Si l’avenir s’écrit effectivement en Chine, il est important que les Occidentaux qui n’en sont pas conscients le découvrent avant qu’un pareil garrot leur soit imposé.
le 3 décembre 2022 Jean-Pierre Chamoux
Lors de la parution française en avril 2021 de Red Mirror, essai assorti d’un reportage photographique original sur les rues chinoises, j’avais déjà souligné le sens profond de cet ouvrage d’un journaliste italien, Simone Pieranni, illustré par Gilles Sabrié, un photographe qui vit à Pékin.
Ces deux auteurs décrivent par le récit et par l’image la vie des gens ordinaires qui peuplent les mégalopoles chinoises. Ce sont les mêmes qui manifestent aujourd’hui en Chine contre le fol maintien d’un confinement assassin pour les malheureux habitants de ce gigantesque pays. Leur soulèvement spontané est un refus naturel de ce que dévoilait ce petit livre publié sous une couverture rouge « à la Mao » par un éditeur de Caen qui le ressort ces jours-ci grâce à l’actualité dramatique qui nous vient de Chine.
Cet ouvrage, très bien traduit par Fausto Guidice, est instructif si l’on sait lire entre ses lignes.
Ce que j’en avais dit en avril 2021 permet de comprendre ce qui secoue profondément la Chine d’aujourd’hui : la population chinoise n’en peut plus d’être parquée comme du bétail dans des conditions infernales ; elle étouffe sous une chape de plomb et elle refuse enfin l’emprisonnement généralisé qui lui est imposé sous prétexte de contenir un virus que l’on a pas su maîtriser !
Red Mirror aborde en quatre chapitres autant de caractéristiques de la société chinoise actuelle.
L’omniprésence du réseau social Wechat qui encadre et accompagne la vie quotidienne des chinois. La politique des « villes intelligentes » très denses où s’entassent des travailleurs venus des campagnes pour fournir à l’usine du monde une main-d’œuvre que l’on espérait servile. Une industrie (comme Foxcomm dont les ouvriers se révoltent ces jours-ci) qui fournit à la planète entière équipements, infrastructures et services indispensables à l’ère du numérique. Une cité collectiviste construite par une ingénierie sociale qui évoquent l’utopique prison panoptique imaginée par les frères Jeremy et Samuel Bentham (1791), cité dont le crédit social fut conçu et qui est gérée par le Parti communiste chinois.
Largement dévoilé par la propagande chinoise, ce système de bons et mauvais points devait assurer, dit Pieranni, non seulement la cohésion de la Chine moderne mais l’aider à dominer le monde contemporain (chap. 5) !
Ses tenants et aboutissants se découvrent à chaque page de ce récit qui associe curieusement cette surveillance sociale à une pratique millénaire méconnue par les Occidentaux : la baojia, un encadrement communautaire des familles chinoises qui n’aurait donc été que l’antécédent médiéval du crédit social actuel (p. 144) !
Théorisée en 1957 par Mao dans la section IV de son Petit livre rouge, la dialectique entre l’ordre et le chaos s’inscrirait donc dans le prolongement de la Chine impériale…
On peut regretter…
Cet ouvrage témoigne d’une belle indulgence envers les intentions et les agissements de la puissance publique chinoise qui n’a jamais hésité ni sur les moyens ni sur la brutalité nécessaires pour mâter son peuple, surtout lorsqu’il réagit aux actes suicidaires comme l’est ce confinement à outrance que l’auteur condamnerait, je suppose, très vivement s’il le relevait dans un pays occidental !
Corrélativement, ce texte use de force litotes pour situer (et pour finalement admettre) ce crédit social qui traite les hommes comme des « chiens de Pavlov » et que l’autorité communiste tient à sa botte, au grand dam des individus conscients comme le furent les étudiants de Hong Kong qui n’ont plus désormais d’autre choix que de se soumettre ou de partir depuis que leur territoire est repris en mains par Pékin.
Ils en ont payé le prix comme risquent aussi de le faire les foules de Shangaï ou de Wuhan qui se rebellent actuellement contre l’enfermement qu’on leur impose depuis deux ans et plus (cf. p. 134 sq. par ex.) !
L’avenir s’écrit-il en Chine ?
En quelques mots, si l’avenir s’écrit effectivement en Chine, comme l’annonce l’auteur, si le crédit social se poursuit effectivement dans la veine d’une tradition millénaire, il est important que les Occidentaux qui n’en sont pas conscients le découvrent avant qu’un pareil garrot leur soit imposé !
Lu avec attention et un minimum d’esprit critique, ce petit livre devrait les dessiller : deux brèves citations suffisent pour le comprendre :
« En Chine, le smartphone, c’est Wechat. Et Wechat sait tout sur tout le monde ! » (p.12)
« Le crédit social […] c’est l’État qui juge tous les citoyens [car] la Chine ne veut pas seulement réglementer les personnes mais aussi l’environnement dans lequel elles vivent » ! (p. 143 )
Deux mots sur les auteurs
Journaliste au quotidien italien Il Manifesto créé en 1969 par des dissidents du Parti communiste italien, Simone Pieranni a vécu sept ans en Chine où il avait créé l’agence China Files. Le photographe Gilles Sabrié a illustré de grands quotidiens (Le Monde, The Guardian, Wall Steet Journal…) et de nombreux magazines (Time, Geo, Spiegel, L’expresso etc.).
Simone Pieranni : Red Mirror L’avenir s’écrit en Chine, Traduit de l’italien et assorti d’un reportage photographique de Gilles Sabrié, C & F éditions, Caen, 2022, 184 pages.
Hier, sous un article de presse qui en parlait, j'avais fait ressortir que la Chine - qui compte 1 milliard 400 millions d'habitants - avait entre 10 et 15 % de surdoués. C'est-à-dire entre 140 et 210 millions de têtes bien pleines. Et donc, comme les Peuples évoluent (surtout depuis l'arrivée de l'Internet) autour d'une circonvolution spiroïdale qui va donc du centre aux contours pour bien montrer que les marginaux sont de toutes espèces, cette escargophilie va donc développer des courants forcément démocratiques où le Peuple aura donc ses mots à dire.
Donc, l'enfermement historique est à proscrire et ouverture vers le futur. Mais où est le futur dans des prises de positions dictatoriales, ces dernières sont du passé. Aujourd'hui, nous le constatons tous les jours, les chefs d’États recourent aux 'intelligences artificielles' pour s'exagérer leur QI à la puissance d'un ordinateur (qui serait cervical !!) mondialocrate ou sorte de 'monsieur-qui-sait-tout'. Or, s'il n'est pas commun d'entendre que ce sont des surdoués qui ont inventé l'ordinateur et ses programmes, il en demeure que ce sont encore eux [les surdoués] qui sont au-dessus des boites en fer !
Soyons bien conscient que ce ne sont pas des boites en fer qui demain dirigeront le monde mais des hommes aux neurones non-remplies de télévision ! Car, ne l'oublions pas non-plus que partout sur Terre existe l'EMP et que si elle est employée a cette 'bombe propre' (comme disent les chinois qui en auraient une plus grosse) subsisteraient les réservoirs cervicaux. Comprendre aussi que c'est en contournant un obstacle que l'on en fait le tour et qu'il n'y a pas de honte à avoir que de faire autre chose qu'ont fait nos ancêtres.
Point d'impossibilité NetZero ? Le pays des merveilles des énergies renouvelables en Europe ne peut plus fabriquer de solaire, d'éolienne, de batteries ou de véhicules électriques
Par Jo Nova December 3rd, 2022
L'énigme impossible : Going Netzero annule votre capacité à vous rendre à Netzero
La spirale de la mort industrielle se développe : l'Europe est le roi des énergies renouvelables et elle possède également l'énergie la plus chère au monde, ce qui rend impossible pour l'UE de fabriquer les choses dont elle a besoin pour atteindre NetZero.
L'UE a perdu ses usines de panneaux solaires au profit de la Chine il y a des années, et l'industrie éolienne craignait qu'elle ne suive la même voie sino que l'industrie solaire. Il y a quelques mois, le chef de Vestas a admis qu'ils perdaient de l'argent sur chaque éolienne qu'ils vendaient. (Heureusement que leurs commandes s'effondraient, hein ?)
Maintenant, le chef de Volkswagen prévient que les choses sont si chères qu'il ne sera bientôt plus viable de fabriquer des voitures électriques et des batteries en Europe non plus - ce qui doit être une mauvaise surprise étant donné qu'ils viennent de commencer à construire la première des six usines de batteries prévues en L'Europe .
À quelle vitesse ces bilans changent…
Naturellement, toute l'industrie réclame davantage de subventions. De toute évidence, ils ne peuvent pas demander ce dont ils ont vraiment besoin, une énergie bon marché.
« Nous faisons du surplace : » Une crise énergétique immobilise l'industrie européenne alors que les États-Unis et la Chine avancent, prévient Volkswagen Tristan Bové, Yahoo Actualités
La crise énergétique en Europe laisse l'industrie du continent à l'arrêt, et son plus grand constructeur automobile affirme que ses concurrents font la course devant, les gouvernements de l'UE ne fournissant pas suffisamment de soutien.
"Sur la scène internationale, l'Allemagne et l'Union européenne perdent rapidement leur attractivité et leur compétitivité", a écrit lundi Thomas Schäfer, directeur général de la marque du constructeur automobile allemand Volkswagen, dans un post sur LinkedIn.
Schäfer a déclaré que Volkswagen, et d'autres constructeurs automobiles européens, risquaient de prendre du retard sur leurs concurrents dans le domaine de la fabrication de voitures électriques en raison des prix élevés de l'énergie, car la crise désavantage l'ensemble de l'industrie européenne.
"Nous faisons du surplace", a-t-il écrit. « Je suis très préoccupé par l'évolution actuelle des investissements dans la transformation de l'industrie. Cela doit être priorisé de toute urgence – de manière non bureaucratique, cohérente et rapide.
Il a également averti que Volkswagen ne pouvait pas non plus se permettre de fabriquer des batteries dans l'UE :
La direction de VW affirme que les prix élevés de l'énergie tueront la production de batteries de voiture en Europe
"Si nous ne parvenons pas à faire baisser rapidement les prix de l'énergie en Allemagne et en Europe, les investissements dans la production à forte intensité énergétique, ou dans de nouvelles usines de cellules de batterie, en Allemagne et dans l'UE ne seront plus réalisables", a-t-il déclaré.
Ce n'est peut-être pas un hasard si Volkswagen cherche de nouveaux sites pour ses usines de batteries au Canada ?
C'est un bain de sang en Europe pour l'industrie éolienne
L'industrie européenne de l'énergie éolienne a connu une période difficile
Haley Zaremba, Oilpatch
… à travers l'Europe, les principaux fabricants d'éoliennes signalent des pertes massives et licencient de nombreux employés. Ce mois-ci, la société danoise Vestas Wind Systems, le plus grand fabricant d'éoliennes au monde, a annoncé une perte de 147 millions d'euros au troisième trimestre (environ 151 millions de dollars). General Electric, un autre grand producteur d'éoliennes aux États-Unis et en Europe, rapporte que son unité d'énergie renouvelable devrait enregistrer une perte de 2 milliards de dollars à la fin de l'année. La société espagnole Siemens Gamesa Renewable Energy, une société basée à Madrid qui est l'un des principaux producteurs d'éoliennes offshore, a déclaré une perte annuelle de 940 millions d'euros (965 millions de dollars) et a annoncé des réductions de dépenses qui entraîneront 2 900 pertes d'emplois - environ 11% de l'effectif de l'entreprise.
Voici un indice sur la raison pour laquelle l’énergie éolienne ne peut pas rivaliser :
Selon le PDG de Siemens Energy, le problème, ce sont les chaînes d'approvisionnement. "N'oubliez jamais que les énergies renouvelables comme le vent ont à peu près besoin de 10 fois plus de matériel [par rapport à]... ce dont les technologies conventionnelles ont besoin", a déclaré Christian Bruch dans une interview accordée à "Squawk Box Europe" de CNBC. "Donc, si vous avez des problèmes sur la chaîne d'approvisionnement, cela frappe … le vent extrêmement fort, et c'est ce que nous voyons."
Avec une production plus lente en raison de problèmes de chaîne d'approvisionnement, l'industrie éolienne est bloquée - essayant toujours de livrer les commandes de l'ère pré-covid à des prix impossibles, à un public à court d'argent et vendant un produit dont personne n'a vraiment besoin.
Oxford 2024 : les blocages climatiques commencent - Vous serez suivi et piégé dans votre banlieue et heureux.
December 3rd, 2022
Les fouineurs totalitaires veulent suivre votre voiture et s'attendent à ce que vous demandiez la permission de voyager, non seulement à l'étranger, mais dans la banlieue voisine. Ce sont les mêmes personnes qui voyagent dans des jets privés pour des voyages de deux semaines à l'ONU.
La ville en 15 minutes est un plan de l'ONU et du WEF. Vous serez suivi et piégé dans votre banlieue et heureux à ce sujet.
C'est difficile à croire, mais le conseil municipal d'Oxford a l'idée bénigne de résoudre les longs trajets et d'un saut, d'un saut et d'un saut, ils sont arrivés à une tyrannie maligne. Si vous n'aimez pas l'idée de marcher jusqu'au travail et de "sauver la planète", ils vous forceront à prendre ce bus. Mais les conséquences imprévues sont vastes. Vous devrez peut-être déménager, trouver un nouvel emploi ou divorcer. Vous pensez avoir le droit de rendre visite à vos enfants ? Uniquement avec autorisation. Tout votre style de vie est à gagner.
C'est le système de crédit social qui commence avec votre voiture.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024 Les habitants seront confinés dans leur quartier local et devront demander la permission de tout quitter pour "sauver la planète".
Le conseil du comté d'Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l'une des six zones pour «sauver la planète» du réchauffement climatique. La dernière étape du programme de la «ville en 15 minutes» consiste à placer des portails électroniques sur les routes principales à l'intérieur et à l'extérieur de la ville, confinant les résidents dans leurs propres quartiers.
Dans le cadre du nouveau programme, si les résidents veulent quitter leur zone, ils auront besoin de l'autorisation du Conseil qui décide qui est digne de liberté et qui ne l'est pas. Dans le cadre du nouveau programme, les résidents seront autorisés à quitter leur zone un maximum de 100 jours par an, mais pour même gagner cela, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès du conseil qui suivra ensuite ses mouvements via des caméras intelligentes autour du ville.
Que se passe-t-il si votre femme a un emploi dans une zone, votre fils va à l'université dans une autre et votre club de travail ou de sport avec des amis de toujours est dans une troisième ? Devriez-vous vendre la maison familiale et envoyer les enfants en internat ?
La folie de la « ville 15 minutes »
James Woudhuysen, Spiked
En surface, ces quartiers de 15 minutes peuvent sembler agréables et pratiques. Mais il y a un bord coercitif. Le conseil prévoit de réduire l'utilisation de la voiture et les embouteillages en imposant des règles strictes sur les trajets en voiture. Selon les nouvelles propositions, si l'un des 150 000 habitants d'Oxford conduit en dehors de son district désigné plus de 100 jours par an, il pourrait être condamné à une amende de 70 £.
Le concept de la ville en 15 minutes est né avec « C40 ». Présidé aujourd'hui par le maire de Londres Sadiq Khan, le C40 se définit comme un "réseau de maires de près de 100 villes de premier plan au monde collaborant pour fournir l'action urgente nécessaire dès maintenant pour faire face à la crise climatique".
La BBC pense qu'il est tout à fait normal que le gouvernement décide qui sont vos amis. Apparemment, les fermetures à Paris étaient de grands moments sociaux. Qui savait ?
Comment les «villes de 15 minutes» vont changer notre façon de socialiser
.. pour Fraioli, le confinement de deux mois qui a débuté le 17 mars – la confinant dans un rayon de 1 km autour de son domicile – lui a donné une vision nuancée et enrichissante de son quartier. "J'ai découvert qu'il était possible de se sentir dans un petit village de Paris", dit-elle. « Pour connaître ses voisins, entretenir de bons liens avec les commerçants, privilégier les artisans et commerces locaux aux grandes surfaces. J'ai même rejoint un mouvement citoyen où les gens préparent des paniers de nourriture pour les sans-abri. Je pensais que j'aurais du mal à vivre le confinement, mais j'étais parfaitement chez moi, au calme.
Je ne semble pas me souvenir de "faire connaissance avec les voisins" comme faisant partie d'un verrouillage n'importe où ?
Et ne pensez pas que l'achat de deux voitures vous permettra d'obtenir vos 200 trajets. Chaque ménage en reçoit 100, quel que soit le nombre de voitures qu'il possède.
Le changement climatique n'est qu'un prétexte pour faire sortir la plèbe des avions et des routes. Les élus spéciaux à l'université ou dans le service exécutif recevront un laissez-passer gratuit.
Et oui, ce n'est pas seulement Oxford, mais Brisbane, Melbourne, Barcelone, Paris, Portland et Buenos Aires. Propagation comme un cancer.
Ââah les 'voisins de cellule' ! Ces petits criminels qui tuent juste pour le plaisir ou pour 'pas perdre la main' ! Ces quartiers enrichit d'ethno ethnicité estrangère, trisomique et zombiaque !
Si la vie humaine peut être prolongée, la colonisation de la galaxie de la Voie lactée sera inévitable. La distance moyenne entre les étoiles de la galaxie est d'environ cinq années-lumière. Même si la vitesse de la lumière reste un obstacle infranchissable, le voyage interstellaire est théoriquement possible. Les fusées peuvent être accélérées à une fraction appréciable de la vitesse de la lumière en utilisant la propulsion par impulsions nucléaires. Si l'espérance de vie humaine moyenne à la naissance peut être augmentée jusqu'à, disons, mille ans, alors un voyage prenant cent ans devient faisable.
Finalement, les humains ne chercheront pas des mondes semblables à la Terre, mais construiront des mondes artificiels. Ce processus a déjà été prévu. Le roman de 1970 Ring World de Larry Niven décrit un monde artificiel tournant comme un anneau autour d'une étoile. Le monde annulaire de Niven a un diamètre équivalent à celui de l'orbite terrestre, une largeur d'un million de kilomètres et fournit trois millions de fois l'espace de vie de la Terre. Un tel monde pourrait être couvert de panneaux solaires qui s'ouvrent et se ferment, alternant jour et nuit, modérant la température et générant de grandes quantités d'énergie électrique.
La construction d'un monde artificiel aussi prodigieux pourrait être accomplie sans effort en appuyant sur un bouton. Une sonde sera lancée, atteindra un système solaire lointain et effectuera une reconnaissance pour voir si suffisamment de matières premières sont disponibles. Si tel est le cas, la machine continuera à se dupliquer et à construire d'autres machines, jusqu'à ce qu'une armée massive de robots soit assemblée. Ce processus de croissance exponentielle et de réplication imite la nature. La nature utilise des graines qui contiennent des informations et une quantité limitée d'énergie stockée. La graine utilise ses instructions programmées pour se déployer et grandir, en utilisant l'énergie et la matière première de l'environnement environnant. La nature est capable d'assembler un organisme vivant bien plus complexe que n'importe quel monde artificiel à partir des informations codées uniquement par les quatre nucléobases qui composent l'ADN.
Le diamètre de la galaxie de la Voie lactée est d'environ 100 000 années-lumière. La civilisation humaine se répandra lentement, sautant d'un système stellaire à l'autre. Coloniser d'autres galaxies est un tout autre défi. La grande galaxie la plus proche, Andromède, est distante de 2,5 millions d'années-lumière. En supposant, encore une fois, que la vitesse de la lumière est une limite inviolable, des voyages de plus d'un million d'années sont impossibles, avec une durée de vie humaine possible. Mais une civilisation vraiment avancée et visionnaire avec des ressources suffisantes pourrait propager la vie dans tout le cosmos en envoyant des graines sur des sondes sans pilote capables de faire des voyages à travers l'espace inter-galactique durant des millions d'années. C'est la vieille théorie de la panspermie, l'idée que la vie s'est propagée dans tout le cosmos par la dissémination de matériel de semence. On ne sait pas en quoi consisterait ce matériel de semence, mais il devrait être capable de survivre pendant des millions d'années et avoir le potentiel de prendre une forme de vie lorsqu'il atteindrait un environnement approprié. La nature offre un modèle suggestif sous la forme de spores, qui peuvent rester viables pendant des dizaines de millions d'années. Il est tout à fait possible que la Terre ait déjà été ensemencée à plusieurs reprises par des civilisations extraterrestres vivant dans des parties éloignées du cosmos. Cela aiderait à expliquer l'incroyable diversité et l'abondance de la vie sur Terre, ainsi que les anomalies dans les archives fossiles telles que l'explosion cambrienne. Si l'ensemencement de la vie sur Terre semble invraisemblable, considérez que si cela ne se produisait qu'une fois tous les 100 millions d'années, cela se serait déjà produit 45 fois dans l'histoire terrestre.
Avec les humains se déplaçant vers des mondes artificiels, la planète natale peut être transformée en parc. Le travail robotique peut éliminer les imperfections laissées par l'activité humaine, creuser des décharges et remédier à tous les dommages environnementaux. Les contaminants seront retirés des océans, des lacs et des cours d'eau. Le béton et d'autres matériaux seront arrachés, décomposés en leurs éléments constitutifs et recyclés. De vastes troupeaux de bisons parcourront à nouveau les herbes des prairies du Midwest américain. L'environnement sera restauré à un état vierge, ou peut-être amélioré si notre compréhension de la science de l'écologie devient suffisamment avancée.
La spéculation précédente peut sembler fantastique, mais il s'agit simplement d'une extrapolation d'une tendance à long terme. Depuis que Homo habilis a marché pour la première fois sur Terre, il y a environ 2,3 millions d'années, l'histoire de la race humaine a été une histoire d'accélération du progrès technologique. Depuis les premiers outils de pierre, l'utilisation du feu, l'écriture et l'exploitation de sources d'énergie artificielles, nos vies sont devenues plus longues, plus riches et plus satisfaisantes. Pourtant, les êtres humains commencent à peine à réaliser leur potentiel. Nous avons des raisons d'être optimistes pour l'avenir.
(...) Le coût de l'électricité va baisser. Une énergie abondante et bon marché a des implications presque infinies pour résoudre les problèmes humains. (...)
Prenons l'exemple d'un gâteau: Plus il y a de consommateurs plus les parts sont petites. Mais pour les impôts, là c'est autre chose ! Plus il y a du monde pour payer l'addition plus la facture est élevée ! Çà alors !!
(...) Le réchauffement climatique et le climat planétaire peuvent être modulés en extrayant directement le gaz carbonique de l'air. (...)
Là, c'est le chavirement total, la connerie prend le dessus, et:
(...) L'essence deviendra une source renouvelable de stockage et d'utilisation de l'énergie. (...)
Le pétrole est ABIOTIQUE ! Ce qui veut dire qu'il est infini. Et donc non pas 'deviendra' !
La question pour l'avenir est plutôt 'Tuer ou pas faire naître ?' et non 'aller sur une autre planète !'
Nous sommes piégés dans un Truman Show réalisé par des psychopathes
Par Jim Quinn La plate-forme brûlante 3 décembre 2022
« Que la politique de la botte sur le visage puisse réellement se poursuivre indéfiniment semble douteux. Ma propre conviction est que l'oligarchie dirigeante trouvera des moyens moins ardus et moins coûteux de gouverner et de satisfaire sa soif de pouvoir, et ces moyens ressembleront à ceux que j'ai décrits dans Brave New World. Au sein de la prochaine génération, je crois que les dirigeants du monde découvriront que le conditionnement infantile et la narco-hypnose sont plus efficaces, en tant qu'instruments de gouvernement, que les clubs et les prisons, et que la soif de pouvoir peut être tout aussi complètement satisfaite en suggérant aux gens d'aimer leur servitude comme en les flagellant et en les obligeant à obéir. – Aldous Huxley – Lettre à George Orwell vers 1984 en 1949
"Il y aura, dans la prochaine génération ou à peu près, une méthode pharmacologique pour faire aimer aux gens leur servitude, et produire une dictature sans larmes, pour ainsi dire, produire une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens auront en fait leurs libertés leur seront enlevées, mais en profiteront plutôt, parce qu'ils seront distraits de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau, ou le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale » ― Aldous Huxley
Lorsque je prends du recul par rapport aux minuties et aux banalités quotidiennes qui inondent mes sens de toutes les directions et de tous les appareils médiatiques, il semble presque que je vis dans un programme de télé-réalité hautement scénarisé où les personnages et les intrigues sont conçus pour créer des passions et des réactions pour soutenir tout récit tissé par ceux qui dirigent le spectacle. Huxley a vraiment prévu l'avenir de la manière la plus claire et la plus concise possible, des décennies avant que sa vision dystopique ne se concrétise.
La vision de la botte d'Orwell sur le visage commence seulement maintenant parce que trop de penseurs critiques se sont réveillés de leur stupeur induite par la pharmacie et ont commencé à remettre en question l'intrigue de ce spectacle déguisé en notre réalité. La psychose de formation de masse infectant les masses faibles d'esprit; une propagande de masse incessante conçue pour induire en erreur, désinformer et laver le cerveau d'une population abrutie et endoctrinée par le gouvernement ; et le contrôle complet de l'histoire par la manipulation des médias, la réglementation et la censure de la vérité ; a suivi son cours. Comme Charles Mackay l'a déclaré il y a 180 ans, les masses deviennent folles comme un troupeau, mais ne reprennent leurs esprits que lentement, et une par une.
Ma reconnaissance que le monde semble être scénarisé et dirigé par des managers machiavéliques, travaillant derrière un linceul sombre, représentant une autorité gouvernementale invisible, façonnant nos esprits, suggérant nos idées, dictant nos goûts et créant la peur, a déclenché un souvenir du Jim de 1998. Film Carrey – Le Truman Show. Le film, réalisé par Peter Weir (Gallipoli, Witness, Dead Poet’s Society), avait la sensation surréaliste de Forest Gump, tout en faisant signe à l’horrible introduction de la télé-réalité (Big Brother, Survivor), qui empoisonne notre société superficielle et peu sérieuse à ce jour. L'intrigue du film se concentre sur l'individualité contre la conformité, le consumérisme, le voyeurisme, la réalité contre la manipulation, les faux récits, la vérité sur le rêve américain et les dangers de la surveillance dans une société technologiquement avancée.
Truman Burbank est la star sans méfiance de The Truman Show, une émission de télé-réalité filmée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à travers des milliers de caméras cachées et diffusée à un public mondial. Christof, le créateur de l'émission, cherche à capturer les émotions authentiques de Truman et à donner au public un homme auquel on peut s'identifier. Truman est la star sans méfiance de la série depuis sa naissance 30 ans auparavant. La ville natale de Truman, Seahaven Island, est un ensemble complet construit dans un énorme dôme, peuplé de membres d'équipage et d'acteurs qui mettent en évidence les placements de produits qui génèrent des revenus pour le spectacle. L'ensemble élaboré permet à Christof de contrôler presque tous les aspects de la vie de Truman, y compris la météo. La maison parfaite, avec une palissade et des gens en plastique, est une tentative de convaincre Truman qu'il vit le rêve américain plutôt que dans une techno-prison dystopique incontournable.
Pour empêcher Truman de découvrir sa fausse réalité, Christof fabrique des scénarios qui dissuadent le désir d'exploration de Truman, comme la "mort" de son père dans une tempête de mer pour instiller l'aquaphobie, et en diffusant et imprimant constamment des messages sur les dangers du voyage et la vertus de rester à la maison. On ne peut que reconnaître l'intrigue pour garder Truman sous contrôle, obéissant et enfermé dans son environnement contrôlé, sans trappe de sortie visible, comme exactement l'intrigue utilisée par nos seigneurs lors de l'arnaque Covid. Utiliser la peur pour réguler vos sujets est un thème familier utilisé par ceux qui contrôlent le récit et tirent les ficelles dans les coulisses de notre glorieuse démocratie de dystopie.
La première tâche était d'instiller la peur dans les masses à travers de fausses vidéos, de faux experts médicaux crachant de faux "faits", niant les masques de réalité, la distanciation sociale et le verrouillage du monde n'ont pas arrêté un virus microscopique, tout en supprimant des traitements qui étaient clairement sûrs et efficace (ivermectine, hydroxychloroquine) et forçant le remdesivir et les ventilateurs de Fauci sur les patients – assurant leur mort. La vie de Truman a été construite sur des mensonges, des tromperies et de faux récits, contrôlés par un réalisateur tyrannique organisant un spectacle pour plaire à ses patrons et maximiser les profits. Nous vivons la même réalité aujourd'hui.
Depuis mars 2020, nous sommes piégés dans une émission de téléréalité dystopique basée sur des mensonges, des tromperies et de faux récits sur un virus armé créé dans un laboratoire financé par Anthony Fauci et utilisé pour faire avancer le programme totalitaire de grande réinitialisation de Schwab, Gates et leurs semblables, tout en maximisant les profits de Pfizer, des réseaux de télévision et en remplissant les poches des politiciens, des complices et des apparatchiks prêts à vendre le peuple de notre pays pour trente pièces d'argent.
Alors que le Truman Show approchait de son 30e anniversaire, Truman a commencé à découvrir des éléments inhabituels, comme un projecteur tombant du ciel devant sa maison et une chaîne de radio qui décrivait précisément ses mouvements. Il a commencé à s'éveiller au fait qu'il n'était rien d'autre qu'une particularité piégée dans une cage et constamment dissuadé de s'échapper à chaque tournant, pour le bien du spectacle. Il vivait dans un monde de conformité scénarisé, où la remise en question de l'intrigue n'était pas autorisée, et les masses ne faisaient que jouer leur rôle.
C'est exactement ainsi qu'une dictature sans larmes utilise la technologie, les produits pharmaceutiques et la manipulation psychologique pour convaincre les masses d'aimer leur servitude. C'est l'émission de téléréalité dans laquelle nous avons vécu pendant cette dystopie de cancres de la dictature du 21e siècle. Mais ce phénomène psychologique n'est pas nouveau pour l'humanité, car Platon a décrit un ancien analogue de Truman Show au 6ème siècle avec son Allégorie de la Caverne. La nature des êtres humains n'a pas changé à travers les épreuves et les tribulations de l'histoire.
Dans l'allégorie, Platon décrit un groupe de personnes qui ont vécu enchaînées dans une grotte toute leur vie, face à un mur aveugle. Les gens regardent les ombres projetées sur le mur par des objets passant devant un feu derrière eux et donnent des noms à ces ombres. Les ombres sont la réalité des prisonniers mais ne sont pas une représentation fidèle du monde réel. Un homme éclairé est comme un prisonnier qui est libéré de la caverne et vient à comprendre que les ombres sur le mur ne sont pas la réalité.
Les détenus ignorants ne désirent pas quitter leur prison/caverne, car c'est la seule vie qu'ils connaissent, et ils craignent la réalité. Le feu et les marionnettes, utilisés pour créer des ombres, sont contrôlés par des artistes. Platon indique que le feu est aussi la doctrine politique enseignée par un État-nation. Les artistes utilisent la lumière et les ombres pour endoctriner les masses avec les doctrines dominantes de l'époque. Peu d'humains s'échappent de la grotte. La plupart des humains resteront au fond de la grotte, avec quelques petits élevés comme des artistes majeurs, pour projeter les ombres gardant les masses désorientées, confuses et craintives.
"Alors que la vérité est que l'État dans lequel les gouvernants sont le plus réticents à gouverner est toujours le meilleur et le plus tranquillement gouverné, et l'État dans lequel ils sont le plus avides, le pire." - Platon, L'Allégorie de la Caverne
"La plupart des gens ne sont pas seulement à l'aise dans leur ignorance, mais hostiles à quiconque le signale." - Platon, L'Allégorie de la Caverne
L'État est dirigé par un groupe passionné de psychopathes qui sont déterminés à détruire notre société civile et notre culture commune au nom des mondialistes qui tentent de mettre en œuvre leur programme de grande réinitialisation et de l'appliquer par la surveillance technologique, le contrôle de l'esprit par le biais de messages de propagande et une gestion stricte. du complot quotidien via les médias grand public et la censure des médias sociaux de la vérité. Comme Platon l'envisageait il y a quinze siècles, la plupart des hommes resteront dans leur caverne, croyant que les ombres présentées par leurs seigneurs sont la réalité, ne remettant jamais en question leur servitude ni ne recherchant la vérité.
