- ENTREE de SECOURS -



mardi 8 juin 2021

À quand le « black-out » européen ?

Aujourd’hui, chacun tente de se rassurer en constatant que le marché fonctionne encore pour passer des moments difficiles. Mais quelques experts prédisent un grave « black-out » qui modifiera les comportements.

Par Dominique Finon et Michel Gay.

8 JUIN 2021 


Alors qu’une perturbation de quelques heures sur le réseau téléphonique d’Orange le 2 juin 2021 a mis en émoi la France, les incidents dus au développement de l’éolien et du solaire photovoltaïque (PV) sur les réseaux électriques tendent à augmenter en Europe dans une indifférence coupable.

Nos dirigeants s’offusquent du disfonctionnement de l’opérateur Orange mais œuvrent par ailleurs à créer les conditions de pannes beaucoup plus graves par coupure généralisée d’électricité (black-out) en France et en Europe. Quelques heures de coupures d’électricité auraient des conséquences humaines autrement plus importantes (plus de téléphone, plus d’informatique…), et un coût économique se chiffrant en milliards d’euros. Mais l’aveuglement règne.

BLACK-OUT : LES INCIDENTS PROVIENNENT DE L’INSTABILITÉ

Les énergies intermittentes (EnRI) posent deux problèmes principaux :

La variabilité de leurs productions non pilotables impose un « soutien » par des moyens flexibles complémentaires.

L’instabilité en fréquence et tension du système électrique quand leurs productions dépassent 30 % d’électricité sur le réseau.

Un black-out national, voire européen, est de plus en plus envisagé par les électriciens qui proposent de ralentir, voire d’arrêter, le développement des EnRI.

Le 8 janvier 2021, le réseau électrique européen a frôlé une panne majeure. Le système intégré de Lisbonne à Istanbul s’est scindé en deux pour maintenir la fréquence à 50 hertz (tout écart pouvant endommager les équipements qui y sont connectés). Le problème a pris naissance en Croatie. Il a entraîné des coupures auprès de 200 000 foyers et a touché de nombreux sites industriels à travers l’Europe, dont la France.

Cette fragilité du réseau européen résulte de la réduction des capacités pilotables liée au développement des énergies renouvelables.

L’Europe a aussi été proche d’une panne majeure en 2006. Plus de 15 millions de ménages européens ont été plongés dans le noir pendant plusieurs heures. L’incident a été provoqué par l’interruption d’une ligne à haute tension sur le fleuve Ems pour laisser passer un paquebot sortant d’un chantier naval. L’instabilité a été aggravée par la mise en sécurité de nombreuses éoliennes en Allemagne, puis s’est transmise sur les réseaux français, belge, néerlandais et polonais.


La Grande-Bretagne a connu le 9 août 2019 un black-out régional touchant plus d’un million de consommateurs suite à l’arrêt brutal de l’installation d’éoliennes en mer « Hornsea 1 » conjugué avec l’arrêt d’un cycle combiné à gaz de 640 mégawatts (MW) après un coup de foudre. La fréquence du réseau électrique est passée en dessous de 50 hertz. Le gestionnaire de réseau de transport a activé des générateurs de secours pour équilibrer le système et les opérateurs locaux ont automatiquement déconnecté certains consommateurs afin d’éviter un black-out à l’échelle nationale.

PLUSIEURS « BROWN OUT » DANS LE MONDE

Des délestages tournants (brown-out) ont eu lieu pendant la canicule d’août 2020 en Californie à cause d’une baisse de production éolienne et solaire le soir et par manque de capacité de stockage.

Ce fut le cas aussi au Texas en février 2021 par manque de production des centrales solaires et éoliennes affectées par le gel.

En 2016, l’Australie du Sud qui a misé sur l’éolien, et qui venait juste de fermer une grande centrale au charbon, a dû aussi délester faute de stockage et d’équipements de secours. Elle s’est depuis équipée d’une capacité de batteries Li-ion de 100 MW et de… nouvelles centrales au gaz.

En Europe, les fermetures programmées de centrales pilotables au charbon et nucléaires en Allemagne, en France, en Belgique et ailleurs, supposées être remplacées par des EnRI, sont inquiétantes.

Une note de France Stratégie intitulée « Quelle sécurité d’approvisionnement électrique en Europe à l’horizon 2030 ? » souligne l’éventualité de défaillances des systèmes électriques européens, et notamment du système français. Des objectifs « ambitieux » (irréalistes ?) de développement d’ENRI ont été décidés alors que les solutions de pilotage et d’effacements des consommations, de capacités de stockage et, plus généralement, de flexibilité restent insuffisamment développées.

Durant la décennie 2020, de nombreuses fermetures de centrales pilotables au charbon ou nucléaires sont programmées alors que les conséquences dangereuses de ces arrêts « politiques » ne semblent pas prises en compte, tandis que se déploient à grande échelle des EnRI.

La situation française n’est pas reluisante au vu des prévisions de fermeture de centrales pilotables et de l’interdiction de construction de nouvelles centrales fossiles. La marge de réserve assurée par les centrales pilotables devient négative en 2030 (- 5 GW) pour atteindre – 9 GW en 2035 avec les stockages et les effacements actuellement prévus.

Chaque pays espère pouvoir se reposer sur les autres. Ce fut récemment le cas en février 2021 en Suède qui s’est engagée dans une politique de fermeture de ses centrales au fuel et de promotion des EnRI. Pendant une vague de froid qui a entravé le fonctionnement des éoliennes, la Suède a été obligée d’importer de l’électricité produite par les centrales au charbon de ses voisins du sud (Lituanie, Allemagne, Pologne).

L’Allemagne prévoit de s’appuyer de plus en plus sur ses voisins en important de l’électricité alors qu’elle est actuellement un exportateur net vers l’Autriche, la Suisse et la Pologne, ainsi que vers les Pays-Bas. Ces derniers envoient une partie de leur électricité en Grande-Bretagne et en Belgique.

Plusieurs pays pourraient connaître des pannes d’électricité ou des brown-out  lorsque l’Allemagne cessera d’exporter de manière régulière ses excédents.


LES MARGES DE MANŒUVRE SE RÉDUISENT…

La capacité à assurer la sécurité d’approvisionnement en périodes critiques lors de faible production des EnRI devient d’autant plus incertaine que les systèmes sont étroitement interconnectés.

Lorsque les marges de réserve sont réduites, les déficits des uns peuvent entraîner des situations critiques pour les voisins ayant pourtant suffisamment de réserves sur leur propre territoire.

Qui pourra compter sur les systèmes voisins si ceux-ci n’ont plus de réserve après la fermeture non coordonnée de capacités pilotables ?

Le rapport du gestionnaire français du réseau (RTE) et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) de janvier 2021 souligne que :

Le développement raisonnable de la flexibilité de la demande et l’appui sur les pays voisins ne suffiront plus rapidement […] À compter de 2035, il ne sera plus possible de poursuivre l’augmentation de la part des EnRI sans développer la flexibilité de manière très significative.

Ce rapport RTE / AIE indique qu’en 2035 en France, avec 30 % prévus de production par les EnRI :

Les besoins de flexibilité à la fois journalière et hebdomadaire sont multipliés par cinq par rapport à la situation actuelle en tenant compte de la baisse des capacités pilotables, afin de pallier l’augmentation de la variabilité des productions et celle des variations de fréquence.

Les rendements des équipements coûteux de ces services de flexibilité sont aléatoires et aucun acteur n’investira dans ces conditions financières douteuses malgré les besoins croissants.

BIENTÔT UN « BLACK-OUT » ?

Aujourd’hui, chacun tente de se rassurer en constatant que le marché fonctionne encore pour passer des moments difficiles. Mais quelques experts prédisent un grave black-out qui modifiera les comportements.

Un espoir réside dans les mécanismes de capacités créés pour inciter à repousser la fermeture d’équipements pilotables peu rentables en payant des moyens de production… à l’arrêt, et pour susciter la création d’autres sources de flexibilité (stockage, pilotage de la demande, interconnexion).

Mais ces artifices permettent au mieux de repousser les fermetures tant que les revenus de long terme à attendre pour rentabiliser un investissement sont incertains.

Une profonde réforme est à engager pour recréer des marges de réserve.

Aujourd’hui, rien ne garantit la sécurité de fourniture en cas d’hiver froid en absence de vents sur plusieurs pays si chacun continue sa propre politique en ignorant les autres ou, pire encore, en comptant trop sur les autres en cas de difficulté chez lui !

https://www.contrepoints.org/2021/06/08/399116-a-quand-le-black-out-europeen

50 commentaires:

  1. L'électricité, telle qu'elle est redéfinie par les idiots qui n'y connaissent rien mais qui dirigent !!, est une énergie dont les gens (entendons: le Peuple) devrons apprendre à s'en passer !! Donc: pas question de prévoir de groupes électrogène car l'essence n'y sera plus. D'où les lampes électrique a manivelle et les buffets froids toute l'année ! C'est quand le train s'arrête qu'on voit qu'on est sur place !

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  2. SARS-CoV-2 : Évolution convergente par suppressions


    DIMANCHE 6 JUIN 2021


    Avez-vous remarqué que des mutations identiques ou très similaires émergent à travers le monde ?

    Par exemple, la mutation E484K est apparue aux États-Unis (avec des variantes en Californie et en Arizona), en Afrique du Sud et au Brésil, entre autres.

    La mutation SARS-CoV-2 est entraînée par des suppressions selon plusieurs études de recherche. En voici un :

    Ribes, M., Chaccour, C. & Moncunill, G. S'adapter ou périr : variantes d'échappement d'anticorps SARS-CoV-2 définies par des délétions dans le domaine N-terminal de Spike. Sig Transduct Target Ther 6, 164 (2021). https://doi.org/10.1038/s41392-021-00601-8

    L'évolution rapide par délétion vers des mutations plus dangereuses est inhabituelle.

    Un analyste note que les mutations de la protéine E ne sont pas soumises à des pressions évolutives et suggèrent donc un changement pré-programmé :

    RaTG13 – La preuve indéniable que le coronavirus de Wuhan est d'origine humaine. Pouvoir de nerd,
    https://nerdhaspower.weebly.com/ratg13-is-fake.html

    La protéine E des coronavirus β est une protéine structurelle qui tolère les mutations, comme en témoignent à la fois le SRAS et les coronavirus de chauve-souris.

    Cependant, au niveau des acides aminés, la protéine E du coronavirus de Wuhan identifiée au début de l'épidémie est 100% identique à celles des modèles suspects, ZC45 et ZXC21 (Figure 4).

    Ce qui est frappant, c'est qu'après une courte propagation de deux mois du virus chez l'homme, la protéine E est déjà en train de muter. Les données de séquence obtenues au cours du mois d'avril indiquent que des mutations se sont produites à quatre emplacements différents (figure 4).

    Notez que la protéine E fait des interactions très limitées avec les protéines hôtes et n'est donc pas sous pression évolutive pour s'adapter à un nouvel hôte. Non seulement la protéine E peut tolérer des mutations, mais son taux de mutation est également maintenu constant dans différentes espèces de coronavirus.

    Le fait que la protéine E des coronavirus de Wuhan soit déjà en train de muter au cours de la courte période de transmission interhumaine est cohérent avec sa caractéristique évolutive. À l'opposé, alors que ZC45/ZXC21 et le coronavirus de Wuhan sont plus éloignés sur le plan de l'évolution, les protéines E qu'ils contiennent sont identiques à 100 %. Cela ne peut en aucun cas être le résultat d'une évolution naturelle.
    Spéculation intéressante.

    Au printemps 2020, j'ai lu une discussion intéressante sur le potentiel du SRAS-CoV-2 à être une arme biologique. Un commentateur a suggéré que c'était un raté total comme arme. Un autre commentateur a répondu (je paraphrase) :

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  3. Imaginez un virus bio-armé avec un taux de mortalité initialement faible. Cela perturbe la société mais la faible mortalité finit par rassurer les autorités sanitaires que le risque est finalement faible et gérable.

    Ensuite, le virus change de forme en se débarrassant des protéines, en supprimant le code ARN en excès pour révéler la véritable arme au cœur du cheval de Troie.

    J'espère certainement que cet imaginaire est une pure fantaisie sombre car l'évolution convergente sur le terrain par des suppressions suivies d'un réassortiment de mutations dans de nouvelles variantes plus dangereuses soulève certainement des questions.

    L'avenir nous le dira.

    http://majiasblog.blogspot.com/2021/06/sars-cov-2-convergent-evolution-by.html

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  4. Charles Dereeper VIVRE

    50 000 soldats us morts pendant la guerre du vietnam sur 10 ans. 14 000 morts en europe en qq mois suite a une vaccination foireuse contre une maladie imaginaire. Reduire la population avec une histoire de virus est tres rentable

    https://www.facebook.com/charlesdereepervivre/

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  5. Message d'une maman


    dimanche 6 juin 2021


    Voici le message d'une maman d'un ado de secondaire IV (16 ans) que j'estime être d'intérêt public puisque les implications sont énormes pour tous les membres de la famille. De plus, il semble y avoir un renforcement des mesures d'isolement, elles sont plus strictes "à cause des variants":

    "Saviez vous qu'en ce moment, à cause DES VARIANTS, ils mettent la "classe bulle" en ISOLEMENT FAMILIAL! Oui! Oui! En isolement! Pour 14 jours!

    👉Et la santé publique téléphone à la maison pour vérifier si l'enfant est bien "isolé" dans sa chambre sans sortir! 😭

    👉Et ose ajouter de bien DÉSINFECTER la toilette ! Et de ne pas se promener dans les autres pieces de la maison !

    Hier, j'ai reçu 3 appels de leur part !

    À cause d'un test PCR positif d'un élève (mystère) de sa classe de secondaire IV. Toutes les familles doivent s'isoler! [tous les membres de la famille].

    Mais...l'école demeure ouverte et les profs continuent d'enseigner.

    Les familles sont isolées 14 jours à cause d'un test PCR positif. Maintenant, tous les cas sont considérés comme des "cas de variants".

    Sérieux !"

