- ENTREE de SECOURS -



dimanche 13 juin 2021

PARKER (VO) - Jason Statham, Jennifer Lopez

https://www.youtube.com/watch?v=tbAeJbGxnJY 

20 commentaires:

  1. TVA SUR LES TAXES SUR L'ÉNERGIE : L'UFC DÉNONCE L'ABSURDE DU SYSTÈME


    par PAOLO GAROSCIO
    14/06/2021


    La facture moyenne en électricité en France est de 1.400 euros par an.

    L’association de consommateurs UFC-Que Choisir lance une nouvelle fois sa campagne « Choisir Ensemble » visant à faire baisser la facture énergétique des ménages en France. Elle en profite pour dénoncer une situation absurde : l’application, par le gouvernement, de certaines taxes sur… les taxes imposées par ce même gouvernement. Explications.

    Des taxes qui s’appliquent sur les taxes ?

    La TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) est appliquée, en France, sur tous les produits et services. D’un taux de 20%, parfois réduit à 10% ou 5,5%, elle est collectée par l’État pour compenser, justement, la « valeur ajoutée » de ce produit et service. Mais dans certains domaines, cette taxe s’applique… après d’autres taxes.

    « Mais où est la « valeur ajoutée » d’un taxe ? » demande ainsi l’UFC-Que Choisir sur son site Internet. Car pour l’électricité, par exemple, trois taxes sont surtaxées : la Contribution tarifaire d’acheminement (CTA) sur laquelle est appliquée une TVA réduite de 5,5%, la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) taxée à 20% et la Taxe sur la consommation finale d’électricité (TCFE) également soumise à une TVA de 20%. Ainsi, dès lors que l’une de ces taxes augmente, le montant final payé par le consommateur augmente d’autant plus.

    L’UFC-Que Choisir a fait les calculs : ces taxes (TVA incluse) coûtent 57 euros par an en moyenne pour les ménages qui se chauffent à l’électricité et 48 euros en moyenne pour ceux qui se chauffent au gaz.

    Des enchères inversées pour réduire la facture… et une pétition

    L’UFC-Que Choisir profite donc du lancement de sa campagne Choisir Ensemble pour lancer une pétition : « TVA sur les taxes énergétiques : halte à l’escalade fiscale ». Objectif : faire baisser la facture énergétique des ménages en demandant au gouvernement de supprimer la TVA sur les taxes. Pour l’association, « la TVA est complètement dénaturée pour n’en faire qu’une pompe aspirante infernale ».

    Pour que les ménages puissent payer moins cher, l’association propose cette année encore aux consommateurs de s’inscrire sur son site pour demander les meilleurs prix aux fournisseurs d’énergie par le biais d’enchères inversées : ce sont les fournisseurs qui proposeront le meilleur prix, en fonction du lot choisi, qui auront la possibilité de proposer aux consommateurs leur offre. Et l’UFC-Que Choisir précise : s’inscrire à la campagne n’oblige pas à souscrire chez le fournisseur vainqueur ; mais plus il y a d’inscrits, plus les offres seront alléchantes.

    Les lauréats seront annoncés le 21 septembre 2021 et les offres proposées dès le 14 octobre 2021.

    http://www.economiematin.fr/news-ufc-facture-energie-choix-tva-absurde-taxes

    RépondreSupprimer
  2. PROTECTION DES DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL : COMMENT LES DÉTECTER ET LES DÉSENSIBILISER ?


    14/06/2021
    par ALI HASSAN


    Entre 2017 et 2018, les plaintes en lien avec la protection des données personnelles ont augmenté de 86%.

    L'exploitation des données personnelles est devenue cruciale pour les entreprises mais ne peut pas se faire sans conditions. Les méthodes de pseudonymisation et d'anonymisation de la donnée permettent de trouver l'équilibre entre libération des usages, sécurité et protection.

    L'enjeu autour de la protection des données à caractère personnel (DCP) n'est plus à démontrer, avec d'un côté des entreprises qui en ont besoin pour mieux connaître leurs clients et ainsi assurer le développement de leur modèle économique, et d'un autre côté des citoyens dont la vie privée doit être préservée afin d'éviter des dérives dangereuses pour les libertés individuelles.

    Les cas d'usage de l'utilisation de la donnée sont multiples, que ce soit le profilage ou la géolocalisation des clients à des fins marketing, l'analyse de données de santé pour faire avancer la recherche, l'exploitation de données pour le développement et les tests d'applications et bien plus encore. Libérer ces usages de la donnée tout en renforçant leur protection, tel est l'objectif à atteindre.

    Au-delà du garde-fou essentiel du RGPD européen que tout le monde connait aujourd'hui et qui fixe les limites à ne pas franchir, les entreprises cherchent depuis quelques années à développer la confiance des consommateurs vis à vis de leur marque, ce qui passe assurément par la bonne maîtrise des données personnelles.

    Cette protection, beaucoup d'entreprises pensent savoir la gérer, souvent à tort, se contentant d'effacer certaines informations de leurs bases de données, avec pour résultat final de tuer la valeur de la donnée, sans même renforcer sa sécurité. Il existe pourtant des méthodes de désensibilisation à l'efficacité prouvée.

    Protéger les données à caractère personnel

    Avant de détecter et désensibiliser les DCP détenues par l'entreprise, il convient déjà de définir de quoi l'on parle. Une donnée à caractère personnel est une information permettant d'identifier une personne physique, autrement dit un nom, une photo, une adresse postale ou email, un numéro de téléphone ou de sécurité sociale, une empreinte digitale, une adresse IP, etc.

    Pour préserver la vie privée des individus, les entreprises doivent respecter plusieurs engagements tels que la transparence des traitements des DCP, la possibilité d'intervenir sur ces données (les modifier ou les supprimer) mais aussi l'intraçabilité, qui garantit que les DCP ne peuvent pas être liées entre domaines, comme entre un compte bancaire et un dossier médical.

    RépondreSupprimer
  3. Lorsque l'on souhaite traiter des données réelles dans le cadre d'un projet professionnel, comme effectuer des tests d'une application pour valider sa pertinence, il s'agit de rendre ces données anonymes aux personnes qui ne sont pas censées y avoir accès. Prenons comme exemple parlant celui des plateformes de santé sur lesquelles prendre un rendez-vous pour la vaccination anti-Covid. Le contexte du cas d'usage et son caractère sensible sont ainsi à prendre en compte pour maîtriser les risques.

    Détecter les données à caractère personnel

    La première étape consiste logiquement à cartographier toutes les DCP que l'entreprise stocke dans l'ensemble de ses bases de données, souvent hétérogènes. Procéder de manière non automatique via des métadonnées se révèle rapidement chronophage et ouvre la porte à des approximations, posant la question de la fiabilité de cette méthode sur de grandes masses de données. D'autant plus que la confidentialité n'est pas toujours assurée lorsque l'on traite les données manuellement.

