- ENTREE de SECOURS -



lundi 19 décembre 2022

Baisse continue du niveau d’orthographe des élèves de CM2

 le 18 décembre 2022 - 13:00


Selon un rapport du ministère de l'Éducation nationale sur les performances en orthographe des élèves de CM2 publié le 7 décembre, le niveau d'orthographe des enfants ne fait que plonger depuis une trentaine d’années. Les élèves ont des niveaux d'écriture grammaticale inférieurs à ceux qu’avaient leurs parents, et ils font deux fois plus d’erreurs que les enfants d’il y a 34 ans.

La même dictée depuis 1987 pour évaluer la performance des élèves

La Depp (la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance) dicte le même texte depuis 1987 à un échantillon d’élèves, pour évaluer leurs capacités en orthographe, et le nombre de fautes moyen d’une génération. Les résultats de ces dictées montrent que tout au long de ces années, le niveau d’orthographe a baissé, sans aucun répit. Alors qu’en 1987, les écoliers ne faisaient que 11 erreurs en moyenne, les écoliers de 2021 sont malheureusement allés jusqu’à 19 erreurs en moyenne, soit près du double ! Selon le rapport, c’est l’orthographe grammaticale (règles d’accord entre le sujet et le verbe, accords dans le groupe nominal, accords du participe passé) qui demeure la source principale de difficultés. L'étude met aussi en avant des fautes récurrentes sur des mots tels que “aussitôt" ou "peut-être". L'accord de l'adjectif, comme pour le mot "inquiets" n’a lui que 25,3% d’écritures correctes en 2021 alors qu’il présentait  46,2% de réussite en 1987.

Le dénigrement des méthodes traditionnelles responsable de la chute de niveau ?

Le 8 décembre, sur CNews, la journaliste Charlotte d'Ornellas a apporté un éclairage sur les raisons qui pourraient expliquer cette baisse drastique du niveau des élèves en orthographe. Elle a tout d'abord rappelé que "les élèves ne naissent pas plus bêtes ou moins bons en orthographe aujourd’hui qu’il y a 50 ans" et que l'origine de cette baisse de niveau doit se chercher dans les "choix faits à l’école" au cours des dernières décennies. Quels sont-ils ? "On a, un, le dénigrement des méthodes d’enseignement, la dictée notamment [mais aussi] le rejet de la mémorisation, de la répétition, du par cœur, qui a été jugé par les fameux pédagogues trop simplistes. Résultat : si vous ne faites pas de la mémorisation, à un moment, ça ne vient pas tout seul non plus", estime-t-elle. Mme d'Ornellas ajoute qu'il y a eu progressivement une baisse du nombre d’heures consacrées "au français en général et à l’orthographe en particulier" : "Au début du 20e siècle, il y avait 1 338 heures de cours par an pour les élèves. Aujourd’hui, c’est 864. On a perdu un nombre d’heures considérables et, par ailleurs, on a multiplié les matières enseignées. Par la force des choses, le niveau baisse." Et la journaliste de pointer du doigt la problématique de la baisse du niveau d'exigence : "Ensuite, il y a la question de l’indulgence qui a été impliquée. On voit que les corps d’inspection ont demandé assez régulièrement aux professeurs d’être indulgents, c’est-à-dire moins exigeants en réalité sur la question de l’orthographe."

Le niveau des aspirants professeurs des écoles en chute libre

Les résultats au concours 2022 de recrutement des professeurs des écoles viennent d'être publiés : les correcteurs alertent sur “l’inculture" des candidats à "la langue pauvre" et à l’orthographe vacillante. C’est le jugement sévère qu’émet le jury des professeurs des écoles à la suite de la publication des résultats du concours validant le recrutement des enseignants du primaire.

"Très peu de candidats citent des sources qui permettraient de démontrer une culture personnelle, fustige le rapport de l’académie de Lille. Certains le font en se trompant d’auteur, en citant une émission de télé-réalité ou des dessins animés de Disney. Une petite minorité est en mesure de citer quelques lectures personnelles." Les correcteurs déplorent également un "manque de maîtrise de la langue française", relevant "énormément d’erreurs orthographiques, des fautes de syntaxe et des expressions familières", souligne le même rapport. "La ponctuation est absente de certaines copies, les virgules, d’une manière générale, sont peu utilisées."

https://www.francesoir.fr/lifestyle-vie-quotidienne/baisse-continue-du-niveau-d-orthographe-des-eleves-de-cm2

58 commentaires:

  1. La classe des cons !

    voir le nombre d'abrutis qui sortent de 'grandes écoles' !! (L'ENA sont bien souvent passés par HEC, Sciences po ou Polytechnique. Dans les autres écoles prestigieuses, on peut aussi noter l'Insead, l'École des Mines de Paris et l'École nationale des Ponts et Chaussées).

    voir aussi leurs gestions des affaires ! ÔH PUTAING !

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  2. Les pratiques trompeuses d'établissements d’enseignement supérieur privés épinglées par la DGCCRF


    le 18 décembre 2022 - 14:00


    La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a publié un bilan des investigations de l’année 2020 pour vérifier les pratiques commerciales des établissements de formation. Selon ce bilan, plus de 30 % des établissements contrôlés se sont avérés être en anomalie en matière de pratiques commerciales trompeuses.

    Des labels créés en 2019 par le ministère de l’Enseignement supérieur pour informer le consommateur de l’existence de diplômes « contrôlés par l’État »
    L’offre d’établissements d’enseignement supérieur a augmenté exponentiellement au cours des vingt dernières années. Depuis 2002, les étudiants de l’enseignement supérieur privé ont plus que doublé. En 2019, des labels ont été créés par le ministère de l’Enseignement supérieur pour informer les étudiants et leurs familles de l’existence de diplômes « contrôlés par l’État ».

    La DGCCRF a donc mené l’enquête pour contrôler l’ensemble des dispositions protectrices des droits des consommateurs, en faisant particulièrement attention aux critères proposés par le label, à savoir : l’absence de pratiques commerciales trompeuses induisant le consommateur en erreur, le respect des obligations d’information précontractuelle, le respect des obligations sur les prix et sur la facturation, l’absence de clauses contractuelles illicites ou abusives, le respect des règles relatives à la vente à distance ou hors établissement.

    La DGCCRF a conclu que plusieurs établissements utilisent des mentions valorisantes dépourvues de toute justification vérifiable dans leurs communications. Par exemple, des promesses d’un travail après leur diplôme ou des partenariats non formalisés avec de grandes entreprises.

    Fausses promesses post-diplôme, faux commentaires Google, faux prix…

    La pratique consistant à afficher un prix promotionnel à côté d’un prix barré, sans pouvoir justifier que le prix barré a réellement été pratiqué, est plutôt pratiquée en grande surface ou dans le e-commerce, mais elle a aussi été constatée dans les pratiques de certains établissements d’enseignement privés.

    Des commentaires Google rédigés par des consommateurs devenus des employés de l’établissement (donc prenant parti pour elles) ont aussi été signalés par l’organisme de protection du consommateur. Autre pratique de communication trompeuse identifiée : l’utilisation de termes tels que « licence », « master » ou « doctorat » sans que l’établissement soit habilité à expédier ces titres. En analysant les contrats de formation, les enquêteurs ont également retrouvé l’habitude de ne pas mettre en évidence les prix finaux de la formation.

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  3. Des clauses abusives ou illicites constatées dans 40 % des établissements contrôlés

    En passant au crible les contrats des formations, la DGCCRF a trouvé des clauses abusives dans les contrats pour 40% des établissements. Parmi celles-ci figurent : le droit de résilier le contrat en cas de défaut de paiement (l’étudiant n’étant plus autorisé à poursuivre la formation ni à s’inscrire à l’examen de fin d’année ), un droit de l’établissement à modifier prix et durée de la formation ou même un droit de rompre le contrat à tout moment de façon unilatérale.

    https://www.francesoir.fr/lifestyle-vie-quotidienne/les-pratiques-trompeuses-des-etablissement-d-enseignement-superieur

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  4. L'Armageddon énergétique de l'Europe depuis Berlin et Bruxelles, pas Moscou


    Par F.William Engdahl
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Le 22 août, le prix du marché boursier du gaz naturel dans le hub gazier allemand THE (Trading Hub Europe) s'échangeait plus de 1000% plus haut qu'il y a un an. Le régime de Scholz dit à la plupart des citoyens que la raison en est Poutine et la guerre de la Russie en Ukraine. La vérité est tout autre. Les politiciens européens et les principaux intérêts financiers utilisent la Russie pour couvrir ce qui est une crise énergétique made in Germany et bruxelloise. Les conséquences ne sont pas accidentelles.

    Ce n'est pas parce que des politiciens comme Scholz ou le ministre allemand de l'économie verte, Robert Habeck, ni le vice-président de la Commission européenne pour l'énergie verte, Frans Timmermans, sont stupides ou ignorants. Corrompu et malhonnête, peut-être oui. Ils savent exactement ce qu'ils font. Ils lisent un scénario. Tout cela fait partie du plan de l'UE visant à désindustrialiser l'une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète. Il s'agit de l'Agenda vert des Nations Unies 2030 autrement connu sous le nom de Grande réinitialisation de Klaus Schwab.

    Dérégulation du marché du gaz de l'UE

    Ce que la Commission européenne et les ministres du gouvernement en Allemagne et dans toute l'UE cachent soigneusement, c'est la transformation qu'ils ont créée dans la façon dont le prix du gaz naturel est déterminé aujourd'hui. Pendant près de deux décennies, la Commission européenne, soutenue par les méga banques telles que JP MorganChase ou les grands fonds spéculatifs spéculatifs, a commencé à jeter les bases de ce qui est aujourd'hui une déréglementation complète du marché du gaz naturel. Il a été promu comme la «libéralisation» du marché du gaz naturel de l'Union européenne. Ce qu'il permet désormais, c'est que les échanges sur le marché libre en temps réel et non réglementés fixent les prix plutôt que les contrats à long terme.

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  5. À partir de 2010 environ, l'UE a commencé à imposer un changement radical des règles de tarification du gaz naturel. Auparavant, la plupart des prix du gaz étaient fixés dans le cadre de contrats fixes à long terme pour la livraison par gazoduc. Le plus grand fournisseur, le russe Gazprom, a fourni du gaz à l'UE, plus particulièrement à l'Allemagne, dans le cadre de contrats à long terme indexés sur le prix du pétrole. Jusqu'à ces dernières années, presque aucun gaz n'était importé par les méthaniers. Avec une modification des lois américaines pour autoriser l'exportation de GNL à partir de l'énorme production de gaz de schiste en 2016, les producteurs de gaz américains ont entamé une expansion majeure de la construction de terminaux d'exportation de GNL. Les terminaux mettent en moyenne 3 à 5 ans à construire. Dans le même temps, la Pologne, les Pays-Bas et d'autres pays de l'UE ont commencé à construire des terminaux d'importation de GNL pour recevoir le GNL de l'étranger.

    Sortis de la Seconde Guerre mondiale en tant que premier fournisseur mondial de pétrole, les géants pétroliers anglo-américains, alors appelés les Sept Sœurs, ont créé un monopole mondial sur les prix du pétrole. Comme l'a noté Henry Kissinger lors des chocs pétroliers des années 1970, « Contrôlez le pétrole et vous contrôlez des nations entières ». Depuis les années 1980, les banques de Wall Street, dirigées par Goldman Sachs, ont créé un nouveau marché du "pétrole papier", ou des contrats à terme et dérivés sur les futurs barils de pétrole. Cela a créé un énorme casino de profits spéculatifs qui était contrôlé par une poignée de banques géantes à New York et dans la City de Londres.

    Ces mêmes intérêts financiers puissants ont travaillé pendant des années pour créer un marché mondialisé similaire du « gaz papier » sur des contrats à terme qu'ils pourraient contrôler. La Commission européenne et son programme Green Deal visant à « décarboniser » l'économie d'ici 2050, en éliminant le pétrole, le gaz et le charbon, ont fourni le piège idéal qui a conduit à la flambée explosive des prix du gaz dans l'UE depuis 2021. Pour créer ce marché « unique » contrôle, l'UE a fait l'objet de pressions des intérêts mondialistes pour imposer des changements de règles draconiens et de facto illégaux à Gazprom afin de forcer le propriétaire russe de divers réseaux de gazoducs de distribution de gaz dans l'UE à les ouvrir au gaz concurrent.

    Les grandes banques et les intérêts énergétiques qui contrôlent la politique de l'UE à Bruxelles avaient créé un nouveau système de prix indépendant parallèle aux prix stables à long terme du gazoduc russe qu'ils ne contrôlaient pas.

    En 2019, la série de directives bureaucratiques sur l'énergie de la Commission européenne de Bruxelles a permis aux échanges sur le marché du gaz entièrement déréglementés de fixer de facto les prix du gaz naturel dans l'UE, malgré le fait que la Russie était encore de loin la plus grande source d'importation de gaz. Une série de « hubs » commerciaux virtuels avaient été établis pour négocier des contrats à terme sur le gaz dans plusieurs pays de l'UE. En 2020, le TTF néerlandais (Title Transfer Facility) était le centre commercial dominant pour le gaz de l'UE, la soi-disant référence du gaz de l'UE. Notamment, TTF est une plate-forme virtuelle d'échanges de contrats à terme sur le gaz entre les échanges entre les banques et d'autres investisseurs financiers, "Over-The-Counter". Cela signifie qu'il est de facto non réglementé, en dehors de toute bourse réglementée. Ceci est essentiel pour comprendre le jeu en cours dans l'UE aujourd'hui.

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  6. En 2021, seuls 20% de toutes les importations de gaz naturel vers l'UE étaient du gaz GNL, dont les prix étaient largement déterminés par les transactions à terme sur le hub TTF, la référence de facto du gaz de l'UE, détenue par le gouvernement néerlandais, le même gouvernement détruisant ses fermes pour une réclamation frauduleuse pour pollution à l'azote. La plus grande part des importations de gaz européen provenait du russe Gazprom, qui fournissait plus de 40 % des importations de l'UE en 2021. Ce gaz était via des contrats de gazoduc à long terme dont le prix était largement inférieur au prix de spéculation actuel du TTF. En 2021, les États de l'UE ont payé une pénalité estimée à environ 30 milliards de dollars de plus pour le gaz naturel en 2021 que s'ils s'étaient tenus au prix de l'indexation du pétrole de Gazprom. Les banques ont adoré . L'industrie américaine et les consommateurs non.Ce n'est qu'en détruisant le marché du gaz russe dans l'UE que les intérêts financiers et les partisans du Green Deal pourraient créer leur contrôle sur le marché du GNL.

    Fermeture du gazoduc de l'UE

    Avec le soutien total de l'UE pour le nouveau marché de gros du gaz, Bruxelles, l'Allemagne et l'OTAN ont commencé à fermer systématiquement le gazoduc stable à long terme vers l'UE.

    Après avoir rompu les relations diplomatiques avec le Maroc en août 2021 au sujet de territoires contestés, l'Algérie a annoncé que le gazoduc Maghreb-Europe (MGE), lancé en 1996, cesserait de fonctionner le 31 octobre 2021, à l'expiration de l'accord correspondant.

    En septembre 2021, Gazprom a achevé son gazoduc sous-marin Nord Stream 2 de plusieurs milliards de dollars entre la Russie et la mer Baltique jusqu'au nord de l'Allemagne. Il doublerait la capacité de Nord Stream 1 à 110 milliards de mètres cubes par an, permettant à Gazprom d'être indépendant des interférences avec les livraisons de gaz via son gazoduc Soyouz traversant l'Ukraine. La Commission européenne, soutenue par l'administration Biden, a bloqué l'ouverture du pipeline avec un sabotage bureaucratique, et finalement le chancelier allemand Scholz a imposé une sanction sur le pipeline le 22 février pour la reconnaissance par la Russie de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Louhansk. Avec la crise croissante du gaz depuis, le gouvernement allemand a refusé d'ouvrir Nord Stream 2 malgré le fait qu'il soit terminé.

    Puis, le 12 mai 2022, bien que les livraisons de Gazprom au gazoduc Soyouz à travers l'Ukraine aient été ininterrompues pendant près de trois mois de conflit, malgré les opérations militaires russes en Ukraine, le régime Zelenskyy contrôlé par l'OTAN à Kiev a fermé un important gazoduc russe passant par Lugansk, qui était acheminant du gaz russe vers son Ukraine ainsi que vers les États de l'UE, déclarant qu'il resterait fermé jusqu'à ce que Kiev obtienne le contrôle total de son réseau de gazoducs qui traverse les deux républiques du Donbass. Cette section de la ligne ukrainienne Soyouz a coupé un tiers du gaz via Soyouz vers l'UE. Cela n'a certainement pas aidé l'économie de l'UE à un moment où Kiev demandait plus d'armes à ces mêmes pays de l'OTAN. Soyouz a ouvert ses portes en 1980 sous l'Union soviétique, apportant du gaz du champ gazier d'Orenbourg.

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  7. Vient ensuite le gazoduc russe Jamal à travers la Biélorussie et à travers la Pologne vers l'Allemagne. En décembre 2021, deux mois avant le conflit ukrainien, le gouvernement polonais a fermé la partie polonaise du gazoduc coupant la livraison de gaz Gazprom à bas prix à l'Allemagne ainsi qu'à la Pologne. Au lieu de cela, les sociétés gazières polonaises ont acheté du gaz russe dans le stockage des sociétés gazières allemandes, via la section polono-allemande du gazoduc Jamal à un prix plus élevé dans un flux inversé. Les compagnies gazières allemandes ont obtenu leur gaz russe via un contrat à long terme pour un prix contractuel très bas et l'ont revendu à la Pologne avec un énorme profit. Cette folie a été délibérément minimisée par le ministre de l'Économie verte Habeck et le chancelier Scholz et les médias allemands, même si elle a poussé les prix du gaz allemand encore plus haut et a aggravé la crise du gaz allemand. Le gouvernement polonais a refusé de renouveler son contrat gazier avec la Russie et achète à la place du gaz sur le marché libre à des prix beaucoup plus élevés. En conséquence, il n'y a plus de gaz russe vers l'Allemagne via Jamal.

