- ENTREE de SECOURS -



jeudi 24 juin 2021

Glyphosate : les écolos veulent ramener l’agriculture au XIXe siècle

La lutte incessante des écologistes et environnementalistes pour obliger tous les agriculteurs français à se convertir à l’agriculture biologique comme au XIXe siècle comporte des dangers évidents.


Par Armand Paquereau.

 24 JUIN 2021  

 

Cette période d’élections exacerbe la mobilisation des argumentaires. Dans une émission sur RTL face à Thomas Sotto, l’écologiste Julien Bayou prétend détenir des documents émanant de Monsanto (racheté par Bayer) qui prouvent la dangerosité du glyphosate. Il émet des doutes sur les rapports des organismes officiels, dont celui de l’ANSES qu’il reconnait ne pas avoir lu.

GLYPHOSATE : DES POSITIONS ET CONCLUSIONS CONTRADICTOIRES

Pourtant, au grand dam des militants anti-pesticides, ce document rapporte des conclusions plutôt rassurantes :

L’analyse a été menée pour tenter d’expliquer les conclusions divergentes du BfR et de l’EFSA avec celles du CIRC. […] Le niveau de preuve de cancérogénicité chez l’animal et chez l’homme est considéré comme relativement limité et ne permet pas de proposer un classement 1A ou 1B (cancérogène avéré ou présumé pour l’être humain) dans le cadre de l’application des critères du règlement(CE) n° 1272/2008 (CLP)

Extrait de « Glyphosate Use and Cancer Incidence in the Agricultural Health Study » :

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé le glyphosate comme « probablement cancérogène pour l’homme », notant de solides preuves mécanistes et des associations positives pour le lymphome non hodgkinien (LNH) dans certaines études épidémiologiques

Cependant, de nombreuses études de diverses nations concluent différemment.

Entre autres, une étude aux USA menée sur 54 251 utilisateurs de produits phytosanitaires, dont 44 932 utilisant du glyphosate, pour un période de 1993 à 2005

N’a constaté aucune association apparente entre le glyphosate et les tumeurs solides ou les malignités lymphoïdes dans l’ensemble, y compris les Lymphomes Non Hodgkiniens et ses sous-types. Il y avait des preuves d’un risque accru de Leucémie Myéloïde Aigüe parmi le groupe le plus exposé qui nécessite une confirmation.

À l’inverse, le site US, Right to know (États-Unis, droit de savoir) reprend différents arguments censés démontrer la dangerosité du glyphosate.

Il cite le CIRC et son positionnement pour une probable action cancérogène du glyphosate pour l’Homme.

Il soutient qu’aux États-Unis, l’EPA (Environnemental Protection Agency) n’a pas suivi les protocoles appropriés pour étayer ses déclarations entre 2016 et 2019 que le glyphosate ne posait aucun problème pour la santé humaine.

Pour l’Europe, il insinue que l’EFSA (Europeen Food Safety Authority) et l’ECHA (Europeen Chemical Agency) auraient assis leurs recherches et conclusions sur des données orientées, manipulées par l’industrie chimique, voire plagiées sur des données de Monsanto.

Il constate que la FAO et l’OMS ont conclu que le glyphosate ne pose aucun problème relatif à l’alimentation mais que cette position est ternie par le fait que le président du groupe a également occupé des postes de direction à L’International Life Institute, financé par le lobbying de Monsanto.

UN PEU DE PRAGMATISME

Au vu de toutes ces positions contradictoires, dont il est difficile d’appréhender le sérieux, l’objectivité et la liberté de toute emprise économique ou idéologique, le citoyen moyen a le droit de se poser quelques bonnes questions.

Le glyphosate n’est pas un produit naturel, il est donc a priori suspect même si certains produits naturels peuvent être mortels comme la ciguë, l’if, l’amanite, la toxine botulique, etc. Ce qui interpelle en premier, c’est que ce produit utilisé depuis 45 ans, dont 8,6 millions de tonnes ont déjà été répandues de par le monde pour détruire les adventices concurrentes des cultures, n’a pas encore démontré avec évidence des effets délétères sur la santé.

Par contre, le Médiator mis sur le marché en 1976 se voit controversé dès 1981 et son métabolite interdit aux États-Unis et dans la plupart des pays européens en 1997.

Le glyphosate agit uniquement par contact foliaire des plantes par blocage de la fonction chlorophyllienne. Il n’a pas d’action rémanente. Pour preuve, un semis qui lève une semaine après application de glyphosate pour nettoyer préalablement le sol ne présente aucun symptôme de phytotoxicité. Les cultures OGM étant interdites dans notre pays, il n’y a aucune possibilité de retrouver des résidus de cet herbicide dans les produits alimentaires issus des cultures françaises.

L’organisation des Producteurs de Grains, branche grandes cultures de la Coordination Rurale, a fait analyser par le laboratoire Eurofins Analytics de Nantes des produits récoltés en France et des produits importés :

glyphosate(1) : Acide aminométhylphosphorique (AMPA) en mg/kg (2) Glyphosate en mg/kg (3) Glufosinate en mg/kg

On y voit clairement pourquoi certaines associations écologiques peuvent retrouver des résidus de glyphosate et d’AMPA dans des produits distribués à la consommation.

Ces produits ne sont retrouvés que dans des produits d’importation.

Il faut noter que l’AMPA est un métabolite de la dégradation du glyphosate, mais aussi des phosphonates utilisés dans la fabrication de lessives. Il est donc difficile de déterminer avec certitude l’origine de sa présence dans les eaux superficielles.

Cependant, il semblerait que l’augmentation des concentrations d’AMPA dans les eaux corresponde avec le remplacement des phosphates par les phosphonates dans les lessives :

Ces données proviennent du syndicat mixte du grand bassin de l’Oust qui précise que l’AMPA n’était pas recherché dans l’eau avant 2004. Cependant, il est évident que la quantité de métabolites est largement supérieure à la quantité de glyphosate.

GLYPHOSATE : DES COMMUNICATIONS ORIENTÉES ET TENDANCIEUSES

La volonté des anti-pesticides d’interdire toute utilisation de glyphosate n’a reculé devant aucune action pour arriver à leurs fins. Ainsi, afin de lutter contre la prorogation de l’autorisation européenne du glyphosate, l’association Générations Futures a publié une enquête aux résultats alarmants :

Cette information peut affoler les consommateurs, mais comme il a été prouvé plus haut, seuls les produits d’importation peuvent contenir des résidus de glyphosate. Et Générations Futures occulte la provenance des échantillons analysés.

Ce qui est interrogatif, c’est que les écologistes demandent l’interdiction du glyphosate en France, alors qu’on n’en trouve pas de résidus dans les produits français, mais ne demandent pas l’interdiction d’importer des produits qui en contiennent et surtout occultent l’origine des produits analysés.

De même, associée à Générations Futures, l’association Nous voulons des Coquelicots imitées par d’autres associations a lancé une campagne médiatique des Pisseurs Involontaires de Glyphosate (PIG, acronyme à rapprocher du mot anglais). Le but était de démontrer que tous les consommateurs avaient dans leurs urines des quantités de glyphosate.

Elles ont lancé des campagnes de prélèvement : 176 pissodromes dans 63 départements ont récolté 6848 échantillons (6796 analysés) et 5300 plaintes déposées. Chaque participant a déboursé 90 euros pour l’analyse d’urine et 135 euros dépôt de plainte compris (dont 5 euros de cotisation).

Les résultats sont spectaculaires.

DES AFFIRMATIONS CONTREDITES

Ces analyses ont été confiées au laboratoire allemand BIOCHECK selon la méthode Elisa. On s’est aperçu que laboratoire a été cofondé en 1997 par Monika Krüger, vétérinaire de formation, bien connue comme étant anti-glyphosate.

Les résultats de ce laboratoire interpellent.

La totalité des échantillons analysés par BIOCHECK sont positifs, et les donneurs d’ordre notoirement positionnés comme écologistes.

Les analyses effectuées par les autres laboratoires sont radicalement plus disparates, pour des donneurs d’ordre émanant d’organismes officiels.

Devant autant de présomptions d’orientation de la communication, les agriculteurs insidieusement visés en culpabilisation par cette campagne ont décidé de réagir.

Ainsi, en 2019 dix agriculteurs du Morbihan et un riverain ont fait réaliser, sous contrôle d’huissier, une analyse croisée de leurs urines. Le 7 novembre, les cobayes ont prélevé simultanément deux échantillons des urines du matin, qui ont été envoyés, par huissier et selon le protocole exigé, l’un au laboratoire allemand BioCheck, situé à Leipzig et qui a réalisé l’ensemble des analyses des « pisseurs volontaires », l’autre au laboratoire Labocea de Brest, un laboratoire public dont le service des micropolluants organiques est accrédité par le Cofrac (Comité français d’accréditation), gage de rigueur scientifique.

Les résultats sont édifiants.

Un agriculteur de la Vienne a suivi le même process. Il a cotisé à Nous Voulons des Coquelicots pour faire analyser son urine et dans le même temps il a confié au CHU de Limoges des échantillons de son urine et de son sang pour des recherches de présence de glyphosate.

Il a reçu du laboratoire Biocheck des résultats en langue allemande mentionnant une présence de glyphosate de 0,84 ng/ml (=0,84µ/L). Par contre, les échantillons confiés au CHU de Limoges étaient en dessous des seuils de détection.

Cet agriculteur a d’ailleurs déposé deux plaintes auprès du Procureur de la république de Poitiers. Son action est exemplaire, car elle vise à dénoncer cette médiatisation d’activistes écologistes qui veulent interdire à l’agriculture d’utiliser des produits dont le bénéfice/risque est largement positif.

Il est étonnant que les syndicats agricoles n’aient pas suivi l’exemple de ces agriculteurs et poursuivi en justice ces associations pour l’usage qu’ils font de l’information. Les conséquences se traduisent par un dénigrement des agriculteurs.

Un nombre grandissant d’entre eux se voient invectivés, agressés jusque dans leurs champs et leurs fermes, leurs matériels détériorés au prétexte qu’ils emploient ce que les écologistes appellent des pesticides, mais qui ne sont que les médicaments des plantes et des animaux, homologués par les pouvoirs publics avec la même rigueur que les médicaments pour les humains.

Pourquoi les écologistes ne s’attaquent-ils pas à l’usage des médicaments dont la quantité annuelle utilisée est supérieure à celle des phytosanitaires agricoles ?

Il faut noter que Générations Futures, dans un rapport du 17 juin 2000, reconnaissait que le glyphosate n’était ni cancérogène, ni mutagène ni reprotoxique (CMR), ni suspecté perturbateur endocrinien :

Copie d’écran de la page 6 du rapport

LE GLYPHOSATE, UN ACTEUR MAJEUR DE L’ÉCONOMIE MODERNE

Les écologistes veulent par tous les moyens ramener l’agriculture française à des pratiques du XIXe siècle.

Cependant, en un peu plus d’un demi-siècle, le nombre d’agriculteurs a diminué de deux tiers. Dans le même temps, la part alimentaire dans le budget des ménages a diminué dans les mêmes proportions. Cette évolution a été permise par l’évolution de la mécanisation, de la génétique et de la chimie. Les herbicides ont permis une économie de main-d’œuvre et une augmentation des rendements par la suppression économique et efficace de la concurrence des adventices.

Interdire leur emploi aux agriculteurs français les condamnerait à arracher les chardons à la main et à sarcler les champs à la binette. Cela nécessiterait une main- d’œuvre qui n’existe plus et qui même n’accepterait plus ce travail pénible et fastidieux. En témoigne ce fraisiculteur lot-et-garonnais qui proposait en février 2021 cinquante CDI de cueilleurs dans une serre ultra moderne, offres d’emplois restées sans réponse.

L’AVENIR DE NOTRE INDÉPENDANCE ALIMENTAIRE

La lutte incessante des écologistes et environnementalistes pour obliger tous les agriculteurs français à se convertir à l’agriculture biologique comme au XIXe siècle comporte des dangers évidents :

Diminution drastique des rendements et protection aléatoire des productions face à la concurrence des adventices, des maladies et des ravageurs.

Augmentation des prix alimentaires due à cette baisse de productions.

Perte de compétitivité face à l’importation de produits ne respectant pas les règles imposées par les écologistes à nos producteurs.

Aggravation de la diminution du nombre de paysans par diminution de la rentabilité des entreprises.

Aggravation du déficit de la balance commerciale des produits agricoles et fin dangereuse de l’indépendance alimentaire du pays.

Désertification des campagnes car l’entretien des espaces ruraux ne peut perdurer face à la raréfaction des agriculteurs.

Il est d’importance capitale que l’information sur tous les sujets, qui concernent directement ou indirectement tous les citoyens, soit médiatiquement traitée en toute transparence et objectivité dans l’intérêt commun.

https://www.contrepoints.org/2021/06/24/400238-glyphosate-les-ecolos-veulent-ramener-lagriculture-au-xixe-siecle 

60 commentaires:

  1. L'empereur - le CIRC – est nu


    24 Juin 2021
    par Seppi
    Susan Goldhaber MPH*


    Alors que nous sommes en pleine réévaluation de la question de savoir si le laboratoire de virologie de Wuhan, en Chine, était la véritable source du virus à l'origine de la pandémie de Covid-19, une théorie que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), de nombreux scientifiques américains et les médias ont rejetée pendant plus d'un an, une autre question mérite un réexamen complet : l'évaluation du glyphosate par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).

    Cette question n'est pas nouvelle. En fait, l'ACSH a publié de nombreux articles à ce sujet au fil des ans, en commençant en 2017 [1]. Actuellement, il n'y a pas de processus d'examen transparent pour les évaluations du programme des monographies du CIRC, même lorsqu'il existe des contre-preuves claires provenant de nombreuses autres organisations respectées. Ainsi, l'évaluation du glyphosate par le CIRC est devenue le document central de litiges à plusieurs milliards de dollars qui ont finalement abouti à un règlement de 11 milliards de dollars en 2020 qui a résolu la majeure partie des poursuites prétendant que le Roundup (glyphosate) causait le cancer.

    J'espère que nous sommes enfin arrivés à un endroit où quelques scientifiques influents et intègres auront le courage de s'exprimer et d'exiger que l'évaluation du glyphosate par le CIRC en 2015 soit rétractée ou révisée.

    Contexte

    Le Roundup (glyphosate) est le désherbant le plus vendu au monde et est utilisé depuis plus de 45 ans. Il est efficace contre une grande variété de mauvaises herbes et présente une toxicité moindre par rapport à d'autres produits qu'il a remplacés (comme l'atrazine et l'alachlore).

    En 2015, le CIRC a classé le glyphosate comme « probablement cancérogène pour l'homme ». Le CIRC, basé à Lyon, en France, est une unité semi-autonome de l'OMS, l'agence sanitaire des Nations Unies. Depuis 1971, le CIRC a évalué plus de 1.000 produits chimiques ou substances à inclure dans la série des « Monographies du CIRC sur l'identification du risque cancérogène pour l'homme ». Les deux tiers du financement du programme des monographies du CIRC proviennent d'agences américaines, avec des subventions du National Cancer Institute (NCI) et du National Institute of Environmental Health Sciences (NIEHS) totalisant près d'un million de dollars par an.

    L'objectif du programme des monographies du CIRC est d'évaluer les preuves scientifiques disponibles afin de déterminer la probabilité qu'un produit chimique provoque le cancer. L'évaluation est effectuée par un « groupe de travail d'experts internationaux indépendants ». Mais dans quelle mesure sont-ils vraiment indépendants ? La plupart des scientifiques américains dépendent des subventions et des contrats des agences américaines telles que le NCI et le NIEHS qui soutiennent le CIRC. Il serait téméraire de s'exprimer contre le CIRC, ce qui pourrait menacer leur réputation dans la communauté scientifique et, par conséquent, leur gagne-pain.

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  2. Que disent les autres agences ?

    Le CIRC est la seule agence qui a conclu que le glyphosate présente un risque cancérigène. Voici une liste d'agences qui ont conclu que le glyphosate n'est pas cancérigène :

    Agence Américaine de Protection de l'Environnement

    Santé Canada

    Autorité Européenne de Sécurité des Aliments

    Agence Européenne des Produits Chimiques

    Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture

    Agence française de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'Environnement et du Travail

    Institut Fédéral allemand pour l'Évaluation des Risques

    Autorité Australienne des Pesticides and des Médicaments Vétérinaires

    Office Fédéral de la Sécurité Alimentaire et des Affaires Vétérinaires (Suisse)

    Autorité de Protection de l'Environnement (Nouvelle-Zélande)

    Agence Nationale de Surveillance de la Santé (Brésil)

    Commissions de Sécurité Alimentaire du Japon

    Association pour le Développement Rural (Corée du Sud)

    « Nos scientifiques n’ont pas ménagé leurs efforts pour effectuer cet examen. Ils ont consulté toutes les données et les informations pertinentes provenant du gouvernement fédéral, des gouvernements provinciaux, d’organismes de réglementation étrangers, de rapports scientifiques publiés et de plusieurs fabricants de pesticides. Ils ont notamment examiné les études désignées sous le nom de "Monsanto Papers". Pendant son évaluation du glyphosate, Santé Canada a aussi consulté de nombreuses études individuelles et données scientifiques brutes, y compris des études supplémentaires sur le cancer et la génotoxicité. Pour s’assurer de l’impartialité de l’évaluation des renseignements, Santé Canada a choisi un groupe de 20 de ses scientifiques qui n’avaient pas participé à la réévaluation de 2017. »

    Santé Canada

    Toutes les autres agences ont mené des examens détaillés similaires. Alors pourquoi le CIRC a-t-il été la seule agence à considérer le glyphosate comme un « cancérogène probable pour l'homme » ?

    Sur quoi se fonde la classification du CIRC ?

