjà arrivées.
Alors pourquoi le reste de la nourriture n'est-il pas encore arrivé?
Serait-il possible que les 49 autres États et le gouvernement fédéral fassent exactement la même chose?
Malheureusement, je n’ai pas de réponse à cette question aujourd’hui. Si quelqu'un a des pistes ou des informations qui m'aideront à répondre à cette question, veuillez me le faire savoir.
Pendant ce temps, nous continuons à voir des files d'attente sans précédent dans les banques alimentaires partout au pays. Mardi, des véhicules se sont alignés «sur un kilomètre» pour recevoir de la nourriture gratuite lors d'un événement de distribution à Dallas…
Des milliers de personnes se sont alignées dans une banque alimentaire du Texas, avec des voitures qui s'étendent sur un kilomètre alors que l'État a du mal à être le troisième le plus touché par l'épidémie de coronavirus.
Fair Park, dans le comté de Dallas, a organisé sa quatrième collecte de nourriture depuis la déclaration de la pandémie en mars, mais l'événement de mardi était la première méga distribution qui offrait une option pour plusieurs centaines de clients sans transport.
Comme j'en parle dans mon nouveau livre, nous avons été spécifiquement avertis à l'avance que cela allait arriver, et il semble certainement que la pauvreté ne fera que continuer à croître dans les mois à venir.
Un homme qui a été interrogé par l’affilié local de CBS a déclaré que sa famille «souffrirait probablement de la faim» s’il n’y avait pas de distribution de nourriture comme celle-ci…
«Si ce n’était pas le cas, nous aurions probablement faim», a déclaré Richard Archer.
Archer dit que sa fille a entendu parler du cadeau de nourriture aux nouvelles et l'a envoyé chercher de la nourriture.
«Avec la réduction des allocations de chômage, son mari a été licencié pendant trois mois. Donc, c’est juste une lutte. Si ce n’était pas pour l’église et les cadeaux alimentaires, les enfants auraient faim. » Tant de familles luttent profondément là-bas en ce moment, et elles ont besoin de notre prière.
Les approvisionnements alimentaires sont serrés dans tout le pays et ils ne feront que se resserrer. Et cette semaine, la production alimentaire a été frappée par un autre coup dur lorsqu'un derecho extrêmement puissant a traversé plusieurs États agricoles importants au centre du pays ...
La rare tempête connue sous le nom de derecho a frappé lundi, dévastant des parties du réseau électrique, aplatissant de précieux champs de maïs et tuant au moins deux personnes. Il a produit des vents allant jusqu'à 112 mph près de Cedar Rapids, dans l'Iowa, et a renversé des arbres, cassé des poteaux, abattu des lignes électriques et arraché des toits de l'est du Nebraska à l'Indiana.
«On a l’impression d’avoir reçu un coup de pied dans les dents», a déclaré Dale Todd, membre du conseil municipal de Cedar Rapids. «La récupération sera méthodique et lente. Mais à l'heure actuelle, tout le monde travaille pour garantir le rétablissement des services essentiels. » Comme je l'ai dit hier, des millions et des millions d'acres de cultures ont été ruinés. En fait, 10 millions d'acres ont été touchés dans le seul État de l'Iowa ...
Le secrétaire à l'Agriculture de l'Iowa, Mike Naig, a déclaré mardi qu'environ 10 millions d'acres des près de 31 millions d'acres (12 545 254 ha) de terres agricoles de l'Iowa avaient subi des dommages. Environ 24 millions d'acres sont généralement plantés principalement de maïs et de soja.
De plus, des dizaines de millions de boisseaux de céréales qui étaient entreposés dans les coopératives et dans les fermes ont été endommagés ou détruits lorsque les bacs ont explosé. Tout au long de 2020, nous avons été frappés par une catastrophe après l'autre.
On nous dit constamment que tout va «revenir à la normale» bientôt, mais entre-temps, les autorités de l'État de Washington stockent de la nourriture à une échelle que nous n'avons jamais vue auparavant.
Et si nous découvrons que les fonctionnaires d'autres États font la même chose, cela suggérerait une sorte de modèle national.
Je n'ai jamais utilisé l'État de Washington comme exemple positif auparavant, et je ne le referai peut-être plus jamais, mais dans ce cas, je recommanderais de faire exactement ce qu'ils font.
Stockez de la nourriture pendant que vous le pouvez encore, car des temps très difficiles approchent. Oui, les choses sont déjà assez chaotiques là-bas, mais j'utiliserais le mois d'août pour terminer vos préparatifs car les choses ne feront que devenir encore plus folles dans les mois à venir.
Des millions d'acres de cultures dans le centre des États-Unis ont été détruits par une série de catastrophes naturelles historiques
12 août 2020 par Michael Snyder
Alors que les médias grand public se concentrent sur les prochaines élections, le COVID-19 et les manifestations sans fin qui se déroulent dans nos grandes villes, une autre grande tragédie se déroule dans tout le centre du pays. Une sécheresse cauchemardesque, des inondations horribles le long du fleuve Mississippi et un «derecho» géant qui vient de frapper la ceinture agricole se sont combinés pour faire de cette année l'une des années les plus difficiles pour les agriculteurs. Et cela arrive à un moment particulièrement difficile, car le stress que la pandémie du COVID-19 a mis sur les systèmes de distribution alimentaire a déjà créé des pénuries périodiques de certains articles dans le pays. Nous aurions certainement pu utiliser une saison de croissance sans incident cette année, et malheureusement nous ne l'avons pas compris.
Lundi, un «derecho» absolument massif a éclaté dans le Midwest. Selon USA Today, la tempête avait des vents allant jusqu'à 112 miles par heure (180 km/h)...
La tempête a eu des vents allant jusqu'à 112 mph près de Cedar Rapids, Iowa - aussi puissants qu'un ouragan intérieur - alors qu'elle déchirait l'est du Nebraska à travers l'Iowa et certaines parties du Wisconsin, de l'Indiana et de l'Illinois, y compris Chicago et sa banlieue. La plupart des ouragans n’ont pas de vent aussi fort une fois qu’ils atteignent enfin le rivage, et je n’ai personnellement jamais connu des vitesses de vent d’une telle ampleur.
Inutile de dire que cette tempête très inhabituelle a causé d'immenses ravages. Selon le gouverneur de l'Iowa, Kim Reynolds, environ 10 millions d'acres de cultures ont été détruits rien que dans l'Iowa ...
Selon les premières estimations, le derecho a rasé au moins un tiers des cultures de l’Iowa - environ 10 millions d’acres, (4 046 856 ha) selon le gouverneur de l’Iowa, Kim Reynolds. De plus, des dizaines de millions de boisseaux de grain qui étaient entreposés dans les coopératives et dans les fermes ont été endommagés ou détruits par le vent.
Et cela a secoué Marshalltown, Iowa, où une tornade EF-3 a détruit le quartier des affaires de la ville il y a à peine deux ans. Avec des vents de 160 km / h, la tempête de lundi a endommagé certaines entreprises qui s'étaient récemment rétablies, endommageant même les échafaudages utilisés pour réparer le dôme du palais de justice historique. Je ne me souviens pas qu’une tempête ait causé autant de dégâts au milieu de l’été.
Si environ 10 millions d'acres étaient aplatis juste dans l'Iowa, combien d'acres supplémentaires cette tempête a-t-elle détruits dans le Nebraska, le Wisconsin, l'Indiana et l'Illinois ?
Malheureusement, cette tempête va complètement ruiner financièrement certains agriculteurs. Par exemple, l'agriculteur de l'Iowa Tim Bardole fait face à des pertes qui pourraient potentiellement dépasser un million de dollars…
Le maïs qui se tenait debout sur la ferme de Bardole est maintenant couché sur le côté. Certaines tiges se sont cassées, d'autres arrachées du sol à la racine.
Bardole a estimé qu'il gagnerait 200 $ l'acre, soit un total de 500 000 $.
Dans le pire des cas, cela pourrait aller jusqu'à 500 $ l'acre (4 046 m²). Cela équivaudrait à 1,25 million de dollars. Comment vous sentiriez-vous si vous perdiez un million de dollars à cause d'une tempête ?
Plus au sud, de nombreux agriculteurs du sud du delta du Mississippi ont déjà vu leurs saisons de croissance anéanties par des inondations historiques pour la deuxième année consécutive ...
Le sud du delta du Mississippi abrite certaines des terres agricoles les plus fertiles des États-Unis.
Mais pas une seule récolte de soja, de coton, de maïs ou de riz n'a été plantée dans de nombreuses fermes de la région - l'une des plus pauvres du pays. Cela n’était pas censé se produire.
Les inondations de 2019 ont été un cauchemar complet et absolu, et c'était l'année où la reprise était censée commencer. Mais au lieu de cela, «des centaines de milliers d'acres» sont actuellement entièrement ensevelis par l'eau…
Pour la deuxième année consécutive, des inondations généralisées ont laissé des centaines de milliers d'acres de terres agricoles sous l'eau, ruinant des récoltes entières. Et maintenant, avec leurs champs submergés, les agriculteurs se préparent pour une autre année sans revenu. Pendant ce temps, d'innombrables autres agriculteurs voient leur saison de croissance ruinée par une sécheresse écrasante.
Je sais que vous êtes nombreux à lire cet article et à penser que ce que je dis semble contradictoire.
Après tout, comment peut-il y avoir à la fois de graves inondations et une grave sécheresse ?
Je sais que cela semble très étrange, mais cela se produit réellement. Nous assistons à de graves inondations le long du fleuve Mississippi, et en même temps, les conditions de sécheresse historiques créent des problèmes énormes dans une grande partie de la moitié ouest du pays.
En fait, on nous dit que les conditions de sécheresse dans certaines régions sont déjà devenues les pires «depuis près d'une décennie»…
Les conditions de sécheresse dans tout le pays atteignent leurs pires niveaux depuis près d'une décennie.
Cet été, la sécheresse a frappé de grandes parties des États-Unis, en particulier les pâturages et les pâturages clés des éleveurs. Mais les récoltes connaissent également des tendances à la baisse de la qualité en raison du temps chaud et sec. Les choses vont particulièrement mal dans le sud-ouest et cela rend la vie très difficile à de nombreux éleveurs…
La partie la plus touchée du pays, avec les niveaux de sécheresse les plus élevés, se trouve dans les pays bovins: l'ouest du Texas, le Nouveau-Mexique, l'Oklahoma, le Colorado et le Kansas. Cela a conduit à des terres arables et des pâturages très endommagés et secs, ce qui pourrait forcer les éleveurs à investir dans d'autres options d'alimentation pour le bétail. Seuls 36 % des pâturages et des pâturages du pays sont jugés bons ou excellents; 30 % sont jugés médiocres ou très pauvres, rapporte FarmFutures.
Si vous regardez la dernière carte du US Drought Monitor, vous verrez que la sécheresse est la pire dans les régions où le «Dust Bowl» original s'est développé dans les années 1930. Ceux qui suivent régulièrement mon travail savent que je mets en garde contre le retour du «Dust Bowl» depuis de nombreuses années, et maintenant cela commence à se produire.
2020 semble être une année où les mauvaises nouvelles ne se terminent jamais. Nous avons d'abord été frappés par la pire crise de santé publique en 100 ans, puis l'économie américaine s'est effondrée, puis des émeutes massives ont éclaté dans nos grandes villes, et maintenant les fermes sont absolument dévastées partout aux États-Unis.
Tout au long de l'année 2019, j'ai averti qu'une «tempête parfaite» allait arriver, et ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que l'avant-garde de cette tempête.
Je vous encourage donc à profiter de la tranquillité relative du mois d'août pour vous préparer à ce qui nous attend, car le mois de septembre est presque là et l'élection présidentielle approche à grands pas.
La Virginie prévoit des vaccinations obligatoires contre le COVID-19 pour tous les résidents
par Tyler Durden Ven, 21/08/2020 - 21:40
Alors que les chiffres d'hospitalisation de vendredi à travers la Sun Belt semblent confirmer l'affirmation du chef du CDC, le Dr Robert Redfield, selon laquelle l'épidémie américaine de COVID-19 a atteint un pic et commence à s'estomper, l'État de Virginie crée un nouveau précédent en discutant sérieusement de forcer les Virginiens à se faire vacciner. avec n'importe quel candidat pressé pour être marqué que la FDA approuve en premier.
Lors d'une interview diffusée vendredi, le commissaire à la santé de l'État a déclaré qu'il prévoyait d'invoquer la loi de l'État pour rendre les vaccinations obligatoires - une fois qu'un produit occidental serait disponible, vraisemblablement.
En savoir plus sur ABC News 8:
Le commissaire à la santé de l'État, le Dr Norman Oliver, a déclaré vendredi à 8News qu'il prévoyait de rendre obligatoire la vaccination contre le coronavirus pour les Virginiens une fois que celle-ci sera mise à la disposition du public.
La loi de l'État de Virginie donne au commissaire à la santé le pouvoir de mandater des vaccinations immédiates pendant une crise de santé publique si un vaccin est disponible. Les responsables de la santé affirment qu'une vaccination pourrait être publiée dès 2021.
Le Dr Oliver dit que, tant qu'il est encore commissaire à la santé, il a l'intention de rendre obligatoire le vaccin contre le coronavirus.
"Il tue des gens maintenant, nous n'avons pas de traitement pour cela et si nous développons un vaccin qui peut l'empêcher de se propager dans la communauté, nous sauverons des centaines et des centaines de vies", a déclaré Oliver.
Les militants pro-choix médical dans l'État soutiennent que la question est une question de choix médical et que le processus d'approbation "accéléré" mis en œuvre par la FDA est un motif de préoccupation. Les autorités sanitaires de l'État insistent, quant à elles, sur le fait qu'elles n'imposeraient jamais un vaccin qui ne se serait pas déjà avéré sûr.
La directrice des communications de Virginia Freedom Keepers, Kathleen Medaries, mère de trois enfants de Chesterfield, dit que c'est une question de choix médical. Ce n'est pas une question républicaine ou démocrate. Ce n’est pas un problème pro-vaccin ou anti-vaccin », a déclaré Medaries.« Pour moi, il s’agit de pouvoir évaluer chaque vaccin pour moi-même et ma famille, un à la fois.
[...]
«Il ne devrait pas être la seule personne à prendre une décision pour tous les Virginiens», a répondu Medaries.
Le plus haut responsable médical de l'État est opposé à un projet de loi présenté à l'assemblée de l'État qui créerait davantage d'exemptions au pouvoir de vaccination obligatoire, autorisant des exemptions pour des motifs religieux et autres.
Oliver pense que le COVID-19 est une urgence de santé publique qui devrait prévaloir sur tout le reste, et que l’immunité collective assistée par vaccin est la meilleure et la seule véritable défense de l’État.
La décision intervient après que le Massachusetts a déclaré qu'il rendrait le vaccin contre la grippe obligatoire cette année dans le cadre d'une campagne visant à protéger le système médical de l'État. Nous soupçonnons que la Virginie et le Massachusetts ne seront pas les seuls États à discuter de la vaccination obligatoire contre le COVID et / ou la grippe dans les semaines à venir, au début de l'année scolaire.
Visualiser d'où viennent les prochains milliards d'utilisateurs Internet ?
par Tyler Durden Ven, 21/08/2020 - 23:40
L'adoption d'Internet n'a cessé d'augmenter au fil des ans - elle a plus que doublé depuis 2010.
Mais, comme l'explique Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, malgré son utilisation généralisée, une partie importante de la population mondiale n'est toujours pas connectée à Internet, et dans certaines régions du monde, le nombre de personnes déconnectées tend vers des pourcentages plus élevés.
À l'aide des informations de DataReportal, ce visuel met en évidence les régions où le plus grand nombre de personnes est déconnecté du Web. Nous allons également nous pencher sur les raisons pour lesquelles certaines régions affichent de faibles chiffres et examiner les pays qui ont connu la plus forte croissance l’année dernière.
- voir tableau sur site -
Top 10 des plus déconnectés, par nombre de personnes
La majorité des pays avec des taux d'accès Internet inférieurs se trouvent en Asie et en Afrique. Voici un aperçu des 10 pays qui comptent le plus grand nombre de personnes non connectées au Web:
- voir tableau sur site -
Il est intéressant de noter que l'Inde compte le plus grand nombre de personnes déconnectées malgré le deuxième marché en ligne au monde. Cela étant dit, 50% de la population du pays n’a toujours pas accès à Internet - à titre indicatif, seulement 14% de la population américaine reste déconnectée du Web. De toute évidence, l'Inde a un potentiel inexploité.
La Chine occupe la deuxième place, avec plus de 582 millions de personnes non connectées à Internet. Cela est en partie dû à l’importante population rurale du pays - en 2019, 39% de la population du pays vivait en zone rurale.
L'écart d'accès à Internet entre la Chine rurale et urbaine est important. Cela s'est manifesté lors du récent passage de la Chine à l'apprentissage en ligne en réponse à la pandémie. Alors qu’un tiers des enfants des écoles élémentaires vivant dans les zones rurales n’ont pas pu accéder à leurs cours en ligne, seuls 5,7% des citadins n’ont pas pu se connecter.
Il est important de noter que la fracture rurale-urbaine est un problème dans de nombreux pays, pas seulement en Chine. Même des endroits comme les États-Unis ont du mal à fournir un accès Internet aux zones rurales reculées ou accidentées.
Top 10 des plus déconnectés, par part de la population
Alors que l'Inde, la Chine et le Pakistan comptent le plus grand nombre de personnes sans accès à Internet, certains pays sont sans doute plus déconnectés.
Voici un aperçu des 10 pays les plus déconnectés, par part de la population:
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ces régions ont un pourcentage élevé de personnes qui ne sont pas en ligne - certaines sont politiques, ce qui est le cas de la Corée du Nord, où seules quelques personnes choisies peuvent accéder au Web plus large. Les citoyens ordinaires ne peuvent pas utiliser Internet dans le monde, mais ont accès à un intranet national appelé Kwangmyong.
D'autres raisons sont d'ordre financier, ce qui est le cas au Soudan du Sud. Le pays est aux prises avec des conflits civils et des difficultés économiques depuis des années, ce qui a causé une pauvreté généralisée dans tout le pays. Il a également étouffé le développement des infrastructures - seulement 2% du pays a accès à l’électricité en 2020, ce qui explique pourquoi si peu de gens ont accès au Web.
Dans le cas de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, une population rurale massive est probablement la raison de son faible pourcentage d'utilisateurs d'Internet - 80% de la population vit dans des zones rurales, avec peu ou pas de connexion à la vie moderne.
Régions à la croissance la plus rapide
Alors que les progrès d'Internet comme la 5G se produisent dans certaines régions et ne montrent aucun signe de ralentissement, il reste encore un long chemin à parcourir avant d'atteindre la connectivité mondiale.
Malgré le long chemin à parcourir, l'écart se resserre et les marchés jusqu'alors inexploités connaissent une croissance significative. Voici un aperçu des cinq principales régions à croissance rapide:
- voir tableau sur site -
L'Afrique a connu une croissance significative, principalement en raison d'un pic massif d'internautes en République démocratique du Congo (RDC) - entre 2019 et 2020, le nombre d'internautes du pays a augmenté de 9 millions (+ 122%). Cette croissance a été facilitée par des organisations à but non lucratif et des entreprises comme Facebook, qui ont beaucoup investi dans le développement de la connectivité Internet en Afrique.
L'Inde a également connu une croissance significative: entre 2019 et 2020, le nombre d'utilisateurs d'Internet dans le pays a augmenté de 128 millions (+ 23%).
Si ces pays continuent de croître à des rythmes similaires, qui sait à quoi ressemblera la répartition des internautes dans les prochaines années ?
Découvrez les nouvelles toilettes publiques transparentes de Toyko
par Tyler Durden Ven, 21/08/2020 - 22:20
Ayant finalement résolu le grand casse-tête de la politique monétaire, le Japon est maintenant passé à d'autres problèmes sociétaux cruciaux, comme celui d'amener les gens à se sentir à l'aise dans les toilettes publiques.
Du moins, c'était la pensée derrière les nouvelles toilettes publiques transparentes de Tokyo: pour aider à soulager «l'anxiété des toilettes», selon Forbes.
Au Japon, où les toilettes publiques sont tenues à un niveau de propreté plus élevé que la plupart des autres endroits dans le monde, les habitants du pays «craignent toujours que les toilettes publiques soient sombres, sales, malodorantes et effrayantes».
C'est pourquoi la Nippon Foundation à but non lucratif a lancé "The Tokyo Toilet Project", qui a demandé à 16 architectes bien connus de rénover 17 toilettes publiques situées dans l'un des quartiers les plus fréquentés de Tokyo, les parcs publics de Shibuya.
L'idée était d'appliquer un design qui rendrait les salles de bain publiques confortables et accessibles à tous. La Nippon Foundation a pour objectif «que les gens se sentent à l'aise d'utiliser ces toilettes publiques et de favoriser un esprit d'hospitalité pour la personne suivante».
L'architecte Shigeru Ban, lauréat du prix Pritzker, est le cerveau des toilettes transparentes. Le smartglass avec lequel ils sont construits devient opaque lorsque quelqu'un y est. La Nippon Foundation a commenté: «Il y a deux problèmes avec les toilettes publiques, en particulier celles situées dans les parcs. Le premier est de savoir s'il est propre à l'intérieur, et le second est que personne n'attend secrètement à l'intérieur.
«La nuit, ils éclairent les parcs comme une magnifique lanterne», a conclu la Fondation.
Voici à quoi ressemble une nation coupée du reste du monde
par Tyler Durden Ven, 21/08/2020 - 21:20 Soumis par Christopher Dembik de Saxobank
Plus tôt ce matin, il y a eu quelques publications de données japonaises. L'inflation des prix à la consommation au Japon était sans intérêt avec un taux à 0% en glissement annuel. Si nous constatons des variations de prix relatifs dans de nombreux pays, l’histoire de base pour le moment est que l’inflation restera faible dans la plupart des pays. En outre, l'Organisation nationale du tourisme du Japon a publié ses dernières données concernant le flux de visiteurs étrangers en juillet. En gros, cela montre à quoi ressemble une nation coupée du reste du monde.
- voir graphique sur site -
Le flux de visiteurs étrangers au Japon publié par l'Organisation nationale du tourisme du Japon est sorti ce matin.
Le pays était censé accueillir un nombre sans précédent de supporters olympiques du monde entier à peu près maintenant, mais la pandémie a tout chamboulé.
Les arrivées de visiteurs étrangers plongent de 99% en glissement annuel en juillet, à 3 800 individus (en légère hausse par rapport au mois précédent, alors qu'il s'élevait à 2 600 personnes). À titre de comparaison, au début de l’année, le pays a enregistré plus de 2,6 millions de visiteurs étrangers en un mois.
Alors que le pays s'attendait à attirer environ 40 millions de visiteurs cette année, le nombre final pour 2020 pourrait tomber à 7-8 millions au mieux, ce qui représenterait une baisse de 80% par rapport à l'objectif. Au cours des dernières années, la contribution des voyages et du tourisme au PIB a considérablement augmenté, pour atteindre 7% en 2019, grâce aux incitations du gouvernement à promouvoir le tourisme étranger via une campagne de marketing à l'étranger et à assouplir les exigences en matière de visa.
Le COVID-19 constitue un sérieux revers pour les espoirs du gouvernement en matière de tourisme et il est peu probable que la récente campagne de stimulation du tourisme intérieur lancée le 22 juillet compensera les pertes générées par la baisse du flux de visiteurs étrangers. Étant donné que le nombre de nouveaux cas de COVID-19 a fortement augmenté depuis la mi-juillet et que de nombreux pays au niveau mondial sont confrontés au risque aigu de deuxième vague, le pays ne devrait pas rouvrir aux étrangers de si tôt et repoussera probablement les plans initiaux à que les étudiants et les hommes d’affaires étrangers reviennent.
Comme le Japon, de nombreux autres pays ont décidé de fermer les frontières pour lutter contre la propagation du virus, frappant ainsi durement le secteur du tourisme. Au début de la pandémie, de nombreux économistes ont sous-estimé l'effet d'entraînement négatif sur le tourisme.
Aujourd'hui, il existe un large consensus sur le fait que le tourisme mondial ne reviendra pas à la normale avant au moins 2022-2023, s'il revenait un jour à la normale.