    Enfin, la livraison de gaz via le gazoduc sous-marin Nord Stream 1 a été interrompue en raison de la nécessité de réparer une turbine à gaz fabriquée par Siemens. La turbine a été envoyée dans une installation spéciale de Siemens au Canada où le régime anti-russe de Trudeau l'a détenue pendant des mois avant de finalement la libérer à la demande du gouvernement allemand. Pourtant, ils ont délibérément refusé d'accorder la livraison à son propriétaire russe, mais plutôt à Siemens Allemagne, où il siège, car les gouvernements allemand et canadien refusent d'accorder une exemption de sanctions juridiquement contraignante pour le transfert vers la Russie. Par ce moyen, le gaz Gazprom via Nord Stream 1 est également considérablement réduit à 20% de la normale.

    En janvier 2020, Gazprom a commencé à envoyer du gaz depuis son gazoduc TurkStream à travers la Turquie, puis en Bulgarie et en Hongrie. En mars 2022, la Bulgarie a unilatéralement, avec le soutien de l'OTAN, coupé ses approvisionnements en gaz de TurkStream. Le Hongrois Viktor Orban, en revanche, a obtenu la continuation avec la Russie du gaz TurkStream. En conséquence, aujourd'hui, la Hongrie n'a pas de crise énergétique et importe du gazoduc russe à des prix fixes très bas .

    En sanctionnant ou en fermant systématiquement les livraisons de gaz à partir de gazoducs à long terme et à faible coût vers l'UE, les spéculateurs gaziers via le TTP néerlandais ont pu profiter de chaque contretemps ou choc énergétique dans le monde, qu'il s'agisse d'une sécheresse record en Chine ou du conflit en Ukraine , aux restrictions à l'exportation aux États-Unis, à soumissionner les prix de gros du gaz de l'UE à travers toutes les limites. À la mi-août, le prix à terme chez TTP était supérieur de 1 000 % à celui d'il y a un an et augmentait quotidiennement.

    La folie des prix les plus élevés en Allemagne

    Le sabotage délibéré des prix de l'énergie et de l'électricité devient encore plus absurde. Le 28 août, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner, seul membre du cabinet du Parti libéral (FDP), a révélé qu'en vertu des termes opaques des mesures complexes de réforme du marché de l'électricité de l'UE, les producteurs d'électricité solaire ou éolienne reçoivent automatiquement le même prix pour leur électricité « renouvelable », ils vendent aux compagnies d'électricité pour le réseau au prix le plus élevé, c'est-à-dire le gaz naturel !

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  8. Lindner a appelé à une modification "urgente" de la loi allemande sur l'énergie pour découpler les différents marchés. Le ministre fanatique de l'économie verte, Robert Habeck, a immédiatement répondu : « Nous travaillons dur pour trouver un nouveau modèle de marché », mais avertissant que le gouvernement doit veiller à ne pas trop intervenir : « Nous avons besoin de marchés qui fonctionnent et, en même temps, nous devons établir les bonnes règles afin que les positions sur le marché ne soient pas abusées . ”

    Habeck fait en fait tout son possible pour construire l'agenda vert et éliminer le gaz, le pétrole et le nucléaire, les seules sources d'énergie fiables à l'heure actuelle. Il refuse d'envisager de rouvrir trois centrales nucléaires fermées il y a un an ou de reconsidérer la fermeture des trois autres en décembre. Tout en déclarant dans une interview à Bloomberg que « je n'aborderai pas cette question de manière idéologique », dans le souffle suivant, il a déclaré : « Le nucléaire n'est pas la solution, c'est le problème ».Habeck ainsi que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ont déclaré à plusieurs reprises que davantage d'investissements dans l'éolien et le solaire non fiables sont la réponse à une crise des prix du gaz que leurs politiques ont délibérément créée. À tous égards, la crise énergétique suicidaire en cours en Europe a été « Made in Germany », pas en Russie.

    https://www.globalresearch.ca/europe-energy-armageddon-from-berlin-brussels-not-moscow/5792005

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  9. La liberté est-elle un projet libéral ?

    Le retour de la décision individuelle permettra aussi le retour de la motivation.


    le 19 décembre 2022
    Christophe Didier


    Un des principes fondamentaux autour duquel se regroupent les libéraux est celui de la liberté individuelle.

    Il serait donc logiquement en tête des arguments que porterait un candidat libéral à une élection. Ce serait pourtant une assez mauvaise idée.

    Un principe assez difficile à expliquer et à défendre

    On vous renverra souvent les objections suivantes.

    Objection 1 : nous avons déjà la liberté individuelle. C’est vrai, si nous mettons de côté les confinements, contraintes administratives, codes et autres lois qui finalement ne donnent pas l’impression de briser cette liberté. Il suffit d’en parler autour de soi pour constater que la plupart de vos interlocuteurs n’y verront pas beaucoup d’inconvénients. Pas plus tard que ce midi, sur une chaîne de grande écoute (malheureusement), l’idée de couper l’électricité pendant deux heures était présentée comme « pas si grave ». Ce n’est d’ailleurs effectivement pas si grave.

    Objection 2 : si on laisse un totale liberté individuelle, les gens feront n’importe quoi. Cet argument est appuyé par la désormais incontournable preuve par l’exemple devenue tellement utilisée qu’elle a remplacé l’enquête journalistique. Nous avons tous en mémoire des personnes faisant n’importe quoi malgré un cadre que l’on peut qualifier de « très présent », à tout le moins. Ces exemples n’ont pas d’autre objectif que de laisser penser : imaginez ce qui se passerait si nous réduisions les règles ?

    Objection 3 : moi ça va, mais les autres… ce qui sous-entend que le Français moyen n’est pas très malin, il a besoin d’un cadre strict pour vivre, comme un enfant.

    Ces objections sont difficiles à contrer mais il existe un concept plus simple à expliquer et plus intéressant d’un point de vue politique car beaucoup moins flou que celui de la liberté.

    La liberté de choix

    Ce concept est bien plus important qu’il n’y paraît.

    La liberté n’est pas ce que je peux faire ou ne pas faire mais le choix qui s’offre à moi quand je dois prendre une décision.

    Par exemple, vous préférez avoir le choix entre plusieurs médecins ou toujours le même qui vous est imposé, même s’il est mauvais ? Vous préférez choisir un établissement scolaire qui correspond aux attentes de votre enfant ou suivre la carte scolaire décidée… Par qui d’ailleurs ?

    Restons d’abord au niveau du quotidien du citoyen lambda. Ma dernière conversation avec mes amis de gauche portait sur le libéralisme et sa promesse de liberté. Nous sommes en pleine crise énergétique et arrive sur la table le sujet du moment.

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  10. Je cite :

    « Donc, d’après toi, les gens devraient avoir le choix de leur fournisseur d’énergie, d’eau, faire jouer la concurrence ? Pourtant l’eau est absolument indispensable, vitale et de très haute valeur sociétale. Moi je pense, dit mon ami de gauche, que l’eau et l’électricité devraient être un bien public, national, pour lequel tout le monde en France devrait payer le même prix. D’ailleurs, ajoute-t-il, il n’y a aucune raison objective à ce que le prix de l’eau ou de l’électricité soit différent d’une ville à l’autre. »

    Je ne suis pas spécialiste mais il a sûrement raison. Globalement l’adduction et le traitement de l’eau, sauf cas particulier, me paraît être un processus technique reproductible à l’identique à peu près partout et donc facturable au même prix. Mais je laisserai les spécialistes venir éclairer notre lanterne.

    L’intéressant de cette conversation c’est la position libérale face à cette situation. Doit-on laisser l’eau et l’énergie au marché ou les réguler nationalement pour que chacun en profite avec équité et égalité ?

    La liberté de choix permet de répondre à cette question.

    Avons-nous le choix de notre fournisseur d’eau ? Non. Il est impossible de brancher trois fournisseurs d’eau par maison et donc de laisser le choix au consommateur.

    Même pour l’énergie, je ne crois pas que l’on soit un traître à la cause libérale si on décide que le marché de l’électricité n’est pas un marché libre. Les investissements à venir sont gigantesques, complexes à rentabiliser à des tarifs acceptables par tous. Et de toute manière nous obtiendrons un marché qui n’en sera pas vraiment un mais plutôt un partage des capacités de production. Partant du principe que l’électricité ne se stocke pas, difficile d’en faire un marché libre et non contraint.

    Là encore, il n’y aura pas trois boutons à la maison pour chacun des fournisseurs. On se retrouve un peu dans la situation des transports publics théoriquement mis en concurrence mais qui ne sont en fait que délégués pour un temps donné. C’est assez logique d’ailleurs pour les lignes de TER ou les bus, je ne vais pas choisir mon TER entre trois fournisseurs, je prends celui en fonction de mon heure d’arrivée à destination, quel que soit le transporteur. A contrario, si je pars en vacances ou pour un voyage d’affaires aux USA, je peux modifier mes horaires de voyage pour profiter des services d’une compagnie aérienne plutôt qu’une autre. D’ailleurs ce système fonctionne très bien sur la ligne TGV Paris-Lyon. Dans ce cas, l’offre est effectivement équitable et un choix s’offre au client.
    Pour rester sur le dossier énergie, on a laissé le sujet des éoliennes au secteur privé subventionné ce qui est un non-sens industriel. La localisation des éoliennes n’est pas liée à l’offre et la demande mais à la quantité de vent, ce qui en fait une utilité qui doit être implantée là où le vent souffle le plus.

    La liberté de choix offre la liberté au client et au citoyen. Avoir le choix est un des éléments clés de la liberté individuelle. La vocation d’un gouvernement libéral sera de multiplier ces possibilités de choix et de les créer là où objectivement elles apporteront un confort nécessaire ; en redonnant le choix d’accès aux services publics par exemple. Arrêter la marche forcée vers les applications et offrir le choix du présentiel ou du distanciel.

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  11. Trop de choix peut réduire la liberté

    Choisir, c’est faire le choix de la frustration, décider une direction plutôt qu’une autre et donc se priver de certaines possibilités offertes par l’autre solution. Apprendre à gérer ces frustrations, c’est grandir, devenir adulte et devenir libre. Sans ce processus, on reste éternellement insatisfait à moins d’imaginer un monde entièrement débarrassé de toute contrainte.

    Alors un gouvernement libéral devra aussi limiter certains choix.

    Par exemple, la double nationalité : on a une nationalité et pas deux. C’est trop facile de jouer sur les deux tableaux.

    Le pantouflage : un fonctionnaire qui part pour le privé ne redevient pas fonctionnaire et inversement. Un conseiller politique du ministre part définitivement dans le privé. Sans billet retour. Au passage, un gouvernement libéral devra très sérieusement réduire le nombre de ces conseillers, très sérieusement étant un très sérieux euphémisme. Ça règlera le problème du pantouflage, il y aura beaucoup de pantoufles et peu de pieds.

    Autre situation : un entrepreneur qui fait des choix ne peut pas venir réclamer de l’argent à l’État en cas d’erreur. Dans un monde libéral les décisions sont le seul fait des individus qui doivent donc en supporter les conséquences. Le seul moyen de compenser peut être l’assurance privée, pas l’argent du contribuable.

    Pour parvenir à cette possibilité de choix l’éducation doit redevenir une priorité : pas en termes de moyens, car elle est déjà le plus gros budget de la nation mais en termes d’investissement du personnel, d’implication des établissements et de projets innovants. La liberté de décision doit être redonnée aux établissements. Même les classements aux résultats doivent être supprimés car ils conditionnent le comportement. Si l’État fait confiance à ses fonctionnaires pour assurer leur mission, le contrôle peut être réduit très fortement.

    Pour choisir il faut être informé. Le rôle d’un gouvernement libéral n’est pas d’informer ses citoyens mais de garantir que cette information est équitable et disponible.

    Sans le soutien permanent de l’État à « l’information », la recherche d’informations individuelle devient capitale. L’information du citoyen relève de sa propre responsabilité et l’autonomie de décision qu’entraîne l’autonomie de l’information lui redonne cette liberté. Avec les risques que cela comporte mais vivre libre c’est aussi vivre avec le risque de se tromper.

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  12. Cette manière de voir va à l’encontre des deux principaux systèmes actuellement proposés aux Français lors des élections : la social-démocratie macronienne qui propose de protéger les Français et le néocommunisme basé sur la planification d’État.

    D’un côté un État nounou qui occupe le rôle d’adulte que la population souhaite lui déléguer.

    De l’autre un État organisateur qui prend la place des citoyens et les relègue au rang d’exécutant.

    Un État libéral devra redonner le pouvoir de décision au peuple. La période de transition sera longue tant l’opération d’infantilisation a été efficace mais elle est nécessaire. La croyance fondamentalement fausse des régimes dirigistes est de croire et faire croire que la centralisation fonctionne.

    C’est faux. La centralisation fonctionne quand l’objectif et les solutions sont connus, éprouvés et simples. Pour tout le reste, le plus efficace est le bouillonnement créatif de la liberté, l’essai-erreur qui conduit à trouver une solution innovante.

    On parle beaucoup en ce moment de quiet quitting, de démobilisation et de démotivation des Français. Ils seraient les effets des confinements et l’angoisse de la guerre en Ukraine. C’est faux. La démotivation française est l’effet collatéral de l’infantilisation et de la déresponsabilisation. Le retour de la décision individuelle permettra aussi le retour de la motivation.

    Dans tous les cas, laisser la décision à l’individu réduira drastiquement la quantité de lois votées chaque année en réservant le travail législatif aux lois sociétales et en arrêtant d’utiliser le temps de débat pour des questions que chacun pourra prendre en charge.

    https://www.contrepoints.org/2022/12/19/445919-la-liberte-est-elle-un-projet-liberal

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    1. En France la devise (affichée aux frontons des mairies) est 'Liberté, égalité, fraternité'. Ce sont là des objectifs à atteindre aussi cons que de marquer 'Demain on rase gratis' ! Car, il ne peut y avoir de liberté sans Démocratie ! Or, la France est une république où seulement l'espoir anime la volonté d'être un jour une Démocratie et donc d'être libre. Pour ce qui est de 'égalité, fraternité'... Ahahahaha ! là, faudra savoir ce qu'est l''égalité' !! Entre être tous des cons ou d'être tous intelligents y a un très grand pas à faire ! quant à la fraternité on en a rien à foutre hors cercles de pédés.

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  13. Les pays du monde comparés selon 20 mesures clés


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 18 DÉCEMBRE 2022 - 01:00


    Quels pays ont les plus grandes populations ? Qu'en est-il du clivage de la population rurale par rapport à la population urbaine ? Et quels pays ont le produit intérieur brut (PIB), les dépenses militaires ou les exportations technologiques les plus élevés ?

    Au lieu de comparer les pays selon une métrique, Carmen Ang de Visual Capitalist présente cette animation et cette série de graphiques d'Anders Sundell utilise 20 catégories différentes de données de la Banque mondiale pour comparer les pays.

    - voir carte sur site -

    Les données proviennent de juillet 2022 et contiennent les dernières données disponibles pour chaque pays.

    Ci-dessous, nous fournissons un contexte sur huit des 20 catégories et partageons quelques faits sur les pays les mieux classés pour chaque catégorie.

    Top 10 des pays du monde par PIB

    - voir carte sur site -

    Avec un PIB de près de 23 billions de dollars en 2021, les États-Unis ont la plus grande production économique de tous les pays du monde. Alors que la Chine est actuellement deuxième sur la liste, certaines projections prévoient que le PIB nominal de la Chine dépassera celui des États-Unis dès 2030.

    Et encore plus évident sur cette carte est le poids de la puissance économique des pays occidentaux et de quelques pays asiatiques. L'Afrique, l'Amérique du Sud et le reste de l'Asie sont minuscules en revanche.

    Top 10 des pays du monde par population

    - voir carte sur site -

    La Chine se classe au premier rang des pays les plus peuplés du monde, avec une population de 1,4 milliard d'habitants. La Chine est le pays le plus peuplé du monde depuis plus de 300 ans, mais cela pourrait changer dans un proche avenir.

    Selon les dernières perspectives démographiques de l’ONU, la population indienne devrait dépasser celle de la Chine dès 2023. Cependant, on ne sait toujours pas quelles seront les conséquences de ce changement.

    Top 10 des pays du monde par population de 65 ans et plus

    - voir carte sur site -

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  14. Alors que la Chine occupe également la première place en ce qui concerne la population totale de personnes âgées, il convient de noter que le Japon a une plus grande population par habitant de personnes âgées de 65 ans et plus.

    Selon le Population Reference Bureau, près de 12 % de la population chinoise a 65 ans ou plus, tandis qu'au Japon, plus de 28,2 % des personnes ont 65 ans et plus.

    Top 10 des pays du monde par population urbaine

    - voir carte sur site -

    Jusqu'à la révolution industrielle, la majeure partie de la population mondiale vivait dans des zones rurales. Mais au début des années 1900, l'urbanisation a commencé à monter en flèche, et maintenant plus de la moitié de la population mondiale vit dans les villes.

    L'urbanisation de la Chine a vraiment décollé dès le début des réformes économiques du pays à la fin des années 1970. En 2021, la population urbaine chinoise d'environ 861 millions de personnes représentait 63% de sa population totale.

    Top 10 des pays du monde par population rurale

    - voir carte sur site -

    De nombreux pays d'Asie et d'Afrique de l'Est se hissent au premier plan lorsqu'il s'agit de comparer la population rurale, mais l'Inde détient facilement la plus grande part du monde avec environ 898 millions d'habitants.

    Selon les chiffres de 2021, environ 65 % de la population indienne est rurale. Il s'agit en fait d'une baisse significative par rapport aux années 1960, lorsque la population rurale du pays représentait 82 % de sa population totale.

    Pourtant, c'est encore nettement plus élevé que dans les pays occidentaux. Par exemple, seulement 17 % de la population américaine vit dans les zones rurales.

    Top 10 des pays du monde par superficie

    - voir carte sur site -

    Lorsqu'il s'agit de comparer les pays par taille, la Russie arrive en tête avec une superficie de 16,4 millions de kilomètres carrés, soit près de 2 fois plus grande que la Chine, qui arrive en deuxième position sur la liste.

    Selon National Geographic, la Russie est si grande qu'elle représente un dixième de toutes les terres sur Terre. Le pays a 11 fuseaux horaires différents, ainsi que des côtes sur trois océans distincts.