    Il s'agit donc de procéder en se basant sur une ontologie qui catégorise les DCP en fonction d'attributs définis. Concrètement, on utilisera deux méthodes d'analyse : une première, dite d'expressions régulières, qui repère automatiquement les formes de valeurs spécifiques comme une adresse email ou un numéro de téléphone, et une seconde, quand la première n'est pas possible, qui détecte les DCP en comparant les données avec des bases de référence, telles que la liste des noms en France ou encore des maladies répertoriées. Autant de connaissances qui viendront enrichir l'ontologie et affiner la détection des DCP.

    On obtiendra ainsi une liste d'attributs pour chaque DCP, que l'on classera en trois types : identifiant (permettant d'identifier directement une personne), quasi-identifiant (permettant d'identifier un groupe de personnes) et sensible (non-identifiante mais à protéger).

    Désensibilisation par pseudonymisation ou anonymisation

    Une fois détectées, les DCP doivent être « transformées » afin qu'elles ne puissent plus servir à identifier une personne et à révéler certains de ses attributs. Il faudra néanmoins veiller à ce que cette désensibilisation ne dégrade pas trop la qualité de la donnée et donc son utilité. Selon les besoins des différents cas d'usage, on pourra faire appel à deux principaux types de méthodologies puis vérifier leur efficacité.

    La pseudonymisation consiste à remplacer un identifiant (comme un nom) par un identifiant artificiel ou un pseudonyme. Ce procédé qui masque les identités des personnes avec un système de chiffrement symétrique est totalement réversible pour peu que l'on possède les clés de déchiffrement, stockées séparément et de manière sécurisée. Cette méthode automatique et confidentielle permet de conserver toute la précision et donc la qualité des données pour des cas d'usage d'IA par exemple.

    RépondreSupprimer
  4. L'anonymisation, de son côté, vise à modifier le contenu ou la structure des données de manière irréversible, de sorte qu'il soit impossible d'identifier une personne. La qualité de la donnée s'en trouvant affectée, il s'agira donc de trouver le bon équilibre entre contraintes juridiques et besoins pratiques en consultant un DPO, l'administrateur de base de données et les métiers. Certains cas d'usage nécessitent toutefois une anonymisation forte par défaut, comme l'utilisation de données publiques en Open Data.

    Anonymiser la donnée sans la vider de sa substance

    Davantage utilisée, l'anonymisation peut s'effectuer à travers plusieurs méthodes à sélectionner, appliquer, évaluer puis valider, sachant qu'une surveillance continue des évolutions réglementaires et technologiques demeure indispensable pour pouvoir s'adapter périodiquement. Des ajustements méticuleux sont également nécessaires dès que de nouveaux types de données ou d'attributs permettant une identification sont ajoutés à la base.

    Parmi les méthodes d'anonymisation les plus courantes, on trouve celle par généralisation qui remplace une valeur précise par une plus générique, comme une adresse postale par une région par exemple, ou un âge par une tranche d'âge, permettant de conserver la corrélation entre les données. On pourra également opérer une suppression locale pour traiter les valeurs rares dans la base de données. La méthode d'agrégation consiste, quant à elle, à regrouper des données pour obtenir une moyenne, certes moins fidèle, mais qui remplit son rôle. Citons aussi la méthode par permutation aléatoire qui mélange les données, peu performante mais intéressante dans un contexte de test.

    Quelles que soient les méthodes retenues, des modèles de protection de la vie privée devront être appliqués pour valider l'efficacité de l'anonymisation. Il s'agit entre autres de vérifier dans la base de données qu'un nombre minimum d'individus possèdent une valeur unique de quasi-identifiants et que l'on ne peut pas les relier à des attributs sensibles. Prenons comme exemple une étude d'impact des pesticides dans les exploitations agricoles. Pour protéger l'identité des exploitants, on déterminera qu'il est nécessaire de lister au moins 5 fermes dans chaque département (quasi-identifiant) et veiller à ce qu'il ne soit pas indiqué que chacune d'entre elles utilise le même pesticide (attribut sensible). Des précautions contraignantes mais indispensables pour garantir l'anonymat.

    Un chantier plus organisationnel que technique

    Comme on peut le constater, désensibiliser des DCP tout en conservant leur utilité n'est pas un exercice facile et à prendre à la légère. Si posséder des compétences techniques est bien sûr un pré-requis, c'est bien l'enjeu des usages recherchés par les métiers et le périmètre d'action qui déterminera la marche à suivre à court et long terme, en concertation avec la DSI, le RSSI et un DPO.

    Réussir à rassembler l'ensemble des parties prenantes et à mettre en place une conduite du changement efficace, c'est bien là que réside la principale difficulté de ce type de projet qui concerne peu ou prou toutes les entreprises. Faire appel à un spécialiste de la désensibilisation qui maîtrise la démarche de bout en bout, que ce soit pour les aspects juridiques et organisationnels ou encore la veille technologique, se révèlera donc rapidement judicieux pour obtenir l'approbation de la CNIL.

    http://www.economiematin.fr/news-protection-donnee-personnelles-detection

    RépondreSupprimer
  5. Euphorie vaccinale


    Todd Hayen PhD
    13 juin 2021


    Qu'est-ce que toute cette excitation ? Partout, les gens célèbrent un vax jab avec des photos des réseaux sociaux de leur carte de vaccin, des autocollants qui déclarent fièrement "Je me suis fait vacciner !!" et félicitations tout autour comme si les destinataires venaient d'avoir un bébé ou de gagner à la loterie.

    Je suis surpris que les gens ne distribuent pas de cigares avec "C'est un Covid Jab!" imprimé sur l'emballage.

    Il n'y a pas eu ce genre de célébration depuis les collectes de sang de la Seconde Guerre mondiale, ce qui a donné lieu à l'affichage fier d'une plaque de fenêtre qui disait "J'ai fait ma part pour l'effort de guerre!" En effet, mon ami, en effet, vous l'avez fait ! Vous avez fait votre part pour l'effort de guerre !

    Quelle guerre ? Ah oui, la guerre contre Covid-19, ou plus exactement, la guerre contre Mère Nature.

    Mère Nature? Comment ça ? Nous sommes dans une guerre plutôt silencieuse avec cette dame estimée depuis un certain temps. Ce n'est que récemment qu'il est devenu assez bruyant, et maintenant, avec Covid-19, il a atteint un ton assourdissant. Pourquoi ce genre de guerre exciterait-il les gens ? Et qu'est-ce que le vaccin a à voir avec une guerre contre la nature ?

    L'humanité a eu une obsession stupéfiante pour la technologie depuis avant que les Russes ne lancent Spoutnik en 1957. Une grande partie de notre histoire d'amour avec la technologie a été très enrichissante, donc aucune plainte là-bas. Mais avec les merveilleux résultats de toute cette science et ingéniosité incroyables, nous sommes devenus de plus en plus déconnectés de la poussière dont nous avons été faits.

    Les humains ont toujours eu une relation étrange avec la nature désordonnée et malodorante. Quand Darwin est arrivé, les gens étaient plus dégoûtés de la possibilité que nous ayons pu sortir des singes sales et stupides plutôt que d'exprimer un dégoût que la théorie de l'évolution de Darwin remette en question la position dominante que nous venons d'apparaître ici, tous parfaitement propres et spéciaux, de la main réelle de Dieu. Oubliez la nature, nous voulons rester loin de cette boue, aussi loin que possible ! Non seulement sale, ça peut nous blesser, et assez facilement nous tuer !

