- ENTREE de SECOURS -



mardi 29 juin 2021

Climat – AFP : attention, dernier scoop avant la fin du monde

L’AFP a révélé que la fin du monde était écrite pour 2050, voire plus tôt, et qu’il serait dorénavant pratiquement impossible de l’éviter.


Par Nathalie MP Meyer.

 29 JUIN 2021 

 

Joli scoop planétaire que s’est offert l’Agence France Presse (AFP) mercredi 23 juin dernier. Scoop final, pourrait-on même dire, puisqu’il s’est agi ni plus ni moins de nous révéler (dans toutes les langues) que la fin du monde était écrite pour 2050, voire plus tôt, et qu’il serait dorénavant pratiquement impossible de l’éviter – sauf, refrain connu, à en passer de toute urgence par une transformation « immédiate et drastique » de « notre mode de vie et de consommation. »

Sous le titre « L’humanité à l’aube de retombées climatiques cataclysmiques » dont vous apprécierez l’alarmisme racoleur, l’AFP s’est fait l’écho (en deux pages) d’un projet de document de 137 pages écrit en 2020 dans le cadre du sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU, lequel rapport, toujours en cours d’écriture et de révisions, en comportera plus de 4000 et ne sera publié complètement et officiellement qu’en février 2022.

On peut parler de morceaux choisis. Extraits :

🔥 La vie sur Terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt.

🔥 Quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les impacts dévastateurs du réchauffement sur la nature et l’humanité qui en dépend vont s’accélérer et devenir douloureusement palpables bien avant 2050.

🔥 La vie sur Terre peut se remettre d’un changement climatique majeur […] L’humanité ne le peut pas.

🔥 Dépasser le seuil de 1,5 °C de hausse des températures pourrait déjà entraîner, progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles.

🔥 Le pire est à venir […] Pour certains animaux et variétés de plantes, il est peut-être même déjà trop tard.

🔥 80 millions de personnes supplémentaires auront faim d’ici à 2050 et 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême d’ici à dix ans […] En 2050, des centaines de millions d’habitants de villes côtières seront menacés par des vagues-submersion plus fréquentes.

Etc. Etc. Seule petite note d’espoir : tourner résolument le dos à nos modes de production et de consommation – sous-entendu capitalistes.


Le mot n’apparaît pas en tant que tel dans la dépêche de l’AFP, mais le fait est qu’il n’a nul besoin d’apparaître. Maintenant que l’alerte Covid semble moins prégnante, l’objectif de cette publication limitée à une description d’apocalypse sans aucune sources scientifiques en climatologie pour l’étayer consiste manifestement à relancer à fond la machine de l’angoisse climatique culpabilisante dans l’opinion publique afin que cette dernière ne soit plus en mesure psychologique de s’opposer à quelque « adaptation » autoritaire que ce soit.

Car bien sûr, il n’est nullement question de laisser l’Homme s’adapter aux évolutions de son environnement comme il l’a toujours fait, c’est-à-dire par la science et le progrès technique, fruits de son esprit curieux, de son inventivité et de son désir d’améliorer sa condition sur Terre, à travers notamment les deux étapes déterminantes que furent la découverte du feu puis, des siècles plus tard, l’invention de la machine à vapeur. Pas du tout.

Il est uniquement question de décroissance et de retour à une existence pratiquement vivrière et locale. Pas plus de 30 m² de logement par personne, pas plus d’un kilo de vêtements par an, interdiction des vols hors Europe non justifiés, etc. Quelle idée de vouloir découvrir Hong Kong ou Sydney quand on a la chance d’être étudiant à Grenoble ! – prétendait récemment Aurélien Barrau, grand prêtre très en vogue de l’autoritarisme climatique.

Je ne vous étonnerai pas en vous disant que la jeune et réputée infaillible pythie de la lutte contre le réchauffement climatique Greta Thunberg a accueilli cette publication avec ravissement. Elle ne cesse d’inviter tout un chacun (les députés français notamment) à s’en remettre aux rapport du GIEC et elle ne cesse pas non plus d’expliquer que « c’est le système entier qui ne va pas », gentille confirmation que l’écologie, ou plutôt sa caricature coercitive, est d’abord utilisée politiquement comme l’instrument sympathique d’une guerre renouvelée contre le libéralisme et les libertés individuelles.

Donc selon Greta, voilà un rapport qui a le bon goût de nous confronter enfin à la désastreuse réalité. Mais quelle réalité ? Car dans toute cette affaire, et cela depuis plusieurs décennies (voire plusieurs siècles si l’on remonte à Thomas Malthus), on nous annonce que « le pire est à venir », on nous promet des catastrophes plus insurmontables les unes que les autres, la constante de toutes ces prévisions étant qu’il faut assez régulièrement les remettre à jour, c’est-à-dire les repousser aux vingt ou trente années suivantes :

Dans les années 1960, le biologiste et écologiste Paul R. Ehrlich de l’université américaine de Stanford avait annoncé des famines effroyables et la mort de centaines de millions de personnes durant les années 1970 et 1980. Il prédisait que les États-Unis devraient rationner l’eau dès 1974 et il disait même que s’il était joueur, il prendrait le pari que l’Angleterre aurait disparu de la surface de la Terre en 2000 !


À la fin des années 1980, le programme des Nations Unies pour l’environnement (ou UNEP) mettait en garde contre la possible submersion de pays entiers et contre l’exode massif qui en résulterait si rien n’était fait contre le réchauffement climatique d’ici l’an 2000. Les chercheurs estimaient alors que la température moyenne de la Terre pourrait augmenter de 1 à 7 °C en 30 ans, c’est-à-dire sur la période 1990-2020.

En 2007, Al Gore relayait dans son discours de réception du prix Nobel de la paix les prévisions des chercheurs de la U. S. Navy selon lesquelles la banquise du pôle Nord aurait disparu en été sept ans plus tard, soit en 2014.

Par bonheur, rien de tout ceci ne s’est réalisé. La dépêche de l’AFP nous apprend même que les températures moyennes ont augmenté de 1,1 °C du milieu du XIXe siècle à nos jours. Mais cela en dit long sur les capacités politico-paranoïaques d’une certaine écologie trempée dans le mélange assurément dystopique de l’autoritarisme et des peurs millénaristes.

Contrairement à Greta Thunberg, l'IPCC  est loin d’avoir apprécié la fuite anticipée de certains éléments non encore révisés ni validés de son futur rapport, à tel point qu’il s’est fendu le jour même d’une petite mise au point. Rappelant que les documents de travail sont confidentiels, il insiste sur l’importance de laisser la phase de rédaction et de révision par les pairs se dérouler dans la sérénité afin d’obtenir in fine un rapport « aussi précis, complet et objectif que possible. »

On comprend bien que du côté de ceux qui espèrent voir le « quoi qu’il en coûte » et peut-être, d’une certaine façon, l’état d’urgence covidien se reproduire à l’échelle du climat, il était important d’en faire connaître au public certains éléments sélectionnés particulièrement édifiants avant la future COP26 de Glascow de novembre 2021 et avant qu’ils ne soient éventuellement édulcorés par les négociations entre les 195 pays concernés.

Mais du côté du de l'IPCC , on comprend tout aussi clairement que la teneur essentiellement catastrophiste du texte de l’AFP pourrait se retourner contre l’objectif recherché et contre sa propre crédibilité scientifique. Trop en faire dans la peur panique au point de déchaîner une hilarité moqueuse, voilà qui serait fâcheux !

Ayant pour mission d’étudier les conséquences du réchauffement climatique anthropique (c’est-à-dire causé par l’Homme à travers ses activités économiques), le GIEC est organisé en trois groupe de travail.

Le premier évalue les aspects scientifiques du système climatique, le second étudie les conséquences des changements climatiques sur les paysages et les modes de vie et le troisième avance des propositions d’adaptation1.

Le document dévoilé par l’AFP se révèle être un élément du futur rapport du second groupe de travail. Mais un élément déjà dépassé.


Ainsi que l’indiquait par exemple François Gemenne, économiste et sociologue de ce groupe :

🤡 Attention au rapport de l'IPCC qui a été divulgué par l’AFP ce matin […] : il s’agit d’une version très préliminaire et partielle d’un volume du rapport, qui date de novembre 2020. Contrairement à ce qu’on a pu lire, ce n’est pas cette version qui sera approuvée en février 2022.

🤡 Le texte sur lequel nous travaillons encore en ce moment même est très différent de cette version, à la fois parce que cette version n’intègre pas les 40 000 commentaires reçus sur ce texte, et aussi parce que cette version n’intègre pas des sections qui sont encore en cours d’écriture !

Plusieurs autres chercheurs ont fait savoir de la même façon qu’il s’agissait d’un brouillon de résumé technique sur un travail en cours qui devait encore recevoir de nombreux commentaires d’experts et qu’il n’y avait pas lieu de le commenter en l’état. Même les ONG les plus en pointe dans l’alarmisme climatique ont reçu la publication avec une certaine réticence :

🤡 Le rapport de l'IPCC  est éminemment essentiel, mais ce n’était pas utile de publier ce brouillon à ce stade. Il faut laisser de l'IPCC  travailler pour que ses résultats ne soient pas contestés. (Anne Bringault, coordinatrice des opérations au Réseau action climat)

En effet, tout est là : les politiques climatiques reposant sur les travaux de l'IPCC , ce dernier est-il crédible ? Le document de l’AFP ne permet nullement de l’affirmer et nous pousserait même à penser le contraire. Reste à voir à quoi ressemblera effectivement le rapport finalisé.

Une chose est sûre, cependant : l’AFP est bien une entreprise médiatique tout à fait ordinaire. Du scoop toujours, du scandaleux, du sensationnel, voire une dose chevaline de propagande climatique. Mais en l’occurrence, pour l’information vérifiée, validée et correctement mise à jour, on repassera. Ça promet.

Sur  le web

À noter à ce propos que l'IPCC intègre le recours au nucléaire civil et aux modifications génétiques dans ses préconisations – et à ce moment-là, nos gardiens du temple écolos s’empressent de le remettre à sa place en faisant bien comprendre que son mandat est « descriptif et non prescriptif ». ↩

https://www.contrepoints.org/2021/06/29/400574-climat-afp-attention-dernier-scoop-avant-la-fin-du-monde

60 commentaires:

  1. Un milliardaire chinois dit que le PCC prévoit de sortir une autre souche de covid cet été


    Lundi 28 juin 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Y a-t-il bientôt un nouveau virus chinois en route qui sera livré par le Parti communiste chinois (PCC) aux États-Unis ? Selon le milliardaire chinois Miles Guo, la réponse est oui.

    Lors d'une récente diffusion de TruNews, l'animateur Rick Wiles a partagé un clip de Miles parlant de ce qu'il prétend être une attaque imminente contre les États-Unis qui sera utilisée pour porter un coup fatal au pays.

    « Sur la base de la véritable histoire et de la civilisation du peuple chinois, nous transmettons ici le message à l'Occident que nous sommes tous des humains », a déclaré Miles dans le clip, précisant que les Chinois ordinaires ne sont pas les vrais ennemis, mais plutôt le PCC.

    « Nous ne deviendrons jamais les ennemis de l'Occident. Le peuple chinois ne va pas, n'a jamais envahi et n'occupera jamais aucun territoire d'aucun pays ou pays occidental. Plus jamais."

    Miles a fait une série d'annonces expliquant qu'environ 200 familles en Chine, toutes appartenant au PCC, sont celles qui tirent les ficelles. Cela ressemble beaucoup à la poignée de familles « d'élite » qui contrôlent également les États-Unis, il est important de le noter.

    "Ils sont les coupables d'avoir commis des crimes contre l'Occident, d'avoir tenté de" diriger "l'Occident et d'occuper de force les ressources de l'Occident, de libérer le virus, d'autres incidents pouvant survenir, ainsi que celui que j'annonce aujourd'hui", affirme Miles.

    « Maintenant, la chose la plus critique que je vais vous dire est que nous avons reçu des renseignements précis. Premièrement, le PCC tente bientôt, probablement à la fin de cet été ou au début de cet automne, de libérer un autre virus. »

    Miles Guo : la Chine attaquera Taïwan comme distraction avant d'attaquer les États-Unis
    La libération présumée de ce nouveau virus coïncidera avec une attaque chinoise contre Taïwan, affirme encore Miles. Une fois que cette attaque sera lancée et que tous les regards seront braqués sur Taïwan, la Chine attaquera alors les États-Unis avec une arme biologique et peut-être plus.

    Miles a été fortement impliqué dans la publication d'informations toute l'année dernière lors de la première version du virus chinois, ayant fait de nombreuses apparitions sur "Bannon WarRoom" et d'autres programmes basés aux États-Unis.

    Il a, à bien des égards, offert des messages sur le terrain hors de Chine qui ne sont pas rapportés par les médias américains, bien que certaines de ses affirmations doivent être prises avec un grain de sel.

    Le temps nous dira si le PCC finit par libérer un autre virus, ou du moins prétendre qu'il l'a fait, afin d'essayer de renforcer davantage les blocages, de masquer les mandats et la paranoïa générale et la peur parmi la population.

    Comme cela a si bien fonctionné la première fois, il y a de fortes chances que celui qui est derrière tout cela réessaye certainement. Lorsque la tyrannie fonctionne, les tyrans continuent de l'amplifier jusqu'à ce qu'ils atteignent le niveau de pouvoir et de contrôle dont ils ont tant besoin.

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  2. "Le virus qui sera libéré cette fois sera sûrement plus dangereux que le dernier", affirme Miles. "Nous sommes informés que le PCC le sait très bien qu'à la suite du sommet du G7 en 2021 avec des millions de morts, des centaines de millions de personnes sont infectées par le virus dans le monde entier."

    « Et pendant ce temps, tous les horizons [sic] dans le monde entier exigent la vérité (sur le virus). Le PCC est bien conscient que la vérité finira par être découverte, concluant des accords politiques et soudoyant ou menaçant les politiciens. »

    Si vous souhaitez entendre l'émission par vous-même, vous pouvez le faire en visitant ce lien.

    Vous trouverez plus d'informations sur les dernières nouvelles concernant le virus chinois sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TruNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-28-chinese-billionaire-ccp-release-another-covid-strain.html

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  3. Taux de mortalité de la variante Delta huit fois plus élevé chez les individus « complètement vaccinés »


    Mardi 29 juin 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) La dernière affirmation est que la variante « Delta » du coronavirus de Wuhan (Covid-19) « se propage comme une traînée de poudre », et les plus touchés sont ceux qui ont déjà reçu des injections de « vaccins ».

    Selon les dernières données, les personnes qui ont reçu un ou deux vaccins contre la grippe de Wuhan sont jusqu'à huit fois plus susceptibles d'être « positives » ou de devoir être hospitalisées.

    Une analyse statistique préliminaire a révélé que les taux d'hospitalisation et la mortalité absolue dus à la variante Delta sont considérablement plus élevés chez les «vaccinés» par rapport aux non vaccinés.

    Les chiffres montrent que parmi les patients testés positifs pour la variante Delta, le taux de mortalité pour ceux qui sont « complètement vaccinés », ce qui signifie qu'ils ont reçu les deux doses d'une injection d'ARNm, est près de huit fois plus élevé.

    Cela correspond à une recherche similaire de Public Health England qui a déterminé que les personnes vaccinées sont 600% plus susceptibles de mourir de Delta que les personnes non vaccinées.

    En Angleterre, il apparaît désormais clairement dans les données que ceux qui ont été injectés sont responsables de la propagation de Delta. Et plus il y a de gens qui se font vacciner, plus Delta se propage.

    "Le taux d'infection par le variant delta des personnes qui ont reçu au moins [une] dose de vaccin est inférieur à celui des personnes entièrement vaccinées tout en étant supérieur à celui des personnes non vaccinées", rapporte Gnews.