    Pourquoi le Canada n'est-il pas classé deuxième ? Bien qu'il soit généralement reconnu comme le deuxième plus grand pays du monde, environ 8,9 % de sa superficie totale est constituée d'eau. En masse terrestre pure, la Chine et les États-Unis ont un avantage.

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  15. Top 10 des pays du monde par exportations de carburant

    - voir carte sur site -

    Les États-Unis se classent au premier rang mondial des exportateurs de carburant, suivis de près par les Émirats arabes unis.

    Selon l'American Petroleum Institute, le secteur pétrolier et gazier est responsable d'environ 8 % de la production économique totale des États-Unis, mesurée par le PIB.

    Et cette carte met également en évidence les nombreux autres pays qui dépendent de l'énergie pour leur PIB. Cela comprend des membres de l'OPEP comme l'Arabie saoudite, le Venezuela et l'Iran, ainsi que des exportateurs d'énergie bien connus comme la Norvège et la Russie.

    Top 10 des pays du monde par émissions de gaz carbonique

    - voir carte sur site -

    Alors que la Chine se classe au premier rang des plus grands 'émetteurs de carbone au monde', il convient de mentionner que le pays ne figure même pas dans le top 10 en ce qui concerne les émissions de carbone par habitant.

    Cela étant dit, les émissions annuelles de la Chine de 10,7 milliards de tonnes de gaz carbonique représentent une part massive des émissions mondiales. Ils sont plus du double du deuxième plus grand émetteur, les États-Unis.

    Comparer les pays par d'autres mesures

    Cette série de graphiques montre 20 mesures distinctes de comparaison de pays, mais ce ne sont que quelques-uns des centaines d'exemples possibles.

    Des différentes mesures économiques telles que les envois de fonds, l'emploi et le PIB à la multitude de facteurs que l'on peut trouver dans un recensement démographique, chaque comparaison peut donner des résultats différents et apporter de nouveaux éclairages sur les relations entre les pays.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/worlds-countries-compared-20-key-metrics

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    1. (...) Selon les dernières perspectives démographiques de l’ONU, la population indienne devrait dépasser celle de la Chine dès 2023. Cependant, on ne sait toujours pas quelles seront les conséquences de ce changement. (...)

      Il figure que, l'Inde (qui devrait dépasser son nombre d'habitants par pays) est d'un QI bien inférieur à celui de l'Afrique !!

      (...) Cela étant dit, les émissions annuelles de la Chine de 10,7 milliards de tonnes de gaz carbonique représentent une part massive des émissions mondiales. Ils sont plus du double du deuxième plus grand émetteur, les États-Unis. (...)

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html

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  16. Le maire de Denver déclare l'urgence et déclare que la ville est "sur le point d'atteindre le point de rupture" au milieu de l'afflux d'immigrants illégaux


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2022 - 23H30
    Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times


    La ville de Denver a déclaré jeudi l'état d'urgence afin d'éviter une crise humanitaire locale au milieu d'un afflux d'étrangers illégaux en provenance de la frontière sud, principalement d'El Paso, au Texas.

    Le maire Michael Hancock, un démocrate, a publié la déclaration alors que plusieurs centaines d'étrangers illégaux, principalement d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, sont arrivés dans l'État au cours des seuls derniers jours.

    "Permettez-moi d'être franc : cet afflux de migrants, la nature imprévue de leur arrivée et nos défis actuels en matière d'espace et de personnel ont mis à rude épreuve les ressources de la ville au point qu'elles sont sur le point d'atteindre un point de rupture à ce stade. temps », a déclaré Hancock lors d'une conférence de presse jeudi.

    "Ce que je ne veux pas voir, c'est une crise humanitaire locale de migrants sans abri sur nos mains en raison d'un manque de ressources", a ajouté le maire.

    Selon le bureau de Hancock, plus de 900 extraterrestres sont arrivés à Denver au cours des derniers mois, dont plus de 600 personnes depuis le 2 décembre.

    247 autres étrangers sont arrivés depuis lundi seulement, tandis que 75 se sont présentés dans un refuge local pour sans-abri dans la nuit de jeudi soir, selon son bureau.

    Denver « sur le point d'atteindre le point de rupture »

    Environ 404 étrangers sont actuellement hébergés dans les abris d'urgence de la ville, dont 102 dans des églises et des sites d'hébergement à but non lucratif, a indiqué le bureau du maire.

    La "nature anticipée" de l'arrivée de l'afflux d'étrangers illégaux a exercé une pression extrême sur les efforts de la ville pour les abriter, conduisant à un espace limité qui est encore exacerbé par un manque de personnel, a déclaré le bureau de Hancock lors de la conférence de presse de jeudi, notant que le temps hivernal devait aggraver la situation.

    Hancock a ajouté que Denver est actuellement "au niveau où nous sommes sur le point d'atteindre le point de rupture en ce moment".

    "La déclaration est un autre outil dans la boîte à outils pour aider à servir le nombre croissant de migrants arrivant à Denver, en particulier à l'arrivée de l'hiver", a déclaré Hancock.

    En vertu de la déclaration d'urgence, le gouverneur Jared Polis, un démocrate, sera alerté que Denver promulgue l'état d'urgence.

    Denver pourra alors accéder à des ressources d'urgence supplémentaires pour aider à gérer l'afflux d'étrangers, et pourra également continuer à demander une aide financière à diverses sources de financement.

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  17. Hancock a déclaré qu'en collaboration avec des partenaires communautaires et avec l'aide d'églises et d'organisations à but non lucratif locales, la ville continue de fournir aux étrangers - dont la majorité viennent dans la ville après être entrés aux États-Unis via El Paso, Texas - un abri d'urgence.

    Hancock vise l'administrateur de Biden

    Denver a déjà déboursé plus de 800 000 $ pour l'effort d'hébergement d'étrangers illégaux, et ce nombre devrait augmenter considérablement.

    La majorité des extraterrestres qui sont arrivés à Denver viennent du Venezuela, selon Hancock, et fuient une crise politique et humanitaire dans leur pays d'origine.

    Le maire a pris pour cible l'administration Biden pour ne pas avoir abordé la "situation critique" ou répondu de manière adéquate, bien qu'elle en soit consciente.

    "Nous sommes actuellement à un point critique et les villes de tout le pays sont obligées de faire face à quelque chose que nous ne sommes pas équipés pour faire face", a-t-il déclaré.

    La déclaration du maire intervient peu de temps avant la fin du programme Titre 42 de l'ère Trump qui permettait aux agents de la patrouille frontalière de renvoyer immédiatement les étrangers illégaux dans leur pays s'ils étaient jugés constituer une menace pour la santé au milieu de la pandémie de COVID-19.

    Le titre 42, qui a contribué à endiguer la vague d'immigration clandestine et a été utilisé des millions de fois pour expulser des étrangers depuis mars 2020, devrait prendre fin le 21 décembre.

    Le département de la Sécurité intérieure a dévoilé un plan (pdf) pour aider à faire face à l'afflux de migrants tentant d'entrer aux États-Unis une fois le titre 42 supprimé, notamment en comblant les lacunes le long du mur frontalier sud-ouest, en créant davantage de tentes de détention temporaire et en augmentant les poursuites. de contrebandiers.

    Cependant, le département a déclaré qu'il s'attend à ce qu'environ 9 000 à 14 000 étrangers en situation irrégulière traversent la frontière quotidiennement.

    https://www.theepochtimes.com/denver-mayor-declares-emergency-says-city-on-verge-of-reaching-breaking-point-amid-influx-of-illegal-immigrants_4927847.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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    1. La question est de savoir pourquoi y a t-il CETTE INVASION D’IMMIGRÉS !
      La réponse est: Que la nature des pays d'immigrés n'est de l'ordre alimentaire, climatique ! ou en situation de guerre !
      La réponse est: PAIEMENT DE TOUTES LES PERSONNES A QUITTER LE 'CHEZ SOI' !
      Cette force est à l'esprit 'incommensurable' ! Comment osent-ils ??!
      NON ! Ce n'est PAS la 'nature humaine' qui est en cause mais sa perversion !
      INADMISSIBILITÉ du genre humain développé.

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  18. Le gouverneur du Texas, Abbott, demande une enquête d'État sur les ONG qui aident les immigrants illégaux à traverser la frontière


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2022 - 21:30
    Écrit par Mark Tapscott via The Epoch Times


    Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, demande au procureur général de l'État d'ouvrir une enquête sur les organisations non gouvernementales (ONG) qui aident les immigrants illégaux qui traversent la frontière depuis le Mexique.

    "À quelques jours de la fin du titre 42, le nombre d'immigrants illégaux traversant la frontière entre le Texas et le Mexique a atteint un niveau record", a déclaré Abbott, un républicain, au procureur général du Texas, Ken Paxton, dans une lettre rendue publique le 13 décembre. 15. "En effet, dimanche dernier, sur une période de 24 heures, plus de 2 600 immigrants illégaux ont traversé la frontière près d'El Paso et sont entrés illégalement au Texas. Ces chiffres sont susceptibles d'augmenter dans les semaines à venir.

    La référence d'Abbott au titre 42 concerne une ordonnance d'urgence de santé publique émise par le président Donald Trump pour arrêter la propagation du COVID-19 à travers la frontière sud qui a autorisé les agents fédéraux à renvoyer les immigrants traversant la frontière vers le Mexique pour attendre le traitement de leurs cas, y compris les réclamations de demander l'asile aux États-Unis. Un tribunal fédéral a décidé plus tôt cette année que l'ordonnance serait suspendue le 21 décembre.

    « Mais alors que les faits sur le terrain continuent de changer, nous devons rester vigilants dans notre réponse à cette crise. Il y a eu des rapports récents selon lesquels des organisations non gouvernementales (ONG) pourraient avoir aidé à franchir illégalement la frontière près d'El Paso », a déclaré Abbott à Paxton.

    « Nous comprenons en outre que des ONG peuvent être impliquées dans l'orchestration illégale d'autres passages frontaliers par le biais d'activités des deux côtés de la frontière, y compris dans des secteurs autres qu'El Paso. À la lumière de ces rapports, je demande au bureau du procureur général du Texas d'ouvrir une enquête sur le rôle des ONG dans la planification et la facilitation du transport illégal d'immigrants illégaux à travers nos frontières.

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  19. La lettre d'Abbott à Paxton intervient un jour après que le projet de surveillance de la Heritage Foundation a rendu publics les résultats d'une analyse massive de plus de 30 000 appareils cellulaires anonymisés utilisés par des immigrants illégaux après être entrés aux États-Unis et avoir reçu des soins et des services de réinstallation via des installations d'ONG.

    Le projet Heritage a suivi les appareils dans presque tous les districts du Congrès du pays, selon Mike Howell, directeur du projet de surveillance de la fondation conservatrice.

    « Nous avons maintenant la preuve indéniable que les ONG sont le partenaire de l'administration Biden pour faciliter et perpétuer cette crise frontalière historique. Ce qui est le plus honteux, c'est que ces ONG utilisent non seulement l'argent des contribuables pour compléter le dernier maillon de l'opération de trafic d'êtres humains des cartels de la drogue, mais aussi des fonds donnés par des Américains à travers le pays qui n'ont aucune idée que leurs dons caritatifs sont utilisés à cette fin, », a déclaré Howell dans un communiqué.

    «Ils travaillent main dans la main avec les défenseurs des frontières ouvertes de l'administration Biden pour réinstaller un nombre incalculable d'étrangers illégaux à travers ce pays chaque mois, faisant volontairement avancer l'objectif de la gauche de remodeler l'électorat américain et de faire avancer leurs objectifs politiques.

    "Ces organisations n'ont rien à faire avec un tel comportement. Ils devraient faire l'objet d'une enquête, être tenus pour responsables et être financés. Et ne vous y trompez pas, le projet de surveillance ne fait que commencer en montrant le rôle que ces groupes jouent non seulement dans la poursuite de cette crise frontalière historique, mais aussi dans l'alimentation du modèle commercial des cartels et l'encouragement de millions d'individus à se soumettre à la misère, à la souffrance, et la mort le long du voyage vers la frontière. Nous sommes prêts et disposés à coopérer avec les forces de l'ordre du Texas pour transmettre des informations sur ce que nous trouvons.

    Il existe des dizaines d'ONG impliquées de diverses manières dans l'aide aux immigrants qui arrivent aux États-Unis. Il n'est pas illégal de fournir de tels soins et services aux immigrants légaux, mais plusieurs lois fédérales peuvent être enfreintes lorsque des immigrants illégaux sont impliqués.

    Parmi ces ONG, selon l'État de Californie, figurent Amnesty International USA, Catholic Charities USA, Médecins sans frontières, Human Rights Watch, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et le Refugee Council USA.

    Bon nombre de ces ONG reçoivent un financement important du gouvernement fédéral, dont une partie pourrait être utilisée pour fournir des soins et des services aux immigrants. Mais le suivi de ces financements vers des installations spécifiques pour immigrants n'est pas une tâche facile.

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  20. Une recherche sur USASpending.gov, le site Web officiel qui permet au public d'accéder à des informations sur environ 70 % de toutes les dépenses fédérales, pour les impôts versés aux organismes de bienfaisance catholiques, par exemple, sous la forme de contrats et de subventions, a révélé plus de 3 000 réponses distinctes. actions fédérales totalisant 1,2 milliard de dollars.

    Parmi ces actions fédérales, 210 étaient au Texas avec une valeur de près de 260 millions de dollars. Plus de 256 millions de dollars de ce total ont été engagés pour des programmes impliqués dans diverses formes d '«assistance aux réfugiés et aux entrants».

    Un porte-parole de Catholic Charities USA n'a pas répondu dans les délais de presse à une demande de commentaire d'Epoch Times.

    https://www.theepochtimes.com/texas-gov-abbott-calls-for-state-probe-of-ngos-aiding-illegal-immigrants-crossing-border_4926339.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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    1. NON-NON-NON ! C'est immigrés ne se déplacent pas de leur plein gré !

      Ils sont payés ! SURPAYÉS ! pour immigrer en des pays où l'herbe y serait plus verte !!

      NON ! Une nappe d'eau ne pour fournir de l'eau à 8 milliards de personnes ! Ces nappes se reremplissent à leurs rythmes comme le font toute les nappes de pétrole.

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  21. 5 points chauds mondiaux qui pourraient absolument exploser au cours des premières étapes de 2023


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2022 - 17:30
    Écrit par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,


    2023 sera-t-elle une année où des conflits extrêmement destructeurs éclateront partout dans le monde ? Nous vivons certainement déjà à une époque de "guerres et de rumeurs de guerres", et les tensions approchent actuellement du point d'ébullition dans un certain nombre de points chauds mondiaux clés. Si plusieurs autres conflits majeurs devaient soudainement éclater l'année prochaine, nous pourrions potentiellement assister à une longue période d'instabilité géopolitique qui ne ressemblerait à rien de ce que nous avons jamais vu. Il est facile de déclencher des guerres, mais il est beaucoup plus difficile d'y mettre fin. Si vous en doutez, regardez simplement ce qui se passe en Ukraine. Il n'y a pas de fin en vue pour ce conflit, et il y a plusieurs autres guerres qui pourraient littéralement éclater à tout moment.

    Voici 5 points chauds mondiaux qui pourraient absolument exploser au début de 2023…

    #1 Serbie

    Êtes-vous prêt pour une autre guerre dans les Balkans ? Les tensions ethniques ont atteint leur plus haut niveau depuis plus de deux décennies, et le président de la Serbie vient de convoquer une réunion d'urgence de son conseil de sécurité nationale...

    Le président serbe Aleksandar Vučić a rencontré son conseil de sécurité nationale alors que les tensions montent au Kosovo entre les autorités et les Serbes de souche.

    Samedi, une grenade assourdissante a été lancée sur la police de l'UE dans le nord du Kosovo, où les Serbes forment la majorité, et la police locale a échangé des tirs avec des groupes inconnus.

    Les Serbes de souche ont mis en place des barrages routiers après le déploiement de la police kosovare dans un différend sur les plaques d'immatriculation des voitures.

    Certains dans la région pensent désormais que la guerre est "inévitable", et le Kosovo demande déjà à l'OTAN d'intervenir...

    Lors d'une conférence de presse à Pristina, la capitale du Kosovo, dimanche, le Premier ministre Albin Kurti a demandé à la Force du Kosovo (KFOR), une force internationale de maintien de la paix dirigée par l'OTAN, de garantir la "liberté de mouvement", alors qu'il accusait les "gangs criminels" de bloquer les routes.

    Une paix fragile a été préservée au Kosovo depuis qu'il a déclaré son indépendance de la Serbie en 2008 à la suite de la guerre de 1998-99 dans laquelle l'OTAN est intervenue pour protéger la majorité albanaise du Kosovo. La Serbie ne reconnaît pas l'indépendance du Kosovo.

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  22. #2 La frontière contestée entre la Chine et l'Inde

    Mardi, nous avons appris qu'il y avait eu un énième affrontement violent le long de la frontière très disputée entre la Chine et l'Inde…

    Des soldats indiens et chinois se sont affrontés la semaine dernière le long de leur frontière contestée, a déclaré mardi le ministre indien de la Défense, lors des dernières violences le long de la frontière contestée depuis juin 2020, lorsque des soldats des deux pays ont été tués dans une bagarre meurtrière.

    Rajnath Singh, qui s'est adressé aux législateurs au parlement, a déclaré que la rencontre de vendredi dans le secteur de Tawang, dans l'est de l'État d'Arunachal Pradesh, avait commencé lorsque les troupes chinoises "ont empiété sur le territoire indien" et "ont tenté unilatéralement de changer le statu quo" le long de la frontière contestée près du Yangtze.

    Les Chinois ne semblent tout simplement pas en mesure d'arrêter de provoquer l'Inde, et un conflit à part entière entre les deux nations pourrait devenir incontrôlable très rapidement.

    Espérons que cela ne se produise pas, car la Chine et l'Inde possèdent toutes deux des armes nucléaires.

    #3 Taïwan

    Depuis longtemps, nous sommes prévenus que la Chine finira par envahir Taïwan.

    Malheureusement, les tensions dans la région ne font que s'aggraver, et mardi, les Chinois ont envoyé plus de bombardiers dans la zone de défense aérienne de Taïwan que jamais auparavant...

    La Chine a envoyé un nombre record de 18 bombardiers à capacité nucléaire dans la zone de défense aérienne de Taïwan, a déclaré Taipei mardi 13 décembre, quelques jours seulement après que Pékin a interdit davantage d'importations taïwanaises dans le dernier signe de détérioration des liens.

