- ENTREE de SECOURS -



lundi 19 décembre 2022

Dr Carrie Madej - Le contrôle total par le numérique - 5

 

Dr Carrie Madej est une spécialiste en médecine interne et possède plus de 20 ans d'expérience dans le domaine médical.
Elle est diplômée de la faculté de médecine du Kansas City University of Medicine Bioscience College of Osteopathic Medicine en 2001. Elle a dirigé deux cliniques dans l'État de Géorgie, aux États-Unis, pendant 19 ans.


RAPPEL ... Agora TV - Astrid Stuckelberger révèle le Plan du Nouvel Ordre Mondial avec Précision. Hallucinant


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Pr Astrid Stuckelberger - L'arnaque des virus - 9


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Pr Astrid Stuckelberger : injections C19 & contrôle à distance du corps humain - 3

57 commentaires:

  1. Étude : La campagne de vaccination et le contrôle central ont échoué avec plus de décès


    19 décembre 2022
    du Dr. Peter F. Mayer


    Corona est le premier exemple mondial de pandémie avec un virus spécialement activé en laboratoire, un contrôle central des mêmes restrictions draconiennes dans le monde et une campagne mondiale de vaccination d'une ampleur sans précédent. La question est, a-t-il empêché ou créé des décès ? Il est désormais évident pour chacun que les conséquences économiques et sanitaires seront énormes pour les années à venir.

    La réponse à la question est entreprise dans l'étude de James A Thorp et al intitulée Global COVID-19 Pandemic Outcomes: Dissecting a Failed Strategy. La réponse courte est que l'OMS a échoué sur toute la ligne dans ses actions et sa campagne de vaccination.

    L'objectif de l'étude est d'évaluer les taux de mortalité du COVID-19 par population de pays. Il convient de déterminer si et quelles variables indépendantes spécifiques au pays provenant de 9 bases de données différentes sont corrélées. Il s'agit d'une étude de cohorte rétrospective basée sur la population utilisant les données de 9 sites Web mondiaux couvrant 108 pays dans le monde.

    Les principaux paramètres de résultat étaient les taux de mortalité liés au COVID-19 par population de pays, examinés à l'aide d'une analyse univariée et multivariée. Le principal paramètre de résultat pour déterminer s'il existe des corrélations entre le pourcentage de décès/population de COVID-19 à l'échelle nationale et le pourcentage de vaccinés dans chaque pays. Les paramètres de résultats secondaires comprennent l'impact d'autres variables indépendantes sur les taux de mortalité liés à la COVID-19 par population de pays, notamment : les dépenses de santé par habitant, le revenu annuel par habitant, les tests de dépistage de la COVID-19 pour 1 000 habitants, l'indice de rigueur (une mesure des stratégies de confinement de chaque pays), le score d'hydroxychloroquine (une mesure à utiliser dans chaque pays), le score à l'ivermectine (une mesure à utiliser dans chaque pays), l'hypertension, l'obésité, le diabète et des pays et zones géographiques spécifiques.

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  2. Résultats

    Les taux de vaccination contre la COVID-19 variaient de 0 à 99 % dans 108 pays. L'analyse univariée montre que les variables indépendantes suivantes sont liées aux décès/population du COVID-19 :

    taux de vaccination COVID-19 à l'échelle nationale avec le niveau de confiance le plus élevé (+0,2936, p=0,002).

    Viennent ensuite, avec une force décroissante, les facteurs d'influence :

    Coûts de santé par habitant (+0,3212, p=0,0007),

    revenu par habitant (+0,3051, p=0,0013),

    Tests COVID-19 pour 1000 habitants (+0,6981, p=0,0307),

    Indice de rigueur (+0,3098, p=0,0011),

    Indice d'hydroxychloroquine (-0,1337, p=0,0678) et

    Indice d'ivermectine (-0,1383, p=0,1535).

    Informations détaillées

    Les résultats de cette étude montrent que les taux de mortalité par COVID-19 par population sont positivement corrélés avec les taux de vaccination COVID-19 à l'échelle nationale (p = 0,002) ; ainsi, plus le pourcentage de la couverture vaccinale d'un pays est élevé, plus le taux de mortalité lié au COVID-19 est élevé dans la population. D'autres corrélations positives des mesures secondaires incluent les dépenses de santé par habitant (p = 0,0007), le revenu moyen du pays par habitant (p = 0,0013), le taux de dépistage du COVID-19 pour 1000 habitants (p = 0,0307) et l'indice de rigueur (p = 0,047 ).

    Une question se pose : quelle a été l'efficacité de la stratégie très centralisée de gestion de la pandémie et, de plus, est-ce une approche viable pour les futures pandémies ? Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de la première pandémie à faire l'objet d'un effort orchestré à grande échelle. Le monde va-t-il mieux maintenant que ces stratégies ont été appliquées ?

    La comparaison des nombres de cas signalés à trois moments de la pandémie - début janvier 2020, 2021 et 2022 - montre un schéma de propagation incontrôlée quelles que soient les mesures prises : le 1er janvier 2020, alors que la pandémie couvait (et avant même données initiales disponibles), le nombre de cas mondiaux se chiffrait (peut-être) en milliers.

    Au cours de la première semaine de janvier 2021, après près de dix mois de mesures de confinement, 4 985 723 nouveaux cas ont été signalés dans le monde. Au cours de la première semaine de janvier 2022, après un an de mesures de confinement et d'initiatives vaccinales, il y a eu 16 138 104 nouveaux cas, soit une multiplication par 3,2. Fin janvier, au plus fort de la vague Omicron, les chiffres avaient encore grimpé en flèche, atteignant 23 205 305, soit une augmentation de 4,6 fois.

    Les raisons de la propagation incontrôlée sont bien connues : on estime qu'au moins 50 % de la transmission du virus se produit par des porteurs asymptomatiques ou pré-symptomatiques. Cela signifie que les mesures visant à contenir la propagation du virus étaient vouées à l'échec dès le départ. Cela remet en question la valeur des tests de masse pour la population, qui, même dans des conditions optimales, ont une sensibilité d'environ 80 % et pas plus de 50 à 60 % en réalité. Ces faits vont à l'encontre des mesures de test qui ont un effet positif sur la dynamique de transmission.

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  3. Ainsi, après que les mesures, qui ont été mises en œuvre dans le monde entier pour la première fois, ont échoué lamentablement, l'OMS et ses financiers prévoient encore plus de centralisme, encore plus de contrôle par le haut et encore plus d'inclusion d'autres domaines tels que l'agriculture, l'élevage et la politique climatique. Le tout sous le titre « One Health ». Les résultats attendus seront encore plus désastreux, mais encore plus lucratifs pour Big Pharma et ses actionnaires.

    https://tkp.at/2022/12/19/studie-impfkampagne-und-zentrale-steuerung-krachend-gescheitert-mit-mehr-verursachten-todesfaellen/

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    1. L'agressivité d'une piqûre dépend du laboratoire et d'autre part de la nature des nouvelles piqûres létales imposées géographiquement dans le temps. Il y a donc: piqûres létales à court et moyen terme.

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  4. "Cet esprit critique qu’on doit retrouver sur les vaccins covid, il le faut aussi sur les autres vaccins"
    Xavier Bazin


    le 18 décembre 2022 - 18:20


    Xavier Bazin, journaliste scientifique, est l'auteur des ouvrages "Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé" et "Antivax toi-même ! - Retrouvons un esprit critique sur la vaccination".

    Invité de notre "Debriefing", Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain, vient nous présenter son nouvel ouvrage Antivax toi-même ! - Retrouvons un esprit critique sur la vaccination, qui fait déjà beaucoup de bruit. Préfacé par le Dr Michel de Lorgeril, médecin et ancien chercheur au CNRS, salué par le Pr Romain Gherardi, considéré comme l’un des meilleurs spécialistes en matière de vaccination, ce livre a vocation à briser certains dogmes, mythes et fausses croyances sur la vaccination, que ce soit contre le Covid-19 ou d’autres maladies, en s’appuyant sur la science. Le leitmotiv : sortir de la religion vaccinale et regarder les faits. Un ouvrage qui arrive à point nommé alors qu’Emmanuel Macron étudie la possibilité de rendre obligatoire la vaccination des jeunes contre les infections à papillomavirus humains (HPV).

    « Je crois que ce qu’on a vu sur le Covid le caractère totalement unilatéral dans l’espace médiatique et institutionnel du discours sur la vaccination comme seule réponse à l’épidémie » : dans cet entretien, Xavier Bazin commence par pointer du doigt l'existence d’un son de cloche unique concernant le discours à propos du vaccin contre le Covid-19 à toutes les échelles sociétales : médiatiques, politiques, institutionnelles. Un système digne des régimes communistes pour le journaliste, qui relève néanmoins une caractéristique « plus perfide » au 21ème siècle : le nombre des médias donne une apparence de pluralité, alors que le discours sur des sujets comme la vaccination est unique. Ainsi, quiconque s’inscrit en faux par rapport au narratif médiatique se retrouve illico de toutes parts diabolisé et affublé des termes « anti-vax », « complotiste », « extrême droite », donnant à voir une fausse apparence de consensus. « On est dans une dérive » qui vire à « la folie », dénonce le journaliste qui rappelle la promesse d'un retour à la vie normale après deux injections se soldant aujourd’hui par un appel à la cinquième dose « alors qu’elle a été évaluée sur huit souris » : « On nous indique maintenant ce que les complotistes avaient prédit, à savoir un abonnement vaccinal tous les trois à six mois ». Et d’ajouter : « Quel est l’intérêt de se vacciner une énième fois quand on a déjà eu la maladie ? Une première dans l’histoire de la vaccination. »

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  5. Xavier Bazin affirme pouvoir « démontrer par A + B » dans son ouvrage qu’il est « totalement faux » de dire que « la vaccination aurait permis de sortir des fléaux infectieux qui ont dévasté l’humanité pendant des siècles », prenant tout d’abord l’exemple des maladies de la rougeole et de la coqueluche. « On voit très bien et je montre les courbes dans mon livre que sur ces maladies qui étaient très mortelles au début du 20e siècle et à la fin du 19e siècle, la mortalité était quasiment tombée à zéro avant l’introduction des vaccins. Toujours des cas, mais quasiment plus de morts à ce moment », explique-t-il. Selon le journaliste, l’origine de ces fléaux infectieux réside dans « le problème du terrain » : « On avait des organismes fragiles, notamment liés à la révolution industrielle qui avait créé des bidonvilles et une énorme pauvreté. Des enfants et des bébés avaient des carences nutritionnelles énormes. Grâce aux progrès du niveau de vie, de l’hygiène, mais aussi de la nutrition, le système immunitaire est devenu plus apte à lutter. »

    Xavier Bazin poursuit ses explications sur les « mythes » relatifs à l’efficacité de la vaccination en citant l’exemple de l’éradication de la variole : « Quand vous vous penchez sur ce sujet, vous remarquez que dans le rapport de l’OMS, on nous explique noir sur blanc que c’est l’abandon du projet de vaccination de masse qui a permis d’éradiquer la variole. Quand on a essayé de vacciner tout le monde, ça n’a pas marché. Quand on a changé de stratégie et qu’on s’est mis à isoler les malades et leurs contacts, c’est là qu’on a réussi à éradiquer cette maladie. On dit que c’est grâce à [la vaccination qu’on a mis un terme à la pandémie] alors que c’est un facteur qui retardé l’éradication de la variole. »

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/xavier-bazin-esprit-critique-vaccin-covid-et-autres-vaccins

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    1. Déjà là dans le 'de force' il y a les merdias qui se diront et vous diront que personne n'est obligé de les lire, écouter, regarder ! Très juste. Mais ils demeurent un suppo d'avant-garde. Par contre, l'assassinat d'enfants à la seringue mettent les parents dans leurs condamnations assistées de voir leurs enfants grimper à l’échafaud !
      Puis, arrive un 'missionnaire' avec son livre ouvert expliquant que depuis 1929 de l'aluminium est ajouté dans TOUS les vaccins afin que la personne inoculée ait l’Alzheimer ! (et, constatations faites, l'âge de 80 ans a reculé à 70 pour l'avoir, puis à 60, 50, 40, 30 et même quelques-uns à 20 ans !!). C'est-à-dire que presque 100 ans plus tard, les assassins existent toujours !

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  6. Les grands mythes de la religion vaccinale



    Anti-vax ? Combien de Français ont-ils été vaccinés de force ?


    Pierre Lécot,
    pour FranceSoir
    le 18 décembre 2022 - 16:30


    "Ils réécrivent l’histoire en faisant semblant de croire que les Français voulaient se faire vacciner : ils y ont été contraints."

    TRIBUNE - L’échec cuisant de la quatrième dose est difficile à digérer pour les pouvoirs publics et les prêcheurs de l’apocalypse. La situation se crispe autour du retour des soignants non-vaccinés. La stratégie actuelle du gouvernement et de ses alliés est de faire croire que les non-vaccinés, les “anti-vax” comme ils aiment les appeler, sont une ridicule minorité de la population. Ils réécrivent l’histoire en faisant semblant de croire que les Français voulaient se faire vacciner. Ils y ont été contraints. C’est le passe vaccinal qui a forcé la main aux Français. Il n’a jamais été question de choix libre et éclairé. Les Français ont toujours été méfiants, certains se rappelant très bien de l’arnaque H1N1, d'autres ne voyant pas d’intérêt à prendre un risque vaccinal alors qu’ils n’avaient aucun risque concernant la dite maladie. Le bilan est bien celui d’une population contrainte derrière laquelle fait semblant de se cacher le gouvernement pour ne pas avoir à répondre de ce qu’il a causé. Explications en vidéo ici.

    Qui sont les antivax qui n’ont pas leurs quatre doses ?

    Presque personne ne veut de la quatrième dose. Une minorité de Français a, pour le moment, accepté de la recevoir. C’est étrange puisque selon le gouvernement et les médias, nous vivons dans le “pays de Pasteur”. Le gouvernement continue de refuser de réintégrer les personnels suspendus non-vaccinés, faisant croire qu’ils sont marginaux, fous, et que l’écrasante majorité des soignants plébiscite le vaccin. Rappelons que plusieurs milliers de suspendus sont sans aucun revenu ni droit de travailler depuis plus d’un an et trois mois. Comment se fait-il que plus de huit mois après l’ouverture de la quatrième dose aux plus âgés, seulement huit millions de doses ont été distribuées ? Est-ce un simple oubli, ou finalement, lorsqu’ils n’y sont pas obligés, les Français ne se vaccinent tout simplement pas ?

    Selon Antoine Flahault, prédicateur de l’apocalypse en chef, qui avait déjà prévu la fin du monde lors de la “pandémie” H1N1 (dont le rapport du Sénat de l’époque conclut qu’il ne s’agissait que d’une vaste escroquerie), les “antivax”, les non-vaccinés, ne représentent qu'une personne sur 1000 !

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  7. Même le ministère de la Santé n’ose pas aller aussi loin. Antoine Flahault ose tout depuis plus de 10 ans, et c’est à ça qu’on l’a toujours reconnu.

    Selon VaccinTracker, le site de Guillaume Rozier plébiscité par le ministère de la Santé, 93% de la population française éligible à la vaccination, de 12 ans ou plus, a reçu deux doses de vaccins. Cela fait donc au moins 7% de résistants, ou d’anti-vax selon Antoine Flahault, soit 70 personnes sur 1000, et non pas 1 sur 1 000. Antoine Flahault se trompe donc d’un facteur de 70, ce qui est un bon score pour lui finalement.

