Référendum suisse : Aggraver la crise énergétique ?
30.12.2022 www.kla.tv/24614
Lors de sa dernière session d'automne, le Parlement suisse a adopté une nouvelle loi fédérale intitulée « Loi sur les objectifs de la protection du climat, l'innovation et le renforcement de la sécurité énergétique ». Cette nouvelle loi sert de contre-projet indirect à l'initiative populaire « Pour un climat sain », également appelée « Initiative des glaciers », déposée fin novembre 2019. L'Union démocratique du centre - en abrégé UDC - a lancé un référendum contre cette nouvelle loi. Jusqu'au 19 janvier 2023, 50 000 signatures de citoyens suisses devront être récoltées afin de permettre une votation populaire.
Selon le comité référendaire, le nom de la nouvelle loi serait totalement trompeur et minimiserait son contenu, étant donné que les dispositions légales renforcées aggraveraient massivement la crise actuelle de l'énergie et de l'électricité !
Cette loi créerait des coûts supplémentaires de centaines de milliards de francs. Une décision populaire est donc indispensable, car ces coûts supplémentaires devraient finalement être supportés par la population. Voici quelques faits tirés de l'argumentaire du comité référendaire qui montrent les dangers de la nouvelle loi fédérale :
Cette nouvelle loi écologiste interdira le mazout, l’essence, le diesel et le gaz avec, comme résultat, une augmentation massive de la consommation électrique car dès lors le chauffage et la conduite automobile ne seraient plus possibles qu’à l’énergie électrique. Ce qui signifie une augmentation massive du besoin en électricité et une explosion des coûts.
Environ 60 % de la consommation énergétique suisse provient d’énergies fossiles. Comment remplacer ces besoins énergétiques sans nuire à la prospérité et à la compétitivité du pays ? La nouvelle loi fédérale multiplie la consommation d'électricité d'ici 2050. Les prix continuent d'exploser face à l'augmentation de la demande et à la pénurie artificielle. L'électricité en quantité suffisante deviendra un luxe réservé aux riches !
La transformation prévue de l’approvisionnement énergétique entraînera des coûts estimés à 347 milliards de francs au moins ! Ceux-ci seront à la charge des propriétaires et des locataires, des automobilistes, des camionneurs et des motards, des familles, des commerçants, bref, de nous tous ! Cette nouvelle loi écologiste permettra les mesures les plus extrêmes sans droit de codécision par les citoyens : interdiction de voyager en avion, restrictions de la consommation de viande, interdiction de chauffages à mazout et au gaz, interdiction des véhicules diesel et à essence et obligation d’installer des panneaux solaires coûteux.
Ce ne sont là que quelques uns des arguments qui montrent pourquoi l'Union démocratique du centre met en garde contre cette nouvelle loi fédérale qui se révèle en réalité être une « loi sur le gaspillage de l’électricité ». C'est pourquoi elle appelle les électeurs suisses à stopper cette évolution dans les urnes !
Si vous souhaitez vous aussi soutenir cette cause, vous trouverez de plus amples informations ainsi que des formulaires de signatures sur le site web https://crise-energie-non.ch/ . Vous trouverez également un lien vers les formulaires de signature juste en dessous de cet envoi.
de db Sources / Liens :
Webseite des Referendums „Nein zum Stromfressergesetz“ www.energiekrise-nein.ch
Magazin Schweizerzeit Nr. 20 vom 11. November 2022; S. 6 „Energiekrise Verschärfen?“
Webseite der Schweizerischen Volkspartei; Artikel zur Kampagne „Stromfresser-gesetz: Jetzt Referendum unterschreiben!“: www.svp.ch/aktuell/publikationen/editorials/stromfresser-gesetz-jetzt-referendum-unterschreiben/
Parlamentarische Initiative: Indirekter Gegenentwurf zur Gletscherinitiative www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20210501
Bund: Fakten und Zahlen: Energie Schweiz www.eda.admin.ch/aboutswitzerland/de/home/wirtschaft/energie/energie---fakten-und-zahlen.html
(...) Jusqu'au 19 janvier 2023, 50 000 signatures de citoyens suisses devront être récoltées afin de permettre une votation populaire. (...)
Le dépôt de proposition de loi peut être fait par n'importe quel citoyen suisse. Cette proposition de loi doit être soutenue par 50 000 signatures (ou 30 000 suivant les cantons). Si elle l'est elle sera donc portée à référendum. Car c'est le Peuple suisse qui fait SA loi et non des tuteurs (appelés 'députés' ou 'sénateurs') comme dans les dictatures monarchiques, républicaines ou impériales. La Suisse demeure LE SEUL pays au monde à être en Démocratie. La Démocratie c'est: Par le Peuple Pour le Peuple.
Comme disait un célèbre savant (Albert Einstein) : « Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ».
le 31 décembre 2022 Michel Gay
En avant l’équipe de France !
La relance actuelle du parc nucléaire français, bien que tardive, est une bonne nouvelle pour l’industrie et pour les Français. Mais sera-t-elle suffisante pour rattraper le retard pris pour une production d’électricité décarbonée, abondante et bon marché ?
Aligner les planètes
Si tous les acteurs marchent dorénavant dans la même direction, comme il y a 50 ans lors du grand lancement du nucléaire en France, pour constituer une équipe cohérente, alors oui la France sortira de l’ornière où l’ont conduit 20 ans d’incohérence, d’imprévoyance et de joutes politiques à courte vue pour cajoler un électorat vert minoritaire.
Cette relance du nucléaire français par la commande annoncée à Belfort, début 2022, par le président de la République, de 6 réacteurs EPR, puis ensuite de 8 autres, est-elle trop molle dans sa mise en application ?
Le ministère de la Transition énergétique infiltré par les antinucléaires et dont dépend le secteur énergétique en France semble trainer des pieds. Il donne l’impression d’œuvrer plus activement pour ériger des éoliennes et pour fermer la centrale nucléaire de Fessenheim que pour soutenir la relance du nucléaire.
L’Agence pour la maîtrise de l’énergie (ADEME), notoirement antinucléaire, ne s’agite guère pour produire une étude théorique « 100 % d’énergie nucléaire » au même titre que son document idéologique, « Un mix électrique 100 % renouvelable en 2050 » aux hypothèses fantaisistes.
Le Réseau de transport d’électricité (RTE), ayant eu à sa tête de 2015 à 2020 un ancien député (François Brottes) promoteur de la Loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 qui envisageait la fermeture de 14 réacteurs en 2035, ne semble pas non plus pressé de lancer ses forces dans la nouvelle bataille pour promouvoir le nucléaire.
Le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), bien qu’incluant le mot « atomique » dans son intitulé, semble davantage s’intéresser aux « énergies alternatives » qu’au nucléaire depuis plusieurs années. Son actuel administrateur général (François Jacq) ne semble pas vouloir modifier cette orientation.
Les 36 pages de papier glacé du journal du CEA vers ses personnels « Les défis du CEA » de septembre/octobre 2022 (bien après le discours du président de la République à Belfort…) parle de tout : réchauffement climatique, communication quantique, imagerie cérébrale, photovoltaïque, réalité virtuelle, astrophysique, matériaux en couche ultra-mince, nanoélectronique, imagerie d’un crâne de mammouth, recherche sur les lasers, réseau électrique du futur, gaz et chaleur, anticorps monoclonaux thérapeutiques… Mais pas un mot sur le nucléaire !
Depuis plusieurs années, c’est la tendance, mais il y avait au moins un entrefilet de nouvelles nucléaires. Comment le personnel du nucléaire perçoit-il cette absence d’intérêt ?
Constituer l’équipe de France
Des consignes claires ont-elles été données aux grands corps de l’État avec vérifications de leur prise en compte ou le gouvernement se paye-t-il de mots ?
Qui pilote ce grand programme annoncé de construction de 14 réacteurs nucléaires ?
Cette relance annoncée du nucléaire repose-t-elle sur une volonté molle ? Auquel cas rien ne suivra derrière les effets de manches et les déclarations ne seront pas suivies d’effets !
Le renouveau efficace du nucléaire passe par un réalignement des planètes pour orienter tous les acteurs dans le sens de la nouvelle volonté présidentielle favorable au nucléaire. Il s’agit d’aligner durablement la limaille (les grands responsables de la production et de la distribution d’énergie) dans le sens du champ magnétique (la volonté politique).
La production énergétique devrait être intégrée dans un grand ministère de l’Industrie plein d’allant et ne plus dépendre d’un ministère « antinucléaire » qui s’ingéniera au mieux à absorber les efforts comme une éponge et au pire à les saborder.
Comme disait un célèbre savant (Albert Einstein) : « Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ».
Alors, en avant la nouvelle équipe de France des bâtisseurs qui, pendant au moins 30 ans, devra construire une quarantaine de nouveaux réacteurs de type EPR pour succéder au parc des 56 réacteurs nucléaires existants !
L'énergie au gaz sauve le Texas des pannes d'électricité alors que l'énergie éolienne s'effondre
Vendredi 30 décembre 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Le ministère de l'Énergie a récemment déclaré une urgence énergétique au Texas après qu'une explosion hivernale dans l'Arctique a fait s'effondrer l'énergie éolienne et provoqué une pénurie d'électricité.
L'ordonnance d'urgence a permis à l'opérateur du réseau de l'État de dépasser certaines limites de pollution de l'air pour augmenter la production dans un contexte de demande d'électricité record dans l'État. Le Texas Electric Reliability Council (ERCOT), dont la zone de service comprend 90% des clients électriques du Texas, a demandé la commande d'urgence le 23 décembre, car la demande sur le réseau électrique dépassait 74 000 mégawatts tôt dans la journée.
"Alors que la grande majorité des groupes électrogènes de la région ERCOT continuent de fonctionner sans aucun problème, un petit nombre de groupes ont connu des difficultés de fonctionnement en raison du froid ou des coupures de gaz", a indiqué le ministère de l'Énergie dans son arrêté.
"Heureusement, une répétition des coupures de courant de l'année dernière a été évitée, grâce à l'énergie au gaz qui est venue à la rescousse, car l'énergie éolienne s'est effondrée à pratiquement rien en même temps que la demande a augmenté", a écrit Paul Homewood dans un blog sur le climat.
Il a souligné que le Texas dispose de 35 gigawatts (GW) de capacité éolienne, mais que la production était inférieure à cinq GW tout au long du 24 décembre et à deux GW pendant une grande partie de la journée.
« Ce n'était certainement pas dû au manque de vent, bien au contraire. Je ne sais pas si l'énergie éolienne s'est effondrée à cause des vents trop forts ou à cause du gel. Mais de toute façon, c'était un problème lié à la météo », a-t-il ajouté. "Heureusement, ERCOT a pu faire appel à une grande capacité d'énergie au gaz, à la fois pour remplacer la perte d'énergie éolienne et pour répondre à la demande croissante, qui a culminé à 74 GW, soit environ 15 GW de plus que la normale."
Homewood: Des millions d'Américains mourront de froid si Biden parvient à ses fins Le président Joe Biden a signé le décret exécutif 14057 en 2021 pour catalyser les industries et les emplois américains dans le domaine de l'énergie propre grâce au plan fédéral de développement durable.
Ce plan d'action ambitieux est censé permettre une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 50 à 52 % par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030 et limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés Celsius. Le plan de développement durable comprend 100 % d'électricité sans pollution par le carbone (CFE) sur une base annuelle nette d'ici 2030.
"Combien de millions d'Américains mourront de froid s'il parvient à ses fins ?" fait remarquer Homewood.
En outre, la Defense Logistics Agency (DLA) Energy a lancé le 16 décembre des appels d'offres pour l'achat de CFE afin de soutenir les installations du ministère de la Défense (DoD) et les agences fédérales dans deux régions clés.
"Il s'agit d'un pas en avant important dans la transformation de la façon dont le gouvernement américain achète et gère l'électricité et met la nation sur la voie d'un secteur de l'électricité sans pollution par le carbone d'ici 2035", indique le communiqué de presse du DoD.
La secrétaire adjointe à la Défense, Kathleen Hicks, a déclaré que la transition vers une énergie propre peut rendre les installations militaires américaines plus résilientes, les forces opérationnelles plus agiles et le pays plus compétitif face à l'évolution rapide des marchés mondiaux de l'énergie.
"Le ministère de la Défense est l'un des plus gros acheteurs d'électricité au monde, et en ce qui concerne l'énergie propre, nous envoyons un signal clair au marché : le DoD achète", a-t-elle ajouté.
Cependant, Craig Idso, fondateur et PDG du Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, a démenti les affirmations selon lesquelles des niveaux élevés de gaz carbonique atmosphérique menacent directement la santé et l'environnement. (Connexe : Études : Les niveaux actuels de gaz carbonique dans l'atmosphère ne constituent PAS une menace pour l'homme ou l'environnement.)
Selon Idso, les niveaux de gaz carbonique devraient augmenter 36 fois au-dessus de la concentration actuelle avant même de commencer à poser un léger problème de santé. "Cette valeur (c'est-à-dire 15 000 ppm) ne se produira jamais, étant donné qu'elle est un facteur dix au-dessus de la limite approximative de 1 500 ppm de gaz carbonique atmosphérique que les scientifiques pensent possible si la société utilisait toutes les réserves de combustibles fossiles actuellement connues sur la planète", il expliqua.
« Un afflux constant de devises nationales donne confiance au marché. Au début de l’année, nous avons été confrontés à une situation où l’on ne savait pas très bien quoi faire de ces monnaies. Actuellement, elles sont échangées en bourse et assurent un roulement mutuel des échanges… Si au début de l’année, ce volant d’inertie oscillait très fort, en quelques mois, il s’est banalisé et nous avons commencé à échanger régulièrement des monnaies nationales ».
La dédollarisation est un des fondements de l’INSTC. C’est une chose.
Deuxièmement, Novak a révélé que la Russie et l’Iran pourraient conclure un accord sur l’échange de fournitures de pétrole et de gaz d’ici la fin de l’année. Comme il l’a dit, « si nous parlons de perspective, cela inclut les exportations de gaz vers l’Afghanistan, le Pakistan – soit en utilisant les projets d’infrastructure d’Asie centrale, soit par le biais d’un échange à partir du territoire de l’Iran. C’est-à-dire que nous recevrons leur gaz dans le sud du pays [Iran], et en échange nous fournirons du gaz dans le nord pour les consommateurs iraniens ».
Novak a ajouté : « Nous prévoyons environ 5 millions de tonnes [de pétrole] par an et jusqu’à 10 milliards de mètres cubes [de gaz] dans un premier temps ». Le Pakistan est intéressé par l’approvisionnement en gaz russe. Novak a fait référence à l’accord conclu par la Russie avec l’Azerbaïdjan, qui doit augmenter ses approvisionnements en gaz, et « lorsqu’ils augmenteront leur production de gaz, nous pourrons discuter des échanges ».
Le Pakistan a un avantage inhérent, car tous les pays participants de l’INSTC, à l’exception de l’Inde, se trouvent être également membres de l’Initiative Ceinture et Route chinoise. À un moment donné, les deux ports iraniens désignés dans l’INSTC – Bandar Abbas et Chabahar – seront probablement reliés au port de Gwadar, qui est la porte d’entrée du corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) menant au Xinjiang, et un élément important de la BRI.
Il est clair que l’INSTC donnera naissance à un réseau de corridors économiques internationaux. L’Iran est destiné à devenir le centre d’intérêts stratégiques convergents avec des dimensions économiques importantes qui détermineront de nouvelles alliances et auront un impact sur la géopolitique de l’Asie du Sud et de l’Ouest au XXIe siècle.
Les États-Unis ont mené une guerre de l’information pour démolir le CPEC et alimenter les sentiments anti-chinois dans l’opinion publique pakistanaise. Mais c’est une tentative désespérée de dénigrer l’INSTC en tant que projet géopolitique et il est peu pratique de menacer les États régionaux de s’associer à ce qui est une route commerciale intercontinentale qui n’est pas la franchise d’un seul pays. Après tout, comment sanctionner un bloc commercial ?
Les faits parlent d’eux-mêmes. Les essais effectués par l’INSTC pour transporter des conteneurs de Mumbai à Saint-Pétersbourg en utilisant le corridor commercial ont permis de réduire le délai de livraison des cargaisons de 45 jours à 25 jours à des tarifs 30% moins chers qu’en passant par le canal de Suez, ce qui justifie les espoirs d’une meilleure connectivité et l’utilité du corridor. Il est clair que le potentiel commercial de l’INSTC est immense.
Cependant, la Russie et l’Iran sont déterminés à se découpler de l’Occident. Lavrov a déclaré lundi : « Nous ne pouvons plus compter sur ces gens. Ni notre peuple ni l’histoire ne nous le pardonneront si nous le faisons… nous avons trop ouvertement et naïvement mis notre foi dans les assurances que nous avons entendues au début des années 1990 au sujet d’une maison européenne commune et de la nécessité d’une division internationale du travail qui s’appuierait sur les meilleures performances et les avantages compétitifs de chaque pays, de sorte qu’en rassemblant nos efforts et en économisant nos ressources, nous serions en mesure d’obtenir les résultats les meilleurs et les plus rentables. Tout cela n’était que des paroles en l’air ».
L’Iran et l’Union économique eurasiatique [comprenant la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et le Kirghizstan] auraient finalisé les termes d’un accord de libre-échange portant sur plus de 7500 types de produits. Un marché de 700 milliards de dollars s’ouvre aux produits et services iraniens dès la prochaine année iranienne [à partir du 21 mars 2023].
L’accord de libre-échange encourage la libre circulation des biens et des services et prévoit des politiques communes dans le domaine macroéconomique, des transports, de l’industrie et de l’agriculture, de l’énergie, du commerce et des investissements étrangers, des douanes, de la réglementation technique, de la concurrence et de la réglementation antitrust. Ce sera un changement de donne pour l’INSTC, qui transformera la dynamique du pouvoir dans la vaste masse continentale eurasienne et dans la région du Golfe. L’INSTC représente un axe stratégique entre la Russie et l’Iran, construit autour d’une route commerciale annonçant un bloc commercial non occidental d’États régionaux en roue libre ayant des intérêts communs dans la résistance à l’hégémonie occidentale.
Comme prévu les autorités agissent intelligemment afin de rechercher très vite de nouveaux clients. C'est fait. Dès lors ces clients approvisionnés le seront au dépend des ex acheteurs européens qui - s'ils revenaient en arrière - n'auraient RIEN puisque la marchandise est parti ailleurs et est sous contrats ! Hahahaha !
Non contents d’avoir organisé une situation énergétique délicate en infligeant des sanctions à la Russie lors de l’annexion de la Crimée en 2015 à la suite d’un référendum démocratique des habitants de la péninsule, l’Europe a emboité le pas de l’OTAN et de l’Oncle Sam lorsque la Russie a décidé de sauver la vie des habitants russophones du Donbass bombardés quotidiennement et privés de leurs droits civiques. Ces sanctions se sont retournées contre l’Europe dont toute la population, les petites et grandes entreprises souffrent du renchérissement du prix de l’énergie. Les boulangers baissent le rideau et ce n’est pas anecdotique car l’Europe également ne produit plus d’aluminium, plus d’acier et les chaines de montage des voitures sont à l’arrêt. La situation de l’économie de l’Europe va encore se dégrader avec une série de mesures prises à la légère comme c’est toujours le cas depuis la création de « ce machin » dirigé par des technocrates qui n’ont aucune idée du monde réel. Mais il y a précisément un réel danger pour les populations qui va se concrétiser au cours de l’année 2023. Il s’agit du secteur agricole.
En effet, une série de décisions provenant des gauchistes écolos va inévitablement pénaliser le secteur agricole européen pourtant dynamique. L’augmentation du prix des engrais de synthèse, les interdictions ou sévères restrictions successives de l’utilisation de pesticides comme le glyphosate ou les néonicotinoïdes combinées à l’augmentation du prix des carburants va tout simplement conduire les acteurs du secteur agricole à cesser leur activité. Le secteur de l’élevage bovin est également menacé par ces mêmes progressistes de gauche car ils considèrent que la viande rouge est néfaste pour le climat. Un pays comme la France qui, en Europe occidentale détient les meilleurs terres arables et une diversité de ses terroirs inégalée est devenue importatrice nette de denrées agricoles, un comble. Les Pays-Bas ont décidé de réduire de moitié les têtes de bétail pour les raisons invoquées ci-dessus, et la doxa « bio » décourage les agriculteurs traditionnels de produire encore quoi que ce soit. L’obtention du label « bio » est complexe et les contrôles incessants découragent ces agriculteurs, leur témérité n’est même plus récompensée par les gains espérés puisque toute augmentation des prix des denrées alimentaires est devenue la bête noire des gouvernements.
Les producteurs d’oeufs sont menacés de contrôles en permanence et un nombre croissants d’éleveurs industriels de porcs et de volaille cessent leur activité en raison de l’augmentation du coût de l’énergie.
L’étincelle qui fut à l’origine de la révolution française provenait du manque de pain, est-ce nécessaire de le rappeler. Certes le pain n’occupe plus la place centrale qui était la sienne au XVIIIe siècle. Néanmoins l’inflation qui frappe les produits alimentaires, jusqu’à 40 % d’augmentation pour certains produits de consommation courante comme les pâtes, correspond à cette disette de pain qui décida les mères de famille parisiennes à aller chercher le roi à Versailles. Ce petit rappel historique est là pour signifier que la situation est explosive. Le réveil après les agapes de fin d’année sera douloureux. L’Europe s’achemine vers la famine et il est déjà trop tard pour y remédier. Tout ça va mal se terminer … Un beau vœu de nouvelle année.
Les coupures de courant dureront des jours, déclare le ministre autrichien de la Défense - faites le plein maintenant
Par Jo Nova December 31st, 2022
C'est un gros Psy-Op couvrant le dos qui essaie d'enterrer les mauvaises nouvelles
Klaudia Tanner, la ministre autrichienne de la Défense, a lancé l'extraordinaire bombe qu'un long black-out est à venir. Elle espère que vous ne remarquerez pas qu'il s'agit d'une nouvelle et dramatique menace. Tout est de la faute de Vladimir Poutine, dit-elle (pas du gouvernement qui a brûlé la sécurité énergétique sur un feu de joie vert dans une quête imaginaire pour un temps plus clément). Et quand cela arrive, si vous souffrez et manquez de ravitaillement, ou si vous mourez de froid, c'est de votre faute.
Qui savait que c'était votre travail de maintenir le bois, le pétrole ou le gaz et la nourriture et l'eau pour vous dépanner pendant une panne totale d'une semaine ? Eh bien, maintenant vous le faites.
Ainsi l'annonce de l'état choquant du réseau autrichien est enterrée sous les excuses :
Le ministre autrichien de la Défense prévient que les Européens ne sont pas préparés à des pannes d'électricité de plusieurs jours Paul Joseph Watson, Nouvelles du sommet
"La question n'est pas de savoir si (la panne d'électricité) viendra, mais quand elle viendra", a déclaré Tanner, blâmant la guerre en Ukraine.
« Pour Poutine, les attaques de piratage contre les alimentations électriques occidentales sont un outil de guerre hybride. Il ne faut pas prétendre que ce n'est qu'une théorie. Nous devons nous préparer aux pannes d'électricité en Autriche et en Europe », a-t-elle ajouté.
Qui, exactement, est responsable de la sécurité énergétique autrichienne : s'appelle-t-il Vladimir ?
Chaque citoyen doit soudainement prévoir un long black-out : Tanner a expliqué à quel point les Européens n'étaient pas préparés à des pannes prolongées paralysantes en avertissant qu'"un tiers des citoyens ne seraient pas en mesure de s'approvisionner au plus tard le quatrième jour d'une panne".
Donc, si la panne ne se produit pas, ou ne dure qu'un jour ou deux, le gouvernement peut se vanter d'avoir réussi à en empêcher une plus longue. Et si le Big Bad One se produit, ils ont déjà présenté les excuses.
Imaginez une interview plus honnête : le ministre dit l'impensable — une longue perte de puissance sans précédent au cœur de l'hiver est probable. Supposez que votre gouvernement ne sera pas là quand vous en aurez besoin. C'est tellement grave que vous devez faire le plein de nourriture, de carburant et d'eau.
Imaginez une véritable opposition : le gouvernement incompétent aurait pu construire des centrales nucléaires, faire fonctionner des centrales au charbon, et rien de tout cela ne se produirait.
Les 9 premières façons de survivre à la Grande Dépression à venir (Comme nous l'avons vu pendant la Grande Récession, le chaos économique du début de la période pandémique et la douleur inflationniste que nous subissons encore, notre société ne sera jamais à l'abri des résultats économiques négatifs. )
par Brandon Campbell 30 décembre 2022
Avec les craintes croissantes concernant la crise de la dette actuelle en Grèce, de nombreuses personnes s'inquiètent pour l'économie et les conditions de vie. Les analystes intelligents admettent que l'économie va se détériorer et apprennent comment survivre à une grande dépression à venir.
Si les choses empirent vraiment, vous voudrez être préparé. Voici 9 façons simples de survivre à la grande dépression à venir.
1) Stockez vos aliments.
La nourriture est une nécessité à la vie. Ne devenez pas l'un des marchands paniqués à la recherche de nourriture lorsqu'il est trop tard. La plupart des familles n'ont pas assez de nourriture pour durer 4 semaines dans une étude récente. Alors ne devenez pas l'une des statistiques.
Ce guide ci-dessous peut vous aider dans une situation de survie
Si la société s'effondre, vous pouvez parier que les aliments que les pionniers mangeaient deviendront des aliments de base
The Lost Ways vous prépare à faire face aux pires scénarios avec le minimum de ressources, tout comme nos ancêtres vivaient leur vie, totalement indépendants de l'électricité, des voitures ou de la technologie moderne.
Alors faites attention parce que cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
2) Stockez de l'eau propre.
Vous pouvez survivre sans nourriture pendant des semaines, mais sans eau, vous pouvez périr rapidement. Votre corps est composé de plus de 80 % d'eau et certains disent que c'est le fondement de la vie. Si l'eau est coupée à votre domicile, quel est votre plan ? Assurez-vous de stocker de l'eau en cas de situation d'urgence.
3) Rangez l'outil pointu.
Des outils comme une hache sont simples mais efficaces pour ramasser du bois de chauffage et chasser. Sans un outil pointu, votre vie peut être très difficile. Vous voudrez avoir cet outil et un taille-crayon à proximité, surtout si vous vivez dans une région où il y a des pannes de courant.
Rangez du bois de chauffage, des allumettes et des briquets pour vous garder, vous et votre famille, au chaud la nuit. S'il y avait une véritable situation d'urgence, comment pouvez-vous allumer un feu sans ces outils. C'est aussi une bonne idée de stocker des bougies. Ils sont extrêmement bon marché et fiables si l'électricité est coupée d'une manière ou d'une autre.
5) Gardez une radio à portée de main.
Dans toutes les crises majeures, vous voulez pouvoir vous occuper de votre famille, n'est-ce pas ? Vous voudrez donc savoir ce qui se passe dans le monde extérieur. S'il y a une panne de courant majeure, comment allez-vous vous tenir au courant. Avec une radio, vous êtes en mesure de vous tenir au courant des dernières nouvelles et des événements.
6) Rangez les articles de toilette.
L'hygiène personnelle est indispensable dans toutes les situations, bonnes ou mauvaises. Assurez-vous de stocker beaucoup de papier toilette, de shampoing, de savon, de brosses à dents et d'autres produits nécessaires pour réussir vos rituels d'hygiène quotidiens. Nous tenons parfois ces choses pour acquises dans notre société. Que se passerait-il pour vous si un jour tous ces articles devenaient tout simplement indisponibles ?
7) Stockez l'essence supplémentaire.
C'est un must dans n'importe quelle situation, mais surtout si la situation économique empire. L'inflation s'insinuerait et ferait monter en flèche les prix de l'essence, donc faire le plein de prix de l'essence alors qu'ils sont bon marché maintenant ne fera pas de mal à long terme. Non seulement vous économiserez de l'argent, mais vous serez bien préparé si vous devez vous déplacer rapidement d'un endroit à l'autre ou si vous devez vous déplacer de toute urgence.
8) Faites-vous de bons amis avec vos voisins.
Avez-vous déjà entendu dire que deux têtes valent mieux qu'une ? Eh bien, vous devriez apprendre à connaître votre voisin hier. Former de petites communautés pendant la grande dépression était la façon dont chacun s'en sortait au jour le jour. Pour un soutien moral et pour s'entraider avec de la nourriture et de l'eau. C'est un moyen puissant de traverser les moments difficiles.
De nos jours, de nombreuses personnes comptent simplement sur le gouvernement ou sur d'autres personnes. Si l'économie s'effondrait demain, ces personnes seraient en grande difficulté. Ayez un plan de sauvegarde à sécurité intégrée pour tout. Si vous comptez sur un système qui n'est pas conçu pour les conditions qui vous restent. Vous êtes voué à l'échec. Assurez-vous d'être prêt aujourd'hui et disposez de plusieurs plans de sauvegarde au cas où l'un d'entre eux échouerait systématiquement.
Important ci-dessous :
Vous vivez peut-être dans l'une des zones de la mort américaines et n'en avez aucune idée Et si c'était toi ? Qu'est-ce que tu ferais ?
Dans les prochaines minutes, je vais vous montrer la carte des cibles nucléaires américaines, où vous découvrirez si vous vivez dans l'une des zones de mort américaines.
Prévisions 2023 – Écartez-vous si vous ne pouvez pas donner un coup de main
De James Howard Kunstler Kunstler.com 31 décembre 2022
« Les puissants paniquent, et ils devraient le faire. Leurs secrets sont divulgués. —Miranda Devine
"Ce n'est que de l'huile de serpent. Nous voulons sauver la planète et la vie qui s'y trouve, mais nous ne sommes pas prêts à en payer le prix et à en supporter les conséquences. Nous créons donc un récit qui fait du bien et courons avec. — Raul Ilargi Meier
« 2023 pourrait être une année charnière pour les États-Unis si les mensonges omniprésents peuvent être exposés, digérés et crus. Toute cette exposition doit se produire au milieu de cafouillages continus vers le programme de la Grande Réinitialisation. » – Truman Verdun
"Plus d'emprunts n'ont de sens que si vous vous attendez à une économie plus importante à l'avenir. Toute expansion économique est basée sur l'énergie. Les pays qui ont de l'énergie peuvent se développer, ceux qui n'en ont pas." — Chris Martenson
"Être un ennemi de l'Amérique peut être dangereux, mais être un ami est fatal." — Henri Kissinger
« Le récit incorrect fourni par les médias grand public (MSM) est que le changement climatique est notre pire problème. Pour atténuer ce problème, les citoyens doivent s'éloigner rapidement des combustibles fossiles et passer aux énergies renouvelables. Le vrai récit est que nous manquons de combustibles fossiles qui peuvent être extraits de manière rentable et que les énergies renouvelables ne sont pas des substituts adéquats. Cependant, ce récit est trop inquiétant pour la plupart des gens à gérer. — Ugh Bardi
Il est difficile d'envisager 2023 sans sombrer dans la nausée, la tachycardie et les sueurs froides. Mais c'est un devoir incontournable ici d'exposer les probabilités à venir. Je fais ce truc de prévision depuis quelques années maintenant, et, bien sûr, je me trompe souvent, alors rassurez-vous et détendez-vous. Peut-être que la nouvelle année sera faite de licornes, d'arcs-en-ciel, de gerbilles parlantes et de violettes confites.
