- ENTREE de SECOURS -



vendredi 4 juin 2021

Dr Fauci : la chaise électrique ou la lapidation ? #FauciEmails

Eric Montana

Mediazone

ven., 04 juin 2021 08:16 UTC


Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de "l'opération Covid". Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j'affirme que nous sommes dans le cadre d'une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu'un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l'historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j'ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire, c'est que le prochain qui me traite de complotiste, je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette "opération Covid" est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d'éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu'il faut vraiment avoir le cerveau d'un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s'en rendre compte. Un enfant de 5 ans l'aurait déjà cernée !

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste "d'amis" !

Avoir des "amis" aussi cons me déshonore, m'afflige et me met en colère. J'ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d'honnêteté de leur part. J'aurais du méditer ce proverbe ;"Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es." Et j'avoue que j'avais parmi mes "amis" un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d'efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d'intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l'OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu'il a investi son argent personnel dans "les gains de fonction" destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, - ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, - que les médias ont pour mission d'alimenter la peur en désinformant et manipulant l'opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme Facebook, Youtube, Twitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu'ils restent loin de moi car même les tardives excuses de quelques uns me laissent de marbre. J'ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l'essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d'une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l'inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu'il est censé combattre. Une folie, une hérésie, une insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d'annoncer que la vaccination était un "succès", qu'ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd'hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd'hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d'origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d'utiliser l'hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque - même selon ce criminel de Dr Fauci - est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu'elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisé la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c'est parce que ce gouvernement d'assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d'un crime contre l'humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu'il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn :

- voir clip sur site -

https://odysee.com/$/search?q=Robert%20F.%20Kennedy%20jr

En complément d'infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

https://fr.sott.net/article/37355-Dr-Fauci-la-chaise-electrique-ou-la-lapidation-FauciEmails 

90 commentaires:

  1. « Vaccins » OGM — Sommes-nous prêts à sacrifier des enfants et des adolescents pour rien ?


    J. D. Michel — Anthopo-logiques
    Sott.net
    ven., 04 juin 2021 14:32 UTC


    Cela fait plus de quinze mois maintenant que la situation est grave. Imposer à l'échelle mondiale des confinements dont aucune science sérieuse n'a jamais démontré la moindre utilité ; mettre en échec une abondance d'options de traitement précoce qui auraient pu aisément éviter trois quarts des pertes ; et imposer toujours à la même échelle une expérimentation génique hyper-risquée qui pourrait (de l'avis de nombre des meilleurs spécialistes) provoquer une hécatombe sanitaire est plus que délirant, c'est même sans aucun doute à ce stade criminel.

    La question du « vaccin » elle-même est un pur scandale : après avoir clamé depuis le début que cette stratégie représentait notre « seule option » (tout en mettant soigneusement en échec toutes les autres) voilà que nos « autorités », sur la base d'abstracts produits par des laboratoires aux casiers judiciaires à faire pâlir d'envie ceux d'Al Capone ou Pablo Escobar et refusant de donner accès aux données de leurs études (!) promeuvent maintenant la « vaccination » de jeunes gens à partir de douze ans alors que le Covid ne représente absolument aucun risque pour cette population en bonne santé.

    Et alors que les effets indésirables, bien plus nombreux et bien plus graves que prévus, assurent hélas que cette « vaccination » causera des atteintes irréversibles et des décès parmi les jeunes vaccinés.

    Je commence en tant qu'expert en santé publique à m'habituer au fait que rien ne tienne plus des règles éthiques et principes fondamentaux face à l'avidité d'une industrie qui affiche un « mépris répugnant pour la vie humaine » (selon l'expression du Pr Goetzsche) et la propagande politico-médiatique hystérique qui la sert.

    Mais les étapes que nous franchissons sont de plus en plus iniques et dangereuses. Dans le texte qui suit, le Dr Eric Ménard donne les éléments documentant pourquoi l'extension de l'expérimentation génique en cours aux jeunes et bientôt (n'en doutons pas étant donné la furie des acteurs impliqués) aux enfants reviendra à sacrifier des jeunes vies sur l'autel de la corruption et du profit.

    Je remercie le Dr Ménard de son aimable autorisation à reproduire son texte ici. Les lecteurs y trouveront ce que la presse et les gouvernants leur cachent avec acharnement sur une dérive d'une gravité, en effet, sans précédent...

    * * * * *

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  2. Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour...
    par le Dr Eric Ménard

    L'enfer est-il pavé de bonnes intentions ? Il semblerait vraiment que oui, tant cette histoire de vaccination anti-Covid des enfants semble relever du plus pur cauchemar industriel, repris sans l'ombre d'une hésitation par toute cette fraction de « scientocrates » qu'aucune roulette russe — jouée sur la tempe des autres — n'effraie. Déjà des milliers de décès post-vaccinaux d'adultes, et chercher à vacciner les enfants qui n'ont aucun bénéfice à tirer de cette mesure, sérieusement ? Toute l'AIMSIB se range derrière l'indignation portée par l'article du Dr Eric Ménat, membre AIMSIB et du Conseil scientifique Indépendant. Que la société civile et les médecins réfléchissent et se soulèvent avant que l'irréparable absolu ne soit commis, bonne lecture.

    Introduction

    En préambule, je tiens à rappeler que je n'ai aucun conflit d'intérêts et que je ne suis absolument pas « anti-vaccins ».

    Bien au contraire, le jour où on disposera d'un vaccin qui aura prouvé son innocuité et son efficacité pour empêcher les gens fragiles d'être malades et enrayer l'épidémie, je serai le premier à en faire la promotion.

    En attendant, je voudrais vous partager mes réflexions sur les projets de vaccination des enfants contre le Covid-19, car à mon avis, on est entré dans une spirale infernale qui pourrait très mal se terminer pour les plus jeunes.

    Vaccination, rappels

    Je veux rappeler les principes de la vaccination, tels qu'ils étaient posés depuis des années :
    Un vaccin, comme tout traitement, doit avoir plus de bénéfices que de risques.
    Il doit protéger le sujet d'une maladie potentiellement grave et qui n'admettrait aucun traitement curatif. On n'imagine pas vacciner contre les rhumes par exemple (sauf à vouloir faire du business).
    Il doit également permettre de réduire la propagation de l'épidémie. C'est ce qu'on appelle la vaccination altruiste : on vaccine tout le monde pour protéger les plus faibles.
    Ce qui nous ramène au premier point : le vaccin doit être bien toléré, car on va l'injecter à « tout le monde », même à ceux qui ont moins de risques d'être malades ou de faire une forme grave.
    Le vaccin doit donc absolument avoir une balance bénéfice-risque favorable pour CHAQUE personne.

    Que savons-nous du Covid-19 chez l'enfant ?

    La France a dépassé les 100 000 morts officiels à cause du Covid. Ces chiffres sont souvent contestés, car on a parfois un peu trop rapidement conclut que c'était le Covid qui avait tué, alors que le patient était déjà grabataire ou avait des maladies graves. Ainsi, des personnes en fin de vie en EHPAD ou des patients cancéreux en stade terminal ont attrapé ce coronavirus qui a probablement précipité leur mort, bien que cette dernière était inéluctable dans les semaines qui auraient suivi. Sont-ils vraiment morts du Covid ? On peut le discuter.
    Je vous invite à visionner à ce sujet l'intervention de Pierre Chaillot du 20 mai 2021 dans le cadre des jeudis du Conseil Scientifique Indépendant (1).

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  3. Pour autant, je vais me baser uniquement sur les chiffres et rapports officiels afin qu'on ne m'accuse pas de partialité. Nous avons accès à une base de données française qui s'appelle « Geodes » (2). Sur ce site, nous trouvons deux types de données sur la mortalité. Les déclarations issues des établissements de santé et les données issues des certificats de décès (Inserm).

    Curieusement, les chiffres ne sont pas équivalents, mais nous connaissons l'imprécision et la lenteur de l'administration française, qui est très en retard dans sa digitalisation.

    Voici les chiffres que l'on peut y trouver :
    Selon les données issues des certificats de décès sur Géodes il n'est actuellement déclaré « que » 48 417 décès entre mars 2020 (semaine 12) et la semaine 19 de 2021. Parmi ces décès, on dénombre 54 décès pour les personnes entre 0 et 29 ans ! Soit 0,1 % des décès. Pour mémoire, cette tranche d'âge représente 35 % de la population (3).
    Selon les données issues des établissements de santé déclarant des cas confirmés de Covid-19 dans SI-VIC, Ici, ce sont 81 692 décès qui ont été déclarés comme étant liés au Covid-19 entre le 18 mars 2020 et le 18 mai 2021.
    Sur ces décès, on comptabilise : Entre 0 à 9 ans = 4 morts — Entre 10 à 19 ans = 9 morts — Entre 20 à 29 ans = 75 morts.
    Soit 88 décès entre 0 et 29 ans, soit, à nouveau, 0,1 % des décès.
    Et sur ces chiffres mieux détaillés, on constate que les décès, avant 20 ans, sont plus qu'exceptionnels. Toutes les morts sont tristes et aucune ne doit être « négligée », mais quand on entre dans les détails, la très grande majorité de ces décès chez des sujets jeunes sont intervenus chez des personnes avec des polypathologies souvent graves, des anomalies congénitales ou des maladies génétiques qui menaçaient déjà leurs pronostics vitaux.

    En clair, un jeune de moins de 20 ans en bonne santé ou sans maladie évolutive n'a quasiment aucun risque de mourir du Covid ou même de faire une forme grave. Vous commencez à comprendre que le bénéfice de la vaccination chez les moins de 20 ans est totalement nul ? On ne sauvera personne dans cette tranche d'âge grâce à la vaccination car il n'y a personne à sauver !

    D'ailleurs, ce n'est pas moi qui le dit, ce sont les chiffres, mais aussi le COSV ou Conseil d'Orientation de la Stratégie Vaccinale, présidée par le Pr Alain Fischer souvent surnommé « Le Monsieur Vaccin français ». C'est la plus haute instance qui est censée regrouper les plus hauts experts de notre pays. On peut donc leur faire confiance ! Dans leur rapport du 11 mai 2021 on peut lire :
    « Bien que peu affectés par des formes symptomatiques du Covid-19, les enfants et adolescents transmettent le virus et participent à la dynamique épidémique. »
    Ils confirment donc les chiffres ci-dessus et mes propos : les jeunes n'ont aucun risque de faire une forme grave de Covid, sauf fragilité très particulière et heureusement très rare.

    On peut donc commencer à se poser la question : faut-il vraiment vacciner 35 % de la population pour 0,1 % des décès qui en plus pourraient être inévitables ?

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  4. L'excuse de la vaccination altruiste

    Oui, mais voilà, notre COSV nous explique que ce n'est pas pour les protéger EUX qu'on doit les vacciner, mais pour protéger LES AUTRES. Dans le même rapport, on peut lire :
    « Ainsi, il parait nécessaire d'envisager de vacciner les enfants et les adolescents pour réduire la circulation virale dans la population, et pour les protéger d'un risque, certes faible, mais qui mérite attention. »
    Peut-être un chouia hypocrite non, au regard des chiffres de mortalité cités plus haut !?

    Ils nous donnent même les calculs qui leur ont permis d'arriver à cette conclusion sans appel. Vous m'excuserez pour les termes un peu techniques et barbares, mais je ne veux pas modifier leurs propos pour rester impartial dans mon analyse :
    « Pour atteindre un R effectif <1 avec un virus de R0=4 (variant B.1.1.7 actuellement majoritaire sur le territoire français), il faudrait atteindre une immunité dans la population totale de plus de 75 % (incluant les enfants), ce qui correspond à 50,25 millions de personnes sur une population de 67 millions. Avec un taux de couverture vaccinale estimé à 80 % assurant 90 % de protection, cela représente environ 48 millions de personnes vaccinées protégées, auxquelles il faut ajouter les personnes non vaccinées, mais protégées par l'immunité naturelle (3 millions environ en estimant à 22,7 % la proportion de la population immunisée naturellement), soit au total 51 millions de personnes. »
    En résumé, on considère qu'il faut arriver à une immunité collective de 80 % pour éradiquer la maladie. Pour cela, il faut vacciner 70 % de la population (48 millions). Les 10 % restant étant ceux qui ont une immunité parce qu'ils ont fait la maladie.

    Je vous rassure, même pour moi, ces chiffres paraissent bizarres et peu précis en réalité. Et ils poursuivent :
    « Ainsi, en considérant la vaccination des enfants et en se plaçant dans des conditions relativement optimistes (adhésion vaccinale de 80 % et protection de 90 % contre la maladie), on atteindrait tout juste l'immunité de groupe nécessaire pour réduire significativement la circulation virale. Sans les enfants de moins de 16 ans, avec les mêmes hypothèses, le nombre de personnes vaccinées protégées serait de 40 millions de personnes environ, 44 millions en incluant les personnes immunisées naturellement. Il y aurait donc un déficit de près de 7 millions de personnes par rapport à l'objectif de 51 millions. A fortiori si le taux de vaccination des adultes était plus faible, le déficit serait plus grand encore. Ainsi, même en se plaçant dans des conditions optimistes, le nombre de personnes à atteindre nécessite de considérer la vaccination des enfants. »
    En clair, évidemment, si les moins de 30 ans représentent 35 % de la population, il est obligatoire de les vacciner pour aboutir à ce taux de 80 % d'immunité collective. Vous noterez que nos experts craignent que tous les adultes ne jouent pas le jeu et donc, ils envisagent à mots feutrés de vacciner les enfants de façon « obligatoire » pour compenser le manque de civisme de certains adultes. Qu'en penser sur le plan éthique ?

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  5. Ca ressemble un peu à la vaccination des plus âgés en EHPAD qui auraient soi-disant donné leur consentement éclairé ! De qui se moque-t-on ? Surtout quand les non vaccinés sont privés de sortie et sont menacés d'être isolés dans leur chambre.

    Est-ce que nos enfants non vaccinés seront privés de cantine et de cour de récréation à la rentrée ? Ou carrément exclus des écoles?

    Rêver l'épidémiologie

    Par ailleurs, je voudrais rappeler que la théorie des 80 % d'immunité collective pour éradiquer une maladie est une pure utopie.

    Ainsi, en Mongolie, on avait atteint un taux de 98 % de vaccination contre la rougeole. L'année d'après, le pays a dû subir une très grosse vague de rougeole. Pourquoi ? Parce que les virus mutent !

    Pire, plus on vaccine et plus ils mutent ! Et comme le dit clairement le Pr Raoult, on le sait depuis 30 ans, ce n'est pas une surprise ! Donc, quand nos experts parlent de vacciner 70 % de la population, ils comptent le faire avec quel vaccin ? Qui sera efficace sur quoi ?

    Parce que vous avez compris que ces superbes calculs — exposés par les plus grands experts français, membres du COSV qui doivent décider de la politique sanitaire du gouvernement — sont totalement théoriques et très éloignés de la vraie vie.

    Car dans la vraie vie, nous savons déjà que :
    Les personnes vaccinées font quand même la maladie. Écoutez, à ce sujet, les dernières vidéos du Pr Raoult (4) ;
    Les vaccins actuels ne sont pas efficaces sur les variants. À quoi servira la vaccination de 70 % de la population quand nous serons confrontés aux nouveaux variants qui sont déjà sur notre territoire (brésilien, sud-africains, indien) et ceux que ne manqueront pas d'apparaitre dans les mois prochains ? Pour mémoire, le variant indien est déjà présent dans 44 pays, dont la France !
    Si vous pensez que j'exagère, je vous propose quelques extraits de positions officielles.

    Ainsi, le ministère de la Santé a prévu de mettre à disposition des médecins de ville le vaccin Moderna à partir du 24 mai, sauf dans les départements qui sont les plus touchés par les variants sud-Africain ou brésilien (5) ! Pourquoi ? Parce qu'ils savent bien que ce vaccin serait inopérant dans ces départements à cause de ces variants.

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  6. On s'inquiète aussi en Grande-Bretagne, pour les mêmes raisons, où plus de 30 % de la population a déjà reçu 2 doses du vaccin (contre 13 % en France). Voici ce qu'on peut lire dans un article publié le 18/05 dans le Journal international de Médecine :
    « Les connaissances sur le variant indien sont encore parcellaires et incertaines. Selon les dernières études en date, il pourrait être 50 % plus contagieux que le variant britannique (déjà 50 % plus contagieux que la souche «originelle »), mais aussi potentiellement plus mortel... Selon une étude publiée ce lundi, les vaccins à ARN messager de Pfizer et de Moderna conserveraient leur efficacité face à cette nouvelle souche, mais il ne s'agit que d'études in vitro qui n'ont pas encore été confirmées chez l'homme. Aucune donnée n'est encore disponible concernant le vaccin du laboratoire AstraZeneca, massivement utilisé au Royaume-Uni. Ce vaccin n'est semble-t-il pas efficace contre le variant sud-africain, avec lequel le variant indien partage des mutations. »
    En clair, il est tout à fait logique que des vaccins conçus à partir du virus initial, apparu fin 2019, soient peu ou pas du tout efficaces contre des variants apparus 18 mois plus tard. Et qu'en sera-t-il fin 2021 ?

    L'article du JIM nous dit d'ailleurs, clairement, que le vaccin AstraZeneca n'est pas efficace sur le variant sud-Africain qui représente déjà 5 % des infections en France ! On comprend surtout, à travers ces propos, que nos experts sont dans le brouillard le plus total concernant l'efficacité des vaccins actuels sur les nouveaux variants.

    Brigitte Autran, membre du COSV, a commenté :
    « Ces vaccins ont certainement une efficacité diminuée sur la prévention de l'infection et des formes modérées de la maladie, mais les données ne sont pas claires vis-à-vis des formes sévères. »
    En clair, on ne sait absolument RIEN de l'utilité des vaccins actuels sur la protection des formes graves et encore moins sur la réduction de l'épidémie.

    Mais vu le nombre de personnes vaccinées qui présentent actuellement des symptômes de Covid, on peut fortement douter de l'intérêt de la vaccination actuelle pour contenir la propagation des nouveaux variants.

    D'ailleurs, le Pr Autran de poursuivre :
    « Aujourd'hui, les firmes sont en train de produire de nouveaux vaccins qui prennent en compte la protéine S mutée correspondant au variant sud-africain et les premiers essais cliniques ont été lancés. À terme, on peut imaginer que l'on ait à changer de vaccin ou à associer les différents produits dans un seul vaccin, comme pour la grippe. »
    En clair, les vaccins actuels ne seront probablement pas efficaces contre les variants que nous aurons à affronter l'hiver prochain et on est déjà en train de tenter de concevoir de nouveaux vaccins. Sauf que pour le moment on vaccine contre les anciens variants. Avec ce type de politique sanitaire, ne risque-t-on pas d'avoir en permanence un train de retard et de se revacciner tous les 6 mois pour rien ?

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  7. Alors faut-il vacciner les enfants avec les vaccins actuels ? Si seulement ça pouvait protéger les plus fragiles, ça pourrait peut-être avoir une petite utilité. Oui, mais à UNE CONDITION : que le vaccin soit totalement sécure et ne risque pas d'entraîner des effets secondaires chez ces enfants qui, par ailleurs, ne risquent absolument rien en cas d'infection par le Sras-CoV-2, à part un gros rhume ou une petite grippe.

    Les effets secondaires des vaccins sur la sellette

    Encore une fois, toute vaccination dépend avant tout d'un critère essentiel : la balance bénéfice-risque.

    Nous avons vu que le bénéfice de la vaccination pour les moins de 30 ans est totalement NUL. Nous avons vu que les vaccins actuels n'allaient pas forcément protéger la population des nouveaux variants. Nous savons également, grâce au dossier officiel fourni par les laboratoires, que la vaccination ne supprime pas la contagiosité des personnes vaccinées.

    On peut donc se demander si l'utilisation des vaccins actuels permet vraiment une « vaccination altruiste », comme le suggèrent nos experts sur les plateaux télé. Mais si on rajoute à cela les effets secondaires des vaccins, on commence à se demander si la balance bénéfice-risque est vraiment positive pour les plus jeunes ?

    Cette question des effets secondaires est délicate, car, à ce jour, les preuves d'imputabilité sont presque inexistantes. Cela veut dire que nous n'avons pas encore pu prouver définitivement que tous les effets secondaires rapportés par les patients ou les médecins sont vraiment liés au vaccin. Il est probable qu'on ne le prouve jamais d'ailleurs du fait des critères de pharmacovigilance et de l'énorme déficit de déclaration des effets secondaires. Voir à ce sujet, les conférences du Conseil Scientifique Indépendant du 20 mai 2021 et en particulier l'intervention de Surya Arby, membre de l'AIMSIB (6).

    Pour autant, il est admis, par la plupart des experts, que les vaccins peuvent donner des thromboses et que certaines personnes peuvent en mourir. C'est le cas d'un jeune homme de 24 ans, à Nantes, ou d'une jeune femme de 36 ans, à Toulouse. Tous deux sont morts d'un accident thrombo-hémorragique, brutalement, après le vaccin et le lien de cause à effet est reconnu. Mais ces deux cas dramatiques sont loin d'être les seuls.

    Dans la banque de données européenne qui collige tous les événements apparus dans la suite de la vaccination, on dénombre près de 800 000 déclarations d'effets secondaires. Quand on sait qu'on estime que seuls 1 % à 10 % de ces effets indésirables sont réellement déclarés, on est en droit de s'inquiéter.

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  8. Parmi ces 800 000 événements, beaucoup sont assez bénins ou transitoires, heureusement. Mais on dénombre quand même plus de 5 000 décès, ainsi que de nombreux effets secondaires graves, comme la perte de l'audition ou de la vue !

    Je me dois tout de même de rassurer les personnes qui se sont fait vacciner. Dans 95 % des cas, le vaccin semble bien toléré. Mais une surveillance prolongée après la vaccination me parait indispensable. Prolongée veut dire plusieurs semaines voire plusieurs mois car on commence à voir des récidives de cancer qui paraissent plus fréquentes chez des personnes vaccinées. Là encore des études approfondies seront nécessaire mais ne sous-estimez pas l'apparition de symptômes inhabituels après une vaccination.

    Dans la base de données belge, bien plus transparente que la française, on dénombre 0,3 % d'effets secondaires avec le vaccin Pfizer et 0,6 % avec Moderna et AstraZeneca. Ca reste donc assez faible mais il est probable qu'il faille multiplier ce chiffre par 10 voire 100 du fait des mauvaises déclarations réalisées en pratique.

    Si le vaccin est efficace et permet de réduire les formes graves et la mortalité, certains justifieront ces risques d'effets secondaires comme un « mal nécessaire » et heureusement rare, pour sauver de nombreuses vies. C'est un argument qu'on peut entendre à condition que la vaccination ne soit jamais obligatoire. En effet, cette vaccination reste un pari sur l'avenir. Le pari que ça me permettra d'éviter une forme grave et le pari que je ne ferai pas d'effet secondaire encore plus grave !

    Mais quid des sujets de moins de 30 ans qui ne risquent pas de formes graves ?

    Un choix éthiquement très discutable

    Vous avez donc compris que la vaccination des plus jeunes n'est pas proposée pour les protéger eux, mais pour protéger les personnes les plus vulnérables.

    En premier lieu, avant de choisir cette vaccination « altruiste », il faudrait être sûr que le vaccin qu'on nous injecte va réellement protéger nos proches fragiles. Or, nous avons compris que :
    Le vaccin n'empêche pas d'être contagieux (c'est la raison pour laquelle le masque est toujours obligatoire).
    Le vaccin est peu ou pas efficace sur les variants. D'ailleurs, beaucoup de personnes vaccinées attrapent actuellement la Covid dans les EHPAD.
    Le vaccin favorise les mutations et pourrait donc, paradoxalement, augmenter et prolonger l'épidémie.
    Mais sur un plan plus éthique, il faudrait se demander si, pour protéger potentiellement certaines personnes, on ne met pas en danger d'autres personnes à cause des effets secondaires des vaccins.

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  9. Sachant que l'âge moyen de décès par Covid est de 85 ans, alors que l'espérance de vie moyenne en France est de 84 ans, je voudrais vous poser une question éthique et philosophique délicate mais essentielle à mes yeux : « êtes-vous prêt à prendre le risque d'un effet secondaire grave, voire d'un décès d'une personne jeune, d'un enfant même, pour sauver la vie d'une personne de plus de 85 ans ? ».

    Je suis conscient de la difficulté de cette question, mais elle est au cœur du débat pour moi. Vacciner les moins de 30 ans, c'est accepter d'en sacrifier un certain nombre, alors qu'ils n'avaient aucun risque de mourir ou de souffrir gravement de la maladie pour tenter de sauver très hypothétiquement nos plus anciens.

    C'est exactement ce qui est arrivé à ces deux jeunes personnes à Nantes et Toulouse. Elles sont décédées suite au vaccin, alors qu'elles ne risquaient rien en cas de Covid. Dans ce cas, comment justifier, comment accepter leur mort ? Est-ce que les grands-parents ou les plus vieux dans les EHPAD ont envie qu'on fasse prendre ces risques à leurs petits enfants dans l'espoir de ne pas mourir du Covid ?

    Surtout que, si le vaccin est efficace , il devrait être suffisant de vacciner les plus fragiles pour leur éviter de mourir, sans faire prendre de risques inutiles aux plus jeunes. Et si jamais les vaccins actuels sont inefficaces sur les variants, s'ils ne protègent ni les jeunes ni les vieux lors de la prochaine épidémie liée à un nouveau variant ? Alors dans ce cas-là, tous les « malchanceux » qui seront décédés à cause du vaccin seront MORTS POUR RIEN !

    Même si notre Président nous a expliqué que nous sommes en guerre, il n'est pas acceptable de sacrifier ainsi notre jeune génération ! Il est fini le temps où on avait le droit à 5 % de perte comme dans l'armée !