Ce fait n'a jamais été aussi vrai que lors de cette émission de télé-réalité sur la pandémie covid dirigée par notre Christof - le meurtrier de masse Anthony Fauci. L'ignorance volontaire des masses a été assumée par les contrôleurs covid qui ont projeté des ombres de peur et de mort sur les murs de la grotte des figurants enfermés dans cette émission de téléréalité bien orchestrée. Utiliser un test PCR délibérément trompeur pour surestimer considérablement les «cas», payer les hôpitaux pour classer tous les décès comme covid, et faire en sorte que les professionnels de la propagande de CNN, MSNBC et Fox montrent des compteurs de décès Covid sur leurs écrans 24h / 24 et 7j / 7 pour terrifier les masses en conformité était l'émission Covid.
Une fois que le niveau de peur a atteint onze sur le cadran de contrôle, les producteurs de cette émission ont introduit l'antidote miraculeux du vaccin Big Pharma pour sauver la situation. Leur scénario était si crédible qu'ils ont réussi à convaincre plus de 5 milliards de membres de leur public captif de s'injecter une thérapie génétique non testée et non prouvée, qui ne vous a pas empêché d'attraper, de transmettre, de tomber malade, d'être hospitalisé ou de mourir du Fauci a financé le virus produit par le laboratoire de Wuhan. Mais, comme une tournure dramatique de l'histoire, il semble que le "vaccin" cause la myocardite, les caillots sanguins, l'infertilité, les fausses couches, les crises cardiaques, le cancer et la mort subite.
Nous avons permis à des hommes que nous n'avons jamais vus de dicter comment nous vivons nos vies, les choix que nous faisons et quels politiciens et «experts» croire, sans jamais faire l'effort de comprendre pourquoi nous sommes poussés à le faire. Nous sommes enfermés dans une prison auto-imposée de désirs, d'émotions et de besoins à travers les messages des médias de masse et un barrage constant de publicités. La conformité et l'obéissance sont les traits recherchés par la classe dirigeante, tandis que l'individualité et le scepticisme sont désapprouvés et punis par l'ostracisme social.
Nous sommes conditionnés dès la naissance à croire ce qu'ils nous disent de croire. L'endoctrinement de l'école gouvernementale et la désinformation des médias de masse font l'affaire. Distraits par nos techno-gadgets et ignorants de la vérité, c'est ainsi que les oligarques mondialistes mettent en œuvre méthodiquement leur programme de Grande Réinitialisation. Ils sont tellement convaincus de l'ignorance des masses qu'ils proclament ouvertement leurs projets de dépopulation et de techno-prison sans crainte de représailles ou de représailles.
La fin du Truman Show est une leçon de résistance, de persévérance et de force de l'individu, même face à un État Big Brother technologiquement avancé. Il offre un message d'espoir, quelle que soit la puissance de nos seigneurs. Le refus d'obéir ou de se conformer par un individu peut inspirer les autres à faire de même. Une fois que Truman s'est «réveillé» à son sort de rat de laboratoire dans une émission scénarisée, il a commencé à planifier son évasion. Utilisant un tunnel de fortune dans son sous-sol, hors de vue des caméras de Christof, il a disparu et a forcé la suspension de l'émission pour la première fois en trente ans.
Christof découvre Truman s'éloignant de Seahaven dans un petit bateau, alors qu'il a surmonté le faux conditionnement de peur inculqué en lui par l'homme qui l'aime soi-disant mais l'a traumatisé à propos de la mer en simulant la mort de son père en mer. Christof choisit de presque noyer Truman en créant une violente tempête pour le dissuader de découvrir la vérité. Finalement, la tempête cesse et son bateau heurte le mur du dôme.
C'est exactement ainsi que nos contrôleurs traitent les masses ignorantes. Ils nous nourrissent d'histoires conçues pour nous rendre craintifs et conformes aux exhortations de leurs experts rémunérés. Payé pour mentir. Payé pour désinformer. Payé pour persuader les gens qu'une concoction dangereuse est "sûre et efficace". La méchanceté d'utiliser des personnages de Sesame Street pour convaincre des enfants de quatre ans qu'ils ont besoin de ce breuvage toxique altérant le gène Big Pharma, même si essentiellement ZÉRO enfants sur terre sont morts de covid, témoigne de la cupidité et des impulsions malveillantes de ceux au pouvoir. De vastes quantités de revenus publicitaires en constante augmentation sont ce qui a permis à The Truman Show de rester à l'antenne pendant trente ans.
La campagne publicitaire covid ne sera jamais dépassée, car les stars d'Hollywood, les meilleurs athlètes, les écrivains célèbres, les légendes du rock, les journalistes soi-disant impartiaux et tous les grands réseaux ont dit MONTREZ-MOI L'ARGENT !!!! Tout le monde était à vendre, et tout ce qu'ils avaient à faire était de mentir et de dire que les jabs étaient "sûrs et efficaces". Le placement de produit était la formule lucrative du Truman Show, tandis que la vente acharnée d'un traitement bidon Big Pharma sur les ondes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 en utilisant l'argent des contribuables des victimes était la solution finale de la Great Reset Cabal.
La grande finale est un choc des philosophies de la réalité contre la fausse réalité, alors que Truman découvre un escalier menant à une porte de sortie. Christof parle à Truman, affirmant qu'il n'y avait pas plus de vérité dans le monde réel que dans son monde artificiel, et qu'il serait en sécurité, sans rien à craindre, dans un monde contrôlé par des hommes invisibles pour lui, lui assurant qu'ils ont ses meilleurs intérêts à cœur. . Truman choisit l'individualité, la vérité, le risque, vivre une vraie vie significative et rechercher des relations honnêtes plutôt qu'une existence sûre dans une bulle où toutes les décisions étaient prises par d'autres. Truman s'incline devant le public et sort, laissant Chistof pleurer la perte de son étoile et les revenus qu'il a générés. Les masses ignorantes qui regardent le spectacle applaudissent son évasion et demandent ensuite, "qu'est-ce qui se passe ensuite?" Platon a capturé l'incertitude et la perplexité que Truman a dû ressentir en marchant dans la lumière.
"Quiconque a du bon sens se souviendra que les égarements des yeux sont de deux sortes et proviennent de deux causes, soit en sortant de la lumière, soit en entrant dans la lumière" - Platon, L'Allégorie de la Caverne
Ce monde de plaisir dystopique manufacturé rappelle davantage le Brave New World de Huxley, où les produits pharmaceutiques et le conditionnement garderaient le public à la recherche de plaisir, préoccupé par des futilités, distrait par le matérialisme, incapable de penser de manière critique et réduit à la passivité et à l'égoïsme par le contrôle de messagerie par leurs contrôleurs. Notre État totalitaire efficace a pris le contrôle total en convainquant les masses d'aimer leur servitude et de demander plus de règles, de restrictions et de réduction des libertés au nom de la sûreté et de la sécurité.
Les téléphones intelligents, les villes intelligentes et les rues intelligentes ne sont rien de plus qu'un code pour vous espionner et vous contrôler. Truman a finalement compris que sa liberté était à lui de choisir et non à Christof de donner. Il y a une petite minorité d'Américains qui réalisent la même chose après deux ans de mesures totalitaires conçues pour nous enlever nos libertés et notre liberté. La question est de savoir s'il y aura assez de sortie de ce spectacle produit par le gouvernement tyrannique pour faire la différence. L'avenir de l'humanité dépend littéralement de la réponse à cette question.
"Les libertés ne sont pas données, elles sont prises." -Aldous Huxley
"Un État totalitaire vraiment efficace serait celui dans lequel l'exécutif tout-puissant des patrons politiques et leur armée de gestionnaires contrôlent une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints, car ils aiment leur servitude." -Aldous Huxley, Brave New World
Tout comme ceux qui contrôlaient le Truman Show ne le faisaient pas pour le bénéfice de Truman, mais pour son enrichissement, ceux qui contrôlaient les ficelles de marionnettes de notre société actuelle ne s'intéressaient pas à notre santé au cours des deux dernières années, à notre bien-être financier, à notre bien-être psychologique -être, ou le fonctionnement rationnel pacifique de notre civilisation. Ils n'ont aucun intérêt à sécuriser notre frontière, à réduire la criminalité, à organiser des élections équitables, à promouvoir des solutions pacifiques aux conflits mondiaux ou à permettre à la vérité d'atteindre les masses. Leur programme a été et continue d'être la destruction de notre société civilisée, l'effacement de nos règles et normes fondamentales, le dépeuplement de la planète, la confiscation de nos richesses et, finalement, notre asservissement par des chaînes et des chaînes technologiques.
Comme Huxley l'a noté il y a des décennies, la technologie vient de fournir à notre civilisation un moyen plus efficace de revenir en arrière. La technologie est utilisée par nos contrôleurs pour surveiller nos mouvements, nos communications et pour nous surveiller, nous distraire et nous amuser à mort. Ce n'est plus une force pour le bien, mais un moyen de nous contrôler. Ils prévoient d'utiliser la technologie pour désarmer leurs citoyens par le biais de réglementations de plus en plus autoritaires, vendues comme nous protégeant des tireurs de masse.
Leur programme climatique ne concerne pas le climat, mais le contrôle total des masses. Lorsque le gouvernement et ses chiens d'attaque sur les réseaux sociaux surveillent les citoyens à la recherche de "discours de haine et de désinformation" et distribuent des représailles à leur guise, notre système est profondément brisé et extrêmement déformé. Ils sont censés nous répondre. Mais ces mégalomanes ont un programme bien plus vaste.
Nous avons perdu tout sens de la réalité, de la raison et de la vérité dans un monde profondément anormal, créé par ceux que nous avons autorisés à accéder au pouvoir grâce au contrôle et à l'influence de milliardaires mondialistes obscurs opérant comme un gouvernement invisible, avec des apparatchiks de l'État profond faisant le sale travailler. Schwab, Gates, Soros, le Forum économique mondial et quiconque se cache dans l'ombre derrière ces psychopathes, ont l'intention de contrôler le monde entier et de voler toutes les richesses parce qu'ils croient qu'ils sont plus intelligents, plus impitoyables et savent ce qui est le mieux pour les humbles paysans. polluant leur planète de terrain de jeu satanique.
Ils savent que les faits peuvent être ignorés lorsqu'ils ont conditionné les masses à être délibérément ignorantes. Ils savent qu'ils peuvent mentir sans implications, mais encore plus puissants, ils peuvent garder le silence sur la vérité par la censure, la suppression et l'annulation des diseurs de vérité. L'adaptation des masses à cette société anormale, créée par des hommes pervers en quête de pouvoir, est une forme de maladie mentale - ou comme l'a documenté Mattias Desmet dans son livre The Psychology of Totalitarianism - Mass Formation Psychosis.
« Les vraies victimes désespérées de la maladie mentale se trouvent parmi celles qui semblent les plus normales. Beaucoup d'entre eux sont normaux parce qu'ils sont si bien adaptés à notre mode d'existence, parce que leur voix humaine a été réduite au silence si tôt dans leur vie qu'ils ne luttent même pas, ne souffrent pas ou ne développent pas de symptômes comme le font les névrosés. Ils ne sont pas normaux dans ce qu'on pourrait appeler le sens absolu du mot ; elles ne sont normales que par rapport à une société profondément anormale. Leur adaptation parfaite à cette société anormale est une mesure de leur maladie mentale. Ces millions de gens anormalement normaux, vivant sans chichi dans une société à laquelle, s'ils étaient des êtres humains à part entière, ils ne devraient pas être adaptés. ― Aldous Huxley, Brave New World Revisited
Je sais que je ne m'adapterai ou ne m'ajusterai jamais à cette société anormale. Nous ne pouvons certainement pas changer un système aussi soigneusement truqué et contrôlé (par exemple, les élections de 2022 en Arizona et l'élection présidentielle de 2020), par des moyens traditionnels. Ceux qui contrôlent peuvent facilement acheter nos politiciens, scientifiques, médecins, universitaires, personnalités de la télévision et journalistes pour tisser la toile de leur choix, permettant ainsi leur méprisable programme anti-humain de déviance. La seule solution viable est la solution individuelle consistant à s'éloigner de ce monde bidon comme Truman.
La révolution armée est un non-démarrage, car les oligarques ont beaucoup plus de puissance de feu et les dissidents sont désorganisés et dispersés. Une forme de «démocratie irlandaise» où une résistance obstinée silencieuse, marquée par le retrait de la société, la belligérance envers l'autorité et le non-respect des diktats du gouvernement par des millions de gens ordinaires accomplirait bien plus que des émeutes et une révolution armée. Des millions de personnes ont déjà pratiqué une forme de démocratie irlandaise en ne se masquant pas, en ne prenant pas de distance sociale, en ne se faisant pas piquer et en prenant le contrôle de leurs propres décisions en matière de santé.
Ils ont presque scellé la trappe de sortie dans ce paradis dystopique de plaisir et de douleur. Ils savent que leurs techniques de contrôle par la peur fonctionnent comme un charme. Leur dernière tâche pour obtenir un contrôle total est la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC), où tout ce que nous achetons et vendons est suivi numériquement, de sorte que les taxes peuvent être prélevées, votre vie suivie et si vous choisissez de vous opposer aux directives gouvernementales, votre capacité à utiliser Les CBDC seront désactivées. Nous micro-pucer est le prochain à l'ordre du jour.
Nous devons réduire notre empreinte fiscale et numérique dès maintenant. Cela peut sembler sans espoir d'aller se battre contre cette vermine vile et vindicative, mais la solution est de ne pas jouer. Beaucoup se sont déjà éloignés du monde moderne, s'installant à la campagne - agriculture, ferme, troc et ne donnant à César que le strict minimum. Ils ont choisi une vie difficile, mais beaucoup plus épanouissante.
Plus il y a de gens qui se dissocient de leur faux monde, plus ils s'affaiblissent. Au fur et à mesure que leur emprise sur nos vies s'affaiblit, ils se déchaînent. C'est pourquoi il est important d'être armé. La confrontation armée directe avec les forces de l'establishment est insensée, mais les tactiques de guérilla sur terre, vous le savez, commenceraient à saper le moral des voyous de la police payés envoyés pour faire respecter leurs diktats. La bête n'est pas aussi forte qu'elle le montre. Il est fauché et son empire de la dette s'effondre.
Si des millions de personnes sortent par la porte de sortie, la bête commencera à mourir de faim et finira par mourir. Peut-être qu'une nouvelle société moins complexe, plus petite, plus communautaire pourrait naître de ses cendres. Créez une tribu avec des personnes partageant les mêmes idées et ayant des compétences différentes, si possible. Il y a de l'espoir si suffisamment de patriotes décident de reprendre leurs esprits et de s'éloigner de cette société anormale, laissant nos Christofs totalitaires se vautrer dans leur incapacité à contrôler les véritables éveillés.
"Ne laissez pas le héros de votre âme paroissiale, dans une frustration solitaire, pour la vie que vous méritiez mais que vous n'avez jamais pu atteindre. Vérifiez votre route et la nature de votre bataille. Le monde que vous avez désiré peut être gagné. Cela existe, c'est réel, c'est possible, c'est à vous. ― Ayn Rand, Atlas haussa les épaules
Reprinted with permission from The Burning Platform.
Si nous prenons l'exemple de l'Afrique/Asie où les enfants aussi jeunes que 5 ou 6 ans sont frappés à la canne jusqu'au sang s'ils ne connaissent pas ou ne savent pas réciter par cœur le coran !! Cela en fait des idiots attardés-écartés du modernisme et de ses nouvelles découvertes. Et ces mêmes victimes de flagellations feront elles-mêmes à l'âge adulte les mêmes tortures sur leurs enfants ! Lorsque l'on voit cela on comprend cela que des enfants enfermés dans des moules auront la forme du moule. C'est ce que tentent d'appliquer au monde les dictateurs-psychopathes en place comme 'chefs de l’État' ou tirant les ficelles de derrière le rideau. Regardez les animaux, sitôt leur âge adulte atteint ils quittent le foyer et vivent en indépendance pour se nourrir et se cacher pour dormir.
L'une des choses les plus étonnantes à propos du réveil est leur seuil d'ennui élevé. Ils semblent avoir les mêmes pensées sur les mêmes sujets, exprimées dans la même langue, toute leur vie éveillée. Ils ne se fatiguent jamais et ne baissent jamais leur vigilance. Ils regardent Raphaël ou Botticelli et ne voient que l'injustice sociale. Ce sont de terribles ennuyeux.
L'explication de leur persistance, qui ressemble à celle des mouches sur un cadavre, c'est que la vérité, qui n'a pour elles aucun intérêt, n'est pas leur objet, mais le pouvoir, le point de mire des yeux de toute médiocrité ambitieuse. Pour changer un peu la métaphore, les fous se sont emparés de l'asile ou, dans le cas des musées, les philistins.
La dernière victime du philistinisme éveillé est une exposition intitulée Medicine Man au Wellcome Institute of London, qui a fermé définitivement pour des raisons que je suis sûr que le lecteur peut fournir par lui-même - sexisme, racisme, capacitisme, effacement des marginalisés, bla, bla, blabla. Sir Henry Wellcome est réprimandé pour avoir été un homme blanc riche et puissant à une époque de colonialisme : réprimandé malgré le fait qu'il ait lancé l'une des plus grandes fondations de recherche médicale au monde et aussi la plus grande bibliothèque d'histoire médicale au monde.
"De plus en plus, les gardiens des trésors culturels ont tendance à détester ce qu'ils sont censés préserver." Medicine Man était une sélection éclectique de la vaste collection d'objets de Sir Henry du monde entier qui avaient un lien avec la pratique de la médecine. Parfois, ce lien était plutôt ténu : par exemple la brosse à dents de Napoléon, qui a vraisemblablement tenu ses caries dentaires à distance. Il y avait des bocaux d'apothicaires; d'anciens exercices de trépanation crânienne d'une grande élégance et beauté, même si l'on tremble d'imaginer ce que devait être une trépanation au XVIIe siècle ; des portraits (par exemple du docteur gallois à moitié fou, druide et pionnier de la crémation, le Dr William Price) ; et des membres artificiels.
On imagine pourtant les arguments que les curateurs philistins du Wellcome Institute allaient avancer pour exiger la fermeture de la galerie. La galerie exploite des fous hospitalisés contre leur gré ; et leur œuvre, étrange même quand elle est belle, est exposée sans leur permission pour s'adresser à la condescendance, à la pudeur ou à la salacité du public ; certaines des images de la collection Prinzhorn ont été exposées en 1938 dans la période nazie notoire à Munich de «l'art dégénéré»; de nombreux artistes dont le travail est exposé ont été tués dans le programme nazi d'extermination des malades mentaux ; et le Dr Prinzhorn lui-même aurait été un sympathisant nazi, bien qu'il n'ait pas vécu assez longtemps pour commettre l'un des crimes nazis. Néanmoins, son œuvre est entachée par l'usage qui en a été fait. Et n'oublions pas qu'il venait d'un milieu où le nazisme était répandu.
Il y a donc de nombreuses bonnes raisons, selon le réveillé, pour que la galerie soit complètement fermée et que les œuvres qu'elle contient ne soient plus jamais exposées au regard des curieux paresseux. La collection Prinzhorn, à la base, n'est pas meilleure que l'exposition payante des fous de Bedlam. Tels seraient les arguments des conservateurs du Wellcome Institute.
De plus en plus, les gardiens des trésors culturels ont tendance à détester ce qu'ils sont censés préserver. De nombreux bibliothécaires, par exemple, détestent les livres et ont hâte de les remplacer par de beaux terminaux informatiques propres. Quand ils ne peuvent pas les détruire complètement, ils adorent les défigurer.
Nous avons été consternés (à juste titre) lorsque les talibans ont fait exploser les statues de Bouddha à Bamiyan et que l'EI a détruit Palmyre, mais nous avons nos propres talibans, les éveillés, désireux de connaître les joies de la destruction au nom du bien absolu - tel qu'il est défini par eux-mêmes.
Theodore Dalrymple’s latest book is Ramses: A Memoir, published by New English Review.
Depuis toujours les œuvres ou découvertes de savants ingénieux ont subi la désinvolture de quelques merdias d'époque mettant un terme ou écartant les récits fabulistes et sciences-fiction de peintures en leurs temps. Ils censuraient, répondaient aux termes d'exigibilités des dictateurs de l'époque. Si les découvreurs scientifiques ont fait leur temps les psychopathes eux ont transmis leurs trisomies au monde d'après.
C'est ainsi que ce 'monde du futur' vue par les observateurs intelligents des autres siècles n'ont vu leurs mémoires honorées par leurs descendants.
Du monde arrêté nous sommes passés au monde en marche (parfois dans l'indifférence !). Là était la diffusion d'informations au service de la modernité des transports. Du cheval qui tirait la charrette on est passé au cheval-vapeur, puis au téléphone et l'Internet d'aujourd'hui. Les nouvelles s'accumulaient, se répandaient, envahissaient la Terre entière ! La dictature était submergée. Quoi de neuf après les guerres qui n'empêchaient pas la prolifération que d'inventer l'attaque extraterrestre de poussières maléfiques - que dis-je - mortelles et répandatrices de mort en tous continents !
Le virus minéral s'en prenait aux rocs indestructibles ! La seringue assassine s'en prenait le relai ! La mort s'en prenait à la vie. "Sauvez vous ! Disparaissez !"
La dictature des experts - Pourquoi il faut se méfier des experts
3 décembre 2022 du Dr. médical Gérard Reuther
Pour la plupart des citoyens allemands, les experts viennent après Dieu. Quand les spécialistes font les honneurs, les gestes d'humilité sont inévitables. Les politiciens tirent presque exclusivement la légitimité de leurs décisions de consultations d'experts. Pourquoi devrait-on moins faire confiance aux "experts" qu'à soi-même ?
L'appréciation irrationnelle des experts a longtemps changé notre société. Non seulement les politiciens, mais aussi les juges ont depuis longtemps cessé de vouloir se passer des « experts ». Des jugements sont régulièrement retranchés derrière des appréciations d'experts dès lors qu'ils ont été nommés par le tribunal. Mais qui sont ces « experts » qui apparaissent de plus en plus souvent eux-mêmes pour apporter au public leurs prétendues connaissances ?
"Expert" n'est ni un signe de qualité ni une qualification correctement acquise. N'importe qui peut être un expert s'il restreint suffisamment son champ de vision et connaît quelqu'un qui le désigne comme une autorité. Il n'y a pas besoin de publications scientifiques ou d'évaluations dont l'exactitude est démontrable. Le journaliste, qui ne sait qu'épeler le terrorisme, siège en studio en tant qu'"expert du terrorisme", tout comme un virologue qui doit réviser ses déclarations quotidiennes le lendemain et ne peut plus penser clairement en raison de dépendances financières. Une correspondance entre la réussite d'un « expert » et l'intérêt général ne doit en aucun cas être présumée.
"Experts" ne partagent que la racine du mot avec expertise. Experiri (latin) ne signifie rien de plus que "essayer, essayer" et en aucun cas "avoir gagné". Plus importante que l'expertise et les compétences professionnelles est la volonté de mettre son cerveau au service d'un client. Personne n'est plus dépendant qu'un "expert".
En termes de biologie des systèmes, les "experts" sont une espèce hautement adaptée qui assure la survie dans des niches hostiles grâce à des capacités très particulières. Tout fait peut devenir une proie, car naturellement peu de nourriture peut être trouvée dans une zone étroitement définie. Cependant, les êtres hautement spécialisés sont des impasses de l'évolution. L'existence d'un "expert" est tout aussi précaire que celle d'un panda : il ne survivra pas plus à un environnement sans bambou qu'un "expert" ne survivra à ses besoins réels.
Les « experts » peuvent être soumis à un chantage en conséquence. Sans le petit terrain de jeu, qui doit souvent être acheté et entretenu avec l'argent des contribuables, leur existence est en jeu. Personne n'est plus disposé à être à la merci de son besoin de reconnaissance ou de ses intérêts commerciaux. Personne ne peut être acheté plus facilement par les lobbyistes. Les spécialistes, qui souffrent chroniquement d'un manque de soleil, feront presque n'importe quoi pour entretenir le terrain de jeu, l'un ou l'autre titre, fonds de recherche ou célébrités médiatiques. Nombres de reproduction estimés, scénarios de catastrophe fantasmés et tours de passe-passe statistiques du nombre d'infectés, causes de décès et effets protecteurs inclus. De nos jours, bien sûr, uniquement avec l'auréole de la "science". Cependant, il ne faut jamais tirer une pertinence pratique concrète de ces connaissances détaillées. Vous ne devriez jamais vous fier à l'opinion d'un expert pour quitter votre maison et vous asseoir sur un banc de parc.
Il faut donc se méfier des "experts". Avec leurs services commandés, ils détruisent le système de contrôle mutuel entre collègues et le consensus de base de la base de preuves. L'écrivain policier John le John le Carré (né en 1931) a averti il y a une génération que « si le monde sera détruit, ce ne sera pas par les fous, mais par la raison de leurs experts (…) Ce sont des geôliers. (...) Si nous sommes torturés, les experts le feront. Si nous sommes pendus, les experts nous pendront.
Comme s'il fallait une confirmation de cette évaluation, aujourd'hui des "experts" de la Fondation Gates ou de la Deutsche Forschungsgemeinschaftii non transparente et partiale nous livrent au couteau pour peu d'argent. Cependant, cela n'est possible que parce que, selon l'estimation de nombreuses personnes, les connaissances spécialisées comptent plus que leurs propres perceptions et leur bon sens. Cependant, nous devons notre survie antérieure dans l'évolution à cette dernière et non à aucune connaissance particulière. Ce n'est pas l'identification des micro-organismes au microscope, mais l'exercice à l'air frais et une alimentation saine en quantité suffisante nous ont amenés là où nous en sommes. Nous ne sommes ni donnés ni assignés. Nous devons nous battre pour cela !
iLe Carré J : La Maison Russie. page 197 ; scribes; New York-Londres-Toronto-Sydney 1989
ii Reuss R, Rieble V : La science libre est menacée. Frankfurter Allgemeine Zeitung du 18 octobre 2011
Le prix élevé de l’énergie pourrait tuer plus d’Européens que les combats en Ukraine
Par Marc Vandepitte Mondialisation.ca, 02 décembre 2022 De Wereld Morgen
C’est gênant : les sanctions économiques résultant de l’invasion de l’Ukraine touchent davantage l’Europe que la Russie. Or, une étude récente de The Economist montre qu’en raison du prix élevé de l’énergie, le nombre de décès supplémentaires en Europe au cours de l’hiver prochain pourrait dépasser le nombre de soldats tués au combat jusqu’à présent en Ukraine. De quoi réfléchir.
Avant la guerre, la Russie fournissait environ 40 % de la consommation totale de gaz de l’Union européenne. En réaction à la guerre et pour réduire leur dépendance à l’égard du gaz russe, l’Ukraine et la Pologne ont coupé certains pipelines acheminant du gaz de la Russie vers l’Europe occidentale.
Les pays, tels que la Finlande, la Bulgarie et la Pologne, qui n’étaient pas disposés à payer leur gaz en roubles ont été déconnectés par la Russie. En outre, les opérations nécessaires pour maintenir l’important gazoduc Nord Stream I à pleine capacité ont également été compromises.
La forte réduction de l’offre de gaz, qui ne peut pour l’instant être entièrement compensée par d’autres importations, a fait grimper en flèche les prix du gaz et, indirectement, ceux de l’électricité en Europe.
Entre-temps, en raison de l’automne très doux et du fait que l’Europe a stocké de grandes quantités de gaz, les prix du marché ont chuté par rapport au pic de l’été. Malgré tout, le prix moyen du gaz aujourd’hui est presque deux fois et demie supérieur à celui de la période 2000-2019. Pour l’électricité, c’est presque le double.
Et maintenant, l’hiver arrive à grands pas. C’est un phénomène bien connu : à cause du froid, plus de personnes meurent en hiver qu’en été. En Europe et aux États-Unis, cela représente environ 20 % de plus en moyenne.
Dans le passé, les prix de l’énergie n’avaient pas ou peu d’impact sur cette surmortalité, car les fluctuations étaient très faibles. Mais aujourd’hui, les augmentations de coûts sont remarquablement importantes, si bien que l’on s’attend à un impact beaucoup plus grand.
Pour calculer cet impact, The Economist a développé un modèle statistique. Outre le prix de l’énergie, trois autres facteurs sont à l’origine du nombre de décès supplémentaires : le plus important est la rigueur de l’hiver, à laquelle s’ajoutent la gravité de la saison de la grippe (qui est en partie déterminée par le froid) et, enfin, l’allocation que les gouvernements accordent aux familles pour absorber la hausse des prix.
Les prix élevés de l’énergie peuvent exacerber l’effet des basses températures sur les décès s’ils découragent les gens d’utiliser le chauffage et augmentent ainsi leur exposition au froid. Dans une large mesure, il en va de même pour le soutien apporté par les gouvernements aux ménages pour faire face au choc énergétique.
Selon l’étude de The Economist, la « conclusion difficile » est que l’impact « se révélera très puissant » et que le nombre de morts « pourrait être supérieur au nombre de soldats morts au combat jusqu’à présent en Ukraine. »
Si les prix de l’énergie restent à leur niveau actuel, environ 147.000 personnes de plus mourraient en Europe par rapport à un hiver où les prix seraient « normaux ». Cette projection vaut pour des températures hivernales normales. Avec des températures plus douces, en supposant l’hiver le plus chaud des 20 dernières années pour chaque pays, ce chiffre de surmortalité supplémentaire tombe à 79.000. Avec un hiver rigoureux, soit l’hiver le plus froid enregistré depuis 2000 pour chaque pays, le chiffre passe à 185.000 décès.
On estime qu’environ 25.000 à 30.000 militaires sont morts dans la guerre des deux côtés et que 6.500 autres civils ukrainiens sont morts. Au total, c’est donc moins que dans le meilleur scénario du modèle de The Economist.
L’hebdomadaire note que l’effet peut varier considérablement d’un pays à l’autre. Dans les pays qui ont fixé des plafonds sur les prix maximums ou une facture maximum, il n’y aura pratiquement pas de décès supplémentaires. Le taux de mortalité pourra même baisser. C’est le cas de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Espagne et de l’Autriche, entre autres.
Des décès beaucoup plus importants sont prévus dans les pays où le soutien gouvernemental est (pour l’instant) faible, comme l’Italie, l’Estonie et la Finlande. The Economist ne mentionne pas explicitement la Belgique. En matière de soutien gouvernemental, notre pays se situe quelque part entre les deux extrêmes.
À long terme, les sanctions contre Poutine affaibliront très certainement l’économie russe. Mais jusqu’à présent, ce n’est pas du tout le cas. Les recettes attendues des exportations énergétiques russes cette année seront supérieures d’un tiers à celles de l’année dernière.
Ce sont principalement les pays européens qui se tirent une balle dans le pied avec ces sanctions. Des données récentes montrent que le taux d’activité (indicateur d’activité courante) de la Russie est plus élevé que dans les autres grands pays européens.
En raison des prix élevés de l’énergie, de nombreuses entreprises pourraient être amenées à fermer leurs portes ou à se délocaliser vers d’autres régions où les coûts énergétiques sont moins élevés. En outre, pour lutter contre l’inflation, elle-même principalement due aux prix élevés de l’énergie, nous nous dirigeons presque certainement vers une véritable récession en Europe.
Ainsi, outre l’autoflagellation économique, le bilan des vies humaines en Europe sera particulièrement lourd. Il est maintenant temps de réfléchir sérieusement au sens, ou plutôt au non-sens, des sanctions économiques.
Marc Vandepitte Source originale: De Wereld Morgen
Jean-Marc Jancovici, favorable à un système communiste pour lutter contre le réchauffement climatique
01 décembre 2022 - 16:15
Limiter la température à 19° C, le nombre de vols par avion à 4 par an, la vitesse sur les autoroutes à 110 km/h... Pour Jean-Marc Jancovici, la lutte contre le réchauffement climatique doit impliquer des “actions concrètes”, quitte à restreindre certaines libertés individuelles. Dans ce cadre, l'ingénieur et conférencier se dit favorable à l'instauration d'un système communiste.