    1. Preuve chez l'homme : Le CIRC a exclu les résultats de l'étude la plus importante et la plus complète sur l'exposition humaine au glyphosate, l'Agricultural Health Study, dirigée par des scientifiques du NCI. Cette étude a examiné 54.000 applicateurs de pesticides en Iowa et en Caroline du Nord. La raison invoquée pour ne pas inclure cette étude est que lorsque le groupe de travail du CIRC s'est réuni en 2015, les résultats n'étaient pas encore publiés. Lorsque les résultats ont finalement été publiés en 2018, l'article n'a signalé aucune augmentation significative de 20 types de tumeurs différentes, dont le lymphome non hodgkinien. Cependant :

    Au moins un membre du groupe avait vu les résultats non publiés et savait qu'ils ne trouvaient aucune preuve d'un lien entre le glyphosate et le cancer, mais a choisi de ne pas révéler cette information lors de la réunion.

    On se demande pourquoi les données sur le lymphome non hodgkinien n'ont pas été publiées avant la réunion du CIRC, alors que des projets de documents contenant ces données avaient été préparés.

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  3. 2. Les résultats des études sur les animaux ont résulté d'un picorage (cherry picking) : Le CIRC a principalement fondé son évaluation de la cancérogénicité potentielle du glyphosate sur plusieurs études sur des rongeurs. Au sein d'une même étude, les experts du CIRC ont ignoré les résultats ne montrant aucune augmentation de l'incidence des tumeurs et ont sélectionné quelques résultats positifs.

    3 Changements dans les versions préliminaires : Les versions provisoires de l'évaluation du CIRC sur le glyphosate ont montré que les conclusions négatives sur le glyphosate en tant qu'agent causateur de tumeurs dans les études animales ont été remplacées ou supprimées et que des déclarations neutres ou positives ont été ajoutées à leur place dans la version finale.

    4. Danger vs. Risque : Contrairement à la grande majorité des agences scientifiques, le CIRC mesure le danger : en examinant si la substance chimique pourrait causer le cancer dans n'importe quelle circonstance, au lieu du risque : en déterminant la probabilité qu'un produit chimique cause le cancer. Pour une discussion plus complète, voir mon article précédent sur cette question.

    Réponse de la communauté scientifique

    La réponse de la communauté scientifique favorable au CIRC a été d'essayer de gagner le débat public en accusant les critiques du CIRC d'être dans la poche des entreprises.

    Au lieu d'accueillir et de traiter les critiques du CIRC, dans une lettre et un commentaire publiés en 2015 dans la revue Environmental Health Perspectives, 124 scientifiques affirment que les critiques du CIRC par une « minorité bruyante » peuvent dénigrer le processus qui a bien servi la santé publique pendant de nombreuses années. Il est facile de comprendre pourquoi tant de scientifiques ont signé cette lettre. Leurs moyens de subsistance dépendent souvent des subventions du NCI et du NIEHS, les agences qui soutiennent le CIRC, et les critiques impliquant un examen de conscience ne sont jamais les bienvenues dans la communauté scientifique.

    Prenez une minute pour examiner les conflits d'intérêts signalés dans cette lettre. Pour commencer :

    « Ce travail a été réalisé sans financement direct, mais a été soutenu en partie par le programme de recherche intra-muros du NIH (NCI et NIEHS) » [c'est nous qui soulignons].

    De nombreux signataires servent aujourd'hui de témoins experts pour des plaignants dans des litiges portant sur une multitude de produits chimiques et leurs effets. D'autres ont fait partie ou continuent de faire partie des groupes de travail du CIRC sur les monographies.

    L'un des principes fondamentaux énoncés par le CIRC est que les experts scientifiques qui servent dans ses groupes de travail doivent être indépendants, sans conflit d'intérêts. Ce principe a été utilisé pour interdire aux scientifiques qui travaillent pour l'industrie de faire partie de leurs groupes de travail.

    « Peu importe la force de la voix, peu importe le nombre de personnes qui se prononcent, cela ne rend pas l'affirmation vraie. Mais comment le savoir ?

    Un signe révélateur est que votre voix est supprimée ou vilipendée lorsque vous essayez de remettre cette voix en question. »

    Charles Glassman, médecin

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  4. Les conflits d'intérêts ne sont pas simplement d'ordre financier, mais peuvent souvent être motivés par des convictions. L'exclusion délibérée des scientifiques ayant des intérêts conflictuels en faveur du glyphosate pour cause de « partialité » dans l'étude du CIRC sur le glyphosate en est un exemple. Mais lorsque vous sélectionnez vos experts, vous facilitez la pensée de groupe, un autre biais qui étouffe le discours qui est au cœur de la science et de ces délibérations.

    Il est beaucoup plus facile de signer une lettre de soutien que d'examiner les critiques qui pourraient entraîner des changements dans un processus qui a profité à quelques scientifiques triés sur le volet (ceux choisis pour faire partie des groupes de travail du CIRC) au fil des ans. Malgré tout le va-et-vient autour de la question de savoir qui a été rémunéré financièrement et par qui, il est important de reconnaître qu'aucun argument scientifique n'a été avancé pour justifier les actions prises par le CIRC sur le glyphosate.

    Conclusions

    Les Etats-Unis, en tant que principal bailleur de fonds du programme des monographies du CIRC, devraient insister pour que le CIRC développe un processus transparent de révision et d'appel. En outre, les États-Unis doivent s'assurer que la politique du CIRC en matière de conflits d'intérêts est modifiée pour inclure les conflits tels que le travail en tant que consultant en litiges dans les procès. Enfin, comme indiqué précédemment, l'évaluation du glyphosate par le CIRC doit être rétractée ou révisée.

    « L'exclusion systématique par le CIRC des chercheurs ayant des conflits d'intérêts réels ou perçus avec l'industrie diminue la probabilité que les arguments les plus solides défendant un agent suspect contre les allégations de cancérogénicité soient présentés et discutés lors des délibérations du groupe de travail, et augmente ainsi la probabilité que l'agent soit classé comme présentant un danger cancérogène pour l'homme, quelle que soit la force ou la faiblesse des preuves soutenant cette conclusion. »

    R. Tarone, Conflicts of interest, bias, and the IARC Monographs Program (conflits d'intérêts, partialité et le programme des monographies du CIRC)

    [1] Who is Afraid of Roundup?,

    EPA Refutes Study Claiming Glyphosate Boosts Cancer Risk,

    Claims That Criticism Of IARC Are Industry-Driven Do IARC More Harm Than Good,

    Roundup Cover Up? Glyphosate Funny Business At IARC,

    Round Up Cover-Up, Part 2: Why Did IARC Exclude Selective Evidence?

    Sources :

    Reuters In glyphosate review, WHO cancer agency edited out “non-carcinogenic findings”

    Reuters Cancer agency left in the dark over glyphosate evidence

    IARC Monographs on the Identification of the of the Carcinogenic Risk to Humans
    _____________

    * Source : The Emperor - IARC - Has No Clothes | American Council on Science and Health (acsh.org)

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/l-empereur-le-circ-est-nu.html

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  5. Pour la défense de l'agriculture : utiliser les faits et la science


    24 Juin 2021
    par Seppi
    Jonathan Lawler, AGDAILY*



    En parcourant les réseaux sociaux il y a quelques jours, j'ai eu l'agréable surprise de tomber sur un message du Ohio Farm Bureau (Bureau Agricole de l'Ohio). Il s'agissait d'une lettre ouverte adressée aux législateurs pour démonter les mythes entourant l'élevage. Je connais l'auteur de la lettre, Ty Higgins, et je suis toujours impressionné par sa passion pour l'agriculture et sa volonté de défendre les agriculteurs chaque fois que j'ai l'occasion de lui parler.

    Ce qui m'a le plus impressionné dans cet article et cette lettre ouverte, c'est simplement le fait qu'ils aient été écrits. Ce que je vois Ty et son équipe du Bureau Agricole de l'Ohio faire, c'est ce que chaque bureau agricole d'État devrait faire dans tout le pays. J'entends et je lis des agriculteurs de tout le pays, et du monde entier, par le biais de mes propres expériences agricoles et de mes activités sur les réseaux sociaux.

    « Il est important pour le Bureau Agricole de l'Ohio de partager des informations précises provenant de sources scientifiques fiables sur ces questions. Il est impératif que tous les partenaires de ces efforts travaillent avec nous et s'abstiennent de perpétuer les faussetés répétées ad nauseam par ceux qui s'opposent tout simplement à l'agriculture. Nous devons nous interroger sur les véritables intentions de certains de ces groupes, car les attaques sans fondement et les solutions non fondées ne semblent pas être conçues de manière constructive. » – Tony Seegers, directeur de la politique nationale du Bureau Agricole de l'Ohio.

    Ce que je constate constamment, c'est la frustration qu'ils ressentent face au manque d'éducation des consommateurs et à la désinformation diffusée par les réseaux sociaux et les organisations.

    Je constate également que, même si ces agriculteurs sont une mine d'informations sur le métier qu'ils ont choisi, la plupart d'entre eux sont tout simplement trop occupés à cultiver leurs terres pour s'adresser aux consommateurs et au grand public en leur expliquant ce qui est crédible et factuel en matière d'agriculture. Je comprends, il est difficile de se tenir au courant des réseaux sociaux. Et il existe des organisations qui sont carrément hostiles aux agriculteurs et à certains styles d'agriculture, dépensant des millions pour ce qui n'est rien d'autre que de la propagande.

    C'est pourquoi, plus que jamais, nous avons besoin d'entreprises, d'organisations agricoles, de médias favorables à l'agriculture et d'autres personnes disposant d'une plate-forme publique pour défendre ces hommes et ces femmes et notre activité. Le silence est synonyme de complicité. Il est temps de commencer à riposter avec des faits et des données scientifiques, et cela doit venir de personnes qui travaillent réellement dans l'agriculture.

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  6. J'ai une plate-forme et je rencontre fréquemment des personnes mal informées sur divers aspects de l'agriculture. Elles veulent savoir, de la part d'un agriculteur, si ce qu'elles ont entendu ou lu est effectivement exact. Je suis heureux de rétablir la vérité, et si je ne connais pas la réponse, je trouve une bonne source à leur communiquer.

    Et bien qu'il existe de nombreuses organisations qui se consacrent à fournir des ressources et des informations sur l'agriculture, certaines d'entre elles se sont malheureusement transformées en chambres d'écho. Cela peut être quelque chose qui se produit « naturellement » lorsque des personnes partageant les mêmes idées se regroupent. Je comprends, c'est une communauté et une source de soutien mutuel. Je pense que certaines personnes, entreprises et même organisations agricoles qui représentent les agriculteurs ont peur de la « culture de l'annulation ». Elles ne devraient pas, car annuler une exploitation agricole, c'est aussi annuler de la nourriture, des fibres et du carburant pour une population en constante augmentation.

    Une immense ferme biologique que General Mills s'est engagé à utiliser comme centre éducatif pour enseigner les « pratiques d'agriculture régénératrice » fait l'objet d'accusations de la part de voisins qui estiment qu'elle fait plus de mal que de bien à l'environnement.

    Je vois aussi de l'apaisement. Je n'en reviens pas quand je vois des entreprises comme General Mills, qui tirent leurs profits de la sueur des agriculteurs, se mettre à dos la grande majorité d'entre eux juste pour profiter de la dernière tendance alimentaire. J'ai vu des bureaux agricoles au niveau des États soutenir des personnes qui non seulement méprisent l'agriculture moderne et conventionnelle, mais gagnent leur vie en la vilipendant. Un membre de la direction d'une organisation agricole m'a dit : « Nous devons tous travailler ensemble et il y a assez de place pour tout le monde. » Bien sûr, il a tout à fait raison ! Le problème est que ces personnes et ces organisations avec lesquelles elles s'alignent travaillent sur des campagnes médiatiques et avec les législateurs pour nuire à l'agriculture.

    Ici, dans l'Indiana, j'ai vu des militants des droits des animaux et des agriculteurs qui vendent des protéines étiquetées comme « meilleures » grâce au pâturage et des aliments non GM travailler ensemble pour saper l'agriculture conventionnelle. Je n'ai aucun problème avec les agriculteurs qui adoptent une approche holistique et font paître les animaux au lieu de les parquer, mais cela a un prix que le consommateur moyen ne peut pas payer. Lorsqu'ils utilisent la supériorité morale et la culpabilité pour vendre leurs produits, ce n'est pas acceptable. Ce n'est pas juste et acceptable pour les autres agriculteurs qui ne bénéficient pas du soutien des médias et des relations publiques des ONG.

    En tant qu'agriculteurs, nous devons commencer à demander des comptes à ces organisations et entreprises. Faites-leur savoir que nous n'acceptons pas la désinformation. Nous n'acceptons pas d'être traités de pollueurs, d'empoisonneurs ou, dans le cas de l'élevage, de meurtriers. S'ils peuvent acheter la récolte d'un agriculteur et en tirer un profit, alors ils peuvent aussi défendre cet agriculteur.

    Le métier d'agriculteur est déjà difficile et maintenant on attend de nous que nous fassions nos propres relations publiques en plus de tout le reste.

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  7. Alors, merci au Bureau Agricole de l'Ohio pour votre soutien.

    Sincèrement,

    Les agriculteurs du monde entier
    __________

    * Jonathan Lawler exploite Brandywine Creek Farms dans l'Indiana et milite pour la lutte contre la faim et pour l'agriculture. Il travaille sur une émission de télévision intitulée Punk Rock Farmer qui sera diffusée prochainement. Sa devise est FARM OR DIE.

    Source : In defense of agriculture: Using facts and science | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/06/pour-la-defense-de-l-agriculture-utiliser-les-faits-et-la-science.html

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  8. HAARP se déclenche-t-il ? La FAA émet un avertissement concernant le « rayonnement électromagnétique »


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 JUIN 2021 - 23:00


    Un sujet de longue date de grande spéculation parmi les esprits curieux est HAARP, un centre de recherche controversé basé en Alaska qui étudie la couche la plus externe de l'atmosphère terrestre : l'ionosphère.

    HAARP (abréviation de High-Frequency Active Auroral Research Program) a été au centre de spéculations sauvages selon lesquelles son émetteur de radiofréquence à haute puissance peut contrôler la météo. Bien que ces affirmations n'aient pas encore été confirmées, les théoriciens du complot disent le contraire.

    - voir doc sur site -

    HAARP est sorti du cycle de l'actualité ces dernières années pour inactivité, mais il y a des raisons de croire qu'il est renvoyé à des fins de "recherche scientifique".

    Un avis aux aviateurs (connu sous le nom de NOTAM) a été publié par la Federal Aviation Administration le 17 juin avec la date de début du 21 au 25 juin.

    Le NOTAM place des « restrictions de vol temporaires » autour de Gulkana, en Alaska, où se trouve l'installation HAARP. Il indique que les avions ne peuvent pas voler dans l'espace aérien de Gulkana en raison de "rayonnements électromagnétiques pour la recherche scientifique".

    FDC 1/6022 ZAN AK..ESPACE AÉRIEN DE GULKANA, AK..RESTRICTIONS DE VOL TEMPORAIRES AVEC UNE ZONE DÉFINIE COMME UN RAYON DE 2,5 NM DE 622333N1450902W (GKN007016.6) SFC-FL250 POUR LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE EN RAYONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE FR. CONFORMÉMENT À 14 CFR SECTION 91.137 (A) (1), DES RESTRICTIONS TEMPORAIRES DE VOL SONT EN VIGUEUR. LE TRANSIT DANS L'ESPACE AÉRIEN PEUT ÊTRE AUTORISÉ PAR HAARP COMMAND CENTER, TÉL 907-822-5497 OU FREQ 123.3. ANCHORAGE /ZAN/ARTCC TEL 907-269-1103 EST L'INSTALLATION CDN DE LA FAA. DLY 0400-1730 2106210400-2106251730.

    Si les citoyens concernés ont raison et que HAARP peut, en fait, contrôler la météo ou même armer la météo - que pourrait faire le gouvernement ?

    https://www.zerohedge.com/political/haarp-firing-faa-issues-warning-about-electromagnetic-radiation

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    1. Depuis DES décennies existent une quinzaine de HAARP dans le monde (Gakona AK, Surya Russie, etc) qui contrôlent, dirigent, modifient les conditions climatiques sur chaque pays afin de créer des inondations, ouragans, très très basses températures, très très haute températures.
      Ils l'avaient dit en l'an 200 alors qu'HAARP était déjà en service depuis longtemps "Nous seront les maîtres de la météo mondiale avant 2020-2025" !

      Voir les sites:

      https://educate-yourself.org/mc/

      https://rudy2.wordpress.com/smart-dustla-polvere-intelligenteitalianoenglish/

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  9. La Chine se retourne contre le BTC en chassant la production et la consommation d'électricité - empiriquement, la narrative des cryptos ne tient pas


    mercredi, 23 juin 2021 05:29
    Charles Dereeper


    Histoire tirée de faits réels. "L'incroyable histoire de l'île de la rose" Synopsis: en 1967...Giorgio Rosa, un ingénieur idéaliste, a du mal à s'adapter à un monde avec des lois et autant d'autorité. Il trouve alors une solution et construit sa propre île, pour ensuite la déclarer comme une nation. Il lui donne le nom d'Île de la Rose. Celle-ci attire clairement l'attention du reste du monde. Le gouvernement italien déclare alors la guerre à Giorgio, mais ce dernier sait parfaitement que pour changer les choses, il faut prendre des risques.