    Mélanie

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/06/message-dune-maman.html

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  6. Le nombre de décès dus au COVID-19 dans le comté de Californie a été réduit de 25 % après le changement de méthode de comptage


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 06 JUIN 2021 - 17:11
    Rédigé par Alex Wu via The Epoch Times


    Le nombre de décès dus au COVID-19 dans le comté d'Alameda, en Californie, a chuté d'environ 25 % après que les responsables de la santé ont modifié leur méthodologie pour le décompte total de la mortalité, supprimant ceux qui n'étaient pas un « résultat direct » de la maladie, ou Le COVID-19 n'a pas pu être exclu. »

    Le tableau de bord COVID-19 du comté, après une mise à jour le 4 juin pour refléter le nombre total de décès dus au COVID-19 en utilisant la définition de déclaration des décès de l'État, montre que 1 223 décès ont été causés par le virus du PCC (Parti communiste chinois), 411 de moins que ce qu'il Signalé précédemment.

    "Le comté d'Alameda incluait auparavant toute personne décédée alors qu'elle était infectée par le virus dans le nombre total de décès dus au COVID-19 pour le comté", a déclaré le département de santé publique du comté dans un communiqué de presse (pdf). Par exemple, une personne testée positive pour le virus avant de mourir dans un accident de voiture aurait tout de même été comptabilisée dans le nombre de morts du COVID-19.

    « Se conformer à la définition de l'État exigera que le comté d'Alameda déclare comme décès dus au COVID-19 uniquement les personnes décédées des suites directes du COVID-19, avec COVID-19 comme cause de décès, ou chez qui le décès a été causé par COVID- 19 ne pouvait pas être exclu », ont déclaré les responsables de la santé, notant que leur système de déclaration des décès dus au COVID-19 sur le tableau de bord et à l'État a été mis en œuvre au début de la pandémie, avant que l'État n'établisse des directives sur la façon dont les décès doivent être classés.

    Le Dr Nicholas Moss, responsable de la santé du comté d'Alameda, a déclaré au Mercury News que son département était conscient de l'incohérence entre les chiffres du comté et de l'État, mais qu'il a dû reporter le changement en raison d'une forte augmentation des infections pendant l'hiver.

    "Nous n'avons tout simplement pas pu avancer aussi rapidement que nous l'aurions souhaité, mais nous avons estimé que c'était important et parfois mieux vaut tard que jamais", a-t-il déclaré.

    Moss a également admis que certaines personnes pourraient utiliser la révision pour affirmer que la pandémie n'est pas aussi grave qu'on le prétend, et il conteste fermement cette idée.

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  7. "Il y aura des gens qui en tireront du foin et l'utiliseront pour remettre en question des choses sur la pandémie, mais c'est irréfutable, la gravité de la pandémie", a-t-il déclaré à Mercury News. « Je pense que quiconque utiliserait cela pour faire valoir que cela est en quelque sorte exagéré ferme vraiment les yeux sur certaines des vérités simples de la pandémie. »

    Au 6 juin, la Californie comptait 3 689 994 cas confirmés de COVID-19, entraînant 62 470 décès, selon le département de la santé de l'État. Aux États-Unis, plus de 33 millions de cas ont été confirmés et plus de 600 000 décès ont été signalés.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/california-county-covid-19-death-toll-lowered-25-after-counting-method-change?

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  8. SARS-CoV-2 : le cas du Texas et les mails d’Antony Fauci


    le 8 juin 2021


    Au début du mois de mars 2021 les autorités texanes ont aboli l’obligation du port du masque dans la rue et les lieux publics. Comme on pouvait s’y attendre les Démocrates au pouvoir à Washington (l’administration du Texas est républicaine) ont crié à l’incitation au crime ! Pourtant nous sommes maintenant au mois de juin, c’est-à-dire trois mois après cette décision et il n’y a pas eu de catastrophe sanitaire. Environ un tiers de la population a reçu au moins une injection de « vaccin », très majoritairement les personnes âgées de plus de 50 ans et ceci n’est pas suffisant pour avoir atteint une immunité de groupe. Sur une population de 29 millions d’habitants 1078 nouveaux « cas » et 58 décès ont été dénombrés le 3 juin. Masque ou pas masque l’évolution de l’épidémie a suivi une courbe en cloche classique et elle semble maintenant atteindre sa fin.

    - voir graphique sur site -

    Les statistiques de l’administration texane sont évasives en ce qui concerne le nombre de personnes ayant contracté le virus mais il ressort que les populations d’origine hispanique ont été les plus atteintes, en particulier à El Paso. Le Texas, Etat qui a durement souffert d’un hiver très rigoureux, voit donc le bout du tunnel. Se pose donc l’utilité du port d’un masque en toutes circonstances pour ralentir cette épidémie. Le Professeur Ioannidis a bien précisé que si une personne était asymptomatique le masque était inutile. Comme les autorités politiques et sanitaires l’ont par ailleurs précisé c’est tout le monde ou personne, sous-entendu elles n’accordent aucune confiance en la citoyenneté et le respect d’autrui comme c’est le cas au Japon, en Corée ou en Chine, trois pays qui ont remarquablement bien géré cette pandémie. Je rappelle encore une fois ici que mes deux petits-enfants franco-japonais apprennent dès leur plus jeune âge à porter un masque à la maison quand ils ont un rhume (en général provoqué par un coronavirus) pour protéger leur entourage, en particulier leurs grands-parents. Ce comportement s’acquière dès le plus jeune âge. C’est possible dans les pays cités plus haut mais en ce qui concerne les USA et l’Europe il ne faut pas rêver !

    La divulgation de plus de 5000 pages de courriers électroniques d’Antony Fauci, le « Delfressy » américain, comparaison à l’intention des Français, révèle la gigantesque corruption dont a fait l’objet la pandémie que j’avais qualifié de « fake-news » il y a quelques mois sur ce blog.

    Source et illustration : The Texas Tribune

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/06/08/sars-cov-2-le-cas-du-texas-et-les-mails-dantony-fauci/

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    Réponses
    1. Je rappellerai ici que LE PORT DU MASQUE EST PARFAITEMENT INUTILE compte tenu du maillage proposable face à la dimension du virus. Le 'Corona' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron tandis que les masques 'médicaux' sont de 50 à 150 microns !! et, les masques 'dits les plus fins': (FFP2/N95:) ont un écart de mailles de 3 microns !!!

      Donc: NE PRENONS PAS LES GENS POUR DES CONS ! Ecoutez les scientifiques !!

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

      (...) Se pose donc l’utilité du port d’un masque en toutes circonstances pour ralentir cette épidémie. Le Professeur Ioannidis a bien précisé que si une personne était asymptomatique le masque était inutile. (...)

      Comme il est inscrit à la ligne ci-dessus: 'si une personne était asymptomatique le masque était inutile'. Mais, sachant toutefois que nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 virus ou microbes CHAQUE MINUTE et 2 millions en activité physique (et DES milliards ! depuis ce matin ! et des 'trains' de milliards depuis notre naissance), nous sommes donc TOUTES & TOUS porteuses & porteurs de virus ! AYAYAÏ-AYAYAÏ ! (et nous ne sommes pas mort(e)s ??!!) et notre organisme nous en défend !

      J'aimerai revenir sur un point lointainement abordé sur la consommation précoce des poissons qui l'ingèrent dès la sortie des remontées gazeuses du magma. Les (milliards) de poissons (coquillages & crustacés) l'absorbent CONTINUELLEMENT et... ne s'en portent pas plus mal !! Çà alors !!
      (et nous consommons des poissons !!)

      Mais c'est là une question non-abordée par les 'laboratoires' qui se foutent bien du bien-pensant !

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  9. Toute la pandémie était-elle à propos du vaccin ?


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    8 juin 2021


    À mon avis, le Dr Peter McCullough est l'un des médecins universitaires les plus courageux et les plus accrédités et j'espère l'interviewer bientôt. Il est vice-chef de médecine interne au Baylor University Medical Center et malgré ses références impeccables, il a été vilipendé pour avoir déclaré au tout début de la pandémie de COVID-19, qu'il s'agissait du vaccin et de la mise en route d'une campagne mondiale de vaccination de masse. .

    "Tous les chemins mènent au vaccin", a déclaré McCullough dans une récente interview (vidéo ci-dessus1,2), les parties prenantes misant sur les pays mandatant le vaccin dans le monde entier. La première vidéo ci-dessus est un extrait de 16 minutes d'une interview beaucoup plus longue, qui est la deuxième vidéo.3

    McCullough souligne qu'un certain nombre de pays envisagent déjà de rendre obligatoire le vaccin COVID-19 non encore autorisé, ce qui signifie que tout le monde peut être contraint de le prendre contre son gré. "C'est à quel point les parties prenantes veulent la vaccination", déclare McCullough. « Ils veulent une aiguille dans chaque bras. Mais pourquoi ?" C'est la question à un million de dollars là.

    - voir clip sur site -

    Incroyables incitatifs offerts

    Les dernières semaines ont vu une augmentation significative de toutes sortes d'incitations à la vaccination aux États-Unis, des beignets gratuits, gâteaux,4 frites, hot-dogs et pizzas,5 aux jetons d'arcade,6 bière à 10 cents,7 laissez-passer de saison gratuits pour les parcs d'État, 8 trajets Uber et Lyft gratuits, 9 billets gratuits pour la marijuana10 et le baseball des Cincinnati Reds11, une chance de gagner une bourse complète12 et même 1 million de dollars13 et 5 millions de dollars14 de cadeaux. Vous trouverez ci-dessous une liste plus complète des incitations, publiée sur vaccines.gov.15

    - voir tableaux sur site -

    Dire que la campagne de vaccination a un air de désespoir serait un euphémisme profondément grave.

    Étant donné que le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis a enregistré plus de décès suite à la vaccination COVID-19 que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 201316 - une période de 15 ans et demi - il faut se demander pourquoi notre les dirigeants insistent tellement pour que tout le monde obtienne ces thérapies géniques expérimentales.

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  10. Ils font même pression pour que les anciens patients COVID-19 reçoivent le vaccin, même s'ils ont déjà une immunité permanente supérieure17 et des études montrent qu'ils ont un risque beaucoup plus élevé d'effets secondaires graves du coup COVID.18

    S'il s'agit vraiment de protéger le public contre COVID-19, pourquoi les patients COVID-19 récupérés – dont la protection est de loin supérieure à l'immunité induite par le vaccin – ne se voient-ils pas offrir une sorte de passeport d'immunité ou un accès à des événements sportifs ou à une éducation qui n'est désormais accordé qu'à à ceux qui ont des certificats de vaccination ?

    De plus, la Caroline du Nord a maintenant adopté une loi qui permet aux enfants aussi jeunes que 12 ans de se faire vacciner contre la COVID sans le consentement des parents19. Pensez-y. Au 21 mai 2021, 4 406 Américains étaient décédés après le vaccin COVID,20 dont trois adolescents,21,22,23,24 et 12 ans sont désormais encouragés à prendre une décision de vie ou de mort sans leurs parents ?

    Comme l'a noté McCullough, historiquement, le seuil auquel un programme de vaccin expérimental est arrêté est de 25 à 50 décès, mais nous y sommes, avec plus de 4 000 décès signalés aux États-Unis et plusieurs milliers d'autres en Europe.25,26

    Dans un rapport récent, le Comité du peuple israélien, un organisme civil d'experts de la santé, a également conclu qu'« il n'y a jamais eu de vaccin qui ait fait autant de mal à autant de personnes. »27

    Après avoir vacciné 45 millions de personnes avec le vaccin pandémique contre la grippe porcine en 1976, les États-Unis ont arrêté le programme après seulement 25 décès.28 (Le nombre de décès signalés après le programme de vaccination de 1976 varie de trois à 53, selon la source.29,30, 31,32) Et rappelons-nous aussi ceci : si quelque chose ne va pas, les fabricants de vaccins sont complètement indemnisés contre les poursuites judiciaires. Tu es tout seul.

    La vaccination de masse est une stratégie au-delà de la terrible

    En tant que médecin, McCullough ne recommande plus ce vaccin, et d'autres virologues et médecins éminents demandent l'arrêt du programme. Malheureusement, beaucoup se conforment simplement parce qu'ils sont désespérés de revenir à la «normale» qu'ils connaissaient auparavant, d'envoyer leurs enfants à l'école, de garder leur emploi et de mener la vie qu'ils avaient avant la pandémie.

    Ne le faites pas, dit McCullough – ne tombez pas dans ce piège car cela ne fera qu'empirer les choses. En vaccinant tout le monde contre un spectre d'immunité très étroit - la protéine de pointe SARS-CoV-2 d'origine, qui a depuis muté de plusieurs manières et n'existe plus - " nous nous préparons pour un superbactérie qui va anéantir les populations ," il dit.

    En tant que tel, le vaccin COVID-19 est une arme biologique, prévient McCullough, et les problèmes d'effets secondaires sont « bien au-delà de tout ce que nous avons jamais vu… Les Américains devraient être extrêmement alarmés ».

    En quoi consiste réellement ce programme de vaccination ?

    Pourquoi le vaccin est-il poussé de cette façon ? McCollough pense que c'est un objectif mondial de « marquer » les gens, de vous faire entrer dans leur base de données sur les vaccins, qui sera finalement transformée en un outil de contrôle de la population, grâce aux passeports vaccinaux.

    Lorsque nous parlons de contrôle de la population, il existe deux formes distinctes, et les deux peuvent s'appliquer dans ce cas. Une forme de contrôle de la population consiste à contrôler les gens à travers l'idéologie de l'utilitarisme, les passeports vaccinaux et un système de crédit social, qui sont tous liés. Une autre forme est le dépeuplement réel.

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  11. Contrôle de la population par l'utilitarisme et la vaccination

    L'utilitarisme est basé sur une équation mathématique selon laquelle certains individus peuvent être sacrifiés pour le plus grand bien de la majorité. En d'autres termes, si certaines personnes sont blessées par les vaccins, c'est une perte acceptable car la société dans son ensemble peut ou va récolter des gains.

    Cette pseudo-éthique discréditée a été utilisée à plusieurs reprises pour justifier d'horribles violations des droits humains. Le IIIe Reich, par exemple, a utilisé la logique utilitariste comme prétexte pour diaboliser et éliminer les minorités jugées menaçantes pour la santé, la sécurité et le bien-être de l'État33. faux récit selon lequel l'humanité dans son ensemble est en péril à moins que tout le monde ne lance les dés et se fasse vacciner.

    En fin de compte, l'idée est que les refus de vaccination ne seront plus autorisés à participer librement à la société. Il s'agit de l'incitation dissuasive ou négative, qui s'ajoute aux incitations positives précédemment évoquées.