    Avant que la technologie médicale ne rattrape nos rêves les plus fous de vivre éternellement sans souffrance, nous avons dû nous débrouiller. Si un virus arrivait, nous étions obligés de laisser la nature suivre son cours. Avant que les vaccins ne soient découverts avec l'avènement de l'incroyable travail du Dr Edward Jenner sur la variole bovine, nous n'avions pas d'autre choix que de ramper aux pieds de Mère Nature et de la laisser faire son truc.

    RépondreSupprimer
  6. En fin de compte, tout s'est plutôt bien passé; nous sommes toujours là, n'est-ce pas ? — en raison, entre autres, du miracle de notre système immunitaire.

    Les choses sont différentes maintenant, le transhumanisme est en hausse et arrive main dans la main avec la technocratie à venir – nous pourrons peut-être un jour vivre éternellement ! Yahoo! Nous pouvons certainement mener cette guerre avec Covid, avec la nature, et gagner la bataille – un pas de plus vers la conquête de la nature entièrement ! Nous pouvons tromper la mort, tromper la maladie, tromper la souffrance ! Sortez les cigares !

    Quel est le prix? Humanité? Cela semble trop proche d'être gouverné par la nature – nous pouvons certainement abandonner ces choses «humaines» – sourires, toucher, étreindre, rassembler – toutes choses qui engagent notre corps humain et notre cœur humain. Ce sont des choses trop proches de ce que font les animaux, avec des corps animaux, des instincts animaux. C'est bien d'abandonner, comme le dit Fauci, nous ne devrions probablement plus jamais nous serrer la main – c'est trop dangereux d'être humain.

    Bien que je suppose que les personnes qui jubilent trop pour obtenir le vaccin ne croient pas nécessairement qu'elles transforment leur corps en un statut surhumain en raison du mécanisme de thérapie génique dans la chimie de la vaccination (je doute que la plupart sachent même ce que c'est), mais la plupart d'entre eux sont plutôt intrigués par la nouvelle technologie qu'ils ont entendue qu'elle emploie.

    Il n'y a presque rien dans le panthéon des médicaments de la médecine moderne qui soit efficace à 100%, sûr ou sans effets secondaires, et même s'il est clair que les vaccins Covid tombent également dans cette déception, le grand public a en effet été informé qu'il était à 95%. efficace et 100% sûr (ne vous souciez pas de vérifier ce qu'il est exactement efficace pour accomplir). Ils sont également presque 100 % synthétiques, avec un mécanisme synthétique de haute technologie.

    Ce point de vue est prédominant pour les amateurs de vaccins, créé principalement par les poches sans fond des fabricants qui dépensent d'innombrables millions en marketing et dans des tentatives réussies pour montrer à leurs clients à quel point leur produit est sûr et efficace. « Regardez à quel point les nouvelles technologies peuvent être merveilleuses ! » dire leurs cibles. « Ces scientifiques sont tellement intelligents !

    Oui, la technologie peut être merveilleuse, et oui, les scientifiques peuvent être très intelligents. Malheureusement, il y a probablement eu plus de désastres au stade expérimental des produits que les grandes sociétés pharmaceutiques veulent commercialiser que de succès, du moins une bonne partie d'entre eux. Les vaccins ont été approuvés comme thérapie expérimentale, rien de plus.

    Combien de fois Edison a-t-il testé son ampoule avant qu'elle ne réussisse ? Combien de fois a-t-il pensé que cela fonctionnerait après "cette dernière expérience" - et ce n'est pas le cas ?

    Il ne fait aucun doute qu'Edison était très intelligent, mais c'est la voie de la science et des nouvelles découvertes, et cela l'a toujours été. Et ne me dites pas que la technologie des ARNm est étudiée depuis des décennies. Cela ne le coupe pas ; Covid-19 n’était avec nous que depuis environ 9 mois lorsque les vaccins ont été déployés.

    RépondreSupprimer
  7. Pour un exemple de cette coupe au coin : vous ne pouvez pas avoir les résultats d'une étude de deux ans avant que deux ans se soient écoulés. Et ce n'est pas une théorie du complot. Cet article n'est pas censé être un acte d'accusation contre Big Pharma (il y en a déjà beaucoup) mais il est censé être un signal d'alarme pour ceux qui pensent qu'il est prudent de simplement « tenter leur chance » et de renoncer aux petits caractères— en supposant que vous puissiez même trouver les petits caractères.

    Alors pourquoi toute cette excitation ? Eh bien, si vous demandez à quelqu'un qui vient de recevoir un jab, il vous dira probablement qu'il a envie de célébrer en faisant sa part pour sauver la race humaine. Ils peuvent penser que c'est le cas, mais je crois que la vraie raison est une croyance étrange, et peut-être en grande partie inconsciente, que la technologie les empêchera d'être réellement humains. Nous semblons croire que nous sommes passés du statut d'animal à une sorte de statut supérieur, trans-humain, ou du moins sommes sur le point d'atteindre cette position élevée.

    Et si nous faisons confiance à nos scientifiques et à d'autres qui ouvrent la voie, nous pourrons peut-être même un jour transcender la mort elle-même, car la mort, bien sûr, est la chose animale la plus désordonnée qu'un animal puisse faire. Et nous ne voulons pas de cela.

    https://off-guardian.org/2021/06/13/vaccine-euphoria/

    RépondreSupprimer
  8. Utiliser honteusement les « droits de propriété » comme excuse pour la lâcheté du masque facial


    Par Allan Stevo
    14 juin 2021


    Un lecteur écrit :
    Cher Alain,

    Pas tout à fait de libertarisme hardcore ici.

    Vous avez écrit dans une lettre du 10 juin 2021 au PDG de Trader Joe's "Votre organisation a une histoire lamentable de discrimination fondée sur le handicap".

    Les organisations privées n'ont-elles pas le droit de discriminer ?

    Vous avez également écrit « Votre organisation a été discriminatoire à l'égard des employés incapables de porter un masque facial en toute sécurité. »

    Personne n'est obligé de travailler chez Trader Joe's.

    - L'homme masqué

    —-

    Cher homme masqué,

    Merci de m'avoir donné l'occasion d'aborder cela. Ce ne serait pas la première fois que je reçois cette critique.

    En fait, je travaille actuellement sur un article plus long pour aborder de manière exhaustive ce sujet dans lequel les droits de propriété sont invoqués pour décourager la communication. C'est la critique fondamentale que j'ai pu identifier au cœur des affirmations selon lesquelles les libertaires, les conservateurs, les types de marché libre et d'autres défenseurs de la liberté n'ont que deux options éthiques face aux mandats de masque ou à d'autres mandats de santé dans les entreprises : 1 .) Souriez et supportez-le ou 2.) Éloignez-vous tranquillement.

    Il y a plusieurs abus de langage ici dans votre note pour moi.