    Science : faites-vous vacciner et vous risquez davantage de mourir
    Au mieux, se faire injecter conduira au même résultat que ne pas se faire injecter. Au pire – et c'est ce que suggèrent les données – vous êtes plus susceptible de mourir si vous êtes poignardé pour le virus chinois.

    Alors pourquoi le faire ? Beaucoup de gens diraient probablement qu'ils veulent juste « faire leur part », mais quelle est cette part ? La partie mourante ? Parce que les seules personnes qui semblent tomber violemment malades après avoir été exposées à Delta ou à toute autre variante présumée sont des personnes qui ont obéi au gouvernement et se sont fait injecter.

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  4. "Cela vous fait vous demander pourquoi les politiciens poussent toujours tout le monde à se faire vacciner, étant donné que le risque de décès n'est pas trop différent de toute façon", dit Gnews.

    «En outre, il convient de mentionner que par rapport au taux d'hospitalisation et au taux d'infection, le taux de mortalité est considéré comme plus précis car pour les données sur les infections, une personne peut choisir de ne pas se faire tester et il peut y avoir des faux positifs ou des faux négatifs pour les résultats des tests. Et pour les données d'hospitalisation, une personne peut choisir de ne pas aller à l'hôpital et de rester à la maison. Cependant, il est impossible de choisir de ne mourir pour personne, c'est pourquoi les données de mortalité sont généralement plus précises.

    Au fil du temps, il devient de plus en plus clair que se faire injecter est tout simplement stupide. Certes, les injections n'empêchent pas l'infection, ni la propagation, alors à quoi bon?

    La seule affirmation de l'établissement médical concernant les injections est qu'elles pourraient réduire le risque qu'une personne tombe gravement malade et nécessite une hospitalisation après un test positif. Les dernières données, cependant, montrent que même cela est faux.

    "[C] cette analyse a au moins suggéré que le gouvernement britannique aurait pu sélectionner les résultats qui correspondent au récit" prenez le vaccin "et a choisi de ne pas rapporter l'ensemble de l'image dans l'article mentionné dans son reportage", conclut Gnews.

    "Et cette analyse montre également que le taux de mortalité (généralement la mesure la plus précise par rapport à l'hospitalisation et à l'infection) pour les personnes vaccinées qui ont contracté le virus de la variante delta du CCP est très troublant et pourrait nécessiter d'autres investigations connexes telles que l'effet potentiel de l'ADE."

    Vous pouvez lire le rapport complet de Gnews ainsi que toutes les données associées sur ce lien.

    Plus d'informations sur la tromperie du vaccin contre le virus chinois peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Gnews.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-29-mortality-delta-variant-eight-times-higher-vaccinated.html

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  5. AUTOMÉDICATION : LES FRANÇAIS ACHÈTENT BEAUCOUP DE MÉDICAMENTS SANS ORDONNANCE


    par ANTON KUNIN
    29/06/2021


    En 2020, 1 achat de produits de santé sur 4 a été effectué pour les consommer plus tard.

    En 2020, chaque Français a acheté 33 unités de produits de santé en moyenne. En plus, ces achats se sont faits à une fréquence élevée, laissant pense que l’achat de produits de santé s’est banalisé au point d’en faire un produit de consommation comme un autre.

    Produits de santé : 1 achat sur 10 se fait hors pharmacies

    Avec 1 acte d’achat toutes les 5 semaines, les Français se procurent des produits de santé (médicaments avec et sans ordonnance, produits de premiers soins, compléments alimentaires, huiles essentielles) aussi souvent qu’ils achètent des desserts surgelés ou de bonbons ! Et ils en achètent beaucoup : sur l’année 2020, chaque Français a acheté 33 unités de produits de santé en moyenne, nous apprend une étude de Kantar.

    À chaque acte d’achat, les Français achètent un peu plus de 3 produits de santé, soit plus que lors d’une « session de courses » de produits d’hygiène-beauté ou de vêtements / accessoires. À noter par ailleurs qu’en 2020, 1 acte d’achat sur 10 a été réalisé en dehors des pharmacies / parapharmacies (GMS, Internet, magasins bio…).

    40% des achats de produits sans ordonnance sont faits par les moins de 50 ans
    Les anti-douleurs sont largement représentés dans les paniers : près d’1/3 des paniers de produits de santé contiennent au moins un produit anti-douleur. Autre enseignement de cette étude : même si la consommation de médicaments augmente avec l’âge, les moins de 50 ans représentent 40% des achats sans ordonnance. En tout, 8 Français sur 10 ont acheté des produits de santé sans ordonnance en 2020.

    Les produits de santé achetés ne sont pas forcément consommés immédiatement : près d’1/4 des achats l’ont été pour être utilisés plus tard. Cela a été le cas surtout lors des premières semaines de la crise sanitaire en mars 2020, où l’on a constaté une ruée des Français en pharmacie pour stocker des anti-douleurs notamment.

    http://www.economiematin.fr/news-automedication-achat-medicaments-sans-ordonnance-etude-kantar

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    1. Quand les faux malades deviennent des vrais ! Voir le nombre de cons qui consomment du 'bio', portent un masque ou s'éloignent des OGM alors qu'ils sont eux-même 100 % OGM depuis 10 000 ans ! Hahahaha ! Qu'ils portent un grillage en guise de masque antivirus !! Hahahaha ! Or, leur putain de grillage (bleu-blanc) fait 50 à 150 microns d'écart de fil alors que le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!! HAHAHAHAHA ! Ils et elles préfèrent bouffer des fruits & légumes et viandes malades !! plutôt que de consommer des fruits & légumes et animaux en bonne santé qui ont reçu un traitement anti-maladie !! (ils adorent les vaches folles !)

      Ce sont les même cons qui ont 'horreur' de boire de l'eau calcaire (qui-bouche-les-tuyaux ! Hahahaha !) et puis courent en pharmacies acheter du calcium ! HAHAHAHAHA ! Ils ou elles ne savent pas que le calcaire, le tartre et le calcium c'est LA MÊME CHOSE ! (3 pseudonymes !)

      Ils ou elles ne savent pas faire la différence entre microbes et virus !! Hahahaha ! Les microbes (appelés aussi bactéries) sont VIVANTS alors que le virus (nano-poussière métallique chargée) n'EST PAS VIVANTE !

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  6. Le complexe industriel du virus pandémique est la plus grande menace au monde


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    29 juin 2021


    Dans la conférence du 22 janvier 2021 ci-dessus, Jonathan Latham, Ph.D., discute de ce qu'il a surnommé le complexe industriel du virus pandémique - qui ils sont, comment ils fonctionnent et interagissent avec des éléments au sein des complexes universitaires, militaires et commerciaux, et comment ils ont essayé d'obscurcir les faits qui indiquent que le SRAS-CoV-2 est un virus artificiel qui a pris naissance dans un laboratoire.

    J'ai déjà interviewé Latham à quelques reprises. Il est l'éditeur de Independent Science News, un site Web qui fournit des commentaires critiques sur l'alimentation, l'agriculture et la biotechnologie. Il fait partie du Bioscience Resource Project, un groupe éducatif d'intérêt public à but non lucratif cofondé par Latham et Allison Wilson, Ph.D., qui fournit des recherches et des analyses indépendantes sur le génie génétique et ses risques.

    Latham souligne qu'il n'existe actuellement aucune donnée suggérant une origine zoonotique naturelle du SRAS-CoV-2. D'un autre côté, il existe de nombreuses preuves et données suggérant que le virus a été génétiquement manipulé à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) en Chine. Une grande partie de la recherche connexe a été effectuée par un scientifique appelé Shi Zheng-Li, Ph.D.

    Le complexe industriel du virus pandémique est un ensemble imbriqué d'entreprises et d'autres institutions qui se nourrissent et se soutiennent mutuellement avec des biens et des services de manière auto-renforcée. ~ Jonathan Latham, Ph.D.
    Il résume ensuite la théorie du passage des mineurs de Mojiang. Cette théorie postule que le virus a évolué à l'intérieur du corps de six mineurs qui sont tombés malades d'une infection suspectée à un nouveau coronavirus en 2012. Certains des mineurs ont été malades pendant plusieurs semaines – un temps suffisant pour que le virus mute, croit Latham.

    Des échantillons viraux des mineurs ont été envoyés au WIV. Latham et Wilson pensent que la recherche sur ces échantillons est ce qui a conduit à une libération accidentelle du virus fin 2019.

    Le complexe industriel du virus pandémique

    Latham décrit le complexe industriel du virus pandémique comme « un ensemble imbriqué d'entreprises et d'autres institutions qui se nourrissent et se soutiennent mutuellement avec des biens et des services de manière auto-renforcée ». C'est une entreprise qui mobilise l'argent public pour le profit privé. Il note également que bon nombre de ces participants jouent des rôles inattendus. Par example:

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  7. Les organisations philanthropiques agissent comme des tireurs de ficelle, des influenceurs et des centres de profit
    Le ministère de la Défense est à la fois une vache à lait et un provocateur
    Academia fournit des relations publiques via des médias traditionnels contrôlés par des organisations philanthropiques et l'industrie pharmaceutique
    Les organisations universitaires à but non lucratif agissent comme des blanchisseurs d'argent
    "Ces rôles non traditionnels sont destinés à confondre et à camoufler les différentes parties mobiles de ce qui est une situation complexe", dit Latham, "protégeant ainsi l'ensemble d'un examen minutieux". Bien qu'il existe de nombreuses similitudes entre le complexe militaro-industriel et le complexe industriel du virus pandémique, il existe une différence importante entre les deux.

    Le complexe industriel du virus pandémique s'adresse au public et devrait être bénéfique et transparent. En tant que tel, il a une image de respectabilité qui doit être maintenue, et c'est pourquoi les universitaires et les organisations philanthropiques et à but non lucratif jouent un rôle si important dans ce programme.

    Ensemble, ils contribuent à masquer le véritable programme sous un vernis de respectabilité et de bien public. En substance, ils entretiennent l'illusion que tout ce qui se passe est pour le bien de l'humanité alors qu'en réalité, il s'agit d'un projet lucratif.

    Latham pense que le complexe industriel du virus pandémique a joué un rôle décisif dans les efforts visant à masquer l'origine probable de la pandémie. Il estime également que c'est le cadre manquant qui permet d'expliquer la politisation de la pandémie.

    Tentatives d'obscurcissement précédentes d'épidémies d'origine humaine

    Dans sa conférence, Latham passe en revue une partie de l'histoire de ce complexe industriel de pandémie virale. En 2014, une épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest a été imputée de manière décisive au transfert zoonotique de chauves-souris infectées. Selon un rapport publié dans EMBO Molecular Medicine,1 un garçon de 2 ans jouant avec des chauves-souris dans une souche d'arbre était le Patient Zero.

    Cependant, alors que le journal n'a pas réussi à produire de preuves concluantes pour étayer sa conclusion, les médias occidentaux ont diffusé cette histoire. En Afrique de l'Ouest, cependant, la rumeur disait que la véritable source de l'épidémie était un hôpital de la Sierra Leone, qui abritait un laboratoire biologique où des recherches sur Ebola et les virus apparentés, tels que le virus de la fièvre de Lassa, étaient en cours.

    Cette recherche a été largement financée par le département américain de la Défense. La raison de ce financement était une récente mise à niveau par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis du virus de la fièvre de Lassa en tant que substance infectieuse de catégorie A, ce qui signifie un agent pathogène susceptible d'être utilisé comme arme biologique par des terroristes. La recherche a été menée sous les auspices du Viral Hemorrhagic Fever Consortium, dirigé par l'Université de Harvard.

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  8. Le Consortium est également lié à d'autres institutions universitaires, notamment l'Université de Tulane, le Scripps Research Institute, l'Université de Californie, San Diego, le Broad Institute of Boston et l'Université du Texas, ainsi qu'un certain nombre de sociétés pharmaceutiques privées. Selon Latham, les déclarations faites par certaines des personnes impliquées dans la recherche suggèrent qu'elles profitaient des normes de biosécurité laxistes et inférieures de l'Afrique de l'Ouest.

    Dans son livre « The Ebola Outbreak in West Africa: Corporate Gangsters, Multinationals & Rogue Politicians », Chernoh Bah fournit des preuves montrant que l'histoire de Patient Zero était une fraude. Le jeune garçon est décédé à l'âge de 18 mois, bien trop jeune pour jouer avec des chauves-souris, et il n'a jamais été diagnostiqué avec Ebola. Personne non plus dans sa famille. Le premier cas enregistré d'Ebola a en fait été trouvé en Guinée, environ trois mois après la mort du petit garçon.

    Bah a également trouvé d'autres trous béants dans le récit. Par exemple, malgré un échantillonnage généralisé, aucun virus Ebola n'a jamais été trouvé chez aucun animal, et aucune mortalité animale n'a eu lieu avant l'épidémie, ce qui a tendance à être typique des événements naturels de contagion zoonotique. Malgré les problèmes évidents avec le récit officiel, aucune enquête formelle sur la théorie des fuites de laboratoire n'a jamais été réalisée.

    Suivez l'argent

    Selon Latham, nous pouvons apprendre un certain nombre de choses de cette histoire. Tout d'abord, les évasions de laboratoire sont probablement plus courantes que nous le pensons, et les épidémies zoonotiques largement considérées peuvent ne pas du tout être d'origine zoonotique. Un autre exemple est l'épidémie de sida, que vous pouvez découvrir dans le livre « La rivière : un voyage à la source du VIH et du sida ».

    La deuxième chose que nous pouvons apprendre de l'histoire d'Ebola en Afrique de l'Ouest concerne la piste de l'argent. Le département américain de la Défense a financé la recherche effectuée par le Consortium Viral Hemorrhagic Fever. Les autres sources alternatives souvent utilisées sont le financement de la santé publique et l'aide internationale. Quel que soit le cas, qu'il s'agisse de la biodéfense, du financement de la santé publique ou de l'aide humanitaire, l'argent vient de We the People.

    Troisièmement, les entreprises membres du Consortium avaient en tête un modèle commercial spécifique, et cela n'avait rien à voir avec la protection des Africains vulnérables contre lassa ou Ebola. L'objectif des sociétés pharmaceutiques est de vendre des vaccins, des médicaments et des outils de diagnostic, principalement aux militaires américains ou européens.

    Le fait que le récit de l'épidémie d'Ebola de 2014 n'ait pas été contesté montre un manque inquiétant de rigueur académique, et ce n'était certainement pas la première fois. Comme l'a noté Latham, les scientifiques échouent dans leur rôle de poursuivre et de diffuser les connaissances et la compréhension.

    « Au lieu de cela, de plus en plus fréquemment, le monde universitaire crée des fictions », dit-il. Ils créent des « récits pratiques et égoïstes ». Les médias hérités travaillent main dans la main avec ces universitaires, agissant comme un porte-voix pour leurs affirmations scientifiques douteuses.

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  9. Science utilisée à des fins de relations publiques

    Un exemple de la façon dont les entreprises utilisent des universitaires pour façonner un récit et manipuler l'opinion publique est lorsqu'en mai 2020, 77 lauréats du prix Nobel ont signé une lettre publique exhortant le gouvernement américain à rétablir le financement d'EcoHealth Alliance, qui a sous-traité la recherche sur le gain de fonction sur coronavirus au WIV. Plus tôt cette année-là, le président Trump avait ordonné aux National Institutes of Health d'annuler ce financement.

    La lettre a été organisée par Sir Richard Roberts, un biologiste moléculaire et lauréat du prix Nobel qui se trouve également être un cadre supérieur de New England Biolabs, un fabricant d'équipements et de réactifs de laboratoire.

    "La réduction des fonds pour la recherche sur les virus biotechnologiques menace leur cœur de métier", a déclaré Latham. Alors, Roberts est-il vraiment un parti désintéressé ? Ou a-t-il un intérêt très vif à poursuivre des recherches dangereuses sur le gain de fonction, au diable les risques ?

    En 2016, Roberts a organisé une campagne similaire, dans laquelle 107 lauréats du prix Nobel ont attaqué Greenpeace pour avoir prétendument bloqué l'approbation du riz doré OGM.