    Conclusion

    La vaccination des jeunes est une ineptie scientifique et une absence d'éthique, surtout avec les vaccins actuels.

    Même le COSV en est conscient, puisque dans son rapport, ils soulèvent la question de « l'acceptabilité de la vaccination des enfants dans un contexte de bénéfice individuel faible ». Ce qui ne les empêche pas de recommander une vaccination massive des enfants de plus de 12 ans à la rentrée de septembre.

    Nous devons tous nous mobiliser pour éviter que ce projet soit mis à exécution, car sinon, je crains le pire pour notre jeune génération (7). Je dois vous rappeler que, d'après les chiffres actuels, plus les personnes vaccinées sont jeunes et plus les effets secondaires paraissent fréquents. C'est d'ailleurs quand on a commencé à vacciner les soignants de moins de 50 ans qu'on a vu apparaitre une alerte sur les effets secondaires du vaccin AstraZeneca !

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  10. Qu'en sera-t-il chez les moins de 20 ans ? Est-ce qu'on devra inscrire sur leurs tombes : « MORTS POUR RIEN » ?

    Dr Eric MENAT
    Mai 2021
    Notes et sources :

    (1) http://reinfocovid.fr/live/ ou https://odysee.com/@Reinfocovid:2
    (2) https://geodes.santepubliquefrance.fr/
    (3) https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474
    (4) https://www.mediterranee-infection.com/toutes-les-videos-sur-le-coronavirus/
    (5) « Le vaccin Moderna en ville à partir de la semaine du 24 mai » -Medscape - 12 mai 2021.
    (6) Puisque le lien originel https://www.youtube.com/watch?v=-688e_TyEjE est déjà censuré (pas merci l'Amérique, ex-pilier de nos démocraties occidentales) vous pouvez retrouver les lives ici :
    CSI n° 06 - Pierre Chaillet — 100 000 morts, vraiment : https://odysee.com/@ColCovMed-Reunion:9/CSI-n%C2%B0-06 — Pierre-Chaillet — 100.000-morts,-vraiment-:8
    CSI n° 06 - Surya Arby — Introduction à la pharmacovigilance vaccinale : https://odysee.com/@ColCovMed-Reunion:9/CSI-n%C2%B0-06 — Surya-Arby — Introduction-%C3%A0-la-pharmacovigilance-vaccinale:9
    CSI n° 06 - Hélène Banoun — Tests PCR et antigéniques : https://odysee.com/CSI-n%C2%B0-06 — H%C3%A9l%C3%A8ne-Banoun-Tests-PCR-et-antig%C3%A9niques:a3ecc7a4740b8791805ace3ccfdbd74de947c2b8
    2e Partie « Le débat » : https://odysee.com/CSI-n°-06 — 2ème-Partie-Le-débat:99246ebc158021a91e76192f398a79d197492bb6
    (7) lire sur le même thème: https://nouveau-monde.ca/il-ne-faut-pas-vacciner-les-enfants-contre-le-covid-19/
    ou encore ceci: https://childrenshealthdefense.org/defender/?eType=EmailBlastContent&eId=56d56c2e-0252-4b71-b7c3-46903b8742ce

    (Attention, les VAERS sont susceptibles de comporter des erreurs de comptage)
    Source de l'article publié le 4 juin 2021 : Anthropo-logiques

    https://fr.sott.net/article/37358-Vaccins-OGM-Sommes-nous-prets-a-sacrifier-des-enfants-et-des-adolescents-pour-rien

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  11. Les courriels d'Anthony Fauci


    jeudi 3 juin 2021


    Le scandale des courriels d'Anthony Fauci me questionne énormément: je suis perplexe et sur mes gardes. Je ne sais pas encore quelle trajectoire ça prendra ni quel en sera l'aboutissement, mais je ne fonde strictement aucun espoir sur ces révélations qui, quand on s'y attarde attentivement, pourront être balayées sous le tapis en 48-72h !

    Je vous laisse sur le communiqué publié aujourd'hui par Donald Trump en réponse au scandale des courriels de Fauci.

    Donald le super héros! 🦹‍♂️

    "Après avoir vu les courriels, notre pays a de la chance que je n'aie pas fait ce que le Dr Fauci voulait que je fasse. Par exemple, j'ai fermé nos frontières avec la Chine très tôt malgré qu'il ne veuille pas qu'elles soient fermées. Les démocrates et les faux médias m'ont même traité de "xénophobe". En fin de compte, nous avons vu que c'était une décision salvatrice, de même que la fermeture de nos frontières avec l'Europe, en particulier avec certains pays fortement infectés », a déclaré Trump.

    Plus tard, j'ai été reconnu, même par 'Tony', pour avoir sauvé des centaines de milliers de vies. Le Dr Fauci n'a pas non plus mis l'accent sur la vitesse de production des vaccins, car il pensait qu'il faudrait 3, 4, voire 5 ans pour le créer. 👉Je l'ai fait en moins de 9 mois avec l'opération Warp Speed ​​», a déclaré l'ancien président.

    Rétrospectivement, 👉le vaccin sauve le monde. Ensuite, j'ai placé le plus grand pari de l'histoire. Nous avons commandé des milliards de dollars de vaccins 👉avant même de savoir que cela fonctionnait. Si cela n'avait pas été fait, nos merveilleux vaccins n'auraient pas été administrés avant octobre de cette année. Personne n'aurait eu l'injection qui a maintenant sauvé le monde et des millions de vies !

    🥳 🍾

    De plus, le Dr Fauci était totalement contre les masques alors que même moi, je pensais qu'ils seraient au moins utiles. Il a ensuite complètement changé d'avis et est devenu un pro-masque radical !

    Il y a beaucoup de questions auxquelles le Dr. Fauci doit répondre. Le financement de Wuhan par les États-Unis a été bêtement lancé par l'administration Obama en 2014, mais s'est terminé sous l'administration Trump. Quand j'en ai entendu parler, j'ai dit non. Que savait le Dr Fauci sur la recherche de "gain de fonction" et quand l'a-t-il su ?"

    Donald Trump, 3 juin 2021

    - voir doc sur site -

    Trump a annulé sa contribution à l'OMS, plusieurs s'exclamant de joie suite à cette annonce, mais il a déshabillé Paul pour habiller Pierre: Trump, via l'Agence américaine pour le développement international (USAID) a remis une rondelette somme de 👉 1,16 milliard de dollars au cours des exercices 2020-2023 à GAVI, l'Alliance du vaccin, dont le fondateur et le principal donateur est la FONDATION BILL ET MELINDA GATES ! 🤣

    https://www.usaid.gov/news-information/press-releases/feb-10-2020-statement-usaid-administrator-mark-green-us-contribution-gavi

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/06/les-courriels-danthony-fauci.html

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  12. Les protéines de pointe administrées par voie intraveineuse sont conçues pour traverser la barrière hémato-encéphalique et peuvent provoquer une hémorragie cérébrale


    jeudi 03 juin 2021
    par : Lance D Johnson


    (Natural News) Une étude de Nature Neuroscience révèle que la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 traverse la barrière hémato-encéphalique chez la souris et peut endommager les systèmes cardiovasculaire et nerveux central. La protéine de pointe est facilement éliminée du sang et absorbée par les tissus périphériques. L'ARN du SRAS-CoV-2 a été récupéré dans le liquide céphalo-rachidien, prouvant qu'il peut traverser la barrière hémato-encéphalique.

    L'étude montre que ces nouvelles protéines de pointe ont été conçues pour exploiter l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2), permettant un apport accru de protéines de pointe dans les poumons et en particulier dans le cerveau. C'est pourquoi un cas réel de SRAS-CoV-2 peut provoquer des symptômes dans le système nerveux central, notamment des modifications du goût et de l'odorat, des maux de tête, des contractions musculaires, des convulsions, de la confusion, des troubles de la vision, des douleurs nerveuses, des étourdissements, une altération de la conscience, des nausées, une hémiplégie , ataxie, accident vasculaire cérébral et hémorragie cérébrale.

    Alors pourquoi les gens acceptent-ils ces nouveaux « vaccins » – s'ils transforment leurs propres cellules en usines de protéines de pointe ?

    L'administration intraveineuse de concentrés de protéines de pointe dans le cerveau DIX fois supérieure à l'exposition nasale
    La protéine de pointe SARS-CoV-2 modifiée se lie aux cellules humaines à l'aide de sa sous-unité S1. Les chercheurs révèlent que la sous-unité S1 a été facilement absorbée dans l'espace cérébral parenchymateux, l'hippocampe, le bulbe olfactif, et a été mesurée dans onze régions du cerveau. Lorsque les protéines de pointe ont été administrées par voie intraveineuse, elles se sont concentrées dans le cerveau DIX FOIS plus que lorsqu'elles ont été administrées par voie intranasale !

    Ce sont les mêmes protéines de pointe que les cellules humaines sont obligées de traduire, de synthétiser et de répliquer en utilisant les instructions génétiques fournies par les nouveaux vaccins à ARNm et les vaccins à vecteur d'adénovirus. La protéine de pointe conçue en laboratoire et produite en masse dans les cellules humaines ne subvertit pas seulement le modèle génétique naturel de la synthèse des protéines, mais elle inonde également le cerveau de TOXINES étrangères.

    La recherche révèle que les protéines de pointe traversent facilement la barrière hémato-encéphalique par le biais d'un processus appelé transcytose adsorbante. La transcytose est un type de transport transcellulaire dans lequel diverses macromolécules sont transportées à l'intérieur d'une cellule. La transcytose médiée par adsorption fournit un moyen pour l'administration cérébrale de médicaments à travers la barrière hémato-encéphalique.

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  13. Pourquoi les protéines de pointe sont-elles conçues pour s'adsorber facilement à travers la barrière hémato-encéphalique ? Ce mode d'action pourrait-il être destiné à administrer d'autres médicaments et produits chimiques, des instructions génétiques ou des attaques auto-immunes aux cellules du cerveau ? Est-ce la vraie raison de l'encéphalite et de l'hémorragie cérébrale consécutives à la fois à l'infection et à la vaccination ? Quelles sont les ramifications des protéines de pointe qui s'accumulent dans le cerveau ? Les personnes récemment vaccinées souffriront-elles de lésions cérébrales aiguës ou permanentes à cause de ces injections expérimentales ?

    La recherche a également montré que l'inflammation augmente l'absorption de protéines de pointe dans le cerveau et les poumons. Lorsque les animaux ont été induits par une inflammation, les protéines de pointe administrées par voie intraveineuse pénétraient plus facilement dans le cerveau. Les personnes qui consomment un régime anti-inflammatoire à base de plantes sont mieux équipées pour survivre aux attaques de pointes de protéines dans le cerveau.

    Ingénierie des protéines de pointe du coronavirus pour l'expérimentation humaine et le développement de vaccins
    Les coronavirus naturels ont été identifiés pour la première fois au milieu des années 1960. Ils sont nommés d'après les pointes en forme de couronne sur leur surface. Ces virus sont répandus chez les animaux; cependant, quatre coronavirus sont connus pour infecter les humains, dont 229E, NL63, OC43, HKU1. Toutes ces souches provoquent des symptômes légers, semblables à ceux du rhume, chez l'homme.

    Au XXIe siècle, les scientifiques ont étudié et conçu la protéine de pointe du coronavirus. Les scientifiques peuvent épisser des gènes dans la protéine de pointe du coronavirus, permettant à la sélection naturelle de muter rapidement la protéine de pointe en laboratoire, un gène à la fois. Cette technique de passage en série cache toute trace d'interférence humaine, mais les propriétés d'attachement avancées du virus qui en résulte montrent que le virus a été manipulé en laboratoire. Cette recherche controversée sur le gain de fonction a été interdite aux États-Unis en 2004, mais a continué à avoir lieu aux États-Unis et à l'étranger – tant que la recherche était menée pour inventer de nouveaux vaccins. Aujourd'hui, de nouveaux vaccins expérimentaux sont lancés, car les épidémies se produisent en temps réel.

    Depuis le début de la recherche sur le gain de fonction des coronavirus, trois nouveaux coronavirus sont apparus, provoquant une maladie grave chez l’homme. Le SARS-CoV-1 a été identifié pour la première fois en Chine en 2003 ; Le MERS-CoV a été identifié pour la première fois en Arabie saoudite en 2012 ; et le SARS-CoV-2 d'aujourd'hui, a été identifié pour la première fois à Wuhan, à proximité de l'Institut de virologie de Wuhan en Chine.

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  14. Des chercheurs de Pékin affiliés à l'Académie des sciences médicales militaires ont publié une étude en juin 2020, expliquant les méthodes qu'ils ont utilisées pour modifier les protéines de pointe du coronavirus afin d'exploiter les cellules pulmonaires humaines. Les chercheurs ont équipé des souris avec le récepteur ACE2 de cellules pulmonaires humaines. En exploitant le récepteur ACE2, la protéine de pointe est conçue pour attaquer le cerveau et les poumons des humains. Les dommages causés par cette expérience de vaccin en laboratoire ne se poursuivront que lorsque de nouvelles expériences de vaccin seront mises en œuvre sur la population, traduisant les protéines de pointe dans les cellules humaines et attaquant les cerveaux humains dans un avenir imprévisible.

    Sources include:

    Nature.com
    NCBI.NLM.NIH.gov
    CDC.gov
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-03-spike-proteins-engineered-to-cross-blood-brain-barrier.html

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  15. Le CDC signale plus de 10 000 cas de coronavirus post-vaccination, démontrant que les échecs vaccinaux ne sont pas simplement « rares »


    jeudi 03 juin 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont signalé plus de 10 000 cas post-vaccination de COVID-19. Ces soi-disant cas révolutionnaires provenaient de 46 États et territoires américains qui ont envoyé des chiffres à l'agence de santé publique. Le rapport du CDC est intervenu alors qu'environ 101 millions d'Américains étaient complètement vaccinés au 30 avril.

    Selon les données du CDC au 30 avril, il y avait 10 262 infections par percée signalées chez des personnes entièrement vaccinées. Les cas révolutionnaires sont définis comme des infections à coronavirus de Wuhan qui surviennent deux semaines ou plus après qu'une personne a reçu sa dernière dose de vaccin COVID-19. Il peut s'agir de la deuxième dose du vaccin à ARNm Pfizer/BioNTech ou Moderna ou du vaccin à dose unique Johnson & Johnson.

    Environ 10 pour cent des 10 262 patients ont nécessité des soins hospitaliers. Environ 1,5% – soit 160 personnes – sont décédés du COVID-19. Pendant ce temps, environ trois patients hospitalisés sur 10 n'ont présenté aucun symptôme ou ont été admis pour une raison non liée au COVID-19. Vingt-huit décès ont été notés chez des patients asymptomatiques ou attribués à des causes non liées à la maladie.

    L'agence de santé publique a déclaré que les derniers chiffres indiquent que les infections à percée ne surviennent que chez "une petite fraction" des personnes vaccinées. Il a poursuivi: «Le nombre de cas de COVID-19, d'hospitalisations et de décès qui seront évités parmi les personnes vaccinées dépassera de loin le nombre de cas de percée vaccinale.»

    Le CDC a noté deux limites aux chiffres qu'il a publiés. Premièrement, le nombre de cas de percée vaccinale peut être un « sous-dénombrement substantiel », car son système de surveillance de ces rapports repose sur des rapports passifs et volontaires. Deuxièmement, de nombreuses personnes atteintes d'infections percées – en particulier les patients asymptomatiques – pourraient ne pas se faire tester.

    L'agence a néanmoins insisté sur le fait qu'il n'y a aucune preuve que les vaccins COVID-19 aient contribué à la mort de patients. "Les rapports au [Vaccine Adverse Event Reporting System] de décès après la vaccination ne signifient pas nécessairement que le vaccin a causé le décès", a déclaré un article sur son site Web. (Connexe : dissimulation de l'échec d'un vaccin : le CDC limite le suivi des infections à coronavirus « percées » qui surviennent chez des personnes entièrement vaccinées.)

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  16. Les vaccins eux-mêmes augmentent le risque de contracter des variantes préoccupantes du coronavirus de Wuhan
    Sur les plus de 10 000 rapports d'infection percée reçus par le CDC, plus de 500 cas disposaient de données de séquençage génomique. Les variantes du coronavirus de Wuhan, y compris la souche britannique B117, étaient responsables de plus de 60 % de ces 555 infections révolutionnaires.

    Les résultats du CDC sont sortis le même jour qu'un groupe distinct de chercheurs a publié une étude sur les infections révolutionnaires. Des scientifiques de l'Université de Washington ont noté dans leur article de mai 2021 que les variantes préoccupantes sont «surreprésentées» parmi les cas révolutionnaires qu'ils ont examinés. Sur les 20 cas étudiés, la souche B1427 – l'une des deux variantes découvertes pour la première fois en Californie – était responsable de 40% des infections.

    Ils ont noté que les variants connus pour une neutralisation réduite des anticorps – comme les souches californiennes B1427 et B1429, la souche sud-africaine B1351 et la souche brésilienne P1 – étaient surreprésentés vis-à-vis de la souche B117. Ils ont également constaté que les 20 cas révolutionnaires qu'ils ont observés avaient une charge virale nettement plus élevée que d'habitude.

    Malgré les rapports d'infections post-vaccination, le CDC travaille sur des études cliniques pour examiner l'efficacité des vaccins COVID-19 actuels. Il poursuivra également la collecte d'informations sur les infections émergentes.

    Le doyen de l'École de santé publique de l'Université Brown, le Dr Ashish Jha, a déclaré que le rapport du CDC montre que les trois vaccins COVID-19 autorisés pour une utilisation d'urgence aux États-Unis fonctionnent bien. Il a déclaré lors d'une apparition sur ABC : « Ces vaccins sont bien meilleurs que ce que j'aurais prédit il y a un an. Mais ils ne sont pas à 100 % [efficaces], donc … nous allons donc voir des infections révolutionnaires [qui sont] extrêmement rares.

    Une étude menée à la mi-avril de cette année a montré comment les vaccins peuvent exposer les gens à un risque plus élevé de contracter des variantes préoccupantes du coronavirus de Wuhan. Des chercheurs israéliens ont examiné les résultats des tests COVID-19 des personnes non vaccinées et de celles qui ont reçu le vaccin Pfizer/BioNTech. Israël a utilisé le vaccin à ARNm à deux doses sur la majorité de sa population.

    Ils ont ensuite comparé les résultats des tests des deux groupes et ont constaté que les individus entièrement vaccinés avec le vaccin Pfizer/BioNTech COVID-19 étaient huit fois plus susceptibles de contracter la variante B1351. Pendant ce temps, ceux qui ont reçu au moins une dose avaient plus de chances de contracter la variante B117. La prévalence de la souche britannique n'était pas différente chez les Israéliens qui étaient complètement vaccinés, ont découvert les chercheurs. (Connexe : la variante sud-africaine du coronavirus B1351 affecte plus facilement les patients vaccinés que les non vaccinés, avertissent les chercheurs israéliens.)

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  17. Le chercheur principal, le Dr Adi Stern de l'Université de Tel Aviv, a déclaré : « Nous avons trouvé un taux disproportionnellement plus élevé de la variante sud-africaine [B1351] parmi les personnes vaccinées avec une deuxième dose [vaccin Pfizer/BioNTech], par rapport au groupe non vacciné. Sur la base des modèles de la population générale, nous nous serions attendus à un seul cas de la variante sud-africaine – mais nous en avons vu huit. » Elle a ajouté que sur la base de leurs découvertes, la souche B1351 peut contourner "dans une certaine mesure" l'immunité induite par le vaccin.

    Visitez Vaccines.news pour lire plus de rapports sur les infections à COVID-19 révolutionnaires chez les personnes vaccinées.

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    CDC.gov
    MedRxiv.org
    LifeSiteNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-03-cdc-reports-more-breakthrough-coronavirus-infections.html

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  18. Un chercheur canadien pro-vaccin prévient que les protéines de pointe du vaccin covid tuent des gens… « Nous avons fait une grosse erreur. »


    jeudi 03 juin 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une nouvelle recherche « terrifiante » a révélé que les protéines de pointe contenues et fabriquées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont directement responsables des lésions cardiovasculaires et de la mort.

    Dr Byram W. Bridle, Ph.D. dit que lui et plusieurs collègues ont eu accès à une étude de « biodistribution » unique en son genre au Japon, montrant que même lorsqu'elles sont injectées dans le tissu musculaire du bras, les injections d'ARNm (ARN messager) de Moderna et de Pfizer-BioNTech provoquent la production de protéines de pointe qui pénètrent le plus souvent dans la circulation sanguine et provoquent des caillots sanguins mortels, des lésions cardiaques et cérébrales et l'infertilité.

    "La protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire", a averti Bridle lors d'une récente interview à la radio – regardez ci-dessous.

    « Si vous injectez la protéine de pointe « purifiée » dans le sang… [il y a] toutes sortes de dommages au système cardiovasculaire, il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau. »

    "La protéine de pointe pénètre dans le sang, circule dans le sang chez les individus pendant plusieurs jours après la vaccination", a expliqué Bridle. "Il s'accumule dans un certain nombre de tissus tels que la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales, les ovaires."

    Le « remède » est pire que le mal
    Dans l'étude, 13 travailleurs de la santé ont reçu des injections du vaccin de Moderna contre le virus chinois, ce qui fait que 11 d'entre eux ont une protéine de pointe détectable dans leur sang. Cela, dit Bridle, ne fait que solidifier davantage le fait que les protéines de pointe du vaccin sont des protéines pathogènes qui sont toxiques pour le corps.

    "Il peut causer des dommages à notre corps s'il entre en circulation", a averti Bridle à propos de la protéine de pointe du vaccin.

    « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – le vaccin lui-même et la protéine pénètrent dans la circulation sanguine. Lorsqu'elles sont en circulation, les protéines de pointe se lient aux récepteurs qui se trouvent sur nos plaquettes et aux cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. Lorsque cela se produit, cela peut provoquer une agglutination des plaquettes, ce qui peut entraîner une coagulation… cela peut également entraîner des saignements et le cœur est impliqué.

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  19. Pire encore, après avoir été injectées dans le tissu musculaire, les protéines de pointe induites par l'ARNm ont également le potentiel de traverser la barrière hémato-encéphalique et de causer des dommages neurologiques. C'est pourquoi dans de nombreux cas mortels de caillots sanguins, les dommages sont observés dans le cerveau.

    Bien entendu, tous ces résultats potentiels sont bien pires que le virus lui-même et ne font que montrer que le «remède» est pire que la maladie. Quand le monde se réveillera-t-il et réalisera-t-il que ces soi-disant « vaccins » sont un programme eugéniste en action ?

    Bien qu'il puisse y avoir une poignée de chercheurs qui avaient de bonnes intentions lorsqu'ils ont eu l'idée d'injecter des protéines de pointe mortelles dans le corps, le tout était toujours «une grosse erreur», dit Bridle.

    "Nous ne l'avions pas réalisé jusqu'à maintenant", soutient-il à propos du processus. « Nous pensions que la protéine de pointe était un excellent antigène cible, nous n'avons jamais su que la protéine de pointe elle-même était une toxine et était une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine. »

    Bridle et un groupe de scientifiques ont reçu l'année dernière une subvention de 230 000 $ du gouvernement pour effectuer des recherches sur les injections de virus chinois. Grâce à cela, ils ont pu obtenir des données sur les injections montrant que les protéines de pointe qu'elles contiennent ou produisent sont presque seules responsables de tous les dommages cardiovasculaires observés chez les patients après avoir reçu leurs injections.

    Vous trouverez plus d'articles sur les injections de coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-03-canadian-researcher-covid-vaccine-spike-proteins-death.html

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  20. Un e-mail montre que Fauci SAVAIT en mars 2020 que 99 % des morts dus au COVID en Italie avaient d'autres maladies #FauciEmails


    Les déqodeurs
    mer., 02 juin 2021 08:35 UTC


    Apparemment, les NIH/NIAID savaient que 99 % des personnes décédés du COVID en Italie avaient d'autres maladies.

    The Gateway Pundit rapporte cette information depuis plus d'un an maintenant.

    En avril 2020, TGP (The Gateway Pundit) a signalé que seulement 1% des victimes du coronavirus n'avaient pas d'autres problèmes de santé graves.

    Via Information Is Beautiful.

    - voir graphique sur site -

    En août, Joe Hoft, du site The Gateway Pundit, a rapporté que le CDC avait admis sur son site web que seuls 6 % des 153 504 décès dus au coronavirus à l'époque étaient en fait exclusivement dus au coronavirus. Les 94 % restants souffraient de deux ou trois maladies ou affections graves et l'écrasante majorité d'entre eux étaient d'un âge avancé.

    Le président Trump a retweeté ce rapport factuel du TGP qui a ensuite été signalé par les géants de la technologie.

    Les géants de la technologie l'ont qualifié de « fake news ».

    Mais grâce à la publication du courriel de Fauci mardi, nous savons maintenant que le Dr Fauci avait cette information en mars 2020.

    Fauci a ignoré cette information.

    Et Fauci a menti au public américain et a détruit l'économie américaine, des dizaines de milliers d'entreprises et des millions de vies.

    Mais le Dr Fauci n'a jamais pris la peine de communiquer cette information lors de ses innombrables apparitions dans les médias.

    Via un email de Fauci de mars 2020.

    - voir doc sur site -

    De : Fauci, Anthony [...]

    Regardez le pourcentage d'hypertension

    [...]

    Les informations contenues dans cet e-mail et dans toutes ses pièces jointes sont confidentielles et peuvent contenir des informations sensibles. Elles ne doivent pas être utilisées par quiconque n'est pas le destinataire initial. Si vous avez reçu cet e-mail par erreur, veuillez en informer l'expéditeur et le supprimer de votre boîte aux lettres ou de tout autre dispositif de stockage. Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) décline toute responsabilité pour toute déclaration faite par l'expéditeur et non expressément faite au nom du NIAID par l'un de ses représentants. [...]