    Salut Charles, j'ai rencontré une personne détenteur de quelques dizaines de milliers de USD de cryptos aux environs des $35000 sur le bitcoin et $2500 sur l'ethereum., il y a un petit mois. Je vais rester soft car je l'ai invité à lire ton site et je souhaite créer une confiance et une bonne relation avec lui. L'idée c'était de lui faire comprendre que gagner de l'argent aussi facilement était une chose mais le garder en ai une autre. Je lui est donc demandé si il avait besoin de cet argent, maintenant qu'il l'a acquis, il l'a répondu oui, je lui ai répondu: vends. La vérité c'est que si ça va à 1 million il sera riche, mais si ça va a zéro il sera, triste, et éternellement frustré, je lui est demandé si il se sentait déjà heureux de gagner la somme qu'il avait... Et j'entend un OUI. Et puis une semaine avant notre rencontre je vois ce film, tiré d'une histoire vrai, je lui transmet mon point de vue et il comprends. C'est le parfait exemple de ce que les états feront aux cryptos monnaies. J'invite tous tes les pro crypto à le regarder et ils comprendront pourquoi JAMAIS, au combien JAMAIS les cryptos actuelles verront le jours en tant que monnaies et surtout Pourquoi celles qui verront le jours appartiendront aux États.

    Bien à toi Charles

    *****

    Je parlais il y a deux jours de savoir gérer la tentation du diable, présente partout.

    La narrative du bitcoin est superbe, mais de manière empirique, elle ne tient pas la route.

    A partir du moment où la Chine a lancé sa crypto yuan, la chasse au bitcoin a été lancée sérieusement.

    J'ai vu passer un article qui expliquait que les provinces avaient établi une liste de toutes les installations d'énergie renouvelable et de toutes les consommations suspectes d'électricité, de manière à chasser le mining de Bitcoin un à un.

    Nous avons tous évoqué cette hypothèse de longue date.

    Personne n'a jamais revendiqué une invention majeure que sont les cryptos.

    Ce truc pue à des kilomètres depuis le départ.

    Le jour où les USA ne pourront plus recycler l'argent sale chinois en dollar via le BTC et qu'en plus une crypto USD sera lancée, accompagnée de la petite pupute habituelle qu'est l'Europe, je ne donne pas cher des cours des cryptos.

    Je doute qu'un ETAT acceptera de laisser une concurrence privée en terme de monnaie.

    Charles

    https://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/la-chine-se-retourne-contre-le-btc-en-chassant-la-production-et-la-consommation-d-electricite-empiriquement-la-narrative-des-cryptos-ne-tient-pas.html

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    1. Et pourquoi ne pas lancer les 'Spécialités régionales ou locales' ? 3 cassoulets pour 1 euro, 4 Kro contre 2 Bordeaux, Charcuteries corses contre boudins des Antilles, etc. Çà c'est pas du crypto ni du pq !

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  10. Seconde Guerre froide — Le Covid/Sras-CoV-2 est une arme biologique fabriquée à Fort-Detrick* aux États-Unis et envoyée en Chine pour la cibler et l'incriminer


    Mike Whitney & Ron Unz — The Unz Review
    Sott.net
    mer., 23 juin 2021 16:22 UTC


    Note du traducteur : Voici la traduction d'une interview menée par Mike Whitney sur l'origine du Sras-CoV-2, dans laquelle Ron Unz répond à ses questions.
    « [...] Il reste la forte probabilité que le Covid [Sras-CoV-2 - NdT] provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique [...] La Chine était sûrement la cible visée [et] les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale [...] Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA [...] auraient été envoyés à Wuhan pour le propager. »

    ~ Ron Unz, rédacteur en chef de The Unz Review ; extrait de ce qui suit.

    Question 1 — Ce qui rend votre théorie sur les origines du Sras-CoV-2 si controversée, ce n'est pas qu'elle suggère que l'agent pathogène a été créé dans un laboratoire, mais qu'il s'agit en fait d'une arme biologique volontairement libérée par des agents étatsuniens menant une guerre secrète contre les ennemis présumés des États-Unis. Voici la « citation clé » de votre article intitulé « La machine de propagande des États-Unis et le récit orwellien d'un virus échappé d'un laboratoire » [publié en anglais par The Unz Review sous le titre « American Pravda: George Orwell's Virus Lab-Leak » - NdT] :
    « [...] Il reste la forte probabilité que le Covid provienne d'un laboratoire et qu'il ait était conçu pour servir d'arme biologique, mais nous ne disposons pourtant d'aucune indication sérieuse quant à l'existence d'une fuite provenant d'un laboratoire. Donc, si l'épidémie initiale de Wuhan était due au déploiement d'une puissante arme biologique, mais pas à une fuite accidentelle d'un laboratoire, alors la Chine était sûrement la cible visée, victime plutôt que coupable [...]

    Étant donné notre actuelle confrontation militaire et géopolitique avec la Chine, les États-Unis semblent être la source probable de l'attaque [...] Les suspects les plus plausibles seraient des éléments malveillants de notre appareil de sécurité nationale, probablement certains des néoconservateurs de l'État profond que Trump a placés au sommet de son administration.

    Cette petite poignée de comploteurs de haut vol aurait alors fait appel aux ressources de l'appareil de sécurité nationale des États-Unis pour mener à bien l'opération. Le virus et ses dispositifs de dispersion pourraient avoir été obtenus à Fort Detrick et des agents de la CIA ou des membres des forces spéciales auraient été envoyés à Wuhan pour le libérer [...] En fait, ce qui s'est passé est un scénario du type Dr Folamour, mais transposé dans la réalité. »
    Alors, voici la question : Pensez-vous que les récents développements donnent plus de crédit à votre théorie explosive ou croyez-vous maintenant que le Covid-19 a simplement été « accidentellement » répandu à la suite d'une erreur humaine ?

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  11. Ron Unz — Comme chacun le sait, au cours du mois dernier, l'ensemble du « discours dominant » relatif à l'épidémie de Covid a été complètement bouleversé. Il y a quelques semaines à peine, quiconque suggérait que le virus était d'origine artificielle était dénoncé et ridiculisé comme un « adepte de la théorie du complot », et toute déclaration de ce type était automatiquement interdite par Facebook.

    Mais ces mêmes idées précisément jusqu'alors interdites sont désormais largement acceptées et promues par des figures de proue du monde médiatique et politique. Le vétéran de 45 ans du New York Times qui a été le fer de lance pour ce qui est de couvrir le sujet du Covid a maintenant admis qu'il s'était complètement trompé et que le virus provenait probablement d'un laboratoire. Les trois milliards d'utilisateurs de Facebook peuvent désormais discuter ouvertement de cette possibilité.

    Cette bulle de propagande sur le « virus d'origine naturelle » s'est effondrée grâce à un article de 11 000 mots publié à compte d'auteur par Nicholas Wade, journaliste scientifique chevronné. Pourtant, ce qui ne lasse pas d'étonner, c'est que presque aucun des faits cruciaux présentés dans son article n'était nouveau. La quasi totalité des preuves importantes présentées par Wade étaient disponibles publiquement depuis une année entière, mais ils ont tout simplement été ignorées par l'ensemble de notre establishment politico-médiatique, en partie parce que Trump avait adopté cette position et qu'ils détestaient tous Trump.

    Donc, le virus venait probablement d'un laboratoire. Mais la question devient maintenant « de quel laboratoire ? » Tout comme les médias mainstream avaient favorisé la croyance totalement infondée selon laquelle le Sras-CoV-2 était d'origine naturelle, les mêmes médias mainstream ont maintenant commencé à promouvoir celle tout aussi infondée selon laquelle le Sras-CoV-2 a été libéré de manière accidentelle de l'Institut de virologie de Wuhan en Chine. Cependant, les preuves qui pointent dans cette direction sont si minces qu'elles sont presque invisibles.

    Il est vrai que les chercheurs chinois de ce laboratoire menaient des expériences sur des virus apparentés à ceux des chauves-souris, mais de nombreux chercheurs aux États-Unis menaient des expériences très similaires et, pendant des décennies, les virus des chauves-souris ont également été au cœur de l'énorme programme de guerre biologique des États-Unis.

    Wuhan est une énorme métropole de 11 millions d'habitants, bien plus grande que la ville de New York, et le laboratoire de Wuhan est situé à 30 km (!) du marché de gros des fruits de mer de Huanan, qui fut le premier épicentre de l'épidémie de Wuhan. Une distance de 30 km semble assez éloignée pour une libération accidentelle d'un laboratoire.

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  12. Immédiatement après l'épidémie initiale de Wuhan, le virus a commencé à infecter les élites politiques iraniennes et à en tuer un certain nombre. N'est-il pas invraisemblable qu'une libération fortuite d'un laboratoire à Wuhan se propage si rapidement à la ville sainte de Qom, à l'autre bout du monde ?

    De nombreux autres aspects de la chronologie de l'épidémie ne semblent pas compatibles avec une libération accidentelle d'un laboratoire.

    Jusqu'à il y a quelques semaines, les médias mainstream et Facebook ont bloqué toute personne en désaccord avec la théorie du « virus d'origine naturelle », même si les preuves d'un virus d'origine artificielle ont toujours été bien plus solides. Maintenant, ils disent « Oups ! Nous avions tort. Le virus venait probablement d'un laboratoire. » Je pense donc qu'il leur sera désormais beaucoup plus difficile de mettre un terme à tout débat sur le laboratoire en question.

    Une fois que les gens ont pris conscience des faits fondamentaux sur le virus, les croyances quant à son origine naturelle se sont rapidement effondrées. Et une fois que les gens auront pris conscience des faits fondamentaux sur l'épidémie initiale de Covid, je pense que la croyance en une libération fortuite d'un laboratoire commencera également à s'effondrer.

    Question 2 — Vous semblez avoir anticipé ma prochaine question, mais je vais quand même la poser. Dans un autre de vos articles, vous dites ceci :
    « Alors que le coronavirus commençait progressivement à se propager au-delà des frontières de la Chine, un autre événement est venu renforcer mes soupçons. La plupart de ces premiers cas étaient survenus exactement là où on pouvait s'y attendre, dans les pays d'Asie de l'Est limitrophes de la Chine. Mais fin février, l'Iran est devenu le deuxième épicentre de l'épidémie mondiale. De manière encore plus surprenante, ses élites politiques ont été particulièrement touchées, puisque 10 pour cent de l'ensemble du parlement iranien a été infecté et qu'au moins une douzaine de ses fonctionnaires et hommes politiques, dont certains de haut rang, en sont morts. En effet, les activistes néoconservateurs sur Twitter ont commencé à noter avec joie que leurs ennemis iraniens qu'ils ont en aversion tombaient désormais comme des mouches.

    Examinons les implications de ces faits. Les seules élites politiques qui, dans le monde entier, ont subi des pertes humaines significatives sont celles de l'Iran, et elles sont mortes à un stade très précoce, avant même que des épidémies significatives ne se soient produites presque partout ailleurs dans le monde, en dehors de la Chine. Ainsi, les États-Unis ont assassiné le plus haut commandant militaire iranien le 2 janvier et, quelques semaines plus tard, une grande partie des élites dirigeantes iraniennes a été infectée par un nouveau virus mystérieux et mortel, qui a entraîné le décès de nombre d'entre elles. Un individu rationnel pourrait-il considérer cela comme une simple coïncidence ? »
    Ma question est la suivante : S'agit-il d'une preuve irréfutable ? En d'autres termes, ces deux « attaques » contre des ennemis des États-Unis suggèrent-elles fortement l'implication de Washington ?

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  13. Ron Unz — En tout cas, il s'agit d'une coïncidence *extrêmement* étrange pour ceux qui prétendent que l'épidémie mondiale de Covid a été causée par une libération toute fortuite d'un virus provenant du laboratoire de Wuhan en Chine.

    L'Iran se situe à l'autre bout du monde par rapport à la Chine, et très peu de Chinois visitent la ville sainte de Qom. Il est donc extrêmement étrange que le virus du Covid soit passé si rapidement d'une libération accidentelle du laboratoire de Wuhan à la direction politique de l'Iran, qui a été victime de la deuxième flambée épidémique majeure.

    Quelques semaines plus tard, la troisième flambée épidémique majeure a commencé dans le nord de l'Italie, mais 200 000 Chinois vivent et travaillent dans cette région, et nombre d'entre eux venaient de rentrer de leurs vacances du Nouvel An lunaire en Chine. La population chinoise de Qom est absolument négligeable en comparaison. L'épidémie italienne est parfaitement logique, alors que celle de Qom ne l'est pas.

    Ces éléments ne constituent pas une preuve, mais ils soulèvent d'énormes doutes quant à la vraisemblance de l'hypothèse d'une libération accidentelle depuis un laboratoire. En revanche, la dissémination délibérée d'une arme biologique virale représente une explication bien plus plausible de ces deux épidémies.

    Les États-Unis disposent du programme de guerre biologique le plus important et le plus complet au monde, et ses deux principaux adversaires internationaux — la Chine et l'Iran — ont été touchés presque simultanément par un virus mystérieux et mortel. Les soupçons semblent pointer dans une direction assez évidente.

    Si la famille criminelle Colombo de New York est en proie à une querelle acharnée avec les Genovese, et qu'en l'espace de 24 heures deux capos de cette dernière sont retrouvés abattus, peut-être ont-ils tous deux soudainement décidé de se suicider. Mais les observateurs les plus sensés auraient tendance à envisager d'autres possibilités.

    Question 3 — Peu après la publication de votre article explosif suggérant que des agents du renseignement des États-Unis auraient été impliqués dans la diffusion du Covid-19 parmi les Chinois et les Iraniens, votre site Web a été déclassé par Google et interdit sur Facebook. Pouvez-vous nous expliquer brièvement ce qui s'est passé et nous dire également si vous pensez que le délit que vous avez commis était :
    de suggérer que le Sras-CoV-2 a été créé dans un laboratoire, ou
    de suggérer que Washington aurait pu utiliser le Sras-CoV-2 comme une arme biologique dirigée contre ses rivaux géopolitiques.
    Et à mon avis, les élites dirigeantes ne se soucient pas vraiment de savoir si les gens pensent que le virus du Covid est d'origine humaine. Ce qui les inquiète, c'est que les gens pensent qu'il a été libéré intentionnellement. C'est précisément cette idée-là qu'elles ne veulent pas que l'on retienne.

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  14. Ron Unz — Évidemment, tout ceci est entièrement spéculatif. Mais pendant six ans, notre site Web a publié une grande variété d'articles extrêmement controversés sur toutes sortes de sujets différents, et nous n'avions jamais eu de problèmes ni avec Facebook ni avec Google.
    Puis, à la fin du mois d'avril 2020, j'ai publié mon premier long article exposant les preuves substantielles indiquant que l'épidémie mondiale de Covid pourrait être le résultat d'une attaque biologique menée par les États-Unis contre la Chine (et l'Iran), et cet article a dès le début bénéficié d'un très fort trafic, avec plus de « J'aime » sur Facebook au cours des premiers jours que la totalité de ce que j'avais publié auparavant.

    Mais une dizaine de jours après la publication de l'article, notre site Web a été soudainement banni par Facebook. Quelques jours plus tard, l'ensemble de notre site Web a été déclassé par Google, de sorte que toutes nos pages Web apparaissaient tout en bas des recherches Google et que presque personne ne les voyait. La coïncidence de ces actions semble très suspecte.

    À ce moment-là, je pense que nous étions l'un des sites Web les plus populaires à avoir été bannis par Facebook. Par exemple, notre trafic dépassait de loin celui de la vénérable New Republic, une publication centenaire qui avait pendant des décennies été le magazine d'opinion le plus influent des États-Unis. Bien que Facebook ait publié un rapport officiel expliquant les mesures de bannissement prises ce mois-là, notre nom était à peine mentionné, la quasi-totalité des pages de discussion étant consacrée à d'obscurs sites Web étrangers en Géorgie, en Mauritanie ou en Birmanie, ou à ceux situés chez les principaux adversaires géopolitiques des États-Unis, comme la Russie ou l'Iran. Le rapport explique les raisons de l'interdiction de VDARE, « un site Web connu pour ses contenus anti-immigration », puis le pourquoi du bannissement de notre propre site Web au motif qu'il était « assimilé » au précédent.

    Cette explication semblait très étrange. Nous republions régulièrement des articles VDARE, mais depuis le début de l'année 2020, ils ne représentent que 41 de nos 1 751 articles et publications, soit à peine 0,2 pour cent de notre contenu, et peu de ces articles VDARE ont un rapport avec l'immigration. Pendant ce temps, Google n'a fourni aucune explication à notre purge soudaine de leurs résultats de recherche.

    Il semble probable que ces purges soudaines de Facebook et de Google soient dues à notre très large couverture médiatique sur le sujet du Covid au cours des deux mois précédents, avec en point d'orgue mon article majeur. Sur les sites Web anglophones, la grande majorité des médias mainstream affirmaient que le virus était manifestement d'origine naturelle et dénonçaient tous ceux qui suggéraient qu'il provenait d'un laboratoire comme autant de fous « adeptes de la théorie du complot ».

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  15. Pendant ce temps, un grand nombre de sites Web de droite, anti-Chine ou pro-Trump affirmaient régulièrement que l'épidémie de Covid était due à la libération fortuite du virus depuis le laboratoire de Wuhan, et suggéraient parfois même que le virus était une arme biologique chinoise. Je pense que nous sommes presque les seuls à nous concentrer sur l'énorme programme de guerre biologique des États-Unis, par ailleurs largement documenté, à publier parfois des articles importants qui avaient été rejetés ailleurs, et à orienter les soupçons dans cette direction.

    Comme nous avons été bannis par Facebook et Google, ce qui aurait dû devenir un débat portant sur les trois possibilités quant à l'origine du Covid — un virus d'origine naturelle, un virus créé par les chinois ou un virus créé par les États-Unis — s'est transformé en un long débat d'un an qui n'a porté que sur les deux premières.