    Nom inapproprié n°1 : Si une personne se plaint, elle viole manifestement les droits de propriété d'une autre.

    Des plaintes légitimes peuvent être formulées :

    Entre clients et chefs d'entreprise,

    Entre deux membres de la société,

    Entre actionnaire et direction de l'entreprise,

    Entre voisin et commerçant,

    Entre une personne plus informée et moins informée.

    Il n'est pas gênant de vouloir converser civilement. Elle porte atteinte aux droits de propriété d'autrui. Il peut, bien sûr, être porté à un niveau destiné à menacer ou à harceler. Il y a des limites à ce comportement. Les limites sont loin d'être franchies dans cette situation.

    L'éthique dicte qu'une telle conversation se produise. Je m'en voudrais de voir le niveau de tort causé à la société par les dirigeants les plus réprouvés sans y réagir.

    En effet, faire taire un autre sur ce sujet, argumenter les « droits de propriété » pour faire taire le discours civil que je défends, c'est dire que personne ne mérite une voix. L'argument suggère que nous ne sommes tous que des acteurs économiques sans droit à une voix au-delà de notre activité économique. Je ne peux pas imaginer que quelqu'un de raisonnable ressente une telle chose.

    Ce qui est présenté n'est donc pas un argument contre le droit d'une personne d'avoir un différend civil avec une autre, mais un problème avec le sujet du différend. Passons ensuite à ce sujet plus central.

    Nom inapproprié n°2 : Si une personne dit « discrimination en matière de handicap », elle cherche manifestement à utiliser la force de l'État pour entraver les droits de propriété de Trader Joe's.

    Trader Joe's a des valeurs d'entreprise qui s'opposent

    discriminations liées au handicap. Empêcher une personne d'entrer dans une entreprise parce qu'elle ne peut pas porter un masque facial en toute sécurité est une discrimination fondée sur le handicap. Trader Joe's n'a pas encore eu pleinement cette conversation interne. Il existe un désaccord parmi les dirigeants de Trader Joe's sur le sujet, et les dirigeants qui s'opposent à cette discrimination peuvent utiliser quelques flèches supplémentaires dans leur carquois.

    RépondreSupprimer
  9. Bien qu'il n'y ait peut-être pas de droit légal, on peut faire valoir que Trader Joe's respecte certainement ses droits de propriété éthiques pour discriminer les personnes handicapées. Ce n'est pas ce que la direction de Trader Joe essaie de faire. Ce qu'ils essaient de faire, c'est d'éviter de défendre leurs valeurs d'entreprise déclarées, car le risque de se lever est plus difficile pour eux que la facilité avec laquelle ils peuvent mentir en interne.

    Nom inapproprié #3. Il s'agit simplement d'ignorer la bûche dans l'œil d'une personne et de se concentrer sur la tache.

    L'idée que les mandats de santé et les dossiers médicaux sont un sujet légitime que toute entreprise peut utiliser pour établir des relations avec ses employés et ses clients est une grave violation. L'idée que je suis une nuisance en évoquant cette idée est une très petite violation, la minute que je cherche ? Non. Cerm cherche à négocier plusieurs options moins qu'agréables. La perfection ne m'est pas offerte sur celui-ci.

    Je vais appeler le silence sur ce sujet maintenant « lâcheté ». Je vais appeler le port d'un masque facial en ce moment, et pour une raison quelconque, "un mensonge". Il y a un an, je n'aurais pas pu dire ces choses. Maintenant, il n'y a aucune raison raisonnable pour qu'une personne en bonne santé porte un masque, à moins que cette personne ne soit prête à être assez lâche pour mentir à une autre personne.

    Peut-être que « les porteurs de masques sont bons pour la société » doit être un chapitre dans la prochaine version du classique Defending the Undefendable. Cependant, je pense que ce serait notre place.

    Défendre l'indéfendable se penche sur le bien économique accompli par des personnes qui recherchent de l'argent et qui profitent finalement à d'autres dans la société. Il ne regarde pas les gens comme étant lâches et malhonnêtes. Le service rendu par le seigneur des bidonvilles n'est pas comparable au mauvais service rendu par le porteur de masque. Walter Block dans le livre défend les boucs émissaires impopulaires. Bien au contraire ici, je cherche à faire des boucs émissaires les héros populaires. Ceux qui portent des masques ne sont pas justes. Ils commettent certains des actes les plus pervers de 2020 et 2021.

    Ce n'est que parce que l'on est habitué à se considérer comme faisant partie du collectif et à considérer les actes individuels comme non pertinents, que l'on peut hausser les épaules devant le port occasionnel d'un masque comme « Pas grave ». Quiconque porte un masque est une grosse affaire, car je reconnais l'influence de l'individu, la capacité de l'action individuelle à se répercuter, l'agence de l'individu. Le collectiviste peut hausser les épaules devant un mal aussi minuscule qu'une goutte dans l'océan. La métaphore est erronée. L'activité humaine n'est pas une goutte dans l'océan. Chaque acte individuel compte.

    RépondreSupprimer
  10. Il y a quelque chose de déshonorant dans ma lettre

    Ce que je crois frôle le déshonneur, c'est l'idée que j'aiderais quelqu'un à poursuivre Trader Joe's pour cela, et c'est ce que cette lettre est censée être. J'utiliserais l'outil hideux de l'État pour lutter contre les avancées notables vers la tyrannie. La vraie plainte devrait être : Allan peut-il être un libertaire et être prêt à utiliser le système judiciaire ?

    C'est l'attaque perspicace que je mérite vraiment.

    Je n'ai pas de bonne réponse au-delà de cela : Trader Joe's, qui est devenu un agent du gouvernement ("une personne qui agit au nom d'une autre personne ou d'un groupe") dans l'application du despotisme médical est devenu un jeu équitable pour les outils du gouvernement être utilisé contre lui.

    Suis-je à l'aise dans cette réponse ? Non. Cela peut nécessiter beaucoup plus de déballage, mais il est certainement juste d'utiliser les outils du gouvernement pour combattre un agent du gouvernement.

    Une autre plainte gênante : être trop concentré sur l'État

    De nombreux libertaires disent alors : « Eh bien, votre argument est avec l'État, pas le propriétaire d'une entreprise privée. » Mon argument est avec chaque lâche qui porte le masque et chaque menteur qui perpétue ce non-sens, privé ou public.

    J'ai passé de longues années de ma vie (presque une décennie) à essayer de comprendre la déportation des Juifs de ma terre ancestrale de Slovaquie et de comprendre le communisme de la Tchécoslovaquie. J'ai passé de nombreuses heures éveillées pendant des années à interviewer de manière informelle ceux qui l'ont vécu, cherchant à donner un sens à la transition de la façon dont cela s'est produit. Comprendre comment cela s'est produit était une obsession pour moi. Encore et encore, j'ai entendu « Tout semblait si normal » ou « Nous n'avions pas réalisé que quelque chose d'anormal se passait ».

    J'ai finalement quitté ces années d'études en disant : « J'aimerais bien pouvoir comprendre comment un endroit aussi prospère et libre pourrait se détraquer ». Au niveau académique, j'avais envie de voir le passage au communisme se produire de première main, juste devant moi.