    « D'après l'Italie, 99 % des personnes mortes du virus souffraient d'une autre maladie »

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  21. Selon une étude de l'autorité sanitaire nationale italienne, plus de 99 % des personnes décédées à cause du coronavirus étaient des personnes qui souffraient de pathologies antérieures.

    Après que le nombre de décès dus au virus a dépassé les 2 500, avec une augmentation de 150 % au cours de la semaine écoulée, les autorités sanitaires ont passé au peigne fin les données afin de trouver des indices permettant de lutter contre la propagation de la maladie.
    Quand ce mégalomane fera-t-il face à la justice ?

    https://fr.sott.net/article/37356-Un-e-mail-montre-que-Fauci-SAVAIT-en-mars-2020-que-99-des-morts-dus-au-COVID-en-Italie-avaient-d-autres-maladies-FauciEmails

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  22. Plus de 10 000 personnes vaccinées attrapent le coronavirus de Wuhan – ce qui amène beaucoup à se demander si les vaccins fonctionnent vraiment


    jeudi 03 juin 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont déclaré avoir enregistré plus de 10 000 cas d'infections dites « révolutionnaires ». Ces infections concernent des personnes qui contractent le coronavirus de Wuhan (COVID-19) au moins 14 jours après leur dernière dose de vaccin COVID-19. L'agence de santé publique a toujours insisté sur le fait que de tels cas sont "relativement rares".

    Selon un article de Russia Today (RT), le CDC a signalé 10 262 cas de personnes entièrement vaccinées infectées par COVID-19. Les chiffres publiés dans l'édition du 28 mai du rapport hebdomadaire du CDC sur la morbidité et la mortalité provenaient de 46 États et territoires américains. Moins de sept pour cent de ceux qui ont subi des infections à percée ont été hospitalisés avec des symptômes de COVID-19. Pendant ce temps, un total de 1,6% – soit environ 160 personnes – sont décédés des suites de ces infections révolutionnaires.

    Le même rapport de RT a déclaré qu'il était "probable" que le nombre d'infections percées soit beaucoup plus élevé que celui signalé. Selon le CDC, cela est dû au fait que la déclaration de tels cas de percée est volontaire. Il n'inclut pas non plus les patients COVID-19 asymptomatiques qui n'ont jamais été testés.

    Malgré les plus de 10 000 cas d'infections majeures signalés, le CDC a insisté sur le fait que ces cas sont "relativement rares". L'agence de santé publique a déclaré: "Le nombre de cas de COVID-19, d'hospitalisations et de décès qui seront évités parmi les personnes vaccinées dépassera de loin le nombre de cas de percée vaccinale."

    Le CDC a annoncé au début du mois qu'il limiterait la surveillance des cas de rupture. L'agence de santé publique a déclaré qu'elle ne signalerait que les patients atteints d'une infection par le vaccin COVID-19 qui ont été hospitalisés ou sont décédés. Il a expliqué que cette décision visait à « aider à maximiser la qualité des données collectées sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique ».

    Le responsable du CDC, le Dr Thomas Clark, a déclaré dans une interview que "peu de schémas inquiétants" dans leurs données collectées ont incité le changement de stratégie de reporting. « Je ne pense pas que nous manquions ces données. C'est juste une sorte de paquet de la façon dont nous examinons ces questions [concernant l'infection révolutionnaire », a-t-il déclaré. Le responsable du CDC a ajouté que d'autres études sur la gravité des infections au COVID-19 chez les personnes vaccinées et non vaccinées sont en cours de planification.

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  23. Les tests COVID-19 ont également un rôle à jouer dans l'augmentation du nombre d'infections percées
    Le test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR) est l'étalon-or pour les tests COVID-19. Cependant, même son inventeur Kary Mullis a déclaré que le test ne devrait pas être utilisé comme outil de diagnostic. Mais un rapport Off-Guardian du 18 mai a expliqué comment le CDC utilise les données de test RT-PCR pour décrire les vaccins COVID-19 comme efficaces. (Connexe : il apparaît que les tests COVID sont défectueux. La FDA et le CDC l'admettent.)

    Selon le rapport, le CDC a utilisé deux facteurs principaux pour justifier l'efficacité présumée des vaccins. Premièrement, il a modifié les valeurs du seuil de cycle (CT) du test PCR pour COVID-19 – qui n'était pas fiable au départ. Ces tests ont ensuite été manipulés pour refléter un nombre élevé de résultats faussement positifs.

    Deuxièmement, l'agence a utilisé la définition large des cas de COVID-19. Selon la définition actuelle, toute personne qui présente un résultat de test positif même si elle ne présente aucun symptôme est automatiquement considérée comme un cas de COVID-19.

    L'article alléguait également que l'agence de santé publique avait établi deux nouvelles règles pour les cas vaccinés et non vaccinés. Premièrement, il a supprimé les infections asymptomatiques ou bénignes de la définition d'un cas de COVID-19 – ce que l'agence a annoncé au début du mois. Cela signifie que les personnes vaccinées qui souffrent de COVID-19 avec peu ou pas de symptômes ne seront plus considérées comme des cas de COVID-19.

    Deuxièmement, le CDC a abaissé la valeur CT des tests RT-PCR en cas d'infections suspectes. Une mise à jour fin avril 2021 sur le site Web de l'agence a demandé aux autorités sanitaires de l'État de "soumettre uniquement les échantillons avec une valeur CT de [moins de] 28 … pour le séquençage". Il a poursuivi que le séquençage n'est pas possible avec des échantillons qui ont une valeur CT plus élevée. Cela signifiait essentiellement que le CDC a suggéré aux laboratoires de réduire les valeurs de CT à 28 cycles ou moins pour les infections potentielles. (Connexe: Les personnes vaccinées sont désormais testées à 28 cycles de PCR, ce qui garantit presque un résultat covid «négatif».)

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  24. L'article de Off-Guardian a finalement fait remarquer que les nouvelles politiques du CDC « ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux ». Il a déclaré: «À partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à recevoir un diagnostic de COVID-19 que les personnes vaccinées. Si les nouvelles règles sont appliquées, le seul résultat possible est que les dossiers officiels montreront que COVID-19 est beaucoup plus répandu parmi les non vaccinés. Il s'agit d'une politique conçue pour gonfler continuellement un chiffre et minimiser systématiquement l'autre.

    Visitez Pandemic.news pour lire plus d'articles sur les infections révolutionnaires du COVID-19.

    Sources include:

    SHTFPlan.com
    RT.com
    CDC.gov
    MSN.com
    Off-Guardian.org

    https://www.naturalnews.com/2021-06-03-more-vaccinated-people-catch-coronavirus-vaccines-work.html

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  25. Un parallèle presque trop facile


    le 4 juin 2021


    Demandez à un prêtre s’il croit en l’existence de Dieu, il vous répondra sans hésiter par l’affirmative. Si vous lui demandez s’il est convaincu de l’existence du réchauffement du climat en raison de l’activité humaine, il pourra aussi répondre par l’affirmative puisque pour lui l’activité humaine peut avoir un effet néfaste sur l’harmonie divine du monde dans lequel évoluent les hommes. La question que vous pourrez alors lui poser pourra être la suivante : « si vous croyez en l’existence de Dieu vous avez donc des preuves et si vous pensez que l’activité humaine dérègle le climat vous avez donc également des preuves ». Au cours de cette conversation très courtoise vous aurez atteint une impasse. En trois questions simples en apparence, le débat est clos.

    Cet exemple n’est pas caricatural. Il repose sur deux faits qui se confondent : la religion n’est pas une science puisqu’elle s’appuie sur le dogme de l’existence de Dieu. La « croyance » en l’effet du gaz carbonique sur le climat repose également sur un dogme qui n’a jamais pu être démontré depuis sa formulation au milieu des années 1970 : l’effet de serre du gaz carbonique. Cette nouvelle science du climat telle qu’alimentée par les rapports de l’IPCC et les grandes messes internationales dites COP-xyz n’est pas une science au sens strict du terme. Le parallèle entre le dogmatisme religieux et ce dogmatisme climatique ne s’arrête pas là. Les religions monothéistes ont toujours alimenté des conflits entre groupes humains, la nouvelle religion climatique ne manquera pas de faire naître également des conflits sociaux, économique, voire des conflits armés dans le but d’accaparer des ressources minérales nécessaires à la finalisation de la mise en application des mesures issues du dogme de l’effet de serre du gaz carbonique. Je pense notamment au cobalt, au lithium et aux lanthanides dont l’utilisation dans les technologies dites vertes est incontournable.

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  26. On peut se demander d’ailleurs si cette nouvelle religion climatique ne remplace pas dans l’esprit des êtres humains celle, multi-millénaire, adossée sur le dogme de l’existence de Dieu. Je n’ai rien contre les religions, chacun pense et fait ce qu’il veut, mais ce parallélisme est troublant. Certes il a fallu plusieurs siècles pour que la religion chrétienne s’impose en Occident mais avec les nouvelles technologiques de l’information il a fallu quelques décennies pour que l’ensemble des pays du monde se sentent responsables du climat … et du salut de leurs peuples. La pseudo-science du climat adossée au dogme de l’effet de serre est devenue la nouvelle religion contemporaine, pas du tout celle qu’avait imaginé André Malraux. De même que les Grecs et les Romains ont imaginé des dieux à leur image, de même les nouveaux dieux du climat sont des fonctionnaires internationaux qui imaginent que l’homme peut exercer une influence sur les phénomènes naturels pourtant difficilement prévisibles en faisant preuve d’une outrecuidance frisant le délire pour oser prévoir des températures planétaires globales dans 50 ou 100 ans. Sans une certaine croyance quasiment religieuse il est difficile d’imaginer de telles extravagances.

    Cette fausse science conduit tout naturellement à des débordements qu’un étudiant en thèse n’oserait même pas envisager. Des administrations respectables comme la NASA ou la NOAA « trafiquent » les données météorologiques d’une manière honteuse pour qu’elles soient conformes au dogme de l’effet de serre. C’est tout simplement scandaleux. Mais c’est la mode, une mode qui remonte paradoxalement aux mœurs moyenâgeuses qui condamnaient au bûcher celles ou ceux qui osaient contester les dogmes religieux. Giordano Bruno a été brûlé pour avoir contesté le géocentrisme car puisque Dieu était au centre du monde et que Dieu siégeait à Rome alors la Terre devait se trouver au centre du monde et être éventuellement plate. De nos jours des scientifiques de réputation mondiale sont voués aux gémonies parce qu’ils contestent l’effet de serre. Tout cela va mal se terminer. En effet, sous l’impulsion des organismes onusiens les gouvernements décident progressivement de mesures démagogiques pour sauver le climat. Toutes ces mesures reposent sur le dogme de l’effet de serre du gaz carbonique. Par conséquent il faut réduire les émissions de ce gaz. Les catastrophes que généreront ces mesures sont pour l’instant difficiles à quantifier. Ce qui est certain c’est l’appauvrissement généralisé des populations doublé d’une chute de l’activité économique. Cette situation ne pourra qu’engendrer de graves troubles sociaux. De toute évidence ces conséquences sont occultées par les partisans de l’effet de serre mais un jour ou l’autre les peuples leur demanderont des comptes.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/06/04/un-parallele-presque-trop-facile/

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    1. A vrai dire, plus il y a du monde, plus il y a de consommateurs et plus il y a de travailleurs. Mais, plus encore... plus il y a de cerveaux différents qui pensent chacun de leur angle de vue ! Donc, il n'y a plus un nano-groupuscule de dictateurs psychopathes au pouvoir mais 7 milliards de personnes qui en plus aujourd'hui... communiquent entr'elles !!! (Il se forme un cerveau appelé monde !).
      Donc, après l'invention de conneries pour les faibles d'esprit du type qui vit dans les nuages (-200°C ! Le paradis quoi !), l'invention des guerres pour s'accaparer des terres, voici que 'l'union de tous les pays du monde en un seul' devrait écarter toutes volontés de s'approprier des terres que l'on a à soi !
      Oui mais, demeure l'être humain qui pense, réfléchit et même rêve ! Ils veulent supprimer la monnaie-papier ? et puis vider tous les comptes sur le dos d'extraterrestres-hackers ? et puis ? L'être humain troque. Il continue à vivre ! et, même si tout l'argent devient électrique, il troquera toujours ! (au noir !).
      Donc, dans ce merdier de Kommandantur, LA résolution d’appauvrir tout le monde parce que... heu, voyons-voyons... "On va leur faire payer l'air qu'ils respirent et salissent !" Hahahaha !
      Oui mais, face à çà, y a des scientifiques qui peuvent prouver que le niveau des mers & océans ne peut monter (hors marées) et, même que le gaz carbonique n'est pas un poison et que s'il était: on serait mort depuis belle lurette car 50 milliards d'êtres humains ont respiré avant nous !

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  27. Projet de parc éolien chinois au Texas
    Une menace pour la sécurité nationale : Kyle Bass


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 03 JUIN 2021 - 20:20
    Rédigé par Cathy He et Jen Jekielek via Epoch Times,


    Un projet de parc éolien chinois au Texas pose des problèmes de sécurité nationale, a averti Kyle Bass, observateur de la Chine et gestionnaire de fonds spéculatifs.

    Le développement de Blue Hills Wind dans le comté de Val Verde, dans le sud-ouest du Texas, a fait l'objet d'un examen minutieux ces derniers mois, les législateurs et les experts craignant que le projet chinois ne soit utilisé comme couverture pour l'espionnage et pour perturber le réseau électrique de l'État.

    Le site du parc éolien proposé se trouve à environ 30 miles de la frontière américano-mexicaine et à proximité de la base aérienne de Laughlin, le plus grand centre de formation de pilotes de l'US Air Force.

    Le terrain du parc éolien appartient à une société chinoise appelée GH America Investments Group, qui a acheté depuis 2015 130 000 acres de terrain – une superficie de la taille de Tulsa, Oklahoma – dans le comté de Val Verde. L'homme derrière l'entreprise est Sun Guangxin, un homme d'affaires de la région du nord-ouest du Xinjiang en Chine, qui a des liens étroits avec le régime communiste.

    Sun, un ancien officier militaire, est actuellement la personne la plus riche du Xinjiang, où le régime commet un génocide contre les minorités ethniques musulmanes. Il a une valeur nette de 1,9 milliard de dollars, selon Forbes, et a également été vice-président de la Fédération provinciale de la jeunesse du Xinjiang.

    « À mon avis, c'est la raison pour laquelle il a acheté le parc éolien et veut installer des éoliennes de 700 pieds, c'est qu'il se branche directement sur notre réseau électrique. Eh bien, se brancher directement sur notre réseau électrique est quelque chose qui ne devrait jamais arriver », a déclaré Bass, fondateur et directeur des investissements de Hayman Capital Management, au programme « American Thought Leaders » d’Epoch TV.

    Stimulée par ces problèmes de sécurité, la législature du Texas a récemment adopté à l'unanimité une loi interdisant aux personnes ou aux entreprises liées à la Chine, à l'Iran, à la Corée du Nord ou à la Russie de conclure des contrats relatifs aux infrastructures critiques de l'État. Le projet de loi a été envoyé au gouverneur pour signature. S'il est signé, il prendra effet immédiatement.

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  28. Les infrastructures critiques du pays ont été la cible de plusieurs cyberattaques ces derniers mois. Une évaluation annuelle des menaces (pdf) réalisée par la communauté du renseignement américaine a déclaré que les cyber-capacités du régime chinois "au minimum, peuvent provoquer des perturbations localisées et temporaires des infrastructures critiques aux États-Unis".

    Bass a déclaré que le terrain était un site curieux pour un parc éolien étant donné que la région n'est pas connue pour produire des niveaux élevés de vent. La hauteur proposée des éoliennes est de 700 pieds, soit la hauteur du Washington Monument, ce qui signifie qu'elles pourraient être utilisées pour espionner les activités de la base de l'Air Force et les opérations de sécurité frontalière à la frontière américano-mexicaine, a-t-il ajouté.

    La sénatrice de l'État républicain Donna Campbell, parrain du projet de loi, a comparé le projet à un « cheval de Troie ».

    « Pourquoi veulent-ils mettre ça dans le comté de Val Verde, où le vent ne souffle pas vraiment ? Pourquoi cette zone, où allait se trouver le parc de turbines, à 65 miles de notre base aérienne de Laughlin, est-elle une base stratégique de formation des pilotes ? » Campbell a déclaré au Sénat en avril.

    GH America examine actuellement ses options à la lumière de l'adoption de la législation, a rapporté News 4 San Antonio.

    Stephen Lindsey, vice-président de la société, a déclaré à News 4 que le parc éolien proposé n'était pas une menace pour la sécurité de l'État, et a ajouté qu'il ne savait pas si Sun avait des liens avec le Parti communiste chinois.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/chinese-wind-farm-project-texas-threat-national-security-kyle-bass

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  29. Pollution de l'air et mortalité : encore un décryptage de M. Philippe Stoop sur Atlantico


    4 Juin 2021
    par Seppi
    Glané sur la toile 671


    - voir sur site -

    a. Cartes des émissions de particules fines d'origine agricole, modélisées par Domingo et al.

    b. Carte des concentrations de PM2,5 dans l'air (Source : NASA - New Map Offers a Global View of Health-Sapping Air Pollution

    c. Carte de la mortalité (valeur absolue et tendance) par comté (les comtés rouge et orange vif ont une mortalité à la fois forte et stable sur la période 2008-2016, alors que les comtés noirs et violets avaient déjà une mortalité plus faible en début de période, qui a encore diminué depuis (source: Identifying County-Level All-Cause Mortality Rate Trajectories and Their Spatial Distribution Across the United States (cdc.gov)

    Le 11 mai 2021, nous avions publié « 400.000 morts par an en Europe à cause de la pollution de l’air ? De petits éclaircissements de M. Philippe Stoop sur Atlantico ».

    L'actualité scientifique commandant, voici un nouvel décryptage de M. Philippe Stoop, toujours sur Atlantico : « Plus de morts liés à la pollution de l’air causée par les fermes que par les centrales à charbon ? Retour sur des données américaines choc ».

    En chapô :

    « Selon des recherches américaines, les émissions de l’agriculture seraient si importantes qu’elles représenteraient autant de décès annuels que la pollution des centrales à charbon. Et pourtant, elles sont peu prises en compte dans les politiques de réduction des émissions. »

    Cela se rapporte à un article publié dans PNAS, « Air quality–related health damages of food* » (dommages de l'alimentation liés à la qualité de l'air) de Nina G. G. Domingo et al. On peut trouver le titre un peu curieux... peut-être faudra-t-il s'abstenir de manger pour ne pas mourir de maladie pulmonaire...

    L'analyse de M. Philippe Stoop est très détaillée. Nous vous livrerons ici l'entrée en matière et la conclusion :

    « Le fait que l’agriculture émette des particules fines et des gaz à effet de serre (GES), tout comme l’industrie, n’a rien d’un scoop. Ce qui est nouveau dans cette publication, c’est que les auteurs ont cherché à quantifier l’effet que ces polluants d’origine/agricole sur la mortalité aux USA. Mais ils ont employé pour cela une démarche très aventureuse, et très mal justifiée scientifiquement.
    […]

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  30. Par contre, toute la partie portant sur le calcul du nombre de victimes de ces GES est d’une telle faiblesse méthodologique, qu’elle ne peut être prise en compte en l’état. Pour que l’on commence à y croire sérieusement, il faudrait déjà démontrer que l’ammoniaque émis dans les zones rurales n’y a pas d’effet sanitaire, mais augmente la concentration des particules fines présentes dans les villes et régions industrielles. Sinon, les cartes d’émission publiées dans cette publication contredisent le dogme de l’OMS sur la mortalité due aux particules fines, au lieu de le confirmer. »

    S'il y a un point que nous retiendrons de cette étude, c'est le nombre à notre sens très faible des morts attribués à la production de nourriture.

    Oh, et puis la mortalité liée aux PM2,5 et due à la production alimentaire pourrait baisser de plus de 100 % si on agissait au niveau à la fois de la ferme et du régime alimentaire. Enfin, si nous avons bien compris !
    _____________

    * Voici le résumé de l'étude (découpé) :

    « Signification

    La mauvaise qualité de l'air est le plus grand risque environnemental pour la santé aux États-Unis et dans le monde, et l'agriculture est une source majeure de pollution atmosphérique. Pourtant, la qualité de l'air a été largement absente des discussions sur les impacts sanitaires et environnementaux de l'alimentation.

    Nous estimons les effets de l'agriculture sur la santé liés à la qualité de l'air aux États-Unis et constatons que 80 % des 15.900 décès annuels dus à la pollution par les particules fines (PM2,5) liés à l'alimentation sont attribuables aux aliments d'origine animale. En estimant ces impacts et en explorant les moyens de les réduire, ce travail comble une lacune critique dans les connaissances.

    Nos résultats sont pertinents pour les producteurs, les transformateurs et les distributeurs d'aliments, ainsi que pour les décideurs et les membres du public qui souhaitent minimiser les conséquences négatives des aliments.

    Résumé

    L'agriculture est un contributeur majeur à la pollution atmosphérique, le plus grand facteur de risque environnemental de mortalité aux États-Unis et dans le monde. Cependant, on ne sait pas vraiment comment les divers aliments individuels ou les régimes alimentaires entiers affectent la santé humaine par la mauvaise qualité de l'air.

    Nous montrons comment la production alimentaire a un impact négatif sur la santé humaine en augmentant les particules fines (PM2,5) dans l'atmosphère, et nous identifions des moyens de réduire ces impacts négatifs de l'agriculture. Nous quantifions les dommages sanitaires liés à la qualité de l'air et attribuables à 95 produits agricoles et 67 produits alimentaires finaux, qui représentent plus de 99 % de la production agricole aux États-Unis.

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  31. La production agricole aux États-Unis entraîne 17.900 décès annuels liés à la qualité de l'air, dont 15.900 sont dus à la production alimentaire. Parmi ceux-ci, 80 % sont attribuables aux aliments d'origine animale, à la fois directement liés à la production animale et indirectement à la culture d'aliments pour animaux.

    Les interventions à la ferme peuvent réduire de 50 % la mortalité liée aux PM2,5, notamment en améliorant la gestion des effluents d'élevage et les pratiques d'application des engrais qui réduisent les émissions d'ammoniac, un précurseur secondaire des PM2,5, et en améliorant les pratiques de culture et de production animale qui réduisent les émissions primaires de PM2,5 provenant du travail du sol, du brûlage des champs, de la poussière du bétail et des machines.

    L'évolution du régime alimentaire vers une alimentation plus végétale qui maintient l'apport en protéines et les autres besoins nutritionnels pourrait réduire de 68 à 83 % la mortalité liée à la qualité de l'air agricole.

    En résumé, l'amélioration des pratiques d'élevage et de fertilisation, ainsi que les changements de régime alimentaire, pourraient considérablement réduire les effets de l'agriculture sur la santé en raison de sa contribution à la réduction de la qualité de l'air. »

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/pollution-de-l-air-et-mortalite-encore-un-decryptage-de-m.philippe-stoop-sur-atlantico.html

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    1. Comme il en est (par exemple:) en Chine, la ville Pékin est très peu ventée et la pollution a du mal à s'évacuer.
      Mais, mis à part cela, l'article ci-dessus, ne mentionne, ne présente qu'un pays au monde (Les Etats-Unis) par satellite.
      Or, notre planète n'est PAS composée de seulement 22 % de terre émergées... mais de 78 % de mers et d'océans. Et, la photographie manquante par satellite à défilement (qui passent 3 fois par jour autour de la Terre) ferait remarquer qu'il y a plus de tâches sur les eaux que partout ailleurs !!! Çà alors !
      Les poissons traiteraient-ils les mers & océans ?
      Hahahaha !

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  32. La vitalité des infrastructures est un choix


    4 Juin 2021
    par Seppi
    John Rigolizzo, Jr*



    La fermeture surprise du plus grand oléoduc d'Amérique nous met en garde sur l'importance des infrastructures – et ce qui se passe lorsque nous les négligeons.

    Ces derniers jours, les prix à la pompe à essence, ici dans le New Jersey, ont augmenté d'environ 10 cents le gallon. Si le Colonia Pipeline, qui traverse la côte Est, reste fermé plus longtemps, les coûts vont grimper en flèche. On commence déjà à entendre parler de longues files d'attente dans les stations-service.

    Je suis assez vieux pour dire que l'on se croirait à nouveau dans les années 1970 aux États-Unis.

    Ces derniers temps – et malheureusement – nous avons reçu de nombreux rappels désagréables sur les faiblesses de nos infrastructures, tant ici aux États-Unis que dans le reste du monde.


    En février, le réseau électrique du Texas s'est effondré au cours d'une violente tempête hivernale. Des millions de personnes ont été privées d'électricité, ont grelotté dans le froid et ont vu leurs canalisations gelées éclater. En mars, un énorme porte-conteneurs a bloqué le canal de Suez, interrompant le commerce mondial dans une voie navigable importante pendant près d'une semaine.

    Vient maintenant le fiasco du Colonial Pipeline, qui a apparemment été causé par les cyberattaques d'un groupe criminel d'Europe de l'Est appelé « DarkSide ».

    Certaines de ces mésaventures impliquant des infrastructures sont peut-être inévitables. La vie n'est pas juste et le malheur nous touche tous.

    Pourtant, la vitalité de nos infrastructures est un choix. Nous pouvons choisir d'y investir, et je me réjouis du débat actuel au Congrès américain sur la manière dont nous pourrions dépenser davantage pour les infrastructures.

    Trop souvent, cependant, nous préférons l'ignorer.

