PAR TYLER DURDEN
MARDI 06 DÉCEMBRE 2022 - 05:20
Pour certains pays, les prix de l'énergie ont atteint des niveaux historiques en 2022.
Les prix de l'essence, de l'électricité et du gaz naturel ont grimpé en flèche lorsque l'invasion de l'Ukraine par la Russie a rompu les chaînes d'approvisionnement mondiales en énergie. Les ménages et les entreprises sont confrontés à des factures énergétiques plus élevées dans un contexte de volatilité extrême des prix. L'incertitude entourant la guerre est grande et les coûts de chauffage en hiver devraient monter en flèche.
Compte tenu des conséquences mondiales de la crise énergétique, l'infographie de Visual Capitalist ci-dessous montre le prix de l'énergie pour les ménages par pays, avec des données de GlobalPetrolPrices.com.
1. Prix mondiaux de l'énergie : essence
Quels pays et régions paient le plus pour un gallon d'essence ?
Source : GlobalPetrolPrices.com. Au 31 octobre 2022. Représente les prix moyens des ménages.
Avec une moyenne de 11,10 dollars le gallon, les ménages de Hong Kong paient le prix de l'essence le plus élevé au monde, soit plus du double de la moyenne mondiale. Les taxes élevées sur l'essence et les coûts fonciers élevés sont les principaux facteurs à l'origine des prix élevés de l'essence.
Comme Hong Kong, la République centrafricaine a des coûts de gaz élevés, à 8,60 dollars le gallon. En tant qu'importateur net d'essence, le pays fait face à des pressions accrues sur les prix depuis la guerre en Ukraine.
Les ménages en Islande, en Norvège et au Danemark sont confrontés aux coûts de l'essence les plus élevés d'Europe. Dans l'ensemble, l'inflation en Europe a atteint 10 % en septembre, tirée par la crise de l'énergie.
2. Prix mondiaux de l'énergie : électricité
Une volatilité extrême est également observée dans les prix de l'électricité.
La majorité des prix de l'électricité domestique les plus élevés se trouvent en Europe, où les prix du Danemark, de l'Allemagne et de la Belgique sont environ le double de ceux de la France et de la Grèce. Pour la perspective, les prix de l'électricité dans de nombreux pays d'Europe sont plus de deux ou trois fois la moyenne mondiale de 0,14 $ par kilowattheure.
Au cours du premier trimestre 2022, les prix de l'électricité pour les ménages dans l'Union européenne ont bondi de 32 % par rapport à l'année précédente.
Source : GlobalPetrolPrices.com. Au 31 mars 2022. Représente les prix moyens des ménages.
Aux États-Unis, les prix de l'électricité à la consommation ont augmenté de près de 16 % par an par rapport à septembre de l'année dernière, la plus forte augmentation en plus de quatre décennies, alimentant une inflation plus élevée.
Cependant, les ménages sont plus à l'abri de l'impact des perturbations de l'approvisionnement russe en raison du fait que les États-Unis sont un exportateur net d'énergie.
3. Prix mondiaux de l'énergie : gaz naturel
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Huit des 10 prix du gaz naturel les plus élevés au monde se situent en Europe, avec les Pays-Bas en tête. Dans l'ensemble, les prix du gaz naturel en Europe ont été multipliés par six en un an depuis l'invasion de l'Ukraine.
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Source : GlobalPetrolPrices.com. Au 31 mars 2022. Représente les prix moyens des ménages.
La bonne nouvelle est que la saison d'automne a été relativement chaude, ce qui a permis à la demande européenne de gaz naturel de chuter de 22 % en octobre par rapport à l'année dernière. Cela aide à réduire le risque de pénurie de gaz plus tard dans l'hiver.
En dehors de l'Europe, le Brésil a le quatrième prix du gaz naturel le plus élevé au monde, bien qu'il produise environ la moitié de l'approvisionnement national. Les coûts élevés du gaz de cuisine ont été particulièrement difficiles pour les familles à faible revenu, qui sont devenues un problème politique clé à l'approche de l'élection présidentielle d'octobre.
Pendant ce temps, Singapour a les prix du gaz naturel les plus élevés d'Asie, car la majorité est importée via des pétroliers ou des pipelines, laissant le pays vulnérable aux chocs de prix.
Concurrence croissante
D'ici décembre, toutes les expéditions maritimes de pétrole brut de la Russie vers l'Europe s'arrêteront, ce qui fera probablement grimper les prix de l'essence jusqu'à l'hiver et 2023.
Concernant, l'analyse de l'EIA montre que les capacités européennes de stockage de gaz naturel pourraient chuter à 20% d'ici février si la Russie ferme complètement son offre et si la demande n'est pas réduite.
Alors que l'Europe cherche des alternatives à l'énergie russe, une demande accrue pourrait accroître la concurrence mondiale pour les sources de carburant, entraînant une hausse des prix de l'énergie dans les mois à venir.
Pourtant, il y a place à l'optimisme : la Banque mondiale prévoit que les prix de l'énergie baisseront de 11 % en 2023 après la hausse de 60 % observée après la guerre en Ukraine en 2022.
https://www.zerohedge.com/energy/mapped-global-energy-prices-country
La menace récurrente de réimposer un large mandat de masque dans le comté de Los Angeles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 05 DÉCEMBRE 2022 - 18:10
Écrit par Adam Dick via l'Institut Ron Paul,
Barbara Ferrer, la directrice du département de la santé publique du comté de Los Angeles, menace une fois de plus de réimposer un large mandat de port de masque aux habitants du comté, prétendument pour contrer le coronavirus.
Bien sûr, il n'a jamais été démontré que les masques offraient une protection nette contre le coronavirus et même la plupart des personnes qui ont succombé au coronavirus alarmiste au début ont joyeusement tourné le dos aux masques, à la « distanciation sociale », à l'isolement à la maison et au reste des protocoles pseudoscientifiques. qui leur étaient imposés auparavant.
Néanmoins, certains bureaucrates ne peuvent s'empêcher de continuer à saisir pour récupérer le pouvoir qui leur a échappé.
En juillet, Ferrer a menacé qu'un large mandat de masque reviendrait probablement bientôt automatiquement en vigueur dans le comté en raison de l'augmentation du nombre de « transmissions communautaires » de coronavirus dans le comté – des chiffres que les Centers for Disease Control and Prevention avaient désignés comme importants. Elle est de retour maintenant avec une menace similaire.
Tel que rapporté par ABC News à Los Angeles, jeudi, "Ferrer a déclaré que le mandat serait émis si deux paramètres hospitaliers atteignaient les seuils [Centers for Disease Control and Prevention (CDC)] - un taux d'admission moyen quotidien de plus de 10 pour 100 000 résidents et un taux supérieur à 10% de lits d'hospitalisation avec personnel occupés par des patients COVID.
Peut-être que les habitants du comté de Los Angeles auront de la chance et ne seront pas soumis à la réimposition du large mandat de masque, car ce qui s'est passé au cours de l'été se reproduit: en juillet, le nombre de coronavirus a finalement raté de peu le déclenchement d'un seuil inspiré du CDC, niant Ferrer son mandat prévu.
Mais, c'est une triste situation que les gens doivent continuer à vivre à l'ombre des menaces de réimposer le mandat bouffon et autoritaire.
Certains tyrans n'abandonneront pas le nouveau pouvoir qu'ils ont acquis dans la répression des coronavirus tant qu'ils n'y seront pas forcés.
https://www.zerohedge.com/covid-19/recurring-threat-reimpose-broad-mask-mandate-los-angeles-county
Personne dans les médias grand public n'a voulu s'adresser à l'un des éléphants imposants dans la salle, ce qui inclut le fait que les injections de COVID n'empêchent pas les cas ou les décès, que l'immunité naturelle est supérieure et que le COVID-19 n'a jamais été aussi mortel. une menace comme ils l'ont dit. L'Afrique nous donne des preuves concrètes de ces faits, mais la cabale mondialiste insiste toujours sur le fait que "l'équité des vaccins" est un objectif impératif.
RépondreSupprimerMême si des endroits comme l'Afrique n'avaient pas un accès adéquat aux vaccins COVID, et même s'ils s'en sortaient aussi bien ou mieux que le monde occidental où la prise de vaccins COVID était élevée, la cabale insiste sur le fait que nous devons toujours nous assurer que, la prochaine fois, L'Afrique bénéficiera du même type de couverture des injections que le reste du monde.
Cela n'a aucun sens, surtout si l'on considère que la majorité des décès dus au COVID aux États-Unis et ailleurs surviennent désormais parmi ceux qui ont reçu les piqûres du COVID.8
Mais, à en juger par les trois dernières années, ils ne vont même pas essayer de lui donner un sens. Au lieu de cela, ils continueront simplement à éviter de parler de réussites comme l'Afrique, où COVID a fini par avoir peu d'impact - probablement en raison de taux d'injection ultra-faibles - et quand ils en parleront, cela continuera à être voilé comme un mystère médical.
Qu'y a-t-il vraiment derrière le besoin pressant d'équité en matière de vaccins ?
Répondant aux appels à l'équité en matière de vaccins de l'Organisation mondiale de la santé, Pfizer et Moderna prévoient tous deux de fabriquer des injections de COVID en Afrique « pour répondre plus efficacement aux besoins de vaccination sur le continent ».9
Mais qu'y a-t-il vraiment derrière cette poussée pour l'équité mondiale en matière de vaccins ? Si vous me demandez, c'est parce que les vaccins font partie intégrante de l'État totalitaire de biosécurité mis en place pour contrôler la population mondiale à l'aide de passeports vaccinaux et d'identité numérique.
Il existe également des preuves convaincantes suggérant que les vaccins seront utilisés pour conduire un programme de dépopulation basé sur Malthusian. Naturellement, les eugénistes derrière COVID et les tirs de COVID ne voudraient pas que des pays en développement comme l'Afrique échappent à ce filet mondial.
Nouvelle vague de Fear-Porn pour stimuler l'adoption de la vaccination
Tout en ignorant complètement l'expérience africaine, les médias américains tentent maintenant d'effrayer les gens pour qu'ils prennent des photos supplémentaires pour l'automne en avertissant d'une « triple épidémie » imminente de COVID, de grippe et de virus respiratoire syncytial (VRS). Alors que la peur des variantes du COVID s'estompe, peut-être que la peur de trois menaces virales simultanées ravivera les flammes de la paranoïa ? Tel que rapporté par STAT News le 22 novembre 2022 : 10
« Un ouragan viral touche terre sur des systèmes de santé battus par trois années de pandémie. À quelques semaines du début officiel de l'hiver, les hôpitaux pédiatriques font face à un nombre écrasant d'enfants atteints du VRS et d'autres maladies virales.
RépondreSupprimerLes écoles qui ont promis un «retour à la normale» signalent désormais des absences généralisées et même des fermetures dues au VRS et à la grippe dans de nombreuses régions du pays, ce qui contribue à ce que les parents manquent au travail en nombre record.
Alors que la saison de la grippe de cette année commence environ six semaines plus tôt, le CDC a déjà déclaré une épidémie de grippe alors que les hospitalisations pour grippe ont atteint leur plus haut niveau en plus d'une décennie. Une tempête de ces proportions devrait exiger non seulement des mesures cliniques de crise, mais aussi des efforts de prévention communautaires.
En d'autres termes, attendez-vous à de nouveaux appels aux masques, à la distanciation sociale, aux fermetures et à l'annulation des réunions de vacances où les gens pourraient partager les idées fausses et l'amour pour l'humanité dans une égale mesure. Et, bien sûr, attendez-vous à des campagnes massives de rappel COVID et de vaccination contre la grippe, et à la honte de ceux qui décident de s'abstenir.
Le problème avec le récit tripledémique
Le problème avec le récit tripledémique est qu'il est scientifiquement invraisemblable. Ceux qui ne comprennent pas ou peu le fonctionnement des virus pourraient tomber dans le piège de penser que si un virus est mauvais, deux ou trois circulant en même temps seront bien pires. Mais ce n'est pas si linéaire dans la vraie vie.
Dans un article du magazine Science du 18 novembre 2022, Jon Cohen a expliqué pourquoi une tripledémie simultanée est peu probable :11
"Triple menace. Tripledémie. Une tempête virale parfaite. Ces phrases effrayantes ont dominé les gros titres récents alors que certains responsables de la santé, cliniciens et scientifiques prévoient que le SRAS-CoV-2, la grippe et le virus respiratoire syncytial (VRS) pourraient augmenter en même temps dans les régions de l'hémisphère nord qui ont assoupli le masquage, la distanciation sociale , et d'autres précautions COVID-19.
Mais un nombre croissant de preuves épidémiologiques et de laboratoire rassurent : le SRAS-CoV-2 et d'autres virus respiratoires « interfèrent » souvent les uns avec les autres.
Bien que les vagues de chaque virus puissent stresser les urgences et les unités de soins intensifs, la petite clique de chercheurs qui étudient ces collisions virales dit qu'il y a peu de chances que le trio culmine ensemble et écrase collectivement les systèmes hospitaliers comme le COVID-19 l'a fait au début de la pandémie.
RépondreSupprimer"La grippe et d'autres virus respiratoires et le SRAS-CoV-2 ne s'entendent tout simplement pas très bien", déclare le virologue Richard Webby, chercheur sur la grippe au St. Jude Children's Research Hospital. "Il est peu probable qu'ils circulent largement en même temps."
"Un virus a tendance à intimider les autres", ajoute l'épidémiologiste Ben Cowling de l'École de santé publique de l'Université de Hong Kong. Lors de la flambée de la variante hautement transmissible Omicron du SRAS-CoV-2 à Hong Kong en mars, Cowling a découvert que d’autres virus respiratoires « avaient disparu… et ils sont revenus en avril »…
Les progrès technologiques récents… facilitent la détection des infections chez les personnes et l'étude du comportement de plusieurs virus… De plus en plus, les chercheurs identifient une cause : les messagers chimiques que les personnes infectées produisent, appelés, à juste titre, les interférons.
Lorsqu'un virus respiratoire balaie une communauté, les interférons peuvent largement augmenter les défenses de l'organisme et ériger temporairement une barrière immunitaire à l'échelle de la population contre les virus ultérieurs qui ciblent le système respiratoire.
" Fondamentalement, chaque virus déclenche la réponse à l'interféron dans une certaine mesure, et chaque virus y est sensible ", explique l'immunologue Ellen Foxman de l'Université de Yale, qui a exploré les interférences entre le SRAS-CoV-2 et d'autres virus dans un modèle de laboratoire du voies respiratoires humaines.
Les rhinovirus, qui causent le rhume, peuvent déclencher la grippe A (le virus de la grippe le plus répandu). Le VRS peut cogner les rhinovirus et les métapneumovirus humains. La grippe A peut contrecarrer sa lointaine cousine la grippe B.