    De surcroît, nous avons montré dans une vidéo précédente que les non-vaccinés sont en fait bien plus nombreux que ce petit 7%. Le ministère de la Santé vient d’avouer dans une étude que ses estimations du nombre de non-vaccinés sont complètement fausses. Elles sont basées sur un calcul non homogène entre le numérateur (le nombre de vaccinés enregistrés à l’assurance maladie) et le dénominateur (la population résidente calculée par l’INSEE). Le seul calcul homogène à la disposition du ministère de la Santé montre 14% de non-vaccinés dans la population des plus de 20 ans. C’est deux fois plus. Avec, de surcroît, près de 30% de non-vaccinés chez les 20-30 ans. Et encore, sans enlever tous ceux qui ont préféré vacciner l’évier et qui sont donc faussement enregistrés dans les bases.

    Aujourd’hui, toujours selon VaccinTracker, seulement 13% de la population française éligible a accepté de recevoir ses quatre doses. Chez les moins de 40 ans, le ministère annonce moins de 3 % de vaccinés. Nous vivons donc au milieu de 87 % d’anti-vax, même 97 % chez les moins de 40 ans, planquez-vous, la mort est au coin de la rue !

    Qui avait vraiment envie de se faire vacciner ?

    Personne ne veut de la quatrième dose. C’est un fait. Le savoir nous permet de nous demander si les Français avaient vraiment envie de faire leurs doses précédentes ou s’ils y ont été forcés. En fait, tout le monde le sait puisque la mise en place de toutes les mesures de coercition avaient pour but de forcer la vaccination. C’est écrit noir sur blanc par le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale. Nous pouvons d’ailleurs mesurer les réticences des Français face à la vaccination contre la Covid-19 grâce à l’enquête Epicov menée conjointement par l’Inserm et la Drees, avec l’appui de l’Insee. Plus particulièrement, l’enquête sur “Les spécificités sociales de l'hostilité à la vaccination contre le Covid-19 en France” évalue à quel point les Français ne désiraient pas de cette vaccination fin 2020. En effet, sur les 85 000 personnes interrogées, seules 33% répondaient “Oui, probablement” à la question leur demandant s’ils comptaient se faire vacciner. Répondre “Oui probablement” n’est pas une adhésion sans condition. Cela n’engage pas totalement le répondant sur sa décision finale. En ajoutant les “Oui, peut-être”, on obtient 60% de réponses positives, mais très prudentes. Et encore, les auteurs de l’étude déclarent avoir “choisi de ne pas inclure les personnes testées positives au Covid-19 et dont l'intention de se faire vacciner pourrait être influencée par ce fait”.

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  8. En effet, les personnes testées positives n’ont aucune raison de vouloir se faire vacciner puisque, précisément, la théorie vaccinale se base sur le principe d’immunité. On note que les auteurs annoncent avoir 4 000 personnes ayant un test positif, mais en enlèvent 15 000 de l’échantillon sans explication. Il y a une disparition assez brutale des répondants qui pose question. On obtient au final 60% de réponses faiblement positives sur un échantillon volontairement tronqué de la population. Les différents choix des auteurs ont quand même exclu plus de 20 000 répondants, soit plus de 20% de l’échantillon. C’est beaucoup. Normalement, dans une étude sans biais, les auteurs devraient publier les résultats de la population exclue. Ici, tout laisse à penser que cette population n’a pas répondu comme en avait envie le ministère.

    Concernant le profil de ceux qui déclarent ne pas vouloir se faire vacciner contre la Covid-19, ceux qui seront appelés les “anti-vax” on retrouve surtout les jeunes. Les moins de 35 ans sont bien plus nombreux à être fermement opposés à cette vaccination que les plus de 65 ans. C’est tout à fait normal puisqu’il n’y a pas la moindre trace statistique d’un quelconque événement sanitaire en France pour les moins de 65 ans. Sur ce graphique construit à partir des données de décès et de population disponibles sur Eurostat, on représente le nombre de décès standardisé par âge en France depuis 1998. On peut voir que l’année 2020 de la grande pandémie mortelle de Covid-19 est finalement au même niveau que 2015, et pour les moins de 65 ans représentés en bleu clair, absolument aucun événement n’est décelable. Il n’y a donc aucune raison pour les moins de 65 ans de vouloir se protéger de quelque chose. Les jeunes ont juste un minimum de bon sens.

    Nous avons rappelé plus haut le mensonge du ministère de la Santé sur le nombre de non-vaccinés. Dans l’étude de la Dress qui a révélé la supercherie, la source qui annonce 14% de non-vaccinés est la seule qui montre que les jeunes sont moins vaccinés que les vieux. Les autres sources annoncent l’inverse. Cette étude d’Epicov confirme une fois de plus ce que nous avons montré : les jeunes n’avaient pas envie de se faire vacciner. Le plus logique est qu’ils sont moins vaccinés que les autres et donc que les données du ministère de la Santé ont toujours été fausses : il y a au moins deux fois plus de non vaccinés dans la population que ce que prétend le ministère de la Santé. Dans la vidéo dédiée, je vous montre que cela implique que tous les calculs concernant la soi-disant efficacité vaccinale sont faux, puisque pour calculer l’efficacité vaccinale, il faut évaluer correctement le nombre de non-vaccinés dans la population.

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  9. L’étude montre également que ce sont les plus diplômés et les plus riches qui sont les moins opposés à la vaccination anti-Covid-19. Il est tout à fait normal que les gagnants du système soient les plus enclins à obéir au gouvernement. Quand on est bien adapté, qu’on a réussi ses études et qu’on gagne plein d’argent, on a plutôt tendance à penser que le gouvernement nous veut du bien puisque jusqu’ici, ça fonctionne. C’est évidemment l’inverse pour tous les laissés pour compte. Ce n’est pas une marque d'intelligence, mais de confiance dans le système.

    Le portrait des favorables à la vaccination se termine avec les derniers indicateurs : ils ont des comorbidités, peur de tomber malade et confiance dans l’action du gouvernement. Il est finalement normal d’avoir l’impression de vivre une caricature de société, puisque c’est bien ce qui se passe. Nous vivons au rythme des pétochards : de trop nombreux baby-boomers en surpoids et sous médicaments, passent leur retraite devant la télé, ont peur de passer l’arme à gauche à la moindre alerte et se réfugient volontiers derrière le totalitarisme sanitaire. Il va falloir prendre son mal en patience, ils seront majoritaires aux urnes pendant encore 20 ans.

    Il y a une dernière catégorie de personnes qui ne veulent pas de la vaccination anti-Covid-19 et qui embête beaucoup les auteurs de l’étude puisqu’ils y consacrent un quart de toute leur analyse : les femmes. Les femmes sont vraiment plus réticentes que les hommes à se vacciner contre la Covid-19 et tout particulièrement celles qui ont des enfants. Les auteurs défendent alors plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène, et notamment : “La première hypothèse était que le vaccin contre le Covid-19 pourrait constituer une menace pour les projets de maternité.” On apprend alors que les femmes savent très bien qu’elles risquent d’avoir des problèmes menstruels à la suite d’une vaccination. Elles savent que cela peut les rendre malades, et que la maladie a des impacts sur la fertilité. En l'occurrence, à la suite des campagnes de vaccination anti-Covid-19, de nombreuses femmes ont connu des problèmes de cycle menstruel. Le collectif “Où est mon cycle” a justement vu le jour pour permettre aux nombreuses femmes concernées d’oser s’exprimer à ce sujet. Ce collectif dénigré par la presse et taxé “d’anti-vax” par le journal Libération notamment, a fini par se voir ouvrir les portes de l’ANSM qui n’a pu qu’avouer timidement l’ampleur du phénomène. Les femmes sont donc de dangereuses “anti-vax”, tout particulièrement les jeunes, puisqu’elles refusent de prendre le risque d’avoir des problèmes de fertilité en se vaccinant contre une maladie donc il n’existe aucune trace de problème grave dans les statistiques les concernant.

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  10. Les deux autres hypothèses ne sont pas révélatrices de ce que pensent les femmes, mais plutôt de ce que pensent les auteurs de l’étude. On peut lire : “La seconde explication pourrait être trouvée dans le rapport que les femmes entretiennent avec leur rôle social d'aidante au sein de la famille”. Autrement dit, les femmes sont des mères-poules qui refusent de confier leurs enfants aux bons soins des médecins qui savent mieux qu’elles ce qu’il faut pour leur enfant. Encore mieux : “La plus grande propension des hommes au vaccin contre le Covid-19 pourrait aussi être le résultat d'une plus grande acceptation des innovations technologiques en génétique”. Les femmes seraient donc des rétrogrades qui “ne croient pas en la science”. Probablement trop occupées à faire le ménage pour profiter des fabuleuses innovations technologiques.

    Nous proposons une autre explication plus simple : comme les femmes s’occupent plus des enfants que les hommes (c’est d’ailleurs ce que disent les auteurs), elles ont été plus souvent confrontées que les hommes aux effets indésirables des vaccins sur leurs enfants. Même si les gouvernements font semblant de croire qu’il n’y a jamais aucun problème, l’histoire de la vaccination est très loin d’être toute rose, en particulier dans le cas de vaccinations de masse.

    Combien ont couru à la vaccination ?

    Le site Géodes nous permet de savoir qui s’est fait forcer la main par le gouvernement. Il suffit de regarder qui n’y est pas allé avant de se faire menacer. Au 29 avril 2021,au moment où est annoncée l’arrivée d’un passeport sanitaire, seuls 645 000 jeunes de 30-39 ans ont reçu une première dose. Bien moins de 10 % de cette population en fait. Il s'agit des jeunes considérés comme ayant des comorbidités.

    Le gouvernement sait déjà que la menace du passe sanitaire est nécessaire pour réussir à vacciner les jeunes. L'annonce du passe sanitaire est donc faite juste avant l'ouverture de la vaccination aux jeunes qui a lieu le 12 mai 2021. Ce passe sanitaire limité aux grands rassemblements suffit à faire céder une petite moitié des jeunes. On observe que la vitesse de la vaccination commence à baisser à l’été. À ce moment-là, le gouvernement sait que sa stratégie ne va pas complètement fonctionner. C’est finalement l’annonce du passe sanitaire intégral le 12 juillet 2021 qui va permettre au gouvernement de forcer la main à une grande partie des jeunes manquants. On rappelle que selon la Drees, ces estimations sont fausses. Il y a moins de vrais vaccinés que cela, mais elles permettent de comprendre qu’il ne s’agit pas d’un choix libre et éclairé.

    Pour la dose de rappel, c’est encore pire. Au 22 novembre, seulement 100 000 jeunes de 30 à 39 ans ont donné leur bras à la science. La Haute Autorité de santé recommande alors à tous les Français de faire leur troisième dose. Il est décidé que les passes sanitaires arrivent à expiration six mois après la seconde dose, forçant la main à tous ceux qui en ont besoin. Cette fois, il n’y a plus que cinq millions d'enregistrements alors que huit millions ont reçu deux doses. C’est étrange de voir autant de personnes éviter une vaccination sûre et efficace…

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  11. C’est encore une fois Guillaume Rozier qui nous permet de comprendre ce qui s’est passé, grâce à son site CovidTracker. En juillet 2021, à l’instauration du passe sanitaire, les Français non-vaccinés sont obligés de se tester à chaque sortie. On voit que les positifs chez les non-vaccinés sont plus nombreux que chez les vaccinés. C’est normal, les vaccinés ne se testent plus. Pas de test, pas de Covid, pas de Covid, pas de Covid. Le taux de positivité du test est très faible à cette époque (moins de 5%), et donc la majorité de la population est obligée de se faire vacciner si elle veut arrêter de subir ces intrusions dans les narines. En décembre 2021, la validité du passe sanitaire arrive à expiration pour tous les vaccinés de l’été. Plutôt que de se ruer vers les centres de vaccinations pour recevoir une dose sûre et efficace, une énorme part des vaccinés se rue dans les centres de dépistages en espérant avoir un test positif. Ils sont tellement nombreux à faire ce choix que la part de positifs chez les vaccinés passe au-dessus de celle chez les non-vaccinés. Cela prouve le biais de la soi-disant efficacité vaccinale : à partir du moment où les vaccinés se testent de nouveau, ils sont tout autant positifs que les autres. En mars 2022, c’est la fin du passe vaccinal, plus personne n’a envie de se vacciner ni de se tester, sauf les irréductibles vaccinés trois doses. Leur positivité passe au-dessus de tous les autres. Ce sont donc les plus vaccinés qui croient le moins que la vaccination fonctionne puisqu’ils se testent plus souvent. C’est très révélateur du brouillard obscurcissant tout bon sens depuis trois ans. Les gens ne réalisent même plus l’absurdité de la situation.

    Aujourd’hui, sans obligation vaccinale, il n’y a que 154 000 Français entre 30 et 39 ans qui ont fait leurs quatre doses.

    Ainsi, il n’y avait, avant les menaces, que 600 000 “convaincus" allant d'eux-mêmes se faire vacciner sur les huit millions de Français entre 30 et 39 ans, soit un petit 7,5% ayant des comorbidités et accordant une confiance totale dans les décisions sanitaires du gouvernement. Au bout de deux ans, et à l’heure de la quatrième dose, les trois quarts d'entre eux ont changé d’avis. La vraie minorité sont les 2% qui continuent inlassablement la vaccination tellement sûre que tout le monde arrête et tellement efficace qu’il faut en faire tous les six mois. Il ne restera bientôt plus que des anti-vax dans notre pays.

    H1N1 : l’échec cuisant
    Il est clair que les membres du gouvernement, tout comme les cabinets de conseil, savent depuis très longtemps qu’il ne sera pas possible de faire vacciner une grande partie de la population française sans mettre en place des gros moyens de coercition. Pour mémoire, il y a 10 ans, la fameuse grippe H1N1 devait déjà déclencher la fin du monde selon Fergusson ou selon Antoine Flahault. Ce sont les mêmes prêcheurs de l’apocalypse qui sont revenus 10 ans plus tard. Tout le monde semble avoir oublié leur énorme raté de l’époque. Cette “pandémie” avait déclenché l’achat massif de vaccins antigrippaux par la ministre Roselyne Bachelot (qui a travaillé pour l’industrie pharmaceutique pendant 12 ans et notamment Icipharm aujourd’hui appartenant à AstraZeneca) pour un coût d’environ, 1,5 milliard d’euros. Finalement, les 96 millions de doses commandées ont pour l’écrasante majorité finie à la poubelle puisque seulement cinq millions de Français ont accepté de se faire vacciner à l’époque. Cela fait quand même une très grosse majorité d’anti-vax. Le rapport du Sénat est très clair sur cette escroquerie : il n’y a eu aucune panique ni aucun mort dans la population, notamment parce que les médecins n’ont pas été interdits de soigner leurs patients habituels :

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  12. “Dans l’ensemble, les médecins généralistes, alors qu’ils n’avaient pas été chargés de conduire la vaccination antigrippale, ont fait face à la pandémie en assurant l’essentiel des soins. 900 000 consultations liées à la grippe A (H1N1) ont eu lieu pendant la période pandémique : il est remarquable que, comme l’a reconnu la ministre de la Santé, cela n’ait pas entraîné de surcharge du système hospitalier, alors qu’on estime en général qu’une épidémie génère des désordres dans le système hospitalier à partir de 700 000 consultations supplémentaires en médecine de ville. Les médecins généralistes ont donc particulièrement bien géré la réponse à apporter à la pandémie, et ils ont su rassurer leurs patients, évitant un engorgement du système de soins.”