    Alors que les responsables du gouvernement américain se rendent compte qu'ils ne peuvent pas imposer la vaccination au niveau national, car ce serait une violation directe de la Constitution américaine, ils font néanmoins pression en encourageant les entreprises privées à imposer la vaccination comme condition d'emploi ou d'accès aux services. Ils dépensent également des milliards de dollars en publicité dans les médias conventionnels, payés par les contribuables américains.

    En bref, les passeports vaccinaux sont un moyen de forcer la conformité. Mais la base de données sur les vaccins peut également constituer la base d'une structure de contrôle beaucoup plus large, un système de crédit social, où vous perdez des points chaque fois que vous vous comportez d'une manière jugée indésirable.

    Cela pourrait littéralement être n'importe quoi, à en juger par le système de crédit social chinois. Les personnes ayant de faibles cotes de crédit social ne peuvent pas voyager sur certains types de transports en commun, ne peuvent pas voyager à l'étranger, occuper certains emplois, aller à l'école ou même obtenir un prêt.

    Le fait est qu'une fois que vous êtes dans ce système, vous êtes sous le contrôle de quelqu'un d'autre. S'ils disent que vous devez recevoir un rappel, vous devez vous conformer - encore et encore - ou risquer de perdre les droits humains fondamentaux, tels que la capacité d'acheter et de vendre, de voyager ou de s'instruire.

    - voir clip sur site -

    Le programme de dépeuplement

    L'autre forme de contrôle de la population se réfère au dépeuplement réel. Un problème principal que l'élite mondiale essaie de résoudre depuis longtemps est qu'il y a trop de gens qui consomment trop des ressources limitées perçues du monde et polluent tout dans le processus. La réponse, dans leur esprit, est de réduire la population mondiale.

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  12. Bien que le contrôle des naissances et les avortements soient promus pour aider à cela, ces stratégies ne sont pas assez efficaces ou rapides. Ils ont besoin d'une population moins fertile et ils ont besoin que les gens meurent plus tôt.

    Je pense que [les injections de rappel COVID-19] vont être utilisées pour nuire à votre santé et éventuellement vous tuer. Je ne vois aucune interprétation sensée autre qu'une tentative sérieuse de dépeuplement de masse. ~ Michael Yeadon Ph.D.

    Bien que beaucoup ne veuillent peut-être pas croire que cela puisse être vrai, vous devez vous rappeler que l'intention n'est pas de causer de la souffrance en soi. C'est une forme d'auto-préservation, car leur objectif final est de concentrer toutes les richesses du monde entre leurs propres mains. En fin de compte, c'est ce qu'est la Grande Réinitialisation.

    Dans l'interview ci-dessus, qui fait partie du long métrage documentaire « Planet Lockdown »,34 Michael Yeadon, Ph.D., chercheur en sciences de la vie et ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer, partage son points de vue sur la pandémie de COVID-19 et ses craintes concernant les vaccins COVID-19.

    "Fondamentalement, tout ce que votre gouvernement vous a dit sur ce virus, tout ce que vous devez faire pour rester en sécurité, est un mensonge", a déclaré Yeadon. « Et s’ils ne disent pas la vérité, cela signifie qu’il y a autre chose. Et je suis ici pour vous dire qu'il se passe quelque chose de très, très mauvais. Si vous ne faites pas attention, vous perdrez bientôt toute chance de faire quoi que ce soit.

    Les Booster Shots sonneront-ils le glas ?

    De tous les mensonges qui nous ont été racontés au cours de l'année écoulée, ceux qui inquiètent et effraient le plus Yeadon sont les mensonges sur les variantes de virus et les injections de rappel. En fait, il pense que ne pas croire à ces mensonges peut être la clé de votre survie.

    « Quand les scientifiques de votre gouvernement vous disent qu'une variante différente de 0,3 % du SRAS-CoV-2 pourrait se faire passer pour un nouveau virus et constituer une menace pour votre santé, vous devez savoir, et je vous le dis, ils mentent » dit Yeadon.

    « S'ils mentent – ​​et c'est le cas – pourquoi l'industrie pharmaceutique fabrique-t-elle des vaccins complémentaires [de rappel] ? … Il n'y a absolument aucune justification possible pour leur fabrication. Et les régulateurs mondiaux des médicaments ont déclaré : « Parce qu'ils sont assez similaires aux vaccins originaux… nous ne leur demanderons pas de faire des études de sécurité clinique »…

    Il n'y a pas d'interprétation bénigne possible de cela. Je crois qu'ils vont être utilisés pour nuire à votre santé et peut-être vous tuer. Sérieusement. Je ne vois aucune interprétation sensée autre qu'une tentative sérieuse de dépeuplement de masse.

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  13. Cela fournira les outils pour le faire et un déni plausible. Ils créeront une autre histoire à propos d'une sorte de menace biologique et vous ferez la queue et recevrez vos vaccins complémentaires [injections de rappel], et quelques mois ou un an plus tard, vous mourrez d'un syndrome inexplicable particulier. . Et ils ne pourront pas l'associer aux vaccins...

    Étant donné que ce virus représente, au pire, un risque légèrement plus grand pour les personnes âgées et malades que la grippe, et un risque plus faible [que la grippe] pour presque tout le monde… nous n'avons rien eu à faire. [Nous n'avions pas besoin] de confinements, de masques, de tests de masse, de vaccins.

    Il existe de nombreux médicaments thérapeutiques qui sont au moins aussi efficaces que les vaccins. Ils sont déjà disponibles et bon marché… Un médicament hors brevet appelé ivermectine, l'un des médicaments les plus utilisés dans le monde, est capable de réduire les symptômes à n'importe quel stade de la maladie, y compris la létalité d'environ 90 %. Donc, vous n'avez pas besoin de vaccins et vous n'avez besoin d'aucune des mesures qui ont été introduites. »

    Pourquoi les traitements efficaces ont-ils été supprimés ?

    Comme Yeadon, McCullough a soulevé de sérieuses questions sur la nécessité d'un vaccin. Les preuves montrent clairement qu'il existe des traitements très efficaces,35,36, mais ils ont été presque universellement supprimés en faveur de ces injections expérimentales. Pourquoi? S'il s'agit de protéger la santé publique et de sauver des vies, pourquoi des traitements efficaces seraient-ils vilipendés ?

    Comme l'a noté McCullough lors d'une table ronde dans le premier de plusieurs tribunaux basés aux États-Unis sur COVID-1937, quelque chose de très inhabituel s'est produit en 2020. Pour la première fois, les médecins du monde entier ont été activement découragés et empêchés de sauver leurs patients. Il y a eu « une suppression énorme, complète, omniprésente et constante de toutes les tentatives pour aider les patients atteints de COVID-19 », a-t-il déclaré, ajoutant :

    « Nous semblons avoir en quelque sorte développé un plan de match uniforme…

    De manière troublante, il existe des preuves suggérant que les vaccins COVID-19 pourraient en effet fonctionner comme une sorte d’« arme de dépeuplement ». Par exemple, il existe un potentiel de formation d'anticorps non neutralisants qui peuvent déclencher une réaction immunitaire exagérée (appelée renforcement immunitaire paradoxal ou renforcement immunitaire dépendant des anticorps ou ADE) lorsque l'individu est exposé au virus sauvage après la vaccination.38 ,39,40

    J'ai détaillé ce problème dans plusieurs articles, notamment « Comment le vaccin COVID-19 peut-il détruire votre système immunitaire » et « Les personnes vaccinées seront-elles plus vulnérables aux variantes ? »

    En clair, le vaccin peut augmenter la sensibilité au virus et rendre les gens plus susceptibles de mourir de l'infection, et les données41 montrent maintenant que les décès dus au COVID-19 augmentent dans le monde entier, parallèlement à l'augmentation des taux de vaccination, même si les pays tendaient vers l'immunité collective. et les décès étaient à un niveau record juste avant la sortie des vaccins.

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  14. Les vaccins à ARNm incitent également votre corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et les protéines de pointe contiennent à leur tour des protéines homologues à la syncytine qui sont essentielles à la formation du placenta.42 Si le système immunitaire d'une femme commence à réagir contre la syncytine -1, alors il y a la possibilité qu'elle fasse une fausse couche si elle est enceinte et devienne finalement infertile.

    La vaccination de masse des enfants et des femmes en âge de procréer contre le COVID-19 est une idée profondément mauvaise qui pourrait provoquer une infertilité massive si le vaccin COVID déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1.

    Nous savons également maintenant que les pires symptômes de COVID-19 sont créés par la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, et c'est la chose même que ces vaccins à base de gènes demandent à votre corps de fabriquer. Pire encore, la protéine de pointe que votre corps crée est une version génétiquement modifiée qui semble beaucoup plus toxique que la protéine de pointe trouvée dans le virus réel.

    Cela a été discuté en détail dans mon entretien avec Stephanie Seneff, Ph.D., et Judy Mikovits, Ph.D., présenté dans « Les nombreuses façons dont les vaccins COVID peuvent nuire à votre santé ».

    Comme McCullough et Yeadon, Mikovits pense que le vaccin COVID-19 est une arme biologique conçue pour détruire votre immunité innée et vous préparer à l'apparition rapide d'une maladie débilitante et d'une mort prématurée. Elle aussi soupçonne que beaucoup mourront assez rapidement. "Ce ne sera pas 'vivre et souffrir éternellement'. Cela va durer cinq ans et mourir", dit-elle.

    Alors que le nombre de décès dus aux vaccins COVID-19 est déjà à un niveau historique, je crains qu'il ne grimpe beaucoup plus haut alors que nous traversons l'automne et l'hiver. La raison en est l'ADE.

    L'automne et l'hiver sont les saisons au cours desquelles la plupart des infections à coronavirus se produisent, qu'il s'agisse du SRAS-CoV2 ou d'autres coronavirus responsables du rhume, et si l'ADE s'avère être un problème courant, les personnes vaccinées peuvent en fait s'avérer à un risque significativement plus élevé de COVID-19 sévère et une réaction immunitaire potentiellement mortelle en raison de l'amorçage pathogène.

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  15. Sources and References

    1 Rumble May 27, 2021
    2 NC Renegades May 27, 2021
    3 Rumble Full McCullough Interview
    4, 5, 6, 7, 9, 11 Thrillist May 26, 2021
    8 COVID19.nj.gov May 19, 2021
    10 Yahoo News April 20, 2021
    12 Newsday May 26, 2021
    13 ABC News May 26, 2021
    14 The New York Times June 1, 2021
    15 Vaccines.gov Incentives
    16 The Defender May 6, 2021
    17 Nature December 20, 2020
    18 NEJM April 8, 2021
    19 East Bay Times Updated May 17, 2021 (Archived)
    20 MedAlerts VAERS Data May 21, 2021
    21 The Defender May 21, 2021
    22 VAERS ID 1187918
    23 VAERS ID 1242573
    24 VAERS ID 1225942
    25 The Defender April 29, 2021
    26 Health Impact News April 21, 2021
    27 Aletho News April 21, 2021
    28 CNN April 30, 2009
    29 Los Angeles Times April 27, 2009
    30 CDC January 2006
    31 Time August 25, 2020
    32 Fox News May 6, 2021
    33 Weindling P. Health, Race and German Politics Between National Unification and Nazism 1870-1945. Cambridge University Press 1989
    34 Planet Lockdown
    35 American Journal of Medicine January 2021; 134(1): 16-22
    36 Lyme Disease Association, Peter McCullough
    37 Organic Consumers Association COVID-19 Tribunal Exposing Willful Misconduct, Live Streaming Replay
    38, 42 PETITION/MOTION FOR ADMINISTRATIVE/REGULATORY ACTION (PDF)
    39 PNAS.org April 14, 2020 117 (15) 8218-8221
    40 Viral Immunology 2003;16(1):69-86
    41 The Truth About Vaccines May 24, 2021
    43 The Defender January 25, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/joseph-mercola/was-the-whole-pandemic-about-the-vaccine/

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  16. Banques de données et délires collectifs


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    8 juin 2021


    Cet article fait suite à mon article de la semaine dernière, Ensembles de données, fraude et avenir. [1]

    Disons qu'une religion mineure émerge dans l'Ohio. Sa base est l'histoire d'un arbre miraculeux poussant dans un désert aride.

    Le seul problème est que si les membres de cette Église prenaient la peine de vérifier, ils découvriraient que l'endroit exact où l'arbre aurait poussé n'était pas un désert. Au lieu de cela, c'était un océan. L'océan était là depuis un milliard d'années.

    Mais personne ne prend la peine de vérifier. Ils INVENTENT ET ACCEPTENT collectivement la notion d'arbre dans le désert. Ils ne sont pas conscients que c'est ce qu'ils font, mais ils le font.

    Ils construisent des rituels, des cérémonies et de l'art – des « banques de données » – autour de l'idée de l'arbre.

    Les mêmes facteurs sont présents dans le cas de la promotion d'un nouveau virus. Dans cette situation – le virus est collectivement imaginé et accepté par les virologues – la « vérification » se produirait en effectuant une analyse rétrospective étape par étape de ce qui s'est passé dans le laboratoire où le virus a été « découvert ».

    Mais aucune analyse n'est effectuée. Aucun des professionnels ne pense que c'est nécessaire. Les méthodes traditionnelles de détection de virus sont irréprochables.

    Et si un étranger, un sceptique demande une enquête sur le processus de découverte, il est qualifié de pécheur. Le laboratoire est un sanctuaire intérieur. La simple présence d'un étranger regardant par-dessus les épaules des chercheurs (prêtres) au travail serait une offense contre l'Église.

    Il nous reste une idée collective dont le contenu est : « nouveau virus ».

    C'est tout.

    « Voulez-vous jeter un œil à notre gamme de chapeaux qui vont avec votre nouveau virus ? »

    « Que diriez-vous d'une souche mutante ? »

    « Le vaccin, bien sûr, est gratuit. »

    Autre idée collective : les 300 troubles mentaux officiels, promus par l'American Psychiatric Association. La vérité est que les soi-disant troubles ne sont pas accompagnés de tests de laboratoire définitifs pour le diagnostic.

    Les idées collectives donnent naissance à des banques de données et à des ensembles de données qui renforcent et élargissent les idées originales.

    « 25 % de tous les étudiants [2] souffrent d'au moins un trouble mental. » Voici les études, les sondages et les confirmations des principaux chercheurs — des ensembles de données.