    Je voulais voir ça à un niveau académique, par désir d'apprendre, mais je ne souhaitais une telle horreur à personne.

    La seule défense fiable contre la tyrannie

    Je savais une chose : si vous êtes vigilant autour de tous les droits individuels, et restez loin des pentes glissantes, vous pourriez éviter une telle descente dans la tyrannie.

    Le recul est de 20/20. Il est difficile de dire quand vous êtes au bord d'une pente glissante. Si vous vous concentrez sur le respect rigoureux des droits individuels, vous n'avez pas besoin de temps et d'identifier la pente glissante, car vous faites de votre mieux pour protéger la liberté à chaque instant.

    Mais ce moment dans lequel nous vivons est soit près du bord de cette pente glissante, soit après le point de non-retour. Je pense au premier et non au second.

    RépondreSupprimer
  11. Le temps nous le dira. J'espère que le temps montrera que ceux qui ont mené cette bataille se sont arrêtés de dégringoler cette pente en se concentrant agressivement sur l'automne 2021, le début de la prochaine saison grippale, une période au cours de laquelle nous verrons soit la victoire, soit venez voir à quel point le point de non-retour est vraiment mauvais.

    Mon rêve s'est malheureusement réalisé en mars 2020

    L'année dernière, aux alentours des Ides de mars 2020, mon rêve s'est réalisé, et j'ai finalement compris, pour la première fois, ce qui s'est passé pour que les Juifs puissent être déportés au début des années 40 et que le communisme puisse s'abattre sur la Tchécoslovaquie de manière si apparemment populaire en 1948 (même s'il était si impopulaire qu'il est venu aux mains d'une élection volée). Mais beaucoup de gens ont acquiescé.

    Je sais que celui qui portera un masque, jamais, pour quelque raison que ce soit, prendra ce vaccin dangereux et expérimental. Celui qui portera un masque, dira oui à bien pire. Celui qui portera un masque dira oui à la déportation du prochain groupe de Juifs (beaucoup ont été déportés après la Seconde Guerre mondiale, des terres longtemps occupées par leurs familles, montrant que l'impératif de rester à l'écart des pentes glissantes déshumanisantes de la Seconde Guerre mondiale n'était pas appris - Allemands, Hongrois et bien d'autres en Europe, et musulmans et hindous en Asie entre autres, représentant des millions de cas sur une tendance encore plus large après la Seconde Guerre mondiale).

    Celui qui portera le masque prendra le mensonge du test PCR. Celui qui portera un masque, rendra ses armes. Celui qui portera le masque, trahira ses valeurs les plus fières et les plus prononcées. Il n'a tout simplement pas encore entendu la bonne raison.

    Celui qui portera un masque n'est pas une personne de valeurs, mais une personne de préférences.

    Vous devez arrêter de porter un masque pour quelque raison que ce soit

    Si vous portez un masque facial pour une raison quelconque, je voudrais vous demander d'arrêter ce comportement.

    Aucun gouvernement n'a d'affaire à vous masquer. Aucun agent du gouvernement n'a d'affaire à faire de vous un citoyen de seconde classe au nom du gouvernement. Personne ne devrait se conformer à cela.

    Nous avons besoin d'une frontière ferme contre cette pente glissante.

    Dans 40 ans, les historiens considéreront cet été 2021 comme le moment qui a définitivement cimenté le communisme corona de 2020, ou ils le verront comme la période au cours de laquelle le glissement vers le communisme a pris fin.

    RépondreSupprimer
  12. Je vous demande de m'aider à mettre fin à cela. Nous sommes vraiment au point de basculement et presque personne ne le voit. Je suis Moishe the Beadle dans Elie Wiesel's Night, criant dans les rues que le gouvernement et ses agents veulent nous faire beaucoup de mal. Je vois ce qui se passe et je vois comment cela peut être arrêté et je demande de l'aide pour faire ce qui fonctionne pour l'arrêter, et tant de mes collègues libertaires haussent les épaules et disent "mais les droits de propriété", avant de mettre leur masque, de se pencher pour le test, prendre leur injection et continuer leur journée.

    Les droits de propriété ne sont pas une excuse pour le silence, la lâcheté ou la tromperie. Que les agents puissent théoriquement être qualifiés d'entités privées ne leur vaut pas l'exemption de la critique de ce comportement des plus ignobles qui nous pousse vers un si grand mal. Le dire, c'est permettre ce mal.

    Avec respect,

    Allan

    Arrêtez de porter les masques faciaux. Lisez le best-seller "" pour vous y rendre, lisez les écrits d'Allan Stevo sur LewRockwell.com, pour arrêter également de masquer, et inscrivez-vous à sa newsletter par e-mail sur RealStevo.com pour des vidéos, des cours et des opportunités d'activisme.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/allan-stevo/shamefully-using-property-rights-as-an-excuse-for-face-mask-cowardice/

    RépondreSupprimer
  13. Un satiriste politique s'engage dans la lutte contre la tyrannie


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    14 juin 2021


    Dans cette interview, CJ Hopkins, dramaturge, romancier et chroniqueur américain qui réside actuellement à Berlin, en Allemagne, discute de la mise en œuvre du plan mondialiste pour une nouvelle normalité, également connue sous le nom de Grande Réinitialisation. La première année ou deux de la phase 1, Hopkins décrit comme la phase de «choc et de crainte».

    « C'est assez classique, dit-il. « C’est l’hystérie qui s’est déclenchée dès le début de [la pandémie de COVID-19]. Nous avions de fausses photos de personnes tombant mortes dans les rues en Chine, et elles annonçaient un taux de mortalité de 3,4%. Des centaines de millions de personnes allaient mourir.

    L'état d'urgence a été déclaré. J'ai couvert tout cela avec des citations dans mes premières colonnes. Fondamentalement, un État policier a été mis en place et tout le monde a été enfermé. Ici en Europe, la police arrêtait des gens pour être dehors sans autorisation. Les voisins ont commencé à signaler à leurs voisins de sortir sans masque ou au-delà du couvre-feu.

    C'était à peu près toute la première année. C'était vraiment un choc et une crainte. On a l'impression que nous entrons maintenant dans la phase 2 avec le déploiement d'un système de ségrégation sociale et de laissez-passer pour les vaccins. À bien des égards, j'ai l'impression que la phase 2 va être plus insidieuse que la phase 1 ne l'était. »

    Qu'y a-t-il en magasin pour la phase 2 ?

    Bien qu'hésitant à prédire ce qui va arriver, Hopkins craint qu'une certaine version du système de ségrégation sociale prévu ne soit mise en œuvre malgré le recul du public. "Cela me préoccupe vraiment", dit-il. Même une mise en œuvre partielle peut suffire à mettre le pied dans la porte, pour ainsi dire, pour permettre une mise en œuvre plus complète par la suite.