    Tout le monde sait grâce à ce rapport que si les gens n’ont pas peur, ils ne se vaccinent pas, et que pour qu’ils aient peur, il faut empêcher les médecins de soigner leurs patients comme ils le font d’habitude.

    Nous l’avons vu, la panique a été instaurée dans les médias grâce à des modèles purement spéculatifs qui se sont révélés complètement faux :

    “Au cours de la pandémie de 2009, deux modèles ont été utilisés en France : celui conçu par l'InVS et l'Inserm à la demande du CLCG [Comité de lutte contre la grippe, Ndlr] en septembre 2008, dans le cadre de ses réflexions sur l'intérêt d'une vaccination prépandémique, et celui développé par l'équipe de M. Antoine Flahault, directeur de l'École des hautes études en santé publique (EHESP). Si seul le premier a servi à formuler des avis officiels, tous deux ont systématiquement surestimé les effets du virus, incitant les pouvoirs publics à persévérer dans l'idée que la vaccination de l'ensemble de la population était nécessaire. Dans son avis du 28 septembre 2009, l'InVS estimait ainsi sur la base de son modèle que le nombre de décès varierait "entre 6 400 et 96 000 soit 2 à 30 fois plus que la grippe saisonnière". M. Flahault, pour sa part, estimait en mai 2009 que le virus pourrait tuer 30 000 personnes en France. Or, les données cliniques recueillies à ce jour dénombrent 312 morts.

    Malgré l’évidence du faible nombre de malades et de morts, les voix dissidentes ont été empêchées de s’exprimer :

    "b) Un consensus paralysant

    Investis de la mission d'intégrer l'ensemble des données qui devenaient progressivement disponibles, mais aussi de répondre dans des délais très brefs - parfois 48 heures - aux saisines constantes de la DGS, les membres du CLCG se sont rendus extrêmement disponibles. […]

    Mais cela a eu pour conséquence involontaire d'écarter les procédures par lesquelles un débat critique peut plus facilement s'instaurer, et a renforcé une dynamique de consensus qui n'était pas propice à l'examen critique systématique des données. […]

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  13. Les rivalités entre scientifiques ont pu accentuer la tendance à privilégier les hypothèses maximalistes.”

    L’omerta a été encore pire pour les effets indésirables de la vaccination, même les très graves. Ce n’est que depuis fin 2020 que les victimes de la vaccination anti-H1N1 commencent à obtenir des dédommagements et uniquement pour les problèmes de narcolepsie. La narcolepsie est un handicap très sévère qui consiste à être incapable de se retenir de s’endormir n’importe quand. L’ANSM a mis plus de deux ans à commencer à reconnaître un lien entre les nombreuses narcolepsies rapportées et la vaccination, mais sans vouloir admettre que la cause était bien le vaccin. On reconnaît ici le courage des soi-disant agences de régulation (toutes épinglées par la cour des comptes en 2016 pour leurs conflits d’intérêts avec Big Pharma) qui autorisent chaque année des centaines de nouveaux médicaments sur la base des simples études des fabricants. On reconnaît le vieil adage : “Ne mords pas la main qui te nourrit”. Au bout de 10 ans, il reste 170 courageux encore dans la bataille pour obtenir réparation contre une escroquerie qui a détruit leur vie. Il est impossible de savoir combien ont abandonné ce combat ni le nombre de victimes des autres effets indésirables. La narcolepsie est un événement tellement exceptionnel qu’il est impossible de nier la causalité entre la vaccination et la maladie lorsque, juste après une campagne de vaccination, on voit apparaître dans la population un grand nombre de malades. Ce n’est pas la même chose pour les problèmes cardiaques ou les morts subites. Pour les problèmes cardiaques, le système pourra toujours se cacher derrière le fait que la pathologie est courante, même si Epi-phare a fini par avouer un lien entre vaccination et myocardites. De même, mourir n’est pas rare, et en plus cela enlève le problème du plaignant.

    En conclusion, non, les Français n’ont jamais plébiscité la vaccination de masse. Ils n’y étaient pas réfractaires par principe, mais attendaient légitimement de voir comment cela allait se passer. Une minorité de personnes âgées, sédentaires, en surpoids, bourrées de médicaments, attendaient le miracle médical qui allait leur permettre de survivre à la pandémie qu’ils n’ont vu qu’à la télé. De nombreux Français et tout particulièrement les femmes et notamment celles qui ont des enfants savent que chaque acte porte un risque. Pour une femme jeune, ce risque est l’infertilité. D’expérience, nous savons tous que les agences de régulation protègent mal contre les problèmes de sécurité des médicaments, et d’après la Cour des comptes, elles sont bourrées de conflits d’intérêts. Il faut ensuite de très nombreuses années aux victimes pour obtenir réparation. C’est un combat de tranchées contre un système corrompu et une industrie pharmaceutique toute puissante. Des adversaires qui dissuadent la majorité des victimes d’entamer des procédures. Un combat pour lequel les médias ont aussi choisi un camp. Ce n’est pas celui des victimes. Pour les victimes d’aujourd’hui, il ne fait que commencer.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/anti-vax-combien-de-francais-ont-ete-vaccines-de-force

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    1. Bien sûr là vous me direz qu'il y a x millions de personnes qui n'ont même pas eu leur 2 ème dose... parce qu'ils sont morts dès la première, et qu'il y a x millions d'autres personnes qui n'ont pas eu leur 3 ème dose parce qu'ils sont morts dès la seconde, etc, etc. Très juste. ''Çà fait du monde en moins sur les routes, d'où l'entrée forcée de 'réfugiés climatique' !!!"
      Mais la question est: Pourquoi ? Pourquoi cette dépopulation massive alors que face à eux se retrouveront les ingénieux, les grosses têtes face aux psychopathes ?
      Auraient-ils perdu le 'tête' ?

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  14. Le sang non vacciné est maintenant très demandé


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    19 décembre 2022


    On ne sait pas si le sang donné par des personnes qui ont reçu des injections d'ARNm COVID-19 présente un risque pour ceux qui le reçoivent. Cependant, un nombre croissant de personnes ne veulent prendre aucun risque et demandent du sang provenant de patients non vaccinés. Un cas très médiatisé concerne un bébé de 4 mois, Will Savage-Reeves, en Nouvelle-Zélande, qui a besoin d'une intervention chirurgicale pour un trouble des valves cardiaques.

    Ses parents, Samantha et Cole, ont demandé que le bébé ne reçoive du sang que de donneurs qui n'ont pas reçu de vaccins contre le COVID-19. Bien que du sang non vacciné soit disponible, les médecins et l'hôpital ont refusé d'accéder à la demande. L'affaire a été entendue devant un tribunal néo-zélandais, qui s'est rangé du côté des médecins et a pris la tutelle de l'enfant pour procéder à l'opération en utilisant du sang vacciné.1,2

    L'hôpital refuse la demande de sang non vacciné de la famille

    L'issue de l'affaire du bébé Will pourrait être un signe avant-coureur des choses à venir. L'hôpital a fait valoir que l'opération devrait se poursuivre avec du sang vacciné en raison de l'importance de trouver une correspondance de qualité. Un grand bassin de sang de donneur augmente la possibilité de trouver la correspondance de la plus haute qualité.

    De plus, selon Steve Kirsch, directeur exécutif de la Vaccine Safety Research Foundation, un autre de leurs arguments est : « S'il y avait eu un signal de sécurité lié à l'utilisation de sang vacciné pour les transfusions, il aurait déjà fait surface. Ils veulent également préserver les apparences, et permettre à un patient d'utiliser du sang non vacciné peut ouvrir les vannes à d'autres qui en font la demande. Kirsch a noté : 3

    "S'ils acceptent d'utiliser du sang non vacciné, cela pourrait être interprété comme une admission que le sang vacciné n'est pas sûr et pourrait conduire tout le monde à demander du sang non vacciné, ce qui créerait alors de graves pénuries de sang pour un bénéfice douteux."

    De plus, le New Zealand Blood Service (NZBS) gère les dons et les collectes de sang en Nouvelle-Zélande. Seul un médecin spécialiste peut demander un don dirigé pour que le bébé reçoive du sang non vacciné.

    Mais, a noté Kirsch, "Les cliniciens responsables de la chirurgie ont déterminé qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves pour faire une demande spéciale... L'hôpital ne peut pas obliger le NZBS à faire ce qu'il dit, par exemple, même si les médecins étaient d'accord avec les parents, le NZBS peut toujours refuser de fournir le sang s'il estime que la demande n'est pas justifiée. »4

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  15. L'hôpital a également affirmé que les injections d'ARNm "restaient sûres à ce jour". 5 Selon Kirsch, "le tribunal, n'ayant pas la capacité juridique et technique de deviner les médecins, s'est donc rangé du côté de l'avis d'expert des médecins." 6

    Les médias, quant à eux, décrivent la demande raisonnable d'honorer le principe de précaution comme une théorie du complot et de la désinformation imaginée par des "anti-vaxxers" marginaux. Par exemple, le New York Times a rapporté :7

    « L'affaire et les arguments scientifiques erronés de la famille mettent en évidence les dangers persistants de la désinformation en ligne et des récits complotistes, disent les experts. Le différend est "devenu une cause célèbre de la manière la plus toxique", provoquant une flambée des discours de haine sur les plateformes marginales où les théories du complot sévissent, a déclaré Sanjana Hattotuwa, chercheuse au Disinformation Project, un groupe de surveillance néo-zélandais.

    Non seulement le service de santé néo-zélandais a refusé la demande de la famille, mais la Haute Cour de Nouvelle-Zélande a autorisé deux médecins à prendre des décisions médicales concernant le bébé Will.8 Il n'était pas nécessaire d'aller aussi loin, ont déclaré les partisans, car il y a une disponibilité immédiate de sang provenant de donneurs non vaccinés.9

    Dans une affaire similaire en Italie, cependant, un juge a également statué contre les parents qui ont demandé que des transfusions sanguines provenant uniquement de donneurs non vaccinés soient utilisées lors de la chirurgie cardiaque de leur fils de 2 ans.10

    Les embaumeurs trouvent des caillots inhabituels dans les veines après les injections

    - voir clip sur site -

    Lien vidéo

    Richard Hirschman, un embaumeur et directeur de funérailles certifié avec plus de 20 ans d'expérience, a déclaré que, depuis le lancement des vaccins COVID-19, à partir du milieu de 2021, il a trouvé "étrange caillots » dans le corps du défunt.

    "Quand je fais l'embaumement, je dois aller dans la veine. Et pour le processus d'embaumement, je dois permettre au sang d'être drainé. J'ai donc retiré cet énorme et long caillot - un caillot d'apparence fibreuse - avant un embaumement », a déclaré Hirschman.11

    Le début du caillot, qui ressemble à un ver blanc caoutchouteux, apparaît rouge et ressemble à un caillot normal. Mais la majorité du caillot est différente : elle est composée d'un matériau fibreux blanc. "Ce n'est tout simplement pas normal", a-t-il déclaré, ajoutant:12

    « Typiquement, un caillot sanguin est lisse ; c'est du sang qui a coagulé. Mais lorsque vous le serrez, le touchez ou essayez de le ramasser, il s'effondre généralement… vous pouvez presque le serrer entre vos doigts et le remettre en sang. Mais ce truc fibreux blanc est assez fort. Ce n'est pas du tout faible. Vous pouvez le manipuler, il est très souple. Ce n'est pas difficile... ce n'est pas normal. Je ne sais pas comment quelqu'un peut vivre avec quelque chose comme ça à l'intérieur d'eux.

    Ce qu'il est important de noter, c'est que les embaumeurs ont signalé avoir trouvé des caillots inhabituels non seulement chez les personnes décédées qui ont reçu les injections, mais aussi chez celles qui ont reçu une transfusion sanguine. Ainsi, bien que nous ne sachions pas quel risque il y a à recevoir du sang d'une personne qui a reçu des injections de COVID-19, "le risque n'est pas nul", a déclaré Kirsch.13

    Un autre cas concerne un bébé, Alexander, qui a reçu une transfusion de sang vacciné et a développé « un énorme caillot qui s'est finalement étendu de son genou gauche jusqu'à son cœur », et est décédé14. Selon Kirsch, l'hôpital a ensuite supprimer tous les dossiers médicaux connexes :15

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  16. "L'hôpital Sacred Heart dans l'État de Washington a effacé tous les enregistrements de la mort du bébé Alex, décédé d'un caillot de sang après avoir reçu une transfusion d'un patient vacciné. Il n'y a donc plus aucune preuve d'un problème. Ils l'ont effacé, tout comme le CDC a effacé toutes les données reliant les vaccins et l'autisme. C'est ainsi que la science fonctionne aujourd'hui.

    L'approvisionnement en sang est-il sûr ? Personne ne sait

    Aux États-Unis, une personne a besoin de sang toutes les deux secondes.16 Si vous avez une urgence médicale, une transfusion sanguine peut vous sauver la vie. Mais les patients devraient-ils avoir la possibilité de choisir de recevoir du sang qui n'a pas été exposé aux injections d'ARNm COVID-19 ?

    La Croix-Rouge déclare qu'elle suit les directives d'éligibilité aux dons de sang de la Food and Drug Administration des États-Unis, qui stipulent: «Dans la plupart des cas, il n'y a pas de délai d'ajournement pour les personnes qui ont reçu un vaccin COVID-19 tant qu'elles ne présentent aucun symptôme et se sentir bien au moment du don. »17

    "Alors que les anticorps produits par le système immunitaire stimulé en réponse à la vaccination se retrouvent dans la circulation sanguine, les composants réels du vaccin ne le sont pas", a déclaré Jessa Merrill, directrice des communications biomédicales de la Croix-Rouge, au Daily Beast.18 De plus, après avoir parlé au Dr Peter McCullough, cardiologue, interniste et épidémiologiste, Kirsch a rapporté :19

    "Il a dit qu'il prendrait le sang vacciné en raison de la nature critique du processus d'appariement. Avec le sang d'un donneur, la qualité de la correspondance ne serait pas aussi bonne car il y a un plus petit bassin dans lequel puiser, et ce n'est pas seulement le groupe sanguin qui est apparié.

    Personne n'a quantifié le risque d'utiliser du sang vacciné. Il a dit que si le risque était élevé, il aurait été remarqué maintenant (je ne suis pas sûr d'être d'accord avec cela ; il y a beaucoup d'aveuglement volontaire pour tout ce qui est associé au vaccin).

    Beaucoup ont contracté le SIDA via des transfusions de sang contaminé

    Le pathologiste Dr Ryan Cole a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang vacciné » avec le sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 1980 :20

    « Nous ne savons pas. Personne ne sait. J'ai des caillots de personnes décédées non vaccinées qui ont été transfusées et ont formé de gros caillots après la transfusion et sont décédées. Aucune banque de sang ne vérifie. "On ne peut pas trouver, ce qu'on ne cherche pas." Cela s'apparente aux banques de sang, aux hémophiles et au VIH dans les années 1980. Ce n'est peut-être pas un problème.

    Cependant, c'est peut-être le cas. Il existe des tests académiques disponibles pour vérifier la présence de protéines de pointe en circulation. C'est une négligence criminelle de ne pas assurer la sécurité de l'approvisionnement en sang sur la base de déclarations bureaucratiques sans explorations scientifiques.