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  17. "Trois grandes organisations de santé publique ont formé un groupe de travail pour étudier des solutions au problème croissant de la maladie mentale chez les étudiants." D'autres ensembles de données seront créés et déposés dans des banques de données.

    "Le MIT et Harvard, coopérant dans le cadre d'un programme financé par le gouvernement fédéral, développent un logiciel d'IA qui prédit les tendances futures de la maladie mentale chez les étudiants, dans le but d'identifier les mesures préventives qui pourraient empêcher ce problème croissant…" Plus d'ensembles de données placés dans les données banques, mais cette fois, tout le travail et sa logique sont cachés derrière des murs d'IA automatique.

    Collectivisme=idées collectives=banques de données remplies de prétendues confirmations de la vérité des idées.

    L'ensemble de l'opération consiste à créer de plus en plus de couches entre les ensembles de données et les idées collectives originales, jusqu'à ce que personne ne songe à examiner ces idées.

    Alors que l'IoT (Internet des objets), rendu possible par la technologie 5G, automatise davantage les fonctions de la société, les générations successives de populations sont de plus en plus éloignées des idées collectives qui constituent la base des programmes d'IA.

    Voici un passage de l'article de John Klyczek, « From UNESCO Study 11 to UNESCO 2050: Project BEST and the Forty-Year Plan to Reimagine Education for the Fourth Industrial Revolution », [3] publié sur illimitéhangout.com. Considérez le grand nombre de couches, d'ensembles de données et d'IA impliqués dans le projet monstre décrit par Klyczek :

    « … L'étude 11 de l'UNESCO a été réalisée grâce à des partenariats public-privé internationaux entre des pays communistes, socialistes et capitalistes, coordonnant les efforts entre les sociétés multinationales de télécommunications et d'informatique. Travaillant de concert avec des institutions académiques et des agences gouvernementales nationales, les affiliés de Study 11 ont fait pression pour restructurer les lois afin de mondialiser les systèmes scolaires grâce à des technologies proto-Internet fabriquées par des sociétés Big Tech, telles que Microsoft, IBM et Apple, qui dirigent maintenant la quatrième Révolution industrielle dans un nouveau système politique de technocratie communautaire entraîné par un nouveau système économique de «capitalisme des parties prenantes» à travers des partenariats public-privé «communautaires» gérés par le Big Data.

    « … les écoles du monde entier sont obligées de s'appuyer sur l'infrastructure informatique technocratique mise en place par Study 11 et Project BEST dans le cadre de leurs partenariats public-privé avec Microsoft, Apple et IBM. Ces partenariats convertissent maintenant des écoles de brique et de mortier en salles de classe virtuelles qui exploitent numériquement les données des étudiants via des périphériques informatiques, tels que des iPad et des Macbooks Apple, qui transmettent des vidéoconférences via des logiciels, notamment Microsoft Teams, complétés par des didacticiels d'apprentissage adaptatif. et d'autres applications d'intelligence artificielle comme Watson Education d'IBM.

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  18. Obtenir l'image? Imaginez combien de parents sont hypnotisés et déconcertés par la charge totale d'ensembles de données qui établissent ce nouveau système éducatif mondial, par rapport au nombre de parents qui verront à travers les couches de l'arnaque à la racine collectiviste.

    Envie d'un parallèle ? Essayez le débat actuel sur l'origine du « virus pandémique ». Il est passé de chauve-souris à humain. Non, peut-être que d'autres animaux l'ont porté. Non, il est né dans un laboratoire de Wuhan. Fauci et son agence ont financé la recherche sur le gain de fonction au laboratoire. Eh bien, peut-être qu'ils l'ont fait, mais le montant total d'argent était vraiment une somme insignifiante. Que savait Fauci, et quand le savait-il ? Couche après couche, construit de plus en plus haut.

    Et au fond, le virus n'a jamais été isolé (jamais découvert), et il n'a jamais été authentiquement séquencé. C'était une idée, concoctée collectivement. [4]

    Chaque décès et cas d'infection par le virus COVID peut être expliqué (comme je l'ai fait au cours de l'année écoulée) sans avoir besoin d'un virus ni faire référence à un virus. [5]

    Autrefois, un magicien de scène montrait ses mains vides, puis commençait à tirer le bord d'un mouchoir coloré d'un poing fermé. Toute une ribambelle de mouchoirs apparaîtrait. Mais maintenant, le magicien présente 12 armoires vides empilées les unes sur les autres, et il semble faire monter ces mouchoirs du plus bas au plus haut des armoires.

    Chaque armoire est une banque de données, et il n'est même pas sur scène. Il est à cent kilomètres de là pour parler au public via Zoom.

    Et bientôt, il ne sera plus un lui. Il sera une image construite d'un humain.

    Et l'image ne transportera pas de mouchoirs. Ce sera d'informer les gens qu'ils ont une maladie ; et les médicaments arriveront rapidement à leur porte.

    Les médicaments seront toxiques et ne guériront pas. Le diagnostic sera erroné ou complètement hors de propos. La cause standard de la soi-disant maladie sera fausse. La recherche sur laquelle la cause était basée sera fausse.

    Tout comme maintenant. Mais les couches de données d'IA tout au long de la ligne transmettront une illusion plus puissante.

    SOURCES:

    [1] https://blog.nomorefakenews.com/2021/06/04/data-sets-fraud-and-the-future/

    [2] https://blog.nomorefakenews.com/2013/09/22/psychiatry-targets-college-students-for-destruction/

    [3] https://unlimitedhangout.com/2021/06/investigative-reports/from-unesco-study-11-to-unesco-2050/

    [4] https://blog.nomorefakenews.com/2021/04/21/isolation-of-sars-cov-2-refuted-in-step-by-step-analysis-of-claim/

    [5] https://blog.nomorefakenews.com/tag/dying/

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/jon-rappoport/data-banks-and-collective-delusions/

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  19. Réinitialisez-vous !


    Par James Howard Kunstler
    Kunstler.com
    8 juin 2021


    Si Quentin Tarantino faisait un film de James Bond, le méchant serait un maniaque nommé Klaus Schwab, joué avec une touche légère par Christoph Waltz, à la tête d'une organisation de type SMERSH déterminée à transformer le monde en une utopie de robots, et, bien sûr, absolument tout irait mal, conduisant à un bain de sang joyeusement comique à l'apogée. Vivons-nous dans ce film, se demande-t-on ?

    Dans la vraie vie, existe-t-il encore une telle chose ? — Klaus Schwab est l'octogénaire à la tête du Forum économique mondial (WEF), l'ONG qui accueille la cavalcade annuelle des méchants mondiaux à Davos, en Suisse, qui se tient chaque année en janvier dans une neige de créateur parfaite, avec la raclette fondant sur le foyer, des flûtes sans fin de Bollinger RD Extra Brut faisant le tour, et plein de jolies jeunes choses à portée de main, dont seuls quelques-uns connaissent un repo inversé d'un Appenzeller Sennenhund. Ça doit être amusant comme tout git-out.

    La réunion de Davos est ostensiblement appelée à améliorer l'état du monde (ha!), et inspire ainsi d'innombrables rêves de fièvre paranoïaque dans l'esprit de beaucoup qui préféreraient être épargnés par des expériences sociales utopiques, en particulier des plans élaborés par des banquiers milliardaires qui voient le présenter l'excès d'humanité sur cette planète (environ 7,6 milliards) comme encombrant le joint – tous ces hoi polloi inutiles remplissant les océans de leur plastique dégueu, rendant la navigation difficile pour la foule des yachts de Davos… ou quelque chose comme ça.

    Klaus Schwab a été étonnamment littéral au sujet de son utopie souhaitée, résumant sa vision comme suit : « Vous ne posséderez rien et vous en serez heureux. » Hmmm, pas de propriété… et puis quoi ? Logiquement, pas de corpus de droit des contrats pour le réguler ? Adieu la constitution américaine embêtante. (Avouons-le, il s'est effondré ces derniers temps, de toute façon.) Comment cela va-t-il rendre les gens heureux? Puis-je au moins garder mon Waterpik et mon flyrod ?

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  20. Et qu'en est-il de votre propriété Klaus ? Et la propriété de votre ami nonagénaire George Soros, y compris tout l'argent liquide qu'il a versé aux États-Unis pour financer l'élection de procureurs généraux et de procureurs de district totalement incompétents, afin de semer le chaos dans les rues américaines ? Qu'en est-il de la propriété de votre ami Bill Gates… ces centaines de milliers d'acres qu'il achète à travers la ceinture céréalière américaine ? Et la moitié qui revient à Melinda en vertu de la loi californienne sur le divorce. La pauvre fille devra-t-elle faire ces tristes voyages jusqu'au Safeway toute seule ? Y aura-t-il même des supermarchés ? Ou simplement des dépôts de distribution comme à l'époque de la gloire soviétique, avec de longues files d'attente pour bavarder ?

    Quelques autres détails de l'agenda 2030 de Klaus : Plus besoin de manger de viande pour vous ! C'est un gaspillage d'énergie et un rejet de carbone. Vous mangerez de la «viande végétale» artificielle provenant des champs de soja de Bill Gates, auto-propagée comme des limaces de jardin géantes désossées sur les murs de l'usine de Bill Gates. Passe la Sriracha, Klaus ! Ensuite, plus de frontières nationales. Les pauvres grouillants qui évacuent leurs misérables patries surpeuplées doivent être libres de surpeupler votre patrie et de la rendre tout aussi misérable. Bien sûr, fini les combustibles fossiles ! La planète surchauffe tellement qu'il n'y a peut-être pas de neige à Davos, et les élus de Davos n'ont pas l'intention d'enfiler des lederhosen et de parcourir les pistes de ski dénudées de Jakobshorn en jodlant comme des troupeaux de chèvres.

    Il y a un malaise considérable parmi les hoi polloi sensibles au sujet de l'exercice WEF à venir cet été appelé simulation Cyber ​​Polygon. L'idée est de déjouer une cyber-attaque visant à faire tomber le système financier mondial. La raison pour laquelle les gens sont nerveux est que le WEF a organisé une simulation quelque peu similaire en octobre 2019 pour une hypothétique épidémie de maladie pandémique, et, devinez quoi? Nous avons eu l'épidémie de pandémie de Covid-19 quelques mois plus tard. Cela a conduit certains observateurs à émettre l'hypothèse que Klaus et son WEF pourraient avoir quelque chose à voir avec l'épidémie de Covid-19, et qu'un véritable naufrage financier mondial sera en préparation peu de temps après Cyber ​​Polygon, ouvrant la porte à l'annonce de Klaus. Grande réinitialisation.

    Personnellement, je n'ai pas de données pour suggérer que ces choses se succèdent. Qui plus est, si jamais un système complexe avait évolué pour s'autodétruire de façon spectaculaire, ce serait le système financier mondial, mais surtout les parties de celui-ci qui fonctionnent actuellement aux États-Unis et en Euroland, sur la base de l'économie économique de Big Rock Candy Mountain. modèle : Besoin d'argent pour faire fonctionner votre société alors que votre niveau de vie dépasse votre capacité de production ? Il suffit de ramasser des billets de cent dollars dans les arbres à billets ! C'est comme ça qu'on roule.

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  21. Le costume vide de l'Amérique, "Joe Biden", se rend en Euroland cette semaine pour discuter avec ses supposés homologues. Il participera à la réunion du G-7 à Cornwall, au Royaume-Uni, où les grands patrons des pays étrangers auront peut-être l'occasion de le jauger pendant vingt minutes entre les siestes; il rencontrera la reine Elizabeth, qui a été nommée conseillère d'État avant que "Joe Biden" ne soit sorti de ses couches (appréciera-t-elle son esprit?); il participera à un sommet de l'OTAN à Bruxelles et rencontrera le président turc Erdogan - il vaut mieux porter un casque protecteur, Joe - et enfin, l'événement principal du 16 juin, M. Biden rencontrera Vladimir Poutine, avec quoi, nous sommes donné à croire, M. B va « discuter de sujets d'intérêt mutuel » avec le président russe. Oh, être une mouche accrochée au mur de cette pièce !

    Pendant ce temps, en parlant de l'effondrement des finances, l'exigence de financement stable net de la Banque des règlements internationaux (BRI) Bâle 3 entre en vigueur avant la fin du mois de juin. C'est une bouchée, je sais, mais l'effet net sera la disparition des marchés de l'or "papier" qui ont été utilisés par les parties intéressées pour détourner le prix de l'or et ainsi protéger la valeur du dollar pendant des décennies. Combinez ce mouvement avec le — quoi ? – 11 000 milliards de dollars que les gestionnaires de « Joe Biden » cherchent à imprimer et à distribuer l'année prochaine et il semble que le dollar américain devrait recevoir le dernier sacre. Préparez-vous à vous remettre à plat.

    Reprinted with permission from Kunstler.com.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/james-howard-kunstler/reset-yourself/

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    Réponses
    1. (...) « Vous ne posséderez rien et vous en serez heureux. » Hmmm, pas de propriété… et puis quoi ? (...)

      S'il n'y a plus de propriétaires... IL N'Y A PLUS D'IMPÔTS FONCIER !! (ni de loyer !)

      Donc plus de routes ni de maisons construites ('avec l'accord du propriétaire') ni de terres cultivées ! Whôaw ! La Belle vie sur l'eau à bouffer du poisson ! (cru !)

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  22. La Californie et le Nevada sont désormais à 100 % en situation de sécheresse


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 07 JUIN 2021 - 13:30
    Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
    La Californie et le Nevada sont à 100% en sécheresse.


    Directement de Drought.gov :

    Après deux années hydriques de sécheresse, la Californie et le Nevada sont maintenant à 100 % en sécheresse. Et avec des conditions de sécheresse extrême, une diminution rapide du manteau neigeux et de faibles niveaux de réservoir, les inquiétudes concernant la saison des incendies de forêt augmentent.

    Il s'agit d'une période de sécheresse jamais vue depuis la Grande Dépression et l'époque du Dust Bowl. En raison de la sécheresse, les Américains connaîtront très probablement très bientôt une pénurie alimentaire choquante.

    Comme expliqué dans mon article précédent, la sécheresse affecte également l'Arizona, le Colorado et les États des Prairies comme le Kansas, le Nebraska et les Dakotas. Cependant, d'autres États tels que ceux du Midwest et des régions considérées comme la « ceinture du maïs » des nations souffrent également de la sécheresse.