Invité du Grand entretien de France Inter le jeudi 24 novembre 2022, ce professeur à l'École des Mines, fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 et président du think tank The Shift Project, estime que “l'objectif de rester sous 1.5° est mort”, affirmant que le déclin de la production des énergies conventionnelles “servira la lutte contre le réchauffement climatique, par la force des choses”.
Jean-Marc Jancovici estime que le déclin de la production des énergies conventionnelles, à l’image du pétrole, sonne la fin de la récréation énergétique. “Aujourd’hui, un problème reste très mal défini, c’est Pick Oil, c’est-à-dire l’approvisionnement en pétrole, et en gaz, dans son approche géologique et non pas climatique, qui est beaucoup plus abordé par les médias”, explique-t-il.
Le professeur rappelle qu’en 2018, l’agence internationale de l’énergie a annoncé “que la production mondiale de pétrole conventionnel a dépassé son maximum en 2018 et depuis, c’est le déclin terminal. C’est irrémédiable”, dit-il.
Jean-Marc Jancovici a ainsi expliqué que cette baisse de production des énergies fossiles, qui constitue, selon les animateurs du Grand entretien, un “échec de la COP 27” qui s’est déroulée en Egypte, doit entraîner des “actions concrètes”. Et certaines de ses propositions ne manquent surtout pas de susciter la polémique et alimenter les craintes de voir les libertés individuelles être compromises au nom de la lutte contre le réchauffement climatique.
“4 vols par an et limitation de la température à 19° c"
L’invité de cette émission rebondit d’abord, à titre d’exemples, sur les déclarations de la Première ministre, Elisabeth Borne, sur la stratégie du gouvernement en matière de politique énergétique. “Les bons mots sont là mais les bons actes ne le sont pas nécessairement. Je vous donne un exemple de sobriété, qui ne porte pas sur une consommation essentielle de pétrole dans ce pays. C’est la limitation de vitesse à 110 km/h sur l’autoroute. C’est une mesure de sobriété, à laquelle la majorité de la population est désormais favorable”, dit-il.
M. Jancovici évoque le débat en vigueur, celui de la température dans les logements. “Depuis le choc pétrolier, nous avons une obligation réglementaire de limiter la température à 19° c. Vous avez énormément de bâtiments dans lequel ce n’est pas le cas. Il ne faut pas que cela reste un mot. Il faut parler d’actions concrètes”, a-t-il plaidé.
Interrogé ensuite par un auditeur, l’invité de France Inter fait des déclarations qui suscitent la polémique. “Je suis favorable, dit-il, à un système communiste : riche ou pauvre, vous auriez droit, dans toute votre vie, à 3 à 4 vols par avion, dont 2, dans votre jeunesse”.
Pour justifier sa déclaration, il déclare que “l’avion représente aujourd’hui 8% du pétrole mondial”. Ce moyen de transport “est né avec le pétrole et mourra avec le pétrole. Il n y a pas de solution technique à l’échelle pour conserver les quelques milliards de passagers aériens qu’on a par an (...) je suis désolé de le dire, mais (Les étrangers qui prennent l’avion plusieurs fois par an pour voir leurs familles, NDLR) les verront moins”.
Jean-Marc Jancovici justifie le nombre de “4 ou 5” par le problème de devoir gérer le prix ou par les quantités. Celui basé sur les quantités est plus efficace que celui géré par les prix, dit-il. Il ajoute: “Une personne qui prend l’avion pour aller se mettre dans un hôtel dans une autre ville, ou qu’elle se mette dans un voyage organisé ou dans un village de vacances, la découverte d’une autre civilisation (suggérée par l’animatrice, NDLR) est un terme exagéré”.
Le fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 justifie également son opinion par le fait que “le recours à des énergies renouvelables nécessite des décennies d’anticipation”. "Le grand n’importe quoi dans les médias et dans le politique porte désormais sur solutions au problème. On entend beaucoup de bruits sur l’avion à hydrogène qui va sauver l’aviation commerciale, la voiture électrique qui va permettre d’avoir 1.2 milliard de véhicules particuliers dans le monde... Beaucoup d'informations sont reprises sans mise en perspective, donnant l’illusion que le problème sera très facile à mettre sous contrôle”, affirme-t-il.
La guerre en Ukraine “sert” la lutte contre le réchauffement climatique
“Le pic de la production de pétrole conventionnel était en 2008 et celui des autres types, c’était possible que c’était en 2018. On va devoir faire avec moins. On a tellement perdu de temps, à ne pas comprendre qu’on allait devoir faire avec moins, qu’on est surpris, on répond dans le désordre”, poursuit Jean-Marc Jancovici.
“Cela se gère avec des décennies d’anticipation (...) On est passé de 2 à 40 millions de véhicules particuliers entre 1945 et aujourd’hui. On ne va pas changer cela en une semaine… On n’arrive pas à raisonner sur les bons horizons de temps”, regrette-t-il.
L’invité du Grand entretien de France Inter dément ainsi les mots d’Elisabeth Borne selon qui “la transition énergétique va de pair avec la croissance et la création d’emplois”. “C’est un mythe. Elisabeth Borne fait un métier qui consiste à dire, comme tout politique, que tout est son contrôle. Quand on regarde ce qui a fait la croissance économique ces 2 derniers siècles, c’est les machines, donc l’énergie”.
Interrogé également sur la guerre en Ukraine et son impact sur l’approvisionnement en gaz en Europe et, de ce fait, la relance de la production de charbon, Jean-Marc Jancovici estime que “cela va servir la cause". "Par la force des choses, si on manque de gaz et de pétrole, on émet moins de gaz carbonique... L’approvisionnement est limité par la géologie. C’est évident que les émissions de gaz carbonique ne peuvent pas croître indéfiniment (...) La seule question est, qu’est-ce qui les fera baisser, un jour ? Notre volonté, ou des événements externes, comme une guerre, une pandémie, un effondrement économique .. ?”, s’interroge-t-il.
Il estime que Vladimir Poutine “ne fait qu’accélérer l’Histoire”. “On expérimente, malheureusement, la seconde possibilité, à savoir les événements extérieurs”.
À propos de cette volonté de réduire les émissions de gaz carbonique, ce professeur estime que les COP ne seraient pas efficaces sans les efforts nationaux des États : "Le fonctionnement d’une COP fait qu’on ne peut pas contraindre, de l’extérieur, des pays qui ne voudraient pas de l’intérieur, avancer sur le sujet”.
À ce propos, il conclut que l’objectif de passer sous les 1.5° est “mort”. “Probablement, sauf une comète, une nouvelle peste ou une guerre thermonucléaire. Aujourd’hui, le réchauffement planétaire est de l’ordre de 0.2° par décennie, même dans un scénario comme celui prévu par l’Accord de Paris, on franchirait les 1.5° avant 2050. On nous fait franchir transitoirement le seuil avant que cela ne redescende. L'objectif étant de rester sous 1.5° est mort”.
La déclaration de Jean-Marc Jancovici sur son “système communiste” et le nombre de vols a provoqué une polémique. Sur les réseaux sociaux, certains alertent contre un “totalitarisme écolo-communiste en marche”. Pour l'économiste Philippe Herlin, cette déclaration constitue un "aveu" : "Voilà à quoi sert la lutte contre le soi-disant "réchauffement climatique anthropique", je le dis depuis longtemps : instaurer le communisme", a-t-il dénoncé. D'autres internautes ont à l'inverse salué l'intervention d'"un invité qui réveille les neurones, les consciences."
Des craintes alimentées également par les mesures prises à travers le monde. Pour réduire l’empreinte carbone, plusieurs pays, à l’image du Canada ou de l’Australie ont déjà franchi des pas importants. Des banques affichent, par exemple, à leurs clients, leur quota carbone.
En France, l'instauration d'un “pass carbone”, outil qui accorderait aux citoyens un “quota” de gaz carbonique à ne pas dépasser pour les achats, a été présenté sur BFM TV comme “une des clés du succès face au changement climatique”.
Notez bien que comme des présidents ou ministres ou autres propres-à-rien du WEF certains 'professeurs' (professeur à l'École des Mines, fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 et président du think tank The Shift Project) n'en savent pas plus qu'un nouveau-né trisomique ! Pas savoir que c'est LE MAGMA qui règle le chauffage et non-pas ce qui en bénéficient, là faut être LE ROI DES CONS !
Parler du gaz carbonique comme étant un élément calorifique frise la démence et discutailler sur le pétrole ABIOTIQUE qui aurait une fin est criminogène.
L’État profond : le mythe le plus bête de notre temps
L’État profond est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué.
le 2 décembre 2022 Pascal Avot
Il appartient aux historiens de remonter le cours de l’idée d’État profond jusqu’à ses origines. Tel n’est pas l’objet de cet article. Ce dont nous allons parler ici, c’est de cette idée proprement dite, en l’observant sous l’angle de sa définition, de la vison du monde qu’elle propose, des attitudes mentales qu’elle fait naître, et de ses perspectives d’avenir.
Qu’est-ce que l’État profond, si l’on suit ceux qui croient en son existence ? C’est un pouvoir politique plus puissant que les institutions, les partis et les médias, qui les domine et les manipule tous. Quelle est la nature de ce pouvoir ? Elle est secrète, mensongère, cynique et cupide. Quel est son objectif ? L’établissement d’un système totalitaire incritiquable – soit national, soit international.
Quoi d’autre ? Rien. Ou plutôt : c’est tout. Car une des particularités de l’État profond est l’extraordinaire pauvreté de sa définition. Cette pauvreté nourrit son mystère : si l’on peine à cerner l’État profond, c’est parce que l’État profond refuse d’être cerné.
L’État profond est structurellement énigmatique. Il ne peut exister que derrière un camouflage. Il se cache de sa naissance à sa mort. Il ne révélera jamais son vrai visage. Il n’est ni Macron, ni Biden, mais les hommes derrière eux. Et qui sont ces hommes ? Soros ? Schwab ? Rothschild ? Ce serait trop simple ! Le concept d’État profond est tel une poupée russe infinie : il y a toujours un marionnettiste invisible au-dessus du marionnettiste visible. L’État profond recule à mesure qu’avance l’enquêteur. Pure influence, il est également pure lâcheté.
Comment fonctionne-t-il ? Il organise la soumission progressive de l’humanité à un ordre à la fois financier, juridique, politique, médiatique, psychologique, numérique, sanitaire, qui empêche toute contradiction, annule toute rébellion, empêche toute révolution et anéantit toute libération. Comment parvient-il à établir cette tyrannie sans limites et indestructible ? En se faisant passer pour la démocratie, pour la modernité et pour le marché. Au lieu de bloquer les oppositions, ils les absorbe, les phagocyte, les canalise et les dévitalise. S’il nous est encore possible de dénoncer l’État profond, c’est parce que l’État profond le veut bien, et il encourage cette dénonciation pour l’épuiser.
Les dictatures classiques est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué.sont bêtes : elles commettent l’erreur fatale de frapper leurs adversaires. L’État profond n’a pas cette naïveté. Il finance ses ennemis pour les tenir. Il corrompt ce qui le combat. Il épouse les mouvements qui l’attaquent. Il est la subversion étatique parvenue à son point de perfection. Cet article de Contrepoints n’est alors, peut-être, qu’une pièce de plus dans le puzzle global de l’État profond.
Un pouvoir de l’État exagéré
L’État profond profite de tout. Les fruits de la misère comme ceux de la prospérité aboutissent sur ses comptes offshore. Que les bourses soient à la hausse ou à la baisse, il gagne. Il est l’alpha et l’oméga du capitalisme contemporain, l’inspirateur de l’hyper-libéralisme, le chef d’orchestre de la jungle. Les pauvres sont ses proies, les riches ses obligés, les fonctionnaires ses automates, les grands patrons ses gardes du corps. Il est le poison qui innerve toute crise économique : la sève de l’injustice.
Il lave vos cerveaux matin, midi et soir. Son hypnose est absolue. La publicité, le cinéma, les médias, les réseaux sociaux, la consommation, les addictions, les marques et leurs logos, la pornographie, la drogue, sont ses pendules. Vous n’échapperez pas à la vidange patiente et méthodique de vos neurones. Et n’allez pas vous plaindre, car l’État profond veut vous rendre heureux. Tellement béats, jouisseurs et satisfaits que vous acceptez de devenir des zombies, détails insignifiants, pixels sur l’écran géant de l’étatisme profond.
Et si d’aventure vous esquissez un pas de côté par rapport à ses prévisions, l’État profond vous fera peur. Peur de la guerre, peur des virus, peur de la misère, peur de l’anarchie, peu importe : vous courrez vous réfugier sous son aile protectrice. Il vous angoisse pour vous rendre docile. Redoutez la terre entière ! Laissez-vous atomiser et disparaissez dans le trou noir de l’État profond.
Le portrait ainsi dressé de cette hydre inouïe est-il grossier, caricatural, subjectif ? Non. C’est le concept même d’État profond qui est imbécile. Notre description semble le peindre sous un jour grotesque, mais il n’en a pas d’autre : il n’existe pas de définition décente, raisonnable, intelligente, de l’État profond. Le sérieux de ce mythe repose sur le fait que l’on s’interdise formellement de le regarder en face – et moins on le regarde en face, plus on peut prétendre qu’il se dérobe.
Croire en l’existence d’un complot planétaire juif, ou LGBT, ou franc-maçon, c’est exagérer de manière démesurée la cohésion, l’habileté et la puissance d’une communauté, d’un parti, d’une association ou d’un État. Avec l’État profond, rien de tel : on parle ici d’un ennemi sans organigramme, sans QG, sans statuts, sans colonne vertébrale ni peau, sans substance et sans forme. Si bien que la croyance en l’existence de l’État profond n’est pas un simple conspirationnisme parmi d’autres, mais le conspirationnisme qui les englobe et les supplante tous.
L’État profond transcende le complot. Il est tellement partout qu’il n’est plus nulle part. Sa nature est métaphysique. Seuls les éclairés, les initiés, les illuminés, sont capables de sentir sa présence. En d’autres termes : le concept d’État profond est une machine à fabriquer des paranoïaques. Et il se trouve que la paranoïa est contagieuse : c’est une « folie partagée », comme disent les psychiatres. Il y a une dimension communicative de la croyance en l’État profond, qui explique son étonnant succès.
Les faux prophètes
Se persuader que l’État profond est une réalité rend bête, malheureux et dangereux. Bête parce que la complexité du monde disparaît instantanément : l’individu, la liberté, l’intériorité, la différence, l’imprévisibilité, ne comptent plus. Malheureux parce que le monde où règne l’État profond est humainement horrible, émotionnellement abject, spirituellement désespérant : une extinction programmée de l’âme. Et dangereux parce qu’un individu écervelé et sans espoir constitue un péril pour son environnement, s’il associe sa rage à celles de millions de ses semblables.
L’État profond est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué. Ne nous y trompons pas. Il est primitif et aveugle, complètement inculte : il est à la réflexion politique ce que l’analphabétisme est à la lecture. Il ne mérite aucun égard, aucun attendrissement, aucune complicité. Quand Klaus Schwab prétend remodeler l’univers, riez aux éclats, car nul n’y est jamais parvenu et n’y parviendra jamais.
Les fantasmes de Schwab n’ont pas plus de fondements que les plans quinquennaux de Staline. L’inventeur du Great Reset échouera de manière aussi pitoyable que ses prédécesseurs. Big Brother est le personnage du plus grand récit de toute l’histoire de la littérature politique, mais la vie, quoi qu’en dise Guillaume Musso, n’est pas un roman.
Bien sûr, les tentatives concrètes existent. Au XXe siècle, en Russie, a existé un État profond : le Parti communiste, qui décidait de tout : l’État, le vrai, officiellement aux commandes n’était qu’un décor cyclopéen. L’immense château de cartes a fini par s’effondrer et son architecte idéologique ne lui a pas survécu.
Certes, il existe des menteurs, des manipulateurs, des machiavéliques, des désinformateurs, des intrigants de toutes sortes et même d’authentiques comploteurs, qui ont leurs réseaux. Parfois même, ils écrivent un petit peu l’Histoire. Attali laisse entendre aux candides qu’il a fabriqué Mitterrand et Macron. Hélas pour lui, les manipulations de salon ne durent qu’un temps – jusqu’à ce que le concret les balaye d’un revers de main, avec tous ceux qui les ont cru éternelles.
On peut parier que, dans deux ou trois ans maximum, plus personne ne parlera de l’État profond, ni du Great Reset, ni de Schwab. La folie partagée aura déniché un nouveau monstre sous son lit.
« Si tu vois, dans le pays, le pauvre opprimé et le droit et la justice violés, ne t’en étonne pas, car le puissant est dominé par un plus puissant, et ceux-là le sont par de plus puissants encore. » Le Livre de l’Ecclésiaste
Quand un élève entre dans une de ces 'grandes écoles' on lui demande en premier de faire le vide dans sa tête. "Çà y est ?... Maintenant tu peut être président !"
Coupures, délestages de courant : comment s’y préparer ?
Par Jean-Baptiste Giraud le 2 décembre 2022 à 21h54
Avec un budget de 400 euros, on peut faire face sereinement aux coupures de courant
Plus la menace de coupures de courant (appelée sobrement délestages) s’approche, plus l’on découvre à quel point nous sommes dépendants de l’électricité pour tout. Dernière découverte en date, le risque de voir les réseaux mobiles tomber, en cas de coupure de courant. Et ce n’est pas la seule conséquence, la liste est longue ! En revanche, vous pouvez vous préparer, afin de rendre les coupures de courant les moins pénibles possibles grâce à quelques conseils. Voici comment. Coupure délestage de courant : la priorité, s'éclairer
La première conséquence des coupures-délestages de courant, c’est tout simplement de vous priver... d’éclairage. Les bougies ont bon dos ! Leur côté romantique ou romanesque ne tiendra pas longtemps face à la médiocrité de la lumière qu’elles procurent, face à leur durée de vie somme toute limitée, et face aux risques d’incendies qui en accompagnent l’usage. On a vite oublié que ce sont les bougies et les chandelles utilisées pour s’éclairer qui ont été de tout temps la principale cause d’incendie en Occident, emportant des villes entières (et une partie de leurs habitants) dans des torrents de flammes !
Il est donc capital d’anticiper les conséquences d’une coupure-délestage de courant sur l’éclairage domestique. Soyons clairs : non, la lampe torche, la lampe de camping électrique, ne sont PAS des solutions pérennes ou agréables. C’est du dépannage ponctuel, pas une solution viable pour affronter des jours, voire, des semaines de défaillance du réseau électrique le matin et le soir s’il fait froid en France !
Risque de coupure de courant : remplacez vos ampoules par des LED
Avec les ampoules LED basse consommation, il est parfaitement possible aujourd’hui d’éclairer correctement et même normalement la pièce à vivre, le temps que la coupure passe, et si nécessaire, la cuisine et une chambre à coucher. Pour cela, il suffit tout simplement de choisir de passer sur onduleur informatique un lampadaire suffisamment puissant dans sa pièce à vivre. Vous vous assurerez que ce lampadaire n’est pas équipé d’une ampoule halogène, ni non plus d’une ampoule à incandescence classique, mais bel et bien d’ampoules LED.
Pour faire face aux délestages coupures de courant, l’idéal est de disposer d’un lampadaire équipé de trois ou quatre ampoules LED. La somme d’énergie consommée (sur une base de 5 watts par ampoule) est infime, pour une puissance d’éclairage (exprimée en lumens) pleinement satisfaisante. Quatre ampoules de 5 watts chacune dégagent au total environ 2000 lumens, ce qui est parfaitement suffisant pour éclairer confortablement plusieurs personnes situées à proximité du lampadaire.
Un onduleur informatique tout ce qu’il y a de plus classique (à partir de 360 watts), vendu autour de 50 à 70 euros sur Internet ou dans un magasin spécialisé, vous procurera sans difficulté trois heures de lumière. Exactement comme si le lampadaire était branché sur le réseau électrique « normal » !
Cette opération peut-être répété dans une chambre à coucher, pour alimenter des lampes de chevet. Cependant, il faudra alors prendre soin de choisir un onduleur sur lequel le signal sonore de coupure du réseau est désactivable. Sinon, l’onduleur émettra un petit bip toutes les 30 secondes, jusqu’au retour du réseau électrique... Pénible. Pour ma part, j’ai placé l’onduleur dans une autre pièce que la pièce à vivre. Ses bips deviennent alors inaudibles.
A la cuisine, les éclairages 12 volts sont banals, parfait en cas de coupure de courant Quant à la cuisine, si l’on veut pouvoir s’y rendre pendant une coupure-délestage de courant, je conseille de se servir des éclairages 12 volts qui y sont très largement déployés, souvent, sous les placards. Si vous avez installé vous-même ces éclairages 12 volts, vous savez les débrancher du transformateur 220 volts. Il suffit alors d’y relier une simple petite batterie, par exemple une batterie de scooter ou d’unappareil électrique quelconque pourvu qu’elle soit 12 volts, sur ces spots.
Il vous en coûtera une vingtaine d’euros, et cela vous fournira au moins une bonne heure de lumière ! Largement de quoi préparer fouiller dans ses placards et préparer de quoi grignoter. Si vous n’avez pas installé vous-même ces éclairages 12 volts, sachez qu’il est vraiment très facile de les alimenter en direct. C’est sans aucun risque pour vous puisque c’est de la basse tension ! Pensez simplement à débrancher le transformateur du secteur (220 volts avant de procéder à un essai d’alimentation en direct. C’est du bricolage de niveau classe de Seconde.
Réfrigérateur, congélateur et coupure de courant : que faire ?
La deuxième priorité, en cas de délestage-coupure de courant, c’est de sécuriser les aliments stockés au frais, dans son réfrigérateur et dans son congélateur. Comment éviter qu’ils ne s’abîment ? La réponse est on ne peut plus simple, et évidente à la fois. Il suffit de ne PAS ouvrir le réfrigérateur ou le congélateur pendant la coupure de courant !
Ces appareils sont en effet suffisamment isolés pour conserver une température optimale de conservation plusieurs heures, sans alimentation électrique. Pourvu qu’ils restent fermés.. Et pour cela, il faut donc avoir anticipé la coupure-délestage de courant. Cela signifie que l’on va sortir de son réfrigérateur les aliments que l’on prévoit de consommer avant que le courant ne soit coupé. Vous pouvez les garder dans des tupperware ou boîtes en plastique, avant, et après. Ils retourneront au réfrigérateur, pour ce qu’il en reste, une fois le courant revenu !
Coupure de courant : gardez le réfrigérateur fermé Pour les aliments que vous sortirez du congélateur, il faudra évidemment également anticiper, et les sortir quelques heures avant de les consommer (et ne pas les y remettre après, ils iront au réfrigérateur). Mais il faut aussi anticiper la cuisson ou le réchauffage, le cas échéant ! Si vous disposez d’une gazinière, pas de problème évidemment. Si vous êtes équipé de plaques électriques, ou même seulement d’un four électrique, il vous faudra cuire votre repas en avance ! Et ne comptez pas sur le micro-ondes pour réchauffer à la va-vite...
Pour garder au chaud des aliments, de nombreuses solutions existent. Couvrir une tarte chaude avec un plat est déjà bien. Utiliser un plat thermos est évidemment beaucoup plus efficace. Au passage, n’oubliez pas aussi de chauffer de l’eau (sauf si vous avez une gazinière), et de mettre cette eau dans un Thermos. Un bon thé ou une tisane, en attendant le retour du courant, seront toujours bienvenus !
Loisirs : que faire pendant que le courant est coupé ?
Vous avez éclairé une ou plusieurs pièces de votre appartement ou de votre maison, vous avez fait ce qu’il faut pour pouvoir vous nourrir et manger (et boire chaud) en attendant le retour de courant. Nous parlerons du chauffage plus bas. Mais que faire en attendant que le courant ne revienne ?
La première réponse est évidemment : lire ! Profiter du fait que les écrans sont indisponibles est une excellente occasion pour avancer le ou les livres ou les magazines qui s’empilent à moitié « consommés » au pied du lit ou sur la table basse du salon ! La deuxième réponse, tout aussi satisfaisante, est : jouer. C’est le moment de sortir les boîtes de jeux de société qui prennent la poussière, et de redécouvrir les soirées animées en famille ou entre amis !
Mais si la plaisanterie des coupures de courant continue et dure, ce qui, soyons clairs, a de fortes chances, ou plutôt de forts risques d’arriver, vous serez peut-être content de... regarder un bon film. Problème numéro 1 : oubliez les plateformes de type Netflix, Amazon Prime Video ou Disney+. Si le courant est coupé, Internet a de fortes chances, ou plutôt, risques, d’être indisponible ! Si vous regardez des plateformes sur ordinateur, tablette ou smartphone, pensez donc à télécharger des contenus à l’avance.
Stockés en local, ils pourront être lus, même si vous n’avez plus de réseau, pourvu que vous ayez encore de la batterie dans votre périphérique. Pour le coup, les batteries auxiliaires pour smartphones ou tablettes coûtent trois fois rien, il est temps de vous équiper ! Si vous avez un ordinateur portable, pensez à le maintenir chargé à 100 % avant les coupures... Vous connaissez l’autonomie de fonctionnement de tout ces appareils, elle est plus que suffisante pour s’enfiler des séries ou des grands films en attendant le retour du courant électrique.
On peut regarder la télévision, même en cas de coupure de courant
Maintenant, vous voulez... profiter de votre grande télévision, ou de votre vidéo-projecteur. Et vous avez bien raison car, c’est parfaitement faisable, pour un coût minimum. Pour cela, vous pouvez acheter une batterie automobile (12 volts), de préférence un modèle recommandé pour « camping-car ». On trouve de grosses batteries de ce type, chez Bosch, par exemple, pour une centaine d’euros.
L’intérêt de choisir une batterie « spécial camping-car », c’est qu’elles sont conçues justement pour fournir du courant, moteur du véhicule arrêté, pendant plusieurs heures, le soir, au bivouac. Elles sont dites à « décharge lente ». Comptez environ 100 euros ou un peu plus pour une telle batterie, garantie pour... 800 à 1000 cycles de charge / décharge. De quoi tenir plusieurs hivers avec des pannes de courant intermittentes !
Ajoutez 30 à 50 euros pour un onduleur (convertisseur) 12/220 volts, de 300 à 500 watts de puissance. Cet onduleur va vous permettre d’alimenter votre télévision ou votre vidéo projecteur en cas de délestage-coupure de courant, mais aussi le lecteur de DVD Blu Ray, et même le système hi-fi, pendant plusieurs heures ! Personnellement, j’ai branché une immense télévision 170 cm pendant 3h30 sur une batterie de ce type avec un onduleur 500 watts acheté 36 euros. A la fin de l’expérience, la batterie affichait encore une tension de 11,1 volts. Or, on considère que c’est en dessous de 9 volts qu’une batterie commence à se dégrader. Les onduleurs convertisseurs offrent tous par ailleurs des ports USB, permettant de recharger en parallèle tablettes et smartphones. Ils ont tous deux, ou trois sorties 220 volts, permettant donc de brancher télévision, lecteur DVD / Blu Ray, et système Hi-Fi.
En cas de coupure de courant, comment se chauffer ?
Enfin, le dernier point à régler et anticiper en cas de coupure de courant qui dure et se répète régulièrement, c’est le chauffage. D’abord, soyons logiques. Si les coupures sont annoncées le soir, entre 18h00 et 22h00, et le matin de 8h00 à 13h00 (ce qui commence à faire long), il suffit d’être prévoyant : décalez vos thermostats en fonction de ces paramètres ! Le matin, demandez à votre chaudière, ou à vos chauffages individuels, de monter en température à partir de 6h00 du matin et plus 7 ou 8h00. Le soir, demandez leur de remonter la température de la maison ou de l’appartement à partir de 16h00 et non plus 18h00.
Maintenant, si vous voulez pouvoir chauffer la pièce à vivre pendant la durée des coupures-délestages de courant, il n’y a pas à faire de gros investissement. Un chauffage individuel au gaz coûte entre 100 et 150 euros, et la bouteille à connecter, une trentaine d’euros, plus la consigne (remboursable). Et une bouteille de gaz, utilisée raisonnablement pour se chauffer pendant les coupures de courant, tiens... deux à trois mois ! Autrement dit, assurer le confort de toute la famille, dans la pièce à vivre, éclairée, avec de quoi lire, jouer, et même, regarder un film en attendant le retour du courant, vous coûtera au total moins de 400 euros.
La perspective de voir notre pays tomber si bas, obligé de couper le courant à des millions d’habitants simultanément pour sauver le réseau électrique du black-out, n’est pas réjouissante du tout. Il est toutefois rassurant de savoir qu’en prenant quelques dispositions simples, en anticipant, on peut adoucir, et même, rendre amusant, cet épisode peu glorieux. Peu glorieux pour ceux qui nous gouvernent, et sont censés en théorie avoir une vision à long terme sur tous les sujets de souveraineté... Et l’indépendance énergétique en est une.
Il n'y aura pas d'asymptomatiques ! Quand il fait noir c'est noir (ou 'Noir c'est noir' comme disait Johnny). Quand il fait froid c'est froid ! Et quand c'est la dictature c'est la mort.
La Suisse envisage d'interdire les véhicules électriques pour éviter les pannes d'électricité
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 02 DÉCEMBRE 2022 - 19:45 Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
La Suisse pourrait limiter l'utilisation des véhicules électriques (VE) en cas de pénurie d'électricité cet hiver dans le cadre d'un nouveau plan en quatre étapes pour prévenir les coupures et les pannes d'électricité.
Pour assurer la sécurité énergétique cet hiver, la Suisse pourrait devenir le premier pays à limiter la conduite et l'utilisation des véhicules électriques, rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, citant plusieurs articles de presse sur le plan d'action suisse en quatre étapes pour éviter les pannes d'électricité.
La conduite de véhicules électriques pourrait être interdite en Suisse, sauf en cas de «déplacements absolument nécessaires» dans la troisième étape des plans d'économie d'énergie. Le pays prévoit également une limite de vitesse plus stricte sur les autoroutes dans le plan d'action récemment proposé, qui n'a pas encore été adopté.
La Suisse importe généralement de l'électricité de France et d'Allemagne pour répondre à toute sa demande d'électricité, mais cette année, l'approvisionnement de ses voisins est limité.
En France, la disponibilité du parc nucléaire est beaucoup plus faible que d'habitude, ce qui a conduit le pays à devenir un importateur net d'électricité après des décennies d'exportation nette. Le réseau électrique français présente un risque plus élevé de tensions sur les approvisionnements en janvier 2023 qu'estimé précédemment en raison de la baisse de la production d'électricité nucléaire. Le pays pourrait faire face au risque de coupures de courant cet hiver lorsque l'approvisionnement en électricité pourrait ne pas suffire à répondre à la demande, a déclaré Xavier Piechaczyk, le responsable de l'opérateur de réseau RTE, plus tôt cette semaine.
En Allemagne, la situation est similaire, car les services publics doivent se contenter de l'absence d'approvisionnement en gaz par gazoduc russe.
L'approvisionnement en électricité de la Suisse reste incertain pour l'hiver et des problèmes avec une capacité électrique suffisante ne peuvent être exclus, a déclaré la Commission fédérale de l'électricité, Elcom, dès juin. En raison de la moindre disponibilité attendue de la production d'électricité nucléaire française et des exportations d'électricité de la France vers la Suisse, les importations suisses d'électricité produite en France devraient être beaucoup plus faibles cet hiver par rapport aux saisons hivernales précédentes, a déclaré Elcom.
Par conséquent, la Suisse pourrait devoir couvrir ses besoins d'importation d'électricité d'environ 4 gigawattheures (GWh) à partir d'importations en provenance de ses autres voisins, l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie. Cependant, la disponibilité des exportations d'électricité de ces pays dépendrait fortement des combustibles fossiles disponibles, principalement du gaz naturel, selon l'Elcom.