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  17. De même, en janvier 1983, après que les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis eurent révélé des preuves suggérant fortement que le sang et les produits sanguins transmettaient le SIDA et que la maladie était sexuellement transmissible, ils recommandèrent aux banques de sang d'interroger directement les donneurs sur leur comportement sexuel et d'effectuer des dons de sang à travers une série des tests de dépistage.21

    Peu de temps après, la communauté des banques de sang a publié une déclaration déclarant que « les questions directes ou indirectes sur la préférence sexuelle d'un donneur sont inappropriées » et ne recommandant aucun test de dépistage en laboratoire.22 Comme l'a noté Encyclopedia.com :23

    « En fait, dans les premières années de la maladie, de nombreuses personnes qui ont contracté le sida ont été infectées par des transfusions sanguines. Parce qu'il a fallu plus de cinq ans pour mettre au point un test de dépistage du SIDA dans le sang avant qu'il ne soit utilisé dans une transfusion, de nombreuses personnes ont contracté la maladie dans les hôpitaux.

    L'épidémie de sida a continué de croître en Afrique et en Asie au cours des années 1990 et même au début du XXIe siècle, car de nombreux pays ont mis du temps à adopter les tests sanguins.

    Dans les années 1980, les craintes croissantes suscitées par les transfusions contaminées ont conduit de nombreuses personnes à dire qu'elles refuseraient complètement les dons de sang. Un homme, dont la femme est décédée du SIDA contracté par une transfusion contaminée, a déclaré à l'AP en 1985 : « Vous voulez jouer à la roulette russe ? Même s'il s'agissait d'une urgence - et j'avais mon mot à dire - je ne prélèverais pas de sang de la piscine. »24

    Aujourd'hui, des décennies plus tard, les médecins entendent des préoccupations similaires de la part des patients concernant le sang vacciné. Le Dr Davinder Sidhu, chef de division de la médecine transfusionnelle et de la transplantation pour le sud de l'Alberta, au Canada, a déclaré à CTV News qu'il recevait des demandes de sang de donneurs non vaccinés « au moins une ou deux fois par mois au cours des derniers mois ».25

    Est-ce votre droit de recevoir du sang « non vacciné » ?

    Dans l'état actuel des choses, les centres de don de sang peuvent poser des questions sur les vaccins que leurs donneurs ont reçus,26 mais il n'est pas garanti que ces informations soient transmises aux consommateurs. La Croix-Rouge déclare également : « Si vous avez reçu un vaccin contre la COVID-19, vous devrez fournir le nom du fabricant lorsque vous venez faire un don. »27

    Pourtant, il est peu probable que la plupart des hôpitaux divulguent facilement ces informations lorsqu'il s'agit de recevoir une transfusion sanguine. Alors, quelles sont vos options si vous recherchez du sang d'un donneur qui n'a pas reçu de vaccin COVID-19 ? Les dons dirigés, dans lesquels un donneur donne du sang pour un receveur spécifié, sont une option, mais ils ne sont généralement utilisés que dans les cas où le sang apparié n'est pas disponible en raison de groupes sanguins extrêmement rares.28

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  18. Les dons autologues, ou auto-dons, sont une autre option, dans laquelle vous donnez du sang pour votre propre usage, par exemple avant une intervention médicale telle qu'une intervention chirurgicale. Dans les deux cas, vous devrez demander à votre médecin de soumettre un formulaire de commande de prélèvements spéciaux de la Croix-Rouge pour effectuer un don de sang autologue ou dirigé29.

    Une campagne de dons «Safe Blood» a également été mise en place pour faire correspondre les donneurs de sang et les receveurs qui n'ont pas été vaccinés contre le COVID-19. Pour l'instant, ils agissent comme une ressource pour jumeler les donneurs avec ceux qui ont besoin de sang, mais l'espoir est qu'une banque de sang sans ARNm sera établie :30

    "Il n'y a pas encore de banque de sang avec du sang sans ARNm, pas même chez nous. Et, bien que nous ayons déjà demandé à des centaines de cliniques, à l'heure actuelle — du moins en Europe — toutes refusent toujours d'autoriser le droit humain au libre choix du sang avec elles — ou du moins ne veulent pas être mentionnées, car sinon elles craindre des représailles. Cependant, nous vous promettons que nous n'abandonnerons pas tant que nous ne pourrons pas offrir un réseau mondial de telles cliniques.

    Quant au bébé Will, dont les espoirs des parents d'une transfusion sanguine sans ARNm ont été anéantis, Kirsch a déclaré :31

    « Qu'est-il arrivé au principe de précaution de la médecine ? À mon avis, ce n'est pas un appel proche. Nous ne pouvons pas savoir aujourd'hui si l'approvisionnement en sang est sûr car personne ne veut même poser la question et faire les expériences nécessaires pour y répondre. Pour cette raison, la demande des parents de Baby Will d'utiliser du sang non vacciné doit être respectée.

    Sources and References

    1, 3, 13, 19 Substack, Steve Kirsch’s newsletter December 3, 2022
    2, 4, 5, 6, 8 Substack, Steve Kirsch’s newsletter December 7, 2022
    7, 9 The New York Times December 5, 2022
    10 Independent February 8, 2022
    11 Rumble, Dr. Jane Ruby Show January 26, 2022, 3:02
    12 Rumble, Dr. Jane Ruby Show January 26, 2022, 4:23
    14 GoFundMe, Support for Baby Alexander Bly
    15, 20, 31 Substack, Steve Kirsch’s newsletter December 4, 2022
    16 American Red Cross, Importance of the Blood Supply
    17, 27 Red Cross, When can I donate blood after receiving COVID-19 vaccine?
    18 Business Insider August 21, 2021
    21 HIV and the Blood Supply: An Analysis of Crisis Decisionmaking, 3. History of the Controversy, The CDC’s Public Meeting
    22 HIV and the Blood Supply: An Analysis of Crisis Decisionmaking, 3. History of the Controversy, The Blood Bank Community’s Response
    23 Encyclopedia.com, Excerpt from “And the Band Played On: Politics, People, and the AIDS Epidemic,” 1987
    24 AP March 1, 1985
    25 CTV News October 14, 2022
    26 Children’s Health Defense December 1, 2022
    28 Vice November 15, 2022
    29 Autologous and Directed Donations
    30 Safe Blood Donation

    https://www.lewrockwell.com/2022/12/joseph-mercola/unvaccinated-blood-is-now-in-very-high-demand/

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    1. (...) On ne sait pas si le sang donné par des personnes qui ont reçu des injections d'ARNm COVID-19 présente un risque pour ceux qui le reçoivent. Cependant, un nombre croissant de personnes ne veulent prendre aucun risque et demandent du sang provenant de patients non vaccinés. Un cas très médiatisé concerne un bébé de 4 mois, Will Savage-Reeves, en Nouvelle-Zélande, qui a besoin d'une intervention chirurgicale pour un trouble des valves cardiaques. (...)

      Premièrement il ne FAUT PAS CONFONDRE 'piqués et piqués' !

      Celles et ceux qui ont reçu des injections d'ARNm COVID-19: sont dans le couloir de la mort !
      Car: IL N'EXISTE PAS D'ANTIDOTE AUX POISONS INJECTÉ !

      Deuxièmement, mais, mais il y a des personnes heureuses qui n'ont pas reçu la piqûre létale mais seulement un PLACEBO ! (eau saline alias sérum phy).

      Il suffit donc pour savoir: OBLIGATOIRE de faire une sérologie avant et après l'inoculation afin de se rendre compte de la composition sanguine.

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  19. LA PRÉDICTION S'EST RÉALISÉE : Avant la pandémie, en juillet 2019, le Health Ranger a correctement prédit l'HOLOCAUSTE DES VACCINS qui se déroule actuellement dans le monde entier.


    Sunday, December 18, 2022
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Il y a près de trois ans et demi, le Health Ranger Mike Adams a prédit la mutilation, les blessures et le meurtre de centaines de millions de personnes à travers le monde. Il l'a appelé un holocauste vaccinal qui serait réalisé par une censure coordonnée (dirigée par le CDC corrompu) de "toutes les critiques des vaccins sur toutes les plateformes technologiques", y compris Google, Fakebook, Twitter et YouTube.

    En fait, le Health Ranger a déclaré que TOUTES les chaînes contenant des vidéos ou du contenu qui ont osé signaler les blessures et les décès induits par les vaccins qui sont facilement disponibles sur VAERS, seraient censurées, interdites, dé-plateformes et dé-financées. C'était bien six mois avant même que les nouvelles ne commencent à éclater, avec le faux récit selon lequel le «nouveau virus» se propageait parce que les gens mangeaient des chauves-souris infectées sur un marché humide en Chine.

    L'une des raisons pour lesquelles cette prédiction était mûre pour la réalisation était que l'industrie du vaccin bénéficie d'une immunité totale (jeu de mots) contre les poursuites, grâce au Congrès hautement corrompu qui est au lit avec Big Pharma. Aucun Américain blessé ou tué par un vaccin mortel ne peut poursuivre les fabricants pour des produits défectueux, des essais cliniques tordus ou une intention de nuire. Une fois que les criminels savent qu'ils peuvent s'en tirer avec des meurtres et des meurtres de masse sous forme de génocide, pourquoi n'iraient-ils pas de l'avant avec un Vaccin Holocauste et en tireraient des milliards de dollars ?

    Health Ranger a prédit l'Holocauste du vaccin et le culte du vaccin qui tomberaient amoureux de l'appât, de la ligne d'hameçon et du plomb
    Parce que les vaccins sont présentés comme le «Saint Graal» de la médecine occidentale, la «foi» sectaire était une catapulte parfaite pour lancer la pandémie de 2020. Rappelez-vous, la croyance totale dans les vaccins est REQUISE à tout moment par le CDC et le gouvernement américain , sinon vous êtes considéré comme un "anti-vaxxer" qui est "anti-science" et un "terroriste domestique" qui veut propager la maladie et tuer d'autres Américains.

    Les géants de la technologie, les « prestitutes » MSM et les têtes parlantes des agences de réglementation (pensez à Fauci et Walensky ici) sont tous coupables de propager l'Holocauste du vaccin de 2020 et au-delà. Cela, comme l'avait prédit le Health Ranger il y a 3,5 ans, durera des décennies, anéantissant quelques milliards de personnes qui sont pour la plupart des membres du culte du vaccin, qui reçoivent chaque coup mortel que le CDC dit qu'ils devraient. Comme l'a déclaré le Health Ranger, "La mort de masse est maintenant descendue sur nous, et tout est pratiqué au nom de la" science ".

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  20. Voici le Health Ranger prédisant l'Holocauste du vaccin il y a 3,5 ans, avant même qu'il ne commence :

    -voir clip sur site -

    L'Holocauste du vaccin a déjà provoqué un tsunami de morts à travers le monde et une apocalypse de maladies "inexplicables" et de morts subites
    Certains l'appellent Pfizer-Gate. D'autres l'appellent le syndrome de la protéine de pointe. Quelle que soit la façon dont vous le découpez, les décès massifs qui s'accumulent en raison des piqûres de la grippe de Wuhan ne peuvent plus être dissimulés. Regardez bien les données et les statistiques. Déjà, il y a eu plus de décès causés par les vaccins contre la grippe Fauci que tous les décès combinés dus aux surdoses de drogue, aux accidents de la route et à la violence armée au cours des deux dernières années.

    Tout le monde a entendu parler de la guerre contre la drogue et de la lutte pour réduire la dépendance aux opioïdes, mais où est la guerre contre les vaccins ? Les injections d'ARNm de "vaccins sales" sont pires que les mauvaises drogues et les balles, en fait, ce sont des armes de destruction massive. Ce n'est pas un hasard si des millions de personnes en bonne santé dans le monde, qui ont été vaccinées contre la grippe de Wuhan, souffrent maintenant soudainement de myocardite, de péricardite, de réactions allergiques extrêmes et meurent subitement de "causes inexpliquées", y compris des athlètes, des militaires et des pilotes.

    Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur l'Holocauste des vaccins qui balaie la nation et le monde pendant que vous lisez ceci.

    Les sources de cet article incluent :

    Pandemic.news
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-prior-to-pandemic-health-ranger-predicted-vaccine-holocaust.html

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  21. Les injections d'ARNm covid provoquant chez certains receveurs des changements drastiques de personnalité : POURQUOI ?


    Dimanche 18 décembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le mois dernier, lors d'une session du Comité d'enquête sur les crimes internationaux (ICIC), l'avocat Dr Reiner Fuellmich a interviewé le professeur Sucharit Bhakdi, le professeur Dr Karina Reiss, le Dr Naomi Wolf et le Dr Peter R. Breggin au sujet des dommages effets de la «vaccination» par ARNm pour covid. L'un des sujets dont ils ont discuté est de savoir comment les piqûres endommagent les petits capillaires du cerveau, outrepassent la barrière hémato-encéphalique et causent des lésions cérébrales importantes qui entraînent souvent des changements extrêmes de personnalité.

    Certains qui prennent les injections d'ARNm finissent par éprouver une volonté brisée, ce qui n'est pas exactement un effet secondaire normal d'un «vaccin». Qu'est-ce que ces choses font aux gens pour changer le fonctionnement de leur cerveau ? C'était le sujet de la discussion, que vous pouvez regarder en entier ci-dessous ou sur L'Exposé.

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    Au cours de l'interview, Wolf a dévoilé à quoi ressemble la « rupture de la volonté des gens » après l'injection dans la vraie vie, tandis que Breggin a souligné les parallèles troublants entre ce que les injections d'ARNm font au cerveau et les effets d'une véritable lobotomie.

    Il ressort rapidement de leur discussion que la campagne d'injection de covid est, en fait, l'un des crimes contre l'humanité les plus brutaux et les plus sauvages qui ait jamais été commis - et tout cela au nom de la "santé publique", rien de moins. (Connexe: un certain degré de lésions cardiaques se produit chez chaque personne qui se fait piquer par le covid avec de l'ARNm.)

    Les personnes auparavant en bonne santé et dynamiques sont devenues «dociles» et oublieuses après l'injection, dit Fuellmich
    L'une des choses que Fuellmich et sa femme ont personnellement remarquées est que les serveurs des restaurants locaux qui étaient autrefois pleins de vie et très vifs et interactifs ne sont plus eux-mêmes. Certains d'entre eux oublient constamment des choses et doivent revenir à la table tandis que d'autres sont désormais "dociles" alors qu'ils avaient auparavant de fortes personnalités.

    Wolf a expliqué qu'elle aussi l'avait remarqué. Et il y a des raisons à cela qui, selon Bhakdi, sont causées par la rupture de la barrière hémato-encéphalique et l'insertion d'ARNm dans le tissu cérébral. Et le plan, a en outre révélé Bhakdi dans plusieurs présentations qu'il a faites, est de faire en sorte que tous les "vaccins" contiennent de l'ARNm.

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  22. "Ce que les gens ne comprennent pas, c'est que tous les vaccins à ARNm sont dangereux et vont menacer la vie", a déclaré Bhakdi au public. « Peu importe que le vaccin code pour la protéine de pointe, pour la protéine de la rougeole, pour la grippe – cela n'a pas d'importance. Pourquoi? Parce que tout le danger du vaccin vient de la capacité du système immunitaire à reconnaître le non-soi.

    Les dommages que cela cause au système nerveux sont quelque chose qui peut être concrètement mesuré et observé, et c'est ce que la discussion met en évidence. Les personnes qui se sont fait piquer ne sont plus elles-mêmes, dans de nombreux cas, en train d'exprimer des émotions inhabituelles qui ne faisaient pas partie de ce qu'elles étaient avant les injections.

    "Les gens, mes collègues après avoir été injectés seraient beaucoup plus dualistes dans leur pensée, beaucoup plus rigides - et si vous connaissez la structure du cerveau, cela a du sens", a expliqué Wolf à propos de ses observations.