    Les États du Midwest souffrent le plus
    Voici les États du Midwest qui connaissent actuellement des conditions de sécheresse :

    - voir carte sur site -

    Iowa – L'Iowa est dans un état de sécheresse depuis un certain temps. Environ 8% de l'État est considéré comme une « sécheresse grave », une zone couvrant environ 12 comtés dans la partie nord-ouest de l'État. Environ 64 % de l'Iowa souffre actuellement de « conditions anormalement sèches, ou pires ».

    Illinois – La sécheresse dans l'Illinois, en particulier dans la partie nord-est, s'est intensifiée à sévère et couvre maintenant environ 6 % de l'État. Des conditions anormalement sèches sont présentes dans la région nord et le côté est de l'État. Environ 27% de l'État souffre de « conditions anormalement sèches, ou pires ».

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  23. Nebraska – L'un des chanceux, le Nebraska a reçu de la pluie bien méritée. Malheureusement, cela n'a pas suffi à mettre fin à la sécheresse. La sécheresse modérée est à 16%, tandis que 45% de l'État souffre de « conditions anormalement sèches, ou pires ».

    Indiana - Probablement l'état le moins sec du Midwest frappé par la sécheresse. Moins de 1 % de l'État est soumis à des conditions de sécheresse, mais environ 21 % déclarent des « conditions anormalement sèches ».

    Minnesota – La sécheresse s'aggrave au Minnesota. Deux comtés du nord-ouest de l'État sont en « sécheresse grave » tandis que la « sécheresse modérée » s'est propagée à 21 % de l'État. Dans l'ensemble, environ 55% de l'État souffre de « conditions anormalement sèches, ou pires ».

    Michigan – Le Michigan n'a pas été épargné non plus. 78 % de l'État connaît des « conditions anormalement sèches », 64 % une « sécheresse modérée et 6 % une « sécheresse grave ».

    Le sud-est des États-Unis n'est pas aussi mauvais, mais n'a toujours pas l'air bien
    Le sud-est des États-Unis se porte mieux. Pourtant:

    La Virginie, la Caroline du Nord et la Caroline du Sud connaissent également des conditions de sécheresse.

    Texas, moins mentionné : 52 % connaissent des « conditions anormalement sèches », 32 % une « sécheresse modérée », 20 % une « sécheresse grave » et 12 % une « sécheresse extrême ». Près de 6% de l'État connaît une « sécheresse exceptionnelle ».

    Bien qu'il s'agisse généralement d'un état sec, le Nouveau-Mexique connaît à 100 % des « conditions anormalement sèches », 99 % de « sécheresse modérée », 96 % de « sécheresse grave », 77 % de « sécheresse extrême » et 47 % de « sécheresse exceptionnelle ».

    Vous ne croyez toujours pas que les États-Unis souffrent d'une grave période de sécheresse ?
    La question est passée devant le Congrès américain. Depuis le miroir AZ :

    Une crise de sécheresse qui se déroule dans l'Ouest nécessitera une aide à court terme et un financement fédéral massif et à long terme pour aider les États à surmonter les effets du changement climatique, ont déclaré mardi les gestionnaires de l'eau et les législateurs des États lors d'une audience à la Chambre des États-Unis.

    Près de 90 pour cent de l'Occident connaît actuellement des conditions de sécheresse, selon le Drought Monitor fédéral des États-Unis. Le problème est particulièrement aigu dans le Sud-Ouest.

    De nombreux États souffrent de l'année d'eau la plus sèche jamais enregistrée
    Selon le miroir AZ :

    L'Arizona, le Nouveau-Mexique, le Nevada et l'Utah viennent de connaître leur année la plus sèche en 126 ans. Le Colorado a connu sa quatrième année la plus sèche, selon la National Oceanic and Atmospheric Administration.

    Le manteau neigeux est bien inférieur à la moyenne cette année, et la fonte précoce des neiges soulève de sérieuses inquiétudes pour cet été.

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  24. "Les sécheresses ne sont pas nouvelles, mais beaucoup subissent l'impact de l'une des années d'eau les plus sèches jamais enregistrées", a déclaré Elizabeth Klein, conseillère principale au ministère de l'Intérieur qui supervise la réponse à la sécheresse, lors de l'audience devant un panel de la House Natural. Comité des ressources. « Des demandes concurrentes en eau peuvent entraîner davantage de conflits. »

    Les guerres de l'eau s'intensifient alors que la période de sécheresse s'aggrave
    Le miroir AZ a également rapporté :

    Parmi ces conflits figurent ceux qui ont la priorité pour les ressources en eau limitées : les utilisateurs en amont, les agriculteurs, les poissons menacés, les tribus ou les systèmes d'approvisionnement en eau municipaux.

    Dans certains cas, les États sont en conflit pour savoir qui a des droits sur l'eau. La Cour suprême des États-Unis a plusieurs différends sur l'eau entre États, y compris des affaires entre le Mississippi et le Tennessee et le Texas, le Nouveau-Mexique et le Colorado.

    Aucun de ces problèmes n'est une conséquence imprévue

    Ce sont les conséquences naturelles de la sécheresse provoquée, pas par le changement climatique mythique basé sur le CO2. Mais une combinaison de phénomènes naturels, d'action humaine et de manque de préparation, de résolution de problèmes et d'adaptation de la part des gouvernements et de l'industrie.

    Nous ne devrions pas nous tourner vers le Congrès pour résoudre les répercussions de la sécheresse. (À moins que la solution ne soit de se donner une augmentation.) Au lieu de cela, tout ce que nous pouvons faire est de nous préparer, ainsi que nos familles, du mieux que nous pouvons.

    En d'autres termes, espérer le meilleur, se préparer au pire.

    Je vais le répéter…

    Nous sommes confrontés à des conditions de famine.
    La sécheresse ne vient pas. C'est ici.

    Et quelles que soient les causes selon vous, rien n'indique que des solutions raisonnables seront découvertes ou mises en œuvre de si tôt. La meilleure chose à faire est de se préparer et de planifier. À présent. Les conditions de famine sont les prochaines sur la liste des choses dont il faut s'inquiéter.

    https://www.zerohedge.com/weather/california-and-nevada-are-now-100-drought

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    1. Complètement impensable qu'au 21 ème siècle il y ait encore des cons sur Terre !
      CONTINUELLEMENT des millions de mètres cubes d'eau venus des fleuves et rivières vont se PERDRE dans les océans !!! et... il manque d'eau pour irriguer les cultures !!!

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  25. George Soros et la CIA contrôlent les services de renseignement français


    Geopolintel
    mer., 19 mai 2021 19:56 UTC


    Palantir est une start-up financée par la CIA et elle s'est imposée au cœur des services de renseignement français.

    Le mai 23 mai 2018, une cinquantaine de patrons de géants du numérique ont été invités par Emmanuel Macron, lors d'une réunion baptisée Tech for Good. Parmi eux, figure Alexander Karp, le PDG de Palantir.

    La même année le « Dolder Club », le gotha de la pharmacie mondiale, forum privé dont les échanges sont plus secrets que ceux du Bilderberg, a été aperçu lors de la réunion qui s'est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018 à l'initiative d'Emmanuel Macron. Le lendemain il participait au discours d'Edouard Philippe devant le Conseil Stratégique des Industries de Santé le 10 juillet 2018.

    « Dès notre arrivée, nous avons lancé des réformes ambitieuses pour que la France retrouve son attractivité et sa compétitivité en transformant en profondeur notre code du travail et notre fiscalité. » - Discours d'Edourd Philippe devant le Conseil Stratégique des Industries de Santé10 juillet 2018
    Maintenant entre Palantir et le cabinet McKinsey la CIA est bien représentée dans notre pays. En 2012, la CIA avait demandé à la NSA de suivre de près la campagne présidentielle française.

    Pierre Jouyet (qui a pris Macron sous son aile à la sortie de l'ENA) est membre de l'institut américain Aspen. Sa division Aspen France propose un cycle de programmes dit « Leaders Politiques d'Avenir » dont font partie : Laurent WAUQUIEZ , Jérôme GUEDJ, Olivier FERRAND, Cécile DUFLOT, Najat VALLAUD-BELKACEM, Jean Vincent PLACE, et d'autres encore...

    Macron est l'aboutissement du programme de Pierre Jouyet qui a créé le groupe de réflexion « les Graques », composé de grands patrons et de hauts fonctionnaires qui militent pour une alliance gauche droite.

    En 2008, Jacques Attali et Serge Weinberg présentent Macron à François Henrot bras droit de David de Rothschild, ami de George Soros et membre de la French American Foundation.

    Pour parachever la traitrise générale du gouvernement, il ne manquait plus que George Soros, Palantir suivra ses ordres.

    George Soros entre dans la grande entreprise de données Palantir

    Deux gros bonnets du monde de l'investissement ont récemment pris des participations dans Palantir, la grande société de données secrète et controversée, soutenue par Peter Thiel, qui a commencé ses activités à Wall Street en septembre.

    Soros Fund Management, dirigée par l'investisseur milliardaire et philanthrope George Soros, et Third Point, la société dirigée par l'investisseur occasionnel militant Dan Loeb, ont tous deux révélé vendredi dernier qu'ils détenaient des actions de Palantir.

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  26. Soros Fund Management a acquis 18,5 millions d'actions de Palantir tandis que Third Point a pris une position plus modeste de 2,4 millions d'actions.

    L'investissement de Soros valait environ 175,3 millions d'euros, selon un dossier déposé auprès de la Securities and Exchange Commission. Cela correspond à un prix d'achat de 9,50 euros par action. Le titre de Palantir se négocie actuellement à un peu moins de 16 euros l'action, de sorte que la participation de Soros est maintenant évaluée à environ 294 millions d'euros.

    Palantir a été introduite en bourse par le biais d'une cotation directe des actions existantes à la Bourse de New York. Cela signifie que Palantir n'a pas eu besoin de vendre de nouvelles actions par le biais d'une offre publique initiale plus traditionnelle. C'est ainsi que Spotify et Slack ont également commencé à négocier à Wall Street.

    Les actions de Palantir ont plus que doublé par rapport à leur prix de référence de 7,25 euros par action le jour de la cotation directe. Palantir vaut maintenant près de 30 milliards d'euros.

    La société, qui compte de nombreux clients gouvernementaux dans le monde entier, a participé au suivi des données relatives à la propagation du coronavirus ainsi qu'à la distribution potentielle de vaccins.

    Mais Palantir a également fait l'objet de controverses en raison de ses relations avec les agences gouvernementales et de la grande quantité de données qu'elle suit. Cela a suscité des inquiétudes quant à la protection de la vie privée des consommateurs.

    Les plateformes Gotham, Foundry et Apollo de la société ont été utilisées pour surveiller les activités terroristes. Les grandes entreprises utilisent également les services de Palantir pour analyser les données relatives aux conditions météorologiques et aux achats des consommateurs.

    Palantir a été cofondée par Thiel, un investisseur en capital-risque connu pour être membre de la « mafia PayPal » qui a contribué au lancement du géant des paiements.

    Thiel, qui a des tendances politiques plus conservatrices, a également soutenu le président Trump en 2016 et est actuellement membre du conseil d'administration de Facebook. Cela fait de lui un cas particulier dans la Silicon Valley, à majorité démocrate.

    Cela rend également l'investissement de Soros plus intéressant, étant donné que l'investisseur est connu pour son soutien aux causes libérales.

    Jusqu'à récemment, on savait peu de choses sur les finances de Palantir. Mais avant d'entrer en bourse, la société a révélé que si ses revenus sont en hausse, elle n'est pas encore rentable.

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  27. C'est courant pour de nombreuses soi-disant licornes, des start-ups privées qui commandent des évaluations de plusieurs milliards de euros. Palantir a révélé des résultats prometteurs pour le troisième trimestre la semaine dernière, le premier rapport sur les bénéfices depuis la cotation directe.

    Palantir a déclaré que les ventes ont bondi de 52 % à 289,2 millions d'euros et a augmenté ses perspectives de revenus pour l'année entière. La société a également annoncé qu'elle avait remporté de nouveaux contrats avec l'armée américaine et les instituts nationaux de la santé.

    La société a perdu beaucoup d'argent au cours du trimestre - 853,3 millions d'euros, en fait.

    Mais Palantir a fait remarquer qu'une grande partie de ses pertes était due aux 847 millions d'euros de frais de compensation liés à la cotation directe. En excluant ces dépenses et d'autres liées aux débuts à Wall Street, Palantir a déclaré un bénéfice net de 73,1 millions d'euros. Les actions ont grimpé de plus de 8 % au journal télévisé de vendredi.

    Mag investir

    Comment une start-up financée par la CIA s'est imposée au cœur des services de renseignement français

    Une société américaine, Palantir, a un œil sur les données des services secrets français depuis un contrat passé en 2016. Ce marché est-il sans risque ? Pourquoi aucune société française n'a-t-elle pu rivaliser ? franceinfo a mené l'enquête.

    Le big data constitue aujourd'hui « le pétrole » des services de renseignements. Depuis 2016, une société américaine liée à la CIA, Palantir, travaille pour le renseignement intérieur français, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Existe-t-il un risque de fuite de données ? Enquête sur l'une des start-up les plus puissantes du monde.

    Le mai 23 mai 2018, une cinquantaine de patrons de géants du numérique sont invités par le chef de l'État, Emmanuel Macron, lors d'une réunion baptisée Tech for Good. Parmi eux, figure Alexander Karp, le PDG de Palantir.