2022 était une douche froide. La longue urgence dont je parle tant a finalement atteint sa vitesse de croisière, avec le «Joe Biden» ectoplasmique propulsant notre pays dans un effondrement économique, politique et culturel – un triplé de calamité – et il l'a fait plus rapidement et directement que n'importe quel empereur dirigé à la fin de la Rome, avec des politiques et des actions à 180 degrés contraires à l'intérêt public américain – acclamé par une classe pensante qui avait manifestement perdu son esprit consensuel.
Était-ce simplement pour faire le contraire de ce que ferait le détesté et détesté M. Trump ? Serait-ce aussi simple ou aussi automatique ? Les yeux de la classe pensante ont une lueur zombifiée ces jours-ci. Il est évident, vous en conviendrez peut-être, que "Joe Biden" n'est en charge de rien, vraiment. C'est une figure animatronique programmée pour lire un téléprompteur et pas grand-chose d'autre. La moitié du temps, il ne peut même pas trouver son chemin hors de la scène après avoir fait ce tour. La claque qui tire ses ficelles est peut-être l'équipe que vous voyez autour de lui (vous savez, WYSIWYG) : Susan Rice, Ron Klain, Jake Sullivan, Antony Blinken, Victoria Nuland et compagnie. Mme Rice s'est complètement cachée dans les coulisses de la Maison Blanche pendant deux ans. Personne n'entend jamais parler d'elle ni ne la voit. Bizarre, un peu, pour le directeur du Conseil de politique intérieure.
Ou bien, y a-t-il des marionnettistes plus profondément dans l'ombre, disons, l'ancien patron de "JB" Barack Obama, Der Schwabenklaus et sa suite WEF, Bill Gates et d'autres milliardaires de la technologie, les banquiers "d'importance systémique", George Soros... ? Ou un groupe de sorciers super-élites dont nous n'avions jamais entendu parler ? La dynamique du leadership américain est vraiment mystifiante et ce depuis deux années entières. Des mystères seront-ils révélés en 2023 ? Personnellement, je pense que oui. Les choses s'alignent dans cette direction, mais qui sait si les dégâts peuvent même être inversés à ce stade. Et maintenant sur la forme des choses à venir….
Économie
Tout ce que vous pouvez vraiment dire, c'est que les gens qui dirigent les choses ont détourné chaque module des intérêts de notre nation et les ont fait basculer dans la décadence et la ruine. Ils ont anéanti tout ce qui restait de l'économie américaine avec une panoplie de manœuvres idiotes infaillibles. En dépensant des billions de dollars qui n'existent pas pour acheter des votes, ils ont gonflé le pouvoir d'achat de notre argent - une erreur de niveau Econ 101. Le « Green New Deal » est une escroquerie, une opération infâme ouverte et directe pour subvertir la Western Civ par le WEF et ses comparses, énoncée explicitement dans ses publications internes.
Il n'y a aucun moyen de faire fonctionner notre société telle qu'elle est actuellement équipée de n'importe quelle combinaison d'énergies alternatives. Tout ce que les Greenies peuvent vraiment accomplir avec cette croisade est de détruire les systèmes complexes sur lesquels nous comptons plus rapidement que cela ne se produirait dans le cours normal des choses, excluant toute chance d'une retraite ordonnée vers un arrangement plausiblement réduit pour la vie quotidienne. Nous quittons le système actuel de toute façon, que cela nous plaise ou non - la thèse de The Long Emergency.
Cela nous amène au cœur de l'énigme à laquelle nous sommes confrontés. Aussi mal intentionnés que soient le WEF et ses alliés, le monde se dirige vers une grande réinitialisation. Le hic, c'est que ce ne sera pas la version du WEF, leur techno-nirvana schématique avec une petite élite confortable dominant le hoi-polloi mangeur d'insectes. Ils manquent en quelque sorte le point que l'énergie nécessaire pour faire fonctionner leur précieuse technologie transhumaine ne sera pas là. Soit dit en passant, l'idée centrale du WEF d'un contrôle central par un gouvernement mondial coordonné est en contradiction avec la réalité fondamentale des temps à venir, à savoir que la vie est sur le point de devenir beaucoup plus locale et réduite - le contraire de centralisée. Tout ce qui est organisé à l'échelle géante est en train de sombrer dans l'échec, les empires, les sociétés mondiales, les villes hypertrophiques, les universités géantes, les fermes géantes, etc. Leurs modèles économiques sont brisés. Les activités que ces choses représentent doivent devenir plus petites, plus fines et plus régionales. En fonction de ce que nous sommes capables de récupérer et de réutiliser à partir des restes fabriqués de la modernité, nous aurons la chance de revenir dans la vie vécue au niveau du début des années 1800. Ou bien, si nous nous trompons vraiment, nous plongerons malheureusement dans un âge sombre dans un monde dépourvu de ressources.
Le "Green New Deal", basé sur une combinaison de vœux pieux et de méchanceté autodestructrice, comprend l'affaiblissement délibéré de ce qui reste de l'industrie pétrolière américaine en annulant des pipelines, des licences de forage sur des terres publiques, en drainant la réserve stratégique de pétrole et d'autres efforts. pour saboter ce qui reste. L'Amérique a encore beaucoup de pétrole dans le sol, mais une grande partie est difficile à atteindre et non rentable à produire à l'échelle requise. C'est un perdant d'argent et perdre de l'argent de manière constante ne correspond à aucune véritable entreprise.
Cela est particulièrement vrai pour le pétrole de schiste, qui a connu une bonne production de 2009 à 2022, même si les producteurs pouvaient à peine gagner un centime. Le « miracle » de l'huile de schiste était en grande partie un sous-produit de taux d'intérêt proches de zéro. Les investisseurs y ont afflué après 2009 car ils ne pouvaient obtenir aucun rendement des obligations. L'huile de schiste était considérée comme une valeur sûre. Il a fallu une décennie aux investisseurs, et plus d'une centaine de faillites de sociétés pétrolières, pour s'imposer - et maintenant, le pétrole de schiste ne peut pas attirer suffisamment de nouveaux investissements pour maintenir les opérations géantes à grande échelle. Les principales régions de pétrole de schiste, le bassin permien au Texas et les champs de Bakken dans le Dakota du Nord, sont entrées dans un déclin permanent car elles manquent de «sweet spots» pour forer et fracturer. Compte tenu de la nouvelle ère de pénurie de capitaux à venir, l'argent pour les sociétés pétrolières de schiste sera encore plus difficile à obtenir et nous aurons moins de pétrole de schiste chaque année, tandis que le pétrole conventionnel poursuit son propre déclin sans remords. Le hic ici est que les prix du pétrole sont tout aussi susceptibles de baisser que d'augmenter parce que l'économie en perdition crée une destruction substantielle de la demande - les clients abandonnent le marché.
Le gaz naturel implique une dynamique similaire. Il semble y en avoir beaucoup pour l'instant dans la formation de Marcellus répartie sur la Pennsylvanie, l'Ohio, la Virginie-Occidentale et à New York (où la fracturation hydraulique est interdite depuis des années). Natgas est très utile pour la production d'électricité, le chauffage domestique et certaines activités de fabrication, mais pas tellement pour le transport. La production de gaz de schiste repose également sur des « sweet spots » pour le forage et il y en a de moins en moins chaque année. La courbe d'épuisement des natgas est encore plus extrême que celle du pétrole : elle s'arrête d'un coup. Les premières zones de gaz de schiste dans le sud des États-Unis – Haynesville, Fayetteville, Barnett – sont en déclin depuis des années. Comme pour le pétrole de schiste, la production de gaz de schiste coûte cher, tous les camions livrant sans cesse du sable de fracturation, de l'eau et des produits chimiques aux plateformes de forage, puis transportant les déchets liquides hors site. Prédiction : en 2023, nous entendrons les premières rumeurs sur la nationalisation de l'industrie pétrolière, ce qui sera un pas de géant vers sa destruction totale, compte tenu de l'incompétence générale du gouvernement.
La stratégie consistant à remplacer les voitures et les camions à base de pétrole par des véhicules électriques (VE) est perdante à plusieurs égards, au-delà des perturbations et de l'instabilité auxquelles est confrontée la production pétrolière américaine. Premièrement, il repose sur l'idée que nous pouvons continuer à vivre dans un arrangement d'étalement de banlieue par d'autres moyens. Deuxièmement, le réseau électrique est trop inadéquat et fragile pour prendre en charge la charge de tant de millions de véhicules électriques en plus de tout ce que nous lui demandons de faire. Troisièmement, la classe moyenne est en train d'être décimée, il y a donc de toute façon moins de clients solvables pour des voitures dont le prix est hors de leur gamme. Quatrièmement, beaucoup moins de capitaux seront disponibles pour les prêts à la consommation. L'industrie automobile elle-même pourrait ne pas survivre à l'orgie de reprise de possession à venir en 2023 pour les prêts automobiles en défaut. Cela infectera également le secteur bancaire. L'économie souffre déjà. Le "Green New Deal" lui coupera les pattes bancales.
De même, les nouveaux mandats contre l'utilisation d'engrais azotés (fabriqués à partir de natgas). Les pays européens sont déjà embarqués dans cette folie du WEF. Les Pays-Bas, premier producteur alimentaire européen, vont jusqu'à fermer de force des milliers de fermes et limiter l'utilisation d'engrais sur les autres. L'Allemagne limite également les engrais. Le Canada s'est rangé ensuite. Prédiction : début 2023, « Joe Biden » mettra en branle des politiques anti-engrais aux États-Unis. Il y aura beaucoup de cris dans les grands États agricoles, entraînant des protestations de colère. Les convois de tracteurs pourraient envahir Washington. La situation ouvre de sombres perspectives pour l'approvisionnement alimentaire américain : pénurie, prix élevés et faim à venir.
Le grenier ukrainien est hors de propos en 2023, à moins que l'action militaire ne se termine bien avant la saison des semailles. L'Europe ne peut pas dépendre de la Russie, un autre producteur mondial de céréales grâce à la stupide politique de sanctions de "Joe B". D'ici l'été, les récoltes prévues dans toute la Civ occidentale seront insuffisantes pour nourrir les populations existantes. Les exportations de routine vers les pays pauvres du « Sud global » s'arrêteront et beaucoup de gens mourront de faim dans ces pays. D'ici là, il sera trop tard pour réparer quoi que ce soit. Le prix de la nourriture va monter en flèche dans toute la civilisation occidentale, aggravant d'autres crises économiques qui équivaudront à métastaser la pauvreté. Les populations deviendront très agitées. Les gouvernements tomberont (candidats : France, Allemagne, Royaume-Uni, Australie, USA). Dans certains endroits, ils ne récupéreront pas dans leur forme antérieure.
En tant que proposition générale, le mondialisme est terminé. Cela a commencé sérieusement avec les fermetures de Covid. Aujourd'hui, les frictions géopolitiques s'aggravent et les relations commerciales se détériorent davantage. Il y aura toujours des échanges entre les nations, mais très réduits. Les chaînes d'approvisionnement mondiales sont déjà détruites, en particulier pour les pièces de rechange mécaniques spécialisées et les composants électroniques. Il sera plus difficile de réparer les voitures, les camions, les turbines, vraiment n'importe quel type de machine, y compris les ordinateurs et les choses qu'ils font fonctionner. Une grande partie de l'activité commerciale va simplement s'arrêter.
L'Europe s'est déjà trompée en achetant son billet aller simple pour Palookaville. L'Allemagne et les autres ont payé ce billet en se conformant à la politique américaine imprudente visant à « affaiblir » la Russie avec des sanctions (mission non accomplie). Le coup de grâce a été que les États-Unis ont détruit les pipelines Nord Stream. Ainsi, l'Euroland a décidé par inadvertance d'abandonner sa base industrielle, ce qui signifie qu'ils deviennent médiévaux ou pire. Ils ont commis un suicide économique. Ils feraient mieux d'espérer que la réincarnation est réelle. Quoi qu'il en soit, ils ne reviennent pas de ce fiasco comme ils y sont entrés, c'est-à-dire comme les choses étaient. Lorsque le choc de l'hiver sera passé au début de 2023, les conflits seront le nouveau leitmotiv dans l'Ancien Monde. Les gens deviennent désespérés dans les six semaines du printemps. Les nations craquent.
L'économie américaine repose en grande partie sur la finance maintenant que la financiarisation a remplacé la fabrication comme base de la prospérité. Hélas, la prospérité financiarisée est une fausse prospérité, puisqu'elle consiste principalement à emprunter des sommes toujours plus importantes pour entretenir une simple apparence de prospérité. Dans la vraie vie, la prospérité exige de produire des choses de valeur, et pas seulement d'échanger des instruments financiers de plus en plus abstraits prétendant représenter de l'argent. J'en ai assez discuté dans des livres, des blogs précédents et des prévisions précédentes. Qu'il suffise de dire que nous avons épuisé la ficelle de cette cascade. Il ne nous reste plus que les marqueurs de dette, des documents censés représenter la richesse. La garantie est tout ce que nous avons produit précédemment et qui est encore debout : bâtiments, propriétés bâties, travaux publics. Beaucoup de ces choses se détériorent rapidement, perdant de leur valeur, par exemple les dizaines de millions de maisons de banlieue construites avec des matériaux de merde à courte durée de vie comme les panneaux de particules et le vinyle… toutes les voitures….
La financiarisation a conduit à l'inflation actuelle de notre système monétaire basé sur la dette. Plus d'emprunts deviennent plus d'argent, chassant une quantité décroissante de marchandises à mesure que la production chute et que les lignes d'approvisionnement s'étouffent. Les services souffrent également. Les gens n'ont pas les moyens de manger au restaurant, de faire de l'acupuncture, d'aller chez le coiffeur. Lorsque l'inflation est suffisamment mauvaise, disons plus de dix pour cent par an, elle causera suffisamment de dommages économiques pour provoquer une forte contraction de l'activité, entraînant un déluge de défauts de paiement sur les prêts hypothécaires, les paiements de voiture et les obligations des entreprises. Les défauts de paiement entraînent la disparition de l'argent du système. Cela transforme l'inflation en déflation. Le marché obligataire explose au fur et à mesure que cela se produit, car les obligations sont des dettes et elles ne sont ni remboursées ni remboursées. L'implosion du marché obligataire infecte les marchés boursiers et ils s'effondrent également.
Avant longtemps, personne n'a d'argent, sauf ceux qui ont investi dans l'or et l'argent. Prédiction : le passage de l'inflation à la déflation intervient à l'été 2023 et s'accélère à l'automne. Cela conduit à des conditions économiques pires que la Grande Dépression des années 1930 parce que nos arrangements sociaux et familiaux se sont désintégrés avec nos villes et villages. Le désordre civil s'enflamme. Le gouvernement tente des confinements, cette fois sans maladie à blâmer. Ce n'est plus sûr d'être un politicien.
L'histoire de Covid-19 se retourne mal et l'enfer se déchaîne
Dans le contexte d'une nouvelle dépression économique en développement, le public ne peut plus éviter de voir la calamité provoquée par les vaccins à ARNm. La mort prématurée fait quotidiennement la une des journaux et provient exactement des effets indésirables qui ont été qualifiés de «théorie du complot» par les experts en santé publique depuis 2021: myocardite, caillots sanguins, lésions organiques, maladies neurologiques, cancers inhabituellement agressifs, systèmes immunitaires endommagés. Pendant ce temps, l'aristocratie américaine de la santé publique - le Dr Tony Fauci, Rochelle Walensky, Francis Collins, Deborah Birx, le chirurgien général Vivek Murthy et bien d'autres seront obligés de témoigner sous serment devant les comités de la Chambre nouvellement reconstitués et enfin répondre pour tous leur malhonnêteté dans la saga de la réponse Covid-19. Ils ont menti sur tout, surtout sur les « vaccins ? Cela empirera pour eux alors que le sentiment public passe de la soumission aux conneries officielles pour faire rage face à une fraude mortelle.
D'ici là, les efforts passés de ce gang pour tromper le public sur Twitter et d'autres médias sociaux seront bien documentés. La piste visqueuse exposée de l'argent et de la corruption entre Pharma et les bureaucrates fédéraux fera enfin une impression sur la nation longtemps déroutée. Les médias grand public seront entraînés dans ce bourbier et le public commencera à comprendre comment les rédacteurs en chef de journaux et les producteurs d'informations télévisées ont également été achetés par Pharma et contrôlés par l'État de sécurité nationale pour soutenir le Parti démocrate et les intérêts mondialistes en dehors du ÉTATS-UNIS. Cette exposition pourrait être la fin des grands organes d'information hérités, le New York Times et le reste de la bande. Leurs dirigeants devront témoigner avec tout le monde. Ils pourraient ne pas être poursuivis – dans un geste de respect pour le premier amendement – mais souffriront plutôt beaucoup de leur perte de crédibilité.
Tout cela aggravera l'animosité contre le gouvernement et le régime «Joe Biden» du Parti démocrate – qui seront assaillis par des enquêtes distinctes sur l'ordinateur portable Hunter Biden et les preuves de corruption et de trahison qu'il contient, et des audiences sur le grand public frontière, les paiements à l'Ukraine et le comportement de type gestapo du FBI.
Voici un scénario pour vous : le ministère de la Justice sera submergé par les références pénales. Le FBI sera dans un état de paralysie, incapable de commettre plus d'insultes contre les citoyens américains à mesure que ses crimes systématiques seront révélés. Lorsque le DOJ hésite à agir, le public sera encore plus enragé. L'actuel procureur général, Merrick Garland, est traîné au Congrès pour répondre de son inconduite et l'humiliation qui en résulte le chassera de ses fonctions. "Joe Biden" pourrait être contraint de démissionner, noyé dans une mer de troubles et de scandales révélés. Un accord sera conclu pour laisser Veep Kamala Harris se tirer d'affaire en échange de sa démission.
Cela laissera le président républicain de la Chambre, quel qu'il soit, devenir président. Il licenciera toutes les personnes politiques nommées au sein de l'exécutif et les remplacera par des personnes qui respecteront la loi. Cela ressemblera à un retour prometteur à la décence et à l'état de droit. Mais les dommages au prestige de l'Amérique auront été si flagrants maintenant que le gouvernement fédéral a perdu sa légitimité. La crise financière, quant à elle, plongera le gouvernement dans quelque chose qui sent la faillite. Le pays est dans une dépression féroce, les gens n'ont pas d'argent, mais le gouvernement non plus. L'autorité réelle est dévolue aux États et aux localités. La mise en œuvre de ces dynamiques dépend également de ce qui se passe en dehors des États-Unis.
L'Europe en Macro
N'oubliez pas qu'il s'agissait d'une partie importante du monde avec un PIB global supérieur à celui des États-Unis ou de la Chine. L'Europe est le berceau de Western Civ, une division du projet humain des derniers milliers d'années qui a produit d'énormes progrès dans la science, l'art, la musique, la philosophie et l'intelligence organisée en général. Maintenant, c'est sur les rochers. L'Europe, dans son ensemble, telle que représentée, disons, par l'Union européenne ou l'OTAN, a commis une grave erreur en se ralliant au projet insensé des néoconservateurs des États-Unis visant à créer un tas de troubles en Ukraine afin d'« affaiblir » la Russie.
La Russie n'était plus une menace pour les États-Unis après 1991. Une fois que l'URSS était devenue une entité politique et après que la Russie se soit remise de l'effondrement de l'effondrement, elle voulait être traitée par l'Occident comme une nation européenne normale. La Russie est devenue une économie de marché, comme toutes les autres en Europe. Il a tenu des élections comme les autres, avait une législature, un nouveau corps de loi sur la propriété, des médias d'information privés, des banques régulières et tous les autres signes extérieurs de la normalité politique moderne. La Russie a même demandé très tôt à devenir membre de l'OTAN. Les États-Unis et l'Europe ont refusé l'adhésion à l'OTAN, mais ont également refusé d'admettre la Russie dans la normalité européenne. Au lieu de cela, dirigé par les États-Unis, l'Occident a mené une opération de dépouillement des actifs qui a entravé le redéveloppement de la Russie.
Sinon, l'Occident a surtout ignoré la Russie et, malgré tout, la Russie s'est remise sur pied, a fait démarrer certaines industries, en particulier le pétrole et le gaz, et a connu deux décennies de stabilité relative. La Russie a finalement commencé à tendre la main dans le monde et a conclu des accords commerciaux avec d'autres pays. Il a construit ces gazoducs Nord Stream. Elle a organisé une « union douanière » régionale entre ses voisins eurasiens qui a fonctionné un peu comme la zone euro.
Pendant que tout cela se passait — faites attention — vers 2010, la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, a siégé au sein d'un comité du département d'État sur les investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS), qui a menacé de bloquer la vente d'une entreprise canadienne, Uranium One, à Rosatom, la société russe d'énergie atomique, au motif que les actifs d'Uranium One comprenaient 20 % de l'approvisionnement en uranium des États-Unis. Vendre tout cet uranium américain à la Russie avait l'air plutôt mal, pensez-vous, et vous auriez raison. Mais ensuite, tout à coup, environ 150 millions de dollars ont été versés à la Fondation Clinton - en grande partie par le propriétaire d'Uranium One, un certain Frank Giustra - et Bill Clinton a obtenu un concert d'un demi-million de dollars en Russie, et… que sais-je, CFIUS a fini par approuver la vente. Le public en a à peine entendu parler. (Où étaient les nouveaux médias américains ?)
Au cours de la même période, Hillary Clinton a également contribué à faciliter le transfert de la technologie biomédicale, nucléaire et informatique américaine au consortium de haute technologie appelé Skolkovo, la version russe de la Silicon Valley. Une grande partie de la technologie en cause était à double usage, bonne pour les applications civiles et militaires. Encore une fois, des dizaines de millions de dollars ont été versés à la Fondation Clinton par les entreprises participant à l'accord Skolkovo. Les grillons des médias d'information à nouveau.
En 2011, les relations entre les États-Unis et la Russie se sont détériorées lorsque le président Poutine a accusé les États-Unis de fomenter des manifestations en Russie à propos de ses élections législatives. Et à partir de là, notre département d'État a décidé que la Russie et les États-Unis ne pouvaient même pas prétendre être amis.
Sautons en avant jusqu'en 2014 : les néoconservateurs de l'administration Obama ont estimé qu'il était temps de réduire la taille de la Russie. Cet effort s'est cristallisé autour de l'ancienne province soviétique, l'Ukraine, et s'est épanoui dans la révolution de Maïdan, parrainée et organisée par les États-Unis, utilisant à l'avant-garde les importantes forces nazies ukrainiennes de Stepan Bandara, pour fomenter la violence sur la place principale de Kiev. Les États-Unis ont chassé le président ukrainien élu Ianoukovitch – qui a provoqué la colère de l'Amérique en s'engageant à rejoindre l'Union douanière russe au lieu de l'UE – et a installé sa propre marionnette Yatsenyuk, qui a finalement été remplacé par le magnat des bonbons, Porochenko, remplacé par la star de la télévision ukrainienne, le comédien Volodymyr Zelensky. Ha ha. Qui rit maintenant ? (Personne.)
À partir de 2014, l'Ukraine, avec le soutien de l'Amérique, a fait tout son possible pour contrarier la Russie, en particulier en inondant les provinces orientales de l'Ukraine, appelées le Donbass, d'artillerie, de roquettes et de bombes pour harceler la population russe. Après huit ans de cela, et des insultes américaines continues (le dossier Steele, l'ingérence électorale de 2016) et des menaces renouvelées d'entraîner l'Ukraine dans l'OTAN, M. Poutine en a eu assez et a lancé son « opération militaire spéciale » pour discipliner l'Ukraine. Une fois que cela a commencé, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a déclaré explicitement au monde que la politique générale des États-Unis était désormais « d'affaiblir la Russie ».
Cela s'est accompagné de la politique américaine d'isoler économiquement la Russie avec toujours plus de sanctions. N'a pas fonctionné. La Russie vient de se tourner vers l'est vers l'énorme marché asiatique pour son pétrole et son gaz et a utilisé un système alternatif de dédouanement électronique pour remplacer le système américain SWIFT. Les sanctions ont également donné à la Russie une raison de poursuivre agressivement une stratégie économique de remplacement des importations - la fabrication de produits qu'elle achetait à l'Occident, par exemple des machines-outils allemandes essentielles pour l'industrie.
La Russie a sacrifié plus de 50 milliards de dollars d'actifs financiers bloqués dans le système bancaire américain - nous venons de le confisquer - mais, en fin de compte, cela n'a fait que nuire à la réputation du système bancaire américain en tant que lieu sûr où placer de l'argent et a rendu les investisseurs étrangers beaucoup plus méfiants d'emmagasiner des capitaux dans les banques américaines. Effet net : la valeur du rouble a augmenté et s'est stabilisée et la Russie a trouvé de nouveaux moyens de neutraliser l'intimidation économique américaine.
L'Europe a été la grande perdante de tout cela. Pendant un certain temps, l'Europe pourrait faire semblant de suivre le projet US/OTAN, déversant des armes et de l'argent en Ukraine, et en même temps dépendre des importations russes de pétrole et de gaz. Huit mois après le début du conflit, les États-Unis ont fait sauter les pipelines Nord Stream One et Two, et ce fut la fin de l'approvisionnement de l'Europe en natgas abordables, pour chauffer les maisons et l'industrie électrique. Dans un monde sain, cela aurait été considéré comme un acte de guerre contre l'Allemagne par les États-Unis. Mais cela n'a fait que révéler l'état de vassalité secret et humiliant dans lequel se trouvait l'Europe. L'Europe s'était déjà rendue ridicule en achetant l'hystérie du changement climatique et en essayant d'adapter sa consommation d'énergie aux soi-disant «énergies renouvelables» dans le plus grand exercice de signalisation de vertu de l'histoire. L'Allemagne, le moteur de l'économie de l'UE, a commis une erreur stupide après l'autre. Il a investi massivement dans des installations éoliennes et solaires, qui étaient si insuffisantes qu'elles en étaient une blague, et il a fermé ses centrales électriques alimentées par l'énergie nucléaire afin de paraître écologiquement correct.
Alors maintenant, l'Allemagne et de nombreux autres États membres de l'UE sont sur le point de laisser derrière eux la modernité. Ils ont réussi à brouiller et à remplir suffisamment leurs réserves de gaz cet automne pour peut-être traverser l'hiver sans mourir de froid, mais non sans beaucoup de sacrifices, en abattant les forêts européennes et en portant leurs manteaux à l'intérieur. Maintenant, seulement quelques jours après le début de l'hiver, il reste à voir comment cela fonctionnera. Nous en saurons plus en mars de la nouvelle année. La France avait été l'exception en Europe, en raison de son important parc de centrales nucléaires. Mais beaucoup d'entre eux ont maintenant vieilli, certains ont complètement fermé, et la politique «verte» a empêché de les remplacer, de sorte que la France, elle aussi, se retrouvera de plus en plus soumise à des pénuries d'énergie abordables.
Conclusion : l'Ukraine est et a toujours été dans la sphère d'influence de la Russie, et le restera. Les États-Unis n'ont rien à faire là-bas et ce sera mieux pour toutes les personnes concernées lorsque nous nous retirerons. Espérons que cela se produise sans que l'Amérique ne déclenche une troisième guerre mondiale nucléaire. (Ouais, "l'espoir" n'est pas un plan. Essayez la prière, alors.) Le défi de M. Poutine en 2023 est de mettre fin aux hostilités en Ukraine sans humilier les États-Unis au point de faire quelque chose de vraiment stupide.
Asie
L'immense région où vivent la plupart des habitants du monde tourbillonne avec une dynamique en évolution rapide. Il est difficile de dire dans quel état se trouve réellement la Chine à la fin de 2022. Le PCC a capitulé sur sa politique de confinement extrême et maintenant le pays semble en proie à une nouvelle et grave épidémie du virus Covid. Cela tue beaucoup de gens, y compris pas mal de hauts gradés du PCC. Le monde a vu le début d'une révolte populaire en Chine jusqu'à l'automne 2022 alors que des manifestations éclataient. Le volet politique reste opaque.
Le côté économique, moins. La richesse de la Chine depuis l'an 2000 provient de son immense capacité d'usine et de sa main-d'œuvre bon marché. Le mondialisme vacille, et avec lui le réseau mondial de lignes d'approvisionnement. Si les relations commerciales avec les États-Unis continuent de se détériorer, la Chine et les États-Unis en souffriront. La Chine se retrouvera en surcapacité, même pour le gigantesque marché asiatique. Et ils sont en concurrence avec plusieurs autres nations rapidement industrialisées du sud, plus l'Inde, plus les anciens piliers de la Corée du Sud et du Japon.
Le principal problème pour la Chine, et en fait pour toutes les nations du Pacifique du côté asiatique : l'énergie. La Chine n'a pas beaucoup de pétrole dans le sol et dépend totalement des importations. Il y a beaucoup de charbon de mauvaise qualité. Il construit des centrales au charbon et nucléaires comme un fou. Cela suffira-t-il ? L'électricité, c'est bien, mais il faut des combustibles fossiles pour faire fonctionner les industries lourdes. Lors des grands changements de 2022, la Chine a conclu des accords pour obtenir plus de pétrole et de gaz de la Russie. Cela pourrait fonctionner pendant un certain temps. Mais les ressources énergétiques de la Russie sont probablement proches du pic de production actuellement. Que se passe-t-il en descendant de ce sommet ? Peut-être la Russie sera-t-elle moins désireuse de partager ses énergies fossiles avec ses voisins. Cela provoquera peut-être des frictions politiques. Peut-être qu'une Chine désespérée tendra la main et tentera de s'emparer des ressources des vastes territoires sibériens de la Russie ? Pas l'année prochaine, cependant….
L'establishment de la politique étrangère américaine dirigé par les néoconservateurs est certainement fou, mais le PCC n'est pas fou seulement pendant les périodes de grande stabilité. Ajoutez à cela une certaine dissidence populaire et une certaine détresse économique, et le PCC pourrait devenir coucou. L'oncle Xi montre des tendances très proches de Mao pour le despotisme créatif. Le parti doit avoir un long jeu pour Taïwan, mais un PCC en détresse et fou, et un oncle Xi agité, pourraient transformer cela en un jeu court par désespoir – et puis quoi ? Nous aurions deux gouvernements vraiment fous en train d'égrener le théâtre oriental de la Troisième Guerre mondiale. Le résultat de cela dépend dans une certaine mesure de la délicatesse avec laquelle M. Poutine peut organiser la sortie de l'Amérique d'Ukraine.
Prédiction : Pour 2023, les frictions internes préoccuperont la Chine alors qu'elle tente de concilier ses opérations avec les tendances pressantes de notre époque : la réduction d'échelle et la relocalisation. Tout cela pourrait facilement conduire à des conflits régionaux en Chine. Le PCC est maintenant le ciment entre ses régions. Il peut s'avérer que ce n'est pas de la superglue.
Le Japon reste plus énigmatique que jamais. Elle dérive économiquement depuis près de quarante ans. Maintenant, il semble qu'il dérive vers une faillite souveraine alors qu'il perd le contrôle de ses marchés obligataires profondément piégés. Je m'en tiendrai à ma vieille prédication selon laquelle le Japon est en voie de devenir médiéval. Sa culture pré-industrielle était très charmante et a bien fonctionné pendant de longues périodes de l'histoire. La modernité industrielle les a démoralisés. Le Japon importe tout son pétrole. Sans cela, vous ne pouvez même pas commencer à faire fonctionner une machine de guerre moderne, il n'y aura donc pas de deuxième recherche de ressources comme au 20e siècle. Ils ne seront pas seuls dans le nouveau médiévalisme quand cette ère s'achèvera.