    Taïwan démocratique vit sous la menace constante d'une invasion par la Chine, qui considère l'île autonome comme faisant partie de son territoire à s'emparer un jour.

    #4 L'Iran

    Il y aura une guerre entre l'Iran et Israël.

    Bien sûr, Tsahal frappe déjà régulièrement les forces soutenues par l'Iran à l'intérieur de la Syrie, mais nous devrions être reconnaissants qu'une guerre à grande échelle dans laquelle des missiles volent dans les deux sens entre les deux nations n'ait pas encore commencé.

    Malheureusement, nous sommes plus proches que jamais de ce point. En fait, on rapporte qu'Israël prévient en fait qu'il pourrait bombarder l'aéroport de Beyrouth "s'il détermine que l'Iran fait de la contrebande d'armes sur des avions civils"...

    Selon les médias israéliens, Israël a averti le Liban que les Forces de défense israéliennes pourraient bombarder l'aéroport de Beyrouth s'il est déterminé que l'Iran fait de la contrebande d'armes sur des avions civils destinés au groupe terroriste Hezbollah. La contrebande d'armes présumée a été rapportée par un journal en langue arabe basé à Londres, Asharq Al-Awsat, qui a cité des sources israéliennes qui ont déclaré qu'Israël avait émis l'avertissement.

    Lorsqu'une guerre à grande échelle entre l'Iran et Israël commencera enfin, il n'y aura aucune retenue de part et d'autre.

    La mort et la destruction qu'une telle guerre causera choqueront le monde entier, et le commerce mondial du pétrole sera plongé dans un état de chaos complet et absolu.

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  23. #5 L'Ukraine

    Les États-Unis et la Russie continuent d'aggraver l'horrible conflit en Ukraine.

    Maintenant que la Russie bombarde le réseau électrique ukrainien, les États-Unis choisissent de répondre en donnant des systèmes de missiles Patriot aux Ukrainiens…

    Les responsables du Pentagone en sont aux dernières étapes de la préparation d'un plan visant à envoyer un système de missiles de défense aérienne Patriot en Ukraine pour contrer les assauts aériens russes, ont déclaré des responsables américains à CBS News.

    Le plan n'a pas encore été approuvé par le Pentagone ou la Maison Blanche, mais cela pourrait arriver dès cette semaine.

    Cela représente une escalade majeure, et il est également rapporté que l'administration Biden a donné au gouvernement ukrainien le feu vert pour mener des frappes de drones au plus profond de la Russie.

    Inutile de dire que les Russes ne sont pas du tout satisfaits d'avoir à faire face à des frappes de drones au plus profond de leur propre territoire. En fait, certaines voix russes éminentes avertissent que les États-Unis et la Russie se rapprochent dangereusement de l'impensable. Ce qui suit provient d'une source d'information britannique…

    Les hommes de main de Mad Vlad Poutine ont tiré un coup de semonce indiquant que le conflit en Ukraine pourrait se transformer en une «guerre nucléaire à grande échelle».

    Ils ont fait des commentaires sévères après que les États-Unis ont donné le feu vert à Kiev pour lancer des frappes de drones en Russie.

    Nous ne voyons pas de telles discussions à la télévision américaine.

    L'administration Biden continue de nous assurer que le risque de guerre nucléaire est extrêmement faible, mais les Russes voient les choses très différemment…

    Une source dans le cercle de Poutine a déclaré : "C'est jouer avec le feu, risquer une guerre à grande échelle qui pourrait facilement devenir nucléaire".

    Un autre a ajouté : « Qui va maintenant donner le feu vert à Moscou pour des frappes contre les centres de décision ukrainiens ?

    La plupart des gens n'auraient jamais imaginé que la Première Guerre mondiale deviendrait aussi mauvaise.

    Et la plupart des gens n'auraient jamais imaginé que la Seconde Guerre mondiale entraînerait des dizaines de millions de morts.

    Nous sommes maintenant entrés dans les premières étapes d'une troisième guerre mondiale, et cette fois, les principaux participants sont armés d'armes nucléaires.

    Si nous ne nous retirons pas du bord du gouffre, les conséquences pourraient potentiellement être bien au-delà de ce que la plupart des gens pourraient même imaginer en ce moment.

    Alors prions pour la paix, car une guerre mondiale dans laquelle des centaines de millions de personnes meurent n'est pas une option acceptable.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/5-global-flashpoints-which-could-absolutely-explode-during-early-stages-2023

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  24. La drôle de crise de l'azote : les Pays-Bas sont le point zéro du programme contre la famine mondiale. Précipiter « 30 000 agriculteurs à la faillite »

    Le gouvernement, Bill Gates et le secteur agricole du pays


    Par TheCOVIDBlog.com
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Avant de plonger là-dedans, il est important de comprendre l'azote et son rôle sur Terre. L'air que les êtres humains respirent est composé à 78 % d'azote, à 22 % d'oxygène et à 1 % d'autres substances. Les humains ont respiré de l'azote tout au long de leur existence sur Terre. La plupart de l'azote dans l'atmosphère terrestre est constitué de molécules N2, qui sont pour la plupart inertes (chimiquement non réactives). Les oxydes d'azote, tels que l'ammoniac (NH3) et l'oxyde nitrique (NO) sont les «mauvais» azotes qui, selon les gens du changement climatique, nous tueront tous . Mais ne pas avoir de nourriture nous tuera tous beaucoup plus rapidement.

    Les oxydes d'azote font partie de la vie sur Terre. L'oxyde nitreux (N2O), alias «gaz hilarant» et « whippets », est le troisième oxyde d'azote le plus abondant dans l'air, selon l'Agence américaine de protection de l'environnement . Les sources naturelles de N2O, y compris les océans et le sol sous la végétation naturelle, représentent 62 % de tout le N2O. Le dioxyde d'azote (NO2) et l'oxyde nitrique (NO) sont les deux oxydes d'azote les plus répandus. La plupart du NO2 provient de la fumée de tabac, des poêles et des appareils de chauffage. Les principales sources de NO sont la combustion de combustibles fossiles et l'ajout d'engrais au sol.

    Il est vrai que la plus grande contribution humaine d'oxydes d'azote est l'agriculture. Mais une étude réalisée en 2017 par l'Université de Virginie et The Organic Center a révélé que l'agriculture biologique (c'est-à-dire l'utilisation de fumier et de compost comme engrais et pas de pesticides chimiques) réduit les nouvelles émissions d'azote réactif de 64 % par rapport à l'agriculture « conventionnelle ».

    Pourtant, moins de 1 % des terres agricoles américaines et seulement 4 % des terres agricoles néerlandaises sont certifiées biologiques. Pendant ce temps , des sociétés géantes – Monsanto/BASF, DuPont/Dow et Syngenta/ChemChina – fabriquent tous ces pesticides toxiques et possèdent toutes les graines plantées pour les aliments via des brevets. Ces trois sociétés contrôlent l'ensemble de l'industrie agricole mondiale.

    Si les émissions d'oxyde d'azote étaient véritablement une préoccupation mondiale, les pouvoirs en place (TPTB) pourraient simplement fermer les entreprises susmentionnées et investir dans l'agriculture biologique. Mais nous savons tous que le véritable souci de l'humanité n'est pas, n'a jamais été et ne sera jamais une priorité pour ces personnes.

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  25. Les agriculteurs néerlandais luttent contre l'extinction

    Le Forum économique mondial fait la promotion d'un autre "bug chef". Joseph Yoon est le fondateur de Brooklyn Bugs à New York. Il parcourt le pays, cuisine des insectes, des chenilles, etc., et les mange devant les gens. Yoon est en affaires depuis 2017. Mais Klaus et sa société l'ont récemment approuvé dans le cadre du programme The Great Reset de "vous mangerez des insectes et vous l'aimerez".

    Pour que l'agenda des bogues fonctionne, les gens doivent avoir désespérément faim et avoir encore la volonté de vivre. TPTB doit non seulement conditionner les gens à croire que les insectes sont de la nourriture, mais aussi créer une famine mondiale qui forcera les gens à se conformer pour leur survie.

    Bill Gates est l'un des ingénieurs en chef. Il possède actuellement 242 000 acres de terres agricoles aux États-Unis.

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    Il a acheté 2 100 acres supplémentaires dans le Dakota du Nord en juin. L'objectif est d'acheter la terre et de la laisser en jachère dans le cadre de cette famine mondiale planifiée qui, selon nous, tuerait un milliard de personnes d'ici la fin de 2024. Les gens choisiront entre manger des insectes ou mourir de faim. Les Pays-Bas, un petit pays de seulement 18 millions d'habitants, sont essentiels à cet agenda génocidaire.

    Christianne van der Wal est la « ministre néerlandaise de l'azote et de la politique de la nature » ​​(oui, c'est un vrai poste au gouvernement). Elle et le Premier ministre (et membre du Forum économique mondial ) Mark Rutte ont évoqué une fausse crise qui appelle à « réduire les émissions d'azote » jusqu'à 70 % d'ici 2030. Certes, l'Union européenne aurait mis en place une sorte de plans d'atténuation des émissions d'azote depuis le années 1970. Mais rien n'a vraiment été fait pour y remédier depuis ce temps.

    Le plan néerlandais actuel prévoit de tuer 30 % du bétail du pays , ce qui mettrait 30 000 agriculteurs à la faillite et réduirait considérablement l'approvisionnement en viande en Europe et au-delà. Les agriculteurs restants seraient contraints de réduire les émissions d'azote de plus de 95 %, ce qui les mettrait également en faillite.

    Les Pays-Bas sont le deuxième exportateur agricole au monde après les États-Unis. C'est le plus grand exportateur de viande de l'Union européenne . Les agriculteurs néerlandais manifestent presque sans arrêt depuis juin. Mais les médias grand public en parlent à peine. Les agriculteurs ont bloqué les autoroutes avec leurs tracteurs et en épandant du fumier de vache et des balles de foin sur les routes. Des photos incroyables comme celles-ci ont circulé en ligne tout l'été.

    Les manifestations rappellent le convoi de camionneurs au Canada plus tôt cette année.

    Mais TPTB ne permettra pas aux manifestants d'interférer avec leurs objectifs. Comme les Australiens avant 2020, les Néerlandais ne sont pas habitués à ce que des voyous violents de la police les attaquent, comme c'est le cas aux États-Unis. Cela a commencé lors des manifestations de verrouillage du COVID fin 2021 et début 2022…

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  26. …et s'aggrave pendant les manifestations des agriculteurs.

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    Les flics tirent rarement avec des armes aux Pays-Bas. Mais ils ont ouvert le feu sur un gamin de 16 ans qui était tranquillement assis dans un tracteur début juillet.

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    L'objectif est d'effrayer les agriculteurs et leurs partisans dans la conformité et l'obéissance.

    Le facteur Bill Gates

    Christianne van der Wal est mariée à Piet van der Wal, le fils d' Okke van der Wal , décédé en 2019 . Okke était l'une des 500 personnes les plus riches des Pays-Bas, la majeure partie de cette richesse provenant des supermarchés Boni. La société possède 44 magasins aux Pays-Bas et un centre de distribution à Nijkerk. Bouke van der Wal , le frère de Piet, est techniquement répertorié comme le propriétaire de Boni maintenant. Mais c'est une affaire de famille.

    Picnic est un supermarché en ligne néerlandais avec 70 hubs de livraison et 10 centres de distribution aux Pays-Bas, en Allemagne et en France. La société a été fondée en 2015 par cinq familles riches, dont les van der Wal . Picnic s'occupe uniquement des commandes en ligne et de la livraison.

    Les clients ne peuvent pas entrer dans un magasin et acheter quoi que ce soit. La controverse a commencé en septembre 2021 lorsque la Fondation Bill et Melinda Gates a essentiellement acheté l'ensemble de l'entreprise pour 600 millions d'euros , soit environ 707 millions de dollars à l'époque. De plus, Picnic achète tous ses produits d'épicerie dans les supermarchés Boni.

    Ces conflits d'intérêts flagrants n'ont apparemment aucune importance. La «ministre de l'azote» Christianne a créé une politique visant à détruire le secteur agricole aux Pays-Bas, qui a exporté plus de 104 milliards d'euros de marchandises l'année dernière . Une fois ce secteur disparu, des millions d'Européens seront contraints d'acheter toutes leurs denrées alimentaires à Picnic/Boni, ce qui profite considérablement à la famille van der Wal. Et avec Bill Gates aux commandes, cela signifie beaucoup d'aliments à base d'insectes et créés en laboratoire au menu.

    Les Néerlandais savent et comprennent ce qui se passe. Deux centres de distribution Picnic ont été incendiés depuis décembre.

    Les étapes de l'acceptation du génocide

    Cela fait quelques jours que nous n'avons pas publié de nouveau contenu en raison du travail sur le livre The COVID Blog™. Une partie du processus consiste à revenir en arrière et à relire tous les messages et à ressentir l'ambiance générale aux moments respectifs.

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  27. En juin 2021, la plupart des histoires sur le blog concernaient des personnes mourant de diverses excuses #ABV . TPTB utilisait également toujours le terme «cas révolutionnaires», c'est-à-dire les soi-disant cas de COVID-19 malgré l'injection. Quatorze mois plus tard, nous écrivons rarement des histoires sur une seule victime car elle ne rend plus justice en articulant le génocide. Et le récit révolutionnaire a depuis longtemps été éliminé puisque presque tous les soi-disant cas de COVID-19 sont maintenant des personnes vaxxées.

    Une histoire du 21 juin 2021 sur 12 patients en maison de retraite décédés en Belgique a été la première et la seule fois où ce blogueur a mentionné ce site Web Deagel qui est devenu un peu un cliché. "Cela va être très intéressant de comparer la population mondiale de 2020 à 2021 à 2022", indique l'histoire. L'archive Deagel est alors liée. Il a bien sûr «prédit» en 2013 que les États-Unis perdraient 70 % de leur population d'ici 2025.

    Le site Web n'est plus jamais mentionné sur The COVID Blog ™ car personne ne sait à qui appartient Deagel. Il n'y a littéralement aucune information disponible sur qui ou ce qu'est le site. Il a également supprimé ces prédictions du site à la fin de 2020 ou au début de 2021. Il n'est disponible que dans les archives maintenant. En outre, Deagel a été mentionné dans un e-mail publié par Wikileaks en 2012 d'une société texane appelée Stratfor . Il fait des «renseignements mondiaux» pour les sociétés susmentionnées Dow, Lockheed Martin, Raytheon et d'autres sous-traitants militaires du gouvernement.

    Un raisonnement déductif conduit à la conclusion que Deagel.com est des révélations contrôlées par TPTB.

    Cela dit, vous n'avez pas besoin de sites Web anonymes pour savoir qu'un génocide se produit, en particulier lorsque vous le couvrez depuis le tout début. Ce blogueur savait que beaucoup de gens allaient mourir du génocide vaccinal. Mais ce n'est qu'en janvier 2022 que l'ampleur de ce génocide est devenue limpide. Les attaques contre l'approvisionnement alimentaire mondial sont des événements quasi quotidiens , tout comme la propagande « vous mangerez des insectes et vous aimerez ça ».

    Les Pays-Bas sont l'un des plus grands producteurs de denrées alimentaires au monde.

    Cette fois l'année prochaine, ce ne sera plus le cas. Et que ce soit par les décès post-injection ou la famine, des milliards de personnes mourront également d'ici là. Il est maintenant temps de passer totalement à ne manger que des aliments entiers (céréales, légumes, viande, etc.) à des fins d'atténuation. Tous les aliments transformés sont désormais suspects. Nous n'avons aucune idée de ce qu'ils mettent dans ce genre de choses. Et c'est absolument nauséabond de ne pas savoir si vous venez d'avaler des grillons, des asticots ou des sauterelles broyés.

    Restez vigilant et protégez vos amis et vos proches.

    https://www.globalresearch.ca/netherlands-now-ground-zero-global-famine-agenda-government-bill-gates-create-phony-nitrogen-crisis-destroy-countrys-agricultural-sector/5789125

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  28. Le sinistre plan de Bill Gates pour vous forcer à manger de la "fausse viande"


    Par l'exposition
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Bill Gates possède plus de terres agricoles aux États-Unis que tout autre agriculteur privé, ayant acheté un total de 242 000 acres. L'achat de ce terrain fait-il partie de son plan pour vous forcer à manger de la viande synthétique cultivée en laboratoire ?

    La Fondation Bill & Melinda Gates, la plus grande fondation caritative au monde, a un programme agricole qui soutient les produits agrochimiques, les semences brevetées, la fausse viande et le contrôle des entreprises - des intérêts qui sapent l'agriculture régénérative, durable et à petite échelle. L'un des principaux acteurs de ce programme est l'adoption généralisée de la viande synthétique.

    La société d'imitation de viande Impossible Foods a été cofinancée par Google, Jeff Bezos et Bill Gates, et Gates a clairement indiqué qu'il pensait que le passage au bœuf synthétique était la solution pour réduire les émissions de méthane provenant d'animaux élevés dans des opérations d'alimentation animale concentrée (CAFO). ).

    La forte recommandation de remplacer le bœuf par de la fausse viande est faite dans le livre de Gates "Comment éviter une catastrophe climatique : les solutions que nous avons et les percées dont nous avons besoin", qui a été publié en février 2021. Dans une interview avec MIT Technology Review, il va jusqu'à dire qu'il faut changer les comportements des gens pour apprendre à aimer la fausse viande et, si ça ne marche pas, la réglementation pourrait faire l'affaire.

    Gates, soit dit en passant, investit dans de fausses entreprises de viande et achète des terres agricoles américaines à un rythme effréné. En fin de compte, l'empire Gates "possédera tout".

    Gates investit dans de fausses entreprises de viande

    Selon Gates, afin d'éliminer les émissions de gaz à effet de serre, de la fausse viande sera "nécessaire". Il a déclaré à MIT Technology Review :

    « En termes d'élevage, c'est très difficile. Il y a toutes les choses où ils les nourrissent avec des aliments différents, comme il y a ce composé qui vous donne une réduction de 20 % [des émissions de méthane]. Mais malheureusement, ces bactéries [dans leur système digestif qui produisent du méthane] sont nécessaires pour décomposer l'herbe.