Pourquoi des 'ordinateurs plus intelligents' ne rendront pas le socialisme plus viable
par Tyler Durden Ven, 21/08/2020 - 20:40 Rédigé par Mark DeWeaver via The Mises Institute,
Les économistes autrichiens se sont traditionnellement opposés à la planification centrale au motif qu'une grande partie des connaissances économiquement pertinentes dans la société ne pourrait jamais être mise à la disposition d'une seule autorité de planification. Mais aujourd'hui, avec un volume et une variété de données sans précédent et sans cesse croissants désormais potentiellement accessibles au planificateur, il semble qu'un gouvernement omniscient soit possible après tout. La révolution du big data a-t-elle rendu obsolètes les arguments de marché de Ludwig von Mises et Friedrich von Hayek ?
Dans le chapitre 3 de leur best-seller de 1920, L'ABC du communisme, les théoriciens soviétiques Nikolai Bukharin et Yevgeni Preobrazhensky ont affirmé que dans la société communiste du futur, l'État «saurait à l'avance combien de travail attribuer aux diverses branches de l'industrie; quels produits sont nécessaires et quelle quantité de chacun il faut produire; comment et où les machines doivent être fournies. »
En réalité, bien sûr, l'Union soviétique n'a jamais été près de réaliser cette vision.
Étant donné l'impossibilité de fixer des objectifs pour les millions d'éléments individuels requis par une économie moderne, la planification au plus haut niveau a dû être limitée à quelque soixante mille catégories agrégées, qui ont ensuite été désagrégées aux niveaux inférieurs de la bureaucratie (voir le chapitre 7 de János Le système socialiste de Kornai pour en savoir plus sur la planification en URSS). Contrairement aux attentes de Boukharine et de Preobrazhensky, le résultat a été un échec chronique dans l’affectation efficace des ressources. Les pénuries de biens industriels et de consommation essentiels sont devenues la norme.
Cet échec aurait-il pu être évité si seules des capacités de calcul plus avancées avaient été disponibles ? De nos jours, les problèmes impliquant des millions de variables ne sont plus insolubles. Le jour serait-il enfin arrivé où, comme l'écrivait Oscar Lange en 1967, le processus de marché «peut être considéré comme un dispositif informatique de l'ère pré-électronique ?»
Comme plusieurs auteurs l'ont récemment fait valoir (ici et ici, par exemple), en l'absence de marchés, la planification devrait se dérouler sans les informations sur les conditions de l'offre et de la demande révélées par les transactions réelles. À court terme, il pourrait être possible de prendre des décisions sur «quels produits sont nécessaires et quelle quantité de chacun il faut produire» sur la base des équilibres offre-demande prévalant dans une économie de marché préexistante, mais à mesure que la situation changerait, le plan perdre rapidement sa pertinence pour le monde réel. Tôt ou tard, le planificateur finirait par «patauger dans l'océan des combinaisons économiques possibles et imaginables sans la boussole du calcul économique», comme le disait Mises dans Calcul économique dans le Commonwealth socialiste.
Mais en fait, une objection encore plus fondamentale peut être soulevée: le processus de marché ne ressemble en rien à un appareil informatique. Comme les économistes autrichiens l'ont longtemps souligné, la concurrence sur les marchés n'est pas simplement un mécanisme de transition vers des résultats d'équilibre préexistants. C'est plutôt un moteur de création de connaissances et de découverte entrepreneuriale. Gérer une entreprise ne consiste pas seulement à résoudre l'incertitude sur les «inconnues connues» grâce à une procédure d'apprentissage ordonnée. Elle nécessite des prises de conscience sur des «inconnues inconnues» qui n'ont pas joué initialement de rôle dans la prise de décision.
Prenons, par exemple, le cas célèbre de l'utilisation de l'analyse de données par Walmart pour prédire une augmentation de la demande de Pop-Tarts aux fraises dans les zones sur le point d'être touchées par l'ouragan Frances en 2004. Comme une série de zéros et de uns dans la mémoire de l'ordinateur, le grand les données derrière cette prédiction n'étaient pas en soi des informations. Elle devait d'abord être interprétée par un être humain incité à répondre à une question particulière et à une hypothèse sur les variables susceptibles d'être significatives. Quelqu'un devait avoir l'intuition qu'un événement météorologique défavorable pouvait créer une opportunité de profit à un moment et à un endroit particuliers. Les mégadonnées et l'intelligence artificielle sont des outils pour améliorer le processus de découverte entrepreneuriale, et non un substitut à l'inspiration du participant au marché à la recherche de profits.
L’existence de grandes bases de données ne facilite pas la centralisation du stock de connaissances utiles de la société, car les connaissances locales sont nécessaires pour faire un usage productif des données. Les «planificateurs», comme le souligne Israel Kirzner dans le chapitre 2 de La signification du processus de marché, «ne savent tout simplement pas quoi chercher: ils ne savent pas où ni de quelle nature se trouvent les lacunes dans les connaissances.» Même s'ils étaient dotés de liens vers chaque nœud de réseau existant, ils seraient toujours incapables de reproduire les idées d'innombrables décideurs individuels, chacun avec son propre point de vue unique et sa motivation distincte pour générer des idées basées sur les données.
L'analyse des mégadonnées est un moyen de renforcer le processus de marché en réduisant les coûts de recherche, pas un moyen de le remplacer. Cette technologie a sans aucun doute des implications opérationnelles importantes pour les entreprises individuelles. Mais cela ne rend pas l'entreprise privée moins nécessaire en tant qu'institution pour une allocation efficace des ressources. En effet, les mégadonnées ne sont absolument pas pertinentes pour le problème des connaissances locales de Hayek, car elles ne fournissent aucun moyen nouveau d’agréger les connaissances de différents individus. Les mégadonnées, bien que couvrant une multitude de situations locales différentes, ne sont pas des connaissances. Les logiciels d'intelligence artificielle ne «savent» rien.
Il n'y a donc aucune raison de penser que la planification centrale pourrait mieux fonctionner avec des ensembles de données plus volumineux et une puissance de traitement plus rapide qu'à l'époque soviétique, lorsque la planification devait être faite avec des règles à calcul et des mainframes primitifs. Des appareils plus intelligents ne rendront pas le socialisme plus intelligent.
Sensationnel. Une carence en vitamine D peut causer 40% des décès respiratoires chez les personnes âgées
C’est vraiment un scandale.
August 22nd, 2020
Vous manquez la vitamine Sunshine ?
Les historiens s'émerveilleront de ce que les sociétés qui étaient suffisamment avancées pour diffuser des émissions de télé-réalité à 100 millions de bits par seconde, étaient aussi tellement en arrière que la moitié de la population était déficiente en vitamine D - quelque chose qui coûte 6 cents la dose ou est exempt du soleil. . Près de 60% des Allemands plus âgés étaient déficients, et l'étude ESTHER met un point précis sur combien cela compte. Près de 10000 personnes ont été suivies pendant 15 ans en Allemagne, et pendant cette période, environ la moitié des personnes décédées de maladies respiratoires pourraient ne pas être décédées si elles avaient suffisamment de vitamine D.
Dans cette étude allemande, 44% n'avaient pas suffisamment de vitamine D et environ 1 personne sur 6 a des niveaux si bas qu'ils sont cliniquement déficients.
Imaginez si quelqu'un a trouvé un médicament qui a arrêté près de la moitié de tous les décès dus à la grippe ?
À l'heure actuelle, l'hémisphère nord a des niveaux plus élevés de vitamine D que la plupart des mois, ce qui réduit probablement les taux de mortalité. Le message doit être diffusé sur la vitamine D avant le prochain hiver nordique.
- voir graphique sur site -
Vitamine D, étude Esther, Allemagne, carence, mortalité. Plus de la moitié de la population est déficiente.
En termes de maladies respiratoires, les personnes dont la vitamine D était inférieure aux niveaux recommandés étaient deux fois plus susceptibles de mourir. Et ceux qui étaient cliniquement déficients étaient trois fois plus susceptibles de mourir.
Cela était particulièrement vrai pour les femmes, avec un risque de mourir jusqu'à huit fois plus élevé.
Comme je l'ai dit en avril - La vitamine D affecte 200 gènes et est impliquée dans de nombreuses afflictions:
Les niveaux de vitamine D sont également en corrélation avec des taux plus faibles de cancer, de diabète, d'hypertension artérielle, d'asthme, de maladies cardiaques, de caries dentaires, de prééclampsie, de maladies auto-immunes, de dépression, d'anxiété et de troubles du sommeil. La vitamine D influence plus de 200 gènes. C’est si crucial que c’est probablement la raison pour laquelle les Européens du Nord ont développé une peau plus blanche. Le manque de lumière du soleil et l'introduction de céréales dans les régimes alimentaires (par opposition à la consommation de foie et de baleines) signifiaient que les Européens ne recevaient pas suffisamment de D de la nourriture ou du soleil. La pression sélective était si forte qu'une peau plus claire a rapidement envahi toutes les communautés nordiques. Les Esquimaux n’avaient pas besoin de devenir blancs - ils recevaient encore du D des abats et beaucoup de poisson.
Contexte. La pandémie de COVID-19 s'accompagne d'une mortalité accrue due à une maladie respiratoire aiguë, et les mesures visant à limiter la propagation de l'infection s'accompagnent d'un risque accru de carence en vitamine D, en particulier parmi les groupes à haut risque. Il a été suggéré que la supplémentation en vitamine D3 pourrait aider à réduire la mortalité due aux maladies respiratoires. Méthodes. Nous avons évalué la prévalence de l'insuffisance et de la carence en vitamine D, définie par des taux sanguins de 25 (OH) D de 30 à 50 et <30 nmol / L, respectivement, et leur association avec la mortalité due aux maladies respiratoires pendant 15 ans de suivi dans un cohorte de 9548 adultes âgés de 50 à 75 ans de la Sarre, en Allemagne. Résultats. L'insuffisance et la carence en vitamine D étaient courantes (44% et 15%, respectivement). Par rapport à un statut suffisant en vitamine D, la mortalité par maladie respiratoire était respectivement de 2,1 (95% -CI 1,3-3,2) et de 3,0 (95% -CI 1,8-5,2). Bien que des augmentations significatives aient été observées chez les femmes et les hommes, elles étaient beaucoup plus fortes chez les femmes, avec une augmentation de 8,5 (IC à 95% 2,4-30,1) et 2,3 (IC à 95% 1,1-4,4) de la mortalité par maladie respiratoire en cas de vitamine D déficit chez les femmes et les hommes, respectivement (valeur p pour l'interaction = 0,041). Dans l'ensemble, 41% (IC à 95% 20% -58%) de la mortalité par maladie respiratoire était statistiquement attribuable à une insuffisance ou une carence en vitamine D. Conclusion. L'insuffisance et la carence en vitamine D sont courantes et représentent une grande partie de la mortalité par maladie respiratoire chez les personnes âgées, ce qui confirme les suggestions selon lesquelles la supplémentation en vitamine D3 pourrait contribuer de manière majeure à limiter le fardeau de la pandémie de COVID-19, en particulier chez les femmes.
Ne vous faites pas prendre sans votre vitamine D.
(MISE À JOUR: et si vous prenez D3, il vaut mieux ajouter également K2 de peur que Ca ne se retrouve dans vos artères au lieu de vos os).
RÉFÉRENCE
Brenner, Holleczek et Schoettker, B. (2020) Insuffisance et carence en vitamine D et mortalité due aux maladies respiratoires dans une cohorte de personnes âgées: potentiel de limitation du nombre de décès pendant et au-delà de la pandémie COVID-19, https: // www. medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.22.20137299v1
Voir aussi: La carence en vitamine D affecte de nombreux problèmes de santé.
1. L’huile de foie de morue. Avec 250 µg de vitamine D pour 100 g (ou 10 cl), c’est la championne toute catégorie. Si son goût particulier vous dérange, il est possible de l’ingérer sous forme de gélules. De manière générale, toutes les huiles de poisson – ainsi que l’huile d’olive – sont bénéfiques. Le foie de veau est également riche en vitamine D.
2. Le hareng. Ce poisson des mers froides est une excellente source en vitamine D : pour 100 g, il en contient entre 13 et 22 µg. Cette variation est due aux différents modes de préparation possibles. Pour une bonne conservation de la teneur en vitamine D, préférez le hareng fumé, grillé ou mariné.
3. Les maquereaux. Avec une teneur moyenne de 13 µg pour 100 g, les maquereaux – que l’on choisit plutôt frits – constituent une source en vitamine D à ne pas négliger.
4. Les sardines. Elles contiennent environ 12 µg de vitamine D pour 100 g. Les sardines grillées ou à l’huile sont les plus bénéfiques pour un apport important en vitamine D.
5. Le saumon/la truite. Ces deux poissons gras contiennent en moyenne 10 µg de vitamine D pour 100 g. Pour conserver le maximum de teneur en vitamine D, préférez la cuisson à la vapeur pour le saumon et au four pour la truite.
6. Le thon en boîte. Sa teneur en vitamine D est d’environ 7 µg pour 100 g. Le thon cru en est tout aussi riche.
7. Le chocolat noir. Il contient environ 5 µg de vitamine D pour 100g. Pour une teneur optimale en vitamine D, choisissez un chocolat noir composé d’au moins 40% de cacao.
8. Le lait. Essentiel pour son apport en calcium, le lait est également riche en vitamine D, avec 3,70 µg pour un verre de 250 ml. Le lait de vache entier est le plus bénéfique.
9. Les œufs. La vitamine D est principalement concentrée dans le jaune d’œuf cru : 3,25 µg pour 100 g.
10. Les champignons. Avec 1,18 µg de vitamine D pour 100g, les champignons de Paris cuits permettent un apport non-négligeable en vitamine D tout en faisant le plein de minéraux et de vitamine B.
Les objets qu’il ne faut jamais garder près de son portable énumérés par un expert
16:38 22.08.2020
Aujourd’hui, nous sommes tous inséparables de notre téléphone portable qui nous suit partout et toujours. Mais ce compagnon demande un minimum d’attention, par exemple, en regardant où nous le posons.
Nombreux sont ceux qui oublient de prendre certaines précautions en utilisant leur téléphone portable, alors que toute technologie nécessite une attention particulière, a déclaré à l’agence Prime Alexandre Timofeïev, détenteur d’une chaire à l’université économique Plekhanov.
Par exemple, poser un téléphone sur un autre est à prohiber car les signaux radio sont présents en grande quantité en un point donné, ce qui ne fait pas de bien à ceux qui se trouvent à côté, a-t-il expliqué.
«Il est également fortement déconseillé de poser à côté du portable ou de glisser dans son étui votre carte bancaire, car la durée de vie de cette dernière s’en trouvera considérablement réduite en raison de la radiofréquence.»
Alexandre Timofeïev, à la place des femmes, éviterait de placer son téléphone près des produits de beauté dans le sac à main. En effet, les étuis, par exemple, les écrins de rouges à lèvres, se ferment souvent à l’aide d’un aimant, ce qui peut affecter la connexion et le signal du mobile.
Autres astuces
Précédemment, Alexandre Timofeïev avait expliqué ce qu’il fallait faire pour augmenter la durée de vie de son smartphone, recommandant de le poser l’écran vers le bas, notamment pour éviter de rayer la caméra et refroidir la batterie.
D’autres experts avaient évoqué les gestes à adopter si l’appareil était tombé à l’eau et ne manifestait plus aucun signe de vie, ainsi que donné des conseils pour atténuer l’impact nocif d’un cellulaire, comme réduire la durée des appels et faire une pause d’une dizaine de minutes entre chaque conversation téléphonique.
Le Green New Deal signifie une rupture monumentale
Pas seulement pour l'énergie, mais pour tous les aspects de notre vie, notre niveau de vie, notre culture et nos libertés
22 août 2020 David Wojick et Paul Driessen
Kamala Harris a coparrainé la résolution du Sénat pour soutenir le Green New Deal. Maintenant, Joe Biden a approuvé le plan. Naturellement, les gens veulent savoir ce que coûtera le GND - c'est-à-dire généralement dans les dépenses du gouvernement fédéral et des États. Mais c'est la mauvaise question.
La vraie question est de savoir combien les Green New Dealers s'attendent à en retirer, à quel coût total ? M. Biden dit qu'il souhaite que le gouvernement fédéral dépense près de 7 billions de dollars au cours de la prochaine décennie pour les soins de santé, la transformation de l'énergie et du logement, le changement climatique et d'autres points à l'ordre du jour de GND. Mais ce n'est qu'une partie de l'image.
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez (qui a un diplôme dans une version socialiste de l'économie) et les personnes qui l'ont aidée à rédiger le soi-disant plan climatique de Biden ont une idée claire de combien d'argent ils veulent et savent à peu près où ils en attendent. venir de. Le voici dans sa forme la plus claire, comme l’a déclaré le chef d’état-major du représentant Ocasio-Cortez, Saikat Chakrabarti:
«La résolution décrit le plan décennal visant à transformer chaque secteur de notre économie pour éliminer les GES [gaz à effet de serre] et la pollution. Il dit qu'il le fait grâce à d'énormes investissements dans les énergies renouvelables, à l'échelle de la Seconde Guerre mondiale (qui représentait 40 à 60% du PIB américain). »
La Seconde Guerre mondiale a été une période de grands sacrifices et d'épreuves, dans le cadre d'une mobilisation dramatique et historique pour gagner une horrible guerre mondiale. Cependant, cette dure réalité n’a pas d’importance pour ces gens. Ils disent que nous menons maintenant une guerre pour arrêter un changement climatique catastrophique. L'argent, les sacrifices et les perturbations n'ont donc aucune importance.
Le PIB de notre pays est d’environ 20 000 milliards de dollars par an, ou 200 000 milliards de dollars en dix ans. 40 à 60% de ce montant représentent 80 à 120 milliards de dollars. Pour simplifier, appelons cela même 100 000 milliards de dollars pour financer le rêve utopique du Green New Deal.
100 billions de dollars ! Les voies et moyens de collecter cette somme prodigieuse sont également clairs dans leur esprit. Cela se fera de la même manière que la Seconde Guerre mondiale a été financée, quoi qu'il en soit. Pour eux, il est évident que nous pouvons simplement le faire, car nous l'avons fait avant. Les détails n’ont pas d’importance. Les élites gouvernementales les comprendront.
Mais même cette attitude arrogante et cavalière n'est qu'une partie du tableau.
Si vous lisez ce que disent les Green New Dealers, la confusion surgit parce que les gens pensent que le GND est une proposition politique ordinaire: "Voici ce que nous voulons faire, et voici ce que cela devrait coûter." Ce n’est rien de tout cela. Le Green New Deal s'inscrit davantage dans le sens du suivant: "Voici le niveau d'effort dont nous avons besoin pour transformer l'ensemble de notre économie, et c'est ce que nous devrions être en mesure de faire avec autant d'argent."
Les gens ont tendance à interpréter le discours du Green New Dealer sur une mobilisation semblable à la Seconde Guerre mondiale comme une simple métaphore. Mais ces gens le pensent comme une mesure réelle de ce qu'ils sont déterminés à faire. Jusqu'à présent, ils ont passé sous silence et ignoré les difficultés extrêmes de la mobilisation. Voici juste un exemple - pas du chaos des lignes de front, mais du front intérieur des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale.
L'essence, la viande et les vêtements étaient étroitement rationnés. La plupart des familles recevaient trois gallons d'essence américains par semaine, ce qui réduisait considérablement la conduite automobile, quel qu'en soit le but. La production de la plupart des biens durables, comme les voitures, les nouveaux logements, les aspirateurs et les appareils de cuisine, a été interdite jusqu'à la fin de la guerre. Dans les zones industrielles, le logement était rare car les gens doublaient et vivaient dans des locaux exigus. Les prix et les salaires étaient contrôlés. [Harold Vatter, L'économie américaine pendant la Seconde Guerre mondiale]
Nul doute que la mobilisation du Green New Deal imposerait différentes difficultés. Mais toutes les mobilisations sont oppressantes. Vous ne pouvez pas réquisitionner la moitié du PIB sans infliger de graves perturbations à la vie des gens.
L'argument est solide à sa manière, à condition qu'il y ait un besoin de guerre totale - ce qui n'est pas le cas. Les changements mineurs à modestes de température, de climat et de conditions météorologiques extrêmes que nous avons observés (dans le monde réel en dehors des modèles informatiques) expliquent pourquoi la plupart des Américains ne voient pas la nécessité d’une guerre douloureuse. Il en va de même du fait que la Chine, l'Inde et d'autres économies émergentes ne sont pas sur le point d'abandonner les combustibles fossiles de si tôt.
En fait, les sondages montrent qu'environ la moitié des Américains ne croient même pas en l'idée du réchauffement climatique causé par l'homme, et encore moins qu'il s'agit d'une «menace existentielle», comme le prétend le sénateur Harris. Le dernier sondage Gallup a révélé que seulement 1% des adultes américains considèrent «le changement climatique / l'environnement / la pollution» comme «le problème le plus important auquel ce pays est confronté aujourd'hui». C'est en baisse par rapport aux maigres 2% du sondage du 28 mai au 4 juin.
Encore plus révélateur, un sondage AP-NORC de 2019 a révélé que 68% des Américains adultes n'étaient pas disposés à payer ne serait-ce que 10 $ de plus sur leur facture d'électricité mensuelle pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, 57% d'entre eux ne seraient pas prêts à payer plus de 1,00 $ de frais d'électricité supplémentaires pour lutter contre le changement climatique !
Attendez simplement de voir ce que leur coûterait le New Deal vert Biden-Harris-AOC-démocrate.
Et ce n'est pas seulement que leurs coûts monteraient probablement en flèche, passant d'une moyenne de 13,2 ¢ US le kilowattheure (11,4 ¢ ou moins dans dix États) à bien au-delà des près de 20 ¢ par kWh que les familles paient déjà en Californie et à New York, ou le 30 ¢ que les familles paient maintenant dans l'Allemagne ultra-verte. Ou que les usines, les entreprises, les hôpitaux, les écoles et tout le monde verraient également leurs coûts augmenter - avec les familles de cols bleus, les malades et les personnes âgées, les communautés pauvres et minoritaires martelées le plus durement.
C’est que le GND obligerait tous les Américains à remplacer leurs voitures et camions à essence et diesel par de coûteux véhicules électriques à courte distance; leurs fours à gaz et leurs cuisinières avec des systèmes électriques; leurs systèmes électriques et de transmission domestiques, locaux et étatiques avec des mises à niveau coûteuses qui peuvent gérer une économie totalement électrique. Ils verront leurs paysages, leurs côtes et leurs habitats fauniques recouverts d’éoliennes, de panneaux solaires, de lignes de transmission et d’entrepôts remplis de milliers de batteries d’une demi-tonne. Pratiquement tous les composants de cette nation GND seraient fabriqués en Chine et dans d'autres pays lointains.
Le coût de cette transformation massive et totale de notre système énergétique et économique atteindrait facilement 10 000 milliards de dollars: 30 000 dollars par personne ou 120 000 dollars par famille - en plus de la flambée des prix de l'électricité. Et ce n’est que la composante énergétique intermittente et peu fiable de ce Green New Deal englobant.
Ce sont des coûts et des sacrifices personnels extraordinaires et scandaleux. Chaque Américain, à chaque événement de campagne et réunion municipale, devrait demander aux partisans du Green New Deal s'ils pensent que l'Amérique a besoin - ou peut se permettre - de cracher 10 billions de dollars ou 100 billions de dollars au cours des dix prochaines années. Et ne les laissez pas s'en tirer avec des réponses désinvoltes, évasives ou des tentatives de rire de ces questions comme sans fondement ou sans pertinence.
Le peuple américain n'est pas sur le point d'être mobilisé dans une guerre totale contre le changement climatique douteux, avec des étiquettes de prix comme celles-ci associées à des pannes répétées, d'énormes sacrifices personnels et un chômage massif dans tous les secteurs de l'économie - sauf parmi les classes dirigeantes éclairées du gouvernement. .
Ils ont déjà vu des reportages sur les dernières coupures de courant en Californie (ici, ici, ici et ici) - résultant d'un tiers de l'électricité de cet État provenant de sources «renouvelables» et d'un autre tiers de l'électricité de l'État importée de d'autres états qui subissent également des vagues de chaleur. Ils devraient réfléchir à ce que leur vie, leurs moyens de subsistance et leur niveau de vie seraient sous 100% d'énergie éolienne et solaire.