    Compte tenu de l'énorme impact négatif de l'épidémie de Covid sur les États-Unis et le reste du monde, il est facile de comprendre pourquoi nos dirigeants politiques seraient extrêmement inquiets si les gens commençaient ne serait-ce qu'à envisager la possibilité que le virus ait pu être produit par un laboratoire du gouvernement des États-Unis, sans parler de sa diffusion délibérée. Et persuader Facebook et Google de bloquer de telles théories serait [de leur point de vue - NdT] parfaitement logique.

    Question 4 — Un aspect mineur de votre théorie me pose problème. Vous dites : « Des agents de la CIA ou des membres des forces spéciales [pourraient] avoir été envoyés à Wuhan pour propager » [le virus]. Cela pourrait être exact, mais pourquoi exclure la possibilité que des scientifiques chinois aient pu travailler secrètement avec leurs homologues étatsuniens (Baric, Fauci ?) ou que les dirigeants chinois coopèrent avec des élites étrangères et des agences de renseignement pour les aider à mettre en œuvre des politiques autoritaires dans leur propre pays ? Est-ce trop tiré par les cheveux pour que vous puissiez l'envisager ?

    Ron Unz — Eh bien, tout est possible, mais il n'existe tout simplement aucune preuve de cela.

    Compte tenu de l'extrême hostilité récente entre les gouvernements des États-Unis et de la Chine, je pense qu'il est très improbable que des hauts fonctionnaires des deux pays coopèrent secrètement en coulisses pour propager le virus du Sras-CoV-2.

    Comme l'administration Trump a passé une grande partie du printemps à prétendre que les Chinois avaient « dissimulé » l'épidémie, de grandes équipes de journalistes d'investigation parmi nos principaux médias ont passé de nombreuses semaines à rechercher les faits. Sur la base de toutes les preuves disponibles, le gouvernement chinois n'a découvert l'existence de ce nouveau virus mystérieux et soudain que vers la fin décembre [2019 - NdT], et en a presque immédiatement informé l'Organisation mondiale de la santé.

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  16. Dès que les Chinois ont réalisé que le Covid était hautement contagieux et se propageait dans la ville de Wuhan, ils ont réagi très rapidement. Certains responsables locaux ont tenté d'ignorer ou de minimiser le problème, ce qui leur a fait perdre environ une semaine, mais dès que le gouvernement national a découvert le danger, il a rapidement ordonné des mesures de santé publique massives en confinant la ville de 11 millions d'habitants, et en élargissant peu après les mesures de confinement à la région, puis à une grande partie du pays, ce qui a contraint 700 millions de Chinois à rester chez eux pendant plusieurs semaines. Ces mesures leur ont permis d'éradiquer le virus, et en quelques mois, le pays était presque revenu à la normale.

    Pendant ce temps, le gouvernement des États-Unis a surtout ignoré l'ensemble de l'éventuel problème tout comme la possibilité que le virus revienne dans le pays. Notre CDC a bâclé la production de kits de test, si bien que pendant de nombreuses semaines, nous n'avions aucun moyen de savoir si le virus commençait à se propager ici. Trump et ses partisans ont pris leurs désirs pour des réalités, affirmant que le virus n'était pas dangereux et qu'il pourrait disparaître « comme par magie ». Le gouvernement des États-Unis n'a commencé à prendre le problème au sérieux qu'après l'effroyable épidémie survenue dans le nord de l'Italie.

    Étant donné que pendant toute cette période le gouvernement des États-Unis a sévèrement critiqué la Chine et a réagi de manière à ce point différente à sa propre épidémie de Covid, je pense qu'il est très peu probable que les dirigeants étatsuniens et chinois aient planifié ensemble l'épidémie de Covid ou aient coopéré secrètement de quelque manière que ce soit.

    En revanche, il est certainement vrai que pendant de nombreuses années, des scientifiques chinois et étatsuniens ont travaillé ensemble sur des recherches concernant les virus et ont conjointement publié des articles. Mais c'est le cas des scientifiques du monde entier et, jusqu'à ces dernières années, la Chine et les États-Unis ont généralement entretenu des relations plutôt cordiales. Je ne pense pas qu'il soit particulièrement surprenant que le NIH des États-Unis ait en partie financé la recherche virale du laboratoire de Wuhan, et jusqu'à ce que l'épidémie de Covid se déclare, personne ne s'en serait soucié. Pour autant que je sache, les États-Unis accordent des subventions de recherche aux scientifiques du monde entier et d'autres pays, dont la Chine, font de même avec la recherche étatsunienne.

    Et en dépit de tout le battage médiatique, je n'ai rien vu de particulièrement surprenant dans les courriels de Fauci qui ont été récemment publiés. Le soutien financier des États-Unis accordé à la recherche sur les virus du laboratoire de Wuhan n'ont jamais été un secret, et je l'ai lu depuis plus d'un an. Cependant, la situation a évidemment changé une fois que Trump et Pompeo ont commencé à prétendre que l'épidémie dévastatrice de Covid avait été causée par une libération accidentelle depuis le laboratoire de Wuhan. S'ils avaient raison, alors tout le monde aux États-Unis, même ceux qui ne sont que vaguement associés au laboratoire de Wuhan, pourrait être en partie tenus pour responsables, y compris Fauci. Il n'est donc guère surprenant que ce dernier et tous les autres aient commencé à cacher leur lien et à user de leur influence pour tenter — de façon malhonnête — de persuader les médias que le virus était d'origine naturelle, protégeant ainsi le laboratoire de Wuhan et eux-mêmes au passage.

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  17. Cela a fonctionné pendant environ un an, et personne ne s'est ému de la question. Mais maintenant que les médias considèrent que le virus est d'origine artificielle, le laboratoire de Wuhan est devenu le principal suspect, ce qui remet Fauci et les autres sur la sellette. Il semble bien que Fauci soit un bureaucrate fédéral malhonnête, mais notre gouvernement tout entier regorge de tels individus, et l'accent mis sur Fauci semble ridicule. Je pense qu'il est tout à fait improbable que le Sras-CoV-2 ait été fabriqué à Wuhan ou qu'il ait fait l'objet d'une libération accidentelle, de sorte que la malhonnêteté de Fauci était sans importance aucune [pour cet aspect seulement - NdT].

    En définitive, s'il est vaguement possible que les agences de renseignement des États-Unis aient eu des espions à Wuhan ou même dans le laboratoire de Wuhan, rien ne semble le prouver. En fait, les seuls renseignements secrets que nous aurions reçus sur les événements de Wuhan proviennent d'une source d'un pays tiers, ce qui démontre notre propre manque total d'informations et d'agents. Si nous [les États-Unis - NdT] avons effectivement libéré l'arme biologique Sras-CoV-2 à Wuhan, il est assez peu probable que nous ayons pu recruter des agents chinois locaux pour mener à bien cette opération.

    Depuis environ un an, la plupart des experts s'accordaient à dire que l'épidémie de Covid à Wuhan avait probablement commencé fin octobre ou début novembre 2019. Par une coïncidence remarquable, en visite à Wuhan pour les Jeux militaires mondiaux qui se sont terminés fin octobre, il y avait 300 militaires étatsuniens. Cette visite aurait fourni une couverture parfaite pour que les États-Unis glisse un couple d'agents dans le groupe, et qu'ils libèrent le virus dans la ville. Avec des milliers de militaires étrangers se déplaçant et faisant du tourisme, tout risque de détection aurait été minime. Cela semble beaucoup plus plausible que le risque de trouver et d'utiliser des agents chinois locaux.

    Que penseraient les citoyens des États-Unis si 300 officiers militaires chinois effectuaient une visite prolongée à Chicago et qu'immédiatement après, une mystérieuse épidémie virale mortelle se déclarait soudainement dans cette ville ?

    Question 5 — Parmi ceux qui liront cette interview, beaucoup vont penser : « Les États-Unis ne sont pas capables d'un tel crime ». Mais, au fil des années, des laboratoires financés par les États-Unis ont créé, modifié et stocké toutes sortes d'agents toxiques, dont « six armes biologiques produites en masse et opérationnelles », à savoir l'anthrax, la tularémie, la brucellose, la fièvre Q [ou coxiellose - NdT], le virus de l'encéphalite équine vénézuelienne, le botulisme et Dieu sait quoi encore. Les États-Unis ont également autorisé des programmes très controversés de recherche sur l'homme impliquant des personnes et des groupes qui n'ont jamais été informés qu'ils étaient utilisés comme cobayes dans une expérience de laboratoire gouvernemental. Comme l'a dit Jeanne Guillemin il y a plus de trois décennies :

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  18. « L'ensemble de l'héritage expérimental est consternant, depuis les centaines de singes morts à Fort Detrick [...] jusqu'aux volontaires vaccinés dans le cadre du projet Whitecoat, tous ligotés à des chaises au milieu de cages d'animaux sous le soleil de l'Utah pendant qu'on leur projette des aérosols de fièvre Q. Les scénarios fictifs réalisés en milieu urbain donnent froid dans le dos : des ampoules remplies d'agents biologiques factices sont lâchées dans le métro de New York, des hommes à l'aéroport national de Washington pulvérisent des pseudo agents biologiques à partir de porte-documents, et des tests similaires sont effectués en Californie, au Texas et au-dessus des Florida Keys. »
    Bien que les preuves ne soient pas concluantes, des armes biologiques créées aux États-Unis auraient été utilisées en Corée, au Vietnam et à Cuba. L'histoire de ces armes accroît la probabilité que des éléments malveillants de l'État de sécurité nationale puissent les utiliser s'ils pensent pouvoir en tirer un avantage quelconque.

    Que répondez-vous à ceux qui pensent que les États-Unis n'utiliseront jamais une arme biologique, comme le Sras-CoV-2, contre un ennemi ?

    Ron Unz — Bien sûr, de nombreux citoyens aux États-Unis peuvent considérer comme « impensable » que leur pays ait pu utiliser une arme biologique contre la Chine. Mais il est très largement reconnu que, pendant des décennies, les mêmes États-Unis ont disposé du premier programme de guerre biologique au monde, et qu'ils ont en fait bénéficié, dans les années 1950, de ressources gouvernementales comparables à celles nécessaires au développement des armes nucléaires.

    De nombreuses preuves semblent indiquer que ces armes biologiques étatsuniennes ont bien été utilisées pendant la guerre de Corée, bien que ces affirmations aient été contestées et que ces armes biologiques se soient avérées plutôt inefficaces par rapport aux armes conventionnelles. Certains affirment également que des armes biologiques ont été utilisées contre Cuba et peut-être contre le Vietnam.

    Quoi qu'il en soit, notre capacité de guerre biologique existe bien et l'installation de Fort Detrick en constitue le laboratoire phare. La réponse laxiste de Trump une fois le retour avéré du Covid aux États-Unis plaide en faveur de son ignorance des faits et suggère qu'il était loin de penser qu'il s'agissait d'une arme biologique dangereuse. Par conséquent, l'attaque contre la Chine — et l'Iran — a très certainement été mise en œuvre par des éléments malveillants, probablement menée par des membres des services de la sécurité nationale associés aux néoconservateurs de l'État profond au sommet de l'administration des États-Unis.

    Si quelqu'un de suffisamment haut placé avait été à l'origine du complot, je pense qu'il aurait été facile pour les conspirateurs de faire appel aux ressources militaires des États-Unis pour mener à bien l'opération. Tous les participants de rang inférieur auraient facilement pu croire qu'ils faisaient partie d'une frappe pleinement autorisée contre les principaux adversaires géopolitiques des États-Unis, tout comme notre gouvernement a assassiné peu après le plus haut commandant militaire iranien. Il est probable que quelqu'un comme le secrétaire d'État — et ancien directeur de la CIA — Mike Pompeo ou le conseiller à la sécurité nationale John Bolton auraient été en mesure d'orchestrer l'attaque.

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  19. De tels individus avaient les moyens, le motif et l'opportunité, et que les médias ignorent si totalement cette possibilité semble donc absurde.

    Il convient de considérer ce qui suit. Les pires attaques de guerre biologique de l'histoire des États-Unis se sont produites juste après le 11-Septembre, avec des envois d'anthrax à des personnalités politiques et médiatiques importantes, lesquelles ont incité le Congrès à adopter le Patriot Act. En dépit des tentatives de l'auteur des attentats à l'anthrax d'y impliquer des terroristes islamiques, le FBI a rapidement déterminé que l'anthrax provenait de nos propres installations situées à Fort Detrick, avant de déclarer qu'un scientifique gouvernemental nommé Bruce Ivins et spécialisé dans la recherches sur les armes biologiques en était le responsable, et de classer l'affaire, juste après son prétendu suicide. On peut contester la réelle culpabilité d'Ivins, mais il est presque certain que l'attaque a été menée par des éléments malveillants issus de nos services de sécurité nationale. Que l'épidémie de Covid ait eu des origines quelque peu similaires ne semble donc pas impossible.

    Dans le cadre d'une opération malveillante, les attaques Covid auraient pu être organisées par une très petite poignée d'individus, sans qu'aucune ou presque des procédures bureaucratiques exhaustives habituellement nécessaires n'aient été suivies. Dans de telles circonstances, les auteurs du complot auraient pu minimiser le risque d'une propagation de la maladie aux États-Unis ou chez nos alliés de l'Otan, une minimisation qui aurait finalement entraîné le désastre que l'on connaît. Après tout, les États-Unis et l'Europe étaient sortis presque totalement indemnes des précédentes épidémies de coronavirus Sras et Mers.

    Les médias mainstream et alternatifs ont quasiment tous ignoré un indice pourtant particulièrement révélateur. La plupart des experts estiment que l'épidémie de Covid à Wuhan a probablement commencé fin octobre ou début novembre [2019 - NdT], mais comme les infections ont mis du temps à se propager et que le virus était initialement indétectable, personne au sein du gouvernement chinois n'était au courant de l'épidémie avant la fin décembre. Cependant, plusieurs sources du gouvernement des États-Unis ont par la suite révélé à ABC News que, dès novembre 2019, notre Defense Intelligence Agency avait distribué aux responsables gouvernementaux un rapport secret les avertissant qu'une épidémie « cataclysmique » était en cours à Wuhan. Le Pentagone a ensuite démenti le récit, mais la télévision israélienne a confirmé de manière indépendante que le rapport existait bel et bien et qu'il avait été distribué à nos alliés de l'Otan et à Israël. Le rapport secret de la DIA a été préparé au cours de « la deuxième semaine de novembre », à un moment où à Wuhan — une ville de 11 millions d'habitants — quelques dizaines de personnes seulement commençaient sans doute à se sentir un peu malades, et plus d'un mois avant que quiconque au sein du gouvernement chinois ne découvre l'épidémie. Ces faits semblent presque impossibles à expliquer si le virus était d'origine naturelle ou s'il s'était accidentellement échappé du laboratoire de Wuhan.

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  20. Note du traducteur : ce qui précède est à mettre en lien avec cette récente information : Moderna travaillait déjà sur son « vaccin » anti-Covid dès... décembre 2019 ! On en a les preuves :
    « Un accord de confidentialité montre que des candidats vaccins potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l'Université de Caroline du Nord en 2019, dix-neuf jours avant l'émergence du prétendu virus du Covid-19 annoncé à Wuhan, en Chine. »
    À mon avis, la combinaison de toutes ces preuves, ajoutées à d'autres éléments, soutient fortement l'hypothèse selon laquelle l'épidémie de Covid a résulté d'une attaque biologique menée par les États-Unis contre la Chine — et l'Iran — et que cette opération fut probablement orchestrée par les néoconservateurs de l'État profond de l'administration Trump et menée par des individus malveillants.

    Peu importe que d'autres soient d'accord ou pas avec mon analyse ; que cette possibilité très sérieuse soit à ce point exclue de la quasi-totalité des médias mainstream et alternatifs semble absurde et ridicule. Je soupçonne que la raison de ce silence [quasi - NdT] total tient au fait que les preuves qui soutiennent cette théorie sont suffisamment convaincantes pour que le simple fait de les présenter persuade rapidement une grande partie du public occidental qu'une attaque biologique est le scénario le plus probable. Et c'est précisément pour cette raison que ces faits ont été totalement occultés et qu'ils demeurent tabous.

    Les néoconservateurs de Biden ont maintenant remplacé les néoconservateurs de Trump à la tête de notre gouvernement, mais la politique étrangère dangereusement anti-chinoise a très peu changé. Et comme les médias mainstream sont de tout cœur dans le camp de Biden, ils ont intensifié leurs attaques contre la Chine pour toutes sortes de motifs douteux. En effet, l'énorme vague de soutien apportée actuellement par les médias à l'hypothèse que le virus a été mis au point dans le laboratoire de Wuhan — hypothèse qui soutient que le Sras-CoV-2 a été secrètement développé par les Chinois, peut-être en tant qu'arme biologique — n'est devenue possible qu'après le départ de leur ennemi détesté, Trump.

    Les États-Unis disposent du plus grand programme de guerre biologique au monde, l'administration Trump s'est concentrée sur la Chine au prétexte qu'elle constituait notre plus grande menace géopolitique, et les néoconservateurs de l'État profond que Trump a engagés étaient des individus notoirement irresponsables. Pourtant, la réflexion nécessaire pour que les médias établissent un lien entre tous ces points et commencent au moins à envisager la possibilité évidente qu'ils suggèrent est minime.
    Note du traducteur : Voir aussi notre Focus Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 dans lequel l'auteur développait dès juin 2020 ce qui est décrit dans cet article, notamment sur l'origine humaine du Sras-CoV-2, les raisons de sa « création » et sa provenance : Fort Detrick dans le Maryland, États-Unis.

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  21. Les lecteurs voudront peut-être aussi en savoir plus sur Fort-Detrick : L'histoire secrète de Fort Detrick, la base de la CIA dédiée aux expériences de manipulation mentale et de guerre biologique.