    Nous l'avons vu en janvier, lorsque le président Biden a révoqué les permis de construire de l'oléoduc Keystone XL. Son objectif était de renforcer notre infrastructure en améliorant notre capacité à transporter le pétrole brut et à fournir de l'énergie.

    Les tuyaux sont le meilleur moyen de transporter du carburant, mais ce n'est pas le seul. Les camions peuvent également les transporter – mais il faut bien que quelqu'un les conduise. Il y a deux ans, les American Trucking Associations ont signalé une pénurie de plus de 60.000 chauffeurs. La demande a diminué pendant la pandémie de Covid-19, mais elle augmente à nouveau – et nous devons maintenant faire face aux allocations de chômage fédérales qui découragent les gens de retourner au travail.

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  33. Même sans ces décisions, nous sommes sur le point de souffrir de multiples défaillances des infrastructures parce que nous avons choisi à plusieurs reprises de nous exposer à la vulnérabilité. Ce printemps, par exemple, l'American Society of Civil Engineers a publié son rapport quadriennal sur les infrastructures américaines. Elle a attribué une note de C-moins.

    Le seul point positif de cette note pessimiste est qu'elle représente une amélioration par rapport à 2017, où l'ASCE avait donné un D-plus.

    C'est toujours un mauvais score. Voici un fait peu amusant tiré du rapport de cette année : 43 % des routes publiques américaines sont dans un état « mauvais » ou « médiocre ».

    Les entreprises, ainsi que les agriculteurs comme moi, sont particulièrement menacés. Par le passé, les infrastructures américaines nous ont donné un avantage concurrentiel parmi les Nations qui exportent également des denrées alimentaires. Comme nous vendons à des clients de l'autre côté de nos frontières, en transportant des produits de la ferme au port, nous bénéficions d'un incroyable système de routes, de voies ferrées et de rivières.

    Nous les laissons se dégrader et nous ne pouvons pas dire que nous n'avons pas été prévenus.

    Au contraire, nous choisissons d'ignorer le problème.

    Parfois, nous faisons même pire : nous le dissimulons en redéfinissant le terme « infrastructure » pour qu'il signifie autre chose que les systèmes physiques qui permettent à notre société de fonctionner. L'administration Biden, par exemple, a inclus la création d'un Civilian Climate Corps dans son plan visant à augmenter les dépenses d'infrastructure.

    Calqué sur le Civilian Conservation Corps de la Grande Dépression, un nouveau CCC est peut-être une excellente idée qui vaut 10 milliards de dollars, selon la proposition de la Maison Blanche.

    Mais ce n'est pas une infrastructure et nous ne devrions pas prétendre que c'en est une.

    La sénatrice Kristin Gillibrand de New York est allée encore plus loin. Dans un gazouillis du mois dernier, elle a élargi la définition d'« infrastructure » pour y inclure les « congés payés », les « garderies » et les « soins de santé ».

    Encore une fois, il pourrait s'agir de dépenses louables – mais ce ne sont pas des infrastructures.

    Le moment où l'infrastructure devient tout est précisément le moment où elle est devenue rien.

    Et c'est là le problème. Nous avons négligé nos infrastructures pendant trop longtemps. Nous les avons traitées comme si elles n'étaient rien.

    Nous nous tirons une balle dans le pied. Puis nous nous demandons pourquoi nous boitons.

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  34. __________

    * John Rigolizzo, Jr, agriculteur, New Jersey, USA

    John Rigolizzo, Jr est un agriculteur de cinquième génération qui produit des légumes frais et du maïs dans le sud du New Jersey. La ferme familiale alimente des marchés de détail et de gros. John fait du bénévolat en tant que membre du conseil d'administration du Global Farmer Network (réseau mondial d'agriculteurs) et a assuré le leadership de la Vegetable Growers Association du New Jersey (association des producteurs de légumes du New Jersey) et duNew Jersey Tomato Council (conseil de la tomate du New Jersey). En tant qu'ancien président du New Jersey Farm Bureau, son intérêt et son soutien de longue date au libre-échange ont été confirmés par sa participation à 11 missions commerciales internationales et sa participation à des réunions de l'Organisation Mondiale du Commerce à Seattle et à Genève.

    Source : Infrastructure Vitality is a Choice – Global Farmer Network

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  35. Du naturel et du dénaturé par la sélection


    3 Juin 2021
    par Seppi
    Ludger Weß*


    Ma note : Le titre original, quasiment intraduisible, est « Von Zucht und Unverzucht ». Il s'agit dans ce texte d'une nouvelle manœuvre de marketing.

    « Zucht » se réfère généralement à l'élevage ainsi qu'à la sélection, comme dans « Saatzucht » (sélection des semences). Il a été substitué ici à « (Pflanzen)züchtung », la sélection ou l'amélioration des plantes (« (plant) breeding » en anglais). Cela a permis de forger un néologisme, « Unverzucht », qui ressemble fortement à « Unzucht », la fornication, la débauche ou une autre relation sexuelle moralement répréhensible, qui ne saurait mener qu'à la bâtardise et la dégénérescence.

    Ce texte est grandement ironique, avec beaucoup d'éléments à prendre au second degré.

    Les produits commercialisés avec la mention « unverzüchtet » sont ainsi des produits « nature », non dénaturés ou altérés par la sélection.

    ° o 0 o °

    Le « naturel » est un atout sur le marché alimentaire. Après les céréales complètes, les produits biologiques et les produits biodynamiques, voici maintenant le « unverzüchtet ». Quelle absurdité !

    Des céréales non dénaturées par la sélection, des bovins Fleckvieh non dénaturés par la sélection, des vignes non dénaturées par la sélection et des fruits non dénaturés par la sélection... « unverzüchtet » est le nouveau mot magique du marketing du biobusiness [en Allemagne]. Le mot est censé suggérer le caractère ancestral et naturel et insinue que les variétés modernes sont «dénaturées par la sélection » parce que les sélectionneurs (c'est-à-dire, bien sûr, Monsanto, Syngenta & Cie.) ont en quelque sorte corrompu les bonnes vieilles variétés.

    On peut en effet critiquer certaines variétés modernes, notamment de fruits et de légumes. Si les tomates et les fraises ont été sélectionnées avant tout pour être transportables et stockables, et que le goût est passé à la trappe dans le processus, c'est certainement déplorable. Surtout si vous voulez manger les tomates crues et faire plus qu'une jolie décoration rouge avec les fraises.

    Il n'en reste pas moins que « unverzüchtet » est un terme trompeur et diffamatoire – tout comme « genverseucht » [contaminé par des gènes], « maïs Frankenstein » et « pestizidgeschwängert » [imprégné – littéralement, « engrossé » – de gènes], « agriculteur empoisonneur » et « empoisonneur de puits ».

    Nos cultures sont entièrement sélectionnées

    Examinons le blé non sélectionné. D'où vient le blé ? Il n'existe pas de blé sauvage d'origine, car le blé est un produit artificiel de sélection que des agriculteurs inconnus ont créé quelque part entre la Mésopotamie et l'Europe pendant plusieurs milliers d'années à partir de diverses graminées : d'abord l'amidonnier, puis l'engrain et enfin le blé tendre, mais aussi l'épeautre et le blé dur.

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  36. Ainsi, le génome géant du blé, cinq fois plus grand que celui de l'Homme, a été créé par la combinaison d'au moins trois plantes différentes, chacune d'entre elles ayant apporté un double jeu de chromosomes. Rien de tout cela n'est naturel ou sauvage – de l'épeautre au blé panifiable, ce sont des graminées entièrement « sélectionnées », « verzüchtet », dénaturées par la sélection. Pourtant, si une entreprise de semences annonçait aujourd'hui qu'elle souhaite créer une super-plante pour de nouveaux aliments à partir de plusieurs graminées sauvages, elle devrait s'attendre à des pétitions, des occupations, des procès et pire encore. Les ONG de défense de l'environnement s'en donneraient à cœur joie : quel orgueil de jeter ensemble des génomes entiers, avec des conséquences sanitaires et environnementales totalement inconnues – catastrophe, fin du monde !

    C'est une histoire similaire avec le maïs. Il a fallu des décennies pour que les chercheurs réalisent que le maïs avait probablement évolué à partir d'une plante d'apparence complètement différente, le téosinte. Le téosinte est une herbe qui se ramifie en touffe. Dans ses petites inflorescences mûrissent quelques grains anguleux entourés d'une enveloppe dure comme de la pierre. À partir de cette plante, les habitants d'Amérique centrale avaient déjà produit, des milliers d'années avant l'arrivée de Christophe Colomb, le maïs que nous connaissons aujourd'hui sous la forme de plusieurs centaines de variétés : bleu, jaune, rouge, denté, sucré, corné, amylacé, tuniqué, popcorn. Le maïs est donc lui aussi une graminée entièrement « abâtardie » par la sélection.

    - voir tableau sur site -

    Le téosinte – plante à l'origine du maïs – Bernardo Bolaños, CC BY-SA 3.0.

    Ou prenons le chou. La plante d'origine est une crucifère discrète et délicate que l'on trouve encore aujourd'hui, notamment dans les parties rocheuses des côtes européennes. Les sélectionneurs humains l'ont utilisée pendant des milliers d'années pour créer les variétés de choux que nous connaissons aujourd'hui : choux de Bruxelles, choux rouges, choux cabus, choux frisés, choux palmés, choux-raves, choux de Milan, choux-fleurs, brocolis et romanesco. Le colza et le rutabaga en sont également issus.

    Non, le chou n'a pas toujours été comme ça

    Dans certaines variétés, nous avons épaissi le trognon de façon grotesque (chou-rave), agrandi les feuilles (chou palmiste) ou renforcé le bourgeon terminal, en comprimant tellement la pousse que les feuilles poussent les unes sur les autres (chou cabus, chou rouge, chou de Milan). Dans le cas du chou-fleur, du brocoli et du romanesco, ce sont les inflorescences fortement agrandies que nous consommons ; dans le cas des choux de Bruxelles, ce sont les feuilles des pousses latérales comprimées.

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  37. Et c'est ainsi que ça continue allègrement. La carotte d'aujourd'hui n'a même plus la couleur de la carotte sauvage, dont les racines sont à peine épaisses comme des crayons et blanchâtres. La plante à l'origine du bananier a plus de graines que de chair. Le melon primitif est à peu près de la taille d'une noisette et si dur qu'il ne peut être ouvert qu'avec un marteau. La pêche primitive est aussi petite qu'une cerise, a une peau cireuse et coriace, et est principalement composée du noyau.

    Mais ce ne sont là que des changements visibles. À l'intérieur, des modifications beaucoup plus profondes ont eu lieu. Nous avons sélectionné le colza pour l'huile, rendu de nombreux légumes beaucoup plus riches en amidon et en saveur, sélectionné des fruits plus sucrés et moins amers.

    Si vous voulez en savoir plus, on trouvera plus d'informations chez les sélectionneurs de plantes de la « Progressive Agrarwende » (transition agraire progressiste) et des illustrations instructives chez le professeur de chimie australien James Kennedy.

    Chou sauvage « abâtardi » – Hendrik Hanekamp (privé)

    La sélection et l'ordre naturel

    Grâce aux interventions de sélection, le goût, la valeur nutritive et la digestibilité se sont considérablement améliorés – malheureusement pas seulement pour nous, mais aussi pour toutes sortes d'animaux, qui peuvent désormais manger les fruits, les légumes et les céréales « abâtardis » par l'homme sans se détourner avec dégoût ou tomber raide mort des feuilles. Elles ont également accru la sensibilité à toutes sortes d'infestations de champignons, de bactéries et de virus. Pour toutes ces raisons, nous avons besoin de mesures de protection des cultures.

    Il est donc totalement absurde de qualifier de « unverzüchtet » (non dénaturé) toute vieille variété provenant du jardin de nos arrière-grands-parents. Même à l'époque des anciens Romains et Grecs, les céréales, les légumes, les fruits et le vin étaient des produits artificiels issus de l'intervention humaine et donc de plantes sauvages « abâtardies » – ce qui, soit dit en passant, était déjà déploré à cette époque. Vers 60 après J.-C., le médecin grec Dioscoride recommandait la carotte sauvage comme une plante médicinale importante, prévenant que les plantes cultivées du jardin étaient beaucoup moins efficaces.

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  38. Et il y a autre chose qui est contre-intuitif et même absurde : les dangers de l'« outcrossing », qui sont mis en avant de manière répétée par les associations de l'agriculture biologique et les ONG environnementales comme un argument contre les plantes et les variétés dans la sélection desquelles des méthodes modernes d'amélioration des plantes (génie génétique, édition du génome) ont été impliquées. Au Mexique, elles ont récemment obtenu un succès contestable avec leurs avertissements qui ont incité le gouvernement à interdire la culture du « Genmaïs » (le maïs génétiquement modifié – littéralement : « maïs à gènes ») parce qu'il menacerait le téosinte et les « variétés anciennes de maïs » du pays par « des croisements et des contaminations incontrôlables ». Le génie génétique, a-t-il été dit, est une atteinte à la « biodiversité », c'est-à-dire la diversité des espèces et des variétés.

    C'est à peu près le plus grand nombre d'absurdités que vous pouvez inventer. On sait depuis 1990 que les gènes contrôlant les différences entre le maïs et le téosinte sont situés dans seulement six régions du génome – il suffit donc de quelques modifications pour transformer le téosinte en maïs. Selon cette logique, toutes les variétés de maïs sélectionnées en Amérique centrale au cours des 6.000 dernières années devraient être interdites immédiatement – après tout, elles pourraient également corrompre le téosinte en transmettant une ou plusieurs de ces mutations à la plante sauvage. Il en va de même en Europe pour la culture des nombreuses variétés de choux. Les mutations que les sélectionneurs ont utilisées pour « abâtardir » le chou sauvage au point de le rendre méconnaissable peuvent aussi, en définitive, être transmises au chou sauvage.

    Selon ce scénario, la carotte sauvage aurait dû avoir des racines orange depuis longtemps – grâce à la contamination par la carotte « abâtardie », qui, soit dit en passant, n'est jaune-orange que parce que les sélectionneurs néerlandais l'ont utilisée il y a quelques centaines d'années pour rendre hommage à la maison royale d'Oranje. Quelle arrogance !

    Penser autrement

    Mais il y a longtemps que la logique et la science ne sont plus présentes dans la discussion sur les nouvelles méthodes de sélection et les nouvelles variétés. C'est la même approche qui prévaut que pour les querelles sur le coronavirus. On diffuse des thèses qui n'ont aucun fondement, on consulte de prétendus experts qui font des affirmations erronées, et on suscite ainsi des peurs dans une population qui ne comprend rien au contexte scientifique et pour laquelle les thèses radicales sont immédiatement évidentes – surtout lorsqu'elles sont alimentées par des partis politiques intéressés. Dans le cas de la vaccination contre la Covid-19, c'est l'AfD, dans le cas du génie génétique, ce sont surtout les Verts. Il est intéressant de noter que nombre de leurs principaux témoins contre le génie génétique sont maintenant passés dans le camp des opposants au vaccin contre la Covid-19.

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  39. Mais revenons aux tomates et aux « variétés non dégénérées ». Les tomates de meilleur goût, jolies et transportables à la fois, existent depuis longtemps. Elles ne sont tout simplement pas acceptées parce que leur prix est plus élevé et parce que les consommateurs ne font pas confiance aux nouvelles variétés. Au lieu de cela, ils cherchent le salut dans les variétés anciennes prétendument supérieures parce qu'elles sont « non abâtardies ». Cette astuce marketing peut être utilisée pour leur vendre des tomates qui ne sont meilleures que dans la publicité.

    Si vous voulez vraiment des variétés authentiques et non abâtardies, vous devez chercher un peu plus loin. Vous pouvez reconnaître ces variétés car elles ne poussent pas dans un champ ou une serre, et elles n'ont rien à voir avec ce que vous avez l'habitude de voir. Les légumes non abâtardis sont minuscules, indéfinissables, amers au goût, ont une texture ligneuse et sont principalement composés de fibres. Leur valeur nutritionnelle est faible, tout comme leur digestibilité – l'indigestion est garantie. Les céréales non abâtardies ont plus d'enveloppes que d'amidon et ont des propriétés boulangères incroyablement faibles. Elles ne conviennent pas à la levure ni au levain. Mais vous vivez avec elle de manière véritablement primitive, en abrasant vos surfaces de mastication, en endommageant votre paroi intestinale et votre foie, et en réduisant votre espérance de vie à 35 ans non révolus.
    ____________

    * Ludger Weß écrit sur la science depuis les années 1980, principalement le génie génétique et la biotechnologie. Avant cela, il a fait des recherches en tant que biologiste moléculaire à l'Université de Brême. En 2006, il a été un des fondateurs d'akampion, qui conseille les entreprises innovantes dans leur communication. En 2017, il a publié ses polars scientifiques « Oligo » et « Vironymous » chez Piper Fahrenheit et, en 2020, un ouvrage sérieux « Winzig, zäh und zahlreich – ein Bakterienatlas » (petits, robustes et nombreux - un atlas des bactéries) chez Matthes & Seitz. Cet article a été écrit par Ludger Weß à titre privé.

    Source : Von Zucht und Unverzucht – Salonkolumnisten

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/du-naturel-et-du-denature-par-la-selection.html

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  40. Éolien : des nuisances qui cachent la forêt

    Si ces sources d’énergie étaient rentables, pourquoi les subventionner et en imposer l’achat à EDF ?


    Par Greg Elis.
    5 JUIN 2021


    Les nuisances reprochées à l’éolien sont essentiellement de deux ordres : pollution visuelle des paysages et pollution sonore de l’environnement proche. On y ajoute de temps à autre le massacre d’oiseaux ou des troubles psychologiques dus à d’immatérielles ondes.

    En fait, l’insistance sur ces nuisances en cache d’autres majeures : l’éolien n’apporte rien aux réductions d’émission des gaz à effet de serre, utilise des composants polluants et coûte très cher aux contribuables.

    LES ARGUMENTS DE MADAME POMPILI

    Dans la chronique matinale de RMC et BM-TV du jeudi 3 juin, Mme Barbara Pompili a subi les assauts de Jean-Jacques Bourdin reprenant les critiques sévères énoncées par Stéphane Bern (Le Figaro du 31 mai) contre l’implantation des éoliennes. Elle est bien sûr restée droit dans ses bottes avec quelques arguments plus ou moins curieux :

    on a besoin d’énergie verte. Pourquoi faire ?
    les éoliennes marchent 75 % du temps. M. Bourdin citait le bon chiffre, soit 25 %.
    ce sont des fake-news, on n’utilise pas le charbon en secours. Non, mais du gaz.
    les éoliennes sont recyclables à 90 %, […] les socles en béton seront concassés pour les routes, les pales ne seront pas enfouies. Un monde idéal !
    on crée des emplois sur l’éolien en mer. Lesquels ?
    d’accord, tout vient de Chine parce qu’on n’a pas chez nous. Madame de La Palice.
    l’éolien sera dans quelques années 3 à 4 fois moins cher. Madame Soleil.
    Les études ont montré que les coquilles Saint Jacques ne sont pas sensibles au bruit des éoliennes. Bonne nouvelle !

    AU-DELÀ DU BRUIT ET DES PAYSAGES

    Il y a plus grave.

    Les nuisances communément citées, notamment dans les enquêtes publiques concernant l’implantation de parcs éoliens, n’évoquent jamais l’inutilité voire les autres inconvénients de cette source d’énergie. Du moins tant qu’on ne saura pas la stocker.

    Autrement dit, on ne parle jamais de l’intérêt général. Or cette notion est capitale dans les procédures d’autorisation des implantations. Le Code de l’environnement (Art. L 123-1) et le Code de d’éthique et de déontologie, (CNCE 16.04.2015), imposent, avec les même termes, au Commissaire-enquêteur d’« assurer l’information et la participation du public ainsi que la prise en compte de l’intérêt des tiers. »

    En la matière, l’intérêt des tiers serait-il dans la nécessité ou dans les avantages par rapport à d’autres sources et notamment le nucléaire.

    La nécessité ? Avons-nous besoin d’énergie supplémentaire ? Avant la fermeture techniquement injustifiée de Fessenheim, la France était plutôt exportatrice d’électricité. Et ce ne sont pas les productions lilliputiennes et épisodiques d’éolien ou solaire qui permettront, le cas échéant, de couvrir nos besoins. Sur nos factures EDF on lit : électricité 2019 « vendue par EDF » : … renouvelables hors hydraulique : 1,5 % !

    Quelques avantages ? Réponse ferme : aucun.

    Rappelons déjà que la France est l’un des pays les moins émetteur de gaz carbonique, et donc l’un des plus verts du monde dans ce domaine et ne représente en tout état de cause que moins de 1 % des émissions mondiales. Notre valeur d’exemple est prouvée depuis longtemps et n’a pas besoin d’être renforcée.

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  41. De plus et déjà par leur construction et implantation, éolien ou solaire avant même de produire, ont dégagé plus de gaz carbonique par kilowattheure (kWh) produit qu’une centrale nucléaire. Il faut en effet près de 2000 éoliennes de 3 MW pour remplacer la production de Fessenheim (Libération du 7 juin 2018). Le récent ouvrage de Marc Fontecave (Académie des Sciences) parle même de 4000.

    Quant aux composants nécessaires à leur fabrication, ils sont responsables de lourdes pollutions que l’on veut ignorer, se situant dans de lointains pays. Enfin, le caractère intermittent et fatal imposera le recours aux équipements fossiles à flamme et notamment au gaz importé d’Algérie ou Russie. Le gaz dégage de 400 à 600 g de gaz carbonique par kWh produit, le nucléaire environ 5 grammes.

    Le coût de production est-il attractif ? Absolument pas.

    Les EnR sont un gouffre financier. Jean-Marc Jancovici, membre du Haut Conseil scientifique, affirme :

    Une analyse rationnelle de la situation commanderait d’arrêter demain matin de mettre le moindre euro supplémentaire dans l’éolien et le solaire.

    Remarque simple : si ces sources d’énergie étaient rentables, pourquoi les subventionner et en imposer l’achat à EDF ? Il serait bien trop long et répétitif de détailler les calculs faits. Une autre dépense est très mal connue et difficilement chiffrable, il s’agit de la nécessité de création ou de renforcement des réseaux. Aucune évaluation ne figure dans les dossiers d’enquête. Les coûts en seront supportés par les consommateurs.

    La collectivité reçoit quelques subsides au titre de diverses taxes et mise à disposition de terrains. En échange de leur accord. On est à la limite de la complaisance.

    Les éoliennes ne sont pas créatrices d’emplois en France. Tout comme les panneaux solaires, elles sont fabriquées à l’étranger. Hors les socles en béton (et encore, le ferraillage vient d’Italie !) qui vraisemblablement resteront enfouis ad vitam aeternam…. Restent quelques jours de pose avec les techniciens des fournisseurs étrangers.

    Où est donc passé l’intérêt des tiers dont je fais partie ?

    https://www.contrepoints.org/2021/06/05/398987-eolien-des-nuisances-qui-cachent-la-foret

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  42. PIC PÉTROLIER, L'INQUIÉTANTE ÉTUDE DU MINISTÈRE FRANÇAIS DES ARMÉES !


    par CHARLES SANNAT
    02/06/2021


    Le baril de Brent est remonté au-dessus de 70 dollars le 1er juin
    2021.

    Pour une fois, nos penseurs militaires ont le courage de ne pas rejouer le syndrome de la ligne Maginot, et de regarder la réalité telle qu’elle est, c’est-à-dire avec un accès au pétrole qui va se raréfier très rapidement désormais.

    Le « Pic oil », ou « pic pétrolier » est l’un des secrets les mieux gardés au monde depuis plusieurs décennies. On en parle, on le murmure dans certains cénacles, mais officiellement, il n’y a rien à voir. Circulez.

    Il faut dire qu’il est très difficile de faire fonctionner une économie sans pétrole.

    Imaginez comment faire la guerre sans char, sans camion, sans blindés, sans avion, sans logistique dont le fonctionnement est basé sur l’utilisation à outrance… de moyens mécanisés qui fonctionnent au pétrole! Voilà pourquoi l’armée se penche sur le sujet. Faire la guerre en trottinettes électriques, ce n’est pas évident, et faire voler des avions de chasse à l’huile de colza ce n’est pas simple non plus !

    Côté civil, regardez l’interdiction des voitures diesel. Cela va faire couiner terriblement. Mais ce sera rapidement l’interdiction des voitures à moteurs thermiques de manière générale.

    Nous savons tous que les voitures électriques sont une imbécillité écologique et environnementale.

    Les vedettes qui nous dirigent le savent aussi bien que moi et que tous ceux qui n’ont pas encore définitivement débranché leurs cerveaux.

    Le problème n’est pas l’écologie, le problème c’est la disparition du pétrole !
    Le problème c’est la disponibilité du pétrole en grande quantité et pour tout le monde. C’est aussi sous cet angle là qu’il faut voir la ligne de chemin de fer Pékin-Paris des routes de la soie.

    Que nous montre l’étude commandée par le ministère des armées ?

    Qu’il n’y aura plus de pétrole pour 2030, mais que cela a déjà commencé largement en 2020.

    Cette étude de 180 pages que vous pouvez consulter ici, ou là pour le résumé de 30 pages, donne également une date, et cette date c’est la césure des années 30.

    - voir graphiques sur site -

    En fait pour tout vous dire, cela fait longtemps qu’on le sait, et les lecteurs habitués de ce site, ont déjà lu les « prophéties » du « fin-du-mondiste » Yves Cochet qui sachant très bien qu’il n’y aura plus de voiture achète lui… une calèche avec des chevaux !

    La mondialisation est l’apogée, l’apothéose de l’oléocène, cette période de notre développement basée sur l’utilisation à outrance des énergies fossiles aux stocks limités.