    Il a fondé sa start-up en 2004, et elle reste peu connue du grand public. L'entreprise d'Alexandre Karp est pourtant devenue l'un des leaders mondiaux du traitement massif de données. Grâce à des algorithmes, Palantir fait se croiser et analyse des milliers de données différentes. « La promesse de Palantir, c'est de rendre visible ce qui est invisible à l'œil nu, en moulinant des données et en leur donnant du sens, explique Olivier Tesquet, journaliste et spécialiste du numérique à Téléréma. Par exemple, ils vont deviner les zones de famine en étudiant l'évolution du prix du pain ou permettre à des entreprises de détecter des menaces internes en identifiant les fichiers partagés sur les ordinateurs. »

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  28. Un nom inspiré du « Seigneur des anneaux »

    Le nom de la société américaine n'a rien d'innocent. Il fait référence au palantír, la « pierre de vision » dans les romans de J.R.R. Tolkien, Le Seigneur des anneaux ou le Silmarillion : une boule de cristal qui permet de tout voir, tout savoir. Les principaux clients de Palantir sont les banques, les assurances, mais aussi les services de renseignement, particulièrement intéressés par la puissance de ces algorithmes. « Cette technologie permet de traiter des données produites par les compagnies aériennes ou par les entreprises de télécoms, explique Alexandre Papaemmanuel, responsable sécurité et renseignement intérieur à la société Sopra Steria. On peut tracer les appels entrants et sortants, faire des graphes relationnels, savoir qui parle avec qui et quand. »

    « Mathématiser les comportements humains »

    Aux États-Unis, Palantir travaille pour plusieurs agences de renseignement, comme la NSA, mais aussi le FBI, certains secrétariats d'État comme celui la Défense, de de la Justice, ou encore plusieurs polices locales, notamment à Los Angeles ou à la Nouvelle-Orléans, comme le décrit le site The Verge (article en anglais). La « police prédictive » est un marché en pleine expansion, ainsi que l'avait relevé le quotidien Le Monde en janvier 2013 (article sur abonnement). C'est un secteur dans lequel est également actif une autre société baptisée PredPol. « Derrière ces sociétés, il y a l'idée qu'on pourrait mathématiser les comportements humains grâce aux données, analyse Philippe Vion-Dury, auteur du livre La nouvelle servitude volontaire, aux éditions Fyp. C'est ce qu'on appelle le machine learning. On retrouve les mêmes techniques chez Google, Facebook, ou Youtube. »

    La technologie de Palantir a également été utilisée par le Consortium international de journalistes d'investigation, l'ICIJ, dont Radio France est partenaire. En revanche, plusieurs grosses entreprises comme Coca Cola ou American Express ont préféré se passer de ses services, notamment en raison d'un coût trop élevé.

    PayPal, le « laboratoire » de Palantir

    Derrière Palantir, il y a un homme : Peter Thiel. Ce petit génie de la Silicon Valley, qui a investi très tôt dans Facebook, est un libertarien qui prône le rétrécissement du rôle de l'État. L'homme a aussi la folie des grandeurs : il veut repousser l'âge de la mort et il finance des projets de cités flottantes dans les eaux internationales, hors de la souveraineté des États. Peter Thiel s'est fait connaître en investissant avec Elon Musk, dans une autre société qui a beaucoup fait parler d'elle : PayPal, un système de paiement en ligne. « Palantir se trouvait déjà en germe à l'intérieur de PayPal, souligne l'expert en cyber sécurité Fabrice Epelboin. À l'époque, PayPal a gagné contre les banques, en s'attaquant à la fraude d'une manière très originale. Là où les banques, ses concurrents de l'époque, s'attaquaient à la fraude avec des systèmes automatisés, PayPal a introduit des opérateurs humains manipulant ces données avec des interfaces graphiques. »

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  29. Le monde selon Palantir

    Le siège de Palantir est situé à Palo Alto, en Californie, au cœur de la Silicon Valley. La start-up pèse aujourd'hui 20 milliards de dollars et se veut incontournable dans de multiples secteurs d'activités. Peter Thiel est convaincu que Palantir va régler tous les problèmes de la planète, comme il l'écrit dans son livre De zéro à un. Comment construire le futur, paru en France en 2017, aux éditions JC Lattès. « En plus d'aider à repérer des terroristes, écrit l'entrepreneur, les analystes utilisant le logiciel de Palantir ont été en mesure de prédire là où des insurgés installent des engins explosifs improvisés en Afghanistan. » La liste des atouts de Palantir est longue, selon l'auteur. Les analyses à partir du logiciel ont aussi permis « d'instruire des dossiers de délits d'initiés de grande ampleur, de démanteler des réseaux de pornographie infantile partout dans le monde, de soutenir les centres américains de contrôle et de prévention des maladies dans la lutte contre les épidémies d'origine alimentaire et de faire économiser des centaines de millions de dollars par an aux banques et au gouvernement [américain] grâce à un dispositif de détection avancée de la fraude ».

    Un circuit parallèle du renseignement

    Palantir est également proche de la CIA. L'entreprise a été financée en partie par le fonds In-Q-Tel, lié au service de renseignements américain. « C'est la CIA qui a financé le développement de leur projet, dans toutes ses facettes, explique l'ancien directeur du renseignement à la DGSE Alain Juillet. Comme tous les services de renseignement du monde, l'agence américaine avait besoin d'avoir le maximum d'informations dans un minimum de temps. Les méthodes de Palantir ont semblé tellement intéressantes que la CIA a dit : 'Banco, on paye, vous y allez'. Palantir a réussi à créer un outil unique au monde. »

    Sans que l'on sache vraiment s'il s'agit d'une légende, Palantir laisse dire qu'elle aurait permis à l'administration américaine de localiser Oussama Ben Laden. « Nous n'avons pas d'informations à dévoiler sur cette opération, écrit Peter Thiel dans son livre, mais nous pouvons affirmer qu'à eux seuls, ni l'intelligence humaine ni les ordinateurs ne seront en mesure d'assurer notre sécurité. » Contrairement à la plupart des patrons de la Silicon Valley, Peter Thiel est un proche de l'administration Trump, ainsi que le notait Le Figaro en novembre 2016.

    Peter Thiel est devenu le conseiller numérique de l'actuel président américain. « Dans l'Amérique de Trump qui développe une défiance quasi-pathologique vis-à-vis des services de renseignement, Peter Thiel conseille à Trump de ne plus se fier à des services secrets qui ne seraient pas loyaux, commente le journaliste Olivier Tesquet. Comme si Palantir devenait une espèce de circuit bis du renseignement. »

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  30. Les « codes du jeu vidéo »

    Depuis sa création, à plusieurs reprises, Palantir a cherché à décrocher des marchés en France. « Il y a dix ans, des équipes de Palantir sont venues chez moi en m'expliquant qu'il y avait des marchés publics qui les intéressaient, notamment avec la Direction générale des finances publiques, témoigne le vice-président du Conseil national du numérique, Gilles Babinet. Elles m'ont fait une démonstration. Leur technologie était impressionnante. Ils avaient rendus simples des choses complexes, en utilisant les codes du jeu vidéo. »

    En 2015, Palantir se porte candidat sur deux appels d'offres publics, notamment sur le traitement des données fiscales. « Je me suis ému de cette situation, se souvient la sénatrice UDI Catherine Morin-Desailly, spécialiste des questions numériques. J'ai alerté sur le fait qu'on ne pouvait pas confier la gestion de ces données ultra-sensibles à une entreprise américaine qui n'applique pas les mêmes règles que nous. »

    Un contrat avec la DGSI, signé « dans l'urgence »

    Finalement, la société Palantir ne sera pas retenue sur ces marchés publics. Mais en mai 2016, la start-up de Peter Thiel et Alex Karp décroche un contrat de 10 millions d'euros auprès de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). « Nous étions après les attentats de 2015, rappelle Guillaume Farde de la société Risk and Co. Dans un contexte de menace extrêmement élevée, nos services avaient besoin, dans l'urgence, de capacités techniques de renseignement. Mais il n'y avait pas d'opérateur national capable de répondre à cette demande. Les services de renseignement n'avaient pas le choix. »

    En réalité, la DGSI a eu le choix entre un fournisseur américain et un israélien. C'est l'option américaine qui l'a emporté. « Nous ne manquons pas de données, ni de métadonnées, mais nous manquons de systèmes pour les analyser, déclare le patron de la DGSI, Patrick Calvar, devant la Commission de la défense de l'Assemblée nationale, le 10 mai 2016. Les entreprises françaises qui développent des systèmes ne sont pas encore capables de répondre à nos besoins, alors que nous devons acquérir ce big data immédiatement. Nos camarades européens sont dans la même situation. » À l'époque, le directeur de la DGSI parle de solution temporaire.

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  31. « Un risque majeur pour le renseignement »

    « Peut-on avoir complètement confiance dans le fait que les informations qui vont être traitées par Palantir ne vont pas fuiter vers les États-Unis ?, s'interroge Serge Abiteboul, membre du collège de l'Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep). Le fait que cette société soit proche des services secrets américains pose question. » Autrement dit : y a-t-il un risque de porte dérobée, de back door, un peu comme un cheval de Troie qui serait caché dans le logiciel américain ? Du côté de la DGSI, on explique que le système est « efficace et parfaitement sécurisé ». Une source proche du renseignement explique que « si Palantir a bien formé des agents français à l'utilisation du logiciel, l'entreprise n'a jamais accès directement aux données ».

    « Au moment où nous avons passé ce contrat avec Palantir, des techniciens ont donné leur feu vert et nous ont garanti l'étanchéité du système », assure encore une source proche de la direction du renseignement, à l'époque. « Nos services ont des capacités de cyber-défense et de contre-espionnage qui sont très développées, ajoute l'ancien conseiller du garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, Floran Vadillo. Une porte dérobée ou un cheval de Troie seraient facilement repérés. Et puis, il n'est pas dans l'intérêt commercial de Palantir d'offrir des solutions minées à ses clients. Si on apprend qu'elle participe à un détournement de données, tout son system-business s'effondre. »

    « À partir du moment où Palantir ne donne pas le code source de son logiciel, qui est son secret de fabrication, il y a toujours le risque qu'une porte dérobée soit mise en œuvre et qu'elle recrache des données essentielles, sans contrôle, estime en revanche le représentant français des questions numériques auprès de la Commission européenne, Gilles Babinet. C'est un risque majeur pour le renseignement. »
    Un comité d'éthique payé par Palantir

    Palantir n'a pas répondu à nos demandes d'interview mais l'entreprise assure qu'elle respecte l'éthique et la confidentialité des échanges. « Cela nous arrive souvent de refuser de gros clients qui pourraient nous faire gagner des millions parce que l'on considère que nos valeurs ne sont pas alignées avec les leurs », déclare le représentant français de Palantir, Gautier Cloix, lors d'un colloque sur le big data, en avril 2016.

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  32. Une situation « hallucinante »

    Palantir travaille également pour l'avionneur Airbus, un concurrent de l'américain Boeing. Là encore, on peut s'interroger sur les risques pris par l'un des fleurons de l'industrie européenne, étant donné la proximité de Palantir avec le renseignement américain. « Ils ont cinq ans d'avance sur la concurrence, déclarait au magazine Challenges Marc Fontaine, directeur de la transformation digitale d'Airbus. Leurs logiciels permettent d'harmoniser très rapidement des bases de données hétérogènes. Le tout avec un haut niveau de sécurité : chaque donnée affiche elle-même sa propre traçabilité, avec des droits d'accès différenciés en fonction des publics. »

    « Cette situation est hallucinante. Qu'est ce qui va se passer si Boeing récupère des données pour mieux concurrencer Airbus sur un appel d'offre ? », se demande Benjamin Sonntag, cofondateur de la Quadrature du net. La situation est d'autant plus délicate que depuis avril 2018, les Américains ont mis en place un nouveau dispositif : le Cloud Act (Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act). Cette loi oblige désormais les entreprises américaines à fournir leurs données à l'administration américaine... y compris en dehors du territoire américain. (Le témoignage d'un lanceur d'alerte)

    L'ombre de Palantir apparait également en marge de l'affaire Cambridge Analytica, cette société britannique qui a siphonné les données personnelles de millions d'utilisateurs de Facebook au service de la campagne de Donald Trump. En mars dernier, un lanceur d'alerte, Christopher Wylie, a témoigné devant les parlementaires britanniques, en citant Palantir.


    Commentaire :
    Les services secrets français vont faire sous traiter leurs données par la CIA...
    Coronavirus : Des pays européens, dont la France, se rapprochent de Palantir pour traquer le virus

    https://fr.sott.net/article/37373-George-Soros-et-la-CIA-controlent-les-services-de-renseignement-francais

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  33. Ces milliers de milliards $ de la transition énergétique que le Great Reset compte récupérer (à nos dépens)


    Frédéric Vandenberghe
    Mondialisation.ca
    mar., 01 juin 2021 21:42 UTC


    La transition énergétique ne devrait pas être perdue pour tout le temps. Les acteurs du Great Reset espèrent bien récupérer les investissements colossaux qui devraient intervenir dans les trente ans à venir dans ce domaine. Le Forum de Davos s'emploie d'ailleurs à en évaluer le montant global et à le répartir par segments de marché.

    C'est la transition écologique et énergétique vue depuis les coulisses : quels marchés vont engraisser les entreprises dans les trois décennies qui viennent ? Une affaire très rentable...

    Il faut absolument lire le compte-rendu du NZE (Net-Zero Energy), le rapport de l'Agence Internationale de l'Energie, par le Forum de Davos pour comprendre les raisons qui poussent le Great Reset à endosser le cheval de bataille de la transition énergétique. Pour le militant écologiste moyen et de bonne foi, la transition énergétique est le seul moyen de sauver la planète. Pour l'adhérent moyen au Forum de Davos, c'est d'abord une bonne façon de gagner beaucoup d'argent, bien entendu en faisant le bien autour de soi, selon les principes de l'altruisme efficace.

    - voir tableau sur site -

    La transition énergétique, cette vache à lait du futur

    Le schéma que nous reproduisons ci-dessus indique selon quel calendrier l'Agence Internationale de l'Energie préconise de lutter contre les gaz à effets de serre. On peut utilement égrener les échéances qui sont posées : 60 % de voitures neuves doivent être électriques en 2030, et plus aucune nouvelle voiture thermique ne doit être vendue en 2035. Cette même année 2035, 50 % des camions poids lourds devront être électriques.

    2035 sera par ailleurs une année charnière pour le monde industrialisé, puisque, cette année-là, les émissions d'électricité dans les économies avancées devront être à zéro émission. Le reste du monde disposera de cinq ans de plus pour se mettre à l'électricité propre.

    En 2045, 50 % du chauffage mondiale devront être produits par des pompes à chaleur.

    En 2050, 85 % des immeubles devront fonctionner en « zéro-carbone », et 70 % de l'électricité mondiale devront être produits avec l'énergie solaire et éolienne.

    On mesure la masse des investissements que cette mutation à marche forcée va générer.

    Des milliers de milliards $ d'investissements

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  34. L'Agence Internationale de l'Energie s'est d'ailleurs livrée à une évaluation des masses en jeu d'ici à 2050. Voici les dépenses qui sont prévues pour réaliser la transition énergétique :

    - voir tableau sur site -

    Plusieurs évidences s'imposent au simple survol de ce graphique.