    Et si vous l'avez manqué : Le Magicien d'Oz — La sombre réalité que l'État profond cache au monde entier
    Source de l'article initialement publié en anglais le 15 juin 2021 : The Unz Review
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37421-Seconde-Guerre-froide-Le-Covid-Sras-CoV-2-est-une-arme-biologique-fabriquee-a-Fort-Detrick-aux-Etats-Unis-et-envoyee-en-Chine-pour-la-cibler-et-l-incriminer

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    1. * Fort Detrick est un centre médical militaire américain du United States Army Medical Command situé au nord de la ville de Frederick au Maryland. Historiquement, c'était une base du programme d'armes biologiques américains jusqu'en 1969.

      Effectivement, même si la virologue chinoise Li Meng-Yan a démontré qu'il s'agissait 100 % d'un produit laboratoire (elle a remonté jusqu'à la fabrication du sida et autres maladies inventées en laboratoires), RIEN ne dit que le produit analysé provenait DU laboratoire examinateur !

      Bien sûr l'hypothèse de sorti d'un laboratoire est réaffirmé par la multiplication de 'copies modifiées' appelées 'variants' ou autre pseudonyme de star. Bref, du Brassens on est passé aux Beatles, puis aux Compagnons de la chanson ou Chœurs de l'Armée Rouge du Bolchoï !

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  22. Conclusion d'un rapport du centre français d'évaluation des médicaments : la vaccination avec les produits Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen doit être interrompue


    M.K. Scarlett
    Sott.net
    mer., 23 juin 2021 09:12 UTC


    Sur la base des travaux du Dr Catherine Frade, le Centre Territorial d'Information Indépendante et d'Avis Pharmaceutiques (CTIAP) a conclu qu'aucun des quatre « vaccins » utilisés en France n'est sûr ou efficace. Comme ils ont tous par ailleurs reçu une autorisation d'utilisation en urgence sur la base de preuves cliniques insuffisantes, le CTIAP a donc exigé leur suspension immédiate.

    Lié à l'hôpital public de Cholet dans l'ouest de la France, le CTIAP a récemment publié un rapport qui démontre que les « vaccins » utilisés contre les virus du Sras-CoV-2 ont fait l'objet de tests cliniques insuffisants. En outre, et selon le rapport, la qualité des substances actives, de leurs « excipients, dont certains sont nouveaux », et les procédés de fabrication sont déficients.

    Le Dr Catherine Frade dirige l'équipe de recherche. Pharmacienne de renom, elle a travaillé sur les données publiques rapportées par l'Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les injections de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen (Johnson & Johnson).

    Voici les données du rapport en question qui ont été publiés le 2 avril 2021 par le CTIAP, sur la base des travaux du Dr Catherine Frade. [Note : toutes les emphases et les mises entre guillemets du terme « vaccin » utilisé lorsqu'il est question de ces quatre « vaccins »-là, sont de mon fait.]

    * * * * *

    Peut-on imaginer le lancement d'une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

    Dans le domaine du médicament — dont les vaccins — l'acte pharmaceutique de « libération » du produit fini — produit autorisé destiné à la vente — constitue l'ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

    Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 « vaccins » contre le Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen [Johnson & Johnson - NdE].

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  23. Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine Frade, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l'industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l'AMM — autorisation de mise sur le marché — elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des
    « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu'un qui ne travaille pas dans le domaine. »
    Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l'auteure de ce document n'exerce plus au sein de l'industrie pharmaceutique ; elle déclare :
    « Tout d'abord, je tiens à préciser que je n'ai aucun conflit d'intérêt avec l'industrie pharmaceutique. »
    C'est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs... une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

    La présente réflexion présente d'abord ce qu'est une AMM « conditionnelle » (1). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu'elles s'étalent de « 2021 à au moins 2024 » (2). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l'Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l'insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (3). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

    1 — En premier lieu, il est important de comprendre ce qu'est une AMM « conditionnelle »

    L'AMM est pour un médicament ce qu'une carte grise représente pour une voiture. L'AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c'est-à-dire qu'il présente plus de bénéfices que de risques. L'obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu'un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.

    En l'espèce, dans le cas de ces « vaccins » contre le Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n'excède pas un an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de cinq ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d'études en cours et d'études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L'AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l'apport et de l'analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

    Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les trente pays suivants — Union européenne et Association européenne de libre-échange : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

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  24. Les études, concernant ces 4 « vaccins », sont donc toujours en cours.

    2 — En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s'étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

    L'ensemble des études déposées lors de la demande d'AMM est résumé dans l'EPAR — European Public Assessment Report : Rapport Public d'Évaluation Européen. Ce dernier est publié sur le site de l'Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

    Ce planning, qui « s'étale de 2021 à au moins 2024 » selon les « vaccins » contre le Covid-19, est défini dans les « annexes » de l'AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

    À titre d'exemple, le « vaccin » BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d'efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

    Le « vaccin » Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d'efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

    Le « vaccin » Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d'efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».

    Le « vaccin » Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d'efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

    Mais, à ce jour, et c'est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 « vaccins ». Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c'est-à-dire la qualité intrinsèque — le cœur — du produit vendu et administré à des millions de gens.

    3 — En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

    C'est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » — c'est-à-dire le « vaccin » autorisé et vendu — est fixé aux mois de :
    « juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;
    « juin 2021 » pour Moderna ;
    « juin 2022 » pour Astra Zeneca ;
    « août 2021 » pour Janssen.
    En effet, pour ces 4 « vaccins », le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l'annexe II de l'AMM, mentionne clairement ce qui suit :

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  25. Pour le « vaccin » BioNTech/Pfizer (pages 18-19)
    À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».
    À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :
    « compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;
    « renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d'assurer une qualité constante du produit » ;
    « fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l'excipient ALC-0315 » et « d'assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;
    « fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l'excipient ALC-0159 » et « d'assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;
    Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l'efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d'étude clinique pour l'étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle — étude C4591001 ».
    Pour le « vaccin » Moderna (page 15)

    Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :
    « compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » — échéance « janvier 2021 » ;
    « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini — tailles de lot initiale et finale — échéance « avril 2021 » ;
    « fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d'assurer une qualité constante du produit » — échéance « juin 2021 » ;
    « soumettre le rapport final de l'étude pour l'étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l'observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l'efficacité et la sécurité de Covid-19 Vaccine Moderna » — échéance « décembre 2022 ».
    Pour le « vaccin » Astra Zeneca (pages 14-15)

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  26. Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :
    « fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » — échéance « décembre 2021 » ;
    « fournir l'analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l'analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l'efficacité et la tolérance de Covid-19 Vaccine AstraZeneca » — échéance « 5 mars 2021 » (pour l'analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l'analyse combinée) ;
    « soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées CoV001, CoV002, CoV003 et CoV005 » en vue de « confirmer l'efficacité et la tolérance de Covid-19 Vaccine AstraZeneca » — échéance « 31 mai 2022 » ;
    « fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d'assurer une qualité constante du produit » — échéance « juin 2022 » ;
    « soumettre la synthèse et les résumés de l'analyse principale et le rapport final d'étude clinique pour l'étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l'efficacité et la tolérance de Covid-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » — pour l'analyse principale — et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d'étude final).
    Pour le « vaccin » Janssen (page 18)

    Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

    « fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » — échéance « 15 août 2021 » ;

    « déposer le rapport final de l'étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518CoV3001 » en vue de « confirmer l'efficacité et la sécurité du vaccin Covid-19 Ad26.CoV2.S » — échéance « 31 décembre 2023 ».

    Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

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  27. Conclusion

    Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l'annexe II de l'AMM, correspondant à chacun de ces 4 « vaccins » contre le Covid-19.

    L'insuffisance d'évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques — études menées chez l'Homme (femme et homme) — mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

    D'ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l'objet d'un dossier d'évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

    Le changement du nom commercial de l'un de ces « vaccins », comme cela a été récemment annoncé pour notamment le « vaccin » du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l'image du produit dans un but marketing — conquête d'une nouvelle confiance du public, relance des ventes. Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l'efficacité et la sécurité du produit. C'est l'une des techniques habituelles utilisée pour maquiller — dissimuler — certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d'autres médicaments sous leur meilleur jour.

    Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament — dont les vaccins —, la « libération » du produit fini — destiné à la vente — est l'ultime étape de contrôle — de la qualité et donc de la sécurité — avant de mettre à disposition de la population ces produits.

    Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs — établissements et professionnels de santé notamment — peut également être engagée.

    À notre avis, ces études cliniques n'auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces « vaccins ».

    Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l'échelle mondiale, si le « vaccin » administré peut varier d'une fabrication à l'autre, d'un lot à l'autre, d'une région à l'autre... ?

    Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

    Même en cas d'urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre le Covid-19.

    Aux incertitudes liées au Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l'utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces « vaccins ». Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d'un.

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  28. La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l'AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n'aurait cherché qu'à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

    Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement — une liberté fondamentale — qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd'hui vaccinées.

    Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori — après l'administration de tel ou tel vaccin.

    L'« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».

    Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé ?

    La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l'âge et de l'état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments — dont les vaccins — est la première des pauvretés et des inégalités.

    D'ailleurs, concernant les incertitudes sur l'efficacité de ces « vaccins », le Conseil d'État relevait, le 3 mars 2021, notamment l'aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l'« administration » française. Dans cette décision, et contre l'avis de ce Ministère, le Conseil d'État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d'État change de position et admet « l'incertitude qui demeure sur l'efficacité réelle du « vaccin » quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu'aucun pays européen n'a pu apporter, non plus, la preuve que ces « vaccins » permettent de prévenir les formes « graves » du Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

    Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre le Covid-19 — Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021, et mis à jour le 29 mars 2021 —, l'agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l'administration de ces « vaccins ». Des décès qui sont notifiés — signalés — en pharmacovigilance — indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès : « 311 décès » après l'administration du « vaccin » BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l'administration du « vaccin » Moderna ; « 20 décès » après l'administration du « vaccin » Astra Zeneca — pas de données pour l'instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé. En sachant, qu'en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

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  29. Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces « vaccins » contre le Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu'à nouvel ordre. C'est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

    D'autant plus qu'en cas d'effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l'exigence de la « preuve diabolique ».

    https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue

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  30. Résultat du 1er cas d'étude post-mortem d'un patient vacciné contre le Sras-CoV-2 : « de l'ARN viral a été trouvé dans la quasi-totalité des organes du corps »


    M.K. Scarlett
    Sott.net
    jeu., 17 juin 2021 16:13 UTC


    Voici les résultats de la toute première autopsie d'une personne « vaccinée » contre le Covid-19 qui, 18 jours plus tard, a été testée négative lors de son admission à l'hôpital. Toutefois, 24 jours après avoir reçu le « vaccin », l'autopsie a révélé que de l'ARN viral était présent dans presque tous les organes du patient décédé. Le « vaccin », tout en déclenchant une réponse immunitaire, n'a PAS empêché le virus — et surtout pas sa protéine Spike — de pénétrer dans la quasi-totalité des organes de son corps.

    - voir croquis sur site -

    Il existe des anticorps — comme ceux que le « vaccin » est censé créer — mais ils ne sont pas pertinents car, d'après une étude japonaise, nous savons maintenant que c'est la protéine Spike S1 qui cause les dommages et non le virus Sras-CoV-2 en lui-même. N'oublions pas les déclarations du Pr Bridle :
    « Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène. C'est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps si elle passe dans la circulation. »
    Hal Turner et son équipe ont parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d'un hôpital du New Jersey le 13 juin dernier. Ils lui ont envoyé les résultats de l'autopsie et lui ont demandé son avis.

    Lorsqu'il les a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué :
    « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l'hôpital si vous le faites. »
    L'équipe de Hal Turner a accepté de dissimuler son identité.

    Le spécialiste a ensuite dit :
    « Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du « vaccin ».

    D'après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde — finalement — aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

    Cet ARNm était censé rester sur le site d'injection, mais ce n'est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l'ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

    Pire encore, la présence de l'ARN viral dans tous les organes, malgré un « vaccin », indique :
    Soit que le « vaccin » ne fonctionne pas du tout ;
    Soit que le virus bénéficie d'un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu'il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.
    Il s'agit d'une bombe à retardement mondiale. »
    Selon le rapport d'autopsie publié par Science Direct, l'homme vacciné était âgé de 86 ans et lorsqu'il a été admis à l'hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires, il a été testé NÉGATIF au Covid-19. Voici ce que décrit le rapport :
    « Nous rapportons le cas d'un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le Sras-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate.

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  31. Le 9 janvier 2021, l'homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des deux semaines suivantes, il n'a présenté aucun symptôme clinique — tableau 1.

    Le jour 18, il a été admis à l'hôpital pour une diarrhée qui s'est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de Covid-19, l'isolement dans un cadre spécifique n'a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d'antigène et la réaction en chaîne par polymérase — PCR — pour le Sras-CoV-2 se sont révélés négatifs. »
    Le rapport de l'autopsie précise aussi que les tests n'ont montré dans ses organes
    « aucun changement morphologique associé au Covid. »
    « Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l'infection par le Covid provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu'elle infecte. CES CHANGEMENTS N'ÉTAIENT PAS apparus chez l'homme vacciné avant sa mort.

    L'homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF au Covid, et le rapport indique que selon toute vraisemblance, l'homme vacciné décédé a contracté le Covid après avoir été admis, par le biais de l'autre patient situé dans la même chambre que lui.

    Les dommages causés aux organes de l'homme vacciné aujourd'hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu'il ne soit infecté par le Covid par l'autre patient de la chambre d'hôpital.

    Pire, une fois que l'homme vacciné a effectivement été infecté par le Covid, celui-ci s'est propagé si rapidement dans son corps qu'il n'a apparemment eu aucune chance. Voici des images des tissus :

    - voir croquis sur site -

    Légende Science Direct — Un résumé des résultats histologiques pertinents et des résultats de la cartographie moléculaire est présenté. L'histomorphologie est obtenue par réaction standard à l'hématoxyline et à l'éosine, sauf pour le myocarde du côté droit (coloration au rouge Congo). Le grossissement est indiqué par des barres. Notez que dans les poumons, nous avons également observé des colonies de cocci (flèche) dans les zones granulocytaires. En outre, les résultats de la cartographie moléculaire sont donnés sous forme de valeurs seuils de cycle évaluées de l'amplification en chaîne par polymérase en temps réel pour le Sras-CoV-2. Il est à noter que le Sras-CoV-2 a été détecté dans tous les organes examinés — oropharynx, muqueuse olfactive, trachée, poumons, cœur, rein et cerveau — sauf dans le bulbe olfactif et le foie.
    Le rapport post-mortem complet est publié sur Science Direct.

    Hal Turner ajoute ce qui suit dans un commentaire en fin d'article.
    « Je ne suis ni médecin ni scientifique et je ne peux donc pas offrir une analyse médicale compétente, mais en tant que profane, de mon point de vue, cela ne semble pas très réjouissant.

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  32. Le rapport post-mortem dit clairement que
    « Ces résultats indiquent que le patient avait déjà développé une immunogénicité pertinente grâce à la vaccination. »
    Pourtant, il a été infecté par un autre patient au 24e jour — après la vaccination — lors de son admission à l'hôpital, et est décédé quatre jours plus tard.

    Si on lit le rapport en entier, l'histoire est la suivante : Le patient a été « vacciné », il a été hospitalisé pour une colite ulcéreuse due à des caillots sanguins, et pendant son hospitalisation, il a été infecté par un compagnon de chambre asymptomatique, et il est mort quatre jours plus tard.

    Ma conclusion : le « vaccin » a conduit cet homme âgé à sa perte.

    Je peux me tromper, mais c'est ce que je vois dans le rapport post-mortem.

    Je n'ai **pas** pris le vaxx et je n'ai pas l'intention de le faire.

    Dans toute cette débâcle du Covid, la seule constante est que la maladie a un taux de SURVIE de 99,8 pour cent. Pour moi, ce n'est pas une pandémie. Pour moi, ce n'est même pas la peine de se faire « vacciner » ; je pense que mon système immunitaire s'en sortira très bien.

    Compte tenu de toutes les réactions indésirables au « vaccin », j'en conclus fermement qu'il est beaucoup plus dangereux de se faire vacciner que de contracter la maladie elle-même.

    Dieu m'a donné un système immunitaire. Je pense que je vais faire confiance à Dieu sur ce point. Après tout, je crois sincèrement que je ne vivrai pas une microseconde de plus que ce que Dieu veut et, inversement, que je ne mourrai pas une microseconde plus tôt que ce que Dieu veut.

    La foi ce n'est pas « croire sans preuve », c'est « la confiance sans réserve ». J'ai confiance en Dieu.

    Décès soudain d'un homme de 32 ans

    Le beau-fils de ce couple, âgé de 32 ans, est mort d'une crise cardiaque 12 heures après avoir reçu le « vaccin » de Johnson & Johnson.

    Le coroner refuse de publier les rapports ; il qualifie la cause du décès de « non concluante ». Beaucoup de ces décès sont tout simplement camouflés. C'est la famille qui vous le dit :

    Sources de l'article : Hal Turner Show & Science Direct
    Traductions : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37400-Resultat-du-1er-cas-d-etude-post-mortem-d-un-patient-vaccine-contre-le-Sras-CoV-2-de-l-ARN-viral-a-ete-trouve-dans-la-quasi-totalite-des-organes-du-corps

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  33. 🚨 Parents, portez attention à ce qui suit...


    mercredi 23 juin 2021


    Sonia Bélanger, présidente-directrice générale du CIUSSS du Centre Sud de l'Ile de Montréal a annoncé hier, en conférence de presse avec Mylène Drouin, directrice régionale de la Santé publique de Montréal, que les stratégies pour rejoindre les récalcitrants à la vaccination vont être d'avantage "locales" cet été et visent à aller chercher les personnes "là où elles sont".