    Aux États-Unis, la résistance de certains États est encourageante. Jusqu'à présent, 14 États ont mis en œuvre des lois interdisant l'exigence de passeports vaccinaux pour empêcher la formation d'une société à deux vitesses. En Europe, cependant, en raison de la plus petite taille de chaque pays, il est plus facile de créer l'uniformité idéologique requise pour imposer ces systèmes, donc ce qui se passe là-bas reste à voir. Lorsqu'on lui demande comment il structure sa résistance au plan de tyrannie mondiale, Hopkins répond :

    « Le principal moyen est de passer par mes colonnes« Consent Factory ». Mes essais. Et via la « Consent Factory » sur les réseaux sociaux. J'essaie de susciter autant de résistance et de créer autant de prise de conscience que possible et j'exhorte les gens à diffuser cela et à faire de même. C'est ce que je fais. Mon médium, ce sont les mots.

    RépondreSupprimer
  14. Sur le plan personnel, je pense qu'il est vraiment important de ne pas coopérer avec le système. Par exemple, en Allemagne, ils mettent en place un système de ségrégation de sorte que si je veux aller dans un restaurant, un café, un magasin non essentiel ou aller au théâtre, je dois présenter soit une preuve de vaccination, soit un test négatif dans les 24 heures pour entrer dans ces établissements.

    Je pense qu'il est vraiment important pour ceux d'entre nous qui s'y opposent de ne pas jouer le jeu. Je vais essayer d'aller au resto. Je vais essayer d'entrer dans les magasins.

    Et je veux responsabiliser les gens qui ont été responsabilisés du système, je veux qu'ils m'éjectent, et je veux qu'ils soient clairs poliment mais haut et fort : « Vous m'éjectez de votre établissement parce que je ne suis pas conforme à ce programme idéologique insensé. » Espérons que si beaucoup de gens font cela, suffisamment de frictions sociales peuvent être créées et créer une résistance à cela. »

    La conformité forcée n'est pas un retour de la liberté

    Aux États-Unis, la levée des masques obligatoires pour les personnes vaccinées ne semble faire partie que du style le plus insidieux auquel on peut s'attendre dans la phase 2. En substance, il ne s'agit que d'une autre stratégie pour contraindre le respect de la vaccination. « Faites-vous vacciner et vous pourrez être libre ; vous pouvez revenir à la normale », est l'idée ici.

    Mais c'est une fausse liberté. Être contraint de se plier à la demande d'être un cobaye pour une thérapie génique expérimentale afin de « regagner » la liberté humaine fondamentale n'est guère une liberté.

    "C'est ce que je veux dire par je pense que la phase 2 va être plus insidieuse que la phase 1, parce que c'est exactement ça. Nous obtenons ce truc de carotte et de bâton », dit Hopkins. « Joe Biden et Hillary Clinton sont sortis et ont tweeté : ‘Faites-vous vacciner ou portez un masque’. C’est tout. Ce sont les choix…

    J'ai l'impression que la réglementation sur les masques sera probablement la dernière chose à faire ici en Allemagne. De toute évidence, les masques, je pense, ont été le principal moyen de générer l'apparition d'un fléau apocalyptique qui menace le tissu même de la société. Lorsque les gens enlèvent leurs masques, l'illusion s'évapore.

    La censure étouffante abonde

    Comme aux États-Unis, l'Allemagne et pratiquement tous les autres pays subissent une censure sévère de tout ce qui concerne COVID-19. Hopkins décrit la situation comme « étouffante », affirmant que « cela a été l'une des expériences les plus impressionnantes et effrayantes dont je me souvienne ».

    Très rapidement, les médias allemands, le gouvernement et l'industrie du divertissement ont commencé à marcher au même rythme. Gleichschaltung est un mot allemand qui rappelle le régime nazi

    RépondreSupprimer
  15. Très rapidement, les médias allemands, le gouvernement et l'industrie du divertissement ont commencé à marcher au même rythme. Gleichschaltung est un mot allemand qui rappelle le régime nazi. Gleich signifie « le même » et schaltung signifie « changer ».

    "Ce que cela signifie, c'est fondamentalement synchroniser tous les aspects de la culture, des messages et de l'idéologie dans la société pour que tout soit absolument uniforme et pour éliminer toute dissidence", explique Hopkins. « Bien sûr, c'est ce que les nazis ont fait, et c'est exactement ce dont j'ai été témoin ici.

    Cela s'est produit presque instantanément, au printemps 2020. Et cela a été absolument suffocant. Quiconque proteste, remet en question ou conteste le récit officiel a été diabolisé comme un théoricien du complot d'extrême droite, un extrémiste antisémite. Ça a été vraiment intense. »

    Comment est-ce qu'on est arrivés ici ?

    Pour beaucoup, moi y compris, la réalité actuelle est plus que surréaliste. C'est comme vivre un cauchemar, en espérant se réveiller à tout moment. Comment est-ce qu'on est arrivés ici ? Hopkins offre son point de vue personnel sur la situation :

    « J'ai commencé à écrire des satires et des commentaires politiques en 2016. Je l'ai fait parce que je m'intéressais au phénomène Donald Trump. Je ne suis pas un fan de Donald Trump personnellement, mais quelque chose de nouveau se passait et cela a attiré mon attention.

    Ce que j'ai couvert pendant les années Trump, c'est que ce président non autorisé a été élu et j'ai eu l'impression que cela faisait partie d'un recul populiste plus large contre tout ce que vous voulez l'appeler – l'idéologie capitaliste mondiale est ce que je l'appelle – et ce que nous avons avec lequel j'ai vécu pendant les 30 dernières années depuis la chute de l'Union soviétique…

    Soudain, vers 2016, il y a eu le Brexit et Trump et divers mouvements populistes réactionnaires se levant en Europe. Cela m'intéressait. Voici une certaine résistance contre la nouvelle idéologie.

    Ce que j'ai regardé, ce que j'ai décrit dans mes chroniques et dans mes livres, c'était le système, tout le système mondial, et c'est là que ça devient trop simpliste pour en parler car ce n'est pas une bande de capitalistes assis dans une pièce, complotant tout ça dehors. C'est le système qui réagit à cette insurrection, à cette sorte de rébellion populiste à l'intérieur.

    Et ce qu'ils ont fait est très clair. Ils ont fait un exemple de Trump. Ils l'ont diabolisé. Ils ont diabolisé tous ceux qui l'ont mis en fonction. Une société vraiment polarisée de sorte que vous étiez soit un bon démocrate, soit un monstre de la suprématie blanche, raciste et néo-nazi. Ils ont fait cela pendant quatre ans et, bien sûr, tout a culminé en 2020 lorsqu'ils ont démis Trump de ses fonctions, puis ont eu le grand spectacle de "restaurer la normalité".

    RépondreSupprimer
  16. Je ne peux m'empêcher de voir le déploiement de la « nouvelle normalité » et tout ce récit, cette introduction, de ce que je considère comme une version plus totalitaire de la société capitaliste mondiale. Je vois cela dans ce même contexte.

    Un point que je fais toujours à ce sujet est que les blocages étaient la chose la plus importante au début, n'est-ce pas ? Et pour la plupart de l'année dernière. D'où vient le concept de confinement ? Eh bien, ça vient des prisons. Et quand enfermez-vous les prisonniers ? Vous les enfermez quand ils se rebellent, quand ils se révoltent.