« Les interférences virales ont de nombreuses conséquences majeures sur la santé », déclare Guy Boivin, virologue à l’Université Laval, coauteur d’une revue12 sur les interférences virales plus tôt cette année…
Contrairement à d'autres réponses immunitaires - des anticorps, par exemple - qui ciblent des agents pathogènes spécifiques qu'un animal a vus dans le passé, cette réponse rapide et non spécifique [de l'interféron] fait partie de ce que l'on appelle le bras inné du système immunitaire.
COVID Shots probablement responsable de la flambée des taux de VRS chez les enfants
RépondreSupprimerDans des nouvelles connexes, les preuves suggèrent que le RSV n'a pas grimpé hors de la saison sans raison. En fait, cela semble être le résultat de la campagne pédiatrique COVID jab. Les documents des essais pédiatriques de Pfizer et Moderna soumis à la Food and Drug Administration des États-Unis révèlent que le groupe injecté a souffert de taux plus élevés de VRS, en particulier, par rapport aux témoins.
L'essai de Moderna impliquant des enfants de 2 à 5 ans a révélé que le VRS était quatre fois plus répandu chez les enfants du groupe piquée que chez les non piquées.
L'essai de Moderna impliquant des enfants de 2 à 5 ans a révélé que le VRS était quatre fois plus répandu chez les enfants du groupe piquée que chez les non piquées :13
« Dans les 28 jours suivant la vaccination, certaines infections liées aux voies respiratoires ont été signalées avec une fréquence plus élevée dans le groupe ARNm-1273 que dans le groupe placebo. Des événements de pneumonie ont été rapportés par 0,3 % et 0 % des receveurs d'ARNm-1273 et du placebo, respectivement. Le virus respiratoire syncytial (VRS) a été signalé par 0,4 % et <0,1 % des receveurs d'ARNm-1273 et du placebo, respectivement. »
Le même schéma a été trouvé dans l'essai sur les enfants de 6 à 11 ans, où le VRS a touché 0,3 % de ceux qui ont reçu le vaccin, et 0 % parmi les témoins. Les enfants qui ont reçu le vaccin étaient également plus susceptibles de contracter une sorte d'infection des voies respiratoires supérieures (3,9 % contre 2,5 %).
L'essai pédiatrique de Pfizer a donné des résultats similaires. Parmi les enfants de 6 mois à 4 ans, une bronchiolite à VRS a été signalée chez cinq participants, contre trois dans le groupe témoin. Les Centers for Disease Control des États-Unis enquêtent-ils sur ce schéma ? Nous verrons.
L'Informed Consent Action Network (ICAN) a envoyé une lettre au directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, demandant des données sur le nombre d'enfants dont les tests de VRS positifs avaient reçu un vaccin COVID avant leur diagnostic.14
Prenez le contrôle de la santé de votre famille cet hiver
Alors que la grippe, le VRS et le COVID peuvent être problématiques et dangereux pour certaines personnes à haut risque, les risques globaux qui leur sont associés sont négligeables pour la plupart. Repensez à votre vie - combien de fois avez-vous eu un rhume ou une grippe ? Combien de personnes connaissez-vous qui sont mortes d'un rhume ou d'une grippe ?
À ce stade, la grande majorité des gens ont également eu le COVID et sont ici pour attester de sa non-létalité. Malheureusement, ceux qui ont reçu plusieurs vaccins COVID sont maintenant dans la catégorie à haut risque et peuvent en fait subir une infection COVID plus grave. Pour les indécis, les dernières variantes présentent un risque exceptionnellement faible. Ils peuvent également être plus sensibles à d'autres infections respiratoires. Chez les enfants, cela inclut le VRS.
RépondreSupprimerGarder votre système immunitaire et celui de vos enfants fort est le meilleur moyen de protéger votre famille cet automne et cet hiver, et il existe de nombreuses façons efficaces de le faire. Voici une courte liste de certains des plus importants. Pour plus de détails, suivez les hyperliens fournis.
• Optimisez votre niveau de vitamine D — Il a été démontré que des niveaux plus élevés de vitamine D diminuent votre risque de développer un cas grave de COVID-19 et d'en mourir. Il a également été démontré que la supplémentation en vitamine D réduit votre risque de rhume15 et de grippe16, 17 car elle renforce votre immunité innée.
• Peroxyde nébulisé — Commencez dès le premier signe d'infection respiratoire, de préférence le premier jour. Plus vous attendez, moins il sera efficace, c'est pourquoi vous devez avoir le nébuliseur et la solution verrouillés et chargés et prêts à l'emploi dès que vous remarquez le premier symptôme.
• Alimentation limitée dans le temps (TRE) et jeûne intermittent — Les deux ont été liés à une infection COVID moins grave.
• Nutraceutiques stimulant le système immunitaire tels que la vitamine C, la quercétine avec du zinc et de la N-acétylcystéine (NAC) — Le zinc est un puissant antiviral à large spectre et la quercétine aide à le transporter dans la cellule, là où il est nécessaire. La vitamine C est également un traitement de premier ordre pour de nombreuses infections et aide à stimuler la fonction immunitaire globale.
Le NAC, quant à lui, est un précurseur du glutathion réduit, qui semble jouer un rôle crucial dans le COVID-19 en particulier. Les avantages de la NAC comprennent l'inhibition de l'expression des cytokines pro-inflammatoires, l'amélioration de la réponse des lymphocytes T et l'inhibition de l'hypercoagulation qui peut entraîner un accident vasculaire cérébral et/ou des caillots sanguins qui altèrent la capacité d'échange d'oxygène dans les poumons.Les scientifiques ont du mal à expliquer pourquoi Covid a épargné Sans piqûre
Sources and References
RépondreSupprimer1, 9 Time November 21, 2022
2 M&G August 26, 2021
3, 7 AP November 19, 2021
4 Science August 11, 2020
5 MedRxiv July 29, 2020
6 The Lancet August 22, 2020; 396(10250): 535-544
8 Daily Mail November 24, 2022
10 STAT News November 22, 2022
11 Science November 18, 2022
12 Emerging Infectious Diseases February 2022; 28(2): 273-281
13, 14 Vigilant Fox Substack October 29, 2022
15 NIH Research Matters March 9, 2009
16 Nutrients April 2020; 12(4): 988
17 Canadian Family Physician June 2015; 61(6): 507
https://www.lewrockwell.com/2022/12/joseph-mercola/scientists-struggle-to-explain-why-covid-spared-unjabbed/
RépondreSupprimerDr McCullough: l'ARNm des transferts de vax COVID de piquée à non piquée, «changeant le génome humain»
"Il est concevable que deux personnes vaccinées puissent en fait transmettre le code de Pfizer ou de Moderna à leur bébé, de manière permanente", a déclaré l'épidémiologiste de renom.
Dr Peter McCullough
ven. 2 décembre 2022 - 18 h 24 HNE
(LifeSiteNews) – Dans une récente interview, l'éminent interniste, cardiologue et épidémiologiste, le Dr Peter McCullough, a expliqué comment des études ont indiqué que l'ARNm synthétique des vaccins expérimentaux COVID de Pfizer et Moderna peut durer de manière permanente dans le corps, peut également être transféré aux personnes non vaccinées, et « change le génome humain ».
"Il semble que l'ARN messager soit transféré des vaccinés aux non vaccinés maintenant", a déclaré McCullough à Tanya Gaw d'Action4Canada le 24 novembre (à partir de 39h24).
Le médecin basé à Dallas a eu une carrière renommée dans le domaine médical, notamment en rédigeant 677 articles dans des revues scientifiques à comité de lecture, et reste la personne la plus publiée dans son domaine dans l'histoire.
McCullough a fait référence à un de ses articles où il a cité une étude d'Hélène Banoun montrant que les nanoparticules lipidiques qui transportent l'ARNm se propagent dans tout le corps et « se sont avérées capables d'être excrétées par les fluides corporels (sueur, crachats, lait maternel) et de passer la barrière transplacentaire.
"Et dans un article de Fertig et ses collègues, l'ARN messager circule dans le sang pendant au moins deux semaines" (ici), a déclaré le médecin à Gaw. « Et les courbes ne descendaient pas. C'est aussi longtemps qu'ils ont regardé.
Il a déclaré qu'un autre article « a trouvé de l'ARN messager dans les ganglions lymphatiques vaccinés pendant des mois. On dirait que le corps ne le nettoie pas.
Enfin, une autre étude "de Hanna et ses collègues du JAMA a montré que l'ARN messager se trouve dans le lait maternel de femmes mal avisées qui ont pris le vaccin pendant la grossesse ou après", a-t-il déclaré.
Résumant ces réflexions, McCullough a proposé la question rhétorique : « Pourriez-vous réellement prendre un vaccin par inadvertance par contact étroit, baiser, contact sexuel, [ou] allaitement ? Il semble que la réponse soit "oui".
De plus, il a expliqué que l'ARNm n'a «jamais été démontré qu'il quittait réellement le corps. Ils semblent être permanents, ainsi que la protéine de pointe qui est produite après eux. C'est très troublant.
"Cet ARN messager, on dirait que c'est pour toujours. Chaque coup s'accumule dans le corps sans que le corps puisse s'en débarrasser », a expliqué l'ancien président de la Cardiorenal Society of America.
RépondreSupprimerDiscutant des ramifications de cela, McCullough a expliqué qu'il était très difficile de donner des conseils à ses patients. Après avoir d'abord conseillé à ses patients non vaccinés de "s'abstenir de baisers et de contacts sexuels avec une personne vaccinée" pendant 30 jours, il l'a prolongé "à au moins 90 jours" et envisageait de le prolonger à partir de ce moment.
"Je sais qu'il y a des couples mariés et toutes sortes d'implications personnelles là-bas", a-t-il commenté.
Le cardiologue a raconté qu'on lui avait également dit que ces réalités avaient un impact sur les applications de rencontres où désormais "l'une des cases à cocher les plus importantes est si quelqu'un n'est pas vacciné. Les gens ne veulent vraiment pas sortir avec des personnes vaccinées en ce moment.
Citant deux autres études, McCullough a fait part d'une autre découverte alarmante, à savoir que puisque l'ARNm reste dans le corps pendant une période prolongée, "il semble qu'ils s'installent de manière permanente dans le génome humain grâce à ce que nous appelons la transcription inverse".
"Donc, c'est troublant que non seulement le vaccin ne sorte pas du corps, mais maintenant ils changent le génome humain. Ceci est montré dans la lignée cellulaire d'hépatome humain. Et il est donc concevable que deux personnes vaccinées puissent en fait transmettre le code de Pfizer ou de Moderna au bébé de manière permanente », a-t-il déclaré. "Donc, c'est très, très dérangeant."
«Le gouvernement, au fur et à mesure qu'il développait ces vaccins, les a en quelque sorte précipités dans les dernières étapes. Il n'y avait aucune assurance que ceux-ci étaient sûrs. Il n'y avait aucune génotoxicité, aucune étude de tératogénicité. Et dans les études d'autopsie, la protéine de pointe produite à partir du matériel génétique se trouve dans le cœur… [et dans] le cerveau », a expliqué le médecin.
«Donc, je peux vous dire que tous ceux qui ont pris le vaccin ont ce matériel dans leur cerveau, leur cœur, leurs glandes surrénales, [et] les organes reproducteurs. C'est vraiment une pensée terrible. Je suis de tout cœur avec les personnes qui ont pris le vaccin », a-t-il déploré.
McCullough a été un critique des plus compétents et convaincants des restrictions, des verrouillages et des mandats draconiens du COVID-19 imposés au cours des 2 ans et demi. Comme alternative, il a plaidé de manière convaincante pour la culture de l'immunité naturelle et le traitement précoce grâce à des thérapeutiques efficaces.
L'éminent médecin, qui a également fourni d'importants commentaires d'experts sur Fox News, NewsMax et Real America, a déclaré au rédacteur en chef de LifeSiteNews, John-Henry Westen, en août 2021, que "les vaccins à ce stade ont représenté une mortalité record et blessure et doit être considéré comme dangereux et impropre à l'usage humain.
De plus, McCullough a décrit le COVID-19 en septembre comme une « arme biologique ». "C'est une opération gouvernementale qui a créé le SRAS-CoV-2 et la protéine de pointe", a-t-il déclaré. "C'est le gouvernement américain qui l'a fait. Et ils travaillaient sur la menace et travaillaient sur la réponse… Tout était prévu… Le SRAS-CoV-2 est une arme biologique.
RépondreSupprimerDe plus, lors d'une conférence fin octobre, l'interniste a expliqué pourquoi les injections expérimentales basées sur le gène COVID-19 devraient être la cause présumée de taux de mortalité excessifs inhabituellement élevés dans le monde.
Il a ajouté dans une interview ultérieure que « le vaccin accélère la mort par d'autres causes. Donc, si quelqu'un a un cancer, le vaccin accélère cela. Si quelqu'un a une maladie cardiaque, il est plus susceptible d'avoir des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux mortels… Les vaccins provoquent la coagulation du sang… Le vaccin est incroyablement risqué, et fondamentalement, il atteint son objectif. Si l'objectif était de réduire la population mondiale, ça marche.
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Dr Peter McCullough: les piqûres COVID devraient être la cause présumée d'un excès de décès inhabituellement élevé
Le Dr Peter McCullough révèle l'étendue des crimes COVID de Big Pharma dans un nouveau livre
https://www.lifesitenews.com/news/dr-mccullough-mrna-from-covid-vax-transfers-from-jabbed-to-unjabbed-changing-human-genome/?utm_source=popular
Grâce aux confinements et aux masques : les affections pseudo-grippales sont en hausse
RépondreSupprimer6 décembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
L'OMS, les autorités sanitaires et les politiciens prétendent maintenant depuis près de trois ans qu'il n'y a pas d'autre maladie dans le monde que le Covid. Les mesures prises pour contrer cela, des confinements aux masques obligatoires en passant par les fermetures d'écoles et d'entreprises, ont causé d'énormes dommages collatéraux, qui deviennent lentement mais sûrement de plus en plus évidents.
La santé humaine et animale est un système complexe dans lequel de nombreux facteurs interagissent. Cela comprend un entraînement régulier du système immunitaire par le contact avec un large éventail d'agents pathogènes. Des études ont montré que les « enfants des rues » ont une santé beaucoup plus robuste que ceux qui sont hébergés et qui ne sont pas en contact avec l'environnement. Le psychoneuroimmunologue Prof. DDr. Christian Schubert fait référence à des études qui ont montré qu'un contact étroit avec d'autres personnes protège contre les infections.
Des études sur les infections et les maladies corona en Angleterre et en Écosse l'ont également montré. Dans les familles avec enfants, il y avait moins de résultats positifs aux tests et moins de maladies. Et il diminue à mesure que le nombre d'enfants augmente.