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  29. Et donc je ne sais pas s'il y aura une approche naturelle là-bas. Je crains que les [alternatives protéiques comme les hamburgers à base de plantes] synthétiques ne soient nécessaires au moins pour le boeuf.

    Il mentionne ensuite Memphis Meats, qui produit de la viande synthétique en laboratoire via la culture en masse de cellules souches d'animaux, souvent dans une solution contenant du sérum bovin, des hormones, des facteurs de croissance et d'autres additifs alimentaires. Les campagnes de relations publiques sont allées jusqu'à qualifier la viande cultivée en laboratoire de "viande propre", mais des recherches publiées dans Environmental Science and Technology suggèrent qu'elle pourrait en fait nécessiter une consommation d'énergie plus intensive par rapport à la viande conventionnelle.

    Gates dit qu'il pense que Memphis Meats sera trop cher pour se généraliser, "Mais Impossible et Beyond ont une feuille de route, une feuille de route de qualité et une feuille de route des coûts, ce qui les rend totalement compétitifs." Il fait référence à Impossible Foods, un leader de l'industrie de la fausse viande qui produit de la « viande » à base de plantes.

    Impossible Foods détient 14 brevets, avec au moins 100 autres en attente. Beyond Meat est un autre grand producteur de produits contrefaits de «bœuf», de «porc» et de «poulet», qui a annoncé en 2020 qu'il commencerait à produire certains de ses produits en Chine.

    Ce que beaucoup ne savent pas, cependant, c'est que Gates est soit personnellement investi, soit investi via Breakthrough Energy Ventures, Beyond Meats, Impossible Foods, Memphis Meats et d'autres entreprises qu'il promeut activement. Gates a déclaré au MIT :

    « En ce qui concerne l'échelle aujourd'hui, ils [Impossible Foods et Beyond Meat] ne représentent pas 1 % de la viande dans le monde, mais ils sont en route. Et Breakthrough Energy a quatre investissements différents dans cet espace pour fabriquer les ingrédients très efficacement…

    Maintenant, j'ai dit que je pouvais réellement voir un chemin. Mais vous avez raison de dire aux gens : "Vous ne pouvez plus avoir de vaches" — parler d'une approche politiquement impopulaire des choses.

    Gates ne s'arrête pas à la fausse viande, cependant. Il a également récemment soutenu une start-up de biotechnologie appelée Biomilq, qui développe du lait maternel cultivé en laboratoire.

    Gates : tous les pays riches devraient manger du faux bœuf à 100 %
    Que ce soit ou non "impopulaire" n'a pas d'importance, apparemment, car Gates a déclaré qu'il pensait que les pays riches devraient tous manger de la fausse viande. Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que les viandes végétales et cultivées en laboratoire pourraient "être la solution complète au problème des protéines à l'échelle mondiale", il a répondu que, dans les pays à revenu intermédiaire ou supérieur, oui, et que les gens peuvent "s'habituer" à ce:

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  30. « Je pense que tous les pays riches devraient passer au bœuf 100 % synthétique. Vous pouvez vous habituer à la différence de goût, et l'affirmation est qu'ils vont rendre le goût encore meilleur avec le temps. Finalement, cette prime verte est suffisamment modeste pour que vous puissiez en quelque sorte changer le [comportement des] personnes ou utiliser la réglementation pour modifier totalement la demande.

    Donc, pour la viande dans les pays à revenu intermédiaire et supérieur, je pense que c'est possible. Mais c'est l'un de ceux où, wow, vous devez le suivre chaque année et voir, et la politique [est difficile]. Il y a tous ces projets de loi qui disent que cela doit s'appeler, essentiellement, des déchets de laboratoire à vendre. Ils ne veulent pas que nous utilisions l'étiquette du bœuf.

    L'ironie de Bill Gates - qui vit dans un manoir de 66 000 pieds carrés et voyage dans un jet privé qui consomme 486 gallons de carburant par heure - parler de la façon de sauver l'environnement n'est pas perdu pour tout le monde.

    La Nation a critiqué les contradictions de Gates, y compris le fait qu'en raison de l'achat de quantités stupéfiantes de terres agricoles, il est un contributeur majeur aux émissions de carbone. Son style de vie jet-set fait aussi de lui un « super émetteur » de carbone :

    "Selon une étude universitaire de 2019 portant sur les émissions de carbone extrêmes de l'élite de la jet-set, les nombreux voyages de Bill Gates en jet privé font probablement de lui l'un des principaux contributeurs de carbone au monde - un véritable super émetteur. Dans la liste des 10 célébrités étudiées – dont Jennifer Lopez, Paris Hilton et Oprah Winfrey – Gates était la source de la plupart des émissions.

    Gates est le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis

    - voir carte sur site -

    Bill Gates possède plus de terres agricoles aux États-Unis que tout autre agriculteur privé, ayant acheté un total de 242 000 acres (97 933 ha) – dont une grande partie est considérée comme l'un des sols les plus riches des États-Unis – au cours des dernières années. L'agriculture conventionnelle représente l'une des plus grandes sources de pollution de la planète.

    On estime que 80 % du carbone du sol dans les zones fortement agricoles a déjà été perdu, en raison du labourage destructeur, du surpâturage et de l'utilisation d'engrais chimiques et de pesticides destructeurs du sol et appauvrissant le carbone. L'étude sur les voyages en avion à elle seule a désigné Gates comme l'un des émetteurs de carbone les plus problématiques, sans tenir compte des émissions agricoles. La Nation a noté:

    "L'étude n'a porté que sur les voyages en avion de Gates, mais aurait également pu prendre en compte les émissions de Gates provenant de ses terres agricoles, qui comprennent de vastes étendues de maïs et de soja, qui servent généralement à nourrir les animaux (souvent dans des fermes industrielles) - un modèle particulièrement intensif en carbone de agriculture."

    Christine Nobiss, la fondatrice de la Great Plains Action Society, qui est dirigée par des peuples autochtones, a accusé Gates de colonisation : « Bill Gates est assez intelligent pour comprendre – il est intelligent, il peut faire le calcul – qu'aucune personne n'a besoin de cette somme. de terre. Il participe essentiellement au cycle sans fin de la colonisation.

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  31. Elle fait partie de ceux qui ont suggéré à Gates de donner ses terres agricoles en guise de réparation et pour s'assurer qu'elles sont utilisées pour une production alimentaire durable, mais comme l'a noté The Nation, cela n'arrivera pas :

    "Ce n'est pas que Gates va abandonner ses vastes terres agricoles. Il ne vendra non plus aucune de ses maisons, y compris son manoir de 66 000 pieds carrés à l'extérieur de Seattle. Il ne va pas non plus se débarrasser de son jet privé – un Bombardier BD-700 Global Express qui consomme 486 gallons de carburant par heure. Mais, écrit Bill Gates, il va commencer à acheter du « carburéacteur durable ».

    Pas de propriété privée pour les Américains, sauf Gates

    Alors, qu'est-ce que Gates a l'intention de faire avec toutes ces terres agricoles ? Cela reste à voir, mais il convient de noter que lorsque vous possédez la terre, vous possédez également l'eau qui se trouve en dessous, et avec ses vastes étendues de terres, il peut cultiver tout le soja génétiquement modifié nécessaire pour créer la fausse viande qu'il est tellement poussant fortement.

    Pour ceux qui contrôlent les ressources comme la nourriture et l'eau, le pouvoir est illimité et le contrôle de l'approvisionnement alimentaire fait partie de la « reconstruction en mieux ». Le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, a commencé à faire circuler l'idée de The Great Reset, dont « reconstruire en mieux » fait partie intégrante.

    Le WEF s'est associé au Forum EAT, qui établira l'agenda politique de la production alimentaire mondiale. Le Forum EAT a été cofondé par le Wellcome Trust, qui à son tour a été créé avec l'aide financière de GlaxoSmithKline.

    EAT collabore avec près de 40 municipalités à travers l'Afrique, l'Europe, l'Asie, l'Amérique du Nord et du Sud et l'Australie, et entretient des relations étroites avec des entreprises d'imitation de viande telles que Impossible Foods. Gates est également un partisan de The Great Reset, ce qui est curieux puisque son accumulation massive de richesses et de terres est à l'opposé de ce que promeut The Great Reset.

    En vérité, les riches technocrates ne redistribueront pas leur propre richesse pendant la réinitialisation, mais continueront seulement à développer leurs empires financiers alors que le reste du monde consent à renoncer à leur vie privée et à la propriété de tous les biens.

    En fait, EAT a développé un régime de santé planétaire conçu pour être appliqué à la population mondiale et qui consiste à réduire jusqu'à 90 % la consommation de viande et de produits laitiers, en la remplaçant en grande partie par des aliments fabriqués en laboratoire, ainsi que des céréales et de l'huile. Comme Summit News l'a rapporté :

    « [Alors que] les philanthropes et les technocrates milliardaires acquièrent des terres à une vitesse accélérée, ils semblent dire au grand public qu'à l'avenir, la propriété privée cessera pratiquement d'exister. Dans ses livres, le fondateur du Forum économique mondial et mondialiste Klaus Schwab indique clairement que la « quatrième révolution industrielle » ou « la grande réinitialisation » conduira à l'abolition de la propriété privée.

    Ce message est repris sur le site Web officiel du WEF, qui déclare : « Bienvenue en l'an 2030. Bienvenue dans ma ville – ou devrais-je dire, « notre ville ». Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.

    Apparemment, vous ne serez pas autorisé à posséder une propriété privée et votre seul recours sera de vivre dans un état de dépendance permanente d'un petit nombre de riches élitistes qui possèdent tout. Cela s'appelait autrefois le féodalisme, qui est une forme d'esclavage.

    https://www.globalresearch.ca/bill-gates-quietly-carrying-out-sinister-plan-force-you-eat-fake-meat/5790551

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  32. Dérèglement climatique : ce n'est pas dû au gaz carbonique


    Par Prof. Claudia von Werlhof et Silvia Terribili
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Le sommet de l'ONU sur le changement climatique (COP27) « s'est ouvert en Égypte.

    Plus de 120 dirigeants mondiaux assistent au sommet de la COP27 dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, au milieu d'une campagne de propagande stylisée :

    "Notre planète "envoie un signal de détresse".

    L'accent mis sur les émissions de gaz carbonique et le «réchauffement climatique» vise à dissiper les dangers de la troisième guerre mondiale ainsi que les causes réelles d'une crise sociale, politique et économique mondiale qui menace l'humanité.

    M.Ch, le 7 novembre 2022

    ***

    La professeure Claudia von Werlhof a écrit à Greta Thunberg .

    Dans sa lettre, Von Werlhof affirme que la perturbation du climat mondial n'est pas due au gaz carbonique.

    Suite à la publication de sa lettre, Silvia Terribili , d'Onda Italia, a interviewé le professeur von Werlhof dans son émission de radio : Onda Italiana sur salto.nl, le 9 avril.

    Le texte suivant est la transcription de l'interview radio

    Le lien ci-dessous vous redirigera vers l'interview radio.

    Le dérèglement climatique n'est pas dû au gaz carbonique (audio)

    Par Prof. Claudia von Werlhof et Silvia Terribili , 30 avril 2019

    ***

    Ci-dessous la retranscription de l'interview.

    Claudia Von Werlhof : La question est de savoir comment définir le changement climatique et sa prétendue raison, dont on dit qu'il s'agit du gaz carbonique. Nous considérons le changement climatique, du moins dans le discours officiel, comme un « réchauffement climatique » et ce réchauffement climatique n'existe pas.

    Il existe des données de la NASA, qui est l'Agence spatiale nord-américaine, et elles montrent qu'au cours des 18 dernières années, il n'y a pas eu de réchauffement climatique général. Ce qui existe en effet – car nous ne sommes pas des négateurs du problème – ce sont des changements dans différentes dimensions du temps, du climat et plus encore de l'atmosphère, etc. Nous allons l'expliquer davantage dans cette interview.

    La seconde est la question du gaz carbonique qui est maintenant très importante car tous ces jeunes sont maintenant dans la rue, parce qu'ils croient en cette histoire et en ce dogme du gaz carbonique.

    Et c'est très étrange parce que beaucoup de scientifiques, de vrais scientifiques, nient l'influence du gaz carbonique comme raison du changement climatique ou comme influence du tout.

    Par exemple, il y a environ 30 000 scientifiques aux États-Unis maintenant qui disent qu'il n'y a pas de problème avec le gaz carbonique. Au contraire, le gaz carbonique est un gaz issu de matières naturelles pourries dont les plantes ont besoin pour le transformer en oxygène. Ils disent que le gaz carbonique n'est pas du tout néfaste pour le climat, et que c'est même quelque chose dont nous devons nous réjouir et dont nous avons besoin pour nos arbres et nos plantes et comme effet positif.

    Donc, le plus drôle, c'est que le gaz carbonique est souvent représenté comme une saleté, comme s'il s'agissait d'une saleté dans l'air. Ensuite, vous regardez les usines qui sont présentées dans cette opportunité, vous voyez la poussière qui en sort, etc. Ce n'est pas du gaz carbonique.

    Le gaz carbonique est un gaz invisible et sans odeur donc on ne le voit pas.

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  33. En général, la quantité de gaz carbonique dans l'atmosphère est d'environ 0,038 % seulement. La majeure partie est de la vapeur, de la vapeur d'eau, environ 80 ou 70 %. Ainsi, cette infime quantité de gaz carbonique ne peut pas changer quelque chose d'énorme comme le climat de cette planète. C'est impossible.

    - voir sur site -

    Capture d'écran Global CCS Institute

    Donc, tous ces scientifiques qui sont des scientifiques sérieux, nient une influence négative du CO2 sur le climat. Il y a même des lauréats du prix Nobel, etc., comme Ivar Giaever , qui l'expliquent ou des gens du MIT, du Massachusetts Institute of Technology, comme Richard Lindzen et d'autres. Le GIEC, le Groupe d'experts international sur l'évolution du climat, fondé à la fin des années 80 du siècle dernier, n'est cependant pas tant une organisation scientifique que politique, et il propage et propose publiquement le mythe du gaz carbonique.

    Donc, c'est une question politique et du point de vue d'un vrai scientifique, le gaz carbonique n'est pas vraiment quelque chose de nuisible et ne change aucun climat. C'est trop petit pour ça.

    Si vous regardez les origines de ce débat à la fin des années 80, vous voyez qu'avant cette époque tout le monde parlait d'une possible ère glaciaire, une nouvelle ère glaciaire. Lowell Ponte, fi, a écrit un livre sur « The Cooling ». C'était en 1976.

    Ils ont parlé d'un refroidissement et d'une nouvelle ère glaciaire en contraste avec le discours sur le réchauffement climatique d'aujourd'hui. Il n'y a plus de débat historique sur l'origine de ce mythe du CO2.

    Le GIEC a été fondé par des groupes de réflexion, comme le Club de Rome, le World Watch Institute, les Rockefeller, etc., des gens qui ont un intérêt différent pour toute la question. Et ils ont trouvé, je pense que c'était une analyse de William Engdahl , qui disait qu'ils avaient trouvé ou inventé le mythe du gaz carbonique afin d'avoir défini un ennemi commun qui est l'humanité elle-même.

    L'humanité est coupable de produire autant de gaz carbonique par l'industrie civile et la consommation. Cette idéologie peut être utilisée pour une autre, une nouvelle politique. Ainsi, ce fut l'origine du mythe du gaz carbonique et cela a été leur propagande dans le monde entier. Puis est venu Al Gore et tout le monde croit en lui. Cela contraste avec le fait qu'un véritable changement climatique ne se produit pas au sens où ils le définissent. Cette histoire n'est généralement pas connue. Et les gens ne connaissent vraiment rien à la Nature et à la Planète. Il y a une certaine ignorance en général, et le public croit en tout.

    Il y a beaucoup de changements dans le monde, dans le climat, dans de nombreux aspects, comme ceux que le Dr Rosalie Bertell a découverts, dont nous parlerons plus tard, qui a dit que nous détruisions notre planète. Mais comment ? Ce n'est pas par le réchauffement climatique, mais par quelque chose de totalement différent. Ce n'est pas mentionné par ces gens qui parlent du changement climatique. Ils ne voient pas qu'il y a des changements mais il y en a différents avec des origines très différentes.

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  34. Silvia Terribili : Oui, il semble aussi que les modèles informatiques prédisant un réchauffement climatique catastrophique dans les années à venir soient paramétrés et qu'il y ait un risque de cadrer le résultat de ces méthodes et modèles. Pouvez-vous dire quelque chose sur ces modèles ?

    CvW : Ces modèles que l'IPCC utilise sont des modèles informatiques. Leurs résultats ne sont que le résultat d'une simulation informatique. Cela n'a rien à voir avec la réalité et ce qu'ils mesurent est ce qu'ils veulent mesurer. Ils mesurent simplement quelque chose comme plus de production de gaz carbonique, mais ils ne tiennent pas compte de la complexité du climat sur cette planète.

    Ils n'ont aucun paramètre à leur sujet et ils essaient donc vraiment de nous tromper avec ce qu'ils disent sur une si grande quantité de changements climatiques et de réchauffement de la planète. Cela ne se produit pas et cela ne se produira pas à cause du gaz carbonique.

    Donc, ce sont des méthodes étranges, et non scientifiques.

    Il faudrait dire que ce sont des méthodes politiques qui veulent prouver quelque chose qui n'est pas le cas. Il n'y a donc aucune raison pour qu'il y ait un tel réchauffement climatique supérieur à 4 degrés, ce qui est impossible. Au moins, c'est impossible en mettant simplement le gaz carbonique comme mesure de cette infime quantité de gaz carbonique dans l'air. Vous n'auriez jamais d'effet et c'est très drôle que tout le monde croie à ce non-sens. C'est une théorie mais cela n'a rien à voir avec la réalité et nous devrions nous demander pourquoi cette théorie existe. Donc, c'est la question la plus importante.

    ST : Il y a environ 30 ans, nous avertissions déjà que la couche d'ozone protectrice avait été réduite. De nos jours, nous ne semblons plus nous soucier de l'appauvrissement de la couche d'ozone dans la stratosphère. Comment cela pourrait-il s'expliquer parce que nous devons nous préoccuper de l'appauvrissement de la couche d'ozone et d'où vient-elle ?