    Le National Press Club de Washington D.C. a attiré l'attention du pays sur la lettre lors d'une conférence de presse officielle. L'un des organisateurs de cet événement de presse était un ancien responsable des relations publiques de Monsanto, et le site Web créé pour promouvoir la campagne a été attribué à l'industrie biotechnologique.

    "Le point ici est qu'il n'y a rien de spontané dans ces lettres", dit Latham. «Ce sont des jeux de relations publiques soigneusement chorégraphiés… Ce qui est vraiment défendu, ce sont les intérêts qui se chevauchent d'entreprises comme New England Biolabs et Monsanto. Dans ce monde, la science et les scientifiques sont des pions utiles pour façonner l'opinion publique.

    La propagande vient maintenant des sources les plus improbables

    L'une des dernières tactiques de propagande employées dans le but de façonner l'opinion publique et de décourager la curiosité est que si vous êtes préoccupé par le potentiel de fuites de laboratoire, vous êtes anti-science et un raciste pro-Trumper.

    Si vous déposez des demandes de loi sur la liberté d'information (FOIA) auprès de scientifiques, vous êtes anti-science. Si vous interrogez le Dr Anthony Fauci, vous êtes anti-science.2,3 Si vous êtes contre les OGM, vous êtes anti-science. Si vous êtes contre la recherche sur le gain de fonction, vous êtes contre la science. Si vous êtes anti-énergie nucléaire, vous êtes anti-science. C'est un stratagème et rien d'autre. Malheureusement, cette propagande est maintenant crachée même par les sources les plus improbables, telles que Mother Jones.

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  10. Le 14 juin 2021, Mother Jones a publié un article à succès sur le Center for Food Safety, écrit par Kiera Butler.4 En mai 2021, le Center for Food Safety a poursuivi le NIH dans le but de forcer l'agence à révéler son financement du gain. recherche de fonction.

    « Les virologues disent que ce type de recherche est vital et a conduit à de nombreuses découvertes médicales importantes, y compris pendant la pandémie de COVID-19. Mais le Center for Food Safety soutient que la recherche sur le gain de fonction est trop dangereuse à poursuivre », écrit Butler.

    «Pourquoi ce groupe alimentaire et agricole de gauche… dénoncerait-il la recherche en virologie de haut niveau? La clé de la réponse tient à la longue opposition du Center for Food Safety à la pratique du génie génétique. Lors d'un récent appel téléphonique, j'ai parlé à Kimbrell de CFS, qui a expliqué ce qu'il considère comme la connexion.

    "Vous modifiez génétiquement des bactéries et des plantes, puis vous modifiez génétiquement des animaux, puis vous modifiez génétiquement des embryons – tout ce qui s'est passé, avec des promesses, mais aussi une énorme quantité de dangers et de menaces", a-t-il déclaré.

    « Maintenant, les virus ne sont pas techniquement un organisme, mais ce sont des éléments biologiques vivants. Donc, ils s'inscrivent certainement dans ce récit : ce n'est pas parce que nous pouvons faire quelque chose que nous devons faire quelque chose. »

    Kimbrell a déclaré qu'il pensait "absolument" que la pandémie était le résultat d'une libération accidentelle de laboratoire. Selon lui, les scientifiques de l'Institut de virologie de Wuhan ont utilisé le gain de fonction pour améliorer un coronavirus. Le virus s'est ensuite échappé du laboratoire, s'est propagé de manière incontrôlable et a provoqué la pandémie de COVID-19. Par conséquent, en effet, la recherche sur le gain de fonction a causé la pandémie. »

    Butler discute également de l'Organic Consumers Association, du U.S. Right to Know, du Centre international d'évaluation de la technologie et de Children's Health Defense, qui ont tous soulevé des questions et des inquiétudes concernant ce type de recherche dangereuse sur les agents pathogènes. Selon Butler, ils n'ont pas à remettre en cause de telles recherches, et leur implication pourrait nous mettre tous en danger.

    « Avec des dizaines de milliers d'adeptes sur les réseaux sociaux, les groupes anti-OGM ont le potentiel de renverser la tendance de l'opinion publique ; en jeu, la science pourrait potentiellement aider à prévenir la prochaine pandémie », écrit-elle.

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  11. Butler accusé de faute professionnelle journalistique

    De manière véritablement propagandiste, Butler réfute les préoccupations de gain de fonction avec les commentaires du président de l'EcoHealth Alliance, Peter Daszak, Ph.D., l'une des personnes les plus en conflit que vous puissiez trouver. En effet, ses conflits d'intérêts sont devenus si largement connus qu'il a récemment été démis de ses fonctions de la commission Lancet chargée d'enquêter sur l'origine du COVID-19 à cause de celui-ci.5,6

    Butler se donne également beaucoup de mal pour essayer de peindre le problème sous des couleurs partisanes et cite le Dr Peter Hotez, un autre acteur financé par l'industrie très compromis qui a publiquement appelé à des attaques de cyberguerre contre les citoyens américains qui ne sont pas d'accord avec les récits officiels de COVID.

    Dans une réfutation cinglante, l'avocat fondateur du Center for Food Safety, Andrew Kimbrell, accuse Butler de « faute professionnelle journalistique »,7 et à juste titre, à mon avis. Elle essaie clairement de semer la confusion chez les lecteurs en soulignant que le « gain de fonction » est une définition large et qu'une grande partie de la recherche sur le gain de fonction effectuée est à la fois inoffensive et précieuse.

    Cependant, ce n'est pas le genre de recherche qui préoccupe le Center for Food Safety ou qui que ce soit d'autre. Le procès du Center for Food Safety porte spécifiquement sur la manipulation d'agents pathogènes afin de les rendre plus virulents et dangereux pour l'homme, et elle n'a interrogé aucun scientifique traditionnel qui a mis en garde contre les dangers associés à cette pratique, même s'il existe des dizaines d'entre eux.

    Dans l'ensemble, l'article de Butler se lit comme de la propagande classique, créée par ceux-là mêmes qui ont quelque chose à cacher. Comme l'a noté GM Watch :8

    « L'Alliance for Science, financée par Gates, n'a pas tardé à promouvoir l'article de Butler. Il s'agit d'une campagne de relations publiques basée à Cornell qui défend les opinions de l'industrie agrochimique et tente de saper les critiques de l'industrie, en particulier les critiques préoccupées par les OGM.

    Dans le cadre de cet effort, l'Alliance for Science s'est posée en tant qu'organisme d'experts sur les mythes concernant la pandémie, même si elle n'a pas cette expertise pour briser les mythes. Un premier exemple de cela était un article qu'ils ont publié par leur employé Mark Lynas qui a qualifié GMWatch, entre autres, de théoriciens du complot pour avoir dit que le virus avait pu accidentellement fuir d'un laboratoire.

    Sur Twitter, Mary Mangan, qui siège au conseil consultatif de l'Alliance, a soigneusement suivi et commenté exactement quels «groupes anti-OGM» ont demandé que l'hypothèse de la fuite de laboratoire soit prise au sérieux…

    Il est intéressant de noter qu'une journaliste a déclaré au HuffPost dans le cadre d'une affaire judiciaire impliquant Monsanto qu'elle pensait que Mangan avait essayé de la "jouer" pour faire un boulot contre l'un des témoins experts critiques de l'herbicide Roundup de la société. Se pourrait-il que Mme Butler n'ait pas été si résistante à être jouée ?

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  12. La recherche sur le gain de fonction constitue une menace très réelle

    Un autre article de propagande clair a été publié par Hotez dans The Daily Beast, 21 juin 2021.9 Ces dernières semaines, le rôle de Fauci dans la pandémie est devenu de plus en plus clair, et c'est loin d'être flatteur. Il a financé des recherches dangereuses qui pourraient en fait avoir entraîné une épidémie mondiale. Maintenant, il essaie de détourner le blâme en disant que les attaques personnelles contre lui "représentent une attaque contre la science américaine", et Hotez fait ce qu'il peut pour renforcer cette notion ridicule.

    Pour ce faire, Hotez va plus loin, liant les attaques contre Fauci aux attaques non seulement contre la science mais aussi contre le fondement même de la démocratie. Selon Hotez, « le courage moral et la défense des valeurs démocratiques exigent que le peuple américain soutienne pleinement les scientifiques et les institutions scientifiques. Agir autrement, c'est capituler devant les forces de l'insurrection. »10

    Comme Butler, Hotez passe un temps démesuré à essayer de dépeindre les inquiétudes concernant la recherche dangereuse sur les agents pathogènes qui ont le potentiel de nous tuer tous comme un problème d'extrême droite, raciste, anti-science et anti-démocratie, alors que ce n'est pas le .

    Lorsqu'une science dangereuse a le potentiel d'anéantir l'humanité, cela inquiète les individus pensants de toutes les obédiences politiques. Ce n'est pas anti-science. C'est anti-imprudence, et pour éviter une autre catastrophe, les responsables doivent être tenus responsables de leurs actes. De toute évidence, toutes les sciences ne sont pas dangereuses. Être contre une science imprudemment dangereuse ne signifie pas que vous êtes contre toute science ou la science en général.

    Si nous voulons empêcher qu'une autre pandémie comme celle-ci ne se produise à l'avenir, nous devons d'abord déterminer l'origine du SRAS-CoV-2 et comment il s'est retrouvé dans la population. S'il peut être prouvé qu'il provient d'un laboratoire, alors nous devons identifier et tenir les responsables de sa création et de sa diffusion responsables de leurs actions et/ou négligence et, enfin, nous devons empêcher une réapparition en interdisant la recherche dans laquelle les agents pathogènes sont délibérément manipulés pour les rendre plus dangereux.

    Pour aller au fond de tout cela, nous devons examiner le complexe industriel du virus pandémique. Nous devons disséquer son fonctionnement et comment ses membres s'imbriquent et travaillent ensemble pour obscurcir la vérité.

    Sources and References

    1 EMBO Molecular Medicine 2015; 7: 17-23 (PDF)
    2 New York Post June 9, 2021
    3 New York Post June 21, 2021
    4 Mother Jones June 14, 2021
    5 Newsbinding.com June 21, 2021
    6 Fox News June 21, 2021
    7, 8 GM Watch June 17, 2021
    9, 10 Daily Beast

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/joseph-mercola/pandemic-virus-industrial-complex-is-worlds-greatest-threat/

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  13. Une nouvelle étude révèle que COVID-19 est «très bien adapté» pour infecter spécifiquement les humains


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 28 JUIN 2021 - 22:30


    Une équipe de chercheurs australiens a publié une nouvelle étude qui a révélé que le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, semble être spécifiquement adapté pour attaquer les cellules humaines, selon le Daily Telegraph.

    Le Dr Nikolai Petrovsky, professeur à l'Université Flinders et chercheur en vaccins, faisait partie d'une équipe qui a découvert que Covid-19 est particulièrement adapté pour attaquer les cellules humaines.
    Les scientifiques de l'Université Flinders et de La Trobe ont utilisé des ordinateurs puissants pour modéliser les récepteurs de protéines dans un certain nombre d'espèces animales afin de voir comment la protéine de pointe du coronavirus s'y attachait.

    La théorie était que si le coronavirus s'attaquait facilement à un animal comme une chauve-souris ou un pangolin, il aurait probablement été l'espèce utilisée par l'insecte pour faire son saut dans la population humaine.

    Cependant, la modélisation a révélé que la protéine de pointe du coronavirus était la mieux adaptée pour attaquer les récepteurs protéiques chez l'homme.

    "La modélisation informatique a révélé que la capacité du virus à se lier à la protéine ACE2 de la chauve-souris était faible par rapport à sa capacité à se lier aux cellules humaines", a déclaré le professeur Nikolai Petrovsky, épidémiologiste et chercheur en vaccins de l'Université Flinders, ajoutant "Cela plaide contre la transmission directe du virus par les chauves-souris aux humains."

    "Par conséquent, si le virus a une source naturelle, il n'a pu arriver à l'homme que via une espèce intermédiaire qui n'a pas encore été trouvée."

    Les autres animaux jugés relativement sensibles à l'infection comprennent les pangolins, les chiens et les chats, qui ont tous été exclus comme espèces intermédiaires entre les chauves-souris et les humains.

    - voir croquis sur site -

    RMSD de superposition de complexe de protéine S RBD (rosepin= avec pangolin et turquoise = avec humain) avec ACE2 humain (rouge) ou pangolin ACE2 (bleu) après simulation MD montrant une géométrie différente des deux complexes.

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  14. "Dans l'ensemble, mis à part les résultats intrigants du pangolin ACE2, notre étude a montré que le virus COVID-19 était très bien adapté pour infecter les humains", a déclaré le professeur Petrovsky.

    Les résultats donnent plus de poids à la théorie de l'origine du laboratoire, qui postule que des chercheurs de l'Institut de virologie de Wuhan ont été infectés par le SRAS-CoV-2 et ont propagé par inadvertance la maladie, ou qu'elle a été intentionnellement libérée.

    Le rapport de l'équipe australienne, Comparaison in silico des affinités de liaison de la protéine de pointe SARS-CoV-2-ACE2 entre les espèces et des implications pour l'origine du virus, peut être trouvé dans la revue Scientific Reports.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-19-very-well-adapted-specifically-infect-humans-study

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    Réponses
    1. Je rappelle qu'une maladie est transmise par microbes (expirés) et qu'un virus (nano-poussière métallique chargée) NE FAIT DONC PAS PARTIE DES VIVANTS ! Donc: NE MUTE PAS !
      S'il y a d'autres cas, des cas différents, CE SONT DE NOUVEAUX VIRUS largués par drones et non des petits ! des frères ou des sœurs de la grand-mère du virus premier !

      C'est pourquoi - dans le cas où vous n'avez pas attrapé le pompon au premier tour de manège - il vous est proposé un second tour GRATUIIIIIT ! avec LE masque obligatoire qui contient des millions de ponpons respirables ! Et, si votre organisme mal intentionné a osé vous défendre contre l'attaquant criminel qui vous aide à mourir, l'Etat vous propose de vous tendre la main ! Il vous la coupe ! Hahahaha ! Non là je rigole ! Il vous la pique ! Il vous injecte le Sérum-de-la-mort ! LE truc qui ne s'échappera pas de votre organisme !
      C'est un machin avec plein de petites choses dedans appelées 'nano-particules métalliques'. Et, au signal donné (par st G) toutes les personnes inoculées qui ont encore mal à s'asseoir: tomberont par terre raides mortes ! C'est pas beau çà ? Elle est pas belle la vie ? Allez quoi, laissez-vous faire ! Hey !... paaaaartez paaaas !

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  15. Un virologue de « vérification des faits » qui travaillait au laboratoire de Wuhan est soudainement ouvert à une hypothèse de fuite en laboratoire


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 28 JUIN 2021 - 13:40


    Le dernier effort pour renforcer la théorie de l'origine naturelle du COVID-19 vient de Bloomberg, qui a publié une interview élogieuse de Danielle Anderson – une virologue australienne qui a travaillé côte à côte avec les meilleurs scientifiques de l'Institut de virologie de Wuhan, qu'elle a ensuite dirigé. pour - insistant à plusieurs reprises sur le fait que COVID-19 n'aurait pas pu s'échapper du laboratoire.

    En bref, Anderson admet maintenant que COVID-19 aurait pu s'échapper du laboratoire, mais maintient que le WIV a suivi les protocoles appropriés et qu'elle n'a vu aucun travailleur malade (malgré son départ en novembre, des semaines avant les maladies signalées) - un élément de preuve clé révélé par le Wall Street Journal.

    Cela dit, elle continue d'insister sur le fait que la pandémie avait une origine naturelle – au lieu de s'échapper du laboratoire de coronavirus de chauve-souris dans lequel elle travaillait, connu pour manipuler génétiquement les coronavirus de chauve-souris pour mieux infecter les humains, situé dans la ville où le coronavirus de chauve-souris infectant l'homme a éclaté.