L'une des conséquences des mesures corona malavisées est que 25% des enfants en Allemagne sont malades. L'Institut Robert Koch (RKI) le montre avec les données publiées dans le rapport hebdomadaire GrippeWeb, semaine calendaire 47.
- voir graph sur site -
On voit que les enfants jusqu'à 15 ans en particulier - la ligne rouge audacieuse pour la saison 2022/2023 - sont très durement touchés cette saison, selon les données un enfant sur quatre. Les fines lignes rougeâtres montrent les évolutions des deux saisons précédentes 2020/21 et 2021/22. Les adultes sont également plus touchés, mais pas dans la même mesure, représentés par des lignes verdâtres.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Ce graphique décompose davantage la répartition par âge et nous pouvons voir que le groupe d'âge 0 à 4 ans a également été le plus touché lors de la saison 2021/22 précédente. Grâce aux faibles taux de vaccination, les dommages causés par la vaccination sont peu probables ou peuvent même être exclus. Donc, d'autres facteurs doivent être à l'œuvre.
Dans ce groupe d'âge, la protection contre la maladie passe par le lait maternel. Mais les mères elles-mêmes étaient moins exposées à tous les autres virus en raison des diverses restrictions, ne pouvaient pas entraîner leur système immunitaire et le mettre à jour et ne pouvaient donc pas transmettre la protection aux nourrissons comme d'habitude.
WDR et Tagesschau ont signalé à plusieurs reprises un manque de lits et des hôpitaux pour enfants débordés. Ceci après que les problèmes psychiatriques causés par les mesures Corona dirigées contre les enfants ont déjà provoqué un triage dans les hôpitaux pour enfants.
https://tkp.at/2022/12/06/dank-lockdowns-und-masken-grippeaehnliche-erkrankungen-am-vormarsch/
L'infection corona conduit à une longue covid moins souvent que d'autres infections
RépondreSupprimer6 décembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
Les dommages causés par les vaccinations sont souvent appelés Long Covid. Dans la propagande de vaccination, vous pouvez entendre "La vaccination prend 10 secondes, Long Covid prend des mois". A également revendiqué un danger présumé de Long Covid pour les enfants. Comme indiqué, une étude de l'Université de Zurich a donc comparé les plaintes d'enfants avec et sans infection corona. Et n'a trouvé aucune différence significative dans les plaintes.
Une étude a maintenant montré la même chose chez les adultes. Il est apparu sur Jama Network le 1er décembre, intitulé Association of Initial SARS-CoV-2 Test Positivity with Patient-Reported Well-being 3 Months After a Symptomatique Illness and patient-reported well-being trois mois après une maladie symptomatique). Il compare les résultats sur trois mois de 1 000 personnes atteintes d'infections respiratoires, dont 722 ont été testées positives pour le SRAS-2 et 278 ont été testées négatives. L'étude a déjà fait le tour, y compris dans un article d'Igor Chudov.
Les auteurs se demandent si les personnes dont le test corona est positif sont généralement moins bien loties après trois mois que les personnes dont le test est négatif et se sont par conséquent remises d'une autre infection respiratoire. C'est une autre façon de se demander si Long Covid est une nouvelle, comme on le prétend toujours, ou si les symptômes sont connus depuis longtemps dans d'autres infections.
La question est répondue assez clairement:
«Dans cette étude de cohorte de 1 000 adultes américains atteints d'une maladie symptomatique, les mauvais scores de bien-être étaient courants lors du suivi à la fois chez ceux qui ont été testés positifs et chez ceux qui ont été testés négatifs pour l'infection par le SRAS-CoV-2. Malgré une certaine amélioration au fil du temps, 39,6 % des patients COVID-19 positifs et 53,5 % des patients COVID-19 négatifs ont signalé des symptômes résiduels.
Donc, apparemment, une infection corona provoque une longue covid beaucoup moins fréquemment que d'autres infections. Ce qui est clair pour beaucoup de gens qui ont déjà eu une vraie grippe.
Ceci est développé plus en détail dans les résultats :
RépondreSupprimerAu total, 282 des 712 participants (39,6 %) du groupe COVID-19 positif et 147 des 275 participants (53,5 %) du groupe COVID-19 négatif ont signalé un mauvais bien-être physique, mental ou social persistant. Après ajustement, les améliorations du bien-être étaient statistiquement et cliniquement plus importantes chez les participants du groupe COVID-19 positif par rapport au groupe COVID-19 négatif, uniquement en ce qui concerne la participation sociale ; les changements dans d'autres domaines du bien-être n'étaient pas cliniquement différents entre les groupes. L'amélioration du bien-être dans le groupe COVID-19 positif s'est concentrée sur les participants âgés de 18 à 34 ans... et ceux qui se présentent en ambulatoire pour un test COVID-19....
Ou pour le dire autrement, Long Covid est la forme la plus douce de Long Influenza. Assez bien connu et il a été souligné encore et encore ici dans le blog. Il était et est utilisé pour effrayer les gens au sujet de l'infection corona et pour aider l'industrie pharmaceutique à vendre des médicaments et des vaccins.
Mais tout cela ne doit pas nécessairement être le cas, il existe des moyens efficaces de prévention et de prophylaxie, comme cela a été et est expliqué ici encore et encore sur TKp. Cependant, si vous suivez les conseils de l'OMS et des autres opérateurs de la pandémie et que vous ne faites que vacciner, vous devez vous attendre à être malade plus longtemps et, deuxièmement, à souffrir plus longtemps des conséquences.
https://tkp.at/2022/12/06/eine-corona-infektion-fuehrt-seltener-zu-long-covid-als-andere-infektionen/
1°) Il n'existe pas de 'maladie cocovide19' pour les non-vaccinés puisque le dit 'virus est une poussière QUI N'EST PAS DANS L'AIR.
Supprimer2°) Les dits 'asymptomatiques' sont des personnes testées avec DE FAUX TESTS ('RT-PCR') et qui donc ne présentent aucune attaque de ces poussières mais qui peuvent avoir simplement la grippe ou un rhume ou... rien du tout !
3°) Chez les victimes d'empoisonnement par piqûre(s) là cela peut être différent. Le poison inoculé peut mettre quelques heures ou quelques jours ou mois pour faire effet.
Un expert japonais met en garde : les injections de COVID-19 mettent en danger des MILLIARDS de vies
RépondreSupprimerlundi 05 décembre 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Un expert japonais a mis en garde contre les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), arguant que « des milliards de vies pourraient finalement être en danger » en raison des injections expérimentales.
Le professeur émérite de l'Université de Kyoto (Kyoto-U), le Dr Masanori Fukushima, a émis cet avertissement lors d'une conférence du 25 novembre convoquée par le citoyen concerné Kazuhisa Ukawa.
Ce dernier a organisé la conférence pour donner aux membres de la famille des victimes du vaccin et aux personnes discriminées en raison de leur statut vaccinal une chance de raconter leur histoire. De plus, Ukawa a déclaré que la conférence visait à leur offrir des conseils et un soutien.
"Compte tenu du large éventail d'événements indésirables, des milliards de vies pourraient finalement être en danger", a déclaré Fukushima. Certains de ces événements indésirables qu'il a cités étaient les «maladies cardiovasculaires», les «maladies auto-immunes» et la «sensibilité aux infections».
"Tous ceux qui sont tombés malades après avoir été vaccinés ne doivent pas tarder à informer leur institution médicale", a conseillé l'expert. "Ne sois pas lent."
Selon Fukushima, "les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial". Cependant, il a réprimandé le gouvernement central de Tokyo pour avoir « ignoré avec force » les dangers des injections, dépensé « des milliards de yens pour importer des vaccins » et « incité la population » à se faire injecter.
"L'année dernière, je pensais que ce serait un problème si ce vaccin se propageait - et j'ai décidé qu'il était illusoire de penser qu'un vaccin résoudrait la pandémie. Dans les magazines professionnels, le malentendu est enfin apparu au grand jour, et maintenant on comprend à quel point c'est dangereux.
Fukushima a ajouté que les dommages causés par les injections de COVID-19 sont une forme de méfait de la drogue.
RépondreSupprimer"Ce pays a appris sa leçon sur les méfaits de la drogue et est devenu un pays qui ne souffrira plus jamais des méfaits de la drogue", a-t-il déclaré. "Par conséquent, nous éliminerons à tout prix les risques de méfaits de la drogue."
Fukushima: les injections de COVID-19 suppriment l'immunité naturelle
L'expert a affirmé lors de la conférence de presse que les vaccins COVID-19 compromettent l'immunité naturelle.
« Il peut supprimer l'immunité naturelle. Le COVID-19 ne s'est pas propagé [parmi les] Japonais au début parce qu'ils ont de l'immunoglobuline A (IgA) dans leur salive et ils ont ce type de résistance au [SARS-CoV-2] », a-t-il expliqué.
"Cependant, en raison de la vaccination, l'immunité naturelle a été supprimée. C'est ce qui s'est passé. Je ne pense pas que cela s'atténuera du tout; ça se répandra de plus en plus. La plupart des gens ont déjà des infections post-vaccinales.
Fukushima a réitéré que "les personnes qui ont la maladie en ce moment ne sont pas celles qui n'ont pas été vaccinées, mais celles qui ont été vaccinées".
L'expert s'est également concentré sur la technologie de l'ARNm utilisée dans les vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer et Moderna. (Connexe : AUCUN CONTRÔLE DE QUALITÉ : Trois lots de "vaccins" Covid de Moderna retirés du Japon pour contamination par l'acier inoxydable.)
"[Lorsque vous] enveloppez l'ARNm dans des nanoparticules, chaque cellule l'engloutit et les cellules se transforment. C'est ce que je sais maintenant; le mécanisme est clair.
« Les nanoparticules sont [aussi] absorbées par le cerveau. Un scientifique stupide dirait "ils ne peuvent pas traverser la barrière [hémato-encéphalique], donc ça va". Je ne suis pas idiot.
L'un des participants qui a perdu sa femme à cause du vaccin COVID-19 s'est exprimé lors de la conférence, adressant ses commentaires au ministère japonais de la Santé, du Travail et des Affaires sociales (MHLW).
« Combien de personnes allez-vous tuer [avec les vaccins COVID-19] ? We The People ne sommes ni des jouets ni des cobayes. Vous utilisez les communications de masse pour nous inciter à [se faire vacciner, et] le résultat est… nous avons perdu notre famille [des membres] ».
Le participant a également lancé un défi aux responsables du ministère japonais de la santé.
RépondreSupprimer« Je sais que la plupart d'entre vous [du MHLW] ne sont pas vaccinés. Vous avez dit que vous vous étiez fait vacciner, mais j'ai entendu dire que seulement 10 % d'entre vous l'avaient été. Puisque vous avez dit que le vaccin est sans aucun doute sûr, voudriez-vous s'il vous plaît le démontrer en vous faisant vacciner en premier ? »
VaccineDamage.news a plus d'histoires sur les dangers des vaccins COVID-19.
Regardez le Dr Masanori Fukushima alors qu'il met en garde contre le vaccin COVID-19 lors de la conférence de presse du 25 novembre ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne In Search Of Truth sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Une étude du NEJM confirme que les piqûres de covid détruisent l'immunité naturelle.
ÉTUDE : Le covid survivant produit une immunité naturelle durable (contrairement à la fausse immunité « vaccinale ».)
Les protéines de pointe administrées par voie intraveineuse sont conçues pour traverser la barrière hémato-encéphalique et peuvent provoquer une hémorragie cérébrale.
Sources include:
SHTFPlan.com
Twitter.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-05-japanese-expert-covid-injections-endanger-billions-lives.html
La quasi-population mondiale serait atteinte par l''asymptomatie19'. C'est-à-dire qu'elle est en très bonne santé mais ne le saurait pas !! ÔH PUTAING !!
SupprimerDr Roger Hodkinson: Les responsables qui ont poussé les verrouillages COVID, les vaccins méritent la PRISON
RépondreSupprimerLundi 05 décembre 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Le pathologiste canadien, le Dr Roger Hodkinson, a déclaré que les responsables qui ont poussé les verrouillages et les vaccins pour lutter contre la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) devraient être mis derrière les barreaux.
Il a fait cette affirmation lors d'un récent podcast avec Robert Vaughan de Just Right Media. Son appel à emprisonner les responsables ne s'appliquait pas seulement aux dirigeants de son pays d'origine, mais également à d'autres dirigeants de pays du monde entier.
"Absolument pas. je suis plein de vengeance; Je suis vengeur », a déclaré Hodkinson à Vaughan en réponse à la question de ce dernier s'il était nécessaire de« pardonner et d'oublier ».
"Ce n'est pas le moment de dire" je suis désolé ". Il est temps de mettre ces salauds en prison."
Hodkinson s'est également concentré sur ce qu'il a appelé «le grand meurtre», qui concerne les dommages causés par le gouvernement qui a mis son nez dans les soins de santé pendant la pandémie. Il a fait remarquer: "Nous avons vu le plus grand meurtre de l'histoire de la médecine, directement à cause de l'intervention de ces idiots dans les soins de santé."
Les politiciens ne sont cependant pas les seuls à blâmer, car le médecin canadien a également eu des mots forts pour les médecins qui ont simplement suivi.
"Ce sont les médecins eux-mêmes qui sont principalement coupables parce qu'ils ont permis aux bottes du gouvernement d'influencer la façon dont ils gèrent leurs patients - ce qui ne s'est jamais produit auparavant", a déclaré Hodkinson.
Il a également réprimandé les médecins qui ont promu les vaccins COVID-19 comme sûrs, en particulier pour les femmes enceintes.
"Comment pouvez-vous faire cela ? Comment pouvez-vous regarder dans les yeux d'une femme enceinte et lui dire : « Ce produit expérimental est sans danger » ? Comment pouvez-vous faire cela en tant que médecin ?
Hodkinson a finalement dit à Vaughan : « Non. Tout médecin qui a fait cela devrait être en prison.
RépondreSupprimerLa proposition de Hodkinson est une réponse appropriée aux appels à l'amnistie en cas de pandémie
Les appels du pathologiste canadien aux responsables de «la grande tuerie» sont sûrement la réponse la plus appropriée à ceux qui demandent une «amnistie pandémique».
Emily Oster de l'Université Brown a d'abord proposé l'amnistie pandémique dans un éditorial publié dans le magazine Atlantic. Elle a exhorté les gens à "pardonner et à oublier" les mandats du COVID-19 et les dommages qu'ils ont causés car les gens "étaient dans l'ignorance au sujet du COVID-19" à ce moment-là.
« Reconnaissons que nous avons fait des choix compliqués face à une profonde incertitude, puis essayons de travailler ensemble pour reconstruire et aller de l'avant », a lancé Oster. Son appel a été reçu avec moquerie et hostilité. (Connexe: Harrison Smith: la suggestion d '«amnistie pandémique» d'Emily Oster mérite un grand NON.)