Et pourtant, encore une fois, même toute cette folie n'est qu'une petite partie du tableau.
Rappelez-vous, le Green New Deal concerne également les soins de santé gérés par le gouvernement - et une économie et une nation où les législateurs, les régulateurs, les juges et les militants «progressistes» ont «réveillé» les entreprises disent ce qu'elles peuvent fabriquer et vendre… et nous dire ce que nous pouvons acheter, manger et boire; comment et combien nous pouvons chauffer et refroidir nos maisons; et ce que nous pouvons lire, entendre, penser et dire, alors qu'ils «transforment» notre culture et nos traditions.
Le GND est promu par des politiciens, des nouvelles et des médias sociaux, des «éducateurs» et des «réformateurs» qui veulent également éliminer le capitalisme de la libre entreprise; avoir des frontières totalement ouvertes, même pour les criminels et les personnes susceptibles d'être atteintes de Covid et d'autres maladies; et nous voulons démanteler la police, remettre les anarchistes, les pillards et les incendiaires dans nos rues, et nous priver de notre droit et de notre capacité de nous défendre, de défendre nos maisons et nos familles.
Le temps de réfléchir longuement et sérieusement à tout cela est MAINTENANT. Pas quelque temps après les élections du 3 novembre.
Paul Driessen est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur l'énergie, l'environnement, le climat et les droits de l'homme. David Wojick est un analyste indépendant spécialisé en science, logique et droits de l'homme dans les politiques publiques, et auteur de nombreux articles sur ces sujets.
Chilling Aussie «Code de négociation obligatoire des médias d'information»: autoriser les médias de l'établissement à imposer des conditions aux «médias numériques»
21 août 2020 par Eric Worrall
Le gouvernement australien exige plus de contrôle sur le contenu des médias numériques tels que les classements de recherche Google, et plus de rémunération pour les médias traditionnels traditionnels pour l'utilisation du contenu.
Par exemple, la clause suivante exige que Google, etc. fournisse un préavis des modifications apportées aux algorithmes de classement des recherches, afin que les services de presse des établissements aient le temps de préparer un moyen de jouer avec le nouvel algorithme pour s'assurer qu'ils conservent une position de premier plan permanente sur les recherches Google ou les flux Facebook, indépendamment du fait que ce qu'ils publient intéresse ou non les consommateurs;
Classement algorithmique 52N du contenu d'actualité couvert
(1) Le paragraphe (2) s'applique si:
(un B)
il est prévu d'apporter des modifications à un algorithme du service de plate-forme numérique; et les changements sont susceptibles d’avoir un effet significatif sur le classement du contenu d’actualité couvert par l’activité d’information enregistrée mis à disposition par le service de plateforme numérique.
(2) La société de plateforme numérique responsable du service de plateforme numérique doit s'assurer que:
a) b) un avis du changement est donné à la société commerciale de nouvelles enregistrée pour le commerce de nouvelles enregistré; et l'avis est donné:
(i) à moins que le sous-alinéa (ii) ne s'applique - au moins 28 jours avant le changement; ou
(ii) si le changement a lieu à un intérêt public urgent - au plus tard 48 heures après le changement; et
l'avis décrit le changement et l'effet mentionné à l'alinéa (1) b) en des termes facilement compréhensibles; et l'avis décrit comment l'entreprise de nouvelles enregistrée peut minimiser les effets négatifs du changement sur le classement de son contenu de nouvelles couvert mis à disposition par le service de plate-forme numérique.
Source: Projet de loi, ACCC Google / YouTube ont clairement indiqué que cela équivalait à une demande de traitement spécial pour les médias grand public de l'établissement. Je suis d'accord avec leur évaluation.
Lettre ouverte aux Australiens
Nous devons vous informer de la nouvelle réglementation gouvernementale qui nuira à la manière dont les Australiens utilisent la recherche Google et YouTube.
Un projet de loi, le code de négociation des médias d'information, nous obligerait à vous fournir une recherche Google et YouTube considérablement pires, pourrait conduire à la transmission de vos données à de grandes entreprises d'information et mettre en danger les services gratuits que vous utilisez en Australie.
La façon dont les Australiens recherchent chaque jour sur Google est menacée par la nouvelle réglementation
Vous vous êtes toujours appuyé sur la recherche Google et YouTube pour vous montrer ce qui est le plus pertinent et le plus utile pour vous. Nous ne pouvons plus garantir cela en vertu de cette loi. La loi nous obligerait à donner un avantage injuste à un groupe d'entreprises - les entreprises des médias d'information - par rapport à tous ceux qui possèdent un site Web, une chaîne YouTube ou une petite entreprise. Seules les entreprises de médias d'information recevraient des informations qui les aideraient à gonfler artificiellement leur classement par rapport à tout le monde, même si quelqu'un d'autre fournit un meilleur résultat. Nous avons toujours traité équitablement tous les propriétaires de sites Web en ce qui concerne les informations que nous partageons sur le classement. Les modifications proposées ne sont pas équitables et signifient que les résultats de la recherche Google et YouTube seront pires pour vous.
Vos données de recherche peuvent être à risque
Vous nous faites confiance avec vos données et notre travail est de les protéger. En vertu de cette loi, Google doit indiquer aux entreprises de médias d'information «comment elles peuvent accéder» aux données sur votre utilisation de nos produits. Il n’ya aucun moyen de savoir si des données transmises seraient protégées ou comment elles pourraient être utilisées par les entreprises de médias d’information.
Nuire aux services gratuits que vous utilisez
Nous croyons profondément à l'importance des nouvelles pour la société. Nous travaillons en étroite collaboration avec les entreprises de médias d'information australiennes - nous leur versons déjà des millions de dollars et leur envoyons des milliards de clics gratuits chaque année. Nous avons proposé de payer plus pour obtenir des licences de contenu. Mais plutôt que d'encourager ces types de partenariats, la loi est mise en place pour accorder un traitement spécial aux grandes entreprises de médias et pour les encourager à faire des demandes énormes et déraisonnables qui mettraient en danger nos services gratuits.
Cette loi n’aurait pas seulement un impact sur la façon dont Google et YouTube travaillent avec les entreprises de médias d’information - elle aurait un impact sur tous nos utilisateurs australiens, nous voulions donc vous le faire savoir. Nous ferons tout notre possible pour modifier cette proposition afin de protéger la manière dont la recherche et YouTube fonctionnent pour vous en Australie et de continuer à établir des partenariats constructifs avec les entreprises des médias d'information, et non de choisir l'une par rapport à l'autre.
Vous en entendrez plus dans les prochains jours - restez à l’écoute.
Merci, Mel Silva, directeur général, au nom de Google Australie
En savoir plus: https://about.google/intl/ALL_au/google-in-australia/an-open-letter/
WUWT a nos différences avec Google et d'autres entreprises de médias numériques sur des allégations de partialité politique et des listes noires secrètes pour les sceptiques du climat, mais nous n'avons jamais cherché un avantage injuste - tout ce que nous voulons, c'est des règles du jeu équitables où tout le monde est traité de la même manière, nous voulons une meilleure conformité avec l'article 230 de la loi sur la décence en matière de communication.
L'intention du «Code de négociation obligatoire des médias d'information» ne semble pas être des règles du jeu équitables. À mon avis, les médias grand public en Australie demandent au gouvernement des privilèges spéciaux, pour repousser la concurrence légitime des entreprises de médias numériques.
Les fournisseurs de services numériques comme Google modifient régulièrement leur algorithme pour essayer de maximiser la valeur pour les consommateurs, en poussant le contenu qu'ils pensent que les gens trouveront intéressant en haut de la liste de recherche. Mais le préavis des modifications apportées aux exigences de l'algorithme donnerait aux médias de l'établissement suffisamment de temps pour comprendre comment jouer avec le nouvel algorithme, afin de s'assurer que leur contenu fatigué est toujours au sommet de la recherche de tous.
Aux vues que les merdias n'intééressent plus personnes, les internautes se tournent vers les sites économiques et scientifiques. C'est pourquoi...
La dictature monarchique s'impose !
Même dans les sites de faux scientifiques, ils refusent de croire que l'eau des fleuves vient des infiltrations océaniques et disent qu'elle vient... de la fonte des neiges !!! HAHAHAHAHA ! Quand vous voyez des fleuves qui jettent en mers des milliers de km3 d'eau... il devrait y avoir des épaisseurs de neiges aux sommets des montagnes qui dépassent les 150 km ! HAHAHAHAHA !
Les amarres de l'océan Arctique mettent en lumière la perte de glace de mer en hiver
Charles Rotter 22 août 2020 UNIVERSITÉ DES FAIRBANKS D'ALASKA
La glace d’hiver de l’est de l’océan Arctique a augmenté de moins de la moitié par rapport à la normale au cours de la dernière décennie, en raison de l’influence croissante de la chaleur de l’intérieur de l’océan, ont constaté des chercheurs.
La découverte provient d'une étude internationale menée par l'Université de l'Alaska Fairbanks et l'Institut météorologique finlandais. L'étude, publiée dans le Journal of Climate, a utilisé des données collectées par les mouillages océaniques dans le bassin eurasien de l'océan Arctique de 2003 à 2018.
Les mouillages mesuraient la chaleur dégagée de l'intérieur de l'océan vers la partie supérieure de l'océan et la glace de mer pendant l'hiver. En 2016-2018, le flux de chaleur estimé était d'environ 10 watts par mètre carré, ce qui est suffisant pour empêcher la formation de 80 à 90 centimètres (près de 3 pieds) de glace de mer chaque année. Les mesures précédentes du flux thermique représentaient environ la moitié de ce montant.
«Dans le passé, lors de la pesée de la contribution de l’atmosphère et de l’océan à la fonte des glaces de mer dans le bassin eurasien, l’atmosphère menait», a déclaré Igor Polyakov, océanographe au Centre international de recherche arctique de l’UAF et au FMI. «Maintenant, pour la première fois, l'océan mène. C'est un grand changement. »
En règle générale, dans une grande partie de l'Arctique, une épaisse couche d'eau froide plus fraîche, appelée halocline, isole la chaleur associée à l'intrusion de l'eau de l'Atlantique de la surface de la mer et de la glace de mer.
Cette nouvelle étude montre qu'un afflux anormal d'eau chaude salée de l'océan Atlantique affaiblit et amincit l'halocline, permettant plus de mélange. Selon la nouvelle étude, l'eau chaude d'origine atlantique se rapproche désormais beaucoup plus de la surface.
«La position normale de la limite supérieure de cette eau dans cette région était d'environ 150 mètres. Maintenant, cette eau est à 80 mètres », a expliqué Polyakov.
Un processus hivernal naturel augmente ce mélange. Lorsque l'eau de mer gèle, le sel est expulsé de la glace dans l'eau. Cette eau enrichie en saumure est plus lourde et coule. En l'absence d'une forte halocline, l'eau salée froide se mélange beaucoup plus efficacement avec l'eau de l'Atlantique moins profonde et chaude. Cette chaleur est ensuite transférée vers le haut au fond de la glace de mer, limitant la quantité de glace qui peut se former pendant l'hiver.
«Ces nouveaux résultats montrent l'influence croissante et croissante de la chaleur associée à l'entrée d'eau de l'Atlantique dans l'océan Arctique», a ajouté Tom Rippeth, un collaborateur de l'Université de Bangor. «Ils suggèrent également qu'un nouveau mécanisme de rétroaction contribue à accélérer la perte de glace de mer.»
Polyakov et son équipe émettent l’hypothèse que la capacité de l’océan à contrôler la croissance de la glace en hiver crée une rétroaction qui accélère la perte globale de glace de mer dans l’Arctique. Dans cette rétroaction, la diminution de la glace de mer et l’affaiblissement de la barrière halocline font que l’intérieur de l’océan dégage de la chaleur à la surface, ce qui entraîne une nouvelle perte de glace de mer. Le mécanisme augmente la rétroaction bien connue de la glace et de l'albédo - qui se produit lorsque l'atmosphère fait fondre la glace de mer, provoquant une eau libre, qui à son tour absorbe plus de chaleur, faisant fondre plus de glace de mer.
Lorsque ces deux mécanismes de rétroaction se combinent, ils accélèrent le déclin de la glace de mer. La rétroaction de la chaleur océanique limite la croissance de la glace de mer en hiver, tandis que la rétroaction glace-albédo fait fondre plus facilement la glace plus mince en été.
«Au fur et à mesure qu'ils commencent à travailler ensemble, le couplage entre l'atmosphère, la glace et l'océan devient très fort, beaucoup plus fort qu'auparavant», a déclaré Polyakov. «Ensemble, ils peuvent maintenir un taux de fonte des glaces très rapide dans l'Arctique.»
Polyakov et Rippeth ont collaboré à une deuxième étude associée montrant comment ce nouveau couplage entre l'océan, la glace et l'atmosphère est responsable de courants plus forts dans l'est de l'océan Arctique.
Selon cette recherche, entre 2004 et 2018, les courants dans les 164 pieds supérieurs de l'océan ont doublé de force. La perte de glace de mer, qui rend les eaux de surface plus sensibles aux effets du vent, semble être l'un des facteurs contribuant à cette augmentation.
Les courants plus forts créent plus de turbulence, ce qui augmente la quantité de mélange, connu sous le nom de cisaillement, qui se produit entre les eaux de surface et l'océan plus profond. Comme décrit précédemment, le mélange océanique contribue à un mécanisme de rétroaction qui accélère davantage le déclin de la glace marine.
Les courants accélérés ont des implications pratiques dans l'Arctique. Les capitaines de navire ont besoin de cartes précises des courants pour la navigation. Étant donné que les courants déplacent la glace de mer, les activités d'extraction de pétrole et de gaz ont également besoin d'informations sur les courants.
La présence de sels en mers n'a rien à voir avec les chaleurs extrêmes dégagées des sources chaudes au fond des bassins ! C'est continuellement que le magma (qui fabrique les gaz) expulse des millions de m3 de lave aux fonds océaniques (qui réchauffent les courants). C'est grâce à lui que la mer est en vie et qu'il y a des poissons.
Ron Paul: L'histoire inédite de l'homme qui a inspiré une nouvelle génération d'amoureux de la liberté
par Tyler Durden Sam, 22/08/2020 - 22:30 Rédigé par Sam Jacobs via Ammo.com,
Si vous avez moins de 40 ans et que vous lisez ceci, il y a de fortes chances que votre intérêt pour le mouvement pour la liberté ait été suscité par Ron Paul, triple candidat à la présidence et vétéran du Congrès du Texas. Paul a inspiré toute une génération de libertariens, de constitutionnalistes et de conservateurs à gouvernement limité avec ses campagnes présidentielles de 2008 et 2012.
Vous serez peut-être surpris d'apprendre que Paul n'est pas originaire du Texas, mais de Pittsburgh, où il est né d'un producteur laitier et de sa femme. Il est diplômé du Gettysburg State College en 1957, avec un diplôme en biologie. Il a obtenu son diplôme de médecine de la Duke's School of Medicine en 1961. De 1963 à 1965, il a été chirurgien de l'air dans l'armée de l'air des États-Unis, avant de rejoindre l'Air National Guard de 1965 à 1968. À sa sortie, il a déménagé au Texas. pour démarrer un cabinet privé en obstétrique et gynécologie.
Alors qu'il lisait l'économie autrichienne et la philosophie politique libertaire depuis des années auparavant, il a finalement décidé de se présenter au Congrès lorsque le président Richard Nixon a retiré la nation de l'étalon-or en 1971. Il a perdu sa première tentative de fonction publique en 1974, mais a gagné une élection spéciale en 1976, perdant l'élection ordinaire plus tard cette année-là par seulement 300 voix. Il a vaincu son adversaire en 1978, servant jusqu'en 1985, puis à nouveau de 1997 à 2013.
Le début de la carrière politique de Ron Paul
Au Congrès, Paul s'est prononcé en faveur d'un retour à l'étalon-or avec le sénateur Jesse Helms, ainsi que contre le rétablissement du projet favorisé par le président Jimmy Carter et la majorité des républicains au Congrès.
Il s'est retiré du Congrès en 1984 pour se présenter au Sénat, perdant la primaire républicaine au profit de Phil Gramm.
Après son passage au Congrès, il s'est concentré sur la promotion privée de la liberté, publiant le Ron Paul Survival Newsletter et le Ron Paul Freedom Report avec Lew Rockwell, qui était auparavant son chef de cabinet au Congrès. Il a également vendu des métaux précieux sous les auspices de Ron Paul Coins.
En 1988, il a fait sa première course à la présidence en tant que libertaire, battant l'activiste amérindien Russell Means (qui avait auparavant secondé Larry Flynt dans sa candidature pour la ligne du Parti libertaire) et entrant en troisième position à l'échelle nationale. Il a envisagé de se présenter à nouveau en 1992, mais a plutôt décidé de soutenir la campagne de Pat Buchanan contre le président George H.W. Buisson.
Revenir au Congrès
Paul est retourné au Congrès après une élection en 1996 avec une aide considérable de ses amis Nolan Ryan, Steve Forbes et Pat Buchanan.
Cependant, c'est sa campagne présidentielle de 2008 qui a commencé à changer le monde de la liberté. Il n'y a sans doute personne plus responsable de la propagation du mouvement pour la liberté que Ron Paul, dont la campagne de 2008 a électrifié des jeunes qui auraient probablement été en grande partie démocrates auparavant. Le partisan moyen de Ron Paul en 2008 n'était pas le country club républicain ou le mouvement libertaire que l'on aurait pu arrimer, mais il était plus susceptible d'être un lycéen féru de technologie qu'autre chose.
Ainsi, tout au long de la première saison 2008, les acolytes de Ron Paul ont dominé le débat politique sur Internet et les médias sociaux, ce dernier en étant encore à ses balbutiements. La campagne de Ron Paul a été la plus recherchée et sa chaîne YouTube comptait encore plus de followers que celle de Barack Obama.
Rien de tout cela ne s'est traduit par une campagne terriblement réussie. Sa note en haute mer était une deuxième place de 25% dans le Montana. Il a choisi de ne pas participer aux élections générales en tant que candidat tiers, mais n'a pas approuvé le candidat éventuel, John McCain. Paul a souvent affirmé qu'il ne s'était pas présenté comme candidat tiers parce qu'il avait signé un accord contraignant qui l'empêchait de le faire. Il a plutôt choisi d'appuyer les quatre principaux candidats tiers: la candidate du Parti vert Cynthia McKinney, le libertaire Bob Barr (malgré son rôle précédent à Ruby Ridge), Chuck Baldwin du Parti de la Constitution et l'indépendant Ralph Nader.
En 2012, Ron Paul était toujours considéré comme un étranger, mais avait considérablement rehaussé son profil national depuis 2008. Il est resté sur les talons du favori Mitt Romney tout au long de la primaire républicaine, mais une fois de plus est venu en deçà de la nomination. Tout comme en 2008, il a refusé d’approuver Mitt Romney et a même refusé de prononcer un discours à la convention car il devrait être approuvé par l’équipe de Romney.
Les critiques de Ron Paul contre le Parti républicain
Alors que Paul était un républicain de longue date, il était souvent très critique du parti et de sa direction. En effet, il a été l'un des seuls républicains à voter contre le projet de loi de dépenses de Ronald Reagan en 1981, bien qu'il ait été l'un des premiers élus à approuver Reagan en 1976 et en 1980. Il avait même des mots extrêmement durs à dire à propos de Reagan alors qu'il se présentait à la présidence en 1988. Il a qualifié l'administration Reagan d '«échec dramatique», poursuivant en disant que «le bilan de Reagan est honteux. Il déclenche des guerres, enfreint la loi, fournit aux terroristes des armes fabriquées aux frais des contribuables et ment à ce sujet au peuple américain. "
Depuis sa retraite des élus et de la course présidentielle, Ron Paul est devenu un féroce critique de la NSA et de la surveillance, ainsi qu'un partisan d'Edward Snowden, qu'il considère comme un grand héros et un champion des libertés pour les Américains. Il a également fondé l'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité sous l'égide plus large de sa Fondation pour l'économie et l'éducation rationnelles. Il offre le programme Ron Paul (développé par Gary North) gratuitement pour les enfants scolarisés à la maison de la maternelle à la 5e année et payé pour les enfants de 6 à 12 ans.
Le rapport Ron Paul Liberty a reçu plus de 17 millions de vues en avril 2019.
En 2016, Ron Paul est devenu la personne la plus âgée à avoir jamais reçu un vote électoral lorsqu'un électeur infidèle du Texas a voté pour lui.
Les vétérans de la révolution Ron Paul sont actifs dans le mouvement pour la liberté aujourd'hui. Et à quel point est-il formidable qu'un homme qui n'a jamais fumé de cigarette de sa vie ait inspiré une génération de technophiles à se joindre à la lutte pour la liberté ?
Vous pouvez parier sur votre dernier Ron Paul Dollar (vous vous en souvenez ?) Que le Dr Paul parlera de dures vérités, contournera le système et restera sur ses positions jusqu'au jour de sa mort. Les libertariens ne trouveront probablement jamais un champion comme lui.
Malheureusement, le docteur de Corpus-Christi (TX) n'a JAMAIS combattu la dictature (république) et ne représente donc pas plus l'Amérique qu'aucun autre congressiste.
Un météorologue met en garde contre des anomalies de température en Russie
22:45 22.08.2020
Le dérèglement climatique continue de perturber le temps dans le monde entier. Ainsi, la météo en Russie connaîtra de plus en plus souvent des mouvements ondulatoires, a prévenu un météorologue.
Avec le temps, la météo stable disparaîtra progressivement en Russie, a affirmé à l’agence en ligne russe Ura Vladimir Semionov, chef du laboratoire de climatologie à l'Institut de géographie de l'Académie des sciences de Russie. Il a précisé que les anomalies météorologiques étaient dues au stationnement des ondes planétaires.
«Pour faire plus simple: la circulation atmosphérique suit des mouvements ondulatoires et lorsqu'une telle vague s’immobilise, nous assistons à un temps anormal. Étant donné que la Russie est un grand pays, différentes régions connaissent chacune leur propre vague figée», a-t-il expliqué.
En qualité d'exemple, il a cité l'été indien, ce retour du temps doux après le début des froids d’automne. Réchauffement climatique
Vladimir Semionov a également souligné que ces vagues commençaient à se figer même en été. Selon l'expert, ces anomalies sont le résultat du dérèglement climatique qui ralentit la circulation atmosphérique.
«Cela étant, le temps sera tantôt anormalement froid, tantôt anormalement chaud. Ces phénomènes se produiront dans le cadre de la tendance actuelle au réchauffement et deviendront de plus en plus stables», a-t-il prévenu.
Les Americains ont HAARP à Gakona pour intervenir et contrôler le climat terrestre jusqu'à geler ou rôtir tout un pays, mais, les russes ont aussi leur 'HAARP' qui s'appelle 'SURA'. Mais si la technologie scalaire peut pousser les nuages et déclarer des incendies ou tremblements de terre il n'est pas possible de détruire les bases en Alaska ou celle de Russie ! Donc, des deux côtés, ce sont les farmers qui se désolent et qui ne peuvent fournir à bouffer !
Témoignage d’un agriculteur qui explique comment la décision politique de protéger les abeilles entraîne des conséquences en chaîne.
Par Jean-François Pâques. 22 AOÛT 2020
Je suis agriculteur sur une petite exploitation en Champagne crayeuse.
Après avoir arrêté la culture du colza depuis 2019 car devenu difficile à implanter (sécheresse d’été), et encore plus difficile à désherber avec la suppression de certains herbicides, c’est celle de la betterave que je risque fort d’arrêter.
En plus du prix de vente historiquement bas, je subis comme tous mes voisins la présence de jaunisse qui va amputer mon rendement de 20 ou 30 %, malgré plusieurs insecticides en végétation au coût non négligeable, qui ont été moins efficaces contre les pucerons que les néonicotinoïdes qu’on nous a retirés l’an dernier pour des raisons purement idéologiques.
C’était soi-disant pour protéger les abeilles, mais comme les betteraves ne fleurissent pas, les abeilles n’y viennent pas. L’interdiction des néonics est donc totalement infondée. Donc fini la betterave, et je ne serai pas le seul.