    Il s’en trouvera pour me parler du pétrole abiotique, ou des ressources illimitées que nous n’avons pas encore trouvées mais qui nous sauveront.

    La triste réalité, c’est que Total se prépare à ne plus vendre de pétrole.

    La triste réalité, c’est que l’Agence Internationale de l’Energie vous explique qu’il ne faut plus investir dans le pétrole.

    La triste réalité, c’est que vous allez terminer au mieux dans des voiturettes électriques qui ne vous permettent même pas de traverser le pays en quelques heures, mais en plusieurs jours le temps de « faire le plein ».

    La triste réalité, c’est que l’on ne sait pas nourrir 8 milliards d’être humains sans tracteurs, sans engrais, sans industries agroalimentaires nécessitant des milliards de litres de carburant.

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  43. Alors derrière le vocable « transition énergétique », se cache la fin du monde basé sur le pétrole !
    Et ce ne sera pas joyeux à voir ni à vivre.

    La ville est obsolète et vous pouvez faire quelque chose pour vivre au mieux cette décennie complexe et difficile qui s’annonce. Commencez par quitter la ville, par vous mettre au vert. Pensez résilience, lopin de terre. Pensez compétences et connaissances, pensez autonomie et solidarité. Pensez sobriété heureuse et simplicité volontaire. Les villes, dans un tel contexte, seront sans doute très inconfortables (et je pèse mes mots). Pensez également à ne pas être trop loin des grandes métropoles pour profiter des bassins d’emplois tant qu’ils existent.

    La transition écologique sera violente. La propagande médiatique sera forte pour vous la faire avaler, parce qu’il n’y a pas le choix. Ce que l’on ne vous dit pas c’est la vérité, car si vous saviez, en moins de deux Paris se viderait, les campagnes se rempliraient, l’économie et les grands équilibres seraient rompus. Les Etats veulent toujours « gérer » les choses dans la douceur afin d’éviter les mouvement brusques.

    Au final, si la stabilité est assurée, les gens, eux, sont couillonnés.

    Ne soyez pas couillonnés. Préparez-vous.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-pic-petrole-cout-armee-riqsue-economie-geopolitique-sannat

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  44. 23 décembre 1973, le 1er choc pétrolier

    Le 23 décembre 1973, le prix du pétrole augmentait de 112 % et le premier grand choc pétrolier de l'histoire secouait le monde. En France, les autorités mettaient en place un certain nombre de mesures visant à réaliser des économies d'énergie. Retour sur cette date clé.

    "Je fais appel à l'esprit d'économie du peuple Français..."

    Le 20 décembre, quelques jours avant l'annonce officielle du choc pétrolier, Georges Pompidou, alors Président de la République, s'adresse au Français pour les préparer à crise pétrolière. Il leur demande d’ores et déjà d'économiser l'énergie au cas où la crise perdurerait : "Si la pénurie de pétrole devait se prolonger pendant des mois et des années, tous les pays finiraient par en subir les conséquences directes ou indirectes. Le devoir du gouvernement est donc de se préparer à prendre des mesures sérieuses, graves... Je fais appel à l'esprit d'économie du peuple français. Économisons l'essence, l'électricité, le chauffage... et cela suffira à diminuer notre consommation..."

    Le 23 décembre, le couperet de l'OPEP tombe par la voix de son porte-parole, Abdelaziz Bouteflika, ministre algérien des Affaires Etrangères. Il annonce lors de la conférence au sommet d'Alger, l'augmentation de 112% du prix pétrole à la production. Il décrit le rôle du pétrole dans l'évolution des relations internationales ; le sacrifice des pays arabes au profit des pays sur-développés en ce qui concerne les matières premières. (Audio)

    Cette crise avait pris racine deux mois avant le choc de décembre proprement dit, lorsqu'en pleine guerre du Kippour, en réponse à l'intervention américaine pro israélienne, les membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP), réunis au Koweit, décidaient de fermer le robinet de l’or noir aux pays qui soutenaient Israël dans cette guerre. Voici quelques repères chronologiques.

    L'OPEP augmente le prix du baril de pétrole

    Les 16 et 17 octobre 1973, l'OPEP décide d’augmenter unilatéralement de 70 % le prix du baril de brut et une réduction mensuelle de 5 % de la production pétrolière jusqu'à évacuation des territoires occupés et reconnaissance des droits des Palestiniens.

    Le 20 octobre, Fayçal décide un embargo total sur les livraisons destinées aux États-Unis, puis aux Pays-Bas, états alliés d'Israël. L’embargo lui-même sera levé 5 mois plus tard mais la sanction économique perdurera.

    L'envol du prix du baril

    Le prix du baril sur le marché libre passe alors de 3 à 18 dollars en quelques semaines. Entre le mois d'octobre 1973 et le mois de janvier 1974, le prix du baril du brut de référence quadruple, passant de 2,32 $ à 9 $.

    Cette pénurie suscite la panique tandis que les prix poursuivent leur montée vertigineuse. Les pays consommateurs réagissent d'une manière désordonnée, cherchant chacun à tirer leur épingle du jeu. En France,une série de mesures d'économies d'énergie sont rapidement prises.

    Dès le 30 novembre 1973, le Premier ministre Pierre Messmer s’adresse aux Français pour leur exposer les grandes lignes de la nouvelle politique énergétique axée sur les économies d’énergie. C'est notamment le début du plan de nucléaire civil, avec le lancement de la construction de 13 centrales à travers le pays qui permettront d'acquérir une large indépendance énergétique face au pétrole.

    Dans ce plan, il y a aussi des mesures plus anecdotiques : l'arrêt des émissions de télé après 23h00, l'extinction des vitrines la nuit dans les magasins, ainsi que la limitation de la vitesse sur les autoroutes. Comment étaient-elles perçues par les Français ?

    https://www.ina.fr/contenus-editoriaux/articles-editoriaux/23-decembre-1973-le-1er-choc-petrolier

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    1. A savoir qu'il n'y a pas de 'fin du pétrole' puisque le pétrole est ABIOTIQUE ! Ce qui lui confère son éternité est qu'il se recycle indéfiniment comme le font tous les gaz depuis DES milliards d'années et comme le fait l'eau des rivières qui se jette en mer sans qu'elle ne monte !! Çà alors !!

      Mais, quand on écoute toute les conneries merdiatiques il est certain que l'instruction en prend un coup jusqu'aux ministres à qui l'on a jamais expliqué que c'est le magma qui dirige la Terre et non le ministre de la météo !

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  45. L'hécatombe post vaccinale s'étend dans le monde


    Dr Gérard Delépine
    Nouveau Monde
    ven., 04 juin 2021 04:27 UTC


    Il y a deux mois, nous avons tenté d'alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d'Israël et de Grande-Bretagne[1] qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d'une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.[2]

    Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d'une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.[3]

    Combien faudra-t-il de morts et d'accidents sévères pour que les dirigeants, l'OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

    Rappel des faits avérés publiés par l'OMS

    Nous présentons ci-après les courbes de l'épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l'OMS (avec nos commentaires en rouge).

    ASIE

    Au Népal, pays de 28 millions d'habitants

    La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l'Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d'épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s'élevait à 350.

    Quatre mois après le début de la vaccination, l'épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

    - voir graphique sur site -

    En Thaïlande, pays de 70 millions d'habitants

    La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l'épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

    Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

    Au Cambodge, pays de 27 millions d'habitants

    - voir graphique sur site -

    En Mongolie, pays de 3, 3 millions d' habitants

    - voir graphique sur site -

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  46. Amérique du Sud

    En Colombie, pays de 50 millions d'habitants

    pays fortement éprouvé par la maladie l'épidémie amorçait une franche décrue jusqu'au début de la campagne de vaccination le 18 février 2021.

    Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

    - voir graphique sur site -

    Chili, pays de 18 millions d'habitants

    La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d'habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d'Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu'ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale ...

    - voir graphique sur site -

    Au Brésil, pays de 217 millions d'habitants

    La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

    - voir graphique sur site -

    Moyen-Orient

    Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d'habitants

    - voir graphique sur site -

    Au Koweït, pays de 4,2 millions d'habitants

    - voir graphique sur site -

    EUROPE

    En Hongrie, pays de 9,8 millions d'habitants

    La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d'une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

    En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d'épidémie

    - voir graphique sur site -

    En Roumanie, pays de 20 millions d'habitants

    La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l'épidémie décroissait, et d'après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

    Avant la vaccination après dix mois d'épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

    - voir graphique sur site -

    Monaco, pays de 38000 habitants

    comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

    - voir graphique sur site -

    Gibraltar, 34000 habitants

    : la vaccination de la totalité de la population a été suivie d'une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

    - voir graphique sur site -

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  47. Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

    Les victoires à la Pyrrhus[4] israélienne et britannique

    Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

    Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d'une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

    Le « moissonnage » vaccinal

    Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l'année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

    - voir graphique sur site -

    Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l'équivalent d'une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l'année 2020) a fortement réduit le nombre d'Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l'année à venir, dans cette tranche d'âge.

    Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s'est transformé par mutation pour s'attaquer à d'autres segments de la société et en particulier aux groupes d'âge plus jeunes.

    En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu'Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

    Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu'une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d'une grande partie de cette population (autant que les morts de l'année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

    - voir graphique sur site -

    Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d'habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

    La régression naturelle de l'épidémie

    Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

    - voir graphique sur site -

    Les courbes de mortalité par million d'habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d'un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l'absence du « moissonnage » anglais.

    La vaccination actuelle, accélérateur de l'épidémie et de la mortalité ?

    La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu'en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l'épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.[5]

    Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l'année 2020.

    Absence de données expérimentales solides

    Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

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  48. Aucun d'entre eux n'a signalé la possibilité d'une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

    La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d'ores et déjà amassé des fortunes.

    L'avenir est aux traitements précoces maîtrisés par les médecins de terrain

    Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l'épidémie après vaccination et en déduire d'éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

    D'autant que l'avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l'efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu'ils ne croient plus à la vaccination qu'ils ont imposée.[6]

    La médecine ne doit pas être décidée par la politique

    La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l'avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l'expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

    Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

    Liberté de soigner et d'être soigné

    Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l'épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l'hydroxychloroquine, l'Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l'ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

    Le choix politique d'interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l'irréparable perte d'un être cher.

    Moratoire indispensable

    Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n'aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu'à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

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  49. Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l'apparition de mutants. Tant que le phénomène n'aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.

    Notes :

    [1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars - (ripostelaique.com) []

    [2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) []

    [3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/[]

    [4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu'elles compromettent ses chances de victoire finale.[]

    [5] F Gobert Depuis qu'on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252[]

    [6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne[]

    https://fr.sott.net/article/37360-L-hecatombe-post-vaccinales-etend-dans-le-monde

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    1. Rappelons aussi que TOUS les remèdes, vaccins et même les expérimentations sur cobayes contre le 'corona' contiennent du porc ? (comme les shampoings,vernis à ongles, rouge à lèvres, etc)

      Et là j'en profite pour dire 'Dans le cochon tout est bon' mais aussi le poisson. Car j'y reviens (depuis x temps): les émissions continuelles magmatiques qui diffusent tous les gaz dans les mers & océans et donc dans notre atmosphère créé par lui, remontent avec elles des milliards de milliards de nano-poussières métalliques chargées dont... les premiers consommateurs sont les poissons (bien avant que les marins ne les pêchent et que les clientes ne les achètent et consomment). Et, AUCUNE étude n'a été portée sur la réaction des poissons aux milliards de virus qu'ils respirent chaque jours !!!

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  50. FauciGate — Le scandale est mondial, et donc français aussi...


    E&R
    Sott.net
    ven., 04 juin 2021 15:06 UTC


    Peu à peu, dans l'indifférence feinte des médias mainstream, mais grâce aux réseaux sociaux et à des inconnus mus par le désir de vérité qui font le vrai boulot à la place des journalistes, la vérité se fait jour sur le travail profond du Dr Fauci, dont plus de 3 000 pages de mails déclassifiés ont « fuité ».

    Il peut évidemment s'agir d'un sacrifice organisé, les supersalauds n'hésitant jamais à sacrifier un salaud de la hiérarchie du pouvoir profond mondialiste. Mais peu importe, pour l'instant : Fauci est dans la tourmente, voire la tornade. Et les égouts du covidisme, cette opération satanique organisée contre sept milliards d'êtres humains, sont en train de déborder...

    « Le 11 mars 2020, Jean-François Delfraissy est nommé président du conseil scientifique Covid-19 institué par Olivier Véran pour « éclairer la décision publique dans la gestion de la situation sanitaire liée à la pandémie de maladie à coronavirus » (Wikipédia)

    On va commencer par l'éclaireur de la décision publique qui a été en contact épistolaire avec le Dr Fauci. Et là, on comprend d'où cet homme imposé par la hiérarchie politico-sanitaire (Delfraissy) prenait ses ordres. Pour les transmettre ensuite à Macron et Véran qui les imposaient aux Français, en toute « démocratie ». FranceSoir a traduit l'échange Delfraissy-Fauci page 1841 :
    Bonjour,

    Je suis à nouveau en service depuis que la crise sanitaire mondiale COVID-19 a frappé la France, il y a quelques semaines. Je dirige maintenant le Conseil scientifique du COVID-19, composé de 10 personnes, au service du Président français, Emmanuel Macron. Le Conseil a été créé le 10 mars et nous avons été fortement impliqués dans des activités de conseil en relation avec le Président, notamment sur sa décision de mettre en place le confinement généralisé, parce que nous n'avions pas de meilleur choix.

    Tout d'abord, nous disposons d'un nombre limité de tests, ce qui nous empêche de mettre en place une stratégie de type coréen dans les prochains jours. Cependant, à la fin du confinement (dans les six semaines à venir), nous serons en mesure de généraliser l'utilisation des tests et de développer des applications de type coréen, ainsi qu'une stratégie de test et de traitement, si nous disposons de médicaments à ce moment-là. Avant cela, nous allons passer par une phase difficile dans les semaines qui suivent, car nous n'aurons pas assez de lits dans nos unités de soins dans certaines régions de France...

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  51. Deuxièmement, sur le plan thérapeutique, Yazdan Yazdanpanah a pris ma place et dirige désormais REACTing. Demain matin va débuter un essai médical franco-européen, sous le contrôle de l'OMS, avec 5 objets d'étude (placebo/kalatra/kalatra+interféron bêta/produit de Gilead/hydroxychloroquine seule ou en combinaison pour la semaine prochaine). Comme vous le savez peut-être, nous faisons actuellement face à un buzz médiatique depuis l'annonce faite par le Dr Raoult sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine. Ses données ne sont pas particulièrement convaincantes. Nous pouvons distinguer un léger signal positif mais il doit être confirmé par un essai randomisé de bonne facture. Nous avons également commencé une étude sur le modèle de cellules de singes avec l'hydroxychloroquine, et nous devrions avoir les résultats à la fin de la semaine prochaine. Une cohorte de patients COVID+ sévères a également été créée et certains seront traités par hydroxychloroquine : nous analyserons ces résultats avec toute la conscience nécessaire. Il sera également possible de faire un essai de prévention pour les professionnels de la santé et les personnes âgées avec l'hydroxychloroquine.

    J'ai une énorme pression politique pour libérer l'accès à l'hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste actuellement.

    Quelle est la situation aux États-Unis, surtout après l'annonce de Trump ? Quelle est la position des NIH ? Qu'est-ce qui va être mis en place ? Merci pour votre réponse. J'ai mis Yazdan Yazdanpanah en copie de cet email. Cordialement.
    La phrase importante étant : « J'ai une énorme pression politique pour libérer l'accès à l'hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste actuellement. » Où l'on comprend que la décision d'interdire l'HC a été prise par des Français contre les Français. La réponse de Fauci — qui n'interdit pas l'HC sous la pression de Trump — ne laisse pas de doute : c'est bien l'axe Delfraissy-Véran-Macron qui a bloqué (après Buzyn) l'usage de l'HC aux Français qui présentaient les premiers symptômes de la grippe P4. Selon le Pr Perronne, le résultat a été 25 000 morts de trop.

    Merci pour votre note. Je ne vois pas de copie de Yazdan sur votre e-mail, et je vous prie donc de lui transmettre celui-ci. La position du NIH est que nous devrions de préférence mettre les médicaments à disposition dans le cadre d'essais cliniques randomisés et contrôlés et ne pas les distribuer librement. Il y a une forte pression aux États-Unis, favorisée par le Président, pour rendre certains de ces médicaments plus largement disponibles, en dehors d'un essai clinique randomisé en utilisant des mécanismes tels que « l'usage compassionnel ». Aux États-Unis, comme vous le savez, le HC (plaquenil) est un médicament approuvé pour le paludisme ainsi que pour certaines maladies auto-immunes comme le LED. Ainsi, les médecins peuvent prescrire le médicament dans le cadre d'une utilisation « hors indication ». Ce sera probablement la principale modalité de distribution de ce médicament aux États-Unis, du moins dans un avenir prévisible.
    Et dans ces mails, il y a évidemment mieux, ou pire, selon qu'on se place du côté de la santé et des gens, ou du Big Pharma et du profit. Fauci et Zuckerberg ont été en contact pour faire la propagande du vaccin :

    Pendant ce temps, Raoult, attaqué par la presse en général et Le Monde en particulier (Ariane Chemin vient de sortir un livre anti-Raoult et toute la presse se jette sur l'histoire du QI de 180), voit son protocole de soins validé en creux et tardivement par l'OMS.

    Entre-temps, le mal a été fait : la vaccination des humains sous-informés a été massive, mais la résistance à cette violence mondialiste ne fait que croître, « grâce » aux effets secondaires des dangereux vaccins, dont le Pfizer d'Albert Bourla.

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  52. Nous voici dans une course de vitesse entre les résistants et le Big Pharma : les multinationales mondialistes qui ont corrompu les gouvernements avec leurs profits monstrueux (dans tous les sens du terme) essayent de passer en force, c'est-à-dire de ne pas attendre que les effets secondaires, qui peuvent s'étaler sur plusieurs années, ne renversent la confiance du grand public, une confiance forgée par les médias mainstream, complètement à la botte des dirigeants politiques et économiques de la dictature sanitaire.

    Comme toujours, la presse corrompue est gênée aux entournures.

    Il y a un an, ceux (dont E&R) qui évoquaient la possibilité d'une fuite accidentelle ou humaine d'un virus du laboratoire P4 de Wuhan étaient traités de « complotistes » par la presse mainstream. Aujourd'hui, piteuse, cette dernière est obligée de se résoudre à en parler.

    Ce sera la même chose pour le Dr Fauci, qui a bien d'autres secrets inavouables dans sa besace satanique...

    Le 21 janvier 2021, Fauci révèle son « malaise » face à Trump et à la chloroquine :

    Le 9 avril 2021, la chaîne internationale en français France 24 déroulait le tapis rouge à Fauci qui se félicitait du rythme de vaccination aux États-Unis...


    Commentaire : voir aussi nos autres articles sur le Dr Fauci et sur l'affaire des e-mails :
    Un e-mail montre que Fauci SAVAIT en mars 2020 que 99% des morts dus au COVID en Italie avaient d'autres maladies #FauciEmails
    Dr Fauci : la chaise électrique ou la lapidation ? #FauciEmails
    Les e-mails de Fauci, le prochain scandale à venir ? #FauciEmails #FauciLeaks
    Le scandale de l'étude sur l'hydroxychloroquine. L'intention d'Anthony Fauci de bloquer l'HCQ au nom des grandes entreprises pharmaceutiques
    Le talentueux docteur Fauci

    Source de l'article publié le 4 juin 2021 : E&R

    https://fr.sott.net/article/37359-FauciGate-Le-scandale-est-mondial-et-donc-francais-aussi

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  53. L'impensable : abattre la population pour équilibrer les comptes


    Par Bill Sardi avec Matthew Sardi
    5 juin 2021


    Alors que l'on dit au public que la pandémie préconçue de COVID-19 est une calamité de proportion croissante, qui émane d'un virus muté mortel qui semble avoir été «inventé» dans un laboratoire et cible les octogénaires en particulier, et l'antidote proposé est une vaccination obligatoire qui peut avoir des conséquences plus odieuses que le virus lui-même, il y a une autre faction qui voit cette catastrophe différemment. Ceux qui savent ce qu'est vraiment cette pandémie – les actuaires d'assurance.

    Il s'agit d'équilibrer les livres comptables. C'est pourquoi les mondialistes progressistes nous disent que nous avons besoin d'une réinitialisation – une réinitialisation financière. Il s'agit vraiment de banquiers privés, de compagnies d'assurance-vie et de régimes de retraite publics qui doivent équilibrer leurs livres comptables. Ils doivent vider leurs livres de personnes. Les Américains vivent trop longtemps. Les réserves d'argent de l'assurance sont épuisées. La pandémie sert de distraction. Le virus portera la responsabilité des décès prévus.

    Il y a une pensée dans le dos de l'esprit de nombreux Américains sceptiques que nos suzerains tentent d'abattre la population. L'horloge de la dette américaine répertorie les passifs non financés de plus de 21 000 milliards de dollars pour la sécurité sociale et de plus de 32 000 milliards de dollars de passifs non financés pour l'assurance-maladie. L'ensemble de l'économie américaine (produit intérieur brut) en un an n'a pas pu équilibrer ces comptes.

    Une pandémie fabriquée

    Si vous ne croyez pas que la pandémie a été fabriquée, examinez le tableau ci-dessous. Il révèle de grandes différences dans la fréquence des tests, la variance en pourcentage de tests positifs (trucage du test PCR sur écouvillon nasal) pour trouver de nombreux cas (dont beaucoup étaient asymptomatiques selon eux !), pour produire des taux de cas à létalité artificiels. (des gens mouraient, mais pas nécessairement de COVID). La pandémie semble s'aggraver selon des lignes politiques aux États-Unis.

    Devons-nous croire que de 1% à 28% des tests PCR COVID-19 étaient positifs ; les cas pour 100 000 variaient de 48 fois et les décès de près de 14 fois ? (voir tableau ci-dessous)

    - voir cadre sur site -

    Équilibrer les livres comptables

    Pour faire face à l'insolvabilité imminente, les planificateurs sociaux et les suzerains du gouvernement discutent d'alternatives : (a) réduire les services (rationner la prestation des soins de santé et réduire les chèques de retraite) ; (b) augmenter les impôts et les primes d'assurance; (c) retarder l'inscription à ces programmes; (d) ou l'impensable, l'innommable, par négligence ou intentionnellement, augmente le décès prématuré des retraités pour sauver ces programmes de l'insolvabilité.

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  54. L'idée d'abattre des populations humaines n'est pas nouvelle

    Ne pensez pas que l'idée d'une euthanasie secrète pour résoudre le manque de financement public est farfelue. J'ai souligné en 2013, la Grande-Bretagne ne pouvait pas se permettre de prendre soin de tous ses retraités et a simplement eu recours à la déshydratation de ses retraités institutionnalisés (meurtre sans empreintes digitales) pour les éliminer d'un tel fardeau financier.

    Le plus grand schéma de Ponzi de tous

    L'assurance-maladie et la sécurité sociale s'avèrent être des régimes de Ponzi - les premiers à obtenir toutes les récompenses comme les derniers à payer pour ceux qui se sont inscrits tôt dans le programme. À sa retraite en tant que président de la Réserve fédérale en 2004, Alan Greenspan a demandé « Quand allons-nous dire au public que nous ne pouvons pas nous permettre Medicare et la sécurité sociale ? »

    Mourir à temps

    L'une des justifications de l'ingénierie de la durée de vie pour que les gens meurent à temps est que 13 à 25 % des coûts de santé surviennent au cours des six derniers mois de la vie. Éliminez ces personnes fragiles, âgées, infirmes, vulnérables, débiles et vous avez arrangé vos livres comptables. La plupart des personnes (99,74 %) qui meurent de COVID-19 aux États-Unis ont été institutionnalisées. Le virus a ciblé les personnes âgées fragiles dans les maisons de soins infirmiers.

    Années de vie perdues = épargne Sécurité sociale et assurance-maladie

    En octobre 2020, les chercheurs estiment que 2,5 millions d'années de vie pourraient avoir été perdues à cause de COVID-19 aux États-Unis. (Pour référence, en janvier 2021, les années de vie perdues dans le monde (81 pays) étaient estimées à 20,5 millions d'années dans le monde. Source : Rapports scientifiques du 18 février 2021)

    Bien que ce nombre de 2,5 millions d'années de vie perdues puisse être contesté en raison de faux tests PCR utilisés pour confirmer la cause du décès, ce chiffre peut être calculé comme le font les actuaires d'assurance-vie pour obtenir une estimation.

    La sécurité sociale mensuelle moyenne est aujourd'hui de 1543 $/mois. Ces décès prématurés permettraient d'économiser 46 290 000 000 $ (46,29 milliards de dollars) si tous les décès concernaient des retraités qui reçoivent des chèques de pension (1543 x 12 X 2 500 000 = 46,9 milliards de dollars)

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  55. Les fiduciaires du Fonds en fiducie pour les survivants de la vieillesse et l'assurance invalidité (OASDI ou sécurité sociale) "prévoient désormais que le coût annuel de l'OASDI dépassera le revenu total à partir de 2021". Seuls des paiements partiels de 73 à 79 % seraient possibles dans l'avenir. (Source : Centre de politique bipartite oct. 2020)

    Du point de vue d'un actuaire d'assurance

    Voici comment les actuaires de la sécurité sociale voient le problème. La pandémie est susceptible d'augmenter le chômage et de réduire les retenues sur la masse salariale

    Voici comment les actuaires de la sécurité sociale voient le problème. La pandémie est susceptible d'augmenter le chômage et de réduire les retenues sur les salaires qui servent de revenus au Fonds fiduciaire OASDI de la sécurité sociale. Dans un scénario, les actuaires des assurances ont tracé que 362 000 Américains plus âgés succomberaient prématurément au virus COVID-19. C'est sur environ 1,4 million d'Américains âgés qui résident dans des maisons de soins infirmiers.