    La première est que le seul marché des énergies renouvelables donnera lieu à près de 4.000 milliards $ d'investissements d'ici à 2050. C'est un marché colossal qui devrait enrichir de nombreux industriels positionnés sur ces marchés.

    Mais c'est surtout le marché des biens de consommation proprement dits (End-use) qui va enrichir les industriels. Avec 5.000 milliards $ d'investissements, tant pour électrifier les biens que pour améliorer leur efficacité, qui se révèle prometteur pour les intérêts privés. D'ici à la décennie 2040-2050, les besoins en investissement par secteurs dans ce domaine ne devraient cesser d'augmenter. Ces besoins ne se limitent pas au développement des énergies renouvelables, insistons ce sur ce point. Ils englobent notamment l'introduction de l'hydrogène.

    Face aux sommes en jeu, on comprend que la question de l'écologie et de la transition énergétique soit jugée trop sérieuse pour être laissée aux hurluberlus écologistes. Il ne faudrait quand même pas rater l'occasion de rafler une telle mise, surtout avec autant d'idiots utiles que les activistes qui croient sincèrement que leur intervention va servir la cause collective.


    Commentaire : Nous allons tous mourir de froid si ce projet est mis de l'avant... car l'ère glaciale n'a que faire des pompes a eau pour se chauffer. Et des bougies, pour s'éclairer et lire. En fait ce projet est un danger pour le genre humain. Mais la terre passe avant le genre humain, pour les globalistes vautours.

    Lire aussi :
    Climat et finance verte : money money pour les riches
    Attachez vos ceintures ! Mesdames, Messieurs maintenant le « Grand Reset » de l'économie mondiale de Davos. Que se passe-t-il après la pandémie de la Covid-19 ?

    https://fr.sott.net/article/37372-Ces-milliers-de-milliards-de-la-transition-energetique-que-le-Great-Reset-compte-recuperer-a-nos-depens

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  35. Des fuites de données de l'IRS montrent que les super-riches américains paient une « vraie taxe » de 3,4%


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 08 JUIN 2021 - 09:50


    Dans une histoire qui a pris d'assaut Internet (ou ce qu'il en reste) mardi matin, ProPublica, une salle de presse d'investigation à but non lucratif a en quelque sorte obtenu des informations fiscales sensibles appartenant à certaines des personnes les plus riches d'Amérique : dont Jeff Bezos, Elon Musk, Carl Icahn, Michael Bloomberg et même Warren Buffet.

    Les données ont montré que les Américains les plus riches évitent largement de payer des impôts sur le revenu parce qu'ils ne gagnent pas beaucoup de revenus - du moins sur papier. La majeure partie de leur richesse est liée aux entreprises qu'ils possèdent.

    ProPublica a utilisé les données (il convient de noter que la fuite de données fiscales personnelles est gravement illégale) pour effectuer un nouveau calcul : la facture de « véritable impôt » des individus les plus riches d'Amérique. Le « vaste trésor » de données fiscales obtenues par PP, qui remonte à environ 15 ans, a montré non seulement leurs revenus et leurs impôts, mais également leurs retours sur investissement, leurs transactions boursières et leurs gains de jeu. Certaines des données montraient même les résultats d'audits effectués par l'IRS.

    Bien que PP ne divulgue pas comment il a obtenu les données, il a affirmé que toutes les données avaient été vérifiées par des représentants des personnes impliquées. Plusieurs ont fourni une déclaration à PP, dont Warren Buffett, qui n'a pas directement abordé les calculs de PP

    Pour terminer le calcul du « véritable impôt », PP a utilisé les données des 25 Américains les plus riches ainsi que les estimations de la croissance de leur richesse chaque année fournies par Forbes (qui suit méticuleusement ces informations).

    Les résultats sont frappants : les 25 premiers ont vu leur patrimoine augmenter de 401 milliards de dollars entre 2014 et 2018. Mais ils n'ont payé que 13,6 milliards de dollars d'impôts fédéraux sur le revenu au cours de ces cinq années, selon les données de l'IRS. Cela équivaut à un taux de « véritable impôt » de 3,4 %.

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  36. Michael Bloomberg, l'ancien maire de New York et propriétaire de Bloomberg LP (l'une des plus grandes sociétés privées au monde), a utilisé son empire médiatique pour promouvoir son opposition à l'impôt sur la fortune.

    Il ne devrait donc pas être surprenant que le calcul de PP de sa facture de "véritable impôt" ait révélé qu'il n'avait payé que 1,3% du montant total de l'augmentation de sa richesse. bbg3

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    Mais la révélation la plus choquante des calculs de PP est que Warren Buffett n'a payé que 23,7 millions de dollars sur 24,3 milliards de dollars de nouvelles richesses, un "vrai" taux d'imposition de seulement 0,1%, le plus bas des 25 premiers.

    À un moment donné, PP a comparé l'impôt payé par les plus riches à l'Américain moyen, prétendant montrer que les travailleurs moyens paient des taux d'imposition beaucoup plus élevés.

    Notre analyse des données fiscales des 25 Américains les plus riches quantifie à quel point le système est devenu injuste.

    À la fin de 2018, les 25 valaient 1,1 billion de dollars.

    À titre de comparaison, il faudrait 14,3 millions de salariés américains ordinaires réunis pour égaler le même montant de richesse.

    La facture d'impôt fédéral des 25 premiers en 2018 : 1,9 milliard de dollars.

    La facture des salariés : 143 milliards de dollars.

    PP reconnaît qu'il n'y a rien dans la Constitution appelant à un impôt sur la fortune, et que le précédent de la Cour suprême montre qu'un individu doit vendre un actif avant d'être imposé.

    Quatre ans plus tard, la Cour suprême a accepté. Dans Eisner v. Macomber, la Haute Cour a statué que les revenus ne provenaient que du produit. Une personne devait vendre un actif - une action, une obligation ou un immeuble - et récolter de l'argent avant qu'il ne puisse être imposé.

    Depuis lors, le concept selon lequel le revenu ne provient que du produit – lorsque les gains sont « réalisés » – a été le fondement du système fiscal américain. Les salaires sont taxés. Les dividendes en espèces sont imposés. Les gains provenant de la vente d'actifs sont imposés. Mais si un contribuable n'a rien vendu, il n'y a pas de revenu et donc pas d'impôt.

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  37. Mais la décision Eisner contre Macomber a de nombreuses critiques. Cependant, le fait demeure, alors que de nombreuses personnes riches se livrent à une évasion fiscale à la limite de l'illégalité, pour les Américains les plus riches, les impôts peuvent être évités facilement et légalement simplement en empruntant sur leurs actifs au lieu de vendre leurs avoirs. C'est pourquoi Elon Musk a conclu son accord salarial avec Tesla selon lequel il ne recevrait essentiellement rien en salaire, et tout en capitaux propres « incitatifs ».

    Dans l'ici et maintenant, les ultra-riches utilisent un éventail de techniques qui ne sont pas disponibles pour ceux qui disposent de moins de moyens pour contourner le système fiscal.

    Certes, il y a des fraudeurs fiscaux illégaux parmi eux, mais il s'avère que les milliardaires n'ont pas à se soustraire aux impôts de manière exotique et illicite - ils peuvent les éviter régulièrement et légalement.

    La plupart des Américains doivent travailler pour vivre. Quand ils le font, ils sont payés — et ils sont taxés. Le gouvernement fédéral considère que presque chaque dollar gagné par les travailleurs est un « revenu » et les employeurs prélèvent des impôts directement sur leurs chèques de paie.

    Les Bezoses du monde n'ont pas besoin de se faire payer un salaire. Les salaires d'Amazon de Bezos ont longtemps été fixés au niveau de la classe moyenne d'environ 80 000 $ par an.

    Pendant des années, il y a eu une sorte de compétition entre les PDG fondateurs d'élite pour aller encore plus bas. Steve Jobs a touché 1 $ de salaire à son retour chez Apple dans les années 90. Zuckerberg de Facebook, Larry Ellison d'Oracle et Google

    Pourtant, ce n'est pas le geste effacé qu'il semble être : les salaires sont taxés à un taux élevé. Les 25 Américains les plus riches ont déclaré des salaires de 158 millions de dollars en 2018, selon les données de l'IRS. Cela ne représente que 1,1% de ce qu'ils ont inscrit sur leurs formulaires d'impôt comme revenu total déclaré. Le reste provenait principalement des dividendes et de la vente d'actions, d'obligations ou d'autres investissements, qui sont imposés à des taux inférieurs à ceux des salaires.

    C'est aussi pourquoi Berkshire Hathaway de Buffett ne verse pas de dividende. Il a longtemps soutenu qu'il valait mieux pour lui de prendre cet argent et d'apporter de nouveaux investissements pour Berkshire. Ces investissements augmentent le cours des actions, créant de la richesse sans événement imposable. Buffett a fourni une réponse détaillée à PP, que l'organisation a partagée dans son intégralité.

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    En ce qui concerne les prêts, PP explique pourquoi emprunter est tellement plus rentable pour les Américains les plus riches, qui ont souvent des lignes de crédit allant jusqu'à des milliards de dollars.

    Les calculs fiscaux fournissent une incitation claire pour cela. Si vous possédez une entreprise et percevez un salaire énorme, vous paierez 37 % d'impôt sur le revenu sur la majeure partie. Vendez des actions et vous paierez 20 % d'impôt sur les gains en capital et perdrez un certain contrôle sur votre entreprise. Mais contractez un emprunt, et ces jours-ci, vous paierez un taux d'intérêt à un chiffre et aucun impôt ; étant donné que les prêts doivent être remboursés, l'IRS ne les considère pas comme un revenu. Les banques exigent généralement des garanties, mais les riches en ont beaucoup.

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  38. La grande majorité des prêts des ultra-riches n'apparaissent pas dans les dossiers fiscaux obtenus par ProPublica car ils ne sont généralement pas divulgués à l'IRS. Mais parfois, les prêts sont divulgués dans les dépôts de titres. En 2014, par exemple, Oracle a révélé que son PDG, Ellison, avait une ligne de crédit garantie par environ 10 milliards de dollars de ses actions.

    L'année dernière, Tesla a annoncé que Musk avait promis quelque 92 millions d'actions, d'une valeur d'environ 57,7 milliards de dollars au 29 mai 2021, en garantie de prêts personnels.

    Pour des emprunteurs comme Carl Icahn, qui a contracté un énorme prêt de 1,2 milliard de dollars auprès de Bank of American qui était techniquement une hypothèque (puisqu'il était garanti par son penthouse de Manhattan), emprunter offre deux avantages : il n'a pas besoin de vendre ses actifs, et il peut déduire ses intérêts du compte de taxes final.

    Les dossiers de l'IRS donnent un aperçu d'autres prêts massifs. En 2016 et 2017, l'investisseur Carl Icahn, qui se classe au 40e rang des Américains les plus riches sur la liste Forbes, n'a payé aucun impôt fédéral sur le revenu malgré un total de 544 millions de dollars de revenus bruts ajustés (que l'IRS définit comme les revenus moins des éléments comme les étudiants paiements d'intérêts d'emprunt ou pension alimentaire). Icahn avait un prêt en cours de 1,2 milliard de dollars avec Bank of America parmi d'autres prêts, selon les données de l'IRS. Il s'agissait techniquement d'une hypothèque car elle était garantie, au moins en partie, par des penthouses et d'autres propriétés de Manhattan.

    Emprunter offre de multiples avantages à Icahn : il obtient d'énormes tranches d'argent pour booster ses retours sur investissement. Ensuite, il peut déduire les intérêts de ses impôts. Dans une interview, Icahn a expliqué qu'il rapporte les profits et les pertes de son empire commercial sur ses impôts personnels.

    Icahn a reconnu qu'il est un « gros emprunteur. J'emprunte beaucoup d'argent. Lorsqu'on lui a demandé s'il contractait également des emprunts pour réduire sa facture d'impôts, Icahn a répondu : « Non, pas du tout. Mon emprunt est de gagner. J'aime la compétition. J'aime gagner."

    Quant à savoir si les riches devraient payer des impôts sans enregistrer leurs revenus, Icahn a insisté sur le fait qu'imposer un individu « quoi qu'il arrive » ne serait pas approprié. "

    "Il y a une raison pour laquelle cela s'appelle impôt sur le revenu", a-t-il déclaré. "La raison est que si vous êtes un pauvre, un riche, si vous êtes Apple, si vous n'avez aucun revenu, vous ne payez pas d'impôts." Il a ajouté : "Pensez-vous qu'une personne riche devrait payer des impôts quoi qu'il arrive ? Je ne pense pas que ce soit pertinent. Comment pouvez-vous me poser cette question ?"

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  39. - voir cadre sur site -

    Malheureusement pour Icahn, Jamie Dimon et leurs semblables, les démocrates et leurs électeurs soutiennent de plus en plus un impôt sur la fortune, en grande partie grâce aux sens. Elizabeth Warren et Bernie Sanders, qui – heureusement pour le président Biden – ont divisé le vote de gauche lors de la primaire démocrate.

    Les opposants à ces mesures, comme le souligne ProPublica, pourraient faire valoir que les milliardaires paient beaucoup plus d'impôts lorsque l'on tient compte des impôts sur les bénéfices des sociétés payés par les sociétés qu'ils possèdent, et après leur décès, ceux qui ont une fortune supérieure à 11,7 millions de dollars paient un taux d'imposition élevé, l'impôt sur les successions, que beaucoup (comme Bill Gates) évitent en mettant leur fortune en gage pour la « philanthropie ».

    Alors comment y remédier ? PP semble suggérer qu'un « impôt sur la fortune » est la meilleure option, car l'augmentation des taux d'imposition des sociétés n'aurait pas d'impact direct sur les plus riches (bien qu'elle ait probablement un impact sur les rendements du marché de leurs actifs, ce qui incite leur patrimoine à croître plus lentement, ou peut-être même rétrécir). Sur le front de l'impôt sur les sociétés, le président Biden essaie de sévir contre ce que PP a décrit comme "l'âge d'or de l'évasion fiscale des sociétés" avec un nouvel accord du G-7 sur un taux d'imposition minimum des sociétés, mais ils se heurtent à la résistance des pays à faible imposition. comme l'Irlande, Singapour et d'autres.