L'Amérique est à la croisée des chemins, un seuil, un point de basculement. Toutes les institutions vitales du pays ont été au moins partiellement détruites, en particulier celles en charge de l'état de droit, ce qui était la meilleure chose que nous ayons eue pour nous. L'État profond est réel - la militarisation d'une bureaucratie nationale contre la nation elle-même. Pourtant, ce n'est certainement pas seulement une chose américaine; ça se passe dans Western Civ. Est-ce un processus naturel d'autodestruction ? Une maladie auto-immune d'un organisme culturel géant, dont les parties attaquent le tout ? Les États-Unis, la Grande-Bretagne et l'Australie étaient si particulièrement fiers d'être des sociétés ouvertes et maintenant ils sont consommés dans une folie censurée. L'Europe continentale a eu une histoire plus sommaire avec la liberté, l'individualisme éclairé de tout le monde, bien qu'ils aient en fait donné naissance à ses principes. Mais maintenant toute l'œuvre est infectée et malade, et par quoi ? C'est comme si une protéine de pointe cosmique venait parmi nous tous et pénétrait dans nos cœurs.
La plupart des grandes religions présentent une version de l'idée de la mort et de la renaissance, et c'est un fait que nous nous voyons intégrés dans des cycles, en particulier des saisons. Les choses tournent et reviennent, naissent, se développent, dégénèrent, passent. C'était la brillante application de la théorie du quatrième tournant de Strauss et Howe à l'étude de l'histoire, et en ces termes, nous sommes entrés dans un profond hiver séculier du projet humain. On peut comprendre comment l'arrivée de l'hiver a effrayé nos ancêtres préhistoriques. Ils ont développé leurs cérémonies de prière pour ramener le soleil, la chaleur et une nouvelle croissance, dansant autour du feu dans les peaux d'animaux, faisant souvent des sacrifices de sang aux forces mystérieuses en charge de… tout. La façon moderne de reconstituer tout ce qui semble être la guerre de force industrielle. Beaucoup d'entre nous prient en ce moment pour ne pas avoir à vivre cela.
Plus probablement, je pense, nous renoncerons au feu nucléaire et traverserons simplement un effondrement de l'organisation socio-économique sur laquelle repose notre gouvernance, et la maladie de l'État profond avec elle. Cela viendra avec beaucoup de difficultés, mais cela purgera les poisons qui nous ont dérangés, et quand nous aurons traversé cela, nous prendrons de nouvelles dispositions pour la vie quotidienne. J'appelle ce processus une longue urgence depuis quelques années, et maintenant nous semblons être en plein dans le vif du sujet. Je crois au processus naturel appelé émergence. Les systèmes se transforment organiquement d'un état à un autre sous l'action des circonstances de temps et de lieu. Le résultat est généralement une surprise, et toutes les surprises ne sont pas mauvaises. Alors, adios 2022 et bonjour petit bébé 2023. Conduis-nous où tu veux et avançons courageusement. Comme Bob l'a dit il y a tant d'années, tout va bien, maman. C'est la vie et la vie seulement...
Les fausses nouvelles vous ont-elles fait peur cette semaine ?
Par Allan Stevo 31 décembre 2022
Au cours de mes années d'engagement politique, je suis devenu expert dans les façons dont les médias mentent et manipulent.
Ça me dégoûte de voir.
Je ne parle pas de ce que les gens veulent généralement dire lorsqu'ils font des déclarations comme celle-là - prêter une attention particulière aux médias pendant quelques années ou fan-boyer certains goo-roo YouTube, apprenant ainsi à imiter ses observations.
Non. Mon expérience avec le mal perpétré par les médias est très différente. J'ai étudié avec de vrais experts dans le domaine dans des cours structurés pendant plusieurs heures par semaine pendant des années, entouré de camarades d'élite, tout en faisant constamment un travail qui m'a forcé à utiliser ces compétences jour après jour dans des matchs de joutes épiques.
Lorsque j'allume la télévision - en particulier les informations -, il me faut quelques secondes pour commencer à voir la manipulation se dérouler. Il ne s'agit pas d'un seul cas isolé, mais d'une couche après couche de manipulations manifestement soigneusement construites. L'œil averti sait que ce n'est pas une coïncidence. Bien que je ne l'aie compris ni son potentiel en tant que candidat que quelque temps après son annonce en juin 2015, j'ai ressenti une grande appréciation le jour où j'ai entendu Donald Trump prononcer pour la première fois les mots fausses nouvelles.
Sa capacité à prononcer des phrases virales qui ont un impact sur la population et à transmettre des idées à travers la société est sans précédent chez aucun candidat que j'ai jamais connu, observé ou lu. L'étude de la propagation des idées virales s'appelle la mémétique. Cette idée qui a le potentiel de devenir virale s'appelle un "mème".
C'est le terme souvent utilisé pour décrire les images amusantes trouvées sur Internet. Ces images amusantes sont un sous-ensemble mineur de mémétiques, mais arrêter le processus de réflexion sur les mèmes avec cette définition, c'est vous tromper sur un domaine vraiment important et significatif qui vous affecte probablement tous les jours de votre vie.
Le lac Michigan n'a même pas gelé. C'est à quel point ce temps était un non-événement. Il est tombé à zéro à Chicago. Gros ouf ! Quelques centimètres de neige sont tombés.
Ouais. C'était froid. Ouais il a neigé. Oui, il y avait du vent.
C'est ce qu'on appelle le temps d'hiver.
Tout comme l'hiver dernier et l'hiver précédent, nous avons vécu ce qu'on appelle la saison du rhume et de la grippe, sauf qu'ils vous ont convaincu d'appeler cela par un nom différent, puis d'agir comme un expert, puis de modifier votre comportement, puis de minimiser ces qui ne serait pas d'accord avec votre expertise perçue.
En tant qu'homme qui a pelleté plusieurs allées cette semaine, dans des endroits où les déplacements ont été interrompus, le temps hivernal de cette semaine n'était honnêtement rien d'enthousiasmant et certainement rien pour mettre en service la machine médiatique d'un billion de dollars.
À moins que . . .
Il ne s'agissait pas du tout de la météo.
Alors pourquoi les médias parleraient-ils autrement de ce temps ? Je ne pourrais pas te le dire. Mais je sais cela. Cui bono ? Pas le vôtre. Pas le mien. Pas celui de mon voisin. Pas ma famille
Les fausses nouvelles seront fausses.
Il ne faut rien attendre d'autre d'eux.
À l'approche de la nouvelle année, je voudrais vous demander d'envisager une résolution : couper le cordon. Jetez la télé par la fenêtre. Débarrassez-vous de vos abonnements aux services de streaming.
J'espère que vous reprendrez votre temps et que vous le consacrerez à des activités plus significatives et plus édifiantes.
(...) Le 1er septembre 1983, le Boeing 747 effectuant le vol Korean Air Lines 007 reliant New York à Séoul via Anchorage dévie de sa route prévue et entre dans un espace aérien soviétique interdit. (...)
et l'avion est abattu ! "Ôh quelle horreur !" s'écrit la presse anti-russe mondiale !
Description des faits: L'avion dévie son vol pour passer sur une zone russe interdite de survol. Appel de la Défense soviétique "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse ! La chasse soviétique décolle. Re-appel: "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse ! L'avion commercial coréen est en vue: Appel: "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse ! Le chasseur soviétique passe alors devant l'avion coréen et effectue des battements d'ailes (ce qui veut dire "SUIVEZ-NOUS !") Pas de réponse ! L'avion est donc abattu.
Faut dire qu'un avion piloté par un sourd et aveugle est plutôt rare.
Mais... imaginez maintenant qu'un avion commercial s'approche de New-York... "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse ! Et, survolant la Big Apple largue une bombe. QUI EST RESPONSABLE ?
Il devient urgent de restaurer le libéralisme, non comme système politique, encore moins économique, mais comme philosophie du droit.
le 31 décembre 2022 Par Florent Ly-Machabert.
Le bon sens, loin d’être comme le pensait René Descartes la chose la mieux partagée au monde, semble avoir déserté le débat public : sur le plan sanitaire, peu de voix se sont fait entendre pour dénoncer, entre autres, qu’on n’impose pas le port du masque au plus fort de l’épidémie ; sur le plan économique, où l’on ne s’étonne même plus que la relance quasi ininterrompue depuis la fin des Trente Glorieuses n’ait toujours pas tiré notre beau pays de l’ornière dans laquelle il n’a en réalité cessé de s’enfoncer.
Il devient urgent de restaurer le libéralisme, non comme système politique, encore moins économique, mais comme philosophie du droit. Dans cette entreprise, un courant de pensée, d’abord économique, auquel mon indéfectible attachement n’a plus de secret pour le lecteur, y a singulièrement contribué depuis la fin du XIXe siècle : l’École autrichienne.
Connue surtout pour sa condamnation – de facto libérale – de toute forme d’interventionnisme étatique dans la sphère économique, la tradition autrichienne s’est en réalité imposée dans le champ des idées par ses positions épistémologiques et méthodologiques, d’abord en matière économique, cela est vrai, mais en embrassant plus largement la question de l’action des êtres humains1, ou praxéologie, dans laquelle elle voit à l’œuvre des moyens pour atteindre des fins.
Cette tradition postule néanmoins immédiatement que les relations entre moyens et fins ne reposent que sur la raison et le libre arbitre (de la volonté) de chaque individu. Il n’y a là d’ailleurs rien de surprenant pour qui fait l’effort de découvrir que cette école dite de Vienne, encore nommée école psychologique, puise une grande partie de ses sources dans la tradition scolastique luso-espagnole du XVIe siècle qu’un Joseph Schumpeter, entre autres économistes du XXe siècle, baptisera du nom d’École de Salamanque2.
Celle-ci, sous la férule du théologien dominicain Francisco de Vitoria, également philosophe et juriste, tente en effet de réinterpréter la pensée du maître Thomas d’Aquin en postulant que les concepts de justice, de droit et de morale s’examinent désormais selon « l’ordre naturel à la lumière de la raison ».
Dans ce contexte l’École élaborera de nombreuses théories envisageant pour la première fois l’économie d’un point de vue moral, prenant ainsi le contrepied de la doctrine catholique de l’époque qui condamnait le désir d’enrichissement de ces négociants venus justement adresser leurs scrupules de conscience à Vitoria.
Ce dernier, considérant la liberté de circulation des idées, des biens et des personnes comme conforme à « l’ordre naturel à la lumière de la raison » au motif qu’elle accroît le sentiment de mutuelle fraternité, conclura que lesdits négociants contribuent au bien-être général.
Loin de ne voir que la valeur matérielle, le libéral autrichien ne conçoit en réalité de valeur qu’immatérielle et subjective, comme jugement qu’un être pensant porte sur la capacité que tel bien a de servir ses projets. Encore faut-il que l’individu soit authentiquement pensant, c’est-à-dire qu’il soit réellement rationnel et libre.
À ce stade de notre réflexion, il nous est donc loisible de soutenir que le libéralisme n’est pas une approche déterministe, puisqu’il ne postule en rien que le monde est prédictible ; ni constructiviste, puisqu’il défend l’ordre naturel ou spontané qui repose sur des logiques fondamentalement décentralisées qu’Hayek nommera la « catallaxie »3 ; ni réductionniste, puisque, s’appuyant sur une doctrine juridique qui a sonné la fin des concepts médiévaux du droit, il adopte la description d’un monde fait d’interactions multiples, valorise les échanges entre individus et revendique un nouveau centre d’intérêt, « antérieur et supérieur à toute législation humaine » dira Frédéric Bastiat, qu’il érige en obligation morale faite au Souverain (qu’il s’agisse du peuple en démocratie ou du roi en monarchie) : le respect des droits naturels de l’individu, c’est-à-dire de ses droits fondamentaux en tant que créature de Dieu, tant relatifs au corps (droit à la vie4, droit de propriété) qu’à l’esprit (liberté de pensée, dignité).
Aussi, pour prouver que, contrairement à la pensée dominante5, le libéralisme n’est pas un matérialisme, nous reste-t-il à démontrer qu’il adopte une approche fondamentalement ouverte au champ de la spiritualité, c’est-à-dire transcendantale, comme semblent le suggérer ses références répétées à la doctrine scolastique6.
Pour ce faire, à présent, explorons plus avant le concept augustinien de libre arbitre (liberum arbitrium) de la volonté humaine, dont le professeur Marian Eabrasu rappelle dans Moral disagreements in business (2019) qu’associé à une conception restreinte de la violence, il est l’apanage des libéraux, ce qui conduit ces derniers à considérer le travail comme l’expression de la créativité humaine et la violence physique comme la seule forme de contrainte capable d’entraver la liberté de l’Homme et de le mettre en esclavage7.
Par libre arbitre (free will dans le monde anglo-saxon), saint Augustin désigne d’abord une « volonté libre » qui fonde la dignité humaine8 :
La volonté libre sans laquelle personne ne peut bien vivre, tu dois reconnaître et qu’elle est un bien, et qu’elle est un don de Dieu, et qu’il faut condamner ceux qui mésusent de ce bien plutôt que de dire de celui qui l’a donné qu’il n’aurait pas dû le donner.
En tant que don de Dieu, le libre arbitre augustinien qui rend l’Homme capable du bien comme du mal invalide donc l’hérésie manichéenne qui attribue au divin la responsabilité du mal ; mais, dans le même temps, comme faculté perdue à cause du péché originel, le libre arbitre augustinien s’oppose aussi à l’hérésie pélagienne qui exagère la responsabilité de l’Homme et sa liberté dans ses rapports avec Dieu, niant donc la principale conséquence de la transgression d’Adam : l’Homme ne peut être restauré dans le libre arbitre dont l’a doué Dieu que par Dieu, c’est-à-dire par la Grâce9.
S’il semble donc impossible d’appréhender la notion de libre arbitre si centrale dans le libéralisme sans recourir aux doctrines du péché originel et de la grâce salvifique affirmées par le seizième concile de Carthage (418) et approuvées par le pape Zosime, il n’en demeure pas moins que la scolastique réinterprètera le libre arbitre, neuf siècles après Augustin, comme une faculté de la volonté et de la raison (facultas voluntatis et rationis10), c’est-à-dire, pour reprendre cette fois les attributs qu’Aristote lui reconnaît dans son Éthique à Nicomaque, comme la double capacité d’un individu à agir spontanément (donc à suivre volontairement une fin) et intentionnellement (donc à choisir rationnellement un moyen, en sachant ce qu’il fait).
En combinant philosophie grecque et théologie chrétienne, cette approche présente d’abord l’intérêt de faire émerger le libre arbitre comme une faculté à trouver le principe de ses actes à l’intérieur de soi (critère de spontanéité), alors même que l’individu, du fait même de la chute d’Adam, s’en est rendu incapable, enchevêtré qu’il est dans son environnement qui conditionne ainsi grandement ses actes.
On comprend mieux que seuls le retour à soi, l’introspection, la méditation, la prière, la reconnexion avec le divin puissent préparer son esprit à recevoir de la grâce de Dieu le « principe intérieur » de ses propres actes.
Enfin, l’approche scolastique du libre arbitre fait émerger à travers le critère d’intentionnalité la condition de la responsabilité morale – et donc de la dignité – de l’individu, qui est dès lors réputé agir « en conscience », c’est-à-dire, une fois de plus, éclairé par le divin dans sa prise de décision.
Notamment fondé sur le principe de libre arbitre, le libéralisme fait donc sienne une approche nécessairement ouverte à la transcendance spirituelle par le truchement de la scolastique, donc de la théologie chrétienne, en dehors de laquelle il lui est impossible de rendre compte, d’un même tour, de la propension de l’Homme à être déterminé par son environnement (puisque déchu dans le jardin d’Eden) plutôt qu’à se déterminer en vertu d’un principe intérieur, en même temps que de l’intentionnalité de sa conscience qu’éclaire, de façon privilégiée dans la prière et les sacrements catholiques, la grâce que le croyant reçoit de Dieu et par laquelle chacune de ses actions contribue au salut de son âme.
Inséparable des doctrines chrétiennes du péché originel et de la grâce salvifique, le concept le libre arbitre de la volonté humaine ne saurait être au cœur du libéralisme sans faire immédiatement de cette philosophie du droit une approche du monde à la fois non réductionniste, non constructiviste, non déterministe et non immanente, donc sans lui retirer de facto tous les attributs d’un matérialisme.
On comprend mieux pourquoi certains ont osé le qualifier de réalisme abstrait et d’autres de spiritualisme. Je me contenterai d’affirmer que le libéralisme ne peut pas être un matérialisme, sauf à se dénaturer instantanément.
Article publié initialement le 25 septembre 2020.
Voir L’action humaine de Ludwig von Mises. ↩ Dans son Histoire de l’analyse économique, 1954. ↩ Dans La route de la servitude, Hayek explique qu’il « n’y a rien dans les principes du libéralisme qui permette d’en faire un dogme immuable ; il n’y a pas de règles stables, fixées une fois pour toutes. Il y a un principe fondamental : à savoir que dans la conduite de nos affaires nous devons faire le plus grand usage possible des forces sociales spontanées et recourir le moins possible à la coercition. » ↩ Seul droit-créance (« droit à ») reconnu par les libéraux, comme composante de la sûreté, de la résistance à l’oppression et du principe de non-agression. ↩ Qui associe par exemple le libéralisme au consumérisme, alors que ce dernier est une déviance de la consommation érigée en ultime réconfort, en horizon de l’âme et fruit – pour paraphraser E Todd – d’un « libre-échange zombie ». ↩ Doctrine à la fois philosophique, juridique et théologique qui, au XIIIe siècle, en tentant de concilier philosophie grecque et théologie chrétienne des Pères de l’Eglise explore pour la première fois les notions de propriété privée, de risque, d’intérêt et de contrat, travail qui culminera dans l’Espagne du XVIe siècle avec ladite École de Salamanque. ↩ Contrairement donc à la conception marxiste de la « servitude involontaire » qui nie tout libre arbitre et adopte une conception très large de la violence (symbolique, économique, hiérarchique…) ainsi qu’aux tenants de la « servitude volontaire », qui partagent cette même conception extensive de la violence mais la combinent à un libre arbitre. ↩ De libero arbitrio, II, 18, 48. ↩ Encore appelée « grâce salvifique » puisqu’elle accomplit l’œuvre du Salut. ↩ Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, I, q. 82, a.2, obj. 2. ↩
(...) sur le plan sanitaire, peu de voix se sont fait entendre pour dénoncer, entre autres, qu’on n’impose pas le port du masque au plus fort de l’épidémie (...)
Les paroles les plus sages eurent été d'expliquer qu'un 'masque médical' (ou 'FFP2' ou 'FFP3') est un GRILLAGE ! Un grillage porté par les chirurgiens dans le bloc opératoire. Il est là pour empêcher de postillonner quand on parle mais ne sert NI D'ANTI VIRUS NI D'ANTI MICROBES ! Car les mailles du dit 'masque' ont un écart de 150 microns tandis que les virus imaginaires qui ne sont pas dans l'air ont une dimension de 0,1 à 0,5 micron !! (ces poussières appelées 'virus' n'ont JAMAIS été détectées dans l'air par les milliers de stations de recherche sur la qualité de l'air partout dans le monde, car elles appartiennent à des laboratoires nazis et seulement distribuées (en flacons injectables) aux personnes qui soutiennent le camps nazional socialiste et inspirent à le développer grâce au plan 'Dépopulation21'.
La science admet enfin que les édulcorants artificiels provoquent la mort subite – mais seulement pour détourner les piqûres de covid
Vendredi 30 décembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le British Medical Journal (BMJ) a récemment publié une étude qui établit un lien entre la consommation d'édulcorants artificiels comme l'aspartame (Sweet'N Low) et le sucralose (Splenda) et les maladies cardiovasculaires.
Une entreprise curieusement chronométrée, des chercheurs français ont décidé d'examiner de plus près les faux édulcorants dans le contexte des maladies cardiaques alors que des millions de personnes "entièrement vaccinées" contre le covid souffrent d'effets cardiaques - et dans certains cas, de mort subite.
Jusqu'à présent, l'establishment médical avait obstinément insisté sur le fait que les faux édulcorants étaient parfaitement sans danger pour la consommation humaine. Toutes les préoccupations contraires ont été qualifiées de «théories du complot» – c'est-à-dire jusqu'à ce que les coups de covid commencent à tuer des gens et qu'une histoire de couverture soit nécessaire.
Il semble que certains éléments de la « science » tentent maintenant de lier tous ces dommages cardiaques excessifs et cette mort subite à ceux qui sont complètement obsédés par la consommation d'édulcorants artificiels, qui est soudainement sur le radar comme une menace pour la santé après des décennies de déni. (En relation: les protéines de pointe de Covid jab provoquent des crises cardiaques.)
Pour leurs recherches, les auteurs de cette nouvelle étude ont examiné 103 388 participants de la cohorte Web NutriNet-Santé. Dans l'ensemble, ils ont constaté que la consommation d'édulcorants artificiels est associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires telles que les maladies coronariennes et les maladies cérébrovasculaires.
"Les résultats de cette étude de cohorte prospective à grande échelle suggèrent une association directe potentielle entre une consommation accrue d'édulcorants artificiels (en particulier l'aspartame, l'acésulfame potassium et le sucralose) et un risque accru de maladies cardiovasculaires", conclut l'article.
"Les édulcorants artificiels sont présents dans des milliers de marques d'aliments et de boissons dans le monde, mais ils restent un sujet controversé et sont actuellement réévalués par l'Autorité européenne de sécurité des aliments, l'Organisation mondiale de la santé et d'autres agences de santé."
Les édulcorants artificiels sont dangereux, mais les injections covid le sont aussi
S'il est certainement vrai que les faux édulcorants sont destructeurs pour la santé, le moment de la publication de cette étude dans une revue médicale de premier plan et largement respectée est suspect.
Pourquoi, tout d'un coup, les dangers des édulcorants artificiels sont-ils mis au premier plan de la conversation sur la santé publique ? La communauté de la santé naturelle a été moquée ou ignorée pour avoir souligné leurs dangers auparavant, mais le récit semble avoir changé maintenant que des distractions sont nécessaires pour les piqûres de covid.
Il est vrai que les maladies cardiovasculaires (MCV) sont la première cause de décès dans le monde. C'était vrai avant que les piqûres covid ne se déchaînent, et c'est toujours vrai aujourd'hui. Ce qui n'est pas vrai, c'est l'affirmation selon laquelle les taux de pointe de MCV et de mort subite associée sont une sorte de « mystère » qui peut être expliqué par des choses que les gens faisaient déjà auparavant.
L'étude ne mentionne pas de covid, de vaccins ou de décès excessifs, mais sa publication à ce stade est utilisée par les médias pour suggérer que la raison pour laquelle de plus en plus de personnes souffrent de nos jours d'accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques est due à un minimum fausse consommation d'édulcorant.
"En gros, ce qu'ils ont vu, c'est que les gens qui avaient aussi peu que deux paquets par jour, ou environ quatre onces de soda, vous savez, la plupart des sodas font plus de quatre onces", a déclaré Mona Shah, MD, cardiologue à Baptist Health. Holistique.
"Ils avaient un risque de crise cardiaque 9% plus élevé et un risque d'AVC 18 % plus élevé."
Shah a également averti que les faux édulcorants perturbent le métabolisme sain, c'est pourquoi elle recommande des alternatives naturelles comme la stévia et le fruit du moine.
«Je pense que le corps est un peu comme, eh bien, devrais-je sécréter de l'insuline ? Attendez, ce n'est pas du vrai sucre. Ou vous savez, donc tout l'équilibre entre l'insuline et le glucose au fil du temps devient totalement foutu.
Si vous avez aimé lire cette histoire, vous en trouverez d'autres sur Sweeteners.news.
"Presque toutes les théories du complot sur Twitter se sont révélées vraies", déclare Elon Musk
le 30 décembre 2022 - 10:45
La déclaration a été faite sur un ton sarcastique mais elle n’en est pourtant pas moins sérieuse. À l'occasion d'une interview dans un podcast, le patron de Twitter, Elon Musk, a affirmé que “presque chaque théorie de complot à propos du réseau social s’est révélée vraie”.
Invité samedi 24 décembre du podcast “All-in” pour parler des changements apportés à Twitter depuis son acquisition par le multimilliardaire, le patron de Tesla est revenu sur les Twitter Files, qui, depuis le début de décembre, dévoilent des détails confidentiels et compromettants sur le réseau social.
Dans ces révélations, les utilisateurs ont appris le rôle joué par la précédente équipe dans la censure des contenus sur le scandale lié à l'affaire de l'ordinateur portable de Hunter Biden, “l’hyper-intrusion” et “l’omniprésence” du FBI ainsi que d’autres agences de renseignements, l’usage d’outils pour limiter la visibilité de contenus ou encore, les coulisses du bannissement du compte de Donald Trump.
Les Twitter Files ont également dévoilé comment la CIA contribuait à modérer des contenus en faisant pression sur les cadres de la plateforme, ou comment le réseau social “tolérait” des campagnes d’opérations psychologiques du Pentagone par l'intermédiaire de comptes suspects. Lundi, une partie des révélations mettait en lumière la pression exercée par l’administration Biden pour modérer le débat lié au Covid-19 et suspendre des comptes “anti-vax”.
“Faire le ménage dans le passé”
Interrogé sur la continuité des Twitter Files et leur importance, Elon Musk explique son intention de “faire le ménage” dans le passé de la plateforme “pour être digne de confiance dans le futur”. Et d’ajouter : "Pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot que les gens avaient sur Twitter se sont révélées vraies".
“Existe-t-il une théorie du complot sur Twitter qui n'était pas avérée ? Jusqu'à présent, elles se sont toutes révélées vraies. Si ce n'est plus grave que ce que les gens pensaient”, a-t-il lancé. Interrogé dans la foulée sur la partie des Twitter Files la plus "choquante" à ses yeux, Elon Musk a fait savoir que “la partie sur le FBI était assez intense”.
Parallèles entre l'hystérie Covid et les procès des sorcières de Salem
De David Stockman Homme international 31 décembre 2022
Il ne serait pas exagéré de dire que l'éruption de l'irrationalité et de l'hystérie en Amérique pendant la période COVID-19 de 2020-2021 ne ressemblait pas à 1954, lorsque le sénateur McCarthy a lancé la nation à la recherche de taupes communistes derrière chaque bureau du gouvernement, ou 1919, lorsque les raids notoires du procureur général Mitchell rassemblaient des prétendus rouges par dizaines de milliers, mais l'hiver 1691-1692. C'est alors que deux petites filles - Elizabeth Parris et Abigail Williams de Salem, Massachusetts - sont tombées dans l'activité démoniaque de la divination, qui les a rapidement trouvées étrangement malades, ayant des crises, crachant du charabia et contorsionnant leur corps dans des positions étranges.
Le reste est devenu l'histoire, bien sûr, lorsqu'un médecin local fautif a affirmé n'avoir trouvé aucune cause physique aux problèmes des filles et les a diagnostiquées comme étant atteintes de la «main maléfique», communément appelée sorcellerie. D'autres ministres ont été consultés, qui ont convenu que la seule cause pouvait être la sorcellerie et comme les victimes étaient considérées comme les victimes d'un crime ignoble, la communauté s'est mise à la recherche des auteurs.
En un rien de temps, trois sorcières célèbres ont été accusées - l'esclave de Parris, Sarah Good, une femme sans-abri appauvrie et Sarah Osborne, qui avait défié la société puritaine conventionnelle. Beaucoup d'autres ont suivi, et alors que l'hystérie se répandait, des centaines ont été jugés pour sorcellerie et deux douzaines pendus.
Mais il y a une leçon dans ce conte classique qui est embarrassante dans sa vraisemblance. À savoir, l'une des meilleures explications académiques de l'épidémie de crises d'épilepsie et de convulsions qui ont alimenté l'hystérie de Salem était une maladie appelée «ergotisme convulsif», qui est provoquée par l'ingestion de grains de seigle infectés par un champignon qui peut envahir les grains en développement du grain, surtout dans des conditions chaudes et humides.
Lors de la récolte du seigle à Salem en 1691, ces conditions existaient à une époque où l'un des principaux aliments de base des puritains était les céréales et les pains à base de seigle récolté. L'ergotisme convulsif provoque des crises violentes, une sensation de fourmillement sur la peau, des vomissements, des étouffements et des hallucinations - ce qui signifie que c'est Mère Nature, dans le cours normal, qui exécute ses tours épisodiquement indésirables, et non la "main maléfique" d'un agent pathogène spirituel, qui a mis en péril la communauté.
De même, en 2020, il n'y avait pas d'agent pathogène Evil Hand Sci-Fi
La vérité est qu'en 2020, c'est aussi Mère Nature - probablement encouragée par les chercheurs sur le gain de fonction parrainés par Fauci à l'Institut de virologie de Wuhan - qui a dégorgé l'un des plus méchants parmi les virus respiratoires ordinaires.
De tels virus, bien sûr, ont affligé l'humanité au fil des âges, qui, à son tour, a développé de merveilleux systèmes immunitaires adaptatifs pour y faire face et les surmonter. Encore une fois, il n'y avait pas d'agent pathogène de science-fiction Evil Hand dans son ensemble qui soit quelque chose de nouveau sous le soleil, ni une maladie extraordinairement mortelle pour 90% de la population.
Dans le grand schéma des choses, par conséquent, la pandémie de COVID-19 a déjà été enregistrée comme un accident malheureux sur la voie d'une vie plus longue et plus agréable pour les Américains et une grande partie du reste du monde également. Cette vérité est illustrée de manière frappante dans le tableau ci-dessous.
- voir graph sur site -
Alors que le chiffre de la mortalité toutes causes confondues pour 2020 n'existait pas lorsque le CDC a publié le graphique ci-dessus, la ligne verte l'aurait représenté comme seulement un petit coup à la hausse - dont il y en a eu plusieurs au cours des 120 dernières années illustrées ci-dessus.
Le COVID-19 était-il un analogue de la grippe espagnole ?
En effet, le véritable analogue est l'année 1918, lorsqu'environ 675 000 Américains ont succombé à la grippe espagnole sur une population (100 millions) à peine 30 % du niveau actuel.
Dans ce cas, la ligne verte dans le graphique ci-dessus (décès toutes causes confondues) a augmenté de près de 400 pour 100 000 habitants par rapport à la référence d'avant-guerre (1914). En revanche, le taux de dépassement en 2020 par rapport à 2019 n'était que de 118 pour 100 000.
Et, oui, il y a la triste réalité de la mort insensée de garçons pâteux sur les champs de la mort de France intégrée dans ces chiffres de 1918, mais il s'avère que plus de 45% des 117 000 décès gastro-intestinaux signalés de manière conventionnelle n'étaient pas d'origine des balles allemande, mais la grippe espagnole qui a ravagé les immenses camps d'entraînement américains qui ont été assemblés à la hâte après que Wilson ait bêtement déclaré la guerre en avril 1917 sans armée permanente significative pour la combattre.
Donc, sur la véritable mesure de la létalité pandémique - les décès de toutes causes - le COVID-19 n'était même pas dans le même stade que la grippe espagnole. Et comme le montre également le graphique, le premier s'est produit très bas sur la courbe de la ligne verte qui est en fait le reproche ultime à la catastrophe actuelle de la politique COVID en cours.