Sans betteraves, les sucreries ne vont pas tarder à fermer. Et donc adieu mes parts sociales dans ma coop betteravière.
Adieu aussi les centaines d’emplois dans ces sucreries, et chez tous les sous-traitants qui y travaillent. À la récolte, des dizaines de transporteurs approvisionnent les usines en betteraves (deux millions de tonnes par an pour la seule sucrerie où je livre), et la saison betteravière est souvent une grosse part de leur chiffre d’affaires. Dommage pour eux, ils devront trouver autre chose à transporter, pour ceux qui ne feront pas faillite.
Ces mêmes transporteurs évacuaient les pulpes vers les éleveurs du coin, qui trouvaient ainsi une nourriture de qualité pour leurs animaux. Il devront trouver autre chose.
Et la pulpe va aussi en usine de déshydratation, en prenant le relais de la campagne de luzerne. Sans toutes ces tonnes de pulpes à traiter, la luzerne seule ne va pas suffire à rentabiliser nos déshydrateurs qui vont donc devoir diminuer leurs prix, payés aux agriculteurs, pour ne pas crouler. Et si le prix de la luzerne baisse, rares seront les agriculteurs qui continueront à en cultiver. Et donc disparition aussi des déshydrateurs, de leurs salariés, et d’une autre source d’aliments de qualité pour nos éleveurs.
Colza, betterave, luzerne, ça fait déjà trois cultures qui dégagent. Au passage, colza et luzerne sont deux cultures très fréquentées par les abeilles. Où iront-elles butiner quand ces cultures ne seront plus là ? Pour sauver les abeilles, on en arrive à faire disparaître leurs sources d’approvisionnement ! Bien joué !
Mais ce n’est pas fini.
Accolées à nos sucreries, il y a parfois des distilleries. Sans sucrerie, pas de distillerie. On allonge donc la liste des chômeurs à venir. Au nord de Reims, un gros complexe agro-industriel majoritairement coopératif associe ainsi une distillerie à une sucrerie et à plusieurs autres usines, les sous-produits d’une usine servant de matière première à l’usine d’à côté (voir ici).
Cette distillerie a la particularité de travailler avec des sous-produits betteraviers et du blé. Elle engloutit ainsi 400 à 450 000 tonnes de blé par an. Mais elle ne peut pas travailler qu’avec du blé. Donc si la sucrerie ferme, la distillerie ferme aussi, et le blé devra trouver une autre destination.
La distillation du blé produisait des drèches, qui vont donc disparaître aussi. C’est un troisième aliment de choix pour l’élevage qui disparaît. Heureusement que le Brésil et les USA sont prêts à nous vendre du maïs et du soja en grandes quantités pour compenser. Produits souvent OGM. Ce n’est pas un problème car sans danger, mais interdit de production chez nous.
On continue ?
Dans les groupe d’usines pré-citées, il y a une amidonnerie (encore 400 à 450 000 tonnes de blé par an). Pour améliorer ses process, elle utilise certains sous-produits de la sucrerie et de la distillerie voisines. Sans celles-ci, on supprime son avantage technique et économique par rapport à ses concurrents.
Dans cet ensemble on trouve aussi de la production d’acide hyaluronique utilisé en cosmétique. Production menacée si les ingrédients de base provenant des usines voisines disparaissent. Et c’est un produit à haute valeur ajoutée qui est menacé.
Les concurrents s’en réjouiront.
À condition d’avoir une production de biomasse…
Au final, nos petites copines abeilles, qui n’ont jamais butiné une fleur de betterave, vont pleurer la disparition du colza et de la luzerne, alors que pas une n’a jamais souffert des néonics qui protégeaient nos betteraves jusqu’à l’an dernier.
Les éleveurs vont pleurer la disparition de leur source de pulpes de betteraves, de drèches de blé, de luzerne déshydratée et autre balles de luzerne, de tourteaux de colza (sans colza, adieu aussi les usines locales de trituration de colza).
Les agriculteurs vont pleurer la fin de cultures bonnes pour l’environnement (luzerne), bonnes pour diversifier les rotations, bonnes pour leur revenu (autrefois). Il vont faire des céréales et… des céréales. Et Bruxelles leur dira qu’ils ne respectent pas les critères de diversification. Quelques cultures semencières (pois, graminées…) ne suffiront pas à assurer une diversification et un revenu suffisant.
Les transporteurs vont pleurer la disparition de la betterave.
Les agriculteurs-coopérateurs vont pleurer la disparition de leurs parts sociales souscrites dans leurs coops betteraves et luzerne qui risquent de couler.
Les salariés de toutes les usines concernées vont pleurer en allant pointer à Pôle Emploi.
Tous les sous-traitants qui assurent l’entretien et l’amélioration continue de ces usines vont pleurer aussi la disparition de ces gros clients.
Notre balance commerciale va pleurer la disparition des exportations d’alimentation animale vers nos voisins belges et hollandais, gros consommateurs.
Nos voisins agriculteurs des régions voisines vont pleurer en voyant affluer sur les marchés toutes les céréales champenoises qui auront moins de débouchés locaux, plus toutes les quantités produites sur les surfaces auparavant emblavées en colza, luzerne et betterave.
J’ai peut-être un peu noirci le tableau, mais l’idée générale est là.
Pour la suppression d’une famille de produits (néonicotinoïdes) sur des bases purement idéologiques (je sais, je me répète, mais c’est la triste vérité), on va assister à des catastrophes en chaîne de grande ampleur, dans le monde agricole mais pas seulement, et on n’aura sauvé aucune abeille alors que c’était le prétexte avancé. Et on va même en condamner un grand nombre en supprimant leur source d’alimentation.
Messieurs les politiques, écoutez les scientifiques et pas les écologistes politiques, qui trouveront sans fin des prétextes fallacieux pour faire interdire tout un tas de choses avec comme seul but la décroissance.
Il est temps de mettre fin aux verrouillages des alternatives aux écoles publiques
Par Larry Bell 22 août 2020
Les verrouillages de sécurité dans les écoles publiques K-12 du coronavirus et les incertitudes de la réouverture ont poussé des millions de familles américaines à réfléchir très sérieusement à l'enseignement à domicile, à l'enseignement privé et aux écoles à charte qui font face à l'opposition de puissants lobbys des syndicats d'enseignants et de défenseurs démocrates dociles.
Beaucoup, peut-être des millions, d'autres familles actuelles d'enseignement à domicile et de programmes alternatifs se rendent compte que dans de nombreux cas, elles-mêmes, ou leurs enseignants embauchés, réussissent mieux à éduquer leurs enfants qu'avec des offres publiques accessibles.
Certaines familles avec des enfants d'âge scolaire se demandent si et quand leurs enfants pourront vivre des expériences éducatives «normales». L'incertitude concernant la réouverture des écoles publiques et privées a touché plus de 13 000 districts scolaires à travers le pays, certains repoussant déjà les dates de début, prévoyant des modèles hybrides de présence physique en ligne ou des cours entièrement en ligne.
Il y a près de 60 millions d'élèves de la prématernelle, du primaire, du collège et du lycée aux États-Unis. Pour la plupart d'entre eux, en particulier les plus jeunes, l'enseignement virtuel en ligne est un très mauvais substitut à «vraiment» être avec des camarades de classe et des enseignants qui sont totalement présents pour eux .
Plus immédiatement, les fermetures d'écoles créent une crise des services de garde d'enfants qui rendra difficile, voire impossible, pour de nombreux parents de conserver un emploi dans une économie du travail déjà ravagée par une pandémie. En outre, de nombreux parents d’enfants inscrits dans des modèles d’enseignement hybrides auront plusieurs enfants selon des horaires de présence différents qui ne leur permettront pas de gérer les conditions de travail autour de la supervision à la maison ou de leur transport en classe.
De nombreux parents ne peuvent pas travailler à domicile; d'autres manquent de compétences en informatique ou en enseignement à domicile.
Le 17 juillet, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a décrété que ni les écoles publiques ni les écoles privées ne pouvaient ouvrir dans les comtés ayant une augmentation du nombre de cas et d'hospitalisations liés au COVID-19. Ignorant la précédente justification du verrouillage «aplatir la courbe» qui s'est déjà produite, avec la baisse actuelle du nombre de cas, 80% des résidents de Californie vivent dans des comtés qui ne seront pas autorisés à ouvrir.
Il est tout à fait sûr d’imaginer que les syndicats d’enseignants investis dans les écoles publiques ne verseront pas de larmes si la pandémie met hors d’affaires les options concurrentielles dépendant des frais de scolarité privés. Les écoles publiques dominent précisément parce qu’elles n’ont pas besoin de se disputer des fonds. Les contribuables sont obligés de les financer, que les enseignants se présentent ou non, sans remise s’ils ne le font pas.
Le 28 juillet, l’American Federation of Teachers, le deuxième plus grand syndicat d’éducation, a menacé de «grèves de la sécurité» si les plans de réouverture ne lui convenaient pas entièrement. Ces conditions exigent généralement des horaires d'enseignement hybrides quotidiens raccourcis. Les syndicats perdront leurs avantages concurrentiels, car les écoles privées plus efficaces offriront des résultats de meilleure qualité en enseignant en personne cinq jours par semaine.
Beaucoup de ceux qui ne font pas d’écoles à la maison feront pression pour une expansion des écoles à charte qui ont tendance à être sensibles aux parents et peuvent plus facilement licencier les enseignants pauvres. Les contribuables bénéficient également d'un avantage puisque les coûts des écoles à charte sont, en moyenne, des milliers de dollars de moins que les écoles publiques traditionnelles.
Pour être très clair, il existe de nombreuses excellentes écoles publiques, la grande majorité peut-être, avec des enseignants extrêmement dévoués, attentionnés et compétents. Les familles disposant de moyens financiers suffisants font généralement une priorité de choisir les quartiers pour élever les enfants à proximité.
Envoyer un enfant dans une école privée relativement peu coûteuse qui facture 8 000 $ de frais de scolarité annuels n'a de sens sur le plan économique que si la famille valorise l'option privée d'au moins ce montant. Et c’est un obstacle de taille pour la plupart des parents.
D'innombrables autres parents n'ont pas du tout cette opportunité, les résidents du centre-ville appartenant à une minorité à faible revenu étant également touchés de manière disproportionnée par les écoles les moins performantes. Ces quartiers les plus défavorisés font face à des syndicats d'enseignants agressifs et à des repoussements démocrates alliés bloquant la disponibilité d'options d'écoles à charte de bien meilleure qualité, avec des limites quant au nombre de personnes pouvant ouvrir et à leur emplacement.
Le nouveau livre du Dr Thomas Sowell, «Les écoles à charte et leurs ennemis», publié en juin dernier à l’occasion de son 90e anniversaire, souligne que certaines écoles à charte ont obtenu de très bons résultats dans l’éducation des minorités à faible revenu.
L'un d'eux, un lycée entièrement noir Dunbar à Washington, D.C. au début des années 1970, avait surpassé ses homologues blancs locaux et dépassé à plusieurs reprises les normes nationales sur les tests standardisés tout au long de la première moitié du 20e siècle. Sur une période de 85 ans, de 1870 à 1955, la plupart des diplômés de Dunbar sont allés à l'université, même si la plupart des Américains - blancs ou noirs - ne l'ont pas fait.
L’argument du Dr Sowell n’est pas qu’il n’existe pas d’écoles à charte inférieures à la moyenne - il y en a - mais plutôt que le choix de l’école est une aubaine pour les groupes qui ont longtemps été mal servis par le système public. Les écoles à charte de la Success Academy de New York, par exemple, ont effectivement comblé l'écart de réussite scolaire entre les étudiants noirs et blancs.
Il est également clair, souligne Sowell, que les écoles à charte représentent une menace pour l’équilibre des pouvoirs actuel qui permet aux intérêts particuliers des adultes qui dirigent l’éducation publique de prendre le pas sur ce qui est le mieux pour les élèves. Il nous rappelle que «les écoles existent pour l'éducation des enfants. Les écoles n'existent pas pour fournir des emplois de fer pour les enseignants, des milliards de dollars de cotisations syndicales pour les bureaucraties éducatives, un marché garanti pour les diplômes universitaires des enseignants ou un public captif pour les endoctrinateurs.
Le candidat démocrate à la présidentielle Joe Biden subit des pressions de la part des progressistes, s'ils sont élus, pour continuer à limiter la croissance de la charte. La feuille de route établie par son groupe de travail Biden-Sanders Unity propose à la fois de renforcer le statu quo de l'école publique et de supprimer sa concurrence de la charte et d'autres écoles privées.
Bien au contraire, le président Trump soutient fermement les options de choix d'école remboursables du gouvernement fédéral pour tous les élèves, plus particulièrement prioritaires pour les résidents à faible revenu dans les districts scolaires publics peu performants.
En novembre, le public choisira non seulement le cours scolaire à affréter, mais aussi si un navire offrant des possibilités d’éducation quittera un jour le port avec des embarcations de sauvetage vitales pour ceux qui courent le plus grand risque de noyade.
Les tests RT-PCR qui permettent de diagnostiquer le COVID19 ne sont pas fiables !
RépondreSupprimervendredi 21 août 2020
Stéphane Guay, microbiologiste, vient de faire des découvertes stupéfiantes, surtout choquantes, à propos des tests PCR qui servent à confirmer si les gens sont porteurs ou non du COVID19.
Grâce à de nouvelles données qu'il arrive à déchiffrer parce qu'il est spécialisé en biologie moléculaire, Stéphane démontre que les tests PCR ne sont absolument pas fiables.
Le taux de faux positifs est, par le fait même, potentiellement très élevé, ce qui a pour impact de créer une recrudescence fallacieuse des cas positifs.
Pour ceux et celles qui veulent comprendre comment fonctionnent les tests PCR, écoutez cette vidéo, dont Stéphane fait allusion, qui traite spécifiquement des tests RT-PCR.
https://www.youtube.com/watch?v=zvrEHfMrnsY&feature=share
Les tests RT-PCR ne sont pas spécifiques au SARSCOV-2 et donc, non-fiables:
https://www.youtube.com/watch?v=nAQjFENAXVk&feature=share
Au Cameroun, les vendeurs de «porte-monnaie magiques» font fureur sur la Toile
RépondreSupprimer12:30 22.08.2020
Par Anicet Simo
Le phénomène du porte-monnaie magique a pris d’assaut le web au Cameroun. Proposés sur Internet par de prétendus marabouts béninois, ces gadgets seraient capables, à en croire ces derniers, de générer des billets de banque comme par enchantement. La recette attire les jeunes avides de réussite facile et alimente les fantasmes dans le pays.
C’est devenu monnaie courante au Cameroun: des quidams qui, sur Internet, proposent des portefeuilles miracles à même de dupliquer les billets de banque. Cette nouvelle arnaque numérique attribuée à des marabouts –qui se présentent très souvent comme originaires du Bénin, sans que cette assertion ne se vérifie toujours.
Ce petit pays d’Afrique de l’Ouest est connu pour être le foyer ancestral d’une croyance occulte, le vaudou.
Ces derniers temps, ces marabouts 2.0 ont fait de la Toile leur principal débouché. Dans des groupes Facebook, sous des publications et même en messagerie privée, ils font le placement de leurs produits en en vantant les mérites.
Vendus entre 100.000 (153 euros) et jusqu’à plus d’un million de francs CFA (1.538 euros), selon certains standards et en fonction du gain escompté, ces portefeuilles singuliers –que rien ne distingue, pourtant, de l’extérieur de n'importe quel autre portefeuille– doivent produire quantité de billets de banque chaque jour si son propriétaire consent en retour à certains sacrifices. Par exemple, pour que l’article tienne ses promesses, l’acheteur doit utiliser une certaine somme, dont le montant est fixé par son gourou, sous 24 heures.
Des techniques qui, selon le professeur Herman Nyeck Liport, parapsychologue et spécialiste de la métaphysique, sont réservées aux initiés et instrumentalisées par certains pour détourner l’argent des naïfs.
«Ce phénomène existe réellement mais il est réservé aux initiés et tout cela s’accompagne de pactes car rien n’est gratuit dans le paranormal. Ceci pour vous dire qu’un vrai portemonnaie magique ne court pas les rues. Généralement, quand tu as un portefeuille magique, cela ne multiplie pas les billets mais cela te permet d’avoir en permanence des opportunités de gagner de l’argent», souligne-t-il au micro de Sputnik.
L’appât du gain facile
De plus en plus, des jeunes, d’une vingtaine d’années en général, sont tentés par ce raccourci qui mènerait à la réussite financière. À en croire de nombreux récits qui alimentent les réseaux sociaux, attirés par l’appât du gain facile, certains ont malheureusement mordu à l’hameçon. Florent M, 29 ans, promoteur d’une entreprise de design graphique, y a échappé de justesse.
«Un marabout béninois m’avait contacté sur Messenger pour me proposer un porte-monnaie magique à 500.000 francs CFA (769 euros). Nous avons échangé. J’étais intéressé au départ mais au moment de conclure l’affaire, je me suis rétracté», relate-t-il à Sputnik.
Florent dit avoir été sauvé grâce à ses «valeurs chrétiennes». Dans l’opinion au Cameroun, le phénomène prête le flanc à toutes sortes de commentaires. Beaucoup, comme Laetitia De Bilong, jeune commerciale dans une entreprise à Yaoundé, déplorent «cette nouvelle tendance qui trouve un terreau fertile au sein de la jeunesse. Et c’est déplorable». Pour Max Pascal Owona, le porte-monnaie magique est un gros traquenard.
RépondreSupprimer«Le piège de la facilité est grand dans nos sociétés consuméristes et capitalistes qui mettent la logique transactionnelle au cœur des rapports humains. Seulement, que cela existe ou pas, si quelqu’un vous offre une source illimitée d’argent, que peut-il attendre en retour si ce n’est un sacrifice diabolique?» s’interroge-t-il.
Les contraintes de la société de consommation
Depuis l’apparition des réseaux sociaux, le phénomène tend à se généraliser. Des prétendus apporteurs de richesse ont envahi la Toile à la recherche de potentiels clients intéressés par leur portefeuille miracle.
Pour le professeur Adolphe Messanga, psychosociologue et enseignant à l’Université de Dschang, ces vendeurs d’illusions profitent de la vulnérabilité d’une jeunesse désargentée mais soumise aux contraintes de la société de consommation.
«La problématique qui revient dans le milieu jeune aujourd’hui en Afrique, c’est comment faire pour remplir les obligations qu’exige la société, c’est-à-dire manger, se vêtir, se soigner. Mais face à ces obligations, il se pose souvent un problème de moyens financiers. Et vu la rareté de l’emploi chez nous, certains jeunes peuvent être tentés par des pratiques comme les porte-monnaie magiques», analyse-t-il pour Sputnik.
Si les jeunes y cèdent si facilement, la société en général n’est pas totalement exempte de tout reproche. Pour le spécialiste, les réseaux sociaux sont devenus le lieu d’exposition des réussites sociales qui excitent des convoitises. «Le culte de l’argent est plus valorisé que le culte de l’effort et du travail», conclut-il.
Le 'Bonneteau' est de retour ! HAHAHAHA !
SupprimerL’impérialisme juridique et monétaire américain
RépondreSupprimer30 juillet 2020
Yves Montenay
Depuis 1947 « l’impérialisme américain » est un vieux diable de la gauche internationale dans les pays du Nord comme dans ceux du Sud.
Pour la gauche, l’impérialisme américain représentait le capitalisme dans toute son horreur et était responsable de la pauvreté du monde.
Pour les gaullistes, c’était également l’ennemi, mais pas pour les mêmes raisons. Le gaullisme ne pense pas « lutte des classes », mais égalité des nations et veillait en particulier à maintenir le rang la France malgré la disproportion des forces.
À droite, on ne se souciait pas beaucoup de cet impérialisme, car les Américains étaient des alliés à la fois économiques et politiques contre l’URSS. Alliés économiques tant sur les principes, le libéralisme, que celui des réalités concrètes : bienvenue aux produits américains en France, et au vin français aux États-Unis !
Accessoirement, il y a eu quelques passes d’armes sur la culture : côté américain l’imposition des westerns et autres produits culturels en contrepartie du plan Marshall pour la reconstruction européenne et la riposte française, très mal comprise, de « l’exception culturelle ».
Mais aujourd’hui, la France et bien d’autres pays se sont ouverts au monde et y croisent un peu partout les Américains. Et l’agacement devant leur comportement a gagné les milieux d’affaires.
Je vais traiter ici de deux aspects peu connus du grand public de cet impérialisme, son côté fiscal et son côté financier.
Le long bras du fisc américain
Si vous, Français ou tout simplement non américain, avez un jour de gagné quatre sous à l’occasion d’un colloque aux États-Unis, ou ailleurs si vous avez été payé en dollars, voire si vous avez touché des dividendes d’une société américaine, vous devez remettre aux autorités américaine une documentation fiscale importante qui peut se traduire par un impôt.
En général votre banquier fera le travail pour vous, mais dans certains cas vous devrez signer une partie de la masse de documents qu’il aura préparée.
Si vous êtes un Américain résidant à l’étranger, vous aurez éternellement à remplir de longs dossiers pour payer aux trois administrations fiscales américaines vos revenus touchés hors des États-Unis, avec des correctifs complexes pour tenir compte des impôts de votre pays de résidence.
De rage, des milliers d’Américains prennent maintenant la nationalité du pays où ils vivent.
Dans les deux cas, le fisc américain vous poursuivra jusqu’au bout du monde s’il manque une virgule.
Le dollar comme instrument de contrôle
Rappelons que « l’extraterritorialité du droit américain est l’application de lois votées aux États-Unis à des personnes physiques ou morales de pays tiers en raison de liens parfois ténus avec les États-Unis – utilisation du dollar des États-Unis par exemple –, elle couvre des champs aussi diversifiés que le contrôle des exportations sur les pays interdits, la fiscalité des personnes et la lutte contre la corruption. »
C’est ainsi que la simple utilisation du dollar américain dans une transaction leur permet de soumettre à la loi américaine ladite transaction, fut-elle réalisée en dehors des États-Unis entre 2 acteurs de pays étrangers aux États-Unis !
RépondreSupprimerUn embargo décidé unilatéralement par les États-Unis finit par s’imposer à des entreprises ne relevant normalement pas de leur juridiction… simplement parce que les transactions internationales se font en dollars.
Or en général, la conversion d’une devise à une autre passe par le dollar : vous changez la devise A en dollars puis les dollars dans la devise B. C’est le système Swift en vigueur dans le monde entier.
Du coup la transaction tombe sous le coup de la loi américaine du fait de l’utilisation de dollars.
Cela a été rappelé aux entreprises françaises à leurs dépens lorsque les États-Unis sont sortis de l’accord nucléaire avec l’Iran et ont interdit des transactions avec ce pays alors que la loi française ne prévoyait rien.
En cas d’infraction à l’embargo avec l’Iran, le risque pour l’entreprise française est de voir saisis ses avoirs aux États-Unis.
Pourrait-on contourner le dollar ?
Pour contourner le problème, il suffirait théoriquement le mettre en place un autre système informatique ne passant pas par le dollar.
Mais, même en laissant de côté les réactions politiques prévisibles, se posera alors un problème de liquidités.
Un marché des changes efficace dois vous fournir la devise que vous voulez en un temps bref et à un cours aussi voisin que possible du cours précédent.
Pour cela il faut qu’il y ait beaucoup d’offre et de demande entre les deux devises, ce qui est en général très rare (il y a peu d’offre et de demande d’euros en monnaie iranienne), alors qu’il y en a beaucoup plus entre chaque devise et le dollar, puisque ce dernier est une monnaie du paiement mondiale
Certes, il y a d’autres monnaies. La livre sterling a longtemps été la principale monnaie mondiale, mais il y a plus de 50 ans que c’est fini. L’Euro progresse, mais très insuffisamment, la monnaie chinoise tente une percée mais elle n’est pas convertible, le Yen a un rôle honorable mais secondaire.
Certains pensent à l’or que la Chine et d’autres pays stockeraient en énormes quantités, mais au-delà d’un refuge incertain, je ne vois pas ce métal, aussi précieux soit-il, tourner à toute vitesse comme intermédiaire entre les énormes mouvements commerciaux en devises.
Pressions au bénéfice de sociétés américaines
Tout cela est déjà désagréable pour les entreprises non américaines, mais ça peut aller plus loin comme le montre l’affaire General Electrics–Alstom.