    👉 Sonia Bélanger annonce qu'une de ces stratégies est de visiter les parcs avec la "vaccivan" 👉pour rejoindre les jeunes de 12 à 35 ans. Les "camps de jour" risquent d'être visités, les piscines publiques, les "skate park" et les jeux extérieurs.

    Je ne peux pas croire qu'on est rendus à craindre que les enfants se fassent intercepter dans une glissade au parc pour se faire 💉. C'est d'une indécence sans fin.

    Seigneur protège nos enfants...

    Écoutez à partir de 23:32.

    https://youtu.be/_-HSJBdThv0

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  34. Dépêches de la guerre : les troupes pharmaceutiques/médicales occupent la planète Terre
    Combien de scripts de médicaments les médecins écrivent-ils par an ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    24 juin 2021


    J'ai écrit l'article suivant en 2017. Il détaille l'infiltration massivement réussie des armées pharmaceutiques parmi la population.

    Ces hommes et ces femmes sont des criminels de guerre.

    Nous y voilà:

    Medical News Today rapporte qu'en 2011, il y a eu une légère augmentation du nombre d'ordonnances de médicaments rédigées aux États-Unis. [1] [1a]

    L'augmentation porte le total à : 4,02 milliards.

    Oui, en 2011, les médecins ont rédigé 4,02 milliards d'ordonnances de médicaments en Amérique.

    C'est une moyenne d'environ 13 prescriptions pour chaque homme, femme et enfant.

    Cela représente environ une nouvelle ordonnance chaque mois pour chaque Américain. (Mise à jour : la Kaiser Family Foundation rapporte qu'en 2016, 4 065 479 343 prescriptions de médicaments ont été rédigées par des médecins américains, soit une augmentation de 65 millions. [2])

    L'article de Medical News Today concluait : « … l'industrie devrait être encouragée par la croissance du nombre d'ordonnances et de dépenses. Oui, je suis sûr que l'industrie pharmaceutique a fait sauter des bouchons de champagne.

    Nous parlons ici de prescriptions. Nous ne parlons pas du nombre de pilules prises par les Américains. Nous ne comptons pas non plus les médicaments en vente libre ou les vaccins.

    La pharmacopée, une exposition de 2011 au British Museum, a estimé que "le nombre moyen de pilules qu'une personne prend au cours de sa vie au Royaume-Uni est de 14 000". C'est à cause des ordonnances. Y compris les médicaments en vente libre, le nombre de 14 000 passerait à 40 000 pilules prises au cours d'une vie. [3]

    Quels sont les effets de tous ces médicaments ?

    Nous regardons un cheval de Troie suprême qui pourrit l'Amérique et tous les autres pays de l'intérieur. Guerres, pas de guerres, privation économique, prospérité économique, les drogues continuent de faire leur travail, débilitant et ruinant et mettant fin à des vies.

    De nombreuses sources peuvent être citées pour confirmer cette évaluation.

    Le 8 janvier 2001, le LA Times a publié un article de l'une des meilleures journalistes médicales du secteur, Linda Marsa : « Quand les bonnes drogues font du mal. » Marsa a cité le chercheur Dr David Bates, qui a indiqué qu'aux États-Unis, il y a 36 millions de réactions indésirables graves aux médicaments par an. [4] [4a]

    Le 26 juillet 2000, le Journal of the American Medical Association a publié l'estimation la plus étonnante des dommages causés par les médicaments de l'histoire : « La santé des États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde ? L'auteur était le Dr Barbara Starfield, une chercheuse respectée en santé publique à la Johns Hopkins School of Public Health. [5] [5a]

    Starfield a conclu que les médicaments tuaient les Américains au rythme de 106 000 par an.

    C'est un million de morts par décennie.

    Il s'agit d'une esquisse conservatrice du cheval de Troie qui a été placée au centre de tous les pays du monde.

    Le mastodonte pharmaceutique continuera, aucun doute là-dessus. La seule question est, combien de personnes vont se réveiller et chercher un autre moyen ?

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  35. La destruction des sociétés par les médicaments va bien au-delà de ce que certains appellent la « surprescription ». Ce n'est pas seulement une inclinaison dans la mauvaise direction. Il ne s'agit pas simplement d'erreurs de jugement aggravées par le nombre de médecins dispensant des médicaments.

    Ce sont tous des termes polis suggérant que la situation peut être corrigée grâce à un meilleur jugement professionnel. Cela n'arrivera jamais.

    Les pays du monde sont littéralement agressés par les sociétés pharmaceutiques et leurs médecins fantassins. C'est la guerre chimique.

    Pour commencer même à voir la lumière au bout du tunnel, des centaines de millions de personnes doivent s'ajouter aux rouleaux de ceux qui recherchent déjà une meilleure santé par des moyens naturels.

    Même les nazis et leur cartel bien-aimé, le monstre IG Farben, n'avaient pas rêvé du jour où les citoyens feraient la queue et exigeraient d'ingérer de plus en plus de produits chimiques destructeurs de vie.

    Qu'en est-il de la FDA, l'agence fédérale chargée de certifier tous les médicaments médicaux « sûrs et efficaces », avant leur mise en circulation aux États-Unis ?

    La FDA est tout à fait consciente du nombre de morts monstrueux et des blessures causées par les médicaments mêmes qu'elle approuve, mais elle n'assume aucune responsabilité.

    Sur une page du site Web de la FDA, « Preventable Adverse Drug Reactions : A Focus on Drug Interactions », [6] l'agence discute du « problème » - mais comme vous pouvez le voir dans le titre, elle encadre la conversation en termes d'« interactions », comme si les drogues mutilaient et tuaient les gens parce qu'elles combinent accidentellement leurs effets. C'est un mensonge grossier.

    Voici des citations de la page de la FDA, qui viennent juste après avoir essayé de mettre en gage un nombre absurdement bas de décès et de blessures liés à la drogue :

    "Cependant, d'autres études menées sur des populations de patients hospitalisés ont placé des estimations beaucoup plus élevées sur l'incidence globale des effets indésirables graves [effets indésirables]. Ces études estiment que 6,7 % des patients hospitalisés présentent une réaction indésirable grave au médicament avec un taux de mortalité de 0,32 %.2 Si ces estimations sont correctes, il y a alors plus de 2 216 000 effets indésirables graves chez les patients hospitalisés, causant plus de 106 000 décès par an. Si cela est vrai, alors les EIM sont la 4e principale cause de décès, devant les maladies pulmonaires, le diabète, le sida, la pneumonie, les accidents et les décès liés à l'automobile. »

    « Ces statistiques n'incluent pas le nombre d'EIM qui se produisent en milieu ambulatoire. En outre, on estime que plus de 350 000 EIM se produisent chaque année dans les maisons de soins infirmiers aux États-Unis.3 Le nombre exact d'EIM n'est pas certain et est limité par des considérations méthodologiques. Cependant, quel que soit le nombre réel, les EIM représentent un problème de santé publique important qui est, pour la plupart, évitable. »

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  36. Oui, évitable, si un gouvernement était déterminé à neutraliser les armées pharmaceutiques qui ravagent l'humanité.

    Mais ce n'est pas le cas.

    Les gouvernements soutiennent les tueurs.

    SOURCES:

    [1] http://www.medicalnewstoday.com/releases/250213.php

    [1a] https://web.archive.org/web/20120918225216/http://www.medicalnewstoday.com/releases/250213.php

    [2] (forth coming)

    [3] https://humanitiesandhealth.wordpress.com/2011/04/18/pharmacopoiea-or-how-many-pills-do-we-take-in-a-lifetime-a-wellcome-trust-exhibition-at-the-british-museum/

    [4] http://articles.latimes.com/2001/jan/08/health/he-9609

    [4a] https://web.archive.org/web/20130215182710/http://articles.latimes.com/2001/jan/08/health/he-9609

    [5] https://www.jhsph.edu/research/centers-and-institutes/johns-hopkins-primary-care-policy-center/Publications_PDFs/A154.pdf

    [5a] https://blog.nomorefakenews.com/2009/12/09/an-exclusive-interview-with-dr-barbara-starfield-medically-caused-death-in-america/

    [6] https://www.fda.gov/drugs/drug-interactions-labeling/preventable-adverse-drug-reactions-focus-drug-interactions

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/jon-rappoport/dispatches-from-the-war-the-pharmaceutical-medical-troops-occupy-planet-earth/

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  37. L'Angleterre s'apprête à abandonner les règles relatives aux masques faciaux après la révélation d'un énorme impact économique


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 24 JUIN 2021 - 02:00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    L'Angleterre devrait abandonner toutes les règles relatives aux masques faciaux le 19 juillet après qu'il a été révélé que le maintien de telles restrictions coûterait des milliards à l'économie et forcerait de nombreuses entreprises à fermer.

    « L'obligation de porter des masques dans les transports publics et dans les magasins sera remplacée par des directives conseillant aux gens de porter des masques dans certaines circonstances, plutôt que de les obliger », rapporte le Times.

    La décision fait suite aux conclusions d'une évaluation interne de l'impact économique produite par le programme de recherche sur les événements du gouvernement qui a détaillé l'impact massif des mesures de distanciation sociale sur les entreprises.

    Politico Playbook révèle que "le maintien de toutes les mesures coûterait des milliards à l'économie et entraînerait la fermeture de nombreuses entreprises".

    Plus précisément, les salles couvertes telles que les arts, les cinémas et les événements commerciaux n'atteindraient que 59% de leur chiffre d'affaires 2019 si les restrictions restaient, ce qui leur coûterait 4,88 milliards de livres sterling au cours de l'année prochaine.

    Même si la seule restriction restante maintenue est les masques faciaux, « l'ensemble de l'industrie de l'événementiel atteindrait seulement 82% de son chiffre d'affaires 2019. Les salles couvertes n'obtiendraient que 72 pour cent. Intérieur non assis à seulement 65 pour cent. Les sites extérieurs sans places assises ne géreraient que 82 % de leur chiffre de 2019. »

    L'industrie de l'événementiel dans son ensemble ne génère que 60% des revenus normaux dans le cadre des restrictions actuelles, qui se poursuivront probablement jusqu'au 19 juillet.

    Cependant, avec certains conseillers du gouvernement (à savoir un ancien communiste) poussant pour que les restrictions se poursuivent littéralement pour toujours, ne soyez pas surpris de voir certaines d'entre elles réintroduites en hiver.

    Mais avec des passeports vaccinaux pour les pubs toujours à l'étude, tout retour de restrictions n'aura probablement d'impact que sur ceux qui n'ont pas pris de vaccin.

    Cela créera alors une société à deux vitesses où ceux qui, pour une raison quelconque, n'ont pas reçu le jab seront confrontés à la discrimination et au verrouillage de facto pour les années à venir.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/england-set-drop-face-mask-rules-after-huge-economic-impact-revealed

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    1. Après DES millions de morts suite aux injections forcées d'expérimentations d'essais sur cobayes non avertis, il manquerait déjà trop de gens pour faire vivre les riches !

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  38. L'ivermectine peut prévenir 86% des cas de Covid, et le Royaume-Uni en fera un essai entravé

    La nouvelle super méta-examen de l'ivermectine est sortie. C'est 27 pages de détails en petits caractères et 144 références, et c'est très impressionnant.


    June 24th, 2021

    - voir croquis sur site -
    Ivermectine…. par Fvasconcellos

    Bryant et al se sont trempés dans 24 études impliquant 3 406 personnes et ont découvert que l'utilisation d'ivermectine réduisait le nombre de décès de 60 % avec une « certitude modérée ». Mais l'ivermectine semble être à son meilleur lorsqu'elle est utilisée pour prévenir les infections en premier lieu. Il y avait une "faible certitude" mais avec une utilisation prophylactique, les infections à Covid ont été réduites en moyenne de 86%. Mais au moment où les patients avaient "besoin d'une ventilation mécanique", les données, bien que boueuses, suggéraient que l'ivermectine n'était pas d'une grande aide.

    La mauvaise chose à propos de l'ivermectine est qu'il n'y a pas beaucoup de mauvaises choses. C'est trop bon, trop bon marché, trop sûr et trop loin d'être breveté pour être rentable.

    Compte tenu des preuves d'efficacité, d'innocuité, de faible coût et des taux de mortalité actuels, l'ivermectine est susceptible d'avoir un
    impact sur la santé et les résultats économiques de la pandémie dans de nombreux pays. L'ivermectine n'est pas une nouveauté
    et médicament expérimental avec un profil d'innocuité inconnu. C'est un « Médicament Essentiel » de l'OMS déjà utilisé dans plusieurs indications différentes, dans des volumes cumulés colossaux.

    Nous pouvons presque entendre la frustration alors que Bryant et al comparent avec quelle facilité d'autres médicaments obtiennent l'approbation pour traiter Covid :

    Les corticostéroïdes sont devenus une norme de soins acceptée dans la COVID-19, basée sur un seul ECR sur la dexaméthasone.1 Si un seul ECR est suffisant pour l'adoption de la dexaméthasone, alors a fortiori les preuves de 2 douzaines d'ECR soutiennent l'adoption de l'ivermectine.

    ECR signifie un essai contrôlé aléatoire. Parfois, un essai suffit, d'autres fois 24 essais ne suffisent pas.

    h/t à Ian et Phillip

    Pendant ce temps, la BBC a annoncé que l'ivermectine sera étudiée comme traitement possible au Royaume-Uni

    Tenez bon les champions. L'étude de principe semble être un modèle d'attente pour repousser les questions sur « pourquoi ils n'étudiaient pas l'ivermectine ». Les bons journalistes voudront demander pourquoi l'essai permettra aux gens de se joindre jusqu'à 15 jours après l'apparition des symptômes, alors que les meilleurs résultats sont obtenus avec un traitement précoce et même une utilisation prophylactique. Si seulement il restait de bons reporters à la BBC.

    L'essai permettra également aux personnes vaccinées de participer, ce qui est un bon moyen de diluer les résultats. Si nous comparons 2000 personnes vaccinées avec 2000 personnes également vaccinées, la différence entre le placebo et le médicament peut ne pas être très significative. Et si le vaccin « est le ticket pour la liberté », pourquoi inviter des vaccinés à participer à l'essai ? Est-ce, peut-être une voie de retour pour réduire le nombre de décès chez les vaccinés qui contractent des infections révolutionnaires ? Espérons juste pour le bien des vaccinés, que les docs n'attendent pas d'être sous respirateur.

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  39. Si le ministère britannique de la Big Pharma Health voulait vraiment tester l'ivermectine, il l'offrirait aux personnes dans les zones à haut risque qui ne sont pas malades et n'étaient pas vaccinées, et comparerait des cas similaires sans ivermectine dans la même région.

    Mais cela pourrait donner de bons résultats.

    h/t Steve,

    L'Indonésie est cependant assez pauvre pour approuver l'utilisation de l'ivermectine. Sans accès à des lits de soins intensifs à 5 000 dollars par jour ni à des vaccins expérimentaux de masse, l'Indonésie regarde vers le bas le baril de la variante Delta. Ils ont reçu du Sinovax, le vaccin chinois, mais apparemment ce n'est pas grand-chose (comme ce n'était pas le cas aux Seychelles, ni au Chili non plus).

    La capacité de production d'ivermectine serait de 4 millions par mois. (Vraisemblablement, ils se réfèrent à des doses ?). Mais avec 270 millions de personnes, cela pourrait ne pas suffire, même si elles sont distribuées aux personnes les plus à risque. Avec 15 000 nouveaux cas quotidiens et doublant rapidement, ils courent à contre-courant. Ils auraient probablement besoin de quelques millions de doses rien que pour les contacts actuels.

    L'Indonésie n'a pas seulement deux nouvelles variantes préoccupantes, elles en ont 211.

    Surveillez cet endroit…. (et priez pour le peuple indonésien). Nous avons décollé. 🙁

    Worldomètre. Indonésie. Covid.
    Les choses deviennent rapidement incontrôlables en Indonésie.

    - voir graphique sur site -

    Nous devons admirer Craig Kelly et Malcolm Roberts en Australie.

    LES RÉFÉRENCES

    Bryant, Andrew MSc1,*; Lawrie, Theresa A. MBBCh, PhD2; Dowswell, Thérèse PhD2; Fordham, Edmund J. PhD2; Mitchell, Scott MBChB, MRCS3; Hill, Sarah R. PhD1; Tham, Tony C. MD, FRCP4 (2021) Ivermectine pour la prévention et le traitement de l'infection au COVID-19, une revue systématique, une méta-analyse et une analyse séquentielle d'essais pour éclairer les directives cliniques

    American Journal of Therapeutics : 17 juin 2021 – Publication du volume avant impression – Numéro –

    doi: 10.1097/MJT.0000000000001402

    https://joannenova.com.au/2021/06/ivermectin-may-prevent-86-of-cases-and-the-uk-will-do-a-hobbled-trial-of-it/

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  40. Les thermostats « intelligents » au Texas sont contrôlés à distance par le gouvernement pour limiter la consommation d'énergie


    Jeudi 24 juin 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Certains résidents de l'État de Lone Star signalent que leurs thermostats «intelligents» sont désormais contrôlés à distance par le gouvernement pour aider à minimiser la consommation d'énergie pendant la «crise» actuelle de la vague de chaleur.

    Alors que le Texas traverse encore une autre saison où les résidents doivent utiliser les services publics de base afin de maintenir des températures habitables dans leurs maisons, les autorités se démènent pour trouver une sorte de solution qui évitera de faire planter l'ensemble du réseau.

    L'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), qui a gâché la crise énergétique du Texas en février, exhorte les Texans à augmenter leurs thermostats pour empêcher le réseau électrique de l'État de tomber en panne. Dans certains cas, cependant, cela se produit automatiquement et sans consentement.