    « Si la pensée des gens est plus rigide et que les structures neuronales sont endommagées, cela semble être quelque chose qui mérite de poser plus de questions. Je savais aussi que les gens étaient beaucoup plus en colère, moins capables de moduler leurs émotions – des réactions plus primales à la provocation. Les gens ont également dit que les changements sont affectifs – les personnes qui étaient auparavant chaleureuses et affectueuses sont devenues froides, distantes ou coupent les autres.

    Plus d'informations sur tout cela sont disponibles dans l'interview complète, qui vaut la peine d'être regardée ci-dessus dans son intégralité.

    Vous voulez vous tenir au courant des dernières nouvelles sur les injections covid? Visitez ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Expose-News.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-mrna-covid-injections-causing-drastic-personality-changes.html

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    1. Il n'y a pas de raison à ce qu'une personne qui s'est faite inoculer le FAUX vaccin (expérimentation génique d'essais) ne soit pas 100 % sous contrôle des autorités hégémonistes.

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  23. Un député britannique appelle à la suspension immédiate et complète des vaccins à ARNm COVID-19 en raison d'effets indésirables


    Dimanche 18 décembre 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Le député britannique Andrew Bridgen a appelé à une "suspension immédiate et complète" des vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), alléguant qu'un haut responsable de la santé dissimule un rapport montrant comment ces vaccins augmentent l'inflammation de les artères cardiaques.

    Bridgen, membre du Parti conservateur et député depuis 2010, a plaidé pour que la Chambre des communes, le parlement du Royaume-Uni, adopte une mesure visant à cesser de donner aux petits enfants des vaccins ARNm COVID-19 lors d'un débat axé sur la risques potentiels associés à ces vaccins. (En relation: Des tragédies amènent des médecins comme Aseem Malhotra à remettre en question les vaccinations obligatoires contre le COVID-19.)

    Le gouvernement conservateur du Royaume-Uni a récemment approuvé l'administration aux enfants de six mois à quatre ans d'une faible dose du vaccin à ARNm de Pfizer. Bridgen a appelé le Premier ministre Rishi Sunak à annuler cette décision, affirmant que les vaccins à ARNm sont dangereux non seulement pour les enfants mais aussi pour les femmes enceintes et allaitantes.

    Bridgen a qualifié les vaccins à ARNm de "pas sûrs, pas efficaces et pas nécessaires", soulignant que le gouvernement britannique a reçu "près d'un demi-million de rapports d'effets indésirables du public" depuis la première distribution des vaccins Pfizer au Royaume-Uni.

    Le député a également remis en question l'efficacité réelle des vaccins à ARNm, notant que les données du monde réel au cours de la vague de variantes omicron post-vaccinales montrent que "nous aurions besoin de vacciner 7 300 personnes de plus de 80 ans pour éviter un décès".

    Bridgen: un cardiologue britannique de premier plan a dissimulé des données sur les effets indésirables des vaccins à ARNm
    Selon Bridgen, un membre éminent de la British Heart Foundation a délibérément supprimé un rapport fournissant des preuves solides que les vaccins à ARNm COVID-19 peuvent causer des lésions cardiaques.

    "Il a également été porté à mon attention par un dénonciateur d'une source très fiable qu'une de ces institutions dissimule des données claires qui révèlent que le vaccin à ARNm augmente l'inflammation des artères cardiaques", a-t-il déclaré. "Ils dissimulent cela de peur de perdre le financement de l'industrie pharmaceutique."

    Sans fournir de nom précis, Bridgen a affirmé que cette personne jouait un «rôle de leadership de premier plan» dans la fondation cardiaque et qu'elle était «le chef» d'un département de recherche en cardiologie. De plus, il a noté que cette personne a forcé son équipe de recherche à signer des accords de non-divulgation "pour s'assurer que ces données importantes ne voient jamais la lumière du jour".

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  24. "Cet homme est une honte absolue", a déclaré Bridgen. "L'échec systémique dans une population sur-médicamentée contribue également à un énorme gaspillage de l'argent des contribuables britanniques."

    En réponse à la déclaration de Bridgen, beaucoup l'ont appelé à s'excuser. Le ministre fantôme de la Santé, Andrew Gwynne, du Parti travailliste, a déclaré que Bridgen répandait une "désinformation anti-vaccins" et qu'il ne devrait pas être autorisé à utiliser sa plate-forme en tant qu'élu "pour diffuser ce genre de théories du complot sans fondement".

    « La réticence à la vaccination coûte des vies. Les vaccins COVID sont sûrs et efficaces et les politiciens devraient faire tout ce qu'ils peuvent pour encourager leur adoption », a-t-il déclaré. "M. Bridgen doit s'excuser et corriger le bilan, et Rishi Sunak devrait maîtriser les théoriciens du complot du Parti conservateur.

    En savoir plus sur les vaccins à ARNm COVID-19 sur Vaccines.news.

    Regardez la déclaration complète de Bridgen appelant à la suspension des vaccins à ARNm COVID-19 à la Chambre des communes.

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    Cette vidéo provient de la chaîne The Big Logic sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les autopsies confirment: le vaccin COVID-19 provoque une inflammation cardiaque mortelle ou «syndrome de mort subite de l'adulte».

    Dr Peter McCullough : La myocardite est souvent la cause sous-jacente lorsque les gens meurent pendant leur sommeil.

    CLOWN SCIENCE: Pfizer et Moderna vont enquêter eux-mêmes sur leurs propres piqûres COVID pour les risques cardiaques.

    Les données des essais de Pfizer révèlent que les personnes vaccinées sont 400 % plus susceptibles de mourir d'un arrêt cardiaque mortel.

    Une étude révèle une augmentation de 84 % de l'incidence des décès d'origine cardiaque chez les hommes de moins de 40 ans après la vaccination par l'ARNm.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    Express.co.uk
    LeicesterMercury.co.uk

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-british-parliamentarian-immediate-suspension-mrna-covid-vaccines.html

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  25. Philadelphie exigera des masques faciaux dans les écoles publiques pendant 10 jours après les vacances d'hiver


    dimanche 18 décembre 2022
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le district scolaire de City of Brotherly Love exigera des masques faciaux dans les écoles publiques pendant 10 jours en janvier 2023, citant la « triple menace » du coronavirus de Wuhan (COVID-19), du virus respiratoire syncytial (VRS) et de la grippe .

    Le district scolaire de Philadelphie (SDP) a annoncé le 14 décembre que tous les élèves de la maternelle à la 12e année devront porter un couvre-visage dans les salles de classe et les couloirs du 3 janvier au 13 janvier 2023 - les 10 premiers jours d'école après l'hiver Pause. Cette période s'étend en fait sur 11 jours, mais le dimanche n'est pas inclus dans le décompte.

    "Dans un effort pour être proactif dans le soutien d'environnements sains et le maintien de l'apprentissage en personne après le retour des élèves et du personnel des vacances d'hiver, le [SDP] mettra en place le masquage obligatoire", ont déclaré les responsables du district scolaire dans un communiqué de presse.

    Les responsables de Philadelphie et d'autres parties des États-Unis craignent que le premier Noël normal depuis le début de la pandémie en mars 2020 ne propage le COVID-19, le VRS et la grippe. Ces trois agents pathogènes respiratoires ont fait que les hôpitaux du pays sont submergés de patients. Incidemment, la ville de l'amour fraternel était l'un des derniers endroits aux États-Unis à exiger encore des masques faciaux dans les établissements scolaires – avec des mandats en place aussi récemment qu'en mai 2022.

    De nombreux endroits aux États-Unis ont évité les masques faciaux à la fin du printemps après que la poussée de COVID-19 causée par la variante omicron B11529, plus infectieuse mais plus douce, ait été maîtrisée. Des études ont également été publiées sur les couvre-visages ayant peu ou pas d'effet sur la prévention des transmissions. D'autres études ont mis en évidence des preuves croissantes de masques entravant le développement social et l'éducation des enfants.

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  26. Philadelphie, qui abrite 1,5 million d'habitants, a connu une baisse des cas de COVID-19 et des décès au moment de la rédaction. Des 655 infections quotidiennes enregistrées un an plus tôt, ce chiffre est tombé à 220 nouveaux cas par jour.

    Les cas de VRS dans la ville ont également connu une baisse suite à une flambée massive d'infections au début de novembre 2022. Au cours de la semaine qui s'est terminée le 3 décembre, Philadelphie a enregistré environ 240 cas de VRS. C'était loin des 650 cas enregistrés au cours de la semaine qui s'est terminée le 5 novembre.

    D'autres villes recommandent aux gens de se masquer à nouveau
    Los Angeles (LA) et New York (NYC) ont également demandé aux habitants de se masquer.

    Le Dr Ashwin Vasan, commissaire à la santé de New York, a exhorté les résidents de la Big Apple à utiliser des masques de haute qualité à l'intérieur et dans des environnements extérieurs bondés. Bien que ses conseils ne soient qu'une suggestion et non un mandat, il a souligné que ceux qui courent un risque accru de complications du COVID-19, du VRS ou de la grippe - comme les personnes âgées de 65 ans et plus et les personnes immunodéprimées - devraient prendre le masque conseils au cœur.

    "La saison des fêtes est une question de convivialité et il existe un moyen de se rassembler en toute sécurité, même si les virus respiratoires dans notre ville sont inhabituellement élevés", a déclaré Vasan. "Ça commence par se protéger."

    Le Dr Barbara Ferrer, directrice de la santé du comté de LA, a également annoncé une recommandation de masque d'intérieur pour les résidents du comté.

    "Si vous allez à un événement comme un concert ou une grande fête de Noël, il y a maintenant une probabilité plus élevée qu'une ou plusieurs personnes présentes à l'événement soient infectées", a-t-elle déclaré lors d'un point de presse.

    "Ils pourraient vous infecter sans le savoir - et vous, à votre tour, pourriez infecter sans le savoir vos amis, vos collègues ou votre famille."

    Même les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont de nouveau recommandé aux Américains de se masquer contre le VRS et la grippe.

    "Nous vous encourageons à porter un masque de haute qualité et bien ajusté pour prévenir la propagation des maladies respiratoires", a déclaré la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, lors d'un briefing le 5 décembre, au cours duquel elle a discuté des mesures de prévention des agents pathogènes respiratoires. (Connexe: Merry Christ-MASK America: CDC recommande désormais des masques faciaux pour lutter contre le VRS, la grippe.)

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  27. Le Dr Sandra Fryhofer, administratrice de l'American Medical Association, a averti que "c'est une tempête parfaite pour une terrible saison des fêtes" avec le COVID-19, le VRS et la grippe en circulation. L'augmentation des cas de ces deux derniers pourrait encore augmenter dans les semaines à venir alors que les familles américaines se rassemblent pour la saison des fêtes, a-t-elle ajouté.

    Infections.news a plus d'histoires sur les mandats de masque contre le COVID-19, le VRS et la grippe.

    Regardez Martin Brodel discuter du mandat de double masque de Philadelphie pour le travail du gouvernement

    Watch Martin Brodel discuss Philadelphia’s double mask mandate for government workers below.

    - voir clip sur site -

    This video is from the Martin Brodel channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Pennsylvania implements NEW coronavirus restrictions: Masks now required indoors.

    Desperate globalists stirring up fear about “tripledemic” of covid, flu and RSV.

    Lancet study DEBUNKS CDC argument for mask mandates in schools.

    NIH director admits school mask mandates not based on science.

    VICTORY: Pennsylvania court throws out school mask mandate.

    Sources include:

    DailyMail.co.uk 1
    FOX5NY.com
    DailyMail.co.uk 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-philadelphia-to-require-face-masks-10-days.html

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  28. Parce que certaines informations seront difficiles à croire pour les personnes mêmes que ce livre vise à atteindre, la présence du code QR directement à côté de chaque fait est une fonctionnalité puissante - et il y a 350 de ces codes QR dans ce livre.

    On ne demande pas au lecteur d'accepter quoi que ce soit sur la foi, car tout est clairement source, souvent lié à des bases de données de santé publique et gouvernementales, et instantanément accessible au fur et à mesure que l'on lit.

    Voici quelques exemples de pages :

    cause inconnue exemple page 103

    cause inconnue exemple page 88

    cause inconnue exemple page 10

    Même après seulement quelques pages d'exemple, demandez-vous si vous vous souvenez avoir vu ce genre de choses se produire au cours de votre propre vie - au collège ? À l'école secondaire? Au collège? Combien de fois dans votre vie avez-vous entendu parler d'un artiste tombant mort sur scène à mi-parcours, ou d'adolescents en parfaite santé mourant dans leur sommeil ?

    Votre propre expérience et votre intuition vous diront que ce que vous voyez n'est pas normal. Ou du moins ce n'était pas normal avant 2021.

    Vous avez vu quelques exemples de pages – le livre contient des exemples de centaines de ces morts subites inexpliquées chez les jeunes.

    Ce livre inhabituel a une histoire inhabituelle : l'auteur Edward Dowd était un brillant carriériste de Wall Street qui a construit un fonds de 14 milliards de dollars lorsqu'il était avec le titan financier BlackRock.

    En 2021, Dowd s'est retrouvé à se retirer de Wall Street pour étudier une tendance alarmante : l'épidémie croissante et tragique de morts subites chez les jeunes en bonne santé.

    En savoir plus sur : ChildrensHealthDefense.org

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-book-sheds-light-recent-epidemic-sudden-deaths.html

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  29. Abandon du nucléaire : l’erreur historique des démocraties

    Le choix du tout renouvelable dans certains pays constitue une impasse et une erreur historique majeure.


    Patrick Aulnas
    le 19 décembre 2022


    Jamais l’Homme n’a renoncé à une technologie nouvelle et efficace basée sur une découverte majeure. La découverte de l’énergie contenue dans le noyau de l’atome et libérée par fission ou fusion constitue sans le moindre doute une avancée scientifique fondamentale. Personne ne le conteste mais l’utilisation de cette source d’énergie serait dangereuse.

    Aussi, certains écologistes considèrent-ils l’énergie nucléaire comme une énergie du passé, une erreur de l’humanité du XXe siècle. Seules les énergies dites renouvelables (solaire photovoltaïque, éolien, hydraulique) représenteraient l’avenir.

    Comment renoncer à mettre en œuvre nos connaissances ?

    Il est presque inimaginable que cette dernière affirmation se réalise sur le long terme historique.

    Pourquoi ? Parce que seule la coercition étatique peut contraindre à abandonner un savoir aussi essentiel. Mais cette violence dite légitime qui accorde au pouvoir politique la capacité juridique de contraindre, présente une forte dimension idéologique. Démocraties plus ou moins libérales, dictatures mafieuses, régimes théocratiques, totalitarismes à base idéologique se côtoient sur notre petite planète. La capacité d’écraser l’Homme sous le pouvoir n’est jamais acquise. Elle est même toujours contestée.

    L’ambition idéologique écologiste visant à un monopole de certaines sources d’énergie sous contrainte politique est donc très fragile. Elle est pourtant à l’œuvre mais principalement dans les démocraties occidentales. Prenons les exemples allemands et français. L’Allemagne disposait au début du XXIe siècle de nombreux réacteurs nucléaires. Elle a décidé de les fermer en totalité à la suite de l’accident de Fukushima au Japon, qui n’est pas dû à un dysfonctionnement mais à un séisme de magnitude 9 suivi d’un tsunami. C’est donc l’emplacement de la centrale qui était en cause et non la technologie elle-même.