Alstom a reconnu auprès de la justice américaine la corruption d’officiels en Arabie saoudite, Indonésie, Egypte, ou Tawaïn, entre 2000 et 2011. À l’issue de ce procès, Alstom se voit infliger une amende de 772 millions de dollars. Et cela aurait pu être pire : aux États-Unis, le « plaider coupable », par lequel on reconnaît sa culpabilité, permet de diminuer le quantum de la condamnation, en l’occurrence l’amende.
Une enquête de The Economist du 19 janvier 2019 se conclut par une quasi-certitude que le pouvoir judiciaire américain a fait des pressions intéressées sur Alstom pour qu’il vende à General Electrics le cœur de l’entreprise, chargé notamment de la maintenance des centrales nucléaires françaises.
RépondreSupprimerCes pressions ont consisté en des menaces d’énormes amendes et l’incarcération d’un cadre français aux États-Unis qui n’ont pas laissé le choix à l’entreprise française.
Cette affaire avait fait couler beaucoup d’encre en France et donné lieu à des théories du complot.
La réalité semble plus simple et plus brutale : une pression judiciaire internationale américaine sur toute entreprise ayant des actifs hors de France ou utilisant le dollar (donc la quasi-totalité des entreprises françaises) est suffisante.
Le gouvernement français (ou tout autre non américain) n’y peut rien. Pas besoin de complot.
Gare si vous n’êtes pas américain
De même l’assureur AXA a été prise à partie par une association juive à l’occasion de sa prise de contrôle d’une entreprise américaine soupçonnée d’avoir eu un rôle dans la Shoah. Après une dizaine d’années de défense juridique et de lobbying couteux, l’entreprise française n’a finalement rien eu à payer.
La BNP Paribas, elle, a été condamnée en 2014 à payer 8,9 milliards de dollars d’amende, par la justice américaine pour avoir contourné entre 2000 et 2010 les embargos imposés par les États-Unis à Cuba, à l’Iran, au Soudan ou à la Libye. Cette ingérence dans la politique de la banque française s’appuyait là encore sur l’usage du dollar.
On peut citer aussi Francois Pinault qui a été mis en cause dans l’Affaire Executive Life. Il a fini par gagner, mais a dû payer 15 ans de procédure.
La Deutsche Bank, Siemens, HSBC, BAE Systems, Société générale, Total, ont subi des mésaventures analogues.
La clé pour faire payer est la pression sur les actifs américains de ces entreprises qui pourraient être saisis.
L’autre clé est le risque de condamnation pénale, qui interdit souvent a une institution financière de concourir à des appels d’offres publics (et fait mauvais genre dans ceux du privé) ce qui est dissuasif également
Des commentateurs de toutes tendances politiques, y compris des Américains, sont d’accord pour qualifier cela d’impérialisme juridique. Mais tant que l’entreprise visée a des actifs saisissables par la justice américaine, aux États-Unis ou éventuellement ailleurs suivant des accords internationaux, elle est bien obligée de se soumettre.
Bien sûr la justice américaine ne fait en principe qu’appliquer de manière neutre la loi américaine.
Mais si des entreprises américaines ont pu elles aussi être condamnées pour avoir violé l’embargo envers certains pays sous embargo, leurs amendes étaient 5 à 10 fois moins élevées que celles infligées à leurs concurrentes européennes. Et dans le cas de l’affaire Alstom, la justice américaine a eu au moins « de la sympathie » pour l’entreprise américaine General Electrics.
Sans compter que les lois américaines peuvent aussi être tout à fait officiellement partiales, comme celle visant l’Iran ou Cuba.
RépondreSupprimerC’est évidemment une sorte de vassalisation.
Les gouvernants s’indignent, cherchent des parades, mais on ne peut toujours pas commercer avec l’Iran.
Une pression supplémentaire pour l’uniformité linguistique et culturelle du monde
Le juridique va de pair avec la langue.
Vous savez qu’il y a deux grandes familles juridiques dans la vie économique internationale. Du moins pour l’instant, car le droit musulman et certaines habitudes chinoises se veulent d’avenir.
Il y a les droits dérivant du droit romain comme le droit français ou le droit allemand, qui se réfèrent à des textes structurés, et il y a le droit coutumier anglo-américain, la « Common Law» qui se réfère à des précédents.
Cette différence est concrètement illustrée par la longueur des décisions de justice : quelques pages en droit français, des centaines de pages en droit anglo-saxon. On se ruine donc plus vite en avocats aux États-Unis qu’en France.
Le travail juridique n’est donc pas du tout le même et la formation des acteurs non plus.
Il est rare qu’un avocat américain parle un français professionnel dans son domaine d’autant que, sauf exception, il est en position dominante. En général, c’est son client américain qui va racheter une société française, et non l’inverse. Ou encore qui va guider une entreprise française s’implantant aux États-Unis… ou dans un pays tiers ou l’influence des États-Unis ou la Grande-Bretagne est importante.
Bref des habitudes mentales, les manuels, les références sont en anglais… et pour cause puisque le droit français ou allemand est fondamentalement différent.
C’est une autre face de l’impérialisme juridique : les professionnels non anglo-saxons doivent se former en anglais à un système totalement différent et à une vie économique beaucoup plus judiciarisée qu’en France… où l’évolution dans ce sens est pourtant déjà sensible.
Le rêve injustifié d’un monde uniforme
Tout cela ne heurte pas les partisans de l’uniformisation linguistique et culturelle du monde. Beaucoup soutiennent qu’il y aura beaucoup moins de problèmes quand tout le monde parlera anglais et suivra la Common Law.
Or l’uniformité culturelle n’est pas forcément souhaitable, et en tout cas se heurte l’opposition de nombreux peuples, et peut prendre une forme violente. Quant à la « Common Law », l’intervention corrélative d’un avocat et de textes compliqués dans tous les rouages des affaires et de la vie courante n’est pas forcément un progrès.
Enfin l’uniformité culturelle n’apporte par elle-même la paix et la sérénité : pensons au monde arabo-musulman, en principe uni par une même langue, une même religion et un même droit interne, et qui passe son temps à s’entre-déchirer tant entre États qu’à l’intérieur de chaque pays.
Yves Montenay
https://www.yvesmontenay.fr/2020/07/30/limperialisme-juridique-et-monetaire-americain/
100 000 boîtes de pâtes et suffisamment de beurre d'arachide pour faire près de 3 millions de sandwichs
RépondreSupprimer13 août 2020
par Michael Snyder
Si tout va bien se passer, pourquoi les fonctionnaires dépensent-ils des millions de dollars pour stocker des montagnes géantes de nourriture ? Ce qui vient d'être révélé au sujet du «nouvel entrepôt alimentaire» dans l'État de Washington devrait être un signal d'alarme majeur pour nous tous. La plupart des Américains semblent croire que la pandémie de COVID-19, les énormes problèmes économiques qui ont éclaté et les troubles civils cauchemardesques qui font rage dans nos grandes villes ne sont que des phénomènes temporaires et que la vie finira par revenir à la normale. Pendant ce temps, les autorités de l'État de Washington agissent comme si ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'était que le début. Selon le Seattle Times, des stocks de nourriture sont empilés jusqu'au toit du «nouvel entrepôt alimentaire de l'État de Washington»…
Dans le nouvel entrepôt alimentaire de l’État de Washington, il y a suffisamment de beurre d’arachide Jif pour faire près de 3 millions de sandwichs.
Les boîtes de pâtes Barilla s'étendent jusqu'au plafond, 100 000 en tout. De grandes piles de compote de pommes TreeTop, de mélange pour crêpes et de haricots verts en conserve sont posées sur des palettes, comme des soldats attendant d'être envoyés en service.
Cela semble être une chose assez étrange à faire si des jours heureux approchent.
Alors, qu'est-ce qui a poussé les autorités de l'État de Washington à faire cela?
Eh bien, on nous dit que le but est de «conjurer une pénurie dans les mois à venir»…
Après avoir vu les banques alimentaires lutter pour répondre à la demande une fois que la pandémie a frappé et que l'économie a basculé, le département de l'Agriculture de l'État de Washington (WSDA) a commencé à se préparer à acheter et à stocker des tonnes de nourriture pour éviter une pénurie dans les mois à venir.
Une «pénurie» de nourriture dans les mois à venir?
C'est toute une déclaration à faire.
Dans un article précédent, j'ai détaillé que nous assistons déjà à des pénuries périodiques de canettes en aluminium, de soda, de farine, de soupe en conserve, de pâtes et de riz. Mais ce qui se passe à Washington donne l'impression qu'ils pensent que ce qui nous attend sera bien plus grave.
Jusqu'à présent, l'État de Washington a dépensé un total de 6,1 millions de dollars pour 4 000 palettes de nourriture, mais seulement un quart environ des commandes qu'il a passées sont déjà arrivées.
Alors pourquoi le reste de la nourriture n'est-il pas encore arrivé?
Serait-il possible que les 49 autres États et le gouvernement fédéral fassent exactement la même chose?
Malheureusement, je n’ai pas de réponse à cette question aujourd’hui. Si quelqu'un a des pistes ou des informations qui m'aideront à répondre à cette question, veuillez me le faire savoir.
Pendant ce temps, nous continuons à voir des files d'attente sans précédent dans les banques alimentaires partout au pays. Mardi, des véhicules se sont alignés «sur un kilomètre» pour recevoir de la nourriture gratuite lors d'un événement de distribution à Dallas…
Des milliers de personnes se sont alignées dans une banque alimentaire du Texas, avec des voitures qui s'étendent sur un kilomètre alors que l'État a du mal à être le troisième le plus touché par l'épidémie de coronavirus.
RépondreSupprimerFair Park, dans le comté de Dallas, a organisé sa quatrième collecte de nourriture depuis la déclaration de la pandémie en mars, mais l'événement de mardi était la première méga distribution qui offrait une option pour plusieurs centaines de clients sans transport.
Comme j'en parle dans mon nouveau livre, nous avons été spécifiquement avertis à l'avance que cela allait arriver, et il semble certainement que la pauvreté ne fera que continuer à croître dans les mois à venir.
Un homme qui a été interrogé par l’affilié local de CBS a déclaré que sa famille «souffrirait probablement de la faim» s’il n’y avait pas de distribution de nourriture comme celle-ci…
«Si ce n’était pas le cas, nous aurions probablement faim», a déclaré Richard Archer.
Archer dit que sa fille a entendu parler du cadeau de nourriture aux nouvelles et l'a envoyé chercher de la nourriture.
«Avec la réduction des allocations de chômage, son mari a été licencié pendant trois mois. Donc, c’est juste une lutte. Si ce n’était pas pour l’église et les cadeaux alimentaires, les enfants auraient faim. »
Tant de familles luttent profondément là-bas en ce moment, et elles ont besoin de notre prière.
Les approvisionnements alimentaires sont serrés dans tout le pays et ils ne feront que se resserrer. Et cette semaine, la production alimentaire a été frappée par un autre coup dur lorsqu'un derecho extrêmement puissant a traversé plusieurs États agricoles importants au centre du pays ...
La rare tempête connue sous le nom de derecho a frappé lundi, dévastant des parties du réseau électrique, aplatissant de précieux champs de maïs et tuant au moins deux personnes. Il a produit des vents allant jusqu'à 112 mph près de Cedar Rapids, dans l'Iowa, et a renversé des arbres, cassé des poteaux, abattu des lignes électriques et arraché des toits de l'est du Nebraska à l'Indiana.
«On a l’impression d’avoir reçu un coup de pied dans les dents», a déclaré Dale Todd, membre du conseil municipal de Cedar Rapids. «La récupération sera méthodique et lente. Mais à l'heure actuelle, tout le monde travaille pour garantir le rétablissement des services essentiels. »
Comme je l'ai dit hier, des millions et des millions d'acres de cultures ont été ruinés. En fait, 10 millions d'acres ont été touchés dans le seul État de l'Iowa ...
Le secrétaire à l'Agriculture de l'Iowa, Mike Naig, a déclaré mardi qu'environ 10 millions d'acres des près de 31 millions d'acres (12 545 254 ha) de terres agricoles de l'Iowa avaient subi des dommages. Environ 24 millions d'acres sont généralement plantés principalement de maïs et de soja.
De plus, des dizaines de millions de boisseaux de céréales qui étaient entreposés dans les coopératives et dans les fermes ont été endommagés ou détruits lorsque les bacs ont explosé.
Tout au long de 2020, nous avons été frappés par une catastrophe après l'autre.
On nous dit constamment que tout va «revenir à la normale» bientôt, mais entre-temps, les autorités de l'État de Washington stockent de la nourriture à une échelle que nous n'avons jamais vue auparavant.
RépondreSupprimerEt si nous découvrons que les fonctionnaires d'autres États font la même chose, cela suggérerait une sorte de modèle national.
Je n'ai jamais utilisé l'État de Washington comme exemple positif auparavant, et je ne le referai peut-être plus jamais, mais dans ce cas, je recommanderais de faire exactement ce qu'ils font.
Stockez de la nourriture pendant que vous le pouvez encore, car des temps très difficiles approchent. Oui, les choses sont déjà assez chaotiques là-bas, mais j'utiliserais le mois d'août pour terminer vos préparatifs car les choses ne feront que devenir encore plus folles dans les mois à venir.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/100000-pasta-boxes-and-enough-peanut-butter-to-make-nearly-3-million-sandwiches
Des millions d'acres de cultures dans le centre des États-Unis ont été détruits par une série de catastrophes naturelles historiques
RépondreSupprimer12 août 2020
par Michael Snyder
Alors que les médias grand public se concentrent sur les prochaines élections, le COVID-19 et les manifestations sans fin qui se déroulent dans nos grandes villes, une autre grande tragédie se déroule dans tout le centre du pays. Une sécheresse cauchemardesque, des inondations horribles le long du fleuve Mississippi et un «derecho» géant qui vient de frapper la ceinture agricole se sont combinés pour faire de cette année l'une des années les plus difficiles pour les agriculteurs. Et cela arrive à un moment particulièrement difficile, car le stress que la pandémie du COVID-19 a mis sur les systèmes de distribution alimentaire a déjà créé des pénuries périodiques de certains articles dans le pays. Nous aurions certainement pu utiliser une saison de croissance sans incident cette année, et malheureusement nous ne l'avons pas compris.
Lundi, un «derecho» absolument massif a éclaté dans le Midwest. Selon USA Today, la tempête avait des vents allant jusqu'à 112 miles par heure (180 km/h)...
La tempête a eu des vents allant jusqu'à 112 mph près de Cedar Rapids, Iowa - aussi puissants qu'un ouragan intérieur - alors qu'elle déchirait l'est du Nebraska à travers l'Iowa et certaines parties du Wisconsin, de l'Indiana et de l'Illinois, y compris Chicago et sa banlieue.
La plupart des ouragans n’ont pas de vent aussi fort une fois qu’ils atteignent enfin le rivage, et je n’ai personnellement jamais connu des vitesses de vent d’une telle ampleur.
Inutile de dire que cette tempête très inhabituelle a causé d'immenses ravages. Selon le gouverneur de l'Iowa, Kim Reynolds, environ 10 millions d'acres de cultures ont été détruits rien que dans l'Iowa ...
Selon les premières estimations, le derecho a rasé au moins un tiers des cultures de l’Iowa - environ 10 millions d’acres, (4 046 856 ha) selon le gouverneur de l’Iowa, Kim Reynolds. De plus, des dizaines de millions de boisseaux de grain qui étaient entreposés dans les coopératives et dans les fermes ont été endommagés ou détruits par le vent.
Et cela a secoué Marshalltown, Iowa, où une tornade EF-3 a détruit le quartier des affaires de la ville il y a à peine deux ans. Avec des vents de 160 km / h, la tempête de lundi a endommagé certaines entreprises qui s'étaient récemment rétablies, endommageant même les échafaudages utilisés pour réparer le dôme du palais de justice historique.
Je ne me souviens pas qu’une tempête ait causé autant de dégâts au milieu de l’été.
Si environ 10 millions d'acres étaient aplatis juste dans l'Iowa, combien d'acres supplémentaires cette tempête a-t-elle détruits dans le Nebraska, le Wisconsin, l'Indiana et l'Illinois ?
Malheureusement, cette tempête va complètement ruiner financièrement certains agriculteurs. Par exemple, l'agriculteur de l'Iowa Tim Bardole fait face à des pertes qui pourraient potentiellement dépasser un million de dollars…
Le maïs qui se tenait debout sur la ferme de Bardole est maintenant couché sur le côté. Certaines tiges se sont cassées, d'autres arrachées du sol à la racine.
Bardole a estimé qu'il gagnerait 200 $ l'acre, soit un total de 500 000 $.
Dans le pire des cas, cela pourrait aller jusqu'à 500 $ l'acre (4 046 m²). Cela équivaudrait à 1,25 million de dollars.
Comment vous sentiriez-vous si vous perdiez un million de dollars à cause d'une tempête ?
Plus au sud, de nombreux agriculteurs du sud du delta du Mississippi ont déjà vu leurs saisons de croissance anéanties par des inondations historiques pour la deuxième année consécutive ...
RépondreSupprimerLe sud du delta du Mississippi abrite certaines des terres agricoles les plus fertiles des États-Unis.
Mais pas une seule récolte de soja, de coton, de maïs ou de riz n'a été plantée dans de nombreuses fermes de la région - l'une des plus pauvres du pays.
Cela n’était pas censé se produire.
Les inondations de 2019 ont été un cauchemar complet et absolu, et c'était l'année où la reprise était censée commencer. Mais au lieu de cela, «des centaines de milliers d'acres» sont actuellement entièrement ensevelis par l'eau…
Pour la deuxième année consécutive, des inondations généralisées ont laissé des centaines de milliers d'acres de terres agricoles sous l'eau, ruinant des récoltes entières. Et maintenant, avec leurs champs submergés, les agriculteurs se préparent pour une autre année sans revenu.
Pendant ce temps, d'innombrables autres agriculteurs voient leur saison de croissance ruinée par une sécheresse écrasante.
Je sais que vous êtes nombreux à lire cet article et à penser que ce que je dis semble contradictoire.
Après tout, comment peut-il y avoir à la fois de graves inondations et une grave sécheresse ?
Je sais que cela semble très étrange, mais cela se produit réellement. Nous assistons à de graves inondations le long du fleuve Mississippi, et en même temps, les conditions de sécheresse historiques créent des problèmes énormes dans une grande partie de la moitié ouest du pays.
En fait, on nous dit que les conditions de sécheresse dans certaines régions sont déjà devenues les pires «depuis près d'une décennie»…
Les conditions de sécheresse dans tout le pays atteignent leurs pires niveaux depuis près d'une décennie.
Cet été, la sécheresse a frappé de grandes parties des États-Unis, en particulier les pâturages et les pâturages clés des éleveurs. Mais les récoltes connaissent également des tendances à la baisse de la qualité en raison du temps chaud et sec.
Les choses vont particulièrement mal dans le sud-ouest et cela rend la vie très difficile à de nombreux éleveurs…
La partie la plus touchée du pays, avec les niveaux de sécheresse les plus élevés, se trouve dans les pays bovins: l'ouest du Texas, le Nouveau-Mexique, l'Oklahoma, le Colorado et le Kansas. Cela a conduit à des terres arables et des pâturages très endommagés et secs, ce qui pourrait forcer les éleveurs à investir dans d'autres options d'alimentation pour le bétail. Seuls 36 % des pâturages et des pâturages du pays sont jugés bons ou excellents; 30 % sont jugés médiocres ou très pauvres, rapporte FarmFutures.
Si vous regardez la dernière carte du US Drought Monitor, vous verrez que la sécheresse est la pire dans les régions où le «Dust Bowl» original s'est développé dans les années 1930. Ceux qui suivent régulièrement mon travail savent que je mets en garde contre le retour du «Dust Bowl» depuis de nombreuses années, et maintenant cela commence à se produire.
2020 semble être une année où les mauvaises nouvelles ne se terminent jamais. Nous avons d'abord été frappés par la pire crise de santé publique en 100 ans, puis l'économie américaine s'est effondrée, puis des émeutes massives ont éclaté dans nos grandes villes, et maintenant les fermes sont absolument dévastées partout aux États-Unis.
RépondreSupprimerTout au long de l'année 2019, j'ai averti qu'une «tempête parfaite» allait arriver, et ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que l'avant-garde de cette tempête.
Je vous encourage donc à profiter de la tranquillité relative du mois d'août pour vous préparer à ce qui nous attend, car le mois de septembre est presque là et l'élection présidentielle approche à grands pas.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/millions-of-acres-of-crops-in-the-central-u-s-have-been-destroyed-by-a-giant-derecho-nightmarish-flooding-and-a-historic-drought
La Virginie prévoit des vaccinations obligatoires contre le COVID-19 pour tous les résidents
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 21:40
Alors que les chiffres d'hospitalisation de vendredi à travers la Sun Belt semblent confirmer l'affirmation du chef du CDC, le Dr Robert Redfield, selon laquelle l'épidémie américaine de COVID-19 a atteint un pic et commence à s'estomper, l'État de Virginie crée un nouveau précédent en discutant sérieusement de forcer les Virginiens à se faire vacciner. avec n'importe quel candidat pressé pour être marqué que la FDA approuve en premier.
Lors d'une interview diffusée vendredi, le commissaire à la santé de l'État a déclaré qu'il prévoyait d'invoquer la loi de l'État pour rendre les vaccinations obligatoires - une fois qu'un produit occidental serait disponible, vraisemblablement.
En savoir plus sur ABC News 8:
Le commissaire à la santé de l'État, le Dr Norman Oliver, a déclaré vendredi à 8News qu'il prévoyait de rendre obligatoire la vaccination contre le coronavirus pour les Virginiens une fois que celle-ci sera mise à la disposition du public.
La loi de l'État de Virginie donne au commissaire à la santé le pouvoir de mandater des vaccinations immédiates pendant une crise de santé publique si un vaccin est disponible. Les responsables de la santé affirment qu'une vaccination pourrait être publiée dès 2021.
Le Dr Oliver dit que, tant qu'il est encore commissaire à la santé, il a l'intention de rendre obligatoire le vaccin contre le coronavirus.
"Il tue des gens maintenant, nous n'avons pas de traitement pour cela et si nous développons un vaccin qui peut l'empêcher de se propager dans la communauté, nous sauverons des centaines et des centaines de vies", a déclaré Oliver.
Les militants pro-choix médical dans l'État soutiennent que la question est une question de choix médical et que le processus d'approbation "accéléré" mis en œuvre par la FDA est un motif de préoccupation. Les autorités sanitaires de l'État insistent, quant à elles, sur le fait qu'elles n'imposeraient jamais un vaccin qui ne se serait pas déjà avéré sûr.
La directrice des communications de Virginia Freedom Keepers, Kathleen Medaries, mère de trois enfants de Chesterfield, dit que c'est une question de choix médical. Ce n'est pas une question républicaine ou démocrate. Ce n’est pas un problème pro-vaccin ou anti-vaccin », a déclaré Medaries.« Pour moi, il s’agit de pouvoir évaluer chaque vaccin pour moi-même et ma famille, un à la fois.
[...]
«Il ne devrait pas être la seule personne à prendre une décision pour tous les Virginiens», a répondu Medaries.
Le plus haut responsable médical de l'État est opposé à un projet de loi présenté à l'assemblée de l'État qui créerait davantage d'exemptions au pouvoir de vaccination obligatoire, autorisant des exemptions pour des motifs religieux et autres.
Oliver pense que le COVID-19 est une urgence de santé publique qui devrait prévaloir sur tout le reste, et que l’immunité collective assistée par vaccin est la meilleure et la seule véritable défense de l’État.
RépondreSupprimerLa décision intervient après que le Massachusetts a déclaré qu'il rendrait le vaccin contre la grippe obligatoire cette année dans le cadre d'une campagne visant à protéger le système médical de l'État. Nous soupçonnons que la Virginie et le Massachusetts ne seront pas les seuls États à discuter de la vaccination obligatoire contre le COVID et / ou la grippe dans les semaines à venir, au début de l'année scolaire.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/virginia-plans-mandatory-covid-19-vaccinations-all-residents
SupprimerInjection létale !