    CvW : La question de l'ozone, oui. C'est encore une chose très drôle et ce n'est pas drôle du tout au final, parce que la couche d'ozone est vraiment quelque chose dont nous avons besoin.

    Sans la couche d'ozone, il n'y aurait pas de vie sur terre, car elle nous protège du rayonnement cosmique du soleil, en particulier des rayons UV-B et -C, qui sont très toxiques.

    Et il a été découvert que ce rayonnement descend aujourd'hui sur la terre, ce qui est normalement empêché par la couche d'ozone.

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  35. Mais maintenant, ça passe, et c'est une longue histoire parce qu'il y avait le Protocole de Montréal dans les années 80 qui interdisait l'utilisation des CFC, tous ces produits chimiques que vous avez dans les réfrigérateurs, etc., parce qu'ils pensaient que c'était la raison du trou dans la couche d'ozone.

    Mais c'était déjà faux à l'époque car nous savons que ce qui endommage vraiment l'ozone, c'est surtout la radioactivité. Il y a beaucoup de radioactivité dans l'air depuis que l'armée a expérimenté des explosions nucléaires depuis les années 40 et 50 jusqu'à la fin des années 90, et nous avons eu environ 2 200 explosions nucléaires sur terre et dans l'atmosphère et elles ont produit un beaucoup de rayonnement radioactif qui détruit la couche d'ozone.

    C'est la raison principale de la faiblesse de cette couche parce que la radioactivité est en quelque sorte en train de manger l'ozone de sorte qu'il suffoque en quelque sorte, parce que l'ozone est une sorte d'oxygène atmosphérique et que la radioactivité se termine avec l'oxygène.

    Le problème est quelque chose comme la suffocation et un effet toxique des radiations qui descendent sur terre lorsque cette couche est détruite ou inhibée.

    L'année dernière, les gens qui mesuraient la couche d'ozone ont constaté qu'elle était plus faible que jamais, elle ne s'est pas rétablie comme cela avait été proposé après le Protocole de Montréal. Et ils ont découvert qu'au contraire, il n'existe pas seulement sous la forme de trous au-dessus de l'Antarctique et de l'Arctique - ce dernier n'existant que depuis Fukushima, car il n'y avait jamais eu de trou au-dessus de l'Arctique auparavant.

    Et maintenant, nous avons un appauvrissement de la couche d'ozone même sur toute la partie nord de la terre.

    Ainsi, le rayonnement toxique ne se produit pas seulement aux pôles, mais généralement il descend et détruit beaucoup de plantes et de vie animale basse, comme les insectes. Avec la mort des insectes, les oiseaux et toute la chaîne alimentaire sont affectés par la faiblesse de la couche d'ozone, et dans les océans le plancton meurt et le krill que les gros poissons mangent.

    Vous avez maintenant beaucoup de poissons qui meurent de faim et vous avez des récifs coralliens mourants comme, par exemple, la Grande Barrière de Corail à l'est de la Nouvelle-Zélande, la plus grande du monde, qui est en train de mourir et qui ne se reproduit presque plus . Les gens disent que c'est parce que les océans se réchauffent, mais cela ne peut pas être la vraie raison. Le principal problème est que le rayonnement toxique du soleil descend également dans l'eau et tue la vie dans les océans.

    Et puis vous avez toute cette radioactivité de Fukushima qui a été conduite dans le Pacifique de sorte que la vie dans le Pacifique est en train de disparaître, et bientôt vous n'aurez plus de poisson. C'est en quelque sorte très tragique car Rosalie Bertell a déjà écrit son livre "La planète Terre, la dernière arme de guerre" en 2000. Elle a étudié tous ces problèmes, et d'où ils viennent, et elle a toujours mis en garde contre la couche d'ozone, car elle avait a déjà été aminci de 10 % à la fin des années 90 et maintenant il devient de plus en plus fin.

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  36. Et elle a dit qu'avec un amincissement de 20 % de la couche d'ozone, il n'y aurait plus d'agriculture, car les plantes seraient détruites par la toxicité des rayons UV. Vous pouvez le voir même sur votre balcon lorsque vous avez vos plantes là-bas. On peut déjà voir que les feuilles brunissent et que vos plantes poussent peu au soleil. Donc, c'est peut-être le plus gros problème auquel nous sommes confrontés et le résultat de très nombreux effets qui détruisent la couche d'ozone non seulement avec la radioactivité, mais aussi avec d'autres instruments et technologies pires que le gaz carbonique ou le réchauffement climatique.

    ST : Que dire de la géoingénierie et plus particulièrement de l' injection d'aérosols stratosphériques qui est une des technologies que l'IPCC ne propose en quelque sorte pas mais qui dit qu'elle peut être une solution au réchauffement climatique. Qu'est-ce que tu penses ?

    CvW : Eh bien, à cause de cette théorie mondiale du réchauffement climatique et du gaz carbonique, nous avons maintenant des géoingénieurs civils qui apparaissent, quelque chose qui n'existait pas auparavant. Maintenant, ils ont leurs instituts de recherche partout, et prévoient d'avoir une solution à ce problème qui est censé être la "gestion du rayonnement solaire" SRM ou SAI avec lesquels ils envisagent d'injecter des aérosols dans l'air pour empêcher le soleil de briller et de chauffer jusqu'à la terre.

    Alors, au lieu d'éliminer le gaz carbonique, parce que cela semble politiquement impossible, ils promeuvent cette autre solution pour lutter contre les effets du soi-disant réchauffement climatique et cela reviendrait à empêcher le soleil de trop briller sur la terre.

    Donc, le plan est d'injecter des aérosols dans l'atmosphère et surtout David Keith de l'Université de Harvard a un projet appelé SCOPEX pour ce processus même. Dans ce projet, il veut injecter même de l'acide sulfurique dans l'atmosphère en imitant quelque chose comme une éruption volcanique et ils l'appellent l'effet Pinatubo parce que le Pinatubo est un volcan qui a explosé en 1991 et les cendres et ce qui en est sorti ont eu pour effet de refroidir le températures.

    Et maintenant, ils essaient d'imiter cet effet en ajoutant de l'acide sulfurique dans l'air. Récemment, David Keith, ce professeur de l'Université de Harvard a même déclaré que des dizaines de milliers de personnes en mourraient au moins, car cela signifierait d'avoir des acides sur terre qui finissent par détruire toute vie.

    Je veux dire que ce sont des expériences folles qu'ils préparent, et ils optent pour des géoingénieurs civils et le plus drôle dans ce mouvement de géoingénieurs civils, c'est qu'ils ne parlent pas de l'arrière-plan militaire de toutes ces technologies qu'ils propagent maintenant.

    Et tous ces mouvements sur le changement climatique, etc., n'en savent rien non plus. On nie simplement qu'il s'agisse d'expériences militaires que nous connaissons déjà, car depuis 30 ans, il y a des pulvérisations régulières d'aérosols dans l'atmosphère, donc tout cela se produit déjà. Je veux dire quelque chose comme SRM n'a rien de nouveau. Nous l'avons déjà sous la forme de la pulvérisation de baryum et d'aluminium et d'autres substances très nocives pour la vie et l'agriculture.

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  37. Monsanto par exemple a inventé une graine qui résiste à l'aluminium, imaginez. Donc, des choses comme ça se produisent et les gens sont contre, mais ils ne voient pas que ces expériences sont déjà une réalité, faisant partie de la géo-ingénierie, de la géo-ingénierie militaire, qui existe maintenant depuis environ 70 ans ou plus. Cela a été un projet de la seconde guerre mondiale dans lequel les militaires ont inventé le nucléaire comme arme de guerre et après le nucléaire, ils ont inventé d'autres armes comme celles de contrôle du temps.

    Comme l'a dit Rosalie Bertell, ils ont inventé les guerres météorologiques, ils ont inventé la géo-ingénierie et ils ont inventé les armes à plasma qui sont des armes électromagnétiques utilisées et émises par les radiateurs ionosphériques. Il s'agit d'une technologie très spéciale, généralement inconnue, basée sur les inventions de Nicola Tesla, inventeur physicien aux 19e et 20e siècles.

    Donc, c'est une technologie spéciale qui n'est pas très connue, comme HAARP en Alaska (maintenant fermé) qui est l'un de ces radiateurs ionosphériques qui fonctionnent avec des ondes électromagnétiques. Ces ondes sont produites artificiellement et atteignent quelque chose comme un milliard de watts, et elles sont projetées très haut dans l'ionosphère pour produire certains effets les ramenant vers la terre.

    Il s'agit d'une technologie très, très dangereuse qui peut également être utilisée pour produire toutes sortes de catastrophes dites naturelles comme, par exemple, des tsunamis ou des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou le changement de temps dans des régions entières, ou produire des ouragans, des sécheresses, les incendies et les inondations, et même la modification des courants océaniques.

    Ce sont des technologies dont on ne parle pas publiquement mais qui existent déjà depuis la guerre du Vietnam. Elles ont été inventées à cette époque et la convention des Nations unies sur la modification de l'environnement, la fameuse convention ENMOD de 1977, explique ces armes, elle explique les effets qu'elles peuvent avoir lorsqu'elles sont utilisées. Donc, ce n'est même pas un secret et cela fait des décennies qu'ils ont été inventés et sont en expérimentation, et c'est comme une guerre qui est menée contre la terre et la planète en tant que macro-être cosmique dont nous dépendons. C'est très, très dangereux et c'est exactement Rosalie Bertell qui nous a expliqué comment fonctionnent ces technologies, à savoir comme armes post-nucléaires de destruction massive électromagnétique. Nous avons maintenant ces radiateurs ionosphériques partout.

    ST : Qu'est-ce que le chauffage ionosphérique ? Qu'est-ce que c'est, pourquoi l'utilisent-ils ? Quelle est l'idée ? On ne comprend pas parce qu'il y a un réchauffement climatique, ils ont dit qu'il y avait un réchauffement climatique. Donc, vous chauffez l'ionosphère, mais c'est fou.

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  38. CvW : Ils réchauffent l'ionosphère, la sphère dans l'atmosphère qui commence à environ 80 kilomètres jusqu'à environ 800-1000 kilomètres. C'est une partie électrifiée de l'atmosphère et lorsqu'ils envoient les ondes électromagnétiques là-haut, ils la réchauffent car lorsqu'ils chauffent l'ionosphère, cette partie de l'atmosphère, ils peuvent faire en sorte que ces rayons électromagnétiques redescendent sur terre, en faisant une courbe. Ils peuvent travailler avec un angle et, comme le disait Rosalie, c'est comme un canon de l'ionosphère qui est dirigé contre la terre et quand ce rayon redescend sur la terre il est terriblement destructeur. Ces rayons peuvent même traverser le noyau de la terre.

    ST : Mais ça chauffe aussi, donc c'est complètement fou parce qu'on a trop de réchauffement et on en envoie…

    CvW : Parce que le réchauffement est là-haut. Ce n'est pas ici. S'il y a un réchauffement, c'est là-haut. La NASA n'a pas trouvé de véritable réchauffement de la terre en général, mais vous avez différentes parties du monde qui se réchauffent ou se sont réchauffées comme les pôles, les régions polaires et les montagnes où se trouvent les glaciers qui fondent, mais il n'a rien à voir avec un réchauffement climatique généralisé par le gaz carbonique. Certains d'entre eux sont sûrement des effets de l'utilisation militaire des radiateurs ionosphériques. Par exemple, en 1974, il y avait un traité entre les États-Unis et l'Union soviétique, l' accord secret de Vladivostokdans lequel ils prévoyaient ensemble de réchauffer l'Arctique parce qu'ils voulaient que la glace s'en aille pour atteindre le pétrole au fond de la mer du Nord et ils ne pouvaient pas y arriver à cause de la glace. Aujourd'hui, la moitié de la glace arctique a déjà fondu, car ils ont utilisé des ondes électromagnétiques pour cela. Les ondes ELF, qui sont des ondes de fréquence extrêmement basse et qui ont dégelé l'Arctique avec ça. Cela n'a rien à voir avec le réchauffement climatique mais avec cette technologie militaire.

    ST : Pour en revenir à la géo-ingénierie, la gestion du rayonnement solaire, avons-nous la preuve que le programme est en cours ? Je veux dire que nous voyons toutes sortes de traînées dans le ciel et le ciel est parfois complètement couvert par ces traînées. Ils sont persistants, restant tout le temps. Que pensez-vous de ce phénomène ?

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  39. CvW : C'est une technologie militaire plus ancienne qui a récemment été mise en œuvre depuis environ 30 ans. Cela a commencé dans les années 90 et, par exemple, vous avez des effets dans des régions comme Shasta en Californie. Ils ont été fortement aspergés d'aérosols. C'est comme l'Agent Orange qui a été pulvérisé sur le Vietnam, un produit toxique de Monsanto et c'est comme ça. C'est toxique et par exemple dans cette communauté de Shasta en Californie du Nord, la terre ne produit plus, tout le monde est malade, et les animaux et les plantes meurent.

    Ils avaient une telle charge de matières toxiques, des aérosols qui descendaient du ciel qu'ils ont eu ces problèmes, et après les avoir analysés, ils ont fait un grand événement il y a quelques années pour protester publiquement contre les pulvérisations. Néanmoins, les mouvements alternatifs et sociaux n'acceptent pas - même le groupe ETC, qui est très important à cet égard - que cela ait été fait, ce qui est une réalité pour les personnes concernées, et ils nient que le SRM soit déjà utilisé et ne discutent que de la mauvais effets que cette méthode aurait sur nous. Donc, ils sont contre, mais ils nient que ces méthodes soient déjà utilisées partout. Bien sûr, vous le voyez dans le ciel, et j'ai fait des recherches sur les raisons pour lesquelles ils le font, car l'armée ne s'intéresse à aucun mythe du réchauffement climatique. Ils nient même le réchauffement climatique parce qu'ils savent mieux.

    ST : Alors, ils font ça ?

    CvW : Oui, ils le font, donc ils savent mieux, comme Trump, qui le sait de l'armée. Mais j'ai découvert qu'ils ne sont pas intéressés par la question du réchauffement climatique ou autre. Ils le font à cause de l'appauvrissement de la couche d'ozone, fi S'il y a un trou ou une faiblesse dans la couche d'ozone, ils ne peuvent pas transmettre leurs ondes électromagnétiques. Ils ont besoin de ce que j'appelle une atmosphère de remplacement.

    Ils ont besoin de pulvériser des aérosols comme conducteur, ils ont besoin d'une atmosphère conductrice, et au niveau des trous, ce n'est pas le cas. C'est la raison pour laquelle ils utilisent tant de métaux dans la pulvérisation, des métaux lourds comme le baryum et le strontium et l'aluminium, qui n'est pas un métal lourd, mais ils sont tous conducteurs pour les ondes électromagnétiques. Récemment, je suis tombé sur une recherche d'une femme appelée Schmitt qui vit au Venezuela. Elle a fait une analyse de ces pulvérisations de protection contre le cosmos, quelque chose comme une cage de Faraday, produisant une sorte de grille autour de la terre pour la protéger des radiations entrantes et cela a aussi à voir avec l'appauvrissement de la couche d'ozone. La couche d'ozone est vraiment la question centrale qui doit être une alarme pour nous, car c'est maintenant le moment de vérité. Lorsque nous ne sommes pas en mesure d'empêcher ces choses de se produire, cette destruction de se produire,

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  40. ST : Mais l'histoire officielle, personne ne la raconte, parle de l'appauvrissement de la couche d'ozone.

    CvW : Non. Il y a eu une alarme l'année dernière et il y avait un collègue aux États-Unis, Marvin Herndon, qui faisait des recherches sur cette question, avec ses collègues et il l'a publiée. Il a prouvé que l'appauvrissement de la couche d'ozone conduit à l'arrivée de radiations toxiques sur terre. Et il a découvert que la NASA, l'Agence spatiale nord-américaine, était déjà arrivée au même résultat en 2007. Et ils n'ont rien fait. Ils le savaient déjà à l'époque, mais ils n'ont rien fait parce que l'armée pense qu'elle peut faire tout ce qu'elle veut. S'ils en avaient besoin, ils inventeraient une nouvelle couche d'ozone. C'est ce qu'ils pensent. Ils pensent qu'ils ont…

    ST : Une solution technique ?

    CvW: Oui, et ils pensent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent et empêcher les choses d'arriver. Mais après toutes ces explosions nucléaires dans l'atmosphère et dans l'ionosphère et dans les ceintures de Van Allen qui ont détruit des parties du champ magnétique de la terre, elles n'ont jamais pu remplacer ou guérir le champ magnétique ni l'atmosphère. Ils ne pouvaient rien y faire. Ils l'ont détruit et il est détruit. C'est aussi l'une des raisons des changements climatiques. Donc, il y a beaucoup de raisons très complexes pour lesquelles les choses se produisent. Par exemple, vous pouvez même utiliser les ondes électromagnétiques des radiateurs ionosphériques pour déplacer le courant-jet qui consiste en des vents rapides entourant la terre, créant une frontière entre le chaud et le froid. Alors,

    ST : Ils influencent fortement le climat et la météo

    CvW : Avec ces technologies, vous pouvez presque tout faire, et vous pouvez changer les courants de vapeur qui sont les courants humides autour de la terre. Vous pouvez transporter l'humidité vers l'Arabie par exemple. C'est l'une des plus grandes entreprises aujourd'hui, parce que les gens là-bas ont besoin d'eau et vous pouvez simplement transporter l'eau d'ici à là. Ainsi, même la neige tombe dans le désert sud-arabe. Tout cela n'est que manipulation, manipulation météorologique, manipulation climatique. Personne n'en parle, mais cela se produit constamment. Et un autre effet de l'atmosphère étant pleine de métal est qu'elle se dessèche, donc nous avons beaucoup moins de pluie en Europe par exemple, ce qui n'a rien à voir avec un réchauffement ou du gaz carbonique.

    ST : En Italie, il y a la sécheresse.