Le taux de mortalité ajusté en fonction de l'âge aux États-Unis en 2020 (828 pour 100 000) était en fait inférieur de 67 % à ce qu'il était en 1918 (2 542 pour 100 000) parce que depuis lors, une société capitaliste libre a offert à la nation la prospérité et la liberté de progresser qui a introduit une amélioration de l'assainissement, de la nutrition, du logement, des modes de vie et des soins médicaux.
Ce sont ces forces qui ont poussé sans relâche la ligne verte vers le coin inférieur droit du graphique, et non les fédéraux au sommet de leurs perchoirs bureaucratiques à Washington.
L'espoir d'une nouvelle déclaration de Great Barrington pour servir d'antidote au verrouillage totalitaire
À la longue, peut-être qu'un futur historien devra trouver la théorie de «l'ergot convulsif» de 2020 pour expliquer le COVID-Hystérie, car l'explication ne se trouvera pas dans la «science» intégrée dans ce qui sera une petite anomalie dans la ligne verte de le tableau ci-dessus.
La déclaration de Great Barrington a été rédigée par trois épidémiologistes intrépides de renommée mondiale, le Dr. Martin Kulldorff de Harvard, le Dr Sunetra Gupta de l'Université d'Oxford et le Dr Jay Bhattacharya de Sanford - et était un puissant antidote à la théorie de la main maléfique qui faisait alors rage dans les MSM et la classe politique de presque toutes les allégeances.
Essentiellement, il a déclaré que la vraie science était que l'Amérique n'était pas attaquée par un Grim Reaper visitant la mort sur tous et sans distinction d'âge, d'état de santé ou de circonstances physiques, mais qu'il s'agissait plutôt d'une variante de maladie respiratoire hautement sélective qui s'est perfectionnée. étroitement sur les personnes âgées immunodéprimées et comorbides.
En conséquence, la politique de verrouillage à taille unique était tout à fait erronée, et ce qui était nécessaire était une aide, des protections et des traitements hautement ciblés pour la petite minorité de personnes vulnérables, laquelle politique conduirait actuellement à la réalisation de «l'immunité collective» et à la l'extinction ultime de la pandémie de la manière normale.
L'Amérique coloniale a trouvé le moyen de sortir de l'aberration de Salem en 1692, et sûrement 330 ans et beaucoup de science plus tard, elle peut le faire à nouveau, exposant les mécréants du 21e siècle qui ont provoqué cette hystérie insensible comme elle le fait.
(...) Le COVID-19 était-il un analogue de la grippe espagnole ? (...)
Bêh non ! La grippe est un MICROBE tandis que le 'cocovide19' est une POUSSIÈRE (appelée virus et qui n'est PAS dans l'air mais uniquement en seringues !).
Comment les virus sont-ils découverts et identifiés en premier lieu ? L'interview bouleversante d'Etienne De Harven par Celia Farber
Par Jon Rappoport Blog de Jon Rappoport 31 décembre 2022
Suite de mes articles sur les « plus grands succès COVID ». Pour lire mon introduction à cette série en cours, rendez-vous ici.
18 février 2020
La question que je me pose depuis 1987—
Si les experts prétendent qu'un virus particulier cause une maladie particulière, comment savent-ils que ce virus existe en premier lieu ?
Par exemple, le soi-disant nouveau coronavirus en Chine. Par exemple, Ébola. Par exemple, le VIH. Par exemple, le coronavirus censé causer le SRAS (2003). Comment les chercheurs savent-ils que ces virus existent ?
« Eh bien, bien sûr qu'ils savent. Elles doivent."
Ce n'est pas une réponse satisfaisante, même si la plupart des gens l'offriraient.
La question peut devenir très intéressante lorsque vous vous arrêtez et considérez des chercheurs travaillant dans des laboratoires de guerre biologique jouant avec des virus. Comment savent-ils qu'ils modifient des virus qui existent réellement ?
Sur une frontière plus banale, lorsque les scientifiques nous disent qu'ils se précipitent pour développer un vaccin contre un virus qui nuit à la population, comment savent-ils que le virus existe pour commencer ?
Je suis venu à cette question lorsque je faisais des recherches sur le VIH en 1987. J'ai commencé à y réfléchir sérieusement en 1990. Pendant toutes ces années, j'ai contacté des chercheurs indépendants et j'ai essayé de rassembler leurs réponses. Je ne peux pas dire que le voyage s'est déroulé sans encombre.
Mais j'ai trouvé quelques réponses; et j'ai certainement trouvé de fausses affirmations grand public, qui scintillent comme des boules sur des branches en plastique d'arbres de Noël à 99 cents.
Voici quelques indices. Vous devez prélever un échantillon de tissu sur un être humain vivant. Vous devez filtrer cet échantillon correctement afin d'obtenir un échantillon beaucoup plus petit qui, selon vous, pourrait contenir un virus. Vous devez mettre une goutte de cet échantillon sous un microscope électronique et observer ce qui ressemble à un virus.
Combien de virus ? Combien de particules identiques de virus ? Les avis divergent à ce sujet. Il pourrait s'agir d'un virus défini, d'une particule. Il pourrait s'agir de très nombreuses particules identiques.
Encadré : Si vous essayez de prouver que ce virus cause effectivement une MALADIE chez une personne, vous devez aller plus loin. Vous devez montrer que le même virus est actif et se réplique à un rythme très élevé dans le corps de la personne, et que son système immunitaire ne le bat pas. En plus de remarquer que le patient est malade, comment testez-vous tout CELA ? Je cherche toujours une réponse technique définitive, s'il y en a une.
Très bien, revenons au microscope électronique. Disons que vous avez observé de nombreuses particules identiques de ce qui ressemble à un virus sur la photographie au microscope électronique, appelée EM. Vous pouvez alors dire : « Trouvé ». Mais vous devez être sûr. Vous devez comprendre que ce virus n'est pas seulement quelque chose qui vit habituellement dans le corps humain comme une patate de canapé et ne fait rien - un virus endogène passif. Non. Vous voulez montrer que ce virus vient de l'extérieur comme un envahisseur, un virus exogène. Et comment faites-vous parfaitement cette différenciation à chaque fois ? Une autre question qui pourrait ne pas avoir de formule précise comme réponse.
Grande question : POUVONS-NOUS ÊTRE SÛRS QUE TOUS LES VIRUS QUI EXISTENT ET PROVOQUENT DES ÉPIDÉMIES SONT RÉELLEMENT TROUVÉS ET OBSERVÉS ET IDENTIFIÉS SUR DES PHOTOGRAPHIES AU MICROSCOPE ÉLECTRONIQUE ? POUVONS-NOUS AU MOINS DIRE ÇA ?
Dans ce cas, les chercheurs ont, au moins une partie du temps, remonté le ruisseau sans pagaie. Ils ont sauté le fusil. Ils ont quitté la grille de départ trop tôt. Ils ont investi leur argent sur un cheval qui n'est peut-être même pas dans la course. Ils ont fait un chèque que personne ne peut encaisser. Ils parlent de confinements et de quarantaines sans avoir prouvé que leur virus préféré du moment existe. Bien sûr, les gens à l'arrière-plan gagneront beaucoup d'argent grâce à ces présomptions injustifiées, mais l'argent n'est pas une science. Cela pourrait contrôler la science, mais ce N'EST PAS de la science.
Très bien. J'ai maintenant préparé le terrain pour un extrait d'une interview, une interview profonde avec un maître tardif du courant dominant qui, face à la fausse science, a soudainement été qualifié de rebelle, Etienne De Harven. L'interview a été réalisée il y a plusieurs années par la brillante reporter Celia Farber. Vous pouvez retrouver l'intégralité de l'interview ici. Je vous suggère fortement de le lire seize fois. Oui, ça devient technique. Vous remarquerez également les noms de scientifiques d'élite que vous n'avez pas rencontrés. Apprenez le sens des mots que vous n'avez jamais vus auparavant. Creusez. Ce n'est pas une conversation de type télévision. Ce n'est pas un jetable YouTube.
J'ai une autre raison d'exposer les lecteurs à cette interview - c'est à quoi ressemble une conversation sur des questions scientifiques sérieuses... c'est à quoi ressemble une tentative de combler le fossé entre les chercheurs, les journalistes honnêtes et le public. Il devrait y avoir des centaines et des milliers d'interviews imprimées de ce type, présentées aux lecteurs. Ils peuvent le gérer. Abrutir les gens est en partie une illusion : ils peuvent se réveiller. Ils se réveilleront s'ils sont suffisamment intéressés.
Parcours d'Etienne De Harven : président de l'Electron Microscopy Society of America ; chercheur, Memorial Sloan-Kettering Cancer Center; professeur Cornell de biologie cellulaire; professeur de pathologie, Université de Toronto; pionnier reconnu dans le domaine de la microscopie électronique.
L'entretien porte sur le VIH ; s'il a jamais été trouvé et isolé. Les implications et les questions se sont propagées à tous les virus.
DE HARVEN : Inacceptablement frustrés par l'échec total de toutes les tentatives de démonstration de particules virales dans le cancer humain par EM, les "impresarios" du "rêve" cancer/virus (Gallo, Fauci et autres) se sont totalement engagés dans l'approche moléculaire. .
Par conséquent, ils ont inventé des marqueurs moléculaires pour compenser les particules virales manquantes… Cela aurait été acceptable si la spécificité de ces nouveaux marqueurs moléculaires avait été clairement établie. Malheureusement, ce n'était pas le cas. Le marqueur moléculaire le plus trompeur était probablement le premier, c'est-à-dire l'enzyme [appelée] transcriptase inverse (RT). Suite aux articles de Temin et Baltimore 1970 dans "Science", l'activité enzymatique de la RT a été, le plus abusivement, utilisée comme marqueur rétroviral spécifique. Temin et Baltimore ont tous deux démontré une activité RT dans des échantillons de rétrovirus soi-disant "purifiés".
De manière embarrassante, ils ont tous deux omis de vérifier la « pureté » de leurs échantillons par EM. Certains de leurs échantillons ont simplement été achetés à une société commerciale… Certes, l'étiquette sur les flacons lisait « rétrovirus pur »… Pourtant, on savait que ces « rétrovirus purs » commerciaux étaient fortement contaminés par des débris cellulaires !
Et comme il est également connu que toutes les cellules contiennent de la RT (voir Varmus), les débris cellulaires transportent très probablement des enzymes RT similaires.
Temin et Baltimore n'ont donc pas prouvé que la RT est un marqueur moléculaire spécifique des rétrovirus. Il aurait été si simple de vérifier, par ME, le degré de « pureté » des échantillons qu'ils ont utilisés. Ceci aurait, très probablement, montré une importante contamination par les débris cellulaires, et aurait obligé Temin et Baltimore à être beaucoup plus prudents dans l'interprétation de leurs résultats. En 1975, les membres du comité Nobel n'ont malheureusement pas examiné ce problème de "pureté"...
En 1983, à l'Institut Pasteur de Paris, le recours au marqueur RT a été un élément clé dans le prétendu « isolement » d'un nouveau rétrovirus [VIH]. Pourtant, Montagnier lui-même a reconnu "Nous n'avons pas purifié"... Il a dangereusement omis de considérer l'interférence trompeuse des débris cellulaires, tout comme Temin et Baltimore l'ont fait en 1970.
Mais un article sur la découverte d'un nouveau rétrovirus a bien meilleure allure s'il contient au moins… une image EM ! Ainsi, les membres de l'équipe de Montagnier ont passé des heures au TEM [microscope électronique à transmission], à regarder leurs cultures de cellules mixtes, et ils ont trouvé le virus !
Voir la figure 2 dans leur article « historique » « Science » de 1983 ! C'est d'ailleurs une image EM de bonne qualité. Il montre d'incontestables particules rétrovirales, bourgeonnant à la surface d'une cellule. Mais la légende de cette Fig. 2 précise que cette cellule est un lymphocyte du sang de cordon. En effet, des lymphocytes de sang de cordon ont été mélangés à ces cultures cellulaires complexes (pourquoi ?)
Montagnier et ses collaborateurs auraient dû savoir que les tissus embryonnaires humains, et le placenta en particulier, sont très riches en rétrovirus endogènes (HERV), et qu'il faut donc s'attendre à ce que les lymphocytes du sang de cordon portent les mêmes rétrovirus endogènes (sous le TEM, les virus endogènes et exogènes, d'apparence identique, ne peuvent être distingués.)
Le bourgeonnement de ces particules a peut-être été stimulé par certains des facteurs de croissance également présents dans ces cultures cellulaires. Un contrôle essentiel aurait été de répéter l'expérience en utilisant des lymphocytes du sang périphérique au lieu du sang de cordon. Ce contrôle est malheureusement absent.
Bref, je dirai franchement que l'article de Pasteur 1983 (dont on vient de fêter les 30 ans dans une « grande messe » de la rétrovirologie officielle du VIH !) a très peu contribué à la recherche sur le sida car sa conclusion (c'est-à-dire « l'isolement d'un nouveau rétrovirus ») est basée sur 1) l'utilisation d'un marqueur moléculaire RT non spécifique, et 2) est faussement étayée par des images EM de, très probablement, des rétrovirus humains endogènes.
Plus de détails et des références appropriées sur cette analyse peuvent être trouvées dans mon article de 2010 publié dans le Journal of American Physicians and Surgeons [— "Human Endogenous Retroviruses and AIDS Research: Confusion, Consensus, or Science?"] (jpands.org/vol15no3/ deharven.pdf).
CELIA FARBER : Lorsque les tests d'anticorps et de VL [charge virale] se sont généralisés en tant qu'outils de diagnostic de "l'infection par le VIH" au cours des décennies qui ont suivi, que s'est-il passé avec l'EM dans la science et la littérature sur le VIH ? Je crois comprendre que personne n'a jamais trouvé le VIH dans le sang humain, sur EM. Est-ce une façon exacte de le dire ?
DE HARVEN : À mon avis, les tests Western Blot [anticorps] ont perdu toute crédibilité après la publication de Eleni Papadopulos et al. (1993) et les tests d'anticorps ("Elisa") [perte de crédibilité] après le rapport de Christine Johnson (1996). La notion de « charge virale » (CV) a cependant apporté un nouveau paramètre dans le diagnostic du SIDA (Ho, 1996). Il a attiré l'attention sur le nombre réel de particules de VIH supposées être présentes dans le plasma sanguin des patients atteints du SIDA, les technologies [tests] PCR étant supposées offrir un moyen de quantifier ce nombre.
Si une telle virémie (c'est-à-dire présence de particules virales dans le sang) est bien présente chez les malades du SIDA, elle rappelle la virémie rétrovirale bien connue chez les souris leucémiques. Dans un tel cas, les particules rétrovirales doivent être facilement démontrables, par TEM, d'échantillons de plasma de patients préparés de manière appropriée. Malheureusement, il n'a jamais été possible de mettre en évidence par TEM une seule particule rétrovirale dans le plasma sanguin d'un patient atteint du SIDA, même si l'on sélectionne des patients présentant une charge virale dite « élevée ».
J'étais apparemment le premier chercheur à faire cette déclaration, lors de la séance d'ouverture de la grande conférence sur le sida du président T. Mbeki, à Pretoria, SA, en mai 2000. Ma déclaration à cet effet n'a jamais été démentie.
CELIA FARBER : Comment se fait-il ?
DE HARVEN : Il faut répondre à cette question parce que « quelque chose » est mesuré par les technologies PCR dans le sang de nombreux patients atteints du SIDA. En fait, ce qui est mesuré n'est certainement pas le nombre de particules rétrovirales (fantômes, c'est-à-dire EM invisibles !). En fait, ce qui est identifié, amplifié et soi-disant quantifié par PCR est le nombre de séquences nucléotidiques génomiques qui sont extrêmement similaires aux séquences connues pour faire partie du génome rétroviral. Malheureusement, ces séquences ont été interprétées à tort comme l'indication d'un certain nombre de… particules de VIH ! Cela a beaucoup contribué à consolider le dogme quasi-religieux du VIH comme cause du SIDA, un dogme qui a été vivement critiqué, il y a quelques années, par David Rasnick qui écrivait, avec autorité, sur « The AIDS Blunder »…
Cette interprétation n'aurait été acceptable que si des particules rétrovirales avaient été facilement mises en évidence, par EM, dans le plasma sanguin de ces patients ; mais, comme ce n'est pas le cas, une autre explication de la présence de ces séquences nucléotidiques doit être trouvée.
J'ai présenté à la conférence RA à Oakland, Californie, en 2009, et j'ai développé dans mon article JAPS de 2010 une explication si nécessaire de la présence de ces séquences de nucléotides de type rétroviral. Mon explication est basée sur les quantités variables et bien connues d'ADN circulant dans le sang des patients gravement malades, et sur le fait que nous portons tous des séquences de type rétroviral [non pertinentes] dans notre ADN, en tant que rétrovirus endogènes et défectueux, c'est-à-dire des HERV ( HERVs, pour « Human endogenous retroviruses ») (Voir « Virus in all of us », R. Lower et al., 1996 PNAS paper).
Pas étonnant donc que ces séquences nucléotidiques soient reconnues par PCR [tests] dans le sang de nombreux malades du SIDA, qui sont en effet gravement malades. Comme déjà démontré en 2008 au laboratoire Robin Weiss, les HERV peuvent interférer comme facteurs de confusion dans la recherche de nouveaux rétrovirus dans les maladies humaines chroniques…
CELIA FARBER : …Peignez-nous un tableau. L'histoire du virus [VIH], le « nouveau virus mortel », ce qui se passe d'abord : quelles mesures ont-ils [—] Montagnier, d'un côté, Gallo de l'autre [—] pour « trouver » la nouvelle entité ? Puis, une fois qu'ils l'ont "trouvé", dans quelle forme était-il ? Ce n'était pas une entité, une chose, avec un corps, n'est-ce pas ? Ce n'était pas cohérent. Pouvons-nous dire cela? Alors il habitait où ? Il n'a été vu qu'à travers les technologies développées pour le trouver, Elisa, WB [les deux sont des tests d'anticorps] ? [tests] PCR/VL ultérieurs ? Mais que s'est-il passé ALORS quand ils ont essayé de le voir sur EM ? Pourquoi tout le monde ne l'a-t-il pas cherché sur EM ? Trop cher ?
DE HARVEN : Non, EM n'est pas bon marché mais pas si cher que ça ! Et son coût n'a certainement rien à voir avec le fait qu'il n'a guère été utilisé depuis 30 ans dans la recherche sur le sida ! Il n'a pas été utilisé car "Ils" savaient qu'il n'allait rien montrer de significatif rétroviral dans des échantillons provenant directement de patients atteints du SIDA. Et puisque le SIDA était devenu un gros business, les actions des sociétés pharmaceutiques géantes impliquées ne pouvaient pas être compromises ! Il fallait le sauver à tout prix, même au prix de la confiance en des marqueurs moléculaires non spécifiques… La peur est une bonne affaire, et les virus génèrent la peur le plus efficacement… Ainsi, le drapeau du VIH doit être agité au maximum. Dans les médias du monde entier, avec des milliers de caricatures colorées et générées par ordinateur d'un rétrovirus idéaliste… En revanche, les médias ont été dominés par la censure la plus rigoureuse lorsqu'il s'agit d'informer le public sur les opinions des dissidents repensés. Cette censure totale a mis un verrou de sécurité sur toute information qui pourrait mettre en péril les profits colossaux, entièrement dérivés du VIH, des grandes sociétés pharmaceutiques.
Mais je suis content que nous ayons Internet !
Oser dire que le VIH n'existe pas équivaut à une sorte de crime capitaliste…
Oui, le dogme du VIH est probablement la page la plus sombre de l'histoire de la médecine moderne.
CELIA FARBER : Etienne, si vous pouviez résumer : Est-ce que le VIH existe ? Si oui, où et comment et en quoi ?
Si vous pouviez examiner le sang de 1 000 personnes séropositives sous EM, que vous attendriez-vous à trouver ? Si vous ne trouvez pas de VIH sur EM dans le sang humain, peut-on avancer que le virus se "cache" et ainsi de suite, ou que les médicaments ont supprimé le virus à des niveaux indétectables ? C'est ce que semblent dire les défenseurs de l'orthodoxie à propos des résultats constatés dans l'affaire Nushawn Williams.
DE HARVEN : C'est la question principale ! La remise en cause de l'existence même du VIH ne doit pas être débattue uniquement entre rétro-virologues spécialisés. C'est une question essentielle qui nous concerne tous.
CELIA FARBER : Pourquoi ?
DE HARVEN : Tout simplement parce que 100 % du financement de la recherche sur le sida est basé sur l'existence dogmatiquement postulée du VIH. Si le VIH n'existait pas, il s'ensuivrait que la recherche sur le sida est le cas le plus épouvantable de détournement total des fonds publics de recherche ! Et il s'ensuivrait également que les sommes d'argent colossales, jusqu'ici exclusivement consacrées à la recherche sur le VIH, seraient bien mieux utilisées dans d'autres directions. Pouvez-vous imaginer dans quel monde nous vivrions aujourd'hui si la somme totale d'argent gaspillée au cours des 30 dernières années dans la recherche sur le VIH avait été plutôt utilisée pour nourrir des Africains affamés, pour des équipements d'approvisionnement en eau potable, pour des infrastructures d'hygiène publique et pour l'éducation à la santé publique? Cela n'arriverait que si la recherche sur le VIH était totalement arrêtée ! Et pour cela, les organisations scientifiques et de santé publique doivent faire face au fait que, effectivement, le VIH n'existe pas !
…nous devons tous, courageusement, affronter le fait que l'existence même d'un VIH exogène n'a jamais été scientifiquement vérifiée.
—extrait de fin d'interview—
Encore une fois, vous pouvez lire l'intégralité de l'interview ici.
De Harven démasque la recherche sur le VIH. Combien d'autres virus non prouvés ont également été massés prématurément pour exister et prendre de l'importance ? Combien de fois les chercheurs ont-ils sorti des "marqueurs spéciaux" comme des lapins de leurs chapeaux, prétendant faussement que ces marqueurs établissent l'existence de virus autrement jamais observés ?
Et donc, lorsque ces chercheurs déclarent avoir publié les séquences génétiques de ces virus, que séquencent-ils vraiment ? Des virus endogènes inoffensifs et passifs qui ne feraient pas de mal à une mouche et préfèrent rester dans le corps pendant toute une vie à regarder la télévision ?
Et quand quelqu'un s'avance et prétend qu'un virus nouveau et jamais vu auparavant est en fait une arme artificielle, et qu'il le sait en étudiant sa séquence génétique - a-t-il raison, ou regarde-t-il la séquence d'un microbe non pertinent qui a a-t-il été grossièrement tiré de sa longue sieste langoureuse dans la chaleur du corps humain ?
(...) Grande question : POUVONS-NOUS ÊTRE SÛRS QUE TOUS LES VIRUS QUI EXISTENT ET PROVOQUENT DES ÉPIDÉMIES SONT RÉELLEMENT TROUVÉS ET OBSERVÉS ET IDENTIFIÉS SUR DES PHOTOGRAPHIES AU MICROSCOPE ÉLECTRONIQUE ? POUVONS-NOUS AU MOINS DIRE ÇA ?
Non. (...)
Un virus est une POUSSIÈRE ! (TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf 'poussières radioactives). Si elle est radioactive (ce qui n'est PAS le cas pour le 'cocovide19') elle peut présenter un début de cancer. Mais elle n'est EN AUCUN CAS transmissible comme le sont les maladies apportées par les microbes.
La société Hershey est poursuivie pour la teneur en métaux lourds dans les barres de chocolat noir – mais Consumer Reports peut induire les consommateurs en erreur sur le risque réel
samedi 31 décembre 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Hershey Co. fait face à une importante poursuite judiciaire de la part d'un consommateur qui prétend que le chocolat noir que l'entreprise vend est rempli de niveaux potentiellement nocifs de cadmium et de plomb de métaux lourds.
Selon Reuters, Christopher Lazazzaro a déclaré dans un recours collectif proposé cette semaine qu'il n'aurait jamais acheté notre chocolat noir doux et doux de Hershey, le chocolat extra noir de Lily à 70 % de cacao et le chocolat noir extrême de Lily à 85 %. Cacao, si l'entreprise avait divulgué la teneur en métaux lourds.
La poursuite a été déposée mercredi devant le tribunal fédéral de Central Islip, N.Y. La société n'a pas répondu à Reuters pour une demande de commentaire.
Des études publiées précédemment ont montré que les antioxydants et des niveaux inférieurs de sucre dans le chocolat noir peuvent aider à prévenir les maladies cardiaques. Une étude publiée en 2019 notait, selon son résumé :
Le chocolat est bien connu pour sa saveur fine, et son histoire a commencé dans les temps anciens, lorsque les Mayas considéraient le chocolat (une boisson au cacao préparée avec de l'eau chaude) comme la « nourriture des dieux ». L'industrie alimentaire produit de nombreux types de chocolat différents : ces dernières années, le chocolat noir, en particulier, a gagné en popularité.
L'intérêt pour le chocolat s'est accru en raison de ses effets physiologiques et potentiels sur la santé, tels que la régulation de la pression artérielle, les niveaux d'insuline, les fonctions vasculaires, les processus d'oxydation, les effets prébiotiques, l'homéostasie du glucose et le métabolisme des lipides.
Résident du comté de Nassau à New York, Lazazzaro a intenté une action deux semaines après que Consumer Reports a publié les résultats des tests scientifiques de 28 barres de chocolat noir visant à mesurer les niveaux de plomb et de cadmium. Le magazine grand public a noté que si toutes les barres contenaient une certaine quantité de métaux lourds, 23 d'entre elles, y compris le chocolat de Dove, Godiva, Lindt et Trader Joe's, avaient ce qu'elles appelaient des niveaux de plomb, de cadmium ou les deux pour quiconque consomme une once de chocolat noir par jour.
"La barre Special Dark de Hershey et la barre à 70 % de Lily étaient riches en plomb, et la barre à 85 % de Lily était riche en plomb et en cadmium, a déclaré le magazine", selon Reuters. "Lazazzaro a déclaré que les consommateurs raisonnables seraient découragés par de tels niveaux car ils posent un" risque grave pour la santé "et que les consommateurs comptent sur Hershey pour être honnête sur les ingrédients de ses produits."
NOTE DE LA RÉDACTION - DE MIKE ADAMS - En tant que scientifique spécialisé dans les métaux lourds, je pense que les déclarations de Consumer Reports concernant les niveaux de métaux dans les barres de chocolat étaient trompeuses car elles étaient basées sur les normes Prop 65 de la Californie, qui étaient à l'origine destinées à être utilisées pour réglementer les métaux dans l'eau, pas dans la nourriture. Bien que l'exactitude des tests ne soit pas mise en doute, Consumer Reports aurait été plus honnête s'il avait signalé les niveaux réels en ppb (parties par milliard) ou ppm (parties par million) des barres, plutôt que de les comparer à la réglementation Prop 65. en Californie, qui sont trompeuses et non fondées sur des données scientifiques solides. Consommer, par exemple, 500 nanogrammes de plomb dans une barre de chocolat n'est pas du tout préoccupant pour la santé et ne devrait pas être invoqué pour effrayer indûment les consommateurs. Nous avons trouvé des niveaux de plomb des centaines de fois plus élevés dans certains produits à base de protéines de riz ainsi que dans certains probiotiques encore vendus sur Amazon, et Consumer Reports ne s'est pas encore intéressé à ces résultats. Lorsque nous avons apporté ces chiffres à Whole Foods, qui vendait certains de ces produits, ils n'ont manifesté aucun intérêt et ont continué à vendre ces produits à des consommateurs involontaires. Oui, il y a beaucoup de plomb dans l'approvisionnement alimentaire, mais non, les tablettes de chocolat ne sont pas le principal vecteur d'exposition.
Son procès demande au moins 5 millions de dollars de dommages-intérêts ainsi qu'au moins 500 dollars par transaction en vertu de la loi de l'État de New York.
"Une série d'effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire pourrait se produire suite à la consommation régulière d'aliments et de boissons contenant du cacao. Les avantages comprennent des effets sur la pression artérielle, la résistance à l'insuline et la fonction vasculaire et plaquettaire », indique l'étude de 2019. « Les polyphénols, abondants dans le cacao et le chocolat noir, activent la NO synthase endothéliale ; cela conduit à la génération de NO, qui abaisse la tension artérielle en favorisant la vasodilatation.
« En effet, suite à la consommation de chocolat noir, les effets incluent une amélioration de la vitesse de l'onde de pouls et du score d'athérosclérose, avec un relâchement pariétal des grosses artères et une dilatation des petites et moyennes artères périphériques. Des concentrations plus élevées d'épicatéchines plasmatiques aident à libérer des vasodilatateurs dérivés de l'endothélium et à augmenter la concentration de procyanidines plasmatiques, ce qui entraîne une production et une biodisponibilité accrues de NO », ajoute l'étude.
Des études antérieures ont montré que l'exposition des enfants aux métaux lourds peut conduire à des cas plus élevés d'autisme. Selon une étude publiée dans la revue Biological Trace Element Research, les enfants atteints de troubles du spectre autistique présentaient des niveaux plus élevés de plusieurs métaux lourds toxiques - tels que le plomb, le thallium et l'étain ainsi que le mercure et le cadmium - par rapport à leurs pairs en meilleure santé.
"Nous émettons l'hypothèse que la réduction de l'exposition précoce aux métaux toxiques peut aider à atténuer les symptômes de l'autisme, et un traitement pour éliminer les métaux toxiques peut réduire les symptômes de l'autisme ; ces hypothèses doivent être explorées plus avant, car il existe un nombre croissant de recherches à l'appui », ont déclaré les chercheurs de Science Daily.
Référendum suisse : Aggraver la crise énergétique ?
RépondreSupprimer30.12.2022
www.kla.tv/24614
Lors de sa dernière session d'automne, le Parlement suisse a adopté une nouvelle loi fédérale intitulée « Loi sur les objectifs de la protection du climat, l'innovation et le renforcement de la sécurité énergétique ». Cette nouvelle loi sert de contre-projet indirect à l'initiative populaire « Pour un climat sain », également appelée « Initiative des glaciers », déposée fin novembre 2019. L'Union démocratique du centre - en abrégé UDC - a lancé un référendum contre cette nouvelle loi. Jusqu'au 19 janvier 2023, 50 000 signatures de citoyens suisses devront être récoltées afin de permettre une votation populaire.
Selon le comité référendaire, le nom de la nouvelle loi serait totalement trompeur et minimiserait son contenu, étant donné que les dispositions légales renforcées aggraveraient massivement la crise actuelle de l'énergie et de l'électricité !
Cette loi créerait des coûts supplémentaires de centaines de milliards de francs. Une décision populaire est donc indispensable, car ces coûts supplémentaires devraient finalement être supportés par la population. Voici quelques faits tirés de l'argumentaire du comité référendaire qui montrent les dangers de la nouvelle loi fédérale :
Cette nouvelle loi écologiste interdira le mazout, l’essence, le diesel et le gaz avec, comme résultat, une augmentation massive de la consommation électrique car dès lors le chauffage et la conduite automobile ne seraient plus possibles qu’à l’énergie électrique. Ce qui signifie une augmentation massive du besoin en électricité et une explosion des coûts.
Environ 60 % de la consommation énergétique suisse provient d’énergies fossiles. Comment remplacer ces besoins énergétiques sans nuire à la prospérité et à la compétitivité du pays ?