    L'autorité antitrust Matt Stoller a cependant suggéré une tactique qui pourrait aider : le Congrès pourrait adopter une loi obligeant l'IRS à publier les impôts payés par les Américains les plus riches, en essayant de leur faire honte. Ou, le président Biden peut reprendre là où le président Trump s'est arrêté sur le front antitrust et faire plus pour empêcher la création de mégacorporations géantes en premier lieu, c'est ainsi que ces fortunes géantes ont été construites en premier lieu.

    https://www.zerohedge.com/markets/irs-reveals-americas-super-rich-paid-almost-nothing-taxes-their-massive-fortunes

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  40. Les sursauts gamma pourraient-ils nous donner une énergie illimitée ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 08 JUIN 2021 - 03:30
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Les sursauts gamma sont les explosions les plus puissantes et les plus brillantes de l'univers.

    Ils ne durent que quelques secondes mais libèrent d'immenses quantités d'énergie - autant, en fait, que le soleil en émettra tout au long de son existence. Selon les scientifiques, il existe peut-être un moyen d'imiter le processus qui conduit à cette explosion de ce qui pourrait changer la donne dans l'industrie de l'énergie.

    On pense que les sursauts gamma (GRB) se produisent lorsqu'un trou noir se forme. Le premier a été observé en 1967, mais ce n'est qu'en 1991 que l'observatoire de Compton Gamma Ray avec Burst and Transient Source Experiment (BATSE) a été lancé. BATSE a découvert environ un sursaut gamma par jour. Maintenant, le sursaut gamma le plus puissant a peut-être donné aux scientifiques la clé pour le reproduire.

    GRB 190114C, écrit Science Alert, est venu de 4,5 milliards d'années-lumière et a généré une énergie de quelques billions d'électrons-volts. Vous n'avez pas besoin d'être familiarisé avec les mesures électriques pour saisir l'ampleur de l'explosion : s'il contient un billion de quoi que ce soit, il est forcément puissant.

    Plus tôt cette année, des scientifiques de l'Université Columbia et de l'Université Adolfo Ibáñez au Chili ont signalé qu'ils avaient découvert un moyen de récupérer l'énergie des trous noirs en séparant et en rejoignant les lignes magnétiques le long de l'horizon des événements - le soi-disant point de non-retour où les trous noirs aspirent. en tout et même pas la lumière ne peut revenir.

    Selon les chercheurs, ce processus de déconnexion et de reconnexion pourrait accélérer les particules de plasma autour du trou noir en énergie négative. Ceci, à son tour, générerait des quantités massives d'énergie qui pourraient être extraites.

    Aujourd'hui, une équipe du Centre international pour le réseau d'astrophysique relativiste (ICRANet), une organisation basée en Italie, affirme avoir découvert le mécanisme qui conduit aux sursauts gamma.

    Ils l'appellent une hypernova à commande binaire, qui est un système de deux étoiles, une étoile à carbone-oxygène et une étoile à neutrons. L'étoile à carbone-oxygène approche de la fin de sa vie, et lorsqu'elle devient une supernova, c'est ainsi que les étoiles meurent, elle éjecte de la matière que l'étoile à neutrons absorbe, ce qui la fait dépasser le point de masse critique et se transformer en un trou noir. Le processus de cet événement provoque des sursauts de rayons gamma.

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  41. C'est la théorie, mais l'équipe, dirigée par Rahim Moradi, a également décrit comment le processus peut être reproduit. Cela se résume à l'accélération des particules le long des lignes magnétiques, qui extrait l'énergie de rotation de l'ergosphère du trou noir : une région où le continuum espace-temps tourne si vite que chaque objet tourne dans la même direction que le trou noir.

    "Le nouveau moteur présenté dans la nouvelle publication fait le travail grâce à un processus purement général relativiste, gravito-électrodynamique : un trou noir en rotation, interagissant avec un champ magnétique environnant, crée un champ électrique qui accélère les électrons ambiants jusqu'à des énergies ultra-élevées conduisant à des -rayonnement énergétique et rayons cosmiques de très haute énergie », explique l'un des auteurs de la recherche, Remo Ruffini, cité par Science Alert.

    Cela semble probablement tiré par les cheveux et trop théorique pour avoir des implications pratiques. Pourtant, les trous noirs ont captivé l'imagination des scientifiques depuis que leur existence n'a été que théorisée. Ensuite, leur existence a été prouvée. Il y a environ un demi-siècle, un physicien mathématicien britannique, Roger Penrose, décrivait un avenir où les humains ou les extraterrestres seraient capables de récolter l'énergie d'un trou noir en laissant tomber un objet dans son ergosphère et en l'accélérant à une énergie négative. L'année dernière, des scientifiques de l'Université de Glasgow ont conçu une preuve de concept pour le processus.

    En d'autres termes, ce qui semblait être un fantasme il y a des décennies s'est avéré être un phénomène réel et ce qui semblait être un moyen impossible d'utiliser ce phénomène pour extraire de l'énergie il y a cinquante ans est hypothétiquement possible maintenant. Peut-être que la réplication d'un sursaut gamma deviendra également possible.

    https://www.zerohedge.com/energy/could-gamma-ray-bursts-give-us-unlimited-energy

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  42. Crypto Carnages efface 1 000 milliards de dollars de richesse alors que les transactions chutent à leur plus bas niveau en 3 ans


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 08 JUIN 2021 - 10:37


    La capitalisation boursière totale des crypto-monnaies s'est effondrée, passant de plus de 2,5 billions de dollars à la mi-mai à moins de 1,5 billion de dollars ce matin, alors que les pertes s'accélèrent du jour au lendemain...

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    La source

    Il s'agit du niveau le plus bas depuis mars, la domination de Bitcoin étant tombée à environ 40%, la part d'Ethereum dans l'espace atteignant un peu moins de 20%...

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    La source

    Bitcoin est de retour à une poignée de 31 000 $...

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    Source : Bloomberg

    Ethereum est également plus bas, repassant en dessous de 2400 $...

    - voir graphique sur site -

    Source : Bloomberg

    Le récent effondrement coïncide également avec une baisse marquée du nombre de transactions transitant par la blockchain Bitcoin. Le 30 mai, le nombre de transactions Bitcoin quotidiennes a chuté à 175 000 – un creux de près de trois ans qui remonte à septembre 2018, selon les données de BitInfoCharts.

    - voir graphique sur site -

    Le catalyseur de la dernière jambe inférieure est probablement multiple, car les médias grand public s'emparent des récits du gouvernement sur les risques / fraudes impliqués, et comme l'écrit Liam Kelly de Decrypto.co, rapporte que le ministère de la Justice (DoJ) a annoncé qu'ils avaient récupéré 2,3 millions de dollars desdits fonds après avoir "suivi l'argent", a suscité des craintes généralisées que le réseau ait été piraté.

    Bien qu'il ait été initialement signalé que le portefeuille Bitcoin des attaquants avait été «piraté», ce n'était probablement pas le cas.

    Au lieu de cela, un affidavit du Federal Bureau of Investigation (FBI) suggère que les autorités ont pu retracer le Bitcoin rançonné à l'aide d'un explorateur de blocs jusqu'à une adresse spécifique contenant 63,7 Bitcoin.

    Ils ont alors pris le contrôle de la clé privée liée à cette adresse, accédant ainsi au Bitcoin rançonné.

    Les utilisateurs ont besoin à la fois des clés privée et publique d'une adresse Bitcoin pour accéder aux fonds. Les deux clés sont une chaîne de mots et de chiffres. Faire correspondre la clé privée correcte avec la clé publique correspondante permet aux utilisateurs de prendre le contrôle de ce Bitcoin.

    Sans ces clés, il est presque impossible d'accéder aux fonds en raison du niveau de cryptage utilisé.

    Il est beaucoup plus probable que les autorités puissent soit faire correspondre l'adresse en question avec une identité spécifique, soit que l'adresse était liée à un service de cryptographie basé aux États-Unis, tel qu'un échange ou un autre dépositaire.

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  43. Un agent spécial adjoint qui a participé à l'affaire, Elvis Chen, a toutefois déclaré qu'il ne "voulait pas abandonner notre métier au cas où nous voudrions utiliser à nouveau cette [méthode] pour de futurs efforts".

    Pourtant, il semblerait que le marché se négocie comme si le réseau Bitcoin avait effectivement été piraté, le prix de la crypto-monnaie la plus élevée ayant chuté.

    Cependant, comme le note Jordan Finneseth de CoinTelegraph, bien que l'activité en chaîne brosse un tableau sombre pour certains, car les détenteurs à court terme ont été les plus durement touchés par le ralentissement, un examen plus approfondi montre que les détenteurs à long terme (LTH) ont recommencé à s'accumuler. , signe que le pire de la secousse est peut-être passé.

    - voir graphique sur site -

    Changement de position nette du détenteur à long terme. Source : Glassnode

    Comme le montre le graphique ci-dessus, l'offre détenue par les détenteurs de BTC à long terme a commencé à s'accélérer à la hausse après une période de distribution qui s'est produite lorsque le prix est passé de 10 000 $ à 64 000 $. Ce chiffre en hausse indique que «l'offre de LTH est maintenant dans une tendance haussière ferme» et est similaire à la tendance observée lors du «haussier de la fin de 2017 et du début de 2018 à la baisse».

    Glassnode a dit :

    "Cette fractale décrit le point d'inflexion où les LTH cessent de dépenser, commencent à ré-accumuler et à garder ce qui est maintenant considéré comme des pièces bon marché."
    Une autre tendance haussière peut être trouvée dans le fait que le montant de BTC actuellement détenu par les LTH est de 2,3 millions de plus qu'au sommet de 2017, ce qui indique que la vision à long terme de ces détenteurs de jetons est que le marché se dirige vers le haut.

    https://www.zerohedge.com/crypto/crypto-carnages-wipes-1-trillion-wealth-transactions-tumble-3-year-lows

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    1. L'argent électrique n'est pas sur piles ??! Cà alors !! HAHAHAHAHA !

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  44. La réponse aux e-mails de Fauci prouve que tout est faux, la gestion narrative l'emporte sur la réalité, et ceux au pouvoir le veulent ainsi


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 07 JUIN 2021 - 23:40
    Rédigé par Nebojsa Malic via l'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité,


    En regardant la couverture médiatique - ou l'absence de couverture médiatique - des courriels du Dr Anthony Fauci et ce qu'ils signifient pour l'origine du coronavirus, on est frappé par la façon dont tout est implacablement faux, des experts en santé publique à la science.

    L'une des choses que les e-mails suggèrent est que Fauci s'est entendu avec Peter Daszak – chef de l'Alliance EcoHealth, qui a canalisé le financement de la recherche américaine vers l'Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et rejeter toute idée selon laquelle le virus à l'origine de Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué. naturellement.

    Le fait est que Daszak a en fait donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l'année dernière, et personne dans les médias n'a pensé à relier les points. En termes simples, Donald Trump a déclaré que le virus venait de Chine et pourrait provenir d'un laboratoire, donc cela devait être faux et raciste, fin de l'histoire, affaire classée.

    Ce n'est qu'un exemple, le plus récent et le plus aigu de la réalité narrative qui l'emporte à tout prix. Des millions de morts, une destruction généralisée de l'économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le « progrès » et assurer le résultat « correct » de l'élection de 2020, pourraient dire les fortificateurs de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. « Reconstruire mieux ! » les perroquets de presse à la place.

    Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d'expression, mais Biden disant à un journaliste qu'il préfère l'écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre en cours en Israël est une blague amusante, haha, comment hilarant. Quelle saveur de crème glacée avez-vous commandée, monsieur ?

    Cela peut sembler partisan à première vue, mais rappelons-nous que ce sont les mêmes médias qui portaient autrefois fièrement de l'eau pour le récit des « ADM de Saddam ». Ainsi, la vieille dichotomie démocrate-républicain ne fonctionne pas vraiment ici, et manque la vue d'ensemble pour démarrer.

    Une société vraiment libre n'aurait pas de récits officiels, a écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone plus tôt cette semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres et que les récits officiels sont tout ce qu'elles ont vraiment. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de « l'insurrection » du Capitole du 6 janvier ?

    Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu'ils considéraient une presse libre nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe des médias d'entreprise et leurs homologues Big Tech sont devenus un chien de poche, pas un chien de garde, du pouvoir. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont de la partie. AP a littéralement réécrit son stylebook pour limiter l'utilisation de « riot » l'été dernier. Reuters a "vérifié les faits" L'éloge funèbre de Biden pour Robert Byrd comme étant faux parce que le sénateur démocrate n'était pas un "grand sorcier" du KKK mais simplement un "cyclope exalté".

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  45. Ce que fait ce remplacement orwellien des faits par des récits, c'est conditionner le public à faire écho à la tristement célèbre défense de Benghazi d'Hillary Clinton : « Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ? »

    Les « faits » ne signifient rien pour cette foule. La « science » n'est pas un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour accorder l'autorité et bannir la dissidence. La « vérité » est ce qu'ils déclarent pour le moment, et quand cela cessera d'être pratique, ils retourneront sans vergogne en arrière et réécriront leurs propres mots, prétendant depuis le début que c'est ce qu'ils ont toujours cru. Oui, c'est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s'en soucier.

    Après tout, qu'allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c'est en train d'arriver. Mois après mois, les rapports d'audience montrent que CNN et MSNBC font nettoyer leur horloge par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler sur l'éveil et les points de discussion démocrates, tout en menant un véritable djihad contre Fox pour "désinformation".

    Penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité des cotes d'écoute les frappera au visage, par conséquent, est insensé. Ils s'en foutent tout simplement. Se pourrait-il qu'ils ne se soucient pas autant de l'argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes - et c'est au mieux discutable - avoir ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour emprunter l'expression de Lord Acton.

    Les médias étaient censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – pas les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si ce dernier était vrai et voulu. C'est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu'ils sont impossibles à raisonner. Confrontez-les à des faits réels, des principes ou des lois de la physique, et soit ils vous censurent, soit ils ricanent et continuent.

    Le comportement de Biden commence à avoir un sens lorsque vous comprenez qu'il existe dans un monde fantastique, entièrement conjuré par la presse et son équipe. Comme le font des milliers d'activistes, d'« ONG » et de sectateurs consommateurs de subventions du gouvernement américain à travers le monde. Comment atteindre ces personnes qui ont intériorisé la « logique » du Qui/Qui ? C'est peut-être la question la plus importante à laquelle sont confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde, très bientôt.

    https://www.zerohedge.com/political/response-faucis-emails-proves-everything-fake-narrative-management-trumps-reality-and

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