    CVW : L'Italie se dessèche, et puis vous avez des incendies qui sont également provoqués, non seulement parce qu'il est sec, mais vous avez des armes à énergie directe et des armes à laser. Ainsi, vous pouvez produire ces incendies comme ce qui se passait au Portugal, en Australie et en Californie. Ils n'ont rien à voir avec les incendies de forêt et ils ne détruisent pas les plantes, mais ils détruisent les bâtiments. C'est comme une guerre passée. Toutes ces choses sont discutées comme étant le résultat du réchauffement climatique et du gaz carbonique. Cela n'a rien à voir avec cela. Toute cette question du gaz carbonique et du réchauffement climatique est utilisée pour distraire les gens de ce qui se passe réellement, pour qu'ils ne voient pas ce qui a été fait à la planète, à l'atmosphère, au temps, etc., pour qu'ils ne regardent pas parce qu'ils pensent que c'est le réchauffement climatique.

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  41. John F. Kennedy sur la guerre nucléaire et les menaces à la paix mondiale : « Ensemble, nous sauverons notre planète, ou nous périrons dans ses flammes »

    Discours devant l'Assemblée générale des Nations Unies, 25 septembre 1961


    Par le président John F. Kennedy
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Le monde est à un carrefour dangereux. La menace d'anéantissement nucléaire est réelle.

    Ce qui distingue Octobre 1962 des réalités d'aujourd'hui, c'est que les dirigeants des deux côtés, à savoir John F. Kennedy et Nikita S. Khrouchtchev , étaient parfaitement conscients des dangers de l'anéantissement nucléaire.

    La doctrine nucléaire était entièrement différente pendant la guerre froide. Washington et Moscou comprenaient les réalités d' une destruction mutuellement assurée. Aujourd'hui, la question de l'annihilation nucléaire est tacitement écartée.

    Aujourd'hui, la communication entre la Maison Blanche et le Kremlin est au plus bas. La diplomatie internationale est en crise. L'Assemblée générale de l'ONU est détournée,

    Transmettez le message de 1961 de JFK à vos amis et collègues. Gardez à l'esprit que les " ERREURS " sont souvent ce qui détermine le cours de l'Histoire du Monde.

    Michel Chossudovsky , 18 décembre 2022

    ***

    Président John F. Kennedy

    New York
    25 septembre 1961

    Monsieur le Président, honorables délégués, Mesdames et Messieurs :

    Nous nous rencontrons dans une heure de deuil et de défi. Dag Hammarskjold est mort. Mais l'ONU vit. Sa tragédie est profondément ancrée dans nos cœurs, mais la tâche pour laquelle il est mort est en tête de notre ordre du jour. Un noble serviteur de la paix est parti. Mais la quête de la paix est devant nous.

    Le problème n'est pas la mort d'un homme, le problème est la vie de cette organisation. Soit elle grandira pour relever les défis de notre époque, soit elle sera emportée par le vent, sans influence, sans force, sans respect. Si nous le laissions mourir, affaiblir sa vigueur, paralyser ses pouvoirs, nous condamnerions notre avenir.

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  42. Car dans le développement de cette organisation réside la seule véritable alternative à la guerre – et la guerre ne s'impose plus comme une alternative rationnelle. Une guerre inconditionnelle ne peut plus conduire à une victoire inconditionnelle. Il ne peut plus servir à régler les différends. Elle ne peut plus concerner les seules grandes puissances. Car une catastrophe nucléaire, propagée par le vent, l'eau et la peur, pourrait bien engloutir les grands et les petits, les riches et les pauvres, les engagés et les non-engagés. L'humanité doit mettre fin à la guerre - ou la guerre mettra fin à l'humanité.

    Alors, résolvons ici que Dag Hammarskjold n'a pas vécu ou n'est pas mort en vain. Appelons une trêve à la terreur. Invoquons les bienfaits de la paix. Et tandis que nous construisons une capacité internationale pour maintenir la paix, joignons-nous au démantèlement de la capacité nationale à faire la guerre.

    II

    Cela exigera une nouvelle force et de nouveaux rôles pour l'ONU. Car un désarmement sans contrôle n'est qu'une ombre, et une communauté sans loi n'est qu'une coquille. Déjà, l'ONU est devenue à la fois la mesure et le véhicule des impulsions humaines les plus généreuses. Elle a déjà fourni – au Moyen-Orient, en Asie, en Afrique cette année au Congo – un moyen de contenir la violence des hommes.

    Mais la grande question à laquelle cet organe était confronté en 1945 est toujours devant nous : si les espoirs chéris de progrès et de paix de l'homme doivent être anéantis par la terreur et la perturbation, si les «vents fétides de la guerre» peuvent être apprivoisés à temps pour libérer les vents refroidissants de raison, et si les promesses de notre Charte doivent être tenues ou défiées - promesses de garantir la paix, le progrès, les droits de l'homme et le droit mondial

    Dans cette salle, il n'y a pas trois forces, mais deux. L'un est composé de ceux qui essaient de construire le type de monde décrit dans les Articles I et II de la Charte. L'autre, à la recherche d'un monde bien différent, saperait au passage cette organisation.

    Aujourd'hui, de tous les jours, notre dévouement à la Charte doit être maintenu. Elle doit être renforcée tout d'abord par la sélection d'un fonctionnaire exceptionnel pour assumer les responsabilités de Secrétaire général – un homme doté à la fois de la sagesse et du pouvoir de donner un sens à la force morale de la communauté mondiale. Le regretté Secrétaire général a nourri et renforcé l'obligation d'agir des Nations Unies. Mais il ne l'a pas inventé. C'était là dans la Charte. Il est toujours là dans la Charte.

    Aussi difficile qu'il puisse être de pourvoir la place de M. Hammarskjold, il vaut mieux qu'il soit occupé par un homme plutôt que par trois. Même les trois chevaux de la Troïka n'avaient pas trois conducteurs, tous allant dans des directions différentes. Ils n'en avaient qu'un – et l'exécutif des Nations Unies doit faire de même. Installer un triumvirat, ou n'importe quel panel, ou n'importe quelle autorité tournante, dans les bureaux administratifs des Nations Unies remplacerait l'ordre par l'anarchie, l'action par la paralysie, la confiance par la confusion.

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  43. Le Secrétaire général, dans un sens très réel, est le serviteur de l'Assemblée générale. Diminuez son autorité et vous diminuez l'autorité du seul corps où toutes les nations, quelle que soit leur puissance, sont égales et souveraines. Tant que tous les puissants ne seront pas justes, les faibles ne seront en sécurité que dans la force de cette Assemblée.

    Une action exécutive efficace et indépendante n'est pas la même question qu'une représentation équilibrée. Compte tenu de l'énorme changement dans la composition de cet organe depuis sa création, la délégation américaine s'associera à tout effort visant à l'examen et à la révision rapides de la composition des organes des Nations Unies.

    Mais donner à cette organisation trois moteurs - permettre à chaque grande puissance de décider de son propre cas, retrancherait la guerre froide dans le quartier général de la paix. Quels que soient les avantages qu'un tel plan peut offrir à mon propre pays, en tant que l'une des grandes puissances, nous le rejetons. Car nous préférons de loin le droit mondial, à l'ère de l'autodétermination, à la guerre mondiale, à l'ère de l'extermination massive.

    III

    Aujourd'hui, chaque habitant de cette planète doit contempler le jour où cette planète ne sera peut-être plus habitable. Chaque homme, femme et enfant vit sous une épée nucléaire de Damoclès, suspendu par le plus mince des fils, capable d'être coupé à tout moment par accident ou erreur de calcul ou par folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu'elles ne nous abolissent.

    Les hommes ne débattent plus pour savoir si les armements sont un symptôme ou une cause de tension. La simple existence d'armes modernes - dix millions de fois plus puissantes que toutes celles que le monde ait jamais vues, et à quelques minutes seulement de toute cible sur terre - est une source d'horreur, de discorde et de méfiance. Les hommes ne soutiennent plus que le désarmement doit attendre le règlement de tous les différends, car le désarmement doit faire partie de tout règlement permanent. Et les hommes ne peuvent plus prétendre que la quête du désarmement est un signe de faiblesse – car dans une course aux armements en spirale, la sécurité d'une nation peut très bien diminuer alors même que ses armements augmentent.

    Depuis quinze ans, cette organisation cherche à réduire et à détruire les armes. Maintenant, cet objectif n'est plus un rêve, c'est une question pratique de vie ou de mort. Les risques inhérents au désarmement sont pâles en comparaison des risques inhérents à une course aux armements illimitée.

    C'est dans cet esprit que la récente Conférence de Belgrade – reconnaissant qu'il ne s'agit plus d'un problème soviétique ou d'un problème américain, mais d'un problème humain – a entériné un programme de « désarmement général, complet et strictement contrôlé par la communauté internationale ». C'est dans ce même esprit que nous, aux États-Unis, avons travaillé cette année, avec une nouvelle urgence, et avec une nouvelle agence, désormais statutaire, pleinement approuvée par le Congrès, pour trouver une approche du désarmement qui serait si ambitieuse, pourtant réaliste, si mutuellement équilibré et bénéfique, qu'il pourrait être accepté par toutes les nations. Et c'est dans cet esprit que nous avons présenté, avec l'accord de l'Union soviétique – sous l'étiquette que les deux nations acceptent désormais le « désarmement général et complet » – une nouvelle déclaration de principes de négociation nouvellement convenus.

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  44. Mais nous sommes bien conscients que toutes les questions de principe ne sont pas réglées et que les principes seuls ne suffisent pas. Notre intention est donc de défier l'Union Soviétique, non pas à une course aux armements, mais à une course à la paix - d'avancer ensemble pas à pas, étape par étape, jusqu'à ce que le désarmement général et complet soit réalisé. Nous les invitons maintenant à aller au-delà d'un accord de principe pour parvenir à un accord sur des plans concrets.

    Le programme qui sera présenté à cette assemblée – pour un désarmement général et complet sous un contrôle international efficace – tend à combler le fossé entre ceux qui insistent sur une approche graduelle et ceux qui ne parlent que de réalisation finale et totale. Cela créerait des mécanismes pour maintenir la paix tout en détruisant les mécanismes de guerre. Elle passerait par des étapes équilibrées et protégées conçues pour ne donner à aucun État un avantage militaire sur un autre. Elle placerait la responsabilité finale de la vérification et du contrôle là où elle appartient, non pas aux seules grandes puissances, ni à son adversaire ni à soi-même, mais à une organisation internationale dans le cadre des Nations unies.

    Il assurerait cette condition indispensable du désarmement - une véritable inspection - et l'appliquerait par étapes proportionnelles au stade du désarmement. Cela couvrirait les systèmes de livraison ainsi que les armes. Cela arrêterait finalement leur production ainsi que leurs tests, leur transfert ainsi que leur possession. Elle obtiendrait sous les yeux d'une organisation internationale de désarmement, une réduction constante des forces, tant nucléaires que conventionnelles, jusqu'à ce qu'elle ait aboli toutes les armées et toutes les armes sauf celles nécessaires à l'ordre intérieur et une nouvelle force de paix des Nations Unies. Et cela commence ce processus maintenant, aujourd'hui, alors même que les pourparlers commencent.

    Source : Campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires

    Bref, le désarmement général et complet ne doit plus être un slogan, utilisé pour résister aux premiers pas. Ce n'est plus être un but sans moyen d'y parvenir, sans moyen de vérifier son progrès, sans moyen de maintenir la paix. C'est maintenant un plan réaliste et un test – un test pour ceux qui ne veulent parler que pour ceux qui veulent agir.

    Un tel plan n'apporterait pas un monde libéré des conflits et de la cupidité, mais il apporterait un monde libéré des terreurs de la destruction massive. Cela n'inaugurerait pas l'ère du super État, mais cela inaugurerait une ère dans laquelle aucun État ne pourrait anéantir ou être anéanti par un autre.

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  45. En 1945, cette nation a proposé le plan Baruch pour internationaliser l'atome avant même que d'autres nations ne possèdent la bombe ou ne démilitarisent leurs troupes. Nous avons proposé avec nos alliés le plan de désarmement de 1951 alors que nous étions encore en guerre en Corée. Et nous faisons nos propositions aujourd'hui, tout en construisant nos défenses sur Berlin, non pas parce que nous sommes incohérents ou peu sincères ou intimidés, mais parce que nous savons que les droits des hommes libres prévaudront - parce que, alors que nous sommes contraints contre notre volonté de nous réarmer, nous regardons en toute confiance au-delà de Berlin vers le genre de monde désarmé que nous préférons tous.

    Je propose donc, sur la base de ce plan, que les négociations sur le désarmement reprennent rapidement et se poursuivent sans interruption jusqu'à ce qu'un programme complet de désarmement général et complet ait non seulement été convenu mais ait été effectivement réalisé.

    IV

    L'endroit logique pour commencer est un traité assurant la fin des essais nucléaires de toutes sortes, dans tous les environnements, sous des contrôles réalisables. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont proposé un tel traité à la fois raisonnable, efficace et prêt à être signé. Nous sommes toujours prêts à signer ce traité aujourd'hui.

    Nous avons également proposé une interdiction mutuelle des essais atmosphériques, sans inspection ni contrôle, afin de sauver la race humaine du poison des retombées radioactives. Nous regrettons que l'offre n'ait pas été acceptée.

    Depuis 15 ans, nous cherchons à faire de l'atome un instrument de croissance pacifique plutôt que de guerre. Mais depuis 15 ans nos concessions ont été assorties d'obstruction, notre patience d'intransigeance. Et les appels de l'humanité pour la paix ont été ignorés.

    Enfin, alors que les explosions des autres assombrissaient le ciel, mon pays n'avait d'autre choix que d'agir dans l'intérêt de sa propre sécurité et de celle du monde libre. Nous ne pouvons pas mettre en danger cette sécurité en nous abstenant de tester pendant que d'autres améliorent leurs arsenaux. Nous ne pouvons pas non plus le mettre en danger par une autre interdiction longue et sans inspection des tests. Pendant trois ans, nous avons accepté ces risques dans notre société ouverte tout en recherchant un accord sur l'inspection. Mais cette année, alors que nous négociions de bonne foi à Genève, d'autres préparaient secrètement de nouvelles expériences de destruction.

    Nos tests ne polluent pas l'atmosphère. Nos armes de dissuasion sont protégées contre une explosion ou une utilisation accidentelle. Nos médecins et nos scientifiques sont prêts à aider n'importe quelle nation à mesurer et à faire face aux risques pour la santé qui résultent inévitablement des tests dans l'atmosphère.

    Mais pour stopper la propagation de ces armes terribles, pour stopper la contamination de l'air, pour stopper la spirale de la course aux armements nucléaires, nous restons prêts à rechercher de nouvelles voies d'accord, notre nouveau programme de désarmement comprend ainsi les propositions suivantes :

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  46. –Premièrement, la signature du traité d'interdiction des essais par toutes les nations. Cela peut être fait maintenant. Les négociations sur l'interdiction des essais n'ont pas besoin et ne doivent pas attendre le désarmement général.

    –Deuxièmement, arrêter la production de matières fissiles destinées à la fabrication d'armes et empêcher leur transfert vers tout pays dépourvu d'armes nucléaires.

    –Troisièmement, interdire le transfert du contrôle des armes nucléaires à des États qui n'en sont pas propriétaires.

    –Quatrièmement, empêcher les armes nucléaires de semer de nouveaux champs de bataille dans l'espace.

    –Cinquièmement, détruire progressivement les armes nucléaires existantes et convertir leurs matériaux à des fins pacifiques ; et

    –Enfin, arrêter les essais et la production illimités de vecteurs nucléaires stratégiques, et les détruire également progressivement.

    V

    Cependant, détruire les armes ne suffit pas. Nous devons créer tout en détruisant – en créant des lois et des forces de l'ordre mondiales alors que nous interdisons la guerre et les armes dans le monde. Dans le monde que nous recherchons, les Forces d'urgence des Nations Unies qui ont été rassemblées à la hâte, approvisionnées de manière incertaine et financées de manière inadéquate, ne suffiront jamais.

    Par conséquent, les États-Unis recommandent à tous les pays membres d'affecter des unités spéciales de maintien de la paix dans leurs forces armées - pour être sur appel des Nations Unies, pour être spécialement formés et rapidement disponibles, et avec des dispositions avancées pour un soutien financier et logistique.

    En outre, la délégation américaine proposera une série de mesures pour améliorer le mécanisme des Nations Unies pour le règlement pacifique des différends - pour l'établissement des faits, la médiation et le jugement sur place - pour étendre la primauté du droit international. Car la paix n'est pas seulement une question de problèmes militaires ou techniques, c'est avant tout un problème politique et humain. Et à moins que l'homme ne puisse égaler ses progrès en matière d'armement et de technologie avec des progrès égaux dans le développement social et politique, notre grande force, comme celle du dinosaure, deviendra incapable d'un contrôle approprié - et comme le dinosaure disparaîtra de la terre.

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  47. VI

    Alors que nous étendons l'état de droit sur terre, nous devons également l'étendre au nouveau domaine de l'homme – l'espace extra-atmosphérique.

    Nous saluons tous les braves cosmonautes de l'Union soviétique. Les nouveaux horizons de l'espace extra-atmosphérique ne doivent pas être guidés par les vieux concepts amers d'impérialisme et de revendications souveraines. Les étendues froides de l'univers ne doivent pas devenir la nouvelle arène d'une guerre encore plus froide.

    À cette fin, nous insisterons sur des propositions étendant la Charte des Nations Unies aux limites de l'exploration de l'univers par l'homme, réservant l'espace extra-atmosphérique à un usage pacifique, interdisant les armes de destruction massive dans l'espace ou sur les corps célestes, et ouvrant les mystères et les avantages de l'espace à chaque nation. Nous proposerons de nouveaux efforts de coopération entre toutes les nations en matière de prévision météorologique et éventuellement de contrôle météorologique. Nous proposerons, enfin, un système global de satellites de communications reliant le monde entier en télégraphe et téléphone et radio et télévision. Le jour n'est pas loin où un tel système télévisera les délibérations de cet organe aux quatre coins du monde au profit de la paix.

    VII

    Mais les mystères de l'espace extra-atmosphérique ne doivent pas détourner nos yeux ou nos énergies des dures réalités auxquelles sont confrontés nos semblables. La souveraineté politique n'est qu'une moquerie sans les moyens de faire face à la pauvreté, à l'analphabétisme et à la maladie. L'autodétermination n'est qu'un slogan si l'avenir n'offre aucun espoir.