Nous nous acheminons vers une tyrannie alimentaire mondiale
le 2 décembre 2022
Remarques liminaires de votre serviteur. Le titre de ce billet est alternatif à celui de l’article ci-dessous de F. William Engdahl initialement paru sur le site New Eastern Outlook (lien en fin de billet) et traduit par le Saker francophone pour Réseau International. Je reproduis l’intégralité de cet article en français. Il est opportun de rappeler ici les récents incendies qui ont ravagé les élevages intensifs d’animaux dans de nombreux pays européens ainsi qu’en Amérique du Nord. Ces évènements ont été classés parmi les faits divers mais ils avaient un but précis : fragiliser les circuits de production de protéines animales (volaille, porc, bovins, poisson d’élevage) dans les pays occidentaux, afin que les consommateurs se familiarisent avec des linéaires de supermarché vides, la première manifestation du véritable complot ourdi par leurs auteurs dénoncés dans l’article ci-dessous. Non satisfaits par l’augmentation décevante de la mortalité et la réduction tout aussi décevante des naissances qui devait être une conséquence directe et souhaitée des injections massives d’ARN messager pratiquées dans ces mêmes pays occidentaux (commercialisés dans l’urgence dans le cadre d’une autorisation temporaire de mise sur le marché), les auteurs de ce complot s’attaquent maintenant à la disponibilité en nourriture qui va inexorablement diminuer et se raréfier au cours des prochaines années. Il apparaît urgent que les pays comme la Chine, l’Inde, la Russie ou encore le Brésil prennent les mesures adéquates pour contrer ce complot occidental. J’ajouterai enfin que ce complot est adossé au mythe, au dogme, de l’effet néfaste du gaz carbonique sur le climat.
Les critères ESG auxquels sont soumis les grands organismes financiers sont la face cachée de ce projet de famine organisée qui va enfin permettre une diminution satisfaisante de la population. Pourtant le gaz carbonique est la source de toute vie halieutique, animale et végétale sur Terre. Ces organisations bien décidées à décimer la population mondiale sont donc bien des organisations complotistes au sens littéral du terme.
Guerre contre l’agriculture mondiale : L’Agenda 2030 « durable » non-durable des Nations unies
par F. William Engdahl
Au cours des dernières semaines, un assaut coordonné contre notre agriculture – la capacité de produire la nourriture nécessaire à l’existence humaine – a commencé. La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
Le 13 novembre, le G20 – représentants des 20 nations les plus influentes, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne (bien qu’il ne s’agisse pas d’une nation), l’Allemagne, l’Italie, la France, le Japon, la Corée du Sud et plusieurs pays en développement, dont la Chine, l’Inde, l’Indonésie et le Brésil – a adopté une déclaration finale.
Le premier point majeur est un « appel à une transformation accélérée vers des systèmes agricoles et alimentaires et des chaînes d’approvisionnement durables et résilients». En outre, « travailler ensemble pour produire et distribuer des aliments de manière durable, veiller à ce que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l’adaptation au changement climatique et à son atténuation, et arrêter et inverser la perte de biodiversité, diversifier les sources d’alimentation… » Ils ont également appelé à un «commerce agricole inclusif, prévisible et non discriminatoire, fondé sur les règles de l’OMC ». De même, « Nous sommes déterminés à soutenir l’adoption de pratiques et de technologies innovantes, notamment l’innovation numérique dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, afin d’améliorer la productivité et la durabilité en harmonie avec la nature… » Vient ensuite la déclaration révélatrice : «Nous réitérons notre engagement à atteindre l’objectif mondial de zéro émission nette de gaz à effet de serre/neutralité carbone vers le milieu du siècle » ( https://www.consilium.europa.eu/media/60201/2022-11-16-g20-declaration-data.pdf. ).
« Agriculture durable » avec « zéro émission nette de gaz à effet de serre » est un double langage orwellien. Pour un étranger à la linguistique de l’ONU, ces mots sonnent trop bien. Ce qui est en fait promu, c’est la destruction la plus radicale de l’agriculture et de l’élevage au niveau mondial sous le nom d’« agriculture durable ». Quelques jours seulement après la conférence du G20 à Bali s’est tenue en Égypte la réunion annuelle du Sommet climatique de l’Agenda vert des Nations unies COP27. Là, les participants de la plupart des pays des Nations unies, ainsi que des ONG telles que Greenpeace et des centaines d’autres ONG vertes, ont rédigé un deuxième appel. La COP27 a lancé quelque chose qu’ils appellent de manière révélatrice FAST – la nouvelle initiative de l’ONU sur l’alimentation et l’agriculture pour une transformation durable (FAST). Fast, comme dans « s’abstenir de manger… ». Selon Forbes, l’initiative FAST favorisera une « transition vers des régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat, et contribuera à réduire les coûts liés à la santé et au changement climatique d’un montant pouvant atteindre 1,3 billion de dollars, tout en soutenant la sécurité alimentaire face au changement climatique ». Nous parlons de gros chiffres. La transition vers des « régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat » permettrait de réduire le coût du changement climatique de 1,3 billion de dollars (https://www.theburningplatform.com/2022/11/13/lab-grown-meat-nuclear-yeast-vats-cop27-reignites-the-war-on-food/ ). Que se passe-t-il réellement derrière tous ces mots ?
Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est adressée à Reuters lors de la COP27, la FAO lancera d’ici un an un plan directeur « de référence » pour la réduction des gaz à effet de serre issus de l’agriculture. L’impulsion de cette guerre contre l’agriculture vient, sans surprise, des grandes fortunes, de l’Initiative FAIRR, une coalition de gestionnaires d’investissements internationaux basée au Royaume-Uni qui se concentre sur «les risques et opportunités ESG matériels causés par la production animale intensive ». Parmi leurs membres figurent les acteurs les plus influents de la finance mondiale, notamment BlackRock, JP Morgan Asset Management, l’allemand Allianz AG, Swiss Re, la banque HSBC, Fidelity Investments, Edmond de Rothschild Asset Management, Credit Suisse, Rockefeller Asset Management, la banque UBS et de nombreuses autres banques et fonds de pension, avec un total d’actifs sous gestion de 25000 milliards de dollars (https://www.fairr.org/about-fairr/network-members/page/14/ ). Ils ouvrent maintenant la guerre à l’agriculture comme ils l’ont fait pour l’énergie. Le directeur adjoint de la FAO chargé des politiques relatives au changement climatique, Zitouni Ould-Dada, a déclaré lors de la COP27 : « Jamais auparavant l’alimentation et l’agriculture n’avaient fait l’objet d’autant d’attention. Cette COP est définitivement la bonne » ( https://www.reuters.com/business/cop/cop27-un-food-agency-plan-farming-emissions-launch-by-next-year-after-investor-2022-11-10/ ).
La FAIRR affirme, sans preuve, que « la production alimentaire représente environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constitue la principale menace pour 86% des espèces en voie d’extinction dans le monde, tandis que l’élevage de bétail est responsable des trois quarts de la disparition de la forêt amazonienne ». La FAO prévoit de proposer une réduction drastique de la production mondiale de bétail, en particulier des bovins, qui, selon FAIRR, sont responsables de « près d’un tiers des émissions mondiales de méthane liées à l’activité humaine, libérées sous forme de rots de bovins, de fumier et de cultures fourragères ». Pour eux, la meilleure façon de mettre fin aux rots et au fumier de vache est d’éliminer le bétail.
Une agriculture durable non viable
Le fait que la FAO des Nations unies soit sur le point de publier une feuille de route visant à réduire de manière drastique les soi-disant gaz à effet de serre émis par l’agriculture mondiale, sous le prétexte fallacieux d’une « agriculture durable », sous l’impulsion des plus grands gestionnaires de fortune du monde, dont BlackRock, JP Morgan, AXA et d’autres, en dit long sur le véritable programme. Ces institutions financières sont parmi les plus corrompues de la planète. Elles ne mettent jamais un centime là où elles ne sont pas assurées de faire d’énormes bénéfices. La guerre contre l’agriculture est leur prochaine cible.
Le terme « durable » a été créé par le Malthusian Club of Rome de David Rockefeller. Dans leur rapport de 1974, « L’humanité au tournant », le Club de Rome a fait valoir :
« Les nations ne peuvent pas être interdépendantes sans que chacune d’entre elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins reconnaisse des limites à celle-ci. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial (https://web.archive.org/web/20080316192242/http:/www.wiseupjournal.com/?p=154 )».
Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 des Nations unies, de l’Agenda 2030 et de la grande réinitialisation de Davos en 2020. En 2015, les nations membres de l’ONU ont adopté ce que l’on appelle les Objectifs de développement durable ou ODD : 17 objectifs pour transformer notre monde.
L’objectif 2 est « Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition et promouvoir une agriculture durable ».
Mais si nous lisons en détail les propositions de la COP27, du G20 et du WEF de Davos de Klaus Schwab, nous découvrons ce que signifient ces belles paroles. Aujourd’hui, nous sommes inondés d’affirmations, non vérifiées, par de nombreux modèles de groupes de réflexion financés par des gouvernements ou par le secteur privé, selon lesquelles nos systèmes agricoles sont une cause majeure du réchauffement climatique. Pas seulement le gaz carbonique, mais aussi le méthane et l’azote. Pourtant, tout l’argument des gaz à effet de serre, selon lequel notre planète est au bord d’un désastre irréversible si nous ne changeons pas radicalement nos émissions d’ici 2030, est une absurdité invérifiable provenant de modèles informatiques opaques. Sur la base de ces modèles, l'IPCC des Nations unies insiste sur le fait que si nous n’empêchons pas une augmentation de la température mondiale de 1,5 °C par rapport au niveau de 1850, la fin du monde est imminente d’ici 2050.
La guerre ne fait que commencer
Les Nations unies et le WEF de Davos se sont associés en 2019 pour faire progresser conjointement l’Agenda 2030 des Nations unies en matière de développement durable. Sur le site web du WEF, il est ouvertement admis que cela signifie se débarrasser des sources de protéines carnées, introduire la promotion de la fausse viande non éprouvée, préconiser des protéines alternatives telles que les fourmis salées ou les grillons ou vers moulus pour remplacer le poulet ou le bœuf ou l’agneau. Lors de la COP27, la discussion a porté sur «les régimes alimentaires qui peuvent rester dans les limites de la planète, notamment en réduisant la consommation de viande, en développant des alternatives et en encourageant le passage à davantage de plantes, de cultures et de céréales indigènes (réduisant ainsi la dépendance actuelle vis-à-vis du blé, du maïs, du riz et des pommes de terre (https://cop27.eg/assets/files/days/COP27%20FOOD%20SECURITY-DOC-01-EGY-10-22-EN.pdf ) ».
Le WEF encourage le passage d’un régime alimentaire à base de protéines de viande à un régime végétalien, en faisant valoir qu’il serait plus «durable » (https://www.weforum.org/agenda/2022/10/vegan-plant-based-diets-sustainable-food/ ). Il promeut également des alternatives de viande de laboratoire ou à base de plantes, comme les Impossible Burgers financés par Bill Gates, dont les propres tests de la FDA indiquent qu’ils sont probablement cancérigènes car ils sont produits avec du soja OGM et d’autres produits saturés de glyphosate. La PDG d’Air Protein, une autre entreprise de fausse viande, Lisa Lyons, est une conseillère spéciale du WEF. Le WEF promeut également les protéines d’insectes comme alternatives à la viande. Notez également qu’Al Gore est un administrateur du WEF (https://www.weforum.org/podcasts/house-on-fire/episodes/have-we-reached-the-end-of-meat ).
La guerre contre l’élevage d’animaux pour la viande devient de plus en plus sérieuse. Le gouvernement des Pays-Bas, dont le Premier ministre Mark Rutte, anciennement d’Unilever, est un contributeur à l’agenda du WEF, a créé un ministre spécial pour l’environnement et l’azote, Christianne van der Wal. En s’appuyant sur des lignes directrices de protection de la nature Natura 2000 de l’UE, jamais invoquées et dépassées, conçues prétendument pour « protéger la mousse et le trèfle » et basées sur des données d’essai frauduleuses, le gouvernement vient d’annoncer qu’il va fermer de force 2500 exploitations bovines à travers la Hollande. Leur objectif est de forcer 30 % des exploitations bovines à fermer ou à être expropriées.
En Allemagne, l’Association allemande de l’industrie de la viande (VDF) affirme que dans les quatre à six prochains mois, l’Allemagne sera confrontée à une pénurie de viande et que les prix monteront en flèche. Hubert Kelliger, membre du conseil d’administration de la VDF, a déclaré : « Dans quatre, cinq ou six mois, nous aurons des manques sur les étagères ». Le porc devrait connaître les pires pénuries. Les problèmes d’approvisionnement en viande sont dus à l’insistance de Berlin à réduire de 50% le nombre de têtes de bétail afin de réduire les émissions liées au réchauffement climatique ( https://hotair.com/jazz-shaw/2022/11/21/germany-cutting-back-meat-production-to-fight-global-warming-n512518 ). Au Canada, le gouvernement Trudeau, autre produit du WEF de Davos, selon le Financial Post du 27 juillet, prévoit de réduire les émissions des engrais de 30 % d’ici à 2030 dans le cadre d’un plan visant à atteindre le zéro émission dans les trois prochaines décennies. Mais les producteurs disent que pour y parvenir, ils devront peut-être réduire considérablement leur production de céréales.
Lorsque le président autocratique du Sri Lanka a interdit toute importation d’engrais azotés en avril 2021 dans un effort brutal pour revenir à un passé d’agriculture « durable », les récoltes se sont effondrées en sept mois et la famine, la ruine des agriculteurs et les manifestations de masse l’ont contraint à fuir le pays. Il a ordonné que l’ensemble du pays passe immédiatement à l’agriculture biologique, mais n’a fourni aucune formation de ce type aux agriculteurs.
Si l’on ajoute à cela la décision politique catastrophique de l’UE d’interdire le gaz naturel russe utilisé pour fabriquer des engrais azotés, ce qui entraîne la fermeture d’usines d’engrais dans toute l’UE, et qui provoquera une réduction mondiale des rendements agricoles, ainsi que la fausse vague de grippe aviaire qui ordonne à tort aux agriculteurs d’Amérique du Nord et de l’UE de tuer des dizaines de millions de poulets et de dindes, pour ne citer que quelques cas supplémentaires, il apparaît clairement que notre monde est confronté à une crise alimentaire sans précédent. Tout ça pour le changement climatique ?
Des milliers de fermes néerlandaises risquent la fermeture forcée pour se conformer aux nouvelles règles environnementales de l'UE
jeudi 01 décembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) L'Union européenne (UE) contrôlée par les mondialistes exige que les États-nations membres, y compris les Pays-Bas, arrêtent l'agriculture afin de se conformer aux règles environnementales fondées sur le canular connu sous le nom de "changement climatique".
Quelque 3 000 fermes situées dans des zones "écologiquement sensibles" aux Pays-Bas sont désormais sur le point d'être saisies et fermées, nous dit-on - c'est en hausse par rapport aux 600 fermes qui avaient été annoncées en octobre comme cibles d'élimination en raison de la "pollution" par l'azote.
Après un été de manifestations d'agriculteurs qui ont vu des tracteurs sillonner le paysage néerlandais en signe d'opposition à l'agenda "vert" de l'UE, le gouvernement néerlandais continue d'aller de l'avant avec des plans visant à réduire les émissions d'azote dans le pays d'au moins 50 % d'ici le année 2030.
La ministre de l'azote, Christianne van der Wal, a récemment annoncé que le gouvernement néerlandais procéderait à un "achat obligatoire" des plus grandes fermes émettrices d'azote du pays. Les agriculteurs propriétaires de la terre se verraient proposer des offres "bien supérieures" à la valeur réelle de leurs propriétés.
Van der Wal a ajouté dans un communiqué qu'"il n'y a pas de meilleure offre à venir" que celles que son gouvernement envisage de proposer. En d'autres termes, les agriculteurs peuvent soit accepter l'accord et obtenir quelque chose, soit le rejeter et éventuellement recevoir très peu ou rien tout en perdant leurs moyens de subsistance.
La guerre des Pays-Bas contre les agriculteurs fait partie du même programme ESG poussé en Amérique, prévient un expert La fin de partie de ce démantèlement de l'agriculture néerlandaise s'inscrit dans un plan mondialiste d'émissions de carbone "net zéro", qui vise à éliminer le carbone, un élément naturel nécessaire à la vie, des quatre coins de la planète.
Avec cela viendra un dépeuplement massif, bien sûr, car le carbone et l'azote sont des éléments de base de la vie. Le mondialisme, par essence, est anti-vie, et il cherche à voler, tuer et détruire tout ce qui est naturel et bon.
"La guerre des Pays-Bas contre les agriculteurs pour qu'ils poursuivent leur programme ESG (environnemental, social et de gouvernance) est un avertissement sévère", déclare Will Hild, directeur exécutif du groupe Consumers' Research.
«Les Américains devraient être vigilants contre les efforts des gouvernements et des grandes entreprises de Wall Street comme BlackRock qui poussent ces mêmes objectifs dangereux d'émissions de carbone« net zéro »ici aux États-Unis. Il est difficile d'exagérer l'imprudence de saper les agriculteurs pendant la plus grande crise alimentaire mondiale depuis des décennies. Cela exacerbera probablement l'inflation des prix alimentaires que nous connaissons déjà.
Il y a une très petite doublure argentée à tout cela dans la mesure où un parti politique appelé BoerBurgerBeweging (BBB), soutenu par le mouvement Farmer-Citizen aux Pays-Bas, se classe actuellement quatrième dans les sondages avant les élections de l'année prochaine.
Il est possible que BBB continue de grimper dans les rangs à mesure que les citoyens néerlandais en apprendront davantage sur ce que les politiques «vertes» de l'UE feront. Une fois qu'il sera plus largement connu que la famine de masse est le résultat éventuel de telles politiques, la popularité de BBB pourrait augmenter, ce qui pourrait entraîner une victoire l'année prochaine.
Selon les rapports, l'objectif numéro un de BBB sera de réformer la «loi sur l'azote» du pays, qui considère à tort cet élément naturel comme un «polluant» devant être éradiqué.
Le premier producteur agricole mondial est actuellement les États-Unis, suivis des Pays-Bas à la deuxième place. Une grande partie de l'Europe occidentale dépend des Pays-Bas pour les légumes. En fait, plus de la moitié de toutes les terres néerlandaises sont utilisées pour l'agriculture, et il y a 24 000 acres (9712 ha) de cultures qui poussent également dans des serres à travers le pays.
"Et ainsi ça commence", a écrit un commentateur. "Recherchez le reste des fermes européennes à suivre le même chemin. Les États-Unis ne sont pas si loin derrière. Les agriculteurs hollandais feraient mieux de se serrer les coudes et de s'unir pour une vilaine bagarre. Il n'y a pas d'autre moyen."
Le mouvement « vert » est un mouvement de dépeuplement. Pour en savoir plus, visitez GreenTyranny.news.
Épargne : Les Français détiennent 5.700 milliards, près de 2 fois le PIB
Les Français ne manquent pas de patrimoine, et surtout pas d’épargne. La Banque de France a fait le point sur l’argent dont disposent les ménages, en France et à l’étranger (pour le peu que cet argent soit déclaré). Et ce sont plusieurs milliers de milliards qui sont détenus, bien qu’il faille noter une forte baisse de la valeur liée à la chute de la Bourse.
Par Paolo Garoscio le 2 décembre 2022 à 7h30
Le montant total des dépôts à vue a grimpé de 20 milliards d'euros en France.
Plus de 3.500 milliards d’euros d’épargne en numéraire
Deux fois le PIB de l’Hexagone : avec 5.726,6 milliards d’euros d’épargne et patrimoine financier, les ménages ont beaucoup d’argent. Du moins, lorsqu'on cumule tous les montants qui eux ne sont bien évidemment pas identiques pour tous. Et de cette somme, une majorité, 3.618,6 milliards à la fin du deuxième trimestre 2022, se composent de produits de taux. Ce sont les dépôts numéraires, les assurances-vie en fonds euro ou encore l’épargne réglementée et non réglementée.
Mais cette somme est en baisse de 77 milliards entre le premier et le deuxième trimestre de l’année. La faute, essentiellement, à la baisse des placements dans les assurances-vie qui chutent de plus de 100 milliards sur la période. Inversement, l’épargne réglementée grimpe de 3 milliards environ, et les dépôts à vue de 20 milliards.
Les Français détiennent tout de même : 810 milliards en numéraire et dépôts à vue ; 1.128 milliards en dépôts bancaires rémunérés (dont 848 sur des livrets réglementés) ; et 1.429 milliards dans des assurances-vie et épargne retraite en fonds euros.
La chute de la Bourse pèse sur les actions et les unité de compte
Si la majorité des sommes détenues par les ménages sont des produits de taux, pas moins de 2.030 milliards d’euros sont détenus en « produits de fonds propres ». Mais les sommes, pour beaucoup liées à la performance de la Bourse, sont en baisse de 118 milliards d’euros. Car la Bourse souffre lourdement depuis le début de la crise de la Covid-19 et de la crise en Ukraine.
Ainsi, on notera 34 milliards d’euros de moins pour les actions cotées. Ou encore 25 milliards de moins pour les unités de compte dans les assurance-vie et l’épargne retraite. D’une manière générale, la valeur de tous les produits de fonds propres a baissé entre le premier et le deuxième trimestre 2022.
La préférence pour l’épargne en numéraire restera d’actualité en 2023
La tendance des ménages à préférer le numéraire pour leur épargne ne devrait pas changer en 2023. Outre être une habitude des Français, plutôt réticents au risque inhérent à la Bourse, les taux des livrets va augmenter.
Sur fond d’inflation élevée, le Livret A et le LDDS pourraient être revalorisés au taux de 3 %, tandis que le LEP dépasserait les 6 %. Les CEL (Compte Épargne Logement) verra son taux grimper également, et un nouveau PEL (Plan Épargne Logement) à 2 % est d’ores-et-déjà annoncé.
Prenons l'exemple des caisses de retraites, vous avez cotisé toute votre vie et, arrivé(e) à l'âge de, y a plus rien ! Çà alors !! (La 'Caisse' a fait des 'placements' hasardeux en 'start-up' et... elle a tout perdu ! TOUT ! Bêh ouais, çà arrive). Demain, vous sera proposé de l'argent électrique (si y a de l'électricité !! HAHAHA !) et donc, si vous n'avez plus de pognon sur votre compte c'est qu'il y aurait eu une panne d'électricité ! HAHAHA !
Compte tenu de la nature insaisissable des marques, déterminer la valeur financière d'une marque est une tâche difficile.
Malgré l'intangibilité d'une marque, il est difficile de nier à quel point une marque forte peut être efficace pour améliorer les résultats d'une entreprise.
Dans cet esprit, Brand Finance relève le défi d'identifier les marques les plus précieuses au monde dans son rapport annuel Global 500. Carmen Ang, Nick Routley et Pernia Jamshed de Visual Capitalist ont créé le graphique ci-dessous, en utilisant les données de la dernière édition du rapport, pour mettre en évidence les 100 marques les plus précieuses en 2022.
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Note de l'éditeur : Ce classement mesure la valeur des marques, qui peuvent être considérées comme des actifs incorporels liés au marketing qui créent une identité et une réputation de marque dans l'esprit des consommateurs. Il tente de mesurer cela en termes financiers, en calculant ce que vaut la marque pour l'entreprise qui la possède. Pour plus d'informations sur la méthodologie, les calculs et l'approvisionnement, rendez-vous au bas de cet article.
Une ventilation complète des marques les plus précieuses
Avec une augmentation de 35 % depuis le rapport de l'année dernière, Apple conserve sa première place dans le classement des marques les plus précieuses au monde, avec une valeur totale de la marque de 335,1 milliards de dollars.
Il s'agit de la valeur de marque la plus élevée jamais enregistrée dans l'histoire du rapport Global 500, publié chaque année depuis 2007.
En tant que l'une des plus grandes entreprises technologiques au monde, Apple domine le marché des smartphones, en particulier aux États-Unis, où plus de 50% des smartphones en fonctionnement sont désormais des iPhone.
Voici une liste des 10 marques les plus précieuses selon le rapport :
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Après Apple, Amazon arrive en deuxième position avec une valeur de marque de 350,3 milliards de dollars. Ce n'est pas surprenant, étant donné que le géant de la technologie s'est souvent retrouvé au coude à coude avec Apple dans le classement, et a même occupé la première place dans les éditions précédentes du rapport.
Une autre marque à souligner est TikTok. La société de médias sociaux a vu sa valeur de marque augmenter de 215 % d'une année sur l'autre, ce qui en fait la marque à la croissance la plus rapide de toute la liste.
Entre 2019 et 2021, la plateforme a vu sa base d'utilisateurs monter en flèche, passant de 291,4 millions à 655,9 millions en seulement deux ans. Si cette croissance se poursuit, TikTok pourrait atteindre près d'un milliard d'utilisateurs d'ici 2025, selon les projections d'Insider Intelligence.
Secteurs les plus précieux
Plus d'un tiers des marques de la liste appartiennent au secteur de la technologie et des services. Combinée, cette catégorie a une valeur de marque de 2 000 milliards de dollars.
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Les médias sont le deuxième secteur le plus précieux : 19 % des 100 premières marques appartiennent au secteur des médias et des télécommunications, y compris Google, Facebook et WeChat.
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Le COVID-19 en est en partie la raison, car la consommation des médias a augmenté tout au long de la pandémie mondiale. Par exemple, au cours des neuf premiers mois de 2021, l'utilisation quotidienne de Snapchat a augmenté de 77 %. Malgré une traction accrue auprès des utilisateurs, il convient de noter que l'entreprise ressent maintenant la piqûre alors que le monde réel se dispute à nouveau l'attention et que les annonceurs commencent à masquer l'application en raison de la nervosité de la récession.
Alors que les restrictions pandémiques s'estompent dans le monde et que les murmures d'une récession mondiale menacent la croissance économique mondiale, le rapport de l'année prochaine pourrait voir de grands changements dans la valeur de la marque.
La géographie des marques de valeur
Lorsque l'on regarde où sont basées ces marques, on constate que les États-Unis et la Chine représentent 73 des 100 premières marques du classement. Encore plus surprenant, seuls six pays représentent 94 % de la liste.
La croissance des entreprises chinoises sur la scène mondiale se reflète dans cette visualisation. À titre de comparaison, il y a dix ans, seules six entreprises chinoises figuraient dans le Top 100 de Brand Finance, et aucune d'entre elles ne figurait dans le top 30 pour la valeur de la marque.
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Fait intéressant, les pays européens ne représentent que 14 % de la liste, ce qui témoigne de la diminution de la domination économique de l'Europe au cours des dernières décennies.
Dans les années 1960, l'Europe représentait près d'un tiers du PIB mondial. Mais en 2017, il était tombé à 16 %. Selon une prévision du Pardee Center de l'Université de Denver, la part de l'UE dans le PIB mondial devrait chuter à 10 % d'ici 2100.
Bien sûr, si l'histoire nous a appris quelque chose, c'est que beaucoup de choses peuvent changer en un siècle. À quoi ressemblera un classement comme celui-ci dans les décennies à venir, tout le monde le devine.
Fumer a-t-il perdu son sang-froid aux États-Unis ?
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 03 DÉCEMBRE 2022 - 04:40
Alors qu'allumer une cigarette était autrefois considéré comme un signe de classe et de sophistication ou, à tout le moins, un acte de coolitude, fumer semble avoir perdu un peu de son éclat ces dernières années.
Comme le note Felix Richter de Statista, selon la Federal Trade Commission, 203,7 milliards de cigarettes ont été vendues aux États-Unis en 2020. Bien que cela marque une augmentation marginale par rapport à 2019 et la première hausse en 20 ans, les ventes de cigarettes sont toujours à leur plus bas niveau depuis la FTC a commencé à les suivre en 1963.
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Infographie : Fumer a-t-il perdu son sang-froid ? | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Comme l'illustre le graphique de Statista ci-dessus, les ventes de cigarettes ont diminué de manière plus ou moins continue au cours des 40 dernières années, chutant de plus de 50 % depuis 2000 et de près de 70 % depuis l'apogée du tabagisme au début des années 1980. Entre-temps, les dépenses publicitaires et promotionnelles pour les cigarettes sont passées de 1,2 milliard de dollars en 1980 à 7,8 milliards de dollars en 2020, la plupart de ces dernières prenant la forme de remises sur les prix pour les détaillants et les grossistes.
Le nombre de fumeurs de cigarettes aux États-Unis a également diminué au cours des quatre dernières décennies, mais pas tout à fait au même rythme que les ventes de cigarettes. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), environ 30,8 millions d'adultes aux États-Unis fumaient des cigarettes en 2020, en baisse de 40 % par rapport à 51,6 millions en 1980.
De plus, comme le détaille Martin Armstrong de Statista ci-dessous, les cigarettes n'ont pas le même facteur d'attraction pour les jeunes Américains qu'auparavant. En regardant les données de l'enquête Gallup remontant à 2001-2003, environ un tiers des jeunes adultes aux États-Unis ont déclaré avoir fumé des cigarettes il y a vingt ans. Cependant, au cours de la période 2019-2022, seuls 12 % ont avoué avoir fumé.
Cette tendance à la baisse ne se limite pas non plus aux Américains ayant moins de kilométrage au compteur. Des baisses des taux de tabagisme ont été enregistrées dans tous les domaines, la deuxième baisse la plus importante étant observée dans la tranche des 30 à 49 ans. Cela dit, le taux global le plus bas appartenait au groupe de répondants le plus âgé en 2022. Pour les plus de 65 ans, suffisamment de sagesse semble avoir été recueillie au fil des ans pour signifier que seulement 8 % ont déclaré avoir fumé une cigarette mettant leur vie en danger au cours de la semaine dernière. - une diminution par rapport aux 14 % enregistrés en 2001-2003.
- voir graph sur site -
Infographie : Fumer n'est pas du feu | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Cela étant dit, les nouvelles positives selon lesquelles le tabagisme est en déclin doivent être prises avec prudence.
Comme l'indiquent également les données de Gallup, bien que les jeunes adultes fument peut-être moins de cigarettes, une part importante semble avoir simplement changé de vice. Les cigarettes électroniques, ou vapotage, sont utilisées par 19 % des 18 à 29 ans. Bien que le vapotage élimine l'odeur désagréable émise par les cigarettes, cette habitude est loin d'être saine, crée une dépendance et comporte ses propres dangers et risques pour la vie.
Chine : le miroir rouge se réveille-t-il ?
RépondreSupprimerSi l’avenir s’écrit effectivement en Chine, il est important que les Occidentaux qui n’en sont pas conscients le découvrent avant qu’un pareil garrot leur soit imposé.
le 3 décembre 2022
Jean-Pierre Chamoux
Lors de la parution française en avril 2021 de Red Mirror, essai assorti d’un reportage photographique original sur les rues chinoises, j’avais déjà souligné le sens profond de cet ouvrage d’un journaliste italien, Simone Pieranni, illustré par Gilles Sabrié, un photographe qui vit à Pékin.
Ces deux auteurs décrivent par le récit et par l’image la vie des gens ordinaires qui peuplent les mégalopoles chinoises. Ce sont les mêmes qui manifestent aujourd’hui en Chine contre le fol maintien d’un confinement assassin pour les malheureux habitants de ce gigantesque pays. Leur soulèvement spontané est un refus naturel de ce que dévoilait ce petit livre publié sous une couverture rouge « à la Mao » par un éditeur de Caen qui le ressort ces jours-ci grâce à l’actualité dramatique qui nous vient de Chine.
Cet ouvrage, très bien traduit par Fausto Guidice, est instructif si l’on sait lire entre ses lignes.
Ce que j’en avais dit en avril 2021 permet de comprendre ce qui secoue profondément la Chine d’aujourd’hui : la population chinoise n’en peut plus d’être parquée comme du bétail dans des conditions infernales ; elle étouffe sous une chape de plomb et elle refuse enfin l’emprisonnement généralisé qui lui est imposé sous prétexte de contenir un virus que l’on a pas su maîtriser !
Red Mirror aborde en quatre chapitres autant de caractéristiques de la société chinoise actuelle.
L’omniprésence du réseau social Wechat qui encadre et accompagne la vie quotidienne des chinois.