Visualiser d'où viennent les prochains milliards d'utilisateurs Internet ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 23:40
L'adoption d'Internet n'a cessé d'augmenter au fil des ans - elle a plus que doublé depuis 2010.
Mais, comme l'explique Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, malgré son utilisation généralisée, une partie importante de la population mondiale n'est toujours pas connectée à Internet, et dans certaines régions du monde, le nombre de personnes déconnectées tend vers des pourcentages plus élevés.
À l'aide des informations de DataReportal, ce visuel met en évidence les régions où le plus grand nombre de personnes est déconnecté du Web. Nous allons également nous pencher sur les raisons pour lesquelles certaines régions affichent de faibles chiffres et examiner les pays qui ont connu la plus forte croissance l’année dernière.
- voir tableau sur site -
Top 10 des plus déconnectés, par nombre de personnes
La majorité des pays avec des taux d'accès Internet inférieurs se trouvent en Asie et en Afrique. Voici un aperçu des 10 pays qui comptent le plus grand nombre de personnes non connectées au Web:
- voir tableau sur site -
Il est intéressant de noter que l'Inde compte le plus grand nombre de personnes déconnectées malgré le deuxième marché en ligne au monde. Cela étant dit, 50% de la population du pays n’a toujours pas accès à Internet - à titre indicatif, seulement 14% de la population américaine reste déconnectée du Web. De toute évidence, l'Inde a un potentiel inexploité.
La Chine occupe la deuxième place, avec plus de 582 millions de personnes non connectées à Internet. Cela est en partie dû à l’importante population rurale du pays - en 2019, 39% de la population du pays vivait en zone rurale.
L'écart d'accès à Internet entre la Chine rurale et urbaine est important. Cela s'est manifesté lors du récent passage de la Chine à l'apprentissage en ligne en réponse à la pandémie. Alors qu’un tiers des enfants des écoles élémentaires vivant dans les zones rurales n’ont pas pu accéder à leurs cours en ligne, seuls 5,7% des citadins n’ont pas pu se connecter.
Il est important de noter que la fracture rurale-urbaine est un problème dans de nombreux pays, pas seulement en Chine. Même des endroits comme les États-Unis ont du mal à fournir un accès Internet aux zones rurales reculées ou accidentées.
Top 10 des plus déconnectés, par part de la population
Alors que l'Inde, la Chine et le Pakistan comptent le plus grand nombre de personnes sans accès à Internet, certains pays sont sans doute plus déconnectés.
Voici un aperçu des 10 pays les plus déconnectés, par part de la population:
- voir tableau sur site -
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles ces régions ont un pourcentage élevé de personnes qui ne sont pas en ligne - certaines sont politiques, ce qui est le cas de la Corée du Nord, où seules quelques personnes choisies peuvent accéder au Web plus large. Les citoyens ordinaires ne peuvent pas utiliser Internet dans le monde, mais ont accès à un intranet national appelé Kwangmyong.
RépondreSupprimerD'autres raisons sont d'ordre financier, ce qui est le cas au Soudan du Sud. Le pays est aux prises avec des conflits civils et des difficultés économiques depuis des années, ce qui a causé une pauvreté généralisée dans tout le pays. Il a également étouffé le développement des infrastructures - seulement 2% du pays a accès à l’électricité en 2020, ce qui explique pourquoi si peu de gens ont accès au Web.
Dans le cas de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, une population rurale massive est probablement la raison de son faible pourcentage d'utilisateurs d'Internet - 80% de la population vit dans des zones rurales, avec peu ou pas de connexion à la vie moderne.
Régions à la croissance la plus rapide
Alors que les progrès d'Internet comme la 5G se produisent dans certaines régions et ne montrent aucun signe de ralentissement, il reste encore un long chemin à parcourir avant d'atteindre la connectivité mondiale.
Malgré le long chemin à parcourir, l'écart se resserre et les marchés jusqu'alors inexploités connaissent une croissance significative. Voici un aperçu des cinq principales régions à croissance rapide:
- voir tableau sur site -
L'Afrique a connu une croissance significative, principalement en raison d'un pic massif d'internautes en République démocratique du Congo (RDC) - entre 2019 et 2020, le nombre d'internautes du pays a augmenté de 9 millions (+ 122%). Cette croissance a été facilitée par des organisations à but non lucratif et des entreprises comme Facebook, qui ont beaucoup investi dans le développement de la connectivité Internet en Afrique.
L'Inde a également connu une croissance significative: entre 2019 et 2020, le nombre d'utilisateurs d'Internet dans le pays a augmenté de 128 millions (+ 23%).
Si ces pays continuent de croître à des rythmes similaires, qui sait à quoi ressemblera la répartition des internautes dans les prochaines années ?
https://www.zerohedge.com/technology/visualizing-where-next-billion-internet-users-come
Découvrez les nouvelles toilettes publiques transparentes de Toyko
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 22:20
Ayant finalement résolu le grand casse-tête de la politique monétaire, le Japon est maintenant passé à d'autres problèmes sociétaux cruciaux, comme celui d'amener les gens à se sentir à l'aise dans les toilettes publiques.
Du moins, c'était la pensée derrière les nouvelles toilettes publiques transparentes de Tokyo: pour aider à soulager «l'anxiété des toilettes», selon Forbes.
Au Japon, où les toilettes publiques sont tenues à un niveau de propreté plus élevé que la plupart des autres endroits dans le monde, les habitants du pays «craignent toujours que les toilettes publiques soient sombres, sales, malodorantes et effrayantes».
C'est pourquoi la Nippon Foundation à but non lucratif a lancé "The Tokyo Toilet Project", qui a demandé à 16 architectes bien connus de rénover 17 toilettes publiques situées dans l'un des quartiers les plus fréquentés de Tokyo, les parcs publics de Shibuya.
L'idée était d'appliquer un design qui rendrait les salles de bain publiques confortables et accessibles à tous. La Nippon Foundation a pour objectif «que les gens se sentent à l'aise d'utiliser ces toilettes publiques et de favoriser un esprit d'hospitalité pour la personne suivante».
L'architecte Shigeru Ban, lauréat du prix Pritzker, est le cerveau des toilettes transparentes. Le smartglass avec lequel ils sont construits devient opaque lorsque quelqu'un y est. La Nippon Foundation a commenté: «Il y a deux problèmes avec les toilettes publiques, en particulier celles situées dans les parcs. Le premier est de savoir s'il est propre à l'intérieur, et le second est que personne n'attend secrètement à l'intérieur.
«La nuit, ils éclairent les parcs comme une magnifique lanterne», a conclu la Fondation.
https://www.zerohedge.com/political/meet-toykos-new-transparent-public-toilets
Voici à quoi ressemble une nation coupée du reste du monde
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 21:20
Soumis par Christopher Dembik de Saxobank
Plus tôt ce matin, il y a eu quelques publications de données japonaises. L'inflation des prix à la consommation au Japon était sans intérêt avec un taux à 0% en glissement annuel. Si nous constatons des variations de prix relatifs dans de nombreux pays, l’histoire de base pour le moment est que l’inflation restera faible dans la plupart des pays. En outre, l'Organisation nationale du tourisme du Japon a publié ses dernières données concernant le flux de visiteurs étrangers en juillet. En gros, cela montre à quoi ressemble une nation coupée du reste du monde.
- voir graphique sur site -
Le flux de visiteurs étrangers au Japon publié par l'Organisation nationale du tourisme du Japon est sorti ce matin.
Le pays était censé accueillir un nombre sans précédent de supporters olympiques du monde entier à peu près maintenant, mais la pandémie a tout chamboulé.
Les arrivées de visiteurs étrangers plongent de 99% en glissement annuel en juillet, à 3 800 individus (en légère hausse par rapport au mois précédent, alors qu'il s'élevait à 2 600 personnes). À titre de comparaison, au début de l’année, le pays a enregistré plus de 2,6 millions de visiteurs étrangers en un mois.
Alors que le pays s'attendait à attirer environ 40 millions de visiteurs cette année, le nombre final pour 2020 pourrait tomber à 7-8 millions au mieux, ce qui représenterait une baisse de 80% par rapport à l'objectif. Au cours des dernières années, la contribution des voyages et du tourisme au PIB a considérablement augmenté, pour atteindre 7% en 2019, grâce aux incitations du gouvernement à promouvoir le tourisme étranger via une campagne de marketing à l'étranger et à assouplir les exigences en matière de visa.
Le COVID-19 constitue un sérieux revers pour les espoirs du gouvernement en matière de tourisme et il est peu probable que la récente campagne de stimulation du tourisme intérieur lancée le 22 juillet compensera les pertes générées par la baisse du flux de visiteurs étrangers. Étant donné que le nombre de nouveaux cas de COVID-19 a fortement augmenté depuis la mi-juillet et que de nombreux pays au niveau mondial sont confrontés au risque aigu de deuxième vague, le pays ne devrait pas rouvrir aux étrangers de si tôt et repoussera probablement les plans initiaux à que les étudiants et les hommes d’affaires étrangers reviennent.
Comme le Japon, de nombreux autres pays ont décidé de fermer les frontières pour lutter contre la propagation du virus, frappant ainsi durement le secteur du tourisme. Au début de la pandémie, de nombreux économistes ont sous-estimé l'effet d'entraînement négatif sur le tourisme.
Aujourd'hui, il existe un large consensus sur le fait que le tourisme mondial ne reviendra pas à la normale avant au moins 2022-2023, s'il revenait un jour à la normale.
https://www.zerohedge.com/markets/what-nation-cut-rest-world-looks
Pourquoi des 'ordinateurs plus intelligents' ne rendront pas le socialisme plus viable
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 21/08/2020 - 20:40
Rédigé par Mark DeWeaver via The Mises Institute,
Les économistes autrichiens se sont traditionnellement opposés à la planification centrale au motif qu'une grande partie des connaissances économiquement pertinentes dans la société ne pourrait jamais être mise à la disposition d'une seule autorité de planification. Mais aujourd'hui, avec un volume et une variété de données sans précédent et sans cesse croissants désormais potentiellement accessibles au planificateur, il semble qu'un gouvernement omniscient soit possible après tout. La révolution du big data a-t-elle rendu obsolètes les arguments de marché de Ludwig von Mises et Friedrich von Hayek ?
Dans le chapitre 3 de leur best-seller de 1920, L'ABC du communisme, les théoriciens soviétiques Nikolai Bukharin et Yevgeni Preobrazhensky ont affirmé que dans la société communiste du futur, l'État «saurait à l'avance combien de travail attribuer aux diverses branches de l'industrie; quels produits sont nécessaires et quelle quantité de chacun il faut produire; comment et où les machines doivent être fournies. »
En réalité, bien sûr, l'Union soviétique n'a jamais été près de réaliser cette vision.
Étant donné l'impossibilité de fixer des objectifs pour les millions d'éléments individuels requis par une économie moderne, la planification au plus haut niveau a dû être limitée à quelque soixante mille catégories agrégées, qui ont ensuite été désagrégées aux niveaux inférieurs de la bureaucratie (voir le chapitre 7 de János Le système socialiste de Kornai pour en savoir plus sur la planification en URSS). Contrairement aux attentes de Boukharine et de Preobrazhensky, le résultat a été un échec chronique dans l’affectation efficace des ressources. Les pénuries de biens industriels et de consommation essentiels sont devenues la norme.
Cet échec aurait-il pu être évité si seules des capacités de calcul plus avancées avaient été disponibles ? De nos jours, les problèmes impliquant des millions de variables ne sont plus insolubles. Le jour serait-il enfin arrivé où, comme l'écrivait Oscar Lange en 1967, le processus de marché «peut être considéré comme un dispositif informatique de l'ère pré-électronique ?»
Comme plusieurs auteurs l'ont récemment fait valoir (ici et ici, par exemple), en l'absence de marchés, la planification devrait se dérouler sans les informations sur les conditions de l'offre et de la demande révélées par les transactions réelles. À court terme, il pourrait être possible de prendre des décisions sur «quels produits sont nécessaires et quelle quantité de chacun il faut produire» sur la base des équilibres offre-demande prévalant dans une économie de marché préexistante, mais à mesure que la situation changerait, le plan perdre rapidement sa pertinence pour le monde réel. Tôt ou tard, le planificateur finirait par «patauger dans l'océan des combinaisons économiques possibles et imaginables sans la boussole du calcul économique», comme le disait Mises dans Calcul économique dans le Commonwealth socialiste.
Mais en fait, une objection encore plus fondamentale peut être soulevée: le processus de marché ne ressemble en rien à un appareil informatique. Comme les économistes autrichiens l'ont longtemps souligné, la concurrence sur les marchés n'est pas simplement un mécanisme de transition vers des résultats d'équilibre préexistants. C'est plutôt un moteur de création de connaissances et de découverte entrepreneuriale. Gérer une entreprise ne consiste pas seulement à résoudre l'incertitude sur les «inconnues connues» grâce à une procédure d'apprentissage ordonnée. Elle nécessite des prises de conscience sur des «inconnues inconnues» qui n'ont pas joué initialement de rôle dans la prise de décision.
RépondreSupprimerPrenons, par exemple, le cas célèbre de l'utilisation de l'analyse de données par Walmart pour prédire une augmentation de la demande de Pop-Tarts aux fraises dans les zones sur le point d'être touchées par l'ouragan Frances en 2004. Comme une série de zéros et de uns dans la mémoire de l'ordinateur, le grand les données derrière cette prédiction n'étaient pas en soi des informations. Elle devait d'abord être interprétée par un être humain incité à répondre à une question particulière et à une hypothèse sur les variables susceptibles d'être significatives. Quelqu'un devait avoir l'intuition qu'un événement météorologique défavorable pouvait créer une opportunité de profit à un moment et à un endroit particuliers. Les mégadonnées et l'intelligence artificielle sont des outils pour améliorer le processus de découverte entrepreneuriale, et non un substitut à l'inspiration du participant au marché à la recherche de profits.
L’existence de grandes bases de données ne facilite pas la centralisation du stock de connaissances utiles de la société, car les connaissances locales sont nécessaires pour faire un usage productif des données. Les «planificateurs», comme le souligne Israel Kirzner dans le chapitre 2 de La signification du processus de marché, «ne savent tout simplement pas quoi chercher: ils ne savent pas où ni de quelle nature se trouvent les lacunes dans les connaissances.» Même s'ils étaient dotés de liens vers chaque nœud de réseau existant, ils seraient toujours incapables de reproduire les idées d'innombrables décideurs individuels, chacun avec son propre point de vue unique et sa motivation distincte pour générer des idées basées sur les données.
L'analyse des mégadonnées est un moyen de renforcer le processus de marché en réduisant les coûts de recherche, pas un moyen de le remplacer. Cette technologie a sans aucun doute des implications opérationnelles importantes pour les entreprises individuelles. Mais cela ne rend pas l'entreprise privée moins nécessaire en tant qu'institution pour une allocation efficace des ressources. En effet, les mégadonnées ne sont absolument pas pertinentes pour le problème des connaissances locales de Hayek, car elles ne fournissent aucun moyen nouveau d’agréger les connaissances de différents individus. Les mégadonnées, bien que couvrant une multitude de situations locales différentes, ne sont pas des connaissances. Les logiciels d'intelligence artificielle ne «savent» rien.
Il n'y a donc aucune raison de penser que la planification centrale pourrait mieux fonctionner avec des ensembles de données plus volumineux et une puissance de traitement plus rapide qu'à l'époque soviétique, lorsque la planification devait être faite avec des règles à calcul et des mainframes primitifs. Des appareils plus intelligents ne rendront pas le socialisme plus intelligent.
https://www.zerohedge.com/economics/why-smarter-computers-wont-make-socialism-more-workable
Sensationnel. Une carence en vitamine D peut causer 40% des décès respiratoires chez les personnes âgées
RépondreSupprimerC’est vraiment un scandale.
August 22nd, 2020
Vous manquez la vitamine Sunshine ?
Les historiens s'émerveilleront de ce que les sociétés qui étaient suffisamment avancées pour diffuser des émissions de télé-réalité à 100 millions de bits par seconde, étaient aussi tellement en arrière que la moitié de la population était déficiente en vitamine D - quelque chose qui coûte 6 cents la dose ou est exempt du soleil. . Près de 60% des Allemands plus âgés étaient déficients, et l'étude ESTHER met un point précis sur combien cela compte. Près de 10000 personnes ont été suivies pendant 15 ans en Allemagne, et pendant cette période, environ la moitié des personnes décédées de maladies respiratoires pourraient ne pas être décédées si elles avaient suffisamment de vitamine D.
Dans cette étude allemande, 44% n'avaient pas suffisamment de vitamine D et environ 1 personne sur 6 a des niveaux si bas qu'ils sont cliniquement déficients.
Imaginez si quelqu'un a trouvé un médicament qui a arrêté près de la moitié de tous les décès dus à la grippe ?
À l'heure actuelle, l'hémisphère nord a des niveaux plus élevés de vitamine D que la plupart des mois, ce qui réduit probablement les taux de mortalité. Le message doit être diffusé sur la vitamine D avant le prochain hiver nordique.
- voir graphique sur site -
Vitamine D, étude Esther, Allemagne, carence, mortalité.
Plus de la moitié de la population est déficiente.
En termes de maladies respiratoires, les personnes dont la vitamine D était inférieure aux niveaux recommandés étaient deux fois plus susceptibles de mourir. Et ceux qui étaient cliniquement déficients étaient trois fois plus susceptibles de mourir.
Cela était particulièrement vrai pour les femmes, avec un risque de mourir jusqu'à huit fois plus élevé.
Comme je l'ai dit en avril - La vitamine D affecte 200 gènes et est impliquée dans de nombreuses afflictions:
Les niveaux de vitamine D sont également en corrélation avec des taux plus faibles de cancer, de diabète, d'hypertension artérielle, d'asthme, de maladies cardiaques, de caries dentaires, de prééclampsie, de maladies auto-immunes, de dépression, d'anxiété et de troubles du sommeil. La vitamine D influence plus de 200 gènes. C’est si crucial que c’est probablement la raison pour laquelle les Européens du Nord ont développé une peau plus blanche. Le manque de lumière du soleil et l'introduction de céréales dans les régimes alimentaires (par opposition à la consommation de foie et de baleines) signifiaient que les Européens ne recevaient pas suffisamment de D de la nourriture ou du soleil. La pression sélective était si forte qu'une peau plus claire a rapidement envahi toutes les communautés nordiques. Les Esquimaux n’avaient pas besoin de devenir blancs - ils recevaient encore du D des abats et beaucoup de poisson.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.22.20137299v1
Les ratios de risque sont assez étonnants:
RépondreSupprimerL'abstrait
Contexte. La pandémie de COVID-19 s'accompagne d'une mortalité accrue due à une maladie respiratoire aiguë, et les mesures visant à limiter la propagation de l'infection s'accompagnent d'un risque accru de carence en vitamine D, en particulier parmi les groupes à haut risque. Il a été suggéré que la supplémentation en vitamine D3 pourrait aider à réduire la mortalité due aux maladies respiratoires. Méthodes. Nous avons évalué la prévalence de l'insuffisance et de la carence en vitamine D, définie par des taux sanguins de 25 (OH) D de 30 à 50 et <30 nmol / L, respectivement, et leur association avec la mortalité due aux maladies respiratoires pendant 15 ans de suivi dans un cohorte de 9548 adultes âgés de 50 à 75 ans de la Sarre, en Allemagne. Résultats. L'insuffisance et la carence en vitamine D étaient courantes (44% et 15%, respectivement). Par rapport à un statut suffisant en vitamine D, la mortalité par maladie respiratoire était respectivement de 2,1 (95% -CI 1,3-3,2) et de 3,0 (95% -CI 1,8-5,2). Bien que des augmentations significatives aient été observées chez les femmes et les hommes, elles étaient beaucoup plus fortes chez les femmes, avec une augmentation de 8,5 (IC à 95% 2,4-30,1) et 2,3 (IC à 95% 1,1-4,4) de la mortalité par maladie respiratoire en cas de vitamine D déficit chez les femmes et les hommes, respectivement (valeur p pour l'interaction = 0,041). Dans l'ensemble, 41% (IC à 95% 20% -58%) de la mortalité par maladie respiratoire était statistiquement attribuable à une insuffisance ou une carence en vitamine D. Conclusion. L'insuffisance et la carence en vitamine D sont courantes et représentent une grande partie de la mortalité par maladie respiratoire chez les personnes âgées, ce qui confirme les suggestions selon lesquelles la supplémentation en vitamine D3 pourrait contribuer de manière majeure à limiter le fardeau de la pandémie de COVID-19, en particulier chez les femmes.
Ne vous faites pas prendre sans votre vitamine D.
(MISE À JOUR: et si vous prenez D3, il vaut mieux ajouter également K2 de peur que Ca ne se retrouve dans vos artères au lieu de vos os).
RÉFÉRENCE
Brenner, Holleczek et Schoettker, B. (2020) Insuffisance et carence en vitamine D et mortalité due aux maladies respiratoires dans une cohorte de personnes âgées: potentiel de limitation du nombre de décès pendant et au-delà de la pandémie COVID-19, https: // www. medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.22.20137299v1
Voir aussi: La carence en vitamine D affecte de nombreux problèmes de santé.
http://joannenova.com.au/2020/08/wow-vitamin-d-deficiency-may-cause-40-of-respiratory-deaths-in-older-people/
1. L’huile de foie de morue. Avec 250 µg de vitamine D pour 100 g (ou 10 cl), c’est la championne toute catégorie. Si son goût particulier vous dérange, il est possible de l’ingérer sous forme de gélules. De manière générale, toutes les huiles de poisson – ainsi que l’huile d’olive – sont bénéfiques. Le foie de veau est également riche en vitamine D.
Supprimer2. Le hareng. Ce poisson des mers froides est une excellente source en vitamine D : pour 100 g, il en contient entre 13 et 22 µg. Cette variation est due aux différents modes de préparation possibles. Pour une bonne conservation de la teneur en vitamine D, préférez le hareng fumé, grillé ou mariné.
3. Les maquereaux. Avec une teneur moyenne de 13 µg pour 100 g, les maquereaux – que l’on choisit plutôt frits – constituent une source en vitamine D à ne pas négliger.
4. Les sardines. Elles contiennent environ 12 µg de vitamine D pour 100 g. Les sardines grillées ou à l’huile sont les plus bénéfiques pour un apport important en vitamine D.
5. Le saumon/la truite. Ces deux poissons gras contiennent en moyenne 10 µg de vitamine D pour 100 g. Pour conserver le maximum de teneur en vitamine D, préférez la cuisson à la vapeur pour le saumon et au four pour la truite.
6. Le thon en boîte. Sa teneur en vitamine D est d’environ 7 µg pour 100 g. Le thon cru en est tout aussi riche.
7. Le chocolat noir. Il contient environ 5 µg de vitamine D pour 100g. Pour une teneur optimale en vitamine D, choisissez un chocolat noir composé d’au moins 40% de cacao.
8. Le lait. Essentiel pour son apport en calcium, le lait est également riche en vitamine D, avec 3,70 µg pour un verre de 250 ml. Le lait de vache entier est le plus bénéfique.
9. Les œufs. La vitamine D est principalement concentrée dans le jaune d’œuf cru : 3,25 µg pour 100 g.
10. Les champignons. Avec 1,18 µg de vitamine D pour 100g, les champignons de Paris cuits permettent un apport non-négligeable en vitamine D tout en faisant le plein de minéraux et de vitamine B.
Les objets qu’il ne faut jamais garder près de son portable énumérés par un expert
RépondreSupprimer16:38 22.08.2020
Aujourd’hui, nous sommes tous inséparables de notre téléphone portable qui nous suit partout et toujours. Mais ce compagnon demande un minimum d’attention, par exemple, en regardant où nous le posons.
Nombreux sont ceux qui oublient de prendre certaines précautions en utilisant leur téléphone portable, alors que toute technologie nécessite une attention particulière, a déclaré à l’agence Prime Alexandre Timofeïev, détenteur d’une chaire à l’université économique Plekhanov.
Par exemple, poser un téléphone sur un autre est à prohiber car les signaux radio sont présents en grande quantité en un point donné, ce qui ne fait pas de bien à ceux qui se trouvent à côté, a-t-il expliqué.
«Il est également fortement déconseillé de poser à côté du portable ou de glisser dans son étui votre carte bancaire, car la durée de vie de cette dernière s’en trouvera considérablement réduite en raison de la radiofréquence.»