La nouvelle loi fédérale multiplie la consommation d'électricité d'ici 2050. Les prix continuent d'exploser face à l'augmentation de la demande et à la pénurie artificielle. L'électricité en quantité suffisante deviendra un luxe réservé aux riches !
La transformation prévue de l’approvisionnement énergétique entraînera des coûts estimés à 347 milliards de francs au moins ! Ceux-ci seront à la charge des propriétaires et des locataires, des automobilistes, des camionneurs et des motards, des familles, des commerçants, bref, de nous tous !
Cette nouvelle loi écologiste permettra les mesures les plus extrêmes sans droit de codécision par les citoyens : interdiction de voyager en avion, restrictions de la consommation de viande, interdiction de chauffages à mazout et au gaz, interdiction des véhicules diesel et à essence et obligation d’installer des panneaux solaires coûteux.
Ce ne sont là que quelques uns des arguments qui montrent pourquoi l'Union démocratique du centre met en garde contre cette nouvelle loi fédérale qui se révèle en réalité être une « loi sur le gaspillage de l’électricité ». C'est pourquoi elle appelle les électeurs suisses à stopper cette évolution dans les urnes !
Si vous souhaitez vous aussi soutenir cette cause, vous trouverez de plus amples informations ainsi que des formulaires de signatures sur le site web https://crise-energie-non.ch/ . Vous trouverez également un lien vers les formulaires de signature juste en dessous de cet envoi.
de db
Sources / Liens :
Webseite des Referendums „Nein zum Stromfressergesetz“
www.energiekrise-nein.ch
Magazin Schweizerzeit Nr. 20 vom 11. November 2022; S. 6 „Energiekrise Verschärfen?“
Webseite der Schweizerischen Volkspartei; Artikel zur Kampagne „Stromfresser-gesetz: Jetzt Referendum unterschreiben!“: www.svp.ch/aktuell/publikationen/editorials/stromfresser-gesetz-jetzt-referendum-unterschreiben/
Parlamentarische Initiative: Indirekter Gegenentwurf zur Gletscherinitiative
www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20210501
Bund: Fakten und Zahlen: Energie Schweiz
www.eda.admin.ch/aboutswitzerland/de/home/wirtschaft/energie/energie---fakten-und-zahlen.html
https://www.kla.tv/fr
(...) Jusqu'au 19 janvier 2023, 50 000 signatures de citoyens suisses devront être récoltées afin de permettre une votation populaire. (...)
SupprimerLe dépôt de proposition de loi peut être fait par n'importe quel citoyen suisse. Cette proposition de loi doit être soutenue par 50 000 signatures (ou 30 000 suivant les cantons). Si elle l'est elle sera donc portée à référendum. Car c'est le Peuple suisse qui fait SA loi et non des tuteurs (appelés 'députés' ou 'sénateurs') comme dans les dictatures monarchiques, républicaines ou impériales.
La Suisse demeure LE SEUL pays au monde à être en Démocratie.
La Démocratie c'est: Par le Peuple Pour le Peuple.
Nucléaire : la relance ?
RépondreSupprimerComme disait un célèbre savant (Albert Einstein) : « Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ».
le 31 décembre 2022
Michel Gay
En avant l’équipe de France !
La relance actuelle du parc nucléaire français, bien que tardive, est une bonne nouvelle pour l’industrie et pour les Français. Mais sera-t-elle suffisante pour rattraper le retard pris pour une production d’électricité décarbonée, abondante et bon marché ?
Aligner les planètes
Si tous les acteurs marchent dorénavant dans la même direction, comme il y a 50 ans lors du grand lancement du nucléaire en France, pour constituer une équipe cohérente, alors oui la France sortira de l’ornière où l’ont conduit 20 ans d’incohérence, d’imprévoyance et de joutes politiques à courte vue pour cajoler un électorat vert minoritaire.
Cette relance du nucléaire français par la commande annoncée à Belfort, début 2022, par le président de la République, de 6 réacteurs EPR, puis ensuite de 8 autres, est-elle trop molle dans sa mise en application ?
Le ministère de la Transition énergétique infiltré par les antinucléaires et dont dépend le secteur énergétique en France semble trainer des pieds. Il donne l’impression d’œuvrer plus activement pour ériger des éoliennes et pour fermer la centrale nucléaire de Fessenheim que pour soutenir la relance du nucléaire.
L’Agence pour la maîtrise de l’énergie (ADEME), notoirement antinucléaire, ne s’agite guère pour produire une étude théorique « 100 % d’énergie nucléaire » au même titre que son document idéologique, « Un mix électrique 100 % renouvelable en 2050 » aux hypothèses fantaisistes.
Le Réseau de transport d’électricité (RTE), ayant eu à sa tête de 2015 à 2020 un ancien député (François Brottes) promoteur de la Loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 qui envisageait la fermeture de 14 réacteurs en 2035, ne semble pas non plus pressé de lancer ses forces dans la nouvelle bataille pour promouvoir le nucléaire.
Le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), bien qu’incluant le mot « atomique » dans son intitulé, semble davantage s’intéresser aux « énergies alternatives » qu’au nucléaire depuis plusieurs années. Son actuel administrateur général (François Jacq) ne semble pas vouloir modifier cette orientation.
Les 36 pages de papier glacé du journal du CEA vers ses personnels « Les défis du CEA » de septembre/octobre 2022 (bien après le discours du président de la République à Belfort…) parle de tout : réchauffement climatique, communication quantique, imagerie cérébrale, photovoltaïque, réalité virtuelle, astrophysique, matériaux en couche ultra-mince, nanoélectronique, imagerie d’un crâne de mammouth, recherche sur les lasers, réseau électrique du futur, gaz et chaleur, anticorps monoclonaux thérapeutiques… Mais pas un mot sur le nucléaire !
Depuis plusieurs années, c’est la tendance, mais il y avait au moins un entrefilet de nouvelles nucléaires. Comment le personnel du nucléaire perçoit-il cette absence d’intérêt ?
RépondreSupprimerConstituer l’équipe de France
Des consignes claires ont-elles été données aux grands corps de l’État avec vérifications de leur prise en compte ou le gouvernement se paye-t-il de mots ?
Qui pilote ce grand programme annoncé de construction de 14 réacteurs nucléaires ?
Cette relance annoncée du nucléaire repose-t-elle sur une volonté molle ? Auquel cas rien ne suivra derrière les effets de manches et les déclarations ne seront pas suivies d’effets !
Le renouveau efficace du nucléaire passe par un réalignement des planètes pour orienter tous les acteurs dans le sens de la nouvelle volonté présidentielle favorable au nucléaire. Il s’agit d’aligner durablement la limaille (les grands responsables de la production et de la distribution d’énergie) dans le sens du champ magnétique (la volonté politique).
La production énergétique devrait être intégrée dans un grand ministère de l’Industrie plein d’allant et ne plus dépendre d’un ministère « antinucléaire » qui s’ingéniera au mieux à absorber les efforts comme une éponge et au pire à les saborder.
Comme disait un célèbre savant (Albert Einstein) : « Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre ».
Alors, en avant la nouvelle équipe de France des bâtisseurs qui, pendant au moins 30 ans, devra construire une quarantaine de nouveaux réacteurs de type EPR pour succéder au parc des 56 réacteurs nucléaires existants !
https://www.contrepoints.org/2022/12/31/447074-nucleaire-la-relance
L'énergie au gaz sauve le Texas des pannes d'électricité alors que l'énergie éolienne s'effondre
RépondreSupprimerVendredi 30 décembre 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Le ministère de l'Énergie a récemment déclaré une urgence énergétique au Texas après qu'une explosion hivernale dans l'Arctique a fait s'effondrer l'énergie éolienne et provoqué une pénurie d'électricité.
L'ordonnance d'urgence a permis à l'opérateur du réseau de l'État de dépasser certaines limites de pollution de l'air pour augmenter la production dans un contexte de demande d'électricité record dans l'État. Le Texas Electric Reliability Council (ERCOT), dont la zone de service comprend 90% des clients électriques du Texas, a demandé la commande d'urgence le 23 décembre, car la demande sur le réseau électrique dépassait 74 000 mégawatts tôt dans la journée.
"Alors que la grande majorité des groupes électrogènes de la région ERCOT continuent de fonctionner sans aucun problème, un petit nombre de groupes ont connu des difficultés de fonctionnement en raison du froid ou des coupures de gaz", a indiqué le ministère de l'Énergie dans son arrêté.
"Heureusement, une répétition des coupures de courant de l'année dernière a été évitée, grâce à l'énergie au gaz qui est venue à la rescousse, car l'énergie éolienne s'est effondrée à pratiquement rien en même temps que la demande a augmenté", a écrit Paul Homewood dans un blog sur le climat.
Il a souligné que le Texas dispose de 35 gigawatts (GW) de capacité éolienne, mais que la production était inférieure à cinq GW tout au long du 24 décembre et à deux GW pendant une grande partie de la journée.
« Ce n'était certainement pas dû au manque de vent, bien au contraire. Je ne sais pas si l'énergie éolienne s'est effondrée à cause des vents trop forts ou à cause du gel. Mais de toute façon, c'était un problème lié à la météo », a-t-il ajouté. "Heureusement, ERCOT a pu faire appel à une grande capacité d'énergie au gaz, à la fois pour remplacer la perte d'énergie éolienne et pour répondre à la demande croissante, qui a culminé à 74 GW, soit environ 15 GW de plus que la normale."
Homewood: Des millions d'Américains mourront de froid si Biden parvient à ses fins
Le président Joe Biden a signé le décret exécutif 14057 en 2021 pour catalyser les industries et les emplois américains dans le domaine de l'énergie propre grâce au plan fédéral de développement durable.
Ce plan d'action ambitieux est censé permettre une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 50 à 52 % par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030 et limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés Celsius. Le plan de développement durable comprend 100 % d'électricité sans pollution par le carbone (CFE) sur une base annuelle nette d'ici 2030.
RépondreSupprimer"Combien de millions d'Américains mourront de froid s'il parvient à ses fins ?" fait remarquer Homewood.
En outre, la Defense Logistics Agency (DLA) Energy a lancé le 16 décembre des appels d'offres pour l'achat de CFE afin de soutenir les installations du ministère de la Défense (DoD) et les agences fédérales dans deux régions clés.
"Il s'agit d'un pas en avant important dans la transformation de la façon dont le gouvernement américain achète et gère l'électricité et met la nation sur la voie d'un secteur de l'électricité sans pollution par le carbone d'ici 2035", indique le communiqué de presse du DoD.
La secrétaire adjointe à la Défense, Kathleen Hicks, a déclaré que la transition vers une énergie propre peut rendre les installations militaires américaines plus résilientes, les forces opérationnelles plus agiles et le pays plus compétitif face à l'évolution rapide des marchés mondiaux de l'énergie.
"Le ministère de la Défense est l'un des plus gros acheteurs d'électricité au monde, et en ce qui concerne l'énergie propre, nous envoyons un signal clair au marché : le DoD achète", a-t-elle ajouté.
Cependant, Craig Idso, fondateur et PDG du Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, a démenti les affirmations selon lesquelles des niveaux élevés de gaz carbonique atmosphérique menacent directement la santé et l'environnement. (Connexe : Études : Les niveaux actuels de gaz carbonique dans l'atmosphère ne constituent PAS une menace pour l'homme ou l'environnement.)
Selon Idso, les niveaux de gaz carbonique devraient augmenter 36 fois au-dessus de la concentration actuelle avant même de commencer à poser un léger problème de santé. "Cette valeur (c'est-à-dire 15 000 ppm) ne se produira jamais, étant donné qu'elle est un facteur dix au-dessus de la limite approximative de 1 500 ppm de gaz carbonique atmosphérique que les scientifiques pensent possible si la société utilisait toutes les réserves de combustibles fossiles actuellement connues sur la planète", il expliqua.
Visitez EnergySupply.news pour plus d'informations sur les avantages de l'énergie au gaz.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo où les responsables de l'électricité discutent de la dépendance du pays aux technologies éoliennes et solaires peu fiables.
- voir clip sur site :
https://www.naturalnews.com/2022-12-30-gas-power-saves-texas-from-blackouts.html
Novak a déclaré :
RépondreSupprimer« Un afflux constant de devises nationales donne confiance au marché. Au début de l’année, nous avons été confrontés à une situation où l’on ne savait pas très bien quoi faire de ces monnaies. Actuellement, elles sont échangées en bourse et assurent un roulement mutuel des échanges… Si au début de l’année, ce volant d’inertie oscillait très fort, en quelques mois, il s’est banalisé et nous avons commencé à échanger régulièrement des monnaies nationales ».
La dédollarisation est un des fondements de l’INSTC. C’est une chose.
Deuxièmement, Novak a révélé que la Russie et l’Iran pourraient conclure un accord sur l’échange de fournitures de pétrole et de gaz d’ici la fin de l’année. Comme il l’a dit, « si nous parlons de perspective, cela inclut les exportations de gaz vers l’Afghanistan, le Pakistan – soit en utilisant les projets d’infrastructure d’Asie centrale, soit par le biais d’un échange à partir du territoire de l’Iran. C’est-à-dire que nous recevrons leur gaz dans le sud du pays [Iran], et en échange nous fournirons du gaz dans le nord pour les consommateurs iraniens ».
Novak a ajouté : « Nous prévoyons environ 5 millions de tonnes [de pétrole] par an et jusqu’à 10 milliards de mètres cubes [de gaz] dans un premier temps ». Le Pakistan est intéressé par l’approvisionnement en gaz russe. Novak a fait référence à l’accord conclu par la Russie avec l’Azerbaïdjan, qui doit augmenter ses approvisionnements en gaz, et « lorsqu’ils augmenteront leur production de gaz, nous pourrons discuter des échanges ».
Le Pakistan a un avantage inhérent, car tous les pays participants de l’INSTC, à l’exception de l’Inde, se trouvent être également membres de l’Initiative Ceinture et Route chinoise. À un moment donné, les deux ports iraniens désignés dans l’INSTC – Bandar Abbas et Chabahar – seront probablement reliés au port de Gwadar, qui est la porte d’entrée du corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) menant au Xinjiang, et un élément important de la BRI.
Il est clair que l’INSTC donnera naissance à un réseau de corridors économiques internationaux. L’Iran est destiné à devenir le centre d’intérêts stratégiques convergents avec des dimensions économiques importantes qui détermineront de nouvelles alliances et auront un impact sur la géopolitique de l’Asie du Sud et de l’Ouest au XXIe siècle.
Les États-Unis ont mené une guerre de l’information pour démolir le CPEC et alimenter les sentiments anti-chinois dans l’opinion publique pakistanaise. Mais c’est une tentative désespérée de dénigrer l’INSTC en tant que projet géopolitique et il est peu pratique de menacer les États régionaux de s’associer à ce qui est une route commerciale intercontinentale qui n’est pas la franchise d’un seul pays. Après tout, comment sanctionner un bloc commercial ?
Les faits parlent d’eux-mêmes. Les essais effectués par l’INSTC pour transporter des conteneurs de Mumbai à Saint-Pétersbourg en utilisant le corridor commercial ont permis de réduire le délai de livraison des cargaisons de 45 jours à 25 jours à des tarifs 30% moins chers qu’en passant par le canal de Suez, ce qui justifie les espoirs d’une meilleure connectivité et l’utilité du corridor. Il est clair que le potentiel commercial de l’INSTC est immense.
RépondreSupprimerCependant, la Russie et l’Iran sont déterminés à se découpler de l’Occident. Lavrov a déclaré lundi : « Nous ne pouvons plus compter sur ces gens. Ni notre peuple ni l’histoire ne nous le pardonneront si nous le faisons… nous avons trop ouvertement et naïvement mis notre foi dans les assurances que nous avons entendues au début des années 1990 au sujet d’une maison européenne commune et de la nécessité d’une division internationale du travail qui s’appuierait sur les meilleures performances et les avantages compétitifs de chaque pays, de sorte qu’en rassemblant nos efforts et en économisant nos ressources, nous serions en mesure d’obtenir les résultats les meilleurs et les plus rentables. Tout cela n’était que des paroles en l’air ».
L’Iran et l’Union économique eurasiatique [comprenant la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et le Kirghizstan] auraient finalisé les termes d’un accord de libre-échange portant sur plus de 7500 types de produits. Un marché de 700 milliards de dollars s’ouvre aux produits et services iraniens dès la prochaine année iranienne [à partir du 21 mars 2023].
L’accord de libre-échange encourage la libre circulation des biens et des services et prévoit des politiques communes dans le domaine macroéconomique, des transports, de l’industrie et de l’agriculture, de l’énergie, du commerce et des investissements étrangers, des douanes, de la réglementation technique, de la concurrence et de la réglementation antitrust. Ce sera un changement de donne pour l’INSTC, qui transformera la dynamique du pouvoir dans la vaste masse continentale eurasienne et dans la région du Golfe. L’INSTC représente un axe stratégique entre la Russie et l’Iran, construit autour d’une route commerciale annonçant un bloc commercial non occidental d’États régionaux en roue libre ayant des intérêts communs dans la résistance à l’hégémonie occidentale.
https://www.mondialisation.ca/la-russie-et-liran-ouvrent-une-route-commerciale-annonciatrice-dun-bloc/5673721
Comme prévu les autorités agissent intelligemment afin de rechercher très vite de nouveaux clients. C'est fait. Dès lors ces clients approvisionnés le seront au dépend des ex acheteurs européens qui - s'ils revenaient en arrière - n'auraient RIEN puisque la marchandise est parti ailleurs et est sous contrats ! Hahahaha !
Supprimer2023 : L’Europe vers un déclin irréversible …
RépondreSupprimerle 31 décembre 2022
Non contents d’avoir organisé une situation énergétique délicate en infligeant des sanctions à la Russie lors de l’annexion de la Crimée en 2015 à la suite d’un référendum démocratique des habitants de la péninsule, l’Europe a emboité le pas de l’OTAN et de l’Oncle Sam lorsque la Russie a décidé de sauver la vie des habitants russophones du Donbass bombardés quotidiennement et privés de leurs droits civiques. Ces sanctions se sont retournées contre l’Europe dont toute la population, les petites et grandes entreprises souffrent du renchérissement du prix de l’énergie. Les boulangers baissent le rideau et ce n’est pas anecdotique car l’Europe également ne produit plus d’aluminium, plus d’acier et les chaines de montage des voitures sont à l’arrêt. La situation de l’économie de l’Europe va encore se dégrader avec une série de mesures prises à la légère comme c’est toujours le cas depuis la création de « ce machin » dirigé par des technocrates qui n’ont aucune idée du monde réel. Mais il y a précisément un réel danger pour les populations qui va se concrétiser au cours de l’année 2023. Il s’agit du secteur agricole.
En effet, une série de décisions provenant des gauchistes écolos va inévitablement pénaliser le secteur agricole européen pourtant dynamique. L’augmentation du prix des engrais de synthèse, les interdictions ou sévères restrictions successives de l’utilisation de pesticides comme le glyphosate ou les néonicotinoïdes combinées à l’augmentation du prix des carburants va tout simplement conduire les acteurs du secteur agricole à cesser leur activité. Le secteur de l’élevage bovin est également menacé par ces mêmes progressistes de gauche car ils considèrent que la viande rouge est néfaste pour le climat. Un pays comme la France qui, en Europe occidentale détient les meilleurs terres arables et une diversité de ses terroirs inégalée est devenue importatrice nette de denrées agricoles, un comble. Les Pays-Bas ont décidé de réduire de moitié les têtes de bétail pour les raisons invoquées ci-dessus, et la doxa « bio » décourage les agriculteurs traditionnels de produire encore quoi que ce soit. L’obtention du label « bio » est complexe et les contrôles incessants découragent ces agriculteurs, leur témérité n’est même plus récompensée par les gains espérés puisque toute augmentation des prix des denrées alimentaires est devenue la bête noire des gouvernements.
Les producteurs d’oeufs sont menacés de contrôles en permanence et un nombre croissants d’éleveurs industriels de porcs et de volaille cessent leur activité en raison de l’augmentation du coût de l’énergie.
L’étincelle qui fut à l’origine de la révolution française provenait du manque de pain, est-ce nécessaire de le rappeler. Certes le pain n’occupe plus la place centrale qui était la sienne au XVIIIe siècle. Néanmoins l’inflation qui frappe les produits alimentaires, jusqu’à 40 % d’augmentation pour certains produits de consommation courante comme les pâtes, correspond à cette disette de pain qui décida les mères de famille parisiennes à aller chercher le roi à Versailles. Ce petit rappel historique est là pour signifier que la situation est explosive. Le réveil après les agapes de fin d’année sera douloureux. L’Europe s’achemine vers la famine et il est déjà trop tard pour y remédier. Tout ça va mal se terminer … Un beau vœu de nouvelle année.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/12/31/2023-leurope-vers-un-declin-irreversible/
Les coupures de courant dureront des jours, déclare le ministre autrichien de la Défense - faites le plein maintenant
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 31st, 2022
C'est un gros Psy-Op couvrant le dos qui essaie d'enterrer les mauvaises nouvelles
Klaudia Tanner, la ministre autrichienne de la Défense, a lancé l'extraordinaire bombe qu'un long black-out est à venir. Elle espère que vous ne remarquerez pas qu'il s'agit d'une nouvelle et dramatique menace. Tout est de la faute de Vladimir Poutine, dit-elle (pas du gouvernement qui a brûlé la sécurité énergétique sur un feu de joie vert dans une quête imaginaire pour un temps plus clément). Et quand cela arrive, si vous souffrez et manquez de ravitaillement, ou si vous mourez de froid, c'est de votre faute.
Qui savait que c'était votre travail de maintenir le bois, le pétrole ou le gaz et la nourriture et l'eau pour vous dépanner pendant une panne totale d'une semaine ? Eh bien, maintenant vous le faites.
Ainsi l'annonce de l'état choquant du réseau autrichien est enterrée sous les excuses :
Le ministre autrichien de la Défense prévient que les Européens ne sont pas préparés à des pannes d'électricité de plusieurs jours
Paul Joseph Watson, Nouvelles du sommet
"La question n'est pas de savoir si (la panne d'électricité) viendra, mais quand elle viendra", a déclaré Tanner, blâmant la guerre en Ukraine.
« Pour Poutine, les attaques de piratage contre les alimentations électriques occidentales sont un outil de guerre hybride. Il ne faut pas prétendre que ce n'est qu'une théorie. Nous devons nous préparer aux pannes d'électricité en Autriche et en Europe », a-t-elle ajouté.
Qui, exactement, est responsable de la sécurité énergétique autrichienne : s'appelle-t-il Vladimir ?
Chaque citoyen doit soudainement prévoir un long black-out :
Tanner a expliqué à quel point les Européens n'étaient pas préparés à des pannes prolongées paralysantes en avertissant qu'"un tiers des citoyens ne seraient pas en mesure de s'approvisionner au plus tard le quatrième jour d'une panne".
Donc, si la panne ne se produit pas, ou ne dure qu'un jour ou deux, le gouvernement peut se vanter d'avoir réussi à en empêcher une plus longue. Et si le Big Bad One se produit, ils ont déjà présenté les excuses.
Imaginez une interview plus honnête : le ministre dit l'impensable — une longue perte de puissance sans précédent au cœur de l'hiver est probable. Supposez que votre gouvernement ne sera pas là quand vous en aurez besoin. C'est tellement grave que vous devez faire le plein de nourriture, de carburant et d'eau.
RépondreSupprimerImaginez une véritable opposition : le gouvernement incompétent aurait pu construire des centrales nucléaires, faire fonctionner des centrales au charbon, et rien de tout cela ne se produirait.
https://joannenova.com.au/2022/12/blackouts-will-last-for-days-says-austrian-defence-minister-stock-up-now/
Survie ultime
RépondreSupprimerLes 9 premières façons de survivre à la Grande Dépression à venir (Comme nous l'avons vu pendant la Grande Récession, le chaos économique du début de la période pandémique et la douleur inflationniste que nous subissons encore, notre société ne sera jamais à l'abri des résultats économiques négatifs. )
par Brandon Campbell
30 décembre 2022
Avec les craintes croissantes concernant la crise de la dette actuelle en Grèce, de nombreuses personnes s'inquiètent pour l'économie et les conditions de vie. Les analystes intelligents admettent que l'économie va se détériorer et apprennent comment survivre à une grande dépression à venir.
Si les choses empirent vraiment, vous voudrez être préparé. Voici 9 façons simples de survivre à la grande dépression à venir.
1) Stockez vos aliments.
La nourriture est une nécessité à la vie. Ne devenez pas l'un des marchands paniqués à la recherche de nourriture lorsqu'il est trop tard. La plupart des familles n'ont pas assez de nourriture pour durer 4 semaines dans une étude récente. Alors ne devenez pas l'une des statistiques.
Ce guide ci-dessous peut vous aider dans une situation de survie
Si la société s'effondre, vous pouvez parier que les aliments que les pionniers mangeaient deviendront des aliments de base
The Lost Ways vous prépare à faire face aux pires scénarios avec le minimum de ressources, tout comme nos ancêtres vivaient leur vie, totalement indépendants de l'électricité, des voitures ou de la technologie moderne.
Alors faites attention parce que cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
2) Stockez de l'eau propre.
Vous pouvez survivre sans nourriture pendant des semaines, mais sans eau, vous pouvez périr rapidement. Votre corps est composé de plus de 80 % d'eau et certains disent que c'est le fondement de la vie. Si l'eau est coupée à votre domicile, quel est votre plan ? Assurez-vous de stocker de l'eau en cas de situation d'urgence.
3) Rangez l'outil pointu.
Des outils comme une hache sont simples mais efficaces pour ramasser du bois de chauffage et chasser. Sans un outil pointu, votre vie peut être très difficile. Vous voudrez avoir cet outil et un taille-crayon à proximité, surtout si vous vivez dans une région où il y a des pannes de courant.
4) Gardez au chaud.
RépondreSupprimerRangez du bois de chauffage, des allumettes et des briquets pour vous garder, vous et votre famille, au chaud la nuit. S'il y avait une véritable situation d'urgence, comment pouvez-vous allumer un feu sans ces outils. C'est aussi une bonne idée de stocker des bougies. Ils sont extrêmement bon marché et fiables si l'électricité est coupée d'une manière ou d'une autre.
5) Gardez une radio à portée de main.
Dans toutes les crises majeures, vous voulez pouvoir vous occuper de votre famille, n'est-ce pas ? Vous voudrez donc savoir ce qui se passe dans le monde extérieur. S'il y a une panne de courant majeure, comment allez-vous vous tenir au courant. Avec une radio, vous êtes en mesure de vous tenir au courant des dernières nouvelles et des événements.
6) Rangez les articles de toilette.
L'hygiène personnelle est indispensable dans toutes les situations, bonnes ou mauvaises. Assurez-vous de stocker beaucoup de papier toilette, de shampoing, de savon, de brosses à dents et d'autres produits nécessaires pour réussir vos rituels d'hygiène quotidiens. Nous tenons parfois ces choses pour acquises dans notre société. Que se passerait-il pour vous si un jour tous ces articles devenaient tout simplement indisponibles ?
7) Stockez l'essence supplémentaire.
C'est un must dans n'importe quelle situation, mais surtout si la situation économique empire. L'inflation s'insinuerait et ferait monter en flèche les prix de l'essence, donc faire le plein de prix de l'essence alors qu'ils sont bon marché maintenant ne fera pas de mal à long terme. Non seulement vous économiserez de l'argent, mais vous serez bien préparé si vous devez vous déplacer rapidement d'un endroit à l'autre ou si vous devez vous déplacer de toute urgence.
8) Faites-vous de bons amis avec vos voisins.
Avez-vous déjà entendu dire que deux têtes valent mieux qu'une ? Eh bien, vous devriez apprendre à connaître votre voisin hier. Former de petites communautés pendant la grande dépression était la façon dont chacun s'en sortait au jour le jour. Pour un soutien moral et pour s'entraider avec de la nourriture et de l'eau. C'est un moyen puissant de traverser les moments difficiles.
9) Ayez un plan de sauvegarde simple.
RépondreSupprimerDe nos jours, de nombreuses personnes comptent simplement sur le gouvernement ou sur d'autres personnes. Si l'économie s'effondrait demain, ces personnes seraient en grande difficulté. Ayez un plan de sauvegarde à sécurité intégrée pour tout. Si vous comptez sur un système qui n'est pas conçu pour les conditions qui vous restent. Vous êtes voué à l'échec. Assurez-vous d'être prêt aujourd'hui et disposez de plusieurs plans de sauvegarde au cas où l'un d'entre eux échouerait systématiquement.
Important ci-dessous :
Vous vivez peut-être dans l'une des zones de la mort américaines et n'en avez aucune idée
Et si c'était toi ? Qu'est-ce que tu ferais ?
Dans les prochaines minutes, je vais vous montrer la carte des cibles nucléaires américaines, où vous découvrirez si vous vivez dans l'une des zones de mort américaines.
- voir clip sur site -
https://billkloss.law.blog/2022/12/30/first-9-ways-on-how-to-survive-the-coming-great-depression-as-we-saw-during-the-great-recession-the-economic-chaos-of-the-early-pandemic-period-and-the-subsequent-inflation-pain-we-are-still-suffer/
Prévisions 2023 – Écartez-vous si vous ne pouvez pas donner un coup de main
RépondreSupprimerDe James Howard Kunstler
Kunstler.com
31 décembre 2022
« Les puissants paniquent, et ils devraient le faire. Leurs secrets sont divulgués. —Miranda Devine
"Ce n'est que de l'huile de serpent. Nous voulons sauver la planète et la vie qui s'y trouve, mais nous ne sommes pas prêts à en payer le prix et à en supporter les conséquences. Nous créons donc un récit qui fait du bien et courons avec. — Raul Ilargi Meier
« 2023 pourrait être une année charnière pour les États-Unis si les mensonges omniprésents peuvent être exposés, digérés et crus. Toute cette exposition doit se produire au milieu de cafouillages continus vers le programme de la Grande Réinitialisation. » – Truman Verdun
"Plus d'emprunts n'ont de sens que si vous vous attendez à une économie plus importante à l'avenir. Toute expansion économique est basée sur l'énergie. Les pays qui ont de l'énergie peuvent se développer, ceux qui n'en ont pas." — Chris Martenson
"Être un ennemi de l'Amérique peut être dangereux, mais être un ami est fatal." — Henri Kissinger
« Le récit incorrect fourni par les médias grand public (MSM) est que le changement climatique est notre pire problème. Pour atténuer ce problème, les citoyens doivent s'éloigner rapidement des combustibles fossiles et passer aux énergies renouvelables. Le vrai récit est que nous manquons de combustibles fossiles qui peuvent être extraits de manière rentable et que les énergies renouvelables ne sont pas des substituts adéquats. Cependant, ce récit est trop inquiétant pour la plupart des gens à gérer. — Ugh Bardi
Il est difficile d'envisager 2023 sans sombrer dans la nausée, la tachycardie et les sueurs froides. Mais c'est un devoir incontournable ici d'exposer les probabilités à venir. Je fais ce truc de prévision depuis quelques années maintenant, et, bien sûr, je me trompe souvent, alors rassurez-vous et détendez-vous. Peut-être que la nouvelle année sera faite de licornes, d'arcs-en-ciel, de gerbilles parlantes et de violettes confites.