Les remarques de Hodkinson lors du podcast, qui ont servi de réponse appropriée aux propositions de «trêves pandémiques», ont fait écho aux déclarations qu'il a prononcées en personne lors d'un événement parrainé par Rebel News.
Lors dudit événement, le pathologiste a souligné que les personnes incapables de tenir la main de leurs proches mourants qui ont succombé au COVID-19 étaient l'effet le plus brutal du verrouillage.
"C'est la fin de la ligne", a-t-il déclaré. « Tu ne fais pas ça, et ils l'ont fait quand même. Je suis désolé, ces choses sont impardonnables – totalement impardonnables.
Hodkinson a également commenté la pression pour injecter aux enfants les vaccins COVID-19 malgré les dangers des injections.
« Qu'en est-il de nos enfants qui sont maintenant vaccinés contre quelque chose dont ils n'ont pas besoin et qui en sont tués ? [C'est] des sacrifices d'enfants pour apaiser ces nouveaux dieux, ces technocrates [et] idiots », a-t-il déclaré.
"Eh bien, le sacrifice d'enfants n'a pas fonctionné pour les Aztèques. Ça n'a pas fait tomber la pluie et ça ne sauvera pas grand-mère de la maison de retraite.
MedicalMartialLaw.com en a plus sur les autorités qui font la promotion des vaccins COVID-19 et des confinements.
RépondreSupprimerRegardez le Dr Roger Hodkinson faire exploser la pandémie de COVID-19 comme un « paquet de mensonges » ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne What is happening sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
La justice arrive pour les complotistes du COVID.
Thomas Renz : Les personnes derrière les vaccins COVID ont leur place en prison.
PAS D'AMNISTIE : le pardon de Covid intervient APRÈS que les tyrans aient été entièrement traduits en justice et que la bonne gouvernance soit rétablie.
Les sources comprennent :
LifeSiteNews.com
Twitter.com 1
L'Atlantique.com
Twitter.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-05-officials-behind-covid-lockdowns-vaccines-deserve-jail.html
Une nouvelle loi en Colombie-Britannique emprisonne des médecins qui diffusent des « informations trompeuses »
RépondreSupprimerlundi 05 décembre 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Une nouvelle législation en provenance de la Colombie-Britannique (C.-B.) cible et emprisonne les médecins qui n'acceptent pas les injections forcées et d'autres récits de meurtres de masse infâmes qui ont été poussés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial ( FEM).
Le projet de loi 36, la Loi sur les professions et occupations de la santé (LPOA), donne au ministre de la Santé le pouvoir dictatorial d'imposer des amendes et de suspendre les médecins qui sont simplement accusés de diffuser « des informations fausses ou trompeuses aux patients ou au public ». Le ministre de la Santé peut nommer des commissions collégiales pour faire appliquer les dispositions du projet de loi. Le ministre de la Santé peut même ordonner aux professionnels de la santé d'être emprisonnés pour s'être opposés aux récits du gouvernement et de l'industrie pharmaceutique. Le projet de loi codifie également la fin des droits à l'autonomie corporelle, obligeant tous les professionnels de la santé à se faire des injections contre leur gré. Dans la section 200 (« Éligibilité à exercer »), les médecins peuvent être contraints de prendre n'importe quel nombre de vaccins, y compris, mais sans s'y limiter, le calendrier actuel de décès par vaccin covid-19.
Les professionnels de la santé qui disent la vérité sont menacés de prison au Canada
Lors du scandale de la covid-19, des médecins de partout au Canada se sont opposés aux restrictions et aux violations des droits humains dictées par le gouvernement. Les autorités médicales sanctionnées par l'État ont affronté la résistance en menaçant de suspendre les licences des médecins s'ils "mettaient le public en danger par la désinformation". Maintenant, ces autorités médicales sanctionnées par l'État menacent les médecins avec une nouvelle législation qui prévoit des peines de deux ans de prison pour avoir osé parler contre les mensonges et le génocide de masse. L'article 514 définit (« Infractions ») et l'article 518 définit (« Sanctions »). Ces articles autorisent des amendes allant jusqu'à 200 000 dollars par individu ou 500 000 dollars par entreprise, avec une peine de prison pouvant aller jusqu'à deux ans pour avoir «sciemment» diffusé de la «désinformation».
Le projet de loi ne définit même pas les «renseignements faux ou trompeurs». Cela signifie que les médecins seront suspendus et emprisonnés pour avoir partagé des informations qui remettent en cause les restrictions actuelles et les violations des droits humains. En emprisonnant les médecins, les criminels au pouvoir pourront arrêter la vérité dans son élan, effrayant les professionnels les plus courageux de ne jamais révéler la vérité. Tout au long du scandale du covid-19, les criminels au pouvoir ont pu cibler la vérité comme de la "désinformation", mais la vérité finirait par percer à mesure que les professionnels de la santé s'avançaient lentement. Si les méchants peuvent emprisonner les diseurs de vérité, alors la vérité sera soumise à la peur, et tout le monde aura peur pour sa vie. Les gouvernements ne devraient pas terroriser les médecins et les enfermer pour avoir dit la vérité.
RépondreSupprimerDans l'article 259 (Ordonnances sommaires de protection), les professionnels de la santé sont avertis qu'ils peuvent être suspendus ou soumis à des restrictions d'exercice s'ils fournissent « des informations fausses ou trompeuses aux patients ou au public » et il est considéré qu'« une personne qui agit sur le l'information est [sujet à] un risque important de préjudice. De plus, les professionnels de la santé peuvent être ciblés s'ils fournissent des informations considérées comme un « danger pour la santé » au sens de la Loi sur la santé publique.
Selon la Loi sur la santé publique, un danger pour la santé est tout ce qui est « susceptible d'interférer avec la suppression d'agents infectieux ou d'agents dangereux ». Cela signifie que les médecins ne pourront pas critiquer les soi-disant vaccins, les traitements inefficaces, les masques faciaux, les tests PCR, les tests d'anticorps, la surveillance thermique, l'isolement social, les tests de flux latéral, les restrictions familiales, les restrictions de rassemblement, les prélèvements anaux, les confinements, les camps de quarantaine, ou tout autre moyen destructeur de contrôle de la population.
La vérité et la justice doivent prévaloir
RépondreSupprimerLe Justice Center for Constitutional Freedoms a écrit une déclaration sur le projet de loi 36 et a déclaré : « La législation représente une fin de course autour des freins et contrepoids démocratiques.
L'avocate de la Colombie-Britannique, Charlene Le Beau, s'est prononcée contre le projet de loi : « L'adoption du projet de loi 36 témoignerait d'une nouvelle érosion des droits et libertés que notre Charte est censée protéger, en particulier la liberté individuelle. Comme le disait Aristote, « la base d'un État démocratique est la liberté ».
Le projet de loi est "une attaque frontale contre l'intégrité professionnelle et la liberté des professions de la santé", a déclaré David Leis, vice-président de l'engagement et du développement du groupe de réflexion sur les politiques publiques, le Frontier Center for Public Policy.
De plus en plus de professionnels de santé prennent la parole, car le temps presse. La liberté, la vérité et la justice en matière de santé doivent prévaloir dans la lutte contre la tyrannie médicale, la censure médicale, la fraude médicale et le meurtre de masse par les armes biologiques et les soi-disant vaccins
Sources include:
ReclaimtheNet.org
Leg.BC.ca
BCLaw.gov
https://www.naturalnews.com/2022-12-05-new-law-in-british-columbia-jails-doctors-misleading-information.html
Les décès du millénaire ont encore augmenté de 36 % en août, selon Ed Dowd
RépondreSupprimerLundi 05 décembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Ed Dowd, responsable de l'investissement en actions, est apparu récemment dans "The War Room" de Steve Bannon pour discuter de la surmortalité à l'ère post-opération Warp Speed. L'une des choses qu'il a révélées est que les décès chez les 25 à 44 ans ont encore augmenté de 36 % en août – et cela s'ajoute à une augmentation de 84 % au cours des quatre derniers mois de 2021.
En mars, Dowd a publié un rapport mettant en évidence des augmentations constantes des taux de mortalité excessifs depuis la sortie des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) le 14 décembre 2020 – ce qui se trouve être en plein milieu de la deux «grandes éclipses américaines», la première s'étant produite le 21 août 2017 et la seconde encore à venir le 8 avril 2024.
"C'est le plus grand crime que j'ai vu dans l'histoire de ma carrière", a déclaré Dowd à Bannon dans la nouvelle interview. "Et c'est le plus grand écart d'information asymétrique que j'ai jamais vu - ce qui signifie que nous, dans la salle de guerre, le savons. Tu le sais. Beaucoup de gens le savent. Certains des législateurs à qui je parle le savent. Mais 90 % de la planète n'a aucune idée de ce qui vient de leur arriver.
«Nous constatons toujours en août de cette année une surmortalité de 36 %; J'ai vu la société des numéros d'actuaire. Ils ne les publient pas régulièrement, ils ne les publient qu'une fois par an. En 2022, au mois d'août, 36% de surmortalité pour les millennials. Donc, ça continue, Steve. (En relation: 40 % de personnes de plus que d'habitude meurent dans le monde entier depuis que les vaccins contre la grippe Fauci ont été déclenchés.)
Les suites de l'injection de covid sont-elles une négligence criminelle ou un meurtre de masse intentionnel ?
RépondreSupprimerCe qui choque vraiment Dowd, c'est le fait que presque personne ne parle de tout cela. Les politiciens, même de droite, se taisent. Il en va de même pour les établissements de santé, les sociétés pharmaceutiques et, bien sûr, les médias contrôlés par les entreprises, qui ne peuvent plus jamais prendre la peine de rapporter quoi que ce soit de vrai, encore moins toute la vérité.
"Le manque de bruit que nous entendons à ce sujet, les grillons que nous entendons de la part des établissements de santé, des politiciens et des fabricants de médicaments … ils savent ce que nous savons", a expliqué Dowd. "J'appelle ça une dissimulation. J'appelle cela de la négligence criminelle à ce stade.
Tout le monde n'est pas d'accord avec l'approche douce adoptée par Dowd, en particulier en ce qui concerne son utilisation du terme « négligence criminelle », qui implique un degré moindre de jeu déloyal que ce qui semble s'être réellement produit.
"Non, pas de négligence criminelle", a écrit un commentateur en réponse à l'interview de Dowd. "Il s'agit absolument d'un meurtre au premier degré avec tentative de dissimulation. Vous n'obtenez pas de négligence criminelle avec un empoisonnement délibéré conçu pour dépeupler spécifiquement et tout faire pour faire taire les gens et les garder dans l'obscurité.
Un autre a mentionné l'eugéniste milliardaire Bill Gates qui a déclaré à de nombreuses reprises qu'il aimerait voir un dépeuplement massif de la planète. Au cours d'une tristement célèbre conférence TED qu'il a donnée, Gates a admis que les vaccins faisaient partie de la campagne mondialiste de génocide de masse.
"Nous avons besoin d'audiences sur les crimes contre l'humanité à la Nuremberg et de l'exécution massive des responsables de ce génocide", a suggéré ce même commentateur.
"Qui les poursuivra, cependant, puisque c'est le gouvernement qui fait cela à l'humanité?" a demandé à un autre comment, exactement, cela pourrait fonctionner. « De plus, la loi PREP leur accorde l'immunité. Le nombre de décès augmentera car la plupart des décès devraient survenir 3 à 5 ans après l'injection. D'ici la fin de 2023, l'inondation commencera jusqu'à la fin de 2025. »
Soit dit en passant, la loi PREP a été promulguée sous Donald Trump pour empêcher les auteurs de la plandémie d'être tenus responsables de leurs crimes contre l'humanité.
"Si nous allons citer des noms, Trump était tout à fait d'accord et s'est attribué le mérite des" vaccins "à plusieurs reprises tout au long de l'arnaque", a déclaré un autre.
RépondreSupprimerLes dernières nouvelles sur les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheGatewayPundit.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-05-millennial-deaths-up-36-percent-ed-dowd.html
La mort subite post-piqûre est désormais blâmée de manière absurde sur les "anti-vaxxers" pour avoir attiré l'attention sur le génocide par balle de covid
RépondreSupprimerLundi 05 décembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La dernière excuse invoquée pour expliquer pourquoi de plus en plus de personnes «entièrement vaccinées» ont des crises cardiaques ou meurent sans raison apparente est que les «anti-vaxxers» accusent publiquement les «vaccins» du coronavirus de Wuhan (Covid-19) pour toute cette destruction de santé.
«La science», nous dit-on, indique que le phénomène de la «mort subite» est un facteur d'attention des anti-vaxxeurs, et non à cause des injections elles-mêmes qui sont parfaitement «sûres et efficaces».
"L'alarmisme et la désinformation colportés par des personnes sans formation scientifique pour terroriser les gens afin qu'ils restent non vaccinés ne font pas seulement que les gens restent sensibles aux épidémies virales, mais pourraient également causer plus d'effets secondaires observés dans le processus de vaccination", lit une nouvelle étude par Raymond D. Palmer qui a été publié dans la revue Biomedicine (Taipei).
"Une mini revue de la littérature publiée a été menée et a révélé que le stress mental provoque clairement une vasoconstriction et une constriction artérielle des vaisseaux sanguins", poursuit l'étude en suggérant.
En d'autres termes, les gens tombent malades et meurent après avoir été piqués non pas à cause des piqûres, mais parce que les gens les effraient à propos des piqûres, ce qui provoque du stress, de la vasoconstriction et, finalement, des problèmes de santé et une mortalité précoce. (Connexe: la mort subite et inattendue est un phénomène courant après les piqûres de covid et d'autres formes de vaccination.)
Les « vaxxers » sont-ils responsables des maladies et des décès des non-vaccinés qu'ils ont persécutés pendant deux ans lors de l'arnaque ?
Palmer soutient que si la personne complètement piquée se sent «paniquée, inquiète, stressée ou effrayée par la vaccination», cela entraînera des effets secondaires comme une crise cardiaque et une mort subite. 'Rien dans la piqûre', cependant, n'est à blâmer.
"... leurs artères se resserreront et deviendront plus petites au moment de recevoir le vaccin", affirme Palmer dans son article.
"Ce mécanisme biologique (la constriction des veines, des artères et des vaisseaux sous stress mental) est la cause la plus probable de caillots sanguins, d'accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques, d'étourdissements, d'évanouissements, d'une vision floue, d'une perte d'odorat et de goût qui peuvent avoir été vécue peu de temps après l'administration du vaccin.
Palmer conclut que "le stress mental extrême du patient pourrait très probablement être attribué à la peur et aux tactiques alarmistes utilisées par divers groupes anti-vaccination".