    Pourtant, maintenant que l'hypothèse des fuites de laboratoire a été intégrée et que des dizaines de signataires d'une chape anti-fuites de laboratoire dans The Lancet ont pris leurs distances par rapport au document écrit par Peter Daszak, collaborateur (également en conflit) de Wuhan, le changement de ton d'Anderson pour permettre la possibilité qu'elle soit « démystifiée » à plusieurs reprises est hilarante.

    "Je ne suis pas assez naïve pour dire que j'annule absolument cela", dit-elle maintenant, tout en maintenant qu'il n'y a "aucune preuve" pour soutenir la possibilité la plus logique - par opposition à l'hypothèse d'origine naturelle qui n'a absolument aucune preuve pour la soutenir. .

    Anderson a admis qu'il serait théoriquement possible pour un scientifique du laboratoire de travailler sur une technique de gain de fonction pour s'infecter sans le savoir et ensuite infecter involontairement d'autres membres de la communauté. Mais il n'y a aucune preuve qui s'est produite et Anderson a évalué sa probabilité comme extrêmement mince. " -Bloomberg

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  16. Elle dit également que personne n'était malade lorsqu'elle est partie en novembre 2019, un mois avant que le département d'État américain ne déclare que trois scientifiques du WIV ont dû être hospitalisés après être tombés malades avec des symptômes de COVID-19. Anderson, cependant, prétend qu'elle aurait entendu des rumeurs si c'était vrai.

    "Il n'y a pas eu de bavardage", a-t-elle déclaré. "Les scientifiques sont bavards et excités. Il n'y avait rien d'étrange de mon point de vue à ce moment-là qui vous ferait penser que quelque chose se passe ici."

    Anderson a servi de « vérificateur de faits » sur Facebook – où elle a « démystifié » à plusieurs reprises la théorie des fuites de laboratoire. Cela a bien sûr fourni aux grandes technologies une justification «scientifique» pour étouffer tout débat sur la question. Elle a également « démystifié » un article du New York Post affirmant que « la Chine [a] un problème pour garder les agents pathogènes dangereux dans des tubes à essai où ils appartiennent, tout en colportant la théorie du marché humide désormais démystifiée dans un article qu'elle a co-écrit dans The Lancet. , qui se lit comme suit : « Tout en reconnaissant les efforts considérables déployés par l'équipe du CDC chinois dans la réponse précoce à l'épidémie de 2019-nCoV, le petit nombre de membres de l'équipe formés en santé animale était probablement l'une des raisons du retard dans l'identification d'un animal intermédiaire. (s), qui est susceptible d'avoir provoqué la propagation du virus dans une région du marché où des animaux sauvages ont été commercialisés et se sont par la suite avérés fortement contaminés. Malheureusement, quel (s) animal (s) a été impliqué dans la transmission reste inconnu."

    Curieusement, la faculté de médecine Duke-NUS de Singapour (répertoriée comme affiliée actuelle par ResearchGate) a supprimé la biographie d'Anderson, qui répertoriait pas moins de cinq collaborations avec le Dr Peng Zhou – un scientifique de Wuhan expérimentant sur le coronavirus de chauve-souris.

    Ainsi, Danielle n'a vraiment rien à ajouter si ce n'est qu'elle a changé de ton pour inclure la possibilité d'une évasion de laboratoire, tout en réitérant la même défense de ses collègues chinois.

    Sauf que l'utilisateur de Twitter @ Daoyu15 a apporté des reçus indiquant que le WIV " fuyait comme un tamis " (alors que Twitter continue de gifler des étiquettes d'avertissement rapporte Zero Hedge), ainsi qu'une analyse suggérant qu'" Le WIV s'est livré à une fraude concernant l'origine de l'échantillon."

    Il semble que les gens n'achètent pas ce que Bloomberg vend...

    Pendant ce temps, une équipe de chercheurs australiens vient de découvrir que le SRAS-CoV-2 semble être «uniquement adapté pour attaquer les cellules humaines», mais nous en reparlerons plus tard.

    https://www.zerohedge.com/political/fact-checking-virologist-who-worked-wuhan-lab-suddenly-open-lab-leak-hypothesis

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  17. Des scientifiques ont obscurci la source du virus de type COVID-19 stocké au laboratoire de Wuhan


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 28 JUIN 2021 - 18:10
    Rédigé par Jeff Carlson et Hans Mahncke via The Epoch Times


    Shi Zheng-li, directeur de l'Institut de virologie de Wuhan, est le fil conducteur à travers lequel de nombreux projets de recherche clés et expériences de gain de fonction sur les coronavirus sont connectés.

    Son travail montre un curieux schéma de tromperie retraçant ses publications de 2013 à 2020 dans lesquelles une source clé du coronavirus la plus étroitement liée à COVID-19 était cachée.

    En 2002, une épidémie d'un nouveau coronavirus nommé SRAS a entraîné la mort de 774 personnes dans le monde. Les enquêtes ont rapidement établi que le virus s'est propagé des chauves-souris aux civettes, puis aux humains.

    L'épidémie de SRAS allait façonner la carrière de Shi, passant de la recherche sur le terrain au travail dans des laboratoires de biosécurité de niveau 2 avant de culminer avec des expériences de gain de fonction dans le premier et le seul laboratoire de niveau 4 de Chine à Wuhan.

    Sa recherche de la source d'origine de l'épidémie de SRAS a commencé en 2004, lorsqu'elle a rejoint une équipe internationale de chercheurs pour collecter des échantillons de chauves-souris dans le sud de la Chine.

    Les premières recherches et travaux de Shi ont été décrits dans un article de 2005 dans lequel elle rapportait que « ces espèces de chauves-souris sont un hôte naturel de coronavirus étroitement liés à ceux responsables de l'épidémie de SRAS ».

    Shi et son équipe continueraient leur recherche de la source de l'épidémie de 2002 pendant des années et les échantillons collectés par son équipe ont été renvoyés à Wuhan pour analyse et expérimentation plus poussée.

    Le 12 décembre 2007, Shi et son équipe ont publié un article dans le Journal of Virology qui montrait comment les virus pouvaient être manipulés pour infecter et attaquer des cellules humaines à l'aide d'un pseudovirus basé sur le VIH. Cette expérience, financée par l'Académie chinoise des sciences, a été la première indication que le laboratoire de Shi à Wuhan acquérait les technologies et les compétences nécessaires pour manipuler les virus collectés dans la nature.

    En juin 2010, Shi a co-écrit un article montrant que son équipe s'était appuyée sur les expériences de 2007 en manipulant des spécimens supplémentaires de virus de chauve-souris et en testant leurs interactions avec les protéines de pointe du SRAS-CoV humain. Ils ont découvert que "l'altération de plusieurs résidus clés diminuait ou augmentait l'efficacité du récepteur ACE2 de chauve-souris". L'étude a de nouveau été financée par l'Académie chinoise des sciences.

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  18. En 2011 et 2012, Shi et son équipe ont mené une « enquête longitudinale de 12 mois » sur une colonie de chauves-souris en fer à cheval « à un seul endroit de la ville de Kunming, dans la province du Yunnan, en Chine ». Cet endroit unique était la grotte Shitou.

    Alors que Shi et son équipe menaient leur enquête dans la grotte de Shitou, un groupe indépendant de six travailleurs a commencé à nettoyer les excréments de chauves-souris d'un puits de mine de cuivre à Mojiang, Yunnan, à environ 200 miles du groupe de Shi, selon le Sunday Times.

    En avril 2012, selon le Wall Street Journal, ces six travailleurs sont tombés gravement malades d'une maladie semblable à une pneumonie qui a entraîné la mort de trois des hommes. Notamment, tous les rapports publics indiquent que le puits de la mine a été abandonné, mais aucun de ces mêmes rapports n'explique pourquoi les six mineurs étaient là pour nettoyer le puits.

    Il n'y a eu aucune mention dans les médias de cette étrange épidémie isolée, et comme le note le Sunday Times, il semble qu'il y ait eu un black-out médiatique autour de l'ensemble de l'incident.

    Shi et son équipe, déjà fortuitement dans la région pendant cette nouvelle épidémie, ont brusquement changé d'orientation et d'emplacement et ont passé les deux années suivantes à collecter des échantillons de chauves-souris situées dans la mine sur le site de Mojiang.

    Un virus qui aurait été trouvé dans l'un de ces échantillons s'est révélé plus tard être la correspondance connue la plus proche du virus qui cause le COVID-19.

    La découverte de cet échantillon viral particulier semble avoir été semblable à la découverte d'une aiguille dans une botte de foin. Bien que l'emplacement de Mojiang ait révélé de grandes quantités de coronavirus, un seul d'entre eux ressemblait au SRAS et aurait été trouvé dans un seul échantillon fécal. L'équipe de Shi a nommé le virus RaBtCoV/4991.

    Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance, a confirmé la découverte fortuite au Sunday Times, déclarant que «Ce n'était qu'une des 16 000 chauves-souris que nous avons échantillonnées. C'était un échantillon fécal, on l'a mis dans un tube, on l'a mis dans de l'azote liquide, on l'a ramené au labo. Nous avons séquencé un court fragment.

    On ne sait pas avec certitude si Daszak, qui a utilisé le financement des National Institutes of Health pour fournir au Wuthan Institute of Virology des subventions pour la recherche sur les coronavirus de chauve-souris, était présent sur le site de la mine de Mojiang, mais il est co-auteur d'un article décrivant les conclusions du groupe.

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  19. Articles scientifiques contradictoires de Shi Zheng-li

    L'histoire la plus complète se déroule dans un examen de cinq articles dans des revues scientifiques occidentales que Shi et ses collaborateurs de recherche ont publiés entre 2013 et 2020.

    Un oc. 30, 2013, un article écrit par Shi et Daszak a mis en évidence le tout premier « isolement et caractérisation d'un coronavirus de type SRAS de chauve-souris qui utilise le récepteur ACE2 ».

    Leur article a noté que leurs "résultats fournissent la preuve la plus solide à ce jour que les chauves-souris chinoises en fer à cheval sont des réservoirs naturels de SRAS-CoV, et que des hôtes intermédiaires peuvent ne pas être nécessaires pour une infection humaine directe par certains SL-CoV de chauve-souris".

    En d'autres termes, leur article de 2013 notait spécifiquement la possibilité d'une transmission directe à l'homme par les chauves-souris.

    Le document faisait également référence au « premier isolement enregistré » d'un coronavirus vivant semblable au SRAS connu sous le nom de WIV1 – apparemment un raccourci pour l'Institut de virologie de Wuhan 1. Le virus a été isolé à partir d'échantillons fécaux prélevés sur les chauves-souris en fer à cheval.

    À ce moment-là, Shi avait passé près de deux ans à collecter des échantillons de chauves-souris dans la mine de Mojiang. Dans ses articles scientifiques, notamment, aucune mention n'est faite de la mine, de l'épidémie de 2012, ni des mineurs ou de leur mort.

    Comme le note leur article de 2013, le groupe a affirmé que tous leurs résultats provenaient d'un « emplacement unique à Kunming, dans la province du Yunnan, en Chine », l'emplacement de la grotte de Shitou.

    Plus précisément, l'article de 2013 de Shi, ainsi qu'un article de suivi en novembre 2015, semblaient cacher intentionnellement son travail de plusieurs années à la mine de Mojiang ainsi que le fait crucial que la mine, et non la grotte des chauves-souris à Kunming, était la véritable source de ce qui deviendrait le parent le plus proche du virus qui cause le COVID-19.

    L'article de 2015 écrit par Shi, avec Ralph Baric de l'Université de Caroline du Nord et d'autres, a revisité la présence du virus chez les chauves-souris en fer à cheval. Notamment, l'article ne précise pas directement l'emplacement d'où provient le virus, mais utilise plutôt une note de bas de page pour faire référence à l'article de 2013, qui affirmait que la source provenait d'un « emplacement unique à Kunming », l'emplacement de la grotte de Shitou.

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  20. L'article a noté qu'"un groupe de coronavirus de chauve-souris circulant de type SRAS montre un potentiel d'émergence humaine". Les chercheurs ont observé que certains des virus qu'ils ont trouvés « se répliquent efficacement dans les cellules primaires des voies respiratoires humaines ».

    Les chercheurs ont déclaré que leurs travaux "suggèrent un risque potentiel de réémergence du SRAS-CoV à partir de virus circulant actuellement dans les populations de chauves-souris".

    Mais encore une fois, tout comme son article de 2013, aucune référence à la mine de Mojiang comme source réelle n'a été faite.

    Cependant, en moins de trois mois, dans un suivi de l'article de novembre 2015, Shi et son équipe ont reconnu dans un article de février 2016 qu'ils avaient « mené une surveillance des coronavirus chez les chauves-souris dans un puits de mine abandonné du comté de Mojiang, province du Yunnan, Chine, de 2012 à 2013.”

    Dans ce même article, Shi a admis avoir obtenu un virus appelé RaBtCoV/4991 à partir de 276 sondes fécales de chauves-souris qui « ont été échantillonnées dans un puits de mine à Mojiang ». Comme nous le savons maintenant, le virus RaBtCoV/4991 s'est avéré être la correspondance connue la plus proche du virus qui cause COVID-19.

    Shi début février 2020 a renommé ce même virus en RaTG13, juste au début de la pandémie de COVID-19.

    Une base de données de virus de chauve-souris publiée par l'Académie chinoise des sciences - l'organisme parent de l'Institut de virologie de Wuhan - confirme que le virus RaBtCoV/4991 a été "découvert le 24 juillet 2013 dans le cadre d'une collection de coronavirus qui ont été décrits dans l'article de 2016 sur la mine abandonnée », a rapporté le Times.

    La base de données chinoise fait spécifiquement référence à l'article de Shi du 18 février 2016, qui mentionne le puits de mine à Mojiang, ainsi que la découverte de plusieurs coronavirus, y compris la nouvelle souche semblable au SRAS, mais ne fait aucune mention de l'épidémie respiratoire de 2012, ni des décès de mineurs qui en ont résulté.

    En 2017, Shi et son équipe se sont à nouveau concentrés sur la mine de Mojiang et sur la grotte de Shitou, affirmant que « nous avons effectué une surveillance longitudinale de cinq ans (avril 2011 à octobre 2015) sur les SARSr-CoV chez les chauves-souris de un seul habitat à proximité de la ville de Kunming, province du Yunnan, Chine »—la région où se trouve la grotte de Shitou.

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  21. Pour des raisons encore inconnues, toute mention de la mine de Mojiang où Shi et son équipe ont passé deux ans à collecter des échantillons de chauves-souris aboutissant à la découverte du parent connu le plus proche de COVID-19 a encore une fois été ostensiblement omise.

    L'un des co-auteurs de Shi sur les articles de 2017 et 2013, Lin-Fa Wang, s'est depuis fait connaître en tant que fervent partisan de la théorie des origines naturelles. Wang, membre de l'équipe d'intervention d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé pour l'épidémie de COVID-19, a discuté de la question du financement avec National Geographic en juin 2020, notant qu'en ce qui concerne les maladies infectieuses, "les gens ne réalisent jamais qu'il y a un retour énorme". Wang a poursuivi, déclarant que « lorsque nous avons évité de petites épidémies, les gens s'en moquent. Cela n'attire pas l'attention des médias. »

    Wang, qui collabore avec Shi depuis au moins 2005, a terminé en posant une question rappelant l'épidémie de 2012 à la mine de Mojiang :

    « À Wuhan, si trois personnes mouraient et que c'était contrôlé, le saurions-nous ? Non. Cela se produit tout le temps, c'est juste dans les villages reculés où les gens meurent. Vous les enterrez et fin de l'histoire, n'est-ce pas ?

    Parmi les nombreux articles écrits concernant leur travail pluriannuel, seul l'article de 2016 reconnaît l'existence de la mine de Mojiang. Et, encore une fois, Shi ou son équipe ne font nulle part mention de l'épidémie réelle et de la mort de trois des six mineurs infectés.