La politique des « villes intelligentes » très denses où s’entassent des travailleurs venus des campagnes pour fournir à l’usine du monde une main-d’œuvre que l’on espérait servile.
Une industrie (comme Foxcomm dont les ouvriers se révoltent ces jours-ci) qui fournit à la planète entière équipements, infrastructures et services indispensables à l’ère du numérique.
Une cité collectiviste construite par une ingénierie sociale qui évoquent l’utopique prison panoptique imaginée par les frères Jeremy et Samuel Bentham (1791), cité dont le crédit social fut conçu et qui est gérée par le Parti communiste chinois.
Rôle du « crédit social »
RépondreSupprimerLargement dévoilé par la propagande chinoise, ce système de bons et mauvais points devait assurer, dit Pieranni, non seulement la cohésion de la Chine moderne mais l’aider à dominer le monde contemporain (chap. 5) !
Ses tenants et aboutissants se découvrent à chaque page de ce récit qui associe curieusement cette surveillance sociale à une pratique millénaire méconnue par les Occidentaux : la baojia, un encadrement communautaire des familles chinoises qui n’aurait donc été que l’antécédent médiéval du crédit social actuel (p. 144) !
Théorisée en 1957 par Mao dans la section IV de son Petit livre rouge, la dialectique entre l’ordre et le chaos s’inscrirait donc dans le prolongement de la Chine impériale…
On peut regretter…
Cet ouvrage témoigne d’une belle indulgence envers les intentions et les agissements de la puissance publique chinoise qui n’a jamais hésité ni sur les moyens ni sur la brutalité nécessaires pour mâter son peuple, surtout lorsqu’il réagit aux actes suicidaires comme l’est ce confinement à outrance que l’auteur condamnerait, je suppose, très vivement s’il le relevait dans un pays occidental !
Corrélativement, ce texte use de force litotes pour situer (et pour finalement admettre) ce crédit social qui traite les hommes comme des « chiens de Pavlov » et que l’autorité communiste tient à sa botte, au grand dam des individus conscients comme le furent les étudiants de Hong Kong qui n’ont plus désormais d’autre choix que de se soumettre ou de partir depuis que leur territoire est repris en mains par Pékin.
Ils en ont payé le prix comme risquent aussi de le faire les foules de Shangaï ou de Wuhan qui se rebellent actuellement contre l’enfermement qu’on leur impose depuis deux ans et plus (cf. p. 134 sq. par ex.) !
L’avenir s’écrit-il en Chine ?
En quelques mots, si l’avenir s’écrit effectivement en Chine, comme l’annonce l’auteur, si le crédit social se poursuit effectivement dans la veine d’une tradition millénaire, il est important que les Occidentaux qui n’en sont pas conscients le découvrent avant qu’un pareil garrot leur soit imposé !
Lu avec attention et un minimum d’esprit critique, ce petit livre devrait les dessiller : deux brèves citations suffisent pour le comprendre :
« En Chine, le smartphone, c’est Wechat. Et Wechat sait tout sur tout le monde ! » (p.12)
« Le crédit social […] c’est l’État qui juge tous les citoyens [car] la Chine ne veut pas seulement réglementer les personnes mais aussi l’environnement dans lequel elles vivent » ! (p. 143 )
Deux mots sur les auteurs
Journaliste au quotidien italien Il Manifesto créé en 1969 par des dissidents du Parti communiste italien, Simone Pieranni a vécu sept ans en Chine où il avait créé l’agence China Files. Le photographe Gilles Sabrié a illustré de grands quotidiens (Le Monde, The Guardian, Wall Steet Journal…) et de nombreux magazines (Time, Geo, Spiegel, L’expresso etc.).
Simone Pieranni : Red Mirror L’avenir s’écrit en Chine, Traduit de l’italien et assorti d’un reportage photographique de Gilles Sabrié, C & F éditions, Caen, 2022, 184 pages.
https://www.contrepoints.org/2022/12/03/444805-chine-le-miroir-rouge-se-reveille-t-il
Hier, sous un article de presse qui en parlait, j'avais fait ressortir que la Chine - qui compte 1 milliard 400 millions d'habitants - avait entre 10 et 15 % de surdoués. C'est-à-dire entre 140 et 210 millions de têtes bien pleines. Et donc, comme les Peuples évoluent (surtout depuis l'arrivée de l'Internet) autour d'une circonvolution spiroïdale qui va donc du centre aux contours pour bien montrer que les marginaux sont de toutes espèces, cette escargophilie va donc développer des courants forcément démocratiques où le Peuple aura donc ses mots à dire.
SupprimerDonc, l'enfermement historique est à proscrire et ouverture vers le futur. Mais où est le futur dans des prises de positions dictatoriales, ces dernières sont du passé. Aujourd'hui, nous le constatons tous les jours, les chefs d’États recourent aux 'intelligences artificielles' pour s'exagérer leur QI à la puissance d'un ordinateur (qui serait cervical !!) mondialocrate ou sorte de 'monsieur-qui-sait-tout'. Or, s'il n'est pas commun d'entendre que ce sont des surdoués qui ont inventé l'ordinateur et ses programmes, il en demeure que ce sont encore eux [les surdoués] qui sont au-dessus des boites en fer !
Soyons bien conscient que ce ne sont pas des boites en fer qui demain dirigeront le monde mais des hommes aux neurones non-remplies de télévision ! Car, ne l'oublions pas non-plus que partout sur Terre existe l'EMP et que si elle est employée a cette 'bombe propre' (comme disent les chinois qui en auraient une plus grosse) subsisteraient les réservoirs cervicaux.
Comprendre aussi que c'est en contournant un obstacle que l'on en fait le tour et qu'il n'y a pas de honte à avoir que de faire autre chose qu'ont fait nos ancêtres.
Point d'impossibilité NetZero ? Le pays des merveilles des énergies renouvelables en Europe ne peut plus fabriquer de solaire, d'éolienne, de batteries ou de véhicules électriques
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 3rd, 2022
L'énigme impossible : Going Netzero annule votre capacité à vous rendre à Netzero
La spirale de la mort industrielle se développe : l'Europe est le roi des énergies renouvelables et elle possède également l'énergie la plus chère au monde, ce qui rend impossible pour l'UE de fabriquer les choses dont elle a besoin pour atteindre NetZero.
L'UE a perdu ses usines de panneaux solaires au profit de la Chine il y a des années, et l'industrie éolienne craignait qu'elle ne suive la même voie sino que l'industrie solaire. Il y a quelques mois, le chef de Vestas a admis qu'ils perdaient de l'argent sur chaque éolienne qu'ils vendaient. (Heureusement que leurs commandes s'effondraient, hein ?)
Maintenant, le chef de Volkswagen prévient que les choses sont si chères qu'il ne sera bientôt plus viable de fabriquer des voitures électriques et des batteries en Europe non plus - ce qui doit être une mauvaise surprise étant donné qu'ils viennent de commencer à construire la première des six usines de batteries prévues en L'Europe .
À quelle vitesse ces bilans changent…
Naturellement, toute l'industrie réclame davantage de subventions. De toute évidence, ils ne peuvent pas demander ce dont ils ont vraiment besoin, une énergie bon marché.
« Nous faisons du surplace : » Une crise énergétique immobilise l'industrie européenne alors que les États-Unis et la Chine avancent, prévient Volkswagen
Tristan Bové, Yahoo Actualités
La crise énergétique en Europe laisse l'industrie du continent à l'arrêt, et son plus grand constructeur automobile affirme que ses concurrents font la course devant, les gouvernements de l'UE ne fournissant pas suffisamment de soutien.
"Sur la scène internationale, l'Allemagne et l'Union européenne perdent rapidement leur attractivité et leur compétitivité", a écrit lundi Thomas Schäfer, directeur général de la marque du constructeur automobile allemand Volkswagen, dans un post sur LinkedIn.
Schäfer a déclaré que Volkswagen, et d'autres constructeurs automobiles européens, risquaient de prendre du retard sur leurs concurrents dans le domaine de la fabrication de voitures électriques en raison des prix élevés de l'énergie, car la crise désavantage l'ensemble de l'industrie européenne.
"Nous faisons du surplace", a-t-il écrit. « Je suis très préoccupé par l'évolution actuelle des investissements dans la transformation de l'industrie. Cela doit être priorisé de toute urgence – de manière non bureaucratique, cohérente et rapide.
Il a également averti que Volkswagen ne pouvait pas non plus se permettre de fabriquer des batteries dans l'UE :
La direction de VW affirme que les prix élevés de l'énergie tueront la production de batteries de voiture en Europe
Politico
RépondreSupprimer"Si nous ne parvenons pas à faire baisser rapidement les prix de l'énergie en Allemagne et en Europe, les investissements dans la production à forte intensité énergétique, ou dans de nouvelles usines de cellules de batterie, en Allemagne et dans l'UE ne seront plus réalisables", a-t-il déclaré.
Ce n'est peut-être pas un hasard si Volkswagen cherche de nouveaux sites pour ses usines de batteries au Canada ?
C'est un bain de sang en Europe pour l'industrie éolienne
L'industrie européenne de l'énergie éolienne a connu une période difficile
Haley Zaremba, Oilpatch
… à travers l'Europe, les principaux fabricants d'éoliennes signalent des pertes massives et licencient de nombreux employés. Ce mois-ci, la société danoise Vestas Wind Systems, le plus grand fabricant d'éoliennes au monde, a annoncé une perte de 147 millions d'euros au troisième trimestre (environ 151 millions de dollars). General Electric, un autre grand producteur d'éoliennes aux États-Unis et en Europe, rapporte que son unité d'énergie renouvelable devrait enregistrer une perte de 2 milliards de dollars à la fin de l'année. La société espagnole Siemens Gamesa Renewable Energy, une société basée à Madrid qui est l'un des principaux producteurs d'éoliennes offshore, a déclaré une perte annuelle de 940 millions d'euros (965 millions de dollars) et a annoncé des réductions de dépenses qui entraîneront 2 900 pertes d'emplois - environ 11% de l'effectif de l'entreprise.
Voici un indice sur la raison pour laquelle l’énergie éolienne ne peut pas rivaliser :
Selon le PDG de Siemens Energy, le problème, ce sont les chaînes d'approvisionnement. "N'oubliez jamais que les énergies renouvelables comme le vent ont à peu près besoin de 10 fois plus de matériel [par rapport à]... ce dont les technologies conventionnelles ont besoin", a déclaré Christian Bruch dans une interview accordée à "Squawk Box Europe" de CNBC. "Donc, si vous avez des problèmes sur la chaîne d'approvisionnement, cela frappe … le vent extrêmement fort, et c'est ce que nous voyons."
Avec une production plus lente en raison de problèmes de chaîne d'approvisionnement, l'industrie éolienne est bloquée - essayant toujours de livrer les commandes de l'ère pré-covid à des prix impossibles, à un public à court d'argent et vendant un produit dont personne n'a vraiment besoin.
https://joannenova.com.au/2022/12/europes-renewable-wonderland-now-cant-make-solar-wind-batteries-or-evs/
Oxford 2024 : les blocages climatiques commencent - Vous serez suivi et piégé dans votre banlieue et heureux.
RépondreSupprimerDecember 3rd, 2022
Les fouineurs totalitaires veulent suivre votre voiture et s'attendent à ce que vous demandiez la permission de voyager, non seulement à l'étranger, mais dans la banlieue voisine. Ce sont les mêmes personnes qui voyagent dans des jets privés pour des voyages de deux semaines à l'ONU.
La ville en 15 minutes est un plan de l'ONU et du WEF. Vous serez suivi et piégé dans votre banlieue et heureux à ce sujet.
C'est difficile à croire, mais le conseil municipal d'Oxford a l'idée bénigne de résoudre les longs trajets et d'un saut, d'un saut et d'un saut, ils sont arrivés à une tyrannie maligne. Si vous n'aimez pas l'idée de marcher jusqu'au travail et de "sauver la planète", ils vous forceront à prendre ce bus. Mais les conséquences imprévues sont vastes. Vous devrez peut-être déménager, trouver un nouvel emploi ou divorcer. Vous pensez avoir le droit de rendre visite à vos enfants ? Uniquement avec autorisation. Tout votre style de vie est à gagner.
C'est le système de crédit social qui commence avec votre voiture.
Le conseil du comté d'Oxfordshire a adopté un «essai» de verrouillage climatique pour commencer en 2024
Les habitants seront confinés dans leur quartier local et devront demander la permission de tout quitter pour "sauver la planète".
Le conseil du comté d'Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l'une des six zones pour «sauver la planète» du réchauffement climatique. La dernière étape du programme de la «ville en 15 minutes» consiste à placer des portails électroniques sur les routes principales à l'intérieur et à l'extérieur de la ville, confinant les résidents dans leurs propres quartiers.
Dans le cadre du nouveau programme, si les résidents veulent quitter leur zone, ils auront besoin de l'autorisation du Conseil qui décide qui est digne de liberté et qui ne l'est pas. Dans le cadre du nouveau programme, les résidents seront autorisés à quitter leur zone un maximum de 100 jours par an, mais pour même gagner cela, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès du conseil qui suivra ensuite ses mouvements via des caméras intelligentes autour du ville.
Que se passe-t-il si votre femme a un emploi dans une zone, votre fils va à l'université dans une autre et votre club de travail ou de sport avec des amis de toujours est dans une troisième ? Devriez-vous vendre la maison familiale et envoyer les enfants en internat ?
La folie de la « ville 15 minutes »
James Woudhuysen,
Spiked
En surface, ces quartiers de 15 minutes peuvent sembler agréables et pratiques. Mais il y a un bord coercitif. Le conseil prévoit de réduire l'utilisation de la voiture et les embouteillages en imposant des règles strictes sur les trajets en voiture. Selon les nouvelles propositions, si l'un des 150 000 habitants d'Oxford conduit en dehors de son district désigné plus de 100 jours par an, il pourrait être condamné à une amende de 70 £.
Le concept de la ville en 15 minutes est né avec « C40 ». Présidé aujourd'hui par le maire de Londres Sadiq Khan, le C40 se définit comme un "réseau de maires de près de 100 villes de premier plan au monde collaborant pour fournir l'action urgente nécessaire dès maintenant pour faire face à la crise climatique".
La BBC pense qu'il est tout à fait normal que le gouvernement décide qui sont vos amis. Apparemment, les fermetures à Paris étaient de grands moments sociaux. Qui savait ?
Comment les «villes de 15 minutes» vont changer notre façon de socialiser
BBC
.. pour Fraioli, le confinement de deux mois qui a débuté le 17 mars – la confinant dans un rayon de 1 km autour de son domicile – lui a donné une vision nuancée et enrichissante de son quartier. "J'ai découvert qu'il était possible de se sentir dans un petit village de Paris", dit-elle. « Pour connaître ses voisins, entretenir de bons liens avec les commerçants, privilégier les artisans et commerces locaux aux grandes surfaces. J'ai même rejoint un mouvement citoyen où les gens préparent des paniers de nourriture pour les sans-abri. Je pensais que j'aurais du mal à vivre le confinement, mais j'étais parfaitement chez moi, au calme.
RépondreSupprimerJe ne semble pas me souvenir de "faire connaissance avec les voisins" comme faisant partie d'un verrouillage n'importe où ?
Et ne pensez pas que l'achat de deux voitures vous permettra d'obtenir vos 200 trajets. Chaque ménage en reçoit 100, quel que soit le nombre de voitures qu'il possède.
Le changement climatique n'est qu'un prétexte pour faire sortir la plèbe des avions et des routes. Les élus spéciaux à l'université ou dans le service exécutif recevront un laissez-passer gratuit.
Et oui, ce n'est pas seulement Oxford, mais Brisbane, Melbourne, Barcelone, Paris, Portland et Buenos Aires. Propagation comme un cancer.
https://joannenova.com.au/2022/12/oxford-2024-climate-lockdowns-start-you-will-be-tracked-and-trapped-in-your-suburb-and-happy-about-it/
Ââah les 'voisins de cellule' ! Ces petits criminels qui tuent juste pour le plaisir ou pour 'pas perdre la main' ! Ces quartiers enrichit d'ethno ethnicité estrangère, trisomique et zombiaque !
SupprimerSi la vie humaine peut être prolongée, la colonisation de la galaxie de la Voie lactée sera inévitable. La distance moyenne entre les étoiles de la galaxie est d'environ cinq années-lumière. Même si la vitesse de la lumière reste un obstacle infranchissable, le voyage interstellaire est théoriquement possible. Les fusées peuvent être accélérées à une fraction appréciable de la vitesse de la lumière en utilisant la propulsion par impulsions nucléaires. Si l'espérance de vie humaine moyenne à la naissance peut être augmentée jusqu'à, disons, mille ans, alors un voyage prenant cent ans devient faisable.
RépondreSupprimerFinalement, les humains ne chercheront pas des mondes semblables à la Terre, mais construiront des mondes artificiels. Ce processus a déjà été prévu. Le roman de 1970 Ring World de Larry Niven décrit un monde artificiel tournant comme un anneau autour d'une étoile. Le monde annulaire de Niven a un diamètre équivalent à celui de l'orbite terrestre, une largeur d'un million de kilomètres et fournit trois millions de fois l'espace de vie de la Terre. Un tel monde pourrait être couvert de panneaux solaires qui s'ouvrent et se ferment, alternant jour et nuit, modérant la température et générant de grandes quantités d'énergie électrique.
La construction d'un monde artificiel aussi prodigieux pourrait être accomplie sans effort en appuyant sur un bouton. Une sonde sera lancée, atteindra un système solaire lointain et effectuera une reconnaissance pour voir si suffisamment de matières premières sont disponibles. Si tel est le cas, la machine continuera à se dupliquer et à construire d'autres machines, jusqu'à ce qu'une armée massive de robots soit assemblée. Ce processus de croissance exponentielle et de réplication imite la nature. La nature utilise des graines qui contiennent des informations et une quantité limitée d'énergie stockée. La graine utilise ses instructions programmées pour se déployer et grandir, en utilisant l'énergie et la matière première de l'environnement environnant. La nature est capable d'assembler un organisme vivant bien plus complexe que n'importe quel monde artificiel à partir des informations codées uniquement par les quatre nucléobases qui composent l'ADN.
Le diamètre de la galaxie de la Voie lactée est d'environ 100 000 années-lumière. La civilisation humaine se répandra lentement, sautant d'un système stellaire à l'autre. Coloniser d'autres galaxies est un tout autre défi. La grande galaxie la plus proche, Andromède, est distante de 2,5 millions d'années-lumière. En supposant, encore une fois, que la vitesse de la lumière est une limite inviolable, des voyages de plus d'un million d'années sont impossibles, avec une durée de vie humaine possible. Mais une civilisation vraiment avancée et visionnaire avec des ressources suffisantes pourrait propager la vie dans tout le cosmos en envoyant des graines sur des sondes sans pilote capables de faire des voyages à travers l'espace inter-galactique durant des millions d'années. C'est la vieille théorie de la panspermie, l'idée que la vie s'est propagée dans tout le cosmos par la dissémination de matériel de semence. On ne sait pas en quoi consisterait ce matériel de semence, mais il devrait être capable de survivre pendant des millions d'années et avoir le potentiel de prendre une forme de vie lorsqu'il atteindrait un environnement approprié. La nature offre un modèle suggestif sous la forme de spores, qui peuvent rester viables pendant des dizaines de millions d'années. Il est tout à fait possible que la Terre ait déjà été ensemencée à plusieurs reprises par des civilisations extraterrestres vivant dans des parties éloignées du cosmos. Cela aiderait à expliquer l'incroyable diversité et l'abondance de la vie sur Terre, ainsi que les anomalies dans les archives fossiles telles que l'explosion cambrienne. Si l'ensemencement de la vie sur Terre semble invraisemblable, considérez que si cela ne se produisait qu'une fois tous les 100 millions d'années, cela se serait déjà produit 45 fois dans l'histoire terrestre.
Avec les humains se déplaçant vers des mondes artificiels, la planète natale peut être transformée en parc. Le travail robotique peut éliminer les imperfections laissées par l'activité humaine, creuser des décharges et remédier à tous les dommages environnementaux. Les contaminants seront retirés des océans, des lacs et des cours d'eau. Le béton et d'autres matériaux seront arrachés, décomposés en leurs éléments constitutifs et recyclés. De vastes troupeaux de bisons parcourront à nouveau les herbes des prairies du Midwest américain. L'environnement sera restauré à un état vierge, ou peut-être amélioré si notre compréhension de la science de l'écologie devient suffisamment avancée.
RépondreSupprimerLa spéculation précédente peut sembler fantastique, mais il s'agit simplement d'une extrapolation d'une tendance à long terme. Depuis que Homo habilis a marché pour la première fois sur Terre, il y a environ 2,3 millions d'années, l'histoire de la race humaine a été une histoire d'accélération du progrès technologique. Depuis les premiers outils de pierre, l'utilisation du feu, l'écriture et l'exploitation de sources d'énergie artificielles, nos vies sont devenues plus longues, plus riches et plus satisfaisantes. Pourtant, les êtres humains commencent à peine à réaliser leur potentiel. Nous avons des raisons d'être optimistes pour l'avenir.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/david-deming/human-potential-is-illimitable/
(...) Le coût de l'électricité va baisser. Une énergie abondante et bon marché a des implications presque infinies pour résoudre les problèmes humains. (...)
SupprimerPrenons l'exemple d'un gâteau: Plus il y a de consommateurs plus les parts sont petites. Mais pour les impôts, là c'est autre chose ! Plus il y a du monde pour payer l'addition plus la facture est élevée ! Çà alors !!
(...) Le réchauffement climatique et le climat planétaire peuvent être modulés en extrayant directement le gaz carbonique de l'air. (...)
Là, c'est le chavirement total, la connerie prend le dessus, et:
(...) L'essence deviendra une source renouvelable de stockage et d'utilisation de l'énergie. (...)
Le pétrole est ABIOTIQUE ! Ce qui veut dire qu'il est infini. Et donc non pas 'deviendra' !
La question pour l'avenir est plutôt 'Tuer ou pas faire naître ?' et non 'aller sur une autre planète !'
Nous sommes piégés dans un Truman Show réalisé par des psychopathes
RépondreSupprimerPar Jim Quinn
La plate-forme brûlante
3 décembre 2022
« Que la politique de la botte sur le visage puisse réellement se poursuivre indéfiniment semble douteux. Ma propre conviction est que l'oligarchie dirigeante trouvera des moyens moins ardus et moins coûteux de gouverner et de satisfaire sa soif de pouvoir, et ces moyens ressembleront à ceux que j'ai décrits dans Brave New World. Au sein de la prochaine génération, je crois que les dirigeants du monde découvriront que le conditionnement infantile et la narco-hypnose sont plus efficaces, en tant qu'instruments de gouvernement, que les clubs et les prisons, et que la soif de pouvoir peut être tout aussi complètement satisfaite en suggérant aux gens d'aimer leur servitude comme en les flagellant et en les obligeant à obéir. – Aldous Huxley – Lettre à George Orwell vers 1984 en 1949
"Il y aura, dans la prochaine génération ou à peu près, une méthode pharmacologique pour faire aimer aux gens leur servitude, et produire une dictature sans larmes, pour ainsi dire, produire une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens auront en fait leurs libertés leur seront enlevées, mais en profiteront plutôt, parce qu'ils seront distraits de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau, ou le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale » ― Aldous Huxley
Lorsque je prends du recul par rapport aux minuties et aux banalités quotidiennes qui inondent mes sens de toutes les directions et de tous les appareils médiatiques, il semble presque que je vis dans un programme de télé-réalité hautement scénarisé où les personnages et les intrigues sont conçus pour créer des passions et des réactions pour soutenir tout récit tissé par ceux qui dirigent le spectacle. Huxley a vraiment prévu l'avenir de la manière la plus claire et la plus concise possible, des décennies avant que sa vision dystopique ne se concrétise.
La vision de la botte d'Orwell sur le visage commence seulement maintenant parce que trop de penseurs critiques se sont réveillés de leur stupeur induite par la pharmacie et ont commencé à remettre en question l'intrigue de ce spectacle déguisé en notre réalité. La psychose de formation de masse infectant les masses faibles d'esprit; une propagande de masse incessante conçue pour induire en erreur, désinformer et laver le cerveau d'une population abrutie et endoctrinée par le gouvernement ; et le contrôle complet de l'histoire par la manipulation des médias, la réglementation et la censure de la vérité ; a suivi son cours. Comme Charles Mackay l'a déclaré il y a 180 ans, les masses deviennent folles comme un troupeau, mais ne reprennent leurs esprits que lentement, et une par une.
RépondreSupprimerMa reconnaissance que le monde semble être scénarisé et dirigé par des managers machiavéliques, travaillant derrière un linceul sombre, représentant une autorité gouvernementale invisible, façonnant nos esprits, suggérant nos idées, dictant nos goûts et créant la peur, a déclenché un souvenir du Jim de 1998. Film Carrey – Le Truman Show. Le film, réalisé par Peter Weir (Gallipoli, Witness, Dead Poet’s Society), avait la sensation surréaliste de Forest Gump, tout en faisant signe à l’horrible introduction de la télé-réalité (Big Brother, Survivor), qui empoisonne notre société superficielle et peu sérieuse à ce jour. L'intrigue du film se concentre sur l'individualité contre la conformité, le consumérisme, le voyeurisme, la réalité contre la manipulation, les faux récits, la vérité sur le rêve américain et les dangers de la surveillance dans une société technologiquement avancée.
Truman Burbank est la star sans méfiance de The Truman Show, une émission de télé-réalité filmée 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à travers des milliers de caméras cachées et diffusée à un public mondial. Christof, le créateur de l'émission, cherche à capturer les émotions authentiques de Truman et à donner au public un homme auquel on peut s'identifier. Truman est la star sans méfiance de la série depuis sa naissance 30 ans auparavant. La ville natale de Truman, Seahaven Island, est un ensemble complet construit dans un énorme dôme, peuplé de membres d'équipage et d'acteurs qui mettent en évidence les placements de produits qui génèrent des revenus pour le spectacle. L'ensemble élaboré permet à Christof de contrôler presque tous les aspects de la vie de Truman, y compris la météo. La maison parfaite, avec une palissade et des gens en plastique, est une tentative de convaincre Truman qu'il vit le rêve américain plutôt que dans une techno-prison dystopique incontournable.
Pour empêcher Truman de découvrir sa fausse réalité, Christof fabrique des scénarios qui dissuadent le désir d'exploration de Truman, comme la "mort" de son père dans une tempête de mer pour instiller l'aquaphobie, et en diffusant et imprimant constamment des messages sur les dangers du voyage et la vertus de rester à la maison. On ne peut que reconnaître l'intrigue pour garder Truman sous contrôle, obéissant et enfermé dans son environnement contrôlé, sans trappe de sortie visible, comme exactement l'intrigue utilisée par nos seigneurs lors de l'arnaque Covid. Utiliser la peur pour réguler vos sujets est un thème familier utilisé par ceux qui contrôlent le récit et tirent les ficelles dans les coulisses de notre glorieuse démocratie de dystopie.
La première tâche était d'instiller la peur dans les masses à travers de fausses vidéos, de faux experts médicaux crachant de faux "faits", niant les masques de réalité, la distanciation sociale et le verrouillage du monde n'ont pas arrêté un virus microscopique, tout en supprimant des traitements qui étaient clairement sûrs et efficace (ivermectine, hydroxychloroquine) et forçant le remdesivir et les ventilateurs de Fauci sur les patients – assurant leur mort. La vie de Truman a été construite sur des mensonges, des tromperies et de faux récits, contrôlés par un réalisateur tyrannique organisant un spectacle pour plaire à ses patrons et maximiser les profits. Nous vivons la même réalité aujourd'hui.
RépondreSupprimerDepuis mars 2020, nous sommes piégés dans une émission de téléréalité dystopique basée sur des mensonges, des tromperies et de faux récits sur un virus armé créé dans un laboratoire financé par Anthony Fauci et utilisé pour faire avancer le programme totalitaire de grande réinitialisation de Schwab, Gates et leurs semblables, tout en maximisant les profits de Pfizer, des réseaux de télévision et en remplissant les poches des politiciens, des complices et des apparatchiks prêts à vendre le peuple de notre pays pour trente pièces d'argent.
Alors que le Truman Show approchait de son 30e anniversaire, Truman a commencé à découvrir des éléments inhabituels, comme un projecteur tombant du ciel devant sa maison et une chaîne de radio qui décrivait précisément ses mouvements. Il a commencé à s'éveiller au fait qu'il n'était rien d'autre qu'une particularité piégée dans une cage et constamment dissuadé de s'échapper à chaque tournant, pour le bien du spectacle. Il vivait dans un monde de conformité scénarisé, où la remise en question de l'intrigue n'était pas autorisée, et les masses ne faisaient que jouer leur rôle.
C'est exactement ainsi qu'une dictature sans larmes utilise la technologie, les produits pharmaceutiques et la manipulation psychologique pour convaincre les masses d'aimer leur servitude. C'est l'émission de téléréalité dans laquelle nous avons vécu pendant cette dystopie de cancres de la dictature du 21e siècle. Mais ce phénomène psychologique n'est pas nouveau pour l'humanité, car Platon a décrit un ancien analogue de Truman Show au 6ème siècle avec son Allégorie de la Caverne. La nature des êtres humains n'a pas changé à travers les épreuves et les tribulations de l'histoire.
Dans l'allégorie, Platon décrit un groupe de personnes qui ont vécu enchaînées dans une grotte toute leur vie, face à un mur aveugle. Les gens regardent les ombres projetées sur le mur par des objets passant devant un feu derrière eux et donnent des noms à ces ombres. Les ombres sont la réalité des prisonniers mais ne sont pas une représentation fidèle du monde réel. Un homme éclairé est comme un prisonnier qui est libéré de la caverne et vient à comprendre que les ombres sur le mur ne sont pas la réalité.
Les détenus ignorants ne désirent pas quitter leur prison/caverne, car c'est la seule vie qu'ils connaissent, et ils craignent la réalité. Le feu et les marionnettes, utilisés pour créer des ombres, sont contrôlés par des artistes. Platon indique que le feu est aussi la doctrine politique enseignée par un État-nation. Les artistes utilisent la lumière et les ombres pour endoctriner les masses avec les doctrines dominantes de l'époque. Peu d'humains s'échappent de la grotte. La plupart des humains resteront au fond de la grotte, avec quelques petits élevés comme des artistes majeurs, pour projeter les ombres gardant les masses désorientées, confuses et craintives.
RépondreSupprimer"Alors que la vérité est que l'État dans lequel les gouvernants sont le plus réticents à gouverner est toujours le meilleur et le plus tranquillement gouverné, et l'État dans lequel ils sont le plus avides, le pire." - Platon, L'Allégorie de la Caverne
"La plupart des gens ne sont pas seulement à l'aise dans leur ignorance, mais hostiles à quiconque le signale." - Platon, L'Allégorie de la Caverne
L'État est dirigé par un groupe passionné de psychopathes qui sont déterminés à détruire notre société civile et notre culture commune au nom des mondialistes qui tentent de mettre en œuvre leur programme de grande réinitialisation et de l'appliquer par la surveillance technologique, le contrôle de l'esprit par le biais de messages de propagande et une gestion stricte. du complot quotidien via les médias grand public et la censure des médias sociaux de la vérité. Comme Platon l'envisageait il y a quinze siècles, la plupart des hommes resteront dans leur caverne, croyant que les ombres présentées par leurs seigneurs sont la réalité, ne remettant jamais en question leur servitude ni ne recherchant la vérité.
Ce fait n'a jamais été aussi vrai que lors de cette émission de télé-réalité sur la pandémie covid dirigée par notre Christof - le meurtrier de masse Anthony Fauci. L'ignorance volontaire des masses a été assumée par les contrôleurs covid qui ont projeté des ombres de peur et de mort sur les murs de la grotte des figurants enfermés dans cette émission de téléréalité bien orchestrée. Utiliser un test PCR délibérément trompeur pour surestimer considérablement les «cas», payer les hôpitaux pour classer tous les décès comme covid, et faire en sorte que les professionnels de la propagande de CNN, MSNBC et Fox montrent des compteurs de décès Covid sur leurs écrans 24h / 24 et 7j / 7 pour terrifier les masses en conformité était l'émission Covid.