Alexandre Timofeïev, à la place des femmes, éviterait de placer son téléphone près des produits de beauté dans le sac à main. En effet, les étuis, par exemple, les écrins de rouges à lèvres, se ferment souvent à l’aide d’un aimant, ce qui peut affecter la connexion et le signal du mobile.
Autres astuces
Précédemment, Alexandre Timofeïev avait expliqué ce qu’il fallait faire pour augmenter la durée de vie de son smartphone, recommandant de le poser l’écran vers le bas, notamment pour éviter de rayer la caméra et refroidir la batterie.
D’autres experts avaient évoqué les gestes à adopter si l’appareil était tombé à l’eau et ne manifestait plus aucun signe de vie, ainsi que donné des conseils pour atténuer l’impact nocif d’un cellulaire, comme réduire la durée des appels et faire une pause d’une dizaine de minutes entre chaque conversation téléphonique.
https://fr.sputniknews.com/societe/202008221044298819-les-objets-quil-ne-faut-jamais-garder-pres-de-son-portable-enumeres-par-un-expert/
Le Green New Deal signifie une rupture monumentale
RépondreSupprimerPas seulement pour l'énergie, mais pour tous les aspects de notre vie, notre niveau de vie, notre culture et nos libertés
22 août 2020
David Wojick et Paul Driessen
Kamala Harris a coparrainé la résolution du Sénat pour soutenir le Green New Deal. Maintenant, Joe Biden a approuvé le plan. Naturellement, les gens veulent savoir ce que coûtera le GND - c'est-à-dire généralement dans les dépenses du gouvernement fédéral et des États. Mais c'est la mauvaise question.
La vraie question est de savoir combien les Green New Dealers s'attendent à en retirer, à quel coût total ? M. Biden dit qu'il souhaite que le gouvernement fédéral dépense près de 7 billions de dollars au cours de la prochaine décennie pour les soins de santé, la transformation de l'énergie et du logement, le changement climatique et d'autres points à l'ordre du jour de GND. Mais ce n'est qu'une partie de l'image.
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez (qui a un diplôme dans une version socialiste de l'économie) et les personnes qui l'ont aidée à rédiger le soi-disant plan climatique de Biden ont une idée claire de combien d'argent ils veulent et savent à peu près où ils en attendent. venir de. Le voici dans sa forme la plus claire, comme l’a déclaré le chef d’état-major du représentant Ocasio-Cortez, Saikat Chakrabarti:
«La résolution décrit le plan décennal visant à transformer chaque secteur de notre économie pour éliminer les GES [gaz à effet de serre] et la pollution. Il dit qu'il le fait grâce à d'énormes investissements dans les énergies renouvelables, à l'échelle de la Seconde Guerre mondiale (qui représentait 40 à 60% du PIB américain). »
La Seconde Guerre mondiale a été une période de grands sacrifices et d'épreuves, dans le cadre d'une mobilisation dramatique et historique pour gagner une horrible guerre mondiale. Cependant, cette dure réalité n’a pas d’importance pour ces gens. Ils disent que nous menons maintenant une guerre pour arrêter un changement climatique catastrophique. L'argent, les sacrifices et les perturbations n'ont donc aucune importance.
Le PIB de notre pays est d’environ 20 000 milliards de dollars par an, ou 200 000 milliards de dollars en dix ans. 40 à 60% de ce montant représentent 80 à 120 milliards de dollars. Pour simplifier, appelons cela même 100 000 milliards de dollars pour financer le rêve utopique du Green New Deal.
100 billions de dollars ! Les voies et moyens de collecter cette somme prodigieuse sont également clairs dans leur esprit. Cela se fera de la même manière que la Seconde Guerre mondiale a été financée, quoi qu'il en soit. Pour eux, il est évident que nous pouvons simplement le faire, car nous l'avons fait avant. Les détails n’ont pas d’importance. Les élites gouvernementales les comprendront.
Mais même cette attitude arrogante et cavalière n'est qu'une partie du tableau.
Si vous lisez ce que disent les Green New Dealers, la confusion surgit parce que les gens pensent que le GND est une proposition politique ordinaire: "Voici ce que nous voulons faire, et voici ce que cela devrait coûter." Ce n’est rien de tout cela. Le Green New Deal s'inscrit davantage dans le sens du suivant: "Voici le niveau d'effort dont nous avons besoin pour transformer l'ensemble de notre économie, et c'est ce que nous devrions être en mesure de faire avec autant d'argent."
Les gens ont tendance à interpréter le discours du Green New Dealer sur une mobilisation semblable à la Seconde Guerre mondiale comme une simple métaphore. Mais ces gens le pensent comme une mesure réelle de ce qu'ils sont déterminés à faire. Jusqu'à présent, ils ont passé sous silence et ignoré les difficultés extrêmes de la mobilisation. Voici juste un exemple - pas du chaos des lignes de front, mais du front intérieur des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale.
RépondreSupprimerL'essence, la viande et les vêtements étaient étroitement rationnés. La plupart des familles recevaient trois gallons d'essence américains par semaine, ce qui réduisait considérablement la conduite automobile, quel qu'en soit le but. La production de la plupart des biens durables, comme les voitures, les nouveaux logements, les aspirateurs et les appareils de cuisine, a été interdite jusqu'à la fin de la guerre. Dans les zones industrielles, le logement était rare car les gens doublaient et vivaient dans des locaux exigus. Les prix et les salaires étaient contrôlés. [Harold Vatter, L'économie américaine pendant la Seconde Guerre mondiale]
Nul doute que la mobilisation du Green New Deal imposerait différentes difficultés. Mais toutes les mobilisations sont oppressantes. Vous ne pouvez pas réquisitionner la moitié du PIB sans infliger de graves perturbations à la vie des gens.
L'argument est solide à sa manière, à condition qu'il y ait un besoin de guerre totale - ce qui n'est pas le cas. Les changements mineurs à modestes de température, de climat et de conditions météorologiques extrêmes que nous avons observés (dans le monde réel en dehors des modèles informatiques) expliquent pourquoi la plupart des Américains ne voient pas la nécessité d’une guerre douloureuse. Il en va de même du fait que la Chine, l'Inde et d'autres économies émergentes ne sont pas sur le point d'abandonner les combustibles fossiles de si tôt.
En fait, les sondages montrent qu'environ la moitié des Américains ne croient même pas en l'idée du réchauffement climatique causé par l'homme, et encore moins qu'il s'agit d'une «menace existentielle», comme le prétend le sénateur Harris. Le dernier sondage Gallup a révélé que seulement 1% des adultes américains considèrent «le changement climatique / l'environnement / la pollution» comme «le problème le plus important auquel ce pays est confronté aujourd'hui». C'est en baisse par rapport aux maigres 2% du sondage du 28 mai au 4 juin.
Encore plus révélateur, un sondage AP-NORC de 2019 a révélé que 68% des Américains adultes n'étaient pas disposés à payer ne serait-ce que 10 $ de plus sur leur facture d'électricité mensuelle pour lutter contre le réchauffement climatique. En effet, 57% d'entre eux ne seraient pas prêts à payer plus de 1,00 $ de frais d'électricité supplémentaires pour lutter contre le changement climatique !
Attendez simplement de voir ce que leur coûterait le New Deal vert Biden-Harris-AOC-démocrate.
Et ce n'est pas seulement que leurs coûts monteraient probablement en flèche, passant d'une moyenne de 13,2 ¢ US le kilowattheure (11,4 ¢ ou moins dans dix États) à bien au-delà des près de 20 ¢ par kWh que les familles paient déjà en Californie et à New York, ou le 30 ¢ que les familles paient maintenant dans l'Allemagne ultra-verte. Ou que les usines, les entreprises, les hôpitaux, les écoles et tout le monde verraient également leurs coûts augmenter - avec les familles de cols bleus, les malades et les personnes âgées, les communautés pauvres et minoritaires martelées le plus durement.
C’est que le GND obligerait tous les Américains à remplacer leurs voitures et camions à essence et diesel par de coûteux véhicules électriques à courte distance; leurs fours à gaz et leurs cuisinières avec des systèmes électriques; leurs systèmes électriques et de transmission domestiques, locaux et étatiques avec des mises à niveau coûteuses qui peuvent gérer une économie totalement électrique. Ils verront leurs paysages, leurs côtes et leurs habitats fauniques recouverts d’éoliennes, de panneaux solaires, de lignes de transmission et d’entrepôts remplis de milliers de batteries d’une demi-tonne. Pratiquement tous les composants de cette nation GND seraient fabriqués en Chine et dans d'autres pays lointains.
RépondreSupprimerLe coût de cette transformation massive et totale de notre système énergétique et économique atteindrait facilement 10 000 milliards de dollars: 30 000 dollars par personne ou 120 000 dollars par famille - en plus de la flambée des prix de l'électricité. Et ce n’est que la composante énergétique intermittente et peu fiable de ce Green New Deal englobant.
Ce sont des coûts et des sacrifices personnels extraordinaires et scandaleux. Chaque Américain, à chaque événement de campagne et réunion municipale, devrait demander aux partisans du Green New Deal s'ils pensent que l'Amérique a besoin - ou peut se permettre - de cracher 10 billions de dollars ou 100 billions de dollars au cours des dix prochaines années. Et ne les laissez pas s'en tirer avec des réponses désinvoltes, évasives ou des tentatives de rire de ces questions comme sans fondement ou sans pertinence.
Le peuple américain n'est pas sur le point d'être mobilisé dans une guerre totale contre le changement climatique douteux, avec des étiquettes de prix comme celles-ci associées à des pannes répétées, d'énormes sacrifices personnels et un chômage massif dans tous les secteurs de l'économie - sauf parmi les classes dirigeantes éclairées du gouvernement. .
Ils ont déjà vu des reportages sur les dernières coupures de courant en Californie (ici, ici, ici et ici) - résultant d'un tiers de l'électricité de cet État provenant de sources «renouvelables» et d'un autre tiers de l'électricité de l'État importée de d'autres états qui subissent également des vagues de chaleur. Ils devraient réfléchir à ce que leur vie, leurs moyens de subsistance et leur niveau de vie seraient sous 100% d'énergie éolienne et solaire.
Et pourtant, encore une fois, même toute cette folie n'est qu'une petite partie du tableau.
Rappelez-vous, le Green New Deal concerne également les soins de santé gérés par le gouvernement - et une économie et une nation où les législateurs, les régulateurs, les juges et les militants «progressistes» ont «réveillé» les entreprises disent ce qu'elles peuvent fabriquer et vendre… et nous dire ce que nous pouvons acheter, manger et boire; comment et combien nous pouvons chauffer et refroidir nos maisons; et ce que nous pouvons lire, entendre, penser et dire, alors qu'ils «transforment» notre culture et nos traditions.
Le GND est promu par des politiciens, des nouvelles et des médias sociaux, des «éducateurs» et des «réformateurs» qui veulent également éliminer le capitalisme de la libre entreprise; avoir des frontières totalement ouvertes, même pour les criminels et les personnes susceptibles d'être atteintes de Covid et d'autres maladies; et nous voulons démanteler la police, remettre les anarchistes, les pillards et les incendiaires dans nos rues, et nous priver de notre droit et de notre capacité de nous défendre, de défendre nos maisons et nos familles.
RépondreSupprimerLe temps de réfléchir longuement et sérieusement à tout cela est MAINTENANT. Pas quelque temps après les élections du 3 novembre.
Paul Driessen est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur l'énergie, l'environnement, le climat et les droits de l'homme. David Wojick est un analyste indépendant spécialisé en science, logique et droits de l'homme dans les politiques publiques, et auteur de nombreux articles sur ces sujets.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/22/the-green-new-deal-means-monumental-disruption/
Chilling Aussie «Code de négociation obligatoire des médias d'information»: autoriser les médias de l'établissement à imposer des conditions aux «médias numériques»
RépondreSupprimer21 août 2020
par Eric Worrall
Le gouvernement australien exige plus de contrôle sur le contenu des médias numériques tels que les classements de recherche Google, et plus de rémunération pour les médias traditionnels traditionnels pour l'utilisation du contenu.
Par exemple, la clause suivante exige que Google, etc. fournisse un préavis des modifications apportées aux algorithmes de classement des recherches, afin que les services de presse des établissements aient le temps de préparer un moyen de jouer avec le nouvel algorithme pour s'assurer qu'ils conservent une position de premier plan permanente sur les recherches Google ou les flux Facebook, indépendamment du fait que ce qu'ils publient intéresse ou non les consommateurs;
Classement algorithmique 52N du contenu d'actualité couvert
(1) Le paragraphe (2) s'applique si:
(un B)
il est prévu d'apporter des modifications à un algorithme du service de plate-forme numérique; et les changements sont susceptibles d’avoir un effet significatif sur le classement du contenu d’actualité couvert par l’activité d’information enregistrée mis à disposition par le service de plateforme numérique.
(2) La société de plateforme numérique responsable du service de plateforme numérique doit s'assurer que:
a) b) un avis du changement est donné à la société commerciale de nouvelles enregistrée pour le commerce de nouvelles enregistré; et
l'avis est donné:
(i) à moins que le sous-alinéa (ii) ne s'applique - au moins 28 jours avant le changement; ou
(ii) si le changement a lieu à un intérêt public urgent - au plus tard 48 heures après le changement; et
l'avis décrit le changement et l'effet mentionné à l'alinéa (1) b) en des termes facilement compréhensibles; et
l'avis décrit comment l'entreprise de nouvelles enregistrée peut minimiser les effets négatifs du changement sur le classement de son contenu de nouvelles couvert mis à disposition par le service de plate-forme numérique.
Source: Projet de loi, ACCC
Google / YouTube ont clairement indiqué que cela équivalait à une demande de traitement spécial pour les médias grand public de l'établissement. Je suis d'accord avec leur évaluation.
Lettre ouverte aux Australiens
Nous devons vous informer de la nouvelle réglementation gouvernementale qui nuira à la manière dont les Australiens utilisent la recherche Google et YouTube.
Un projet de loi, le code de négociation des médias d'information, nous obligerait à vous fournir une recherche Google et YouTube considérablement pires, pourrait conduire à la transmission de vos données à de grandes entreprises d'information et mettre en danger les services gratuits que vous utilisez en Australie.
La façon dont les Australiens recherchent chaque jour sur Google est menacée par la nouvelle réglementation
RépondreSupprimerVous vous êtes toujours appuyé sur la recherche Google et YouTube pour vous montrer ce qui est le plus pertinent et le plus utile pour vous. Nous ne pouvons plus garantir cela en vertu de cette loi. La loi nous obligerait à donner un avantage injuste à un groupe d'entreprises - les entreprises des médias d'information - par rapport à tous ceux qui possèdent un site Web, une chaîne YouTube ou une petite entreprise. Seules les entreprises de médias d'information recevraient des informations qui les aideraient à gonfler artificiellement leur classement par rapport à tout le monde, même si quelqu'un d'autre fournit un meilleur résultat. Nous avons toujours traité équitablement tous les propriétaires de sites Web en ce qui concerne les informations que nous partageons sur le classement. Les modifications proposées ne sont pas équitables et signifient que les résultats de la recherche Google et YouTube seront pires pour vous.
Vos données de recherche peuvent être à risque
Vous nous faites confiance avec vos données et notre travail est de les protéger. En vertu de cette loi, Google doit indiquer aux entreprises de médias d'information «comment elles peuvent accéder» aux données sur votre utilisation de nos produits. Il n’ya aucun moyen de savoir si des données transmises seraient protégées ou comment elles pourraient être utilisées par les entreprises de médias d’information.
Nuire aux services gratuits que vous utilisez
Nous croyons profondément à l'importance des nouvelles pour la société. Nous travaillons en étroite collaboration avec les entreprises de médias d'information australiennes - nous leur versons déjà des millions de dollars et leur envoyons des milliards de clics gratuits chaque année. Nous avons proposé de payer plus pour obtenir des licences de contenu. Mais plutôt que d'encourager ces types de partenariats, la loi est mise en place pour accorder un traitement spécial aux grandes entreprises de médias et pour les encourager à faire des demandes énormes et déraisonnables qui mettraient en danger nos services gratuits.
Cette loi n’aurait pas seulement un impact sur la façon dont Google et YouTube travaillent avec les entreprises de médias d’information - elle aurait un impact sur tous nos utilisateurs australiens, nous voulions donc vous le faire savoir. Nous ferons tout notre possible pour modifier cette proposition afin de protéger la manière dont la recherche et YouTube fonctionnent pour vous en Australie et de continuer à établir des partenariats constructifs avec les entreprises des médias d'information, et non de choisir l'une par rapport à l'autre.
Vous en entendrez plus dans les prochains jours - restez à l’écoute.
Merci,
Mel Silva, directeur général, au nom de Google Australie
En savoir plus: https://about.google/intl/ALL_au/google-in-australia/an-open-letter/
WUWT a nos différences avec Google et d'autres entreprises de médias numériques sur des allégations de partialité politique et des listes noires secrètes pour les sceptiques du climat, mais nous n'avons jamais cherché un avantage injuste - tout ce que nous voulons, c'est des règles du jeu équitables où tout le monde est traité de la même manière, nous voulons une meilleure conformité avec l'article 230 de la loi sur la décence en matière de communication.
L'intention du «Code de négociation obligatoire des médias d'information» ne semble pas être des règles du jeu équitables. À mon avis, les médias grand public en Australie demandent au gouvernement des privilèges spéciaux, pour repousser la concurrence légitime des entreprises de médias numériques.
RépondreSupprimerLes fournisseurs de services numériques comme Google modifient régulièrement leur algorithme pour essayer de maximiser la valeur pour les consommateurs, en poussant le contenu qu'ils pensent que les gens trouveront intéressant en haut de la liste de recherche. Mais le préavis des modifications apportées aux exigences de l'algorithme donnerait aux médias de l'établissement suffisamment de temps pour comprendre comment jouer avec le nouvel algorithme, afin de s'assurer que leur contenu fatigué est toujours au sommet de la recherche de tous.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/21/new-chilling-aussie-mandatory-news-media-bargaining-code-allowing-mainstream-media-to-dictate-terms-to-digital-media/
SupprimerAux vues que les merdias n'intééressent plus personnes, les internautes se tournent vers les sites économiques et scientifiques. C'est pourquoi...
La dictature monarchique s'impose !
Même dans les sites de faux scientifiques, ils refusent de croire que l'eau des fleuves vient des infiltrations océaniques et disent qu'elle vient... de la fonte des neiges !!!
HAHAHAHAHA !
Quand vous voyez des fleuves qui jettent en mers des milliers de km3 d'eau... il devrait y avoir des épaisseurs de neiges aux sommets des montagnes qui dépassent les 150 km !
HAHAHAHAHA !
Les amarres de l'océan Arctique mettent en lumière la perte de glace de mer en hiver
RépondreSupprimerCharles Rotter
22 août 2020
UNIVERSITÉ DES FAIRBANKS D'ALASKA
La glace d’hiver de l’est de l’océan Arctique a augmenté de moins de la moitié par rapport à la normale au cours de la dernière décennie, en raison de l’influence croissante de la chaleur de l’intérieur de l’océan, ont constaté des chercheurs.
La découverte provient d'une étude internationale menée par l'Université de l'Alaska Fairbanks et l'Institut météorologique finlandais. L'étude, publiée dans le Journal of Climate, a utilisé des données collectées par les mouillages océaniques dans le bassin eurasien de l'océan Arctique de 2003 à 2018.
Les mouillages mesuraient la chaleur dégagée de l'intérieur de l'océan vers la partie supérieure de l'océan et la glace de mer pendant l'hiver. En 2016-2018, le flux de chaleur estimé était d'environ 10 watts par mètre carré, ce qui est suffisant pour empêcher la formation de 80 à 90 centimètres (près de 3 pieds) de glace de mer chaque année. Les mesures précédentes du flux thermique représentaient environ la moitié de ce montant.
«Dans le passé, lors de la pesée de la contribution de l’atmosphère et de l’océan à la fonte des glaces de mer dans le bassin eurasien, l’atmosphère menait», a déclaré Igor Polyakov, océanographe au Centre international de recherche arctique de l’UAF et au FMI. «Maintenant, pour la première fois, l'océan mène. C'est un grand changement. »
En règle générale, dans une grande partie de l'Arctique, une épaisse couche d'eau froide plus fraîche, appelée halocline, isole la chaleur associée à l'intrusion de l'eau de l'Atlantique de la surface de la mer et de la glace de mer.
Cette nouvelle étude montre qu'un afflux anormal d'eau chaude salée de l'océan Atlantique affaiblit et amincit l'halocline, permettant plus de mélange. Selon la nouvelle étude, l'eau chaude d'origine atlantique se rapproche désormais beaucoup plus de la surface.
«La position normale de la limite supérieure de cette eau dans cette région était d'environ 150 mètres. Maintenant, cette eau est à 80 mètres », a expliqué Polyakov.
Un processus hivernal naturel augmente ce mélange. Lorsque l'eau de mer gèle, le sel est expulsé de la glace dans l'eau. Cette eau enrichie en saumure est plus lourde et coule. En l'absence d'une forte halocline, l'eau salée froide se mélange beaucoup plus efficacement avec l'eau de l'Atlantique moins profonde et chaude. Cette chaleur est ensuite transférée vers le haut au fond de la glace de mer, limitant la quantité de glace qui peut se former pendant l'hiver.
«Ces nouveaux résultats montrent l'influence croissante et croissante de la chaleur associée à l'entrée d'eau de l'Atlantique dans l'océan Arctique», a ajouté Tom Rippeth, un collaborateur de l'Université de Bangor. «Ils suggèrent également qu'un nouveau mécanisme de rétroaction contribue à accélérer la perte de glace de mer.»
Polyakov et son équipe émettent l’hypothèse que la capacité de l’océan à contrôler la croissance de la glace en hiver crée une rétroaction qui accélère la perte globale de glace de mer dans l’Arctique. Dans cette rétroaction, la diminution de la glace de mer et l’affaiblissement de la barrière halocline font que l’intérieur de l’océan dégage de la chaleur à la surface, ce qui entraîne une nouvelle perte de glace de mer. Le mécanisme augmente la rétroaction bien connue de la glace et de l'albédo - qui se produit lorsque l'atmosphère fait fondre la glace de mer, provoquant une eau libre, qui à son tour absorbe plus de chaleur, faisant fondre plus de glace de mer.
RépondreSupprimerLorsque ces deux mécanismes de rétroaction se combinent, ils accélèrent le déclin de la glace de mer. La rétroaction de la chaleur océanique limite la croissance de la glace de mer en hiver, tandis que la rétroaction glace-albédo fait fondre plus facilement la glace plus mince en été.
«Au fur et à mesure qu'ils commencent à travailler ensemble, le couplage entre l'atmosphère, la glace et l'océan devient très fort, beaucoup plus fort qu'auparavant», a déclaré Polyakov. «Ensemble, ils peuvent maintenir un taux de fonte des glaces très rapide dans l'Arctique.»
Polyakov et Rippeth ont collaboré à une deuxième étude associée montrant comment ce nouveau couplage entre l'océan, la glace et l'atmosphère est responsable de courants plus forts dans l'est de l'océan Arctique.
Selon cette recherche, entre 2004 et 2018, les courants dans les 164 pieds supérieurs de l'océan ont doublé de force. La perte de glace de mer, qui rend les eaux de surface plus sensibles aux effets du vent, semble être l'un des facteurs contribuant à cette augmentation.
Les courants plus forts créent plus de turbulence, ce qui augmente la quantité de mélange, connu sous le nom de cisaillement, qui se produit entre les eaux de surface et l'océan plus profond. Comme décrit précédemment, le mélange océanique contribue à un mécanisme de rétroaction qui accélère davantage le déclin de la glace marine.
Les courants accélérés ont des implications pratiques dans l'Arctique. Les capitaines de navire ont besoin de cartes précises des courants pour la navigation. Étant donné que les courants déplacent la glace de mer, les activités d'extraction de pétrole et de gaz ont également besoin d'informations sur les courants.
https://wattsupwiththat.com/2020/08/22/arctic-ocean-moorings-shed-light-on-winter-sea-ice-loss/
La présence de sels en mers n'a rien à voir avec les chaleurs extrêmes dégagées des sources chaudes au fond des bassins !