    Et vous le faites pour leur rappeler : " Hé, vous êtes en prison, et nous pouvons vous enfermer et vous imposer tout type de mesures que nous voulons, quand nous le voulons, jusqu'à ce que vous commenciez à suivre la ligne. " Je ne peux pas aidez-moi, mais voyez ce que nous avons vécu au cours de cette dernière année dans le cadre de cette leçon que l'establishment au pouvoir, le système lui-même, nous enseigne…

    Il y a un livre que je recommande à tout le monde - en particulier aux vrais croyants si l'un d'entre eux regarde et qu'ils ont encore un peu l'esprit ouvert - de Milton Mayer, intitulé "Ils pensaient qu'ils étaient libres". dans les années 30, lorsque les nazis sont arrivés au pouvoir, alors que cette synchronisation idéologique se déployait. Et ce qu'il décrit reflète presque exactement ce que nous avons vécu.

    Le contexte est complètement différent. Ce n'est pas une idéologie politique qui se déploie [maintenant]. Mais juste l'introduction de ce récit officiel, cette idéologie officielle, et la coercition et la mise en œuvre de mesures policières et l'abrogation de la constitution [est la même qu'à l'époque].

    Et les réactions des gens à cela et les non-réactions à cela. Comment tout a été mis en œuvre étape par étape, le vieux truc du « comment faire bouillir une grenouille ». Si vous lisez cela et que vous le comparez à ce que nous avons vécu l'année dernière, c'est tout simplement horrible.

    Que pouvons-nous faire ?

    Le livre "Ils pensaient qu'ils étaient libres" est disponible en téléchargement gratuit au format PDF ici. Maintenant, si ce que nous vivons est un entraînement à la subjugation, comment pouvons-nous y résister le plus efficacement ? Certes, nous devons faire passer le mot et collaborer avec des amis et des voisins, car s'ils écoutent les médias grand public, ils ne comprennent pas du tout.

    Pour moi, l'une des parties les plus effrayantes de tout cela sont les tentatives de contraindre les gens à se faire vacciner avec une thérapie génique expérimentale. Ce qui se passe est absolument 100% illégal et une violation flagrante du Code de Nuremberg, car la seule façon de donner un consentement éclairé à quoi que ce soit est d'avoir les deux côtés de l'histoire.

    Mais ils ne présentent qu'un côté. Tout ce qui s'oppose à leur récit est immédiatement censuré. Les personnes qui ont des abonnés sur les réseaux sociaux sont tout simplement déplateformes. En conséquence, les gens n'ont aucune idée de ce dans quoi ils s'embarquent.

    De toute évidence, nous devons comprendre qu'il s'agit d'un jeu à long terme. Les mondialistes, l'élite technocratique qui dirigent cette simulation de cauchemar, organisent et planifient son exécution depuis des décennies. Ils ne volent pas par le siège de leur pantalon. Ils ont un plan de match à long terme, et nous devons en établir un aussi, même si, pour le moment, nous sommes à la traîne.

    RépondreSupprimer
  17. "Je pense que vous avez tout à fait raison et c'est pourquoi j'ai évoqué ce terme, Gleichschaltung, cette synchronisation", dit Hopkins. "C'est très clair pour moi, pour vous, pour ceux d'entre nous qui ont prêté attention, l'intensité de l'effort pour faire taire la discussion. Pour faire taire la dissidence. Faire taire le questionnement.

    Présenter ce récit idéologique uniforme... et il n'y a pas de place pour le questionnement, pour l'argumentation, pour la discussion. Si vous le remettez en question, vous êtes absolument diabolisé. Cela rend vraiment difficile la communication. Je suis un satiriste, donc je pense que je me faufile un peu parce que peut-être que les censeurs ne savent pas si je suis sérieux ou non.

    C'est plus difficile pour les gens qui essaient simplement de présenter des faits et des informations parce qu'ils sont complètement exclus. Je pense que nous devons continuer à essayer de le faire quoi qu'il arrive. Je pense qu'il est important de présenter les faits à plusieurs reprises.

    Pour souligner à plusieurs reprises ce qui s'est passé au début de cela - Toute la propagande. Toutes les fausses informations. D'où vient [le virus]. Les modèles. La façon dont les tests PCR ont été utilisés pour générer l'apparence que soudainement, des personnes en parfaite santé sont devenues des cas médicaux. »

    Comment une simulation de pandémie du monde réel a été créée

    Ce dernier point est important. Nous savons maintenant, sans équivoque, que nous n'avons pas eu autant de pandémie mortelle que de casdémie, c'est-à-dire de pandémie de tests faussement positifs.

    La grande majorité était en parfaite santé, mais parce que les tests PCR ont été effectués à un seuil de cycle (CT) ridiculement et indéfendable, ils ont récupéré des fragments morts du virus, entraînant des faux positifs. La médecine telle que nous la connaissons a soudainement été renversée, et ces personnes en bonne santé ont été jugées « malades » sur la base de tests erronés et de rien d'autre.

    Le récit officiel viole à peu près tout ce que nous savons sur la médecine et la science. Et ils l'ont fait simplement en redéfinissant les termes.
    Une fois que le nombre réel de décès a chuté, les médias grand public sont passés des statistiques de décès flash à des statistiques de «cas», donnant ainsi l'impression que la pandémie faisait rage, même si les hôpitaux restaient vides de patients COVID-19.

    "C'est tellement frustrant parce que vous ne pouvez pas faire comprendre cela à des gens qui sont de vrais croyants", dit Hopkins. « Tout d'abord, le test n'a jamais été censé être un diagnostic de maladie. Mais le fait que vous puissiez faire passer ce test à 40, 50 cycles, et tout à coup, des personnes en parfaite santé, sans aucun symptôme de maladie, sont devenues des cas médicaux.

    La prochaine étape, bien sûr, consistait à utiliser cela pour gonfler les décès. Ensuite, les gens qui mouraient dans les hôpitaux, ils n'avaient plus à mourir d'une autre maladie. S'ils ont été testés et que le test PCR a montré qu'ils avaient été infectés, alors il s'agissait de décès par COVID. Et puis ces statistiques ont explosé. Ils ont fondamentalement redéfini les connaissances scientifiques et médicales traditionnelles établies.

    RépondreSupprimer
  18. C'est aussi un point clé. Le récit officiel viole à peu près tout ce que nous savons sur la médecine et la science. Et ils l'ont fait simplement en redéfinissant les termes. L'Organisation mondiale de la santé a redéfini le mot « pandémie ». Le terme médical "cas" a été redéfini, tout comme la définition d'un "décès COVID". Ils ont redéfini le terme « immunité collective » et même le terme « anti-vaccination ».

    Selon Merriam-Webster, un « anti-vaccination » est désormais toute personne qui s'oppose à la vaccination ou tout simplement en désaccord avec les mandats de vaccination. Sur la base de cette définition assouplie, on estime que 79 % des Américains sont désormais anti-vaccins.1 Plus récemment, ils ont redéfini ce qu'est un « cas révolutionnaire » parmi les vaccinés.