Une fois que le niveau de peur a atteint onze sur le cadran de contrôle, les producteurs de cette émission ont introduit l'antidote miraculeux du vaccin Big Pharma pour sauver la situation. Leur scénario était si crédible qu'ils ont réussi à convaincre plus de 5 milliards de membres de leur public captif de s'injecter une thérapie génétique non testée et non prouvée, qui ne vous a pas empêché d'attraper, de transmettre, de tomber malade, d'être hospitalisé ou de mourir du Fauci a financé le virus produit par le laboratoire de Wuhan. Mais, comme une tournure dramatique de l'histoire, il semble que le "vaccin" cause la myocardite, les caillots sanguins, l'infertilité, les fausses couches, les crises cardiaques, le cancer et la mort subite.
Nous avons permis à des hommes que nous n'avons jamais vus de dicter comment nous vivons nos vies, les choix que nous faisons et quels politiciens et «experts» croire, sans jamais faire l'effort de comprendre pourquoi nous sommes poussés à le faire. Nous sommes enfermés dans une prison auto-imposée de désirs, d'émotions et de besoins à travers les messages des médias de masse et un barrage constant de publicités. La conformité et l'obéissance sont les traits recherchés par la classe dirigeante, tandis que l'individualité et le scepticisme sont désapprouvés et punis par l'ostracisme social.
RépondreSupprimerNous sommes conditionnés dès la naissance à croire ce qu'ils nous disent de croire. L'endoctrinement de l'école gouvernementale et la désinformation des médias de masse font l'affaire. Distraits par nos techno-gadgets et ignorants de la vérité, c'est ainsi que les oligarques mondialistes mettent en œuvre méthodiquement leur programme de Grande Réinitialisation. Ils sont tellement convaincus de l'ignorance des masses qu'ils proclament ouvertement leurs projets de dépopulation et de techno-prison sans crainte de représailles ou de représailles.
La fin du Truman Show est une leçon de résistance, de persévérance et de force de l'individu, même face à un État Big Brother technologiquement avancé. Il offre un message d'espoir, quelle que soit la puissance de nos seigneurs. Le refus d'obéir ou de se conformer par un individu peut inspirer les autres à faire de même. Une fois que Truman s'est «réveillé» à son sort de rat de laboratoire dans une émission scénarisée, il a commencé à planifier son évasion. Utilisant un tunnel de fortune dans son sous-sol, hors de vue des caméras de Christof, il a disparu et a forcé la suspension de l'émission pour la première fois en trente ans.
Christof découvre Truman s'éloignant de Seahaven dans un petit bateau, alors qu'il a surmonté le faux conditionnement de peur inculqué en lui par l'homme qui l'aime soi-disant mais l'a traumatisé à propos de la mer en simulant la mort de son père en mer. Christof choisit de presque noyer Truman en créant une violente tempête pour le dissuader de découvrir la vérité. Finalement, la tempête cesse et son bateau heurte le mur du dôme.
C'est exactement ainsi que nos contrôleurs traitent les masses ignorantes. Ils nous nourrissent d'histoires conçues pour nous rendre craintifs et conformes aux exhortations de leurs experts rémunérés. Payé pour mentir. Payé pour désinformer. Payé pour persuader les gens qu'une concoction dangereuse est "sûre et efficace". La méchanceté d'utiliser des personnages de Sesame Street pour convaincre des enfants de quatre ans qu'ils ont besoin de ce breuvage toxique altérant le gène Big Pharma, même si essentiellement ZÉRO enfants sur terre sont morts de covid, témoigne de la cupidité et des impulsions malveillantes de ceux au pouvoir. De vastes quantités de revenus publicitaires en constante augmentation sont ce qui a permis à The Truman Show de rester à l'antenne pendant trente ans.
La campagne publicitaire covid ne sera jamais dépassée, car les stars d'Hollywood, les meilleurs athlètes, les écrivains célèbres, les légendes du rock, les journalistes soi-disant impartiaux et tous les grands réseaux ont dit MONTREZ-MOI L'ARGENT !!!! Tout le monde était à vendre, et tout ce qu'ils avaient à faire était de mentir et de dire que les jabs étaient "sûrs et efficaces". Le placement de produit était la formule lucrative du Truman Show, tandis que la vente acharnée d'un traitement bidon Big Pharma sur les ondes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 en utilisant l'argent des contribuables des victimes était la solution finale de la Great Reset Cabal.
RépondreSupprimerLa grande finale est un choc des philosophies de la réalité contre la fausse réalité, alors que Truman découvre un escalier menant à une porte de sortie. Christof parle à Truman, affirmant qu'il n'y avait pas plus de vérité dans le monde réel que dans son monde artificiel, et qu'il serait en sécurité, sans rien à craindre, dans un monde contrôlé par des hommes invisibles pour lui, lui assurant qu'ils ont ses meilleurs intérêts à cœur. . Truman choisit l'individualité, la vérité, le risque, vivre une vraie vie significative et rechercher des relations honnêtes plutôt qu'une existence sûre dans une bulle où toutes les décisions étaient prises par d'autres. Truman s'incline devant le public et sort, laissant Chistof pleurer la perte de son étoile et les revenus qu'il a générés. Les masses ignorantes qui regardent le spectacle applaudissent son évasion et demandent ensuite, "qu'est-ce qui se passe ensuite?" Platon a capturé l'incertitude et la perplexité que Truman a dû ressentir en marchant dans la lumière.
"Quiconque a du bon sens se souviendra que les égarements des yeux sont de deux sortes et proviennent de deux causes, soit en sortant de la lumière, soit en entrant dans la lumière" - Platon, L'Allégorie de la Caverne
Ce monde de plaisir dystopique manufacturé rappelle davantage le Brave New World de Huxley, où les produits pharmaceutiques et le conditionnement garderaient le public à la recherche de plaisir, préoccupé par des futilités, distrait par le matérialisme, incapable de penser de manière critique et réduit à la passivité et à l'égoïsme par le contrôle de messagerie par leurs contrôleurs. Notre État totalitaire efficace a pris le contrôle total en convainquant les masses d'aimer leur servitude et de demander plus de règles, de restrictions et de réduction des libertés au nom de la sûreté et de la sécurité.
Les téléphones intelligents, les villes intelligentes et les rues intelligentes ne sont rien de plus qu'un code pour vous espionner et vous contrôler. Truman a finalement compris que sa liberté était à lui de choisir et non à Christof de donner. Il y a une petite minorité d'Américains qui réalisent la même chose après deux ans de mesures totalitaires conçues pour nous enlever nos libertés et notre liberté. La question est de savoir s'il y aura assez de sortie de ce spectacle produit par le gouvernement tyrannique pour faire la différence. L'avenir de l'humanité dépend littéralement de la réponse à cette question.
"Les libertés ne sont pas données, elles sont prises." -Aldous Huxley
RépondreSupprimer"Un État totalitaire vraiment efficace serait celui dans lequel l'exécutif tout-puissant des patrons politiques et leur armée de gestionnaires contrôlent une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints, car ils aiment leur servitude." -Aldous Huxley, Brave New World
Tout comme ceux qui contrôlaient le Truman Show ne le faisaient pas pour le bénéfice de Truman, mais pour son enrichissement, ceux qui contrôlaient les ficelles de marionnettes de notre société actuelle ne s'intéressaient pas à notre santé au cours des deux dernières années, à notre bien-être financier, à notre bien-être psychologique -être, ou le fonctionnement rationnel pacifique de notre civilisation. Ils n'ont aucun intérêt à sécuriser notre frontière, à réduire la criminalité, à organiser des élections équitables, à promouvoir des solutions pacifiques aux conflits mondiaux ou à permettre à la vérité d'atteindre les masses. Leur programme a été et continue d'être la destruction de notre société civilisée, l'effacement de nos règles et normes fondamentales, le dépeuplement de la planète, la confiscation de nos richesses et, finalement, notre asservissement par des chaînes et des chaînes technologiques.
Comme Huxley l'a noté il y a des décennies, la technologie vient de fournir à notre civilisation un moyen plus efficace de revenir en arrière. La technologie est utilisée par nos contrôleurs pour surveiller nos mouvements, nos communications et pour nous surveiller, nous distraire et nous amuser à mort. Ce n'est plus une force pour le bien, mais un moyen de nous contrôler. Ils prévoient d'utiliser la technologie pour désarmer leurs citoyens par le biais de réglementations de plus en plus autoritaires, vendues comme nous protégeant des tireurs de masse.
Leur programme climatique ne concerne pas le climat, mais le contrôle total des masses. Lorsque le gouvernement et ses chiens d'attaque sur les réseaux sociaux surveillent les citoyens à la recherche de "discours de haine et de désinformation" et distribuent des représailles à leur guise, notre système est profondément brisé et extrêmement déformé. Ils sont censés nous répondre. Mais ces mégalomanes ont un programme bien plus vaste.
Nous avons perdu tout sens de la réalité, de la raison et de la vérité dans un monde profondément anormal, créé par ceux que nous avons autorisés à accéder au pouvoir grâce au contrôle et à l'influence de milliardaires mondialistes obscurs opérant comme un gouvernement invisible, avec des apparatchiks de l'État profond faisant le sale travailler. Schwab, Gates, Soros, le Forum économique mondial et quiconque se cache dans l'ombre derrière ces psychopathes, ont l'intention de contrôler le monde entier et de voler toutes les richesses parce qu'ils croient qu'ils sont plus intelligents, plus impitoyables et savent ce qui est le mieux pour les humbles paysans. polluant leur planète de terrain de jeu satanique.
Ils savent que les faits peuvent être ignorés lorsqu'ils ont conditionné les masses à être délibérément ignorantes. Ils savent qu'ils peuvent mentir sans implications, mais encore plus puissants, ils peuvent garder le silence sur la vérité par la censure, la suppression et l'annulation des diseurs de vérité. L'adaptation des masses à cette société anormale, créée par des hommes pervers en quête de pouvoir, est une forme de maladie mentale - ou comme l'a documenté Mattias Desmet dans son livre The Psychology of Totalitarianism - Mass Formation Psychosis.
RépondreSupprimer« Les vraies victimes désespérées de la maladie mentale se trouvent parmi celles qui semblent les plus normales. Beaucoup d'entre eux sont normaux parce qu'ils sont si bien adaptés à notre mode d'existence, parce que leur voix humaine a été réduite au silence si tôt dans leur vie qu'ils ne luttent même pas, ne souffrent pas ou ne développent pas de symptômes comme le font les névrosés. Ils ne sont pas normaux dans ce qu'on pourrait appeler le sens absolu du mot ; elles ne sont normales que par rapport à une société profondément anormale. Leur adaptation parfaite à cette société anormale est une mesure de leur maladie mentale. Ces millions de gens anormalement normaux, vivant sans chichi dans une société à laquelle, s'ils étaient des êtres humains à part entière, ils ne devraient pas être adaptés. ― Aldous Huxley, Brave New World Revisited
Je sais que je ne m'adapterai ou ne m'ajusterai jamais à cette société anormale. Nous ne pouvons certainement pas changer un système aussi soigneusement truqué et contrôlé (par exemple, les élections de 2022 en Arizona et l'élection présidentielle de 2020), par des moyens traditionnels. Ceux qui contrôlent peuvent facilement acheter nos politiciens, scientifiques, médecins, universitaires, personnalités de la télévision et journalistes pour tisser la toile de leur choix, permettant ainsi leur méprisable programme anti-humain de déviance. La seule solution viable est la solution individuelle consistant à s'éloigner de ce monde bidon comme Truman.
La révolution armée est un non-démarrage, car les oligarques ont beaucoup plus de puissance de feu et les dissidents sont désorganisés et dispersés. Une forme de «démocratie irlandaise» où une résistance obstinée silencieuse, marquée par le retrait de la société, la belligérance envers l'autorité et le non-respect des diktats du gouvernement par des millions de gens ordinaires accomplirait bien plus que des émeutes et une révolution armée. Des millions de personnes ont déjà pratiqué une forme de démocratie irlandaise en ne se masquant pas, en ne prenant pas de distance sociale, en ne se faisant pas piquer et en prenant le contrôle de leurs propres décisions en matière de santé.
Ils ont presque scellé la trappe de sortie dans ce paradis dystopique de plaisir et de douleur. Ils savent que leurs techniques de contrôle par la peur fonctionnent comme un charme. Leur dernière tâche pour obtenir un contrôle total est la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC), où tout ce que nous achetons et vendons est suivi numériquement, de sorte que les taxes peuvent être prélevées, votre vie suivie et si vous choisissez de vous opposer aux directives gouvernementales, votre capacité à utiliser Les CBDC seront désactivées. Nous micro-pucer est le prochain à l'ordre du jour.
RépondreSupprimerNous devons réduire notre empreinte fiscale et numérique dès maintenant. Cela peut sembler sans espoir d'aller se battre contre cette vermine vile et vindicative, mais la solution est de ne pas jouer. Beaucoup se sont déjà éloignés du monde moderne, s'installant à la campagne - agriculture, ferme, troc et ne donnant à César que le strict minimum. Ils ont choisi une vie difficile, mais beaucoup plus épanouissante.
Plus il y a de gens qui se dissocient de leur faux monde, plus ils s'affaiblissent. Au fur et à mesure que leur emprise sur nos vies s'affaiblit, ils se déchaînent. C'est pourquoi il est important d'être armé. La confrontation armée directe avec les forces de l'establishment est insensée, mais les tactiques de guérilla sur terre, vous le savez, commenceraient à saper le moral des voyous de la police payés envoyés pour faire respecter leurs diktats. La bête n'est pas aussi forte qu'elle le montre. Il est fauché et son empire de la dette s'effondre.
Si des millions de personnes sortent par la porte de sortie, la bête commencera à mourir de faim et finira par mourir. Peut-être qu'une nouvelle société moins complexe, plus petite, plus communautaire pourrait naître de ses cendres. Créez une tribu avec des personnes partageant les mêmes idées et ayant des compétences différentes, si possible. Il y a de l'espoir si suffisamment de patriotes décident de reprendre leurs esprits et de s'éloigner de cette société anormale, laissant nos Christofs totalitaires se vautrer dans leur incapacité à contrôler les véritables éveillés.
"Ne laissez pas le héros de votre âme paroissiale, dans une frustration solitaire, pour la vie que vous méritiez mais que vous n'avez jamais pu atteindre. Vérifiez votre route et la nature de votre bataille. Le monde que vous avez désiré peut être gagné. Cela existe, c'est réel, c'est possible, c'est à vous. ― Ayn Rand, Atlas haussa les épaules
Reprinted with permission from The Burning Platform.
https://www.lewrockwell.com/2022/12/jim-quinn/we-are-trapped-in-a-truman-show-directed-by-psychopaths/
Si nous prenons l'exemple de l'Afrique/Asie où les enfants aussi jeunes que 5 ou 6 ans sont frappés à la canne jusqu'au sang s'ils ne connaissent pas ou ne savent pas réciter par cœur le coran !! Cela en fait des idiots attardés-écartés du modernisme et de ses nouvelles découvertes. Et ces mêmes victimes de flagellations feront elles-mêmes à l'âge adulte les mêmes tortures sur leurs enfants !
SupprimerLorsque l'on voit cela on comprend cela que des enfants enfermés dans des moules auront la forme du moule. C'est ce que tentent d'appliquer au monde les dictateurs-psychopathes en place comme 'chefs de l’État' ou tirant les ficelles de derrière le rideau.
Regardez les animaux, sitôt leur âge adulte atteint ils quittent le foyer et vivent en indépendance pour se nourrir et se cacher pour dormir.
L'étranglement éveillé
RépondreSupprimerThéodore Dalrymple
02 décembre 2022
L'une des choses les plus étonnantes à propos du réveil est leur seuil d'ennui élevé. Ils semblent avoir les mêmes pensées sur les mêmes sujets, exprimées dans la même langue, toute leur vie éveillée. Ils ne se fatiguent jamais et ne baissent jamais leur vigilance. Ils regardent Raphaël ou Botticelli et ne voient que l'injustice sociale. Ce sont de terribles ennuyeux.
L'explication de leur persistance, qui ressemble à celle des mouches sur un cadavre, c'est que la vérité, qui n'a pour elles aucun intérêt, n'est pas leur objet, mais le pouvoir, le point de mire des yeux de toute médiocrité ambitieuse. Pour changer un peu la métaphore, les fous se sont emparés de l'asile ou, dans le cas des musées, les philistins.
La dernière victime du philistinisme éveillé est une exposition intitulée Medicine Man au Wellcome Institute of London, qui a fermé définitivement pour des raisons que je suis sûr que le lecteur peut fournir par lui-même - sexisme, racisme, capacitisme, effacement des marginalisés, bla, bla, blabla. Sir Henry Wellcome est réprimandé pour avoir été un homme blanc riche et puissant à une époque de colonialisme : réprimandé malgré le fait qu'il ait lancé l'une des plus grandes fondations de recherche médicale au monde et aussi la plus grande bibliothèque d'histoire médicale au monde.
"De plus en plus, les gardiens des trésors culturels ont tendance à détester ce qu'ils sont censés préserver."
Medicine Man était une sélection éclectique de la vaste collection d'objets de Sir Henry du monde entier qui avaient un lien avec la pratique de la médecine. Parfois, ce lien était plutôt ténu : par exemple la brosse à dents de Napoléon, qui a vraisemblablement tenu ses caries dentaires à distance. Il y avait des bocaux d'apothicaires; d'anciens exercices de trépanation crânienne d'une grande élégance et beauté, même si l'on tremble d'imaginer ce que devait être une trépanation au XVIIe siècle ; des portraits (par exemple du docteur gallois à moitié fou, druide et pionnier de la crémation, le Dr William Price) ; et des membres artificiels.
On imagine pourtant les arguments que les curateurs philistins du Wellcome Institute allaient avancer pour exiger la fermeture de la galerie. La galerie exploite des fous hospitalisés contre leur gré ; et leur œuvre, étrange même quand elle est belle, est exposée sans leur permission pour s'adresser à la condescendance, à la pudeur ou à la salacité du public ; certaines des images de la collection Prinzhorn ont été exposées en 1938 dans la période nazie notoire à Munich de «l'art dégénéré»; de nombreux artistes dont le travail est exposé ont été tués dans le programme nazi d'extermination des malades mentaux ; et le Dr Prinzhorn lui-même aurait été un sympathisant nazi, bien qu'il n'ait pas vécu assez longtemps pour commettre l'un des crimes nazis. Néanmoins, son œuvre est entachée par l'usage qui en a été fait. Et n'oublions pas qu'il venait d'un milieu où le nazisme était répandu.
RépondreSupprimerIl y a donc de nombreuses bonnes raisons, selon le réveillé, pour que la galerie soit complètement fermée et que les œuvres qu'elle contient ne soient plus jamais exposées au regard des curieux paresseux. La collection Prinzhorn, à la base, n'est pas meilleure que l'exposition payante des fous de Bedlam. Tels seraient les arguments des conservateurs du Wellcome Institute.
De plus en plus, les gardiens des trésors culturels ont tendance à détester ce qu'ils sont censés préserver. De nombreux bibliothécaires, par exemple, détestent les livres et ont hâte de les remplacer par de beaux terminaux informatiques propres. Quand ils ne peuvent pas les détruire complètement, ils adorent les défigurer.
Nous avons été consternés (à juste titre) lorsque les talibans ont fait exploser les statues de Bouddha à Bamiyan et que l'EI a détruit Palmyre, mais nous avons nos propres talibans, les éveillés, désireux de connaître les joies de la destruction au nom du bien absolu - tel qu'il est défini par eux-mêmes.
Theodore Dalrymple’s latest book is Ramses: A Memoir, published by New English Review.
https://www.takimag.com/article/the-woke-chokehold/
Depuis toujours les œuvres ou découvertes de savants ingénieux ont subi la désinvolture de quelques merdias d'époque mettant un terme ou écartant les récits fabulistes et sciences-fiction de peintures en leurs temps. Ils censuraient, répondaient aux termes d'exigibilités des dictateurs de l'époque.
SupprimerSi les découvreurs scientifiques ont fait leur temps les psychopathes eux ont transmis leurs trisomies au monde d'après.
C'est ainsi que ce 'monde du futur' vue par les observateurs intelligents des autres siècles n'ont vu leurs mémoires honorées par leurs descendants.
Du monde arrêté nous sommes passés au monde en marche (parfois dans l'indifférence !).
Là était la diffusion d'informations au service de la modernité des transports. Du cheval qui tirait la charrette on est passé au cheval-vapeur, puis au téléphone et l'Internet d'aujourd'hui. Les nouvelles s'accumulaient, se répandaient, envahissaient la Terre entière ! La dictature était submergée.
Quoi de neuf après les guerres qui n'empêchaient pas la prolifération que d'inventer l'attaque extraterrestre de poussières maléfiques - que dis-je - mortelles et répandatrices de mort en tous continents !
Le virus minéral s'en prenait aux rocs indestructibles ! La seringue assassine s'en prenait le relai ! La mort s'en prenait à la vie.
"Sauvez vous ! Disparaissez !"
La dictature des experts - Pourquoi il faut se méfier des experts
RépondreSupprimer3 décembre 2022
du Dr. médical Gérard Reuther
Pour la plupart des citoyens allemands, les experts viennent après Dieu. Quand les spécialistes font les honneurs, les gestes d'humilité sont inévitables. Les politiciens tirent presque exclusivement la légitimité de leurs décisions de consultations d'experts. Pourquoi devrait-on moins faire confiance aux "experts" qu'à soi-même ?
L'appréciation irrationnelle des experts a longtemps changé notre société. Non seulement les politiciens, mais aussi les juges ont depuis longtemps cessé de vouloir se passer des « experts ». Des jugements sont régulièrement retranchés derrière des appréciations d'experts dès lors qu'ils ont été nommés par le tribunal. Mais qui sont ces « experts » qui apparaissent de plus en plus souvent eux-mêmes pour apporter au public leurs prétendues connaissances ?
"Expert" n'est ni un signe de qualité ni une qualification correctement acquise. N'importe qui peut être un expert s'il restreint suffisamment son champ de vision et connaît quelqu'un qui le désigne comme une autorité. Il n'y a pas besoin de publications scientifiques ou d'évaluations dont l'exactitude est démontrable. Le journaliste, qui ne sait qu'épeler le terrorisme, siège en studio en tant qu'"expert du terrorisme", tout comme un virologue qui doit réviser ses déclarations quotidiennes le lendemain et ne peut plus penser clairement en raison de dépendances financières. Une correspondance entre la réussite d'un « expert » et l'intérêt général ne doit en aucun cas être présumée.
"Experts" ne partagent que la racine du mot avec expertise. Experiri (latin) ne signifie rien de plus que "essayer, essayer" et en aucun cas "avoir gagné". Plus importante que l'expertise et les compétences professionnelles est la volonté de mettre son cerveau au service d'un client. Personne n'est plus dépendant qu'un "expert".
En termes de biologie des systèmes, les "experts" sont une espèce hautement adaptée qui assure la survie dans des niches hostiles grâce à des capacités très particulières. Tout fait peut devenir une proie, car naturellement peu de nourriture peut être trouvée dans une zone étroitement définie. Cependant, les êtres hautement spécialisés sont des impasses de l'évolution. L'existence d'un "expert" est tout aussi précaire que celle d'un panda : il ne survivra pas plus à un environnement sans bambou qu'un "expert" ne survivra à ses besoins réels.
Les « experts » peuvent être soumis à un chantage en conséquence. Sans le petit terrain de jeu, qui doit souvent être acheté et entretenu avec l'argent des contribuables, leur existence est en jeu. Personne n'est plus disposé à être à la merci de son besoin de reconnaissance ou de ses intérêts commerciaux. Personne ne peut être acheté plus facilement par les lobbyistes. Les spécialistes, qui souffrent chroniquement d'un manque de soleil, feront presque n'importe quoi pour entretenir le terrain de jeu, l'un ou l'autre titre, fonds de recherche ou célébrités médiatiques. Nombres de reproduction estimés, scénarios de catastrophe fantasmés et tours de passe-passe statistiques du nombre d'infectés, causes de décès et effets protecteurs inclus. De nos jours, bien sûr, uniquement avec l'auréole de la "science". Cependant, il ne faut jamais tirer une pertinence pratique concrète de ces connaissances détaillées. Vous ne devriez jamais vous fier à l'opinion d'un expert pour quitter votre maison et vous asseoir sur un banc de parc.
Il faut donc se méfier des "experts". Avec leurs services commandés, ils détruisent le système de contrôle mutuel entre collègues et le consensus de base de la base de preuves. L'écrivain policier John le John le Carré (né en 1931) a averti il y a une génération que « si le monde sera détruit, ce ne sera pas par les fous, mais par la raison de leurs experts (…) Ce sont des geôliers. (...) Si nous sommes torturés, les experts le feront. Si nous sommes pendus, les experts nous pendront.
RépondreSupprimerComme s'il fallait une confirmation de cette évaluation, aujourd'hui des "experts" de la Fondation Gates ou de la Deutsche Forschungsgemeinschaftii non transparente et partiale nous livrent au couteau pour peu d'argent. Cependant, cela n'est possible que parce que, selon l'estimation de nombreuses personnes, les connaissances spécialisées comptent plus que leurs propres perceptions et leur bon sens. Cependant, nous devons notre survie antérieure dans l'évolution à cette dernière et non à aucune connaissance particulière. Ce n'est pas l'identification des micro-organismes au microscope, mais l'exercice à l'air frais et une alimentation saine en quantité suffisante nous ont amenés là où nous en sommes. Nous ne sommes ni donnés ni assignés. Nous devons nous battre pour cela !
iLe Carré J : La Maison Russie. page 197 ; scribes; New York-Londres-Toronto-Sydney 1989
ii Reuss R, Rieble V : La science libre est menacée. Frankfurter Allgemeine Zeitung du 18 octobre 2011
https://tkp.at/2022/12/03/die-expertendiktatur-warum-sie-experten-misstrauen-muessen/
D'où la naissance exponentielle de 'coachers' qui s'inventent des termes d’entraîneurs, de maîtres ou d'êtres supérieurs en... ESCROQUERIES !!
SupprimerFonction d'avenir: coacher de coacher(s) !
Le prix élevé de l’énergie pourrait tuer plus d’Européens que les combats en Ukraine
RépondreSupprimerPar Marc Vandepitte
Mondialisation.ca,
02 décembre 2022
De Wereld Morgen
C’est gênant : les sanctions économiques résultant de l’invasion de l’Ukraine touchent davantage l’Europe que la Russie. Or, une étude récente de The Economist montre qu’en raison du prix élevé de l’énergie, le nombre de décès supplémentaires en Europe au cours de l’hiver prochain pourrait dépasser le nombre de soldats tués au combat jusqu’à présent en Ukraine. De quoi réfléchir.
Avant la guerre, la Russie fournissait environ 40 % de la consommation totale de gaz de l’Union européenne. En réaction à la guerre et pour réduire leur dépendance à l’égard du gaz russe, l’Ukraine et la Pologne ont coupé certains pipelines acheminant du gaz de la Russie vers l’Europe occidentale.
Les pays, tels que la Finlande, la Bulgarie et la Pologne, qui n’étaient pas disposés à payer leur gaz en roubles ont été déconnectés par la Russie. En outre, les opérations nécessaires pour maintenir l’important gazoduc Nord Stream I à pleine capacité ont également été compromises.
La forte réduction de l’offre de gaz, qui ne peut pour l’instant être entièrement compensée par d’autres importations, a fait grimper en flèche les prix du gaz et, indirectement, ceux de l’électricité en Europe.
Entre-temps, en raison de l’automne très doux et du fait que l’Europe a stocké de grandes quantités de gaz, les prix du marché ont chuté par rapport au pic de l’été. Malgré tout, le prix moyen du gaz aujourd’hui est presque deux fois et demie supérieur à celui de la période 2000-2019. Pour l’électricité, c’est presque le double.
Et maintenant, l’hiver arrive à grands pas. C’est un phénomène bien connu : à cause du froid, plus de personnes meurent en hiver qu’en été. En Europe et aux États-Unis, cela représente environ 20 % de plus en moyenne.
Dans le passé, les prix de l’énergie n’avaient pas ou peu d’impact sur cette surmortalité, car les fluctuations étaient très faibles. Mais aujourd’hui, les augmentations de coûts sont remarquablement importantes, si bien que l’on s’attend à un impact beaucoup plus grand.
Pour calculer cet impact, The Economist a développé un modèle statistique. Outre le prix de l’énergie, trois autres facteurs sont à l’origine du nombre de décès supplémentaires : le plus important est la rigueur de l’hiver, à laquelle s’ajoutent la gravité de la saison de la grippe (qui est en partie déterminée par le froid) et, enfin, l’allocation que les gouvernements accordent aux familles pour absorber la hausse des prix.
Les prix élevés de l’énergie peuvent exacerber l’effet des basses températures sur les décès s’ils découragent les gens d’utiliser le chauffage et augmentent ainsi leur exposition au froid. Dans une large mesure, il en va de même pour le soutien apporté par les gouvernements aux ménages pour faire face au choc énergétique.
Selon l’étude de The Economist, la « conclusion difficile » est que l’impact « se révélera très puissant » et que le nombre de morts « pourrait être supérieur au nombre de soldats morts au combat jusqu’à présent en Ukraine. »
RépondreSupprimerSi les prix de l’énergie restent à leur niveau actuel, environ 147.000 personnes de plus mourraient en Europe par rapport à un hiver où les prix seraient « normaux ». Cette projection vaut pour des températures hivernales normales. Avec des températures plus douces, en supposant l’hiver le plus chaud des 20 dernières années pour chaque pays, ce chiffre de surmortalité supplémentaire tombe à 79.000. Avec un hiver rigoureux, soit l’hiver le plus froid enregistré depuis 2000 pour chaque pays, le chiffre passe à 185.000 décès.
On estime qu’environ 25.000 à 30.000 militaires sont morts dans la guerre des deux côtés et que 6.500 autres civils ukrainiens sont morts. Au total, c’est donc moins que dans le meilleur scénario du modèle de The Economist.
L’hebdomadaire note que l’effet peut varier considérablement d’un pays à l’autre. Dans les pays qui ont fixé des plafonds sur les prix maximums ou une facture maximum, il n’y aura pratiquement pas de décès supplémentaires. Le taux de mortalité pourra même baisser. C’est le cas de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Espagne et de l’Autriche, entre autres.
Des décès beaucoup plus importants sont prévus dans les pays où le soutien gouvernemental est (pour l’instant) faible, comme l’Italie, l’Estonie et la Finlande. The Economist ne mentionne pas explicitement la Belgique. En matière de soutien gouvernemental, notre pays se situe quelque part entre les deux extrêmes.
À long terme, les sanctions contre Poutine affaibliront très certainement l’économie russe. Mais jusqu’à présent, ce n’est pas du tout le cas. Les recettes attendues des exportations énergétiques russes cette année seront supérieures d’un tiers à celles de l’année dernière.
Ce sont principalement les pays européens qui se tirent une balle dans le pied avec ces sanctions. Des données récentes montrent que le taux d’activité (indicateur d’activité courante) de la Russie est plus élevé que dans les autres grands pays européens.
En raison des prix élevés de l’énergie, de nombreuses entreprises pourraient être amenées à fermer leurs portes ou à se délocaliser vers d’autres régions où les coûts énergétiques sont moins élevés. En outre, pour lutter contre l’inflation, elle-même principalement due aux prix élevés de l’énergie, nous nous dirigeons presque certainement vers une véritable récession en Europe.
Ainsi, outre l’autoflagellation économique, le bilan des vies humaines en Europe sera particulièrement lourd. Il est maintenant temps de réfléchir sérieusement au sens, ou plutôt au non-sens, des sanctions économiques.
Marc Vandepitte
Source originale: De Wereld Morgen
https://www.mondialisation.ca/le-prix-eleve-de-lenergie-pourrait-tuer-plus-deuropeens-que-les-combats-en-ukraine/5673175
Jean-Marc Jancovici, favorable à un système communiste pour lutter contre le réchauffement climatique
RépondreSupprimer01 décembre 2022 - 16:15
Limiter la température à 19° C, le nombre de vols par avion à 4 par an, la vitesse sur les autoroutes à 110 km/h... Pour Jean-Marc Jancovici, la lutte contre le réchauffement climatique doit impliquer des “actions concrètes”, quitte à restreindre certaines libertés individuelles. Dans ce cadre, l'ingénieur et conférencier se dit favorable à l'instauration d'un système communiste.