2022 était une douche froide. La longue urgence dont je parle tant a finalement atteint sa vitesse de croisière, avec le «Joe Biden» ectoplasmique propulsant notre pays dans un effondrement économique, politique et culturel – un triplé de calamité – et il l'a fait plus rapidement et directement que n'importe quel empereur dirigé à la fin de la Rome, avec des politiques et des actions à 180 degrés contraires à l'intérêt public américain – acclamé par une classe pensante qui avait manifestement perdu son esprit consensuel.
Était-ce simplement pour faire le contraire de ce que ferait le détesté et détesté M. Trump ? Serait-ce aussi simple ou aussi automatique ? Les yeux de la classe pensante ont une lueur zombifiée ces jours-ci. Il est évident, vous en conviendrez peut-être, que "Joe Biden" n'est en charge de rien, vraiment. C'est une figure animatronique programmée pour lire un téléprompteur et pas grand-chose d'autre. La moitié du temps, il ne peut même pas trouver son chemin hors de la scène après avoir fait ce tour. La claque qui tire ses ficelles est peut-être l'équipe que vous voyez autour de lui (vous savez, WYSIWYG) : Susan Rice, Ron Klain, Jake Sullivan, Antony Blinken, Victoria Nuland et compagnie. Mme Rice s'est complètement cachée dans les coulisses de la Maison Blanche pendant deux ans. Personne n'entend jamais parler d'elle ni ne la voit. Bizarre, un peu, pour le directeur du Conseil de politique intérieure.
RépondreSupprimerOu bien, y a-t-il des marionnettistes plus profondément dans l'ombre, disons, l'ancien patron de "JB" Barack Obama, Der Schwabenklaus et sa suite WEF, Bill Gates et d'autres milliardaires de la technologie, les banquiers "d'importance systémique", George Soros... ? Ou un groupe de sorciers super-élites dont nous n'avions jamais entendu parler ? La dynamique du leadership américain est vraiment mystifiante et ce depuis deux années entières. Des mystères seront-ils révélés en 2023 ? Personnellement, je pense que oui. Les choses s'alignent dans cette direction, mais qui sait si les dégâts peuvent même être inversés à ce stade. Et maintenant sur la forme des choses à venir….
Économie
Tout ce que vous pouvez vraiment dire, c'est que les gens qui dirigent les choses ont détourné chaque module des intérêts de notre nation et les ont fait basculer dans la décadence et la ruine. Ils ont anéanti tout ce qui restait de l'économie américaine avec une panoplie de manœuvres idiotes infaillibles. En dépensant des billions de dollars qui n'existent pas pour acheter des votes, ils ont gonflé le pouvoir d'achat de notre argent - une erreur de niveau Econ 101. Le « Green New Deal » est une escroquerie, une opération infâme ouverte et directe pour subvertir la Western Civ par le WEF et ses comparses, énoncée explicitement dans ses publications internes.
Il n'y a aucun moyen de faire fonctionner notre société telle qu'elle est actuellement équipée de n'importe quelle combinaison d'énergies alternatives. Tout ce que les Greenies peuvent vraiment accomplir avec cette croisade est de détruire les systèmes complexes sur lesquels nous comptons plus rapidement que cela ne se produirait dans le cours normal des choses, excluant toute chance d'une retraite ordonnée vers un arrangement plausiblement réduit pour la vie quotidienne. Nous quittons le système actuel de toute façon, que cela nous plaise ou non - la thèse de The Long Emergency.
Cela nous amène au cœur de l'énigme à laquelle nous sommes confrontés. Aussi mal intentionnés que soient le WEF et ses alliés, le monde se dirige vers une grande réinitialisation. Le hic, c'est que ce ne sera pas la version du WEF, leur techno-nirvana schématique avec une petite élite confortable dominant le hoi-polloi mangeur d'insectes. Ils manquent en quelque sorte le point que l'énergie nécessaire pour faire fonctionner leur précieuse technologie transhumaine ne sera pas là. Soit dit en passant, l'idée centrale du WEF d'un contrôle central par un gouvernement mondial coordonné est en contradiction avec la réalité fondamentale des temps à venir, à savoir que la vie est sur le point de devenir beaucoup plus locale et réduite - le contraire de centralisée. Tout ce qui est organisé à l'échelle géante est en train de sombrer dans l'échec, les empires, les sociétés mondiales, les villes hypertrophiques, les universités géantes, les fermes géantes, etc. Leurs modèles économiques sont brisés. Les activités que ces choses représentent doivent devenir plus petites, plus fines et plus régionales. En fonction de ce que nous sommes capables de récupérer et de réutiliser à partir des restes fabriqués de la modernité, nous aurons la chance de revenir dans la vie vécue au niveau du début des années 1800. Ou bien, si nous nous trompons vraiment, nous plongerons malheureusement dans un âge sombre dans un monde dépourvu de ressources.
RépondreSupprimerLe "Green New Deal", basé sur une combinaison de vœux pieux et de méchanceté autodestructrice, comprend l'affaiblissement délibéré de ce qui reste de l'industrie pétrolière américaine en annulant des pipelines, des licences de forage sur des terres publiques, en drainant la réserve stratégique de pétrole et d'autres efforts. pour saboter ce qui reste. L'Amérique a encore beaucoup de pétrole dans le sol, mais une grande partie est difficile à atteindre et non rentable à produire à l'échelle requise. C'est un perdant d'argent et perdre de l'argent de manière constante ne correspond à aucune véritable entreprise.
Cela est particulièrement vrai pour le pétrole de schiste, qui a connu une bonne production de 2009 à 2022, même si les producteurs pouvaient à peine gagner un centime. Le « miracle » de l'huile de schiste était en grande partie un sous-produit de taux d'intérêt proches de zéro. Les investisseurs y ont afflué après 2009 car ils ne pouvaient obtenir aucun rendement des obligations. L'huile de schiste était considérée comme une valeur sûre. Il a fallu une décennie aux investisseurs, et plus d'une centaine de faillites de sociétés pétrolières, pour s'imposer - et maintenant, le pétrole de schiste ne peut pas attirer suffisamment de nouveaux investissements pour maintenir les opérations géantes à grande échelle. Les principales régions de pétrole de schiste, le bassin permien au Texas et les champs de Bakken dans le Dakota du Nord, sont entrées dans un déclin permanent car elles manquent de «sweet spots» pour forer et fracturer. Compte tenu de la nouvelle ère de pénurie de capitaux à venir, l'argent pour les sociétés pétrolières de schiste sera encore plus difficile à obtenir et nous aurons moins de pétrole de schiste chaque année, tandis que le pétrole conventionnel poursuit son propre déclin sans remords. Le hic ici est que les prix du pétrole sont tout aussi susceptibles de baisser que d'augmenter parce que l'économie en perdition crée une destruction substantielle de la demande - les clients abandonnent le marché.
Le gaz naturel implique une dynamique similaire. Il semble y en avoir beaucoup pour l'instant dans la formation de Marcellus répartie sur la Pennsylvanie, l'Ohio, la Virginie-Occidentale et à New York (où la fracturation hydraulique est interdite depuis des années). Natgas est très utile pour la production d'électricité, le chauffage domestique et certaines activités de fabrication, mais pas tellement pour le transport. La production de gaz de schiste repose également sur des « sweet spots » pour le forage et il y en a de moins en moins chaque année. La courbe d'épuisement des natgas est encore plus extrême que celle du pétrole : elle s'arrête d'un coup. Les premières zones de gaz de schiste dans le sud des États-Unis – Haynesville, Fayetteville, Barnett – sont en déclin depuis des années. Comme pour le pétrole de schiste, la production de gaz de schiste coûte cher, tous les camions livrant sans cesse du sable de fracturation, de l'eau et des produits chimiques aux plateformes de forage, puis transportant les déchets liquides hors site. Prédiction : en 2023, nous entendrons les premières rumeurs sur la nationalisation de l'industrie pétrolière, ce qui sera un pas de géant vers sa destruction totale, compte tenu de l'incompétence générale du gouvernement.
RépondreSupprimerLa stratégie consistant à remplacer les voitures et les camions à base de pétrole par des véhicules électriques (VE) est perdante à plusieurs égards, au-delà des perturbations et de l'instabilité auxquelles est confrontée la production pétrolière américaine. Premièrement, il repose sur l'idée que nous pouvons continuer à vivre dans un arrangement d'étalement de banlieue par d'autres moyens. Deuxièmement, le réseau électrique est trop inadéquat et fragile pour prendre en charge la charge de tant de millions de véhicules électriques en plus de tout ce que nous lui demandons de faire. Troisièmement, la classe moyenne est en train d'être décimée, il y a donc de toute façon moins de clients solvables pour des voitures dont le prix est hors de leur gamme. Quatrièmement, beaucoup moins de capitaux seront disponibles pour les prêts à la consommation. L'industrie automobile elle-même pourrait ne pas survivre à l'orgie de reprise de possession à venir en 2023 pour les prêts automobiles en défaut. Cela infectera également le secteur bancaire. L'économie souffre déjà. Le "Green New Deal" lui coupera les pattes bancales.
De même, les nouveaux mandats contre l'utilisation d'engrais azotés (fabriqués à partir de natgas). Les pays européens sont déjà embarqués dans cette folie du WEF. Les Pays-Bas, premier producteur alimentaire européen, vont jusqu'à fermer de force des milliers de fermes et limiter l'utilisation d'engrais sur les autres. L'Allemagne limite également les engrais. Le Canada s'est rangé ensuite. Prédiction : début 2023, « Joe Biden » mettra en branle des politiques anti-engrais aux États-Unis. Il y aura beaucoup de cris dans les grands États agricoles, entraînant des protestations de colère. Les convois de tracteurs pourraient envahir Washington. La situation ouvre de sombres perspectives pour l'approvisionnement alimentaire américain : pénurie, prix élevés et faim à venir.
Le grenier ukrainien est hors de propos en 2023, à moins que l'action militaire ne se termine bien avant la saison des semailles. L'Europe ne peut pas dépendre de la Russie, un autre producteur mondial de céréales grâce à la stupide politique de sanctions de "Joe B". D'ici l'été, les récoltes prévues dans toute la Civ occidentale seront insuffisantes pour nourrir les populations existantes. Les exportations de routine vers les pays pauvres du « Sud global » s'arrêteront et beaucoup de gens mourront de faim dans ces pays. D'ici là, il sera trop tard pour réparer quoi que ce soit. Le prix de la nourriture va monter en flèche dans toute la civilisation occidentale, aggravant d'autres crises économiques qui équivaudront à métastaser la pauvreté. Les populations deviendront très agitées. Les gouvernements tomberont (candidats : France, Allemagne, Royaume-Uni, Australie, USA). Dans certains endroits, ils ne récupéreront pas dans leur forme antérieure.
RépondreSupprimerEn tant que proposition générale, le mondialisme est terminé. Cela a commencé sérieusement avec les fermetures de Covid. Aujourd'hui, les frictions géopolitiques s'aggravent et les relations commerciales se détériorent davantage. Il y aura toujours des échanges entre les nations, mais très réduits. Les chaînes d'approvisionnement mondiales sont déjà détruites, en particulier pour les pièces de rechange mécaniques spécialisées et les composants électroniques. Il sera plus difficile de réparer les voitures, les camions, les turbines, vraiment n'importe quel type de machine, y compris les ordinateurs et les choses qu'ils font fonctionner. Une grande partie de l'activité commerciale va simplement s'arrêter.
L'Europe s'est déjà trompée en achetant son billet aller simple pour Palookaville. L'Allemagne et les autres ont payé ce billet en se conformant à la politique américaine imprudente visant à « affaiblir » la Russie avec des sanctions (mission non accomplie). Le coup de grâce a été que les États-Unis ont détruit les pipelines Nord Stream. Ainsi, l'Euroland a décidé par inadvertance d'abandonner sa base industrielle, ce qui signifie qu'ils deviennent médiévaux ou pire. Ils ont commis un suicide économique. Ils feraient mieux d'espérer que la réincarnation est réelle. Quoi qu'il en soit, ils ne reviennent pas de ce fiasco comme ils y sont entrés, c'est-à-dire comme les choses étaient. Lorsque le choc de l'hiver sera passé au début de 2023, les conflits seront le nouveau leitmotiv dans l'Ancien Monde. Les gens deviennent désespérés dans les six semaines du printemps. Les nations craquent.
L'économie américaine repose en grande partie sur la finance maintenant que la financiarisation a remplacé la fabrication comme base de la prospérité. Hélas, la prospérité financiarisée est une fausse prospérité, puisqu'elle consiste principalement à emprunter des sommes toujours plus importantes pour entretenir une simple apparence de prospérité. Dans la vraie vie, la prospérité exige de produire des choses de valeur, et pas seulement d'échanger des instruments financiers de plus en plus abstraits prétendant représenter de l'argent. J'en ai assez discuté dans des livres, des blogs précédents et des prévisions précédentes. Qu'il suffise de dire que nous avons épuisé la ficelle de cette cascade. Il ne nous reste plus que les marqueurs de dette, des documents censés représenter la richesse. La garantie est tout ce que nous avons produit précédemment et qui est encore debout : bâtiments, propriétés bâties, travaux publics. Beaucoup de ces choses se détériorent rapidement, perdant de leur valeur, par exemple les dizaines de millions de maisons de banlieue construites avec des matériaux de merde à courte durée de vie comme les panneaux de particules et le vinyle… toutes les voitures….
RépondreSupprimerLa financiarisation a conduit à l'inflation actuelle de notre système monétaire basé sur la dette. Plus d'emprunts deviennent plus d'argent, chassant une quantité décroissante de marchandises à mesure que la production chute et que les lignes d'approvisionnement s'étouffent. Les services souffrent également. Les gens n'ont pas les moyens de manger au restaurant, de faire de l'acupuncture, d'aller chez le coiffeur. Lorsque l'inflation est suffisamment mauvaise, disons plus de dix pour cent par an, elle causera suffisamment de dommages économiques pour provoquer une forte contraction de l'activité, entraînant un déluge de défauts de paiement sur les prêts hypothécaires, les paiements de voiture et les obligations des entreprises. Les défauts de paiement entraînent la disparition de l'argent du système. Cela transforme l'inflation en déflation. Le marché obligataire explose au fur et à mesure que cela se produit, car les obligations sont des dettes et elles ne sont ni remboursées ni remboursées. L'implosion du marché obligataire infecte les marchés boursiers et ils s'effondrent également.
Avant longtemps, personne n'a d'argent, sauf ceux qui ont investi dans l'or et l'argent. Prédiction : le passage de l'inflation à la déflation intervient à l'été 2023 et s'accélère à l'automne. Cela conduit à des conditions économiques pires que la Grande Dépression des années 1930 parce que nos arrangements sociaux et familiaux se sont désintégrés avec nos villes et villages. Le désordre civil s'enflamme. Le gouvernement tente des confinements, cette fois sans maladie à blâmer. Ce n'est plus sûr d'être un politicien.
L'histoire de Covid-19 se retourne mal et l'enfer se déchaîne
RépondreSupprimerDans le contexte d'une nouvelle dépression économique en développement, le public ne peut plus éviter de voir la calamité provoquée par les vaccins à ARNm. La mort prématurée fait quotidiennement la une des journaux et provient exactement des effets indésirables qui ont été qualifiés de «théorie du complot» par les experts en santé publique depuis 2021: myocardite, caillots sanguins, lésions organiques, maladies neurologiques, cancers inhabituellement agressifs, systèmes immunitaires endommagés. Pendant ce temps, l'aristocratie américaine de la santé publique - le Dr Tony Fauci, Rochelle Walensky, Francis Collins, Deborah Birx, le chirurgien général Vivek Murthy et bien d'autres seront obligés de témoigner sous serment devant les comités de la Chambre nouvellement reconstitués et enfin répondre pour tous leur malhonnêteté dans la saga de la réponse Covid-19. Ils ont menti sur tout, surtout sur les « vaccins ? Cela empirera pour eux alors que le sentiment public passe de la soumission aux conneries officielles pour faire rage face à une fraude mortelle.
D'ici là, les efforts passés de ce gang pour tromper le public sur Twitter et d'autres médias sociaux seront bien documentés. La piste visqueuse exposée de l'argent et de la corruption entre Pharma et les bureaucrates fédéraux fera enfin une impression sur la nation longtemps déroutée. Les médias grand public seront entraînés dans ce bourbier et le public commencera à comprendre comment les rédacteurs en chef de journaux et les producteurs d'informations télévisées ont également été achetés par Pharma et contrôlés par l'État de sécurité nationale pour soutenir le Parti démocrate et les intérêts mondialistes en dehors du ÉTATS-UNIS. Cette exposition pourrait être la fin des grands organes d'information hérités, le New York Times et le reste de la bande. Leurs dirigeants devront témoigner avec tout le monde. Ils pourraient ne pas être poursuivis – dans un geste de respect pour le premier amendement – mais souffriront plutôt beaucoup de leur perte de crédibilité.
Tout cela aggravera l'animosité contre le gouvernement et le régime «Joe Biden» du Parti démocrate – qui seront assaillis par des enquêtes distinctes sur l'ordinateur portable Hunter Biden et les preuves de corruption et de trahison qu'il contient, et des audiences sur le grand public frontière, les paiements à l'Ukraine et le comportement de type gestapo du FBI.
Voici un scénario pour vous : le ministère de la Justice sera submergé par les références pénales. Le FBI sera dans un état de paralysie, incapable de commettre plus d'insultes contre les citoyens américains à mesure que ses crimes systématiques seront révélés. Lorsque le DOJ hésite à agir, le public sera encore plus enragé. L'actuel procureur général, Merrick Garland, est traîné au Congrès pour répondre de son inconduite et l'humiliation qui en résulte le chassera de ses fonctions. "Joe Biden" pourrait être contraint de démissionner, noyé dans une mer de troubles et de scandales révélés. Un accord sera conclu pour laisser Veep Kamala Harris se tirer d'affaire en échange de sa démission.
Cela laissera le président républicain de la Chambre, quel qu'il soit, devenir président. Il licenciera toutes les personnes politiques nommées au sein de l'exécutif et les remplacera par des personnes qui respecteront la loi. Cela ressemblera à un retour prometteur à la décence et à l'état de droit. Mais les dommages au prestige de l'Amérique auront été si flagrants maintenant que le gouvernement fédéral a perdu sa légitimité. La crise financière, quant à elle, plongera le gouvernement dans quelque chose qui sent la faillite. Le pays est dans une dépression féroce, les gens n'ont pas d'argent, mais le gouvernement non plus. L'autorité réelle est dévolue aux États et aux localités. La mise en œuvre de ces dynamiques dépend également de ce qui se passe en dehors des États-Unis.
RépondreSupprimerL'Europe en Macro
N'oubliez pas qu'il s'agissait d'une partie importante du monde avec un PIB global supérieur à celui des États-Unis ou de la Chine. L'Europe est le berceau de Western Civ, une division du projet humain des derniers milliers d'années qui a produit d'énormes progrès dans la science, l'art, la musique, la philosophie et l'intelligence organisée en général. Maintenant, c'est sur les rochers. L'Europe, dans son ensemble, telle que représentée, disons, par l'Union européenne ou l'OTAN, a commis une grave erreur en se ralliant au projet insensé des néoconservateurs des États-Unis visant à créer un tas de troubles en Ukraine afin d'« affaiblir » la Russie.
La Russie n'était plus une menace pour les États-Unis après 1991. Une fois que l'URSS était devenue une entité politique et après que la Russie se soit remise de l'effondrement de l'effondrement, elle voulait être traitée par l'Occident comme une nation européenne normale. La Russie est devenue une économie de marché, comme toutes les autres en Europe. Il a tenu des élections comme les autres, avait une législature, un nouveau corps de loi sur la propriété, des médias d'information privés, des banques régulières et tous les autres signes extérieurs de la normalité politique moderne. La Russie a même demandé très tôt à devenir membre de l'OTAN. Les États-Unis et l'Europe ont refusé l'adhésion à l'OTAN, mais ont également refusé d'admettre la Russie dans la normalité européenne. Au lieu de cela, dirigé par les États-Unis, l'Occident a mené une opération de dépouillement des actifs qui a entravé le redéveloppement de la Russie.
Sinon, l'Occident a surtout ignoré la Russie et, malgré tout, la Russie s'est remise sur pied, a fait démarrer certaines industries, en particulier le pétrole et le gaz, et a connu deux décennies de stabilité relative. La Russie a finalement commencé à tendre la main dans le monde et a conclu des accords commerciaux avec d'autres pays. Il a construit ces gazoducs Nord Stream. Elle a organisé une « union douanière » régionale entre ses voisins eurasiens qui a fonctionné un peu comme la zone euro.
Pendant que tout cela se passait — faites attention — vers 2010, la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, a siégé au sein d'un comité du département d'État sur les investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS), qui a menacé de bloquer la vente d'une entreprise canadienne, Uranium One, à Rosatom, la société russe d'énergie atomique, au motif que les actifs d'Uranium One comprenaient 20 % de l'approvisionnement en uranium des États-Unis. Vendre tout cet uranium américain à la Russie avait l'air plutôt mal, pensez-vous, et vous auriez raison. Mais ensuite, tout à coup, environ 150 millions de dollars ont été versés à la Fondation Clinton - en grande partie par le propriétaire d'Uranium One, un certain Frank Giustra - et Bill Clinton a obtenu un concert d'un demi-million de dollars en Russie, et… que sais-je, CFIUS a fini par approuver la vente. Le public en a à peine entendu parler. (Où étaient les nouveaux médias américains ?)
RépondreSupprimerAu cours de la même période, Hillary Clinton a également contribué à faciliter le transfert de la technologie biomédicale, nucléaire et informatique américaine au consortium de haute technologie appelé Skolkovo, la version russe de la Silicon Valley. Une grande partie de la technologie en cause était à double usage, bonne pour les applications civiles et militaires. Encore une fois, des dizaines de millions de dollars ont été versés à la Fondation Clinton par les entreprises participant à l'accord Skolkovo. Les grillons des médias d'information à nouveau.
En 2011, les relations entre les États-Unis et la Russie se sont détériorées lorsque le président Poutine a accusé les États-Unis de fomenter des manifestations en Russie à propos de ses élections législatives. Et à partir de là, notre département d'État a décidé que la Russie et les États-Unis ne pouvaient même pas prétendre être amis.
Sautons en avant jusqu'en 2014 : les néoconservateurs de l'administration Obama ont estimé qu'il était temps de réduire la taille de la Russie. Cet effort s'est cristallisé autour de l'ancienne province soviétique, l'Ukraine, et s'est épanoui dans la révolution de Maïdan, parrainée et organisée par les États-Unis, utilisant à l'avant-garde les importantes forces nazies ukrainiennes de Stepan Bandara, pour fomenter la violence sur la place principale de Kiev. Les États-Unis ont chassé le président ukrainien élu Ianoukovitch – qui a provoqué la colère de l'Amérique en s'engageant à rejoindre l'Union douanière russe au lieu de l'UE – et a installé sa propre marionnette Yatsenyuk, qui a finalement été remplacé par le magnat des bonbons, Porochenko, remplacé par la star de la télévision ukrainienne, le comédien Volodymyr Zelensky. Ha ha. Qui rit maintenant ? (Personne.)
À partir de 2014, l'Ukraine, avec le soutien de l'Amérique, a fait tout son possible pour contrarier la Russie, en particulier en inondant les provinces orientales de l'Ukraine, appelées le Donbass, d'artillerie, de roquettes et de bombes pour harceler la population russe. Après huit ans de cela, et des insultes américaines continues (le dossier Steele, l'ingérence électorale de 2016) et des menaces renouvelées d'entraîner l'Ukraine dans l'OTAN, M. Poutine en a eu assez et a lancé son « opération militaire spéciale » pour discipliner l'Ukraine. Une fois que cela a commencé, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a déclaré explicitement au monde que la politique générale des États-Unis était désormais « d'affaiblir la Russie ».
Cela s'est accompagné de la politique américaine d'isoler économiquement la Russie avec toujours plus de sanctions. N'a pas fonctionné. La Russie vient de se tourner vers l'est vers l'énorme marché asiatique pour son pétrole et son gaz et a utilisé un système alternatif de dédouanement électronique pour remplacer le système américain SWIFT. Les sanctions ont également donné à la Russie une raison de poursuivre agressivement une stratégie économique de remplacement des importations - la fabrication de produits qu'elle achetait à l'Occident, par exemple des machines-outils allemandes essentielles pour l'industrie.
RépondreSupprimerLa Russie a sacrifié plus de 50 milliards de dollars d'actifs financiers bloqués dans le système bancaire américain - nous venons de le confisquer - mais, en fin de compte, cela n'a fait que nuire à la réputation du système bancaire américain en tant que lieu sûr où placer de l'argent et a rendu les investisseurs étrangers beaucoup plus méfiants d'emmagasiner des capitaux dans les banques américaines. Effet net : la valeur du rouble a augmenté et s'est stabilisée et la Russie a trouvé de nouveaux moyens de neutraliser l'intimidation économique américaine.
L'Europe a été la grande perdante de tout cela. Pendant un certain temps, l'Europe pourrait faire semblant de suivre le projet US/OTAN, déversant des armes et de l'argent en Ukraine, et en même temps dépendre des importations russes de pétrole et de gaz. Huit mois après le début du conflit, les États-Unis ont fait sauter les pipelines Nord Stream One et Two, et ce fut la fin de l'approvisionnement de l'Europe en natgas abordables, pour chauffer les maisons et l'industrie électrique. Dans un monde sain, cela aurait été considéré comme un acte de guerre contre l'Allemagne par les États-Unis. Mais cela n'a fait que révéler l'état de vassalité secret et humiliant dans lequel se trouvait l'Europe. L'Europe s'était déjà rendue ridicule en achetant l'hystérie du changement climatique et en essayant d'adapter sa consommation d'énergie aux soi-disant «énergies renouvelables» dans le plus grand exercice de signalisation de vertu de l'histoire. L'Allemagne, le moteur de l'économie de l'UE, a commis une erreur stupide après l'autre. Il a investi massivement dans des installations éoliennes et solaires, qui étaient si insuffisantes qu'elles en étaient une blague, et il a fermé ses centrales électriques alimentées par l'énergie nucléaire afin de paraître écologiquement correct.
Alors maintenant, l'Allemagne et de nombreux autres États membres de l'UE sont sur le point de laisser derrière eux la modernité. Ils ont réussi à brouiller et à remplir suffisamment leurs réserves de gaz cet automne pour peut-être traverser l'hiver sans mourir de froid, mais non sans beaucoup de sacrifices, en abattant les forêts européennes et en portant leurs manteaux à l'intérieur. Maintenant, seulement quelques jours après le début de l'hiver, il reste à voir comment cela fonctionnera. Nous en saurons plus en mars de la nouvelle année. La France avait été l'exception en Europe, en raison de son important parc de centrales nucléaires. Mais beaucoup d'entre eux ont maintenant vieilli, certains ont complètement fermé, et la politique «verte» a empêché de les remplacer, de sorte que la France, elle aussi, se retrouvera de plus en plus soumise à des pénuries d'énergie abordables.
Conclusion : l'Ukraine est et a toujours été dans la sphère d'influence de la Russie, et le restera. Les États-Unis n'ont rien à faire là-bas et ce sera mieux pour toutes les personnes concernées lorsque nous nous retirerons. Espérons que cela se produise sans que l'Amérique ne déclenche une troisième guerre mondiale nucléaire. (Ouais, "l'espoir" n'est pas un plan. Essayez la prière, alors.) Le défi de M. Poutine en 2023 est de mettre fin aux hostilités en Ukraine sans humilier les États-Unis au point de faire quelque chose de vraiment stupide.
RépondreSupprimerAsie
L'immense région où vivent la plupart des habitants du monde tourbillonne avec une dynamique en évolution rapide. Il est difficile de dire dans quel état se trouve réellement la Chine à la fin de 2022. Le PCC a capitulé sur sa politique de confinement extrême et maintenant le pays semble en proie à une nouvelle et grave épidémie du virus Covid. Cela tue beaucoup de gens, y compris pas mal de hauts gradés du PCC. Le monde a vu le début d'une révolte populaire en Chine jusqu'à l'automne 2022 alors que des manifestations éclataient. Le volet politique reste opaque.
Le côté économique, moins. La richesse de la Chine depuis l'an 2000 provient de son immense capacité d'usine et de sa main-d'œuvre bon marché. Le mondialisme vacille, et avec lui le réseau mondial de lignes d'approvisionnement. Si les relations commerciales avec les États-Unis continuent de se détériorer, la Chine et les États-Unis en souffriront. La Chine se retrouvera en surcapacité, même pour le gigantesque marché asiatique. Et ils sont en concurrence avec plusieurs autres nations rapidement industrialisées du sud, plus l'Inde, plus les anciens piliers de la Corée du Sud et du Japon.
Le principal problème pour la Chine, et en fait pour toutes les nations du Pacifique du côté asiatique : l'énergie. La Chine n'a pas beaucoup de pétrole dans le sol et dépend totalement des importations. Il y a beaucoup de charbon de mauvaise qualité. Il construit des centrales au charbon et nucléaires comme un fou. Cela suffira-t-il ? L'électricité, c'est bien, mais il faut des combustibles fossiles pour faire fonctionner les industries lourdes. Lors des grands changements de 2022, la Chine a conclu des accords pour obtenir plus de pétrole et de gaz de la Russie. Cela pourrait fonctionner pendant un certain temps. Mais les ressources énergétiques de la Russie sont probablement proches du pic de production actuellement. Que se passe-t-il en descendant de ce sommet ? Peut-être la Russie sera-t-elle moins désireuse de partager ses énergies fossiles avec ses voisins. Cela provoquera peut-être des frictions politiques. Peut-être qu'une Chine désespérée tendra la main et tentera de s'emparer des ressources des vastes territoires sibériens de la Russie ? Pas l'année prochaine, cependant….
L'establishment de la politique étrangère américaine dirigé par les néoconservateurs est certainement fou, mais le PCC n'est pas fou seulement pendant les périodes de grande stabilité. Ajoutez à cela une certaine dissidence populaire et une certaine détresse économique, et le PCC pourrait devenir coucou. L'oncle Xi montre des tendances très proches de Mao pour le despotisme créatif. Le parti doit avoir un long jeu pour Taïwan, mais un PCC en détresse et fou, et un oncle Xi agité, pourraient transformer cela en un jeu court par désespoir – et puis quoi ? Nous aurions deux gouvernements vraiment fous en train d'égrener le théâtre oriental de la Troisième Guerre mondiale. Le résultat de cela dépend dans une certaine mesure de la délicatesse avec laquelle M. Poutine peut organiser la sortie de l'Amérique d'Ukraine.
RépondreSupprimerPrédiction : Pour 2023, les frictions internes préoccuperont la Chine alors qu'elle tente de concilier ses opérations avec les tendances pressantes de notre époque : la réduction d'échelle et la relocalisation. Tout cela pourrait facilement conduire à des conflits régionaux en Chine. Le PCC est maintenant le ciment entre ses régions. Il peut s'avérer que ce n'est pas de la superglue.
Le Japon reste plus énigmatique que jamais. Elle dérive économiquement depuis près de quarante ans. Maintenant, il semble qu'il dérive vers une faillite souveraine alors qu'il perd le contrôle de ses marchés obligataires profondément piégés. Je m'en tiendrai à ma vieille prédication selon laquelle le Japon est en voie de devenir médiéval. Sa culture pré-industrielle était très charmante et a bien fonctionné pendant de longues périodes de l'histoire. La modernité industrielle les a démoralisés. Le Japon importe tout son pétrole. Sans cela, vous ne pouvez même pas commencer à faire fonctionner une machine de guerre moderne, il n'y aura donc pas de deuxième recherche de ressources comme au 20e siècle. Ils ne seront pas seuls dans le nouveau médiévalisme quand cette ère s'achèvera.