    Les considérations électoralistes ont joué un rôle important dans la décision du gouvernement allemand présidé par Angela Merkel. Les écologistes recueillant entre 10 et 15 % et suffrages aux élections législatives, ils constituent une force politique importante avec laquelle il faut compter. Par ailleurs, la population a acquis la sensibilité écologiste un peu naïve apparue dans la plupart des pays riches et qui innerve l’ensemble du spectre politique mais avec le caractère grégaire et conformiste du monde germanique. L’abandon du nucléaire était donc dans l’air du temps. Il fallait se mettre à jour, se conformer à la doxa dominante.

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  30. La France a été tout aussi médiocre, mais avec davantage de modération. Disposant d’un parc nucléaire de premier ordre et d’un savoir presque unique au monde dans ce domaine, elle a peu à peu, dans les vingt premières années du XXIe siècle, interrompu les investissements et l’effort de formation sous l’impulsion négative de politiciens préoccupés par la crainte irrationnelle du nucléaire entretenue dans la population par des militants écologistes relayés par l’intelligentsia bien-pensante.

    Le coup de grâce est venu du président François Hollande, qui avait besoin des voix écologistes d’EELV. Il fallait donc faire acte d’allégeance. Ce fut la promesse la diminuer progressivement de 75 à 50 % la part du nucléaire dans la production d’électricité et donc la fermeture de centrales nucléaires. D’où l’absurde fermeture de Fessenheim pour des raisons d’une petitesse électoraliste rarement atteinte.

    Outre l’absence de conviction philosophique sur les capacités de l’intelligence humaine, c’est donc aussi la médiocrité électoraliste des gouvernants occidentaux qui a conduit à l’abandon d’une technologie représentant très vraisemblablement l’avenir à long terme. La science et la technologie, le savoir accumulé par l’humanité, se heurtent ici aux impératifs à court terme du pouvoir et à la démagogie.

    La haine de la technique

    La découverte par Einstein en 1905 de la relation entre matière et énergie a fait l’admiration de tous. E=mc2. L’énergie (E) est égale à la masse (m) multipliée par la vitesse de la lumière (c) élevée au carré. La matière est énergie. Puiser l’énergie dans le noyau de l’atome n’est pas anodin puisqu’une réaction en chaîne peut se produire. Mais le feu effrayait également les Hommes du paléolithique lorsqu’ils l’ont découvert et il a fallu bien longtemps avant de le maîtriser correctement. Ce qui d’ailleurs n’élimine pas à 100 % le risque d’incendie. Nous enfonçons des portes ouvertes.

    Il en ira de même pour le nucléaire dont le potentiel énergétique est tel que son abandon définitif n’est pas envisageable. Le risque subsistera mais pourra être limité et cantonné technologiquement pour atténuer les effets des dysfonctionnements. Pourquoi alors tant de haine écologiste envers l’énergie nucléaire ? La réponse est toute simple : l’idéologie politique. Pour certaines personnes et organisations, la science et la technologie sont des ennemies.

    La pensée écologiste se développe au XXe siècle dans l’opposition à la technique. En France, Jacques Ellul (1912-1994) est l’auteur le plus connu dans ce domaine avec La technique ou l’enjeu du siècle (1954), manifeste antitechniciste dont le succès a été beaucoup plus important aux États-Unis que dans notre pays. Pour Ellul, la technologie, au sens large du terme englobant les techniques de gestion par exemple, s’autonomise progressivement. Tout problème doit alors avoir une solution technique et l’Homme devient l’esclave de la technologie alors qu’elle avait pour objectif de le libérer.

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  31. L’idéologie écologiste s’est largement construite à partir de ce présupposé antitechnologique. L’énergie nucléaire ne peut donc être perçue que comme l’ultime et nocive avancée de la technique au cœur de la matière. Elle ne peut être dans l’esprit des adeptes de l’écologisme que le parachèvement d’une évolution suicidaire.

    Les simplismes pour militants faibles d’esprit

    Une autre conséquence majeure de cette défiance envers la science et la technique doit être soulignée : la prévalence du politique sur la technologie.

    Pour les écologistes, ce sont les militants et ceux qu’ils désignent comme leurs leaders qui doivent gouverner effectivement. La technique ne doit pas conduire au règne des scientifiques et des ingénieurs par incompétence des militants, sacrés dirigeants par la magie des votes à l’intérieur des partis. Or, il est clair que le nucléaire n’est vraiment accessible dans ses réalisations concrètes qu’à des personnes de haut niveau technologique. Le contrôle des centrales lui-même ne peut être réalisé que par des spécialistes pointus. En France, ce contrôle extrêmement strict est de la compétence de l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) employant plus de 500 personnes.

    Cette organisation de la gestion de l’énergie est exactement celle qu’abhorrent les écologistes militants, d’où leur addiction à l’éolien et au photovoltaïque qui permettent une gestion décentralisée et même très locale pouvant descendre jusqu’au niveau communal. En caricaturant, le militant écologiste du conseil municipal de Trifouilly-les-Oies pourra intervenir sur les choix énergétiques avec l’éolien et le solaire mais n’aura pas son mot à dire avec le nucléaire.

    On peut facilement adhérer à l’idée que la décentralisation des décisions politiques est souhaitable et que la verticalité excessive de l’exercice du pouvoir conduit souvent à des aberrations décisionnelles apparaissant dix ou vingt ans plus tard comme des erreurs historiques. Mais ce raisonnement doit-il conduire à éliminer totalement certaines technologies majeures ? Certes non. Le principe de subsidiarité doit toujours rester présent à notre esprit. Le nucléaire et le renouvelable ne sont pas des technologies incompatibles mais bien évidemment des technologies complémentaires. La permanence du nucléaire supplée à l’intermittence du vent et du solaire. La nécessaire gestion centralisée du nucléaire par des personnels de haut niveau n’est pas incompatible avec des choix locaux d’implantations d’éoliennes ou de panneaux solaires.

    La grossière idéologisation du sujet conduit à opposer de façon infantile les bons et les méchants, l’innocuité et le danger. Les militants adorent. Le manichéisme, le binarisme simpliste permettent de recruter des personnes cherchant des raisons de vivre à travers les causes à défendre. Ainsi se constituent les partis extrêmes ayant peu de chances d’accéder au pouvoir mais toutes les chances d’instiller le trouble dans les esprits faibles.

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  32. Tout espérer de l’intelligence

    La conclusion est éclairante : il est tout à fait estimable de chercher à capter le rayonnement solaire ou à utiliser la force du vent, mais vouloir imposer le monopole de ces technologies l’est beaucoup moins. Seule une idéologie politique profondément hostile à la liberté conduit à une telle aberration. Il y a plus. Jamais l’humanité n’abandonnera l’espoir de créer de micro-soleils produisant une énergie abondante sans émission polluante. Pour renoncer à ce rêve, il faut ne plus croire en l’Homme, ne plus rien espérer de son intelligence.

    https://www.contrepoints.org/2022/12/19/446196-abandon-du-nucleaire-lerreur-historique-des-democraties

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    1. Premièrement l'écologie n'existe pas et n'a JAMAIS existé exceptée dans la tête des politique qui se sont créé un parti comme de désigner le plus con de la classe. Certains ce sont rallié à cette idée de cons comme il l'ont refait plus tard en portant des masques ! 'Les piqués de la tête' (et du trou de cul !).

      Deuxièmement, le titre 'Abandon du nucléaire : l’erreur historique des démocraties' comporte une erreur monumentale ! vert ? le mot 'Démocratie' est au pluriel alors qu'il n'y a qu'un seul pays au monde en Démocratie !! (la Suisse). Les autres (monarchies, républiques ou empires) sont des dictatures où le Peuple doit fermer sa gueule et n'a aucun pouvoir sur les lois qui sont votées contre lui !!

      Troisièmement, la Démocratie n'est pas quelque chose très volatile qui s'exporte comme les gaz émis par des pays voisins (et qui font le tour de la Terre) et qui sont rassemblés sur un pays qui n'en produirait pas ou que cela serait son objectif ! La Démocratie fait partie de la vie, EST la vie, tandis que son absence est l''asymptomatie de la mort' (on appelle aussi çà des 'natures mortes').

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  33. La fusion nucléaire incinère les fous du climat


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 18 DÉCEMBRE 2022 - 22:30
    Écrit par Thomas McArdle via The Epoch Times,


    Votre attention s'il vous plaît. La représentation prévue de l'apocalypse pour ce siècle a été reportée indéfiniment, Mesdames et Messieurs. Vos billets seront remboursés à la billetterie...

    Le 5 décembre 2022, des scientifiques du National Ignition Facility du Lawrence Livermore Laboratory en Californie ont dirigé 192 faisceaux laser vers une cible de la taille d'une tête d'épingle contenant du deutérium et du tritium et une réaction de fusion a réussi à libérer plus d'énergie que la quantité délivrée par les lasers. Mais cette réalisation de la fusion par confinement inertiel n'est pas seulement la première fois dans l'histoire que la fusion nucléaire fonctionne dans des conditions contrôlées (contrairement à une bombe thermonucléaire) ; ces lasers ont également désintégré les arguments des fanatiques de l'énergie verte en faveur du démantèlement de l'économie mondiale de 85 000 milliards de dollars, basée à plus de 90 % sur les combustibles fossiles. Ils ont maintenant été discrédités autant que les affirmations bâclées de Martin Fleischmann et Stanley Pons selon lesquelles ils auraient effectué une fusion à température ambiante en 1989, malgré les références scientifiques impressionnantes des deux jusque-là.

    Jusqu'au 5 décembre, l'interdiction par le gouverneur de Californie Gavin Newsom des voitures à essence d'ici 2035 était excessive à l'extrême ; maintenant c'est tout simplement illogique. L'augmentation mondiale de près de 3 degrés Celsius des températures d'ici la fin du siècle, que les Nations Unies craignent, sera désormais évitée dans la moitié de ce temps, probablement moins, grâce à l'ingéniosité scientifique de l'humanité. Le même genre d'ingéniosité scientifique qui, au cours des dernières décennies, a permis aux compagnies pétrolières d'atteindre et d'extraire plus de 7 milliards de barils de pétrole et 600 billions de pieds cubes de gaz naturel dans des endroits "impossibles à atteindre" grâce à la percée technique de l'hydrofracking. Les résultats ont inclus des millions de nouveaux emplois pour les Américains, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la baisse des prix de l'énergie et (jusqu'à ce que Joe Biden devienne président des États-Unis) l'indépendance énergétique américaine.

    La fusion nucléaire est le moyen de production d'énergie menée dans le soleil, et pour les besoins de l'humanité, c'est une source d'énergie qui est à toutes fins pratiques infinie. Contrairement à la fission nucléaire utilisée dans les centrales nucléaires d'aujourd'hui, la fusion ne générerait pas de noyaux instables qui resteraient radioactifs pendant des millions d'années et devraient donc être transportés pour une élimination permanente vers des sites de déchets nucléaires. La fusion n'entraînerait pas non plus le risque d'accidents libérant des quantités mortelles de radioactivité dans des zones peuplées (dont le danger provenant des réacteurs à fission que l'industrie nucléaire a minimisé au cours des dernières décennies) ; un appareil à fusion ne pouvait pas non plus être utilisé pour fabriquer des armes nucléaires.

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  34. Maintenant que nous savons que la fusion par confinement inertiel fonctionne dans un environnement de laboratoire contrôlé, les défis pour provoquer son utilisation industrielle généralisée, qui concernent la fourniture d'énergie à la cible ; la disponibilité du tritium ou le développement de l'utilisation d'une alternative comme le bore ou l'hélium-3 ; contrôle de la symétrie ; chauffage et densité du combustible ; stabilité hydrodynamique; et la convergence des ondes de choc, on peut s'attendre à ce qu'ils soient tous résolus dans les 40 prochaines années. Les États-Unis, après tout, sont la nation qui a construit la bombe à hydrogène dans un laps de temps serré, a fait atterrir un homme sur la lune en une décennie et a inventé le microprocesseur dont les versions améliorées dans les smartphones économiques d'aujourd'hui éclipsent la puissance de calcul du supercalculateur de la NASA. des années 1960.

    Et aucun des progrès que l'on peut attendre de la percée de ce mois-ci n'exclut une étude et une expérimentation plus approfondies d'autres formes possibles de fusion nucléaire - fusion par collision de faisceaux, confinement électrostatique inertiel, catalyse muonique, fusion photoélectrique et fusion-fission hybride. Comme la fracturation hydraulique, des percées dans ces domaines peuvent arriver de manière inattendue et changer complètement la donne.

    Mais si vous pensez que la gauche, ici et dans le monde, va défendre sa mission de paralyser le capitalisme qui a déraillé à cause d'une percée scientifique, vous ne la connaissez pas. La fusion ouvre les vannes de l'énergie ; les écologistes radicaux, quant à eux, veulent que l'énergie ruisselle et soit rationnée conformément aux décrets gouvernementaux. Au lieu d'un monde de possibilités illimitées dans lequel même ceux qui sont maintenant pauvres peuvent vivre leurs rêves, le rêve de la gauche est un monde de restrictions sévères à la prospérité économique et à l'individualisme, une économie mondiale dans laquelle les panneaux solaires, les éoliennes et les transports en commun sont contraints sur le public comme un devoir. Une société dans laquelle la liberté de conduire sa propre voiture familiale est remplacée par les limites de mobilité, la conformité forcée et la communauté artificielle - sans parler des inconforts, du manque d'intimité et de la criminalité - du bus et du train pour tous (sauf peut-être les goûts de l'envoyé climatique de Biden John Kerry et d'autres policiers du climat parmi nos parieurs gouvernementaux, qui sont mariés au voyage de luxe privé).

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  35. Au-delà du croque-mitaine d'accidents possibles et des effets sur la santé de l'augmentation marginale du rayonnement produit par les centrales à fission, les arguments du mouvement antinucléaire (pdf) contre l'énergie nucléaire ont davantage tourné ces dernières années autour des coûts élevés et des nombreuses années qu'il faut inévitablement pour planifier, octroyer des licences et construire de nouvelles usines ; et dans les années à venir, nous pouvons nous attendre à ce qu'ils insistent sur des obstacles réglementaires déraisonnablement lourds imposés par le gouvernement lorsque la fusion deviendra industriellement réalisable. En d'autres termes, des obstacles artificiels à la réalisation des avantages de la fusion pour l'humanité.

    Il ne faut cependant pas oublier que la gauche écologiste est mue par l'irrationalité du pur fanatisme, et que son objectif est de révolutionner la société jusqu'à ce qu'elle soit totalement méconnaissable. Ce n'est qu'en septembre qu'on a demandé à Jane Fonda comment son nouveau comité d'action politique axé sur le climat "sera capable de livrer une Amérique entièrement décarbonée".

    Au lieu de présenter la moindre science, Fonda a répondu : « Il n'y aurait pas de crise climatique s'il n'y avait pas de racisme. Il n'y aurait pas de crise climatique s'il n'y avait pas de misogynie", ajoutant que "nous devons examiner attentivement" le système économique de marché libre américain. "Tous les experts, et je n'en suis pas un, disent que cela va nous forcer et que ce sera l'occasion de restructurer la façon dont l'humanité vit sur la planète. … D'ici 2030, nous pourrions réduire de moitié les combustibles fossiles, mais nous devrons alors faire beaucoup d'autres choses.

    Nous pouvons être sûrs que dans les années à venir, les démocrates inventeront des obstacles à la recherche privée sur la fusion nucléaire, et que « Big Fusion » remplacera Big Oil comme nouveaux démons du capitalisme. La fusion fait éclater l'une des plus grandes bulles politiques du Parti démocrate : les démocrates ne pourront pas collecter de fonds sur l'idée que le monde touche à sa fin alors qu'une économie alimentée par la fusion est dans quelques décennies et résoudra le changement climatique et toutes les autres sources d'énergie problèmes qu'ils peuvent concocter.