    La possession depuis des années par Shi du virus trouvé dans la mine de Mojiang a été soudainement mise en évidence le 3 février 2020, lorsque Shi et ses collaborateurs ont publié un nouvel article, déclarant que les scientifiques du laboratoire de Wuhan avaient un lien étroit avec le virus qui cause le COVID. -19.

    [Shi] a appelé ce virus RaTG13, un nom qui n'apparaissait auparavant dans aucun de ses articles. L'article de 2020 était notamment vague sur les origines de ce nouveau virus, déclarant simplement qu'il "avait déjà été détecté chez Rhinolophus affinis de la province du Yunnan". Comme des chercheurs indépendants l'ont découvert plus tard en comparant les séquences du génome des bases de données chinoises archivées, le virus auquel Shi a fait référence en 2020 était en fait RaBtCoV/4991, le virus qui a été extrait de la mine de Mojiang en 2012 et dont il a été question en 2016.

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  22. En novembre 2020, alors que d'autres faits étaient découverts concernant l'origine du virus, Shi a soudainement ajouté un addendum à son article de février 2020, admettant enfin que le plus proche parent connu de COVID-19 était venu de la mine de Mojiang. Shi, cependant, a qualifié la mine de Mojiang de « grotte de mine » et de « grotte », brouillant une fois de plus les frontières entre la mine de Mojiang et la grotte de Shitou située à 200 miles.

    Dans cet addendum, Shi a reconnu qu'elle avait renommé le virus de RaBtCoV/4991 en RaTG13, soi-disant afin de « refléter l'espèce de chauve-souris ». Cependant, la désignation précédente et la nouvelle désignation portent les lettres « RA », qui signifient Rhinolophus affinis, le terme latin désignant les chauves-souris en fer à cheval intermédiaires.

    Notamment, l'article de Shi en 2020 alléguait également que la pandémie avait « commencé à partir d'un marché local de fruits de mer ». Cette fausse affirmation, qui a été réfutée, n'a pas été abordée dans l'addendum de Shi.

    Bien qu'on ne sache pas encore précisément pourquoi Shi a obscurci les véritables origines de RaBtCov/4911 et obscurci sa découverte de 2013, il est indéniable que Shi a gardé discrètement le parent connu le plus proche de COVID-19 dans son laboratoire de Wuhan pendant au moins sept ans et n'a pas réussi à aborder les véritables origines de sa découverte.

    Jeff Carlson et Hans Mahncke sont co-animateurs de l'émission Truth Over News sur EPOCH TV.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/scientists-obfuscated-source-covid-19-virus-stored-wuhan-lab

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    1. Comme tous les autres animaux de la Terre l'être humain respire des milliards de milliards de nano-particules métalliques chargées et consomme aussi ces milliards de milliards de nano-particules métalliques chargées. Mais, chez les animaux comme chez les humains, certains organismes sont malades, faibles et pas du tout apte à se défendre contre une attaque extérieure. Certains en soufrent, d'autres en meurent. C'est aussi le cas pour les insectes et pour les plantes qui poussent mal et qui meurent.
      Cela fait beaucoup d'alternatives, de directions différentes et surtout de complexités pour nous difficiles à comprendre.

      Est-ce que la présence d'un virus dans un organisme peut affaiblir ou tuer des cellules nécessaires à telle ou telle défense ? Toujours est-il que dès réception faite une maladie transmissible émerge aux côtés de la nano-poussière métallique chargée.

      Mais, comme de nouveaux virus peuvent être créés en laboratoires, ces petits nouveaux seront - par exemple: complémentaire à la maladie provoquée par le premier virus. Mais, une maladie est soignable (en principe), pas un virus ! La dite nano-poussière est dont seulement encapsulée (batterie hyper protégée/isolée) afin que son rayon de radiation soit limité et les cellules hors champs. Cet encapsulage se fait par l'absorption d'une solution propre à envelopper le virus radioactif.

      Une nano-poussière métallique ne conserve sa charge électrique que durant 3 semaines. Si elle en est à sa dernière semaine quand vous la respirez, elle ne vous attaquera que durant quelques jours ou quelques heures.

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  23. Des chercheurs découvrent un mécanisme unique de « toile d'araignée » qui piège et tue les virus


    29 JUIN 2021
    par l'Université McMaster


    Des immunologistes de l'Université McMaster ont découvert un mécanisme jusqu'alors inconnu qui agit comme une toile d'araignée, piégeant et tuant des agents pathogènes tels que la grippe ou le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19.

    Les chercheurs ont découvert que les neutrophiles, les globules blancs les plus abondants dans le corps humain, explosent lorsqu'ils se lient à de tels agents pathogènes recouverts d'anticorps et libèrent de l'ADN à l'extérieur de la cellule, créant un enchevêtrement collant qui agit comme un piège.

    Les résultats, publiés en ligne dans les Actes de la National Academy of Science, sont importants car on comprend mal comment les anticorps neutralisent les virus dans les voies respiratoires.

    La découverte a des implications pour la conception et l'administration des vaccins, y compris les technologies d'aérosols et de pulvérisations nasales qui pourraient aider le corps à prévenir les infections avant qu'elles n'aient une chance de s'installer.

    "Les vaccins peuvent produire ces anticorps qui sont présents dans nos poumons, qui sont le premier type d'anticorps à voir des virus comme la grippe ou COVID-19, qui infectent nos poumons et nos voies respiratoires", explique l'auteur principal de l'étude, Matthew Miller, professeur agrégé. à l'Institut Michael G. DeGroote de McMaster pour la recherche sur les maladies infectieuses et au Nexus mondial du Canada pour les pandémies et les menaces biologiques. "Les mécanismes qui peuvent arrêter l'infection à l'endroit où elle pénètre dans notre corps peuvent empêcher la propagation et les complications graves."

    En comparaison, les vaccins injectables sont conçus pour renforcer les anticorps dans le sang, mais ces anticorps ne sont pas aussi répandus sur les sites où commence l'infection.

    "Nous devrions réfléchir attentivement aux vaccins COVID-19 de prochaine génération qui pourraient être administrés dans les voies respiratoires pour stimuler les anticorps. Nous n'avons actuellement pas beaucoup de candidats qui se concentrent sur l'augmentation de la réponse muqueuse", déclare Hannah Stacey, diplômée. étudiante au Miller Lab et auteure principale de l'article, qui a récemment remporté une importante bourse nationale de la Société canadienne de virologie pour ses travaux sur COVID-19.

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  24. "Si vous voulez beaucoup de ces anticorps qui sont vraiment abondants dans le sang, alors les injections ont le plus de sens, mais si vous voulez des anticorps qui sont abondants dans les voies respiratoires, alors un spray ou un aérosol a du sens", dit-elle.

    Les chercheurs avertissent que, bien que le mécanisme de la toile d'araignée du corps ait le potentiel d'être extrêmement bénéfique, il peut également causer des dommages, notamment une inflammation et d'autres maladies lorsque la formation de la toile est incontrôlable.

    Ils soulignent les premières vagues de la pandémie, avant les vaccinations, lorsque ces TNE, ou pièges extracellulaires neutrophiles, ont été trouvés dans les poumons de certains patients et ont rendu leur respiration plus difficile.

    "Une réponse immunitaire destinée à vous protéger peut finir par vous nuire si elle n'est pas correctement contrôlée", explique Miller. "Il est important de comprendre l'équilibre du système immunitaire. Si vous avez beaucoup de ces anticorps avant d'être infecté, ils vont probablement vous protéger, mais si l'infection elle-même stimule beaucoup de ces anticorps, cela pourrait être nocif."

    https://medicalxpress.com/news/2021-06-unique-spider-web-mechanism-viruses.html

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  25. Théorie de la fuite du laboratoire du virus de la Covid : une séquence génétique « rare » ne signifie pas que le virus a été créé de toutes pièces


    28 Juin 2021
    par Seppi
    Keith Grehan et Natalie Kingston*


    La théorie selon laquelle la pandémie de Covid-19 a été déclenchée par la fuite du virus Sars-CoV-2 de l'Institut de Virologie de Wuhan, en Chine, a récemment été relancée par un article explosif du Wall Street Journal (WSJ) dans lequel les auteurs affirment que « la raison la plus convaincante de favoriser l'hypothèse de la fuite du laboratoire est fermement ancrée dans la science ». Mais la science soutient-elle vraiment l'affirmation selon laquelle le virus a été fabriqué en laboratoire ?

    Comprendre l'origine d'une épidémie virale peut fournir aux scientifiques des informations importantes sur les lignées virales et permettre de mettre en place des mesures pour éviter des épidémies similaires à l'avenir. À ce titre, l'origine du virus Sars-CoV-2 a été débattue dès le début de la pandémie et reste un sujet de discussion actif parmi les scientifiques.

    On sait depuis longtemps que les chauves-souris abritent des virus similaires au Sars-CoV original qui cause le SRAS. Ces virus sont bien étudiés en Chine, d'où est partie l'épidémie de SRAS de 2002. Mais des virus apparentés ont été découverts dans le monde entier.

    Sans surprise, les coronavirus sont à nouveau impliqués dans une pandémie, le troisième événement de ce type au XXIe siècle – d'abord le SRAS, puis le Mers, maintenant la Covid-19. Si une origine naturelle semble probable – et de nombreuses personnes ont depuis longtemps mis en garde contre le danger des virus circulant dans la nature – les scientifiques ne doivent pas tirer de conclusions hâtives.

    Un moyen important pour les scientifiques de déterminer l'origine d'un virus est d'examiner son génome. Dans l'article du WSJ, les auteurs, le professeur Richard Muller, astrophysicien, et le docteur Steven Quay, médecin et directeur général d'Atossa Therapeutics, affirment que le virus Sars-CoV-2 présente les « empreintes génétiques » d'un virus provenant d'un laboratoire. Ils affirment que la présence d'une séquence génétique particulière (CGG-CGG) est le signe que le virus provient d'un laboratoire.

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  26. Pour comprendre les affirmations des chercheurs, il faut d'abord comprendre le code génétique. Lorsqu'un virus infecte une cellule, il détourne la machinerie cellulaire, fournissant des instructions (génome) pour produire davantage de copies de lui-même. Ce génome est constitué d'une longue série de molécules appelées nucléotides, chacune d'entre elles étant représentée par les lettres A, C, G ou U.

    Un groupe de trois nucléotides (appelé codon) donne l'instruction à une cellule de fabriquer un acide aminé, le composant moléculaire le plus fondamental des êtres vivants [ma note : c'est faux. L'instruction est d'ajouter un acide aminé particulier à une chaîne, une protéine, en construction, ou de commencer ou terminer l'assemblage]. La plupart des acides aminés sont codés par plusieurs codons différents. CGG est l'un des six codons possibles qui donnent l'instruction à la cellule d'ajouter l'acide aminé arginine.

    Les auteurs de l'article du WSJ soutiennent que le virus Sars-CoV-2 a été créé en laboratoire en raison de la présence d'une séquence « CGG-CGG ». Ils affirment qu'il s'agit d'une paire de codons « facilement disponible et pratique » que les scientifiques préfèrent utiliser pour ajouter l'acide aminé arginine. Mais pour quiconque connaît les techniques requises pour la modification génétique, ce double-CGG n'est généralement pas plus difficile ou facile à produire que n'importe quelle autre paire de codons codant pour des arginines.

    Aucune raison pour que le CGG-CGG soit fabriqué en laboratoire

    Les auteurs affirment que le codon CGG apparaît moins fréquemment que les cinq autres codons possibles dans les bétacoronavirus (la famille des coronavirus à laquelle appartient le Sars-CoV-2). Si l'on considère les coronavirus apparentés, le codon CGG code pour environ 5 % de toutes les arginines du Sars-CoV, contre environ 3 % de toutes les arginines du Sars-CoV-2. Bien que le CGG soit moins courant que les autres codons, l'argument des auteurs ne fournit pas de raison pour laquelle la séquence double-CGG ne pourrait pas exister naturellement.

    Les auteurs affirment que la recombinaison (lorsque des virus qui infectent le même hôte partagent du matériel génétique) est la façon la plus probable dont le Sars-CoV-2 a pu obtenir la séquence double-CGG. Ils notent que la paire de codons double-CGG ne se trouve pas dans d'autres membres de cette « classe » de coronavirus, de sorte que la recombinaison naturelle ne pourrait pas générer un double-CGG. Cependant, les virus ne dépendent pas uniquement de segments préassemblés de matériel génétique pour évoluer et étendre leur gamme d'hôtes.

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  27. Les auteurs affirment également qu'il est peu probable que la mutation (erreur de copie aléatoire) génère la séquence double-CGG. Mais les virus évoluent à un rythme rapide, à tel point que l'accumulation de mutations est un inconvénient courant des études virologiques. La recombinaison est l'un des moyens par lesquels les virus évoluent, mais le rejet par les auteurs de la mutation comme source de changement viral est une description inexacte de la réalité.

    L'affirmation finale selon laquelle le premier virus Sars-CoV-2 séquencé était idéalement adapté à l'hôte humain néglige les preuves de la circulation virale dans les populations animales locales, la transmission d'animal à animal et l'évolution rapide qui est à l'origine de la transmissibilité croissante des variants les plus récents. Si le virus était idéalement adapté à l'homme, pourquoi une telle évolution serait-elle évidente ?

    Il est décevant de constater que de nombreux autres articles de presse (ici, ici, ici et ici)semblent avoir accepté et répété les affirmations de l'article du WSJ. L'origine du virus Sars-CoV-2 n'a peut-être pas été élucidée, mais aucun élément présenté dans l'article du WSJ ne soutient scientifiquement le concept d'une fuite d'un laboratoire d'un virus génétiquement modifié.
    _____________

    * Keith Grehan est chercheur postdoctoral en biologie moléculaire et Natalie Kingston est chargée de recherche en virologie, tous deux à l'Université de Leeds.

    Cet article a été initialement publié sur The Conversation.

    Source : COVID lab-leak theory: ‘Rare’ genetic sequence doesn’t mean the virus was engineered - Alliance for Science (cornell.edu)

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/theorie-de-la-fuite-du-laboratoire-du-virus-de-la-covid-une-sequence-genetique-rare-ne-signifie-pas-que-le-virus-a-ete-cree-de-toute

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    1. Depuis longtemps la virologue chinoise Li-Meng Yan nous a démontré la complexité du virus et de son impossibilité d'être issu du naturel (Il n'y a PAS de laboratoire caché au sein même du magma ou de chauve-souris surdouée !).

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  28. Il y a dix ans, la Chine s'inquiétait des armes biologiques génétiques fondées sur la race — Hello Biotech Cold War ?


    June 29th, 2021


    Pour toute personne formée en génétique, la nouvelle selon laquelle la Chine a mis en garde contre le potentiel d'armes biologiques génétiques basées sur la race en 2011 ne fait que déclarer ce que tout bon écrivain de science-fiction sait depuis des années. Mais le détail macabre peut aider à réveiller le reste du monde à l'idée "Et si". À quoi ressemblerait une nouvelle guerre froide biotechnologique, et ressemble-t-elle à ceci ?

    La Chine énonçait quelques recettes de curling des orteils : avertissant que la nouvelle biotechnologie pourrait augmenter la virulence des agents infectieux ; il pourrait neutraliser les antibiotiques et les vaccins, ou potentiellement rendre la population « cible » plus vulnérable en désactivant des gènes spécifiques. Théoriquement, les adversaires pourraient ajouter du matériel génétique secrètement. Que diriez-vous d'une « thérapie génique » involontaire dans un système de climatisation près de chez vous ?

    Mais bon, ils ne faisaient que spéculer, n'est-ce pas ?