L'état profond, une appréciation
RépondreSupprimerL'Amérique est à la croisée des chemins, un seuil, un point de basculement. Toutes les institutions vitales du pays ont été au moins partiellement détruites, en particulier celles en charge de l'état de droit, ce qui était la meilleure chose que nous ayons eue pour nous. L'État profond est réel - la militarisation d'une bureaucratie nationale contre la nation elle-même. Pourtant, ce n'est certainement pas seulement une chose américaine; ça se passe dans Western Civ. Est-ce un processus naturel d'autodestruction ? Une maladie auto-immune d'un organisme culturel géant, dont les parties attaquent le tout ? Les États-Unis, la Grande-Bretagne et l'Australie étaient si particulièrement fiers d'être des sociétés ouvertes et maintenant ils sont consommés dans une folie censurée. L'Europe continentale a eu une histoire plus sommaire avec la liberté, l'individualisme éclairé de tout le monde, bien qu'ils aient en fait donné naissance à ses principes. Mais maintenant toute l'œuvre est infectée et malade, et par quoi ? C'est comme si une protéine de pointe cosmique venait parmi nous tous et pénétrait dans nos cœurs.
La plupart des grandes religions présentent une version de l'idée de la mort et de la renaissance, et c'est un fait que nous nous voyons intégrés dans des cycles, en particulier des saisons. Les choses tournent et reviennent, naissent, se développent, dégénèrent, passent. C'était la brillante application de la théorie du quatrième tournant de Strauss et Howe à l'étude de l'histoire, et en ces termes, nous sommes entrés dans un profond hiver séculier du projet humain. On peut comprendre comment l'arrivée de l'hiver a effrayé nos ancêtres préhistoriques. Ils ont développé leurs cérémonies de prière pour ramener le soleil, la chaleur et une nouvelle croissance, dansant autour du feu dans les peaux d'animaux, faisant souvent des sacrifices de sang aux forces mystérieuses en charge de… tout. La façon moderne de reconstituer tout ce qui semble être la guerre de force industrielle. Beaucoup d'entre nous prient en ce moment pour ne pas avoir à vivre cela.
Plus probablement, je pense, nous renoncerons au feu nucléaire et traverserons simplement un effondrement de l'organisation socio-économique sur laquelle repose notre gouvernance, et la maladie de l'État profond avec elle. Cela viendra avec beaucoup de difficultés, mais cela purgera les poisons qui nous ont dérangés, et quand nous aurons traversé cela, nous prendrons de nouvelles dispositions pour la vie quotidienne. J'appelle ce processus une longue urgence depuis quelques années, et maintenant nous semblons être en plein dans le vif du sujet. Je crois au processus naturel appelé émergence. Les systèmes se transforment organiquement d'un état à un autre sous l'action des circonstances de temps et de lieu. Le résultat est généralement une surprise, et toutes les surprises ne sont pas mauvaises. Alors, adios 2022 et bonjour petit bébé 2023. Conduis-nous où tu veux et avançons courageusement. Comme Bob l'a dit il y a tant d'années, tout va bien, maman. C'est la vie et la vie seulement...
Reprinted with permission from Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/james-howard-kunstler/forecast-2023-get-out-of-the-way-if-you-cant-lend-a-hand/
Les fausses nouvelles vous ont-elles fait peur cette semaine ?
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
31 décembre 2022
Au cours de mes années d'engagement politique, je suis devenu expert dans les façons dont les médias mentent et manipulent.
Ça me dégoûte de voir.
Je ne parle pas de ce que les gens veulent généralement dire lorsqu'ils font des déclarations comme celle-là - prêter une attention particulière aux médias pendant quelques années ou fan-boyer certains goo-roo YouTube, apprenant ainsi à imiter ses observations.
Non. Mon expérience avec le mal perpétré par les médias est très différente. J'ai étudié avec de vrais experts dans le domaine dans des cours structurés pendant plusieurs heures par semaine pendant des années, entouré de camarades d'élite, tout en faisant constamment un travail qui m'a forcé à utiliser ces compétences jour après jour dans des matchs de joutes épiques.
Lorsque j'allume la télévision - en particulier les informations -, il me faut quelques secondes pour commencer à voir la manipulation se dérouler. Il ne s'agit pas d'un seul cas isolé, mais d'une couche après couche de manipulations manifestement soigneusement construites. L'œil averti sait que ce n'est pas une coïncidence. Bien que je ne l'aie compris ni son potentiel en tant que candidat que quelque temps après son annonce en juin 2015, j'ai ressenti une grande appréciation le jour où j'ai entendu Donald Trump prononcer pour la première fois les mots fausses nouvelles.
Sa capacité à prononcer des phrases virales qui ont un impact sur la population et à transmettre des idées à travers la société est sans précédent chez aucun candidat que j'ai jamais connu, observé ou lu. L'étude de la propagation des idées virales s'appelle la mémétique. Cette idée qui a le potentiel de devenir virale s'appelle un "mème".
C'est le terme souvent utilisé pour décrire les images amusantes trouvées sur Internet. Ces images amusantes sont un sous-ensemble mineur de mémétiques, mais arrêter le processus de réflexion sur les mèmes avec cette définition, c'est vous tromper sur un domaine vraiment important et significatif qui vous affecte probablement tous les jours de votre vie.
Le lac Michigan n'a même pas gelé. C'est à quel point ce temps était un non-événement. Il est tombé à zéro à Chicago. Gros ouf ! Quelques centimètres de neige sont tombés.
RépondreSupprimerOuais. C'était froid. Ouais il a neigé. Oui, il y avait du vent.
C'est ce qu'on appelle le temps d'hiver.
Tout comme l'hiver dernier et l'hiver précédent, nous avons vécu ce qu'on appelle la saison du rhume et de la grippe, sauf qu'ils vous ont convaincu d'appeler cela par un nom différent, puis d'agir comme un expert, puis de modifier votre comportement, puis de minimiser ces qui ne serait pas d'accord avec votre expertise perçue.
En tant qu'homme qui a pelleté plusieurs allées cette semaine, dans des endroits où les déplacements ont été interrompus, le temps hivernal de cette semaine n'était honnêtement rien d'enthousiasmant et certainement rien pour mettre en service la machine médiatique d'un billion de dollars.
À moins que . . .
Il ne s'agissait pas du tout de la météo.
Alors pourquoi les médias parleraient-ils autrement de ce temps ? Je ne pourrais pas te le dire. Mais je sais cela. Cui bono ? Pas le vôtre. Pas le mien. Pas celui de mon voisin. Pas ma famille
Les fausses nouvelles seront fausses.
Il ne faut rien attendre d'autre d'eux.
À l'approche de la nouvelle année, je voudrais vous demander d'envisager une résolution : couper le cordon. Jetez la télé par la fenêtre. Débarrassez-vous de vos abonnements aux services de streaming.
J'espère que vous reprendrez votre temps et que vous le consacrerez à des activités plus significatives et plus édifiantes.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/allan-stevo/did-fake-news-scare-you-this-week/
Rappelez-vous:
Supprimer(...) Le 1er septembre 1983, le Boeing 747 effectuant le vol Korean Air Lines 007 reliant New York à Séoul via Anchorage dévie de sa route prévue et entre dans un espace aérien soviétique interdit. (...)
et l'avion est abattu ! "Ôh quelle horreur !" s'écrit la presse anti-russe mondiale !
Description des faits: L'avion dévie son vol pour passer sur une zone russe interdite de survol. Appel de la Défense soviétique "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse !
La chasse soviétique décolle. Re-appel: "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse !
L'avion commercial coréen est en vue: Appel: "Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse !
Le chasseur soviétique passe alors devant l'avion coréen et effectue des battements d'ailes (ce qui veut dire "SUIVEZ-NOUS !")
Pas de réponse !
L'avion est donc abattu.
Faut dire qu'un avion piloté par un sourd et aveugle est plutôt rare.
Mais... imaginez maintenant qu'un avion commercial s'approche de New-York...
"Qui êtes-vous ? D'où venez-vous et où allez-vous ?" Pas de réponse !
Et, survolant la Big Apple largue une bombe. QUI EST RESPONSABLE ?
C'est tout dire de ce que valent les merdias.
Le libéralisme n’est pas un matérialisme
RépondreSupprimerIl devient urgent de restaurer le libéralisme, non comme système politique, encore moins économique, mais comme philosophie du droit.
le 31 décembre 2022
Par Florent Ly-Machabert.
Le bon sens, loin d’être comme le pensait René Descartes la chose la mieux partagée au monde, semble avoir déserté le débat public : sur le plan sanitaire, peu de voix se sont fait entendre pour dénoncer, entre autres, qu’on n’impose pas le port du masque au plus fort de l’épidémie ; sur le plan économique, où l’on ne s’étonne même plus que la relance quasi ininterrompue depuis la fin des Trente Glorieuses n’ait toujours pas tiré notre beau pays de l’ornière dans laquelle il n’a en réalité cessé de s’enfoncer.
Il devient urgent de restaurer le libéralisme, non comme système politique, encore moins économique, mais comme philosophie du droit. Dans cette entreprise, un courant de pensée, d’abord économique, auquel mon indéfectible attachement n’a plus de secret pour le lecteur, y a singulièrement contribué depuis la fin du XIXe siècle : l’École autrichienne.
Connue surtout pour sa condamnation – de facto libérale – de toute forme d’interventionnisme étatique dans la sphère économique, la tradition autrichienne s’est en réalité imposée dans le champ des idées par ses positions épistémologiques et méthodologiques, d’abord en matière économique, cela est vrai, mais en embrassant plus largement la question de l’action des êtres humains1, ou praxéologie, dans laquelle elle voit à l’œuvre des moyens pour atteindre des fins.
Cette tradition postule néanmoins immédiatement que les relations entre moyens et fins ne reposent que sur la raison et le libre arbitre (de la volonté) de chaque individu. Il n’y a là d’ailleurs rien de surprenant pour qui fait l’effort de découvrir que cette école dite de Vienne, encore nommée école psychologique, puise une grande partie de ses sources dans la tradition scolastique luso-espagnole du XVIe siècle qu’un Joseph Schumpeter, entre autres économistes du XXe siècle, baptisera du nom d’École de Salamanque2.
Celle-ci, sous la férule du théologien dominicain Francisco de Vitoria, également philosophe et juriste, tente en effet de réinterpréter la pensée du maître Thomas d’Aquin en postulant que les concepts de justice, de droit et de morale s’examinent désormais selon « l’ordre naturel à la lumière de la raison ».
Dans ce contexte l’École élaborera de nombreuses théories envisageant pour la première fois l’économie d’un point de vue moral, prenant ainsi le contrepied de la doctrine catholique de l’époque qui condamnait le désir d’enrichissement de ces négociants venus justement adresser leurs scrupules de conscience à Vitoria.
Ce dernier, considérant la liberté de circulation des idées, des biens et des personnes comme conforme à « l’ordre naturel à la lumière de la raison » au motif qu’elle accroît le sentiment de mutuelle fraternité, conclura que lesdits négociants contribuent au bien-être général.
RépondreSupprimerLoin de ne voir que la valeur matérielle, le libéral autrichien ne conçoit en réalité de valeur qu’immatérielle et subjective, comme jugement qu’un être pensant porte sur la capacité que tel bien a de servir ses projets. Encore faut-il que l’individu soit authentiquement pensant, c’est-à-dire qu’il soit réellement rationnel et libre.
À ce stade de notre réflexion, il nous est donc loisible de soutenir que le libéralisme n’est pas une approche déterministe, puisqu’il ne postule en rien que le monde est prédictible ; ni constructiviste, puisqu’il défend l’ordre naturel ou spontané qui repose sur des logiques fondamentalement décentralisées qu’Hayek nommera la « catallaxie »3 ; ni réductionniste, puisque, s’appuyant sur une doctrine juridique qui a sonné la fin des concepts médiévaux du droit, il adopte la description d’un monde fait d’interactions multiples, valorise les échanges entre individus et revendique un nouveau centre d’intérêt, « antérieur et supérieur à toute législation humaine » dira Frédéric Bastiat, qu’il érige en obligation morale faite au Souverain (qu’il s’agisse du peuple en démocratie ou du roi en monarchie) : le respect des droits naturels de l’individu, c’est-à-dire de ses droits fondamentaux en tant que créature de Dieu, tant relatifs au corps (droit à la vie4, droit de propriété) qu’à l’esprit (liberté de pensée, dignité).
Aussi, pour prouver que, contrairement à la pensée dominante5, le libéralisme n’est pas un matérialisme, nous reste-t-il à démontrer qu’il adopte une approche fondamentalement ouverte au champ de la spiritualité, c’est-à-dire transcendantale, comme semblent le suggérer ses références répétées à la doctrine scolastique6.
Pour ce faire, à présent, explorons plus avant le concept augustinien de libre arbitre (liberum arbitrium) de la volonté humaine, dont le professeur Marian Eabrasu rappelle dans Moral disagreements in business (2019) qu’associé à une conception restreinte de la violence, il est l’apanage des libéraux, ce qui conduit ces derniers à considérer le travail comme l’expression de la créativité humaine et la violence physique comme la seule forme de contrainte capable d’entraver la liberté de l’Homme et de le mettre en esclavage7.
Par libre arbitre (free will dans le monde anglo-saxon), saint Augustin désigne d’abord une « volonté libre » qui fonde la dignité humaine8 :
RépondreSupprimerLa volonté libre sans laquelle personne ne peut bien vivre, tu dois reconnaître et qu’elle est un bien, et qu’elle est un don de Dieu, et qu’il faut condamner ceux qui mésusent de ce bien plutôt que de dire de celui qui l’a donné qu’il n’aurait pas dû le donner.
En tant que don de Dieu, le libre arbitre augustinien qui rend l’Homme capable du bien comme du mal invalide donc l’hérésie manichéenne qui attribue au divin la responsabilité du mal ; mais, dans le même temps, comme faculté perdue à cause du péché originel, le libre arbitre augustinien s’oppose aussi à l’hérésie pélagienne qui exagère la responsabilité de l’Homme et sa liberté dans ses rapports avec Dieu, niant donc la principale conséquence de la transgression d’Adam : l’Homme ne peut être restauré dans le libre arbitre dont l’a doué Dieu que par Dieu, c’est-à-dire par la Grâce9.
S’il semble donc impossible d’appréhender la notion de libre arbitre si centrale dans le libéralisme sans recourir aux doctrines du péché originel et de la grâce salvifique affirmées par le seizième concile de Carthage (418) et approuvées par le pape Zosime, il n’en demeure pas moins que la scolastique réinterprètera le libre arbitre, neuf siècles après Augustin, comme une faculté de la volonté et de la raison (facultas voluntatis et rationis10), c’est-à-dire, pour reprendre cette fois les attributs qu’Aristote lui reconnaît dans son Éthique à Nicomaque, comme la double capacité d’un individu à agir spontanément (donc à suivre volontairement une fin) et intentionnellement (donc à choisir rationnellement un moyen, en sachant ce qu’il fait).
En combinant philosophie grecque et théologie chrétienne, cette approche présente d’abord l’intérêt de faire émerger le libre arbitre comme une faculté à trouver le principe de ses actes à l’intérieur de soi (critère de spontanéité), alors même que l’individu, du fait même de la chute d’Adam, s’en est rendu incapable, enchevêtré qu’il est dans son environnement qui conditionne ainsi grandement ses actes.
On comprend mieux que seuls le retour à soi, l’introspection, la méditation, la prière, la reconnexion avec le divin puissent préparer son esprit à recevoir de la grâce de Dieu le « principe intérieur » de ses propres actes.
Enfin, l’approche scolastique du libre arbitre fait émerger à travers le critère d’intentionnalité la condition de la responsabilité morale – et donc de la dignité – de l’individu, qui est dès lors réputé agir « en conscience », c’est-à-dire, une fois de plus, éclairé par le divin dans sa prise de décision.
Notamment fondé sur le principe de libre arbitre, le libéralisme fait donc sienne une approche nécessairement ouverte à la transcendance spirituelle par le truchement de la scolastique, donc de la théologie chrétienne, en dehors de laquelle il lui est impossible de rendre compte, d’un même tour, de la propension de l’Homme à être déterminé par son environnement (puisque déchu dans le jardin d’Eden) plutôt qu’à se déterminer en vertu d’un principe intérieur, en même temps que de l’intentionnalité de sa conscience qu’éclaire, de façon privilégiée dans la prière et les sacrements catholiques, la grâce que le croyant reçoit de Dieu et par laquelle chacune de ses actions contribue au salut de son âme.
RépondreSupprimerInséparable des doctrines chrétiennes du péché originel et de la grâce salvifique, le concept le libre arbitre de la volonté humaine ne saurait être au cœur du libéralisme sans faire immédiatement de cette philosophie du droit une approche du monde à la fois non réductionniste, non constructiviste, non déterministe et non immanente, donc sans lui retirer de facto tous les attributs d’un matérialisme.
On comprend mieux pourquoi certains ont osé le qualifier de réalisme abstrait et d’autres de spiritualisme. Je me contenterai d’affirmer que le libéralisme ne peut pas être un matérialisme, sauf à se dénaturer instantanément.
Article publié initialement le 25 septembre 2020.
Voir L’action humaine de Ludwig von Mises. ↩
Dans son Histoire de l’analyse économique, 1954. ↩
Dans La route de la servitude, Hayek explique qu’il « n’y a rien dans les principes du libéralisme qui permette d’en faire un dogme immuable ; il n’y a pas de règles stables, fixées une fois pour toutes. Il y a un principe fondamental : à savoir que dans la conduite de nos affaires nous devons faire le plus grand usage possible des forces sociales spontanées et recourir le moins possible à la coercition. » ↩
Seul droit-créance (« droit à ») reconnu par les libéraux, comme composante de la sûreté, de la résistance à l’oppression et du principe de non-agression. ↩
Qui associe par exemple le libéralisme au consumérisme, alors que ce dernier est une déviance de la consommation érigée en ultime réconfort, en horizon de l’âme et fruit – pour paraphraser E Todd – d’un « libre-échange zombie ». ↩
Doctrine à la fois philosophique, juridique et théologique qui, au XIIIe siècle, en tentant de concilier philosophie grecque et théologie chrétienne des Pères de l’Eglise explore pour la première fois les notions de propriété privée, de risque, d’intérêt et de contrat, travail qui culminera dans l’Espagne du XVIe siècle avec ladite École de Salamanque. ↩
Contrairement donc à la conception marxiste de la « servitude involontaire » qui nie tout libre arbitre et adopte une conception très large de la violence (symbolique, économique, hiérarchique…) ainsi qu’aux tenants de la « servitude volontaire », qui partagent cette même conception extensive de la violence mais la combinent à un libre arbitre. ↩
De libero arbitrio, II, 18, 48. ↩
Encore appelée « grâce salvifique » puisqu’elle accomplit l’œuvre du Salut. ↩
Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, I, q. 82, a.2, obj. 2. ↩
https://www.contrepoints.org/2022/12/31/380746-le-liberalisme-nest-pas-un-materialisme
(...) sur le plan sanitaire, peu de voix se sont fait entendre pour dénoncer, entre autres, qu’on n’impose pas le port du masque au plus fort de l’épidémie (...)
SupprimerLes paroles les plus sages eurent été d'expliquer qu'un 'masque médical' (ou 'FFP2' ou 'FFP3') est un GRILLAGE ! Un grillage porté par les chirurgiens dans le bloc opératoire. Il est là pour empêcher de postillonner quand on parle mais ne sert NI D'ANTI VIRUS NI D'ANTI MICROBES ! Car les mailles du dit 'masque' ont un écart de 150 microns tandis que les virus imaginaires qui ne sont pas dans l'air ont une dimension de 0,1 à 0,5 micron !! (ces poussières appelées 'virus' n'ont JAMAIS été détectées dans l'air par les milliers de stations de recherche sur la qualité de l'air partout dans le monde, car elles appartiennent à des laboratoires nazis et seulement distribuées (en flacons injectables) aux personnes qui soutiennent le camps nazional socialiste et inspirent à le développer grâce au plan 'Dépopulation21'.
La science admet enfin que les édulcorants artificiels provoquent la mort subite – mais seulement pour détourner les piqûres de covid
RépondreSupprimerVendredi 30 décembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le British Medical Journal (BMJ) a récemment publié une étude qui établit un lien entre la consommation d'édulcorants artificiels comme l'aspartame (Sweet'N Low) et le sucralose (Splenda) et les maladies cardiovasculaires.
Une entreprise curieusement chronométrée, des chercheurs français ont décidé d'examiner de plus près les faux édulcorants dans le contexte des maladies cardiaques alors que des millions de personnes "entièrement vaccinées" contre le covid souffrent d'effets cardiaques - et dans certains cas, de mort subite.
Jusqu'à présent, l'establishment médical avait obstinément insisté sur le fait que les faux édulcorants étaient parfaitement sans danger pour la consommation humaine. Toutes les préoccupations contraires ont été qualifiées de «théories du complot» – c'est-à-dire jusqu'à ce que les coups de covid commencent à tuer des gens et qu'une histoire de couverture soit nécessaire.
Il semble que certains éléments de la « science » tentent maintenant de lier tous ces dommages cardiaques excessifs et cette mort subite à ceux qui sont complètement obsédés par la consommation d'édulcorants artificiels, qui est soudainement sur le radar comme une menace pour la santé après des décennies de déni. (En relation: les protéines de pointe de Covid jab provoquent des crises cardiaques.)
Pour leurs recherches, les auteurs de cette nouvelle étude ont examiné 103 388 participants de la cohorte Web NutriNet-Santé. Dans l'ensemble, ils ont constaté que la consommation d'édulcorants artificiels est associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires telles que les maladies coronariennes et les maladies cérébrovasculaires.
"Les résultats de cette étude de cohorte prospective à grande échelle suggèrent une association directe potentielle entre une consommation accrue d'édulcorants artificiels (en particulier l'aspartame, l'acésulfame potassium et le sucralose) et un risque accru de maladies cardiovasculaires", conclut l'article.
"Les édulcorants artificiels sont présents dans des milliers de marques d'aliments et de boissons dans le monde, mais ils restent un sujet controversé et sont actuellement réévalués par l'Autorité européenne de sécurité des aliments, l'Organisation mondiale de la santé et d'autres agences de santé."
RépondreSupprimerLes édulcorants artificiels sont dangereux, mais les injections covid le sont aussi
S'il est certainement vrai que les faux édulcorants sont destructeurs pour la santé, le moment de la publication de cette étude dans une revue médicale de premier plan et largement respectée est suspect.
Pourquoi, tout d'un coup, les dangers des édulcorants artificiels sont-ils mis au premier plan de la conversation sur la santé publique ? La communauté de la santé naturelle a été moquée ou ignorée pour avoir souligné leurs dangers auparavant, mais le récit semble avoir changé maintenant que des distractions sont nécessaires pour les piqûres de covid.
Il est vrai que les maladies cardiovasculaires (MCV) sont la première cause de décès dans le monde. C'était vrai avant que les piqûres covid ne se déchaînent, et c'est toujours vrai aujourd'hui. Ce qui n'est pas vrai, c'est l'affirmation selon laquelle les taux de pointe de MCV et de mort subite associée sont une sorte de « mystère » qui peut être expliqué par des choses que les gens faisaient déjà auparavant.
L'étude ne mentionne pas de covid, de vaccins ou de décès excessifs, mais sa publication à ce stade est utilisée par les médias pour suggérer que la raison pour laquelle de plus en plus de personnes souffrent de nos jours d'accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques est due à un minimum fausse consommation d'édulcorant.
"En gros, ce qu'ils ont vu, c'est que les gens qui avaient aussi peu que deux paquets par jour, ou environ quatre onces de soda, vous savez, la plupart des sodas font plus de quatre onces", a déclaré Mona Shah, MD, cardiologue à Baptist Health. Holistique.
"Ils avaient un risque de crise cardiaque 9% plus élevé et un risque d'AVC 18 % plus élevé."
RépondreSupprimerShah a également averti que les faux édulcorants perturbent le métabolisme sain, c'est pourquoi elle recommande des alternatives naturelles comme la stévia et le fruit du moine.
«Je pense que le corps est un peu comme, eh bien, devrais-je sécréter de l'insuline ? Attendez, ce n'est pas du vrai sucre. Ou vous savez, donc tout l'équilibre entre l'insuline et le glucose au fil du temps devient totalement foutu.
Si vous avez aimé lire cette histoire, vous en trouverez d'autres sur Sweeteners.news.
Les sources de cet article incluent :
BMJ.com
NaturalNews.com
WNDU.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-30-science-admits-artificial-sweeteners-cause-sudden-death.html
"Presque toutes les théories du complot sur Twitter se sont révélées vraies", déclare Elon Musk
RépondreSupprimerle 30 décembre 2022 - 10:45
La déclaration a été faite sur un ton sarcastique mais elle n’en est pourtant pas moins sérieuse. À l'occasion d'une interview dans un podcast, le patron de Twitter, Elon Musk, a affirmé que “presque chaque théorie de complot à propos du réseau social s’est révélée vraie”.
Invité samedi 24 décembre du podcast “All-in” pour parler des changements apportés à Twitter depuis son acquisition par le multimilliardaire, le patron de Tesla est revenu sur les Twitter Files, qui, depuis le début de décembre, dévoilent des détails confidentiels et compromettants sur le réseau social.
Dans ces révélations, les utilisateurs ont appris le rôle joué par la précédente équipe dans la censure des contenus sur le scandale lié à l'affaire de l'ordinateur portable de Hunter Biden, “l’hyper-intrusion” et “l’omniprésence” du FBI ainsi que d’autres agences de renseignements, l’usage d’outils pour limiter la visibilité de contenus ou encore, les coulisses du bannissement du compte de Donald Trump.
Les Twitter Files ont également dévoilé comment la CIA contribuait à modérer des contenus en faisant pression sur les cadres de la plateforme, ou comment le réseau social “tolérait” des campagnes d’opérations psychologiques du Pentagone par l'intermédiaire de comptes suspects. Lundi, une partie des révélations mettait en lumière la pression exercée par l’administration Biden pour modérer le débat lié au Covid-19 et suspendre des comptes “anti-vax”.
“Faire le ménage dans le passé”
Interrogé sur la continuité des Twitter Files et leur importance, Elon Musk explique son intention de “faire le ménage” dans le passé de la plateforme “pour être digne de confiance dans le futur”. Et d’ajouter : "Pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot que les gens avaient sur Twitter se sont révélées vraies".
“Existe-t-il une théorie du complot sur Twitter qui n'était pas avérée ? Jusqu'à présent, elles se sont toutes révélées vraies. Si ce n'est plus grave que ce que les gens pensaient”, a-t-il lancé. Interrogé dans la foulée sur la partie des Twitter Files la plus "choquante" à ses yeux, Elon Musk a fait savoir que “la partie sur le FBI était assez intense”.
https://www.francesoir.fr/politique-france/presque-toutes-les-theories-du-complot-sur-twitter-se-sont-revelees-vraies-declare
Parallèles entre l'hystérie Covid et les procès des sorcières de Salem
RépondreSupprimerDe David Stockman
Homme international
31 décembre 2022
Il ne serait pas exagéré de dire que l'éruption de l'irrationalité et de l'hystérie en Amérique pendant la période COVID-19 de 2020-2021 ne ressemblait pas à 1954, lorsque le sénateur McCarthy a lancé la nation à la recherche de taupes communistes derrière chaque bureau du gouvernement, ou 1919, lorsque les raids notoires du procureur général Mitchell rassemblaient des prétendus rouges par dizaines de milliers, mais l'hiver 1691-1692. C'est alors que deux petites filles - Elizabeth Parris et Abigail Williams de Salem, Massachusetts - sont tombées dans l'activité démoniaque de la divination, qui les a rapidement trouvées étrangement malades, ayant des crises, crachant du charabia et contorsionnant leur corps dans des positions étranges.
Le reste est devenu l'histoire, bien sûr, lorsqu'un médecin local fautif a affirmé n'avoir trouvé aucune cause physique aux problèmes des filles et les a diagnostiquées comme étant atteintes de la «main maléfique», communément appelée sorcellerie. D'autres ministres ont été consultés, qui ont convenu que la seule cause pouvait être la sorcellerie et comme les victimes étaient considérées comme les victimes d'un crime ignoble, la communauté s'est mise à la recherche des auteurs.
En un rien de temps, trois sorcières célèbres ont été accusées - l'esclave de Parris, Sarah Good, une femme sans-abri appauvrie et Sarah Osborne, qui avait défié la société puritaine conventionnelle. Beaucoup d'autres ont suivi, et alors que l'hystérie se répandait, des centaines ont été jugés pour sorcellerie et deux douzaines pendus.
Mais il y a une leçon dans ce conte classique qui est embarrassante dans sa vraisemblance. À savoir, l'une des meilleures explications académiques de l'épidémie de crises d'épilepsie et de convulsions qui ont alimenté l'hystérie de Salem était une maladie appelée «ergotisme convulsif», qui est provoquée par l'ingestion de grains de seigle infectés par un champignon qui peut envahir les grains en développement du grain, surtout dans des conditions chaudes et humides.
Lors de la récolte du seigle à Salem en 1691, ces conditions existaient à une époque où l'un des principaux aliments de base des puritains était les céréales et les pains à base de seigle récolté. L'ergotisme convulsif provoque des crises violentes, une sensation de fourmillement sur la peau, des vomissements, des étouffements et des hallucinations - ce qui signifie que c'est Mère Nature, dans le cours normal, qui exécute ses tours épisodiquement indésirables, et non la "main maléfique" d'un agent pathogène spirituel, qui a mis en péril la communauté.
De même, en 2020, il n'y avait pas d'agent pathogène Evil Hand Sci-Fi
RépondreSupprimerLa vérité est qu'en 2020, c'est aussi Mère Nature - probablement encouragée par les chercheurs sur le gain de fonction parrainés par Fauci à l'Institut de virologie de Wuhan - qui a dégorgé l'un des plus méchants parmi les virus respiratoires ordinaires.
De tels virus, bien sûr, ont affligé l'humanité au fil des âges, qui, à son tour, a développé de merveilleux systèmes immunitaires adaptatifs pour y faire face et les surmonter. Encore une fois, il n'y avait pas d'agent pathogène de science-fiction Evil Hand dans son ensemble qui soit quelque chose de nouveau sous le soleil, ni une maladie extraordinairement mortelle pour 90% de la population.
Dans le grand schéma des choses, par conséquent, la pandémie de COVID-19 a déjà été enregistrée comme un accident malheureux sur la voie d'une vie plus longue et plus agréable pour les Américains et une grande partie du reste du monde également. Cette vérité est illustrée de manière frappante dans le tableau ci-dessous.
- voir graph sur site -
Alors que le chiffre de la mortalité toutes causes confondues pour 2020 n'existait pas lorsque le CDC a publié le graphique ci-dessus, la ligne verte l'aurait représenté comme seulement un petit coup à la hausse - dont il y en a eu plusieurs au cours des 120 dernières années illustrées ci-dessus.
Le COVID-19 était-il un analogue de la grippe espagnole ?
En effet, le véritable analogue est l'année 1918, lorsqu'environ 675 000 Américains ont succombé à la grippe espagnole sur une population (100 millions) à peine 30 % du niveau actuel.