    Il s'agit de manipuler des statistiques

    Ceux qui définissent les termes contrôlent le récit. Simplement en redéfinissant ce qui constitue une maladie, ils sont capables de faire varier la pandémie à volonté. Le jour de l'investiture du président Biden, la pandémie a été rappelée par l'OMS en abaissant simplement le CT recommandé. À ce moment-là, le programme de vaccination avait commencé et pour que les vaccins semblent efficaces, le nombre de cas devait diminuer.

    Malheureusement, des cas révolutionnaires ont commencé à apparaître, ce qui signifie que des personnes entièrement vaccinées étaient hospitalisées pour COVID-19. Ainsi, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont changé la définition d'un cas révolutionnaire et ont abaissé le CT recommandé lors du test de personnes entièrement vaccinées.2

    Le CDC n'enregistre plus les infections bénignes ou asymptomatiques chez les personnes vaccinées en tant que « cas COVID ». Les seuls cas qui comptent désormais comme des cas de COVID – si le patient a été vacciné contre le COVID-19 – sont ceux qui entraînent une hospitalisation ou la mort.3,4 Et, comme par magie, l'efficacité du vaccin a été renforcée. Les cas marquants ont chuté de plusieurs milliers du jour au lendemain, passant de 10 262 (au 30 avril 2021)5 à 3 0166 (au 1er juin 2021).

    Pendant ce temps, si vous n'êtes pas vacciné et que vous présentez un cas bénin, ou si vous êtes positif à un CT plus élevé et que vous ne présentez aucun symptôme, vous comptez toujours comme un cas COVID. Ainsi, nous avons maintenant cette situation remarquablement non scientifique et illogique où les règles de test et les définitions de la maladie varient selon que le patient est vacciné ou non !

    Il n'y a qu'une seule raison de faire quelque chose d'aussi sans précédent, c'est de manipuler les statistiques. Cela permet au CDC de gonfler le nombre de cas parmi les personnes non vaccinées et de minimiser les cas de percée parmi les vaccinés. Le résultat final est que les personnes non vaccinées apparaîtront plus sujettes à l'infection, même si elles ne le sont pas, et les vaccins apparaîtront beaucoup plus protecteurs qu'ils ne le sont réellement.

    « La raison pour laquelle il est si difficile de résister est [parce que] cette simulation a été créée par tous ces moyens dont nous parlons, et les gens qui croient en cette simulation - je les ai comparés à des membres de sectes - il n'y a pas de ébranlant leur croyance en cela », dit Hopkins.

    RépondreSupprimer
  19. «Je pense qu'il est néanmoins important de continuer à les confronter et à présenter ces faits à tout le monde. L'autre [stratégie] est au niveau personnel, comme je le disais auparavant.

    Je pense qu'il est crucial que ceux d'entre nous qui ne croient pas vraiment à cette nouvelle idéologie continuent d'essayer de vivre selon la réalité, et refusent de la réifier, refusent de se comporter selon ces règles qui sont imposées.

    Fondamentalement, l'idée que tout ce qui concerne ce virus nécessite une restructuration radicale de la société où je dois présenter mes papiers médicaux pour obtenir une tasse de café est insensée. C'est littéralement dingue. Et il est important que ceux d'entre nous qui continuent à avoir une emprise sur la réalité la traitent comme insensée, et ne la traitent pas du tout comme légitime… »

    Plus d'information

    Pour en savoir plus sur ce que Hopkins a à dire, veuillez visiter son site Web, cjhopkins.com, ou son blog, consentfactory.org. Il a également un compte Substack et Patreon où vous pouvez trouver son travail.

    En conclusion, je crois qu'une grande partie de la solution consiste à développer des réseaux de distribution alternatifs qui résistent à la censure. En fin de compte, nous avons besoin d'un Internet décentralisé. C'est actuellement en préparation, mais sa mise en œuvre complète devrait prendre des années. En attendant, nous devons perfectionner les « tactiques de guérilla » en ligne pour contourner la censure et former des réseaux collaboratifs. Nous devons également nous engager dans la désobéissance civile pacifique dans notre vie de tous les jours. Comme l'a noté Hopkins :

    « Jusqu'à ce que nous y arrivions, il est crucial de continuer à utiliser tous les moyens. Les gens essaient d'éviter les censeurs de Facebook en jouant avec les polices et les images et tout le reste. C'est une autre chose que les gens peuvent étudier - dans les sociétés totalitaires, les gens se sont adaptés.

    Tout le monde savait que les sources officielles ne faisaient que faire de la propagande, alors, ils ont appris à parler et à lire entre les lignes. Il pourrait devenir de plus en plus nécessaire de trouver des moyens de ne pas dire directement ce que vous dites, mais plutôt de le signaler afin qu'il puisse conduire d'autres personnes là où vous allez. Alors, utilisez tous les moyens encore disponibles pour obtenir les faits, pour obtenir la réalité, là-bas.

    Deuxièmement, et je pense tout aussi important, revenons à mon point sur la façon dont nous vivons notre vie de tous les jours. Retournez dans ce restaurant où je dois montrer mon carnet de vaccination ou mon test pour m'asseoir et prendre une tasse de café. J'ai des choix. Je pourrais choisir de rester à la maison. Je pourrais choisir d'obtenir un faux pass vax.

    Ni l'un ni l'autre pour moi ne sont les bons choix parce que le choix est d'aller exiger que les gens me traitent selon la réalité et non selon les règles de leur nouvelle idéologie. Créez cette friction… Je n'ai aucune hostilité envers le serveur, mais je veux mettre ce serveur mal à l'aise avec ce qu'il fait.

    Je veux mettre les autres personnes assises dans le restaurant mal à l'aise de me voir être éjecté, de me voir isolé parce que je ne me conforme pas à cette idéologie. Peut-être qu'ils rentrent tous chez eux et dorment profondément. Peut-être que deux d'entre eux sont hantés par ce moment.

    RépondreSupprimer
  20. Peut-être qu'ils voient un autre moment comme ça dans un autre café le lendemain. Ou au cinéma ce soir-là quand ils sortent. Plus ils voient de moments où les gens se lèvent et disent : « C'est fou et c'est mal et je ne vais pas coopérer avec ça » — tous ces petits moments de friction, ils peuvent construire et créer la résistance dont nous avons besoin. "

    Sources and References

    1 Yahoo News May 12, 2021
    2 CDC.gov COVID-19 Vaccine Breakthrough Case Investigation Guidelines (PDF)
    3 CDC.gov COVID-19 Breakthrough Case Investigation and Reporting, Identifying and Investigating COVID-19 Breakthrough Cases
    4 Off-Guardian May 18, 2021
    5 CDC.gov COVID-19 Breakthrough Case Investigation and Reporting May 25, 2021
    6 CDC.gov COVID-19 Breakthrough Case Investigation and Reporting as of May 17, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/joseph-mercola/political-satirist-takes-up-the-fight-against-tyranny/

    RépondreSupprimer