Invité du Grand entretien de France Inter le jeudi 24 novembre 2022, ce professeur à l'École des Mines, fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 et président du think tank The Shift Project, estime que “l'objectif de rester sous 1.5° est mort”, affirmant que le déclin de la production des énergies conventionnelles “servira la lutte contre le réchauffement climatique, par la force des choses”.
Jean-Marc Jancovici estime que le déclin de la production des énergies conventionnelles, à l’image du pétrole, sonne la fin de la récréation énergétique. “Aujourd’hui, un problème reste très mal défini, c’est Pick Oil, c’est-à-dire l’approvisionnement en pétrole, et en gaz, dans son approche géologique et non pas climatique, qui est beaucoup plus abordé par les médias”, explique-t-il.
Le professeur rappelle qu’en 2018, l’agence internationale de l’énergie a annoncé “que la production mondiale de pétrole conventionnel a dépassé son maximum en 2018 et depuis, c’est le déclin terminal. C’est irrémédiable”, dit-il.
Jean-Marc Jancovici a ainsi expliqué que cette baisse de production des énergies fossiles, qui constitue, selon les animateurs du Grand entretien, un “échec de la COP 27” qui s’est déroulée en Egypte, doit entraîner des “actions concrètes”. Et certaines de ses propositions ne manquent surtout pas de susciter la polémique et alimenter les craintes de voir les libertés individuelles être compromises au nom de la lutte contre le réchauffement climatique.
“4 vols par an et limitation de la température à 19° c"
L’invité de cette émission rebondit d’abord, à titre d’exemples, sur les déclarations de la Première ministre, Elisabeth Borne, sur la stratégie du gouvernement en matière de politique énergétique. “Les bons mots sont là mais les bons actes ne le sont pas nécessairement. Je vous donne un exemple de sobriété, qui ne porte pas sur une consommation essentielle de pétrole dans ce pays. C’est la limitation de vitesse à 110 km/h sur l’autoroute. C’est une mesure de sobriété, à laquelle la majorité de la population est désormais favorable”, dit-il.
M. Jancovici évoque le débat en vigueur, celui de la température dans les logements. “Depuis le choc pétrolier, nous avons une obligation réglementaire de limiter la température à 19° c. Vous avez énormément de bâtiments dans lequel ce n’est pas le cas. Il ne faut pas que cela reste un mot. Il faut parler d’actions concrètes”, a-t-il plaidé.
Interrogé ensuite par un auditeur, l’invité de France Inter fait des déclarations qui suscitent la polémique. “Je suis favorable, dit-il, à un système communiste : riche ou pauvre, vous auriez droit, dans toute votre vie, à 3 à 4 vols par avion, dont 2, dans votre jeunesse”.
Pour justifier sa déclaration, il déclare que “l’avion représente aujourd’hui 8% du pétrole mondial”. Ce moyen de transport “est né avec le pétrole et mourra avec le pétrole. Il n y a pas de solution technique à l’échelle pour conserver les quelques milliards de passagers aériens qu’on a par an (...) je suis désolé de le dire, mais (Les étrangers qui prennent l’avion plusieurs fois par an pour voir leurs familles, NDLR) les verront moins”.
RépondreSupprimerJean-Marc Jancovici justifie le nombre de “4 ou 5” par le problème de devoir gérer le prix ou par les quantités. Celui basé sur les quantités est plus efficace que celui géré par les prix, dit-il. Il ajoute: “Une personne qui prend l’avion pour aller se mettre dans un hôtel dans une autre ville, ou qu’elle se mette dans un voyage organisé ou dans un village de vacances, la découverte d’une autre civilisation (suggérée par l’animatrice, NDLR) est un terme exagéré”.
Le fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 justifie également son opinion par le fait que “le recours à des énergies renouvelables nécessite des décennies d’anticipation”. "Le grand n’importe quoi dans les médias et dans le politique porte désormais sur solutions au problème. On entend beaucoup de bruits sur l’avion à hydrogène qui va sauver l’aviation commerciale, la voiture électrique qui va permettre d’avoir 1.2 milliard de véhicules particuliers dans le monde... Beaucoup d'informations sont reprises sans mise en perspective, donnant l’illusion que le problème sera très facile à mettre sous contrôle”, affirme-t-il.
La guerre en Ukraine “sert” la lutte contre le réchauffement climatique
“Le pic de la production de pétrole conventionnel était en 2008 et celui des autres types, c’était possible que c’était en 2018. On va devoir faire avec moins. On a tellement perdu de temps, à ne pas comprendre qu’on allait devoir faire avec moins, qu’on est surpris, on répond dans le désordre”, poursuit Jean-Marc Jancovici.
“Cela se gère avec des décennies d’anticipation (...) On est passé de 2 à 40 millions de véhicules particuliers entre 1945 et aujourd’hui. On ne va pas changer cela en une semaine… On n’arrive pas à raisonner sur les bons horizons de temps”, regrette-t-il.
L’invité du Grand entretien de France Inter dément ainsi les mots d’Elisabeth Borne selon qui “la transition énergétique va de pair avec la croissance et la création d’emplois”. “C’est un mythe. Elisabeth Borne fait un métier qui consiste à dire, comme tout politique, que tout est son contrôle. Quand on regarde ce qui a fait la croissance économique ces 2 derniers siècles, c’est les machines, donc l’énergie”.
Interrogé également sur la guerre en Ukraine et son impact sur l’approvisionnement en gaz en Europe et, de ce fait, la relance de la production de charbon, Jean-Marc Jancovici estime que “cela va servir la cause". "Par la force des choses, si on manque de gaz et de pétrole, on émet moins de gaz carbonique... L’approvisionnement est limité par la géologie. C’est évident que les émissions de gaz carbonique ne peuvent pas croître indéfiniment (...) La seule question est, qu’est-ce qui les fera baisser, un jour ? Notre volonté, ou des événements externes, comme une guerre, une pandémie, un effondrement économique .. ?”, s’interroge-t-il.
RépondreSupprimerIl estime que Vladimir Poutine “ne fait qu’accélérer l’Histoire”. “On expérimente, malheureusement, la seconde possibilité, à savoir les événements extérieurs”.
À propos de cette volonté de réduire les émissions de gaz carbonique, ce professeur estime que les COP ne seraient pas efficaces sans les efforts nationaux des États : "Le fonctionnement d’une COP fait qu’on ne peut pas contraindre, de l’extérieur, des pays qui ne voudraient pas de l’intérieur, avancer sur le sujet”.
À ce propos, il conclut que l’objectif de passer sous les 1.5° est “mort”. “Probablement, sauf une comète, une nouvelle peste ou une guerre thermonucléaire. Aujourd’hui, le réchauffement planétaire est de l’ordre de 0.2° par décennie, même dans un scénario comme celui prévu par l’Accord de Paris, on franchirait les 1.5° avant 2050. On nous fait franchir transitoirement le seuil avant que cela ne redescende. L'objectif étant de rester sous 1.5° est mort”.
La déclaration de Jean-Marc Jancovici sur son “système communiste” et le nombre de vols a provoqué une polémique. Sur les réseaux sociaux, certains alertent contre un “totalitarisme écolo-communiste en marche”. Pour l'économiste Philippe Herlin, cette déclaration constitue un "aveu" : "Voilà à quoi sert la lutte contre le soi-disant "réchauffement climatique anthropique", je le dis depuis longtemps : instaurer le communisme", a-t-il dénoncé. D'autres internautes ont à l'inverse salué l'intervention d'"un invité qui réveille les neurones, les consciences."
Des craintes alimentées également par les mesures prises à travers le monde. Pour réduire l’empreinte carbone, plusieurs pays, à l’image du Canada ou de l’Australie ont déjà franchi des pas importants. Des banques affichent, par exemple, à leurs clients, leur quota carbone.
En France, l'instauration d'un “pass carbone”, outil qui accorderait aux citoyens un “quota” de gaz carbonique à ne pas dépasser pour les achats, a été présenté sur BFM TV comme “une des clés du succès face au changement climatique”.
https://www.francesoir.fr/societe-environnement/jean-marc-jancovici-favorable-systeme-communiste-lutte-rechauffement-climatique
Notez bien que comme des présidents ou ministres ou autres propres-à-rien du WEF certains 'professeurs' (professeur à l'École des Mines, fondateur du cabinet de conseil Carbone 4 et président du think tank The Shift Project) n'en savent pas plus qu'un nouveau-né trisomique ! Pas savoir que c'est LE MAGMA qui règle le chauffage et non-pas ce qui en bénéficient, là faut être LE ROI DES CONS !
SupprimerParler du gaz carbonique comme étant un élément calorifique frise la démence et discutailler sur le pétrole ABIOTIQUE qui aurait une fin est criminogène.
L’État profond : le mythe le plus bête de notre temps
RépondreSupprimerL’État profond est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué.
le 2 décembre 2022
Pascal Avot
Il appartient aux historiens de remonter le cours de l’idée d’État profond jusqu’à ses origines. Tel n’est pas l’objet de cet article. Ce dont nous allons parler ici, c’est de cette idée proprement dite, en l’observant sous l’angle de sa définition, de la vison du monde qu’elle propose, des attitudes mentales qu’elle fait naître, et de ses perspectives d’avenir.
Qu’est-ce que l’État profond, si l’on suit ceux qui croient en son existence ? C’est un pouvoir politique plus puissant que les institutions, les partis et les médias, qui les domine et les manipule tous. Quelle est la nature de ce pouvoir ? Elle est secrète, mensongère, cynique et cupide. Quel est son objectif ? L’établissement d’un système totalitaire incritiquable – soit national, soit international.
Quoi d’autre ? Rien. Ou plutôt : c’est tout. Car une des particularités de l’État profond est l’extraordinaire pauvreté de sa définition. Cette pauvreté nourrit son mystère : si l’on peine à cerner l’État profond, c’est parce que l’État profond refuse d’être cerné.
L’État profond est structurellement énigmatique. Il ne peut exister que derrière un camouflage. Il se cache de sa naissance à sa mort. Il ne révélera jamais son vrai visage. Il n’est ni Macron, ni Biden, mais les hommes derrière eux. Et qui sont ces hommes ? Soros ? Schwab ? Rothschild ? Ce serait trop simple ! Le concept d’État profond est tel une poupée russe infinie : il y a toujours un marionnettiste invisible au-dessus du marionnettiste visible. L’État profond recule à mesure qu’avance l’enquêteur. Pure influence, il est également pure lâcheté.
Comment fonctionne-t-il ? Il organise la soumission progressive de l’humanité à un ordre à la fois financier, juridique, politique, médiatique, psychologique, numérique, sanitaire, qui empêche toute contradiction, annule toute rébellion, empêche toute révolution et anéantit toute libération. Comment parvient-il à établir cette tyrannie sans limites et indestructible ? En se faisant passer pour la démocratie, pour la modernité et pour le marché. Au lieu de bloquer les oppositions, ils les absorbe, les phagocyte, les canalise et les dévitalise. S’il nous est encore possible de dénoncer l’État profond, c’est parce que l’État profond le veut bien, et il encourage cette dénonciation pour l’épuiser.
RépondreSupprimerLes dictatures classiques est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué.sont bêtes : elles commettent l’erreur fatale de frapper leurs adversaires. L’État profond n’a pas cette naïveté. Il finance ses ennemis pour les tenir. Il corrompt ce qui le combat. Il épouse les mouvements qui l’attaquent. Il est la subversion étatique parvenue à son point de perfection. Cet article de Contrepoints n’est alors, peut-être, qu’une pièce de plus dans le puzzle global de l’État profond.
Un pouvoir de l’État exagéré
L’État profond profite de tout. Les fruits de la misère comme ceux de la prospérité aboutissent sur ses comptes offshore. Que les bourses soient à la hausse ou à la baisse, il gagne. Il est l’alpha et l’oméga du capitalisme contemporain, l’inspirateur de l’hyper-libéralisme, le chef d’orchestre de la jungle. Les pauvres sont ses proies, les riches ses obligés, les fonctionnaires ses automates, les grands patrons ses gardes du corps. Il est le poison qui innerve toute crise économique : la sève de l’injustice.
Il lave vos cerveaux matin, midi et soir. Son hypnose est absolue. La publicité, le cinéma, les médias, les réseaux sociaux, la consommation, les addictions, les marques et leurs logos, la pornographie, la drogue, sont ses pendules. Vous n’échapperez pas à la vidange patiente et méthodique de vos neurones. Et n’allez pas vous plaindre, car l’État profond veut vous rendre heureux. Tellement béats, jouisseurs et satisfaits que vous acceptez de devenir des zombies, détails insignifiants, pixels sur l’écran géant de l’étatisme profond.
Et si d’aventure vous esquissez un pas de côté par rapport à ses prévisions, l’État profond vous fera peur. Peur de la guerre, peur des virus, peur de la misère, peur de l’anarchie, peu importe : vous courrez vous réfugier sous son aile protectrice. Il vous angoisse pour vous rendre docile. Redoutez la terre entière ! Laissez-vous atomiser et disparaissez dans le trou noir de l’État profond.
Le portrait ainsi dressé de cette hydre inouïe est-il grossier, caricatural, subjectif ? Non. C’est le concept même d’État profond qui est imbécile. Notre description semble le peindre sous un jour grotesque, mais il n’en a pas d’autre : il n’existe pas de définition décente, raisonnable, intelligente, de l’État profond. Le sérieux de ce mythe repose sur le fait que l’on s’interdise formellement de le regarder en face – et moins on le regarde en face, plus on peut prétendre qu’il se dérobe.
RépondreSupprimerCroire en l’existence d’un complot planétaire juif, ou LGBT, ou franc-maçon, c’est exagérer de manière démesurée la cohésion, l’habileté et la puissance d’une communauté, d’un parti, d’une association ou d’un État. Avec l’État profond, rien de tel : on parle ici d’un ennemi sans organigramme, sans QG, sans statuts, sans colonne vertébrale ni peau, sans substance et sans forme. Si bien que la croyance en l’existence de l’État profond n’est pas un simple conspirationnisme parmi d’autres, mais le conspirationnisme qui les englobe et les supplante tous.
L’État profond transcende le complot. Il est tellement partout qu’il n’est plus nulle part. Sa nature est métaphysique. Seuls les éclairés, les initiés, les illuminés, sont capables de sentir sa présence. En d’autres termes : le concept d’État profond est une machine à fabriquer des paranoïaques. Et il se trouve que la paranoïa est contagieuse : c’est une « folie partagée », comme disent les psychiatres. Il y a une dimension communicative de la croyance en l’État profond, qui explique son étonnant succès.
Les faux prophètes
Se persuader que l’État profond est une réalité rend bête, malheureux et dangereux. Bête parce que la complexité du monde disparaît instantanément : l’individu, la liberté, l’intériorité, la différence, l’imprévisibilité, ne comptent plus. Malheureux parce que le monde où règne l’État profond est humainement horrible, émotionnellement abject, spirituellement désespérant : une extinction programmée de l’âme. Et dangereux parce qu’un individu écervelé et sans espoir constitue un péril pour son environnement, s’il associe sa rage à celles de millions de ses semblables.
L’État profond est un mythe d’une incoercible ineptie, mais, à force de s’étendre, il est devenu si labyrinthique que l’on se prend à le trouver sophistiqué. Ne nous y trompons pas. Il est primitif et aveugle, complètement inculte : il est à la réflexion politique ce que l’analphabétisme est à la lecture. Il ne mérite aucun égard, aucun attendrissement, aucune complicité. Quand Klaus Schwab prétend remodeler l’univers, riez aux éclats, car nul n’y est jamais parvenu et n’y parviendra jamais.
Les fantasmes de Schwab n’ont pas plus de fondements que les plans quinquennaux de Staline. L’inventeur du Great Reset échouera de manière aussi pitoyable que ses prédécesseurs. Big Brother est le personnage du plus grand récit de toute l’histoire de la littérature politique, mais la vie, quoi qu’en dise Guillaume Musso, n’est pas un roman.
Bien sûr, les tentatives concrètes existent. Au XXe siècle, en Russie, a existé un État profond : le Parti communiste, qui décidait de tout : l’État, le vrai, officiellement aux commandes n’était qu’un décor cyclopéen. L’immense château de cartes a fini par s’effondrer et son architecte idéologique ne lui a pas survécu.
RépondreSupprimerCertes, il existe des menteurs, des manipulateurs, des machiavéliques, des désinformateurs, des intrigants de toutes sortes et même d’authentiques comploteurs, qui ont leurs réseaux. Parfois même, ils écrivent un petit peu l’Histoire. Attali laisse entendre aux candides qu’il a fabriqué Mitterrand et Macron. Hélas pour lui, les manipulations de salon ne durent qu’un temps – jusqu’à ce que le concret les balaye d’un revers de main, avec tous ceux qui les ont cru éternelles.
On peut parier que, dans deux ou trois ans maximum, plus personne ne parlera de l’État profond, ni du Great Reset, ni de Schwab. La folie partagée aura déniché un nouveau monstre sous son lit.
« Si tu vois, dans le pays, le pauvre opprimé et le droit et la justice violés, ne t’en étonne pas, car le puissant est dominé par un plus puissant, et ceux-là le sont par de plus puissants encore. » Le Livre de l’Ecclésiaste
https://www.contrepoints.org/2022/12/02/444897-l-etat-profond-le-mythe-le-pus-bete-de-notre-temps
Quand un élève entre dans une de ces 'grandes écoles' on lui demande en premier de faire le vide dans sa tête. "Çà y est ?... Maintenant tu peut être président !"
SupprimerCoupures, délestages de courant : comment s’y préparer ?
RépondreSupprimerPar Jean-Baptiste Giraud
le 2 décembre 2022 à 21h54
Avec un budget de 400 euros, on peut faire face sereinement aux coupures de courant
Plus la menace de coupures de courant (appelée sobrement délestages) s’approche, plus l’on découvre à quel point nous sommes dépendants de l’électricité pour tout. Dernière découverte en date, le risque de voir les réseaux mobiles tomber, en cas de coupure de courant. Et ce n’est pas la seule conséquence, la liste est longue ! En revanche, vous pouvez vous préparer, afin de rendre les coupures de courant les moins pénibles possibles grâce à quelques conseils. Voici comment.
Coupure délestage de courant : la priorité, s'éclairer
La première conséquence des coupures-délestages de courant, c’est tout simplement de vous priver... d’éclairage. Les bougies ont bon dos ! Leur côté romantique ou romanesque ne tiendra pas longtemps face à la médiocrité de la lumière qu’elles procurent, face à leur durée de vie somme toute limitée, et face aux risques d’incendies qui en accompagnent l’usage. On a vite oublié que ce sont les bougies et les chandelles utilisées pour s’éclairer qui ont été de tout temps la principale cause d’incendie en Occident, emportant des villes entières (et une partie de leurs habitants) dans des torrents de flammes !
Il est donc capital d’anticiper les conséquences d’une coupure-délestage de courant sur l’éclairage domestique. Soyons clairs : non, la lampe torche, la lampe de camping électrique, ne sont PAS des solutions pérennes ou agréables. C’est du dépannage ponctuel, pas une solution viable pour affronter des jours, voire, des semaines de défaillance du réseau électrique le matin et le soir s’il fait froid en France !
Risque de coupure de courant : remplacez vos ampoules par des LED
Avec les ampoules LED basse consommation, il est parfaitement possible aujourd’hui d’éclairer correctement et même normalement la pièce à vivre, le temps que la coupure passe, et si nécessaire, la cuisine et une chambre à coucher. Pour cela, il suffit tout simplement de choisir de passer sur onduleur informatique un lampadaire suffisamment puissant dans sa pièce à vivre. Vous vous assurerez que ce lampadaire n’est pas équipé d’une ampoule halogène, ni non plus d’une ampoule à incandescence classique, mais bel et bien d’ampoules LED.
Pour faire face aux délestages coupures de courant, l’idéal est de disposer d’un lampadaire équipé de trois ou quatre ampoules LED. La somme d’énergie consommée (sur une base de 5 watts par ampoule) est infime, pour une puissance d’éclairage (exprimée en lumens) pleinement satisfaisante. Quatre ampoules de 5 watts chacune dégagent au total environ 2000 lumens, ce qui est parfaitement suffisant pour éclairer confortablement plusieurs personnes situées à proximité du lampadaire.
Un onduleur informatique tout ce qu’il y a de plus classique (à partir de 360 watts), vendu autour de 50 à 70 euros sur Internet ou dans un magasin spécialisé, vous procurera sans difficulté trois heures de lumière. Exactement comme si le lampadaire était branché sur le réseau électrique « normal » !
Cette opération peut-être répété dans une chambre à coucher, pour alimenter des lampes de chevet. Cependant, il faudra alors prendre soin de choisir un onduleur sur lequel le signal sonore de coupure du réseau est désactivable. Sinon, l’onduleur émettra un petit bip toutes les 30 secondes, jusqu’au retour du réseau électrique... Pénible. Pour ma part, j’ai placé l’onduleur dans une autre pièce que la pièce à vivre. Ses bips deviennent alors inaudibles.
A la cuisine, les éclairages 12 volts sont banals, parfait en cas de coupure de courant
RépondreSupprimerQuant à la cuisine, si l’on veut pouvoir s’y rendre pendant une coupure-délestage de courant, je conseille de se servir des éclairages 12 volts qui y sont très largement déployés, souvent, sous les placards. Si vous avez installé vous-même ces éclairages 12 volts, vous savez les débrancher du transformateur 220 volts. Il suffit alors d’y relier une simple petite batterie, par exemple une batterie de scooter ou d’unappareil électrique quelconque pourvu qu’elle soit 12 volts, sur ces spots.
Il vous en coûtera une vingtaine d’euros, et cela vous fournira au moins une bonne heure de lumière ! Largement de quoi préparer fouiller dans ses placards et préparer de quoi grignoter. Si vous n’avez pas installé vous-même ces éclairages 12 volts, sachez qu’il est vraiment très facile de les alimenter en direct. C’est sans aucun risque pour vous puisque c’est de la basse tension ! Pensez simplement à débrancher le transformateur du secteur (220 volts avant de procéder à un essai d’alimentation en direct. C’est du bricolage de niveau classe de Seconde.
Réfrigérateur, congélateur et coupure de courant : que faire ?
La deuxième priorité, en cas de délestage-coupure de courant, c’est de sécuriser les aliments stockés au frais, dans son réfrigérateur et dans son congélateur. Comment éviter qu’ils ne s’abîment ? La réponse est on ne peut plus simple, et évidente à la fois. Il suffit de ne PAS ouvrir le réfrigérateur ou le congélateur pendant la coupure de courant !
Ces appareils sont en effet suffisamment isolés pour conserver une température optimale de conservation plusieurs heures, sans alimentation électrique. Pourvu qu’ils restent fermés.. Et pour cela, il faut donc avoir anticipé la coupure-délestage de courant. Cela signifie que l’on va sortir de son réfrigérateur les aliments que l’on prévoit de consommer avant que le courant ne soit coupé. Vous pouvez les garder dans des tupperware ou boîtes en plastique, avant, et après. Ils retourneront au réfrigérateur, pour ce qu’il en reste, une fois le courant revenu !
Coupure de courant : gardez le réfrigérateur fermé
Pour les aliments que vous sortirez du congélateur, il faudra évidemment également anticiper, et les sortir quelques heures avant de les consommer (et ne pas les y remettre après, ils iront au réfrigérateur). Mais il faut aussi anticiper la cuisson ou le réchauffage, le cas échéant ! Si vous disposez d’une gazinière, pas de problème évidemment. Si vous êtes équipé de plaques électriques, ou même seulement d’un four électrique, il vous faudra cuire votre repas en avance ! Et ne comptez pas sur le micro-ondes pour réchauffer à la va-vite...
Pour garder au chaud des aliments, de nombreuses solutions existent. Couvrir une tarte chaude avec un plat est déjà bien. Utiliser un plat thermos est évidemment beaucoup plus efficace. Au passage, n’oubliez pas aussi de chauffer de l’eau (sauf si vous avez une gazinière), et de mettre cette eau dans un Thermos. Un bon thé ou une tisane, en attendant le retour du courant, seront toujours bienvenus !
RépondreSupprimerLoisirs : que faire pendant que le courant est coupé ?
Vous avez éclairé une ou plusieurs pièces de votre appartement ou de votre maison, vous avez fait ce qu’il faut pour pouvoir vous nourrir et manger (et boire chaud) en attendant le retour de courant. Nous parlerons du chauffage plus bas. Mais que faire en attendant que le courant ne revienne ?
La première réponse est évidemment : lire ! Profiter du fait que les écrans sont indisponibles est une excellente occasion pour avancer le ou les livres ou les magazines qui s’empilent à moitié « consommés » au pied du lit ou sur la table basse du salon ! La deuxième réponse, tout aussi satisfaisante, est : jouer. C’est le moment de sortir les boîtes de jeux de société qui prennent la poussière, et de redécouvrir les soirées animées en famille ou entre amis !
Mais si la plaisanterie des coupures de courant continue et dure, ce qui, soyons clairs, a de fortes chances, ou plutôt de forts risques d’arriver, vous serez peut-être content de... regarder un bon film. Problème numéro 1 : oubliez les plateformes de type Netflix, Amazon Prime Video ou Disney+. Si le courant est coupé, Internet a de fortes chances, ou plutôt, risques, d’être indisponible ! Si vous regardez des plateformes sur ordinateur, tablette ou smartphone, pensez donc à télécharger des contenus à l’avance.
Stockés en local, ils pourront être lus, même si vous n’avez plus de réseau, pourvu que vous ayez encore de la batterie dans votre périphérique. Pour le coup, les batteries auxiliaires pour smartphones ou tablettes coûtent trois fois rien, il est temps de vous équiper ! Si vous avez un ordinateur portable, pensez à le maintenir chargé à 100 % avant les coupures... Vous connaissez l’autonomie de fonctionnement de tout ces appareils, elle est plus que suffisante pour s’enfiler des séries ou des grands films en attendant le retour du courant électrique.
On peut regarder la télévision, même en cas de coupure de courant
Maintenant, vous voulez... profiter de votre grande télévision, ou de votre vidéo-projecteur. Et vous avez bien raison car, c’est parfaitement faisable, pour un coût minimum. Pour cela, vous pouvez acheter une batterie automobile (12 volts), de préférence un modèle recommandé pour « camping-car ». On trouve de grosses batteries de ce type, chez Bosch, par exemple, pour une centaine d’euros.
L’intérêt de choisir une batterie « spécial camping-car », c’est qu’elles sont conçues justement pour fournir du courant, moteur du véhicule arrêté, pendant plusieurs heures, le soir, au bivouac. Elles sont dites à « décharge lente ». Comptez environ 100 euros ou un peu plus pour une telle batterie, garantie pour... 800 à 1000 cycles de charge / décharge. De quoi tenir plusieurs hivers avec des pannes de courant intermittentes !
RépondreSupprimerAjoutez 30 à 50 euros pour un onduleur (convertisseur) 12/220 volts, de 300 à 500 watts de puissance. Cet onduleur va vous permettre d’alimenter votre télévision ou votre vidéo projecteur en cas de délestage-coupure de courant, mais aussi le lecteur de DVD Blu Ray, et même le système hi-fi, pendant plusieurs heures ! Personnellement, j’ai branché une immense télévision 170 cm pendant 3h30 sur une batterie de ce type avec un onduleur 500 watts acheté 36 euros. A la fin de l’expérience, la batterie affichait encore une tension de 11,1 volts. Or, on considère que c’est en dessous de 9 volts qu’une batterie commence à se dégrader. Les onduleurs convertisseurs offrent tous par ailleurs des ports USB, permettant de recharger en parallèle tablettes et smartphones. Ils ont tous deux, ou trois sorties 220 volts, permettant donc de brancher télévision, lecteur DVD / Blu Ray, et système Hi-Fi.
En cas de coupure de courant, comment se chauffer ?
Enfin, le dernier point à régler et anticiper en cas de coupure de courant qui dure et se répète régulièrement, c’est le chauffage. D’abord, soyons logiques. Si les coupures sont annoncées le soir, entre 18h00 et 22h00, et le matin de 8h00 à 13h00 (ce qui commence à faire long), il suffit d’être prévoyant : décalez vos thermostats en fonction de ces paramètres ! Le matin, demandez à votre chaudière, ou à vos chauffages individuels, de monter en température à partir de 6h00 du matin et plus 7 ou 8h00. Le soir, demandez leur de remonter la température de la maison ou de l’appartement à partir de 16h00 et non plus 18h00.
Maintenant, si vous voulez pouvoir chauffer la pièce à vivre pendant la durée des coupures-délestages de courant, il n’y a pas à faire de gros investissement. Un chauffage individuel au gaz coûte entre 100 et 150 euros, et la bouteille à connecter, une trentaine d’euros, plus la consigne (remboursable). Et une bouteille de gaz, utilisée raisonnablement pour se chauffer pendant les coupures de courant, tiens... deux à trois mois ! Autrement dit, assurer le confort de toute la famille, dans la pièce à vivre, éclairée, avec de quoi lire, jouer, et même, regarder un film en attendant le retour du courant, vous coûtera au total moins de 400 euros.
La perspective de voir notre pays tomber si bas, obligé de couper le courant à des millions d’habitants simultanément pour sauver le réseau électrique du black-out, n’est pas réjouissante du tout. Il est toutefois rassurant de savoir qu’en prenant quelques dispositions simples, en anticipant, on peut adoucir, et même, rendre amusant, cet épisode peu glorieux. Peu glorieux pour ceux qui nous gouvernent, et sont censés en théorie avoir une vision à long terme sur tous les sujets de souveraineté... Et l’indépendance énergétique en est une.
https://www.economiematin.fr/coupures-delestages-electricite-conseils
Il n'y aura pas d'asymptomatiques ! Quand il fait noir c'est noir (ou 'Noir c'est noir' comme disait Johnny). Quand il fait froid c'est froid ! Et quand c'est la dictature c'est la mort.
SupprimerLa Suisse envisage d'interdire les véhicules électriques pour éviter les pannes d'électricité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 02 DÉCEMBRE 2022 - 19:45
Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
La Suisse pourrait limiter l'utilisation des véhicules électriques (VE) en cas de pénurie d'électricité cet hiver dans le cadre d'un nouveau plan en quatre étapes pour prévenir les coupures et les pannes d'électricité.
Pour assurer la sécurité énergétique cet hiver, la Suisse pourrait devenir le premier pays à limiter la conduite et l'utilisation des véhicules électriques, rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, citant plusieurs articles de presse sur le plan d'action suisse en quatre étapes pour éviter les pannes d'électricité.
La conduite de véhicules électriques pourrait être interdite en Suisse, sauf en cas de «déplacements absolument nécessaires» dans la troisième étape des plans d'économie d'énergie. Le pays prévoit également une limite de vitesse plus stricte sur les autoroutes dans le plan d'action récemment proposé, qui n'a pas encore été adopté.
La Suisse importe généralement de l'électricité de France et d'Allemagne pour répondre à toute sa demande d'électricité, mais cette année, l'approvisionnement de ses voisins est limité.
En France, la disponibilité du parc nucléaire est beaucoup plus faible que d'habitude, ce qui a conduit le pays à devenir un importateur net d'électricité après des décennies d'exportation nette. Le réseau électrique français présente un risque plus élevé de tensions sur les approvisionnements en janvier 2023 qu'estimé précédemment en raison de la baisse de la production d'électricité nucléaire. Le pays pourrait faire face au risque de coupures de courant cet hiver lorsque l'approvisionnement en électricité pourrait ne pas suffire à répondre à la demande, a déclaré Xavier Piechaczyk, le responsable de l'opérateur de réseau RTE, plus tôt cette semaine.
En Allemagne, la situation est similaire, car les services publics doivent se contenter de l'absence d'approvisionnement en gaz par gazoduc russe.