Dans ce cas, la ligne verte dans le graphique ci-dessus (décès toutes causes confondues) a augmenté de près de 400 pour 100 000 habitants par rapport à la référence d'avant-guerre (1914). En revanche, le taux de dépassement en 2020 par rapport à 2019 n'était que de 118 pour 100 000.
Et, oui, il y a la triste réalité de la mort insensée de garçons pâteux sur les champs de la mort de France intégrée dans ces chiffres de 1918, mais il s'avère que plus de 45% des 117 000 décès gastro-intestinaux signalés de manière conventionnelle n'étaient pas d'origine des balles allemande, mais la grippe espagnole qui a ravagé les immenses camps d'entraînement américains qui ont été assemblés à la hâte après que Wilson ait bêtement déclaré la guerre en avril 1917 sans armée permanente significative pour la combattre.
Donc, sur la véritable mesure de la létalité pandémique - les décès de toutes causes - le COVID-19 n'était même pas dans le même stade que la grippe espagnole. Et comme le montre également le graphique, le premier s'est produit très bas sur la courbe de la ligne verte qui est en fait le reproche ultime à la catastrophe actuelle de la politique COVID en cours.
RépondreSupprimerLe taux de mortalité ajusté en fonction de l'âge aux États-Unis en 2020 (828 pour 100 000) était en fait inférieur de 67 % à ce qu'il était en 1918 (2 542 pour 100 000) parce que depuis lors, une société capitaliste libre a offert à la nation la prospérité et la liberté de progresser qui a introduit une amélioration de l'assainissement, de la nutrition, du logement, des modes de vie et des soins médicaux.
Ce sont ces forces qui ont poussé sans relâche la ligne verte vers le coin inférieur droit du graphique, et non les fédéraux au sommet de leurs perchoirs bureaucratiques à Washington.
L'espoir d'une nouvelle déclaration de Great Barrington pour servir d'antidote au verrouillage totalitaire
À la longue, peut-être qu'un futur historien devra trouver la théorie de «l'ergot convulsif» de 2020 pour expliquer le COVID-Hystérie, car l'explication ne se trouvera pas dans la «science» intégrée dans ce qui sera une petite anomalie dans la ligne verte de le tableau ci-dessus.
La déclaration de Great Barrington a été rédigée par trois épidémiologistes intrépides de renommée mondiale, le Dr. Martin Kulldorff de Harvard, le Dr Sunetra Gupta de l'Université d'Oxford et le Dr Jay Bhattacharya de Sanford - et était un puissant antidote à la théorie de la main maléfique qui faisait alors rage dans les MSM et la classe politique de presque toutes les allégeances.
Essentiellement, il a déclaré que la vraie science était que l'Amérique n'était pas attaquée par un Grim Reaper visitant la mort sur tous et sans distinction d'âge, d'état de santé ou de circonstances physiques, mais qu'il s'agissait plutôt d'une variante de maladie respiratoire hautement sélective qui s'est perfectionnée. étroitement sur les personnes âgées immunodéprimées et comorbides.
En conséquence, la politique de verrouillage à taille unique était tout à fait erronée, et ce qui était nécessaire était une aide, des protections et des traitements hautement ciblés pour la petite minorité de personnes vulnérables, laquelle politique conduirait actuellement à la réalisation de «l'immunité collective» et à la l'extinction ultime de la pandémie de la manière normale.
L'Amérique coloniale a trouvé le moyen de sortir de l'aberration de Salem en 1692, et sûrement 330 ans et beaucoup de science plus tard, elle peut le faire à nouveau, exposant les mécréants du 21e siècle qui ont provoqué cette hystérie insensible comme elle le fait.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/david-stockman/parallels-between-the-covid-hysteria-and-the-salem-witch-trials/
(...) Le COVID-19 était-il un analogue de la grippe espagnole ? (...)
SupprimerBêh non ! La grippe est un MICROBE tandis que le 'cocovide19' est une POUSSIÈRE (appelée virus et qui n'est PAS dans l'air mais uniquement en seringues !).
Comment les virus sont-ils découverts et identifiés en premier lieu ?
RépondreSupprimerL'interview bouleversante d'Etienne De Harven par Celia Farber
Par Jon Rappoport
Blog de Jon Rappoport
31 décembre 2022
Suite de mes articles sur les « plus grands succès COVID ». Pour lire mon introduction à cette série en cours, rendez-vous ici.
18 février 2020
La question que je me pose depuis 1987—
Si les experts prétendent qu'un virus particulier cause une maladie particulière, comment savent-ils que ce virus existe en premier lieu ?
Par exemple, le soi-disant nouveau coronavirus en Chine. Par exemple, Ébola. Par exemple, le VIH. Par exemple, le coronavirus censé causer le SRAS (2003). Comment les chercheurs savent-ils que ces virus existent ?
« Eh bien, bien sûr qu'ils savent. Elles doivent."
Ce n'est pas une réponse satisfaisante, même si la plupart des gens l'offriraient.
La question peut devenir très intéressante lorsque vous vous arrêtez et considérez des chercheurs travaillant dans des laboratoires de guerre biologique jouant avec des virus. Comment savent-ils qu'ils modifient des virus qui existent réellement ?
Sur une frontière plus banale, lorsque les scientifiques nous disent qu'ils se précipitent pour développer un vaccin contre un virus qui nuit à la population, comment savent-ils que le virus existe pour commencer ?
Je suis venu à cette question lorsque je faisais des recherches sur le VIH en 1987. J'ai commencé à y réfléchir sérieusement en 1990. Pendant toutes ces années, j'ai contacté des chercheurs indépendants et j'ai essayé de rassembler leurs réponses. Je ne peux pas dire que le voyage s'est déroulé sans encombre.
Mais j'ai trouvé quelques réponses; et j'ai certainement trouvé de fausses affirmations grand public, qui scintillent comme des boules sur des branches en plastique d'arbres de Noël à 99 cents.
RépondreSupprimerVoici quelques indices. Vous devez prélever un échantillon de tissu sur un être humain vivant. Vous devez filtrer cet échantillon correctement afin d'obtenir un échantillon beaucoup plus petit qui, selon vous, pourrait contenir un virus. Vous devez mettre une goutte de cet échantillon sous un microscope électronique et observer ce qui ressemble à un virus.
Combien de virus ? Combien de particules identiques de virus ? Les avis divergent à ce sujet. Il pourrait s'agir d'un virus défini, d'une particule. Il pourrait s'agir de très nombreuses particules identiques.
Encadré : Si vous essayez de prouver que ce virus cause effectivement une MALADIE chez une personne, vous devez aller plus loin. Vous devez montrer que le même virus est actif et se réplique à un rythme très élevé dans le corps de la personne, et que son système immunitaire ne le bat pas. En plus de remarquer que le patient est malade, comment testez-vous tout CELA ? Je cherche toujours une réponse technique définitive, s'il y en a une.
Très bien, revenons au microscope électronique. Disons que vous avez observé de nombreuses particules identiques de ce qui ressemble à un virus sur la photographie au microscope électronique, appelée EM. Vous pouvez alors dire : « Trouvé ». Mais vous devez être sûr. Vous devez comprendre que ce virus n'est pas seulement quelque chose qui vit habituellement dans le corps humain comme une patate de canapé et ne fait rien - un virus endogène passif. Non. Vous voulez montrer que ce virus vient de l'extérieur comme un envahisseur, un virus exogène. Et comment faites-vous parfaitement cette différenciation à chaque fois ? Une autre question qui pourrait ne pas avoir de formule précise comme réponse.
Grande question : POUVONS-NOUS ÊTRE SÛRS QUE TOUS LES VIRUS QUI EXISTENT ET PROVOQUENT DES ÉPIDÉMIES SONT RÉELLEMENT TROUVÉS ET OBSERVÉS ET IDENTIFIÉS SUR DES PHOTOGRAPHIES AU MICROSCOPE ÉLECTRONIQUE ? POUVONS-NOUS AU MOINS DIRE ÇA ?
Non.
Dans ce cas, les chercheurs ont, au moins une partie du temps, remonté le ruisseau sans pagaie. Ils ont sauté le fusil. Ils ont quitté la grille de départ trop tôt. Ils ont investi leur argent sur un cheval qui n'est peut-être même pas dans la course. Ils ont fait un chèque que personne ne peut encaisser. Ils parlent de confinements et de quarantaines sans avoir prouvé que leur virus préféré du moment existe. Bien sûr, les gens à l'arrière-plan gagneront beaucoup d'argent grâce à ces présomptions injustifiées, mais l'argent n'est pas une science. Cela pourrait contrôler la science, mais ce N'EST PAS de la science.
RépondreSupprimerTrès bien. J'ai maintenant préparé le terrain pour un extrait d'une interview, une interview profonde avec un maître tardif du courant dominant qui, face à la fausse science, a soudainement été qualifié de rebelle, Etienne De Harven. L'interview a été réalisée il y a plusieurs années par la brillante reporter Celia Farber. Vous pouvez retrouver l'intégralité de l'interview ici. Je vous suggère fortement de le lire seize fois. Oui, ça devient technique. Vous remarquerez également les noms de scientifiques d'élite que vous n'avez pas rencontrés. Apprenez le sens des mots que vous n'avez jamais vus auparavant. Creusez. Ce n'est pas une conversation de type télévision. Ce n'est pas un jetable YouTube.
J'ai une autre raison d'exposer les lecteurs à cette interview - c'est à quoi ressemble une conversation sur des questions scientifiques sérieuses... c'est à quoi ressemble une tentative de combler le fossé entre les chercheurs, les journalistes honnêtes et le public. Il devrait y avoir des centaines et des milliers d'interviews imprimées de ce type, présentées aux lecteurs. Ils peuvent le gérer. Abrutir les gens est en partie une illusion : ils peuvent se réveiller. Ils se réveilleront s'ils sont suffisamment intéressés.
Parcours d'Etienne De Harven : président de l'Electron Microscopy Society of America ; chercheur, Memorial Sloan-Kettering Cancer Center; professeur Cornell de biologie cellulaire; professeur de pathologie, Université de Toronto; pionnier reconnu dans le domaine de la microscopie électronique.
L'entretien porte sur le VIH ; s'il a jamais été trouvé et isolé. Les implications et les questions se sont propagées à tous les virus.
DE HARVEN : Inacceptablement frustrés par l'échec total de toutes les tentatives de démonstration de particules virales dans le cancer humain par EM, les "impresarios" du "rêve" cancer/virus (Gallo, Fauci et autres) se sont totalement engagés dans l'approche moléculaire. .
RépondreSupprimerPar conséquent, ils ont inventé des marqueurs moléculaires pour compenser les particules virales manquantes… Cela aurait été acceptable si la spécificité de ces nouveaux marqueurs moléculaires avait été clairement établie. Malheureusement, ce n'était pas le cas. Le marqueur moléculaire le plus trompeur était probablement le premier, c'est-à-dire l'enzyme [appelée] transcriptase inverse (RT). Suite aux articles de Temin et Baltimore 1970 dans "Science", l'activité enzymatique de la RT a été, le plus abusivement, utilisée comme marqueur rétroviral spécifique. Temin et Baltimore ont tous deux démontré une activité RT dans des échantillons de rétrovirus soi-disant "purifiés".
De manière embarrassante, ils ont tous deux omis de vérifier la « pureté » de leurs échantillons par EM. Certains de leurs échantillons ont simplement été achetés à une société commerciale… Certes, l'étiquette sur les flacons lisait « rétrovirus pur »… Pourtant, on savait que ces « rétrovirus purs » commerciaux étaient fortement contaminés par des débris cellulaires !
Et comme il est également connu que toutes les cellules contiennent de la RT (voir Varmus), les débris cellulaires transportent très probablement des enzymes RT similaires.
Temin et Baltimore n'ont donc pas prouvé que la RT est un marqueur moléculaire spécifique des rétrovirus. Il aurait été si simple de vérifier, par ME, le degré de « pureté » des échantillons qu'ils ont utilisés. Ceci aurait, très probablement, montré une importante contamination par les débris cellulaires, et aurait obligé Temin et Baltimore à être beaucoup plus prudents dans l'interprétation de leurs résultats. En 1975, les membres du comité Nobel n'ont malheureusement pas examiné ce problème de "pureté"...
En 1983, à l'Institut Pasteur de Paris, le recours au marqueur RT a été un élément clé dans le prétendu « isolement » d'un nouveau rétrovirus [VIH]. Pourtant, Montagnier lui-même a reconnu "Nous n'avons pas purifié"... Il a dangereusement omis de considérer l'interférence trompeuse des débris cellulaires, tout comme Temin et Baltimore l'ont fait en 1970.
Mais un article sur la découverte d'un nouveau rétrovirus a bien meilleure allure s'il contient au moins… une image EM ! Ainsi, les membres de l'équipe de Montagnier ont passé des heures au TEM [microscope électronique à transmission], à regarder leurs cultures de cellules mixtes, et ils ont trouvé le virus !
Voir la figure 2 dans leur article « historique » « Science » de 1983 ! C'est d'ailleurs une image EM de bonne qualité. Il montre d'incontestables particules rétrovirales, bourgeonnant à la surface d'une cellule. Mais la légende de cette Fig. 2 précise que cette cellule est un lymphocyte du sang de cordon. En effet, des lymphocytes de sang de cordon ont été mélangés à ces cultures cellulaires complexes (pourquoi ?)
RépondreSupprimerMontagnier et ses collaborateurs auraient dû savoir que les tissus embryonnaires humains, et le placenta en particulier, sont très riches en rétrovirus endogènes (HERV), et qu'il faut donc s'attendre à ce que les lymphocytes du sang de cordon portent les mêmes rétrovirus endogènes (sous le TEM, les virus endogènes et exogènes, d'apparence identique, ne peuvent être distingués.)
Le bourgeonnement de ces particules a peut-être été stimulé par certains des facteurs de croissance également présents dans ces cultures cellulaires. Un contrôle essentiel aurait été de répéter l'expérience en utilisant des lymphocytes du sang périphérique au lieu du sang de cordon. Ce contrôle est malheureusement absent.
Bref, je dirai franchement que l'article de Pasteur 1983 (dont on vient de fêter les 30 ans dans une « grande messe » de la rétrovirologie officielle du VIH !) a très peu contribué à la recherche sur le sida car sa conclusion (c'est-à-dire « l'isolement d'un nouveau rétrovirus ») est basée sur 1) l'utilisation d'un marqueur moléculaire RT non spécifique, et 2) est faussement étayée par des images EM de, très probablement, des rétrovirus humains endogènes.
Plus de détails et des références appropriées sur cette analyse peuvent être trouvées dans mon article de 2010 publié dans le Journal of American Physicians and Surgeons [— "Human Endogenous Retroviruses and AIDS Research: Confusion, Consensus, or Science?"] (jpands.org/vol15no3/ deharven.pdf).
CELIA FARBER : Lorsque les tests d'anticorps et de VL [charge virale] se sont généralisés en tant qu'outils de diagnostic de "l'infection par le VIH" au cours des décennies qui ont suivi, que s'est-il passé avec l'EM dans la science et la littérature sur le VIH ? Je crois comprendre que personne n'a jamais trouvé le VIH dans le sang humain, sur EM. Est-ce une façon exacte de le dire ?
DE HARVEN : À mon avis, les tests Western Blot [anticorps] ont perdu toute crédibilité après la publication de Eleni Papadopulos et al. (1993) et les tests d'anticorps ("Elisa") [perte de crédibilité] après le rapport de Christine Johnson (1996). La notion de « charge virale » (CV) a cependant apporté un nouveau paramètre dans le diagnostic du SIDA (Ho, 1996). Il a attiré l'attention sur le nombre réel de particules de VIH supposées être présentes dans le plasma sanguin des patients atteints du SIDA, les technologies [tests] PCR étant supposées offrir un moyen de quantifier ce nombre.
Si une telle virémie (c'est-à-dire présence de particules virales dans le sang) est bien présente chez les malades du SIDA, elle rappelle la virémie rétrovirale bien connue chez les souris leucémiques. Dans un tel cas, les particules rétrovirales doivent être facilement démontrables, par TEM, d'échantillons de plasma de patients préparés de manière appropriée. Malheureusement, il n'a jamais été possible de mettre en évidence par TEM une seule particule rétrovirale dans le plasma sanguin d'un patient atteint du SIDA, même si l'on sélectionne des patients présentant une charge virale dite « élevée ».
RépondreSupprimerJ'étais apparemment le premier chercheur à faire cette déclaration, lors de la séance d'ouverture de la grande conférence sur le sida du président T. Mbeki, à Pretoria, SA, en mai 2000. Ma déclaration à cet effet n'a jamais été démentie.
CELIA FARBER : Comment se fait-il ?
DE HARVEN : Il faut répondre à cette question parce que « quelque chose » est mesuré par les technologies PCR dans le sang de nombreux patients atteints du SIDA. En fait, ce qui est mesuré n'est certainement pas le nombre de particules rétrovirales (fantômes, c'est-à-dire EM invisibles !). En fait, ce qui est identifié, amplifié et soi-disant quantifié par PCR est le nombre de séquences nucléotidiques génomiques qui sont extrêmement similaires aux séquences connues pour faire partie du génome rétroviral. Malheureusement, ces séquences ont été interprétées à tort comme l'indication d'un certain nombre de… particules de VIH ! Cela a beaucoup contribué à consolider le dogme quasi-religieux du VIH comme cause du SIDA, un dogme qui a été vivement critiqué, il y a quelques années, par David Rasnick qui écrivait, avec autorité, sur « The AIDS Blunder »…
Cette interprétation n'aurait été acceptable que si des particules rétrovirales avaient été facilement mises en évidence, par EM, dans le plasma sanguin de ces patients ; mais, comme ce n'est pas le cas, une autre explication de la présence de ces séquences nucléotidiques doit être trouvée.
J'ai présenté à la conférence RA à Oakland, Californie, en 2009, et j'ai développé dans mon article JAPS de 2010 une explication si nécessaire de la présence de ces séquences de nucléotides de type rétroviral. Mon explication est basée sur les quantités variables et bien connues d'ADN circulant dans le sang des patients gravement malades, et sur le fait que nous portons tous des séquences de type rétroviral [non pertinentes] dans notre ADN, en tant que rétrovirus endogènes et défectueux, c'est-à-dire des HERV ( HERVs, pour « Human endogenous retroviruses ») (Voir « Virus in all of us », R. Lower et al., 1996 PNAS paper).
Pas étonnant donc que ces séquences nucléotidiques soient reconnues par PCR [tests] dans le sang de nombreux malades du SIDA, qui sont en effet gravement malades. Comme déjà démontré en 2008 au laboratoire Robin Weiss, les HERV peuvent interférer comme facteurs de confusion dans la recherche de nouveaux rétrovirus dans les maladies humaines chroniques…
RépondreSupprimerCELIA FARBER : …Peignez-nous un tableau. L'histoire du virus [VIH], le « nouveau virus mortel », ce qui se passe d'abord : quelles mesures ont-ils [—] Montagnier, d'un côté, Gallo de l'autre [—] pour « trouver » la nouvelle entité ? Puis, une fois qu'ils l'ont "trouvé", dans quelle forme était-il ? Ce n'était pas une entité, une chose, avec un corps, n'est-ce pas ? Ce n'était pas cohérent. Pouvons-nous dire cela? Alors il habitait où ? Il n'a été vu qu'à travers les technologies développées pour le trouver, Elisa, WB [les deux sont des tests d'anticorps] ? [tests] PCR/VL ultérieurs ? Mais que s'est-il passé ALORS quand ils ont essayé de le voir sur EM ? Pourquoi tout le monde ne l'a-t-il pas cherché sur EM ? Trop cher ?
DE HARVEN : Non, EM n'est pas bon marché mais pas si cher que ça ! Et son coût n'a certainement rien à voir avec le fait qu'il n'a guère été utilisé depuis 30 ans dans la recherche sur le sida ! Il n'a pas été utilisé car "Ils" savaient qu'il n'allait rien montrer de significatif rétroviral dans des échantillons provenant directement de patients atteints du SIDA. Et puisque le SIDA était devenu un gros business, les actions des sociétés pharmaceutiques géantes impliquées ne pouvaient pas être compromises ! Il fallait le sauver à tout prix, même au prix de la confiance en des marqueurs moléculaires non spécifiques… La peur est une bonne affaire, et les virus génèrent la peur le plus efficacement… Ainsi, le drapeau du VIH doit être agité au maximum. Dans les médias du monde entier, avec des milliers de caricatures colorées et générées par ordinateur d'un rétrovirus idéaliste… En revanche, les médias ont été dominés par la censure la plus rigoureuse lorsqu'il s'agit d'informer le public sur les opinions des dissidents repensés. Cette censure totale a mis un verrou de sécurité sur toute information qui pourrait mettre en péril les profits colossaux, entièrement dérivés du VIH, des grandes sociétés pharmaceutiques.
Mais je suis content que nous ayons Internet !
Oser dire que le VIH n'existe pas équivaut à une sorte de crime capitaliste…
Oui, le dogme du VIH est probablement la page la plus sombre de l'histoire de la médecine moderne.
CELIA FARBER : Etienne, si vous pouviez résumer : Est-ce que le VIH existe ? Si oui, où et comment et en quoi ?
Si vous pouviez examiner le sang de 1 000 personnes séropositives sous EM, que vous attendriez-vous à trouver ? Si vous ne trouvez pas de VIH sur EM dans le sang humain, peut-on avancer que le virus se "cache" et ainsi de suite, ou que les médicaments ont supprimé le virus à des niveaux indétectables ? C'est ce que semblent dire les défenseurs de l'orthodoxie à propos des résultats constatés dans l'affaire Nushawn Williams.
DE HARVEN : C'est la question principale ! La remise en cause de l'existence même du VIH ne doit pas être débattue uniquement entre rétro-virologues spécialisés. C'est une question essentielle qui nous concerne tous.
RépondreSupprimerCELIA FARBER : Pourquoi ?
DE HARVEN : Tout simplement parce que 100 % du financement de la recherche sur le sida est basé sur l'existence dogmatiquement postulée du VIH. Si le VIH n'existait pas, il s'ensuivrait que la recherche sur le sida est le cas le plus épouvantable de détournement total des fonds publics de recherche ! Et il s'ensuivrait également que les sommes d'argent colossales, jusqu'ici exclusivement consacrées à la recherche sur le VIH, seraient bien mieux utilisées dans d'autres directions. Pouvez-vous imaginer dans quel monde nous vivrions aujourd'hui si la somme totale d'argent gaspillée au cours des 30 dernières années dans la recherche sur le VIH avait été plutôt utilisée pour nourrir des Africains affamés, pour des équipements d'approvisionnement en eau potable, pour des infrastructures d'hygiène publique et pour l'éducation à la santé publique? Cela n'arriverait que si la recherche sur le VIH était totalement arrêtée ! Et pour cela, les organisations scientifiques et de santé publique doivent faire face au fait que, effectivement, le VIH n'existe pas !
…nous devons tous, courageusement, affronter le fait que l'existence même d'un VIH exogène n'a jamais été scientifiquement vérifiée.
—extrait de fin d'interview—
Encore une fois, vous pouvez lire l'intégralité de l'interview ici.
De Harven démasque la recherche sur le VIH. Combien d'autres virus non prouvés ont également été massés prématurément pour exister et prendre de l'importance ? Combien de fois les chercheurs ont-ils sorti des "marqueurs spéciaux" comme des lapins de leurs chapeaux, prétendant faussement que ces marqueurs établissent l'existence de virus autrement jamais observés ?
Et donc, lorsque ces chercheurs déclarent avoir publié les séquences génétiques de ces virus, que séquencent-ils vraiment ? Des virus endogènes inoffensifs et passifs qui ne feraient pas de mal à une mouche et préfèrent rester dans le corps pendant toute une vie à regarder la télévision ?
Et quand quelqu'un s'avance et prétend qu'un virus nouveau et jamais vu auparavant est en fait une arme artificielle, et qu'il le sait en étudiant sa séquence génétique - a-t-il raison, ou regarde-t-il la séquence d'un microbe non pertinent qui a a-t-il été grossièrement tiré de sa longue sieste langoureuse dans la chaleur du corps humain ?
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/jon-rappoport/how-are-viruses-discovered-and-identified-in-the-first-place/
(...) Grande question : POUVONS-NOUS ÊTRE SÛRS QUE TOUS LES VIRUS QUI EXISTENT ET PROVOQUENT DES ÉPIDÉMIES SONT RÉELLEMENT TROUVÉS ET OBSERVÉS ET IDENTIFIÉS SUR DES PHOTOGRAPHIES AU MICROSCOPE ÉLECTRONIQUE ? POUVONS-NOUS AU MOINS DIRE ÇA ?
SupprimerNon. (...)
Un virus est une POUSSIÈRE ! (TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf 'poussières radioactives). Si elle est radioactive (ce qui n'est PAS le cas pour le 'cocovide19') elle peut présenter un début de cancer.
Mais elle n'est EN AUCUN CAS transmissible comme le sont les maladies apportées par les microbes.
La société Hershey est poursuivie pour la teneur en métaux lourds dans les barres de chocolat noir – mais Consumer Reports peut induire les consommateurs en erreur sur le risque réel
RépondreSupprimersamedi 31 décembre 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Hershey Co. fait face à une importante poursuite judiciaire de la part d'un consommateur qui prétend que le chocolat noir que l'entreprise vend est rempli de niveaux potentiellement nocifs de cadmium et de plomb de métaux lourds.
Selon Reuters, Christopher Lazazzaro a déclaré dans un recours collectif proposé cette semaine qu'il n'aurait jamais acheté notre chocolat noir doux et doux de Hershey, le chocolat extra noir de Lily à 70 % de cacao et le chocolat noir extrême de Lily à 85 %. Cacao, si l'entreprise avait divulgué la teneur en métaux lourds.
La poursuite a été déposée mercredi devant le tribunal fédéral de Central Islip, N.Y. La société n'a pas répondu à Reuters pour une demande de commentaire.
Des études publiées précédemment ont montré que les antioxydants et des niveaux inférieurs de sucre dans le chocolat noir peuvent aider à prévenir les maladies cardiaques. Une étude publiée en 2019 notait, selon son résumé :
Le chocolat est bien connu pour sa saveur fine, et son histoire a commencé dans les temps anciens, lorsque les Mayas considéraient le chocolat (une boisson au cacao préparée avec de l'eau chaude) comme la « nourriture des dieux ». L'industrie alimentaire produit de nombreux types de chocolat différents : ces dernières années, le chocolat noir, en particulier, a gagné en popularité.
L'intérêt pour le chocolat s'est accru en raison de ses effets physiologiques et potentiels sur la santé, tels que la régulation de la pression artérielle, les niveaux d'insuline, les fonctions vasculaires, les processus d'oxydation, les effets prébiotiques, l'homéostasie du glucose et le métabolisme des lipides.
Résident du comté de Nassau à New York, Lazazzaro a intenté une action deux semaines après que Consumer Reports a publié les résultats des tests scientifiques de 28 barres de chocolat noir visant à mesurer les niveaux de plomb et de cadmium. Le magazine grand public a noté que si toutes les barres contenaient une certaine quantité de métaux lourds, 23 d'entre elles, y compris le chocolat de Dove, Godiva, Lindt et Trader Joe's, avaient ce qu'elles appelaient des niveaux de plomb, de cadmium ou les deux pour quiconque consomme une once de chocolat noir par jour.
RépondreSupprimer"La barre Special Dark de Hershey et la barre à 70 % de Lily étaient riches en plomb, et la barre à 85 % de Lily était riche en plomb et en cadmium, a déclaré le magazine", selon Reuters. "Lazazzaro a déclaré que les consommateurs raisonnables seraient découragés par de tels niveaux car ils posent un" risque grave pour la santé "et que les consommateurs comptent sur Hershey pour être honnête sur les ingrédients de ses produits."
NOTE DE LA RÉDACTION - DE MIKE ADAMS - En tant que scientifique spécialisé dans les métaux lourds, je pense que les déclarations de Consumer Reports concernant les niveaux de métaux dans les barres de chocolat étaient trompeuses car elles étaient basées sur les normes Prop 65 de la Californie, qui étaient à l'origine destinées à être utilisées pour réglementer les métaux dans l'eau, pas dans la nourriture. Bien que l'exactitude des tests ne soit pas mise en doute, Consumer Reports aurait été plus honnête s'il avait signalé les niveaux réels en ppb (parties par milliard) ou ppm (parties par million) des barres, plutôt que de les comparer à la réglementation Prop 65. en Californie, qui sont trompeuses et non fondées sur des données scientifiques solides. Consommer, par exemple, 500 nanogrammes de plomb dans une barre de chocolat n'est pas du tout préoccupant pour la santé et ne devrait pas être invoqué pour effrayer indûment les consommateurs. Nous avons trouvé des niveaux de plomb des centaines de fois plus élevés dans certains produits à base de protéines de riz ainsi que dans certains probiotiques encore vendus sur Amazon, et Consumer Reports ne s'est pas encore intéressé à ces résultats. Lorsque nous avons apporté ces chiffres à Whole Foods, qui vendait certains de ces produits, ils n'ont manifesté aucun intérêt et ont continué à vendre ces produits à des consommateurs involontaires. Oui, il y a beaucoup de plomb dans l'approvisionnement alimentaire, mais non, les tablettes de chocolat ne sont pas le principal vecteur d'exposition.
Son procès demande au moins 5 millions de dollars de dommages-intérêts ainsi qu'au moins 500 dollars par transaction en vertu de la loi de l'État de New York.
"Une série d'effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire pourrait se produire suite à la consommation régulière d'aliments et de boissons contenant du cacao. Les avantages comprennent des effets sur la pression artérielle, la résistance à l'insuline et la fonction vasculaire et plaquettaire », indique l'étude de 2019. « Les polyphénols, abondants dans le cacao et le chocolat noir, activent la NO synthase endothéliale ; cela conduit à la génération de NO, qui abaisse la tension artérielle en favorisant la vasodilatation.
RépondreSupprimer« En effet, suite à la consommation de chocolat noir, les effets incluent une amélioration de la vitesse de l'onde de pouls et du score d'athérosclérose, avec un relâchement pariétal des grosses artères et une dilatation des petites et moyennes artères périphériques. Des concentrations plus élevées d'épicatéchines plasmatiques aident à libérer des vasodilatateurs dérivés de l'endothélium et à augmenter la concentration de procyanidines plasmatiques, ce qui entraîne une production et une biodisponibilité accrues de NO », ajoute l'étude.
Des études antérieures ont montré que l'exposition des enfants aux métaux lourds peut conduire à des cas plus élevés d'autisme. Selon une étude publiée dans la revue Biological Trace Element Research, les enfants atteints de troubles du spectre autistique présentaient des niveaux plus élevés de plusieurs métaux lourds toxiques - tels que le plomb, le thallium et l'étain ainsi que le mercure et le cadmium - par rapport à leurs pairs en meilleure santé.
"Nous émettons l'hypothèse que la réduction de l'exposition précoce aux métaux toxiques peut aider à atténuer les symptômes de l'autisme, et un traitement pour éliminer les métaux toxiques peut réduire les symptômes de l'autisme ; ces hypothèses doivent être explorées plus avant, car il existe un nombre croissant de recherches à l'appui », ont déclaré les chercheurs de Science Daily.
Sources include:
ScienceDaily.com
NaturalNews.com
Nasdaq.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-31-hersheys-company-being-sued-heavy-metal-content.html
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