    « [Ma femme] l'a fait baisser à 14 h 30 », s'est plaint Brandon English, un habitant de Deer Park, à l'affilié local de Houston KHOU. « Il faut beaucoup de temps pour que cette maison se refroidisse quand il fait si chaud. Ils avaient dormi assez longtemps pour que la maison soit déjà à 78 degrés. Alors ils se sont réveillés en sueur.

    La femme d'English aurait reçu une alerte sur son téléphone peu de temps après, indiquant qu'elle et son mari avaient été modifiés à distance, sans leur autorisation, en raison d'un "événement d'économie d'énergie".

    « Ma fille était-elle sur le point de surchauffer ? Elle a trois mois. Ils se déshydratent rapidement », a encore déploré English.

    Lisez attentivement les conditions de votre thermostat « intelligent »
    Le thermostat « intelligent » anglais est géré par une société appelée EnergyHub qui a été installée il y a quelques années dans le cadre d'un « nouveau package de sécurité domestique ». La famille s'est apparemment inscrite à un programme appelé "Smart Savers Texas" qui permet au gouvernement de contrôler leur thermostat à distance.

    En échange d'une participation au tirage au sort, les clients électriques du Texas peuvent choisir de céder le contrôle de la consommation d'énergie de leur maison à des bureaucrates qui sont libres de l'augmenter ou de la réduire en fonction de la saison.

    "Je ne voudrais pas que quelqu'un d'autre contrôle les choses pour moi", a déploré English, apparemment inconscient du fait qu'il a opté pour le problème, probablement en omettant de lire les termes associés à son thermostat "intelligent".

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  41. "Si quelqu'un d'autre peut manipuler ça, je ne suis pas pour ça."

    De nombreux autres Texans rencontrent des problèmes similaires avec leurs thermostats «intelligents», ce qui a incité beaucoup d'entre eux à créer un groupe de soutien sur Reddit pour exprimer leurs griefs.

    C'est ce qui arrive lorsque des gens acceptent par inadvertance et inutilement de connecter leur maison au « cloud » énergétique, le tout sous prétexte de rendre la vie « plus intelligente » et plus pratique. Il est peut-être temps d'arracher ces appareils de votre maison si vous en avez et de dire au gouvernement de se dépêcher lorsqu'il s'agit de contrôler la consommation d'énergie.

    Mieux encore, que diriez-vous de tenir les politiciens et les entreprises pour responsables de ne pas avoir amélioré les infrastructures énergétiques afin, vous savez, que nous ne pouvons pas tous geler ou fondre à chaque fois que les saisons changent. Juste une pensée.

    "Chacune de ces personnes a non seulement connecté son thermostat au" cloud ", mais a également autorisé des personnes inconnues à le régler à distance lorsqu'elles se sont inscrites pour" enregistrer "", a écrit un commentateur de Zero Hedge.

    « J'inspecte les maisons pour gagner ma vie maintenant et je les vois partout, même dans des décharges délabrées. Comment tant de gens sont-ils assez stupides pour mettre un microphone dans leur maison qui est connecté au cloud qui enregistre tout ? »

    D'autres sont d'accord, notant que tous ces thermostats «intelligents», nœuds Amazon Alexa, sonnettes Ring et autres dispositifs d'espionnage sont le point d'entrée du gouvernement pour contrôler la vie des gens sans que beaucoup d'entre eux aient même la moindre idée de ce qui se passe réellement.

    Vous trouverez plus d'informations sur l'infrastructure défaillante de l'Amérique sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-06-24-smart-thermostats-texas-remotely-controlled-government-energy.html

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  42. Ex-chef du renseignement : des ovnis repérés par l'armée non exploités par la Chine et la Russie


    Mercredi 23 juin 2021
    par : Virgilio Marin


    (Natural News) John Ratcliffe, ancien directeur du renseignement national sous l'ancien président Donald Trump, a affirmé que les ovnis repérés par l'armée n'étaient ni exploités par la Chine ni la Russie car les objets étaient beaucoup trop avancés.

    "Beaucoup de gens disent que c'est la Russie ou la Chine", a déclaré Ratcliffe dans une interview à Fox News le 7 juin. "Mais nous savons pertinemment dans la communauté du renseignement que des choses comme les propriétés trans-moyennes et les vitesses hypersoniques – la Russie et la Chine clairement n'en avait pas en 2004 lorsque ces choses ont été observées et signalées.

    En 2004, les pilotes de la Marine ont repéré ce qu'ils ont décrit comme un avion en forme de Tic Tac volant au large des côtes de San Diego. Le capitaine d'armes à la retraite Sean Cahil, qui était sur les lieux lorsque l'observation s'est produite, a déclaré le mois dernier au journaliste Christ Cuomo que l'engin était capable de voyager à des vitesses hypersoniques même s'il n'avait aucun signe visible de propulsion.

    D'autres objets non identifiés repérés par l'armée étaient « trans-moyens », ce qui signifie qu'ils pouvaient voyager à la fois dans les airs et sous l'eau. En 2019, le personnel de la Marine a vu un engin sphérique volant au large de la côte de San Diego disparaître dans la mer en contrebas. Une vidéo de l'OVNI a été divulguée le mois dernier et a été confirmée par le ministère de la Défense.

    Ces véhicules étaient soupçonnés d'être des technologies développées par des rivaux américains, tels que la Chine et la Russie. Ils pourraient également être des inventions top secrètes faites par l'armée américaine.

    Mais Cahil a dit que l'OVNI de Tic Tac constituait une pièce de technologie qui a dépassé l'arsenal américain jusqu'à 1000 ans. Et lorsqu'on lui a demandé de donner une explication possible pour les ovnis, il a dit qu'il ne croyait pas qu'ils étaient "à l'intérieur de l'arsenal de toute technologie humaine pour le moment".

    Dans tous les cas, Ratcliffe a noté que les agences de renseignement devraient aller au fond de ce qu'étaient ces objets mystérieux pour le bien de la sécurité nationale. "Si quelqu'un est plus grand, plus rapide, plus fort là-bas, nous devons le savoir", a-t-il déclaré.

    Rapport sur les ovnis : certains ovnis pourraient provenir de Chine et de Russie
    Le prochain rapport sur les ovnis qui a été préparé par le Pentagone et d'autres agences de renseignement a semblé contester les remarques de Ratcliffe et Cahil. Le rapport sera soumis au Congrès le 25 juin, mais les responsables qui en ont été informés ont divulgué des détails clés au New York Times.

    Bien que le rapport n'exclue pas une explication extraterrestre, il déclare également qu'au moins certains des ovnis repérés par l'armée pourraient être des technologies expérimentales d'une puissance rivale, selon les responsables.

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  43. Un informateur a révélé que les responsables du renseignement et de l'armée craignaient que la Chine ou la Russie expérimentent la technologie hypersonique. Les deux pays développent des armes hypersoniques, la Russie estimant que ces armes lui permettraient d'échapper aux systèmes de défense antimissile américains.

    Les responsables de l'administration ont déclaré que si les observations de l'armée étaient des avions chinois ou russes, cela suggérerait que les recherches hypersoniques des deux pays avaient de loin dépassé le développement des armes américaines.

    Les experts ont également émis l'hypothèse que le gouvernement américain est délibérément ambigu sur ses conclusions sur les ovnis pour couvrir une course aux armements en cours. David Clarke, un Britannique qui conserve les archives officielles sur les ovnis pour les Archives nationales britanniques, est allé jusqu'à dire que le rapport sur les ovnis avait été commandé pour distraire le public d'une "guerre secrète" entre les États-Unis et leurs rivaux.

    « Si vous êtes du renseignement militaire, quel meilleur moyen de dissimuler cette guerre secrète qui se déroule – la nouvelle guerre froide, qui est effectivement ce qu’elle est – que de laisser tout le monde sur la fausse piste à la recherche d’extraterrestres ? il a dit au Daily Star. (Connexe : les récentes révélations sur les ovnis nous préparent-elles à une tromperie de masse aux proportions épiques ?)

    Le conservateur a estimé que si la Russie et la Chine utilisaient leur technologie de drone hypersonique pour espionner les États-Unis, alors ces derniers faisaient probablement la même chose aux deux pays. Et pour garder ses opérations secrètes, il a choisi de garder le silence sur les activités de surveillance de ses rivaux, selon Clarke.

    "Ils ne veulent pas faire exploser la gaffe en disant:" Oh oui, nous savons que les Russes le font sur nous "", a-t-il déclaré.

    Visitez WeaponsTechnology.news pour en savoir plus sur les armes développées par la Chine, la Russie et les États-Unis.

    Les sources comprennent :

    DailyStar.fr 1
    Edition.CNN.com
    LiveScience.com
    NYTimes.com
    DailyStar.co.uk 2

    https://www.naturalnews.com/2021-06-23-ufos-military-not-from-china-russia.html

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    1. Mais jusqu'où s'arrêteront-ils ?! Voilà t'y pas que la Chine et la Russie sont soupçonnées/désignées comme étant à l'origine de l'arrivée de véhicules complètement cons appelés 'extraterrestres' !!

      Donc: Siiiiii les hologrammes de 'soucoupes volantes' (freesby), seraient de montrer du doigt la Chine et la Russie qui projetteraient d'amusantes images, il n'y a qu'un pas pour désigner les responsables des imageries d'avions (Boeings) dans le ciel du 11 Septembre !! HAHAHAHA !

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  44. Vote obligatoire : bienvenue dans l’avenir radieux du contrôle social

    Suite au taux d’abstentions record observé lors des régionales, le sujet du vote obligatoire surgit à nouveau.


    25 JUIN 2021
    Par Nathalie MP Meyer.


    Avec un taux d’abstention record de 66,1 % enregistré dimanche 20 juin dernier lors du premier tour des élections régionales 2021, il eut été étonnant de ne pas voir resurgir l’idée de rendre le vote obligatoire.

    Premier au taquet, le journaliste Christophe Barbier qui relance bruyamment sa proposition de 2015 d’infliger aux abstentionnistes d’une élection ce qu’il appelle une « punition douce et démocratique » en les privant de leur droit de participer aux élections suivantes :

    L’ancien directeur de la rédaction du magazine L’Express n’est certes ni le premier ni le seul à préconiser une telle coercition du droit de vote. Le quotidien Le Figaro nous rappelait récemment que dès l’instauration du suffrage universel masculin en 1848 (le féminin suivra un siècle plus tard), s’est posée la question du traitement de l’abstention.

    À l’époque, le sujet de l’élargissement du vote censitaire au profit du suffrage universel avait donné lieu à une lutte acharnée qui avait entraîné la chute de Guizot et de la monarchie de Juillet. De ce fait, certains instigateurs du suffrage universel concevaient mal que ce nouveau droit ne soit pas pleinement exercé par les bénéficiaires.

    Encore qu’en 1882, un éditorialiste partisan du vote obligatoire concédait volontiers que « pour nous procurer des députés dans le genre de ceux dont nous jouissons, il n’y a vraiment pas de quoi se déranger » (problème éternel, manifestement). Son argumentation en faveur de l’obligation consistait alors à dire que « c’est justement parce que l’abstention électorale augmente, que la qualité législative diminue ». Ne serait-ce pas plutôt le contraire ? Je vais y revenir.

    LE RETOUR DU VOTE OBLIGATOIRE

    Plus près de nous, notons que le vote obligatoire figurait dans le programme présidentiel 2017 de Jean-Luc Mélenchon (France insoumise) associé à la reconnaissance du vote blanc, qu’il apparaissait sous forme de question dans la Lettre aux Français d’Emmanuel Macron (janvier 2019) rédigée en préambule du Grand débat national (pour être finalement écarté des décisions) et qu’il a reçu récemment les faveurs du maire de Perpignan Louis Aliot (Rassemblement national) alors que son parti a enregistré un recul inhabituel dimanche dernier. Même ses électeurs se sont abstenus massivement :

    Participation au premier tour des élections régionales 2021 selon le vote au premier tour de l’élection présidentielle de 2017 – Enquête IFOP-Fiducial pour TF1 et LCI :

    Il serait donc question de réenchanter la politique et la démocratie… en contraignant davantage l’électeur. Tout un programme qui cache mal le besoin de domination des classes politique et médiatique sur les citoyens et leur incapacité totale à imaginer et/ou admettre des espaces d’existence extérieurs à l’emprise étatique. Écoutons Christophe Barbier in extenso (vidéo d’avril 2015, 03′ 10″) :

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  45. Le simple fait d’entendre un citoyen tout à fait ordinaire, en tout cas pas plus apte que vous et moi pour juger à la place des autres de la meilleure attitude politique à tenir en telle ou telle circonstance électorale, fut-il journaliste avec ou sans écharpe rouge – le simple fait, donc, de le voir décider sur les plateaux-télé que les raisons des abstentionnistes de s’abstenir sont de mauvaises raisons, puis vouloir les punir au nom de la démocratie et de la résistance à la tyrannie est absolument révoltant.

    M. Barbier a peut-être les meilleures intentions du monde, mais ce faisant, il saute un peu vite dans les bottes du despote éclairé toujours prêt à tenir (fermement) la main de ses concitoyens, pas assez « conscientisés » aux choses de la politique à son goût, pour les guider comme des enfants incapables de décider par eux-mêmes. On va donc les obliger – à voter, mais on peut penser à d’autres obligations latentes… – puis ensuite punir les récalcitrants et, pourquoi pas, récompenser les « bons » citoyens.

    Jolie démocratie. Jolie tentative de contrôle social à la chinoise ou à la nord-coréenne. Eh bien, désolée, mais non merci.

    Tout candidat une fois élu aime pouvoir se dire qu’il doit sa place à la volonté du peuple. L’abstention caracolante est alors vécue comme une véritable injure faite à la grandeur de son engagement et de son dévouement. Très vite le non-exercice du droit de vote est considéré comme « une atteinte au contrat social » (dixit Barbier).

    MAIS QUEL CONTRAT SOCIAL ?

    Celui qui fait que les droits des citoyens s’accompagnent de devoirs, vous répond-on généralement. Sauf qu’un droit ne peut devenir son propre devoir. Un droit ouvre une porte, il ne comporte nullement l’obligation interne d’être exercé. Sinon, ce n’est plus un droit mais une réduction caractérisée des libertés individuelles.

    Puis très vite le peuple est accusé de ne pas reconnaître ses politiciens à leur, non pas juste, mais haute valeur. Très vite ces derniers en viennent à déplorer le recul de la démocratie puis le recul du sentiment collectif. Très vite l’individualisme et l’unique soin que chacun porte à ses misérables petites affaires sont mis en accusation.

    Il y a quelque chose de fondamentalement collectiviste dans cette idée autoritaire par nature d’obliger tout le monde à voter. Comme si tout le monde devait s’intéresser à la politique ; comme si, même en s’y intéressant, l’on devait systématiquement adouber l’un ou l’autre candidat de l’offre politique du moment ; comme si l’on ne pouvait pas évaluer la plus ou moins grande importance de certaines élections par rapport à d’autres ; comme si l’on ne pouvait pas refuser de jouer le jeu de politiciens foncièrement clientélistes en campagne électorale puis désespérément occupés, une fois en poste, à se rendre indispensables par leur interventionnisme maladif dans toutes les activités humaines.

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  46. Tout comme Mélenchon et la plupart des partisans du vote obligatoire, Christophe Barbier concède que celui-ci s’accompagnerait de la reconnaissance du vote blanc qui selon lui donnerait un signal très utile aux politiciens pour corriger le tir.

    Mais outre qu’il est bien audacieux d’accorder du crédit à une répartition des votes effectuée non pas librement mais dans la crainte d’une sanction – exactement comme la justice dans un État de droit ne se satisfait pas d’aveux obtenus sous la contrainte – en quoi l’abstention parfaitement spontanée d’aujourd’hui ne constitue-t-elle pas un formidable avertissement à l’encontre de la classe politique ?

    Observons à cet égard que les citoyens français se déterminent de façon parfaitement rationnelle compte tenu de nos institutions. Le régime de la Cinquième République est devenu encore plus présidentiel que ne le voulait le Général de Gaulle lorsque le mandat du Président fut ramené à cinq ans à partir de 2002.

    Pas étonnant dès lors que l’élection présidentielle attire nettement plus les électeurs (78 % de participation au premier tour de 2017) que tous les autres scrutins, l’impact de ces derniers sur la vie du pays paraissant bien moindre par comparaison.

    Même les élections législatives, celles qui, à mon sens, devraient trôner au centre de notre vie politique comme dans d’autres pays de Constitution plus parlementaire (Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas…) sont vécues comme un simple enregistrement de la nouvelle majorité dans la foulée de l’élection du président de la République (participation de 49 % au premier tour de 2017).

    Si l’on s’en tient aux élections régionales, pas très étonnant non plus de constater le désintérêt de l’édition 2021 par rapport au round précédent de 2015.

    - voir graphique sur site -

    Il y avait alors une nouveauté : une réforme censée mettre fin aux redondances du célèbre millefeuille territorial français avait eu lieu, faisant passer le nombre de régions en métropole (Corse comprise) de 22 à 13. Depuis, les Français ont eu tout loisir de se rendre compte que cette réforme n’a pas produit les économies ni les simplifications escomptées, ainsi que l’a souligné la Cour des comptes.

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  47. Ajoutez des compétences restreintes (les régions représentent 2,5 % du total des dépenses publiques du pays) et mal connues des administrés et vous avez la recette parfaite pour un sympathique dimanche loin des urnes.

    À vrai dire, il en va du fonctionnement des élections comme du fonctionnement de n’importe quel marché concurrentiel où des individus libres échangent des biens et services. Les candidats aux élections constituent l’équivalent politique de l’offre marchande de tablettes de chocolat, de séries télévisées ou de chaussures de ski, tandis que les électeurs représentent les clients, c’est-à-dire la demande.