L'approvisionnement en électricité de la Suisse reste incertain pour l'hiver et des problèmes avec une capacité électrique suffisante ne peuvent être exclus, a déclaré la Commission fédérale de l'électricité, Elcom, dès juin. En raison de la moindre disponibilité attendue de la production d'électricité nucléaire française et des exportations d'électricité de la France vers la Suisse, les importations suisses d'électricité produite en France devraient être beaucoup plus faibles cet hiver par rapport aux saisons hivernales précédentes, a déclaré Elcom.
Par conséquent, la Suisse pourrait devoir couvrir ses besoins d'importation d'électricité d'environ 4 gigawattheures (GWh) à partir d'importations en provenance de ses autres voisins, l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie. Cependant, la disponibilité des exportations d'électricité de ces pays dépendrait fortement des combustibles fossiles disponibles, principalement du gaz naturel, selon l'Elcom.
https://www.zerohedge.com/energy/switzerland-considers-electric-vehicle-ban-avoid-blackouts
Nous nous acheminons vers une tyrannie alimentaire mondiale
RépondreSupprimerle 2 décembre 2022
Remarques liminaires de votre serviteur. Le titre de ce billet est alternatif à celui de l’article ci-dessous de F. William Engdahl initialement paru sur le site New Eastern Outlook (lien en fin de billet) et traduit par le Saker francophone pour Réseau International. Je reproduis l’intégralité de cet article en français. Il est opportun de rappeler ici les récents incendies qui ont ravagé les élevages intensifs d’animaux dans de nombreux pays européens ainsi qu’en Amérique du Nord. Ces évènements ont été classés parmi les faits divers mais ils avaient un but précis : fragiliser les circuits de production de protéines animales (volaille, porc, bovins, poisson d’élevage) dans les pays occidentaux, afin que les consommateurs se familiarisent avec des linéaires de supermarché vides, la première manifestation du véritable complot ourdi par leurs auteurs dénoncés dans l’article ci-dessous. Non satisfaits par l’augmentation décevante de la mortalité et la réduction tout aussi décevante des naissances qui devait être une conséquence directe et souhaitée des injections massives d’ARN messager pratiquées dans ces mêmes pays occidentaux (commercialisés dans l’urgence dans le cadre d’une autorisation temporaire de mise sur le marché), les auteurs de ce complot s’attaquent maintenant à la disponibilité en nourriture qui va inexorablement diminuer et se raréfier au cours des prochaines années. Il apparaît urgent que les pays comme la Chine, l’Inde, la Russie ou encore le Brésil prennent les mesures adéquates pour contrer ce complot occidental. J’ajouterai enfin que ce complot est adossé au mythe, au dogme, de l’effet néfaste du gaz carbonique sur le climat.
Les critères ESG auxquels sont soumis les grands organismes financiers sont la face cachée de ce projet de famine organisée qui va enfin permettre une diminution satisfaisante de la population. Pourtant le gaz carbonique est la source de toute vie halieutique, animale et végétale sur Terre. Ces organisations bien décidées à décimer la population mondiale sont donc bien des organisations complotistes au sens littéral du terme.
Guerre contre l’agriculture mondiale : L’Agenda 2030 « durable » non-durable des Nations unies
par F. William Engdahl
Au cours des dernières semaines, un assaut coordonné contre notre agriculture – la capacité de produire la nourriture nécessaire à l’existence humaine – a commencé. La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
Du G20 à la COP27 au WEF
RépondreSupprimerLe 13 novembre, le G20 – représentants des 20 nations les plus influentes, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne (bien qu’il ne s’agisse pas d’une nation), l’Allemagne, l’Italie, la France, le Japon, la Corée du Sud et plusieurs pays en développement, dont la Chine, l’Inde, l’Indonésie et le Brésil – a adopté une déclaration finale.
Le premier point majeur est un « appel à une transformation accélérée vers des systèmes agricoles et alimentaires et des chaînes d’approvisionnement durables et résilients». En outre, « travailler ensemble pour produire et distribuer des aliments de manière durable, veiller à ce que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l’adaptation au changement climatique et à son atténuation, et arrêter et inverser la perte de biodiversité, diversifier les sources d’alimentation… » Ils ont également appelé à un «commerce agricole inclusif, prévisible et non discriminatoire, fondé sur les règles de l’OMC ». De même, « Nous sommes déterminés à soutenir l’adoption de pratiques et de technologies innovantes, notamment l’innovation numérique dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, afin d’améliorer la productivité et la durabilité en harmonie avec la nature… » Vient ensuite la déclaration révélatrice : «Nous réitérons notre engagement à atteindre l’objectif mondial de zéro émission nette de gaz à effet de serre/neutralité carbone vers le milieu du siècle » ( https://www.consilium.europa.eu/media/60201/2022-11-16-g20-declaration-data.pdf. ).
« Agriculture durable » avec « zéro émission nette de gaz à effet de serre » est un double langage orwellien. Pour un étranger à la linguistique de l’ONU, ces mots sonnent trop bien. Ce qui est en fait promu, c’est la destruction la plus radicale de l’agriculture et de l’élevage au niveau mondial sous le nom d’« agriculture durable ». Quelques jours seulement après la conférence du G20 à Bali s’est tenue en Égypte la réunion annuelle du Sommet climatique de l’Agenda vert des Nations unies COP27. Là, les participants de la plupart des pays des Nations unies, ainsi que des ONG telles que Greenpeace et des centaines d’autres ONG vertes, ont rédigé un deuxième appel. La COP27 a lancé quelque chose qu’ils appellent de manière révélatrice FAST – la nouvelle initiative de l’ONU sur l’alimentation et l’agriculture pour une transformation durable (FAST). Fast, comme dans « s’abstenir de manger… ». Selon Forbes, l’initiative FAST favorisera une « transition vers des régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat, et contribuera à réduire les coûts liés à la santé et au changement climatique d’un montant pouvant atteindre 1,3 billion de dollars, tout en soutenant la sécurité alimentaire face au changement climatique ». Nous parlons de gros chiffres. La transition vers des « régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat » permettrait de réduire le coût du changement climatique de 1,3 billion de dollars (https://www.theburningplatform.com/2022/11/13/lab-grown-meat-nuclear-yeast-vats-cop27-reignites-the-war-on-food/ ). Que se passe-t-il réellement derrière tous ces mots ?
De grosses sommes d’argent
RépondreSupprimerSelon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est adressée à Reuters lors de la COP27, la FAO lancera d’ici un an un plan directeur « de référence » pour la réduction des gaz à effet de serre issus de l’agriculture. L’impulsion de cette guerre contre l’agriculture vient, sans surprise, des grandes fortunes, de l’Initiative FAIRR, une coalition de gestionnaires d’investissements internationaux basée au Royaume-Uni qui se concentre sur «les risques et opportunités ESG matériels causés par la production animale intensive ». Parmi leurs membres figurent les acteurs les plus influents de la finance mondiale, notamment BlackRock, JP Morgan Asset Management, l’allemand Allianz AG, Swiss Re, la banque HSBC, Fidelity Investments, Edmond de Rothschild Asset Management, Credit Suisse, Rockefeller Asset Management, la banque UBS et de nombreuses autres banques et fonds de pension, avec un total d’actifs sous gestion de 25000 milliards de dollars (https://www.fairr.org/about-fairr/network-members/page/14/ ). Ils ouvrent maintenant la guerre à l’agriculture comme ils l’ont fait pour l’énergie. Le directeur adjoint de la FAO chargé des politiques relatives au changement climatique, Zitouni Ould-Dada, a déclaré lors de la COP27 : « Jamais auparavant l’alimentation et l’agriculture n’avaient fait l’objet d’autant d’attention. Cette COP est définitivement la bonne » ( https://www.reuters.com/business/cop/cop27-un-food-agency-plan-farming-emissions-launch-by-next-year-after-investor-2022-11-10/ ).
La FAIRR affirme, sans preuve, que « la production alimentaire représente environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constitue la principale menace pour 86% des espèces en voie d’extinction dans le monde, tandis que l’élevage de bétail est responsable des trois quarts de la disparition de la forêt amazonienne ». La FAO prévoit de proposer une réduction drastique de la production mondiale de bétail, en particulier des bovins, qui, selon FAIRR, sont responsables de « près d’un tiers des émissions mondiales de méthane liées à l’activité humaine, libérées sous forme de rots de bovins, de fumier et de cultures fourragères ». Pour eux, la meilleure façon de mettre fin aux rots et au fumier de vache est d’éliminer le bétail.
Une agriculture durable non viable
Le fait que la FAO des Nations unies soit sur le point de publier une feuille de route visant à réduire de manière drastique les soi-disant gaz à effet de serre émis par l’agriculture mondiale, sous le prétexte fallacieux d’une « agriculture durable », sous l’impulsion des plus grands gestionnaires de fortune du monde, dont BlackRock, JP Morgan, AXA et d’autres, en dit long sur le véritable programme. Ces institutions financières sont parmi les plus corrompues de la planète. Elles ne mettent jamais un centime là où elles ne sont pas assurées de faire d’énormes bénéfices. La guerre contre l’agriculture est leur prochaine cible.
Le terme « durable » a été créé par le Malthusian Club of Rome de David Rockefeller. Dans leur rapport de 1974, « L’humanité au tournant », le Club de Rome a fait valoir :
RépondreSupprimer« Les nations ne peuvent pas être interdépendantes sans que chacune d’entre elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins reconnaisse des limites à celle-ci. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial (https://web.archive.org/web/20080316192242/http:/www.wiseupjournal.com/?p=154 )».
Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 des Nations unies, de l’Agenda 2030 et de la grande réinitialisation de Davos en 2020. En 2015, les nations membres de l’ONU ont adopté ce que l’on appelle les Objectifs de développement durable ou ODD : 17 objectifs pour transformer notre monde.
L’objectif 2 est « Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition et promouvoir une agriculture durable ».
Mais si nous lisons en détail les propositions de la COP27, du G20 et du WEF de Davos de Klaus Schwab, nous découvrons ce que signifient ces belles paroles. Aujourd’hui, nous sommes inondés d’affirmations, non vérifiées, par de nombreux modèles de groupes de réflexion financés par des gouvernements ou par le secteur privé, selon lesquelles nos systèmes agricoles sont une cause majeure du réchauffement climatique. Pas seulement le gaz carbonique, mais aussi le méthane et l’azote. Pourtant, tout l’argument des gaz à effet de serre, selon lequel notre planète est au bord d’un désastre irréversible si nous ne changeons pas radicalement nos émissions d’ici 2030, est une absurdité invérifiable provenant de modèles informatiques opaques. Sur la base de ces modèles, l'IPCC des Nations unies insiste sur le fait que si nous n’empêchons pas une augmentation de la température mondiale de 1,5 °C par rapport au niveau de 1850, la fin du monde est imminente d’ici 2050.
La guerre ne fait que commencer
Les Nations unies et le WEF de Davos se sont associés en 2019 pour faire progresser conjointement l’Agenda 2030 des Nations unies en matière de développement durable. Sur le site web du WEF, il est ouvertement admis que cela signifie se débarrasser des sources de protéines carnées, introduire la promotion de la fausse viande non éprouvée, préconiser des protéines alternatives telles que les fourmis salées ou les grillons ou vers moulus pour remplacer le poulet ou le bœuf ou l’agneau. Lors de la COP27, la discussion a porté sur «les régimes alimentaires qui peuvent rester dans les limites de la planète, notamment en réduisant la consommation de viande, en développant des alternatives et en encourageant le passage à davantage de plantes, de cultures et de céréales indigènes (réduisant ainsi la dépendance actuelle vis-à-vis du blé, du maïs, du riz et des pommes de terre (https://cop27.eg/assets/files/days/COP27%20FOOD%20SECURITY-DOC-01-EGY-10-22-EN.pdf ) ».
Le WEF encourage le passage d’un régime alimentaire à base de protéines de viande à un régime végétalien, en faisant valoir qu’il serait plus «durable » (https://www.weforum.org/agenda/2022/10/vegan-plant-based-diets-sustainable-food/ ). Il promeut également des alternatives de viande de laboratoire ou à base de plantes, comme les Impossible Burgers financés par Bill Gates, dont les propres tests de la FDA indiquent qu’ils sont probablement cancérigènes car ils sont produits avec du soja OGM et d’autres produits saturés de glyphosate. La PDG d’Air Protein, une autre entreprise de fausse viande, Lisa Lyons, est une conseillère spéciale du WEF. Le WEF promeut également les protéines d’insectes comme alternatives à la viande. Notez également qu’Al Gore est un administrateur du WEF (https://www.weforum.org/podcasts/house-on-fire/episodes/have-we-reached-the-end-of-meat ).
RépondreSupprimerLa guerre contre l’élevage d’animaux pour la viande devient de plus en plus sérieuse. Le gouvernement des Pays-Bas, dont le Premier ministre Mark Rutte, anciennement d’Unilever, est un contributeur à l’agenda du WEF, a créé un ministre spécial pour l’environnement et l’azote, Christianne van der Wal. En s’appuyant sur des lignes directrices de protection de la nature Natura 2000 de l’UE, jamais invoquées et dépassées, conçues prétendument pour « protéger la mousse et le trèfle » et basées sur des données d’essai frauduleuses, le gouvernement vient d’annoncer qu’il va fermer de force 2500 exploitations bovines à travers la Hollande. Leur objectif est de forcer 30 % des exploitations bovines à fermer ou à être expropriées.
En Allemagne, l’Association allemande de l’industrie de la viande (VDF) affirme que dans les quatre à six prochains mois, l’Allemagne sera confrontée à une pénurie de viande et que les prix monteront en flèche. Hubert Kelliger, membre du conseil d’administration de la VDF, a déclaré : « Dans quatre, cinq ou six mois, nous aurons des manques sur les étagères ». Le porc devrait connaître les pires pénuries. Les problèmes d’approvisionnement en viande sont dus à l’insistance de Berlin à réduire de 50% le nombre de têtes de bétail afin de réduire les émissions liées au réchauffement climatique ( https://hotair.com/jazz-shaw/2022/11/21/germany-cutting-back-meat-production-to-fight-global-warming-n512518 ). Au Canada, le gouvernement Trudeau, autre produit du WEF de Davos, selon le Financial Post du 27 juillet, prévoit de réduire les émissions des engrais de 30 % d’ici à 2030 dans le cadre d’un plan visant à atteindre le zéro émission dans les trois prochaines décennies. Mais les producteurs disent que pour y parvenir, ils devront peut-être réduire considérablement leur production de céréales.
Lorsque le président autocratique du Sri Lanka a interdit toute importation d’engrais azotés en avril 2021 dans un effort brutal pour revenir à un passé d’agriculture « durable », les récoltes se sont effondrées en sept mois et la famine, la ruine des agriculteurs et les manifestations de masse l’ont contraint à fuir le pays. Il a ordonné que l’ensemble du pays passe immédiatement à l’agriculture biologique, mais n’a fourni aucune formation de ce type aux agriculteurs.
RépondreSupprimerSi l’on ajoute à cela la décision politique catastrophique de l’UE d’interdire le gaz naturel russe utilisé pour fabriquer des engrais azotés, ce qui entraîne la fermeture d’usines d’engrais dans toute l’UE, et qui provoquera une réduction mondiale des rendements agricoles, ainsi que la fausse vague de grippe aviaire qui ordonne à tort aux agriculteurs d’Amérique du Nord et de l’UE de tuer des dizaines de millions de poulets et de dindes, pour ne citer que quelques cas supplémentaires, il apparaît clairement que notre monde est confronté à une crise alimentaire sans précédent. Tout ça pour le changement climatique ?
Source: http://www.williamengdahl.com/gr30November2022.php
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/12/02/nous-nous-acheminons-vers-une-tyrannie-alimentaire-mondiale/
Des milliers de fermes néerlandaises risquent la fermeture forcée pour se conformer aux nouvelles règles environnementales de l'UE
RépondreSupprimerjeudi 01 décembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) L'Union européenne (UE) contrôlée par les mondialistes exige que les États-nations membres, y compris les Pays-Bas, arrêtent l'agriculture afin de se conformer aux règles environnementales fondées sur le canular connu sous le nom de "changement climatique".
Quelque 3 000 fermes situées dans des zones "écologiquement sensibles" aux Pays-Bas sont désormais sur le point d'être saisies et fermées, nous dit-on - c'est en hausse par rapport aux 600 fermes qui avaient été annoncées en octobre comme cibles d'élimination en raison de la "pollution" par l'azote.
Après un été de manifestations d'agriculteurs qui ont vu des tracteurs sillonner le paysage néerlandais en signe d'opposition à l'agenda "vert" de l'UE, le gouvernement néerlandais continue d'aller de l'avant avec des plans visant à réduire les émissions d'azote dans le pays d'au moins 50 % d'ici le année 2030.
La ministre de l'azote, Christianne van der Wal, a récemment annoncé que le gouvernement néerlandais procéderait à un "achat obligatoire" des plus grandes fermes émettrices d'azote du pays. Les agriculteurs propriétaires de la terre se verraient proposer des offres "bien supérieures" à la valeur réelle de leurs propriétés.
Van der Wal a ajouté dans un communiqué qu'"il n'y a pas de meilleure offre à venir" que celles que son gouvernement envisage de proposer. En d'autres termes, les agriculteurs peuvent soit accepter l'accord et obtenir quelque chose, soit le rejeter et éventuellement recevoir très peu ou rien tout en perdant leurs moyens de subsistance.
La guerre des Pays-Bas contre les agriculteurs fait partie du même programme ESG poussé en Amérique, prévient un expert
La fin de partie de ce démantèlement de l'agriculture néerlandaise s'inscrit dans un plan mondialiste d'émissions de carbone "net zéro", qui vise à éliminer le carbone, un élément naturel nécessaire à la vie, des quatre coins de la planète.
Avec cela viendra un dépeuplement massif, bien sûr, car le carbone et l'azote sont des éléments de base de la vie. Le mondialisme, par essence, est anti-vie, et il cherche à voler, tuer et détruire tout ce qui est naturel et bon.
"La guerre des Pays-Bas contre les agriculteurs pour qu'ils poursuivent leur programme ESG (environnemental, social et de gouvernance) est un avertissement sévère", déclare Will Hild, directeur exécutif du groupe Consumers' Research.
RépondreSupprimer«Les Américains devraient être vigilants contre les efforts des gouvernements et des grandes entreprises de Wall Street comme BlackRock qui poussent ces mêmes objectifs dangereux d'émissions de carbone« net zéro »ici aux États-Unis. Il est difficile d'exagérer l'imprudence de saper les agriculteurs pendant la plus grande crise alimentaire mondiale depuis des décennies. Cela exacerbera probablement l'inflation des prix alimentaires que nous connaissons déjà.
Il y a une très petite doublure argentée à tout cela dans la mesure où un parti politique appelé BoerBurgerBeweging (BBB), soutenu par le mouvement Farmer-Citizen aux Pays-Bas, se classe actuellement quatrième dans les sondages avant les élections de l'année prochaine.
Il est possible que BBB continue de grimper dans les rangs à mesure que les citoyens néerlandais en apprendront davantage sur ce que les politiques «vertes» de l'UE feront. Une fois qu'il sera plus largement connu que la famine de masse est le résultat éventuel de telles politiques, la popularité de BBB pourrait augmenter, ce qui pourrait entraîner une victoire l'année prochaine.
Selon les rapports, l'objectif numéro un de BBB sera de réformer la «loi sur l'azote» du pays, qui considère à tort cet élément naturel comme un «polluant» devant être éradiqué.
Le premier producteur agricole mondial est actuellement les États-Unis, suivis des Pays-Bas à la deuxième place. Une grande partie de l'Europe occidentale dépend des Pays-Bas pour les légumes. En fait, plus de la moitié de toutes les terres néerlandaises sont utilisées pour l'agriculture, et il y a 24 000 acres (9712 ha) de cultures qui poussent également dans des serres à travers le pays.
"Et ainsi ça commence", a écrit un commentateur. "Recherchez le reste des fermes européennes à suivre le même chemin. Les États-Unis ne sont pas si loin derrière. Les agriculteurs hollandais feraient mieux de se serrer les coudes et de s'unir pour une vilaine bagarre. Il n'y a pas d'autre moyen."
Le mouvement « vert » est un mouvement de dépeuplement. Pour en savoir plus, visitez GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyCaller.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-01-thousands-dutch-farms-close-comply-eu-rules.html
Épargne : Les Français détiennent 5.700 milliards, près de 2 fois le PIB
RépondreSupprimerLes Français ne manquent pas de patrimoine, et surtout pas d’épargne. La Banque de France a fait le point sur l’argent dont disposent les ménages, en France et à l’étranger (pour le peu que cet argent soit déclaré). Et ce sont plusieurs milliers de milliards qui sont détenus, bien qu’il faille noter une forte baisse de la valeur liée à la chute de la Bourse.
Par Paolo Garoscio
le 2 décembre 2022 à 7h30
Le montant total des dépôts à vue a grimpé de 20 milliards d'euros en France.
Plus de 3.500 milliards d’euros d’épargne en numéraire
Deux fois le PIB de l’Hexagone : avec 5.726,6 milliards d’euros d’épargne et patrimoine financier, les ménages ont beaucoup d’argent. Du moins, lorsqu'on cumule tous les montants qui eux ne sont bien évidemment pas identiques pour tous. Et de cette somme, une majorité, 3.618,6 milliards à la fin du deuxième trimestre 2022, se composent de produits de taux. Ce sont les dépôts numéraires, les assurances-vie en fonds euro ou encore l’épargne réglementée et non réglementée.
Mais cette somme est en baisse de 77 milliards entre le premier et le deuxième trimestre de l’année. La faute, essentiellement, à la baisse des placements dans les assurances-vie qui chutent de plus de 100 milliards sur la période. Inversement, l’épargne réglementée grimpe de 3 milliards environ, et les dépôts à vue de 20 milliards.
Les Français détiennent tout de même : 810 milliards en numéraire et dépôts à vue ; 1.128 milliards en dépôts bancaires rémunérés (dont 848 sur des livrets réglementés) ; et 1.429 milliards dans des assurances-vie et épargne retraite en fonds euros.
La chute de la Bourse pèse sur les actions et les unité de compte
Si la majorité des sommes détenues par les ménages sont des produits de taux, pas moins de 2.030 milliards d’euros sont détenus en « produits de fonds propres ». Mais les sommes, pour beaucoup liées à la performance de la Bourse, sont en baisse de 118 milliards d’euros. Car la Bourse souffre lourdement depuis le début de la crise de la Covid-19 et de la crise en Ukraine.
Ainsi, on notera 34 milliards d’euros de moins pour les actions cotées. Ou encore 25 milliards de moins pour les unités de compte dans les assurance-vie et l’épargne retraite. D’une manière générale, la valeur de tous les produits de fonds propres a baissé entre le premier et le deuxième trimestre 2022.
La préférence pour l’épargne en numéraire restera d’actualité en 2023
La tendance des ménages à préférer le numéraire pour leur épargne ne devrait pas changer en 2023. Outre être une habitude des Français, plutôt réticents au risque inhérent à la Bourse, les taux des livrets va augmenter.
Sur fond d’inflation élevée, le Livret A et le LDDS pourraient être revalorisés au taux de 3 %, tandis que le LEP dépasserait les 6 %. Les CEL (Compte Épargne Logement) verra son taux grimper également, et un nouveau PEL (Plan Épargne Logement) à 2 % est d’ores-et-déjà annoncé.
https://www.economiematin.fr/epargne-francais-depot-numeraire-action-baisse-montant
Prenons l'exemple des caisses de retraites, vous avez cotisé toute votre vie et, arrivé(e) à l'âge de, y a plus rien ! Çà alors !! (La 'Caisse' a fait des 'placements' hasardeux en 'start-up' et... elle a tout perdu ! TOUT ! Bêh ouais, çà arrive). Demain, vous sera proposé de l'argent électrique (si y a de l'électricité !! HAHAHA !) et donc, si vous n'avez plus de pognon sur votre compte c'est qu'il y aurait eu une panne d'électricité ! HAHAHA !
SupprimerLes 100 marques les plus précieuses en 2022
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 03 DÉCEMBRE 2022 - 03:00
Compte tenu de la nature insaisissable des marques, déterminer la valeur financière d'une marque est une tâche difficile.
Malgré l'intangibilité d'une marque, il est difficile de nier à quel point une marque forte peut être efficace pour améliorer les résultats d'une entreprise.
Dans cet esprit, Brand Finance relève le défi d'identifier les marques les plus précieuses au monde dans son rapport annuel Global 500. Carmen Ang, Nick Routley et Pernia Jamshed de Visual Capitalist ont créé le graphique ci-dessous, en utilisant les données de la dernière édition du rapport, pour mettre en évidence les 100 marques les plus précieuses en 2022.
- voir graph sur site -
Note de l'éditeur : Ce classement mesure la valeur des marques, qui peuvent être considérées comme des actifs incorporels liés au marketing qui créent une identité et une réputation de marque dans l'esprit des consommateurs. Il tente de mesurer cela en termes financiers, en calculant ce que vaut la marque pour l'entreprise qui la possède. Pour plus d'informations sur la méthodologie, les calculs et l'approvisionnement, rendez-vous au bas de cet article.
Une ventilation complète des marques les plus précieuses
Avec une augmentation de 35 % depuis le rapport de l'année dernière, Apple conserve sa première place dans le classement des marques les plus précieuses au monde, avec une valeur totale de la marque de 335,1 milliards de dollars.
Il s'agit de la valeur de marque la plus élevée jamais enregistrée dans l'histoire du rapport Global 500, publié chaque année depuis 2007.
En tant que l'une des plus grandes entreprises technologiques au monde, Apple domine le marché des smartphones, en particulier aux États-Unis, où plus de 50% des smartphones en fonctionnement sont désormais des iPhone.
Voici une liste des 10 marques les plus précieuses selon le rapport :
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Après Apple, Amazon arrive en deuxième position avec une valeur de marque de 350,3 milliards de dollars. Ce n'est pas surprenant, étant donné que le géant de la technologie s'est souvent retrouvé au coude à coude avec Apple dans le classement, et a même occupé la première place dans les éditions précédentes du rapport.
Une autre marque à souligner est TikTok. La société de médias sociaux a vu sa valeur de marque augmenter de 215 % d'une année sur l'autre, ce qui en fait la marque à la croissance la plus rapide de toute la liste.
Entre 2019 et 2021, la plateforme a vu sa base d'utilisateurs monter en flèche, passant de 291,4 millions à 655,9 millions en seulement deux ans. Si cette croissance se poursuit, TikTok pourrait atteindre près d'un milliard d'utilisateurs d'ici 2025, selon les projections d'Insider Intelligence.
RépondreSupprimerSecteurs les plus précieux
Plus d'un tiers des marques de la liste appartiennent au secteur de la technologie et des services. Combinée, cette catégorie a une valeur de marque de 2 000 milliards de dollars.
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Les médias sont le deuxième secteur le plus précieux : 19 % des 100 premières marques appartiennent au secteur des médias et des télécommunications, y compris Google, Facebook et WeChat.
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Le COVID-19 en est en partie la raison, car la consommation des médias a augmenté tout au long de la pandémie mondiale. Par exemple, au cours des neuf premiers mois de 2021, l'utilisation quotidienne de Snapchat a augmenté de 77 %. Malgré une traction accrue auprès des utilisateurs, il convient de noter que l'entreprise ressent maintenant la piqûre alors que le monde réel se dispute à nouveau l'attention et que les annonceurs commencent à masquer l'application en raison de la nervosité de la récession.
Alors que les restrictions pandémiques s'estompent dans le monde et que les murmures d'une récession mondiale menacent la croissance économique mondiale, le rapport de l'année prochaine pourrait voir de grands changements dans la valeur de la marque.
La géographie des marques de valeur
Lorsque l'on regarde où sont basées ces marques, on constate que les États-Unis et la Chine représentent 73 des 100 premières marques du classement. Encore plus surprenant, seuls six pays représentent 94 % de la liste.
La croissance des entreprises chinoises sur la scène mondiale se reflète dans cette visualisation. À titre de comparaison, il y a dix ans, seules six entreprises chinoises figuraient dans le Top 100 de Brand Finance, et aucune d'entre elles ne figurait dans le top 30 pour la valeur de la marque.
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Fait intéressant, les pays européens ne représentent que 14 % de la liste, ce qui témoigne de la diminution de la domination économique de l'Europe au cours des dernières décennies.
Dans les années 1960, l'Europe représentait près d'un tiers du PIB mondial. Mais en 2017, il était tombé à 16 %. Selon une prévision du Pardee Center de l'Université de Denver, la part de l'UE dans le PIB mondial devrait chuter à 10 % d'ici 2100.
Bien sûr, si l'histoire nous a appris quelque chose, c'est que beaucoup de choses peuvent changer en un siècle. À quoi ressemblera un classement comme celui-ci dans les décennies à venir, tout le monde le devine.
https://www.zerohedge.com/markets/top-100-most-valuable-brands-2022
Fumer a-t-il perdu son sang-froid aux États-Unis ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 03 DÉCEMBRE 2022 - 04:40
Alors qu'allumer une cigarette était autrefois considéré comme un signe de classe et de sophistication ou, à tout le moins, un acte de coolitude, fumer semble avoir perdu un peu de son éclat ces dernières années.
Comme le note Felix Richter de Statista, selon la Federal Trade Commission, 203,7 milliards de cigarettes ont été vendues aux États-Unis en 2020. Bien que cela marque une augmentation marginale par rapport à 2019 et la première hausse en 20 ans, les ventes de cigarettes sont toujours à leur plus bas niveau depuis la FTC a commencé à les suivre en 1963.
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Infographie : Fumer a-t-il perdu son sang-froid ? | Statistique
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Comme l'illustre le graphique de Statista ci-dessus, les ventes de cigarettes ont diminué de manière plus ou moins continue au cours des 40 dernières années, chutant de plus de 50 % depuis 2000 et de près de 70 % depuis l'apogée du tabagisme au début des années 1980. Entre-temps, les dépenses publicitaires et promotionnelles pour les cigarettes sont passées de 1,2 milliard de dollars en 1980 à 7,8 milliards de dollars en 2020, la plupart de ces dernières prenant la forme de remises sur les prix pour les détaillants et les grossistes.
Le nombre de fumeurs de cigarettes aux États-Unis a également diminué au cours des quatre dernières décennies, mais pas tout à fait au même rythme que les ventes de cigarettes. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), environ 30,8 millions d'adultes aux États-Unis fumaient des cigarettes en 2020, en baisse de 40 % par rapport à 51,6 millions en 1980.
De plus, comme le détaille Martin Armstrong de Statista ci-dessous, les cigarettes n'ont pas le même facteur d'attraction pour les jeunes Américains qu'auparavant. En regardant les données de l'enquête Gallup remontant à 2001-2003, environ un tiers des jeunes adultes aux États-Unis ont déclaré avoir fumé des cigarettes il y a vingt ans. Cependant, au cours de la période 2019-2022, seuls 12 % ont avoué avoir fumé.
Cette tendance à la baisse ne se limite pas non plus aux Américains ayant moins de kilométrage au compteur. Des baisses des taux de tabagisme ont été enregistrées dans tous les domaines, la deuxième baisse la plus importante étant observée dans la tranche des 30 à 49 ans. Cela dit, le taux global le plus bas appartenait au groupe de répondants le plus âgé en 2022. Pour les plus de 65 ans, suffisamment de sagesse semble avoir été recueillie au fil des ans pour signifier que seulement 8 % ont déclaré avoir fumé une cigarette mettant leur vie en danger au cours de la semaine dernière. - une diminution par rapport aux 14 % enregistrés en 2001-2003.
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Infographie : Fumer n'est pas du feu | Statistique
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Cela étant dit, les nouvelles positives selon lesquelles le tabagisme est en déclin doivent être prises avec prudence.
Comme l'indiquent également les données de Gallup, bien que les jeunes adultes fument peut-être moins de cigarettes, une part importante semble avoir simplement changé de vice. Les cigarettes électroniques, ou vapotage, sont utilisées par 19 % des 18 à 29 ans. Bien que le vapotage élimine l'odeur désagréable émise par les cigarettes, cette habitude est loin d'être saine, crée une dépendance et comporte ses propres dangers et risques pour la vie.
https://www.zerohedge.com/medical/has-smoking-lost-its-cool-us
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