    C'est pourquoi mon pays, qui a librement partagé son capital et sa technologie pour aider les autres à s'aider eux-mêmes, propose maintenant de désigner officiellement cette décennie des années 60 Décennie des Nations Unies pour le développement. Dans le cadre de cette résolution, les efforts actuels des Nations Unies pour promouvoir la croissance économique peuvent être élargis et coordonnés. Les enquêtes régionales et les instituts de formation peuvent désormais mettre en commun les talents de plusieurs. De nouvelles recherches, une assistance technique et des projets pilotes peuvent libérer la richesse des terres moins développées et des eaux inexploitées. Et le développement peut devenir une entreprise coopérative et non compétitive – pour permettre à toutes les nations, aussi diverses soient-elles dans leurs systèmes et croyances, de devenir en fait comme en droit des nations libres et égales.

    VII

    Mon pays est favorable à un monde d'États libres et égaux. Nous sommes d'accord avec ceux qui disent que le colonialisme est une question clé dans cette Assemblée. Mais laissez tous les faits de cette question être discutés en détail.

    D'une part, le fait que, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, une déclaration d'indépendance mondiale a transformé près d'un milliard de personnes et 9 millions de kilomètres carrés en 42 États libres et indépendants. Moins de 2 % de la population mondiale vit désormais dans des territoires « dépendants ».

    Je n'ignore pas les problèmes restants du colonialisme traditionnel auxquels se heurte encore cet organe. Ces problèmes seront résolus, avec de la patience, de la bonne volonté et de la détermination. Dans les limites de notre responsabilité en la matière, mon pays entend être un acteur et non un simple observateur du passage pacifique et rapide des nations du statut de colonies au partenariat d'égal à égal. Cette vague continue d'autodétermination, qui est si forte, a notre sympathie et notre appui.

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  48. Mais le colonialisme dans ses formes les plus dures n'est pas seulement l'exploitation des nouvelles nations par les anciennes, des peaux noires par la lumière, ou l'assujettissement des pauvres par les riches. Ma Nation était autrefois une colonie, et nous savons ce que signifie le colonialisme ; l'exploitation et l'assujettissement des faibles par les puissants, du grand nombre par quelques-uns, des gouvernés qui n'ont pas consenti à être gouvernés, quels que soient leur continent, leur classe, leur couleur.

    Et c'est pourquoi on ne peut ignorer le fait que la vague d'autodétermination n'a pas atteint l'empire communiste où une population bien plus importante que celle officiellement qualifiée de "dépendante" vit sous des gouvernements installés par des troupes étrangères au lieu d'institutions libres - sous un système qui sait un seul parti et une seule croyance – qui supprime le débat libre, les élections libres, les journaux libres, les livres gratuits et les syndicats libres – et qui construit un mur pour garder la vérité étrangère et ses propres citoyens prisonniers. Débattons pleinement du colonialisme et appliquons le principe du libre choix et la pratique des plébiscites libres aux quatre coins du globe.

    IX

    Enfin, en tant que Président des États-Unis, je considère qu'il est de mon devoir de faire rapport à cette Assemblée sur deux menaces à la paix qui ne figurent pas sur votre agenda chargé, mais qui nous préoccupent, ainsi que la plupart d'entre vous.

    La première menace dont je souhaite rendre compte est largement incomprise : les charbons ardents de la guerre en Asie du Sud-Est. Le Sud Viet-Nam est déjà attaqué, parfois par un seul assassin, parfois par une bande de guérilleros, récemment par des bataillons entiers. Les frontières pacifiques de la Birmanie, du Cambodge et de l'Inde ont été violées à plusieurs reprises. Et le peuple pacifique du Laos risque de perdre l'indépendance qu'il a acquise il n'y a pas si longtemps.

    Personne ne peut appeler ces « guerres de libération ». Car ce sont des pays libres vivant sous leur propre gouvernement. Ces agressions ne sont pas non plus moins réelles parce que les hommes sont poignardés chez eux et non fusillés sur les champs de bataille.

    La question très simple à laquelle est confrontée la communauté mondiale est de savoir si des mesures peuvent être conçues pour protéger les petits et les faibles contre de telles tactiques. Car s'ils réussissent au Laos et au Sud Viet-Nam, les portes seront grandes ouvertes.

    Les États-Unis ne cherchent pour eux-mêmes aucune base, aucun territoire, aucune position particulière dans ce domaine d'aucune sorte. Nous soutenons un Laos véritablement neutre et indépendant, son peuple libre de toute ingérence extérieure, vivant en paix avec lui-même et ses voisins, assuré que son territoire ne sera pas utilisé pour des attaques contre d'autres, et sous un gouvernement comparable (comme M. Khrouchtchev et moi convenu à Vienne) au Cambodge et à la Birmanie.

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  49. Mais maintenant, les négociations sur le Laos atteignent une étape cruciale. Le cessez-le-feu est au mieux précaire. La saison des pluies touche à sa fin. Le territoire laotien est utilisé pour infiltrer le Sud Viet-Nam. La communauté mondiale doit reconnaître – et tous ceux qui sont impliqués – que cette menace puissante contre la paix et la liberté laotiennes est indissociable de toutes les autres menaces contre les leurs.

    Deuxièmement, je souhaite vous faire rapport sur la crise de l'Allemagne et de Berlin. Ce n'est ni le moment ni le lieu d'utiliser des tons immodérés, mais la communauté mondiale a le droit de connaître les problèmes très simples tels que nous les voyons. S'il y a crise, c'est parce qu'une paix existante est menacée, parce qu'un îlot existant de peuples libres est sous pression, parce que des accords solennels sont traités avec indifférence. Les droits internationaux établis sont menacés d'usurpation unilatérale. La circulation pacifique a été interrompue par des barbelés et des blocs de béton.

    On se souvient de l'ordre du tsar dans le « Boris Godounov » de Pouchkine : « Faites des démarches à cette heure même pour que nos frontières soient clôturées par des barrières. . . . Que pas une seule âme ne franchisse la frontière, que pas un lièvre ne puisse courir ni un corbeau voler.

    Il est absurde d'alléguer que nous menaçons une guerre simplement pour empêcher l'Union soviétique et l'Allemagne de l'Est de signer un soi-disant « traité » de paix. Les Alliés occidentaux ne sont concernés par aucun arrangement sur papier que les Soviétiques pourraient souhaiter conclure avec un régime de leur propre création, sur un territoire occupé par leurs propres troupes et gouverné par leurs propres agents. Aucune action de ce type ne peut affecter nos droits ou nos responsabilités.

    S'il y a une crise dangereuse à Berlin – et il y en a – c'est à cause des menaces contre les intérêts vitaux et les engagements profonds des puissances occidentales, et la liberté de Berlin-Ouest. Nous ne pouvons céder ces intérêts. Nous ne pouvons manquer à ces engagements. Nous ne pouvons pas renoncer à la liberté de ces personnes dont nous sommes responsables. Un « traité de paix » qui comporterait des dispositions qui détruisent la paix serait une fraude. Une « ville libre » qui ne serait pas véritablement libre étoufferait la liberté et serait une infamie.

    Pour qu'une ville ou un peuple soit vraiment libre, il doit avoir le droit garanti, sans pression économique, politique ou policière, de faire son propre choix et de vivre sa propre vie. Et comme je l'ai souvent dit auparavant, si quelqu'un doute de la mesure dans laquelle notre présence est souhaitée par les habitants de Berlin-Ouest, nous sommes prêts à soumettre cette question à un vote libre dans tout Berlin et, si possible, parmi tous les Allemands. personnes.

    Le fait élémentaire de cette crise est qu'elle est inutile. Les outils élémentaires d'un règlement pacifique se trouvent dans la charte. En vertu de sa loi, les accords doivent être conservés, à moins qu'ils ne soient modifiés par tous ceux qui les ont conclus. Les droits établis doivent être respectés. La disposition politique des peuples doit reposer sur leurs propres désirs, librement exprimés dans des plébiscites ou des élections libres. S'il y a des problèmes juridiques, ils peuvent être résolus par des moyens légaux. S'il y a menace de recours à la force, elle doit être rejetée. S'il y a désir de changement, cela doit être un sujet de négociation, et s'il y a négociation, elle doit être enracinée dans le respect mutuel et le souci des droits d'autrui.

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  50. Les puissances occidentales ont calmement résolu de défendre, par tous les moyens qui leur seront imposés, leurs obligations et leur accès aux citoyens libres de Berlin-Ouest et l'autodétermination de ces citoyens. Cette génération a appris d'une expérience amère que brandir ou céder aux menaces ne peut que conduire à la guerre. Mais la fermeté et la raison peuvent conduire au genre de solution pacifique en laquelle mon pays croit profondément.

    Nous nous engageons à aucune formule rigide. Nous ne voyons pas de solution parfaite. Nous reconnaissons que les troupes et les chars peuvent, pendant un certain temps, maintenir une nation divisée contre sa volonté, aussi imprudente que cette politique puisse nous sembler. Mais nous pensons qu'un accord pacifique est possible, qui protège la liberté de Berlin-Ouest et la présence et l'accès alliés, tout en reconnaissant les intérêts historiques et légitimes des autres à assurer la sécurité européenne.

    Les possibilités de négociation sont actuellement explorées ; il est trop tôt pour dire quelles peuvent être les perspectives. Pour notre part, nous serions heureux d'annoncer au moment opportun qu'une solution a été trouvée. Car il n'y a pas besoin d'une crise à propos de Berlin, menaçant la paix - et si ceux qui ont créé cette crise désirent la paix, il y aura la paix et la liberté à Berlin.

    X

    Les événements et les décisions des dix prochains mois pourraient bien décider du destin de l'homme pour les dix mille prochaines années. Il ne sera pas possible d'éviter ces événements. Il n'y aura pas d'appel de ces décisions. Et nous, dans cette salle, resterons dans les mémoires soit comme faisant partie de la génération qui a transformé cette planète en un bûcher funéraire enflammé, soit comme la génération qui a tenu son vœu « de sauver les générations futures du fléau de la guerre ».

    Dans l'effort de répondre à ce vœu, je vous promets tous les efforts que possède cette Nation. Je vous promets que nous ne commettrons ni ne provoquerons d'agression, que nous ne fuirons ni n'invoquerons la menace de la force, que nous ne négocierons jamais par peur, que nous ne craindrons jamais de négocier.

    La terreur n'est pas une arme nouvelle. Tout au long de l'histoire, il a été utilisé par ceux qui n'ont pas pu l'emporter, soit par persuasion, soit par exemple. Mais inévitablement, ils échouent, soit parce que les hommes n'ont pas peur de mourir pour une vie digne d'être vécue, soit parce que les terroristes eux-mêmes ont réalisé que les hommes libres ne peuvent pas être effrayés par les menaces et que l'agression trouverait sa propre réponse. Et c'est à la lumière de cette histoire que chaque nation aujourd'hui devrait savoir, qu'elle soit amie ou ennemie, que les États-Unis ont à la fois la volonté et les armes pour se joindre aux hommes libres dans la prise de leurs responsabilités.

    Mais je viens ici aujourd'hui pour regarder à travers ce monde de menaces contre un monde de paix. Dans cette recherche, nous ne pouvons pas nous attendre à un triomphe final, car de nouveaux problèmes surgiront toujours. Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que toutes les nations adoptent des systèmes semblables, car la conformité est le geôlier de la liberté et l'ennemi de la croissance. Nous ne pouvons pas non plus nous attendre à atteindre notre objectif par artifice, par fiat ou même par les souhaits de tous.

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  51. Mais aussi proches que nous semblons parfois de cet abîme sombre et final, qu'aucun homme de paix et de liberté ne désespère. Car il n'est pas seul. Si nous pouvons tous persévérer, si nous pouvons dans chaque pays et bureau regarder au-delà de nos propres rivages et ambitions, alors sûrement l'ère se lèvera dans laquelle les forts sont justes et les faibles en sécurité et la paix préservée.

    Mesdames et Messieurs de cette Assemblée, la décision nous appartient. Jamais les nations du monde n'ont eu autant à perdre, ni autant à gagner. Ensemble, nous sauverons notre planète, ou ensemble nous périrons dans ses flammes. Nous pouvons la sauver – et nous devons la sauver – et nous gagnerons alors les remerciements éternels de l'humanité et, en tant qu'artisans de la paix, la bénédiction éternelle de Dieu.

    https://www.globalresearch.ca/john-f-kennedy-on-nuclear-war-and-the-threats-to-world-peace-together-we-shall-save-our-planet-or-we-shall-perish-in-its-flames/5624188

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    1. Comme le disait le président Kennedy "C'est une épée de Damoclès" que l'arme nucléaire. Qu'un pays soit capable de pouvoir détruire 10 fois ou 100 fois notre planète est une chose réelle, mais que l'ennemi s'en sorte est une impossibilité. Mais, depuis ce discours, de l'eau a coulé sous les ponts et, les 'autorités' connues ne sont pas celles qui dirigent ! Ce sont les 'hommes de l'ombre' les cachés derrière le rideau qui gèrent le monde à leur façon. Et, ces multimilliardaires qui possèdent 80 % des tout sur Terre (100 % en l'an 2024) s'appellent les BlackRock et Vanguard.
      Leur objectifs au travers d'un 'Global Reset' et d'asservir la population mondiale dans le transhumanisme proposé par les injection d'expérimentations géniques d'essais appelées frauduleusement e criminellement 'vaccins'.
      C'est-à-dire que le choix est: La mort ou la mort !

      Donc, en cas de soulèvement mondial contre les injections létales proposées depuis bientôt 3 ans, il pourrait y avoir l'explosion nucléaire !

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  52. Le New York Times rapporte à tort le pourcentage de décès dus au COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 19 DÉCEMBRE 2022 - 15:55
    Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Le New York Times a rapporté à tort qu'environ trois personnes sur 100 diagnostiquées avec le COVID-19 meurent, un mensonge que le point de vente a reconnu plus tard.

    Dans un article du 14 décembre affirmant que le COVID-19 peut se propager à partir de personnes décédées, la journaliste Apoorva Mandavilli a écrit que « jusqu'à 70 % des personnes infectées par le virus Ebola meurent, contre environ 3 % des personnes diagnostiquées avec le Covid-19 ».

    Il existe deux mesures des décès dus à une maladie : le taux de mortalité par infection (IFR) et le taux de létalité (CFR).

    Le premier prend toutes les infections et ajoute celles estimées tirées des tests sérologiques et de la modélisation. Le second est tiré uniquement des cas confirmés, il est donc toujours plus élevé, en raison du nombre de cas de COVID-19 non diagnostiqués.

    Selon une estimation récente, l'IFR varie de 0,49 % à 2,5 %, mais il est beaucoup plus faible pour ceux qui ne sont pas âgés.

    Selon un ensemble d'estimations, le CFR pour COVID-19 variait de 0,1% à 1,9 % à la mi-décembre, selon le pays. Aux États-Unis, il était tombé à 0,1 % en septembre, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    Le Dr Angela Rasmussen, citée dans l'article, a déclaré qu'elle ne se souvenait pas d'avoir fourni le chiffre de 3 %. « L'IFR COVID varie selon la population et l'âge. Avant le vaccin, certaines populations avaient des IFR supérieurs à 3 %, même si encore une fois, c'est très variable », a-t-elle écrit sur Twitter, en lien avec une estimation publiée dans The Lancet.

    Après qu'Epoch Times ait demandé au New York Times des données pour étayer l'affirmation de Mandavilli, le journal a mis à jour l'article.

    « Jusqu'à 70 % des personnes infectées par le virus Ebola meurent. Le chiffre pour Covid est loin d'être aussi élevé - supérieur à 3% dans les premiers jours de la pandémie, et quelque chose de plus proche de 1% ou même moins maintenant », indique maintenant l'article.

    Comme preuve, le document est lié à une transcription d'un discours prononcé le 3 mars 2020 par le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, et à l'ensemble des estimations du CFR.

    Dans son avis de correction, le New York Times a déclaré : « Une version antérieure de cet article déformait le taux de mortalité des patients Covid. Il est maintenant de 1 % ou moins, et non d'environ 3 %.

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  53. Toujours incorrecte
    L'affirmation mise à jour est toujours fausse, ont noté les experts.

    Le langage montre que le document fait référence à l'IFR, mais ses sources discutent du CFR.

    Ghebreyesus, par exemple, a déclaré que « dans le monde, environ 3,4 % des cas de COVID-19 signalés sont décédés ». Et le deuxième lien mène à une page Our World in Data qui indique clairement qu'il fournit le CFR, pas l'IFR.

    « Cette ‘correction’ est toujours fausse. Il confond IFR avec CFR », a écrit David Zweig, un écrivain scientifique, sur Twitter.

    "La correction est en fait encore plus incorrecte que l'affirmation initiale", a ajouté le professeur François Balloux, directeur de l'Institut de génétique de l'University College London.

    Le New York Times et Mandavilli n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.

    Historique des corrections sur COVID-19
    D'autres articles sur le COVID-19 écrits par Mandavilli ont également été corrigés.

    Un article tristement célèbre a affirmé que près de 4 000 enfants âgés de 5 et 11 ans sont morts du syndrome inflammatoire multisystémique, une affection liée au COVID-19, pendant la pandémie.

    Le nombre réel parmi tous les enfants n'était que de 68, selon le CDC.

    L'histoire a ensuite été mise à jour pour dire que près de 4 000 enfants âgés de 5 à 11 ans "ont été diagnostiqués avec" MIS-C, sans mention du nombre de décès.

    La mise à jour a été effectuée à l'origine sans avis de correction, une pratique appelée édition furtive. Après qu'Epoch Times se soit renseigné auprès du New York Times, le journal a ajouté une correction.

    « Une version antérieure de cet article mentionnait à tort le nombre d'enfants âgés de 5 à 11 ans atteints du syndrome inflammatoire multisystémique. Environ 4 000 ont été diagnostiqués, et non décédés, avec le syndrome », a déclaré la correction.

    En octobre 2021, Mandavilli a écrit que « près de 900 000 enfants ont été hospitalisés avec le COVID-19 depuis le début de la pandémie, et environ 520 sont décédés ».

    Le nombre réel d'enfants hospitalisés avec COVID-19 à ce moment-là était d'environ 93 000.

    Dans ce cas, une correction a été ajoutée à l'article, qui indiquait que l'article "déclarait de manière erronée le nombre d'hospitalisations de Covid chez les enfants américains".

    https://www.theepochtimes.com/new-york-times-falsely-reports-percentage-of-covid-19-deaths_4928209.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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