RépondreSupprimerC'est de la folie absolue, bien sûr, mais c'est quelque chose que nous attendons du « milieu universitaire » et des « sciences », qui refusent de jeter un regard honnête sur les injections de vaccins. Il n'y a tout simplement aucun scénario dans leur esprit dans lequel les coups eux-mêmes pourraient causer à une personne des problèmes de santé ou une mort prématurée.
Quelqu'un dans les commentaires a fait un point intéressant sur la façon dont le stress d'être humilié et aliéné par les "vaxxers" pendant deux ans pendant l'arnaque a causé beaucoup de stress sur le reste d'entre nous. Palmer a-t-il déjà pensé à cela ?
"Toute cette histoire de "désinformation" restera dans l'histoire comme le plus grand embarras pour notre espèce", a écrit un autre. "Vous savez, quand vous voyez une de ces vieilles publicités avec une femme enceinte fumant une cigarette avec un message de santé et de liberté ? Comme ça."
"Tous ceux qui ne voient pas l'évidence de tout cela placeront leurs paumes sur leurs sourcils et penseront 'COMMENT... comment ai-je pu ne pas voir ?!' Nous n'en sommes pas encore là mais cela se terminera... pas à temps pour sauver des milliards de vies, mais cela finira. Finalement, nous nous réveillons.
D'autres ont souligné que, oui, les non-vaccinés étaient persécutés, honteux, maltraités et licenciés de leur travail, ce qui causait un immense stress qui, pour beaucoup d'entre eux, entraînait la formation de maladies chroniques.
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins ? Visitez Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent :
MarkCrispinMiller.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-05-post-jab-death-blamed-anti-vaxxers.html
(...) "... leurs artères se resserreront et deviendront plus petites au moment de recevoir le vaccin", affirme Palmer dans son article.
Supprimer"Ce mécanisme biologique (la constriction des veines, des artères et des vaisseaux sous stress mental) est la cause la plus probable de caillots sanguins, d'accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques, d'étourdissements, d'évanouissements, d'une vision floue, d'une perte d'odorat et de goût qui peuvent avoir été vécue peu de temps après l'administration du vaccin. (...)
Ce qui TOTALEMENT FAUX d'affirmer que lors d'un resserrement de veines il y ait formations de caillots, car, depuis que sont faites des piqûres (ou victimes de stress en regardant la télé ou autres films d'horreur) les personnes piquées n'ont jamais subi d'embolie !
Les caillots formés lors des inoculations actuelles proviennent de la composition des seringues qui représente de 95 à 99 % des nano-particules d'oxyde de graphène qui 'ont rien à faire dans une seringues sauf pour les condamnés à mort !
Jean-Loup Izambert et Claude Janvier – Covid-19, le bilan en 40 questions
RépondreSupprimerPar Jean-Loup Izambert et Claude Janvier
Mondialisation.ca,
05 décembre 2022
On s’était quitté avec un précédent livre, Le virus et le président, et nos 2 auteurs ont remis le couvert sur le même sujet de la crise sanitaire dite de la Covid-19. Comme indiqué en couverture, il s’agit d’un retour sur 2 ans d’infos et d’intox.
Les 40 questions sont organisées par thèmes, virus, masques, tests, vaccin. Les auteurs nous font part de leur voyage dans cette pandémie, leurs rencontres, les sources, leurs réflexions sur tous ces sujets.
On a donc une forme d’état des lieux, de quoi s’armer moralement, intellectuellement pour la suite si nos dirigeants souhaitent encore poursuivre les hostilités.
On a par exemple assisté au début de cette pandémie à une utilisation très fallacieuse des statistiques pour noyer la capacité des gens à se représenter la crise dans le temps. Le travail de ce livre est aussi de montrer que le temps joue pour la vérité car les études indépendantes, citées régulièrement, commencent à sortir et alimentent progressivement une opposition structurée à la pensée unique sur la crise sanitaire.
La blitzkrieg et la guerre de mouvement des 1ers mois laisse place à une guerre de tranchée plus à notre avantage. Cette impressionnante collecte de faits et de témoignages nous le démontre. Le rapport de force s’équilibre.
Covid-19, le bilan en 40 questions
Interview des auteurs
Bonjour Messieurs, quel a été l’accueil du 1er livre Le virus et le président ? Était-ce un livre pour la dissidence ou a-t-il trouvé sa place auprès d’un lectorat plus large ?
Jean-Loup Izambert : Le virus et le président, réalisé dans l’enquête et l’écriture avec l’écrivain essayiste Claude Janvier, a pu gagner un lectorat plus large grâce au soutien de nombreux sites Internet, de blogs et de médias de la presse libre. Commercialisé en décembre 2020, il était vendu à plus de 5 200 exemplaires à la fin du mois de décembre 2021. Depuis il continue à se vendre et nous devrions approcher les 8 à 10 000 exemplaires à la fin 2022. Le scandale Ivermectine, seule enquête journalistique complète de langue française sur le médicament interdit qui soigne de la Covid-19, a notamment été médiatisé par la revue Nexus dont le journaliste Philippe Donnaes a rendu compte à ses lecteurs sur huit pages1.
En plus de sites Internet de médias libres comme Kairos (www.kairospresse.be) en Belgique ou le Centre de recherche sur la mondialisation au Canada (www.mondialisation.ca), des revues professionnelles comme le British Ivermectin Recommendation Development – BIRD – (www.bird-group.org), groupe de scientifiques de plusieurs pays basé en Angleterre, les publications de la Ligue nationale pour la liberté de vaccination (LNPLV) ou la revue mensuelle suisse Santé Libre ont également relayé la parution de mon enquête et son contenu. De même, Covid-19 – Le bilan en 40 questions, le troisième ouvrage de notre trilogie, reçoit un très bon accueil. Nous sommes sollicités par des sites Internet, associations et librairies pour des interventions et conférences-débats. Les trois ouvrages de cette trilogie sont appréciés par les lecteurs puisqu’ils sont tous cotés entre quatre et cinq étoiles sur les principaux sites de vente par correspondance. Ce sont de bonnes ventes quand on sait qu’en France la vente moyenne par titre se situe à 4 090 exemplaires toutes catégories confondues avec les ventes les plus importantes réalisées en bandes dessinées, fiction jeunesse et littérature.
RépondreSupprimerDe plus ce résultat est obtenu sans qu’un seul média d’information politique et générale ait relayé ces parutions. Les obstacles à franchir pour l’édition de quatorze enquêtes d’investigation que j’ai publiées depuis 1998 comme celles réalisées avec mon complice Claude Janvier et mes cinquante années de journalisme sont des atouts précieux pour placer le livre au cœur du débat social. Nous comptons bien amplifier encore cette dynamique avec les prochains livres auxquels nous travaillons.
Parmi toutes ces références au fil du livre, les multinationales de la santé semblent être devenues des pieuvres aux capacités de corruptions sans limites. Peut-on imaginer un jour s’en débarrasser ?
Jean-Loup Izambert : La question posée pour les sociétés transnationales de la santé vaut pour celles d’autres secteurs d’activité comme la finance, l’agro-alimentaire, l’énergie ou la santé publique. Il s’agit de mettre l’activité de ces sociétés transnationales au service de l’intérêt général – entreprise, salariés, environnement de l’entreprise – et non au seul profit de leurs gros actionnaires. Par exemple, il est parfaitement anormal que le groupe pharmaceutique Sanofi qui a perçu 1,5 milliard d’euros de fonds publics en dix ans au titre du crédit d’impôt recherche ait supprimé sur la même période près de la moitié des effectifs de chercheurs qui sont passés de 6 387 en 2010 à 3 905 en 2020. Il est également anormal que, quelques semaines après avoir distribué quatre milliards d’euros de dividendes aux actionnaires, les dirigeants de ce même groupe du CAC 40 annonce, le 26 juin 2020, une nouvelle suppression de 1 700 emplois en Europe, dont un millier en France.
Ceux-ci, dont le groupe bénéficie du soutien de la puissance publique, ont même engagé un plan « d’économie » de deux milliards d’euros notamment par l’arrêt de la recherche sur le diabète et le cardiovasculaire ! C’est le choix du « tout actionnaire » anglo-saxon contre l’entreprise pérenne au service de l’intérêt général. Face à cette entreprise de liquidation nationale, qui vaut pour de nombreux autres secteurs économiques, que faire ? Comme a pu le dire Hervé Sérieyx, ancien dirigeant de grands groupes, haut fonctionnaire et auteur de nombreux ouvrages sur l’organisation d’entreprise, « par simple souci d’efficacité économique, il s’agit de passer du « personnel-instrument » au service de l’organisation à « l’organisation-instrument » au service des personnes »2. Voilà qui pose la question de la propriété sociale des entreprises qui est intimement liée à celles de la formation, des connaissances, de la culture et de l’engagement de ceux qui en font la richesse. C’est la raison pour laquelle le révolutionnaire russe Lénine appelait les étudiants et travailleurs à « apprendre, encore apprendre toujours apprendre » et qu’il estimait que « le régime des coopérateurs civilisés est le régime socialiste. »
RépondreSupprimerL’État n’a pas à régler autoritairement cette question par décret. Par contre, il lui appartient de créer les conditions législatives permettant la gestion démocratique des entreprises dans un intérêt général. Libre après aux salariés de ces groupes comme Sanofi de demander la nationalisation de l’entreprise en débattant et proposant les principes de leur restructuration ou pas. Sans cette initiative de base l’activité de l’entreprise continuera dans la logique capitaliste purement financière d’accumulation du capital au seul profit de ses gros propriétaires privés, principalement étrangers, et ses salariés resteront cantonnés au rôle de quémandeurs épisodiques d’emplois et d’augmentations salariales. Bien évidemment, ces dispositions législatives ne peuvent voir le jour qu’avec des élus du peuple ayant pour priorité la souveraineté économique du pays au profit de l’intérêt général et non avec des politiciens qui jouent à cache-misère avec le pouvoir en étant surtout préoccupés d’intérêts claniques ou de faire carrière dans les institutions de l’Union européenne. Il ne s’agit pas de remplacer des énarques de droite par des énarques de gauche et inversement pour perpétuer la même gestion selon les mêmes critères uniquement financiers avec les mêmes structures hiérarchiques lourdes. Seul un puissant mouvement populaire conscient des mesures à mettre en œuvre – mesures d’urgence, à moyen et long termes – pour rompre avec le capitalisme permettra de changer l’ordre des choses.
On trouve au fil des pages beaucoup de références ou entités extra ou supra-nationales qui montent en puissance crises après crises. Est ce une accélération du projet globaliste ou sa désintégration à moyen terme comme le parasite qui meure d’avoir tué son hôte ?
J-L.I. : C’est une accélération car l’hégémonie étasunienne et son monde unipolaire, l’U.S. Imperium, est en train de s’écrouler. C’est la raison pour laquelle l’arrogance des dirigeants impérialistes de Washington et des atlantistes de l’Union européenne se manifeste désormais par une guerre totale contre les peuples qui s’opposent à leur diktat financier, économique et culturel. Au fil des décennies la concentration du Capital s’est accompagnée du renforcement du rôle de l’État, non comme serviteur du bien commun mais comme protecteur autoritaire de l’enrichissement et des privilèges des grands propriétaires privés des moyens de financement, de production et d’échange. L’économie du « cœur de système », celle des États-Unis, implose et est devenue complètement fictive. Leurs dirigeants ne peuvent plus rembourser leur dette totale abyssale qui n’est pas, contrairement à ce qu’écrivent certains journalistes, de 30 000 milliards de dollars mais se situait à hauteur de 93 100 milliards de dollars au début du mois de novembre 2022 !3
RépondreSupprimerPour sauver les meubles, à chaque législature le Congrès augmente le plafond de la dette afin de pouvoir au moins payer les fonctionnaires. Mais augmenter le plafond de la dette ne l’empêche pas de continuer de s’alourdir et faire tourner la « planche à billets verts »favorise la dépréciation continue du dollar. Dans le même temps la Fédération de Russie dédollarise son économie et de grands pays comme la République populaire de Chine font de même. L’École de Guerre Économique de Paris constatait à la fin de l’année 2021 que si 90% des transactions l’étaient en dollars en 2015 elles ne l’étaient plus qu’à hauteur de 51% en 2019 puis à 46% début 20204. De grandes économies comme celles de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique du Sud, de la République islamique d’Iran et d’autres ont rejoint ce mouvement d’émancipation financière.
Et, en 2021, selon un rapport du Fonds Monétaire International (FMI), la part du dollar U.S. dans les réserves des banques centrales a chuté de 70% à 59%. C’est son plus bas niveau depuis 25 ans, au profit d’autres devises tel que l’euro mais surtout du rouble, le renminbi (yuan) et l’or. Actuellement cette tendance se poursuit, le dollar flambe et les États-Unis sont entrés dans un état de survie artificielle. La situation commencera à devenir intéressante quand leur président devra remplir une brouette de dollars pour s’acheter un big mac. Bien sûr la désintégration du système ne se fera pas d’elle-même et tout dépend de la volonté des peuples de mettre en chantier un nouveau système d’organisation politique et de gestion de la société au profit de leurs populations. C’est ce que font, pas à pas, les pays membres de l’Organisation de la coopération de Shanghai avec d’autres organisations.
Les dirigeants occidentaux ont perdu leur atout maître semble-t-il, cette sidération qui bloquait les capacités de réflexion. Qu’en est-il des gens du quotidien ? Indifférence, colère, acceptation ? Où en est-on des phases du deuil de la narrative officielle ?
RépondreSupprimerJ-L.I. : Ainsi que nous le rapportons dans notre enquête Covid-19 – Le bilan en 40 questions, nous avons constaté en allant au devant des gens pendant près de deux années que depuis le début de l’année 2020 la manière de penser a beaucoup évolué. Il y eut dans un premier temps cette surinformation composée de désinformation et de fausses informations diffusées par de nombreux politiciens, fonctionnaires et la plupart des médias d’information politique et générale. Vers la fin de l’année 2021, malgré cette pression le discours d’une majorité des personnes rencontrées, de toutes catégories professionnelles et dans différentes régions, a changé. La méfiance vis-à-vis du discours officiel est manifeste et s’est renforcée au fil des mois. Nous rappelons à ce sujet que selon le rapport annuel 2020 du Reuters Institute Digital News qui analyse les relations des populations avec leurs différents médias, sur 40 pays, la France se classe à la 39e place !«La confiance dans l’information en France est parmi les plus faibles (23 %) en Europe », soit le plus bas niveau de confiance des pays occidentaux ont constaté les enquêteurs.