SupprimerC'est continuellement que le magma (qui fabrique les gaz) expulse des millions de m3 de lave aux fonds océaniques (qui réchauffent les courants). C'est grâce à lui que la mer est en vie et qu'il y a des poissons.
L'OMS: Le vaccin ne mettra pas fin au COVID19
RépondreSupprimersamedi 22 août 2020
Que dire ? On est pas sortis de l'auberge! ?
https://m.youtube.com/watch?feature=emb_logo&time_continue=14&v=9PnYTnyaBZI
Ron Paul: L'histoire inédite de l'homme qui a inspiré une nouvelle génération d'amoureux de la liberté
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 22/08/2020 - 22:30
Rédigé par Sam Jacobs via Ammo.com,
Si vous avez moins de 40 ans et que vous lisez ceci, il y a de fortes chances que votre intérêt pour le mouvement pour la liberté ait été suscité par Ron Paul, triple candidat à la présidence et vétéran du Congrès du Texas. Paul a inspiré toute une génération de libertariens, de constitutionnalistes et de conservateurs à gouvernement limité avec ses campagnes présidentielles de 2008 et 2012.
Vous serez peut-être surpris d'apprendre que Paul n'est pas originaire du Texas, mais de Pittsburgh, où il est né d'un producteur laitier et de sa femme. Il est diplômé du Gettysburg State College en 1957, avec un diplôme en biologie. Il a obtenu son diplôme de médecine de la Duke's School of Medicine en 1961. De 1963 à 1965, il a été chirurgien de l'air dans l'armée de l'air des États-Unis, avant de rejoindre l'Air National Guard de 1965 à 1968. À sa sortie, il a déménagé au Texas. pour démarrer un cabinet privé en obstétrique et gynécologie.
Alors qu'il lisait l'économie autrichienne et la philosophie politique libertaire depuis des années auparavant, il a finalement décidé de se présenter au Congrès lorsque le président Richard Nixon a retiré la nation de l'étalon-or en 1971. Il a perdu sa première tentative de fonction publique en 1974, mais a gagné une élection spéciale en 1976, perdant l'élection ordinaire plus tard cette année-là par seulement 300 voix. Il a vaincu son adversaire en 1978, servant jusqu'en 1985, puis à nouveau de 1997 à 2013.
Le début de la carrière politique de Ron Paul
Au Congrès, Paul s'est prononcé en faveur d'un retour à l'étalon-or avec le sénateur Jesse Helms, ainsi que contre le rétablissement du projet favorisé par le président Jimmy Carter et la majorité des républicains au Congrès.
Il s'est retiré du Congrès en 1984 pour se présenter au Sénat, perdant la primaire républicaine au profit de Phil Gramm.
Après son passage au Congrès, il s'est concentré sur la promotion privée de la liberté, publiant le Ron Paul Survival Newsletter et le Ron Paul Freedom Report avec Lew Rockwell, qui était auparavant son chef de cabinet au Congrès. Il a également vendu des métaux précieux sous les auspices de Ron Paul Coins.
En 1988, il a fait sa première course à la présidence en tant que libertaire, battant l'activiste amérindien Russell Means (qui avait auparavant secondé Larry Flynt dans sa candidature pour la ligne du Parti libertaire) et entrant en troisième position à l'échelle nationale. Il a envisagé de se présenter à nouveau en 1992, mais a plutôt décidé de soutenir la campagne de Pat Buchanan contre le président George H.W. Buisson.
Revenir au Congrès
Paul est retourné au Congrès après une élection en 1996 avec une aide considérable de ses amis Nolan Ryan, Steve Forbes et Pat Buchanan.
Cependant, c'est sa campagne présidentielle de 2008 qui a commencé à changer le monde de la liberté. Il n'y a sans doute personne plus responsable de la propagation du mouvement pour la liberté que Ron Paul, dont la campagne de 2008 a électrifié des jeunes qui auraient probablement été en grande partie démocrates auparavant. Le partisan moyen de Ron Paul en 2008 n'était pas le country club républicain ou le mouvement libertaire que l'on aurait pu arrimer, mais il était plus susceptible d'être un lycéen féru de technologie qu'autre chose.
Ainsi, tout au long de la première saison 2008, les acolytes de Ron Paul ont dominé le débat politique sur Internet et les médias sociaux, ce dernier en étant encore à ses balbutiements. La campagne de Ron Paul a été la plus recherchée et sa chaîne YouTube comptait encore plus de followers que celle de Barack Obama.
RépondreSupprimerRien de tout cela ne s'est traduit par une campagne terriblement réussie. Sa note en haute mer était une deuxième place de 25% dans le Montana. Il a choisi de ne pas participer aux élections générales en tant que candidat tiers, mais n'a pas approuvé le candidat éventuel, John McCain. Paul a souvent affirmé qu'il ne s'était pas présenté comme candidat tiers parce qu'il avait signé un accord contraignant qui l'empêchait de le faire. Il a plutôt choisi d'appuyer les quatre principaux candidats tiers: la candidate du Parti vert Cynthia McKinney, le libertaire Bob Barr (malgré son rôle précédent à Ruby Ridge), Chuck Baldwin du Parti de la Constitution et l'indépendant Ralph Nader.
En 2012, Ron Paul était toujours considéré comme un étranger, mais avait considérablement rehaussé son profil national depuis 2008. Il est resté sur les talons du favori Mitt Romney tout au long de la primaire républicaine, mais une fois de plus est venu en deçà de la nomination. Tout comme en 2008, il a refusé d’approuver Mitt Romney et a même refusé de prononcer un discours à la convention car il devrait être approuvé par l’équipe de Romney.
Les critiques de Ron Paul contre le Parti républicain
Alors que Paul était un républicain de longue date, il était souvent très critique du parti et de sa direction. En effet, il a été l'un des seuls républicains à voter contre le projet de loi de dépenses de Ronald Reagan en 1981, bien qu'il ait été l'un des premiers élus à approuver Reagan en 1976 et en 1980. Il avait même des mots extrêmement durs à dire à propos de Reagan alors qu'il se présentait à la présidence en 1988. Il a qualifié l'administration Reagan d '«échec dramatique», poursuivant en disant que «le bilan de Reagan est honteux. Il déclenche des guerres, enfreint la loi, fournit aux terroristes des armes fabriquées aux frais des contribuables et ment à ce sujet au peuple américain. "
Depuis sa retraite des élus et de la course présidentielle, Ron Paul est devenu un féroce critique de la NSA et de la surveillance, ainsi qu'un partisan d'Edward Snowden, qu'il considère comme un grand héros et un champion des libertés pour les Américains. Il a également fondé l'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité sous l'égide plus large de sa Fondation pour l'économie et l'éducation rationnelles. Il offre le programme Ron Paul (développé par Gary North) gratuitement pour les enfants scolarisés à la maison de la maternelle à la 5e année et payé pour les enfants de 6 à 12 ans.
Le rapport Ron Paul Liberty a reçu plus de 17 millions de vues en avril 2019.
En 2016, Ron Paul est devenu la personne la plus âgée à avoir jamais reçu un vote électoral lorsqu'un électeur infidèle du Texas a voté pour lui.
Les vétérans de la révolution Ron Paul sont actifs dans le mouvement pour la liberté aujourd'hui. Et à quel point est-il formidable qu'un homme qui n'a jamais fumé de cigarette de sa vie ait inspiré une génération de technophiles à se joindre à la lutte pour la liberté ?
Vous pouvez parier sur votre dernier Ron Paul Dollar (vous vous en souvenez ?) Que le Dr Paul parlera de dures vérités, contournera le système et restera sur ses positions jusqu'au jour de sa mort. Les libertariens ne trouveront probablement jamais un champion comme lui.
https://www.zerohedge.com/political/ron-paul-untold-story-man-who-inspired-new-generation-liberty-lovers
Malheureusement, le docteur de Corpus-Christi (TX) n'a JAMAIS combattu la dictature (république) et ne représente donc pas plus l'Amérique qu'aucun autre congressiste.
SupprimerUn météorologue met en garde contre des anomalies de température en Russie
RépondreSupprimer22:45 22.08.2020
Le dérèglement climatique continue de perturber le temps dans le monde entier. Ainsi, la météo en Russie connaîtra de plus en plus souvent des mouvements ondulatoires, a prévenu un météorologue.
Avec le temps, la météo stable disparaîtra progressivement en Russie, a affirmé à l’agence en ligne russe Ura Vladimir Semionov, chef du laboratoire de climatologie à l'Institut de géographie de l'Académie des sciences de Russie. Il a précisé que les anomalies météorologiques étaient dues au stationnement des ondes planétaires.
«Pour faire plus simple: la circulation atmosphérique suit des mouvements ondulatoires et lorsqu'une telle vague s’immobilise, nous assistons à un temps anormal. Étant donné que la Russie est un grand pays, différentes régions connaissent chacune leur propre vague figée», a-t-il expliqué.
En qualité d'exemple, il a cité l'été indien, ce retour du temps doux après le début des froids d’automne.
Réchauffement climatique
Vladimir Semionov a également souligné que ces vagues commençaient à se figer même en été. Selon l'expert, ces anomalies sont le résultat du dérèglement climatique qui ralentit la circulation atmosphérique.
«Cela étant, le temps sera tantôt anormalement froid, tantôt anormalement chaud. Ces phénomènes se produiront dans le cadre de la tendance actuelle au réchauffement et deviendront de plus en plus stables», a-t-il prévenu.
https://fr.sputniknews.com/societe/202008221044300212-un-meteorologue-met-en-garde-contre-des-anomalies-de-temperature-en-russie/
Les Americains ont HAARP à Gakona pour intervenir et contrôler le climat terrestre jusqu'à geler ou rôtir tout un pays, mais, les russes ont aussi leur 'HAARP' qui s'appelle 'SURA'. Mais si la technologie scalaire peut pousser les nuages et déclarer des incendies ou tremblements de terre il n'est pas possible de détruire les bases en Alaska ou celle de Russie !
SupprimerDonc, des deux côtés, ce sont les farmers qui se désolent et qui ne peuvent fournir à bouffer !
Pour moi, agriculteur, fini la betterave !
RépondreSupprimerTémoignage d’un agriculteur qui explique comment la décision politique de protéger les abeilles entraîne des conséquences en chaîne.
Par Jean-François Pâques.
22 AOÛT 2020
Je suis agriculteur sur une petite exploitation en Champagne crayeuse.
Après avoir arrêté la culture du colza depuis 2019 car devenu difficile à implanter (sécheresse d’été), et encore plus difficile à désherber avec la suppression de certains herbicides, c’est celle de la betterave que je risque fort d’arrêter.
En plus du prix de vente historiquement bas, je subis comme tous mes voisins la présence de jaunisse qui va amputer mon rendement de 20 ou 30 %, malgré plusieurs insecticides en végétation au coût non négligeable, qui ont été moins efficaces contre les pucerons que les néonicotinoïdes qu’on nous a retirés l’an dernier pour des raisons purement idéologiques.
C’était soi-disant pour protéger les abeilles, mais comme les betteraves ne fleurissent pas, les abeilles n’y viennent pas. L’interdiction des néonics est donc totalement infondée. Donc fini la betterave, et je ne serai pas le seul.
Sans betteraves, les sucreries ne vont pas tarder à fermer. Et donc adieu mes parts sociales dans ma coop betteravière.
Adieu aussi les centaines d’emplois dans ces sucreries, et chez tous les sous-traitants qui y travaillent. À la récolte, des dizaines de transporteurs approvisionnent les usines en betteraves (deux millions de tonnes par an pour la seule sucrerie où je livre), et la saison betteravière est souvent une grosse part de leur chiffre d’affaires. Dommage pour eux, ils devront trouver autre chose à transporter, pour ceux qui ne feront pas faillite.
Ces mêmes transporteurs évacuaient les pulpes vers les éleveurs du coin, qui trouvaient ainsi une nourriture de qualité pour leurs animaux. Il devront trouver autre chose.
Et la pulpe va aussi en usine de déshydratation, en prenant le relais de la campagne de luzerne. Sans toutes ces tonnes de pulpes à traiter, la luzerne seule ne va pas suffire à rentabiliser nos déshydrateurs qui vont donc devoir diminuer leurs prix, payés aux agriculteurs, pour ne pas crouler. Et si le prix de la luzerne baisse, rares seront les agriculteurs qui continueront à en cultiver. Et donc disparition aussi des déshydrateurs, de leurs salariés, et d’une autre source d’aliments de qualité pour nos éleveurs.
Colza, betterave, luzerne, ça fait déjà trois cultures qui dégagent. Au passage, colza et luzerne sont deux cultures très fréquentées par les abeilles. Où iront-elles butiner quand ces cultures ne seront plus là ? Pour sauver les abeilles, on en arrive à faire disparaître leurs sources d’approvisionnement ! Bien joué !
Mais ce n’est pas fini.
Accolées à nos sucreries, il y a parfois des distilleries. Sans sucrerie, pas de distillerie. On allonge donc la liste des chômeurs à venir. Au nord de Reims, un gros complexe agro-industriel majoritairement coopératif associe ainsi une distillerie à une sucrerie et à plusieurs autres usines, les sous-produits d’une usine servant de matière première à l’usine d’à côté (voir ici).
Cette distillerie a la particularité de travailler avec des sous-produits betteraviers et du blé. Elle engloutit ainsi 400 à 450 000 tonnes de blé par an. Mais elle ne peut pas travailler qu’avec du blé. Donc si la sucrerie ferme, la distillerie ferme aussi, et le blé devra trouver une autre destination.
RépondreSupprimerLa distillation du blé produisait des drèches, qui vont donc disparaître aussi. C’est un troisième aliment de choix pour l’élevage qui disparaît. Heureusement que le Brésil et les USA sont prêts à nous vendre du maïs et du soja en grandes quantités pour compenser. Produits souvent OGM. Ce n’est pas un problème car sans danger, mais interdit de production chez nous.
On continue ?
Dans les groupe d’usines pré-citées, il y a une amidonnerie (encore 400 à 450 000 tonnes de blé par an). Pour améliorer ses process, elle utilise certains sous-produits de la sucrerie et de la distillerie voisines. Sans celles-ci, on supprime son avantage technique et économique par rapport à ses concurrents.
Dans cet ensemble on trouve aussi de la production d’acide hyaluronique utilisé en cosmétique. Production menacée si les ingrédients de base provenant des usines voisines disparaissent. Et c’est un produit à haute valeur ajoutée qui est menacé.
Les concurrents s’en réjouiront.
À condition d’avoir une production de biomasse…
Au final, nos petites copines abeilles, qui n’ont jamais butiné une fleur de betterave, vont pleurer la disparition du colza et de la luzerne, alors que pas une n’a jamais souffert des néonics qui protégeaient nos betteraves jusqu’à l’an dernier.
Les éleveurs vont pleurer la disparition de leur source de pulpes de betteraves, de drèches de blé, de luzerne déshydratée et autre balles de luzerne, de tourteaux de colza (sans colza, adieu aussi les usines locales de trituration de colza).
Les agriculteurs vont pleurer la fin de cultures bonnes pour l’environnement (luzerne), bonnes pour diversifier les rotations, bonnes pour leur revenu (autrefois). Il vont faire des céréales et… des céréales. Et Bruxelles leur dira qu’ils ne respectent pas les critères de diversification. Quelques cultures semencières (pois, graminées…) ne suffiront pas à assurer une diversification et un revenu suffisant.
Les transporteurs vont pleurer la disparition de la betterave.
Les agriculteurs-coopérateurs vont pleurer la disparition de leurs parts sociales souscrites dans leurs coops betteraves et luzerne qui risquent de couler.
Les salariés de toutes les usines concernées vont pleurer en allant pointer à Pôle Emploi.
Tous les sous-traitants qui assurent l’entretien et l’amélioration continue de ces usines vont pleurer aussi la disparition de ces gros clients.
Notre balance commerciale va pleurer la disparition des exportations d’alimentation animale vers nos voisins belges et hollandais, gros consommateurs.
Nos voisins agriculteurs des régions voisines vont pleurer en voyant affluer sur les marchés toutes les céréales champenoises qui auront moins de débouchés locaux, plus toutes les quantités produites sur les surfaces auparavant emblavées en colza, luzerne et betterave.
J’ai peut-être un peu noirci le tableau, mais l’idée générale est là.
RépondreSupprimerPour la suppression d’une famille de produits (néonicotinoïdes) sur des bases purement idéologiques (je sais, je me répète, mais c’est la triste vérité), on va assister à des catastrophes en chaîne de grande ampleur, dans le monde agricole mais pas seulement, et on n’aura sauvé aucune abeille alors que c’était le prétexte avancé. Et on va même en condamner un grand nombre en supprimant leur source d’alimentation.
Messieurs les politiques, écoutez les scientifiques et pas les écologistes politiques, qui trouveront sans fin des prétextes fallacieux pour faire interdire tout un tas de choses avec comme seul but la décroissance.
https://www.contrepoints.org/2020/08/22/378519-pour-moi-agriculteur-fini-la-betterave
Il est temps de mettre fin aux verrouillages des alternatives aux écoles publiques
RépondreSupprimerPar Larry Bell
22 août 2020
Les verrouillages de sécurité dans les écoles publiques K-12 du coronavirus et les incertitudes de la réouverture ont poussé des millions de familles américaines à réfléchir très sérieusement à l'enseignement à domicile, à l'enseignement privé et aux écoles à charte qui font face à l'opposition de puissants lobbys des syndicats d'enseignants et de défenseurs démocrates dociles.
Beaucoup, peut-être des millions, d'autres familles actuelles d'enseignement à domicile et de programmes alternatifs se rendent compte que dans de nombreux cas, elles-mêmes, ou leurs enseignants embauchés, réussissent mieux à éduquer leurs enfants qu'avec des offres publiques accessibles.
Certaines familles avec des enfants d'âge scolaire se demandent si et quand leurs enfants pourront vivre des expériences éducatives «normales». L'incertitude concernant la réouverture des écoles publiques et privées a touché plus de 13 000 districts scolaires à travers le pays, certains repoussant déjà les dates de début, prévoyant des modèles hybrides de présence physique en ligne ou des cours entièrement en ligne.
Il y a près de 60 millions d'élèves de la prématernelle, du primaire, du collège et du lycée aux États-Unis. Pour la plupart d'entre eux, en particulier les plus jeunes, l'enseignement virtuel en ligne est un très mauvais substitut à «vraiment» être avec des camarades de classe et des enseignants qui sont totalement présents pour eux .
Plus immédiatement, les fermetures d'écoles créent une crise des services de garde d'enfants qui rendra difficile, voire impossible, pour de nombreux parents de conserver un emploi dans une économie du travail déjà ravagée par une pandémie. En outre, de nombreux parents d’enfants inscrits dans des modèles d’enseignement hybrides auront plusieurs enfants selon des horaires de présence différents qui ne leur permettront pas de gérer les conditions de travail autour de la supervision à la maison ou de leur transport en classe.
De nombreux parents ne peuvent pas travailler à domicile; d'autres manquent de compétences en informatique ou en enseignement à domicile.
Le 17 juillet, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a décrété que ni les écoles publiques ni les écoles privées ne pouvaient ouvrir dans les comtés ayant une augmentation du nombre de cas et d'hospitalisations liés au COVID-19. Ignorant la précédente justification du verrouillage «aplatir la courbe» qui s'est déjà produite, avec la baisse actuelle du nombre de cas, 80% des résidents de Californie vivent dans des comtés qui ne seront pas autorisés à ouvrir.
Il est tout à fait sûr d’imaginer que les syndicats d’enseignants investis dans les écoles publiques ne verseront pas de larmes si la pandémie met hors d’affaires les options concurrentielles dépendant des frais de scolarité privés. Les écoles publiques dominent précisément parce qu’elles n’ont pas besoin de se disputer des fonds. Les contribuables sont obligés de les financer, que les enseignants se présentent ou non, sans remise s’ils ne le font pas.
Le 28 juillet, l’American Federation of Teachers, le deuxième plus grand syndicat d’éducation, a menacé de «grèves de la sécurité» si les plans de réouverture ne lui convenaient pas entièrement. Ces conditions exigent généralement des horaires d'enseignement hybrides quotidiens raccourcis. Les syndicats perdront leurs avantages concurrentiels, car les écoles privées plus efficaces offriront des résultats de meilleure qualité en enseignant en personne cinq jours par semaine.
RépondreSupprimerBeaucoup de ceux qui ne font pas d’écoles à la maison feront pression pour une expansion des écoles à charte qui ont tendance à être sensibles aux parents et peuvent plus facilement licencier les enseignants pauvres. Les contribuables bénéficient également d'un avantage puisque les coûts des écoles à charte sont, en moyenne, des milliers de dollars de moins que les écoles publiques traditionnelles.
Pour être très clair, il existe de nombreuses excellentes écoles publiques, la grande majorité peut-être, avec des enseignants extrêmement dévoués, attentionnés et compétents. Les familles disposant de moyens financiers suffisants font généralement une priorité de choisir les quartiers pour élever les enfants à proximité.
Envoyer un enfant dans une école privée relativement peu coûteuse qui facture 8 000 $ de frais de scolarité annuels n'a de sens sur le plan économique que si la famille valorise l'option privée d'au moins ce montant. Et c’est un obstacle de taille pour la plupart des parents.
D'innombrables autres parents n'ont pas du tout cette opportunité, les résidents du centre-ville appartenant à une minorité à faible revenu étant également touchés de manière disproportionnée par les écoles les moins performantes. Ces quartiers les plus défavorisés font face à des syndicats d'enseignants agressifs et à des repoussements démocrates alliés bloquant la disponibilité d'options d'écoles à charte de bien meilleure qualité, avec des limites quant au nombre de personnes pouvant ouvrir et à leur emplacement.
Le nouveau livre du Dr Thomas Sowell, «Les écoles à charte et leurs ennemis», publié en juin dernier à l’occasion de son 90e anniversaire, souligne que certaines écoles à charte ont obtenu de très bons résultats dans l’éducation des minorités à faible revenu.
L'un d'eux, un lycée entièrement noir Dunbar à Washington, D.C. au début des années 1970, avait surpassé ses homologues blancs locaux et dépassé à plusieurs reprises les normes nationales sur les tests standardisés tout au long de la première moitié du 20e siècle. Sur une période de 85 ans, de 1870 à 1955, la plupart des diplômés de Dunbar sont allés à l'université, même si la plupart des Américains - blancs ou noirs - ne l'ont pas fait.
L’argument du Dr Sowell n’est pas qu’il n’existe pas d’écoles à charte inférieures à la moyenne - il y en a - mais plutôt que le choix de l’école est une aubaine pour les groupes qui ont longtemps été mal servis par le système public. Les écoles à charte de la Success Academy de New York, par exemple, ont effectivement comblé l'écart de réussite scolaire entre les étudiants noirs et blancs.
Il est également clair, souligne Sowell, que les écoles à charte représentent une menace pour l’équilibre des pouvoirs actuel qui permet aux intérêts particuliers des adultes qui dirigent l’éducation publique de prendre le pas sur ce qui est le mieux pour les élèves. Il nous rappelle que «les écoles existent pour l'éducation des enfants. Les écoles n'existent pas pour fournir des emplois de fer pour les enseignants, des milliards de dollars de cotisations syndicales pour les bureaucraties éducatives, un marché garanti pour les diplômes universitaires des enseignants ou un public captif pour les endoctrinateurs.
Le candidat démocrate à la présidentielle Joe Biden subit des pressions de la part des progressistes, s'ils sont élus, pour continuer à limiter la croissance de la charte. La feuille de route établie par son groupe de travail Biden-Sanders Unity propose à la fois de renforcer le statu quo de l'école publique et de supprimer sa concurrence de la charte et d'autres écoles privées.
RépondreSupprimerBien au contraire, le président Trump soutient fermement les options de choix d'école remboursables du gouvernement fédéral pour tous les élèves, plus particulièrement prioritaires pour les résidents à faible revenu dans les districts scolaires publics peu performants.
En novembre, le public choisira non seulement le cours scolaire à affréter, mais aussi si un navire offrant des possibilités d’éducation quittera un jour le port avec des embarcations de sauvetage vitales pour ceux qui courent le plus grand risque de noyade.
https://www.cfact.org/2020/08/22/time-to-end-lockdowns-from-public-school-alternatives/