    Curieusement, un gars appelé Miles Yu travaillait pour Mike Pompeo, le conseillant sur la Chine, et il a évoqué l'existence de la soumission chinoise avec le département d'État américain en décembre dernier. Pompeo a ordonné une enquête, mais ils n'ont pas pu trouver de copie de la soumission originale de la Chine à l'époque (ce n'est qu'une convention mondiale des Nations Unies, n'est-ce pas ?). Mais lorsque Joe Biden a prêté serment, l'enquête a été close. (Ils ne l'appellent pas Xiden pour rien. ) Mais Sharri Markson, ou quelqu'un de The Australian, l'a trouvé.

    Et M. Yu a dit : « ça me fait froid dans le dos ».

    Comment se passe ce Traité des Nations Unies contre les armes biologiques ?
    La déclaration de 2011 de Pékin à l'ONU, la Convention sur les armes biologiques, se lit de manière plutôt effrayante avec le recul. Bien que l'Australien ne suggère pas que Covid-19 était une arme biologique ou que la Chine a mené une attaque.

    Avertissement de la Chine sur les virus artificiels
    de Sharri Markson et Jack Hazelwood, L'Australien

    Le gouvernement chinois a admis que les recherches visant à créer des virus artificiels constituaient « une énorme menace latente pour l'humanité » – et a déclaré que « des erreurs accidentelles dans les laboratoires de biotechnologie peuvent mettre l'humanité en grand danger »…

    Les autorités chinoises ont également évoqué la « menace accrue des armes biologiques » et discuté de l'utilisation de virus comme « armes génétiques », affirmant que la biologie des systèmes « peut également créer le potentiel d'armes biologiques sur la base des différences génétiques entre les races »…

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  29. ..la recherche pourrait « augmenter considérablement le pouvoir destructeur des armes biologiques » en « rendant les attaques biologiques plus furtives ».

    Il y a donc eu la Chine en 2011 admettant à la Convention sur les armes biologiques qu'il pourrait y avoir des difficultés à se conformer aux règles. Voilà pour les accords des États parties de l'ONU qui sont nés d'une déclaration de 1972 et qui sont maintenant un traité majeur qui est révisé tous les cinq ans.

    En 2016, la Chine parlait d'un problème plus sophistiqué :

    Il indique que « des gènes ou des virus étrangers peuvent être introduits dans la population cible de manière asymptomatique au moyen de vecteurs de thérapie génique, permettant à une attaque d'arme biologique d'être montée secrètement ».

    Cela pourrait signifier un événement en deux étapes où la première étape introduisait silencieusement une section de code à une population cible, qui pourrait être utilisée plus tard.

    Et des aveux comme celui-ci en 2016 sont un peu gênants avec les protestations de 2020 selon lesquelles les fuites de laboratoire n'ont pas besoin d'enquête :

    « Les erreurs accidentelles dans les laboratoires de biotechnologie peuvent mettre l'humanité en grand danger », déclare-t-il.

    Ok.

    Levez la main qui pense que les inspecteurs de l'ONU seraient en mesure d'empêcher les laboratoires gouvernementaux clandestins de créer la peste noire 2.0 même si les inspecteurs de l'ONU voulaient…

    Même s'ils disposaient d'un organisme de mise en œuvre pour évaluer la conformité, ce qui n'est pas le cas, ils auraient également besoin d'un processus d'application.

    Il est temps d'abandonner l'ONU et de prendre au sérieux l'évaluation de la menace et la manière d'y répondre.

    Juste une autre guerre froide
    Les armes sont différentes, mais les règles restent les mêmes.

    Traduisez quelques tactiques de la dernière guerre froide :

    Premièrement, il y a toujours la dissuasion – les nations qui se conduisent mal ont besoin de ressentir un peu de chaleur.

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  30. Nous n'avons pas besoin de savoir si le virus a été délibérément libéré, nous savons déjà que la Chine n'a pas joué le bon citoyen du monde en avertissant le monde et en arrêtant la propagation en janvier 2020, alors qu'il aurait pu être arrêté si facilement. Les sanctions mondiales en matière de commerce et de voyage constituent une menace pour un leadership corrompu. Il devrait y avoir un prix lorsqu'une nation ne signale pas une nouvelle contagion avec honnêteté et ouverture.

    Deuxièmement, il y a la première partie de la course aux armements biotechnologiques – Vous avez un méchant virus, nous en avons 1 000 : la doctrine MAD pendant la guerre froide signifiait que les deux parties avaient des armes obscènes puissantes à déployer. Le problème était et est que les armes destructrices détruisent parfois. Des accidents nucléaires se produisent, de même que des fuites de laboratoires. Ce n'est pas un monde de douceur et de lumière dans lequel vivre. Mais cela pourrait ralentir une nation tentée d'afficher une nouvelle variole.

    Troisièmement, il y a la deuxième partie de la course aux armements : Construisez la « Guerre des étoiles » de la biotechnologie : pour chaque virus méchant, il y aura des moyens d'intercepter. Alors que la Chine rêvait d'armes biologiques en 2011, je conseillais de laisser tomber les fantasmes des énergies renouvelables propres et vertes et de nous lancer à la place dans la vraie révolution médicale. Tout cet argent en moulins à vent et en électrons verts coûteux pourrait être dépensé pour soigner des maladies.

    Nous avons besoin d'une maîtrise de la science médicale. Cela signifie trouver des moyens plus rapides de détecter de nouveaux virus et créer des outils moléculaires qui hachent les séquences virales. Nous pouvons déjà dépister les produits chimiques antiviraux bon marché en quelques semaines (bien que nous puissions vouloir nettoyer la bureaucratie médicale qui nous empêche de les utiliser). Nous pourrions devenir très bons avec CRISPR et aller directement dans les cellules et couper le code incriminé, ou nous pourrions inonder le code d'ARN anti-sens qui colle aux séquences incriminées et les rend inoffensifs. Ensuite, il y a des anticorps monoclonaux, ou des nanocorps qui font le travail que notre système immunitaire est censé faire, mais en laboratoire, préparés à l'avance, plutôt que d'attendre que cela se produise dans un corps malade.

    Nous avons tellement d'outils, mais en ce moment, ce sont les avions et les canons d'avant la Première Guerre mondiale.

    Le Covid est une arme biotechnologique pour bébé. Les prochains pourraient être tellement plus méchants.

    Virus Ebola, micrographie électronique
    Virus Ebola bourgeonnant à partir d'une cellule rénale de singe vert d'Afrique. Auteur BernbaumJG

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  31. LES RÉFÉRENCES

    Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction, UNODA, Bureau des affaires de désarmement des Nations Unies.

    https://www.mofa.go.jp/policy/un/disarmament/bwc/conf1112.pdf

    https://joannenova.com.au/2021/06/ten-years-ago-china-was-worried-about-race-based-genetic-bioweapons-hello-biotech-cold-war/

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    1. Si, dans mon laboratoire ultra-secret je démontre que 1 + 1 = 2 combien de pays au monde sont capables d'en faire autant ?
      Si je découvre que 3 + 2 = 5 combien de pays au monde sont en avance ou en retard sur mon invention ?

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  32. Une nouvelle molécule découverte dans des feuilles de châtaignier désarme les dangereuses bactéries staphylocoques


    par Carol Clark, Université Emory
    28 JUIN 2021


    Les scientifiques ont isolé une molécule, extraite des feuilles du châtaignier européen, ayant le pouvoir de neutraliser les bactéries staphylocoques dangereuses et résistantes aux médicaments. Frontiers in Pharmacology a publié la découverte, dirigée par des scientifiques de l'Université Emory.

    Les chercheurs ont baptisé la molécule Castaneroxy A, d'après le genre du châtaignier européen Castanea. L'utilisation de feuilles de châtaignier dans les remèdes populaires traditionnels de l'Italie rurale a inspiré la recherche.

    "Nous avons pu isoler cette molécule, nouvelle pour la science, qui ne se produit qu'en très petites quantités dans les feuilles de châtaignier", explique Cassandra Quave, auteur principal de l'article et professeur agrégé au Emory's Center for the Study of Human Health and the School. du service de dermatologie de la médecine. "Nous avons également montré comment il désarme le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline en éliminant la capacité de la bactérie à produire des toxines."

    Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) provoque des infections difficiles à traiter en raison de sa résistance aux antibiotiques. C'est l'une des maladies infectieuses les plus préoccupantes au monde, qualifiée de "menace sérieuse" par les Centers for the Disease Control and Prevention. Aux États-Unis seulement, près de 3 millions d'infections résistantes aux antibiotiques surviennent chaque année aux États-Unis, tuant plus de 35 000 personnes.

    Les antibiotiques agissent en tuant les bactéries staphylococciques, ce qui peut entraîner une plus grande résistance parmi les quelques bactéries qui survivent, engendrant des "super-insectes". Le laboratoire Quave a identifié des composés du poivrier brésilien, en plus du châtaignier européen, qui neutralisent simplement les effets nocifs du SARM, permettant aux cellules et aux tissus de guérir naturellement d'une infection sans augmenter la résistance.

    "Nous essayons de remplir le pipeline de découverte de médicaments antimicrobiens avec des composés qui fonctionnent différemment des antibiotiques traditionnels", a déclaré Quave. « Nous avons un besoin urgent de ces nouvelles stratégies. Elle note que les infections antimicrobiennes tuent environ 700 000 personnes dans le monde chaque année et que ce nombre devrait augmenter de façon exponentielle si de nouvelles méthodes de traitement ne sont pas trouvées.

    Le premier auteur de l'article Frontiers in Pharmacology est Akram Salam, qui a effectué la recherche en tant que doctorant. étudiant au laboratoire Quave dans le cadre du programme d'études supérieures en systèmes moléculaires et en pharmacologie d'Emory.

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  33. Quave est un ethnobotaniste médical qui fait des recherches sur les remèdes traditionnels à base de plantes pour trouver des pistes prometteuses pour de nouveaux médicaments. Bien que de nombreux médicaments majeurs soient à base de plantes, de l'aspirine (l'écorce du saule) au Taxol (l'écorce de l'if du Pacifique), Quave est l'un des rares ethnobotanistes à se concentrer sur la résistance aux antibiotiques.

    L'histoire derrière le présent document a commencé il y a plus d'une décennie, lorsque Quave et ses collègues ont recherché des rapports écrits et mené des centaines d'entretiens sur le terrain parmi des habitants des régions rurales du sud de l'Italie. Cela les a dirigés vers le châtaignier européen, ou doux, originaire d'Europe du Sud et d'Asie Mineure. "En médecine traditionnelle italienne, une compresse de feuilles bouillies est appliquée sur la peau pour traiter les brûlures, les éruptions cutanées et les plaies infectées", explique Quave.

    Quave a ramené des spécimens à son laboratoire pour analyse. En 2015, son laboratoire a publié la découverte qu'un extrait des feuilles désarmait même les souches hypervirulentes de SARM capables de provoquer des infections graves chez les athlètes en bonne santé. Des expériences ont également montré que l'extrait ne perturbait pas les bactéries normales et saines sur les cellules de la peau.

    Enfin, les chercheurs ont démontré le fonctionnement de l'extrait, en inhibant la capacité des bactéries SARM à communiquer entre elles, un processus connu sous le nom de quorum sensing. Le SARM utilise ce système de signalisation de détection pour fabriquer des toxines et augmenter sa virulence.

    Pour le présent article, les chercheurs ont voulu isoler ces ingrédients actifs de l'extrait de plante. Le processus est laborieux lorsqu'il est effectué manuellement, car les extraits de plantes contiennent généralement des centaines de produits chimiques différents. Chaque produit chimique doit être séparé puis testé pour son efficacité. Des collecteurs de fractions à grande échelle, couplés à des systèmes de chromatographie liquide haute performance, automatisent ce processus de séparation, mais ils peuvent coûter des dizaines de milliers de dollars et n'avaient pas toutes les fonctionnalités dont le laboratoire Quave avait besoin.

    Marco Caputo, un spécialiste de la recherche au laboratoire, a résolu le problème. À l'aide d'un logiciel provenant d'un jouet d'enfant, du créateur du robot LEGO MINDSTORMS, de quelques briques LEGO et de certains composants d'une quincaillerie, Caputo a construit un séparateur de liquide automatisé adapté aux besoins du laboratoire pour 500 $. Les membres du laboratoire ont surnommé l'invention le collecteur de fractions LEGO MINDSTORMS. Ils ont publié des instructions sur la façon de le construire dans un journal afin que d'autres chercheurs puissent exploiter la technologie simple, mais efficace.

    Le laboratoire Quave a d'abord séparé un groupe de molécules de l'extrait végétal, les triterpénoïdes de cycloartane, et a montré pour la première fois que ce groupe bloque activement la virulence du SARM. Les chercheurs ont ensuite plongé plus profondément, séparant la molécule la plus active de ce groupe, désormais connue sous le nom de Castaneroxy A.

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  34. "Notre pièce d'équipement maison a vraiment contribué à accélérer le rythme de notre découverte", a déclaré Quave. "Nous avons pu isoler cette molécule et en dériver des cristaux purs, même si elle ne représente que 0,0019 % des feuilles de châtaignier."

    Des tests sur la peau de souris infectée par le SARM, menés dans le laboratoire du co-auteur Alexander Horswill à l'Université du Colorado, ont confirmé l'efficacité de la molécule à arrêter la virulence du SARM, permettant à la peau de guérir plus rapidement.

    Le co-auteur John Bacsa, directeur du centre de cristallographie aux rayons X du département de chimie d'Emory, a caractérisé la forme cristalline de Castaneroxy A. Comprendre la configuration tridimensionnelle du cristal est important pour les futures études visant à affiner et optimiser la molécule en tant que potentiel thérapeutique.

    "Nous jetons les bases de nouvelles stratégies pour lutter contre les infections bactériennes au niveau clinique", a déclaré Quave. "Au lieu d'être trop préoccupés par le traitement de l'agent pathogène, nous nous concentrons sur des moyens de mieux traiter le patient. Notre objectif n'est pas de tuer les microbes mais de trouver des moyens de les affaiblir afin que le système immunitaire ou les antibiotiques soient mieux en mesure de se débarrasser une infection."

    https://phys.org/news/2021-06-molecule-chestnut-dangerous-staph-bacteria.html

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  35. Prix du gaz : attention danger

    La France étant dépendante à 99 % de ses importations de gaz, l’opérateur Engie s’est vu obligé de répercuter cette flambée des prix du gaz sur la facture des particuliers.


    Par Philippe Charlez.
    29 JUIN 2021


    La Commission de régulation de l’énergie a annoncé vendredi 25 juin que le tarif du gaz allait augmenter de 10 % au premier juillet. Une douche froide pour les consommateurs toujours très irrités quand ils voient leur facture énergétique augmenter.

    Est-il nécessaire de rappeler que le mouvement des Gilets jaunes avait comme origine l’augmentation du prix des carburants ?

    Cette forte hausse est en grande partie liée à l’augmentation des prix du gaz en Europe faisant suite à l’accroissement du prix du pétrole. Rappelons en effet que contrairement au pétrole, le gaz se transporte mal.

    De ce fait, il est préférentiellement consommé localement ou régionalement (70 % des volumes mondiaux). À l’export il est soit transporté onshore par gazoduc (20 % des volumes mondiaux) soit par voie maritime (méthaniers) après avoir été liquéfié sous forme de GNL1 (10 % des volumes mondiaux).

    En conséquence, alors que le marché du pétrole est mondial, il existe trois grands marchés internationaux du gaz (États-Unis, Europe et Asie) sur lesquels les prix peuvent différer significativement.

    Le prix du gaz américain (aussi appelé Henry Hub) est contrôlé par un marché spot qui évolue quotidiennement suivant la demande : prix plus élevés en hiver quand les demandes électriques et gazières sont hautes et prix plus bas en été quand les demandes se réduisent. En revanche, les États-Unis étant (grâce notamment à leur production de gaz de schiste) autosuffisants en gaz, le Henry Hub est décorrélé des prix du pétrole.