    Les actuaires qualifient cette population d'Américains institutionnalisés de « personnes âgées qui seraient décédées d'autres causes au cours des prochaines années ». En d'autres termes, ils allaient mourir bientôt de toute façon. Ces décès prématurés, induits par le virus (ou peut-être même les vaccins) représenteraient environ 25% de la population des maisons de retraite aux États-Unis.

    "Cependant, contrairement à la plupart des récessions économiques, les effets potentiels de l'augmentation des demandes de prestations de sécurité sociale seront partiellement compensés par l'augmentation des décès parmi nos bénéficiaires en raison de la pandémie."

    — L'actuaire en chef de la Social Security Administration, Stephen Goss, a déclaré aujourd'hui au Congrès. Source : MAGAZINE FORBES 2020

    La peur armée permet d'économiser de l'argent

    Un autre facteur non mesurable mais puissant est la peur. Les gouvernements ont militarisé la peur. L'alarmisme des médias suggère une collaboration dans un programme secret d'abattage de la population. Pour ce faire, des morts sont nécessaires pour répandre la peur. La peur se propage plus vite que n'importe quelle maladie infectieuse.

    En codant de nombreux décès normaux comme COVID-19 via le fameux test PCR (réaction en chaîne par polymérase), avec des faux positifs de 40 % à 97 % (les hôpitaux ayant une incitation financière à le faire), les chiffres de mortalité sont devenus artificiellement élevés.

    Alors que la peur d'une maladie infectieuse mortelle se propageait contre laquelle personne n'était immunisé, les masses craignaient d'aller à l'hôpital, croyant que les travailleurs de la santé leur transmettraient l'infection.

    Au printemps 2020, les demandes d'assurance-maladie pour les demandes de paiement à l'acte d'assurance-maladie ambulatoire ont chuté de 51 %. Cependant, la pandémie a entraîné une augmentation du chômage et une réduction des retenues sur les salaires pour le futur Medicare. Donc, simultanément, il y a eu une augmentation des économies et une diminution des revenus.

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  56. Le public n'a pas été informé que le Medicare Trust Fund devait être épuisé d'ici 2024. Comme initialement rédigé en 1965, les actuaires d'assurance avaient prédit que Medicare serait insolvable d'ici 1999, mais la législation a prolongé sa mort.

    Maintenant, le réservoir d'essence est vide. Les sociétés modernes sont incapables de respecter leur contrat social pour fournir des retraites et des soins de santé à leur population croissante de retraités.

    Risque de longévité

    Près de 25% des adultes américains vivent maintenant jusqu'à 90 ans et au-delà. Cela a donné lieu à un phénomène appelé RISQUE DE LONGÉVITÉ, la chance que les taux de survie dépassent les hypothèses de prix, en d'autres termes, que les Américains survivent à leur sécurité sociale. Le risque de longévité est le danger de survivre à votre argent. Les Américains vivent plus de 20 ans au-delà de leur âge traditionnel de la retraite – 65 ans.

    Le financement de la sécurité sociale est essentiellement « par répartition », ce qui signifie que les jeunes travailleurs paient pour les retraités. Les travailleurs actuels pourvoient aux bénéficiaires actuels.

    Avec autant d'Américains au chômage (les chômeurs officiels sont de 9 millions; les chômeurs officieux 16 millions; le réel est d'environ 40 millions). D'autres sont incités à ne pas aller travailler via l'octroi de chèques chômage/stimulation, accélérant ainsi l'épuisement des fonds de pension car aucune déduction FICA n'est prélevée sur les chèques de relance.

    Comment le gouvernement considère des événements comme COVID-19

    Les actuaires d'assurance de 27 compagnies d'assurance-vie différentes ont brassé leurs données sur 2,5 millions de sinistres décès survenus au cours du premier semestre 2020 et les ont comparés aux années précédentes en ce qui concerne les décès excédentaires. Indépendamment de tout argument sur la validité de la cause du décès, 6,7 % des demandes de décès étaient dues à COVID-19. Il n’y a pas eu d’augmentation significative des demandes de décès au cours de la première année de la pandémie de COVID-19. L'âge moyen au décès était de 79,5 ans pour les décès liés au COVID-19 et de 78,9 ans pour les décès non liés au COVID-19.

    Les résultats d'une enquête actuarielle sur les réclamations d'assurance (voir ci-dessous) révèlent qu'il n'y a eu qu'une augmentation modeste des réclamations en cas de décès en 2020.

    - voir cadre sur site -

    Une autre enquête révèle que les réclamations d'assurance décès pour COVID-19 ne représentaient pas plus d'environ 5,0% de toutes les réclamations en cas de décès.

    - voir cadre sur site -

    La crise du COVID-19 a coûté environ 8 milliards de dollars à 16 assureurs multisectoriels mondiaux en 2020, bien qu'ils aient encore déclaré 36 milliards de dollars de bénéfice net. Source : Insurance Journal, 28 mai 2021. Les nombreux décès signalés pourraient être le résultat de mesures de verrouillage plutôt que du virus.

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  57. Le manque de revenus est le problème principal

    Une révélation est que l'épuisement du fonds fiduciaire de la taxe d'assurance vieillesse, survivants et invalidité (sécurité sociale) est presque entièrement dû à la baisse des revenus, et non à un nombre excessif d'inscrits ou de décès (voir le graphique).

    Le Social Security Trust Fund doit mettre des réserves dans des investissements qui produisent des bénéfices. En raison de l'inflation, ces fonds ne peuvent pas stagner au fil des ans, en attendant que les Américains prennent leur retraite et puisent dans leur sécurité sociale. Ainsi, ces fonds SS sont prêtés et remplacés par des billets prioritaires de la Réserve fédérale (IOU). Ensuite, la sécurité sociale, si vous pouvez l'imaginer, s'intéresse à ces reconnaissances de dette.

    Comment quelqu'un peut-il prendre une reconnaissance de dette (appelée garantie gouvernementale) et s'y intéresser alors qu'elle n'est rien de plus qu'un produit de l'imagination dans l'esprit du gouvernement fédéral ? Essentiellement, les fonds fiduciaires de la sécurité sociale et de l'assurance-maladie de l'OASDI ne détiennent rien de plus que des morceaux de papier et s'appuient sur les retenues salariales FICA fraîchement collectées pour rester à flot.

    La Banque fédérale de réserve a maintenu les taux d'intérêt des prêts bas pour maintenir la croissance économique (principalement le secteur immobilier). Mais ce même faible taux d'intérêt est le rendement des obligations (IOUs) détenues par le Social Security Trust Fund, ce qui réduit les revenus d'intérêts.

    De mai à août 2020, les recettes de retenue à la source ont plongé de 8,4 % en dessous des niveaux de l'année précédente. De plus, 2,5 millions d'Américains de 55 ans ou plus de moins avaient un emploi en septembre par rapport à février 2020. Les taux d'emploi des Américains de 62 ans ou plus ont également chuté, ce qui a amené davantage d'Américains à rechercher une retraite anticipée et des prestations de sécurité sociale. Les demandes de prestations d'invalidité ont également augmenté.

    Le point final

    Le public est largement inconscient de cette ruse. Une législation de sauvetage et de relance de mille milliards de dollars est rapportée par les médias, mais pas l'état précaire des affaires financières en général. Inonder une économie d'argent finit généralement par faire monter les prix. L'essence est au-dessus de 4 $/gallon. Le bois est extrêmement cher. Les pénuries de viande et de composants informatiques sont déjà truquées. L'objectif est de conduire le pays à l'insolvabilité au point où le papier-monnaie est presque sans valeur et les masses mendient pour la monnaie numérique.

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  58. Ensuite, le gouvernement délivrera un revenu de base garanti en échange de libertés. La réinitialisation sera terminée. La plupart des Américains n'ont pas la moindre idée que leur entreprise privée, leur marché libre, leur propriété privée, leur droit à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur protégés par la Constitution, ne seront qu'au passé. Au nom de l'équité, les Américains seront tous pauvres.

    C'est Winston Churchill qui a dit :

    Le vice inhérent du capitalisme est le partage inégal des bénédictions ; la vertu inhérente du socialisme est le partage égal de la misère.

    Dans cinq ans

    Dans cinq ans, les Américains craintifs porteront toujours des masques faciaux lorsqu'ils roulent en voiture. Selon le programme établi par le Forum économique mondial qui est à l'origine de ces changements sociaux, politiques et financiers, personne ne possédera quoi que ce soit. Les véhicules seront loués sur la base d'un voyage. Personne ne possédera de voitures, de maisons ou d'entreprises. Il n'y aura pas de richesse, seulement des allocations pour la survie. Les nouveaux lots automobiles sont déjà vides, ce qui serait dû à une pénurie de puces informatiques alors que la production de nouveaux véhicules s'arrête. Ce sera la fin de l'Amérique telle que nous la connaissons à moins que le public aveugle et naïf ne reprenne ses esprits et ne se batte pour la liberté. Les États-Unis ne seront plus le plus grand pays du monde. Et, au diable toute idée de pilule anti-âge. Tu ferais mieux de mourir à temps.

    Le budget 2019-2020 de la sécurité sociale.

    - voir graphique sur site -

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/the-unthinkable-culling-the-population-to-balance-the-books/

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    1. D'une part grâce aux masques inutiles au maillage 10 000 fois plus large que le virus ! HAHAHAHA ! les porteurs respirent, aspirent les millions de nano-particules (les mêmes que celles qui sont injectées au cobayes abrutis) qui demeurent à l'intérieur du corps et redirigent les zombies par la 5G.

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  59. « Nous avons fait une grosse erreur » : la protéine de pointe du vaccin COVID se déplace du site d'injection et peut causer des dommages aux organes

    Des recherches obtenues par un groupe de scientifiques montrent que la protéine de pointe du vaccin COVID peut voyager depuis le site d'injection et s'accumuler dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et en « concentrations assez élevées » dans les ovaires.


    Par Megan Redshaw
    Défense de la santé des enfants
    5 juin 2021


    Les chercheurs sur les vaccins COVID avaient précédemment supposé que les vaccins COVID à ARNm se comporteraient comme les vaccins traditionnels. La protéine de pointe du vaccin – responsable de l'infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement au site d'injection au niveau du muscle de l'épaule ou des ganglions lymphatiques locaux.

    Mais de nouvelles recherches obtenues par un groupe de scientifiques contredisent cette théorie, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

    « Nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l'avions pas réalisé jusqu'à présent », a déclaré Byram Bridle, immunologiste viral et professeur agrégé à l'Université de Guelph, en Ontario. « Nous pensions que la protéine de pointe était un excellent antigène cible, nous n'avons jamais su que la protéine de pointe elle-même était une toxine et était une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine. »

    Bridle, qui a reçu l'année dernière une subvention de 230 000 $ du gouvernement canadien pour des recherches sur le développement d'un vaccin contre le COVID, a déclaré que lui et un groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d'informations auprès de l'agence de réglementation japonaise pour avoir accès à "l'étude de biodistribution" de Pfizer.

    Les études de biodistribution sont utilisées pour déterminer où un composé injecté se déplace dans le corps et dans quels tissus ou organes il s'accumule.

    "C'est la première fois que les scientifiques sont au courant de savoir où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination", a déclaré Bridle dans une interview avec Alex Pierson où il a divulgué les données pour la première fois. « Est-ce une hypothèse sûre qu'il reste dans le muscle de l'épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C'est très déconcertant. »

    Le Sars-CoV-2 a une protéine de pointe à sa surface. Cette protéine de pointe est ce qui lui permet d'infecter notre corps, a expliqué Bridle. "C'est pourquoi nous avons utilisé la protéine de pointe dans nos vaccins", a déclaré Bridle. « Les vaccins que nous utilisons obtiennent les cellules de notre corps pour fabriquer cette protéine. Si nous pouvons mettre en place une réponse immunitaire contre cette protéine, en théorie, nous pourrions empêcher ce virus d'infecter le corps. C'est la théorie derrière le vaccin.

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  60. "Cependant, lors de l'étude du COVID-19 sévère, […] des problèmes cardiaques, de nombreux problèmes du système cardiovasculaire, des saignements et des caillots, sont tous associés au COVID-19", a-t-il ajouté. "En faisant cette recherche, ce qui a été découvert par la communauté scientifique, la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation."

    Lorsque la protéine de pointe purifiée est injectée dans le sang d'animaux de recherche, ils subissent des dommages au système cardiovasculaire et la protéine peut traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau, a expliqué Bridle.

    L'étude de biodistribution obtenue par Bridle montre que la protéine de pointe COVID pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s'accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et en « concentrations assez élevées » dans les ovaires.

    « Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène, a déclaré Bridle. « C'est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s'il entre en circulation.

    Un grand nombre d'études ont montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID, tels que la coagulation du sang et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

    Une étude récente sur les maladies cliniques et infectieuses dirigée par des chercheurs du Brigham and Women's Hospital et de la Harvard Medical School a mesuré des échantillons de plasma longitudinaux prélevés sur 13 receveurs du vaccin Moderna 1 et 29 jours après la première dose et 1-28 jours après la deuxième dose .

    Parmi ces personnes, 11 présentaient des niveaux détectables de protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin dès un jour après la première dose de vaccin, dont trois qui présentaient des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée.

    La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection, et un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29 – un jour après une deuxième dose de vaccin – qui a disparu deux jours plus tard.

    Les résultats ont montré que la production d'antigène S1 après la vaccination initiale peut être détectée dès le premier jour et est présente au-delà du site d'injection et des ganglions lymphatiques régionaux associés.

    En supposant un volume sanguin adulte moyen d'environ 5 litres, cela correspond à des niveaux de pointe d'environ 0,3 microgramme d'antigène libre circulant pour un vaccin conçu uniquement pour exprimer l'antigène membranaire.

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  61. Dans une étude publiée dans Nature Neuroscience, des animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires. La protéine de pointe a également traversé la barrière hémato-encéphalique et a causé des dommages au cerveau.

    C'était une grave erreur de croire que la protéine de pointe ne s'échapperait pas dans la circulation sanguine, selon Bridle. "Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine - que le vaccin lui-même, plus la protéine - pénètre dans la circulation sanguine", a-t-il déclaré.

    Bridle a déclaré que la communauté scientifique a découvert que la protéine de pointe, à elle seule, est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation.

    Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, a déclaré Bridle. « Lorsque cela se produit, il peut faire l'une des deux choses. Cela peut soit provoquer l'agglutination des plaquettes, ce qui peut entraîner une coagulation - c'est exactement pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements », a-t-il ajouté.

    La coagulation et le saignement sont tous deux associés à la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT). Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les adolescents vaccinés.

    Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, a déclaré qu'il est maintenant clair que le contenu du vaccin est délivré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales, et est répandu dans le milieu puis atteint finalement la circulation sanguine causant des dommages systémiques.

    "Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau", a-t-elle ajouté. "Et c'est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs."

    Le Dr J. Patrick Whelan, rhumatologue pédiatrique, a averti la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis en décembre que les vaccins à ARNm pourraient causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d'une manière non évaluée dans les essais d'innocuité.

    Dans une soumission publique, Whelan a cherché à alerter la FDA sur le potentiel de vaccins conçus pour créer une immunité contre la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 pour causer des blessures à la place.

    Whelan craignait que la technologie du vaccin à ARNm utilisée par Pfizer et Moderna ait « le potentiel de provoquer des lésions microvasculaires (inflammation et petits caillots sanguins appelés microthrombus) au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d'une manière qui n'a pas été évaluée dans les essais d'innocuité ».

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/we-made-a-big-mistake-covid-vaccine-spike-protein-travels-from-injection-site-can-cause-organ-damage/

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  62. Enquête Revolver, troisième partie : dévoiler le complot des médias visant à masquer les décès enregistrés par les vaccins et à tromper les Américains


    3 juin 2021


    Note du lecteur : il s'agit de la deuxième partie d'une série en trois parties. Si vous ne l'avez pas encore fait, veuillez lire la première partie ici et la deuxième partie ici

    Message d'invité par Michael Thau, Ph.D.


    Créé en 1990, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est censé être « le système de première ligne du pays pour surveiller la sécurité des vaccins ».

    En seulement cinq mois et demi, le système VAERS a déjà traité plus de rapports d'Américains décédés après avoir pris un vaccin COVID-19 qu'il n'en a fait pour tous les 56 autres vaccins disponibles combinés sur une période de 28 ans.

    - voir graphique sur site -

    Les rapports d'appels inconfortablement proches avec décès inondent également le système.

    REGARDER : DÉCOUVREZ LES DERNIÈRES INTERVIEWS DE DARREN BEATTIE

    - voir clip sur site -

    De même, le registre VAERS reflète les informations faisant état de conditions médicales indésirables de toutes sortes depuis le 14 décembre, lorsque Pfizer a commencé à engranger des milliards en vendant sa version du vaccin. Rappelons que le vaccin Pfizer a été le premier à utiliser la nanotechnologie d'ARNm pour le public sur une autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA.

    - voir graphique sur site -

    Dans les première et deuxième parties de cette série, nous avons expliqué le système VAERS et expliqué les données VAERS ci-dessus en détail. L'image qui se dégage est celle, sinon de la tromperie, alors certainement d'une sous-estimation de la menace du vaccin Covid par rapport à la manière dont le gouvernement et les autorités sanitaires présentent officiellement ces données vaccinales.

    Nous avons noté à quel point il est étrange qu'un système de signalement aussi relativement inconnu puisse être invoqué pour une affaire aussi médiatisée et précipitée que le vaccin Covid. Pourquoi ne pas mieux faire connaître l'existence de la base de données VAERS afin de recueillir une image plus précise des effets du vaccin ?

    Afin de contextualiser pleinement les problèmes avec la base de données VAERS et la présentation publique de ses données, il est important de se rappeler l'atmosphère générale de tromperie qui entoure l'ensemble de l'épisode Covid.

    Ce dernier volet abordera d'autres aspects discutables de la réponse du gouvernement et des autorités sanitaires à COVID-19 qui soutiennent notre approche sceptique du VAERS dans les parties 1 et 2 de cette série.

    En conséquence, nous rafraîchissons maintenant notre mémoire quant à la comptabilité trompeuse des responsables de la santé en ce qui concerne le taux de mortalité COVID-19.

    Cacher délibérément le véritable taux de mortalité officiel

    Selon les dernières estimations du CDC, le taux de survie de COVID-19 est :

    0-19 ans : 99,998%
    18-49 ans : 99,95 %
    50-64 ans : 99,4 %
    65 ans + : 91%

    Mais ne pensez pas que les gens du CDC sont paresseux.

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  63. Pas de siree bob. Si vous êtes une personne relativement jeune (moins de 50 ans), ils ont fait beaucoup de travail pour s'assurer que vous n'apprenez pas que vos chances de mourir de Covid sont infiniment petites. À l'inverse, les mêmes autorités ont investi une énergie considérable pour encourager ce même groupe démographique de jeunes à prendre le vaccin Covid.

    Au lieu de présenter les informations simplement et proprement comme ci-dessus, en termes de pourcentages simples que tout le monde peut comprendre, les autorités du CDC donnent le taux de mortalité en chiffres bruts - dont certains sont assez importants - puis vous obligent à regarder un peu pour découvrir qu'ils 're par million.

    Ces chiffres d’apparence trompeuse sont également associés à de nombreuses autres données qui – contrairement au taux de mortalité de COVID avec lequel ils n’ont rien à voir – pour une raison étrange sont présentées en pourcentages, qui sont également tous assez importants.

    Remarquez, par exemple, comment ce « 20 » représentant le nombre par million pour les 0-17 ans est placé à la fin d'une ligne de texte sans aucune raison alors que tous les nombres plus élevés pour les autres groupes d'âge sont mis en évidence par eux-mêmes, ce qui rend ce '20' très facile à manquer.

    Le CDC semble rendre aussi difficile que possible d'apprendre que, selon leurs propres chiffres, les personnes de moins de 19 ans ont 0,002% de chances de mourir de COVID-19. Si vous citez avec précision un taux de mortalité de plus ou moins 0% pour les 0-17, toute personne vérifiant votre lien de référence ne trouvera pas les informations sous cette même forme.

    Cependant, quiconque regarde avec désinvolture les données du CDC verra immédiatement un tas de pourcentages beaucoup plus élevés et de chiffres plus gros.

    Cette présentation trompeuse de la même information crée des frictions et des difficultés supplémentaires lorsqu'il s'agit de présenter les faits d'une manière contextualisée de manière appropriée.

    Ces données artificiellement gonflées ont également ouvert la voie à des réponses politiques extrêmes, telles que des blocages, qui auraient été difficiles à justifier dans d'autres circonstances.

    Nous passons maintenant brièvement à ce qui pourrait être la dimension la plus destructrice de la tromperie de Covid, les confinements.

    Verrouillages

    Les estimations actuelles des décès sont sensiblement les mêmes qu'en septembre 2020, lorsque le gouverneur de Floride Ron DeSantis les a publiées sur Twitter.

    Le CDC a quelque peu manipulé les tranches d'âge et sans explication – on s'en doute parce que cela a aggravé les données.

    Le taux de mortalité officiel de Covid n’est pas non plus très différent de lorsque j’en ai parlé en mai 2020, dans un article intitulé, Les nouveaux chiffres du CDC montrent que les projections malhonnêtes de Fauci sur COVID-19 étaient des ordures.

    Et si vous pensez que j'ai été sévère, vous vous trompez.

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  64. J'aurais pu décrire honnêtement le témoignage de Fauci du 11 mars 2020 au Congrès selon lequel COVID-19 est «au moins 10 fois plus mortel que la grippe» comme un parjure homicide compte tenu de son influence sur la politique et le récit national entourant Covid.

    En effet, le témoignage imprudent de Fauci a immédiatement engendré des centaines de gros titres, donnant naissance à la panique de masse nécessaire pour amener le public à accepter l'idée jamais suggérée auparavant de mettre en quarantaine les personnes en bonne santé en imposant des blocages à l'échelle nationale.

    En ce qui concerne la distanciation sociale, les CDC eux-mêmes admettent que "les preuves directes de ces mesures sont limitées". Et par «limité», ils veulent dire inexistant. Ils vous font faire un travail colossal pour trouver les études pertinentes.

    J'ai fait le travail, et pas un seul ne soutient l'idée que la mise en quarantaine de personnes en bonne santé allait faire une sacrée chose pour empêcher un virus de se propager.

    Et l'Organisation mondiale de la santé était d'accord avec cette évaluation lamentable juste un an avant d'aider la propagande de Fauci à pousser vers les blocages.

    En fait, en 2019, l'OMS a même rejeté la mise en quarantaine des personnes exposées sans symptômes en raison de la « très faible qualité des preuves » que de telles mesures s'avéreraient efficaces.

    Mais si l'évaluation initiale de l'OMS fait douter des avantages de la mise en quarantaine et, par extension, des blocages, il y avait toujours des raisons de s'inquiéter des coûts de telles politiques.

    Revolver News a été l'un des premiers à exposer systématiquement le coût humain, financier et sanitaire des blocages désastreux de Covid.

    FLASHBACK: Étude exclusive de Revolver – Les blocages de COVID-19 plus de 10 fois plus meurtriers que la pandémie elle-même

    Des milliers de médecins et de scientifiques estimés, dont un biophysicien lauréat du prix Nobel qui a qualifié les blocages de suicide de masse, ont tenté de tirer la sonnette d'alarme sur les blocages.

    L'épidémiologiste John Ionnidis a décrit la réponse politique à Covid comme suit :

    [Se comporter comme] comme un éléphant attaqué par un chat domestique. Frustré et essayant d'éviter le chat, l'éléphant saute accidentellement d'une falaise et meurt. [Statistique]

    Le problème, bien sûr, est que les mêmes entreprises médiatiques et technologiques qui avaient mis l'éléphant dans un si triste état d'illusion ont travaillé tout aussi dur pour étouffer le son des nombreuses sonnettes d'alarme désespérées.

    Le parjure engendre la panique

    Nous avons vu que le taux de mortalité artificiellement gonflé pour COVID-19 a aidé Fauci à terroriser la nation pour qu'elle accepte des prescriptions politiques jusqu'alors inimaginables.

    Et il est difficile de penser que les blocages sans précédent auraient été possibles sans un effort concerté de la part des médias et des responsables de la santé corrompus pour terroriser psychologiquement les masses.

    Fauci et sa foule médiatique ont présenté un taux de mortalité Covid déformé à un moment où seules les personnes présentant les symptômes les plus graves – et, par conséquent, les plus susceptibles de succomber – étaient testées. Sans contexte approprié, ils nous ont transmis ce nombre déformé car les chances qu'une personne aléatoire meure de COVID-19.

    Au cas où vous seriez sceptique quant au fait qu'Anthony Fauci a sciemment menti pour infliger des épreuves, de la misère et la mort au peuple américain, permettez-moi de lever tout doute.

    Fauci lui-même a expliqué le sophisme à ses pairs dans un article du New England Journal of Medicine publié à peine 11 jours avant de le colporter pour amener le peuple américain à des blocages.

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  65. Parce que « le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés », a déclaré Fauci à ses collègues experts le 28 février 2020 :

    [L]es conséquences cliniques globales de Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d'environ 0,1 %). [Journal de médecine de la Nouvelle-Angleterre]

    Pourtant, à peine 11 jours plus tard – comme vous pouvez le voir clairement dans la vidéo de son témoignage ci-dessous – Fauci a déclaré au Congrès que si « tous les cas asymptomatiques ou peu symptomatiques » sont comptés, COVID-19 s'avère être, à la place, « 10 fois plus mortelle que la grippe saisonnière. Il est même allé jusqu'à adresser explicitement ses mensonges au peuple américain comme « quelque chose qu'ils peuvent embrasser et comprendre ».