Cette méfiance s’est accompagnée d’une volonté de chercher des réponses aux questions posées par la situation et surtout de savoir comment défendre ses droits face aux mesures gouvernementales, votées la plupart du temps par des minorités de députés. C’est la raison pour laquelle Covid-19 – Le bilan en 40 questions se distingue des quelques 400 livres parus sur ce sujet. Nous ne nous contentons pas de donner la parole à des chercheurs, des médecins, des analystes, des journalistes d’investigation mais donnons des contacts, faisons intervenir des avocats, des dirigeants d’associations qui conseillent les lecteurs pour les aider à faire respecter leurs droits. Les actions du mouvement associatif, de médecins comme ceux de « Touche pas à mon doc »(www.tpmd.fr), d’avocats mais aussi de citoyens venus d’horizons très divers – bonSens.org, Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante, Ligue nationale pour la liberté de vaccination, Réaction 19, etc. – pour agir sur les mêmes objectifs ont favorisé cette prise de conscience.
Nous rencontrons des situations catastrophiques causées par les mesures gouvernementales mais aussi d’autres, formidables, où les gens se groupent pour s’opposer avec détermination aux décisions du pouvoir. Par exemple, les salariés et les dirigeants de l’entreprise Paccard, les célèbres fondeurs de cloches de Haute-Savoie, rencontrés lors d’une conférence-débat dans leur entreprise, ont fait front commun pour refuser les mesures gouvernementales, y compris en s’opposant aux interventions répétées de la gendarmerie. C’est un bel exemple de solidarité et de résistance. Il y en a ainsi de très nombreux autres à travers tout le pays dont peu de médias informent les lecteurs. De la presse que nous analysons régulièrement, il appert que le mensuel Initiative Communiste du PRCF (www.initiative-communiste.fr), qui a présenté notre travail, est le seul journal qui rend compte chaque mois de ces luttes sur plusieurs pages. C’est un média précieux pour ceux qui, comme nous, souhaitent interpeller les gens, porter le débat, susciter la réflexion et appeler à l’action.
RépondreSupprimerPour revenir à l’actualité, l’opération spéciale russe semble avoir complètement dérouté ou pris de cours les dirigeants globalistes qui poussaient derrière l’opération Covid-19, le passe sanitaire, la censure. Comment analysez-vous la situation géopolitique actuelle dans l’optique des mesures sanitaires actuelles et à venir ?
J-L.I. : L’hyper concentration du capital dans les sociétés capitalistes s’est accompagnée d’une aggravation de la crise, non plus conjoncturelle mais structurelle. C’est-à-dire qu’elle touche indéfiniment tous les aspects de la société : politique, finance, économie, social, culturel, moral. Pour perdurer l’impérialisme en crise n’a plus que la guerre totale dans tous ses états : guerres politique, diplomatique, économique, financière, culturelle, médiatique et au final militaire. Telle est la Troisième Guerre mondiale qui est en cours, tantôt insidieusement, tantôt très brutalement qui a déjà détruit des pays entiers et fait des millions de morts et de personnes déplacées. C’est la fin du monde unipolaire et le conflit ouvert en Ukraine au cœur de l’Europe par les centres impérialistes politiques et économico-financiers va changer la carte du monde.
Le danger réside dans la volonté hégémonique des impérialistes de Washington qui savent que leur système est en déclin continu. Mentalement et par nécessité de survie ils refusent cette réalité et s’imaginent encore pouvoir régenter le monde comme ils pillèrent la Banque Nationale d’Haïti en décembre 1914 pour imposer leur dictature à « la perle des Antilles ». Sauf que la Fédération de Russie ou la République populaire de Chine et leurs alliés à travers le monde ne sont pas de pauvres Haïtiens sans défense. Aussi, pour éviter un affrontement direct avec la Russie qui serait catastrophique pour l’humanité, ils jettent les peuples les uns contre les autres et s’aventurent dans une guerre pour diviser l’Europe sans voir que Kiev va devenir leur nouveau Kaboul. Aussi les mesures sanitaires actuelles ou à venir ne sont que prétexte pour contrôler le peuple sans aucune justification scientifique.
RépondreSupprimerOn parle moins de la guerre des vaccins, tout juste des confinements en Chine. Où en est la pandémie de part le monde ?
J-L.I. : L’épidémie fut grandement exagérée par les politiciens et les médias occidentaux. Elle s’est éteinte naturellement dans la plupart des pays. Je répondrai précisément à votre question en argumentant sur cinq points :
Où en est la pandémie au plan mondial ?
Selon les statistiques officielles transmises par les États, de 2020 à octobre 2022, 6,59 millions de personnes seraient décédées de la Covid-19 pour 635 millions de cas déclarés avec 12,9 milliards de doses de vaccins injectées dans une population d’environ 8 milliards d’habitants.
Que valent ces chiffres ?
Ils ne veulent pas dire grand-chose en dehors du fait que le nombre de décès dus à la Covid-19 a été grandement exagéré. Le nombre de cas déclarés est produit par l’utilisation du test RT-PCR. Or, où qu’il soit pratiqué, ce test ne peut pas dire si vous êtes infecté ou pas et encore moins si vous êtes contagieux ou pas ! La plupart des résultats de ces tests sont faux. Des scientifiques expliquent pourquoi dans Covid-19 – Le bilan en 40 questions.
Y a-t-il eu réellement 6,59 millions de personnes décédées de la covid-19 ?
Concernant le nombre de décès, toutes les personnes déjà malades pour lesquelles il y
RépondreSupprimeravait un soupçon d’infection par le SRAS-Cov-2 avec un faux résultat de test RT-PCR ont été automatiquement déclarées décédées « de » la covid-19. Cela a pour conséquence de produire de fausses statistiques en amplifiant grandement le nombre de morts attribués à la covid-19. Cherchez à qui profite le crime… Il y a une différence entre décéder « de » la covid-19 ou « avec ». En effet, en 2 ans 10 mois d’épidémie, 6,59 millions d’individus très âgés et souvent déjà malades ont été déclarés décédés « de » la Covid-19. Or, les données publiées par différents pays montrent toutes que 88% des décès déclarés « de »la covid-19 auraient pu être attribués à une comorbidité et 12 % à la seule Covid-19. Cela veut dire qu’en 2 ans et 10 mois 1 million de décès environ peuvent être attribués de manière presque certaine à la Covid-19.5
Ce million de décès fait-il de la Covid-19 une maladie très dangereuse ?
En aucun cas. A titre de comparaison : Près de 10 millions de décès dus aux cancers6, 8,9 millions de décès dus aux maladies cardiaques, 2,6 millions dus aux infections des voies respiratoires basses, 2 millions de nouveaux-nés décédés suite à des affections néonatales, 1,5 million suite à des maladies diarrhéiques7. Et « chaque jour 25 000 personnes meurent de faim », rappelle John Holmes, sous-Secrétaire aux affaires humanitaires des Nations Unies8. L’édition 2022 du rapport de l’ONU sur « L’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde » rapporte que « 828 millions de personnes souffraient de la faim en 2021 – soit 46 millions de plus qu’un an auparavant et 150 millions de plus qu’en 2019. » Quelle campagne de presse dans les médias occidentaux sur les quelque 2,3 milliards de personnes (29,3% de la population mondiale) qui sont en situation d’insécurité alimentaire modérée ou grave9 ? Et pour dénoncer les responsables des « plus de 13 millions de décès dans le monde chaque année [qui] sont dus à des causes environnementales évitables »10 ? En réalité le nombre de décès réellement attribués à la Covid-19 est inférieur à celui de la grippe saisonnière en temps normal sur deux années au niveau mondial : environ 1,2 million de décès en moyenne sur deux années11.
Les vaccins à ARN messager ont-ils permis de stopper l’épidémie ?
En aucune manière. On constate que les pays d’Europe et d’Amérique du Nord, les plus vaccinés avec les produits à ARNm, sont ceux qui ont le plus de difficultés à sortir de l’épidémie. Ces produits expérimentaux ont été présentés par les politiciens de Washington, dirigeants de sociétés transnationales pharmaceutiques et de l’Union européenne comme la solution contre la maladie Covid-19. Ils ont été achetés avec des fonds publics à hauteur de dizaines de milliards d’euros sur la base de contrats quasi-secrets et sans aucun débat parlementaire. En, réalité ces produits s’avèrent très dangereux. Les chiffres sur les effets secondaires commencent à être rendus publics, documentés, et de plus en plus de voix s’élèvent contre cette tromperie qui apparaîtra comme le plus grand scandale sanitaire que le monde ait connu. Rien qu’en France, l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) recense depuis le début de la campagne d’injections 2 600 effets secondaires graves par semaine dont 25 à 28% sont très graves. Et, il faut savoir, ainsi que l’expliquent des chercheurs dans Covid-19 – Le bilan en 40 questions, que ce nombre ne représente que de 1 à 5% du nombre réel de ces effets secondaires ! En Allemagne, la société d’assurance maladie BKK ProVita (BKK) estime que, selon les données des patients, les effets secondaires de la vaccination sont au moins dix fois plus fréquents que ceux rapportés par l’Institut Paul Ehrlich, l’agence fédérale allemande de la santé qui surveille la sécurité des vaccins et des biomédicaments : 244 576 cas d’effets secondaires pour la seule année 202 112 !
RépondreSupprimerSelon une intervention d’Andreas Schöfbeck, membre du conseil d’administration du BKK, si les chiffres sont extrapolés sur un an pour l’ensemble des 83 millions d’Allemands, ce sont 2,5 à 3 millions de personnes qui ont reçu en Allemagne un traitement médical pour les effets indésirables secondaires d’un vaccin à ARNm.
Avec près de 347 millions de tests positifs non fiables mais déclarés en dix mois de l’année 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccins en 2021, il appert que la contamination n’a jamais été réduite par ces produits à ARNm. Bien au contraire, on observe qu’elle a été 4 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin ! Le slogan «Tous vaccinés, tous protégés» répété par les politiciens, responsables d’administrations, dirigeants de sociétés transnationales pharmaceutiques occidentales et des médias était donc mensonger. La grande majorité des contaminations et des décès de l’année 2022 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord. L’Europe occidentale est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis plus d’un an, sans discontinuer. Cela prouve que la stratégie du tout vaccinal n’a pas fonctionné. De plus en plus de français qui commencent enfin à comprendre qu’ils ont été trompés et entrent dans un cycle sans fin de vaccinations sans aucun bénéfice pour leur santé renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème dose de rappel. L’épidémie est donc terminée et les vaccins à ARNm s’avèrent être ni efficaces ni sûrs et en plus dangereux. Il n’y a que la direction de l’Organisation mondiale de la santé et les dirigeants de l’Union européenne, notamment les français, pour fermer les yeux.
Page 222, Il y a un passage fort intéressant sur la vaccination et l’armée française. Après les échos autour de l’armée américaine, ça tombe très mal pour les armées de l’OTAN avec les tensions à l’Est. Qu’en est il de la troupe derrière la censure médiatique ? Est-ce un potentiel cygne noir ?
RépondreSupprimerJ-L.I. : Lorsque nous avons rédigé notre enquête le mouvement en faveur des infirmières et des sapeurs-pompiers qui ont été exclus de leur métier du jour au lendemain, privés de salaire et de droits, car ils refusaient de se faire injecter un produit expérimental, n’avait pas encore l’ampleur qu’il prend aujourd’hui. De même, pour les médecins poursuivis par leur Conseil de l’ordre et qui sont suspendus ou radiés car ils ont sauvé des vies avec l’Ivermectine ! Il existe une banque mondiale de données sur l’Ivermectine (www.ivmmeta.com) gratuitement accessible qui indique qu’au mois d’octobre 2022, 98 études ont été réalisées par 1014 chercheurs à travers le monde sur 134 223 patients. Toutes les conclusions de ces recherches sont concordantes sur la sûreté et l’efficacité de ce médicament. De plus, une quarantaine d’État ont éradiqué la maladie Covid-19 en ne suivant pas la recommandation de l’OMS publiée dans un rapport falsifié mais en se référant aux études scientifiques. La situation est identique pour les militaires qui ont été exclus de l’armée pour les mêmes raisons ainsi qu’en témoigne courageusement un officier dont nous rapportons les explications. Enfin, nous trouvons scandaleux qu’une majorité de partis politiques et de syndicats n’ait pu initier une démarche commune pour la réintégration immédiate de ces citoyens – médecins, infirmiers, sapeurs-pompiers, militaires, gendarmes, etc. – qui consacrent leur vie à sauver celle des autres 24 heures sur 24 dans des conditions de plus en plus difficiles. Ceux qui soutiennent les mesures gouvernementales ou se défilent n’en sortiront pas grandis. Les députés communistes ont déposé une proposition de loi le 25 juillet dernier demandant l’abrogation des dispositions de la loi n° 2021‑1040 du 5 août 2021 relatives à l’obligation vaccinale et la réintégration immédiate des agents du service public suspendus en conservant l’état d’avancement qui était le leur au moment de leur suspension. Qui en parle ?
Quels sont vos réflexions plus personnelles sur le sens que l’on peut attribuer à ces 2 dernières années ?
J-L.I. : La tentative de contrôler le marché des vaccins, de renforcer les mesures de surveillance, de privatiser des secteurs entiers de l’Administration, de ficher et contrôler les citoyens et d’attaquer la Fédération de Russie par Ukraine interposée ont les mêmes commanditaires : des grands propriétaires privés anglo-saxons de la finance et de l’économie. Ces événements caractérisés par leur agressivité et leur mépris des peuples traduisent leur fébrilité devant la fin de règne de leur système hégémonique. Celui-ci est en situation d’affrontement avec l’évolution scientifique, technique, sociale de la société. Alors que le Capital se concentre et que leurs centres de décisions accompagnent inévitablement cette tendance, la société aspire au contraire a des avancées démocratiques pour gérer ses affaires, s’émanciper, vivre mieux. Les impérialistes s’accrochent à leur hégémonie en déclin comme l’ancienne noblesse à ses privilèges avant la Révolution de 1789 ou la bourgeoisie russe avant celle d’octobre 1917.
RépondreSupprimerLes risques d’un nouveau conflit majeur n’ont jamais été aussi grands depuis la Seconde Guerre mondiale car ceux-ci sont aujourd’hui associés à la dégradation du fonctionnement des organisations internationales, à la substitution du droit international à de prétendues règles décidées unilatéralement par les dirigeants de Washington, et à l’érosion des principes de sécurité collective. La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin et le monde unipolaire appartient déjà au passé. Mais, cela ne veut pas dire que ce système va s’écrouler tout seul. Aujourd’hui, la plupart des nations ne sont plus disposées à supporter l’U.S. Imperium. Les forces de la rupture et de la construction doivent éclairer sur les changements nécessaires et les moyens d’y parvenir. Les chemins empruntés par les peuples pour changer l’ordre des choses sont différents et varient selon leur culture et leur Histoire. Dans ce contexte, il est remarquable de voir des pays comme la Fédération de Russie, la République de l’Inde, la République islamique d’Iran, le Brésil, la République populaire de Chine, et bien d’autres, à l’Histoire, à la culture et aux systèmes politiques très différents, travailler ensemble pour réaliser, dans tous les secteurs, des coopérations mutuellement avantageuses pour le progrès et la paix de leurs peuples. Les avancées politiques, économiques, sociales, culturelles créées par l’Organisation de coopération de Shanghai – OCS – (www.eng.sectsco.org) sont aussi d’une importance capitale par ce qu’elles nous enseignent et nous suggèrent pour l’action.