    Un élu dévoué qui me lirait se boucherait probablement les oreilles devant mon odieuse « marchandisation » de la politique, mais ce que nous dit très clairement l’abstention de dimanche dernier, c’est qu’il n’y a guère de demande citoyenne pour l’organisation régionale telle qu’elle s’articule actuellement, quelles qu’en soient les différentes raisons et quelles que soient les propositions (candidats) disponibles, exactement comme de mauvaises ventes sur, disons, des trottinettes à hydrogène reflèteraient le manque d’intérêt des clients pour ces produits, peu importe le fabricant, en raison d’un prix trop élevé, de fonctionnalités défaillantes, d’un poids excessif et que sais-je encore.

    Mais contraignez l’un des paramètres de ces marchés (prix, quotas, subventions pour le marché des biens et services – vote obligatoire pour le marché électoral) et vous perdez les informations qui permettraient à l’offre de s’améliorer et de retrouver une demande dynamique.

    Finalement, dans leur frénésie obsessionnelle à se maintenir au pouvoir par tous les subterfuges possibles sans admettre jamais qu’ils puissent être sanctionnés par les électeurs pour leur incurie, leur incohérence et leur incompétence, les politiciens sont les premiers responsables de l’abstention massive qu’ils déplorent.

    Il est typique de leur désastreux complexe de supériorité de refuser de prendre en compte les indicateurs que les électeurs placent obligeamment sous leurs yeux. Ils préfèrent de beaucoup pousser la poussière de leurs carences sous le tapis et tout mettre hypocritement sur le dos de l’incivisme des citoyens dans un assaut de coercition et de surveillance supplémentaire. Aveuglement délétère. Ça promet.

    https://www.contrepoints.org/2021/06/25/400315-vote-obligatoire-bienvenue-dans-lavenir-radieux-du-controle-social

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    1. (...) « punition douce et démocratique » (...)

      La dictature en place n'hésite pas à parler de 'Démocratie' alors qu'une république EST LE CONTRAIRE d'une Démocratie !
      La Démocratie c'est: 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. C'est le Peuple qui dirige. C'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois.
      En dictatures ce sont des tuteurs (députés/sénateurs) qui proposent et votent eux-mêmes leurs lois. Sans RIEN demander au Peuple ! Le Peuple doit FERMER SA GUEULE !

      En dictature on a le choix ! entre une merde OU une merde ! Laquelle choisir ?
      AUCUN(E) candidat(e) en dictature ne propose la Démocratie ! AUCUN(E) candidat(e) n'est dans l'opposition ! La dictature c'est un train de vie de milliardaire assuré !

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  48. Visualiser les sécheresses aux États-Unis au cours des 20 dernières années


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 24 JUIN 2021 - 23:45


    L'ouest des États-Unis connaît l'une des pires sécheresses enregistrées au cours des 20 dernières années.

    Les températures de la Californie aux Dakotas oscillent actuellement autour de 9 à 12 ° F au-dessus de la moyenne - mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist (et répond ci-dessous), à quel point la situation est-elle mauvaise par rapport aux années précédentes ?

    Cette carte animée par l'utilisateur de reddit /NothingAbnormalHere fournit un aperçu historique des sécheresses aux États-Unis depuis 1999, à l'aide de données et de graphiques du U.S. Drought Monitor (USDM).

    - voir carte sur site -

    Qu'est-ce que le moniteur de sécheresse américain ?
    Au cours des deux dernières décennies, l'USDM a suivi, mesuré et comparé les sécheresses à travers l'Amérique.

    Alors que les sécheresses peuvent être difficiles à classer et à normaliser, il existe divers facteurs qui peuvent être utilisés pour évaluer quand une région connaît une sécheresse. Il s'agit notamment de mesures des niveaux du manteau neigeux, de l'humidité du sol et des précipitations récentes.

    Pour suivre ces conditions (et leur donner un sens), l'USDM synthétise les données d'une pléthore de sources météorologiques, notamment l'indice de gravité de la sécheresse de Palmer et l'indice de précipitation standardisé.

    A partir de là, les conditions sont décomposées en catégories, allant de D0 (anormalement sèche) à D4 (sécheresse exceptionnelle). Une carte est publiée chaque semaine qui montre quels États connaissent la sécheresse et dans quelle mesure.

    Où sont les zones les plus sujettes à la sécheresse ?
    Selon une carte créée par la climatologue Becky Bolinger (publiée sur Drought.gov), l'Arizona et le Nevada sont les États historiquement les plus sujets à la sécheresse - les deux ont connu la sécheresse plus de 50% du temps suivi par l'USDM.

    - voir carte sur site -

    La Californie figure également en bonne place sur la liste, l'État connaissant une sécheresse au moins 40 % du temps.

    Comme le montrent les données historiques, l'Occident n'est pas étranger aux sécheresses. Cependant, la sécheresse de cette année est devenue particulièrement préoccupante en raison de son intensité et de son ampleur.

    À l'heure actuelle, plus d'un quart de l'Ouest connaît une sécheresse de niveau D4, un nouveau record. Pour vous aider à mettre les choses en perspective, voici un aperçu de la superficie totale des terres de l'Ouest en sécheresse depuis 2000 :

    - voir carte sur site -

    Lorsqu'une région connaît une sécheresse D4, les impacts possibles incluent :

    La pénurie d'eau
    Des réservoirs plus bas, combinés à une diminution du manteau neigeux, entraînent des pénuries d'eau.

    Pertes de récolte
    Les pénuries d'eau signifient moins d'eau pour les champs, ce qui peut conduire à des acres de terres agricoles en jachère (inutilisées).

    Feux de forêt
    Les conditions sèches et le manque d'humidité augmentent le risque d'incendies de forêt.

    Est-ce la nouvelle norme ?
    Cette sécheresse record fait des ravages dans tout l'Ouest. En Californie, les réservoirs contiennent environ deux fois moins d'eau que d'habitude, et des mauvaises récoltes se produisent dans tout le Colorado.

    La pire partie ? Certains experts pensent que cela pourrait être la nouvelle norme si le changement climatique provoqué par l'homme continue d'augmenter les températures moyennes à travers le monde.

    https://www.zerohedge.com/weather/visualizing-us-droughts-over-last-20-years

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    1. Les fracturations hydrauliques pour la capture du gaz de shiste sont passées par là !

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  49. Pourquoi un grand nombre d'oiseaux tombent-ils soudainement morts dans plusieurs États américains ?

    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 24 JUIN 2021 - 22:45
    Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    Comme si nous n'avions pas assez de choses étranges, maintenant les oiseaux tombent soudainement morts en grand nombre dans toute la moitié est du pays. Avant de mourir, beaucoup de ces oiseaux présentent des symptômes très étranges. Les experts nous disent que dans de nombreux cas, les oiseaux développent des « yeux croustillants ou gonflés », et souvent ils semblent devenir complètement aveugles. De plus, bon nombre de ces oiseaux mourants perdent leur capacité à rester en équilibre, et on nous dit que certains semblent même avoir des « crises ». Si les scientifiques comprenaient ce qui causait cela, ce serait une chose. Mais à ce stade, ils n'ont aucune idée de la raison pour laquelle cela se produit, et c'est assez alarmant.

    Jusqu'à présent, des incidents confirmés de cet étrange phénomène ont été documentés à Washington D.C., Virginie, Virginie-Occidentale, Maryland, Kentucky, Ohio et Indiana.

    Serait-il possible que nous ayons affaire à une « maladie mystérieuse » qui a commencé dans un État et qui s'est maintenant propagée à d'autres États voisins ?

    Ou est-ce qu'il se passe autre chose ici ?

    On nous dit que « les geais bleus, les quiscales bronzés et les étourneaux sansonnets » sont les oiseaux les plus fréquemment touchés.

    Mais tout ce qui se passe n'est pas limité à une seule espèce d'oiseaux, et je pense que cela devrait être un signal d'alarme.

    Si nos meilleurs experts avaient même une théorie de travail décente sur les raisons pour lesquelles tant d'oiseaux meurent, je n'aurais probablement pas écrit cet article. Mais à ce stade, ils admettent ouvertement qu'ils n'ont absolument aucune idée de la raison pour laquelle tant d'oiseaux tombent soudainement morts…

    "Nous connaissons une mortalité d'oiseaux inhabituelle cette année", a déclaré Kate Slankard, biologiste aviaire au Kentucky Department of Fish and Wildlife Resources. "Nous n'avons pas encore compris quel est le problème. La condition semble être assez mortelle.

    Dans le Kentucky, la mort des oiseaux semble avoir commencé fin mai. Ce qui suit provient directement du site officiel du Kentucky Department of Fish & Wildlife Resources…

    Fin mai, le Kentucky Department of Fish and Wildlife Resources a commencé à recevoir des rapports d'oiseaux malades et mourants présentant un gonflement des yeux et des écoulements croustillants, ainsi que des signes neurologiques. Les agences de protection de la faune de l'Indiana, du Maryland, de l'Ohio, de la Virginie, de Washington, D.C. et de la Virginie-Occidentale ont signalé des problèmes similaires.

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  50. Les agences nationales de la faune travaillent avec des laboratoires de diagnostic pour enquêter sur la cause de la mortalité. Kentucky Fish and Wildlife a envoyé plus de 20 échantillons pour des tests en laboratoire à la Southeastern Cooperative Wildlife Disease Study à l'Université de Géorgie. D'autres résultats sont en attente, mais aucune cause définitive de décès n'a été identifiée pour le moment.

    Après avoir testé 20 échantillons, ils n'ont toujours aucune idée de ce qui se passe.

    Selon Slankard, « des centaines d'oiseaux » dans son état sont maintenant devenus des victimes…

    "Ils resteront immobiles, souvent tremblants", a déclaré Slankard. "Il est assez sûr de dire que des centaines d'oiseaux dans l'État ont eu ce problème."

    Mais bien sûr, la vérité est que nous n'avons aucun moyen de savoir combien d'oiseaux ont réellement été touchés.

    Il pourrait y avoir des milliers d'oiseaux dans l'état.

    Cela pourrait être des centaines de milliers.

    Nous ne savons tout simplement pas, et le Kentucky n'est qu'un des États touchés.

    Dans l'Indiana, les autorités ont testé la grippe aviaire et le virus du Nil occidental, mais ces tests sont revenus négatifs…

    Les responsables de la faune de l'Indiana ont déclaré qu'il y avait eu des décès suspects de geais bleus, de rouges-gorges, de cardinaux du nord et de vachers à tête brune dans cinq comtés. James Brindle, porte-parole du département des ressources naturelles de l'État, a déclaré que les oiseaux y avaient été testés négatifs pour la grippe aviaire et le virus du Nil occidental.

    Une théorie qui circule est que ces oiseaux ingèrent de grandes quantités de pesticides à cause de toutes les cigales qu'ils mangent.

    Certains experts rejettent catégoriquement cette théorie car « la maladie est également apparue dans des États où les cigales ne sont pas présentes ».

    Mais comment peuvent-ils être si sûrs qu'il s'agit d'une maladie s'ils n'ont absolument aucune idée de pourquoi cela se produit ?

    Je ne pense pas que nous devrions sauter à des conclusions qui ne soient pas étayées par la science.

    De toute évidence, beaucoup plus de tests doivent être effectués. S'il s'avère que c'est une maladie qui en est la cause, est-ce une maladie qui peut également se propager aux humains ? À l'avenir, cela pourrait être l'une des questions les plus importantes auxquelles il faut répondre.

    Espérons que nous pourrons obtenir des réponses solides, car ce n'est pas la première fois que quelque chose comme cela se produit. En septembre, un expert a déclaré qu'il semblait que « des centaines de milliers » d'oiseaux tombaient morts au Nouveau-Mexique…

    Les experts de la faune du Nouveau-Mexique affirment que les oiseaux de la région meurent en nombre alarmant, potentiellement par « centaines de milliers ».

    "Cela semble être un nombre sans précédent et très important", a déclaré Martha Desmond, professeure au département d'écologie des poissons, de la faune et de la conservation de l'Université d'État du Nouveau-Mexique, à KOB, filiale de NBC à Albuquerque.

    Mais tout ce qui a causé ces décès au Nouveau-Mexique semble s'être arrêté.

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  51. Y a-t-il un lien entre cet événement et les décès qui se produisent actuellement dans la moitié est du pays ?

    J'aurais aimé avoir la réponse à cette question.

    Nous vivons à une époque où les pesticides, la haute technologie et d'autres formes d'activité humaine ont un impact plus important que jamais sur les oiseaux et les animaux. Mais nous sommes également entrés dans une ère où je pense que les grandes pestes vont devenir très courantes.

    De toute évidence, quelque chose tue tous ces oiseaux, et j'espère que les scientifiques auront quelque chose de solide à nous dire très bientôt.

    Chaque jour qui passe, notre monde devient de plus en plus fou, et tant de choses vont mal tout autour de nous.

    Beaucoup espèrent que 2020 et 2021 ne seront que des anomalies, mais je suis entièrement convaincu qu'ils ne sont que la toute petite pointe d'un très gros iceberg.

    https://www.zerohedge.com/medical/why-are-large-numbers-birds-suddenly-dropping-dead-multiple-us-states

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    1. (...) On nous dit que « les geais bleus, les quiscales bronzés et les étourneaux sansonnets » sont les oiseaux les plus fréquemment touchés. (...)

      Cela fait plus de 20 ans que sont dénombrés des oiseaux morts, des poissons morts. Or, ces centaines d'oiseaux comme ces centaines de poissons étaient bizarrement de la même espèce !! Pourquoi ? Parce que chaque espèce comme les sardines, maquereaux ou dorades ont une fréquence cardiaque différentes. Et, comme ils vivent dans les eaux qui reçoivent des milliards de tonnes de nano-particules chemtraillées, ils les absorbent comme ils absorbent aussi les nano-particules (appelées 'virus') remontées du magma par ses émissions de gaz vers la surface.
      Et, grâce aux technologies scalaires (voir HAARP) des essais (d'abord faits sur les animaux) sont appliqués sur telle ou telle catégorie d'oiseaux ou de poissons.
      Demain (grâce au corona transformé) chaque être humain sera codé pour se réveiller, travailler, manger, dormir (ou crever).

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  52. COMMENT CONCEVOIR UNE STRATÉGIE D'AUTOMATISATION EFFICACE ?


    par LUC ROMANO
    28/06/2021


    Lorsqu'une entreprise fait le choix d'abandonner ses processus manuels nécessitant de multiples interventions au profit d'une stratégie d'automatisation, la mise en œuvre de cette transformation numérique peut sembler impressionnante et générer des craintes. Pourtant, l'automatisation, qui connaît une complète mutation, permet de rationaliser ses process métiers et désormais de nombreuses fonctions.

    L'automatisation permet d'amplifier la portée des opérations, d'exécuter mieux et plus rapidement un grand nombre de tâches, d'augmenter la productivité de l'entreprise en général en laissant du temps aux différents collaborateurs pour traiter des activités plus stratégiques et à forte valeur ajoutée. L'automatisation est la solution pour se réinventer, faire évoluer ses opérations, améliorer l'expérience client ou encore maîtriser ses coûts. Comment profiter au mieux de l'automatisation à tous les niveaux ? Quelles sont les tâches automatisables et comment faire pour mettre en œuvre une stratégie d'automatisation ?

    Comment cartographier et automatiser ses processus d'entreprise ?

    L'automatisation englobe une vaste palette de modes et de scénarios de travail à l'échelle de toute l'entreprise. Mais avant de mettre en place une stratégie d'automatisation, il est important de faire le constat de l'existant en étudiant quelles tâches manuelles peuvent être automatisées, et s'il est dans l'intérêt de l'entreprise de le faire. En effet, automatiser ses processus ne sera utile que s'ils sont adaptés à l'entreprise elle-même. Les paramètres à prendre en compte : la fréquence des tâches, le temps perdu à les accomplir, l'importance de ces tâches, le niveau d'e?valuation ou de choix complexe nécessaire à l'ope?rateur humain pour les effectuer, les bonnes questions à se poser, etc.

    Définir les tâches à automatiser

    Après avoir examiné le travail des équipes et des processus en place, il est nécessaire d'appliquer aux activités concernées deux approches : l'une descendante et l'autre ascendante.

    L'approche descendante consiste à rechercher la meilleure association humain-robot pour l'opération à accomplir (identification des automatisations, classement des tâches par durée et fréquence pour maximiser le ROI, détermination des opérations essentielles à réaliser et des résultats attendus). L'approche ascendante consiste à atteindre la longue traîne de tâches. Les collaborateurs choisissent les tâches à automatiser en fonction des besoins individuels. Collectivement, ces tâches de longue traîne représentent un pourcentage élevé des opportunités d'automatisation.

    Il est important de garder à l'esprit qu'automatiser des tâches ne vise pas à remplacer l'humain de l'entreprise… Bien au contraire. L'automatisation permettra de requalifier et de former les personnes qui étaient auparavant employées pour réaliser ces tâches à faible valeur ajoutée. Les collaborateurs se concentreront désormais sur des opérations plus complexes et intellectuelles, mieux adaptées au travail de l'Homme. On notera enfin qu'une des vertus de l'automatisation sera d'accroitre les performances de son système d'information en lui conférant une approche très opérationnelle centrée sur les usages des utilisateurs .

    Les avantages de l'automatisation sont alors multiples et peuvent profiter à tous les services de l'entreprise. En effet, il est important d'adopter une approche humaine afin de faire bénéficier à tous les collaborateurs des avantages offerts par l'automatisation. L'efficacité opérationnelle du système d'information de l'entreprise peut permettre via l'automatisation plus de fluidité entre les équipes ou simplement permettre à chacune d'être plus efficace.

    http://www.economiematin.fr/news-automatisation-strategie-tache-entreprise

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