    Gonfler délibérément le taux de mortalité officiel de COVID-19

    Fauci et la chef du groupe de travail COVID de Trump, Deborah Birx, ont maintenu depuis le tout début que toute personne diagnostiquée avec COVID-19 et décédée sera comptée parmi ses décès. Pour des raisons évidentes, cette méthode de comptabilisation serait fortement inflationniste, et au mieux trompeuse.

    DR. DEBORAH BIRX : Donc, je pense que dans ce pays, nous avons adopté une approche très libérale de la mortalité. Et je pense que les rapports ici ont été assez simples au cours des cinq à six dernières semaines. Avant cela, lorsqu'il n'y avait pas eu de tests en janvier et février, c'est une situation très différente et inconnue.

    Il y a d'autres pays qui, si vous aviez une maladie préexistante et disons que le virus vous a amené à aller à l'USI et ensuite avoir un problème cardiaque ou rénal, certains pays enregistrent comme un problème cardiaque ou un problème rénal et non un décès COVID-19 . À l'heure actuelle, nous l'enregistrons toujours et nous voulons dire ce qui est bien d'avoir des formulaires qui arrivent et un formulaire qui a la capacité de commercialiser comme infection COVID-19 l'intention est maintenant que ceux si quelqu'un meurt avec COVID-19 nous comptent cela comme un décès par COVID-19. [Vraie politique claire]

    Selon un responsable de la santé publique du comté de Maricopa, en Arizona, la pratique consiste à compter dans son bilan officiel toute personne décédée dans les 60 jours suivant un diagnostic de COVID-19. Elle aussi s'est vantée de méthodes qui ne manqueront pas de faire apparaître le virus beaucoup plus mortel qu'il ne l'est.

    Et nous savons que tous les trois ont tenu parole puisque les décès dus aux accidents de la route et même les victimes par balle figurent sur la liste risible du CDC des « décès » de COVID-19.

    La question n’est pas de savoir si le nombre de décès de COVID-19 est gonflé. C'est de combien.

    En fait, il semble que ce ne sont pas seulement les chiffres des décès qui ont été gonflés.

    Le nombre de cas de Covid eux-mêmes semblait être gonflé par des procédures de test douteuses et peu fiables.

    Il est intéressant de noter que le régime de tests de masse qui a permis l'augmentation alarmante du nombre de cas a été interdit par le CDC avant 2020. Jusqu'alors, les tests PCR n'étaient utilisés que pour diagnostiquer l'infection chez les personnes présentant déjà des symptômes graves comme moyen de aider à affiner la cause. En fait, Kary Mullis, qui a remporté un prix Nobel pour avoir inventé la réaction en chaîne par polymérase (PCR), a insisté sur le fait que la PCR ne peut pas être utilisée comme le seul moyen de diagnostiquer une infection virale.

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  66. Ni citoyens ni sujets mais du bétail

    Tout comme personne ne connaît le nombre réel de personnes décédées après avoir été piquées pour COVID-19, personne ne connaît le nombre réel de décès que le virus lui-même a causés ni même le nombre réel de personnes infectées.

    Tout ce que nous savons avec certitude, c'est que nous avons été intentionnellement bombardés de chiffres qui ont massivement exagéré nos impressions sur ces chiffres.

    Le pire, c'est que ni les organes d'information qui contrôlent le dialogue national ni les responsables ne semblent se soucier des vrais chiffres.

    Pour une raison quelconque, il semble que la principale préoccupation du gouvernement et des responsables de la santé nous ait fait croire que le virus est aussi mortel que possible tout en prétendant que les blocages ont été nécessaires et largement inoffensifs.

    Et maintenant, ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour s'assurer que tout le monde pense la même chose à propos des vaccins en supprimant toutes les données qui pourraient suggérer le contraire et en essayant de détruire quiconque est au courant mais refuse de jouer le jeu.

    Cette situation désastreuse nous oblige à nous demander pourquoi personne au Congrès, républicain ou démocrate, ne fait pression pour une enquête sur l'une de ces tromperies odieuses qui ont fait pleuvoir plus de morts et de destructions sur la tête du peuple américain que nos pires ennemis étrangers n'auraient pu le faire. rêvé d'accomplir?

    Parce que « le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés », a déclaré Fauci à ses collègues experts le 28 février 2020 :

    [L]es conséquences cliniques globales de Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d'environ 0,1 %). [Journal de médecine de la Nouvelle-Angleterre]

    Pourtant, à peine 11 jours plus tard – comme vous pouvez le voir clairement dans la vidéo de son témoignage ci-dessous – Fauci a déclaré au Congrès que si « tous les cas asymptomatiques ou peu symptomatiques » sont comptés, COVID-19 s'avère être, à la place, « 10 fois plus mortelle que la grippe saisonnière. Il est même allé jusqu'à adresser explicitement ses mensonges au peuple américain comme « quelque chose qu'ils peuvent embrasser et comprendre ».

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  67. On nous a fait quelque chose de monstrueux. Cela nous est toujours infligé et ne montre aucun signe de fin.

    Et personne au pouvoir de l'un ou l'autre parti politique ne s'en soucie.

    Une fausse crise a été fabriquée et utilisée pour détruire les petites entreprises américaines et paralyser spirituellement son peuple avec un isolement social et des couvre-visages obligatoires tout en enrichissant les entreprises mondiales sans allégeance au peuple américain.

    Certains des plus grands bénéficiaires de ce programme monstrueux comme Google, Facebook et Twitter sont ceux qui ont veillé à ce que presque personne n'entende les milliers de médecins et de scientifiques estimés qui ont tenté de tirer la sonnette d'alarme.

    Maintenant, le Big Tech Bullhorn est utilisé pour intimider tout le monde en prenant des médicaments expérimentaux minimalement testés qui transforment leurs cellules en hybrides de virus humain ou les infectent avec un virus artificiel qui, même s'ils sont sans danger, sont totalement inutiles.

    Toute information qui pousserait les gens à se rebeller contre ce programme monstrueux est cachée et quiconque tente d'alerter le public est détruit par tous les types de mensonges imaginables.

    Les faits horribles s'accumulent depuis plus d'un an maintenant. Mais même ceux d'entre nous qui en sont conscients les prennent en compte, ne reculant jamais pour regarder l'ensemble de l'horrible image, peut-être autant parce que c'est trop à supporter qu'autre chose.

    Mais il est temps de regarder nos monstrueux persécuteurs dans les yeux et de reconnaître l'horreur qu'ils nous infligent, pour des raisons dépravées.

    Les personnes qui dirigent notre gouvernement et contrôlent le flux d'informations ne nous considèrent plus comme des citoyens. Nous ne leur sommes même pas soumis. Nous sommes du bétail - dans une ferme industrielle dans un endroit lointain qu'ils n'ont même jamais visité.

    Mais le pire dans tout cela, c'est que, jusqu'à présent, dans notre silence relatif, nous leur avons donné raison. Il est temps qu'ils nous entendent.

    Michael Thau est chroniqueur chez RedState. Il est titulaire d'un doctorat en philosophie de Princeton et a beaucoup écrit sur COVID-19 depuis le début de ce cauchemar.

    https://www.revolver.news/2021/06/revolver-investigation-part-three-vaxxed-exposing-media-plot-to-hide-record-vaccine-deaths/

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  68. Et si le « gros mensonge » était le grand mensonge ?


    Par James Howard Kunstler
    5 juin 2021


    Peut-être que maintenant que le Dr Tony Fauci a commencé à parler de ses actions au service du laboratoire de virologie de Wuhan, l'expression "théorie du complot", flagellée par les médias aussi effrontément et incessamment que par les kommissars soviétiques d'autrefois, aura porté dehors son accueil.

    Dans un régime sain d'esprit, le Dr Fauci serait cuit. Il ressemble de manière circonstancielle à un méchant épique de l'histoire, qui a promu et financé en connaissance de cause des activités de recherche dangereuses, qui ont conduit à une catastrophe internationale qui a tué des millions de personnes et détruit d'innombrables moyens de subsistance et ménages, peut-être même l'ensemble de l'économie mondiale, en fin de compte. – et il semble avoir menti à chaque étape du chemin.

    Concrètement, que va faire l'administrateur de « Joe Biden » à son sujet ? Le jeter sous le bus ? Je ne pense pas qu'ils puissent le faire à ce stade. Le Dr Fauci en est venu à représenter non seulement les mensonges employés autour du fiasco de Covid-19, mais plus généralement la longue campagne contre la vérité elle-même menée par un Parti démocrate jacobin grossièrement illibéral apparemment pour punir et détruire la civilisation occidentale.

    Reste à savoir si la pandémie de Covid-19 était une tactique manifeste dans cette campagne, ou simplement le résultat du mauvais jugement catastrophique du Dr Fauci. Mais au moins la moitié du pays conclura qu'il existe un lien entre les terribles pertes subies au cours de l'année pandémique et les conneries politiques dont ils ont été gavés au cours de l'effort de quatre ans pour défendre Donald Trump. Tout ce que les gestionnaires de Joe Biden peuvent faire maintenant, c'est faire disparaître le Dr Fauci, le tenir à l'écart des chaînes câblées et espérer que le public pourra être distrait par de nouvelles absurdités. Vous avez également de bonnes raisons de douter que Merrick Garland fera autre chose que regarder de l'autre côté et siffler.

    La chute du Dr Fauci est un moment décisif. Il y a eu tellement d'autres autorités surprises en train de mentir au cours des cinq dernières années, mais qui s'en sont sorties indemnes - Hillary Clinton, Barack Obama, James Comey (en fait, l'ensemble des suites électroniques du FBI et du DOJ), John Brennan, James Clapper, Robert Mueller, Andrew Weissman, Adam Schiff et les éditeurs et producteurs des médias d'information, ainsi que les dirigeants des médias sociaux – qui non seulement ont désactivé la vérité à chaque occasion, mais ont presque détruit l'emprise du public sur la réalité.

    Le résultat a été un effondrement total de l'autorité dans ce pays, de sorte que maintenant personne qui dirige quoi que ce soit n'est crédible, du pitoyable président des États-Unis à la plupart des fonctionnaires élus et nommés, juges, PDG d'entreprise, doyens et présidents d'université, et maintenant "La Science" elle-même. N'oubliez pas qu'il existe toujours une faction importante en Amérique de personnes profondément intéressées à découvrir la vérité sur beaucoup de choses. Ils visent aussi à obtenir, par exemple, la vérité sur les élections de 2020. Peut-être que maintenant vous pouvez commencer à comprendre pourquoi c'est important.

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  69. Pourtant, les chaînes d'information câblées étaient vraiment à l'œuvre hier soir (jeudi) avec Erin Burnett et Anderson Cooper de CNN, et l'équipe glissante de MSNBC, attaquant avec acharnement l'audit des élections en Arizona avec leur batterie habituelle de slogans désobligeants : c'est une « théorie du complot, " "sans fondement", un "gros mensonge". Est-il peut-être plus probable maintenant que leur Big Lie est le Big Lie ? On dirait que nous allons le découvrir. Et peut-être pas seulement en Arizona, parce que d'autres États se tournent vers l'idée de l'audit.

    Le DOJ de « Joe Biden » pourrait encore tenter d'annuler l'audit AZ. Mais une vérité subsidiaire à glaner dans tout cela est que l'audit est uniquement une prérogative de l'État en tant que question constitutionnelle et si le DOJ essaie de lancer une ruse de merde sur les « droits civils » sur l'opération, ils finiront avec leur pantalon en feu, peut-être même une annulation officielle de l'action fédérale. Cela ressemble un peu à la guerre civile ?

    Ainsi, nous pouvons voir que les révélations sur le rôle du Dr Fauci dans les origines de Covid-19 et la découverte potentielle de la fraude électorale de 2020 convergent vers une profonde crise constitutionnelle cet été. Si un nombre croissant d'Américains en viennent à croire que la pandémie était un numéro dirigé contre eux par les autorités, ils pourraient être plus disposés à aller de l'avant avec des audits électoraux dans plusieurs États. Et que se passe-t-il si des preuves solides sont découvertes et que la fraude est prouvée ? Hu-oh…! Le pays doit-il peut-être demander une reprise des élections, cette fois sans bulletins de vote postal et avec un effort plus sérieux pour justifier les votes ? C'est un défi de taille. Ou est-ce que « Joe Biden » continue de se promener pour des cornets de crème glacée ? La géopolitique peut le déterminer. La nation peut-elle se permettre de maintenir au pouvoir un régime aussi faible et illégitime ?

    Je vais vous dire quelque chose qui pourrait arriver : « Joe Biden » (ses gestionnaires et leurs factotums, de toute façon) peut tenter autre chose, une autre ruse pour détourner l'attention du public d'une crise constitutionnelle : et si on faisait s'effondrer les marchés financiers ? Cela ferait l'affaire, j'en suis sûr. En fait, il semble que la Réserve fédérale ajuste déjà cette fréquence en annonçant qu'elle "réduit" ses activités d'achat d'obligations, en commençant par les obligations d'entreprise "junk". Vous savez ce qui se passera s'ils accélèrent la réduction des achats d'obligations (actuellement autour de 120 milliards de dollars par mois) ? Les taux d'intérêt augmenteront, car qui d'autre achètera ce papier à des taux d'intérêt proches de zéro ? (Et, soit dit en passant, la Russie vient d'annoncer qu'elle est sur le point de vendre tous ses avoirs souverains en dollars américains). Et lorsque les taux d'intérêt augmentent rapidement, le modèle commercial actuel de Wall Street va vers le sud. Attends ça !

    Reprinted with permission from Kunstler.com.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/james-howard-kunstler/what-if-the-big-lie-is-the-big-lie/

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  70. Techniques de vente et bidouillages publicitaires pour promouvoir les vaccins


    le 04/06/2021 à 09:57


    Article original à retrouver sur le blog du CTIAP du Centre Hospitalier de Cholet

    Il existe au moins dix façons - astuces - qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace.

    Dans la continuité de ses réflexions et de ses formations destinées notamment au public, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet propose de vous expliquer certaines de ces méthodes, bien connues, qui semblent avoir été utilisées pour présenter les vaccins contre la Covid-19 comme étant efficaces, de façon certaine, contre les formes « graves » de la Covid-19 ; un résumé de ces astuces est disponible dans la conclusion proposée à la fin du présent article. Pour cela, il y a lieu de rappeler quelques étapes de façon chronologique afin de mettre en évidence l’évolution du raisonnement adopté. Dans un souci pédagogique, il est plus facile de se concentrer sur un seul exemple : celui du vaccin, à base d’ARN Messager (ARNm) des laboratoires BioNTech/Pfizer (Tozinaméran ; COMIRNATY°). Ce vaccin est le premier à avoir bénéficié d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » (temporaire ; dont la durée n’excède pas 1 an) ; c’est le vaccin qui enregistre le plus grand nombre d’injections ; c’est lui qui offre donc le plus de recul.

    Ce vaccin a obtenu cette AMM conditionnelle le 21 décembre 2020 ; alors que « les résultats des études cliniques ont un recul de 1,5 mois » seulement comme cela est affirmé, dès le 24 décembre 2020, par la haute autorité de santé (HAS). Et alors même que les nombreuses incertitudes ne se limitent pas uniquement à ces essais cliniques : elles concernent également et notamment la composition même de ce produit et son procédé de fabrication comme le révèle l’article publié, le 2 avril 2021, par le CTIAP (les trois autres vaccins autorisés en Europe notamment sont également concernés par cet article).

    Dès le 30 novembre 2020, le conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE), tout en soulignant « l’arrivée imminente et très médiatisée des vaccins contre la Covid-19 », alerte en ces termes : « La Haute Autorité de santé se prononcera prochainement sur la stratégie vaccinale à mettre en œuvre. Pour que les français (dont les soignants) adhèrent à ces préconisations, elles doivent être élaborées en toute transparence et fondées sur des données scientifiques valides, fiables, et partagées ». Il ajoute :

    « (…) il est crucial qu’ils [les médecins généralistes] disposent de données scientifiques fiables, afin d’exposer au patient la balance bénéfice/risque individualisée des vaccins, en se basant sur des résultats en termes :

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  71. · d’effets indésirables et de sécurité d’emploi, car la vaccination s’adresse majoritairement à des sujets en bonne santé ;

    · de bénéfices cliniques pertinents (réduction absolue du risque d’hospitalisation et/ou des formes graves et/ou de mortalité, le tout par tranche d’âge et par catégorie de population à risque) ;

    · de diminution du risque de transmission du SARS-CoV-2. »

    Et puis, ce conseil scientifique du CNGE relève ceci : « Selon les publications actuellement disponibles, les essais cliniques en cours pourraient ne pas avoir évalué les différents vaccins sur plusieurs de ces critères cliniques pourtant fondamentaux pour les patients ».

    En effet, et comme vient de le confirmer la revue indépendante Prescrire dans un article publié en avril 2021, ces essais cliniques « n’ont pas été conçus pour évaluer la prévention des formes graves ».

    Quelles sont donc les raisons qui ont conduit à ne pas construire ces essais cliniques sur les critères cliniques pertinents, connus, qui permettent de démontrer l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des formes « graves » ? Cette question est fondamentale car plusieurs pays du monde étaient dans l’espoir de voir cette démonstration venir prouver une telle efficacité.

    Le 7 décembre 2020, une réunion présidée par Madame la ministre déléguée chargée de l’autonomie, a eu lieu. Le compte-rendu de cette rencontre souligne que « ce vaccin permettrait de réduire considérablement les risques de forme grave dues à l’infection au COVID-19 ». La conjugaison du verbe au conditionnel signe la prudence ; mais, l’emploi du mot « considérablement » étonne en pareilles circonstances.

    Le 15 décembre 2020, une instruction interministérielle, du ministre des solidarités et de la santé et du ministre de l’intérieur, précise le cadre de mise en œuvre de la première étape de la campagne nationale de vaccination : « la stratégie nationale de vaccination Covid-19 a pour objectifs principaux de faire baisser la mortalité et les formes graves de la maladie, de protéger les Français et notre système de santé et de garantir la sécurité sanitaire de tous les patients ».

    Le 23 décembre 2020, soit deux jours après l’octroi de ladite AMM conditionnelle, la haute autorité de santé (HAS) soutient : « À ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact de la vaccination par le BNT162b2 [vaccin COMIRNATY°] sur les hospitalisations, les hospitalisations en unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité ». Autrement dit, l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des formes « graves » n’est pas démontrée. Mais, la HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)]) ». La manœuvre semble subtile pour les non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande, plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.

    Mais huit jours plus tard, soit le 31 décembre 2020, curieusement, une autre affirmation, pour le moins inexacte, est dispensée auprès du public et sans gêne aucune. En effet, dans la « Fiche 2 Informations à destination des résidents en établissements pour personnes âgées et leurs familles » qui est disponible dans le « PORTFOLIO » établi le 31 décembre 2020 par le ministère des solidarités et de la santé, il est soutenu ceci :

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  72. « 1. Pourquoi se faire vacciner contre la COVID-19 ? » : La vaccination contre COVID-19 vous protégera des complications et de la survenue des formes graves de cette maladie. Les études ont montré que le vaccin était très efficace pour protéger d’une infection ». La conjugaison du verbe au futur signe la certitude. Et pourtant…

    Onze jours plus tard, le 11 janvier 2021, le même conseil scientifique du collège national des médecins généralistes enseignants (CNGE) contredit cette affirmation du ministère des solidarités et de la santé :

    « (…) les données importantes font encore défaut, par exemple :

    · L’efficacité dans la population des sujets âgés de 75 ans et plus (prioritairement concernés par la campagne de vaccination en France), car l’effectif de ces sujets était insuffisant dans l’essai pour observer un résultat fiable, (…) ;

    · L’efficacité sur les hospitalisations et la mortalité ;

    · L’effet sur le portage des sujets asymptomatiques et la transmission (protection collective). »

    De plus, une nouvelle preuve, qui atteste de l’inexactitude de cette affirmation livrée au public, émane de la bouche même du ministre des solidarités et de la santé. En effet, lors de la conférence de presse tenue le 18 février 2021, soit plusieurs semaines après l’élaboration de cette « Fiche 2 », Monsieur Olivier VÉRAN avoue ceci :

    « (…) j’ai dit tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de dire si la vaccination en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les hospitalisations. Quand nous aurons ces données fiables ; aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles, que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent depuis maintenant un an. »

    Et dès le 3 mars 2021, le Conseil d’État (CE) relève ces contradictions de l’« administration » française ; comme cela a été révélé par le CTIAP dans un article publié le 4 mars 2021. Il est intéressant de découvrir, dans cette décision du CE, l’argumentation avancée par le ministère des solidarités et de la santé dans le cadre de cette instance : « L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vaccination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD où la campagne de vaccination a eu lieu ». Le juge révèle aussi ladite instruction interministérielle du 15 décembre 2020 ci-dessus mentionnée ; ainsi que les affirmations que la haute autorité de santé (HAS) avait osé tenir dans un avis en date du 23 janvier 2021 : « la Haute autorité de santé présente cependant comme connaissance scientifique acquise à ce stade « la réponse immunologique satisfaisante et une efficacité vaccinale similaire à celle retrouvée chez les personnes les plus jeunes » chez les personnes âgées pour les deux vaccins à ARN Messager [COMIRNATY° ; et le vaccin du laboratoire Moderna] en cours d’utilisation. En outre, selon les informations données sur le site du ministère « les vaccins permettent de prévenir lors d’une contamination le développement d’une forme grave de la maladie » et les cas constatés de nouvelles contaminations dans quelques établissements ne concerneraient en réalité que les personnes n’ayant reçu qu’une dose ».

    Cette affirmation de la HAS, enregistrée dans cet avis en date du 23 janvier 2021, sera donc contredite par le ministre des solidarités et de la santé, lui-même, lors de ladite conférence de presse tenue le 18 février 2021.

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  73. Puis, le 25 avril 2021, le haut conseil de la santé publique (HCSP) publie les conclusions de son avis rendu, le 11 avril 2021, sous le titre « Avis relatif à l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19 ». Ce document « recommande pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet » notamment ce qui suit :

    « Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

    Que toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes grave (âge, comorbidité). »

    Or, si réellement ces vaccins sont efficaces contre les formes « graves », pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir toutes ces autres mesures barrières ; et surtout, pourquoi met-il fin à sa recommandation (consistant à « ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes « graves » dans une « position d’espoir… » précise-t-il. Mais, nous ne sommes plus à une contradiction près ; comme cela est démontré dans la huitième conférence du CTIAP tenue le 27 avril 2021.

    Dans ledit article publié en avril 2021, la revue Prescrire rappelle plusieurs autres points :

    « Aucune corrélation n’est démontrée entre la réponse immunitaire et l’efficacité clinique de ces vaccins [à ARN Messager : COMIRNATY° ; et celui du laboratoire Moderna] » ;

    « Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie covid-19. Les résultats vont dans le sens d’une diminution de la fréquence des formes graves dans les groupes vaccin (…) mais non démontrée par ces essais comparatifs »… (Ces mêmes essais comparatifs que certains avaient exigé, avec vigueur, envers l’Hydroxychloroquine…) ;

    « Ces données sont insuffisantes pour connaître l’efficacité éventuelle de ces vaccins sur la mortalité liée à la maladie covid-19 ou sur la mortalité globale ».

    « Peu de personnes dans les essais ont eu une forme grave de la maladie covid-19. » ? Comment expliquer donc ce faible taux de recrutement des personnes avec des formes « graves » ? Eu égard aux annonces de plusieurs États et aux nombreuses mesures restrictives des droits et libertés fondamentaux imposées à la population ?

    Concernant les « données épidémiologiques israéliennes », la revue Prescrire relève que « selon une publication n’ayant pas encore fait l’objet d’une relecture par un comité indépendant (…) le risque de formes graves a été estimé comme étant environ 90% plus petit (au moins 75% plus petit) à partir d’une semaine après la 2e injection que le risque dans la population générale ». Mais, la revue précise immédiatement que « ces résultats sont de faible niveau de preuves car issus de données épidémiologiques où les groupes comparés ne sont pas semblables » !

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  74. Enfin, dans sa conclusion intitulée « en pratique », la revue Prescrire se contente d’affirmer que ces vaccins à ARN Messager « diminuent fortement à court terme le risque de formes symptomatiques de maladie covid-19. Les essais n’ont pas été conçus pour évaluer l’efficacité de ces vaccins chez les personnes âgées de 75 ans ou plus ». Et puis, cette revue vient nous révéler ce que cette réflexion souhaitait vous livrer depuis le début : l’une de ces dix astuces qui permettent de présenter, artificiellement, un médicament comme étant efficace. C’est ainsi que la revue Prescrire révèle ceci :

    « En diminuant les infections symptomatiques, il est plausible que ces vaccins aient aussi un effet préventif sur les formes graves de la maladie covid-19 : les résultats des essais vont dans ce sens, ainsi que les premières données épidémiologiques ». Nous sommes clairement au stade de l’hypothèse qui appelle à être vérifiée ; puis éventuellement confirmée.

    Or, l’un des « bidouillages publicitaires » qui permet de présenter un médicament comme étant efficace en apparence réside dans l’imagination d’un mécanisme physiopathologique « plausible » pour expliquer comment agit un produit ; et la « présentation » de ce mécanisme d’action théorique avec « adresse ». Un tel raisonnement était à l’origine, par exemple, de l’une des plus emblématiques « affaires » médicamenteuses : l’affaire du « VIOXX° »… Depuis au moins le 12 novembre 2020, dans un article intitulé « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir », le CTIAP a alerté en ces termes :

    « (...) Un risque accentué par la nouveauté technologique

    Certains de ces futurs vaccins sont à base d’ARNm (acide ribonucléique). Ils sont donc les premiers qui utilisent une telle nouvelle technologie. Cette nouveauté technologique, si elle n’est pas suffisamment évaluée chez l’Homme et dans la durée, nous expose à des risques potentiels, jusqu’alors inconnus, qui pourraient se manifester après l’administration de ces produits chez une large population.