Voilà ce que ne supportent pas les dirigeants de l’U.S. Imperium à la vieille mentalité colonialiste dont « l’American way of life » s’enterre dans la crise et la guerre. Les autres organisations plurinationales qui gravitent autour de l’OCS renforcent cette dynamique initiée à partir de 1996 par la plate-forme informelle dite « Shanghai Cinq ». En moins d’une trentaine d’années que de chemin parcouru dont témoignent les grands projets positifs réalisés et ceux aujourd’hui en chantier ! Vous avez deux mondes : l’ancien, le bloc occidental, négatif, qui enfonce les peuples dans la guerre et la récession, où les gens ont de plus en plus de difficultés à se soigner, s’éduquer, travailler, se loger, se chauffer, où la population en voie de précarisation augmente tandis que des richesses monumentales s’accumulent entre les mains d’une minorité de possédants. A l’opposé le monde de l’OCS, positif, va de succès en succès, pas à pas, dans le respect de la souveraineté de chaque peuple. Par exemple, la Fédération de Russie poursuit son développement malgré les sanctions occidentales. Elle est devenue le pays le plus autarcique du monde qui produit presque tout ce dont elle a besoin, possède des ressources qu’elle négocie avec ceux qui la respectent, dispose d’énormes réserves financières, développe son système de santé publique, construit des centaines de milliers de logements.
RépondreSupprimerDe même, la République populaire de Chine qui tout en ayant éradiqué l’extrême pauvreté et la pauvreté – près de 850 millions de personnes lors des sept dernières décennies – (www.french.china.org.cn), améliore continuellement la situation de toute la population. Le salaire moyen y est en constante augmentation tandis que les impôts et taxes diminuent13et les entreprises privées doivent consacrer l’essentiel de leurs ressources à leur développement et à leur environnement. Avec son partenaire russe, la Chine construit, avec d’autres pays, des ponts entre les peuples pour renforcer la paix et développer des coopérations dans tous les domaines. Avec l’agonie de l’U.S. Imperium, ce monde positif qui émerge et se renforce est, à mon avis, l’événement essentiel de ces dernières années car il réunit des acteurs de convictions politiques, philosophiques, religieuses très différentes sur des projets communs tournés vers l’avenir et la paix.
Quels sont vos projets ?
J-L.I. : Nous allons publier au premier trimestre 2023 une nouvelle enquête sur un drame qui concerne tous les français sous le titre L’abandon français chez IS Edition. Nous montrons à partir du vécu quotidien des gens comment la pensée unique s’installe dans la société de manière perverse et influe sur notre comportement en nous inculquant les normes anglo-saxonnes. La France est un pays au riche patrimoine matériel et immatériel qui fit hier son rayonnement mais depuis les années soixante-dix tout part à vau l’eau. Aujourd’hui notre existence même comme Français est menacée. Il nous semble nécessaire de rappeler pourquoi, par qui et d’appeler à l’action pour reprendre « les atouts France ». Nous travaillons également sur un autre ouvrage qui traitera de la fin de règne de l’hégémonie étasunienne et du monde nouveau qui émerge avec l’OCS. Claude Janvier, qui anime l’émission Libre parole sur TV ADP (www.tvadp.fr), a également un autre ouvrage en cours.
RépondreSupprimerDe mon côté, j’ai plusieurs autres ouvrages en chantier. L’un d’entre eux mettra en cause les dirigeants de l’OMS avec l’Union européenne, dont des dirigeants français, dans une vaste affaire qui a eu pour conséquence le mort de milliers de personnes rien qu’en France. Une autre de mes enquêtes révélera dans une succession de chapitres plus ou moins longs et piquants les dessous de la construction de l’Union européenne, son bilan et le côté très « maison close » de la Commission européenne. Il est important de rappeler à la veille des élections des députés « européens » de 2024 que ceux-ci ne servent à rien si non à cautionner la division de l’Europe qui s’étend du détroit de Béring à la mer d’Irlande et à faire du versant ouest européen un protectorat de Washington meurtri par la crise et ses guerres. Également, mettre en lumière une autre possibilité de construction européenne débarrassée de l’actuelle structure pyramidale centralisée, de ses technocrates « hors sol » et des lobbies anglo-saxons ne devrait pas manquer de susciter l’intérêt des lecteurs.
Notes
RépondreSupprimer1.Interview covid-19, Ivermectine présumé inefficace ? Nexus, n°139, mars-avril 2022 ↩
2.Alerte sur notre contrat social, par Hervé Sérieyx, éd. Eyrolles
3.Dette des Etats-Unis au mois de novembre 2022. La dette US totale ne se limite pas à la dette fédérale. Elle comprend aussi les dettes des ménages, des entreprises, des 50 États de l’union, des institutions locales et des institutions financières. L’évolution de la dette U.S. est consultable sur le site internet qui lui est dédié : www.usdebtclock.org.
4.La dédollarisation des économies, fin de l’ère de puissance des économies ? par Guillaume-Henri Hurel, Ecole de guerre économique (www.ege.fr) 6 septembre 2021
5.Source : Rapport mensuel de situation Covid planétaire du 29 octobre 2022, 0h00GMT, tableaux et analyses commentés par le général Dominique Delawarde
6.Cancer, OMS (www.who.int), 10 février 2022
7.OMS, Les 10 principales causes de mortalité, 9 décembre 2020
8.Chaque jour 25 000 personnes meurent de faim, par John Holmes www.un.org
9.ONU, Rapport L’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2022, ONU (www.who.int), 6 juillet 2022
10.Des milliards de personnes respirent toujours un air pollué : nouvelles données de l’OMS, OMS (www.who.int), 4 avril 2022
11.Source : Organisation mondiale de la santé
12.BKK tire la sonnette d’alarme – Les effets secondaires de la vaccination totalement sous-estimés, Nordkurier, 23 février 2022
13.Conférence de presse de Liu Kun, ministre chinois des Finances, 22 février 2022
La source originale de cet article est Le Saker francophone
https://www.mondialisation.ca/jean-loup-izambert-et-claude-janvier-covid-19-le-bilan-en-40-questions/5673270
10 ingrédients les plus SURPRENANTS et DANGEREUX dans les vaccins, et les mauvaises explications de l'industrie pour expliquer pourquoi ils sont utilisés
RépondreSupprimerTuesday, December 06, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Savez-vous que le sang, les cellules et les tissus organiques des vaches, des aigles, des chiens, des furets, des poulets et, oui, des avortements humains, sont utilisés pour fabriquer les vaccins les plus meurtriers au monde ? C'est pourquoi on les appelle des "vaccins sales". La plupart des défenseurs de la santé naturelle connaissent déjà le thimérosal, composé à 50 % de mercure, qui traverse la barrière hémato-encéphalique grâce à l'inclusion d'aluminium (lié à la démence), présent dans les vaccins multidoses contre la grippe. Mais ça devient bien pire. Ce que la plupart des gens ignorent, ce sont les ingrédients surprenants que, s'ils se trouvaient dans les aliments ou les boissons, la plupart des gens utiliseraient leur bon sens et leur jugement pour les éviter à tout prix.
Ces ingrédients effrayants et ces substances volatiles sont appelés « excipients », « adjuvants » et « conservateurs » par le complexe industriel du vaccin pour éviter que les injectés ne suscitent une inquiétude et une consternation justifiées.
Non, les vaccins ne sont pas « sûrs et efficaces », et ils ne l'ont jamais été. Ce mythe a sûrement été démystifié, surtout maintenant avec ces redoutables injections de caillots pour Covid. Les gens aiment dire que les cigarettes sont si dangereuses et nocives pour la santé, mais les vaccins sont encore pires. Pourquoi ces ingrédients dangereux sont-ils utilisés dans les vaccins et quels dommages à la santé à court et à long terme ces « excipients » et « adjuvants » causent-ils ?
Saviez-vous que presque toutes les allergies infantiles sont liées aux ingrédients du vaccin ? Cela nécessite un examen attentif. Aucun médecin ne pointe jamais vers les vaccins lorsqu'il s'agit d'allergies infantiles, d'asthme, de problèmes de peau comme le psoriasis et l'eczéma, ou de réactions allergiques graves et potentiellement mortelles à certains antibiotiques (oui, des antibiotiques sont présents dans certains vaccins).
Même l'antigène de l'huile d'arachide est TOUJOURS présent dans de nombreux vaccins et est utilisé depuis les années 1960. L'infirmière de l'école ne vous a-t-elle pas informé ? Ce n'est pas parce que l'huile d'arachide n'apparaît pas dans le produit vaccinal final ou dans les notices d'avertissement que des résidus ne se trouvent pas dans le vaccin. L'huile d'arachide est un «milieu de croissance» utilisé pour faire croître les bactéries et les virus, comme avec le vaccin ROR et la plupart des vaccins antigrippaux. Avez-vous des allergies aux arachides ?
10 Ingrédients les plus surprenants et les plus dangereux des vaccins, et le carnage chronique qu'ils infligent à la santé
#1. Glutamate monosodique - Trouvé dans les vaccins contre l'adénovirus, certains vaccins contre la grippe, la véricelle (varicelle) et le RROV - utilisé comme « conservateur » et « stabilisateur ». Le MSG est un sel concentré qui peut endommager le cerveau des nourrissons et devient une neurotoxine lorsqu'il est injecté, même en quantités infimes, car il contourne la digestion.
RépondreSupprimer#2. Albumine de sérum humain - soi-disant utilisée pour "empêcher les immunogènes d'adhérer aux parois du flacon d'injection".
#3. Madin-Darby Canine Kidney (protéine cellulaire d'un chien) - dans les vaccins contre la grippe, pour développer des virus de la grippe au lieu d'œufs de poule fécondés.
#4. Cellules d'avortement humaines (MRC5) - des procédures contraires à l'éthique sont utilisées pour fabriquer des vaccins à l'aide de cellules dérivées de fœtus humains avortés il y a des décennies.
#5. Aigle modifié de Dulbecco (moyen) - utilisé dans le vaccin antirotavirus.
#6. Squalène – trouvé dans les vaccins contre la grippe.
#7. Liquide d'embaumement - le formaldéhyde se trouve dans la plupart des vaccins contre la grippe et le vaccin contre l'anthrax.
#8. Polysorbate 80 - présent dans le DCaT, l'hépatite B, la plupart des vaccins contre la grippe et le VPH - utilisé comme surfactant pour augmenter la solubilité d'un agent dans un autre. Le polysorbate 80 est dérivé du sorbitol à l'aide d'une réaction chimique et peut provoquer le SCI car il se métabolise très lentement. Les problèmes de santé liés à la consommation ou à l'injection de polysorbate 80 sont liés au cancer (dû à l'oxyde d'éthylène et au 1,4 dioxane), aux allergies cutanées, à la toxicité pour le développement et à la reproduction.
#9. Rein de singe vert d'Afrique (cellules vero) - récolté sur des primates infectés et malades - utilisé dans les vaccins contre la poliomyélite - utilisé pour propager le virus pendant des décennies.
#10. Circovirus pathogène porcin mortel - trouvé dans les piqûres Rotateq Rotavirus - L'ADN du circovirus porcin est un contaminant d'une enzyme obtenue à partir du pancréas de porc. Aucune explication n'a jamais été donnée quant à la raison pour laquelle ce contaminant hautement dangereux est délibérément mis dans les vaccins antirotavirus.
Selon vous, d'où vient l'expression « vaccins sales » ? Maintenant tu sais. Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les ingrédients dangereux TOUJOURS mis à dessein dans les vaccins aujourd'hui.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
Sources for this article include:
Pandemic.news
Science.org
Health.mil/Military
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-06-10-surprising-dangerous-vaccine-ingredients.html
Primo le dit 'vaccin' contient du porc comme tous médicaments, shampooings, rouges à lèvres, vernis à ongles, etc, etc.
SupprimerSecundo sont 'oubliés' les PRINCIPAUX ÉLÉMENTS LÉTAUX !! car, les nano-particules d'oxyde de graphène constituent entre 95 et 99 % des flacons injectables ! à quoi faut encore ajouter les spiques, les hydres et les maladies animales (et plus de 30 venins de serpents !).
Plus de 100 scientifiques accusent l'OMS d'ignorer les risques des "produits chimiques pour toujours" sur la santé humaine
RépondreSupprimermardi 06 décembre 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Un groupe de plus de 100 scientifiques a accusé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de fermer les yeux sur les risques des produits chimiques pour toujours sur la santé humaine.
Les scientifiques ont avancé leur accusation dans une lettre du 10 novembre adressée à Bruce Gordon, qui dirige l'unité Eau, assainissement, hygiène et santé de l'OMS. Les 116 signataires, tous experts en substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS), se sont concentrés sur le projet de lignes directrices de l'organisme mondial de la santé pour la qualité de l'eau potable. Le projet proposait un niveau de 100 parties par billion (ppt) pour les PFAS individuels, tels que l'acide perfluorooctanoïque (PFOA) et le sulfonate de perfluorooctane (PFOS), ainsi qu'une concentration totale de PFAS de 500 ppt.
"Les directives proposées par l'OMS sont dérivées d'une approche apparemment arbitraire basée sur la technologie et sont beaucoup moins protectrices que si une approche scientifiquement défendable basée sur la santé était utilisée", ont déclaré les scientifiques. Ils ont également fait remarquer que l'évaluation de l'OMS "ne tient pas compte des preuves solides de dommages à la santé humaine à des niveaux d'exposition pertinents pour l'environnement, qui sont également étayées par la littérature expérimentale".
Selon les experts, les PFAS peuvent causer différents types de dommages à la santé humaine, notamment le cancer, des lésions hépatiques, une augmentation du taux de cholestérol et des dommages au système immunitaire. Ainsi, les signataires ont proposé que le projet « soit considérablement révisé et que les nombreuses études scientifiques évaluées par des pairs démontrant des liens étroits entre l'exposition au SPFO et à l'APFO et de nombreux effets néfastes sur la santé soient soigneusement examinées », voire complètement retirées.
« Le PFOA et le PFOS sont régulièrement éliminés de l'eau potable à des niveaux non détectables. Par conséquent, les limites d'élimination du traitement n'empêchent pas la capacité d'atteindre des niveaux d'eau potable protecteurs pour la santé. Nous partageons la préoccupation de l'OMS concernant le coût élevé de la remédiation des PFAS. Cependant, le coût élevé associé aux mesures de traitement de l'eau n'est pas une justification valable pour établir des lignes directrices moins protectrices pour l'eau potable. (Connexe: les scientifiques contestent le projet de directives de l'OMS pour les PFAS dans l'eau potable.)