    Mais si nous voulons que la fusion nucléaire soit mise en service à moindre coût dès que possible et produise la solution définitive à une terre plus chaude, nous laisserons l'industrie privée s'en charger, en grande partie sans entraves, au lieu d'imaginer une pléthore de nouvelles réglementations excessives.

    Et en attendant, avec des ressources mondiales totales de schiste bitumineux 1 000 fois supérieures aux plus de 1,6 billion de barils de réserves de pétrole brut dans le monde qui, à elles seules, nous dureront encore un demi-siècle ; plus 100 ans de gaz naturel propre qui est désormais accessible aux seuls États-Unis grâce à la fracturation hydraulique, la percée de la fusion signifie qu'après tout, aucune apocalypse ne sera infligée à nos petits-enfants.

    Donc, à court terme, gardez les panneaux solaires et les éoliennes secondaires, et percez, bébé, percez.

    https://www.zerohedge.com/energy/nuclear-fusion-incinerates-climate-crazies

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  36. L'Allemagne saigne de l'argent pour garder les lumières allumées alors que "l'expérience verte" devient un désastre


    dimanche 18 décembre 2022
    par : JD Heyes


    (Natural News) Pendant des années, l'Allemagne a fermé ses centrales électriques à combustibles fossiles et nucléaires en faveur de la poursuite d'une politique "d'énergie verte", remplaçant ces centrales par de l'énergie éolienne et solaire - ainsi que des achats importants de gaz naturel et de pétrole de la Russie .

    Après que Vladimir Poutine ait envahi l'Ukraine et que les États-Unis aient ordonné à l'Occident d'imposer des sanctions strictes à la Russie, y compris une interdiction d'importer du gaz et du pétrole russes, l'Allemagne s'est retrouvée face à un énorme dilemme : sans l'énergie de Moscou, « l'infrastructure verte » qui existait dans le pays s'est avéré insuffisant et incapable d'alimenter l'industrie robuste du pays, sans parler des maisons et des entreprises.

    Alors maintenant, "l'Allemagne saigne de l'argent pour garder les lumières allumées", selon un rapport de Reuters, après avoir dépensé "près d'un demi-billion de dollars, et ce n'est pas fini, depuis que la guerre en Ukraine l'a secouée dans une crise énergétique il y a neuf mois".

    Le rapport continuait :

    C'est l'ampleur cumulée des renflouements et des plans que le gouvernement de Berlin a lancés pour soutenir le système énergétique du pays depuis que les prix ont explosé et qu'il a perdu l'accès au gaz du principal fournisseur russe, selon les calculs de Reuters.

    Et ce n'est peut-être pas suffisant.

    "La gravité de cette crise et sa durée dépendront en grande partie de l'évolution de la crise énergétique", a déclaré Michael Groemling de l'Institut économique allemand (IW), ajoutant: "L'économie nationale dans son ensemble est confrontée à un énorme perte de richesse.

    Reuters a rapporté que jusqu'à présent, l'Allemagne a mis de côté environ 465 milliards de dollars, soit 440 milliards d'euros, selon les chiffres disponibles, ce qui n'est probablement que le premier versement de fonds pour empêcher le pays de manquer d'électricité et pour aider à sécuriser d'autres formes d'énergie, surtout maintenant que l'hiver est là.

    Première puissance économique de toute l'Europe, le peuple allemand, grâce à ses dirigeants, va désormais être à la merci de la météo.

    "L'économie allemande est maintenant dans une phase très critique parce que l'avenir de l'approvisionnement énergétique est plus incertain que jamais", a déclaré Stefan Kooths, vice-président et directeur de recherche sur les cycles économiques et la croissance à l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale, au service de presse. « Où en est l'économie allemande ? Si nous regardons l'inflation des prix, elle a une forte fièvre.

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  37. Beaucoup ont imputé la situation actuelle de l'Allemagne presque uniquement à la perte d'énergie fossile de la Russie, mais c'est au mieux malhonnête et au pire un mensonge éhonté.

    Selon un rapport de Forbes :

    L'Agence internationale de l'énergie est de retour. En mai 2021, il a publié un rapport étonnant appelant à mettre fin à tous les investissements dans le pétrole, le gaz et le charbon pour atteindre l'objectif imaginaire de zéro net d'ici 2050. Maintenant, alors que le monde est aux prises avec une crise énergétique avec une flambée des prix des carburants, des engrais et de l'alimentation, l'organisation a publié mardi dernier son nouveau rapport sur les énergies renouvelables 2022. Le chef de l'organisation, Fatih Birol, a tweeté une "grande nouvelle", affirmant que "le monde est sur le point d'ajouter autant d'énergie renouvelable au cours des 5 prochaines années qu'il l'a fait au cours des 20 dernières années, alors que les pays cherchent à tirer parti des énergies renouvelables". avantages en matière de sécurité ». La presse grand public a fidèlement rapporté les affirmations de l'AIE d'un "déploiement des énergies renouvelables" turbocompressé "par la crise énergétique mondiale".

    L'AIE constate que les perturbations de l'approvisionnement de la Russie en exportations de combustibles fossiles ont montré "les avantages de la sécurité énergétique de l'électricité renouvelable produite localement, conduisant de nombreux pays à renforcer les politiques de soutien aux énergies renouvelables". Le rapport affirme que la hausse des prix des combustibles fossiles dans le monde a amélioré la compétitivité de la production solaire photovoltaïque et éolienne par rapport aux autres combustibles.

    Mais c'est complètement faux : Forbes poursuit en notant que la dépendance excessive à l'énergie verte associée à un sous-investissement dans des combustibles fossiles fiables (et moins chers) est ce qui a conduit à la crise énergétique de l'Allemagne, ainsi que de l'Europe dans son ensemble.

    Le point de vente a blâmé les conclusions erronées de l'AIE sur l'adoption d'une idéologie de l'énergie verte plutôt que sur des données factuelles fondées sur la science.

    « Les prévisions élogieuses pour les énergies renouvelables présentées par l'AIE semblent exemptes des lois de la physique et écrites pour promouvoir un programme. La descente de l'organisation autrefois leader - consacrée à une analyse rigoureuse de l'économie de l'énergie et de ses conséquences politiques pour ses pays membres de l'OCDE - vers le plaidoyer et l'analyse bâclée pour la cause verte est complète », note le rapport Forbes.

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  38. "Fixée sur de faux modèles qui lient prétendument les émissions de gaz carbonique aux prévisions apocalyptiques du réchauffement climatique, l'AIE se moque bien des charges financières intolérables imposées aux gens ordinaires qui ont besoin de nourriture, de chauffage (ou de refroidissement), d'éclairage et de mobilité abordables", le rapport continue. « Pire encore, il a l'intention d'imposer ses prédilections en matière de changement climatique à la grande majorité de la population mondiale qui vit dans les pays en développement. Mais les gens font le lien entre les politiques énergétiques idéologiques incohérentes de l'Occident et les impacts négatifs sur leurs moyens de subsistance.

    Il était temps; Les Allemands apprennent la leçon en premier.

    Sources include:

    Reuters.com
    Forbes.com

    https://www.naturalnews.com/2022-12-18-germany-bleeding-cash-to-keep-lights-on-green-experiment-disaster.html

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  39. Vidéo : Bill Gates appelle à des taxes carbone « agressives » pour « accélérer » la quatrième révolution industrielle

    Un mondialiste milliardaire parle de la grande réinitialisation du WEF


    Par Steve Watson
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    Première publication le 21 janvier 2022

    S'adressant mercredi au Forum économique mondial, Bill Gates a appelé à une mise en œuvre agressive des taxes sur le carbone afin de forcer les pays à revenu intermédiaire à modifier fondamentalement l'ensemble de leurs secteurs industriels.

    Gates a déclaré que

    "Les pays riches doivent jouer un rôle central, à la fois en finançant le RND et en ayant des politiques, dans certains cas, les taxes sur le carbone seront utilisées pour stimuler la demande de ces produits propres."

    Il a continué,

    "Ce n'est qu'en faisant cela de manière agressive que les coûts économiques seront suffisamment réduits pour que nous puissions nous tourner vers tous les pays à revenu intermédiaire et dire 'OK, changez toute votre industrie du ciment, changez toute votre industrie sidérurgique.'"

    "Le nombre d'entreprises travaillant sur ces choses est très excitant", a proclamé Gates.

    Il a en outre déploré que

    "Certains d'entre eux échoueront, beaucoup d'entre eux échoueront", mais a affirmé "nous n'avons besoin que d'un nombre raisonnable, quelques dizaines d'entre eux pour passer au travers et c'est ce que nous devons accélérer".

    Regardez:

    - voir clip sur site -

    Dans ses livres, le fondateur du Forum économique mondial et mondialiste Klaus Schwab indique clairement que la « quatrième révolution industrielle » ou « la grande réinitialisation » conduira à l'abolition de la propriété privée.

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  40. Ce message est repris sur le site officiel du WEF , qui déclare : « Bienvenue dans l'année 2030. Bienvenue dans ma ville – ou devrais-je dire, « notre ville ». Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.

    Apparemment, vous ne serez pas autorisé à posséder une propriété privée et votre seul recours sera de vivre dans un état de dépendance permanente d'un petit nombre de riches élitistes qui possèdent tout.

    Cela s'appelait autrefois le féodalisme, qui est une forme d'esclavage.

    En effet, alors que les technocrates disent aux Américains que l'avenir est sans propriété privée, Gates lui-même et d'autres milliardaires ont acheté d'énormes quantités de terres agricoles.

    Gates est désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique, selon un rapport Forbes de l'année dernière.

    Pendant ce temps, les grands non lavés seront poussés à vivre dans de minuscules maisons ou pods , avec un niveau de vie considérablement abaissé au nom de la sauvegarde de la planète.

    https://www.globalresearch.ca/video-bill-gates-calls-aggressive-carbon-taxes-accelerate-fourth-industrial-revolution/5767719

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  41. Le Royaume-Uni est proche d'une panne d'électricité à l'échelle nationale, tandis que 12 % du PIB de l'Allemagne entière paie pour la crise énergétique


    Par Jo Nova
    December 17th, 2022


    L'Europe verte est à court d'électrons

    Lundi dernier, en Grande-Bretagne, toute l'industrie sidérurgique s'est arrêtée parce que le vent s'est arrêté et que les prix de gros ont atteint 2 586 £ le mégawattheure. Alors que l'hiver s'installe, les usines britanniques se préparent à fermer, alors que la menace de petites, moyennes et grandes pannes d'électricité se profile. Dans la cinquième plus grande économie du monde, des milliers de personnes utilisent des espaces communs chauffés parce qu'elles ne peuvent plus se payer l'électricité, et le plus grand producteur de gaz de la mer du Nord a décidé de ne pas forer plus de gaz juste au moment où le pays en a besoin. Le gouvernement a imposé une nouvelle taxe dessus, réalisant ainsi exactement le contraire de ce que le gouvernement visait.

    Pendant ce temps, en Allemagne, un huitième de l'ensemble de l'économie nationale est désormais consommé en payant la crise énergétique de 2022. Ils ont essayé de retenir les mers en 2100 mais ont oublié de sécuriser leur propre électricité un an à l'avance.

    Ce sont des expériences très coûteuses

    Ils ne vous le disent pas, mais le Royaume-Uni est proche des coupures de courant à l'échelle nationale
    par David Maddox, Daily Express

    Mais celui dont personne ne parle est la possibilité réelle que les lumières s'éteignent. Deux histoires cette semaine devraient tirer la sonnette d'alarme. La première était que Drax avait reçu l'ordre de mettre en veille ses deux centrales électriques au charbon (mises sous cocon) dans le North Yorkshire. La seconde est survenue hier lorsqu'une coupure de courant a laissé 2 800 foyers des Shetland sans électricité. Dans l'un des moments les plus froids de l'histoire récente où la consommation d'énergie a atteint un sommet, ils ont étayé un briefing reçu par Express.co.uk selon lequel la Grande-Bretagne est au bord d'une catastrophe.

    Selon un proche de M. Rees-Mogg [former Business and Energy Secretary], sa conclusion était : « Si les lumières ne s'éteignent pas cet hiver ou le prochain, ce sera plus de la chance que du jugement.

    Son évaluation, confirmée par une source de Whitehall, était que les marges d'approvisionnement en énergie disponible pour les besoins étaient si faibles qu'"un seul problème majeur suffirait pour que les lumières s'éteignent".

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  42. La réalité est que des sources de Whitehall et d'anciens ministres ont confirmé au Daily Express que la poursuite tête baissée bien intentionnée des émissions de carbone nettes zéro a laissé le Royaume-Uni dans une position précaire.

    Après être devenu ministre, Rees-Mogg a apparemment dû harceler le personnel pendant deux semaines entières juste pour obtenir un inventaire des approvisionnements énergétiques de la Grande-Bretagne. Étaient-ils lents parce qu'ils ne voulaient pas lui annoncer les mauvaises nouvelles ou parce qu'ils ne les avaient jamais additionnés ?

    La Grande-Bretagne se prépare à l'hiver des fermetures d'usines alors que les conditions de gel mettent à rude épreuve la crise énergétique
    Jacob Paul, Daily Express

    Gareth Stace, directeur de l'association industrielle UK Steel, a déclaré au Telegraph que les prix de gros exorbitants de l'électricité ont contraint lundi tous ses membres à arrêter une partie de la production jusqu'à ce que les tarifs reviennent à la normale.

    Il a déclaré: «Nous sommes juste hors du marché. Il ne servirait à rien que les compagnies énergétiques disent à nos membres de se déconnecter, car elles savent qu'elles le feront. Vous ne pouviez tout simplement pas continuer, vous perdiez simplement de l'argent pour chaque tonne d'acier que vous produisiez avec des prix [de l'énergie] à ces niveaux.

    Pensez à ce que 440 milliards d'euros auraient pu faire à la place ?

    Drapeau allemandC'est le montant que l'Allemagne a dépensé pour les renflouements énergétiques et les projets depuis que la Russie a envahi l'Ukraine. Et cela n'inclut probablement pas une autre bombe monétaire de 100 milliards d'euros qui vient d'être approuvée par la chambre basse allemande.

    Le bazooka énergétique allemand d'un demi-billion de dollars pourrait ne pas suffire

    Reuter

    Michael Groemling de l'Institut économique allemand (IW) a déclaré… "L'économie nationale dans son ensemble est confrontée à une énorme perte de richesse."

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  43. L'argent mis de côté s'élève à 440 milliards d'euros (465 milliards de dollars), selon les calculs, qui fournissent le premier décompte combiné de tous les efforts de l'Allemagne visant à éviter de manquer d'électricité et à sécuriser de nouvelles sources d'énergie.

    Cela équivaut à environ 1,5 milliard d'euros par jour depuis que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février. Soit environ 12 % de la production économique nationale. Soit environ 5 400 euros pour chaque personne en Allemagne.

    Ils auraient pu acheter 20 réacteurs nucléaires et sécuriser la moitié de leur approvisionnement en électricité pour les décennies à venir.

    Trump a mis en garde contre cela en 2018, mais ce naufrage arrive depuis vingt ans.

    Merci à NetZeroWatch

    https://joannenova.com.au/2022/12/uk-close-to-nation-wide-blackout-and-germany-is-bleeding-cash-to-keep-the-lights-on/

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  44. Les Australiens optent pour le charbon à 100 % ! Imaginer la vie sous le nuage climatique


    De William Walter Kay
    Recherche mondiale,
    18 décembre 2022


    La vraie tragédie est ce que nous ne voyons pas. Nous voyons des milliards gaspillés sur le vent et le solaire. Assez tragique, mais nous ne voyons pas les magnifiques infrastructures électriques que le charbon pourrait créer s'il était également doté de fonds.