    Et, il y a lieu de rappeler qu’une technologie aussi séduisante soit-elle, en théorie, peut se révéler dangereuse une fois transposée à l’Homme. Seule l’expérimentation clinique (chez l’Homme) permet de confirmer ou d’infirmer, en pratique, une telle innovation. La durée de cette expérimentation est incompressible. »

    Début mai 2021, le CTIAP subit des attaques émanant notamment de l’« agence france presse (AFP) – Factuel » qui est soutenue par l’« AFP ». L’article de cet organe de presse est intitulé « Les vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid ». La réponse du CTIAP est publiée, en urgence, dès le 8 mai 2021. Il est conseillé de lire cette réponse qui fournit des éléments complémentaires. Ces derniers viennent confirmer davantage la présente démonstration. Mais, cet article de l’« AFP -Factuel » nous livre quelques éléments qui mettent encore plus en lumière que ladite efficacité préventive sur les formes « graves » n’est qu’une hypothèse théorique qui ne peut constituer une preuve suffisante. Ces journalistes affirment :

    « L’efficacité contre les formes sévères (…) s’est vérifiée depuis le début des campagnes de vaccination dans le monde, comme l’ont expliqué des expertes à l’AFP (…) » ;

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  75. « « On était sûr qu’on avait un effet sur les formes symptomatiques très très net. Donc par déduction, comme on sait la proportion de formes graves qui dépendent des formes symptomatiques, on était sûr qu’il y avait un effet sur les formes graves même si ça n’était pas démontré stricto sensu dans l’essai » pour une raison statistique, poursuit la présidente de la commission technique des vaccinations de la Haute autorité de santé ».

    On joue donc à la devinette et on utilise une autre astuce de vente : devenir « Maître dans l’Art des raisonnements creux » : « très très net » ; « par déduction » ; « on était sûr (…) même si ça n’était pas démontré »…

    La question vitale est : est-ce que ces incertitudes avaient été portées à la connaissance des personnes concernées comme l’exige la loi (au sens large) ? La réponse est désormais claire eu égard aux éléments, non exhaustifs, ci-dessus exposés.

    Mais, dans cet article de l’« AFP -Factuel », on apprend également ce que soutient encore cette présidente de la commission technique des vaccinations à la haute autorité de santé (HAS) : « « Dans les essais cliniques, la probabilité d’événements graves était faible car la population testée était relativement jeune et bien portante », a-t-elle expliqué à l’AFP le 3 mai » 2021.

    L’autre question est alors la suivante : pourquoi ne pas avoir inclus dans ces essais plutôt les personnes qui étaient à risque de développer des formes graves : les personnes âgées notamment ? Et en particulier celles âgées de 75 ans et plus ?

    Par ailleurs, l’article publié, en avril 2021 par la revue Prescrire, discute seulement la diminution « relative » du risque. La réduction « absolue » de ce risque ne semble pas abordée. Toutefois, cet article rappelle d’autres informations importantes :

    « Des inconnues demeurent : l’effet sur la durée de la protection et sur la transmission du virus ; le maintien de son efficacité face à la variabilité du coronavirus » ;

    « Des inconnues demeurent sur les effets indésirables à long terme » ;

    « Ont été notamment exclues de ces deux essais [correspondant aux deux vaccins à ARN Messager] les personnes immunodéprimées ou recevant un médicament immunodépresseur, celles atteintes d’une affection non stabilisée ou ayant un antécédent de maladie covid-19, et les femmes enceintes ou allaitantes » ;

    « On ne sait pas dans quelle mesure ces vaccins ont un effet sur la transmission du virus (…) quelle est l’efficacité de ces vaccins chez les enfants (…) Quel est l’intérêt de l’utilisation de ces vaccins chez les personnes ayant déjà été infectées par le Sars-CoV-2 ; quels sont les risques de ces vaccins chez les femmes enceintes » ;

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  76. « L’efficacité vaccinale a été évaluée sur les souches de virus circulant dans la population vaccinée au moment des essais cliniques. Une modification importante de la protéine virale ciblée par ces vaccins dans de nouvelles souches du virus expose à une réduction de leur efficacité sur ces souches » ;

    « Le développement de médicaments à base d’ARN étant récent, leur recul d’utilisation dans l’espèce humaine est faible ».

    Ces informations sont concordantes avec celles publiées par le CTIAP depuis au moins le 12 novembre 2020 ; soit bien avant la publication par les autorités ad hoc des éléments figurant dans les dossiers des AMM conditionnelles correspondant à ces vaccins contre la Covid-19.

    Par ces motifs, non exhaustifs ci-dessus exposés, une conclusion pourrait, par conséquent, être proposée.

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  77. Ces vaccins contre la Covid-19 n’ont pas démontré leur efficacité sur la transmission virale. L’espoir ne résidait donc plus que dans une éventuelle efficacité sur la prévention des formes « graves » de cette Covid-19. Sans cette efficacité, l’AMM conditionnelle ne pourrait plus se justifier. Alors, faute de pouvoir apporter la preuve attendue pour démontrer avec certitude, une efficacité préventive sur ces formes « graves », des techniques de vente semblent avoir été déployées : imaginer un mécanisme physiopathologique « plausible » censé expliquer comment agissent ces produits et que l’on tente de « présenter » ensuite avec « adresse » ; tenter de dissimuler le fait que les essais cliniques n’aient pas inclus les principales personnes concernées par les formes « graves » (notamment celles âgées de 75 ans et plus) ; faire appel à des médias qui vont utiliser notamment leurs graphistes dans le but d’optimiser l’impact visuel du message ; ignorer les intervalles de confiance lorsque ces derniers montrent une grande largesse et donc une grande incertitude qui ne permet pas d’interpréter le résultat affiché ; inverser la pyramide des preuves en privilégiant les anecdotes et en relayant les essais randomisés à une position secondaire ; recruter des Maîtres dans l’Art des raisonnements creux ; faire appel à quelques « leaders » d’opinion, aux liens et conflits d’intérêts inconnus, en faisant en sorte qu’ils deviennent des « bons clients » pour les médias traditionnels (dominants) ; expliquer à la population que ces vaccins sont « bons pour leur moral » en présentant ces produits comme d’éventuels médicaments « anxiolytiques » (pour lutter contre l’anxiété) ou « antidépresseurs » ; conditionner l’accès à des activités de la vie courante à des données médicales ; imposer à la population un pari biologique : d’abord chez les personnes âgées de 75 ans et plus, chez les femmes enceintes ou qui allaitent, chez les immunodéprimés… avant de cibler les enfants ; diffuser des clips véhiculant des messages, pour le moins inexacts, sur l’efficacité de ces vaccins ; surtout ne pas évoquer les effets indésirables même ceux enregistrés par le système officiel de pharmacovigilance ; ne pas oublier de tenter de se protéger juridiquement en versant, discrètement, la bonne version des faits auprès du juge administratif lors d’un litige ; protéger cette « prescription politique » de ces vaccins en se réfugiant derrière les autorités sanitaires ad hoc ; ne pas trop s’embarrasser avec les règles fixées par l’AMM conditionnelle (déjà bien fragile) et faire du stock de ces vaccins le principal régulateur des recommandations émises par ces autorités sanitaires ad hoc : ce stock justifie le choix des personnes prioritaires pour la vaccination, oriente la modification du schéma posologique (allongement du délai entre les 2 doses malgré les risques encourus), décide du nombre de doses contenues dans un flacon, influence même la date de péremption... ; propulser l’évaluation objective du rapport bénéfice/risque de ces vaccins vers une position accessoire, subsidiaire… ; tenter de faire croire à la population que la baisse des contaminations, par le Sars-CoV-2 (Covid-19), annoncée en mai 2021 est le fruit de la vaccination même si cette même baisse avait été également annoncée un an plus tôt en ce même moi de mai (2020) et malgré l’absence de toute vaccination ; essayer de culpabiliser les personnes non vaccinées en les accusant d’être à l’origine de telle ou telle « nouvelle vague épidémique » même s’il n’est pas démontré que ces vaccins empêchent la transmission virale et même s’il est admis que les personnes vaccinées continuent de diffuser le virus ; user, sans modération, des contradictions en n'hésitant pas à diffuser des informations, pour le moins, inexactes ; refuser toute demande réclamant un débat public, contradictoire et utile ; étiqueter, sans délai, d'« anti-vax » et de « complotiste » toute personne qui souhaite analyser, de façon objective, le rapport bénéfice/risque de ces produits...

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  78. Concernant les effets indésirables, le 28 mai 2021, l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) révèle notamment quelques « signaux potentiels ou événements déjà sous surveillance » dont le lien de causalité avec ces vaccins n’est pas encore retenu par cette autorité. Pour le vaccin BioNTech/Pfizer, par exemple, on peut lire : « Zona ; Troubles du rythme cardiaque ; Thrombopénie/thrombopénie immunologique/hématomes spontanés ; Déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité ; Échecs vaccinaux ; Syndromes de Guillain-Barré ; Syndrome d’activation des macrophages ; Myocardite/Myopericardite ; Réactivation à Virus Epstein-Barr ; Méningoencéphalite zostérienne ; Aplasie Médullaire idiopathique ; Hémophilie acquise ». Il est conseillé de lire les rapports, concernant les quatre vaccins (et pas seulement celui des laboratoires BioNTech/Pfizer), établis et publiés par l’ANSM de façon hebdomadaire depuis la mise sur le marché de ces produits.

    Manifestement, le doute, qu’il porte sur le bénéfice ou sur le risque des médicaments, continue de bénéficier à ces produits et à leurs fabricants ; et non pas aux personnes humaines. À moins que cette personne humaine ne soit devenue, elle-même, un produit. Le produit...

    Auteur(s): Amine Umlil, pour FranceSoir

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/techniques-de-vente-et-bidouillages-publicitaires-pour-promouvoir-les-vaccins

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  79. La France prévoit d'injecter à des enfants de 12 ans des armes biologiques à protéines de pointe


    Vendredi 04 juin 2021
    par : Lance D Johnson


    (Natural News) Le président français, Emmanuel Macron, a récemment annoncé le plan du gouvernement de s'attaquer aux parents psychologiquement vulnérables et de vacciner autant d'enfants que possible. Des enfants aussi jeunes que 12 ans seront contraints d'inoculer des protéines de pointe expérimentales de la série de vaccins Pfizer-BioNTech. L'Agence européenne des médicaments a récemment approuvé le covid jab Pfizer-BioNTech pour les jeunes adolescents. Le fabricant de médicaments malhonnête a récemment réglé un jugement de 2,3 milliards de dollars pour marketing frauduleux, le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de l'histoire du département américain de médecine. Maintenant, Pfizer cherche à obtenir l'approbation pour vacciner des bébés dès l'âge de six mois aux États-Unis, en Europe et en Pologne, car ils fraudent le monde à des niveaux de criminalité déraisonnables.

    Les autorités de santé publique ne donnent pas de consentement éclairé sur ces expériences inutiles sur les enfants
    Le ministre français de la Santé, Olivier Veran, n'a pas remis en cause le projet de vaccination des enfants et n'a fourni aucune autre information sur les essais cliniques frauduleux de Pfizer-BioNTech. Il a déclaré que les enfants "ne pourraient pas être vaccinés sans le consentement des parents", mais il n'a fourni aux parents ou au public aucune information sur les études frauduleuses de Pfizer. Il n'a pas non plus fourni de contexte sur la question de l'infection naturelle ni expliqué pourquoi les enfants ne devraient pas craindre une infection potentielle par le covid. Le ministre de la Santé n'a fait que du bout des lèvres au « consentement parental » sans mentionner le simple fait que les enfants ne présentent pas un risque élevé d'infection potentielle à la covid en premier lieu ! Les autorités de santé publique laissent le public IGNORANT et refusent de tenir tête à une industrie prédatrice qui nuit à la santé publique.

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  80. Les enfants du monde entier apprennent à vivre dans la TERREUR d'agents pathogènes sélectionnés et annoncés que leur corps peut facilement SURMONTER. Les enfants sont entraînés mentalement, physiquement, émotionnellement, socialement et spirituellement à croire des mensonges sur leur corps et à se soumettre à des figures d'autorité abusives. Ces figures d'autorité abusives ont exploité la psychologie des enfants et ont tenu une main de force sur le visage des enfants pendant plus d'un an, limitant leur souffle et leurs interactions. Maintenant, ces autorités rassemblent les enfants, les forçant à participer à des expériences de vaccins à protéines de pointe, qui transforment leurs cellules en usines d'armes biologiques.

    Le communiqué de presse frauduleux de Pfizer dissimule les blessures généralisées causées par les vaccins aux enfants

    Dans les études cliniques de Pfizer (qui exploitaient inutilement des enfants aussi jeunes que douze ans), la majorité des enfants ont subi des violences physiques directes à la suite de ces expériences de vaccination destructrices. Après la deuxième dose, la moitié des enfants vaccinés se sont vu prescrire des analgésiques pour faire face à l'inflammation causée par cette expérience de protéine de pointe. Au total, 173 enfants souffraient de douleurs articulaires nouvelles ou aggravées et 353 enfants souffraient de douleurs musculaires nouvelles ou aggravées. Les deux tiers (66,2 %) des enfants vaccinés souffraient de fatigue et un nombre similaire (64,5 %) a signalé des maux de tête. Un autre symptôme que le vaccin était censé prévenir (frissons) a été signalé chez 455 enfants ou (41,5 %) des vaccinés. La fièvre, les vomissements, l'enflure et la diarrhée ont également été signalés en nombre bien supérieur à celui du groupe placebo (non vacciné). Ce ne sont là que les problèmes signalés au cours de la première semaine après l'administration du vaccin. Assez choquant, trente enfants ne se sont pas présentés pour la deuxième dose, et Pfizer n'a pas indiqué les raisons.

    Pire encore, après avoir expérimenté environ 2 000 enfants, Pfizer fait le tour du monde, affirmant que son protocole à deux injections est efficace à 100 % pour tous les 12-15 ans. Quelle dangereuse arnaque !

    La soi-disant « efficacité » du protocole vaccinal de Pfizer est basée sur la fraude en cours du test PCR covid-19. Dix-huit enfants ont été testés positifs pour COVID-19 dans le groupe placebo, ce qui est le taux normal de faux positifs pour les tests covid-19 faussement calibrés. La plupart des enfants sont testés positifs sans montrer aucun symptôme ; cela ne prouve pas l'efficacité d'un vaccin, en particulier lorsque le covid est mal diagnostiqué et non spécifique aux symptômes. Pfizer n'a pas précisé si ces dix-huit « cas de covid » dans le groupe placebo présentaient des symptômes aussi graves que la multitude de symptômes inutiles observés chez les enfants vaccinés.

    Les sources comprennent :

    NewsPunch.com
    Justice.gov
    Pfizer.com
    NaturalNews.com[PDF]

    https://www.naturalnews.com/2021-06-04-france-torture-12-year-olds-spike-protein-bioweapons.html

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  81. Des e-mails récemment découverts montrent que Fauci admet la vérité sur les masques : ils ne fonctionnent pas


    Vendredi 04 juin 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Bien avant que les villes, les États et les grandes entreprises ne commencent à exiger que les gens portent un masque facial pour empêcher la propagation du coronavirus de Wuhan (Covid-19), Anthony Fauci et d'autres chefs de gouvernement étaient tranquillement d'accord pour dire que se couvrir la bouche et le nez est médicalement inutile en ce qui concerne la transmission virale – et pourtant, des mandats de masque ont été imposés malgré tout.

    Des e-mails divulgués révèlent que Fauci et d'autres chefs d'agences de santé publique savaient très bien que le port d'un masque n'est que pour le spectacle. Ils se sont tous dit que la science est claire : les masques ne fonctionnent pas.

    Le 31 mars 2020, le médecin-chef Andrea Lerner des National Institutes of Health (NIH) a écrit un e-mail à Fauci expliquant qu'il n'y a pas de différence dans les résultats pour la santé lorsque des masques sont portés. Elle a inclus des données de recherche pour étayer sa demande.

    Un mois auparavant, Sylvia Burwell, la secrétaire nommée par Obama du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), avait demandé à Fauci si elle devait ou non porter un masque facial sur un vol à venir. Voici comment Fauci a répondu:

    "Le masque typique que vous achetez en pharmacie n'est pas vraiment efficace pour empêcher le virus d'entrer, qui est assez petit pour traverser le matériel … Je ne vous recommande pas de porter un masque."

    Fauci a fait des déclarations similaires lors d'une interview de mars 2020 sur 60 Minutes, expliquant une fois de plus aux téléspectateurs que le port d'un masque n'empêche pas la propagation de quoi que ce soit.

    « À l'heure actuelle, aux États-Unis, les gens ne devraient pas se promener avec des masques », a déclaré Fauci. « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque. »

    Le gouvernement fédéral savait en mars 2020 que les masques ne fonctionnaient pas mais les a quand même poussés
    En avril 2020, si Fauci avait écrit ou dit ces choses sur les réseaux sociaux, il aurait été banni pour diffusion de « désinformation ». En effet, à ce stade, l'état médical profond – Fauci inclus – avait déjà changé le récit pour affirmer que les masques faciaux sont un remède contre la grippe de Wuhan.

    La bascule était douloureusement évidente pour tous ceux qui y prêtaient attention. Pour tout le monde, ce n'était que l'évolution de la « science » alors que Fauci « en a appris davantage » sur le comportement du virus.

    Pendant de nombreux mois par la suite, Fauci et d'autres agents du gouvernement ont fortement poussé le masque, ordonnant aux Américains d'en porter un à la fois à l'intérieur et à l'extérieur. Environ la moitié du pays a apparemment oublié que Fauci avait précédemment indiqué qu'un masque n'était rien de plus qu'une décoration de visage.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié leurs propres données montrant à peu près les mêmes. Qu'une personne porte ou non un masque n'a aucun effet en termes de prévention de la propagation du virus chinois.

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  82. Malgré cela, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le NIH se sont prononcés en faveur du masquage, et de nombreuses municipalités et États à travers l'Amérique ont décidé d'imposer des mandats, ce qui a fini par donner aux gens un faux sentiment de sécurité concernant leur niveau de protection.

    « Les gens portaient des masques * AU LIEU * de distanciation sociale et de lavage des mains », a tweeté Kyle Becker, ancien écrivain et producteur associé de Fox News.

    « Ils ont donné aux gens un faux sentiment de sécurité. Cela me montre qu'ils étaient autant une déclaration politique qu'autre chose, un ruban anti-Trump que vous portez sur votre visage, si vous voulez.

    En d'autres termes, les Américains voulaient une couverture de sécurité qu'ils pourraient également utiliser pour signaler leur haine envers Donald Trump. Le masque a fait d'une pierre deux coups.

    "Les masques n'ont jamais été une question de santé", a écrit un commentateur de Zero Hedge. «Ils sont une forme de conditionnement social mandaté par des sociopathes fous de pouvoir qui s'amusent à dire à des milliards ce qu'ils peuvent et ne peuvent pas faire. Ces personnes ont besoin d'une thérapie – depuis une cellule de prison.

    Plus d'articles sur la propagande du virus chinois peuvent être trouvés sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-04-emails-fauci-admitting-truth-masks-dont-work.html

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  83. Une étude révèle que PRESQUE LA MOITIÉ des patients atteints de coronavirus quittent les hôpitaux en pire état


    vendredi 04 juin 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Les patients qui contractent le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont généralement envoyés dans des hôpitaux pour recevoir un traitement médical. Cependant, une nouvelle étude a révélé que près de la moitié des patients COVID-19 quittent les hôpitaux dans un état pire qu'à leur entrée. Pour aggraver les choses, ils ont également constaté qu'un patient COVID-19 sur cinq pourrait ne plus être en mesure de vivre de manière autonome.

    Les chercheurs de Michigan Medicine ont examiné les données de santé de près de 300 adultes hospitalisés pour COVID-19 entre mars et avril 2020. Les informations analysées par les chercheurs comprenaient les données de sortie, les besoins thérapeutiques de chaque patient et toute exigence d'équipement ou de services médicaux spéciaux après avoir quitté l'hôpital. .

    L'équipe de recherche a publié son étude le 30 avril de cette année dans PM&R. Selon leurs résultats, 45% des patients qui ont survécu au COVID-19 ont connu un déclin fonctionnel affectant leur sortie. Sur ces 45 pour cent, 26,7 pour cent ont éprouvé des difficultés à avaler au moment de leur congé.

    L'équipe a également constaté que près de 20 % des survivants de COVID-19 ont été renvoyés dans un endroit différent de leur domicile, comme une résidence-services. Près de 68 pour cent des patients qui se sont rétablis avaient besoin d'un équipement médical durable. De plus, 80,6 % des personnes qui se sont remises de COVID-19 ont été référées pour un traitement supplémentaire à la sortie.

    L'auteur principal de l'étude, le Dr Alecia Daunter, a déclaré : « Les besoins de réadaptation étaient… vraiment courants pour ces patients. Ils ont survécu, mais… ont quitté l'hôpital dans un état physique pire qu'ils ne l'avaient commencé. S'ils avaient besoin d'une thérapie ambulatoire ou marchaient maintenant avec une canne, quelque chose s'est produit qui a eu un impact sur leur plan de sortie.

    Le physiatre a ajouté que les survivants de COVID-19 incapables de vivre de manière indépendante « ont peut-être dû déménager dans un établissement de soins subaigus ou … avec un membre de la famille » au lieu de rentrer chez eux. "Cela a un impact énorme sur les patients et leurs familles - [à la fois] émotionnellement et physiquement", a déclaré Daunter.

    Les résultats mettent en lumière les effets à long terme du COVID-19
    Daunter et son équipe ont noté que les données qu'ils ont analysées provenaient des deux premiers mois de la pandémie. Ils ont remarqué que pendant cette période, les médecins n'avaient pas une image complète des effets à long terme de COVID-19 et les hôpitaux se concentraient sur la libération de lits d'hôpitaux.

    « Les médecins et d'autres intervenants du système de santé travaillaient de manière appropriée pour donner congé aux patients. Ils devaient assurer la sécurité des patients tout en maximisant les lits disponibles et en minimisant l'exposition [du personnel] », a déclaré Daunter, ajoutant que cela contribuait aux physiatres à évaluer de nombreux patients COVID-19 pour tout besoin de réadaptation.

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  84. Selon les chercheurs, le COVID-19 peut systématiquement endommager plusieurs organes du corps. Cela entraîne des troubles neurologiques et musculo-squelettiques chez les patients – des mois après la disparition de l'infection. Décrivant les survivants du COVID-19 qui en souffrent, Daunter a déclaré : « Certaines de ces personnes travaillaient et beaucoup vivaient de manière indépendante. Perdre ce niveau de fonction est significatif, [et nous] voulons nous assurer que nous répondons à ces besoins.

    Le co-auteur de l'étude, le Dr Edward Claflin, a déclaré que de plus en plus de personnes vivent maintenant avec les effets secondaires à long terme du COVID-19. Il a ajouté que ces troubles à long terme ne peuvent plus être simplement ignorés compte tenu de l'ampleur de la crise de santé publique actuelle. « Ces résultats aident à mettre en évidence le véritable impact de la maladie COVID-19 sur nos patients. Ils comblent ce manque de connaissances sur la façon dont les patients… se rétablissent et sur le type de besoins de réadaptation dont ils ont besoin », a déclaré Claflin.

    Pendant ce temps, la psychologue clinicienne et co-auteure de l'étude Anna Kratz a décrit les résultats comme "juste la pointe de l'iceberg" en ce qui concerne l'impact de COVID-19 sur le fonctionnement. "Nous savons, grâce à des décennies de travail de réadaptation, que même des changements subtils dans le fonctionnement peuvent faire dérailler la trajectoire de vie d'une personne", a-t-elle déclaré.

    Les comptes de survivants illustrent le mieux l'impact à long terme de COVID-19
    Mais lorsqu'il s'agit de décrire les effets réels à long terme de COVID-19, les histoires de première main des survivants eux-mêmes le résument le mieux. En avril de l'année dernière, le New York Post a interrogé un certain nombre de personnes qui ont contracté COVID-19 et se sont rétablies – mais souffrent toujours d'effets secondaires à long terme.

    L'acteur et chanteur Danny Burstein s'est construit de solides poumons au cours de 40 ans de chant et de danse sur scène. Cependant, les choses ont changé pour le six fois nommé Tony après avoir contracté COVID-19. Descendre deux volées d'escaliers pour prendre les ordures l'a complètement essoufflé.

    "Parfois, j'ai des conversations et je ne peux pas avoir assez d'air - c'est la partie la plus difficile. Pour la plupart, les symptômes ont disparu, mais ce qui reste, ce sont les dommages qui ont été causés à mes poumons », a déclaré Burstein au Post.

    Shaun Khubchandani a déclaré que le simple fait de respirer avait rendu ses poumons «en feu» après être tombé malade avec COVID-19. Il a décrit son expérience : « J'avais l'impression que mes poumons étaient en feu. Je ne pouvais pas respirer profondément. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à m'inquiéter. » Khubchandani a ajouté que la maladie l'avait « trompé » en lui disant qu'il se sentait mieux – ce qu'il a qualifié de fausse alerte.

    "J'ai eu quelques fausses alarmes où j'avais l'impression d'avoir totalement récupéré, puis le lendemain, une fièvre est revenue", a-t-il déclaré.

    Visitez Pandemic.news pour en savoir plus sur les effets à long terme de COVID-19.

    Sources include:

    StudyFinds.org
    OnlineLibrary.Wiley.com
    LabBlog.UofMHealth.org
    NYPost.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-04-study-coronavirus-patients-leave-hospital-worse-shape.html

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