RépondreSupprimerLes 116 signataires de la lettre ont également souligné que "bien que les propres recherches des fabricants de PFAS aient documenté les effets nocifs des PFAS sur la santé, ils continuent de vendre ces produits chimiques qui contaminent l'eau potable et nuisent à la santé de nombreuses communautés dans le monde".
Les scientifiques voient un possible conflit d'intérêts dans le projet de directive sur les PFAS
Selon l'Environmental Protection Agency (EPA), de nombreux types de PFAS "se décomposent très lentement et peuvent s'accumuler chez les personnes, les animaux et l'environnement au fil du temps". Alors que certains PFAS sont utilisés dans l'industrie et les produits de consommation depuis les années 1940, le PFOA et le PFOS ont été remplacés aux États-Unis par d'autres types de produits chimiques pour toujours.
Les PFAS se trouvent dans presque tous les produits sur les étagères des magasins - des récipients à emporter dans les restaurants de restauration rapide, des uniformes scolaires, des poêles antiadhésives et des imperméables. Ces produits chimiques rendent ces produits résistants à l'eau, à l'huile, à la chaleur et aux taches.
Les scientifiques qui ont signé la lettre du 10 novembre ont cependant supposé que des consultants de l'industrie liés aux PFAS pourraient avoir été responsables du contenu du projet de document de directives de l'OMS. Ainsi, ils ont demandé que l'OMS "identifie les noms, les affiliations et les conflits d'intérêts potentiels des personnes impliquées dans la préparation ou l'examen par les pairs de ce projet, et de tout futur document de l'OMS".
En réponse, l'organisme mondial de la santé a déclaré que les contributeurs au projet seraient répertoriés et publiés sur le site Web de l'OMS.
«Je ne comprends pas comment ils ont pu arriver à cela en utilisant un groupe de scientifiques indépendants. Mon impression est que les personnes qui consultent en grande partie pour (l') industrie sont les personnes impliquées dans la rédaction de ceci », a déclaré Linda Birnbaum, ancienne directrice de l'Institut national des sciences de la santé environnementale et signataire de la correspondance du 10 novembre.
"[L'OMS] a ignoré les 20 dernières années de recherche scientifique - allant des études observationnelles sur l'homme, des études animales et des études mécanistes - et a conclu qu'il n'y avait pas assez d'informations. C'est très, très préoccupant."
RépondreSupprimerRendez-vous sur Chemicals.news pour plus d'histoires sur les produits chimiques pour toujours.
Regardez cette vidéo sur la découverte de PFAS dans 43 des 44 échantillons d'eau potable prélevés dans des villes des États-Unis.
Cette vidéo provient de la chaîne ZGoldenReport sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Le Maine devient le premier État à promulguer une large interdiction des «produits chimiques pour toujours» toxiques du PFAS.
L'EPA fait le « minimum » pour lutter contre les polluants toxiques du PFAS dans l'eau potable.
Les "produits chimiques éternels" provenant de près de 42 000 sources menacent de contaminer l'eau potable.
Les produits chimiques PFAS se trouvent maintenant dans l'eau potable d'environ 16 millions d'Américains, conclut une nouvelle étude.
Pollution des eaux souterraines : l'eau de puits dans le Maine est contaminée par des PFA, et elle s'aggrave.
Sources include:
NaturalHealth365.com
GreenSciencePolicy.org [PDF]
ActivistPost.com
EPA.gov
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-06-scientists-accuse-who-ignoring-risks-forever-chemicals.html
Démasquer la science : des études révèlent que les masques N95 n'offrent aucune protection statistiquement significative contre la transmission de covid
RépondreSupprimerMardi 06 décembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le verdict est tombé : même le plus avancé des masques faciaux qui a été imposé aux Américains pendant le covid, le N95, est un raté lorsqu'il s'agit de fournir une protection réelle contre la transmission des maladies.
Une étude pluriannuelle a révélé que les masques N95, qui sont censés être meilleurs que les tissus faits maison et ces masques bleus laids, sont largement inutiles, bien qu'ils offrent le niveau de protection "le plus élevé".
L'essai contrôlé randomisé (ECR) international évalué par des pairs n'a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l'efficacité réelle entre les masques N95 et les masques chirurgicaux, et une autre étude de l'Université de Yale a révélé que l'efficacité du masque pour arrêter la transmission est essentiellement nulle.
La seule chose que font les masques, comme beaucoup le prétendent depuis longtemps, est de symboliser son allégeance à la religion du covid. Un peu comme les « chemises » et les « skins » dans le flag football junior, le masque montre simplement que l'on s'aligne sur la gauche politique.
«À mon avis pas si humble – une opinion que beaucoup d'entre nous partagent depuis près de deux ans – les masques sont en grande partie des symboles de vertu signalés par les libéraux, ou d'autres effrayés à croire que les masques sont efficaces pour empêcher de contracter le virus, » écrit Mike Miller pour Red State.
« Au fait, s'ils l'ont fait ? Pourquoi les cheveux des libéraux ont-ils pris feu s'ils portaient un masque et pas vous ? Question rhétorique, bien sûr. (En relation: Vous vous souvenez quand le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a été surpris en train de transférer des milliards de dollars à la Chine communiste dans le cadre d'un plan massif de blanchiment d'argent ?)
Aucune étude crédible n'a jamais trouvé d'avantages prouvés au masquage
L'article, publié dans la revue Annals of Internal Medicine (AIM), a examiné deux types différents de masques «avancés» utilisés dans les établissements médicaux au Canada, au Pakistan, en Égypte et en Israël. Il a été financé en partie par le gouvernement canadien et l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Soit dit en passant, l'OMS a piloté sa propre étude sur les masques faciaux en 2019, qui est parvenue à des conclusions similaires sur leur inutilité. Cela expliquerait pourquoi l'organisme des Nations Unies (ONU) s'oppose au moins au masquage des jeunes enfants - bien qu'il devrait s'opposer à toutes les formes de masquage, sur la base des preuves.
RépondreSupprimer"Les ECR précédents de l'ère COVID ont trouvé au mieux une protection médiocre contre les couvre-visages", explique l'étude. "Une étude danoise de 6 000 personnes qui a eu du mal à être publiée - et a finalement atterri dans AIM - n'a trouvé aucune différence statistiquement significative entre les porteurs chirurgicaux et sans masque."
Des chercheurs de l'Université de Yale ont également mené leurs propres recherches, révélant que "sur la base des intervalles de confiance à 95 %, nous ne savons même pas si l'efficacité du masque chirurgical est supérieure à 0 %".
Vous pourriez simplement dire que le consensus à travers le spectre de la science est que les masques faciaux sont une blague certifiable lorsqu'il s'agit de faire quoi que ce soit contre un virus présumé dont nous savons qu'il n'a toujours pas été isolé ou prouvé.
Interrogé lors de sa récente déposition de sept heures sur la «science» derrière le masquage, Tony Fauci n'a pas été en mesure de fournir la moindre preuve pour étayer sa position pro-masque. Fauci n'a pas non plus été en mesure d'expliquer pourquoi il faisait des allers-retours sur les masques au début de l'arnaque.
« Une autre information de Fauci depo : en février 2020, il a envoyé un e-mail à une amie l'informant que ses masques étaient inefficaces. Confirmé à nouveau le 31 mars. Le 3 avril, il est catégorique que les masques doivent être portés même s'il n'a pas pu citer une seule étude pour le prouver. Les mandats ont suivi – Des vies ruinées », a tweeté le procureur général du Missouri, Eric Schmitt.
"La tyrannie du COVID est née."
Alors que le GOP devrait reprendre la Chambre en janvier, Fauci et son compatriote le faux président Joe Biden tentent tous deux de revenir sur leurs positions auparavant agressives sur le masquage. Vont-ils s'en tirer ?
Les dernières nouvelles sur covid peuvent être trouvées sur Plague.info.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
RedState.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-12-06-study-n95-masks-no-protection-covid-transmission.html
Comme je l'ai dit x milliers de fois en 3 ans: il ne peut exister au monde de masques dits 'anti virus' ou 'anti microbes' parce que l'écart de mailles des plus serrés est de 150 microns alors que le virus dit 'cocovide19' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!!
SupprimerUne étude prouve que la vaccination des jeunes est "complètement folle"
RépondreSupprimer7 décembre 2022
par Thomas Oysmuller
Un nouvel article du British Medical Journal calcule que le risque pour la santé après la vaccination est bien plus élevé qu'avec une infection à Covid.
Surtout chez les jeunes adultes, le risque de vaccination l'emporte sur celui de la maladie Covid. Un nouvel article publié lundi dans le British Medical Journal (BMJ) calcule une « perte nette probable ». Josh Guetzkow a commenté les conclusions de l'enquête : "Une étude très importante qui montre pourquoi les mandats de vaccination/rappel COVID pour les universités sont non seulement contraires à l'éthique mais aussi complètement insensés".
Vaccination dangereuse
Guetzkow a également souligné qu'il a fallu plus de deux mois pour que l'étude soit publiée. Le document avait déjà été accepté le 23 septembre, mais il n'est devenu public que cette semaine.
Il ne serait pas surprenant que certains acteurs puissants aient intérêt à retarder le papier. Plus de 300 universités en Amérique du Nord avaient rendu obligatoires les vaccinations contre le Covid. Kevin Bardosh, l'un des auteurs, a commenté : « Cette politique est-elle scientifique ? Nous avons accepté le défi. »
Verdict après l'étude intitulée "Rappels du vaccin COVID-19 pour les jeunes adultes : une évaluation des risques et des avantages et une analyse éthique des politiques obligatoires dans les universités": Non. Ou pour le dire plus scientifiquement : "Notre estimation montre que la vaccination contre le COVID-19 dans les universités est susceptible de causer des dommages nets aux jeunes adultes en bonne santé." 4 626 blessures vaccinales mineures.
Les scientifiques adoptent une position ferme sur la politique : « Les dommages graves liés au vaccin COVID-19 ne sont pas suffisamment compensés par les systèmes américains actuels de dommages aux vaccins. Ces graves atteintes aux libertés individuelles et aux droits de l'homme ne sont donc pas éthiquement justifiables.
La conclusion poursuit en disant : « Les vaccinations obligatoires sont également associées à des dommages sociaux plus importants. Le fait que de telles mesures aient été menées malgré la controverse parmi les experts et sans mettre à jour la seule analyse risques-avantages disponible publiquement pour les variantes actuelles d'omicron et sans examen public des méthodes indique un profond manque de transparence dans la politique scientifique et réglementaire fabrication. Ces résultats ont des implications pour les réglementations dans d'autres domaines tels que les écoles, les entreprises, le système de santé et l'armée. Les décideurs politiques devraient immédiatement mettre fin à l'obligation de vaccination contre le COVID-19 pour les jeunes adultes et offrir des possibilités d'indemnisation à ceux qui ont subi les conséquences négatives de cette politique. Les organismes de réglementation devraient faciliter l'analyse scientifique indépendante grâce à un accès ouvert aux données des essais cliniques au niveau des participants afin de permettre des analyses risques-avantages stratifiées selon les risques et l'âge pour les nouveaux vaccins avant de formuler des recommandations. Cela est nécessaire pour entamer le long processus de restauration de la confiance en la santé publique.
Dans l'ensemble, les auteurs formulent cinq arguments contre les vaccinations obligatoires dans les universités. Des contre-arguments, comme vouloir « renforcer la sécurité sur le campus », ont été envisagés. Celles-ci ne sont « ni scientifiquement ni éthiquement fondées ».
RépondreSupprimerLe document est particulièrement pertinent pour l'Autriche, car certaines universités s'en tiennent encore à leurs souhaits en matière de vaccination. La ville de Vienne a récemment lancé une nouvelle campagne visant à faire vacciner les jeunes. Au vu des nouvelles découvertes, encore plus dangereuses et clairement non scientifiques.
Image MDGovpics, annonce du vaccin COVID-19 – 51159265899, CC BY 2.0
https://tkp.at/2022/12/07/studie-belegt-impfung-fuer-juengere-voellig-irrsinnig/
Données officielles en Italie : vaccinés plus fréquemment infectés que non vaccinés
RépondreSupprimer7 décembre 2022
du Dr. Peter F. Mayer
On sait depuis toujours qu'une vaccination dans la partie supérieure du bras ne protège pas contre une infection des voies respiratoires, mais tout au plus contre une évolution sévère de la maladie. Cependant, si une vaccination affaiblit et endommage le système immunitaire, en particulier en cas d'utilisation répétée, les infections deviennent encore plus fréquentes. Cela se voit désormais aussi en Italie.
C'est exactement ce qui ressort de la dernière publication de l'Istituto Superiore di Sanità (ISS) à Rome le 30 novembre 2022. L'ISS est toujours bonne pour des découvertes intéressantes. Par exemple, le rapport de début mai 2020, qui montrait qu'il y avait une surmortalité de 25 354 cas sur la période du 20 février au 31 mars par rapport à la moyenne des années 2015 à 2019. Parmi ceux-ci, cependant, seuls 13 710 cas, soit 54%, ont été attribués à Covid-19. Ainsi, même alors, les dommages collatéraux causés par les mesures Corona étaient clairement évidents.
Mais revenons au présent. Selon ce communiqué de presse, une évaluation des données de l'ISS a révélé :
La réalité documentée par les données de l'ISS est qu'aujourd'hui, en moyenne, par rapport aux personnes non vaccinées de la même tranche d'âge :
Les enfants de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses de vaccin sont 31 % plus susceptibles d'être infectés ;
les jeunes de 12 à 39 ans ayant reçu des rappels ont 26 % plus de risques d'être infectés ;
Les adultes âgés de 40 à 59 ans qui reçoivent des rappels ont 60 % plus de risques d'être infectés ;
les personnes âgées de 60 à 79 ans recevant une dose de rappel sont 2 % plus susceptibles d'être infectées que les personnes non vaccinées, et si elles sont restées sous 2 doses - probablement plus longtemps après la dernière vaccination - elles ont 11 % plus de risques d'être infectées.
Voici l'un des graphiques montrant l'évolution dans le temps selon les protocoles ISS antérieurs avec une traduction allemande :
- voir graph sur site -
Les preuves de la nocivité des campagnes de vaccination sont accablantes, mais les personnes qui ont déjà été vaccinées trois fois reçoivent des lettres du ministre de la santé leur demandant de se faire une quatrième injection.
https://tkp.at/2022/12/07/offizielle-daten-in-italien-geimpfte-haeufiger-infiziert-als-ungeimpfte/