    Les plus grandes centrales électriques au charbon du monde, la centrale de Tuoketuo de 6 720 mégawatts (MW) en Mongolie intérieure et la centrale de Taean de 6 100 MW en Corée du Sud, ont été construites par étapes au fur et à mesure que des générateurs supplémentaires étaient nécessaires. Tuoketuo arbore désormais un réseau hétéroclite de 12 turbines à vapeur dont la taille varie de 300 à 660 MW. Les dirigeants de Taean ont complété leurs 8 turbines originales de 500 MW avec 2 Hitachi 1 050.

    La demande d'électricité australienne culmine à 35 000 MW ; par conséquent, 8 usines de la taille de Tuoketuo (fonctionnant aux deux tiers de leur capacité) pourraient répondre aux besoins nationaux.

    La tribu la plus riche en charbon de la nature, les Aussies, possède 165 milliards de tonnes de charbon noir récupérable et 433 milliards de tonnes de charbon brun. Les 94 mines de charbon australiennes ne produisent qu'un demi-milliard de tonnes par an.

    Avec des siècles d'approvisionnement, les Australiens devraient considérer le charbon comme inépuisable. L'âge de pierre ne s'est pas terminé lorsque nous avons manqué de roches. L'uranium détrônera le charbon avant que les Australiens n'épuisent leurs filons ; mais en ce moment, 9 000 centrales électriques au charbon ornent la Terre ; une floraison quantique par centaines chaque année.

    Quand la vie vous lance des citrons, … faites de la limonade. Avant 2002, les Australiens tiraient plus de 80 % de leur électricité du charbon. En 2002, après des décennies de changement climatique, l'énergie éolienne a finalement capturé des parts mesurables du marché australien de l'électricité. Le solaire a fait surface en 2005. Le tableau de bord de l'électricité par source de l'Australie se lit désormais : charbon 51 %, gaz 18 %, solaire 12 %, éolien 10 %, hydroélectricité 6 % et pétrole 2 %.

    Net Zero dicte des réductions de 90 % de la consommation mondiale de charbon d'ici 2050. L'agneau sacrificiel de l'oligarchie climatique, l'Australie, doit abandonner l'énergie du charbon bien avant cela.

    Sur commande, les meilleurs crapauds australiens se renversent les uns sur les autres, rapprochant l'apocalypse du charbon. Le Premier ministre Albanese a récemment augmenté les quotas renouvelables de 15 %, proclamant :

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  45. "Notre nouvel objectif ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 43 % par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030 mettra l'Australie sur la bonne voie pour atteindre Net Zero d'ici 2050." (1)

    Queensland Premier Palaschuk exige 70 % d'électricité renouvelable d'ici 2032 ; …80% d'ici 2035. Compte tenu de la place du gaz (non renouvelable) dans les mix électriques prévus, les revendications de Palaschuk sonnent la mort du charbon.

    Les Australiens ont ajouté 5 unités à leur flotte au charbon après 1999 ; aucune depuis 2009. Plusieurs fermetures sont prévues pour les années 2020. D'autres fermetures sont annoncées.

    Entre 2002 et 2022, la capacité de production est passée de 36 900 MW à 53 400 MW ; Cependant, une grande partie de la nouvelle capacité est une capacité nominale ambitieuse configurée par les vendeurs de panneaux solaires et d'éoliennes. Les centrales au charbon australiennes fournissent systématiquement 66 % de la capacité maximale annoncée, tandis que l'éolien fournit généralement 30 % ; et solaire : 10 %.

    Les 19 centrales au charbon australiennes continuent de fournir de l'électricité de base avec 59 turbines à vapeur vieillissantes. La station Bayswater puise l'eau de la rivière Hunter pour faire fonctionner quatre générateurs de 660 MW. Les quatre Toshibas de 720 MW de la station Eraring refroidie à l'eau salée sont alimentés par des mines locales. Monstres du lignite, les 6 générateurs de Lon Yang A et B électrifient Melbourne ; … également avec du charbon extrait localement.

    Les gisements omniprésents incitent de nombreuses villes australiennes, comme Melbourne, à exploiter les champs de houille brune adjacents. Les progrès de la transmission longue distance à très haute tension rendent cette stratégie obsolète.

    La ligne de transmission Belo Monte-Rio de Janeiro transporte 4 000 MW sur une distance de 2 543 kilomètres. La ligne Sibérie-Oural transporte 5 500 MW sur 2 344 kilomètres. L'UHV (1,1 million de volts) Changi-Guquan transporte 12 000 MW sur 3 250 kilomètres.

    Neuf grandes villes australiennes se trouvent à moins de 1 200 kilomètres des énormes bassins houillers noirs à haute volatilité du Queensland.

    Les Australiens devraient visualiser les centrales au charbon de nouvelle génération (15 000+ MW). Imaginez des réseaux robotisés d' Arabelle 1 900, alimentés par des chaudières supercritiques, nichés dans les bassins houillers les plus riches du Queensland et faisant tourbillonner l'électricité la moins chère du monde à travers l'Australie.

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  46. GE, Siemens, Mitsubishi, Hitachi, Toshiba et autres se feront un plaisir de vendre les machines à l'Australie ; dont les Australiens doivent maîtriser la fabrication. 30 000 îles industrialisées du Pacifique Sud et de l'océan Indien, assoiffées d'électricité, constituent un marché prêt.

    Il y a aussi le charbon vers le pétrole; ou, "carbon-to-x", car le charbon est maintenant reconstruit en une myriade de produits de base, pas seulement en essence. L'Afrique du Sud exploite cette technologie à grande échelle depuis 1950. La Chine connaît un boom du charbon vers l'x .

    Pourquoi pas l'Australie ?

    https://www.globalresearch.ca/aussies-go-100-coal-imagining-life-out-from-under-climate-cloud/5802548

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    1. Premièrement les 'gaz a effet de serre' n'existent pas (sinon la vapeur d'eau qui se raréfie avec la baisse continuelle des éruptions volcaniques (évaporations) sous océaniques et marines).

      Deuxièmement TOUS les gaz émis par la combustion de la masse ferrique incandescente se recyclent à la fois dans l'eau des bassins et dans notre atmosphère (sinon la vie sur Terre ne serait même pas apparue !).

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  47. Charbon : le record de consommation devrait être atteint en 2022

    La consommation de charbon devrait progresser légèrement au terme de l’année 2022, mais assez pour marquer un nouveau record, estime l’Agence internationale de l’énergie (AIE).


    Par Anton Kunin
    le 19 décembre 2022 à 8h14


    Entre 2022 et 2025, les pays d’Asie du Sud-Est devraient augmenter leur consommation de charbon de 14 %.

    Charbon : la consommation devrait rester élevée jusqu’en 2025

    Le monde consomme toujours plus de charbon… En 2022, la consommation mondiale devrait progresser de 1,2%, une hausse somme toute légère mais suffisante pour qu’en chiffres absolus, la consommation mondiale atteigne 8 milliards de tonnes, un record, prédit l’Agence internationale de l’énergie (AIE). En plus, en l’absence d’efforts pour opérer une transition énergétique, en 2023, 2024 et 2025 la consommation devrait rester peu ou prou au même niveau.

    Même si la demande baissera progressivement dans les pays développés, dans les pays émergents d’Asie elle restera robuste. En effet, malgré la progression (lente certes) des énergies renouvelables, ces pays misent sur le charbon en tant que source d’énergie pour doper leurs économies. Cela veut dire que le charbon restera, de loin, la source de gaz carbonique numéro un du système énergétique mondial, anticipe l’AIE.

    Les États-Unis et l’Union européenne devraient réduire drastiquement leur consommation de charbon
    En 2022, les trois premiers producteurs de charbon, à savoir la Chine, l’Inde et l’Indonésie, devraient en extraire plus que jamais. Toujours est-il que, malgré des prix élevés et des marges confortables pour les producteurs de charbon, rien n’indique qu’il y aura de nouveaux investissements dans des projets d’exportations de charbon.

    Entre 2022 et 2025, la consommation mondiale d’électricité devrait augmenter de 2,8 % tous les ans (soit +2.496 TWh par an). Les énergies renouvelables devraient assurer 90 % de ce surplus de demande, tandis que le reste (soit 83 TWh environ) devraient être couverts par les centrales à charbon et à gaz. Les pays qui devraient augmenter le plus leur consommation de charbon sont la Chine (+5 %), l’Inde (+7 %) ainsi que les pays d’Asie du Sud-Est (+14 %). La consommation de charbon devrait diminuer de 18 % aux États-Unis et de 29 % dans l’Union européenne.

    https://www.economiematin.fr/charbon-record-consommation-2022-aie

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    1. OUF ! Grâce aux 'verts' l'air continuera donc d'être pollué !

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  48. Des experts préconisent d'investir davantage dans les innovations agricoles pour lutter contre l'insécurité alimentaire


    19 Décembre 2022
    Joseph Opoku Gakpo*


    Les gouvernements ont été exhortés à augmenter les investissements dans la recherche et les innovations technologiques pour aider à faire face à l'insécurité alimentaire.

    S'exprimant au cours d'une session de dialogue lors de l'événement du Prix Mondial de l'Alimentation à Des Moines, Iowa, USA, Mme Samantha Power, l'administratrice de l'Agence Américaine pour le Développement International (USAID), a déclaré qu'il est prouvé que les technologies innovantes, comme la technologie OGM, ont contribué à améliorer la production agricole et que les dernières innovations comme l'édition de gènes CRISPR feront encore plus.

    « L'insertion de nouvelles séquences dans les génomes des plantes – la création d'organismes génétiquement modifiés – suscite parfois une certaine résistance, malgré les nombreuses preuves de son innocuité. Mais les nouvelles techniques génomiques comme CRISPR permettent aux scientifiques d'introduire rapidement et précisément des modifications spécifiques dans le génome d'une plante, sans transfert de gènes », explique Samantha.

    Elle note que « pour les Nations qui choisissent d'adopter le génie génétique – l'insertion de nouvelles séquences dans le génome des plantes – peut accélérer encore le rythme [de l'amélioration des cultures]. Au Bangladesh, quatre variétés d'aubergines génétiquement modifiées et résistantes à des insectes, approuvées en 2013, ont bénéficié à plus de 65.000 petits agriculteurs en augmentant les rendements et les revenus, en réduisant l'utilisation de pesticides et en améliorant la sécurité alimentaire. »

    L'administratrice de l'USAID s'est dite préoccupée par le fait que les petits exploitants agricoles, en particulier en Afrique subsaharienne, ne bénéficient pas souvent des nouvelles technologies puisque le financement de leur développement provient essentiellement d'entreprises du secteur privé. Ces entreprises privées se concentrent sur la réalisation de bénéfices et ne produisent donc pas forcément des semences améliorées pour les communautés de petits exploitants ruraux.

    « L'innovation locale peut lever certains de ces obstacles. En partenariat avec des universités américaines, nous investissons dans l'innovation en matière d'amélioration des plantes dans les pays partenaires. Une innovation qui permet d'adapter les nouvelles semences à leur environnement et d'instaurer la confiance avec les agriculteurs locaux en leur montrant que prendre des risques en matière d'innovation agricole est payant », a-t-elle ajouté.

    L'administratrice de l'USAID a exhorté les partenaires à soutenir la vision d'un avenir agricole durable et résilient qui est « conçu non seulement pour nous nourrir aujourd'hui, mais aussi pour protéger notre avenir. »

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  49. « J'exhorte les partenaires gouvernementaux à investir dans la recherche et le développement à l'intérieur de leurs propres frontières, à s'associer à des entreprises privées et à des organisations à but non lucratif pour apporter de nouvelles semences à des environnements trop souvent négligés, et à élaborer des réglementations et des politiques qui encouragent le développement d'innovations agricoles sûres et de pointe », a-t-elle déclaré.

    Une faim croissante

    Mme Power s'est dite préoccupée par le fait que, chaque soir, 828 millions de personnes se couchent le ventre vide dans le monde. Quarante millions de personnes sont confrontées à des niveaux d'urgence de la faim, ce qui signifie que ces ménages ont déjà vu des membres de leur famille mourir en raison du manque de nourriture. Elle a mentionné la Corne de l'Afrique, en particulier l'Éthiopie et la Somalie, comme des endroits qui nécessitent une attention urgente.

    « Entre 2008 et 2018, les catastrophes naturelles ont coûté à elles seules aux pays en développement plus de 108 milliards de dollars en dommages aux cultures et en pertes de récoltes. Déjà, dans la Corne de l'Afrique, des millions de têtes de bétail sont mortes, et les pasteurs qui s'occupaient du bétail depuis tant de générations ont perdu leurs moyens de subsistance et leur source de sens et d'identité », fait-elle observer, ajoutant : « Une adhésion à l'innovation agricole, associée à de vastes investissements publics et privés dans l'agriculture, pourrait réduire la faim de manière spectaculaire. »

    S'exprimant lors d'un dialogue distinct pendant le Prix Mondial de l'Alimentation, le professeur Eric Danquah, directeur fondateur du Centre Ouest-Africain pour l'Amélioration des Plantes (West Africa Center for Crop Improvement – WACCI), a également appelé les gouvernements africains à augmenter les investissements pour renforcer la sécurité alimentaire.

    « L'agrobusiness ne peut pas prospérer s'il n'y a pas d'innovation. Tant que nous ne changerons pas de paradigme et que nous ne ferons pas de sérieux investissements pour créer des opportunités pour les femmes et les jeunes, il n'y aura pas d'avenir », prévient-il.

    « Si nous n'innovons pas en Afrique pour la production et la consommation, nous aurons faim pour toujours. Il s'agit de la recherche et du développement, et des mécanismes de livraison qui nous permettent d'atteindre les agriculteurs en temps réel », ajoute le professeur Danquah.

    Le directeur général de Farming Future Bangladesh, Arif Hossain, est convenu que l'innovation est la solution pour les pays en développement. S'adressant à l'Alliance pour la Science, à Des Moines, dans l'Iowa, il a raconté la réussite de l'aubergine Bt au Bangladesh.

    Il a révélé que « l'aubergine Bt génétiquement modifiée permet aux agriculteurs de multiplier par six leurs revenus, de réduire de 35 à 40 % l'utilisation de pesticides et de promouvoir une agriculture durable ».

    « Si l'agriculteur veut l'aubergine Bt, il la cultive. S'il n'en veut pas, il ne la cultive pas. Et c'est une variété ouverte. Les agriculteurs peuvent donc littéralement conserver les graines, les multiplier et les donner au prochain agriculteur. L'aubergine Bt est une technologie éprouvée », a-t-il fait remarquer.

    Auparavant, les Bangladais étaient perplexes à l'égard des cultures génétiquement modifiées, mais depuis 2014, davantage d'agriculteurs bénéficient de cette technologie. Il existe des preuves que l'aubergine fonctionne, a ajouté M. Hossain.

    Il a exhorté les gouvernements des pays en développement à investir dans les OGM, car ils profitent aux petits exploitants agricoles.

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    * Source : Invest more in agricultural innovations to tackle food insecurity, experts urge - Alliance for Science (cornell.edu)

    https://seppi.over-blog.com/2022/12/des-experts-preconisent-d-investir-davantage-dans-les-innovations-agricoles-pour-lutter-contre-l-insecurite-alimentaire.html

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