    En Europe et en Asie au contraire, les importations de gaz, principalement par gazoduc en provenance de Russie et de Norvège mais aussi sous forme de LNG en provenance d’Algérie, du Nigéria et du Qatar, sont négociées sous forme de contrats long terme (20 ans en moyenne) avec les États producteurs. Ces contrats garantissent au producteur l’accès à un marché sur de longues périodes ; en contrepartie il garantit au consommateur l’approvisionnement sur la même période. Ces contrats étant généralement indexés sur le prix du baril de pétrole, on comprend pourquoi depuis le creux de l’année dernière faisant suite au premier confinement, les prix du gaz se sont mis à flamber comme ceux du pétrole, le baril frôlant les 80 dollars en fin de semaine dernière.

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  36. La France étant dépendante à 99 % de ses importations de gaz, l’opérateur Engie s’est donc vu obligé de répercuter cette flambée des prix du gaz sur la facture des particuliers.

    Comme le baril de pétrole, les prix du gaz ayant fortement baissé durant la crise depuis début 2020 l’augmentation n’aura finalement été que de 1,1 %.

    prix du gazPour les pays européens dont l’électricité est fortement gazière (Italie, Espagne, Royaume-Uni), la punition sera double : parallèlement à l’augmentation du prix du gaz, les consommateurs subiront aussi une augmentation significative du prix du MWh. En France, le gaz ne représentant qu’une très faible fraction de la génération électrique, la répercussion sur le prix du MWh devrait être insignifiante.

    Cet épisode doit nous inciter à une très grande prudence quant à l’évolution de la composition du mix électrique.

    La volonté idéologique des Verts français mais aussi belges et allemands de sortir du nucléaire pour foncer tête baissée dans les renouvelables intermittents aura comme inévitable conséquence d’accroître de façon importante la part du gaz dans la génération électrique future.

    Contrairement au nucléaire pour lequel le coût du combustible (l’uranium) ne joue que marginalement (5 %) sur le prix du MWh, le coût du gaz impacte à hauteur de 70 % le tarif du MWh gazier.

    En réduisant le nucléaire au profit du gaz, la France augmenterait non seulement ses émissions de GES (ce qui est contraire au résultat recherché) mais fragiliserait son indépendance énergétique en se plaçant de facto à la merci de marchés gaziers et pétroliers extrêmement fluctuants. Des données factuelles qui devraient faire réfléchir nos hommes politiques à neuf mois de l’élection présidentielle.

    1 - Gaz Naturel Liquéfié ↩

    https://www.contrepoints.org/2021/06/29/400554-prix-du-gaz-attention-danger

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  37. La chasse à la glu déclarée illégale par la justice


    le 28/06/2021 à 15:10 - Mise à jour à 16:19



    La chasse à la glu a définitivement été jugée illégale lundi par la plus haute juridiction administrative française, mettant un terme à des années de bataille entre partisans et adversaires de cette méthode controversée.

    Après avoir interrogé la justice européenne, qui avait estimé en mars que cette technique de piégeage cause un dommage "irrémédiable" à tous les oiseaux capturés, le Conseil d'Etat a définitivement annulé les dérogations accordées par l'Etat pour cette chasse, jugée "contraire au droit européen".

    Cette méthode de chasse dite "traditionnelle" est pratiquée dans cinq départements du sud-est de la France (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Vaucluse et Var).

    Destinée aux grives et aux merles, elle consiste à piéger des oiseaux sur des tiges enduites de colle, appelées gluaux. Les oiseaux ainsi capturés sont mis en cage et servent, en chantant, à en attirer d'autres pour les chasseurs.

    Mais les défenseurs de l'environnement se battent depuis des années en justice pour la faire interdire, dénonçant une méthode "cruelle" et non-sélective qui conduit à la capture d'autres oiseaux que ceux visés, y compris des espèces protégées.

    Les chasseurs assurent que les oiseaux capturés par erreur sont nettoyés et relâchés.

    Saisi à de nombreuses reprises pour faire annuler les décrets gouvernementaux accordant des dérogations permettant cette chasse au motif de la tradition, le Conseil d'Etat avait fini par se tourner vers la Cour de justice de l'Union européenne, pour savoir si elle était conforme à la directive "oiseaux" de l'UE.

    La CJUE avait répondu en mars que "en dépit d'un nettoyage, les oiseaux capturés subissent un dommage irrémédiable, les gluaux étant par nature susceptibles d'endommager le plumage de tous les oiseaux capturés", rendant dès lors prévisible son interdiction par la justice administrative française. Qui a donc rendu lundi une série de décisions dans des affaires pendantes annulant la règlementation dérogatoire française.

    La Conseil relève dans un communiqué que "ni le Gouvernement, ni la fédération de chasseurs, n'ont apporté de preuves suffisantes" permettant d'affirmer que d'autres espèces ne sont pas piégées ou que "les oiseaux capturés accidentellement ne subiraient que des dommages négligeables, une fois relâchés et nettoyés".

    Par ailleurs, il estime que "le seul objectif de préserver ces traditions ne suffit pas à justifier une dérogation aux interdictions de principe que pose la directive" européenne et qu'il n'a pas été démontré qu'aucune alternative ne serait possible.

    https://www.francesoir.fr/actualites-france/la-chasse-la-glu-declaree-illegale-par-la-justice

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    1. Bientôt finis les pièges à loups, renards, ours, qui tuent pour bouffer la nourriture humaine ! Fini bientôt les horribles hameçons qui crochètent la gueule du poisson ! Faudra lire un verset de Marron avant d'écraser une mouche ou tuer un moustique !
      L'interdiction de manger arrive !
      Vous imaginez la carotte arrachée de terre ? Ses cris quand elle est coupée en morceaux ? Jetez dans l'eau bouillante !

      Escroquerie suivante ? Lire en dessous:

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  38. Un piège connecté venu de Camargue révolutionne la lutte anti-moustiques


    le 28/06/2021 à 16:01


    Cette solution promet de faire chuter localement la population de moustiques de 88%, sans dégâts écologiques

    L’arme ultime contre les moustiques a enfin été inventée, elle est connectée, elle vient de Camargue, et elle arrive juste à temps pour l’été. La start-up Aixoise Techno BAM, créée par deux amis d'enfance nés en Camargue, propose une idée révolutionnaire pour contrôler les moustiques : Qista, un appareil qui imite la respiration humaine pour attirer les moustiques et les capturer, pour enfin en finir avec les piqûres.

    Qista : une borne écologique et efficace

    En simulant la respiration humaine, donc une émission de gaz carbonique, Qista agit comme un leurre olfactif. La femelle moustique confond la borne avec une victime, et en voulant la piquer elle est aspirée dans un filet. Le système garantit une zone “mosquito-free” de 60 mètres de rayon. Cette solution promet de faire chuter localement la population de moustiques de 88 %, sans dégât écologique, car elle n’utilise aucun pesticide. Et pour ceux qui s'inquiètent de la protection des moustiques et de la biodiversité, pas d’inquiétude, car nous ne sommes pas près de les éradiquer, en raison de leur “super reproduction”, qui permet à chaque femelle de pondre jusqu’à 200 œufs en 48h.

    Des données collectées pour la recherche des maladies infectieuses

    Les bornes Qista sont déjà présentes dans 50 collectivités en France et dans 16 pays, notamment ceux qui doivent faire face aux maladies infectieuses transmises par les moustiques. En cas de surproduction de moustiques, les bornes connectées à Internet transmettent des données en temps réel permettant aux autorités locales d’agir. Grâce a un laboratoire, la start-up peut réaliser des tests PCR sur les moustiques collectés et repérer des maladies telles que la dengue, le zika, le chikungunya, le paludisme ou la fièvre jaune, ce qui permet d’alerter de possibles épidémies. La borne s’adresse plutôt aux collectivités, car le prix reste élevé pour un particulier qui souhaiterait s’équiper de cette technologie : il faut dépenser 1000 euros pour la borne et entre 300 et 600 euros par an pour les recharges de gaz carbonique.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/un-piege-connecte-venu-de-camargue-revolutionne-la-lutte-anti-moustiques

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    1. 1000 euros pour la borne + entre 300 et 600 €/an pour les recharges de gaz carbonique !

      HAHAHAHAHAHAHA !

      Notez bien que l'arnaque ne garantit pas zéro moustique !

      HAHAHAHAHAHAHA !

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  39. Un «dôme de chaleur» historique frappe le grand Ouest du Canada et des États-Unis


    10:51 29.06.2021


    Écoles et centres de vaccination contre le Covid-19 fermés, épreuves de sélection olympique décalées et habitants réfugiés dans des centres de «rafraîchissement»: l'Ouest du Canada et des États-Unis battait encore lundi de nouveaux records «historiques» de températures provoqués par un «dôme de chaleur» à l'intensité rarissime.

    À Portland (Oregon) et à Seattle (État de Washington), deux grandes villes du nord-ouest des États-Unis connues pour leur climat froid et humide, la température a atteint son plus haut niveau jamais enregistré depuis le début des archives, en 1940.

    Il a fait 46,1 degrés Celsius à l'aéroport de Portland lundi après-midi (après un record de 44,4 degrés la veille) et 41,6 degrés à celui de Seattle, selon les relevés effectués par le service météorologique américain (NWS).

    Mais c'est l'ouest du Canada qui détient encore la palme. À Lytton, village au nord-est de Vancouver, le record établi la veille a été battu: le mercure a grimpé lundi jusqu'à 47,9 degrés. La température la plus élevée jamais enregistrée au Canada avant cette vague de chaleur était de 45 degrés en 1937.

    Hausse des demandes de climatiseurs

    Dans la région, les climatiseurs et ventilateurs sont en rupture de stock. Des villes ont ouvert des centres de rafraîchissement. Des campagnes de vaccination contre le Covid-19 ont été annulées, et des écoles fermées.

    «Une vague de chaleur prolongée, dangereuse et historique persistera tout au long de cette semaine», a mis en garde Environnement Canada, émettant des alertes pour la Colombie-Britannique, l'Alberta et certaines parties de la Saskatchewan, des Territoires du nord-ouest et du Yukon, frontalier de l'Alaska.
    «Nous sommes le deuxième pays le plus froid du monde et le plus enneigé», donc peu habitué à cette «chaleur du désert, très sèche», a confié lundi à l'AFP David Phillips, climatologue en chef d'Environnement Canada.

    De l'autre côté de la frontière aussi, les Américains souffrent des températures étouffantes dans les États du nord-ouest. «Ce niveau de chaleur est extrêmement dangereux», mettait en garde NWS lundi.

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    1. Vancouver est à 'la même' latitude que Caen (Calvados. France).

      Rien de bien surprenant qu'un vent chaud émis depuis les sources chaudes océaniques d'à-côté monte momentanément les températures. (Gakona (AK) n'est pas loin

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  40. La technologie : une condition nécessaire au maintien de la vie rurale ?


    29 Juin 2021
    Michelle Miller, AGDAILY*


    Technologie et vie rurale. À première vue, surtout pour les citadins, ces termes ne semblent pas aller ensemble. Mais la vie rurale dépend-elle de la technologie pour se perpétuer ?

    Ruralité et agriculture vont de pair. L'agriculture, par nature, préserve de grandes étendues de terres pour produire des cultures et du bétail, ce qui empêche bien sûr leur transformation en zones urbaines et suburbaines. Dans tout le pays, les industries agricoles sont en difficulté, que ce soit en raison de la législation, des marchés des produits de base, des conditions météorologiques ou d'autres facteurs. Si l'agriculture est en difficulté, la vie rurale l'est aussi. La technologie est une condition nécessaire pour soutenir l'agriculture et maintenir la structure de la vie rurale.

    Les nouvelles avancées technologiques rendent les agriculteurs et les éleveurs plus rentables, les aident à résoudre les problèmes auxquels ils sont confrontés, améliorent la durabilité de l'agriculture et protègent ainsi le mode de vie rural. Des outils tels que les capteurs d'humidité du sol, la technologie GPS dans les équipements, l'intelligence artificielle et d'autres outils d'agriculture de précision ont permis aux agriculteurs et aux éleveurs de produire davantage avec moins de ressources. Augmenter le rendement des produits – qu'il s'agisse d'une récolte de tomates, de kilos de viande bovine ou de litres de lait – tout en réduisant les intrants physiques et financiers utilisés pour les créer contribue à rendre les agriculteurs plus rentables. Comme les industries agricoles ne sont généralement pas des industries « lucratives », chaque dollar supplémentaire gagné contribue à maintenir l'exploitation. La préservation de l'agriculture préserve intrinsèquement les zones rurales.

    De nombreux outils technologiques agricoles développés et utilisés aujourd'hui contribuent à résoudre les problèmes auxquels les agriculteurs sont confrontés. Le réservoir de main-d'œuvre dans l'agriculture est devenu un facteur de production de plus en plus problématique, de nombreuses exploitations n'étant pas en mesure d'embaucher des employés parce qu'elles 1) ne peuvent pas les trouver ou 2) ne peuvent pas les payer.

    Les outils tels que les robots de traite et les machines à nourrir les veaux dans les élevages laitiers, les outils de récolte mécanique dans la production de fruits et légumes, et même les colliers GPS pour les bovins de boucherie afin de surveiller leur santé sont devenus plus courants. En difficulté depuis plusieurs années, l'industrie laitière semble être l'une des industries qui a facilement adopté l'utilisation d'outils automatiques dans l'ensemble de ses activités et qui en a reconnu les avantages.

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  41. Ces outils contribuent à réduire le besoin de main-d'œuvre sur l'exploitation et permettent au personnel existant de consacrer du temps et des efforts à d'autres tâches. On s'inquiète souvent de l'automatisation et du fait que « les robots envahissent le monde », mais dans le secteur agricole, l'automatisation semble être devenue une nécessité pour la survie. Les étapes futures de la technologie agricole verront un mouvement plus fort vers l'automatisation – par exemple, de nouvelles moissonneuses-batteuses automatiques dotées d'intelligence artificielle ont été lancées récemment par plusieurs entreprises et des travaux sur les tracteurs sans conducteur sont en cours.

    Ces outils aident non seulement les agriculteurs à effectuer des tâches sur leur exploitation et à accroître la rentabilité, mais ils contribuent également à améliorer la perception et le soutien du public envers les industries agricoles. Bon nombre des outils mentionnés précédemment contribuent à réduire l'utilisation des ressources, en particulier l'eau et les engrais. La prise en compte des préoccupations liées à la durabilité environnementale a contribué à améliorer la perception du public depuis que ce sujet brûlant a commencé à affecter l'agriculture au cours de la dernière décennie.

    L'utilisation accrue d'outils technologiques dans le secteur de l'élevage a permis d'améliorer le bien-être des animaux, et des données concrètes sont produites dans les exploitations à travers les États-Unis pour prouver que les animaux sont en bonne santé et bien soignés. L'adoption de la technologie a facilité la vie du producteur, mais a également confirmé au public que les agriculteurs s'engagent à lui fournir une source de nourriture sûre et saine de la meilleure façon possible.

    L'accès à Internet est l'un des domaines technologiques qui aurait le plus d'impact sur les résidents ruraux. Une connexion internet fiable offre de nombreux avantages dans la vie, non seulement dans le domaine des loisirs comme l'accès aux services de streaming ou aux réseaux sociaux, mais aussi dans la capacité d'accéder à des informations éducatives en ligne, à des outils de gestion d'entreprise et à des outils technologiques agricoles liés à la production.

    Selon le Pew Research Center, seuls 63 % des habitants des zones rurales disposent au moins d'une connexion internet à haut débit à domicile, et 24 % supplémentaires déclarent que l'accès à l'Internet à haut débit est un problème majeur dans leur communauté.

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  42. Le manque d'accès aux outils Internet et de leur utilisation dans les zones rurales retarde l'adoption potentielle de futurs outils technologiques. Les travaux visant à étendre l'accès à Internet dans les communautés rurales augmenteront la capacité des producteurs à améliorer leurs opérations et à maintenir le style de vie rural

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/la-technologie-une-condition-necessaire-au-maintien-de-la-vie-rurale.html

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    1. Oui mais aujourd'hui existent le piratages des données !!

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  43. Interdiction des OGM : de nombreux agriculteurs veulent tellement des plantes génétiquement modifiées qu'ils les cultivent illégalement


    29 Juin 2021
    Cameron English*


    Les pays qui interdisent les cultures biotechnologiques ne sont pas nécessairement exempts d'OGM. Il y a une leçon inspirée de la prohibition pour les régulateurs et les groupes d'activistes de ces pays, s'ils sont prêts à écouter.

    Si vous vous souvenez de votre cours d'histoire des États-Unis au lycée, vous savez que la prohibition a été un échec cuisant. La consommation d'alcool a fortement baissé au début des années 1920 pour ensuite remonter en flèche au cours des années suivantes, accompagnée d'un marché noir massif et d'une augmentation de la violence des gangs. La leçon à retenir est assez claire : les lois ne sont pas des formules magiques ; écrire des mots sur un bout de papier n'incite pas nécessairement les gens à modifier leur comportement.

    Le même phénomène est à l'œuvre dans plusieurs pays qui restreignent l'accès des agriculteurs aux cultures génétiquement modifiées (GM). Heureusement, aucun émule d'Al Capone ne tue aujourd'hui des gangsters rivaux pour le droit de vendre des semences biotechnologiques, mais il existe un marché noir pour cette technologie, et de nombreux agriculteurs en profitent ouvertement.

    Enfreindre la loi devrait toujours être désapprouvé, bien sûr, mais ces agriculteurs rebelles sont de puissants témoins du fait que l'opposition à la biotechnologie agricole est presque toujours politique – littéralement, ce sont les politiciens et les lobbyistes qui maintiennent les restrictions en place. Les preuves scientifiques et les intérêts des agriculteurs sont rarement les facteurs de motivation dans ces cas. Examinons quelques exemples.

    Producteurs de coton indiens : qu'ils nous arrêtent !

    Nous commençons notre tour du monde par l'Inde. À proprement parler, la culture de plantes génétiquement modifiées n'y est pas illégale ; plus de 95 % du coton du pays est produit à partir de plantes résistantes à des insectes (Bt). Les chercheurs indiens ont développé d'autres cultures génétiquement modifiées qui profitent aux agriculteurs et aux consommateurs, notamment la moutarde à haut rendement et l'aubergine Bt. Les producteurs de coton indiens sont impatients de cultiver des variétés résistantes à des insectes et des herbicides. Les cultures dotées de ces caractéristiques « empilées » sont extrêmement utiles pour les agriculteurs qui doivent lutter contre des parasites qui réduisent les rendement, mais les régulateurs qui ont le pouvoir d'approuver ces cultures et d'autres cultures génétiquement modifiées ne le feront tout simplement pas.

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  44. Selon une étude récente, l'Inde se trouve dans cette impasse en grande partie parce que les institutions qui développent et promeuvent les cultures biotechnologiques ne sont pas « convenablement reliées » à celles qui réglementent ces cultures. Le résultat, notent les chercheurs, est le suivant.

    « Même après un débat approfondi et la création de nouvelles institutions, il existe une situation persistante d'antagonisme et de faible confiance du public dans la technologie GM comme solution viable aux problèmes agricoles de l'Inde. Cette situation a entravé le processus d'innovation et de mise en œuvre, malgré les essais en champ réussis de nombreuses cultures GM indigènes. »

    De nombreux agriculteurs du pays ont réagi à cette situation avec une frustration prévisible. À partir de 2019, par exemple, un groupe de producteurs de coton a organisé des manifestations au cours desquelles ils ont publiquement semé les variétés tolérantes à un herbicide et résistantes à des insectes dont l'accès légal leur a été refusé. Lorsque l'État leur a ordonné d'arrêter, ils ont redoublé d'efforts : « Laissez le gouvernement nous arrêter ! »

    « Nos frontières sont poreuses » : des plantes GM du Kenya se retrouvent en Ouganda

    L'Ouganda a passé des années et dépensé plusieurs millions de dollars pour développer une expertise en matière de biotechnologie des cultures. Malgré cet investissement public substantiel, le pays a échoué à plusieurs reprises depuis 2004 à promulguer des règlements qui permettraient aux agriculteurs de cultiver des plantes génétiquement modifiées. Consciente de la nécessité d'une loi, l'Autorité Nationale de Gestion de l'Environnement (NEMA) est en train de rédiger une « mesure provisoire » pour guider les agriculteurs jusqu'à ce que le parlement du pays adopte une législation permanente.

    L'effort de la NEMA est motivé par un constat simple : « Nos frontières sont poreuses, ce qui se trouve au Kenya se retrouvera en Ouganda. » C'est ce qu'a fait observer en juillet dernier le Dr James Kasigwa, directeur de la biosécurité au ministère des sciences, des technologies et des innovations. Les agriculteurs ont dit la même chose. Un producteur de manioc anonyme a déclaré au Genetic Literacy Project en juin 2020 :

    « Les agriculteurs vivant dans les districts frontaliers de ces pays n'ont aucun problème à partager les semences ; nous le faisons depuis longtemps. Je sais que les variétés de manioc génétiquement modifiées sont résistantes [au virus de la striure brune du manioc], ce qui constitue un défi pour un certain nombre d'agriculteurs qui cultivent cette plante. Habituellement, lorsque je plante des variétés résistantes, je suis capable de récolter deux tonnes par hectare. Mais lorsque la maladie provoque la pourriture, je ne peux pratiquement rien récolter. »

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  45. Un moratoire pas si efficace que ça au Pérou

    Si le mouvement anti-OGM américain a perdu beaucoup d'influence ces dernières années, on ne peut pas en dire autant des groupes d'activistes dans d'autres pays. Au Pérou, la communauté scientifique locale s'est engagée dans une féroce bataille de relations publiques avec les lobbyistes de l'alimentation biologique qui veulent maintenir le statut du pays en tant que « patrie ancestrale de l'alimentation biologique produite à partir de semences indigènes ». En janvier, le pays a prolongé de 15 ans son interdiction de la culture de plantes génétiquement modifiées.

    Cependant, le Pérou en tant que patrie ancestrale de l'alimentation biologique n'est guère plus qu'un mythe marketing. Le pays importe avidement du maïs et du soja génétiquement modifiés depuis de nombreuses années. Rien qu'en 2018 et 2019, le Pérou a importé 3,7 millions de tonnes de maïs des États-Unis, dont la grande majorité est génétiquement modifiée. En remontant au moins jusqu'en 2009, les agriculteurs de tout le Pérou ont réutilisé le maïs importé résistant à des insectes en le croisant avec une variété locale connue sous le nom de « Pato », généralement utilisée pour l'alimentation animale. On ne sait pas exactement comment ni pourquoi cette pratique a commencé, mais les agriculteurs ont rapidement remarqué que leurs cultures étaient moins vulnérables aux attaques des ravageurs, et ils ont donc continué à cultiver ce maïs amélioré. [1]

    La partie la plus intéressante de l'histoire est que les entreprises de biotechnologie, les régulateurs et les groupes anti-OGM savent tous que cela se passe et personne ne veut s'en occuper. Les entreprises ne veulent pas être associées à quoi que ce soit d'illégal ; les régulateurs péruviens ne veulent pas s'occuper de questions politiques incendiaires ; et le mouvement anti-OGM ne veut pas renoncer à son discours de marketing.

    Quelle meilleure preuve pourrait-il y avoir de l'innocuité et de l'efficacité des cultures génétiquement modifiées ?

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/interdiction-des-ogm-de-nombreux-agriculteurs-veulent-tellement-des-plantes-genetiquement-modifiees-qu-ils-les-cultivent-illegalemen

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    1. Depuis 10 000 ans existent les 'OGM'. Le vent, la pluie, les abeilles (qui ne se nettoient même pas les pattes avant d'entrer dans une nouvelle fleur !!) fabriquent des organismes génétiquement modifiés n'importe comment.
      Or, en laboratoires, on ne mélange pas n'importe quoi avec n'importe quoi ! C'est çà qui chagrine certaines personnes !

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  46. Réflexions sur la politique française


    le 29 juin 2021


    Après ces élections départementales et régionales en France, en tant que spectateur puisque je n’habite plus dans mon pays natal, je voudrais faire quelques remarques certainement pas très pertinentes puisque je suis de très loin ce qui se passe en France. La première remarque est évidente : les électeurs français sont désabusés par la tournure du fonctionnement de la politique française. Ils ne croient plus en la démocratie et pour cause, le pouvoir a mis la main sur la justice, le Parlement s’est vu privé de tout pouvoir législatif et le peuple n’est plus représenté. Enfin le pouvoir est un théâtre de marionnettes manipulées par Bruxelles et Francfort. L’électorat a perdu confiance. Alors pourquoi voter puisque l’élite politique au pouvoir considère que le peuple n’a qu’à se taire et payer ses impôts en silence. C’est tout.

    Le monde politique n’a pas l’air d’avoir pris conscience que l’orage est en préparation dans les « classes populaires » méprisées par les ministres et les secrétaires d’Etat ou encore les Préfets qui ne représentent plus qu’un pouvoir de pacotille à bout de souffle et qui n’a plus aucune ligne de conduite clairement identifiable. Je n’ai pas vraiment d’opinion politique, en d’autres temps j’aurais été gaulliste et j’aurais voté oui au référendum sur la participation, le grand projet de De Gaulle, visionnaire, qui aurait donné une toute autre tournure au tissu industriel de la France. De Gaulle avait quitté le commandement de l’OTAN et prié les GI américains de bien vouloir quitter le territoire français. Les projets d’union européenne lui semblaient mal ficelés et il avait raison.

    Aujourd’hui la France souffre de son appartenance à l’Union européenne, elle n’est plus maîtresse de sa monnaie ni de ses lois, c’est beaucoup trop. Le pouvoir central s’est privé de son pouvoir au profit de la Commission européenne et de la BCE. C’est à mon humble avis l’une des raisons de la désaffectation des électeurs pour les scrutins : ça ne sert plus à rien. Enfin, les nostalgiques de la souveraineté de la France (dont je fais encore partie) défendue par le Front National il y a encore quelques années ont été déçus par le revirement du leader de ce mouvement qui s’est ralliée aux « Européistes ». À mon avis toujours aussi insignifiant la déroute du parti souverainiste qui n’a plus rien de souverainiste maintenant s’explique par ce revirement de tendance politique.

    J’avoue que je suis déçu par le monde politique français, déçu par l’avancée insidieuse du « gauchisme plus ou moins vert » qui envahit toutes les sphères du pouvoir. À moins d’un événement tout aussi imprévisible que la chute d’une météorite l’avenir de la France est compromis et ce pays ne s’en relèvera pas.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/06/29/reflexions-sur-la-politique-francaise/

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  47. Abstentions aux régionales : la douche froide

    Un an et quelques mois de privation de libertés et de leçons de morale ne pouvaient avoir qu’un seul et unique résultat : une haine et un mépris généralisé pour la politique française.


    Par Olivier Maurice.
    29 JUIN 2021


    Qu’elles sont déjà loin les réflexions de l’entre-deux tours des élections régionales et départementales.

    Sitôt les résultats tombés, tout le petit monde médiatique et politique est aussitôt reparti de plus belle pour discuter du prochain match : la finale de la coupe de France de politique qui aura lieu l’année prochaine.

    Il est tellement facile de se cacher la réalité en parlant d’autre chose.

    UNE SÉRIEUSE DOUCHE FROIDE

    La réalité, c’est que sur une échelle qui va de « Tout le monde donne son avis et admet le résultat » à « personne, à part ceux qui briguent un mandat, ne s’exprime », le curseur légitimité touche quasiment la butée du zéro pointé.

    Pourtant, nous avons assisté toute la dernière semaine à un formidable florilège de moulinage de matière grise pour trouver des explications, des coupables et des raisons à l’incroyable camouflet que le peuple de France a infligé au processus électoral.

    On a ainsi pu, au gré des multiples émissions télévisées et radiophoniques, voir se succéder au banc des accusés un long défilé d’excuses et d’hommes de paille qui ont au moins le mérite de démontrer la créativité imaginative et les capacités rhétoriques des divers intervenants.

    DÉNONCIATIONS ET BOUCS ÉMISSAIRES

    À croire qu’absolument rien ne fonctionne dans ce pays et que tout est toujours la faute des autres : la faute du beau temps, des tracts mal distribués, des conditions sanitaires, du manque d’explications et d’éducation civique sur les enjeux du scrutin, des hommes politiques, du gouvernement, des précédents gouvernements, des caractéristiques génétiques qui perdurent depuis Astérix et Obélix…

    Sans doute pas très convaincus eux-mêmes de la pertinence de leurs élucubrations, les commentateurs politiques ont eu vite fait de retomber en terrain connu : le pronostic et les paris sur la ligne finale du prochain tiercé présidentiel.

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  48. Fin donc de la parenthèse « les Français ont voulu dire quelque chose en n’allant pas voter, mais nous n’avons absolument pas le début du commencement d’une idée de quoi ça voudrait dire »… retournons vite aux réflexions qui n’engagent à rien, ça nous évitera de dire des bêtises sur un sujet auquel on ne comprend absolument rien.

    Comme si le politiquement correct rendait à la fois sourd, aveugle et niais et empêchait de regarder la simple vérité en face : les Français ne veulent pas voter. Donc, ils ne votent pas.

    Ou si vous préférez : si les Français ne se déplacent pas pour voter, c’est qu’ils décident en pleine conscience et en pleine responsabilité de ne pas aller voter.

    SURPRISE : LES FRANÇAIS NE CROIENT PAS TOUT CE QUE VOUS RACONTEZ

    Le festival d’atermoiements, d’autoflagellations, de culpabilisations que l’on a eu à subir pendant une semaine démontre surtout par l’absurde la totale incapacité de la classe politique au sens large à considérer les citoyens comme des adultes responsables de leurs actes.

    Deux tiers, voire trois quarts de la population française ont simplement mis en pratique l’avertissement libertarien : « Don’t tread on me ».

    Ou de façon plus explicite, comme le chantait Charlie Daniels dans un succès de la musique country des années 1970 :

    Je ne demande à personne ce que je peux obtenir moi-même. Si tu n’aimes pas ma façon de vivre, pourquoi tu ne me fous pas la paix ?

    IL SERAIT TEMPS DE SE RENDRE COMPTE DE L’AMPLEUR DE LA RACLÉE

    Il fallait s’en douter, un an et quelques mois de privation de libertés et de leçons de morale ne pouvaient avoir qu’un seul et unique résultat : une haine et un mépris généralisé pour des gens dont les préoccupations principales semblent bien être de nous marcher dessus, de tout faire pour camoufler leur incompétence et faire croire qu’ils sont indispensables, comme pour l’histoire des masques où les entreprises privées ont réglé en quelques heures ce que le président de la République, le ministre de la Santé, le ministère, les centaines de cadres de la fonction publique, les dizaines de bureaux, de comités et de services divers, les milliers, voire les millions de fonctionnaires et le pharaonique budget dont ils bénéficient ont été totalement incapable de faire pendant plusieurs semaines.

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  49. « Je ne demande à personne ce que je peux obtenir moi-même »

    Il reste maintenant un immense chantier devant nous, un chantier inévitable qui demandera des efforts considérables. La crise a prouvé l’inutilité, voire la nocivité de l’État dans bon nombre de domaines. Les Français l’ont compris et en ont pris la mesure : ils ont refusé au moins une fois de jouer le jeu. Ils ont acté ce constat.

    C’est toute l’utilité des élus, des administrations, de l’État qui a été remise en question par ces deux scrutins et seul un changement très profond des institutions permettra de recréer un contrat social qui a été clairement dénoncé par la grande majorité de la population.

    https://www.contrepoints.org/2021/06/29/400607-abstentions-aux-regionales-la-douche-froide

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    1. Remarquez bien que face à 'La Dictature En Marche' la soit-disante opposition (Hahahaha !) n'a jamais osé proposer 'La Démocratie En Marche' !!

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